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Jeidi 7 lin 1929
JT 10. -
(22T
Ammém).
Le Numéro
Cent.
p t f i l É H U l f I« j e u d i
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J
Organe de Concentration
H E B D O M A D A I R E
ASGSvmaffswm
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P»03L,ITI<5ÄTJB,
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10 trames.
Ktrimgtr
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m.
Le» manuteritt
B É P X J B L I O A I N B
Pour les Jeunes
L'er|aoisitioi de II Jeunesse catholique daos U Finistère
(V article)
Dans le journal le Militant du 29 septembre 1923, en indiquait très nettement
le triple but assigné au Corel* d'Etudes :
1* Enseignement professionnel.
2* Enseignement complémentaire.
3* Base de toute formation générale.
Le 1 e r juillet 1927 un congrès de jeunés, au nombre de 600, était réani au
FolgoSt, et voici comment s'exprimait,
à la suite de ce congrès, la Semaine
rtligitutt
: a Après le congrès des
jeunes rénnis au Folgoët au nombre
de 600, nul doute n'est désormais
possible sur l'opportunité, la nécessité
mémo d'un Cerole d'étude«. Les paysans comme les ouvrier« ont reconnu
que leur formation intellectuelle et moraie, leur formation civique, toeiale et
profeaaiennelle, leur formation religieute surtout, réclament le coacours
d'un Cerele d'études, où ils ont l'avantags de collaborer avec de« ami« qui
ont le même idéal d'apoatelat et de
trouver les eonteilt prudent» et avitt1»
d'un prêtre instrait... « Les uns et les
antres ventent se rendre capables de
défendre dignement leur foi... ».
Et on ajoute : « En beaucoup de Cerelet, la conférence est suivie de ehantt,
d'exercice de lecture et de
datamation ».
Les cléricaux n'ont pas oublié le mot
de Michelet que l'éducation de l'homme se fera par les fêtes.
doivent se consacrer à la défense des
nobles causes, de développer le don de
la parole qu'ils peuvent avoir.
« Dans ce but la Drac (Défense des
religieux anciens combattants) a institué, dans chaque collège, un concours
d'éloquence dent, après une série d'épreuves éliminatoires, la coupe sera
disputée à Paris pour toute la France,
les 10 et 11 avril 1926. »
Et cela continue et continuera, pour
tâcher d'attirer à l'Eglise par la persuasion et le charme conquérant de la pa<
rôle publique, des adhérents nouveaux
«éduita et retenu« ainsi que l'étaient
leurs pères, les anciens Gaulois, par les
chaînes d'or de l'éloqaence.
•
• a
Qu'avons nous à opposer, nom, le«
laïques, aux effort« redoublé« de cette
maudite engeance qui réve de non«
réduire à l'antique esclavage qu'ont
connu noa père« 7
Où «ont le« éducateurs de notre jeu
nesse et le« militant«, jeune« ou vieux,
adonné« à la noble tâohe de conseiller
et de réunir les jeunes pour leur portée
tionner le coaur et l'esprit et les maintenir dans las droits sentiers qui condui
sent à la conquête et à la consolidation
des libertés si chèrement achetéea et à
l'amélioration raisonnée de leur condition économique et sociale.
Serai-je plus longtemps la voix qui
clame dans le désert 7
• •
A côté dea Cerelet d'étude» il y a lea
Congrè» de la jeunette catholique, qui
ont pour bnt d'endoctriner et d'enrégimenter lee jeunee en vue dea élection«
et de« a u a u t s à livrer au laïciame.
Aprèe le Congrès de la jeunette catholique à Caihaix, le 4 décembre 1927,
«ou« la présidence du chanoine Goas
guen, la Semaine religieute s'expiime
ainsi : « Journée importante qui ne
pourra qu'activer le grand travail qui
reate à accomplir pour la formation det
jeunes eatholiquet de la région carhaisienne ».
Cette formation eat faite en vue de la
lutte pour la liberté de» catholique» en
France.
Le Cangrèt de la jeunette catholique (
qui a'est tenu à Brioe en février 1939 a
été auivi par 200 jounea gens, animés
« de l'etpnt de foi, du ditir ardent de
travailler au triomphe de l'idéal chrétien ».
Buncdt les jeune« seront embrigadés
dans la mtltce de Jetut-Chrut
Roi.
Que vent la Milice 7
La Semaine religieute va nous l'apprendre : « Combattre par tous les
-moyens la laïcité qui nous tue et restaurer ?le régne du Christ Roi dans les
âme«( la famille, VEcole, la société,
l'Etat, conformément aux directions de
Y Encyclique Quai primat, qui a institué
la Seoie de la Royauté universelle de
Jésus- Christ. »
Nous avons à Brest une école suivie
psi dee étudiantt en médecine. Les
cléricaux euaient de l u acoaparer. Ils
les réunissent au collège Sc-Louit tous
lee jeudis soif, sous la direotion d'un
piètre qui a'oooupe d'eux apécialement.
Ita y trouvent au besoin une chambre
et une table pour les repas.
;
Enfin, le« cléricaux ne négligent rien
pour reaiuer l'asservissement do la jeuneaab qu us essaient d attirer à eux et
di couquenr par tous tus moyens : la
pibuse, les bogues lectures et la parole
eu pubac.
Don» 1« Courrier du Finittére du 20
mais 1926, ou pouvait lire un arucie
inutuls ; futurs
orateurs:
'•« Il Mi très utile a u j s u a i i gtns qui
M A R I T I M E
Bureaux et Imprimerie, 2I, Ru h Sallé. QUIMPER
1 An.
Finistère «t déiiart«K«sts limitrophes,
Autres départes
A G R I C O L E ,
Républicaine
Pas de politique, vous diront les tièdes, les satisfaits, les désillusionnés,
prêts à sabir tous les jougs, depuis
qu'ils ont perdu l'hsbitude des nobles
luttes que connaissaient leur« pères.
Ja regrette d'emprunter encore ici à
un adversaire ces paroles que prononçait Lacordaire en faisant ses adieux à
ses élèves du collège de Sonèze qui,
après leur dernière année d'études, pre
naient définitivement congé de l'école :
« Messieurs, leur dit il, vous allez rentrer dana le monde ; «oyez-y des hommes. Ayez une opinion surtout (pourvu
qu'elle ne «oit pas exagérée, elle aera
toujours honorable) ; mais, de grâce,
comptez voua pour quelque chose, sachez vouloir et vouloir fièrement Ce
n'est pas d'orgueil qu'il s'agit, c'est de
dignité... Vous dono, les premiers jeunes
gens q ue je mène dans le monde—encore
que Dieu ne vous ait pas mis longtemps
dans mus mains — je vous prie de garder cette parole : Age» une opinion.
Si vous le faites, vous serez de grands
citoyens. Sinon, vous déshonorerez votre
pays, peut-être même le vendrez-vous. »
Place aux jeunes I
Nous voudrions accoutumer leurs
bras à porter le flambeau aacré des
idées que les anciens, aujourd'hui disparus, ont tenu si longtemps dan« leurs
mains vaillantes. Nous voudrions leur
confier la garde de cette flamme pour
qu'elle brille toujours d'un éclat aussi
pur et que jamais elle ne s'éteigne.
U importe que la Francs demeura
affranchi* des servitudes d* Rome *t
qu'elle reste une civilisation d'hommes libres.
Et voici pourquoi nous souhaitons et
nous attendons, suivant le mot de
Michelet « qu'un joune sang, que l'inépuisable jeunesse du monde, le grand
flot de la vitalité éternelle, aille renouvelant aans cosae les foroes de l'humanité ».
Geoiges LE B A I u
L A Ï Q U E ,
SI lu achatas un Journal olirlo»!,
w poyo* pour ttro moqué §t btuu.
à
P l t r r * CUÉÇUEJf, Administrateur-Gérant.
ne *ont pat rendu». — Pour le» renteignement» joindre un timbre pour la réponte.
Miettes
Ç^L & L A
de 1«
Semaine
Antre tempe, entres moeurs.
— Le débat sur le pacte Kellog-Briand
est venu ces jours derniers devant la
Chambre. Après les remarquables interventions de M. Cot, rapporteur, de M.
Paul Boncour et de M. Briand, ministre
des Affaires étrangère«, es paote a été
ratifié par 570 voix contra 10.
« L'idée qui m'a inspiré, a dit notamment M. Briand dans son éloquent
discours, a été de prendre la guerre au
collet et de la traîner devant les peuples
en disant : a voilà une criminelle ! »
— Le vapeur « Saint-Malo » a coulé
au large d* Bar fleur. On compte sept
morts sur douze passagers.
— L'avion de Lindbergh, le célèbre
aviateur américain, a capoté. L'aviateur
n'a été que très légèrement blessé ; sa
fiancée qui l'accompagnait «'en est tiré*
indemne.
— Un avion postal d* la ligne Paris.
Prague, parti du Bourget, lundi matin, a
dù atterrir près de Meaux, après avoir
perdu sa route par suite du brouillard,
L'appareil s'est brisé à l'atterrissage et
1* pilote a été grièvement blessé.
— La situation est trouble au Mexique où le mouvement insurrectionnel
semble prendre de plue en plue d'ampleur. Les rebelles, qui ont 1* général
Aguirr* à leur tête, seraient maîtres de
plusieurs grande centrea.
Vingt-deux Etats ont affirmé leur
loyalisme au gouvernement qui s'apprête à réprimer la révolte.
— M. Hoover, le nouveau préaident
des Etats-Unis, a prêté serment lundi.
Dans «on message, il a affirmé le
désir de l'Amérique de vivre en bonne
intelligence avec toutes les autres nations et de continuer à maintenir la
paix dans le monde entier.
Le mandat municipal
Le Sénat a ratifié, dans sa séance du
26 lévrier 1929, le projet adopté il y a
quelques années par la Chambra des
députés portant de 4 à 6 ans la durée du
mandat municipal. Cette mesure sera
applicable à partir des élections de mai
prochain.
Pinr les Venves et Orphelins
dei_ _Militaires
______
i
Voici comment Louis XI (erdonnance
de 1481) traitait les fraudeurs de son
temps qui exagéraient :
« A tout homme qui aura vendu du
lait mouillé sera mis un entonnoir dedans la gorge et ledit lait mouillé sera
entonné jusqu'à temps qu'un médecin
ou un barbier dise qu'il n'en peut, sans
danger, avaler davantage u.
I t les fraudeurs d'oeufs :
< Tout homme qui aura vendu œufs
pourris et gâtés sera pris à corps et exposé sur notre pilori. Lesdits œufs
«eront abandonnés aux petits enfants
qui, par manière de farce et joie, s'ébattront à les lui lancer sur le visage pour
faire rire le monde ».
Enfin les fraudeurs de beurre étaient
ainsi punis :
« Tout homme qui aura vendu du'
beurre contenant navets, pierre ou autre
chose, sera bien curieusement attaché à
notre pilori. Puis, ledit beurre sera rudement posé aur la tête et laissé tant
que le soleil ne l'aura pas entièrement
fait fondre. Pourront les chiens le venir
lécher et le menu peuple l'outrager par
tellee épithètes diffamatoires qu'il lui
plaira (sans offense de Dieu ni da roi).
8i le aoleil n'sat pas assez chaud, le
délinquant aera exposé dana la grande
«aile de la gedle, devant un beau et
grand feu, où tout un chacun pourra
venir le voir ».
Qui oasrait, aujourd'hui.
Le tenx et le mouchoir,
a Le sénateur royaliste M. Dominique
Delahaye a au forger pour sa cause des
arme« terrible«.
« Lorsqu'un orateur ns plaît paa à
M. Delahaye ou qu'il a dea motifs particulière pour ne pas le laisser parler, il
expectore du fond de aon gosier une
tonx étrange et iormidable dont il a
aeul le secret.
a Cette toux tient à la fois du cri de
l'orfraie, du rugissement du lion et du
vrombissement d'un moteur d'avion. Il
la déclenche à volonté et la fait durer
sans fatigue aussi longtemps que les
circonstances l'exigent.
« Et pendant ces prétendus accès,
qui coïncident souvent avec la présence
de sénateur« socialistes à la tribune, M.
Delahaye lisae longuement «a barbe de
fleuve et ne se départit pas d'un calme
olympien.
c L'infortuné M, Flaissières a fait
dernièrement l'expérience de cette toux,
et «a petite voix a été complètement
couverte.
« Aussi, d'après les dernier« renseignements, il paraîtrait qu'une façon de
se moucher nouvelle et tonitruante est
à l'étude dans le parti socialiste pour
répondre aux virulente« attaque« du
sénateur royaliste. »
1. Les veuves et orphelin« de mili.
tairea de carrière, décédéa avant. le
17 avril 1924 et déjà titulaire« d'upe
pension au taux du grade, ont droit,
s'ils remplissent certainea condition«
particulières, en sus de leur pension actuelle, à une allocation dont le montan t
est basé sur le grad* «t les années du
militaire.
2. Les veuves et orphelins de mili'
taires de carrière, décédés avant le,
17 avril 1924, ayant accompli 25 ans de
services pour les officiers, et 15 ans
On Bail à ferma stipulant
pour les sous-officiers, déjà titulaire«
d'une pension au taux du grade, peu- que 1« Loyer sera payable eu Blé
vent, avant le 1 " janvier 1930, opter
est valable
pour une pension mixte rémunérant
Un bail à ferme, atipulant que le loyer
la part ancienneté et la part invalidité ; lierait payable en blé et que la quantité de
3. La pension des veuve« de guerre blé aérait convertie en franca, d'aprôs sa
non remariées et des orphelins est por- valeur aur le marché à chaque échéance,
tée au taux de la pension d'un invalide «3St valable.
à 50 °/ s du même grade quo le militaire
Ainsi vient de juger la Chambre dea
décédé ;
"
Requêtes en décidant qu'une aemblable
4. Le délai imparti pour le dépôt des clauae était licite puisque la loi autorise
demandes de pension est prorogé juspaiement dea fermagea en nature et
qu'au 31 décembre 1930, sauf en ce qui qu'au surplus, elle n'est paa contraire à la
concerne les veuvos de guerre remariée« ; ringle do coura forcé du billet de banque
' * 5. Le« ascendants peuvent prétendre inwpoaé par la loi du 1« août 1914.
à une pension entière, si leur revenu
/Déjà, le tribunal civil du Havre avait
impoaabie ne dépasse pas 1.500 francs rendu l'an dernier, conformément aux conet à une pension réduite, si leur reve- olmsions de M* Marcel Guillouet, un jugenu est intérieur au revenu-limite de meïnt en ce sens ; l'arrêt de la Cour su,.500 francs augmenté du montant de prême confirme définitivement cette jurisleur pension.
prudence.
Jurisprudence
* AI TES LIRE
LE
Journal le Citoyen
*
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RUT
Siiuf en eat it force majeure, le laie
d'aeinon ne donne à gagner qu'au laie.
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la Ugae
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diverses (4* page) . . . . . .
2 fr.
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réclames (3e page). .
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Annonces payables d'avance'.
Le« Annonces doivent être adressées, au plus tard, le Mardi soir.
T R I B U N E
L I B I W B
Marianne à l'œuvre
On sait comment la République avait
refait les force« du pays à l'intérieur, et
comment elle avait su nous sortir de
l'isolement où la politique de jactance
de Napoléon III nous avait plongés, et,
comment aussi, par sa politique ferme
et résolue, calme et digne, elle avait su
nous conquérir des allié« et de« sympathies pour le règlement du grand problème mondial posé après la malheureuse guerre de 1870.
La caractéristique dea partie nationalistes est cette politique de jactance qui,
comme un homme politique l'a dit, finit
par « inquiéter tout le monde sans réussir à effrayer personne ».
Cette politique, la France a voulu la
reprendre dès que les parti« de gauche,
c'est-à-dire le« seule véritablement républicains. enrent été vaincu« en 1919.
De 1919 à 1924, le monde entier no
reconnaissait plu« la France. Elle apparaissait hargneuse, revêche, prête à chicaner ; un pou plus, la France républicaine, la bonne Marianne, aurait été
prise pour la « Germania » de 1914,
plantureuse personne certes, mais cuirassée, casquée et attirante comme une
porte de prison.
Ce sera l'honneur d'Herriot d'avoir, à
Genève, redonné la vraie figure d* la
France. ^
'
Le« gauche« ont été de nouveau éloigné«« du Pouvoir, mais aucun ministre,
même M. Poincaré, n ' a voulu revenir à
la méthode d'avant 1924.
La Franae eat actuellement à sa place,
c'est-à-dire à l'avant-garde. Cela, M.
Daudet aura beau ergoter, n'eat point
le fait de Monseigneur le due de Guise,
héritier des quarante rois qui..;, vous
connaissez la fin. Il y a vingt ans qu'on
nous rabâche les oreilles avec cela. Il
serait temps de trouver autre chose.
Pasaon« au point de vue colonial. !
En septembre 1S70, notre empire
colonial comprend en Asie 5 ville«,
épave« du vaate empire conquis par
Dupleix ; en Amérique du Nord, SaintPierre et Miquelon ; en Amérique centrale, la Guadeloupe et la Martinique ;
en Amérique du Sud, la Guyane ; en
Afrique, le Sénégal et l'Algérie.
En 1871, l'Algérie se soulève. Il faut
la reconquérir. La Troisième République
nous a acquis donc l'Algérie jusqu'au
fond du désert (conquête d'In Salah en
1900) ; la Tunisie (1881) ; l'Indo-Chine
française (1885) ; Madagaacar (1895) ;
le Dahomey (1898) ; le Soudan jusqu'à
nos jours et enfin le Maroc qui complète
si bien notre empire de l'Afrique du
Nord.
Les grands coloniaux français Jules
Ferry, Paul Bert, Savorgnan de Brazza,
Caillaux qui aut nous acquérir le Maroc
en évitant une guerre funeste avec l'Allemagne (1911), ont bien mérité du pays.
Tous étaient dea républicains, tous ont
eu à souffrir des ennemis de la République.
Notre empire colonial compte 60 millions d'habitant«, ce qui, avec le« 40 million« de la Métropole donne, pour la
population totale, 100 millions d'habitants. Ce« 60 millions de Françaia
d'outre-mer nous avons su nous le« attacher ; aucun trouble grave dan« notre
immense empire ; d'autres ne peuvent
pas en dire a u t a n t
Les AUomands, eux-mêmes, pendant
la Grande Guerre, parlaient des Français de couleur qu'ils avaient à combattre, rendant ainsi hommage au génie
civilisateur de notre patrie. Combien de
ces Français de couleur ont traversé les
mers, combien «ont tombés en Champagne, en Artois, à Verdun, à Salonique I
pour la défense du Pays qui les avait
rendus libre« 7 Plusieurs centaine« de
mille ! Et voilà la meilleure réponae à
ceux qui prétendent que noua ne «avons
pas coloniser.
Si coloniser, c'est considérer les colonies comme des vaches à lait, en tirer
tout ce que l'en peut en «e désintéressant dea indigènes, nous ne savons pas
coloniser ; mais si coloniser, c'est s'attacher les indigènes, c'est en faire des
homme« civilités au lieu de sauvages,
alors nous n'avons do leçons à prendre
de personne, La tranquillité de noe colonie», leur fidélité dam l u joui» d'épreum (ont l i pour lé démontrer.
Eh bien ! cet empire colonial qui
place la France parmi le« plu« grands
pays du monde, à qui le devona-nous 7
Cet empire colooial a été conquis de
1880 à 1914. La République existe depuis
1870, C'est donc à elle que nous le devons et pas à d'autres, n'en déplaiae à
tous le« tenants des régimes déchus.
Qu'ont fait les rois pendant les 1.000
ans qu'ils ont gouverné la France pour
l'instruction du peuple 7 Rien. Ce n'est
pas grand'chose.
C'est la Troisième République qui, par
le« loi« de 1882, a créé l'école laïque
gratuite et obligatoire ; laïque pour pouvoir être fréquentée par les anfants de
toutes les confessions religieuses ; gratuite pour que les plus pauvres puissent
profiter des bienfaits de l'instruction ;
obligatoire pour que des parents insouciants ne puissent en priver leurs enfants.
Certes, il y a encore des progrès à
réaliser ; tout n'est pas pour le mieux.
Il faudra qu'un jpur l'argent cesse d'entrer en ligne de compte pour laisser
place à l'intelligence. Il faudra qu'un
jour un enfant du peuple intelligent
puisse arriver aux plus haute emploi«.
Une intelligence ne devra pas être arrêtée dans son développement parce que
l'argent fait défaut. Preehain deit être le
jour où l'enseignement secondaire, aujourd'hui payant et par suite inaccessible à beaucoup d'enfante du peuple,
devra se démocratiser et devenir, lui
aussi, gratuit. C'est la réforme de
demain. Pour la réaliser, il faut
faire confiance à la République. l i n e
faut pas prêter l'oreille aux accents des
Daudet, Coty et autree, qui veulent
maintenir le peuple dana l'ignorance,
pour mieux lé tromper. Pour cela, il
faut marcher franchement vere la démocratie et tourner le dos aux régimes
favorables auX privilégiés de la Fortune :
Royauté, Fascisme, et autres dictatures,
où une personne, où une classe dicte
ses volontés "à la masse qui n'a qu'à
obéir servilement.
La claaae ouvrière, ai durement traitée
«ou« les rois, a vu son sort s'améliorer ;
par des lois qui ont limité la durée du
travail, qui ont fixé les conditions du
travail des femme« et des enfants dans
les usines.
La loi de 1884 a permis aux ouvriers
de se syndiquer et de pouvoir ainsi défendre leurs droits. La loi de 1898 a
donné une retraite aux ouvriere blessés
dans le travail. En 192S, cette loi a été
rendue applicable à l'agriculture. Loi de
1898, assistance aux vieillards, infirmes
et incurables. Loi de 1905, assistance
aux familles nombreuses.
Loi de 1910, retraites ouvrières et paysannes, loi encore fort mal connue et
pour laquelle l'Etat vient de tripler sa
subvention. Loi du 19 mars 1919, sur
les pensions militaires aux victimes de
la guerre, aux veuves et aux orphelins.
Loi des assurances sociales et enfin loi
des habitations à bon marché, Loi de
Crédit Agricole, etc...
Certes, toutes ces lois ont besoin
d'être améliorées, ce sera l'œuvre des
jeune«. Nos atnés et nova avons amorcé
le travail ; à eux de le mener à bonne
fin. Nous voici donc arrivés à la fin de
ce que nous nous étions proposés de
faire : montrer l'œuvre accomplie par
la République en 58 ans. Peut-on dire
après cela que la République a manqué
à ses promesse« ? Non ! Certes, le grand
cataclysme de 1914 a retardé l'œuvre
d'amélioration dee classes laborieuse«,
mai«, maintenant que la liquidation de
la guerre s'accomplit, la République, en
dépit de ses détracteurs, continuera sen
chemin vers plus de Liberté, plus d'Egalité, plus de justice, et aussi et surtout
plus de Fraternité.
A. CORBILO.
Républicain»
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Pr«cè«>M
M m i K I W
H.G.Le Bail contra M. Jadé
Morbihan. Lea rapporta ont été confiée sont administrées par des ouvrière comme
à MM. Armel Beanfila (le Régionalisme) voua. Demandez-leur dea renaeignementa I
Bouligand, Dépaté (La Laïcité en Bretagne)
Au coura de ses réunions de propagande,
et Le Bail, Sénateur (Lea Aaaurancea le Comité ne manquera paa de dénoncer le
Sociales).
nouveau commerce dana lequel ae lance le
parti clérical.
A LA COUR D'APPBL DE RENNES
Le Secrétaire.
Lundi eat venu devant la Cour d'appel de
Rennea, le procèa en diffamation intenté
CONSEIL GÉNÉRAL
par M* Feillet, de Quimper, à M. Ménez,
La première aesaion de 1929 du Conaeil
gérant du Finit tire.
général a'ouvrira à Quimper, hôtel de la
L'affaire a été aaiae en délibéré.
Préfecture, le mardi 14 mai, à 14 h. 30.
Lundi 4 mère Mt revena devant 1« tribunal correctionnel de Qaimpsr 1« procès an
diffamation O. La Bail oontre Jadé, dont
non« avona en l'occaaion da parler à plueieura repriaea.
Peut-être n'eat-il p u inutile, poar «aider
le lecteur, de rappeler lea diversea «tapea
de ce procès, n i a s lendemain dea ilectiona
législstives, a« anjet de la Caisse de aecoara
dea marina-péchears.
Le 7 juin dernier, le tribanal correctionnel, rendant son jagamant dana le procès
en diffamation intenté aéparément par MM.
Georges Le Bail et Le Hara à M. Jean Jadé
MEMBRE DUJWtfHOBSCMCOm
et an journal l'Ouest-Eclair,
déclarait ne
Grèce aux célèbres Appareils sans ressort à
pouvoir statuer anr la reaponaabilité de M
COMPRESSION SOUPLE
Jadé, dépoté, couvert, à cette époque, par
CI iïPD , e grend spécialiste de
l'immunité parlementaire, et condamnait
. uLAMW Paris, 44 Bd Sâbastopol
l'Ouest-Eclair à cent franca d'amende et k la hernie, infirmité dangereuse et souvent
cirq mille franca de dommagee»intérête mortelle, n'est plus désormaia qu'un vain
envera M. Le Bail et autant entera M. Le mot.
Sanctionnés officiellement par le corps
Hara, avec inaertion du jugement.
Quelquea joura plue tard, V Ouest Eclair médical, le 5 juillet 1922, cea nouveaux
appareila appliqués à des milliers de déaesinterjetait appel et la Chambre correction
pèrés réaliaent chaque jour dea prodiges et
nelle de la Cour d'appel de Rennea, le 17 procurent à ton» c»nx qni les on« aHopi^»
décembre dernier, condamnait le gérant du la SÉCURITÉ, la SANTE. «• sel««
journal rennaia à cent franca d'amende et à de* m»la<4-« eux-mêmes, la Q U E R I 8 0 N
troia mille franca de dommagei*intéréta DEFINITIVE.
Devant de tels résnltata garantie toujours
entera M. Le Bail ; à cent franca d'amende
et mille franca de dommagea-intéiéta entera par écrit, tous ceux atteints de hernie -M
vent s'adresser sans retard à M. QLA8ER
M. Le Hara, avec inaertion dea arrêta.
qui leur fera gratuitement l'essai de aea
•
appareils de 8 à 4 h. à :
• •
Entre-temps, M. Jadé avait cessé, à la Douarnenez. 8 mars, (de 8 h. à 3 h.) Hôtel
do France.
date du 9 juillet, d'être protégé par l'immu
Brett. dimanche 10 «t le 11 mara. H6tel
nité parlementaire et était aasigné person j Continental.
nellement par MM. Georgea Le Bail et Le ! Chdteaulin, 12 mars. Hôtel Grand'Maison
Hais à comparaître à nouveau devant le I Quimperli,
vendredi 15 mars, Hôtel du
tribunal, le 25 octobre dernier.
Lion d'Or et Voyageurs.
Le défenaeur de M. Jadé invoqua l'in Carhaix 16 mars, Hôtel de France.
17 mars. Hôtel de l'Epêe.
compétence du tribunal, demandant que QUIMPER.
dimanche 24 mara, Hôtel de Brel'aStire fût portée devant lea aaaiaea. Mai* Lorient,
tsgne.
i
le tribunal de Qaimper, ae rangeant aux
Nlle
CEINTURE
PERFECTIONNÉE
concluaione de M* Baudet, défenaeur de M
G. Le Bail, ae déclarait compétent et remet' pour dépla emem de tous organes. Traité
«« la H Trie franco sur demande à
tait le débat an fond au 29 novembre.
M. GLASER, 44, Bi Sâbastopol, Paris.
M. Jadé interjetait auaaitôt appel, maia ae
déaiatait peu aprèa.
Déa lors, le débat au fond, n'ayant pu avoir
lieu le 29 novembre, comme il avait été
p o n r lee Vonetlena publiques
annoncé, venait lundi aeulement devant le
tribunal de Qaimper.
Ingénieur géomètre adjoint au aervice du
La légialation en vigueur ne noua permet plan de Paris. — Concoure ouvert à partir
paa de donner le compte rendu dea débata. du 15 avril 1929; délai d'inscription : 23
Notons aeulement que M* Baudet, du bar- mars 1929 ; &ge : 22 i 80 ana, plua services
reau de Rennea, dont on connaît la belle militaires ; traitement de début : 12.000 fr.
éloquence et la aolide argumentation, plai- plus indemnités. Aucun diplôme exigé.
HERNIE
M
EXAMENS
dait pour M. G. Le Bail.
M* de La* Caaea, de Paris, défendait M.
Jadé.
Le jugement a été mis en délibéré.
• •
A ces «flaires sa rattachent d'autrea procèa qui ae sont également déroulés, au
Palais:
Un procèa en justice de paix pour des
propos tenus, à Tréboul, durant la période
électorale. M. Jadé interjetait appel devant
le tribunal civil da jugement qui le eondam
nait à 600 francs de dommagee-intérèta.
Un procèa oivil, pour dea affichea aignéea
de M. Jadé et jugées diffamatoires par M.
G. Le Bail.
Noua ferons connaître à nos lecteurs les
jugements que le tribunal prononça» ultérieurement sur ees divers points.
L'iffairi
de»
w p t e i
t
On connaît l'assignation donnée par M.
Jadé à M. Le Hara, eaviaagé non en privé,
maia comme préaident da Comité de Secourt, pour ae faire communiquer tous lea
documenta, lea faire vérifier par expert et
arriver ainai à remettre en qaeation lea
comptes-rendus da lear geation par MM.
Cdthereau, Caoudal et Le Gallea, tréaoriera.
Après la mort de M. Le Hara, M. Ja*é
assigna M. Le Bail pour la même objet,
comme vice-préaidènt,
Oana l'intervalle, eût heu, il y a un mois,
la réunion où MM. Jadé et Simon firent le
diable à deux. Et, pour clore la bec à M.
J a d é , M. Cadoret, conseiller général,
prèaident de la réunion, et M. Le Baalard
lui dirent : « noas allons vous montrer le
dosaier pour faire taire votre verbiage et
vous exhiber les archives ; seulement vous
lea examinerez aoua le contréle et la sur
vaillance de deux membres du Comité qui
vous aaaiateront. »
A l'audience M. Le Bail prit dea conclu
aiona pour dire que, comme préaident, il
devait aasurer l'exécution des déciaiona du
Comité dana lea condiuona où ellea furent
prisée et M. Jadé accepta de vérifier le
doaaier avee l'aaaiatance de deux membres
du Comité.
Qu'on ne s'y trompe p u , M. Le Bail
n'eat au procèa que comme préaident, représentant lea membres du Comité.
li y a deux moia à peino la Cour de
Ronues disait de M. La Bail, dana le procès
correctionnel de l' Ouest-Eelair :
« Considérant que M. Le Bail dont la
probité et la droiture ne »ont pas discutéet, bien que membre de droit du
Comité, n'a jamaie fait partie du bureau,
m comme preeuient, nt comme treeorier,
et qu'il cet profondément
injuste de le
rendre retpontable de négligence» ou de
fautes prétendue» §ui auraient été commue» dan» une geetion A laquelle il ut
toujours demeuré étranger, n
Jugement à huitaine. Oa est presque
d'accord.
Nouvelles Régionales
u
ftraUiae
»
4e* « •lama d s
Après avoir renouvelé poar 1929 l u pouvoirs du Comité Central sortant, l'Assemblée générale dee B l e u de Bretagne
au 16 février a fixé aa eimanche 1" septembre prochain le Congrès da l'Association,
| a i doit M tanin dette année, dans la
Conducteur des travaux de Paris. -»
Date : 28 avril 1929 ; délai d'inacription :
28 mara; &ge : 20 à 30 ans, plus services militairea ; traitement de début : 10.600 fr. plua
indemnitéa. Aucun diplôme exigé.
Commia de 1'* claase des douanes et
régie de l'Indo-Chine. — Date : 2 juin 1929 ;
délai d'inacription : 3 avril ; âge : 20 à 30
ana, plua services civils an France ou à la
colonie ; traitement de début : 8.600 fr.
plua >.651 piaatres. Licence ou divere titres
exigéa. Concoure ouvert en France.
Vérificateur stagiaire à l'Office national
dea aaaurancea sociales. '— Date probable :
juin ou juillet 1929 ; âge : 21 à 30 ana; traitement de début : 10.000 fr. plua indemnitéa.
Brevet élémentaire ou l " partie du Baccalauréat exigé. Damea admises à concourir.
Rédacteur dea manufactures de l'Etat et
contrôleur-adjoint de culture du tabac. —
Date : juin 1929; délai d'inaeription : 6 mai;
âge: 18 à 80 ana; traitement de début:
10.000 fr. plua indemnitée. Baccalauréat
exigé.
INSPECTION DES SERVICES
D'HYGIENE
Le préfet du Finiatère porte à la connaissance du public qu'un aervice gratuit de
conaultationa pour maladiea spéciales de la
peau et des muqueuses vient d'être créé
dana le département.
Le médecin spécialiate, agréé par le
ministère de l'Hygiène, se tiendra à la déposition dea consultants, chaque semaine
aox jours et heures ci-après, dana lea centres
smvants :
La doctrine du parti eit essentiellement
républicaine. sociale et franchement laïque. Elle ne contient aucune parcelle de
»eetaritme qui puitte éloigner le» hésitante ou éveiller une méfiance.
Le programme d'action du parti n'ett
pa» un ramassis de formules
grandiloquente». Toute» le» question» »ont mûrie»
avant d'être expotée» en public, car la
mime ditçipline est observée sur touts
l'étendue du groupement qu'il s'agisse
du Comité exécutif des Fédérations départementale» ou des Comité» locaux.
Que le» sympathisants
de Quimper et
des communes environnantes
jeunes et
vieux, viennent donc à nous, en se faisant présenter par deux membres du
comité qui leur serviront de parrains!
Ils seront les bienvenus et ne s'en repen
tiront pas I
Qu'ils se communiquent
le Citoyen ;
qu'ils fassent des abonnés
en qrand
nombre, à cet organe républicain I
Descendants de* aieux d». 1789\ l'heur»
a sonné I... Il faut, dtsorm iin, veiller
plus que jamais au *alut de la Ripu
blique, de la vraie R publ que I
Le B <onel Phrygien.
L " lundi, A Dor n i n e z à 9 h. 30. à
l'hôpital • 1.« mardi h C acarneau, à 9 h 80,
poste de spooprn (V I e close) ; le mercredi. i Andierne, i 9 h 30 i la mairie ; le
Conseil Municipal. — Le Co^e-il muà Pont-l'Alibi, à 9 h 30 à l'hospice ; nicipal se réunira ce soir j^udi 7 'nars è
le v»ndredi, & Qmmper. de 17 à 19 heures, 20 h. 15, poar sa session ordinaire de février.
à la maiaon de siinté départementale (asile
Remise d e la Croix de la Lésion
S»int-A'hannue) ; ie samedi, à Quimperlé,
d
'
h
o n n e u r . — L«s agenta du Trésor de
à 9 h 30, à l'hôpital.
ITINÉRAIRE du CONSEIL de REVISION
Voici l'itinéraire du Conaeil de Revision
poar les jeunea gêna de la classe 1929 (nés
du 1" janvier ae 30 juin 1909), et lea ajour
née dea claases 1927 et 1928 :
8 avril : 9 heurea, Qaimper (étrangers au
département). 18 h. 30, Qnimper ; 4 avril :
9 heures, Briec, 15 heures, Fouesnant
1 avril : 9 h. 30, Rosporden ; 14 heures,
Concarneau ; 6 avril, 13 h. 80, Douar
nanez ; 8 avril, U henres, Pont-Cioix
9 avril, 13 h. 80. Plogastel-Saint-Germain ;
10 avril, 13 h. 30, Pont-l'Abbê ; 11 avril
9 heures, Scaër, 14 heurea, Bannalec
12 avril, 14 heurea, Pont-Aven ; 13 avril :
8 heures, Quimperlé, 11 heurea, Arzano ;
15 avril, U heurea, Quimper (demandes
de sursis) ; 16 avril : 10 heures. Le Faou,
18 h. 30, Châteaulin ; 17 avril : 8 heurea,
Pleyben, 13 h. 30, Châteauneuf-du-Faou ;
18 avril : 8 heures. Carhaix, 14 h. 30 Hnelgoat ; 19 avril : 8 h. 30 Breat (3*), 11 h. 30,
Oueasant, 14 heures, Brest (1") ; 20 avril,
8 heures, Brest (2*) ; 22 avril, 14 heures,
Crozon ; 28 avril : 8 h. 30. Saint Renan,
14 h 30 Ploudalm^zeau ; 24 avril : 9 henres,
Lannilis, 14 heures. Lesneven ; 25 avril :
8 hepres, Daoulas. lé heures, Lsnderneau;
26 avril : 8 h. 30 Plabennec, 14 h. 80, Ploudiry ; 29avril: 8heurea. Saint-Pol-de-Léon,
13 h. 30, Morlaix ; 30 avril, 8 h. 80, Ploaigneau, 14 heures, Lanmeur ; 1" Mai
9 heurea. Saint-Thégonnec (la reviaion ae
fera à Pleyber-Christ), 14 h. 30, Sizun
2 mai : 9 heurea, Taulé, 14 heurea, Landiviaiau ; 3 mai : 8 h. 30, Plouzévédé. lé h. 30,
Ploueacat ; 5 juillet, 14 h. 30, Quimper
(séance de clôture) ; 1** octobre, 11 heures.
Quimper (examen dee demandea de eursia).
•MMB3BES
l'arrondissement de Qaimper, réunis le
3 mars à l'Hôtel-de France, célébraient la
décoration de leur chef, M. Mathivat, receveur dea financée, nommé chevalier de la
Légion d'honneur. Le banqaet, préaidé
par M. Lesnée, trésorier-payeur général,
réuniasait aoixante convives parmi lesquels de nombreuses damas.
Dana une courte allocution le délégué du
peraonnel aut exprimer les sentiments af
fectueux dea subordonnés pour le chef bien
veillant qui allait lea quitter. Le Trésorier
général en un diacoura éloquent et élogieux
dit tout le bien que lui-même et l'adminis
tration supérieure pensaient du collaborateur compétent et dévoué dont il regrettait
de ae aéparer.
M. Mathivat, trèa ému dea élogea du chef
et dea démenatrationa touchantes dea aubor
donnés, remercia l'un et assura lea autrea
du bon aenvenir qu'il conaerverait de aon
séjour à Quimper, du zèle de aon peraonnel et de l'inoubliable journée du 8 mars.
La plua grande gaieté régna durant tout
le repaa délicieusement servi par un maître
d'hôtel qui ae aurpassa ; monologuas et
chanrona terminèrent cette fête tout intime
et révélèrent dea talenta insoupçonnés.
Soolété d ' H o r t i c u l t u r e . — La réunion
de la Société d'horticulture aura lieu dimanche 10 mara, à 10 heurea, à l'école dea
apprentie (entrée par la cour du Gymnase).
Ordre du jour : 1« Lecture du procésverbal de la dernière aéance ; 2* causerie
du Secrétaire : aasolement d'un jardin familial, production intenaive dea légumea ;
3* divere, expoeition générale d'octobre ;
4° adhéaion de nouveaux membrea.
Aaeoolatlon amleale d e s Méridionaux. — Aa cours de sa dernière aaaemblée
générale, la u Cigalo », aaaociation amicale
dea Méridionaux, habitat! le Sad-Fimstère,
a procédé i l'élection de aon bureau, qni
se trouve ainai conatilué, pour l'année 1929 :
Piéaidenta honoraires : général Dizot,
M. Loubatié ; préaident : docteur Lagriffa ;
vice-présidente : MM. Delmss et Gardere ;
tréeorier ; M. Boutin ; Secrétaire : M.
Theillou ; commiaaairea ; MM. docteur
Tuaet, Brousse, Damestre, Dalle, Merle.
L'assemblée a décidé d'organiaer, comme
chaque année, la réunion habituelle de la
Mi-Carême. Cette fête aura lieu le dimanche
10 mar% dana la grande aalle de l'Hôtel-deFrance. Elle aera précédée d'an banqaet
de fam:lle, qai sera servi à midi.
FÉDÉRATION NATIONALE
DES
SYNDICATS DE FONCTIONNAIRES
La aection départementale dea fonctionnairea du Finiatère présente aux auffragea
dea fonctionnairea dea Adminiatratioua financières du département, comme déléguée
du peraonnel appelés à siéger au aein de la
Commiaaion de réforme, instituée, en con
Attaché de Chancellerie. — Date : 1» juil
formité
des dispositions de l'article 20 de la
let 1929 ; délai d'inacription : 1 " au 80 avril
1929; âge: 22 à 80 ana, ou 31 ana, pour lea loi du 14 avril 1924, lea quatre candidate
candidate ayant été mobiliaéa. Traitement suivanta :
Péron, commis du Trésor, chef de service,
de début : 9.000 fr. plua indemnitéa. Baccalauréat ou diplôme équivalent exigé.
Brest;
Berroche, lieutenant des douanes, QaimInapecteur départemental du travail. —
Date : 24 juin 1929 ; délai d'inacription : 1" p e r ;
A la« Lyre Q u i m p é r o l s e » _ MM. les
Herflonvarch,l*r cc r.mi< dos hypothèques, Membres de U. u Ly-e » (nureau et moai
avril 1929 ; âge : 26 à 35 ans, plus a »rvî«. >
de guerre ; traitement de début: 14 000 fr. Br «i ;
ciena) sont priés d'aatiater t la répétition
plue indemnitéa. Licence ou diveis u>r*->
S >.jiUic, douane*
entaires, Breat. ' genérule, aamedi prochain 9 mars. Cetu
exigés.
Chmarade.a f;>n -tionnairus, vous ferez bloc
communication tient lieu de convocation.
Lee personnes qui désirent des rensei- »m l«-s noms ries quatre candidats présentés
gnements sur l'un dea emploie ou concour- par noue organitmtion.
Concert. — La masiqae régimnntaire
ci-dessus ou sur un examen quelconque
Voas leur donnerez une forte majorité donnera un concert dimanche prochain 10
peuvent a'adreaaer de notre part à M. Houpour défendre avec autorité vos droits au mars, de 15 à 16 heures, sur le k o»qae
deville, directeur-gérant de l'Orientation
du Champ-de-BataïUe (sous les haliea en
Profeaaionnelle, 108, rue Erlanger, Paria sein de la Commission.
Le »ecrétaire départemental, Hnguen. cas 4e plaie).
(16*), qui leur répondra à titre abaolnment
E'i voici le programme :
gracieux.
Joindre un timbre de 0 fr. 60 et ne pas
NOTARIAT
Auprèsdemablonde,défilé. J.-B. Bonslet.
oublier de mentionner : en qualité de lecL'examen dea candidate au grade de Syljihine, ouverture symph. Farigoul.
teur du « Citoyen » à Quimper.
premier clerc aura lieu à Qaimper, au La t; Mandal'Odet », marche
aiège de la Chambre dea Notairea, 6, rue
a.moricaine (1" audition). Aug. Demeule.
Toul-al-La8r, le jeudi 14 mara 1929, à 9 h. Thtmara, sélect, sur l'opéra
du matin.
le Bonrgault-Dacoadray.
Farigoul.
Lea candidata de la circonacription judi- Iina, défilé
ciaire devront déposer leur demande avec
Tournées Oh. • a r a l . — Pour lear proM i t i l B t l M M u m » i l f i i i s U r t lea pièces à l'appui, à M1 Jaouen, notaire à
ihain spectacle du cycle, ellea noua annotaQuimper, aesrétaire de la Chambre dea
ient Le Goût du Vice, le grand auccèa de
Le Clergé, que l'évêque a mia aux ordrea notairea, le 11 mara 1929 au plua tard.
la Comédie-Françaiae, l'étincelante comédu clérical Office central de Landerneau,
die de M. Henri Lavedan, de l'Académie
a'occupe plua du trafic dea graina, semences
LES FOlRbS DE LA SEMAINE
Française.
et engraia, que dea prières et du catéchiame.
Son titre orànement tapageur cache une
Lundi 11 mare. — Landerneau, LanEn ce moment lea vicaires et leurs apôtraa
dudec.
œuvre probe et aaine que la critique a été
font une active propagande en faveur des
Mardi 12. - Plabennec, Châteaulin, La-] unanime à aaluer comme un merveilleux
« Assurances sociales ».
exemplaire de notre meilleare comédie traFenillée,
Plougonven, Scaêr,
Le parti noir lea a combattuea avant le
ditionnelle : Caetisat ridende mores.
Mercredi
13.
—
Carhaix,
Landivisiau,
vote de la loi ; mais maintenant, il veut lea
Jouée par une troupe d'élite, la pièce de
Plonéour-Lanvern.
monopoliser à son profit.
M. Henri Lavedan soulève l'admiration de
Jeudi
14.
—
Hanvec,
Gnipavas,
Pleyber
Paysans, ouvriers, ne vous laiasrz paa
tous.
passer un nouveau carcan. « La Famille Christ, Me élan.
Cette pièce sera donnée au Théâtre muVendredi
25.
—
Morlaix.
bretonne », comme tontea lea œuvres clérinicipal, le aamedi 1* mars.
Samerft
16.
—
Landerneau,
Qaimper,
cales, n'est qu'une csavre intéressée qui
permettra, elle auaai, aux curéa et à leura
Etat-clvlt du 2 T f é v r i e r a u 6 m a r a
amia de Landerneau, de faire de la politique
1 S 2 S . — Naissance» : Mary O'Rorke, checléricale avec l'argent dea gogos.
min de l'hippodiome, 5 ; Maurice Yaouanck,
Ouvriers et paysans, ne marchez paal Lea
rue de Brest, 81 ; Denise Le Berre, rue des
loupa ne doivent plua garder lea moutons.
Douves, 16. ; Thérèse Pelliet, rue d» l'HosAsaurez-voua contre la maladie et le chôQ C I M P E R
i pice; Claude Subert, impasse René-Madec;
mage, maia ne donnez votre adhésion qu'a
Avis. — Nou» prion» le» pertonne» çui Alain Le Meur, rue Jean-Jaurès, 7 ; Moniceux qui travaillent dana un but désinté- ont dee communiqué» à intérer dan» le que Bouguennec, rue Jtean-Jaarès, 76.
ressé.
Citoyen de vouloir bien lee remettre dirieDécès. ; Albert Mapon, professeur d* lyAdhérez à une oeuvre laïque d'assurances tentent et no» bureaux, 21, rue du Salé, céje en retraite, 66 ana, célibataire, rue ¿m
dam la journée du mardi de chaque Parc, 14; Françoia Chapalaia, 25 ans, céli
sociales. 11 y en a deux dana le Finiatère :
1* La Caiaae « Le Travail », créée par eemaine.
batatre, rue de t'Hoapice; Guillaume Corme,
l'Union dea Syndicale confédérés du Finisjournalier, 8Q ana, époux Plnuven, rue de
Aux
«ympatllsaits
tère (Maiaon du Peuple, Breat).
i'Hospive ; Anne Péreunès, 74 ans, céliba2* La Caiaae nationale ayndicale de soliLe Comité républicain, radical et ridt- taire, rue de l'Hospice ; François Le Goff,
darité ouvrière, créée par lea Syndicale cal eocialiete de Quimper et dee envtnne, cordonnier. 47 ans, époux Bernard, rue Si*
Unitaires (Maison du Peuple, Bres>),
affilie à la rue de Valoi» voit t'accroUre, Mathieu, 12 ; Anne Ji&ouen, commerçante*
Adhérez à l'une on à l'autre. Joutas d m chaque année, le nombre de eu
memlru. 29 ans* épouse Kaeutort, place da Looroaao«
NOUVELLES D f i P À R T B M E S
Nouvelles Locales
1 bis; Alice Guénolé, 12 ana, rae de l'HosLa famille Cornic-Queléver eat trée honopice ; Marie Tanguy 66 ana veuve Richard, rablement connue, non eeulement à Kerrue Brizeox. 1 ; Lucienne Picard, 2 mois, feunteun, eon paya natal, et à Qaimper,
rue da l'Hospice ; Marie Floc'hlay, ména- maia dana toate la région.
gère, 79 sas. veuve Le Goff. rue du Pichéry,
En cette douloureuse circonstance noua
85 ; Joseph Le Corre, pâtissier, 22 ana, adreaaona & M. Comic, ainai qu'à aa famille,
celibataire, rue de. l'Hospice; Pi«rre Di- noa bien eineèree condoléances.
verrès, 6 joura, rue de l'Hoapice; Marie Le
Quéau, ménagère, 49 ana, veave Hénafi,
Erftié-Qtbérlc
rue de l'Hospice.
La q u e s t i o n du « U n g a l a . — La eemaine dernière e'eet réunie, àia préfecture,
la Commiaaion départementale, en vue
d'examiner uue dernière foia la queetion du
barrage du Stangala.
MODES
M. Mage, préfet, assistait à la réunion,
S, r a e dta F r o n t - QUIMPER
qui fut préaidée par M. Victor Le Guern.
prévient sa nombreuse clientèle qu'elle
A l'unanimité, un avia défavorable aa
revient de Paris avee les t o a t e e d e r - projet de barrage a été émia par la Comnières Neufeastés.
mission départementale.
La Commiaaion d'enquête a'est égaleMODÈ ES TRÈS CHICS -:RAYON SPECIAL POUR ENFANTS ment réunie eeua la préaidence de M.
Vincent, pour e'enteadre et prendre les
— P r i x m o d é r é e —
dernières décisions en vue de la rédaction
du rapport.
Cette Commiaaion a repoussé aussi la
qaeation du barrage du Stangala.
M"E CHARLES RONEL
AVIS IMPORTANT
L-* Q-and* Magasins a Aux C u l e r l c a L s f s y e t t e » de Paris, ont l'hoo
oeur d n torene? lear clientèle qu'ils
viennent de coofi-r la
d'•Mir Maiaon à M.
BARTHELEMY
ch'miserie, 25, rue Ktrton, à Quimper
qni «era pourvu dea plua récents catalogues de la saison.
Toute commande sera immédiatement
transmise à Paris et exécutée dans le
plus bref délai possible. Les colia seront
livrés an domicile dea clientes le jour
môme de leur arrivée et aans aucun frais
supplémentaire, pour tonte commande
a'élevant à la somme de 50 francs.
foutinanf
Comité de Défanaa laïque — Dana aon
numéro du 23 février,le Courrier du Finistère insè>e une protestation de son correspondant de Fouesnant, indigné qu'une réunion
de défenee laïque eu» lieu à la Mairie.
En raiaon même de la qualité de cet
article, noua n'aviona paa jugé utile d'y
répendre dèa la aemaine dernière. Noua
estimions en effet qu'il n'était nul beeoin
de commentairea pour en démontrer la
parfaite atepidité. S« lecture aaffit lit
Mais tout de mémo, il n'eat paa dans os
habitudes de recevoir des coeps —n* y
répondre I
L'auteur de l'article ea queetion prétend—
sana rire I — que le Comité de Défense
laïque du Finistère eat au parti politique III
Bt sa sainte naïveté lui fait écrire quelques
lignas plus loin, en désignant lee orateurs:
L'ANNIVERSAIRE
« Les citoyens Nardon, maire aocialiate de
Lundi 10 heure», place « aux Bitte », à
Breat, et Drapier, inetituteur communiste ».
Quimper. Marianna, dite la « Lopez »,
Le distingué correspondant du Bobard
femme de Ziderik, chauffeur d'auto en
du Finistère pourrait-il nous citer le nom
ville, revient de la corvée d'eau quand
de ce parti politique dont lea propagaadiaelle te trouve face à face avec Jacquetta
tea aeraient i'un Socialiste et l'autre ComLuzéoc'h
qu'on a coutume
d'appeler
muniste f f f
« m'at-tu-vue » du fait de l'élégance de
Bt il noue livre sa peine de payer dee
ton cottume de Scaër.
impôts pour entretenir un édifi :e communal
Jacquetta ett eurieuee et ne peut rétitter
dont il eat fait ai mauvais usage I
au betoin d'interroger,
car hier, diMaia l'Eglise est également bâtiment
manche, elle a vu la « Lopez », mite tur
ion trente-et-un et donnant le bra» à communal dont l'entretien n'eat paa aaauré
Zidorik pour »e diriger ver» le centre de exclusivement par lee cléricaux du paya I
A ce propoa, noua pourriona même faire
Quimper.
remarquer que la récente reatauration de
— Qu'e»t-ce qu'y avait hier donc, Mal'Egliae a été obtenue grâce à dea interrianna, que tout étiez ti bien « torchée » ventions laïques III
et que vout donniez le brat à Zidorik t
Les laïcs auaai payent dea impôta 1 Et ils
A votre dge, « ma Doué » I... et aprit
ne e'indignent paa de voir leura doniera
teize an» de ménddge I....
employée à l'entretien d'un bâtiment comLa « Lopez » redrette le toreeet répond munal dont le culte aeul en tire profit I
fièrement :
Pour tenir la balance égale, termine ingé— C'était hier la « nivertéaire » que
nument notre mécontent, la Mairie aera
Z dorik est revenu de u retouar n à la sans doute mise à U disposition du Comité
u m'.son » quand que son brat il ett reeté d'Action Catholique qui organisera ana
« reudde » à rapport qu'il avait reçu det réunion à Foueenant ?
« morçont cdn non » dedant ton ot 1....
D'abord, la balance ne serait plus égale !
c Aloars ». hier à midi on a mangé un
Si le Comité de Défenee laïque du Finiatère
gros poulet qu'on a eu avec sa « tdn-ne »
n'eat affilié à aucun parti politique, le
de « Loge Gaor » de Coatloch ; après
Comité d'Action Catholique, par contre,
« aloars » on a « envoïsllé » les enfants
repréaente un parti politique : Le parti
jouer aupatrondge et noue « tommet été »
clérical!... Et la Mairie — c'eat le vertueux
« bdlâder » « tout pareil » comme det
correepondant du Courrier lui-même qui
jeunet « maiét a. Oh l g a fêtait » beau I..
le dit — eet la maiaon commune qui ne doit
On a acheté det « limât » au « Bout-dupaa être prêtée pour dee réanions politiques
Pont » et € pu » à six « heuares n voilà
puisqu'on doit y respecter lee opinions da
que Zidorik qui me dit comme çà :
tous I
—• Gast t Marianna, et ti qu'on allait
Et puis 1 Uoe réunion d'Action Catholi« boare » un bon « véarre » au « Café
que à la Mairie t Ah I laissez-nous rire I
Bretagne » t... Comme çà on va « voir »
Les gene du Courrier du Finittère ignola « métiqut n des « éristos » 1... Tu vient
rent donc qu'il exiete à U Mairie de Fouespat T...
nant un baate de la République, encadré
— Tanfoil ! que je lui dit, la même de drapeanx tricolorea f
chose / Y vont pas noue mett' « dehoars
Et le spectacle d'un orateur dérieal, péroparment » Zidonk T
rant dana ce décor « républicain n aoua le
— Non mais qui dit Zidorik, les « mu- regard narquoia de Marianne, aérait certes
tinés n de la* guéarre » y doivent d'être des plus réjonissanta I
« apeettet » peurtout av^nt let embutqu * I
La nouvelle éoole d e M o u e t a r l l n . —
— Et u pis aloars » nout tommet allét La Commission municipale de surveillance
aed'in» à irdoers tous le* grandes mondes a ptocédé, à la date du 27 fevrier dernier, à
ei Zidorik est Allé se « mett' decont n une la réception provisoire de l'Ecole de Mousjeune fille qu avait det « e hoeux » à terlin, aujourd'hui complètement terminée.
« judrer » que c'était la <( stouppe » et
Disons tout de coite que cette Commission,
qu on pouvait pas voir sa « flguare » tant comptant parmi aea membrea M. le Conseilqu'elle avait « pemtuare »la « pouderie » ler général du canton et M. le Maire de
m dessuar » /... Vous « pearlez » st qu on Fouesnant, a été agréablement impression*
a rigôlé avec Zidorik /,.. Cette fille-là née, tant par le bel aapect de l'ensemble,
avait sa bouche « pus » rouge qu'un vieux que par la parfaite exécution de ce groupe
jupon < mod'couz » de « bigoudenne » 1.... acolaire.
Zidorik m'a dit comme çà que les femmes
Deox vastes préaux offrent an abri sôr
vont « chéarcher » cet « peintuaret-ld » contre le régime habituel dee platee et dee
chez les u coiffeurs » I,..
venta oeéaniquea sot Oint da sud et de
— Et vous avei bu quelque chose de l'oaeat.
bon, ator», Marianna t questionne JacLee cluses s'eavrent d'un cèté sur la
quetta.
cour, de l'autre aur le jardin, par dee fené— Je sait « put » comment qu'on dit çà.. très et des baiea vitrées ai largee que la
C'était une machine jaune dedant un lumière et la clarté cruee dee campagnes y
grand « véarre ». Zidorik a mit l'eau « en jaillissent de toutee leurs forces.
d'dant » et c'ett venu a véart ». C'était bon,
Le logement dee maltree eet vraiment
« nom-dé-dié » I.. maie « eeument » ti remarquable avec eea appartements spajamait que j'aurai» bu deux comme cà, cieux et aon eau courante anx étages comme
« tudr » que je u serais t-allé « badaouet- au rei-de-chsussée.
mad » « tuartout » qu'on avait mangé et
Comme dana toutes constructions nouvel« lichi » comme deux « penyoe'h » à midi I.. les, vraiment modernee et dignee de ee nom.
Eh ben t je regrette * à rien », Jacquetta, l'idée maltreaae, tant dana la conception
vout « sdvez » 1 La u méeique » était que dana l'exécution de l'eneemble, a'est
« jôli », a jôh » que vous u aurez » cru que constamment inspirée des plue p u a prinvous « étez » dans le « Parâdit » I... Et cipes d'hygiène.
Moncheu Bourhit /... Gast l pat « fiéar
De l'eau... Encore de l'eau... Toujoart
por un liard » 1 II ett venu demander det de l'eau...
nouvellet « avec nous» et eerrer la main!..
Elle coule dans tous les appartements |
Quel bon « guéarçon » I... et mime qu'aprèt dans lea lavabos par dix robineie ; elle
il a payé autti un bon « pitit véarre ».
jaillit encore dana les cabineta d'aiaance.
— Ché, ma pov'fille, c'ett vout qui a eu Il aemble qu'elle fat amenée là avec tant da
la chance et u du goût » pour la « niver- profuaion pour protester plus sûrement
téaire ». Ah ! bientôt c'ett celui de contre une affirmation perfide d'un de nos
mon homme autti...
allez!...
plus grands poètes nationaux, d'il y a cin»
Pipiehik.
quante ans, qui osa écrire que : « Le Breton
ne ae aervait jamaia de l'eau que ponr
boire. »
Kcrfcunttui)
Gageona que noa gàillards de Mousterlin
Obsèques. — Le 1" mara, à é heurea du boivent bien mieux le cidre: celui si magni*
soir, ont eu Ueu les obaèquee de Mme Cor- fiquement chanté par Frédéric Le Goyader.
Quoi qu'il en eoit, ce nouveaa poste
me, née Marie-Anne Quelèver, âgée de
53 ana, de la rae de Breat, en Kerfeunteun, destiné à recevoir un maître et une maienlevée à sa famille apiôa uue douloureuse treeee d'école, peut-être aprèa les vacances
de Pâques, en tout cas, si ax p l u tard,
PROPOS D'UN VIEUX QUIMPEBOIS
LB
à U rentrée ¿'octobre mi« avidement
convoité.
Joignes à cela la proiimité 4« la mer ; la
pointe I I Moaaterlin i t m aoa grand plates*
r o o h m ; 1M atatioas balnéaires «t toariitiqnea voisines
BcrMeil at Bénodet...
Braf, la réeidence rêvée pour «a maître
aimant la mar at la pèche.
La commission de réeeption de* travaux
a tant, avant da «a séparer, à remercier et
à féliciter chaleareuement toaa ceux qai
ont apporté laar collaboration à la réalisation da oe bel établissement at, particalière»
ment, M. Le Laj, ingéniear do aervice
vioinal, aatear dea plana, archiieate-voyer
et directeur dea travaux, et M. Le Bris,
entrepreneur, qui an a aaanré la réaliaation
dana lea conditiona laaplna dignea d'élogea.
Pouirnanat
Noyé. — La semaine dernière, au cours
d'une tempête, le dunHee « Petit- Florent »
du port dea Sablea d'Olonne, a chaviré à
l'entrée du port.
Le patron et deuxhommea i* l'éqoipag».
dont notre compatriote Jean H «set S , 32
ana, de la rue Roameur, ont péri.
Noaa adressons i la famille de M. Hascoét
nos bien sincères condoléances.
Plonéour-Lanvarn
Csncarnaau
Un naufraga. — Troit noyit — La
aamaina dentière plusieurs dragueura de
notre port gagnaient 'lea lieux de pèche,
lorsqaa, surpris par an groa coup de vent
do aad, las bateaux fuiant mia an mauvaise
poeitioa.
Grâce â l'énergie dea éqaipagea, ils
réussirent, aoa aana peine, à se tirer do
celte péritieaao situation. Seal, la SaintJouph ae pat réaaair ; il ehaasa sar son
ancra et se trouva rapidement drossé sur
' les récifs de Pen-ar-Man (Penfret), ot il na
tarda paa à couler. Cependant, lea naufrages
tentaient do gagner la torre. Cinq réussirent
à atterrir at l'on devine quelle fut leur douleur oa constatant qae troia dea laura étaient
abaenta.
Toioi lea noma dea victimes ainsi que
leur sitaatioa do familla :
Joaeph Le Romx, putron, 36 ans, marié,
deux enfanta en bas lige.
Francoia Salomon, matelot. SS ans, msrié,
sept enfanta, dont quatre en bas âge.
Gaillaaate Toqaet, 41 ans, marié, sana
enfaat.
Bwac-Caaq
•tat-olvll. — Naia tance» : Roger Morvan, quartier de la Glacière ; Alphonse
Le Bris, rue de l'Abattoir ; Lucienne Marree, à Kerlaure ; Marie Caradec, â Lanadan ; Lucienne Premier, avenue de la Gara ;
Yvonne Lo Dréau, Moulin da Nèxsrd ;
Louis Rannou, à Ksrlouédsc ; Jacques
Hervé, avaaae Thiere ; Annie Bocheresu,
avenue do la Gare ; Marie Bertholom, à
Kérempennoa.
Mariage : Pierre Le Goanvic et Sozsnne
Duqaoc.
Dèeèt : Yves Le Car» 5 mois, à Kersimobou ; Anna Quintia, 16 ans, fntuuteeéhbataire, avena« Thiora ; Catherine Le
Car, 16 ans, saltivatrice. célibataire, à Kersimonoa t Amélie La Fiivre, 72 ans, épouse
de Onéaima Vaillant, quai Carnot.
CUIMPERLÉ
La RNi-Oarémo. — Dimanche prochain
10 main, à l'occasion de la Mi-Caiéme,
l'association amicale dea anciennes élèves
de l'E. P. S. de Qaimporlé organise, an
profit do la colonie d* vasanees du Dispensaire antituberculeux, un bal travesti pour
enfanta. Celte fèto nera donnée dana la
grande aalle do l'écolie maternelle.
D'autre part, le mémo jour, il sera donné,
sous les halles St-Michel, un grand bal
paré et masqaé. Ce bai «at donné par l'U
S. Q.
Baiwalac
Offloler da l'I. P . — Nona sommes
heureux d« féliciter M. Tanguy, Président
delà Délégation cantonale da canton de
Bannaleo, pour sa nouvelle promotion com
me officiai de l'inatracUon publique.
Nal mieux qaa M. Tanguy no méritait
catto distinction pour son dévoaament â
l'école lalqao et à toutes lea convies
rattachant a l'enseignement,
Sca<r
Grande Péta. — C'est < lira an che prochain 10 mare, a 19 h. 80, qua se dèrouUra,
dans Isa ruea de la jolie villa de Scaér, la
grande oavaloade de la Mi-C; irème ; ce sera
pour la oinqaièmo foia qui* la foule se
pressera pour voir le défilé d,ea chars.
Pour la première foia 4 y aura la Reine
de ta Mi-Csiéme aveo sus demoiselles
«'Hoanaai axnai qaa l'harmonie louais.
•f?
L'on parle déjà d'aae vingtaine de chars
au
at d'an groupa de chantenaea et chanteurs Républicains t Abommmx-voum
aassi nombrsax.
C i t o y e n
De tous côtés l'on u donna rendez-vons J o u r n a l l e
pour voir cette cavalcade qni sera plus •t Mima
mbommér
vom
mmlrn.
belle que les précédentés ; après le délié
• auronaement de la Raiae ; Concert sur la
place de la Mairie ; Bal à grand orchestre
Çarkalx
$
salle Jos et Olémarec.
Itat-Olvll da févrlar. - Naittaneet i
Jaan Le Toaz, place des Droits de l'Homme;;
La Llbrairla laïque du « Citoyen » Pierre Rompe, rue du Général Lambert ;
Emile Craa, rue du Château d'Eaa {Edouard
llvrt trit rapidemtnt touttt Itt four•
Rivoal,
rue de l'Eglise ; Jean Le Puil,rue
niturtt teolairet «t it burtaux, ainsi
Jean
Jaurès.
qut tout Itt litrtt
elattiqutt
tt it
Mariaget : Pierre Guervena, employé de
biblioihèqut.
chemina de fer â Carhaix, «t Maria Le
Tannou, employée de commerce â Carhaix;
René Nédélec, électricien â Carhaix, et
Jeanne Quillévéré, domiciliée â Carhaix.
Dieit : Louis Véguer, 69ans, â l'hospice ;
Daux malaona démolles par un ébou
lement. — La semaine dernière un bruit Marie Lohéac. 90 ans, â l'hospice ; Maria
sembisble A an grand coup de tonnerre Le Goil. 22 ans, rue des Carmes ; Hervé
mettait tout an quartier en émoi.
Péron, 83 ans, au petit Carhaix; Jaan Allain,
OQ crut a un moment à un tremblement 75 ans, rue Caznguel.
Bureau do Blenfalaanoa. — Les jeunes
de terre, maia c'étaient d'énormea blocs de
rochers qui se détachaient de la montagne gens de la classe 1929, organisateura des
dite du Château aurplombant la rue Notre- fêtes dss Grss, ont remis une somme de
Dame, et venaient écraser 2 maisons heu- cinqaante francs pour le bureau de bienfaireusement désertes à ce moment.
sance.
Uae souscription est ouverte à la Mairie
Crozon-fllorfat
pour venir en aide aux cinq famillea ou
Inauguration d'una éoola maternelle
vriôres qui ont perdu presque tout leur
à Morgat. — Dimanche a eu lieu l'inaumobilier.
guration d'une école maternelle â Morgat.
Etat olvll do février. Naittaneet:
Lea invités sont reças par M. Cariou,
Oannelle A van, rue NolreD«me ; Therô»e maire de Crozon.
Darcillon, Prat-Geivarch ; Gabrielle Ban
Après la visite du nouvel établissement,
«uion, à Qaôlannec.
construit selon les plans les plus modernes,
Publication de mariag» : Jean Le Pape, un excellent banquet est servi â l'hôtel
ingénieur à Saresnes, et Marthe Arzur, Hervé.
institutrice publique à Chtteaalin
Aux côtés de M. Cariou, maire, qui préDieét : Geneviève Fortin, 3 mois, place sidsit, on remarquait la présence de M.
du Marché ; Marie Léostic, ménagère, 62 Danban, sous-préfet de Cbâteaulin ; Prévôt,
ans, veuve Bourlès, rue Graveian ; Thérèie inspecteur d'académie ; Dégé, inspseteur
Darcillon, 15 jours. Prat-Guivarch ; Marie primsire; Mme Le Goff, directrice d'école
Crenn, célibataire. 27 ans, Prat-Guivarch ; à Crozon ; Mme Baron, directrice d'éeole â
Marie Guiganton, ménagère, 65 ans, époux Saint-Hernoi ; MM. Goalèa, conseiller d'arCollin, Grand'Rue ; Armande Talec, com rondissement ; Le Borgne, directeur d'éeole
merçante, 49 ans, célibataire, rue Notre â Crozon ; Donnart, ancien direstsur d'éDame ; Jeanne Filament, 82 ans, venve cole ; Freyssinet, architecte ; Poumeyrol,
Moulin, rue Fontaine de la Vierge ; Goil receveur des Postes ; le docteur Jarnault ;
laurne Le Faou, 77 ans, veuf Cévaôr, rue Grosdoit, chef de gare ; Hors, lisutansnt
des dousnes ; Ansel, entrepreneur ; Bertho,
des Ecoles.
chef de brigade de gendarmerie ; Kérinec,
Locronan
Stéphan, Moulin, adjointe au maire ; et
M Dtnlélou ast réélu malra. — Le plusieurs conseillers municipaux.
Conseil municipal de Locronan, réuni le
Au dessert des discours très applaudis
2 mars poar procéder à l'élection de son furent prononcés par M. Cariou, maire ;
maire, par suite des récentes élections, a Prévôt, inspecteur d'académie, et Dauban,
réélu à l'unanimité M.Daniélou comme sous-préfet.
maire et M. Guillaume Hémon comme adjoint
FAITES
LIRE
LE
Tout aussitôt, le Conseil a tenu sa seuion
de février.
CHATEAOLIN
Gonasnacli
Itat-olvll da Janvier a t février 1 9 2 » .
— Naittaneet. — Simone S«snec, bourg ;
Lonia Ranaoa, Leaqaidic ; Francine Floch,
Goré.
Dieit. — Pierre Clément. 14 ana, Terreau-Doc ; Pierre Le Mear. 06 aaa. Pouldiguy;
Madeleine Louaaaut, 81 ana, bourg.
Inauguration tfe la nouvalla Mairie
— Ainsi que nous l'avona annoncé, dimanche a eu lien l'inauguration de la non
velia mairie de Plonéour-Lanvern.
A onxe heurea a eu lieu la visite inaugu
raie. L'édiiae est joli, bien distribué, et
très agréable à l'oeil.
Bénédiction, vin d'honnenr. La musique
joua lea meilleurs morceaux de son répertoire. Toaa nos complimenta.
M. Le Pape, lieutenant, fait manœuvrer
aea sapeurs-pompiers, qai ont une excel
lenta tenne.
A midi, a lieu, aalle Le Reun, un ban
quet bien serri.
Aa dessert, successivement, MM.le Maire,
Qaélnnec et Le Bail prennent la parole.
Paia la journée se continue en réjouis
aances do toutes sortes.
Bravo, Plonéour I La population de cette
belle commune s'entend à bien faire les
choaaa.
GITOTI*
journal l e
lannédarn
P a t r u a Journaliste I — Eh oui, tout
arriva : Petrus le flicophebe étend son rayon
d'action et commenee à pondre. Plua tard
il couvera.
Evidemment, poar commencer, sapondai
son manque un peu de consistance et les
lecteurs du « Courrier » n'ont pas très
bisn compris I...
Ils ont cependsnt vu que leur héros — ou
plutél le nôtre — ne veut pts de routes
Té parbleu » moins il y eu aura et moins
facilement ils pourront circuler l..„
Tout de môme, Petrus est un peu injuste
•avers ces braves défenaeurs de l'ordre I...
Ainsi, il ne peut môme pas voir aur un mot
un intempeatif accent circonflexe aana qaa
ce signe lui rsppelle le légendaire tricorne
de Pandore. El cela met Petrua dana des
étata... je ne vous dis que çâ 1
Mais Petrua. reconquiert mon entière
sympathie, non comme critique Itinéraire,
mais quand il me prie de transmettre aux
lectricea da « Citoyen » une prière ardente
et, en somme, assex légitime.
Oui, mes smiss, notre Petrus — qai peut
être me pardonnera cette répétition, signe
de fsiblesse — se morfond dans un stérile
et injuste célibat.
« Lune I gémit-iL il me faut une Lune I a
Et notre nouveau Pierrot tend vers l'albe
disque des bras éperdument suppliants....
Et il la veut pleine, bien pleine et ronde et
non pas de ces croissants étriqués qui
en somme ne sont que de vilains accents circooiaxes, bons tout juste à mettre
sur un âne
Ainsi donc, mon Petrus, ta as désormais
mon concours le plus dévoué I Je te promets même que, si je ne réussis paa dana
le paya dea Dardouba, je me mettrai en
campagne et fouillerai tout le aecteur dea
Bidards, jasqae dans aea recoina lea plus
secrets.
Puisque tu ne veux paa da routas, tu auras
en compensation une pleine lune, une lune
de miel.
C i t o y e n
BREST
Qrava Inaendla. — Us grava incendie
a'est déclaré, mardi après-midi, â l'endroit
appelé le « Petit Kérinou » en Lambézellec.
Malgré la promptitade de* aacours apportés, tant par la voisinage que par les
pompiers de Breat, de la marine at de Lambézellec, trois maisons d'un étaga ont été
détruites. Une quatrième a été fortement
endommagée.
Les lacatairea de eea immewbles n'ont pu
rien sauver, saaf toutefo is ceux des rez-dechaussées, qui ont pu enlever quelques objets mobiliers.
Du fsit de cet incendia, sept minages se
trouvent aujourd'hui sana abri.
Championnat de l'Ouest
Ditition d'honneur
Le classement
Ortupt A
J. G. N. P. Points
A. S. Brestoise
10 7 1 2
25
Stade qairapérois.,,., 10 5 3 2
28
A t e l i e r d e r é p a r a t l e a s — ttevla g r a t a l t a - T r a v a i l gmrmmU
U.S. Oavrière
10 5 0 5
20
F s a r a l t a r e s géaérales
Armorioaine
10 8 2 5
18
U. S. D. P
10 2 4 4
lt
Lorieut- Sports...
10 2 2 6
16
E C L A I R A U T O
ml
Groupe B
U. S. servannaise..,.. 10 8 2 0
28
44» Qual 4« l'Odtf, 44, QUimPCR Téléph. 4 . Ì 0
Drapeaa Fougères.... 10 6 1 S
23
Dinard A. S. C . . . . , . , 10 6 1 S
28
Stade briochin........ 10 i 1 5
19
Cheminots rennais.,,, 10 2 1 7
15
Cadets Bretagne
10 1 0 V
12
PLUS
Nous rappelons à aov. Lecteur*
q u e Y Imprimerie
Journal l e
du
C i t o y e n
exécuta ( s u s l e s t r a v a a x t y p a c r a p h l q a r s «a «oir at couleur»
Futidal.
Playban
Légion d'honneur. — Nous appenons
avec plsisir que notre concitoyen, M
Yves Le Roux, officier principal des équi<
FftotbalI'Aaeoolatlon
pages de la flotte en retraite, â Pleyben
Vient de recevoir, lora de la récente prise
Matchea amicaux
d'armes à Brest, la -croix d'officier de la
A QU1MPER
Légion d'honneur
Dimanche la rèitâuntre entra Jes Cadets
Ses nombreux amis sont heureux de lui de Bretagne et le S u d e Qoimp broia fut disoffrir, â celle occasion, leurs plus vives fêli putée devant une bonne galerie «t sur un
citations.
terrain en bon étal. La première mi-temps
E tat-olvll de fé t r i e r . Naittaneet. l'ut assez égale, checane dee équipes marPierre Labous.â Kerhail; Yvonne Pélicart, quant deux buts. La deuxième piirtie du
au bourg ; Jean Pionlonard, â Pont-Kéri- ;eu fut entièrement à l'avantage da Stade
jéau ; Yvonne Aul:rel, au bourg ; Jean-Marie Quimpéroit qui ajouta 4 buta à la marqae.
LeBaut, â Garsabio-Vraa; Nicolas Lharidon
A AUDIERNE
au bourg ; Hsnri Halléguen, au Cosquar.
Uae équipe du Suide Qaimpêrois était
Déeit : Maria Pirioo, 78 ans, cultivatrice aux prit iss dimanche aveo l'équipe aadierâ Kéraprat, venve de Pierre Le Baut; Ma naise.
rie SalaQn, 59 ans, cultivatrice, épousa de
Cett» partie jouée devant une jolie galePierre Brest, à Pemaquin ; Marie Goas- rie a été intéressante de début à- la fin.
guen, 74 ans, veuve de Jean-Louis Brenaut,
A BREST
â Lanvézenneo ; Frsnçois Coquil, 65 ans
L'Armoricaine bat l'Eioile dinardsise par
maçon, époux de Jeanne-Marie Diraison,. an but à zéro«
Trégouar ; Anne Lharidon, 67 ans, mena
gère, épouse de Joan Tromeur, au bourg ,
Marie Omnés, 72 sns, cultivatrice, veuve de
Michel Bronnec, â Kervilou ; Marie Sui
gnard, 77 ans, ouliivatrioe, veuve de Yves
Adressaz-votts à
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Petites recettes pratiques
POUR ENLEVER
LE GOUT DE RANGE AU BEURRE
Ce sont des acides organiques qai donnent aa bearre ancien an g o t t de rance.
Oa le débarrasse totalement de ces aci.
des et da goût de rance qa'ils déterminent en malaxant le bearre dans une eaa
contenant quinze poar cent de bicarbonate de sonde et en le lavant ensuite à
¡'eaa claire. Toutes les graisses et les
hniles végétales qui ont ranci peuvent
être traitées de cette manière avec avantage.
POUR QUE L I S ENFANTS
• AIENT DES DENTS SAINES
ET BIEN PLANTEES
'D'après les observations de plusieurs
médecins anglais, il résulte que les alimenta qui contiennent beaucoup de vitamines favorisent chez les enfants la
formation da dents bien calcifiées et bien
plantées ; par exemple : l'huile de foie
de morue, lea graisses animales, sauf le
lard, le lait, les jaunes d'oeuf. Les farines, et en particulier la farine d'avoine
ont une infiaence défavorable et provoquent la carie dentaire. La lumière du
soleil est très favorable, de môme que
les rayons ultra-violets.
FOIE DE VEAU A LA BOURGKOISE
Prenez 500 grammes de foie de veau
lardé de gros lardons et enveloppé dans
une toilette de poTC.
Dan* 30 grammes de beurre, faites revenir 60 grammes de lard de poitrine
dessalé et coupé an lardons ; une fois
biea dorés, retirez-les. Faites alors revenir 8 petits oignons ; retirez-les et faites
révenir la foia da tons côtés. Quand il
est bien doré, retirez-la et ajoutez dans
le h e u r e 15 grammea de farine ponr faire
un roux. Mouillez avec 1/2 verre de vin
blanc at un verra d'eau ou mieux de
bouillon bien dégraissé. Salez, poivrez,
et remettez le foie avec les lardons et les
oignons, et nn bouqaet garni,
Caisez à feu doux pendant 45 minutes.
Questions Agricoles
U fumier couvarf
Dans une ferme, le tas da fumier n'est
ftôpItaKantfrouf
pas l'objet des soins qu'il mériterait si
Inoandla. — Le feu a'est déclaré jaudi
l'on considère son râle dans toute culsoir, vers 6 heures, au village de Penn-arHoat, ehez M. Olivier Muselles, cultivateur, tare bien comprise. Déjà de grandes
par suite de l'imprudence d'un enfant dvV améliorations sont apportées à sa conservation. Mais le fumier, même entas4 ans jouaat avec des allumettes.
Deux taa de paille ont été la proia des sé sar une plate-forme oa dans une
fosse snbit toujours toutes les intemflammss.
péries f u i lai oauaent de fortes pertes.
Pleurin-Morlalx
Aooldant mortel. — M. Jean Raoul,
l t ans, cuisinier â Redon, dont les parents
habitent le Champ-de-Bataille, a été victime,
samsdi soir, d'un terrible accident.
Renversé par une locomotive, il «ut les
deux jambes broyées et mourut quelques
instants après.
DE
•
vi
i titra d* propagande
nx prtnière» ptrionae* qai répondront
•uct«œ«nt aux quettiou* oi-doicont
H M eaaforaerMt t uo< condition,
H W N H T I A 1M S nota dont noua donnona
1M principale! lettres
a —' F — I — Pierre précieaa*
T —U - O Ville francali*
• — 8 — O — Prénom
leverai vatre réponse arec aa* esTetoppe timbrée portant votre adresse aux|
Phenographes LUTÈTIA, 53, Rue Dutot, PARIS (15')
«m
choix de la race ne pent, par conséquent, être indifférent. Pour ce genre
de spéculation, la race normande, très
rustique, donne le maximum de succès ;
elle est habituée & rester, été comme
hiver, en pAture dans son pays d'origine
et elle s'engraisse avantageusement.
La nourriture leur est distribuée dans
des auges en bois posées simplement sur
le fumier et qu'on pent remonter au fur
et à mesure que celui-ci augmente.
Remarquons que toat ce qai tombe hors
de l'auge est perdu sans pouvoir être
récupéré comme à l'étable; il est par
conséquent nécessaire de prévoir des
anges très larges qui puissent contenir
la ration sans que les bœufs qui « four*
ragent » Péparpillent.
On ne doit s'occuper que très peu de
ces bœufs ; on n'a, en effet, presque pas
besoin de leur donner de la paille propre, celle provenant des écaries et des
étables, souvent peu souillée, convient
très bien à leur servir de litière ; d'où
double économie de main-d'œavre et de
paille avec, en plus, l'avantage do pouvoir concentrer le famier.
D'autre part, leurs déjections étant
immédiatement absorbées sur place, il
ne se produit aucune perte.
Bn dehors des considérations présédentes, la présence des bœufs sur le
fumier est très ntile parce qu'ils le tassent fortement et y maintiennent nne
humidité permanente. C'est ponr ces
raisons qae parfois on fait piétiner le
famier par an troopeaa de bœafs. Mais
ces bons effets seront plus marqués si
on peut les y laisser à demeure.
En général, oa compta loger ane tète
de gros bétail par 10 mètres cariés.
En résumé, an moyen d'ane famière
couverte, nous produirons dn fumier plus
riche et de meilleure qualité, tout en
ayant de la quantité.
Florimond Dasprez.
OëMtttt iu Village.
Péslnftefloi) d'un* éfabk
On lave les murs avee une bouillie
composée d'un mélange de 400 gr. de
chaux vive, 800 gr. d'eau, éOgr. d'alun.
Si l'étable n'est pas habitée, on répand
du chlorure de chaux en pondre sar le
TantAt la pluie qui pénétre dans toute sol ; dans le cas contraire on se sert de
la masse se charge des sels solubles les ciésyl ou de formol.
pins importants et s'écoule ensuite à
l'extérieur. Cette eaa de plaie traverse
P«ur graisser
ainsi le famier de part en part, le dilue,
l«f rouet d u voitures
lé refroidit et arrrète la vie microbienne
Faire fondre à feu doux un kilo de
qui provoque les fermentations. Par
poix
de Bourgogne avec trois livres de
ces lavages continuels sa valeur se dégraisse
de porc, ajouter pea à peu, en
précie énormément.
remuant, nne livre de mine de plomb
TantAt le soleil provoque la dessiccapulvérisé.
tien et favorise la volatilisation de
l'azote sous forme d'ammoniaque. Dans
oe milieu devenu sec et paillenx manH BOJf q i » T , Bon RUT
quant de continuité il ne se produit
pins de décomposition.
Sauf en eat it foret majeure, le laie
Ainsi le famier qui n'est pas protégé i'aetion ne donne à gagner qu'au laie.
perd continuellement de sa valeur.
On pent remédier à ces inconvénients
Lt Gérant : Pierre Guéguen.
en couvrant la famiére au moyen d'une
toiture légère et peu coûteuse, de la
tôle ondulée par exemple, supportée
par quelques fermes métalliques ou
en bois. Les frais de cette petite cons
Tribnnil l e ( j o a i e r c e it Qiinyer
traction seront compensés par le bénéfice qa'on peut retirer par la production
Vérification des créances du 15 mars
d'un famier riche et bien fait.
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EXCELLENTS
RAPPORTS
soutirent généralement pas da froid
S adretter au Journal,
paroe qa'ils sont abrités et réchauffé»
par la masse en fermentation placée
85 50 a<
aous leurs pieds. Naturellement si la
fosse ne ea tiouva pas entourée de bAtimente, il est à recommander de monter V« UUIURUUO Qtant faire un peu do
on mar on toat antre abri du côté où c u i s i n e .
Inutile do se présenter ni écrire aans
aonffl* le vent da Noid,
reféronoes très sérieuses.
Cette vie en plein air exige de la part
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Adresser toutes communications concernent le Rédaction, l'Administration et l'Imprimerie
à m . pitrrt CUÉCUEH, Administrateur-Gérant.
Le» manuscrits ne »ont pas rendu». — Pour le» renteignement» joindre un timbre pour la réponte.
Des Roules pour nos campagnes I
De l'Argent pour nos routes !
• •
Entrent plus avant dans cette voie, M.
Milan,sénateur,et un grand nombre de ses
collègues ont déposé une proposition de
loi ayant pour objet d'autoriser l'Etat à
acheter d u goudrons, bitumes<et autres
substances similaires, sur le compte des'
prestation» en nature à fournir par
l'Allemagne en exécution du Traité de
Paix, afin de les répartir sous forme de
subventions entre lee départements et
les eommunes pou» le remise en état
et l'entretien des routes départementales
et des ehemins vicinaux.
Comme le font remarquer les auteurs
de cette proposition de loi, le goudron,
nage-qui pouvait être considéré il y a
quelques ennées comme un entretien de
luxe pour les chaussées, est devenu aujourd'hui une opération de première
néeestité. M. Milan ajoute que, dans le
plus grand nombre des départements,
les possibilités budgétaires ne permettent
de feue les rechargements oylindrés que
toue les huit ans, pour les routes départementales, et à peine tous les vingt ans
pour les chemins de grande communication et d'intérêt commun.
Et comment dans cette pénurie des
ressources songer pour l'instant, si on
emploie les grends moyens, à faire
bénéficier nos chemins vicinaux existants de l'ellooation de ces matières de
revêtement et de conservation des voies
de eommunieation ?
Comment, avec le système actuel et
la loi fossile de 1836 qui régit nos chemins vicinaux« favoriser la création de
nouveaux chemins vicinaux, dont l'établissement est hors de proportion avec
les ressources financières des eommunes ?
Ces votes sont suivis de déceptions et
d'injustices criardes. Que de communes
ne bénéficient pas dans la proportion
d'un dixième parfois des sacrifices ainsi
consentis et sont obligées de voter des
centimes additionnels pour l'entretien
de leurs chemins ruraux 1
Il est temps de faire cesser ces anomalies.
Ou y arrivera peut-être par le vote de
proposition de loi, tendant à la péréqua.
tion des charges assumées par les départements et Us communes pour les
routes départementales et les chemins
vicinaux par une participation de l'Etat.
Tel est le but d'une proposition de loi
déposée sur le bureau du Sinat par
MM. Tournon et Milan.
Nous en résumerons les dispositions
dans un proohain numéro.
Georges LK BAIL.
Le parti radical-socialiste
élections municipales
et
le»
Le parti républicain, radical et radical-socialiste a tenu, à Paris, le 6 mars
un petit congrès en vue des élections
municipales.
En conclusion aux débats, l'ordre du
jour suivant, précisant l'attitude du
parti et sa tactique électorale, a été
adopté :
« Le parti républicain, radical et radi-i
cal-socialiste, considérant le rôle primordial des Conseils municipaux dans
la vie politique du pays, estime que la
lutte pour la conquête des municipalités est une bataille où se joue dans le
cadre communal, départemental et national, le sort de la démocratie.
« Soucieux de ne pas laisser les forces
destructives de la démocratie bénéficier
des divisions républicaines, il adresse à
tous ceux qui sont prêts à soutenir son
action un pressant appel pour la solidarité et l'union dee forces de gauche,
partout où la défense de la République
l'exige.
En conséquence :
« 1* Le parti, fidèle à son programme
de réformes hardies et de réalisations
sociales, affirme sa volonté d'assurer
dans ce combat, avec ses propres éléments, le triomphe de sa doctrine. Il
constituera donc au premier tour de
scrutin, partout où ce sera possible, des
listes exclusivement radicales et radicales-socialistes ;
« 2° Dans les communes où la division
des forces républicaines profiterait soit
à la réaction, soit au communisme, le
parti radical-socialiste fait appel à tous
les républicains pour la constitution, dés
le premier tour de scrutin, de listes de
coalition républicaine';
« 3° II ne donnera son concours au se*
cond tour de scrutin qu'aux hommes
ayant le souci de la paix intérieure et
extérieure et de la prospérité de la nation, décidés à affirmer par des actes
leur attachement à l'idéal républicain,
laïque, démocratique et social.
« Il combattis sèna merci tous ceux
qui, dans la bataille municipale, accepteraient l'appui des forces nationalistes
et cléricales.
« Le parti fait confiance à ses fédérations départementales et à ses comités
pour assurer avec vigilance le contrôle
de toutes les listes se réolamant do l'idéal
républicain, radical et radical-socialiste,
et pour réserver leur concours à celles
qui se constitueront suivant les décisions du petit congrès. »
'
e
•
•
•
Je disais que la loi de 1836 est une loi
tossile. Los couseils municipaux sout
chaque annee mis en demeure ae voier
les lessoLices uecesaauos RU paiement
du contingent qui leur est assigne par io
conseil geneiai et le maximum légal est
teujewrs denendé,
qui la défendent dans les deux Chain
bres, mais dans les trente mille com
munes qui entretiennent sur tout le
territoire les foyers de la liberté publique et du progrès démocratique. La
mairie, elle aussi, est un centre républicain. D » D S la vie rurale de la France si
intense, si fidèle à la tradition républicaino, les élus municipaux jouent leur
rôle qui n'est ni le moins difficile ni le
moins utile.
En rappelant, l'autre jour, au petit
congrès de notre parti, ces vérités que
les radicaux n'oubliant pas, Edouard
Herriot a montré tout l'intérêt de la
grande manifestation que nous avons
consacrée à la fois à la vie communale
et à la préparation des élections muni«
cipales. Son magnifique discours restera comme un acte, et le parti, uni et
fort, l'a applaudi comme le plus clair et
le plus complet des programmes.
N'est-il pas incontestable que la tâche
des maires, même saas parler de la reconstruction dans les régions libérées;
est des plus pénibles ? En contact étroit
avec les populations, ce sont eux qui
ont à appliquer les grandes lois sociales^
à préparer les grandes améliorations
locales, à faire vivre l'école laïque au
milieu des attaques dont elle est l'objet,
à mettre en marche, et à maintenir en
marche, tous ces louages multiples et
délicats que sont les caisses des écoles,
les oeuvres postscolaires. les eours d'apprentissage, etc., etc... ?
Pour cela il leur faut souvent compter
sur eux seuls et souvent aussi sa trouver
aux prises avec des difficultés budgétaires trop réelles. L'éloge qu'a fait
Herriot des budgets communaux est
d'autant plus mérité que la grande réforme démocratique de l'impôt sur le
revenu n'est pas encore introduite dans
les finances locales et départementales
qui doivent vivre péniblement des centimes additionnels et de taxes locales
mal supportées par les populations.
Si l'on ajoute à cela l'étroitesse de la
tutelle administrative qui ne permet pas
toujours à la commune républicaine
d'élargir comme elle le désirareit ses
couvres d'assistance, de prévoyance et
d'hygiène sociales, voire de perfectionnement scolaire ou professionnel, on ne
peut nier que la tâche des édiles républicains mérite d'être soutenue par le
parti qui est leur naturel animateur.
Voilà eo que nos militants doivent
aller dire demain par toutes les communes de Franoe. Aux dénigrements
des adversaires de la République, ils doivent hardiment opposer le programme
de réalisations communales de -.notre
parti et ouvrir, puis gagner, l'une des
plus grandes et des plus utiles batailles
qui soient : la bataille pour la commune républicaine, assise solide de la
République démocratique.
Les Propos d'un Radical
II est entendu que le parti Radical ne
promet pas, pour demain matin, des
alouettes tombant rôties du ciel I
Mais il est bien entendu aussi qu'il
ressemble à l'homme qui discute l'intérêt d'un prêt ? S'il discute, c'est qu'il a
envie de payer !...
Marchandeau, Daladier, Herriot, viennent de le dire en termes excellents. A
la veille des élections municipales,- il
s'agit pour les vrais ouvriers de la démocratie d'assurer des réalisations — en
battant ou en faisant battre tous les
anti-républicain», qnele qu'Ile eolentt
•a
Jaurès — il ne faudrait tout de même
pas toujours l'oublier — était partisan
de la tactique Je plus souple •:
« Si nous avons une doctrine absolue,
« que nous voulons fairo prévaloir, et
« au service de laquelle nous mettrons
« tous les jours davantage l'organisa« tion du prolétariat tout entier, nous
« voulons aussi, au jour le. jour, appor« ter à ceux qui souffrent les plus peti« tes réformas de détail qui peuvent
atténuer les souffrances présentes...
Nou» ne nou» en/ermon» pat dan»
une oppoiltion intransigeants et Mérite, et, toutes les fois qu'une réforme
peut ôtre proposée par nous, qui améliore tout de moins,l'état toeial actuel,
« nous n'hésitons pas. »
La Ripublique n'est pas toute au Par,
Il faut avoir le eouraga de le dire: il
lement. Elle est aussi . dans le pays. est, qa effet, infiniment plus facile <ia
Elle tit non seulement dans les groupes s'en tenir à une aorte d'entêtement
M. Tardieu fait procéder actuellement
pei ses services à ce qu'il appelle l'inventaire des routes de Fiance.
Actuellement oes routes sont classées
arbitrairement en routes nationales,
départementales et vicinales.
Ces foimules de convention n'ont plus
actuellement leur raison d être. C'est
l'inveusite du uafle qui: uon ôiro deaor- ]
mai* ta basa do louie classification.
FOCR LA COMIMIME REPUBLICAINE
Les sages conseils
d'un grand Maire
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14 l i »
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Numéro
1929
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An*ó*)
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paraissant I« J«u4i
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MARITIME,
1
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Finistère «t départements limitrophes«
19 fraies.
Autres d é p a r t « »
Ktru^fr
15 • •
Les »bonnement» partent du 1* ou du i 5 de chaque mois
et sont payables d'avance
Pendant le guerre un cri a retenti
évoquant et stimulant toutes les activités en vue de la viotoire : des canons !
des munitions !
Maintenant que le paix est venue, les
paysans, qui représentant 50 0/o de la population française, ont une préoccupation dominante entre toutes, celle d'une
bonne politique routière qui permettrait
l'entretien des chemins existants et
l'ouverture de chemins nouveaux indispensables aux transaotions agricoles et
à l'essor .de le vie rurale.
La République s'est beaucoup occupée
des paysans qui ont été ses meilleurs
défenseurs depuis cinquante ans.
En 1928, les Chambres ont décidé
par une loi que, pendant 5 années, le
Trésor avancera, chaque année, 100 millions — prêtés par la Caisse des dépôts
et consignations — aux départements,
pour leur permettre d'aider les communes à restaurer leurs chemins vicinaux et ruraux.
Sar les prestations en nature fournies
par l'Allemagne, il sera, d'autre part,
prélevé, en 1929, une somme de cent
millions affectée aux départements, A
titre de subvention supplémentaire, pour
la réfection, la restauration et l'entretien de le voirie dépertementale et
vicinale.
AGRICOLE,
Républicaine
À
.
»
aveugle qui dispense de tout examen,
de toute discussion critique, do tout
•justement adroit et solide, que de faire
la preuve d'un esprit objectif, capable
de voir partout le pour et le contre,
l'idéal et le réel, le rêve lointain et le
devoir immédiat.
Je me souviens d'une séance orageuse
au cours de laquelle l'un de mes came*
rades, très excité ce jour.là, interrompit
violemment un brillant orateur expliquant la nécessité et les ressources de le
iaetique,
Ce ne fut pas long ! A notre compatriote qui lui avait jeté, non sans une
certaine emphase d'ailleurs, qu'un
homme politique « devait aller à la
« mort avec son drapeau », l'interpellé
répondit simplement : « Là est juste« ment la différence entre nous ! Vous
« pensez à la mort de notre parti et moi
« je veux qu'il vive / »
J'approuve fort cette façon de raitanner et je n'essaierai pas de dire, aci,
quel succès elle obtint devant un audi*
toire averti !
En politique — il faut bien dire lee
choses comme elles sont — « la sincérité et le dévouement ne suffisent pas,
s'ils ne sont pas éclairés et dirigés par
une compétence en quelque manière
technique, par le tent det réalités, par
l'intelligence do ce que les philosophes*
nommeraient l'objeotivité et la relativité des faits. »
Les menées révolutionnaires se justifiaient sous les régimes de suffrage
restreint ou de dictature arbitraire ; aujourd'hui, noua .avons le suffrage universel direet, l'exerçant librement en
somme, et il n'est que de jeter un regard [
en arriére pourvoir tout ce qu'ont apporté
de lois sociales, le parti radical et d'autres partis de gauche, non majoritaires,
en accord avec lui I En fait, il faut
plaindre celui qu'une intransigeance
grandiloquente empêche de travailler,
selon le mot de Jauré», aux « pttltes
réforme» de détail qui peuvent atténuer
tes »ouffranee» présentes. »
Est-il besoin de dire que ceci permet
tout de même d'avoir de <c l'avenir dans i
l'esprit » et de vouloir d'autant plue i
énergiquement le progrès qu'on le veut
plus sérieusement ?
On a quelquefois parlé du patron de i
barque qui saisit le moment unique i
pour passer à la cime d'une vague, entre
deux rochers, et qui a, en même temps
que le coup d'œil juste, la tendance à
risquer : un plus timide n'oserait se:
lancer ; un plus lent à concevoiri.se:
briserait eee
Il en va de même en politique. Et à
l'heure où nous sommes, ceux qui s'in-1
téressent aux destinées républicaines se
surprennent à formuler un double vœu :
Que le» républicain» aient du courage
et qu'il» voient juste I
Georges MENNE.
Il n'y a d'alliance républicaine pot'
»ible, pour le» élection» municipale»
prochaine», qu'entre pur» laïque».
Poor les Agricnlteorg
Le groupe radical.socialiste de la
Chambre a, à propos du collectif, adopté
à l'unanimité un amendement de M.
Léon Meyer qui tend à la suppression
de la taxe sur le transport des produits
agricoles et sur les engrais.
Election législative
Haute-Vienne
Dimanche a eu lieu une éleotion législative dans l'arrondissement de Bellac
(Haute-Vienne), pour pourvoir au remplacement de M. de Paybaudet, union
nationale;' décédé.
Inscrits, 22.500; votants, 15.600.
Ont obtenu :
M. Velière, socialiste S.F.I.O. 6.178 v.
M. Bardou,' union nationale.. 3 996
M. Penot, républ cain..
3.453
M. Berry, union nationale . . . 4 1.471
M. Soulié, communiste..
885
Il y a ballottage.
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EH T l f l f l l M l R
l e fière Réponse de I Matter l Mgr Rieb
Y\A/WWV/\AA/WV/\
M. Daladier, député, pri»ident. du Camité exécutif du parti radieal-socialiste, a adressé à Mgr Rueh, étéque de Strasbourg, la lettre suivante. Ce prélat
qui, dans la question d» l'autonomisme, avait manifetté det »entiment» fronçait,
est, comme »et confrères, un ennemi acharné det éeolet laïques. Dant une lettre
ouverte à M. Daladier, il l'avait manifesté, et AI. Daladier lui répond de ta
bonne encre :
velle Vendée, d'où ils s'élanceront à la
« Monseigneur,
« Le discours que j'ai prononcé, di- conquête de la France.
« Mais la liberté, la République triommanche, à Strasbourg, et que tous les
journaux cléricaux avaient tourné en pheront en Alsace comme ellee ont
dérision, me vaut aujourd'hui de Votre triomphé en Vendée. Par la force ? Je
Grandeur une importante lettre ouverte, songé, en vous écrivant, à mes villages
de la Durance, démolis et rasés jusqu'au
dont je La remercie.
sol; à leurs habitants égorgés ou disper« Elle me permet, en effet, de prosés pour avoir commis le crime d'aelonger une controverse ntile à la manicueillir les Vaudois et de prier Dieu suifestation de la vérité. Elle révèle, aussi,
vant leur exemple.
l'esprit qui anime réellement le parti
« Nous ne pensons nullement à vous
prêtre alsacien et met en pleine lumièro
imiter. Mais notre libre propagande,
les pensées véritables que ses chefs ont
notre effort d'éducation populaire, l'apcoutume d'abriter, d'ordinaire, sous un
pui vigoureux donné aux dtunicipalités
patriotisme verbal ou conditionnel ; plurépublicaines, porteront leurs fruits.
tôt la loi Falloux, complétée per Voa
Vous ne protesteriez pas avec tant de
Bismarck 5 plutôt l'autonomisme,-prévéhémence si, déjà, vous ne vous sentiez
face du séparatisme, que l'école laïque.
touché.
Tel est aujourd'hui le langage de l'évêa Veuillez agréer. Monseigneur, avec
que de Strasbourg.
l'assurance renouvelée de mes remerciet Nous disons, nous, comme nos
ments, l'expression de mes sentiments
pères l'ont toujours dit : : « France
respectueux et entièrement dévoués.
d'abord ! » même lorsque certaines de
« Edouard DALADIER, député,»
ses lois nous paraissent injustes, quitte
à nous efforcer de convaincre l'opinion
• •
de la nécessité de 1M redresser.
Un journal grave affirme que le dis« Vous dites, vous ; « Nos privilèges cours de Daladier et sa lettre à Mgr
d'abord ! » Et vous prêchez la résistance Rueh sont des armes données à l'autopar la grève scolaire, comme en 1924, et nomisme.
par tous les autres moyens.
A première vue, il n'y parait pas.
« Vous pliez le genou devent l'abbéi
Le grand argument dont se servent
Haegy qui, hier, vous fustigeait, plutôt! les cléricaux de là-bas pour dresser
que de voir le striste spectacle de l'E- l'Alsace contre le France, c'est que de
glise libre dane l'Etat libre et l'Eeole< Lille à Marseille, le laïcisme a fermé
largement ouverte à tous les enfanta du toutes les églises.
peuple, aans distinction de oroyanees. i
Répondent à cette esttannie, Daladier
« Soyez loué, Monseigneur, de votre a expliqué à Strasbourg que le leïeisMe
franchise,;à laquelle, en de récents dé-! consistait, au contraire, à respecter
bats. parlementaires, vos amie ne nousi toutes les croyances et toutes les opi*
ont pas habitués.- Voue avez vu, dites- nions.
vous, pendant cinquante ene, aur .leiaoli
L'eutre argument des cléricaux, c'est
de la Franoe, la République « faire le que la laïcité pervertit notre pays, qu'elle
guerre aux étoilea ». Selon voùs, la febrique en série des assassina, des voFrance moderne, la France républicaine leurs, dee satyres.
et laïque, e perdu, grâce à ses lois,
A cela encore Daladier répond qae,
« l'honneur et le prospérité ».
loin de corrompre notre pays, l'école
« Je doute qu'on puisse trouver un laïque a formé l'immense majorité 4ee
fanatique de village capable de soutenir soldats-citoyens qui ont libéré l'Alsace.
une telle opinion. Comment l'école laïAvouez qu'à première vue, ees explique a-Selle perverti la nation française?« cations paraissent de nature à ouvrir lee
C'est la thèse ; que les Allemands du yeux des Alsaciens, à rétablir la vérité
Kaiser soutenaient, avant-guerre ; ils des faits, à désarmer l'autonomisme. '
vous laissent ee soin aujourd'hui.
Gardons-nous donc de retomber dans
l'erreur
de Daladier, et, pour vaiacre
a Quant à la séparation, veuillez donc
l'autonomisme,
parlons le langage des
nous apprendre en quoi le libre exercice
réactionnaires
:
des cultes en a éprouvé la moindre gêne
« Oui, Alsaciens, la France est le
J'attends sur ce point le résultat de votre
demi-siècle d'expériences Je sais que pays de l'intolérance ; elle ferme les
vous enseignez-aux Alsaciens que, dans églises, elle persécute prêtres et croyants.
le reste de la France, les églises sont Oui, Alsaciens, la France est pourrie :
fermées ; quel regret que vous ne l'ayez elle a ouvert des milliers d'écoles où
l'on fabrique par millions des assassins.
point éorit !
« La vérité, c'est que vous appelez Honte à qui prétendrait le contraire 1
« Et maintenant que vous nous savez
liberté de l'Eglise la- domination de
fanatiques
et pourris, renoncez, Alsal'Eglise, et liberté do conscience ^'opciens,
à
l'antonomiamo
et précipite*
pression par elle des consciences. 'Hors
voue
dane
nos
bras
1
»
de l'Egliséi pas de salut dans l'autre
,
Albert BAYBT; '
monde ; pas 4* liberté dans oelui ci.
« Interdit aux jeunet filles non catholiquea d'entrer à l'école normale de
Metz ; interdit aux jeunet gens de toute
l'Alsace de devenir instituteurs s'ils ne
de 1«
sont point catholiques, protestants où
juifs ; s'ils ne subisionVpas lés examens
d'enseignement religieux ; s'ils ne s'engagent pas à enseigner une religion ;
—¡¡Dix maisons d'un village*de Mas'ils n'y oroient peint. Interdit eux mu- dère se sont effondrée» d tins un-torrent,
nioipelités qui réolament la création de à la suite 4'un ¿Sobrement;* tTue qual'éoolo laïque et même, de l'école inter- rantaine de'personnes en« été entraîconfessionnelle, d'obtenir l'epplication nées à la mer et noyées, • >»>?,
do cette loi.
— Un banquier-;!*» pins «et mie «eus
« Mais oes interdictions, proférées las venons, sous l'inculpation d'escrod'une voix hautaine, portent le-nom de querie etr d'abue ée'eotoflanoe.Il s'agit
liberté datls votre vocabulaire, et vous d'un nommé Pierre Charraudeau, âgé
de 40 ans, adminietratetuMéléguê 4* la
envoyez votie bénédiction à ceux qui « Banque» Français! d*Btoo*>t*:«r 4«
rêvent de l'Aliaoe comme d'une Nou- Bourse », 88, rue Réaumur, Paris.
Miettes
Semaine
!
DM premières constatation«, ¡1 réaalto
P r o c è s en diffamation
f oo lo déficit s'élèverait à 10 millions.
—• A la suite d'ans plainte avec constitution do partis civils déposée par
M. Boris, directeur de la « Lumière »,
M. Henry Dumay et M. Pierre Bertrand,
ancien directe or et rédaoteur en chef du
« Quotidien v o n t été également inculpés d'escroquerie et d'abus de confiance.
— Le communiete Trotsky est indési- U c a m p a g n e é l e c t o r a l « d t (I). J a d é
rable en France. Le Gouvernement vient & p r o p o s d o l a Ç a i m d o » « c o u r s
de lui faire eavoir, en réponse à sa deComme on se souvient, VOuett Bel tir
mande d'autorisation de résider en notre
pays, qu'il n'y avait pas lien de reporter fut condamné à 3.000 francs de dem
l'arrêté d'expulsion prononcé autrefois mage»-intérêts pour avoir diffamé M .
Le Bail e t à une insertion qui a eu lieu
contre lui.
dans ce journal.
— Lo Conseil do la Société des NaVoici le tour de M. Jadé.
tions a clos sa 54* session samedi. La
I
.
D i f f a m a t i o n p a r 1« j o u r n a l
prochaine se tiendra en juin à Madrid
émuB c l ' O a e e t E c l a i r » .
i!
— Une grande réunion do la Fédéra
M.
Jadé
a
été,
il
y
a
huit
jours,
don
tion des comités républicains de la
damné à 1 0 0 f r . é ' s e i s a i e , ce qui
Sarthe a eu lieu dimanche au Mans.
tara
plus de 500 francs avec les décimes,
• p r é s un exposé do MM. Montigny et
sans
compter les frais.
Caillaux sur la situation politique pré
Nous mettons M. Jadé au défi de pu
sente, un ordre du jour a été voté,
proclamant la nécessité de défendre blier ce jugement dont les considérants
la République contre l'offensive fasciste sont a u t a n t de pointes de feu dont il a
ressenti la douleur.
et clérioale.
M. Le Bail avait à l'audience restreint
— La guerre oivile continue au Mexi- sa demande d e dommages-intérêts
que. L'insurrection semble cependant 1 franc. Le tribunal, ce qui est légal, a
perdre du terrain do plus en plus. Le jugé que M. Le Bail ayant reçu 3.000 fr.
général Celles, ancien président de la de VOueet-Belair
n e pouvait recevoir
République, à la tète d'une armée im une nouvelle somme de dommages-inté
portante, va tenter de maîtriser définiti réts qui aurait tait double emploi avec
vement les insurgés.
la première.
— Un hôtel a été inoendié à Hong
II. D i f f a m a t i o n e n r é o a l s a pufcll
Kong. Quatorze personnes — dont deux
que à Tréboal.
Français — ont été brûléee vives. Il y a
Le
tribunal confiime le jugement de
une trentaine de blessés.
M.
le
Juge de Paix qui a condamné M.
— Le record du monde de vitesse en
automobile vient d'être battu par le Jadé à c i n q e e n t e f r a n e e de dommages
fameux coureur automobiliste anglais, intérêts et A tous les frais qui sont
le capitaine Segrave, qui a réussi à at importants.
teindre la vitesse de 372 km. à l'heure. III. D i f f a m a t i o n p a r a f f i c h e s .
L'encien record était établi avec la
M. Jadé est condamné dans un jugemoyenne horaire de 885 km.
ment très aévère pour lui e t fortement
motivé à 4 . 0 0 0 f r a n c * de dommage*'
intérêts. 3 iniertions dans les journaux
et 50 » f i c h e s placardées dans les loca
lités choisies par nous.
Il sst en outre condamné aux dépens,
M. 6, Le Bail contre M, Jadé
1. Jadé condamné trois fois
Nouvelles
LE
CffTOTWH
Régionales
P a i r tontes m
Fournitures c l a s s i f i e i
adressez-vous à
Cour d'appel d e Rennes
La L l b r a l r l a l a ï q u e d u
CITOYEN
Nos lecteura connaissent le' procès en
diffsmstion intenté par M* Jean Feillet an
LES FOIRES DE LA SEMAINE
gérant dn Finistir«. M. B. Ménez.
Lundi 18 mari. — Ploudslmézaau, ColA l'audience dn 21 décembre dernier, la lorec, Telgruc, Guimilian, Quimperlé.
Cenr condamnait le gérant du FinUtire à
Mardi 19. — Lambézellec, Pleyben,
mille francs de dommages-intérêts et à
Plounéour-Ménez.
cinquante francs d'amende.
Mercredi 20. — Chàteauaeuf.
Snr appel cette affaire est revenue le é
Jeudi 21. — Ploaguernean, Huelgoat,
mars courant, à Rennes. Le jogeaent mis
Sizun, Pont-Croix, Roaporden.
en délibéré a été rendu lundi dernier.
La Cour a réduit à 300 francs le chiffre
des dommages-intérêts.
On sait que M* Feillet avait assigné M.
B. Mènes en 150.000 frsnss de dommsgtsintéréls.
'
Nouvelles Locales
..
\
?
*
QUIMPER
Succeaaivement MM. Masaon, député da
Finiatère, et P..nl F*are, député-maire du
Creuaot, secrétaire-général dn parti, développèrent avec éloqaence les doctricea du
parti. lia furent trèa applaudis.
La contradiction offerte par M. Maaaon
ne fut acceptée par anenn dee réactionnairea et des communistes qui, a diverses
repriaes, avaient essayé de tronbler la rén
nion.
Seul notre ami M. Georges Menne, de
Douarnenez, tont en se défendant de vou
loir apporter nne conférence radicale dans
une manifestation d'organisation aocialiate,
tint à fixer brièvement nn point, d'ailleurs
capital.
« Ma première parole de radical-aocia'
liste, dit-il. sera ponr féliciter le vaillant
ouvrier de la Démocratie sociale venu, ici
même, en Cornouaille, renouveler le geste
nécessaire et toujours magnifique du Se
meur d'idées. » Après quoi, M. Georges
Menne souligns que M. Maaaon, d'abord,
a déclaré que le parti aocialiate aanrait se
garder, à l'occaaion, de « l'intranaigeance »
et que M. Paul Faure, ensuite, s reconnu,
en termes non équivoques, la néceasité et
l'efficacité dn programme « réformiate ».
Citant une belle page de Jaurèa, l'ora
teur radical précise alors que Radicaux et
Socialiatea penvent s'entendre sur ce qui
vient d'être dit, à Quimper, et qu'ils doivent se trouver unis qasnd il s'agit de com
battre les anti-répnblicains, tous les anti
républicains I
Terminant sur une comparaison oppor
lune, en ce jonr de Mi-Caréme. M. Menne
déclare « qu'on peut a'amuaer dea déguiaéa
d'un jour mais qu'il faut se défier de ceux
qui vont bientôt se déguiser... jusqu'en lendemain des éleqtions I »
Ces quelques mots d'une improviaation
tour à tour ardente et imagée furent applaudis par la salle qni avait éconté dans nn
silence parfait.
M. Maaaon demanda à ce que Jaurèa ne
fut point attrait par tont le monde ; mais
notre ami — qui ne s'embarque jamais sans
biacuit — offrit de lire la texte intégral 11
Finalement le député aocialiate compli
menta les radicaux vraiment' aocialisants et
Is séance fut levée.
O a « ' e f f o r c e de c r é e r tm B r e t a g n e 1 Avle. — Noue priont le» pertonne» Qui
ont det communiqué» à intirer dam le
suie a g i t a t i o n a n t o n o m l e t e
Citoyen de vouloir bien let remettre direcDes affiches à tendance nettement sépa- tement i not bureaux, 21, rue du Sallé,
ratiste ont été apposées^ ces temps derniers, dant la fournée du mardi de chaque
dana de nombreuses communes des dépar- termine.
lements du Finistère et des Côtes-dn-Nord
Css sffiches sont de deux genres : ane
Réunion d n Conseil • n n l e l p a l
première, rédigée ea français et intitulée
Ainsi qne nons l'avons snnoncé le Con« Breton, sonviens-toi », a été tirée dans
seil Municipal s'sst réuni jeudi soir pour
nne imprimsrie rennais« ; l'autre, surmon
sa session ordinsire de février.
tée de cartes dss cinq départements bre
Voici les principales questions étudiées
tons, comporte un texte français at un texte
an cours de cette sésnee.
breton. Tontes deux énamèrent longuement
Report de crédit — Une somme de
« les sacrifices que Ip peuple de Bretagne
326.651 francs, étsnt demeurée inemployée
dnt consentir de force ponr la France ».
au cours de l'exercice 1928, il est décidé de
la reporter an budget de l'exereice 1929.
Boue» et immondicet. — Le traité de gré
à gré concernant l'enlèvement des boues
et îmnondices de la ville devant expirer le
28 mai prochain, le maire est autorisé à
renouveler le dit traité peur nne période
d'un an.
MEMBRE OU JURItlHOBS CHICOt/RS
Travaux de roulage. — M. Le Meur.
charretier de la ville, demande une augGrèce anx eélôWrea Aopareila aana ressort
COMPRESSION SOUPLE
mentation ponr les travanx de roulage. Il
aollicite et obtient le prix de 52 fr. 50 par
PI I0PD , a grand spécialiste
Amloale dee Anelene Marine. — A la
. uLAMK Paria, 44 Bd Sébaatopol collier et par jour.
suite
d'une réunion tenue, samedi soir,
la hernie, înfl'mité dangereuse et aonvent
Lotiiiement. — Le projet de lotissement par une trentaine d'anciens marins, la formortelle, n'eat plus, désormais qo'un vain
établi par M. Stagnol entre le paaaage à mation d'une société a été déeidée.
mot.
Cette société aura ponr but de resserrer
Sanctionnée officiellement par le corps niveau de la rae de Douarnenez et la rue
médical, le 5 juillet 1922, ces nouveaux de Locronan, ne paraiaaant paa conforme à les liens de bonne csmaraderie qui nnis'
IV. A f f a i r e o n e o m m n n l e a t l o n i c i appareils appliquée à des milliers de déses la loi sur les lotissements, le Conseil émet aaient tous lea msrins slora qu'ils accoma r c h i v e s d o l a C a l e e o d e Oo péréa réaliaent chaque jonr des prodiges et un avia défavorable.
pliaaaient leur service militaire.
procurent à ton» CPOX qni lee ont adoptés
«•BPS.
Bont du Trétor. — L'autoriaation de
Un bureau proviaoiie a été chargé de
la SECURITE, la SâNTÊ. et selon l'avia procéder à la vente de 10 bons du Tréaor
L Ouest-Belair a dénaturé les faits.
l'élaboration des statuts. Il ae réaaira le
H» m*)«*. « «nx-même», la QUERISON
1924 5 % est accordée. Cette vente pro- vendredi, 15 courant, à 20 h. 30, au Café dn
M. Le B«il était prisonnier devant le DEFINITIVE.
Commerce et ae tiendra à la diaposition des
Noue avons signalé e n son temps tribunal où il était oité, non pas person
D -vant de tela résultats garantie toujours duira environ 138.000 franca.
l'affaire de Saint Thonan (Finistère) où nellement, mais comme vice-préaident par écrit, toua ceux atteinte de hernie dni
La Potte. — Le Conseil décide l'achat nouveaux adhérenta. Le montant de la cotil'on vit un notable do la oommone pro du comité, de la décision prise dans vent s'sdresser aans retard à M. QLA8ER de deux consoles artistiques avec lanter- aation a été fixé à 5 franca.
ses nes, pour la façade de la poste et la fourniLe Comité fait appel anx anciena «Jean
voquer publiquement une grève sco- la dernière réunion du comité de secoure qui lenr fera gratuitement l'essai de
appareils
de
8
à
4
h.
à
:
Le
Gouin » de l'arrondiaaement de Quimà
laquelle
il
n
'
a
pu
assister.
niture
d'une
pendule
électrique
lumineuae
laire, sous prétexte que « l'instituteur
Quimperlé. vendredi 15 mars, Hôtel du dans I'œ'1-de-bœaf de l'immeuble.
per et lea invite à ae grouper nombreux
à
l'auDans
ces
conditions,
il
n'avait
laïque salissait la commune » ; cela se
Lion d'Or et Voyagenre.
dience q u ' à exécuter l a délibération du Carhaix 16 mare Hôtel de France.
Lea P. T. T. fourniaatnt le courant élec- auteur de lui.
passait le 11 mars 1928. Après quelques
oomité de secours. I l n'était plus libre QUIMPER
Lea adhéaiona sont reçues, également,
trique, un crédit de 4.000 franca, anffiiant.
17
mara.
Hôtel
de
l'Epée.
hésitations, lo Parquet avait poursuivi de plaider comme il l'entendait.
par MM. Francis Drillien, courtier mari
Lorient, dimanche 24 mars, Hôtel de Bre est voté.
lo provooatour devant le tribunal eorrec
tagne.
M. Jadé devrait se rendre compte que
Botte» aux lettre». — La boite aux lettres time, quai de l'Odet, et Panl Lonbatié,
tionnel, mais le 23 novembre, ne rote M. Le Bail est condamné aux frais en
Nlle CEINTURE PERFECTIONNÉE
plscée à l'intersection des mes Jean-Jaurès horloger, rne du Parc.
nant que l'inculpation d'outrages i un sa qualité de vice-président c'est-à-dire pour déplacement de tons organea. Traité et de Juniville devenue aana utilité en raiaon
La Ml-Oaréme. — Un temps superbe a
eitoyen chargé d'un ministère public, que c'est la caisse du oomité de secours de la Hernie franco sur demsnde
de la proximité de l'Hôtel des Postea, sera favoriaé la Mi-Carême qui a été fêtée avec
Ml. OLASER, 44, Bd gtbsstopol, Paris. placée me Sainte-Thérèse contre l'immeu- beaucoup d'entrain.
parce qu'aucun texte no les autorisait à qui les paiera. Joli réeultat.
Mais le tribunal ayent modifié le»
reconnaître lo délit do « désertion seo
ble de M. Théfionx.
Le bal d'Odet-Palace a obtenn un saceès
laire », l e s jugee c'étaient déclarés conditiona imposées par le comité de
Une antre boite aax lettres sera placée à aana précédent. Jolis costumes aux couleurs
l'intersection dss mes Jesn-Janrès et du chatoyantes, sfflaence, galté, entrain, ton!
incompétente. Le procureur général seeoftrs à M. Jadé, le oomité de secours
sera réuni pour savoir s'il y a lieu d'acPont-Firmin.
concourait à aaaurer 1* réussite de cette
i .i
i 11
-»'•
ayant interjeté appel, la Cour de
cepter le jugement ou d'interjeter appel.
belle soirée qui se déroula dans nn décor de
Chauffage
au
lycée
Brixeux.
—
2
000
fr.
Rennes fut saisie le 19 février. L'avocat
L'Ouat-Éclair
a une drôle de maLos d o m m a g e s subis
circonstance.
sont
votes
ponr
l'installation
du
chauffage
général soutint que « le tribunal de nière d'écrire l'histoire.
p
a
r
s
u
l
t
s
d
»
c
a
l
a
m
i
t
é
s
p
u
b
l
l
q
u
t
s
central
dans
deux
dortoirs
du
lycée
de
Dimanche aprèa-midi, de nombreux traBreet avait eu raison d'écarter le délit
Voilà la vérité rétablie.
jeunes
filles.
vestis
circulaient en ville dont lea raea
d'outrage dont les éléments n'exisM
M
.
Laneien,
Fenoux,
Guillemot,
Le
retentiasaient
de lenrs chants ot cris joyeux.
Service
det
eaux.
—
Pour
donner
satistaient p u , mais qu'il n'avait pae été
Bail, lénateun,
et MM. Bouillouar faction anx pétitionnaires, le Conseil dé' Sur les boulevsrds, nne fonle particulièrelogique jusqu'au bout : see considérants
Lafont, Daniélou tt Le Louédcc, dépu- cide 1s créstion d'nne borne-fontaine su ment . d e n s e de promenenra aaaiatait, amuindiquaient bien que lo délit do diffamaté ts ont retu la lettre tuivanlt du minilire centre de l'agglomération du cotean du sée, au va et vient continuel de la broyante
Comment un Républicain peut-il de l'Intérieur :
tion e t d'injures envers un citoyen
maacarade.
Fragy.
chargé d'un service publie, prévu par la doanor au Citoyen uao prouve do
Vons aves bien voulu appelé mon attenServiee d'incendie. — Le devis estimatif
Reoette munloipale. — Le maire a
loi BUT la presse, no pouvait pae noa u sympathie ?
tion sur les dommsges subis par suite de de la dépense pour l'orgsnisstion du ser- l'honneur d'informer le public que le receEn aidant à sa diffusion, oa lo calamités publiques en 1928 par le déparplue être retenu. Lo tribunal no devait
vice d'incendie est approuvé : il autorise veur municipal étant en congé de maladie,
pas se déclarer incompétent, mais faisaat connaître à sos avis ot sur- tement dn Finistère. l'achat d'nne auto-pompe, les travanx d'a- les opérations de recettes et de dépenses
acquitter. » Kn conséquence, l'avocat tout oa 8'A. "BOKHA.KT.
J'ai l'honneur de vons faire connaître ménagement de l'abri de l'auto «pompe, intéressant la commune seront effectuées
»
général demandait 1'aoquittemont du
qne la commission interministérielle char- l'achat des effets d'équipement et sollicite provisoirement par le receveur de l'hôpitslgée de répartir entre lei départements le de l'Etat et dn Département ane subven hospice.
prévenu, ce que la Cour confirma surcrédit ouvert par la loi dn 18 janvier 1929 pour tion, en raison des seconrs éventuels que
le-champ.
Le buresu de ce dernier se tronve dans
p s a r loo t e n e t l e n a p u b l i q u e s
la reconstitution des capitaux détruits par le nouveau service peut être appelé à por- les dépendances de l'hôpital ; il est ouvert
Nous nous attendions à cette déciles cslsmités publiques en 1928, a proposé ter anx communes suburbaines et de la de 9 h. à 11 h., et de 14 h. à 16 h. 30.
Ingénieur géomètre adjoint au service du
sion. C'est pourquoi noue avions ded'allouer
à ce département une subvention valenr et du nombre des édifices sppartemendé au Parlement do reprendre le plan de Paris. — Concours ouvert à partir de 676.000 fr.
Cimetière Saint-Loula. — Le maire de
'•
nant au département se trouvant en ville
du 16 avril 1920 ; délai d'inscription : 23
Quimper
porte à la connaissance de ses adprojet de loi déposé par M. Guist'hau, mars 1929 ; âge : 22 à 80 ans, plos services
Je mets à la disposition du préfet' un Subvention. — Un complément de subministre de l'instruction publique, le militaires ; traitement de début : 12.000 fr. crédit d'égale somme qui sera réparti p u vention de 1.000 francs est slloné à la So- ministrés qu'il procède actuellement à la
revision des tombes du cimetière St-Lonis.
26 février 1912, qui dit :
plus indemnités. Aacnn diplôme exigé.
les soins de la commission dépsrternentale ciété La Maternelle.
Les famillea poaaédant des concessions
spécialement
chargée
de
cette
répartition.
Artiole premier. — Quiconque, par
Conducteur des travaux de Paris. —
La Criehe. — La société privée, la srrivées à expiration sont priées, dsns leur
Je suis henreax d'avoir pu seconder le
violenoes, menaces ou abus d'autorité, Date : 28 avril 1929 ; délai d'inscription :
Crèche de Quimper, sitaée, 22, rae Jules- intérêt, de les renouveler sans délsi on de
aura déterminé les père, mère, tuteur 23 mars; Age : 20 à 30 ans, plus services mil* bienveillant intérêt que vous portez stjx
Noêl, demande la mnnicipaliaation de cette faire enlever les croix, entourages et tous
ou personnee ayant charge de l'enfant Mires ; traitement de début: 10.600 fr. plus victimes des calamités publiques de 1928 et
œuvre et s'offre à céder tout son agence- objets leur appartenant.
indemnités.
Aucun
diplôme
exigé.
vous prie d'sgréer, etc...
à retirer cet enfant d'une écolo primaire
ment et matériel Moyennant le veraement
Commis
de
1'*
classe
des
dousnes
et
Cet avis s'sdrasse également anx famillea
publique ou à l'empêcher de participer
Le miniitre : A. TARDIEU. ,
par. la ville d'une somme de 6.000 francs.
qui ont dea tombes sans concession depuis
aux exercices qui y sont réglementaire régie de l'Indo-Chine. — Date : 2 juin 1929 ;
En attendant la réalisation dn projet mu- plus de cinq ans.
ment imposés, sera puni des peines délai d'inscription : 3 avril ; âge : 20 à 80
ans, plus services oivile en France ou i la
CONTRE LE « CROUP »
nicipal avec Goutte de lait dans un local
prévues aux articles 479 et suivants du colonie ; traitement de début ; 8.600 fr.
Conoert. — La musique régimentaire
De nombreux cas de diphtérie (croup) spécislement construit et sménagé i cet
Code pénal.
pins 8.658 piastres. Licence oa divers titres nous sont toujours signslés sur divers effet, l'assemblée décide de mnnicipaliaer donnera un concert dimanche prochain 17
Art. 2.— Sera punie des mémos peines exigés. Concours ouvert en France.
points du département.
la crèche privée précitée et fait siennes mara, de 15 à 11 heures, sur le kioaque
du Champ-de-Bataille (aoas les halles en
toute personne qui, ayant pénétré dans
Vérificateur stagiaire à l'Office national
La diphtérie est nne maladie gravé, très les dépenses précédemment engagées an css de plnie).
les locaux soolaires, troublera le fonc des assurances sociales. — Date probable :
compte de cette œuvre.
facilement évitable.
En voioi le programme :
tionnement régulier do l'seolo.
jainou juillet 1929; âge: 21 à 80 ans; traiAprès avoir discuté quelques antres peToua
les
médecins
traitants
penvent
vacAnimé dn même esprit, M. Daladier tement de début : 10.000 fr. plne indemnités. ciner tous les enfants de plus d'un an, tites questions, le Conseil s'est réani en Le P'tit Quinqnin, air lillois., Mastio.
Brevet élémentaire ou 1'* partie du Bacca
Les Muses, ouverture
Andrieu.
avait rédigé un texte analogue dans son lauréat exigé. Dames admises à concourir. grâce à l'anatoxine, que l'on tronve chez oomité seoret.
Lee Refrains du Bsrde Th.
projet sur la fréquentation scolaire, déRéunion du Oomité Radloal-8oolaRédacteur des msnufactures de l'Etat et tons les pharmaciens.
Botrel.
Demenle.
Demandes, sans retsrd, à votre médecin llete. — Les membres du Comité républiposé lo 19 déoembro 1925 et repris par contrôleur-adjoint de culture du tabac. —
Lea Cloclea de Corneville, fant. Planqnette.
M. Horriot lore de son dernier séjour Date: juin 1929; délai d'inscription : 6 msi; habituel d'immuniser vos enfants, qni se- cain, radical et radical-socialiste de Quimper Whip's gallop, galop du fonetâ g e : 18 à 30 a n s ; traitement de début: ront et resteront sinsi réfractaires i cette et des environs sont priés d'attitter
tan»
rue do Grenelle.
teur...«.,
Demenle.
10.000 f r . plus indemnités. Baccalauréat maladie pendant 10, 12, 15 ans et ssns •faute, à la réunion du Comité qui aura lieu,
La déoision do la Cour d'Appel de
Saint
an
85*,
défilé
Petit.
exigé.
doute plus.
le Samedi 16 Mars eourant, à 20 heures,
Rennea vient à point pour rappeler aux
Tournéee Oh. Baret. — C'est ssmedi
Attaché de Chancellerie. — Date: 1** juildans nne des salles dn Gymnase municipal,
lalquee du Parlement la nécessité d'une let 1929 ; délai d'inscription : 1» au 10 avril
prochain 10 mars 1929, sn Thé&tre MuniciSOCIÉTÉ HIPPIQUE
D'ÉLEVAGE
Prétenee abtolument
inditpentable.
législation qui manqua dans la loi orga- 1929; âge: 22 à 80 ans, ou 81 ans, pour Iss
pal, que lea Tournéea Ch. Baret nous donDU SUD-FINISTÈRE
Le.Secrétaire, G. Quénet.
neront « Le Goût dn Vko », le grand auccès
nique do 1886. Il oet à penser que si l a candidats ayant été mobilisés. Traitement
La Société hippique d'élevage da SudLigue dee Droite de l'Homme. — La de la Comédie Française, avec l'admirable
provocation aux grèvee soolaires H t de début : 9.000 fr. plus indemnités Bacca Finistère porte à la connaissance des élelauréat ou diplôme équivalent exigé. :
section de Quimper se réunira le 20 mars, interprétation que l'on sait et qui comprend
licite, avant peu noue verrons l'extenveurs que les concours de poelsins et pou- à 20 h. 30, au Gymnase.
entre autres comédiens bien connue, M.
Inspecteur départemental dn travail. —
sion do colloe-ci pour doe motifs les plus
Paul Bscoffier, si apprécié dn public de
liches auront lien :
Ordre du jonr : Causerie dn Secrétsire :
Date : 24 juin 1929 ; délai d'inscription : 1«
notre ville.
divers. Bst-oo cela que veut l e Parle avril 1929 ; âge : 26 à 36 ans, plus services A Carhaix, le mardi • avril, à 9 heures ;
L'organisation de la paix.
Partout le auccèa de cette comédie soument?
de
guerre
;
traitement
de
débat
:
14.000
fr.
A
Bannalee,
le
jeudi
11
avril,
à
8
h.
1/2
;
8. O L A Y .
Pète dee l o o l e e . — Le comité a fixé risnte, d'nne si savoureuse gaieté, est implus indsmnités. Lioenoe oa divers titreo A Quimper, le vendredi 12 avril, à 14heures; aux samedi 1** et dimanche 2 juin la fête
mense.
exigés.
AChâttaulin, le ssmedi 1) avril, é 8 heures ; des écoles de 1929.
Etet-elvll du S au 12 mare 188S. —
Les personnee qui ééelrent d e t renseiLe montent des subventions est le suivant;
Les bénéfices de cette fête — qni est pla— Pierre Yfin, rue Saintgnements sur l'un dss emploie ou aonoours Subvention de l'Etat.
30.000 fr. cée sous le hsut patronage de MM. Mage, Naittancet.
ci-dsssus ou ser un examen quelconque Subvention du département.... 24.445 fr. préfet du Finiatère ; Prévôt, inapectear Françoia, 13 ; Noël Le Brun, rue de i'hoail Ut Ê9tUM M Jê»r§êl
«MM
penvent s'adrasser de notre part à M. HouEn outre, une somme de 1.500 francs est d'académie et Ed. Mènes, msire de la ville piee ; Marie Siourm, chemin du halage, 28 ;
m w n f ur Urt m*tÊé tt
bêta.
deville, directeur-gérant de l'Orientation
de Qaimper —seront exclusivement deatinâe Charlea Cariou, avenue de la gare. 33 t e r ;
Professionnelle, 108, rue Erlanger, Paris mise à la disposition du jury par la Société aux œuvrea poataeolaires.
Yvonne Floc'h, rue de la Providence, 42 ;
(16*), qui leur répondra à titre absolumsnt hippique»
Renée Labory, rue Jean-J&urèa, 12 bia ;
La
réunion
de
M.
Paul
Feure.
—
La
Les
engagements
seront
reçus
dès
maingracieux.
H BON W T > M *
R*T
Jean Toularastel, Allées de Locmsria; Msrie
Joindre un timbre de 0 fr. 60 et ne paa tenant; les adresser an secrétariat de la réunion, organiaèe dimanche par le par
Guirriec, rae Bonrg-les-Bourgs, 51; Jesn
sooialiste
(S.
F.
I.
O.)
aux
halles,
avait
attiré
Sauf en ses dt/ortt
mëjeure, U Idk oublier de mentionner : en qualité de leo- société, 18, rue Jules-Noél, à Quimper,
Luoas,
me du Chapeau-Rouge, 80 ; Silane
Quimper une nombreuse assistance«
i'Mton
ne donne * gfner
f»'«» Wfc* teur dn « Citoyen » A Qaimper.
M
LA DÉFENSE LAÏQUE
A qniii la loi
foi tmpéehara II désertion
de l'école publique ?
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Républicains !
EXAMENS
Nédélec, me Amiral de la Grandière, 9 ;
Henri Marchand, rue Saint-Marc, 5.
Décit. — Marie Gnichaoua. journalière,
59 ana, célibataire, rue Saint-Mathiou, 4 ;
Joaeph Cogant, meunier, 73 ans, veaf
Cosquéric, rae de l'hospice ; Pierre Lsrnicol, chapelier, 43 ans, me de l'hospice ;
Marcel.Le Pape, 6 mois, rne da Gaéodet, 6;
Alexandre Arion, perruquier, 78 ana, venf
Merrien, rne de Kerfenntenn, 9 ; Charles
Urvois, employé de chemin de fer, 27 ans.
Venelle dn Pain-Cuit, 5 ; Ma*ie Bernard,
85 ans, veuve Gouérou, rue de Thospice ;
Marcel Pichavant, peintre, 32 ana, me' de
l'hoapice ; René Le Berre, 77 ans, éponx
Faro, rue Bourg-les-Bourgs, 34 ; Josèpho
Csp, 79 sns, venve Quêau,raede l'hospice.
Publicaiiont
de mariage». — Robert
Ksplan, employé de commerce, dom. à
Paris, et Roaine Rolland, s. p., dom. à
Qaimper ; Guillaume Le Fer, ébéniste,
dora, à Qaimper, et Marie Madec, couturière, dom. à Saint-Martin-dea-Champs.
Nous rappelons à nos Lecteurs
q u e l'Imprimerie
du
Journal l e C i t o y e n
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HOMMES • B i V E l • «àBÇOfWVETS
Pou«rntn«z
La IVII-OarAmea—Quoique favorisées psr
nn tempa exceptionnellement besn, les fêtes
de la Mi-Caréme n'ont paa conna, à Douarnenez, leur auccèa habituel.
Beaucoup, beaucoup de mondaraeDuguay-Trouin, maie bien pea da traveatia.
Ce n'eat qu'à la nuit que lea masques furent nombreux, auaai il y avait nn entrain
endiablé dans les cafés et les dancings.
Ligue des Droite de l'Homme. — Les
membres de la Ligue des Droits de l'homme
et dn citoyen sont priés d'assister à la réunion qni aura lien mercredi prochain, 20
mara, à 20 heures, salle Claqain.
Ctat-olvll. — Naittancet : Hagène Mer,
éi. rua da Plomarch ; Michelle Le Quer,
8, rue A. France; Charles Sellier, rae Docteur Peagam ; Y »es Le Doaré, 1, rue do
l'Abattoir ; Olive Raoul. 13, rae da la Marine ; Emmanuelle Le Gall, rue Grivart ;
Renée Jugean, 17. rae Traverae SainteHélène ; Roaine Le Moan, 9,raede l'Observatoire ; Marie Stéphan, 12, m a de la
Marine ; Roger Cornée, 1,raedes Gnettenrs : Olive Marjonx éO, rae Monte-anCiel ; Jean Lonbootin, 69, rae J.-Janrèa ;
Andrée Boaaer,raeVoltaire ; Jean Bosser,
rae J.-J. Rouaaeau ; Hélène Savina, m a
L. Paatenr ; Françoise Gsrrec, 48, rne
Plomsrch ; Marguerite Savina, 6,raeEspérance ; Jean Chancerelle, 12, rae JeanBart : Anne Hascoét, 19, rae dn Pont ;
Marie Diler, U , rae dea Gnetteara; Suzanne Soordia, rue Berthelot ; Jean-Mario
Bslbéoch. 9, rue' Boudonlec ; Andrée Gnichaona, 38, rae Dugnay -Tronia ; Odile
Brélivet, me Sainte-H alêne.
Publication!
de mariage» : Eugène
Arhan, 2* maître mécanicien, et Fernande
Léon, a. p., à Brest; Théodore Morvan,
chef mécanicien à Nantea, et Marie Morvan. a. p. à Douarnenez.
Décèi : Thomas Gloaguen, boulanger,
80 ans, veuf de Julie Trocmé, 30, rae de la
Marine ; Marcelle Scordia, 28 ana, 60, rae
Dugaay-Tronin ; Maria Le Penaec, 71 ana,
venve de Nicolaa Michel, 33, rae E. Renan ;
Paul Le Gouill, 2 ana, rae Amiral Courbet,
4 ; Jean- Marie Le Beacond, 70 ana, époux de
Aune-Marie Berlivet, place E t . Vaillant;
Marie-Jeanne Carion, 71 ans, éponse de
Jean-Marie Moênner, rae Monte-an-Ciel,é;
Ernest Le Jeune, mennisier, 69 ans, 16,
rue Saint-Michel ; Maria Stéphant, 79 ans,
veuve d* Athanase Qnéinnec, place SaintJean ; Tvea Cajean, marin, 8é aas, éponx
de Marie-Anne Haacoét, 13,raeDucoaêdic ;
Marie Haacoét, 81 ana, èponae de Jean
Peuziat, 13. rae Berthelot; Marie-Jeanne
Perrot, veuve Cogan, rae Monte-an-Ciel,
19 ; Yves Le Guen, marin, 68 ana, éponx
de Marguerite Haacoét, 74, rae de Plomarch ; Pierre Buannic, boulanger, 6 t
ans, époux Marie-Jeanne Haacoét, 24. rae
Monte-au-Ciel ; Suzanne Scordia. 3 joura,
rae Berthelot ; Marie Anne Quéinnec, 88
ans, venve de Jesn Guéguéniat, 19. rne
Saint Jean ; Marie-Anne Bidean, 80 ans,
veuve de Alsin Darchen, 4, rae da Centre ;
Eadoxie Gonrmelon, 81 ans, venve de JeanPierre Le Moan, 18, rne Berthelot ; Marguerite Blachier. 55 ans, épouae de AnKuate Diligaut, Si, rue du Môle ; Marie
Féehant, 75 ana, veuve de Airien Quinquis,
14, rae Obaervatoire ; Françoia Savina, 24
ana, 56, rne Duguay-Trouin ; Erneat Probeateau, 72 ana, repreaentant de commerce,
éponx de Rosine P e n n a m e n . 1?, r a e
Oa-
guay-Tronin ; Yves Celton. 89 ans, veaf de
Anne Le Boaaer, 8, me La'ènnec ; Anne'
Marie Berlivet, 65 ans. venve de Jean«
Marie Le Bescond, 19. me Monte-an-Ciel |
Marie-Anne Craff, 78 ans, me Traverse
des Maraonina.
Hiditrns
La oavaloade. — Un beau soleil prlntanier a prêté à la fête de dimanche aprèsmidi son précieux concoure ; ausai lee quais
regorgesient de monde lorsque le cortège
de la reine d'Ys s'ébranla.
Après tvoir parcouru 1M priaoipeleé M*
L I
téres de la ville, la bella cavalcade ie disloque pla«e de la Liberté al l'on ae dirige vera
le bal d'enfante costumés. Là encore, saccôs
complet. Plue d'une cinquantaine de petit«
charment le publie par l'originalité on la
beauté de lenra travestis.
Une ampia distribution de joaeta, ballon«,
friandiiea, vient lea i¿«ampenaer.
Paie la cortège dea enfanta «ait la raine
d'Ya jnsqa'an vin d'honnanr aervi à l'hôtel
Lapon«.
Un dinar rénnit la comité, la reine et aea
demoiaellea d'honnanr à l'hôtel Le Boor.
La aoir, an bal, c'ait 1« cohne, aalle YannNibor ; à minnit, lea maillenra traveatia «ont
récompenaéa. Mme Qaéré lit le palmarès et
remercie laa organiaatenra de la fôte et lea
laaréata.
Syndloat de l'Enseignement. — On
noua pria d'intirer : Tona lea inatitnteara at institutrices da canton de PontCroix aont cordialement invitéa à assister
la jendi SI mar«, à la réanion organisée, à
10 h. 30. aalle da la Mairie, à Andierne,
par le Syodiaat de l'Enseignement en vne
dea élactiona an C. D.
Plojasfol-Sainf-Ctrmtin
Aooldont. — Dimanche, vera 15 henrei,
Adolphe Boénnec, cnltivatenr i Kerdreanton, an Plogaatel, quittait à bicyclette le
bourg da Plogaatel pour rentrer char lui
par la routa da Pouldreuiic. Il descendait
à bonne allure la côte du bonrg quand,
arrivé an virage de « Corn tro Per Beat »,
11 freina pour ralentir, maia le frein «anta
at Bofinnec tomba lourdement, ae faiaant
dea bleaanrea aana gravité an viaage, mais
•ériraaea an braa gauche.
Ptaévcf
Etat-olvll du mol* do Février 1929.
— Naittancee : Urbaine Péron, à Corngad ; Joaeph Cola, à la Trinité ; Germaine
Kéronrédan, à Brumphues ; Jean-Pierre
Daden, à Pen-ar-Pont ; Simone Sinon, à
Kérongard-Nabadèa ; Suzanne Le Quéré, à
Mènes* Kerhaéron ; Jaaanina Boaser, à
Corngad.
Déeit : Odette Galla, à Kerhat ; Anna
Kéronrédan, à Porzembróval ; Anne Ploahineo, à la Trinité ; Marie Jaouen, à Kergofi ; Christophe Cabillic, à Lesploxévet ;
Marie Le Corra, à Kerbinou.
Mariagt» : Raphaël Bourdon, cultivateur, dom. à Plozévet, et Jeanne Le Qaéré,
cultivatrice, dom. à Plozévet ; Yvea Julien,
cultivateur, dom. à Plozévet, et Maria-Anne
Tannoa, cultivatrice, dom. à Plozévet.
pouldrtuzlc
Syndloat do i'eneelgnement. — On
noua prie cFineirer : Lea inatituteura et
laa inatitntricea du canton de PlogaatelSaint-Germain aont cordialement invités i
aaaiater à la réunion qui auia lieu à Pouldreazic, le jeudi 21 mara, à 10 heurea du
matin, aalle Anatole Gaichaoua. Cette
réanion eat organiaée par le syndic»! de
l'enseignement en vne dea élactiona au
conaail départemental.
Ponmtrch
Noyé. — La eadavra de Jacqaaa CoTc,
ét ana, marin-péchenr à Kêrity, a été repêché la aamaina dernière.
L'enqaéte a démontré que la mort de
Colo eat pnrement accidentelle.
Brftc
Défonao laïque. — Aprèa avoir étudié
laa rapporta aur la nationalisation de l'enseignement et la fédération dea ceavraa
lalqaea an vne da coagrèi d'avril à Qaimpar, la baraaa da la aeotion de D. L. a arrôté
l'action prochaine dana le canton. Oatre la
parution du ChannadikRu qai aera asaurée.
le buraaa .mettra aar pied pluaieura réuniona
(dont deux dana dea hameaux), ana aéance
récréative, nne proifaenade acolaire, etc etc.
On na chômera pas encore celte année à
l'activa (action ¿a Briec.
GUIMPERLÉ
Ut tolre doa Vlalllaa. — C'est Inndi
prochain 18 mara qoe ae tiendra à Qaimperlé la grande foire annuelle dite foira dea
Vieilles.
On sait qaa cette foira attire chaque année
à Quimperlé ano grande aiS nonce.
5««lr
KUt-olvll daa mola, da Janvlar a t
févrlor. — Naittancee : Anne Rtvier, de
Kerneaeop ; Yvea Bourvic, da Kerzao ; Jean
Le Des, 4a bonrg; Théophile Silsua, de
Kerneaeop ; Eulalia Gloanaa, dn bourg ;
Jeaa Boalben, da Keraaqnan ; Marguerite
Christien, da la Boiaaière ¡ Félicie Le
Penda, de Crémenet; Yvea Poatic, dn bourg ;
Maria Vaaaear, da boarg ; Yvea Salaün, de
Kergoalar ; René La Monaonnac, de Cleumerrien s Looiae Pérèa, de Coatconrant;
Maria-Thérèae Deriien, dn bourg ; Marcel
Berthelot, do Coadry ; René Solliec, de
Kervellennsc ; Marie Trégnier, de Cleumbenx ; Maria Le Gall, de Pontigon ; Marie
Huet, de Kergoe ; Yvette Carnot, de Kervégant.
Mariage» : Jean Rion, de Roabic, et
Marie Pieitonr, de Guerloc'h ; Jean Miniou, de Gniaoric, et Jeanne Moyaan, de
Kergniny-Donr ; Bertrand Talleo, de Kerneaeop, al Françoiae Bonlic, de Kergroac'hVraz ; Pierro Monfort, de Kervir, et Marie
Bourriquen, de Quéron ; Jean Kersulec,
da KeranglaTe, et Anne Monfort, de Kervir ; Jaan Kervabon, de Keracoff, et Hôlôae
Fleiter, de Kerfrontal ; Françoi» Rouat, de
Neusioa, et Marte Guillou, de Pont-Lédan;
Guillaume Ronzic, de Parcoa-Royal, et
Françoise Guillou, de Gaerloc'h ; Jean
GoarU, de Livinot, et Marguerite Le
Boarhia de Kergaonén; Michel Le Bonrhis,
de Kergaonén, et Marie Taéron, da Kérancalvez ; Jean Monaonnac, de Kergoff, et
Marguerite Jamet, dn boarg ; Jean Le
Bihan, de Plongner, et Marcelle Derrien,
du boarg ; Jean Mévellac, de Coiay, et
Marie Le Bihan, de Goarem-Vraa ; Henri
Le Bec, de Fietk, et Helène Derrien, de
Boainn ; Henri Le Bec, du bourg, et Mario
Ntvéilon, da bourg ; Loaia Le Gall, do
Koig(Oac'h-Vian, et Anne Le Drenn, de
Kernevel.
Déoil* — Isabelle Le Benx, épouae Thilmotte, da boarg; Françoise Le Naour,
tsaveKoiunei, da Yodan; Maria La Biaisa,
veuve Robin, d» Logegaor; Marie-Louiae
Le Cœnr, veuve Merdy, du bourg; Françoise
Gourlay, veuve Troalen, dn bourg ; Louil
Sioquin. ¿poux Le Corre, de Kerzéré ;
René Sinquin, de Cleumerrien ; Marie
Porodo, du Moulin-du-Due ; Louia Boulidor, de Pont-Lédaa ; René Geatin, veuf
Bizien, époux Bochard, de Kerloa; Maria
Priol, épousa Jambon, de Pontigon ; anonyme Le Bec de Kergoaler ; Marie Ola,
veuve Le Benx, de Kergoff; Renée Pendu,
du bourg; André Le Dez, du Bourg ; Jean
Piriou, époux Bochard, de Payaou ; Henri
Qaéméré, de Guéroué ; Yvoa Héliaa, veuf
Jxffré, de Log*gaor; René Le Corre, de
Kervéguen ; Jeanne Le Braa, épouse Bernard. de Coadry ; Louia Prat, époux Prat,
de Pont-Lédan ; Jean Barel, veuf Billard,
de Logepiince ; René Le Monsonnec, de
Cleumerrien ; Marie Gourlay, veuve Le
Bourhis, de Kerzonara ; Barbe Péron,
épouse Gourlé, du bourg ; Jean Lauréat,
veuf Paetoch, de Stang-Bodilin ; Marie
Bihan, éponse Tallec, de Kerlan ; Joaeph
Le Meur, époux Pendu, de Kerninon ; Jean
Le Forte, époux Picou, du bourg; Françoiae
S«l»ûu, veuve Piriou, dn bourg ; Marie
Maurice, veuve Le Naour, de Leinthéo;
Françoia La Bonrhis, veuf Solliac, de
Gaervian ; René Tonlgoat, veuf Bochard,
de Kerbrébel.
CfcTOtIÚI
vache, de 1.200 à 1.300 fr., voire même
1.400 selon poids et qualité... Les vaches
P o u r la peraonnal des tabaes. — plua fortes vont parfois jusqu'à 1.500 fr.;
Nous avona publié en aon tempa la lettre pour les moyennes du Finistère-Sud, du
par laquelle M. le doctaar Guillemot, séna- Nord et des Cdtes-dn-Nord de 1,500 à
teur, appelait l'attention da M. le Ministre
1.600 fr. la pièce et, les plus fortes, région
des Financea sur lea revendicationa du personnel des manufacturaa dea tabaaa en gé- de Lesneven, jusqu'à 2.200, voire même Atelier d e réparations — Bevle «ratait* — Travail garanti
2,500 fr., ce dernier prix exceptionnelnéral, at celle de Morlaix en particulier.
Feoraltare* générale*
Nona sommas heureux d'insérer aajour- lement dépatsé.
Pour les ehevaux, o'est le calme, toud'hni la réponse qui vient da parvenir, à
tefois comme toujours, les bons tiennent
ce sujet, à M. Guillemot :
<( Monsieur le sénateur,
leur prix. Une bonne jument se paye
4 4 , Quai ¿ 9 l ' O d o f , 4 4 , QUIffifER »
Téléph. 4.60
« Vous avez bien voulu me faire aavoir encore de 4.000 à 4.500 fr., et un bon
que voua voua intéressiez à la queation de entier 5,000 à 5.500 fr. A ce dernier prix,
l'augmentation dea aalairaa des ouvriers de le sujet est déjà du cheval épais, du liROUGE 230 F. l'H* BLANC de raisins M. 8«5 : 270 fr. Port, régie
la manufacture dea tabaca de Morlaix.
monier,
fût compris. Beanx 10a et I I a Saar, »rix réduite. 2 Ech. 3 F. — Vin*
« J'ai l'honneur de voua faire aavoir que,
Lea veaux, selon les marchés, cotent
vx. rouge, roaé, blanc pr. bout. CHATEAUNEUF DU PAPE vieux 11 F*
par una récente décision, M. le Ministre 2 fr. 50 à 3 fr. 25 la livre sur pied ; les
.la bout, par caisse Si Fco gare aoheteur. Mme Jane CAVALIER*
des Finances, approuvant les propositions
à CAVAILLON (Vaucluae).
porcelets 120, 150 fr,, et même 180 fr.,
qaa je lai avaia aoumiaea en l'objet, a fixé
aux chiffrea suivante lea nonveaax salaires selon qualité et région ; le gras, 4 fr. 25,
journaliera, applicables aux ouvriera hom- 4 fr. 50 la livre nette.
Pour les heibagdres, aucun prix bien
mea dn cadre de la fabrication dea manuferme
encore maia, pour avoir de la
facturée de tabaca et d'allumettea, aavoir :
« Travaux courante : SO francs, 32 fr. 40. belle herbagére, il faut encore dépasser
« Travaux péniblaa : 32 fr. éO, 32 fr. 52. 1.000 fr.
Société Mutuelle de Capltallaatlnn
« Cea salairaa, qai aont applicablea avec
Les bôtes grasses, en vaches du Finisau eontréle de VBtat)
(Entreprite
pritie attujtttie
effet rétroactif à compter du 1* octobre tère Nord, cotent de 1 fr. 50 à 2 fr. ; les
1927, ne comprennent paa l'indemnité de bons taureaux et bons bœufs, 2 fr. à
Siège Social : S, B u R a e l a e — NANTES
réaidence, variable auivant les localités.
2 fr. 25 la livre sur pied, les meilleurs
A la sous-préfsoturo. — M. Jean Dan« Veuillez agréer, etc...
Darée da Dnréa da
jusqu'à 2 fr. 50, exceptionnellement auban, sous-préfet de Chàteaulin, est nommé
contrat
paiement
Titres émis
aoua-préfet de 1" classe à Vienne (Isère).
dessus ; les génisses grasses de 2 fr. à
PBaunivat-Lochrlif
M. Dauban est remplacé à la aous-préfeaTarif A
8.500 fr
Cotisation maaaaelle : S f r . . . . SS aaa
SS ans
Eduoatlon physlqua. — Nous appre- 2 fr. 25.
ture de Chàteaulin par M. Bidaux, aoua—
10 f r , . . .
—
5.000 fr
r
Aeelimatation.
nons avec plaiair que M. Tallégas, direc—
10.000 fr
—
tO f r . . . .
préfet de S* classe, détaché à la préfecture
teur d'école à Plounévez-LOchiiat, s'est va
19 ana • mois
—
5 fr.... 10 ana
TarifC
1.500
f
r
.
.
.
.
.
de paliae de la Seine.
lé ans
Tarif D
1.000 fr
—
5 fr.... 16 ana
décerner un quatrième prix sur les 158
—
25 f r . . . .
—
5.000 fr
membres de l'Bnseiguement public claaaéa
Lannidtrn
—
10.000 fr
—
50 f r . . . .
en 1928 parmi les instituteurs syant renda
IB ans
Tarif E
1.500 fr
—
10 f r . . . . 15 ana
Réunion daa « Démooratas ». — Di- dea aervices à l'éducation phjraique et à la
M
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pablica
garantis
effectaés
le
25
de
ehaqae
moia,
aa
siée«
aosial,
à
l'aida de trois
manche grande réunion dea démocratea à préparation militaire.
r a r e * e x t é r i e u r e s . — Les fers forgés, rones portant, chacnne, aar aon poartoar, toatea lea lettres de l'alphabet.
Lannédern. Toute la semaine l'agent de
Il est ramboaraé à ehaqae tirag«, et poar ehaqae tarif, an titre aar é.Sté énaia, ce qai
Noe complimenta aineèrea.
les ferrures polies, qui sont placés à l'ex- correepond à ano proportion ananelle de remboaraement comprise entre 1/3M et 1/MT
liaiaon trima dnr pour tranamattre lea ordrea et contr'ordrea qui ae auccédaient à
térieur des habitations sont très décora- (Art. 10 dea atatnta).
une allure inquiétante. Le tempa de voir
Sont aeala remboursables, les titres à jonr des cotisations éahaes.
tifs, mais la pluie, lu brouillard leur sont
passer le train et en route.
nuisibles et la rouille les attaque vite.
Dès le matin Yann avait le aourire et aa
An T I R A G E D U 2 5 F É V R I E R 4 9 2 9 , ont été rembonreés
On peut éviter cet annni et les préserver
chiqae était pins grosse que d'habitude. A
les
titres ci-après :
par l'emploi du vernis dont voici la reaa mine réjouie je présumais d'nn événeCapital
Sommo
Football>Aaaoolatlon
ment heureux dana aon clan. M'étant inforcette :
ramboaraé versée
TARIF A
mé j'appria que la veille il venait de recevoir
65 fr.
2.500 fr.
Fernaade Soalié. Café da Comneres, Laarena (Hér.).
On prend 80 gr. de tabac en poudre, S Q U
Lea réaultats de dimanche :
aea cuillera demandéea depuis nne quin2.500 —
551 —
C PW
Joachim Roax, Froidiére, par Mantmaar (H.-Alpes)...
et
20
gr.
de
litharge,
an
y
incarpore,
zaine et qui répondaient en tout point à Poule finale. — Championnat de l'Ouett
S BL
Berthe Roqaemanre, Qaartier Lamartine, Carqaeiranne
goutta à goutte de l'huile de lin jusqu'à
l'uaaga auquel on lea deatinait.
5.000 170 [Vif) i|IM,,,Mt(Mllltltl»(*tll)>tMMtl>»lillMI
A
Saint-Malo.
U.S.S.
bat
A.S.B.
2
à
1
Mme Gontz. Hétal Thiera, 49 et 51, rae Thiers, a
Bien avant l'arrivée de l'oratenr, le célèce que cela forme nne bouillie trèa
121 —
500 —
Billanconrt (Saine).
Poule de» »econd»
bre Totor, Yann avait arrosé la aalle d'un
épaiaae ; puis, tonjoura goutte à goutte, H Z F
Í85 2.500 H n r i Zeyan, 1,raeKageneck, é Sonlis (Ht-Rhin)
jua do chiqua coaleur « rham ploaz ». Comme A St-Brieuc. - S. Q. bat S. R. U. C. 5 à 1
on ajoute de l'essence de térébenthine
loojoura il était ascompagné de aon onra at
TARIF B
Matehe» amicaux
cette foia François-Marie, avec ses tradi- A Renne».— S.R.U.C. bat S.C. Baat. 5 à 2 de façon à rendre lo produit liquide.
545 1.500 —
G
D
O
Grégoire,
ISO,
rae
de
la
Madeleine,
Angara (M.-et-L.).
tionnelle galoches à lasseta pendante,
On paaae alora à travera une toile un P C O
Raymond Délas, Cháteaa Siran, Labarde par liargaax
Chem. Rannaia bat Stade Lavali., é à 0
a'était joint an groupe. Ainai flanqué Yann A Douarnenex. — U.S.D.P.-Lander. 3 à 0 peu grosse pour éviter les petits grains
495 —
1.500 —
(Girón de). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
avait l'air important et prenait dea allurea
Une combinaiaoa non placée
qna
l'on
trouverait
ensuite
sous
le
pinde chef.
Brie e centre Leadadtl
Une combinaiaoa déehae
cean.
Totor pérorait déjà dapuia nn moment
Le« Briécoia et lea Landudalaia étaient de
TARIF C
On met en bouteille.
qnand Françoia-Marie interrogea ; de quoi nouveau aux priae« le dimanche 3 mari. La
1.500 310 —
lf
me
Anne
Daffan,
ehas
M.
Tergne, St-Ciera-sar-Gie.
parle-t-il f II dit qu'il eat défendu de vendre partie ae déroulait cette foia à Landudal.
Pour employer c« vernis, on comMlle Aagnata Dagailheas, Plancher-de-Graiaae, par
de grosse« mottes de beurre moisi à cou- Bile fut auivie par n>. nombreux public qni mence par enlever toute trace de
1.500 290 —
Trémolat (Dordogne),
ches superposée«, répondit Yann avec une y prit un réel intérêt.
1.500 Mme Honorine Bérard. aax Ganea, par Ciaaac ÍGde)..
rouille
ou
de
salissure
sur
le
fer
forgé
;
belle assurance. Bravo I hurlèrent avec un
270 —
La victoire revint aux Briécoia. Partie puis on passe une couche légère avec
Brneat Dabos, Lamonjoie, par Barbotan-lea-Thermes
«nsemble touchant tous lea élèvea moutar- bien courtoiie et trèa plaiaante à aaivre.
(Gtri)
••••••iit««t*i««>tt'tii(»t««iMii(<Miiiii<s
1.500
U NP
250 —
diers. Aprèt tout pensa Yann c'est peut-être
Armand Ropart, Vieaxrille, 4 Mernel, par llanre-da— Dimanche prochain, la Jeaneaae «por- nn pinceau aaaezfinpour pénétrer par1.500 Bretagne (I.-et-V.)
>e*ee«e*ee«
ça qu'il a dit ou quelque chose d'appro- tive briécoiae «e rencontrera, à Langolen, tout. Qaand cette première couche eat
160 lime Agathe Rongier, 6S, aranas de la Répabliqao,
ehaat et puia je ne suia paa interpiètre. avec lea Lévriers, sur le terrain de Kervo. aèohe on en paaae nne seconde, auaai
1.500 —
Aariuac (Cantal)
115 L'oura avait l'air impassible. Toute son
légère.
1.500 lilla Marie-Joanne Y ven, é Plogoff (Finiatéra)
80 énergie intellectuelle ae concentrait sur un
1.500 Joseph
Roaselet,
Gendarmerie,
Tenay
(Ain).
15 H
l
p
p
l
a
n
«
a
pins
qu'à
renouveler
l'opéIl
n'y
point : comment sortir de la aalle aana aa
faire coinaer comme la dernière foia. Aussi
TARIF D
Lea couraea de ehevaux devant aa ienir ration nne fois par an environ, pour
regardait-il la porte de travera.
dana la région catte année sontfixéesaux que la rouille n'attaqae jamais les
1.000 140 Mme Madeleine Bonnet, Aadenge (Gde)
Yann avait de plue en plua la aourir* et dataa ci-aprèa :
5.000 S50 —
Pierre Casas, 31,raoJaaa-Jaaréa. Flearance (Gera)...
L J J
objets ainsi préparé».
aa chique, qu'il machait comme un bélier
5.000 —
Mme Lacie Andoay, Bpargne n* 301, á Maura (Cantal).
175 Dimanche de Pàquea, 81 mara; lundi da
qui rumine, prenait das dimension« énor- Pàquaa, 1" avril at dimanche 7 avril, LoaTARIF
B
mes. Le liquide de couleur « rhum ploaz » déao.
Maarice Gonrnay, l'Aabiniére i Martigae, par Laval
ruisselait à ses pieds et venait baigner lea
Dimanche de la Pentecôte, 19 mai, et
1.500 (MlJiOnV) •ea*oeo****eoee*eOeaeea*eoaeooeeoO«o»
galochea de François>Marie.
lundi 10: Roatrenen.
U CA
Mme
Marie
Roaaaeaa,
La
Trémaillére,
par
la
Saze-sar
La réunion terminée tout le monde ae
Dimanche 2 juin : Carhaix.
•*ee*eeeaOeeeOee«
1.500 /•••eaeeee«
Sarthe (Sarthe).
110 MORUK EN CASSOULET
rendit chez le aecrétaire sur le comptoir duDimanche 16 juin : Corlay.
quel étaient rangés en colonne de compagnie
Dimanche 23 jain : Pontivy.
Selon le procédé ordinaire, cuire avec
Pour renaeignementa et aonaoriptiona, s'adreaaer à M. Lion
VACHBRONT,
et par rang de taille toua lea varrea aalea
Même jour et lundi 2é: Morlaix.
carotte, oignon piqué et bonquet garni Directear Régional, 18, rue Jean-Maei, à Breet, oa à M. Armand OUILLBRM,
i
de la semaine. (Il parait que ce procédé a
Dimanche 30 juin et lundi 1" juillet : Saint- un demi-litre de haricotsriz,on les plus Pont-l'Abbé, poar lea arrondiaaements de Qaimper et de Qaimperlé. (On demanda
été adopté par la Maison pour simplifier la Brieuc.
courtier« et agenta, fixe et commiaaion).
petits possible.
comptabilité. La dimanche matin on compte
Dimanche lé juillet : Quingamp, QueaCouper
en
gros
morceaux
nne
livre
et
toua lea verrea salea et du coup on a le tembert.
demie de morue à chair épaisse, blanchie
nombre de consommateura de la semaine,
Même jour et lundi 15 : Vannea.
et dessalée à point. Les cuire pendant Etudes de M* JONCOUR, avoué à actuel d* Anna Nicolas, marin-pécheur,
en somme c'est simplo et ingénieux).
. Dimanche 21 juillet : Redon. Auray.
Quimper, 3, rue Louis-Hémon ; de demeurant à Kérouille, en Penmareh;
Le temps de rincer tous ces verres, nn
Dimanche 28 juillet et landi 29 : Lamballe. un quart d'heure, tempe compté depuis
Pris tant en son nom personnel qu*
M*
LE NINIVIN, avoué à Quimper,
la prise d'ébullition.
petit quart d'heure d'après an témoin oecuDimanche 4 août : Maleatroit.
comme tateur naturel et légal de Joseph,
rue
Vis
;
et
de
M*
POULIQUEN,
iaire, et l'effervescence a'empara da la Dimanche 11 août : Carèntoir, Guérande.
Ensuite, égoutter les morceaux sur un
Thomas et Antoine Donnart, ses trois
notaire à Pont-l'Abbé.
foule car lea gosiers étaient aeca. Auaai
Dimanche 18 août : Lorient.
tamis ; diviser la chair en petits escaloenfants encore mineurs, nés de son
quand le vin commença à couler ce fut une
Dimanehe 25 : Mauron.
pes en ayant soin d'en retirer peaux et
premier mariage avec Catherine Lucas ;
véritable ruée vera le comptoir, c'eat à qui
Samedi 31 août, et dimanche 1" sep- arêtes. Les mettre dans nne sauteuse avec
aurait un verre
7* M. Michel Lucas, éponx de Corentembre : Ploérmel.
40 grammes de beurre, une prise de poitine
Berrou, cultivateur, demeurant à
Dimanche 15 aeptembre : Vannes.
en
l'Etnde
Unanie bihan unanie ronn
vre, sel, s'il y a lien» et la tenir à l'entrée
A dape dre gaol » j/onn
Kergarrien-St-Gnénolé,
on Penmareh ;
et
par
le
Ministère
da
M*
POULIQUEN,
dn four pendant 10 minntea, casserole
Jtlag a garge mellou chopinadou
Pris
comme
subrogé
tuteur ad-hoe
Cyollame
notaire à Pont-l'Abbé
couverte.
Ken daraase deon gaol e vragou.
des mineurs Donnart, sus-nommés.
L
E
J
E
U
D
I
1
9
A
V
R
I
L
1
9
1
»
Faire blondir an bourre un gros oignon
Le Vélo-Club de Roipoiden organise sa
S'étant désaltérés, lea élèves moutardiers
Ayant M* LE NINIVIN, ponr avoué.
à 14 hturet
se réunirent en comité secret sons ls prési- première réunion cycliste sur pista la 21 haché, y joindre les haricots bien égout.
En
conséquence, l'adjudication de
dence de Totor. Yann lenr donna alora aaa avril. Il organiae en même tempa une téà, 2 cuillerées de parée de tomate, 5
l'immeuble
ans désigné aura lien en un
épreuve
sur
route
comportant
dix
couraea
grammes d'ail écrasé et la carotte émin- Désignation de l'immeuble à vendre :
leçon que le Chef démocrate apprécia fort.
seul
lot
en
l'étnde et par le ministère
(ditea
Coaraea
dea
dix
Cantons).
Département
dn
Finistère,
arrondisseVoilà fidèlement rapportées toutes lés pécée, Laisser mijoter 7 à 8 minutes et,
Le comité se chargera d'organiaer dea compléter avec nne demi-cuillerée de
ripéties de cette mémorable réunion.
ment de Quimper, canton de Pont- de M* POULIQUEN. notaire à Pontdéparte de : Bannalec, Scaêr, Gniscriff,
l'Abbé, 1* j e n i l 1 0 a v r i l 19«0, i
l'Abbé, commune de Penmareh;
Pont-Aven, Concarneau, Gonrin, Quimper, persil haché et 30 grammes de beurre.
14 hturet, à éteinte de feux, au plus
Brasparfs
Etaler
la
moitié
de
«es
haricots
dans
un
Dans
la
Palue
de
Kérouille-Kertidal
:
Foueanant, Coray, Rosporden.
offrant et dernier enchérisseur, aux
plat
long
en
terre,
Ajouter
la
morue
et
c
m
PORTION
On
l
*
t
n
n
a
a
é
r
*
4
»
,
Un bois an fou. — Samedi matin, le feu
La distance à parcourir aera da 20 km.
clauses et conditions du cahier des
a'est déclaré dana un grand bois situé à la pour chaque groupe de conreur. Le départ sur celle-ci, le reste des haricots. Sau- é n e**B**suud SST, donnant cette
poudrer
la
surface
de
fine
chapelure
sera donné à 11 heures du matin, ponr arpartie, des nord et midi sur chemins, charges, dressé par ledit notaire et déGarenne.
posé en son étude où tonte personne
Malgré lea aecoura apportés par la popu- river à Rosporden de 11 h. 30 à midi. Seuls, blonde, asperger eopieusementde beurre du couchant snr Thomas Lucas, at du pent en prendre connaissance, et ee en
les
coureurs
au-dessoaf
d«
vingt
ana
auront
londu et faire gratiner.
lovant sur Jean-Leuis Courrot, ayant
lation, quatre heotarea ont été détruite.
présence de M. Michel Lucas, épeux de
uns largeur moyenne dtdim neu/mètrei,
Ce boia appartient à M. Qaeinnec, no- le droit de participer à cea épreuves. Les
Corentine Berrou, cultivateur, à Kerfinales dea classés 1", 2* et 3* de ces coursea
et contenant environ v i n g t e l * q * r * * ,
taire à Pont-l'Abbé, député dn Finiatère.
ae feront sur piste, dans l'après-midi, avant
garrien Saint-Guénolé, en Penmareh,
Etude M* EERVELLA,
6i«e*e*ae«eeee**o**** ••***« ^ ^
lea épreuvea des internationaux. Cea dersubrogé-tnteur des mineurs Donnart
notaire à Quimper, 53 rue Keréon.
fluoljoaf
• l a e à p r i x , fixée par
niera aont priéa d'adresser leur engagement
sus nommés ou lui dûment appelé.
le tribunal, vingt cinq
Oavaloada. — Un comité a'est constitué le pina tôt possible aa président da V, C. A.
A. JONCOCB,
mille franc», ci
25.000 f f .
pour organiser dimanche prochain 17 mars,
aooui-lietneii.
nne cavalcade.
PAR ADJUDICATION VOLONTAIRE
Cette vente est poursuivie, en exécuau
Lea chara seront nombreux et nul doute Républicain» 1 Aboammx-voum
tion d'un jugement rendu sur requête
à la requête
qu'avec le beau temps les apeetateura ae
E nde de M* KERVELLA, notaire
par la première chambre du Tribunal
de
l'Hoepiee
eiotl
4e
Quimper
masseront nombreux anr la parcours da
Le Mercredi t O Mars ! • » • civil du Finistère («action de Qaimper)
cortège.
le 5 mars 1920, enregistré,
d 14 heure»
Le aoir, à 21 heurea, an grand bal travesti •i fnHam AbtunnOHr vos amete*
A la requête de :
PAR ADJUDICATION VOLONTAIRE
anra lien salle de l'Hôtel-de-Ville.
en l'étude
1*
M.
Michel
Donnart,
éponx
de
Marie
En l'étude
et par le ministère de M* KERVELLA
Lanvéoc
Sous la présidence de M. le Maire de Le Pape, marin-pécheur, demeurant à et par le ministère de M* KERVELLA
Kergarrien, Saint-Guénolé, en Pen- L e S a m e d i «O M a r * 1 S M , à 14 heure»
Una auto à la mar. — Une femme te
fi i
Quimper, et en présence de MM. les
mareh ;
Au bourg de PLUGUFFAN, route d*
noie. — Dimanche après-midi, l'automobile
Administrateurs et Receveur de l'hOpi2° M. Pierre Donnart, éponx de Anna la Gare,
qai fait la aerviee Telgruc-Lanvéoc staC o u r t d « i F o i r a s à% B r o t a f n t
tal-hospice de Quimper.
Bodéré, marin-pécheur, demeurant à
tionnait anr la cale-débarcadère, lorsque
Une a n a l a e n d ' h a b i t a t i o n compoBeaucoup d'amateurs n'ayant pn
EN LA VILLE DE QUIMPER, sur la Kergarrien-St-Guénolé, en Penmareh ; sée d'un rez-de^chaussée, étage *t gretout à coup le véhicule démarra, glissa
acheter s a janvier-février, voira même place des Halles, m* 17, aua î a e a e e u k l *
3* Henri Donnart, époux de Marie- nier ; avec jardin.
le long de la cale et tomba à l'ean.
à l'automne, il est possible que les prix comprenant une grande maison d'habi- LouiseJégou, marin- pêcheur, demeurant
Pour tous renseignements, a'adresser
Mme Marchadour, de Telgrne, qui se
tation et de commerce ayant sa façade
Fougères en Penmareh ;
à
l'étude.
trouvait dana l'auto, ne pnt ae dégager à montant alors rapidement, trap rapide- de 14 m. 90 sur la plaça des Halles; à l'Ile
à 1 René Donnart, époux de Marietempa et malgré lea prompta aecoura da ment môme, gênant Tes transaotions, derrière eoar eloseet en partie couverte.
Jesèphe Rioual, marin-pécheur, demeuM. Guégnéniat, commia dea P.T.T., témoin pais tant se tassera et sans doute le
La U b r t l r i o l a l q o o in « C l f o y o * »
Elevée
sur
rez-de-chaussée
comprerant à Lésannon, en Penmareh ;
eommeroe
rsstera-t-il
bon
jusqu'en
juin,
de l'accident, on ne retira de l'eau qu'un
nant
I
pièces,
cabinet,
bâcher.
K* Mme Marie Noelle Donnart, épouse litre trie rapidement toute» U» fourcadavre.
du moins si le printemps est normal.
et dt bureau», ainai
D'un
premier
étage
divisé
en
7
pièces.
de
Jean-Louis Rioual, marin-pécheur, niturtt ttolairtt
Mme Marchadour était mère de six Aucan changement sérieux sur las
qu»
tout
lia
litrtt
tlottiqutt
ai da
D'un
second
étage
comprenant
ipièoes.
demeurant à KérouiUe St-OuénoM, on
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Ayant M* JONCOUR, potu M u é .
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6* M. René Donnart, veuf en premièpeu pris, il faut atteindre, t n bonne à M* KKRV1LLA, notaire.
n e noces de Catherin* Luoas, et époux
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Le* Annonces doivent être adressée«, au plu« tard, le Mardi «oir.
de la masse agricole les bénéfices supplémentaires obtenu« par toute« ce« influences réunies : la bonne préparation
du sol, le choix oonvenable des semence«,
l'emploi judicieux des engrais, les traitements opportuns à l'acide sulfurique.
II y a quatre ou cinq ans, à l'école
nationale d'agriculture de Rennes, j'ai
pu observer deux parcelles limitrophes
assujetties à la production du blé, et
dont l'une, celle de l'Ecole, avait un
rendement représentant le double de
celui de sa voisine,
Les essais démonstratifs entrepris
dans les communes aux portes des
bourgs sont parfois accueillis avec scepticisme par les paysans, et les courageux
et intelligente initiateura, qui en ont eu
le mérite, en sont pour leurs frais.
Cette démonstration pourrait être
faite sur une vaste échelle aux abords
immédiats d'une ville, sous les auspices
du directeur des services agricoles et
avec l'aide de collaborateurs techniques,
officiels ou bénévoles.
Cette opération d'envergure s'appliquerait 4 des démonstrations applicables
à la culture du blé, de la pomme de
terre, de la batterave, etc...
Après la visite des chsmps de démonstration, le matin, une conférence suivie
d'une fête aurait lieu dans l'après-midi.
Uae notice imprimée, avec la représentation imagée des résultats obtenus,
serait dist>ibuée aux congressistes.
Et ainsi serait accomplie une œuvre
utile aboutissant à l'éducation du peuple
paysan à la fois par l'exemple fait de la
vision exacte des choses, et, par les
fôtes.
Tout ceci n'est pas un rêve décevant
ni une vaine conception de l'imagu
nation.
Le remède à la crise de la production
du blé sera le résultat d'ensemble d'entreprises et de réformes multiples concourant à un même but pour la remise
en honneur et l'intensifloation d'une
culture qui convient admirablement à
notre terre de France, qui est sans
conteste la plus belle du monde.
Georges LE BAIL,
attestants et israélites notamment. M.
Haegy et ses amis savent aussi comment
les signatures s'obtiennent.
Mais, avant 1918, la pétition eàt été
mise au panier. D'abord parce qu'on
appliquait la loi — cette loi dont M,
Haegy réclame si âprement le maintien.
Ensuite, parce qu'on ne voulait pas que,
le lendemain, de malheureux commerçants qui auraient signé la pétition,
mais négligé de pavoiser sur le passage
de la procession, fussent désignés à la
vindicte ou au boycottage des catholique«. Nous avons cru, noua, faire preuve
de libéralisme,,.
N'empêche que les « sectaires », c'est
nous.
Sous le « régime des libertés », auquel
M. Haegy semble si attaché, jamais les
Jésuites ne seraient rentrés en Alsace.
Or, ils se sont, sous le signe de « l'abjecte Marianne » (comme disent les
pamphlets autonomistes), réinstallés à
Colmar et à Strasbourg. Nous fermons
les yeux...
N'empêche encore que les « sectaire« », c'est nous.
C'est pourquoi nous aurions peut être
mieux fait de regarder depuis longtemps
les choses en face.
L'enseignement agricole, tel qu'il est
distribué actuellement en France, dans
nos écoles d'agriculture, ne répond pas
suffîiamasnt aux besoins réels' de la
masse de nos paysans ; nés grandes
écoles n'intéressent que les élites, quant
aux écoles pratiques d'agriculture, elles
pourraient CODvenir aux fils de nos fermiers ou petits propriétaires qui se destinent à continuer la carrière de leurs
parents, mais elles ont l'inconvénient
Certain orateur du Groupe agricole
d'enlever l'enfant à «a famille, de le
tenir éloigné de la ferme pendant au
du Sénat, M. Chagnaud, mandaté par
moins deux ans, à un Age où ses services
aea collègues, a préconisé, dana un rapsont particulièrement précieux dans une
port, le vote d'une aubvention de l'Etat
exploitation agricole. Elles ne peuvent
applicable à une production aupplémenêtre fréquentées que par quelques fataire de froment ou de aeigle obtenue
vorisés.
par héritage. Un recensement préalable
E a fait, il faut bien le dire, l'enseipar commune établirait le taux de la
gnement agricole était à peu près inexi».
production moyenne actuelle de chaque
tant avant la guerre, car moins de 1 */»
ferme, et, une aubvention de 150 franca
des flls d'agriculteurs passaient par un
établissement d'enseignement agricole.
par hectare de blé et de 300 francs par
Si encore les élites formées avaient pu
hectare de seigle, viendrait encourager
devenir des foyers de diffusion pour les
les heureuaee initiatives des vigoureux
autres I C'est sans doute ce que l'on
producteur«.
avait entrevu jadis, connaissant l'esprit
Mieux vaut infliger au budget une déd'observation du paysan, mais la réalité
pense supplémentaire annuelle de 300
ne
fut pas telle. C'est qu'en effet, pour
Si le
ou de 350 millions, plutôt que de verser
copier les méthodes rationnelles du
annuellement trois ou quatre milliard«
savant prnticieD, celles que l'on voudrait
à l'étranger.
voir se répandre partout, il faut posséder
Cette «uggeation eat à méditer, elle vous plait, vous avez le devoir de déjà un minimum de connaissances
peut produire d'heureux réaultata, mais le répandre autour de vous, et, techniques, de « théorie » comme on
elle ne peut être considérée ni comme surtout de lui faire de» abonnement». l'appelle avec une pointe de dédain,
pour comprendre ses opérations et pour
une panacée universelle, ni comme le
servir de fondement à une culture
remède souverain.
progressive.
L'augmentation de« droit« de douane
Point n'est besoin, sans doute, do
eet un expédient qu'il ne faut employer
devenir un savant pour faire un bon
qu'aveo circonspection, parce qu'appliOignem le» curés, donnem leur tout i agriculteur, mais l'industrie agricole a
qué sans réserve il aurait pour effet de
gogo, l'argent, le» honneur», la liberté ceci de particulier, c'est qu'au lieu de
faire monter le prix du pain.
jusqu'à ta licence, tout, et quelque choie travailler une matière inerte, insensible
ou peu sensible aux influences extérieuEt alors ?
de plut encore, et il» ne »eront jamai» res, avec des outils dociles dans la main
Eh bien, l'amélioration de notre prosati*faite ni rassasiés.
de l'ouvrier, elle agit constamment sur
duction agricole et de notre balance aliNoue reproduiront ci-après Varticle un milieu : la terre ; et avec des outils :
mentaire et économise, peut être obte»igné Jean Piot, paru dan» t'Œuvre :
les plantes et les animaux, qui sont en
nue par l'emploi généralisé de moyens
perpétuelle réaction aveo les. forces exempiriques ou de meaurea budgétairea
(( SecUlres », quand mim« I térieures, des êtres vivants et sensibles
appropriées.
Tandis que d'autres sujets attiraient dont il faut connaître les besoins et
Pourquoi ne pas augmenter les res- notre attention, la polémique engagéeI g^tibfaire les exigences,
sources destinées spécialement a procu- entre M. Daladier et Mgr Ruch se pour
Ce que le cultivateur doit «avoir, pour
rer des pièts à court terme aux agricul- suivait par une seconde lettre de l'évêque devenir un producteur avisé, ce sont la
t e u r desireux de procéder à l'analyse de Strasbourg à son contradicteur.
nature, la composition et les propriétés
Dans cette lettre — c'est ce que nous du sol : son atelier ; les éléments de la
de leurs terree et à l'acquisition d'engrais complémentaire« appropriés aux en retiendrons pour l'inatam — le physiologie végétale et animale, la naprélat conteste « que les lois laïques ture et la composition des aliments des
besoin« de leur «ol ?
n'aient pas créé de gêne à l'exercice du plantes et dés animaux, la façon dont
Pourquoi ne paa favoriaer plu« largeculte en Franoe », et énumère une série ils agissent et réagissent, comment il
ment le développement dea fosses à de faits imputables, à l'entendre, au
faut les préparer, les associer et les
fumier afin de conserver précieusement régime laïque.
employer ; quels sont les principaux
le purin et toute la vertu fécondante de
En tout cas, la France, loin d'avoir ennemis et maladies des plantes cultl
nos eiigraie de lerme ?
entrave l'exercice du oulte en Alsace, vée« et -du bétail et comment les pré<
La diminution do la paille fait que la l'a, jusqu'ici, favorise.
venir ou le« traiter pour le« -guérir. Et
Mgr Ruch sait très bien — et, «'il puis, l'agriculteur d'aujourd'hui doit
teiro de France se meurt, dépourvue
l'iguore, M. l'abbe Haegy, lui, le «ait — avoir de« idées très preoises sut le«
d'engrais,
que, sous le regime allemand, toute méthodes de reproduction et d'amt>
* a
procession hors des édifices religieux noration des êtres vivants, aur la aeleo
Mais ee n'est pas tout.
était strictement interdite.
non, le oroisement, l'hérédité, la dégé<
h lauorau iaiie, par des démonatra*
Est-ce que, sous le regime français, nerescence, Ihygiene; il doit posséder
uoii» sensationnelles, la preuve de on u eu a pan vu se derouier et, des plu» encore quelque» nouons de droit usuel,
i'acuon ués bienfaisante des engrais solennelles, a Colmar, par exemple ?
d'economie rurale, de législation, d'e
Oh I sans douie, auparavant, on avait lectuoite, de mecanique, etc., concerchimiques judicieusement diatribuea au
fait signer une pétition par tous le« nant l'industrie agricole. Ce «ont là
lOlt
Il »'agit de iindre manifest« a u yeu* 5 commerçant« - par lis commerçant« autant de chou» qu'il « t difficile
.. .
C O M M E R C I A L
Bureaux et Imprimerie, 21. lit ii Siilé. QUIMPER
La Culture du Blé en recul
Le blé reeale devant de« enlturea plu«
rémunératrice«.
Tandia que lea aurfacea emblavées diminuent chaque année, noua devenons
de plu« en plua tributairea de l'étranger,
auquel noua achetoni, au prix de 3 ou
i milliards par an, le complément dea
quantités de froment nécessaires à l'alimentation de notre pays.
No« importation« ae aont élevée« aux
ohiffrea auivanta empruntée aux statistiques récentes :
1928. 20 milliona de quintaux.
1924 30 milliona
—
1925.19 milliona
—
1926. 12 milliona
—
1927. 23 milliona
—
Que nous sommes loin des récoltes
aboadantes enregistrées de 1900 à 1905
eù la produetion nationale du blé aufflaait, ou à peu prôs, à couvrir nos besoins 1
Le fâcheux état de notre balance alimentaire influence lourdement notre
balenee économique.
.
• a
Le remède, direz-voua? On en a parlé
l'autre jour au Groupe agricole du S mat
dont je faie partie.
Puiaque le recul du blé eat motivé en
partie par rinauffi»ance du bénéfice procuré à l'exploitant, quand ce dernier
' même n'est pas en parte, il faut provoquer à la foia l'augmentation dea aurfacea emblavées dans des terres favorables i cette culture et l'augmentation du
rendement à l'heotare.
A G R I C O L E ,
Républicaine
joumai le Citoyen
BALLONS DANS LE CIEL
d'apprendre au simple contact d'autrui
ou par la lecture, pour la plupart de
nos paysans. Une initiation première,
par un maître capable, nous parait
absolument indispensable.
Ce dont le cultivateur a le plus besoin
'est bien cette fameuse « théorie » que
tant ont décriée et tournée en dérision
et dont on commence aujourd'hui seulement à entrevoir la grande nécessité.
Tous ceux qui nous écrivent ou viennent journellement nous consulter, qui
font appsl à notre science, c'est-à-dire
notre « théorie > nous disent combien
serait nécessaire de combler, dans la
formation des jeunes, cette insondable
acune dont souffrent actuellement nos
paysans les plus intelligents. La plupart
nous assurent qu'ils ont acquis à l'école
une instruction générale bien suffisante,
mais que l'instruction professionnelle
leur a fait totalement défaut. Si, aux
temps passés, le paysan ne souffrait pas
trop de son ignorance professionnelle,
il n'en est plus de même depuis la
guerre qui amena tant de changement
dans l'économie des peuples ; il faut
aujourd'hui que la routine, l'empirisme
disparaissent pour taire place au travail raisonné, méthodique et rationnel
le seul désormais fécond.
Nous n'aurons pas à nous occuper,
dans notre enseignement agricole, des
masses, paysannes, des travaux agricoles
proprement dits ; ce n'est pas à nos
maîtres, qu'il appartiendra d'enseigner à
leurs élèves la façon de tenir le« mancheron« de la charrue, de conduire an attelage, de monter une meule de gerbes ou
de foin, de panser le bétail, de traiie une
vache, de régler une faucheuse, de conduire un tracteur,etc., dans cet apprentissage pratique, l'exemple du père ou
des aînés doit l a r g m m t suffire. Peutêtre conviendra-t-il, en ce qui concerne
l'outillage agricole perfectionné, qui doit
se multiplier partout dans nos exploitations rurales, de donner au jeune homme
quelques notions de mécanique générale
et de travail du bois et du fer, mais c'est là
une autre affaire qui préoccupe justement
nos grands dirigeants et-qui s'apparente
quelque peu à la troublante question de
l'artisanat rural. Eu réalité, au siècle où
nous vivons, les jeunes gens de la campagne, comme ceux de la ville, ont un
goût marqué pour la mécanique ; ils ont
tôt fait d'apprendre le maniement d'un
moteur, d'une lieuse, d'une batteuse,
d'un instrument quelconque et, de ce
côté, nous n'avons aucune inquiétude;
nos ingénieurs peuvent doter l'agriculture de matériel moderne, mécaniquo,
électrique ou autre, nous trouverons
toujours en France des jeunes paysans
intelligents pour les mettre en œuvre.
C'est même dans cette voie qu'il faut
résolument s'engager pour pallier au
redoutable problème de la main d'oeuvre ;
demander à la mécanique de fournir
l'effort, à l'homme de travailler plus par
son cerveau que par ses bras.
En somme, ce n'est pas, et ce ne sera
probablement jamais, la pratique du
métier d'agriculteur qui manque à nos
jeunes gens, c'est uniquement la con
naissance scientifique des phénomènes
qui s'accomplissent dans la nature et qui
interviennent dans tous les actes de la
vie végétale et animale, la compréhension des grandes lois naturelles que la
science a déjà découvertes, ou celles
qu'elle découvrira ultérieurement, et qui
réagissent, quand elles ne commandent
pas impérieusement, sur toutes les opé.
rations de la production agricole. Nos
futurs agriculteurs ont un besoin pressant de notions de science egronomique,
d'enseignement professionnel et ceux à
qui incombera la délicate mission de
former la jeunesse des campagnes en vue
de l'avenir auront désormais à s'inauiéter non seulement de préparer le futur
citoyen en lui donnant une instruction
générale, civique et morale, qui en fera
un homme digne et indépendant, mais
aussi de le préparer, dans toute la mesure
du possible, en vue d'en faire un agriculteur éclairé, un esprit ouvert à la science
et au progrès.
Mais à quel âge l'enfant peut-il recevoir cet enseignement et par qui sera-t-il
donné ? Telles sont les deux premières
qneation« qui ae posent à ceux qui s'intéressent à la formation professionnelle
des jeunes ruraux et que nous traiterons
dans un prochain numéro.
L. BERNARD,
dineteur de» ter vie et agricole»
du Loiret^
Une Question anx Démocrates-Chrétiens
Le petit groupe des d é m o c r a t e «
chrétien« entreprend une grande campagne en faveur de« Congrégations.
Non pas, vous l'entendez bien, en faveur des congrégations missionnaires :
pour celles-là on considère que la partie
est déjà gagnée et qu'il n'est plus besoin
d'en parler; il s'agit de toutes les congrégations, y compris la Compagnie de
Jésus.
Par les soins de Marc Sangnier et de
ses amis, les murs de Paria ae aont donc
couvert« d'affichea réclamant l'abrogation pure et simple de la loi de 1901.
Waldeck-Rousseau fut un odieux sectaire dont il importe d'abolir sans tarder
l'œuvre néfaste.
Nous sera-t-il permis de faire observer
aux démocrates chrétiens que le public
attendait d'eux d'autres manifestations ?
L'offensive contre les lois laïques,
c'est très bien ; et nous ne refusons
certes pas à Marc Sangnier et à ses amis
le droit de s'associer sur ce point aux
campagnes de l'Aetion Franpaite et de
l'Echo de Pari». Mais ce qui faisait jusqu'à présent l'originalité des démocrates
chrétiens, c'est qu'ils se piquaient d'esprit démocratique. Contre le fascisme,
notamment, nous avons eu le plaisir de
les trouver à no« côté«. Dans l'action
paciflate, nous avons marché avee eux.
Or, ce que le publie tout entier ae
demande aujourd'hui avee eurioaité,
c'est ce que peuvent devenir les.aspirations démocratiques et pacifique« du
groupe Marc Sangnier, depuis que iePape
s'est officiellement rallié au fascisme.
Les hommes de la Jeune République
sont trop loyaux pour soutenir aujourd'hui contre l'évidence que le Pape actuel est un adversaire du fascisme.
Ils savent que M. Mussolini est devenu
miraculeusement YHomme de la Providence.
Ils savent que, d'après le Saint-Siège,
la meilleure garantie de l'indépendance
du Souverain Pontife, c'est ce qu'on a
osé appeler au Vatican le retour de l'Italie au christianisme : assassinat de Matteoti, huile de ricin, bombardement
d'une ville désarmée, envoi des adversaires politiques dan« lea lies insalubres,
tout cela eat, aux yeux du Pape, un
réveil magnifique de l'eaprit chiétien.
Lea démocratea chrétiens savent encore que, par les soina du Saint-Père,
une prière sera dite à jour fixe dans
toutes les églises d'Italie, pour demander
à Dieu non l'union pacifique des nations,
mais l'assujettissement des barbares à
l'Italie, c'est-à dire au fascisme.
Eh bien, on se demande, non sans
anxiété, comment lea démocratea chrétiens accueillent ces nouveautés.
J'ai cru d'abord que leur groupe allait
disparaître. Il ne s'y résigne pas, puisqu'il rentre bruyamment en campagne.
Mais, dés l'instant qu'il entend continuer à vivre et à agir, nous avons le
droit de lui demander quelle est son
attitude en présence de l'accord récent
entre le Saint-Siège et le fascisme.
Marc Sangnier et ses amis croient-ils,
avec le Vatican, que Mussolini est l'Homme de la Providence ?
Croient-ils, avec le Vatican, que l'avènement du fascisme en Italie esc une
merveilleuse renaissance chrétienne ?
Croient-ils, avec le Vatican, que les
nations « barbares » doivent être assujetties au Duce et à ses successeurs?
C'est à ces question« précises qu'on
aimerait les voir répondre, par affiche
ou réunion publique.
Si je me permets de les poser ici, ce
n'est pas, et ils le savent, avee une intention désobligeante. J'ai pour Marc
Sangnier, pour le professeur Rolland,
pqur mon collègue Maurice Lacroix non
seulement de i'eBtime, mais du respect
et de la sympathie. Je les tiens pour des
hommes de conscienco et de foi, champions désintéressés d'une idée genereuse
et séduisante. J'ai admiré, à certaines
heures, et leur franchise et leur courage.
Mais o'est justement parce qu'ils nous
ont toujoura donné l'exemple de la
loyauté qu'ila noua doivent et qu'il« «e
doivent une réponse claire.
Il serait indigne d'eux do nous présenter l'Egiise comme prête à se rallier aux
idées democrauques à l'heure même où
le Saint-Siège chante le« louange« du
fascisme.
Alors ?
i
Ils se disent toujours, sauf erreur, démocrates catholiques ; mais s'ils restent
fidèles au Pape allié du « Duce », comment peuvent-ils se dire démocrates? Et,
s'ils se séparent du Pape, peuvent-ils «e
dire catholique« ?
Albert BAYET.
PATROUILLES
N0IBK8
Les Congrégations autorisées
et celles nos autorisées
En ce moment on parle beaucoup
des autorisations à donner en vue de la
création des noviciats congréganistes.
On va réglementer les conditions dan«
lesquelles elles interviendront.
Mais le Gouvernement ne parle pas
des congréganistes non autorisés qui
vivent, enseignent et intriguent en
France par milliers sans qu'on les inquiète ni même qu'on s'occupe d'eux.
Tandis qu'on va réglementer la liberté
des congrégations reconnues, on va continuer i laisser la bride sur le cou aux
congrégations non autorisée« et protégée« par l'impuissance des loi«.
Et dire que c'est l'indiscipline communiste qui nous a mis dans ee «aie
pétrin 1
Ohé LU» gars 1
m
a •
— Voici laliite des neuf congrégations qui demandent l'autorisation :
1, La congrégation dite « des religieuses de l'Enfant Jésus du Puy » ;
2, La congrégation dite « le« missionnaire« d'Afrique » ;
3, La congrégation dite a Frère« ma*
ristes des missions » ;
i. La congrégation dite « des pères
missionnaires des Sacrés Cœurs et de
l'Adoration perpétuelle » (de Piepus) ;
5. La congrégation dite « Institut
missionnaire des frères de« école« chrétienne« » ;
6. La congrégation dite « Société de«
aœurs de Notre-Dame dea Apôtre« » ;
7. La congrégation dite des « Franciscains français pour les missions à
l'étranger » ;
8. La congréjgation dite «; Société dea
missions africaines de Lyon » ;
9. La congrégation dite « Société de«
missionnaires du Levant ».
Les Votes de nos Députés
>
.
Débats tendant à l'autorisatlea
dea Congrégations, adoptés par
1 ) 1 voix contre 954 :
Ont voté pour l'autoriaation : MM.
Bouilloux-Lafont, Daniélou, Inizan, Ja.
dé, Quéinnec, Simon, Trémintin.
Ont voté contre : MM. Goude, Le
Louédec, Masson.
Absent par congé : M. Bourgot.
•
••
Débats s u r l'état sanitaire de l'arm é e dn Rhin, adoptés par I U
voix eontre «4«.
Ont voté pour le Gouvernement : MM.
Inizan, Jadé, Quéinnec, Simon, Trémintin.
Ont voté eontre : MM. Goude, Le
Louédec, Masson.
N'ont pas pris part au vote: MM.
Bouilloux-Lafont, Bourgot, Daniélou.
D e plue e n plan fort
Une vague de protestations
eontre le prêtre Haegy
Plusieurs centaines de chefs de famille
d'un canton du Bas-Rhin, catholiques pratiquants, ont adressé à l'évêque de Strasbourg de vive« protestation« eontre une
déclaration qu'ils qualifient « d'odieuse »,
•ignée par dix prêtre« du canton, exprimant leur pleine confiance en l'abbé
Haegy « pour «on activité bienfaisante 4
la cauae catholique en Alaace ».
Le« protestataires déclarent que lea
«intimants exprimé« par I u prêtrea ne
correspondent en «sénat façon à « e u
L I
4« la population catholique, ardemment
françaiae do coeur al do fait.
Selon « u , l'action d» l'abbé Haegy
Mt néfaate «a point d« va* national et
naît à l'intérêt religieux.
Loa chela de famille ajoutent qu'il«
veulent suivre lea directives nationale«
données par lee évtquee et leur protestation ae termine ainai :
« Lea eroyaaeea religieuses en Alsace
ne aont nullement menaeéea par la
France et tout homme de bonne foi doit
eroire à l'assurance formelle donnée par
le chef du gouvernement.
« Dana l'intérêt de le population catholique de la vallée de la Bruche, lea
aignatairea sollicitent de Sa Grandeur
l'attribution aux paroisses du canton de
prêtres avec leaqaela ils puissant vivre
en pleine harmonie de aantimanta et en
qui ils puissent avoir confiance. »
Parole«
d e
C Ï T O Y 0
combat
l'entente entre las peuplas se rendront à
Parc, 24 ; Jacquea Guéguen, rue du Lycée, G\1I, Poul-ar-Ranet ; Jean Leroux, 68 ana,
SYNDICAT NATIONAL
Rannes le 1" avril pour aasister an Ban9 ; Louia Lozachmeur, impasse de l'Odet. cultivateur, Hôtel-Dieu; Sebastien La QuefDES RECEVEURS BURALISTES
quet de la Paix, dont le prix est fixé à
V E R S
Décè» : Marie Pétillon, s. p., 80 ans, félec,76 ans, journalier, Hôtel-Dieu; Marie
La réunion générale dea R. B. du Finis16 franca.
veuve Le Roux, rue Valentin, 6 ; Louia Sé- Labory, 67 ana, veuve Le Mao, Merville ;
tère a eu lieu dimanche 17. à Quimper.
Après le compte-renda moral et financier, vère, charcutier, 19 ans, célibstaire, rue de Clothilde Le Loch, 36 ans, époase Lousfait
par le camarade Hnrel, et qui fat ap- l'Hospice ; Marie Guiehaoua, journalière, sousrn, rue de l'Hôpital ; Pierre Kervision,
Foir toiles vos Foirnitires elassiqies
prouvé à l'unanimité, on procéda à la nomi- 79 ans, célibataire, rue de l'Hospice; Roger 4 jours, Roz-ar-Haatel ; Roger Bargain,
adressez-vous à
Nous avons toujours préconisé l'union
Lelièvre, 1 mois, rue Feunteunie-ar-Lez ; 5 jours, rive gauche ; Jean Moria, 42 ans,
nation du bureau.
de» républicain» dans les élections lé- La Llbralrlé U l q u t d u
CITOYEN
Furent élus : secrétaire-tréaorier, M. Bô- Marie-Anna Leroy, a. p., 83 ana, veuve. Roz-ar-Hsstel; Le Paps François, menuigislatives, cantonales et municipalea.
vin, de Briec ; membres : MM. Guiehaoua, Jannel, rue Haute, 2 ; Corentine Le Talec, sier, 22 ana, Hôtel-Dieu.
do Pouldreuzic ; Toullec, de Bénodet, et commerçante, 63 ana, épouse Nihonarn,
Il faut être aveugla pour soutenir et
Pouarntnoz
Harel,
de Landerneau, la camarade Hurel rue du Front, 24 ; Guènolé Baccn», corfaire le contraire dana notre départedonnier,
28
ans,
célibataire,
rue
de
la
Prodonnant sa démissian de trésorier ; délégué
Un bateau avarié. — Le dundee Voiment où la Droite unie et compacte dans
vidence, 53 ; Yves Stéphant, ancien com- lier Breton, patron Busson, étant au pert
au
congrès
:
M.
Bâvin
;
suppléant
:
M.
ses éléments divers est très forte et très
merçant, 75 ans, époux Ansquer, rue Saint- de Port-Rhu, a'eat couché aur le gril de
Comité it Défense Lalfie du Finistère Bonneau.
menaçante.
Marc, 1 bis ; Alexandrine Morelli, a. p., carénage, à marée basse, et a eu aa quille
Le
aecrétaire
prend
enanite
la
parole
pour
No» prochaine» réunion»
Jamai» la République n'a été plu»
la discussion des vœux à présenter au 75 ans, veuve Le Goyat, rue de l'Hospice, entièrement arrachée. Il a été remia à flot à
—
Samedi
23 raart, à Rostrenen etle lende- congrès.
17 ; Angélique de Coatgoureden, 94 ana, l'aide de fûts vides et dirigé sur un chsutier
menacée qu'à l'heure prétente. L'esprit
républicain eat compromis et la laïcité main matin à Callao, en vue de la création
pour réparations. La pompe aatomobile de
A l'issue de la réunion, il fat créé une a. p. célibataire, me St-Mathieu. 47.
d'an Comité de Défense laïque dans lee sous-section de R. B. anciens combattante.
Publication» de mariage» : Joseph Ja- la ville a vidangé l'énorme quantité d'eau
soumise à de dures épreuves.
Une Chambre des députés sans majo Côtes-du-Nord.
En farent nommée membrea: MM. Nicolas, lien, marin-pèchtar, dom. à Tréboul, et qu'il renfermait.
— Samedi soir 23 mars, réunion à Blliant de Caranlec ; Guiehaoua, de Pouldreazic, Marie Barré, couturière, dom. à Quimper ;
ritè et »an» bouttole
préside à nos
Lee ealalree dee employée munloiavec le concoure de Le Bec (orateur breton), et Toullec, de Bénodet.
Michel Pérennec, agent au Lycée, et Mariedestinées. Où allons-nous ?
•aile Le Moigne.
Françoise Jourdren, couturière, domiciliéa paux. — On nout prie d'intérer :
Avec un Sénat républicain, l'avenir
— Dimanche 24 mars, à 8 heures, à Coray,
à Quimper ; Auguate Daim, pl&trier, et
Parmi lea déciaiona prises par le Coaaeil
est garanti et mis à l'abri des incerti* salle Hsgaeniot. Orateurs : les citoyens
LES FOIRES DE LA SEMAINE
Marie-Louiae Toupin, journalière, dom. à municipal de Douarnenez, au coura de aa
Lundi 25 mar». — Lesneven, Brasparls, Qaimper.
tudes et des embûches.
Le Bail, aénatear, et Le Bec.
dernière réunion, denx appellent quelques
Gouézec,
Guerlesquin, Pleyber-Christ, Re>
Un tiers de la Haute-Assemblée va
— Dimanche 24 mars, à 11 heures, à Leu
r< fl xions : le vote d'un nouvel emprunt de
Etre laïque, ee n'etf pat violenter, être renouvelé en octobre prochain.
lecq (en Ploanéour-Ménez), Plogastel.
50.000 francs et le r*jet de l'augmentation
han, mêmes orateurs qu'à Coray.
ee h'ett pat mépriser let eontcience»
Mardi 26. — Saint-Pierre-Quilbignon,
de traitement demandée par lea employée
— Dimanche 24 mars, à 1 h. 30, à Carhaix.
Préparons de bonnes élections muni
H E M E R C I E M E N T 8
encore détenue» dans le charme de» cipalea pour avoir un bon Sénat répu- Orateura : lea citoyens Le Bail, sénateur, Coray, Crozon, Haelgoat, Commana.
municipaux.
vieille» croyance», c'eit re/u»er aux
Le Bec et Drapier.
Jeudi 28. — Goueanou, Plougastel-Daou
A la Chambre, lea députée communistes
blicain.
Monsieur et Madame Marcel LELIÈVRE n'ont pas cessé de reprocher au bloc natioreligion» qui pa»»ent le droit de gouLa
contradiction
coortoiae
est
vivement
lss,
Plouzévédé.
L'union entreprise et réalisée entre
et toute la Famille très touchés des nomverner l'humanité qui dure,
sollicitée, et les femmes sont spécialement
Samedi 30. — Le Faon, Plouvorn.
toutes
les
fractions
républicaines
breuses sasrqaes de sympathie qu'ile ont nal de pratiquer une politique d'emprunts.
dès
le
Erneat Lavisse
invitéea
i
aasister
à
ces
réunions.
I^i les communistes sont les mattree et
regues à la auiie du décès de leur cher petit
premier tour peut seule nous sauver.
ne pratiquent paa autrement, et leurs admi^ Le Comité
FAITES
LIRE
LE
R O G E R
Àfon détir de battre la réaction est si
nistrés verront encore monter on 1930 le
prient les personnes qai les leur ont témoi- flot de leurs centimes additionnele.
ardent que je tais tout naturellement
L'ILLUSTRATION ECONOMIQUE
gnées de trouver ici l'expression de leur
mon devoir républicain, aans regarder
A la Chambre, dana lea réuniona corpoET FINANCIÈRE
vive reconnsissance et de leura remercieni
A
gauche,
ni
à
droite
dana
mon
parti,
ratives,
dana leura journaux, lea communiâOu
sait
que
1*Illustration
Economique
ments.
La direotion de la atatistique générale
tes ne cessent de déplorer l'extrême insufde la France communique le mouvement persuadé que chacun pense comme moi. et Financière a entrepria la publication
No Vôllos LOCâleS P o m P M F™èbrss Générales, Quimper T. 3.58 fisance des traitementa dea fonctionnaires,
La lutte do classes ne m'arrête pas, d'une aérie d'albums illustrés coasacrés à
auivant de la population pour 1928 :
des salaires des employés départementaux
chaque département. Nous avens va ainsi,
Mariages : 339.014, contre 337.864 en Je ne vois que l'ennemi.
et communaux. Lea édilee de Douarnenez
1927.
A quoi bon rechercher, dans une élec dana notre région, la Loire-Inférieure, le
sont des leurs... et refusent à leurs emDivorcea ; 18.822, contre 18.487 en tion communale, quel sera le nombre Morbihan, etc. Aujourd'hui, c'est letoar du
ployés las maigres augmentationa qu'ile
Finistéie
qui
vient
de
paraître
en
nm
gros
1927.
Avla. — Nou» prion» le» pertonne» qui
des voix radicales-socialiatea? Cette cuOrfèvre
demandent.
Naiaaancea d'enfants déclaréa vivante : riosité aérait naturelle, ai elle n'était volame d'an réel attrait au point de vae ont de» communiqué» à intirer dan» le
»», r a e d u Pare, QUIMPER
Citoyen
de
vouloir
bien
lee
remettre
direcSoyons jastes : les plus modestee de ceuxdocumentaire et artistique. Qae de aitee
745 815 ; 741.708 en 1927 ; mort-nés :
dominée par un souci primordial : battre
merveilleux 1 Qae de remarquables monu- tement à not bureaux, 21, rue du Sallé. a l'honneur de prévenir sa clientèle ci sont mieux traitée, an général, qae leare
29.174 ; 28.984 en 1927.
ments, renferme ce département d'extrème- dam la journée du mardi de chaque qu'il fait pendant les lôtes de Pâques camarades du Finistère ; tons les avanceDécès : au dessous d'un an : 68.100; la Réaction une foia de plus.
temaine.
une exposition exceptionnelle d e Ser- ments ont lieu pour eux, comme pour lee
Un
recensement
de
voix
radicale»
61.817 en 1927.
ouest, rempart de granit oppoaé à la foreur
vices
à café.
»ocialitte»
ou
»ocialitte»
ne
vaut
pa»
un
plus favoriaéa, toua lea quatre ana.
Décés d'un an et plus : 607.010; 614.849
inaaaaante des flots. Ce numéro exceptionQroupe Radloal-Soolallste. — Voici
bulletin de Victoire républicaine.
Maia pourquoi, en changeant de claese,
en 1927.
nel est appelé à un grand auccés ; et nom- la composition du bureau du Comité répules sgents de police et les octroyens ne touC'est aux républicaine de réfléchir. Il breux aeront les habitante et lea touristes blicain, radical et radical-socialiste de QaimDécés au total : 675.110; 676.666 en
Ergué-ftrmtl
chent-ils qae 300 fransa de plus, tandis que
1927.
qui voudront se le procurer. Son prix pour per et des environs pour l'année 1929 :
en est temps encore.
les autrea en touchent 400 T L'égalité du
Deux
polde
e
t
deux
m
e
e
u
r
e
e
?
—
Il
y
Excédent des naissances : 70.205 ;
la
France
et
lea
coloniea
eat
de
15
francs.
Vive l'Union des Gauchea !
Prétident : M. Boulais, contrôlear-chef a quelque tempa décédait un honorable ventre, si chère à Flanchec et à aes pareils,
65.042 en 1927.
Georges LE BAIL.
dea Servicea d'aaaiatance, rue Saint-Yves, commerçant de la commune. Comme il n'existerait-elle paa ici ?
COMITÉ DÉPARTEMENTAL
Kerfeanteun ;
était propriétaire d'une salle de danse,
N'exagérona paa plua d'ailleura dana le
DES MUTILÉS ET RÉFORMÉS
Vice préiident» : MM. Drspier, adjoint- les honneura religieux ne farent accordée aena de l'indulgence que dana celui de la
n
DU FINISTÈRE
maire, rae dea Dardanelles, Qaimper
à ses restes qa'au compte gouttes, si l'on vérité.
Dastour,
professeur au Lycée, rue du Parc, peut dire. Les enterrements se divisant en
Lea élections, en vue du renouvellement
A Douarnenez, le traitement du prépoaé
Pendant la période électorale nou» biennal de la moitié dea membres élus du Qaimper ;
Hante-Vienne
classes, c'est seulement i la dernière principal de l'octroi va de 9.960 à 11.160
Secrétaire : M. G. Qaénet, 5, rae Salo- qu'eut droit le regretté défunt.
Au scrutin de ballottage qui a eu compton» sur nos corretpondani» et sur Comité départemental des Mutilés et Réforfrancs. A Qaimper celai du contrôleur de
nos ami». Nou» leur demandon» de nou» més de la Guerre du Finistère, ont donné nique, Quimper ;
Faire danser est donc aux yeux des mi- ce service, de 14. à 16.000 franca ; celui du
lieu dimanche dana l'arrondissement de
donner, chaque temaine, de» nouvelle»,
Secrétaire»-adjoint» : MM. Dalle, 17, nistres de Dieu un crime inexpiable. Et brigadier, du receveur central, du receveur
Bellac,M. A. Barden, républicain socia- tri» brève», de la »ituation politique mu- les résultata suivants :
rue du Sallé, Qaimper, et SaliQa, 1, rue pourtant que ne raconte-t-on paa actuel- de la gare, de 11.500 à 13.000 franca.
Scrutin
du
27
janvier
1929
:
liste, a «té «lu député par 7.907 voix nicipale de leur commune.
Anatole Le Braz, Qaimper ;
lement à Ergué-Armel T On assure qu'à
Nombre d'électeurs inscrits... 92
A Douarnenez, les agenta do police débucontra 7.806 i M. Valiéro, ancien d«put«,
No» corretpoixdantt et no» amie doivent
Trétorier : M. Th. Le Bran, comptable, l'occasion du pardon de Pâques un orches' tent à8.860 franca et flniaaent à 9.760 franca;
Nombre d'élesteurs votants . . . 85
socialiste S.F.I.O.
autii nou» renieioner tur toute» It» inrue du Parc, Qoimper.
tre de choix fera danser la jeunesse dans lea brigadiers, 9.060 franca et fiaiaaent à
Saffrsgss exprimés
85
formation» intérenante» de chez eux.
Les républicaine de Quimper et dea en- une certaine aalle du bourg, cependant qa'à 9.960 franca.
Msjorité absolue,
43
virona désireax d'adhérer aa groupement l'église le propriétaire de la dite aalle
Le Citoyen le» remercie d'avance.
A Qaimper, lea premiere reçoivent 8 500
Ont obtenu :
peuvent a'adresser à l'un des membres du aidera de toute la force de aea puissants à 11.000 franca ; lea aeconde, de 10.000 à
Mme Vve Louarn, Mary... 85 voix, élue. comité.
poumona à chanter lea louangea du sei- 12.000 francs.
MM. Leyer Ernest
85 — élu.
gneur. Ce bsl serait-il donc autorisé par
Et voici les émoluments du secrétaire en
Seotlon
cantonale
de
Défenee
laïPerrot Louis
84 — —
p o u r lea Voaetloae publiques
que. — La aection de Quimper se réunira M. le Recteur? On pourrait le auppoaer. chef de la mairie dans lea comaunea suiRiou Yves
84 — —
mercredi 27 mars, à 8 h. 80, au Gymnase Et les commères vont jasqa'à prétendra vantes, prises au haaard :
Burin Pierre
77 — —
Commis de 1" classe iea douanea et
que la recette en serait versée pour aider à
Qaimper, de 18.000 à 22 500 fr. ; Qaimmunicipal.
Moins Léonide
25 —
régie de l'Indo-Chine. — Date : 2 juin 1
la
construction du nouvesu séminaire. Ce perlé, de 12.480 à 16.440 fr. ; Le Relecq,
Ordre
du
jour
:
Discussion
du
rapport
Wallbott,
Jules
20
—
— On annonce, des Etats-Unis, de délai d'inscription : 3 avril ; âge : 20 à 30
présenté par le Comité de Défense laïque qui est en tout cas bien certain, c'est que de 11.800 i 14. 200 fr. ; Pont-l'Abbé, enviDivers
4—
ans, plus services civils eu France ou i la
les musieiens sont retenus.
gravee inendationa dansl'Alabama. Plue colonie ; traitement de début : 8 600 fr.
ron 16.230 fr. ; Concarneau. environ 15.000
du Finistère ; élection des délégués aa
Ballottage poar an siège.
De deux choses l'une alora : ai le bal est franca ; Douarnenez. de 10.6«0 à 11.860 fr.
d* 10.000 personnes sont cernées par plua 3.658 piastres. Licence on divers litres
Congrès du 7 avril ; propositions diverses.
autorisé par M. le Recteur, le moins qu'on
Douarnenez arriva bonne dernière.
exigés. Concours ouvert en France.
les eaux.
La aoueerlptlon du V. S Q — Il y a puisse dire c'est qu'il ne fait pas beaucoup
2* tour de serutin (3 mar» 1929) :
Une aeule de cea villes accorde à eee
Vérificateur atagiaire à l'Office national
— Essayant do battre le record de viplusieurs mois, le Comité «a Velo-Spoit preuve d'esprit de suite et qu'il accorde à employés l'échelle mobile, réclamée à la
iQSCritf.a••••eaeee«eesaeeeo«eo 92
dea
assurancea
sociales.
—
Date
probable
:
tesse automobile du capitaine anglais
qoimpérois, se rangeant à de nombreuses l'un ce qu'il refaae i l'autre, ce qai aérait Chambre et dana le pays, notamment par
VOUOU ••a«eoooeeee«eeeeeeeee T2
jain ou juillet 1929 ; âge : 21 à 30 ans ; traiSeegrave, le coureur américain Lee tement de début : 10.000 fr. plua indemnités.
sollicitations, orgamaait une réunion dans loin d'être juate; dana le caa contraire — lea communistes : ce n'est paa la « cité
BoUotina blancs ou nula. • . . . . * 8
Bible a fait panaohe alore qu'il roulait à Brevet élémentaire ou 1'* partie du Baccale
but d'envissger les possibilités de sons- c'est-à-dire si l'autorisation de fsire danser ronge », mais Pont-l'Abbé, dont la municiSuffrages exprimée
69
truction
d'un vélodrome & Qaimper.
plue de 300 km. à l'heure. Il a «t« tu« lauréat exigé. Damea admises à concourir.
n'était pas accordée — c'est encore donc palité eat cartelliste.
Ont obtenu :
Après an exposé de l'affaire, un ordre du hélas suspendue sur la tête d'un mécréant
net. Un op«rateur cinématographique
Rédacteur des manufacturée de l'Etat et M. Le Bail Elie
Oa comprend qae dana eea conditiona
66 voix, élu.
jour, voté par l'unanimité dea assistants, de plua la menace d'un enterrement du lea employée de Douarnenez aient fait inqui a «t« heurt« par l'automobile a éga- contrôleur-adjoint de culture du tabac. —
Divers.»..,.«...........,
3—
accorda la confiance au Comité qui lança
• ordre.
lement trouvé la mort dans l'accident. Date : jain 1929; délai d'inacription : 6 mai;
tervenir, le 3 novembre 1926, le 13 novemEn conséquence ont été proclsmés élus une souscription par actions. Hélas 1 le réAge.: 18 à 30 ans; traitement de début:
Neo ket pottubl.
bre 1927, le 15 mai 1928, et plusieurs fois
— La Chambre a adopté, par 462 voix 10.000 fr. plua indemnitéa. Baccalauréat membres du Comité départemental des aultat escompté n'a pas été atteint et le CoCoupe de revolver. — Une dame Louise depais, le Syndicat unitaire dea munieipaox.
Mutilés et Râformés de la guerre du Finis mité du V. S. Q se voit aujourd'hui dans
contre 101, un projet de loi rétablissant exigé.
Jeannès, 44 ans, propriétaire é Kergall, en
Celui-ci distingue, dans le baréme qu'il a
tère
pour une période de 4 ans :
dana leura fonctiona lea secrétaires gél'obligation de rembourser les sommes Ergaé-Armel, offre une particularité quand établi, aept catégorisa d'employée et quatre
Attaché de Chancellerie. — Date : l* juil
Mme
Vve
Louarn,
Membre
de
l'Union
néraux de préfecture qu'avaient auppri- let 1929 ; délai d'inscription : 1« su 80 avril
souscrites, celles-ci n'ayant atteint qu'an elle «e trouve en état d'ivresse. Elle tire classes dans chacune d'ellea ; il demande,
1929; ége : 22 à 80 ana, ou 31 ans, pour les Bretonne, Qaimper; MM. Leyer Ernest, chiffre tout à fait insuffisant.
méa lee décrets-lois.
des conps de revolver dsns tous les sens. aussi obstinément qa'«n vain, poar le secrécandidate ayant été mobilisés. Traitement Membre de l'Association fraternelle, Brest ;
Les
souscripteurs,
qui
ont
été
avisés
indiLes voisins n'ont pas trouvé la chose à leur taire général, de 14.000 à 15.600 franca ;
— L'application de la loi de 1926 aur de début : 9.000 fr. plua indemnités. Bicca Perrot Louis, Président de l'Asiociation
viduellement, vont donc pouvoir dès main- goût, cela se conçoit, et la gendarmerie en- pour le concierge, le gardien d'abattoir, là
les loyers est prorogée de trois mois. lauréat ou diplôme équivalent exigé.
fraternelle, Brest ; Riou Yves, Président de tenant réclamer le remboursement de leur quête. Souhaitons que celte arme lui aoit
fossoyeur, les femmes des droits de place,
D'ici là, la nouvelle loi en discussion
Inapecteur départemental du travail. — l'Union finistérienne, Chàteaulin ; Burin souscription.
retirée des mains poar éviter an malheur. les femmes de service et les cuisinières, de
Date
:
24
juin
1929
;
délai
d'inscription
:
Indevant la Chambre devra être votée.
Pierre, Président de l'Union Bretonne des
L'Assemblée générale du V. S. Q. aura lieu
10.800 i 12 000 franca.
— L'état de santé du maréchal Foch, avril 1929 ; âge : 26 k 35 ans, plus services Combattants, Qaimper; Le Bail Elie, Mem' incessamment. Un prochain avis fixera la
Le traitement actuel du aecrétaire généde guerre ; traitement de début : 14.000 fr. bre de l'Association dea Anciena Combat
date et le lieu de cette assemblée.
qui a'était légèrement amélioré, a'eBt plus indemnités. Licence ou divers titree
ral
eat donc, au début de ea carrière, auSyndicat
dea
Communes.
—
Le
cotanta, Morlaix.
brusquement aggravé.
exigés.
Qrave aooldent. — Samedi sprès-midi, mité d'administration da Syndicat des com- dessous de ce que le syndicat unitaire réLa grande faiblesse du malade n'est
Les personnes qui désirent des rensei<
un marin de l'Etat, Joseph La Loch, âgé munes du csnton de Pont-l'Abbé s'est réuni clame pour le début dea employée dea 6* et
AVIS A MM. LES HOTELIERS
pas sans beaucoup inquiéter lea méde- gnements sur l'un des emplois ou concours ET RESTAURATEUR» DU FINISTÈRE de 20 ans, de Sainte-Marine, passsit qusi à la Mairie de Pont-l'Abbé, le jeudi 7 mars 7* catégories 1 Actuellement, par la volonté
ci-dessus ou sur un exsmen quelconque
de Flanchec, le plua haut aalaira payé par
oins et l'entourage du maréchal.
Le Secrétaire Général dea « Essis » du de l'Odet, peu apiès le tournant du Cap- 1929.
peuvent s'adresser de notre part à M. Hou
la
municipalité de Douarnenez àceuxqu'elle
Plusieurs questions ont été traitées, en
— Un canon a explosé, jeudi, à bord deville, directeur-gérant de l'Orientation Finiatère (Syadicat d'Initiative) a l'hon' Horn, ae dirigeant i pied vera la ville,
fait
travailler eat de 11.860 francs, pendant
et
tenant
à
la
main
aa
bicyclette.
Il
avait
particulier celles ayant trait à l'adduction
du torpilleur « Somali », alora qu'il effec- Professionnelle, 108, rue Erlanger, Paria neur d'informer MM. les Hôteliers et
que celui du maire, qui ne fait rien, est de
pria
aa
droite
et
auivait
le
bord
du
quai,
d'ean,
au
matériel
d'incendie,
aa
matériel
Restsurateurs
du
département
qu'il
vient
tuait dea tira dana la baie de Quiberon. (16*), qui leur répondra à titre abaolament
de leur adiesser un questionnaire destiné lorsque tout à coup une voiture aatomobile de voirie, à l'électrifL-alion rurale, au ré 12.000 francs.
Deux marins ont «t« tués et un autre graeieax.
Qu'en pensent les dirigesnts de la C. G.
heurta violemment le jeune marin. Celui-ci, aeau téléphonique, à la ligne de chemin de
Joindre un timbre de 0 fr. 50 et ne paa à l'établissement de la liste d'hôtels 1929.
blessé. Lee deux vietimee sont origi- oublier
T.
U. T
les
roues
de
la
voiture,
fat
projeté
sons
far
k
voie
étroite,
etc...
de mentionner : en qualité de lecIl las prie, dana leur intérêt, de vouloir
naires l'une des Côtes-du Nord et l'au- teur du « Citoyen » à Qaimper.
traîné
aur
une
longueur
de
10
mètres
envi«
Employée
municipaux de Douarnenez,
bien lui faire retour de ce queationnaire
Etat-olvll. — Naittancet : Madeleine
tre de l'Ille-et-Vilaine.
eouvenez-voue I
ron et grièvement blessé à la tête et à la
d'urgence.
Le Gall, rue de la Gare ; Lucienne Kôrou— La grève des «tudianta a pris d'inCette liste d'hôtels, avec prix et rensei' poitrine. Il fut immédiatement soigné psr rédan, rue de la Gare ; François Faitler,
PouldavM
q nié tan tes proportiona en Kspagae, et,
gnements, sera, comme les annéea précé Mme 1s doctoresse Houdré-Boursin, puis rue de Plobannalec ; Sylvain Briec, rue
Aooldent
de
bloyolette. — Dimsnche,
s
•
dentes, tirée à plusieurs milliers d'exemplai une voiture de la maison Pillard et Nargeot Floqaet; Emile Brigant, Moulin da S^qaer;
pour en avoir raison, le gouvernement
vers
17
h.
15,
deux
maçons de Poaldavidle
conduisit
à
l'Hôpital.
^
rea qui aeront distribués aux organisationa
Chnstisne Cote, Roz-ar-Hastel ; Hogaes
de Primo de Rivera a dû avoir recours à
• o r t de
d e Lanaarzelle
eur-Mer, rentraient de promenade à bicyLa
voiture
tamponneuse
transportait
touristiques de France et de l'Etranger,
Moysan, rue du Chàteaa ; Christisne Kerdes mesures de répression sp«ciales,
aaelea aénatear d a • e r b l h a a
clette. Dana la deacente de Croaa-Talnd,
aux compagoiea de chemina de fer et de l'Ile-Tudy le corpa d'un marin, Paul Tour- nilis, Kerouant ; Pierre Kervision, Roz-ar
— A Aulnay de-Saintonge, pendant
l'an d'eux, an jeune homme .perdit aa direcM. Loaia da Lamarselle, anoien aénatear navigation, ainsi qu'à toute personne qui troy, récemment décédé à Granville.
Hastel ; Hugues Lacas, rae de Plonéour ;
tion et e'abattit aur la chaussée. Il fut auala représentation d'une ménagerie, une du Morbihan, eat mort aamedi matin, en en fera la demande.
Conoert. — La musique régimentaire R*né Msrblé, route de Loctudy ; Roger aitôt relevé par dea paeaanta qui a'aperçurent
lionne s'tet éohappée de sa oage et a eondomioile,254, boulevard Saint-Germain,
;
Mathieu
ToalBargain,
quai
rive
gauche
Lea Hôteliera et Restaurateurs, qui pour donnera un concert dimanche prochain 24
qu'il avait perda connaissance.
bondi sur lee spectateurs dont deux ont à Paria.
quelque cauae que ce aoit, n'auraient paa mars, de 15 à 16 heures, sur le kiosque lec, Cosquer-Bian ; Hélène Pérou, rue
Il
était
né
à
Vannee
le
4
août
1852
et
L'état général de l'accidenté n'eat paa
été bleasée.
reçu le questionnaire précité aont priéa du Chsjnp-de-Bataille (sous les halles en J.-J.-Roussesu; Paul Le Minor, rue Victorgrave.
avait fait ses étudee dana cette ville. Il fut d'en aviaer le Secrétaire Général de l'Union
Hugo
;
Hubert
Biger,
route
de
Quimper
;
caa de plnie).
La bâta fauve s'est ensuite réfugiée élu député de Lorient en 1885 et eénateur
Isidore Castrée, Penquer-Névei ; Albert
dea « Essis » du Finistère, (Syndicat d'Ini
En voici le programme :
dans la cour d'une ferme, où on a réussi da Morbihan de 1896 à 1920.
Cote, rue des Carmea.
dative,
28,
rue
du
Château,
Brest),
qui
L'Enfant de Troupe, défilé
X.ti
Aocldent mortel. — Samedi, à 19 heuà la capturer.
s'empressera de leur faire parvenir une Enterque, ouverture « . . .
Andrieu
Publication» de Mariage» : Loaia Ba- res, le second-msltre Georges Reux, chef
formule par retour du courrier.
Le Coagrèo
A. Boac con, charcutier à Clichy, al Marie Le Bre- de la atation radiotélégraphique de la pointe
Griserie,, valse lente
d e l a L i g u e d e s d r o i t s d e l'Honaaae
Audran ton, brodeuae à Pont-l'Abbé ; Alain Le du Riz, quittait Audierne à motocyclette«
Le Grand Mogol, fantaiaie
A. V I S
F. Popy Drézen, cultivateur, et Marie-Louise Ra- rejoignant son poste.
Siffl z Pierrette», polka..
A l'occasion du Congrès National de la
NOTARIAT
phalen, brodeuse à Pont-l'Abbé ; Pierre
.......... X...
A trois kilomètres de la pointe, à Ti-Gaen,
L'examen des candidats notaires du dé Le Toutois, dtfiie
L'Annuaire
« Ç a l a s p e r - A d r e e e e » Ligue, la Fédération d'Ille-et-Vilaine orgaLucas, entrepreneur en bâtiments à Loc
nise
pour
le
lundi
1«'
avril
à
midi,
sous
les
parlement
du
Finistère
aura
lieu
à
Quimpe
pour le» Arrondiiaement» de Q a l n s p e r ,
Ooneultatlon de nourrleeone. — La tady, et Marcelle Le Pape, s. p. à Pont' dans un virage assez brasqae, il rencontra
la charrette da boulanger Losq, de Plogoff,
Q u l m p e r l é , C f c a t e a e l l e , devant pa- Lices, à Rennt-s, un grand banquet dit : au aiège de la Chambre des notairea de cet conaaliauon des nourriaaons pour le quarrevenant de déposer du pain dana aea dé*
arrondissement, rue Toul-al-Lsôr, n* 6, le tier de Saint-Mathieu aura lieu le jeudi l'Abbé.
raître prochainement, il e»t urgent que « Banquet de la Paix ».
Décit : Jeanne Signor, 76 ans, ménagère, pôts de Lescofï.
Ce banquet doit prendre lea proportiona jeudi 4 avril 1929, i neuf heures du matin 28 mara courant, à 15 heures, rue de la
It» remelgnement» divert, changement»
veuve de Jean Le Pape, passage de la
Inévitable, une colliaion ae produiait.
d'adresse, de profe»»ion, etc... »oient d'uae manifestation grandioae en faveur de
Lea candidats devront faire parvenir leur Mairie, n' 4.
Levée ; Marie Héliaa, ménagère, 33 ans, Sous la violence du choc, l'offlcier-marinier
adretté» à Mose l a r g a t a , E d i t e u r , la pait. Lea meilleure orateure du Comité dossier à M. le Président de la Chambre
KUt-olvll du 1 3 au 1 9 mare 1929.— épouse Le Marc, Hôtel-Dieu ; Corentin Le fat projeté dana le fossé.
1 , Q u a l 4 a I t é l r , Q n l a s p e r , a v a a t central c'y feront entendre. Lea citoyane dea notairea do l'arrondissement de Quim
Naiataneet : Suzanne Puquet, rue Saint» Calvez, 26 ana, cultivateur, route de Saint*
TransporlS chez Mme Perrihin, M, Geor*
de tous lea départements bretone, qui aiment per, le 27 mars 1929, au plus,tard,
l e § 9 m a r e , d e r n i e r délai,
la paix, qui veulent le désarmement et
Mathieu, 60 ; Philippe Penther, rue da Jeau ; Marie Le Moil, 81 ans, veuve La ges Reux mourat quelque teap après.
les Sections municipales
NOUVELLES DlMTEIRiTALES
Le Mouvement de la Population
jouma/ l e C i t o y e n
U
QUIMPER
Election législative
* o«corrMpondii|tM»ànoMmli
Miettes
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EXAMENS
Armand CARON
ponf-IWbé
Nouvelles
Régionales
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Undadtc
O H M etuplde. — Le nommi Alain
Trévidic, 35 ana, de Landudec. a lancé une
faucille dans 1« pare-brise de l'auto da
M. Boni», d'Audierne, qai panait à sa
haatear.
Il eat condamné à an moi» de priaon.
fou««n«nf
Joumai
Citoyen
BREST
Syndloat d'Initiative. — Afin de lui
permettre de répondre affirmativement anx
nombreuse» demandea de locationa de villas, chambrea et appartementa meublés, 4
la mer et 4 la campagne, qai lui parviennent journellement 4 cette époque de l'année, le « ESSI » du Nord-Finiatère, région
de Brest (Syndisat d'Initiative), prie lea
intéressé» de vouloir bien l'aviaer de leara
diaponibilitéa pour la aaiaon 1029.
Le « ESSI » tranimettra, 4 titre absolument gratuit, toua lea renseignements obtenus aux demandeurs qui correspondront
ensuite directement avec les personnes
ayant fait lea offres.
Adresser la correapondance au Secrétariat du « ESSI » du Nord-Finistère, région
de Brest (Syndicat d'Initiative), 28, rue da
Ch4teau, Breat.
C o m i t é «I* D é f a n a * o u v r i è r e e t paysanne ë u oenton d e Foueanant. —
L'appel aaivant a été adreaaé aux diYeraea
personnalités da département :
La Comité de Défense ouTrière et paysanne da Finistère,
Considérant,
Qu'il existe an point de rue do» allosationa familiale» pour enfanta nne inégalité
fltgrante entre lea employé» da l'Etat et da
département, d'une part, et lea ouvrier»
agricole» et dea villes, d'autre part ;
Que le coût de la via étant le même pour
tous, lea mêmes avantagea devraient être
accordée à l'une comme 4 l'antre de ces
catégorisa de travailleur» ;
Que, aana cea avantages, la elaase ouvrière et paysanne ae trouvera dana l'impossibilité de faire face aux loia aocialea
nouvellement votéea (loi Louchear et A»»a- La L l b r t i r l * l a ï q u e d u « C l f o y a n »
livre trè» rapidement toute» let four•
rancee aocialea) ;
Proteate énergiqnement contre la aitnation ntture» scolaires et de bureaux, ainsi
défavorable dana laquelle ae trouve la claaae que tout le» livre» elattique» et de
ouvrière et paysanne an point de vne allo- bibliothèque.
cation familiales ;
Bmet le vœn :
Que cette allocation soit la même ponr
toue les citoyens, proportionnellement anx
- N o t r e s a l u t . — M. Lonia Le Page, réchargea de famille de chacun ;
Que cas allocations ne devraient être ac- dacteur du Petit Paritien, qui fut pendant
cordéea qu'aux famillea ne diaposant que pluaieura annéea le rédacteur en chef du Fid'un revenu ne dépassant paa 15 000 francs, nittère, devient le cellaborateur de l'EelaiEt prie instamment lea élus du départe- reur de Morlaix.
ment du Finistère de s'employer à remédier
Nous aaluona aa rentrée.
à l'état actuel dea choses.
Il n'eat paa de confrère plua franc, plus
Le Prétident, J.-L. Yvonnou,
sympathique, plua républicain, plua laïque.
adjoint an maire de Bénodet.
Il appartient 4 la lignée dea probea écrivains et fait honneur au journalisme.
Brltc
Ses articlea, d'une jolie tenue littéraire,
plaisaient 4 toua, et, quand la polémique
Koole d e h a m e a u . — La commune de
a'eofiait, il ne faisait pas bon se frotter 4
Briee vient de recevoir nne aubventien de
lui.
104.160 franca pour la conatruction de son
école de hameau de Sainte-Cécile (Pénity).
B I B L I O G R A P H I E
MORLAIX
ÔCIMPEKLÊ
La g r a n d e P o i r e dea Vieilles. — Favoriaée par un tempa idéal, la grande foire
dea Vieillea a obtenu dimanche et lundi an
grand aaccèa.
La journée de dimanche, conaacrée 4 la
fête foraine et 4 l'ouverture de la FoireBxpoaition, avait attiré une foule nombreu»e
dana le joli paya de Qaimperlé.
M. Le Louédec, député-maire, accompagné de MM. Le Bail, aénatenr, Liot,
adjoint-maire, et du docteur Le Coz, conaeiller général, a longuement viiité la
anperba Foire-Expoaition de la halle et de
la place Saint-Michel.
Lundi a'eat tenue la grande foire annuelle.
Lea tranaaotiona ont été trèa nombreuaea.
ponf-JUtn
Raid hippique. — Un itid hippique anra
lieu 4 Pont-Aven, le dimanche 12 mai prochain.
Une aomme de 10.000 franca eat attribuée 4 cette fête sportive.
Aux Républicains !
Comment um Républicain peut-il
donner au Citoyen u n e preuve d e
sa sympathie î
Eu aidaat à sa diffusioa, ea le
faisaat ceaaaltre à ses amis et surtaut
S ' A B O W I T A W I T .
CHATEACLIN
A la t o u a - P r é f e o t u r e . — M. Dupard,
sons-préfet, rsttaché 4 la préfacture du Jura,
eat nommé aoua-préfet de Cb4teaulin, en
remplacement de M. Bideaux, non installé,
maintenu 4 la diapoailion de la Préfecture
de police.
Plnéaulf
Aooldent m o r t e l . — Cea joura derniera,
Jean-Pierre Dagorn, 54 an», de Plomodiern,
travaillait dana une carrière 4 Oinéault,
quand il ae trouva aubitement enaeveli aoua
un ébouleaaent de pluaieurs mètrea eubea
de pierre».
Quelques personnes qui se trouvaient 4
proximité accoururent pour le dégager, maia
il était trop tard, l'aaphyxie avait fait aon
œuvre.
SilnfCoaztc
A r r e s t a t i o n . — La gendarmerie de Ch&teauneuf-du-Faou a mia en état d'arrestation Louia-Marie Le Bon, né 4 Coray le
6 mai 1913, qui déroba, le mois dernier,
270 franea chez M. Sébaatien Bernard,
conseiller d'arrondissement, agricnltenr 4
Kergariou, en Kerfeunteun, près Qaimper.
Le Bon avait tronvé 4 a'employer chez
M. Pierre Moreao, cultivateur, au village
de Stéraon, en Saint-Goazec.
Il a commencé par nier le délit, puia il
a paaaé dea aveux complets.
Carhilx
Le orlme d e la petite bonne. — Dana
aon audience do 14 mare le Tribunal coi»
rectionnel de Qaimper a rendu aon jugement dana l'afiaire de la jeune criminelle
de Caihaix, Loniae Bienvenu, 15 ana, qui,
le 25 novembre dernier, noya, pour ae venger de aea maître» <¡01 la u grondaient souvent », l s peut André Martin, 4gé de
14 moi«.
Loniae Bienvenu paiera aon acte criminel par 5 ana de colonie correctionnelle.
Nous rappeloas à aos Lecteurs que
l'Imprimerie du Citoyen
exécute l e u
le* t r a v a i l
lype-
• î teir et couleurs.
Vient de paraître :
L'Appel à la M e r . (poème») de notre
compatriote M. Emile Furey. — Un volume
in-6* couronne. 132 page», prix 12 franc».
En vente aux a Edition» de la Revue Mondiale », 45. rue Jacob, Pari» (6').
•
CITOTE»
d'ordinaire facile de déterminer la cause Républicain« / Abomamz-voum
au
de l'accident. Voici quels sont les soins
immédiats à prendre. Retirer tout
d'abord le corps vulnérant, après en mi fmHmm mhommrnr
worn mm im.
avoir repéré le siège de manière à éviter
les recherches ultérieures. Aussitôt que
possible, faire amincir à la rénette le
LU Ç f t M S O H P E L'HUBE
pourtour du point d'implantation, pour
décomprimer les tissus sous jacents à la
Comme au creux du roseau sonore
S'éveille l'ftme des chansons
corne ; l'amincissement doit être pratiqué
Voici
qu'au crenx frais de l'aurore
avec soin ; il doit être suffisamment
S'éveillent lea feux et les sons.
poussé, mais il faut éviter toute échappée,
Sortez des nids ailes vivantea ;
toute blessure par la rénette qui créerait
Paysan, sors de ta maison.
une nouvelle porte d'entrée à l'infection ;
Voici la fidèle servante
éviter surtout de sonder, avec un elou
Qai vient rallumer les tisons.
ou une pointe, le trajet de l a blessure,
Ne craignez pin», voici l'amie
ce qui est complètement inutile e t n e „ Qui vient dissiper les terrenrs.
j e snis l'aube, je snia la vie ;
fait, d'ordinaire, que créer une'nouvelle
Ma main apaise les douleurs.
lésion. Cela fait, on verse sur la blessure
Sortie enfin des épais voiles
un antiseptique (teinture d'iode, eau
Avec
un cœur tonjonrs pareil
oxygénée, essence de térébenthine), en
J'ai mes denx mains pleines d'ôteiles
maintenant à plat la face .inférieure du
Et dana mea yenx tout le soleil.
pied, pour bien faire pénétrer le liquide
HÉNENSAL.
dans le trajet. Placer ensuite s u r la
blessure une lame épaisse de coton cardé que l'on maintiendra par une plaque
HABILLEZ-VOUS
de cuir ou de métal, et replacer le fer à
S T
quatre elous. Ultérieurement, faire deux
Journal l e C i t o y e n
fois par jour des bains de pied d'un quart
d'heure, dans une solution javellisée (20
grammes d'extrait concentré de Javel du
commerce par litre d'eau) aussi chaude
que la main pourra la supporter.
Si, malgré ces soins, après a n ou deux
jours, la boiterie augmente, si l'appui
ne redevient pas franc, si le membre
présente des lancinations, c'est qu'il
existe des complications, contre lesquelles l'intervention du vétérinaire s'impose
d'urgence,
E a raison des complications possibles,
fréquentes même, de tétanos, il est toujours prudent, lors de clou de rue, de
pratiquer une injection préventive de
sérum antitétanique.
Petites recettes pratiques
I 24, rue du Parc, QUI—PER ,. „,..,
Le Qirant
: Pierre Guégnen.
ANNONCES~
Etude de M* KERVELLA,
Tribunal de Commerce de Qaimper
FAITES LIRE LE
journal l e C i t o y e n
Vérification des créances du 29 mars,
& 10 heures : 1* Faillite Crédou, entrepreneur e n P e n h a r s ; 2° Faillite Norm a n t , coiffeur à Quimper ; 3« Faillite
chatalgnler
Hémidy, couvreur à Fouesnant ; 4° Liquidation judiciaire Paris, librairie e t bois bien sec et de première qualité.
S'adresser à M. GOARIN, Scierie,
publicité à Qaimper.
Moulin
du P o n t , Plenven.
P a r jugement du 8 mars 1929 l'ouverture de la faillite Normant sus-nommé a
été fixée au 1 " juin 1927.
Par jugement du 15 mars 1929 l'ouverture de la faillite Crédou, sus nommé,
a été fixée au 27 juillet 1928.
Le m e r c r e d i S avril 1SS9, à
13 h. 112, et jours suivants, il sera procédé par le ministère de M* Le Bihan,
greffier d n tribunal d e commerce d e
- : - MODES
Qaimper, à la vente aux enchères puS, r u e d a V r o u t - f D I V K R
bliques des marchandises et du matériel
prévient s a nombreuse clientèle qu'elle dépendant d e l a liquidation judiciaire
revient de Paris avec les t o a t e e d e r - de la Société Trellu-Cariou, fabricant«
nières Nouveautés.
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de M* POULIQUEN
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élevé
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voit
le répandre autour de vous, et,
notaire à Pont-l'Abbé
maquereau et que la pauvre limande est
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un mois, mettez-les en jauge e t évitez
2.500 f r . . . . . Cotisation mensuelle : 5 f r . . , . 33 ans
S3 ans
: Tarif A
de fumer le sol quand vous les mettrez Dans la Palue de Kirouille-Kervidal
—
e*e«e
5«000 fr. ( *, a
—
10 f r . . . .
VNE PORTION d a l e t n u m é r e 4 » ,
en place. Vous fumerez seulement
—
10.000 fr
—
20 f r . . . .
quelques semaines après avec du fumier d a « « n a n a a n a l SST, donnant cette T a r i f C . . . . , 1.500 fr
19 ans 9 mois
—
5 f r . . . . 20 ans
lé ans
1.000 fr
—
5 f r . . . . 16 ans
bien décomposé. Il sera commode de partie, des nord e t midi sur chemins, Tarif D
La r e n d e m e n t
25 f r . . . ,
—
5.000 fr
—
ménager autour de chaque plant une du couchant sur Thomas Lucas, e t du
50 f r . . . .
—
10.000
fr
—
da quelques variétés d'avolna
cuvette où vous enfouirez le fumier levant sur Jean-Louis Courrot, ayant Tarif E
10 f r . . . . 15 ans
12 ans
1.500 fr
—
que
vous
recouvrirez
de
bonne
terre.
Vous
En 1928, onze variétés d'avoine ont
une largeur moyenne de dix neuf mètre»,
Tirages publics garantis effectués le 25 de chaque mois, au siège social, à l'aide de trois
été ensemencées à la ferme de Grîgnon obtiendrez ainsi des dahlias ' qui vous et contenant environ T i n g t - e l n q a r e e , roues portant, chacune, sur son pourtour, toutes les lettres de l'alphabet.
Il est remboursé à chaque tirage, et pour chaque tarif, an titre sur 4.394 émis, ce qui
c i . . . . . • • , • • . • . . . . • • • • • . « . . %§: a f e s ,
dans des cenditions de culture normale donneront beaucoup de fleurs.
correspond à une proportion annuelle de remboursement comprise entre 1/366 et 1/367
l e e à p r i x , fixée p a r
et ont donné, rapportés à l'hectare, les
(Art. 10 des statuts).
POUR EVITER LA G R I P P E
le tribunal, vingt-cinq
Sont seuls remboursables, lea titres à jour des cotisations échues.
rendements suivants :
On évite aisément la grippe en prenant
mille franc», ci
25.000 ff.
Quintaux
soin de n'avoir jamais les pieds humides,
Au T I R A G E D U 2 5 F É V R I E R 1 9 2 9 , ont été remboursés
Cette vente est poursuivie en exécude résgir par une marche rapide contre
Locbow origine (Allemsgne). 41.23
les titres ci-après :
tion
d'un
jugement
rendu
sur
requête
les coups de froid et le» frisson» ; e n s e
Somme
Lochow 2* année de culture à
Capital
tenant 4 distance d'une personne grip- par la première chambre du Tribunal
TARIF A
remboursé versée
Grignon
38.95
pée, en se lavant les mains au savon si civil du Finistère (section de Qaimper) S Q U
Fernande Soulié, Café da Commerce, Laurens (Hér.).
2.500 fr.
65 fr.
Suprême (Garton, Angleterre)
CPW
2.500 —
Joachim Roux, Froidiére, par Montmaur (H.-Alpes)...
556 —
on a touché ses mains ou son mouchoir, le 5 mars 1929, enregistré,
Noire inversable ou LigowoS B L
Berthe Roquemaure, Quartier Lamartine, Carqueiranne
en prenant à la première alerte un caBrie (S*hribaux)
38.54
A la requête de :
170 5.000 \ * / •*eeee*eeee»eeeeee«eeee«seSeeeeeeeeeoeeseesss
chet
de
pyramidon
ou
d'aspirine
et
un
Victoire (Svalof, Suède)
36.31
1* M. Michel Donnart, époux de Marie
Mme Goutz, Hôtel Thiers, 49 et 51, rue Thiers, à
grog bien chaud.
121 —
Billancourt (Seine)
500 Le Pape, marin-pécheur, demeurant à H £ F
Beseler (Allemagne)
36.06
Henri Zeyen, 1, rue Kageneck, à Soultz (Ht-Rhin)
485 2.500 —
Kergarrien, Saint-Guénolé, e n PenLochow 9 ' année de culture à
POUR COLLER LE METAL
march ;
TARIF B
Grignon
35.91
AU VERRE
2° M. Pierre Donnart, époux de Anna G D G
Grégoire, ISO, rue de la Madoleine, Angers (M.-et-L.).
545
1.500 —
Pluie d'Or (Svalof, S u è d e ) . . . . 34.56
On colle parfaitement le métal et le Bodéré, marin-pêcheur, demeurant à P C O
Raymond Delas, Château Siran, Labarde par Margaux
Brieligo (Denaifla)
34.23
(Gironde)..»*.•«.«•.•.....••.•.••.••.
verre au moyen d ' u n ciment obtenu Kergarrien- St Guénolé, e n Penmarch ;
1.500 495 Houdan
32.88
Une combinaison non placée
avec du blanc d'œuf et de la chaux
3° Henri Donnart, époux de MarieUne combinaison déchue
Mansholt
28.07
éteinte, ce ciment est inattaquable par Louise Jégou, marin-pêcheur, demeurant
Six variétés ont été comparées pour l'alcool.
TARIF C
à l'Ile Fougères en Penmarch ;
la sixième fois 1922 à 1928 (sauf 1923) ;
Mme
Anne
Dnffan,
chez
M.
Yergne, St-Ciers-sur-Gde.
4° René Donnart, époax de Marie1.500 —
310 —
Mlle Aufcusta Deguilhem, Plancher-de*Graisse, par
les moyennes sont les suivantes :
Josèphe Rioual, marin-pécheur, demeul
o
l
a
t
r
'
LES
MARCHÉS
Trémolat (Dordogne)
1.500 290 —
Quintaux
rant à Lézannou, en Penmarch ;
Mme Honorine Bérard. aux Ganas, par Cissac (Gde)..
1.500 5° Mme Marie-Noelle Donnart, épouse
Ernest Dubos, Lamonjoie, par Barbotan-les-Thermes
QUIMPEK. — 16 mar». — Beurre, laliv,
270 —
Victoire
34.63
(Gers)
13 fr. 00 è 14 (r. 00 ; œuf», la douzaine, 8 fr. 25 à de Jean-Louis Rioual, marin-pêcheur, U N P
1.500 Armand Ropert, Vieoxville, à Mernel, par Maure-deLochow
33.74
250 —
fr. 50 ; poulet», vieux, la oouple, 30 à 31 tr. ; demeurant à Kérouille S'. Guénolé, en
Bretagne (l.-et-V.)
Jeune», 25 à 30 fr. ; lapins, la pièce, 16 6 30 (r. ; Penmarch, ce dernier qui l'assiste et
1.500 32.50
L i g c w j Brie
Mme Agathe Rougier, 63, avenue de la République,
160 earotts», le paquet, 0 fr. 60 ; oignons, la livre,
31.13
Pluie d'Or
Aarillac (Cantal)
;
1 fr. 20 ; navet», 1» paquet, 0 fr. 60 l'autorise ;
1.500 Mlle Marie-Jeanne Yven, à Plogoff (Finistère)
115 30.60
choux, la tête, 0 fr. 80 ; haricots, la livre,
1.500 Mansholt
Ayant M* JONCOUR, pour avoué.
Joseph Rouselet, Gendarmerie, Tenay (Ain)
2 fr. è ! tr. 26 ; salade, la tête, 0 fr. 40 ; pomme»
1.500 —
80 30.04
Houdan
6° M. R*né Donnart, veuf en premiède terre, 86 à 38 fr. le» 60 kilo» ; blé noir,
15 —
TARIF D
Ces expériences »ont fort intéressantes 71 à 73 tr. les 50 kilo» ; avoine, 67 à 6» fr. ; res noees de Catherine Lucas, et époux
Mme Madeleine Bonnet, Audenge (Gde)
1.000 —
en les envisageant dans u n sens général, •eigle, 68 fr. ; veaux, ifr.60à6 76fr. le kilo; actuel de Anna Nicolas, marin-pécheur,
140 L J J
mouton», 6 fr. 50 à 6 fr. 60 le kilo ; agneaux, demeurant 4 Kérouille en Penmarch ;
Pierre Cazes, 31, rue Jean-Jaurès, Fleurance (Gers)..,
5.000 350 —
mais, la valeur des terres variant sui- » fr. à » fr.
le kilo ; bœufs et génisses, 4,00
Mme Lucie Audouy, Epargne n" 301, à Maurs (Cantal).
5.000 175 Pris tant e n son nom personnel que
vant les régions, il est indispensable, en & 4 fr. 10 ; taureaux, 4 fr. 00 ê 4 fr. S) ; poros,
comme
tuteur
naturel
et
légal
de
Joseph,
iTARIF E
certains cas, de procéder & des essais 6 fr. 60 à 7 fr. 00.
Thomas et Antoine Dounart, ses trois
Maurice Gournay, l'Aubiniôre à Martigne, par Laval
DOUARNBNEZ.
—18
mars.
—
Bœufs,
la
sur des surfaces réduites avant d'adop
MOtltlMItiMllllll
»••e*e«e*
1.500 kilo, sur pied, 4 fr. 00 à 4 fr. 10 ; vaohes, 3 (r. 00 enfants encore mineurs, nés de s o nU C A
620 ter une variété.
Mme Marie •Rousseau, La Trémaillère, par la Snze-sur
6 3 fr.10 ; veaux, 6 fr. 00 & 6 fr. 10 ; agneaux, premier mariage avec Catherine Lucas ;
Sarlhe (Sarthe).,.• e e e e « e * * e *
1.500 —
110 » tr. é » fr. ; porc», 7 fr. 00 à 7 fr. 50 ; pigeon»,
7° M. Michel Lucas, époux de Coren7 fr. 00 ê 8tr. 00 ; poulet», Jeune», 30 à 22 fr, tine Berrou, cultivateur, demeurant
T r a i t e m e n t i m m é d i a t d u d o u d a r u a moyen», 26 è 28 fr. ; gros, 30 è 35 fr. ; canards,
Pour renseignements et souscriptions, s'adresser à M. Lion
VACHBRONT,
Directeur Régional, 18, rue Jean-Maci, à Brest, ou i Af. Armand GUILLERM,
à
la pléoe, 21 fr. 00 à 23 tr. ; oie», U fr. à 26 fr. ; Kirgarrien S t Guénolé, en Penmarch
chaz la chaval
pour les arrondissements de Qaimper et de Quimperlâ. (On demande
Pris comme subrogé tuteur a d - h o c Pont-lAbbi,
beurre de table, le k., 27fr.00 « 30 fr. ; oeufB,
courtiers et agents, fixe et commission).
Les blessures de la sole, d e l a face la domaine, 10 fr. é 10 fr.60 ; pomme» d» terre, des mineurs Donnart, sus.nommés.
les
60
kilos,
36
i
38
fr.
00
;
oarotle»,
0fr.60
à
Ayant M* LE NINIVIN, pour avoué.
inférieure du pied par un corps vulné- 0 fr. 70 ; oignons, 2 fr. 25 à 2,50 ; poireaux, 0 fr. 66 ;
t a n t quelconque (pointes, clous, éclata navets, 0 fr. 30 ; radis, 0 fr. 80 ; ohoux, la pléoe,
E n conséquence, l'adjudication de
la. ltjtte; c o n t r e l a
de verre, etc.) sont fréquentes chez le 0 fr. 80 à 1 fr. 00; salade, la tête, Ofr.4040,60. l'immeuble sus-désigné aura lieu en un
QUIMPEKLÉ. — 16 mars. — Bœuf» de seul lot en l'étude e t par le ministère
cheval. La gravité de l'accident, désibouoberie.le
ê 4fr.l0; vaohes, le kilo, de M" POULIQUEN, notaire à P o n t
gné sous le nom générique de « clou d e 2fr.90&3fr.; k.,4fr.00
poros, le kilo, 6 fr.60; moutons
rue », dépend du siège et de la profon
6,40 à , ; veaux, la kilo, 5fr. 20 à 6fr.50 ; fro- l'Abbé, l e J e u d i 1 8 a v r i l 1 9 * 0 , i
deur de la blessure. Grave, lorsque le ment, le» 100 kilo», 114 à 145 fr. ; »eigle, 106 f r ; 14 heure», à éteinte de feux, au plus
BOURDONNEMENTS - DURETE
D'CUÏE
orge, lealJO kilos, 100 à 102 tr. ; sarrasin, les 100 offrant e t dernier enchérisseur, a u x
Nou» Informo»* no» I-rclcui» que le SPÉCIALISTE F. ROYAL, 2 9 . RUE O R F I L i j
corps vulnérant est implanté dana les kilos, 125 è 180 (r. ; avoine, les 100 kilos, 104 à
P
A
R
I
S
.
e»t
i
nouveau
de
tutee
dan»
n
o
t
r
e
r«glon.
—
C'EST
A TORT qu'on toi
clauses e t conditions du cahier des
dit : " I l n'y a i-len à fâlre . En réalité peu de personnes se llennent a u c o u r a n t
régions moyennes du pied, vers les la< 106 fr. ; beurre, la livre, 10,00 t 13,26 ; œufs, la
charger, dressé par ledit notaire et déH r o f r t » rte U Scleuce. SACHEZ qu'uni- METHODK NOUVELLE E T 8IM1
AGIT IMMEDIATEMENT, FAIT TRAVAILLER L'ORGANE, c»r l'oreille fri
cunes latérales de la fourchette, l'acci- domain», 7 fr. 50 à fr. ; poulets, la oouple, posé e n son étude où toute personne
vieux, 30 a 37 fr. ; Jeunes, 22 & 27 fr.
PAUTE O'EXERCICE, finit par NE PLUS I NTKNDRE. RIEN ne vaut ce MOYEN F A C _
dent est relativement bénin lorsque la
pour vaincre ce» maux rebelle». SANS DROGUES, SANS OPERATIONS, SANS A P P
Í D I I a n i l l T I I Ud
MORLAIX. - 16 mars. — Farine, 100 4 200 peut en prendre connaissance, et ce en
INUTILBS, v o u. .s.p. o. .u.'. . P H T D V n n i , ' D . L ' M J . : i . n n D W , ( 7 n n o o . . i l
blesiiure siège dans les régions antérieu
délicieux SOULAGEAIÉNT
fr. ; seigle, 110 fr. ; avoine, 130 fr. ; orge, présence de M. Michel Lucas, époux de
MAL et lentement de
_
res ou postérieures de la sole e t de la 116 à 120 fr. ; »on, 100 fr. ; pomme» de terre, Corentine Berrou, culivateur, à Ker
n n i U C I I W A I B C l l l l C S C A I • TOUS ceux q u i e n t e n d e n t mais s o u v e n t .
28
fr.
;
bœuf»,
le
kilo
»ar
pied,
3
fr.
60
DDIVtIVWAlKt UN C A O Al . PRENNENT > A S , T O U S ceux qui S O U F F
fourchette.
garrien Saint - Guénolé, e n Penmarch,
4 fr. 00 ; vaohes, 3 fr. 60 » 4 fr. 00 ; veaux, 4,50
BRUITS, BOURDONNEMENTS, DURETE D OREII.I.ES. SURDITE.
subrogé-tuteur
des
mineurs
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Le clou de rue se manifeste par une 6 6 fr.60; montons, u fr. » s ;poro», 6fr. 50 a
T l i démonstration de l'INCOMP ARABLE découverteaux SERIEUX RK8UL'
obtenus t a PREMIER ESSAI. I L RECEVRA DB « é 4 H«UI
boiterie soudaine, au moment de l'im* 7 fr. 00 ; beurre, le kilo, 20,00 à 21 fr.00 ; œuf», sus-nommés ou lui dûment appelé.
la doui., 8 fr.00i 8fr.60 ; poulets, la oouple,
A. JONCOOa,
plantation du corps étranger ; en exa 18 435 fr.; lapina, la pléoe, 10 A au fr.i pigeons,
QUIMPER,
samedi 11 mai, H6tel de l'Epée.
aooué'lliencié,
Rotporden, dimanche 12 mai. Hôtel d'Arvor.
minant la taee inférieure du pied, il ait • fr. la oouple.
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FOCH
Je ne puis résister au désir de dire,
après tant d'autres, un mot du maréchal
Foch.
Tout jeune, alors qu'il n'était qu'un
troupier, un éléve caporal, à Metz, il
avait assisté à nos premiers échscs de
1870, et, cette Ame qui ressentait si
fortement, en avait éprouvé un ébranlement douloureux qui devait avoir son
retentissement prolongé sur toute sa
vie. Foeh a dû faire alors le serment de
venger son pays et de réparer les injures
faitee à la cause du droit et A l'unité de
la patrie.
Il s'est préparé A cette (Aehe historique par la méditation, le travail, la
discipline de l'esprit et l'éducation de
la volonté. Successivement il a passé
par toutes lee armes pour en mieux saisir lé mécanisme, la coordination nécessaire et en mieux comprendre la liaison
dans la bataille.
Et puis, il a travaillé l'histoire de
toutes les guerres, non pour en reprodaire les résultats dans des circonstances enaloguea, mais pour se donner
confiance, pour a'assouplir l'esprit, l'entraîner, le plier A une gymaastique telle
qu'il trouve instantanément, en présence dee difficultés et de l'énigme du
ehemp de bataille, le sens de la conduite
à tenir et de la manoeuvre A exécuter.
Le grand ch«f militaire est, comme
l'artiste, un visionnaire.
Foch a été un magnifique exemple de
volonté A la fois lucide et farouche. Il
avait le don de communiquer à son
entourage sa pennée ramonée A la simplicité, son Ame ardente, sa foi robuste
dans le succès. C'était A la fois un apôtre
et un animateur magnifique.
Il était du pays de Dsscartes qui est
celui de la cilarté, de la proportion, do
la mesure. Il ne songsa jamais à faire
violence aux événements. S'il pensait à
l'offensive du champ de bataille dont la
pensés lui était^ même aux heures troubles, familière jusqu'A la h«.ntise, il
possédait l'art de proportionner les
réaultate aux moyena matériels dont il
disposait. La manœuvre A faire lui apparaissait avec le modelé vivant qui
caractérise la vision de l'artiste, mais,
toujoure renseigné et msttre de lui, il
ne déformait pas la réalité pour l'adapter A ses vuea et quand il sentait l'impossibilité d'aboutir, il ne montrait pas
d'obstination inutile.
Au surplus, il ne lançait son grand
eoup qu'après des a manœuvres préliminaires A objectifs limités, s
Mais quand il croyait l'heure venue,
alors, soudain, la détermination surgissait en loi, comme l'éolair dans la nue,
•t, l'inspiration se levait en tempête.
« Oui, aimait-il A répéter, en tout il
faut le coup de vent ».
C'est lui, encore, qui a lancé cet apho
risme : s Victoire égale volonté ».
• •
N'est-ce paa A la môme inspiration
sublime qu'a obéi le général Galliini
quand, A l'aide de quelques renseignements obtenus, il apeiçoit, dans un
éeiau de génie, le point faible de l'armée
de Von Kikch, jette ses divisions improvisées dana le flsno de l'ennemi, retour
ne, en quelques jours, le destin et aide A
sauver Paris et la France !
,, Foch et Galliéni, deux noms synonymes de gloire puie et qui passeront A la
poatérité.
Cea deux hommes ont approché du
divin.
è •
Foch a eu le même rare, parmi les
giana» capitaines dont le nom est associe «tii grandesguerres de l'histoire, d'à
voir commande, dos tamaos dont le
chift.e, j*maisatteint jusque iA, s'elevait
a 10 miuions a homme».
D'un œu tianquilie et avec une déci
siou assurée il ne s'est paa laisse dscon
certé ni ébleuir par l'agrandissement et
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Adresser toutes communications concernant la Rédaction, l'Administration et l'Imprimerie
& m . p i t r r t GUÉCUEN, Administrateur-Gérant.
Les manuscrits ne sont pa» rendu*. — Pour les renseignement« joindre un timbre pour la réponse.
le recul de la perspective du champ de
bataille où les peuples armés jusqu'aux
dents et en possession d'engins et de
moyens nouveaux, évoluaient dans lss
conditions étonnantes de l'inexpérimenté et de l'imprévu. Il ne fpllait pas
seulement posséder le maniement de
ces forces matérielles ; il fallait encore
tenir compte de l'amour-propre des
chefs des armées alliées et de la psychologie de ces foules armées.
Mais ce qui sera surtout A l'éloge de
Foch, c'est de n'avoir été qu'un soldat
et qu'un grand et bon français.
Tout entier A son œuvre, il a joint les
vertus civiles au génie militaire.
Après avoir été grand dans la guerre,
il n'a songé, après la victoire, qu'A travailler A la paix du monde.
Ou doit dire encore A son éloge qu'il
a servi son pays sans songer A se servir
lui- môme et sans jamais conspirer contre la République.
Foch était croyant et catholique.
Qu'importe ! Ainsi le veut la liberté de
conscience. Ce sera l'éternel éloge de
cet homme de n'avoir connu que la
patrie et d'avoir servi loyalement la République sans tomber dans les manies
ni les sottes extravagances des césariena
hostiles au régims.
Il y en a qui, le jour de ses obsèques
nationales, aaluarent sa dépouille, au
port d'arme.
Je la salue bien bas da plus profond
de mon âme de jacobin patriote et de
bon Français.
Georges LE BAIL.
23 mars 1929.
La c a r r i è r e d a m a r é c h a l Vsch
Voici les états de service du maréchal
Ferdinand Foch, né le 2 octobre 1851,
A Tarbes (Hautes-Pyrénées) :
4' régiment d'infanterie : soldat le 24
janvier 1871 (engagé volontaire, le 21
janvier 1871, pour la durée de la guerre).
Libéré le 14 mars 1871. Ecole Polytach
nique : éléve le 1 " novembre 1871 ;
Ecole d'application de l'artillerie et du
Génie : élève le 10 février 1873 ; élève
sous lieutenant le 1 " octobre 1873, 24*
régiment d'artillerie.
Sous-lieutenant le 16 octobre 1874 ;
Lieutenant, le 1 " octobre 1875.
Capitaine le 17 octobre 1885. En ac
tivité hors cadre : Etat-major de la 31*
division d'infanterie. >
Chef d'escadron le 27 février 1891.
Eu activité hors-cadre. Professeur du
cours d'histoire militaire de stratégie et
de tactique générale, A l'école supérieure
de guerre, le 31 octobre 1895.
Lieutenant-colonel le 10 juillet 1898,
35* régiment d'artillerie.
Colonel le 12 juillet 1903. En activité
hors-oadre. Etat-msjor du 5° corps
d'Armée.
Général de brigade le 20 juin 1907,
Membre du comité technique de l'Ar
tillerie.
Commandant l'artillerie du 5* corps
d'Armi«, le26 octobre 1907. Commandant 1 Eso'i supérieure de guerre, le fi
octobre 1908. Commandant, par intérim,
la 13« division d'infanterie, le2 aoû. 1911.
Gtnéral de division le 21 septembre
1911.
Commandant le 8* corps d'armée le
17 decombi-« 1912. Commandant le 20e
corps d armoo la 11 août 1913.
La déclaration de guerre le surprend
dans sa propriété de Traonfeunteuniou,
prés dé Morlaix,
Le 29 août 1914 il est nommé au commandement de la 9* armée.
On connaît le rôle du chef militaire
Foeh durant la terrible guerre.
En avril 1918 il fut nommé commandant en chef les armées alliées en
France.
En récompense de ses services Foch
fut nommé maréchal do France le 7»aoftt
1918.
Ce fut Foch qui reçut les plénipQtentiaires allemande le 9 novembre A Rethondés ; et le 11 au matin l'armistice
était signé.
Jamais soldat n'aura connu carrière
plus harmonieuse. Avant la guerre, ii
avait affirmé, dans tous les stades de la
hiérarchie, son talent. La guerre lui a
donné l'occasion de développer, d'épanouir sa mattrise.
Aussi la Chambre des Députés vota
avec enthousiasme que le « maréchal
Foch a bien mérité de la Patrie ».
LES OBSÈQUES
OU MARECHAL FOCH
Après plusieurs semaines de maladie,
le maréchal Foch est décédé, A 77ans 1/2,
A son domicile, rue de Grenelle, A Paris,
dans la soirée de mercredi 20 mars.
Ses obsèques nationales ont eu lieu
mardi matin.
Le corps du Maréchal avait été exp*~
sé pondant toute la journée de dimanche
sous l'Arc de Triomphe de la place de
l'Etoile, A côté de la tombe du Poilu
Inconnu.
Une foule innombrable a défilé jusqu'au soir devant le cercueil qai, A 23
heures, a été transporté A Notre-Dame.
Mardi, A 9 heures, après la céiémonie
religieuse A Notre-Dame, le cortège s'est
rendu aux Invalides, en suivant les rue
d'Arcole, place de l'Hôtel-de-Ville, rue
Rivoli, place de la Concorde, l'avenue
des Champs-Elysées et l'avenue du Maréchal-Galliéni.
Pendant le tisjet, les musiques ont
joué des marches funèbres.
Au moment où la ttte du cortège est
arrivée place la Concorde, une salve de
21 coups de canons a été tirée par une
batterie du 101* d'artillerie.
Sur tout le parcours plus d'un million
de personnes ontrespectueusement salué
la dépouille du Maréchal Foch.
Le cortège funèbre de l'illustre soldat
comprenait : La fanfare de la Gardp
républicaine ; deux pelotons de la Garde
républicaine A cheval ; Général commandant la place de Paris ; une batterie
du 32* R. A. D., A quatre pièces, avec
colonel, ianfare et étendard ; un bataillon du 46* R . 1., avec colonel, drapeau
et musique; une compagnie de fusiliersmarins ; une compsgnie de l'Ecole
polytechnique ; les délégationa des ar
mées étrangères : Belgique, Etats Unis,
Grande-Bretagne. Italie, Pologne, Rou
manie, Serbie, Tchécoslovaquie ; une
délégation de 150 anciens combattants ;
la colonne dos drapeaux des Invalides ;
le cheval du Maréchal ; le fanion du
Maréchal, tenu par le porte-fanion,, A
pied ; le corps du maréchal sur un affût
de canon ; un officier anglais, un officier
polonais et un officier français de l'Ecole
de guerre, portant les bAtons de Maréchai .; douze adjudants-chefs, adju
dents ou sous-officiers médaillés, por
tant les décorations ; deux compagnies
de 60 hommes du 31* R. I., encadrant
le char funèbre, l'arme sous le bras.
La famille du maréchal ; le Président
de la République ; les Membres dn Gou<
vernement et une loule nombreuse d'an
torités civiles et militaires et de déléga
tions de toutes sor.tes ; un peloton de
gardes républicains fermait la marche
du cortège funèbre.
Au bout de l'Avenue Galliéni le cercueil a été retiré de la prolonge d'artil
lerie et plaoé sur un catafalque édifié
près de la grille des Invalides.
Pais M. Poincaré, président du Con
sei), prononça un discours émouvait.
Sitôt après les troupes défilèrent de
vent le corps du Maréchal sous les or
dres du Gouverneur militaire de Paris,
Après une dernière bénédiction, le
cercueil a été transporté A bras dans une
des avéoles du eaveau, près des restes
da Maréchal Fayollo,
Le général SARRÀIL
Les grands morts vont vite !
Après le maréchal Foch, nous voyons
disparaître, avee une véritable émotion,
e général S m a i l qui fut un remarquable chef militaire et réalisa, en plus,
'idéal du soldat citoyen.
Cet officier, qui ont «no admirable car*
rière, fut abominablement attaqué parce
que républicain.
Le Journal des Débais, qui n'est pas
suspect do tendresse pour les officiers
républicains, fait de lui ce bel éloge
sous la plume de J.-M. Bourget.
Né le 6 avril 1856 A Carcassonne, le
l'utur général entra A Saint-Cyr en
octobre 1875 ; il fut affecté, A sa sortie,
au 4* bataillon de chasseurs A pied, et
fit toute sa carrière dans l'infanterie. Il
commanda successivement l'école de
Saint-Maixent et le Palais-Bourbon.
Colonel au 39ê* régiment d'infanterie,
en 1905, général de brigade A l'étatmajor de l'armée, puis directeur de
'irifauterie au ministère de la guerre
1907), général de division commandant
La 12' division d'infanterie (1911), la
mobilisation le trouva A la tète du
6* corps d'armée.
I n cette qualité, il prit part A la bataille des frontières, son corps d'armée
se trouvant A l'extrême droite de la
11* armée. Il
« « » • » i i â m » » ! <••
celle-ci après la rélève du général Rufey, ét écrivit alors une magnifique page
d'histoire : la 3* armée, A l'extrémité
orientale de la ligne directement engagée dans la bataille de la Marne, avait
a mission de tenir Verdun, un des pivots de Iâ manœuvre dont Paris était
'autre. Bien qu'il lut autorisé A abandonner la place le cas échéant, le général Ssrrail s'y maintint, eiï courant
audacieusement lé risque que présentait
l'extension excessive de son aile gauche
vers le nord-ouest, tandis que son aile
droite était toujours sous le coup d'une
attaque venant de l'Est. Il y eut 1A des
heures tragiques, dans lesquelles le
général S irrail donna un magnifique
exemple de clairvoyance, d'audace et de
sang-froid.
••
Lea obsèques du général Sarrail
auront lieu aujourd'hui jeudi 28 mars.
La levée du corps se fera au domicile
du général, 218 bis, boulevard Péreire,
A 9 h. 45.
Pour se conformer aux dernières
volontés du général, la cérémonie des
obsèques revêtira la plus grande simplicité et les honneurs militaires ne seront
pas rendus A la maison mortuaire.
Cependant, étant donné les services
éminents rendus par le général S »rail,
notamment comme commandant en
chef des armées alliées en Orient, le
ministre de la Guerre a décidé que les
troupes du gouvernement militaire de
Paris salueraient la dépouille du général aux Invalides.
ittieiies
de 1«
S
e
m
a
i
n
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— L'ordinaire des soldats va être
emélioré. Ainsi en a décidé la Chambre
des députés, qui a adopté, A mains le
vées et A l'unanimité, le projet de loi
sur le relèvement de la prime d'alimentation militaire.
— La lutte continue au Mexique entre
adversaires et partisans du gouvernement. Le général Jésus Aguirre, chef
des révolutionnaires dans l'état de VeraCruz, a été capturé par les troupes fédé.
raies et exéouté,
— Un cinéma a pris feu, au village
de Golkino, dans 4e gouvernement de
Wladimir (Russie). Cent quatorze spectateurs ont péri dans les flsmmes.
— Ds graves inondations, provoquées
par lé dégel, causent d'énormes dégâts
•n Bessarabie. Plus de 10,000 personnes
•ont sans abri,
• /
— La Chambre «s a terminé, samedi,
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Aaaoaces judiciaires et diverses (4« page) ; : . ; ;
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réclames (8* page)
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Le» Annonces doivent être adressées, au plus tard, le Mardi soir.
avec le collectif dont l'ensemble a été
voté par 440 voix contre 112.
La bataille fut assez serrée autour de
quelques articles. L'article 27, notamment, relatif A des exonérations en
faveur des emprunts communaux et
combattu par le gouvernement, ne fut
disjoint qu'A la majorité de 285 voix
contre 274,
— A Clichy, A l'occasion d'une réunion, des communistes attaquent les
agents. L'un de ces derniers, M. Reslou,
est décédé A l'hôpital Baujon, Une vingtaine de manifestants et un matelot ont
été envoyés au dépôt.
— Des ouragans, accompagnés de
pluies diluviennes, ont balayé le sud des
Stats-Uuis, de la Louisiane et de la
Virginie. Il y,a de nombreuses victimes.
— Un chalutier est coulé par un pa.
quebot allemand près de Boulogne. Un
noyé.
— Dimanche matin a eu lieu l'inauguration du monument Jean-Jaurès A
Toulouse où le grand tribun fut
adjoint-au-Maire, alors qu'il était professeur au Lycée de cette ville.
Après la cérémonie, la foule s'est rendue au Théâtre du Capitole pour entendre les discours du Maire, des députée
Bédouce et Vincent Auriol et de Léon
Blum.
— Mardi matin dana de nombreuses,
églises de France a été esisors an wR
vice funèbre A la mémoire da Maréchal
Toch.
Posar le*
Assurances Sociales
L'Œuvre reproduit un appel des
Croisés de la Fédération
nationale
catholique en vue d'accaparer l'organisation des assurances sociales. Jean
Plot g répond et lance un vibrant appel
aux républicains :
Le cri d'alarme, nous l'avons déjà
poussé. Il est certain que les organisations catholiques sont prêtes A mettre
la main sur les assurancea sociales. Elles
ont combattu la loi. La loi votée quand
même, elles ne songent plus qu'A la faire
servir A leurs fins.
Mais ce qui est utile, répétons-le, ce
n'est pas de crier. Les groupements que
dirige M. le Général de Cestelnau ne
font rien qui ne leur soit psrmis. Il né
reste aux républicains qu'A faire comme
eux.
' . •>
f '
— Prenez garde ! a'en vont disant
partout les propagandistes de M. de
Castelnau. Si on laisse faire l'Etat, les
« assurances sociales > deviendront a un
organisme fqrmidable d'étatisme menant
tout droit au plue pur socialisme », Venez A nous, A nos caisses a libres ».
Ns cherchons pas A expliquer com
ment nos fascistes français peuvent, sans
rire, exploiter cette crainte de l'étatisme
— de ce même s étatisme » absolu qu'ils
révèrent — sana a'en douter, peut-être,
il est vrai — dans le fascisme italien.
Constatons simplement qu'ils savent
l'exploiter,
— A mon avis, nous dit un ami, il ¿y
a urgence A ce que la presse républicaine entreprenne -une campagne 'en
faveur de la revision des « caisses primaires, pour que celles-ci soient supprimées, le fonctionnement de la loi étant
assumé par l'Etat seul ».
—.D'accord! Mais cette campagne
aboutira-t-elle ? Pouvons-nous compter
sur le Parlement actuel poux modifier
en ce sens la loi sur les assurancea sociales ? Non. En vérité, les républicaine
ne doivent compter que sur eux-mêmes.
Qu'ils se groupent, qu'ils forment, eux
aussi, partout, de ces sociétés de se
cours mutuels appelées A devenir, auto
matiqusment, des « caisses primaires »
Qu'ils répondent A leurs adversaires du
tac au tac.
Ce n'est plus un cri d'alarme qu'i
faut pousser. C'est le cri de ralliement,
FAITES LIRE LE
journal l e C i t o y e r
Vera lee Elections aatuslelpalea
UNION ET DISCIPLINE
Les enseifieneits di pissé
Les républicains ont, en 1927 et en
928, sur les noms de Guillemot et de
Le Bail, triomphé facilement de l'adversaire, grAce A l'union et A la discipline.
Tandis que lee socialistes, animée
'une belle -erdeur et disciplinée megnifiquement, accomplissaient, une foie de
plus, tout leur devoir républicain, lee
radicaux et les modérés fau&ient preuve
du même esprit d'abnégation et }UÎ dévouement et n'hésitaient paa A donner
eurs suffrages A un radical-socialiste.
Lors des élections législatives de 1928
est le même esprit de discipline qui
animait les radieaux-aoeialistes qui donnaient, au second tour, leurs auffragea
aux socialistes et aux radicaux modérés.
••
Pour réussir, on n'a paa le choix dea
moyens. Il faut subordonner lee meileures raisons, les scrupules les plus honorables, et aouvent aussi lea vieilles
rancunes, A la néeeaaité suprême : demeurer unis, si on veut la victoire.
Toutes considérations ne sauraient
prévaloir contre cette loi aussi impéunn
v i , » « , , « rmunr, i
-,
tient A la vie.
Dans les élections manioipales prochaines nous demandons A nos amis
faisant partie des trois grands groupements de gauche de s'associer et de
l'uftir pour le salut commun.
«- Lutter partout, dans toutes les
communes, et, lutter unis, tel doit être
l'e mot d'ordre universel, »
Mais il ne suffit pas encore de lutter
unis (ce qui est le meilleur • moyen
d'avoir la confiance qui donne le succès)
encore faat.il avoir la volonté de vaincre.
Quand la liste sera faite, et, bien faite,
il faut s'organiser dans toutes les sec•
tions de la commune, intensifier sa
propagande et répéter partout qu'il est
nécessaire d'avoir un Sénat républicain
pour qu'il fasse bonne garde autour de
la République menacée par ane Chambre d'opinion flottante et aux allures
équivoques et imprécises.
•
a•
Si les élections municipales étaient
mauvaises ou incertaines, il en résulterait au point de vue sénatorial des
conséquences irréparables.
Quand une fois la victoire vous
échappe, vous en avez parfois pour
longtemps avant de parvenir A rétablir
vos affaires et A ramoner la victoire
sous votre drapsau.
,
Des chiffres illustreront ma thèse.
Kleetl<^se s é n a t o r i a l e s
4 a 1 J a n v i e r 1§»4
Liste républicaine
Halléguen
685 voix élu
A»8,tOr e * e e e e e e e e e « e e
683
• •
—
Dalobeau. v
»-.'.. 670 —
—
Savary
664 — —
Drouillard
645 — —
Liste rèaetionnaire
Saubigou
561 voix
de Brémond d'Ara
556 —
de Saint Luc
544 —
Le Guen
534 —.
de Riismes
518 —
Election p a r t i e l l e 4 n 6 o s t « f e r e m m
Rousseau, républicain.. : 590 voix
Soubigou, réactionnaire. 539 —
Election p a r t i e l l e 4 a 14 m a r s 1»9T
i
l* r tour 2* t. 3* t.
Alain Launay, rép... 490 613 613
Swiney, rép
170
11
0
de Chamaillard, réac.. 568 604 617
Lea 2 candidats républicaine avaient
ensemble au 1« tour 660 voix contre 568
A de Chamaillard, et, au troisième tour,
ils étaient battus A 4 voix.
Tandis que du 1 " tour au troisième
la République partait 47 voix, M. de
Chamaillard en gagnait finalement 49
LI
Quelle humiliation ! quelle honte !
• •
Le Vote de nos Députés
A partir ds 1897« lés défaites se succèdent «1 on assiste à M spsetacle de
nombreux modéré« faisant cause commune avec la réaction.
Après la mort da MM. H alléguas at
Savary, leur rsmplacement >a (ait ainsi :
Li pèche do saimón
dans le Finistère
e r r o r »
EXAMENS
p o u r lea Fonction« publique»
l'exposé des bienfaits de l'instruction an
peuple et invitent l'assistance A adhérer sn
Comité de défense laïque.
L'appel a été entendu, car nombreux sont
ceux, jeunes et vieax, qui se sont fait inscrire aa comité communal.
Leuhan. — La réunion de Leuhan a lieu,
salie Mahé, vers 11 h. 30, A la sortie de la
grand'messe.
Ici l'affiaence est encore plus nombreuse
qu'à Coray, et l'on remarque an groupe de
femmes prés de la porte de la sslle.
Par acclamation MM. Lsz, Provost et
Scéaa sont nommés membres da bureau.
L'exposé da sénateur Le Bsil est écouté
avec une grande attention et l'oratear est A
plusieurs reprises très chaleureusement
applaudi.
A son tour le camarade Le Bec monte A
la tribane et fait entendre de grandes vérités aux adversaires de l'idée laïque; aussi
le sympathique oratear breton est pris A
partie par un envoyé da presbytère.
Àh, mes amis, qaelle mise en boite. Le
Bec joasit avec son « Mac'h-Goen » comme
un jeune chat joue avec une souris. L'auditoire a bien ri.
A un moment donné, un habitant de la
commune énervé par les sottes obstructions
de ce clérical dit A Le Bec: « Ne faites pas
attention, ce « type » n'est pss de Leahan ;
fort heureusement poar noas. nous n'avons
pas de gens aussi bétes dans la commune. »
El notre « Mac'h Guen » se dirigea tout
penaud vers la sortie.
On s'est demandé ce qa'est venu fsire A
Leuhan ce psnvre Jean -Marie Le Gall, de
Ty-Motter, en Scaér. Remercions-le, néanmoins, car grAce A lai la conférence de
Leahan portera ses fruits.
ration. M. Loubat, secrétaire général, parla
ensuite.
Puis M. E. Ménez, maire de Qaimper,
souhaita la bienvetme aux cengresaietes
tandis que M. Le Trocquer les assara de
toute la aollicitude da la commission des
Travaux publics de la Chambre.
A l'issue de la réunion, an excellent
bsnqaet fat servi A l'Hôtel de France. Il
ne réunissait pas moins de 200 convives et
fut empreint de la plus grande cordialité.
Voioi le vota de noa dépoté* dans le
Commis de 1'* classe des douanes et
scrutin aur le passags à la discussio»
régie de l'Indo-Cbine. — Date : 2 juin 1989 ;
das artiolas aur las congrégations, adopAu début dq XIX* siècle, lorsque les délai d'inscription : 3 avril; Age : 20 à 30
té par 300 voix contra 272.'
valets de ferme louaient leurs services A ans, plus services civils eu France on à la
Ont voté pour lo Gouvernement : an patron, ils stipulaient qu'ils ne se- colonie : traitement de début : 8.600 tr.
MM. Bonrgot, Daniélou, Inizan, Jadé, raient pas nourris de saumon plus de plus 3.058 piastres. Licence oa divers titres
exigés. Concours ouvert en France.
Quéinnec, Simon, Trémintin.
cinq jours par ssmaine.
U t t i l a a d a S I Janvier 1 M 9
Vérificateur stagiaire à l'Office national
Ont voté contre : MM. Gouda, Le
Peu A peu, lo saumon disparut des <fes
assurances sociales. — Date probable :
Pichon, libéral
79é voix
Conaall muniolpal. — Le Conseil muLouédec, Maason,
jolies rivières de la côte bretonne. Le jain ou juillet 1929 : â?e: 21 à 30 sas; trainicipal de Qaimper se réunira ce soir, jeudi
GénéralLambert,libéral..., 744 —
M. Bouilloux-Lafont qui présidait la braconnage mal surveillé faisait autant tement de début : 10.000 fr. plus indemnités.
28 mars, A 80 h. 15.
Dr La Borgne, républicain... 469 —
séance n'a pas pris part au vota.
que la création de nombreuses stations Brevet élémentaire oa 1'* partie da BaccaGnéguen, républicain...,.,. 434 —
Aux anolens du « 86 Coz ». — Les
hydro-électiques pour l'anéantissement lauréat exigé. Dames admises à concourir.
anciens
poilus du 86' R. I. T. sont informés
Rédacteur des manufactures de l'Btat et
Eleetlea partielle 4 a S m a r e t M é
progressif de ce splendide poisson.
que la réunion du bareaa aura liea dimancontréleur-adjoint de culture da tabac. —
Depuis la guerre, un effort considé- Date : jain 1929; délai d'inscription : 6 mai;
Amiral de Cuvervile.réact... 651 voix
che prochain 31 coarant, A 10 h. 1/2, salle
rable
a été tenté. Le Finistère ne pos- Age: 18 à 30 ans; traitement de débat:
du Rusqueo,républicain.,.. 616 —•
Cote rae St-Mathiea, A l'effet d'organiser
sédait, en tout, que deux sociétés de 10.000 fr. plas indemnités. Baccalauréat
le banquet annuel. Les camarades qai
désireraient y assister sont instamment
pêche. Il en a aujourd'hui 22, groupées exigé.
Que nos vieux amis se souviennent t
priés
de s'y rendre, aux jour et heure
Attaché
de
Chancellerie.
—
Dste
:
1«
juilen
une
fédération
qui,
chaque
année,
se
Nous avons annoncé récemment l'imlet 1929 ; délai d'inscription : l« r aa 80 avril
indiqués.
Que les jeunes apprennes« A la faveur portant arrêt que la Cour de Cassation réunit dans un Centre différent.
1929; Age: 22 à 80 ans, oa 31 ans, poar les
des enseignements da passé.
Grâce aux démarches de cet impor- candidats ayant été mobilisés. Traitement
venait de rendre relativement à la valiConcert. — La musique régimentaire
L'union, la diseipline ! Il faut tout dité do la clause d'un bail à ferme tant groupement, les 28 fleuves côtiers de début : 9.000 fr. plas indemnités. Bsccadonnera an concert dimanche prochain 81
leur sacrifier pour que la République prévoyant le paiement du prix en blé. du département sont aujourd'hui clas- lauréat ou diplôme équivalent exigé.
mars, de 15 à 16 heures, sur le kiosque
da Chsmp-de-Bataille (sous les halles en
vive et triomphe !
Inspecteur départemental du travail. —
Précisons qu'en l'espèce soumise à la sés au point de vue des échelles A saucas de pluie).
Un vieux de la vieille.
Cour suprême, il s'sgissait, oomme mons. Des subventions arrachées au Date : 24 jain 1929 : délai d'inscription : 1"
En voici le programme :
dans la plupart des baux payables en Conseil général et A la Caisse des jeui avril 1929 ; Age : 26 à 35 ans, pins s«rvices
de guerre ; traitement de débat : 14.000 fr.
L'enfant de troupe, défilé
X.
nature, non pas du paiement effectif du ont permis les améliorations suivantes.: plus indemnités. Licence oa divers titres
Euterpe, ouverture
Le Procèa
Andrieu.
terme en sacs de blé, paiement qui n'a deux échelles A saumons sur l'Ellé, près exigés.
Griserie, valse lente
A. Bosc.
jamais été mis en discussion, mais bien de Quimperlé, une passe A saumons Sur
Les personnes qui désirent des renseiL» Grand Mogol, fsntaisie
Au d ran.
de la fixation dn montant du terme en l'Aven, A Pont-Aven, une échelle A sau- gnements sar l'an des emplois oa conconrs
Sifflez Pierrettes, polka
F. Popy.
ci-dessus ou sar an examen quelconque
Le Toulois, défilé
X. .
On se rappelle que 22 prêtres du Léen une certaine quantité de blé, laquelle, mon sur le S'éir A Quimper, une autre peuvent s'adresser de notre psrt à M. HouTournéee Oh. Baret. — Le samedi
avaient assigné M. Yves Le Febvre de- évaluée à chaque échéance au cours de sur la Dooffiae, une sur l'Elorn À Lan* deville, directeur-gérant de l'Orientation
• avril, aa théAtre municipal, les tournées
vant le Tribunal da la S»ine on paie* tel marché indiqué, devait être convertie derneau, une passe sur l'Aber-Ildut, Professionnelle, 108, rue Erlanger, Paris
(lê*)t qui leur répondra A titre absolument
Baret nous donneront la délicieuse comément de 200.000 franc« de dommages en monnaie que le fermier a'obligsait à près de Saint-Renan.
gracieux.
Uae
lamentable
destruction
de
sauverser
à
son
bailleur.
die gaie « Un Ménage de hannetons ».
et intérêts.
Joindre un timbre de 0 fr. 50 et ne pas
Cette pièce c'est l'histoire de l'union mal
mons
avait
lieu
dans
les
estuaires,
ces
Depuis
la
guerre,
sous
le
régime
du
Ils ae prétendaient diffamés par le
oablier
de
mentionner
:
en
qualité
do
lecassortie
de deux êtres dissemblables d'idée
délicieux
flords
boisés
qui
forment
eom
livre L* Terre de» Prêtre» dont M. Y. cours forcé du billet de banque institué
Nous donnerons dans notre prochain et de caractère avec la complication de la
teur da a Citoyen » à Qaimper.
me
une
dentelle
autour
du
rivage
celpar
la
loi
du
5
août
1914,
la
question
naméro le compte renda des autres réunions tyrannie et de l'habitude. Ces troia actes
Lé Febvre eat l'auteur et par un article
tique.
Les
inscrite
maritimes
tendaient
4e
la
validité,d'une
telle
stipulation
de
dimanche da comité de défense Ialqne. sont amers et humoristiques tout A la fois.
paru dana la revue Lu Pent4e Bretonne.
IA
des
filets
fixse,
arrêtant
la
montée
avait
été
discutée.
Les
cours
st
tribuJ
l
n
o
s
c
o
r
r
e
s
p
o
n
d
a
n
t
s
«t
i
n
o
s
«ml«
L'affaire eat venue le 21 mara devant
Etat-olvll du 2 0 au 2 6 mara 1 9 2 8 . —
la 1 " Chambre du Tribunal de la Saine. naux inclinaient à Juger qu'elle était des reproducteurs, La Fédération des
UNION FINISTÉRIENNE
Naissance.
— Hervé Maaière, quai du
nulle alors que la majorité des jurisoon- Sociétés de Pêche a obtenu une réglePendant la période électorale noue
M* Jacques Fourcada.fits du sénatenr
sultss la reconnaissaient comme licite et mentation. Actuellement, la pêohe aux eompton» sur no» correspondante et sur DES SECRÉTAIRES PROFESSIONNELS Stilr, 10.
dea Basses Pyrénése, a d'abord déveET EMPLOYÉS ADMINISTRATIFS
Décès : Marie Guichaoua, cultivatrice,
filets fixes est interdite dans des idoes nos amis. Nous leur demandons de nous
obligatoire.
loppé la thèse4es 22 prêtres bretons. Il
DE MAIRIE
58 ans. époase Lhelgoualc'h, nie de l'Hosdéfi aies et les inscrits maritimes doi- donner, chaque semaine, des nouvelles,
Pour
la
première
fois,
le
18
février
conclu A la condamnation, soutenant
Le Buresa de l'Union Finistérienne in. pice ; Yves Le Poupon, 1 mois, impasse do
dernier, la Chambre des requêtes était vent se contenter d'employer des sennes tris brèves, de la situation politique muqftfta diffamation existait bien.
forme ses adhérents qae l'Assemblée géné- l'OJet ; Dsnis Peillet, 6 ans, quai du SteTr,
nicipale
de
leur
commune.
mobiles. On oaloule que lès inscrits
8 ; Marie Quinquia, s. p., 83 ans, épousa
Parlant le premier pour la défense, appelée i connaître une affairé de ce
Nos correspondants et nos amie doivent rale annuelle se tiendra A l'Hôtel-de-Ville
w
pèchent dans les sstuaires environ
genre.
de
Landerneau,
le
lundi
de
PAqaes
l
avril,
Ronanès, rae de l'Hospice ; Jean Cornic,
M* Albert Le Bail, fils dn sénateur du
Il a'agissait d'un contrat dé bail 2.000 saumons en année sèche et un aussi noue renseigner sur toutee Us in- à 10 h. 15.
mécanicien, 32 ans, époax Tsxin, rae RouFinistère, loi a répliqué.
ilillier dans les années ordinaires. formations intéressdntes de chex eux.
Le camarade Nevo, secrétaire de l'Asso- zaat ; Vincent Jagant, potier, 78 ans. époux
Il a déploré d'abord le manque de fixant lo montant du fermage A deux
Le Citoyen le» remercie d'avance.
Avant 1928, les inscrits péchaient le
ciation générale, délégué par le Bureau de Bégos, place Bérardier, 4 ; Albert Cousin,
ooorage, qui avait fait entamer ea pro- quintaux de blé par héetare avec stipusaumon du 10 janvier au 1 er octobre.
l'A. G., assistera aa Congrès et parlera des mécanicien. 31 ane. époax Loartiaax, ru»
lation
que
le
prix
du
blé
serait
basé,
A
. eéa à Paris, alors qu'en Bretagne il élit
questions actuellement en suspens devant de Brest, 16 ; Louis Guiffàs, marin-pécheur,
Aujourd'hui, les dates sont du premier
AVIS
été mieux à sa place. Le Tribunal aurait chaque paiement, aur le cours du marf
le Parlement (stsbilité, retraitee, assurances 82 ans, époux Costiou, rue d» l'Hospice ;
dimanche
de
février
au
1"
aoû
.
ea, e» efleé, là-bas, on plas dea élémonta ché libre de Paris <U mercredi précésociales,
suppression d'emploi, simplifica- Henri Morvézen. cultivateur. 29 ans, célibaL'Annuaire « Qalosper-Adreeae »
Notre confrère La Pêche Illustrée
matériels de décision, des éléments me* dent« Lo fermier rofasa de payer et
taire, rae de l'Hospic» ; Marguerite Boulis,
tions
administratives,
etc....).
fut condamné par la Cour d'Appel publiait dernièrement les résultats gé- pour In Arrondissements de Q a i m p e r .
commerçante, 50 ans, épouse Caradec, rae
taux qui loi forent débat ici,
Le
Bureau.
Q a l m p e r l é . C h a t e a a l l n , devant pa
da Froat, 26; Jean Poney, 5 mois, rae KeM* Albert Le Bail, apr^e avoir retraoé d'Amiens, le 20 déeembro 1927. Il porta néraux do la pécha du saumon en raitre prochainement, il est urgent que
A l'issue de Is réunion, un déjeuner amila vie d'Yves Le Febvre, toute de l'affaire devant la Cour de Cassation et Finistère. En 1923, on comptait 1.000 les renseignements divers, changements cal réunira les congressistes A l'hôtel Gué- réon, 46; Marie Tanguy, a. p., 78ana,
épouse Bleuzen, rae Keréon, 9 ; Jeanne Le
eonsoionee professionnelle et do dé- oelle-ei rendit (Chambre dea requêtes), saumons pris aa filet par les inscrits d'adresse, de profession, ete... soient guen, aa prix de 12 francs.
Du, domeatiqae, 80 ane. célibataire, rae d»
le
18
février
1920,
l'arrêt
suivant,
dont
maritimes
dans
las
eetuairea,
2,600
adressés
à
I
m
e
B
a
r
g
a
l
n
,
E
d
i
t
e
u
r
,
vouement i « N i idées, expeee la situal'Hospice
; Marie Le Quellec, s. p., 83 ans,
nous
rapportons
littéralement
les
attenpoissons pris par les pêcheurs dans la t , Quai du Bjtélr, Qulsnper, avant
tien de h» Bretagne an peint de vue
veave Bothorel, rae de l'Hospiae.
LES FOIRES DE LA SEMAINE
dus d'après notre confrère L\ Goutte partie fluviale, en tout 3 600 saumons. le l é mar», d e r n i e r délai.
cléricalisme et »entre la latte violente
Lundi 1" avril. — Brest, Brasparts,
D'après les renseignemente fournis
Publication» de mariages : Yves Rolland,
et sectaire qmi eat Ûnéo à l'étalé laïque du Palau, dn 27 février:
Taulé.
Brise, Plozévet.
employé da chessia de fer, dom. à Keryado,
par
m
présidents
a»»
«••¡¿a«
de
« Si* otHir,
«.«»I«.« g ««twV* >»m •••«é , '1
Mardi 2. — Losronan, St-Thégonnec.
et Marie Frabolot, caisinièro dom. A Qaim« Sur le mojfcn unique prie de la pêche, il a été capturé, en 1926, A la
qu'indépendante de pensée.
Mercredi 3• — Daoulaa, Lannilis, Chà- per ; Pierre Dougaet, aecond-maltre arriligne,
dans
les
rivières
et
le
eanal
do
violation
das
lois
dos
12
août
1670,
Il invoqua eaiaito Je droit qu'a tout
teauneaf, Lanvéoc, Relecq (en Plounéour- j mear, dom. A Plogonnac, et Maria Lévéaès,
écrivain, «ont fwnsear, d'expeeer ses 6 août 1914, 12 février 1916, 15 ectèbre Nantes A Brest, 1.433 saumons repré- La Voire-Exposition de Renne» Ménez). Bannalec.
cuisiaièr», dom. A Qaimper ; Guillaume
idées st d« les exprimer dans an reman 1919, de la fausse application dos art. sentant une valeur marchande de
La 8' Foire-Expoeition de Rennes va de
Jeudi 4. — La Roche-Maurice, Chàteaulin, j Prigent, caieinier, dom. A Qaimper, et Anne
par le troehemeat de personnages créés 1134 et 1172 C. oiv. et de la violation de 186.290 francs.
nouveau ouvrir aes portes le samedi 27 avril Haelgost. Pont-Croix, Pont-l'Abbé.
Mével, s. p., dom. A Paris (9«) ; Jean Hamel,
La Fédération développe avec sélo le prochain poar se terminer le dimanche
l'art. 7 de la lai du 20 avril 1810 :
par son imagination.
Vendredi 5. — Pouldavid-sar-Mer.
peintre sar faïence, et Marie-Jeanne Riou,
a Attendu que le contrat signé le 17 côté aportif do la pécha en organisant soir 5 mai. Pendant 9 jours nn grand mars. p., dom. A Qaimper.
Samedi 6. — Saint-Renan, Carhaix.
M*Thoyot,du barreau d'Amiens, prend
septembrli
1926 p*r les deux parties chaque année des conoaurs. Celai de ché agricole, commercial, industriel, va
ensuite la parole. Dans an exposé éloquent et précis, il montre que la difia- fixait le montant dn fermage A 2 quin- 1926 fut remporté ¿ar le distingué litté être ouvert A tonte cette admirable et riche
B E N - H U R
matiea n'existe pas plus en fait qn'en taux de blé par hectare et stipulait qae rate or breton laffrennou, de Carhaix, région de Bretagne et de l'Ouest dont
et son Combu Naval
Rennes
est
le
centra.
droit. Qae M. Yves Le Febvro a simple- lo prix du blé serait basé A chaque avec 53 saumons.
B K N - H U R
Les expesaits sfflaent de toates les parLa question du saumon a an intérêt
mIM voulu user da droit qa'a tout paiement sur le cours dn marché libre
et sa Couree de Chara
ties
de
France
et
mène
de
l'Etianger,
les
de Paris da mercredi précédent; que finenoier très intéressant. Le repeuple- plus grosses firmes agricoles, industrielles,
homme d'exposer sa pansée.
B
E N
H U R
M* Gailhormet, avoeat de l'dditear de le ponrvoi prétend qae, sous l'Appa* ment, auquel U est proeédé activement, commerciales y aeront cette année repréaes
galères
et
ces
trirèmes
Avle. — Nous prions le» pereonnee qui
La Terre de» Préiree, elât la séria des rende d'an fermage en nature, le een-< a pont résultat d'attirer en France nom- sentées et jamais encore un» pareille diverses
qaadtiges
merveilleux
trat stipule nn fermsge en francs-blé en bre de péohwtfe étrsagsrs, anglais sur- sité de machines, produits, marchandises, ont de» communiqué» à intérer dan» le
ses trente mille figaraata
plaidoiries.
Citoyen de voulçir bien le» remettre direcL'afiaire est renvoyée au 11 avril pour violation dn principe d'ordre publie tout, qui affluent pendant la belle saison, instruments et objets divers n'auront été tement i no» bureaux. 21, rue du Salté.
B B N
H X T R
d'après lequel les paiements A effectuer dans Iss hôtels de Chàteaulin, de présentés aux visiteurs.
dan» la journée du mardi de chaque
les conclusions dn ministère public.
et son HAroa M.*" fique
semaine.
RAMON NOVARRO
Noos tiendrons nos lecteurs au cou- en France ne peuvent être stipulés ChAteaaneuf-do Faou, de Lendorneau,
rant doe suites de ce procès, qui a sus- qa'en billets de la Banque de France de Landivisiau, eto. D'autres centres
BIBLIOGRAPHIE
L'U. S. Luxembourg & Qulmper. —
touristiques pourraient être créés, si
cité ane vive émotion dans 1ns milieux ayant cours légal et forcé ;
Dimanche prochain, 31 mart, le Stade
dea
hôtels
confortables
s'élevaient
dans
Le Film E -«•nel
Vient
de
paraître
:
a Mais attendu que notre légielation,
littéraires de Paris,
Kerhael s*-ra ie i en de e-vous de toas les
sera
présenté
à
ODET-PALACE
tous
les
lieux
pittoresques
où
les
pè
L'Appel
A
la
Mer.
(poèmes)
de
notre
C'eat en effet teet simplement la notamment par l'art. 3 de le loi du 12
sportifs de Qaimper et de la région. En
Vendredi 29 Mare Samedi 30 (soirée)
er
compatriote
M.
Emile
Fureg.
—
Un
volume
ehejvs
sont
aasurés
désormais
de
trou«
question 4 e la liberté d'écrire qui s'y juillet 1906 modifié par la loi du 1 jantfiot, c'est l'U. S. Luxembourg qui évoluera
Dimanche 31 (matinée et eoirée)
vier 1926, loin d'interdire la clause da ver in abondance le saumon et la truite. in-6* coaronne, 132 pagea, prix 12 fran&s. sar le ground d» Stade Qaimpérois. Le
poae.
Mardi 2 Avril (mat. et »oir.)
En
vente
aux
c
Editions
de
la
Revue
Monfermsge en denrées, en a prévu l'emploi I f mouvement est commencé et on
Comité
dn
Stade
Qaimpérois
malgré
la
Mercredi 3 (soirée)
diale », 45, rue Jacob, Paris (6*).
et eonsaoré la validité; que si l'art. 8 peat s'attendre A voir, dans qn avenir
dépense qae comporte le déplacement d'ane
P R I X DBS P L A C E S
5 fr.
équipe étrangère n'a pas hésité A conciare Balcons 12 fr., 1'« 9 fr., 2«« 7 fr.,
U U t a l r t e I a K M é ë • Cll»y«i » de la loi du 5 août 1914 en institoant, prochain, do trèe brillantes réalisations.
ane rencontre avec un club dont la renomG. S. '
livre trie rapidement toute» lee four- après le < ours ltga), le cours forcé des
aBBHHHBMMBBBBHB
mée n'est plus A faire.
niture» teolairet et de iureaua, ainti billots de la Banque de France, a eu
CL'Acclimatation J,
Champion da Grand Duché do Luxem- CHEMISERIE . BONNETERIE
ut tou» le» litre» classiques et de pour effet de frapper de^sollité, dpns la
bourg,
ce club compte A son actif des perMiothèqu*.
— Parfumerie
—
oiroulation monétaire intérieure, toute Noua rappelons à aoe Lecteurs que Comité J e Délease Lllqie dl Finistère
formances des plus remarquables.
la validité do payement
des fermages an eeors dn Hé
de « La Terre des Prêtres
Nouvelles Régionales
Nouvelles Locales
QCIMPER
NflDVELLES DEPARTEMENTALES
¡
Irimprimerie du Citoyen]
L'équipe de l'U. S. Luxembourg compte
é internationaux dont 3 faisaient partie de
l'équipe nationale du* Grand Daché aox
jeax olympiques d'Amsterdam l'année dernière
Qae fera le Stade Qaimpérois devant
l'U. S. Luxembourg f Une vietoire contre
de tela adversaires sera difficile et nous
pouvons être Certaine que l'équipe locale
mettra tout en œavre poar vaincre, cependant les sportifs sssisieront A une beli»
démonstration de foot-ball quel que puisse
être le résultat de la rencontre.
L'équipe de l'U. S. Luxembourg se déplacera A Qaimper aa grand complet et
arrivera le samedi 30 mars.
I,e match commencera A lé h. 80 pré*
ciaes, et sera arbitré par le sympathique
Van Luyten.
Prix des places ; Tribunes asiises, 7 fr. ;
Tribunes gradins, 6 fr. ; Pourtour, 3 fr. 60.
EaUép gratuite aux Membres sociétaires
et actifs sur préseutation de leur carte
Elliant. — La réunion organisée samedi
autre tfoe eelle ayant edurs toreé dsns « « c u t e tossa l e a t r a í a n t y p a
soir
A Elliant, avec le concours de l'orateur
netre pays, eette disposition d'ordrs i r a p h l q a e s ea aoir et couleur». breton Le Bec, avait attiré un joli groape
exclusivement monétaire né peut être
d'auditeurs malgré l'heare choisie, pea
r
étendue en eas où le débiteur doit
favorable aax réunions dans nos campas'aefoittor par un paiement en blé dont
gnes.
Hmtt WJWiM»
axtcovK
le oours n'est pas uniquement fixé par
Tous n'étaient certee pas des psrtisans.
V GrAce aax célèbre» appareils ssns Ras- la valeur réelle du billet de banque;
de
notre éeole, mais tous ont écouté l'exL» célébra Appareil Pneumatique
sort A C O W M W O N $OUPLK de
que mène s'il résulte do contrat que eane Reoaort, dont la eréation a révolu- posé do notre camarade avec la plas grande
i. c u a l
la b)é ne doit pas être nécessairement 4ionné l'Art herniaire, n'est sppliqué que attention. Toua ont éntendu des paroles de
la h»raie, infirmité/dangereuse st soavent livré en nature et que o'est le pris par les Spécialistes »minents des Etablis- vérité qui ont donné A réfl échir à plusieurs.
mortelle a'«rt plwi désormais qu'an nia représentant se valeur au cours de semento A. OLAVKRtE, de Paris, la plus Pas d'obstruction, pss dé contradiction
importsnte maison du monde entier.
non plus ; il est vrai qae se servir de mysmot.
SanotioBBés officiellement par le Corpe | l'échéanee qui devra être acquitté, U
Dans l'intérét de votre santé et de votre tères comme tremplin, pour démolir la vérité
Médical, lefrjuillet 1921, ces neaveanrap- ne s'en suit pas que la dette doit être bourse défiez-vous dée Imitations.
avec preuves A l'appui, est tAohe délicate,
Le eeul speolallat» des Etablissements et celui qui a'en charge n'a pas toujoars
pareils appliqués A des milUefe d» déseepó-1
#n ^
atI tre monnaie que eolie
O L . A V B R X B 3 qui reste contirèi réalisant c h a « « j o a t d u billet de la Banque de France et que nuellement dana notre région, voua les riears de son côté.
Userait A désirer qa'ane nouvelle réuW ü W t r u ^ í t t S l o ^ S S
l o dispositions d . la loi du 5 aoû> 19U donnera gratuitement aee conseils dana les
nion
de ce genre puisse être organisée sous
villea suivantes, de 9 h. A 10 h. A :
dea matada»'aú-snésae», la a U t M l O N I s'en trouvent enfreintes ;
Lorient, dimanche 1 avril, Hôt. de Bretagnr« peu, avae changement d'heure et de joar i
DEFINITIVI.
« Parces motifs, rejette...
QUIMPER, mercredi 10, Hôl. de l'Epée. un dimanche matin entre ? h. et 8 h. par
¿ " S ' ¿ ¿ ' • ^ ¿ ' Z î ' . i ï ™
V.id d . . . » « . . . . 1. M,.U« . . . Chàteaulin, jeudi 11, Hôtel de la Grand'- exemple.
Maison.
veat s'adresser sane retaid A HI. « U M H , seulement du bail dont les termes sont
La réunion était présidéo par M. Le Moi- 1928-19*9.
Assemblée générale de la FédéraQuimperlé,
vendredi
12,
Hôt.
du
Lion
d'Or.
qui loar fera gratuitement l'essai ie ses | stipulés payables en denrées (blé, viangne, conseiller manicipsl, délégué cantonal,
appueils de 8 h. A t» b. A »
tion dps t r a n a p o r t e u r e automobilea.
officier d'académie.
de, lait, etc., suivant le pays), mais Morlaix, samedi 13, Hôtel de l'Europe.
Pont-l'Abbé, 11 avril, H6tel4ee¥eyèg»are. j encore du bail qui, ayant stipnlé un tel Brett, dimanche lé, Hôtel Continents!.
Coray. —• Malgré l'heure matinale l'af- — L'assemblée generale de la Fédération J
Landerntau, lundi 15, Hôtel Raoald,
Croion, 1« avril. Hôtel Modéra».
des transporté ors automobiles de Bretagne
paiement en nature, porte une seconde Saint-Pol-de-Lion,
mardi 16, Hôtel da fluenco est nombreuse, dimanche, A la salle s'est tenne, dimanche, dans l'une des salles
Brest, dimanche 14, Hôtel Continental.
A. Hugueniot, au bourg.
clause spécifiant que cd paiement sera,
France (jusqu'à 2 h.).
QU1MPEB, 15 avril, H6t»l d» l'Bpé».
Rosporde n, jeudi 18,H6t.Rivlére (face gare). chaque fois, transformé en francs an Landivisiau, merc. 17, Hôl. da Commerce,
M. Le Gofif, conseiller municipal, pré- du Gymnas* municipal, à Qaimper.
Plus de 300 entrepreneurs de transports
(àumperlé, 19 avril, Bétel da Lion d'Or et | cours d'un marohé eu d'une foire déter- Lannion, jeudi 18, Hôtel de France ét de side la réunion | il a comme assesseurs M.
étaient
présents A cette importante réunion
l'Europe.
Voyageurs.
.
Guyader, conseiller municipal, et M. Le
minés.
qui était présidée par M. Le Trocquer,
Lonent, dimanche SI, Hôtel de Bretagne.
« Traitée de la Hernie » des « Varloee » Saoul, commerçant!
Nouvelle CEINTURE PERFECTIONNÉE
et des « Affeotlon» abdomlnalee »
Tour A tour, lee citoyens G. Le Bsil, en député dus Côtes-du-Nord, ancien ministre
FAITES vos PUBLICITÉS dans le Conseils et renseignements gratis et dispour déplacement de tona organes.
français, et Le Bec, en breton, démontrent des Travanx publics.
crètement Â. OLAVERIK, 284, faubourg
TRAITÉ d» la HERNIE fo* sar demande |
La séance s'ouvrit par un très intéressant
les attaques déloyales des adversaires de
SslntMartin, Pans.
à M. QLASER, Aé, »d Sabaatopol, PARIS,
ssposé
do M. Calves, présidsnt ds la Fédél'école laitue, Ensuite les orateurs font
HERNIE
HERNIE
¡u?¡¡¡¡uiïiïtzûziï!
Journal l e C l t O V e i l
AU CHIC PARISIEN
26,
Voir ses
Ru»
Keréon
Nûnveailés
Je
Priileapi
BOMBES • DA.BE8 • «ABÇOfflVETB
Armand C A R O N
Orfèvre
M , r u e 4 a Pare, QCIIPEJt
a l'honneur de prévenir sa clientèle
qu'il fait pendant les fêtes do Pâques
une exposition exceptionnelle 4 e S e r -
vice» à café.
Brlec-dcl'Odef
La Foire. — La Foire mensuelle d'avrif
coïncidant aveo le landi de PAqaes, jour
férié, «st reportée au lendemain mardi
2 avril.
Avla. — M. le Percepteur viendra A Briec,
le mardi 2 avril «t effaetaera comme A
l'ordinaire lea paiements des diveneeassietsnees. et le recouvrement des impéta.
Si le
joumai l e C i t o y e n
cous plait, vous avez le devoir de
le répandre autour de vous, et,
surtout de lui faire des
abonni».
L I
P u r toiles vos V o i r i i t i r e s classifaes
adressez-vous il
La Librairie laïqua du CITOYEN
Pouarnanat
Aote de bruUllté. — Dimanche aprèsmidi, M. Savina, marin-pécheur, habitant
m e Traverse de Sainte-Hélène, rentrait de
promenade avec aa famille. À „l'endroit dit
Croaz-Talud, il l'engagea dans an sentier
centoarnant le lavoir Steir-Laon pour couper aa plas court. Il ne s'était pas renda
compte que ce sentier traversait an champ
récemment défriché. Sabitement interpellé
par le propriétaire da champ, M. Savina
s'entendit intimer l'ordre de faire demitour. Il s'y refusa.
Aussitôt le propriétaire, M. Jadé, le
menaçs. La discussion prit une tournure
t r i s vive ; puis Jadé salait aa fourche et en
asséna plusieurs coups sur le crâne de
M. Savina, qui s'afiaissa, perdant du sang
en abondance.
Un docteur, appelé en h&te, donna les
premiera soins aa blessé, dont l'état ne
semble p u inquiétant.
Tréboul
Etat-olvll. — Naittanee» : Yvette Le
Sain, è Croissant-Kerriguy ; Brigitte Prévosto, avenue de la Qare ; Emmanuel Boudigou, rue de l'Eglise ; Anne-Marie Bellay,
à Croissant-Kerrigny: Marcelle Celton, rue
da Colonel Driant ; Eugénie Balanec, rue
Maréchal Foch ¡ Suzanne Coablaac, rue de
Verdun; Jacquea Peuziat, à Kerriguy ; Guillaume Lay, rue da Colonel Driant ; Joseph
Cloaree, rue da Croar-Men ; Guillaume Boudigou, nie du Maréchal Foch { Joséphine
Bariou,avenue de la Gare; Yvette Donnard,
rue du Béret ; Jean-Marie Bihan, à Kerriguy ; Madeleine Cloaree, à Kermabon ;
Chriatiane Le Bris, à Croissant-Kéroaé ;
Pierre Perherin, rue Brizeux ; Georges Thomas, rue Préfet Collignon,; Joseph Briand,
avenue de la Gare ; Edouard Moullic, route
du Béret.
Mariage» : Jean-Marie Mazéas, cultivateur à Benzec-Cap Sizun, et Marie Sergent,
s. p. ; Charles Thomas, marin, et MarieJoséphe Le Bsrs, s. p. ; Clet Charles, comptable, à Beozec-Cap- Sizun, et Marie Thomas,
s. p. ; Corentin Gourrot, maçon, et MarieLouise Colin, domestique, à Poullsn ; Georges Huiban, marin de commerce, i Quimper,
et Marie S&véléder, s. p.
D4et» : Prigette Provost, 2 mois, avenue
de la Qare ; Magdeleine Thomas, 20 ans,
a. p., rue Maréohai Foch ; Yves Pengalet,
78 ana, marin, à Croar-Men ; Marie Nor
mand, 68 ana, ménagère, célibataire, rue
Laéoneo ; Jean Le Lern, 75 ana, journalier,
rue Ssint-Jean ; Joseph Perhérin, 73 ans,
marin, rue Du Couédic; Marie Litré, ménagère, 78 ana, rue Abbé Le Gall; MarieJeanne Cloaree, 81 ans, rue du Maréchal
Foch ; Caroline Normant, ménagère, 80 ana,
rue dea Sablea-Blanca; Ambroiame Ansquer, 83 ana, plaee de la Croix.
PonM'Jfebé
Conseil munlolpal. — Lors de sa dernière aeaaion, préaidée par M. Ch. Le Baa
. tard, maire, le Conseil munioipal a délibéré
sur les questions suivantes :
Contettlon de gai. —. Le maire rappelle
aa Conseil sa délibération antérieure aur le
projet de concession de distribution publl
que de gsz à Pont-l'Abbé par la Compagnie
Lebon et aoomet au Conseil les renseigne
ments de détail qui avaient été démandéa
par la dite délibération.
Lea commissions des travaux et flnancea
donnent un avia favorable poui l'appVoba
tion et autorisation aa maire à paaaer le
contrat.
Adopté à l'unanimité.
Conetruetion de to.-e. à Pont Guern. —
Aprèa un expoaé du préaident au sujet de
la construction de w. c. au Pont-Guern, le
Conseil autorise le maire à faire le néceaaatre.
Subvention du syndicat d'élevage. — Le
maire donne lecture au Conaeil d'une lettre
qu'il a adressée à tous lea conseillers mu
aicipaax da canton an aujet da vote d'une
subvention en favear da eyndicat d'élevage
da canton.
Le Conseil, après en avoir délibéré, ap<
prouve ¡'initiative da maire et s'engage à
inscrire annuellement M budget de la ville
la contribution de 0 fr. 10 par tète d'habi
tant, soit, pour une population municipale
4« 6.408 habitants, 640 fr. 30, à titre de subvention an ayndicat d'élevage da canton
pour l'organisation régulière de concours et
expéditione egricoles.
Traitée de gré à gré 1929. - Les eom
missions des travaux et des ieancea proposent au Conseil d'autoriser le msire à
paaaer dea traitée et marchéa de gré à gré
avea le* entrepreneare et fourniaseurs de
la ville, dont le montant dee travaux ou
fourniturea dépaaaeraient, pour l'exercice,
la aomme de 1.500 francs.
Etate de eotee irrécouvrable». — Le
Conseil exsmine et admet en non-valeur
dee étata de cotea irrécouvrables dûment
justifiées, paésentée par le receveur tnaoioipal.
Terrain àt tpori». — A la saite d'une
Président, Kernaflon Michel ; vice-président, Biger Corantin ; trésorier, Durand
Yves ; Secrétaire, Daniel René.
Huit autres membres ont en outre été désignés pour remplir les fonctions de commissaires.
La fête patronale anra lieu les 5, 6 et
7 mai 1929. ,
Trégunc
Aooldont m o r t e l . — Lundi après-midi,
le nommé Pierre Carduner, 82 ans, manœuvre au service de M. de Malherbe, occupé
i l'élagage des arbres, est tombé d'une certaine hautenr et a expiré quelques minutes
après.
La victime laisse cinq enfanta en bas âge.
Mellac
B r û l é s vive. — S'étsnt assoupie près de
son foyer, Mme veuve Colomer, journslière
à Mellac, est tombée dana le feu. A ses
cris, des voisins accoururent au secours de
Mme Colomer, dont les vêtements étaient
en flammes et le corps brûlé sur diverses
parties. Transportée à l'hôpital de Quimperlé, elle n'a pas tardé à succomber.
CHATEAULIN
Conasll municipal.— Le Conaeil municipal de Ch&teaulin s'est réuni dimanche
dernier, 24 mars, à l'H6tel-de-Ville, à 10
heures du matin, en session ordinaire, sous
ls présidence de M. Noël L'Haridon, premier adjoint.
M. Le Goff est élu secrétaire de séance.
— Le Conseil décide d'inscrire à son
budget additionnel de 1929 un crédit de
18.000 fr. pour aolde de contingent dea
dépenses d'assistance médicale gratuite de
1927.
— Le maire a reçu uno lettre dea habitante du quartier de la Plaine, demandant
la prolongation de la canaliaation d'eau
dana leur quartier et a'engageant, le cas
échéant, à a'abonner au service d'eau.
Adopté.
— Le Conseil municipal adopte la proposition de sa Commission des travaux et
décide de fixer comme prix de location de
deux piècea supplémentaires occupées psr
M. l'Inspecteur primaire à l'école dea garçona à la aomme annuelle de 400 francs.
— M. L'Haridon donne lecture d'une
lettre émanant de M. Le Bourhis, lequel
demande que le prix de location de la salle
des fêtes soit ramené, pour aea aéancea de
cinéma, à 75 franca par aoirée.
Le Conseil, après discussion, décide de
fixer les prix suivants de location : 76 francs
par soirée pour les sésnees ordinsiree et
100 frsncs par aoirée pour les séancea de
supergala. De plus, M. Le Bourhis est chargé d'assurer par lui-même la police de la
salle.
— A la auite d'une demande.dea bouchera
et charcutiers de la ville, les henree d'ouverture de l'abattoir aont fixées comme
suit : service d'été, 1" avril au 1" octobre,
de 5 h. 80 à 21 heures ; service d'hiver, 1'*
octobre au 1" avril, da 7 heures à 19 heures.
— Sur la propoaition de aa commiasion
dea travaux, le Coneeil adopte les heures
suivantea d'ouverture du cimetière : eervice
d'été : 1" avril au 1" octobre, de 7 heurea
à 21 heurea ; service d'hiver, du 1" octobre
au 1" avril, do 8 heurea à 18 heurea.
— Pour la question de l'Hôtel des P.T.T.,
la commiasion des travaux et dea finances
eatime qu'il n'y » pas lieu de voter la cona
trnetion d'un Hôtel dea Postes, pour les
rsisons suivantea : 1* la commune ne pos«èie paa de terrain ; S* lea terraina susceptibles d'être affectés à cette construction
sont situés loin da centre de l'agglomération ; 8' le local aotuel de la poate est suffi
sant et, de plus, il est placé aa centre de la
vUle.
Sur la propoaition de M. Le Goff, le
Conseil émet le voeu qu'un deuxième gui
chet soit ouvert tous les jours au public,
Ce guichet fonctionne déjà lea jeudia et
jours de foire.
— Le oonseil municipal vote ane snbven'
tion de 1500 frsncs pour les sinistrés de
l'éboulement de la rue Notre-Dame, subvention qui viendra e'sjouter aux 12.800 fr.
recueillie par souscription publique.
— L'sssemblée décide de faire une dernière démarche pour que les dépenses ds
la paaaerelle de Pen-ar-Pont soit couverte
par l'Etat.
— Une requête aera adressée aax sénateurs da dépsrtement tendant aa rétabliasement da tribunal de Chàteaalin ; la même
requête sera envoyée à tous les msires de'
l'arrondissement.
— Le conseil donne avia favorable aux
délibérationa de la Commiasion de l'hospice
relativea : 1* au traitement da receveur ;
2* à . l'achat d'un cheval en remplacement
d o ^ e u x cheval actuel ; 3* à l'augmentation
du sslsire du coiffeur.
Pois le Conseil délibéré à huis olos sur
les affaires d'assistsnee médicale gratuite,
de demandes d'allocation, de soutiens de
famille, 4e sursis d'incorporation, de cotes
irrécouvrables.
Avant de ae séparer, sur ls proposition
de M. Le Goff, le conseil observe une
minute de silence pour honorer la mémoire du maréchal Foch.
entrevues des dirigeant» de l'U. S. P. avec
ÇhStaaunauf-du-faou
le Maire, oe dernier fait connaître à l'asAooldsnt d ' a u t o m o b i l e . — Un aaoidenl
semblée municipale qu'il a déclaré aux
membres de cette délégation que la ville ne d'automobile a'eat produit le 20 mars à
possède pas de terrain libre qui convien- Chàteauneuf-du-Faou, rue de l'Eglise, pendrait aux sports ; mais que si la société dant la foire. Mme Cloaree, de Reatangoff,
trouvait an terrain convenable à louer ou à en Spézet, a été accrochée par une camionacheter, la question pourrsit être soumise nette-automobile et renveraés. Fort heuau Conseil municipsl ; que personnelle- reusement, elle s'en est tirée avec qaelquea
fnent il serait favorable à l'acquisition d'un blessures légères.
terrain de aporta bien aménagé pour être
Lauhan
Mis à la dispoeition de toutes les sociétés
Un
Infantlolde.
— La fille Lonise Ollisportives neutres de la ville.
vier.
20
ans,
de
Ti-Louet,
accou ha clanLe Conaeil donne son assentiment à ce
point de vue ; tous remeign<'ments ei deaunement dana la nuit du 26 au 27 feviior.
recherches utiles en vue d'an« solution Elle mil au monde un «nfant du aexe féminin qu'elle étouffa aussitôt. Elle déposa le
seront agréés.
cadavre jusqu'au matin sous sa paillasse; le
Plonéour-Lanvarn
lendemain elle le cacha parmi le foin, dana
C o m i t é d e s F ê t e s . — Le comité des un grenier, après lui avoir amputé un bras.
fêtes a été constitue ds la façon suivante
Le 18 mars, ls membre mutilé fut découpou 19891
vert psr on chat qtti sn fit ss pâture. Uns
OITOTÜI
enquête fut ouverte et le parquet se rendit chaude. Uns hsurs avant la cuisson
sur les lieux 3 jours plus tsrd.
joignez Iss esrottss coupéss sn morceaux.
Après avoir d'abord nié, la mère crimiLorsque les légumes sont bisn cuits,
nelle p u s a des aveux complets. Elle a été passez-les à la psssoirs fins. Rsmsttez
arrêtée.
Çarhaix
Inoendle. — Dans la nuit ds samsdi à
dimanche, le feu a'est déclaré dans la maison de la veuve Cannée, âgée de 70 ans.
Cette msison, couverte en chaume, et l'appentia qui la joignait ont été une proie facile
pour les flammes, La pauvre vieille, qui demeurait seule dana cette maison assez isolée de la route de Lanvennec, a'est retirée
des flammes, maia tout aon mobilier et lea
3.800 franca qu'elle avait dana son armoire,
ont été consumés. Le sinistre a été ai rapide que les pompier« n'ont pu intervenir
efficacement.
Prasparfs
Au p a t r o n a g e lalqus. —. Dimanche
dernier, en matinée et en soirée, à l'école
des gsrçons, le patronage laïque de la
commune a donné une représentation
théâtrale qui a obtenu le plus franc succès.
Une troupe active et courageuse d'artistes
amateure a interprété avec talent de nombreuses œuvres musicalea ou dramatiquea
dont l'audition a amuaé, ému, enthousiasmé
parfoia lee nombreux apectateura.
Noua adressons aux artistes no» plus
vives félicitations, en formulant l'eapojr
que, bientôt, encouragés par leura premiera
succès, ils nous offriront de nouvelles occaaiona d'admirer leur talent et de les applaudir.
cette pnrés dans la casserais st ajoutez y
l'eau chauds sn quantité suffisants pour
faire les 3 litres. Faites rsprendre l'ébullition et 20 minutsa avant ls momsnt
ds servir ajoutez ls tapioca vsrsé sn pluis.
Mettez 1s potsgs dans la soupière avsc
ls bsurrs frais st ssrvsz.
POUR EMPECHER
LES CHAUSSURES NEUVES
DE CRAQUER
Il laut laisssr aux snfants ls plaisir
ds possédsr dss chaussurss nsuves craquantss 1 Et hsauooap ds psrsonnss ns
sont pss ds ost svis.
Pour évitsr es bruit déssgréahls, il
suffira ds badigsonnsr la ssmslls st
son rshord avsc l'huile de lin. Non
seulement es procédé psrmst ds marcher ssns bruit, mais sneors la ohaussurs sera imperméable à l'eau.
POUR EMPECHER
Iss VERS D'ATTAQUER Iss MEUBLES
On psass ds tsmps sn tsmps sar la
surfses du msubls qus l'on vsut préserver, ua shiffon imbibé d'ssssncs ds
térébsntkins ou ds bsnzins. On psut
sneore tout simplsmsnt Iss passsr à
l'encaustique préparés à l'essence ds
térébsnthins.
MORLAIX
Ls Bal universitaire.—Legrandbaluniversitaire — le premier du genre à Morlaix
— organiaé samedi dernier dana lea apacieux salons Quiviger au pro&t de l'Ae<
aociatien dea anciens élèves du collège de
Morlsix, a obtenu le plue brillant aueoèa.'
L'on peut même dire eans crainte que cette
soirée dansante, pour eon coup d'essai, fut
un véritable coup de maître.
Caranfec
Ooup de o o u t e a u . — A la saite d'une
diacuaaion dana un café, et voulant intervenir pour éviter une bataille, l'ouvrier
couvreur Casimir Cornée, 20 ane, demeurant
à Saint-Pol-de-Léon, rue Cadioa, a été bleasé d'un aoup de cout^su au ventre, dans la
soirée de dimanche, par un nommé Françoia Le Fer, ouvrier maçon, 50 ans, originaire de Morlaix, actuellement employé par
M. Mescam, de Carantec.
La gendarmerie mène l'enquête relative
à cette affaire.
L'état du blessé serait assez grave, Les
docteurs Bagot père et Bsgot fiù, qui lui
ont donné leurs soins, ont réservé leur
diagnostic.
Loionna-Paoulas
De maavaiaea langues font coarir le
brait que le Maire laïque de LogonnaDaoulaa aurait versé une certaine somme
à l'occasion de la souscription pour le séminaire.
M. et Mme Madea verseront une somme
de 1000 francs k une œuvre lelque le jour
où on aara apporté la preuve de cette calomnie.
lia attendent lea calomniateurs.
Aux Républicains !
Comment un Républicain peut-il
doaaer au Citoyen une preuve de
sa sympathie t
Eu aidant à sa diffusion, eu le
faisant connaître i set assis et gur«
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POTAGE HARICOTS ET CAROTTES
Pour 3 litrea de potage pr*n«z 350
grammes de haricots sees. 6 ou 8 carottes,
100 grammes de tapioca, 70 grammes ds
beurre et 25 grammes de ael.
Faites ouire les haricots, mis à l'eau
froide (1 litre) avec sel, oigaoa, bouquet
garni, pondant 4 hsurei, sn ajoutant
quand oela sera néosssaire, an psa d'eau
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Questions Agricoles
Lai racinaa af tubercule»
dana l'altmantaflen du cltaval
En rsison de sa faibls capacité, l'esio
mac du chsval h'sst psa dss mieux
adaptéa A la digestion dss aliments psn
concentrés tels qus Iss racinss et les
tubercules. Aussi ces alimsnts sont-ils
ds préférsnee réservés aux ruminante
qui Isa utilissnt misux ; ils ne sont
d'ordinaire donnés au cheval qu'à titre
hygiénique, sn complément ds la ration
habituells ; néanmoins, ils pourraisnt
étrs pins largement utilisés pour l'ail
mentation du cheval et, aux époques
ds pénurie on de cherté des aliment«
donesntrée, ils permettraient ds réalissr
dss économisa dans ls prix ds rsvient
ds la ration.
Carotte». — En pins ds Isur action
eondimsntairs et rafraîchissante, qui
les fsit utiliser pour l'alimentation dos
chevaux à appétit irrégnlisr st capri
cisux, atteinte d'entérite, plue ou moins
« brûlés » par l'avoine, Isa esrottss ont
une valsur nutritive appréciable. Elles
peuvent, à es titre, remplacer partiel
lement les alimsnts concentrés dans la
ration du chsval, auivant Isa bases sui
vantas : 6 kiloga ds carottes peuvsnt
remplacer 1 kilo d'avoine} 3 kiloa do
earottss, 1 kilo ds foin ; S kiloa ds e»
rottss, 1 kilo ds paille. La quantité
journalière à distribuer esi de 6 kiloa
ds carottas peur dse chevaux de 500
kilos. Les earottss sent distribuées découpées en tendelles, seules ou mélan
géss à du aen, à de l'avoine ; Iss variétés les meilleures sont la earétts blan.
che A collet vert, la carotta jaune, dea
Flandres st la esrotte rouge de Hollands.
Panait.— Plus sueré st moins aqueux
qne la carotte, le psaeis, dent la cul'
tare est malhsursussment assez psa ré
pandas dans notre pays, constitue un
sxesllsnt aliment pour le cheval ; alors
qus la carotte, en raison de son action
débilitants, ns psçt étrs distribués qu'aveo mesure aux shsvaax de travail, ls
panais psut, sans inconvénisnt, remplacer uns partis dss grains, même dana la
ration dss chevaux qui travaillent. On
la distribue cru ou bouilli ; le remplacement ss fait euivant Isa mémas basss
numériquss qus pour ls carotte.
Betterave». — La valsur alimsntairs
dsa bsttsravss dépsnd ds Isnrtsnsnr en
sucre ; on utilise de,préférence, pour
cheval, Iss variétés demi-sucrières, qui
peuvent étrs distribué** aux ehsvaux ds
oulture jusqu'à la doss ds Î2 à 15 kilos
par jour ; cette quantité, toutefois, ns
doit étrs atteinte que progressivement,
st, s'il auxvient ds la diarrhés, il laut
anspèndro l'administration de l'aliment.
Les betterave», bisn nsttoyées, sont don*
nées conpées en rondelles st mélangées
à du son ; il sst préférable ds faire le
mélangs 24 ou 36 hsarss avant la distribution. On sstims qus | kilos ds bstts«
ravs* psuvsnt rsmplacsr 1 kilo do foin.
Q U I M P E R . 23
mars. - Beurre, ls Uv~
13 fr. 00 à 14 fr. 00 ; œufs, la dousalue, 8 fr. K *
fr. 60 ; ponlsts, vieux, la couple, 80 481 fr. ;
Jeunes, 35 à 80 fr. ; lapins, la plèoe, 16 & » fr. ;
oarottes, le paquet, 0 fr. 60 ; oignons, la Uvrë,
1 fr. ao ; navets, le paquet, 0 fr. 60 ;
choux, la tête, 0 fr. 80 ; haricots, la livra,
5 fr. à S fr. 26 ; salade, la tête, 0 fr. 40 ; pommes
de terre, 38 4 38 fr. les 60 kilos ; blé noir,
71 à 73 fr. las 60 kilos ; avoine, 67 à 60 fr. ;
eeigle, 68 fr. ; veaux, 6fr.604676fr. le kilo;
montons, 6 fr. 60 A 6 fr. 60 le kilo ; agneaux,
s fr. i » fr.
le kilo ; bœufs et génlssee, 4,00
à 4 fr. 10 ; taureaux, 4 tr. 00 à 4 fr. 23 ; porcs,
6 fr. 60 A 7 fr. 00.
DOUARNHNBZ. — tt mara. - Bœufs, le
kilo, snr pied, 4 fr. 06 S 4 fr. 10 ; vaohea, 8 fr. 00
A 8 fr.10 ; veaux, 6 fr. 00 A 6 fr. 10 ; agneaux,
» fr. A • fr. ; porcs, 7 fr. 0047 fr.60; pigeons,
7 fr. 00 A 8fr. 00 ; poulets, jeunes, 90 A SI fr. ;
moyens, 26 4 28 fr. ; gros, 80 A 8b fr. ; canards,
la plèos, 91 fr. 00 A 28 fr. ; oies, 84 fr. A 26 fr. ;
beurre de table, le k., 27fr.00 4 S0 fr. ; saufs,
la domaine, 10 fr. A10 fr.50 ; pommée de terre,
lea 60kilos, 86 A 88 fr. 00 ; carottes, 0fr.60 A
0fr. 70 ; oignons, Sfr. 25 4 2,60 poireaux, Ofr. 66;
navets, 0 fr. 30 ; radis, 0 fr. 80 ; ohoux, la plèos,
0 fr. 80 A 1 fr. 00; aalads, ls léle, Ofr.40 40,60.
QUIMPHKLÉ. i - 22 mars. - Bœufs de
bonoherie, le k.,4fr.OO A4fr.l0; vaohes, le kilo,
2 fr. 90 * 8 fr. ; porcs, le kilo, 6 te. 60; montons
6,40 4 , ; veaux, le kilo, 6te. 20 A Sfr. 60 ; froment, les 100kilos, 144à 145fr.; seigle, 105 te;
orge, les 1J0 kilos, 100 A102 te. ; sarrasin, les 100
kilos, 125 4130 te. ; svolns, Iss 100 kilos, 104 A
106te.; beurre, la livra, 10,00 A 18,25 ; œufs, la
douzaine, 7 fr. 50 A fr. ; poulets, ls coupls,
vieux, 80 4 87 te. ; Jeunes, 22 A 97.1».
MORLAIX. - 23 mars. - Farine, 1904200
fr. i seigle, 110 te. ; svolns, 130 te, ; orge,
115 A 110 fr. ; son, 100 te. ; pommes de terrsk
28 te. ; bœufs, le kilo snr pied. 8 te. 60 A
4 te. 00 ; vaches, 8 fr. 60* 4 te. 00 ; veaux, 4,60
Pomma de terre. — A l'état "cru, la
A 6 te. 60 ; moutons« s J*. 4 * ; porcs, 6fr. 60 A
pomme
ds tsrrs convient mal au cheval ;
7 te. 00 ; beurre, le kilo, 20,00 A 21 te. 00 ; œufL
ls donz., 8 te. 00 A gfr. 60 ; poulets, ls oonpls; mémo à iaibls doss, slle psut alors dé18 485 fr.; lsplns, la pièce, 16 490 f*(f pigsoos, tsrminsr dss aocidsnts digestifs, ou
a fr. la couple.
Petites recettes pratiques
ds tsrrs donnent, après cuisson, 950
grammes de matière sèche, ot équivalent
Adressez-veus à
à 1 kg. d'avoine ; on psut donnsr aux
ehsvaux, sn doss moysnns, 5 kiloa de
pommos ds tsrrs, sn rsmplaesmsnt de
1 kg. 350 d'avoine.
Etude de M* JONCOUR, avoué-licencié
Los pommes ds tsrrs cuitss sont disà Quimper, 3, rus Louia-Hémon.
tribuées mélangéss à dss fourrages haohés; pour dissimulsr ls goût fads ds
est alimsnt, on ajoute uns vingtains ds
grammss ds ssl. Lss pommss de terra Eifcalien de la loi desi et 15 décembre 18s 0
sont couramment utilisées en Bretagne j
snr le Partage
pour l'alimsntation des chevaux et, | dee Terres vaine* et vagues
notamment, pour la préparation des !
jeunes ehsvaux sn vus ds la vsnts.
Par exploits de M* Mazéas, huissier à
Topinambour. — Ls topinambour, { Pont-Croix, st de M* Kerloch, huissier
dont la eulturs méritsrsit d'ôlrs plus j à Quimper, sn date du 19 mars
largement répandue, constitue nne pré- ; 1929, Enregistrés et visés, M. Jsan-Yvss
Priel, meunier à Ksrbsullsc, en Gencisuss rsssourcs, pour l'alimsntation de j lien, ayant pour avoué constitué pré*
tous lss animaux ds la fsrms. En ce qui ! le Tribunal civil du Finistère (section de
concsrns ls chsval, on sstime que 4 ki- 1 Quimper), M* Joncouir, avec élection de
los de topinamboura psuvsnt rsmplacsr domicile en son étuds aise à Quimper,
1 kilo d'avoins ; 2 kilos ds topinam- 3, rue Louis-Hémon, a formé dsvant ls
bours, 1 kilo ds foin ; 1 k, 500 ds topi- Tribunal civil du Finistère (ssetion de
nambours, 1 kilo ds paille. En outre, le Quimper), la dsmands sn psrtsgs sntrs
topinambour peut entrer en proportion tous lss intérsssés ds dsux parcelles ds
assez forte dsns la ration journalière du terres vaines st vaguss, sises au village de Ménez-Guégusn, sn Goulisn,
chsval ; c'est ainsi que Boussingault sn i et dont l'énumération suit :
donnait jusqu'à 14 kgs par jour à «es; Section D, n* 755, Ménez-achevaux de culture ; on psut, sans indréon alliors Guégusn.... 11 ares 40
convénisnt, donnsr 10 à 13 kilos de Section D, n* 782, Ménsztopinambours par jour à des chevaux de
tal ar poullou
».. 26 ares 30
500 kilos ; toutefois, si l'emploi de cet
Ensemble
37 aras 70
aliment doit se prolonger, il est préféLa notification de cette demande a
rable, lo topinambour étant quelque peu .été faits par copie d'assignation déliéchauffant, de ne pas dépasser la dose vrée tant à Monsieur le Maire de la
de 6 kgs par jour, sn rsmplaesmsnt ds commune de Goalien, qu'à Monsieur le
Préfet du Finistère, et affichée à la
1 k. 500 d'avoino ou de 3 kgs ds foin.
porte de la Mairie de Goulien, avec
Le topinambour se distribus cru : mention qu'elle vaut ajournement à
après avoir été débarrassés par lavags l'égard de tous lea prétendante droits
ds la tsrrs st dsa gravis» qui ss Iogsnt aux ana dites parcelles de terres vaines
dans lsurs anfraetuosités, lea tubercules st vaguss, de as préssntsr dans l'inssont divisés an coups-racines st distri- tance pendante audit Tribunal, où la
bués tels qusls ou mélangés à du son ou cause sera appelée à la première audience utils, un mois après la dernière
à de la paills hachée.
En raison do aa faible teneur en élé- des publieations, insertion et affiche
ments minéraux, ls topinambour con- prescrites par la loi.
Quimper, ls 23 mars 1929.
vient peu aux juments psulinièrss ou aux
A. JONCOUR.
poulains sn croisssncs ; il psut néanaooué-lieeneié.
moins leur être donné à petites doses, à
titra condimentaire.. Le topinambour
mériterait d'être plue largement utilisé
dans l'alimentation des chevaux ; la
simplicité de sa culture st ls fait qu'il
Le m e r c r e d i S avril 1SS9, à
vient bien dans lss tsrras pauvres, méri13 h. IIS, st jours suivants, il ssra protent ds rstsnir l'attsntion..
cédé par le ministère de M* Le Binan,
Fernand Espouy.
greffier du tribunal de commerce de
Quimper, à la vente aux enchères puLe Gérant : Pierre Guéguen.
bliques dsa maichandisea et du matériel
dépsndant ds la liquidation judiciaire
do la Société Trellu.Cariou, fabricants
de conserves à Tréboul.
On vendra notammsat :
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au vin blanc, chineharda à l'huile, filete
de thon à l'huile d'olive, miettes de
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mèms uns véritable intoxication. Par
contre, la pomms ds tsrrs peut être
avantogsussmsnt utilisés s^us certaines
conditions»
Le msillsur mode ds distribution ost
la ouisson à la vapsur, dans Iss appareils
désignés soue le nom de « tubercule
étuves » ; si l'on utilise les pommes de
terre simplsmfnt bouillies, il faut évitor
de donner l'eau ds onisson. Bien entendu, il importe de ne distribuer que des
tubercules bisn mûrs, parfaitement sains
•t sxsmpts de bourgsons.
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