Fiche pédagogique « Cinq Burlesques » The cure (Charlot fait une cure) de Charles Chaplin 1917, durée : 24’ Pour épater les poules (Egged on) de Charley Bowers 1925, durée : 24’ The Blacksmith (Malec forgeron) de Buster Keaton et Mal St Clair 1922, durée : 21’ Non, tu exagères ! (Now you tell one !) De Charley Bowers 1926, durée : 22’ The Blacksmith (Malec forgeron) The Adventurer (Charlot s’évade) de Charles Chaplin 1917, durée : 23’ « À travers ce programme accessible aux plus jeunes, la découverte d’un monde comique et grave, rapide, fou, qui s’appuie sur la maîtrise totale de trois grands acteurs-réalisateurs. La sobriété gestuelle de Keaton, d’une efficacité redoutable contraste avec l’allégresse dynamique d’un Charlot qui n’oublie jamais de faire mal à son adversaire, même sans nécessité. Quant au mystérieux Charley Bowers*, il s’affronte à un monde qui répond de manière proliférante à ses inventions d’apprenti sorcier et nous fait profiter, au passage, d’incroyables animations. * Redécouvert grâce à la Cinémathèque royale de Belgique et à la Cinémathèque de Toulouse que nous remercions. » © Enfants de Cinéma Charlot fait une cure Le titre original est The cure, 1917.Scénario et réalisation : Charles Chaplin Interprétation : Charles Chaplin, Albert Austin, Henry Bergman, Edna Purviance… Charlot ivrogne vient faire une cure dans une station thermale, il a emporté une malle de bouteilles et celles-ci vont se déverser par mégarde dans l’eau de la source…à la grande joie des curistes. Pour épater les poules Le titre original est Egged On, 1925. Parce qu’un œuf est tombé sur ses chaussures cirées, Bricolo (Charley Bowers) décide d’inventer une machine qui rendent les œufs incassables. Il utilise des kilomètres de papier pour dessiner et enfin sûr de son invention il construit une incroyable machine puis la chasse aux œufs s’avère périlleuse... La séquence de la voiture a été tournée image par image, c’est la logique surréaliste de « l’un dans l’autre » où l’objet s’identifie à un autre objet. Malec le forgeron Le titre original est The Blacksmith, 1922. Réalisation : Buster Keaton et Mal St Clair Un maréchal ferrant costaud et brutal arrive pendant que Malec (Buster) son employé se prépare des œufs sur la braise de la forge... Puis les outils qu’il apporte un à un à son patron sont happés par l’énorme aimant qui sert d’enseigne... « Je me concentre sur ce que je fais » disait Keaton pour justifier le fait qu’il ne riait jamais. Non, tu exagères ! Le titre original est Now you telle one ! 1926. Réalisation : Charley Bowers Réuni chaque année à Tumbluff, le club des menteurs ne veut écouter que des histoires invraisemblables ! Chacun y va de son histoire, mais un convive blasé sort et ramène Bricolo (Bowers). Ce dernier, prêt à se suicider car personne ne le croit, vient leur raconter son incroyable aventure : il a inventé une liqueur qui permet de greffer tout et n’importe quoi. Charlot s’évade ou l’Evadé Le titre original est The Adventurer, 1917. Charlot s’évade par la mer et sauve de la noyade une mère et une fille, il entre dans cette famille respectable jusqu’au jour où sa photo en prisonnier est publiée dans le journal… Sir Charles Spencer Chaplin Né à Londres le 16 avril 1889, Charles Spencer Chaplin passe son enfance dans une troupe de théâtre. En 1912, immigré britannique aux Etats-Unis il travaille pour la compagnie de film Keystone. Il ne lui faudra pas plus de cinq années pour s'imposer. Il aura réalisé et joué dans plus de soixante-dix courts et moyens métrages, où il célèbre le personnage de Charlot, clochard frondeur et généreux. En 1918, il marque le ciment frais de son studio personnel de l’empreinte de ses fameux godillots. Le jeu de Chaplin repose sur 2 éléments qui sont la moquerie de l’ordre établi et de ceux qui ont le pouvoir (police, homme d’affaires, bourgeoises…) et le principe de mettre le spectateur dans la peau du personnage de Charlot, malchanceux mais digne. « Aussi simple que cet effet paraisse, il met en jeu deux éléments de la nature humaine : l’un est le plaisir pris par le public à voir la richesse et le luxe en peine ; l’autre est la tendance du public à ressentir les mêmes émotions que l’acteur sur la scène ou sur l’écran. » Extrait d’un article de Charles Chaplin paru dans l’American Magazine en 1918. Site officiel (en anglais) : http://www.charliechaplin.com/ Charley Bowers Né en 1889 aux Etats-Unis, à Cresco dans l’Iowa et mort en 1946 dans le New Jersey. Petit il est funambule dans un cirque, puis comédien au théâtre, puis caricaturiste pour des journaux, connu en France sous le surnom de Bricolo il est passionné par le dessin animé, l’animation et tous les bricolages cinématographiques. « « Ses films témoignent d’une invention poétique assez délirante…il utilise des trucages fabuleux qu’il obtient à la prise de vues image par image. » Raymond Borde, revue Archives n°3, 1987 Site bien documenté : http://www.fousdanim.org/dossiers/encyclopedie/bios/Charley_Bowers.php Buster keaton Né en 1895, année de naissance du cinéma, il débute enfant avec ses parents au musichall. Il entre dans le cinéma en 1917, passionné par la mise en scène. Son jeu est principalement basé sur une concentration physique et morale, il agit, il échoue, il recommence. Keaton est l'icône de l'homme face à l'adversité du monde, face à la nature et c’est souvent en fin de compte la chance qui lui sourit et le sauve. Site sur Arte : http://www.arte.tv/fr/cinema-fiction/cinema-muet/Cinema-muet/1421486,CmC=1421484.html Site en anglais : http://www.busterkeaton.com/ La naissance du cinéma et son avènement Le cinéma est né de la rencontre d'innovations dans le domaine du support photographique et dans celui de la synthèse du mouvement utilisant la persistance rétinienne (phénomène observé par d’Arcy et Newton). Ces recherches sont effectuées par Eadweard James Muybridge qui invente le zoopraxiscope, par Etienne Jules Marey et puis Edison crée la première caméra de prise de vue. Les films tournés n'étaient pas projetés mais regardés à travers une visionneuse baptisé Kinétoscope. C’est une suite d’inventions : phénakistiscope, praxinoscope… leur exploitation commerciale sous forme de jouets devient d'ailleurs courante à partir de 1850. Les frères Lumière, bien qu'ils n'aient pas directement créé le Cinématographe (invention de Léon Bouly en 1892), en déposent le brevet le 13 février 1895. À la différence d'autres appareils de projection, le cinématographe Lumière, à la fois caméra, tireuse et visionneuse, supplante les autres procédés de reproduction du mouvement utilisés jusqu'alors. Mais, l'un des premiers à envisager le cinéma non plus comme un témoignage mais comme un art est Georges Méliès… Le cinématographe devient assez vite un enjeu commercial même si, au moins jusqu'en 1903, le cinéma demeure avant tout une attraction foraine. Le cinéma muet Les premiers endroits de projection sont des baraques en bois et en toiles. Nous sommes encore dans la succession des spectacles de lanterne magique et théâtre d’ombres. Les films produits sont dépourvus de son pourtant Thomas Edison, inventeur du phonographe songe dès 1894 à coupler son kinétoscope d'un cylindre phonographique, et commercialise le kinétophone. Le début du XXème siècle voit beaucoup de chercheurs se pencher sur la sonorisation des films mais l’équipement lourd, coûteux et de qualité médiocre freine sa mise en place. Pour pallier l'absence de la parole, la projection est souvent accompagnée par des musiciens, des bruiteurs et des conférenciers…L’évolution de la technologie cinématographique va vite et les inventions se succèdent. Ouverture à New-York de la première salle de "projections payantes" équipée de "Kinétoscopes" en 1894, sonorisation synchrone des films par Léon Gaumont en 1910, la même année invention du "Technicolor" par Herbert Kalmus et premier film à Hollywood. Premier film avec le son entièrement sur la pellicule en 1922, puis en 1927 né le premier film parlant. Pendant toute la période du cinéma muet le genre prédominant est le burlesque où la seule contrainte est de faire rire, faire rire et encore faire rire… En 1927, beaucoup de comiques ne passeront pas au sonore et disparaitront, seuls Ch. Chaplin qui continuera de faire des films muets en tant que réalisateur et bien sûr Laurel et Hardy resteront sur le devant de la scène. Le burlesque Le Burlesque est un genre qui participe du Merveilleux. La raison et la logique sont mises à mal ou du moins une autre raison et une autre logique se mettent en place en décalage avec la réalité mais par contre intimement liées au héros. Le burlesque fonctionne de façon assez violente, le terme « slapstick » deviendra synonyme de comédie où les acteurs utilisent des actions physiques exagérées, ce mot à l’origine vient d’un instrument sonore qui fait le bruit d’une claque, lui-même originaire de la Comédia dell’arte (battachio), ainsi les acteurs se mettent des gifles dont l’effet sonore est surajouté. Deux modalités sont à prendre en compte dans le burlesque : le premier, la vitesse et la dextérité des acteurs (le corps et la performance sont prégnants) et le deuxième, les catastrophes en série avec souvent comme finalité la destruction. Mais ce genre a une portée intellectuelle, il dénonce le chaos du monde et la lutte inégale du mal et du bien, le héros burlesque est confronté en permanence avec plus fort et plus puissant que lui, pire il va souvent déranger et mettre en action une terrible machinerie qui devrait le broyer mais non… le burlesque fait échapper au raisonnement et à la logique et ainsi il y a toujours ce petit grain de sable qui grippe et renverse l’ordre des choses. Les précurseurs sont Max Linder puis Hal Roach et Mack Sennett avec son comique à base de poursuite et d'agression (les tartes à la crème) et qui n'a pas d'autre source que cette réalité d'une Amérique effervescente des années dix. Très tôt les producteurs et les diffuseurs de films s’intéressent au public enfant. Viendront ensuite Laurel et Hardy puis Jerry Lewis (années 50) et de nos jours Woody Allen, les Monty Pithon…le genre burlesque n’existe plus en tant que tel mais beaucoup de réalisateurs actuels en sont imprégnés et continuent l’œuvre dans le respect de la différence et des laisser pour compte et quelque part dans le refus de la pensée unique. LE GAG Très schématiquement l’on peut distinguer deux sortes de gags, le gag accidentel où le héros est du côté malchanceux et le gag d’action (voire d’agression). Le premier fonctionne sur une identification du spectateur avec le personnage malchanceux (et adhésion complète à la situation) mais en même temps en étant protégé par la position privilégiée de regardeur : - dans « The cure » Charlot a la tête coincée dans la porte, ou bien encore il tombe habillé dans la piscine et dans la source d’eau minérale - dans « Pour épater les poules » Bricolo fait tout exploser malencontreusement avec un œuf « dynamite » - dans « Malec Forgeron » Malec se brûle en essayant sur son propre pied le fer à cheval rougi A l’opposé de ce type de gag il y a le gag où le spectateur rit avec l’agresseur, le rire vient que nous jubilons de faits que la société réprime et que jamais nous n’oserons faire : - dans « The cure » Charlot donne un coup de pied dans le pied blessé et plâtré du méchant (Eric Campbell qui joua souvent ce rôle) - dans « Pour épater les poules » Bricolo fait se désintégrer la charrette dont il a volé une roue - dans « Malec Forgeron » Malec anéanti le forgeron mastodonte en décrochant les objets aimantés avec un retour aux lois de la gravitation - dans « Charlot s’évade » Charlot repousse la première femme (la mère) qui se noie pour aller sauver la fille plus jeune et plus jolie (et pas encore pervertie par la société !) Ce type de gag fonctionne avec un système d’accumulation / restitution, la tension est emmagasinée puis se libère en éclats de rire. Entre ces deux pôles il existe un éventail de gags intermédiaires en particulier le gag de maladresse où la victime et le maladroit sont 2 personnes distinctes, le comique de situation et le comique de second degré. « Le gag nous surprend non pas en nous exposant une réalité inconnue, mais en nous présentant quelque chose de connu d’un point de vue inattendu ; il ne nie pas la réalité, il la complète par une réflexion qui va plus loin. Le gag n’est pas en contradiction avec les conventions, au contraire, il les exploite en s’appuyant sur elles… » extrait « L’anatomie du gag » Vaclav Havel Des pistes de lecture et de travail sur les films Avant la projection Un regard sur les films qui font ce programme : - Il y a 5 films différents (importance des images qui forment un récit, ici il y a 5 récits) - Les réalisateurs sont différents et les acteurs également, retrouve-t-on le même acteur dans plusieurs films ? Connaissez vous Ch. Chaplin, Buster Keaton ? - Ce sont des courts métrages, faire la différence avec un long métrage - Les films sont en noir et blanc, pourquoi ? - Les films sont muets, pourquoi ? Pour autant est-ce le silence ? - Comprendre les titres, faire une recherche de vocabulaire (traductions) - Regarder des photos des films et émettre des hypothèses o Epoque, lieux, milieux sociaux, objets… - Le burlesque, quelle définition en donnent les élèves Après la projection Débattre et argumenter, questionner les élèves puis construire un débat argumentatif - Quel film avez-vous préféré ? - Avez-vous eu peur ? à quel moment - Avez-vous aimé ? pas aimé - Les films étaient-ils drôles ? tristes ? longs ? courts ? Etablir des fiches techniques Bowers, Chaplin, Keaton, trois acteurs-réalisateurs burlesques : analogies et différences Analyses d’images Faire prendre conscience de la notion de champ – hors champ Dans le film « The cure » l’effet comique vient du montage avec hors champ, Charlot pense que le méchant s’adresse à lui et le spectateur pourrait penser la même chose… La relation de Malec (Keaton) avec les animaux, ici il essaye un fer à cheval à la jument ! La scène s’appuie sur l’essai d’une « paire de chaussures » avec le miroir pour que la jument se regarde ainsi que le ferait une cliente ! Structure du récit Faire écrire un « carton » qui explique un moment du film « Pour épater les poules ». Bricolo a fini sa machine…première expérience… Les personnages Etablir le caractère (physique et psychologique) des personnages avec le lexique spécifique Charlot (Ch. Chaplin) : se fond dans le décor, adaptation à l’environnement (dans « Charlot s’évade » il sort du sable tel un animal marin ou bien se retrouve lampadaire avec un abat-jour sur la tête)… Malec (Buster Keaton) lui est parachuté dans le monde, il ne comprend rien, il dérègle tout ce qu’il touche mais en même temps manipule les choses (la montre chauffée dans la forge est ainsi réparée !) Bricolo (Charley Bowers) intervient sur le monde par les machines, inventions et bricolages…l’organique (vie) se fond avec l’inanimé (les petites voitures qui naissent !), c’est l’apprenti sorcier. L’époque ►Histoire des Arts Etablir des différences avec aujourd’hui et trouver ce qui était déjà les préoccupations de l’époque - La façon de bouger, de se déplacer…/ images par seconde - Le noir et blanc / début du cinéma - Les moyens de locomotion (cheval, voiture, train à vapeur…) - Les vêtements - Les métiers, actuels ou disparus - Les objets ou ustensiles Mise en réseau 1900 – 1926, Etats-Unis - la danse avec Ruth St Denis et Isadora Duncan - la musique avec le jazz (à l’origine les work songs, gospel, Ragtime…) Scott Joplin, Sydney Bechet, Louis Amstrong… - la peinture :George Bellows, Newell Convers, Stuart Davis puis Edward Hopper… - la photographie avec Alfred Stieglitz, Paul Strand…puis Anselm Adams - l’architecture avec la construction des gratte-ciel, le Woolworth Building, Chrysler Building… - les techniques : canal de Panama, premier vol d’avion (Wright), première émission de radio…mouvement de concentration des entreprises et « Taylorisme » Les situations comiques Etablir une fiche des différentes situations comiques - Les poursuites - Les bagarres - Les maladresses - Les chutes - Les destructions - Les effets de surprise - Les esquives - Les rencontres inattendues - Les impertinences - Les répétitions - Le décalage social - Le jeu avec les caractéristiques physiques (tirer la barbe…) - Les mimiques… Arts visuels Réaliser une affiche pour le programmes des 5 films ou pour un seul film, par différents procédés ou matériaux (collages par exemple) en tenant compte des acteurs / personnages et décors. Faire une série de portraits photographiques des élèves en jouant sur les mimiques des personnages. Les machines en Arts plastiques, dessiner (faire des collages ou des bricolages avec objets de récup’) des machines extraordinaires (à couper les cheveux, à peindre La Joconde, à lire dans les pensées…) Références : Heinrich Anton Müller, Léonard de Vinci, Jean Tinguely, Panamarenko, Richard Baquié, le film « Les temps modernes » 1936 de Ch. Chaplin… Bibliographie Ouvrages Martin Barnier, En route vers le parlant. Histoire d’une évolution technologique, économique et esthétique du cinéma (1926-1934), Éditions Céfal, Liège, 2002. Le Cinéma : Naissance d’un art, 1895-1920, textes choisis et présentés par Daniel Banda et José Moure, Flammarion, coll. « Champs Art », Paris, 2008. Gilles Mouëllic, La Musique de film : Pour écouter le cinéma, Les Cahiers du cinéma, CNDP, coll. « Les petits cahiers », Paris, Chasseneuil-du-Poitou, 2003. Jean-Philippe Tessé, Le Burlesque, Les Cahiers du cinéma, CNDP, Paris, Chasseneuil – du - Poitou, 2007. Charlie Chaplin, André Bazin, Eric Rohmer, François Truffaut, Les Cahiers du Cinéma, 2000 Le vocabulaire du cinéma [Poche] Marie-Thérèse Journot, Armand Colin, 2008 Pour les passionnés et chineurs ! Henri Bergson, le rire, essai sur la signification du comique, PUF, 1940 Petr Kral, Le Burlesque ou la morale de la tarte à la crème, Stock, 1984 Petr Kral, Les Burlesques ou la Parade des somnambules, Stock, 1986 DVD Cinq Burlesques, dans la collection « Cour(t)s de cinéma ». DVD édité par le CRDP de l'Académie de Lyon, en partenariat avec Les enfants de cinéma 2009. Le programme de courts métrages est présenté dans son intégralité. Plus de deux heures de ressources éducatives autour de ces cinq films. Robinson David, Go West de Buster Keaton, CNDP, Chasseneuil-du-Poitou, MK2, Paris, 2005. Les Premiers Pas du cinéma : La naissance du son et de la couleur, Lobster Films, Paris, coffret diffusé par le SCÉRÉN, 2003. Sherlock Jr et Go West de Buster Keaton, CNDP, coll. « L’Eden cinéma », Chasseneuildu-Poitou, 2009. Les Temps modernes de Charles Chaplin, CNDP, Chasseneuil-du-Poitou, 2003. Liens utiles : Site « CRDP Académie de Lyon » fiches, extraits, liens… http://www.crdp.ac-lyon.fr/Cinq-burlesques.html Site « Les enfants de cinéma » fiche du film http://www.enfants-de-cinema.com/2011/films/5burlesques.html Site « Le France » à St Etienne http://www.abc-lefrance.com/fiches/burlesquesamericains.pdf Site « Le Lux » à Valence http://site-image.eu/index.php?page=film&id=213 Site très complet sur le programme des « 5 Burlesques » http://pedagogie.ac-toulouse.fr/ecoleetcinema31/films/burlesques/fiche.htm Site sur le burlesque http://www.citecinema.com/Histoire-Du-Cinéma/Genres-Cinematographiques/Le-Burlesque/Origine-D'Un-Genre-Burlesque-Cinema.htm Site sur le burlesque chez Chaplin et Keaton http://www.cadrage.net/dossier/burlesque/burlesque.html Dossier réalisé par Didier Lutz, CPD Arts visuels Allier, octobre 2010
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