Chanson de Orange Range: Oshare Bancho, Locolotion, Ikenai

Mardi 13
Janvier
GIMQ
19C3
CENTIMES
^ ^^^^y^
RÉDACTION et ADMINISTRATION, 5!, RUE SAINT-OIZIER
Troisième Edition
—
4891
^ ^ ^ ^ ^^^^ ^
SALLE D E
|j
Rédacteur en chef:
LÉON
~BJF~
On estime qu'il ne devra pas attaquer les
ESI RÉtllfillCiUM & ÎMI'IIIMEUIE COOPÉRATIVE DE L'EST
rebelles, qui occupent des positions avantare
Téléphone 331
La présence du prétendant est si___________ geuses.
Ëc
gnalée à trente milles au sud de Fez, avec
une
petite escorte.
S
Ul
On croit qu'il a en vue d'amener le sultan
à l'attaquer.
Une mission a été envoyée dans le Ritï
ZâJMiî°m£LLS
af
afin d'y chercher des renforts, mais son
,
:
si
succès est douteux.
Il est inexact que les consuls étrangers
Paris, 13 janvier, 4 h. '50 matin.
aient quitté Fez. — Havas.
M. COMBES ET LES C0NSRÉ6ftTI0NS
LE CHEMIN DE FER DE DJIBOUTI
Le Figaro prétend que M. Combes, pré- —
~Â~ADDIS-ABABA ;
sident du conseil, ministre de l'intérieur et "
se voir encadré dans les « Bulletins » de
sul
sociétés
—«MM—mm
1
M. Berleaux cnumère ces cinq réformes
que l'on connaît, et il conclut:
I
fêl qui s'édilenl continuellement, — ce»
fêle
„n
somme* n'Iront pas aux jourmv
DÉPÉCHES
IMIWII
Le Bureau de la Chambre «
ou dans les « Programmes » de
0
' ^ ™' cLLITdlla Vifil
GOULETTE
/
Chronique de l'Est
i
« Le déficit se trouvait, malgré tout, de
co
60 millions de francs.
ILes délégués des groupes des gauches
L'œuvre de la Commission a consisté à
co
ce déficit. Elle y est parvenue par
n«
naux. Elles sont d'ores et déjà portées avancées de la Chambre ont pris la décision combler
que nous avions fait prévoir en ce qui con- des
de économies et une revision attentive des
en
tjU dépense à son budget de réclame.
cer
cerne le renouvellement du bureau de la pr
LE TEMPS QU'IL FAIT
prévisions de receltes qui ne peut laisser
Chambre.
pf
place a aucun mécompte.
Le mauvais temps a persisté toute la
Les délégués ont décidé qu'il y avait lieu
Le plus grand effort a été fait par la com- je
journée de lundi. Bien que les flocons
m
fSouvenles fois, même, ce négociant de
aidée de ses rapporteurs, pour réa- se
W maintenir le bureau tel qu'il était com- mission,
soient demeurés lents et clairsemés, leur
posé lors de la précédente session, sauf le lis
User toutes les économies qui n'étaient pas tapis
ta
blanc a réussi à adhérer, çà et là, au
voudra
oblenir des journaux dont il est siè
vo
sièa'e de vice-président, devenu vacant par de
de nature a entraver ou à gêner le fonction- se
sol.
Le thermomètre marquait seulement
e
suite
de
l'élection
de
M.
Maurice
Faure
au
ne
nement des services publics, ni à diminuer 11° à midi.
le client régulier, que ses annonces ||j
Sénat, lequel serait attribué au groupe so- en
en rien les forces du pays. Tous les minisDans la soirée de lundi, le temps s;est
des cultes, en recevant hier la supérieure
Le Journal se dit en mesure de confirmer soient
soi
aussi nombreuses, quoiqu'il les cia
cialisle. Le groupe ayant déjà choisi M. tè
tères ont, suivant l'importance des crédits éclairci
é<
et un froid relativement vif s'est
d'une congrégation, lui aurait déclare que qv
que Ménôlick assistera, sur le territoire' a
Jaurès
pour le représenter, la liste de la de
dont ils disposent et la faculté de com près- îs
paie moins cher. Il nous dira :
^
fait sentir dans la nuit.
11, dans deux ans, il était encore au pou- ffrançais,
à
l'inauguration
du
chemin
de
fer
r
majorité pour l'élection aux diverses fonc- sion
si<
de ces crédits, apporté leur part à
Mardi, à quatre heures du malin, le thervoir, il ne resterait plus en France une seule q
qui
«Que voulez-vous? Je. ne puis payer tions
uo
V va de Djibouti à Addis-Ababa, sa capidu bureau sera la suivante :
l'é
l'économie
totale réalisée qui n'a pas été in- m
momètre étaildescenduà 4°1 p2 au dessous de
congrégation, autorisée ou non.
ta
tale.
,
.'QU
Président
:
M.
Léon
Bourgeois;
vice-préfé
ferieure
à
37
millions
1[2
de
francs,
y
comz(
que tant. J'ai déjà fait d'autres frais de
zéro, place Carnot, et à 4° sur la place du
Il convient de remarquer, ajoute le FiLe négus viendra en grand apparat, fin i *
sidents : MM. Eugône-Etienne-Edouard Loc- pris
pr
4 millions de réduction sur les garan- Marché.
M
Sur le quai de la gare des voyaqàro, que suivant une autre information, ffévrier
<s
ou au commencement de mars. Il,pu
publicité... On est sollicité de tous côtés... kn
kroy,
Jaurès
et
G-uillain
;
questeurs
:
MM.
ti<
lies
d'intérêt.
geurs, il marquait —2% mais on sait qu'à
on n'ignorerait pas dans les milieux luen se
sera escorté par 6,000 hommes de troupes.1 pQ
Gustave
Rivet,
Herbet
et
Pajol
;
secrétaiPositivement. On est venu me demander gj
La revision des chiffres inscrits par le cet
et endroit le thermomètre est abrité.
informés, que le président du conseil ne
M. Doumergue, ministre des colonies, i
res: MM. Surcouf, Couyba, Rouland, Fer- m
ministre des finances aux recettes prévisionUn vent du Nord a souillé avec violence
lient pas à conserver le pouvoir. On corn- d<
doit, à bref délai, demander des crédits spé- de mellre quelque chose dans le « Bul- nm
nîttd David, Dcvèze, Isnard et Cbambon.
nc
nelles de 1903 a donné un résultat appré- ti
tsule la nut.
mencerait môme à chuchoter qu'il a fixé la ciaux
i
pour
les
fêtes
de
Djibouti.
Une
force
,
,
c
ci;
e
Il a été reconnu que l'application
yl11 a été, de plus, entendu que le premier ciabte.
14 janvier. — Lever, 7 h. 52; coucher
date de sa disparition.
ni
navale,
commandée par un contre-amiral, j lelin ornilhologique ». Je suis en affaires siège
de vice-président qui deviendra vacant nc
normale du nouveau régime fiscal des suc- 44 h. 27. Dernier quartier le 20.
Ses intimes laisseraient entendre qu il n a y sera envoyée de Toulon. — Havas.
i! avec
av
ces messieurs. Je n'ai pas pu refu- sera
sei attribué au groupe radical socialiste, cessions
ce
à
une
année
entière
devait
produiaccepte le pouvoir que pour régler la quesDépêche météorologique
e" vertu du roulement établi.
re une plus-value de recettes, par rapport à
re
NOUVELLES DIVERSES\' se
scr. Faites-moi une concession. Vous en
tion des congrégations et qu'il s'en ira
A ce propos, on lit dans le Journal des ce
765 Brest, 717 Nice. Forte pression nordcelles de la pénultième année, de 16 milquand cette question aura été réglée. — HaM. Conslans, ambassadeur de France en 'faisiez
fai
passer mon annonce, une fois par Débats
Dt
:
lie
ouest Europe. Dépression Italie.
lions
de francs. Les résultats constatés en 01
vas.
T
Turquie,
est reparti hier pour Constanli- ge
l'J
Probable : Vent modéré, nuageux, quelconfirment, d'ailleurs, et dépassent
semaine, à cent sous, soit deux cent ^» Le bloc s'est préoccupé de l'élection du 1902
nople.
...
bureau de la Chambre. Il s'agissait sim- celle
ce
averses de neige, temps froid, O-N-Q
prévision que l'on peut porter au bud- (ques
1
FFA'R-: H:;;'W
— Les électeurs de la 1" circonscription en
cinquante francs pour l'année. Je ne plement,
pic
v
entre frères et amis, de se parla- gc
violent puy de Dôme.
get en toute assurance.
Le macliinatcur «le l'allalre
di Valence (Drômc) sont appelés à élire, le
de
De même, le calcul des recettes des pospuis plus vous en offrir que deux cents...» ger un certain nombre de places. Mais le
| UEclio de Paris prétend que l'instruc- 8 février, un député en remplacement de,1 .
Les colis postaux
partage soulevait, celle fois, deux difficul- te
tes et télégraphes et des amendes de conM.
Maurice
Faure,
élu
sénateur.
El
il
tient
le
même
raisonnement
à
tés
tion de l'affaire Humbert va prendre une M
lés. Tout le monde était d'accord pour damnations
d.'
Plusieurs chambres de commerce ont
donnait des résultats supérieurs,
— M. Mascart a été élu hier membre du > ^
orientation nouvelle. On espère, dit-il, ar31
maintenir en fonctions le bureau sortant, reà l'administration des postes des
respectivement de 2 millions et 1 million, à adressé
conseil supérieur de l'instruction publique, ji deux ou Irois journaux, s'efforçanUd'ob- niais il a une lacune. Le siège de vice-prési- ce
river à établir que toute l'affaire a été mon- ci
réclamations concernant la suppression des
ceux inscrits au budget : les recettes faites ['
Mâcon. — Uu employé ambulant des pos- te
tenir un rabais qui couvre les annonces de
fée par l'ex-garde des sceaux, M. Gustave
D
dent, vacant depuis l'entrée de M. Maurice ai
de sûreté avec inscriptions appliau litre des pensions civiles doivent, dans bandes
nommé Rupin, a été arrêté pour dé- in
Humbert. Sohfils, Frédéric Humberl, et sa tes,
te
Faure au Sénat, restait à attribuer. En vertu les
le mêmes conditions, produire un demi- cquées
aux colis postaux. Le sous-secrétariat
l
I insérées dans les publications spéciales. ^
belle-fille Thérèse n'auraient été que les tournements
te
de lettres, mandats et bons de
de conventions arrêtées entre les groupes m
million de plus.
d
des postes et télégraphes s'est ému de ces
exécuteurs de la machination inventée par pi
r
En sorte que non seulement les jour- mi
ministériels, les socialistes avaient droit de
POStC
T " ■ 1 I
et a adressé à toutes les comD'autre part, le gouvernement a proposé, réclamations
lui.
Bourg (Ain). — A Saint-Maurice, M. vi!-îna
préemption sur l'héritage de M. Maurice p;
pagnies des instructions destinées à mettre
par un projet de loi spécial, la création d'une P
naux
voient
tomber
en
d'aulrcs
mains
|?
De cette façon, les inculpés d'aujourd'hui landier,
\s
âgé de 81 ans. ancien maire, a été
Faure. Et les socialistes avaient, depuis monnaie
m
de nickel, qui a été acceptée par uun terme aux difficultés qui se produisent
passeraient au rang de comparses à peu assassiné
a:
a coups de bâton, pendant qu'il une
Ul
partie des sommes consacrées à la. loi
longtemps, fait connaître leur candidat, qui vi
entre le public et les compagnies.
votre commission. La frappe en donnera un e
près irresponsables.
p:
prenait
son repas, hier soir. — Havas.
^
autre que M. Jaurès.
pi
n<
Les indications fournies sont fort préciproduit
net de 3 millions de francs environ
publicité, mais encore on lés harcèle n'est
s
« Malheureusement M. Jaurès s'est livré, qi
li'cx-iiiteml a ut Paraypo
: elles admettent l'emploi des bandes
qui sera une ressource exceptionnelle de ses
FIN DE LA DERNIÈRE HEURE
_{
pour qu'ils allouent la même place, dans au commencement de l'automne, à des ma- l'i
M. Parayre, l'homme de confiance de la
l'exercice 1903.
ssans annotation comme licite, mais consifamille Humbert, a été amené de nouveau Z
Le déficit de GO millions, en présence du- ddèrent que celle faculté ne saurait être prise
leurs quatrième cl troisième pages,à plus nifeslalions internationalistes qui ont paru
difficiles à approuver, même pour beaucoup qi
dans le cabinet de M. Leydet, juge d'ins- B
pour une mesure de garantie absolue, car,
quel se trouvait la commission, a donc été P
bas prix.
do radicaux. La lettre aux socialistes ita- comblé
de
ci
truclion. Il a assisté au triage des docula fermeture avec plombs ou cachets
par elle, à l'aide des mesures qui seule,
?
a
NANCY, lundi 12janvier 1902.
liens, où il célébrait les avantages de la Tri- v
ments dans lesquels il était question de lui
à la cire est réglementaire, et que la soliviennent d'être indiquées. »
Et, par dessus le marché, — répétons- plice,
ji
considérée par lui comme un hevreux
p
bu qui paraissaient être signés de sa main.
En terminant, M. Berteaux dit que les re- 'dité des bandes de paçier est insuffisante
« contrepoids aux fantaisies franco russes »,
L'inculpé a tenu à protester une fois de
le, car chacun a le droit de défendre son m
p
pour répondre à la durée et aux risques du
a paru par trop compromettante. M. Jaurès, ,cettes sont calculées assez prudemment et transport.
plus de son innocence. Il a affirmé que jasauil T-• ce sont les mêmes journaux qui après
p
lQ
crédits ouverls assez larges pour que,
avoir essayé vainement do la dômen- les
a
mais il n'était intervenu dans les procès de
Quant aux bandes annotées, le régime à
tir ou de l'atténuer, a été forcé d'en avouer- Si
sans emprunt, la France puisse voir clore, aappliquer est celui des colis postaux affranMme Humbert et qu'il n'avait jamais signé
lancent bénévolement les publications W
la paternité et d'en reconnaître les termes, ci
aucune des pièces suspectes.
en 1903, la période du déficit : « Il suffit que cchis à prix réduits. Les annotations manuséphémères ou périodiques dont les édic
« Malgré la sévère discipline qui règne les
le Chambres et le gouvernement le veuil- crites
ou obtenues à l'aide du timbre huLes Crawford
liberté
tteurs
d
dans
le
bloc,
quelques-uns
ont
laissé
voir
i(
couvrent
les
frais
en
tout
ou
en
?
e
.Emile Daurignac a été aussi entendu de
lent résolument et agissent en consé- mide, du composteur ou autre procédé si..
,
ali
alors une velléité do regimber. Ce sont des quence.»
^
nailaire doivent être interdites, parce qu'el—
nouveau. 11 s'agissait surtout d'élucider cerpartie au moyen d annonces.
■ n
c
p[
nouveaux
convertis qui n'ont pas encore pu
les ne peuvent être employées sous cette
tains points de la première instruction, qui
s !
f
à pratiquer la soumission du
forme
que dans des cas déterminés et préC'est nous qui favorisons ces « Bulle- s'habituer
tendaient à établir que le frère de Romain
perimle ac cadarer qu'ils ont si souvent I
sentant pour le destinataire l'intérêt direct
Daurignac avait joué longtemps le rôle d'un
tins », ces « Programmes », ces numéros reproché
-e
aux Jésuites. Pour leur donner le I
iiui caractérise la correspondance privée.
des frères Crawford.
[temps d'oublier les fâcheuses déclarai ions
Sous certaines conditions les annotations
«exceptionnels », « spéciaux » et qui.l^
L'écriture d'Emile Daurignac aurait été
de M. Jaurès et d'enlerrer leurs derniers
DE NOTRE PRÉCÉDENTE ÉDITION
!imprimées peuvent être employées. Il est
reconnue dans la signature d'une des propar
noire concours, encourageons sans S
c
ps
scrupules, on a sursis durant un trimestre
indispensable qu'elles aient, quant au fond,
curations des frères Crawford, faite à1
Paris, 12 janvier, 3 h. soir.
à
un caractère de recommandation générale
cesse à co qu'il s'en édite d'autres.
^ l'élection du vice-président manquant
c
Bayonne, par devant M* Dupuy, notaire.
M. Jaurès tout seul était trop voyant. AuCe dernier a reconnu la photographie dei
LÉGION D'HONNEUR ss'appliquant à la collectivité des clients et
Co sacrifice permanent accompli par la jourd'hui,on
3
le dissimulera dans la fournée,
qu'elles ne contiennent rien
d'injurieux
Romain Daurignac comme celle d'un des
(Voir YEsl répiMicain du 10 janvier.) p]
A l'Officiel du 13 janvier paraîtront 'les rpour les transporteurs.
signataires de ladite procuration, mais il a
presse, et dont on la récompense par un et
^ les dirigeants du bloc espèrent qu'il paset nominations suivantes dans
sera ainsi'presque inaperçu, Ge qui est pour, promotions
P
Les colis doivent être présentés clos au
émis des doutes en ce qui Concerne celle;
Dans un précédent article, nous avons le
toast dans les banquets, ce sacrifice sc m
la Légion d'honneur, faites snr la proposi- départ,
(
lui la plus sûre manière de passer.
les compagnies ne pouvant être ted'Emile Daurignac. Dans ces conditions, il1
tion
du
minisle
de
l'intérieur,
et
dont
la
montré l'évolution accomplio par la pu- chiffre
cl
nues
de se prêter a une vérification contrar
Sera confronté avec l'inculpé.
annuellement par des milliers do, j « Toutefois, il reste encore une difficulté, fj
,
plupart
ont
été
déjà
annoncées
:
,'
Les radicaux socialistes n'auront pas dans '
, dictoire quand le conditionnement extérieur
Emile Daurignac a nié êlro jamais allé à blicilé
\
et nous avons exposé le méca-• francs
fr
pour une ville comme Nancy—ol, lé
le bureau ainsi composé de vice-président , Est nommé commandeur : M. Frédéric* cest en bon étal : elles ne sont pas non plus
Bayonne. Il a affirmé énergiquement qu'il
1
;
Passy,
membre
de
l'Institut.
1
pris dans leur sein. C'est là un malheur
des primes lancées par les jour-• ci
cobligées de reconnaître le poids exact desn'avait jamais joué le rôle des Crawford, nisme
comme nous sommes en relations d'affai-. fil
Sont nommés oP'-ciers : MM. Pissard. ins- <colis postaux ordinaires.
dont le pays ne sera peut-être pas Irès afajoutant que si quelque chose tend à prou-- inaux.
ri
resavec toutes les villes de la région, où »
fecté, mais dont la seule éventualité rem-. Specteur général des services ordinaires au
ver le contraire, c'est qu'il est victime d'une
de l'intérieur ; Pouillard, sous dif ,'rtllfVit aux sangliers
Nous allons voir aujourd'hui que si les U
m tchination.
les mêmes fails se produisent dans une. plit
R les intéressés d'une légitime émotion. ministère
1
honoraire; Ghapsal, maître des re' Il a fallu, à défaut d'un fauteuil, donner aux, recleur
Le juge d'instruction a désigné deux nou-■ journaux
i
L'association des chasseurs au bois de
usent de la liberté du com-■ mesure
n
au conseil d'Etat ; le docteur Uu- jMeurtlie-et-Moselle vient de présenter à M.
relative, on juge de l'importancei radicaux-socialistes
r|
une contre-marque. Dès: quêtes
')
veaux experts pour procéder à une contre
(.
membre de l'Académie de médecine; ile préfet le vœu suivant relatif à Fallût aux
maintesant,
il est entendu qu'on leur rôser-. chard,
expertise de la signature de la procuration{ merce, tous les citoyens profilent -do la. d
des sommes qui nous échappent.
™
président de sociétés de se- «sangliers :
vera la première vice-présidence La majo-. Audoynaud,
\
de Bayonne. — Havas.
;liberté de la publicité, qui découle du
c
mutuels.
Encore un coup, nous ne nous en niai-■ rite
ri compte sur leur abnégation pour ne pas; cours
« Monsieur le préfet.
L'AFFAIRE SYKDON
Sont nommés Ghevalions : MM. Paul Deautre chose quant à présstit. Leur'.
- même principe.
g
L'association des chasseurs au bois de
gnons pas, et nous aurions tort do nous, réclamer
y
1
La cour de cassation examinera à la fin
' esprit de sacrifice bien connu, quoiqu'il ait nis, conseiller général du canton de Gerbô- iMeurthe-et-Moselle a l'honneur d'appeler
■:;
Donc, la publicité affecte maintenant, en
ei plaindre. L'action, le mouvement,, raremen
n
; Iléli-Devals, préfet du Lot: Bellandi, votre
,
de la semaine le pourvoi du peintre Syndon,.
t l'occasion de s'exercer, les décide- vlller
*
bienveillante attention et celle du
îe meurtrier de M. David, à Etretat.
1les formes les plus variées. Il serait im-• sont
ra,
si
créateurs d'action et de mouvement. H pense-t-on, à voter pour M. Jaurès, qui! Fpréfet de l'Ardcche; de Fillot, sous-chef do (conseil général sur le braconnage effréné
; .Marini, sous-préfet de Sartène qui
D'après le Journal, il y aurait trois
neieur plaît pourtant qu'à moitié et qui leur. bureau
,
(
a élô la conséquence de l'arrêté préfecE terminant notre premier article, nous; d<
|
moyens de cassation. Le plus sérieux serait\ ïpossible d'enrayer son essor, commo il. En
dérobe une place qui leur plaisait tout à! t'Corse) ; Moerdès, commissaire spécial à toral
réglementant l'affût aux sangliers.
1
B
est.
basé sur ce fait que le président des assisess sserait impossible de parquer do nouveau, écrivions
fait.
éi
Get arrêté a été, en effet, interprété comque les journaux, par leurs
aurait refusé la parole au défenseur de
Parmi les nouveaux chevaliers, citons ime étant une autorisation pour tous d'aller
« Telles sont « les misères et les granoi
occasions-primes,
développent le besoin de
encore MM. Pozzi, adjoint au maire de à
• l'affût, à la seule condition d'en faire une
Syndon, qui voulait déposer des conclusionsj cchaque commerce dans un cadre fixe.
deurs de la servitude » ministérielle. »
et aurait déclaré, sans les avoir entendues,,
Reims ; Parent, adjoint, au maire de Sedan, (déclaration au maire, alors que les propriéA ce propos, on nous permettra de: di
de consommer et servent dans une me***
fet Deshaic, capitaine des pompiers de Bel- |taires, possesseurs ou fermiers, ou leurs
qne ces conclusions étaient irrecevables.—
(
constater
au passage que certains com-. sure
si
appréciable les intérêts généraux
Havas.
On dit que les groupes de la minorité> fort.
(délégués oui seuls le droit d'alTùtcr sur
(
LES TABLEAUX D'AVANCEMENT[ rmerçanls n'ayant rien de commun avec d
porteraient
M. Renault-Morlière, président ■ — L'Officiel du 13 janvier publie aussi les ileurs terres et non ailleurs.
P
: du commerce.
di groupe républicain progressiste, contre^ décorations des cultes. Sont nommés cbedu
L'Officiel du 13 janvierpublieles tableaux4 j
Il en est résulté que des gens ne possél'imprimerie, affichent des échantillons
Par application du même principe, M
MM. l'abbé Salomô, curé d'Haze- (dant pas un mètre de terre ont fait une déM. Jaurès à la vice-présidence de la Cham-; valiers:
,
d'avancement pour les diverses armes.
brouek
:
Decoppet,
pasteur
à
Paris
;
Drey1)1
J
(claration d'affût, et que la chasse de nuit,
Isont proposés pour le grade de colonel : tde caries de visite. Eh bien, nous, jour-. nous
D
reconnaissons sans hésiter que la bre.
fuss, "grand rabbin à Paris.
j
interdite
en principe par la loi, est actuelleMM. Joppé, du 79" d'infanterie; Voisin, du .
*
nalisles-imprimeurs,
songeons-nous
à
P
e
publicité
appelle
la
publicilé,
que
lanl
de
LA CRÉATION D'ÉCOLES PR1SI&1RES
ment pratiquée en grand; que, pendant
30* d'artillerie ; de l'Espée, du 9 dragons ;
;
,
rapport
e
Morionnel, de la 20 légion de gendarmerie.' Iprotester contre cette concurrence inat-. publications
toutes les nuits, de nombieux coups de fusil
P
diverses, où se voient des
PUBLIQUES
:sont entendus aux environs des forêts et
Le médecin principal Février, de l'hôpi- i
a
Le
rapport
général
de
M.
Berleaux
sur
le
annonces, incitent, forcent les relarda- .
I lal militaire de Nancy, est proposé pour la£ tendue 'i Jamais de la vie.
sont tirés, cela est certain, sur tous les gim
budget
sera
distribué
aujourd'hui
même
à
i
M. Chaumtê, ministre de l'instruction pu- biers
j
1™ classe.
passant à la portée des affûteurs.
Mais nous avons le devoir de consla-. l£
taires à venir à l'annonce, à la réclame, jtv
lu. Chambre.
'blique, a institué une commission pourétuSont proposéspour le gradede lieutenant- ,
11 est facile de comprendre que la surveile
c
e
,
dier
les
modifications
à
apporter
au
décret
|
l
1er
un
fait
beaucoup
plus
important
et
l
et
que
si
notre
administration
perd
quelVoici
les
deux
principaux
passages
de
colonel: MM. Worms, du 156 ; Arnold, du
lance des gardes est à peu près impossible,
<
(
des motifs.
'd'avril 1887 déterminant les règles pour la car
153°; Durand de Grossouvre, du 69e: Loin-.- Itrop souvent inaperçu.
l'affûteur,k moins d'être surpris un lièvre
Q
que chose sur les clients anciens,elle fait ll'exposé
r
e
création
et
l'installation
des
écoles
primaires
,
bard, du 39 d'artillerie; Warin, du 37 d'arLe rapporteur général déplore que l'on1 .
à la main, déclarera toujours avoir tiré sur
publiques.
Qu'est-ce
qu'un
journal
?
d
des
clients
nouveaux,
et
même
qu'il
i
tillerie ; de Carrnaret, sous-directeur de l'arun sanglier.
■ a
ait été contraint, de recourir à deux douzièLa commission s'occupera des moyens
11
tillerie à Toul; Delmas, du 18e chasseurs à
La défense des récoltes est digne de proà
Une « maison de publicité ». Ce n'est[ nous
en revient d'anciens, qui avaient m
mes provisoires et il émet l'espoir qu'oni d'abréger
c
les
formalités
de
construction
\
cheval.
tection, Iesintérèts des chasseurs qui paient
c
n
n'ira
pas
au-delà.
c
d'office
de
certaines
écoles.
1
pas
nous qui le disons le premier. Aut cru pouvoir réduire leur publicité, à1
Le pharmacien major de l™ classe Karà l'Etat et aux communes des locations très
rM. Berteaux expose ensuite l'état du bue*»>
Les communes peuvent.en effet, soulever \élevées, doivent aussi être pris en considôcher, de l'hôpital de Nancy, est proposé6 dix-septième
i
siècle,
Théophrasle
Renau.
l'instar
1'
de
M.
Menier,
le
grand
chocola<
(
• get,
la façon dont on l'a équilibré :
des oppositions qui retardent parfois la■ ration.
g
pour le grade de pharmacien principal de 2le ,
' dot, fondateur de la Gazette de France, lier
U
construction
d'une dizaine d'années. —
lui-même, dont nous avons narré le*
classe.
« Ce n'est pas sans peine, en effet, que cet\ Havas.
]
C'est pourquoi l'association des chasseurs
;
è
M. Félix, chef du génie à Toul, et M. De- ientendait bel et bien créer un organe de3 cas
c
équilibre
avait été réalisé, incomplètement
au bois vient vous demander de réglemenl'an Ire-jour...
;
COMMISSION
DE
CLASSEMENT
il;, chef du génie à Remiremont, sont prod'ailleurs, dans le budget présenté par le
ter d'une façon plus sévère l'affût aux sanh nouvelles et publicité.
Nous soumettons avec confiance aui gouvernement.
g
posés pour le grade de lieutenant-colonel.—
La commission de classement des lieule-'. <gliers, afin de permettre aux gardes depouHavas.
Or, si l'on parlait de ce principe, que3 public
F
i
ces observations et réflexions sur ^ En comparant les dépenses inscrites aui nants
d'infanterie et de cavalerie proposés. voir utilement surveiller les affûteurs.
Elle pense qu'il est indispensable d'exiger
de l'exercice 1902 aux recettes queÎ ]pour le grade de capitaine, s'est réunie cet
ÉCOLE DE MÉDECINE DE REIMS
5 chaque commerce doit se tenir dans des3 1'le rôle de la publicilé ol des journauxt budget
u
les réalisations obtenues en 1901 permet-- a! près-midi au ministère de la guerre. —^ que les affûteurs soient porteurs du récépisL'Officiel du 13 janvier publie un arrêté
ti
_é bornes strictes, la publicité par an-. ddans le mouvement commercial.
taient de prévoir, suivant la règle de la pé-- Havas.
1
sé de la déclaration d'affût faite au maire,
ministériel aux termes duquel un concours
n
Huitième
année, on constatait une diffé, comme cela a lieu notamment dans le dé«
,rence considérable.
s'ouvrira le 16 février 1903 devant la Faculté\ nonces devrait ëlre réservée absoluNOTRE
NOUVEL
AMBASSADEUR
EN
SUISSE
r
L« première cause eni
————'
: parlement des Ardennes. Le récépissé conde médecine de l'Université de Nancy, pour
ô
était
dans le non-équilibre du budget votéj
* ment aux journaux. C'est lem* niarM. Raiudre, notre nouvel ambassadeur• tiendrait l'indication des époques de sa vauu emploi de suppléant à la chaire d'anato1
Le voyage de M. Loubet en Tunisie est officield p
pour l'exercice 1902, où il n'avait été faitt en Suisse, a présenté ce matin ses lettres; lidité dans les termes suivants:
d
m'e et de physiologie de l'école préparatoirec cliandlsc propre. Personne ne l'i-- désormais.
Il y séjournera, croil-on, cinq jours ;; fi
face aux dépenses qu'à l'aide de l'essourcess 1de créance au président de la confédération('• 1 \ Valable du
au
do médecine et de pharmacie de Reims. —
1
avec
tonte l'escadre, il ira de Bùne à Tunis, passe-- d
d'emprunt, jusqu'à concurrence de 64 mil-. helvétique,
guore
:
un
journal
coûte
plus
d'un
sou.
?
à Berne. — Havas.
Il indiquerait en outre les terres dans lesHavas.
ra une nuit à terre et visitera Sousse, Sfax, Bizerli
■- lions
de francs.
quelles l'affût pourrait avoir lieu. De cette
BUREAUX TÉLÉPHONIQUES Sans l'annonce, sans la réclame insérée3 vte, en voyageant la nuit et en passant une journéeo
La majoration excessive des recettes pré-. !CONGRÈS INTERNATIONAL
façon, les affûteurs ne pourraient arguer
V
de ce même budget ne pouvait1
~ dans ses colonnes, il ne pourrait couvrir_ ^dans chacune de ces villes. Mais les programmess visionnelles
D'AGRICULTURE. — M. MÉLINE■ de'leur bonne foi, et les gardes verbaliseLa création de bureaux téléphoniques est
faits si longtemps d'avance, vous savez, il ne faut
p
a pas, non plus, être rafcintenue eu 1903, souss
: raient contre ceux qui ne seraient pas porautorisée dans les communes suivantes :
ses frais.
ppeine de préparer un nouveau déficit. Elle
rpas trop s'y fier.
Rome.—Un congrès international d'a-- teurs du récépissé ou qui se trouveraient
e
Azelot, Boucq, Bouxières-aux-Dames,
creusait encore un trou de 7G millions dee jgriculture doit se réunir à Rome, du 19 aui sur des terres autres que celles désignées. »
Cependant, voit-on les journaux préBrin, Champcnoux,Crantenoy. Herbéviller,
II. Barthou, ancien ministre, député des Bassesf
23 avril prochain.
Ï- francs.
Heville-Lixières. Serrouville. Ménil-Latonr.
[■[ tendre à l'exclusivité de co « produit » ?? Pyrénées,
i
fera à Bordeaux, le 81 janvier, sous les
Souvenir français
m
À ces deux sommes, il y avait lieu d'ajouh 1 M. Meline, ancien président du conseil
Mpuacourt, Neuves-Maisons, Pulligny, Sorr- Pas du tout.
auspices du Cercle Voltaire, une conférence sur la
a tter, d'abord 25 millions de receltes perdues
D'accord avec la municipalité de Nancy,
s de France et ancien ministre de l'agriculnéville, Valleroy et Millery. — Havas.
politique générale.
ppar le fait, des dispositions prises dans la ture, a informé le président du congrèss la Société nationale du Souvenir français a
a 1
A tout inslanl, ou périodiquement, les
g
M. Barthou parlera des principales questions acEMPLOIS RÉSERVÉS AUX SOUS-OFFICIERSs
> cconférence de Bruxelles sur le régime dess qu'il
se rendrait à Rome pour assister auxc décidé de faire graver sur le monument dy.
1tuclles et notamment des congrégations.
1travaux du congrès. — Havas.
s
sucres
et
du
dégrèvement
de
la
taxe
intéji diverses sociétés éditent des publicacimetière de Préville les noms des enfants
M. Thiercelin, adjudant au 153% à Toul.
—
rricurc qui en était la conséquence obligée;
de Nancy, décédés pendant la guerre de
est nommé commis de 5" classe à la tréso> lions, dos bullelins, des programmes oùïl
Un peu avant d'avoir atteint la limite d'ùge, lee p
puis plus de 30 millions d'augmentationsi
I
1870-1871.
rerie d'Alger.—- Havas.
. général Audren de Kerdren a été remplacé dans lee inévitables
1
des dépenses de l'exercice 19033 ILn situation «lui sultan s'aggrave
Elle fait appel aux personnes qui pourune, deux, Irois pages sont réservées à l
• commandement de la 1" brigade de cuirassiers, à p
PARENTS INDIGNES
par rapport à celui de 1902, augmentationss
raient la renseigner sur les noms des vicMadrid.
—
Le
préfet
espagnol
de
Médina
7
des
annonces
commerciales.
C'est
ani
_
Tours,
et
mis
en
disponibilité.
r
1
résultant, pour la plupart, de lois antérieu- .
Troyes. — La cour d'assises de l'Aube aa
limes de la guerre ayant droit à cette dismande à son gouvernement que la pluss linction. Elles sont priées de vouloir bien
Né à Vannes en 1810, Roger-C.asimir-Marie Au-- rement
r
votées.
condamné le nommé Chailley, cordonnier à
à tant de inoins pour les jourd
grande
indiscipline
règne
dans
l'armée
du
1 adresser à M. Marc, président, demeurant
dren de Kerdrcl était de la promotion du Céleste-- |
îSCela faisait, ensemble, un déficit de près ;
Troyes; à cinq ans de travaux forcés, et sa
i
à Saint-Cyr.
dde 200 millions de francs, qui apparaissent, sullan.
'
femme à six ans de réclusion, La femme* naux. Ceux-ci ne se plaignent pas. Aut Empire
20, rue Saint-Dizier, ou à l'un des membres
Les soldats livrent leurs armes et leurs5 du comité nancéien du Souvenir français,
Mwilley favorisait les relations incestueu—
aa priori.
i- contraire, ils insèrent obligeamment uni1
M. Emile DesckAnel, père de M. Paul DcschatMais la conversion de la rente 3 lj2 0[0,t munitions au prétendant. Les tribus kaby-" les renseignements nécessaires: « Noms,
ses de son mari avec sa propre fille, âfrée
des environs de Fez se sont unies égaj| compte rendu élogieux do ces publica-- 11nel, a repris son cours au collège de France, quiii 1"réalisée au mois de juin dernier, entraînait; les
•
, de moins de 13 ans. Celle-ci est actuelle" position militaire, grade, date de naissance
| .lement au prétendant. La situation du sul=■ ment enceinte et sur le point d'accoucher.
* et de décès, lieu de décès, »
i-. lions éphémères, ils les signalent, ilssi \avait été interrompu depuis l'attentat de Veraa Uune économie permanente, pour le budget tan
Mouley-Abdul-Aziz est des plus critiGelo, c'est-à-dire prés de deux années.
d
— Havas.
de l'Etat, de près de 32 millions et une écoLa Société du Sou«enir français espère
ques.
—
Havas.
contribuent à les faire vendre, acheter,f
De très nombreux auditeurs assistaient à la ree nomie
n
accidentelle, en 1903, de 26 millions,
que les Naucéiens s'associeront a elle pour
LES TROUBLES DU MAROC (suite)
dd'un demi-coupon de la rente convertie;
1prise du cours.
Télégramme commercial
celte œuvre de souvenir et de reconnais"1 et cependant, répétons-le, leur intérêt ena
Les dames étaient en grande majorité. Une salS
l- soit,
en. tout, 58 millions de réductions,
Un avis du ministre des postes informe
sance en lui fournissant les documents qui
(Bourse du commerce) -'■
*ve d'applaudissements a accueilli le professeur à
Pour faire face à l'excédent des dépenses,
le public que les objets recommandés '?
à souffre :
lui sont nécessaires.
»
Chiffres
fournis
par
la
maison
E.
Bollack
aîné
a
s
son entrée.
q
qui
était encore de 140 millions de francs
' animation de Fez et de Mequinez ne sont
il
Supposons, en effet, qu'un négociantt
.
—
e chiffres ronds, le ministre des financess
: Plus acceptés.
en
Paris, 13 janvier, 1 h. 38 soir.
^iieinGiit eoïimi"!
Ce sont des hâbleurs, des vantards, disait-on
p
COURANT 4 DIS MAI
n proposait,
avec la suppression de l'amor;
MadriQ- — M. de Cogordan, ministre àj consacre mille francs par an à la publi- en—parlant
}
Mercredi
14
janvier, à huit heures et dede certains méridionaux.
16 35
16 75
tissement de la rente 3 0[0 perpétuelle, ins- Avoine IlOOkll.J
■tanger. télégraphia qu'un certain émoi rèà- cité.
22 25
22 65•2 mie du soir, rue de Serre, M. Chantriot ;
— Mais non, messieurs, dit l'ami Cadet, ce sont
c
it crite
dans la loi du 30 décembre 1900 et fi-" Blés (100 kil.)
gne dans cette ville.
•■ l'avines (100 lit!.)
29 15
29 70Q « La colonisation et le peuplement français
simplement des maih-urenx qui ont tant,
t, jgurant au budget de 1902 pour 22 millions,i. Huiles (100 UU.)
Eh bien, les cinquante, les cent francs, tout
J
Fez. — Une nouvelle expédition du sultan
2 en Tunisie. » Conférence publique avec
53 50
'55 62
n1
'
tant
de
mémoire,
qu'ils
.'iviennent de
choses
f
s
un
ensemble
de
mesures
destinées
à
pro•si partie dans la soirée,
i- Alcools (rtieclol.)
43 87
45 ..7 projections.
1
les deux cents francs qu'il donnera pour
ç ne sont jamais arrivées.
r qui
'C
duiro 83 millions de francs. »
[ Sacres
,.
25 59
20 62
21 Jeudi 15 janvier, à huit heures el demie
DERNIERE
HEURE
à
*%
ï
*j
J
vi
'"7;:rr '
j
g
j
lie
t
1 Ll PMffi ;
La
:
du commerce eî la liberté de
l'snnoiîce.
L'annonce est la c marchandiss » attitrée du jonrna! eî, cependant, tout le monde vend aujourd'hui \\
de S'annonce. — Loin de protester, les «
journaux prêtent leurs colonnes iiénévûlernent pour faciliter cette concur- <
rence.
*
H
j
J
Le
g
général du budget
-
_
£ST RÉPUBLICAIN
Mardi 13 Janvier 1903
ctofrgpi uni iii7aw___nrmTjtnwBMiiii"~f~^
i
flu soir, rue de Serre, M. Aucrbach : « L'IndoChtr.e. » Conférence publique avec projections
.
Lundi 19 Janvier, à cinq heures, Faculté
de droit, M. Beauchet : Economie colouiale.
'
Faculté «le Droit
Cours publics de doctoral
Mardi 13, à 4 heures. — Cours de droit
constitutionnel. — M. Carré de Malberg :
Caractère de l'ancien représentant aux Etats
généraux.
.
Mardi 13. à 5 heures. — Cours de science
sociale. - M. Méltn: La famille suivant la
conception philosophique ou dogmatique.
Mercredi 14, à 2 heures li4. — Cours de
législation et économie industrielles. — M.
Bourcart : Le contrat de travail (suite).
Mercredi 14, à 4 heures. — Cours de droit
nature!.— M. Gavel : La notion du droit naturel au dix-neuvième siècle.
Mercredi 14, à 4 licures. — Cours de droit
international public. — M-. Chrétien : Le decret de Milan. Les idées de Napoléon en
matière de neutralité maritime. Projet de
déclaration générale, 1814.
Mercredi 14, à 3 heures 1 [4. - Cours d'histoire des doctrines économiques. — M. Liégeois : Evolution du principe de liberté du
travail et de l'industrie dans les faits et
dans la doctrine (suite).
et
et un
u bébé était attendu prochainement.
Cette
parfaite quiétude fut malheureuseu
mei
ment
: troublée lundi vers midi. Waller qui
avait obtenu son congé revenait à Nancy et
aval
sc présentait
à sa femme. Voyant, que collep
e
ci1 était
dans une position intéressante, il
p
lui 1fit des reproches amers sur son inconduile.
Jaeger, qui était présent, entra dans une
viol
violente colère et, emporté parla fureur,
hnS
brisa
à coups de poing les vitres de la fenôtre.
„
.
nêli
.Eu
-E portant ces coups, les éclats lui firent
]
de
blessures aux poignets, dont
(ie profondes
ies vaisseaux sanguins furent coupes.
les
TJ
Une forte hémorragie s'était déclarée, le
Çîej
blessé dut. être conduit, par des voisins, à
nie
l'hôpital
où il à élé admis d'urgence.
Certificat «l'aptitude
aux toaactions «le bibliothécaire
Une session d'examen pour l'obtention
du certificat d'aptitude aux fonctions de
bibliothécaire, dans les bibliothèques des
Universités, aura lieu prochainement.
Un registre pour l'inscription des candidats sera ouvert du 20 janvier au 18 avril
1903.
Amicale Saint-Pierre
On nous écrit :
« Jeudi 8 janvier à 8 heures et demie du
soir, 98 anciens élèves.réunis à l'école SaintPierre, ont adopté les statuts d'une associalion amicale et ont procédé à l'élection d'un
comité composé de MM. Guérard, directeur
de
l'école ;
E.
Simon,
publicisle,
V.
Karotsch, professeur
de dessin ;
C'u. Soleil, entrepreneur de peinture; 11.
Colin, cafetier; G. Gombaut, coiffeur ; E.
Wohlguemuth, épicier; D. Guérard, F. Ma
haut, instituteurs ; E. Parfait, sculpteur ;
L. Parfait, coupeur en chaussures ; L. Kalisv entrepreneur; L. Aron, représentant de
commerce ; E. Chenet, employé à la mairie ;
L. Fort, comptable; Ch. Villain, artiste
peintre.
Les anciens élèves de l'école Saint-Pierre,
qui n'ont pas reçu de convocation, sont priés
de vouloir bien faire connaîlre leur adresse
à M. Guérard.»
Employés d© commerce
et comptables
L'assemblée mensuelle de l'Union syndicale des employés de commerce et comptables de Nancy aura lieu le mercredi 14 jan-■
vier 1903, à 9 heures précises du soir, au
siège social, 41, rue Saint-Jean.
La cérémonie de Fontenoy {suite)1
On nous prie d'insérer:
« Le dimanche 25 janvier courant, le 32".
anniversaire de la destruction du pont dei
Fonleiioy-sur-Moselle, par une poignée de
braves, alors que la ligne ferrée était au,
pouvoir et gardée par l'ennemi, sera celé-'.
br'é à Fonlenoy-sur-Moselle. Réunion à la
gare de celte localité, à 9 heures du matin.
Un banquet suivra la cérémonie : coût ::
3 fr.
Ceux des camarades de la 24' section quii
désireraient se joindre à la délégation dui
comité, qui assistera à cette fête patrioli-■
<iue, sont instamment, priés de se faire in s-•
crire au siège de la Société, 14, rue desTanneries, ou auprès de MM. Busselot, 96, rues
Saint-Dizier, et Mienville, 6, rue de l'Ora-■
toire, d'ici au 19 courant, dernier délai.
Départ de Nancy à 8 h. 40. »
Les escrocs «le la rue ISénit
C'est
le 22 janvier prochain que viendra
^
crevant
le tribunal correctionnel de Nancy
J^Y
de Delmas et do sa concubine, plus
ll'affaire
ai;
connus
à Nancy sous le nom des époux De«ni
frêne.'les
si adroits escrocs de la rue BéWf :
nit.
ni|
f *Rappelons comment opéraient, ces habiles
filous. Ayant loué au commencement de dénlo
cembre 1900 un appartement rue Bénit, ils
cen
annoncèrent par la voie de la réclame qu'ils
ani
achetaient au comptant à des commerçants
acl:
obérés
des marchandises de première fraî°}K
cl leur et de qualité irréprochable, qu'ils
clic
ViU
voulaient revendre, pour ainsi dire, à des
prix absolument dérisoires, dans un but de
réc
réclame et pour préparer de nouvelles operat
rations commerciales.
ILes Dcfrêne, parlant beau et de manières
ca<
enveloppantes, achetèrent à crédit toutes
les marchandises qu'ils purent.
l revendaient au comptant immédiateUs
me
ment, tout était donc bénéfice pour eux,
puisqu'ils ne payaient pas le vendeur.
1
La
réputalion des escrocs s'était si bien
(
établie
dans moins de quinze jours,soit
5r? 1"" auque
du
20 décembre 1900, ils réussirent à
se procurer 20,000 francs de marchan2?
dises.
j
Le 20 décembre 1900, le magasin fut. fermé& et un avis mortuaire, placardé à la porte,
annonçait que les négociants allaient enter.
rer un parent à Marseille !
,
Do cette dernière ville, en effet, des let.
1res furent expédiées par les filous à M.
,
s
Spilt, charcutier, rue Saint Jean, propriêg.
taire de l'immeuble.
,
■Cet honorable commerçant-attendit quelJ?
ques
{ . jours, mais comme il restait sans nouvclles, il requit un huissier.
]
La
porte fui ouverte.
Le magasin ne contenait que des boîtes
garnies
de copeaux.
ë'
.:Le pot aux roses était découvert et les
plaintes affluèrent à la police. Voici les
j£
personnes lésées : MM. Bernel, menuisier,
qui fil pour 400 fr. de réparations au magasii ; Lancelevée, 700 fr. de lingerie; Charsin
ro; et Spens, chaussures 1,400 fr.: Sauleroy
ra
rau,
employé au Bon-Marché, 500 f r ; Bargi>
ghon,
couturier, 400 fr. de toilettes pour
Mi
Mme Dcfrêne, etc., etc.
Longtemps le couple resta introuvable.
En
^' juin 1902 il fut arrêté à Grenoble et rami
mené à Nancy.
L'instruction, poursuivie fort activement,
a 1révélé des détails fort curieux.
a
Nous reviendrons au long sur cette afA]:
lorsqu'elle sera appelée devant la
\faire
U
justice.
3
Les étrennes du boueur
Un brave boueuv préposé à l'enlèvement
de immondices de la partie de la ville si-'
des
tu
tuée aux alentours de Pré ville apprenait,
ce
ces jours derniers, qu'une femme s'était'
pr
présentée
chez les habitants de ce faubourg;
et
et avait sollicité, comme étant sa femme,
•
le: étrennes réservées à lui, boueur.
les
Lorsque le « préposé à la salubrité » se
pr
présentait
pour loucher les quelques sous!
qv,
qu'on a l'habitude de lui donner de si bon
co
cœur,
il était ôconduit naturellement. Bis!
rt
repetita
non placent.
Furieux de ce contre-lemps, le boueur
Société «l'étuule» psychiques
o;ouvrit
une enquête, qui lui permit de dé«1«> IVaney
c0
couvrir l'escroc. Il est allô déposer une[
Séance du 11 janvier
'
à la police.
M. le secrétaire a présenté le compte ren-. plainte
P1
du des travaux de 1902. La Société a entenVandalisme
du treize conférenciers qui oui présenté des5
ï)eux enfants, âgés d'une dizaine d'an-■
travaux d'une incontestable valeur, elle a1 nées,
ne
n'ont rien trouvé de plus intelligent,.
assisté à quatre séances expérimentales. Lei pc
pour se divertir, que de détériorer une fou-■
nombre des sociétaires est en accroissementt laine
ta
de la rue des Chaligny.
constant. La bibliothèque renferme plus de5
D'ailleurs, depuis quelque temps, ces acdeux cents volumes spéciaux. Le Bulletin1 tes
te de vandalisme se multiplient comme à
1
de. la Société (dont les articles de fond ontt plaisir.
pl
Nous avons signalé la mutilation1
été reproduits par la grande presse) a vuI de
dont, vient encore d'être victime un des>
ses abonnés et la vente chez les librairess gi
groupes d'enfants de la place Carrière. Ill
augmenter sensiblement.
in
importe qu'une condamnation sévère vienne'
Puis M: Thomas a continué ses intéres-• guérir
gv
de leurs amusements odieux tous les»
saules et instructives causeîics sur la forceï gt
garnements coupables.
magnétique humaine en étudiant son appliMenus faits
cation à la guérison des maladies.
La
police
a
dressé
procès-verbal à M. Jean1
M. le docteur A. Haas a commencé une3
élude sur le spiriLisme, d'après le compte3 M..., 37 ans, propriétaire d'un chien mal18
faisant, qui a mordu un passant.
rendu du congrès spirilualiste de 1900.
La séance s'est terminée par quelquess . — Emile Masson, 37 ans,manœuvre, sans>
domicile fixe, surpris mendiant à domicile,,
expériences de lucidité somnambulique.
rue de Strasbourg, a été écroué.
Cercle du Travail
— Eugène Karu, 55 ans, sans professiont
Ce soir, mardi, à 8 h. Ir2, réouverture duil m
ni domicile, qui, lundi soir, cours Léopold,,
cours de comptabilité par M. Emile Moret.•• 0
1
obsédait les passants en sollicitant l'aumô-Demain, mercredi, de 9 à 10 heures du
u a été déféré au parquet.
n ne,
soir, cours pratique de cuisine par M. Wé— Dans la nuit de lundi â mardi, la police2
ber, chef à l'hôtel de France.
a déposé au violon, sous l'inculpation de
a
3
vagabondage, Joseph Schérer. 60 ans, sanss
La Ruche nancéienne
r profession
ni domicile, trouve couché surr
Une soirée musicale est organisée par
Pi
3 voie publique.
s- Ila
celle société au profit de sa caisse de secours aux malades, le samedi 24 janvier
Echo «le la correctionnelle
1903, à neuf heures du soir, salle Poirel.
.
Dans le dernier compte rendu du tribunal
Inspection du travail
ci
correctionnel, nous avons dit que Julie
Nous apprenons que M. Louis Ghéry,ins!' p
Pfcrzel avait été condamnée, pour vol au!
pecteur départemental du travail dans Fin1- p;
préjudice de son-patron, M. Lucien Humt.
a ri
duslrie à Nancy, vient d'être élevé à la
hert, architecte. La domestique voleuse,
(
deuxième- classe de son emploi.
q était en service depuis trois ans, s'ap£
qui
pelait
en réalité Catherine Hurst. Elle a été
Mariage .
r
e
3. 01
condamnée à huit mois de prison.
Lundi matin, a eu lieu en l'église paroissiale de Vczelise, le mariage de M. J. HamIM»rclié «le iVancy «lu 13 Janvier
mer, le distingué ingénieur-administrateur
.1'
149 bœufs, de 71 à 78 ; 27 vaches, de 58 à 75 ;
X- i*
18 taureaux, de 67 à 70 ; 135 veaux, de 5i à 07 :;
délégué de la Compagnie générale électri,r 2
245
que, avec Mlle A. Deleau, fille de M. Victor
- moutons, de 100 à 115; 320 porcs, de 74 à 80. '
Deleau, notaire.
Avis aux cultivateur*
De nombreux amis des deux familles
ss
MM. Yilgrain, Simon et Cie payen'î ies
;S
avaient tenu à présenter aux jeunes époux
b
x bons blés vieux ou nouveaux 20 fr. 25 les
leurs vœux de bonheur auxquels nous
is Ij100 kilos rendus aux Grands-Moulins.
joignons très volontiers les noires.
f
Malzévilïe
Don
La maison des Magasins-Réunis a fait
II
don d'un deuxième versement de 100 fr.
rà l'œuvre des Soupes populaires, à l'occa1_
sion de la nouvelle année.
Le drame de
!a
rue
de la Pépinière
(suite)
Lundi matin, Braquit, extrait de la maiison d'arrêt, a été interrogé de nouveau par
ir
M. Sloffel, juge d'instruction.
Devant le "magistrat, son attitude a été
té
des plus satisfaisantes. Il a renouvelé ses
;s
aveux, déclarant, qu'au cours d'une discusssion avec sa femme, il avait poussé celle-ci
ci
qui se trouvant au haut de l'escalier, roula
'a
la tête la première jusqu'au lias des marches.
s.
L'ayant appelée, comme elle ne répondait
a*
pas, il alla la chercher, la releva et la transsporta sur son lit où elle expira quelques
îs
minutes après.
Braquit, qui semble comprendre mainteenant toute la gravité de l'acte qu'il a comB*
mis, eu a manifesté au juge de profonds
»
regrets, déclarant qu'il ne pouvait supposer
sr
que la poussée qu'il a donnéeà sa femme la
la
fît tomber assez malheureusement pour oclC_
casionner sa mort,
.
Braquit, après son interrogatoire, a été
; e
'
reconduit à la prison.
***
Les obsèques de la femme Braquit ont eu
eu
jt..
lieu lundi, à trois heures, en l'église SaintEpvrc.
De nombreuses personnes du quartier
cl.
(je
avaient tenu à assister à Fenlerrement de
la malheureuse.
Le retour «lu légionnaire
Depuis quelque temps, Arnold Jaeger, titireur de sable, domicilié au restaurant
mt
Schneider, prairie de Tomblaine, vivait en
en
concubinage avec la femme Waller, née
iôe
jEmélle Brandterfer, dont le mari s'était en;ngagé à la légion étrangère.
£c ménage vivait parfaitement heureux,
îx,
Suivant une pieuse coutume, les conscrils
j la classe 1902 sont allés dimanche porters
;v
$
dos couronnes sur la tombe de deux de
(<leurs camarades, les jeunes Royer et Haag.e
ç.
Sur la tombe du jeune Royèr, M. Louiss
Leroy a dit avec émotion une poésie fort
rt
bien tournée, sur la tombe du jeune Haag,
f,
B
mort il y a très peu de temps, M. Buscaut
it
a prononcé une touchante allocution.
En fort bon ordre, les conscrits ont fait
il
eensuite le tour de la localité. Ajoutons quee
ssamedi prochain Ils donneront, dans la
la
s
salle
des Fêles, un bal qui promet d'être
0
tbrillant.
Doinbasle
Nous avons rapporté, dans notre précéêA
dente édition, qu'un sieur Couillard, mari■ir
nier, de passage à Dombasle, avait déclaré
•é
à la gendarmerie que sa femme, née Léonà
;ittjne Mellet, lui avait soustrait 500 fr. et pris
is
1la fuite avec un domestique et qu'il les supprposait à Paris. Cette femme, qui n'a pas
is
(quitté Dombasle, ayant, appris l'accusation
m
1
portée contre elle par son mari, est allée à
à
fson tour déclarer à la gendarmerie que, si
si
<elle avait quitté son mari, c'est parce que
ie
(celui-ci la maltraitait quand il avait bu et,
il,
(qu'en parlant, elle n'avait pas emporté 500
00
j
fr.,
mais 60 fr., pour pouvoir louer une
ic
(
chambre
garnie et vivre quelque temps.
s.
Elle
travaille à la filature de Blainville.
i
L'auteur du vol serait Louis Richier, qui
ui
a
; pris la fuite, et serait probablement à
'Paris chez sa mère.
. M. Couillard,qui n'avait pas encore quitté
tô
Dombasle,
a reconnu que sa femme disait
j
lit
la
1 vérité.
— Dimanche soir, il y avait réception
3U
chez M. Ostermann, rue du Moulin, 1, où
DÛ
les nommés Soleil, Rahuel, Calochino ct
et
d'autres individus, femmes' et hommes,
ÎS,
chantaient et buvaient.' Un nommé Adolphe
he
Bayard, qui avait aussi fêlé la dive bouiuteille, voulut faire faire partie de la joyeuse
se
compagnie. MaUui cn-prit, ear il aurait été
ité
reçu à coups de poing et de canne et c'est
>st
cde
{
en
qu'il est allé raconter son avenen pleurant
1
inre à la gendarmerie qui, après enquête, a
tnr
dressé
procès-verbal.
dre
Pavières
pj
Des
malfaiteurs inconnus ont pénétré la
j dans la ca>e de M. Constant Vaillant,
nuit
BU
^gé
âgé de 52 ans, cafetier, à qui ils ont derobô
rob huit bouteilles de vin vieux estimées
1(i
16 jfr.
— M. Auborlin, boulanger, en entrant
- son magasin, constata que le tiroirdans
._«,
caisse
avait, été enlevé ainsi qu'une somme
^"
de 30 fr. qu'il contenait. Une heure après,
un ouvrier maçon. M. Grégoire, venait aver»
tir que le tiroir se trouvait dans un verger.
"»
situé
à environ cent mètres de la com="
m
mune.
,
£
Ce vol a été commis la veille entre huit
n.e,
heures
et demie et neuf heures du soir, par
des individus parfaitement au courant des
des
habitudes de la maison, qui ont profité de
hal
l'ai
l'absence du fils de M. Aubertin, pour entre
trer dans le magasin en passant par les écuries.
La gendarmerie a ouvert une enquête.
rie
Lu né ville
-j
Une
conférence ouvrière a eu lieu dimanche à 2 h. Ip?, à Luné ville, au salon des
cb(
y
a
Halles.
j y avait environ 120 personnes. Le buIl
, a été ainsi composé : M. Lacaille, sereau
re
crélaire de la Fédération des syndicats de
cvi
Meurthe-et-Moselle, a été nommé président.
JJ
Il avait, comme assesseurs MM. Richard et
jjj
Mison,
de Lunéville.
]
La
conférence a été faite par M. Coupât,
^
délégué parisien,- aucun incident.
Serres
JUne partie des chevrons delà toiture d'un
réduit
a porcs situé derrière la maison de
rei
Mme
veuve Gérardin a été sciée. Par suite
Mi
de cette malveillance, la toiture s'est en
partie effondrée. Les dégâts occasionnés
pa
sont
estimés à 100 fr.
so
Malgré les recherches faites par la gendarmerie. les auteurs de celle dégradation
da
n'ont pu être découverts.
IM
gj
Suicide à Jceuf
Aî. Henri Line, dit Nicolas, 4t5 ans, garde
de la cantine des usines de YVendel, à Jœuf,
était très malade depuis quelque temps. On
ôti
ne lui donnait même plus qu'une huitaine
de jours à vivre. Poussé à bout par les terribtes souffrances qu'il endurait, le malheuril
reux,
qui était dans son lit au rez-de-chausre
sée, trouva la force de gravir les escaliers
sé
ct se précipita par la fenêtre du troisième
ç»
étage. Line s'abîma sur le sol. La mort a
ét:
été
eti 'instantanée.
*
Natalité et mortalité à Longwy
L'étude de l'état civil de Longwy montre
que
qr l'année 1902 a été prospère pour la population de la ville. On a enregistré 233
pr.
naissances
contre 139 décès. Il reste un
vit
excédent
définitif cie 114 personnes. Ce réex
sultai est dû à une double cause : augmensu
tation
do la natalité et diminution de la
ta
mortalité,
m
Pendant que dans toute la France le nombre
bi dos naissances reste stationnaire et se
maintient aunuellement à 21 pour mille ham
bltants,
il y a à Longwy une progression
bi
régulière.
re
La population qui était de 8,207 habitants
au
ai recensement de 1896, atteignait le chiffre
de
de 9,235 à celui de 1901. Le nombre des
naissances de l'année 1897, 196, par rapport
à
.■ la population probable calculée en répari
tissant
régulièrement sur les années inler"
médiaires
l'accroissement obtenu entre les
J
deux derniers recensements, donne pour
cette année une natalité de 23 0[0.
En 1898, les 199 naissances correspondent
également à 23 0#.
™
En 1899, il y a 250 naissances, la natalité.
est
■ I|I
f de 28 0(0.
En 1900, 218 naissances, 24 0[0
En 1901. 248
—
26 0(0
En 1902: 253
—
36 0(0
-j La ville de Longwy a eu, en 1902, 45 nais-i
sances de plus qu'elle n'en aurait eues si sa1
S
'natalité
avait été la natalité moyenne fran'
çaise.
Ce chiffre (45) est encore inférieur à !
j£
la réalité, car dans le nombre des habitants5
(j,
de Longwy, on compte les troupes de la'
g;
garnison.
La part qui revient aux 1,500 mil»'
fa
(aires de la place dans la lolalilé des naissances
Sj
de la ville doit êtro bien faible pari
n
rapport à leur nombre.
Celte forte natalité est due k la propor|(
lion considérable de la population ouvrière.
E
Elle provient aussi de co que Longwy, com-'
ra
me
toutes les villes dont, l'accroissement est',
rt
rapide, attire à elle, du dehors, surtout des,
él
éléments jeunes, qui vont fonder une fa'1
nj
mille ou viennent d'en fonder une.
A
j
ETAT CIVIL PB XAXCY
Du H janvier 1003
Naissances. — Andrée-Alice Nicolas, rueB
j
Jeannot,
11. — Anne-Eugénie Ghevrier, rue»
(
d
de la Hache, 118.
Décès. — Marie-Rosalie Bourbon, 55 ans,,
s;
sans
profession, épouse Mlillcr, ruede Melz,
yj — Nicolas Jacquemin, 81 ans, retraitéé
72.
d chemins de fer, rue Isabey, 49 bis. —
des
fr
Marguerite-Lucienne
Antoine, 4 mois et 211
jjours,
rue de la Croix-de-Bourgogne, 1. —(
Ë
Barbe Krieger, 59 ans, cuisinière, céliba-ji
t;
taire,
rue des Ponts, 66.— Louis-Emile-Au-.g
gusfe Tallement, 9 jours, boulevard d'Alsa-,c L— Virginie André, 57 ans, journaliè-1ce.
re, veuve Nilaire, rue Gharles-ÏII, 6. —
\
Auguste-Félix Greffin, 69 ans, chanoine, rue
e
c)
de Strasbourg, 163.
Du 12 janvier 1903
Naissances. —- Augustine-Yvonne-Hélènee
|Rom, rue de laSalle, 4.—Pierre-Henry- Maria
a
k.
Karrenbauer,
ruePichon, 8. — Léon-Albert
't
|Higel, boul. de la Pépinière, 10. — GeorgesïEmile Pariset. rue de l'Etang, 135. — Char>
les-Alphonse Chrétien, boulevard de la Pé3pinière,
4.
—
André-Joseph
Simon,
rue
de
e
J
k
Strasbourg,
64. — Marie-Louise Olivier,
'',
1rue des Qualre-Eglises, 56. — Adeline-Emiilie Broquet, rue du Téméraire, 18. — Alber''i.
tine-Eugénie Barrière, rue des Qualre-Egli«ses, 56.
^ Décès. — Elisa Leba, 51 ans, journalière,
3)
veuve Carré, rue de la Gendarmerie, 19. —
_
1 mois 15
15
j
jours,
rue de Nabécor, 13 bis. — Elisa-Eroéé1
lie-Julie
Royer, 07 ans. rentière, veuve Patcquet, rue de Malzéville, 17. — Françoise
:Q
I
Picard,
73 ans, sans profession, célibataire,
^
1
rue
de Strasbourg, 194. — Edouard-Philippe
,e
(
Cougy,
18 ans, tailleur d'habits, rue des
»s
(Orphelines, L — René-Victor Perrin, 2 mois
iS
A
4 jours, rue du Bastion, 39. — Marie Louise
;e
ï
Sonntag,
3 mois et 24 jours, rue Clodion,
,
t64. — 1 mort-né.
Transcription : Jeau-Bapliste Chmilelin,
*
a
E52 ans, colonel commanttent le 116erégiment
n
(
d'infanterie,
officier de la Légion d'honneur,
r,
<
décédé
à Toul le 10 décembre 1902.
Publications de mariages. — Ambroise
■;e
:Fauquel, voyageur de commerce à Beuvil111ers (M.-et-M.), avant à Nancy, rue SaintJI
Georges,
26, et Horlense-Géclle Caillot, tailileuse, boulevard Lobau, 14. — Henri-Emile
'Vieprecht, rnililaire retraité, décoré de la
ia
:médaille militaire, et Augustine Clemenlz,
Z)
1chapcliôre, tous deux rue de la Source, 11.
I.
■— Charles-Edmond Dugour, employé de
commerce,
rue du Montet, 40, et Elise-Jeanne Jacquol, employée de commerce, rue
;Saint-Julien, 88. — Jules-Ernest Midon,
comptable, ruedu Haut-Bourgeois, 35,époux
divorcé de Marie-Joséphine Poirol, et Jean6ne-Elise-Eugénie Wiliien, sans profession à
k
Lunéville. - Hubert-André Brossard, emnployé au chemin de fer à Tasdon (CharenleeInférieure) et avant à Glairefoutaine (Seineeet Oise), et Maria Primon, cuisinière, rue
je
de la Commanderie, 28. — Paul-JosephnBiaise Balay, garçon boulanger, rue Kléeber, 39, et Mathilde-Victorine Poupart, couu
"
turière, rue de Villers, 22 bis. — Jacques
es
Yiuigmami, adjudant au 1"' régiment de
de
zouaves, en garnison à Alger, et Marie-Eu.ugénie-Marguerite Parmentier, sans profesÎSsion, place de la Carrière, 3.
Isidore-Paul Boniface, rue des Ponts, 11,
II,
et Vicloire-Maile-Joseph Quémard, cuisisinlère, rue des Carmes, 36. — Ange-Pierre
;re
Cornu de la Fontaine, capitaine d'artillerie,
ie,
stagiaire à l'état-major du 20' corps d'ai mée.
(Camille-Désiré-Guslave Royer,
rue Grand ville, 22, et Nicole-Marie-C émonru
Une
tin Geisler, sans profession a Etival (VosKes). _ Charles-Georges Saumier, menulge
fier,
rue Bailly, 19, et Marie-JoséphineLauslc
rencon, employée de commerce, rue Ober™' J89 bis. — Jacques Reymann, sculpteur
lin
sur bois, rue de l'Etang, 50, et Joséphine
î£
Weil,
cuisinière, rue Saint-Dizier. 23. —
^
Antoine
Bernard, cordonnier, rue Clodion,
n
49 époux divorcé de Marie-Louise Vosgin,
et'
t' Marie-Adèle Legrand, journalière, rue
e
Clodion,
49. — Jean-Maurice André, clerc
ci<
(j
dee notaire, rue de la Constitution, 5, et Euffônie-Marie-Madeleine
Pein.sans profession
gé
\ Paris, boulevard Saint-Michel, 71. — Ama
ij
broise-Joseph
Payeur, docteur en médecine
r
à Lemberg (Lorraine), et, Marie-Lucie-Caroline Cura, sans profession, rue de Strasro!
bour",
29.
D0
Edouard-Edmond Caron. photograveur,
u
rue Lionnois, 19, et Maria-Céline Guyot,
V
sans profession à Saint Nicolas-du-Port. —
sa
ci
Charles Arlis, maçon, rue Molitor, 25, et
M;
Maria-Amélie
Deschevaux, ouvrière d usine
\x >Saint-Max, avant à Rambervillers (Vosà
ges).
_ Edouard Fontaine, menuisier a
ge
Laxou.
près Nancy, et Marie Hervé, perLî
leuse,
rue du Sergcnl-Blandan, 71 — Jeanlei
Joseph-Ghislain Guilmin, comptable a NanJo
cy veuf de Môlanie Lemoine, et Marie Cacy
Ihèrine-Jeanne-Marguerite Bertrand, sans
th
profession à Nancy,veuve de Louis Guilmin.
pr
- Cluu-les Emile Geimer, restaurateur, rue
—
Saint-Nicolas, 50,et Marie-Jeanne Démange,
Ss
sans profession à Maxéville. — Emile Persa
ton,
chapelier, chemin de Remicourt, et Malo
ric-Emélie Nicole, bonnetière à Malzéville.
rit
Joseph-Constant Cuny, bûcheron à Raonles Leau (Meurthe-et-Moselle), et Marie-Pauy
line
Grimont, femme de chambre, rue Stan
nislas, 49. —Fridolin-Georges-Lôon Gigleux,
ni
manœuvre à Neuves-Maisons, ct frlaricm
Louise Bosmans, sans profession à Neuves^
Maisons. — Georges Lorenlz, .cultivateur à
QJ
Climbach (Alsace), et Wilhelmine-Mariej (
Louise
Wolk, cuisinière, chemin Blanc. —
p,
Prosper Welsch, représentant de commerce,, rue de l'Etang, 58, et Marie-Clotilde BerCt
nard, tailleuse, rue Charles-III, 78.— Pierre
ru
Franz, couvreur, rue de la Commanderie,
<«
49, et Louise-Ernestine Legay, femme de
j
chambre,
c
rue de la Commanderie, 71.— LuM
cicn-Louis Rousseau, employé des ponls et
cl
chaussées à Dieulouard, et Barbe Glodt, cui»
s
siniére,
rue Lcpois, 17, de fait, de droit à
jj
Dalheim (grand-duché de Luxembourg). —
«j
Charles-Victor
Thiriori, serrurier, rue
A
Drouin,
et Augusline-Chrisline Port, sans
...
profession
à Saint-Max.
1
♦
Cie d'Assurances Générales sur la Vie
Itciile* vlaR-prc», — mixtes — dotales
y Simon, 3S, rue Gambetta, Henseig. gratuits
M.
♦
n
T«5
MUNICIPAL. — Mardi 13 janvier
1903, à 8 heures, avec le concours de
Mlle Wilhem. — Le Maître de forges, drame en 5 actes, de M. Georges Oh net. Le Lu„
thier de Crémone, comédie en 1 acte, de
F
FrançoisGoppée.
|
HI;A.TIIE
QuA-ruon HEKKING.—Très agréable séance
d
du
quatuor Hekking, dimanche, au salon
Q
Carré Je dis « quatuor » pour respecter la
,
_tradilion, car, en vérité, le Quatuor n'était
représenté
que par celui en ré mineur de
p
Fr. Schubert, sur l'inlerprélalion duquel il
est
! préférable de glisser. J'ai trop de fois
rendu
hommage au talent et aux efforts de
»,
M. Louis Hekking et de ses collaborateurs
pour ne pas leur dire, en toute sincérité,
J.que
leur exécution était celte fois cahotée,
;!rocailleuse,
exemple des qualités de sou?
plesse et de moelleux dont témoigne ordif
nairement le quatuor. C'est une revanche à
prendre.
^
M. Gérard Hekking revenait parmi nous
'avec un programme intéressant, compre%nant la Sonate eu fa majeur, de Richard
Strauss, l'Aria, 'do Bach, et la Pavane, de
£
'~Saiht-Saëns, subrepticement glissée à la
place
de l'Air de Pcrgolèse. C'est incontes,
tablement
— en dépit du bis qui a accueilli
,'
la
'' Pavane — dans l'Aria, du trrand Bach,
que
Gérard Hekking a procuré aux musi'
ciens lo plaisir le plus pur. Ses larges qualités de solidité, de son, de style sont émi-.
nomment adéquates k la musique du vieux
maître.
Il en rend la noble architecture avec'
:
!,une sobriété d'efforts et une intensité d'expression
extraordinaires. Il est y aussi peu;
*
« exécutant » que possible — vous voyez
"(
dans quel sens j'entends l'expression. Et il|
1mérite des louanges sans réserves.
On a fort apprécié aussi Mlle Cahun,
c
chanteuse
adroite, trop adroite. Elle a déli-(cieusement chanté le Secret de Fauré, mais!
ses
s
habiletés d'interprète conviennent moins>
à
I là simplicité classique et notamment à\
l'air de Suzanne des Noces de Figaro. Dans
'les Adieux de l'Hôtesse arabe de Bizet,''1
<elle a triomphé.— G. B.
.
Au THÉÂTRE. — L'engouement du public;
pour
1
le théâtre continue. Il augmente. Di-'
manche,
au Voyage en Chine, en matinée,,
1la salle craquait de monde du haut en bas.
<On se disputait les slrapoulins... et les pla<ces debout. Et quel excellent public, chaudj
<et enthousiaste ! Le soir, salle comble pourj.
ille Dindon ct les Dragons de Villars, pro-.
gramme abondamment copieux.
.
On parle d'agrandir la salle de théâtre....
'et la caisse directoriale.
«*.
Le succès de La Belle au Bois dormantt
;allant en grandissant à chaque représenta.lion, pour satisfaire aux nombreuses de;mandes qui lui ont. clé adressées, la direc-;
tion donnera, jeudi prochain 15 janvier,
:la 7e représentation de cet ouvrage.
»
La location pour cette soirée sera ouverte dès aujourd'hui.
*
***
Le succès des pièces déjà représentées
n empêche pas M. Mirai de songer aux nout
veautés. La troupe d'opéra travaille actuellement Louise qui passera en février. Les
s
principaux sujets savent déjà leur rôle. On
n
répète activement Sapho, de Massenet,
t,
dont la reprise, particulièrement soignée,
s,
est annoncée pour le premier jour. Après
is
Sapho viendra une reprise du Pré-aux:Clercs (M. Mirai alterne intelligemment
it
1 ancien et le nouveau répertoire) et enfin la
a
première des Saltimbanques, opérette nou1velle. La troupe de comédie ne reste pas
is
inactive. Elle travaille actuellement le Bon
n
Juge, le joyeux vaudeville de Bisson, le
le
Vertige qui sera une première sensation1"elle, et enfin Zaza, dont la reprise est pro>
chaine. Voilà de belles soirées en perspec>
-1——
i^,ro,,-r c-Afint livrés à des courses folies,
ch
cle
troc altérés ils pourraient boire,
sei,
<]ans les
ou
bassins des poissonniers, qui sont installes
bas
a n
v
vac ,.„ i« inpn on onvelauiuau ucs i<ne
.,.
fl
ren
abondamment
lier
ga
gar
pnis lorsauePhœbôépandrait ses rayons
r
nocturnes
enveloppant graduellement no110c
h^ mimTvu^ olanôte de son voile sombre
Ire
^MaÏÏSKtérK
on descendrait les
et t
cavïe
i onXeuses et poulains fougueux,
cav
qui n'auraient pu être vendus, dans les caqui
ves
doigts de roses
L
(voir
l'Iliade), ouvrant les portes de \ Est,
v0
l
pas
pas celles du journal, mais de l'Oricn , înc iauera
qu'il est l'heure d'ouvrir celles du
que
Marché,
la cavalerie sera remontée de la
Ma
cave dans un étal de fraîcheur.
cav
Daignez
agréer, monsieur, etc.
L
Un maquignon de luxe.
?JW
Sfiî
fÏÏSffî*ph
rSolVms ^^gS^&'SS,
^A^S^ uJm*
♦
——
Meuse
j
MM. F. Buisson, Paul Guieysse ol Francis
cig de Pressensé, députés, membres du co-,
mité
central de la Ligue des Droits de
l'Homme,
viennent d'adresser à M. le mi1
f
nistre
de la justice la lettre suivante :
"is
« Monsieur le ministre,
\Vous savez quelles circonstances ont amené la fin tragique du malheureux Gobillot,
ne
accusé
d'avoir assassiné Mme veuve MitoUr,
acc
jyr. et Mlle Huraull, et même, semble-l-il,
M.
jyj
M._ Robert et sa'dame de compagnie.
-\
Vous
savez qu'un berger du nom de Le(e
clerc,
arrêté en Suisse, est poursuivi pour
C
ces
ces mêmes crimes, et qu'il doit passer aux
assises de la Meuse, à Saint-Mihiel, dans la
ass
session qui s'ouvrira le 19 courant.
ses
i11 est trop clair que, en ce qui touche Go^jj
billot,
la justice a manqué de discernement,
et
et surtout de diligences.
(C'est pourquoi l'instruction de l'affaire
L
Leclcrc
a été retirée à M. le juge Martin qui
G
avait suivi l'affaire au regard et à rencontre1
avi
(j
de
e Gobillot.
(Cette mesure, qui était nécessaire pour la1
dignité même do la justice, en commande1
~ autre de même ordre.
une
un
<
Qui
doit requérir? Est-ce M. le procureur'
de
delà République de Saint-Mihiel?
1Il ne s'agit pas ici de jeter sur sapersonne'u
des
j r-'splcioos.
M;"' les faits sont les faits.
Et, de loute évidence, la condamnation de'
Le
Leclcrc
pour les crimes au sujet desquels il'
est poursuivi, sera, par ricochet, la cou-■
damnation des fautes commises dans Fins-■
traction première.
Nc serait-il pas convenable que, dans ces>
co
conditions,
M. le procureur de la Répu-■
ijjj
blique
de Saint-Mihiel ou son substitut^
„f(
n'eussent
pas à intervenir dans l'affaire Lejf
c
clerc?
Et plus précisément, ne serait-il pas convenable
que l'affaire Leclerc fût portée deve
va
vaut une autre cour d'assises où les orga^
nos de la justice seraient moins obsédés5
par
pa le souci des fautes antérieurement comra
mises?
En un mot, n'eslimez-vous pas qu'il y a
yLl une cause de suspicion légitime qui}
là
î
p
permet,
qui commande même le renvoi de
e
|-n
l'affaire
Leclerc devant une autre cour*
d'assises ?
Ce serait une satisfaction nécessaire aux
préoccupations légitimes de l'opinion publipr
que et une satisfaction aussi à la dignité de8~
jla
.
a justice.
Veuillez agréer, monsieurle minisire, etc.;
"
F. BUISSON , Paul GUIKYSSE,
Francis DE PRESSENSÉ.»
*
Tout, on rendant hommage aux sentimentss
e
élevés
qui peuvent inspirer la Ligue dess
i
Droits
de l'homme, il est permis de se deDi
;.
m
mander
en quoi les signataires de la lettre
0
qu'on vient do lire peuvent trouver des eau"
ses de suspicion légitime dans les faits qu'ils
se
j
s
signalent.
La suspicion légitime s'adresse à ceux qui
sc
sont
chargés de juger et non pas à ceux qui
sont chargés de requérir.
se
Or en quoi le jury de la Meuse, chargé dec
ju
juger
Leclerc et dont la composition n'est.
!1
.
m
même
pas encore connue, peut-il être mêlé
e
et
en quoi que ce soit aux nombreux incidents
•s
,
de la procédure Gobillot-Leclerc?
On a retiré l'instruction à M. le juge Marttin
" et on Fa confiée à M. le juge Rollin.
».
Nous n'avons pas à apprécier celle me..
si
sure qui donnait satisfaction à un certain
:
ci
courant de l'opinion publique, mais nous ne
J
saïutc
/iiiiu-, » muni (ju a i';ii"niv T'
aan
est
kl 1
est certain, c'est-que les conseillers
ne 1verront, pas loirs la solution de la UeW
lion
tion des eaux. Les élections viondroni
que l'on n'ait découvert une source iVil|>t
ctanle, avant qu'on nc l'ail, canalisép ï,Jo1«
etc. La solution proposée plus haut e'C'
btei
bien
"1^1 accueillie
du public. Tous les m ^1
ou itous les soirs, l'eau sciail v6hiril,a1
ou
domicile, cl, tel le lait, livrée dans
dons
don fermés et stérilisés, pas à l'acide 5'
nique autant que possible. Une grosso ^
plqi
che annoncerait le passage 5if jrJii.
d'es
d'eau, comme les sonnelles aui.'urd'hiii '■l
noncent
celui du lailicr. A nioiii< ,-rJr i^^P
non
ne préfère recourir à (les ânes pour en 9*'
vice, comme en Orient. A Neufchâleaii8*'
n'e,
n'en manque pas.
NaH
j
Roncenx.— La gendarmerie a arm.
j
en
en flagrant délit do colporla^'e d'allumpti'
de ,contrebande, la femme Colm, née Aiïïs
de
Q
Girot,
âgée de 5G ans.
'"cll«
IV
v
Val-U'Ajol. — Pour des queslionsflH
jiJS
lerêt,
^ les familles Guslin cl I'.apcnne. CM
vatrices à la Croiselte, et demeurant vol*
nés sont divisées. Le fils italienne a la «'
ncs,
putation de sc livrera la boisson, el chann,
fois qu'il est ivre, il cherche chicane a!î
Guslin. C'est ainsi que, l'autre soir, \\
enlré chez eux et, sans mol dire, il SA
la fille Guslin et. la traîna sur le plancherai
la ttirant parles cheveux. Outré d'une n,
reil
reille conduite le père de la jeune flllo m
dér
dénoncé Rapenne comme s'élant livré vei|
la '.Toussaint, et ce à diverses reprise?! à 1
chasse
aux petits oiseaux sans permis
ÇKi
avec
cl
v 0 engins prohibés.
h
Bien
entendu, l'inculpé a protesté a»
éne
énergie contre ces diverses accusations.
ljonireiMy-la-H*Mcelle. — La flèvn
_«
aphteuse a été constatée dans quatre étabw
de
uo la commune.
T
Les
dispositions ordinaires ont été priSes
*
aussitôt, pour empêcher la propagations
cette
maladie contagieuse.
ou
g
g
1
Fresse-sur-Moselle.
— Emile Bas
I
se>
sex, journalier à Fresse-sur-Moselle, a été
condamné,
le 24 décembre dernier, par (e
coi
tribunal
tri
correctionnel de Remiremont, j
qui
quatre mois de prison pour vol d'effets.
]
Raon-l'Ktape.
— A battoir.—11 bceufi
23
23 vaches, 1 génisse, 60 veaux, 12 moulons
133 porcs el 1 chèvre ont élé abattus pej.
dai
dant le mois de décembre.
j
Marchés.
— 378 porcs ont été amenés an
marché
pendant le même mois.
ma
(
Grains
: 41 sacs de froment, 11 de seigle,
20( hectolitres d'avoine el 42 hectolitres de
200
po
pommes de terre ont été vendus pendant le
mois
de décembre.
mc
— Le conseil municipal a volé des gratis,
i
calions
aux personnes chargées des coun
ca
d'adultes.
d-r
]11 a approuvé les décomptes des Ira vain
(j
de
e reconstruction des trottoirs, rue Jules.
p>
Ferry
et de construction d'un branchement
't
d'égout
au faubourg Badonvrller.
d
(Cette assemblée a voté une souscription
de vingt francs au monument du sergent
de
n
Hotr.
(
(«éi*s»r«Imcr. — Sur la proposition de
M
M. l'inspecteur adjoint, Jauffret, l'admtni;.
,
tralion forestière vient de faire don à la soJî
ciété des pêcheurs à la ligne de Gêrardmer
d
de dix mille œufs d'ombre venant du lac de
™,
Thonon. Ces œufs ont été aussitôt déposés
da
dans les bassins d'incubation de la société,
en vue du repeuplement du lac de Gérardmer,
un des buts essentiels qu'elle pour'
suit,
. — L'administration des postes est oectt
pée actuellement à l'aménagement du nou\,e
veau local du bureau situé 12, rue de 1>
,
G
Gare, dans un immeuble entièrement neuf,
,'
de
, bel aspect, édifié sur les plans de l'ardutecte M. Laurent, par MM. Garnier-Th»
ba
baut, industriels bien connus.
L'aménagement intérieur sera en rapport
avec le développement de la station est!
'
vale ; au dessus du toit, les monteurs di
l'a
l'administration
installent une tourelle ej
fer
fe forgé surmontée d'un paratonnerre,!
c
l'effet
de recevoir les isolateurs. Cettetol]
r9
relie,
d'un modèle nouveau et gracieux,'»
dique
d'une façon apparente l'emplaccmal
ffi
des
bureaux.
v
«
2 LORRAISB HT ALSAC1
pi
pouvons
pas nous empêcher de faire remarl'_
*
quer
que le premier acte de M. le juge Rol1f.
lin, en prenant possession du dossier, a élé
V
Lé
de
* te « régler », c'est-à-dire de renvoyer
;r
1'
l'affaire devant la chambre des mises en accci
cusalion
et par conséquent devant la cour
ir
d
d'assises,
IS
„• On peut se demander dans ces conditions
,s'il était de l'intérêt, soilde l'accusé, soit de
le
J£
la justice en général, de procéder in extreemis à un chaugement du juge, puisque le
P
Si
xsecond juge n'a eu qu'à mettre une signati
[g
ture
à la dernière pièce du dossier préparé
p
par
son prédécesseur.
Ceci soit dit sans aucun esprit de cri tlli"
q
que personnelle el dans le but uniquement
:i
t
d
de faire remarquer qu'il serait regrettable
lo
d
de voir continuer dans celle affaire des mcc
'
s
sures exceptionnelles qui ne nous parais;jf
s
sent
pas d'une utilité absolue et qui ne fec"
r
raient
que retarder sans Intérêt pour per**
s
sonne
une solution impatiemment attendue,
.c.
«
Vosges
Téléphone— Une cabine téléphonique
ne
rpublique installée au bureau de poste de
de
|j
un peu de statistique
ii Le nombre total des naissances enregistrèes en 1902 à l'état civil à Metz a été de
1
1,017.
Il y a eu 1,574 enfants nés viables el
ii
43 mort-nés, 1,317 enfants légitimes el 300
il
illégitimes,
831 du sexe masculin, 786 ii
sexe
féminin et 19 couples de jumeaux.
se
Le chiffre des décès, à l'exclusion des enfants
mort-nés, a été de 1,088, dont 572per\£
sonnes du sexe masculin et 516 du sexe fé^
minin; 293 décédés n'avaient pas atteint
y.
l'âge d'un an.
En 1901, le nombre total des naissances
ei
enregistrées
à Metz avait été de 1,573 ; ilï
a
avait eu 1,512 enfants nés viables et 61
n:
morts-nés, 1,247 enfants légitimes et 326UJ'
légitimes,
835 du sexe masculin et 738(1»
s<
sexe
féminin. En dehors des mort-nés, uJ
aavait
eu 1,144 décès à enregistrer, dont©
,
p
personnes
du sexe masculin et 522 du sexe
f(
féminin ; 293 décêdés n'avalent pas atteint
ï
l'âge d'un an.
En 1902, l'excédent des naissances sur
les
décès a été à Metz de 486, tandis
h
c
cet
' excédent s'élevait à 368 l'année prece*
dente.
"
Il y a ou en 1902 550 mariages, contrefi i>
l'année précédente. Il a été fait 1,251
c
cations de mariages contre 1,125 l'année fW
ccédente.
Extrait «ïe l'état civil «le Met*
11 1
J Naissances. — Berthe Martin. — A '? '
nette-Jean ne-Claire Schwarz. — Agi*'
r
Louise-Emilienne Salingré. — Auguste-^
s
seph
Wolf. — Anne Bohr. — Jea»*»1!
A
Adler.
- Lucien Valzer. — Camille 0Pe,
— René et Gaston Rueff, j umeaux.-Ai#
Salm. — HortenseMarie Fuss. — AW»
Saloi.
Tt
Publications de mariages. — Emile 1
ttenuit, menuisier à Melz, et Marie Colrïj'j
àà Rickingen. — Mathis Baron, serrm'iei'
J
Marie
Punneî, à Melz. — Joseph ï>el& J
1
restaurateur,
et Berthe Gohrin, à Me» j
i
Achille
Adam, commis, et Marie
jMelz. - Jean Kasner, facteur à Me «j,
1
Marie
Jung, àQueuleu. — Henri KeuL
1manœuvre, et Catherine Simon, a
1
mond.
,gi
Décès. — Jules-Guillaume-Avin ScP449 ans. — Guillemetle Klein, 72 ans.-z*
s
sabelh
Rœsner, 59 ans. — Alexandre y ,
ççois Franck, 59 ans. — Jean Moyen, J\U
-— Louis Weil, 66 ans. — Pierre MaiW ,j
1lo, 36 ans. — Anne-Marguerite Glotnn' .
All
1
ans.
— Guillemelte Faust. 54 ans. -\ „,
£gusle-Didier Hermann, 78'ans.—Hei^
1
Ernest
Kowalewski, 61 ans. — u
1
François,
80 ans. - Joseph Diélricn,
-— André Gross, 90 ans.
.
^
>Vicherey est ouverte au service depuis le
le
1 janvier courant.
10
Les taxes applicables aux conversations
ns
£seront les suivantes :
0 fr. 25 avec Chàtenois.Gironcourt, Houéléccourt, Neufchâleau el Rcmoville ;
0 fr. 40 avec les autres localités des Vos>sges, la Meurthe-et-Moselle, la Haute-Saônee :;
0 fr. 50 avec la Côlcd'Or, le Doubs, la
la
1
Meuse
et la Haute-Marne :
1 fr. 25 pour la région de Paris.
Rappelons à celte occasion que les avis
às
<
d'appel permettent, dans toutes lescommum1nés pourvues d'un service de distribution
on
SCAPIN.
Itéléphonique, de convoquer à la cabine lélé♦
legraphique une personne non abonnée. Le
Le
prix
de ces avis est do 0 fr. 25 entre localiiliGRAND CAFÉ-BRASSERIE DE LA ROTONDE
1
tes faisant partie du même canton ou rere. Plat du jour : O.THZ
lices par des lignes de moins de 25 kilomèè
1
Hardi 13 janvier : Déjeuner, Cites de porc purée de pommes
I
' "
Suicide «l'un officier alle»' ^ n
ies très ; do 0 f r. 30 pour les astres réseaux du
Diuer, Smlé de chevreuil chasseur.
1département ct do 0 fr. 40 dans les autres . La Metzer Zeitung signale le ,sui«" (#
t
eî (
e
cas.
> chef d'escadron Capitlin, du 5 regm^>
(chevau-légers à Sarreguemiues. ^tt *
Courrier «ïe PCeulVIaîïteî,,,. _ jj
ne
ne les motifs du suicide.
bonne nouvelle. - 11 paraît qu'un de nos
l s
?
,
Thionvillc
concitoyens, en présence du peu de succès
:es 1 Une foule nombreuse a assiste aux
des réclamations verbales et écrites au suBoutade sur le marché aux chevaux
îu- 'railles de Mme Félix Schneider, »ùf.\^
jet des eaux, a pris une résolution vraiment
„
Nancy, le 12 janvier 1903.
»» Tout
ce qui reste du vieux Thionviue■ „|
géniale. Tous les jours, plusieurs véhicules
i
Monsieur le rédacteur,
«es
a l'église : il y a trente ans, l'assisU»11se
rendront,
à
Sainte-Amie
et
amèneront
\
î
L idée de créer un marché aux chevaux à
,
a Neuf château des milliers de litres de wie
celteà dédouble.
ei
Nancy est des plus heureuses, il n'y a qu'à
Ue , La famille Péan a élé une des WRLw»
a eau pure el limpide.
en féliciter les auteurs, d'autant plus que
milles delà ville; le père de la clWuelll el
ie
L'eau sera vendue aux enchères; l'endroit
celle grandiose innovation ne coûtera pas
oit de membre du conseil d'arrondisse^ $
as de la ville où se passera cette vente orM.
une obole à la ville.
gi- 'maire de Thionvillc pendant de longVlP
xl n
nale
n
est
point
encore
désigné.
Ilestàsou, . 'y a, en effet, qu'à consacrer la coulju- :nées. La famille Schneider est aPP;1 c0»
.11
haitcr que notre concitoyen trouve vile cl^
A
du Marché-Couvert, toujours déserte mainles
^
de a' plusieurs familles honorables ^L
A
tenant, grâce au dernier règlement, pour ny imitateurs; de ce fait, en vertu de la loi de
troc; quelques-unes ont émigré d1»^
y
la
concurrence,
les
prix
de
l'eau,
amenée
installer le marché aux chevaux demandé
iee avec honneur à Pont-à-Mousson et -f WeV
par les pétitionnaires.
enMme Schneider était d'une po 'e join
Dans cette immense cour, les chevaux se.
quise et d'une dignité peu comnian*^ M
;eFaisons
des
vœux,
au
début
de
l'année
raient fort bien ; on pourrait les y laisser
te
er pour que cette idée soit reprise nar?A
. a une simplicité charmante ; Iemn, réP^S
en liberté, il n'y aurait qu'à fermer les porîp conseil municipal. La ville, en effet non le
- et. de lad, elle marquait, même a rjs^
tes, donnant sur la rue Saint-Dizier, et ils
ut- ou Thionville était au complet, el lett5e ï
pourraient y gambader tout à leur aise. its rail très b en passer un contrat avec ln
I société de transport qui, chaque malin u.e d« l'csUmc universelle. Bonne.
Lorsque, libres de toutes entraves, les
Leslvrerut a Neuf château'de l'eau, pu sée »•à charitable, elle laisse uae mêai011*
- » ré*.
1
TRÏBÛ5ËJÛKJQTO
,„ i*
i
!
j
:
I
>
!
i
EST REPUBLICAIN
IOLUTIMSRICÛLE
f
*ttat des récoltes
El
I,a âteiation des récoltes en terre est res• êe laûsfaisanle. Les blés ont toujours une
belle apparence, mais, dans certains endroits on commençait à se plaindre de
l'envahissement des mauvaises herbes et
des ravages opérés par la vermine. Aussi
at-on vu lundi avec plaisir le temps devenir
enfin plus conforme a la saison. L'aspect de
la récolte, dans son ensemble, n a rien d anormal et tout dépend maintenant, pour son
succès de la température qui écherra en
février et rnars. Si en Lorraine nous avons
été assez favorisés, il n'en est pas de même:
partout et dans des centres de production
il s'est trouvé que les premières gelées ont
été funestes aux emblavures, qui sont cousidérées comme perdues.
< ;
On devra les remplacer par des bles de,
mars ou des blés bleus au printemps ; on
doit cependant constater que la poussée n'aL
pas été aussi vigoureuse qu'elle eut puL
l'être avant l'hiver. Est-ce cette constata-■
tion ou le besoin de regarnir leurs greniers|
qui pousse les meuniers à faire aujourd'hui[
des achats? La vente fait prime et l'on peut^
obtenir à l'heure actuelle 20 fr. 50 des bons
blés ; ces prix se maintiendront-ils? C'est à[
espérer. En tout cas, ceux qui ont à ven-.
dre n'ont pas à se presser, la baisse n'estt
pas prête de se produire et lors même que3
la récolte prochaine se présenterait sous les5
plus brillants auspices, le blé ne descendraJ
pas au-dessous du prix actuel. Les autres?
céréales, avoines et orges, ne varient pas l;
leur prix reste à un cours normal. En culture, on commencerait, si la température3
actuelle devait continuer, à labourer les3
friches, lete vieilles luzernes, afin d'ameu-blir le sol, pour recevoir les avoines de Briei
précoces.
Le cultivateur qui a, en effet, terminé ses*
battages, demeure inactif, car il ne peut
conduire les engrais. Il lui faut occuper son
temps à conduire des pierres sur les chemins, faucarder les ruisseaux et faire desj
drainages là où c'est besoin.
Les conduites de bois sont suspendues eni
raison du mauvais état des chemins, des
sorte que chacun à la ferme doit changer['
son rôle. A part les marcaires dont les soinss
doivent se porter vers le bétail dont l'engraissement d'hiver est en bonne voie, toutl
le travail des autres ouvriers de la ferme3
porte suc les réparations aux instrumentss
aratoires, au triage des denrées ef légumess
secs.
Les vignerons ne restent pas inactifs ; il1
y a toujours du travail pour celui qui veut1
s'occuper. La fabrication des échalas, lee
triage de la paille, le relèvement des éboutis dans les vignes situées en coteaux, sontT
autant de besognes qu'il est nécessaire dee
faire et dont le vigneron peut se débarrasser pendant la morte saison. Déjà les quel-quesjours de soleil de cette semaine lui ontt
fait délaisser les travaux d'intérieur pourr
pommencer la taille, et l'on «peut voir,
serpette ou sécateur en main, le vigneron
qui coupe, rogne et nettoie le cep que mal-"
heureusement pour nos contrées on laissee
beaucoup trop vieillir. On commence à en-p
fouir quelques « provins » dans les vigness
plantées sur des terrains argileux. Le tempss
pluvieux qui avait été la caractéristique dee
la semaine précédente n'a pas élé très goû-l"
té de nos viticulteurs qui préféreraient dee
beaucoup un temps sec et froid qui rendrait les vignes plus abordables et permet-!"
trait de continuer les travaux de la saison,i
et aiderait également aux vins qui ont encore besoin de parfaire leur dépouillement..
Les premiers soutirages effectués jussqu'alors permettent de constater que les
lS
vins de 1902 sont généralement de beauf"
-coup supérieurs à ceux de la récolte anté^
rieure ; leur goût est plus net et ils n'ont
pas la même tendance a casser.
1Les transactions sont actuellement calmes. La majeure partie de la récolle see
trouve entre les mains du commerce et les
is
propriétaires nombreux qui ont encore dee
fa marchandise disponible ne sont aucuneîment disposés à s'en défaire en ce moment.
lis escomptent une hausse nouvelle qui,
*'
d'après eux, se produirait, en février et mars.
3
Souhaitons qu'ils ne soient point trompésS
dans leurs espérances.
[.Bélier.)
A. JACQUES.
i
Houblons
m
Alost. — Les transactions en houblon
d'Alost 1902, n'ont présenté que peu d'actiivité depuis huit jours, mais les prix sont
ît
néanmoins restés très soutenus, et ils contiinuent de varier pour la marchandise en
balles comprimées de 83 fr. à 85(86 par 50
)U
kilos, selon les termes de livraison.
_
Il se présente par continuation des achee
JJ.
teurs pour les balles originaires, do premier
xchoix et de belle couleur, destinées à l'exportation ; mais les prix de fr. 90|92 par
ir
50 kilos, offerts ces jours derniers sur notre
re
place, n'ont pu être acceptés, par suite de
le
l'épuisement de la récolte en premières
3S
mains.
Les marchés étrangers sont, pour la plupart d'une fermeté remarquable, résultant
a
en grande partie de la réduction successive
/e
des stocks en houblons de la dernière réécolte, ce qui devra provoquer une demande
ie
plus active en houblon belge et un relèveement dans les cours, lorsque la brasserie
te
de notre pays se mettra résolument aux
lx
achals.
Haguenau.— 100 balles, qualité moyenne,
P
vendues à 115 mk. les 59 kilos, premier
er
coût, à une maison de Bavière, situation
m
très ferme.
. A noter que le prix moyen d'un bon houUblon d'Alsace était au début de la récolte
te
57Jmk ij2.
Munich (Bavière). — Voici les prix
ix
fftoyens de notre marché du 31 décembre(5 ::
Houblons de la haute et basse Bavière, es!Spèces moyennes Km.
sortes préfé'érées de Holledau campagne Rm. 300,.. ; de
le
la Franconie centrale: qualités moyennes
es
Rm.
environs de Spall et Kiir^
n"
ding Rm. 336,80. Spall ville el Moosbach
îh
Rm. ....... Autres houblons allemands:
3 :
l
Bade, Rm. ....... Wurtemberg Rm. .......
Bohême district de Saazville el environs
Rm. 367,30; Auscha Rm. 350...; autres
provenances de Bohême Rm. 320,.., houblons de Slyrie Rm. .......
Arrivages de la semaine:
KO....;
ventes : 10,564 kil. 5 ; stock au L" janvier,
130,011
kil. ..,
^
{Bulletin des Halles.)
4
Ecbo$
la
de
,
ï
Juûde
{
j
Marguerite ROLLAZÏ».
« Mais non, ce n'eslpas Danto qui erre
sous mes fenêtres... lo souffle qui effleure mon front, mes mains, tandis que ma
rêverie s'accoude à la lable, ce n'est pas
le vent du Slyx... c'est le soupir de mon
amoureux qui transit de respect dans sa
yole, sous ma frigide indifférence.
« J'entends par instant le cri des orfraies; il ne me fait plus peur...
« La lavandière a disparu... son chant
dure toujours. On dirait unevoix d'oulrotombo dominée par le clapotement do
l'invisible rame — est-co celle de Caron ?
— qui semble m'appeler plus proche,
toujours plus proche, pour quoique promenade de rêve...
« Il faut rentrer.
« Vous avez assez vu ma manche blanche — ô bel officier — traîner comme
l'aile d'une colombe amoureuse, au bord
do la cage tentatrice. L'oiselle, èncagée
par vertu, veut bien entendre, derrière
les barreaux, la jolie chanson des lavandières — voire même celle do vos soupirs ; — elle respire l'amour comme une
bello-de-nuH qui exhalerait on son honneur ses baumes, épuiserait ses casso-
donc» commerciale. Concurrence deloj-ale. Res- j
dci
ponsabilité des agences de renseignements. Le M'mplolerez-vous
.
droit d'accroissement dans les sociétés civiles. — j
EC
Economie
commerciale et industrielle : La sténo- j
raé
inécanogrophic.
La machine à sténographier. L'indu
dustrie de la chaussure aux Etats-Unis.
JRenseignements commerciaux : Sociétés, adjudical
cations,
foires et marchés, faillites el liquidations,
renseignements utiles. — Nouvelles diverses de la
2'
région : Chambres de commerce, les bouilleurs de
.j les tramways d'Epinal, bloc-notes des affaires
cru,
cl
commerciales.
COi
]Les derniers numéros ont consacré de longues et
int
intéressantes monographies à la Brasserie de Tantonville,
et à la Verrerie Daum, de Nancy.
toi
«
B panière qualité?
jp
d'après la science, à toutes les personnes
leur estomac oblige à la sobriété de terHuile de foie de morue pure que
^
miner toujours leurs repas par un gobelclnaturelle, importée directement de Bergen mesure de Vin Bravais. Ils contrebalance!|
(Norvège).
Prix avantageux. Pharm.-Dro- ro
ront ainsi avec avantage les effets dépresJfiguérie Monal
frères, 6, ra« des Dominicains, Nancj. sifs
sil et débilitants de leur régime abslème.
IU(
BULLETIN FINANCIER " 0.
ï
HUNZ1KER, cirBFpa-Wste
Successeur «le W. Ilol>ert
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Ceusiiïtalicns de 8 fo. à midi et de 1 H2 â 512
!a Banque Renault! 8- Gie, à Nancy
Capital 4 millions
La hausse de la Rente française est le
se
seul fait méritant d'êlre signalé.
Indo-Chinois 3 0\0 1902. — La question
°J
g
1
CULTIVATEURS
I
1
|
B
1
B
Les personnes qui, par erreur ou omission
n'auraient pas reçu de lettre de faire-part du
8
Madame mu Jules PAQUET *
1
j
g
S
I
I
1
Î
5
TRIBUNAUX
premier rang parmi les tiuires publications simi-"
laires.
Il constitue un témoignage éloquent des progrèss
ilicessants accomplis dans le domaine de la publicité
et donne, en outre, une idée de la remarL'ATTENTAT CONTRE LE ROI LËOPOLD. -—
quable organisation de la société éditrice.
I
C'est
donc dans quelques jours que Ru- Mentionnons aussi que ce catalogue sort de laI
1bino, qui tenta d'assassiner le roi des Bel-- ;propre imprimerie de la maison Haasenstein et
j
ges,
comparaîtra devant la cour d'assi-. Vogter; cela a son importance.
La Daily Mai!, de Londres, croit savoir que leE
président Kruger a réduit dans de3 proportionss !;
considérables ses dépenses à Menton. Il s'est séi- '!
paré des trois secrétaires qui travaillaient sous saa ■
direction depuis son arrivée en Europe.
jses de Brabant. Des mesures d'ordre3
Selon le même journal, M. Kruger aurait vendu
uh
i
Revue de Commerce et de Comptabilité
toutes ses propriétés au Transvaal et aurait envoyé | jtrès sévères ont été prises à l'occasion.
Voici le sommaire du 4" numéro de la Bévue ré-• de ce procès ; seuls, les avocats on. gionale
40,000 livres sterling (un million) aus familles des
de Commerce et de Comptabilité:
robe seront admis dans l'enceinte réser- 1 Chroniques commerciales : La vénatitu des offiBurghers ruinés par la guerre,
véo.
ces. Les chemins de fer français. La houille dans'
'
—
j.
Les journalistes devront produire une^J le monde. Les colis postaux. — Gomptabililé : Des
L'état de santé du roi Georges de Saxe s'est telmodes d'amortissements, par Emile Moret.
lement amélioré que les médecins ne donneront
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i carte
spéciale, délivrée par le président,> !divers
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]
France
le premier rang. Elle guérit si sûreiment rhumes, bronchites, affections de la
<gorge et des poumons que, pour ces mala(dies ou les maladies des enfants, rien ne
i
peut
lui être comparé : l'Emulsion Scott est
\ remède, les autres choses sont de simun
iples préparations. Des milliers et des milliers de gens sont des preuves vivantes à
i
l'appui
de cetle vérité, car ils n'ont obtenu
j
leur
guôrison que parce qu'ils prirent da
\
l'Emulsion
Scott, le meilleur reconstituant
< France, et qu'ils ne se laissèrent pas inde
<duire à accepter une imitation de l'Emulsion
<
Scott.
Exigez le flacon Scott avec le pê<
cheur
et vous trouverez la guérison.
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'qualité, toutes ses imitations sont de deu:
xième
choix. L'Emulsion Scott est parfaite1ment savoureuse, parfaitement digestible
'— les enfants l'aiment. C'est une émulsion
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que son fils, après avoir fait vœu de faire
ci
connaître
le remède employé pour combattre
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S terrible maladie, indique .gratuitement à
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1
core do les éparpiller dans lo vide, dans soins, do discrets se firent assidus, et
l'oubli.
dos paroles commencèrent l'enjôlement.
Lo geste était joli, pour qui l'eût vu :
Pour débuter, il usa d'une feinto clascetle femme penchée sur Pèle du jardin sique : il pria Mlle Bloizel de lui «donner
fleuri, le buste hors les croisillons do leçons » ; au besoin, il partagerait celles
fer forgés et qui, lis noir aux yeux de de Laura.
pervenche, regardait un rêve s'évaporer
Ce garçon vif el joyeux, toujours en
Juliette referma sa fenêtre.
dans du ciel bleu...
mouvement, toujours en dépense d'actiElle avait bu la nuit, le silence, non lo
Par une singulière sensation, Juliette vité, devenait langoureux comme une
calme.
senlait peser, sur ses moindres mouve- Andalouse lorsqu'il entendait de la muDans son sommeil, elle vil rôder au- ments, un regard d'homme. Oui, dans sique ou des vers. Co fond do mélancotour do sa couche la gondole et le gon-1 l'ombre, toujours quelqu'un était là, pré- lie, ce goût inné des poèmes ol. des lédolier.
sent. Un désir rôdeur pénétrait chez elle, gendes sont bien la caractéristique du
C'est la réalité, celle fois, qui se fai- çorle close, d'autant plus éloquent qu'il peuple suédois, dont la gaieté la plus
sait songe.
était sans parole. La grando solitude de folle s'exhale dans les chants patriotiElle n'était plus seule dans la soli- la jeune Française s'en trouvait comme ques, comme elle s'éteint en rêverie
tude.
assistée, secourue. Célait un peu d'ado- dans les brumeuses el nostalgiques chanration versée dans son atmosphère de- sons, do Franzen.
VII
puis la nuit lumineuse. Sa lâche quotiEntre sa tentation et ses devoirs de
dienne perdait do son ingratitude; ses châtelaiu, Abcl Borgh avait placé la pruCes feuillets épars sur sa table la sur- facultés féminines s'entretenaient, s'ai- dence. Elle no le maintint pas longtemps
prirent fort le lendemain.
guisaient maintenant dans l'exercice de en équilibre. L'atlrail de la Française deElail-ce vraiment une lettre pour Pier- leur grâce jjour l'éventualité de quelque vint tel, un beau jour, quo la raison de
rette, ces ôlucubralions poétiques mono- suprême séduction.
l'officier chavira.
loguées en journal de dotnoiselle? JuLe trouble de cet état, par son charme
Un premier billet fut glissé dans le caliette eut un impitoyable haussement même, offrait son danger Mais Juliette hier, un second suivit, puis un troid'épaule. Elle prit dans son tiroir une s'en riait. Aboi Borgh n'était qu'un fanto- sième.
collection de vues Scandinaves, tron- che ; l'adoration plus quo l'adorateur la
Au dixième, Juliette mil une note gronçonna sa missive en autant de caries, touchait.
deuse; mais le galant n'ignorait pas
brouilla le tout comme un jeu de patience,
L'imprudente se leurra jusqu'à glisser qu'une fureur féminino s'use à répondre :
et mil l'adresse des Ilarneuves. Ensuite, dans «une condescendance dont les cir- il insista.
elle revint aux feuillets de la veillo, les constances s'empressèrent do faire une
Au bout d'un mois, soupirant et profesdéchira, les jeta vers lo lac ; mais lente- obligation.
seur correspondaient. A vrai dire, Aboi
ment, mollement.La multitude des petits
Il advint que le bel officier, las sans avait trouve le joint. Il s'était confessé.
papiers s'envola dans le soleil du malin doute de ses contemplations do trouba- Sa vie dissipée lui faisait horreur : le vocomme autant de blancs papillons. Déjà dour sous la lune, voulut goûler passe- lage voulait se rangor.
ils avaient disparu, les doigts souples, temps plus doux auprès do colle tentante
Dès lors qu'elle sermonne, la femme
d'un ballemont répété, continuaient en- [belle habillée on institutrice; car ses1 ne discute plus son zôlo. Soit qu'elle crût
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caution au besoin.
S'adresser au bureau du journal.
32.
< ./SJlÉï^
xiinBlnB)
COMTESSE BEUTY.
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ILES DE LOFODEN (Norvège), 1902'
Messieurs. Depuis de nombreuse»
années je pêche pour vous les
meilleures
morues qui nagent dans les eaux glar
cées de nos îles et ces morues de Lofoden sont le*
plus belles du monde. De ces morues que je
prends à l'aide d'hameçons fixés à une longue Ugne, je réserve pour votre usage le premier choix
seulement. Durant tout le temps que j'ai travaillé
pour vous je ne vous ai jamais rapporté un poisson de catégorie inférieure. C'est pour cette raison
que la merveilleuse huile curative obtenue pour
vous des foies de ces morues a toujours été de lapremière qualité produite en Norvège ct, par conséqquent,
la meilleure du monde entier. Si les braves
ggens de France désirent employer des choses de
q
qualité
supérieure et non des choses de deuxièm»
=choix, ils n'ont qu'à se procurer l'Emulsion Scott,
'dont l'enveloppe porte ie dessin ci-dessus repréasentant une grosse morue ùe Lofoden et
Votre pêcheur.
Messieurs Dclouche et Cie, Paris.
i sce vùLi wéii j
M
monétaire, qui ne lardera pas à être tran- I
cliée, ne doit pas, semble-t-il, éloigner les 1
capitaux de celte valeur exemple d'impôts ■
et. qui donne à 449 un rendement net de
Tout le monde est Intrigué et se demande
33 35 0[O.
ce
comment il se fait que la Seavuline purgaObligations câbles télégraphiques. — tif
t il laxatif n'a pas mauvais goût. Jusqu'à ce
L
La combinaison des deux obligations Câble jo
jour les purgatifs avaient ungoùtdéteslable,
U
transatlantique
4 0}0 et Câbles télêgra- ùi
une odeur écœurante. La Seavuline est de
phiques
3 li2 O3O, donne un rendement net ce
P
composition végétale, aussi est-elle très
di
de 4 60 0[0, avec une belle prime d'amortis- douce
dt
et convient-elle aux enfants comme
s<
sèment de 36 0[0.
ai
aux grandes personnes. Les enfants auxMétropolitain. — Jusqu'au 15 janvier, quels
q\
on est obligé de masquer de différenversement
du troisième quart sur les ac- tes
te façons le goût détestable de l'huile de rit
lions
non libérées de la deuxième émis- j ci
cin qu'ils vomissent souvent, apprécient fort
;
sion,
avec faculté de libération complète.
la
s
la Seavuline qu'ils avalent comme un bonVille de Tourcoing. — Emission d'obli- b(
bon. Les papas et les mamans qui ont beg
gâtions
de 500 fr. 3,30 0[0 au prix de 495 fr. se
soin de sortir pour leurs affaires tiennent à
Emprunt 3 OiO de la commune de pi
prendre la Seavuline qui ne les oblige pas
Laehen-lcs-Bruxelles
(Résidence royale a
à rester à la maison et à changer leur régiL
belge). — Emission de 17,485 obligations de m
me el leurs habitudes. La Seavuline guérit
500 fr., remboursables au pair par tirages la constipation et les attaques de bile.
en 90 ans, rapportant un intérêt de 15 fr.
Lettre de M. Henriol Emile, à Lassus
payable en deux coupons les 2 janvier et l,r (\
(Vosges) :
|juillet
(
et inconvertibles pendant 20 ans.
« Je souffrais depuis longtemps d'une
Prix d'émission 95 lp2 0[0 plus intérêts m
maladie d'estomac qui m'empêchait de
&
courus.
u
travailler.
Je ne pouvais presqtie plus
Ville de Poil (Russie) 5 0}0. — Valeur manger
n<
et chaque matin je vomissais
u
dd'appoint susceptible d'entrer dans les por- une
bile verte. J'ai pris la Seavuline et
tf feuilles pour en relever le niveau moyen, j,
te
j'ai été immédiatement soulagé. Depuis
Obligations de 100, 500 et-1,000 roubles je
je n'ai plus rien ressenti. »
avec coupons aux 13 janvier et 13 juillet
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r<
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,
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j;
janvier.
.
si
suivantes
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.
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Pharmacie-droguerie centrale de Nancy,
d'un
dividende de 20 sh. contre le coupon A.
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d
11
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rue
C
Pagcl, docleur en pharmacie, 10,
, La Banque Renauld et Cie se charge Camille
de ces différentes opérations.
n
rue Raugraff. Vente en gros, maison A.
G
Cheminant, droguiste à Nancy,
—m
! Paris a Francfort 81,35-40.
j
I
^
pas
—■
Les interviewera sont parfois indiscret»... Hélas
las 1 c'est le métier qui veut cela!... Un d'eux s'étai adressé un jour à Ghallemel-Lacour et tout en
tait
m
interrogeant le célèbre sénateur, il faisaU consoie
ciencieusement
l'inventaire de la chambre à coucher dans laquelle on l'avait introduit.
eh
,JM. Challemel-Lacour, qui s'était aperçu du manège
j°£ du journaliste, mais n'avait pas .sourcillé, se
contenta pour toute critique au moment où celuici prenait congé de lui, de l'amener vers un certti petit meuble intime, et de l'ouvrir en lui dittin
L'optimisme et la joie de vivre disparaissant :
ge chez le buveur d'eau, qui devient triste,
SJU
sent
S— « Vous avez oublié ceci:.. »
in'
impressionnableetsansentraiu.
Conseillons,
«
d,.
Si la salle à manger est d'un autre côté de
j
■ sont priées de vouloir bien excuser la famille
l'appartement,
une table sera aménagée 1
3N DU CONGO
j| et do considérer le présent avis comme une H
dans un coin du salon, dans le même ordre
H invitation à assister aux convoi, service et en- s
1
que
plus haut.
L'ÉVASION DE BOULAINE. — L'affaire de H lerremeot qui auront lieu le mercredi 14 jan- H
Les jeunes filles et les jeunes femmes, l'évasion
[•
fier 1903, à dix heures du matin, en l'église ■
do Boulaine vient d'être close B
1B Sairtt-Vinetnt-Saint-Fiacre,
et de là au cime- H
!
adroites
aux travaux à l'aiguille, peuvent, p
:
par
une
ordonnance
de
non-lieu,
dont
béJ
S
--Kère
de Préville où se fera l'inhumation.
g
ià peu de frais, se faire de jolies nappes, napn
' néficienl
lotîtes les personnes qui, direc- 1
jperons et serviettes à thé.
Maison .mortuaire :
i(
tement ou indirectement, avaient favo- I
17, rue de Malzéville.
g
On achète de la toile de Mulhouse à car-■ | rrisô la fuite du banquier.
,
H Prière de n'envoyer ni fleurs, ni B
reaux
de
couleur,
on
y
fait
un
ourlet
à
jour
'
'1
Les agents Jceggèr et Cher-fils, qui IH couronne».
tout autour, et l'on brode au point de croix ' a
I
^avaient été frappés de révocation, sont P
une guirlande, ou un semi d'araignées, en1,' vréintégrés.
coton assorti à la couleur des carreaux. }
mOLIOGHAPHIE
C'est du plus heureux effet.
MARIAGE « IN EXTREMIS ». — Une dépêLa Chanson de France
Pour les serviettes à thé, on peut, au lieut !! cche de New-York au Daily Mail, do LonLe numéro 3 du journal la Chanson de France
1
1vient de paraître. Voici le sommaire :
de l'ourlet à jour, en tirant des fils, faire
d
^dres, annonce la mort clo M. William
Echos et correspondances. — Panthéon historiune petite frange, de deux ou trois centime-- ;; ïBradley, le « roi du bois », à Mihvanheo.
analytique, artistique et humoristique de la
q
Ires, selon la taille de la petite serviette.• j IM. Bradley, qui laisse une fortune dei cque,
chanson. — Les cafés-concerts sous l'empire, —
1
Les araignées ou la guirlande s'y reprodui-• ■i g200 millions de francs, était gravement Nos
portraits. — L'art d'interpréter romances et
sent de môme.
rmalade depuis quelque temps et savait cchansons. — Vieux et bons souvenirs.
Nos
reproductions musicales : Berceuse, de
Pour ces sortes de réceptions, les jeunes5 : que
ç
sa fin était proche.
Suoék( inédit); Mon habit, de Iiéranger ; le tableau
filles s'habillent un peu, c'est-à-dire queÏ j Sur son lit do mort, il fil appeler miss1 cd'une soirée de Paris, de Désaugiers;Si te vin couleur toilette de ville est relevée d'unei IMary Moyer, jeune fille qui était son se- 1lait dans la Seine...
Ce numéro artistique et très intéressant en en.
blouse claire, qui tranche sur la robe som-■ ccrélaire particulier depuis plusieurs anvente partout. Prix: Ofr. 50.
bre.
•.
inées et qu'il avait promis d'épouser.
La maîtresse de maison revêt une robeÎ
Un pasteur fut mandé immédiatement,
d'intérieur qui unit l'aisance à l'élégance.. <et sur la demande du moribond il célébra• i Parmi les publications périodiques qui paraist sent au commencement de chaque année, nous siCes robes se font généralement de « style .' le
1 mariage.
s
gnalons
à nos lecteurs la 37" édition du CatalogueEmpire », c'est-à-dire peu ajustées. Le choix£1' M. Bradley rendit le denier soupir, Agenda, édité pour 1903 par l'Agence de Publicité
:
Haasenslein
et Vogier, domiciliée à Genève et
de l'étoffe dépend du prix qu'on peut yî cquelques instants après. Il n'a pas laissé ,
dans toutes les principales villes de la Suisse, des
mettre. Il y en a de vaporeuses en mousse-- (de testament et on annonce déjà que lat' tl'Italie,
de l'Espagne, de l'Autriche-Hongrie, etc.,
1
line de soie plissée accordéon avec incrusta-- ifamille a l'iulenlion d'aller en justice elI etc.
Nous nous faisons un plaisir de recommander
guide sûr et pratique en matière do publicité.
lions de dentelles ; d'autres se font en ve-!- <de faire tout son possible pour prendre^J ce
' Ge
nouveau recueil, relié comme toujours avec
lours, en soie, en lainage ; toute la gammes jpossession dos millions.
1art et élégance, a conservé la distribution et l'ardes tissus enfin, laissant aux femmes la fa-,
rangement intérieurs des éditions précédentes.
cililé d'y mettre une note personnelle d'oriPar l'abondance et l'exactitude des renscigneraente
qu'il renferme, cet ouvrage est sans contredit aui
ginalitô el de goût.
Feuilleton de YEST RÉPUBLICAIN lettes, et que le jour devra bientôt clore;
N" G.
mais elle dovine l'arbalète du chasseur
cachée derrière la rame du naulomer...
et elle se dérobe...
« Bonsoir !... »
par
t
LES TRAGEDIES DES CANCANS. — A la
su
suite de l'incondio de sa ferme, siluée à
M<
Montceaux (Ain), dont les causes sont
en
encore inconnues, mais dont la rumeur
publique l'accusa d'être l'auteur, le fermier, M. Meunier a noyé son enfant dans
la Calonne et s'est suicidé ensuite en se
"
ne
>endanl à une poutre de son hangar, le
endemain du jour où les potins du vilNous parlerons aujourd'hui, si vous le je:
motivèrent chez lui une descente de
voulez,
mesdames, des jours de réception, lage
lai
v
justice.
i
ou
jours
fixes,
dont
la
coutume
s'est
imju
0
*
A la suite de col horrible drame, la ruplantée
chez nous.On est loin des ennuyanp
meur publique ayant accusé la mallieutes
visites officielles d'anlan, où, le mari m
t(
vouvo d'avoir à la fois tué son mari
e|
et la femme, dans leurs plus beaux atours, reuse
re
f
faisaient
une tournée de visites, une ou et son bébé, le parquet do Trévoux s'est
»«■
do nouveau sur les lieux el a prore
ddeux fois l'an, et rentraient fatigués el nié- rendu
cédé
à une minutieuse enquête qui a fait
contents de cetle corvée obligatoire.
ce
ci
ressortir l'innocence de la
De nos jours, les réceptions hebdomadai- pleinement
pi
pauvre
femme.
res
ou
bi
mensuelles
sont
devenues
des
réup£
ri
Les constatations médicales ont prouvé
nions où les amis communs se retrouvent
n
en effet que la mort do Meunier avait
d
dans les différents salons, et reprennent, er
bien élé provoqué par la pendaison ol
pour
ainsi dire, la causerie interrompue la bi
f
v
veille. Il y souffle un vent d'intimité char- 'les
le empreintes de ses pas ont été suivies
mante ; et tandis qu'au dehors le vent et la ju
jusqu'à la rivière, ou a élé noyé l'enu
pluie
font rage, il est délicieux de se trou- fant,
fa
p
vver dans l'atmosphère llôde d'un salon gaieMais on doit garder la malheureuse
ment arrangé, d'y deviser des nouvelles du veuve
V(
à vue, pour l'empêcher de se suin
<(
jour,
du dernier livre paru. Parmi ces der- ci
cider. Elle a fait, avec des sanglots, le
n
niers, l'on prise beaucoup actuellement : La rt
récit navrant qu'on va lire :
.Fie, recueil exquis de poèmes consolateurs
« Je m'étais levée à 5 heures du matin,
'
e
et j'avais habillé mon enfant. J'étais ocet profonds, de Ch. Fùster, et Pages d'an- e!
cupée à allumer le feu, quand Meunier
goisses
et d'amour, roman de grande beau- ci
g
té
se
entraînant l'enfant Je sortis aussit dans sa simplicité, où l'attachement pur, sortit
hla passion sainement belle et vibrante finis- te*
tôt et lo voyant s'éloigner, je lui criai :
— Où vas-tu ?
.
sent par triompher du mauvais sort. L'au— Je ne vais pas loin, répondil-il, et il
leur,Emile
t
Eberstein,est un dès plus remarcontinua son chemin.
quables
écrivains modernes.
c<
'
Après avoir allumé mon feu, prise d'un
Le salon le plus simplement meublé peut
pressentiment, je sorlis à mon
S(
Fprendre, ces jours-là, un petit air de fête. sombre
me mis à leur recherche, et, quelte
ILes sièges, savamment groupés, invitent tour,
minutes plus tard, j'aperçus mon
a
aux
conversations intimes ; dans les vases ques
q
<]
mari et mon fils dans la rivière. Je m'y
des
fleurs, de la verdure; là, un nœud de ru- K
vban coquet enjolive une corbeille, ravive le jf
jetai résolument pour essayer de sauver
; mais mes efforts furent vains et
col d'une coupe ; quelques coussins aux l'enfant
\'
je le vis disparaître sous mes yeux.
couleurs claires et chatoyantes jettent leur jt
J'exhalai alors toute ma douleur el mon
1
note
gaie. Et, quand le jour tombe, beaucontre mon mari, qui avait
coup
de lampes, petites ou grandes, dont la indignation
Ù
c
la berge ej qui s'éloignait vivelumière
est tamisée par des écrans, des regagné
r<
1
ment. Jo m'élançaPsur ses traces, mais
8
abal-jour
de différentes couleurs, font un [r
fi se perdit dans le brouillard.
eeffet charmant et transforment le salon il
Après avoir visité plusieurs mares où
raide
x
el froid de nos aïeux, en un joli
fl« Temple de l'amitié ».
je
j( croyais le trouver, je l'ai découvert
dans une grange abandonnée.
Le five o'cloch tea est devenu indispen- pendu
P
Frappée de terreur à la vue de ce specssable ; dès cinq heures, l'on voit la ou les
lac-le, je pris ma course à travers champs
jeunes
filles de la maison, aidées de leurs t*
j
e j'errais pendant Irois heures, la gorge
i
amies,
offrir qui le thé, qui les petits fours, et
iaux personnes plus sérieuses ; car ils sont si
serrée, no pouvant ni crier ni prévenir
|bannis les domestiques à gants blancs aux les
1£ voisins. »
,gestes d'automates. Les rires frais de la
La jeune femme nie toute participation
■
au crime de son mari. Lo parquet est
jeunesse
sont préférables et tout prend un a
1
tour plus intime, et partant ptus exquis.
Ci
convaincu de son innocence, et jusqu'à
plus ample informé elle ne sera pas inDans les appartements où la salle à man- P
ger
touche au salon, la table à thé est pré- quiétée,
q.
se tenant toutefois à là dispok
\parée dans celle première pièce, dont la ! s;
silion de la justice au cas où un fait nouj
interviendrait.
porte
reste ouverte. La table est précieuse- veau
v
,
ment
arrangée : une nappe à thé, à borduOu a voulu aussi incriminer un voisin.
j
res
de couleur, la recouvre, de pelites ser- mais son innocence a été également revielles à Ihé sont disposées sous les tasses, connue.
c1
Ce drame est pourtant assez horrible
au
milieu de la table lo plateau garni, re(couvert, lui aussi, d'un napperon assorti à par
lui-même pour qu'on ne s'acharne
P
pas à y cherchor des circonstances plus
la
1 nappe. Puis, autour, les assiettes, les P
]plats de gâteaux d'usage.
horribles
encore !
«
'
MarcHe 6e Participes
sera délivrée. De nombreux gendarmes
en tenue et d'autres en bourgeois occuperont la salle des audiences.
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à la cure merveilleuse, soit qu'elle ju— Vous ne travaillez pas... Vous êtes
geât utile d'y croire pour y atteindre, ici pour m'aimer un peu... Et puis, Abel
JuliolLe ne ménagea point son grimoire. n'a pas de fortune, mon frère Christian
C'était pour une conversion!... Ce rôle, non plus... moi non plus I...
au reste, avait quelque chose d auloiïlaiJuliette la contemplait, tendrement inro et de londremont hautain qui seyait à crédule.
ses penchants do coquette, à sa grâco lé— Enfant !... vous ne savez rien t
gèrement cravachante, dont ce grand
— Pardon!... je ne suis plus une endiable sans énergie adorait l'aiguillon, fant... je saisi...
comme une volupté neuve.
— Alors, si vous n'êtes pas riche par
Cependant Laura furetait autour de votre mère, vous le serez par votre
cette passionnetle. Loin do négliger son père ; le baron Borgh est assez fortuné
élève, Juliette gardait contre soi la naï- pour...
ve et douce enfant, bouclier à double sé— Oh I... le baron Borgh, comme v/ms
curité qui espaçait le danger sans l'é- dites... assurément! Il estlibrode disviter.
poser do ses biens entre ses enfants comLaura se montrait ravie do sa compa- me il l'enlend. Il n'y a pas de loi en Suène. Jamais elle n'avait été si choyée, si de, comme en France, ajouta Laura d'un
orlotée, si heureuse. AATOC Judilh, moi- petit lon doctoral qui tranchait avec ses
tié nonne, moitié sphinx, comment se dé- façons enfantines. Une parole de moa
penser en effusions ? Avec Mlle Bloizet, père, un simple paraphe do lui peuvent,
c'était aulro chose; on pouvait tout lui a son gré, nous faire riches ou pauvres...
dire; son aimable sourire répondait tou- et même les uns au détriment des aujours. Oh! oui, elle l'aimait bien, sa chè- tres... Vous voyez, personne n'en premï
re institutrice, la petite Laura Borgh ; souci !... C'est comme ça !..,
elle l'aimail tant que, dans la jeune cerConfiance admirable do la prime jeuvelle, un projet germa.
nesse!... Laura, croyant avoir vaincu
— Si vous deveniez ma belle-sœur !... les dernières résistances de sa grande
Ce serait si gentil!...
amie, se mit à danser sur l'herbelléf,
Ses yeux puérils et sa voix câlinaient, sa robe pincée dans chaque main.
sa tempe s'appuyait au bras de sa suave
— ïra, la, la, la, lala, la.„ Youou....
compagne, vers qui montait la douce
Elle s'aballit, toute rieuse, dans, les juchaleur do co souhait.
pes de Juliette, qui l'embrassa longue— Ceux qut ont de la fortune, mi- ment,
gnonne, no veulent pas d'une femme
— Ma petite Laura l
qui travaille. Il ne faut pas penser à
cola... Vous entendez?... il no feulpas...
{A stn'VJ'tf.)
; L'enfant défendit sa chère idée.
>
f
1^03
Mardi 13 Janvier
EST RÉPUBLICAIN
_____
freuillelon de VJBST REPUBLICAIN
Elle n'aimail pas qu'on la troublât, elle
N°81
_____ défendait qu'on détruisît sa paix et elle
imaginait d'infimes songeries d'existence
factice. Un de ces soirs d'isolement, elle
vit venir vers elle un de ses doux chevaliers-gardes ainsi qu'elle les appelait en
riant, mais elle en fut irritée et le reçut
avec impatience.
— Madame, dit Raoul, en fléchissant
un genou, daignerez-vous ce soir venir
PREMIÈRE PARTIE
dîner. Déjà trois fois la cloche a vibré et
vous cherche. .
Huic cedo nemini aller je —
Je n'ai rien entendu et j'aimerais assez qu'on ne me cherchât pas.
— Nous étions inquiets, le capitaine du
Yvana passait des heures seule au yacht est venu prendre des ordres pour
fond ombré du vieux jardin.
le voyage de demain.
Elle aimait celle paix, cetle solitude,
— J'ai dit à Michel de les transmettre.
son activité gaie s'imprégnait de songe A
— Le brouillard mont© des prairies,
sous l'influence du milieu calme et doux.
Si loin de la représentation mondaine entendez les grenouilles et les courlis,
qu'elle élaitobligée d'admettre à Arélow, ce n'est pas sain de rester si tard. Votre
loin même de la toujours impression- robe est déjà humide.
nante présence d'Alexis, elle s'enlisait
Ce disant, il avait pris le bord de jupe
de béatitude tranquille.
d'Yvana, il y mettait longuement ses lèQuand le soir baissait, que les derniers vres, comme un dévot devant une idolo.
— Allez-vous-en, monsieur, j'irai quand
rayons rouges du couchant se coulaient
sous les branches, elle se croyait reve- il me plaira.
nue très loiii en arrière au milieu du
Le ton était impératif, le jeune homme
passé, à des époques où son âme volti- se releva, parfit lentement, lo front
geait sans doute hors des entraves de courbé, déçu de celte froideur, et il
Fincarnation.
tomba soudain sur une bien autre épine.
Des sites jamais vus se précisaient,
A l'opposé de la haie, appuyée sur la
des choses jamais entendues revenaient selle de sa bicyclette, Anne le regardait
comme des rappels. Un rien, un vol d'oi- venir, un rire amer aux lèvres.
seau, un son de cloche, un chant de ber— Huit jours à peine avant ; notre mager jetaient un charme ancien sur le riage ! exclama-t-elle.
présent oublié.
— Ah ! vous êtes absurde, Anne, ré-
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20° Vingt-deux ares au Goret, sur la mise à prix
de vingt-cinq francs, ci
21° Dix ares au Pôrillon, sur la mise à prix de
soixante-quinze francs, ci
•
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22° Six ares au Prés le-Quartier, sur la mise à
prix de cent vingt-cinq francs, ci
125
23(I Quatorze ares au Pré la-Praye, sur la mise à
0
prise de cent cinquante francs, ci
150
Total des mises à prix : Six mille huit cent
quarante-cinq francs, ci
6.845
Les enchères seront ouvertes sur les mises à prix ci-5
dessus fixées, indépendamment des frais ordinaires deivente payables par les futurs adjudicataires en sus de
leur prix et au prorata des mises à prix dont le chiffre
sera annoncé publiquement avant l'ouverture des enchc«.
res et, en outre, sous les clauses et conditions du cahier
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des charges, dressé par M» Ch. VIGQ, avoué à Briey, et
' déposé au greffe du tribunal civil de Briey, où les amarue du
teurs peuvent en prendre communication sans frais.
de femmes de ménage. 115, Crand«-Rn.
Monlct, 29.
(2)
S'adresser, pour de plus amples renseignements, à M*
. Ch. VIGQ, liquidateur judiciaire de l'union des créanciers
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du sieur Bertin, et avoué poursuivant,
Dressé par l'avoué poursuivant, à Briey, le dix 1ian► vier 1903.
Ch. VIGQ.
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Enregistré à Briey le 10 janvier 1903, folio 30, case 23.
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1Î>0:Ï,'à l'audience des criées du tribunal civil de pre- y.
Vandœuvre, n° 116, par suite de liquidation judiciaire,
nière instance de Briey, à deux heures trois quarts du
(M. SIMON, liquidateur)
;oir.
An comptant et 5 Q|Q en sus
En vertu d'un jugement rendu sur requête par le tri- —
1
Edmond
IIULrVÉ, SO, rue du Pont-Mouja, XASCY )Unal civil de première instance de Briey,le 11 décembre
INSERJÏÔN" LEGALE
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1902, enregistré ;
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Elude de M' VICQ, avoué à Briey
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Il sera, aux requête, poursuites et diligences de M'
(Meurthe-et-Moselle).
Charles VIGQ, avoué, demeurant à Briey, agissant en
jualité de liquidateur judiciaire de l'union des créanciers
lu sieur Joseph-Eugène Bertin, boulanger, domicilié a
Norroy-le-Sec et résidant actuellement au Foulon, par
Pagny-sur-Moscllc ;
Et de mondit sieur Joseph-Eugène Berlin, actuellement
■
décernée à
een liquidation judiciaire;
Ledit sieur Bertin ayant Me VIGQ pour avoué, et ce Sises
g,
village ct territoire de CHA%ïSîiEK
dernier occupant pour lui-même ;
Dépendant de la faillite du sieur Pierre-Emile
Procédé, le vendredi 30 janvier *î»0:i, à deux
VAUGIN, boulanger, demeurant à Chambley
heures trois quarts du soir, par-devant M. COLLAS, juge
(Récompense la plus haute décernée aux apéritifs exposés)
ccommis à cet effet par lo jugement susénoncé, en la salle
L'adjudication aura lieu le 30 JANVIER tOftS.i
ordinaire des criées du tribunal civil de Bricy, au palais
1
des criées du tribunal civil de première inj
de justice de ladite ville, à la vente par adjudication, aux l'audience
tance de Briey, à deux heures et demie du soir. §■
enchères publiques, au plus offrant et dernier enchéris-13
seur, des immeubles dont suivent les désignation el miEn vertu d'un jugement rendu sur requête par lelftses à prix :
La Pureté de la PEPT0NE CHAPOTEAUT
bunal civil de première instance de Briey, le 27 novcmtîi
DESIGNATION
^
]902 61.1'Cft'islré,
l'a fait adopter par
et mises à prix tlett iftimcciStles à vendre
ll'sera. aux requête, poursuites et. diligences de ï'ISTSTITUT PASTEUR
Charles VICQ, avoué, demeurant à Briey, agissant a
VILLAGE DE NORROY-LE-SEC
p
de syndic définitif. de l'union des créanciers il
1° Une Maison, située à Norroy-le-Sec, avec jardin 'qualité
<j!
sieur Pierre-Emile Vaugin, boulanger, demeurant I'
derrière, aisances et dépendances, sur la mise à prix ùci^
, Chambley, ledit Me VICQ. avoué, occupant pour 1*
cinq mille francs, ci
5.000;^
:mcme, procédé, le VENDREDI 30 janvier 1903, a tiens
heures et demie du soir, par devant M. Collas, juge, coffl
Ban dMiioux
nmis à cet effet, par le jugement sus-énoncé, en la salle
Saison de GerDes-en-Champ
ordinaire des criées du tribunal civil de Briey, au palais
0
2° Dix-sept ares 50 centiares,au bout du village,
a, justice de ladite ville, à la vente par adjudication, au
de
sur la mise k prix de cent cinquante francs, ci...
150 enchères
publiques, au plus offrant et dernier enchérisC1
3° Dix-neuf ares 30 centiares, au Dcssous-duseur,
des IMMEUBLES dont suivent les désignation
S(
^WijJ
Recommandé dans les maladies d'esto.-jRouaut, sur la mise à prix de quatre-vingt-dix
eti mises à prix.
e
mac, digestions difficiles et insuffisance de
francs, ci
90|
4° Vingt-un ares soixante-neuf centiares, lieu
l'alimentation. On nourrit avec lui les
dit, sur la Chènevièrc-de-H<mré, sur la mise à prix
Anémiques, les Convalescents, les Phtisiques,
^ soixante-quinze francs, ci
Village de Chambley
de
:
75
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5° Sept ares, à Crimoié, sur la mise à prix de
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du Poinl-du-Jour, entre la rue au midi, la ruelle des
(quinze francs, ci
15, j*
fil! dégoûtés des aliments ou ne pouvant les
Chevaux à l'est et les héritiers Mahuet à l'ouest, sur 1»
^
: 0° Vingt-un ares, sur le chemin de Noge, sur la
**»mz£j0? supporter.
,
mise à prix de quinze cents francs, ci
1.8*
mise
à prix de soixante-quinze francs, ci
75i n
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2° 57 ares 30 centiares, à la Côte-Pompey, entre
prix de cent francs, ci
100,
Cunche et héritiers Bélin, sur la mise à prix de
8a Vingt-un ares sur le Haut-de-Robouande,
{:
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cent cinquante francs, ci
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ïsur la mise à prix de quarante francs, ci
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la
mise à prix de quatre-vingt-dix francs, cl
90) . Total des mises à prix dix-sept cent cinquante
(ailre oijeaax d'un* même votée posée « terre ou sur les cimcaax il'tin poste à feu.
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la mise à prix de quinze francs, ci.
155 . Les enchères seront ouvertes sur les mises à prix Çl11° Douze ares36centiares au Haut-dc-SertelIes, ■
"dessus fixées, indépendamment des frais ordinaires*
v
payables par les futurs adjudicataires en sus*
sur la mise à prix de cinq francs, ci
55 ,vente,
leur prix et au prorata des mises a prix, dont le chijffl
12° Trente-deux ares 70 centiares, lieu dit Dersera annoncé publiquement avant l'ouverture des cwsu*
rière-la-Ghapelle, sur la mise à prix de quatre
cent cinquante francs, ci
450) vres et en outre sous les clauses et conditions du can*
ûdes charges dressé par Me Ch. VICQ, ovoué à Briey.«
13° Dix ares 29 centiares au Fond-de-Multat,
,
sur la mise à prix de quinze francs, ci
155 déposé au greffe du tribunal civil de Briey, où les a**
1
leurs peuvent en prendre communication sans frais- .
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_ Après le dîner, dit-elle à Raoul, vous cyclelles roulaient à une alliira
pondit-il violent, agacé lui aussi, comme l réelle, êtes-vous génie, êles-vous reine ? irez reconduire votre fiancée, et prévien- rée encore, par l'influence dolw^l
a
si en ce jardin imprégné des douces éma- Etes-vous de la terre ou du ciel?
à 1? villa des Sapins de voire absen- nerveuse qui gagnait les rûmT
uet
— Oh 1 de la terre, hélas ! Assez pour drez
nations des plantes, un souffle d'irritation
nocturnes.
>etisJ|
comprendre, assez pour aiiror. Uno haie ce nour deux jours. Nous vous prendrons
avait passé sur tous.
Ils
arrivèrent,
malgré
l'humidité
sépare, Anne, elle est semée d'é- vers huit heures, demain,, en passant et brûlanls.etfinirent la soirée aveô Sflt
— Absurde ! quand je vous vois aux nous
pines,
mais au bout s'ouvre un passage, avec l'automobile, Anne, c'est bien en- parents, en devisant des choses
i^k
pieds de cette impardonnable coquelte. venez m'y
donner le baiser do paix.
te
du mariage.
Raoul d'un bond sauta la haie :
ï
aucune
fille
accepta
avec
enthousias— Vous êtes adorable, fil la jeune fille,
me elle éprouvait grande joie à revoir
XLVIX
— Taisez-vous, folle, si vous parlez subjuguée.
ainsi, je vous jette hors de Lancrel, à
Tous trois rentrèrent. Ulric d'Yls, en les siens Sa môro surtout, car elle no
La'pluie tombait lente, calme, ré&n.
à son mariage,f*g™W
l'instant.
petite tenue de marin, causait avec Mire, interminable, c'était le débui dfL
sa
faible
sanlé,
et
par
sa
chel
de
Garlalz
et
la
comtesse
ïïoroff
te— Ma foi non, je ne me tairai pas,
vombre, los chrysanthèmes de la ^
l'autre jour c'élait le lieulenant qui était nait le bébé sur ses genoux. Yvana prit immobilisée par son inguérissable dou- d'honneur à Lancrel baissaient leu/.0^
leur,
et
incapable,
elle
aussi,
d
assister
a
son
fils
dont
ses
bras
se
tendaient
vers
à ses genoux. Ah ! bien je vais, je vous
lourdo sous l'averse cinglante; et
cette fêle de famille.
.
assure, raconter tout cela au capitaine
Déplus, elle se réjouissait du pelen- feuilles des marronniers roux tombv 55
—
Alors
soyez
prêt
à
neuf
heures
deAlexis.
des choses mortes, toutes droit*
Raoul éclata de rire : — Ah ! ma chère main malin, capitaine, je veux aller à nage vers sa patronne et, peu a pou, une comme
fois encore, sa colère jalouse se calma aballuos sous uu dernier lourde valse1
Sainle-Anne-d'Auray.
ce sera bien amusant.
— Nous ne pourrons pas rentrer le sous l'influence sereine des yeux purs et l'air.
— Vous êtes odieux, s'écria Anne
Il ne faisait pas un souffle au deW
lumineux d'Yvana.
;
. .,, .
soir même, Madame.
scandalisée.
En pédalant dans 1 ombre a cote de au dedans, les feux d'énormes lron«If'
— Nous coucherons à bord.
Yvana, de l'autre côlé de la haie sui— Madame, dit Anne, Kerlof est à Raoul, deux heures plus fard, elle disait : chêne flambaient dans les grandes k
vait l'allée, elle dit :
— Ici, tout est changé, brouillé, éclai- minées.
— Ma pauvre petite Anne, gardez vos quelques" kilomètres de Sainte-Anne,
ré, atténué, transformé, vous, moi, l'aveLo polit Princo trottait on riant dv j
colères pour d'autres occasions, si vous venez-y.
— Oui, j'irai Anne, et jo vous emmené nir, etjo m'en vais vers lui, à travers pièce dans l'autre, suivi do ses gomv?l
le méritiez mieux je vous ferais une conautant de brumes que nous en avons à nanles et do son caniche gris. Il S^C|
fidence, mais ne serait-il pasjusle et bien avec votre fiancé. Viendras-tu Spéra ?
cello heure sur ce chemin, je ne vois lait quand même, no pouvant soriirTË
—
Moi?
N'aimes-tu
pas
mieux
que
je
de votre part de croire deux cœurs sinrien en avant ni à côlé, et si je roule au grand air. Dans sa chambre sa nièrA"
reste ici avec bébé.
cères sans conditions.
Spéra causaient.
— Si. Alors, comptez seulement sur fossé, je ne devine pas lequel.
— Raoul vous aime, madame, et c'est
— Nous y roulerons ensemble, Anne,
— Tu pars d'un pareil temps ?
nous trois, capitaine.
moi qu'il épouse.
— Tout do même. 11 pleut, mais il Jm
— J'ai reçu ordre de croiser dans cinq enlacés, avant huit jours, ma chère fian— Il vous aime, mon enfant, comme on
aime à son âge, et moi je suis pour lui jours au même degré que la dernière cée. Le fond sera de mousse el les églan- a pas de vagues, à bord nous en
tiers et les clématites s'uniront au-dessus quittes pour rester en bas.
l'idée, le symbole, l'incarnation d'un fois, madame.
— Attends à demain.
— Oui, je sais, les manœuvres lou- de nous en berceau.
rêve, n'obscurcissez pas votre âme el
Soyez donc heureuse, ma chérie, ce
— Non. Alexis rentre dans qualrejounJ
quand vous reverrez, avant peu, mon chent à leur fin. Bonsoir capitaine.
Elle rentra et fit mettre son fils dans n'est pas à vos pieds que je veux être, j'irai au-devant de lui la veille, tu SB
mari, allez, je vous en prie, lui conter
que je n'ai pas lo choix des jours.
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vos douleurs, il vous rassurera.
sa haute chaise, entre elle et la comtesse mais près de votre cœur.
A suivre)
— Ici, tout est étrange. Etes-vous Horoff.
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