J - Kiosque Lorrain

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Chinois
Niu, élève en 1908-11, est ingénieur
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des chemins de fer sur la ligne Pékin-Hantovv.
Croyez-vous que tous ces jeunes gens qui
ont reçu une éducation technique française
ne favoriseront pas, à l'occasion, les relations commerciales entre leurs pays et le
nôtre. Et croyez-vous qu'en toutes circonstances ils ne donneront pas la préférence
à notre industrie, d'ailleurs généralement
plus pauvre en représentants à l'étranger
que l'industrie allemande ?
Quel que soit donc le point de vue auquel on se place, c'est un bienfait pour
Nancy et pour notre pay«.que l'affluence
des étudiants étrangers.
Après les six premiers étudiants envoyés en France, au seizième siècle,
par Boris Godounov, après ceux qui,
sous Pierre le Grand, en 1720, contribuèrent à diffuser dans leur pays
notre littérature, après ceux qui, revenant de Strasbourg, où, en 1786,
ils
étaient dans la proportion de 40 sur 100
étudiants réputés « de distinction », contribuèrent en Russie au recul du germanisme, les étudiants d'aujourd'hui jettent
un pont entre leurs nations et la nôtre et
deviennent les consuls de notre empire intellectuel.
Continuons avec eux notre rôle d'initiateurs empressés : le passé nous le conseille,
notre intérêt présent nous le commande,
notre intérêt à venir nous y invite.
POL SIMON.
Rentres
;
dans leur pays..,
m
NANCY
- .
Directeur : René MERCIER
Bureaux de Paris
F
^Jf
,'abonner sans frais ëmt tons fa foreon* de poste
Et/asS
Vendredi 17 Juillet ^1314.
JOURNAL RÉGIONAL QUOTIDIEN
3.21-10.37
ABONNEMENTS
^atte» dêpartwwt»
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LA COOPE
de
i
-
L'EST LETTRE DE PARIS
A propos des Concours du Conservatoire. — Ce que nous dit de sa «chère Maison »
un galant homme qui l'a dirigée. — Conditions requises pour réussir au théârre
avec UD éclat sans pareil. — Comment le règlement du Conservatoire est ua
chef-d'œuvre héroï-comîaue,
*
NANCY-VITTEL
I
ïl y a cette année, atrx Concours du Con- i
servatoire, de très violentes divergences
d'opinion entre le jury et l'auditoire. En
voyant, par exemple à quelle jeune candidate était attribué le premier prix de comédie, l'auditoire a manifesté, par tous
les moyens dramatiques connus, son étonnement, sa réprobation, son indignation.
Ce spectacle dans la salle
parut une
chose étrangement nouvelle. Voilà bien
l'optique propre à toutes les choses du
théâtre. En réalité, on ne connaît guère
d'années où ne se soient produites quelques
protestations de ce genre. Mais quoi ! à
chaque concours du Conservatoire, comme
à chaque représentation d'un chef-d'œuvre,
le public apporte une âme toute neuve,
une âme d'enfant !
Notre oncle si regretté, Francisque Sarcey, disait des comédies qu'il entendait
avec délice pour la trente-sixième fois :
« J'ai pouffé comme au premier soir ».
Aux drames de belle et pure émotion, que
l'on sait par cœur, on pleure comme s'ils
étaient une surprise. Au théâtre, c'est toujours le premier soir. Or, la salle du Conservatoire, c'est du théâtre à la seconde
puissance, puisque les acteurs et les actrices sont dans la salle aussi bien que sur la
scène.
Au sortir du concours pour les classes
de déclamation, un des hommes qui connaissaient le mieux le Conservatoire, et cela
pour l'avoir dirigé, nous parle longuement
de sa chère « Maison ».
Avons-nous besoin d'ajouter que ce galant homme est aussi obligeant que fin, aussi pénétrant que courtois, et que son opti| misme s'assaisonne d'une' pointe d'ironie.
i Voici, en résumé, quelques-unes des idées
exprimées par lui sans réserve, mais, naturellement, avec un demi-sourire.
HENRI CHÈVRE SÎR BÉBÉ-PEUGEOT
t
®
:
S'ADJUGE LE TROPHÉE DE " L'EST RÉPUBLICAIN "
Dans notre dernier article, nous avons
indiqué, parmi les raisons qui doivent nous
[lire envisager avec satisfaction l'afflux
IM étudiants étrangers à Nancy,celles d'or—
p
mtm■ —
tire purement matériel et local. Nous avons
9
montré clans quelle, mesure appréciable
cet afflux conti-ibue à )a prospérité de nos
PRIX
Facultés et de la ville elle-même.
plaçons-nous maintenant à un point de
vue plus élevé, et, après avoir constaté
2. CHRETIEN, d'Audincourt, sue Bébél'effet immédiat du passage parmi nous
La saison sportive 1914 ne pouvait se |
des étudiants étrangers, déterminons les
clore
,
mieux que dans le cadre élégant ou Peugeot, une breloque vermeil ;
3. Maurice PERRON, de Nancy, sur
avantages moraux qui peuvent, par la
fut donnée mardi la fête qui couronnait di,
suite, en résulter pour notre pays et pour
gnement
notre épreuve de régularité dans Bébé-Peugeot, une breloque en argent.
'le tourisme automobile.
2" CATÉGORIE. — M. Joseph BINDER, de
notre région.
Je ne sais si vous partagez mon sentiNous tâcherons de n'oublier dans nos re- Strasbourg, sur Bugatti, une breloque or ;
ment : mais il ne m'est pas indifférent, à
,
4° CATÉGORIE. — M. RASSANT, de Courmerciements,
et nos félicitations aucun de
moi, qu'à l'étranger on nous estime et on
,
ceux
qui lurent, sinon à la peine, du moins bevoie, sur Alva, une breloque or.
nous âime. Il me plaît, certes, d'entendre
au devoir, et qui, chacun dans sa sphère
dire qu'on respecte notre force, mais je
d'action, mirent en œuvre leur initiative,
suis ravi aussi d'apprendre qu'on admire
leurs capacités, leur expérience, leurs relaB) Voitures dont la cylindrée totale est
notre esprit et notre générosité. Nous avons
tions, leur influence.
supérieure à deuix litres, avec 4 places ocun patrimoine de qualités morales et intelLes préfectures des Vosges et de Meur- cupées :
lectuelles que nous nous devons de conthe-et-Moselle ont honoré la Coupe de l'Est
tinuer à faire valoir auprès des gens qui
d'une bienveillante sympathie en accordant
1™ CATÉGORIE. — 1. M. André de BEAUle croient intact. Ne leur donnons pas la
aux organisateurs l'autorisation qu'ils sol- MONT, de Nancy, sur Deiage, une brelotlésillu^fcn de nous montrer inférieurs à
licitaient ; nous sommes à peu près certain que en or et un vase artistique ;
ce qu'ils pensent de nous.
que la môme faveur sera réservée l'an pro2. Mme Georges JANNEL, de Nancy, SUT
,11s accourent pleins de confiance en nochain à notre épreuve, soit qu'elle com- Barré, de Niort, une breloque vermeil ;
tre hospitalité traditionnelle, en notre goût
porte une nouvelle randonnée dans les Vos3° CATÉGORIE. — 1. M. André RENAUD,
brillant. Et les voici à Nancy. Il ne faut
£?es, soit, qu'elle se dispute aux portes de de Nancy, sur Grégoire, une breloque en
pas que les portes se ferment devant eux.
Le 2 mai IQ14 noire rédacteur de Verdun Nancv sous la forme d'un circuit où se or et un vase artistique ;
Il ne faut pas qu'ils regrettent d'avoir,
produiraient les engins construits spécia2. M. André RICOT, de Nancy, snr Versur la foi d'une fausse légende, prolongé nous télégraphiait l'accident survenu au di- ■lement pour les grandes vitesses^
morel, une breloque vermeil ;
leur voyage jusqu'en France, au lieu de rigeable. Le télégramme.avait été expédié à
L'ACL, par l'organe de son aimable pré4° CATÉGORIE. — M. MESSAIN, de Vaus'arrêter en Allemagne. Il ne faut pas lés lù h. 4. minutes.
sident, M. Paul Thiry, et l'ACV", représenté Couleurs, sur Hispano-Suiza, une breloque
négliger et les lategj.r faire comme ces visiAu mois de juillet IQI4, nous n'avons pas par son distingué président, M. Jules Per- en -or.
teurs de Paris a\^rox-huitième siècle, « qui encore reçu Vinformation.
rigot, nous ont aidé de leurs conseils et
5« CATÉGORIE. — M. CROVISIER, de Nandormaient toute la journée dans leur chaméclairé de -leur compétence dans la con- cy, sur Peugeot, une breloque en or.
C'est un record, je crois.
bre, et, le soir, entre Russes, se plaignaient
Il est possible d'ailleurs que ce télégram- fection de nos règlements.
du peu d'agréments de cette ville trop vanLes établissements de Vftlel, en la perMOTOCYCLETTES. — 1. M. CUNY, du
me nous parvienne un de ces beaux matint
tée ».
sonne de M. Jean Bouloumié, leur jeune Club-Cyclo-Touriste-Nancéien, une breloLe comité de patronage, aidé, soutenu ou l'autre: H ne faut jamais désespérer avec et actif directeur, ont sous foutes les forque en or et un vase artistique ;
par la population, devra, au contraire, ré- l'administration des postes.
mes, prodigué leurs encouragements et
2. M. MULLER, du CCTN, une breloque
véler aux étudiants étrangers les beautés
L.c 7 mai l'Est républicain établissait une préparé un fort joli gymkhand, où les vermeil ;
de notre art, les richesses de nos musées, réclamation respectueuse.Le S mai nous étions
maîtres du « macaron » prouvèrent leur
3. M. FERRY, Alphonse, du CCTN, une
l'activité de nos industries, le charme et la .
récompensés de notre effort par une belle virtuosité jusque dans la fantaisie de cer- breloque argent.
nrobité — si contestée — de notre vie familiale française, l'ampleur du mouvement lettre par laquelle M. le directeur des Postes, tains exercices d'acrobatie.
SIDE-CAR. '— M. Paul HENRY, une breTélégraphes et Téléphones nous avisait qu'il
régional lorrain.
loque en or.
J'ai souvent parlé de Nancy à des Rus- « s'empressait » de faire procéder à une
ses instruits : ils ne jugent de son impor- enquête doiii les résultats nous seraient comtance que par le chiffre de sa population.. \ umiiiqués e aussitôt que possible ».
"Or, ce chiffre êsl dépassé par un grand]
Nos lecteurs sont au courant Ce la méDeux meis et demi après, V empressement
Il est superflu de dire que la joie de M.
nombre de cités allemandes qu'ils connais- de M. le directeur n'a pas eu de résultat, et thode que nous avons employée pour dé- Henri - Chèvre est grande, que ses nomsent et considèrent comme des petites vilterminer le plus exactement possible la breux amis partagent sa vive satisfaction
les. Il faut donc prouver à nos hôtes étran- T « aussitôt que possible » n'a pas abouti.
Nous attendons toujours noirs télégramme, régularité clans la marche de tous les véhi- et que la maison Peugeot s'associe tout
gers que la valeur d'une ville, pas plus
cules.
*
entière à l'allégresse générale.
que la valeur xi'un homme, ne se mesure la fin de l'enquête et le remboursement de la
Des points de pénalisation étaient infliEn toute sincérité, Henri Chèvre paraît
à sa taille, et leur montrer par quoi Nancy- somme de 1 fr. ço qui fut soldée par notre gés aux concurrents qui s'écartaient peu
plutôt surpris de sa, victoire :
est le centre d'une si rayonnante action.
correspondant. Sous réserves, bien entendu, ou prou de la moyenne obtenue sur la dis— J'étais à cent, lieues-de supposer que
Il faudra enfin pousser aux conférences, de tous autres droits.
1
tance totale de 210 klm entre Nancy et je remporterais un tel succès, déclare-t-îl...
aux auditions de toutes formes ceux que
Mais peut-être bien qu'on veut rious faire Vittel.
.
,
Je me suis engagé dans l'épreuve avec mes
leurs études scientifiques pourraient laisLe classement s'effectuait ensuite d'a- camarades Chrétien et Perron, presque à
la bonne surprise de nous apporter le tout,
ser indifférents à notre littérature.
près le nombre plus ou moins élevé de l'insu de la maison Peugeot. Les trois
Rentrés dans leur pays, les étudiants télégramme, résultat de Venquête, et argent points de pénalisation. ,
Bébé-Peugeot avaient la plus petite cylinétrangers vanteront notre" France, créeront pour le prochain jour de l'an. Eu somme çà
M. Henri Chèvre est, de tous les pilotes, drée, Gi centilitres à peine ; nous envisaen sa faveur, entretiendront, ou réveille- ne ferait que huit mois de retard.
celui qui a maintenu presque constam- gions la course de Nancy à Vittel comme.
ront des courants de sympathie qui ne
Mon Dieu, qu'on serait heureux, et quelle ment la même allure : parti de Nancy à
une excursion. Je me suis trompé de parpeuvent quë rendre plus "anormales et que
G h. 11 minutes, il arrivait à Vittel à 10 h. cours ; j'ai eu quatre crevaisons de pneuconsolider les ententes utiles. Pour n'être
JEAN DURBAN.
1G min. 3 sec, dans le temps de 4 heures matiques ; mon passager était obligé de
pas aussi brillantes que les visites de chef
5 minutes 3 secondes. Il gagne brillamment souffler à pleins poumons dans l'ajuteur...
d'Etat à chef.d'Etat, les visites de peuple
X X X
le trophée de la Coupe de l'Est à une vi- Malgré tout cela, je suis arrivé un des
à peuple et surtout de jeunesse à jeunesse,
tesse moyenne par conséquent de 51 premiers. Après le dernier contrôle, entre
Publicité
ont aussi leurs effets heureux.
Darney et Vittel, j'en ai mis tant que çà
Mais, objectera-t-on, tout de suite, surRue Claude-Bernard, chez un coiffeur, on klm 411.
Son passage dans les secteurs donne pouvait... Tant pis si j'ai à ce moment
tout en songeant aux étudiants russes, la \ lit cet avis :
lieu
aux
observations
ci-dessous
:
écopé 14 ou 15 points de pénalisation en
On demande une apprentie pour le poil.
clientèle de nos Universités n'est pas com* +
lm secteur, 27 klm en 29 minutes, moyen- dépassant ma moyenne ; j'ai réussi par
posée précisément de représentants de la
Un journal médical insère cet avis :
contre à prouver que les Bébé-Peugeot sont
ne 55 klm 800 ; pénalisation 4 points 4 ;
Russie officielle. C'est certain, mais pour
•1335. — Thèses, travaux scientifiques et
2° secteur, 32 klm en 3G minutes, moyen- capables, sans un extraordinaire effort,
c-mplover l'expression d'un professeur de
d'atteindre un moyenne de 66 kilomètres...
)a Sorbonne, cette clientèle disparate « con- médicaux par docteur rompu à cette beso- ne 53 klm 300 ; pénalisation 1 p. 9.
La souplesse de nos petits véhicules a
3°
secteur,
30
klm
en
35
minutes,
moyentient des esprits distingués et des volontés gne.
*
émerveillé ensuite les spectateurs du gymgénéreuses ». Elle fait partie, dans son ■ p *
ne 51 klm 400 ; points de pénalisation, 0.
**
s
Relevé
dans
un
grand
quotidien
améripays, de ce qu'on a appelé « l'intelligen4° secteur, 42 klm en 44 minutes ; moyen- khana où nous avons récolté les plus beaux
prix... Comment diable ne serais-je point
ce », de la classe qui crée les mouvements cain, cette annonce en faveur de la neutra- ne 57 klm 200 ; pénalisation 5 p. 8 ;
lité
luxembourgeoise
:
, durables de l'opinion.
5° secteur, 15 klm en 14 minutes ; moyen- content ? Mais, je vous le répète, voilà un
Jeune homme, Luxembourgeois, 2G ans,
succès auquel je ne m'attendais guère... »
M. Emile Haumont, le professeur de la
ne 54 klm 200 ; pénalisation T2 p. 8 ;
taille 1 m. 82 (neutre), dés-ire place maître
Sorbonne à qui je viens d'emprunté^ une
6e secteur, 42 klm en 67 minutes, moyen(ihôtel.
citation, a écrit en 1910 un livre magistral,
ne 37 klm 700 ; pénalisation lS p.
réservoir inépuisable d'idées et de faits.
7e secteur, 22 klm en 20 minutes, moyenLes surprises
mariage
. Dans ce livre, qui a pour titre : La Culne 6G klm ; pénalisation 14 p. 0 ;
On a vu plus haut que M. Henri Chèvre
Le duc Louis de Bavière, chef actuel de la
ture française en Russie, M. Emile HauTotal des points de pénalisation : 53,2.
obtient la plaquette argent réservée par
maison
de
Wittelsbach,.
avait
épousé
en
preniont étudie la marche et les causes de noLa voiture Alva, de Rassant, suit de près 1' ACV à la voiture ayant marché le plus
tre influence. Il en constate aussi l'actuel mières noces la baronne de Wallersée, dont avec un seul point d'écart.
régulièrement sur les secteurs vosgiens.
le»
succès
au
théâtre
de
Dannstadt
firent
jadéclin, et recherche les moyens d'y remé- di( grand bruit.
Voici, au surplus, les résultats du classeDans les mêmes conditions, par la régudier — car cette question le "préoccupe
larité de sa motocyclette, M. René Cuny
l'n an après la mort de sa femme, il se re- ment général ;
comme elle préoccupe tous les Fran- mariait à Mlle Barth, une jeune danseuse ïlu
s'adjuge la deuxième plaquette argent de
VOITURES
çais éclairés. Il ne parle pas de l'Institut cofcs de ballet de Munich, qui prit le nom
l'Automobile-Club-Vosgien.
1. HENRI CHEVRE, sur Bébé-Peugeot, avec
français de Pétersbôurg qui, à cette épo- d'.Âptonie de Bartolf. Le duc avait dépassé la
La plaquette vermeil du Pneu Hutchin53 points 2.
, îue, n'est pas encore créé' ; mais il montre soixantaine. Son épouse était à peine mason est gagnée par Ricot, sur Vermorel,
jeute.
2.
RASSANT
,
sur
Alva,
avec
54
p.
2.
de quel heureux effet sera pour nous
(pour la plus grande vitesse) qui a couIl.sernblait que cette union de l'hiver et du
3. CHRÉTIEN, sur Bébé-Peugeot, avec 72 p.8. vert les 23 derniers kilomètres en 12 mila préférence que donnent maintenant à
printemps
dût
être
éternellement
souriante.
4.
BINDER
,
sur
Bugatti,
avec
74
p.
8.
nos Facultés, ' au détriment des Facultés Maii voici que le duc de Bavière, qui a aunutes, réalisant une moyenne de 115 kilo5. CROVISIER, sur Peugeot, avec 75 p. 6.
allemandes, les étudiants de l'immense jourd'hui 83 ans, vient de divorcer. Il prétend
mètres.
r
Slavie.
6. PERRON, s Bébé-Peugeot, avec 78 p. 1.
que ta duchesse, âgée actuellement de 43 ans,
La même partie du parcours fut cou7. A. DE BEAUMONT, sur Deiage, avec 82 p.5. verte en 13 minutes par Messain, sur His« Le fait certain, dit-il, c'est que notre lui d donné un fils dont il n'est pas le père.
8. MM* G. JANNEL, sur Barré, avec 83 p. 5. pano-Suiza, à une vitesse de 101 kil. 5,
culture y gagnera. Revenus en Russie, l'é- Quand on est plus qu'octogénaire et qu'on
9. MESSAIN, sr Hispano-Suiza, avec 86 p. 7. dans le même temps, exactement, et par
lève de nos Instituts scientifiques, le doc- n'est pas Richelieu, ces doutes peuvent être
teur de nos Facultés diront qu'il y a aussi légititnes.
10. A. RENAUD, sur Grégoire, avec 114 p. conséquent à la même moyenne que CroMme de Bartolf ne s'en est du reste pas 11. A". RICOT, sur Vermorel, avec 186 p. 3.
de la science chez nous, et qu'elle y est
visier, sur Peugeot.
' émue. Elle a trouvé aussitôt un consolateur.
plus accueillante qu'ailleurs : IvTetchnikof, C'est m lieutenant de chevau-légers, régiment
MOTOCYCLETTES
La plaquette argent du Pneu HutchinWyroubof, Mme Curie, ne sont-ils pas de-« dont te duc de Bavière est général.
son est attribuée à Mme Georges Jannel,
1. CUNT, avec 35 points 1.
venus nos maîtres ? De son côté, l'élève de*
Cettt aventure serait digne d'être parila gracieuse sportwoman, qui, partie avec
2. MULLER, avec 49 p. 9.
'a Sorbonne [ajoutons : ou des cours de: siennei
le numéro 13* arriva à Vittel... la treiziè3. FERRY, avec 108 p. 7.
français pour les étrangers, à Nancy] ne
me. Ce que c'est tout de même que la suHéritages
Parlera sans doute pas à ses élèves que de
SrOE-OARS
perstition !
notre grammaire — de nos jours, le rôle!
Une vieille
rentière irlandaise vient de
1. Paul HENRY.
La plaquette bronze du Pneu Hutchinson
du professeur de langues vivantes va plus' laisser en mourant 50.000 livres sterling au
échoit au plus jeune conducteur M. André
loin — et c'est elle, en définitive, qui for- roi George V. La reine Mary, dont on conde Beaumont, sur Deiage.
cera l'opinion sur nous de ces petits qui naît les aualités d'ordre et d'économie, a cal.
Nous ferons connaître é'^œiair'ji'heure et
Le règlement stipulait que le classement
nu disent à. sa première classe, tout hé-■ culé qu'| 5 %, en bon placement, ce legs grosrissés : « Mais, mademoiselle, nous nei sirait la cassette royale de 75.000 francs par aurait lien par catégories établies d'après le lieu de la distribution des prr .1.
an. Aussi l'héritage a-t-il été accepté avec le volume total de la cylindrée.
voulons donc pas être des Français ! »
ACHIW,Ï/LIEGEOIS.
joie non dissimulée.
K
D'autre part les. prix consistent en vases
Mais, direz-vous, peu nous chaut, à une
■H
Les monarques ont parfois de ces surprises.
n
°us autres, qu'on pense de nous, à l'étran- Mais les successions ne s'accueillent pas tou- artistiques de Daum, en breloques or, vere
S r, noir ou blanc. Votre conception du1 jours avifc le même empressement.
meil et argent attribuées dans la proporPatriotisme est toute subjective. Notre paAbdul-F.amid recueillit récemment un héri- tion d'un vase et d'une médaille en or au
LA LORRAINE
triotisme, à nous, se réduit à ceci : déve- tage sans grand enthousiasme. Le vieux Sul- premier de chaque catégorie qui réunirait
lopper la prospérité du pays sans souci de! tan rougiî a 73 ans. Interné, malade, il ne au minimum trois partants.
10
trouve plis de . plaisir qu'au milieu de ses
Pinion étrangère.
Nous avons résolu d'abaisser à deux
SPORTIVE
chiens et Ile ses chats familiers. Une Ecosjjci encore, rie sovons pas à courte vue.
TU1 '^.i
vu
saise excentrique, qui en possédait toute une partants cette dernière condition.
,r ne noue contentons point d'ouvrir • ménagerie, l'a institué son légataire univerLes breloques en or seront décernées au
l/innuaire de Meurthe-et-Moselle. ConsulOrgane hebdomadaire
sel, en dôOarant sur son testament « qu'elle premier de chrujue catégorie, mémo s'il «H '.
•^ns, si vous voulez, le Bulletin annuel de' était sûre (e trouver un protecteur de ses fa- parti seul.
des
sports dans la
Association amicale des ingénieurs an-- voris dans ce vieillard au cœur généreux.
+ #
pareille flonfiance fut témoignée jadis à la \ Voici donc comment se trouvent répar«ens élèves de VInstitUt électrotechnique'
A
région de l'Est A
' «e mécanique appliquée de hancy. Nous5 $eine Victofla. Un de ses sujets lui laissa, en ties les récompenses dans le classement :
trois molosses et une somme de 100
PARAIT TOUS LES JEUDIS
|
éVrfrrons' répartis dans toute l'Europe noss mourant,
A) voitures ayant une cylindrée inférieupar ai pour l'entretien des trois chiens.
"JQiants étrangers de ces dernières an-! livres
Un testateur, plus original encore, recom- re à deux litres, avec deux places occuees. L'un d'eux est ingénieur dans une' manda à lal souveraine son perroquet et son pées :
usine de Moscou ; tel autre est, à Sofia,' Uing.charles II accompagnait son legs d'une
1» CATÉGORIE. — 1. Henri CHEVRE, de
oli
?UI-inspecteur pour le contrôle des5 rente viagèi* de 0.000 livres, sous la condi-' Nancy, sur Bébé-Peugeot, gagnant de la
VOIR PAGE 2
. laudières à vapeur ; tel autre encore estt tion d'offrir feus les ans, à ces deux animaux, Coupe de l'Est, un vase artistique, une bre5
une villégiature d'une quinzaine, « ce qui
Scieur
à,
la
Compagnie
des
tramways
loque or, et une plaquette argent de l'Auto(i
^ -aratow ; un quatrième est ingénieurr ! ferait, ajoutait un codicille; beaucoup de bien moMe-Clu» Vosfjien ;
^ Postes et télégraphes à Varsovie ; le» autant à Sa Uajesté qpi'aux betws ».
CLASSEMENT GÉNÉRAL &
Information rapide
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do» tonte* les Agences, et «.pesl HèpaUizain. à Nancy.
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E C f~t CD S
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PUBLICITÉ
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»7, lUe lùdielieB. et 5 fca, boulewd des kaKeiu
:
M. 'Henri Chèvre
est vainqueur
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Interview du vainqueur
"Les primes
du
'Classement et prix
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DERNIÈRE HEURE
XXX
pour arriver sûreiijpnt â' la gloire sublime et à la fortune superbe qu'ils rêvent,
chacun des enfants qui frappent à notr»
porte doit avoir : premièrement, des dons
naturels ; secondement, une grande puissance de travail et d'imitation, laquelle
d'ailleurs est aussi un don ; troisièmement...
— Eh bien ! achevez.
— Troisièmement, ce que j'appellerai,
pour être aussi clair et aussi précis que
possible, le « je ne sais quoi ».
— Au Conservatoire, il y a donc des professeurs et des juges de « je ne sais quoi » ?
— Des professeurs '? Non. Le « je ne sais
quoi » ne s'enseigne guère. Mais des juges ? Il y en a. Aussi bien, il y en a partout. Vous-mêmè, quand vous prenez place au théâtre, est-ce que vous jugez autre
chose ?
X
X
X
Pour revenir à des choses d'un ordre
moins subtil, vous demandez vers quelle
époque le Conservatoire a été fondé ?
En 1789. Voilà une date que vous retiendrez peut-être sans effort de mémoire.
Vingt jours après la prise de la Bastille,
c'est-à-dire le 3 août 1/89, la muncipalité
de Paris prit à sa charge 70 exécutants,
pour en former la musique de la Garde
nationale. En 1793 (décidément, les grandes dates révolutionnaires sont aussi de
grandes dates artistiques), un décret de
la Convention forma l'Institut national de
Musique. En 1795. cet Institut prit le nom
de Conservatoire.;. Parmi les Professeurs,
nous trouvons Méhul,
Cherubini, Adam,
Boiëldieu, Kreutzer...
Tout ce qui touche au théâtre prend ua
caractère à la fois comique et tragique,
railleur et passionné, tendre et grandiose.
Or, nous sommes à la source même de
l'art théâtral. Jusque dans le règlement
du Conservatoire, bien que tout règlement
soit en principe une matière ingrate et
réfrigérante, nous trouvons de jolis et chaleureux détails, d'un pittoresque bien spécial. *,
Lisez plutôt. Voici d'abord (Article 1) 1*
gratuité. Oui, « l'enseignement de la musique vocale et instrumentale et de la déclamation dramatique »
a été gratuit,
longtemps avant l'enseignement primaire.
Mais, avouons-le, il est peu probable qu'il
devienne jamais obligatoire.
Article 14. « Il y a. une classe d'harmonie
orale. Le nombre des élèves est illimité ».
(Le beau geste ! Entrez tous ! Pour l'harmonie orale, vous ne sauriez être trop
nombreux. Pour l'harmonie seulement !)
Article 15. « Il y a cinq classes d'étude
du clavier. Elles admettent au plus huit
élèves et deux auditeurs ». (Combien la
part du clavier est restreinte : deux appelés et encore moins d'élus !)
Article 22. — « Il y a quatre classes de
déclamation lyrique : deux pour l'opéra
sérieux, deux pour l'opéra comique. Ces
classes sont tenues par des
professeurs
gui doivent être musiciens ».
(Prudence
et sagacité du règlement. En vérité, conviendrait-il que des hommes nullement musiciens songeassent à enseigner «l'onéra,
même comique ?)
Article 33. 3— « Il y a un professeur de
danse et un professeur d'escrime pour les
élèves qui se destinent au théâtre ». (L'escrime devient de plus en plus nécessaire
aux deux sexes, depuis que les femmes
jouent Hamlet, Lorenzaccio, voire Cyrano).
Article 54. — « Les mères des élèves sont
admises à assister aux levons » (sans commentaire).
Article 59. — « Aucun assistant ne peut
être admis, s'il a moins de neuf ans. » (Ne
vous récriez pas : cet article est plutôt sévôre. Mozart eût été exclu, au temps de
son premier chef-d'reuvre).
Article 61. — « Tout élève admis même
provisoirement, doit déposer au secrétariat un certificat de vaccine ». ( Le Conservatoire a une vigilance de sanatorium).
Article 65. — « Tout élève oui manque
la classe deux fois dans le mois est ravé
des contrôles »...
Restons-en là. Diligence, exactitude, assiduité, voilà ta devise, ô Conservatoire.
Joignons-y le mot qui résume l'entretien
de tout à l'heure : Justice. Et c'est tout
l'idéal humain !
EMILE HINZELIN.
— Vous me demandez comment se révèlent les vocations des artistes, des chanteurs
et des cantatrices,
par exemple.
Ecoutez ! Un jour, des parents, arrivant
à l'improviste dans la chambre de leur petite fille âgée de quelque douze ans, la trouvèrent, reproduisant -avec une miraculeuse exactitude un rôle qu'elle avait vu interpréter la veille. Un autre jour, un jeune
homme qui terminait ses études scientifiques entendit, dans une réunion intime,
un camarade bien doué chanter un air
d'opéra. Rentré chez lui, il entonna l'air
qu'il avait applaudi. Alors, il s'applaudit
lui-même et se toucha la gorge, en murmurant : « Et moi aussi, je suis ténor ». Une_
autrefois-, un menuisier, tout en poussant
son rabot parmi les copeaux en neigeuses
coquilles, lançait des roulades en volutes
d'or. Passa un riche amateur qui lui frap. pa sur l'épaule : « Si tu veux, mon ami,
ta gloire est assurée et ta fortune faite »...
— Ces anecdotes, ' cher maître, sont fort
édifiantes. Mais, entre nous, ne sont-elles
pas un peu anciennes ?
— Dites plutôt qu'elles sont vieilles comme les roses. Elles ont la valeur d'un contant renouveau. L'a#t, le printemps, l'amour, voilà trois recommenceurs éternel.
— S'il en est ainsi, on peut formuler
quelques lois. Quelle est, dans le succès
obtenu au théâtre, la part du travail ?
— Une énorme somme de travail est nécessaire. Mais les uns vont vite en besogne ; les autres, « piano ». Un de nos plus
grands musiciens a composé son plus délicieux morceau à l'âge de neuf ans six
mois et trois jours. Un autre musicien, non
moins grand, a mjg pour apprendue la musique autant d'ojïnées que pour se préparer au bon baccalauréat ès lettres de ma
jeunesse : huit bien comptées, sans vacances... ni fugues.
— Vous avouez ainsi que le talent échappe
mesures communes. Ne pensez-vous
pas qu'il échappe de même aux évaluations ordinaires ? En outre, tant de facteurs étrangers peuvent intervenir !
— Je vous entends. Vous voulez savoir
ce que je pense de nos concours et de nos
examens. Eh bien ! je pense que, dans
leur ensemble, ils sont l'image de la justice. Oh ! non pas de la justice absolue,
laquelle n'est pas de ce monde, mais de la
justice humaine, laquelle' doit suffire icibas aux plus exigeants d'entoe nous. Qu'il
y ait parfois des iniquités dans les notes
que l'on attribue aux instrumentistes, aux
artistes lyriques, aux artistes dramatiques,
cela est possible. Mais, dans l'ensemble, le
jury ne se trompe guère. Et que voulez-vous
dire avec vos « facteurs étrangers « ? Vous
parlez de la recommandation, n'est-ce pas ?
Sachez que l'instrument dont on subit le
Rien n'est nouveau sous le soleil, dit ua
moins l'influence au Conservatoire, c'est proverbe qui, comme tous les proverbes,
le « piston ».
est une vérité solidement établie par \;i
— Je vous amène un élève, jeune garçon « vox populi », la seule que l'on entende.
ou jeune fille, bon à quelque chose. Que Cette fois, la surprise n'est pas banaïe.
lui conseillez-vous, pour qu'il remplisse Il s'agit de médecine, de ses découvertos,
à souhait son destin ?
non pas de l'autre côté de la Seine, mais
— Je lui conseille d'aimer, d'admirer et sur les deux rives du Nil. Le Nil fut le berd'imiter son maître.
ceau de la médecine, d'antiques papvrus
— Aimer ? Très bien ! On ne profite l'affirment et ils poussent la complaisance
d'une leçon que si on aime celui qui la don- jusquà préciser presque la plupart -ïa
ne. Admirer ? Bien. L'esprit de dénigre- ces dates glorieuses, entre autres, '.elle
ment, voire le goût de critique, glace l'en- de la première dynastie des Pharaons, soit
thousiasme et détruit la foi, indispensa- quatre mille ans avant Jésus-Christ. Les
bles tous deux à l'épanouissement artis- principaux papyrus médicaux parvenus
tique. Mais imiter ? Est-ce que l'imitation à nous, au nombre de trois, ont été dén'anéantit pas un don également nécessai- couverts : l'un à Louxor, et se trouve acre : l'originalité ?
tuellement à Leipzig : l'autre à Mem.
— Erreur ! Tout artiste excellent a débu- phis, et se trouve à Berlin' ; enfin, le trotté par imiter un excellent maître. Il a sième est à Londres. Plusieurs des recetmême imité ce maître de manière à se tes qu'ils préconisent entrent dans nna
substituer à lui. Au début, un Coquelin pharmacopées actuelles.
reproduisait les moindres intonations d'un
Les médecins étaient nombreux en EgypRégnier ; un Georges Berr, les moindres te et parmi eux de distingués spécialistes.
j intosati»ns d'un Coquelin. Les comédiens Les uns suivaient les armées, tout comme
qui n'ont pas passé par le Conservatoire de nos jours et soignaient les pauvre?
! et qui ont fait, quand même, un admi- gens. Quelques papyrus nous avouent eue
i rable chemin, n'ont pas échappé à cette certaines maladies à qui on attribue rA«
loi sans exception : l'imitation préalable. mérique pour lieu de naissance, flori*
| Antoine a imité Got, à s'y méprendre. Dès saient au contraire sur les bords du Nil
j qu'on sait imiter un maître excellent, on sous l'égide de Mercure. On sait aujour<
est sur de soi ; dès qu'on est sûr de soi, d'hui que le grand Cvrus faisait boUilil
I on devient soi-même un maître.
son eau sans que la Faculté l'y invita
— Alors, selon vous, le vers de Coppée : Pline nous enseigne que les Egyptien»'
« Qui pourrai-je imiter pour être, origi- connaissaient un moyen d'arrêter ia '!ou<
nal ? ». d'une bouffonnerie si extravagante leur. Donc l'anesthésie leur revient, <H
quand il s'agit des poètes, exprime, quand même que la fabrication du carbonate di
il s'agit des comédien* une sérieuse véri- chaux et aussi la trépanatior.
té de premier ordre ?
Ajoutez à l'actif de la vieille Egypte II
— Oui. Mais chez nous, les vérités de saignée, les ventouses scarifiées, les frto
premier ordre sont encore des vérités re- tions et vous conviendrez qu'elle ne noïi
latives. Si j'étais forcé, sous peine de mort, avait pas attendus pour setiUi^er Um paw
de parler au nom de l'absolu, je dirais que, vres mortels.
aunr
à
La médecine aujlenips des Pharaons
j
Sït
,|
—
LETTRE D\ALSACE'j
Comment Hansi a pu échapper
à la police allemande
!
|L
15 juillet. — 11 va sans dire
jpie l'affaire Hansi fait encore aujourd'hui
i'objet de ti utes les conversations. On sait
maintenant comment le condamné de î.eip
ug s'y est uns pour mettre la frontière entre lui et'la police allemande. Plusieurs
jcurnaux ont annoncé que Hansi avait c elà à Leipxig pris un ticket pour Belfort. :
1:° n'est pas exact. ïïansi est rentré à Coiy-aï le 10 juillet avec son défenseur, M"
r'aul Helmer.
En arrivant en gare de. Colmar
il était
Eitdi moins le quart
l'artiste et l'av je-tt
remarquèrent immédiatement que la rolice attendait leur retour. Me Helmer, qui
habite rua Bruat, c'est-à-dire dans ie quarlier de la Gp.re, se rendit à pied chez lui.
Place de la Gare,
Hansi monta dans
un tramway qui stationnait là et detnancla un billet devant le conduire jusqu'à
l'arrêt de m rue aux Blés. C'est )à qu ha
bite l'artiste.
!.
Les policiers,
qui
avaient
entendu jj
Waltz crier le nom de sa rue, entrent donc 1i
qu'il se rendait effectivement chez lui et,
pour ne pas trop « appuyer » leur filature,
ils se rendirent à pied rue aux Blés pour y
attendre les événements. Seulement, voila
Hansi se ravisa en cours de route. Arrivé
au coin du Champ de Mur.*, il sauta a bas du tram, revint a la gare et prit ie train ■
de Baie qui quitte Colmar à midi 8 minutes. Tout* cela n'avait demandé que 20 mlmîtes. Arrivé à Saint-Louis, Hansi
endit du train et poussa à pied jusqu'à Baie,
De là, il se rendit à Belfort vid BfcBa W
lait le reste.
Entre temps, les agents de police étaient
arrivés rue aux Blés et occupaient immédiatement leur poste d'observation. D'ailleurs, ils s'y trouvent encore.
En effet, *Ja maison de M. Walt* père se
trouve sons la surveillance permanente de
la police,- qui veut apparemment savoir
quels sont les visiteurs qui se rendent ou
domicile de l'artiste. Un journal de Stras-bourg, la JVfwe Zeitung, proteste contre
cette surveillance qui est vraiment sans
objet, car il ne faut pas compter sur le retour de l'artiste, qui se plaTl certainement
mieux à Gérarilmer, Epinal et Belfort que
dans les geôles de Kottbus ou de Delitzsch.
D'autre' part, on sait que ie procureur
général de Leipzig avait abandonné le délit de haute trahison dont la chambre correctionnelle de Colmar chargea Waltz ;
depuis quand surveHle-t-on une maison où
habitait un dessinateur n'ayant sur la conscience que quelques « charges » dirigéesi
contre les gendarmes et les maîtres d'é»
cole ? C'est ce qu'on se demande à Colmar.
Il est encore un autre fait contre lequel
l'opinion publique se prononce ; l'administration des postes, donnant suite à un or-.
dre du parquet, ouvre toute la correspon-.
dance adressée au père de Waltz. Son courrier lui est remis "décacheté ; là aussi on;
se demande en vain à quoi rime cette me-.
sure. A ce propos, il est peut-être utile.
qu'on sache en France qu'une sage réserves
s'impose. Lors de la première arrestationi
de Hansi, une correspondance volumineu-se arriva rue aux Blés. Mais avant d'être•
remise au destinataire, toutes les lettres ett
cartes prirent le chemin de Leipzig, où ellesi
furent soumises au procureur généra).
Nombre de lettres étaient franchementt
compromettantes ; c'est ainsi qu'un officierd'artillerie écrivait à Hansi — alors on pri-.
son
qu'il ne tarderait pas à venir Se dé-.
livrer avec sa batterie. C'est ce qui fit dire
après coup au procureur général « qu'il serait facile d'établir que Hansi était en relations avec les milieux revanchards de»
Fiance ».
La départ de Hansi a retenu toute l'at-.
tention du publie qui s'est un peu trop dé-.
sintéressé des considérants du jugement et{
des à-côté du procès. Cependant la sentence est de nature à donner a réfléchirr
aux publicistes et aux comités politiques5
d'Alsace-Lorraine.
En effet, il ne tant pas oublier que le
procureur général a fait grand état du paragraphe 130 du Code pénal, paragraphe
où il est question des « excitations à la1
violence » {aufrenung zu gewaW.aetigl.eit'en). C'est là un terme assez élastique. Demain on peut l'appliquer à n'importe quelj
journal de langue français* du pays ; on
voit où cela peut mener. A Leipzig, à coup■
sûr !' Le danger de la situation n'a pasP
échappé aux socialistes qui tiennent le
raisonnement suivant : <> Foute cette affaire n'a pas d'intérêt que pour M. Waltz ;;
elle intéresse d'autres milieux, notamment
*
la Sociale-démocratie Le paragraphe 130
du Code pénal menace, telle f épêe de Damoclès, toute agitation ayant un caractèree
oppositionnel.
On l'a bien vu au lendemain des grands8
meetings de Berlin, où il avait été question
de la grève générale ; à cette époque, les8
journaux de droite avaient conseillé d'aph
pliquer ce paragraphe à ceux qui préconisaient la grève. - On a jadis proposé dec
donner une autre teneur à ce paragraphe,
afin de faciliter îa tache aux procureurs.'»
Jj
Vraiment est-ce encore nécessaire auand
°on le voit l'appliquer à des caricatures,sans
f
tenir compte si ces dessins pouvaient réeller
ment provoquer des violences 7' »
Le point de vue socialiste est juste. On
"
est en droit de s'attendre à tout.
E. P.
1 ■'
*» 9
—*
—
>
1|
~~™T
—
ssssss SIXIEME
Attaques répétées
des Zaïans
UNS DÉMISSION
à la commission du budget
\
A
PARIS, 17 juillet. — A la suite d'un incident
survenu avant-hier à la Commission
d
d
du budget, l'amiral Blenaimé vient d'àd
dresser sa démission de membre de cette
ci
commission.
L'amiral Bienaiirié déclare que la cornmission du budget ne comprenant aucun
n
des
anciens rapporteurs de la marine, il
(j
avait
cru devoir poser sa candidature à la
a
succession
vacante.
s,
Or, sa candidature ayant été écartée
par
une sorte de question préalable, il se
p
fi
trouve profondément froissé d'un semblable procédé, moins dans sa personne, qui
b
reste au-dossus de ces choses, mais dans
r
jles
principes de justice et de bon sens qui
(
j,
lui sont chers.
j
DUNKERQUE, 1C juillet. ■—
Les cuirassés
'France et Jean-Bart sont arrivés en rade
!à 4 heures du matin.
Le train présidentiel est arrivé à 5 heuJres à l'écluse .Trystram.
Le président a trouvé sur le quai les autorités
qui lui ont souhaité la bienv^ei
nue.
'
M. Poincaré, qui était coiffé d'une cas1
miette,
est monté à bord du remorqueur
•Boulonnais, qui a appareillé aussitôt. Dès
1
que
le vapeur sort du chenal, des salves
'd'artillerie partent des cuirassés,
Lorsque le Boulonnais accoste la France,
la
1
musique joue la. Marseillaise. Le prési1
dent
s'embarque avec M. Viviani ; ils sont
:reçus par l'amiral et le commandant
1
Grandclément.
Le ministre de la marine, M. Gauthier,
fait alors ses adieux et. repart aussitôt sur
le Boulonnais, avec les autorités qui ont
accompagné le président de la République jusque sur le cuirassé.
Le départ
On n'attend plus pour pour lever l'ancre que l'arrivée du courrier. Une vedette
l'apporte bientôt et l'escadre appareille
aussitôt, il est 6 heures 55. Le navire se
met en marche par une légère brise du
- Sud-Ouest.
M- Gauthier,
ministre de la marine,
avant de quitter Dunkerque, va inspecter
la défense mobile. — Havas.
—
_
La démission de Huerta
16 juillet. — Le Congrès a, hier
soir, accepté p«r 124 voix contre 17 la t'témission du président Huerta, dont la famille est toujours en route pour la côte
sius la protection des troupes.
PUERTO MEXICO, 16 juillet. — La famille
du général Huerta est arrivée. Elle attend
le général.
Huerta à Paris
17 juillet. —
Le général
Huerta se rendrait à Paris, et emporterait
des lettres de crédit sur des banques européennes pour une vaHur de 30 millions
de francs.
'
NEW-YORK,
Un message de Huerta
juillet. — Dans le mesasge annonçant sa démission, le général Huerta a
rappelé les efforts qu'il avait faits, en vue
du rétablissement de la paix. 11 a insisté
sur les difficultés de gouvernement, en raison du manque de fonds, ainsi que de la
protection manifeste et voulue qu'une grande puissance a offerte aux insurgés, aboutissant à l'acte de violence commis par la
flotte américaine de la Vera-Cruz, au moment où la révolution semblait brisée, ses
principaux chefs ayant été et se trouvant
toujours divisés.
Les rues sont restées animées jusqu'à
une heure tardive. La tranquillité règne.
Les généraux Huerta et Blanquet ont quitté Mexico cette nuit et ont pris le train à
quelques milles de la ville. On croit qu'ils
sont en route pour Puerto-Mcxico. — Havas.
MEXICO, 16
J
Le nouveau président
16 juillet. — M. Tarabajal H
été élu président de la République à 7
heures, hier soir. Il s'est rendu immédiatement au Palais, sous escorte, et a été
vivement acclamé
MEXICO,
La situation de Mexico
L'AFFAIRE CAILLAUX
16 juillet,
— D'après un câblo16 juillet.
Le « Temps » pui- gramme reçu de Mexico à la « Gazette de
blie ce soir la substance de'l'acte d'accui- Berlin à Midi », il. paraît douteux que la
sation contre Mme Caillaux. Cet acte se
ie ville de Mexico puisse être occupée avant
termine par l'inculpation d'homicide \o5un mois par les insurgés.
lontaire avec préméditation.
Les intérêts français
PARIS, 16 juillet.
La session de
la
a
cour d'assises au rôle de laquelle est ins9.
PARIS, 16 juillet. -— Le
gouvernemsnt
crit le procès de Mme Caillaux s'est oui- français a prié le gouvernement amériverte aujourd'hui. Sur les 36 jurés appee- cain d'agir en faveur de Aos nationaux au
lés à siéger, trois ne se sont oas présenj. Mexique.
Nos divers représentants près
tés.
du gouvernement de Mexico ont reçu (ï'anLes abords du Palais sont particulièree- tre part l'ordre de réclamer une enquête
ment animée. La «publication par le et de formuler toutes les réserves de la
« Temps » de l'acte d'accusation contre
re -France au sujet des sanctions à interveMme Caillaux a produit vers 5 heures une
ie nir à la suite de l'exécution de plusieurs
grosse émotion.
Français.
PARIS,
BERLIN,
—
—
—'—- * m »
L'impression aux Etat-Unis
-
TIRAGES FINANCIERS
CrMit Foncier de France
Bons de 100 francs 1887
Le numéro 184.759 gagne lOu.000
Le numéro 78.139 gagne
2.0TJO
Les 10 numéros suivants gagnent
t.000 francs :
7.22-7
27.S5S
54.536
74.998
83.878 111.492 144,489
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Bons a* 100 francs 1888
Le numéro 58.131 gagne 100.000
Le numéro 94.593 gagne
2.Û0Û
Les u numéro» suivants gagnent
1.000 francs :
7.773
89.1S0
MO. 51»
94367
fO.384
143,4».
francs.
:s.
francs.
».
chacun
m
82 016
16
192.206
06
francs.
*•
francs.
chacun
10
M, Lucien Poincaré
Directeur de l'enseignement
supérieur
M. Bayet à la retraite
PARIS,
16 juillet. — M. Lucien Poincaré,
de l'enseignement secondaire, est
îdirecteurdirecteur
nommé
de l'enseignement supérieur,
en remplacement de M. Bayet, ad*"
mis à la retraite.
. M. Coville, inspecteur général do Tinstruction publique, est nommé directeur de
l'enseignement secondaire. — Havas.
M. Lucien Poincaré est, on Je sait, le
f;
frère
cadet du président de la République,
I est né à Bar-le-DuiC, en 1862. Elève de
Il
y
l'Ecole
normale supérieure, professeur au
j_
Lycée
de Marseille, à Louis-le-Grand, à
j.
l'Ecole
normale de Sèvres, à la Faculté des
sciences de Paris, il s'est fait connaître
par
de très intéressants travaux de phyF
SSique, M. Lucien Poincaré a été nommé
inspecteur général de l'instruction publique
h
e 1902, puis directeur de l'enseignement
en
secondaire.
s
M.
Charles Bayet, réminent directeur
^
de, l'enseignement supérieur, prendra sa
retraite à 65 ans. Il est né en effet, à Liége
^ en 1849 ; il fut élève des écoles de Borne et d'Athènes, professeur d'histoire à
iLyon, recteur à Lille ; il est devenu directeur
de l'enseignement primaire en 1896,
t>
ci
d'où
il passa à la direction de l'enseignen
ment
supérieur,
M. Bayet est un grand ami de l'Univerc
sité
de Nancy dont il sait apprécier l'intéressant effort. Ce fut lui qui présida à l'ides monuments de nos tou: nauguration
!
I Jjours regrettés concitoyens MM. Bleicher
et Bichat.
Nul doute que le Lorrain qu'est M. Lu(cien Poincaré ne montre vis-à-vis de l'Université lorraine la même haute bienveillance que M. Charles Bayet,
-—*■•-♦>-
—
LE TSAR EN FRANCE
— On annonce que
arrivera en France
pour rendre la visite que lui fait actuellement le président
de
la République.
'
i
PARIS,
16 juillet.
de Russie
jl'empereur
le 2 octobre prochain
LES AVIATEURS
™
n
LA ROCHELLE, 16 juillet. ~ Le croiseurj
cuirassé Jeanne-d'Àrc, vaisseau-école d'api.
plication des aspirants, retour de la croisière annuelle dans le Sud et l'Océan Paicifique, a mouillé ce matin, à 9 heures sur
ir
la rade de La Palisse, où il séjournera
a
jusqu'à mercredi prochain.
Havas.
.c,
MEXICO,
1
RETOUR
DU « JEANNE-D'ARC »
—
16 juillet. ■— La démission
du général Huerta est considérée comme
le premier pas vers la solution immédiate du problème mexicain.
On croit que la nouvelle administration
ne restera au pouvoir que peu de temps,
jusqu'à ce que l'on ait pris des diaposilions pour l'entrée du général Garantza.
Selon les diplomates qui connaissent à;
fond la question, M. Carvajel et ses
lègues sont favorables à une amnistie générale sauvegardant la vie et les biens du
général Huerta. — Havas.
' YRRA-CHO, 16 juillet.
A la nouvelle
de la démission du général Huerta, ,1ei
croiseur britannique « Bristol » et le croiseur allemand » Dreadel » ont appareilléi
en toute hâte. On croit qu'ils se sont iend<M à Puerto-Mexico. — Havas.
WASHINGTON,
—
Record enlevé par l'Allemagne
17 juillet. — D'après les constatations de la Faculté de physique de
l'Université, l'aviateur Qllerich a atteint
une hauteur de plus de 8.000 mètres.
Il détient donc le record du monde.
La poste aérienpe
MELBOURNE, 16 juillet. — L'aviateur Guillaux est parti, de Sldney, ce matin, à 9
heures, emportant un courrier.
La distance à couvrir est de 580 milles.
Audemars ne bouclera pas en Alsace
STRASBOURG, 17 juillet. — Plusieurs journaux ont annoncé la venue de l'aviateur
Audemars à Strasbourg, pour y exécuter
dfférents exercices d'aviation.
Une note officieuse déclare que ces exercices n'auront pas lieu, attendu que les
autorités militaires n'ont pas cru devoir
accorder l'autorisaton nécessaire.
LEIPZIG,
DEPERDUSSIM
REFUSE D'ALLE!»
CHEZ LE JUGE
PARIS, 17 juillet. — M. Deperdmsin, qui
devait subir hier son premier interrogatoire, a déclaré qu'étant malade il ne pouvait se rendre à la convocation du juge
d'instruction et il a refusé de quitter sa
cellule. — Havas.
DEUX AVIATEURS FRANÇAIS1
atterrissent en Alsace •
HinsFELDEN«(Haute-AJsace), 16 juillet. —
■
Aujourd'hui à 9
heures du matin, un1
aéroplane français a atterri ici ; 11 était;
'
monté pf« ,rTîviateur Krard, du 171« régiment d'ini. anterie à Belfort, et un passa-•■
ger, le capitiiïBe Morlet.
Les aviateiàil ont déclaré
qu'ils s'é-•
taient rendus aujourd'hui de Belfort à
1
Montbéliard et qu'au retour ils avaientt
pris la Forêt Noire pour les Vosges. Ayant
t
reconnu leur
erreur, ils ont atterri ;
alors, ils ont demandé l'adresse de la mai-;
•
rie et de la gendarmerie.
Le directeur du district, le procureur et
l
un officier de la
section d'aviation
de
Fribourg sont arrivés sur les lieux.
Les aviateurs attendent la décision de5
la place, ils ont reçu un accueil courtoisi
et ont été invité* à déjeuner par le uro-cureur du district. — Havas.
Ils sont remis en liberté
Le commandant général1
de Carlsruhe, a prescrit la mise en libertéI
des aviateurs français, après l'établisse-.
ment du procès-verbal
L'appareil a éte démonté et conduit à1
Montreux-Vieux
Les aviateurs rentrent ce soir même ài
Belfort
HÏRSFELDW,
—
I
INFORMATIONS
■
Les populations comparées
des puissances
L'AMÉRICAIN DISQUALIFIÉ
PARIS, 17 juillet. — On lit dans la p
r
rat
ce Militaire » :
>« D'après les dernières statistique
population
allemande s'élovait, à la fin' H
1'premier semestre
de 1914, à 6T.812 OOo
p
*
« Pendant les dix dernières annAA»
\l'augmentation totale pour l'Empire n i?'
de 8.136.000 habitants, soit de 14 0/ ET*
d
« La France a donc actuellement 27 n»«
lions
800.000 habitants de moins q
JÎVj'
Vl
ue
j,
lemagne.
« La Russie, qui avait au dernier rp,.gsèment 169.334.200 âmes, s'est accrue HP
„
millions en li ans," soit de 24 %.
"
» L'Autriche-Hongrie avait, en nu,
U
5
51.390.223
âmes ; l'Italien 84.671.3;?
,
enfm,
l'Angleterre 45.221.615. »
n' ^'
16 juillet. — On signale que les
Zaïans
ont opéré un retour offensif contre i
8
le camp de Kénifra.
le
L'ennemi a éle repoussé avec des pertes
LONDRES, 17 juillet. — Georges Carpentier
sensibles.
Nous avons eu sept blessés,
se
a rencontré ici, ce soir, Gunboat Smith
j
dont
trois Européens.
c
pour le titre de champion du monde de la
RABAT, 16 juillet. — Le colonel Odry, a
gj
r.,
blanche des poids mi-lourds.
repoussé
le
13
juillet,
après
une
vive
se
•
match, «pu a été disputé !> l'Olympia,
™
tion
l'ennemi
assez
nombreux,
qui
attaexcitait
un Intérêt tout à fait extraordinaie
~?
suait
le
camp
de
Kénifra.
L'ennemi
abanre.
Les journaux ont publié de longues con
I
donna cinq cadavres.
jlonnes
où l'on discutait les chances respecc
Le colonel Odry avait regagné le camp gj
tives des concurrents. Les avis étaient près.
lorsque une nouvelle attaque se produisit, que
q
également partages.
r{
Les Zaïans furent repoussés dans la mon- 1 Les deux boxeurs ayant présente leurs
,tagne par l'artillerie et les mitrailleurespectueux hommages au roi, le grandr
ses. — Havas.
se
écuyer
leur a envoyé un télégramme de
(;
r
remerciements.
Un appel du Sultan
LONDRES, 17 juillet. — Carpentier a été
PARIS, 17 juillet. — On
lit dans la déclaré
d
vainqueur de Gunboat Smilh.
« France militaire » :
Au 6» round, Smith a été disqualifié, par« Le sultan Moulaï-Yousef vient de faire ce que, profitant de ce que Carpentier était
m
lire dans toutes les mosquées une lettre
qu'il adresse aux fidèles au sujet de la tombé d terre, il se précipita sur lui et lui
porta
un coup de iëte.
^
pj
prise
de Taza et de KheMfra.
P
Carpentier ne se releva que difficilement,
Dans cette lettre, après avoir rappelé
la prise de ces villes, il dit :
e se protégeant ta tète des deux mains.
en
« L'avenir soulèvera les voiles de l'ignoDès le 2e round, Carpentier montra un
rance
rc
et de l'inertie qui couvrent notre avantage
0
sur son adversaire, qui, à mainet
empire fortuné, et qui apparaîtra bientôt .
les reprises, se Jït rappel™ à l'ordre, pour
p<
pourvu d'une civilisation basée sur une
e
coup» irégulicrs.
1>(
bonne
organisation.
Ait 4« round, Carpentier avait abattu
« Les réalités se révéleront ; l'activité
s<
se répandra ; la gaîté sera dans les esprits SSmith, qui resta neuf secondes d terre.
Déjà les soigneurs de CarpenZier.crogaut
et
cœurs. »
et la joie ù ...
y
r.celui-ci vainqueur, s'étaient précipités sur
le ring, mais l'arbitre déclara que les dix
secondes réglementaires n'étaient pas écoulées.
»■
Les détails de la lutte
L
Le voyage présidentiel,
A DUNKERQUE
EDITION
|
ï
PARIS, 16 juillet. — Le congrès sociajj
liste a continué ce matin la discussion de
son ordre du jour et a repris le débat sur
g(
j,l'impérialisme et la guerre. La majorité
$
des
membres est de plus en plus hostile
à l'idée d'une insurrection en temps de
g
guerre.
PARIS, 16 juillet. — Au congrès socialiste,
la commission, pour remédier à la vie
t(
chère,
a Invité les socialistes à lutter c.onc
tre
les trusts et les cartels, et à user dans
t
cette lutte de toute leur puissance politic
qque et économique.
PARIS, 16 juillet. — Le congrès socialiste
a
a adopté, par 1.690 mandats contre 1.174
$à la "motion Compère-Morel une motion
j
Jaurcs-Vai'.lant
tendant à la grève généyraie en cas de guerre.
,
J~
«f Vfe TS**^
Carpentier a battu Smith
RABAT,
LE S~SOCÎAÏTiSTE S
; \votent la grève générale
—
*" ïîî
DERNIERE HEURE
STRASBOURG,
—
~~ "~ZZT
——
j
Récit d'un témoin
1
PMUS, 1? juillet. - Le « Aj^îffl* ?
récit suivant du match ^rpem e -^» r<
« Los adversaires se cherchèrent peu, et
tout de suite s'attaquèrent.
te
Il apparut alors, au cours de la première reprise, que l'allonge tormidable de
n
Gunboat
Smith déroutait Carpentier, qui
G
sembla
gêne par ces poings^ qui lui narsi
raient le chemin de l'adversaire.
n
« A la deuxième reprise, » combat criangeait
d'allure.
g.
Carpentier avait compris sa îaute.
•< Maintenant, il tire de loin, trompe
Gunboat Smith, le bat dans le combat a
G
distance ou raproché ; le trouble, le désunit,
et enfin saisit l'occasion, feinte rie
n
gauche, décoche son crochet du droit, et
j*atteint Gunboat à la mâchoire.
« L'Américain flotte, semble prêt a tomber,
lu tête en avant. Il s'accroche à Carb
ppentier, l'enlace, le paralvse, se remet et
échappe
ainsi à une défaite qui, alors,
'
paraissait
certaine.
V
n A la 3" reprise, Gunboat Smith a perdu
son sourire.
« Il est étonné, inquiet et méfiant.
» Carpentier marche avec prudence. Il
rredoute quelque grimace. Il procède avec
nméthode, travaille étroitement son adverssaire, qu'il taquine par dos gauches, et
aeccumule des points. Par plusieurs fois,
8
Gunboat Smith lance son formidable droit,
tuais le coup vient de trop loin et trop apparent.
« Le Français esquive aisément.
« Smith n'est plus à son affaire. 11 s'acccroche de plus en plus, tient les bras de
LONDRES, 17 juillet. — Voici, round y r.r
(Carpentier, frappe bas, se fait rappeler à
round, les détails du match Carpentier- \l'ordre.
Smith :
« L'avantage de Carpentier se maintient,
1"' round. — Corps à corps. On sae sé- jIl s'affirmera, considérable, à la quatrième
pare, Smith se précipite sur Carpentier reprise,
(
au cours de laquelle* notre repréet lui porte un swing trop bas. L'arbitre sentant
,
boxera d'une façon merveilleuse.
prévient ce dernier de ne pas recommen« Smith est congestionné, en sueur, com*
cer. Smith envoie un coup du gauche
me essoufflé. Carpentier précipite l'action,
dans les côtes de Carpentier, qui riposte
déplace autour de son adversaire, qu'il
,par plusieurs coups du droit, bien essé- se
',
fait tirer dans le vide. Il règle à sa guise
nés.
,
la marche du combat, prépare son attaque
Le premier round se termine avec un
favorite, trouve et saisit l'occasion, feinte
i
léger
avantage pour Smith.
2" round. — Carpentier manque un 'du gauche, et décoche un fantastique crocoup
du droit, mais, revenant à la charge (chet du droit.
c
« Atteint pour la seconde fois à la mâ£
au
moyen d'un uppercut, il met son adversaire
en difficulté pendant quelque 'choire, Gunboat Smith titube, fléchit sur
J
■ les
jambes et tombe assis, comme en'
jtemps, le long dos cordes, puis il adminis- dormi.
tre à Smith un violent coup de poing en I '
« Dans un silence immense d'anxiété et
plein visage, ce qui égalise les chances et j
jfait tourner l'avantage en faveur de Car- 1d'admiration, le chronométreur, M. Hulls,
1
]pentior.
.compte
les secondes : Six, sept... Nous no
3E round.
L'arbitre doit encore dé- vivons plws !... Huit, neuf... Dieu ! que
ifendre à Smith de porter des coups trop 1c'est long ! Dix...
« Lo chronométreur se redresse, les ju'bas. Le round se termine sensiblement à
ges aussi.
|
1égalité.
» Pour tous, c'est la victoire, mais au
•4" round. — Carpentier assène à Smith
un violent coup du droit, mais l'Améri- montent même où dix était prononcé, arri,
cain
fonce sur lui. Carpentire répète sa vait la fin de la reprise et, bénéficiant de
j
1
tactique.
la coïncidence, Gunboat Smith était provie
5 round. — Plusieurs corps à corps, dentiellement sauvé.
imais Carpentier ne tarde pas à porter~de
« Smith avait retrouvé ses esprits.
rudes coups à Smith.
» 11 revient au combat. Le match est
6' rounds. — Les deux boxeurs se pré- idur.
1cipitent l'un contre l'autre pour un corps
» Tout en se mouvant, il recherche la
à corps. Ils frappent des deux mains avec bataille. On voit qu'il veut profiter de son
succès. Mais, à la troisième tentative, poids.
!
Smith riposte par un terrible coup du
« 11 bouscule Carpentier, lui saisit le
gauche au corps, mais Carpentier abat poignet droit, tire bas encore, provoque
Smith en lui assénant un coup du gau ;!ie des protestations par son jeu irrégulier,
sur la tête.
mais reste toujours et quand même doCarpentier perd l'équilibre presque PUS- miné, et c'est alors la sixième reprise.
sitôt, et tombe à genoux. Smith se préci« Sur la marche de Carpentier Smith a
pite alors sur Carpentier, encore à ge- lancé son droit et un swing enveloppant,
noux. On n'a pas encore déterminé d'une qui a mis Carpentier au solfaçon précise, comment le coup porté par
« On tonnaît le reste.
Smith à Catpentier, qui étfnt à genoux, a
«• Si regrettable qu'il soit pour Carpentouché le Français.
tier de ne pas avoir eu la victoire comme
Les spectateurs piacés près du ring pré- il la méritait, elle n'est pas moins une
tendent que le coup n'avait qu'effleuré victoire heureuse.
Carpentier, mais au contraire le coup a
« 11 ne pouvait être battu dans ce comété très violemment porté sur la nuque. bat que par le poids, ou de coup de chanSmith, après avoir été disqualifié, ne ce, ou de coup irrégulier.
voulut pas quitter le ring, mais les spec« Il s'est, montré infiniment supérieur à
tateurs lui devinrent tellement
hostiles Gunboat Smith comme boxeur et comme
qu'il finit par s'y résigner.
athlète.
Carpentier a été 1res chaleureusement
u Plus adroit, plus varié dans son jeu,
acclamé et Smith très violemment hué.
autrement précis, autrement correct. » —
,
\
J
1
—
av
- <» m »
REGION
»„ Mouvement administrât!!
—
PARIS, 17 juillet.
M. Marraud. s0lMte
préfei de Bonneville, est nommé SQUS L
S
let
de Sftint-Dié, en remplacement de M
'
3
Veulle, nommé à Lisieux.
M. Le Blond, ancien sous-préfet,est nom
l
mé
secrétaire général de Meurthe-et-MÎ
'
•selle, en remplacement de M. Senné-Desia?"
dins, noummé sous-préfet de Saumur
La morasse de )' » oificiei » porte In n
ruinât ion de M. Abeille sous-préfet en
pombtltté,
comme sccrretaire général <U
f
•Meurthe-et-Moselle, en remplacement de v
Le Blond. — Havas.
-32
t
g
Greffiers
17 juillet. — Sont nommés srft.
ffiers à Longuyon, MM. Vért et Allemand.-!
lHav&a
PARIS,
I
J
—
Nominations judiciaires
PARIS, 16 juillet. — M. Bossut,
ancies
1huissier, ancien principal clerc d'^-oué à
]
Lunéville,
a été nommé juge de paix à
]
Baccarat.
M. Léon Daire est nommé greffier du
ttribunal de Briey.
Le drapeau du 11* génie
16 juillet. — Le drapeau du ll«
que le Présidence la* République
a
i remis mardi à la revflWde Longchamp,
<
au
lieutenant-colonel commandant le régiment,
1
est arrivé aujourd hui, jeudi, 4
3 h. 24 à Epinal.
Reçu à la gare par une compagnie
d'honneur, le drapeau a été conduit au
petit Champ de Mars, où le régiment était
réuni en entier.
Le lieutenant-colonel a fait former 1«
carré et a présenté le drapeau à son régiment.
La délégation du 1P génie, qui s'était
rendue à Paris, se composait du lieutenant-colonel Satia, du lieutenant Grandidier, porte-drapeau, d'un sergent et de
quatre hommes.
EPJNAL,
1génie,
Aéronautes nancéiens
au pays annexé
Le haïïon sphérique de l'Aéro-Club de
l'Est s'élevait le 11 juillet, à 12 heures 30
de la Pépinière, piloté par Gorlacher, et
ayant à son bord M. Lecomte, le constructeur et pilote d'aéroplane bien connus de»
Nancéiens et M. Burtin.
;
Après avoir pris la direction du Sud, et
avoir survolé Jarville et Laneuvevilie, ua
léger vent qui soufflait vers le Nord, &
1.800 mètres environ, emmena nos aéronautes vers le Nord.
La frontière fut
passée entre Bioncourt et Pettoncourt, MB
accident à la soupape au départ les empêchant d'atterrir ils
continuèrent leur
randonnée- Le manque de lest les obligea
\ alors à atterrir aux environs de Raville,
près de Metz, dans une zone interdite.
Les gendarmes de Herny les gardèrent
L'ORDRE
LE TOUR DE FRANCE
à vue jusqu'à l'arrivée des autorités. Le
lendemain, un lieutenant aviateur de MM
DANS LES BALKANS
CYCLISTE
et un capitaine leur firent subir un interr*
Ji gatoire ainsi que le sous-préfet de BotiBERLIN, 16 juillet. — On croit, dans tes 5i lay, et ils furent autorisés à repartir par
Niee-ûrenoble
1
milieux
diplomatiques,
que
les
puisaanj
NICE, 16 juillet.
— Les coureurs du '
' le chemin de fer sans être autrement inTour de France ont repris le départ ce . ces de la Triple Alliance sont absolument' quiétés. Lmpressons-nous de dire de suit*
matin, à 3 heures 30, pour Grenoble.
|. d'accord pour mettre de l'ordre dans les1 que les autorités allemandes se sont monTous les coureurs sont passés en grou- j! Balkans.
tiées très arrangeantes et que le gendarLa mobilisation Italienne se fait ave;; me de Herny en gardant nos compatriotes
pe à Puget-Theniers à 5b. 45.
le
consentement
de
ses
alliés.
On
déclare
1
GRENOBLE, 16 juillet. — Voici les résuljusqu'à l'arrivée du sous-préfet, n'a accependant q^ue si l'Autriche a consenti à
tats de l'étape Nice-Grenoble :
; compli que strictement son devoir.
cette
mobilisation
et
qu'elle
a
laissé
pleins
Pélissier arrive premier à 16 heures 52
minutes 31 secondes, sur Peugeot-Wolber. pouvoirs à l'Italie en Albanie, c'est qu'elle
contrôle et sa police
Visite au pays annexé
Arrivent ensuite à une roue, Jean Ala- veut exercer son
certaines autres parties des Balvoine, Lamhot et Thys,
également tous dans
kans,
du
légionnaire débrouillard
deux sur Peugeot-Wolber. — Havas.
On voit, dans cette attitude, de l'AutriGRENOBLE, 16 juillet, — Lapize avait pris
j
STRASBOURG, 17 juillet. — Un sergent du
le départ, mais il a abandonné à 20 kilo- che, un certain avertissement à l'égard 1" étranger, nommé Réot, originaire de
mètres et est revenu à Nice à la suite du de la Serbie.
la Lorraine annexée, a profité d'un congé
décès de sa mère. — Havas.
de convalescence qu'il passe actuellement
A Durazzo
à ln frontière, pour faire un petit tour au
DURAZZO, 16 juillet. — La nuit dem'ère,
: pays natal.
LES COMBATS
ainsi que la journée d'aujourd'hui, se sont
A cet effet, Réot, nui était en uniforme.
sans incident. On est bien dkidéI
EN TRIPOLIT A EVE . àpassées
défendre Durazzo jusqu'au bout, a» cas passa la frontière près de Dieuze.
On sait que Dieuze est ville de garnisonoù la ville serait attaquée.
Réot, qui semble d'ailleurs être un d*BENGHASI, 16 juillet. — Une colonne itaDe nombreux officiers de gendarmerie
lienne a eu une rencontre, à Gerdes, avec qui se sont enfuis des villes tombées aux:; brouillard de premier ordre, trouva I*
les rebelles, qu'elle a repoussés en leur mains des rebelles sont arrivés ici. + Ha- moyen de passer devant la caserne
chevau-légers sans éveiller les soupeoi"
infligeant des pertes qui s'élèvent à plus vas.
de la sentinelle.
de 150 morts.
De Dieuze, il se rendit au village de GeLes Itealiens ont eu cinq Ascaris tués et
, lucourt, où habitent deux de ses tantes.
onze blessés.
CONTRE LES JOURNALISTESt
Ces excellentes femmes furent bien *>""'
prises de voir leur neveu, sergent à la Ie'
ALLEMANDS
ENCORE DES EXCAVATIONS A PARIS !
I gion, lui qui, il y a quelques années «j*
PARIS, 16 juillet. — Ce matin, vers 9
corp, portait le casque à pique dans un
P.utrs, 16 juillet. — MM. Binet.Valmerr
heures et demie, boulevard Malesherbçs,.
régiment d'infanterie prussienne.
.
■
et
le
comte
de
Nabat,
témoins
de
II.
Paul
à l'angle du boulevard Haussmann, une
1
Réot resta une demi-heure auprès d etde
Cassognac,
ont
eu
une
entrevu*
ce
maexcavation de 75 centimètres de diamètre
* les et s'en fut ensuite trinquer à l'aubergi
s'est produite au passage d'un taxi-auto, tin, au Cercle Hoche, avec MM, ce Mont-- du village, avec des camarades d'enfancezie,
député
du
Lot,
et
Justin
Goiart,
c'élaissant apercevoir une poche d'eau d'au
Le soir venu, il gagna la torèt voisina
moins 4 mètres de longueur, trois de lar- puto du Rhône, témoins de M. Karl Lato» * où il passa la nuit, par crainte d'être sur
geur et deux mètres de profondeur, sim- correspondant du » Leipziger T«?oblatt »1 pris au domicile de ses tantes par les g*"'
plement recouverte de l'épaisseur du bé- et de la « National Zeitung » à Paris.
darines.
PARIS, 16 Juillet. — Les témoi/is de M.
ton et du pavage.
Le matin, comme il sortait du bois, n »
Une excavation de deux mètres de p>o- I Karl Lahm ont déclaré dans fe procèsfondeur et d'un mètre de largeur s est! verbal que leur client n'avait jamais pris* trouva nez à nez avec un cbevau-léger
produite vers 10 heures, rue Bèlliard, le; part ni directement, ni indirectiment t uxJ était en reconnaissance dans la régionA la vue du sergent, le cavalier afle»*n
attaques dirigées contre notrt pays etï
sous-sol paraît miné, '
Vers 10 heures et demie, une excavation qu'il s'en désolidariserait au besoin. ' L'in- crut qu'il s'était égaré sur territoire ira"
çais et demanda à Réot :
.
d'un mètre carré s'est également produi- cident est cios,
n pUl
— Mais où est donc la route de lnev
—
-»o-<i>
te rue Eugène-Carrière. On estime que ces;
ze ?
, ,
excavations ont été produites par le vioBon prince, le légionnaire le renseig"
LA BOURSE
lent orage de cette nuit. — Havas.
immédiatement et le chevau-iéger mu
D'AUJOCRD'ïïlil des deux, ce pendant que Réot gagnait sa»
AUTRICHE ET SERBIE
encombre la frontière. — Havas.
VIENNE, 16 juillet, — La presse viennoise
1
PARTS, Ï6 juillet. — .Notre marché financommente vivement le discours du comteÎ cier débute aujourd'hui d'une iaçon ores
Tiza, hier, à la Chambre hongroise con-• que générale en tendance soutenue au pari '
Pris pour Bill
tre la Serbie.
quet et en banque Cependant, après ouverGÈRARIWTEH, 16 juillet.
On raconte
La « Nouvelle Presse Libre » s'étonnei turo au parquet, les établissenents de créi- l'on crut à un moment, hier, à Oèraran»
que le comte Tiza ait.cru devoir décla-- dit sont sujets à une sérieuie attaque, ce
rer que les relations austro-serbes étaientt qui amène des moins valeu* sensibles et
e tenir l'anarchiste Bill.
. ,a .»«
it
Un employé de la gare avait fait la ^
améliorées. Le journal croit pouvoir con-- tout, le marche s'en ressent fortement
contre de l'individu en question, il «n 9Y*
clure que l'Autriche entreprendra cevtaiEn sjeonde partie de la tfance, une 1*.
nés démarencs diplomatiques pour rimé»- gère reprise a relevé un peu ,e cours, mais la gendarmerie, qui l'arrêta^
S
s
Mais à l'intprrrtgafoire, on saperç»
dier au
déplorable et nuisible état dee on est sensiolement au-dcsious
des cour»
■s Terreur. C'était un garçon Boulange^■ wjchoses qui règne
entre l'Autriche et la
1 de clôture d'hier. La clôture se t'ait an pa rSerbie depuis plusieurs année».
r- rien, dont on ne farda pa» à étabW
quet et en banque en tendance soutenue.
tîté. — Havas.
1
,
,
—
4
1
NANCY
et
Nous avons reçu la très intéressante lettre suivante :
LA «TOURNEE
Nancy, le 15 juillet 1914.
Monsieur le directeur de l'Est Répit
Tendredi 17 juillet. — 198' jour de l'année
J,UJOUnOIHUI
Le duc Antoine
les Rustauds d'Alsace
blicain,
DEMAIN :
Une touchante manifestation
aux tramways
Le personnel des tramways de Nancy :
ichefs de services, contrôleurs, employés et
;ouvriers, a voulu témoigner toute sa sympatine à son distingué directeur, M. Calvayrac, en raison do sa récente nomination
,au" grade d'officier d'Académie.
A dix heures, une délégation ayant a sa
tête M. Marchai, ingénieur, se rendit près
de M. Calvayrac et lui remit de superbes
palmes en brillants.
M. Blanc se fit l'interpète de tous pour
prier le directeur d'accepter ce souvenir
de ses fidèles collaborateurs.
M. Calvayrac — très touché — répondit
de la façon la plus aimable.
Les Amis de Santifontaine
Une des caractéristiques du 14 juillet a
été la réussite de» fêtes de quartiers, tan,dis que grâce à M. Pierron lo quartier
;Saint-Georges vit, le jour de la fête natiojnale, une animation fout â fait inaccoutujmée; de leur côte les amis de Santifontaine
.
avaient
organisé, sous la direction du sympathique M. Collet, foute une série de réMjouissances.
;
Il y eut distribution de gâteaux et de
j jbonbons aux enfants, des courses amu(santés, etc., etc.
Profitons de l'occasion pour annoncer
(que la réunion des amis de Santifontatne
j
aura
lieu dimanche à dix heures et demie
du
matin, salle de l'Agriculture, rue Chan(
zy, elle sera suivie du banquet traditionnel à l'Europe.
Toutes les personnes qui s'intéressent au
beau quartier de Santifontaine sont cordialement invitées à ia réunion.
Saint ALEXIS
Saint CAMILLE
Dans un article —- d'un lyrisme voulu
Ephëmérides lorraines : En 1429, Jean- J — intitulé : « Le Petit Duc de Lorraine »
ne d'Arc et Flené 1" d'Anjou assistent au \■ (Est Républicain du 10 juillet, b" édition),
A
j M. Emue Badel, votre distingué et
rusacre de Charles VII à Reims.
I dit collaborateur, qualifie le duc Antoine
\ 9 heures et demie : Coruehers : Service funèbre pour l'archiduc de Lorrai- de Loi raine de gîor.'ieux vainqueur des
ne-Autriche
François-Perdinand et
sa fctroçes Rustauds allemands ? — Je n'ai
pas la prétention de faire ici l'historique
femmede l'insurrection connue sous le nom oe
I Guerre des Paysans qui, commencée en
Le temps qu'il a fait
Souabe en 1525, ne tarda pas à gagner
Après le 14 Juillet
Assez belle journée, jeudi, mlagré la l'Alsace et a laquelle servit de prétexte
Les
Fifres
et tambours de Bàle sont
poussière. Copieuses averses vers quatre le protestantisme naissant.
partis emportant de la ville de Nancy le
Mais j'ose espérer que M. Badel, malheures.
souvenir d'une réception des , plus corgré sa prétention de bon Lorrain en fadiales.
veur
du
duc
oe
Lorraine,
voudra
tien
Mariages
Avant de partir, ils n'ont pas voulu
me permettre de me placer de l'autre
On vient de célébrer à Jarvilîe le mariage côté de la barricade, en constatant eue quitter notre bonne ville sans remercier
de 51 Edouard Rougieux, fils rte l'archi- la gloire acquise, par le duc Antoine en I les autorités qui leur ont témoigné tout
tecte nancéien, ancien conseiller munici- ses victoires remportées sur les bandes l'intérêt qu'elles portaient à la nation
pal, avec Mlle Marie-Thérèse-Jeanne Gé- exaltées et peu armées des Rustauds, est suisse par eux représentée. Ils remercient
ternie par les horribles, massacres de Sa- également la population nancéienne de
rard.
Le service d'honneur était fait par MM. verne et de Scherwiller, reprochés à l'ar- la sympathie qu'elle leur a accordée en
Faivre d'Arcier et le lieutenant Henry, du :mée lorraine Ainsi la ville de Saverne, cette circonstance. Les relations anciennés ont revécu et nous avons retrouvé
t>9« et Mlles Rougieux et Robert.
iqui avait accueilli les révoltés et fait cause
—Ces jours derniers, en l'église deFonla- commune avec eux, ne se rendit qu'à la Suisses d'autrefois et Lorrains d'antan
baur, près d'Albi, a été célébré lo mariage |1 condition que les paysans auraient la 'le ! encore réunis dans l'allégresse à l'occasion.
d'une
légère de notre grande fête nationale ; partadu lieutenant Georges Hugot-Derville. fils sauve. Mais à l'occas'.nn
du colonel Hugot-Derville, ancien député émeute survenue dans ia retraite de ceux- géant autrefois la gloire de notre duc
René, ils partagent aujourd'hui nos fêtes
du Finistère et ancien colonel du 69* à ci, l'armée lorraine eD massacra la plus
Nancy, avec Mlle Elisabeth de Saint-Mar- grande partie (seize mille, dit la légende), et se réjouissent pour nous.
La Société des Suisses de Bêle venant
tin. Les témoins du marié étaient : te co- la ville fut mise au pillage, et les bourde quitter leurs compatriotes de Nancy
lonel Svbille et le baron de Romans, son geois passés au fil de l'épée. Puis nouont voulu commémorer un souvenir qui
ancle ; ceux de la mariée étaient : M. veau massacre d'insurgés à Scherwiller,
leur est cher, et dans ce but ils ont laissé
Léonce de Saint-Martin, son frère, et, ]e dans le val de Villé. Et les immolés étaient
un gage de leur union par un don : celui
de
malheureux
paysans
révoltés
contre
vicomte de Brisis. La quête a été faite
d'une magnifique cruche historique, marpar Mlles d'Albarat et Hugot-Derville, ac- la noblesse et les couvents, leurs avides telée à la main, véritable cbef-d'omvre arcompagnées du lieutenant Alfred Hugot- et antiques oppresseurs !
Dans l'espoir que vous voudrez bien tistique, copie parfaite d'un original se
Derville et de M. Jacques du Doré.
insérer ces lignes, je vous remercie d'a- trouvant au musée de Bàle, qui, après la
vance et vous" prie d'agréer, Monsieur le bataille de Morat, tomba dans les mains
Nécrologie
Directeur, l'expression de mes sentiments des Suisses avec le campement de Charles
le Téméraire.
Notre distingué confrère, M. Laumonier, distingués.
Sur la copie de cette pièce unique se
rédacteur en chef de 1' « Echo de l'Est »,
A. MOLSHEIM.
trouve l'écusson de la ville de Baie, avec
vient d'avoir la douleur de Derdre sa mère
inscriptions comrnémoratives portant
le
décédée à Auteuil, à 93 ans. "Nous le prions |
Hansi habiterait Nancy l'hiver
nom des douze délégués suisses venus en
d'agréer l'expression de nos sincères condo-1
Hansi, dans une interview, a déclaré cette circonstance et celui de leur chef.
léances.
Nous ne pouvons que nous réjouir de
qu'il avait l'intention d'habiter pendant
leur présence chez nous, et espérons que
•
hiver
Nancy
où
il
compte
d'ailleurs
de
Les prix de Saint-Stanislas
les quelques jours qu'ils ont vécu parmi
^ ' nombreux amis.
Une distribution de prix et primes sera j
nous resserrant de toute façon les relafaite aux enfants de l'hospice Saint-Stations cordiales des deux villes de Nancy
~_
Le
Dessinateur
Lorrain
nislas, le mardi i août, à 9 heures et deet de Bâle, tout en donnant un nouvel esmie du matin, dans l'un,; des salles de3 j Tel est le titre d'un journal de dessins et sor commercial entre nos deux pays.
l'Etablissement.
broderies que M. Chopot fait paraître.
La Lorraine étant un pays de broderies
Echo des fêtes
i elk ne peut que s'intéresser â l'œuvre
Faculté de droit
Nous avons reçu la lettre suivante :
éminemment décentralisatrice que pourVilla des Pervenches, Laneuveville.
Ont été admis :
n
Monsieur le directeur,
Premier examen de baccalauréat, deuxiè- suit avec son infatigable ardeur notre con''
!
frèn.
Aussi,
espérons-nous
que
le
«
Desi
Il a été dit que le comité des fêtes de la
me partie. — MM. Arcille, "Landre, André,
* i sina^ur Lorrain » se trouvera bientôt dans j
Milovanovitch, Tshopoff.Rosembert.Adrien, !
| kermesse de Nancy avait fait venir les
' i toutes les familles.
! tambours et fifres de Bàle, mais ce sont
Winsback, Lambert, Coanet.
,
*
Du
reste,
son
prix
modique
le
met
à
la
j
| quelques membres de la colonie suisse de
Deuxième
examen . de baccalauréat,
'.' portée de toutes les bourses.
I Nancy qui en ont fait les frais, ainsi que
deuxième partie. — MM. Caye, Prudent,
|j
;
Le
u
Dessinateur
Lorrain
»
parait
deux
1 ceux du cortège historique, dont les prinBienaimé, Wibrotte, Fousnaquer, Fianfois par mois. L'abonnement annuel est | cipaux personnages étaient Suisses. Ils ont
çais, Rifaaud, Renard, Trufca.
_ I de 3 fi. 75, le prix du nutméro 0 fr. 15.
| été heureux de prêter leur concours à la
Examen de licence, deuxième partie. —
I
Le « Dessinateur Lorrain » est en vente l ville de Nancy, ainsi que les tambours et
MM. Laprat, Au berger, Collignon,Schwed,
; fifres.dont les membres se composent de noGodfrin, Jacquot, Verdun, Petit, Antoine,jj i chez tous les marchanda de journaux.
■
Pour tous renseignements, s'adresser à i■ tables industriels et commerçants de Bâle.
Bigey, Terraux, Mathiot, Capronnier.
! M. Lucien Chopot, dessinateur, 11, rue des |; Ils ont offert à la Société suisse de Nancy
i Bosquets, Lunéville.
A l'occasion des départs
I un superbe broc en cuivre ancien, souvenir
k :
~—
VENTE RECLAME de papiers a lettres, à la Çrande
i de leur visite.
Les retraites ouvrières
Papeterie, Victor BERGER, 13, rue Saint-Georges.!. |
I
Le porte-drapeau, qui assistait tout équiLe service municipal des retraites ou- j pé au banquet de l'hôtel de ville, possède
!
est
j vrîères e'. paysannes croit devoir rappeler : des moulins considérables, un autre
Ecole de pharmacie
j aux assurés que l'échange des cartes an- i' propriétaire d'une papeterie importante,
M. Pélissier, pharmacien de i" classe,•> | nuelles doit avoir lieu dans les trois jours ; un autre est professeur ; bref, ce sont des
l"
ancien pharmacien des hôpitaux militaiqui précèdent ou qui suivent leur anniver- ! gens très bien et de situation plus qu'aisée,
res, soutiendra le 18 juillet 1914, à quatree ; saire de naissance.
i
Recevez, monsieur, l'expression de mes
heures du soir, à l'Ecole supérieure dee
Les assurés dont l'anniversaire est échu j sentiments cordiaux.
pharmacie (salle du conseil), une thèsee j entre le P janvier 1913 et le 1er janvier ;
SIMONIN,
en vue d'obtenir le titre de docteur dee j 1914, qui, pour une cause quelconque-, jj
Laneuveville, 15 juillet.
l'Université (pharmacie).
j n'auraient pas été mis en possession
de i
Sujet : Tyrosine et tyrosamines.
Palmes académiques
j leur carte, sont invités à les retirer
au !
Examinateurs de la thèse : MM. les pro- i bureau des retraites de la mairie, rue des !
M. le docteur Heuilly, chef de clinique à
fesseurs Favrel, président ; Guérin et
't | Dominicains, 1 bis.
i la Faculté de médecine de Nancy est égaSartory, juges.
^
**
i lement nommé officier d'Académie.
Les bénéficiaires de la loi du 5 avril I
Les Nancéiens à l'Exposition de Lyon
! 1910, dont l'anniversaire de naissance est |
L'affaire Louis
*
en juillet sent priés de passer à la mairie ;
C'est jeudi prochain, à sept heures du
Nous avons parlé de la belle vitrine de
e
(bureau des retraites), rue des Domini- j matin, que viendra devant le conseil de
notre sympathique concitoyen M. Bouvier,.
du chocolat Lorrain à l'exposition de Lyonr cains, 1 bis, pour y échanger leur carte !| guerre du 20= corps le procès du capitaine
Nous tenons à ajouter que cette vitrine I annuelle contre une nouvelle carte vala- ; Louis, qui a tué sa femme dans les cirsort des ateliers de la maison V. Haas, rueJ ble jusqu'au prochain anniversaire (Art. i; constances que l'on connaît,
* ! 14 du décret du 25 mars 1911).
j Plusieurs témoins sont cités.
du Général-Fabvier, dont les productions
i
En cas d empêchement, les intéressés i
artistiques sont si justement réputées.
; peuvent charger un mandataire d'effec- j
Renversée par une voiture
tuer ledit échange.
Les fosses septiques
Jeudi, vers midi moins un quart, le
Le bureau des retraites est ouvert tous I
; jeune Lucien Hintz, âgé de 14 ans, demeuM. le préfet 3e Meurthe-et-Moselle vient
ît j les jours, de 8 heures du matin à 5 heures
rant à Jarville, passant avenue de la Gade prendre un arrêté interdisant de mettre
•e : du soir, sans interruption (dimanches et
en service dans le département des appas,-1 fêtes exceptés]. C'est dans ce bureau que : renne, fut renversé par une voiture à la
i hauteur du numéro 39. L'enfant, qui ne
reils pour l'évacuation des matières de vii- j les assurés doivent faire leurs changei pouvait marcher, a dû être transporté à
dange dits fosses septiques, dont le type
if ! ments de dom.cile.
l'hôpital dans la voiture d'ambulance des
n'aurait pas fait l'objet d'un certificat de
le j
K*—
sapeurs-pompiers.
vérification délivré par M. le préfet après
* j A l'Apéritif î une SPORTIVE
avis du conseil d'hygiène.
Arrestations
Les constructeurs d'appareils qui vouArchipp Oleksink, âgé de 24 ans, jourdront obtenir le certificat de vérification
Q | Monument commémoratif de la bataille
nalier sans domicile, sujet autrichien, erde Nancy
devront en adresser la demande à la préfecc. :
; rait rue Saint-Dizier. Comme il se trouture.
On nous prie d'insérer la note sut- ! vait sans aucune ressource et sans papier,
Dans le délai d'un an, les appareils acc- | vante :
i il a été déféré au parquet pour vagatontuellement en usage, dont le système, n'aur- j
« Le Comité du monument de la harait pas été l'objet du certificat' devront
it | taille de Nancy, prie. M.M. les fournisseurs ! dage.
— Joseph Abel, agi' de 40 ans, mano^uêtre supprimes.
d'envoyer leurs'factures à la permanence,
I vre, rue Clodion, 55', a été arrêté en fla. i 3, rue" des Dominicains, avant le samedi
! grant délit de mendicité rue Sair.t-Dizier.
Le général Lefèvre a Angers
18 juillet.
'
;
«
Les
employés
rétribués
sont
priés
égaNous exposons à notre salle des Dépèches
Accident au pont de Malzéville
la première page du « Petit Courrier » | lement de se présenter samedi 18 pour se I
Jeudi, vers une heure et demie de l'ai faire solder. »
d'Angers reproduisant diverses photogra! près-midi, la jeune Ursule Hoff, âgée de
phies de la revue du 14 juillet passée dans
: 14 ans, se rendait à son travail. Comme
£ |
Pour OentUly
cette ville par notre sympathique compa[ elle était pressée par l'heure, elle voutriote M. le général Lefèvre, ancien comi- !
Les élèves du lvcée Henri Poincaré desi lut passer sur le pont to-r.-.~ t de Malzée
e
e
mandant de la 22 brigade d'infanterie à
à classes de 2*, 4», 4« A', 4 B', 9 A ont remisi ville avant que celui-ci fût complètement
Nancy et commandant par « intérim » la
ia à M. Antoine, conseiller municipal, délé-. mis en place après le passage d'un bae
18 division à Angers.
! gué aux œuvres sociales, la somme de qua-, teau. La fillette eut le pied droit serré
Le service d'ordre était dirigé par M.
I. i rante francs 15 centimes, produit d'une col- entre le tablier du pont et le mur du quai.
Dequesne, notre ancien commissaire ceni- | lecte faite au profit de la colonie scolaire, Elle fut aussitôt transportée à l'hôpital,
tral également aujourd'hui à Angers.
où elle a été admise.
i de Gentilly,
'
j
ajouter.
Mil MHftUi
Du 16 juillet lai*
- -*o«
Naissances
Madeleine-Henriette-Yvonne
Xardel, rue
Double acquittement.— Mme Marguerite ' cGiorné-Viard, 10. — Maurice-Jeau-Emlle ReTr ,!•..
ménagère aux cités belges thoret,
t
ruo du Faubourg-Stanislas, 8.—- Lu<
de
Maxévilie, fut-elle outragée dans sa | <cien-Eugène Kolb, rue des Quatre-Eglises, 56.
Publications de mariages
j
pudeur
? Fut-elle l'objet de sollicitations
Irrespectueuses
avec accompagnement de I . Léon-Emile-Arthur Baiy, boulanger à Sauli
1violences de la part de deux sujets
aile- •xures-les-Vànnes (Meurthe-et-Moselle), et Marie-Madeleine Klein, employée de commerce,
imends ? Cruelle énigme ! Car si Mme i ,ruo du Sergen-Bobillot, 58.— Ferdinand-Hen',Trombowsky se posait en victime, les deux ! }ri Berg, chapelier, rue de Strasbourg, 182, et
«accusés, Thiébaut Weigel et François : ;Marie-Marguerite Varnier, couturière à. ChamBauer,
26 ans, garçons charcutiers, affir- jpigneulles (Meurthe-et-Moselle) ■— Henri BonJ
f
inard, peintre à Saint-Nicoras-du-Port (Meuriniaient leur innocence.
et Marie-Eugénie Henry, UnL'histoire fit un certain bruit à Maxé- the-et-Moselle),
'
1ville.
jgère, rue du l'aubourg-Saint-Jean, 71. — Charjes-Henrl
Burnot,
mécanicien, rue de Toul,
C'était le 2 juillet dernier. Vers deux | ;
heures du malin, Mme Trombowsky, qui 14, et Marfe-Octavie Poulette, dactylographe,
rue
Erckmann-Chatrian, 17. — Gerniain-Jo,
;avait assisté à une séance de cinéma, re- 1 seph
Dandurand, propriétaire, rue du Lavoir;
igagnait son domicile. Près des appareils | Saint-Jean,
2, avant à Villefranche (Aveyron),
de
chargement
des
carrières,
situes
entre
;
,
<
• Mathilde-Eugénie Presse, domestique, rue
la route et le canal, elle fut accostée par idu Lavoir-Saint-Jean, 14. — Edouard Durand,
les deux garçons charcutiers que de co- coiffeur, rue de Mulhouse, 15, et Marie-AnLe pseudo-noyé
toinette Carry, couturière, boulevard d'Alsapieuses libations avaient enflammés.
Ne connaissant pas trop le français, ils !ce-Lorraine, 14.— Emile-Léon Gadel. receveurDans la soirée de jeudi, quelques minutes |
buraliste, décoré de la médaille militaire, à
;après dix heures, un individu se présentait 1 jtraduisirent leurs tendres sentiments pour ,Thiaucourt (Meurthe-et-Moselle), et Marie-Euidans un café du faubourg Saint-Georges. Mme Trombowsky par des gestes véhé- génie Ancel, sans profession, rue du Maréiclial-Oudinot.— Louis-Hyacinthe Géhin, comEn
toute hâte il demandait l'autorisation iments qui effrayèrent cette dame.
.
Pour la convaincre, ils parlèrent de lui mis des postes à Nancy, et Marie-Ernestina
;au propriétaire de se servir de son téléphone
afin de prévenir le bureau central de 1offrir un jambon et cinq kilos de saucis- Henry, institutrice à Nogent-en-Bassigny
:
Les deux Allemands pensèrent que j (Haute-Marne).— Joseph-Armand-Louis Geor«
!
]police qu'il venait d'apercevoir un noyé ses.
;flottant à la surface de la Meurtlie, à proxi- ]toutes ces délicatesses feraient fléchir Mme j ge, vétérinaire, rue des Ponts, 4, et Léa-Marie»
Trombowsky. Sa résistance les irrita, car j Marcelle Braconot, sans profession à Valhey
]
mité
des Cinq-Piquets.
1
l'on en croit cette dame, ils manifesté- I (Meurthe-et-Moselle). — Marcel-Paul Grand;
Deux agents cvclistes furent dépêchés si
rent l'intention de l'entraîner vers le ca- opticien, rue Saint-Dizier, M, et Marie-Jeanne
iaussitôt, ils se rendirent sur les lieux, mais
nal. Mme Trombowsky, croyant sa vie en Perrin, sans profession à Dieuze (Lorraine).
:ils eurent beau inspecter la rivière, ils, n'a— Joseph-Jérôme Hunckler, boulanger a Am•perçurent aucun noyé. Ils revinrent chez le danger, usa de subterfuges. Elle sembla i merschwihr (Alsace), et Adèle-Joséphine Hun»
I
cafetier
pour trouver celui qui avait donné prêter une oreille complaisante aux solli- j ckler, domestique à Nancy. — Emile Lehar*
citations des deux garçons charcutiers. the, coupeur eu chaussures à, Nancy, et Berle coup de téléphone.
Le cafetier répondit qu'il ne
pouvait Ceux-ci l'entraînèrent alors vers une mai- the-Régine Schmalz, sans profession à Maxéfournir aucun renseignement, que l'homme son voisine dont le couloir était ouvert. vilie (Meurthe-et-Moselle). — Charles-Pierre
était sorti de son établissement aussitôt Pendant, un quart d'heure, ils restèrent i Laurence, ajusteur-mécanicien à Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle), et Aimée-Antoinette
après avoir téléphoné. On pense que l'on dans l'obscurité.
Mme Trombowsky déclare qu'elle oppo- Muthor, modiste, rus de la Salle, 29.— Alphonse trouve en face d'un fumiste qui aura
se-Eugène Lux, cuisinier à Lunéville (Sfeursa une énergique et victorieuse résistance | the-et-Moselle). et Germaine-Léontine Richard,
voulu « faire marcher » la police.
à leurs audacieuses tentatives. Elle par- modiste, rue Montesquieu, 5. — Joseph Mauvint à se dégager et profita du passage delli, maçon, rue des Ponts, 14, de fait, de
Enfant noyé
d'un jardinier qui se rendait au marché droit à Cunardo (Italie), et Rose-Alice Bey,
Dans l'après-midi de jeudi, vers quatre^ pour se débarrasser des deux Allemands journalière, rue de l'Equitation, 37.— Michelheures, plusieurs ouvriers de la filature et regagner son domicile.
Henri Mauer, garçon charcutier, boulevard de
Franchi, aux Grands-Moulins,
aperceL'arrivée de M. Emile Marchand avait la Pépinière, 2, et'Louise Kind, femme de mévaient le corps d'un enfant qui flottait à en effet mis fin à leurs entreprises, mais nage, boulevard de la Pépinière, 2.— Noèmila surface du canal de l'usine. Ils le reti- comme il cherchait à les dévisager, ils en Abonde Pensotti, mouleur, rue Saint-Georges,
62, de fait, de droit à Leguano (Italie), et Lurèrent aussitôt et l'entant fut reconnu pour semblèrent très mécontents.
cienne-Marie Potier, sans profession, rue
être le jeune Henri Veit, âgé de 8 ans, orIls vinrent se poster devant M. Mar- j SaintGeorges, 62.— Joseph-Louis Poirson, scrphelin de père et de mère qui,depuis le 14 chand qui ne comprit pas du tout ce qu'ils ! gent-rnajor rengagé au 2Ga régiment d'infanjuillet, était disparu du domicile de sa disaient, mais il lui sembla que leurs ges- ! terie, en garnison à Nancy, y domicilié, et
tante, Mme Matz, rue de Château-Salins, tes n'étaient pas rassurants. Il alla cher- j Marie-Appoline Ziegier, couturière, rue Saintqui l'avait recueilli.
cher asile chez un boulanger, M. Lebon, | Jean, 2.— Mathieu-Lucien Rivoire, mécaniLe corps ne portait aucune trace de vio- et voyant que les Allemands rôdaient tou- I cien, rue du Ruisseau, 38, et Marie-Andréelence, tout fait supposer que l'on se trouve jours dans le quartier, il monta sur la voie | Augustine Mirouèl, employée de commerce,
rue Jules-Ferry, 32. — Maurice-Ernest Rouen présence d'un accident.
ferrée pour éviter de les rencontrer.
leau, employé de commerce, rue Saint-Léon,
A l'audience, les deux charcutiers pré- j 4, et Louise-Alice Joyer, couturière, avenue
tendent qu'ils ne voulaient pas abuser de Milton, 23. — Charles-Auguste Knab, avenue
Les Courses de Nancy
Mme Trombowsky. Ils s'imaginaient au cien à Noisy-le-Sec (Seine), et Jeanne-Cécile
contraire que cette dame voulait entrer en j Eitel, couturière, ri»e des Sables, 13.
Seconde réunion
Décss
conversation avec eux. C'est pourquoi ils
La seconde réunion de la Société Lor- se montrèrent entreprenants.
Charles-François Hiss, 48 ans, imprimeurraine d'encouragement pour l'amélioraMme Trombowsky leur donne le dé- | lithographe, passage Digot, 11. — Elisabeth
Bégard, 78 ans, sans profession, veuve Sainttion de la race chevaline aura lieu diman- menti.
Martin, rue de Quatre-Eglises, 58.— Marieche 19 juillet, à ' heures, sur l'hippodroUn témoin vient dire qu'il a vu les Al- i Louise Martin, 43 ans, couturière, épouse dime de Jarville.
lemands entraîner Mme Trombowsky dans [ vorcée Caye, rue Saint-Nicolas, 84. — Blanche
Malgré les nombreuses fêtes qui, di- le couloir. Comme il n'entendait aucun ap- ' Pelletier, 30 ans, sans profession épouse dimanche dernier, accaparèrent les
Nan- pel, il ne jugea pas à propos d'intervenir. ! vorcée Caboche, boulevard do la Pépinière.
céiens, un public nombreux avait envahi
Mme Trombowsky répond qu'elle n'o- 56.—- Pie Buhler, 44 ans, ferblantier, rue de
lors de la première réunion l'enceinte, du sait pas crier de pëur de réveiller les lo- la Hache, 75.— Berthe-Marie-Aiitoinette-Adepesage et îa pelouse. Dimanche, le tout j cataires de l'immeuble, mais que pendant ;i laide de la Rfie, 73 ans, sans profession, veuNancy sportif se rendra en foule à cette ! plus de dix minutes elle se défendit de j! ve Graux, rue du Placieux, 46. — Camille
I Perrot, 80 ans, sans profession, veuve Dilsch,
réunion, qui promet, d'être superbe si l'on jj son mieux et parvint à se dégager.
i neider, cours Léopold, lJ.
e
se reporte aux engagements reçus par le
M Charles " Gérard fait observer que i
dévoué secrétaire de la Société, M. Pari- cette aiventure n'est pas très claire.
set.
Le tribunal, estimant que les faits repro- ij BEBiL MÉDIAT. - Raison riss SWiSISS RÉUIII
I™ course (trot monté), 4 engagements ; chés aux deux Allemands n'étaient pas 'i ^^mewgi^g3ig«»iii — w———————
A V lo MUK i UMIKb
2e course (sous-officiers), 15 engage- suffisamment établis, a prononcé leur ac- i
X
ments ;
quittement.
Les personnes qui, par erreur ou omie3e course (sous-officiers),
15 engageLe ministère public, mécontent de cette '
ments ;
décision, déclare qu'il va interjeter an- ii sion, n'auraient pas reçu de lettre de faire
part du décès de
4* course (plate), 10 engagements ;
pel.
5" course (officiers), 37 engagements ;
Monsieur Charles HISS
6* course (trot monté), 3 partants.
Outrages. — Le soir du 14 juillet, une j
Imprimeur lithographe
Les tribiroes • du pesage et du pavillon plantureuse personne, Stéphanie Daniel, jI
sont fort bien aménagées et l'on peut sui- femme Pérotin, 20 ans, ouvrière en chaus- I
décédé à Nancy, le 16 juillet 1914,
vre sans aucun effort les péripéties des sures, gambada et se trémoussa tant et si 1
dans sa 49° année,
parcours d'obstacles. Ceux-ci ont été très bien dans un bal populaire qu'elle en i
Muni des Sacrements de l'Eglise,
judicieusement placés et sont très sau- avait la langue pâteuse. Elle voulut se ra- | sont priées de vouloir bien excuser la tatants.
fraîchir et rie parvint, hélas ! qu'à s'éner- i mille et de considérer le présent avis comLe pari mutuel fonctionnera au pesage ver.
] me une invitation à assister aux convoi fuet à la pelouse et une musique militaire
Trouvant que l'aubergiste n'apportait j! nèbre et enterrement, qui auront heu le
prêtera son concours à cette fête, qui pas assez rapidement les consommations I vendredi 17 courant, à i heures et demie
s'annonce comme devant être fort jolie.
destinées à étancher sa pépie, elle écla- |j du soir.
Ajoutons pour être complets que les: ta en reproches tumultueux et enfla la i
De l'église Saint-Vincent-Saint-Fiacre
personnes désireuses de faire partie dé la voix de telle façon que des agents vinrent ]I o ne rendra au cimetière de Préviile, où s*
Société, peuvent s'adresser au secrétaire, l'inviter au calme.
! fera l'inhumation.
34, rue des Jardiniers. Tout sociétaire a
Stéphanie Pérotin, empruntant l'êlo- i
Maison mortuaire :
droit à une carte homme et une cartei I! quence populaire de Mme Angot, traita
j
11, passage Digotdame pour les deux réunions. Prix 10 fr., [i les agents comme du poisson avarié, ce
Des cartes pour la journée de dimanche, i qui lui valut de faire connaissance avec |
seront en vente au champ de courses. Pe-, Ij la geôle municipale pour avoir troD fêté ' •h'KPcS FME3RE3 GENERALES, 16, rus bamlitU
louse 1 franc.
j la prise de la Bastille. — 50 fr. d'amende,
et 82, m des Fabriquas,
Moyens de locomotion : Breacks, placei
Vols, — Un de ces derniers soirs, Geor- ,
du Marché ; Tram Maxéville-Jarville ; ges Leclerc, 20 ans, terrassier à Nancy, |
AVIS MORTUAIRE
™—»——
Tram suburbain Nancy-Dombasle ; che-• apercevant M. Antoine, machiniste à Va- f
min dé fer de l'Est, station Jarvillo.
La famille SAUNIER a la douleur de
rangéville, qui titubait quelque peu, le !
® ^
suivit. Comme on refusait de laisser pas- 'I vous faire part de la perte cruelle qu'elle
ser M. Antoine sur les quais de la gare de jj vient d'éprouver en la personne de
Nancy, Leclerc lui proposa de l'emmener
Monsieur SAUNIER
à Jarville où les employés, disait-il, se i
montreraient plus indulgents.
Maire, instituteur en retraite
Pendant le trajet, Georges Leclerc pen- I
Groupe artistique et musical de l'Assodécédé à Prcutin-Higny, à l'âge de 76 an«.
ciation amicale des anciens élèves de l'E- sa que M. Antoine pourrait très bien se
H ne sera pas envoyé de lettres de faire
cole supérieure, — La réunion mensuelle" faire voler son argent avant de rentrer I
des membres du Groupe artistique et mu- chez lui. « Autant que ce soit moi qu'un :! part, le nrésenf avis en tiendra lieu.
I sical des anciens élèves de l'Ecole supé- autre », se dit-il, et comme M. Antoine
rieure aura lieu à l'école, dimanche pro- venait de tomber, il acheva de le mettre
g
chain 19 courant, â 8 heures et demie, complètement sur le pavé en lui enlevant
Du 16 juillat
'
subtilement
un
billet
de
100
francs.
dans la salie habituelle des réunions.
Quatre mois de prison.
C0
J.rs
communiqués
uar ia S^wJixii Ml WifMM
A 9 heures, excursion à Liverdun.
u
— Pour faire une gibelotte, Georges
de la Boucha-ie :
Wm
Groupement mutuel des marchands deî i Pierson, 19 ans, chauffeur à Jarville, dé,,,,,
0.90à i,04
journaux. — Réunion
générale trimes-. I roba six lapins au préjudice de M. De- Bœufs (viande nette de)
Vaches
a 0.93
trielle salle Chenel, rue des Quatre-Eglises,_ marque. — Quatre mois avec sursis,
Taureaux
,
0.72 à U.80
le dimanche 19 juillet, à 4 heures précisess
-, l.3t â 1.43
— Charles Conrad, 38 ans, manœuvre Moutons laine
du soir.
1 20 a 1.35
à Nancy, au lieu d'aller dans un magasin Moutons africains
Ordre du jour. — Comote rendu finan-- de confections, alla décrocher un veston Brobis
I
à 1 3à
cier de la Société et de fa caisse de se-- d'alpaga qui ornait le vestiaire de son voi- Porcs
0.90 al,.,
/ Champenois (vif)
0 72 a u.70
cours. Remboursement
des trop-percus.• sin, M. Albert Martin. — Deux mois.
t autres provenantes
0.68 à 0 7i
Renouvellement du comité.
— Raymond Guillaume, 31 ans, domes- veaux ' yeaux de pays
0.58 si 0.64
Les marchands de journaux ne faisantt tique à Blénod-les-Pont-à-Mousson, a dévvaui. • champenois)viande netta). i.3tf a i 38
pas partie du groupement sont priés d'as--, robé une pièce de 20 fr. au préjudice de
f Autres provenances
1.13 à 1.30
sister à cette réunion.
■ M. Pierre Haraen. — Un mois.
i
i, Veaux de pays.,.
ÙM-A LOS
GROUPES et SOCIETES
FEUILLETON DE L'EST REPUBLICAIN | cottage de la princesse, les observations j
— A la bonne heure i s'écria joyeuse- d'Arabella.
que m'imposait la prudence ; mais s'il vous ment Arabella, satisfaite de cette nouvel-N 80 — Après tout, ajouta celle-ci pour lui
plaît néanmoins de vous y rendre, eh ! le marque de soumission. Voyons, pour porter le dernier coup, peut-être avez-vous
bien, dès que j'aurai fait éclairer la route bien montrer à monsieur combien vous peur !
et organisé une escorte, je vous accompa- êtes loin d'être l'oncle féroce que vous
— Peur, moi ? s'écria le neveu du gégnerai, là comme partout ailleurs, avec le voudriez paraître, je propose que nous néral Harris, aussi indigné que Ml avait
plus grand plaisir.
fassions la promenade projetée,,.
reçu un soufflet- Peur ?... Ah ! morbleu !
Sir William Roggers, tout en restant en
Elle s'arrêta un instant,
paraissant madame, si au lieu d'être une femme vous
apparence impassible et froid, accompagna chercher une date.
étiez un homme.., Mais il suffit !... Pour
cette galante déclaration d'un regard qu'il
— Demain ! proposa timidement sir vous prouver que je n'ai pas peur je vais
essayait de rendre brûlante. Panthérina mi William Roggers.
de ce pas faire seller les chevaux.
répondit par une œillade qui, elle, était
— Non, pas demain ' déclara la belle
Il s'éloignait déjà. Panthérina, triomvraiment incendiaire.
amazone, ce soir même.
phante, le retint en lui posant une main
Grand roman historique et d'awahtres
Le lieutenant ne put s'empêcher de s'a— Comment ! ce soir ? mais vous n'y sur le bras.
giter sur sa chaise, et Corward, à qui pensez pas madame ! ne put s'empêcher
Toute trace de colère avait disparu de
Par Georges HAUR1GOT
rien de leur manège n'échappait, cassa de s'écrier, le lieutenant. D'abord, je vous son regard ensorcelant, et ce fut avec un
entre ses doigts la lame du couteau avec l'ai dit, il faut le temps de préparer les délicieux sourire qu'elle dit :
lequel il venait d'éplucher une orange.
voies. Puis, après avoir chevauché déjà
— Non, liutenant, attendez encore, at— Vous n'êtes pas blessé, mon oncle ? une partie du jour, vous devez être bri- tendez la nuit complète. Nous sortirons
DEUXIEME PARTIS
j demanda
1
sa voisine avec
!
| j
sée, et...
au clair de lune, et ce sera charmant,
pocrite.
—- Lieutenant,
clama Corward,
vous tout à fait charmant !..,
HAIIVE A MORT
— Je ne suis pas blessé, répliqua Cor- apprendrez une seconde chose ; c'est que
L'officier salua et sortit. Devant cette
,
ï ward avec brusquerie, mais je suis ré- lorsqu'il s'agit de faire une folie, ma... femme,
il se sentait aussi troublé, dans
I volté vraiment de vous voir toujours aus- nièce ne sent jamais la fatigue.
un autre genre, que le matin en présence
Lieutenant, ajouta-t-elle, puisque nous j si folle.
, -- C'est possible,
répliqua Panthérina de Blood.
T^^mes appelés à passer quelques jours
— Oh ! mon bon oncle, comme vous d'un ton bref. En tout cas, je maintiens ,
XLI
ensemble, je dois vous prévenir d'une par- j êtes sévère de m'appeler folle pour une ce que j'ai dit. Je pense si bien à mon
ERl'KB ET ELON'DE
"cularité de mon caractère : j'abhore tout I pauvre promenade à cheval que je me projet, lieutenant, continua-t-elle, en adouL'âme impétueuse de Nourmahar était
^ qui est banal, facile, à la portée du ; propose de faire autour d'un cottage !
cissant sa voix pour s'adresser directe- déchirée par les sentiments les plus con^ommun des mortels ; tout ce qui est, au | ' — Il s'agit bien, en vérité, de prome- ment au jeune officier, que si vous refu- traires.
r? îaire» difficile et dangereux même, ac- ! nade et de cottage. Vous savez parfaite- siez de m'aider à son accomplissement,
c
La princesse, envisageant l'une après
(
™sibie aux seuls téméraires, je l'adore !
! ment...
eh bien, je prierais un de vos camara- l'autre
toutes les faces cruelles de là si~
?ur
mon
ame,
madame
!
voilà
une
disI
—
je
sais
parfaitement
ceci
:
11
a
été
des de vous remplacer. Voyons, il ne doit tuation, ne savait à quel parti s'arrêter.
D
chs i n d e8Prit 1"' n'est pas commune convenu entre nous que jamais vous ne pas manquer dans l'armée* des Indes, de
— La guerre est finie, se disait-t-elle, et
*z les personnes de votre sexe.
m'adresseriez une observation, que vous lieutenants moins...
prudents,
moins... nous sommes vaincus !... Mon beau gens%
ue
me
laisseriez
agir
à
ma
guise,
toujours.
Unee *
^ < voyez-vous, je ne suis pas
timides que vous et qui ne seront pas fâ- tilhomme français, malgré toute sa, vaili|nime comme les autres.
Si vous manquez à vos promesses, gare chés d'escorter une jeune femme pendant lance, n'a pu empêcher le destin de nous
fr.TVNon, certes ! appuya mélancolique
à vous, car à mon tour je manquerai aux une promenade nocturne ?
écraser. Bientôt, demain peut-être, les Aneni Corward.
rm-ïines.
— Madame...
madame...
balbutia sir glais entreront dans notre capitale. A ce
tte
A cette menace, compréhensible pour William Roggers, ne sachant plus qu'elle moment, qu'adviendra-t-il
feiîiirp
humeur aventureuse, du reste,
de celui que
Je vn ûffi-ier, n'est pas pour me déplaire, lui seul, le géant rouge courba la tête contenance tenir sous les regards qui ac- j'aime ? quel sort lut réservent ces barous ai îmt, su sujet de la position du sans rien
compagnaient les paroles *" provocantes i bares roux ï... faut-il le laisser tomber
Le capitaine
Pompignacj
ETAT CIVIL
a» mi 'mûm ds Rancj
entre leurs mains ? Non, c'est impossible !... Mais comment éviter ce dernier
malheur ? la fuite, la fuite seule lui reste !-• Hélas ! consentira-t-il à fuir ? il est
brave !... Et moi, malheureuse, le laisserai-je s'éloigner sans espérance de le revoir ? Je ne me sens pas le courage ! Je
fuirai avec lui !.. J'abandonnerai donc
mon père ?... Voyons, réfléchissons. De
deux choses l'une : Ou mon père, au moment de l'assaut final, sera tué sur les
remparts — Allah me préserve de cette
douleur I — ou il survivra au désastre,
et, dès lors, il n'aura plus qu'une pensée : recommencer bientôt la lutte, tirer
de ses vainqueurs d'un jour une éclatante vengeance. Comment lui serais-je le
plus utile ? Est-ce en demeurant prisonnière à ses côtés ? Est-ce en demeurant
niere à ses côtés ? Est-ce au contraire
en fuyant loin de ce pays, en allant sous
la protection du comte de Pomptgnac, demander des secours au général Bonaparte,
à la France, à tous les souverains d'Europe qui ont ia haine de l'Angleterre ! La
réponse n'est pas douteuse... Je partirai
donc avec lui... Mais pour cela il faudrait
que, je sois sa femme... Eh bien, il m'épousera... Hélas I le voudra-t-il ? Il le
voudrait sans aucun doute, s'il n'y avait
pas cette Thérèse... Au fait, qu'est-ce que
cette fille, que je n'ai pas même aperçue
encore I... ne puis-je me débarrasser d'elle
comme je me l'étais depuis longtemps promis '?... Quels sentiments au juste, éprouvent-ils l'un pour l'autre ? U faut que je
le sache, il faut que je la voie, il faut
je lui parle !
On sait que chez l'ardente fille de Tinpou, Faction suivait de près la pensée
Ehe- appela aussitôt une de ses femmes
Celle qui se présenta était une jeune sa-
I
I
i
i
j
t
vante des plus gracieuses qui répondait
au nom de Djemrnah et qui n'avait rien
de commun avec clame Tigre.
Nourmahar lui commanda de se rendre sans retard sur les bords du Cavery.
— Là, lui dit-elle, vous trouverez une
grande barque pontée
habitée par des
Français, les compagnons du comte de
Pompignac que vous connaissez. Parmi
eux se trouve, une jeune fille. Plie se nomme Thérèse Francœur. Vous lui direz que
la princesse Nourmahar veut la voir surle-champ et vous la conduirez près de
moi. Avez-vous compris ?
— Oui, princesse, réoondit la suivante.
— Allez et revenez aussitôt.
La messagère s'acquitta prompteinent
de sa mission et ne tarda oas à rentrer
au palais. Mais elle avait la mine déconfite, sachant déjà
par expérience que,
pour plaire aux maîtres, il faut toujoura
réussir dans toutes les entreprises qu'ils
veulent bien vous confier.
— Pourquoi n'avez-vous pas exécuté mes
ordres ? demanda Nourmahar avec colère, en la voyant reparaître seule.
— Noble princesse, répondit la suivaate, je suis allée au fleuve et j'ai déco».
vert la barque pontée, mais elle était vide,
— Comment ! vide ?
— Les Français en sont partie tous e»>
semble depuis ce matin et ne sont pae e»
core rentrée
a région des yeux et un coup qe pj, ,] .
à
[1
J'ai vu plus d'un brave essuyer uno lar- i et
e Louise-Eugénie-Georgette Geslin, s. Pparis.
Maurice-Léon Hennrich, soldat
me.
F
Wall ne riposta pas mais avisa \,.
Au siège de la société M. Noirot, avec au
a 6° d'artillerie, à Toul, et Denise-Louise- rendarmes, deicnseurs naturels des on, S
â
1
sa' bonne grâce habituelle, offre une coupe FFrançoise Durupt, sa.ns profession à \ilie- <nés.
de Champagne, pendant que la musique | ssous-Lafertc. -— Camille Miquel, jardinier a
Pêche.
— Alors qu'il trempait du i■■
et Marie-Stéphanie Jour on,, s. p. a ians l'Yron, M. François Dudot com J '
invite à la danse et l'on valsa jusqu'à ce j Toul,
'I
Spectacles
Rigny-Saint-Martin. — Louis-Georges-Gus- .île, fut interpellé par un garde partit
que l'aurore, aux doigts de rose, eût chas- F
en pièces. Un faucheur essayait en vain sé
H les plus enragés valseurs.
tave Bernard, agent de police a loul, et .lier qui, en termes nébuleux, lui ann,,.1'
CASINO, — Samedi et dimanche, tour- I
h
de faire lâcher prise au fougueux ani- ' Cette splendide journée restera à jamais Marie-Alice
Larcher, brodeuse à Blenod- ;a qu'il lui déclarait procès-verbal
Bée Milo de Meyer, avec le spectacle allé- j
A
,n'
r1
mal.
^eravée dans les cœurs des Moncellois.
i h
les-Toul.
chant que voici : « Tatave est bien ! » ;
pèche
dans
un
lot
réservé.
">'
Quelques coups de pied eurent enfin rai- '■ *
Décès
Angèle !Wagot, 5 ans, hospice 1 M. Dudot ne se croyait pas en i^fm
R. H.
I
vaudeville ; « L'île déserte ». 2 •
bout- |
ARRONDISSEMENT DE NANCY
son
de
la
méchante
bête.
Mme
Cherpitelle
;
s
Saint-Charles.
—
Simone-Charlotte-Rayfes, de Jules Moy ; « Rouli-Roulons ! » ■
Il fut dope grandement surpris.
•
PO NT-A-MOUSSON I S
monde Flutot, 2 ans, hospice Saint-Charles.
grande revue parisienne, jouée par toute I
CHAMPENOUX et
« le faucheur, M. Adam Cuirin, s'approLes perturbateurs. — Procès-verbal a n
chèrent.
La
petite
victime
'gisait
sur
le
—
Marie-Céline
Créancier,
71
ans,
coiffeuse,
la troupe. Danses : « Tango et Rouli-Rou- ,
VALLCRQY
été dressé contre le sieur Altmeyerhan- [ "
Société de tir, — La quatrième séance
de Nicolas-Adolphe Buquet rue Mili ». La location est ouverte.
. tir à l'arme de guerre aura lieu le di- jpré, le ventre ouvert. Il fallait des explica- jtien, ouvrier d'usine, 23, rue des Murs, veuve
v
de
COUPS
DE
RASOIR
chàtel, 9. — Bernadette-Louise-Jeanne ArLes dames peuvent assister à ce specta- manche 19 juillet 1914, de une ueure à tions. Ce fut M. Adam qui les donna
causait du scandale en cherchant que- c
(
— Le chien est à mon gendre, M. Joseph | qui
cle, d'un bon goût constant.
P
10
fnould, 1 an, Saint-.vîy.nsuy.
£
cinq
heures du soir.
jBaratto, emportez votre chevrette... si elle i 'relie à un autre ouvrier,. M. Eickinger.
ïnsiêu
«u'« l'ai,
FONTE NO Y-SUR-MOSELLE
Un brutal. — Mercredi soir, le sieur
m
v
• \orjs ia paiera. »
; r
EDEN-THEATRE. '- CINEMA-PATHE. ,
POMPEY c■
Mariage.1 — Fontenoy était en fête ces rasoir, ainsi que noùs^aimoncnT'' f *
Schnabel père a lancé au jeune Villerot,
Malgré les soins éclairés du vétérinaire ;
— Rue Bénit. — Vendredi, soirée ; samedi,
Pendant
17
mois
Ehrra
Paccinotti
tll
derniers, pour le mariage de Mile
âgé de 7 ans, un coup de pied qui a en- jours
j>
Commencement d'incendie. — Axa. ci- Noirot,
,
mandé par exprès sitôt l'accident, *
soirée ; dimanche, matinée et soirée.
|
tés
de la gare appartenant aux usines la
J petite chèvre expira. Conformément aux voyé le moutard tomber contre la bordure ILouise Picard, institutrice, sœur du sym- me Troccirio, 33 ans, avait partagé
Programme sensationnel.
j
pathique instituteur de Bainville-sur-Ma- joies, le lit, tes peines de Ricardo r
trottoir, se faisant une blessure au j p
i ould el i" uni- •
pai des fanai
d'ou- engagements pris par son beau-père, M. du
raj
avec M. Tailhade, adjudant de dra- | nella.
I don,
d
SALLE DEGU^"ciNEMA-THEATRE.
'vriers travaillant à ces usines, une bonne jBaratto vint trouver Mme Cherpitelle en i front.
Son
ami
ayant
contracté
l'habitiyip
i
Kpns.
De
nombreux
officiers
et
sous-offl,
M.
Villerot
père
a
porté
plainte.
[
g
..avait acheté de beaux petits dra- *vue d'un arrangement. A l'estimation ju- ;
— Le programme qui nous est annonce maman
(
a
Vol. —- Pendant que sa mère se faisait cciers étaient venus offrir leurs souhaits battre pour lui prouver son amour Vi '
cette semaine comptera parmi les plus in- ! ]peaux a ses deux enfants à l'occasion du dicieuae du « biqui », Mme
!ï*
Cherpitelle servir
le
quitta
pour
vivre
avec
un
auir
pour
quelques
sous
de
marchandl|
de
j
bonheur
aux
jeunes
époux.
e
a cor
fête nationale. Eveillés de bon matin, ajouta
;
,
de la saison- ' • • notamment : la
i
une légitime compensation pécu- ' ses
<
nAprès la
cérémoiaie, l'assistance s'est Datriote de dix ans nhi«
à l'épicerie Génin, la fille Humbert
J
6 qu el
Les hons dans lo nuit, grand drame an- i iun des «niants réclamait aussitôt les dra- ;niaire en dédommagement des larmes ver- Eugénie,
j
nommé
Steffam'ina.
' 'e,
18
ans,
rue
Raugraff,
s'empara
rendue
au
pied
du
monument
et
a
déposé
'
r
goissant, terrifiant : Fille d'animal, grand | joeaux qu© la mère avait mis de côté. Ne sées
à cause de la perte de l'être affection- d'un
.
:
morceau de jambon qu'elle dissimula v
une magnifique gerbe de fleurs, puis M.
Elvira et Steffamina vinrent se fWû, >.
drame interprété par Suzanne Grandais ; ; Iles trouvant pas le gamin alluma une 1né et naturellement... la note du vétérià
Viant, de Pont-à-Mousson, a prononcé une Moineville, dans une petite chan.br
dans son tablier.
"S
J.a Marseillaise, historique _j_ La revue du | 1lampe portative et regarda soue le lit.
naire. M. Baratto fronça le sourcil, mais
ont
Presque aussitôt le départ de ses clien- vibrante
allocution.
ils
firent
un
vrai
nid
d'amour.
'
Cette
curiosité
fut
cause
qu'il
communiqua
*
v
14 juillet, grand drame ; es fêtes de Nancy, j <
comme il ne voulait pas se soustraire à tes,
j
le commerçant s'aperçut du larcin et
OCMEVRE-EN-HAYE
Dimanche les nouveaux amants ét»'
feu aux rideaux du lit qui se mirent à l'obligation
j
:
etc. etc.
i le
que sa conscience lui dictait, ,prévint la police.
La fête nationale. — On nous écrit que chez eux quand ils reçurent une vi«H 11
flamber.
,
Vendredi, soirée ; samedi, soirée ; diman- ; 1
il essaya de marchander.
La fille Humbert a avoue le vol à Tins- la
j fête nationale à :Domèvre a été réduite laquelle ils ue s'attendaient pas et
*
L'enfant pris de peur au heu d'appeler
che et jeudi, matinée et soirée.
— C'est trente-cinq francs, répétait inva- ,
Polet, mais a refusé de faire con- ^à sa plus simple expression. Il devait y tout, qu'ils ne désiraient pas.
' SUr"
au secours se sauva à l'étage au-dessus et riablement Mme Cherpitelle... c'est trente- pecteur
,
naître ce qu'était devenu le jambon.
avoir comme attraction ia traditionnelle
se
coucha avec son frère. Dans l'intervalle 1
Granella se présenta-et demanda à m
a
ALCAZAB. — Tous les soirs, la Revue :
s
cinq francs ! »
Disparition, — Le sieur Champion Geor- revue
des sapeurs-pompiers. Mais on ne vira si elle voulait retourner avec lui r
r
Passons le Pont.
i! le
) feu consumait les rideaux et se propan
— Trente-cinq francs, renchérit M. Ba- ,L'es, domestique de culture, âgé de 60 ans, sait pourquoi, les ibraves sapeurs ne se
g
me elle répondait : « Non », sans hésit3"
i !o-gait.
ratto,
c'est
votre
tout
dernier
prix
?
Eh
{
demeurant
au
pays
annexé,
qui
était
venu
réunirent
pas
et
restèrent
aux
champs.
GRANDE TAVERNE. — Ce soir, derniè- ;I ' La mère qui heureusement n'était pas j
tion, ii se jeta sur elle et la gifla
-, Pont-à-Mousson pour les fêtes du 14 On
ne se serait pas cru le jour de la fête
(
re représentation du programme actuel.-- !' loin vit les flammes par la fenêtre, pénétra bien i c'est trente-cinq francs que vous à
L'amant actuel intervint et mit son
n'aurez
pas.
J'attendrai
que
vous
soyez
■
juillet,
n'a
pas
donné
signe
de
vie
depuis
1
r
nationale.
Demain, débuts de Cécile Gilbert, poète ex- ;i ,aussitôt dans son logement où elle se troudécesseur à la porte, puis il le suivit i,
disposée à accepter l'offre de vingt francs. Ice temps.
1
M ONT-LE-V IGNOBLE la rue, ainsi que la femme Troccirio
press de la Scala de Paris. — Les 3 Naqa- vait
,
aussitôt à moitié suffoquée par la fuMme Cherpitelle répliqua que rien ne feUn de ses parents, qui habite Champey,
Contrebande, — Un nommé Mathelin,
saki, travail japonais de l'Alhambra. — Les j; niée.
,
Néanmoins avec l'aide des voisins elle
Une discussion plus vive que court™
rait
fléchir
sa
décision.
En
tous
cas,
ajouiest venu à Pont-à-Mousson faire des re- ,
de Mont-le-Yignoble, a été arrêté
pour s'éleva entre les trois personnes Tout 3 Sœurs Sturla, acrobates à la bascule. — \ éteignit
,
l'incendie qui aurait pu prendre ;
ta-t-elle,
j'attendrai
encore
huit
jours,
si
icherches qui restèrent vaines.
contrebande d'eau-de-vie,
Les Olymps, athlétique act. — Stiemj, pro- ;| ,de graves proportions.
coup Granella sauta sur son ex-comnat-.
Arrestation, — M. le commissaire de
d'ici là je n'ai pas. satisfaction, je vous enCROSROUVrtES
ÛUSTSNES
;
tée musical. — Les Stoevhas, acrooates, et ;
la saisit comme s'il voulait l'embrasser
police a mis en état d'arrestation un nomverrai
les
gendarmes
!
61,
Un
ballon,
—
Le
ballon
sphérique
i
leur chien. — Gaumont-Actualités.
i
Amicale Laïque, — Tombola au profit
M. Baratto n'étant pas revenu sur son mé Guck Charles, 28 ans, né à Nancy, qui « Vix », d'une capacité de 900 mètres cu- lui planta ses dents, des dents de premis,
qualité,
je
vous
assure,
dans
la
joue
s™
! des enfants néce
.
.bes, appartenant, à M. Grosdidier, sénaoffre,
la gendarmerie fut saisie d'une plain- se trouvait en état de vagabondage.
! Tirage du 14 juillet. Liste des numéros te contre le propriétaire du chien.
Guck, qui a déjà été pour le même mo- teur de la Meuse, et gonflé à Commercy chê. U eut peut-être enlevé le morceau •
; gagnants :
Le maître responsable du chien ne con- tif condamné plusieurs fois, a été trans- le 14 juillet, a atterri à 16 heures i à deux Steffamina et deux autres Italiens n'étiiJi
LA BANLIEUE
B"'
intervenus.
!
g
38
40 - 44
48
70
74
8o 113 teste
,
rien des faits, sinon l'exagération de féré à Nancy à la disposition du procu- kilomètres de Grosrouvres.
126
127
152
154
158
170
187
211
214
Après
cette
scène
les
amants
rentrèrent
reur
de
la
République,
la
note
de
la
plaignante.
VILLER8-EN-H
AYE
MALZEVILLE
216 238 249 251 277 291 304 305 311 ' — Pour ne pas aller en justice, je conViolences, — Mme Dangréaux Marie,
Les chiens sans collier, — proces-verbal chez eux, laissant dans l'escalier le terw
Pro Patria, —- Société de tir et de per316 321 322 346 365 368 371 373 387 sens à augmenter mon offre de cent sous,, rue des Pénitents, a porté plainte à la poa été dressé à Hecliit Jean, vannier à Vil- ble Granella, qui resta là plusieurs hen
fectionnement militaire. — Dimanche pro391 393 396 433 445 449 451 458 460 dit-il.
lice contre une dame Triffaut, demeurant lers-en-Haye,
;
pour
divagation de chien res, proférant des menaces à faire dressé
chain aura lieu la 8e et dernière séance
467 482 575 581 584 591 599 606 616
les poils sur le dos d'un crapaud
au numéro 22 de la même rue.
L'aff aire en est là.
sans collier.
des tirs de printemps. — Tir d'honneur et ;; 634 648 681 689 695 710 715 734 740
Cette dernière aurait frappé la plai- '
Comme c'est un homme de parole G™
CHALIGNY
CHARMES-LA-COTE
fin du concours public.
j 783 834 851 858 877 879 883 903 958
gnante à coups de poing et même à l'ainella devait mettre les dites menaces à
Vol.
—Un
vol
de
numéraire,
environ
|
Tous les tirs en retard pourront être i 968 975 976 986 990 1034 1042 1069 1079
Arrestation, — La gendarmerie a arrêté de d'un litre vide tout en l'injuriant coexécution.
*
140 francs, a été commis à Charmes-la-1
1121 1129 1131 1137 1152 1159 1162 1163 il69 ■en vertu d'un extrait de jugement le nomMardi un peu après midi, la femme Troc
OHAMPIGNEULLES 1170 1173 1176 1178 1192 1203 1267 1209 1253 :mé Dhyn Augustin, que lè tribunal correc- pieusement.
Côte au préjudice de Charles Pargnier.
Extrait de jugement, — Thiriet Joseph,
cino était venue en course à Valleroy ES
Palmes académiques, — Nous lisons 1275
.
1322 1343 1374 1378 1381 1400 1422 J498 'tionnel de Nancy avait condamné en juillet le fameux bribour, ayant été condamné Les auteurs du vol seraient deux ouvriers allait, légère et court vêtue, comme la lai
dans le Journal d'Alsace-Lorraine, de StrasLes lots pourront être retirés tous les 1913 à un mois de prison pour coups et dernièrement, par le tribunal correction- ;Jean-Marte Laurent et Emile Laurent, qui tière de la fable, quand à hauteur du café
se trouvaient en pension chez Pargnier
bourg :
. ,, ; jours de classe, de 4 h. à 7 h.-du soir, blessures et port d'arme prohibée.
nel de Nancy à un mois de prison pour
Charpy, elle entendit courir derrière elle
Nous avons le plaisir d'apprendre qu a j; ■S'adresser au président de l'Amicale. Les
Dhyn, qui habitait autrefois les cités de colportage dè gibier en temps prohibé, a. ! et qui depuis ont disparu.
Curieuse, comme toutes les filles d'Eve
l'occasion du concours de tir national de I lots non retirés dans un délai de 15 jours Chaligny, avait disparu après sa condam- été mis en état d'arrestation par la genARRQNDISSEMl'Jf T DE LUNÉVILLE
elle se retourna et aperçut à quelques pas'
Rouen, M. Hubert Kaps, vice-président de \I resteront acquis à l'œuvre de l'Amicale. nation pour éviter la prison.
darmerie en vertu d'un extrait de jugeLUNEVILLE un rasoir que brandissait son ex-amant!
la Société de tir de Champigneuiles, a reçu i1
Malheureusement, il ne put résister au ment.
Le' comité remercie bien sincèrement
le méchant Granella
^
les palmes académiques.
i toutes les personnes qui, soit par leurs désir de venir à la fête des cités, et c'est là
Adieux du général Varin. — C'est jèidi
Il a été emmené à la prison de Nancy
Celui- ci se jeta sur elle, comme ua
M. Kaps est né a Schwarsbàch (vallée i dons, soit par le placement des billets, que, reconnu par le gendarme Michel, il pour y purger sa peine.
soir, par le rapide de 6 heures 9, qu< le fauve sur une timide gazelle, et sauvagedé la Bruche). Il partit jeune du pays, fit ont contribué au succès de la tombola.
fut cueilli.
..Etat civil. — Naissances. — Le 9, Jean- général Varin et sa famille ont quitté Lument se mit à lui faire des entailles avec
sbh chemin, non seulement en propageant ;
Dhyn a été acheminé mardi matin vers Georges Lieblang, fils de Georges, soldat néville pour l'Algérie.
SAINT-NICOLAS-OU-PORT
son terrible instrument.
le tir, mais aussi dans l'industrie lorraine |
la maison d'arrêt où il est arrivé à temps au 153* régiment d'infanterie. — LucienneA cette occasion, tous les officiers de la
Conférence. — Le cercle républicain pour goûter au menu du 14 juillet.
En moins de trois secondes la pauvrs
(maison Solvay), d'où il prit sa retraite
Marie-Germaine Pinot, fille de François, brigade de dragons s'étaient rendus en
I| cantonal avait organisé, lundi soir, un
avec récompense méritée.
C'est, une fête nationale dont Dhyn pour- ouvrier d'usine. — Le 11, Gaston-Charles corps sur le quai, ainsi que de nombreux femme fut pourvue de trois belles blessures ; deux à la tête et une au bras.
Société de tir et lie préparation mili- j; punch à l'occasion de la fête nationale, ra se rappeler.
Chéry,
fils
de
Charles-Gaston-Achille, officiers de la garnison et tous les sousde M. Ch. Courtois,
Dans la lutte le porte-monnaie de' la
taire. — Classement provisoire (suite et |I sous la présidence
BENNEY comptable.
officiers des 8e et 31" dragons. Tous lui ont
! maire et conseiller général.
femme tomba En homme pratique, Gratin) : ■■■■■■
dit
au
revoir,
mais
non
adieu.
Mariages.
—
François
Kassel,
employé
Noyé
en
se
baignant.
.—
Le
14
juillet,
M. le docteur Hanus, 'adjoint et prési« Champigneuiles Bonheur », classe- iI
M. le général Lescot et Madame étalent nella le mit dans sa poche, avec les 50 fr
plusieurs jeunes hommes de Benney sont aux fonderies, et Anna-Elise Mayer, modisqu'il contenait, puis il partit en disant
ment, a la plus belle balle. — 1er Thouron îi dent du cercle, prononça quelques paroles
présents.
te,
tows
deux
à
Pont-à-Mousson.
—
Nicolas
allés se baigner dans la Moselle, près de
Alphonse, 15 ; 2' Dabin Eugène, 16 ; 3e \| de circonstance qui furent applaudies. Il
à sa victime : « Adieu, j'ai fait ce que je
Les
fanfares
des
deux
régiments
ont
Hartung, comptable à Nancy, et Pauline
Fauvei Charles, 22 ; ,4* Meunier Georges, : présenta ensuite M. Marc Vuillemin, avo- Tonnoy. Presque aussitôt l'un d'eux Simo- Chéry, employée oe commerce a Pont-à- exécuté dès sonneries qui ont eu ie don voulais, tu es défigurée, nul ne t'aimeras
naire, âgé de 17 ans, qui ne savait pas naa
j
cat
à
Nancy.
Celui-ci
lit
le
récit
de
la
jourplus ».
32 ; 5° Vervey Henri, 40 ; 6 Senot EU- ;
Môusson. — Gaston-Henri-Marie Ballin, d'intriguer les Allemands qui étaient dans
gène. 42 ; 7° Kaps Hubert, 49 ; 8e Achin Ij née du 14 Juillet et exposa en quelques mots ger, s'est trouvé dans un' endroit profond,
U s'en alla dans la direction d'Auboué
le train.
professeur
à
l'école
supérieure
à
Pont-àet
a
disparu
au,
fond
de
l'eau.
Immédiatee
Jules, 51 : 9" Bourgineau H., 53 ; 10 Pier- j l'œuvre accomplie par la République deCoups de couteau. — On a transporté à sans se presser, en homme qui a la cong.
Mousson,
et
Anne-Mariè-Gabrielle
Ragonment
ses
camarades
le
recherchèrent,
mais
e
ron Paul, 55 ; 11 Chabot Pierre, 62 ; 12° puis quarante-quatre ans.
cience tranquille et ne craint pas les genIl encourage ensuite tous les républicains en vain. Le lendemain les recherches ont net, professeur à l'école supérieure à Gray. l'hôpital le nommé Gramond, dit las beau, d armes.
Tourenq Théodore, 69 : 13* Bon Charles,
dit
«
le
Manchot
»,
qui,
on
ne
sait
pas
—
Etienne
Durand,
ouvrier
en
chaussures,
continué
toute
la,
journée
sans
résultat,
le
e
70 ; 14 Koli Edouard, 72 ; 15* lieut. Bail- \ à se grouper étroitement, puisque, dit-on,
Les blessures de la victime sont sérieuà Pont-à-Mousson, et Juàiette Kneunbùh- encore pourquoi, avait reçu sous l'épaule
land, 74 ; 16" Régnier Henri, 81-2 ; 17" I l'union fait la force. L'orateur donne en- soir il nîétait pas encore retrouvé.
ses mais non mortelles. La blessée guéI gauche un coup do couteau de son ami,
ler, brodeuse à Nancy.
Vandervort René, «1-4 ; 18e Beaudoin EuT }! suite des explications sur l'éducation de ia
XIROOOURT
rira assez vite, mais il est à craindre
Décès. — Le 7, Jeanne Fix, 36 ans, cui- I Camille Thierry... Celui-ci est e*i fuite.
gène, 81-5 ; 19e Beaucolin André, i
; 20* i jeunesse, afin d'en faire des citoyens, et
La foudre. — La foudre est tombée sur
Bataille. — Le soir du 14 juiï.et, le dé- que sa beauté ne soit irrémédiablement
Thouron Charles 92 ; 21e
Barthélémy j1 de cette façon, on arrivera, dît-il, au suc-■ l'église de Xirocourt et a brisé des tuiles sinière, épouse de Michel Bour, journa- |
lier. — Le 8, Robert-Félix-Adzir Rolin, 24 ! bilant Gallas, de la route de Jokvet, avait perdue.
Georges, 93 ; 22° Fontaine Emile, 95 ; 23e ! ces républicain.
et un chevron.
jours,
fils de Emile-Adzir, ouvrier d'usine. à la suite d'une discussion flanqué une
AUE0U8
Molinet Albert, 99 ; 24* Lafabry Jules, >\
Des applaudissements enthousiastes sucFROLOIS
101 ; 25e Rivet Henri, 102 ; 26e Flamme cèdent à cette péroraison. M. Courtois reConseil municipal, — Au cours de sa — Nicolas Steimetz, 64 ans, journalier. — j volée à l'un de ses voisins, charcutier...
Arme prohibée. — En patrouille de nuit
Charles ,106 : 27" Didier Edmond, 114 ; mercie en termes chaleureux le conféren-■ séance de dimanche, le conseil municipal Ii Le 9, Françoise-Stéphanie Bourgeois, 44 j Le lendemain matin, la fille de Malgras | les gendarmes, rue Sainte-Marie, aperçu28* Sergent Mu nier, 117 ; 29e Vosgin René, i cier, et des feux de joie furent allumés< de Frolois a rayé de l'assistance au:, vieil- I ans, san sprofession, épouse de Jules Si- I rencontrant Gallas, s'en prenai; à lui et | rent un rasoir dont un individu essayait
120 ; 30° Barthélémy Edmond, 126 ; 31* pour annoncer la fête.
lards M. Nestor Brelle ; réduit à 4 fr. 50 gler, charron. — Le 11, Eugénie Royer, I tapait dessus.
de se débarrasser.
Marché du 15 juillet 1914. — Cours offi- |
Cropsal Marcel, 127-5 ; 32e Chapuis Pier- (>~
DOMBASLE la rétribution mensuelle de Mme veuve 36 ans i ,épouse de Charles-Louis Robin,
Le porteur de l'instrument, Paul Reie
re, 127-7 ; 33° Barbier Jules, 140 ; 34 Mau- I;
Acte de probité. —- Lundi, M. Scherrier, Charles Gérard, qui jouit en effet d'une marchand de vins. — Le 12, Eugène-Paul ciel. — Blé nouveau (choix), le quintal, 27. ché, 18 ans, manœuvre à Sainte-Marie-auxe
jean Paul, 146 ; 35 Biaise Georges, 147 ; I ajusteur, en se rendant dans les champs, pension de 185 fr. par an, et maintenu M. Crolbois, 7 mois, fils de Eugène, soldat au — Blé vieux ordinaire, »» ; Seigle, 20 ; Chênes, fut gratifié d'un procès.
e
orge, »» ; avoine, 20 ; pommes de terre,
36* Marchai Léon, 15ï ; 37" Hoster Lucien, I< trouvait sur la route de Sommerviller un Schnour Jacob, qui fut
pendant 5C ans 26 bataillon de chasseurs à pied.
Contravention, — ■
t dans U
20 ; farine 0, 38 ; farine 1", 38 ; pain, lr" nuit une voiture non éclairée, Ulderico
155 ; 38* Vailet Léon, 164-2 ; 39* Lalle- jI réticule renfermant une somme de 200 fr. berger de la commune.
ARRONDISSEMENT DE TOUL
m and René, 164-6 ; 40» Bergerot Félix, I environ.
qualité,
le
kilog,
0.40
;
pain,
2',
0.35.
Le conseil s'est en outre oecupé de la
Baldori, cafetier à Homécourt, récolte un
TOUL
166 ; 41" Walter Julien, 173-4 .; 42» DusViande. — Bœuf, lre qualité, le kilog,
f Un instant après, la propnéîaire, Mme■ question du
facteur-receveur, question
surget Gaston, 173-7 ; 43* Bonté Maurice, P..., était heureuse de rentrer en posses- sur laquelle nous aurons le plaisir de reRôdeurs suspects. — Mercredi après- 1.60 à 2.20 ; bœuf, 2*, 1-40 à 3 ; vache lre, procès à Auboué.
Vol. — En rentrant d'une courte prome173-9 ; 44e Lebrun Etienne, 175 ; 45e Ohé- sion de son bien. Félicitations â cet hon-■ venir à bref délai.
midi, la police, avertie, arrêtait non loin 1.40 à 2 ; vache 2°, 1.20 à L80 ; veau 1™,
kière Cyrille, 18 2; 46e serg.-maj. Vau- nête ouvrier pour son acte de probité.
des hangars d'aviation de la Croix-de- 1.20 à 1.80 ; veau, 2*, 2 à 2.80 ; mouton 1", nade, faite au crépuscule, Giuseppe PerolM0N0EL-8UR-8EILLE
thieu, 188 ; 47e Mabrat J., 191 ; 48e Pain
Metz, un individu qui, aux dires de 1.80 à 2.40 ; mouton 2e, 1.80 à 3.60 ; porc di, 23 ans, manœuvre, en garni chez StrurR08IÈRE8-AUX-8ALINE81
ghain, route du Tunnel, constata la dispaRemise d'un drapeau. — Le com-nan- certaines personnes, rôdait depuis le ma- frais, 2 à 2.80 ; porc salé, 1.40 à 3.20.
César ,192 ; 49e adj. Tuaillon, 193 ; 50"
rition de son camarade de chambre, celle
Une arrestation importante. — Nousi dant Wurster, du 69e, vient de remettre tin à cet endroit et était accompagné d'un
Conter René, 198 ; 51e Beaudinet Léon,
Foin,
le
quintal,
8
;
paille,
5
;
bois
à
brûS00 ; 52e Néghin Charles, 201 : 53" Gouei avons relaté jour par jour les nombreux: son drapeau à la « Sentinelle », de Mon- autre, grand blond. Cet individu a déclaré ler, le stère : Charme, 18 ; hêtre, 16 ; chê- de divers effets lui appartenant.
Ces effets, d'une valeur de 23 franc*,
Alfred, 202 ; 54e Déni Fabien, 208 : 55e cambriolages commis depuis une quinzaines cel.
être de Château-Salins, et s'est fort défendu ne, 14 ; charbon de bois, l'hectolitre, 3.25 ;
étaient placés dans une yalise que le voM. Mourot, instituteur, a prononcé le d'être un espion, il possédait une boussole. houille, le quintal, 6.
Fleurant Léopold, 226 ; 56e Bompard Eu- dans les fermes du bois de Xartes et dei
gène, 231 ; 57» Liocourt François, 235 ; I Portieux, écarts de Rosières, et dont les; discours suivant :
Cette arrestation ne paraît pas sérieuse.
Caisse d'épargne. — Opérations du 5 au leur avait fracturée.
« Mon commandant,
Le volé est persuadé que ses frusque»
58e Renard Lucien, 242 ; 59° Marmiesse !j fermiers sont les deux frères Henry.
Son camarade a disparu.
11 juillet :
Avant de procéder â la remise de notre
Or, samedi dernier, le marcaire de la;
et son compagnon de chambre ont pris 1*
Napoléon, 248 ; 60° Fournier Jules, 2o0 ; |
Passage de rivière*. — Jeudi, à cinq heu- \\
Versements,
—
Lunéville,
43.161
fr.
;
Gere
e
61 Véra Sylvain, 258 ; 62 Didion Eugène, [j ferme du bois de Xartes, qui avait commiss cher emblème national, permettez-moi de* I res du matin, le 158* d'infanterie a passé la jJ béviller, 1.780 ; Blàmont, 2.985 ; Saint-Clé- même direction.
2Ô0 ; 63" Colin Louis, 261 : 64° Gouthière I le premier cambriolage, était condamnéi vous adresser le respectueux salut du tu-■ Moselle sur des moyens de fortune prove- ment, 798 ; Einville, 1.560 ; Badonviller,
Pol, 276 ; 65* Fleurquin Eugène, £81 ; C6a1 j par défaut, à quinze mois de prison par. reau de notre association et d'y joindre nant du corlps. Le passage de la rivière 2.562 ; Blainville, néant ; Banaménil, 700 ;
la vive expression de nos compliments de s'est fait près de Chaudeney.
Vagné Maurice. 304 ; serg. Gogumus, 305 ; j le tribunal correctionnel de Nancy.
Bionville, néant.
68* Pouilleux Aimé, 307 ; 69° Cornu Geor-■ j|
La police mobile avait été mise au cou-. bienvenue.
Audition musicale. — Le samedi 11 juilRemboursements. —- Lunéville, 39 632
La joie que nous fait éprouver votre; ! let dernier, il nous a été donné d'assister
ges, 308 ; 70e Jallard Georges, 309 ; 71*1 | rant de tous ces cambriolages et après5
Becker Auguste. 310 ; 72* Bernard Emile, !] une enquête aussi discrète que rapide, elle, démarche ne saurait s'exprimer, et nous1 l à une très intéressante soirée musicale of- fr. 40 ; Gerbéviller, 898 ; Blamont, 4.271 70 ■
Saint-Clément, 190 ; Einville, 400 ; Badon318 ; 73e mar. des log.Angoni, 323 ; 74e' j vient d'opérer l'arrestation du, coupable.qui ne saurions non plus vous dire notre ie- : ferte par M. Dury.
STRASBOURG
viller, 1.025; Blainville, néant ; Bénaménilattache-1;
Dreyfus Georges, 325 ; 75" Demandre Lu-• j n'est autre que l'individu qui a cambriolé; connaissance et notre sincère
Les
jeunes
élèves
du
distingué
professeur
1.598 ; Bionville, 100.
cien, 325.
i au bois de Xartes, il y a quinze jours, et{ ment.
I de musique, en interprétant avec beaucoup
Les anciens cimetières de Strasbourg, —
Après les longs et pénibles exercices du ■
« Champigneuiles Bonheur ». Classe-• | qui précisément venait d'être condamné•
BAYON Par suite du remaniement de la place Gu■ de talent les œuvres classiques et modernes i
ment aux cina meilleurs mouches^— 1" i: par défaut. Peut-être n'est-il pas le seulj camp de Mailly et la revue trop ensoleil-; I des compositeurs les plus célèbres, ont fait ;
Baignade
mortelle.
—
Un
jeune
homme tenberg, les terrassiers ont mis à jour de
e
Fauvel Charles, 356 ; 2 Kaps Hubert,. j. qui ait opéré. Cette arrestation fait le plus, iée de ce matin, vous vous imposez de1 apprécier une fois de plus la science musi- ]i de 17 ans, Edmond-Albert Baudoin, em5
nombreux'' ossements humains provenant
403 ; 3* Thouron Alphonse, 479 ; 4* Meu-• | grand honneur à la police mobile de Nan- nouvelles fatigues, vous vous privez à la* cale, le sentiment artistique et l'enseigne- ployé des chemins de fer, demeurant à
de l'ancien cimetière Saint-Martin qui sa
fois, d'un repos bien mérité et des dounier Georges, 485 : 5° Koll Edouard, 577 ;; î! cy.
ment raisonne de rerudit professeur.— A L. I Brémoncourt, prenait un bain dans la trouvait en cet endroit,
6» Molinet Alfred, 615 ; 7e Barthélémy j;
Malpropres individus. — Des faits répu- ceurs de la vie de famille,
La commission sanitaire, — La commis- Moselle, à Bayon, le 14. Il perdit pied et se j
Toutes nos places publiques ancienne*
Au nom de notre section de gymnastiGeorges, 742 ; 8" •• Lafabrv Jules, 782 ; 9*1 gnante se sont passés entre cinq jeunesr
5
que, qui reçoit un si grand honneur, au' sion sanitaire se réunira samedi prochain noya dans un trou profond, de 5 mètres. sans exception.s'étendaient devant des églu
Tourenq Théodore, 893 ; 10* Chapuis Pier-' gens de 16 à 18 ans,
; à 4 heures du soir, a l'hôtel de la sousCe n'est qu'assez longtemps après qu'on ses ou des couvents. Le nom de « Kircn<
re, 906 ; 11e Bourgineau Henri, 1019 ; 12e!
La gendarmerie de Dombasle a ouvert, nom de notre société de tir et de notre' 1 préfecture.
le retira à l'aide de crochets, maniés par hof », peut s'appliquer à volonté à des ci«
population tout entière, soyez-en remerThouron Charles, 1039 ; 13e Beaudoin Eu-' une enquête.
Le drapeau du 10* génie, — Le drapeau des sauveteurs en barque.
matières ou à ues places entourant un tem, cié.
gène, 1121 ; 14' Biaise Georges, 1139 ; 15*
L'ivresee.— L'agent VauLer a mus an état
M. le docteur Jacot a constaté le décès. ple ; tel est le cas pour la place Saii*Le drapeau que vous allez confier à- du 10* régiment du génie a fait son entrée 1
Barbier Jules, 1253 ; 16" Senot Eugène,j d'arrestation un couple d'individus, des:
officielle
à
Toul,
à
midi
15.
Les
compa1254 ; 17* Achin Jules, 1345 ; 18* Renard; cheminots, qui commettaient toute sorte* notre jeunesse moncelloise, est celui de4
I
REMENOVILLE Pierre-le-Jeune (Jung St. Peierkirchhof),
Lucien 1545 ; 19* Dussurget Gaston, 1625 ;> d'excentricités sur la voie publique, puis; 89, celui dont nous commémorons aujonr-' gnies présentes au régiment, lui ont fait :
Vol d'un fusï! de chasse, — M. Mathieu, la place du Temple-Neuf (Predigerkirchd'hui l'institution.
Il symbolise, à nos une escorte d'honneur et ont défilé devant ; menuisier à Remenoville, a déposé une hof), la place Kléber (Barfûsserkirchhof/.
20* Becker Auguste, 2027.
leur a dressé procès-verbal pour ivresse.
yeùx, la Patrie tant aimée avec ses gloi-' les maisons du gouverneur, du sous-pré- ;I plainte à la gendarmerie de Gerbéviller la place Saint-Pierre-le-Vieux (Alt St. PeLes tireurs pourront remarquer quelques•
Courage de femme,— Le
fet et du maire de la ville. II sera présenpetites, différences entre le nombre c'e! let, un bébé de 2 ans ayant aperçu son res, son deuil et ses espérance.
au sujet du vol de son fusil de chasse, terkichhof) ; nos autres places ne figurent
*
Nos gymnastes le garderont avec uni té aux troupes vers le 12 août par le colo- iI estimé 60 francs.
jamais, même dans les plus anciens docudegrés annoncé et celui ci-dessus.
père sur l'omnibus qui fait le service de9 soin jaloux, je vous en donne l'assurance .; nel Riberpray.
Les mouches ont été envoyées à l'Union Rosières à la gare, courut au-devant de
]
Ce fusil était encore dans son atelier ments, que sous le nom do « Plâtz » °*
5
Photographes
imprudents.
—
Mercredi
des Sociétés de tir de France, à Paris,î lui, ignorant naturellement le danger qu'il et si demain les circonstances l'exigent,
| le 9 juillet. C'est un fusil à deux coups à Plan ; telles, la place Gutenbeig (St. Map
1
ils sauront, serrés sous ses plis, le condui-; { soir, un habitant fort honorable d'Ecroupour qu'elle en fasse la mensuration avec
' courait. Le conducteur ne pouvait voirr, re à la victoire ou mourir pour le déïen-. ves, était allé se promener sur le plateau i! percussion centrale, calibre de 20 milli- tlnsplatz), la place Saint-Thomas (Thomasson appareil qui est de la plus haute préplan), la place Saint-Etienne (Stephansl'énfant de son siège et le bambin eut étée dre.
d'Ecrouves, en compagnie de deux amis de ; mètres, crosse en noyer, canon bronzé,
cision.
plan). La place de la Cathédrale et fa pwj:
Une enquête est ouverte.
,
infailliblement
écrasé
sans
la
présence
d'es:
.
Paris,
quand
la
fantaisie
leur
prit
de
T
Vive l'armée française I Vive la RépuSi des oublis ou des erreurs étaient
ce du Dôme n'avaient pas de désignation
-1
prit
de
Mme
Humbert,
qui
jeta
un
tel
cri
i photographier la batterie de Pagney-der- S
ARRONDISSEMEN1 DE BRIEï
blique 1 »
constatées, prière d'en aviser le présispéciale , l'on disait : devant et derner»
Devant la foule émue par ses paroles3 rière-Barine. Le poste du fort averti, vint |
dent ou le directeur, dans les 8 jours quij d'épouvante en voyant l'enfant en danger,">
BRÎEY la Cathédrale ; la place du Château dea
e
suivront cette publication, passé ce délaii que le conducteur arrêta net ses chevaux." allant droit aux cœurs, le commandantt les surprendre et les arrêta. M. Fougère
Tentative de suicide, — Une erreur de Rohan n'était connue que sous le nom o
L'enfant était sauf.
commissaire spécial, après avoir interro- î
répondit :
tons les résultats seront acquis.
|
Eronhof.
1
:
transmission
nous
a
fait
annoncer
hier
Remise de médailles d'honneur, — A l is« Je connais votre société, je sais less gé et vérifié l'identité de ces photograLa distribution des prix aura lieu danss
En 1527 on fit établir trois cimetières
?efforts que vous êtes capables de donnerr Phes. les fit garder à vue et en a référé i! que M. Creter, boulanger à Briey, avait « extra-muros » (Saint-Gall, Sainte-He-ene
les premiers jours d'août. Les lauréats3 sue de la revue des sapeurs-pompiers, pas\ fait feu sur sa femme à la suite d'une dissée
à
l'occasion
du
14
juillet,
M.
le
maire
au
parquet.
Les
détails
nous
manquent
e
pour
votre
patrie.
et les sociétaires en seront prévenus parr
j cussion.
et Saint-Urbain, ce dernier sur l'emplaceaprès avoir félicité les sapeurs pour leurr ~ Jeune gens, avec vous ce drapeau sera*
™ou"ai correctionnel.
Présidence
une convocation spéciale.
ment de la Citadelle et non là où il se trouCe
n'est
pas
cela
du
tout.
M.
Creter
s'est
ds
M
M
artui
bonne
tenue,
a
remis
à
MM.
Thierry,
ant- en bonnes mains, travaillez pour qu'il1
A toute* les catégories, les lauréats5
.
- i
- — Coups. — Phister Ernest
l ne a, Strasbourg,
21 ans,
demeurant ., tiré une balle dans la tête, mais n'a exer- ve aujourd'hui) et toute inhumation fut déi- soit toujours au premier rang.
choisiront leurs prix en suivant l'ordreî cien lieutenant, Comte et Biaise, les métendue dans l'intérieur de la ville.
dailles d'honneur qui leur avaient été acde leur classement
i i oui, a porte des coups à l'agent Aubrv n ! ce aucune violence sur sa femme.
!Honneur au Drapeau de la France,
THANN
L'état du blessé est d'ailleurs très sati«Honneur à « La Sentinelle ».
En cas d'absence ils devront remettree cordées par le ministère pour leurs bonss
est poursuivi pour port d'arme prohibée et i faisant
un pouvoir à un camarade pour choisirr i et loyaux services à la compagnie.
Honneur à son drapeau. »
coups sur Dheux et sa femme. Il a déjà été
La
question
du
maire.
—
On
espère
un«
Ajoutons que M. et Mme Creter sont très
leur prix, faute de se conformer à cettee
S
M. René Herment, au nom de la Sen- condamne plusieurs fois pour coups et i
NEUVES-MAISONS
heureuse solution de cette question, us
|
bien
considérés
et
que
l'acte
du
mari
ne
clause le prix sera retiré et fera retour à
tinelle, prononce alors les paroles sui- pour vol. — Je ne m'en rappelle pas. — j
Il était une fols.., un amour de petite
j peut être que le résultat d'une aberration a réussi à déterminer M. Xavier EJutuj
mois de priëon.
la société pour nn concours suivant. % '
:e vantes :
industriel et ancien maire, à accepter M
passagère.
,
i
chèvre
que
sa
propriétaire,
Mme
CherpiCette clause sera strictement appliquée.
Etat
civil
du
9
au
16
juillet
1914.
—
Nais.
« Mon commandant,
r, «
_ ^ .
HOMECOURT poste à la condition qu'une grande majoriVol. — Un marinier, Eugène Gosse, avaitl telle rue de Toul, élevait avec sollicitude.j
_
sances.
—
Robert-Maurice
Herluison,
MaAu nom de la Sentinelle, merci des paRefus de dettes, — M. Pierre Pousse de- té du conseil le propose au gouvernement
placé 400 francs en billets de banque dansg Matin et soir, attachée à une longue corde roles patriotiques que vous venez de pro;_ ternité. — Jean-Modeste-Henri Ohlin, rue
On croit certain que M. Flûhr obtiendra
son porte-monnaie, puis, après avoir mar- retenue par un solide piquet, la mignonne noncer et soyez persuadé que si jamaiss 1 hiers, 8. — Henri Fontaine, à valcourt —» ! meurant. 4, cité de Battempré, à HÔméune belle majorité.
"
:
court,
a
l'honneur
d'informer
MM
les
chandé un mulet .il fréquenta divers caba-. bête broutait dans l'herbe tendre des prés,
Marcel Defrance, Maternité. — André Va.J?' l'heure de la revanche venait à sonner,.
•
I
commerçants
qu'il
ne
répond
pas
des
dettes
sous
l'œil
vigilant
de
sa
propriétaire
qui,
rets. Le soir, la tête alourdie, il rentra sur
r
;1 let, Maternité.— Paul Grandemange, SaintWINZENHEI"
q | de chez elle, ne la quittait pas du regard.,* en braves petits soldats, en gardiens vi-. Evre. — Yvonne Berleux, rue des Tan-• j que pourrait contracter sa femme née
son bateau Arbalète, et le lendemain il
' gilants de la frontière, sous nos trois couL
•
|
Jeanne
Failly,
qui
a
quitté
le
domicile
constatait avec stupéfaction que ses billetss ; Il advint, l'autre matin, qu'absorbée par
Nécrologie.— H v a quelques jours «*'
L neurs, 4a. — Marcelle-Ma rie-Madeleine Ta■~ leurs, nos vaillants petits gymnastes sau• ; conjugal.
.. t les besoins du ménage, Mme Cherpitelle
de banque étaient disparus, n est allé pormort à Lyon M. Léopold Bloch, rniinstj
% ront verser jusqu'à la dernière goutte dee caille, rue Mur-des-Blés, L — Lucien-Lr|
dut
un
moment
interrompre
sa
garde
?
ter plainte à la gendarmerie qui, malgréé
,.
,
JŒUF officiant. Le défunt était Je fils de l'anc e
.. nest-Adrien Deovt, Maternité, — Jeanne• leur sang pour défendre et faire respecR.
i
Soudain la chevrette se mit à pousser de'
Coups. — Dix heures du soir allaient ministre officiant Bloch, qui avait occ«P«
les recherches faites, n'a rien découvert.
1er l'emblème de notre Patrie, nos troiss Marguerite Marcelle WoJff, Saint-Mansuy • .
Dangereux consommateur. — M. Gaétann | grands cris. Effrayée, Mme Cherpitelle ac;"
machiniste Edmond ce poste pendant de 1 ngues années a vu»
i uD.jvai.o is ae mariages
• • .,. , . ' ! ™.iner quand le
couleurs, notre cher drapeau, au cri dep
». | courut,
Lapez, colporteur, se trouvait dans un déguste Feuillant, employé à la compagnie• ' Wall, 17 ans, se décida à rentrer au do- zenheim. A la mort de son père, la ÇO»
« Vive la France ! ».
iC e de s
:
bit lorsque, sans provocation, un
r !
— Dieu du ciel, s'écria la pauvre feml
- "
«s mainte-Marie
"
Les cris répétés de : « Vive l'armée !j de l'Est, a Tout et Julie une Poulain fem-' j ïï Vï
munauté israélite avait rappelé M-J^S
il. Il croisa sur son chemin son vieil ,>n- pold Bloch pour lui succéder. En 188". 1
mil'!, ii du nom de Pierre Branas, s'a\ .
• i
» retentissent.
me de marobre a foui. _ Raoul Ehrhart,• , ne
L. i me, en passant ses mains sur ses yeux
l
'
•
P
Prosper
Barra.
19
-,
.
,„•,
,„
e
vança vers lui et le menaça d'un revolver... ; comme pour éloigner l'horrible
vision
- — rieuses hilettes. de blanc ha- : sergent-major au 156 d'infanterie, à EcrouI était nommé chef de chœur et second CW
pas l; 1
1
ta jeune fille du débitant put désarmerr | qu'elle venait d'entr'apercevoir ; puis elle
;
'
■ conversation san à la synagogue de Colmar, qu'iM'"?
*' billées, Mlles Fort et Loùys, offrent au
I.I
ves, et Angèle-Delphiiie Marange, sage-"■ I en ces termes
:
-et individu, qui frappait Lopez. L'arme
commandant un magnifique bouquet trii- ; femme a i oui. -- Charles Jacquot, charretait en 1884 pour le même poste à Lyw»
Agrippe sur seu quatra pattes un chien
ei
n colore.
I"* tu xoulais M. Bloch était un grand musicien et com
' H- ' ' '
Armhru*-^ I më " ^1^!"
;
me
casser
la
figure
».
Comme
Wall
téÇtrjnas a ont i* fuite ; Ù n a ou
• ,, i- < iiarceiait ne ses crocs le petit « htqui »»
Le commandant aux applaudissement
,t | ter, brodeuse à Tout r Paul-Emile Bop-• | pondait : « Jamais de la, vie „
positeur de nombreux chants religieux. <P
: mus dMiam, qu'il s'évertuait. a mettre
e dje. tous, leur donne l'accolade.
[^vaiiet, administrateur les-colonies» a TouX
"
<-i f^cha et lui envoya un coup d« pied 4aaS sont encore exécutés aujourd'hui
1 *yyagotfuee i Akace-LocraiM.
Spectacles
Chronique Départementale I
Concerts1
MEURTHE-&-M0SELLE I;
me teuimtrr^r
'l'""
P"
ï 1
i
dORRAIMB ET âLSiCI
l
'
CHRONJQU£FÉMINlNE
LE MARIAGE
subit-il une crise?
ra n'est pas que l'on ne se marie plus mais
Jh^Dortionnellement beaucoup moin3, et
P« divorces augmentent. Et à cette situation il faut trouver un remède. Je crois
«'il existe dans l'amélioration de l'éducuation'donnée à nos garçons et à nos fil5? si dans l'éducation donnée à nos garons" et à nos filles il se trouvait plus de
«nmts de contact, si nous élevions nos enfants indistinctement pour un même but :
îfbonheur et l'harmonie dans le mariage,
îfJS arriverions, peut-être, â quelque cho2dé très bien. Mais garçons et filles sont
^aiment élevés d'une façon trop différente
t oui ne fait que s'accentuer avec l'âge.
E, iour où vous les mettez en pi-ésence, ils
if regardent, s'abordent et ne s'entendent
5L eur un terrain purement superficiel et
natérinl. Pourquoi ? Parce que, de tout
temps on dit au jeune homme,. : « Tu sais
rme! pour conserver ou consolider tâ situation i' te laut t!P0USer uuo grosse dot ».
Ouant aux sentiments de tendresse et de
Bïotection, il y songera peut-être un peu,
H !a jeune fille est jolie ; mais ce peu ne
suffit pas lorsqu'il s'agit de toute une
trouvent aussi tentantes que celles de Mile
X... on de Mme Y... Elle est, de même,
toute disposée à rester à la maison, en tête
à tête avec son mari, mais il ne faut pas
que celui-ci dise, en bâillant, la phrase .déconcertante : u Nous no sortons pas ce
soir ï Alors, bonsoir, je vais me coucher,
j'ai sommeil »....
SUZANNE CARON.
]LES
CONTES DE « L'EST »
j
L'ONDINE
deL'ARGONNE
1
*
L'Ante est une minuscule riviérette qui
_
prend naissance dans la forêt d'Argonne.
Qui connaît l'Ante î... Probablement pas
un de mes lecteurs, et pourtant cet humble cours d'eau pourrait revendiquer, aussi bien que les pïus grands fleuves témoins
des fastes de la France, sa légitime part
ddans la gloire nationale.
Ses frères, ses sœurs en hydrographie
sont,
en effet, intimement liés aux par s
j, plus émouvantes de notre histoire : T'a
les
gSambre et la Meuve, dont l'évocation ne
cesse
de nous électriser, rappellent les
c
r
plus
belles victoires qu'un peuple puisse
remporter, celles de la Liberté ! Que dire
r
^
du
Rhin dont les roseaux ressemblent à
^des épées françaises protégeant les ombres
j
immortelles
des fioctw, des Marceau, des
,j
•Desaix,
des Kléber et' autres héros plus
ggrands que l'antiquité l Et cette belliqueu$se Moselle qui garde encore sur ses bords
jl'empreinte des sabots du fier bataillon de
rl'An II ! Et ie beau Danube, dont les flots
é
étaient
à la'fin fatigués ie refléter les briljlants uniformes des hussards de Lannes,
£
tles cuirassiers de Murai ou des volontaires
de La Tour d'Auvergne, premier grer
nadier de France ! Et ce Nil, qui avait vu
r
ccette pléiade de savants moins acharnés
gà la recherche des mystères d'Isis qu'à la
contemplation du front pâle et rêveur du
c
| plus
r
grand capitaine du monde !...
|
Ces fleuves, ces rivières pourraient, à
eux
seuls, inscrire sur le calendrier plus
e
\ ide victoires qu'il ne possède de jours dans
il'année !...
Mais l'Ante, qui la connaît î... Personr
ne,
si ce n'est la paisible population du
j
pstit
village du même nom, perdu entre
IEevigny et Sainte-Menehould," sur les lir
mites
de cette plaine
champenoise qui
\vient mourir au pied des hautes futaies
ji de
c l'Argonne. C'est cette immortelle forêt
I dont
c
les hêtres séculaires ont protégé les
|
premiers
pas de la République naissante
« déjà victorieuse.
et
La République est née sur le champ de
1
bataille
de Valmy, dans cette grande jourinée qui sauva ta France ; mais, c'est à
j
peu
de distance, dans les eaux paisibles
cd'un charmant étang alimenté par l'Ante,
e
qu'elle
a reçu cette consécration glorieuse
c(fui allait ébranler le monde.
tang. Puis le maître et le compagnon rentraient heureux et tranquilles pour le repas dui soir, pendant que la lumière argentée'de la douce Phôbé inondait de sa
romantique clarté l'étang, les bois et le
village dont les maisons de planches et de
pifié se pressent autour de la modeste
j église paroissiale à peine visible dans le
feuillage.
Ah ! comme j'enviais cette heureuse
1
!
| existence
Mais Lucien coupa court à mes réj
flexions en me mettant sur le dos mon
| panier de pêche et me ramena séance tenante à l'exécution de notre convention.
Sans plus attendre, je pris ma gaule, et,
descendant lestement la pente gazonnée,
j nous voici installés entre deux saules, le
j cœur plein d'espoir. Nous restâmes là jus; qu'à la nuit et l'ombre qui allait s'épais| sissant ne m'empêchait pas de faire sauter
] sur l'herbe de fort jolies pièces empresj sées de mordre à mon hameçon...
La nuit était venue que nous péchions
j
encore ! Une nuit superbe comme septembre à son déclin nous en offre quelquefois. A peine une légère brise ridait-elle
la surface de l'étang. Une vache égarée
| venait seule boiro à côté de mon bouchon.
j Lucien ne pouvait me gêner car, n'a/aut
j pas des yeux de lynx, ii avait renoncé à
pê he an clair d" lune et couru au vil:
i lage chercher quelques canettes de rafraî: chissante cervoise. Comme j'étais assez fa» do ma journée, je ne tardai pas à
!
f m étendre sur l'herbe, puis à m'assoupir,
enveloppé de cette tiède température aube
d'automne.
\
J
|
'
j
Paris, 14 juillet 1914.
j
. — Les chaussures à talons exagérément
j
hauts continuent à sévir. Pas une femme
:n'a ia démarche souple, aisée ; toutes ont
l'air ou de marcher sur des œufs, ou d'àvoir un cor à chaque doigt de pied : c'est
douloureux a voir.
A moins d'être de ces heureuses de la
i
terre, qui ont autant de paires de chaussures que de costumes ; qui ne marchent
que fort rarement, avant une auto pour les
transporter au gré de leurs désirs, il faut
éviter les talons Louis XV et leurs varian| tes.
i, eo'-'
riariç;§rs que voue font courir
j
diminutifs des échas^es, l'usage de
i ces
souiiers à talons trop hauts est très mauj vais pour la santé de la femme. Les méde•
constaté et répété depuis des
[• Cins
temps infinis, mais rien n'y fait : c'est la
mode, et l'on peut bien, à ce prix, s'exposer
aux entorses, aux chutes malheureuses et
à de plus graves conséquences encore .
Les souliers et les bottines à talons bot"sans doute
l'amour intéresse plus la j
ieune fille, elle serait heureuse de lé ren- j tier sont ce qu'il y a de plus pratique pour
■outrer dans lo mariage, mais elle a telle- j ta marche. Les bottines lacées se font très
C'était encore u nbeau clair de lune qui
ment entendu dire : « I/amour c'est iort i hautes de tige et soutiennent bien la cheheau mais ça passe si vite, tandis nue la ville.
| inondait magistralement l'endroit où je
me trouvais. Pas un souffle d'air dans
D'ailleurs, et ici je m'adresse aux femmes
oin.ntion reste »
qu'elle renonce facilel'atmosphère. Rien n'agitait la nature enment à envisager l amour comme une des i sensées, plus soucieuses de leur confort que
ronditions essentielles de l'union qu'elle des fantaisies de ia mode, s'il y a des cir! tièrement endormie. Seul, le cri de la hucontracte. Et tout cela est regrettable, car constances où le soulier à haut talon est ab| lotte s'entendait dans les allées obscure*
du petit bois. Du haut de la pelouse (ce
elle ne sait pas, la pauvrette, le sens exact soiument de rigueur, il faut s'en tenir aux
ce mot terrible et doux : le mariage — souliers Richelieu ou François I" pour être
j n'était plus une pelouse) où se dresse le
de
le lui a si mal appris ! Cependant, pres- chaussées de façon rationnelle.
j château (ce n'était plus un château, mais
on
nue toujours, elle est pleine de bonne voLes talons « bottier » ont généralement
! une chaumière) descendait, la tête penlonté et de tendresse inavouée.
six centimètres de haut, ce qui est suffij chée, les bras derrière le dos, dans une
Seul, le mari -oublie trop souvent qu'il sant. Certains talons Louis XV vont jusI attitude de profonde méditation, un homme jeune encore, avec de longs cheveux
gst le meneur du jeu ; il a une femme de qu'à 10 centimètres, ce qui est excessif.
plus à ajouter à la liste de ses conquêtes,
Chez les fabricants de chaussures qui,
I probablement blonds. U s'arrêta devant
l'étang, tout près de moi, et, soudain, je
une femme « comme les autres ». Or, la | venant d'outre-Manche, ont inondé îa capii le vis relever la tête et étendre les bras.
femme légitime n'est pas « comme les au- taie de leurs marchandises, on voit des
tres ». A la minute ou elle engage sa vie, choses extraordinaires : souliers de satin
; Je ne distinguais rien à la surface de
la jeune fille, même la plus pratique, inê- j bleu indigo, à talons hauts de douze centijj l'eau ; mais, au dehors, un vent violent
me la moins sensitive, désire ardemment i mètres, à barrettes se comptant jusqu'à
! agitait subitement les arbres des bols et
être mieux et autre chose que les autres : huit, se boutonnant de strass. Souliers en
les saules de l'Ante. On percevait, dans le
Devenir « la » femme et non « une » fem- chevreau cerise, vert empire ; souliers de
lointain, comme des bruits de tambour
me.
satin noir àf broderies d'or ; souliers miLe 18 septembre 1912, je quittais la sta- et des sonneries de clairon. Des rumeurs
C'est à cette minute que l'homme par la partie vernis et antilope, puis la sandale tion
1
de Revigny pour me rendre à Ante, étranges, le fracas que ferait le roulement
faute de son éducation devient générale- Cléopàtre qui est le dernier cri de la nou- agréable
i
petite bourgade située à l'orée de l'artillerie sur les routes pierreuses de
ment l'artisan de son propre malheur. veauté.
de
<
la grande forêt d'Argonne, doiit les l'Argonne, des cris de commandement, que
Puisque les préjugés veulent que la jeune |
Il y a quelques semaines, uûe artiste |! sombres
s
frondaisons font l'effet d'un vas- sais-je ? remplissaient mon oreille. L'infille, jusqu'au mariage, ignore presque d'une" de nos scènes parisiennes, nuis une | te
t océan fermant l'horizon. L'Argonne est connu continuait à contempler, l'œil fixe,
tout de la vie, il est juste au moins qu'au « professionnelle » se sont montrées, dans I 1la dernière manifestation de la terre lor- le centre de l'étang.
moment de quitter ses guides naturels, elle les couloii-s de l'Opéra et dans un autre raine.
Tout à coup, une forme étrange, plus
L'Argonne ! Quel nom magique !
i
rencontre un être résolu à tout lui appren- théâtre, chaussées de simples sandales, j; <Ces vieilles futaies, ces clairières, ces ira- blanche que la lumière sélénite et d'une
dre et tout lui faire comprendre. Son ma- pour exhiber leurs jolis pieds nus.
|] posantes percées qu'on appelle défilés dans beauté surnaturehe sortit de l'onde !...
ri, en avant soin de lui laisser sa personMon Dieu ! les femmes en ces derniers !I !le pays, c'est là qu'est venu se briser le Comment la dépeindre dans mon éblouisnalité qui, à cette minute, n'est pas défini- mois ont exhibe tant de choses, qu'un pied ji lsénile effort du despotisme antique contre ) sèment ? A travers mon rêve, j'entrevis
tive, devra la développer à son profit. Voi- nu de plus n'est pas pour nous choquer. 1la jeune et radieuse Liberté !... Dans ces | quelque chose de divin, de sublime : — la
là l'éducation que les maris n'ont pas re- | Seulement je n'en vois pas Futilité absolue, 1bois sombres, on croit encore entendre les i France, casquée et bardée de for, ceinte
çue et que je voudrais voir donner à nos
guerrières des soldats improvi- !; d'une épée flamboyante ; la France, nimUn journak illustré anglais, The bystan- 'sonneries
•
fils. Cette éducation, c'est de nous qu'Us der, donne une fort amusante critique du ses
■■ • aux trois couleurs noude Kellermann et l'on sonsto à cas :
l
doivent la recevoir. Le père sera ^profes- nu à la rue, et conclut en proposant aux Thermopyles de la France où Dumeuulez 1j veiles ; la France année, debout pour la
seur d'énergie ; la mèro éducatrice de la personnes en villégiature, hommes et fem- ! devait
1 défense des opprimés ! — .S'adressant au
être plus heureux que Léonidas.
i
tendresse, de la fidélité, de la responsabi- mes, de ne se montrer qu'en costumes de „ Face à la forêt, vers Sainte-Menehould, ii nouvel arrivant, elle lui tint le discours
lité. Elle dira a son fils combien la femme bains, qui sont presque faits pour mettre j l'œil
distingue un point à l'horizon sur i ci-après, qui est resté profondément gravé
■
est petite et fragile, qu'elle a besoin d'in- à la rue.
une petite éminence. Ce point, c'est Val- : dans ma mémoire :
dulgence et de bonté presque autant que
— « 0 poète, que fais-tu en ces lieux s!
! C'est lo monument de Kellermann i
Deux vignettes fort drôles représentent : j my
'
d'amour, qu'elle a besoin de vivre autre- Tune, un couple ainsi dévêtu entrant à i dominant
le champ de bataille qui vit fuir i beaux et pourquoi, après avoir envahi
;
ment qu'entre ses enfants et son ménage, j l'église ; l'autre, un salon où, après dîner, j les
:
hontes de Brunswick. Ce nom de Val- ; mon sol sacré, viens-tu opposer le Despoqu'ayant développé son inteliectualitô par on voit des coupies causer, et deux grosses js my,
si cher aux âmes françaises, est le ! tisme antique à l'Idée sublime qui vient
I
ses études et par une émancipation mora- dames assises, tous en costumes de bains. .: commencement
de toute une apothéose I d'éclore sur la vieille terre des Gaules ?
'
le qui s'accomplit progressivement, elle deIl conclut en disant : And at dinner few j: iguerrière qui devait faire pâlir les plus | Tu es avec le passé, toi, dont le front est
vra trouver dans le mariage la vio à deux would guess Ladies werent in evening- i! beaux faits d'armes de la Grèce et •)• | marqué de l'étincelle du génie et tu viens
plus vibrante. Entre la ménagère et la dress. Ce cpii veut dire qu'au dîner peu de- j| Rotne.
applaudir cTavance à l'anéantissement du
. mondaine, le mari doit réserver une place vineraient que les dames ne sont pas en j
Je descendis à la station de Villers-Dau- Ji jour ! O poète, c'est vers la Justice et le
essentielle à la compagne pensante et ins- toilettes du soir.
Droit que je te prie de te tourner. A la
court, où m'attendait mon ami Lucien.
truite, capable sur bien des points d'avoir
Aux courses, on continue A faire circuler (> Après une demi-heure de marche, nous voix puissante de la Révolution française,
des idsisà à elle, de les soutenir et de les de malheureux mannequins déguisés d'in- atteignîmes la lisière du domaine où j'é- ne sens-tu pas que, de toutes parts, les
défendre.
tais attendu. Figurez-vous une coquette fers se brisent, les tyrannies s'évanouisI nombrables façons.
Si la jeune fille moderne, autrement in- '
|
Les moins seyantes des modes d'il y a maison d'habitation affectant ia forme j sent et que le malheureux courbé depuis
téressante, au point de vue compagne, que î1 trente-cinq ans, coudoient les plus osées d'un quadrilatère avec une élégin-e toi
des siècles relève enfin la face vers la lunos grand'mères, a parfois dépassé la me- j
donc tes
des modes actuelles. On croirait volontiers j1 turc d'ardoises surmontée d'un gra:i;vx mière nouvelle ? Abandonne
sure en tant qu'indépendance, c'est qu'elle à une gageure des couturiers, pour rame- | campanile
permettant d'admirer le bel i vieux errements et viens à moi !... Nous
n'a pas rencontré le compagnon digne de ner les femmes au sens réel du goût et de ! horizon d'Ouest. Des chambres au re? ris- j! acclamerons ensemble cette Rédemption
ses nouvelles aspirations. Au lieu de troula décense. En voyant ces innombrables ij chaussée et au premier étage t-ès vaste*. I déjà tombée d'une sublime Croix et qui
ver^un ami et un maître, elle trouve un silhouettes féminines, dont si peu sont gra- Ij Une pelouse de ' style anglais s'étend en I doit changer la face du genre humain !...»
« je m'enfiebiste » qui ne remarquera ni cieusement vêtues, c'est à se demander si | pente douce devant le château
L'ondine prononça encore quelques pad'Ante j
l'intérieur soigné,.ni la cuisine bonne, ni l'on est à Paris, qui fut réputé si longtemps } agréablement situé sur une éminence. Un i rôles que je regrette de ne pas avoir enla femme coquette et attentive, enfin celui pour son bon goût et la distinction de ses bOÏS de hêtres, de sapins et de chênes, aux [! tendues, car je m'éveillai subitement au
qui prend sa maison pour un hôtel meuailées parfaitement dessinées et entrete- moment où, de toutes parts, montait drtns
j femmes.
blé. La femme veut bien accepter tous les [
Pour voyager, pour là mer ou la cam- nues, s'étend derrière l'habitation, lui fai- ! le ciel étoile le chant immense de la « Mardevoirs, mais veut aussi trouver le bon rei pagne, on"fait de ravissants canotiers de sant comme une auréole de verdure, A seillaise ». Une main venait de s'abattre
gard,
l'encouragement, l'atmosphère de Ij piqué blanc, rose, bleu porcelaine, ornés gauche, l'Ante circule en une infinité de I! sur mon énaule et une voix
amie me
tendresse : elle a le droit d'être heureuse, j soit l'un nœud, d'une fleur, ou pas ornés détours et forme un gracieux étang dont S: criait : « Tu dors, Brutus et Rome est
Plus elle ira, plus la femme s'apercevra du tout, et ce sont les plus jolis.
les eaux très pures baignent l'extrémité de | dans les fers ! » Je répondis, en me frotqu'ell ne peut conquérir ce bonheur sans
■ ■ yeux, que je me moquais bien de
Pour les Casinos, avec les robes de tulle, la pelouse se continuant sur l'une des fale compagnon.
de dentelle, de tissus légers et clairs, le C«a latérales du logis de l'oncle de mon !j îa République romaine, que c'était à la
Si toutes les mamans pensent comme i! grand chic sera le chapeau » mousquetai- j; ami.
j nôtre que je pansais, ainsi qu'à l'appariy
moi .elles élèveront leurs tout petits, îa ■
Comme j'applaudissais au bonheur de Ij Won 1 —• « L'avez-vous vue, Lucien, l'avezj re », tendu de satin noir, sans garniture
génération
future, vers l'idée que rien !
ce vieillard qui, après une vie toute de i vez-vous contemplée ?.,. »
n'est plus grand que l'union do deux êtres aucune.
L'ahurissement du camarade ne peut se
A côté de cela, on portera les petites for- labeur et d'intelligente activité, était venu ;j décrire. Ne voulait-il pas me plonger la
• qui mettent en commun leur amour, leur
se
reposer
dans
cet
aimable
refuge,
loin
mes que connurent nos
grand'mères, à
intelligence, leurs souffrances, leurs fai- |
de l'agitation des villes où la vie se çon- Ij tête dans l'étang ? Pour me rafraîchir les
blesses pour arriver à une unité qui seia bords étroits disparaissant sous une cou- sunie si vite ! Je me le représentais l'éter- ;\ idées sans doute ! Et moi qui ne demanronne
de
fleurs
ou
de
plumes
d'autruche.
la famille.
; dais pas mieux, espérant y retrouver l'onQuelques femmes jeunes, d'autres plutôt nel sourire aux lèvres, avec sa vigoureuse I dine ! Quelle prétention ouand on n'est
Dormons à nos filles le sens exact de la
santé, son air de fine bonhomie dénotant j
âgées,
ont
une
prédilection
pour
ces
drôle3
vie, initions-les de bonne heure à leur rôle
le vrai Picard — ce Gascon du Nord — I| pas un poète !.,.
de femmes futures. Mais apprenons aussi de petits chapeaux, qui sont très seyants à content de lui, fumant sa pipe en se pro- !
Enfin, peu rassuré, il me ramena à la
certaines
physionomies,
et
en
accentuent
la
• n
os :. i «r pu, étant donné mon
à nos fils, qui deviendront à leur tour,
menant avec son chien Pilou dans ces bel- j
douceur.
éducateurs de nos filles, que dans le rrales allées plus douces qu'un tapis d'Orient, | état d'exaltation, ouvrir les malencontreuPour
les
voyages,
ce
sont
surtout
les
tailnage les devoirs et les droits sont égaux,
grâce aux aiguilles des conifères jonchant ses canettes causes de l'incident...
que c'est un crime de se marier pour un leurs très simples et les grands manteaux le sol ; respirant les aromatiques senteurs
Je ne veux pas abuser de la patience du
très
longs
à
col
rabattu
et
à
larges
revers,
homme, s'il n'a pas la volonté d'être le
lecteur. Le lendemain, je prenais congé de
forestières
;
s'arrêtant
un
instant
pojir,
mari, le camarade et l'ami de sa femme. faits de "tissus anglais, dans les tons clairs, écouter le conservateur de ses bois, l'in- ' l'excellent Lucien, après lui avoir promis
U faut leur dire qu'avec de la tendresse, qui narguent la poussière.
de revenir, l'an prochain, dans sa charLes boléros, les jaquettes courtes, en sa- dustrieuse pie en train de marteler de son mante résidence d'automne. Longtemps, je
de la fermeté, de l'intelligence et de la jvsbec pointu l'écorce d'un arbre attaqué par
tin
ou
en
taffetas
noir,
se
portent
sur
des
tice, la femme la plus rétive deviendra
les insectes ou contemplant l'agile et gen- le vis de la portière de mon wagon, agielle aussi un être bon et maniable. La bon- rob63 de couleur, comme cela se faisait il til écureuil qui ne lui demandait nulle- tant son mouchoir. L'Argonne disparaisy
a
quelques
années.
té raisonnée, voilà la véritable éducatrice,
sait à l'horizon. Soudain, une inspiration
On voit peu de femmes, malgré la cha- ment la permission de piller ses noisettes. subite traversa mon cerveau. C'était le
et comme elle est loin de nous cette vertu
Je le voyais s'asseoir sur une grosse raleur
torride
actuelle,
qui
n'aient
au
moins
merveilleuse !...
cine couverte de mousse au pied du vieux 20 septembre 1912. Cent vingt ans plus tôt,
Quoi qu'en pensent les jeunes gens qui un semblant de boléro cm de petit manteau. chêne, rallumer sa pipe et, fout en cares- à pareil jour, à la nuit tombante, un poètei
!fl
fuient le mariage, la femme est toute dis- Sauf les toutes jeunes filles, dont les robes sant le fidèle Bilou, contempler à travers
rnein» crue j'avais vu en rêve), Gœthe,
posée à porter des robes simples et peu-■ de crêpon de coton roses, jaunes, vertes, le feuillage les martins-pêcheurs effleu- au feu du bivouac des officiersi
coûteuses, mais elle veut que son mari les 1 mettent leur note vive dans le soleil.
pnissiens, le soir de Valmy. Il était restéi
rant
de
leure
ailes
rapides
l'onde
de
l'éComtesse BERTY.
Marché aux fourrages
Faits-Divers
UN ME1JUIEB TUE SEPT PERSONNES. — A Camerata-Cornello, près de Borgame, un
meunier npmmé Simon Pianetti, est sorti
de son domicile, armé d'une carabine à répétition, s'eçt rendu dans le pays voisin, à
San-Giovanni-Bianco, et s'est, mis à fusilier toutes le? personnes qu'il rencontrait.
Il tua d'abord le médecin do la munieipalité, le docteur Morandi, puis le curé de la
paroisse, l'abllé Paleni, qui était dans sa
maison auprès de sa mère infirme. Celleci, frappée par cette scène tragique, est à
l'agonie. PianetM alla ensuite chez le secrétaire de la commune, Abrarno Giucidi, et le
tua ainsi que sa Fille Valérie.
Rencontrant sur la route un employé de
la commune, un eordonnier tl le frère de
celui-ci, qui travaillait à ia campagne, il
les tua également
Pianetti s'est enfui dans îa montagne
où de nombreux carabiniers le recherclient.
On dit qu'il a agi pour satisfaire d anciennes rancunes.
n'
Marie-Anne de BOVET
• LA TERRE *
Ce tic de pianoter des doigts sur ses ge■jous ûa saillie osseuse dans le pantalon
L~} Pw.
court qui remonte au-dessus des
wttines à élastiques.laissant voir les chausf?we3 de coton cachou... Elle le connaît
°len ce tic, elle le connaît depuis toujours.
A
«lourd'hui, il l'exaspère
« Pour m'Lngérer dans des affaires qui
s«at pas les miennes, je me prévaux
°* }a vieille amitié qui m'unit à votre fa*?«a, Vous m© pardonnerez donc, car 00
2^ r*i crois devoir faire n'est que par in"_l pour vous et les vôtres...
Mais oui, mais oui, cher monsieur,
^ s'entend bien. De quoi s'agiWl ? »
JW1 ! cette menace que depuis ce nmita
sent planer au-dessus de sa tête,
y* Permettez-moi de vous poser une qnesiau P^dîciella, comme cela se dit au pajr* Afin de pourvoir aux frais d'études
BW3 éventions si remarquables, votre
^1.5™ le saves, s'est engagé dans de
^'"•■srableg dépenses. Vous» rendez-vous
'.
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Faille de tete
paJOe la saisie
28 & 30
18 20
18 22
FQïn
«un
45 50
Luzerne ..„.„......,.
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46
Foins pressés en balles. — On cote SUÉ
wtion par 100 kilo»
Foin de premier choix
8 50 a 9 50
Foin de première qualité .... 8 .. a 8 50
Pour les marchandises en gare, les frais
de déchargement, d'octroi et de camionna»
sont à la charae de l'acheteur.
^►•ey.^»"■
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PHifliS d'àVOifîÔ «ner«**w*«*•>*■*#»■«
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' ! ROYAL PALACE HOTEL
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> nu FILS DE BEHANZIN. —Aprè3 avoir brillamment servi la France,
en ' qualité dé sous-officier dans l'armée
coloniale, le fils du roi Béhnnzin, se trouvant sans fortune, avait été réduit à accepter l'emploi de « chasseur » dans un
cinéma montmartrois. Il remplissait ces
modestes fonctions lorsque dimanche il reçut un télégramme l'informant que sa
conduite et ses nombreuses décorationss
lui valaient l'honneur d'être nommé souslieutenant de réserve à l'occasion de la fête du 14 juillet.
Très heureux de cette nouvelle, le fils
de Béhanzin courut faire l'emplette d'un3
uniforme d'officier et, mardi matin, il faisait à la revue une entrée sensationnelle ;
tous les regards se portèrent vers lui. Héla3 ! quelques instants plus tard il était
arrêté sous l'inculpation de port illégalî
de costulfee militaire et malgré ses protes-.
talions transféré à la prison du Dépôt.
Dans l'après-midi, le malheureux, quii
ne comprenait rien à sa mésaventure,
comparut devant un juge d'instruction du
petit parquet auquel il conta naïvement1
ce qui lui était arrivé, donnant pour preu-ive de sa bonne foi le télégramme qu'ilil
avait sur lui. Le juge, convaincu, ne tarda pas à remettre en liberté le fils de Béhanzin, après avoir toutefois dressé procès-verbal.
8PA
f
MÉSAVENTURE
j
— Ah ! mon Dien... »
Glossinde est toute blanche.
a Ne vous effrayez point Avant d>rt arriver à la licitation..
— La licitation I
— Eh uoi ! un mot qui épouvanta.. Mais
cela ne se fait pas du jour au lendemain.
En trouvant un nouveau prêteur pour sa
substituer au premier...
— Evidemment. Et mon père a dû.„
— Votre père comptait aveuglément sur
oe banquier parisien. Quand on est sans
expérience du monde de l'agiotage, on ne
réfléchit pas que rien ne vaut qui ne soit
3iir timbra Et encore y a-t-il le maquis,
l'inextricable maquis juridique, refuge dm
gens de mauvaise foi. Si bien que le temps
pressait. Le commandant a perdu la téta
et s'est adressé à Jacquemin. »
Vivement, Glossinde s'écrie :
« C'était une tc^s bonne idée. M. Jacquemin est riche. Il passe pour faire ca genre de placements.
— Tranchons le mot : un usurier. »
Dans l'accent qu'il y met se révèle tout
le mépris du bon Lorrain pour celui qui,
pendant l'invasion, trafiquait avec l'ennemi..
« Cela semblait en effet que, moyennant
une fort© commission, il trouvât aisément,
à moins qu'il les prêtât lui-même, soixante-douze mille francs en première hypothèque sur un bien qui en vaut quatre fois
autant Seulement... ce sont là de» dessous
que jamais honnêtes gens ne subordonent..
ce préteur n'était qu'un client occasionnel
de l'étude, et Bompard a les meilleures raisons de croire qu il a agi comme homme
de paille du sieur Jacquemin, dont vous
voyez en ceci l'intérêt : provoquer la licitation de la Sablonnière aiia de l'acquérir
■n rli—nus de sa v*leur sans doute,., ces
i
I fluuimiMWftNiaMi
I
un compte approximatif de leur montant T
Ftes-vous au courant de toutes les opérations qu'il a faites dans ce but î »
Puis*, tout à coup, prenant son parti :
a En deux mots comme en cent,avez-vous
connaissance de cet emprunt hypothécaire
qui est venu à échéance ? »
Une sueur froide inonde Glosslnde de la
tête aux pieds. A-t-elie bien compris ?
, i
Que dites-vous là T...
.... Vous l'ignoriez ? Voilà bien ce que
j'appréhendais. Loin de moi la pensée de
le blâmer. S'il s'en est tu, c'est qu'il ne voulait pas vous donner de sujet de préoccupation.
— Mais enfin expliquez-vans.
— Voici un an le commandant a donné
hypothèque sur la Sablonnière pour soixante-douze mille francs.
—■ Soixante-douze raille francs !
— Oui, etest un denier. Et toucher & la
terre c'est grave. Cependant il avait confie nce dans son affaire... une confiance assurément justifiée.,... et on ne fait rien 3ans
capitaux. Par malheur, cela sans "doute n'a
pas marché aussi vite qu'il l'avait cru. Il
a demandé un renouvellement On lui en
a donné l'espoir, puis on s'est ravisé,' prétendant avoir besoin des fonds. »
Atterrée, elle répète :
« Soixante-douze mille francs ! »
— Enfin ii s'était arrangé pour être en
mesura Ce M. BaJagny, son commanditaire, devait y pourvoir. L'échéance est venue.... p
ruent n'a pas été effectué.
— Mais comment savez-vons tout cela ?
— L'affaire avait été conclue dans l'étude de mon neveu Bompard, notaire à Pontà-Mousson, qui, pour obtenir des délais, a
fait rimoossibla Son client n'a voulu entendre à" rien «t a comaseacé les poursuites
!
I!
Paris-îa Chapelle, 15 juflleL,
Petit marché. Vente calme. Prix soute>
nus sur les pailles. Environ 80 voitures.
p&iue oe ble
■- ,
*0à 45
Paille de seigle ■.■.■.■..»■■;
26
paille d'&voiue
24 28
Foio
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Luzerne
50 as
Regain
.t» 52 56
Le tout rendu dans Paris au domictl*
de l'acheteur, frais de camionnage «I
droits d'entrée compris par 100 botte* de "
5 kilos, savoir : 6 fr, pour les foins ai
fourrages secs, 2 fr. 50 pour paille.
Fourrages en gare. — On cota les 52g
MENACE PARRICIDE. — Le parquet de Mamers vient d'arrêter à Bouër les époux
Pierre Chéron, qui ont assassiné leur vieille mère, dans des circonstances particulièrement émouvantes. La femme a d'abord |
Paris, le 15 juillet 1914.
fait des aveux et le mari s'est décidé à son
Le marché a été déprimé par la liquidatour à dire la vérité. Il a été cynique :
« J'avais des ennuis, a-t-il expliqué. Ma tion et les mauvaises dispositions des
mère voulait me forcer à rembourser une bourses étrangères affectées elles-mêmes
somme de douze cents francs que je lui par les embarras politiques dans les diffédevais. Elle me mettait cette restitution rents pays d'Europe.
Le 3 % est résistant à 82,90, le 3 J %
comme condition au partage de son bien.
Cela m'a « dérangé » la tête. Poussés à nouveau de même à 91,87.
Rentes russes perdent du terrain : 5 %
bout, ma femme et moi, nous avons décidé, pour en finir avec tous ces « tracas », 1906, 102,05 ; 4 i % 1909, 98,20 ; Consolidé,
de « mettre ma mère dans le puits ». Sa-. 87 ; 3 % 1891, 72,05.
Serbe et Turc alourdis par le différend
medi nous sommes allés couper le seigle
austro-serbe : le Serbe à 75,70 (en perte
dans un champ derrière sa maison.
« Quand nous avons vu ma mère dans de 2 points 1/4), le Turc à 80,75 (en perte
sa cour, nous avons couru sur elle. Je l'ai de 1 point i).
Extérieure se maintient à 87,85.
prise par les épaules, ma femme par lesi
pieds, et nous î'avons jetée dans le puits,
Banques et établissements de crédit très
la tête la première après l'avoir portée: affectés par des dégagements de positions :
trente mètres. Ensuite j'ai précipité le Banque de Paris 1,365, Crédit lyonnais
treuil sur elle. Quand nous n'avons plus; 1,546.
rien entendu remuer, nous sommes allés;
Banques mexicaines continuent de s'afaner le foin. C'est la faute de ma mère : méliorer : Banque nationale 483, Londres
elle n'avait qu'à « s'arranger » avec moi ! », et Mexico 260.
Le cultivateur, qui
voudrait se fairei
Banques russes en nouveau recul i
passer pour fou, a réclamé un exameni Azoff Don 1,420, Russo-Asiatique 642.
mental.
Chemins espagnols résistants.
Quant à sa femme, elle a mis un point;
Valeurs de traction et d'électricité indéd'honneur à répéter que c'était elle qui; cises : Métropolitain 492, Parisienne de
avait conseillé à son mari « de mettre la: distribution 517.
vieille dans le puits ».
Cuprifères fermes : Rio 1,710 (sur des liAprès la reconstitution du crime, le: quidations de positions), Boléo 670, Tharcultivateur assassin a été reconduit dans; sis 160,50.
son taudis, les mains enchaînées. Malgré>
Valeurs industrielles russes soutenues :
cette précaution Pierre Chéron a réussi ài Briansk 390, Sosnowice 1,312, Prowodnit
tremper la vigilance des gendarmes : eni 485.
passant près du puits il a fait un bond1
Mines d'or stationnaires.
prodigieux et s'est précipité dans l'eau.
Diamantifères alourdies par l'ajourne»
Les gendarmes ne savaient comment repê-- ment de la création d'un comptoir de vencher leur prisonnier englouti à treize mè-- tes : De Beers 410,50, Jagersfontein 102,50.
tres de profondeur, quand ils aperçurentt
Caoutchoutières
s'améliorent
légèreles cordes à crampons qui avaient servi ài ment : Financière 76, Malacca 89,75.
remonter le cadavre de Genevière Chéron.
Une de ces cordes fut lancée. Harponné
en plein muscle, Pierre Chéron dut, pour
ne pas subir une affreuse torture, saisir
la corde à pleines mains, et il put ainsi,
REINE DES PLAGES
quoique blessé au front, être remonté au
jour sans grand dommage.
Les assassins, amenés à
Mamers en1
| LE PLUS mm, LE nus BEAI!, LE PLUS SOBEHIE
plein midi, ont été copieusement hues.
Cela d'ailleurs ne les a nullement émus.
j
FEUILLETON DE L'KST REPUBLICAIN
jI idoryphore, le coléoptère du Colorado, qui
j r Choient a causé de si grands ravages
;dans les plantations de ce tubercule en
.
Le gouvernement a pris immédiatement
j ides mesures pour combattre cet ennemi
! redoutable des pommei de terre ; des dé| tachements d'infanterie ont été er.vovés
en
corvée dans les champs infestés pour
i
i ,les débarrasser des larves de ces insecte*
et des sujets parfaits. Ordre a été donné
de
retourner les terres de ces champs à la
<
I charrue et de les arroser de benzol. On a
l'impression que jusqu'ici le doryphore ne
•s'est pas propagé très fortement.
longtemps perplexe. A la fin, il s'était levé
et d'un geste solennel, sa tournant dans
la direction de la nation armée et victorieuse, il avait prononcé distinctement ces
paroles : « De ce jour, de cette heure, com« mence une ère nouvelle dans l'histoire
« <lu monde !... >»
Quelques jours après cette déclaration
4e_ Gœthe, ia Convention nationale lançait cette fière réponse au généralissime
des Prussiens et des émigrés : — La République française ne traitera avec l'ennemi que lorsqu'il aura complètement évacué le territoire français.
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nances, de 8, 9, 10 et 11 degrés, vendus moyeunant faible commission, avantages en prenant
au débarquement Vente comptant, on prêta
les fûts. Dégustation a 3 h. 1/2. M CHAMBAY,
rue des Jardiniers, 63, reçoit lea commaudsj
es remet les échantillons.
\ ! iifoiîé soi fias îles Doeis Saint-Georps
„
TROUPES MOBILISÉES CONTES UN r?;sEfrrK. —
Dans de nombreux champs de pommes dee
terre du district de Stade (Allemagne),1,
on a remarqué la présence du dangereux
n
ventes judiciaires souvent sont désastreu- gence l'a décidé à me. la signaler, afin que
ses... et en tout cas de s'approprier une je vous crie casse-cou. Non que votre pai»propriété jouxtant ses propres terres, trop vre père puisse vous le cacher beaucoup
:
dans les vôtres," ce qui le gêne plus longtemps. Mais, cela se conçoit aset l'irrite. Sans compter que, le moment sez, il recula Et aussi, ce n'est pas l'offenvenu, qui m saurait tarder, de rendre sa ser que le dire un peu chimérique. Peutvilama âme à Dieu oui au diable, au lieu être espère-t-il quelque intervention matde sa bicoque, il laisserait à ses enfants tendue... à moins qu'il ait jeté le-manche
une bonne et belle maison noble. »
après la cognée et que son inertie soit
Sa maison !.... La chère vieille maison l'abandon du désespoir. »
depuis trois cents ans respectée et honoSecouée d'un sanglot :
rée de braves et honnêtes gentilshommes,
« Oh ' monsieur Lussy, s'écrie-telle, il
soumis et laboureurs, tomber aux mains en mourrait. »
malpropres de ce mercanti. de ce rené- . Se rappelant son entretien avec le docgat !... Bien plus que la quasi ruine, cette teur, elle ajoute :
mesure la glace d'horreur.
« Il en meurt déjà. »
« oh l la trame a été bien ourdie. J'en
Le vieil homme lui prend la main entre
suis à me demander si ce triste sire de ses doigts velus, et doucement la tapote.
Balagny n'aurait pas été intéressé dans
« Mais non, mais non, ma chère enfant.,
l'affaire pour endormir votre pauvre père si vous autorisez cette familiarité. On va
de promesses fallacieuses, et ainsi l'accu- arranger cela, avec l'aide de Dieu. »
1er...
Réchauffée par cette sympathie, l'épave
— Mais monsieur Lussy, — la voix de à quoi, se sentant sombrer, on se cramGlossinde s'étrangle dans son gosier, — ponne, une lueur d'espoir passe dans les
vous ne me dites pas qu'il est trop tard... yeux de Glossinde.
— Que non pas certes. Jusqu'à la fin de
« N'est-ce pas ?... Nous avons encore du
la procédure on peut payer... ce ne sont temps. Que faut-il faire ? »
que des frais en plus. Vpus n'en êtes pas
Devant la question directe s'effondre cetlà. C'est justement pourquoi j'ai pris sur te 45e]le assurance.
moi d* faire cette démarche. Si pénible
« Ce qu'il faut faire ?.., Il faut trouver
que ee ma fût d'être messager de mauvaises soixante-douze mille francs. Ah 1 Si je
nouvelles...
n'étais un pauvre vigneron, comme nous
— Je vous en remercie mille foie. Mais tous en mat chronique d'argent limiide...
que ne m'aviez-vous avertie plus tôt ?
Enfin, on trouvera, on trouvera... Slais il
— Je ne sais tout cela que d'hier. Le n'y a pas de temps à perdre,
secret professionnel liait la langue de mon
_- Pas un jour, car chaque jour te tua
neveu. Cependant l'accident do Malzéville Je comprends à présont... Cotte fièvre,
est survenu, la maladie du commandant... cette aggravation des troubles cardiaques...
On sait que cette jolie petite tête blonde Mais oij chercher, mon Dieu I ou 'cherest la sagesse de la maison. Puisque vous cher ?
ne voua occupiez point de conjurer le péril,
— Hum L., J'eveis pensé que peut être,.
il « a conclu que vous l'ignoriez, et l'ur-
j
Cidra de Hormaadie Grand Mousss-six
——————
—-——
_____
Imp. de l'Est Républicain
J. CHAILLY, gérant.
\ les Anceîin... »
Avec emportement elle l'interrompt.
« Non, nou, pas eux. Je ne veux rien
j leur demander. »
i
Prudent, il bat en retraite.
|
«.D'ailleurs, quoique jouissant d'une belj le fortune, ce sont des propriétaires aussi.
En revenant de la ville je suis entré à la
Tuilerie... Mlle Tiercelet est femme de tête
et de bon conseil. Mais j'ai trouvé visatra
de bois. .
— Elle est à Metz.
— Pour qu'elle ait consenti à voir des
picKELHAKUBE, ii a fallu des motifs bien sérieux.
—- Un vieux parent à elle, qui est gravement malade : ie chanoine Audebert.
— Ancien vicaire général de Mgr Dupont
des Loges. Un vaillant patriote. Il a de
qui tenir, étant lo petit-fils du général de
ce nom, tué à Borodino, et inscrit sur l'Arc
de Triomphe. Les bonnes familles d'autrefois : le sabre et le goupillon. »
Ayant délivré son âme, l'ancien juge da
paix est retombé à son bavardage d'honv»
me érudit et disert.
« Mais qu'est-ce qu'on entend ?... Ah I
les trompes de Saint-Arnould. »
L'héritière de la Sablonnière n'a pas oublié les traditions de tant de Thieucourfc
qui furent d'ardents veneurs.
« Le découplé, murmure-t-elle machin**
iemant.
« Si ce n'est pas péché !... Le fils de l'hujjM
sicr Pichon... un gobseck qui ne valait pas
mieux que Jacquemin. C'est par des tripotages de cette nature qu'il s'est enrichi
avec des ruines. Sans compter qu'en 70 cm
deux aigrefins pourraient bien avoir ért
de mèche.
(A mdwmà
J
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FiVIIElJX
Combien de malheureuses femmes doivent à leur insouciance de souffrir toute leur vie, pour ne pas
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avoir voulu se conformer aux principes de l'hygiène, tant recommandée à l'heure actuelle par les plus
grandes sommités médicales, et ont leur vie empoisonnée par de continuelles souffrances occasionnées par
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les METR1TES, SALPINGITES et autres maladies si longues et si difficiles à guérir.
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Por1e St Nic
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; J&iïTdemônrif. nfJ^*
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JEUNE
LORRAIN,
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T^^'
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ïangue allman-!
Gérard, à Frapelle
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. traduction, et don-j utjSssiWAUiUM fa
tan tous
frc
à fa
i,V,,^,
i re ns d'allemand Hn-i dessins se rapportant au bâorn
nô Ston»
S bail timent, à l'heure ou à forfait.
T
ss^ ° " '*
"S
1693. tenir intérieur, cherche place
———————
stable. Ecrire poste restante,
ferçurito
uemandf
^rteu sachant faire paquets faire lessives ou ménages,a
et caisses,
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