N° 8 (32" année) Vendredi 3 Février 1 9 3 9 Le numéro 3 5 centimes - M ' CITOYEH : Finistère et départements limitrophes Autres départements Colonies Les abonnements sont payables d'avance. PROPOS D'UN B U R E A U X et I M P R I M E R I E , 9 , Rue Elie-Fréron 1 B fr. par an. BO — Téléphone S S Chèque Postal n° 142.70, Nantes. Adresser tontes les communications 6 M. Pierre GUÉGUEN, Imprimeur-Gérant. Les manuscrits ne sont pas rendus. Pour les renseignements joindre un timbre pour la réponse. BRETON La Défaite Catalane ligne située de 40 à 50 km au nord de la capitale catalane. Il faut sans doute s'attendre cependant à voir disparaître peu à peu le front républicain de Catalogne. — L'avion commercial français de la ligne Paris-Berlin s'est écrasé au sol p r è s d e Cologne, après avoir heurté une cheminée d'usine. Les quatre membres de l'équipage et les deux passagers ont. été tués. 7, rue Elie-Fréron (ancienne rue Royale^ — QU IMPER — on e x é c u t e tous l e s genre» » D'IMPRIMÉS Fondateur : Georges LE BAIL 1906-1937 Organe Hebdomadaire de Défense Laïque et d'Action Républicaine. ABONNEMENTS A l'Imprimerie du " Citoyen » arrêtée de l'Allemagne d'augmenter encore sa force militaire, puis il en est venu à l'alliance italo-allemande. « Que personne dans l'univers, s'est écrié le Chancelier, ne se trompe sur la résolution que l'Allemagne a prise. Il ne peut qu'être utile à la paix de savoir qu'une guerre contre l'Italie actuelle, quels que soient les moyens par lesquels on la provoquera, appellera l'Allemagne aux côtés de son amie... « Il faut savoir, avant tout, que nous ne reculerons, sous aucune condition, dévant aucun chantage. » Le Reich-Fti her a, en terminant, passé en revue les relations internationales. Parlant de l'Angleterre et de la Fiance, il a déclaré : « Une collaboration confiante avec l'Angleterre sera un des piliers de la paix du Monde. Il en est de même avec la Fiance. « L'Allemagne n'a aucune revendication territoriale contre l'Angleterre et la France, à part celle de la restitution des colonies. Mais, autant il est vrai qu'en repoussant les revendications coloniales, on contribue peu à la pacification du monde, autant il est vrai qu'il ne s'agit pas ici de problèmes qui doivent nécessairement entraîner comme conséquence des conflits guerriers ». Ajoutons que M. Mussolini doit aussi prononcer, samedi prochain, un grand discours, dont le retentissement ne le cédera en rien, assure-t-on, à celui de son ami Hitler. ANNONCES t Annonces judiciaires et diverses (3° ou 4" page).. 3 fr. tO la ligne Prix à forfait pour les Annonces répétées et traités d e publicité. Les communiqués et annonces doivent parvenir au journal le mercredi"matin au plus t a r i . RÉFORME NECESSAIRE II ^ i' La question des allocations fami- quelque sorte dans une position n e u . •• • liales agricoles demeure au premier tralisée En ce qui concerne les autres cas, plan des préoccupations du monde rural et des milieux parlementaires il y aurait lieu de mettre la moitié d a s'intéressant à la vie et à l'avenir de montant de la cotisation de l'expl-oi-* tant à la charge de l'Etat. " Ce1 ^ notre agriculture. — Un incident franco-nippon : Paris serait point une innovation ca*" Çet&y En la matière, le budget de 1939 ayant soulevé des objections au choix nous a apporté deux éléments nou- se pratique déjà en matière d ' a s s i s de la personnalité désignée comme veaux : d'une part, le vote d'un crédit rances sociales et d'accidents du : i r a * ambassadeur, Tokio menace de laisser :-.-tV.' de 4o0 millions, et, d'autre part, l'éta- vail agricole. l'ambassade vacante. En troisième lieu, il ne faudrait pwir blissement d'un régime transitoire — Parlant l'autre soir à Birmingham. jusqu'à l'entrée en vigueur du décret- écarter dans tous les cas, comme àr M. Chamberlain a, une fois de p'us, présent, le premier enfant de l'exploiloi du 14 juin 1938. proclamé la volonté de paix de 1 AnEa effet, sur les abjurations qu'il a tant du bénéfice de l'allocation. Qu'btf"gleterre, mais, en môme temps, réafreçues de tous côtés, M. Queuille a la refuse à l'enfant unique et au p r e firmé la nécessité devant laquelle elle décidé, sagement d'ailleurs, de sur- mier enfant momentanément seul, se trouvait de s'armer de mieux en seoir à l'application de ce décret-loi. soit, on peut l'admettre. Mais la refumieux et de plus en plus vite pour Celui-ci écartait les familles paysan- ser au premier enfant d'une famille faire face à toute éventualité. nes du bém iiee de l'Encouragement qui en compte cinq ou six, p a r exem— M. Paul Ileynaud, ministre des national aux Familles nombreuses. Or, ple, cela est inadmissible. finances, a prononcé samedi soir un U y a donc lieu, en. toute équité, un autre décret-loi, du 12 novembre discours radiodiffusé dans lequel il a dernier, a consacré un crédit supplé- d'accorder l'allocation pour le premier' brossé un tableau saisissant du redresmentaire de 200 millions au relève- enfant, dès que la famille en compte sement matériel et moral de la Fi ance •'• > » ment de l'Encouragement National. au moins un deuxième. .. li-vA qui, forte et guérie, peut aujourd'hui La solution d'attente, introduite dans résister et demain collaborer, a-t-il dit. la loi de finances, a pour objet de En résumé, nous avons noté -s Parlant de notre situation financière sauvegarder les intérêts légitimes des 1° La suppression de l'interdiction qui est bien saine, le ministre a déclaré familles paysannes quant à la répartide cumul des Allocations familiales è i ' « qu'il y a aujourd'hui en Europe une tion de ce nouveau crédit. . de l'Encouragement national ; _ monnaie r e f u g e : c'est le franc ». L'or Il était indispensable que la famille 2° L'octroi de bonifications de coticontinue à rentrer en Frauce à un rurale ne soit pas frustée de la part sations aux exploitants. rythme sans cesse croissant. « Les qui lui revient. Mais, ce qui doit sur3° L'extension du bénéfice d e l'allorentrées de ces dernières semaines tout retenir notre attention c'est l'utication au premier/enfant d'une famille suffiraient à l'acquisition de 5.000 avions lisation du crédit de 450 millions. en comptant plusieurs. modernes ». Là-dessus,, une somme de 50 milYves LE FEBVRE. A mon sens, voilà les trois modi— Près de Reims, dans la Marne, lions a déjà reçu une destination fications essentielles qu'il y a . lien, En prenant le j ouvoir, il y a dix précise,, puisqu'elle doit permettre un incendie a détruit deux maisons, d'apporter immédiatement a u régimemois, nous avons dit que la défense quatre granges et trois écuries. Les PASSEZ VOTRE l'application du décret-loi du 31 mai des allocations familiales.. - dégâts s'élèvent à plus d'un million de nationale était un bl«c,. 1938, instituant des bonifications de Te ne puis chiffrer exactement l e ... Paissent les Français comprendre cotisations au profit des employeurs francs. coût de ces mesures, mais il me semque leur premier devoir c'est de chargés de famille. travailler. Ed. Daladier. Nous disposons donc d'un crédit de ble qu'elles peuvent être réalisées, Election Législative 400 millions pour assurer le fonction- dans leurs grandes lignes, p a r les nement du décret-loi réalisant l'exten- crédits dont on dispose actuellement. POUR VOS IMPRIMAS Pour le moment, la suppression d e sion aux exploitants et artisans ruraux. Au scrutin de ballottage pour l'élec' Encouragement national combiné adrtt$e%-vou» à Je déclare tout net qu'avec des créde la tion d'un député dans la circonscripavec le versement d'une cotisation Imprimerie de « Oitoye dits d'une aussi faible importance l'on tion de St-Quentin (Aisne), M. Bugain, entiérèment à la charge de r e i p l o i » M . * ttHa-Préroa, On«—»-' ne peut instituer que des allocations s. f. i. o., a été élu par 6.480 voix tant aboutit, dans certains ca£,.' à . familiales insuffisantes, en faveur des contre 4.748 à M. Robert, rép. de g.. défavoriser les familles! les plu&.nomenfants de noa campagnes. J'ajoute Il s'agissait de pourvoir au rempla-. — Un tremblement de terre d'une qu'elles demeureront insuffisantes tant breuses. Aussi avait-on bien fait.-fie., ampleur et d'une violence sans précé- cernent de M. Hallande, s. f. i. o., qu'on n'aura pas dégagé des ressour- laisser un caractère quasirfacutyat&Aa., Organe hebdomadaire dent a, en trois minutes, dévasté décédé. décret-loi du 14 juin,— il n'est ;o]»U-< de Défense laïque et d'Action rêpablicaine ces substantielles en dehors du cadre gatoire que pour moins d e 100.000-j l'une des plus riches provinces du budgétaire. "Mmtmmmm «t t a y r l a c r i * i Chili. exploitants. .r> •» ! -'> Aussi, comme i l ne saurait être r, Rue Elie-Fréron - QUIM PER ( Finistère i La région sinistrée s'étend sur une Mais, ce caractère facultatif ne-petit s question « d'étoller » les allocations Téléphono 86 longueur de «00 km. environ et une manquer d'entraîner les p l u s gravés 7 Chèque postal n* 142-70, Nantes. avec ce maigre viatique, j e serais parLa Politique extérieure largeur de loO km., en bordure de la tisan d'utiliser les 400 millions pour conséquences pour la gestion des âkO«MMHt* I còle sud du p»ys, A la fin de la semaine dernière se corriger les lacunes et imperfections Caisses de Compensation, car, Seuls* Des villes entières, telles que Con- sont terminées, à la Chambre des finiftère et départements Umiles bénéficiaires éventuels donneraient, du décret-loi du 14 juin. troiihuo 16fr. ception et Chilan, ont été à peu près Députés, les interpellations sur la Entres département», leur adhésion. • . > 20 fr. En d'autres termes, j e voudrais, totalement rasées. Partout, dans cette politique étrangère du Cabinet Ûala* . Si les dispositions que je,viçns d'in?. avec cet argent, débarrasser notre A i u m i i province hier si belle et si florissante, dier. cliquer étaient adoptées, on .pourrait; Judiciaires on antres... la ligne, 3 fr. 10 chétive construction de ses malfaçons. édictcr l'obligation pour tous, coadi-: régnent aujourd'hui la désolation et L'assemblée s'est déclarée Unanime Prenant la parole au cours de la Les annonces doivent être adressées ao la mort, à vouloir le maintien de l'intégrité du >lns tard le mercredi matin. di-cussion du budget de l'Agriculture, tion « sine qua non »• pour rendre Le nombre des tués est évalué à territoire de l'empire français et la j'ai esquissé les mesures qui, à mon l'institution viable. 30.000 et celui des blessés à 80.000. sûreté de ses communications. "mtr fou» renseignements, Joindre un timk sens, s imposaient le plus pour donAinsi qiie j e l'ai indiqué tout i nntir In rAnotit* Les dégâts matériels, eux, sont l'heure, tout cela ne nous donnera Par 379 voix contre 23!Î la Chambre ner un « climat » habitable au nouveau évidemment i n d é c h i r a b l e s , encore que des allocations étriquées. a approuvé sttns réserve l'altitude du régime, Mais nous pensons qu'il y a lieu, tout — Un avion allemand, au service Gouvernement. En premier; lieu,: il faudrait mettre d'abord, de faire disparaître les injusde Franco, s'est écrasS sur un pic Ont voté contre le Cabinet : 186 lin à la disposition la plus choquante tices, car rien " n'est intolérable à' des Pyrénées françaises, près de socialistes unifiés, 73 communistes, du décret : je veux parler de l'interl'esprit français comme l'injustice ! Dagi ères-de-Bigorre. Si:s cinq occu- i union socialiste et républicaine, 1 Pour éviter les frais de recouvrement diction de.cumul des allocations famiEnsuite, il faudra créer.« de nouvelles (4 francs par abonactuellement très ¿levés pants, dont trois olflciers allemands, indépendant, liales et de I Encouragement national ^ ^ nement environ/, nous prions instamment pour les exploitants et artisans ruraux. ressources pour permettre de donneç ont été carbonisés, nos abonnes d f . se servir dm n o t r * C o m p t a On suppose que, serré de prés par Cette interdiction ne s'appliquant des allocations plus substantielles.. La Politique intérieure Ohàqaa Postai 1 4 8 . 9 0 Nantaa, pOUV te Pour aboutir à ce résultat, j e reste l'ennemi, au cours d'un combat, l'apqu'aux seules familles rurales, est Mardi est venue, devant la Cham- règlement de leur réabonnement. partisan du moyen que j'ai préconisé inacceptable du point de vue matériel pareil avait dû fuir en France. C'est bre, la discussion du projet d'amnistie Dans le cas contraire, les abonnements dans ma proposition de loi n° 3.800, du. point, de vue et l'est encore plus en rentrant eu Espagne que l'accident pour les sanctions prises après la grève expirés seront recouvrés par la poste, majorés c'est-à dire d'une taxe relativement psychologique. s'est produit, de ces frais. du 30 novembre, légère sur les produits agricoles d e Que l'on abandonne donc au Minis— Non loin de Prades, deux avions La suite de la discussion a été rengrande consommation. de la Santé Publique les crédits tère espagnols se sont, d'autre part, livrés voyée à aujourd'hui vendredi. Il faut voir les choses comme elles Malgré les nombreuses critiques de cette provenance et ce département combat au-dessus de notre territoire. <iB rL-g-LUlIil—. 1-li-JJ—'ilit-L1—i'' * « " * » se présentent, qu'on lui adresse, j e continue à 'préà servir à l'Encouragecontinuerait Ils ont laissé tomber 17 bombes près " Il ne sert à rien de reculer, —* de coniser ce moyen, parce que j e n ' e n ment national aux familles paysannes d'un village français, sans heureusetoujours reculer» comme à toutes les autres lamilles vois pas d'autre,, parce qu'il njen ment faire de victimes, Aucun sacrifice n'est de nature à existe pas d'autres. françaises. Signalons aussi qu'à Cerbère, la satisfaire les dictatures. Elles ne voient Le décret-loi du 12 novembre 1938 De ce fait, on ne retirera pas d'une D. C. A. française a dû tirer sur des L'Allemagne a fêté lundi le 6° anniNoma ¿«a jBouaoripteur* qu'un » f e u de notre faiblesse ou de a apporté des améliorations, très sen« ce que l'on donne-de l'autre. main avions franquistes qoi survolaient versaire de la prhje du pouvoir par les notre impuissance dans ce que nous sibles au régime des allocations famiEn second lieu,, il me parait dési M. F. Madec, conseiller d'arrondisse* natlouaUJt-fcOclalistes, croyons être des sacrifices à la paix* notre pays, liales des salariés du commerce et de rablc do modifier, le régipic des coti' Le Reichstag a été Convoqué, li cette ment, maire de Logonna-Daoulas, 100 fr. ~ En raison du développement des ftotre attitude, dans la crise espal'industrie. sations imposées à l'exploitant .agricole M. Keraaudy, gardien do phare en retraite gnole, n'a pu qu'encourager le fascisme opérations en Catalogne) là gaî'de de occasion, pour écouter un grand à Mertles-tìains (Somme), 20 fr. - Com- car, en -l'état ttctubl des choses, la A partir du i " avril 1939, ce» dans ses c i m p a f n e s hostiles * la notre frontière et été d'ailletirs paMoUt discours d'ilitlepi allocations Vont être portées pour l e mutio cío LantíéantíU, 25 tv. — Commune cotisation qui lui est demandée miniAprès avoir exalté l'tt)uvre de ces tenforCée, a ÎYanCé, , . de Pdollartuefï, 100 fr. - Commune do mise singulièrement l'allocation qu'il 1" enfant à 5 / 0 du salaire moyen si* antiéesj le Chancelle^ 4 nfcitehnuient Les r é f u g i a fetilmës; ènfanU et le crois tjUe l'Héilt'e Ait vetiUë de départemental, à 10 % pour le 2% Pünt-1'Abbé, 280Je. - Cofómutío d- Plo- est appelé ft recevoir, 1 féôister froidement et fermement. Non« vieillttl'dSj afiluent en Crante, pat pslrlé des MivendifitlliGlito tioloulalcs de tfa8tel-StrGordi8ln,,.£i0 fr; - COmttiuue de à 18 "/o pour le 3° et pour chacun de» Lit cotisation serait rîtlgible, êh h'tltotjfl qlle trOp attefidu, Nous ne didalne do Mille, mourant de faim et 1 Allemagne,.« l)n pOinteftt clalH, a-t-U Brianaleò, 430 fr (mflluft les frais pour les suivants. 11 en résultera pour ce» totalité du ménage Sans enfant, mais proclamé i. Ou blett les rkheoôeô du tortirtílitíeS). - íWérididu du Parti répuIWb'nfl f-ëtiulèr lefl âgreflseUrs que fli de frOid, elle ne Set-ftit pas exigée de l'exploi- familles une aide très appréciable, Le» forces MpùtfllcalneS; tifi tìlotiifùt monde ftërdnt fépttflles pdt là fortié otl blicain rddicril-Ôdcid liste du Finistère. i«iU9 ¿Montrons notre pultHahÉe mllltant qui, n'ayant qu'un enfant è une aide qui va être dorénavant bien irtjce et nOlf'1 forcé' morale, D'est elssti déflòrgàninées ftptè's ia défaite de tìar- bien le fcatttagfc Atlra lieti étjuitafcle- 300 ir. ^ M. Jeflti-MàHe Le PemjJ. buui% charge, n'eut pas appelé à bénéficier plus substantielle qu'en tout « u t « • - ^•tirijorit, IN fr; e ¡Mae *0uVe JMorüadeo, des allocations. Ce dernier serait affi- pays, CelOnBj due lei) utitltfîlâHslefl ont tfctìu- ittèilt, il idsulies; CiVt «*»< ^ de sacrifice«, u t a o n fié 6i4â| le ijoil SêiiS deWa fie bfluffti Petiüieíit, Iti Ufi Il estj peut-iti a, tciiips dè fldUfef efi péë le «ë jdnVlëfy àft i-efottìletìt ët Bien entendu,, cela nécseiflteM M lié aux Caisses de Compensation »ttis, joindf» à l'équité e t à l ' t i p p t m U é n , ». Lé filoniani dei: Soliiôflplions t'élèue á ËspJgM lin lâitibedU de 14 t ë r f t 0a(4- MctìriitnMoeM & tfppùflef Un$ fléHeuôe vis-à-vis de cellft«*eit U fievlèit en çtfort finan«!«' fif^ll 1 íiWnílWfll if' Mt Hitlerftensuite dit U volonté bien jfcne, toute gorgée de Mng. Il a eit, féaiutàucè au* f r a n q u i s t e ôiii iiitt Le drame espagnol a brusquement évolaé vers la défaite des républicains. La prise de Barcelone par l'armée de Franco et par les légionnaires de Mussolini marque une date icdoutable dans l'histoire de l'Occident. Dans quelques jours 1rs vainqururs seront, parvenus à la frontière des Pyrénées, c'est-à-dire aux portes de la France. Il nous faudra décider de la paix ou de la guerre : accepter l'insolent ultimatum de l'Italie fasciste, grisée par ses victoires d'Espagne, ou résister enfin et mobiliser sur trois frontières. Et le destin prononcera 1 Il prononcera entre les pays de dictature et les pays de démocratie. ' P o u r ma part, j e ne doute pas un seul instant de la victoire de la France et de l'Angleterre, soutenues par les Etats- Dnis et vraisemblablement par la Russie, la Roumanie, la Yougoslavie et tous les peuples à l'est de l'Europe que menace, line fois de plus, le sombre g'-nie de l'Allemagne. C'est ainsi que peut et que doit se présenter la situation, au moment critique, si, toutefois, les diplomaties française et anglaise ont su remplir leur rôle et se ménager des alliés. Le seul point noir réside dans l'attitude de la Pologne que domine secrètement l'ordre des jésuites, dont les calculs demeurent impénétrables. La Papauté, effrayée par le paganisme de l'Allemagne hitlérienne, aurait une tendance visible à rejoindre les démocraties dans leur défense de l'ordre international et de la paix. 11 faut, à cet égard, rendre pleine justice à certains prélats qui, comme le cardinal Verdicr, ont su faire enteudre une voix vraiment chrétienne, au-dessus des champs de bataille de l'Espagne. Mais les jésuites ne se sont pas prononcés, ou, plutôt, lorsqu'ils se sont découverts, ce fut toujours au profit des dictateurs, que ce soit Mussolini ou que ce soit Franco. C'est ce qui fait le danger de la situation et, probablement, l'hésitation de la Pologne qui, sous la lourde botte du colonel Bock, oublie les sacrifices de la France et de l'Angleterre en faveur d'un noble pays que nous avons ressuscité, après deux siècles d'agonie, et que l'Allemagne victorieuse démembrerait à nouveau. (juoi qu'il en soit, après la défaite de» Catalans que nous n'avons pas su empêcher, on peut être certain que la situation va se tendre une fois encore, comme en septembre. La question se posera pour la France de savoir si elle est résignée à accepter un second Munich, — ce qu'on appelle déjà un « Munich en Méditerranée ». Je ne pense pas que l'Italie insiste pour occuper la Corse ou la Savoie ; mais elle voudra Djibouti et des modifications importantes de frontière ou d'administration en Tunisie. M. Daladier a opposé, par avance, un non Catégorique à toutes les revendications italiennes. Demain, l'Allemagne ajoutera ses revendications coloniales à Celles de 1 Italie. Si le Gouvernement français demeure inflexiblement sur les positions qu'il a adoptées, et j e l'en approuverai pour ma part, ce sera l'impasse. sans doute, pas trop tard pour secourir Madrid. La France et l'Angleterre se doivent de réagir enfin devant le danger qui les menace. Comment ? le ne sais et il ne m'appartient pas de le dire. L'Angleterre de Pitt, de Disraeli, de Gladstone aurait occupé l'Ile de Minorque. Elle en a les moyens. La France de Iules Ferry, de Clémenceau et de Lyautey aurait , depuis longtemps, occupé le Maroc espagnol, à titre de gage et provisoirement comme l'Italie occupe Majorque. Il n'est, peut-être, pas trop tard non plus pour réaliser cette opération. Dans tous les cas, il ne faut pas avoir peur des menaces italiennes et céder au chantage de la guerre. Nous ne désirons pas la guerre. Nous savons trop ce que cela représenterait de deuils et de misères. Mais ni la France, ni l'Angleterre n'ont peur du danger. Elles ont une grande histoire et elles demeurent dignes de ce passé. Si elles veulent la paix avec llialie comme avec l'Allemagne, c'est dans la dignité, dans le respect des traités signés et de la parole donnée. Elles ne sauraient consentir à cette paix des charniers qui recouvre peu à peu le monde et qui mène la civilisation européenne à sa perte ou à sa destruction, sous le signe illusoire de la force brutale. jouma/ l e C i t o y e n Miettes Semaine LE CITOYEN Au Parlement A nos Abonnés 16 Un oraoïi J a r s tinter Georges Le Bail à Qiiper LE qu'il va être supporté par les entreprises employant ces chefs de famille ? Que non point ! Celles-ci vont immanquablement intégrer ces nouvelles charges dans leur prix de revient, et, en définitive, elles seront payées par l'ensemble des consommateurs. Personne n'y retrouvera à redire et Cette réforme, à la fois opportune et généreuse, sera réalisée sans heurts ni récriminations. Mais j'attends que l'on me démontre que ce qui est vrai pour le commerce et l'industrie ne l'est plus lorsqu'il •'agit de l'agriculture. se tiendra à Quimper le 5 février 1939, à 10 heures du matin, salle du Gymnase. Les comités adhérents y seront représentés à r a h o n do un membre-délégué par 10 inscrits. Ordre du jour : Compte rendu moral et tinancier ; renouvellement dos membres du bureau ; organisation de la propagande ; fédération do 1 O u e s t ; questions diverses. Conseil d'Administration Le Conseil d'Administration de la Fédération radicale-socialiste du Finistère se réunira à Quimper. salle du Gymnase, le 5 février 1939, à 9 h. 30 du matin, avant l'assemblée générale convoquée pour le même j o u r . Jean PERROT, Font partie du Conseil d'Administration : 1° de droit : les membres du bureau de Député du Finistère, Membre de la Commission de l'Agri- la Fédération ; les parlementaires, conseillers généraux, d'arrondissement et maires culture. membres du parti. R É F U B L I O A I M S I Vout ne trouverez pat U Citoyen chet tout let dipotitairet de journaux du département, mail vout le trouver et tûrement chct vout en vout abonnant f Voir hull ntinrf'Khonnnm<>ntnn l'paar^ Concours am Fonctions Publiques 2" par délégation : 1 membre-délégué par comité non déjà représenté par un membre de droit. Les membres do droit qui n'auront pas reçu de convocation individuelle sont priés de considérer le présent avis comme en tenant lieu. Le Président, J. Riou. — A l'issue do l'assemblée générale, les délégués se réuniront on un repas amical à l'hôtel Pascal. Prix du repas, vin compris : 20 francs. — Agent technique de terrain do Service Conseil Général temporaire de la revision des évaluations Le Conseil Général du Finistère so foncières. — Concours ouvert en mai 1939 pour 50 postes Délai d'inscription : 28 réunira, en session extraordinaire, ô la février 1939. Avoir satisfait aux obligations Préfecture, demain samedi 4 février, à militaires. Limite d'âge supérieure : 45 10 h. 30, au Bujet des transports départeans au 15 janvier 1939. mentaux dont l'affermage actuel cessera le — Sténo-Dactylographe au Ministère des 1" mars prochain. Colonies. — Date : 9 mai 1939. Délai d'insOn examinera aussi la question du percription : 11 avril 1939. Limite d'Age supé- sonnel des chemins de fer départementaux. er rieure : 30 ans au 1 janvier 1939. Traitement de 9 500 à 15 000 fr. plus indemnités. Conseil de Révision Aucun diplôme exigé. Voici l'itinéraire du prochain Conseil de — Adjoint techr.ique stagiaire du génie rural. — Date : 27 mars 1939. Délai d'ins- revision dans le département. Classe 1939 (jeunes g ins nés du 1 " jancription : 10 mars 1939. Condition exigée avoir satisfait t A c t i v e m e n t au service vier au 31 décembre 1919) ; ajournés des militaire actif. Traitement de base : 10.500 classes 1936 i2» contingent), 1937 (1" et 2» fr. plus indemnités. Aucun diplôme exigé. contingents), 1938. Vendredi 10 février, à 10 heures : Quim— Ingénieur adjoint des travaux aéronsntiques de l'E'nt (16 postes). — Date de per (jeunes gens étrar g t s au département). Jeudi 2 mars : à 9 h 30, Quimperlé ; à l'ouverture des épreuves d'admissibilité 6 juin 1939. Délai d'inscription : 6 mai 1939 14 h. 30, Arzano. Vendredi 3 mars : à 8 h. 30, Concarneau ; Avoir satisfait anx obligations militaires. Age à la date dn concours : 22 à 30 ans plus à 11 heures, Pont-Aven; à 14 h. 30, Banservices antérieurs admissibles pour la nalec. Samedi 4 m a r s : à 8 h. 30, Plogastel-Stretraite. Traitements de 14 000 à 35.000 fr. Germain ; à 14 h. 30. Pont-l'Abbé. plus indemnités. Aucun diplôme exigé. Lundi 6 m a r s : à 9 heures, Douarnenez; Renseignements fournis par 1'« Orienta tton Professionnelle », revue mensuelle,à 14 h. 30, Pont-Croix. abonnement : 16 francs par an. Mardi 7 m a r s : à 9 h. 30, Fouesnant ; à Los personnes qnl désirent des rensei- 14 h. 30, Rosporden. gnements sur l'un des emplois on concours Mercredi 8 mars : à 9 h. 30, Briec-deci-desso* ou sur un exnmeu quelconque, l'Odet ; à 14 h. 30, Scaôr. peuvent s'adresser de notre part à M. Bon Jeudi 9 mars : à 9 heures et à 14 heures, deville, diracteur-gé.raut de « L'Orientation Quimper. (Seront examinés le matin, les Professionnelle », 7, rue Marbeuf, Paris ajournés des classes antérieures). (8'), qui leur répondra a titre absolument Lundi 13 mars : à 8 h. 30, Carhaix ; à 15 fradrax. heures, Le Huelgoat. Joindre an timbre de 0 fr. 90 yt ne pas Mardi 14 mars : à 9 heures, Châteaulin ; oablier de mentionner : en qualité de lec tear da • Citoyen », 7, n e Klie-Prérou. < à 14 heures, Le Faou ; A 16 heures, Crozon. Mercredi 18 mars : ô 9 h. 30, Pleyben ; à Oainoer 14 heures, Chàteauueuf-du-Faou. Vendredi 17 mars : à 9 h 30, Plouigneau ; à 14 h. 30, Lanmeur. Lundi 20 mars : ô 14 heures, Morlaix. Mardi 21 mars : è 9 heures, Saint-ThéOn no ut prie d'insérer : gonnec (la révision se fera A Pleyb'-r-Chril) ; Agriculteurs, vous êtes appelas, diman- 6 11 heures, Taulé ; 6 14 h 30, Saint-Polche, A désigner vos représentants à la de-Léon. Cbambre d'Agriculture. Mercredi 22 mars : 6 10 heures, PlouzéJe considère que l'un des membres védé ; à 14 h. 30, Plouescat. sortant n'est pas digne de vous y repréJeudi 23 mars : à 9 h. 30, Ouessant ; è senter : il s'agit de M. Divanach, de Pen 9 h. 30, Brest (1er) ; h 14 heures, Bresl (3'). bars, le « propagateur » de la main-forte Vendredi 24 mars, 6 9 h. 30 et 14 h. 30 : et du désordre... Brest (2*). (Seront examinés le matin, les Cet homme, qui n'a pas toujours le ajournés des classes antérieures). courage de prendre la responsabilité de Lundi 27 mars : 6 9 heures, Sizun ; ses actes, ne peut pas représenter notre 11 heures, Ploudiry ; â l 5 h : u r e s , Laudiviclasse paysanne, paisible et laborieuse, au siau. sein de celte Assemblée. Mardi 28 mars : à 10 heures et à 14 h. 30, Amis cultivateurs, que tous ceux d'entre Landernean (le matin pour les ajournés des vous qui veulent l'union dans notre belle classes antérieures). .organisation et désapprouvent ainsi le Mercredi 29 mars : ô 9 h. 30, St-Renan ; rôle de chambardeur et de trublion tou- à 14 h. 30, Ploudalmézcau. jours joué par M. Divanach, rayent donc Jeudi 30 mars : à 9 h. 30, Lesneven ; résotament ce nom de la liste. 14 h. 30, Lannilis. Un agriculteur qui comprend bien son Vendredi 31 mars : 6 10 heures, Daoulas; intérêt professionnel, qui veut travailler à 14 h. 30, Plabennec. dans le calme et la tranquillité, ne doit Lundi 24 avril : à 14 heures, Brest (étranpas voter pour M. Divanach. gers au département). Vendredi 6 mai : à 14 h. 30, Quimper YVONNOU, (séance de clôture). Maire et Conseiller Général, Mardi 26 Juillet : à 14 h. 80, Quimper Présidentdu Syndicat agricole de Bénodet. (session extraordinaire). Elections i la LDamOre d'Agriculture Républicain! 1 A I m m m > t i u mm Syndloat de l'Eneeignemen« joumai l e C i t o y e n 7, rue Küe-Fréron, QU1MPBR Le Conseil syndical de l'Enseignement laïque a fixé au 23 février, la date do réunion des sections cantonales avec l'ordre du jour suivant ! Examen de la situation ¡ titularisation psr promotion ; œuvres sociales du S. N. Réfugiés Espagnole » * » i m T I K I X f Des réfugiés Espagnols (femmes, enfant!, vieillards), en provenance de la Catalogue, sont arrivés dans le Finistère. Ces réfugiés Oùt été répartis dans différentes communes et hébergés dans les salles de patronages, de colonies de vacances, hospices« eto... Lisas w l mi F a i t e s e lire CITOYEN la Cito ve! 7, rue Klifi-Fréron — Quimper Les QUIMPER Fétm d a a E c o l e s . — Les grailles fêtes annuelles des E oies publiques, organisées au profil d'oeuvres postscolnires (cantines scolaires, colonies de vacances, ce'ivrés du vestiaire, etc...) sont fixée!- cette année au dimanche 7 mai pour la fête des E>;otéH et au dimanche 18 juin pour la fôtu de lu Jeunesse. .-•>:• A a a o o l a t l o n d e a aastajatUa a u x loi» inr U a H 8 . M . — Le Conseil d'administration a pris en considération les demandes de nombreux sociétaires désireux de voir reporter la date fixée pour pouvoir disposer de la journée de dimanche prochain, jour do l'ouverture do la pécho, et a décidé de reporter l'assemblée générale au dimanche 12 février. Elle aura lieu à 10 heures, salle du Prétoir, rue Verdelet. Préparation m i l i t a i » . — Le Président du Conseil, ministre de la Défense Nationale a prescrit que les jeunes gens nés au mois do novembre 1918seraient incorporés en avril 1939. Une stission d'exampns de préparation militaire aura lieu dans la dernière semaiue de février et leur sera exclusivement réservée. Les jeunes gens que les dispositions cidtssus intéressent bout invités û se faire connaître sans îetard au capitaine chef du service départemental d'éducation physique ot préparation militaire, caserne La Tour d'Auvergue, à Quimper, qui leur adressera tous i enseignements utiles. La Q a l a da la L i g i n d'Honnanr. — Ainsi quo nous l'avons annoncé, c'est j ;udi prochain, 9 février, qu'auia lieu, au thoàtre municipal, à 20 h. 30, la soirée de gala de la Légion d'honneur. Après une partie de concert, où les meilleurs artistes qciinpéiois se feront entendre dans un répertoire particulièrement choisi, le public assistera à la présentation de uouzo tableaux vivants inspirés des maîtres de la peinture classique et moderne, présentés dans des décors brossés par le peiutre Louis Lécuyer. Ces tableaux seront accompagnés soit par le brillant orchestre du maC'stro Henri Contant, soit par le sextuor régimentaire, soit par des chants adaptés aux œuvres qui seront présentées. Ce sera un spectacle d'art d'où la fantaisie ne sera pas exclue et au cours duquel on applaudira une j une danseuse étoile qui sera une véritable révélation. Il sera prudent de retenir ses places. 1« Liste éU«<«f«I« Rappelons qui la délai pour les réclamations au sujet de id lista électorale eiplf» demain soir, samedi 4 favrlef. Les électeurs arrivé« daii» IdOf nouvelle Commune depuis le avril 1991 ont à se Présenter, avant demain soif tbltitllt, I leur Mairie, munis des pièces nécessaire! an vue de leur inscription sur la liste életi» totale de 1939. _ «»«Ht têâiùmi ëi MéfrabUosla f«(UMl<H»taUaU A*»etni>tée générait L'altfttbtéé générale itatutnifè de 1« f t t H t m du faillira lalfllitâttfta 4 e a 0 4 » t - P > l m i a (près Programme jusqu'au Actualités parlantes film, et le grand film pe ». de. la Préfecture). — lundi 6 février 1939 : et "onores ; un joli : « L'enfant de trou- Ras (près de la Gare). — Programme jusqu'au mardi 7 février 1939 : Actualités « Eclair-Journal » et deux beaux films, dont : « La hé 1 -' humaine ». A p o l l o (près du Cap-Ilorn). — Programme du vendredi 3 au dimanche 5 février 1939: Actualités, un beau film et le grand film : « Mon père et mon papa ». Plogasfel-St-Germain S n l o i d e . — M. A. Glinec, cultivateur à Kergrenu, s'est suicidé, dimanche malin, dans son grenier. Le malheureux était snj it ô des crises nerveuses des suites de blessures de guerre. Pont-l'Abbé L < b a l daa O h a m i n o t a . — Préparé avec !e plus grand soin, le bal des cheminots, oiganisé dimanche dernier, dans la vaste salle du Café de Cornouaillo, a remporté un g r o j sucrés. Une jeunesse joyeuse et les nombreux amis des cheminots avaient répondu à l'appel des organisateurs et quand l'orchestre attaqua ses premières notes. la salle était déjà comble. A l'ontr'acte, M. Plantade, membre du comité, remercia l'assistance, rappela lo but de l'Orphelinat des ch':mins de fer et souhaita ô tous de terminer joyeusement la soirée. Compliments aux cheminots pour ce beau succès. Ploxévet S y n d l o a t d a a dAbttanta d a b o i a a o n a Les membres du Syndicat de défense des débitants de boissons et épiciers détaillants de Plozévet, réunis en assemblée générale extraordinaire le 26 janvier, à la Mairie, ont. décidé : 1° D-! r e f u s r r de délivrer les timbresprimes à partir du 5 février 1939. Une note sera adressée, en conséquence, aux épiciers en gros fournissant Plozévet ; 2° De protester auprès des marchands de vins et spiritueux en gros fournissant Plozévet, pour qu'ils cessent la vente au déiail concuire.i ç m t déloyalement les débitants payant patente et autres charges (i c»les correspondantes ; 3° De maintenir les petits verres à Ofr 60, mais de porter les apéritifs secs à 1 ir. 50 et les mouillés à 2 fr. 75. D<iau ; Louis Le Moal, 3. rue de I Hospice ; Pur gara ; Jacqueline Pennec, rue MonteMarie-Claude üuéguen, -¿4. ruo de BTBKt ; «u-Ciel (au Clos) ; Florentine Cariou, 16, Pauline Denis, 1, rue Th"odore«Li-Hars ; rue Plomarch. Mariages : Jean Nony, marin, et MariePhilippe Maugard, 17, rue de Locronan ; Yvon Cornille, 7, rue Bourg-les-Bourgs ; Corentino Gourlaouen, à Douarnenez ; Odette Nihouarn, 12, rue Pen-ar-Siang ; J<cques Giocoudi, ajusteur, 6 Paris, et Danièle Cusson, 8, ruo do Locronan ; Henri Françoise-Marie Kéraudren, à DouarneBernard, 5, rue des R^guaires ; Marie- n e z ; Henri Belbéoch, marin, à Ploaré, et Thérèse Hascoôt, route do Pont-1'Abbó ; Anne-Marie Picbon, à Douarnenez ; Henri Gloaguen, quartier-mallre infirmier, et Calixto Blanchard, 3, rue de l'Hospice. Publications de mariage : Marcel Bellamy, Marie-Emma Hascoôt, à Douarnenez ; Jean employé des P. T. T., dom. à Tours, et Boudigou, manœuvre, à Douarnenez, ot Honorine Baloin, à Ploaié (mariage à Anna Barriou, dom. à Quimper. Ploaré) ; Théophile Losq, employé de Dicis : Jean-Claude Fouquat, 4 jours, commerce, et Henriette Laurent, ô Douarquai do l'Odet ; Marie Le Grill, veuve nenez ; Henri Hubert, brigadier de husCalvi, 53 ans, 11, rue Jean-Jaurès ; Joseph sards, de Douarnenez, et R^gina Provost, Le Noc, 20 nus, 3, ruo de l'Hospice ; Victor à Ploaré (mariage à Ploaré) ; Michel Lo Garanton, 51 ans, 1, rue de l'Hospice ; Léon, marin, à Douarnenez, et MarieMario-Louise Lours, veuve Albert, 77 ans, Jeanne Savina, à Pouldergat (mariage à 12, rue BriZeux; Charles Lo Moudoc, époux Pouldergat). Bouquet-iVadaud, 44 ans, ingénieur agroLécès : Guillaume Le Floch, veuf de nome, G, placo Saint-Corentin j Marie Alexia Doaré, 68 ans, rnariu, rue Berthelot ; Jézéquel, épouse Gouien, 67 aua, route de Mathildo Giguet, 4 aus, 61, rue Duguay* B é n o i e t ; Jeuune Lappart, 41 ans, 3, rue Trouin ; Jean-Marie Le Meur. époux do de l'Hospiuo ; Joseph Coetmen, époux Marie-Anne Caradec, 53 ans, charpentier, Cojan, b8 uns, peintre en bftiiment, rue du Comniandant'Aviil; Marie Le Corre, veuve rue Monte-au-Ciel ; Marie Cotonéa, veuve Quéau, 64 ans, 17, rue Le Déan ; Eugène Ausquer, 95 ans, ruo du Champ-de-Foire. Touruior, 71 ans, 3, rue de 1 Hospice ; Pierro Le Bris, 44 aus, 3, rue de l'Hospice j Yves Colin, 66 aus, 1, rue de l'Hospice. CttblâVtMeS il est rappelé aut Intéressés qu'aux terthel des dispositions légales relative! à la pwtection du marché du blé i 1° Il est interdit d'ehsetaBnCet en blé les superficies supérieures A celles Consacrées par les usages locaux pour l'assolement j 1" Il est également interdit de cultiver du bla sur une terre qui a déjà porté cette Céréale l'année précédent«! sauf danl les réglons où cette pratique e«t de tradltidn, •t sous réserve d'uue superficie d'un hedtare pour l'alimentation familiale ) S1 il est enfin interdit d'augmenter par etploUatlon les superficies ensemencée! eu blé par rapport a la œo/enno do« troll itoftéa» otM» Cinémas René Kernoa, né le 25 octobre 1905, célibataire, beau-frère du précédent, rue Ernest-Renan, à Douarnenez; René Thomas, né le 10 septembre 1904, marié, un enfant, avenue de la gare, à Tréboul ; Yves Kervarec, né le 18 août 1901, mirié, un enf int, 25, rue du Pont, fi Donarnen« z ; Franço'S Jadé, né le 30 août I90S célibataire, 8. place des Pèeb"tirs, fi Donarnen' i. : Charles Tynévez, né le 26 aviil 1908. marié, deux enfants, 55, rue D gnayTrouin, ft Douarnenez ; Joseph Le Moal. né le 28 septembre 18i)8, marié, deux enfants, rue Traverse-S liuteHMènn. à Douarnen< z ; Mathieu Gonidec, né le 25 novembre 1913, célibataire, rue S tint- Jean, à Douarnenez; E'igène Guénadou, 33 ans, célibataire, rue de [Observatoire, (• Douarne.niz. A n C o m i t é R a d l o a l S o o i a l i a t a . — Les membres du Comité républicain radicalsorialiste de Douarnen« z sont convoqués pour demain samedi 4 février, à 20 heures, salle Cl8quin, rue Duguay-Trouin. Le bureau compte sur la présence de tous les membres. HAilLLlE VO^e A m m i y . rua ëu Para, C H U P I N „,.„ A n ttkéàtr«. ^ tolirhééS Ch. Bal'el. C'est d main bOir, samedi i février> que lefr'à donnée sur btìtfe scène municipale le spedatile de choit qu'est i La fomme en Fletir -). Les iaurnéeè fiaret tint monté ceitë piòte aVec Un grand iute de décors et de to^ lette. C'est Mme Germaine Lancier, la brillante artiste de i'Qdâdn, (jui jdaeMl (i La f e m m e eu Fl«»r », l i t p a r t « d « (t M i e h a a n - O b a r l l o S. — Voici la liste des quatorze braves marinspèc heurs embarqués sur le bateau do pêche < Méchann-Lharlic », lors de son départ de Douarnenet, le 13 janvier dernier: Charles Doaré, patrou, né le 22 février 1907, marié« doux enfants, demeurant 18, rue do Plomarch, à D o u a r n e n c i ; Paul Doaré, frère du patron, né le 31 décembre 1897, marié, deux enfants rue du Centre, à Douarnenei ; Eugène Le MaOut, né le 25 juin 1892« marié, d e u x ^ n f a n t s , 26, rue du StancOu, à PlOai-é j Jean-ftené Jaccf, né 16 18 juillet 1Ô06, marié, un enfant, 29, rUe Jean-Jaurès, à Douflrtioni'i ; Jean Louhoùtifl, hé le 13 novembre 1837, marié, Un enfant, Î9, ruë dU Carrefour, à Dauarneneg ; Yves Banec, né le 6 juin lt)01, marié, tfn «sciant j chanteuse populaire de nos foires, Mme venve Lr.chon, née E-niliri B'iuvry, décédée à l'hApili 1, dans sa £6e année. Née it Plouguer, en 1852, h vénérable défunte à fnit entendre des romance* et complain'es durant d e n o m b r e u s e s a n n é e s . t f t o ^ W ^ "Mon J a r d i n " ' R i v n *m J a r d i n a « « THOUARS (Oaw ièvraa) ut Is guide pratiqua in «nstiurt Etiti 0» 7 fr* »n Essai 3 mois : 2fran€fc BREST L é g i o n d ' h o n n e n r . — M. Fabrcguettes, trésorier-payeur général du Fiuistère, vient d'être promu officier de la Légion d'honneur. Rosporden — D'autre part, nous apprenons avec S o o l é t à d a P â o h o . — Uae société de plaisir la nomination au grade de chevalier pêche, dénommée « Le brochet de l'Aven >., de la Légion d'honneur de M. Lullien, pour les étangs de Rosporden, a été for- premier adjoint-m aire de Brest. mée et un comité a été nommé. Le distingué adjoint-maire de Brest, q u i Le but de cette société est d'étudier, seconde avec tant de dévouement le pred'accord avec les administrations et les mier magistrat de notre grande ville marisociétés intéressées, les mesures à prendre time, jouit de la considération de tous pour a-surer une plus grande efficacité au ceux qui l'approchent. Nous prions MM. Fabreguettes et Lullien repeuplement naturel du poisson dans les étangs de Rosporden et de réglementer la de vouloir bien trouver ici nos sincères félicitations. pêche. Lps pécheurs, désirant faire partie de la A v i a a u x Orphalina da Qnorra •( société, pourront se procurer des cartes Pupilla» da la N a t i o n aana amploi. — de sociétaires ou à la journée, chez M. L'Office départemental des Mutilés, ComConan, secrétaire général delà société; M. battants, Victimes de la Guerre et Pupilles J. Flatrès, rue du Moulin; M. Y. Hervé, de la Nation appelle l'dtlention de ses route de Concarneau. ressortissants actuellement sans emploi sur le concours qui doit avoir lieu, le 15 Concarneau février courant, à la Direction des consA r * J . Q . O. — La section de l'Union tructions navales à Brest, en vue du Bretonne des Combattants de Concarneau recrutement d'ouvriers aux écritures è tiendra sa réunion générale annuelle, l'Arsenal. dimanche prochain 5 février, à 10 heures, Pour obtenir tous renseignements utiles à la Mairie de Concarneau. au suj'ît de ce concours, ils doivent Le camarade Burin assistera à cette s'adresser à la Direction des constructions réunion et y prendra la parole. Apiès la navales. réunion, il se tiendra à la disposition des camarades qui auraientdesrenseignements à lui demander. Il est rappelé que les cartes de 1939 sont à la disposition des adhérents aux endroits suivants : Chez MM. Gabriel Gai g i n , eu Ville-Close ; Louis Oliivier, cat'é, rue Courcy ; Jules Le Flour, café-tabics, avenue de la Gare. Traltio dn P o r t . — Voici le traii 1 . du port de Concarneau durant. Tannée 19."<8 : Nombre de navires de commerce entrés, 691 ; lonnag.'. de. jange, 44 758 'onnea»x ; importation. 28.410 tonne aux (1e marchanA l'Union Pa4ronnle dn BAlimant. — dises diveives dont 2.743 to neanx de Au cours de l'assemblee générale de houille en provenance deCardii)'; exportai Lnion p a t r o n » ^ du bàiiineut < t des traB a n q a a t d a la S o o i é t é d a a P é o h a a r a tion, 10 775 tonneaux de march indises vaux publics du S'id-Fiuimère, le nouveau —• Le banquet annuel de la Société des diverses. bureau de l'associalioii a élé constitué de Pécheurs à la ligne aura lieu le dimanche La pêche a également vu son trafic augla façon suivante : 5 février, ft 19 h: 30, à l'hôtel des Bruyères menter de prés d'un million de k*los de Président: M. Bon 'uelle, deConcarneau. Les sociétaires désirant y prendre part poissons de toutes catégories, réalisant Vice-présidents: MM. Moreau. de Qnim- sont priés d'aviser le restaurateur avant le une vente de 42 millions, en aegm-nlalion oerlé ; P e m z , de Pont-Croix ; Pérodeau, repas et d'apport' r quelques spécimens de de p i è i de 10 mi lions sur l'année précéleur pêche. dente. de Quimper. Pour obtenir des cartes de sociétaires, Secrétaire général : M. Marchand, de A u C o m i t é R a d l o a l - S o e i a l i a t a . — Le s'adresser soit à M. le docteur Domain, Quimper. Comité républicain radical et radicalsoit à M. Pierre Biou. Secrétaire adj >int : M. Mével, de Quim socialiste du canton de Concarneau se per. A v i a d a la M a i r l a . — Des feuilles de réunira en assemblée générale, le samedi Trésorier général : M. Allain, de Qiim renseignements au sujet de la contribution 4 février, ù 19 h. 30, salle Rayer, à Concarper. nntiouale extraordinaire de 2 % , applicable neau. Trésorier adjoint M. Le Founteun, de à compter du 23 janvier 1939, sont à la Les citoyens désireux d'adhérer à la Quimper. disposition des employeurs à la Mairie. section sont cordialement invités à assister Membres : MM. Jourdain, d ' E g u é à la réunion. Armel ; S^ordia, de Quimpor ; Bornés, de Douarnenez Quimper. B t a t - O l v i t . — Naissances : Joseph Castrée, rue Obscure ; Alain Le Plomb, place B t a t Chril dn « 4 an 3 0 J . a v i o r 1 9 3 9 — Naissances ; Yvonne Pmel, 23, rut! de S lint-Michel ; Suzinno Le Joncour, 9, rue Ce&ûÂù, À trtút S i l o u i q u e ; Pierre Tannneau, 3, rue Le du Grand Port ; Guillaume Kérivel, rue navlalM dé — Prochain spectacle dpg tournées Ch. Baret, le samedi 11 février 1939, sous les auspices des Annales politiques et littéraires, « Ester » et « Le Médecin malgré lui ». - ûU fyAJfKlA À f ï g f * Á LOTERIE NATIONALE Football-Association A n O. A . d a P o a h a r a U t e m voite duuuef ScaÔr Siégloa d ' b o n n a n r . — M. Joseph Croissant, négociant à Scaer, conseiller d'arrondissement, chef do bataillon de réserve, vient d'être promu Officier de la Légion d'honneur. Ën cette heureuse circonstance, nous lui adressons nos bien sincères félicitations. CHATEAULIN O m Vilain« A l l a i t « . — M i s a aa point. — Un nous prie d'insérer : Une information parue dans un quotidien régional annonce l'arrestation, sous l'inoulpation d'attentats à la pudeur sur des écoliers, d'uu nommé J de Châteaulin. Comme il est question « d'écoliers », nous tenons à préciser qu'il s'agit de l'arrestation de Mi J. Jadé, vicaire à Châteaulin, directeur du patronage catholique, ibculpé d'attentats à la pudeur 8ur de jeunos enfants fréquentant son établissement. M. l'abbé Jadé a été placé Sous mandat de dépfilt et écrdué samedi dernier à la maison d'arrêt de Quimper. Pour le edmité de la réunidn tenue le 30 janvier 1939, à Châteaulin : Le Secrétaire de séance. C a r h a Î I tùà dktfaiÀrë fcfc**t*«èè *>ojpaUlfé. — Ces jours derniers, a été conduite à sa dernière demeure, à Carhaix, la dernière Mauvaise journée pour le C. A. P., à l'image du temps exécrable q u i a reudu les parties très dures pour les joueurs, surtout pour les jeunes. Les juniors, avec quelques minimes; rencontrèrent au Stade Keihuel, les juniors du S. Q. A la mi-temps, le score de I à 0, en faveur du S Q. permettait à nos jeunes Pen* harsiens de s'en tirer honorablement, mais une blessure du demi-centre obligea celui* ci ô se retirer, et ce fut la défaite par 5 à 1. Il n'y a pas pour cela à désespérer. La 2 équipe, à Plozévet, quoiqu'arrivée assez tard, ne trouva pas au complet l«s gars de la Ploz. Ce qui fait que les joueurs furent mélangés et que l'on ne peut tirer aucune indication de ce match. La 1» j o u a de déveine I Elle f u t battue par 7 à 0. Pendant la première mi-t«mps, nll> flt jeu égal avec la Ploz, et quoique menée par 3 h 0 contre le vent et la pente, elle espérait se rattraper ô la 2* mi-temps. Mais elle comptait sans l'arbitr \ dont nous ne mettrons pas la bonne foi en doute, mais qui n'a pas su conserver ses joueurs en mains, énervé par leurs criailla' ries. £)eux ou trois erreurs cju'il cûmmit jetèrent le découragement dans l'équipe de Penhars, qui eut le tort de se désunir, ce qui amena u s e défaite plus forte cfu elle n'aurait dû être en réalité. Ajoutons à cela 4uo Kerloch fut bleiad en première mi-temps, que les joueurs de Plozévet étaient, eu général, plus lOUrdl quo les nôtres, et que le jeu dur étant eti faveur eu 2» division, ce handicap se tiè surtout sentir en deuxième mi-tempô. Je no voudrais pas terminer ce compté^ rendu fions signaler la Venue sur leterrairi de nolro «ynipathiqu« député-maire da Plosévet, M. Albert Le Bail, qui a M w K LB ClfOYEN Les Minimes, q u i r e n c o n t r a i e n t en demi(luale d u c h a m p i o n n a t Breti>gne-Sud l e u r s c a m a r a d e s do la P. A . , a u t e r r a i n d e St-Denis, s ' e n s o n t r e t o u r n é s avec le m a t c h nul, 0 à 0. Ce n'est g u è r e brillant, ni p o u r les u n s , ni p o u r l e s a u t r e s . H e u r e u s e m e n t q u ' u n match r e t o u r a u i a lieu d i m a n c h e p r o c h a i n au terrain d u S. Q . , e t s o u h a i t o n s q u e l'une d e s é q u i p e s fasse au m o i n s un b u t . Les J u u i o r s b a t t e n t les J u u i o r s d u C. A. P . p a r 5 à 1 (voir a u C. A. P.). La 3» é q u i p e b a t la 2« d e la P . A p a r 9 à 2. Joli s c o r e q u i i n d i q u e aussi u n e é q u i p e de valeur. P o u r q u o i faut-il q u e la 1 " n e suive p a s le m ê m e c h e m i n q u e l e s é q u i p e s dites « inférieures » 1 La é q u i p e e s t r e v e u u o d e Morlaix avec u n n nouvelle défaite (7 6 2) Inutile d ' é p i l o g ier s u r la partie ; u n seul fait e s t ù r e t e n i r : il n'y a plus do m o r a l chez les j o u e u r s , c'est-à-dire p l u s d ' û m e d a n s l'équipe. La r e m a n i e r 1 J Ï crois q u o cela n e s e r virait p r e s q u e à rien. U n e seule c h o s e , il m o n avis, s'impose, la m ô m e q u i a déjà é t é faite d a n s les m o m e n t s c r i t i q u e s et q o i a sauvé le vieux S a d o d a n s d> s c a s aussi d é s e s p é r é s q u e c»'ui devant lequel on se t r o u v e : confier l ' é q u i p e à un e n t r a l n o o r qualifié, à q u i on d o uerait l s p o u v o i r s nécessaires p o u r iv .w-r 1« r e d r e s s e m e n t à b o n n e fin. u t - o n le t r o u v e r à Q u i i o p e r '/ J o crois qu o u i , soit p a r m i l e s m e m b r e s d u C unité, soit a u d e h o r s . Il y a à Q u i m p e r assez d e s p o r t i f s c o m p é t e n t s e t ass' z j - u n e s p o u r e n t r e p r e n d r e c» travail, a n c i e n s j o u e u r s s t a d i s l e s q u i o n t le c œ u r g r o s do voir les n o m b r e u s e s d é f a i t e s q i e subit leur vieux club, et q u i n e r e c h i g n e r a i e n t p a s à la b e s o g n e . J e d o n n e m o n idée p o u r ce qu'elle v a u t , el j o Crois qu'elle vient à son h e u r e . Que si q u e l q u ' u n pensait q u e j e p r é ho p o u r m o n saint, qu'il lise bieu ce q u o j ' a i écrit plut- h a u t : a n c i e n s j o u e u r s stadistes, assez j u n e s , e t hélas t j o n e p. é t e n d s plus ôtre c o n s i d é r é c o m m e j e u n e . K e r v a h u t . AAAOLAZUR f ^ É M r l I ôLâzud I V l H I \rv\/ l > / "' < MUILB «Ml AUTOS M/immMW MMAUUt refus *" > HSr*<« ¿ s a C o m m e toujours, voyez... LES VÊTEMENTS Chez CAOUTCHOUC GEORGES la 1IAIS0K 4e l'IHPSRMÉABLE SO, Rue Jean-Jaurès, SU *>• Q t f l M P E R 1 3 f r . - l 8 f r . 2 4 f r . - 2 9 f r . 4 8 f r a n c s T«xt* «t Illustration plu« abondants «t malllaun, mémo dan* loi formats réduits, V ' * n aucun autro dlctlonnalra. Es vante 7, À l a XjibrmriM 1.. ¡ q a a ra« Ello-Friran — Qalmpnr Ayneitc s s Pour vos t i m b r e s e n oaoutohono e t e n cuivra, adressez-vous ¿/'Imprimerie Bretonne d u « Citoyen » Travail exécuté rapidement et à det nrix modérés. A v e n d r e , à l'auiiable, abattoir privé. Vaste bâtiment entouré de terrain et pouvant servir d'usine. S'adresser au journal. « F e u n e h o m m e , libéré service nvlitaire, demande place comptabledactylo. — S'adresser au journal. Etude de M" RIOU, notaire à Pont-Croix. A VENDRE M a i s o n avec fonds de commerce de bijouterie et de photographie, louissance immédiate. Etude de Mc lean KERVELLA notaire, 3, rue de Kergariou, Quimper. A D'une ordonnance rendue p a r le Président du Tribunal de l r " Instance de Quimper, le 4 octobre 1938, enregistrée lo 5 octobre 1938, il a été extrait ce qui suit : Nous, Chauvin, chevalier de la Légion d honneur, Président du Tribunal civil de l r e Instance de Quimper ; Vu la lettre de M. le Préfet du Finistère en date du vingt-huit septembre mil neuf cent trente-huit ; Vu le décret du huit août mil neuf cent trente-cinq sur l'expropriation pour cause d'utilité publique ; Vu la délibération, en date du six mars mil neuf cent trente-huit, p a r laquelle le Conseil municipal de Trégunc demande que le projet de construction d'une école de garçons au bourg soit déclaré d'utilité publique ; Vu les plans, devis, cahier des charges dressés pour l'exécution de ce projet ; Vu les plan et état parcellaire des terrains à occuper ; Vu le procès-verbal de l'enquête à laquelle il a été procédé, du trois au six juin mil neuf cent trente-huit inclusivement, ensemble l'avis favorable du commissaire-enquêteur ; Vu le décret-loi du huit août mil neuf cent trente-cinq sur l'expropriation pour caui-e d'utilité publique, complété par le décret-loi du trente octobre mil neuf cent trente-cinq ; Vu le décret du deux mai mil neuf cent trente-six relatif à la procédure ^ c •<» h «c fe O. o.S® £0 N o m s , p r é - a i® o. œ s-o „ o n o m s e t do- X u micile d e s H'â propriétai- a « <res d ' a p r è s o« n le cadastrt •<r. c EN LA COMMUNE DE KERFEUNTEUN à Tij Iiivoal Enfants Déléi luse U n b e a u C h a m p d e terre à l a b o u r a b l e e t f r u i t i e r s , bordant la ligne de chemin de fer de Q u i m p e r . Enfants Qiiimper-Bre>t, pourrait convenir à Di'.léduse industriel ou pépiniériste, contenant à Quimper. 40 ares environ. Pour tous renseignements, s'adres- E n f a n t s Morel ser au Notaire. à Brest. Commune de Plogastcl-St-Germaio Avis d'Enquête Le public est prévenu qu'une enquête d'utilité publique sera ouverte du l u n d i 6 f é v r i e r a u m e r credi 1 5 février 1 8 3 9 , à la Mairie de Plogastel-SalntG e r m a i n , sur le projet de création d lin parc de stockage de gravillon en bordure de la route nationale n° 784, au point kilométrique 6 7"25, sur le territoire de la commune de PlogastelSt-Germain. Les intéressés pourront, pendant ce lemps, prendre connaissance du dossier, à la Mairie, tous les jours, de de 10 heures à 12 heures et de 14 heures à 16 heures. Le Commissaire-enquêteur recevra les observations sur ce projet au même lieu et aux mêmes heures, les 1 0 , 1 9 et 1 8 février 1 8 3 0 . Le Maire : Kerlouégan, Ecole publique de Garçons Exfkpi&fioa pour Cause d'u(ilifé pMipe C—'.--r .'-at: es f l ^ s a d'une Enfants Morel à Brest l.e Beux Yves, menuisier au b o u r g . id. Disons que la présente ordonnance sera' publiée," affichée • et notifiée}'daM les conditions prévues aux articles dix-neuf et cinquante du décret du huit août mil neuf cent trente-ciDq, relatif à l'expropriation pour cause d'utilité publique« Fait à Quimper, le quatre octobre mil neuf cent trente-huit. Le Président du Tribunal, Pour extrait conforme : Signé : Chauvin. Voyez Le Maire de Trégunc, Signé : Carduner. 1rs belles voitures Conoessionnaire Face la Poste — QUIMPER La CUISINE ELECTRIQUE est ECONOMIQUE grâce aux tarifs réduits de L E B O N «Se O " P o u r v o s b e s o i n s d e M e r o e r l e , B r o d e r i e e t laiterie adressez-vous hi — a a •D a O a a Lieux Ô r dits taillis K Parc MeilMeur id. terre labourable 541116 id. 47« 53 (A 531 531 532 K Parc ar Huel 468 468 Nature de la propriété cç o X 532 Dasrorn Félix, menuisier au b o u r g . d'enquête préalable à la déclaration d'utilité publique :' Vu le décret du cinq novembre mil neuf cent vingt-six, article cinquantehuit, ; Vu l'arrêté de cessibilité en date du onze juin mil neuf cent trente-huit ; Attendu que cet arrêté comporte déclaration d'utilité publique de cessihilité des propriétés nécessaires à la construction de l'école des garçons de Trégunc ; Attendu que des pièces sus-visées il résulte que toutes les formalités prescrites par la loi ont été régulièrement remplies ; Attendu que l'arrêté du viogt-quatre septembre comporte cessibilité immédiate des terrains dont l'occupation est nécessaire pour permettre la réalisation du projet ; Qu'il y a lieu d'en poursuivre l'expropriation ; Prononçons par la présente ordonnance l'expropriation pour cause d'utilité publique des propriétés ou portions de propriétés, bâties ou non bâties, situées sur le territoire de la commune de Trégunc, nécessaires à la construclion de l'école des garçons, telles que ces propriétés ou portions de propriétés sont figurées au plan parcellaire ci-anuexé par une teinte rose et telles encore qu'elles sont désignées avec les noms des propriétaires inscrits sur la matrice des rôles, dans l'état indicatif ci-joint et qui sont indiqués ci-dessous : Capitaine 534 Prosper, 534 p K d é c é d é , veuf d j Gourby J e a n n e , maeon, au Roudouic. Dagorn Fé534 p K lix, époux D.-gorn, au bourg. Guillou An- 537 537 p Enfants na, a u R o u Morel douic. à Q u i m p e r . GuitTant Jo537 p K seph, épou* Nivez,ôRoz Coz. Capitaine 537 p P r o s p e r , au Rouûouic. Guillou An- 538 538 K Enfants na, au R o u Morel à Brest. •louic. CanévetCo538 r e n t i u , au Roudouic. F u r i e Am- 533 Enfants K broise, décéMorel à Brest. dé, époux d< 533 Mélanie Richard. Roudouic bian RozCoz Observa- 16» 95 1«08 4 "59 4 «59 32" 02 lande 26« 48 11 « 58 56" 48 32« 43 25» 71 20« 85 7 »98 lai M a i s o n 4, Y . rue Elie-Fréron, L à E H O U X QUIMPER tions 54 «16 5«60 id. & Adresse du p r o priétaire : 1«10 c h e z L e Beux A r tur, recteur à Plu2 »50 gufTan. 5" 60 K Contenance à acquérir Qatmpàrois ÉDITIONS DE TOUS PRIX Construction DE TREGUNC Contenance au cadastre An Stade UN PETIT LAROUSSE? COMMUNE Contenance & la matrice m o n t r e r l'intérêt qu'il p o r l a l t a u x s p o r t i f s l a ï q u e s e n d o n n a a t le c o u p d'envoi do la âeuxiè ne mi-temps. Et il fallait v r a i m e n t avoir du oournsre p o u r r e s t e r s u r le t e r r a i n , où l'on était f r i g o r i f i é a u b o u t d e cinq m i n u t e s . U'i b a l , a u profi'. d e l'école d e s filles, avait lieu au m i r a « m s m - n t c l . n a t u r e l l e m ' ' n ' , v a i n q u e u r s et..vaincus n'y d o n n è r e n t r e n d e z - v o u s p o u r parad r devant les jolies b g o u r i è n e s , e t ce n e f•»t p a s u n polit truvail k s delà, h e r d - cet t.- jolie salle do bal o ù , j'ititrment, u ' i e doi z i i n e d e j e u n e s fuies c o s t u m é e s e n m a r q u i s e t m a r q u i s e s c h a r m a i e n t l e s yeux p a r la r e c o n s t i t u t i o n d e s belles d a n s e s d ' a u t r e fois. Allons ! j o crois q u e m o i aussi j o m e laisse e m p o r t e r p a r m o n s u j e t e t q u e j ' a u r a i s mauvaise g à c e ù n e p a s excuser la mauvaise h u m e u r d e mes j e u n e s j o u e u r s q u i so t r o u v a i e n t si bien à Plozévet qu'ils n e v o u l a i e n t plus q u i t t e r . K. XßEPTl 0 • ••• " :• • T.. .•; ,<}.• •"'- il- pendant leur quinzaine publicitaire, les appareils de radio "G. Marconi" vous offrent une audition à domicile de leurs nouveaux modèles, sans aucun frais ni engagement pour vous, dans un seul but de propaganda Pour en bénéficier, il vous suffit de découper le bon ci-dessous et de l'adresser, sous 48 heures, à ZS. W O L F , Quimper. 0a63 M . H E L L I O , Concarneau. 6 "72 6« 72 en inscrivant votre nom et votre, adresse au dos de l'enveloppe. 2« 57 2« 57 0«63 RozCoz Parc Roudouis bras laDde terre I bourable h n 4 80 76 48« 72 Actuelle* ment 48« 72 48» 72 au nom d e Canévet Corentin. lhl3M8 Total B O N pour une audition d'un appareil "G. Marconi" à mon domicile, sans aucun engagement de ma part et sans frais. ranr m Feuilleton ut du « Citoyen », Quimper u b i (d'après Albert Le Grdnd) Ayant c h a n t é mòsse, se soUvehaht d e In r é s o l u t i o n q u e s e s pèt'c e t m è r e avaient f a i t e d e se faire c h r é t i e n s e t c r a i g h o n t qu'ils n e l'eussent e n c o r e exécutée, il e u t désir d'aller les voir et f u t c o n f i r m é en c e l l e volonté p a r u n a n g e qui lui a p p a r u t et lui c o m m a n d a d e se diligente!'. A y a n t d o n c o b t e n u licence, o b é d i e n c e e t un c o m p a g n o n , il prit c o n g é d e son a b b é et de ses c o n f r è r e s e t se t r a n s p o r t a en un h a v r e o ù , t r o u v a n t les n n u t o n n i e f s d ' u n voisscau d e son pays q u i a t t e n d a i e n t le v e n t , il y avait sept j o u r s , .il lit prière ¡1 l e u r intention et, è l'aube, le v e n t l e u r souillant à g r é , ils levèrent les a n c r e s e t firent voile ; mois, c o m m e ils é t a l e n t en pleine m e r , ils v i r e n t u n e g r a n d e t r o u p e de, d a u p h i n s e t a u t r e s g r o s poissons e t m o n s t r e s m a r i n s , q u i c o m m e n c è r e n t fi t r o u b l e r la m e r , h e u r t e r le vaisseuu e t m ê m e a u c u n s s ' é l a n c è r e n t d e d a n s , luisant c o n t e n a n c e d e vouloir d é v o r e r les murifiicrs, bien é t o n n é s d e c e l l e n o u v e a u t é ; tuais saint Brieuc, r e c o u r a n t ii s e s a r m e s o r d i n a i r e s d e l'oraison, chassa c e t escaclroii d e m o n s t r e « et retidit le calimi. Il arriva h e u r e u s e m e n t r n son pnVs le p r e m i e r j o u r d e l'an 550 e t allu d r o i t chez 3011 p è r e , lequel il trouva c é l é b r a n t les festins d u faux Dieu J a n u s , qlii d u r a i e n t trois j o i i r s ; mais c o m m e d ' o r d i n a | r e , selon ltì d i r e d u sage, les jdiea (ie en m o n d e Sé tfcrnfirtdiit tin tristesse, la réjoUisftanco de fcfcUë fête ftlt t r o u b l é d p a r uil a c c i d e n t qui f ufriva î c a r Un d é s cdnvivés Salila bt d a n s e Inttt, uprét! ê t r e satìiil, qiic ( tdmbaiil d e srt htttilbtir, Il «c fotrlpil (a dulosi). Saihl, ¿ r i e u c , a r r i v a n t lù-tÎos»ùsr f é j o u l l tdùto ¡11 J}iimjwgtiic, n o m m é m e n t ses p a r e n t s j mal», — N il I D U1ILIU1 par Yves LE FEBVflE d'ailleurs bieli m a r r i d e les voir e n c o r e c r o u p i r aU p a g a n i s m e , il c o m m e n ç a à leur p r ê c h e r l'iîvaiiglle i et, p o u r confirmation de la d o c t r i n e qu'il leur prêchait, il lit le signe d e lu sainte croix s u r la cuisse r o m p u e de ce p a u v r e h o m m e et, p a r c e m o y e n , le guérit ; ce <|iie voyant, les p a r e n t s d ' u n p a u v r e g a r ç o n q u i , p e u a u p a r a v a n t , avant été m o r d u d ' u n chien cui'agé, était d e v e n u furieux, l'cuuiienèrciil au saiul, lequel, lui avant m i s les d o i g l s d a n s la bouche, le g u é r i t e n t i è r e m e n t . Voyant ses p a r e n t s disposés h recevoir le sninl b a p t ê m e e l aussi lu p l u p a r t d e ses cotiipalriolcs, Il leur o r d o n n a un J e û n e d e sept j o u r s ; puis, les oyalil catéchisés, il les baptisa, Il planla des croix, biUil d e s églises el d e s m o n a s t è r e s où il r e ç u t p l u s i e u r s religieux, qu'il insi l'unit selon l ' o r d r e e l la règle qu'il uvalt a p p r i s en francC.<1 .•i il employa q u i n z e u n s el d e m i h c o n v e n i r , i n s t r u i r e e l c a t é c h i s e r son paysi J u s q t i c s & c C q u ' é l a l i l en Oraison eu son m o n a s t è r e , le J o ù r d e la PenlSI<i d e l'an B05, il f u t s u r p r i s d ' u n d o u x sommeil, ptindaill leqUel (ill a n g e 1(1 i c o m m a n d a d e p a s s e r ta m e r e l d'ullor elt la Bl'elagndAMnbMqlie p o u r y p r ê c h e r l'tëvangiltii L e saint, revenil /1 sol, eorlvdqua sds l'cligieu*i Itiiir fit savoir lé eotmtiantibmetH qlie Putlkti lui a r a i l fait, et, d e letir avis, voyant les affaires de lu religion p r o s p é r e r de iilieitx bu mlctik, ciidislt cent soixante el iftiit dd 8é8 m o i n e s et sd dispdsa p d u r avec dli* basse r In m e r . ils s'eiiibah|Uèreiil ddrtc b l tbtlnlèreiil ia prtiùo vers HOlre Brb'lngiie j bl, tiOttiinri Ils étitlefll nti tfiiliëti dri lbtir bolirse, 1e diable, eOmiaisflaitl qii'llBl'aliélerii cornballt'i! e t tiéiivhtf les ftiliCis de ôtf SciM* Itulc, a r r ê t a le vaisseau i niais saiul lJrieuc, d u r e r , q u i lui fit r e c o n n a î t r e q u e c'élalt par ses p r i è r e s , r e p o u s s a ses efforts, si line punition d e Dieu. R e p e n t a n t d ' u n bien q u e , c o n t i n u a n t l e u r r o u t e , ils orri- c o m m a n d e m e n t si c r u e l et si l é g è r e m e n t Vèrent h la c è l e d e la flretagne-'Armorique fait, il e o n l r e t n a n d e ses satellites e t fuit el e n t r è r e n t d a n s l'emboiicl iilrn du fleuve p r i e r les saints de le venir t r o u v e r . Saint J a u d v qui, passant p a r sotts le eluUeuu de lu tlrieuc s'y accordu v o l o n t i e r s e t y vint, l l o c h e - D e r r i o n , se d é c h a r g e d a n s le canal a c c o m p a g n é de ses moines. I n c o n t i n e n t ou, p o u r mieux dire, rivière d e L a n d - qu'il l'ut o u t r é d a n s lu sulle, Riwnl, le î r é g u e r , e l s ' a r r ê t è r e n t là où n i a i n l c n a n l recultuuiSBunl, s'écria : « Quoi, c'est Brieuc, est bâtie 1a ville d e L a n d - T r é g u e r . mon cousin ! » e t il lui d e m a n d a p a r d o n Ils f u r e n t les b i e n v e n u s e t fort grucieuse- d e l ' o u t r a g e qu'il lui avait voulu faire et "à liienl recueillis p a r les B r e t o n s T r é g o r r o i s , ses religieux, le s u p p l i a n t d e p r i e r Dieu lesquels a i d è r e n t le saint n bàlir un p o u r sa s a n t é . Le saint, l'ayant resalué e t i n o n a s t è r c en ces q u a r t i e r s p o u r lui e t s e s consolé, se m i t en p r i è r e s ; puis, avant moines. Etant r a p p e l é en son pays, p o u r l'ail venir d e l'eau, 1a bénit, l'en a r r o s a e t le délivrer d e la peste q u i y faisait 1111 lui en fil boire, e l i n c o n t i n e n t il se leva d u g r a n d ravage, Il mit s u p é r i e u r d a n s son lit. sain et dispos, l'embrassa é t r o i t e m e n t m o n a s t è r e un sien neveu, lequel »'étant el. en reconnaissance d e celle faveur, lui bien c o m p o r t é au r é g i m e du m o n a s t è r e , h doiinn ce sien m a n o i r , avec l o u l c s ses son r e t o u r il le c o n t i n u a en c h a r g e e l le fit a p p a r t e n a n c e s , p o u r s'y a c c o m m o d e r e t a b b é en c h e f ; puis, choisissant quai r e - ses religieux. vingt q u a t r e m o i n e s d e ce m o n a s t è r e , e t , Huliil Brieuc, ayant accepté ce d o n , bâtit a y a n t pris c o n g é d e son neveu e t d e s 'un pelll o r a t o i r e p r è s d e la f o n t a i n e où 11 a u t r e s religieux, il s ' e m b a r q u a e t , d é v a - s ' é t a i t , p r e m i è r e m e n t a r r é l é , luquclle a é t é lant la rivière de L a n d - T r é g u e r , s'élargit d e p u i s n o m m é e la f o n t a i n e d e saint Brieuc ; en m e r , r a n g e a n t la c è l e j u s q u ' a u havre puis, puis il loisir, se m i t à édifier 1111 d e Cesson, m a i n t e n a n t n o m m é le Légué, monaiiièl'e, j o i g n a n t le palais de Biwal q u i qui esl le havre d e Sniut-Urieuc, où a y a n t esl le m a n o i r épiscopal ; e t , p o u r ce faire, pris t e r r e , il se m i t ¿1 c o n s i d é r e r l'assiette il fit c o u p e r plusieurs a r b r e s d e lu forêt, et situation d u lieu, lequel t r o u v a n t un tant p o u r d o n n e r place uu b ù l i m c n t q u e s é j o u r a g r é a b l e , il e n t r a d a n s u n e forêt là p o u r servir fi la c h a r p e n t e , Le m o n a s près, suivi d e s e s religieux, o ù , é t a n t en tère p a r a c h e v é , salut Brieuc y vint d e m e u eolloques e t devis spirituels, ils f u r e n t r e r avec t o u s ses religieux j lu r e n o m m é e a p e r ç u s p u r un chasseur, d o m e s t i q u e du d u q u e l , volatil p a r t o u t te paya, Ht q u e e o m t e flitfal, cjui d e m e u r a i t lors d a n s u n celle f o r ê t l'ul, d a n s p e u d e j o u r s , p e u p l é e sien m a n o i r p r è s cette f o r ê t . Ce c h a s s e u r , et enfin tould a b a t t u e , puis convertie en les voyant en si g r a n d n o m b r e , a c c o u t r é s u n e ville q u i y f u t édifiée e t a p p e l é e , d u d ' u n e façon i n c o n n u e eh ee paye, s'en oliu, au nom d e son p r e m i e r p a s t e u r , Saint-Brlcuc, g r a n d galop, en o v e r i i r s o n m a î t r e , lui d i s a n t Vivant en ee m o n a s t è r e avec ses f r è r e s , qu'ils ululent usais près d ' u n e foulaifidi tiieu le r e n d a i t illustre p a r plusieurs HitVal, ajdttlutil foi nu d i s c o u r s de son gt'aHtis tnihiclds. tirtli'd a u t r e s lui f u i amené 1 c h a s s e u r , cohiiffundtt il Uhd IrUUpd dd sds u n jiuiiW'd h o m m e a v e u g l a lequel, pat sa p f l ô f ë , il g u é f i t i glirie d e Hidhiër H liheVai fet les taillbt' tdiis bil pièces i rtfals à peilib lies soldats î?ti boutanli ia dite sise ëut< la montagne élûiërit Hdrs d e s p o r t a s dli fiiafioir tjUd èirë lorigiidWÈiiit eaehée, ni 1b flambeau 1 J t i ^ û i ftlt, saisi d'Uhb fflnindits ilttf tout ië ailuttiii demeut'et BOUS la mulds, Dieu vou; Wi'ps, s i a l t i u l w l o t|ti il nti j)(juv«it lut tjuo « m serviteur Brieuc parut en »on église, p o u r r é g i r ceux l e s q u e l s il avait convertis ù la foi. 11 l'ut donc, d ' u n c o m m u n c o n s e n t e m e n t d e tout le pays, élu é v ê q u e du Brioçois el sacré, et son m o n a s t è r e converti en c a t h é d r a l e . ... Le t e m p s é t a n t venu a u q u e l Dieu le voulait r é c o m p e n s e r d e s e s travaux, il lui lit savoir, p a r révélation, qu'il se liul p r ê t p o u r q u i t t e r la prison d e s o n c o r p s . H se coucha d o n c s u r son p a u v r e g r a b a t e t , ayant c o n v o q u é t o u s s e s religieux... il r e n d i t son b i e n h e u r e u x esprit ès-niains d e son c r é a t e u r le 90'' an d e son i\ge e t d e n o t r e S e i g n e u r l'an 614. B r a n d a n , son p a r r a i n , q u i prit u n soin p a r t i c u l i e r d e l'instruire p a r m i l e s a u t r e s écoliers qu'il avait e n p e n s i o n , l e s q u e l s saint Malo s u r p a s s a i t e n t o u t e s choses. S e s délices, c'était l'oraison, e t , e n c o r e q u ' i l lût p a r f o i s les livres d e s p o è t e s e t p h i l o s o p h e s p a ï e n s , il n e se laissait néanmoins' pas e m p o r t e r à l e u r s o p i n i o n s , p r é f é r a n t la science d e s saints à la vainc p h i l o s o p h i e des s a g e s d u m o n d e . . . Saint B r a n d a n a y a n t d o n n é c o n g é à s e s disciples, u n e a p r è s - d i n é e , saint Malo s ' e n alla p r o m e n e r s u r le b o r d d e la m e r a v e c ses c o n d i s c i p l e s ; e t , p e n d a n t q u e l e s a u t r e s se divertissaient e t p r e n a i e n t l e u r r é c r é a t i o n , il se r e t i r a à p a r t d a n s la g r è v e et se j e t a s u r un faix d e g o é m o n e t s'y V i e de Saint M A L O e n d o r m i t d ' u n s o m m e i l si p r o f o n d q u ' i l n ' e n t e n d i t le b r u i t e t c r o u l e m e n t q u e f a i Du t e m p s q u e le p a p e S y m m a c h u s séait sait la m e r en son m o n t a n t . L e s a u t r e s au t r ô n e a p o s t o l i q u e , soiis l'empire d'Anas- e n f a n t s , qui virent la m e r m o n t e r , q u i t t è r e n t tase l, r é g n a n t en la B r e t a g n c - A r m o r i q u e le rivage e t s ' e n r e t o u r n è r e n t a u m o n a s le roi Iloêl 11 d u n o m , il y avait en la tère, sans p e n s e r à Malo, l e q u e l , e n p e u province q u e les a n c i e n s B r e t o n s insulaires d e t e m p s , f u t d e t o u t e s p a r t s e n v i r o n n é a p p e l a i e n t Guic-Kastel et les Anglais do m e r , sans q u e , t o u t e f o i s , elle l'osât W i n c h e s t e r , u n riche s e i g n e u r n o m m é t o u c h e r , ni m o u i l l e r ; m a i s , - à m e s u r a Client, il q u i le roi avait d o n n é le g o u v e r - qu'elle croissait, elle haussait, c o m m e u n « n e m e n t d e la dite p r o v i n c e , parce qu'il petite lie, ce g r a v i e r s u r lequel était s a i n t avait fuit p r e u v e d e su fidélité e t de MOU Malo, q u i , s'étant éveillé, j e t a n t les y e u x c o u r u g e en p l u s i e u r s h o n o r a b l e s occasions. de t o u t e s parts, n ' a p e r ç u t a u c u n d e s e s Ce s e i g n e u r é p o u s a u n e v e r t u e u s e d a m e , c o m p a g n o n s , e t , se v o y a n t d e t o u s côtéa n o m m é e Darval, d e maison n o n m o i n s e n v i r o n n é d e m e r , s'écria : « O m o n Dieu 1 illustre q u e lu sienne, uvcc laquello il vécut où suis-je ? Soyez-moi e n aide ». Les a u t r e 9 J u s q u ' à uu Age a u q u e l ils é t a i e n t h o r s e n f a n t s , é t a n t arrivés BU m o n a s t è r e , e n q u i a d ' e s p é r a n c e d ' a v o i r d ' e n f a n l s , s e l o n l e c o u r s d e saint B r a n d a n q u ' é t a i t d e v e n u Malo e t o r d i n a i r e do la n a l u r e i mais Dieu, p r e - n'en p o u v a n t d o n n e r a u c u n e nouvelle c e r n a n t pitié d'eux, l e u r d o n n a c e t e n f a n t , taine, Use t r a n s p o r t a s u r le rivage, F o r t t r i i t « q u e Durvul mit au m o n d e au 67e an de s o n et d é c o n f o r t é et, ne le p o u v a n t a p e r c e v o i r , âge e t d e n o t r e S e i g n e u r l'an 502, la vigile l'appela p l u s i e u r s fois i maie rien n e l u i de P ù q u e s e t f u t le m ê m e J o u r b a p t i s é p a r r é p o n d a n t , il s'en revint a u m o n a s t è r e b i e n l'évêque d e GUic-Kaslel e t t e n u s u r les triste et veilla t o u t e la n u i t d a n s l'église, eueréB fonte p a r ce g r u n d p e r s o n n n g e , p r i a n t Dieu, d e g r a n d e f e r v e u r e t affection; Saint B r a n d a n , q u o n o s B r e t o n s a p p e l l e n t qu'il lui plût m a n i f e s t e r en quel état était sant Brévaluzr, lequel lui imposa le n o m son. c h e r filleul Malo, do Malo ou Machutes, A y a n t atteint l'âge do d o u z e an»i il f u t çnvoy<5 ii bh d« s a i ^ fi tuivt*}, LE Faites votre Publicité dans le " Citoyen " 7 , rum Eile-Fr ér on — QU!M PER CiTÜITtíiS P o u r TON Lettres on Cartes de 1 rhges «dressez-vous à l'Imprim'rie Bretonne 7, me Elia-Ffôron. 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S 45 5 18 6 24' » 6 54 7 11 QUIMPBR j 7 86 Chàteanlin 8 19 Laudarne*« {d> 9 45 BRBST ( a ) . . . . 1016 H Service RENNES 21 » 14, 18 1 t NanUs (d) 44! 18 29 -i Loriemt S| 19 43 Qaimp«rl4 ä M W i Bammaleo 1« zi Rosporden . . . . I 7 191 7 5o' 8 18 8 32 8 St 400 12 18 M 22 2¡14 5S| 48!15 12 » 15 36 15 51 16 S 16 87 17 35 17 50 9 5 j 10 25J 9 25 ! 10 51 9 40 » » 9 52 11 19 10 9 11 S5 10 19 12 6 10 54 12 4r 11 £3 14 » 12 14 14 23 14 35 16 18 8)19 18 88 S0 » J0 1« » S0 19 S0 80 19 37 10 It 21 S » Si 17 41 S 19 32 60 MORLAIX 8RBST ( d ) . , . , 18 15 I SI » PARIS (Momtp) Lamdaracta (d) 18 46 j SI 19 \ Reames Landivuian..., SI 31 St-Brieao ( d ) . , » St'Thigomm««.. flhungamp (d).. Morlaix ( d ) . . , . SS 10 Morlaix ( d ) . . . . imiagamp S3 4 St-Thégommea., St-Bri«ac S3 46 LamdiTisiaa.... Reanes 1 29 Laadermeaa(d). PARIS (Momtp) 13 36 17 35 7 15 BRBST ( o ) . . . . Antoraila. — Dóp. 4e Brest : 5.30 6.20 8,17 11,09 12,24 18,58 18 15 antifascistes PAR P^.RIS (tf)aip) (d) R a ï a a i (d) Radon (dÌ -ornai QUIifPBR ( a ) . . . . S7 j 17 8 20 45 39 18 *3 22 6 10 20 33 0 6 33 j 22 2d 1 29 » I 0 20 7 15 8 50|12 24 14 14 16 16 La Terr® de» Piréíred Qaimper aoawll« étalon, pnr Y'«* Le Fah<rr«. Br «ppemdic« : Uu Prooòs ^'B^uie, — 1« pro- Pont-l'Abbé , . , . . • m ' cès d» 1« Tone «ea f i ê t r t s . — Un Túlitm« 4e 260 pagas ; pnx, i6 Ir. ; (ranco, 16 (r. Qnimper Oaa«ra«uas Claude paysan de l'ârrée rom«n, par Yvea Le Fe vre. Un volume, pnx, 12 fr. ; franco, 13 fr. Rospordam Soncarmeam i Rontai No«a rn'o^ana imm tea romaas pans*. jainaparli (gara)..! Priiro 4» ¿oeao* lit 4« l'e iiWar. Pont-Aram I Comeara«*« I Qaimpar (gara).... (a) Serriae aatomobil* X • o. *.- (Montparnasse) BRBST A PARIS La Chalatèr« t i r i s e l e par M. Albert Lt Bail, avocat. Ua Tolam» 4e MO pat««« toni«« 1«« br«nchee 4« J'actiTi»« agïicoia «la noir« grami «éparlemeat.— k Pnx, 10 irsuti ¡ (ruaco, 11 fi. 25 > «'• . ,* »' • - ¡'.•••iv 3 1 v.. ., .'• i*-.-\v. \i..i»>' >i 111 ' • '• "t*t,fT w. 'h N . A N T O I N E & Fiis> ; Vv'H 38, Rue d'Hautpoulkv PARI S - 1 9 ' "&Í JÀC** '¿tve 1« 15 17 18 23 A PARIS Bamnaiac Qaimperlé • e g l e t r c o dt» Déclaration» d'optionLorian» dt» contribuable! cotisé» au rôl* d*» Nanus ( a ) . . . . prtttauon» tn nature. MM. les Sacré*«km <•!$ Maine ceni assurés de 4rcu«eï » Tltapriraerie dn Gïtoytn, 7, rue líhe-Fróron, Qaiwpejr, l e u l a * tenprs.«»«» ^ui l e u senn aaeess aires. QUIMPEB R. dm C. ¿ ^ 11 30 12 28 14 3 15 3 — Tarif dt* Comommatioru pour It» a. QUIMPBR débiti. d. L«a « f l i l i i i i : Horairt, loi» tt riglt- Rosporden mtntt tur 1$ travail. „ T t i l p t a M 88. •'<» wV QUIMPER LIGNB DB BRBST A NANTBS PAR l'imprimerie Bretonne du Rue DE BREST (d) de l'iortit* publiqut it tur la polis* At» Landarm«*«.... dékitt Ì4 koiason», Châteamlim ea toute confiance à y PARIS (Moatp) (a) ?5 8 35 33 9 41 14 11 23 25 12 44 36 17 35 L e a « f l t h s s : Loi sur la répretiion • - 7 5 6 8 9 13 V E N T E à r i m p h m a r i e cl Librairie bretonnes 7, rue Elio-Fréron, à Quimper Horaire des Trains LIONE QUIMPBR ld) ... & I B B K * EXÉCUTION RAPIDE & SOIGNÉE V" d'hiver Service 0 30i 8 110 s tie W|1S 10¡ 114 57 16 S3pro 18 18 Í0h13 5» 16 21 18 ï2^Sl 44) 14 25 16 5ï,«D 21'Jtt : li SI ft 85 14 25 16 » 17 48|£0 ?0;ÌS 16 15 20 CS' 16 S6 18 elio m 12 7 16 40 18 88hl »¡28 IS 24 15 10 16 5? 18 8441 18128 — Se remaeigner dama lea (aree. 8 10 10 11 LIGNB DB QUIMPBR A PONT-L'ABBÉ 7 40 I t 131 15 »j 17 50 Pomt-1'Abbé... 8 16 12 501 15 öo' 18 26 Qmimper I lOpl » 4 8 » tVSlii 8 29» 4 8 | 6 S * t5 48 8 881 S 48 » 19 7 6 lsl 9 S. 20 6 801 9 88 39 6 49 9 M Sö4 j 8 31/ 13 15l 15 55i 19 48, I » H l 14 l | 16 30| SO xsj i LIGNB DB QUIMPBR A DOUARNBNBZ 7 26, 10 45> IS tO (4 48» 17 45j 8 2' I l 23j 12 ù8 o s j 18 Sl| I Domarme««*. , , j Q «impar j 18 37 10 83 1S 45 16 » 17 * 19 s*. la Siili U ¿6,1« S7j 17 4J' ¿d u | LlftNB DB ROSPORDEN A CONCARNBAU 7 27i 9 56 11 55 15 42> 19 8 81 V I Comoarmeam ® aaaa•8•••«ooeo«al 86 2 0 1 0 7 511 10 30j 18 23. 16 6| l'i 8tt 21 51 1 Roapordem • aaa*eeea«aaaa«8«| 6 43. 11 l i SO 16 60 80 Si 8| 14 45 17 15 SO ó7 LIGNB DB QUIMPBRLÉ A CONCARNBAU BT QUIMPBR (a) 15 S5.17 15 18 45 Qaimper (gare),... 8 5 11 20J ,7 15 10 45 13 51 | 17 s v i o 0.17 16 10,17 7 5 8 45 12 * Çoacarmeam 1 7 50 l i SuilS 40 13 45 451 17 8 Ä 1 8 55.19 20 13 40!l3 351 9 Ï0 12 40116 », Pont-Ar«« j 4 "l 0 6 45 8 30 12 19 51 |l3 i0|l6 35 Qumperlé (g»re)..| 7 20|9 5 12 85 III 5^17 85 " »I 7 45| snr romte. 8 25 i 5d 1 i Nombreux Transports autobus par route. L'ACCLIMATATION 10 Consulter les services dans les communes FOURNITURES CLASSIQUES f o n d é en 1 8 7 4 7, Rue Elie-Fréron, é QUJHPMHt e e a s t i t a e , p a r l a a o a i b r a d a te» Midas, «a née*mí» a t k t í t u r t afgana da publicité da premiar erdra. VéaéiaiiBMti « M par AiIm Laïque 7, l i a B k - F i t o e n , 7 - 4L« A v i n e € • 1* peuple EN à lIppftaHlt CHAQUX SAM tDi laNMfe. ffnzr.T.srR. « ^ LUMIÈRE a m i i P B R êm m C i t o y e a > BD rilUTERK pour las acheta et Ventes des amimamx iossesti^nes et samrages Otm ai «cBaaades d'amplois de t««U matmre Leaatiema 0» Tcn6«s de Permee, tomaimea, ImmeKblas «3 Skaseaa ; Réaeltes ^CMostibias, Aiimemutiom des amisaamx tmstrmaaemU. Veitmrss, Antomobilee, l i a j dettes. Occasions de tenu cerU FOURNIER-DEMARS l S T ' A M A N D (Cher) 1, R a i i a 1 m mtam uiaùfesfatùm, 7, m SPÉCIALITÉS AUX ECOLES TOUS ras ECOLES Foaraituroa acolairas! LAÏQUE Ellm-Frérom — QUIMPER (Pré» ta place d» la Cathédrale) DE FOURNITURES PUBLIQUES ARTICLES DE ET EN DE BUREAUX TOUS GENRES MATÉRIEL ET DE SCOLAIRfc PAPETERIE jpg heures dß Bu, fmi% défilé ti fammi S ^ r i S Ï : C'eit e« qu'on verrcrtt l'il pfsncbt total«« «14 2.000.000 (fognanti da ia diriger (cui «ntamble Veti lo PaviUon de Fior«, aprèi le tlrag« d'i ~ eaule traatffca de la et LÊ BON & Bottelli« » * • • Miafiiaisll iiwtitiMi 1 a* MBjiiriéiaiï«,, il /rMii sí • v y . u i t o j « n • r s a a i Ü e M e a t a d a i M da D i l i n s e I a l f a a et 4'Aetiea Répmklieaiaa *0faM» iêtn/mtnâ Inaltérabilité Richesse d o colorii Absence d o dépôt , mtlHtlte den, on Natan de Itaëi 4CÍÍÍ é¡tté!is>ef¿» «fifre IÍJW; Éft ví/ifí ÍAH'ÍÍM WM#A p t r o ^ c a î S l e s a aftaursnasawe áepoia SS •s- aas» 1« esmïraia de irknmaiismas. Mas-iaitjusaMBBeaî sealfigée« )s fsrai «enn»lite la seexet de ma gaérisea à me 1» d<waa>ßÄ«i?s, Mm« HILAI&JS, M a r M i * fluidité ^fS-O^k**l VA V T y U 1 i u m d HK m fa... * •lu^oam.MH ¿««iti LÉ a t o m * IflÜM M Bitófllll fiuti ^ ss&màMmmtÊmm ÊjUS+Î d u r l'huila peut1 û u f ô â tídepííáñí ^^Bli SitÄWMSI® •M&tòtf da PissÊ^ v è r t d u e la bldorì d e 2 litres a 16 f r d t t t i , 8¡doíi ^ o r d y . ÉR^Rf^SÔrf M lèaima a í u t m ü ¡AÜimaistrato&Sérajií iu « itíofen Marü 9 * « t o . . s l l b N i H s b r a t o s i a , 7, rwa K l i . - F r é r a i , C l U L L I T I i P'AlOIIIIEMEMt teteadlfiiS jstperla^-iX!» ¿«ganas do m w í í «es, rs«!srtï>i!t9 »aartf!«®Saiden jtiraâ Kriít» '.XJ TBJT'Sj i «s« pmaaoKc i , sas P O U R TOUS STYLOS fabriqués por h , ENCRES ANTQIN0 p o s s è d e 4 polo»« Ayptrlerltê i *> t a - , TélépMota SQL. tñ'Mn. STYLE.. Cl*n.* 4 Q AU 6AZ i L f i f i - r iïcrô a A 1 K P A R T ®E LA P A 9 P R I K T E NATIONALE Ftaatêfe CHAUFFEZ-VOUS CHAUFFEZ VOTRE EAU Aesepternia rtpré»*nt«ní k i w talaítaR»é aeava«« fanrai« i&Axa&ttà f t * «5(s,r sráws, #f»rfct 9&7Tf* ^ G h m à w u ^ ì rife A B U e - F r é r o a >>« Télépkoao M. VHS DU MED0C •jBae—wwBe.» ckmc (7'i -r, CeawauMilaa LOTERIE do p o r t ot d ' e m b a l l a g e , p e u r la d é p a r t e m e a t d « p a m r t e x t e c e m a m a d e à p a r t i r d a 100 f r a i e s . ¡süi*T©8 ¿ w m a e r a n n S a et a«tr«s p*r> meMectAnémesì g i n i a , loxi?« au Jisignsmi tisaire pa*z rápeana ¿ Agesos i 9 Prfits, Casa Psiìì','? i l , i Calmai ( K t - R k i a ) . i mmi niiw—iiiM M M H M m n H M mohsÍU^ r * peur toaa DES la LIBRAIRIE m r I Z w i k ü à «pteUsaaa et natta« : t r n iswtí, LAÏQUES, CAISSES Adrguei-oou», tn toute confiante Fraaco n m v ê l l * /'ère mnJfìlOMPfftcuPl/M&MSlS (port tn k . ^ . ^ ^ M ^ ^ U n e MUNICIPALITÉS INSTITUTRICES, uruiUCAlM p u b l i é rar d a c a m e a t s o f f i c i a l s Prix paraît n o i e rois r u t s m u m n u 24 à 36 pages grand (orc&sl ilIsaUéee INSTITUTEURS, LIVRES CLASSIQUES E T DE BIBLIOTHÈQUE de tena les a«t«tu Nomlrtua avantage» et réduetiom de pria Prix du Catalogue» de» Editeur» au* Abonné» d l'année. — Condition» »9é»ialuiMM.k»0fi»w-»mmi»tériel» R. 4« « . Seine a* 157.157 limite habituelle aux Membre» de V Bnteignement WEHTE T, R a a E l i e - F r é r o i — Q u i m p e r L i l l O i l l I 1 sois : 9 f r . S moi* : l B ( r . — S mois : A S (r. La »lus important Journal d'annonu» CMMMMSUI Ties GOUKMELEM, Soeeessear QUIMPER journal ripiáu faca J w r « | t » Ancienne Maison OESTIN H ta L i b r a i r i e M« s m. i f i d i i j f , 7, rat ÉU*-Srérta, iMàfi* Boaäa W f r i a a s U «ptolule d a S e t e y t a t , 7, r u Slia.rrfieea m ^ m p é t i w i i « * m» t« f i n a l H l W f f * ! ^ s u » « ! ? « tt paci >a McrHbsH«« 4« 11 « K m ü n ti m»a n. 6 _•-_; ._ _ année) :...__ ._._._: j Lê Miméro 3 S centimes 1 1 •• —• — . - ^ - • • - w . . .'-w— .i , • • , « , - . . - . „ Vendredi 10 Février 1 9 3 9 .. ...... r , . . . .. , , A l'Imprimerie du 11 Citoyen " 7, rue Elie-Fréron (ancienne rue RoyaleI — QUIMPER on exécute tous les genre* D'IMPRIMÉS Organe H e b d o m a d a i r e ABONNEMENTS Finistère e t d é p a r t e m e n t s limitrophes Autres d é p a r t e m e n t s Colonies Les abonnements sont payables d e D é f e n s e Laïque et d'Action : B U R E A U X S. 8S S t . p a r a n . 33 O — 38 B • — d'avance. etI M P R X K E R I E , Téléphone Adresser Les manuscrits L'Action Radicale Républicaine. toutes ne sont e e les communications pas rendus. 7 , Sine Elio-Frôron Chèque Postal à M. P i e r r e Pour F o n d a t e u r : G e o r g e s L E BA1J 1906-1937 n° 142.70, GUÉGUEN, les renseignements joindre - A N N O N C E S Nantes. Imprimeur-Gérant. un timbre pour C o m i t é E x é c u t i f , fait u n t o u r d ' h o r i z o n d e s p l u s i n t é r e s s a n t s s u r la s i t u a t i o n i n t é r i e u r e e t e x t é r i e u r e a c t u e l l e , cite l e s f a i t s les p l u s s a i l l a n t s q u i o n t m a r q u é l e ministère Edouard Daladier depuis s o n a v è n e m e n t , c ' e s t - à - d i r e dt p o i s dix m o i s , e t c o n c l u t q u e l e P r é s i d e n t d u Conseil a t o u j o u r s t r a v a i l l é p o u r la R é p u b l i q u e e t p o u r la Paix. M. Mazé a été, t r è s a p p l a u d i . T o u r à t o u r o n t p r i s e n s u i t e la p a r o l e e t se s o n t fait é g a l e m e n t a p p l a u d i r , MM. T a n g u y , a n c i e n s é n a t e u r ; A l b e r t Le Bail et Jean Perrot, d é p u t é s . la réponse. t Annonces judiciaires et diverses (3" ou 4" p a g e ) . . 3 f r . l O la ligne Prix à forfait p o u r l e s Annonces répétées et traités d e publicité. Les communiqués et annonces doivent parvenir au journal le mercredi matin an plus tard. , ville natale, où l'assassin Pilorge devait payer sa dette à la société. Pilorge n ' a ainsi été exécuté q u e l e lendemain samedi. Plus de 350 criminels ont expié p a r Le syndicat national des instituteurs primaires supérieures ; elle d é p e n d La Fédération radicale-socialiste du citoyens. Léon Blum voulait de l'Unales soins de M. Deibler qui était né à vient, d'adresser le document suivant, à directement de l'Eglise, tient d e s r é u nimité Nationale. Nous ne sommes Finistère m ' a fait l'honneur d e m e Rennes le 29 novembre 1863. pas de ceux qui ont été sourds à son nions sous son égide, diffuse d e s j o u r un certain nombre de groupements : m e t t r e à sa tête. appel. naux e t d e s brochures i m p r é g n é s d e — De sanglants incidents antisémile lui e n suis profondément reconEn vous adressant, le 16 novembre son esprit. Si les dangers extérieurs semblent tiques se sont produits à Budapest. 1938, un premier a p p e l : « l'Ecole laïque naissant, mais j e ne m e dissimule p a s Pourquoi ces g r o u p e m e n t s auraientPour en éviter le renouvellement, l a en d a n g e r », nous vous avions avisé combien est sérieuse la tftche à entre- moins pressauts depuis quelques jours, il ne faut nous y tromper. Ce n'est ils plus droit d e cité q u e les g r o u p e loi martiale a été proclamée en Honprendre. que nous vous saisirions, e n t e m p s qu'une brève accalmie. Il faut s ' a t ments politiques ? grie où l'on parle de l a dissolution du Ma p r e m i è r e pensée a été pour mon opportun, des revendications arrêtées Xj'Ordre du jour f j Abolition d u caractère obligatoire parti national-socialiste. p è r e , qui aimait la Fédération et trou- tendre d'un j o u r à l'autre à des tentaà nos assises nationales d'août 1938. Pour terminer cette assemblée générale, de la présence d e s m a î t r e s d e l'enseivai*, dans ses réunions et les conver- tives violentes de chantage et de presNotre b u t final est la nationalisation — Après le remaniement ministériel l'ordre du j o u r ci-dessous, proposé par un g n e m e n t privé dans l e s Commissions sations amicales mais parfois fort sion . Si nous cédons, c'est le commencequi a eu lieu dernièrement en Rouma- de l'enseignement. Dans un Etat f o n g r o u p e de délégués, a été adopté à l'unaanimées qui les marquaient, un intérêt ment de la tin et nous n'en triompherons n i m i t é : nie, voici qu'une crise ministérielle dé s u r la laïcité, u n e seule école s'im- d'examen d u certificat d'études p r i que si les hommes de tous les partis maires. très grand et u n véritable réconfort. « La Fédération républicaine, radicale et vient d'éclater en Yougoslavie. Le pose, comme s'imposent u n e seule sont ensemble au coude à coude. Dans les Commissions d'examens d e Je succède à notre excellent ami radicale-socialiste, réunie à Ouimper. le. cabinet Stoyadinovitch a démissionné. justice et u n e seule armée. C'est à ce l'enseignement secondaire n e figure Nous savons bien que nous serions Jean Riou, qui r e m p l i t excellemment Il est remplacé p a r un ministère préprix q u e sera respectée la liberté d e février, sous la présidence du citoyen Jean sidé p a r M. Tsvetkovitch et partisan conscience, reconnue la liberté d e aucun m e m b r e des institutions privées. sa tftche et q u e l'affection d e tous a tous unis dans la guerre, tuais c'est, lliou, actuellement, dans la paix que nous « à l'unanimité e.rpiime au Gouvernement de la solution rapide de la question l'enseignement, assurée d e vivre l a L'attribution d e s diplômes d ' E t a t n e élevé à la présidence d ' h o n n e u r do la saurait être conférée à ceux q u i c o n devons être tous unis, précisément pour et à son chef, le président Ed. Daladier, croate qui avait déterminé l a démis- démocratie. Fédération. testent l a légitimité d e son pouvoir éviter la guerre. son affectueuse reconnaissance pour Id'uure sion du précédent gouvernement. A l a place q u e j'occupe, je vais Cette solution d'avenir n e sera réaliijiiils accomplissent à la tète du pays, tant en matière d'enseignement. E n y Le Parti Radical e t ses chefs se sont avoir besoin de l'appui énergique d e s — Le gouvernement russe a rompu sable que dans l a m e s u r e où l'intandans l'ordre intérieur que dans l'ordre extéconsentant pour le C. E . P . l e Conseil donnés à cette tâche passionnément. élus e t d e s mililauts, car une organiles relations diplomatiques avec la gibilité des lois laïques sera maintenue. rieur, supérieur d e l'Instruction p u b l i q u e a Nous comptons q u e les citoyens se sation telle que celle qui est nécessaire « elle félicite ses députés: A. Le liait et Hongrie. Sa décision est motivée p a r Les atteintes multiples portées à la loi porté un coup sensible à l'école laïque, grouperont de pbis en plus n o m b r e u x ne s'improvise p a s . Elle ne peut être J. Perrot, de s'y être étroitement associés. le fait q u e la Hongrie, sous la pres- de séparation, comme à l a loi s u r les surtout dans les régions o ù d e s a t t a solide et d u r a b l e que si elle est métho- autour de ce g r a n d parti pour accroî« elle, fait confiance au Président du sion d e l'Allemagne et d e l'Italie, a congrégations, sont regrettables en ce ques contre eUe redoublent l'intensité. tre sa force, qui est la force m ê m e de diquement poursuivie. Conseil pour persévérer avec énergie dans adhéré au pacte antikomintern e t sens qu'elles p r é p a r e n t de nouvelles la France. g) Obligation p o u r les fonctionnaires la voie de redressement qu'il s'est lui-même qu'elle a ainsi, p a r conséquent, a'iéné concessions susceptibles de les abolir Depuis deux ans l'elTcclif d e s miliAlbert LE RAIL, de choisir p o u r leurs enfants l'école tracée, tants a doublé, niais les comités sont son indépendance. D é j a l e s journaux cléricaux enregistrent Député, p u b lique. « pour maintenir l'intégrité du territoire encore trop p e u nombreux, surtout — Deux sous-marins japonais sont avec joie la valeur des coups qu'elles Président de la Fédération Obligation d e l'exclusivité d u r e c r u et de l'empire français devant d'inadmissibles dans le nord-ouest e t le centre d u reçoivent ; le r a p p r o c h e m e n t d e l'Etat Radicale-Socialiste du Finistère. prétentions, pour assurer l'ordre intérieur, entrés en collision. L'un d'eux, l e tement d u personnel enseignant p a r m i Finistère. et de l'Pglise s'accentue ; des minisla production nationale, « I - 63 », a coulé avec son équipage pour développer les enfants issus des écoles p u b l i q u e s . C'est u n i question d e prospection tres acceptent l'abrogation prochaine elle adresse un a'-dent appel, fac • au péril qui comprenait oO h o m m e s . L'école p u b l i q u e n e blesse l a consh laquelle nous allons énergiquement extérieur, à tous les républicains pow s'unir — Une formidable explosion s'est des « lois d'exception » en faveur d e s cience d e quiconque ; s a neutralité proc^der. D i s réunions permettront autour d'un Gouvernement qui montre produite, dimanche, à l'usine de muni- religieux anciens combattants. Sous le peut apaiser l e s susceptibilités l e s d ' a c c u lire l e s « ITectifs des comités clia'iue jour, par ses actes, qu'il n'a qu'une tions de Billy-Berclau, près de Béthu- couvert d e l a répartition proportionplus vives. Elle n'enseignera la liberté seule préoccupation : le salut de la Répuexistant d<\jà, et d'en former d'butres, ne. Tout un b&iiment a été complète- nelle scolaire, un effort tenace est et l a démocratie q u e dans la m e s u r e blique et de la Patrie ». nombreux. ment détruit. L°! bruit de l'explosion entrepris pour assimiler à l'enseigne- où ses maîtres auront appris à c h é r i r « • a été entendu à plusieurs lieues à la ment laïque l'enseignement confession- l'une et à servir l'autre. La défaite d e s gauches aux dernièronde. A Billy-Berclau môme, aucun nel. P A S S E Z V O T R E h) Alsace-Lorraine. — P o u r cette Dans l'immédiat, un certain n o m b r e res élections municipales a été d e e au carreau n'existe plus sur les fenêtres. région, nous d e m a n d o n s l'introduction m a n q u e de cohésion dans le départePar bonheur, l a catastrophe s'est de dispositions pourraient enrayer progressive d e s lois d e laïcité. j o u r n a / l e m e n t , au défaut d'organisation. produite un dimanche, j o u r de repos, l'offensive déclenchée contre l'école 1° Dispense p o u r l e s m a î t r e s n o n A V O S AMIS Ne retombons pas dans cette e r r e u r . et il n'y a aucune victime à déplorer. nationale p a r ses adversaires : croyants ou n o n pratiquants d e d o n a) Obligation pour l e s maîtres d e C'est d è s à présent qu'il faut nous — L't llondrement du front républin e r l'enseignement religieux. l'enseignement privé d e posséder les p r ' p a r e r . Je d e m a n d e aux amis, concain de Catalogne est un fait accompli 2° Dispense p o u r l e s candidats aux nus et inconnus d u Finistère, de nou-* Après le douloureux exode des civils diplômes exigés des m a i ' r e s d e l ' e n - écoles normales, qui en font l a d e écrire. Nous serons à leur disposition qui, au n o m b r e de près de 100.000, seignement public. d e 1« Le brevet élémentaire n e p e r m e t m a n d e , d e subir l'épreuve d e religion pour les voir, les guider et les aider. ont passé l a frontière, le président plus d'exercer dans les é c o b s de l ' E t a t ; imposée a u concours d'entrée e t d e Du reste, le parti Républicain lUdiA/.ana et les chefs des gouvernements suivre, quand i l s deviennent élèvescal e t Radical-Socialiste n'est pas un basque et catalan ont d û , à leur tour, le brevet supérieur, le baccalauréat maîtres, les pratiques d u culte a u j o u r ou le diplôme d efind'études seconsimple parti d e combat. Aux heures — Parlant la semaine dernière aux se réfugier en France où ils étaient daires sont imposés aux f u t u r s maîtres. d'hui en h o n n e u r d a n s ces établissegraves, c'est autour d e lui qu'on s i Communes, M. Chamberlain a déclaré suivis, d è s lundi matin, p a r le gros de Pourquoi ne seraient-ils pas exigés d e s m e n t s . A l b e r t LE B A I L g r o u p e , et c'est en lui q u e le pays sent l'armée catalane en retraite. i) Afrique d u Nord. — L e s instituque, devant l'affirmation de la réalité Député Maire de Plozével maîtres de l'enseignement privé ? le mieux vibrer son â m e . Les soldats républicains, q u i ont teurs d e cette F r a n c e d'outre-mer sont de l'axe R o m e B e r l i n , u n e étroite Président de la Fédération b ) Suppression des moniteurs ayant Son action et son aide rendirent déposé leurs a r m e s aussitôt après unanimes à réclamer : coopération entre la France et l'AngleRadicale-Socialiste du Finistère dépassé l'âge scolaire. possible la lutte contre u n Fascisme terre était l a base d e la politique avoir passé la frontière, ont été inter1° La suppression d u b u g e t des c u l La pénurie de personnel diplômé a nés dans le camp d'Argelès. qui voulait fouler aux pieds nos liberbritannique. conduit les écoles confessionnelles à tes, avoués ou n o n ; tés intérieures c'est lui qui, aujourL'aviation gonvernementale, fuyant Commentant le dernier discours utiliser les services de j e u n e s gens qui 2° La création d'écoles afin d e poud'hui, tenant d ' u n e main ferme la ses aérodromes où elle n'était plus en d'Ilitler, il a précisé q u e , selon lui, il ne possèdent p a s toujours le modeste voir instruire l e s centaines d e milliers sécurité, a atterri, dès dimanche, sur direction si difficile d e nos allaires ne s'agit pas là d ' u n discours d ' h o m m e certificat d'études primaires. Comme d ' e n f a n t s d e s d e u x s e x e s q u i s o n t à l a r u e ; l'aérodrome de Salvaza, près d e Carextérieui es, tient tête au danger, lutte d'état qui se p r é p a r e à lancer 1 Europe moniteurs, p r é t e n d - o n . Comme instiLa protection e t l a défense d e s cassonne. avec calme e t énergie & la fois pour tuteurs, répondrons*nous. Fort souvent maîtres t r o p souvent attaqués, m ê m e Les d é l é g u é s d e la F é d é r a t i o n d é p a r t e - dans une nouvelle crise. conserver la Paix qu'un geste inconsiCette situation pose avec u n e acuité ils « enseignent » daus d e s loeaux L'Angleterre restera fidèle à la polimentale d u parti républicain radicald é r é p e u t c o m p r o m e t t r e , et p o u r s o c i a l i s t e s e s o n t r é u n i s , d i m a n c h e m a t i n , tique de non'intervention a réaffirmé particulière, l a questions d e nos r a p - séparés d e ceux des maîtres chargés physiquement, p o u r leur action l a ï q u e et républicaine ; sauver l a France, le plus beau pays d a n s la salle m u n i c i p a l e d e la r u e V e r d e l e t , M. Chamberlain qui a indiqué en con- ports avec l'Espagne nationaliste. M. de leur surveillance. 4° La f e r m e t u r e d e s écoles italienlotis le ciel, et son magnifique empire à Q u i m p e r , s o u s la p r é s i d e n c e d o M. J e a n cluant q u e la politique d'apaisement Léon Bérard> sénateur des Basfles-Pyc) Interdiction de l'enseignement d u rénées, ancien ministre, vient de faire catéchisme, q u i entraiue u n e réduc- nes, qui p r o p a g e n t dans l'Afrique d u colonial, objet d e tant d e convoitises, fliou. n'avait pas fait faillite mais qu'il falNord l e s doctrines fascistes. un voyage à Burgos où il aurait tion de l'horaire scolaire. De n o m b r e u x c o m i t é s é t a l e n t r e p r é s e n t é » lait passer des paroles aux actes, p r é p a r é , dit-on, l'établissement d e s à cette réunion. De plus en plus, cet enseignement —'• M. Roosevelt a fait devant la relations diplomatiques entre la France Après les souhaits do bienvenue du Il serait Indispensable q u e les répu* est donné à d e s h e u r e s telles q u e les Commission d u Sénat américain d e s et le g o u v e r n e m e n t du général Franco. Telles sont, très b r i è v e m e n t définies blicains inorganisés entrent nombreux p r é a i d o n t , le t r é s o r i e r g é n é r a l d o n n e l e c enfants qui l e reçoivent arrivent en et commentées, l e s dispositions adopdéclarations qui, bien qu'on n ' e n conau parti Radical. On a d i t parfois t u r e d u r a p p o r t m o r a l , p u i s d e la s i t u a t i o n r e t a r d en classe ou la quittent avant tées au congrès d'août 1938. naisse pas exactement les termes, ont qu'il représentait davantage u n e ten- f i n a n c i è r e d e la f é d é r a t i o n q u i e s t a d o p t é e qu'elle n e soit finie. D'ailleurs, les lois à l ' u n a n i m i t é a v e c l e s f é l i c i t a t i o n s d u eu dans le monde entier u n profond Le syndicat national vous prie d e l e s dance q u ' u n véritable parti et on lui a organiques ont prévu un j o u r d e conprésident. retentissement. « En cas de g u e r r e , soumettre aux organismes dirigeants d e r e p r o c h é son m a n q u e d'unité d'action gé, le j e u d i , p o u r cet enseignement. L* Ourla« les frontières des Etats-Uuis seraient votre g r o u p e m e n t e t il e s p è r e o b t e n i r MM. Charles Pomaret, ministre du et d e discipline. d ) Condamnation de ceux qui, p a r L ' o b j e t p r i n c i p a l d e la r é u n i o n é t a i t l e en France » aurait, selon la presse votre appui lorsque, p r o c h a i n e m e n t Ces reproches sont exagérés, mais r e n o u v e l l e m e n t d e s m e m b r e s d u b u r e a u , américaine, déclaré le Président des Travail, et Henri (Jueuillc, ministre de voie de pression ou p a r d e s diffamail tentera d e les faire accepter a u P a r il est certain q u e l e s radicaux ont q u i e s t c o m p o s é , p o u r 1939, d e la f a ç o n Etats-Uuis qui a laissé entendre qu'il l'Agriculture, o n t fait signer p a r le tions, portent atteinte à u n e institulement. Président d e la Republique un projet tion essentielle d e l a République. l ' h o r r e u r d u caporalisme et le goût s u i v a n t e : y aurait déjà d e s a r r a n g e m e n t s précis de loi qui sera déposé s u r le b u r e a u d e Président : A l b e r t Le Bail, d é p u t é « m a i r e de l a Liberté. Ils n'aiment point 11 nous parait inadmissible que soient et des accords positifs entre les U. S. A. ; la Chambre, créant à l'occasion d u assurées d e l'impunité les personnes d e P l o z à v e t se plier sous l e j o u g des formules et les démocraties européennes. Vice-Présidents : Y. T a t ' g u y , ancien cent cinquantième anniversaire d e l a et certaine presse qui f ç r m u l e n t contre impératives. Ces déclarations d'une importance sénateur, vice-président d u Conseil généRépublique, un contingent exceptionnel l'école laïque l e s imputations les p l u s Sur l e s p r o b l è m e s qui se posent venant après l a livraison ral ; d o c t e u r Mazé, a n c i e n s o u s - s e c r é t a i r e capitale, de croix d e la Légion d ' h o n n e u r qui calomnieuses et les plus graves. Toute r • on p e u t discuter, mais il est de gran- d ' E t a t , c o n s e i l l e r g é n é r a l ; J . P e r r o t . d é - d'avions à l a Franco et à l'Angleterre, seront accordées à d e vieux ouvriers, atteinte à la liberté des parents à leur des Idées s u r lesquelles chacun est p u t é - m a i r e d ' E ^ q u i b i e n ; A . B e r g o t , d e ont déchaîné dans la presse allemande d ' a c c o r d , Patrie, Liberté, Progrès B r e s t ; F . Le B e r r o , du B r i e c ; Liot, a n c i e n et italienne u n e campagne d'une vio- employés, paysans, artisans urbains libre choix, mérite d'être punie. et ruraux. e) Dissolution d e tout g r o u p e m e n t social dans l'ordre, Laïcité dans la m a i r e d o y u i r o p n r l é ; lence inouïe contre le Président HooseDernièrement, a u Minis'ère d e Tft Le contingent prévu est de 100 croix de caractère politique ou religieux tolérance. Secrétaire général : D e s t o u r , p r o f e s s e u r velt qu'elle traite n o t a m m e n t de bolGuerre, une conférence a èu lieu entfe pour le ministère du Travail et 100 croix fonctionnant au sein d e s écoles. Ce p r o g r a m m e e s t celui d e l ' i m - a u L y c é e d e y . . i m p e r ; chevik et d'excitateur à la g u e r r e , MM. Daladier, président du Conseil, pour le ministère de l'Agriculture. La diffusion des j o u r n a u x et le port Secrétaire adjoint : Martin, professeur m e n s e majorité d e s Français, aussi — On sait q u e M, Mussolini devait Georges Bonnet, ministre d e s Affaires d'insignes sont interdits dans les é t a C o m p r e n d s q u e le Pays se soit au L y c é e d e B r e s t ! Etrangères, P a u l R e y n a u d , ministre trésorier généfdl : A. Stéphan, 6, rtlo aussi prononcer utl g r a n d discours blissements officiels. Nul g r o u p e m e n t groupé alllour d u président Daladier samedi. Mais il n ' e n a rien été. 11 a Louls-Hémon, à Quimper ) des Finances, e t Guy La Chambre, politique n ' y est toléré. Il existe pourqui, dans l'écrasante lAche qu'il acAnsestieurs : MM. C a d o r e t , m a i r e d e ftiec- remis sa harangue à des t e m p s meilministre d e l'Air. L'objet d e cette réutant, dans l'enseignement d u p r e m i e r complit, au milieu d e s responsabilités s u r - B é l o n ; P o s t i c , m a i r e d o t l o ^ p o r d e n ; ù ^ f t ù , À v t f a ù t e t leurs, sans doute. Il a réservé ses nion était d e discuter le p r o b l è m e de» degré et dans leu écoles d u deuxième Inouïes q u i pèsent s u r sa tête, a O a r n l o l , m a i r e d e M o ( J l a n » s u r - M e r j ¿A $ & f u t A & á déclarations au Grand Conseil fasciste fournitures d'avions américain» à Is degré, deux associations d e caractère besoin de sentir l ' a p p u i d e s citoyens L'UarldOn, m a i r e d e C b f t t e a u l i n ; Mallégûl, qui s'est d'ailleurs lui-mémo ajourné France, e n relation avec l e s récente» clérical, les « Davidées » et la « l e u dfc so'/ p a f â . avtfcat ii M o r l n i i ; Madoc, m a i r e d o L.0- du 10 février, nesse étudiante chrétienne «, qui s'as déclarations d u Président Ttoosevelt CeHcfl, nous regrettons de tout cC'Jar ffannB b a o u t r i s . signent comme fin l'abolition d e l a qui, comme on le sait, a offert à n o t r e -=a M. Anatole Deiblor, alian M. f a rr.tftagotiistile (jill eiiste efltre le parti M. J e a n HioU e s t rtommé président d'Iiotllaïcité. Les « Davidées » sont d e s pays le concours sans réserve d e » ri8j eftétiuteur des hautes cëuvresi est fadlcfll et Ctfua q(ui Rfl trduVeflt ft s a tieur do la Fédération* du Fiuistifrei institutrices officielles qui p r é t e n d e n t industries aéronautiques d e s Etats» rtiott preôcjuc auititemetit le $ février, ^flùelin; i« pouvoir concilier leurs obligations pro- Unis. L e s ministres o n t pris acte, des fluitèfl d ' M e cUngeslidn cfui l ' a Lft Fraotie a bcROliri q u e lotis flea À o i è s ^ueicj'iefi d é t a i l s donnéfl p d f lo fessionnelles et les prescriptions oppo- avec u n e vive satisfaction, d e l e j o l i * terrassé (tioro cju'il 8e ti'duvait, deVaht M a d t e fitfièfct étfoHeatetit tmla potir Piêûidetit sur la propagande dti Parti datio sées de l'Eglise. La « Jeunesse étudiante darité américaine et de l'appoint pré* la otatito du métro « Saint-Gloud ». défeflefl e t Ùtfùfl he potlvtins pditit lfc d é p a r t e m e n t e t i w r l'oi g'anlaatldn d e la chrétienne » se propoiw d e reçhristia- cieux q u ' e l l e représente pour 11 p f t x Il devait, lo jetidetHitlfl) présider â hous p e r m e t t r e l e ltiàts de j e t e r l ' e i - fodéfaildn defl dôprirtemtiata de l'Ouest, MMmt J t niaer Ici lycégg, lçs ç o l U g c i , l e i éspl«» teçttoR d e ? jkiusive s u r certaines catégorie«) de je dociml' i t a ï i , secrétaire général du uhe eiôcutioti capitale k itctthèSi L'Ecole Laïque en danger Citoyen Miettes Semaine A la Fédération BépuMicake Radicale-Socialiste La Légion d'honneur lisez et faites lire « Le Citweo aenei L O T E R I i NATIONALE LE-CITGYE!» menace totalitaire, appuyée sur une Oonoours m Fonctions P i i l p s avance considérable d'armements. Le gouvernement français envisage — A g e n t t e c h n i q u e de terrain du Service de porter le solde de ces commandos à l'Amérique à un minimum de 1000 t e m p o r a i r e d e la r é v i s i o n d e s é v a l u a t i o n s f o n c i è r e s . — C o n c o u r s o u v e r t en m a i 1939 appareils, livrables à raisou de 100 p o u r 50 p o s t e s . Délai d ' i n s c r i p t i o n : 28 ou plus par mois. La question du f é v r i e r 1939. A v o i r s a t i s f a i t a u x o b l i g a t i o n s paiement a été également discutée m i l i t a i r e s . L i m i t e d'Acre s u p é r i e u r e : 45 dans cette réunion et il a été décidé a n s nu lh j a n v i e r 1939. — Sténo-Dactylographe au Ministère des qu'il serait fait rigoureusement au comptant — ce qui retire aux adver- C o l o n i e s . — D a t e : 9 m a i 1939. D é l a i d ' i n s saires du Président Roosevelt leur c r i p t i o n : 11 a v r i l 1939. Limite d ' â g e s u p é principal argument contre sa politique. r i e u r e : 30 a n s a u 1« j i n v i e r 1939. T r a i t e m e n t d e 9 500 ft 15 000 f r . p l u s i n d e m n i t é s . Nous croyons savoir aussi que le A u c u n d i p l ô m e e x i g é . gouvernement s'est préoccupé des op— A d j o i n t technique stagiaire du génie positions qui se sont récemment mani- r u r a l . — D a t e : 27 m a r s 1939. Délai d e s festées dans un petit secteur parle- c r i p t i o n : 10 m a r s 1939. C o n d i t i o n e x i g é e : mentaire contre le système des achats a v o i r s a t i s f a i t e f f e c t i v e m e n t a u s e r v i c e à l'étranger. Mais à fort juste titre il m i l i t a i r e a c t i f . T r a i t e m e n t d e h a s e : 10 500 a 1 décidé de passer outre aux objec- f r . p l u s i n d e m n i t é s A u c u n d i p l ô m e e x i g é . tions présentées à cet égard et qui — Ingénieur adjoint des travaux aéroparaissent inspirées a>i souci de servir n a u t i q u e s do l ' E ' a t (16 p o s t e s ) . — D a t e d e des intérêts privés beaucoup plus que l ' o u v e r t u r e d e s é p r e u v e s d ' a d m i s s i b i l i t é : l'intéiêt national. Il s'agit en effet de 6 j u i n 1939. Délai d ' i n s c r i p t i o n : 6 m a i 1939. manœuvres dirigées par certains cons- A v o i r s a t i s f a i t a u x o b l i g a t i o n s m i l i t a i r e s . tructeurs fiançais qui, n'arrivant pas A g e à la d a t e d u c o n c o u r s : 22 à 30 a n s p l u s s e r v i c e s a n t é r i e u r s a d m i s s i b l e s p o u r la à couvrir par leur propre production r e t r a i t e . T r a i t e m e n t s d e 14 000 à 35 000 f r . les nécessités de notre défense natio- p l u s i n d e m n i t é s . A u c u n d i p l ô m e e x i g é . nale, préféreraient laisser la France R e n s e i g n e m e n t s t o n r m s p a r 1« O n n a U démunie plutôt que la voir chercher Mon P r o f e s s i o n n e l l e », r e v u e m o n a u e l l r à couvrir ses besoins au dehors. A cet i b o n n o m o n t : 15 f r a n c s p a r a n . égard, le nom d'une grande maison Les p e r s o n n e s qui désirant des renseï d'aviation est sur toutes les lèvres : < n e m o n t s s u r l ' n u d o s e m p l o i s o n c o u c o u r il est même curieux de noter que les • i - d o s s u s on s u r i n e x a m e n q u e l c o n q u e e u v e n t s ' a d r e s s o r d e n o t r e p a r t ft M. Hor> députés qui à la Chambre ont pris po- plovillo, directour-gérnnt de « L'OrinntatÙ» sition contre nos achats en Amérique, P r o f e s s i o n n e l l e », 7, r u e M a r b e u f , P a r » sont notoirement inféodés à cette en 8'). o u i l e u r r é p o n d r a ft t i t r e s b s o l n m e n treprise, dont le chef fut mêlé, il y a - r r s e i n n i J o i n d r e nu t i m b r e d e 0 t"r 90 jt u e pu quelques années, à un gros scandale •oblior d e m e n t i o n n e r : ou q u a l i t é d e le< judiciaire. l'ai d u • C i t o y e n », 7. rwo R l i e - F r é r o n Par ailleurs ces mômes parlementaires se sont trouvés au moment de Munich parmi ceux qui justifièrent la capitulation de la France par l'insuffisance de notre armement aérien. Tout se passe aujourd'hui comme s'ils étaient intéressés à faire durer cet état de choses et à préparer ainsi de nouveaux abandons. L'attitude du Président Roosevelt et la ferme résolution du gouvernement français tuent dans l'œuf ces manœuvres criminelles. Tant que l'industrie française ne sera pas suffi samment équipée, le gouvernement profitera largement de la faculté qui lui est donnée de s'approvisionner aux Etats-Unis. Et si les intéressés s'avi •aient, comme certains le font prévoir, d'organiser une campagne de dénigrement contre le matériel qui va être mis en service ou ménti, comme certains latfirmcnf, d'tn préparer le sabotage, il faut espérer qu ils trouve raient à qui parler. L'opiuion française, désormais alertée sur les dessous de Munich, ne tolérera pas que la défense nationale et la capacité de résistance à l'agression totalitaire soient compromises au profit d'intérêts privés. Au Parlement Au Sénat Mardi est venue au S ' n a t la discussion des interpellations sur la politique étrangère du Gouvernement. Apiès avoir entendu plusieurs ora teurs, le Ministre des Affaires étrangères et le Président du Conseil, la Haute Assemblée a adopté l'ordre du jour suivant par 290 voix contre 16 : « Approuvant les déclarations du Gouvernement, confiant dans sa vigi lance pour maintenir l'intégrité de l'empire français et la sûreté de nos routes impériales, affirmant la permanence de la politique traditionnelle de la France pour le développement de la paix dans la stabilité de l'ordre européen... ». A la Chambre Poursuivant la discussion du projet d'amnistie pour les sanctions prises •après la grève du 30 novembre, la Chambre des Députés a adopté mardi, par 348 voix contre 24i, le projet de gr&ce amnistiante. Le Gouvernement avait posé la question de confiance. La Loterio Nalionala Le tirage de la deuxième tranche de 1939, de la loterie nationale, aura .lieu le mardi 21 février courant, à il heures, au Salon des Machines agricoles, à Paris. Lisez i t faites tire < ij filtoven UN K I T UIIOUSSC? , ÉDITION! 0 1 TOUS Plflt > 1 3 f r . - l 8 f r . 2 4 f r . . 2 9 4 8 fr. I r q n c c texte et WwtrfltiM Mtfè • b a n d a n t s af melllao*, R i t m a d a m l a é formats r é d u i t s , * U > M a u e u at w H M d U M M U i a l M l à ta Silbrairi. i . i q a t •?I # * » m t e f l r » * » » * a«im$*i i l Conseil Général Los Transports Départementaux Ainsi q u e n o u s l'avons a n n o n c é , u n e session e x t r a o r d i n a i r e du Conseil Général d u F i n i s t è r e s ' e s t t e n u e le 4 f é v r i e r , ft l ' h ô t e l do la P r é f e c t u r e , ft Q u i m p e r . La p r i n c i p a l e q u e s t i o n p o r t é e ft l ' o r d r e d u j o u r é t a i t celle d e s t r a n s p o r t s d é p a r t e mentaux. D è s le d é b u t do la s é a n c e , M. P e r r o t conseiller général de Pont-Croix, déposa la m o t i o n s u i v a n t e s u r le b u r e a u d e l'assemblée départementale : « Le C o n s e i l g é n é r a l d é c i d e d ' a u t o r i s e r « l'exploitation, sans subvention, des voies « ferrées d'intérôt local Dounrnencz« Audierne, Landerneau-I.esnoven. Ploues « cat-St-Pol-de-Léon, dans des conditions « ft d é t e r m i n e r d a n s le c o n t r a t d ' a f f e r « m a g e ». C e t t e m o t i o n fit l ' o b j e t , en C o m m i s s i o n plénière, d ' u n e l o n g u e discussion au cours d e l a q u e l l e p a r t i s a n s et a d v e r s a i r e s du maintien de certaines lignes opposèrent u n e fois d e plus leur point de vue. M. P e r r o t p r i t la p a r o l e à t r o i s r e p r i s e s d i f f é r e n t e s p o u r s o u t e n i r sa p r o p o s i t i o n F a i s a n t é t a t d e l ' o f f r e d ' u n e s o c i é t é se p r o p o s a n t d'exploiter ces lignes sans subvention et plaidant c h a l e u r o u s e m t leur maintien, son a r g u m e n t a t i o n produisit une grande impression sur l'assemblée q u i s e m b l a i t s e r a n g e r ft s o n avis. Mais, M. le P r é f e t , i n v o q u a n t d e s r a i s o n s d e d r o i t e t do f a i t , s ' o p p o s a a u v o t e d e la motion. T o u t e f o i s , s u r Ior i n s t a n c e s d e M. P e r r o t le C o n s e i l g é n é r a l d é c i d a d e l a i s s e r a u c o n c e s s i o n n a i r e é v e n t u e l la f a c u l t é d ' e x ploiter certaines lignes sans subvention et ô son p r o p r e c o m p t e . A p r è s d i s c u s s i o n , ft l a q u e l l e p r e n n e n t p a r t p l u s i e u r s C o n s e i l l e r s g é n é r a u x , le Président d o n n e lecture des offres des trois sociétés suivantes : 1°) La c o m p a g n i e d e s c h e m i n s d e f e r é c o n o m i q u e s d u S u d - E s t , 56, r u e d e L o n d r e s , à P a r i s (prèvi l e n t du c o n s e i l d ' a d m i n i s t r a t i o n - d i r e c t e u r M. J e a u c a r d ) ; 2°) M. R e n é M a n a n t , i n d u s t r i e l à Paris, 40, b o u l e v a r d d e C o u r c a l l e s ; 3°) La s o c i é t é a n o n y m e d e s t r a n s p o r t s d é p a r t e m e n t a u x du F i n i s t è r e , 36, r u e C o l b e r t , B r e s t ( a d m i n i s t r a t e u r - d é l é g u é M. Le Calvez). M. Le P r é s i d e n t Lancleii a n n o n c e q u e l ' o n va p a s s e r a u v o t e s e c r e t . M. G u é g u i n , c o n s e i l l e r g é n é r a l d e C o n carneaU, dépose alors une motion préala b l e , s p é c i f i a n t cjue le d é p a r t e m e n t no t r a i tera qu'avec des sociétés légalement const i t u é e s a u 3 J a n v i e r 1939. Il n ' e s t p a s p a r t i s a n du v o t e s e c r e t , q u i d o i t ê t r e d é c i d é a p r è s d é p ô t d ' u n e liste c o n t e n a n t a u m o i n s dix n o m s do c o n s e i l lers généraux. Le p r é s i d e n t a n n o n c e q u e c e t t e liste c o n t e n a n t 1? s i g n a t u r e s , lui a é t é r e m i s e . M. T r é m i n t i n e s t i m e q u e le v o t e d e la m o t i o n d e M. G u é g u i n n o f e r a i t q u e r e t a r d e r l ' a v è n e m e n t d e la c o n v e n t i o n . M) C a d o r e t , c o n s e i l l e r g é n é r a l d e P o n t A v e n , j u g e , p o u r sa p a r t , q u e le d é p a r t e m e n t ne peut avoir affaire à une société fictive. Le président s'étonne do ces remarques* Les sociétés ont été admises à soumission' nor Valablement. M. G u é g u i n m a i n t i e n t sa d e m a n d e d e vote. M. Le G o r g e u e s l i m e q u e , d a n s r e s c o n d i t i o n s , e t si la m o t i o n e s t v o t é e , le Conseil g é n é r a l d e v r a s ' a j o u r n e r s a n s a v o i r pu p r e n d r e a u c u n e d é c i s i o n . Il d e m a n d e q u e l e c t u r e 30it d o n n é e d u p r o r ô s - v e i bal do la d e r n i è r e d é l i b é r a t i o n d u C o n s e i l g é n é r a l , p o u r é c l a i r e r l'ssftetablétt s u r la question. M. M o u n i e r d e m a n d e à M. le P r é f e t dafl/i q u e l l e s Condition» Ont e u lleU les a p p e l a d ' o f f r e a u x s o u m i s s i o n n a i r e s . M. le P r é f e t lui f o u r n i t les r e n s e i g n e m e n t * bollicilés. La m o t i o n d e M. G u é g u i n , voix, eut r e p o u M é o . miao au* Le p r é s i d e n t d o n n e l e c t u r e d ' u n areicod ë m m i t , r é d i g é p a r M, T r é m i Q t i n , s u l v M t l e q u e l le Conseil g é n é r a l d é r i d e q u e la c l a u s e n° 4 s ' a p p l i q u e r a ft t o n t e s o c i é t é soumissionnaire. O i passo au voto d e s t r e n t e - n e u f cons e i l l e r s p r é s e n t s , q u i d o n n o les r é s u l t a t s suivants : Société anonyme des transports départ e m e n t a u x d u F i n i s t è r e , 22 voix. M. M a n a n t , 10 voix ; C o m p a g n i e d e s c h e m i n s d e 1er d u S u d Est, 7 voix. La S o c i é t é a n o n y m e d e s t r a n s p o r t s d é p a r t e m e n t a u x du Finistère r s t donc déclarée fermière. M. P . T r o t pr< nd a c t e do c e l l e d i s p o s i tion e t fait la d é c l a r a t i o n s u i v a n t e : « Au t e r m e d o c e s l o n g s d é b a t s , j î d e m a n d e la p e r m i s s i o n d e f a i r e u n e s i m ple et b r è v e d é c l a r a t i o n . -i'.. « J a u r a i s m a u v a i s e g i à ^ e ft r e v e n i r e h s é a n c e p u b l i q u e e t j o ne, r e v i e n d r a i p a s s u r la longue, disen-'sion q u i s'est instituée, co m a t i n , e n C o m m i s s i o n p l é n i è r e , s u r la m o t i o n q u e j ' a i d é p o s é e , t e n d a n t , ft a u t o r i s e r l ' e x p l o i t a t i o n , s a n s s u b v e n t i o n , de certaines lignes de notre réseau ferré départemental. « J'ai c o n s c i e n c e d ' a v o i r d é f e n d u — a v e c q u e l q u e v é h é m e n c e p e u t ê t r e et j e m ' e n e x c u s e — les i n t é r ê t s q u e j ' a i l ' h o n n e u r e t la < h a ' g.; d e s o u t e n i r . J ai f a i t en ce s o n s un < ffort q u i j u s t i f i a i t e n t o u t p o i n t , p o u r la r é g i o n q u e j o r e p r é s e n t e , l ' i m p o r t a n c e d e la q u e s t i o n d é b a t t u e . « Néanmoins, pour des raisons juridiq u e s , le C o n s e i l g é n é r a l n'a pas v o u l u p r e n d r e à cot < g a r d u n e d é c i s i o n f e r m i J e le r e g r e t t e et n e p u i s q u e m ' i u c l i i n r d e v a n t son v e i d i c t . l a i s s e r i n d i f f é r e n t e la p o p u l a t i o n d e ce p a y s e t s i n g u l i è r e m e n t les i n s t i t u t e u r s e t les institutrices de Franco. Des m i l l i e r s d ' e n f a n t s o n t déjft p a s s é la f r o n t i è r e d a n s le d é n u e m e n t le p l u s c o m plet. Le g o u v e r n e m e n t se p r é o c c u p e d e l o g e r et d o n o u r r i r ces e n i n n t s r é f u g i é s . Mais q u i s ' o c c u p e r a do l e u r f o u r n i r les v ê t e m e n t s e t l'-s c h a u s s u r e s d o n t ils o n t le plus p r e s s a n t besoin ? Le b u r r a u d u s y n d i c a t n a t i o n a l d e s instituteurs a décidé de coordonner toutes les i n i t i a t i v e s q u i n e d e m a n d e n t q u ' à s e pioduire dans re domaine. Il a c r é é « l'OEuvre d u t r o u s s e a u d e s e n f a n t s r r f u g i é s e s p a g n o l s ». D è s m a i n t e n a n t il a o u v e r t u n e s o u s c r i p t i o n d o n t le produit sera u n i q u e m e n t destiné ô p o u r voir d e l i n g e e t d e v ê t e m e n t s les e n f a n t s évacués. Eu r a i s o n du c a r a c t è r e d ' e x t i é m e u r g e n c e do c e l l e a c t i o n d e s o l i d a r i t é t o u t e s les i n s t i t u t r i c e s e t t o u s les i n s t i t u t e u r s s o n t instamment, pries d'adresser directement au Syndicat National des Instituteurs, 91, r u o d o l ' U n i v e r s i t é , P a r i s (7 e ), c o m p t e i h è q u e s p o s t a u x 2172.11 P a r i s , l e u r s s o u s c r i p t i o n s i n d i v i d u e l l e s , a i n s i q u e le m o n tant des fonds qu'il leur sera possible de recueillir dans leur entourage. P o u r les R é f u g i é s E s p a g n o l s I a Pi é f e c t u r e s e p r é o c c u p e a c t u e l l e m e n t d e c o o ' d o n n e r l°a>'.lion d e s c o m i t é s l o c a u x d'accueil aux réfugiés espagLols arrivés d a n s le d é p a r t » n i e n t . Uu c o m i t é de. p a t r o n a g e a é t é c o n s t i t u é q u i co p r e n d M. le P r é f e t d u F i n i s t è r e , Mtçr. l E v é q i i e d e Q u i m p e r e t d e L é o n , MM. le« s é n a t e u r s , d é p u t é s , p r é s i d e n t du Conseil g é n é r a l , M. l i v i c e - a m i r a l , p r é f e t m a r i t i m e , M. le m a i r e d e Q u i m p e r , MM. les p r é s i d e n t s d e s C h a m b r e s d o C o m m e r c e e t d e la C h a m b r e d ' A g r i c u l t u r e , M. le prés i d e n t d e la F é d é r a t i o n départementale d e s m é d e c i n s , M m e s les p r é s i d e n t e s e t MM. l e s . p r é s i d e n t s d e s S o c i é t é s d e la C r o i x - R o u g e , M. le s e c r é t a i r e g é n é r a l d e l'Union d é p a r t e m e n t a l e des syndicats. « Toutefois, une lueur dVsnoir st.bdsle p u i s q u e l ' a s s e m b l é e a laissé au c o n c e s s i o n n a i r e — on l ' e s p è c e la S o c i é t é tics T r a n s p o r t s p ' i v é s du d é p a r t e m e n t du F i n i s t è r e — la f a c u l t é d ' e x p l o i t e r , d a n s les c o n d i t i o n s i n d i q u é e s p a r la m o t i o n , les l i g u e s qu'il j ' g é r a i t i n t é r e s s a n t e s . « J ' e n p n m i s a c t e et il nie r e s t « à s o u h a i t e r q u e c e t t e é v e n t u a l i t é se r é a l i s e ». »• Questiona divamoa A p i è < a r . o i r iét>olu la q u e s t i o n d e l'afferm a g e d e s I r a n s p o i t s d é p a r t e m e n t a u x , le Conseil a e x a m i n é r a p i d e m e n t d i v e r s r a p p o i l s q u i lui é t a i e n t s o u m i s . Ce c o m i t é p r e n d r a t o u t e s les m t s u r e s pour 1 aide aux réfugiés esppguols. Mérite Agricole Ayents et fonctionnait es départementaux. — Il e s t p i o p o s é d ' a p p l i q u e r a u x a g e n t s e t fonctiounaii't.8 d u d é p a r t e m e n t , a v e : e f f e t d u 1 e r j a n v i e r 1939, les i n d e m n i t é s s p é c i a l e s t e m p o r a i r e s , i n d e m n i t é s d e résid e n c e et a l l o c a t i o n s p o u r c h a r g e s d e famille attribuées aux fonctionnaires de l ' E t a t p a r le d é c r e t d u 14 j a n v i e r 1939. Adopté. D a n s la p r o m o t i o n d u M é r i t e A g r i c o l e , n o u s r e l e v o n s les n o m s s u i v a n t s p o u r notre département : O/J'iciers : MM. C o n . b o t , a g r i c u l t e u r ô Saint-Pol de-Lcon ; Riou, agriculteur à Plobannalec. Chevaliers : MM. G o a s c o z , a g r i c u l t e u r à T r é g u e u n e c ; G u i b a n , c u l t i v a t e u r ft B a n n a l«c; Chaussy, agriculteur A Pleyber-Christ ; Pouliquen, cultivateur a Rosnoôn ; Prigent, c u l t i v a t e u r à Rosuofin ; P r i m a t , c u l t i v a t e u r à Plougasnou ; Brounec, jardinier à Locl u d y ; Le B r e t o n , c u l t i v a t e u r ô P l o u g o n ven ; Le F l o c h , c u l t i v a t e u r à P l o m e u r ; Le G u e n , c u l t i v a t e u r ô C l é d e r ; Le Viol, cultivateur à Kerfeunteun ; Lichou, cultivateur à Ploudaniel ; Loac, cultivateur à Brignogan ; Manach, cultivateur à Ploug u e r ; Marzin, cultivateur à P l o u g u i n Herry, constructeur agricole à Lampaul Guimiliau ; Riou, cultivateur à S t - J e a n T r o l i m o u ; R o s m o r d u c , c u l t i v a t e u r ft R o s noèn ; Talloc, cultivateur à Bannalec ; C o a u t , c u l t i v a t e u r à B o t s o i h e l ; Coïc, h o r ticulteur à Quimper ; Coqaet, cultivateur ft A u d i e r n e ; B é g o t , c u l t i v a t e u r à S a i n t Méen ; L o u a r n , c u l t i v a t e u r à P l o g o n n e c Pérennou, cultivateur à Guengat; Peuziat cultivateur à Mahalon. Indemnités de licencù ment au p< rs nnel de l'ex-compaynie des chemins de fer départementaux — Les e m p o y e s et ouvriers do l'ex-couipuguie des c h e m i n s de fer d é p a r t e m e n t a u x , r e s t é s a u s e r v i e do l ' a n cien c o n c e s s i o n n a i r e le 1 e r j a n v i e r 1936, avaient f o r m u l é u n e d e m a n d e d'indemnités d e l i c e n c i e m e n t . Le Cous« il a v a i t d é j à é t é saisi d e la q u e s t i o n l o r s d e sa d e u x i è m e s e s s i o n o r d i n a i r e d e 1936. Il a v a i t e s l i u i é q u e les a g e n t s e u c a u s e n ' a v a i e n t p a s d i o n aux indemnités puibqu'ils n'avaicut subi a u e u u e i n t e r r u p t i o n do s e r v i c e . Mais d e puis, le T r i b u n a l civil d e Q u i m p e r a é t é saisi do la q u e s t i o n . Il a s u r b i s à s t a t u e r . Et d ' a u t r e p a r t , le.s i n t é r e s s é s o n t d e m a u u é un î è g l e m e n t a m i a b l e . A u s s i la c o m m i s s i o n d e s finances, d a n s un b u t d e c o n c i l i a t i o n , a - t - e l l e d é c i d é d e t r a i t e r d e c e t t e f a ç o n a v e c les a g e n t s d e s chemins de fer en leur a c c o r d a n t des ind e m n i t é s , m a i s r é d u i t e s do 50 °/o s u r la p r e m i è r e d e m a n d e . U n e s o m m e d e 132.U00 f r a n c s s e r a n é c e s s a i r e . Le C o n s e i l a d o p t e cette solution. Nos félicitations à tous. Lia Médaille du Travail La m é d a i l l e d ' h o n n e u r d u t r a v a i l v i e n t d'être accordée, pour notre département aux persounes ci-après : M. A i a n o u , ft Q u i m p e r ; M m e A n s q u e r , n é e L a s t e n n e l , à T r é b o u l ; M. B a r g è s , à C o n c a r n e a u ; M m e C e l t o n , n é e Goff, ft Ti'éboul ; Mme Cloarec, née Seznec, à T r é b o u l ; Mme Daniel, née Brusq, à T r é b o u l ; M. G a d o u n a , ft D o u a r n e n e z ; M m e v e u v e G o y a t , n é e Colin, ft T r é b o u l ; M m e v e u v e G u é v e l , ft T r é b o u l ; M m e G u é v e l , née Nouy, à T r é b o u l ; Mme Guillou, née Sévélidor, à T r é b o u l ; Mme Labasque, n é o A n s q u e r , ft T r i b o n i ; M. Le B a r s , à B r e s t ; M m e Le Coz, h T r é b o u l ; M m e Le G o u i l , n é e G u é v e l , a Tre. b o u t ; M. Le H o u x , ft B r e s t ; M. Le R o u x , ft Q u i m p e r ; M. Le S t e r , ô E r g i i é - A r m e l ; M m e Le S t e r . a E < g u é - A r m e l ; Mme v e u v e Mazéas, à T r é b o u l ; M m e v. u v e Q n é r é , n é o Moalic, ft T r é b o u l ; M Sibiril, a B r e s t ; M. T h o m a s , à M o f l l a n - s u r - M e r ; M. T o s t i v i n t , à L a n derneau. Nos félicitations à tous. M. Le C o r r e a t t i r e l ' a t t e n t i o n do M le P r é f e t e t d e s e s c o l l è g u e s s u r le p e r s o n n e l d e s c h e m i n s do 1er l i c e n c i é lia 1938 e t q u i est resté sans situation. Il y a lii d e s c a s intéress-ants qu'il i m p o r t e do r é s o u d r e p a r un r a p i d o r è g l e m e n t d e s i n d e m n i t é s d e l i e e u c i e u i n n l et on t r o u v a n t , si p o s s i b l e , d e n o u v e a u x e m plois a u x agi lits licenciés. M. le P r é f e t p r o m e t do f a i r e t o u t , le nécessaire. Pour les familles des disparus du « Alèchann-Churlic ». -— S tir Ih p i o p o b i t i o n d e M. P e r r o t , le Cous, il g é n é i a l a v o t é u u c r é d i t d e 10 000 l i a n e s p o u r les f a m i l l e s d e s d i s p a r u s d u b a l ' a u d e p è c h e le « M é c h a n n - C h a r l i c », d o D o u a r n o n e z - T r é boul. B I B Ï . 3 E © J & R À P H i S C h a m p i g n o n s de oauotiea at autre* aapAoan c u l t i v a b l e s , par J. Lacbaume ( o n z i è m e é d i t i o n ) . Un v o l u m e do 148 p a g e s e l 39 g r a v u r e s . - P r i x : 10 f r a n c s ; f r a n c o : 11 f r a n c » . La c u l t u r e d u c h a m p i g n o n d e c o u c h e e s t l'objet d' u n e i n d u s t r i e bien c o n n u e , mais elle p e u t ê t r e a u s s i d o m e s i i q u e ou f a m i liale p o u r p e u q u e l ' o n s u i v e e x a c t e m e n t la b o n n e m é t h o d e , L ' o u v r a g e c l a s s i q u e d e Lachaumo donne, avec une g r a n d e clarté e t u n e g r a n d e p r é c i s i o n , t o u t e s les i n d i c a tions pour que chacun puisse m e n e r ô bien ces deux culture*. S e r v i c e s routiers P a r a r r ê t é de M. le M i n i s t r e d e s T r a v a u x p u b l i c s , le s e r v i c e d e s v o y a g e u r s , b a g a g e s , Chiens et. colis e x p r e s s , e s t s u p p r i m é ô la d a t e d u 6 f é v r i e r 1939, s u r l e s l i g n e s d e : Rosporden à Concarneau ; Quimper à P o n t - l ' A b b é ; Morlaix ft C a r h a i x . Le s e r v i c e s e r a d o r é n a v a n t a s s u r é p a r autocars. Ë n o u t r e , s u r la l i g n e d e Q u i m p e r à L a n d e r n o f t u , les g a r e s I n t e r m é d i a i r e s (sauf Châteaulin) seront f e r m é e s au service des V o y a g e u r s , b a g a g e s , c h i e n s e t colis e x p r e s s , le s e r v i c e d e r e m p l a c e m e n t s e r a é g a l e m e n t assuré par autocars. D a n s les a u t o c a r s d e r e m p l a c e m e n t d e s t r a i n s , d e s r é d u c t i o n s sUr le p l e i n t a r i f sei o n t a c c o r d é e s : Aux a b o n n é * ouvriers et scolaires, aux mutilés, aux familles n o m b r e u s e s , aux V o y a g e u r s d e c o m m e r c e , S u t tiiilitairea e t m a r i n s , s u r p r é s e n t a t i o n d o s titrefl t j u i l e u r l u i r a i e n t d t i n n é d r o i t ft 1r r é d u c t i o n s u r la voie f e r r é e . L ' e x p é d i t i o n e t la liVraistin d e s colis ëSpreSB se fortin t rtu b u r e a i i d u c o r r e s p o n d e n t d u s e r v i c e i-Outier d e a s e r v u n t la localité. S u r d e m a n d e , envoi g r a t i s et f r a n c o du C a t a l o g u e d o la L i b r a i r i o do la M a i s o n l l u s t i q u e , 26, r u e J a c o b , P a r i s <6 ). B f B E H B LJLJI.__.LJJ . V.,yi'V> V # W t <Ètfttta . &'<X3 Uifro etilàut» m « ; , ï W ' 4 M l à V« & diti itoUMëëàii t6iugUM i de« e s p a g n o l * HERNIE JE SL1S GUÉRI. — C'est I\ifnrmauon de toutes les personnes ariennes de hernies qui ont porié le nouvel appareil sans ressort de M fil A Q C D l e 0 r a n d S p é c i a l i s t e de . U k A O C n PARIS. 4 4 . Bd SÉBASTÛPOL En adoptant ces nouveaux appareils, dont l'action b i e n f a i s a n t e se réalise s a n s g è n e , sans aonf I r a n c e s ni Interruption de travail, les b » r a l e a les plus v o U u n l n e n s c a et les plus r e b e l l e * diminuent Instantanément de volume et disparaissent peu à peu c o m o l t tement. Devant de tels résultat» sarantistoujourapar écrit, tous ceux atteints de hernie dol vent s'adresser sans retard il H G L A S E R qui leurfer» rratultement l'essai de ses appareils ti 9 à i È. ft Quimperlé, merce. 17 f é v r i e r , h ô t e l d u C o m - Quimp'r. 18 f é v r i e r , h ô t e l d e l ' E n é e . Brest, 19 f é v r i e r , do 9 h e u r e s ft 1 h e u r e , h ô t e l d e P a r i s . 58. r u o d ' A i g u i l l o n . Châtea une u f-du -Fanu, 20 f é v r i e r , d e 9 h e u r e s ft m i d i , h ô t e l B e l l e - V u e . CHUTES MUTRICE et tous O rqnnnn V«nlo«8, O-thop&rtlfl G L A S E R 44, B d S é b a s t o p o l , P A R I S & U I M P E R An Munlolpal. - Le C o n s e i l m u n i c i p a l s ' e s t r é u n i d a n s la s o i r é e d u 2 f é v r i e r , s o u s la p r é s i d e n c e d e M. G a u t i e r , maire. Cenaail Au d é b u t d e la s é a n c e M lo M a i r e i n f o r m e le C o n s e i l q u e la s u b v e n t i o n a l l o u é e l " 17 j n u v i e r 1938 à la ville d e Q u i m p e r p o u r les t r a v a u x d e r e c o n s t r u c t i o n d e l'abattoir, r e h t e en d e h o r s du rhsmp d ' a p p l i c a t i o n d u d é c r e t - l o i d u 12 n o v . m b r e 19 î8 et q u e les t r a v a u x p e u v e n t s e c o n t i nuer. M. lo M a i r e r e n d c o m p t e e n s u i t e q u e le p r o j e t d ' e x t e n s i o n d e s a m é n a g e m e n t s d e la g a r e de Q u i m p e r a été r e m a n i é u n e fois d e p l u s , ft la d e m a n d e d e M. le M i n i s t r e des Travaux Publics. Le m o n t a n t t o t a l d e s d é p e n s e s d e l ' e n s e m b l e d u p r o j e t r e s t e , en d é f i n i t i v e , sensib l e m e n t le m ê m e q u ' i l é t a i t a u p a r a v a n t . 5.430.000 f r a n c s c o n t r e 5 360.000 f r a n c s , s e réparlissant c o m m e suit : A la c h a r g e d e la C h a m b r e d e C o m m e r c e . 4.687.000 f r . ; à la c h a r g e d e la ville d e Q u i m p e r , 266.000 f r . ; ft la c h a r g e d e la société nationale des chemins de fer fran gais, 477.000 f r . Api ès q u e M. le M a i r e e û t f a i t l ' h i s t o r i q u e du p r o j e t et prouvé, avec dates à l'appui, q u e la m u n i c i p a l i t é a f a i t t o u t o d i l i g e n c e p o u r q u e les travaux soient exécutés d a n s le p l u s brt f d é l a i , le Conseil a a d o p t é le n o u v e a u p r o j e t q u i lui é t a i t s o u m i s . C h a s l a s A n c i e n s E l à v e s d u X»yoàs Xsm T o u r d ' A n v e r g n s . — L ' a s s e m b l é e générale de l'Association des anciens é l è v e s d u L y c é e s'est t e n u e d i m a n r h e matin, 5 février, d a n s un salon de l'hôtel d e l ' E p é e , s o u s la p r é s i d e n c e d e M. A Keihuel. Le r a p p o r t m o r a l , p r é s e n t é p a r M. Le Gall, s e c r é t a i r e , e t l ' e x p o s é d e la s i t u a t i o n f i n a n c i è r e , f a i t p a r le t r é s o r i e r , M. Lenioine, furent unanimement approuvés. Diveises subventions furent encuite allouées, n o t a m m e n t aux sections de foot bail e t d e b a > k e t - b a l l d e l ' A s s o c i a t i o n sportive du Lycée et au comité du m o n u m e n t q u i d o i t ê t r e é l e v é à la m é m o i r e d e M. G. Le Bail, a n c i e n é l è v e d u C o l l è g e . D ' a u t r e p a r t , l ' a s s e m b l é e accueillit f a v o r a b l e m e n t le p r o j e t d ' o r g i n i s e r u n e s o r t i e d'été. * » * Le b a n q u e t t r a d i t i o n n e l d e l ' A s s o c i a t i o n a s u i v i l ' a s s e m b l é e g é n é r a l e . M. L e T h e u f T , ancien élève du Lycée, avait réservé à ses c o n v i v e s e t c a m a r a d e s un m e n u do q u a l i t é . Au Champagne, d e s d i s c o u r s t r è s a p p l a u dis f u r e n t p r o n o n c é s p a r MM. K e r h u e l , président de l'association, Kessler, provis e u r du Lycée, H. Nader, d é p u t é de Q u i m p e r , e t l e s j e u n e s p o t a c h e s Le Foll et Le P a g e . * • • La j o u r n é e se c o n t i n u a p a r u n e s a u t e r i e q u e l ' a s s o c i a t i o n o f f r a i t c e l l e a n n é e ft s e s m e m b r e s e t à l e u r s f • m i l l e s d a n s les salons de l'Hôtel de l'Epée. Cette matinée dansante a connu un m a g n i f i q u e succès. De n o m b r e u s e s personnalités l'honorèrent de leur présence. Les g r a n d s é l è v e s d e n o s d e u x l y c é e s a v a i e n t é g a l e m e n t é t é c o n v i é s ft cette, f ê t e qui se déioula, j u s q u ' à dix-neuf h e u r e s lr n t e , d a n s u n e c h a r m a n t e a t m o s p h è r e d e j e u n e s s e et de galté. O a n s l a O a n d a r t t t a t l s . — La s e m a i n e d e r n i è r e s ' e s t d é r o u l é e , d a n s la c o u r i n t é r i e u r e d e la c a s e r n e d e g e n d a r m e r i e d e Quimper, u n e prise d ' a r m e s ô l'occasion d e la r e m i s e d e la m é d a i l l e m i l i t a i r e ft t r o i s g e n d a r m e s , c o m p t a n t a u m o i n s 13 a n n é e s d e s e r v i c e e t 17 a n n u i t é s . Un p i q u e t e n a r m e s , p l a c é s o u s le c o m m a n d e m a n t d u c a p i t a i n e Le T h o m a s , r e n dait les h o n n e u r s . L e c o m m a n d a i Beilçtt, c o m m a n d a n t la gendarmerie départementale, remit, selon le c é r é m o n i a l d ' u s s g e , la m é d a i l l e m i l i t a i r e a u x t r o i s n o u v e a u x d é c o r é s : les g e n d a r m e s Jean Dilasseur, de Quimper ; Jean Pelaut, d ' A u d i e r n e , e t J e a n L e C a n n , d e BrieCde-lOdet. P u i s il p r o n o n ç a u f l e c o u r t e a l l o c u t i o n p o u r s o u l i g n e r la p o r t é e d e c e t t e c é r é m o n i e e t la v a l e u r m o r a l e d e la r é c o m pense attribuée au* bons serviteurs de l'ordre. T o u s l e s p o s s e s s e u r s d e c a r t e 38 d e m e m b r e de l'Auberge do J -unesso. ainsi q u e t o u t e s les p e r s o n n e s s ' i n t é r e s s e n t a u x A J , s o n t p r i é s d ' a s s i s t e r ft c e t t e r é u n i o n . Bnnqao» des Médaillés Militaire». — Le b a n q u e t a n n u e l d'-s M é d a i l l é s Militaires d e la s e c t i o n d e Q u i m p e r e t d e s e n v i r o n s a u r a lieu, d i m a n c h e p i o c h a i n 12 f é v r i e r , à midi, au Restaurant du Marché, r u e A s t c . T o u s les Médaillés M i l i t a i r e s , l e u r s familles et leurs amis, sont cordialement i n v i t é s ft c e t t e f ê t e d e f a m i l l e . Un m e n u t r è s s o i g n é s e r a s e r v i . P r i x d u r e p a s , 20 f r a n c s . A n T . i b u n a i — N o u s a p p r e n o n s la n o m i n a t i o n d e M. R o g e r D a u m o n l , e n qualité de j u g e suppléant, au Tribunal civil d e Q ' i i r n p e r . M. D a u m o n t n o u s v i e n t d e R e n n e s , o ù il a p a s s é q u e l q u e s s e m a i n e s è la C o u r d'Appel. N o u s lui p r é s e n t o n s n o s s o u h a i t s d e bienvenue. X<a B a l d u S t a d a . — Le g r a n d b a l a n n u e l d u S t a d e Q u i m p é r o i s a u r a lieu le s a m e d i 18 f é v r i e r c o u r a n t , d a n s la v a s t e salle d e s f ê l e s d e la r u e d u C h a p e a u - R o u g e . C e t t e s o i r é e s e r a , c o m m e t o u j o u r s , le « c l o u » d e la s a i s o n , e t a t t i r e r a t o u t e l a jeunesse de Quimper et des environs. Etat-Civil du 3 1 Janviar au 0 février 1 9 3 9 . — Aaissances : J o s i a n e M a z é a s , 23, r u e d e K e r f e u n t e u n ; C l a u d e Brillet, 3, e n clos Pen-ar- Stéïr ; Noële Cabon, c h e m i n d e l ' H i p p o d r o m e ; M o n i q u e M a r b l e z , 65, r u e de Douarnenez ; Serge Louis, coteau du Frutfy ; Colette Mignon, venelle de K e r g o s ; M a u r i c e J é g o u , 10 r u e d u S»llé ; G i l d a s B a r r e a u , 25, r u e B o u r g - l e s - B o u r g s . Publications de Mariages : Rnymond Marchand, couvreur, d o m . à Quimper, et M a r i e - L o u i s e V i g o u r o u x , d o m . ft P l o m e lin ; F r a n ç o i s P e r d r i ' - I , m é c a n i c i e n a u x c h e m i n s d e f e r , d o m . ft R e n u e s , e l L u c i e n n e Le G o a i l , d o m . ô Q u i m p e r ; L o u i s J é z é quel, employé de chemins de fer, d c m . à Q u i m p e r , et A n n e Le B r e n n , d o m . à E r g u é A r m e l ; Guillaume Hélias, e m p l o y é de c h e m i n s de fer, à R e n n e s , et Marie Le R o u x , d o m . ft Q u i m p e r ; Alain V i g o u r o u x , coiffeur, et Corentine Toullec, d o m . à Q u i m p e r ; Louis Vigouroux, charcutier, d o m . à Q u i m p e r , et A n n a Le B e r r e , d o m . ft P e n h a r s ; R a y m o n d M a r b e u f , c a p o r a l a n 137» d ' i n f . , ft Q u i m p e r , e t J u l i e t t e H é m o n , d o m . ft E r g u é - A r m e l . Décès : M s r i e - J e a n n e Le G u i l l o u , é p o u s e Le G r a n d , «4 a n s , 14, r u e S t - M a t h i e u ; M a r i e T h é i è s e H e u r t i e r , v e u v e L e b i h a n i c , 80 a n s , 37, r u e S t - M a t h i e u ; G u i l l a u m e L e B r e n n , é p o u x C o s q u é r i c . 52 a n s . m a r c h a n d f o r a i n , 11, r u e d u P i c h é r y ; Elisa D a v i d , v e u v e M é r e t , 76 a n s , i m p a s s e d e 1 O d e t ; P é p i l o T a r r i o , 18 m o i s , s u j e t e s p a g n o l , 3, r u e d e l ' H o s p i c e ; M a r g u e r i t e Le S a g e - D -svallees, v e u v e C a v e n g , 94 a n s , 30, q u a i d e 1 O d e t ; F r a i ç ^ i s B o n a r d , veuf H a s c o ë t , 66 a n s , a n c i e n b o u c h e r , 3, r u e d e l ' H o s p i c e . A n T h é â t r e . — Tournées Ch. Baret. — La r e p r é s e n t a t i o n d e g a l a , o r g a n i s é e p a r les t o u r n é e s B a r e t , s o u s les a u s p i c e s d e s A n n a l e s p o l i t i q u e s e t l i t t é r a i r . s, a u r a l i e u , au théâtre municipal, demain samedi 11 f é v r i e r , à 20 h. 45. « E s t h e r » s e d é r o u l e r a a v e c la m u s i q u e et les c h œ u r s d e J e a n - B a p t i s t e M o r e a u , d e v a n t les c o l o n n e s d e m a r b r e d e V e r s a i l les q u i s e d r e s s e r o n t s u r les c h a r m i l l e s d u grand parc. La s o i r é e s e t e r m i n e r a p a r « L e M é d e cin m a l g r é l u i ». Des réductions intéressantes seront c o n s e n t i e s à la j e u n e s s e d e s é c o l e s . — Le p r o c h a i n cye.le d e s t o u r n é e s B a r e t s e i a « Le C a p d e s T e m p ê t e s », l ' œ u v r e la r é c e n t e d ' H e n r y B e r n s t e i n , le g r a n d s u c c è s du théâtre du Gymnase. s a X«as Cinéma« O d a t - P a l a o a (près Programme jusqu'au Ac ualités p a r l a n t e s film, et le g r a n d film en g a l a . de la Préfecture). — m a r d i 14 f é v r i e r 1939 : et s o n o r e s ; un joli : « L e s t r o i s v a l s e s », Ras (près de la Gare). — P r o g r a m m e j u s q u ' a u m a r d i 14 f é v r i e r 1939 : A c t u a lités « Eclair-Journal » e t d e u x b e a u * films, d o n t : « L u m i è r e s d * P a r i s ». A p o l l o (près du Cap-Horn). — Prog r a m m e d u v e n d r e d i 10 a u d i m a n c h e l J f é v r i e r 1939 : A c t u a l i t é s , u n b e a u film e t l e g r a n d film : « S a r a t i le t e r r i b l e ». Ergué-Armel S u i c i d a . — D a n s la s o i r é e d e d i n i a n c i v , le n o m m é P i e r r e - J e a n Laz, 61 a n s . c u l t i v a ' t o u r a u village d e K e r h o r n o u , e n E r g u é A r m e l , a é t é t r o u v é , p a r sa t e m m e , p e n d u ft u n a r b r e d a n s u n c h a m p à p r o x i m i t é d e son habitation. Il y a t r o i s a n s , le m a l h e u r e u x a v â i t d é j à e s s a y é d e m e t t r e fin à s e s j o u r s . La g e n d a r m e r i e a p r o c é d é a u x c o n s t a * tations d'ussge. Foueflnant H é n n i o t t . — D i m a n c h e p r o c h a i n 12 f é v r i e r , à 10 h e u r e s , s a l l e V v o n n o u , à F o u e s n a n t , M. J e a n - L o u i s V v o n n O u , coti* »ciller g é n é r a l , r e n d r a c o m p t e d e s o n m a n d a t et p a r l e r a de l'école de Br^hoaloUt iVos f é l i c i t a t i o n s a u * n o u v e a u x d é c o r é s . lioftUiA d'HoHlottitUra. » L'assemblée g é n é r a l e d e la s o c i é t é a u r a lieu d i m a n c h é p r o c h a i n , 12 f é v r i e r , ft 10 h e u r e s , salle habituelle. Comme d'iiabitude entrée g r a tuite et tombola. Lés Èhembree d e la s o c i é t é p o u r r o n t 86 p r o c u r e r deh g r e f f o n s ft la s t a t i o n a g r o n o mique; boulevard de Rerguélen. S«éuotoi!c. — L'a«3emblée générale an- Bénodet l i a £f a * . — Le s e r v i c e dti b a c 6 VnpAùf d e B é n o d e t e s t i n t e r r o m p u d e p u i s le 5 février. U n avis uKérleUr f e r i c o n n a î t r e la dalè' d e la r e p r i s é d u s e r v i c e ; P e n d a n t c e t t e i n t e r r u p t i o n , - te SefVIcg Sera a s s u r é p a r le b a c à r a m e S , p o u r I6tf vOiturefl, et p a r la v e d e t t e p o u r Isa p l é " ttfns; T o n s reuaelgnâthenid cortip(éiiaër>inlreii nuelle du comité de l'A•• berge de j •unesse 6oncàrnâàù Les eVétiSnietils q u i se produisent ett s e r o n t d o n n é » dan» Ion g n r e s et ltti bureau* do Quimper aura Heu lo mercredi 15 f é Cntuiogne et le désolant exode dea p o p u - j des services routiers. 0u|»j>r*aiitoa daa t r a i s * 4 « v « | r t | M ' l < vrier, ft 20 h. 30, ft la mairie de Qaimper, lations civiles q u i en résulte n e peuvent ancienne salie de l'état-oivil, ! — Depuis lundi dernier, le trafic d*t ' LË CITOYEN de v o y a g e u r s s u r la ligne R o s p o r d e n Concaroenu est s u p p r i m é . Le trafic d e s m a r c h a n d i s e s r e s t e t o u j o u r s en v i g u e u r . Lb service des voyngeurs sera d o r é n a vant a s s u r é p a r a u t o c a r s . Pont-l'Abbé S u p p r e s s i o n d e s trains do voyagonra. — [) i»iiis le 6 février. I»' n-sti' 1 des tr«ins de vi.yngrurs s u r In lign* y n i m p e r - P o n t l'At>brt est é g a l e m e n t s u p p r i m é . Deux trains pur joui c o n t i n u e r o n t p o u r lo trafic des marchandises. D" n o m b r e u x services des v o y a g e u r s , par a u t o c a r s . soi>t assurés, p o u r les agglo luérations du c a n t o n et avec (Juimper. Combrit Légion d'honnanr — M. le docteur Chauve!, c h i r u r g i e n ù Q u i m p e r . m a i r e de Combrit, vient d ' ê t r e p r o m u Oflicier de la Légion d ' h o n n e u r . M. Chauvel n'est pas dos n ô t r e s et nos idées r é c i p r o q u e s sont a n t a g o n i s t e s , mais n o u s t e n o n s à n o u s incliuer d e v a n t sa belle p e r s o n n a l i t é et les services n o m b r e u x q u e son talent et sa b o n t é ont r e n d u à la r é g i o n . Pouldreuzic ttm «niant a* d e r n i è r e , le petit de C r é m u n e c , en en t o m b a u t d a n s remplie d'eau. n o t a . — La semaine J a c q u e s Bosser, 4 ans, Pouldreuzic, s'est noyé u n e g r a n d e lessiveuse Plozévet E t a t - C i v i l d a J a n v i e r . — Naissances : Jean-Louis Simon, à B n g o u l s O r ; S u z a n n e Kt rloi h, à K e r m e n g u y ; B e r n a d e t t e Quéré, à K r l a é r o n ; Solaug» Signor, 6 Kervouér e t ; J e a n Plouzennec, à Ruviscou. Mariages : P i e r r e G u e g u e u , mariu de i E at, et Marie A n d r é ; Yves Kerloch et Marie-Anne Le Corre, cultivateurs ; AU x a u d r e Le Burel, marin du c o m m e r c e , et Marie-Jeanne Claquin. Décès : J e a n u e Le Papo, é p o u s e Le Moa 1 , cultivatrice, au b o u r g ; Pierre-Marie Mao, 3 ans, au b o u r g ; Christophe Bescond, époux Guichaoua, cultivateur, 74 aus, à Lesneut ; M a r i e - J e a n n e Quideau, veuve B o u r d o n , 72 ans, cultivatrice â Lesplozévet. Pont-Croix A a l o a l * d a a » . O . B . — La fête annuelle d e s sous otliciers de r é s e r v e de P o n t - C r o i x a u r a lieu d i m a n c h e prochain 12 février. Au p r o g r a m m e : à 9 h. 30, assemblée g é n é r a l e , salle do la Maiiie ; ù 11 h e u r e s , d é p ô t d ' u n e g e r b e au m o n u m e n t aux M o r t s ; èi midi, b a n q u e t é l'hôtel des Voya> g e u r s , prix : 20 f r . ; à 20 h. 30, bal dans les salons de l'hôtel, e n t r é e : î> f r . Le président r a p p e l l e qu'il est a n n e x é à l'Amicale d e s S. 0 . R. u n e école de p r é p a ration au b r e v e t militaire. Il e n g s g e les j e u n e s g e n s â g é s de 16 à 20 aus à s'y faire inscrire et à suivre r é g u l i è r e m e n t les c o u r s ; l'obtention d u brevet leur c o n f é r a n t de nombreux avantages. P o u r t o u s r e n s e i g n e m e n t s , s'adresser à l'Amicale d e s S. O. H., ou à M. le chef de g e n d a r m e r i e de Pont-Croix. voilà tout. Et p o u r t a n t , M. Guillou, l ' a r g e n t récolté ailleurs qu'à P l o u h i n e c par ces « c o m m u n i s t e s •> servira à venir en aido aux m a l h e u r e u x Espagnols, m ê m e aux catholiques. Mgr D u p a r c , évêquo de Quimper, q»i le sait. bien, a accepté de faire partie du comité d'accueil où figurent des élus de toutes nuances, depuis les membres do votre parti d é m o c r a t e populaire j u s q u ' a u x élus d ' e x i l è m e - g a u c h " . Le t o r t de nos c o u r a g e u x q u ê t e u r s de Pouldavld était d ' é l i e des c o m m u n i s t e s , journal l e C i t o y e n Veuillez a g r é e r etc... CHATEAULIN A l ' E t a t - C i v l l . — Depuis trois mois, a u c u u e naissanco n'a été déclarée à la mairie de Chàteaulin. C'est la p r e m i è r e fois q u ' u n fait s e m b l a ble est constaté d a n s n o t r e ville, qui c o m p t e 4.000 habitants. L é g i o n d ' h o n n e u r . — M. F i l u z e a u , 80US- p r é f e t de Chàteaulin, vient d'être n o m m é Chevalier de la Légion d h o n n e u r , au titre du ministère de l'Intérieur. Nous lui a d r e s s o n s t o s vives félicitations. Le Faou Aooidant d'auto». — Une collision d ' a u t o s s'est p r o d u i t e lundi matin près du F a o u , s u r la r o u t e Q u i m p e r - B r e s t . Un camion a p p a r t e n a n t à la quincaillerie Bellion, de Brest, et la voiture de t o u r i s m e de M Rozé, p h a r m a c i e n à Quimper, se sont h e u r t é s violemment. M. Rozé était a c c o m p a g n é de MM. Bourhis, chef de laboratoire, et Poriel, p r é p a r a t e u r en pharmacie, d e m e u r a n t tous deux à Ergué-Aimel, près Quimper. T o u s les trois ont été plus ou moins blessés. Aucun n'est en d a n g e r . Le P a r q u e t de Brest s'est r e n d u s u r les lieux d a n s l'après-midi d e l à m ê m e j o u r n é e p o u r p r o c é d e r à la reconstitution do l'accident. BREST L a n o u v e a u Chef da la M u a i q a e d e s E q u i p a g e s d a l a F l o t t a . — M. J u l e s Seuiier-Collery, capitaine chef de m u s i q u e à Amiens, a été n o m m é , a p r è s concours, chef de la Musique des E q u i p a g e s de la Flotte, en r e m p l a c e m e n t de M. Michel Boh e r , décédé. Atfé de 36 ans 1 2, M. S e m i e r - C o l l j r y , a p p a r t i e n t à u n e famille de musiciens. Trois de ses fi ères sout chefs de m u s i q u e s militaires. A » T h é â t r e . — Deux g r a n d s galas auront lieu, d i m a n c h e p r o c h a i n , au t h é â t r e municipal do Brest, avec le f a m e u x c o m é dieu C o n s t a n t - R é m y , qui interprétera l'œuvre a d m i r a b l e « L'Aventurier ». Nul d o u t e q u ' u n n o m b r e u x public ne Feuilleton du « Citoyen », Quimper — N° 44 U (d'après Albert Le Grand) P e n d a n t qu'il était en la f e r v e u r de son oraison, un ange lui a p p a r u t et l'assura que, non s e u l e m e n t l'enfant était h o r s de tout d a n g e r , mais e n c o r e q u e Dieu -avait, p o u r sn conservation, créé une île nouvelle. Saint Hrnndan fut g r a n d e m e n t consolé de CC9 nouvelles. I.c lendemain matin, il alla nu rivage de la m e r et vit cette motte ou t e r t r e de t e r r e flottant sur l'eau et saint Malo dessus qui louait Dieu. Il s'approcha le plus prés qu'il p û t du saint et discourut avec lui de cette merveille ; puis tous doux r e n d i r e n t grâce» à Dieu... Saint Malo ayant d e m e u r é q u e l q u e s a n n é e s en l'école de saint, Braridan, ses p a r e n t s le v o u l u r e n t r a p p e l e r à la maison ; triais lui, qui désirait s ' a d o n n e r e n t i è r e m e n t au service de Dieu, leur dit qu'il ne q u i t t e r a i t j a m a i s le m o n a s t è r e , Encore q u e ses p a r e n t s eussent fort désiré l'avancer ou* h o n n e u r s et dignités et lo laisser héritier de tours g r a n d s biens, de p e u r t o u t e fois de résister ad Saint-Esprit qui l'inspirait, ils Ici laissèrent faire ce qu'il lui plairait et ne lo m o l e s t è r e n t plus de ce côté-là, Voyant cet e m p ê c h e m e n t été, il postula hmnbletiietlt l'habit ail m ê m e m o n a s t è r e , lequel il reÇut de la ttialn de son p a r r a i n ël m a î t r e , saint B r a n d a m Se Voyant parvenu /i ce q u ' i l «volt tant désiré, il ¿iiohtt-fi qU'aVbc l'habit rtiOriaëal il avait p a r e i l l e m e n t vétU JésUs-ChriSt ; Caf il fcbrrirtieriça 6 m e n e r une r i e si sainto qU'll revissait tbUs Sfeê c o n f r è r e s on a d m i r a t i o n de sri ànlhtbtéj se hinihlch ht, àvëc Cela, eh unb il p r ô f o h d e hùmilité tjii'il è'tislirrï »it lë plus Impai'falt du triohaftlèi-c fct indiguti tic cette c o m p a g n i e h llgleueei U #7in trouva, toutefois, en t e mohftBtècc, MORLAIX L é g i o n d'honnanr. — C'est nvec plaisir q u e n o u s a p p r e n o n s la nominal ion au g r a de do Chevalier d e l à Légiou d ' h o n n e u r do « J e ne suis pas un sectaire », vous plaiM. Corentin Cafcr, i n s t i t u t e u r à l'école de sez-vous à dire, Monsieur lo Maire, Eh ! P o a u - B e n , à Morlaix, d i r e c t e u r de la J e u n e bien n o u s croyons q u e les c o m m u n i s t e s le Lyre Morlaisieune. sont un peu inoins q u e vous. Vous vous C'est au titre do l'Education Nationale êtes e m p l o y é d i m a n c h e , p<fr sectarisme, à q u e M. Coèr reçoit cette h a u t e distinction. enlever des b o u c h e s d'innocents allumés Lo n o u v e a u Légionnaire, avec un dévouelo pain quo de g é u é r o u s e s p e r s o n n e s voument digno do t o u s les éloges, qui n'a laient leur offrir. dVgal q u e sa modestie, a assuré d e p u i s plus Un l'iouliinécard t/ui a versé de t r e n t e a n s la direction de plusieurs sans demander l'autorisation au maire. sociétés de m u s i q u e scolaires et postscolaires. Douarnenez Ou connaît ses j e u n e s artistes qui ont P o u r l e a f a m i l l e s d e s d i s p a r u e d u participé à de n o m b r e u s e s fêtes populaires « M è o h a a n - C h a r l i o ». — C o m m e suite à d a n s n o t r e d é p a r t e m e n t . ses p r e s s a n t e s d é m a r c h e s , M. Jean Porrot, Nous a d r e s s o n s à M. Ci Cr nos c h a l e u d é p u t é , a reçu la lettre suivante do M. le r e u s e s ot cordiales félicitations p o u r le Ministre de la Marine Marchande : g r a n d h o n n e u r qui lui échoit. Monsieur le Député et c h e r Collègue, Vous avez bien voulu a p p e l e r , tout spéA l'Xmprlmaria du cialement, mon attention sur la pénible situation des familles de m a r i n s de D o u a r nenez disparus à bord du « Méchaun-Charlic ». On e x é c u t e « o v a Xwprtméa J ai l h o n n e u r de vous faire c o n n a î t r e q u e des s e c o u r s d ' u r g e n c e vont être i n c e s s a m m e n t payés aux veuves et aux orph- lius des d i s p a r u s et q u e je m'efforcerai de les assister à nouveau dans leur détresso dès q u e mes services a u r o n t reçu les é l é m e n t s nécessaires à l'attribution d'un secours c o m p l é m e n t a i r e . Plouhinec On nous prie d'insérer : M. Guillou a été p r o b a b l e m e n t le seul m a i r e de F r a n c e à avoir interdit, d a n s sa c o m m u n e , la q u é l e de d i m a n c h e d e r n i e r au profit d e s r é f u g i é s e s p a g n o l s . A la suite do ce r e f u s , q u e la population a r é p r o u v é , n o t r e très c a t h o l i q u e maire a t e n u à s'expliquer d a n s tout le b o u r g , c o m m e q u e l q u ' u n qui n'a pas lu conscience t r a n q u i l l e : les j a u n e s q u ê t e u r s ne lui avaient pas d m a n d é sou a u t o r i s a t i o n I p . nsez d o n c ! C o m m e si la q u ê t e eu question n'avait pas été a u t o r i s é e d a n s t o u t e la Franoe (et P l o u h i u e c est en F r a u c e j par le M i n i è r e d e l ' i u t e r i e u r l u i - m ô m e . tienne à m a n i f e s t e r à l'émouvant I n t e r p r è t e de « L'Aventurier » lo v i b r a n t t é m o i g n a g e de son a d m i r a t i o n , ainsi qu'à la pléiade d'artistes do tout p r e m i e r o r d r e d o n t Constant-Rémy a su s ' e n t o u r e r . Ulli par Yves LE FEBVRE A qui ses l'at'es Vertus et l'éclat de sa sain* teté éblouirent les yeux trop chassieux, d e s o r t e que, poussés d ' u n e envie malicieuse, ils se r é s o l u r e n t de lui j o u e r q u e l q u e f o u r . Ces malicieux dune o b s e r v è r e n t une semaine q u e saint Malo devait, à son t o u r , éveiller les religieux et leur d o n n e r du feu en leurs lampes p o u r aller à mùtines. Ils p r i r e n t cette occasion et, le soir, a p r è s q u e tous les f r è r e s se f u r e n t retirés, ils é t e i g n i r e n t leurs lampes, tant (lu d o r t o i r q u e de l'église, se p r o m e t tant q u e saint Malo, ne pouvant trouver du l'eu assez à t e m p s p o u r p o r t e r ù l'abbé et aux a u t r e s moines, subirait q u e l q u e discipline ; mais il en alla tout a u t r e m e n t qu'ils n'avaient p r o j e t é , car, n'ayant trouvé du feu à la lampe du d o r t o i r , il alla au foyer c o m m u n où il trouva q u e l q u e s - u n s de ces m é c h a n t s religieux, qui lui d é n i è r e n t du feu et lui baillèrent, p a r décision, des Charbons éteints. Le saint, sans se t r o u b l e r a u c u n e ment, prit ces c h a r b o n s et, n'ayant o ù c o m m o d é m e n t les porter, il les mit en son soin et les p o r t a en la cellule de l'abbé o ù Ils se trouvèrent a r d e n t s et e m b r a s é s , sans quo sa chair, ni ses habits en f u s s e n t a u c u n e m e n t offensés; 11 voulut pfésentet' du leu ii l'abbé ; mais il n'en était plus de besoin ; cal-, ayant été i'etardé en l'exécUti6n de son OlTlcfe pat- la malice de ses p r o p r e s frères, Un ange ardlt s u p p l é é h ce d é f a u t et allumé la l a m p e do l'abbé, lequel embrassa t e n d r e m e n t saint Mdld, r é v é r a n t h u m b l e m e n t en lui leu mërvellléô dë Dieu, le regai-dant non plus odmme sori disciple, mais coriimo Un g r a n d ami et favori dë b i e u | ftials l'humble Siulo référait le t d u t nli* ffléfites fct sainteté dç m a tibbij fit Football-Association A n G. A. da P e n h a r s Nous p o u v o n s m a i n t e n a n t m e t t r e en p r e m i e r lieu la p r e m i è r e équipe. Après avoir essuyé, t r o p souvent, des défaites cuisantes, elle vient de se réhabiliter en battant les P a o t r e d - D i s p o u n t par 4 à 2. Ce qu'il f a u t s u r t o u t quo ses j o u e u r s se r a p p e l l e n t , c'est q u ' u n e é q u i p e est u n e machine où c h a q u e pièce doit se trouver à sa place. Si u n e pièce n'est pas à sa place, la machine se d é t r a q u e . C'est p o u r q u o i c h a q u e fois q u e le d e m i c e n t r e Bébert n'était plus à sa place, il y avait u n e descente des adversaires. Coût : deux buts. T o u t e la défense a bien j o u é , et les q u a t r e j u n i o r s : Le Bihan, Larnicol, L o u s s o u a r n et Kerviel f o n t des p r o g r è s à c h a q u e partie. La ligne d'avants a e n c o r e t r o p flotté, q u o i q u ' u n peu moins qu'à Plozévet, et avec ce petit p r o g r è s , 4 b u t s ont été m a r q u é s . Que les inters g a r d e n t leur place et cela ira e n c o r e mieux d i m a n c h e prochain c o n t r e la J. A. de Q u i m p e r , qui ne se laissera pas faire aussi facilement q u e les P a o t r e d Dispount. E n c o r e u n e r e m a r q u e très j u s t e On dit de telle équipe, qu'elle est t r è s brutale, et j'ai t o u j o u r s dit, q u e c'est l'arbitre seul, qui est r e s p o n s a b l e de la t e n u e des équipes. P r e u v e : la r e n c o n t r e ci-dessus où les j o u e u r s ont été bons c a m a r a d e s , et se s o n t q u i t t é s b o n s amis. Le mérite ne leur en revient pas totalem e n t , mais eu g r a n d e partie à l'arbitre qui n'a, dès le d é b u t , toléré a u c u n e incorrection. Les j o u e u r s l'ont compris, et en ont les p r e m i e r s profité. La d e u x i è m e équipe, pas e n c o r e au point, s'est fait b a t t r e par 1 à 0, par leurs vis à vis, la deuxième des P a o t r e d Dispouut. Le C. A. P. d o m i n e , mais ne sait pas m a r q u e r , c'est p o u r t a n t ce qu'il f a u t faire pour gagner A signaler la joli partie des minimes Kersall et Coathalem. Les j u n i o r s , avec le c o n c o u r s de trois celui-ci à la sienne et ils passèrent quelq u e s h e u r e s en cette sainte contestation. Le l e n d e m a i n , saint B r a n d a n , ayant e n t e n d u tout le d é m ê l é de celle fusée, voulut c o r r i g e r les a u t e u r s de cette méchanceté ; mais les t r o u v a n t obstinés eu leur malice et q u e plusieurs a u t r e s les s u p p o r taient, il résolut de les q u i t t e r et s'exposer plutôt à la merci des o n d e s de la nier qu'à la malice de ses p r o p r e s f r è r e s et voir, c e p e n d a n t , si son absence et de celui auquel ils p o r t a i e n t tant d'envie les a m e n derait. Il s ' e m b a r q u a avec saint Malo et 78 a u t r e s personnes, en dessein de trouver les « lies f o r t u n é e s » , f o r t r e n o m m é e s des anciens (ce sont les Canaries à la cète d'Ethiopie), p o u r y p r ê c h e r la foi aux b a r bares et les r é d u i r e fi la connaissance de Jésus-Christ. Ils f u r e n t sept j o u r s v o g u a n t en pleine mer, ¡'i bon vent, sans voir a u c u n e t e r r e . Enfin, le septième j o u r , ils a n c r è r e n t è lu r a d e d ' u n e ¡le où ils m i r e n t pied h t e r r e et y s é j o u r n è r e n t q u e l q u e peu, et se p r é p a r e r o n t p o u r suivre leur r o u l e ; mais un a n g e leur a p p a r u t cl leur lit c o m m a n d e m e n t de s'en r e t o u r n e r en leur pays ; à quoi ils o b é i r e n t ot levèrent les ancres, d r e s s è r e n t les voiles et t o u r n è r e n t leur p r o n e vers le s e p t e n t r i o n ) et, c o n t i n u a n t leur course, ils se t r o u v è r e n t lo p r o p r e j o u r de P û q u e s en m e r et eussent bien désiré a b o r d e r q u e l q u e 11c OU côte, p o u r c é l é b r e r les saints m y s t è r e s et ne d e m e u r e r sans messe un tel j o u r . Dieu leur octroya leur désir ; car, ayant d é c o u v e r t Une f o r m e d'Ile (co leur semblait), ils y d e s c e n d i r e n t , d r e s s è r e n t un autel et f u t célébrée la solute messe ; mais, sur le point du P a t e r N'ustCr, toute cette lie vint ù ce mouvoir de telle impétuosité q u ' u n chacun cherchait à se sauver d a n s le valssoau lë p l u t ô t (ju'il p o u r r a i t . Saint .Malo, voyant 9o d é s o r d r e , lës r a p p e l a , les a s s u r a n t cju'il tì'y avait aucun d a n g e r j et, dë fait, l'Uë në t r e m b l a plUs, ni në reinurt, j u s q u ' à ce cjuë lfl mësgë étant finie et tous é t a n t mdfltés d M s lë tnlssëofi| lis WcijMiJrîilH ^ W lycéens, b a t t e n t la deuxième é q u i p e mixte des Loisirs par 4 à 2. K. A n Etada Quimpérois Le S. Q. est b a t t u par 2 à 0, p s r l'U. S. S. M. de St-Malo. Bon ! e n c o r e u n e p i q u e t t e p o u r le S. Q., d i r o n t les g e n s qui n'ont pas vu la r e n contre. Or, ce n'est pas l'impression des spect a t e u r s q u i o n t q u i t t é le terrain c o n t e n t s et confiants dans l'avenir. C'est q u o les j o u e u r s , qui ont résisté do toutes l e u r s forces, ont été r é c o n f o r t é s par le r e t o u r de deux de leurs anciens : Lili et Marcel Le Grand. Le p r e m i e r , r e p r e n a n t en main l'éducation physique, et, le deuxième, la partie t e c h n i q u e où sa c o m p é t e n c e est indiscutable. Et cela a sutli p o u r r e d o n n e r à l'équipe le moral qui allait l ' a b a n d o n n e r . Aussi quelle belle partie ont-ils vue les s u p p o r t e r s e n c h a n t é s . N'eut été la g r a n d e valeur du goal visiteur, T h é p o t , le S. Q. a u r a i t g a g n é , car non s e u l e m e n t les avants ont dominé les 3/4 de la partie, mais T h é pot a dû faire plus d ' a r r ê t s q u e Daniélou. En ce m o m e n t l'équipe est au point, a u c u n c h a n g e m e n t à prévoir, la défense est sûre, la ligne d'avants est s o u d é e et n'a plus q u ' à c h e r c h e r le b u t de loin c o m m e de près. S u r dix essais, u n e ou deux balles p a s s e r o n t . J'ai t o u j o u r s eu confiance d a n s les j o u e u r s stadistes. Plus q u e j a m a i s j e mise s u r eux p o u r les p r o c h a i n e s r e n c o n t r e s . P a r l o n s u n peu des Minimes. Ayant fait u n p r e m i e r match nul c o n t r e ceux de la Phalange, ils viennent de b a t t r e ces d e r n i e r s par 3 à 0. Les voilà d o n c c h a m p i o n s des g r o u p e s A et B. Ils vont, d i m a n c h e prochain, r e n c o n t r e r à Quimperlé, les Minimes de la Garde de St-Yvi, de Pontivy, p o u r la finale d u district B r e t a g n e - S u d . J ' e s p è r e qu'ils y f e r o n t t r i o m p h e r les c o u l e u r s du vieux S. Q. Kervahut. Etude de M« Jean KERVELLA A v e n d r e , à l'amiable, abattoir privé. Vaste bâtiment entouré de notaire, 3, rue de Kerg&riou, Quimper« terrain et pouvant servir d'usine. S'adresser au journal. A Tendre à l'AiiaMe EN LA COMMUNE DE KERFEUNTEUN «Faune homme, libéré service militaire, demande place comptabledactylo. — S'adresser au journal. à Ty-Rivoal U n b e a u C h a m p d a terra l a b o u r a b l e et fruitiers, bordant la ligne de chemin de fer de C u l t i v a t e u r s : pour vendre vos récoltes de pommes de terre et de légumes : choux-fleurs, oignons, carottes, etc., faites des propositions à Ty-Breiz, produits du sol, 12, avenue de la Gare, Les Sables-d'Olonne (Vendée). Quimper-Brest, pourrait convenir à industriel ou pépiniériste, contenant 40 ares environ. Pour tous renseignements, s'adresser au Notaire. Etude de McRI0U, notaire à Pont-Croix. A VENDRE M a i s o n avec fonds de commerce de bijouterie et de photographie. Jouis- sance immédiate. 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Néanmoins, il résolut de q u i t t e r le pays et s ' e n f u i r par m e r sans dire m o l de son dessein il p e r s o n n e ; ce q u e son père ayant e n t e n d u , il lit crier, par tous les havres d u pays, q u e p e r s o n n e n'eût à le recevoir d a n s sou vaisseau, ni le passer delà la m e r , s u r peine de la vie. Nonobstant celle défense, saint Malo se p r é s e n t a sur le p o r t p o u r devoir s ' e m b a r q u e r ; mais p e r s o n n e ne le voulant recevoir d a n s son vaisseau, n o t r e S e i g n e u r , qui le guidait, lui envoya un ange, en f o r m e d'un beau j o u v e n c e a u , lequel le pria de m o n t e r en son b a t e a u et qu'il lo r e n d r a i t delà la mer, en l'Ile du saint e r m i t e A a r o n , 11 no voulut pus r e f u s e r cette c o m m o d i t é , mais s ' e m b a r q u a cl passa lu m e r b r i t a n n i q u e et vint se r e n d r e à la còle de n o i r e B r e t a gne, eu l'Ile où est à p r é s e n t bàlie la ville de Saint-Malo, laquelle s'appelait alors l'Ile d'Aaron, à cause do saint Aaron qui y vivait solitairement. Saint Malo descendit du bateau et remercia son nocher, lequel* uvëc Son butëau et tout son é q u i p a g e , d i s p a r u t , d o n n a n t à c o n n a î t r e qui il était j d o n t saint Malo r e n d i t g r â c e s à Dieu et m o n t a d u rivage duns l'île j Où le suint e r m i t e Aardn (averti p a t Un ange de sort arrivée) lui vint aU-dëvaiit, a U liçu où est k p r é s e n t la chapelle dudit saint Aaron, i • i spirituelle des âmes, prit c o n g é de saint Aaron et passa en t e r r e f e r m e et vint en la ville d'Aleth, laquelle était bâtie à l'embouc h u r e de la rivière de Hûtice, au lieu où, e n c o r e à présent, on voit les m a z u r c s d e s mur», q u e l q u e s vieilles antiquailles et a u t r e s vieilles r e m a r q u e s et édifices de la dite ville d'Aleth et le château de Solidor. Saint Malo e n t r a d a n s la ville d'Aleth, la vigile de P â q u e s , l'an de salut 538, et, le l e n d e m a i n , il dit la messo en l'église de Sainl-Pierre et ensuite 11 prêcha et, descendant de la chaire, il s ' a p p r o c h a d'un c o r p s mori qui attendait la s é p u l t u r e et. ayant fait sa prière, il le ressuscita el lui p r é s e n t a de l'eau à boire d a n s un vase d e m a r b r e , sur lequel ayant fait le signe de la croix, le m a r b r e fut converti en cristal et l'eau en vin. Ces trois miracles, q u e Dieu fit par les m é r i t e s de saint Malo, le mirent tellement en crédit vers les s e i g n e u r s du pays et le peuple, qu'ils lui édifièrent un m o n a s t è r e , près la ville, où il amassa g r a n d n o m b r e do religieux. Un s e i g n e u r du pays, suscité du diable, ayant voulu raser son m o n a s t è r e , devint aveugle ; mais, s'en é t a n t repenti et ayant d e m a n d é p a r d o n à Dieu et au saint, il lui f r o t t a les yeux d'huile sainte et d'eau bénite et ainsi il recouvra la vue et resta d e p u i s f o r t affectionné à saint Malo et, en sa considération, lit de g r a n d s biens à son m o n a s t è r e et p r o c u r a , envers le roi HoCl II du nom, q u e saint Malo f u t consacré évêquo d'Aleth ) — ce qui fut fait environ l ' a n 541, sous le pape Vlgilius et l ' e m p e r e u r Justinien, lesquels, l i b r e m e n t et sans crainte, il r e p r e n a i t ceux qu'il voyait s'éloigner d e leur devoir, le r e n d i r e n t p e u a g r é a b l e 6 c e r t a i n s g e n t i l s h o m m e s d é b a u c h é s , lesquels, incités d u diable, ne se p o u v a n t a u t r e m e n t v e n g e r du saint, e m p o i g n è r e n t son b o u l a n g e r , n o m m é R h u n n a , et, l ' a y a n t lié pieds et mains, le p o r t è r e n t bien a v a n t d a n s la grève, afin q u e , ne se p o u v a n t a u c u n e m e n t r e m u e r , la m e r , en son m o n tant, le s u f f o q u â t . Saint Malo sut, p a r révélation, le d a n g e r a u q u e l était ce p a u vre h o m m e innocent p o u r son s u j e t et p r i a Dieu de le g a r a n t i r d e ce péril ; Dieu exauça saint Malo, de sorte q u e la m e r , au lieu de s u f f o q u e r ce p a u v r e h o m m e , s'éleva peu à peu a u t o u r de lui, laissant u n e o u v e r t u r e , c o m m e la g u e u l e d ' u n puits, p a r d e s s u s sa tête, p o u r lui s e r v i r d e s o u pirail et, la m e r s'étant r e t i r é e , saint Malo l'envoya q u é r i r . II délivra u n e p a u v r e f e m m e g r a n d e m e n t t o u r m e n t é e du malin esprit, lui a y a n t fait boire plein un calice d'eau bénite. Une fois, un p a u v r e p a y s a n , plein de b o n n e volonté, mais qui n'avait, g u è r o de bien, fit p r é s e n t au saint p r é l a t d'un j e u n e ànon p o u r le service do sa maison ; le saint, a y a n t plus d ' é g a r d k la b o n n e volonté d u d o n n e u r qu'au présent, l'en remercia et, depuis, se servait de cet animal p o u r p o r t e r son bois et ses autres provisions ; mais le loup, ayant trouvé cet â n e à son avantage, le dévora : c e que r a p p o r t é â saint Malo, il se transport» à la prochaine forêt, et, ayant fait couper et fagotor un gros faix de bois, appela gré, le loup qui avait mangé son âne. Se voyant do rechef, contre son élevé à Ta dignité épiscopale, il mit à bon escient la main à l'œuvre, veillant jour ot nuit sur son troupeau, 11 visitait personnellement les paroisses de son diocèse et les pourvoyait de bons ecclésiastiques, prêchait ses diocésains, réformait les abus, l'embrassa affectueusement et le logea en criait hautement contre les vices, sane son ërmiiQgë. Mais suint Mala n'étant pas épargner grand ni petit, se m o n t r a n t vrai ëtiroyiS dë Dieu en ce» contréus popr no pfcrc nux gon« de bien et gévèrti ccnseti? rcjnwri Mais ¡joui* travailler h la coïKjtiéto dos méohvnW, .1» liberté i^lo *tl>H (à tuiwt). £>*«•• al P a i « « » lira t f 'wma! l e C i t o y e n % m Èfo-PtSm - Çfcuifeffff LE PS- Faites votre Peblicité dans le " Citoyen " 7, rum Elie-Fréron I I P B K S S I 9 H S — O EXÉCUTION QU IMPER T Q t * RAPIDE & — SOIGNÉE R. da C. a' 979. \• • • C a r t e s de 1 rhjps -ii.ii i . . v i '.y M. 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U R T E Pries de» Catalogue» det Editeurt A W l p r t — e r t e ém m C l t a y e a » T, R u e E l i e » F r é r o a — Q u i m p e r rinomi to minisi 1, « a s 4 a » M , f W S i • fri f ^ ß ^ ' M ©'»dir»«®«r ST-AMAND{CNr) m mr xiM sa MlBb— • ^ M t e û f o t i d t v n hi&KSput • ra» ïà"wm&» «afp.« ' ft tsmam «s? 7sJ83.ni nsfei» Héros ai sastre« hjJiéïJsa à eew?s8r5*EtR bs&«s pai- , «asaos aentsGtiûtiiasr.: gtate, 1 d:h Joigiianî ünshirs pzax ripease à Ägcnao éa í s t t o , Oaw Paresis 31« à Oslmar CHAUFFEZ-VOUS CHAUFFEZ •^vi^yyvv ' 1 -m it /fia«* c-»a>opc«lâtoa «BapMài&le, iapefc t j £ au», ja teafeait 4a :haieatÚBU.A. Maitaüiaaaemant Mala««», ja terai earv aaStta »a «<«ra4 «Sa ma « çni sw TOUJ STYLOS fabriquée par les ENCRES ANTOINÄ b áíE8»Mcñ22a. Mi»« HÍLAÜ&B, Msxtk:-le^Manfajtra (Vaa dá«J, poMède 4 polrtfâ fa $upér!sriié â Inoltérâbllifé ftichsis0 da coloriti Absent» de di pài naU.» Í to i te '•i « tsfalt» sent un (igtet 4* hâ& m¿ mUerifà» «ei» cttib ¿W MM teftt^jiit à jsyy I I » . . » L t t r a . r u b r t t e i > t > r, r M •• iosai»ai ItlJe-îrirp^ yullBpir , ÔUàsi m sut l'huile pour ùutôâ «n adopteirti C tmes Hjmmtná ' M m i m m lnO-lf' ini' m. wmtëfi nm n «M*»!«! ä t formt X. tM ö f ö V E f i ŒŒMêèsî ni ÉÎÂÉIÂI MÍ ífipsawjBi l^naHiti w j ^ mâôàm ^oRtEx * la m mm ÜÉftffiR UMIHISÍI s a m u m d * DISPARAIS fRE^gâ Vöne'y« I« bidon d© 2 liîroà « 16 f r a n a , Bidon P « r d ü „ Mean AäaixisiratavtirMt f f î a " a ' î» "Ca« ifcciöjöwo «e ismite si f i t e m é Mi t» « f f o f t n r, ?t nu ëêÉéêiiI, MU*-9*4*», ¡¿es Imyriâtiirta nettiate i n a Siteyass ô, % n u J! f & X V : m > »0 ij?mm/m ¿ êt BULLETIN C â l O H M Û M t tJ0?¡»lí8BWTAirr àie« rt^a uftçMûfia^wft pssaaae» de tern de K3fK9ö> ofr-i jïipfiwjaâatisn i a ^ r i i " i^ïu t»iaa îte'âso S58pK<S8S«a«ii. -I« ^suauwn^ i , Juiftv de¡á*ss, ALÀBâ, S T YL E X " Flwidlfé LÊ BON T A 8®,. L'Encrô /y EAU ÂU SÂ2 nr mmBmumBKmamÊÊÊÊM VOTRE fèpr^rftitxî bisa wla. paavaafl ííjktíís eMitt>tt*et C'en c« qu'on vartait s'il prenait fafttâiie etui 1 2 . 0 0 0 . 0 0 0 gagnants de fa dlfigdr tbtu eniettblo ven le Pavillon de Flot«, dpffij 1« tUd0« i'MM Mule tranche de la oUmc tsbtru eka^^ea/ 7él*ph»s» S I C — — a i t a t t l — i mi I f e ^ a U ) » »EPAJB7 S 3 LA ? * e p 5 u S T B (9«»rpeo NATIONALE Blle-Fr«poa A T é l é p k e s e §3. V1HS Dü REOOC LOTERIE «»sa fn n e «39 FOURNI ER-DEMARS (port en i s s s (7«) V p u b l i é s u r d o c u m e n t s officiais r r h Remite habituelle aux Membres de l'Enseignement e t fltettee r UFUBUCAINI • H » § ^ aea« u UcaüMHaa d* i M i i M m em+ê N° ? (32° année) Vendredi 17 Février 1 9 3 9 Le numéro 3 S centimes A l'Imprimerie du » Citoyen * 7, rue EIie-Fr6ron <ancienne rue Rogalej — QUIMPER on exécute tous le« genres D ' IMPRIMÉS * Organe Hebdomadaire de Défense Laïque et d'Action Républicaine. ABONNEMENTS i Finistère et départements limitrophes Autres départements Colonies B U R E A U X f S I r . par an. 88 O — Les abonnements sonl payables d'avance. P R O P O S D'UN et I M P R I M E R I E , Fondateur : Georges LE BAIL 1906-1937 7 , R u e Elie-Fréroa — Q U I M P E R Téléphone Se Chèque Postal n° 142.70, Nantes. Adresser toutes les communications à M. P i e r r e GUÉGUEN, Imprimeur-Gérant. Les manuscrits ne sont pas rendus. Pour les renseignements joindre un timbre pour la réponse. B R E T O N Situation nouvelle Mieiies La Mort Un Souverain Pontife d e 1« ANNONCES P R O P O S journal l e C i t o y e n itti Li lait Journal l e C i t o y e n giclé à vaincre et qtle l'on cannait ltl jolttiçiue nûtifrançaiso de Muisollm »r de «ombreux problèmes Itfljpof- malie MM. le D' ftégrid) président du anjfUi», gofoeil, et A l W e ï ¿el Vajro, ministre tflta jusqu'à pféfieët; £ P U J O U R La Marine veille Le Pape Pie XI est mort vendredi dernier après quelques jours de maladie, d'une crise cardiaque. Les funérailles ont eu lieu mardi Une mise à l'eau est bien loin d'être — Weidmann, le tueur de La Celledans toutes les questions méditerra On connaît mal les conditions de la soir à la Basilique vaticane. aussi spectaculaire qu'un lancement. Saint-Cloud, comparaîtra le 15 mars, néennes. défaite catalane. Elle a surpris tous Lorsqu'à Brest l'énorme masse du Agé de plus de quatre-vingt-un ans, Sans doute, Mussolini a promis avec ses complices, devant les jurés les milieux par sa rapidité et par son ampleur. Ce fut un effondrement, une solennellement à l'Angleterre de reti- de Seine-et-Oise, siégeant à Versailles. le chef de la chrétienté devait célé- « Richelieu » s'ébranla, il y avait Les débats dureront vingt jours et brer, samedi dernier, le dix-septième cependant beaucoup d'émotion dans le déroute militaire en même temps que rer ses troupes d'Espagne aussitôt la cœur de tous ceux qui étaient présents. l'exode de tout un peuple vers la paix signée et la victoire de Franco ce n'est qu'au début du mois d'avril anniversaire de son couronnement. Pour bien servir la marine, sur terre acquise. Mais c'est précisément ce que Weidmann sera fixé sur son sort. France, devenue « terre d'asile ». L'abbé Achile Ratti (Pie XI; naquit Nous ne rechercherons pas les qu'il veut éviter. Il veut garder Ma— L'aviateur anglais Alex Henshaw à Dosio, dans la province de Milan comme sur mer, il faut l'aimer très fortement, il faut être imprégné de son causes de cette extraordinaire défaite. jorque et ses légionnaires à proximité a effectué le voyage Londres-Le Cap- (Italie), le 31 mai 1857. Il fut ordonné prêtre le 20 décem- esprit. Le dévouement et l'intelligence Ce sera affaire aux historiens. Des de la frontière pyrénéenne, au cas de Londres en quatre jours 10 heures tension avec la France et pour exercer 15 minutes, battant ainsi d'un jour bre 1879. Le cardinal Ferrari, arche- ne suffisent pas. Il faut aussi de déments d'information nous manquent l'ultime chantage dont la presse ita6 heures 45 minutes le dernier record vêque de Milan, lui confia la direction l'amour. et il faut prendre garde à un certain Dans la période lourde de tant de lienne nous menace chaque jour. Il des maîtres destinés à donner l'insétabli. « bourrage de crâne » dont nous craintes que nous traversons, il est bon emploiera, dès lors, toute son influence L'as britannique a atterri à Londres truction religieuse dans les écoles de avons tous été victimes. Les divisions de se plonger un peu dans ce milieu et toutes ses ressources à empêcher daus un état d'épuisement complet, le la région de Milan. politiques et les passions partisanes maritime, ou les traditions les plus la paix en Espagne Ce ne sera pas le visage couvert de sang par une hémorEu 1907, il fut nommé bibliothéont eu certainement une large part nobles se sont perpétuées, où les mots moindre des obstacles. ragie nasale. Il était vraiment temps caire de l'Ambrosienne, bibliothèque dans cette défaite. Aucun pays n' de patriotisme, d'honneur et de dévoueSur le terrain où vont s'engager les qu'il parvienne au bout de sa course. de Milan. Son succès dans cette entreété plus profondément perverti par ment ont conservé tout leur sens. l'abus de la liberté individuelle que pourparlers il faut faire confiance à — Le ministère belge, présidé par prise fut reconnu par le roi d'Italie, Du haut de la terrasse de la magnicette malheureuse Catalogne où l'action l'Angleterre qui a su garder des amitiés M. Spaak, socialiste, a démissionné. qui lui décerna l'insigne de chevalier fique école navale, tous regardaient républicaine était paralysée par les précieuses en Espagne nationaliste. Il M. Jaspar, catholique, qui avait été de l'ordre de Saint-Maurice et Lazare. En 1913, Mgr Achille Ratti, appelé avec émotion l'escadre de l'Atlantique, luttes intestines des socialistes, des faut faire confiance aussi à M. Bonnet chargé de former le nouveau cabinet, dont les coques grises se détachaient communistes et des anarchistes. En qui a de très grandes qualités de diplo- a échoué. La constitution du nouveau pai Pie X, vint à Rome pour remplamate ; mais, plus encore, il faut faire gouvernement semble présenter, en cer comme préfet de la bibliothèque à peine sur la mer glauque et le ciel voilà la tragique rançon. nuageux, où un pâle soleil faisait parconfiance à M. Daladier dont le patriovérité, de sérieuses difficultés. vaticane le P . Ehrlé. Que cela nous serve d'exemple à fois passer un rayon d'argent. et l'énergi« ont été plusieurs tisme Mgr Ratti ne quitta pas Milan tout nous-mêmes ! La liberté n'est pas la — Un nouveau complot, fomenté Une extraordinaire impression de licence. La liberté philosophique doit fois appréciés dans des circonstances par d'anciens membres de la Garde de de suite et jusqu'à la fin de 1914 fit puissance se dégageait de l'ensemble, graves et qui s'est révélé comme un s'accompagner d'une forte discipline Fer, a été découvert en Roumani». Un la navette entre les deux bibliothèques. tandis que les salves réglementaires homme d'état de la grande lignée morale. Elle est un aliment dangereux attentat devait être perpétré le 20 fé- Enfin, il s'établit définitivement à saluaient la prise de contact avec la française des Clemenceau, des Iules vrier contre le ministre de la Défense Rome, où il venait d'être nommé mer de l'immense 35.000 tonnes. qui ne convient ni à tous les individus, Ferry et des Gambetta. Nationale. Vingt-cinq arrestations ont chanoine de Saint-Pierre. ni à tous les peuples. Mal comprise, Nos deux bâtiments modernes, le Dans cette dure bataille politique été opérées. Le 25 avril 1918, Benoit XV l'envoya elle conduit à la dictature et aux « Dunkerque » et le « Strasbourg » d'Espagne qui peut être le prélude à en Pologne comme visiteur apostométhodes de force, le crains que — Un déraillement de train, en montraient leur force élégante. Plus la guerre, mais qui peut aussi emlique. Mgr Ratti fut nommé nonce à 1 Espagne n'en fasse la douloureuse pêcher la guerre, nous devons garder Catalogne, a fait 31 morts et une cen- Varsovie le 10 juin 1919. Le 28 octobre loin, étaient mouillas nos trois cuirasexpérience apiès l'Italie où « la marche 3 type « Provence », un peu vieux tout notre sang-froid, tout notre cou- taine de blessés, tous des civils. 1919, il fut sacré évèque par le carsur Rome » avait eu comme prélude et lents, mais puissamment armés. — Le lapon a occupé l'île de Hairage ; nous ne devons penser qu'à dinal Kakwsky, avec le titre d'archedes occupations d'usines dans le PiéPartout, des bâtiments divers, croil'intérêt supérieur de la France qui se nan, dans le golfe du Tonkin, base vêque de Lépante. mont et en Lombardie. seurs, contre-torpilleurs, sous-marins, confond, une fois de plus, avec l'in- stratégique d'une grande importance. Le 13 juin 1921, Benoit XV lui confie Quoi qu'il en soit, à l'heure où nous térêt de la civilisation et avec l'intérêt jorte-avions, remplissaient le port. La France, qui n'avait pas été avertie l'archevêché de Milan et le nomme sommes et devant l'évolution rapide de la paix. de l'opération, a énergiquement proEt tous ceux qui ont travaillé pour et brutale des événements, l'intérêt a marine, qui ont senti qu'elle était testé auprès de Tokio. On prévoit une cardinal. Yves LE FEBVRE. seul de la France doit nous guider. Le 6 février 1922, il était appelé indispensable à la sauvegarde du pays démarche analogue de l'Angleterre et Et il est bien certain, puisque nous probablement des Etats-Unis et de la à s'asseoir sur le trône de saint Pierre. dans notre siècle d'acier, trouvaient n'avons pas su ou pas pu sauver l'Esdans cette vision la récompense de Hollande qui sont tout aussi intéressés 11 fut couronné le 11 février 1922. pagne républicaine, qu'il importe d'enDans le domaine de l'organisation leurs efforts. que nous dans cette affaire qui est une * visager la situation sur un plan nou» » véritable menace pour les possessions intérieure de 1 Eglise, Pie XI fut le veau. pape des missions et de l'action des quatre pays en Extrême-Orient A V O S A M I S La marine pèse, parmi les incertiLe Gouvernement a agi avec sagesse catholique. — I e Comité secret de défense tudes de l'heure présente, d'un très eu envoyant M. Léon Bérard en misAprès le décès du Souverain Pontife, nationale du Sénat a entendu succesgrand poids dans les balances de la sion à Burgos. Il est probable qu'à sivement, les 8, 9 et 10 février, MM. tous les cardinaux actuels du monde, destinée. l'heure oû paraîtront ces lignes la Daladier, Campinchi et Guy La Cham- au nombre de soixante-deux, dont 35 En cas de conflit, montagnes et forreconnaissance, en fait sinon en droit, bre sur l'état actuel de notre armée, italiens et 27 des autres nations, ont tifications tenues par des antagonistes Condamné, durant les derniers mois du gouvernement de Burgos, sera de notre marine et de notre aviation. été convoqués, à Rome, en vue du bien armés stabiliseraient les fronts. chose acquise, aussi bien de la part de 1938, à une oisiveté presque totale, Leurs déclarations ont fait une Conclave qui s'ouvrira le premier mars L'aviation qui n'occupe pas le terrain du gouvernement anglais que du le Parlement rattrape, depuis l'ouvergrosse impression sur les membres prochain, pour l'élection du nouveau pourrait faire du mal, mais non pas ture de la session de 1939, le temps gouvernement français. du comité qui, dans une motion votée Pape, remporter la décision. Ën politique, il faut savoir s'incliner perdu. Il met les bouchées doubles, et à l'unanimité, ont terminé leurs traWÈÊÈttSÊUMSÊM i ~ B B B B B » Le mouvement tournant, cher aux même triples. Dans les deux assemdevant les nécessités et il ne servirait blées, régne une fébrile activité. Au vaux en affirmant leur coi fiance stratèges, ne pourrait s'effectuer que à Hefl de contester la victoire du généSénat, outre des séances beaucoup absolue dans la puissance de nos arpar la mer ou les colonies, ce qui veut ral Franco. plus fréquentes que de coutume, on mées. dire que celui qui aura la maîtrise des Sans doute Madrid peut encore peut assister chaque jour, matin et — Karl Roos, conseiller municipal L'annuaire militaire de la Société mers sera le seul k pouvoir manœurésister. soir, dans la « Salle des Conférences », de Strasbourg, a été arrêté pour travrer. Madrid résisterait utilement si la à de discrets conciliabules, ponctués hison, Né de parents allemands, Roos des Nations, pour 1938, qui a été lamais, nous l'espérons de toute France et l'Angleterre pouvaient lui de sourires et d'exclamations. Le qui était l'un des chefs autonomistes publié récemment, montre que la notre force, nous ne verrons s'accomtenir en aide | mais il est bien certain thème général de ces conversations, d'Alsace, est convaincu d'avoir com- course aux armements, que l'assem- plir le crime d'une lutte fratricide entre q u e Ce» deux nations ne sauraient c'est l'élection du Président de la muniqué à l'Allemagne certains docu- blée définissait dt'jà, en 1936, comme la France et l'Italie. Mais que pour« une course vers des dangers graves Intervenir après avoir laissé écraser la République, dont la date a été fixée ments secrets, rait contre nous ce pays bloqué par et inconnus », n'a fait que s'accroître Catalogne. Leur attitude dans le drame au 6 avril. les Alpes neigeuses en cas de conflit ? — M. Hitler a présidé mardi à Ham- en 1938. Catalan marque suffisamment le caracComment ses troupes pourraientAutrement dit, dans moins de deux Le chiffre global des dépenses mili- elles tenir en Lybie et en Ethiopie, tère d'une politique qui, au contraire mois, l'Assemblée Nationale réunie à bourg au lancement du premier cuitaires mondiales en 1938, tel qu'il d e la politique Italienne, fut, de bonne Versailles désignera le successeur de rassé allemand de 35.000 tonnes. Un deuxième navire de même ton- ressort de cet annuaire, se monte à pays sans ressources suffisantes en foi, une politique de non-intervention. M. Albert Lebrun, dont le mandat de vivres, sans industrie permettant de Ce n'est pas le moment de la changer. sept années arrive à expiration le 10 nage est en voie d'achèvement et sera près de 9.500 millions d'anciens dol- produire et de réparer le matériel de L'effort concordant de la France et mai. La personnalité qui prendra sa lancé vraisemblablement au début de lars-or — 604 milliards de francs guerre ? français — contre 8 milliards en 1937. de l'Angleterre vise au rétablissement place à l'Elysée doit être désignée, aux l'été prochain, Comment pourrait-elle protéger ses Enfio, la construction d'un troisième de la paix en Espagne, à la faveur termes de la Constitu ion, un mois côtes si étendues, parsemées de villes d'un armistice qu'elles peuvent obte- avant la fin du septennat du prédéces- cuirassé allemand, dont le tonnage florissantes, contre les insultes de A l'Imprimer!« d « nir de Franco et qu'elles doivent, au seur. Le G avril au soir, ce sera chose n'est pas indiqué, est projetée. l'ennemi ? — L'or continue à affluer à la Banbesoin, imposer à Madrid. Depuis deux faite. Ce sont des choses que l'on consiquo de France et M. Paul R ynaud, Ans que dure la plus atroce des guerPlusieurs noms ont déjà été lancés dère, même lorsqu'un demi désir forres civiles, oû l'étendue et la cruauté dans la « mêlée » : ceux de MM. notre grand argentier, a pu écrire On exécute (ona !•« I m p r i m é « . cené d'agression et de conquête vous des meurtres ne sauraient se mesurer, leanneney, Bouisson, Queuille, Piétri. lundi, dans un journal anglais : « l'ai étreint. il est certain que l'intérêt de toute Il avait été question, aussi, de M. Léon dit, le 28 janvier, qu'aveo l'or reçu à A l'heure où la question coloniale l'Espagne réside dans la paix. 11 n'a Bérard ; M. D.iladier avait ses parti- la Banque de France, nous pourrions des Affaires étrangères, ont reioint est posée avec persistance par cerdéjà été versé que trop de sang; il sans ; M. Henri Roy avait les siens. acheter 5.000 avions, je pourrai» dire l'Espagne républicaine. Madrid demeu- tains peuples, & l'heure où la quesb'a été détruit que trop de villes ou Il n'est pas jusqu'à M. Pierre Laval aujourd'hui 6,000... ». re le siège du gouvernement républi- tion de la guerre industrielle, grande de monuments par l'aviation italienne qui no se sente qualifié, 8fflrme-t-on, — Un grave accident d'aviation s'est cain qui a décidé de continuer la lutte consommatrice de matières premières et allemande, acharnée à la mort de )0ur devenir le premier Magistrat de produit près d'Istres. Doux appareils « jusqu'à ce que soient remplies les et de produits fabriqués, est d'une la vieille Espagne» Certaines de ces a République et pour avoir son por- se sont heurtés en ploin vol. 11 y a eu conditions qui assurent l'indépendance importance primordiale, une Marine trait dans toutes les écoles et dans quatre morts et deux blessés. destructions sont irréparables. du pays, la réconciliation et la vie en forte devient indispensable danB un outes les mairies de France,.. — L'occupation de la Catalogne par commun des Espagnols, eux-mêmes conflit. * A quoi bon continuer f les troupes nationalistes s'est achevée étant seuls maîtres de leurs destins ». il est malheureusement plus difflN'est-elle pas la gardienne de notre samedi. Environ 40.000 soldats et Ajoutons que l'Ile Minorque, dont la Empire, objet de tant de convoitises, Cile de faire la paix que de continuer Dans les couloirs de la Chambre, civils n'ont pas pu se réfugier en garnison républicaine s'était ralliée à la protectrice des bâtiments important la guerre. La France et l'Angleterre aussi, l'élection présidentielle comâssument une lourde lâche en essayant mence à devenir un des suj-ts de Con- Frahce qui eu a recueilli plus de Franco, est actuellement aux mains du matériel, des vivres, et la sauved'obtenir un armistice et dos pourpar- versation favoris des élus du suffrage 300.000 dont 160.000 militaires, Plus des nationalistes. Les Allemands et garde des convois qui amèneraient au lers entre flurgoS et Madrid. La lAche universel. Mais, à vrai direj nos dépu- de 411.000 réfugiés et soldats catalans les Italiens n'ont pas participé à l'opé- secours de la Mère Patrie les troupes sut d'Autant plus lourde qu-- Franco tés tl'oflt pas encore pu accorder beau- ont d'ailleurs déjà passé en Espagne ratiou dont ils semblent avoir été déli- de toutes couleurs et nos régiments bérément écartés, Des républicains, coloniaux, élément important de la • 1 etm ) 'îfe nécessairement le prisonnier Coup d'attention à la désignation du nationaliste. au nombre de 480 ont été évacués sur résistance aux frontières et du succès ? M. Aaana, Président de la Républiquinsiêuie préoident de la H publique de I Italie fasciste et de l'Allemagne C'est dire combien il est esçofttiel Marseille p a r le» soin» d'un navire Française) car ils ont été fort absorbés que Espagnole) est toujours efl FrallCe, hiilerleuns qui l'ont puissamment Semaine t Annonces judiciaires et diverses (3* ou 4* page).. 3 ir. t O la ligne Prix à forfait pour les Annonces répétées et traités de publicité. Les communiqués et annonces doivent parvenir au journal le mercredi matin au plus tard. qu'elle conserve sa» force, • « On ne saurait parler à propos de la Marine de ce redressement qui s'impose dans notre Aviation. Notre Marine n'a pas besoin d'être redressée. Elle ignore, fort heureusement, les batailles d'équipes et les querelles d'individualités. Un effort s'y poursuit depuis de nombreuses années avec méthode et continuité et les Ministres se gardent bien d'essayer de torpiller l'œuvre de leurs prédécesseurs, même s'ils sont des rivaux, sachant bien qu'en pâtirait la Marine qu'ils aiment, et par conséquent l e Pays. Est-ce à dire que nous soyons pleinement rassurés ? A cette question nous devons franchement et nettement répondre : non 1 Notre effort, si important qu'il soit, est surclassé par celui de nos rivaux éventuels. Laissons de côté la situation de l'Allemagne, dont Je programme est à peu près comparable au nôtre. L'expansion navale de l'Angleterre en face d'elle s'accomplit à un rythme sans précédent. A ses 15 cuirassés et 60 croiseurs, ce dernier pays va ajouter 7 cuirassés et 24 croiseurs, en construction ou en projet. Prenons plutôt l'Italie, qui mène en Méditerranée, avec âpreté, la politique de la Mare Nostrum. Elle construit actuellement 4 cuirassés de 35.000 tonnes, dont 2 entreront en service en 1940. Elle a doublé en 6 ans sa flotte sous-m&rine qui comprend plus d'une centaine d'unités. Elle a en chantier 12 petits croiseurs de 3.500 tonnes et finit les dernières unités d'une série de 32 torpilleurs légers. Si nous possédons bien (ne parlons ici que des bâtiments modernes) deux 27.000 tonnes type Dnnkerque, nous n'avons en construction que deux 35.000 tonnes, commençant à peine l e 3* et projetant le 4*. Dans le temps où l'Italie a construit 32 torpilleurs légers, nous n'en avons sorti que 12 et mis 4 en chantier. Les tranches navales 1938 et 1938 bis prévoyaient notamment la construction rapide de deux cuirassés de 35.000 tonnes, de deux porte-avions de 18.000 tonnes et de deux croiseurs de 8.000 tonnes. Jusqu'ici, il n'a été commandé qu'on cuirassé, le « Clémenceau » et u n porte-avions. H est nécessaire que les autres bâtiments soient mis en chantier immédiatement. Le gouvernement italien vient de donner la mesure de ses prétentions. Si nous voulons que la Méditerranée soit libre, ce qui est pour nous d'une importance vitale, notre flotte doit rester supérieure à celle de l'Italie. Nous sommes certains que M. Campinchi, si dévoué aux intérêts de l a marine, saura faire triompher son point de vue au Conseil des ministres e t pourra prendre ces mesures essentielles au salut du pays. Albert LE BAIL, Député, Vice-Président de la Commission de la Marine Militaire. llssz et faltas lire « la mtovn r « Bison » es! aPorflé par on croiseur Un terrible accident s'est prodnit la semaine dernière, en pleine mer, à 18 milles dans le sud de la pointe de Penmarch. Au cours d'un exercice de nuit, par temps bouché» le contretorpilleur « Bison » a été abordé p a r le croiseur « Georges Leygues ». Le choc fut terrible. Atteint à. l a hauteur du blockhaus et du poste d'équipage par l'étrave du croiseiny l'avant du « Bison » fut sectionné e t r •près avoir tenu 2 heure» sor 1« mer? il s'&bima dan» tes Sots, §9» $tr»ve rolefiÇf Je # r o f r t f 0 f % « LEJt CITO YEW leur, remorqué par 1' « Hippopotame», a été reconduit à Lorient, tandis que le « Georges Leygues », qui n'a eu que des a\aries tout à fait k-gères, a rejoint Brest. La catastrophe a fait, au total, trois morts, dix-huit disparus et onze blessés. Les obsèques des victimes ont eu lieu samedi à Lorient. Une foule émue, évaluée à 30.000 personnes, assista à X J O S Fêtes du Carnaval la cérémonie. Les fusiliers-maiÏD» renA l'occasion des t'êtes du Mardi-Gras, le daient les honneurs. P r é f e t du Finistère autoriso les r e s t a u r a Le vice-amiral Darlan, chef d'état- teurs, cafetiers et d é b i t a n t s do boissons à major général de la Marine, assistait g a r d e r l e u r s é t a b l i s s e m e n t s o u v e r t s j u s q u ' à à la cérémonie au cours de laquelle 2 h e u r e s du matin, d a n s la nuit du 21 a u le vice-amiral- Gens&ul, dans un- -dis- .22.février c o u r a n t . . cours des plus émouvants, rendit un hommage touchant à la mémoire des Ligue des Droits de l'Homme malheureuses victimes du « Bison ». M. Luigi Campolonphi, p r é s i d e n t de la Ligue italienne des Droits do l ' h o m m e , d é l é g u é à la p r o p a g a n d e do la Ligue trançaise, fera u n e t o u r n é e do c o n f é r e n c e s dans le Finistère, d u 18 an 26 mars. Nul n'est plus qualifié q u e lo chef d e La Commission d'assurances et de l'émigration italienne, qui a choisi n o t r e prévoyance sociales de la Chambre a pays c o m m e t e r r e d'asile, p o u r dire ce mis au point un nouveau rapport Fié, qu'il advient d'un pays là où la liberté est sur la retraite des vieux travailleurs. bannie e t les droits do l ' h o m m e foulés aux Après qu'eut < té décidé le renvoi en pieds. bloc à la Commission des textes relaLes l i g u e u r s et les républicains du Finistifs à la retraite, cette Commission tère assisteront n o m b r e u x aux c o n f é r e n c e s avait, tout d'abord, refusé de prendre de M. C a m p o l o n g h i e t lui r é s e r v e r o n t en considération le projet du gouver- l'accueil le plus f r a t e r n e l . Les lieux e t h e u r e s do ces c o n f é r e n c e s nement, puis, un peu plus taid, admis s e r o n t i n d i q u é s u l t é r i e u r e m e n t p a r la le principe suivant lequel aucun appel presse. ne devait être fait au budget. D'où la il nécessité de réduire les taux primitivement envisagés. Après consultation des services techniques des Finances et du Travail, la Commission a conclu aux chiflres suivants : Allocation de la retraite à un Age unique : C0 ans. Taux de la retraite : 3.200 francs pour les ménages, 2.100 francs pouc les célibataires. Plafond des ressources au dessus duquel la retraite ne sera pas accordée : 4 000francs pour les célibataires, 6.000 francs pour les ménages. D'autre part, la commission a décidé de spécifier : 1° que les réserves actuelles de la Caisse de garantie devaient être maintenues ; 2° que le taux de pension des assurés devait être maintenu, ainsi qu'en a disposé la loi, à 40 0 / o du salaire moyen. q u e les prix ont été t r o p bas p o u r la dernière c a m p o g n e et n u l l e m e n t e n r a p p o r t avec l'indice é c o n o m i q u e . P o u r s a u v - g a r d e r li s intérêts de p a r t et d ' a u t r e , il serait nécessaire d e s e conform e r aux règles ci-api è* : Les p r o d u c t e u r s n e devraient s e m e r q u ' u n e p r o p o r t i o n de leurs t e r r e s relative aux besoins d é t e r m i n é s d e s usiniers, exception faite p o u r l e s cultivateurs du t e r r a i n s a b l o n n e u x b o r d a n t le littoral, d o n t cette c u l t u r e e s t la principale r e s source culturale. Si cette innovation n'est pas p r a t i q u é e , la g r a n d e culture p a r le machinisme étouffera celle de la cueillette à la main. P a r m i les f a c t e u r s p r o v o q u a n t la m é v e n t e des petits pois, il y a p r i n c i p a l e m e n t l'habitudo de certains cultivateurs d e cueillir des coins c o m m e n ç a n t à m û r i r ; cette pratique détermine l'effondrement d e s cours ; les c o m m e r ç a n t s devraient i m p é rieusement refuser ces marchandises et c'est cette complaisance q u i e s t u n e des s o u r c e s de tontes les d é c e p t i o n s se rapportant à cette récotte. T u d y Jolivot, cultivateur, maire de T r é g u e n n e c . M Syndicat de l'Enseignement Laïque l{éunions JE s u s GUÉRI. — C'est I-'arnrmatlon de touies les personnes atteintes de hernies qui ont porté le nouvel appareil sans ressort de fil A C E R l e ô r a n d Spécialiste de • U L H O E n PARIS. 4 4 , Bd SÉBASTOPOL En adoptant ces nouveaux appareils, dont l'action bienfalaante se réalise «an* gSne. sans aoaf Irancca ni Interrnptloa de travail, les harnlea les plus volomlncusca et les plus rebcllea diminuent Instantanément de volume et disparaissent peu à peu complètement. Devant de tels résultats garantis toujourapar «ont, tous ceux atteints de herntfe doivent s'adresser sans retard il m GLASER qui leurfera gratuitement l'c»sal de ses appareils ds 9 k 4 h. à (Juimperlé, 17 février, hôtel du Commerce. Quimprr. 18 février, hôtel de l'Eoée. Brest, 1 9 f é v r i e r , d e 9 h e n r e s à 1 h e u r e , hôtel de Paris. 58. r u e d'Aiguillon. C/uileaitneiif-rlu-Fanu, 20 février, de 9 h e u r e s A midi, hôtel Belle-Vue. CHUTES MATRICE et tous cantonales Par suite d ' u n e r é c e n t e décision d u Conseil s u p é r i e u r de l'Instruction p u b l i q u e d o n n a n t c o n g é aux écoles p u b l i q u e s du 19 au 23 février inclus, le Syndicat 8e voit obligé d e r e p o r t e r a u j e u d i 2 m a r s les r é u n i o n s cantonales p r é v u e s p o u r le 23 février. En effet, e n m a i n t e n a n t la date p r i m i tivement. fixée, b e a u c o u p d'adhérents, a b s e n t s d o leur résidence p a r suite du c o n g é d e s Gras, n e p o u r a i e n t assister à leur r é u u i o n de section. Le Syndicat s'excuse a u p r è s des camar a d e s de ce c h a n g e m e n t de d a t e i n d é p e n dant d e s a volonté e t e s p è r e q u e les r é u n i o n s cantonales d u 2 m a r s s e r o n t a s s i d û m e n t suivies. Le Syndicat. OrqBn««. OnthopMi« G L O S E R , 44, Bd S é b a s t o p o l , P A R I S QUIMPER A v i a a n x C o n t r i b u a b l e s . — Le Maire de Q u i m p e r i n f o r m e ses administrés qu'ils peuvent r e t i r e r , au secrétariat de la Mairie, les i m p r i m é s n é c e s s i t e s p o u r les déclarations fiscales à faire avant le l " mars 1939 Il est rappelé à ce suj»t q u e , penis les c o m m e r ç a n t s taisant a n n u e l l e m e n t plus de 400 000 f r . d'affaires ou 1RS i n t e r m é d i a i r e s en faisant plus d e 40 000 fr.. Font t e n u s 'l'i.ffecluer lo déclaration de leurs bénéfices industriels et c o m m e r c i a u x . Il est é g a l e m e n t signalé aux c o a l r i b t i a bles q u e l e s p e r s o n n e s p o s s é d a n t u n " voilure ou tome bile de lourisme. un yacht, une o u plusieurs r é s i l e n c e s secondaires, t e m p o r a i r e s ou p e r m a n e n t e s , ou d o n t la ' é s i d e n c e p r i n r i p a ' e dans les villes et c o m m u n e s d e t r o i n s d e 50 001 h a b i t a n t s c o m p o r t e une valeur locativo d e plus d e 1500 fr., sont t e n u s do s o u s c r i r e une. déclaration p o u r l'impôt g é n é r a l s u r 1e revenu, quel q u e soit le m o n t a n t total de leurs r e v e n u s . N é c r o l o g i e . — Nous a p p r e n o n s le décès, à la suite d ' u n e t r è s c o u r t e maladie, à Saint-Molo, d e M. Jules Lesteven, direct e u r t e c h n i q u e des c h a r b o n n a g e s f r a n c o anglais. M. Lesteven, originaire de Douarnen< z, où réside e n c o r e t o u t e sa famille, avait a s s u r é au cours de s a carrière, d ' u n e r a r e activité, la direction des usines Dyle e t Bacalan, à Casablanca ; d e s cristalleries de Baccarat, à Redon, e t était venu se fixer tmRmmsms^yjcracOTKmaEsa^ à Saint-Malo, où il devait sous peu p r e n d r e sa r e t r a i t e . L e s Cinémas L ' i n h u m a t i o n de M. J u l e s Lesteven a eu O d e t - P a l a o e (près de la Préfecture.). — lieu hier à R e d o n . P r o g r a m m e j u s q u ' a u lundi 20 février 1939 : Nous a d r e s s o n s à t o u t e la famille nos Actualités p a r l a n t e s et s o n o r e s ; u n joli bien sincères condoléances. film, et le grand film : « Le Jardin d'Alloh ». Ainsi q u e nous l'avons a n n o n c é , « Le Cap des T e m p ê t e s ». l'œuvre la plus r é c e n t e dn g r a n d d r a m a t u r g e Henry Bernstein, sera r e p r é s e n t é p a r les T o u r n é e s Baret demain s a m e d i 18 février, e n soirée, a u T h é â t r e municipal. L ' i n t e r p r é t a t i o n e n a été confiée à u n e pléïade d'artistes d e valeur, e u tête d e laquelle il n o u s f a u t citer le g r a n d artiste J a c q u e s Berlioz. Rosporden E t a t - C i v i l d e j a n v i e r . — Naissances : Renée Le Gall, r u e Nationale ; Nicole W e i d k n e r h t , r u e Nationale ; J o s e p h Rann o u , r u e Louis P a s t e u r . Mariayes .: J é r ô m e L e Meur, s e c o n d m a î t r e f o u r r i e r , d'Iilliant, et R a y m o n d e A p o l i o (près du Cap-IIorn). — ProMasso, employée de b u r e a u , à R o s p o r d e n ; g r a m m e d u v e n d r e d i 17 au d i m a n c h e 19 Jean Lo Moigne, cultivateur à Melgven, e t février 1939: Actualités, un beau film e t lo Marianne Le Dû, de R o s p o r d e n ; Jean Le g r a n d film : « L'Esclave blanc ». N a o u r , c h a u f f e u r , e t Marie-Louise M-abé, mimmmm KMtmBtatmaaaaagMuaBaaBm à R o s p o r d e n ; R o b e r t Le Guillou, cultivat e u r à Melgven, e t Marie Q u é m é r é , cultiPlomelin vatrice à R o s p o r d e n ; J e a n Martin, m a n œ u P ê c h e d e s Huître«. — La pêzhe des vre à Saint Eloy, e t Simone Horellou, à huîtres, en b a t e a u , sera p e r m i s e s u r toute Mi igveu. l'étendu« de l'hullrière dite de P é r e n n o u Décès : J e a n n e Fraval, veuve L e Dû, ou de Keigozien, les 20 et. 21 février 1939, 67 ans, r u e de la Sablière. pendant trois h e u r e s c h a q u e j o u r , c o m m e n çant u n e h e u r e e t demie avant la basse mer. Seuls seront admis à d r o g u e r les bateaux E t a t - C i v i l d e iTanvier. — Naissance : a r m é s à la petite pèche d a n s les g a r d e r i e s n é a n t . de Q u i m p e r , Bénodet e t Loctudy, q u i Mariage : F r a n ç o i s Le Gac, terrassier, et seront, munis d ' u n e d r o g u e r é g l e m e n t a i r e J e a n n e Lanchec, d o m e s t i q u e è Châteaulin. et qui se sont fuit inscrire. Décès : F r a n ç o i s Golhen, j o u r n a l i e r , Il sera interdit aux bateaux à propulsion 65 ans, époux de J e a n n e Milin, G r a n d ' r u e ; m é c a n i q u e de faire usage de leur m o t e u r Jean Helpin, cultivateur, 71 ans, époux d e pour draguer. Marie-Anne Crenn, L o t p a r s ; M a r i e - J e a n n e Les h u î t r e s pêchées n e p o u r r o n t être P r i g e n t , 83 ans, veuve de F r a n ç o i s Madec, v e n d u e s q u e p o u r le r e p a r q u a g e à d e s r o u t e de Q u i m p e r . o s t r é i c u l t e u r s d é t e n t e u r s d'établissements B a l dn C a r n a v a l . — Un g r a n d bal t r a de pêche, sur production de leurs titres de concession ou d'un certificat de l'Adminis- vesti a u r a lieu d i m a n c h e prochain, salle Le Meur, avec u n orch ;stre de Brest. — tration de l'Inscription maritime. N o m b r e u x prix. G u i l v i n e c Coray R e x (près de la Gare). — P r o g r a m m e j u s q u ' o u m a r d i 21 février 1939 : Actualités « Eclair-Journal » e t d e u x beaux films, d o n t : « L u m i è r e s de Paris ». CHATEAULIN Création d e Ooora complémentaire. — M. Albert Le Bail a r e ç u d e M. Jean Zay, ministre de l'Education nationale, la lettre suivanto : Monsieur le Député et r h e r Collègue, Vous avez bien voulu a p p e l e r m o n attention sur l'intérêt, q u e p r é s e n t e r a i t la création d ' n n e Hasse de c o u r s c o m p l é m e n t a i r e fi l'écoled g a r ç o n s d e . G itvi-.ec(Finistère). J'ai l ' h o n n e u r d e vous i n f o r m e r q u e , c o n f o r m é m e n t à la proposition de M Tins p e c t e u r J ' A r a d é m i e , j e viens d ' a u t o r i s e r l'ouverture immédiate de cette classe. Je suis h e u r e u x d'avoir pu ainsi r é p o n d r e f a v o r a b l e m e n t a u vœu q u e vous m'avez exprimé. Veuillez a g r é e r , etc... Z n o e n d i e — Un incendie a d é t r u i t , la semaine d e r n i è r e , e n g r a n d e partie, l'immeuble d e M ' Le Bihan, n o t a i r e à Coray. Vu la gravité d u feu, on fit appel aux p o m p i e r s de R o s p o r d e n et de Q u i m p e r . Les causes d u sinistre s o n t difficiles à établir. On croit c e p e n d a n t q u e c'est u n c o u r t - c i r c u i t qui a u r a i t mis le feu d a u s u n e pièce m a n s a r d é e de l'immeuble. Les dégâts, qui sont évalués à plus d e deux cent mille francs, s o n t partiellement couverts par u n e a s s u r a n c e . et bien conseillée, et. cela, q u i ' p a r a i t p e u de < h o s e , est. cependant d ' u n e i m p o r t a n c e p r i m o r d i a l e . De l'avoir oublié il n o u s en a cuit. H e u r e u s e m e n t q u e la r é f o r m e est v e n u e à point, et les r e n c o n t r e s à venir p a r a i s sent déjà moins d a n g e r e u s e s . Les a u t r e s é q u i p e s s e sont, aussi, bien comportées. La 1 B a r e n c o n t r é enfin u n e é q u i p e coriace, la I B d e l'U. S. D. P., e t n e l ' a e m p o r t é q u e p a r 2 à 1. A t t e n t i o n ! La 3" avec Plogastel-Gourlizon s'en tire avec un match nul. P a s brillant. ! Les J u n i o r s b a t t e n t les J u n i o r s de l'U. S . D. P. par 4 à 1. P o u r q u o i faut-il qu'ils a i e n t m a n q u é d'un papillon ? Les Minimes b a t t e n t la G a r d e de St-Yvi p a r 4 à 1, eux aussi, et sont c h a m p i o n s d u district de B r e t a g n e - S u d . Distriot B r e t a g n e - S u d Championnats des Juniors et des Minimes Ces c h a m p i o n n a t s , qui ont "fait j o u e r 21 é q u i p e s d e J u n i o r s e t 13 é q u i p e s d e Minimes, soit environ 600 j e u n e s j o u e u r s qui sont la pépinière des clubs, s e s o n t terminés dimanche dernier. En Minimes, le S t a d e Q u i m p é r o i s g a g n e le titre en b a t t a n t les j e u n e s d e la G a r d e de St-Yvi p a r 4 à 1, a p r è s u n e p a r t i e toute à son a v a n t a g e . En J u n i o r s , la P h a l a n g e d'Arvor, a p r è s u n e saison q u i p e u t servir d'exemple à t o u s les clubs, ne p e r d q u e d e u x m a t c h e s s u r quinze r e n c o n t r e s . Elle est aussi c h a m p i o n de son district. Ce s o n t d o n c deux clubs q u i m p é r o i s q u i vont d é f e n d r e l e s c o u l e u r s d e la C o r nouaille d a n s les interdistricts, en r e n c o n t r a n t les é q u i p e s du N o r d - F i n i s t è r e . A n C. A . d e Penharai Les m ê m e s f a u t e s c o m m i s e s p p r l e s m ê m e s j o u e u r s ont été la cause d e la nouvelle défaite. La J. A. de Q u i m p e r g a g n e p a r 3 à 1. On dira q u e l e u r 1 e r b u t a été c h a n c e u x , le 2" fait s u r u n b r a s , e t le 3« d ' u n e t ê t e non m a r q u é e . Qu'est-ce q u e cela p r o u v e ? sinon q u e la ligne d ' a v a n t s de la J . A. n e laisse p a s s e r a u c u n e occasion d e m a r q u e r , t o u j o u r s s u r la balle et chacun à sa place. T a n d i s q u ' a u C. A. P., chez les a v a n t s , c'est u n véritable m a n è g e où les j o u e u r s t o u r n o i e n t , s e b o u s c u l e n t e t où l'on voit, t e n e z - v o u s bien, l ' i n t e r - g a u c h e faire u n e t o u c h e s u r la d r o i t e d u t e r r a i n 111 Si c'est avec pareille l a c t i q u e qu'il a la p r é t e n t i o n d e m a r q u e r des buts, il f a u t Ainsi q u e nous l'avons a n n o n c é le c o n qu'il soit bien i g n o r a n t de son r ô l e . g r è s d é p a r t e m e n t a l des r h e f s - c a n t o n n i e r s Le d e m i - c e n t r e , t o u j o u r s t r o p actif, A ot c a u t o o n i e r s d u Finistère s'est tenu i-ontre-pied. lui aussi vq t r o p s u r ses ailes, d i m a n c h e à Cliôteaulin. e é n a n t ses deux aid- s. et laissant un g r a n d Plus de doux cents m e m b r e s avaient r é trou ou e.piitre. par où n a t u r e l l e m e n t passe p o n d u à l'appel des o r g a n i s a t e u r s . la rafale ¡ t r i s t e . A l'issue do la séance de travail d i mr.liri. A part les i n t e r s e t le d e m i - c e n t r e , l e s Carhaix le nouveau b u r e a u du syndicat a été consnutres j e t e u r s ont bien j o u é , et n ' e û t é t é E d i t i o n s d e t o u s prix } titué de la façon suivauto : LOB F à t e s on 1939. — Le comité des la mauvaise p a r t i e d e ces 3 j o u e u r s , l e Secrétaire général, M. Henri Le P e m p . fêtes a établi un calendrier provisoire des succès était c e r t a i n . I 3 f r . - I 8 f r . cantonnier-chef à Q u i m p e r ; secrétaire fêtes p o u r 1939. Il sera c o m p l é t é d a n s une La leçon, la m ê m e d e p u i s 1« d é b u t de la St'Jean-Trolimon a d j o i n t , M. Guillou, c a n t o n n i e r - c h ' f , à 2 4 f r . - 2 9 f r . prochaine séance. saison s e r a - t - e l l e é c o u t é e ? Uo e n f a n t de Morlaix ; trésorier, M. Bicrell, c a n t o n n i e r U n e Moule de paille en (en. — L a Le comité des fêtes o r g a n i s e r a la fête 3 a n s la c o m p r e n d r a i t à l'instant e t d e 4 8 f r a n c s chef eu r e t r a i t e à K e r f e u n t e u n ; trésorier semaine d e r n i è r e un incendie s'est déclaré des Gras avec les j e u n e s g :us de la classe. vieux j o u e u r s n e la c o m p r e n d r o n t d o n c T«xt» •« Hlustratton adjoint, M. Bouillis, c a n t o u n i r-cbef d e dans u n e meule de paille a p p a r t e n a n t à M. Voici les dates des fêtes qui sont r e t e n u e s j a m a i s ? plut « b a n d a n t « m«lll«im, T. P. à Q u i m p e r . Gloagnen, cultivateur à Kervellec. r i I i m dan* !•• formats réduit«, par les sociétés carhaisiennes : La 2* du C. A. P. b i t la 2« de la J. A. flvtr« dkttsanslrs« Commission exécutive. — MM. Le Bris, Grûce aux s e c o u r s des voisins l'incendie Société des Courses : 30 avril et 11 juin ; par 1 à 0. Elle n'est pas e n c o r e au p o i n t . de Quimpnrlé ; G u é g u e n , de Landivisiau ; f u t maîtrisé à t e m p s . P a t r o n a g e L a ï q u e : 18 j u i n o u 2 j u i l l e t ; * 1« b l b r a i r l t U l q a e Les Minimes, r e c e v a n t les Minimes d u L u a r d . d e Morlaix ; F e r r e c , de Brest ; Fita On croit q u e le f e u e s t d û à u n e Dernières Cartouches : 19 m a r s ; S o u s - Lycée, encaissent 5 b u t s . Mais il f a u t 7, ri« B l l c T r i m — Qilaptr m e n t , de Châtenulio ; Coulm, de C b à t e a u imprudence. otliciers d e réserve : 25 avril ; Anciens r e m o r q u e r q u e les Lycéens avaient avec neuf-du-Foou. C o m b a t t a n t s : 4 j u i n ; Colombophile : 25 eux plusieurs J u n i o r s . Si cela est vrai c e S i r à n e d ' A l a i m a . — Uue sirène d ' a l a r m e Plonéour-Lanvern Commission de coutrôle. — MM. Garin, j u i n ; C o n c o u r s de p ê c h e : 30 juillet. vient d ' ê t r e installée s u r lo toit de la mairie ne serait g u è r e chic de la p a r t d e s scolaide Pleuven ; Pensivy, de Scaêr ; G u é g u é C o n s e i l M u n i c i p a l . — Voici le c o m p t e de Q u i m p e r . res. Car ou n e j o u e pas s e u l e m e n t p o u r niat, de D a o u l a s ; Didailler, de F o u e s n a n t . St-Pol-de-Léon r e n d u succinct do la d e r n i è r e r é u n i o n du Il a été p r o c é d é à des essais de puissance g.igner, mais au»si p o u r faire d u joli j e u , — A g e n t t e c h n i q u e de terrain du Service Vers 13 h e u r e s do n o m b r e u x c o n g r e s - et de s o n o r i t é . Conseil municipal : l i e B a l d e a O r a a . — Le comité de la ce qui n'existe q u e d a n s l'égalité des c h a n t e m p o r a i r e d e la revision d e s évaluations sistes s'étaient r é u n i s à l'hôtel GrandmaiPuits de la place aux Porcs. — Le Conseil société de g y m n a s t i q u e e t de m u s i q u e la ces des deux équipes, d a n s le cas actuel : Par la suite, la sirène d ' a l a r m e a u r a foncières. — C o n c o u r s o u v e r t en mai 1939 son, o ù , a u c o u r s d'un b a n q u e t f r a t e r n e l , a a p p r o u v é lo traité de g r é à g r é relatif à St-Politaine d o n n e r a à l'occasion des g r a s Minimes c o n t r e Minimes. p o u r 50 poste* Délai d'inscription : 28 é g a l e m e n t son utilité nu c o u r s d'exercices f é v r i e r 1939. Avoir satisfait anx obligations excellemment servi par Mme Kérinit, n e de défense passive q u e la Municipalité se ce puits e n t r e le maire e t l ' e n t r e p r e n e u r son bal traditionnel, d i m a n c h e prochain Kervahut. militaires. Limite d ' â g e s u p é r i e u r e : 45 cessa d e r é g n e r la meilleure e t la plus p r o p o s e d ' o r g a n i s e r en accord avec les Le Reun. La s o m m e d é p e n s é e sera prise 19 février, salle du m a r c h é couvert. L'api èsfranche camaraderie. a n s au 15 j a n v i e r 1939. s u r la subvention de l'Etat accordée à la midi, u n e s a u t e r i e e s t p r é v u e p o u r les services publics et l'autorité militaire. Marche c o m m u n e en 1938. — S t é n o - D a c t y l o g r a p h e au Ministère des e n f a n t s , et le soir le g r a n d bal. A l a P r é f e c t u r e . — M. F o u a c h e , secréAqueduc de Trunuel. — Par suite de manColonies. — Date : 9 mai 1939. D^lai d'insl«a Disette fourragère L a eroea de» « iTohnnlea » taire général de la Prt' f - c t u r e , est n o m m é q u e d e crédit, la d e m a n d e d e v e r s e m e n t cription : 11 avril 1939. Limite d'Age s u p é P a r suite do la sécheresse a n o r m a l e du préfet h o n o r a i r o e t P r é s i J e n t d u Conseil do la subvention de 5 000 f r . votée a n t é r i e u r e : 30 a n s au 1 " j a n v i e r 1939. T r a i t e L'originale é p r e u v e d e m a r c h e d e s m e n t de 9.500 à 15 000 f r . plus indemnités. p r i n t e m p s d e r n i e r , la récolte do foin a été de P r é f e c t u r e i n t e r d é p a r t e m e n t a l de H e n - r i e u r e m e n t est a j o u r n é e . marchands d'oignons léonards, en A n g l e ' déficitaire de sorte q u e daus la p l u p a r t des nés. A u c u n diplôme exigé. Chemin de Trégalet et lavoir de Mariano. Organe hebdomadaire t e r r e , o r g a n i s é e d i m a n c h e à 3t-Pol*de« f e r m e s les réserves sont s u r le p o i n t d'être M. Caumont, socrétairo général des Vos- — La Commission des travaux est désignée de Défense laïque et d'Action républicain! Léon, p o u r f ê t e r leur r e t o u r a u pays, • — A d j o i n t t e c h n i q u e stagiaire du génie épuisées. ges, e s t n o m m é secrétaire g é n é r a l d u p o u r se r e n d r e s u r place afin de voir si le • « • a u «tImprimerie i o b t e n u un très vif succès. rnr»L — Date : 27 m a r s 1939. Délai d'insD'autre part, les gelées de d é c e m b r e ont Finistère. travail sollicité est d'utilité p u b l i q u e ; e n r, Rue Elîc-Fréron — criptiOD") 10 m a r s 1939. Condition exigée : (JUIMPER(Finistère L'arrivée s'est faite au t e r r a i n d u Stadfl causé à diverses cultures f o u r r a g è r e s des M. F o u a c h e doit p r e n d r e ses nouvelles ce qui c o n c e r n e le lavoir de Mariano, la a v o i r satisfait effectivement a u service T é l é p h o n e 86 Léonard, d a n s l ' o r d r e suivant : d é g â t s i m p o r t a n t s e t r e n d u inutilisable fonctions lo p r e m i e r mai p r o c h a i n . commission s t a t u e r a s u r l'emplacement è militaire actif. T r a i t e m e n t de base : 10.000 Chèque postal n° 142-70, Nantes. 1 " Larvor Louis, Sibiril. u n e partie des b e t t e r a v e s et a u t r e s racines d é s i g n e r e t s u r le chemin d'accès y accéfr. plus i n d e m n i t é s Aucun diplôme exigé. 2° Azou F r a n ç o i s , S a i n t - P o l . Zi* B a l d n S t a d e . — R a p p e l o n s q u e le fourragères. Abonnement* g dant. 3" H e r r y Yves, S a i n t - P o L — Ingénieur a d j o i n t des travaux a é r o b a l a n n u e l d u Stade Q u i m p é r o i s g r a n d 11 en r é s u l t e q u e l'alimentation du t r o u École de Créac'h-ftu. — Le Conseil d e m a n - Finistère e t d é p a r t e m e n t s limi4' Guivarch Louis, Santec» n a u t i q u e s de l'Etat (16 postes). — Date d e trophes 15 f r . peau s'avère e x t r ê m e m e n t difficile et q u e a u r a lieu demain soir, s a m e d i 18 février, de la mise & la disposition de la c o m m u n e 5" Caroff, Santec. l ' o u v e r t n r e d e s é p r e u v e s d'admissibilité : salle des fêles do la r u e du C h a p e a u R o u g e . Autr s d é p a r t e m e n t s 20 f r . des m e s u r e s spéciales doivent être envisade la p a r t d e l'Etat d a n s le rabais d e 6* Quéré, Santec. 6 j u i n 1939. Délai d'inscription : 6 mai 1939. Commo t o u j o u r s , cette soirée d a n s a n t e gées p o u r le m a i n t e n i r on bon état. l'adjudication afin de r e c o n s t r u i r e les m u r s 7' Legoff, S a n t e c . Avoir satisfait aux obligations militaires. Cette situation a l a r m a n t e n'a pas é c h a p p é sera un e n c h a n t e m e n t et a t t i r e r a t o u t e la de clôture et les caniveaux. e Age à la d a t e d u c o n c o u r s : 22 à 30 a n s plus 8 K e r b r a t , Santeci Judiciaires ou a u t r e s . . . la ligne, 3 f r . 10 à la sagacité des P o u v o i r s publics e t le j e u n e s s e de chez n o u s . \Xater-closets. — L e Conseil décide le Les a n n o n c e s doivent ê t r e a d r e s s é e s an services a n t é r i o u r s admissibles p o u r la 9 e Moal J o s e p h , Roscoffj Ministère d e l'Agriculturo e n particulier S t a t - C i v i l d o 9 a n 1 3 f é v r i e r 1 » 3 S . maintien d e sa délibération a n t é r i e u r e plus t a r d le m e r c r e d i m a t i n . r e t r a i t e . T r a i t e m e n t s de 14.000 ô 35.000 f r . 10e Guivarch J o s e p h , Santec. s'est p r é o c c u p é d e savoir ce qui pouvait — Naissances : A n d r é Toussaint, Mont F r u - concernant l ' e m p r u n t de 10.000 f r . p o u r la p l u s indemnités. Aucun diplôme exigé. 11« Saluden Michel, S a i n U P o L être fait p o u r venir e n aide aux cultiPour tout renseignement, joindre un limkrgy ; Anne-Mario Cariou, 3, r u e do l'Hos- construction envisagée. 12* P r i g e n t J e a n , S d n t - P o l . Renseignement* fotirnis p u r 1'« Orienta- v a t e u r s . pour la réponse. Avancement des cantonniers communaux. pice ; Mario NüClo Bourbigot, 30, r u e d e 13« Pleyber J e a n , S a i n t - P o l . tion Professionnel!«' », revne mensuelle, Dans ce b u t on p r o c è d e actuellement 6 BreBt ; Gabriello Lo Grand, 60 bis, quai de — Lo Conseil a p p r o u v e la décision prise abonnameut : 15 francs par an. 14e R o i g n a n t J e a n , S a i n t - P o l . a c e e n q u ê t e g é n é r a l e s u r l'importance des l'O let ; Henri Bléoinélen, 7, r u e Bourg-les- par la Commission désignée à cet effet. 15« L e b o r g n e H., S a n t e c . L m personne* qni d é s i r e n t des renseid é g ô t s causés aux c u l t u r e s f o u r r a g è r e s et B o u r g s ; Paul Lobry, allées do Locmaria ; gnement« sur l'on d e s emplois on c o n c o u r s 16« L e b o r g n e F r a n ç o i s , S a i n t - P o l . ci-dessus o n «or nn e r n m o n q u e l c o n q u e , s u r les besoins en p r o d u i t s alimentaires Raymond Lo Lons, c a s e r n e ancien sémi» 17« C r e i g n o u . peuvent s'adresser de notre part à M. Hoa- du bétail. naire ; F r a n ç o i s Dogorn, 7, ruo Bourg<les18« Albert, Roscoff. El ta t - C i vit. — Il a été e n r e g i s t r é , e n deville, directeur-gérant dfl * L'Orientation B o u r g s ; Manuel MartinoZ, 3, ruo de l'Hos* 1938, à Plovan : 27 naissances, 9 décès, 19« B e r n a r d , S a i n t - P o l . Professionnelle », 7, r u e M a r b e n f , Paris L a oultura das petits pois pice (sujet espagnol) ; Maryvonne P o m m i e r , 8 m a r i a g e s . 20« Leduff, S a i n t - P o l . (8«), qoi leur répondre 6 titre Rbsoioment Les e n s e m e n c e m e n t s d e petits pois 2, r u e du C h a p e a u - H o u g o ; Ronan Guellec, 21° Guyader, Saint-Pol. Ën 1937, il avait été e n r e g i s t r é : 2 6 naisgracie««. d e v a n t c o m m e n c e r b i e n t ô t , il y a Heu 4, r u e du P a r c ; Marcel Marchand, 30, r u e sances, 1? décès, 7 m a r i a g e s . Challenge des c o m m u n e s : l 4 r S a n t e c , 18 Joindra an timbre de 0 fr. 90 ot ne pa* d'envisager et de p r e n d r e des dispositions J e a n - J a u r è s . points ; 2' S a i n t - P o l , 16 points ; 3" Roscoff, Otblier de » « n t i o e n * ? • ou qnolité d e lec Football-Association d e la p r o c h a i n e c a m p a g n e d e c e en vue 26 points ; 4' Sibiril, 32 p o i n t s . Publicationt de mai'la(/e : P e r n a n d firutear <1« • "«tovo/t 4 . 1 **** fclto-Kréron l é g u m e d a n s la r é g i o u . net, soldat a u 137« d'mf. à Q u i m p e r , e t A n S t a d e Qnimpéroia P o d i lea f a m i l l e « d e s d i s p a r a s d n ( Uno e n t e n t e préliminaire s'iroposo e n t r e Emilienne Marchossou, doin. à Saintes. W* « iMUehana c k u r l i o H. — C o m m e suite 6 Enfin lo S. Q. o b t i e n t u n e victoire (4 à 1) les f a b r i c a n t s e t los r e p r é s e n t a n t s d e s DéciS : Marie-Louise Bidon, célibataire, ses p r e s s a n t e s d é m a r c h e s en laveur d e s s u r sa vieille rivale, l'U. S. D. P. b[ í ü ü í i s Ib CUltltltteuts pour ilxer les m e s u r e s qu'il 4 8 a n s , 8, r u e Siiul-Yiitrc; Simon MdnevamnlIl'Mir' u n s familles d e s d i s p a r u s d u T o u s les s u p p o r t e r s sont e n c h a n t é s , non est lffipéi-leu* d ' a p p l i q u e r . D ' a b o r d , l e s 8 0 , 8 0 a n s , s u j e t espagnol, 3, r u e d e l'Hos« Méchann C h i r l l e », M. J e a n Perrttt, d é - pas s e u l e m e n t d u succès, mais aussi d u b e s o i n s des usiniers de conserves en petits pice ) Marie-JeanUe Guégiien, vuuVe Tjrraen, puté, a riÇn la lettre suivante de M. S u r r a u t , r e d r e s s e m e n t de l'équipe. ah ¿ ¿ j u t * «î A pois s o n t s u b o r d o n n é e à la riguellr de 8 2 a n s , 13, r u e d e D o u a r t i ' n e l ; Madeleine m m M r e de l'Intérieur : C o m m e j e le disais Jusqu'ici, il ne m a n l'hiVef et, à u n trtometlt dontté, ceùft-cj Colin, 1 8 ans, 3 , f u e d e l ' t i o s p l c e ; Marcel MOnslent le d é p u t é , q u a i t q u e peu d e chose au 3. Q. : u n e â m e s o n t fixé» sur la q u a n t i t é dont Ils a u r d n t Le Quon, 2 3 ans, e m p l o y é d e commence, besoin» V o " s avez bien voulu a p p e l e r m o n atten- d'équipe, et cola, seuls de vieux stadistes 24, r u o defl Bouchorios ; f h é o d o r o P a b l é , Ën connaissance d e cette d ü n n é e , Ils é p o ü í Cárval, 29 ans, r u e Bourg^mr.Roürgs : tion s u r u n e d e m a n d e d e s e c ù u r s d ' e x t r ê m e c o m m e les Cornicyles Le Grand, p o u v a i e n t p o u r r o n t m e t t r e lnfl Cultivateurs, d ' u n e Mario-Anne Le F l d c ' h , veuve OlIiVier, 8 3 u r g e n c e f o r m u l é e p a r les familles d e s le lui d o n n e r . C'est fait. 11 n'y a plus ¿¿u'è continuer. façon g é n é r a l e , en m e s u t e de c o o r d o n n e ? ans, 3, r u e do l ' H o s p i c e ¡ Marguerite Pessy, p ô c h ' u r s d u b a t e a u « Méchann Charllc », La pàrtie a été u n e des plus intéressantes l'étendue d e letirs e n s e m e n c e m e n t s e n c é l i b a t a i r e , 7 0 ann, 8, place Claude-Le CoZ ; de D o u a r n . ut'i, r é c e m m e n t p e r d u c o r p s de la saisOu, et c h a q u e j o u e u r e tenu sa r a p p o r t avec les besoins éVoutuula. tíoBa' io Maclas, 5 ano, s u j e t e s p a g n o l . " S , r ü e ot biens. J'ai l ' h o n n e u r do vous faire Connaître place avec un c o u r a g e et u n e ténacité q u i l.e prix étant en rapport avec la quantité d o l'Hospice ; Alain Moallc, époux f r i r l d i c , q u e j'ai mis à l a disposition d u P r é f e t du Ont valu la victoire eu S. Q. ot la qualité, la méthode employée l'année 4 0 ana, 3, r u e d e l'Hospice. L'équipe est d o n c au point, l û r e d'ellaFioiBtfcrg une somma de 10,000 frs, eu itti dernière pour la llxatiou des cours chaque laissant le soin de la répartir« Au VhéAivfli T Q u i ' n é e n a h > fianl, * * roftrae, h o m o g è n e , et s u r t o u t bien d i r i f é e uamsinQ <?9t pr($qi»<?i i v e o l e «eul d é f a u t UN KTÏT LAROUSSE? Chez nos Cantonniers coocoors m Fonctions PiiDitijuss LE CITOYEN Plovan Douarnenez Isez LOTERIE NATIONAL! tmmvotee iirf) « Oltoieïi LË CITOYEN Recettes de cuisine hars-Quimper, avenue Ican- Jaurès, Et : ledit M. Henri Jouannet, hôteCommune de Tréboul n° 9 ; Ernest-M. Lelaudais, demeurant lier, demeurant à Concarneau. à Saint-Servan-sur-Mer-Lorette ; Yves Croquettes Grand'Mère Défendeur défaillant.. Il appert que le divorce d'entre les Voici un petit dessert vile préparé et Quéré, expert-comptable, demeurant peu coûteux. Mélangez, dans un peu de à Saint-Malo, 10, rue Saint-Vincent : époux Jouannet a été prononcé au Le public est prévenu que, confor11 a été, suivant acte, sous sein profit de ladite dame Jouannet. beurre tiédi, deux grosses cuillerées de mément <^u titre 11 du décret-loi du privé, en date du 15 janvier 1939 Pour extrait certifié conforme par farine et une pincée de sel. Mouillez u 8 août 1935 et en exécution d'un avec du lait tiède et tournez sur le l'eu enregistré à Quimper, t 39, c° 38, le l'avoué soussigné. arrêté préfectoral du 3 février 1939, pour obtenir une crème épaisse ; ajou- 9 février 1939, constitué une Société A Quimper, le 9 février 1939. le plan parcellaire des propriétés tez un reste de citron ulpe et laissez à responsabilité limitée ayant pour A. Bourdais, avoué. situees sur la commune de Tréboul, cuire t u tournant saus cesse. Ajout» z, objet, en France, Colonies, Pays de dont la cession paraît nécessaire pour hors du feu, tiois jaunes rt œufs que protectorat et de mandat, et éven e la construction d'un groupe Etude de M de TRÉGLODÉ, avoué vous mettez un par un. Laissez refroidir tuellement à l'étranger, la manufac scolaire, restera déposé à la licencié, 12, quai de l'Odet, la pâte et faiteb-toU des croquettes que turc et la fourniture de produits pour Mairie <£e ladite commune Quimper. vous tremperez dans du blanc d'œuf la Marine, ainsi que toutes opérations pendant huit jours conséculegéremeni battu, pour les rouler en- mobilières, immobilières, industrielles tifs, à partir du S O fevrier Séparation d e c o r p s suite dans une chapelure obtenue avec financières se rattachant directement jusqu'au «SB février 1339. quelques macarons durs finement écra- ou indirectement et sous quelque D'un jugement contradictoirement Les personnes intéressées pourront, ses. Jetez dans la friture bien chaude forme que ce soit auxdits commerce et servez en saupoudrant de sucre va- et industrie dans ce qu'ils ont de plus rendu par le Tribunal Civil de Quim pendant cet intervalle, eu prendre per, le 30 novembre 1938, enregistré connaissance, sans déplacement, tous étendu. nille. signifié et définitif, les jours (excepté les dimanches et La dénomination de la Société est Entre : Mme loséphe-Marie Diva- jours fériés) de 10 heures à 17 heures, « E. L. E. A. ». R e n s e i g n e m e n t s utiles Le siège de la Société est à Penhars- nach, épouse de M. Jean-Pierre Seznec et produire, s'il y a lieu, leurs obser demeurant à Quimper, 1, place de vations qui seront consignées sur un Quimper, avenue Jean-Jaurès, n° 9. Pour enlever le tartre des bouillottes Le capital social est fixé à la somme Locronan, demanderesse, registre ad hoc déposé à la Mairie. Ayant M" de Tréglodé pour avoué Les bouillottes finissent toujours par de oO.UOO francs, représenté par le Tréboul, le 9 février 1939. Et : M. Jean-Pierre Seznec, garas'entartrer, c'est à dire par se revêtir matériel suivant : Le Maire, Gonidec. d une couche du sulfate et du carbo1 pistolet automatique pour la pein- giste, demeurant à Quimper, 39, rue de Pont-l'Abbé, défendeur, nate de calcium contenus dans l'eau ture ; on les débarrasse de cet enduit en Ayant M0 Quéinnec pour avoué l moteur électrique ; COMMUNE DE PLOVAN 1 imbibant û'acide munatique étendu 11 appert que la séparation de corps 24 biUis pour toile. de dix lois sou volume d eau. Agir pruet de biens a été prononcée entre les Ledit matériel, apporté demment pour ne pas corroder la par- par M. Angel Eguidazu-Y. époux Seznec-Divanach, au profit de tie métallique de la bouillotte. la femme et aux torts et griefs du Garay, est évalué à la somme de cinq mille francs, ci. o. 000 fr mari, avec toutes les conséquences Le public est prévenu qu'une ende droit. quête d'utilité publique sera ouverte M. A. Eguidazu apporte, C o m m e toujours, voyez... Pour extrait : du 20 février 1939 au 1e' mars 1939, en outre, à la Société une LES VÊTEMENTS CAOUTCHOUC somme de quinze mille R. de TRLGLODU, avoué-licencié à la mairie de Plovan, sur le projet de fixation de tracé du cheChez G E O H G E S francs, ci 15.000 fr. min départemental (ancien M. E.-M. Lelaudais la Etudes de M" RIOU, notaire à Pont- chemin de grande communila AAlbVà M l'IMïiBMISABLl somme de quinze mille Croix, et de iVlc Yves KERDRAOiN, cation n° St A) daus la partie francs, ci 15.000 l'r 6U, Hue Jean-Jaurès, SO notaire à Audierne. comprise entre le point 1 km. 530 et M. Y. Quéré la somme ... Q U I M P S n -:le chemin de G. C. n° 2. de quinze mille francs, ci.. 15.0C0 fr. A V E i N b H E Les intéressés pourront, pendant ce Ces apports eu espèce et en nature temps, prendre connaissance du dosAiticeifcss sont intégralement libérés. PAR ADJUDICATION VOLONTAIRE sier, a la Maiiie, tous les jours, de M. Y. Quere est gérant de la Société Eu la Mairie d'Audierne 9 heures à 12 heures et de 14 heures pour sa durée à dater de sa constituPour vos t i m b r e s e u o a o u t L e Vendredi 3 Mare 1 9 3 9 a 16 heures. o t t o n o e t e u o u t v r e , adressez-vo ut tion. 11 possède à cet eflet des pouvoirs à 14 h. 30 Le commissaire-enquêteur recevra àl imprimerie metounu ûu « Citoyen » les plus étendus, mais il ne peut valablement accomplir que des actes les observations sur ce projet au même EN LA VILLE D'AUDIERNE Jravait execute rapidement et à des rentrant dans l'objet de la Société. 11 heu et aux mêmes heures, les 2, 3 et vrix modérés. ue peut valablement elfectuer des 4 mars 1939. Premier lot libéralités, ni substituer un tiers dans Le Maire, Pierre Lautridou. Maison d'habitation, rue Louisouvrier tailleur demande ses fonctions. Pasteur, n° 25, ayaut 4 pièces au place stable. — S adresser au journal. Les associés pourront déposer dans rez-de-chaussée, 2 étages de 5 pièces la caisso de la Société, avec le conA v e n d r e , a 1 amiable, abattoir 8- ntement du geiaut, des fonds en chacun, grenier ; contenant 1 art 10 centiares. Eau, électricité. privé. Vaste bâtiment entoure de compte courant. Mise à prix : 65.000 francs. terrain et pouvant servir d usine. Les conditions d'intérêts et de retrait S adresser au journal. Deuxième lot de ces avances seront déterminées Maison d'habitation, rue Marcellind'accord entre les associés préteurs j e u n e h o m m e , liberé service îerthelot, n° 12, ayant au rez-deet le gérant. militaire, demande place comptableDeux exemplaires des statuts de la chaussée une entrée, uue pièce, un dactylo. — S'adresser au journal. Société ont été déposés le 9 février, garage ; deux étages ayaat chacun au gr< lie du Tribunal de Commerce deux pièces et un cabinet ; grenier ; C u l t i v a t e u r s : pour vendre vos de Quimper. contenant 60 centiares. Electricité. récoltes de pommes de terre et de Pour extrait : Mise à prix : 45.000 francs. légumes : choux fleurs, oignons, caLe Gérant, Quéré. Troisième lot rottes, etc., faites des propositions à Maison d'habitation, rue MarcellinTy-Breiz, produits du sol, 12, avenue de Etude de Mc BOURDAIS avoué 3erthelot, n° 14, ayant au rez-dela Gare, Les Sables-d'Olonne (Vendée). à Quimper. chaussée entrée et deux pièces, deux étages de chacun deux pièces et un Assis'ance Judiciaire S u i s aoheteur d'une auto coni l i * cabinet, grenier ; contenant 60 cendécision du 11) octobre li),'li duite intérieure G 7 ehevaux, très bon tiares. Electricité. état général : M. Coublant, 13, cité D'un jugement rendu par défaut par Mise à prix : 50.000 francs. La Ruche, Pontirjou, Quimper. e Tribunal civil de Quimper, le 16 Quatrième lot mars 1937, enregistré. Extraits de Statu s Un jardin, situé rue Marcellin-BerEntrp : Mm<- Yvonne Tailleux, épouse thelot, d'une contenance de 4 ares 80 de M. H uri louannet, ancien hôtelier à Concarneau, demeurant de droit quai centiares. Bel emplacement à bâ'ir. d'Aiguillon à Concarneau, mais résiMise à prix : 40.000 francs. S . Zi. B. A. » dant en fait à Dieppe, hôtel Métropole. Pour tous renseignements s'adresEntre : MM. Angel Eguidazu-Y. Demanderesse. ser auxdits Notaires. Ayant M* Bourdais pour avoué. Garay, chimiste, demeurant à Pen- POUR; RÉCOLTER.SA CHANCE/ Avis d'Enquête Avis Feuilleton du « Citoyen », Quimper — "ama Li G'STË [Havres Albert Le Grand) Le loup c o m p a r u t et, d'arrivée, se jeta au pied du saint, c o m m e d e m a n d a n t p a r don de ce qu'il avait fait- ; mais, ne se contentant de celte satisfaction, il le c o n d a m n a à servir au môme usage ¡1 quoi servait la bête qu'il avait d é v o r é e . Le loup se.leva e t tendit le dos, s u r lequel f u t c h a r g é le faix d e bois, et, depuis, il devint si d o m e s t i q u e et serviablc qu'on en tirait beaucoup plus de service et profit q u e de ! àne ; et, bien qu'il mungei'it et logeât en m ê m e élubie avec les a u t r e s bêtes, il 11c leur luisait point de mal. Le roi Hoêl 111 de ce n o m étant parvenu à la c o u r o n n e l'an de salut 5'J4, c o m m e c'était un j e u n e prince hardi, vaillant el Courageux, conseillé p a r q u e l q u e s courtieuns, il voulut e n t r e p r e n d r e q u e l q u e chose contre les privilège» et libertés de l'église d'Alcth j mais il se vit en tête saint Malo, lequel s'opposa c o u r u g c u s e m e n t à ses prétentions, l'admonestant d o u c e m e n t ; mais, le prince se voulant raidir et user do violence, Dieu prit en inuiii la cause d e son église e t de son fidèle serviteur e t punit c o r p o r e l l c m c n t le roi, porniettunt qu'il devint tout h c o u p aveugle, et, p a r Celte atlliction corporelle, il l'admonesta de son devoir, c a r , r e n t r a n t eu soi-même, il r e c o n n u t sa faute, en d e m a n d a p a r d o n Ix Uieu et au Suint, p a r les prières duquel Ù recouvra la vue et, depuis, resta fort dévot au saint é r ê q u e , etiqucl et à non église i! fit de riches p r é s e n t s et aumônes, Le diable, envioux du grand f r u i t ot riclië rrtoisstfn q u é saint Mald amassait é'g-gre'tiicrs d e «on Seigneur, anima c d n t r e lui certaines p e r s o n n e s perdues, lesquelles par Yves LE FEBVRE lui, qu'ils a n i m è r e n t presque Ion L Îc peuple contre l'évêquC, ne pouvant s u p p o r t e r ses paternelles corrections j ce qui fit r é s o u d r e le saint prélat ù s'absenter p o u r q u e l q u e temps. 11 s ' e m b a r q u a au p o r t d'Alcth, ayant r e c o m m a n d é son t r o u p e a u au souverain pasteur, cl a b o r d a k la côte d'Aunis, au port d e la Rochelle, d'où il alla (1 Xainles trouver suint Léonce, évêquo d e la dite ville, qui le reçut c o m m e sa sainteté le méritait et le voulait retenir a u p r è s de soi ; mais saint Malo le supplia d e lui p e r m e t t r e de se retirer en q u e l q u e lieu solitaire p o u r y m e n e r u n e vie privée et se disposer ù la mort, ù quoi son g r a n d Age l'obligeait de penser s é r i e u s e m e n t . Saint Léonce lui accorda sa r e q u ê t e et le c o n gédia, la larme ù l'oeil, lui d o n n a n t l'église du village de Brie, lieu fort p r o p r e h son dessein, où il dressa un ermitage, y vécut q u e l q u e t e m p s avec un rare exemple de sainloté, laquelle Dieu manifesta p a r quelques miracles,,, Tandis q u e la Xuintonge était illustrée par lu sainteté de saint Malo, le diocèse de Saint-Mulo étuit autant affligé de son absence ; car la peste et la fnniiné, causée d ' u n e g r a n d e sécheresse qui brûla les blés ot ruina les maisons, étrangla plusieurs centaines de personnes ; ot colle ealuriiité croissant do j o u r oh autre, ils r e c o n n u r e n t qUe c'était Une j u s t e punition de ldur i n g r a t i t u d e envers le suint prélat et, en ttfle assemblée qui se fit en lu ville d'Alcth, il f u t résolu d'envoyer vers le saint p o u r le supplier d e s'en r e t o u r n e r en son érêcllé. ' eux fjtli furent fleirnirtés pour ce voyagri l'altèrent trouver et, s'acquittèrent al bien ^trouvèrent tant de calomnie«/ contre de icui' chat{f(; que, soint Mcki ayant piis délai d ' u n j o u r , é t a n t ù la ferveur de son oraison, f u t averti p a r un ange de s'en r e t o u r n e r avec les d é p u t é s d'Aleth, p o u r lu consolation de sou peuple, et puis iiprè tju'il s'en r e t o u r n â t vers son hôte, saint Léonce: Le ternie du délai empiré, saint Malo déclara aux d é p u t é s lu révélation qu'il avait e u e c l sa résolution de s'en aller avec eux, d o n t ils lurent fort a i s e s , et, ayant pris congé de suint Léonce, ils se m i r e n t 011 chemin ; et, aussitôt q u e saint Malo entra en Bretagne, l'air se p u r g e a et, toul à coup, lu peste cessa dans tout l'évêehé d'Aleth, et les ports et havres f u r e n t remplis de vaisseaux chargés d e blés e t a u t r e s vivres, en toile abondance que la lamine f u t e n t i è r e m e n t chassée. Le saint prélut, arrivé en son diocèse, fut reçu p a r t o u t avec une g r a n d e allégresse ; mais spéciuleinent 011 la ville. d'Aleth, d o n t le clergé et le peuple lui vinrent bien loin uu devant, lui d e m a n d è r e n t p a r d o n do leur faute el le conduisirent cil l'église. Notre saint, oublieux d e s i n j u r e s reçues, l e u r p a r d o n n a et leur d o n n a hu bénédiction et commença do rcchcf ù veiller s u r son t r o u p e a u , visitant en personne toutes les paroisses de son diocèse, prêchant cassé de vieillesse, de travaux, fatigues et austérités, il fut saisi d'une violente fièvre, laquelle le liiil si bas qu'au troisième j o u r il supplia saint Léonce do le venir voir, ce (JU'il lit, et lui ayant administré les saints sabre nient s, ¡1 rendit son heureux esprit à son c r é a t e u r , le quinzième j o u r de novembre, l'an de gr;\ce C>1'2 el le 110° de son âge,., V i e f.i.O'6! * NATIONALE TRANCHE DE L'AGRICULTURE La CUISINE ELECTRIQUE est ECONOMIQUE grâce aux- tarifs réduit« d e L E B O I T «Se O " d'Enquête Società à 1 Dei milLieu de lilleti uont Uâte» - uous de KetevuK uot\e chance au tbicuft de. la d e Saint XMtÉBN Saint Méen ¿luit natif de la province d e Cnmbrie, a u t r e m e n t n o m m é e Sud-Wallia, (mi l'Ile d e Bretagne. Ses parents demeuraient en une ville aux q u a r t i e r s de Wenl, qui s'appelait Orkh, ot élaienl proches parculs de sainl Sainson, archevêque d'Yorkh, on Angleterre, puis d e Dol, en B r c l a g n e - A r m o r i q u e . ils f u r e n t soigneux d e bien élever la j e u n e s s e do leur enfant, l'apprenant, tout petit qu'il était, à p r i e r Dieu, Il f u t après envoyé ù l'écolc, où il s'adonna tellement h l'étude el dos lettres et jilc la vertu, qu'il laissait loin derrière soi tous ses condisciples, infHtigableinent s o n p e u p l e e t se c o m p o r Etant sorti des écoles et r e t o u r n é chez son tant, en toutes ses actions, comme vrai père, ses parents espéraient j o u i r de sa pasteur, Mais, se souvenant du comman- douce présence ot le retenir près d'eux p o u r d e m e n t qu'il avait reçu du ciel do s'en 6olgner leurs affaires j mais lui, q u i était retourner on Xainles, près saint Léonce, touché do Dieu ot appelé au plus haut il prit congé do ses diocésains et s ' e m b a r - d e g r é do perfection, ayant supplié h u m qua au porl d'Alcth p o u r a l l e r e n Xuinlonge, blement. n o t r e Soigneur do le c o n d u i r e cl où il f u t reçu do son ancien oitii soinl meltrc uU chemin de son salut, so d é r o b a Léonco j lequel, connaissant qu'il était d'eux ol alla trouver son oncle saint Samplus porté ù la retraite et solitude qu'un son ù Yorkh, duquel il l u i reçu à brlis séjour de la ville, lui lit dort de l'église et ouverts, le snlul prélat sucliaiil l>ieil qu'il village d'Archambruy, où il se retira uvec était guidé do l'espi'it de Dieu et rjuo Ce quclquos j e u n e s clercs Vertueux qu'il avuil devait être, un j o u r , le père do plusieurs e m m e n é s de Bretagne, uvec lesquels il bons religieux, qui travailleraient h b o n vivait eu c o m m u n et passait les j o u r s et escient eu 1« vigne du Seigneur, Il f u t lus nuits en oraison ot contemplation, se quch/uo t e m p s uu m o n a s t è r e , on habit disposant, p a r ces religieux exercices, ù séculier, eiiiiiuduiH lu doctrine do son passer de ce siècle ti la vie lifiiriortelle, ce oncle et servant a u * reliifieux, j u s q u ' à co cjui arriva peu aiiffis/ car/ 6t«Ht itmipu et f|U'aj'!ii)i fuit prcilvii d<? ifi vertu, ppllciicc, Voyez x [les belles voitures CEPTl° p e n d a n t leur q u i n z a i n e publicit a i r e , les a p p a r e i l s d e r a d i o •'G. M a r c o n i " v o u s o f f r e n t u n e a u d i t i o n à domicile d e leurs n o u v e a u x modèles, s a n s a u c u n I r a i s ni e n g a g e m e n t p o u r vous, d a n s u n seul b u t d e p r o p a g a n d e . P o u r en bénéficier, il v o u s suffit d e d é c o u p e r le b o n ci-dessous e t de l'adresser, sous 48 heures, à H. W O L F , Quimper. A3. H C L L X O , Concarneau. en i n s c r i v a n t v o t r e n o m e t v o t r e . adresse a u d o s d e l'enveloppe. / B O N pour une audition d'un appareil " G . M a r c o n i " à m o n domicile, s a n s a u c u n engagement de m a part et sans frais. persévérance et dévotion, il f u t vêtu p a r saint Satuson, q u i aussi le reçut à p r o f e s sion et, le voyant croître 0 vue d'œil et s'avancer do vertu on vertu, lui conféra tous les o r d r e s et enfin la prêtrise. Quelque t e m p s après, saint Samson, ayant reçu c o m m a n d e m e n t do Dieu de passer en noire B r e l u g n e - A r n i o n q u e , fit choix d ' u n bon n o m b r e d e ses religieux, lesquels il j u g e a plus p r o p r e s à la conversion d e s â m e s ; du n o m b r e desquels f u t l'heureux Méen. Ils passèrent la 111er et a b o r d è r e n t au rivage de B r e t a g n e , où saint Samson, ayant fait plusieurs miracles, fut le très bien venu et entra si avant ès-bounes gr;\ees dos habitants, qu'ils lui aidèrent d e bon c œ u r à b à l i r u n m o n a s t è r e p o u r soi e t ses religieux, en ville d e Kerfeunleun von la n o m m e à présent L a n m e u r , distante do doux lieues do Morlaix). Mais Dieu, p o u r lui d o n n e r occasion de plus travailler p o u r sa gloire et le salut des Ames, p e r m i t q u e tous les évêques de Bretagne (la plupart ses c o m p a t r i o t e s , r é f u g i é s de l'Ile comme lui), l'élurent volontiers p o u r leur métropolitain, lui d é f é r a n t la m ê m e préséance et autorité s u r eux, qu'il avait en l'Ile, s u r ses sufiïagants, étant archevêque d'Yorkh. Alors il institua saint Magloire abbé de K e r f e u n l e u n et continua à c o m m u n i q u e r aux peuples circonvoisins lu clarté de sa doctrine céleste. 11 j u g e a incontinent q u e Méen, son disciple, était p r o p r e à telle conquête, C'est pourquoi, de l'avis e t délibération universelle d e s frères, il lui d o n n a son obédience ot bénédiction el un n o m b r e do frères, lui d o n n a n t pouvoir d'accepter d e s monastères q u a n d il lui 011 serait offert, recevoir religieux e t so p o r t e r entièrement comme abbé. Saint Méen, ayant pris Congé de ses confrères, se mit en chemin avec sa t r o u p e , marchant p a r le pays, et, arrivé» ès-torros du seigneur de Gaèl, qui était bon catholique, u u m o n i e r c t religieux, Ile le r e n c o n t r è r e n t ' e n leur chemin et le M'iHTpnl jprfiçicijgenicnt, ¿ y t , JfU gj aussi salués, les pria de lui faire c e t t e faveur que de vouloir e n t r e r en sa maison p o u r se raffralchir, et qu'il tâcherait à l e s a c c o m m o d e r le mieux qu'il p o u r r a i t . L e saint répondit pour tous c t . l ' a y a n t r e m e r c i é de sa charité, accepta l'offre, e n t r a dans le manoir et y s é j o u r n a q u e l q u e s j o u r s . P e n d a n t le t e m p s q u e le saint d e m e u r a chez ce seigneur, il e u t plusieurs colloques et devis spirituels avec lui e t tellement l'embrasa d e l'amour d e Dieu et d u d é s i r de le servir e n état d e religion, qu'il supplia saint Méen d'accepter cette sienne seigneurie, avec t o u t e s ses a p p a r t e n a n c e s , à condition d'y bi\tir u n m o n a s t è r e et l'y recevoir religieux. Saint Méen remercia Dieu do cette faveur e t accepta l'offre d u dit s e i g n e u r aux conditions proposées, e t , laissant q u e l q u e s - u n s do ses moines avec lui, s'en r e t o u r n a à Dol faire savoir le t o u t à saint Samson et à sainl Magloire, lesquels, ayant r e n d u g r â c e s à Dieu, le renvoyèrent avec tout pouvoir t o u c h a n t cette affaire. Etant de r e t o u r à Gaêl, il fit sa réponse au dit seigneur, lequel, i n c o n tinent, m a n d a des ouvriers de toutes p a r t s , ayant amassé tous les matériaux qu'il j u g e a i t nécessaires p o u r l'édifice, e t , inconlinent, mit ses gens en besogne, on sorte qu'il y avait g r a n d e a p p a r e n c e que, dans peu d e temps, on verrait c e bâtiment parfait. U n e seule chose i n c o m modait les artisans, c'était faute d'eau p o u r d é t r e m p e r leur mortier, la p r o c h a i n e eau étant si éloignée d'eux, q u ' o n p e r d a i t bien du t e m p s et avait-on bien d u m a l i» l'aller q u é r i r , (à &ù«e* «4 tuivre). lire 1« h m m ï î e CifOVÔK! 1, m Mtoftim - le Faites votre Publicité dans le " Gîiojm " 7, ru» dit -Fvêroti — QU fMPER Pontr to» Lettres on C a r t e s de M r h g e s EXÉCUTION r » ï i û « i m « RAPIDE & S G I f î N Ê E LIONE 5 6 8 9 13 EN VENTE DE QUIMPER débitM, A PARIS (Montparnease) S3 8 3S 1 1 30 1« 37 1 7 8 S J 33 9 41 1 12 88 15 39î 18 *3 14 U 23 14 3 17 10 30 33 2S 12 44 15 3 18 33 22 au 39 17 35 1 SS » « 201 Le» afflebea : Loi tur la riprtttion 4* l'itrttti publique *t tur la poli«t dtt BREST (d) déiits de ioitsona. — Tarif des Comommation» pour le» baadeiaeaa.... 80 15 22 6 0 6 1 29 7 16 R. ¿ B C. »• 97». RENNES 8 » 12 17 13 18 14 53 15 51 ChlMsalia 19 5 15 5 16 U 18 8 19 20 n » 16 51 20 9i V 63 21 26 1 > i l 23 a 20 59 0 8 QUIMPRR 18 11 Naates (3) fi 45 18 29 > Lorient ¡ 58 19 AJ I Q«imperii I ti » Baanalea Roaporden.... 6 54 a. 7 11 QUIMPER JI d.7 8« 8 19 Chàteanlia Lendernean (d) 9 45 BRBST (a)..,,1016 9 40 to M 14 15 14 17 Il 2S14 53) tt 8 19 41 It 48fl5 1 18 59 U 18 15 U g « 51| » tD w 81 19 sr S 35 5 52 Roaporden B c f f t a t ? e » det Déclaration» d'option 5 1 des contribuables conte.» au râle d*n BaanaÀea 0 12 Qmmperlé...., i« r, «0 U prettaiiont tn naiurt. 6 31 Lorien». 17 3J 21 fi 9 30 11 20 Niât«« (a) 117 50 n u MM. le* ¡Sii.witsiriBs c» Mtune seat •iisuiàn «1« trouve* à Fliistpriaaerie de LIONE DE BREST A PARIS PAR M O U L A S 'Citoyen, 7, IU» Eii«-Fr*ron, Quiapei, ï e a » lea tv>p)?tmç* ¿qnic aec.- SRKSTíá).,., 6 a 8 50 18 58 15 16 17 9 18 15 21 a PARIS (Meatp) 0 30i 8 >, ¿rtMMoiircsi. utnd«raean (d) 6 15 9 6 14 15 17 24 18 46 SI 19 ; 1 Reaaes ( d ) . . . . 8 4611« 10 üudñrintaa..., » 14 >2 17 86 19 5 21 34 8t-Brieac (d).« 10 18,18 fOglS 5^16 fl6 26¡U ît«l 99f 4 StTh&fonaoa.. Le EiaU(AB<A â£pt««i« » n 19 22 » M a g a m p (d).. 10 4«( 14 »<16 58Í1) 21 » >5 par M. Alhtïi L» BwÀ, avocat. Ua volam« Variais (d)..,. 6 48 9 10 1« 6 15 59 17 57 19 54 22 10 Merlala (d).... U 1514 » 16 »U7 46f20 <0 M 48 de MO pasrflt <*» to«i«a las branche« 4e âningamp 7 SI 10 38 16 24 18 58 M 21 28 4 St-Théfoaaee., 16 15 20 85 î'actint* im hou* graa« dépar-SKBweso 8 8 U 9 17 16 19 38 23 48 Landiviaian.... 16 28 18 9 20 46 iemea».—kPna, 10 fjraro* j fjraaoo, 11 ftr. Rennea 3 J 9 25 18 44 18 33 22 20 129 ; j Landernean(d). 12 7 le iountsi » h o PARIS (Moatp) 13 36 17 85 6 20 23 a 7 15 1 1 BRBST (a).... 12 24 15 lOfiS 16 H 18 Kell 1 8 » 85 La Terre 4«» Prêtre* Anteniis. Dép. 4e Brest : 5.8t 6.80 8,17 llfi9 1M4 ».58 18,15 Se reaseiener 4aas les no«v*lle «<!H>on, par Y»«« Lu Febvre. Bn apppBd.'C* : Ud Procè« d'BjtUe, — le procèa d« 1* T'ire > e» P>ôt»»a. — Unvolwxm LIGNE DE QUIMPBR A DOUARNffimZ de 260 p««!»a ; pnx, 15 fr. ; frasoo, 18 ft. Qnnnper 7 26| 10 45] 18 20; 14 14 485 17 45j Doaarmeaex. «es..,| M J7'10 8t 13 4516 » 17 4} 19 3t. Oonarnenea 8 2' Il 29]12 58i 15 811 18 2l| Clandr Jtgou. p»y»nn ée l'ârrée Qaimper. I P »«Il X)| 14 28.1« 37; 17 4J* 83 roman, par Yve« L« Fo rra. Un vobme, prix, 12 fr. ; franco, 1S fr. 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A d r M M D o t u , en mvtü&uw F m MW+IU communes. 1COLEB mMiàmi toute confiant LAÏQUE les aamaai ««oaceti^acs et aawacM Otree et deeaaa«« «'espleta de tonte asta» Lwaisai et Tntai «e Fernen, S P É C L A U T Î S D E F O U R N I T U R E S E N T O U S (MSNIWS Jeamnea, 1mmáxalm ei Clanes ; Réeehes A U X ECOLES P U B L I Q U E S E T D E M A T & U E L SCOLAIRE äeaaeMblWt •hiaentstwa dee entenas lattnuaeate, Vsiicum, Aniamobäee, BierT O U S ARTICLES D E B U R E A U X E T D E PAPKTERER «[«M, OMUISM ie KMM MII« LIVRES CZASSIQUES E T D E B I B U O T H E Q U E de Pria de» Catalogue» du Mditori R*tmu fuMimUé «m Membre» d* l'EiuHfmnmi •t Nette* ; 1, ü w in Bec, t m * tMS 1m iwMft (7<) % i lÉiHÉ wá F O U R N Î E R - D E M A R S I S D A M A N O (Cher) (port en »<. I • An les 7, m ÊHê'Fréroa - QUIMKH (Prie Ut ploee de la Cathédrale) WEHTE i i i K D i i i i w m m m publié sur documents officiels dans à la LIBRAIRIE Le »im important tournai farniente* pout les adula et Ventee R, da 8. Seine n* 1I7JS7 7, R u * Elie-Fréron — Quianper les services INSTITUTEURS, INSTITUTRICES, G A I S S S 3 D E S M U N I Q P À L I T S S LAÏQUES, pour tous TO« Fournilur« A llwprlwflli 4 « c Citoyen » P r h Consulter FOURNITURES CLASSIQUES fondé en 1 »74 rasAir nuns roía pan lai 14 à 35 Hi«« formet illasttAes l i b r e «S^sn à la librairie Laïque par L'ACCLIMATATION 1 SMfei ®fr. laoiSiJLVÍr. - laoisil«Ar. »** *b<fiw4a ei Itttw» istidzs, ma ®»<f» — autobus antifascistes lUMi£R£ ÜUÜÍUt* K0NMMi/ti>l »« nmrnt MiMIuuiUI consilt««, par 1« »«»kre Transports Q ^ p e r (caie)...! <7 15(10 4518 Ckncaraeáa.... .1 »7 SOili tOilS !l> 4.1 Pont-lvwa. I 12 »I |i4 iwlT att 45| 41 QnimperU (gare)..|7 5lU 881 Il4 SJir 85(19 1ÒI ÂûrfW'» -««lijui, *vi rar vsiean meM> litet* et únetebilüsoa à eeaatesrfsustt et a&trea semtas meaenteaéasat gêné», Beeke en jeienaattissbrspaar rósea» 4 Asean de Prlto, Cms Peitele li, à Calmar (Hl-ftfcia). 4 ... umtûfestatl&x motust/ve w '^IwuMS de défilé t'ir* rnmmlU fiUpiMii d . C H A U PFEZ-VOUS C H A U F F E Z V O T R E EAU AU S A Z VINS Dü i£00C kÊ BON & (f I B PA K T B E LA P»0P*8ä*TB Aete^ttfcalft représente* bit» nia» ^ * n o o o c x x w a o a x x i G a c x x ) o o ü t « 3 »en«« C'est ea qu'on venait l'il prflùCHt rtfîlttiliie «Ut 3.000.000 gagnants do sa dirlgc-r tout ensemble vom 1« Pavillon do Flore, après 1«tiraged'ace esule troaolie do la «s m m.*m w*m<0i SEEERCES mtm BULLETIN D ' A B O H É I M H G NATIONALS L O T E H I E lomteu R»» devuz mvm Ld O l t o y c a ieauwi rètti*»«* pm> «BPBXSBHTASfT fis» ln««d«H aapd« «aiyetlAetnse <9 tare* i s ¿estafe* ckouncal tíWí hte* aíaaá Jfífe-.iwf, mvA&ii íisjBrtsííííiísti «a wim&t&i ^ s w ÈSSI rt*^ : ¡ M f l M M K l i l i M I l* S n e r a " f ' -"«S&iï-.ss •'• i&VÄ s ï Y i I X " P©UR TOUS STYLOS fabriqué® per !c3 p n c í E S ANTOiNI possède 4 point« si* supériorité j Fluidità Inaltérabilité ßi«Ji»es« do colorii Absens© de dópfií Cis) i.« 4 a MrítHo «.'am aft fis«» 4e t» i «y., irí Ooüí «Mirrerai »sira wyfäi éft VBrîrî MÍTtflrt •pn»p*®3gao» c&aSStaM», depvis tk * ¡i» «emflrsés da iMmn4is»e< seaSagée, ja («ni eeb nattnt li «ps«ï89 da asa gttáffííen á qai mut (a demaadfinu M b h HILAIRB, Meatee ImHMmife«» (Ventfte). unir i-r—inr-mi1 i m t 'n 'i 'T ni' 'u i ii'man w—» l'huil® peur ûufdi 9fi údtífithfit euísi «u? mm y«nt!ujs lo b m t à r t l i t f « 1 10 faites, eiôêh Htm • I. a ti Librairi» bretone, 7, rut EHfi-FHrer; m Ua jum» m tmsk * rum» è m]É9áé9駡 AûmM*n*n*9érvuta• IMfM f, f» m HMFrt** i ••• n a isäprtötBÄ M1« m ü« marni i h m mmm kukm» ri tai t a few cväk^.» d» •m tmm tm li, » I H M IN É M U mmtftE MAUUT! ** m$MMm 4 4« te » » t o i i'«Mwt EïrtWHW II d S t e m fil T» M l t m # H » B B & tu #8» In HpWiMmdoiii<EÉlH)i g s E ^ ÄJrtWi Ä UBÍRBpIP JI IVo' 8 (32*: année) Vendredi 24 Février 1 9 3 9 Lé numéro 3 5 centimes A l'Imprimerie du " Cltoyea 0 7 , r u e E l l e - F r ë r o n (ancienne rue RogaU) on Organe Hebdomadaire d e Défense Laïque et d'Action Républicaine. — QUIMPER e x é c u t e t o u s l e s genre« D'IMPRIMÉS Fondateur : Georges LE BAIL 1906-1937 A B O N N E M E N T S Finistère et départements limitrophes Autres départements Colonies Les abonnements sont payables BUREAUX et IMPRIMERIE, V, Une Elie-Fréron : 1 S f r . p a r an. SO — Téléphone Chique Postal n" 142.70, Nantes. Adresser tontes les communications â M. Pierre GUÉGUEN, Imprimeur-Gérant. Les manuscrits d'avance. 8 * ne sont pas rendus. Pour les renseignements joindre ANNONCES QUIMPER un timbre pour la réponse. t ••! Annonces judiciaires et diverses (3" ou 4* page).. Sflr.1 0 la ligne Prix à forfait pour les Annonces répétées et traités d e publicité, Les communiqués et annonces doivent parvenir au journal le mercredi matin au pins tard. (1 ÍK» Il ne peut y avoir personne dans le — Le nouveau Ministère belge a LE S DÉBATS AGRICOLES A LA C H A M B R E pays pour admettre que la France été constitué par M. Pierlot. La crise puisse faire la moindre concession ne fut pas aisée à résoudre. Plus de soit en ce qui concerne son territoire dix jours de pourparlers et de-négociasoit en ce qui concerne ses droits. tions furent nécessaires pour la mener Il n'y a personne dans le pays qui à bonne fin. ne réalise qu'une telle question ne — Le château de Cléres, près de Au cours des débats agricoles qui attendant l'application d u décret-loi d a Le bruit d'un rapprochement entre l'Allemagne, les persécutions et les peut pas faire l'objet d'une négocia- Rouen, a été détruit par un incendie. l'Allemagne et la Russie a couru exécutions dont ont été victimes les tion puisque, pour nous, la question Il contenait des collections de grande se sont déroulés à la Chambre des 14 juin 1938, les agriculteurs qui peucommunistes dans ce dernier pays, ne se pose pas, puisque nous répon- valeur qui ont été anéanties. Les Députés, M. Jean Perrot est intervenu vent prétendre au bénéfice de ses disces temps derniers. Seuls s'en étonneront ceux qui n'ont les luttws militaires camouflées qui se dons à toutes les réclamations de animaux du jardin zoologique, connu pour signaler, une fois de plus, la positions recevront-ils une majoration examiné que superficiellement les pro- sont livrées sur le front d Espagne, l'Italie par un « non possumus » caté- de toute l'Europe et renfermant les nécessité d'apporter des modifications des primes qu'ils touchent au titre d e blèmes qui se posent dans l'Est euro- semblent avoir creusé un fossé que gorique. plus rares spécimens d e la faune essentielles et de notables améliora- l'encouragement national aux familles nombreuses. rien ne pourrait combler. péen. Mais il n'y a personne aussi qui d'Afiique et d'Asie, sont indemnes. tions au régime des allocations famiIl était indispensable de régler cette Ne nous y trompons pas I Le n'ait le devoir de comprendre que 11 est peu de questions que la passion Les dégâts sont évalués à environ liales agricoles. situation. Mais, ce qui surtout doit politique ait plus systématiquement III* Reich est avant tout réaliste et ne pour dire ce « non possumus », pnur 6 millions. Dans sa réponse au Député du Fi- retenir notre attention, c'est l'utilisadéformées que celle des accords frauco- s'em barrasse point de semblables ques- le dire définitivement et pour n'ad— Devant la villa Torlonia, résidence nistère, M. Queuille, ministre de l'Agri- tion du crédit de 450 millions reprétions lorsqu'il poursuit un but. mettre pas de réplique, il faut que de M. Mussolini, un policier, chargé russ'es. culture, a fait un examen complet de sentant la dotation budgétaire d e s toutes nos forces soient mises eu C'est l'Ail« magne qui, au lendemain On pouvait certes, sans dépasser les de la protection du dictateur, a été œuvre. de la guerre, a réorganisé l'armée la question, et indiqué les améliora- allocations familiales agricoles. limites de la libre discussion, contesgrièvement blessé par un individu susSur ce montant, une somme d e 50 rouge ; elle y a conservé de préter leur opportunité et leur utilité, Il faut la force financière et la force pect. Il s'agirait d'un fou, sorti depuis tions qu'il a déjà apportées à la situamontrer les inconvénients qu'ils pou- cieuses sympathies et une incontes- monétaire qui sont u n e nécessité quelques jours seulement d'un asile tion d e s salariés bénéficiaires d e s millions a déjà reçu une destination précise, puisqu'elle doit permettre vaient présenter en détournant de nous table irfluence. Ses instructeurs g e r - pour assurer le réarmement de la d'aliénés. 11 y a trois semaines, une allocations. l'application du décret-loi du 31 mai certaines amitiés, mais il était, dange- maniques sont du reste restés en France. bombe aurait également fait exploQuant à l'extension aux exploitants, reux et inopportun de leur donner une Russie pour la p l u p a r t , sous le Il faut la force de la proluction, la sion dans la villa, en l'absence du il en souligne les difficultés et dit : 1938 instituant des bonifications d e cotisations a u profit des employeurs portée qu'ils n'avaient pas, fournissant couvert de fonctions diplomatiques force du travail qui doit donner à ce Duce toutefois. De nombreuses arres« Tout en rendant hommage, M. Perrot, chargés de famille. Monsieur le Minisainsi des arguments aux campagnes de diverses, et leur chef n'est autre que pays l'armature économique indispen- tations ont été opérées à la suite de au sentiment de justice et de solidarité tre, vous avez pris là une disposition l'attaché militaire allemand. C'est un certaines puissances étrangères peu sable. ces deux attentats. paysanne qui vous anime, ainsi qu'au heureuse à laquelle nous ne pouvona général de division, alors que le nôtre soucieuses des intérêts réels de notre Il faut enfin l'union de tous les — Le Gouvernement japonais a fait bel exposé que votre pratique de la qu'applaudir. Mais il s'ensuit q u e nous est un simple colonel. pays. Français qui doivent opposer aux savoir à la France, à l'Angleterre et vie rurale vous a permis d e faire, j e ne disposons plus, en tout et pour tout, Que les chefo russes qui furent exé- ambitions du fascisme un front uni. 11 s'agissait, du reste, d'une quesaux Etats-Unis, à la suite de leur que d'une somme de 400 millions pour cutés aient été des traîtres, on ne saution extérieure, devant être examinée demande d'explications relativement pense que vous vous apercevrez im- assurer l'application du décret réalirait le dire avre certitude, mais il uniquement au point de vue national. à l'occupation de 1 île de Ilainan, qu'il médiatement que l'extension des allo- sant l'extension des allocations a u x Elle ne l'a été trop souvent qu'en fonc- semble bien qu'ils étaient restés en n'avait pas l'intention d'occuper cette cations familiales devient singulière- exploitants et aux artisans ruraux. tion des sympathies et d e s haines rapports avec ceux dont ils avaient été tle au delà des nécessités de la cam- ment délicate, en raison de la situation en Angleterre Je déclare tout net qu'avec d e s c r é politiques de ceux qui en discutaient. jadis les intimes collaborateurs. pagne nippone en Chine. particulière des travailleurs et la cona conservé dits aussi faibles, il n'est pas possible Par ailleurs, l'Allemagne Cette intrusion des idées partisanes Voici le programme de la visite offiOn annonce, p a r ailleurs, que les texture même d e l'agriculture en des amis là-bas et pas seulement dans d'instituer des allocations suffisantes dans une matière où elles n'avaient cielle du Président d« la Répub'ique Japonais ont occupé Nan-Tan, à 4 km. France ». en faveur des enfants d e nos campafien à faire est particulièrement redou- les é h m e n t s frotzkistes. L'idéologie Française et de Mme Lebrun, en Angle- de Hong-Kong. Les autorités britanLe Ministre reconnaît le bien fondé table pour l'unité et la vie d'une n a - nazie et l'idéologie bolcheviste sont- terre. niques se montrent ti C3 inquiètes de des observations de M. Perrot dont il gnes. Aussi, comme il n e saurait ê t r e tion. Elle est, hélas ! caractéristique elles d u reste si éloignées l'une de M. et Mme Lebrun arriveront à la la nouvelle situation ainsi créée. a déjà, dit-il, retenu des suggestions question d'étoffer les allocations famik de notre époque, où, trop souvent, les l'autre ! gare de Londres le mardi 2l mars, à — M. Julien, ministre des P. T. T., en la matière ; il reconnaît également liales avec ce maigre viatique, j e passions obnubilent le sens national, * . 15 heures. Ils seront accueillis par le a présidé lundi à l'inauguration du la nécessité de créer d e nouvelles serais d'avis de l'utiliser pour combler exposant le pays aux désastres de la Le Reich poursuit un grand rêve à roi et la reine Elizabeth et se rendront nouveau poste émetteur de T. S. F. de guerre civile et aux agressions étran- l'Est. Il y cherche les vastes espaces et au palais de Buckingham ; ils rendront ressources pour financer la réforme, les lacunes et corrig'-r les imperfecRennes-Thourie. gères qui en sont la conséquence. et ajoute qu'il s'efforcera de résoudre tions du décret-loi d u 14 juin 1938. les terres à blé que, ni l'Anschluss, ni visite ensuite à la reine Mary, à MarlboLa station de Thourie se trouve à « En d'autres termes, j e voudra!» l'annexion des Sudètcs, ne lui ontrough* House. M. Lebrun ira ensuite à 40 k m . de Rennes et à 80 km. de ce délicat problème au mieux d e s * » qu'avec cet argent on débarrassât intérêts paysans. l'Institut français, dont il inaugurera les apportés. Nantes et d'Angers. Elle fut choisie, Pour notl«, nous n'éprouvons aucune notre chétive construction d e quelnouveaux bâtiments de (JueensburyMais le Chancelier Hitler préfère Nous donnons ci-dessous, d'après en 1935, pour recevoir la nouvelle honte à nous entendre avec qui que ce certainement, selon une méthode qui Place. Dans la soirée ils assisteront à ques-unes de ses malfaçons. antenne du poste de Rennes-Bretagne. les débats parlementaires, le texte de soit, si cet accord peut servir notre lui a d ' j à si bien réussi, arriver à son un banquet à Buckingham. Les plus graves reproches qu'on la pertinente intervention du Député Pays. adresse communément a u nouveau Le lendemain, le Président recevra but plutôt par l'intimidation, que pardu Cap : Certes, l a plupart d e s Français la guerre. régime sont les suivants : les chefs de mission du corps diplomaM. le Président. La parole est à M. n'accepteraient p a s un gouvernement 1° 11 n'apporte aux intéressés qu'on* tique au palais de Buckingham, puis il La campagne menée youv l'indépenPerrot, pour développer son inter- avantage souvent illusoire, puisque d e »'inspirant des principes de Moscou, dance (?) de l'Ukraine n'est sans doute se rendra avec Mme Lebrun au Une élection sénatoriale a eu Heu pellation. pas plus que de ceux de Berlin, car qu'un sondage. l'allocation elle-même il faut déduire Guildhall, où un déjeuner sera donné dimanche, à Epir.al (Vosges), pour M. Jean Perrot. Messieurs, d e ils mettent la liberté au-dessus de tout. pourvoir au remplacement de M. la prime de l'encouragement national' en leur honneur par le Lord-maire et Il est hors de doute que, poursuitoutes les questions qui peuvent nous Flayellc, sénateur, u. r. d., décédé. Mais là n'est pas la question. la « Corporation s de la Cité de Lonet le montant d e la cotisation personvant sa volonté d'anéantir les derniers ' On ne choisit pas ses associés. Les restes d u Traité d e Versailles et sa dres. Au premier tour de scrutin, M. préoccuper au cours de ces débats, j e nelle. n'en retiendrai qu'une, j e n e retienévénements les imposent et François I", politique d'expansion territoriale, l'Al2° 11 fait peser u n e charge trop Dans l'après-midi, ils assisteront à Gaillemain, député de Remiremont, drai que la plus pressante, celle qui u. r. d., a été élu par 576 voix, contre l e roi Ués chrétien, fut un politique lemagne va se trouver tôt ou tard face une réception donnée par le London lourde sur l'exploitant auquel o n avisé le jour où il s'allia avec le Grand à la Pologne, en ce qui concerne Dant- County Council, et le soir le roi et la 375 à M. Mougeot, indépendant, 74 à est à l'ordre d u jour du monde impose le payement d'nne cotisation rural : j e veux parler d e l'extension Turc, contre lequel la catholique Au- zig, le couloir et l'accès de l'Ukraine reine seront leurs hôtes à un dtner M. Julien, s. f. i. o., et 17 à divers. relativement élevée. des allocations familiales dans l'agritriche menait la Croisade. 3° il établit u n e inégalité flagrante qu'elle lui barre. ollert à l'ambassade de France, dîner culture. < Or, il n e semble p a s que nous entre le paysan qui reçoit l'allocation, que suivra une réception de gala à La neutralité sympathique de l'U. R. Et, tout de suite, j e m'empresse de puissions sans danger laisser se dé- S. S. serait pour elle un atout consi- 1 Opéra de Covent Garden. familiale et les antres bénéficiaires d « déclarer que j e n e suis pas à cette tendre complètement les liens qui dérable pour la réalisation d e ses Jeudi 23 mars, M. et Mme Lebrun cette allocation, qui l a touchent-dè« tribune pour faire une critique sysAftur unissent à l'U. R. S. S . , liens premiers projets qui constitueraient assisteront à une réception donnée par On lit dans te grand journal anglais tématique et vaine d e la réforme et pour le premier enfant. que l'affaire tchécoslovaque n ' a certes pour elle une base de départ à l'Est. les Membres du Parlement à Westmins- « Le Manchester Guardian » : En raison des circonstances, il est à accomplie, ou plutôt aftiorcée, en juin pas contribué À resserrer. A le voir de près, l'esprit de l'armée présumer que le nouveau régime n e ter, puis ils se rendront au château de Plus tard, on verrait l dernier. Au contraire, mes premières allemande n'est évidemment pas compourra guère entrer en application On peut, certes, discuter la valeur Windsor où ils déjeuneront avec le roi Et l'éventualité d'un nouveau partage paroles seront pour rendre u n homde l'armée de l'U. R . S. S. et ses pos- de la Pologne n'est nullement exclue. et la reine. Dans la soirée ils assiste- parable à celui de l'armée d e 1914, mage mérité aux efforts d e M. le avant le 1 " juin prochain. Il faudrait sibilités d'intervention dans un conflit Nous n'avons plus guère aujourd'hui ront à une réception donnée par les Une armée a besoin d'organisation, Ministre de l'Agriculture qui a fait profiter d e ce délai pour y apporter européen. Une armée décapitée par d'influence en Europe Centrale, c'est Associations unies France et Grande- de matériel technique, d e matériel sortir des limbes une réforme dont on les retouches et les. modifications i n Bretagne, puis avec le roi et la reine humain, ce dernier doué de l'esprit parlait toujours et qu'on n e réalisait dispensables. l'exécution pu la destitution d'une un fait. En premier lieu, il faudrait supprià un dîner offert par le secrétaire nécessaire. L'organisation actuelle est jamais. (Très bien ! très bien !) partie de ses grands chefs perd cerN'abandonnons point les atouts que mer l a disposition la plus choquante tainement de sa valeur. nous possédons encore du côté de d'Etat au Foreign-Office, et enfla à une bonne, mais elle subit les nécessités Mais, hélas ! Monsieur le Ministre, D'autre part, l'aviation soviétique a ces pays de l'Est, Russie, Pologne, réception, accompagnée d'un divertis- d'une politique de bluff militaire. Le il faut bien le dire, lorsque vous avez du décret : l'interdiction du cumul d e Certainement été atteinte dans le mo- Roumanie, qui ont déjà dans l'histoire sement tfrtàtral, organisée au Ministère matériel d'artillerie est bon ; le reste mis ce projet sur le chantier, vous ne la prime d e l'encouragement national du matériel est produit trop à la hâte et de l'allocation familiale. d e r n i s e d e sa construction p a r la représenté un si utile contrepoids aux de l'Inde. disposiez pas des ressources nécessaiet il est franchement mauvais. Le visées impérialistes, menaçantes pour Au cours de la discussion du budget décision d e s Etats-Unis n'autOiisant res et vous avez bâti avec des matématériel humain est bon, bien entendu ; l'intégrité de notre pays. de l'agriculture, j'ai démontré, e n en la matière l'octroi de licences que riaux insuffisants. mais, sous son admirable surface, il m'appuyant sur des chiffres incontesEt surtout, lorsqu'il s'agit de la vie deux ans après l'enregistrement du U en est résulté utl régime , emest incontestablement animé d ' u n tables, que cette disposition aboutit, de la France, laissons la politique au brevet. esprit qui laisse à désirer du point de bryonnaire, en vérité bien difforme et dans certains cas, à ce paradoxe effaclou I de 1« Quoi qu'il en soit, seul u n partidébile. Aussi, j e Voudrais en faire vue militaire. pris politique évident peut faire dénier une critique à la fois raisonnée et rant et vraiment étrange que plus l a Citons un détail caractéristique. Lors famille est nombreuse, moins elle est une réelle valeur aux forces militaires constructive. de la guerre mondiale, jusqu'à la fin de l ' U . fi. S. 9 . , solides, pourvues En la matière, le budget de 1939 favorisée. de 1910, pas un seul soldat ou civil De plus, cette interdiction, n e s'ap- ; Les crises gouvernementales se — d'un matériel abondant, composées a apporté deux éléments nouveaux : succèdent en Europe centrale. Ces allemand n'encourut la peine de mort. d'une part, l'attribution ' d'un crédit pliquant qu'aux seules familles r u r a d'hommes vigoureux et dont le Goujours derniers, c'est la Hongrie qui, à Jusqu'au dernier jour d e la guerre de 450 millions au titre d u chapitre les, est inacceptable, non seulement vernement s'applique soigneusement f A C s a s v o w * » son toUr, a changé de ministère. Le mondiale il n'y eut, pour ainsi dire, 80 du budget de l'Agriculture ; d'au- du point de vue matériel, mais encore à maintenir l'esprit de dévouement au régime par des privilèges nombreux, nouveau gouvernement est présidé pas un seul cas d'espionnage pour le tre part, le vote des dispositions tran- et surtout du point de vue psycholo* compte de l'ennemi, Imputé a un j o u r n a l l e par le comte Téléki. L'ancien présisitoires énoncées dans 1 article 113 de gique. • * soldat ou à un ©ivil allemand, A p r é Qu'on abandonne donc aù Ministère dent du Conseil, M. de lmrédy, qui la loi de finances. A V O U A M I S sent, il ne se passe guère de semaine de la Santé publique les crédits d e Mail le prlticipfll intérêt des accords passe pour être trop inféodé à Berlin La date d'entrée en vigueur du noumm sans qu'un Allemand subisse la peine cette provenance^ et ce département frftnco-sotiétiquei n'est pas l â . 11 et à Rome, ne fait pas partie du nouveau veau régime était fixée au 1 " janvier capitale pour crime d'espionnage. continuera à sertir les primes de féside dans le fait que Ces accords en cabinet.. L'une après l'autre, les petites Dans bien des cas* il s'agit de soldats 1930 ; mais, de diilérents côtés, des l'encouragement national aux famille« empêchent d'autres et i l semble bien puissances danubiennes essaient ainsi de l'armée active au d(3 réservistes. difficultés pratiques ont surgi pour sa paysannes comme à toutes les autre« que l'Allemagne n'ait pas perdu l'esde détendre les lleHs qui semblaient Les premières Condamnations à mort mise en Cëuvre. Puis, des dispositions familles françaises. pair d'ùn rapprochement avec ftjoséduj tandis qué d'aU6uM fia semblent le« unir trop intimement à l'axe iufeixt prononcées contre des femmes législatives sont Veuuss en troubler le De la sorte, on ne retirera pas d'une «t d'un rapprochement qui île serait ataii* d'autre sOucl que de trtiuhler Bërlin-ttoinci mécanisme. de l'aristocratie, des filles d'officier, main ce que l'on donne de l'autre. 1 pus uniquement pacifique^ l'âme nalioualë, dé jeter lë désordre C'est ainsi que le décret-loi d u 12 M. Jaspai ) arieiefl président du et des fonctionnaires du ministère d e En second lieu, il m e paraît désira« Cela peUt iurprettdfe flu ptemier dafls lës esprits, le gtfu^ërnement Ctfnseil de Belgique, côt mort des novembre 1938, affectant un crédit de la guerre^ (je détail suffit à prouver ble d'alléger la cotisation de lVxploi* ifctfrd, étant doifné la férocité d e s radical n'a è'u. d'autre sbuci t^tie dë SiiitëS d'ufae intervention chirurflicalej 200 millions au relèvement des primes que l'armée allemand« fe&t obligée de ItiOeS idéologiques <Jui së scint pb'ufr- réalise!' i'utiànlmité nationalefeton On «ait t(ue< chargé en£ore> ëu d^but à com- tant, c a r , en l'état actuel de» choses', compter avec lYalstcmce, parmi les de l'encouragement national, ëllg minimise singulièrement l'ullocaSÙiviei députa de« jlnnécfl efitre le» peut bien dirë qu'il f ë'st paf-Vëiiu. pliqué singulièrement la situation: dë la seitiaifie (ieiniÊrë, dë déflm.er la trüuuefij Comme parmi les civils, d'un iitin qui lui est dévolue« En < #<>t, suiCar i'unànimitâ nationalefe'stdatia Crise belge, il ¿tait échtiué dans sa esprit différent de celui qui régnait I l eût été souverainement injuste vant le cas, il peut être appslé $ t U é & Q de« officier« aOviéiidue« le fflofflétt présent Uiië Côûdltioii missioûi M, lasp&f était uii grand ami en 19Í4, d'écarter les familles pa^iflues du v o f w ¿ç? s ç t ! g » r w ^ M k i i «JMtrtlellË dfci la v«i*i hénéflçe (jettg 'rteipre! h m \ [ «e éiffiftî«!«! VEILLONS A L'EST M MtVI Li lililí ET 1/ALLEHlfilVB Le voyage da Président ds la République Election Sénatoriale Que veut l'Armée ailmnie ? Miettes Semaine Citoyen tôu^onùéi de sympathie & l'égard de X.E pour s e s enfants majeurs et pour s e s e m p l o y é s . D'autre part, il ne faut p a s oublier qu'il p a y e déjà pour son p e r sonnel d e s p r i m e s assez é l e v é e s pour couvrir l e s risques d'accidents du t r a vail e t ceux q u e concernent l e s assurances sociales. Toutes c e s charges totalisées d e viennent difficilement supportables pour l'intéressé. Certes, n o u s ne m é connaissons p a s l a nécessité d'un effort d e l a part d e l'exploitant l u i m ê m e ; mais étant donné qu'il n'a p a s d ' e m p l o y e u r , il y aurait lieu d e mettre l a moitié d e l a cotisation individuelle à l a c h a r g e d e l'Etat. Ce n e serait p a s u n e innovation, puisque cela s e fait déjà en matière d'assurances sociales et d'accidents d u travail agricole. E n troisième lieu, i l n e faudrait p a s écarter, dans tous l e s cas, c o m m e à présent, l e premier enfant d e l'exploitant du bénéfice d e l'allocation. Q u ' o n l a refuse pour le premier enfant ou pour l'enfant m o m e n t a n é m e n t s e u l , soit I n o u s l'admettons. Mais la .refuser pour l e premier enfant d ' u n e f a m i l l e qui en compte cinq ou six, par e x e m p l e , c'est inadmissible. 11 y a donc lieu, e n toute équité, d'accorder l'allocation pour l e premier enfant d è s q u e la famille e n compte au m o i n s u n deuxième. Vorlà, à m o n sens, l e s trois modifications e s s e n t i e l l e s ; il y en a d'autres, qu'il y a lieu d'apporter immédiatem e n t au" régime d e s allocations familiales agricoles. l e n e "puis chiflrer exactement l e coût d e c e s m e s u r e s , mais il m e s e m b l e qu'elles peuvent être réalisées avec l e s r e s s o u r c e s dont on dispose actuell e m e n t , Binon il faudrait l e s compléter par d e s crédits budgétaires. ne désertait p a s la terre. Aujourd'hui, j e suis d é s o l é d e voir n o t r e j e u n e s s e s'évader vers d e s occupations qu'elle s ' i m a g i n e p l u s faciles et p l u s r é m u nératrices. De tout t e m p s , il e s t v r a i , ce c o u r a n t v e r s l e s villes a existé. De tout temps, la campagne a été la grande pourvoyeuse d'hommes. LeB villes sont l a r g e m e n t p e u p l é e s d e p a y s a n s ou d e fils d e p a y s a n s déracinés. Mais, a u t r e f o i s , ceux q u i s ' e n ' a l l a i e n t c o n s t i t u a i e n t le t r o p p l e i n d ' u n e population excessive. Aujourd'hui, c e u x q u i s ' e n v o n t n e sont p l u s e n t r o p . C'est l a t e r r e q u i se vide d e sa s u b s t a n c e . E t voilà le d r a m e d e n o s c a m p a g n e s . E t voilà le d a n g e r p o u r le p a y s . S a n s d o u t e l e s allocations f a m i l i a l e s n e sont p a s u n e p a n a c é e . Mais il n ' e s t pas téméraire d'affirmer que, bien c o n ç u e s e t b i e n o r g a n i s é e s , elles p o r t e n t en elles q u e l q u e s r e m è d e s à c e t t e a f f l i g e a n t e situation. Pour le Monument X«ea v a c a n c e s s c o l a i r e s Par arrêté de M. le Ministre de l'Education Nationale, les vacances dans les établissement» scolaires ( l ' r e t 2 e degrés), sont fixées comme suit : Noé'l et nouvel An : du 23 décembre au soir au 2 janvier inclus. N o m s d e s Souscripteurs Carnaval : lorsque le dimanche des Mme et M. Muzellec, directeur d'école, Rameaux tombe en avril, les établissements Logonna-Daoulas, 20 f r . — M. et Mme et les écoles vaquent les lundi, mardi Gras, Mest, instituteurs, Logonna-Daoulas, 10 mercredi et jeudi. Dans le cas contraire, il n'y a aucun fr. — Mite Goachet, institutrice, LogonnaDaoulas, 5 fr. — M. Henri Le Bec, Léchi8- congé. Pâques : la semaine précédente et la gat, 10 fr. — Anonyme, Tréméoc, 5 fr. — Anonyme, Tréméoc, 50 f r . — M. E Cos- semaiue suivante. Pentecôte: les écoles vaquent le mercredi quer, directeur d'école honoraire de la Seiue, 10 fr. — Association amicale des et le jeudi qui suivent la Pentecôte, quand anciens Elèves du Lycée La Tour d'Au- aucun congé n'a été accordé à l'occasion du Carnaval. vergne, Quimper, 100 fr. (>rand s vacances : du 15 juillet au 30 septembre inclus. Le montani des Souscriptions s'élève à Toussaint : l " et 2 novembre. roes Le Bail » à 4 6 . 3 3 3 fr. 5 5 ¿/e. ÇjOjputA Monsieur le Ministre, v o u s avez a t t a c h é v o t r e n o m à u n e œ u v r e . 11 faut parachever cette œ u v r e . Nous v o u s y convions. L ' a c c o m p l i s s e m e n t de c e t t e l â c h e m a r q u e r a v o t r e p a s s a g e r u e d e V a r e n n e , et v o u s a u r e z bien mérité de la paysannerie française. ( A p p l a u d i s s e m e n t s s u r un g r a n d nombre de bancs.) CITOYEN <£> tà LOTERIE NATIONALE f t M t e z â v e i u m e ! UN PETIT LAROUSSE? ÉDITIONS DE TOUS PRIX 1 3 i f r . - l 8 f r , 2 4 f r . - 2 9 f r . 4 8 f r a n c s T » * t » « t Illustration p3us a b o n d a n t s o t meilleur», mémo dans los formats réduits, v ' * n aucun autro dictionnaire« avait emprunté également & un commerçant de Lorientune somme de 2.000 francs et lui avait remis des titres engagés. Cu< ff nie les faits. II avait gagné un lot d'un million à la Loterie nationale, en . participation avec trois bouchers de Brest, et aurait r< çu, pour sa part, 250.000 francs. Avec cette somme, il avait, dit-il, acheté les titres à un personnage nommé Rault, dont on n'a pu retrouver la trace. Le second vol eut lieu le dimanche 11 février 1938. CuetTs'introduif-it au domicile de M. Le Qoellec, dentiste à Quimper, rue Keréon, força les tiroirs et les meubles sans réussir à les ouvrir ; il ne put emporter qu'un stylo et un porte-mine. Arrélé quelque temps après pour un autre délit, il f u t trouvé en possession du stylo du dentiste. Mais c'est encore, dit-il, son ami Rault qui le lui a procuré. La Cour n'adopte pas son système de défense et elle élève à 5 ans la peine daDS la première affaire, plus 10 ans d'interdiction de séjour. Elle confirme la Fécondé peine et p r o nonce la confusion. P o n r l a F o i r a > E x p o a « i o n . — Un concours pour une maquette d'affi h<3 pour la Foire-Exposition de Quimper et de Cornouaille 1939 est ouvert entre foutes les personnes qui désirent y participer. Le concours est doté de trois prix ; un de 400 fr., un de 200 fr. et un de 100 fr. Les maquettes devront être remises à la Chambre de Commerce, au plus tard le 4 mars. Le lèglement du concours est à la disposition des intéressés à la Chambre de Commerce. Taxe s u r ' e s spectacles. — Le Maire expose au Conseil qup, p a r délibération en date du 10 avril 1938, le Conseil municipal a décidé q u e la taxe s u r le droit des pauvrres, fixe à 5 '/ 0 . est applicable à tous les spectacles tels que théâtres, cirques, cinémas et bals publics. Il y avait lieu de préciser qoe la dite taxe ne sera perçue q u e sur les spectacles et autres réjouissances assujpttis è la taxe d'Etat. Service des Pompes funèbres. — Un service des Pompes funèbres, comprenant la fourniture d'un corbillard et de ses a c cessoires, fonctionne à Plozévet. M. le d é p u t é - m a i r e porte à ia connaissance des communes environnantes que le corbillard et ses accessoires seront mis à la disposition des personnes qui en feront la demande, aux tarifs ci-après : hors clause, 100 f r . ; première classe, 60 fr. ; deuxième classe, 40 fr. Pour tous renseignements, s'adresser à la Mairie de Plozévet. Penmarch ' S a i o i d a . — M. Nonna Stéphan, demeurant à Kérouille, en St Guénolé, a mis fin 6 sp8 jf»urs en se pendant à la rampe de l'escalier de sa maison. Le défunt, réformé pour troubles mentaux, éti it âoré de 65 ans et avait été interné plusieurs fois. Pont-Croix Xiégion d ' h o n n a u r . — Dimanche ma'in, au cours d'nn>- cérémonie intime, M. Chauvin, négociant, adjoint-maire de PontCroix, a remis la croix de chevalier de la Légion d'honneur à M. François Gourmel*n, grand mutilé de guerre, receveurburaliste à Plogonnec. Toutes nos félicitations au nouveau décoré. E s p é r a n t o . — Le groupe espérantiste « Odeta Stelo • se réunira dimanche p r o chain 26 lévrier, à 10 heures, dans le local Vout ne trouverez pat le Citoyen habituel de ses cours, à l'école la r u e du Douarnenez "hei tout let dipotitairet de journaua Lycée. Entrée, place Claude Le Coz. A v i a a n s OhAmaara. — Les Ouvriers du département, mait vout Le trouvera Ordre du j o u r : allocutions, chants en chômage de Douarnenez, anciens comlûretnent chex vout en vout abonnant R e m i s e s d o Xa'gioa d ' h o n n e u r . — lectures, distribution de listes de corres- battants, font invités à se présenter le plus tôt possible à la Maine, munis de ' Voir b u l l e t i n d '»honnein»>nt »n i ' p a í p > Samedi, è 17 h"ures, les Conseils d'admi- pondants étrangers, etc... Mais, ainsi q u e je l'ai indiqué tout Ne pas oublier d'apporter les corresleur carte de combattant, pour renseignenistration du Comité d'Hygiène sociale et à l'heure, tout cela n e nous donnera pondances et les documents intéressants ments. de la Société de Crédit immobilier du encore q u e d e s allocations étriquées. Finistère conviaient, dans les salons de reçus depuis la dernière réunion. m B 1 3 ? A S y « l t t 8 K T E t a t - C i v i l . — Naissances : Maryvonne Quoi qu'il e n 'soit, nous pensons La réunion étant libre, toutes les personl'hôtel de 1 Epée, à un vin d'honneur, de Criou, r u e Monte-au-Ciel ; Anne-Marie qu'il y a l i e u tout d'abord d e faire nombreuses pi-rsonnalités, à l'occasion de nes désireuses de se documentei s u r la Simon, r u e Plomarch ; Danielle Pierson, de la Chambre Syndicats d'Initiatives disparaître l e s injustices, car l'injustice la remise, à M. le docteur Chauvel, de la question de la langue auxiliaire internatio- rue Amiral-Courbet ; Jeanne Le Gac, i m du Finistère nale y sont cordialement invitées. ert l a chose l a plus intolérable à croix (t Officier de la Légion d'honneur. passe Curie ; Pierre Le Bihan, r u e MorceLe g r o u p e d e Défense l a ï q u e d e l a l'esprit français. M. le docteur Le Gorgeu, sénateur-maire C h a m b r e d e s D é p u t é s v i e n t d e se Avis tmporlaniaux hôteliers et restaurateurs. A u T h é A t r » . _ Tournées Ch. Baret. — au Ciel; Emmanuel Queinnec, rue du MouEnsuite, i l faudra créer d e s res- r é u n i r . Le P r ' s i d e n t de l'union des syndicats de Brest, présidait cette manifestation de C'est du rire qui nous arrive... : « La Son- lin. sources n o u v e l l e s pour permettre d e Mariages : Marcel Lhommet, commerd'initiatives « Essi » du Finistère a l'hon- sympathie. nette d'alarme », l'immense succè9 de rire Il a e x a m i n é l e s d i f f é r e n t e s q u e s t i o n s M. Angéli, préfet du Finistère, et M. qui connut à Paris une fortune extraordi- çant à Angers, et Marie-Anne Théphany. a donner d e s allocations p l u s substan- i n t é r e s s a n t la d é f e n s e l a ï q u e . neur de prier MM. les hôteliers et restaurateurs du département, de vouloir bien Le Gorgeu, sénateur, président du Comité naire (plus de 600 représentations consé- Douarnenez ; Corentin Dieucho. biscuiti r tielles. Le b u r e a u a é t é r e n o u v e l é . lui retourner d'urgence, et porteur de tous d'Hygiène sociale, prirent la parole pour cutives), nous est annoncé par les Tour- à Ploaré, et Berthe Plouet, à Douarnenez; Pour aboutir à c e résultat, j e reste M. A l b e r t Le Bail, d é p u t é d u F i n i s les renseignements demandés, le question- complimenter le nouveau p r o m a et faire Jean Jourdren, mareyeur, et Alexandrioe nées Ch Baret. partisan d u m o y e n q u e j'ai préconisé 1ère, a é t é é l u v i c e - p r é s i d e n t . son éloge. Castel, à Douarnenez; Henri Joncour, hornaire destiné à établir la liste des hôtels et Cette représentation ne saurait manquer d a n s l a proposition d e loi q u e j'ai loger à la Forêt-Fouesnant et résidant à M. le docteur Chauvel, en termes choisis, d'être bien accueillie. restaurants du Finistère qu'il vient de leur d é p o s é e a u n o m d u g r o u p e radicalDouarnenez. et Marie Le Bagousse, à T r é remercia les organisateurs et les particiadresser. socialiste, c'est-à-dire d'une taxe relabonl ; Hervé Kervarec, commerçant, et MM. les hôteliers qui, pour quelque pants do cette réunion. t i v e m e n t l é g è r e sur l e s ventes de Désirée Tallec, professeur de musique & De vifs applaudissements saluèrent les cause que ce soit, n'ont pas encore reçu Lea C i n é m a s produits agricoles d e grande consomDouarnenez. paroles de M. le docteur Chauvel et les de questionnaire, sont priés d'en aviser le E n E s p a g n e , on s e m b l e s ' a c h e m i n e r mation. invités levèrent leur verre en l'honneur Décès : Etienne Jéquel, époux de Marie enfin v e r s l a Paix. C e r t a i n s é l é m e n t s Secrétaire général de l'Union des Essi du Odot-V*alaoo (près de la Préfecture.). Finistère, 6 Brest, qui s'empressera de leur, du nouvel Officier de la Légion d'honneur. Programme jusqu'au lundi 27 février 1939: Le Dem, mécanicien, 38 ans, r u e JeanMalgré l e s critiques qu'on p e u t lui r é p u b l i c a i n s s e r a i e n t p r ê t s , assure-t-on adresser,:je continue à préconiser ce à d e m a n d e r la c o n c l u s i o n i m m é d i a t e en adresser un exemplaire par retour dii — Le môme jour, ô 18 heures, a eu lieu, Actualités parlantes et *onores ; un joli Jaurès ; Eugène Tournier, 71 ans, marin, courrier. au café de Mme Le Vergos, place Saint- film, et le grand film: « Un de la Cane- célibataire, place des Pé heurs (transcripm o y e n parce q u e j e n'en vois p a s d ' u n a r m i s t i c e . tion de Quimper): Elisa Le Gall, épouse de Le Président attiro l'attention de M M. les Corcntiu, la remise de la croix de la bière ». d'autres, parce que, sans doute, il n'en M. Léon B é r a r d s'est r e n d u d e n o u Ferdinand Join, 33 ans, r u e Ducouédic ; hôteliars et restaurateurs s u r l'intérêt qu'il Légion d'honneur à M. Fily, employé de existe p a s d'autres, si l'on s'en tient à v e a u à B u r g o s , c e t t e fois e n mission Marguerite Simon, 19 ans, célibataire, place l a voie dans laquelle on s'est e n g a g é . officielle. De l a suite d e s e s e n t r e - y a pour eux à répondre sans retard à son Préfecture, décoré pour faits de guerre. Res (près de la Gare). — Programme Edouard-Vaillant ; Paul Mao, 18 ans. é t u npp.'l, en lui adressant avant le 1 " mars M. Douguet, du Service des Mutilés et Le décret-loi du 12 novembre 1938 t i e n s v a d é p e n d r e l a r e c o n n a i s s a n c e jusqu'au mardi 28 février 1939 : Actua- diant, rue Ernest-R nan ; Françoise Perrot, prochain, dernierdélai, des renseignements Pupilles de la Nation, délégué de la Chanlités « Eclair-Journal » et deux beaux veuve de Eugène Bonizec, 80 ans, r u e a apporté d e s améliorations très s e n - d u g o u v e r n e m e n t d e F r a n c o p a r la précis, des prix soigneusement étudiés, 6 cellerie, épingla, avec le cérémonial habis i b l e s au r é g i m e d e s allocations fami- F r a n c e e t l a G r a n d e - B r e t a g n e q u i o n t , seule fin que, sauf cas de force majeure, ils tuel, sur la poitrine du nouveau promu, la films, dont : « New-York Express ». Obscure ; Marguerite Gonrret, veuve de liales d e s salariés d u c o m m e r c e et d e s u r c e t t e q u e s t i o n c o m m e s u r t o u t e s ne subissent aucune majoration au cours croix des braves. Pascal Kerouédan, 74ans, rue Jean-Jaurès; l'industrie. A p o l l o (près du Cap-llorn). — P r o Alain Le GofT, époux de Catherine Bourdon, l e s a u t r e s , a d o p t é u n e a t t i t u d e c o m - de la saison. *»• B a l d u S t a d o . — Samedi soir, le gramme du vendredi 24 au dimanche 26 53 ans, chaisier, rue Monte-au-Ciel. A partir du V* avril 1939, c e s allo- m u n e . bal annuel du Stade Quimpérois a connu, février 1939 : Actualités, un beau film et le c a t i o n vont être portées à 5 % du Notariat , De n o m b r e u x r é f u g i é s civils et miliune fois de plus, le plus vif et légitime grand film : « Rêve de Monte-Carlo ». Tréboul L'examen des candidats au grade de pre- succès. salaire m o y e n d é p a r t e m e n t a l p o u r le t a i r e s c o n t i n u e n t à r e n t r e r e n E s p a g n e Oonaoil M a n i o i p a l . — Voici le compte p r e m i e r e n f a n t , à 10 • / , pour l e d e u - | D e p u i s h i e r , j e u d i , l e s r e l a t i o n s ferro- mier clerc de notaire aura lieu à Quimper, Comme chaque année, toute la jeunesse rendu succinct de la dernière réunion du x i è m e , à 15 % pour l e troisième et viaires o n t r e p r i s au siège de la Chambre des Notaires des sportive de la ville et des environs, ainsi entre la France et Pluguffan Conseil Municipal de Tréboul, qui s'est p o u r chacun d e s suivants. Il e n résul arrondissements de Quimper, Châteaulin que de nombreux supporters, s'y étaient l'Espagne. tenue sous la présidence de M. Le Gonidec, Vfnm v i l a i n « a f f a i r a . Ces temps dertera pour c e s familles u n e aide t r è s et Quimperlé, r u e des Reguaires, 35, le donné rendez-vous. niers, les gendarmes, en tournée à Plu- maire. mercredi 8 mars 1939, à 14 heures, pour les appréciable et n o u s n e pouvons q u e Ce fut un bal très chic ; les dames et les guffan, étaient mis au courant de certains Changement de j o u r de marché — Le écrites, et le lendemain 9 mars, jeunes filles étaient toutes en toilette de n o u s e n réjouir. La Loterie Nationale àépreuves marché ayant lieu annuellement le mercrefaits lamentables qui se seraient passés au 9 h. 30, pour l'oral. soirée ot presque tous les messieurs en Bien e n t e n d u cela nécessitera un lieu dit « La Boutique », dans un débit di des Cendres, est fixé au mardi du CarLes candidats devront fiure parvrnir leur smoking. effort financier considérable. Croit-on tenu par le nommé Loussouarn, Agé de naval. Le tirage de la troisième tranche de certificat de travail à >1' Revault, président L'orchestre Devil-Duval justifia, une fois qu'il v a être supporté p a r l e s entre- la Loterie Nationale 1939 sera assuré, 37 ans. Borne-fontaine Cité Julia. — Suite è une prises e m p l o y a.n t c e s chefs d e famille 7 . e n présence du public, à Grasse (Alpes- de la Chanib-e des Notaires, è Douarnem z, de plus, l'excellente réputation qu'il s'est Après une longue enquête, les gendar- nouv. lie réclamation de M. Le Naou^, a n . le l " mars au plus tard. acquise à juste titre, et fit tournoyer les mes apprenaient q u e cet individu, après sujet des infiltrations d'eau provepaat <ti_. Une n o a point. Ces entreprises vont Maritimes), le mercredi 8 mars 1939, nombreux couples aux sons d'anciennes avoir esssayé d'abuser de sa jeune bonne, la borne placée à proximité de son imne»« i m m a n q u a b l e m e n t intégrer c e s c h a r - 1 à 21 heures. danses et de morceaux des toutes dernièh o M é r i t e S o o i a l orpheline et mineure, l'avait, i de n o m - ble, le Conseil, reprenant sa délibération g e s n o u v e l l e s dans leur prix d e re res nouveautés. breuses reprises et depuis trois ou quatre du 3 jnin 193?. décide, en attendant 1« Sont nommés officiers itu Mérite Social : vient et, e n définitive, e l l e s seront Pendant l'entr'acte, le Slade a offert Un suppression de cette borne, la fermeture ans, excitée à la débauche. MM. Lastennet Henri, ô Ploarô j Pirqne- vin d'honneur à ses invités. s u p p o r t é e s p a r l ' e n s e m b l e d e s con immédiate de la Vanne, De plus, 11 aurait volé ou essayé de voler nard Charles, à Quimper ; SeZoec Louis, à sommateUrs. Tour à tour, prirent la parole et se firent Chemin de RoZambidou. — Sur la réclades jeunes gens qu'il incitait à passer la ^ulmpef. applaudir, M. Louarn, président de la Vous verrez, d'ailleurs, que personne mation de Mme veuve Glaziou, demandant nuit chez lui. Sont notnmés chevaliers du Mérite So- société ; M. Gautier) maire de Quimper — Agent technique de terrain du Service n'y trouvera à redire e t q u e cette Loussouarn a été écrOué à la prison de l'installation d'un caniveau dans ce chemini temporaire de la revision des évaluations cial ! MM. André Médard, à Brest ; Audren M. Digrenne, chef de Cabinet de M. le r é f o r m e , à l a fois g é n é r e u s e et oppor afin d'empêcher les infiltrations d'eau dans foncières. — Concours ouvert en mal 1939 Lucien, à Brest ; Mlle Bossard Aline, à Préfet ; M. Nader, député, et M. Kerhuel, Quimper. tune, sera opérée sans heurts n i récri- pour GO postes. Délai d'Inscription i 28 le pignon de son immeuble, le Conseil Hellac ; MM. Denis Lucien, à Q u i m p e r ; président d'honneur de la société. décide qu'il y a lieu tout d'abord de remet» février 1639. Avoir satisfait aux obligations minations Plovan-PfiDldreDfflC-Ploeétet îtnoy Alexis, à Brest ; Gironde Genès, à militaires. Limite d'âge supérieure : 46 tre en état le chemin de ftozambidou. ZlAooflipaftil«. — M. Siméon, conseiller Dès lors, j'attends q u e l'on m e dé E j J a v a » . — A la suite de l'abordage du Brest ; Hall Hervé, à Brest ; Jacob Emile, ans au 15 janvier 1939. Service téléphonique. — Suite A la demontre q u e c e qui e s t j u s t e et vrai h Brest ; Kerbérénès Charles, à Brest; La- municipal, vient de recevoir la médaille torpilleur « Bison n et du croiseur « Geor— Sténo-Dactylographe eu Ministère des ges-Leygues », des épaves de toutes sortes mande d'un abonné sollicitant l'ouverture pour l e c o m m e r c e e t pour l'industrie gadec Jean, à Quimper ; Le Bars Guillau- d'or de l'Education physique. Colonies. — Date : 9 mai 1939. Délai d'insCette récompense est due 6 la suite d'âne ont été recueillies par la population mari- du service téléphonique, de ? à 21 heures, me. h Morlaix ; Le Bras Yves, à Quimperlé ; n e l'est p l u s lorsqu'il s'agit d e l'agricription : 11 avril 1939. Limite d'Age supém s f s au 31 octobre. longue activité mise 6 la cause sportive time des communes du littoral de Plozévet, du Le Floch Louis, è Quimper ; Le Gall Franculture. rieure : 30 ans au 1 " janvier 1939. TraiteLe Conseil : considérant les s e r v i e s dans plusieurs sociétés de notre ville. Pouldreuzic et Plovan. çois, à Quimerch ; Le Lay Henri, 6 Brest Monsieur l e Ministre, c'est l e ment de 9 500 à 15.000 fr. plus indemnités Nous lui adressons nos bien sincères Le Meur Jacques, h Brest ; Le Minor E r g è Elles comprennent : une caisse en bois qu'il pourrait rendre 6 bon nombre d'abonm o m e n t ou j a m a i s d e r a p p e l e r le Aucun diplôme exigé. félicitations. ne, è Quimper ; Levaufre Jules, ô Quimper contenant des diverses pièces pour canon nés eu fonctionnant à ? heures au liett df p r o v e r b e : « Qui veut l a fin veut l e s — Adjoint technique stagiaire du génie Le Verge Olivier, 6 Brest ; Madoc Jean de 138 mm., sauvetée par l'inscrit maritime 8 heure», émet le vœu q u e le service téléSa'allaira OnaM. — La Cour d'Appel de moyens ». rural. — Date : 27 mars 1939. Délai d'ins Marie, à Brest ; Mondot Edouard, à Brest; Jean-Marie Strullu, de Kéristenvet, en phonique soit assuré h partir de 7 heure» jusqu'à 21 heures, pendant la période susVotre prédécesseur, M. Chapsal, crlption : 10 mars 1939. Condition exigée ! Penfeunteun YvtB, ù Brest ; Per Jean, 6 Bennes s'est occupée lundi de l'affaire Plozévet. Cueff qui avait fait appel de deux juge indiquée, dont j e salue r e s p e c t u e u s e m e n t l a m é - avoir satisfait effectivement au service Brest. Une caisse métallique» peinte eu gris, ments rendus le28 janvier par le t r i b u n a l de de base : 10.600 militaire actif. Traitement Consommation anormale de lampes moire ( A p p l a u d i s s e m e n t s ) , s'était rallié Félicitations à tous, Quimper et qui l'avaient condamné : le pre avec poignées en cuivre 6 chaque extré- d'éclairage. — Le Conseil, se faisant bn mité, contenant 80 appareils pour masques à celui-là dans s o n discours au Sénat, fr. plus Ittdemuilés Aucun diplôme exigé, mier, 6 4 ans de prison pour vols de titres — Ingénieur adjoint des travaux aérodes réclamations des u s s g e r s a u sujet >• l e 18 février 1938. Vous m'avez donné et d'une somme d'argent au préjudice de à gflï, marqués Pulmann, établissements variations de tension du courant élec i--. nautique« de l'Etat (16 postes). — Date de fc'Aflair« de l ' a b b é tfadé H Scheider, sauvetée par l'inscrit maritime V o u s - m ê m e l'impression d e n e p a s y Mlle Juliette Colliec, r u e des Halles, et l'ouverture des épreuves d'admissibilité i que, qui occasionnent Une consommation L'ihstruClloti de la si pénible affuire de 10 ans d'itaterdictlou de séjour ; le deuxiè- Nicot, de Penhors* en Pouldreutic. être opposé. Mais cela n e suffit p a s , 6 juin 1939. Délai d'inscription : 0 mal 1939, l'abbé Jadé continue. exagérée de lampes che* les ones et t. a Une bouée couronne, peinte en blanc et i l v o u s appartient d e déterminer l e Avoir satisfait aux obligations militaires, me, à 9 ans de prison pOur vols d'Un stylomanque d'éclairage chez 1rs autres, émet Elle 6 caupé dabs tout le pays, et uotato- graphe et d'tin portemine chez M. Le rouge, portant l'inscription « OeorgesGouvernement à entrer d a n s cette voie Age A la date du concours ! 22 6 30 ans plus le vœu q u e la question soit portée & Ja Leygues » et M. M., sauVetêe par l'inscrit q u i sera enfia la voie d e l a réalisation. services antérieurs admissibles pour la ment 6 Châteaulin et 6 Audierùe, Ub6 Quelle^ dentiste« rue Kéréon, qu'il avait connaissance du service du contrôle, i«fi lu émotion considérable. teuté de Cattbrioler de façon plus maritime Jean-Louis KârOurédan* de Poul- priant de prendre toutes mesures util. » Les suggestions que je viens de retraite, t r a i t e m e n t s de 14 000 6 36.000 fr, bréhen, en Plozévet, On prétend que des tnarœuvrrs fltil-aiebt sérieuse. présenter sont simples et me parais» plus indemnités, Auctib diplôme exigé« Un masque a g a i par M. Pierre Hascoét, pour remédier fi cet état de cbOs»s. été tentées pour essayer de faire revenir Dans la première affairé, Cueff avait Indemnités de logement. — Le Ctfflseii aent évidentes, le le» al formulées en Ronseiçùements fourni* par 1'« Orienta- Certains tétnoins s u r leurs déclàràtlotis cultivateur, au vllls^e de Kéristenvet« eb alloue les tau* suivants, à titre â'tndettt« ma double qualité dé père de famille tion Ff&fo*0iôttftelie », Petra» mensuelle* pHtoillres bt étouffer l'affaire, ties toe- profité d'ooe absence de Mlle Colliec pour Ploiévet; péuetrer chei elle. Il s'était emparé, p a r faite de logement afat instituteur« et Ifattfr rurale et d'employeur de tnain'd'ttutra «boatiMMui : l à ftftfiM p a r a n . bàcës atiràifefal tiiétbe été proférée«; Pie*ét6i èffractitinj de tOuS leâ titres et de l'àrgent Les potmawi qui d é u r e n t des renseitutrices non logés dans lei écoles i agricole, froUè n'éprtttitobS, 6e«eâ, aUfcUri àlltaft CdntebUS dans uti coffret; toute Sa f o r t u n e , 6 t i a t è l l frtfcàioijiat. — Compte ïetidu gnements ont l'an dtifl ampim 6â coaedur« Indemnité de 1.000 franCs potir les KrtllJ l e l e s a i f o r m u l é e s parce q u ' e l l e s cl-dtttSJMI 0« m «fi essttigù qùelcànqfcût èjtôclal h ctfdiincnter des fails dë Cette Cueff avait ètâ vu SUr le» lieu* le 6 février de la deruière réunion du Cbiiseil Munici- tuteurs et institutrices mâriéS ; indemnité toe paraissent s u s c e p t i b l e s d e donner pflflfeiit rtdttMttr fis tibifa part à St. H o * feature et fiOùè ho Vôbiohn pOibt introduire 1938. Mlle COIliec aVait pris la sage p r é - pal de Ploéétct qui S'eût tenue bOuo la pré» de 750 fratics pdur les instituteur« èt initi-: t u nouveau r é g i m e d e s allocations devllH diraeiflaf-^ffitit de * L'ONeutatitta là M i l i e u « UBbS dès Question« bfl ell« n ' t caution dë bbter le» butoôros de seâ titres SidebCë de M. Albert Le Bail. tutrlceé CéllbatfiirèS, Profesctonnello », f « e Jterbëtifj Parla que faire. èt aVait pu fairb lmtaédlateMent une bpptifamiliales l e climat habitable qui lui École de gnr(jons. — M. le faalrë àOUttièt Expropriation deà ieMÎtiH dë fcoàk S«), qoi leur répondra « titre absoiement Mais II fatidrfi qiiri ibuiè le luftiérë Mil èitib'ti. ati CObScil municipal tthe ilote de M. l'ini- Niion. - L'exprOprlation dé cès t e i - M u i m a n q u e actuellemedt« gradées. Quelques jours après, bh apprenait qu<* peftteùr d'Académie, ctfnCerbabt Utie prO- s^afat été prô'nb'nCéë poctr ëatuè «'Milité Pendant vingt ans, J'ai l e . Joindre «n timbro da 0 fr. Ü0 et n e p u 'alto èt hbUS àvoca (ihb itHiki gràbdtl COU.. .pratiqué , fiance eb Ifl juttice pour être ceHainô Cuiff avait vebdu de* titres irappés d'Op- pofiltiott de trabeformatiOti dû pebSiOriual publique (travail* de ssptâtftfn d'fcaoy. ÎH m é t i e r d e s c h a m p s j l e d u r M é t i e r q u i " « C i a r d o maatlotiaer : en qnallté de lee* qu'elle fora lout stm devoir d&M nue position et avait emprunté sur d i u t r e d de l'école des garjjddft eh r é f l e : le ftbfiseli, conseil fixe le mOnlafat ttè l'indi innltif (tiártyttü l è plus s o n h o m m e . '®f,,Jj* » ». ne Klle-Préion, t «bielttt sâréKté* Jtres, après en avoir délibéré, décide le M A 1 J t t œ m IWàrtki» À eMt$ génènm ' Î ï e n q u é t e révélait eii Outre a u s C M lien do 1b situation {tomellf, loram« de 18tooo f f M ç s , * RÉPUBLICAINS I à la L i b t a i r i u U l q a e 7 , m a Elia-Fréron — Qalmpor QUIMPER Au groupe h Défense laïque EN ESPAGNE Concours am' Fonctions PoMijoes d'éviction «p LG Le Conseil se réunit ensuite en comijg secret, p o u r examiner diverses demandes d'assistance. Briec O b a è q n a a . — Hier ont eu lieu, A Briec l e s o b s è q u e s d e M. E t i e n n e C a r i o u , instit u t e u r h o n o r a i r e , d é c é d é le 21 févri« r , t l ' â g e d e 69 a n s . E i a ile douloureuse circonstance, nous a d r e s s o n s à la f a m i l l e d u r « g r e t t é d i s p a r u nos bien sincères condoléances. Moôlan-sur-Mer B a l d » Oélibatairaa. — Un g r o u p e de célibataires moiilannais a décidé d ' o r g m i s e r u n g r a n d bal, au profit d e s œ u v r e s de b i e n f a i s a n c e d e la c o m m u n e , d i m a n c h e p r o c h a i n 26 f é v r i e r . La s a l l e C o r o l l e r , d e K e r m a r é c h a l , a é t é r e t e n u e à c e t e f f e t , et le c o m i t é s'est a s s u r é p o u r la c i r c o n s t a n c e , d ' u n o r c h e s t r e d e premier ordre. R i o o a p w « * - — On connaît. la c o u r a g e u s e a t t i t u d e d e n o i r e c o n c i t o y e n , M. S é b a s t i - n Boz-'C. q u i s<- j - t a d a n s « l ' A u l n e », a u s e c o u r s d e M m e Le B r u n , d e la G r a n d e r u e , e t q u ' i l a r r a c h a il u n e m o r t c e r t a i n e . Ce t r a i t d e b r a v o u r e e s t d ' a u t a n t p l u s m é r i t o i r e q u e M. B o z e c e s t u n i j a m b i s t e . La f o n d a t i o n C a r n é g i e v i e n t d ' e n c o n s a c r e r la v a l e u r e n d é c e r n a n t à M. B o z e c un d i p l ô m e H u n e s o m m e d e 300 f r a n c s . Elle a é m i s n o t a m m e n t l'avis q u e l ' a l l o cation d'indemnités au litre de calamités agricoles, indemnitésforcément très faibles en raison du n o m b r e dos siui-trés et de l'importance des dégftts, ne r é p o n d r a i t pas au b u t poursuivi et qu'il était infiniment p r é f é r a b l e d ' a i d e r les é l e v e u r s à s e p r o c u r e r , d a n s les m e i l l e u r s c o n d i l i o a s p o s s i bles, les m a t i è r e s a l i m e n t a i r e s d o n t ils v o n t avoir besoin. sauce à la tomate. Il e s t p r o b a b l e , p a r a i l l e u r s , q u e d e s r é d u c t i o n s s e r o n t d e m a n d é e s e n ce q u i c o n c e r n e 1h t r a n s p o r t d u f o i n e t d e la paillo n é c e s s a i r e s p o u r c o m b l e r le d é f i c i t , ainsi q u e d e s e n g r a i s d o u t u n e m p l o i i n t e n s i f i é va se r e c o m m a n d e r b i e n t ô t p o u r a c t i v e r la v é g é t a t i o n d e s p r a i r i e s e t d e s plantes fourragères. X * — Le c o m i t é c h a ' g S d e l ' o r g a n i s a t i o . d la k r m e s s e d e s é c o l e s p u b l i q u e s d e L h ô t e s u l i n a fixé a u d i m a n c h e 2b j u i n p r o c h a i n C !te j o u r n é e d e f ê t e et d e bienfaisance. — M B — gr T - g j B » Il e s t p o s s i b l e e n f i n q u e l ' I n t e n d a n c e p r o c è d e à d e s a c h a t s d e b é t a i l en v u e d e la f a b r i c a t i o n d e c o n s e r v e s d e v i a n d e . Nous profilons de cette occasion pour r a p p e l e r à tous éleveurs qu'il est p o u r eux du plus g r a n d iutéiét de ne pas laisser d é p é r i r l e u r s a n i m a u x s'ils v e u l e n t e n r e t i r e r , u n e f o i s r e v e n u s les b e a u x j o u r s , le m a x i m u m do b é n é f i c e s . E n p a r t i c u l i e r , nous leur conseillons vivement l'emploi du b l é d é n a t u r é d o n t la v a l e u r a l i m e n t a i r e n e le c è d e en r i e n à celle d e s m e i l l e u r s t o u r t e a u x et d o n t l'utilisation r a i s o n n é e ne comporte aucune contre-indication. CITOYEN Organe hebdomadaire de Défense laïque et d'Action républicain» • u u u mi l a y r h i a r U i 7, Hue Elit-Friron — QUIMPBR(Finistère T é l é p h o n e 86 C h è q u e p o s t a l n» 142-70, N a n t e s . Finistère et départements 'rophes •••mei d é p a r t e m e n t s lait. N o u s n e s a v o n s p a s e n c o r e les m e s u r e s q u i s e r o n t p r i s e s , tuais il e s t à p r é s u m e r q u ' u n e f f o r t financier, v e n a n t s ' a j o u t e r à c e l u i q u i a d é j à é t é c o n s e n t i p a r 1 Oillce national interprofessionnel du blé, sera f a i t p a r le G o u v e r n e m e n t p o u r q u e les é l e v t u r s puisseut a c q u é r i r , ô d t s prix a b o r d u b l e s , le b l é q u ' o n d é n a t u r e a c t u e l l e m e n t e n v u e d e la r é s o r p t i o n d e s e x c é dents. CHATEACLIN LE a s i é g é il y a q u e l q u e s j o u r s d a n s le F i n i s t è r e , à l a q u e l l e a s s i s t a i e n t les r e p r é s e n t a n t s des principaux groupements agricoles. Cette Commission, après avoir approxim a t i v e m e n t é v a l u é les d é p ù t s c a u s é s a u x d i f f é r e n t e s c u l t u r e s f o u r r a g è r e s p a r les g e l é e s d o d é c e m b r e e t les q u a n t i t é s d'ali m e n t s du bétail qui seraient nécessaires p o u r a t t e n d r e les f o u r r a g e s d e p r i n t e m p s , a é m i s u n c e r t a i n n o m b r e do s u g g e s t i o n s q u e M. Mélox n o m a n q u e r a p a s d e t r a n s mettre au Ministère de l'Agriculture. limifr. 20 f r . N o u s n o u s m e t t o n s d ' a i l l e u r s à la d i s p o s i t i o n d e t o n t e s les p e r s o n n e s q u i n o u s e n f e r o n t la d e m a n d e , p o u r l e u r a d r e s s e r u n Joaiciaires on autres., la l i g n e , 3 flr. 10 e x e m p l a i r o d ' u n e p e t i t e b r o c h u r e é d i t é e Le» a n n o n c e s d o i v e n t ê t r e a d r e s s é e s a c à ce s u j e t p a r 1 Oilice n a t i o n a l d u Blé. E n f i n , d i s o n s q u e les C a i s s e s d e c r é d i t Tit'is .!>rd le m e r c r e d i m a t i n . agricole ont été spécialement invitées à ><• .r totit renteignement», Joindre un Itmkr-v e n i r e n a i d e a u x a g r i c u l t e u r s e n m e t t a n t nnnr In rinOU** à leur disposition, sous forme de prêts à c o u r t t e r m e , les s o m m e s n é c e s s a i r e s à leurs achats d'aliments et d'engrais. G. P E R R A U L T , Directeur dos Services agricoles. L a Disotta Fourragère macaroni deux cuit possédez, débarrassé cents à Beurrez le de coupé en un moule droit, chapelure, la l'eau L o u i s - H é m o n , Q u i m p e r ; M" Q u é i n - que nec, avoué, r u e du Palais, Q u i m p e r ; au heure, pendant démoulez VENTE PARLICITATION saupoudrez- r e m p l i s s e le Faites cuire au bain-marie M° F a t r a s , n o t a i r e à T r é g u n c . peau. avec votre préparation bien assaisonnée sel et poivre. four et une E n l ' é t u d e et p a r le m i n i s t è r e en grande et servez avec de M" F a t r a s , Trégunc Trégunc au lieu dit « Kerouiny » et U n e belle propriété rurale c o m p r e n a n t : Maison d'habitation, grenier, couverte en Renseignements utiles à En la c o m m u n e de une C'est profitant notaire Le Vendredi 3 Mars 1939, à 15 heures bon. avec ardoises. Divers b â l i m e n t s d'exploitation, cour, Remise à neuf d'un pinceau desséché sol, àire, issues, jardins, terres labou- Quand un pinceau a servi à étendre Le t o u t c a d a s t r é s e c t i o n G, n 0 ' 9 0 9 p , de la peinture poils à l'huile et que les se sont collés les u n s a p r è s les a u t r e s , on lui r e n d sa s o u p l e s s e en le laissant t r e m p e r pendant heures dans thine ou vingt-quatre de l'tssence de dans térében- de l'ammoniaque pen- dant quelques instants. r a b l e s et prairies. Comme toujours, voyez... 9 4 0 , 9 4 1 , 9 4 4 , 9 o 0 , 9 5 6 , 9 5 7 , 9G0, 9 6 3 , C h e s CAOUTCHOUC G E O R G E S 993, 1000, 1006, 1001, 1007, 1002, 1008, 1009, 1003, 1005, 1010, 1012, 1016 p, 1024, 1025, 1027, 1028, 1029, 1049, 1068 p, 1070 p, 1081, 1085, 1086, 1087, 1100, 1103, 1104, 1110, 1114, 1030, 1031, 1123, contenance totale La CUISINE ELECTRIQUE est ECONOMIQUE 1072, de ¿rfice aux tarifs réduits de L E B O N vingt- quatre hectares, soixante-quatorze ares, q u a t r e - v i n g t six c e n t i a r e s , ci : 2 4 Droit 80, Rue Jean-Jaurès, 80 Q U I M P E R indivis d a n s les étangs « Loc'h- a r V r e i g n », p o r t é s a u p l a n cadastral de ladite c o m m u n e sous les numéros P o u r 9 1 2 , 1 0 6 7 e t 1 0 6 9 d e l a s e c t i o n G. Droit A K K f t l V C X f t indivis dans un placitre lavoir n o m m é Pour vot timbres en oaoutohouo et eu ouivre, adressez-vom à / ' I m p r i m e r i e B r e t o n n e d u « C i t o y e n ». Travail exécuté rapidement et à det urix modéré». B o n ouvrier tailleur demande au « Tachen-Ster plan cadastral v o s b e s o i n s de la m ê m e à la Maison com- à prix privé. Vaste bâtiment entouré de terrain et p o u v a n t servir d'usine. S'adresser au journal. «Feune h o m m e , libéré service militaire, demande place comptabledactylo. 160.000 A PAR En la Mairie récoltes de de terre vos et de : choux-lleurs, oignons, ca- etc., faites des propositions légumes pommes vendre à p r o d u i t s d u sol, 12, a v e n u e d e EN LA d'une auto con- M. Coublant, 13, cité Quimpcr. VOLONTAIRE D'AUDIERNE Premier lot d'habitation, n° 25, rue ayant 4 Louis- pièces T L au chacun, grenier ; 10 c e n t i a r e s . E a u , contenant 1 are électricité. Seuls, les appareils d e radio ultrasensibles "G. Marconi" v o u s apporteront cet ensemble d'informations et de distraction^ Mise à prix : 65.000 f r a n c s . Deuxième lot BertlnTot, n° 12, chaussée une garagè deux ; rue ayant entrée, étages Marcellinau une n e s t facile d e v o u s e n rendre c o m p t e , sans frais pour v o u s : déc o u p e z le bon ci-dessous e t adressezle & rez-de- pièce, ayant un chacun d e u x pièces et u n c a b i n e t ; g r e n i e r ; contenant 60 centiares. KERVELLA ZX. W O L F , Electricité. M . A Tendre à l'Amiable Recettes de cuisine E n voici un, avec le pain étages Ayez un reste de poisson sans arête Faites avec colin, une du sauce Feuilleton du « Citoyen », Quimper de industriel ou chemin pourrait de pépiniériste, béchamel épaisse Pour tous renseignements, ser au Notaire. de la farine et du — N» 46 FËBVÎIË htoH, d ' ê t r e Canonisé. Le q u a t r i è m e f r è r e d e s a i n t J u d i e a ë l , n o m m é Iloel, j e u n e prince fougnou* et nyunl. le feu d a n s la l é l e , bien d i f f é r e n t d ' h u m e u r s et d e m œ u r s d e s e s t r o i s a u t r e s f r è r e s , saillis J u d i e a è l , J o s s e e t NVlnokh, luisait sa d e m e u r e o r d i n a i r e en u n m a n o i r j o i g n a n t le m o n a s t è r e d e Gnt'l, f o u l a n t e t o p p r e s s a n t le» p a y s a n s p a r s e s e x a c t i o n s et violences, t ' n de ses serviteurs n'ayant p e u t - ê t r e v o u l u e x é c u t e r q u e l q u e sien i n i q u e c o m m a n d e m e n t , ou p o u r q u e l q u e a u t r e r a i s o n , é t a n t t o m b é e n d i s g r â c e , l'ut, pur son c o m m a n d e m e n t , «erré prisonnier et d é t e n u c n u n e b a s s e ÎoksC, e t In t o u r m e n t é d ' a u l r e s peines, d e sorte qu'à peu q u e ce p a u v r e h o m m e n e p e r d i t p a t i e n c e . 8(rint Méert,' v i s i t a n t u n J o u r les c e l l u l e s d e ' s e s r e l i g i e u x , e n t e n d i t les c r i s et l a m e n t a t i o n » d e ce p a u v r e c a p t i f , e t , s ' é t a n t e n q u l s , il lui f u t d i t q u e c ' é t a i t ut) pauvre homme q u e le p r i n c e Iloèl t e n a i t a u x f e r s . I n c o n t i n e n t , il d é p é c h a d e u x de ses moines p o u r aller, cn son n o m , I n t e r c é d e r p o u r ce p u u v r c h o m m e e t s u p p l i e r le p r i n c e d e le m e t t r e e n l i b e r t é , Les moines y allèrent, mais t a i n , c a r il n e leUr f u t J d m n i s pOsRlbH d e fléfchir lë ecettr t<hs(lrié du ce printibi S o i n t Méen* t s y a h t bel«, se m i t en p r i è r e , s u p p l i a n t tfieu d ' a v o i r p i t i é d e t e p i i ù v r e h o m m e e t , î M i t * w p o u r p r e t e r m i n é e , m u bas m iftbbrltihcM, fin pi'iferd a i i h ë t é S , c e t h o m m e à a t i W ë t e t , r e c e v a n t h u m b l e m e n t l ' h a b i t f u t , p a r lb m i n i s t è r e d'Un ahgti, d é l i v r é dft m«rtflfcal, p a s s a iti ffeitfc db àbà j b h f t Uutls la p r i s o n e t vint nu m o n a s t è r e r e m e r c i e r 8b fHtfrfaMètë, jfc'qiifc'l étàHt é t t f i i t fct H l i r t f u * .Oifeii et Sailli Méfen e t se j e t e r ëti itaiitfWW t « fjiùsiëUrff iië'u*< ii lit à u p e n t e r et e n t r e s e s b r a § : i f o è l , entfc'ndaHt tjliti sdri pr'iitrtlfliët' ïépatbr éb pWn dti Millé, f a/itibiàtii dfc' é t a i t é b h u p p é e t q u ' i l ê'eiail jeti? d a n s lt> W d f l d i fotb'rilifi Bt II f téijUl fe'tt Ifciie suliicbf«tnfi en lift liftil «J à » fwtC t!t b e t à f i l l M tjù'll ftéritti, ù M s &« fer convenir même. pac Yves LE 1 ligne morue u . . . Albert Le Grand) la 40 ares lotte, beurre, dant Quimper-Brest, poisson Napolitain : comme U n b e a u Champ de terre labourable et fruitiers, borde à contenant environ. rue ayant Marcellinau deux pièces grenier ; contenant Quimper. Concarneau. rez-de- et d e u x pièces, de chacun cabinet, tiares. à Ty-Rivoal de 14, chaussée entrée E N LA C O M M U N E D E K E H F E U N T E U N Pdté de poisson Napolitain n° HEXjXjXO, en inscrivant votre n o m e t votre adresse au dos de l'enveloppe. Troisième lot Maison d'habitation, êleâ mciLme... d exigeant. vous voulez être an courant d e t o u t e s les opinions, d e t o u t e s les formes de l'activité humaine, de tous les visages de la musique. rez-de-chaussée, 2 étages de 5 pièces Berthelot, marché. QUIMPER d'Audierne VILLE ^Vendée). notaire, 3, rue de Kergariou, (Juimper. re- à Le Vendredi 3 Mars 1939 à 14 h. 30 Pasteur, : pour E t u d e d e Me Jean bon LE francs Mise à prix : 4 5 . 0 0 0 f r a n c s . et U t e r i « VEiNDKE ADJUDICATION Maison La Ruche, Pontigou, copieux et E t u d e s d e Me B I O U , n o t a i r e à P o n t C r o i x , e t d e M* Y v e s K E R D R A O N , notaire à Audierne. — S'adresser au journal. état général : plats B r o d e r i e fixée p a r le T r i b u n a l A v e n d r e , à l'amiable, abattoir duite intérieure 6-7 chevaux, très b o n les "Y. 4, rue Elie-Fréron, m u n e s o u s l e n° 1 0 0 4 d e l a s e c t i o n G. Mise M e r o e r i e , adressez-vous avec » porté d e place stable. — S adresser au journal. S u i s acheteur TMWtes l e s m a l t r e s s e s d e m a i s o n O" G o r z i o u », « L o c ' h - a r - G u e r » e t « L o c ' h - Maison d'habitalion, cherchent «te ha., 74 a., 86 ca. D -:- NATIONALE 967, 968, 969, 980, 981, 982, 985, 986, pour une VÊTEMENTS LOTERIE 910 p, 911 p, 921, 925, 927, 929, 938, 1034, 'T-t LES elêà^ voPie chance E t u d e s d e M0 B o u r d a i s , a v o u é , 3 , r u e morceaux, d e s a r ê t e s et d e l a G a r e , Les Sables-d'Olonne spéciale sentent en pratique. Epris d'un désir de servir Dieu en é t a t d e religion, é t a n t d e M o u r d e la guerre de France, le chef o r n é d e lauriers è't lès m a i n s c h a r g é e s db palmés, foulant aux p i e d s lu victoire mémo, il s'en tint au monastère de o a e l , vous Ty-Breiz, Cette situation a l a r m a n t e de l'élevage n'a pas m a n q u é d ' i n q u i é t e r un certain n o m b r e d e Parlementaires qui ont alerté M. le M i n i s t r e d e l ' A g r i c u l t u r e et lui o n t d e m a n d é d'étudier les m e s u r e s qui p o u r r a i e n t être prises p o u r venir en aide aux sinistrés. Une enquête a été immédiatement presc r i t e , d o n t a é t é c h a r g é M. Mélox, i n s p e c t e u r d ' A g r i c u l t u r e d e la r é g i o n d e l ' O u u s t , et d e s r é u n i o n s o n t e n lieu d a n s t o u s l e s départements intéressés. S a i n t Méen a v e r t i d e c e l a , p l e i n d « foi, se p r o s t e r n a Cn o r u i s o n , (in I n q u e l l e il p r i a Dieu d e l e u r d o n n e r d e l ' e a u , e t , » ' é t a n t levé, Il ficha son b o u r d o n e n t e r r e , l e q u e l r e t i r a n t , Il fit j a i l l i r u n e s o u r c e d ' e n u vive, l a q u e l l e se voit e n c o r e m a i n t e n a n t e t e s t fort r e n o m m é e p o u r la v e r t u qu'elle n de guérir d'une maladie, n o m m é e p a r les m é d e c i n s « P r o s a » e t p a r le v u l g a i r e le «< inal d e s u i n t M é e n », q u i est u n e forte g a l l e ou r o g n e , q u i r o n g e j u s q u e s DU* o s . Le m o n a s t è r e , f a i t e t p a r f a i t , l'ut d é d i é en l ' h o n n e u r d u glorieux p r é c u r s e u r saint Jeafi-Bnpliste, d u q u e l ces bons pères se p r o p o s a i e n t i m i t e r e t le zèle e t l ' a u s t é r i t é . La r e n o m m é e d e la s a i n t e vie q u e m e n a i e n t ct?s b o n s r e l i g i e u x étant r é p a n d u e p a r t o u t e la c o n t r é e , g r a n d n o m b r e d e J e u n e s gens, t a n t n o b l e s q u ' a u t r e s , y a b o r d è r e n t , d é s i r e u x d e Vivre s o u s la r è g l e et d i s c i p l i n e d e s a i n t M é e n j e n t r e a u t r e s Judicacl, roi de Brelagnc-Armorique, ne p o u v a i t se rassasie!" d e s b o n n e s et s a i n t e s I n s t r u c t i o n s d e Saint M é e n , l e s q u e l l e s II e n t e n d a i t t r è s v o l o n t i e r s et m e t t a i t s o i g n e u - de œufs, salée, b i e n égoutté, et le poisson rottes, Les dégâts causés aux cultures fourrag è r e s p a r les g » l é e s d e d é c o m b r e o n t p r i s , d a n s c e r t a i n s d é p a r t e m e n t s d e la r é g i o n de l'Ouest, l'allure d'une véritable catast r o p h e . E t s'il n ' e n e s t p a s t o u t ô f a i t a i n s i d a n s le F i n i s t è r e , il n ' e n r e s t e p a s m o i n s vrai q u e l'alimentation du bétail s ' a v è r e c o m m e d e v a n t ê t r e , p e n d a n t 1< s m o i s q u i v o n t s u i v r e , e x t r ê m e m e n t difficile, é t a n t d o n n é q u e les r é s e r v e s d e f o i n , p e u i m p o r t a n t e s p a r s u i t e d e la s é c h e r e s s e anormale du printémps dernier, commencent partout à s'épuiser. (ttapfèt grammes deux Cultivateurs Questions Agricoles C'est ainsi q u ' u n e Commission Ajoutez CITOYEN deux et 60 un BON pour une audition d ' u n a p p a r e i l "G. M a r c o n i " à m o n domicile, sans aucun engagement de m a part e t s a n s frais. cen- E'ectricité. Mise à prix : 50.000 francs. Quatrième lot Un jardin, situé r u e thelot, Marcellin-Ber- d'une contenance de 4 ares 80 centiares. Bel emplacement à bâiir. 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C e p e n - l i o n , bien p e t i t e au p r i x d e ee q u e se» d a n t il t a c h a ce p a u v r e h o m m e d a n s •péchés m é r i t a i e n t . Il l'excita /i u n e v r a i e l'église, p e n s a n t q u e Hoel n e l'en t i r e r a i t e d n l r i l i o i l , l ' e n t e n d i t d e c o n f e s s i o n , lui p a r force j m a i s il en a d v i n t l o u t a u t r e - a d m i n i s t r a les o u t r e s s a c r e m e n t s e t le m e n t , c a r le p r i n c e , a y a n t e n t e n d u la d i s p o s a h la m o r t , l a q u e l l e l ' e m p o r t a le r é p o n s e d u s a i n t e t ne s'en t e n a n t s a t i s f a i t , t r o i s i è m e j o u r , c o m m e le s a i n t lui avait v i n t au m o n a s t è r e , t o u t b o u i l l a n t d e c o l è r e , p r é d i t , m i t la p o r t e d e l'église c n p i è c e s , cn tira A y a n t m i s fin à l'édifice, t a n t m a t é r i e l ce p a u v r e h o m m e , collé a u x p i e d s d u q u e s p i r i t u e l , d e s o n m o n a s t è r e , v o y a n t g r a n d a u t e l , le mil. h o r s v i o l e m m e n t , t o u t e n b o n o r d r e , lo d i s c i p l i n e r é g u l i è r e n o n o b s t a n t les h u m b l e s p r i è r e s d e s a i n t en v i g u e u r e t le p a y s i n s t r u i t p a r s e s reliM é e n e t do s e s m o i n e s , l e s q u e l s , n ' e n p o u - g i e u x , il r é s o l u t d e f a i r e le v o y a g e d e v a n t t i r e r a u t r e c h o s e , e x h o r t a i e n t ce Moine p o u r v i s i t e r les s é p u l c r e s des p a u v r e h o m m e ù la p a t i e n c e e t q u e , d a n s p r i n c e » do» a p ô t r e s , s a i n t P i e r r e e t s a i n t p e u d e t e m p s , il s e r a i t a f f r a n c h i . E l . s a i n t ! l'util e t los a u t r e s saint» lieux q u i s o n t , M é e n s ' a d r e s s a n t ù HoCl lui d i t d ' u n Ion , t a n t d e d a n s q u e h o r s les m u r » d e c e t t e p r o p h é t i q u e ; « (Ju'il p e n s â t b i e n û sa s a i n l c c i t é . 11 p r i t d o n c c o n g é d e s e s c o n s c i e n c e e t qu'il c o m m e n ç â t f a i r e .religieux, d e s q u e l s en a y a n t choisi q u c l p é n i t e n c e , p a r c e q u e d a n s t r o i s J o u r s II qtie«-UH», nc m i t e n c h e m i n , f a i s a n t p a r t o u t m o u r r a i t et f a u d r a i t r e n d r e c o m p l u an «it II p a s s a i t do g r a n d s m i r a c l e s . S ' e n J u g e s o u v e r a i n », ,^lijmt p a r A n g e r s , il f u t p r i é d e p r ê c h e r Ce j e u n e folâtre, OJ'tint cela, ne p r i t ' ih en!lu g r a n d e é g l i s e , ce qu'il fit a v e c g r a n d r i r e h g o r g e d é p l o y é e e t se m o q u e r d u suinl a p p l a u d i s s e m e n t e t é d i f i c a t i o n de» a u d i u b b é et d e s e s p r é d i c t i o n s c o m m e d e s r ê v e - t e u r s . rie» d e q u e l q u e vieil r a d o t e u r , p u i s m o n t a , lin c e t t e ville, u n e b o n n e d a m e , m u e d u ii c h e v a l , s'en r e t o u r n a , r a m e n a n t son p r i - r é c i t q u ' e l l e uvuit ouï f a i r e d e sa s a i n t e t é s o n n i e r , bien r é s o l u do lui f a i r e r e s s e n t i r e t d e s m i r a c l e s q u e Dieu a v a i t o p é r é s p a r les e f f e t s d e sa r a g e . Mais Dieu a r r ê t a bien lui, k v i n t t r o u v e r e t le s u p p l i a d e lu votl-^ ses fougues, car, c o m m e n arrivait devant loir délivrer des d o m m a g e s qu'elle recele p o r t a i l d e son m a n o i r , il p i q u a »on vait d ' u n h o r r i b l e d r a g o n , l e q u e l avait »a bhtirul p o u r lui d o n n e r c a r r i è r e , l e q u e l , r e t r a i t a o r d i n a i r e e n uu p e t i t b o c c a g e s i t u é d ' u n e r u u d c , j e t t e s o n h o m m e b u s e t lui uu p l u s b e a u e t f e r t i l e e n d r o i t d e s e s t e r r e s , r o m p t u n e c u i s s e , lu s e c o u r e a y a n t élii l e s q u e l l e s , c r a i n t e d e c e l t e h o r r i b l e b ê l e , si r u d e (pi'il e h û l ü la r e n v e r s e , t o u t b r i s é d e m e u r a i e n t i n f r u c t u e u s e s e t v a g u e s , p e r e t m o u l u . L o r s , r e v e n a n t ù soi et se s o u v e - s o n n e n ' o s a n t en a p p r o c h e r , d e t t e d ô m e Uatii d e ce q ü c s a i n t M é e n lui a t o l l p r é d i t , é t a i t fort v e r t u e u s e e t d e s a i n t e vie i k le t o i l a au t e p e n l i f • il se foit b o r i e r e n l u t j u e l l e le s a i n t p r o m i t t o u t c o n t e n t e m e n t . s t m m a n o i r et e o u t i h e r d a n s boh Í!l¡ d é l i r e Ce s e r p e n t avutl sa c a v e r n e en un d é t r o i t stm p m w m i i e i ' e t le s u p p l i e , à ( o i n t e s q u i e s l p r è s l ' a b b a y e d e s a i n t F l o r e n t , s u r malas, d'aller au m u n a s l t o e t p r i e r s u i n t le l i o r d d s lu rivions d o L u i r e , S a i n t M é e n U m t tlti lid j/RNtottjjfci', lili M í t ü ' l e i ' j'yüüi' lit u i v a u r | mai« »«tt g u i d w e t lu p e u p l o q u i le suivait p o u r v o i r l'issue d e l'affaire, A y a n t dit cela, il d e m a n d a à r e c e v o i r é t a n t a r r i v é s à v u e d u lietl, le lui m o n - l ' E x t r é m e - O n c t i o n ; p u i s , r a v i e n u n e t r è r e n t d u d o i g t , n ' o s a n t c n a p p r o c h e r p l u s p r o f o n d e c o n t e m p l a t i o n , les y e u x , le c o e u r p r è s . Le s a i n t a b b é fléchi) los g e n o u x e n e t les m a i n s é l e v é s e n D i e u , il r e n d i t s o n t e r r e et, a y a n t f a i t fit p r i è r o h Dieu et g l o r i e u x e s p r i t è s - m a i n * d e s o n c r é a t e u r l e c é l é b r é la »ointe m o s s e on l'église p r o - v i n g t - u n i è m e j u i n , e n v i r o n l ' a n d e s a l u t c h a i n e , »'on alla d r o i t h la c a v e r n e d u six cent s o i x a n t e e t c i n q , r é g n a n t e n n o t r e d r a g o n e t lui c o m m n n d n d e s o r t i r , ce q u ' i l l i r e l a g n e A l a i n II d u n o m , n e v e u d u r o i lit i n c o n t i n e n t , é t i n c e l n n l d e s y e u x , l'rois- S a l o m o n , s e c o n d r o i d e s d e u x B r e t a g n e « , s n n l la t e r r e d e s e s ('railles e t f a i s a n t u n h a u t e et b a s s e , r é u n i e s e n u n e t i g e p a r la s i n i c m e n t si e x t r ê m e m e n t h o r r i b l e , q u e c e s s i o n q u ' e n lit s a i n t J u d i c a t ' l . . . t o u t le p a y s c i r c o n v o i s i n e n r e t e n t i t , fl s ' a p p r o c h a d e lui, lui n o u a s o n é t o l e a u c o u e t le m e n a ainsi, c o m m e u n e b ê t e d o m e s t i q u e , j u s q u e s s u r le b o r d d o la L o i r e où il lui c o m m n n d n , d e In p a r t d e V i e d e S a i n t M É L A R D i e u , d e s'y p r é c i p i t e r , ce q u ' i l lit d e v a n t t o u t le p e u p l e . Cela fait, il r e v i n t à A n g e r s , o ù t o u t e la Les histoires de Bretagne nous a p p r e n ville lui alla a u d e v a n t , le r e c e v a n t a v e c l ' h o n n e u r q u e »a s a i n t e t é e t s e s v e r t u s n e n t q u ' a p r è s la m o r t d ' A l a i n II d u n o m , m é r i t a i e n t , et. c e t t e b o n n e d n m e , on r e c o n - s u r n o m m é le « L o n g », o n z i è m e r o i d e n a i s s a n c e d e ce b i e n f a i t e t p o u r é t e r n e l l e B r e t a g n e - A r m o r i q u e , a d v e n u e l'an 670, m é m o i r e d e c c m i r a c l e , lui d o n n a c e t t e t e r r e D a n i e l s u r n o m m é « D r e m - R u t z », fils d e qu'il nvnit p u r g é e d e ce d r a g o n , où il bfttit J e a n , c o m t e d e C o r n o u a i l l e , p a r v i n t à la u n p r i e u r é d é p e n d a n t d e son a b b a y e d e c o u r o n n e , e t , d e la fille d e l ' e m p e r e u r Gnt'l, y mil d e s e s r e l i g i e u x e t e n v ê t i t L é o n c e ou L é o n II, e u t d e u x e n f a n t s , l e s d ' a u t r e s ; p u i s , l ' a y a n t a c c o m p l i , se d i s p o s a p r i n c e s B u d i c e t M a x e n c e . B u d i c p a r t a g e a avec Macliau, c o m t e de il p o u r s u i v r e s o n c h e m i n v e r s R o m e ; m a i s le r o y a u m e Dieu lui r é v é l a q u ' i l le v o u l a i t r e t i r e r h soi, V a n n e s , e t p r i t p o u r soi le r o y a u m e p o u r le r é c o m p e n s e r d e sos t r a v a u x , ce D o n i n o n é e n o u d e B a s s e - B r e t a g n e e t e u t qu'il r a c o n t a à s e s f r è r e s , l e s q u e l s lui c o n - do sa i c m m o . t r o i s fils ; T h é o d o r i c , M é l i a u s e i l l è r e n t do r e t o u r n e r h Gnèl, p o u r y et R i v o d e . m o u r i r c h e z sol e t p a r m i s e s f r è r e s . 11 c r u t (à tuivrt). leur conseil et revint en son m o n a s t è r e , au g r a n d c o n t e n t e m e n t d e s e s r e l i g i e u x . P e u a p r è s , il t o m b a m a l a d e , et, d a n s p e u d e j o u r s , f u t si a b a t t u , t a n t h c a u s e do sa vieillesse q u ' à c a u s e d e s g r a n d e s a u s t é r i t é s , l e s q u e l l e s il avait t o u j o u r s p r a t i q u é e s s u r son p a u v r e c o r p s , q u ' i l s e n t i t b i e n sa «-i«e« «I f a l l e « U M te fin a p p r o c h e r , H a p p e l a t o u s s e s r e l i g i e u x , a u x q u e l s , f o n d a n t c n l a r m e s p r é s d e sa c o u c h e , il fit u n e g r a v e e t a m o u r o u s e pré-d i c u t i o n , les e x h o r t a n t à le persévéra»«:«,, f , rue È l i t y t t t y M f t e n l ' o b s e r v a n c e fa !e!i!'ç fçëiix, h g a r d e r ¡ti fa uffria/ l e C i t o y e n p u r e t é dt} J e t i i fi|flti.'/< LË QITOTUR Pour to» F a i t e s T e t r e P o M k i t é d a n s l e " C i t o y e n " Lettres 7 , mm Etiti -Fróron — QUIMPER ou Cartes de Service SI r i ? »<ireiiinz-vouB i VImprimerie Horaire des Trains * > d d'hiver Bretonne 'hiver 7, rnx Ehrt-Frôron, QUIM^lîR qui livre Tito, bien et »a dornior prix. » y § I H F S EXÉCUTION R A P I D E > & QUIMPBR id) . . . EN VENTE S O I G N É E Y Facture», E a - t ê t e s de Lettres, Trai: s .. t e s , E n v e l o p p e s , A f f i c h e s <ie t o u s formats, Tickets, Carnets à souches, r iRegistres, Prospectus, Etiquettes, •te..., etc..., et tous les ieepristés V c o n c e r n a i t le C o a i a e r c e e t l'Industrie. Adressez-vous dose ea toute cosfiasce à * l'Imprimerie Bretonne do 7 , R u e TélIphbM 88. Redon (d) Rennes (d) à l'Imprimerie »6 Librairie bretonne» 7, rue Elie-Fréron, à Quimper •• •• C i t o y e n E l i e - F r ë r o n r» R. ¿a C. s ' 979. ¡MSa^^QHB&i, d^^ame»H>»»»rr.->x-- ça-; ^ . • *• ~ • \ .»»f^^scwojafWwnmnR' V- '/-X. 39, Rue d'Hautpoul'^vPARIS -1 9'' ¿¡¡ss» RrjfSeirBS des Déclarationt d'option des eorartbuabLts cotisé* au rôlt de* prestationi en nature. Rosporden Baanalea Qaimperlé Lorieni NsnUs (a) L a Tî®pr«s t!»* F r é t r e e nonrello édition, par Yves La Febrre. En sppeiéice : Un Pïocé» d'Eglise, — le procèa d» lt Terre des Piètre». — Un volame 4e 260 pages ; prix, 16 fr. ; franco, 10 lt. JIU3AN5 - CARBONESffe ^STENCILS - E N C R E S ^ «MB» ; t o u t e s les fà1J SORTES POUR r*;.;, TOUS LES BESOINS VM. BREST (d) La»4er»e&s. c .. Ch&tualim ff-9 m f a l ê i è n g A r r i s a l e par M. Alberi Le Bail, «Tocnt. Un Yol«m<* fie MO pa«««, 4» tausa* loi branche« 4« i'actiYit* à* ao^e £raaù iépartememt— k Pnx, 10 ha»c3 ; franco, H fr. 26. N. ANTOINE & Fiis§; Claude Jl-gou, p a y s a n d e l'Arrée roman, par Yves Le Fe rre. Un volame, pnx, 12 fr. ; franco, 13 fr. E n v e s t e à la Librairie Breionno, 7, rue Elie-Fréron, QUIMPER. PARIS (Moatp) (a) L e e a f f l e b e e : Loi tur la réprettion «te Vitrais s publiqut it sur la poUtt dit fiiUti it boissons. — Ttirif de» Consommations pour Us dibits. L e » ai'SsSi«» : Horaire, lois et règlej*ents sur le irata il, MM. I»« Saar4?sinu d* M «urte s e n i Msuràe de trenver à l'Imprimerie 4 a Oiioyen, 7, rus Elie-Fréron, Qaisaper, îœfflfi le® tefrtMâ» ^oi l e u s e n i SSosnas» NOM T e s t a s fc-na les ^omsua paru. Prière 4e le y.osa 4e l'éditée?. QUIMPER | J* z®«cie«se 4e s« renscigaer jeur»al o ù «lie sa publicité. joumd le Citoyen Elie-Fréron, i QOIMFXM les 5 6 6 6 6 7 7 7 8 U 5 35 5 52 6 1 6 12 6 35 9 30 35 8 35 33 9 41 14 11 23 25 12 44 36 17 85 11 12 14 15 QUIMPER 30 38 3 8 14 15 17 18 23 3 19 12 41 61 19 30 48 6 20 87 39 10 33 » i | j [ I 8 50*12 35 50 9 10 12 65 8 10 2 18 51 » 10 31 14 21 30' 28 11 3D 11 45 14 87 50 11 51 12 17 15 n » 12 31 2 10 16,12 10 12 5016 20 10 85.12 28 13 2i 15 39 14 22Î15 19 18 6 18 2« BREST ( d ) . . . , Undernean (d) Uadinsiaa..., St-Thécoues.. Morlaix (<i)..,. 6 Qaiagamp 7 •»t-Bneia 8 Rennes 9 PARIS (Moatp) 13 » 15 8 50 13 58 15 16 9 6 I l 15 » 14 32 » 9 10 11 12 17 17 9 17 24 17 86 40 15 6 15 59 32 16 56 9 17 16 44 18 33 35 23 » 17 18 18 19 18 18 19 17 68 19 18 23 20 21 53 DB BREST » 48 34 8 25 36 14 5g 15 16 16 10 16 U 17 8 17 86 » 17 18 19 22 57 58 38 20 18 18 19 19 19 21 à la Llkralrie LA LUMIERE 7, m « X l M - F l é i e o , 7 - Yves G O U I J E L E R , QUIMPER A v «ne A« Successeur journal Qaimper Donamene! 21 » t l 19 2131 » 22 10 23 4 23 46 1 29 7 15 AUTOBUS 4a m s ? ™ . S Fa. I n S u s » « , 41 (port Transports ò'isaìvj. autobus par Consulter INSTITUTEURS, MUNIQPAUTES m * l l a T E M " S o n i t e l i 1 I m d E o N m m A t T m I fa iae, r m i i I AUX ECOLES TOUS B R DE O N A L E c k m m Î 57116 2«?M 58.1) 46 20 20 9 20 28)21 tifcl aj^Î g| 6 is3 41 *7 m i 0 lj9 SU. 9 49jl0 dans ? | M lu S " g 83 » ti 48 7 2 88 5 les * communes. C U S S I Q U E S CAISSES peur t e u va. en toute A I R ARTICLES DE DES BCOLEfc Fournitures scolaire» confiante I E L A Ï Q U E — QUIMPER Cathédrale) ET EN Pli; TOUS QKNRSS MATERIEL BUREAUX ET DE SCOLAWr PAPETERIE dee Cataloguée habituelle ' b M & W ë 9s&& é s S M K 6* « s œ è s î l l ê Télépkeae aum Membres de B U e » r i é f e n A D U CsMeaunHsM et M. Téléfkasa V O T R E A Z " T T * i r f a t ì i l tfHUt " mm " " * * " « Détêtue «I d'Astien l é p a U i l a i É é B U L L E T I M ' I K t t l O ' A I O M Ulta« M *0t*mm E B C M T . aMM m i i U S à IMO M j K t t H K M i l * I j a M M M M ^ ^ ^ ^ •iri..r.Mua.niai«ui C V t t U I I MAftlll y H u m tM (2Î0YIW Mi mam«a^i MAÔAM m i n tìdòptiìHÌ r 111 i t utmtM tiltòi *** & O i t o y t n H , m , M 4 4 4 3m w&nm âutei S O N MimianU ii M a ¿L 8 M IMAMÉIUI M U I i m » t l ^ H I ! ) « c i i M r u m BMàttf te À*&iàMmè&*9Hiàt i t i m iê H i'iàhuef * 9U*$en i Mi ê ê i ë è i M , t t tue MUtyèf ¡¿mi vÉridue 1« b l d ó n d e 2 liit é é i f r a n e î . Bisîan p e r d i l i Q«imp«r 6 LE M P A i T m LA P A e P f t i i T i A e e e p l i t a i s repréatnttuti biea itla« u s a s « p s a v a a l l e u a ù i l t i i u M pre« SÉB « 4 » , tìU8i5) s u r «. EAU Beateli)« p p e y s i U t s a s c a r n a t o l e , d s p s i s S» * s a s , )e seaftrais de rkamatismss. Mssveiiieaseaual sealagée, Je I n a i s e n a a i k e le seeret de ma g s i m e n à f ni me le ¿ « m a n i e r a . Mme H1LA1 J t l , Meatiar iaa-isas.^ta (YondSO), pour l'Enseignement l E O O C SEMENCES ALBERT Thuilfi Editeurs C H A U F F E Z - V O U S R&JrftËSEINTfeâ? kivn tatreAnit a a p ^ ¡ a x p e a a s s s 4 e Mît« « e sesse* zeeiistehe repiMentalien eapertu a»as hiéa pineé. Ottica Maraei T I » T i s « psîsaswursi t , taa tota« TiìÉliéKMa AJr^Sa» ¿ de» m*tk4r M A I L l O f ] «t CftM» «¿torsi, fu, k.U+trtm, services PUBLIQUES Remise ffnrfii 09ÎT2AStMi piapxiéiaire, «¿.«enaata^CAneail'MMse («ùestdej. T Y L £ X " P O U R T O U S STY3.0S fabriquée ptjf l«?j ENCRES ANTOlNfi p o s s è d e 4 peinte supériorité i Fluidité «naltëfftbîiiliJ R k h o f i s o rie c c t o f f a Absencô do dépôt Cii» i.* t o Jwviaif« «iaitj un <ia«*n d* îi< < ». -, iffî ttw miH'Jhtii itirt fjpîi, Îrt VErJrt PA«?ùuf r w 14 15.16 17 l i 8(19 41 18 « ¡ 1 0 t »0 19 19 2 20 12 19 20 80 60 19 31 » t 20 62 SI |8 3710 88 13 45 16 » 17 6i 19 35j |9 2 l | l l 2o| 14 20,15 47j 17 4J1 2Ù FOURNITURES C H A U F F E Z sa V * U b r i i H * b r t t o s « « , 7, 40 » » 22,14 58 48 16 12 69 s 13 15 86 80 15 51 16 7 16 4» 17 35 17 60 (T) amm f 10 32 26 » S LIVRES CLASSIQUES E T DE BIBLIOTHÈQUE da tant las a u ; 3 * f e L'Encre Î W t # 9 18 18 18 14 14 M 90 l S R 4 21 ti » 65 SB a4 20 «2 48 6 85 4«l 8 » b 20 6 .Sfa U • ~ Se renseigner dans les garée. rum EUm-Frérom (Prêt la place de ta SPÉCIALITÉS d é j i l é C'en', ça qu'on vorrà» «'il pîenalt fantedil* eus 2.OOÛ.C00 peignants de is diriger tout ensembli von le Pavillon de Flora, aprà» le ttrags d't tval« tronche de* la O les LAÏQUES, L 7, U nuHtsPts Wy Àsti I M I L 9lîlo| 14 18 1» 10 13 55 16 44) ¡14 44 14 25 16 85 14 25.16 » 17 16 15 16 26 18 12 7 16 40 18 12 24 16 10 16 6) 18 AdreueM-voiu, fisifaltaiimhi' lièrse «i i n u a e siljéxas à eemsker^ants s i s a l i e s per» sennes sseat«utaii4ik»Bt géaés. l e r i c e e n j e i f o a n t limare p e u réponse à Acenee 4 e Prêts, Osse Pestale 11, à f i a t a r (Ht-Atta). l P 0 8 10 10 U INSTITUTRICES, A U » M 20 21 23 0 51 50 41 50 DOUARNBNBZ raRAiT TROIS rois ran iar 24 a M pagee giaaa lormat illastrées V I N S • 16 1* 1» 20 MORLAIX D o a a r a e a e s . . ,1 | Qaimper J route. I c i Natte« : en ia* d e PAR F O U R N I T U R E S 1 moi* : 9 b, 2 mois j ft * fr. — S mois : ft® fr. f• « w l ' h r * M GSS VCfôW heurtes 10 S 15 5 <6 12 18 8 19 20 DB QUIMPBRLÉ A CONCARNBAU BT QUIMPBR f o n i e en 1 S 7 4 BifUBUCAJHI F O U R N î E R - D E M  f l S l S T - A M A N D (Ctar) ^ » 17 t8 53 51 L ' A C C L I M A T A T I O N mmm uionifles&Uiofi 8 ï2 13 14 15 Q «imperlé (gare),.l |7 5, 8 5 11 201 115 36 17 16.18 16 15 36,17 45 I Qaimper ( « a n ) . . . |7 16 10 45 Poni-Ayen .7 55]19 I 17 451 8 45(12 • 10 1017 55; 20 I Qom 'Jtìnoarneaa... e I 6 50 8 261 9 20 12 40116 Û 18 I Pont-Ares I 6 4518 3oil2 »! Qaimper (gare) [ a r e ) . . . . | 7 2c|8 5 i | | l 3 i0|l6 3ft| | l 9 5| I Q «imperlé (gare)..| 7 20(9 5ll2 80 R. da a . Seise s* 157.167 unum id mmm frues 30 50 3 '» 25 35 UIMflRC I p u b l i é s u r d e c u m e a t s officiel» 0 6 4 t 8 5 58 lJ 7 l t 11 QUIMPER | PARIS (Moatp) | Rennes ( c i ) . . . , 8t-Brieao (d). • flhdsgamp (d).. Morlaix ( d ) . . . . St-Thégonneo., LaadiTiaiaa.... | Landeraeaa(<f). I BREST ( a ) . . . . Pria c Citoyen » » Nantes (d) 12 45 7 2i Lo rient 5 68: 7 191 9 6 10 25 Q «imperlé 6 24 7 50 9 25 10 51 Baaaaleo » 8 13 9 4Cr » R o s p o r d e n . . . . 6 54 8 32 9 52, 11 19 7 11 ¿ g 10 9 11 36 QUIMPER j ad' 7 29 10 33 ' 1 2 4 Ch&teaolin 8 1 Il 4 12 4; Landerneas (d) 8 5> U 54 13 39 BREST ( a ) . . . . 9 15 12 14 13 56 PARIS t 7 26i 10 451 12 20 14 48 17 45| ] 8 2> 11 23] 12 681 15 3ll 18 2 l | Lt ma* i«jK.rfe»u tournai i'annontet t o * les »chats et Ventes dus aaimaax «wmesUfaea et saaragas jSttM ei «emaates t'eaipleia «e urate nature L**aiu»ns et t h m «e Fermes, ¡»oautiae* ïmaseableset «Massee t Réeeltee wmestùMw, Aiîmeautwa s e s aausaax «euameaes, Veuares, Aatemebilea, B w y ùettee, Oeeamoas de tente serte CHA8US EAMIOI iaKPlfe. 7; R u é E l i e - F r é r o n — Quimper Pris | • A VENTE à llpfril^rie J I | j LIGNE DB QUIMPBR A pv O & ï M P E f t EN 60 7 69 19 23 58 12 32 6 PAR 2i RENNE8 utMXMiMi*kXMUkéAiM »u nmnr po^ulai*« SFots?s>ag«3 Laïque 16 46 5 22 51 21 PAR t»*.RfS (Montp) (d) Raanei (d) •titon ( d ) . . . . . . . . ï'Witi • « . . . • • • * . QUIjIPRR ( a ) . . . . Astorsils. — Dép. de Brest : 6.30 6 50 8,17 1L09 12.15 14 48 17,9 à Ancienne Mai/ion GESTIN (Montparnasse) lisent $ É R i i i ; t e i e i t i par 4RIM r a p i é « a s « » s eAiaa®KKâSEa — PARIS antiïascisîes eoaa&l&ie, p a r l e a s s u r e d e se s «iamée c i leeteara assidus, as aift&aa p s f c l i c i t é d * ¡presiiay ardi'«, fis«» A 17 8 20 45 18 »3 22 6 30 3ï 0 6 22 2 1 29 « 21 7 16 6 7 8 8 9 9 10 LISNB Nombreux "anta per«»ano, se« Intérêts, doit s u r 1« t i r a g e r é e l d a «« p r « p « s e fa*re DE LIONE DB BREST A NANTES m 7, Rue 5 6 8 9 13 LIGNE m s «s- A ^ m T ÌSttlMitìà m U i H M Ito ; t * tftoAli là 4 mtojto a i i s i l da' <Ss>ÉAe. i . 10 fi* BUi-frMin * <22, ft du i n tfv » *é*He*Ì*t '4 •<>««• i n * a . m *
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