- Newsecoweb

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Extrait du site http://www.newsecoweb.com/ :

LA MONDIALISATION
- 50 % des Français perçoivent la mondialisation comme une menace contre un peu plus d’un
tiers (37 %) qui y voient une opportunité, selon un sondage TNS Sofres pour l’émission
Dimanche+ de Canal+, publié dimanche 6 novembre. C’est deux points de moins que la
précédente
étude
sur
le
sujet,
en
avril.
Le clivage est net en fonction de la préférence partisane. 53 % des sympathisants du PS voient
la mondialisation comme une menace, contre 37 % pour ceux de l’UMP. Les chiffres grimpent à
66 % chez les partisans du Front de Gauche et 74 % chez ceux du Front National. Selon l’étude,
les sympathisants de l’UMP sont les seuls à voir majoritairement (56 %) une opportunité dans la
mondialisation.
Ces résultats se font l’écho du “succès” d’Arnaud Montebourg, qui prône la “dé mondialisation”,
lors du premier tour de la primaire socialiste le 9 octobre. Le député de Saône-et-Loire avait réuni
plus de 455 000 voix, terminant troisième du scrutin. “Je n’ai pas gagné la primaire, mais je
pense avoir gagné la bataille des idées”, a affirmé dimanche Arnaud Montebourg, auteur du livre
Votez pour la dé mondialisation ! (Flammarion), sur Canal+.
LIBRE-ÉCHANGE ET PROTECTIONNISME COHABITENT
- Face aux conséquences de la mondialisation, les souhaits des Français paraissent au moins en
partie contradictoires. Selon le sondage, 78 % d’entre eux jugent souhaitable de favoriser le libreéchange et d’exiger la réciprocité de la part de pays qui exportent beaucoup en France. Mais
dans le même temps, ils sont plus des deux tiers à souhaiter que des mesures protectionnistes
soient prises à l’échelle européenne (75 %) ou au moins pour la France (68 %).
Toutefois, même ceux qui souhaitent ces mesures se montrent assez sceptiques sur leur
caractère réalisable. En effet, les 78 % de Français qui jugent souhaitable le libre-échange contre
réciprocité se répartissent en 42 % qui la jugent réaliste et 36 % qui ne le pensent pas. De même,
parmi les 75 % de Français qui souhaitent des mesures protectionnistes pour la France, 42 % les
jugent réalistes contre 33 % d’un avis contraire. Le scepticisme est encore plus grand s’agissant
du protectionnisme au niveau de la France : 35 % le jugent souhaitable et réaliste contre 33 %
souhaitable mais pas réaliste.
Article tiré du site :
– lemonde.fr
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CARRIERES ET METIERS
- Un secteur en perpétuelle croissance qui offre une multitude d’opportunités d’emplois pour les
jeunes qui ont un goût pour les chiffres. Le secteur offre des emplois pour des titulaires de
diplômes allant de bac+2 à bac+5. Pour préparer les carrières de financiers/comptables, de
nombreuses écoles et instituts de formation, aussi bien publics que privés, offrent des cursus
dans toutes les spécialités de la finance et de la comptabilité.
-Aujourd’hui, les métiers de la finance et de la comptabilité évoluent rapidement et les tâches
deviennent très évolutives. La tendance est au recrutement de profils pouvant témoigner d’une
certaine polyvalence dans le cadre des métiers de la finance-comptabilité. A titre d’exemple, un
comptable ne se contente plus d’assurer la tenue courante de la comptabilité et la production des
états de synthèse périodiques. Selon les structures, il peut être appelé à assurer des audits, à
procéder à des analyses financières…
-L’image du financier qui gratte des chiffres sur du papier, dans la solitude de son bureau, est
révolue. Libéré en partie des travaux répétitifs grâce à l’intégration des outils informatiques, il
travaille davantage pour les gestionnaires et les décideurs de l’entreprise. Il produit l’information
de gestion sur la base de laquelle des décisions stratégiques peuvent être prises.
-Faisant partie des fonctions de support les plus vitales en entreprise, les métiers de la finance-comptabilité sont présents dans toutes les structures. Cependant la nature et l’entendue des
fonctions du financier dépendent du type de l’entreprise, plus celle-ci est grande, plus les tâches
sont parcellisées. A l’inverse, dans les petites structures, le financier doit être polyvalent. Dans
les grands groupes à l’échelle nationale ou internationale, les métiers sont plus diversifiés, mais
aussi plus spécialisés. Les services comptabilité, finance et gestion peuvent compter jusqu’à
cinquante personnes, réparties dans différents pôles : comptabilité fournisseurs, clients,
trésorerie, paie… Chaque service emploie à la fois des opérationnels et un responsable de
service.

Tourisme
Le tourisme a t’il un effet positif sur l’économie d’un pays ?
-Et bien sachez que le domaine du tourisme peut vraiment changer la manœuvre de l’économie
d’un pays, car d’après les derniers statistiques on a constaté que plus un continent reçoit une
catégorie de gens à travers le monde plus son pourcentage d’économie avance, surtout aussi si il
s’agit bien d’une rentrée de devises ça peut vraiment bousculer l’économie d’un pays, mais la
question qui se pose actuellement est : Comment garder cette relation amicale avec la population
étrangère ?Cela peut vous paraître étrange mais comme même si on prend un exemple de la
population marocaine , qui sans doute reçoit des milliers de touristes annuellement voir même
mensuellement à su offrir une meilleure estimation envers des touristes étrangers, avec un
accueil très chaleureux laissant ces gens là époustouflé par le charme et la beauté de ce pays, et
cela continue année après année : pour vraiment démontrer et laisser une bonne image à
l’internationnal , et cela aussi se reflète positivement sur l’économie marocaine .
Article écrit par :
Lakhrouti oualid

Fiscalités
-Grâce à ses filiales irlandaises, l’une par laquelle l’argent rentre, l’autre par laquelle il sort, Apple
réussit à ne payer que 2 % d’impôt sur ses bénéfices. Un système qui ne tombera pas sans une
réelle volonté politique.
-Denis Healey, ministre des Finances britannique dans les années 1980, disait : « La différence
entre l’optimisation et l’évasion fiscale est dans l’épaisseur des murs d’une prison. » Apple, firme
californienne riche à milliards, surfe sur l’ambiguïté. Championne de l’optimisation fiscale,
technique consistant à utiliser tous les moyens légaux possibles pour échapper à l’impôt, la
marque à la pomme est à l’origine de la mise en place d’un système qui frôle parfois la ligne
jaune. Et fait des adeptes. Si le géant de l’économie du numérique était imposé en France
comme n’importe quelle PME, il aurait dû s’acquitter de 317,5 millions d’euros d’impôt sur les
sociétés en 2011. Il n’en a payé que 6,7 millions. Un record d’économies qui sont autant de
recettes manquantes dans le budget de l’État. « Savoir qu’Apple ne paye que 2 % d’impôt alors
qu’on demande des efforts aux citoyens, cela devient insupportable », s’agace Lucie Watrinet, de
CCFD Terre Solidaire, coordonnatrice de la plate-forme Paradis fiscaux et judiciaires.
-La déréglementation fiscale qui sévit dans l’Union européenne constitue une aide précieuse
pour permettre à la multinationale d’échapper au fisc. Car Apple profite de la complicité de
l’Irlande pour payer le moins d’impôts possible. « Avec deux filiales en Irlande, dont une
domiciliée fiscalement aux Caraïbes, ce que l’on appelle le double irlandais est la méthode phare
pour éviter de payer des impôts sur les bénéfices », explique Lucie Watrinet. La première filiale,
Apple Sales International, sert à rassembler le gros du chiffre d’affaires mondial. Les recettes de
chaque iPhone, iPad ou Macbook vendu dans le monde, à l’exception des États-Unis, y sont
centralisées. Ce subterfuge permet à Apple de déclarer en France un chiffre d’affaires 12 fois
inférieur à la réalité. La seconde filiale, présente en Irlande mais domiciliée dans un paradis fiscal
des Caraïbes, permet de faire sortir un maximum de bénéfices nets d’impôt.
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