ASSOCIATION DES PAYSAGISTES-CONSEILS DE L’ETAT CO-HABITER // FARE CO-ABITARE OU LA COMPLEXITÉ COMME MANIÈRE DE COMPRENDRE ET DE RÉSOUDRE LES QUESTIONS CONTEMPORAINES DE L’AMÉNAGEMENT O LA COMPLESSITA' COME MODO DI CAPIRE E RISOLVERE LE QUESTIONI DEL PROGETTO CONTEMPORANEO DEL PAESAGGIO Séminaire à Rome // Seminario a Roma 5, 6 & 7 juin 2014 // 5, 6 & 7 giugno 2014 [email protected] www.paysagistes-conseils.org ASSOCIATION DES PAYSAGISTES-CONSEIL DE L’ETAT Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 3 ORGANISATION DU SÉMINAIRE Giovanna Marinoni, Claire Alliod, Sébastien Géorgis, Agnès Bochet, Pascale Gaucher, Claire Laubie, Caroline Bigot. TRADUCTION DES TEXTES Giovanna Marinoni. LOGISTIQUE Claude Launay (secrétariat) et Claire Genty (Ici la Terre). COMMUNICATION Florence Morisot. CONTACTS [email protected] Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 4 CO-HABITER OU LA COMPLEXITÉ COMME MANIÈRE DE COMPRENDRE ET DE RÉSOUDRE LES QUESTIONS CONTEMPORAINES DE L’AMÉNAGEMENT Le choix de l’Italie comme lieu du prochain séminaire de formation des paysagistes-conseils de l’État s’appuie sur deux singularités importantes dans nos questionnements actuels : la capacité de ce pays à développer une réflexion théorique de premier plan en Europe sur la transformation des villes et des territoires : les théoriciens et praticiens de l’urbanisme et de l’aménagement tels Paola Vigano, Grand Prix d’urbanisme 2013, (et son concept de la “ville poreuse”), Bernardo Secchi (la “città diffusa”) ou Alberto Magnaghi (il “Progetto Locale”) et bien d’autres encore, animent le débat européen sur la ville contemporaine, l’alimentent de nouvelles visions et de nouveaux concepts qui éclairent nos manières de concevoir les projets d’aménagement. des modes de gouvernance dans lesquels les rapports entre les différents niveaux de pouvoir territorial (du local à l’État central) et entre les différents acteurs (et en particulier dans le jeu public/privé) sont radicalement différents des nôtres. Cela permet, par les décalages et les ouvertures produits, de réfléchir sur l’évolution de nos missions, notamment dans le cadre du nouveau positionnement des services de l’État dans les territoires. En outre, la question du paysage tient en Italie une place singulière : la définition du concept y est bien plus proche de la nôtre que de celle des pays anglo-saxons ou d’Europe du nord et de l’est. Il n’est pas indifférent que la définition retenue dans la Convention Européenne du Paysage ait été élaborée à Florence (et à l’invitation des paysagistes italiens), en tout cas, dans sa première partie : “paysage désigne une partie de territoire telle que perçue par les populations” (la suite, d’influence plus septentrionale, fait plus de place aux processus physiques et à l’écologie…). Si la “partie de territoire…“ désigne bien la dimension physique, “… telle que perçue” affirme la perception par les sens, donc sensible, “par les populations” confirme la dimension sociale et culturelle des représentations que l’on s’en fait. Pourtant, curieusement, l’Italie n’a pas développé une école spécifique telle que cela a pu se produire en France au début des années 80. Les “paysagistes” italiens sont parfois des architectes ayant développé une spécialisation, d’autres fois des exper ts forestiers (“forestali”) venus se confronter aux problématiques du “verde urbano”, d’autres fois encore, des urbanistes, des écologues ou des plasticiens. Nous profiterons de notre présence parmi eux pour échanger sur nos différences d’origines, de formations et de pratiques, pour comprendre la place que les paysagistes occupent en Italie dans la fabrication de la ville et des territoires afin de reconsidérer notre expertise de paysagiste-conseil de l’État au sein des services de l’État en France au regard d’expériences situées dans un contexte constitutionnel radicalement différent. Sébastien Giorgis, Architecte paysagiste dplg Paysagiste-conseil DRIE Ile-de-France Président de l’APCE en 2013/2014 La scelta dell’Italia come meta del prossimo seminario dei Paesaggisti Consulenti dello Stato scaturisce da due singolarità importanti che meritano attenzione : la capacità di questo paese di sviluppare una ricerca teorica fondamentale e di primo piano in Europa riguardo alla trasformazione delle città e del territorio : i teorici e professionisti dell’urbanistica e della pianificazione territoriale, quali Paola Vigano, (Gran Premio di Urbanismo del 2013, in Francia), attraverso il concetto di “città porosa”, Bernardo Secchi (la “città diffusa”),Alberto Magnaghi (il “progetto locale”), e ben altri ancora, animano il dibattito europeo sulla città contemporanea, l’alimentano di nuove visioni e di nuovi concetti che illuminano la nostra propria visione di progettisti. L’articolazione dei processi di governance del territorio, a diverse scale di competenza (nazionale, regionale, provinciale, cumunale) e assunti da diversi attori (in particolare tra “pubblico e privato”) radicalmente diversi dai nostri. Questo confronto, grazie alla varietà dei temi implicati, permetterà di suscitare nuove idee e dibattiti, sull’evoluzione stessa delle nostre missioni, in par ticolare rispetto al recente posizionamento dei servizi dello Stato (francese) nei territori decentralizzati. Inoltre, la questione del “paesaggio” in Italia occupa un posto particolare : la definizione del concetto stesso è più simile alla nostra che a quella dei paesi anglo-sassoni. Non a caso la definizione data dalla Convenzione 1. Traduzione del testo ufficiale in inglese e francese predisposta dal Congresso dei poteri locali e regionali del Consiglio d'Europa in collaborazione con il Ministero per i Beni e le Attività Culturali, Ufficio Centrale per i Beni Ambientali e Paesaggistici, in occasione della Conferenza Ministeriale di Europea del Paesaggio è stata elaborata a Firenze, promossa dai paesaggisti italiani, in prima linea. Il “‘Paesaggio’ designa una determinata parte di territorio, così come è percepita dalle popolazioni, il cui carattere deriva dall'azione di fattori naturali e/o umani e dalle loro interrelazioni1”. Il seguito, d’influenza più settentrionale, da più spazio ai processi fisiologici e all’ecologia. Se la “porzione di territorio…“definisce precisamente una dimensione fisica, “…tale che percepita dalle popolazioni”, afferma il riconoscimento di una percezione più sensibile e conferma la dimensione sociale e culturale delle sue rappresentazioni. Eppure, singolarmente, l’Italia non ha sviluppato una scuola specifica simile a quella che ha potuto svilupparsi in francia negli anni ’80, nonostante gli sforzi di alcune realtà molto viveI aggiungere spazio paesaggisti italiani sono per lo più degli architetti che hanno approfondito una specializzazione, altre volte degli agronomi, ingegneri, forestali ecc. che hanno scelto di confrontarsi con la progettazione del verde pubblico, o ancora degli urbanisti, degli ecologi o dei designers. Approfitteremo della nostra presenza presso di loro per confrontare le nostre origini, formazioni, pratiche professionali per capire che ruolo essi svolgono in Italia e in che modo contribuiscono al progetto del territorio, al fine di offrirci un nuovo punto di vista, rispetto a un contesto costituzionale diverso, e riconsiderare la nostra azione di perizia e consiglio presso i servizi dello Stato francese. Sébastien Giorgis Architetto paesaggista Consuente presso Direzione Regionale Ile-de-France Presidente dell APCE 2013/14 Apertura alla firma della Convenzione Europea del Paesaggio La traduzione e la pubblicazione del testo sono state curate da Manuel R. Guido e Daniela Sandroni dell'Ufficio Centrale per i Beni Ambientali e Paesaggistici. 5 Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 FARE CO-ABITARE O LA COMPLESSITA' COME MODO DI CAPIRE E RISOLVERE LE QUESTIONI DEL PROGETTO CONTEMPORANEO DEL PAESAGGIO Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 6 L’ESPACE PUBLIC, LIEU DE MIXITE L’espace public est en Italie, comme dans la plupart des pays méditerranéens, le vrai lieu de la mixité. C’est pourquoi, nous avons choisi tout naturellement le sujet de la co-habitation comme thème de réflexions, d’échanges et de projets … D’une manière générale, l’idée même de création d’espaces publics nouveaux ne trouve pas culturellement la même signification ni réalité qu’en France, en tous cas lorsqu’il n’y a pas d’ancrage avec le “passé”, les lieux historiques ayant toujours été des jalons structurels des extensions urbaines. Le territoire en Italie est un lieu de sédimentation où les occupations et les projets se renouvellent perpétuellement, alors qu’en France tout ce qui est nouveau est par définition conquis sur l’espace rural ou forestier. L’économie de l’espace est une nécessité dans un pays en grande partie montagneux, dont la surface est la moitié de la France, avec le même nombre d’habitants. C’est dans un état caractérisé par le manque de surfaces et de finances publiques que le territoire se gouverne, se (re)structure se (re)organise. En Italie, les pouvoirs publics ont depuis longtemps su tirer profit d’un mécénat privé qui, en investissant sur la réhabilitation d’un monument historique, pouvait associer son image de marque à ce monument, ou à un musée ou une place connus mondialement ... Mais aussi “l’espace à l’extérieur de l’habitation” est considéré aujourd’hui comme une entité concernant autant le public que le privé et des projets sont fondés sur une mise en commun des intérêts, en utilisant différemment les différents étages du foncier par exemple (parking privé en sous-sol et parc public en rezde-chaussée…), ou en mettant en place des servitudes. En conséquence les acteurs du “projet de territoire” sont très divers en Italie, tout comme les procédures et les financements, selon les régions, les cultures et pratiques locales. Le règlement national d’urbanisme (RNU), par exemple, est remplacé par un règlement institué au niveau régional. Un des objectifs du séminaire serait celui de connaître les politiques mises en place à cet échelon régional notamment et évaluer leur résultat sur le paysage et le cadre de vie des citoyens. Par ailleurs l’Etat, par le Ministère de la Culture est par ticulièrement moteur dans l’application de la Convention Européenne du Paysage et valorise des véritables projets politiques portés par des collectivités qui sont censés traduire une application concrète des principes énoncés par le Conseil de l’Europe. Remarquons que le prix du Conseil de l’Europe de 2011, attribué tous les 2 ans dans le cadre de l’application de la Convention Européenne du Paysage a été attribué à l’Italie pour la ville de Carbonia, en Sardaigne (Sud-ouest). Cette ancienne ville minière de l’époque fasciste a fait l’objet d’un important projet de réhabilitation, de valorisation du patrimoine industriel et divers projets culturels, dont la réhabilitation de la gare (par l’architecte suisse Snozzi). http://www.sardegnacultura.it Le prix de la sélection italienne de 2013, par ticulièrement apprécié par la commission d’attribution, a été donné à un projet mené par une association de lutte contre la mafia, qui cherche à reconquérir des terrains pour recréer de l’activité agricole (sviluppo sostenibile). http://www.premiopaesaggio.it (l’Italie par ailleurs était arrivée en deuxième place en 2009, avec le projet “sistema dei Parchi della Val di Cornia” presentato dal Circondario della Val di Cornia e Parchi Val di Cornia SpA.) http://www.parchivaldicornia.it Ce séminaire s’inscrit en continuité avec le séminaire de 2009 à Paris, dont l’ambition était de faire un état des politiques publiques en matière de paysage à l’échelle européenne. Le principe d’un séminaire sur deux à l’étranger permet d’alterner entre “vérification du résultat des politiques publiques sur un territoire donné” (en France) et “comparaison des outils et des acteurs”, en dehors de l’hexagone. L’Italie est un pays très varié qu’aucun séminaire ne saurait cerner globalement. Néanmoins c’est un pays qui a toujours généré conjointement de la pensée et des productions innovantes, il est particulièrement intéressant, par temps de crise et à l’heure où la civilisation européenne et méditerranéenne sont à l’honneur, de voir quelles sont les pistes que ce pays choisit pour valoriser ses paysages, dont beauté et vulnérabilité sont indissociables. Giovanna Marinoni, paysagiste dplg Paysagiste-conseil de l’Etat en DDT 24 Référente pour l’organisation du séminaire 2014 Lo spazio pubblico è in Italia, come nella maggior parte dei paesi mediterranei, il vero luogo della coabitazione (“mixité”), e perciò, oggetto che abbiamo privilegiato immediatamente nella preparazione di questo seminario. In generale l’idea stessa della progettazione di nuovi spazi pubblici non sembra trovare, culturalmente, lo stesso significato e la stessa realtà che ha in Francia, al di là di situazioni che presentano un legame evidente con un riferimento storico, patrimoniale. I luoghi “storici” sono considerati dai semplici cittadini italiani, anche per un uso corrente, la piazza o il bar dove ci si ritrova “da sempre”, e sarebbe interessante capire come questi luoghi di ritrovo comuni, allo stesso tempo simbolici e banali, assumono un ruolo di centralità e convergenza nei progetti contemporanei di assestamento del territorio, e come partecipano i cittadini alla loro elaborazione. Il territorio italiano è un luogo di sedimentazione dove i progetti si sovrappongono strutturalmente, mentre in Francia tutto ciò che è nuovo è conquistato, per definizione, sugli spazi naturali o agricoli (anche se questo è altrettanto vero in Italia…il consumo di suolo degli ultimi 10 anni è proporzionalmente maggiore che in Francia e interessa prevalentemente le aree agricole) L’economia del territorio, recentemente iscritta come obbiettivo nelle leggi di Stato francese, risulta essere una necessità in un paese montuoso come l'Italia, la cui superficie é la metà della Francia, con un numero equivalente di abitanti. In uno Stato caratterizzato dalla mancanza di superficie, e di finanze pubbliche, il territorio si gestisce, si (ri)struttura, si (ri)organizza, in modo radicalmente diverso dal nostro (francese). L’amministrazione pubblica ha di fatto da sempre saputo trarre profitto da investitori privati che, investendo sul restauro di un monumento storico, per esempio, potevano associare la propria immagine a un monumento, una chiesa, o una piazza di rinomata fama mondiale … Ma lo “spazio all’esterno dell’abitazione”, è anche esso considerato in Italia come un luogo dove interesse pubblico e privato si incontrano, per dar luogo a dei progetti le cui funzionalità, sistemi di gestione e investimenti sono misti, addirittura sovrapposti (esempio di parcheggio privato sottostante una piazza pubblica, o servitù di accesso attraverso delle proprietà private), con il rischio, a volte, di una certa confusione (o poca visibilità, rischio che l’interesse privato prevalichi su quello pubblico, soprattutto se la parte politica è debole come spesso accade). Gli attori del progetto del territorio in Italia sono molteplici, fondamentalmente diversi da quelli francesi, come il processo di decisione, di finanziamento e di realizzazione. Il sistema di associazione pubblico/privato ha prodotto in Italia la maggior parte delle realizzazioni e una grande esperienza a tutte le scale di intervento, di cui vorremmo sapere di più.. Per esempio, in Italia la legge urbanistica nazionale è stata superata, e ormai praticamente sostituita, dalle leggi urbanistiche regionali.. Uno degli obbiettivi del seminario è di far conoscere in particolare gli strumenti di governo e di legge italiani in materia di paesaggio (nonchè relativi agli spazi pubblici , agricoli, naturali) con gli strumenti di governo e di legge italiana in materia di paesaggio (ma anche di spazi pubblici, agricoli, naturali) di scala regionale, dal momento che la nuova politica dello Stato francese sta organizzando gli strumenti operativi di gestione e di protezione proprio a questo livello, e bisogna confrontare esperienze e risultati. Lo Stato Italiano, attraverso il Ministero dei Beni Culturali, si è per altro particolarmente mobilizzato nell’applicazione della Convenzione Europea del Paesaggio, e valorizza i progetti sostenuti dalle amministrazioni locali, progetti che traducono concretamente i precetti della legge istituita dal Consiglio d’Europa. Notare che il Consiglio d’Europa ha premiato l’Italia nel 2011, per la città di Carbonia (Sardegna) e che la commissione ha apprezzato molto il progetto vincitore della selezione italiana per il 2013, attribuito all’associazione « libera », che lotta contro la mafia per riconquistare le terre agricole per uno sviluppo sostenibile nel Sud-Italia. L’italia è arrivata seconda nel 2009 con il progetto di sistema di parchi delVal di Cornia. Giovanna Marinoni, paesaggista, Consulente presso la Direzione Provinciale della Dordogne Organizzatrice del seminario 2014 7 Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 LO SPAZIO PUBBLICO, LUOGO DI COABITAZIONE Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 8 LE THEME DU SEMINAIRE TEMA DEL SEMINARIO La mixité dans le projet de territoire et dans tous ses aspects - “faire cohabiter” - nous semble un point de départ particulièrement fertile pour partager du sens et du concret avec nos confrères italiens, pouvant nourrir tant nos actions de conseil, que notre expérience de praticiens concepteurs. Cela pourrait être l’intitulé du thème général. Faire cohabiter la valeur paysagère d’un territoire avec l’étalement urbain (en France) et l’urbanisme diffus (en Italie) Faire cohabiter ville et campagne, la campagne en ville, la ville à la campagne, les interfaces, les potentialités Faire cohabiter le “milieu naturel” avec les territoires à valeur économique (agriculture, industrie, tourisme …) Faire cohabiter, (mixité des) investissements public/privé etcetera Fare coabitare i soggetti, gli usi, i metodi, nel progetto di territorio e attraverso tutti gli approcci – ci sembra essere un punto di partenza particolarmente ricco sia per condividere senso e esempi di azioni con i nostri colleghi italiani, sia per migliorare le nostre esperienze di perizia presso i servizi dello Stato e nell’ambito dell’esercizio professionale Fare co-abitare il valore paesaggistico di un territorio con l' "espansione urbana" in Francia e l' "urbanizzazione diffusa" in Italia Fare coabitare città e campagna, la campagna in città e la città in campagna, le interfacce, le potenzialità Fare coabitare la difesa dell’ambiente con lo sviluppo economico del territorio, in tutte le sue potenzialità (agricoltura, industria, turismo) Fare coabitare l’investimento pubblico e privato eccetera Parmi les différents sujets qui nous concernent particulièrement dans notre rôle de paysagistes-conseils de l’État, et que l’on retrouve dans l’ensemble des textes de loi récentes et à venir (SRU, Grenelles et future loi bio-diversité), la question de l’étalement urbain et des impacts de ce modèle unique de développement urbain sur la société elle-même (les zones pavillonnaires aujourd’hui identifiées comme lieux de fracture sociale), sur le milieu naturel, sur l’épuisement des ressources et les enjeux climatiques directement associés (énergie, transports), constitue à la fois un sujet central dans nos actions de conseils (tant en milieu péri-urbain que rural), un lieu de convergence d’approches et d’interventions pluridisciplinaires (architectes, urbanistes, paysagistes, sociologues, écologues, économistes, artistes …), et un sujet qui se prête particulièrement bien à la mise en comparaison avec les recherches et expériences de professionnels d’un pays proche et néanmoins différent. Il nous semble que le développement urbain en Italie ne prend pas, historiquement, la forme unique de l’habitat individuel, et nous souhaiterions connaître quels autres modèles sont envisageables, comprendre les fonctionnements, les dysfonctionnements, les projets urbains sur un territoire largement consommé par un tissus industriel et urbain (la Plaine du Po par exemple) et où l’on retrouve, néanmoins une certaine densité urbaine hors centres-villes et une forme de “co-pénétration” entre tissu urbain et terres agricoles. Tra i diversi temi trattati nell’ambito della nostra missione di consulenza presso i servizi dello Stato, la questione dell'espansione delle aree urbane, come modello unico di sviluppo e il loro impatto sulla società stessa (le periferie costituite da case monofamiliarii sono oggi identificate come luoghi di “frattura sociale”), sull’ambiente naturale, sul consumo e riduzione delle risorse, sul clima, costituisce, primo, un argomento centrale di analisi e al tempo stesso di indirizzo (sia in ambito rurale che urbano), secondo un punto di convergenza di approcci pluri-disciplinari (architetti, urbanisti, paesaggisti, sociologi, ecologi, economisti, artisti …), terzo, un soggetto ideale di confronto tra due paesi vicini ma molto diversi. Sembrerebbe che in Italia che lo sviluppo urbano non prenda la forma unica della casa monofamiliare, e ci interessa conoscere quali altri modelli di densificazione sono possibili, capirne i funzionamenti, le criticità, su un territorio limitato dove si incontrano una certa densità al di fuori dei principali centri urbani, e una forma di compenetrazione tra il tessuto urbano e le terre agricole. QUESTIONNEMENTS JOURNÉE 1 : PAYSAGE ET PAYSAGISTES EN ITALIE ET DANS LES INSTITUTIONS ITALIENNES Qui sont les acteurs du paysage en Italie ? Quelle est la politique de l’Etat italien en matière de paysage ? Comment l’Etat italien met en œuvre sa politique ? Quel est le cadre législatif spécifique du paysage et des différentes approches paysagères ? (RNU, PLU, SCOT, Conseils, etc.) Comment ce cadre se décline dans les échelles de territoire, Etat, région, provinces, communautés (de montagne, urbaines…) communes ? Est-ce que l’Etat italien fait appel aux conseils et expertises de paysagistes ? (d’architectes ?) Même question pour les régions ou autres structures de gouvernance type communauté de montagne ou d’agglomération par exemple ? Est-ce que le paysage est considéré en Italie comme une question patrimoniale (protection) ou comme le fondement d’un projet de territoire ? (dans chaque cas, par qui ? sur quelles valeurs ?) Quelle est la place et le rôle du paysagiste en Italie dans ce dispositif (statut professionnel, formation, estimation du nombre) ? Fonctionnement de la commande, quel financement public ? Quelle maîtrise d’ouvrage ? Quelles sont les considérations des autres ministères sur le paysage et les paysagistes (agriculture, aménagement et équipement…) Quelle est la place du paysage par rapport à l’environnement et la compréhension par les institutions italiennes du concept de paysage et de sa place dans la réflexion sur les territoires, aux différentes échelles, Etat, Région (avec beaucoup plus de pouvoirs, notamment législatifs, qu’en France), Province et Commune ? Sur quelle(s) définition(s) du concept de “ paysage” travaille-t-on ? Convention Européenne du Paysage ? D’autres ? “Paysage” distingués ? et “territoire” sont-ils clairement JOURNÉE 2 : PROJET DE PAYSAGE, PROJET DE TERRITOIRE Qui porte le projet (quelle est l’échelle politique de décision) et qui sont les acteurs du projet de territoire (architectes, urbanistes, paysagistes, sociologues, économistes etc.) ? Quel est le processus de décision, de financement, d’attribution ? Qu’est-ce qui fonde le projet de territoire en Italie ? Et quelle est la place du paysage dans le projet de territoire ? Qu’est-ce qui différencie le territoire et le paysage en Italie ? Comment sont pris en compte l’approche géographique, historique, environnementaliste et sociale en Italie ? Comment rentrent en compte dans le projet de territoire le point de vue politique, les enjeux de la représentation, de la perception, de l’interprétation (au sens de la Conv. Eur. du Paysage) ? Comment faire cohabiter : patrimoine et modernité, intérêt public et privé, territoire urbain et rural ? Quel est le rôle de l’espace public dans le projet de territoire ? L’agriculture est-elle un paramètre important dans les projets de paysage territoriaux ? Quel est le contenu des projets de territoire, notamment en terme de paysage (mais aussi en terme d’espace public, de gestion des espaces agricoles et naturels …) et le rôle des différents métiers dans l’élaboration et la mise en œuvre des projets, aux différentes échelles, Etat, Région (avec beaucoup plus de pouvoirs, notamment législatifs, qu’en France), Province et Commune Quelle sont les différentes théories des territoires et de la ville qui font débat aujourd’hui en Italie ? Quels positionnements contemporains sur la question de l’espace public Quelle est la place de la notion de “ paysage” dans ces débats, le concept est-il explicitement mobilisé ? Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 9 Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 10 QUESTIONI DA APPROFONDIRE PRIMO GIORNO : IL PAESAGGIO E I PAESAGGISTI IN ITALIA E NELLE ISTITUZIONI ITALIANE Chi sono gli attori del paesaggio in Italia ? Qual è la politica dello Stato italiano in materia di paesaggio ? In che modo lo Stato italiano mette in opera la sua politica in materia di paesaggio ? Qual è il quadro legislativo specifico relativo al paesaggio e ai diversi approcci collegati alla problematica del paesaggio ? In che modo questo quadro legislativo si applica alle diverse scale, territorio nazionale, régioni, comuni ? Lo stato italiano utilizza i consigli e la perizia di esperti del paesaggio per realizzare la sua politica in materia di paesaggio ? in qual modo ? e di architetti ? E le regioni o altre istituzioni di governo, tipo comunità montana, Parchi ? Come viene considerato in Italia il paesaggio nelle istituzioni : un elemento patrimoniale da proteggere, o il fondamento di un progetto di territorio ? E in ogni caso da chi ? Su che valori ? Qual è la situazione e il ruolo dei paesaggisti in Italia, in questo dispositivo (statuto socio-professionale, formazione, quantità ecc.) ? Come funzionano gli incarichi pubblici ? quali finanziamenti pubblici ? privati ? Chi sono i committenti? Come è considerata e trattata la questione del paesaggio (e il ruolo dei paesaggisti) dagli altri ministeri ? (dell’agricoltura, delle infrastrutture) ? Com’è considerato in Italia il paesaggio riguardo alla questione dell’ambiente ? qual è la comprensione delle istituzioni di governo del concetto di paesaggio ? a quale livello la questione del paesaggio viene considerata (dalle istituzioni) nel progetto del territorio ? Alle diverse scale di intervento (nazionale, regionale, comunale) che differenza c’è in Italia tra “paesaggio” e “territorio” ? Su quale(quali) definizione(i) del paesaggio si è riflettuto in Italia rispetto alla convenzione europea del paesaggio ? S E C O N D O G I O R N O : I L P R OG E T T O D E L PAESAGGIO, IL PROGETTO DEL TERRITORIO Chi porta il progetto del territorio, nel senso di a quale scala è attivato il processo di decisione ? Chi sono i principali attori del progetto (architetti, urbanisti, paesaggisti, sociologi, economisti, ecc.) ? Come funziona il processo di decisione, di finanziamento, di attribuzione dell’incarico ? Che cosa fonda il progetto del territorio in Italia ? E qual è il ruolo del paesaggio nell’elaborazione del progetto ? Che cosa si intende in Italia come differenza tra territorio e paesaggio ? Come si tiene conto, in Italia, dei diversi approcci geografico, storico, ambientale, e sociale,? Come sono considerati e utilizzati nel processo progettuale gli aspetti politici, la rappresentazione, la percezione, l’approccio “sensibile”, l’interpretazione (rispetto alla Convenzione Europea del Paesaggio ? Come fare co-abitare : patrimonio e modernità, interesse pubblico e privato, territorio urbano e rurale ? Qual è il ruolo dello spazio pubblico nel progetto del territorio ? L’agricoltura è un fattore determinante del progetto sul territorio ? Quale contenuti, nel progetto di territorio, si riferiscono al paesaggio ? E allo spazio pubblico, alla gestione degli spazi naturali o agricoli ? Alle diverse scale di intervento (nazionale, regionale, comunale) ? Quali sono le differenze teoriche sul modo di intervenire sul territorio e sulla città, che formulano il pensiero e il dibattito in Italia ? Quali sono le diverse posizioni contemporanee sullo spazio pubblico ? Che funzione e capacità di mobilizzare ha il concetto di “paesaggio” in questi dibattiti ? PROGRAMME // PROGRAMMA PAGE APRÈS-MIDI : L’ÉCHELLE RÉGIONALE, LA VILLE DE ROME, LE PRIX DU CONSEIL DE L’EUROPE (PRINCIPALES SÉLECTIONS ITALIENNES), LE RÔLE ET LA FORMATION DES PAYSAGISTES, L’INTERVENTION DES PAYSAGISTES DANS LA MISE EN ŒUVRE DE LA POLITIQUE DE L’ETAT. 14 // VENDREDI 6 JUIN 2014 MATIN : PRÉSENTATION PAGE PAGE 12 // JEUDI 5 JUIN 2014 MATIN : PRÉSENTATION DE LA POLITIQUE DE L’ETAT ITALIEN EN MATIÈRE DE PAYSAGE. DE PROJETS DE PAYSAGE. APRÈS-MIDI : INTERVENTIONS TERRITOIRE. ET DÉBATS SUR LA QUESTION ÉLARGIE DU PROJET DE 16 // SAMEDI 7 JUIN 2014 MATIN : VISITE ORGANISÉE DU PARC APRÈS-MIDI : VISITES LIBRES. DE L’APPIA ANTICA 13 // GIOVEDI 5 GIUGNO 2014 MATTINA : PRESENTAZIONE DELLA POLITICA DELLO STATO ITALIANO IN MATERIA DI PAESAGGIO, LA SCALA REGIONALE, IL COMUNE DI ROMA, IL PREMIO DEL CONSIGLIO DELL’EUROPA, LE SELEZIONI ITALIANE. POMERIGGIO : IL RUOLO E LE MODALITÀ DI INTERVENTO DEI PAESAGGISTI NELL’APPLICAZIONE DELLA POLITICA DELLO STATO, LA FORMAZIONE, LE SCUOLE. PAGE 15 // VENERDI 6 GIUGNO 2014 MATTINA : PRESENTAZIONE DI PROGETTI DI PAESAGGIO A SCALA DEL TERRITORIO, CON INTERVENTO DI PAESAGGISTI. POMERIGGIO : LE SPECIFICITÀ ITALIANE, DA UN PUNTO DI VISTA TEORICO E/O OPERAZIONALE, NELL’AMBITO DI POLITICHE PUBBLICHE (COMUNALI O ALTRO) NEL PROGETTO DI TERRITORIO. PAGE 16 // SABATO 7 GIUGNO 2014 MATTINA : VISITA ORGANIZZATA DEL PARCO DELL’APPIA ANTICA. POMERIGGIO : VISITE LIBERE Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 PAGE 11 Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 12 JEUDI 5 JUIN 2014 9h00 Accueil au Palazzo Santa Chiara Piazza di Santa Chiara 14 - 00186 Roma Tel : +39 06 687 5579 Trajet depuis l’hôtel Domus Pacis Torre Rossa en transport en commun : voir plan p. 31/32 (prévoir 45 mn minimum de trajet). 10h00 Introduction par Sébastien Giorgis, paysagisteconseil DRIE Ile-de-France. 10h10 Présentation de la politique de la France et de la mission des paysagistes-conseils de l’État, par des représentantes du Ministère de l’Écologie, du Développement Durable et de l’Énergie : Catherine Bergeal, conseillère auprès du directeur général de l’aménagement, du logement et de la nature (DGALN), et Karine Mangin, chargés de mission paysages au Bureau des paysages et de la publicité. 10h30 Présentation de la politique de l’Italie en matière de paysage et du rôle des régions dans le processus d’application de la politique de l’Etat et de la Convention Européenne du Paysage, par l’architecte Roberto Banchini, directeur du Service IV Tutelle et Qualité du Paysage au Ministère des Biens et des Activités Culturelles et du Tourisme / Direction Générale pour le Paysage, les Beaux Arts, l’Architecture et l’Art Contemporain. 11h00 Présentation des sélections italiennes pour le prix du Conseil de l’Europe par Maria Maddalena Alessandro, architecte, service IV Tutelle et Qualité du Paysage. 11h30 Questions/réponses 11h40 Présentation de la politique de la ville de Rome en matière de planification, environnement et paysage. Le projet de renouvellement des villas et jardins historiques comme nouveaux espaces publics, par l’architecte Paola Cannavo, membre de l’équipe de l'adjoint à la Culture de Rome Capitale : Les villas romaines historiques, nouvelles politiques de gouvernance du principal système paysager de la ville de Rome. 12h00 Questions/débat, animé par Sebastien Giorgis et Catherine Soula, présidente de l’APCE. 12h30 Déjeuner au restaurant I Tre Scalini, Piazza Navona - trajet vers le restaurat à pied : voir plan p. 33. 14h00 Intervention du Professeur architecte Biagio Guggione, président du MASTER en architecture du paysage de l’Université de Florence : Les paysagistes italiens dans les quarante dernières années, le parcours des paysagistes pionniers en Italie et la naissance des écoles de paysage, jusqu’à nos jours. 14h45 Intervention de Paolo Villa, architecte paysagiste : le rôle des paysagistes et de l’AIAPP (équivalent de la FFP), dans l’application de la politique de l’Etat, des Régions, des Provinces et des communes en matière de paysage et planification. La commande publique et privée. 15h 30 Intervention de Gioia Gibelli, architecte paysagiste : la mise en œuvre de la politique de l’Etat à travers les grands projets, échelle régionale et départementale. 16h15 Synthèse et débat animé par Sébastien Giorgis et Catherine Soula, présidente de l’APCE 17h00 Visites libres à Villa Borghese et la Promenade du Pincio - Trajet vers la Villa Borghese à pied : voir plan p. 30. 20h00 Dîner officiel à la Casina Valadier (Villa Borghese) - Trajet du retour vers l’hôtel Domus Pacis Torre Rossa : voir plan p. 34. Passeggiata del Pincio (XIXème) où se trouve la Casina Valadier : http://www.sovraintendenzaroma.it/i_luoghi/ville_e_parch i_storici/passeggiate_parchi_e_giardini/passeggiata_del_pi ncio Villa Borghese du XVIIème : http://www.sovraintendenzaroma.it/i_luoghi/ville_e_parc hi_storici/ville_dei_nobili/villa_borghese GIOVEDI 5 GIUGNO 2014 10h00 Introduzione di Sébastien Giorgis, paysagisteconseil DRIE Ile-de-France 10h10 Presentazione della politica dello Stato francese sul paesaggio e della missione dei paesaggisti consulenti : Catherine Bergeal, Consigliera presso il Direzione Generale dell’assetto del territorio, dell’alloggio e della Natura e Karine Mangin, incaricata della missione paesaggio presso l'ufficio del paesaggio della pubblicità.. 10h30 Presentazione della politica dello Stato italiano sul paesaggio dell’arch. Roberto Banchini, Direttore Servizio IV Tutela e Qualità del Paesaggio, Ministero dei Beni e delle Attività Culturali e del Turismo - Direzione Generale per il Paesaggio, le Belle Arti, l’Architettura e l’Arte Contemporanea. 11h00 Presentazione dei progetti della selezione italiana per il premio del Consiglio d’Europa dell’arch. Maria Maddalena Alessandro, servizio IV Tutela e Qualità del Paesaggio. 11h30 Dibattito 11h40 Presentazione dell’attuale politica sul paesaggio del Comune di Roma, progetto sul rinnovo delle ville storiche come spazi pubblici dell’arch. Paola Cannavo : le ville storiche romane, nuove politiche di governance del principale sistema paesaggistico della città di Roma. 12h00 Sintesi e dibattito moderati da Sébastien Giorgis e Catherine Soulas, presidente de l’APCE 12h30 Pranzo a I Tre Scalini, Piazza Navona 14h00 Biagio Guggione, prof. arch. Presidente del Corso di laurea magistrale in Architettura del Paesaggio dell’Università di Firenze : “ I paesaggisti italiani negli ultimi quarant’anni”. Dal rilancio dell’AIAPP nel 1979 ad oggi, uno breve excursus sul ruolo dei pionieri della paesaggistica in Italia e dalla nascita delle prime scuole di paesaggistica ai giorni.. 14h45 Paolo Villa, architecte paysagiste : il ruolo dei paesaggisti e dell’AIAPP, nell’applicazione della politica dello Stato, delles Regioni, Province e Comuni, in materia di paesaggio e pianificazione. Committenza pubblica e privata. 15h30 Gioia Gibelli, l’applicazione della politica dello Stato italiano e delle Regioni attraverso i grandi progetti, scala regionale e provinciale 16h15 Sintesi e dibattito moderati da Sébastien Giorgis e Catherine Soulas, presidente de l’APCE. 17h00 Visita libera di villa Borghese e la passeggiata del Pincio. 20h00 Cena ufficiale alla Casina Valadier (Villa Borghese). Passeggiata del Pincio (XIXe) : http://www.sovraintendenzaroma.it/i_luoghi/ville_e_parch i_storici/passeggiate_parchi_e_giardini/passeggiata_del_pi ncio Villa Borghese du (XVIIe) : http://www.sovraintendenzaroma.it/i_luoghi/ville_e_parc hi_storici/ville_dei_nobili/villa_borghese Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 9h00 Reception al Palazzo Santa Chiara Piazza di Santa Chiara 14 - 00186 Roma Tel : +39 06 687 5579 13 Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 14 VENDREDI 6 JUIN 2014 9h00 Accueil au Palazzo Santa Chiara Piazza di Santa Chiara 14 - 00186 Roma Tel : +39 06 687 5579 Trajet depuis l’hôtel Domus Pacis Torre Rossa en transport en commun : voir plan p. 31/32. 9h30 Intervention d’Andreas Kipar, architecte paysagiste : Roma arcipelago verde : una strategia per le green infrastrutture europee 14h00 / 17h00 TABLE RONDE ET DEBATS Comment agir sur la ville contemporaine ? Projets, concepts et méthodes. Débats animés par Ariella Masboungi, avec Michel Corajoud, Fabio Di Carlo, Alberto Magnaghi, Paola Vigano, Franco Zagari. 11h30 Intervention de Franco Zagari, architecte paysagiste : Nouveaux paysages en premier ligne, Entre Nord et Sud deux projets pour l'Expo de Milan 2015 et pour la Place Matteotti à Catanzaro et un essai théorique, “sur le paysage lettre ouverte”. La table ronde débattra de la manière dont le paysage contribue à offrir un horizon à la ville contemporaine, tant consolidée qu'en voir de consolidation, ou encore la ville diffuse. L'approche paysagère définit-elle une spécificité du projet urbain et du projet de territoire? Comment passer à l'acte dans une ère moins propice aux investissements publics? Quelle traduction imaginer à l'évolution de la pensée paysagère et urbaine confrontée à la réalité de la ville contemporaine, de ses atouts, de ses enjeux, de ses problèmes, de son mode de gouvernance, notamment à l'ère où le développement durable ne devrait plus être un mot d'ordre sans suite dans la réalité urbaine. Si en France, à travers son “école” spécifique que représentera le paysagiste Michel Corajoud (et les paysagistes-conseils de l’État présents au débat), la démarche paysagère semble aujourd’hui bien identifiés dans son apport singulier au projet, il en va différemment en Italie, où l’autonomie régionale des cultures et des écoles a permis l’émergence d’une plus grande diversité d’approches conceptuelles du projet urbain. Cette diversité en action irrigue aujourd’hui la pensée européenne sur la ville et les territoires à travers l’action (et les projets) de quelques figures du paysage et de l'urbanisme en Italie, ainsi que par l'effet miroir avec les démarches françaises. 12h00 17h30 / 20h30 10h00 Intervention d’Anna Lambertini, architecte paysagiste : Paysages dialectiques et grandes infrastructures. Gerer la complexité, orienter les transformations. Un plan-projet pour un parc archéologique à Fiumicino. Cela comporte tant la recomposition paysagère d’un ensemble d’espaces archéologiques présentes dans le domaine aéroportuaire que la mise en œuvre d’un projet de gestion intégré d’un plus vaste “parc archéologique” à l’échelle du territoire. 10h30 Questions/réponses 10h45 Pause café 11h00 Intervention de Laura Zampieri, architecte paysagiste : Terre usée. Projets à cheval du millénaire. Questions/réponses 12h30 Déjeuner sur place (à emporter en ballade aux environs) Temps libre 20h30 Soirée festive au Bar del Fico. Piazza del Fico, 26. Trajet vers le restaurant à pied depuis le Palazzo Santa Chiara voir plan p. 35 VENERDI 6 GIUGNO 2014 9h30 Andreas Kipar, arch. paesaggista : Roma arcipelago verde. Una strategia per le infrastrutture verdi europee. 10h00 Anna Lambertini, arch. paesaggista : Paesaggi dialettici e grandi infrastrutture. Gestire la complessità, orientare le trasformazioni. Un piano-progetto per un parco delle archeologie culturali a Fiumicino, in corso di ultimazione. Riguarda tanto la riconfigurazione paesaggistica di un insieme di spazi delle archeologie presente nell’area lan side dell’aeroporto, quanto l’impostazione di un progetto di gestione integrata di un più ampio e complesso parco archeologico di scala territoriale. 10h30 Dibattito 10h45 Pausa caffé 11h00 Laura Zampieri, architetto : ‘Terra usata. Progetti a cavallo del millennio’. 11h30 Franco Zagari, arch. paesaggista : Nuovi paesaggi in prima linea. Fra Nord e Sud due progetti per l’Expo di Milano 2015 e per la Piazza Matteotti a Catanzaro e un saggio teorico, Sul paesaggio lettera aperta. 12h00 Dibattito 12h30 Pranzo al sacco 14h00 / 17h30 TAVOLA ROTONDA E DIBATTITO Come agire sulla città contemporanea ? Progetti, concetti e metodi. Dibattito moderato da Ariella Masboungi, con Michel Corajoud, Fabio Di Carlo, Alberto Magnaghi, Paola Vigano, Franco Zagari. La tavola rotonda dovrà dibattere sul modo in cui il paesaggio contribuisce a offrire un orizzonte alla città contemporanea, sia "consolidata" che in corso di consolidamento, o anche sulla "città diffusa". L'approccio paesaggistico (da un punto di vista del paesaggio) puo definire una specificità sul progetto urbano e sul progetto di territorio ? Come passare a una fase operazionale in un'epoca poco propizia all'investimento pubblico ? Quale sarà l'evoluzione del pensiero paesaggistico ed urbanistico sul confronto con la realtà della città contemporanea e delle sue possibilità, potenzialità, problemi, governo, soprattutto in un momento in cui il concetto di "sviluppo sostenibile" non dovrebbe essere solo una vana parola d'ordine nella realtà urbana ? Se in Francia, attraverso la sua "scuola" specifica di paesaggio, che rappresenteranno Michel Corajoud e i paesaggisti consulenti dello stato presenti al dibattito, l'intervento paesaggistico è oggi ben identificato nel suo apporto specifico al progetto, le cose sono ben diverse in Italia, dove l'autonomia regionale delle culture e delle scuole ha prodotto l'emergenza di diversi approcci concettuali del progetto urbano. Questa diversità di pensiero e di azioni alimenta oggi il concetto europeo di città e di territorio attraverso l'azione e i progetti di qualche figura italiana del paesaggio e dell'urbanistica, e quindi si riflette anche sulle pratiche francesi. effetto riflesso sulle pratiche francesi. 17h30 / 20h30 20h30 Tempo libero Cena al Bar del Fico, Piazza del Fico, 26. Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 9h00 Registrazione presso al Palazzo Santa Chiara Piazza di Santa Chiara 14 - 00186 Roma Tel : +39 06 687 5579 15 Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 16 SAMEDI 7 JUIN 2014 SABATO 7 GIUGNO 2014 9h00 Départ de l’hôtel Domus Pacis Torre Rossa en bus pour la visite organisée du Parc de l’Appia Antica. 9h00 Par tenza all'Aurelia). 9h30 Arrivée à la basilique de Saint Sébastien (RDV avec le guide du Parc) et départ à pied pour la promenade de l’Appia Antica (voir en particulier circo di Massenzio, tomba di Cecilia Metella …) 9h30 Arrivo (appuntamento con una guida del parco) alla Basilica di San Sebastiano e partenza a piedi per la passeggiata sull'Appia (vedere circo di Massenzio, tomba di Cecilia Metella …). 12h00 12h00 Arrivée à pied villa dei Quintili : 4 km. 12h05 Départ en bus vers les aqueducs, RDV entrée principale sur la voie Appia Neuve. in autobus dall'hotel (vicino Arrivo a piedi alla villa dei Quintili : 4 km 12h15 Arrivée aqueducs (voir en particulier aqueduc Claudio). Départ vers le Casale (plans p. 17/19) : 12h05 Par tenza con l'autobus, appuntamento sull'Appia Nuova (ingresso principale sull'Appia Nuova). I bus possono attendere su area di manovra da cui poi è facile andare a viale Appio Claudio per la tappa Acquedotti. soit en bus 12h15 arrivo all'acquedotto Claudio (viale Appio Claudio). Partenza verso il Casale : 14h30 o con l'autobus . Per Tor Fiscale il bus può percorrere l'Appia Nuova ed entrare da via di Tor Fiscale lasciandovi all'ingresso più vicino (Torre Branca). soit à pied (Torre del Fiscale) 2 km 13h00 RDV au Casale pour le pique-nique de clôture au Parc. Deux options : Départ d’un bus pour la gare (stazione Termini). Départ d’un bus pour la valle de la Caffarella pour revenir à pied jusqu’à la Porta Capena (M° circo Massimo) = 5 km. Le bus nous dépose à l’entrée par la rue Tacchi Venturi. Après-midi et jours suivants Temps libre avec propositions de visites (cf. annexe). o a piedi (Torre del Fiscale) 2 km 13h00 Appuntamento per tutti al Casale per il pic-nic 14h30 Due possibilità : Un autobus riporta chi vuole alla stazione Termini. L’altro autobus ci deposita all'inizio della valle della Caffarella per tornare a piedi (visita completa fino alla Porta Capena, per chi vuole, M° circo Massimo) = 5 km. Una prima fermata del Bus a Largo Colli Albani e poi all'ingresso alla Valle da Largo Tacchi Venturi. Pomerggio e giorni seguenti : Tempo libero con proposte di visite. ROMA TROIS PARCOURS DANS LE PARC APPIA ANTICA Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 17 Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 18 A VOIR SUR LE PARCOURS N°1/2 (4 KM) PARCO DELLE TOMBE DI VIA LATINA Ce parc, situé au croisement entre Via Appia Nuova et Via dell’Arco di Travertino, inclut une portion d’environ 450 mètres de longueur de l’ancienne Via Latina, qui conserve ici son aspect originaire. Tout au long de la voie pavée de pierres basaltiques se trouvent, comme il était tradition le long des voies consulaires, plusieurs sépulcres de style et d’époque différents. Le Sepolcro dei Pancrazi est l’un des plus riches et mieux conservés, avec ses mosaïques, stucs et peintures, qui représentent un admirable exemple de l’art romain du IIe siècle apr. J.-C. A VOIR SUR LE PARCOURS N°3/4 (2 KM) ACQUEDOTTO FELICE L’aqueduc Felice, réalisé entre 1585 et 1587, sur ordre du pape Sixte V, fonctionne encore de nos jours. Son tracé sinueux se déroule aux pieds des collines des Castelli. L’aqueduc fut conçu pour alimenter les collines du Viminal et du Quirinal, mais surtout la villa Montalto, une somptueuse résidence papale qui s’étalait sur les deux cols. PARCO TORRE DEL FISCALE Ce parc doit son nom à une ancienne tour médiévale très bien conservée, la Torre del Fiscale (XII-XIIIe siècle apr. J.-C.). Le territoire de Tor Fiscale, riche en vestiges historiques, dont 6 aqueducs romains et un datant de la renaissance, comprend également plusieurs portions de l’ancienne Via Latina, bordée de tombeaux et de restes de villas romaines d’époque impériale. Dans le parc il y a le Casale Museo, une salle hypogée d’époque romaine utilisée pour des expositions thématiques, le Casale Punto Ristoro, où on peut déguster des plats cuisinés, en bonne partie, à partir des produits provenant du parc et le Punto Informativo où on trouve informations, plans, itinéraires, programmes d’excursions, de visites guidées et d’ateliers à thème, souvenirs, livres et un service de location de vélo. A VOIR SUR LE PARCOURS N°5/6 (5 KM) PARCO DELLA CAFFARELLA Ce parc fait partie du Parco de l’Appia Antica, dont il représente l’accès principal et privilégié. La vallée doit son nom à la famille des Caffarelli qui jadis avaient ici leur domaine. Le parc est riche en témoignages historiques et architectoniques et pour cette raison au cours de ces dernières années un groupement de citoyens, en collaboration avec l’administration municipale, s’est battu pour remettre en valeur ce grand espace vert qui était resté longtemps fermé au public. VALLÉE DE LA CAFARELLA, UN SENTIER NATUREL Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 19 Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 20 PRÉSENTATION DES INTERVENANTS Roberto BANCHINI Architecte. Cadre dirigent du Ministère du Patrimoine et des Activités Culturelles et du Tourisme, il est depuis 2012 Directeur du Service “Sauvegarde et qualité du paysage” de la Direction Générale pour le Paysage, les Beaux Arts, l’Architecture et les Arts Contemporains. Entre 2009 et 2012 il a été Directeur du patrimoine architectural et paysager pour les départements de Reggio Calabria et Vibo Valentia. Précédemment il a été longtemps fonctionnaire au service de la Direction du patrimoine architectural et paysager de Rome où, parmi ses différentes missions, il était responsable du bureau du paysage et du bureau de l’inventaire du patrimoine architectural. Entre 2002 al 2013 il a été enseignant de “réhabilitation environnementale” (“Restauro ambientale”) près de l’Université “Mediterranea” à Reggio Calabria. Il a oeuvré et oeuvre actuellement dans les domaines de la sauvegarde et de la requalification du paysage ainsi que la renovation de bâtiments historiques monumentaux, en intervenant directement dans les projets et la direction des travaux pour le compte de l’administration (maîtrise d’oeuvre publique), ainsi que le suivi et l’accompagnement scientifique de projets exécutés par des maîtres d’oeuvres privés sur les monuments historiques protégés, d’évaluation sur la compatibilité paysagère (insertion paysagère) d’inter-ventions publiques et privées y compris à l’échelle territoriale. Depuis des années il est engagé dans la recherche dans les domaines de la renovation, l’histoire de l’architecture, l’inventaire scientific du patrimoine architectural historique et la réglementation relative au patrimoine, au paysage et à l’aménagement. Il a fait plusieurs publications et a participé à de nombreux séminaires et congrès. Catherine BERGEAL Architecte-urbaniste en chef de l'État, experte de haut niveau, Catherine Bergeal est conseillère auprès du directeur général de l’aménagement, du logement et de la nature (DGALN). Elle est chargée notamment de la coordination des conseils publics et parapublics dans le domaine de l’aménagement et du logement. Après une formation initiale d’architecte et d’urbaniste, puis un exercice libéral de quelques années, sa carrière dans la fonction publique a débuté en 1984 comme chef du bureau de l’administration centrale en charge notamment de la loi d’aménagement et d’urbanisme dite du “littoral”. Affectée ensuite dans une direction départementale de l’équipement, celle du ValdeMarne, elle a été responsable de plusieurs services, ceux de l’Application du Droit des Sols (ADS), de l’urbanisme local (SUL), puis de l’aménagement et de la prospective (SAP). A travers ces postes, elle a acquis une solide expérience dans le domaine de l’urbanisme et de l’aménagement et dans celui du management et de la conduite de projet. Puis, auprès du directeur du personnel et des services, elle a accompagné de 1996 à 2000 la réforme de la gestion interministérielle du corps des architectes et urbanistes de l'État et a participé aux réflexions conduites quant à la modernisation du ministère de l’équipement et à sa gestion prévisionnelle des emplois et compétences. Ensuite, affectée au ministère en charge de l’environnement, elle a été responsable de 2001 à 2011 de la sousdirection en charge des sites et des paysages, domaines élargis à partir de 2008 à ceux de la planification, du droit des sols et à la législation de l'urbanisme. Aussi, c’est dans sa fonction de sous-directrice du cadre de vie qu’elle a engagé en 2008 la réforme d’un réseau d'environ 250 architectes et paysagistes, conseils des services des ministères en charge de l’urbanisme, de la construction et de l’environnement. Et, c’est aujourd’hui dans sa fonction d’expert auprès du DGALN, qu’elle accompagne depuis septembre 2011 cette réforme, aboutie le 2 mai 2012 et mise en place progressivement dans les services. Paola CANNAVO Professeur Associé de Technique Urbanisme près de l'université de la Calabre, elle vit et travaille à Rome où elle collabore actuellement avec l’équipe de l'adjoint à la Culture de Rome Capitale. Depuis 2004 elle est lauréate de la Culture et de l'Art avec Médaille de Bronze et Diplôme d'III classe conférés par le Président de la République Italienne. De 2007 à 2011 elle a été membre du Comité Technique-scientifique pour les Biens Architecturaux et Paysagers du Ministère pour les Biens et les Activités Culturelles. En 2001 elle a reçu le Prix Mario Ridolfi de l'ordre des Architectes, Planificateurs, Paysagistes et Conservatoires de Rome et Province. Elle a été professeur invité près d'universités prestigieuses en Allemagne (Fachhochschule Lausitz, Brandenburgische Technische Universität Cottbus), au Canada (Université de Montréal) et aux USA (Harward Graduate School of Design). Michel COURAJOUD Paysagiste diplômé par le Ministère de l’Agriculture, il travaille d’abord en collaboration avec Jacques Simon de 1964 à 1966, puis, de 1966 à 1975, en association avec l’AUA (Atelier d’Urbanisme et d’Architecture) où il forme, avec Henri Ciriani et Borja Huidobro, une équipe de paysage urbain. Depuis 1975, il travaille avec Claire Corajoud, paysagiste. Considéré comme l’un des fondateurs du renouveau du métier du paysage, Michel Corajoud s’est affirmé par une personnalité multiple et forte. C’est dans une lutte farouche contre la tendance de ses aînés paysagistes à vouloir "neutraliser" la ville, qu’il a fondé à la fois sa pensée et sa pratique. Comme il l’explique lui-même : "jusqu’au début des années 70, les paysagistes français étaient formés dans une filière de l’école d’horticulture et, de ce fait, leurs savoirs sur la ville et l’architecture étaient négligés. C’est l’idée de "nature" qui, le plus souvent, présidait à leur travail sur les espaces urbains. J’ai alors affirmé l’idée que le travail des paysagistes sur l’espace interstitiel des villes devait, au contraire, être une forme introductive de l’architecture, qu’il y avait une continuité d’intentions nécessaire entre les bâtiments et les espaces extérieurs qu’ils déterminent." Aujourd’hui sa pratique s’est enrichie de nouvelles notions : celle de l’interrelation. “Alors que le mouvement dominant de l’architecture actuelle retourne vers la fabrication d’objets isolés et durs, il m’intéresse, au contraire, de comprendre et mettre en scène les relations multiples qui associent les choses du paysage”. Notions du temps aussi, acquise par la mise en œuvre des végétaux qui retardent et modifient sans cesse le projet que l’on a sur eux. Et celle de l’horizon, enfin, dont il semble ne pas pouvoir se passer. Prix international André Le Nôtre 2013 - Grand Prix de l'Urbanisme 2003 - Grand Prix du Paysage 1992 Gioia GIBELLI Architecte paysagiste, elle est notamment l’auteur d’un projet de valorisation d’une zone agricole à forte valeur identitaire (riz) et naturelle (humide), en périphérie d’agglomération de Milan “Parco delle Risaie” (Parc des rizières), également auteur du “système vert régional” de la Région Ligurie, équivalent du schéma régional de la trame verte et bleue avec cependant une dimension paysagère plus forte (identification des potentialités paysagères) et un objectif de planification. Brochure en ligne - www.gioia-gibelli.it Diplômée en 1978 au Polytechnique de Milan avec une thèse sur l’habitat et le paysage rural dans le Sud-ouest de Milan. Elle exerce en profession libérale à Milan, dans l’analyse, l’évaluation, la planification et le projet de paysage, avec une attention particulière à l’écologie du paysage et les problématiques liées au développement des territoires de transition (franges urbaines et agriculture péri-urbaine, territoires à l’abandon, infrastructures et dynamiques résultantes) et aux projets de requalification de secteurs dégradés à l’égard des potentialités existantes. Depuis 1991, elle a collaboré avec l’Ecole de spécialisation en architecture du paysage à Gênes, où elle a été enseignante en charge, entre 1997 et 2012, en “écologie du paysage”, niveau master. Entre 2003 et 2006 elle a été enseignante en “planification territoriale et suivi de l’évolution du paysage” auprès de l’université de Urbino, master de Sciences et technologie. Elle est vice-présidente de la représentation italienne auprès de l’International Association for Landscape Ecology (SiepIale). Elle est membre du bureau du groupe de coordination entre associations technico-scientifiques sur l’environnement et le paysage (CATAP). Auteur d’environ 100 publications sur le paysage et assimilés. Fabio DI CARLO Architecte paysagiste, à Rome, professeur à la Faculté d’Architecture de l’Université de Rome, La Sapienza. Membre de l’ECLAS, European Council of Landscape Architecture Schools. Auteur de projets de parcs (Parc de Centocelle, à Rome) et d’espaces publics (La Rustica à Rome et à Caserte, Piazza-giardino) ainsi que de rehabilitation de jardins historiques (Villa Ginnetti, à Velletri). Il est auteur d’articles et essais, a publié récemment l’ouvrage “I paesaggi di Calvino”. Biagio GUCCIONE Président du Master Architettura del Paesaggio de l’Université de Florence. Il est engagé depuis des années à promovoir l’architecture du paysage en Italie dans tous les domaines, enseignement, recherche, vulgarisation et activité libérale de concepteur. Auteur de plus de 300 articles et essais il a élaboré plusieurs plans paysages et projets de paysage. Il a participé à la relance de l’AIAPP (équivalent FFP) où il a contribué en tant que délégué EFLA et directeur de publication. Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 21 Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 22 Andreas KIPAR Architecte et paysagiste, il exerce son activité dans la planification, le projet de paysage, la valorisation du patrimoine paysager et la rehabilitation de sites dégradés (approche environnementale) tant en Italie qu’à l’étranger. Fondateur de l’agence KLA kiparlandschaftsarchitekten, à Milan et Duisburg (D), ainsi que de LAND, avec Giovanni Sala, à Milan. Enseignant en Italie et à l’étranger, il intervient à la faculté Polytechnique de Milan où il enseigne Publi Space Design. www.landsrl.com Anna LAMBERTINI Architecte et paysagiste avec spécialisation en projet de paysage (specializzazione postlaurea e PhD in Progettazione Paesistica), elle travaille depuis 1994 comme paysagiste concepteur, enseignante (habilitée pour l’enseignement universitaire de deuxième niveau, ICAR 15) et chercheuse. Membre AIAPP (équivalent FFP), elle a fondé avec Tessa Matteini l’agence limes. http://studiolimes.wix.com/studiolimes Divers projets et recherches ont été réalisés en Italie, France, Espagne, Liban, Russie. Auteur d’environ 100 pubblications, parmi lesquelles la récente monographie Urban Beauty. Luoghi prossimi e pratiche di resis-tenza estetica (Edition Compositori 2013), elle est coordonnatrice de rédaction de la revue Architettura del Paesaggio. Alberto MAGNAGHI Architecte urbaniste et Professeur Emérite à la Faculté d’Architecture de l’Université de Florence. Il est président de l’association pluridisciplinaire “Société des territorialistes“. Il a été fondateur de “l’Ecole térritorialiste italienne” et cordonnateur de projets de recherche nationaux et des laboratoires experimentaux pour le Ministère des Universités et du CNR sur les thèmes du “développement durable local”, de la “représentation patrimoniale” et du “projet du territoire”. Il est également coordonnateur scientifique et concepteur de différents projets et plans territoriaux à caractère stratégique et integré. Parmi ses publications récentes : La biorégion urbaine, Petit traité sur le territoire bien commun, Eterotopia France, Paris. 2014 / La regola e il progetto : un approccio bioregionalista alla Pianificazione territoriale, Firenze University press, Firenze. in corso di stampa. 2014 / Il progetto locale : verso la coscienza di luogo, Bollati Boringhieri,Torino, 2010. Karine MANGIN Chargée de mission paysages, Bureau des paysages et de la publicité au Ministère de l’Écologie, du Développement Durable et de l’Énergie. Elle est chargée du suivi des actions menées dans le milieu académique (écoles supérieures de paysage, universités) et associatif qui contribuent à la mise en œuvre de la politique du paysage et à la diffusion d’une culture du paysage. Elle est notamment l’interlocutrice de l’association des paysagistes-conseils de l’État. Par ailleurs, elle conduit des actions en faveur d’une meilleure reconnaissance des compétences paysagistes et est également chargée de l’organisation du Grand Prix National du Paysage. Ariella MASBOUNGI Inspectrice générale du développement durable, précédemment architecteurbaniste en chef de l’Etat, dirige la mission “projet urbain” et “le grand prix de l’urbanisme” au Ministère de l'Egalité des territoires et au Ministère de l’Ecologie. Professeure associée à l’Institut Français d’Urbanisme. Anciennement présidente de l’Ecole d’Architecture de la Ville et des Territoires à Marne-la-Vallée et directrice adjointe de l’Agence d’urbanisme de l’agglomération Marseillaise. Dirige les “5 à 7 du club Ville Aménagement”, les “Matinées du CGEDD” et les “ateliers projet urbain”, lieux de débats par tenariaux sur les avancées conceptuelles, opérationnelles et méthodologiques des projets urbains français et européens. Ils donnent lieu à une production éditoriale tels : Fabriquer la ville, à la documentation française, 2001, Projets urbains en France-Urban strategies, en 2002 au Moniteur, “Penser la ville par le paysage” en 2002, “Penser par la ville par la lumière” en 2003 et “Penser la ville par l’art contemporain” en 2004, “Nantes, la Loire dessine le projet” en 2003 et “Penser la ville par les grands événements, Gênes” en 2004, “Renzo Piano, penser la ville heureuse” et “Régénérer les grands ensembles” en 2005, “Birmingham, penser la ville en partenariat”, en 2006. En septembre 2004, “l’urbanisme des modes de vie” aux Ed. du Moniteur, a été écrit avec Alain Bourdin. Derniers ouvrages parus : “Faire ville avec les lotissements”, “Breda, penser la ville durable”, en 2008, “Barcelone, ville innovante” et “Agir sur les grands territoires” (avec David Mangin) en 2009 ; “Bien habiter la ville” et « Dessine moi une ville”, 2010 ; “Anvers, faire aimer la ville”, 2011 ; “Projets urbains durables”, 2012 ; “Ecométropole, mode d’emploi – Estuaire de la Loire”, 2012 et “Aménager les rez-de-chaussée de la ville” en 2013, puis “Lisbonne, un projet urbain en temps de crise”, parus aux Editions du Moniteur. A paraître en juin : “New York, les années Bloomberg, reguler pour innover”, à l’automne “L’énergie au cœur du projet urbain” et “villes et voitures”. Dirige également le “grand prix de l’urbanisme” qui donne lieu à des publications du même nom éditées chez Parenthèses. Derniers ouvrages “aucun territoire n’est désespéré, Yves Lion”, et “Faire la ville passante, David Mangin”, “Organiser la ville hypermoderne, François Ascher”, “Michel Desvigne, le paysage est un préalable” ; “François Grether, la ville sur mesure” et “Paola Vigano, métamorphose de l’ordinaire”. Grande médaille de bronze d’urbanisme de l’académie d’architecture (Paris,) membre associée de l’académie d’architecture, chevalier de la légion d’honneur et officier de l’ordre du mérite. Paola VIGANO Architecte urbaniste (Grand Prix d’Urbanisme 2013, en France) www.lemoniteur.fr/153profession/article/actualite/21312762paola-vigano-grand-prix-de-l-urbanisme-2013 www.secchi-vigano.eu/ www.youtube.com/watch?v=4bLHRobD_GU Paolo VILLA Architecte du jardin et paysagiste avec trente ans d’expérience professionnelle. Il crée en 1985 l’agence AG&P (Architettura dei Giardini e del Paesaggio) avec qui il exerce son activité de projet et de coordination de groupes de travail dans plusieurs domaines liés au paysage : jardins privés et espaces résidentiels, espaces verts pour l’industrie et le secteur tertiaire, espace public, potagers urbains (orti urbani) parcs, rehabilitation d’aires dégradées, analyse paysagère, plans de paysage (piani del verde), interventions sur les infrastructures ferroviaires, routières et autoroutières. A l’activité de concepteur il associe une activité pédagogique, avec pubblication d’articles et de livres entendue comme étant complémentaire et un support pour “faire du paysage”. Il a été longtemps enseignant dans des matières inérentes au paysage près de l’Université Politechnique de Milan, Faculté d’Architecture de Gênes, Masters et Ecoles de spécialisation. Auteur du manuel “La Costruzione del Giardino” (Flaccovio Palermo 1994), du livre “Solido come un Parco” (Edagricoile Bologna 2011) et de “Paesaggio Diffuso (Electa Milano, 2013), coordonnateur du livre “Architettura del Paesaggio in Italia” (Logos Modena 2011). Membre de l’AIAPP (équivalent FFP) depuis 1984, il a promu au sein de l’Association une intense activité et de nombreuses initiatives en faveur de la culture du paysage, dans le rôle de président Nazional 2009-2012, Vicepresident, Sécretaire Général, President Région Lombardia. Il est actuellement le directeur de la revue “Architettura del Paesaggio”,organe officiel de AIAPP (Associazione Italiana degli architetti del Paesaggio) équivalent de la FFP, www.agep.it/ Franco ZAGARI Architecte paysagiste, à Rome, professeur à la Faculté d’Architecture de l’Université de Reggio Calabria et à "La Sapienza" de Rome. Chevalier des Arts et Lettres, France 1998. Prix européen Gubbio 2009. Membre honoraire AIAPP 2010. Membre du Conseil exécutif de Uniscape depuis 2008. Beaucoup d'œuvres réalisées en Italie, France (parmi lesquelles il a été lauréat et maître d’œuvre du “marché de définition de trois places à Saint Denis Basilique”), Ecosse, Géorgie, Japon, Jordanie. Auteur d'essais et de films : Questo è paesaggio. 48 definizioni, Roma 2006; Giardini. Manuale di progettazione, Roma 2009 ; Sul paesaggio. Lettera aperta, Melfi, 2013. Au sujet de son intervention : “Deux grands chantiers représentent conditions très différentes de notre travail entre Nord et Sud. Dans l'Expo je suis en train de soigner le projet de 8 grands jardins pour le repos du public, à Catanzaro je restaure et je complète une oeuvre que moi même j'ai réalisé en 1991, la Place Matteotti, une expérience unique de comparaison, de deux époques de mon oeuvre. Sur le paysage lettre ouverte est mon livre plus récent, un essai théorique sur le projet de paysage en toutes ses contradictions et promesses dans une période de crise au point d'à maintenant inconnue”. lepetitjournal.com/rome/communaute/125416 www.francozagari.it Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 23 Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 24 Laura ZAMPIERI Architecte. Elle enseigne l’architecture du paysage près de l’Université (IUAV) de Venise et les masters d’architecture du paysage auprès de ETSAB-UPC (Barcelone), ACMA (Milan), IUAV (Venise). En 2006 elle fonde avec Paolo Ceccon CZstudio pour réaliser projets et recherches en architecture du paysage. Ces travaux sont reconnus à niveau international et ont reçu divers prix, parmi lesquels l’ ‘Architect Honor Award’ – AIA (USA). et le prix de la Biennale d’Architecture Barbara Cappochin. Parmi ses publications, en 2012 pour Quodlibet Ed. L.Zampieri, ‘Per un progetto nel paesaggio’, P.Ceccon, L.Zampieri, (a cura di), ‘Paesaggi in produzione’. http://czstudio.com Maria Maddalena ALESSANDRO Fonctionnaire architecte auprès du ministère du Patrimoine, des Activites culturelles et du tourisme depuis 1979. Diplomée de l'université de Roma-La Sapienza, avec une thèse sur le secteur sud-ouest de Rome et le "corviale", elle a oeuvré ses premieres années dans l'administration pour l'application de lois de sauvegarde du patrimoine dans les lieux frappés par les tremblements de terre. Dans les années suivantes, elle a eu la charge de la programmation des projets et suivi de travaux de réhabilitation du patrimoine. Entre 2003 et 2008, elle a coordonné pour le directeur regional de la region Lazio, les actions de sauvegarde du patrimoine. Entre 1987 et 1996 et depuis 2008, elle oeuvre dans les activités institutionnelles pour ces mêmes sujets au niveau national, avec une implication dans la recherche et en lien avec l’université et les autres ministères, dont notamment l'environnement Elle a actuellement en charge la mission de suivi des procédures pour la sélection italienne du prix du Conseil de l'Europe. L ’ A S S O C I A TI O N D E S P A Y S A G I S TE S CONSEILS DE L’ÉTAT La fonction de paysagiste-conseil de l’État, créée en 1995 trouve son origine dans l’émergence, dans les années 1970 d’une “préoccupation paysagère” qui s’exprimera dans la société à travers des symptômes tels l’apparition du débat sur les “entrées de villes” (ce transect affiché de la ville contemporaine) ou les inquiétudes sur les conséquences de la destruction du bocage dans les processus remembrement. Est-ce un hasard si les paysagistes (alors encore souvent “jardinier”), peut-être eux mêmes émus et pour le moins interpellés par l’expression sociale de cette émotion, se sont retrouvés investis de cette question du projet urbain et du projet de territoire. Il faudra une vingtaine d’années pour qu’à cette préoccupation pour les paysages (tous les paysages) réponde une loi spécifique, la “loi paysage” (1993) qui conduira la même année, à la décision de créer la fonction. Aujourd’hui, ce sont près de 140 paysagistes-conseils de l’Ètat (par ailleurs concepteurs et maîtres d’œuvres dans leur propre agence) qui interviennent sur une mission de 26 jours par an auprès d’une DDT ou d’une DREAL (ou DRIEE en Ile-de-France) ou directement affectés auprès des services centraux des Ministères. Ils interviennent à la demande des services, sur les grands projets et les grands enjeux de transformation des territoires. Leur expérience de concepteurs et de maîtres d’œuvres ainsi que leur pratique à titre privée de leur métier leur permet d’apporter aux services qui les sollicitent, un regard, une culture et une expérience complémentaire à celle de l’administration d’accueil. Cette expertise est ainsi mobilisée sur les projets de territoires (les schémas d’aménagement ou les documents de planification, les atlas et plans de paysage, les Opérations d’Intérêt National ou les Contrats de Développement Territoriaux), les projets urbains (le programme ANRU notamment) ou les grands projets d’infrastructure (tramway, autoroutes, LGV, etc.) Ils se trouvent particulièrement investis aujourd’hui dans la mise en œuvre des mesures issues du Grenelle de l’environnement (réduction des émissions de CO2 et lutte contre l’érosion de la bio-diversité) et dans les projets de paysage qui devront accompagner la mise place de la transition énergétique des territoires. www.paysagistes-conseils.org PRESENTAZIONE DEI RELATORI Catherine BERGEAL Architetto urbanista dello Stato, ed esperta di alto livello, Catherine Bergeal è consigliera presso il Direttore Generale del governo del territorio (aménagement), della casa e della natura (DGALN). Tra i suoi incarichi, coordina le perizie e consulenze pubbliche e parapubbliche nel campo del governo del territorio e della casa. Dopo una formazione iniziale di architetto e urbanista, e un esercizio come libero professionista per qualche anno, ha cominciato una carriera pubblica nel 1984 come dirigente per l’ufficio dell’amministrazione centrale in carico della legge di assetto del territorio e urbanistica detta “legge litorale”. Incaricata in seguito in una Direzione Provinciale delle infrastrutture pubbliche (direction départementale de l’équipement), nel Val de Marne, è stata responsabile di vari servizi tra cui l’applicazione delle leggi sui diritti del suolo e sullo sviluppo urbanistico, poi del governo e dello sviluppo. Nel corso di queste attività ha sviluppato una solida esperienza nell’urbanistica e nell’assetto del territorio e nella gestione e conduzione di progetti. Più tardi, presso il direttore del personale e dei Servizi, ha seguito tra il 1996 al 2000 la riforma della gestione interministeriale del corpo degli architetti e urbanisti dello Stato e ha partecipato alle riflessioni condotte sulla modernizzazione del Ministero delle Infrastrutture (Equipement) e la gestione del personale e delle competenze. In seguito, presso il Ministero dell’ambiente, è stata responsabile dal 2001 al 2011 della direzione dei siti e dei paesaggi, campi che si sono estesi a quello della pianificazione, del diritto dei suoli e della legislazione urbanistica. E’ nella funzione di direttrice dello spazio pubblico (cadre de vie) che ha iniziato nel 2008 la riforma di una rete di 250 architetti e paesaggisti consulenti dei Servizi incaricati dell’urbanistica, della costruzione e dell’ambiente. E’ nella sua attuale funzione di esperta presso la Direzione Generale che accompagna dal 2011 questa riforma, che è entrata in applicazione a partire dal 2 maggio 2012. Paola CANNAVO Professore Associato di Tecnica Urbanistica presso l'Università della Calabria, vive e lavora a Roma dove attualmente collabora con lo staff dell’Assessore alla Cultura di Roma Capitale. Dal 2004 è Benemerita della Cultura e dell’Arte con Medaglia di Bronzo e Diploma di III classe conferito dal Presidente della Repubblica Italiana. Dal 2007 al 2011 è stata membro del Comitato TecnicoScientifico per i Beni Architettonici e Paesaggistici del Ministero per i Beni e le Attività Culturali. Nel 2001 ha ricevuto il Premio Mario Ridolfi dell’Ordine degli Architetti, Pianificatori, Paesaggisti e Conservatori di Roma e Provincia. È stata visiting professor presso prestigiose università in Germania (Fachhochschule Lausitz, Brandenburgische Technische Universität Cottbus) Canada (Universite de Montreal) e USA (Harward Graduete School of Design). Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 Roberto BANCHINI Architetto. E’ dirigente del Ministero dei beni e delle attività culturali e del turismo con incarico (dal 2012) di Direttore del Servizio “Tutela e qualità del paesaggio” della Direzione Generale per il paesaggio, le belle arti, l’architettura e l’arte contemporanee; dal 2009 al 2012 ha svolto l’incarico di Soprintendente per i beni architettonici e paesaggistici per le province di Reggio Calabria e Vibo Valentia; in precedenza è stato per molti anni funzionario della Soprintendenza per i Beni architettonici e paesaggistici di Roma ove, tra i vari incarichi, ha rivestito il ruolo di responsabile dell’Ufficio per il paesaggio e dell’Ufficio per la Catalogazione dei beni architettonici. Dal 2002 al 2013 è stato inoltre docente di “Restauro ambientale” presso l’Università degli Studi “Mediterranea” di Reggio Calabria. Ha operato e opera pertanto nei settori della tutela e della riqualificazione del paesaggio e del restauro di edifici storico-monumentali, con attività di progettazione e direzione lavori degli interventi eseguiti direttamente dall’Amministrazione, di sorveglianza e di indirizzo scientifico di quelli condotti da altri soggetti su edifici vincolati e comunque sull’edilizia storica, di valutazione della compatibilità paesaggistica di interventi sia privati che pubblici, anche a scala territoriale; è da anni impegnato in studi e ricerche su tematiche del restauro, della storia dell’architettura, della catalogazione scientifica del patrimonio storico-architettonico e della legislazione relativa ai Beni culturali, al paesaggio e all’assetto del territorio; ha al suo attivo numerose pubblicazioni e partecipazioni a seminari e convegni in qualità di docente o relatore. 25 Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 26 Michel COURAJOUD Lavora in collaborazione con Jacques Simon, dal 1964 al ’66, poi, dal ’66 al ’75 con l’AUA (Atelier d’Urbanisme et d’Architecture) dove forma con Henri Ciriani et Borja Huidobro, uno studio di paesaggio urbano. Considerato come uno dei fondatori del rinnovo della pratica del paesaggio, Michel Corajoud si è affermato tramite una personalità multipla e forte. E in una lotta accanita contro la tendenza dei suoi predecessori paesaggisti a voler “neutralizzare” la città, che ha fondato il suo pensiero e la sua pratica. Come lo spiega lui stesso : “fino all’inizio degli anni ’70, i paesaggisti francesi erano formati in una filiera della scuola di orticoltura, e per questo le loro conoscenze della città e dell’architettura erano limitate. E’ l’idea di “natura” che per lo più orientava il loro lavoro sugli spazi urbani. Ho allora affermato l’idea che il lavoro dei paesaggisti sullo spazio interstiziale delle città doveva, al contrario, essere una forma introduttiva dell’architettura, che c’era necessariamente una continuità di intenzione tra gli edifici e gli spazi esterni che determinavano”. Oggi la sua pratica si è arricchita di nuove nozioni : quella dell’interrelazione. “Mentre il movimento contemporaneo dell’architetturea tende a tornare verso la fabbrica di oggetti isolati, mi interessa, al contrario capire e mettere in scena le relazioni multiple che associano gli oggetti al paesaggio”. Nozione del tempo, acquisita dall’esperienza della messa in opera delle piante, che ritardano e modificano di continuo il progetto iniziale. E quella dell’orizzonte, infine, a cui non puo rinunciare. Prix international André Le Nôtre 2013 - Grand Prix de l'Urbanisme 2003 - Grand Prix du Paysage 1992. Fabio DI CARLO Architetto, PhD in Environmental Design, professore di Architettura del Paesaggio alla Facoltà di Architettura de “La Sapienza” di Roma. È membro dell’Executive Committee di ECLAS, European Council of Landscape Architecture Schools. È membro del collegio dei docenti del PhD in Paesaggio e Ambiente. È autore di progetti di nuovi parchi urbani (Roma, Parco di Centocelle), di spazi pubblici (Roma, La Rustica e Caserta, Piazza-giardino) e di riqualificazione di giardini storici (Velletri, Villa Ginnetti). È autore di saggi ed articoli, tra cui: “L'acqua e il giardino” in: Giardini - Manuale di progettazione, (F. Zagari, 2007) e del libro Paesaggi di Calvino, Melfi, 2013. Gioia GIBELLI Laureata nel 1978 al Politecnico di Milano con tesi suille cascine e i paesaggi rurali del sud-ovest milanese. E’ libera professionista a Milano e si occupa di analisi, valutazione, pianificazione e progettazione del paesaggio, con un focus particolare sulla Landscape Ecology e le problematiche legate allo sviluppo dei territori di transizione (frange urbane e agricoltura periurbana, territori in abbandono, infrastrutture e dinamiche indotte) e ai progetti di riqualificazione di aree degradate rispetto alle potenzialità esistenti. Dal 1991 ha collaborato con la Scuola di Specializzazione in Architettura del Paesaggio dell’Università di Genova e dal 1997 al 2012 è stata Professore a contratto di Ecologia del Paesaggio presso la Scuola di Specializzazione, ora laurea magistrale in Architettura del Paesaggio. Dal 2003 al 2006 è stata inoltre Professore a contratto di “Pianificazione territoriale e controllo dell’evoluzione del paesaggio” presso il Corso di Laurea triennale di Scienze e Tecnologie per la natura dell’Università di Urbino. E’ Vice-Presidente della Sez. Italiana della International Association for Landscape Ecology (Siep-Iale) Membro della giunta esecutiva del CATAP (Coordinamento delle Associazioni Tecnico scientifiche per l’Ambiente e il Paesaggio) Autrice di circa 100 pubblicazioni sul paesaggio e temi inerenti http://www.programmemed.eu/uploads/tx_ausybibliomed/ PMU_5_GUIDELINES_FOR_MEDITERRANEAN_URBAN_ LANDSCAPES_IN_CHANGEEN_EN_IT_01.pdf www.gioia-gibelli.it Biagio GUCCIONE Presidente del Corso di Laurea Magistrale in Architettura del Paesaggio dell’Università degli Studi di Firenze. Da anni impegnato a promuovere l’architettura del paesaggio in Italia in tutti i settori attraverso la didattica, la ricerca, la divulgazione scientifica nonché l’attività professionale. Autore di più di 300 saggi ed articoli, ha redatto numerosi piani e progetti paesaggistici. E ‘ stato fra i protagonisti del rilancio dell’AIAPP, ricoprendo all’interno di essa diversi incarichi, fra i quali, delegato EFLA e direttore di Notiziario Architettura del Paesaggio. Andreas KIPAR Si è laureato in Architettura del Paesaggio ad Essen in Germania, e nel 1994 ha conseguito la laurea con lode in Architettura presso il Politecnico di Milano. Opera a livello professionale nel campo della pianificazione e progettazione paesaggistica, del verde storico e del recupero ambientale sia in Italia che all’estero. Dal 1985 esercita la libera professione in Italia e in Germania dove ha fondato lo studio KLA_kiparlandschaftsarchitekten con sede a Milano e Duisburg. E’ fondatore, con il dott. Giovanni Sala, della Società LAND, Landscape Architecture Nature Development. Ha svolto attività didattica in diverse sedi universitarie in Italia ed all’estero; attualmente è professore al Politecnico di Milano dove insegna Public Space Design. www.landsrl.com Anna LAMBERTINI Architetto e paesaggista con specializzazione post-laurea e PhD in Progettazione Paesistica, lavora nel campo dell’Architettura del paesaggio dal 1994 come progettista, docente (abilitata come professore universitario di seconda fascia per ICAR 15) e ricercatrice. Socia AIAPP, ha fondato con Tessa Matteini lo studio limes. studiolimes.wix.com/studiolimes Ricerche e progetti sono stati realizzati in Italia, Francia, Spagna, Libano, Russia. Autrice di circa 100 pubblicazioni, tra cui la recente mono-grafia Urban Beauty! Luoghi prossimi e pratiche di resistenza estetica (Editrice Compositori 2013), è coordinatrice di redazione della rivista Architettura del Paesaggio. Alberto MAGNAGHI Architetto urbanista, è Professore Emerito dell’Università di Firenze. E’ presidente dell’associazione multidisciplinare “Società dei territorialisti”. In qualità di fondatore della “Scuola territorialista italiana”, ha coordinato progetti di ricerca nazionali e laboratori sperimentali per il Ministero dell’Università e per il CNR sui temi dello "sviluppo locale autosostenibile", della “rappresentazione patrimoniale” e del “progetto di territorio”. E’ coordinatore scientifico e progettista di diversi progetti e piani territoriali a carattere strategico e integrato. Fra le più recenti pubblicazioni : A Magnaghi, La biorégion urbaine, Petit traité sur le territoire bien commun, Eterotopia France, Paris. 2014 – A. Magnaghi (a cura di), La regola e il progetto: un approccio bioregionalista alla Pianificazione territoriale, Firenze University press, Firenze. in corso di stampa. 2014 - A. Magnaghi, Il progetto locale: verso la coscienza di luogo, Bollati Boringhieri,Torino, 2010. Karine MANGIN Incaricata della missione “paesaggio” per l’Ufficio dei Paesaggi e della Pubblicità del Ministero dell’Ecologia, dello Sviluppo Sostenibile e dell’Energia. E incaricata di seguire le azioni condotte nelle diverse accademie (scuole di paesaggi e università) e nel mondo associativo che contribuiscono in qualche modo all’applicazione della politica del paesaggio e alla diffusione di una cultura del paesaggio. In particolare è l’interlocutrice presso il Ministero dell’Associazione dei Paesaggisti Consulenti dello Stato. Conduce per altro delle azioni in favore di un migliore riconoscimento delle competenze dei paesaggisti ed è incaricata dell’organizzazione del Gran Premio Nazionale del Paegaggio. Ariella MASBOUNGI Inspettrice generale dello sviluppo sostenibile, architetto-urbanista di Stato, dirige la mission “progetto urbano” e il “Gran Premio di Urbanistica” presso il Ministero della parità dei territori (Ministère de l’Égalité des territoires et du Logement) e il Ministero dell’ecologia (Ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie). Professore associato all’Istituto francese di urbanistica. Precedentemente presidente della Scuola di Architettura, della città e dei territori a Marne-la-Vallée e vice Direttrice dell’agence d’urbanisme dell’agglomerazione di Marsiglia. Dirige i 5 a 7 del “club Ville Aménagement”, le “Matinées du CGEDD” et gli ateliers “progetto urbano”, luoghi di dibattito partenariali sugli avanzamenti concettuali, operativi e metodologici di progetti urbani francesi e europei. Questi interventi danno luogo a una produzione editoriale tra cui : “Fabriquer la ville”, Ed. la documentation française, 2001, “Projets urbains en France-Urban strategies”, nel 2002 ed Moniteur, “Penser la ville par le paysage” nel 2002, “Penser par la ville par la Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 27 Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 28 lumière” nel 2003 e penser la ville par l’art contemporain nel 2004, “Nantes, la Loire dessine le projet” nel 2003 e “Penser la ville par les grands événements, Gênes” nel 2004, “Renzo Piano, penser la ville heureuse” e “Régénérer les grands ensembles” nel 2005, “Birmingham, penser la ville en partenariat”, nel 2006. Nel settembre 2004, “l’urbanisme des modes de vie” Ed du Moniteur, é stato scritto con Alain Bourdin. Ultime paruzioni : “Faire ville avec les lotissements”, “Breda, penser la ville durable”, nel 2008, “Barcelone, ville innovante” e “Agir sur les grands territoires” (con David Mangin) nel 2009 ; “Bien habiter la ville” e “Dessine moi une ville”, 2010 ; “Anvers, faire aimer la ville”, 2011 ; “Projets urbains durables”, 2012 ; “Ecométropole, mode d’emploi – Estuaire de la Loire, 2012” e “Aménager les rez de chaussée de la ville” nel 2013, “Lisbonne, un projet urbain en temps de crise”, Ed. du Moniteur. In giugno sarà pubblicato : “New York, les années Bloomberg, reguler pour innover”, e in autunno “L’énergie au cœur du projet urbain” et “villes et voitures”. Dirige inoltre il “Grand Prix de l’Urbanisme” con produzione di pubblicazioni corrispondenti, alle edizioni Parenthèses. Tra le ultime opere “aucun territoire n’est désespéré, Yves Lion” e “Faire la ville passante, David Mangin”, “Organiser la ville hypermoderne, François Ascher”, “Michel Desvigne, le paysage est un préalable” ; “François Grether, la ville sur mesure” e “Paola Vigano, métamorphose de l’ordinaire”. Grande medaglia di bronzo dell’urbanistica dell’Accademia di Architettura (Paris), membro associato dell’Accademia di architettura, cavaliere de la légion d’honneur e officier de l’ordre du mérite. Paola VIGANO Architetto Urbanista Grand Prix d’Urbanisme 2013 www.secchi-vigano.eu/ www.youtube.com/watch?v=4bLHRobD_GU www.lemoniteur.fr/153profession/article/actualite/ 21312762-paola-vigano-grand-prix-de-l-urbanisme-2013 Paolo VILLA Architetto del giardino e del paesaggio, con oltre trenta anni di esperienza professionale. Fonda nel 1985 lo Studio AG&P (Architettura dei Giardini e del Paesaggio) con cui svolge l’attività professionale, di progettazione e coordinamento di gruppi di lavoro in vari campi della paesaggistica: verde privato, aree residenziali, verde per l’industria e per il terziario, verde pubblico, orti urbani, parchi, recupero di aree degradate, analisi paesaggistica, piani del verde, interventi su infrastrutture ferroviarie, stradali e autostradali. Alla prevalente attività professionale si affianca in modo costante, quella didattica, che insieme alla pubblicazione di libri e articoli, è intesa a rendersi complementare e supporto indispensabile al “fare paesaggio”. A lungo docente a contratto per materie inerenti la paesaggistica presso la Facoltà di Architettura del Politecnico di Milano e Facoltà di Architettura di Genova, Masters e Scuole di Specializzazione. Autore del manuale “La Costruzione del Giardino” (Flaccovio Palermo 1994), del libro “Solido come un Parco” (Edagricoile Bologna 2011) e di “Paesaggio Diffuso (Electa Milano, 2013), curatore del libro “Architettura del Paesaggio in Italia” (Logos Modena 2011). Socio AIAPP dal 1984, ha promosso con l’Associazione una intensa attività e numerose iniziative a favore della cultura del paesaggio, ricoprendo i ruoli di: Presidente Nazionale 2009-2012, Vicepresidente, Segretario Generale, Presidente Sezione Lombardia. È attualmente il Direttore della rivista “Architettura del Paesaggio”, organo ufficiale di AIAPP. www.agep.it Franco ZAGARI Architetto paesaggista. Professore alla Facoltà di Architetture dell’Università di Reggio Calabria e di Roma, “la Sapienza”. Chevalier des Arts et Lettres, Francia 1998. Premio Europeo - Gubbio 2009. Membro onorario dell’AIAPP 2010. Membro del Consiglio Esecutivo di Uniscape dal 2008. Molte opere realizzate in Italia, Francia, Scozia, Georgia, Giappone, Giordania. Autore di saggi e di film : Questo è paesaggio. 48 definizioni, Roma 2006 ; Giardini. Manuale di progettazione, Roma 2009 ; Sul paesaggio. Lettera aperta, Melfi, 2013. Due grandi cantieri rappresentano condizioni molto diverse del nostro lavoro fra Nord e Sud. Nell’Expo sto curando il progetto di 8 grandi giardini per il riposo del pubblico, a Catanzaro restauro e completo un’opera che io stesso ho fatto nel 1991, la Piazza Matteotti, un’esperienza unica di confronto fra due momenti della mia opera. Sul paesaggio lettera aperta è il mio libro più recente, un saggio teorico sul progetto di paesaggio in tutte le sue contraddizioni e promesse in un periodo di crisi fino ad ora sconosciuta. www.francozagari.it Laura ZAMPIERI Insegna architettura del paesaggio presso l’Università IUAV di Venezia ed i Master di architettura del Paesaggio ETSAB_UPC (Barcellona), ACMA (Milano), IUAV (Venezia). Nel 2006 con Paolo Ceccon fonda CZstudio per realizzare progetti e ricerche di architettura e di paesaggio. Sono presenti nel panorama internazionale con premi e riconoscimenti. Con i loro progetti hanno ricevuto l’ ‘Architect Honor Award’ – AIA (USA). ed il premio provinciale della Biennale di Architettura Barbara Cappochin. Nel 2012 per Quodlibet Edizioni ha pubblicato: L.Zampieri, ‘Per un progetto nel paesaggio’, P.Ceccon, L.Zampieri, (a cura di), ‘Paesaggi in produzione’. http://czstudio.com Maria Maddalena ALESSANDRO Funzionario architetto presso il Ministero dei beni e delle attività culturali e del turismo dal 1979, laureata all’Università ‘La Sapienza’ di Roma, con una tesi sul quadrante SW di Roma- Corviale, nei primi anni del suo lavoro presso tale Amministrazione ha svolto la propria attività per l’attuazione delle leggi speciali finalizzate al recupero e all’adeguamento statico del patrimonio architettonico nelle aree colpite dai terremoti e nella programmazione degli interventi di restauro e valorizzazione del Patrimonio culturale presso l’Ufficio dell’Ispettorato e del Consiglio Nazionale. Negli anni successivi ha svolto incarichi, affidati dal Direttore Generale, inerenti la programmazione, la progettazione e la realizzazione di interventi di restauro, valorizzazione e collaudi nel settore del patrimonio architettonico. Dal 2003 al 2008, per incarico del Direttore Regionale del Lazio, ha coordinato le attività di tutela del patrimonio culturale della regione Lazio. Dal 19987 al 1996 e dal 2008 ha operato ed opera a tutt’oggi nelle attività istituzionali finalizzate alla tutela ed alla valorizzazione del Paesaggio su scala nazionale, impegnandosi anche in progetti di ricerca con le Università, finanziati dal Ministero di appartenenza. Dal 2009, per incarico del Dirigente del Servizio IV ‘Tutela e qualità del paesaggio’, segue le attività connesse alle procedure avviate dal Ministero per la selezione della candidatura italiana al Premio Europeo del Paesaggio. L’ASSOCIAZIONE DEI PAESAGGISTI CONSULENTI DELLO STATO FRANCESE La funzione di “paesaggista consulente”, creata nel 1995 (quella di architetto è stata creata nel dopo-guerra, per accompagnare la ricostruzione), trova la sua origine nell’emergenza, negli anni 70 in Francia, di una nuovo interesse (preoccupazione) per il paesaggio che si esprimerà nella società attraverso alcuni sintomi, come per esempio un dibattito sugli “ingressi delle città” o le inquietudini legate alla distruzione delle siepi del “bocage “, nel processo di trasformazione recente del sistema agricolo diviso da siepi verso l’openfield. Non per caso, i paesaggisti dell’epoca (ancora considerati “giardinieri”) si sono sentiti coinvolti dall’espressione sociale di questo nuovo sentimento collettivo riguardo al paesaggio e si sono allora trovati investiti nel movimento post moderno del progetto urbano e progetto del territorio. Ci vorranno ancora vent’anni (1993) perché una legge specifica risponda a questa preoccupazione per il paesaggio (tutti i paesaggi) che condurrà due anni dopo alla costituzione della funzione. Oggi il corpo dei “paesaggisti consulenti” conta circa 140 persone (per altro liberi professionisti con un’attività privata in studio) che intervengono per una missione di 26 giorni all’anno presso la prefettura di provincia, di Regione o presso l’amministrazione centrale (due Ministeri di tutela : Ministero dell’ambiente e Ministero dell’alloggio). Intervengono su richiesta dei Servizi di Stato, su dei grandi progetti di interesse pubblico e/o legati a profonde trasformazioni del territorio (infrastrutture ecc.). La loro esperienza come progettisti privati permette di offrire, ai Servizi che li sollecitano, uno sguardo, una cultura e un’esperienza complementare a quella dell’amministrazione che li accoglie. Questa perizia è cosi applicata su progetti di territorio (schémi di assestamento (Masterplan), documenti di pianificazione, piani regolatori, ecc.) Oggi sono particolarmente coinvolti ad accompagnare i Servizi nell’applicazione delle misure messe a punto dal governo (leggi dette GRENELLE) per la riduzione delle emissioni di CO2, per il mantenimento della biodiversità e nei progetti di paesaggio che risulteranno dalla transizione energetica del paese. www.paysagistes-conseils.org Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 29 Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 30 PLANS ET INFORMATIONS PRATIQUES 1. HOTEL DOMUS PACIS TORRE ROSSA Via di Torre Rossa 94 - 00165 Roma Tel : +39 06 660071 RESTAURANT IL TRE SCELINI (DÉJEUNER JEUDI) Piazza Navona, 30-35, 00186 Roma Tel : +39 06 687 9148 2. PALAZZO SANTA CHIARA Piazza di Santa Chiara 14 - 00186 Roma Tel : +39 06 687 5579 3. RESTAURANT CASINA VALADIER (DINER JEUDI) Piazza Bucarest - 00187 Roma Tel : +39 06 6992 2090 BESOIN D’AIDE ? HELP ! Claire 0033 686 301 224 Marie 0039 334 5846045 4. BAR DEL FICO (DINER VENDREDI) Piazza del Fico, 26, 00186 Roma Tel : +39 06 6880 8413 PLAN DU CENTRE DE ROME 1/ EN BUS Aller à l’arrêt de bus “Torre Rossa-Domus Pacis” (située 30 m à droite de l’hôtel, coté opposé de la rue) Prendre le Bus 98 ou 881 direction PAOLA. => soit aller jusqu’à Paola et finir à pied jusqu’au Palazzo Santa Chiara (15 mn) - plan 1 => soit changer de bus à Piazza Della Rovere pour le Bus 64 vers Termini et descendre à Corso Vittorio Emmanuele-Argentina et marcher jusqu’au Palazzo Santa Chiara - plan 2 2/ EN METRO Se rendre à la station de métro Cornelia : - soit en bus 889 (4 arrêts) : station “Torre Rossa-Collegio San Paolo” (située à 300m de l’hôtel) - plan 3 - soit aller directement à pied jus’à la station de métro - plan 4 Puis prendre le métro ligne A direct jusqu’à Plazza di Spagna. Finir le trajet à pied (20 mn) jusqu’au Pallazo Santa Chiara - plan 5 PLAN 1 PLAN 2 BESOIN D’AIDE ? HELP ! Claire 0033 686 301 224 & Marie 0039 334 5846045 31 Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 PLUSIEURS ITINÉRAIRES EN TRANSPORT EN COMMUN POUR ALLER DE L’HÔTEL DOMUS PACIS TORRE ROSSA AU PALAZZO SANTA CHIARA (JEUDI ET VENDREDI MATIN) Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 32 PLAN 3 PLAN 4 PLAN 5 BESOIN D’AIDE ? HELP ! Claire 0033 686 301 224 & Marie 0039 334 5846045 ITINÉRAIRE PEDESTRE ENTRE LE PALAZZO SANTA CHIARA ET LE RESTAURANT I TRE SCALINI (JEUDI MIDI) - 7 MN BESOIN D’AIDE ? HELP ! Claire 0033 686 301 224 & Marie 0039 334 5846045 Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 33 Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 34 ITINÉRAIRE A PIED ENTRE LE PALAZZO SANTA CHIARA ET LA CASINA VALADIER (JEUDI SOIR - RDV 20H00) I TI N É R A I R E A P I E D E N T R E L A P L A Z Z A D I SPAGNA ET LA CASINA VALADIER - PIAZZA BUCAREST (850 M) (JEUDI SOIR - RDV 20H00) 2 NAVETTES POUR RENTRER À L’HÔTEL DEPUIS LA CASINA VALADIER LE JEUDI SOIR : 1 bus à 23h30 et un autre à 00h15 au départ de la Casina Valadier. BESOIN D’AIDE ? HELP ! Claire 0033 686 301 224 & Marie 0039 334 5846045 ITINÉRAIRE A PIED DU PALAZZO SANTA CHIARA AU BAR DEL FICO (VIA LA PIAZZA NAVONA) (VENDREDI SOIR) : 750 M ITINÉRAIRE EN TRANSPORT EN COMMUN DU BAR DEL FICO VERS L’HÔTEL DOMUS PACIS TORRE ROSSA (VENDREDI SOIR) : Marcher jusqu'à l’arrêt de bus “VITTORIO EMANUELE/NAVONA” Prendre le Bus N15 (23H45 /00H25/ 01H00/ 02H25) et descendre à l’arrêt Torre Rossa à 100m de l’hôtel. ATTENTION : Une navette privée de 50 places est à disposition à 23h30 et à 00h15 pour rentrer à l’hôtel ce vendredi soir (vous faire connaitre auprès de Claire 0033 686 301 224 et de Marie 0039 334 5846045 à 23h15). Bar del Fico Piazza del Fico Arrêt bus N15 VITTORIO EMANUELE/NAVONA BESOIN D’AIDE ? HELP ! Claire 0033 686 301 224 & Marie 0039 334 5846045 Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 35 ASSOCIATION DES PAYSAGISTES-CONSEILS DE L’ETAT ANNEXES AU PROGRAMME PLANS ET ET PROPOSITIONS DE CIRCUITS POUR LES VISITES LIBRES Séminaire à Rome // Seminario a Roma 5, 6 & 7 juin 2014 // 5, 6 & 7 giugno 2014 [email protected] www.paysagistes-conseils.org SOMMAIR E DES ANNEXES p.39 - Visites dans le centre de Rome p.46 - Visites dans le quartier sud-ouest p.48 - Visites dans le quartier nord p.50 - Visites des villas, promenades, parcs et jardins. Tous les documents qui suivent sont extraits : - du guide “Un grand week end à Rome”. Ed. Hachette 2013 - ISBN 2012452507 - de différents sites internet rédigés en italien. ATTENTION : Les textes, pour des raisons pratiques de rapidité et d’économie, ont été traduits avec un logiciel automatique, ce qui crée forcément quelques bizareries. Ces documents n’ont pour vocation que de vous guider dans vos visites. 39 Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 PLAN GÉNÉRAL DE ROME Tout ce qui y est indiqué en rouge présente un intérêt. CARTE DU CENTRE DE ROME AVEC REPÉRAGE DES VISITES PROPOSÉES CI-APRÈS CIRCUIT DE VISITE N° 8 - BORGHÈSE ET PINCIO CIRCUIT DE VISITE N° 4 - DE SANTA CHIARA À BAR DEL FICO (1/2) CIRCUIT DE VISITE N° 4 - DE SANTA CHIARA À BAR DEL FICO (2/2) CIRCUIT DE VISITE N° 7 - DE SANTA CHIARA À BORGHÈSE (1/2) CIRCUIT DE VISITE N° 7 - DE SANTA CHIARA À BORGHÈSE (2/2) Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 46 PLAN DU QUARTIER SUD OUEST DE ROME : LE CORVIALE ET L’EUR LE CORVIALE Le Corviale, parfois appelé Nuovo Corviale, et surnommé localement Il Serpentone ou Palazzo Chilometro, est un immeuble d'habitation situé au sudouest de Rome, en Italie. Conçu par l'architecte italien Mario Fiorentino, ce bâtiment construit entre 1975 et 1982 mesure 957 mètres de longueur, ce qui en fait le plus long immeuble d'habitation du monde. Construction du bâtiment : La conception du bâtiment s'inspire de celle des cités radieuses conçues par Le Corbusier. En par ticulier, on le constate dans la réservation de l'étage médian (quatrième) à des commerces et des services publics1, notamment des salles de réunion. Des services publics sont également prévus à proximité (desserte bus, école, marché). La première pierre de l'édifice est posée le 12 mai 19753, mais les premières livraisons n'interviennent qu'en 1982, suite à des retards et des défaillances d'entreprises (dues notamment aux chocs pétroliers). L’EUR Ce quartier devait être la vitrine architecturale de l'Italie fasciste. Il fut construit dans la seconde moitié des années 1930 sous la supervision de l'architecte Marcello Piacentini, en vue d'accueillir une Exposition universelle prévue pour l'année 1942, mais annulée en raison de la Seconde Guerre mondiale. Il comprenait différents bâtiments : palais des Offices (Palazzo degli Uffici), palais des Congrès, palais de la civilisation italienne (à l'époque Palais de la Civilisation du travail). Il a ensuite accueilli notamment à l'occasion des Jeux olympiques de Rome en 1960 : un palais des Sports (appelé aujourd'hui PalaLottomatica), le nouveau palais des Congrès, un vélodrome et une piscine olympique. C'est aujourd'hui un centre de loisirs et d'affaires à la périphérie de la capitale italienne, relié au centre par la ligne B du métro et par la Via Cristoforo Colombo, souvent définie comme une autoroute urbaine, mais qui est en effet une très longue avenue (27 km environ du centre à Ostie) avec de nombreux croisements à niveau. Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 47 PLAN DU QUARTIER NORD DE ROME : LE MUSÉE MAXXI Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 48 Le MAXXI - Musée national des arts du XXIe siècle - a été construit en 2010 par Zaha Hadid, Le bâtiment à vocation de musée national et consacré à toutes les formes de création de l'art contemporain, abrite la Fondazione MAXXI. Il est situé via Guido Reni dans le quartier de Flaminio à Rome. Horaires d’ouverture du Musée : Mardi - Mercredi - Jeudi - Vendredi - Dimanche de 11 h 00 à 19 h 00 Samedi de 11 h 00 à 22 h 00 La billetterie ferme une heure avant le musée. Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 49 Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 50 LES VILLAS DE LA NOBLESSE VILLA ADA SAVOIE Villa Ada Savoie est l'un des plus grands parcs de Rome, avec une superficie d'environ 160 hectares. Savoie résidence depuis 1872, est devenu en 1946, avec la proclamation de la République, propriété presque entièrement public. Le grand parc, orné de nombreux bâtiments de style néoclassique et éclectique que le Temple de Flora, Villa Polyxène, Royal Mews, le Chalet suisse, la tour gothique est caractérisé par des forêts de chênes, de chênes-lièges, forêts de pins et de prairies, selon la traditionnelle configuration irrégulière du jardin. La largeur de la mer territoriale de la Villa Ada, caractérisé par une végétation luxuriante, l'amélioration progressive de son patrimoine environnemental mis en oeuvre au cours de la dernière décennie, grâce à une restauration minutieuse de la végétation flottabilité et la reconstitution de la faune originale, en font un lieu idéal pour la marche et le jogging dans la nature; ont récemment été équipé avec des sentiers guidées spéciales pour le sport et une nouvelle route de Panama, où il est possible de pénétrer dans la plus grande partie est restée intacte en termes de flore et de faune, marchant dans une zone boisée caractérisée par de vastes parcelles de pins, de chênes, de lauriers accès et de châtaigniers et peuplées par des écureuils, des hérissons, des lapins, et les grandes communautés d'oiseaux dans ce parc, ils ont trouvé le bon habitat. VILLA PAGANINI ALBERONI Villa Paganini, situé sur Nomentana en face de la Villa Torlonia, a été rouvert au public (2004), après une restauration soignée, réalisée en collaboration avec l'Hôtel de surintendant. La restauration du petit parc, construit à la fin du XIXe siècle à la suite de diverses interventions de traitement et de réduction de la magnifique propriété du XVIIIe siècle du cardinal Giulio Alberoni qui était à l'origine partie, a eu lieu après les sources documentaires, dans le but de rétablir la ' regarder d'un jardin romantique prise du parc à la fin du XIXe siècle; a été restauré comme un petit étang avec île artificielle et réactivé la grotte-nymphée. Un agréable jardin dans lequel sont le fond les tables élégantes des bâtiments de la Nomentano de quartier adjacent de style du XXe siècle. VILLA ALDOBRANDINI Situé près de la Piazza del Quirinale, Villa, propriété de l'Etat depuis 1926, ressemble à un jardin suspendu, clos de murs, à côté de la Via Nazionale et Via Quattro Novembre. Il est accessible depuis une rue latérale, rue Mazarine, par un escalier raide qui serpente au milieu des ruines antiques à la fin du premier siècle. L'ouverture de la Via Nazionale, construit après 1870, avec l'avènement des Roms Capitale, a conduit à la réduction drastique de la vaste propriété de la villa (qui est venu avec ses jardins à proximité du casino Pallavicini-Rospigliosi à côté de la Piazza del Quirinale) réduire le territoire de sa taille actuelle. Au siècle dernier, le palais et le jardin, maintenant clôturés et fermés au public, ont été affectés à l'Institut international pour l'unification du droit privé. Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 51 VILLA BORGHESE Le parc de la Villa Borghese, un des plus importants à Rome, elle est bordée par neuf entrées qui permettent l'accès des quartiers centraux de la ville, Pinciano, Flaminio et des salaires. Le nom de la villa vient de la première résidence du Cardinal Scipione Borghese, le “Casino Nobile," avait construit au début du XVIIe siècle et conçu par Flaminio Ponzio et John Vasanzio et transformé en un musée du XXe siècle, l'une des plus prestigieuses collections d'oeuvres 'art du XVIe au XVIIIe siècle, avec des chefs-d'oeuvre d'artistes tels que Raphaël, Titien, Le Caravage, Bernini et Canova. Villa Borghese abrite de nombreux bâtiments historiques, contemporains tels que le Casino Graziano, Casino Giustiniani, la volière et le Meridian avec les merveilleux jardins secrets, restauré selon l'ensemble du XVIIe siècle d'origine; accueille de nombreux bâtiments de style néoclassique du XIXe siècle tels que le Casino et l'horloge, la Fortezzuola, le grand lac Jardin, redessiné et construit en 1786 par Antonio Asprucci, caractérisé par une île artificielle romantique, dominée par le temple d'Esculape, atteint par une courte excursions en bateau. La villa est équipée d'installations pour les loisirs, le jeu et la diffusion culturelle: le Musée Parsonage, artiste home-studio Pietro Canonica, le Casino de Raphaël avec une salle de jeux pour les enfants, la Casina delle Rose avec la Chambre des cinéma, zoo éclectique récemment convertie en bio-parc, l'orangerie transformée dans le nouveau Museo Carlo Bilotti avec des oeuvres d'art contemporain. Près de Piazza di Siena, a été mis en place un grand théâtre circulaire de pavillon, le Théâtre du Globe, sur le modèle des théâtres élisabéthains, associé à la programmation de Shakespeare. Le parc de Villa Borghese occupe un grand espace au coeur de la ville, entre la section du Mur d'Aurélien qui relie Porta Pinciana Piazzale Flaminio, et les nouveaux quartiers Salaire et Pinciano née au début du XXe siècle. Et l'une des villas romaines du paysage artistique et plus riche. A l'intérieur des bâtiments de racchide, des sculptures, des monuments et des fontaines, des œuvres Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 52 d' artistes célèbres du baroque, néoclassique, éclectique, entouré par des arbres centenaires, des étangs, des jardins et de grands espaces ouverts. Pour son incroyable concentration de musées et d'institutions culturelles, la villa est appelé " Musée Park". Décrit dans les guides de tous les âges, représentés par des artistes célèbres, célèbre musique d'inspiration et des pages intenses de la littérature ville, la Villa Borghese révèle encore aujourd'hui, dans les aperçus inattendus de son parc, la splendeur du passé. La villa du XVIIe siècle La partie la plus ancienne de la Villa Borghese, un terrain modeste de vignobles, il a été détenu par la famille Borghese depuis 1580, mais dans les premières années du XVIIe siècle, le cardinal Scipione Caffarelli Borghese ( 1576-1633 ), neveu préféré du pape Paul V ( 1605-1621 ), acquisition dirigé un certain nombre de vignes et terres adjacentes avec l'intention de créer un “jardin des délices”, un symbole du statut social de la famille. Le Cardinal Scipione a commandé la construction de la villa de deux architectes Flaminio Ponzio (1560-1613) et John Vasanzio (1550-1665), soutenu par le jardinier Domenico Savini de Montepulciano pour la conception des jardins. De 1606, l'année du début des travaux, les activités se succèdent sans relâche, avec la participation, entre autres, Pietro et Gian Lorenzo Bernini. En 1633, la maison est presque terminée et a pris l'attitude qui tiendra jusqu'à la fin du siècle prochain. En plus de la maison principale ( maintenant à la maison à la Galleria Borghese ), destiné à abriter la collection d'art importante du cardinal, et tous Volière, place dans la perspective toile de fond de la deuxième jardin secret, la villa comprend des jardins manucurés ornées de fontaines, statues et de meubles anciens, des bosquets et des zones réservées à la chasse, en alternance, des espaces formels, admirablement équilibré et ordonné le paysage naturel et sauvage. La villa entre les XVIIIe et XIXe siècles La villa a été entretenu et soigné sans subir de changements majeurs jusqu'en 1766, lorsque le prince Marcantonio IV ( 1730-1800 ) a entrepris de vastes travaux de rénovation, la transformation de deux bâtiments principaux, en particulier la maison principale et la Chambre des Jeux d'eau (courant orangerie), et sensiblement dans le parc. Le plus grand changement a été la création du Jardin du lac, dans la zone appelée “plan de licini” (chêne vert). Marcantonio a profité de l'œuvre des architectes Antonio et Mario Asprucci et de nombreux ar tistes, jardiniers, paessagisti. Meubles précieux ornaient les jardins : fontaines et les petites usines, telles que l'Aqua Felix Show, la fontaine de Hippocampes, le Temple de Diane, le temple d'Antonin et de Faustine et le Temple d'Esculape a donné le parc et la suppression de nouvelles vues en perspective. La villa du XIXe siècle A la mort de Marcantonio IV a été succédé par son fils Camillo (1775-1832), une figure controversée connue pour son mariage malheureux à Pauline Bonaparte, sœur de Napoléon. Camillo a pu donner à la magnificence de la villa une contribution significative. En fait commencé l'expansion de la propriété, un engagement continu à sa mort par son frère Francis (1776-1839), qui a été réalisé avec les grands de nouvelles acquisitions, Villa Giustiniani à la Porta del Popolo et de la Villa Pamphili et déjà Manfroni vers Porta Pinciana. Depuis le début du vingt Camillo confié le travail d'harmonisation des nouvelles propriétés architecte Luigi Canina a Villa une nouvelle structure formelle, avec l'inspiration de nombreuses petites usines éclectique et néo-classique. Au cours du XIXe siècle, la villa a été le théâtre d'événements spectaculaires, tels que le ballon ascension d'air chaud sur la Piazza di Siena, et les fêtes populaires, avec le chant et la danse, immortalisé par de nombreuses peintures et gravures. Les princes Borghèse étaient bien connus au peuple romain, la villa a été, en fait, ouvert les jours de fête, conformément à une tradition qui se poursuit à ce jour. Dès la seconde moitié du siècle, après on s'attendait le travail de reconstruction massive promu par entrées du-Prince Marcantonio V à payer pour les plaisirs offerts au public : une petite ménagerie au Jardin du Lac, un vélodrome à Piazza di Siena, des excursions en bateau sur le lac, ball-trap à Deer Park, le restaurant du Casino et du lait de l'horloge et de la crème avec des gaufres à la Casina delle Rose, alors utilisé comme un Vaccheria. La villa du XXe siècle Après l'unification de l'Italie a ouvert le différend entre la famille Borghese et l'État italien dans la possession de la maison et à la fin d'un long conflit juridique, l'État italien en 1901 a acheté l'ensemble du complexe monumental. En 1903, le parc a été transféré à la ville de Rome et ouvert au public. Dans l'acte de cession de l'état a conservé la propriété de la collection Casino noble et riche de l'art qu'il contient, pour en faire un musée public. En 1908, le pont a été construit de connexion avec le Pincio et en 1911 dans le domaine de la troisième enceinte a été inauguré le nouveau jardin. En 1911, il a ouvert la nouvelle entrée de la Valle Giulia, qui reliait la maison à la nouvelle route construite pour le Parioli naissante et Flaminio, et a été le grand escalier d'accès à la place Firdousi. D'autres entrées ont été ouverts à l'avant de la Via Rossini, et le courant loin Raimondi. Depuis 1904, à travers les avenues de la villa ont été placés monuments commémoratifs dédiés aux héros littéraires célèbres ou des pays étrangers de leur don à la ville de Rome, comme celles consacrées à Goethe, Victor Hugo, Byron, Umberto I et Firdousi qui ont commencé une tradition encore en vie. Dans le Parco dei Daini en 1925 a été construit le réservoir Marcia, pour servir les nouveaux quartiers résidentiels surgi près de la villa. Dans la période Septembre 2013 - Avril 2014 ont été créés les travaux d'entretien extraordinaires pour la réhabilitation du bassin du lac du lac de jardin et l'entretien du temple d'Esculape. Localisation : Municipio II, quartier Pinciano Période: XVI - XXe siècles Étendue : 79 hectares Entrées: Via Aldrovandi, Via Raimondi (2 entrées ), Via Pinciana ( 2 entrées), Piazzale Sao Paulo, Piazzale Flaminio, Piazzale Cervantes, Pablo Picasso carrés ( Via di Valle Giulia) VILLA CARPEGNA Situé dans le quartier Aurelio, la villa du cardinal Gaspare Carpegna, construit à la fin du XVIIe siècle et rénové deux siècles plus tard, il est l'un des rares villas romaines qui préserve les caractères du style du XVIIIe siècle intactes dans un ensemble d'une grande valeur. L'achat de la villa et le parc par la municipalité de Rome (1978) a donné lieu à un travail de restauration complète et l'accès libre au public. Le casino noble, caractérisé par un corps central flanqué de deux ailes latérales symétriques surmontés de tourelles, le noyau principal de la villa est maintenant la maison de la Rome quadriennal, l'une des institutions les plus prestigieuses de l'art contemporain du XXe siècle, qui vous permet de voir l'archive précieuse et la bibliothèque. VILLA CELIMONTANA Le courant Villa Celimontana est tout ce qui reste du jardin originel de la Mattei Celio, construit dans les dernières décennies du XVIe siècle et l'objet de nombreuses modifications qui ont changé le regard entier. Ciriaco Mattei, auteur de la transformation profonde de la place, tourna la vigne dans un jardin plein de statues et de fontaines d'engagement des architectes, des artistes et des artisans. La villa a été détenue par la famille Mattei jusqu'à l'extinction de la ligne masculine au début du XIXe siècle. Après plusieurs changements de propriétaire, en 1926, le bâtiment Mattei a été livré à son cessionnaire finale, la Royal Geographical Society et le parc verdoyant public italien a été conçu en 1928 et ouvert au public. Il s'agit d'un projet en cours de récupération et la disposition des espaces verts pris en charge par le ministère de l'Environnement qui devrait être terminé d'ici l'été 2014. Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 53 Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 54 VILLA CHIGI Villa Chigi commandé dans la seconde moitié du XVIIIe siècle par le cardinal Flavio Chigi, un bel exemple de "station de casino" du XVIIIe siècle, est situé dans le salaire. L'entrée principale se trouve dans la Via di Villa Chigi, près de la Piazza Vescovio. Le parc public, est séparée par une clôture de l'ancien bâtiment et un jardin attenant italien, privé. VILLA DORIA PAMPHILI (PRÈS DE L’HÔTEL) Villa Doria Pamphili, avec ses 184 hectares, est l'un des plus importants et vastes villas historiques de Rome. Agrandie dans le temps grâce à l'acquisition continue du terrain adjacent à l'autre, la maison conserve de nombreuses traces des changements qui se sont poursuivies entre le XVIIe et le XIXe siècle. résidence de campagne de la famille Pamphili, sous le pontificat de Innocent X (1644-1655) a pris l'allure d'un manoir somp-tueux. L'acquisition de la Villa Corsini à Porta San Pancrazio en 1856 par le prince Andrea V Doria Pamphili, représentait la dernière expansion majeure de la Villa. En 1939, la ville de Rome a commencé les premières expropriations, et l'État italien a acheté en 1957, le noyau originel; partie des actuels 184 hectares ont été acquis par la ville de Rome en 1965 et 1971, permettant enfin ouvert au public depuis 1972, ce magnifique parc. L'ouverture de la Via Leone XIII (la soidisant “Olympic Way"), à l'occasion des Jeux Olympiques de 1960, a divisé le complexe en deux parties: à l'est la plus riche en monuments (bâtiments et jardins historiques, des fontaines, mobilier) de l'industrie à l'ouest du "sauvage" de plus en plus naturaliste qualifié. De la naissance de la villa Pamphili préexistante Beaucoup de pièces de la villa conservent encore une preuve substantielle des périodes romaines et médiévales: la frontière nord le long de la Via Aurelia Antica coïncide en partie avec les structures de l'aqueduc de Trajan Paul; dans de nombreuses zones du parc ont été détectés structures funéraires de l'époque romaine (ceux particulièrement significatifs mis en évidence au Casino del Bel Respiro); le hameau de Jove conservé des exemples de murs de l'époque impériale de grande valeur et une architrave décorée début du Moyen Age. E ', cependant, sous le pontificat d'Innocent X (Giovanni Battista Pamphili), entre 1644 et 1655, la région, dont le noyau avait été longtemps détenue par la famille, il a commencé à prendre forme comme une campagne résidence noble pompeux. Dans ces années, en fait, le "Cardinalneveu" Camillo Pamphili , il a construit le Casino del Bel Respiro avec les jardins attenants, redessiné besoins de logement pour la construction de la Villa Vecchia et commandé la construction de certains des fontaines du parc. Dans le complexe exploité certains des plus grands artistes de l'époque tels que Alessandro Algardi, Giovan Francesco Grimaldi, Gian Lorenzo Bernini. La villa des XVIIIe et XIXe siècles Au XVIIIe siècle, la Villa Pamphili a été étendu par quelques-uns des annexions de terres voisines. Interventions particulièrement importantes faites dans le jardin de Cedrati par Gabriele Valvassori, et des modifications à la Fontana del Giglio, le canal et le lac de Francesco Bettini, également responsable de nombreuses autres interventions dans la villa, destinées à renouveler le mobilier et les jardins. Même dans le dixhuitième siècle, il convient de mentionner les interventions architecte Francesco Nicoletti, qui doit, entre autres, la construction de l'exèdre de la salle de théâtre de jardin d'organes. L'acquisition de la Villa Corsini à Porta San Pancrazio en 1856 par le prince Andrea Filippo V Doria Pamphili, représentait la dernière expansion majeure de la Villa. Parmi les oeuvres de cette phase historique, immédiatement après les batailles combattues dans la région du Janicule dans la même villa et au cours de la dernière défense de la Seconde République romaine (1849), doivent être déclarés: l'Arche des Quatre Vents, une entrée monumentale de la villa , construit dans sa forme actuelle sur une campagne existante "Casino"; la rénovation de la maison Corsini; Serres en face de la Villa Vecchia; Monument à la française Fallen. Durant la même période, le Théâtre Jardin a pris une sorte de configuration du paysage, tandis que les travaux de prolongement de l'avenue en face de la Villa Vecchia a conduit à la réduction d'une aile du bâtiment. La dernière construction majeure a commencé dans le parc était la chapelle funéraire, construit entre 1896 et 1902 dans le jardin du théâtre, conçu par Edward Collamarini. Le XXe siècle La villa a été détenue par la famille Doria Pamphili jusqu'aux premières décennies du XXe siècle. En 1939, la ville de Rome a dit de commencer une série d'expropriations, culminant dans les deux ouvertures au public du parc en 1965 a été mis à la disposition de la partie occidentale de la villa, tandis que en 1971 il a été finalement acquis le secteur est du parc, ouvert au public le 22 mai. La villa entière est maintenant détenue par la ville de Rome, à l'exception du Casino del Bel Respiro, qui a été acquise en 1967 par l'État de la propriété et a un bureau de représentation de la Présidence du Conseil des Ministres. Et cours d'étude dans le projet de regroupement du parc, idéalement commencer avec la construction récente du pont sur la Via Leone XIII, en enterrant la route olympique. Localisation: Municipio XVI, quartier Monteverde Période: XVII siècle XX Superficie: 184 hectares Accès: Via di San Pancrazio, via Aurelia Antica, via Leone XII, largo M. Luther King, via Vitellia, via della Nocetta VILLA SCIARRA Donnant sur les pentes de la colline du Janicule,Villa Sciarra est l'une des plus belles villas de Rome; limité en taille, il conserve l'aspect d'un familier et accueillant, orné de statues et d'objets architecturaux. Propriétés des Barberini à partir du milieu du XVIIe siècle, puis par Maffeo Sciarra, a été transformé en 1902 par le nouveau propriétaire, George Wurts, selon le style néo-baroque en vogue à l'époque, et livrés en 1930 par les héritiers de Benito Mussolini. Les récentes rénovations ont restauré à son ancienne splendeur de la noble casino, les diverses fontaines qui ornent la villa, (la fontaine des satyres, la fontaine de Diane et Endymion, etc.), La nymphe assez éclectique, l'arbre de exèdre, l'un des angles le plus frappant de la villa et la volière où vous pouvez encore admirer une paire de paons. VILLA TORLONIA Grand parc de seize hectares, s'étend le long de la Nomentana en face de la Villa Paganini, à proximité du quartier Trieste. Initialement Pamphili propriété agricole familiale a été acheté à la fin du XVIIIe siècle par le banquier Giovanni Torlonia qui a commandé Giuseppe Valadier le projet de transformation de la propriété agricole dans sa résidence, à travers la réalisation de Noble Casino et le Casino dei Principi. En 1832, l'héritier Alessandro Torlonia a poursuivi les travaux d'embellissement, grâce à la construction d'autres bâtiments, qui sont encore visibles comme le temple de Saturne, les ruines de faux fontaine néo-classique avec une tribune, un amphithéâtre et la caractéristique du café- Maison. L'agencement de vert, dans la zone sud du parc ricalcava le goût de jardins romantiques, avec l'inclusion des étangs, des rues irrégulières et de nouveaux bâtiments conçus conformément à l'esprit éclectique: la cabine suisse, la Serra, la Tour, le maure et Cave le tournoi de golf. Après une longue période d'abandon, la maison devint la résidence de la famille dans la vingtaine Mussolini. En 1978, la Villa Torlonia a été acquis par la municipalité de Rome et transformée en un parc public. Aujourd'hui, la villa a retrouvé son ancienne splendeur, offrant trois musées publics exposition (www.museivillatorlonia.it): le Musée des hiboux de huée, consacré au vitrail, Le Musée de Noble Casino, qui abrite le Musée de la Villa et la collection de l'école romaine, le siège Casino dei Principi de l'école romaine et de l'espace pour les expositions temporaires. Un lieu de repos agréable est situé à l'limonaia et la Maison médiévale voisine, le siège de la ludothèque Technotown. Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 55 Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 56 LES VILLAS DE LA BOURGEOISIE VILLA BONELLI Cette villa, située sur le dessus du quartier Portuense, est un excellent point pour admirer la ville de vue. Le casino noble, du XIXe siècle, il a été appelé au siècle dernier Villa Balzani le nom du propriétaire. Acquis en 1925 par Bonelli a été entièrement rénové et équipé d'une serre en plein essor. Son discours a été étendu au jardin qui a pris un aspect du parc grâce à l'inclusion de sentiers balisés par des fontaines et escaliers qui valorisés le regard. Dans les années quatre-vingt la villa, récemment restauré, a été acquis par la municipalité de Rome et utilisé comme le siège du district XV. VILLA LAIS, ANCIEN CAMPAGNOLA VIGNOBLE L’actuelle Villa Lais, situé à proximité de la section urbaine de Tuscolana, est un exemple d'une résidence de banlieue datant du début du '900. La villa d'origine occupait une superficie de 2 km de Tuscolana, délimitée au nord par le passage du flux d'eau Mariana ou "Marrana de Santa Maria", qui dans ce domaine a été donnée à l'agriculture et au développement de la production, et à l'est par le chemin des anciens aqueducs. La villa a su conserver le charme de belle demeure de pays, malgré l'écrasement du palais et de la circulation chaotique. VILLA FLORA Villa Flora est l'exemple le plus important de vert Portuense quartier historique, bien que toujours en attente d'un travail de restauration et de mise en valeur. La zone se compose d'un désordre éclectique noble, cer tains bâtiments de l'utilisation agricole de l'archéologie industrielle et inspirés par deux fer fin en fonte et les serres en verre conçus dans le style néomédiéval. De grand parc de valeur, caractérisé par une longue avenue bordée de cyprès qui bordent les pistes de la villa, qui se distinguent par des pins luxuriants et d'autres plantes typiques de la flore de Rome. VILLA LAZZARONI Villa Lazzaroni est un exemple important de la transformation, à la fin du XIXe siècle, une colonie agricole et productif manoir de banlieue à Rome, phénomène très répandu à l'époque. Situé dans le tronçon urbain de la Via Appia Nuova, est fréquenté par les citoyens de la région qui trouveront dans le bâtiment principal de la villa, le siège de la mairie IX. VILLA LEOPARDI DITTAJUTI La Villa Leopardi Dittajuti situé dans une zone proche de Nomentana, à environ deux kilomètres de la Porta Pia, traversé dans le sol par des branches des catacombes de coemeterium Maj (entrée par Asmara. Visites contacter la Commission pontificale d'Archéologie sacrée). C'est un exemple de la résidence de la fin du XIXe siècle, le résultat de la transformation d'une zone agricole dans le "jardin des délices". Actuellement, le bâtiment principal, construit dans le style néo-médiéval selon le goût de l'époque, est fermé en attendant le début des travaux de restauration prévu. Le parc est traversé par des sentiers bordés de murs de maçonnerie modernes, a complètement perdu son aspect d'origine, au moins en partie, est conçu pour récupérer à la prochaine réorganisation du jardin. Dans deux petits bâtiments domicile à la bibliothèque municipale et le centre principal de la Mairie III. VILLA MAZZANTI Villa Mazzanti, situé près du Tibre et les installations sportives du Foro Italico, est situé au pied de la côte orientale du parc de Monte Mario . Du casino noble, maintenant siège de Rome encore, vous pouvez profiter d'une belle vue sur la ville. La partie inférieure, via Igoumenitsa, est entièrement équipée avec des jeux et assure la fonction de parc de quartier. VILLA MERCEDE Le parc public de la Villa Mercede, situé entre Marruccini et via Tiburtina, malgré sa taille modeste, est très populaire et est un endroit frais et ombragé pour les habitants de la région, une des villes les plus congestionnées vert et moins riches . La région est le foyer de la soi-disant “théâtre”, qui abrite actuellement la bibliothèque de l'hôtel de ville III. Une allée en pavés, plein de palmiers, de pins, de cèdres et de plantes luxuriantes, disposés selon le modèle de jardins paysagers, va dans la zone boisée. Doté d'un grand domaine, la villa abrite d'été stimulants festivals de cinéma. VILLA OSIO Villa Osio, maintenant connu sous le nom "Maison du Jazz", situé sur Viale di Porta Ardeatina, dans le quartier Ostiense, au cours des dernières décennies a été l'objet de modifications qui ont fortement modifié la mise en page originale. Le projet a été commandé dans les années trente par l'avocat de l'ancien propriétaire Arturo Osio, l'ingénieur Cesare Pascoletti. Dans les années quatre-vingt, le transfert de propriété d'une famille du crime romain, a gravement altéré les caractéristiques architectural et paysager, récemment restaurée avec l'expropriation par l'Etat et le transfert de propriété à la ville de Rome. Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 57 Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 58 PROMENADES, PARCS ET JARDINS JARDIN DEL QUIRINALE DÉJÀ CARLO ALBERTO Le jardin est situé sur le côté du Quirinal, le long de la rue du même nom. Elle constitue, avec la fin de Sant'Andrea al Quirinale Gardens, un agréable espace vert dans le centre-ville. Le jardin du Quirinal, créé pour la visite à Rome de l'empereur Guillaume II en 1889, se caractérise par une grande statue équestre de CharlesAlbert. de Saint- Andrea. Ombragé et bien conservé est une petite oasis de verdure dans le centre historique de la ville. Le jardin a été créé par le jardinier royal Joseph Roda en 1888 et ouvert au public en 1969. PARC DEL PINETO SACHETTI ARDIN S.ALESSIO JA Le jardin, situé entre le couvent de Santa Sabina et S. Alessio, est une belle terrasse donnant sur la ville, avec un goût de paysage du XIXe siècle, ombragé par des arbres et des parterres de gazon. JARDIN DE SANT'ANDREA AL QUIRINALE Le Jardin de Saint-André au Quirinal, situé le long de la Via del Quirinale entre les églises de S. Andrea et S. Carlino alle Quattro Fontane, occupe le site du légumejardin, avec des meubles et des fontaines du monastère Le parc couvre une superficie de Pineto sacs plats dans la forêt de pins, le long de la route qui lui donne son nom, et une grande vallée, appelée la vallée de l'Enfer. A l'intérieur il n'y a que deux maisons visibles de l'architecture simples, destinés à devenir, après la restauration, centres de documentation et d'enseignement pour la connaissance du parc, alors que rien ne reste de l'édifice construit par Pietro da Cortona pour la famille Sacchetti au XVIIe siècle . Park depuis les années soixante-dix du siècle dernier, Rome géré par le Parc naturel régional de Pineto, est maintenant une réserve naturelle d'une grande importance (on a enregistré plus de 600 espèces de plantes et 71 espèces d'oiseaux). PARC DES SCIPIONS Le parc couvre une superficie de Scipion entre le latin et les rues anciennes Appia (aujourd'hui Via di Porta San Sebastiano), dans le cercle du Mur d'Aurélien. Il est le résultat d'un logement archéologique qui a récupéré et mis au point deux importants monuments de l'ancienne Rome funérailles: le Columbarium de Pomponius Hylas et le tombeau de Scipion. Une longue avenue centrale qui commence à partir de la Via di Porta chemins de passage Latina par le côté du parc. De grands arbres, pins et cyprès et de plantes méditerranéennes, de chênes, de lauriers et de myrtes, flanquant les vestiges archéologiques. En été, le parc accueille des activités et des animations pour les enfants et les adolescents. PARC OPPIAN Le parc couvre le domaine de la Oppian de la colline, l'un des sept Septimontium primitive de Rome, et de grands espaces verts des suppléants aux vestiges monumentaux d'une grande importance et d'intérêt, tels que le pavillon de Domus Aurea de Néron, les thermes de Tito et ceux de Trajan. En 1871, dans le cadre des calendriers de planification nécessitées par les nouvelles exigences de la capitale Rome, la zone a été utilisée comme un jardin public. Mais ce n'est que dans le cadre de programmes urbains de Rome de Mussolini, caractérisé par l'exaltation du passé impérial et le fort intérêt public dans le vert, qui pentes de la colline de l'opium ont pris en deux phases différentes, leur structure actuelle. PARC D'HADRIEN Le parc, construit dans les années trente, nommé d'après le mausolée construit par l'empereur Hadrien en l'an 134-139 et a été transformé au cours des siècles suivants la forteresse papale de Castel Sant'Angelo. En 1911, la région, inclus dans l'itinéraire de l'Exposition Universelle de Rome, a été transformé en un parc. La configuration actuelle conserve les caractéristiques du projet initial, qui comprenait l'extension de la double rangée de l'ombre grâce à l'inclusion de lits géométriques, alignés le long du périmètre de la place et un système de parterres de fleurs triangulaires, situé sur la Piazza d'Armi . A cette occasion, il a également été envisagé un nouveau système de relier les différentes zones du jardin, répartis sur différents niveaux, par deux escaliers impressionnants, couronnés par exèdres, situées en face des remparts qui se dressent encore sur leur monumentalité. PARCO DI S. GREGORIO AL CELIO Le parc de San Gregorio al Celio, situé dans l'ancien potager du monastère de San Gregorio, se trouve sur le côté ouest de la Celio, bordé à l'est par la Villa Celimontana, au sud par la pépinière municipale, à l'ouest de la promenade archéologique (via Valle de Camene) et au nord du monastère de SS. Andrew et Grégoire le Grand au Monte Celio. Il est accessible par une volée de marches, de la montée de Saint-Grégoire bordé d'oliviers, mène à un espace ouvert, qui est la partie centrale du parc. PARC SAINT-SÉBASTIEN Le Parc SaintSébastien s'étend le long de la dernière ligne droite de la trame urbaine de l'ancienne Via Appia, tracée par l'actuelle Via di Por ta S. Sebastiano. Sur le côté de la Via di Porta S. Sebastiano, est l'église de San Cesareo et la maison du cardinal Bessarion. Le parc a été donné au gouverneur de l'État avec l'accord du 21 Avril 1925, une seconde zone de la promenade archéologique à Rome. PARC NEMORENSE OU DE VIRGILE Le Nemorense Park, construit en 1930, conserve à la fois sa fonction d'origine du parc «voisinage» pour lequel il a été créé. E 'équipé avec des manèges, des jeux d'enfants et de boulingrin. Il est situé dans le quartier résidentiel entre la rue et l'axe routier Nemorense Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 59 Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 60 Corso Trieste-avenue Eitrea. Le parc est aussi appelé Virgile inauguré dans le deux millième anniversaire du poète latin Virgile. PARCO SAVELLI Savelli Park, mieux connu comme le Jardin d'Orange est une petite terrasse sur le 'Aventin qui domine le Tibre. De ce point de vue, l'un des plus aimé et visité la ville, vous pouvez profiter d'une des plus belles vues de Rome. Le parc s'étend sur la zone de l'ancienne forteresse construite par la famille de l'Savelli entre 1285 et 1287 à l'église de Sainte-Sabine sur l'Aventin, sur un ancien château construit au Xe siècle par le Crescenzi. Le jardin actuel a été aménagé en 1932 par Raffaele de Vico, après déjà au début des années vingt du 900, avec la nouvelle définition urbaine de l'Aventin, qui était prévu pour allouer une zone de parc public des Pères dominicains église voisine a tenu un jardin. Le parc s'étend Savelli dans l'ancienne forteresse construite par la famille de l'Savelli entre 1285 et 1287 à l'église de Sainte-Sabine sur l'Aventin, d'un ancien château construit par Crescenzi au Xe siècle. Le jardin actuel a été aménagé en 1932 par Raffaele de Vico, après déjà au début des années vingt du 900, avec la nouvelle définition urbaine de l'Aventin, qui était prévu pour allouer une zone de parc public des Pères dominicains église voisine a organisé un potager, de manière à offrir un accès gratuit à la vue du côté de la colline, l'unissant à celle occupée par le lazaret municipal, correspondant à une partie du jardin de Saint-Alexis, créer un nouveau point de vue aux côtés de ceux le Pincio et le Janicule. Le jardin, planté d'orangers, en référence à l'orange quand il prêchait à Saint-Dominique, fondateur de l'ordre, conservé dans le cloître près de St. Sabina et visible à travers un trou dans le mur du portique de l'église, reçu par de Vico la mise en symétrie rigide, avec une médiane de boulevard en ligne avec le point de vue, qui s'ouvre en deux places: sur la droite a été à l'origine situé la fontaine construite par Giacomo della Porta Piazza Montanara, et en 1973 déplacé à Piazza S. Siméon le coronaire. L'entrée principale, sur la place Saint- Pierre de l'Illyrie, a été enrichi en 1937 par le portail de l'arbalète Villa sur la Via Flaminia. Localisation: Municipio I, quartier de l'Aventin Période: 1932 Superficie: 7800 m². Accès: la place Saint-Pierre de l'Illyrie, Via di S. Sabina, Clivo Rocca Savella LE JANICULE La promenade du Janicule, où vous pouvez profiter d'une des plus belles vues sur le centre historique de Rome, est composé de deux principales avenues par avion, en roue libre la Villa Aurelia, qui se rassemblent sur la place Garibaldi à continuer dans la même rue qui descend enroulement vers l'église de Sant 'Onofrio, fait pour compléter la promenade en. zone 1939, le théâtre d'événements héroïques des combattants de la République romaine en 1849, a été transformé en 1883 par les nouvelles institutions en promenade publique italienne et dédié à la mémoire défense de Rome. Sur les bords des chemins sont les bustes de Garibaldi célèbre qui se sont battus pour la défense de Rome en 1849. Le 9 Février 1849, il a été proclamée la République romaine, qui fut de courte durée, en dépit de l'action défensive de Giuseppe Garibaldi. Le 24 Avril, un corps expéditionnaire français sous le commandement du général Charles Oudinot a atterri à Civitavecchia-Victoir avec l'intention de retourner à Rome, Pie IX, qui a fui à Gaeta. Après une première défaite à Porta San Pancrazio, renforts reçus, ils ont lancé les Français au début de Juin, l'attaque décisive: la colline du Janicule a été bombardé et pris d'assaut, et ignorant les barricades défensives de Mazzini et de Garibaldi. Les histoires héroïques de ces vaillants combattants ont été promus comme un exemple de la lutte pour la liberté et pour la patrie et sont devenus épique. En 1883, les nouvelles institutions "à l'italienne", l'Etat et la Ville, a acheté la zone et la transformer en une promenade publique, la dédiant à la mémoire de la défense de Rome. L'agencement du Janicule comme un jardin public a commencé, en fait, déjà sous le gouvernement pontifical, avec la mise en place, en 1857, un buste de Torquato Tasso au vieux chêne où le poète a pris sa retraite à méditer. Entre 1865 et 1868, le projet de la municipalité Federico Arcangeli, la route qui a été construite par la Via Garibaldi d'aujourd'hui s'élève à coudes vers San Pietro in Montorio: la promenade bordée d'arbres ressemblait orme, robinier, azedarach et de platanes et de pommiers, et la zone maintenant occupée du cimetière par Garibaldi a été organisée avec un jardin à l'anglaise. Déjà, le plan directeur de 1873 prévoyait la création d'une "Marche Margaret" sur la crête de la colline pour créer un lien entre l'amont Borgo Santo Spirito et Porta San Pancrazio. Nous devons, cependant, attendre jusqu'en 1881 quand il a lancé la préparation du nouveau plan directeur, la promenade publique de la colline du Janicule est devenu une réalité urbaine. Donc, le 20 mai 1883 le prince Tommaso Corsini vendu à l'État et de la Ville et les propriétés sur le chemin de la colline longue Lungara. La zone de collines, y compris le "casino en amont" de la Corsini, est allé à la ville et la partie inférieure de l'Etat. Les travaux sur la nouvelle promenade, le tronçon jusqu'à Onofrio, a commencé en Octobre 1883 et a définitivement pris fin en 1896, bien que certaines parties de la marche étaient encore viables au public depuis 1887. En 1886, le casino Corsini a fait l'objet d'un projet de transformation en un "guet appennina" par la section romaine de l'Alpine Club, un observatoire de la tour consistant en un simple pavillon avec télescope mobile. La "surveillance", conçu par l'ingénieur Paolo Emilio De Sanctis forme neomedieval, constitué, depuis quelques années l'une des attractions de la marche, mais il fut de courte durée: il a été démoli en 1895 pour faire place à du monument à Garibaldi. En 1928, afin de compenser le manque d'eau, a été construit un réservoir souterrain à l'intérieur du bastion près de l'entrée de Porta San Pancrazio. L'artefact a été masqué sur le front de la reconstruction de la soi-disant «Maison de Michel-Ange": Il s'agit de la façade d'un bâtiment, considéré comme l'adresse de l'artiste à Rome en 1531, qui se tenait dans le chemin des Trois Pile, au Capitole; en 1930 a été démoli pour faire place à la construction de l'épargne victorienne, cependant, le prospectus. Installé dans un premier côté des marches du Capitole, a été déplacé à son emplacement actuel en 1941, selon le projet de Adolfo Pernier. La curiosité Depuis 1904, sous le Belvédère du Janicule, à 12 heures tous les jours trois soldats chargeant un obusier et a décoché un tir blancs. La tradition du coup de feu remonte au pape Pie IX, qui, pour éviter toute confusion de temps, institué en 1846 ce service. Avant de rejoindre le Janicule, le canon tiré depuis les tours de Castel Sant'Angelo et à Monte Mario. Monuments de célébration Dès le début il a été décidé à un mobilier "célébration" qui pourrait évoquer le contenu patriotique de l'histoire de l'endroit. En plus de la Marche (place Garibaldi) sur la place où se trouvait le casino Corsini, le conseil municipal a décidé d'ériger un monument en l'honneur de Giuseppe Garibaldi. En 1884, le comité chargé d'examiner les projets proposés choisi Emilio Gallori. Ce fut une grande statue équestre sur une base élevée décorée avec des groupes de bronze représentant des épisodes de batailles et allégories de l'Europe et de l'Amérique de Garibaldi. Le monument, dont l'artiste a commencé à travailler en 1886, a été inauguré 20 Septembre 1895. Pendant ce temps, avec une résolution du 26 Juillet 1884, le Conseil municipal de Rome a accepté la proposition de la Commission d'allouer Bustes pierre et la promenade du Janicule "bustes de patriotes qui s'illustrarono pour la défense et pour la libération de Rome." Ainsi, entre 1885 et 1888 ont été placés sur le Janicule nombreux héros de Hermès de Garibaldi. Toujours dans la première moitié du XXe siècle ont été placés bustes créés par les plus grands sculpteurs, y compris, entre autres, Ettore Ximenes, Ettore Ferrari, Jean Prini, Giovanni Nicolini, Publius Morbiducci, Hamlet Cataldi. Aujourd'hui, il ya 84: parmi eux, pour exalter l'idée d'une “résurgence transnationale", apparaissant comme quatre de Garibaldi "étranger": l'Anglais John Peard (John Paganucci 1860 placée en 1904), le finlandais Herman Lijkanen ( Bino Bini, 1961), le Hongrois Istvan Turr (Robert Csíkszentmihályi, 1998-1999) et le bulgare Petko voïvode (Starcev Valentin, 2004). Fin de l'ensemble des monuments commémoratifs Janicule le Monument équestre à Anita Garibaldi, faites place par Mario Rutelli et ouvert en 1932, et le phare donnée à la ville par les Italiens de l'Argentine à l'occasion du cinquantième anniversaire de l'unification de l'Italie et à Rome pour commémorer capital (Septembre 19, 1911). Au 17 Mars 2011, le 150e anniversaire de l'unification de l'Italie, ont été restaurés monument à Giuseppe Garibaldi, le monument à Anita Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 61 Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 62 Garibaldi, le phare des Italiens, les 84 bustes des héros de Garibaldi et 4 stèle dédiée aux combattants Marche pour la République romaine du Janicule. E 'a également été restauré et transféré dans la même Janicule, le monument à Angelo Brunetti dit Ciceruacchio, première mise sur le Tibre à Augusta. Localisation: Municipio I, Rione XIII - Trastevere Période: Le milieu du XIXe siècle Superficie: 305 ha. Accès: Via Garibaldi, monter Onofrio PROMENADE DU PINCIO La promenade du Pincio, situé entre la Piazza del Popolo, Villa Médicis et le Muro Torto, avec une connexion directe à la Villa Borghese par voie de Magnolia, a été conçu par Napoléon, basée à Rome depuis 1810, pour répondre aux divers besoins de la planification urbaine et sociale: d'une part, l'agencement de la même Piazza del Popolo à Rome, comme l'entrée principale vers le Nord, d'autre part la nécessité de doter la «deuxième ville de l'empire" d'un espace urbain visant à loisirs et la santé des personnes. Mené à bien entre 1811 et 1823, la Marche a été, jusqu'à ce que le milieu du XXe siècle, le parc de la ville réelle, la promenade urbaine, le jardin du peuple romain qui a été en mesure de profiter d'innombrables événements et spectacles, feux d'artifice et en tournant concerts de maestro de la bande Alessandro Vessella, dans le dix-neuvième et vingtième siècles, les événements musicaux d'aujourd'hui. Aujourd'hui, il est encore une destination pour la marche et la place Napoléon, donnant sur la Piazza del Popolo, est un lieu de prédilection pour les Romains et les touristes. Dans ce domaine, eu leur horticulture certaines familles importantes de la Rome antique: la Acili d'abord, puis la Anici et Pincii, qui a donné son nom à la colline. Par ticulièrement célèbre dans ce contexte, était l'horticulture de Lucullus. Dans la seconde moitié du XVe siècle, l'acquisition de la zone par les Augustins de Santa Maria del Popolo a donné un nouvel élan à la région. Au début du XVIIe siècle, ils ont construit une grande maison, sur les ruines d'une citerne romaine, pour une utilisation dans le vignoble qui avait implanté. Pour obtenir le projet Walk the Pincio, mais il faut remonter à 1810, lorsque l'administration napoléonienne a décidé de créer une promenade publique et Giuseppe Valadier a présenté un projet dans lequel la Piazza del Popolo et la Pinciano de colline ont été étroitement liés. Mais le gouvernement central n'a pas approuvé les idées conçues à Rome, préférant envoyer architecte sur place Louis Martin Berthault, qui a rétabli le projet en proposant, entre autres, la forme elliptique de la place. Après 1814, éclipsé l'époque napoléonienne, l'achèvement du projet, et les travaux de construction a été confiée à nouveau à Valadier, qui a présenté au cours de la restauration, jusqu'en 1834. Avec la création de la municipalité moderne, en 1848, le Paseo a été vendu un bien immobilier à la mairie. L'année suivante, la guerre déclenchée par la République romaine, au cours de laquelle le Pincio a été fortifiée et militarisée, produit des ravages considérables. Conclu les supports Mazzini, le dommage est réparé, ont été placés dans le Top 50 des bustes d'hommes célèbres, commandées par le gouvernement républicain, et l'architecte Poletti conçu plusieurs pièces de mobilier. Depuis 1853, le soin des jardins a été confiée à la fonction publique municipale, dont le directeur, Louis Vescovali, se prévaloir de l'expérience du jardinier et pépiniériste savoyard Vachez Francis, qui, entre 1861 et 1866, il a mis sa main à une transformation radicale de la Marche dessiner une nouvelle série d'avenues et de jardin de style "anglais", éliminant l'hippodrome conçu par Berthault sur le côté face de la Villa Borghese et l'introduction de nouveaux chemins curvilignes entre des lits de fleurs irrégulières. Après l'unification de Rome au nouvel État italien et la mise en place de la nouvelle unité d'administration, le conseil a confié le soin de l'édilité V Bureau Walk, dirigé par Alessandro Viviani, qui se sont réunis sous lui aussi les jardins de service: architecte Joachim était Ersoch responsable, entre 1873 et 1880 va effectuer de nombreuses interventions de meubles et d'entretien, y compris la sculpture dell'idrocronometro et le réservoir de style «suisse». Depuis la fin du XIXe siècle, le visage de la Marche ne changera pas sensiblement, à l'exception de l'inclusion de nouvelles oeuvres de meubles, en particulier les monuments, qui accentuent le caractère de fête, il se transforme de facto "panthéon" mémoire ouverte italien. Le dernier travail sera la construction du viaduc de l'avenue des murs pour se connecter avec la Villa Borghese, qui est devenu un parc public; en 1925-1926 le petit bâtiment du téléski de l'avenue du Muro Torto, conçu par l'architecte Galli; En 1936, enfin, la construction de la fontaine-show de la nouvelle Acqua Vergine dans la loggia de la dernière perspective sur la Piazza del Popolo, dans le travail d'un autre architecte municipal Raffaele de Vico, incorporant une idée originale de Valadier en 1815. Sur le côté du meuble monumental, dans les dernières décennies du XIXe siècle ont été érigés des monuments et même des fontaines décoratives: en 1883, il a été placé dans un affût semi-circulaire sur l'avenue du monument Villa Médicis aux frères Cairoli Ercole Rosa et en 1887, au début de la même avenue , la colonne célébrant l'emprisonnement de Galileo à la Villa Médicis, imposée par l'Inquisition; en 1911, à l'occasion du cinquantième anniversaire de la proclamation de la ville de Rome, a été érigé dans un jardin de la troisième rampe monument aux villes libres de l'Italie et de la bataille de Legnano par Barils de sculpteur; en 1913, il a été placé au centre d'une fontaine dans le jardin sur le récif à la droite de la Casina Valadier L'Amphora Hamlet Cataldi, sculpté en 1912. Enfin, en 1922, il a érigé le monument à Enrico Toti, le travail de Arturo Dazzi. Après la grande commission de 1849 et 1871, de nouvelles conceptions et de placements Herms des hommes célèbres, confiés à des sculpteurs plus ou moins connus, suivie sans pause jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, pour atteindre le nombre de 229.Tutte ces oeuvres se distinguent aujourd'hui au sein de la Promenade, avec l'obélisque, les fontaines, le mobilier déjà mentionné "les classiques" (trois séances de statues féminines et Esculape) organisé par Valadier, et "monumentini" consacrée à des portraits de Valadier (buste de Louis Majoli, 1873) et le Père Angelo Secchi (buste de Joseph Prinzi, 1879), un astronome importante de l'Observatoire du Vatican, dont la herm est placé sur une base avec un trou au centre qui marque le passage à ce point du méridien terrestre. La Casina Valadier Entre 1815 et 1816 Valadier a entrepris de concevoir la transformation de ce qui restait de la maison appartenait à des moines augustiniens de Santa Maria del Popolo, construit sur une ancienne citerne romaine, dans un caffeaus. Les travaux ont commencé en 1816, a duré jusqu'en 1834, avec l'achèvement de l'entrée portique à colonnes et décorations peintes. Cependant, cette année, lorsque le bâtiment pourrait être dite terminée, le croupier retourne les environnements de l'administration en fermant le café. Depuis ce temps, jusqu'en 1873, le bâtiment a été utilisé exclusivement pour la gestion de la promenade publique. Après une période de troubles de la conduction dans laquelle des modifications ont été apportées à l'intérieur et les peintures ont été rénovées, le 27 Août 1922, avec un grand citoyen de l'accent, la Casina rouvert comme un restaurant. Le succès a incité les nouveaux gestionnaires de planifier l'expansion de la côte ouest, avec une grande terrasse pour remplacer l'ancien escalier d'accès aux fonctions affût. Le terme "or" Casina Valadier a pris fin avec la Seconde Guerre mondiale: Après la libération de Rome en 1943, la Casina a été réquisitionné par les troupes alliées. Depuis ce temps, près de vingt ans, le restaurant a refusé, et seulement en 1964, avec les interventions promues par les nouveaux gestionnaires, a commencé à fonctionner. Au cours des dernières années, après plusieurs changements de conduction, la Casina a subi une baisse progressive jusqu'à un autre abandon dans les années 90. En 2004, il a été rouvert après une restauration minutieuse et la mise à niveau, menée sous la supervision de l'Hôtel de surintendant, qui a tenté de faire revivre le bâtiment, bien que toujours possible, son aspect d'origine en intégrant les différentes parties dans le décoratif et architectural accumulé 170 l'historique des années de l'immeuble. Localisation: Municipio I, Ward IV - Campo Marzio Période: XIXème siècle Superficie: 8 hectares Accès: Via Gabriele d'Annunzio, Viale di Villa Médicis, Avenue des Magnolias Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 63 Séminaire APCE à Rome // 5, 6 & 7 juin 2014 64 des installations d'artistes contemporains, dont des oeuvres de crochets, Canevari, châtaigne, Dompé, Staccioli et Kounellis, qui constitue un exemple réussi d'insertion dans la nature des oeuvres d'art. VILLA BALESTRA Le jardin actuel de la Villa Balestra donnant sur le parc de Monte Mario est ce qui reste de la splendide villa du XVIe siècle perché sur le haut de la Monti Parioli-dessus du tronçon initial du Titien avenue. VILLA FIORELLI, DÉJÀ VIGNA COSTANTINI Aujourd'hui Villa Fiorelli, parc public depuis 1931, occupe la partie centrale des anciennes propriétés Fiorelli, à l'origine situé sur le côté gauche de la rue Tuscolana. Des bâtiments d'origine n'est pas rien. Et 'maintenant une place-jardin fréquenté par les résidents locaux. VILLA GLORI Villa Glori, situé sur une colline surplombant la courbe du Tibre, niché entre les deux districts voisins Parioli et Flaminio, a une configuration très irrégulière de jardin naturel et même un po'selvaggio, sur le côté de l'avenue Pilsudski, et idéalement parc conçu selon un tracé de régulation, ponctuée par des chemins ombragés, entouré de pins, de chênes, de châtaigniers et d'oliviers méditerranéens, méticuleusement alignés en rangées. Ouvert au public en 1924 par l'architecte De Vico, a été consacrée, comme son nom l'indique "Memorial Park" à la tombée de la Première Guerre mondiale. A l'initiative de la ville de Rome en 1997 ont été inclus dans le parc Villa Glori, fondée comme un parc commémoratif dédié aux morts de la Première Guerre mondiale, puis inauguré de nouveau à tous les Romains tombés pour leur pays (large portée croix de fer sur la place de Villa Glori), occupe un vaste territoire s'étendant de la rivière Tibre, à Eau Sorrel, sur les pentes du quartier de Parioli, à l'est le long de l'Auditorium. Un certain nombre de pistes, dont le nom rappelle les protagonistes de la bataille du 23 Octobre, 1867 entre les troupes papales et soixante-dix hommes (Avenue de la Septante) dans le commandement des frères Cairoli, par le biais de la Villa et de répondre à la place où vous trouverez l'amande le monument à la mémoire du sacrifice consenti par les frères Cairoli à Rome, dans un petit immeuble où la brique est ajouté à une branche sèche d'amandier en vertu de laquelle il est mort Enrico Cairoli et un mémorial dédié aux soldats italiens en temps de paix. Une petite plaque dédiée aux agents de police tués dans Nassiriya en 2003 a été placé dans le sol derrière la branche d'amande. Le 20 Octobre, 1867 bénévoles soixante dirigé par John Henry et Cairoli pénétré dans le territoire pontifical tâtons par un acte d'insurrection à Rome. Dans la nuit du 22 et 23 est inscrit dans un vignoble sur le "Monte Cacciarello", une colline au pied de la dominante Parioli eau Sorrel et face au Tibre, où ils ont été attaqués par les zouaves pontificaux et dépassés. Henry a chuté, tandis que John, grièvement blessé, est décédé peu après. Les survivants ont atteint Menton et rejoint Garibaldi. Le vignoble où l'incident a eu lieu a été possédé par Vincent Glori et a été occupée par un corps de ferme à la fin du XVIIe siècle est apparu "comme un château surplombant l'eau Sorrel." Des siècles plus tard la garnison fortifiée a été transformée en une maison de ferme. L'idée du parc public de la colline a commencé à faire des incursions au plan directeur de 1883. C'était le début de l'expropriation des terres et, en 1895, a été inaugurée une colonne de marbre antique de Pietrasanta érigé à la mémoire des patriotes tombés en 1867 . n'a cependant pas été entrepris des travaux dans les zones de jardin et d'hébergement ont été loués pour l'usage agricole. Plus tard, la ville, repris en 1905 d'une partie du parc, créé par la résolution du 23 Octobre 1923, à transformer la région en "Memorial Park" dédié aux morts de la Grande Guerre. La conception du nouveau parc a été donné à Raffaele de Vico, architecte du Service Giardini, qui a travaillé dans un temps très court: en seulement huit mois a créé un agréable jardin, marchant dans le vert sapin méditerranéen, chênes, lauriers, érables, cèdres , châtaigniers et d'oliviers, méticuleusement alignés en rangées. Le parc a été inauguré le 18 mai 1924. A été lancé en 1929 la construction de trois pavillons en bois, desinati d'accueillir un camp d'été qui, pour la santé de la place a été réservée pour les enfants de la mauvaise santé. Actuellement, le complexe de "camp de vacances", anciennement connu sous le nom "Dispensaire Marchiafava" accueille la "maison de famille" Caritas établies pour la prise en charge des personnes atteintes du sida. En 1997, à la conception de la critique d'art Daniela Fonti, la ville de Rome a favorisé la création d'un parc de sculpture contemporaine avec une initiative de l'exposition permanente intitulée Franchir le seuil, ce qui suggère la possibilité d'expérimenter l'intégration entre art et la nature, entre le lieu de souffrance et lieu de loisirs et de repos. Ils étaient tellement oeuvres d'Dompè (méditation) placés, Mattiacci (Ordre), Macbeth (Laser-Arc), Caruso (Portail de la Méditerranée), Châtaigner (monades), Kounellis (installation), Nunzio (Line), Staccioli (installation), qui sont insérés entre les pins et les espaces ouverts de la villa, de conduire le visiteur à franchir le seuil et entrer dans la «clôture» de l'établissement de soins. Le noyau initial a été élargi en 2000 avec la construction de deux nouvelles interventions, la Porte du Soleil de Joseph Crochets et Man-herbe Paolo Canevari. Localisation: Municipio II, quartier de Parioli Période: XIX-XX siècle Superficie: 25 hectares Accès: parvis du parc Memorial, rue du maréchal Pilsudski VILLA GRAZIOLI Le parc original de la Villa Grazioli reste aujourd'hui seulement un petit jardin avec le chemin de gravier et de parterres de fleurs herbe, à l'ombre de pins, situé entre le Panama et la rue Via Salaria, non loin de Villa Ada Savoie. Le jardin est séparé de la villa par des bâtiments modernes, réalisées sur la subdivision de la région depuis les années vingt du 1900. VILLA VESCHI Villa Veschi représente un exemple intéressant de ces complexes résidentiels consentis par les classes de marchands romains au début du XXe siècle. Actuellement, seule la partie inférieure du parc est ouvert au public, tandis que le Casino Nobile est une propriété privée. Seminario APCE a Roma // 5, 6 & 7 giugno 2014 65
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