elles sont tout la…

N° 46
Paraît le Mardi
BCI I
Abonnement
1FR.PARMO.S
K
«I
ÎO Août 1915.
H I
Le
Numéro
ofr10
HBJB
DULLC I II*
MEMTHE1 MOSELLE
^
ORGANE DE LA SOCIETE D ASSISTANCE AUX RÉFUGIÉS ÉVACUÉS ET SINISTRÉS DE MEURTHE ET MOSELLE
Siège Soeial
: 35, Boulevard Haussmann, 35 —
PARIS
e
(IX )
Bureaux et Permanence — de g h. à midi et de i£ à iy h. — i, Mue des Mathurins
POUR LA LORRAINE
PAR LA NATION
Le meurtrier, un nommé Marc (Henri),
demeurant rue Clodion, a été arrêté le lendemain.
Il a déclaré avoir frappé M. Schreiner,
qu'il ne connaissait pas, dans un moment
d'égarement, provoqué par l'ivresse.
XVI
« A mon noble aîné Maurice
Barrés, pour qu'il défende
les Clochers meurtris ».
Les versements d'or
Au
31
juillet,
les versements d'or à la
Dans sa stupide fureur, la soldatesque
Banque de France atteignaient le chiffre de
envahissante n'a rien épargné. Elle s'est
5.565.000 francs.
attaquée aux remparts solides des forteresQuand il s'agit de la défense du pays, les
ses, comme aux murs accueillants des chauNancéiens ne sont jamais les derniers.
mières, comme aux voûtes innocentes des
Et ils n'ont pas dit leur dernier mot...
temples et les ruines accumulées témoignent
de l'infamie de l'adversaire!
TOUL
Parmi toutes ces nobles victimes de pierExécution
capitale
res, les pauvres églises des provinces
brutalisées méritent un regard douloureux
Le nommé Gauthier (Claude), 41 ans, réet sympathique.
serviste, charpentier à Mâcon, condamné à
Elles sont des milliers mutilées! Petites
la peine de mort mardi 27 juillet, par le
paroisses de villages ou vastes cathédrales
conseil de guerre, a subi sa peine mercredi
des grandes cités, « toutes » ont souffert, j
à 2 heures du soir, dans les fossés du remLa mitraille a déchiqueté leurs clochers j
part, près de la porte de Metz.
audacieux, les obus ont éventré les nefs
NOVIANT-AUX-PItÉS
séculaires, la flamme a noirci les portiques j
et parfois de ces temples il ne reste plus
Victime des Allemands
rien que quelques stèles brisées.
Le 22 juillet dernier, Noviant a subi, de
Il est toujours cruel de s'arrêter devant
la
part des Allemands un bombardement
des ruines... mais ici le spectacle se comqui a fait plusieurs victimes parmi la popuplique d'une angoisse morale, ici éclate le
lation civile.
conflit entre la loi positive et le devoir suMme Vve Alizon (Jean-Nicolas), âgée de
périeur de la Nation. Qui relèvera les églises sentes au passé, qui transmettent de siècle
Les taubes
80 ans, a été mortellement blessée par un
meurtries?... Nous allons essayer de répon- en siècle la façon de sentir et de traduire
Le 30 juillet, un avion ennemi, grâce à obus en fermant sa fenêtre.
dre à cette question sans froisser des sus- les émotions de toute une race. Elles metCette mort a mis en deuil M. Alizot
ceptibilités délicates, sans réveiller les tent de la beauté au milieu de la rudesse, un temps brumeux, a réussi à survoler
(Léon),
capitaine au recrutement de NeufNancy.
Violemment
canonné,
il
a
dû
prenpassions religieuses d'avant la guerre, en du terre à terre; elles sont toute la richesse
château,
et Mme Fricquegnon, épouse de
nous soumettant, non pas à l'idéal chrétien, des villages pauvres; elles sont ce qui sub- dre la fuite, après avoir jeté 4 bombes qui
M. Fricquegnon, gendarme en retraite à
n'ont, heureusement, causé que quelques Toul.
mais à l'idéal français, celui qui peut nous siste, au milieu de ce qui passe.
réunir tous de Sembat à Maurras.
0, vieilles églises de France, édifiées par dégâts matériels/ insignifiants.
LUIVÉVILLE
Le lendemain, vers 5 h. 30, quatre ou
Il y a deux systèmes en présence. Celui les sacrifices de nos aïeux; vieilles églises
Le
budget
municipal
cinq
avions
allemands
sont
revenus,
et,
des novateurs irréductibles qui veulent de France, dont les pierres ne disent pas
ignorer les exigences des religions et celui seulement l'habileté de nos maîtres-maçons malgré une vive canonnade, ont jeté une
Les opérations effectuées, tant pendant la
de ceux qui prétendent que les églises doi d'autrefois, mais qui nous rappellent les dizaine de bombes sur différents quartiers gestion de 1914 que pendant les trois prede
la
ville.
vent être redressées par la Nation fran- privations de nos parents pour un haut
miers mois de 1915 sont les suivantes :
çaise.
Le jeune Mathieu (Marcel), 17 ans, a été
idéal... Vous qui avez subi les brutalités de
Becettes : 1.165.352 fr. 09; dépenses :
Pour les uns, les temples sont des vestiges l'ennemi, la Nation vous relèvera parce blessé par un des engins tombés.Il est mort 1.136.536 fr. 69, d'où il résulte un excéde superstitions désuètes qu'il est inutile qu'elle est sensible à tous les souvenirs qui le surlendemain des suites de ses bles- dent de 29.015 fr. 40, auquel il faut ajouter
de rétablir en ce siècle d'émancipation mo s'attachent à vos murailles, parce qu'elle sures.
le report de l'exercice 1913 de 59.478 fr. 21,
Deux commencements d'incendie, rapide- ce qui donne un excédent de recettes de
raie. Les redresser serait rendre de la force comprend que vous faites partie du patriaux principes du passé et peut-être ruiner moine moral de la France... Vos clochers ment éteints, se sont déclarés, l'un rue 88.493 fr. 61 pour l'exercice 1914.
l'esprit nouveau... Pour les autres, moins qui rappellent à tous, le temps, à beaucoup Saint-Thiébaut, l'autre rue de l'Equitation.
Un rescapé
D'autres bombes ont été lancées sans caurigoureux dans leur façon de penser, les l'éternité, seront reconstruits par l'obole
temples ont une certaine valeur spirituelle, des croyants et, des impies, des Bretons et ser de dommages sur la place de la CroixUn Lunévillois, M. Schaal, vient d'être
une certaine utilité pour le corps social, des Provençaux, à jamais réconciliés dans de-Bourgogne, sur la statue de Thiers, dans rapatrié par Lyon avec le dernier convoi
aussi est-il nécessaire qu'ils revivent. Mais l'amour profond et vivace de tout ce qui le jardin de la clinique Vautrin, rue Palis- des grands blessés.
la loi du 9 décembre 1903 implique que fait la Patrie... La voix grave qui appelle sot, rue des Quatre-Eglises, rue Gilbert et
M. Schaal est le premier des grands blesl'Etat laïque doit ignorer les églises et que. les enfants à la défense du Pays, retentira place Boffrand.
sés de Lunéville revenu d'Allemagne; il
Ces avions, pris en chasse par les nôtres, avait été atteint le 22 août en Belgique et
par conséquent, ce n'est pas à lui de panser demain... toujours, dans les plaines laboleurs blessures, que c'est aux croyants de rieuses de Lorraine et dans les beffrois ont dû prendre la fuite. Vers 6 heures, ils on a dû lui faire l'amputation du poignet
refaire leurs autels.
droit.
ajourés des Flandres; elle sonnera l'Angé- avaient disparu.
Nous ne pouvons, quant à nous, inter- lus, elle frappera les heures, et chaque
Au retour un des appareils boches, atteint
M. Schaal est en bonne voie de convalespréter d'une façon aussi étroite les textes année, à l'anniversaire des deuils, elle re- par notre artillerie, a dû atterrir entre les cence à Besançon.
invoqués que certains peuvent blâmer, mais dira aux générations qui montent, ce qu'ont lignes françaises et allemandes. Les aviaUn espion
teurs ont pu s'échapper, mais l'avion est
devant lesquels nous nous inclinons puis- fait pour elles les soldats de 1915.
tombé
entre
nos
mains.
Il
a
été
ramené
à
qu'ils sont : la Loi. Les Eglises sont autre
Le
nommé
Singuerlé
(Jean), 48 ans, né à
Vieilles églises de France, la Nation vous
chose que des prières en pierres, elles sont rendra la vie... ce n'est pas la foi seule Nancy le lendemain et exposé sur la place Strasbourg, inculpé d'avoir eu des intelligences avec l'ennemi, participé au pillage
des forces politiques, artistiques et morales qui le réclame; c'est la raison qui sait re- Stanislas.
que nous n'avons pas le droit de mécon- connaître la force éducatrice des clochers;
avec les soldats allemands en armes et à
Un espion condamné à mort
l'incendie des maisons pendant l'occupation
naître. Comme telles elles constituent un c'est l'esprit national, c'est la beauté, qui
Un nommé Heck (Alexandre), ouvrier ser- de la ville, a été condamné à cinq ans de
patrimoine national et nous prétendons dès veut s'épanouir pour l'éternité dans les
rurier, à Nancy et avant à Schirmeck, con- travaux publics par le Conseil de guerre.
lors que l'Etat ne peut pas s'en désinté voussures audacieuses, dans les volutes
vaincu d'espionnage, a été condamné à mort
resser.
élégantes, dans les rosaces légères et fines... par le Conseil de guerre du 20e corps, siéLes taubes
Nous les regardons, les églises de France,
Pierre VASSEUR.
geant à Troyes.
A deux reprises différentes, le 30 et le
de la colline qui domine les confessions
Les débats avaient eu lieu à huit-clos. 31 juillet, les vilains oiseaux boches ont
religieuses, qui dépasse les intérêts des
Une quarantaine de témoins ont été en- essayé de survoler Lunéville.
partis, de la colline lointaine où... l'on
tendus.
Violemment canonnés, ils ont dû prendre
n'entend pas le cri des passions... et elles
Un réfugié assassiné
la fuite, non sans avoir lancé une vingtaine
NANCY
nous apparaissent dans toute leur simple
beauté. Elles sont des écoles de discipline
M. Schreiner (Nicolas), âgé de 24 ans, de bombes, qui n'ont causé aucun dégât.
Les disparus vivants
Plusieurs engins n'ont pas éclaté, d'autres
réfugié de Jeandelaincourt, à la caserne Mocar la hiérarchie imposée aux fidèles faciDepuis le mois d'août 1914, une dame
litor, à Nancy, a été lâchement assassiné sont tombés dans la Meurthe, les jardins ou
lite la soumission au devoir civique et les
Bannier, 41, rue de la Commanderie, à
dans cette ville, en face le n° 120 de la les prairies.
sanglants spectacles de la guerre nous ont
Nancy, était sans nouvelles de son mari, rue de la Hache.
montré comme la semence mystique sait
soldat au 5° d'artillerie à pied à Montmédy.
PONT-A-MOUSSON
Le malheureux, qui causait avec pluféconder les cœurs généreux. Elles sont des
Elle vient d'apprendre qu'il y est prison- sieurs camarades a été frappé d'un coup
Etat-civil
du 18 au 25 juillet
éducatrices du goût, car ce sont elles, vieilnier et en bonne santé. Il ne lui est pas de couteau au ventre par un individu qui
lottes églises romanes, élégantes paroisses
Mariage : Eugène Kopp, sergent d'infanpermis d'écrire. Une fois de plus, on voit a réussi à prendre la fuite. Transporté ausogivales, petites chapelles sans styles proqu'il ne faut pas désespérer d'avoir des sitôt à l'hôpital, il est mort pendant le terie et Maria-Juliette Langlais, couturière.
pres, qui rattachent les générations préDécès : Marie-Louise-Joséphine Peltier,
nouvelles des siens que l'on croyait morts. trajet sans avoir pu proférer une parole.
i célibataire, sans profession, 21 ans. — Ma-
CHEZ NOUS
ria Pompey, célibataire, sans profession,
BABAUCOURÏ
35 ans. — Jeanne Michel, célibataire, sans
Le
7 septembre, aux environs d'Harauprofession, 19 ans. — Joséphine-Octavie
André, veuve de Léopold Millet, ménagère, court (Meurthe-et-Mosèlle), le soldat Michot,
46
ans. — Léopoldine Millet, giletière, du 146° d'infanterie, eut la cuisse brisée
par une balle et, pendant huit jours, avec
23 ans.
trois de ses camarades, il resta étendu sur
Félicitations
le sol. Le 8, un Allemand porteur d'un pli
Le Conseil des notables a voté des félici- étant passé à proximité, les quatre blessés
tations à M. le lieutenant de pompiers Petit, l'appelèrent pour lui demander à boire;
pour le dévouement qu'il a apporté à la mais cet homme ne s'arrêta que pour leur
réorganisation de la compagnie et à sa belle tirer un coup de fusil à chacun. L'un des
conduite au feu, notamment lors de l'in- français fut tué.
cendie survenu le 10 juillet, dans la tour
EBBÉ VILLE U
sud de l'église du séminaire.
Bombardements
Les Communiqués officiels ont annoncé,
à plusieurs reprises, que Pont-à-Mousson,
ainsi que Maidières, avaient subi de nouveaux bombardements, entr'autre au moyen
de bombes incendiaires.
Les pompiers de Nancy, appelés, prêtèrent main-forte à leurs collègues de Pontà-Mousson pour combattre le feu.
On ne signale heureusement pas d'accident mortel.Une ou deux personnes seraient
blessées, mais les dégâts matériels sont
assez importants.
0 kultur!
BADON VILLERS
Un prisonnier de 13 ans
Le 29 juillet, dans le dernier train de rapatriement de nos soldats, est arrivé le
jeune Lemoine (Marcel), de Badonviller qui,
bien qu'âgé de 13 ans seulement, n'en
avait pas moins été fait prisonnier dans les
circonstances suivantes :
En février dernier, fuyant devant l'envahisseur, pendant que son père était fait
prisonnier, Marcel Lemoine fut atteint au
côté gauche par un shrapnell; il se réfugia
dans une cave, autant pour échapper à la
mort qu'aux cruautés des brutes teutonnes.
Mais, découvert dans sa retraite, il fut déclaré prisonnier. Un prisonnier de 13 ans!
En raison de sa blessure, on le transporta
à l'hôpital de Saint-Inwender où, bien que
guéri, il resta comme captif, subissant le
même traitement que les adultes.
Marcel Lemoine est, à l'heure actuelle,
avec ses parents réfugiés à Volnay (Côted'Or).
VALLEUOY
Le sieur Fossati (Carlo), sujet italien, qui,
le 12 avril 1914, jour de Pâques, avait
frappé mortellement un de ses compatriotes nommé Losa (Luigi) a comparu, le
2 août, devant la Cour d'assises de Meurthe-et-Moselle, siégeant à Vesoul.
Le meurtrier a été acquitté.
Le 25 août, à Erbéviller (Meurthe-et-Mo
selle), le sous-lieutenant Castetbieilh, du
E
32 d'infanterie, vit tomber devant lui trois
hommes de sa section, les nommés Vilaineau, Leroux et Benoît, blessés, le premier
par un éclat d'obus à la poitrine, le second
par une balle dans le ventre et le troisième
par une balle dans les reins. Contraint de
se replier, il les laissa derrière une haie, à
150 ou 200 mètres des Bavarois. Le lendemain, en venant reprendre les positions
abandonnées, il se porta, avec les sergents
Fourré et Henrié, à l'endroit où il comptait
relever ses soldats; mais il les trouva morts
tous trois. Le cadavre de Vilaineau portait
deux plaies, l'une derrière l'oreille droite,
l'autre dans le cou, au sommet de la poitrine. Leroux et Benoît avaient reçu chacun
une balle, le premier dans l'oreille et le
second sous le menton.
La déposition du lieutenant Castetbieilh
se trouve corroborée par celle du soldat
Ebraly. Avec dix-sept de ses camarades,
blessés comme lui, cet homme a été surpris
à Erbéviller par les Bavarois. Il a été frappé
d'une balle à l'épaule, et tous ses compagnons, parmi lesquels il cite Vilaineau, Leroux et Benoît, ont été massacrés.
COURBESSKAl X
c'est lui-même qui nous a fait le récit de
l'attentat dont il a été victime.
BACCARAT
Il est établi, en outre, par les enquêtes,
que l'armée allemande tire continuellement
sur nos ambulances comme sur nos convois
sanitaires, et qu'elle le fait en pleine connaissance de cause. Cela résulte d'un très
grand nombre de dépositions. C'est ainsi
que, le 25 août, l'Hôpital de Baccarat fut
en butte au feu de l'artillerie, après avoir
été désigné aux batteries ennemies par la
fusée d'un aéroplane qui l'avait survolé.
XIVRY-CIRCOURT et RÉMÉRÉ VILLE
C'est ainsi encore qu'à Xivry-Circourt, le
août, les Allemands ont tiré à une distance de 40 mètres sur des voitures portant
le pavillon de la Croix-Bouge; qu'à Berryau Bac, à Réméréville et en bien d'autres
endroits, ils ont dirigé volontairement leurs
obus sur des édifices dans lesquels étaient
entassés des blessés.
Le rapport est signé :
Payelle (Georges), premier président de
la Cour des Comptes.
Mollard (Armand), ministre plénipotentiaire.
Maringer (Georges), conseiller d'Etat.
PaÙlot (Edmond), conseiller à la Cour de
Cassation.
^—■———■—■
22
lÔsTÔRTS GLORIEUX
Waldschmidt (Charles-Louis), de Nancy, réserviste au 37e d'infanterie, mort des suites
de ses blessures à Morhange, à l'âge de 31 ans.
Durand (Paul-Lucien), de Pont-à-Mousson,
engagé volontaire
d'infanterie, tué face
à l'ennemi le 9 mai au combat de HauteAvesnes.
Lacresse (Hippolyte), de Pont-à-Mousson, réserviste au 26e bataillon de chasseurs, tombé
glorieusement à Montfaucon, le 22 août et mort
des suites de ses blessures le 3 septembre 1914.
Friderich (Auguste), de Nancy, lieutenant au
...e d'infanterie, engagé volontaire, décoré de
la médaille du Tonkin, de la médaille militaire
et de la croix de guerre, mort pour la Franc*
le 19 juin 1915, à l'âge de 36 ans.
Pierson (Léopold), de Pont-Saint-Vincent, réserviste au 6e régiment d'artillerie à pied, conducteur d'auto, mort des suites de maladie
contractée au service le 13 février 1915.
Wendling (Emile), de Villey-le-Sec, engagé
volontaire au 153e d'infanterie, tombé au
champ d'honneur dans sa 19e année.
Le même jour, près de Courbesseaux
(Meurthe-et-Moselle), le sergent Pageaut,
du 279E régiment d'infanterie, ayant reçu
une balle dans l'épaule, était étendu auprès
d'un sous-officier du 79E, nommé Martin,
quand arriva sur lui une section allemande
déployée en tirailleurs. L'officier qui commandait cette troupe adressa en français la
parole à Martin et, comme celui-ci ne répondait pas, lui tira à bout portant un coup de
revolver dans le ventre. Il fit ensuite, avec
son sabre, sauter le képi que Pageaut avait
placé sur ses yeux pour se garantir du soleil et dit : « Etes-vous blessé? » Le sergent
répondit affirmativement en montrant le
Foncin (Léon), au 16e bataillon de chasseurs,
sang dont sa capote était couverte. L'Allesoigné à l'Hôpital 321, 47, rue de Naples, à
mand leva alors son sabre et deux soldats Paris.
portèrent chacun à Pageaut un coup de
Husson, sous-lieutenant des spahis marocrosse sur la tête.
cains, d'Hannonville-au-Passage, en traitement
à l'Hôpital auxiliaire n° 160.
NOS
BLESSÉS
ARRACOURT
LES BARBARES
Le Journal Officiel du 3 août publie le
quatrième rapport présenté à M. le Président du Conseil par la Commission instituée
en vue de constater les actes commj^ par
l'ennemi en violation du droit des gens.
Ce rapport relate une longue série de faits
plus criminels et plus abominables les uns
que les autres, prouvant que si les hordes
du Kayser, comme il a été précédemment
établi se montrent si cruelles à l'égard des
populations civiles, elles méconnaissent
aussi vis-à-vis des combattants, les lois les
plus élémentaires du droit des gens et les
devoirs les plus sacrés de l'humanité.
H ne remplit pas moins de 23 colonnes
de l'Officiel et cependant les rapporteurs
déclarent ne produire qu'un résumé de la
volumineuse enquête à laquelle ils se sont
livrés sur les procédés de guerre de nos
sauvages ennemis.
Une armée ayant commis des crimes semblables est non seulement elle-même à jamais déshonorée, mais a jeté sur la nation
dont elle est l'émanation, un voile sanglant
de honte dont elle ne se relèvera jamais
devant l'histoire et l'humanité tout entière.
Nous relevons dans ce rapport les faits
qui se sont déroulés en Meurthe-et-Moselle.
MAIXE
Le 4 septembre, à Maixe (Meurthe-etMoselle), le soldat de lre classe Berjat, du
E
156 , fut atteint par 6 balles. Il était étendu
sur le champ de bataille, après le combat,
quand une patrouille du 3° régiment d'infanterie bavarois, occupée à retourner les
morts, s'approcha de lui. Les hommes qui
la _ composaient semblèrent se concerter,
puis l'un d'eux, s'étant porté à quatre ou
cinq pas du blessé, lui tira un coup de fusil
à la tête. La balle entra au-dessous de l'œil
droit et sortit sous le menton, après avoir
fracassé la bouche et fait à l'infortuné une
blessure horrible qui l'a complètement défiguré. Les déclarations de Berjat sont absolument confirmées par les constatations des
professeurs Quénu et Terrien, de la Faculté
de médecine de Paris, et par les docteurs
Chevalier, Neuvy et Mawas.
~LES R. A. T DES CLASSES
1887 ET 1888
Le 8 septembre, près d'Arracoûrt (Meurthe-et-Moselle), le soldat Schgier, du 226"
régiment, a assisté au meurtre de son lieutenant, M. Michaud. Cet officier, grièvement
Dans nos régions frontières, les hommes
blessé, était étendu à terre, quand une dou- de ces classes ont été mobilisés dès le 2 août
zaine de chasseurs du 2E bataillon de la jour de la mobilisation générale.
garde impériale lui enlevèrent son revolver
Ils sont actuellement, comme on le sait,
et \ui en déchargèrent trois coups dans la renvoyés dans leurs foyers, à la disposition
tête. Vigoureusement poursuivis, les meur- du Ministre de la guerre.
triers furent passés à la baïonnette par nos
M. Jenouvrier, sénateur, s'est inquiété de
fantassins.
savoir si, lorsque ces mobilisables seraient
MERCY-LE-HAUT
rappelés sous les drapeaux, il n'y aurait
Le 22 août, après la bataille de Mercy-le- pas lieu de commencer par convoquer ceux
Haut (Meurthe-et-Moselle), le médecin auxi- qui n'ont été mobilisés qu'à une date plus
liaire Mozer, interne des hôpitaux de Paris, ou moins postérieure à la mobilisation et
qui avait passé une partie de la journée à retarder d'autant l'appel de ceux qui ont
soigner des blessés, essuya dans la soirée été mobilisés dès le 2 août.
Pour répondre à cette question, le Mile feu d'une patrouille ennemie. Il s'abrita
alors derrière une voiture et tenta de s'ex- nistre de la guerre a fait connaître qu'il
pliquer en allemand. Une voix lui répondit serait prématuré de fixer, dès maintenant,
en français : « Levez-vous et venez ». Ayant d'une façon ferme, les mesures qui pourobéi, il se trouva en présence d'un sous- raient être prises, le cas échéant, à l'égard
officier qui, après l'avoir fouillé, le condui- de cette catégorie de militaires, l'appel des
sit auprès d'un capitaine. Ce dernier lui classes 1887 et 1888 n'étant pas actuelleenleva son revolver et lui' ordonna de le ment envisagé.
On a tout lieu de croire que, lorsque ce
précéder pour entrer dans une maison. En
arrivant près de la porte, comme le capi- rappel sera décidé, les hommes ayant été
taine disait au médecin de tourner la tète, mobilisés dès le début delà guerre, seront
celui-ci sentit que l'officier lui plaçait sur mis en sursis d'appel, pour une durée égale
la tempe gauche le canon du revolver. à celle de leur mobilisation.
Pensant qu'on voulait simplement l'effrayer
LES COXTRIBl TIONS ET LES
et ayant entendu d'ailleurs jouer plusieurs
fois le barillet de l'arme qui était au cran
PRESTATIONS DES FERMIERS
de sûreté, il fit bonne contenance; mais il
M. Marin (Louis), député de Nancy, a
finit par se retourner pour demander si ce
reçu la lettre suivante du Ministre des
qu'il croyait être une mauvaise plaisanterie Finances :
n'allait pas prendre fin. Aussitôt un coup
« Paris, 27 juillet 1915.
partit. Atteint derrière l'oreille gauche par
Monsieur le Député,
une balle qui sortit au-dessous de l'œil
Vous avez bien voulu m'exprimer le dédroit, M. Mozer tomba sur le sol, souffrant
sir de savoir si dans les régions évacuées
atrocement et crachant le sang.
ou situées sur la ligne de feu, le fermier
Ayant pu néanmoins regarder de côté,
qui ne peut pas payer de redevance au
tandis qu'il était étendu, il vit que son
propriétaire doit néanmoins acquitter ses
agresseur continuait à le viser, et il l'encontributions et prestations pour 1914 et
tendit en même temps dire : « Ne bougez 1915.
pas. » Mais, à cet instant, un autre officier
J'ai l'honneur de vous fournir ci-après
allemand s'interposant interpella violemles renseignements qui répondent à votre
ment le meurtrier et releva le blessé, en demande :
s'écriant : « C'est une honte et une infamie
1° L'année 1914. — En droit, le fermier
qu'on vient d'accomplir! » M. Mozer a heureusement survécu à sa grave blessure et est et reste en tout état de cause redeva! ble pour l'année entière de ses contribu-
tions et prestations régulièrement établies
au 1ER janvier. Ce n'est qu'a titre purement gracieux qu'il peut en obtenu-, sur
demande individuelle, le dégrèvement total ou partiel, s'il est reconnu que les événements actuels l'ont privé des ressources
nécessaires pour lui permettre de se libérer. Encore est-il à remarquer que, en ce
qui concerne les prestations, 1 allocation
des dégrèvements de l'espèce est de la compétence exclusive des municipalités.
° Année 1915. - Dans les régions éva2
cuées, bombardées et, d'une façon générale, particulièrement éprouvées par 1 état
de guerre, des mesures spéciales ont été
prises pour faire allouer d'office, en dégrèvement toutes les cotisations qui seront
reconnues ne plus correspondre, en totalité
ou en partie, aux facultés contributives des
imposés.
Agréez, Monsieur le Député, 1 assurance
de ma haute considération et de mes sentiments dévoués.
Le ministre des Finances : BIBOT. »
LES UNIFORMES DES PRISONNIERS
L'agence des prisonniers de guerre a reçu
la communication suivante :
« Le Ministre de la guerre nous informe
que d'une communication officielle du gouvernement allemand, il résulte que les vêtements civils envoyés aux prisonniers français en Allemagne, seront remis à leurs destinataires à la condition qu'ils soient en
drap noir et pourvu d'un passepoil jaune
cousu au veston et au pantalon ».
LISTE DES MM REÇUS
du 10 juin au 20 juillet
Francs
M. le Vicomte E. de Montureux,
34, rue de Chaillot, Paris
20 »
Recette supplémentaire Enesco (direction Dandelot), concert du 25
mai, au profit des prisonniers
de guerre (suite)
40 »
Société de Comrnentry-Fourchambault et Decazeville, 84, rue de
Lille, Paris
.
500 »
M. Delattre, capitaine, 17, rue de
Rigny, Nancy
50 »
M. Lemarquis, 80, rue Taitbout,
Paris
50 »
M. Domange, professeur, 68, rue
Saint-Julien, Vanves
34 »
Anonyme, remis par M. Mary....
10 »
Mme Jacoby, 2, rue du Pas-de-laMule, Paris
20 »
M. E. Duchateau, directeur Banque
de France, La Roche-sur-Yon..
5 »
Recette de la Vente de Charité du
14 juin, au profit des prisonniers
de guerre
14.030 35
M. A If. Brichon, hôtel de la Meuse,
Nancy
15 »
M. Jambois, conseiller à la Cour
(Affectation aux militaires du
front)
50 »
Mme Rogerie-Lagrange, 4, rue Tandou, Paris
3 »
Recette, concert du 20 juin, salle
des Agriculteurs (direction Dandelot)
616 65
Journal Le Figaro, 26, rue Drouot,
Paris
1.000 »
.V. Schlemer, soldat au 6e bataillon,
2' Cie de douaniers, Yendeuvresur-Barre
5 »
M. Lataille, 50, boulevard Malesherbes, Paris
50 »
Divers contenus dans le tronc de
la Permanence
25 »
M. Emile Bertier, 25, rue de Thionville, Nancy
20 »
Mme Vve J. Legris, 35, rue SaintAmbroise, Paris
50 »
M. Emile Alean, 75, rue Saint-Lazare, Paris
50 »
M. Bertrand, 1, rue de Clichy,
Paris
40 »
M. Vouaux, soldat infirmier aux
trains sanitaires
5 »
MM. Joseph frères, 129, boulevard
Saint-Michel, Paris
10 »
M. Frantz, 48, rue de Liancourt,
Paris
10 »
Anonyme
2 »
M. le Commandant Lazard, 20e régiment d'artillerie
10 »
M. Fordoxel, Chateauneuf (Puy-deDôme) ^
20 »
M. le Général Jibet, remis par le
Docteur Heim (affectation au
budget des prisonniers)
100 »
La Compagnie Electro-Mécanique
du Bourget
100 »
Etat civil des RéîuGjié5
NAISSANCE
Duthois (André), fils de Désiré-Iréné et de
Leroy (Elise), de Jœuf, 21, rue Léon, à Paris.
DECES
Damche (René), 1 an, d'Arraye-et-Ha.n, à
Nancy.
Dardenne (Rose), née Bertrand, 54 ans, de
Jezainville, à Nancy.
Fleury (Marie), née Mathieu, 44 ans, de Toul,
à Nancy.
Borckholtz (Jules), 22 ans, de Jaulny, à
Nancy.
Mme Worms (Myrthil), née Jacob, de Pont
à-Mousson, à Paris, 47, rue Rochechouart.
BULLETIN
DE
MEURTHE
fatigue ni danger. A été à plusieurs reprises,
dans des endroits très exposés, panser des blessés que les brancardiers ne pouvaient aller
cl
chercher avant la nuit.
Médaille Militaire
e
Béchet (René), sergent au 18 bataillon de ^ Veau (Edmond), sergent au 26' : a entraîné
avec 1$ plus grande bravoure sa section à l'aschasseurs de Longuyon :
sa
saut
des tranchées ennemies sous un feu vio« Au cours d'une attaque à la baïonnette, est le
de mitrailleuses. A été blessé en arrivant
entré le premier dans la tranchée allemande, lent
si
sur la position.
suivi par un petit groupe de chasseurs. Par
e
e
son attitude énergique et la rapidité de son d, Deschamps, soldat au 26 , 7 compagnie :
déjà
cité
à
l'odre
de
la
brigade
et de la diviaction, a réussi à en imposer à l'adversaire, si
D'une bravoure remar uable, a entraîné
à entraver toute, tentative de défense, et à obte- sion.
<
s
sous
le feu sa section momentanément sans
nir la reddition de plus de cinquante ennemis, cl
s'est dépensé sans compter au cours de la
dont trois officiers appartenant au corps de la chef,
n
nuit qui a suivi l'attaque pour ramener ses
garde. »
a
blessés, les protégeant de son feu
Sonnois, adjudant au 79* : très bon sous- camarades
oc
officier; a fait preuve pendant l'attaque du contre les patrouilleurs ennemis.
Boulet, sergent au 37e : commandant un
9 mai de bonnes qualités de chef en entra!g]
groupe
de grenadiers, s'est trouvé seul au
nant la fraction qu'il commandait. S'est main- d«
débouché d'un boyau en face d'un groupe
tenu avec les éléments les plus avancés jus- ei
ennemi qui contre-attaquait en lançant des
qu'à la nuit et ne s'est leplié que par ordre, h
bombes. Par son sang-froid et son adresse, a
sa section étant aventurée dans les fils de fer à a)
arrêté
l'ennemi à coups de grenades, l'a obligé
2.500 mètres de son point de départ.
à
à se replier et l'a poursuivi en tuant beaucoup
Desjardins, sergent au 79" : blessé une pre- d'hommes.
d
mière fois. Sous-officier très énergique et très
e
courageux. N'a cessé de donner le bon exemple si Dehay, soldat au 37 : atteint de trois blessures dont une très grave, a réussi à rejoindre
à ses hommes, ayant reçu deux blessures n'a h
les lignes françaises sous le feu de l'ennemi.
quitté la ligne de feu que sur l'ordre formel E
Est
demeuré de longues heures dans la tran«le son chef de section.
]
c
chée
sans pouvoir être relevé, ne proférant auMongin, soldat de Ie classe au 79e : sur le ci
cune plainte et donnant un magnifique exemfront depuis le début des hostilités. Soldat p
pie d'endurance et de courage en dépit d'atroplein d'entrain et de dévouement. S'est distin- ci
ces souffrances.
gué dans toutes les actions où la compagnie
Parade, soldat au 37e : s'est précipité sous
a été engagée. Au cours de la dernière attaque u
une vive fusillade pour rapporter un trépied
a tué plusieurs Allemands de sa main. S'est d
de mitrailleuse au moment d'une violente
prodigué pour transmettre sous un feu intense c
contre-attaque de l'ennemi. A ainsi permis à la
des renseignements et a pris le commandement »
section de mitrailleuses de reprendre son feu
d'un groupe d'hommes qui commençait à fié- ssur une nouvelle position.
chir pour attaquer une position garnie de miCousinat, adjudant-chef au 37e : sur le front
trailleuses. A enlevé cette position et pris trois d
depuis
le début de la campagne, a montré beaumitrailleuses.
c
coup de courage et fait preuve de dévouement.
Hellouis. soldat réserviste de Ie classe au 79e: I
Blessé le 14 mai à l'attaque d'un village.
sur le front depuis le début des hostilités. SolLenert, sergent-fourrier au 37e : a franchi
dat d'une bravoure et d'un allant incompara- ],
le premier la barricade de la route du cimeMes. An cours de la dernière attaque de tran- t
tière, a tué un officier allemand qui se repliait
chées a tué trois Allemands de sa main, et, aidé a
avec sa section, s'est précipité à la suite de son
de quatre camarades, dont il a pris le comman- r
lieutenant à l'attaque du cimetière où il est
dément, a fait 32 prisonniers, dont deux offi- e
entré un des premiers. A fouillé le cimetière
ciers et un feldwebel, qu'il a ramené à la e
et a tué plusieurs Allemands de sa main.
division.
T
Blessé en septembre, a demandé à revenir sur
e
Rocher, sergent territorial au 79 : au cours le
1 front. Très courageux.
de l'assaut du 9 mai a réussi par son énergie,
Huron (Charles), adjudant de réserve de bason sang-froid et son habileté à faire avec quel- t
taillon au 69e : blessé le 19 novembre, rentré
ques hommes seulement 20 prisonniers dont un au
a front le 14 février à peine guéri, a pris
officier supérieur et un autre officier armés et j
part à toutes les actions du régiment.: A
décidés à se défendre. A mené ensuite admira- r
montré autant de sang-froid au feu que de
blement sa troupe à l'attaque.
z
zèle et d'intelligence dans ses fonctions.
Humbert, sergent réserviste au 79' : s'est
Girard, sergent grenadier au 69' : a montré;
distingué en maintes circonstances, poussant la c
dans l'attaque des tranchées ennemies un
bravoure jusqu'à la témérité. A l'attaque du e
exemple de bravoure et d'énergie farouches :
9 mai, son chef de section venant d'être mortel- a
à réussi à refouler l'ennemi en lui tuant un
lement frappé, a pris le commandement de la p
grand nombre d'hommes, facilitant ainsi la
section et l'a vigoureusement entraînée à l'as- rprogression de la compagnie.
saut sous un feu violent de mitrailleuses. A
Bouyer, sergent au 69e : n'a cessé depuis le,
été blessé peu après d'une balle à la main.
c
début de la campagne de donner l'exemple diu
Laborde, adjudant-chef au 79e : blessé une c
dévouement et du courage. Blessé le 20 août,
première fois le 25 août, revenu au front de- r
revenu au front à peine guéri. Le 13 mai, au
puis le 1er février, chef de section dévoué et c
cours d'un bombardement violent qui avait tué;
ardent, blessé d'un éclat d'obus dès le début de c
1 ■ ou blessé autour de lui plusieurs hommes, a[
l'action, a persisté à marcher, se faisant aider r
maintenu par son sang-froid et ses paroles!
par ses hommes, pour franchir les tranchées; é
le calme le plus complet dans la\
n'est resté en arrière que sur l'ordre du com- sénergiques,
section qu'il commandait.
mandant de compagnie.
NOS HÉROS
Schmit, soldat réserviste de l6 classe au 79e :
s'est conduit d'une façon remarquable à l'assaut des tranchées ennemies au combat dui
9 mai. Dans un corps à corps, a, avec un grandI
sang froid, débouché une grenade qu'il a lancée,
à bout portant sur deux grenadiers allemands.
Domy, caporal au 79° : après l'enlèvement
d'une tranchée, a raUié ce qui restait de sa'
section, en a pris le commandement, a interdit.
l'accès d'un boyau à des forces très supé-'
rieures qui cherchaient à nous déborder, a
maintenu la position, y a été grièvement blessé.
Guenet (Louis), adjudant au 26° : 5e compa-[
gnie : déjà cité à l'ordre du régiment. A entraîné vigoureusement sa section jusqu'aux.
tranchées ennemies, où il s'est maintenu jus-^
qu'à la tombée de la nuit sous un feu très
violent.
Jatilette, adjudant au 226e : entendant exploser une mine, s'est porté vivement dans la
tranchée de première ligne pour encourager ses,
hommes et se rendre compte de la situation.
A été blessé par l'explosion d'une secondej
mine.
De la Porte des Vaux, adjudant de réserve,
au 226e : chef de section, véritable entraîneur'.
d'hommes, qui s'est présenté volontairement à1
plusieurs reprises pour conduire la nuit des
patrouilles jusqu'aux tranchées ennemies. A
rapporté des renseignements intéressants. A
été blessé sérieusement en regagnant nos;
lignes.
Brandon (Edouard), adjudant au 237e : a fait
preuve pendant l'attaque du 10 mai d'une
énergie remarquable. A été blessé en entraînant sa section sous un feu violent de mitrail-■
leuses.
Mayet, médecin auxiliaire au 237e : a faiti
preuve d'un sang-froid et d'un courage mer-■
veilleux en allant, à deux reprises, sous lesi
balles et les obus, panser des officiers griève-ment blessés en un endroit dangereux difficile?
à aborder. A été légèrement blessé par dess
éclats d'obus.
Relier (Jacques), médecin auxiliaire au 279e .
nuit et jour à l'œuvre, prodiguant ses soins;
aux hommes des corps voisins quand son régi-;
ment n'est pas engagé; son zèle ne redoute nii
j
CITATIONS CIVILES
Le Journal Officiel du 4 août publie une liste
c
de
citoyens français qui se sont particulière-'
"
ment distingués depuis le début des hostilités,
i
(
dans
laquelle nous relevons les noms suivants :
■
M. Coulon, juge de paix à Badonviller (Meur'
1
the-et-Moselle) : demeuré à son poste après la1
retraite
]
de nos troupes, fut, après avoir échappé5
c
à la fusillade, arrêté avec vingt-cinq habitants!
(
de
sa commune, sous l'inculpation d'avoir tiré5
s
sur
les Allemands et emmené avec eux. Ne
{
cessa de prodiguer ses encouragements à sesî
s
compagnons
!
de captivité et s'employa à prouver
leur Innocence. Revenu à Badonviller avec uni"1
(
convoi d'otages qu'il y ramena, s'efforça de3
'
pourvoir
aux nécessités les plus urgentes et
1
contracta
une affection cholériforme en organi-'
!sant des travaux d'assainissement.
M. Thirion, ordonnateur de l'hôpital de3
Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle) : repré(
sentant de la municipalité sur la rive droite de■3
1
la
Moselle, s'est rendu chaque jour à son poste;
sous le bombardement et en courant les plus
5
grands
'
dangers. A fait preuve d'un courage et
t
'd'un dévouement dignes d'éloges.
-,
———■—■■«—————
1
1
[
Rapatriés
de Meurthe-el-ffloselle•
<
Convoi
du 3 août matinI
AUBOUE
1Lamy (Maria, née Petitcolin, Jean, Régine) —
Annemasse.
BOUXIEBES
(Garât (Eugène) — Annemasse.
DOMPTAIL
JLabourel (Prosper) — Annemasse.
JARNY
,Aufiêro (Marie, née Pêligri, Jean, Angèle, Béatrice, Pascal) — Bugeaud, chez M. Péligrii
(Algérie).
<Ceccarelli (Henriette) — Bugeaud (Algérie),
chez M. Péligri.
<
Schmitt
(Maurice) — Vignieux (Loire-Inférieure), chez Mme Vve Schmitt.
' Vigneron (Marcel) — Marvejols (Lozère), chezZ
M. Bacus.
L0N6WY
Existantdepuis quinzeans, superbesitua-- iMirgitet (Alice) —■ Annemasse.
tion près des Champs-Elysées Cham- .
PANNES
bres meublées très confortables 25,30 et[. 'Bastien (Justine, née Fonde) — Annemasse.
Fonde (Théophile, Anna, née Picard) — Anne3=; francs par mois.
masse.
S'adresser au Comité, 1, rue des MathuVANDIERES
rins.
1Muths (Marie-Louise) — Annemasse.
MAISON TRES RECOMMANDEE
II
ET
MOSELLE
^
VJXLERS-SOUS-PRENY
B
Bertin (Marie, Emile) — Crépey, par Colombeyles-Belles (Meurthe-et-Moselle).
K
Klein (Joséphine, née Equierre, Pierre, Léon)
— Crépey, par Colombey-les-Belles (M.-et-M.)
chez M. Equierre.
VILLERDPT
G
Grange (Maria, née Mohimom, Hélène) — Annemasse.
c
il
"
ADRESSES DES RÉFUGIÉS,
ÉVACUÉS ET RAPATRIÉS
DE MEURTHE-ET-MOSELLE
7e liste supplémentaire arrêtée au 15 Juillet 1915
ARRONDISSEMENT DE TOUL
(suite)
3
A
Mathieu
(Valentin) — Marseille (B.-du-R.).
SAINT-BAUSSANT
£Hocquart (Léon, Marie) — Vic-le-Fesq (Gard).
!\Nicolas (Marie) — Vic-le-Fesq (Gard).
THIAUCOURT
CCrochat (Ernest) — Fourques (Gard).
TOUL
A
Ador
(Emilie) — Béziers (Hérault).
ilMasson (Maria) — Béziers (Hérault).
Z
Zehbauer
(Emile) — Béziers (Hérault).
XAMMES
Bienfait (Mélanie née Lionnet 79 ans) ■— Collioure (P.-O.).
1Bérard (Suzanne, née Matiot 83 ans) — Collioure (P.-O.).
Jacquemin (François 52 ans) — Argelès-surMer (P.-O.).
l
Lionnet
(Félix 80 ans, Rose, née Perrin 76 ans)
— Collioure (P.-O.).
Louis (Nicolas) — Collioure (P.-O.).
Morel (Pierre) — Collioure.
j|
Matiot (Eugénie) — Perpignan (P.-O.).
Mengelle
(André 76 ans) — Collioure (P.-O.).
j
Perrin (Adèle, née Maujendre 70 ans) — Col; lioure (P.-O.).
jPerson (Jean) — Caudiès (P.-O.).
Person
(François) — Caudiès (P.-O.)
j
Person (Julie née Philippot 68 ans. Louis
27 ans) — Caudiès (P.-O.).
\
_
EUVEZIN
Bastien (Théophile 69 ans, Marguerite 16 ans)
Corneilla-laRivière (P.-O.).
"Bildé (Célestine, née Chalet 74 ans, Delphine
66 ans, Charles 66 ans, Augustine née Udol,
Jeanne 35 ans, Paul 42 ans, Félicien 48 ans)
Estagel.
b
Burté
(Alfred 67 ans, Annette née Bruzien,
66 ans) — Estagel.
I
(
Chalin
(Marie-Catherine, 70 ans) — Estagel 1
(P.-O.).
t
ANGOMONT
Chébille
(François-Théophile, 67 ans, Mélanie i
(Rosalie) — Cannes (Alpes-Maritimes).
Bilon 58 ans) — La Tour de France (P.-O.). Bernard
(Clément (Adrienne, Maria) — Cannes (AlpesChevret (Cyrille 67 ans, Lucie, née Georges
58 ans, Henri 30 ans) — St-Laurent de la Sa- , Maritimes).
Collignon
(Clémentine, Marie) — Grasse.
langue (P.-O.).
]
*Dillon (Julia, 56 ans) — St-Laurent de la Sa- Paradis-Poirot (Catherine) — Cannes.
Masson (Marie) — Nice.
langue (P--0.).
AUTREPIERRE
(
Grevier (Maria, née Willauer 50 ans) — Saint- (
Contai (Auguste) — Fourques (Gard).
Laurent de la Salangue (P.-O.).
(Pierre 14 ans) — L'Isle Jourdain (Gers)
'Grosdidier (Félicie, née Masson 49 ans, Mar- Biaise
:
(Camille) — Marciac (Gers).
celle 11 ans, Joseph 80 ans) — Villeneuve- Bailly
;
c
Bernard (Victorine), 69 ans — Aramon (Gers).
de-la-Rivière (P-.O.).
'Guerchoux (François. 75 ans) — St-Laurent- Bernard (Edouard, 71 ans, Louis, 63 ans, Marie,
née Loudman, 59 ans, Julia, née Hinzelin,
de-la-Salangue (P.-O.).
30 ans, Marie, née Henri, 75 ans, Mare, 58
Janin (Marie) — St-Laurent-de-la-Salangue (Pyans, Mélanie, 24 ans) — L'Isle Jourdain.
rénées-Orientales) .
Janin
*
(Sidonie, née Martin 69 ans) — Argelès- Bernard (Louise) — Lectoure (Gers).
Boulanger (Constance, née Gari, 50 ans, Marsur-Mer (P.-O.).
guerite, 20 ans — Vic-Fezensac (Gers).
'
Lallemand
(Théodore 74 ans, Adèle née Bildé
63 ans, Yvonne 11 ans) — St-Laurent-de-la- Boulanger (Amélie, Joseph, 78 ans) — Bassoues (Gers).
Salangue (P.-O.).
'Lallemand (Amélie, née Bastien 66 ans) — La Brejeard (Isabelle, née Martin 46 ans, Berthe
16 ans, Joseph 12 ans) — Mauvezin (Gers).
Corneiile-la-Rivière (P.-O.).
Brejeard (Jeanne née Touveneur 38 ans, Lucie
'Loustre (Eugénie, 56 ans) — Estagel (P.-O.).
14 ans, Suzanne 12 ans, Louis 5 ans) —
'
Loustre
(Joséphine, née Messin 56 ans, Marie,
LTsle Jourdain (Gers).
17 ans, Camille, 4 ans) — Villeneuve-la-RiBrejeard (Marie, née Louis 32 ans, Louis
vière (P.-O.).
9 ans, Emile 9 ans, Rosa 7 ans, Louis 2 ans,
Raux (Juan) — Caudiès (P.-O.).
Jeanne 8 mois, Victorine 70 ans, Marie
'
Rouyer
(Laure Masson 30 ans, Marie 7 ans,
39. ans) — Mauvezin (Gers).
Gustave 6 ans, Marius 5 ans) — ArgelèsCharles (André 15 ans) — MaTciac (Gers).
sur-Mer.
'Rouyer (Stéphanie Martin 61 ans) — Argelès- Claudon (Emile) — Lectoure (Gers).
Claudon (Félicie, Emile) — Saint-Olar (Gers).
sur-Mer.
Claudon (Félicie 64 ans) — Lectoure (Gers).
FEY-EN-HAYE
'
Comte
(Elisabeth, née Chardin 72 ans, Fran- Contai (Félicie, née Jacquemin 44 ans, Félicien
15 ans, Maurice 14 ans, Henri 13 ans, Alice
cois 19 ans) — Toreilles (P.-O.).
10 ans, Marcel 9 ans, Aimé 7 ans) —' MasJAULNY
1
seube (Gers).
Bouf
(Ferdinand 57 ans, Léontine 54 ans, Grégoire-Marie 37 ans, Fernand 2 ans, Suzanne Cotel (Adolphe 9 ans, Eulalie 8 ans) ■— LTsle
de-Noé (Gers).
4 ans, Paul 1 an) — Pia (P.-O.).
1
Cometti
(Auguste-Charles -46 ans, Charles Cuny (François 80 ans, Alphonse 62 ans, Adeline née Hans 62 ans) — Saramon (Gers).
1 12 ans) — St-Frein d'Aval (P.-O.).
Dédenon (Catherine, née Thouveny, Eugénie,
Chale
(Marie,
née
Genêt
50
ans)
—
Pia
(P.-O.).
1
14 ans) — L'Isle Jourdain (Gers).
Châteaux (Philomène née Bonhomme 44 ans,
Emma 19 ans, Lucie 10 ans, Adrienne 12 ans Dédenon (Anna, née Mathieu 50 ans, Marie
14 ans) — Saramon (Gers).
Berthe 4 ans) — Pia (P.-O.).
Defaux (Amélie, née Mangeot 35 ans, Alice Dédenon (Marguerite 16 ans, Madeleine 13 ans,
Cécile 26 ans, Appoline 25 ans, Félicie née
15 ans, Irma 13 ans, Renée 5 ans) — TorJacquot 51 ans) — LTsle Jourdain (Isère).
. reilles (P.-O.).
Dongé (Victorine, née Gelhaye 46 ans) — Es- Dêdenwn (Juliette) — Saramon (Gers).
Didier (Anastasie, née Martin 40 ans, Irma
ta'gel (P.-O.).
6 ans, Claire 8 ans, Paul 11 ans, Camille
Donge (Hyppolite 64 ans, Christine 63 ans) —
13 ans, Armand 15 ans) — Mauvezin (Gers).
Villeneuve-la-Rivière (P.-O.).
Fouillât (Elise, née Gelhaye 50 ans, Emma 22 Didier (Pierre 15 ans) — Saramon (Gers).
Elmerich (Catherine 67 ans) — L'Isle Jourans, Augustine 17 ans) —■ Estagel (P.-O.).
dain.
Fresse (Aurélie) — Collioure (P.-O.).
Gelhaye (Charles 45 ans, Marguerite 18 ans, Garry (Marguerite née Janin 76 ans) — VicFézensac (Gers).
Louis 12 ans) — Estagel (P.-O.).
Gelhaye (Julie, née Antoine 78 ans) — Estagel Glande (Joséphine) — LTsle de Noé (Gers).
Graff (Marie, née Georges, 56 ans) — Lectoure
Pyrénées-Orientales).
(Gers).
Génin (Joséphine, née Robert 36 ans, Robert
Graff (Marie, née Dédenon, 28 ans, Charlotte,
12 ans) — Pia (P.-O.).
2 mois, Marthe, 2 ans, Lucien, 4 ans) — BasGrégoire (Marie née Fouillot 25 ans) — Estagel
soues (Gers).
(Pyrénées-Orientales).
Parfait (Elise, née Leprince, 49 ans) — Pia Jambois (Charles) — Margniac (Gers).
Kimé (Marie) — LTsle Jourdain (Gers).
(P.-O.).
Perrin (Marie née Philippot 37 ans, Gabrielle Louis (Marguerite) — Mauvezin (Gers).
15 ans, Louis 14 ans, Camille 10 ans, René;: Lartisant (Maria) — Cauze (Gers)._
Loudmann (Marie) — LTsle Jourdain (Gers).
9 ans, Alice 6 ans Jean 3 ans) — Estagel.
Philippot (Louise 42 ans. Maria 18 ans, Marie Malgris (Amélie 18 ans) — Miraude (Gers).
Malgras (Marguerite 12 ans) — Bassoues (Gers)
13 ans') — Corneille-la-Rivière (P.-O.).
Philippot (Cbarles 15 ans, Pauline 14 ans, Ré- Marchai (Adèle femme Claire 38 ans, Charles
9 ans) — Bassoues (Gers).
mv 9 ans. Gabriel 8 ans, Berthe 6 ans, Gaston 4 ans. Adrienne 2 ans, Lucie 7 mois) — Mérel (Aurélie 35 ans, Marie 14 ans) — Lectoure. (Gers"».
Corneille-la-Rivière (P.-O.).
Picard (Georges) 28 ans — Villeneuve-la-Ri- Perin (Prosper, 75 ans) — Vic-Fezensac (Gers).
Perin (Joséphine. 41 ans, Edith, 16 ans) —
vière.
LTsle Jourdain.
Robert (Louise, Joséphine) — Pia (P.-O.).
Rouvert (Emile 52 ans, Octavie née Robert! Pierron (Céline 56 ans) — Lectoure (Gers).
Prénom (Maria. Céline) — Auch (Gers).
52 ans") — Estagel.
Robert (Maria, née Legendre 33 ans, Germaine Rollin (Joséphine 73 ans. Eugénie née Lhôte
;
37 ans, Marie 15 ans. Léon 14 ans, Jeanne
8 ans, Julien 4 ans. Lucienne 5 ans, René1
11 ans. Georgette 9 ans, Albert 8 ans) —
2 ans, Emile 4 mois) — Toreilles (P.-O.).
Bassoues (Gers").
Clagères (.Tean-Bantiste) — Estagel (P.-O.).
Saunier (Augustine 27 ans, André 1 an) — MaMore (Caroline. 65 ans) — St-Laurent-de-lariac (Gers).
Salangue (P.-O.).
Schmidt (Camillle 3 mois, Emile 3 ans, JoséStequert — Pia (P.-O.V
phine 5 ans") — Saramon (Gers).
LTMEY
Verdenaf (Marie) — Marciac (Gers).
Gvichard (Théophile 54 ans, Clotilde 87 ans)
— Argelès-sur-Mer (P.-O.).
MAMFY
Thiért) (Félix 57 ansl — St-Julien (Var).
PANNES
Wannesson (Louis) — Solliès-Pont (Var).
de premier ordre, ÏQO, rue du FaubourgMasson (Léonie") — Tantavel (P.-O.).
Saint-Honoré, superbe situation, près des
REMENATJVTLLE
Champs-Elysées, chambres avec ou
Gvirhnrd (Arsène") — Solliès-Pont (Var").
Lartillot (Marie-Nicolas. Constance 15 ans) — sans pension. Prix de guerre : Depuis
St-Bamile.
5 franes par jour, avec pension.
ARRONDISSEMENT DE LUNEVILLE
Maison de Famille
4
BULLETIN
DE
MEURTHE
ET
MOSELLE
Vigneron (Joséphine, née Rolin 35 ans) — Bassoues (Gers).
docteur Touchot, à Chalons-sur-Marnei, rue Fisemer chez M. Luce à Paris, rue Ganneron
Voimier (Joséphine) — Plaisance (Gers).
Saint-Jacques, 45.
AVIS
U
e
Vouaux (Jeanj ■— Plaisance (Gers).
M. Schmitt (Adam), par M. Schmitt (Emile'° Faille Joly, par Joly (Henri), 16 chasseurs
Pour des raisons d'ordre militaire, il ne
e
Vagneur (Adeliue, née Uholet 67 ans, Andrée
Christian),
4
zouaves,
bataillon
L,
2*
G
à
pied,
hôpital
temporaire
n°
50.
36 ans, Marguerite 7 ans, Renée 9 ans, Henri nous est pas possible de faire figurer dans no- 14e escouade.
Famille
Willeme-Chauderlot, par Coilm
2 ans et demi, Marcel 64 ans — Cauze tre Bulletin, les adresses des soldats d'une fae
BREHAIN-LA-VILLE
(Georges),
40
artillerie, lre batterie.
çon
plus
précise.
Gers).
Famille Hubert, par M. Hubert (Léon), 165"
Mme Ancel, née Wathier (Eugénie) et son
Si
l'indication
est
insuffisante,
écrire
à
notre
BADONVILLERS
régiment, 11e Cie.
enfant, par son mari Ancel (Gustave), 5e batpermanence qui conserve les adresses complèLacotte (Eugène) —' Béziers (Hérault).
Famille
Pohl,
par
M.
Pohl
(François),
du
terie artillerie à pied, 108 batterie lourde.
tes des demandeurs, en indiquant la commune
Michel (Charlotte) — Sanary (Var).
Famille Chrismann, par M
Chrismann
sous le titre de laquelle ligure la demande et 165' régiment d'infanterie, dépôt de convalesMougeot (Agathe) — Sanary (Var).
cents.
(Léon), télégraphiste 8e génie, 62' division de
la date du numéro du Bulletin.
BAYON
BRIEY
*
réserve
Bellouar (François) — Béziers (Hérault).
M. Bigardier (Jules), par son beau-frère M.
Mme Clerby-Magny et ses enfants Valenttn
Les
insertions
paraissant
sous
cette
rubriNourdin (Paul) — Béziers (Hérault).
e
e
14 ans et Hélène 11 ans 1/2, par son mari
que sont gratuites pour les abonnés et les mi- Délier (Emile), 45 territorial, 3 Cie.
BLAMONT
M. et Mme Prillot (Victor), par leur fils M. M. Clerbv (Valentin), 44e territorial, 19 e Lie.
litaires.
Brémont (Marie) — Limeray (I-et-Loire).
Mme Rinck, née Wilm (Joséphine), 33 ans,
Pour les autres personnes, le prix en est Prillot (Louis), convois automobiles section
CIREY-SUR-VEZOUZE
330 T M. Recherche aussi sa femme Prillot, par M. Rinck (Antoine), 44e territorial, 218 Cie.
Bozzola (François, Octavie née Simon, Juies, fixé à un franc.
*
née
Pourry,
son
fils
Pierre,
sa
sœur
MargueIIUSSIGNY-GODBRANGE
Marguerite, René) -— Lunas (Hérault).
* #.
Bournique (Marie) — Moulinet (L.-et-G.).
Tous les noms des personnes recherchées rite et sa belle-mère Vve Pourry.
M. Rodighiéro (Joseph), par son neveu M.
Mme Vve Dorkel, par M. Dorkel (Lucien), Rodighiéro (Jean), 9e génie, Cie 6/11. RecherBourra (Marie, née Claude, Paul, Amélie née par nos soins sont transmis à notre Bureau
e
e
Villemin, Joseph, Marie née Mansuy, Paul) d'Annemasse ainsi que les adresses de ceUes 61 régiment d'artillerie, 65 batterie.
che aussi son frère M. Rodighiéro et sa femme.
CHAMPEY
Cette.
qui les recherchent.
Famille Boltz, par M. Boltz (Lucien), 68 secFamille
Bayard,
par
M.
Bayard
(Charles),
Bouquet (Charles) — Cette.
Si ces personnes étaient rapatriées, elles setion des C. O. A.
Breton (Julien) — Vigan (Gard).
raient donc prévenues dès leur arrivée en prisonnier de guerre. Ecrire à M. Ligardes
Famille Barthélémy (Léon), par M. BartnéAbba (Constant, Gabrielle, Yvonne, Armand, France, qu'elles sont l'objet de recherches et (Max), commis de P. T. T., Paris, bureau 80. lemv (Léon), 61' artillerie, 58 batterie.
CHABENCY-VEZIN
Laure, Geneviève) — Vigan (Gard).
pourraient ainsi donner de leurs nouvelles imFamille Moschini, par Moschini (Ernest), 2'
Mme Didier (Fernand), par Mlle Choisy
Abba (Louise) — Clermont (Hé Jult).
médiatement.
escadron du train, section C. V. A. D. N° j.
#
(Constance), à Varembé (Suisse), près de GeAcker (Marie, née Jacquot, Georges) — MonIGNEY
balen (Lot-et-Garonne).
M. Merty (A.), sergent au 9e bataillon de nève. On recherche aussi ses 4 enfants.
Mme Boileau (Isabelle) et son fils, par son
CHENIERES
Adnot (Elisa, Jeanne) — Lagarj/gue (Lot-et-Ga- chasseurs, par Mme Binse, 150, faubourg Stmari M. Boileau (Constant), 41e territorial, 1™
ronne).
Mme Leidelinger, née Schils (Eugénie) et Cie.
Denis, Paris.
ses 4 enfants, par son mari M. Leidelinger
Adam (Jean-Baptiste) — Villéreal (Lot-et-GaABBEVILLE
JARNY
ronne) .
12e régiment territorial, 4e bataillon,
Mme Vve Saussu, par Saussu (P.), sous-lieu- (Xavier),
Mme Gillon, née Wéber (Jeanne), et son fils
15e Cie.
Apel (Fernande, Marie) — Avène (Hérault).
tenant, Cie Cr 23e infanterie.
André, par son mari M. Gillon (Jules), 44e terArnauld (Marie, née Paradis) — Auradou (LotCIREY-SUR-VEZOUZE
AFFLEVILLE
ritorial,
3e bataillon, 98 Cie.
et-Garonne).
Famille Rudeau, par M. Rudeau (Désiré), 8'
Mme Jacques (Félix), par son mari M. JacM.
Pérignon
(Adrien), beau-père, par M. LeAtzenhoffer (Robert, Henri-Louis, Marie Gan- ques (Félix), caporal 9e génie, Cie D/27. On régiment de génie.
roy (Alexis), 61e artillerie, 5' batterie. Recherdemange) — Cette (Hérault).
COLMEY
recherche en même temps ses 2 enfants.
che aussi sa femme Mme Leroy.
Aubry (Nicolas, Mathilde, née Laquainère) —
Mme Jacques, née Gérardot (Elise) et 2 enALLAMONT
JAULNY
e
Cette (Hérault).
9
Famille Pierre, par Brizard (Armand), 5e fants, par son mari Jacques (Théophile),
Mme Mangin, née Defaux (Denise, par Mme
Aubry (Marie) — Moulinet (Lot-et-Garonne).
bataillon de chasseurs à pied, 3e Cie.
artillerie, 43' batterie.
Lahaye (Jules), à Saint-Mitre par Martigues
Aubry (Marie) — Cressy-sur-Somme (S.-et-L.).
Famille Henin, par M. Henin (Paul), 32e ré- (Bouches-du-Rhône).
ALLONDRELLE-LA-MALMAISON
e Cie.
Bieber (Marguerite, née Voissement, Georges)
giment
d'infanterie,
32
M. et Mme Colinet (Julien), Mlle Léonie et
JOEUF
— Gaujac (Lot-et-Garonne).
CONFLANS
Colinet (Jean), par Gouaud (Edouard), employé
Mme Viardot, par M. T. Baudry, rue BloBientz (Marie) — St-Martin de Beauville (LotMme Angogna (Ernest) et 3 enfants, par
au chemin de fer à Marbache (Meurthe-et-Momet, 167, Paris, 15e arrondissement.
et-Garonne).
Arnaud (Jean-Baptiste), maréchal-f errant, à
selle).
Mme Laurent (Adrien) et son fils Jean, par
Betenfeld (Maria) — Prayssac (Lot-et-Garonne).
Famille Gobert, par M. Gobert, 45° territo- Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie). Recherche son mari M. Laurent (Adrien), conducteur
Bernard (Marie) — Cancon (Lot-et-Garonne).
aussi Mlle Arnaud (Joséphine).
rial, 3e Cie.
d'automobiles détachement cycliste 98 génie, 58
Bêche (Adèle) — Boudy (Lot-et-Garonne).
Mme Yvon (Adeline), née Charpentier et ses division de cavalerie.
AMENONCOURT
Baumgart (Marie) — Monteton (Lot-et-Garonne)
Mme Bridey et ses 2 enfants, par son mari 2 fils, par son mari Yvon (Charles), 44' terriMme Froment et ses 3 enfants, par son mari
Buisson (Louise, née Mayeur, Louis, Pierre,
M. Bridey (Stéphane), 10e génie, 20e territo- torial, Cie des mitrailleuses.
Marie) — Cette.
M. Froment (Célestin), conducteur 165e infane artillerie, 3e batterie.
M.
Simon
(Ernest),
par
Lemoy
(Jules),
secrial,
SC
6
terie C. H. R.
Bruny (Marie, née Rappeler, Roger) — La Vaction de mitrailleuses, 351e de ligne, section
ANDERNY
querie (Hérault).
Mme Claudon et son enfant, par son mari
Lecomte.
M. et Mme Florimond (François), par son
Bridey (Alice) — Boudy (Lot-et-Garonne).
M. Claudon (L.}, 354e d'infanterie, 24e Cie, 56"
CONS-LA-GRA
ND
VILLE
division réserve.
Broggini (Charles, Marie, née Berger, Amédée, beau-frère M. Florimond (André), 164°, Cie de
Famille Bertinet, par M. Bertinet (Eugène),
Joséphine, Florence, Virginie, Berthe, Féli- mitrailleuses.
Mme Houillon (Charles) et ses 3 enfants, par
e
9 génie, Cie 25/2.
ANOUX
cien, Germaine) — Béziers (Hérault).
M. Houillon (Albert), à Constantine rue Garie
Famille
Loqelin,
par
M.
Logelin
(Jules),
44
Famille
Grégoire,
par
M.
Grégoire
(Auguste),
GERBEVILLER
baldi n° 1 (Algérie).
territorial, 17e Cie, caserne Jeanne-d'Arc.
5e artillerie à pied, 4" batterie.
Crétiau (Marie) — Béziers (Hérault).
Mme Lemaire, par M. Lemaire (Gustave),
CRUSNES
Mme
Vve
Frette,
par
son
fils
Frette
(FerJJALLOVILLE
brigadier, 6e escadron du train, 41e Cie, 2"
e
Famille
Feltgen,
par
M.
Feltgen
(Alfred),
sanand), 164 infanterie, Cie de mitrailleuses,
Gpler (Joséphine) — Marseille (B.-du-R.).
peloton.
4e section.
peur au 3e génie, 12e escouade.
Imbert (Aman) — Marseille (B.-du-R.)
Famille Maillot, par Brizard (Armand), 58
CUTRY
Alain (Philomène) — Cannes (A.-M.).
M. Haro, Mme Haro, mère de M. Laurent,
artillerie, 43e batterie.
Mlles Marchand, Mme Bragard et ses enAboul (Marie) — Marseille (B.-du-R.).
par M. Laurent (Adrien), conducteur d'autoMme Pélissier-Barthe, par M. Pélissier (AlCollin (Marie) — Marseille (B.-du-R.).
mobiles, détachement cycliste 9e génie, 5e di- fants, par Chenard (E.), à Saint-Mammès fred), au 351' infanterie, section de mitrail(Seine-et-Marne).
César (Marie) — Nice (Alpes-M.)
vision de cavalerie.
leuses.
Marlot (Clémence) — Valbonne (A.-M.).
DOMPRIX
ARNAVILLE
Famille Brizard, par Brizard (Armand), 5e arHARBOUEY
M. Caquard (Joseph), par Caquard (Lucien), tillerie, 43e batterie.
Famille Collignon, Jeanne Boucher^ par Cole
e
Streiff (Emilie) — Solliès-Pont (Var).
lignon (Hermant), caporal Boucher, 42 territo- 61 artillerie, 3' batterie.
M. Gillot (Léon), par son fils M. Gillot
LUNEVILLE
DONCOURT-LES-BEUVEILLE
rial S H R ravitaillement du 3e bataillon.
(Paul), 5e artillerie à pied, 21e batterie.
Dédenon (Joseph) — Valence (Drôme).
Famille Pépin (Marcel), par Nicolas (Emile),
Famille Perrot, par M. Perrot (Jules), 10e
Famille Dispérier, par M. Dispérier (Albert),
Lhuillier (Charles) — Bédarieux (Hérault).
génie, 20" bataillon, 3e Cie territorial.
61e d'artillerie, lre batterie, 42e division.
365e infanterie, Cie de mitrailleuses.
Michel (Eugène, Marthe, Edmond, Maria, LuAUBOUE
EPIEZ
Famille Drosne, par M. Drosne (Ernest), 98
cien, André) — Solliès-Toucas (Var).
Mme Vve Déjardin, par Mlle Choisy (Cons- génie,
Mme Coilin, née Willème et sa fille, par
Cie 25/2.
e
Thomas (Hortense) — Béziers (Hérault).
son mari M. Coilin (Georges), 40 artillerie, tance), à Varembé (Suisse), près de Genève.
M. Hebesch (Jean-Baptiste), par M. Paul
Thirion (Marie) — Solliès-Toucas (Var).
lre batterie.
FILLIERES
(Joseph), 166e infanterie, 6' Cie;
NONHIGNY
Famille Joly, par Brizard (Armand), 5° arFamille Pépin, par M. Pépin, 5a artillerie à
e
e
M. et Mme Bord (Camille-Estelle), par M.
Chaxel (Joseph) — Nice, 1, rue Grimaldi (Al- tillerie, 43 batterie.
pied, 3 batterie territoriale.
pes-Maritimes).
Bossu (Paul), 5e artillerie à pied, bureau du
Mme Petit et ses enfants, par son mari M.
FBESNOIS-LA-MONTAGNE
vaguemestre.
SAINT-SAUVEUR
Petit (Alfred), 9e génie, Cie 6/2. On recherche
Famille Flèche, par Flèche (Jean-Albert), 98
Bernard (Elisa) —■ Cannes (A.-M.).
Famille Gentil, par M. Gentil (Louis), capochasseurs
a
pied,
6"
Cie.
aussi les familles Petit et Gabriel, parents et
ral 9e génie.
Idatte (Juliette) — Nice.
beaux-parents.
Famille Herbeuval, par M. Herbeuval (GeorSimonel (Sidonie) — Nice.
Mme Iochem, née Barret (Bernadette), 28
ges), 458 territorial, 248 Cie. •
AUDUN-LE-ROMAN
ans, par son mari M. Iochem (Jules), 16° baVAL-ET-CHATILLON
Mme Michel (Paul), née Mousty, par Mlle
GOURAINCOURT
taillon chasseurs, hôpital temporaire n° 45.
Piant (Hortense) — Nice (A.-M.).
Mousty, à Saumur, rue des Payens, n° 3
Famille Bernier-Blanchard, par Routa (Au- Recherche aussi son fils André 20 mois.
(Maine-et-Loire). Recherche aussi Mlle Michel guste), 42° artillerie, 64° batterie.
Mme Limousin (Alfred) et ses 6 enfants, par
(Anne-Marie).
Famille Décombe-Déprez, par M. Décombe
M. Limousin (Alfred), 44e territorial, Cie
AVRIL
(Paul), au 9e génie, Cie 25/6.
d'ouvriers agricoles.
Famille Masson (Auguste), par M. Masson
GRAND-FAILLY
Famille Maguin, par M. Maguin (Lucien), 5e
(Augustin), prisonnier de guerre. Ecrire h
BLENOD-LES-PONT-A -MOUSSON
Famille Charpentier, par M. Charpentier artillerie à pied, 27e batterie.
M. Ligardes (Max), commis des P. T. T., Pa- (Joseph), 46e territorial, 128 Cie.
Aubert (Jeanne) — Veigné (Indre-et-Loire).
Mme Rodmacq (Marcel), par son mari M.
Ferry (Marie, Louise, Gabrielle) — Veigné (In- ris, Bureau 80.
GUGNEY
Rodmacq (Marcel), 164' infanterie, lre Cie.
Famille Masson (Augustin), par son mari
dre-et-Loire) .
e
Mme Moreau et Gérard (Jules), par ConsFamille Touba, par M. Touba (Eugène), Cie
Vve Ferville (Céline, Berthe, Albert, Henri) — 16 chasseurs à pied, prisonnier de guerre à tant (André), au 44' territorial, 18e Cie.
de mitrailleuses de la 24e brigade.
Solfau Hanôvre Edervechter Moor Oldenbourg.
Lockes (Indre-et-Loire).
HATRIZE
Mme Vve Vatrinet, née Rinck (Marie), 42
BASLIEUX
Pion (Eugénie) — Veigné (Indre-et-Loire).
frère M. Rinck (Antoine), 44e terFamille Stock, par M. Stock (Martin), 448 ans, par son
Mme
Carpentier
(Augusta),
par
son
mari
BRIN-SUR-SEILLE
ritorial, 21e Cie.
territorial, 16e Cie.
e
8
Carpentier
(Eugène),
45
territorial,
21
Cie,
Wendling (Louis) — Cette (Hérault).
HERSERANGE
Famille Thiry (Albert) et 3 enfants dont
3'- section. On recherche aussi Carpentier
Citray (Ulysse) — Cette (Hérault).
Mme Cambresy (Antoine), par son mari M. l'aîné a 7 ans, par M. Thiry (Albert), musi(Jean), sa mère Mme Lallement (Michel).
e
e
e
8
CHAMPIGNEULLES
Cambresy (Jules), 45 territorial, 21 Cie, 4 cien au 166 infanterie C. H. R.
BAYONVILLE
section.
Albert (Victor) — Béziers (Hérault).
Famille
Yong,
par M. Yong (Charles), 9e géMme Guerbert, née Marchai (Marie), par M.
nie,
Cie
D.
H.
T.
8
e
NANCY
Mme
Charlier
(Paul),
née
Hubert
(Marie),
Guerbert (Ernest), 42 régiment territorial, 7
e
Bourceaux (Théophile) — Béziers (Hérault.
JOUAVILLE
Cie. On recherche en même temps ses 2 en- par son mari M. Charlier (Paul), 45 territoBertrand (Marie) — Aigues-Vives (Gard).
Mme Barbier mère, sa fille, sœur de M.
fants, Mme Vve Marchai, née Masson (Marie), rial n° 1015, prisonnier de guerre GefangeLeloup (Edmond) — Béziers (Hérault).
nenlager à Zwickau Sacksen et par son beau- Barbier, par M. Barbier (Joseph), 58 artillerie
Marchai (Maria).
e
Mangin (Louise, -i^e Pointaux), 45 ans — Cette
frère M. Charlier (Jules), au 91e infanterie à pied, 9 batterie.
BERTRAMBOIS
(Hérault).
Hors-Rang.
Recherche
aussi
ses
enfants
HéJOUD REVILLE
Mme Vernier (Alphonse), par son mari M.
Thinselin (Eugénie) — Solliès-Toucas (Var).
Famille Malher, par M. Malher (Lucien), 164'
Vernier (Alphonse), du 35e colonial, hôpital lène, Lucienne et Marcel.
Willaume (Adrienne, Léontine, Victor) — Sol- auxiliaire n° 38.
Mme Alexandre (François), née Gadalier et de ligne, Cie des Mitrailleuses.
liès-Toucas (Var).
ses 3 'enfants, par M. Alexandre (François),
Famille Marlière, par Marlière (Lucien), 109'
BETTAINVILLERS
re
e
e
PAGNY
Famille Manguin, par M. Manguin, caporal, son mari, 2" escadron du train, 21 Cie, 1™ infanterie, l Cie, 4 section.
section
du
C
A.
Baumanne (Ignace) — Corneilla-la-Rivière (Py- 164* régiment, 30* Cie, caserne Miribel.
LABRY
rénées-Orientales) .
HOMECOURT
BEUVEILLE
Mme Freyssinet et trois enfants, par son
Libry (François) — Bouches-du-Rhône.
Mme
Nicolas
(Jean-Désiré),
née
Thiry,
43
Trubert (Arthur), par Jacquemin (Alcide),
mari M. Freyssinet, 388 artillerie, 73e battef7rté (Joseph) — Argelès-sur-Mer.
M. Nicolas (Jean-Désiré), rie.
16e territorial, 3e Cie, au dépôt. Recherche ans, par son mari
Verkaufer (Louise) — Saint-Laur-la-Salangue aussi Mlle Trubert (Clara), M. Chevreuil et 44» territorial, 138 Cie. Recherche aussi ses
Famille Bocquillet, Mme Bocquillet, née
(Pyrénées-Orientales).
Vincent (Paul).
enfants Pierre 18 ans, Denise 12 ans, Gabriel Charnelaid (Marie) et sa fille Germaine, par
Vincent (Marie) — Argelès-sur-Mer (PyrénéesFamille Masson et 5 enfants, par M. Mas- 9 ans, Renée 7 ans, Albert 5 ans et sa mère Bocquillet (Léon), 128 territorial, 48 bataillon
Orientales).
Mme Thiry, née Léonard (Victorine).
15' Cie.
son, 3e Cie, 6e bataillon de douaniers.
PONT-A-MOUSSON
Famille
Perquin,
par M. Perquin (Alfred)
BLAMONT
LAIX
e
8
Rasan (Charles) — Manosque (Basses-Alpes).
166 infanterie, 2 Cie.
Famille Lionnet, par M. Lionnet (Edouard),
Famille Michel,
par Michel (André), mitrailSimonet (Emile) — Saint-Bauzile (Lozère).
e
Mme Royer, par son fils M. Royer (Charles), leur au 151 d'infanterie.
6" artillerie à pied, 5" batterie territorial.
e
e
e
PRENY
Famille Jantet, par M. Jantet (Charles), 355e 24 dragons, 11 escadron, 3 peloton tromM. Coilin, Mlles Coilin ses sœurs, par le fils
Junger (Jean-Pierre, 55 ans, Jean) — Agde régiment,
pette. Recherche aussi ses enfants, son mari Coilin (Georges), 40e artillerie, 1™ batterie
17'
Cie.
(Hérault).
est au 6' artillerie.
BONVILLERS (MONT)
Famille Hertrion, par M. Henrion (Georges)
RAUCOURT
Mme Heidinger (François) et ses 3 enfants, 165e infanterie, 12e Cie.
(A *urére)
Mme Vve Fernel, par Maciejevski (Guil8
Mathieu (Valentine) — Marseille (Bouches-due
par son mari Heidinger (François) au 9 gélaume), 67 de ligne, hôpital n° 15.
Rhône).
nie, chefferie du génie.
Le Directeur-Gérant ■ GoutièTêTy^r
M. Robert, beau-fils de Rollinger, par M. le
Mme Fisemer et 3 enfants, par son mari M.
PERSONNES RECHERCHÉES
ARRONDISSEMENT DE NANCY
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