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"Les Cavaliers "
de
Joseph Kessel
Libre adaptation scénique et mise en scène de
Eric Bouvron
Collaboration artistique : Anne Bourgeois
Interprètes :
Eric Bouvron, Khalid K, Grégori Baquet, Maïa Guéritte.
Photographies : Sabine Trensz
Création Lumières : Stéphane Baquet
Assistante à la mise en scène : Gaëlle Billaut-Danno
Note d’intention d’Eric Bouvron
«A mon retour de voyage au Groenland, mon ami Thibaud m’a demandé : ‘Maintenant que tu as voyagé au sud et au nord,
c’est quoi le prochain voyage ?’
Je me suis dit qu’il faut aller là où on n’ose pas aller… l’Afghanistan !... Il m’a offert Les Cavaliers. »
Sur les traces de Joseph Kessel
Apres avoir vécu parmi les Bushmen dans le désert du Namib pour le spectacle « BUSHMAN, Le dernier Chasseur » et ensuite
avec les Inuits sur la banquise pour « LA MISSION DE VICTOR MULOT », je me prépare pour partir encore une fois.
La soif pour l’aventure et l’inconnu, cette fois-ci, me propulse vers les steppes afghanes. A la recherche des valeurs et des
coutumes qui ont nourri l’œuvre « LES CAVALIERS » du globe-trotteur, Joseph Kessel.
« À travers LES CAVALIERS, j’ai écrit mon testament » confie Kessel, un jour à un ami.
C’est dense. C’est puissant. C’est philosophique. C’est une sorte de ‘Indiana Jones’.
J’ai découvert en Kessel un homme qui aimait passionnément la vie. Il avait une curiosité infatigable pour les autres. Et quand
je dis les autres cela veut dire aussi pour tous les peuples des différents continents.
Un vrai aventurier du monde qui marquait son territoire avec son charme, son humour, ses chants et surtout un homme
remarquable que j’ai rencontré à travers sa plume. Si j’étais enfant…je dirais : « Je veux être Joseph Kessel ».
Mais aujourd’hui, n’étant pas un petit, mais un grand, rien me n’empêche de retrouver mon enfance en m’immergeant dans son
livre « Les Cavaliers ». De l’adapter. De le jouer. De le faire Vivre !
Un voyage que j’ai envie de faire avec des artistes qui me provoquent et qui m’inspirent. Se rencontrer. Se découvrir. Se
surprendre. Aller quelque part que je ne connais pas.
Adaptation et voyages
« Les Cavaliers" est surtout l’envie de raconter une histoire extraordinaire que j’aurais bien voulu voir sur scène.
Une histoire d’homme. Les failles de l’homme. Dans un pays rude et dans une époque « rustre ». Les esprits sont bâtis par ses
failles.… L’honneur, la dignité, la fierté.
Comme pour mes dernières créations, j’ai besoin de partir dans les terres inconnues où l’histoire se passe. Pour m’imprégner.
Sentir. Réinventer en m’inspirant des coutumes et du pays où l’action se déroule. C’est en Ouzbékistan que j’irai avec Sabine,
la photographe et Gregori Baquet, un des comédiens. C’est là-bas, où je trouverais encore des éléments proches d’une époque
perdue (l’action se passe en 1957 en Afghanistan). Aujourd’hui, l’Afghanistan a beaucoup changé. Son voisin, l’Ouzbékistan,
pas trop.
Je vais chercher à mettre mes pas dans les pas de Joseph Kessel mais à travers le théâtre. Un voyage dans les mots et la sensibilité
de ce globe-trotteur que je ne connais pas. Un défi comme c’est le cas pour toutes mes créations qui m’ont propulsé dans des
pays lointains.
J’ai pris deux ans pour adapter l’œuvre. Avec beaucoup de « je recommence ». Et un jour, j’ai eu un déclic qui m’a permis de
trouver l’angle d’approche pour une version scénique.
Avec cette création j’ai envie d’amener sur scène une histoire qui reste très actuelle, une histoire universelle. Dévoiler, aller à
la rencontre d’une époque qui exprimait des valeurs que nous aujourd’hui cherchons dans nos vies quotidiennes.
Mais en aucun cas, avec l’intention de moraliser ou comparer. Le théâtre c’est d’abord du « spectacle ».
La mise en scène :
Elle sera composée de trois éléments qui serviront comme « piliers » pour amener cette histoire épique.
La musique et le son en direct. Le jeu des comédiens. La scénographie.
La musique aura plusieurs fonctions. Servir comme ambiance dans certaines scènes. Prolonger, accentuer les émotions
et « illustrer » les paysages. Il y aura des moments où on trouvera le musicien seul pour qu'on laisse la musique « parler »,
donnant des moments de respirations entre les situations.
Les musiques et bruitages seront composés par Khalid et créés en live par tous les artistes car la plupart sont musiciens.
c
Sur le jeu.
Les comédiens doivent garder une distance dans leur jeu. C'est à dire, qu'ils puissent sortir du/des rôles qu'ils incarnent. Mokkhi
s'adresse au public et aux autres comédiens au début. Comme un conteur. Permettant le présent et des flashbacks. Cette distance,
laissera de la place pour d'autres jeux entre les comédiens, qui ne sont pas dans le texte. Par contre le seul rôle qui reste 'incarné',
c'est celui de Zéré. Cela donnera un aspect de mystère en plus. Une contradiction au jeu des trois hommes.
Je souhaite que la plupart du temps, le jeu soit calme et bien en retenue. Ce n'est pas la peine de souligner le texte. Par contre
je favoriserai l'humour (grâce à la distance) qui au contraire donnera un contraste complémentaire au drame.
Il y aura des chorégraphies stylisées et essentielles. Je préfère stimuler l'imaginaire du spectateur. Pour créer l’illusion de
l'espace et les chevaux sur les steppes, j'appuierai sur le mouvement, la danse, l'utilisation des espaces de la scène, le décor avec
les courses de chevaux, le sport sauvage (le Bouzkachi), le combat des béliers, l’attaque mortelle des chiens.
Il est possible que l’un des personnages, L’Aïeul de Tout le Monde, soit incarné par une marionnette qui sera manipulée à tour
de rôles par les comédiens.
La scénographie, j'imagine sur scène des tapis persans et trois tissus en texture proche de la soie qui pendent en fond de
scène. Ceci permettra de suggérer des entrées (chez le Bay, l'écurie, la tente de repos...etc). C'est aussi sur ces tissus qu'on
projettera les photographies qui ne sont pas là pour illustrer, mais pour donner au spectateur des images « authentiques » qui
accompagneront leur imaginaire durant l'histoire. Je pars de l'idée que le spectateur n'a pas de référence sur le pays et le temps
où l'action se déroule. J'avais envie de lui donner quelques éléments de plus.
La « nudité » de la scène et la finesse de la soie donneront une impression de « fragilité » qui contrastera bien avec la violence
de l’histoire.
J’ai tendance à ne pas encombrer l’espace de jeu. Je préfère que ce soit les comédiens qui bougent librement et qui inventent
les « images et espaces » dans l’imaginaire du spectateur utilisant des accessoires, des sons, des éléments de costumes, des
sangles de chevaux. Une fois les comédiens sur scène, ils ne quitteront plus l’espace.
Nous sommes dans un pays de lumière intense. Du désert. Les steppes. Une culture islamique. Je suis fasciné par l’architecture
et le mélange de couleur de l’art islamique. Nous chercherons comment suggérer tout cela, tout en valorisant les scènes et
situations de l’histoire.
Pour les photos et lumières, nous allons expérimenter l'utilisation de la couleur. Comme Braque, qui explorait la couleur sur
les paysages.
Les projections, sur un tissu de soie non fixé au sol, ajouteront à l’aspect éphémère de la pièce.
Pas de film. Des photos travaillées. Des images sur les « petits détails ». Les mains. Les ongles. Les yeux. Les sabots…capturer
la vie quotidienne et la mettre en valeur en grand.
Les photographies projetées auront été prises par Sabine Trensz lors de notre voyage en Ouzbékistan.
Les costumes inspirés de l’époque mais sans grands artifices. Parfois un turban ou une veste doivent suffirent pour suggérer le
changement d’un rôle…et d’autres fois il faudra habiller le rôle complètement. Comme les objets et tabourets, les personnages
doivent être « usés » par la vie.
Les Cavaliers, pour moi, est un hymne à la dignité de l'homme. Il y a une célébration universelle dans l'écrit de Kessel. C'est
une pièce qui a besoin d'être habillée par des couleurs. De la musique. La danse. Les images.
Le soutien de Anne Bourgeois
Anne Bourgeois est un metteur en scène qui a la sensibilité pour rassurer, guider, corriger, questionner le travail. Elle est
d'accord pour collaborer avec moi sur ce projet ce qui me rassure et renforce l'esprit d'équipe pour ce « voyage ».
Parcours d’Eric Bouvron
Né en Egypte d’un père français et d’une mère grecque, Eric Bouvron grandit en Afrique du Sud.
Après avoir abordé un répertoire varié au Théâtre National de Durban (passant des pièces classiques à la comédie
musicale), par soif de découverte et envie de voir ce qui se passe en Europe, Eric Bouvron vient en France.
Il va à la rencontre d’autres univers grâce à des stages intenses : L’Ecole Internationale Jacques Lecoq, le théâtre de
Peter Brook au travers de Jean-Paul Denizon, Ariane Mnouchkine et le Théâtre Nô.
Sa passion pour tous les arts et sa curiosité aiguë le conduisent à concevoir ses créations comme des aventures et à
mêler les outils d’expression : la danse, le visuel, la musique, l’humour, le dessin.
Son but est de montrer des choses vraies au public et de l’informer tout en le divertissant.
Après « Afrika ! » qui parle de la splendeur de l’Afrique du Sud, Eric Bouvron a décidé d’aller vivre parmi les
Bushmen pour écrire un spectacle sur ce peuple.
Puis il est allé à la découverte du Grand Nord et des Inuits avec son spectacle « La Mission de Victor Mulot » pour
l’écriture duquel il a voyagé au Groenland.
Il aime aussi mettre en valeur les univers des autres et met en scène des créations atypiques allant des spectacles
musicaux (Sophie Forte, Carrington-Brown Pascal Assy) au cirque (Pascal Rousseau) en passant par la magie (Eric
Antoine).
En perpétuel mouvement, il crée des évènements variés : festivals d’humour, cabarets et action dans les hôpitaux
dans lesquels il a plaisir à programmer les copains et à pouvoir ainsi les réunir.
Eric Bouvron mène aussi un travail pédagogique : d’une part en réalisant lui-même des ateliers et d'autre part en
dirigeant des équipes artistiques pluridisciplinaires.
Il a conçu et interprète également une conférence spectacle « J’ai cinq minutes pour vous séduire ». Le but est de
donner des clefs d’accès au public pour qu’il puisse découvrir la magie de se regrouper dans un théâtre, d’aider à
rendre le spectacle vivant accessible à tous.
Eric Bouvron a tourné des reportages pour Fox TV et la Chaîne Voyage, « Un Touriste dans ma tribu » qu’il a coécrit avec le réalisateur Pierre Belet (diffusés également sur RMC Découverte). Il invite les téléspectateurs à le
suivre dans ses rencontres avec les tribus du monde (Sénégal, Equateur, Mongolie, Madagascar, Afrique du Sud) .
Site d’Eric Bouvron : www.eric-bouvron.com
Equipe de création
Khalid K
Musicien, bruiteur, chanteur, conteur, compositeur
Né en 1965 à Casablanca, Khalid découvre la France à l’âge de 4 ans. Riche d’une double culture, il compose très jeune son
propre univers musical. Musicien instinctif, Khalid apprend la guitare en autodidacte.
A la fin des années 80, sa rencontre avec Farid Chopel et son groupe “Chopel and the Kids” est décisive. Tournées et cours de
solfège obligent, il devient un instrumentiste accompli.
Après d’autres expériences et rencontres, il part à la recherche de nouveaux sons. Samplers et machines MIDI deviennent ses
nouveaux instruments. Averti des mixages complexes, il fait une adaptation musicale rap de Phèdre pour la compagnie Téknè,
sous la direction de Thomas Gennari. En 1997, “Hip-Hop Phèdre” est jouée aux Rencontres Urbaines de la Villette et au Théâtre
d’Arras.
Il explore ses propres capacités vocales et choisit de revenir à une matière acoustique brute : djembé et voix. C’est un nouveau
tournant dans son épopée. Il collabore alors avec le conteur Ralph Nataf, les groupes Yan et les Abeilles, Les Voisins du dessus
et avec le Théâtre Alibi de Bastia. Il compose la musique du film de Anaïs et Olivier Spiro, “Tempus Fugit” avec le chorégraphe
Sidi Larbi Cherkaoui (Cie C de la B) diffusé sur ARTE en juin 2005.
En 1999, c’est la naissance de son tout premier spectacle en solo “Khalidk Phonie”, suivi de “Bienvenue dans ma tête”, mis
en scène par Kên Higelin. Leïla Cukierman, directrice du Théâtre Antoine Vitez d’Ivry-sur-Seine lui ouvre ses portes pour une
résidence dans le cadre du Festi’Val-de-Marne à l’automne 2006. De là naîtra aussi la version jeune public “Le Tour du monde
en 80 voix”.
Depuis 2006 ce magicien des sons est sur toutes les scènes et les festivals importants avec plus de 400 représentations en
France et à l’étranger. Sa virtuosité vocale, son humour, sa poésie et sa capacité à créer des personnages ont fait de son "Tour
du Monde en 80 Voix" un univers sonore enchanteur séduisant les petits comme les grands.
Grégori Baquet
Comédien
Grégori Baquet est le fils de l'acteur et violoncelliste Maurice Baquet. L'orthographe slave de son prénom est due aux origines
russes de sa mère, chorégraphe et danseuse. Il est élève au lycée Molière (Paris). Il fait ses débuts en 1986 dans la compagnie
« C'était comment déjà ? » de Karim Salah aux côtés de Louison Roblin et de Jacques Fabbri entre autres, puis dans Fleur bleue
de Jean-Pierre Ronssin. De 1994 à 1995, il joue le rôle d'un jeune sportif dans la série Extrême Limite, dont il interprète
également le générique. De 1996 à 1999, il joue dans le feuilleton Une femme d'honneur, diffusé sur TF1. Une réalisatrice de
cette série, Marion Sarraut, lui offre un rôle aux côtés de Mireille Darc dans L'Ami de mon fils (1997).
C'est en 1995 qu'il entre dans la compagnie Roger Louret dans laquelle il joue Les Années Twist, Les Z'années Zazous, puis
L'Arlésienne, aux côtés de Jean Marais et Bernadette Lafont.
Après s'être fait connaître d'un plus large public en 2001, en interprétant Benvolio dans la comédie musicale Roméo et Juliette
de Gérard Presgurvic, il obtient son premier grand rôle au cinéma, en 2004, dans le film Grande école. En 2006, il joue au
théâtre de Paris, avec Jean-Marie Bigard et Catherine Arditi dans Le Bourgeois gentilhomme de Molière où il interprète, le
valet, Covielle. En 2009, il crée un monologue adapté des nouvelles «Le K », de Dino Buzzati au théâtre du Petit Hébertot, à
Paris. En 2010, il joue dans la pièce Colombe au théâtre de la Comédie des Champs-Élysées à Paris aux côtés d'Anny Duperey,
Rufus et Sara Giraudeau, tout en interprétant l’ex-mari de Claire Keim dans la série «Bienvenue aux edelweiss » .
L’année dernière il était au théâtre Mouffetard, où il était « Louis Laine » dans « L’Echange » de Paul Claudel qui partira en
tournée en octobre 2012. Durant le mois de juillet, Grégori est sur scène tous les jours, au festival d’Avignon. Dans une pièce
musicale burlesque intitulée « Colorature », au « théâtre du chien qui fume » à 12h30.
Parrain de l’association « Tous en scène » il organise des concerts dont tous les bénéfices vont à diverses associations
humanitaires, notamment pour la recherche sur la sclérose en plaques.
Maïa Guéritte
Comédienne
Après des études de littérature anglo-saxonne, elle a commencé au Théâtre de la Madeleine sous la direction de
Gérard Caillaud dans « L'Idiot », d'après Dostoïevski. Puis les Tréteaux de France l'ont emmenée dans une tournée
sous chapiteau avec le rôle d'Antigone, dans la pièce de Jean Anouilh, mise en scène par Jean Danet.
Elle a joué les jeunes premières de Hugo (« A Quelque Chose Hasard Est Bon »), Shakespeare « Roméo et Juliette »,
John Ford « Dommage qu'elle soit une putain » et surtout Molière (« Le Bourgeois Gentilhomme », « Le Médecin
Malgré Lui », Psyché » à l'Opéra de Toulon et l 'Opéra de Montpellier).
Pour les enfants, elle a joué princesses et petites filles: Georgine dans le conte musical « Barbe-Bleue » mis en scène
par André Nerman, Isabel dans une adaptation de la Belle au Bois Dormant, Gerda de « La Reine des Neiges » et
Neigeblanche dans des « Contes » de Grimm et Andersen, adaptés et mis en scène par Quentin Defalt.
Elle a aussi joué les soubrettes chez Marivaux (Marton et Lisette dans « Les Fausses Confidences » et « La Double
Inconstance »), des prostituées (dans « Sacco et Vanzetti » au Théâtre Déjazet, Maguelonne dans « Le Roi s'Amuse »
de Hugo), et des saintes (Jeanne d'Arc, dans les ruines du Château de Gilles de Rais...)
Elle a joué devant des publics toujours différents, exigeants et curieux: celui des enfants, des lycées, des prisons, du
réseau scientifique, de l'Opéra, du Festival d'Avignon, auquel elle a participé récemment avec « Trains de Banlieue »,
une comédie « romantico-ferroviaire musicale » de David Friszman.
Depuis plusieurs années, elle poursuit une formation de chant lyrique après avoir abordé le répertoire du jazz et de
la chanson française. Elle a eu le bonheur de chanter dans plusieurs spectacles: « AQCHEB », « Barbe-Bleue »,
« Trains de Banlieue », « Le Crâne et la Mécanique »...
Elle a tourné pour Canal+ dans la série « Sweet Dreams » réalisée par Jean-Philippe Amar, dans une série pour TF1,
dans « L'Illuminé » de Marc Hollogne, aux côtés de Mathilda May et Michel Jonasz, et prête sa voix à de nombreux
documentaires pour ARTE.
Actuellement, elle joue le rôle de Hannah Arendt au Théâtre de la Huchette dans « Un Rapport sur la Banalité de
l'Amour » de Mario Diament, mis en scène par André Nerman, et prépare un tournage pour la télévision.
Anne Bourgeois
Collaboration artistique
Sortie de l’Ecole de la Rue Blanche en 1989, elle débute comme assistante à la mise en scène puis se passionne pour le théâtre
de troupe itinérant où elle signera les mises en scène et les adaptations scéniques des succès musicaux de la Troupe du Phénix,
notamment la Double Inconstance de Marivaux, le Petit Monde de Georges Brassens (joué plus de deux saisons à Bobino et
aux Bouffes parisiens), la Nuit des Rois de Shakespeare et Splendeur et Mort de Joaquin Murieta de Pablo Neruda.
Ces derniers temps, à Paris et en tournée : La Femme du Michel-Ange de Eric Assous avec Véronique Boulanger ; Mon
dernier Cheveu noir de et avec Jean-Louis Fournier, Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran d’Eric-Emmanuel Schmitt
avec Francis Lalanne ; Bistro de Sylvie Audcoeur et Marie Piton ; Toutou de Daniel Besse avec Patrick Chesnais, Josiane
Stoléru et Sam Karman ; Box-Office de David Mamet ; Des Souris et des Hommes de John Steinbeck ; le one-man-show de
Warren Zavatta Ce soir dans votre ville ; Jacques Gamblin dans son spectacle Tout est normal, mon cœur scintille ; Drôle
de Couple de Neil Simon avec Martin Lamotte.
Elle a également mis en scène Cochons d’Inde de Sébastien Thiéry avec Patrick Chesnais et Josiane Stoleru (Molières du
spectacle comique et du meilleur acteur) ; Les Diablogues de Roland Dubillard avec François Morel et Jacques Gamblin au
Théâtre du Rond-Point (Molière d’honneur pour Roland Dubillard) ; Lacrimosa de et avec Régis Jauffret au Théâtre du RondPoint ; Avec deux Ailes de Danielle Mathieu-Bouillon avec Véronique Jannot, Jean-Michel Dupuis puis Marc Fayet ; La
Mouette de Tchekhov (Festival d’Avignon et Théâtre 14) ; Sur la Route de Madison avec Alain Delon et Mireille Darc au
Théâtre Marigny ; Cher Menteur de Jérôme Kilty avec Patrick Préjean au Théâtre du Ranelagh ; Mobile Home de Sylvain
Rougerie avec Corinne Touzet et Jean-Pierre Bouvier ; Sur le Fil de et avec Sophie Forte et Philippe Sivy à la Comédie Bastille ;
La Peau d’un Fruit de et avec Victor Haïm au Théâtre du Rond-Point ; Les Montagnes Russes d’Eric Assous avec Alain
Delon et Astrid Veillon au Théâtre Marigny ; Cinquante-cinq Dialogues au Carré de et avec Jean-Paul Farré eamuel Tudelat
Jean-Jacques Moreau au Théâtre National de Chaillot ; La Boîte à Outils de Roland Dubillard au Théâtre du Rond-Point ;
Histoire d’un Merle Blanc de Musset et Hélas, petite Epopée apocalyptique de Stéphanie tesson, deux monologues interprétés
par Stéphanie Tesson ; Café-Chinois de Ira Lewis avec Richard Berry et François Berléand, qu’elle a co-mis en scène avec
Richard Berry.
Elle écrit les dialogues d’un court-métrage avec Michel Duchaussoy réalisé par Samuel Tudela intitulé « Coup de jeune » et
signe l’écriture des chansons des spectacles musicaux joués par la Troupe du Phénix.
Elle participe en outre au festival Le Paris des Femmes et au Festival de la Correspondance pour soutenir les auteurs et la
création.
Elle dirige également des séances de jeu sur le travail du Clown utilisé comme outil de recherche pour l’acteur et intervient
comme formatrice en développement personnel dans le monde de l’entreprise.
Sabine Trensz
Photographies
Photographe, Sabine Trensz travaille essentiellement avec le réalisateur Pierre Mann dont elle est aussi l’assistante.
Ensemble, ils parcourent la planète en quête de visages, de lumières et de paysages exceptionnels.
Leurs sujets de prédilection se trouvent aussi bien dans la jungle des Indes, dans les savanes africaines, dans les forêts
tropicales d’Ouganda et du Rwanda que dans les sables brûlants des déserts ou entre les icebergs de l’Antarctique.
Elle a également collaboré aux tournages de Pierre Mann, « Ils étaient une fois les Bushmen » et « Femmes de
Pourpre ». Son rôle a été primordial pour gagner la confiance des femmes.
A travers ses œuvres, Sabine se voue à garder vivante la mémoire des Peuples menacés, mais surtout à témoigner de
leur situation et de l'urgence d'une prise de conscience qui aboutisse enfin à des actions concrètes en leur faveur.
Son exposition consacrée aux Bushmen et aux Himba plonge le visiteur dans la magie des couleurs et des sourires
de l'Afrique noire.
Ses plus récentes expositions : Strasbourg, Paris, Montignac (grottes de Lascaux), Pîtres, Angers, RDVI
Elle a collaboré avec Eric Bouvron pour sa précédente création, « La Mission de Victor Mulot », en prenant les
images et photographies du spectacle lors du voyage au Groenland de l’équipe.
De même, elle apportera l’habillage visuel du spectacle grâce à ses prises de vue en Ouzbékistan.
Stéphane Baquet
Création lumières
Fils du comédien-musicien-alpiniste-skieur-artiste lyrique Maurice Baquet et filleul du photographe
Robert Doisneau, Stéphane commence son parcours artistique comme trompettiste (classique, jazz..),
chanteur puis portraitiste Noir et Blanc (photographe de l’Agence RAPHO) ; il monte sur les planches comme
comédien à l’âge de 20 ans (spectacles avec Jacques Fabbri, Jean Marais...) pendant 10 ans, puis accompagne
son père dans ses tournées comme régisseur où il apprend son métier de régisseur lumière et d’éclairagiste.
Régisseur d’accueil au théâtre du Renard à Paris de 1990 à 1995, il part ensuite comme créateur lumière
et responsable technique de plusieurs spectacles (Michael Lonsdales, Olivier Py, Pierre Santini, Pierre Notte,
Jean-Luc Tardieu, Alain Sachs, Brigitte Fossey, Guillaume Hasson, Pierre Loup Rajot, Laurent Petitgirard,
Diastème…).
Il devient en 1999 directeur technique du Théâtre « La Luna » en Avignon, et en 2006 co-directeur artistique.
Continuant en 2008 ses créations lumières et ses tournées à travers l’Europe.
Il crée une compagnie en 2010 pour se consacrer à la mise en scène : « Jamm » (spectacle musical avec 4
saxophonistes), « les 3 littles cochons… and the Loup » (en création pour printemps 2013 ) ; et c’est donc
très naturellement qu’en cours d’année 2010, il donne une nouvelle orientation à sa carrière en se confrontant
à la scénographie : d’abord «FAME » (comédie musicale recréée en sept 2010) puis HAIR (comédie
musicale créée en janvier 2011) et « MERE-FILLE » (pièce de théâtre créée au théâtre du Chêne Noir en
Avignon 2012) écrit et mis en scène par Diastème.
Gaëlle Billaut-Danno
Assistante à la mise en scène
Formée chez Blanche Salant, et à l’école de Chaillot, Gaëlle Billaut-Danno s'illustre régulièrement depuis 12 ans sur
les scènes parisiennes.
Elle aborde aussi bien le répertoire classique que des pièces plus contemporaines ou encore les comédies populaires.
Elle tisse un lien privilégié avec Pierre Santini, son parrain de théâtre, et le théâtre Mouffetard où elle
joue régulièrement entre 2003 et 2010. C'est là qu'elle incarne son premier grand rôle : Blanche dans « Un Tramway
nommé Désir » de Tennessee Williams.
Xavier Lemaine (Cie les larrons) lui confie ensuite plusieurs rôles dans ses créations dont celui de Silvia dans « Le
Jeu de l’Amour et du Hasard » de Marivaux puis celui de Lechy dans « L’Echange » de P.Claudel. En 2010 elle est
Georges Sand dans "La Dernière Nuit" de MF Hans, jouée au théâtre du Petit St Martin. En 2012 elle reprend en
tournée le rôle de Célimène dans "Célimène et le Cardinal" de et par J. Rampal.
Elle tourne également pour la télévision dans de nombreuses séries ( PJ, La Crim, Q -saison 1 et 2-, Détectives,
Main courante…) et plusieurs unitaires, sous la direction d’ E.Woreth, B. Bonvoisin, P.Vigne, J.M Thérain... Depuis
2011 a un rôle récurrent dans Q.I une série réalisée par O.de Plas.
Avide d'expériences, elle travaille aussi en parallèle comme assistante mise en scène aux côtés de P.Santini,
M.Thibaud, E.Delcourt, E.Henon et maintenant Eric Bouvron.
Noms de la costumière et du scénographe à préciser
Critiques des spectacles précédents d’Eric Bouvron
Tous en tournée actuellement et diffusés par Atelier Théâtre Actuel
Création en 2000 - 150 représentations dont Théâtre Trévise en 2008,
représentation exceptionnelle au Casino de Paris en février 2010, Festival Off
d’Avignon 2008 et 2012 et Théâtre des Béliers en 2013
D’une drôlerie ludique, ce spectacle est aussi une invitation à découvrir l’autre.
Les autres. Avec générosité et tolérance. » Télérama – TT
« C’est une histoire de complicité entre deux Africains « chocolat blanc » et
« chocolat noir » et une connivence sincère entre un interprète et son public. »
Vaucluse Matin
« Eric Bouvron sait nous promener sur les rives de l’imaginaire. Il mélange le récit,
les traits d’humour, la danse, le visuel, avec un esprit aussi brillant
qu’un éclat de lune. » Pariscope
« Poète et farceur, alliant charme, élégance et décontraction dans la tradition des
Création en novembre 2005
au Sax d’Achères avec le soutien du Conseil Général des Yvelines.
200 représentations dont au Studio des Champs Elysées pendant 8 mois,
Festival Off Avignon 2009 (Le Petit Chien) et 2011 (Théâtre des Lucioles)
« Ce spectacle hors norme se caractérise par sa sincérité généreuse
et sa bienveillante humanité, à voir en famille. » Télérama
« Une inventivité étonnante… fascinante. »
« Un spectacle à ne pas manquer. »
Le Parisien
JT France 2
Création en mars 2011 à l’Espace de Fourqueux (78) avec le soutien du
Conseil Général des Yvelines.
50 représentations dont Festival Off Avignon 2011
(Théâtre des Lucioles)
« Un voyage éblouissant et enrichissant, un petit bijou.
Un plaidoyer sur la tolérance des cultures qui éveille les consciences
sur l’environnement qui nous entoure. Pour tous les amoureux de la Terre
et des aventures humaines, un spectacle à voir absolument. »
Coup de cœur du Vaucluse – Avignon 2011
Production : Compagnie « Les Passionnés du Rêve »
Avec le soutien de Thibaud Houdinière
(Co-Directeur Atelier Théâtre Actuel et Madely)
Lieux d’accueil de la création :
Théâtre de St Maur (94), Le Sax Espace Musical d’Achères (78), Espace Culturel de
Vendenheim (67), Centre Culturel Juliette Drouet de Fougères (35), Théâtre de
Maisons-Alfort (94), Palais de la Culture de Puteaux (92)
Soutiens à la création :
Ville Palaiseau (91), MJC de Colombes (92), Ville de Franconville (95),
Théâtre de Draveil (91).
En attente de confirmation : Mois Molière de Versailles (78)
Contact : Patricia Barthélemy : 06.21.41.51.36 ou [email protected]