Subventions Quel amateur de définitions pittoresques a dit du subventionncment que c'est un régime dans lequel on soutire de l'argent à toul le monde pour en distribuer ù quelques privilégiés ? En fait , la Confédération, dont on sait l 'énorme charge de passif , subventionne les cantons. Ceux-ci , souvent guère mieux placés, skient les comimunes, les corporations et parfois les particuliers. A leur tour , ces derniers, qui se confondent avec les contribuables, sont sollicités par le fisc pour renflouer les caisses publiques. La Confédération dispose de la ressource élégante des impôts indirects, que chacun acquitte avec d'autant plus de bonne grâce qu 'ils sont plus habilement camouflés. Par exemple, nous aidons la caisse de l'Elat central en suçant lc bec de nos pipes et en envoyant au ciel des volutes de fumée. De même cn sucrant noire thé ou en rou lant en automobile. La plus grande partie de ce que nous achetons contient une charge en faveur de l'Etat. On la dénomme imp ôt sur le chiffre d'affa ires, et, phénomène uni que, les agents dc perception travaillent à titre absolument gratuit. Aujourd'hui , les finances de la Confédération et des cantons sont fortement éprouvées. Les dicastères administratifs se sonl multipliés et beaucoup d 'entre eux sont précisément devenus des offices de distribution de la manne subventionnelle. La sollicitude de l'Ela t s'étend de plus en plus a tous les domaines : l'agriculture et l'enseignement agricole, l'assurance chômage ct l'assistance publique , l'instruction et la formation professionnelle, la défense contre l'incendie, l'encouragement au tourisme , l'internement des fous et la sauvegarde dc la santé des gens, l'endiguement des cours d'eau et la construction des routes. Plus loin encore : si un gel prononcé compromet les récolles, ou une sécheresse pernicieuse, l'Etat se substitue ù la Providence pour corriger financièrement les écarts du thermomètre ou du baromètre. La « subventionnile » est si bien entrée dans nos mœurs helvétiques, qu'un plaisant a pu annoncer un jour par la presse sous un titre gras cette nouvelle impressionnante : « Un clou a été planté dans un chalet de rObcrîand sans aucune participation de la Caisse fédérale. » Naturellement, la distribution de tant de faveurs s'enloure d' un appareil législatif approprié qui défin it les conditions , les taux , l'app lication. La Confédération subordonne en général sa générosité à la participation des cantons , et ceux-ci ont tendance h charger les communes, déjà pour les intéresser ù contrôler les bénéficiaires qui relèvent de leur juridiction. C est ainsi qu il fau t être riche pour loucher certaines subventions. S'entend que les réalisations importantes, qui prennent de fortes sommes aux caisses publiques, supposent des sociétés, des corporations, des consorlages disposant eux-mêmes de moyens financiers souvent considérables. C'est grâce aux subventions fédérales que le Valais a pu réaliser des améliorations foncières de grande envergure, qui lui ont rendu à la culture de larges étendues de terre. Les routes de montagne, d'importants ouvrages pour l'irrigation n 'ont été possibles qu'avec le concours de la Confédération. Redevables ;\ Bcme de tels éléments de notre prospérité, nous manifesterions une évidente faute de goût à critiquer ou conda mner un régime dont nous tirons profit. Même à cet égard , les opinions se partagent : certains estiment que nous aurions dû entreprendre davantage pour ne rien perdre de nos droits. D'autres, que les subventions nous ruinent en nous endettant toujours plus. C'est Là d'ailleurs un aspect oiseux dc la question. Il convient d'examiner si les subsides ne sont pas critiquables dans leur application. Au moment où la Confédération se trouve co«ntrainle de limiter ses interventions et noIre canton de comprimer sérieusement ses dépenses, la revision de toute notre politique cantonale des subventions s'impose. Non seulement l'introduction nécessaire de taux différentiel s basés sur la situation financière des bénéficiaires apportera un correctif au système actuel , mais une discrimination judicieuse entre les interventions de 1 Etal — qui ne sont pas toutes oppor tunes , permettra de substantielles écono mies. Lourdes nous parle On nous «écrit : Le Dr Leuret est le médecin chef du bureau des constatations de Lourd-ss. A ce titre, ses déclarations revêtent un caractère d'authenticité particulière. Le Dr Leuret est aussi un grand chré- tien, heureux de pouvoir mettre ainsi la science au service de Dieu et de sa sainte Mère. Rares sont aujourd'hui les personnes sensé«es qui nient la réalité de Lourdes bien que tout ait été mis en œuvre pour susciter le doute quant au caractère surnaturel des guérisons. N'a-t-on pas prétendu, pour ne citer que les plus récentes « trouvailles », que l'eau de Lourdes, sortant d'un terrain servant autrefois de dépotoir, d'où formation de moisissures, contenait de la pénicilline, ce qu'une analyse complète a démontré totalement faux, l'eau de Lourdes ne contenant aucune substance radio-active. «Comment expliquerait-on, d'ailleurs, les guérisons opérées hors de la piscine ? Et n'estil pas frappant de constater le nombre considérable de guérisons d'enfants, infirmant la prétention des incroyants à l'auto-suggestion ? Et lorsque un fait est scientifiquement constaté par un bureau dans lequel travaillent un millier de praticiens de tous pays, de toutes croyances, il est vraiment difficile d'admettre que le dit bureau soit une officine d'erreurs de diagnostic. La Sainte Vierge, enfin, comme pour mieux donner un caractère encore plus irréfutable aux miracles opérés, y imprime sa signature , en prolongeant, deux ans après la guérison, l'état anatomique des lésions. C'est ainsi qu'un aveugle, condamné à la cécité complète et perpétuelle ensuite d'atrophie du nerf optique, se vit subitement guéri, tout en présentant, deux armées encore, la même atrophie. Médicalement, il ne pouvait pas voir, mais il voyait. Tel encore cet enfant, idiot par suite de destruction dœ tissus cérébraux, et qui recouvre l'intelligence tout en conservant les mêmes marques pathologiques d'idiotie. A la deuxième visite, ces marques disparaissent. Arrêtons-nous. Le Dr Leuret, par son exposé si clair et circonstancié, fait vendredi soir à Sion, a fortifié notre confiance dans Lourdes, dans le sérieux, soupçonneux à l'excès et avec raison, du bureau des constatations. — car le diable s'ingénie à le «tromper et soudoie de faux malades, le conférencier nous l'a prouvé par des exemples — il a fortifié notre amour filial envers Marie, la Vierge de bonté dont nous sommes les enfants, il a augmenté notre désir de nous approcher d'Elle dans ce lieu choisi par Elle, ce lieu béni, si riche en fruits de sanctification : Lourdes. C. A. De jour en jour Oiolent réquisitoire du premier britannique contre le communisme Sévère défaite électorale du parti travailliste M. Attlee, premier «ministre dc Grande-Bretagne, a pro noncé dimanche un discours à une assemblée travaillliste , à Glasgow, dans lequel il a traité du Pacte de i'Atlantique et a attaqué vivemen t le communisme. Le Pacte Atlantique — a-t-il dit — n'est pas de nature agressive, mais il a un caractère purement défensif. Ceux qui lui attribuent des intentions offensives le font en mauvaise conscience. Us suivent la même ligne que les nazis, qui considéraient toute tentative des nations de collaborer comme l'encerclement de l'Allemagne. Notre but, par cet acte, est de redonner aux peuples le sentiment de sécurité qu'ils r«éclament impérieusement. Nous essayons avec ce système de sécurité de protéger le monde de toute agression et de réduire le fardeau que constituent les armements. En effet, ce pacte, établi «sur une base collective, permet aux nations puissantes de venir en aide aux Etats moins favorisés. Nous entreprenons en même temps de rétablir l'économie de l'Europe et d'ouvrir une ère de prospérité. Tous les peuples du continent, fatigués de la guerre, ont accueilli avec empressement l'aide du plan Marshall. Même les pays de l'Europe orientale auraient voulu en bénéficier, mais après avoir hésité, ils virent apparaître le veto russe. Je me vois obligé de constater que cette décision a été prise parce que le rétablissement économique de l'Europe occidentale ne plaisait pas à la politique trangère du Kremlin. Le communisme fleurit là où le standard de vie des masses est bas. Les «communistes ne se préoccupent nullement des souf- nous aurions offert un terrain fertile à la propagande communiste. Certes, nous aurions été les premiers à nous féliciter de la participation des peuples de l'Europe orientale au plan Marshall, car notre but n'est pas de diviser le monde en deux camps. Nous continuons d'espérer que le monde pourra de nouveau s'unir, mais cela ne pourra se faire que si les communistes abandonnent leur impérialisme idéologique, suspendent leur tentative de diriger le monde selon leur bon plaisir et de vouloir étreindre chaque personne dans la camisole de force du léninisme marxiste. Tout ce qui a été fait aux Indes, au Pakistan , à Ceylan, en Birmanie et dans les pays coloniaux n'a pas fait la moindre impression envers ceux qui ne comprennent rien à la liberté. Ils continuent de lancer les vieux mots d'ordre de l'impérialisme brifrances des peuples qu'ils dominent. Si on avait agi comme ils l'auraient voulu (mais leur campagne contre le plan Marshall a été un fiasco complet) tout progrès dans le rétablissement économique de l'Europe occidentale aurait été entravé. L'aide généreuse offerte par la grande République d'outre^Atlantique aurait été repoussée, notre sta ndard de vie aurait dû être réduit de sorte que tannique. » M. Attlee a ajouté : dues à tout jamais , n n'existe aucune liberté personnelle en Russie, mais au contraire un régime policier qui opprime tout. Il n'existe aussi aucune liberté de vote. Seule là liste d'un seul parti est autorisée. L'opinion de l'opposition est également opprimée. Il n'existe ni liberté de parole, ni liberté d'opinion en U. R. S. S. Les savants, les poètes et les artistes qui s'écartent de la ligne fixée par le pouvoir central sont damnés ; même les joueurs de football doivent être des partisans orthodoxes du marxisme-léninisme. Tout cela serait ridicule, si cela n'était pas tragique. » » * « Dans le temps même où M. Attlee prononçait le discours ci-dessus, son parti , le parti travailliste , devait enregistrer sa première sévère délaite électorale. Est-ce le tournant ? Les travaillistes ont perdu la majorité au Conseil provincial du Comté de Londres où ils disposaient de 90 sièges et n 'en ont plus que 64, tandis que les conservateurs «passent en sens inverse de 28 à 64. C'est le vote de 'l'unique conseiller libéral qui départagera les deux partis , à moins que les travaillistes ne se servent d'un artifice de procédure pour s'assurer de toutes les fonctions administratives du Conseil. Dans l' ensemble, le parti travailliste annonçait dimanche que dans les élections des comtés, il a perdu jusqu 'ici 336 sièges et en a gagné 83. Il s'agit des résultats de 55 comtés sur les 62 que comptent l'Angleterre et le Pays de Galles. Le parti gouvernemental à perdu la majorité dans les trois comtés importants de Middlesex , Essex et Northumberland. Au siège du parti conservateur , on déclare que, d'après les résultats connus dimanche aprèsmidi , le parti a obtenu un gain net de 325 sièges. Le parti n 'a perdu que 19 sièges. On peut attribuer la défaite travailliste à trois facteurs. D'abord au fait qu 'une très faible marge sépare dans le pays tout ent ier les travaillistes des conservateurs et qu 'il suffit d' un très faible déplacement de voix pour assurer la majorité à l' un des partis , et que ce déplacement peut être dû à des causes fortuites sans que l'on ait à parler de lame de fond , comme certains journaux le font ce matin. Ensuite , il est indéniable que le budget de sir Stafford , qui condamne les Anglais , selon une expression du « Financial Times », aux travaux forcés à perpétuité , commence à être supporté avec peine par la majorité de la population. Et enfin que, de plus en plus , les voix libérales , lorsque les candidats conservateurs sont progressistes , se portent sur ceux-ci de façon à assurer le succès de l'antisocialisme. MAiiviftib^ &trs&ir\a<t»rf m *2.- 1 ¦ ¦ %» ¦ m, ^mw mm v - •*-. * * *.A ., - • ... u » ^- c « v M, ¦ «p ^ mlmWmmwmmmmm *»,«*l***W**waMMMMM.,I..MMaMMMi MMBMMMMMBMMMMlMMMMMl L'Albanie condamnée à La Haye La Cour internationale de justice a rendu samedi son verdict dans l' affaire de Corfou. M. José Gustave Guerrero (Salvador) , vice-président de la Cour , a lu en français le jugement en présence des représentants de la Grande-Bretagne et de l'Albanie. Il a déclaré que la sentence est basée sur un compromis réalisé en janvier par les deux parties et qui fut soumis à la Cour. Celle-ci , par onze voix contre cinq, est arrivée à la conclusion que l'Albanie assume la responsabilité de l'explosion des mines qui s'est produite le 24 octobre 1946 dans le détroit de Corfou. L'Albanie porte également la responsabilité des dommages causés et des pertes de vies humaines. Par dix voix contre six la Cour a décidé de prendre en considération la fixation de l'indemnité que l'Albanie devra verser à la Grande-Bretagne. Les demandes en indemnités formulées par la Grande-Bretagne s'élèvent à 875 mille livres sterling. Par 14 voix contre deux , la Cour a constaté que la Grande-Bretagne n 'a pas violé, le 22 octobre 1945, la souveraineté de l'Albanie. La Cour de justice internationale de La Haye est arrivée à l'unanimité à la conclusion que c Karl Marx croyait certainement qu'il était un pionnier de la liberté. Lénine et les autres auteurs de la Révolution russe ont cru aussi qu 'ils combatI.c limonade purgative est un rempde connu et ef- * taient pour la liberté. Lénine et les autres auteurs ! I ficace. Les comprimés de la Révolution russe ont cru aussi qu'ils combattaient pour la liberté. Les communistes se sont concentrés exclusivement sur la libération éconofacilitent eu public la préparation à la maison de ia mique des ouvriers du joug des capitalistes, mais limonade purgative. Dissoudre les comprimés dans ils ont réduit les conceptions de liberté, ont ignoenviron ISO gr. d'eau bouillante. ré tout à l'exception de l'économie et ont créé un terCetrolax est très agréable, étant aromatisé au citron ou à la framboise. rible régime économique «dans les pays situés derrièDans toutes les pharmacies. Produit : Dr Bordoni, re le rideau de fer. Les conquêtes que les «amisdes Farmacia Intarnazionale, Lugano. masses avaient réalisées dans le passé ont perété Llqueur fin* i bas* de Cognac vieux el d'oeufs frali CETROLAX la Grande-Bretagne, en revanche, a violé la souveraineté 'de l'Albanie les 12 et 13: novembre. En effet , pendant ces deux journées, les bateaux de guerre britanni ques ont dragué les mines qui se pouvaient dans le Détroit de Corfpu. La s«en: tence «relève a çë propos .que cette déclaration . offre lar satisfaction requise. Cette déclaration a été faite à la demande de l'Albanie et elle est susceptible dé garantir le respect du droit international . civiles et religieuses. Il a dit le privilège pour les fidèles de pouvoir pratiquer librement leur foi et s'est félicité de l' esprit de parfaite compréhension qui règne entre tous les milieux de la population. Après que le révérend Père supérieur Garnier, directeur de la Mission, eut fait appel à l'union des catholiques dans leurs croyances et leur action , Mgr .C harrière, évêque de Lausanne, Genève et Fribourg, a souligné entre autres qu 'une manifestation comme celle d'aujourd'hui n'était possible que dans la mesure où le climat spirituel d'un pays la comprend. Après la seconde partie , essentiellement religieuse, de cette grande manifestation , le salut et la bénédiction du Saint-Sacrement, la réunion prit fin par le chant du Cantique suisse. o bonnecuisina o tj - , ¦ Une église détruite par une explosion aux Etats-Unis . Nombreuses victimes Une explosion extrêmement violente a détruit complètement l'église catholique de Marion , dans le Dakota, tandis que 150 fidèles assistaient .à la messe. Après-les premières opérations de secours, qua_tre cadavres. ont été retirés des décombres de {'église, qui a été entièrement rasée. 12 personnes grièvement blessées ont été hospitalisées. On igaàrt"encore le nombre des personnes restées sous -Jes décombres. : Selon la police, l' explosion aurait été causée par ûil "appareil de «chauffage à «gaz. ——o . .. | . A la mémoire d'une personnalité politique tessinoise ¦'¦¦/ .-m Dimanche a été commémoré à Cevio le Sme anniversaire de la mort de M. Giovacchino Respini , l' une des personnalités les plus influentes du parti catholique conservateur tessinois et qui fut l' un des hommes les plus marquants de la vie politique du Tessin. Participaient à la cérémonie MM. Lepori et Bernascon i, conseillers d'Etat, les représentants conservateurs aux Chambres fédérales , MlM. Antognini, Bordini et Jenner, et un grand nombre de députés au Grand Conseil. Après avoir déposé des fleurs sur la tombe du défunt , M. Bernasconi , président du gouvernement , a rappelé les vertus de l'homme politique, du magistrat et du grand citoyen que fut M. Resoini. o • Un beau geste de la Suède Le major Fach t, chef de la mission suédoise de Sjeçours à Vienne, a révélé que son pays était prêt , pour témoigner sa reconnaissance d'avoir échappéaux horreurs de deu x guerres mondiales, a accueillir des « personnes déplacées » âgées et incapables «de travailler. Il a ajouté qu 'il les prendrait en Autriche, heureux de leur offrir une retraite et 1 estimant d'autre part de son devoir d'aider ce malheureux pays. ¦w«w « .' ;":¦¦ '¦ ¦ K ¦•- •' ' • "- Nouvelles suisses —Ml—M il llll , I . Il I ,;* *"f Un ancien encaisseur condamné —— «ifc * P^tsï I ..I— ¦.«« ¦.. Vif incident au Grand Conseil genevois Depuis, de très nombreuses années, depuis 1936 en tout cas, il n 'y a pas eu au Grand Conseil genevois une assemblée aussi houleuse que celle qui s'est déroulée sanjedi après-midi. On se souvient que lors de la dernière réunion, un député chrétien-social, M. Gander, ainsi que M. Jfacçoud, radical, avaient interpellé le Conseil d'Etat sur les respect de la liberté d'opinion. Un autre /député national-démocrate, M. Déonna, avait également demandé aux autorités executives s'il pouvait être donné des indications sur Içs agissements commis pendant la guerre par certaines personnalités du parti du travail et sur certaines révélations parues dans la presse (révélations de l'espion Foot). Lï Grand Conseil, après avoir élu un nouveau juge d'instruction et s'être prononcé sur diverses question s,, écouta la réiponse du Conseil d'Etat faite par son président, M. Charles Duboule, chef du Département de justice et police. Le magistra t, sur un ton net, donna une réponse EXTRA- SAVONNEUX ET PROFITABLE TO^i' É^ i*?^ iétiLt^àx* t _,, . . . ¦ ; . . .^ ^ ^^^^^^ftl mmm mmm W-mm ïiy ^i ^SïM très énergique aux diverses interpellations citées plus haut. Dès le début , M. Duboule précise que le Conseil d'Etat est bien décidé à ne tolérer aucune manifestation politique à l'Université et les étudiants étrangers qui s'en rendraient coupables seraient renvoyés dans leur pays. Quant à l'attitude des chefs du Parti du Travail , le Conseil d'Etat s'associe à toutes les protestations patriotiques qui se sont fait entendre et demeure vigilant , sans vouloir décréter aucune interdiction. Le gouvernement de Genève fera tout pour maintenir les libertés conquises. En ce qui concerne les déclarations de M. Thorez que M. Léon Nicole a faites siennes, le Conseil d'Etat joint sa protestation énergique à celle des autorités fédérales et estime que l'appel de M. Léon Nicole est un appel à la trahison et mérite une condamnation. A cet mots, M. Léon Nicole pousse de grand» cris et suivi de ses amis politiques s'avance menaçant vers M. Duboule en criant : « Vous n'êtes qu 'un « salopard ». D'autres injures se perdent dans le bruit. Le président du Grand Conseil suspend alors la séance et les députés- massés au pied de la tribune présidentielle échangent de violents propos. Le calme étant quelque peu revenu, le président rouvre la séance mais avant que M. Duboule, président du Conseil d'Etat, ait repris la lecture de sa déclaration, M. Nicole et les députés de l'extrême gauche demandent à grands cris, une rétractation des termes employés par le. Conseil d'Etat à leur égard. Dans l'impossibilité d'obtenir le calme, le président lève alors la séance. .1 • ROMAN • /-;..;«, par t Marcel Michelet « Chienne de vie », pensait-il. Us sont combien qui disent cela ? Plus de la moitié de l'humanité. Suis-je fou de vouloir m'évader ? Je me demande si ma mère n'est pas plus sage dans sa résignation. Un sentiment nouveau entra dans son âme, celui de la pitié. Au lieu de songer à son émancipation personnelle, à se créer un monde libre où pouvaient s'épanouir ses dons «artistiques, n'y avait-il «pas à sa lutte un autre idéal, plus eBAHD CHOK travail ? mais «comment ? Déjà la pensée généreuse fléchissait devant les difficultés. Quelle humiliation, de se sentir égoïste et lâche, lui qui, pour son propre avantage, n'avait pas craint de heurter la Volonté patenreUe et de faire pleurer sa mère ! Que de problèmes, et quel enchevêtrement de pensées, de vouloirs et de désirs ! « Chienne de vie ! » entendit-il encore ; dans l'angle du wagon, un ouvrier noir et courbé cracha entre deux bouffées de fumée. Puis continua, sans regarder André : — Naturellement, il y a des heureux ! Un autre, derrière lui, faisant de gr«ands efforts pour s'éveiller, répondit comme en rêve : — Ouais. Le premier reprit : — Aujourd'Jiui ils portent l'uniforme, demain ils portent canne et manteau et ils nous méprisent On sait que l'assassin qui abattit , dans la nuit de vendredi à samedi, un agen t de la police locale et blessa dangereusement un gendarme à Porrentruy, s'est tiré une balle dans la tête au moment où les agents, sous les ordres du lieutenant Thommen, de Bern e, pénétraient dans (La suite en 4e pag e). Rassemblement catholique à Genève A l'occasion de la Mission 1949 prêchée dans toutes les paroisses catholiques de la ville de Genève, la Fédération catholique genevoise a organisé, dimanche après-midi, au Palais des expositions , un grand rassemblement auquel a assisté Mgr Charrière, évêqu e du diocèse, entouré des membres du clergé, dont Mgr le vicaire général Petit, et auquel avaient. répondu plug dç ^0,000 ¦— personnes. • .. . • • • - - .' ¦ . M. Fernand Çottier, conseiller national çt président du Conseil administratif de la ville de Genève, a salué les représentants des autorités ——— Demain, Quand l'amour... Après le drame de Porrentruy GRAISSE COMES TIBLE -HUILE COMESTIBLE 10 beau, plus désintéressé : délivrer les forçats du FEUILLETON DU « NOUVELLISTE » Le Tribunal de police correctionnelle de Vevey a condamné à deux ans de prison, moins 106 jours de préventive, à 5 ans de privation des droits civiques et aux frais , Marcel Ducrest , Fribourgeois, 41 ans , ancien encaisseur des Forces motrices de la Grande-Eau , reconnu coupable de faux , d'abus de confiance et de détournements. Depuis 1934 environ , Ducrest a commis de nombreux détournements de fonds au cours de ses encaissements, pour une somme de 100,000 francs environ, dont une bonne partie a pu être restitué e à la Société Romande d'Electricité, avec laquelle une tran saction a été signée et qui ne se portait pas partie civile, o « « ! « LOTERIE ROMANDE * ¦ André se dirigea vers 1M bureaux. Les trouvant L'ouvrier devenait éloquent. André s'en amusait. Le tr,ain s'arrêta aux Folleterres longtemps, fermés, il fit le tour de l'usine, longeant les ca(A «suivre). parce que c'est la plus grande gare du pays. La naux. clarté du jour éteignit les lampes. Sur îles vitres, une buée tamisait l'aurore. — Qu'est-ce qu'il fait, celui-là ? Y descend pas ? C'est pourtant la ville du collège ? André ne bougea pas. Le train se remit en marche, ses voitures boiteuses martelant une mesure à deux temps. André descendit avec tous les ouvriers, et derrière eux se dirigea vers l'usine. Les hommes se retournaient parfois, jetaient un regard curieux, méfiant Q entendit grommeler. —r Y va gûrement chez le patron. Y a pas d'au-- , ..: . tre habitation de ce côté. — Un neveu du patron. Y va se pay«ar des vacances. — C'est pourtant curieux, à ces heures matinales, y risque pas d'être debout k patron. EXPOSITION PERMANENTE du 1" an M avril 1949 . A I ENTRÉE LIBRE I D »PP4BEttS ARMOIRES FRIGORIFIQUES CltdïOlU^Ù Les™™» A l b e r t B R U C H E Z , é l e c t r i c i t é, M A R T I G N Y avenue do m Gare DOCUMENTATION FOOTBALL Le championnat suisse Le temps ayant daigné se remettre au beau fixe, toutes les parties au calendrier de ce dimanche des Rameaux ont pu se dérouler dans d'excellentes conditions. Pour ne pas faillir à une tradition désormais bien assise, les surprises les plus étonnantes étaient également de la fête. En Ligue Nationale A, on peut dire que la course au titre est virtuellement jouée et que le championnat restera une «année encore au Tessin, les Luganals ayant disposé de leur plus dangereux rival, Bâle, 1 à 0, et Servette ayant réédité son exploit de la Coupe contre Lausanne, 2 à 1. A Chiasso, Urania n'a pu faire mieux que match nul, 1 à 1, ce qui laisse nos Eaux-Viviens genevois dans une situation particulièrement délicate, surtout que les Young Fellows se sont payé le luxe de terrasser Locarno, 4 à 0. Autres résultats : Chaux-de-Fonds-Granges 3-2, Bellinzone-Grasshoppers 0-0 et Bienne-Zurich 2-3. En Ligue Nationale B, les Argoviens de notre ami Monachon volent de victoire en victoire et leur succès sur International, 2 à 0, les place sur le seuil «Immédiat de la Ligue A. La question de la deuxième place n'est pas résolue, loin de là, Fribourg, Cantonal et St-Gall étant à égalité théorique, à 5 points des leaders. Notons que les deux premiers ont fait match nul, 1 à 1, cependant que les brodeurs étaient au repos. Autres résultats : Vevey-Beme 0-2, Young Boys-Zoug 5-0, Lucerne-Mendrisio 1-0 et ThouneBrtihl 1-1. En Première Ligue, alors que Montreux disposait assez heureusement de Sierre, 4 à 2, Mailey se faisait «stopper par Yverdon, 3 à 2. Réveil de Racing qui bat nettement Nyon, S à 1, et de Jonction également, net vainqueur d'Ambrosnia, 3 à 0. En complément, Central s'en est allé battre Helvetia, 2 à 1. En Deuxième Ligue, les surprises que nous avions supposées, ont « failli » (!) se produire, mais en définitive tout s'est passé selon la logique et le fossé ne pourra pas se combler entre le 3 ténors de tête et leurs poursuiv,ants, comme il ne se comblera pas entre Bex et ses devanciers. Seul Villeneuve a réussi son habituel exploit de battre Aigle, 2 à 1. Monthey a pulvérisé Chippis, 7 à 0, alors que nos deux « Saint » succombaient d'un tout petit but devant Sion et Martigny. Bex a essuyé sa quatorzième défaite devant Grône, 3 à 1. Classement : 1. Martigny 16 m. 28 pts ; 2. Monthey 16 m. 27 pts ; 3. Sion 15 m. 25 pts ; 4. StMaurice 14 m. 17 pts ; 5. St-Léonard 15 m. 16 pts ; 6. Algie 15 m. 15 pts ; 7. Grône 16 m. 11 pts ; 8. Villeneuve 15 m. 10 pts ; 9. Chippis 16 m. 10 pts ; 10. Chalais 14 m. 7 pts ; 11. Bex, 14 m. 0 pt. En Troisième Ligue, il ne manque plus qu un seul point au F. C. Saxon, vainqueur de Fully, 4 à 0, pour être ch«ampion de groupe, Bouveret n'ayant pu faire que match nul, 4 à 4, contre Martigny Ù. Dans ' le groupe du Haut, Sierre FJ* écrase Salquenen, 9 à 0, eit la bataille reste Indécise entre Brigue et les réserves du club de Première Li- Le „ Nouvelliste sportif gue, Granges a battu, 4 à 0, un Grone H qui disputera vraisemblablement les matches de relégation avec Fully. Autres résultats : Ardon-Viège 2-2, Muraz-Monthey 2-3 et Massongex-Collombey 0-2. En Quatrième Ligue, les résultats sont «assez conformes aux prévisions, puisque nous enregistrons : Brigue II-Rh&ne 2-2, Vernayaz-Saxon U 8-1, StMaurice H-Evouettes 9-1, M«uraz H-Vouvry 1-9. Rhône est champion du groupe I. Vernayaz l'est quasiment du groupe III, alors que «Chamoson et Riddes luttent encore dans le groupe II. Dans la subdivision No 4, où il y a 10 matches à disputer, St-Maurice II mène avec 8 m. 15 pts (goal-averqçe 42-6) devant Vouvry 8 m. 13 pts (41-8) ; Il faudra donc attendre le 1er mai avant de connaître le finaliste. En Cinquième Lii?ue, Riddes II a donné forfait aux réserves d'Ardon. Chez les Juniors, notons la victoire (prévue), de Sion sur Leytron, ce qui ne laisse aucun doute quant à l'issue du championnat. Autres résultats : Sierre I-Sierre II 3-1, Granges-Ardon 1-2, GrôneChalais 2-2, Fully II-Monthey 0-5 et MartignySaxon 6-3. En championnat cantonal, Fully I a disposé de St-Maurice, 4 à 2, ce qui sacre les Montheysans champions de groupe. En match amical, Chalais a battu Leytron, 4 à 3. Martigny bat St-Maunce, 1 à 0 (0-0) Tous ceux, parmi les 1200 spectateurs présents, qui se plaisaient avant la rencontre à prêter au F. C. St-Maurice des intentions de complaisance à l'égard du Martigny-Sports, n'ont désormais plus qu'un droit, celui de la « boucler » -et de reconnaître qu'en Agaune on sait être sportif plutôt que maquignon. Certes, les deux adversaires de dimanche entretiennent d'excellentes relations d'amitié contre lesquelles la rancœur et la jalousie d'autrui ne pourront jamais rien, mais nous voudrions savoir s'il en est encore qui oseraient affirmer que les locaux ne se sont pas battus avec une énergie et une volonté sans pareilles. Peut-être que les accrochages, les crocs-en-jambe et les vilains petits coups n'ont pas été aussi nombreux que lors de récente rencontre, ce qui ne signifie nullement que les deux antagonistes n'aient pas travaillé sans relâche pour l'acquisition de 2 pts extrêmement précieux. Il n'y avait qu'à voir en fin de rencontre l'état d'épuisement de certains éléments pour comprendre l'immense effort accompli par chacun. Et si 1M Agaunois ont finalement dû s'incliner, tout spectateur impartial reconnaîtra que ce n'est là que justice, leur avantage de la première mi-temps ayant été doublement compensé en seconde, au point qu'un score de 2 à 1 eût mieux reflété l'exacte physionomie du match. Au point de vue football pur, les supporters (infiniment corrects !) des deux clubs auront été assez sérieusement déçus, nous le concédons bien volontiers, quand bien même nous affirmerons que ce fut là un très, très beau match au cours duquel l'application stricte de part et d'autre de tactiques à peu près identiques empêcha tout jeu d'équipe, le marquage impitoyable de certains éléments en vue permettant par contre de «sérieux efforts individuels de la part d'autres joueurs laissés relativement libres. Et l'on ne tarda pas à voir que les défenses auraient beau jeu à tuer dans l'oeuf toute velléité de percer, des hommes comme Gollut et Lugon d'un côté, L«s Rappaz de l'autre, pour n'en citer que quelques-uns, étant régulièrement pris dans un étau et incapables de manœuvrer, parce que sans cesse talonnés et harcelés. En première mi-temps cependant, il nous sembla que les locaux avaient plus de facilité à jouer « aéré » et leur l«égère supériorité territoriale en faisait nos favoris, bien que leurs tirs au but aient été moins nombreux et plus mal dirigés que ceux des Octoduriens. La résistance joua son rôle par la suite et les visiteurs, mieux entraînés et plus rapides sur la balle, menèrent le ' bal à leur façon, oe d'autant plus que la ligne d'attaque agaunoise eut son ressort cassé et que les demis défaillirent durant plus d'un quart d'heure. Il fallut un coup franc de Gollut pour que Rausis judicieusement porté en avant plaçât un ras-terre imparable au milieu d'une forêt de jambes. Les réactions locales se firent spasmodiques, les passes étaient loin d'être heureuses, tant et si bien que Martigny marqua un second but que l'excellent et toujours souriant M. Dubois annula en raison d'un off-side qu'il fut peut-être le seul à avoir vu. Ce fut, à notre avis, sa seule erreur de la rencontre. Ainsi donc, et comme nous le disons dans notre chronique habituelle, le fossé s'est sérieusement élargi enitre les trois « mousquetaires » et les Agaunois. Ceux-ci ont tout de même droit à de vives félicitations pour leur brillante façon d'avoir repris contact avec la Deuxième Ligue et le caissier ne leur en voudra pas qui vient, à quinze jouira d'interv,alle, de faire des recettes doubles de celles enregistrées tout au long d'une saison de pénitence en Troisième ligue. Quoi qu'il en soit, la leçon a été profitable ! ! Quant aux Martignerains, ils sont naturellement sur la bonne voie et nous disons sincèrement, contre l'avis de ce brave vétéran d'Oscar, que nous n'avons pas l'Impression de les voir s'effondrer une troisième fois au... poteau. n est vrai que la rencontre du 24 avril, à Monthey, pourrait bien éclairer nombre de lanternes, à commencer par la nôtre ! J. Vd. SKI La patrouille des glaciers... La course des glaciers pour patrouilles militaires s'est déroulée dimanche sur le parcours suivant Pour la Confirmation ' m ^^m. Wïï HEk£* * ' 4 TwmMm!. ^H ^Ltmssmmmmssmmmas msmWa\%*m% >1MÉIS9 Pierre i.f mAm fcfcul mmMm jfl rl ufl .Hraffl 4. VJMBP #1 i - -./5ffj^Jt/«MpS^''jjHB«> «^3M3 «BSSffigA . P^K^^|||P|iR 'mmw mwËÈÈÏÈmwm^^mSmMmm \^m Sw^^K^lw - 'I*L^^îLil^l^R«BWr Sw.JSR¦~~-¦¦ --? -Jâ^-S ?" ^sW^^?sWS^WBÊ v wiv mmnlè:-K K ^Wfe&SSSSfcT^H x «ft- Usal BJ Z MBsaftmammwÊikWt r . ^^w "' W^A\sss\mr tit WMm '. '• ' HHHV ** V °' ^SES^-ëS Lr*s?38|JBB ^ ' .«jBrT^^g * Kxf^i .¦M l B; $ m !' ^î ^^1 mmW ^^M ^^^^^ ^ ^ ^ ^ f mm\ f ^ ^Krai '^W< VPH^É^mS^^^S'vV^iii P^MH - ¦ -Jim mm B fl^JB ' ^f'« HH^^^^I^^^. Hfet&^x .K'^-JÏ bl*S ''"AThmmT ' "^"Wiwlk^.' * ^J&cmlisMVÊlLWirJ&T I f H&£1SR '~ ' * " ' ^^3^DHi * •msmmmtl ^mmmTmmm* i m™m,*m ^'-.mm)- ^^Knmmmmm ' rv Pfefferlé Sion Un grand nombre de JEUNES GENS et JEUNES FILLES libérés des écoles, cherchent places comme aide de ménage, commerce, Jardinage, etc., pour apprendre (e français. Bureau de placement EXPRESS SOLEURE St. Margrirhenstr. 3 Tél. (065) 2.26.61 '' ^m mff vï Z A L v à m m S EpSffi^ji p4IÉ3 ^ ^ ^ ^ i^^^' S^^^KMLS^i??? mKJ, ¦IKSfl l\^«ïfi«SliS3'3K*9M ' JÈmWW.mLlT VYaiÉf"r -4W Jstmi$,£è* mtSsWMÇ^ûmf fà &R\.-. JLàf ïmJsm [te3Ê[!tàà*?tmT$^^ i DISTILLERIE SIO L'APERITIF AU FENDANT... C'est l'occasion traditionnelle d'étrenner un complet neuf de ¦ j ^^A^ f^aSy B^^jPflR G. D U B U I S Bientôt Pâques... Réparations de stylos toutes marques Recharge de stylos à bille «Bjjb S» » J départ de Zermatt sous conduite jusqu'à Schœnbuhl, puis cabane Bertol, Arolla, Val des Dix, cabane Montfort et arrivée à Verbier. Les conditions de neige étaient excellentes et dans les environs de Verbier il y avait 20 cm. de neige fraîche. Lors du départ, aux premières heures de l'aube, il faisait un froid terrible, — 35 degrés. Par contre, pendant la journée la chaleur est venue. Les hommes étaient porteurs du mousqueton, du piolet et de cordes. Le but de la course, au point de vue militaire, consistait à porter à Verbier un message confidentiel. D'autre part, chaque patrouille avait à sa disposition un appareil de radio-liaison. Le poids du paquetage était d'environ 7 kg. Des exercices de tir se sont déroulés à quelques kilomètres de Verbier. Le tir se faisait sur ballonnets à 150 m. Chaque patrouilleur avait deux cartouches. Cette magnifique épreuve, excessivement diffldle, représentait 1.35 km.-effort, avec une dénivellation totale de 10,000 mètres. On a remarqué la présence du colonel brigadier Tardent, Cdt de la Brigade 10. Excellente organisation du major Tissières. La patrouille du Sdt von Ailmen (Martigny), partie avant-dernière, a fait «une exc^ente course. Sur les dix patrouilles au départ, deux ont abandonné, et une troisième s'est égarée et est horscourse. Classement : Hors concoure : Patrouille Sdtt von Ailmen (Sdt von Ailmen, Martigny, Sdt Candide Fournier, Bourg-St-Pierre, et Sdt René Solioz, Monthey) 11 h. 02* 25". — 1. Patrouille Lt May, 12 h. 01* 10" ; 2. Patrouille App. Stettler, 12 h. 43' 23". _ et le concours de la Brig. 10 Voici les meilleurs résultats du concours de la Brig. mont. 10, concours qui s'est déroulé par très beau temps à Verbier : Patrouilles lourdes : 1. Patr. App. Gander (Cp. fus. m/8) 3 h. 29" ; 2. Patr. Sgt. Moillen (Cp, fus. 13 9) 3 h. 35' 50". Patrouilles légères : 1. Lt. Rickli (Cp. art. fort. 11) 5 h. 0' 42" ; 2. Cpl Besse, 5 h. 47' 56". Unités d'armée : 1. Patrouille Lt Perreten (Bat fus. mont 12) 3 h. 05" 27". La distance pour, toutes les catégories était de 25 km. Classement catégorie invités : 1. Patrouille Plt. Perreten, Bat. fus. mont. 12, 3 h. 05', , «meilleur temps de la journée. Cette patrouille était formée, en plus de son chef, d'Aurèle et Vital Vuardoux et du Sgt Ignace Salamin. ' ¦fc ^T/Vjffi^SBl BBS ¦ ' ^^*"_ nm CSa .m ^Samm^ *T jM j^ m'j ^ > \wAw'^ H t^' > ^*i ^^srs\ , ^j Am^ j m,Àjs w*it» *i/43ri.< tmt mim ^m \m\mm '^s ^'! k ^^ts* c mrm Sv•V * / y - 7 ¦ /* K 7Èsa^mm~ ^^^m\mT^^^ m^ r ^^Z^^às\^^^^^Ê^^^m\mm»mmm»mamm—^m^m Js^^AmasmBm * Gagnez pins ! Sans capital , devenez votre propre patron en organisant peu à peu vous-même pendent vois loisirs une affaire bien à vous. Demandez bro chure Business NV 55 en prêt gratuit à Réalisez ! Pontalse 31, Lausanne sommeiiere On cherche une bonne jeune homme ef un comme portier. S'adresser Hôtel des Postes, Monthey. SernS , forgeron Demandez le catalogue BUCHEEER spécialement pour objets d'or On demande un bon ouvrier serrurier-forgeron. Place stable. Entrée «u début mai. Adresser offres par écrit avec prétentions el copies de certificat» sens chiffres P 49M S PubliciUs , Sion. La Ville de Lausanne St-Maurice Jo ZEITER. qui vous offre un très grand choix de ndUrixeau'éd aux prix les plus bas Vestons sport pure laine, Fr. 58.— à 110.— Pantalons assortis, Fr. 29.50 à 55.— Complets sport pure laine, Fr. 98.— à 165.— Complets ville pure laine, Fr. 149.— 185.— 195.—. etc. Complets iil à fil gris, beige et brun, Fr. 210.— UILLE de MUSAIME • simaorice Jo ZEITER vous présente toujours un grand choix de COSTUMES TAILLEUR classiques et fantaisies Fr. 85.— 110.— 135.— 160.—. etc. Manteaux dames — Top-Coat ,,, Chapeaux NOUVEAUX COURS COMMERCIAUX ET DE LANGUES de 3, 6 et 9 mois Diplômes de commerce et de langues Rentrée : lundi 25 avril Institut de Commerce, Sion Dir. Dr A. Théier, prof. Tél. 2.23.84. Appert. 2.14.84 Plantonsde légumes Marchandise forte et saine de 1 er choix de terre sféri lisée : Choux-fleurs Sa», choux de Dllhmarscher, colravea Rogg ll, céleris pommes. Se recommande : F. JOSS, Etablissement horticole « U Rhodanla », AIGU Téléphone (025) 2.25.68 P. JOSS. horticulteur, SIERRE. Téléphone 5.13.36 Un document intéressant pour l'arboriculture C'est ^yË V ' aS Bï VvK 9yJ la judicieuse brochure Fon,e Electrique S. A., . '4'Je ^ à -Bex, a éditée sur la fumure ; Votre fournisseur vous la remettra gratuitement" "sur simple demande. ' i . '. . f . Jl l'immcubile assiégé. Il râlait lorsqu 'on-le découvrit baignant dans son sang ; vingt minutes;p lus tard, il succombait à sa blessure. Il était environ 4 h- 15 lorsque le public massé dans les rues voisines -a.pprit .avec soulagement que tout était fini. La petite ville . habituelllement si calme, s'endormit exceptionnellement «peu avant la pointe du jour. Le souvenir de cette nuit tragique n'est .«pas près de s'effacer dans « la mémoire dc la populat ion. L'assassin est en effet , ainsi qu 'on l'a déjà lû. 'le .père d'un jeune boucher , .Maurice Dobder, qui , il y a trois ans , à la même époque, .«avait étranglé sa fiancée et réussi à s'enfuir en France. L'enquête a établi qu 'Auguste Dôbler n 'avait pas consommé d alcool avant 'le drame. L'aprèsce midi, il .awjt.fai t «.uni tour dans les itois ^t lai t rentré chez lui «tans-un état de surexcitation dan gereuse. Escher, présiden t du Conseil nationaJ, Anthamatten , conseiller d'Etat , Gertschen , préfet de Brigue, «Maurice Kaempfen, président de la Ville ide -Brigue, et Anton "Esèher, -de Brigue. Les re\ présentants italiens sont MM. Cadorna , sénateur , les présidents des provinces de Novare , ot vous vous sentirez plus dispos Milan et Turin , etc. 11 faut qnr le toit ren» chaque four on lltr* dc bile dans l'intestin. Si cette bile «¦'rive mal, TOS alimenta nc «éditèrent pi* -Ce comité «a voté à l' unanimité -une résoluDca fiai TOUS .fondent, vous cte a constipé ! tion prévoyant que «le passage du 'Simplon deLes Uxatils-oe sont pas toujours Indiqués. Oae- selle -forcée a'attclnt.«as -U cause. Ln -PETITES PILULES CAKTEKS vrait être maintenu ouvert aussi longtemps que pour le FOIE facilitent le libre attlux de cie QUI est nécessaire a TOS intestins. 'Végétales , douce s, elle, font couler la bile. Eai.Comité italo-suisse du Simplon possible même pendant la mauvaise saison. En .s«j les Petites Pilules Carters pour le Folc. Fr. 3J4 -\ hiver, le transport des automobiles par chemin A l'occasion de l'o uverture officielle «du pas«le tunnel devrait être facilité dans la sage du Simplon, une 'délégation "suisse «est par- de U T par rand , commis aux marchandises de Ire classe, t>ic-deLBrifue -et.*«st-rendue -«n Italie;par Ae-col. mesure du possible. ~-o Martigny ; - Laurent Burnier , chef d'équipe de ¦Cette année, 1-e.passage r a i été ouvert -le -6 «avril, gare, St-Maurice. Aux CFF ^alors 'que -l'année « dernière ' la ' roîute «ne 'fut * fran"25 chissable ;qù'à partir du avril. Sont promus ou nommés : chef de groupe à Où va l'argent ? Une conférence a ;eu lieu •& Stresavoù la cons- Riddes : M. Félix Roserens ; commis de 'gare de truction d'une route:par "La'Gennni comme con- Ile classe à Monthey : M. Clément Lengen'; Vous vous demandez à quoi sert l'argent que tinuatio n deila route du 'Simplon vers Je canton commis de Ile classe à l'expédition des mar- vous envoyez en échange des cartes de « Pro Inde Berne et la Suisse centrale a été approuvée. chandises à Thoune : M. Edmond Rey-Bellet. ; firmis » ? Voici, en réponse, quelques chiffres. En Le projet (prévoit que «la rampe ^septentrionale chef d'équi pe aux «m archandises à Brigue : M. 1948, Jes 12 services sociaux de « Pro Infirmis » se sont occupés de 1678 nouveaux cas et depuis leur partirait de Kandersteg, franchirai t TUtsdiinen- Benedikt Zurwerra ; ouvrier aux bagages au ser- fondation, de 20,000 infirmes environ. Le nombre .grat 'par un "«tunnel d'un 'kilôniètre de longueur vice des marchandises à Viège : M. Ernest Rup- des consultations de spécialistes organisées se monte ù lui seul à 2088. La somme de Fr. 506.2Q0.— a pour arriver en territoire -"vaiaisan. pen. été accordée comme subsides aux établissements et Après discussion,-un 'comité italo-suisse «'ProMise à la retraite : MM. ' LéOn Pittet , chef de associations cantonales qui viennent en aide ;.aux Binjplon » s'est conâtitité. .Il con»prendrMIvl.,Ljoï. bureau aux marchandises . Brigue ; Emile Mo- infirmes et Fr. 272,600.— aux associations suisses RÉVEILLEZ LA BILE DE V0ÎRE FOIE- Nouvelles locales ¦ Choux repiqués et traités , « Géant de juin ».: Lîvrables 'pai ¦ milliers . E. JACCARD, hortic ulteur,:MONTHEY. «Tél . '4.22.54 ~T" ( "i Pour vos constructions , couvrez vos toits en Pour fâoues... une ùeiie enaussure ARDRE ARDOISES de totalité duiaêie Ardoises brutes et taillées. Adressez-vous à Revaz Frères & Cie,Ardoisières Ue Pferre m Perret, Dorénaz. Tél. 6.58.69. Bagnesmiseengarde! ' Le soussigné met en garde ,1a population de Bagnes et environs contre la campagne de dénigrement dont il est l'objet de la part de certaines maisons concurrentes, notamment en ce qui concerne la pose des plaques chauf: . .. fantes. . .. Représentant des marques bien connues « Mars » et « Jupiter », le soussigné ne s'abaisse ¦pas à des moyens déloyaux, «pour évincer ila concurrence. C'est par un travail irréprochable, aux meilleures conditions, ainsi que par sa correction en affaires qu'il compte obtenir Ja «préférence. Ce décolleté avec un pelit pop illon en daim noir , brun ou bleu Fr . Jean Balleys, ferblantier-apparellleur, Villette-Bagnes. On demande pour mai IflllnQ Ml I r une bonne Ij k i i M A F S B I F Le trotteur de . mode très avantageux avec semelle de cuir recouverte, en brun , noir, beige, le 1er 29.80 Li! UOUBIO UUl OAmmoljàrp .. branche bien au courant I | de | | l al | | j | | l | I |la | | | f l | | V | | | | |IV* V alimentation,primeurs, est de- V ., ,_„„ 3 „ mandée de suite. Nourrie, loiMall Mau-. 5adresser par . - , , ... ^ écrit,a Saint-Maurice. *Ï Ï'l u e Eauxdes Tchàrret j ftW TeK 5'42 '58*' Vives, Oenève. . n Mf} n'a jamais été si riche, si variée taiit-par ïà titveréifé de ses modèles, que par la gamme des coloris. Vous pouviez choisir tout à votre aise le CHEMISIER classique pour votre tailleur où la délicate BLOUSE GEORGETTE toujours si raffinée 4 stères bois dur,rendu'ô domicile. S'adresser à Eugène Befnard,agricult., Les Caillettes sur Saint-Maurice. Téléphbne 5.42.03. ————————————^ 45.. 295° 19BO 12so ? T £\ de montagne mw ¦ ¦ m ^ ^^^ pièce d'env. 7 kg, \Voici / r \ t r -'i IA rlo ,r« MTYI-, L» . le ninmonf moment de remplacer ou de constituer vos plates-bandes. Belles plantés à Fr. 3.— pièce, Fr. 25.— lès 10. un chien épagneul breton, Expéditions rapides. blanc et feu ; 1 chienne poinO. Cuénoud, horticulteurter, blanche et noire. Tous fleuriste, Aigle. Tél. 2.20.33. deux «avec colliers marqués. Prière aviser M. César BomA vendre, à Frenières :sUr pard, Martigny. Tél. 6.10.15. Bex, petite Bonne récompense, '¦ 1 '' ; _, , m SAXON 1 - SION Martigny S ' Magasins Gonset S. A. i A vendra faute d'emploi « Calthorpe 350 TT» , équipée 7. - . en parau complet, revisée, Hortensias ^ chiens | \ VOYEZ NOTRE COLLECTION ÎPRINTffNIERE Pelil fromage yi gras Fr. 3.— par kg. >» gras Fr. 3.50 par kg. TILSIT « , entièrement gias pièce d env 4 fcg à 4M fait état de marche. Cédée h KAESWOLF, COIRE 10 bas prix, — Rapillard André, —! Avec semelle de crêpe cousu trépoinle, en noir ou brun clair, Fr. 38.80 Dilo cousu tyrolienne, talon mi-4ifty, Fr. 49.80 noire collection de Mes! jeonedaffle ftoisiejeu «¦¦ «¦•.•¦¦w , r n " *"" cherche occupation dans bureau ou «magasin. Daclylographie et allemand. Event. demi-journé e. Martigny ou StMaurice. — Offres sous chiffre au Nouvelliste sous Y. I MONTHEY (H. Pernollet) I LA BELLE CONFECTIO'N fcOtfll !I>AMES M Une bonne affaire I Cette sandale en brun clair avec deux semelles de crêpe, double coulure, une bonne qualité, Série 22-26 10.80 27-29 13.J0 30-35 «.00 36-42 17.80 43-47 20.80 •f f MOTO On demande de suite SOIÏIlLIEfiES scierie filles dif salle qualifiées pour -les - dimanches force hydraulique ef élfeCtrî-. et jours de fêle. que. Fçois Cardis, Bex. S'adresser au Restaurant de à vendre, Royal, 500 cm3, Fully, à Fully. A vendre -vingt mod. 47, roulé 8600 km. MaTél. '6.31.66. chine soignée. Vente cause de maladie . Prix intéressant. A remettre, région de l'En S'adresser au Nouvelliste iremont , une sous W. 6789. commencé la ponte, au prix de Fr. 15.— pièce,ainsi qu'un Oh -cherche à .acheter lis échalas poussines poulailler 4fi Sttl wUiOU Chemises d'officiers Ou repos et du bon air pour ' vos rér»fanfs Pension d'enlants U. S. A., ' orfçfîrtafes , kaki "et bleu,"-Fr. 19.— seulement Safvan A. Fournîér-Tschtopp,«pi»p A vendre deux superbes souliers de travail U. 'S. 'A., dou&le sëniëlle cuir i la, Ho 2&43, 'FT .^31J90. Gai antie, change ou «famtioursenfeiit ; argént, USA - Import, MENZONIO (Testln) Berger allemand,"nttlr 'et 'fàu, âgées de 3 mois, av«c pedigree de 1er idrdfe. LSnàdr. *à A. Schnèider-iRoduH, %alBten.' 'Alré'ndre de 'suite chambre carrière d'ardoises caisses â orauier â coucher contenance 'pour -30 à «W) poules,^Vec iaccessoiretour éle- eh parfait Létef -d'exploitation mélèze rouge. vage, prix « Fr.r400i—.S'adres- avec foui le (natérié) néces¦ S'adresser «Bagnoud Albert, ser A» Nouvelliste «sous Si1 s«lw. Offres sous «chtffos P Bntrepr., Flanlhey s. Letis. é785v 47WS >ttiffl, 1cl»S, r$I6n. «j l d tmm-mmmm t %m^n mm A vendre-deux e* CUISINE de A m3 avec ferrures pour yt m3. Prix intéressant, en Réelle occasion. bon étal. Adr. : M. fteriaud, 'SVdrëssër au Nouvelliste charron , Bex. sous X. 6790 . Chaussures ASwÊJ ^^L Monthey Saint-Maurice Bex Val d'illiez :VENTE SPECIALE j- ^Ljk .' ¦ -.- ¦ ' — j " . A ' vendre et é remettre, pour cause de santé, excellent HOTEL de btinne renommée, admirablement situé en Gru yère. :Conviendrait également cbmme maison de re pos. -Tout'confort. Conditions très favo rables. Pour, fous renseignements écrire sous chiffre P $0.055 F. à Publicitas, Fribourg. PROPRIÉTÉ FRUSTIÈRE de 1600 poiriers et pommiers magnifiquement -située près de Sion, d'une superficie de 11,000 m2, n'ayant Jamais besoin d'êlre arrosée. Beaux rendements assurés chaque année. Superbe fraisière. Métayer sur place et à disposition. Possibilité d'agrandissements. Habitation en parfait état avec confort. Dépendance-garage avec l'outillage comp let, motoculteur, etc. A vendre, «le tout, y compris des ruches , pour 105,0«00 francs. Hypothèque 1er rang 50,000 francs. Ecrire sous chiffre PQ 80313 A à Publicitas, Sion. et régionales en faveur des infirme.! ct à la caisse s« uiasc de compensation pour cas individuels. «fto «Infirmis» a besoin de ' vd^re appui pour rendre la joie de vivre à un nombre toujours plus grand dé déshérités. N'hésitez pas à acheter la pochette de cartes que vous venez de recevoir. C. C. principal, « Pro Infirmis », vente de cartes : II 258, Lausanne. o Qu 'est devenue la patrouille ? I • : ' On était toujours sans nouvelles ce lundi matin de l' uni .- des patrouilles qui partici paient au « concours des glaciers > et gui s'est égarée hier entre SchonbuhJ et Tête-Blanche. Elle est «composée du mitrailleur Theytaz, de Praz-de-Fort, du fusilier Crçttex , de Champex, el du soldat complémentaire Droz , de Praz-deFort également. Ces hommes sont tous trois d'excellents skieurs et des alpinistes éprouvés. Connaissant fort bien la région , ils possédaient des cartes, des boussoles ct un apipareil de radioliaison. Ils étaien t aussi bien approvisionnés en vivres. Un appareil Ficseler-Storch , piloté par le mojor Bloetzcr , a survolé hier , pendant plus de trois heures , la région Zermatt-AroîJa-Vcrbier. Les recherches effectuées n 'ont fourni aucun indice. Deux colonnes de secours sont parties , ce matin , à la première heure , de Zermatt et d'Aral la. Elles sont organisées militairement et pourvues de tout le matériel nécessaire pour , éven tuellement , tirer la patrouille perdue d' un mauvais pas. L hypothèse la plus vraisemblable concernant cette disparition est que la patrouille TheytazCrettcx-Droz s'est égarée sur sol italien. Rarvnclons que lors dp la première « Patrou ille des Glaciers » , en 1943, tous les concurrents s'étaient égarés, à la suite d' une tempête formidableayant éclaté au milieu dc la nuit. Une patrouille genevoise de landweh r se ret rouva en territoire italien et passa le reste de la nuit dan s une. fer.".', ( •me abandonnée. o Un «arçon tombe an Rhône (Inf. part.) Un grave accident s'est produit hier après-midi à Sion, près du quartier des Casernes. < Avec d'autres écoliers, le fris cadet de M. Pierre de Sépibus, commerçant à Sion, s'amusait pré* du Rhône. A un moment donné, il fit un faux pas, glissa, tomba dans le fleuve et fut entraîné par les eaux tumultueuses. A cinq cents mètres environ du lieu de l' accident , un ouvrier de l'entreprise Luginbiihl réussit à ramener l'enfant sur lc rivage. Un instan t après, un puflmotor était en action. Après bien des efforts qui n 'avaient pas donné lc résultat escompte, sur l'ordre du médecin , la victime a été transporte à la Clinique générale où l'on essaya encore de ramener le malheureux à la vie. Mais il fallait s'attendre au pire. De fait le petit de Sépibus a succombé. Nos condoléances aux siens. Le gel H a neigé un peu partout en Valais, samedi ; mais, ver s le soir, le temps s'est levé et bientôt le citai fut complètement découvert. Le danger de gel devint réel. Vers minuit , les sirènes de Saxon alertaient la population de la plaine du Rhône. Les agriculteurs se rendirent immédiatement sur leurs propriétés , et bientôt des centaines, de chaufferet tes étaient en action. Mais, «. rça^gré laçtioç .bienfaisante des petites machi», les. dommages causés aux abricotiers en ?,£$, leurs sont considérables. La situation dans la plaine du Rhône (Inf. part.) On craignait de nouveaux .dégâts dans la nuit de dimanche à lundi Mais le ciel est resté couvert et la température n 'est pas descendue au-dessous de 0 degré. Il n 'y a donc pas eu de gel , mais lc danger persiste. Les dégâts causes au cours de la nuit précédente sont surtout importants dans la région Riddes-Saxon. Les fraisiers n 'ont pas souffert , la vigne non plus. o f ; Téléphone 2.14.33 > Tito maître chez lui PARI S. 11 avril. (AFP.) — La publication du nouveau statut d'occupation de l'Allemagne inspire aux éditorialistes parisiens des commentaires reserves. Pour l'« Aube », les accords de Washington impliquent la création d' une Allemagne unie , fédérale ct démocratique, alors que l'URSS a visiblement l'ambition d'étendre , un jour , le régime imposé par elle dans la zone orientale à l'ensemble du peuple allemand. Le « Figaro » estime que les inquiétudes manifestées par une partie de l'opinion française ne sont nul lement justifiées par les dispositions arrêtées à Washington. Une expérience commence , qui donne aux Allemands, quatre ans après leu r défaite , une chance certainement uniq ue de montrer qu 'ils sont décidés à rompre avec le passé et à reprendre leu r place parmi les nations démocratiques de l'Europe. BELGRADE , 11 avril. (Reuter). - Le Congrès du Front yougoslave de la Patrie a voté une résolution condamnant la campagne de calomnies faite par les démocraties populaires et l'Union soviétique contre la Yougoslavie. Il constate que cette campagne lancée voilà dix ¦mois loin de se modérer ne fait que s'intensifier et qu 'elle s'inclut dans toute une série d'actes hostiles systématiquement dirigés contre les alliés et socialistes de Yougoslavie. Kathy Fiscus ° Un évadé repris La Bulgarie repousse une note yougoslave SOFIA, 11 avril. (Reuter) . — Le gouvernement bulgare a repoussé dimanche soir la note de la Yougoslavie du 12 mars protestant contre de prétendues violations de frontières. La réponse bulgare dit que les affirmations contenues dans la note de Belgrade n 'ont pas été prouvées et que les autorités frontières yougoslaves BONN, 11 avril. (AFP.) — Une conférence ont elles-mêmes viol* l'accord conclu entre les des onze ministres-présidents de l'Allemagne deux pays. occidentale, pour l'étude du s t a t u t d'occupation , a été convoquée par le Dr Konrad AdeLa serviette est retrouvée nauer, président du Conseil parlementaire (Constituante), pour mardi matin . NEW-YORK, 11 avril. (Aneta) . — U serAussi bien le Dr Adenauer, présiden t du Con- viette contenant 50,000 dollars en billets de banseil parlementaire, que le Dr Carlo Schmid, lea- que, destinés à une banque de Zurich , et qui der de la fraction SPD (sociaux-démocrates), avait disparu à l'aérodrome d'Idlewild , a été reont déclaré dimanche soir, qu 'une prise de po- trouvée. L'enquête a établi que M. Robert Mursition , du côté allemand , n 'aurai t lieu qu 'après phy, employé de la compagnie d'aviation K. L. examen approfondi du texte qui a été remis, di ; M. qui avait accusé réception de la serviette et manche matin , au Conseil parlementaire par les de l'argent , s'était approprié les dollars et après officiers de liaison alliés. les avoir mis dans un cornet , les avait cachés o à l'aérodrome. Murpfiy a fait des aveux et l'argent a été retrouvé. On retrouve le corps de la petite SAN MARINO (Californie). 11 avril. (Reuter) . — La petite Kàthy Fiscus, âgée de 3 ans , qui était tombée, vendredi en jouant , dans un puits de 30 mètres de profondeur, a pu être retirée ; «Me a dû être tuée sur le coup. Cet accident avait provoqué dans toute l'Améri que la plus grande stupeur. Dès vendredi des centaines de volontaires s'étaient annoncés pour participer aux travaux de secours de la petite Kathy. Les recherches se révélèrent particulièremen t difficiles. o Le service postal en Chine SHANGHAI/ 11 avril -; (AFP.) — Les autorités postales ont décidé de rétablir lc service des colis postaux entre la Chine nationaliste et les provinces de Hopei et de Chantoung occupées par les communistes. D'autre part, selon l'Agence Huaming, les communications postales entre Shanghaï et Karbin , suspendues depuis 1945, ont été également rétablies. . o von Weizsdcker reconnu coupable NUREMBER G, 11 avril. (Reuter) . — La Cour chargée de juger 21 fonctionnaires supérieurs de Ja Wilhelmstrasse, a reconnu coupable d'avoir envisagé ef préparé l'invasion de la Tchécoslovaquie par l'Allemagne, Ernest von Weizsacker , ancien secrétaire d'Etat au ministère des affaires étrangères du Reich. o Violent incendie à Gênes BERNE, 11 kvril. (Ag.) -^ La police muni- cipale de Berne a arrêté dans cette ville Fernand Genêt , condamné à six ans de réclusion pour faux , escroqueries, tentative de meurtre sur un gendarme en novembre 1945 et qui s'était évadé le 30- décembre 1948. Avant de se réfugier à Bern e, Genêt avait habité Rothtrist , en Argovie, où il avait déposé des papiers de légitimatio n dérobés à un parent éloigné qui portaient les mêmes nom et prénom. Du sang sur les routes FRIBOURG , 11 avril. (Ag.) — Le jeune Jo- seph Mettler , âgé de 9 ans, demeuran t à Planfayon, a été renversé par une motocyclette. Il est mort à l'hôpital des suites d'une fracture du crâne. Une enquête a été ouverte pour établir les responsabilités. , BALE, 11 avril. (Ag.) — Accompagné de deux amis , un quinquagénaire , M. H. Hurst, rentrait chez lui de nuit , lorsqu'il buta contre le trottoir et tomba. Au même instant , passait une automobile qui l'atteignit et le tua net. — Une automobile est entrée en collision , à un carrefour , à peu près au même moment avec une .voiture dont les trois occupants furen t grièvement blessés et conduits à l'hôpital , — D'autres accidents de la circulation sont signalés près de Nyon , de Rolle , d'Yvonand, etc. Il y a de nombreux blessés mais heureusemen t pas de tués. —°— « Ecrasé par son tracteur musical, car nous ne sommes nullement compétent pour analyser chaque morceau présenté. La très imposante cohorte des chanteuses et chanteurs nous permit de constater la souplesse et la fusion des voix, fruit ' d'efforts constants et d'un travail assidu du directeur comme d«as chanteurs. Les applaudissements nourris que récoltèrent nos chanteuses et chanteurs prouvèrent le grand intès rêt que porte notre population aux réussites de ce groupement si sympathique. C'est dire également qu'on se plaît à encourager notre « Chœur Mixte » où régnent les qualités d'ordre, de franche camar,aderie, d'enthousiasme au travail qui font de" ce jeune ensemble vocal un groupe homogène. Nous fûmes heureux de constater combien le « Chœur Mixte » avait progressé depuis l'an dernier. Nous souhaitons qu'il continue sa route sans se laisser griser par les louange qui lui sont décernées et qu'il mérite, ni décour,ager par les petits accrocs qui surviennent parfois en cours d'exécution. Nos chanteurs ont atteint ce niveau où quiconque désire arriver pour pénétrer dans la joie que procure le chant. Si le « Chœur Mixte » est arrivé à un stade très élevé dans ses interprétations, il« le doit avant tout à ses directeurs qui ont leur monde bien en main. Nous profitons de l'occasion ,flul nous est offerte poux remercier le « Chœur Mixte » qui, dimanche après dimanche, chante la sainte Messe et rehausse ainsi nos Offices religieux'.. '' La deuxième partie du programme comportait la partie littéraire. Et nous avouons que nous avons été surpris du choix porté sur «Le Maître de Forges » de G. Ohnet, car donner une pièce de théâtre telle que celle-ci n'est pas une sinfpure avec les moyens dont disposent nos sociétés locar les. Aussi, il faut féliciter Sans réserve le « Chœ» Mixte » de n'avoir pas craint les «difficultés et xte les avoir surmontées. Nous avons été agréablement étonné de constater combien les acteurs -'se mettaient dans là « peau » des personnages, malgré quelques petites imperfections ici ou là, imperfections inhérentes au manque d'habitude de 'la « rampe ». Tous, sans exception, sont à féliciter et nous avons particulièrement goûté le jeu dé scène de Philippe Derblay joué par M. P. Bertoni et celui de Claire tenu par Mlle Charlotte Buttet, pour ne citer que ceux-là. Nous pouvons dire que. les spectateurs ont vécu l'action qui se déroulait devant leurs yeux. Jamais notre salle communale, à notre connaissance, ne vit le public aussi heureux d'assister à un spectacle d'une telle élévation artistique. Nous ne voulons pas nous étendre plus longuement sur cette agréable soirée si ce n'est que pour remercier le « Chœur Mixte » de nous avoir procuré des instants de sains divertissements. -' A l'entr'acte, pour ne pas déroger à l'Habitude, une petite et familière réception réunit les délégués de diverses sociétés locales et amies. Nous avons eu le plai^r d'entendre au nom du « «Chœur Mixte » de Vouvry, M. Pignat qui, par des paroles spirituelles et toutes de gentillesse, félicita les organisateurs de cette soirée récréative, il •** Puis le président, M. Elie Chervaz, fit part du désir du « Chœur Mixte » de posséder un drapeau, Ce désir, à l'en croire, se réalisera probablement dans le courant de l'été qui s'approche. Nous saluons' avec joie cette idée, car nul groupement ne vit vraiment sa vie s'il n'a pas un emblème qui sera le fidèle compagnon des jours- de gloire comme celui des instants de difficultés. Nous souhaitons qu'une' fois né, cet emblème ne puisse vivre que des jours heureux et nous sommes certains que tel sera le cas en constatant combien notre « Chœur Mixte » est déjà choyé par . notre population et combien il fait déjà partie de' notre vie villageoise. C'est un fait, il a acquis en peu 'de temps droit de cité, preuve qu'il était une nécessité à notre vie artistique, car tout être humain chèjsche à atteindre le beau et le pur et nous souhaitons que de nouveaux éléments vienn«ant encore grossir ses rangs. Que ceux qui n'ont pas assisté à cette soirée du dima«nche 10 se réserve dimanche prochain , le 17 avril, «afin d'oublier comme nous l'avons fait, les bruits de ce monde en ébullition, pour ne vivre que des heures agréables tout en encourageant notre « Chœur Mixte » qui le mérite bien. Piercy,'¦¦- " o £3 rfe SIERRE. — Pour succéder à M. François de Preux, démissionnaire, le Conseil d'Etat a nommé -offici.^ des poursuites et des faillites à Sierre Me Adelphe Salamin, avocat et notaire à Sierre. Originaire de St-Luc, dans le val d'Anniviers, dont il est le juge de commune, Me Adelphe Salamin est âgé d'une trentaine d'années ; il est président de la Fédération des Jeunesses conservatrices du Valais romand. GENES, 11 avril. (Ag.) — Pour des causes ' WILCHINGE (Schaffhouse) . 11 avril. qui n 'ont pas encore pu être établies, un vio. lent incendie a éclaté dans les entrepôts géné- Albert ( Ritzmann, agriculteur , âgé de .54 ans, a .| raux du port de Gène. Plus de 2000 balles de été écrasé par son tracteur , alors qu'il condui- THERESIA EPINASSEY générales-les Répétitions mercredi 13 avril vem , coton ont été détruites. Après de grands efforts, sait du fumier dans les vignes, sa machine sedl , 15< à 20 h ' Précises. d , l'incendie a pu être circonscrit et les dommages tant renversée. 11 était marié et père ¦ - de trois [ ^ Le Comité; £ " entants. limités ainsi à 200 millions de lires. Festival de la Fédération des Musiques _ u réœnt coameBtaile des _ ^ ^ des districts de Sierre et Loèche élections municipales d'Arbaz paru dans le < Nou- DELAVT & Cie, R. de Lausanne, Sion IJReliure . et encadrements — Timbre» caoutchouc ; Nouvelle Allemagne ? Montana et Crans, met actuellement tout en œuvre pour recevoir dignement tous les participants à cette fête et pour que celle-ci laisse un heureux et durable souvenir à tous. Pour qui connaît le dévouement et l'initiative Un cycliste renversé par une auto des organisateurs de Montana, le succès du festi(Inf. part.) A Chalais, une voiture zurichoise val 1949 est assuré ; tout sera prévu pour recevoir a renversé un cycliste, M. Joseph Mittaz, qui se et divertir, outre les 800 participants, un nombre tire de l' aventure avec des blessures superficiel- en tout cas égal d'invités et d'admirateurs. les. Le cycle par contre est presque hors d'usage. Retenez donc la date du 22 mai à Montana. <3 o La station de Montana-Vermala s'apprête à recevoir, le 22 mai prochain, les seize sociétés formant la Fédération des Musiques «des districts de Sierre et Loèche. La société organisatrice, l'< Echo des Bois » de — Dernière heure : velliste » du 9 avril fait apparaître la situation politique de notre commune et la consci«ence civique de ses citoyens sous un jour bien décevant. L'honorable correspondant fait mention des mérites de M. le président «Carrez, a<lministrateur dévoué qui, lors des élections des députés, c a travaillé pour le parti conservateur ». Noua ne le contredirons pas. sur «ce point. Par contre, dire qu'à Arbaz < selon les sautes de mauvaise humeur, les radicaux et socialistes font un bond en avant puis tout rentre dans l'ordre » est un euphémisme amusant C'est également une injure à l'adresse des 57 électeurs qui ont déposé dans l'urne une liste socialiste ou radicale. Ces nombreux é'.ec- - M. LES SOCIÉTÉS D AGAUNE teurs, 57 citoyens sur les 140 que compte le corps ^ «électoral, ont vraisemblablement plus de conviction politique qu'on voudrait le faire croire. A Arbaz, une stérile politique de famille entrave l'essor du parti conservateur. Toutefois, que l'on ve«uille bi«en laissw à chacun ce qui lui revient. Ainsi, aux élections de mars, les citoyens d'Arbaz accordaient 83 listes au parti conservateur, 46 au parti social iste et 11 au parti radical. L'actuel parti minoritaire Bonvin a groupé pour sa part 6$ électeurs conservateurs. Il n'entend donc pas parrainer l'es radicaux et socialistes qui, avec quelques conservateurs dissidents, forment le parti «Canroz actuellement majoritaire: ; Puisse la nouvelle administration mettre de la bonne humeur dans notre commune et ramener, si cela suffit, dans les rangs du parti conservateur les brebis égarées. . C. o COLLOMBEY. — Soirée musicale et littéraire du < Chœur Mixte ». — (Corr.) — C'est toujours avec, une joie renouvelée que l'on assiste à une soirée artistique àonnée par une de nos sociétés locales et particulièrement lorsque c'est ; " par notre jeune société le « Chœur Mixte ». Depuis sa fondation, il a attiré 'à toutes les manifestations qu'A a organisées de nombreux spectateurs avides d'ouïr uh progr,ammë riche et varié. y ~ Nous ne voulons cas détailler ià;le programme Radio-Programme SOTTENS. — Mardi 12 avril. — 7 h. 10 Réveillematin. 7 h. 15 Informations. 7 h. 20 Disque. Premiers propos. Concert matinal. 11, h. Emission commune. «12 h. 15 Variétés internationales. 12 h.' l46 Informations. 12 h. 55 Disques. 13 h. Le bonjour de Jack Rollan. 13 h. 10 Du fil ma l'opéra. 13;h. 45 Concerto en ré majeur pour orchestre ra ebrdes, I. Strawinsky. 16 h. 30 Thé dansant. 17 h. L(K> Le Duo Benda. 17 h . 20 Trois « negro spirituals ». 1T h. 30 Pile ou face ? 18 h. Les mains dans lés poches. 18 h. 05 L'année liturgique de Pachelbel. 18 h. 25 Disque. 18 h. 30 C'est toujours la même chanson... 18 h. 55 Le micro dans la vie. 19 h. '13 L'heure exacte. 19 h. 15 Le programme <|e la soirée. 19 h. 15 Informations. 19 h. 25 Le miroir "du temps. 10 h. 40 Atout... Chœur ! 19 h. 55 Le f o rum de Radio-Lausanne. 20 h. 15 London-Mélodies. 20 h. 30 Soirée théâtrale : La Lumière Rêvant l'Icône. 21 h. 50 Oeuvres de compositeurs tchèques. 22 h. 30 Informations. 22 h. 35 Musique instrumentale. La famille de Mademoiselle Madeleine VU1STI NEI^ remercie bien sin>cèrement toutes les person nes . qui ont assisté à son ensevelissement à Grô ne le 9 avril 1949. .«^.J^ilJ-r tl *\/\ -..I,.». .-» ¦-:- - *, H"l A -b *'?
© Copyright 2024 Paperzz