Février 2015 Le journal du Centre Hospitalier de Dieppe N° 27 MERCI À TOUS Nouveau record de collecte à l’hopital : 583 kg 300 QU’EST CE QUE L’UTEP P. 2 LA FIN DE VIE TOUJOURS EN DÉBAT P. 4-5 UNE 2ème SALLE DE RADIOLOGIE P.8 Notre territoire de santé : L’Unité Transversale d’Education thérapeutique du Patient « Actuellement, sur notre territoire de santé de CauxMaritime, plusieurs programmes d’éducation thérapeutique sont mis en place : quatre au Centre Hospitalier de Dieppe, un à la Maison de Santé de Neufchâtel-en-Bray et un au Centre Hospitalier de Eu. Pour coordonner, recenser et harmoniser ses programmes, l’ancien COPIL d’Education Thérapeutique du CHD est devenu fin 2014 une Unité Transversale d’Education thérapeutique du Patient (UTEP). L’UTEP est une unité ressource pour les équipes soignantes et les associations. Sa mission principale est de promouvoir et faciliter le développement de l’éducation thérapeutique du patient. En ce sens, elle facilite l’accès du patient aux séances d’éducation thérapeutique dans le champ de la maladie chronique. Santé prévention Fin 2013, l’activité d’Hôpital de Jour de Soins de Suite et Réadaptation pour les affections cardiovasculaires a ouvert ses portes au rez-dechaussée Ango pour la prise en charge d’un groupe de 10 patients. Grâce au travail accompli par l’équipe pluridisciplinaire et par les Pôles Médecine et Chirurgie/ Mère-Enfant, l’activité HDJ SSR Elle accompagne les projets d’éducation thérapeutique par une aide à la formalisation, un appui méthodologique, un soutien pédagogique et une aide à l’évaluation. L’UTEP articule la coordination de l’offre en éducation thérapeutique avec les acteurs des réseaux de santé. Elle assure une interface entre les structures proposant des programmes d’éducation thérapeutique du patient, les recommandations nationales et l’Agence Régionale de Santé (ARS). Elle est garante du cadre réglementaire dans lequel doit se situer l’éducation thérapeutique du patient. Par exemple, entre janvier et juillet 2015, tous les programmes ETP du Centre Hospitalier de Dieppe doivent réaliser leurs évaluations quadriennales et mettre à jour les programmes afin de renouveler leurs autorisations. L’UTEP coordonne ce projet et en assure la cohérence. Concernant les professionnels de santé, l’UTEP assure le suivi de la formation des professionnels du Centre Hospitalier impliqués dans la démarche éducative. Au niveau stratégique et opérationnel, le Comité de Pilotage UTEP est composé d’une dizaine de professionnels impliqués dans l’éducation thérapeutique : infirmiers, diététiciens, médecins, administratifs, cadres, cadres supérieurs et directeurs. »g Julia Brivet, Cadre administratif de pôle « HDJ SSR Cardio : 2ème groupe de réadaptation cardiaque. » Cardio a su se développer en lien avec les cardiologues hospitaliers, les cardiologues libéraux ou les médecins de ville. Après un an de travail et fort de son succès, un second groupe de 10 patients a été mis en place depuis le 13 novembre 2014 pour permettre d’inclure plus rapidement les patients de la liste d’attente. Ainsi, l’activité HDJ SSR Cardio se déroule maintenant sur deux jours, avec un groupe le mardi matin et le jeudi après-midi, et un groupe le mardi après-midi et le jeudi matin. Tout comme le premier groupe, les nouveaux patients bénéficient d’une prise en charge complète incluant de RivageSanté numéro 27 - page 2 l’activité physique et de l’éducation à la santé (conseils diététiques, prévention du tabagisme, connaissance de la pathologie, observance du traitement, hygiène physique et sport, etc.) De plus, l’équipe s’étoffe avec l’arrivée de Sophie VOISIN en tant que secrétaire médicale du service. Le secrétariat HDJ SSR est joignable au 02.32.14.72.62 (du lundi au vendredi de 9h à 16h00) Mail : [email protected] pour toutes questions ou demande d’inscription de patient. Dans un prochain article, le service vous fera découvrir la toute nouvelle activité HDJ SSR pour les affections respiratoires … g Julia Brivet, Cadre administratif de pôle l’édito 2015 – Le Passage Le Centre Hospitalier de Dieppe, vous devez souvent l’entendre, comme moi, a beaucoup évolué et continue de le faire chaque jour sous votre impulsion. Ce changement doit se poursuivre pour : - Passer d’un hôpital reconnu sur ses spécialités à un hôpital innovant ; - Passer d’un hôpital qui non seulement soigne avec efficacité, à un établissement qui en plus accompagne le patient tout au long de son parcours de soins, de son entrée à l’hôpital jusqu’à son retour chez lui. - Passer d’un hôpital bien ancré dans son territoire géographique, à un établissement qui rayonne sur son bassin de santé et se montre attractif, pour les professionnels et pour les patients. Cette volonté de poursuivre notre évolution, cette fierté professionnelle, l’engagement individuel de chacun alimentent notre détermination pour améliorer nos pratiques, continuer de progresser, accroître l’efficacité de nos processus de prise en charge. Vous pouvez compter sur moi ; je compte aussi sur vous. Je suis convaincu de votre engagement individuel. Allons chercher ensemble l’engagement collectif nécessaire à la poursuite de l’amélioration du service rendu au patient. Continuons le «Travailler ensemble», ça marche ! Notre force : une identité construite autour d’un engagement généreux au service du patient, une fierté légitime du travail accompli, et des valeurs qui nous fédèrent. à la une : Philippe COUTURIER, Directeur Le Centre Hospitalier soigne son accueil Fort d’une attractivité en croissance, le Centre Hospitalier accueille en consultation externe plus de 600 nouveaux patients chaque jour, sans compter leurs proches et les visiteurs. Parmi les nombreux projets de transformation initiés et à venir dans notre établissement, l’amélioration des conditions de l’accueil de nos différents publics est donc une priorité. Une mise en œuvre par étapes, évaluée et conduite en concertation : Depuis le lundi 9 février 2015, une première étape du dispositif «réussir l’accueil» avec la nouvelle organisation des halls d’accueil Trividic et du bâtiment de médecine est en place, avec trois nouveautés : - Le hall central du bâtiment Trividic est dorénavant dédié uniquement à l’accueil et à l’orientation ; - Un patient en consultation externe peut réaliser son dossier administratif au sein du bâtiment de médecine et de gériatrie ; - Un guichet est dédié pour l’état civil dans les box du bureau des admissions central. Ces trois premières actions en annoncent d’autres qui permettront d’améliorer le parcours quotidien de nos patients dans notre établissement. Leur mise en œuvre implique une écoute constante de nos patients ainsi qu’une parfaite concertation entre tous les métiers et professionnels concernés. Elle nécessite ainsi l’engagement individuel de chacun. Un premier bilan du dispositif «réussir l’accueil» sera effectué avant l’été. RivageSanté numéro 27 - page 3 Jean-Baptiste Fleury, Directeur des finances et du contrôle de gestion check-up loi léonetti : La fin de vie toujoURs en débat La loi du 04 mars 2002, dite « loi Kouchner » a affirmé le droit à l’information et a établit le principe de la personne de confiance, désignée par le patient et chargée de traduire ses souhaits si il n’est plus en mesure de les exprimer. Elle a été complétée plus particulièrement par la loi du 22 avril 2005, dite « loi Leonetti », relative aux droits des malades et à la fin de la vie qui renforce le principe de collégialité de la prise de décision en matière de fin de vie, affirme l’interdiction de l’obstination déraisonnable (« acharnement thérapeutique ») et rappelle le devoir d’information des médecins. Elle introduit la notion des directives anticipées et elle insiste sur le recours aux soins palliatifs. soins palliatifs, d’associer pleinement le patient et ses proches à tous les processus de décisions concernant sa fin de vie et de respecter les directives anticipées. Mais le CCNE ne recommande pas la légalisation de l’assistance au suicide et/ou de l’euthanasie. Le débat public s’est alors poursuivi pendant 2 ans et s’est enrichi des réflexions issues 1) d’une conférence de citoyens à l’automne 2013 2) des comptes rendus de débats initiés en régions par les Espaces Régionaux de réflexion éthique, 3) d’avis et de recommandations émis par différentes En 2012, le futur Président François Hollande avait inscrit dans ses promesses de campagne le débat sur la fin de vie. Une fois élu, il a confié au Professeur Didier Sicard, ancien président du Conseil Consultatif National d’Ethique (CCNE), le soin d’évaluer la loi de 2005. Des débats publics ont été alors organisés dans toute la France. Le rapport de cette mission, publié en décembre 2012, fera alors état de l’insuffisance de formation spécifique des médecins et des soignants dans le domaine ainsi que du développement insuffisant de la prise en charge palliative, y compris à domicile. Si ce rapport préconise le renforcement de la formation et l’administration d’une sédation profonde à but terminal dans certaines situations, il juge non possible l’introduction de l’euthanasie dans un dispositif de loi. Saisi par François Hollande à la suite de la mission Sicard, le CCNE a, dans son avis 121 « Fin de vie, autonomie de la personne, volonté de mourir » rendu public le 21.06.2013, insisté sur la nécessité d’un droit pour tous aux instances de réflexion 4) de réunions publiques d’« experts » 5) d’auditions de proches de personnes en fin de vie 6) d’enquêtes sur la situation des personnes en fin de vie et, enfin 7) de jugements dans le cadre de contentieux (cf. Conseil d’Etat et situation de Mr Vincent L.). Il ressort de façon prégnante des débats publics la crainte manifeste des citoyens d’un éventuel acharnement thérapeutique, d’une souffrance et d’un accompagnement insuffisant en fin de vie. Dans un rapport publié en octobre 2014 qui fait état de ces nombreuses contributions, le CCNE dresse un constat sévère sur l’accès aux droits des personnes en fin de vie et il se prononce alors en faveur du caractère contraignant des directives anticipées pour les RivageSanté numéro 27 - page 4 soignants et de la reconnaissance d’une sédation profonde jusqu’au décès. En juin 2014, une mission visant à proposer des modifications de la loi de 2005 a été confié par le Premier Ministre, Manuel Valls, à deux députés, Jean Leonetti et Alain Clayes. Leurs propositions, remises à François Hollande le 12 décembre 2014, portent sur le renforcement des directives anticipées (caractère désormais contraignant et disparition de la durée de validité de 3 ans), sur la création d’un droit à la sédation en phase terminale et sur le développement impératif des soins palliatifs et de la formation des professionnels de santé. Ainsi, le patient serait assuré que ses volontés seront respectées, qu’il sera complètement soulagé à la fin de sa vie en présence de souffrances qu’il jugerait insupportables et qu’il sera accompagné, qu’il soit hospitalisé ou qu’il soit maintenu à son domicile parmi ses proches. Ce texte doit cependant être examiné au printemps prochain et les sociétés savantes auront à se prononcer à son sujet. Même si les récentes réflexions autour de la fin de vie ont mis en évidence la nécessité d’une évolution de la loi de 2005, il n’en reste pas moins que des progrès indéniables ont été accomplis depuis sa promulgation. Cette loi a permis de conjuguer bienfaisance envers la personne en fin de vie et protection morale des soignants dans nombre de situations particulièrement difficiles pour les uns et les autres. Et il est fort possible que les difficultés rencontrées ces dernières années, dont certaines ont été fortement médiatisées, soient la traduction de la méconnaissance collective de cette loi et/ou de son application à la lettre plutôt que dans l’esprit. Unique au monde, il faut le rappeler, la loi Leonetti, enrichie des propositions de nos parlementaires, devrait permettre de garantir plus encore l’assurance d’une fin de vie paisible et une prise en charge améliorée au sein Le conseil éthique Le conseil éthique est une structure pluridisciplinaire de réflexion, d’échanges et d’information portant toute question concernant l’éthique médicale. Il est composé de membres de droit et de membres répartis en trois groupes (soignants, médecins et personnes qualifiées). Il est présidé actuellement par le Dr Rigaud. Les missions du conseil éthique au CHD sont : - identifier et /ou recenser les problèmes éthiques rencontrés dans l’établissement, - produire un avis ou des orientations générales à partir de cas particuliers ou de thèmes généraux, - diffuser en interne réflexions, avis ou recommandations, - promouvoir ou soutenir des actions visant à améliorer la qualité de la prise en charge du patient et ses proches, - proposer une assistance aux professionnels confrontés à un questionnement éthique, - assurer une veille bibliographique et la diffusion des informations, d’un cadre légal qui tend à traduire de plus en plus la réalité des situations partagées par les patients et les soignants. Les évolutions de la loi de 2005 nous rappellent que, dans notre société, il existe encore des domaines, comme celui de l’éthique médicale, dans lesquels ce sont les pratiques qui font évoluer les normes et non l’inverse...g Dr Jean-Philippe Rigaud Responsable de la structure interne de réanimation - être consulté pour tout protocole de recherche éthique En se référant à la mémoire (personnelle et collective), aux mœurs (coutumes), à la régulation (loi, réglementation et déontologie) et à la morale (« faire son devoir »), le rôle du conseil éthique est de réfléchir sur les pratiques de manière continue en mettant en perspective les différentes problématiques. Pour y parvenir, il met en place une démarche rigoureuse selon une méthodologie critique afin de formuler des recommandations en tenant compte de l’ensemble des valeurs impactées, mêmes si certaines d’entre elles peuvent être parfois contradictoires. Toutes les situations sont examinées sous l’angle des principes éthiques fondamentaux (respect de l’autonomie, bienfaisance, non malfaisance et équité) sans oublier celui du respect de la confidentialité (secret médical), socle de la confiance du patient envers le médecin et le soignant. L’éthique médicale ou bioéthique couvre l’ensemble des pratiques de soin et particulièrement de domaines relevant du sens du soin, de la maîtrise de la procréation, du diagnostic prénatal, de la réanimation néonatale, des thérapies cellulaire et génique, du diagnostic génétique, des thérapies dites de substitution (greffes d’organes et de tissus, utilisation des tissus embryonnaires et fœtaux, xénogreffes, etc.), de la recherche épidémiologique, des contraintes économiques, de l’équité des soins, de la fin de vie (euthanasie, l’acharnement thérapeutique, assistance au suicide, soins palliatifs, etc.). Dans le cadre de la fin de vie, le rôle du conseil éthique est de rappeler les principes de la loi du 22 avril 2005 et de s’assurer qu’ils soient respectés (recherche et consultation des directives anticipées, consultation de la personne de confiance, droit à l’information des personnes en fin de vie, refus de l’obstination déraisonnable, limitation et arrêt des traitements jugés futiles, recours aux soins palliatifs). g L’EQUIPE MOBILE DE SOINS PALLIATIFS au centre hospitalier de Dieppe Nous prenons en charge tous les patients atteints d’une maladie grave évolutive ou terminale, comme les patients atteints de : polypathologies, cancer, maladie neuro-dégénérative et de maladie concernant les insuffisances d’organes, comme les insuffisances rénales, cardiaques et/ou respiratoires terminales. L’EMSP est composée d’un médecin, d’un cadre de santé, de psychologues et d’infirmières, avec chacun des missions bien spécifiques. L’EMSP a une mission pédagogique à travers l’apport de connaissances théoriques et sur les techniques de soins. Nous organisons différentes sessions de formations sur l’évaluation de la douleur, la gestion des PCA… Nous intervenons en transversalité, comme consultant dans les différents services de soins sur demande de l’équipe, du médecin, du patient ou de sa famille. Nos missions sont aussi extra hospitalières : Nous intervenons dans les EHPAD du secteur géographique sous forme de convention. Nous travaillons également en partenariat avec HAD et les réseaux de soins palliatifs, comme RESOPAL. Pour contacter l’équipe : Dr Defeuillet Catherine, médecin responsable 7243 Mortoire Catherine, cadre de santé 7426 - Soude Gaëlle, infirmière 5964 - Deve Céline, infirmière soins palliatifs en EHPAD 7243 - Goraguer-Bourvellec Julia, psychologue 7613 - Depauw stéphanie, psychologue 7734 Pour nous appeler de l’extérieur de l’hôpital : 02.32.14.71.28 Gaelle Soudé fait le point avec l’équipe RivageSanté numéro 27 - page 5 Romain Dubuisson, cadre administratif de pôle et Gaëlle Soudé, infirmière ZOOM sur l’équipe d’addictologie PRESENTATION DE L’EQUIPE : L’équipe d’addictologie est pluridisciplinaire tout comme les soins apportés à nos patients. L’équipe est composée de deux secrétaires (Laurence Guery et Edwige Caillet), de deux infirmières (Claude Fromentin et Anne Mery), d’une assistante sociale, de deux psychologues à mi-temps (une psychologue clinicienne : Marie-Agnès Levillain et une neuro- psychologue) et de trois médecins : les Drs Damega Wenkourama, Christiane Le Gouic et Nathalie Vigé-Vanheeghe. La Structure Interne d’Addictologie fait partie du Pôle Médecine, le cadre de santé est celui du SSR (Delphine Buron).g PRESENTATION DE L’ACTIVITE : L’essentiel de l’activité de la Structure Interne d’Addictologie est ambulatoire. Elle réside dans un accompagnement régulier du patient afin de l’aider à se « rétablir » et à gérer son addiction. Les infirmières et les médecins assurent ce soin grâce à des entretiens motivationnels. Un bilan de santé et un travail de prévention et de dépistage sont effectués systématiquement (ORL, gastro, gynéco, vaccins…). De plus, nous avons mis en place un protocole de sevrage ambulatoire, sevrages qui sont encadrés par nos infirmières, en consultation externe quand la situation du patient le permet. La majorité de l’activité est en lien avec un problème d’alcool. Ainsi, depuis l’ouverture du service en 2001, il arrive chaque mois, du territoire de santé de Dieppe, entre 12 et 15 nouveaux patients qui présentent un problème d’alcool plus ou moins sévère. Cependant, la demande en matière de tabac est en constante augmentation. La structure interne accueille aussi des patients pour un problème de toxicomanie et, depuis quelques mois nous avons ouvert une consultation d’addiction aux jeux. Pour rappel : les consultations de toxicomanie sont anonymes. g L’EQUIPE MOBILE D’ADDICTOLOGIE : Depuis 2013, une équipe mobile, qui est gérée par nos deux infirmières, intervient auprès du patient hospitalisé sur demande du médecin ou de l’équipe soignante du service ou bien à la demande de la famille lorsqu’un problème d’alcool, de tabac ou LES ACTIONS DE PREVENTION : Le service d’addictologie est moteur dans la prévention des addictions et participe activement à la mise en place d’une politique de prévention. de santé du Centre Hospitalier dans le cadre de la prévention des risques liés à l’alcool au volant pour les fêtes de Noel ainsi que l’arrêt du tabac pour les bonnes résolutions. Par exemple, le 16 décembre 2014, le service d’addictologie s’est mobilisé auprès des professionnels De plus, le Centre Hospitalier de Dieppe propose déjà depuis plusieurs années, avec la pharmacie, une de toxicomanie est repéré par les soignants. Leur rôle, grâce à l’intervention brève, est de favoriser l’accès aux soins des personnes en les encourageant à mettre en place un suivi ambulatoire après leur sortie.g Situé au 2ème étage du Pavillon Le Trividic, le service d’addictologie est joignable au 02.32.14.74.90 (du lundi au vendredi de 9h à 12h30 et de 13h à 17h ou 18h) dispensation gratuite de patchs de substitution nicotinique pendant 3 mois pour les employés accompagnés par la consultation de tabacologie.g Dr Nathalie Vigé-Vanheegue, Responsable de la structure interne d’addictolgie RivageSanté numéro 27 - page 6 carnet de bord DEPARTS ET RETRAITES JANVIER Chantal FOURNOT pôle Psychiatrie g Jean-Louis MORIN Lingerie g Dr Valérie BLONDIN pôle Chirurgie g Jules, fils de Maxime VACHER, ISGS pôle Médecine g Alicia, fille de Céline HAILLET, AS pôle Chirurgie g Céleste, fille de Déborah HALLE, IDE pôle PAT Hommages à François GUEROUT g « François, ce fut une très belle rencontre et je savais qu’il assurerai ma relève avec brio. » Michèle Grenet, présidente de l’Amicale des Hospitaliers « Il savait donner le sourire même dans les moments difficiles, amenait la gaieté dans tout le service. Je ne le remercierai jamais assez d’avoir eu le plaisir d’être sa collègue et son AMIE.» Virginie Allard, infirmière pôle Médecine DECEMBRE Gabrielle, fille de Julie PLOUARD, IDE pôle Gériatrie g Marius, fils de Julie K’DUAL, AMA coordinatrice secrétariats médicaux g Emma, fille de Cécile JEHAN, IBODE pôle PAT g FEVRIER Florence NION Cuisine centrale g HOMMAGES OCTOBRE g Delphine MENARD IDE consultation mémoire MARIAGE NOVEMBRE TRAN Delphine, AS pôle Gériatrie avec MONTERROSO Kevin g NAISSANCES NOVEMBRE Théodore, fils d’ Emilie LEROY, sage-femme pôle Mère et Enfants g Marion Flour, ergothérapeute pôle Gériatrie « Je remercie très sincèrement tout le personnel pour leurs différentes marques de soutien reçues pour Mathilde et moi ». Christelle Guérout, son épouse, pôle Gériatrie ARRIVEE DE PRATICIENS JANVIER g Patricia CORDIER AS pédo psychiatrie g François GUEROUT IDE détaché « François, c’était toujours avec le sourire et l’ esprit sportif toujours présent » Portraits JANVIER Dr Minh Dung NGO pôle Chirurgie g Dr Solène COEURET pôle Chirurgie g Dr Cécile MARTIN pôle PAT g Dr Françoise BEURETBLANQUERT pôle Chirurgie g Dr Erice VERIN pôle Chirurgie g Si vous ne souhaitez pas figurer dans cette rubrique, merci d’en informer la Direction des Ressources Humaines au 7505. Arrivée à l’hôpital de Dieppe début janvier 2015, Christine LETETU est titulaire de la fonction publique hospitalière depuis plus de 30 ans. Originaire de Rouen, elle a notamment exercé durant 15 ans comme infirmière de secteur psychiatrique, avant de continuer durant 10 ans en qualité d’assistante de service social par le biais de la formation continue. Depuis 4 années, Christine LETETU était cadre socio-éducatif en charge de 44 assistantes de service social sur le CH du Rouvray. Bien que le coté médecine - chirurgie - obstétrique lui soit peu familier, Christine LETETU ne découvre pas le CH de Dieppe pour autant puisqu’elle a étroitement travaillé avec la psychiatrie. A VOS AGENDAS C’est avant tout la création de ce nouveau poste qui a motivée sa venue sur Dieppe, avec une réelle volonté d’inscrire le service social dans une dynamique institutionnelle. LES JOURNEES A VENIR sur le CH de Dieppe : • le 29 mars : Parcours du coeur à Offranville avec l’association Coeur et Santé • le 31 mars : instant «Trico’THE» au Château Michel • le 14 avril : 4ème journée régionale des soins palliatifs au casino de Dieppe Christine LETETU Après avoir découvert les onze professionnels du service social durant le premier mois, Christine LETETU sait que les attentes sont fortes pour cette équipe dynamique. Dans un contexte d’accréditation, de dossier patient informatisé, d’amélioration sur le parcours patient, nul doute que le travail va se coconstruire. C’est ce challenge que Christine LETETU souhaite menée à bien en arrivant au CHD. Caroline Bonnamy, responsable communication RivageSanté, journal gratuit imprimé sur papier recyclé du centre hospitalier de Dieppe, avenue Pasteur, 76202 Dieppe site internet www.ch-dieppe.fr - Directeur de publication Philippe Couturier Comité de rédaction [email protected] 02.32.14.77.10 Dessins Stéphane Guérain Photographies et Maquette Caroline Bonnamy - Impression Durand imprimeurs Fécamp 3000 exemplaires - ISSN 1968-9691- février 2015 - Toute reproduction est soumise à autorisation RivageSanté numéro 27 - page 7 les brèves Pièces Jaunes : l’hôpital toujours mobilisé Pour la 26ème campagne Pièces Jaunes, le programme était chargé pour les professionnels bénévoles de l’hôpital. Animations diverses auprès des écoles, avec les patients d’arthérapie, présence au centre commercial mobilisation d’un nouveau partenaire, le Football Club de Dieppe, qui a répondu positivement à l’appel de l’hôpital pour participer à la collecte. Tous étaient prêts à recevoir la fondation et son parrain, Christian Karembeu, mais le match du 31 janvier a été reporté à cause du mauvais temps. Toujours plus motivée, l’équipe a innové avec et à de nombreuses manifestations sportives… Une organisation cette année soutenue et suivie de prêt par la fondation Hôpitaux de France –Hôpitaux de Paris, qui a d’ailleurs invité l’équipe au lancement le 07 janvier dernier à PARIS (photo). l’organisation d’une Zumba le 06 février dans les locaux de l’IFSI, Zumba qui a rencontré un vif succès. Cette belle mobilisation permettra - t - elle de battre le record de 2014 : soit 442 kg ? Caroline Bonnamy, Responsable Communication Quelques nouveautés cette année avec la Médaille d’honneur régionale, départementale et communale A l’occasion de la cérémonie des vœux qui s’est tenue le lundi 19 janvier 2015, 53 professionnels ont reçu la médaille du travail. Echelon or (35 ans) : ANGOT Chantal - BAYET Nicole - FITTE DUVAL Christian HAUDIQUERT Patricia - LAPLAGNE Joëlle - MUNIER Dominique - PAVAGEAU Maryline - POULLAIN Isabelle - QUESNEL Catherine - RAILLOT Rose - SAINTSAENS Brigitte - STIR Thierry - TROUDE Joël - VITIS Michel - VIVET Alain Echelon vermeil (30 ans) : DEKLUNDER Marina - GARRONE Claudine GROUES Pascal - GONEL Brigitte - HEUDE Florence - JEANNOT Dominique LEBAS Nathalie - LE PAPE Muriel - MAINNEMARRE Annie - RICQUIER JeanClaude - ROQUIGNY Dominique Echelon argent (20 ans) : ABRAHAM Sophie - BANCE Florence - BECQUET Angélique - BRUGIERE Nathalie - CAHAGNE Patricia - CIRERA Pascal - DENOYER Martine - DRIANCOURT Muriel - DUVAL Sophie - FREVILLE Jean-Paul - GAUDRY Sabine - GOUJON Danièle - GRENU-GUEIT Virginie - GUENET Corinne GUILLOSSOU Maud - HANQUIER Dorothée - HEURTAUX Delphine - HOUSSART Annie - LELOUARD Nathalie - LETELLIER Sylvie - LIGOT Nathalie - LOUVEL Karine - MARCASSIN Sylvie - MARTIN Isabelle - ROBIN Catherine - ROUSSEAU Béatrice - SAVOYE Coralie. Caroline Bonnamy, Responsable communication Bientôt Une deuxième salle de rADIOlogie toute neuve Le service d’imagerie du CH Dieppe s’est doté depuis le 27 octobre 2014 d’une salle télécommandée à capteur plan dynamique. C’est une table qui possède un système unique, innovant, polyvalent et peu irradiant. Elle permet d’assurer le prise en charge des urgences, des consultations externes, des hospitalisés et des examens avec contraste. Cette salle allie confort, sécurité et rapidité d’obtention des images. Début février 2015, les travaux de réfection des sols sont en cours Par ailleurs, c’est une table très ergonomique qui s’adapte aussi aux patients à mobilité réduite, puisque la table descend très bas (40cm du sol), à la prise en charge des polytraumatisés par un système couple capteur –tube qui tourne autour du patient sans le mobiliser et à la prise en charge de la pédiatrie par sa faible irradiation. L’installation d’une deuxième salle identique est en cours. Elle sera fonctionnelle début mars 2015. Elle remplace la salle d’urgences. Le service d’imagerie pourra alors répondre avec efficience aux besoins des prescripteurs. Ainsi le service d’imagerie assurera son activité sur deux salles identiques au lieu de trois. Cette restructuration du service permettra d’assurer une continuité des soins. De plus, l’appareil panoramique dentairetélécrâne a été isolé dans une salle dédiée permettant ainsi de développer cette activité. Véronique Baer, Faisant fonction de cadre de Santé d’imagerie LE JOURNAL DU CENTRE HOSPITALIER DE DIEPPE N°27 CHD, CS 20219, avenue Pasteur, 76202 Dieppe cedex- Tél : 02.32.14.76.76 - Mail: [email protected].
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