CYRIL MOULIN Cyril Moulin Né le 29 juin 1969 Nationalité française Directeur de recherche en sciences du climat LSCE CEA/Saclay – bât. 701 91191 Gif-sur-Yvette cedex tél. : 01 69 08 71 20 mél : [email protected] EVOLUTION PROFESSIONNELLE Depuis 2011 Directeur du Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement (LSCE) Unité Mixte de Recherche (UMR 8212) de 320 personnes, dont 160 chercheurs permanents, associant le Commissariat à l’Energie Atomique (CEA), le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) et l’Université de Versailles - Saint Quentin (UVSQ). 2010 Directeur Adjoint du LSCE 2007-2009 Animateur et Administrateur de la Recherche • Délégué scientifique à l’Institut National des Sciences de l’Univers (INSU) pour la structuration nationale de la recherche en océanographie et l’administration des 16 laboratoires de recherche en océanographie. • Direction scientifique et administrative d’une équipe de recherche en océanographie de 15 personnes, dont 5 chercheurs permanents (LSCE). 1998-2009 Chercheur en Télédétection Spatiale • Animation de plusieurs projets de recherche nationaux et participation à plusieurs projets européens. • Encadrement du travail de 7 doctorants, 6 post-doctorants et 4 ingénieurs. • Développement d’une chaîne de traitement opérationnel des données du capteur spatial POLDER pour le Centre National des Etudes Spatiales (CNES). • Participation à des comités scientifiques nationaux et internationaux. DIPLOMES, 2006 2005 1999 1998 1997 1992 FORMATIONS & DISTINCTIONS Habilitation à Diriger des Recherches de l’UVSQ. Médaille de Bronze du CNRS. Chercheur Invité au Physics Department de l’Université de Miami (USA). Chercheur CEA au LSCE. Doctorat en Océanologie, Météorologie et Environnement de l’Université Pierre et Marie Curie. Diplôme d’Ingénieur de l’Ecole Nationale Supérieure des Techniques Avancées. Diplôme d’Etudes Approfondies de l’Université Pierre et Marie Curie. TRAVAUX DE RECHERCHE • Développement d’algorithmes de traitement des données de capteurs spatiaux d’observation de la Terre pour la détection des aérosols dans l’atmosphère et du phytoplancton dans l’océan. • Application à l’étude des propriétés optiques des poussières d’Afrique et de l’impact du changement climatique sur l’intensité du transport atmosphérique de ces aérosols. • Application à l’étude de l’impact du changement climatique sur les écosystèmes marins et sur les flux océaniques de CO2 associés. • Contribution à plus de 50 publications de rang A (facteur d’impact > 1), dont 24 en premier ou deuxième auteur.
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