Lancement du programme Alliance - CSSS de Saint

L
’
Vol. 5, NO 2
Décembre 2014
DANS CE
NUMÉRO
3
Bulletin du CSSS de
Saint-Léonard et Saint-Michel
Le comité
environnemental
Lancement du programme Alliance
4
Le réseau local de services se mobilise
pour prévenir la négligence
Gaëlle Quantin, organisatrice communautaire
envers les enfants
Nouveau logo
pour le CII
6
Camp de
vacances 2014
9
Ma passion
hors CSSS
10
Mini salon IAB
14
Réalisations
des directions
PROCHAINE
DATE DE TOMBÉE
9 janvier
PARUTION
5 février
« Il faut tout un réseau pour aider un enfant », tel est le
leitmotiv du programme-cadre montréalais en négligence,
Alliance, officiellement lancé sur notre territoire le jeudi
2 octobre. Nul besoin d’en convaincre notre réseau de
services qui s’est fortement mobilisé en cette journée de
lancement ! En effet, nombreux sont les organismes du
territoire (commissions scolaires, garderies, CPE, centres
éducatifs communautaires, organismes communautaires…)
à avoir répondu présents à l’invitation du CSSS de SaintLéonard et Saint-Michel et du Centre jeunesse de Montréal Institut universitaire.
Mario Gagnon, directeur famille-enfance jeunesse
et santé publique, Julie Lamarre, responsable régionale
de l’implantation du programme Alliance, et Luc Houle,
chef de service au Centre jeunesse de Montréal – Institut
universitaire, ont souhaité la bienvenue à tous en soulignant
toute l’importance de travailler ensemble pour le bien-être
des enfants.
Angela Mancini, coordonnatrice famille-enfancejeunesse et santé publique et responsable du comité local
d’implantation Alliance, a amorcé la rencontre en présentant
les deux principaux objectifs du programme : donner aux
enfants de 0 à 11 ans une réponse optimale à leurs besoins
par l’entremise de leurs parents et de la communauté ainsi
qu’augmenter les facteurs de protection et diminuer les
facteurs de risque.
Par la suite, Claire-Marie Dionne et Leila Ghattas,
coordonnatrices professionnelles au CSSS et agentes
multiplicatrices pour Alliance, ont quant à elles proposé de
mieux saisir la problématique de la négligence dans toute
sa complexité. Se présentant sous la forme de carences ou
de lacunes dans la satisfaction des besoins fondamentaux
de l’enfant, celle-ci peut en effet se manifester de diverses
façons, de la négligence émotionnelle à la négligence
physique. Les deux intervenantes ont insisté sur
l’importance d’en comprendre les multiples facettes afin
de mieux intervenir. Elles ont ensuite invité les participants,
regroupés par tables, à échanger sur les situations de
négligence auxquelles ils sont confrontés dans leur pratique
quotidienne ainsi qu’à réfléchir sur les moyens à mettre en
œuvre pour améliorer le travail partenarial.
Enfin, Angela Mancini et Claude Doyon, coordonnateur
au développement des communautés et santé publique, ont
soumis à l’assemblée une proposition pour une structure
d’implantation à deux niveaux sur le territoire. En effet,
dans un parti-pris pour l’action rapide selon les besoins
émergents du terrain, l’implication du réseau de services
est souhaitée dans un comité de gouvernance ainsi que
Suite page suivante
Lancement du programme Alliance
dans un groupe d’action. Le premier sera composé de personnes
ayant un pouvoir de décision dans leurs structures respectives afin
d’entériner les propositions soumises par le second groupe formé, quant
à lui, d’intervenants terrain. La proposition ayant été accueillie plutôt
favorablement, ces deux instances sont en cours de constitution et
devraient commencer leurs travaux dès le mois de décembre.
(suite)
Cette journée de lancement a été appréciée non seulement pour
la qualité des présentations, mais aussi pour avoir donné l’occasion aux
différents acteurs d’échanger autour d’une préoccupation commune : le
bien-être des enfants.
Des nouvelles du comité
environnemental
A
vez-vous remarqué les messages Le saviez-vous ? diffusés sur les écrans de toutes les installations du CSSS ? C’est le comité environnemental
qui est à l’origine de cette initiative afin de sensibiliser le personnel et la population au respect de l’environnement ! Nous réaliserons également
des capsules environnement dans les prochaines parutions de
L’Objectif ! Nous vous invitons à les lire, elles vous aideront à
Le comité environnemental
prendre conscience qu’un petit geste peut faire toute la différence !
À l’avant : Abdou Lat Fam, chef d’administration de programmes,
DSPPA, Jacques Ste-Croix, chef de services hygiène, salubrité et
lingerie, DSFTI, et Dre Julie Ganon, DSP. À l’arrière : Michel Chénier,
chef de service installations matérielles, DSFTI, Kathleen Lapointe,
agente d’information, équipe des communications, DG, Louise
Lavallée, technicienne en administration à l’approvisionnement,
DSFTI, Alexandre East, technicien en relations de travail, DRH,
Nathalie Bergeron, chef du service alimentaire, DH, Jean Aubut,
coordonnateur services techniques, et David Faucher, agent
administratif, DSFTI. Absents de la photo : Daniel Beauchemin,
mécanicien d’entretien, et Claude Doyon, coordonnateur au
développement des communautés et santé publique, DFEJSP
Monique Corriveau, adjointe à la
direction, Direction de l’hébergement
Deuxième édition de
R
r
u
o
j
n
êve d’u
Q
ui n’a pas souhaité un jour voir se réaliser un rêve pour son plus grand bonheur !
L’année dernière, un résident par centre d’hébergement avait savouré son Rêve
d’un jour permettant ainsi la concrétisation d’une sortie au salon de beauté, la dégustation
d’un repas en famille au restaurant et la possibilité de prendre un petit rouge au souper
pendant un mois.
De retour pour une deuxième année, l’activité a été améliorée. Désormais, ce sont deux
résidents par installation qui pourront réaliser leur rêve.
Le nom des gagnants sera dévoilé lors des repas Noël en famille en décembre. Nous
partagerons le rêve des gagnants avec vous en 2015 !
MERCI à la Fondation du CSSS de Saint-Léonard et Saint-Michel de s’impliquer
financièrement dans la réalisation de ce projet !
2
Réflexion sur une question éthique
Guylaine Lalime, directrice de la qualité, représentante pour le CECO
N
otre établissement a obtenu plus d’une dizaine de fiches éthiques
de la part du CSSS de la Pointe-de-l’Île. Ces fiches sont le résultat
de réflexions menées au sein du comité d’éthique de cet établissement
et touchent, pour la plupart, des situations éthiques que l’on retrouve
dans notre quotidien également.
Même si les modalités de fonctionnement diffèrent d’un comité
d’éthique à l’autre, le comité d’éthique clinique et organisationnelle de
notre établissement (CECO) souhaite vous transmettre ces informations
parce que nous croyons qu’elles constituent des outils supplémentaires
et riches pouvant éclairer certains aspects éthiques et juridiques en
lien avec la pratique. Toutefois, nous nous ferons un devoir de prendre
connaissance de chacune d’elles lors de nos rencontres et de vous les
transmettre par la suite.
À sa rencontre du 22 octobre, les membres du CECO ont lu la fiche
intitulée « Arrêt de traitement – Maladie dégénérative ». Je vous invite
donc, au nom des membres du CECO, à prendre connaissance de cette
fiche déposée dans l’intranet sous l’onglet Qualité et sécurité/Comité
d’éthique clinique et organisationnelle/Fiches éthiques (autres
établissements).
Les membres du CECO : Anja Juul, DFEJSP, Marie-Ève Bouthillier,
éthicienne, Guylaine Lalime, DQ, Alain Fredet, DSPPA, Julie Brès,
DSGSSA, et Michel Marchildon, DH. Absents de la photo :
Pierre Pineau, DFEJSP, Alain Coulombe, DH, et Louise Plamondon,
DSGSSA
Journée provinciale en hygiène et salubrité
soulignée dans notre CSSS
Denis Thibault, chef de secteur hygiène et salubrité par intérim,
buanderie et lingerie, Direction des services financiers, techniques et informationnels
C
’est la deuxième fois que des activités s’organisaient dans notre CSSS pour souligner la Journée provinciale en hygiène et salubrité. En octobre,
nous avons tenu des kiosques dans les trois centres d’hébergement afin de sensibiliser le personnel à l’importance du travail de l’équipe hygiène
et salubrité au sein de notre organisation. Nous trouvions important de profiter de cette occasion pour faire connaître notre rôle dans le maintien de
la qualité de vie des résidents ainsi que
notre implication dans la prévention des
infections. Nous voulions également que
nos collègues sachent que, pour bien
remplir notre mandat, un travail de collaboration avec toutes les directions est
essentiel.
Plusieurs d’entre vous sont venus
visiter nos kiosques et ont posé des
questions fort pertinentes. Nous tenons à
remercier les 120 personnes qui ont rempli
notre questionnaire de sensibilisation et
à féliciter les 45 gagnants des prix de
participation.
Merci et à l’année prochaine !
Quelques membres de l’équipe hygiène et salubrité du Centre d’hébergement de Saint-Michel
3
Le saviez-vous ?
L’Initiative des amis des bébés, c’est
aussi pour les employées !
Alexandra Smillovich, assistante au supérieur immédiat, Direction
famille-enfance-jeunesse et santé publique
U
n témoignage d’Edwige
Blaise, infirmière clinicienne
à la Direction famille-enfancejeunesse et santé publique.
leur horaire afin de permettre le maintien de l’allaitement maternel. J’ai
contacté la Direction des ressources humaines et il a été décidé que je
combinerais mes pauses avec mon heure de repas afin d’avoir plus de
temps.
« Je suis revenue au travail
en juin dernier. Ma fille, Alexia,
avait alors 10 mois. J’ai eu la
chance de lui trouver une place
à la garderie qui est située dans
le centre commercial à deux pas
du CLSC de Saint-Michel. Cela
me permettait d’aller l’allaiter sur
l’heure du dîner. J’étais contente,
car je trouvais que cela facilitait son intégration à la garderie puisque la
séparation était moins longue.
Cela a vraiment fait toute la différence ! Maintenant, je n’ai plus
le stress d’arriver en retard au travail. Lorsque je vais à la garderie, si
Alexia n’a pas terminé de manger, je peux me permettre d’attendre.
Cela permet de respecter son rythme et de mieux répondre à ses
besoins. Elle a maintenant 15 mois et nous apprécions toutes les deux
ce moment ensemble. Elle est tout sourire lorsque j’arrive et lorsqu’elle
a terminé, elle retourne jouer avec ses amis en me faisant des bye bye
de la main. »
Par contre, cela me causait beaucoup de stress, car je devais
combiner l’allaitement d’Alexia et mon dîner dans une heure. Je finissais
par manger très rapidement afin de ne pas être en retard. C’était aussi
dérangeant pour Alexia, car elle devait parfois arrêter son dîner pour que
je puisse l’allaiter.
Extrait de la politique en allaitement maternel du CSSS : Le CSSS
met en place des conditions favorables pour permettre l’initiation, le
maintien et la poursuite de l’allaitement pour les membres du personnel
qui souhaitent allaiter leurs enfants.
Un jour, une collègue m’a parlé de la politique en allaitement
maternel du CSSS et de la clause qui spécifie que les employées, qui
allaitent lors de leur retour au travail, peuvent faire un arrangement à
La condition numéro 1 de l’agrément IAB demande que les
établissements se dotent d’une politique en allaitement maternel et la
diffusent à tout leur personnel.
Vous pouvez consulter la politique dans l’intranet à l’onglet
Mon CSSS/Politiques et procédures/Direction famille-enfancejeunesse et santé publique
Nouveau logo pour le CII
Marie-France Michaud, ASI, Direction famille-enfance-jeunesse et santé publique, déléguée aux
communications du CECII
Nouveau calendrier
V
oici le logo que vous avez choisi pour représenter le Conseil des
infirmières et infirmiers de notre CSSS. Merci à tous ceux qui ont
participé au concours, vous avez été nombreux ! Félicitations à Chana
Wittenberg, infirmière de proximité et du PQDCS, DFEJSP, qui est la
gagnante du certificat-cadeau de 25 $.
4
En raison de la situation budgétaire actuelle, le CECII doit diminuer
ses rencontres.
Voici donc le nouveau calendrier de rencontres :
• Vendredi 19 décembre 2014
• Vendredi 27 février 2015
• Vendredi 24 avril 2015
• Mardi 12 mai 2015 (assemblée générale annuelle)
• Vendredi 12 juin 2015
Nous vous attendons !
La Semaine de la sécurité des usagers
Dominique Gélinas, technicienne en administration, Direction de la qualité
D
u 27 au 31 octobre, une tournée dans les cinq sites a été effectuée
afin de sensibiliser le personnel relativement aux divers enjeux
concernant la sécurité des usagers.
Plus de 280 employés ont participé à l’activité en tournant la roue
des couleurs qui s’arrêtait sur une question concernant la sécurité des
usagers à laquelle ils devaient répondre. Le tirage de quatre cartes de
crédit prépayées de 35 $ a eu lieu le jeudi 6 novembre. Les gagnants
sont : Debora Munoz, ASI du 2e Nord au Centre d’hébergement des
Quatre-Temps, Geneviève Giguère, PAB au Centre d’hébergement
de Saint-Michel, Sabrina Rioux, technicienne en travail social pivot du
SPPA au CLSC de Saint-Léonard, et Murielle Masin, infirmière 0-5 ans
à la DFEJSP au CLSC de Saint-Michel. Félicitations !
Nous tenons à remercier l’ensemble des employés rencontrés
pour leur excellente participation ! Ce fut un réel plaisir de les voir tous
participer en grand nombre et avec autant d’enthousiasme. C’est donc
avec joie que nous vous donnons rendez-vous à l’automne 2015 !
Liette Lemieux, agente administrative, DSGSSA, Sandra Bachar, adjointe
à la direction, DQ, Jocelyn Rivest et Lucie Gagnon, agents administratifs,
DSGSSA
Une activité qui sort de l’ordinaire
au Centre de jour
Lucie Grenier, de l’organisme Le temps d’une pause service de répit
L
es murs du grand salon du Centre d’hébergement des QuatreTemps ont résonné de sons bien étranges le 5 novembre. Une
quinzaine de personnes ont participé à un atelier de yoga par le rire,
organisé par Le temps d’une pause service de répit, pour souligner la
Semaine des proches aidants. De ce nombre, dix sont des proches
aidants d’une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer encore à
domicile.
Les bienfaits du rire sont indiscutables et quoi de mieux pour
soulager le stress ! Les participants ont pu expérimenter divers types
de rire, des exercices de respiration, de vocalise, de relaxation et des
mouvements simples pour bouger leur corps. Antoine Laforest, du Club
de rire de Montréal, a réussi d’une main de maître à faire participer
tout le monde. De grands HA ! HI ! GRRR ! ont envahi le grand salon.
À la fin de l’atelier, tous ont admis se sentir détendus et plus sereins.
Des témoignages éloquents ont été entendus : « Je ne pensais pas
que j’oserais faire ces choses », « Je me sens bien », « J’ai fait des
exercices sans m’en rendre compte, ça m’a fait du bien, merci ». Avec
un tel succès et des bienfaits évidents pour les proches aidants, il est
possible que l’expérience soit reprise.
Le temps d’une pause service de répit est un organisme à but non
lucratif qui offre du répit aux proches aidants au moyen de journées
d’activités pour les personnes atteintes de déficits cognitifs modérés à
sévères. Avec un ratio d’un intervenant pour trois personnes, le service
consiste en des activités de stimulation, des exercices physiques, des
loisirs et représente une occasion de socialiser pour ces personnes
souvent très isolées. Pour le proche aidant, c’est une journée complète
de liberté et de temps pour soi bien nécessaire. Peut-être que vous ne
le savez pas, mais Le temps d’une pause partage des locaux au centre
de jour du Centre d’hébergement des Quatre-Temps depuis novembre
2002. Pour plus d’information, communiquez avec moi au poste 2165.
5
Camp de vacances 2014
Monique Corriveau, adjointe à la direction, Direction de l’hébergement
C
et automne, 20 résidents de nos trois centres d’hébergement ont pu profiter d’une sortie fort agréable ! En effet, ils ont pris la route pour se
rendre à Wenworth-Nord dans la région touristique des Laurentides.
Au cœur d’un superbe décor naturel entouré de lacs et
de forêt, le groupe a pu bénéficier de quatre jours dans une
ambiance de vacances. Les résidents étaient accompagnés
d’une infirmière, de préposés aux bénéficiaires, d’une
éducatrice spécialisée et de techniciens en loisirs.
La veille du retour, ils ont eu droit à une soirée western
à laquelle les chefs d’unité du Centre d’hébergement de
Saint-Michel ont assisté en compagnie du directeur adjoint
de l’hébergement. C’est au son de la guitare grattée par
Emmanuel Raulet, préposé aux bénéficiaires au Centre
d’hébergement des Quatre-Temps, que les vacanciers ont
entonné des chants dans un climat de fête.
Encore cette année, ce fut une belle réussite !
Cocktail d’huîtres
Soirée bénéfice de la
Fondation du CSSS
L
e cocktail d’huîtres de la Fondation du CSSS de Saint-Léonard et
Saint-Michel s’est tenu le 30 octobre sous la présidence d’honneur
de M. Michel Trudel de la Cité du cinéma. À cette occasion, M. Trudel
s’est vu remettre une plaque hommage soulignant son implication de
longue date au sein de la Fondation.
Quelque 170 personnes ont participé à l’activité, dont des résidents
des trois centres d’hébergement et des membres de leur famille. Le
directeur général, Denis Blanchard, plusieurs gestionnaires ainsi que
des bénévoles étaient également présents.
Plusieurs amateurs d’huîtres ont profité de la présence d’un ouvreur
professionnel, Marc Bardier, pour déguster ces délicieux coquillages ! Le
Trio de Tony Commodari a enchanté les convives tout au long de la soirée
avec sa musique entraînante. Un encan silencieux s’est aussi déroulé
mettant en vente des toiles, des billets de hockey et de spectacles pour
un bénéfice de 1 400 $. Pour leur part, les petites douceurs du directeur
général et le moitié-moitié ont rapporté 1 145 $. Cette soirée fut animée
avec brio par Nicole Lavoie, thérapeute en réadaptation physique au
Centre d’hébergement de Saint-Michel.
Au total, la soirée bénéfice a permis d’amasser près de 10 000 $,
montant qui servira à des activités avec les résidents des centres
d’hébergement et à des projets en CLSC auprès de la clientèle qui reçoit
des services sur le territoire du CSSS.
La prochaine activité de financement de la Fondation sera le
spectacle Vive la vie 3 et se tiendra le 17 avril. Retenez cette date, les
détails suivront !
6
Le
marché ambulant de Saint-Léonard
reçoit le prix Jean-Pierre Bélanger
de l’ASPQ
Monique Deslongchamps, conseillère cadre en communication
D
ans la parution de juin 2014 de L’Objectif, Pierre Pineau,
organisateur communautaire, nous faisait connaître les
réalisations du Marché ambulant de Saint-Léonard, auprès duquel
il collabore avec la Concertation en sécurité alimentaire de SaintLéonard et particulièrement avec la Table Ronde de Saint-Léonard. Ce
projet vient de recevoir une belle reconnaissance : le Prix Jean-Pierre
Bélanger, de l’Association pour la santé publique du Québec.
Ce prix récompense annuellement un projet pour son excellence
et son innovation en promotion de la santé et a pour objectif de faire
rayonner les initiatives de promotion de la santé inspirantes qui font une
différence dans la vie des Québécois.
Revenons sur le projet comme tel qui vise à joindre les familles et les
aînés près de leur milieu de vie et à leur rendre accessible, physiquement
et économiquement, une alimentation plus saine. Le projet a aussi un
volet d’animation d’activités et d’éducation populaire pour sensibiliser les
personnes à améliorer la qualité de leur alimentation, notamment par la
consommation de fruits et de légumes frais.
Des retombées positives
Entre juin 2013 et juin 2014, plus de 210 points de vente ont été
tenus aux cinq points de chute dans Saint-Léonard. L’équipe a aussi
participé à cinq fêtes communautaires dans des écoles ou dans des
parcs. Dans ce cadre, près de 3 000 personnes ont utilisé les services
du marché ambulant pour acheter des fruits et des légumes frais à
prix modique. Le chiffre d’affaires pour cette période a été de plus de
31 000 $.
Devant ces résultats, on peut avancer que les retombées concrètes
sur la clientèle visée sont :
• Des fruits et des légumes frais plus accessibles pour les
personnes à mobilité réduite (aînés, mères de famille
nombreuse, personnes handicapées, etc.);
• Une meilleure alimentation pour les personnes visées et,
à moyen terme, une meilleure santé et la bonification des
habitudes alimentaires;
De plus, de juillet 2013 à juin 2014, 75 animations éducatives ont été
réalisées pour des jeunes de 5 à 12 ans dans les services de garde de
trois écoles primaires. Ces activités ont joint plus de 1 400 jeunes qui ont
maintenant une meilleure connaissance des fruits et des légumes. On
observe dorénavant de plus en plus d’enfants qui viennent régulièrement
s’acheter eux-mêmes des fruits après la fin des classes - ce qui est
mieux que des bonbons au dépanneur ! - ou qui amènent leurs parents
vers le véhicule du marché mobile.
Un atelier pour des jeunes mères portant sur les fruits et les
légumes et le développement du goût chez l’enfant a aussi été donné,
ainsi que cinq animations liées au jardinage urbain.
Ce sont autant de citoyens qui ont été sensibilisés de façon concrète
aux bienfaits et aux plaisirs des fruits et des légumes frais.
Voilà en bref ce qui justifie la reconnaissance de l’ASPQ pour cette
initiative de promotion de la santé visant à renforcer les aptitudes et les
capacités des individus d’une collectivité ainsi qu’à mettre en place des
mesures qui modifient leur situation environnementale et économique
afin de favoriser leur santé.
Bravo à toutes les personnes qui ont contribué à ce succès !
• Pour les nouveaux arrivants, une meilleure connaissance des
produits locaux, de leur valeur nutritive et des façons de les
apprêter;
• Un bon voisinage par la création de liens sociaux et de solidarité;
• L’implication de citoyens à chaque point de chute permettant
ainsi leur sensibilisation sur les enjeux de l’insécurité alimentaire
et sur l’importance de la participation citoyenne.
7
Magasin-Partage de Noël
Collecte pour Saint-Léonard
et Saint-Michel
À mettre à votre agenda !
Dîner spaghetti organisé par
Mon Resto Saint-Michel
C
ette année encore, le Magasin-Partage de Noël
offrira une épicerie à bas prix et des cadeaux à 400
familles du quartier de Saint-Michel. Pour aider à financer
cet événement, Mon Resto Saint-Michel organise un dîner
spaghetti où vous pourrez goûter à la succulente sauce
concoctée par l’organisme pour seulement 12 $ ! Venez en
grand nombre !
Comment contribuer ?
• Donnez des denrées
non périssables
• Offrez un jouet
ou un livre
D
éposez vos victuailles
et vos cadeaux emballés dans les boîtes prévues à cette fin
dans chaque installation du 21 novembre au 11 décembre.
Pour les cadeaux, on vous demande :
1. de les emballer;
Date : Jeudi 11 décembre
Heure : 11 h 30 à 15 h
Lieu : Centre de loisirs René-Goupil,
4121, 42e rue
Achetez votre billet dès aujourd’hui auprès de :
France Deshaies, poste 5402
Karine Leduc, poste 5333
2. d’inscrire le groupe d’âge auquel ils s’adressent;
3. d’inscrire si c’est pour un garçon ou une fille.
Vos dons monétaires sont également bienvenus ! Pour connaître
les modalités pour le quartier de Saint-Michel, communiquez avec
Karine Leducq, poste 5333; pour Saint-Léonard, le contact est
Pierre Pineau, poste 5334. Notez que pour les dons de plus de 20 $,
un reçu aux fins d’impôt sera remis.
Ces gestes de générosité et de solidarité permettront aux MagasinsPartage de Saint-Michel et de Saint-Léonard d’offrir un Noël dans le
respect et la dignité aux familles démunies du territoire.
Bénévoles recherchés
L
’équipe de direction du CSSS appuie
le Magasin-Partage et encourage
l’implication bénévole dans ce projet de
solidarité au sein de la communauté.
Si vous désirez vous impliquer bénévolement au moment du Magasin-Partage,
vous êtes grandement attendus le
17 décembre à Saint-Léonard à et
Saint-Michel !
8
Vous êtes disponible en matinée, dans
l’après-midi ou en soirée ?
Vous aimeriez être commis, caissière,
emballeur ou encore accueillir les familles ?
Vous avez une voiture et vous voulez
composez un tandem avec un collègue pour
le transport ?
Le Magasin-Partage vous offre toutes ces
possibilités.
Voyez auprès de votre
supérieur immédiat la
possibilité d’aménager votre
horaire s’il y a lieu !
Pour vous inscrire comme
bénévole avant le 5 décembre :
Maryse Fedele, poste 5310
Ma passion hors CSSS, c’est…
la fabrication de crèches de Noël !
Kathleen Lapointe, agente
d’information
Une entrevue avec Diane Lajoie, préposée aux bénéficiaires au Centre d’hébergement des Quatre-Temps
K.L. : Quand avez-vous confectionné votre
première crèche ?
D.L. : En 2001, lorsque le centre d’hébergement est
déménagé sur le boulevard Saint-Michel. À la suite de
ce déménagement, on ne trouvait plus la crèche utilisée
comme décoration dans le temps de fêtes. Étant donné
que je travaillais un peu le bois, j’ai proposé d’en faire
une. L’année suivante, on m’a demandé d’en réaliser
deux autres, une pour le 3e nord et une autre pour le 3e
sud. Cela me fait tellement chaud au cœur de voir des
étincelles dans les yeux des résidents année après année
devant mes crèches !
K.L. : Vos crèches sont vraiment belles. J’imagine
que vous avez reçu quelques commandes ?
D.L. : Effectivement, mais je ne peux me permettre
de toutes les offrir, c’est pourquoi je demande un montant
afin de couvrir les frais du matériel. J’en ai fabriqué
sept en 2012. Chaque automne, je me lance dans la
production. Compte tenu du nombre de commandes
que je reçois habituellement, j’en ai déjà une dizaine en
chantier qu’il ne me reste qu’à personnaliser. Chacune
d’elle est unique. Lorsqu’on m’en commande une, je
cherche toujours à ajouter une petite touche particulière
qui rendra la crèche spéciale aux yeux de l’acheteur.
K.L. : Combien de temps prend la confection d’une crèche ?
D.L. : Entre 60 et 70 heures. J’adore ce passe-temps, cela me
permet de relaxer et de décrocher. Aussi, la fabrication de crèches
est une façon pour moi de perpétuer, d’une certaine manière, la vraie
signification de la fête de Noël. Je me dis que lorsqu’un enfant verra une
de mes crèches au pied du sapin, il réalisera peut-être, le temps d’un
instant, que Noël n’est pas juste une fête
commerciale, mais une fête où l’on célèbre
le don, le partage ainsi que la naissance de
Jésus.
K.L. : Je crois que vous en avez
réalisé une, en 2010, afin de contribuer
financièrement à l’acquisition de Paro ?
D.L. : Effectivement, Paro, cet animal
de compagnie arrivé dans notre CSSS à
l’automne 2010, fut l’élément déclencheur
de ce projet de création d’une crèche de
Noël. J’ai toujours eu comme souci le bienêtre des résidents et leur qualité de vie,
alors quand j’ai vu les yeux des résidents
s’illuminer au contact de Paro, l’idée m’est
venue de contribuer à l’acquisition de ce
blanchon en réalisant une crèche et en
organisant un tirage afin d’amasser des
fonds.
K.L. : Et votre projet a fonctionné ?
D.L. : Oui ! La crèche fut exposée
dans le hall d’entrée du centre et la vente
des billets fut facilitée par la merveilleuse
complicité d’une résidente, Mme Mathieu, et la collaboration des
réceptionnistes ainsi que de Céline Lacroix, éducatrice spécialisée, et
d’Édith Tremblay, technicienne en loisirs. Un montant de 907 $ a été
amassé et versé à la Fondation du CSSS.
K.L. : C’est une belle initiative ! Je vous souhaite de joyeuses
fêtes !
CONFÉRENCE MIDI sur les médias sociaux
L’impact sur votre vie professionnelle !
Informer vos « amis » de certaines facettes de votre vie privée peut être pertinent, mais qu’arrive-t-il si votre clientèle
prend connaissance de ces informations ? Au cours de cette conférence midi organisée par le comité éthique clinique et
organisationnelle, Mme Marie-Ève Bouthillier, éthicienne, nous entretiendra des enjeux éthiques autour de cette question.
Nous vous invitons en grand nombre à participer à cet échange dynamique et
à vous familiariser avec cette nouvelle réalité !
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Confirmez votre présence auprès de Sandra Bachar au poste 2144 avant le 12 décembre.
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Notez que cette conférence aura également lieu au CLSC de Saint-Michel le mercredi 21 janvier 2015.
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Mercredi 17 décembre, de 12 h à 13 h au CLSC de Saint-Léonard, salles 151-152
9
S
Des nouvelles du Conseil
avez-vous ce qu’est un comité de pairs ? C’est un regroupement
de deux à quatre personnes, issues de la même profession,
représentant les différentes missions ou les différentes installations
de l’établissement, qui décident, sur une base volontaire, de travailler
ensemble à élaborer des stratégies ou des outils visant à améliorer la
qualité de la pratique professionnelle, pour eux-mêmes et pour leurs
pairs.
Les comités de pairs relèvent du comité exécutif du conseil
multidisciplinaire (CECM). En collaboration avec le CECM, ces comités
font le choix des sujets à traiter et des moyens à mettre en place pour
Les objectifs poursuivis par la mise sur pied d’un comité de
pairs
• Apprécier et améliorer la qualité de la pratique professionnelle de
l’ensemble des membres d’une même profession.
• Apprécier et améliorer la qualité des soins et des services
dispensés aux usagers par les membres de cette profession.
• Formuler des recommandations au CECM concernant l’ensemble
des membres du conseil multidisciplinaire.
• Définir des mécanismes de promotion de la qualité de la pratique
professionnelle.
• Identifier des besoins précis de formation continue.
• Identifier des problèmes propres aux membres de la profession et
déterminer les solutions possibles en vue de corriger la situation.
• Favoriser les échanges entre les professionnels.
multidisciplinaire
actualiser leur mandat. La durée des rencontres, leur fréquence et
l’échéancier sont préalablement discutés avec le CECM.
Nous profitons de cette tribune pour vous inviter à former des
comités de pairs dans votre discipline. À cet effet, un document clair
et concis a été élaboré afin de guider et de soutenir les personnes
intéressées. Vous pouvez consulter cet outil de travail dans l’intranet sous
l’onglet Directions/Soins infirmiers et pratiques professionnelles/
Instances professionnelles/CECM/Comité des pairs. N’hésitez pas
à communiquer avec un des membres du CECM pour obtenir davantage
de précision.
D’autre part, nous remercions Luc Beauregard, qui a terminé
son mandat, pour son implication au cours de la dernière année, et
souhaitons la bienvenue à Guy Jolicoeur qui a accepté de se joindre à
notre équipe.
Afin de nous assurer de pouvoir communiquer avec l’ensemble
des membres du CM, nous vous demandons de vérifier si votre nom
figure sur notre liste d’envoi. Les membres inscrits devraient avoir reçu
quelques communications depuis septembre 2014. Dans le cas contraire,
ainsi que pour les nouveaux employés, vous êtes invités à communiquer
avec Charlène Gagnon, au poste 2185, ou par courriel à conseilmulti.
exé[email protected]. De plus, nous vous encourageons
à nous soumettre tout article d’intérêt que nous diffuserons à l’ensemble
des membres du CM.
En terminant, les membres du comité exécutif du conseil
multidisciplinaire vous souhaitent de passer un joyeux temps des fêtes
et de profiter pleinement des moments passés auprès de vos proches.
Le premier Mini salon de
l’allaitement : un succès !
Francis Gagnon, organisateur communautaire
L
e 1er octobre, notre CSSS organisait, pour la première année, un mini salon de
l’allaitement et une halte-allaitement spéciale à l’occasion de la Semaine mondiale
de l’allaitement. Kiosques d’information, conférence sur la nutrition, atelier sur l’importance
du toucher pour le bébé étaient au programme. Près d’une centaine de personnes y ont
participé ! Parmi elles, des employés et beaucoup de famille !
Le tout s’est déroulé dans une ambiance conviviale. La population a pu s’informer
auprès des différents kiosques sur des sujets tels que les services offerts par le CSSS à la
femme enceinte et aux jeunes mères et pères, le rôle du père pour soutenir l’allaitement,
l’alimentation de la femme enceinte et qui allaite, l’importance du toucher pour la relation
parent-bébé, ainsi que sur les tire-lait. Également, la Joujouthèque Saint-Michel faisait la
démonstration de porte-bébé et Nourri-Source présentait le soutien offert par l’organisme
au moyen du jumelage des mères à des marraines d’allaitement. Les participants ont pu
assister à une conférence sur la nutrition, ainsi qu’à un atelier animé par une éducatrice
qui a été l’occasion pour les parents d’expérimenter combien le toucher est important
pour établir une relation affective avec leur enfant. Même un quiz et des prix de présence
avaient été organisés !
Le saviez-vous ?
Près de 100 % des bébés de notre territoire sont allaités à leur naissance.
10
Comité organisateur : Pina Iuliani, infirmière, Alexandra
Smillovich, infirmière clinicienne, Daniela Badéa, chef
d’administration de programmes, Angela Mancini,
coordonnatrice par intérim à la DFEJSP. Absents de la
photo : Francis Gagnon, organisateur communautaire,
DFEJSP, et Monique Deslongchamps, conseillère cadre en
communication, DG
La reconnaissance dans la pratique quotidienne de la
Direction des services aux personnes en perte d’autonomie
L
ors de ma tournée en juin dernier, j’ai consulté
les membres du personnel de ma direction pour
connaître leurs idées concernant l’actualisation de
la charte des ressources humaines adoptée par le
CSSS il y a deux ans.
Par la suite, le comité qualité, sécurité et
optimisation des ressources a recensé les activités de
reconnaissance qui s’exercent à la DSPPA. À partir
de cette liste, avec mes gestionnaires, nous avons
convenu d’écrire un énoncé pour appuyer la pratique
concrète de la reconnaissance au quotidien. Les
membres du comité ont accueilli très favorablement
cet énoncé !
Dans les semaines du 3 et du 10 novembre,
celui-ci a été présenté à l’ensemble du personnel
de la direction. La plupart des personnes présentes
ont formulé le souhait de relever le défi de la
reconnaissance dans leur pratique quotidienne tel
que décrit dans l’énoncé.
Je tiens à souligner l’investissement des
gestionnaires de la DSPPA qui donnent l’exemple au
quotidien par différentes marques de reconnaissance.
Je remercie aussi les membres du comité qualité,
sécurité et optimisation des ressources pour leur
contribution dans le cadre du développement de cet
énoncé.
ÉNONCÉ DE RECONNAISSANCE
Reconnaître, est une question d’attitude, d’humanité, d’ouverture, de
considération, de courtoisie et de disponibilité. Dire bonjour, s’informer,
s’intéresser et respecter l’autre n’en sont que quelques démonstrations.
Reconnaître, c’est tout un éventail de gestes simples qui se posent au
quotidien. Tous les jours, quelqu’un fait une action qui mérite d’être reconnue. À chaque
occasion, un remerciement, un sourire, des félicitations, un coup de téléphone ou un
courriel constituent une marque de reconnaissance.
Reconnaître, c’est renforcer l’estime de soi et du travail bien fait et ce, en identifiant
clairement auprès de la personne concernée les raisons de son succès. Pour cela, les
gestionnaires se doivent d’être présents et à l’affût des activités du personnel. Par ricochet,
nous ne serons que mieux informés des savoirs et du leadership de nos intervenants
dans les dossiers importants. On ne doit pas économiser notre enthousiasme lorsqu’un
intervenant accomplit quelque chose de significatif, fait un bon coup, a une bonne idée.
Nous devons, en tant que gestionnaires, nommer les réussites afin d’entraîner une
contamination positive dans l’équipe. Notre présence, notre soutien, notre écoute et notre
disponibilité permettent de reconnaître notre personnel.
Reconnaître, c’est être pleinement conscient de l’engagement, des compétences, de la
somme et de la qualité du travail du personnel de la DSPPA.
Reconnaître, c’est avoir du plaisir ensemble en travaillant et dans le cadre d’activités moins
formelles, en célébrant un anniversaire, en soulignant un départ à la retraite, en organisant
un repas communautaire ou un 5 à 7.
Reconnaître, ce n’est pas toujours un geste structuré, c’est souvent dans la spontanéité
que l’on touche le plus le cœur des gens. Lorsque le cœur est touché, une influence
positive s’exerce tout en installant des outils pour une meilleure gestion et une meilleure
collaboration.
Le mot du
Sondage sur les besoins de formation
Congrès de l’OIIAQ 2014
a compilation des résultats obtenus à la suite du sondage sur
les besoins de formation des infirmières auxiliaires a été remise
à Lina Spagnuolo, directrice des soins infirmiers et des pratiques
professionnelles, et à Carole Dagenais, conseillère cadre en soins
infirmiers. Les principaux intérêts des membres concernent le RCR
et les interventions en cas d’étouffement, l’apprentissage de langues
étrangères, les soins palliatifs, les soins de plaies, la rédaction des notes
au dossier, le cathétérisme et la pharmacothérapie. Certaines activités
de formation sont déjà en cours au sein du CSSS, comme le RCR et la
manœuvre de Heimlich. Les résultats seront aussi présentés à JeanFrançois Trudel, directeur des ressources humaines, lors de notre
prochaine rencontre exécutive.
Les membres de l’exécutif du CIIA 2013-2014 ont eu le privilège
d’assister au Congrès de l’OIIAQ qui s’est déroulé à Lévis en juin. Le
thème du congrès était S’outiller pour mieux intervenir. Parmi les
conférences présentées, mentionnons celles sur la santé psychologique
au travail, la gestion des personnalités difficiles, la gestion de l’agressivité
(donnée par un formateur OMEGA) et la douleur chronique, ce fut
très intéressant. Nous vous invitons à consulter le numéro d’automne
2014 de la revue Santé Québec pour la rétrospective des principaux
événements.
L
Prochaine rencontre
Mercredi 10 décembre, CLSC de Saint-Michel, salle 401.
Nous vous souhaitons de joyeuses Fêtes !
11
Pour mieux c
Le Jarry-Deuxième, c’est
beaucoup plus qu’un café bistro !
Francis Gagnon, organisateur communautaire
J
arry-Deuxième est un sympathique café bistro situé au 2590, rue Jarry Est, en face du Cirque du Soleil. Peut-être y êtes-vous déjà allé pour
prendre un café ou dîner avec des collègues ! Mais saviez-vous que Jarry Deuxième, c’est beaucoup plus qu’un Café Bistro ? L’Objectif vous
propose une entrevue avec Annabelle Petit, coordonnatrice des communications et du développement pour l’organisme Parrainage civique les
Marronniers, porteur de ce projet en économie sociale.
F.G. : Qu’est-ce que l’organisme Parrainage civique les
Marronniers ? Quel est son lien avec Jarry-Deuxième Café Bistro ?
A.P. : Le Parrainage civique les Marronniers vise à favoriser
l’intégration des personnes adultes ayant une déficience intellectuelle
(DI). Pour ce faire, l’organisme utilise deux moyens. Il concrétise des
jumelages entre des citoyens et des personnes vivant avec une DI et
il offre des stages au Jarry-Deuxième Café Bistro qui a pignon sur rue
dans Saint-Michel depuis avril 2013. Ce dernier est donc un projet du
Parrainage civique les Marronniers.
F.G. : De quelle façon Jarry-Deuxième favorise-t-il l’intégration
de personnes ayant une DI ?
A.P. : Le Café Bistro offre des stages en cuisine et en service à la
clientèle aux personnes de 18 à 35 ans ayant une DI. Elles sont référées
par des écoles spécialisées, le CSSS, le CRDI-TED de Montréal, des
organismes communautaires ou elles viennent par elles-mêmes. Ce
stage les met dans de réelles situations de travail : interaction directe
avec le client, service aux tables, préparation des repas, hygiène
et salubrité, etc. Cela leur permet d’apprendre à vivre leur différence
comme une normalité, à développer leurs compétences, à « ouvrir leurs
ailes », donc à se sentir plus en confiance. À chaque fois qu’un nouveau
client entre au Jarry Deuxième, c’est un réel pas qui est fait pour lutter
contre les préjugés envers les personnes qui vivent avec une DI et bâtir
une société plus inclusive.
traiteur et nous livrons des buffets, chauds ou froids, des canapés et des
boîtes à lunch. Ce service existe depuis août 2014. Nous proposons des
plats créatifs que nous pouvons modifier selon les préférences du client.
C’est un service « clé en main » et les prix sont abordables. De plus,
nos stagiaires peuvent rester pour servir, si le client le désire. Si vous
souhaitez en connaître davantage sur les services de Jarry-Deuxième
Café Bistro et les menus proposés, vous trouverez de plus amples
informations à : http://www.bistrojarry2e.com
F.G. : À l’approche du temps des fêtes, ces informations
peuvent être intéressantes pour nos lectrices et lecteurs ! Merci
pour cette entrevue !
F.G. : Je crois aussi que Jarry-Deuxième offre son espace
pour des activités de la communauté.
A.P. : Le Jarry-Deuxième, sous réservation, peut rendre disponible
le restaurant, et même offrir ses services de traiteur, pour organiser des
lac-à-l’épaule, des rencontres de travail, des assemblées, des fêtes, des
formations, des 5 à 7, etc.
F.G. : Vous offrez un service de traiteur. C’est nouveau ?
A.P. : Nous reconnaissons être situés dans un endroit pas
idéalement accessible. C’est pourquoi nous offrons un service de
12
Le saviez-vous ?
En une année, le projet a déjà été reconnu, d’une part, pour
son impact social avec le prix Solidaire Empowerment de
Centraide et, d’autre part, pour ses qualités entrepreneuriales
par le Concours québécois en entrepreneuriat, en tant que
meilleure entreprise régionale en économie sociale. Bravo !
x connaître nos partenaires !
L’Objectif publie cette chronique qui, au fil des parutions, permettra au personnel du CSSS de mieux connaître ses partenaires.
Mains utiles
Une entrevue avec Manoucheka Céleste, fondatrice
Karine Mathieu, organisatrice communautaire
M
anoucheka
Céleste,
une
passionnée de couture, a fondé
Mains Utiles, une jeune entreprise
d’économie sociale à Saint-Léonard
ayant pour mission de venir en aide aux
femmes immigrantes vivant dans des
conditions d’isolement et de vulnérabilité
et d’améliorer leur qualité de vie. Cet
organisme conceptualise, produit et vend
des articles de couture en vue de créer des
emplois et de favoriser ainsi l’intégration et
la réinsertion sociale des femmes.
K.M. : Comment votre intérêt pour la couture est-il venu vous
donner l’idée de fonder l’organisme Mains Utiles ?
M.C. : D’abord, aider les autres a toujours été un souci pour moi.
Toute jeune, dans mon pays d’origine, Haïti, je cousais. Ma tante, qui
est couturière de profession, me laissait utiliser sa machine à coudre
avant le début de sa journée de travail, donc je devais me lever très
tôt pour pouvoir coudre ! Je fabriquais des vêtements pour ma famille
et des petites robes pour mes amies. À l’âge de 28 ans, j’ai immigré
au Québec. J’ai alors rapidement constaté les nombreuses difficultés
d’intégration vécues par les femmes immigrantes, particulièrement
celles qui ne sont pas sur le marché du travail. Éprouvée et un peu
égarée, je me suis tournée vers ma passion de jeunesse : la couture.
J’ai donc entrepris des études en design de mode au Collège LaSalle
de Montréal. C’est au cours de ma formation qu’est née l’idée de mettre
ce que j’ai appris au service des autres, particulièrement au service
des femmes immigrantes. C’est pourquoi j’ai voulu créer un organisme
où les femmes immigrantes peuvent socialiser et se familiariser à la
société d’accueil tout en apprenant la couture.
K.M. : Quelles sont ces femmes qui participent aux activités
de Mains Utiles ?
M.C. : Les femmes qui fréquentent Mains Utiles sont des femmes
immigrantes de diverses origines. Chacune d’elle a son histoire unique,
mais un certain nombre de caractéristiques
communes peuvent les décrire : difficultés en
recherche d’emploi, faible scolarité, réseau
social non présent ou restreint, conditions
d’isolement, difficultés conjugales et familiales,
insécurité alimentaire, difficultés d’intégration,
méconnaissance des ressources d’aide
disponibles et du système de santé. Ces
femmes sont en grande partie des mères de
famille et certaines d’entre elles, des chefs de
famille monoparentale.
PSSSIIIITTT !!!
Pour ceux et celles qui souhaiteraient encourager
l’organisme par l’achat d’articles, notez que je
dispose de quelques exemplaires à mon bureau
au CLSC de Saint-Michel. Vous pouvez me joindre
au poste 5330.
K.M. : Comment se déroulent les formations de couture ?
M.C. : Les sessions se déroulent sur une période de 15 semaines.
Chaque session permet à un groupe de 10 à 12 femmes d’apprendre
à utiliser des machines à coudre industrielles et domestiques, de
connaître les techniques de coupe et d’assemblage et de comprendre
les exigences de qualité dans la production d’articles destinés à la vente
commerciale. En plus d’apprendre les techniques de base en couture,
les femmes y voient l’occasion de sortir de la maison, de rencontrer
d’autres femmes et de développer de belles relations.
K.M. : L’organisme offre-t-il d’autres services à ces femmes ?
M.C. : Les femmes n’apprennent pas seulement à coudre. Elles
bénéficient aussi d’un service d’écoute et de motivation. Elles participent
à des séances d’information avec des professionnels de divers milieux.
On y traite, par exemple, d’estime de soi et l’on y apprend à mieux
connaître la société d’accueil ainsi que les divers services d’aide dans
la communauté.
K.M. : La population a-t-elle la chance de mettre la main sur
un article conçu par les participantes ?
M.C. : Les « spécialités » de Mains Utiles sont les sacs fourretout, les tabliers parents-enfants et les ingénieux sacs pour transporter
des plats de nourriture. Tout est fait sur place, le montage, la coupe et
l’assemblage, et la plupart des pièces sont uniques. Ces articles sont
en vente dans notre atelier, du lundi au vendredi, entre 9 h et midi. Les
recettes financent directement les activités de l’organisme.
K.M. : Ce sont d’excellentes idéescadeaux pour Noël ! Merci Manoucheka
pour l’entrevue.
M.C. : J’en profite pour communiquer
nos coordonnées : 4881, rue Jarry Est, SaintLéonard, 514 993-9128, mainsutiles@hotmail.
com. J’invite également les gens à consulter
notre compte Facebook pour mieux nous
connaître.
13
Réalisations des directions
Lors de la fête de reconnaissance, quelques réalisations, petites et grandes, de chaque direction ont été mentionnées.
En voici quelques-unes. Nous vous invitons à consulter l’ensemble de celles-ci dans la section Bons coups des
directions de la page d’accueil de l’intranet.
Le saviez-vous …
B
Direction famille-enfancejeunesse et santé publique
S
ON
L
e Marché ambulant de Saint-Léonard, auquel collabore
l’équipe d’organisation communautaire, a reçu récemment le
Prix Jean-Pierre Bélanger, de l’Association pour la santé publique
du Québec, pour son excellence et son innovation en promotion
de la santé. Félicitations à toutes les personnes impliquées dans
ce projet qui vise à rendre plus accessible une alimentation saine
par la consommation de fruits et de légumes frais à prix modique !
L’équipe Di-TED-DP utilise des iPads pour réaliser des vidéos
feedback et permettre ainsi aux parents d’améliorer leurs capacités
parentales.
L’offre de service Parents Éclairés a été élargie aux enfants
0-7 ans du programme DI-TED-DP de la Direction famille-enfancejeunesse et santé publique. Ces rencontres d’information sont
aussi offertes aux familles du programme de stimulation précoce.
Direction des soins
infirmiers et des pratiques
professionnelles
Direction des services
généraux et services
spécifiques aux adultes
D
epuis 2009, le guichet d’accès pour la clientèle orpheline a
trouvé un médecin à 3 379 patients vulnérables et à 1 314
patients non vulnérables. Quel travail de taille ! Cela vaut la peine
d’y référer tout client qui n’a pas de médecin de famille !
L’équipe des maladies chroniques a rencontré durant l’année
251 usagers différents qui présentaient un diabète, une haute
tension artérielle ou une maladie pulmonaire obstructive chronique.
Bravo à l’équipe pour son dynamisme !
Le SIV, vous connaissez ? Non, ce n’est pas une maladie !
C’est la nouvelle équipe de suivi d’intensité variable en santé
mentale. Grâce à ce service, les personnes atteintes d’un trouble
de santé mentale reçoivent un suivi intensif dans leur milieu, visant
ainsi la réintégration sociale. Quel bel ajout de services !
L
’étroite collaboration entre la prévention et le contrôle
des infections et le service d’hygiène et salubrité a permis
d’atteindre 100 % de conformité aux normes de l’Agrément en 2013.
Ce travail d’équipe permet également de maîtriser rapidement les
situations d’éclosion en centre d’hébergement. Bravo pour cette
belle initiative de la Direction des soins infirmiers et des pratiques
professionnelles et de la Direction des services financiers,
techniques et informationnels !
14
Direction de la qualité
L
a démarche de planification de la visite d’agrément du CSSS
a conduit à l’obtention de l’agrément pour quatre ans. Bravo à
l’ensemble du personnel pour les efforts déployés !
Notre CSSS est un des premiers à développer un
document de référence sur le CONCEPT DE L’AUTONOMIE
PROFESSIONNELLE. Une idée audacieuse et un mandat
stimulant pour la Direction des soins infirmiers et des pratiques
professionnelles !
Lors de la mise en place de la première Semaine de la sécurité
des patients, en octobre 2013, une tournée des installations a
permis de joindre environ 400 employés afin de les sensibiliser aux
principaux risques de la clientèle et de les outiller pour les prévenir.
Cette activité se tient maintenant chaque année.
L’amélioration de la section de la Direction des soins infirmiers
et des pratiques professionnelles dans le site intranet permet de
repérer plus facilement l’information recherchée. De plus, l’ajout de
liens rapides sur la page d’accueil facilite l’accès, par exemple, aux
instances professionnelles, aux éclosions et aux outils cliniques.
Nous sommes fières de notre section, allez la visiter !
Un bulletin interne sur la sécurité des patients est réalisé quatre
fois par année par la Direction de la qualité, en collaboration avec la
Direction des soins infirmiers et des pratiques professionnelles et
la Direction des services financiers, techniques et informationnels.
Grâce à cet outil d’information, l’ensemble du personnel est
sensibilisé à l’importance de déclarer les incidents et les accidents.
Direction des services
financiers, techniques et
informationnels
Direction des services
aux personnes en perte
d’autonomie
L
L
Le service informatique et des télécommunications a
aménagé un poste de travail pour une personne non voyante. Un
défi stimulant que l’équipe a relevé avec brio !
La qualité des services offerts aux clients de l’unité
transitoire de récupération fonctionnelle est améliorée grâce au
déménagement dans un endroit mieux adapté aux besoins de
réadaptation de la clientèle. Un changement bénéfique tant pour la
clientèle que pour le personnel !
e service d’hygiène et salubrité a produit un outil promotionnel
sur les services d’hygiène et de salubrité et tenu, pour une
deuxième année, une journée de reconnaissance à l’occasion de la
Journée en hygiène et salubrité de l’Association provinciale hygiène
et salubrité en santé. Une équipe proactive qui va de l’avant !
En matière de sécurité, de nombreuses capsules de formation
ont permis à 1 217 employés d’être formés sur les mesures
d’urgence depuis le mois de mai. Tout un exploit !
Direction de l’hébergement
U
n programme clinique cadre novateur en soins de longue
durée a été implanté. Novateur, parce qu’il est axé sur
la prévention, la gestion de la qualité et le développement des
compétences des infirmières, des préposés aux bénéficiaires et
des membres de l’équipe interdisciplinaire.
Le service alimentaire a servi 629 514 repas au cours de la
dernière année et les menus ont été révisés en collaboration avec
les comités des résidents.
Les programmes de loisirs sont des sources de stimulation et
de défis plutôt que de simples activités pour passer le temps. Ce
sont 37 432 heures d’activités ludiques et thérapeutiques qui ont
été réalisées auprès des résidents et qui ont contribué à améliorer
leur qualité de vie. Bravo à tous les employés, aux familles et aux
bénévoles qui s’impliquent !
Direction des services
professionnels - Pharmacie
L
a vérification contenant-contenu est maintenant effectuée par
les assistants techniques en pharmacie, ce qui leur confère
plus de responsabilités et permet aux pharmaciens de consacrer
plus de temps aux tâches cliniques. Un changement bénéfique
pour les résidents !
Le bilan comparatif des médicaments se poursuit au Centre
d’hébergement des Quatre-Saisons et commencera bientôt au
Centre d’hébergement de Saint-Michel. Grâce à ce travail, les
risques d’erreur liés à la médication diminueront !
es compétences des auxiliaires en santé et services sociaux
sont rehaussées grâce à une formation sur la délégation
d’actes aux non professionnels offerte par une des ASI de la
direction. Quelle belle initiative !
Un groupe de résolution de problèmes en réadaptation a
permis d’améliorer l’organisation du local des aides techniques du
CLSC de Saint-Léonard. Bravo à ceux et celles qui ont contribué à
trouver ces solutions !
Direction des ressources
humaines
L
e nombre de périodes d’affichage des postes a été réduit,
passant de plus de vingt à six par année. Toute une
amélioration pour l’équipe de dotation !
Beaucoup d’informations utiles pour les employés et les
gestionnaires sont maintenant facilement accessibles grâce à
l’optimisation continue de l’onglet des Ressources humaines
dans l’intranet et à la mise à jour des offres d’emploi réellement
disponibles dans le site Internet.
Grâce au programme de références internes, la Direction des
ressources humaines a rencontré 77 personnes qui avaient été
référées par des employés. Parmi celles-ci, 39 ont été recrutées.
Une belle intitiative !
Direction générale
L
e premier mini salon de l’allaitement a attiré près de 100
personnes. Ce fut un plaisir pour l’équipe des communications
de contribuer à ce succès !
Le site Internet du CSSS a été complètement renouvelé de
façon à diffuser une information plus dynamique sur les services
offerts. Grâce à ce changement en profondeur, la population a
maintenant accès à un site plus convivial, facile à consulter !
L’achalandage du site intranet se maintient à quelque 19 000
visites par mois. Une nette croissance par rapport à 2010 grâce au
développement réalisé par les contributrices de chaque direction !
15
Gagnants des Prix reconnaissance 2013-2014 !
P
our la sixième année, nous avons procédé à la remise des
Prix reconnaissance lors de la fête de reconnaissance du
personnel. Ceux-ci ont été décernés à un collègue qui se démarque
et aux équipes dont le projet a ajouté une valeur supplémentaire à
la qualité des services à la clientèle.
Le CSSS est fier de l’engagement et du dévouement de son
personnel et tient à féliciter tous les lauréats !
Pour plus d’information sur les projets, visitez la page d’accueil
notre intranet !
Prix individuels
BIEN-ÊTRE
PERSONNALITÉ
Collègue qui se démarque par ses gestes et ses
actions qui font une différence dans le bien-être de
la clientèle, interne ou externe, ou de ses collègues
de travail.
Collègue qui se démarque par son ouverture d’esprit,
ses habiletés relationnelles et son savoir-être et
qui s’adapte aux différentes situations permettant
d’améliorer l’offre de service.
CLAIRE-MARIE
DIONNE,
MARJOLAINE
LEBLANC,
psychoéducatrice,
Direction familleenfance- jeunesse et
santé publique
préposée aux bénéficiaires,
Direction de l’hébergement
Projets d’équipe
QUALITÉ DES SERVICES À LA CLIENTÈLE
Projet qui améliore la qualité des services offerts
à la clientèle interne ou externe.
VALORISATION DES RÔLES ET DÉVELOPPEMENT
DES COMPÉTENCES EN SOINS D’ASSISTANCE
Réalisé par Nathalie Bergeron, chef du service alimentaire, MarieThérèse Charron, Line Désorcy, Josée Gagnon, Sylvie-Anne Phaneuf,
Renzo Moya et Jean Poussier, préposés aux bénéficiaires, Alain Coulombe, chef d’unité, Hélène Deaudelin, travailleuse sociale, Michel Levesque,
directeur, Hélène Morin, assistante au supérieur immédiat, Manon Paquin, coordonnatrice développement clinique, Direction de l’hébergement,
Monique Deslongchamps, conseillère cadre en communication, Direction générale, et Marise Dion, infirmière clinicienne consultante.
INNOVATION
Projet qui, par son caractère novateur, a permis d’apporter
une valeur supplémentaire à la qualité des services pour
la clientèle, tant interne qu’externe, ou qui a permis de
consolider des services déjà en place.
L’ESPACE PARENTS
Réalisé par Anne-Laurie Beaubrun, France Desgagné, infirmières cliniciennes, Claude
Doyon, coordonnateur au développement des communautés et santé publique,
Judith Fabien, travailleuse sociale, Francis Gagnon, organisateur communautaire,
Leila Ghattas, travailleuse sociale, et Angela Mancini, chef de l’administration de programmes, Direction famille-enfance-jeunesse et santé publique,
ainsi que Nancy Boisvert, conseillère cadre, Direction des soins infirmiers et des pratiques professionnelles.