Février 1939

N° 8 (32" année)
Vendredi 3 Février 1 9 3 9
Le numéro 3 5 centimes
- M '
CITOYEH
:
Finistère et départements limitrophes
Autres départements
Colonies
Les abonnements sont payables d'avance.
PROPOS
D'UN
B U R E A U X et I M P R I M E R I E , 9 , Rue Elie-Fréron 1 B fr. par an.
BO
—
Téléphone S S
Chèque Postal n° 142.70, Nantes.
Adresser tontes les communications 6 M. Pierre GUÉGUEN, Imprimeur-Gérant.
Les manuscrits ne sont pas rendus.
Pour les renseignements joindre un timbre pour la réponse.
BRETON
La Défaite Catalane
ligne située de 40 à 50 km au nord
de la capitale catalane.
Il faut sans doute s'attendre cependant à voir disparaître peu à peu le
front républicain de Catalogne.
— L'avion commercial français de
la ligne Paris-Berlin s'est écrasé au
sol p r è s d e Cologne, après avoir heurté
une cheminée d'usine.
Les quatre membres de l'équipage
et les deux passagers ont. été tués.
7, rue Elie-Fréron (ancienne rue Royale^
— QU IMPER —
on e x é c u t e tous l e s genre» »
D'IMPRIMÉS
Fondateur : Georges LE BAIL
1906-1937
Organe Hebdomadaire de Défense Laïque et d'Action Républicaine.
ABONNEMENTS
A l'Imprimerie du " Citoyen »
arrêtée de l'Allemagne d'augmenter
encore sa force militaire, puis il en est
venu à l'alliance italo-allemande. « Que
personne dans l'univers, s'est écrié le
Chancelier, ne se trompe sur la résolution que l'Allemagne a prise. Il ne
peut qu'être utile à la paix de savoir
qu'une guerre contre l'Italie actuelle,
quels que soient les moyens par
lesquels on la provoquera, appellera
l'Allemagne aux côtés de son amie...
« Il faut savoir, avant tout, que nous
ne reculerons, sous aucune condition,
dévant aucun chantage. »
Le Reich-Fti her a, en terminant,
passé en revue les relations internationales. Parlant de l'Angleterre et de
la Fiance, il a déclaré :
« Une collaboration confiante avec
l'Angleterre sera un des piliers de la
paix du Monde. Il en est de même
avec la Fiance.
« L'Allemagne n'a aucune revendication territoriale contre l'Angleterre
et la France, à part celle de la restitution des colonies. Mais, autant il est
vrai qu'en repoussant les revendications coloniales, on contribue peu à la
pacification du monde, autant il est
vrai qu'il ne s'agit pas ici de problèmes qui doivent nécessairement entraîner comme conséquence des conflits
guerriers ».
Ajoutons que M. Mussolini doit
aussi prononcer, samedi prochain, un
grand discours, dont le retentissement
ne le cédera en rien, assure-t-on, à
celui de son ami Hitler.
ANNONCES
t
Annonces judiciaires et diverses (3° ou 4" page).. 3 fr. tO la ligne
Prix à forfait pour les Annonces répétées et traités d e publicité.
Les communiqués et annonces
doivent parvenir au journal le mercredi"matin au plus t a r i .
RÉFORME
NECESSAIRE
II
^
i'
La question des allocations fami- quelque sorte dans une position n e u .
••
•
liales agricoles demeure au premier tralisée
En ce qui concerne les autres cas,
plan des préoccupations du monde
rural et des milieux parlementaires il y aurait lieu de mettre la moitié d a
s'intéressant à la vie et à l'avenir de montant de la cotisation de l'expl-oi-*
tant à la charge de l'Etat. " Ce1
^
notre agriculture.
— Un incident franco-nippon : Paris
serait point une innovation ca*" Çet&y
En
la
matière,
le
budget
de
1939
ayant soulevé des objections au choix
nous a apporté deux éléments nou- se pratique déjà en matière d ' a s s i s
de la personnalité désignée comme
veaux : d'une part, le vote d'un crédit rances sociales et d'accidents du : i r a *
ambassadeur, Tokio menace de laisser
:-.-tV.' de 4o0 millions, et, d'autre part, l'éta- vail agricole.
l'ambassade vacante.
En troisième lieu, il ne faudrait pwir
blissement d'un régime transitoire
— Parlant l'autre soir à Birmingham.
jusqu'à l'entrée en vigueur du décret- écarter dans tous les cas, comme àr
M. Chamberlain a, une fois de p'us,
présent, le premier enfant de l'exploiloi du 14 juin 1938.
proclamé la volonté de paix de 1 AnEa effet, sur les abjurations qu'il a tant du bénéfice de l'allocation. Qu'btf"gleterre, mais, en môme temps, réafreçues de tous côtés, M. Queuille a la refuse à l'enfant unique et au p r e firmé la nécessité devant laquelle elle
décidé, sagement d'ailleurs, de sur- mier enfant momentanément seul,
se trouvait de s'armer de mieux en
seoir à l'application de ce décret-loi. soit, on peut l'admettre. Mais la refumieux et de plus en plus vite pour
Celui-ci écartait les familles paysan- ser au premier enfant d'une famille
faire face à toute éventualité.
nes du bém iiee de l'Encouragement qui en compte cinq ou six, p a r exem— M. Paul Ileynaud, ministre des
national aux Familles nombreuses. Or, ple, cela est inadmissible.
finances, a prononcé samedi soir un
U y a donc lieu, en. toute équité,
un autre décret-loi, du 12 novembre
discours radiodiffusé dans lequel il a
dernier, a consacré un crédit supplé- d'accorder l'allocation pour le premier'
brossé un tableau saisissant du redresmentaire de 200 millions au relève- enfant, dès que la famille en compte
sement matériel et moral de la Fi ance
•'•
> »
ment de l'Encouragement National. au moins un deuxième.
..
li-vA
qui, forte et guérie, peut aujourd'hui
La solution d'attente, introduite dans
résister et demain collaborer, a-t-il dit.
la loi de finances, a pour objet de
En résumé, nous avons noté
-s
Parlant de notre situation financière
sauvegarder les intérêts légitimes des
1° La suppression de l'interdiction
qui est bien saine, le ministre a déclaré
familles paysannes quant à la répartide cumul des Allocations familiales è i '
« qu'il y a aujourd'hui en Europe une
tion de ce nouveau crédit.
.
de
l'Encouragement national ; _
monnaie r e f u g e : c'est le franc ». L'or
Il était indispensable que la famille
2°
L'octroi de bonifications de coticontinue à rentrer en Frauce à un
rurale ne soit pas frustée de la part
sations aux exploitants.
rythme sans cesse croissant. « Les
qui lui revient. Mais, ce qui doit sur3° L'extension du bénéfice d e l'allorentrées de ces dernières semaines
tout retenir notre attention c'est l'utication au premier/enfant d'une famille
suffiraient à l'acquisition de 5.000 avions
lisation du crédit de 450 millions.
en comptant plusieurs.
modernes ».
Là-dessus,, une somme de 50 milYves LE FEBVRE.
A mon sens, voilà les trois modi— Près de Reims, dans la Marne,
lions a déjà reçu une destination
fications
essentielles qu'il y a . lien,
En prenant le j ouvoir, il y a dix précise,, puisqu'elle doit permettre
un incendie a détruit deux maisons,
d'apporter immédiatement a u régimemois,
nous
avons
dit
que
la
défense
quatre granges et trois écuries. Les
PASSEZ VOTRE
l'application du décret-loi du 31 mai
des allocations familiales.. - dégâts s'élèvent à plus d'un million de nationale était un bl«c,.
1938, instituant des bonifications de
Te ne puis chiffrer exactement l e
... Paissent les Français comprendre cotisations au profit des employeurs
francs.
coût de ces mesures, mais il me semque leur premier devoir c'est de chargés de famille.
travailler.
Ed. Daladier.
Nous disposons donc d'un crédit de ble qu'elles peuvent être réalisées,
Election Législative
400 millions pour assurer le fonction- dans leurs grandes lignes, p a r les
nement du décret-loi réalisant l'exten- crédits dont on dispose actuellement. POUR VOS IMPRIMAS
Pour le moment, la suppression d e
sion aux exploitants et artisans ruraux.
Au scrutin de ballottage pour l'élec'
Encouragement
national combiné
adrtt$e%-vou» à
Je déclare tout net qu'avec des créde la
tion d'un député dans la circonscripavec
le
versement
d'une cotisation
Imprimerie
de
«
Oitoye
dits d'une aussi faible importance l'on
tion de St-Quentin (Aisne), M. Bugain,
entiérèment
à
la
charge
de r e i p l o i » M . * ttHa-Préroa, On«—»-'
ne peut instituer que des allocations
s. f. i. o., a été élu par 6.480 voix
tant
aboutit,
dans
certains
ca£,.' à .
familiales insuffisantes, en faveur des
contre 4.748 à M. Robert, rép. de g..
défavoriser
les
familles!
les
plu&.nomenfants de noa campagnes. J'ajoute
Il s'agissait de pourvoir au rempla-.
— Un tremblement de terre d'une
qu'elles demeureront insuffisantes tant breuses. Aussi avait-on bien fait.-fie.,
ampleur et d'une violence sans précé- cernent de M. Hallande, s. f. i. o.,
qu'on n'aura pas dégagé des ressour- laisser un caractère quasirfacutyat&Aa.,
Organe hebdomadaire
dent a, en trois minutes, dévasté décédé.
décret-loi du 14 juin,— il n'est ;o]»U-<
de Défense laïque et d'Action rêpablicaine ces substantielles en dehors du cadre gatoire que pour moins d e 100.000-j
l'une des plus riches provinces du
budgétaire.
"Mmtmmmm «t t a y r l a c r i * i
Chili.
exploitants.
.r> •» ! -'>
Aussi, comme i l ne saurait être
r, Rue Elie-Fréron - QUIM PER ( Finistère i
La région sinistrée s'étend sur une
Mais,
ce
caractère
facultatif
ne-petit s
question « d'étoller » les allocations
Téléphono 86
longueur de «00 km. environ et une
manquer d'entraîner les p l u s gravés 7
Chèque postal n* 142-70, Nantes.
avec
ce
maigre
viatique,
j
e
serais
parLa Politique extérieure
largeur de loO km., en bordure de la
tisan d'utiliser les 400 millions pour conséquences pour la gestion des
âkO«MMHt* I
còle sud du p»ys,
A la fin de la semaine dernière se
corriger les lacunes et imperfections Caisses de Compensation, car, Seuls*
Des villes entières, telles que Con- sont terminées, à la Chambre des finiftère et départements Umiles bénéficiaires éventuels donneraient,
du décret-loi du 14 juin.
troiihuo
16fr.
ception et Chilan, ont été à peu près Députés, les interpellations sur la Entres département»,
leur adhésion.
• .
>
20 fr.
En d'autres termes, j e voudrais,
totalement rasées. Partout, dans cette politique étrangère du Cabinet Ûala*
.
Si
les
dispositions
que
je,viçns
d'in?.
avec cet argent, débarrasser notre
A i u m i i
province hier si belle et si florissante, dier.
cliquer étaient adoptées, on .pourrait;
Judiciaires on antres... la ligne, 3 fr. 10 chétive construction de ses malfaçons. édictcr l'obligation pour tous, coadi-:
régnent aujourd'hui la désolation et
L'assemblée s'est déclarée Unanime
Prenant la parole au cours de la
Les annonces doivent être adressées ao
la mort,
à vouloir le maintien de l'intégrité du >lns tard le mercredi matin.
di-cussion du budget de l'Agriculture, tion « sine qua non »• pour rendre
Le nombre des tués est évalué à territoire de l'empire français et la
j'ai esquissé les mesures qui, à mon l'institution viable.
30.000 et celui des blessés à 80.000. sûreté de ses communications.
"mtr fou» renseignements, Joindre un timk sens, s imposaient le plus pour donAinsi qiie j e l'ai indiqué tout i
nntir
In
rAnotit*
Les dégâts matériels, eux, sont
l'heure,
tout cela ne nous donnera
Par 379 voix contre 23!Î la Chambre
ner un « climat » habitable au nouveau
évidemment i n d é c h i r a b l e s ,
encore
que
des allocations étriquées.
a approuvé sttns réserve l'altitude du
régime,
Mais
nous
pensons
qu'il y a lieu, tout
— Un avion allemand, au service Gouvernement.
En premier; lieu,: il faudrait mettre
d'abord,
de
faire
disparaître
les injusde Franco, s'est écrasS sur un pic
Ont voté contre le Cabinet : 186
lin à la disposition la plus choquante
tices,
car
rien
"
n'est
intolérable
à'
des Pyrénées françaises, près de socialistes unifiés, 73 communistes,
du décret : je veux parler de l'interl'esprit
français
comme
l'injustice
!
Dagi ères-de-Bigorre. Si:s cinq occu- i union socialiste et républicaine, 1
Pour éviter
les frais
de
recouvrement diction de.cumul des allocations famiEnsuite,
il
faudra
créer.«
de
nouvelles
(4
francs
par
abonactuellement
très
¿levés
pants, dont trois olflciers allemands, indépendant,
liales et de I Encouragement national
^ ^
nement environ/,
nous prions
instamment pour les exploitants et artisans ruraux. ressources pour permettre de donneç
ont été carbonisés,
nos abonnes d f . se servir dm n o t r * C o m p t a
On suppose que, serré de prés par
Cette interdiction ne s'appliquant des allocations plus substantielles..
La Politique intérieure
Ohàqaa
Postai
1
4
8
.
9
0
Nantaa,
pOUV te
Pour aboutir à ce résultat, j e reste
l'ennemi, au cours d'un combat, l'apqu'aux seules familles rurales, est
Mardi est venue, devant la Cham- règlement de leur
réabonnement.
partisan
du moyen que j'ai préconisé
inacceptable du point de vue matériel
pareil avait dû fuir en France. C'est bre, la discussion du projet d'amnistie
Dans le cas contraire,
les
abonnements
dans
ma
proposition de loi n° 3.800,
du.
point,
de
vue
et
l'est
encore
plus
en rentrant eu Espagne que l'accident pour les sanctions prises après la grève expirés seront recouvrés par la poste,
majorés
c'est-à
dire
d'une taxe relativement
psychologique.
s'est produit,
de ces frais.
du 30 novembre,
légère
sur
les
produits agricoles d e
Que l'on abandonne donc au Minis— Non loin de Prades, deux avions
La suite de la discussion a été rengrande
consommation.
de
la
Santé
Publique
les
crédits
tère
espagnols se sont, d'autre part, livrés voyée à aujourd'hui vendredi.
Il faut voir les choses comme elles
Malgré les nombreuses critiques
de cette provenance et ce département
combat au-dessus de notre territoire. <iB rL-g-LUlIil—. 1-li-JJ—'ilit-L1—i'' * « " * »
se présentent,
qu'on
lui adresse, j e continue à 'préà
servir
à
l'Encouragecontinuerait
Ils ont laissé tomber 17 bombes près
" Il ne sert à rien de reculer, —* de
coniser ce moyen, parce que j e n ' e n
ment
national
aux
familles
paysannes
d'un village français, sans heureusetoujours reculer»
comme à toutes les autres lamilles vois pas d'autre,, parce qu'il njen
ment faire de victimes,
Aucun sacrifice n'est de nature à
existe pas d'autres.
françaises.
Signalons aussi qu'à Cerbère, la
satisfaire les dictatures. Elles ne voient
Le décret-loi du 12 novembre 1938
De ce fait, on ne retirera pas d'une
D. C. A. française a dû tirer sur des
L'Allemagne a fêté lundi le 6° anniNoma ¿«a jBouaoripteur*
qu'un » f e u de notre faiblesse ou de
a
apporté
des améliorations, très sen«
ce
que
l'on
donne-de
l'autre.
main
avions franquistes qoi survolaient versaire de la prhje du pouvoir par les
notre impuissance dans ce que nous
sibles
au
régime
des allocations famiEn
second
lieu,,
il
me
parait
dési
M. F. Madec, conseiller d'arrondisse*
natlouaUJt-fcOclalistes,
croyons être des sacrifices à la paix* notre pays,
liales
des
salariés
du commerce et de
rablc
do
modifier,
le
régipic
des
coti'
Le Reichstag a été Convoqué, li cette ment, maire de Logonna-Daoulas, 100 fr.
~ En raison du développement des
ftotre attitude, dans la crise espal'industrie.
sations
imposées
à
l'exploitant
.agricole
M.
Keraaudy,
gardien
do
phare
en
retraite
gnole, n'a pu qu'encourager le fascisme opérations en Catalogne) là gaî'de de occasion, pour écouter un grand à Mertles-tìains (Somme), 20 fr. - Com- car, en -l'état ttctubl des choses, la
A partir du i " avril 1939, ce»
dans ses c i m p a f n e s hostiles * la notre frontière et été d'ailletirs paMoUt discours d'ilitlepi
allocations Vont être portées pour l e
mutio
cío
LantíéantíU,
25
tv.
—
Commune
cotisation
qui
lui
est
demandée
miniAprès avoir exalté l'tt)uvre de ces
tenforCée,
a
ÎYanCé,
,
.
de Pdollartuefï, 100 fr. - Commune do mise singulièrement l'allocation qu'il 1" enfant à 5 / 0 du salaire moyen
si*
antiéesj le Chancelle^ 4 nfcitehnuient
Les
r
é
f
u
g
i
a
fetilmës;
ènfanU
et
le crois tjUe l'Héilt'e Ait vetiUë de
départemental, à 10 % pour le 2%
Pünt-1'Abbé, 280Je. - Cofómutío d- Plo- est appelé ft recevoir,
1
féôister froidement et fermement. Non« vieillttl'dSj afiluent en Crante, pat pslrlé des MivendifitlliGlito tioloulalcs de tfa8tel-StrGordi8ln,,.£i0 fr; - COmttiuue de
à 18 "/o pour le 3° et pour chacun de»
Lit
cotisation
serait
rîtlgible,
êh
h'tltotjfl qlle trOp attefidu, Nous ne didalne do Mille, mourant de faim et 1 Allemagne,.« l)n pOinteftt clalH, a-t-U Brianaleò, 430 fr (mflluft les frais pour les
suivants. 11 en résultera pour ce»
totalité
du
ménage
Sans
enfant,
mais
proclamé i. Ou blett les rkheoôeô du tortirtílitíeS). - íWérididu du Parti répuIWb'nfl f-ëtiulèr lefl âgreflseUrs que fli de frOid,
elle ne Set-ftit pas exigée de l'exploi- familles une aide très appréciable,
Le» forces MpùtfllcalneS; tifi tìlotiifùt monde ftërdnt fépttflles pdt là fortié otl blicain rddicril-Ôdcid liste du Finistère.
i«iU9 ¿Montrons notre pultHahÉe mllltant qui, n'ayant qu'un enfant è une aide qui va être dorénavant bien
irtjce et nOlf'1 forcé' morale, D'est elssti déflòrgàninées ftptè's ia défaite de tìar- bien le fcatttagfc Atlra lieti étjuitafcle- 300 ir. ^ M. Jeflti-MàHe Le PemjJ. buui% charge, n'eut pas appelé à bénéficier plus substantielle qu'en tout « u t «
•
- ^•tirijorit, IN fr; e ¡Mae *0uVe JMorüadeo, des allocations. Ce dernier serait affi- pays,
CelOnBj due lei) utitltfîlâHslefl ont tfctìu- ittèilt,
il idsulies; CiVt «*»< ^ de sacrifice«,
u
t
a
o
n
fié
6i4â|
le
ijoil
SêiiS
deWa
fie
bfluffti Petiüieíit, Iti Ufi
Il estj peut-iti a, tciiips dè fldUfef efi péë le «ë jdnVlëfy àft i-efottìletìt ët
Bien entendu,, cela nécseiflteM M
lié aux Caisses de Compensation »ttis,
joindf»
à
l'équité
e
t
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l
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p
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,
».
Lé filoniani dei: Soliiôflplions t'élèue á
ËspJgM lin lâitibedU de 14 t ë r f t 0a(4- MctìriitnMoeM & tfppùflef Un$ fléHeuôe
vis-à-vis de cellft«*eit U fievlèit en çtfort
finan«!«'
fif^ll
1
íiWnílWfll
if'
Mt Hitlerftensuite dit U volonté bien
jfcne, toute gorgée de Mng. Il a eit, féaiutàucè au* f r a n q u i s t e ôiii iiitt
Le drame espagnol a brusquement
évolaé vers la défaite des républicains.
La prise de Barcelone par l'armée de
Franco et par les légionnaires de
Mussolini marque une date icdoutable
dans l'histoire de l'Occident. Dans
quelques jours 1rs vainqururs seront,
parvenus à la frontière des Pyrénées,
c'est-à-dire aux portes de la France.
Il nous faudra décider de la paix ou
de la guerre : accepter l'insolent ultimatum de l'Italie fasciste, grisée par
ses victoires d'Espagne, ou résister
enfin et mobiliser sur trois frontières.
Et le destin prononcera 1
Il prononcera entre les pays de
dictature et les pays de démocratie.
' P o u r ma part, j e ne doute pas un
seul instant de la victoire de la France
et de l'Angleterre, soutenues par les
Etats- Dnis et vraisemblablement par
la Russie, la Roumanie, la Yougoslavie et tous les peuples à l'est de
l'Europe que menace, line fois de
plus, le sombre g'-nie de l'Allemagne.
C'est ainsi que peut et que doit se
présenter la situation, au moment critique, si, toutefois, les diplomaties
française et anglaise ont su remplir
leur rôle et se ménager des alliés.
Le seul point noir réside dans
l'attitude de la Pologne que domine
secrètement l'ordre des jésuites, dont
les calculs demeurent impénétrables.
La Papauté, effrayée par le paganisme
de l'Allemagne hitlérienne, aurait
une tendance visible à rejoindre les
démocraties dans leur défense de
l'ordre international et de la paix. 11
faut, à cet égard, rendre pleine justice à certains prélats qui, comme le
cardinal Verdicr, ont su faire enteudre
une voix vraiment chrétienne, au-dessus des champs de bataille de l'Espagne. Mais les jésuites ne se sont pas
prononcés, ou, plutôt, lorsqu'ils se
sont découverts, ce fut toujours au
profit des dictateurs, que ce soit
Mussolini ou que ce soit Franco.
C'est ce qui fait le danger de la
situation et, probablement, l'hésitation
de la Pologne qui, sous la lourde
botte du colonel Bock, oublie les
sacrifices de la France et de l'Angleterre en faveur d'un noble pays que
nous avons ressuscité, après deux
siècles d'agonie, et que l'Allemagne
victorieuse démembrerait à nouveau.
(juoi qu'il en soit, après la défaite
de» Catalans que nous n'avons pas su
empêcher, on peut être certain que la
situation va se tendre une fois encore,
comme en septembre. La question se
posera pour la France de savoir si
elle est résignée à accepter un second
Munich, — ce qu'on appelle déjà un
« Munich en Méditerranée ». Je ne
pense pas que l'Italie insiste pour
occuper la Corse ou la Savoie ; mais
elle voudra Djibouti et des modifications importantes de frontière ou
d'administration en Tunisie. M. Daladier a opposé, par avance, un non
Catégorique à toutes les revendications
italiennes. Demain, l'Allemagne ajoutera ses revendications coloniales à
Celles de 1 Italie. Si le Gouvernement
français demeure inflexiblement sur
les positions qu'il a adoptées, et j e
l'en approuverai pour ma part, ce
sera l'impasse.
sans doute, pas trop tard pour secourir Madrid. La France et l'Angleterre
se doivent de réagir enfin devant le
danger qui les menace. Comment ? le
ne sais et il ne m'appartient pas de le
dire. L'Angleterre de Pitt, de Disraeli,
de Gladstone aurait occupé l'Ile de
Minorque. Elle en a les moyens. La
France de Iules Ferry, de Clémenceau
et de Lyautey aurait , depuis longtemps,
occupé le Maroc espagnol, à titre de
gage et provisoirement comme l'Italie
occupe Majorque. Il n'est, peut-être,
pas trop tard non plus pour réaliser
cette opération.
Dans tous les cas, il ne faut pas
avoir peur des menaces italiennes et
céder au chantage de la guerre. Nous
ne désirons pas la guerre. Nous savons
trop ce que cela représenterait de
deuils et de misères. Mais ni la France,
ni l'Angleterre n'ont peur du danger.
Elles ont une grande histoire et elles
demeurent dignes de ce passé. Si elles
veulent la paix avec llialie comme
avec l'Allemagne, c'est dans la dignité, dans le respect des traités signés
et de la parole donnée. Elles ne sauraient consentir à cette paix des charniers qui recouvre peu à peu le monde et qui mène la civilisation européenne à sa perte ou à sa destruction,
sous le signe illusoire de la force
brutale.
jouma/ l e C i t o y e n
Miettes
Semaine
LE CITOYEN
Au Parlement
A nos Abonnés
16
Un oraoïi J a r s tinter
Georges Le Bail
à Qiiper
LE
qu'il va être supporté par les entreprises employant ces chefs de famille ?
Que non point ! Celles-ci vont immanquablement intégrer ces nouvelles
charges dans leur prix de revient, et,
en définitive, elles seront payées par
l'ensemble des consommateurs.
Personne n'y retrouvera à redire et
Cette réforme, à la fois opportune et
généreuse, sera réalisée sans heurts
ni récriminations.
Mais j'attends que l'on me démontre
que ce qui est vrai pour le commerce
et l'industrie ne l'est plus lorsqu'il
•'agit de l'agriculture.
se tiendra à Quimper le 5 février 1939, à
10 heures du matin, salle du Gymnase.
Les comités adhérents y seront représentés à r a h o n do un membre-délégué
par 10 inscrits.
Ordre du jour : Compte rendu moral et
tinancier ; renouvellement dos membres
du bureau ; organisation de la propagande ; fédération do 1 O u e s t ; questions
diverses.
Conseil
d'Administration
Le Conseil d'Administration de la Fédération radicale-socialiste du Finistère se
réunira à Quimper. salle du Gymnase, le
5 février 1939, à 9 h. 30 du matin, avant
l'assemblée générale convoquée pour le
même j o u r .
Jean PERROT,
Font partie du Conseil d'Administration :
1° de droit : les membres du bureau de
Député du Finistère,
Membre
de la Commission de l'Agri- la Fédération ; les parlementaires, conseillers généraux, d'arrondissement et maires
culture.
membres du parti.
R É F U B L I O A I M S
I
Vout ne trouverez
pat U Citoyen
chet tout let dipotitairet
de
journaux
du département,
mail vout le trouver et
tûrement
chct vout en vout
abonnant
f Voir hull ntinrf'Khonnnm<>ntnn l'paar^
Concours am Fonctions Publiques
2" par délégation : 1 membre-délégué
par comité non déjà représenté par un
membre de droit.
Les membres do droit qui n'auront pas
reçu de convocation individuelle sont priés
de considérer le présent avis comme en
tenant lieu.
Le Président, J. Riou.
— A l'issue do l'assemblée générale, les
délégués se réuniront on un repas amical
à l'hôtel Pascal. Prix du repas, vin compris : 20 francs.
— Agent technique de terrain do Service
Conseil Général
temporaire de la revision des évaluations
Le
Conseil
Général du Finistère so
foncières. — Concours ouvert en mai 1939
pour 50 postes Délai d'inscription : 28 réunira, en session extraordinaire, ô la
février 1939. Avoir satisfait aux obligations Préfecture, demain samedi 4 février, à
militaires. Limite d'âge supérieure : 45 10 h. 30, au Bujet des transports départeans au 15 janvier 1939.
mentaux dont l'affermage actuel cessera le
— Sténo-Dactylographe au Ministère des 1" mars prochain.
Colonies. — Date : 9 mai 1939. Délai d'insOn examinera aussi la question du percription : 11 avril 1939. Limite d'Age supé- sonnel des chemins de fer départementaux.
er
rieure : 30 ans au 1 janvier 1939. Traitement de 9 500 à 15 000 fr. plus indemnités.
Conseil de Révision
Aucun diplôme exigé.
Voici l'itinéraire du prochain Conseil de
— Adjoint techr.ique stagiaire du génie
rural. — Date : 27 mars 1939. Délai d'ins- revision dans le département.
Classe 1939 (jeunes g ins nés du 1 " jancription : 10 mars 1939. Condition exigée
avoir satisfait t A c t i v e m e n t au service vier au 31 décembre 1919) ; ajournés des
militaire actif. Traitement de base : 10.500 classes 1936 i2» contingent), 1937 (1" et 2»
fr. plus indemnités. Aucun diplôme exigé. contingents), 1938.
Vendredi 10 février, à 10 heures : Quim— Ingénieur adjoint des travaux aéronsntiques de l'E'nt (16 postes). — Date de per (jeunes gens étrar g t s au département).
Jeudi 2 mars : à 9 h 30, Quimperlé ; à
l'ouverture des épreuves d'admissibilité
6 juin 1939. Délai d'inscription : 6 mai 1939 14 h. 30, Arzano.
Vendredi 3 mars : à 8 h. 30, Concarneau ;
Avoir satisfait anx obligations militaires.
Age à la date dn concours : 22 à 30 ans plus à 11 heures, Pont-Aven; à 14 h. 30, Banservices antérieurs admissibles pour la nalec.
Samedi 4 m a r s : à 8 h. 30, Plogastel-Stretraite. Traitements de 14 000 à 35.000 fr.
Germain ; à 14 h. 30. Pont-l'Abbé.
plus indemnités. Aucun diplôme exigé.
Lundi 6 m a r s : à 9 heures, Douarnenez;
Renseignements fournis par 1'« Orienta
tton Professionnelle », revue mensuelle,à 14 h. 30, Pont-Croix.
abonnement : 16 francs par an.
Mardi 7 m a r s : à 9 h. 30, Fouesnant ; à
Los personnes qnl désirent des rensei- 14 h. 30, Rosporden.
gnements sur l'un des emplois on concours
Mercredi 8 mars : à 9 h. 30, Briec-deci-desso* ou sur un exnmeu quelconque, l'Odet ; à 14 h. 30, Scaôr.
peuvent s'adresser de notre part à M. Bon
Jeudi 9 mars : à 9 heures et à 14 heures,
deville, diracteur-gé.raut de « L'Orientation Quimper. (Seront examinés le matin, les
Professionnelle », 7, rue Marbeuf, Paris
ajournés des classes antérieures).
(8'), qui leur répondra a titre absolument
Lundi 13 mars : à 8 h. 30, Carhaix ; à 15
fradrax.
heures,
Le Huelgoat.
Joindre an timbre de 0 fr. 90 yt ne pas
Mardi 14 mars : à 9 heures, Châteaulin ;
oablier de mentionner : en qualité de lec
tear da • Citoyen », 7, n e Klie-Prérou. < à 14 heures, Le Faou ; A 16 heures, Crozon.
Mercredi 18 mars : ô 9 h. 30, Pleyben ; à
Oainoer
14 heures, Chàteauueuf-du-Faou.
Vendredi 17 mars : à 9 h 30, Plouigneau ;
à 14 h. 30, Lanmeur.
Lundi 20 mars : ô 14 heures, Morlaix.
Mardi 21 mars : è 9 heures, Saint-ThéOn no ut prie d'insérer :
gonnec (la révision se fera A Pleyb'-r-Chril) ;
Agriculteurs, vous êtes appelas, diman- 6 11 heures, Taulé ; 6 14 h 30, Saint-Polche, A désigner vos représentants à la de-Léon.
Cbambre d'Agriculture.
Mercredi 22 mars : 6 10 heures, PlouzéJe considère que l'un des membres védé ; à 14 h. 30, Plouescat.
sortant n'est pas digne de vous y repréJeudi 23 mars : à 9 h. 30, Ouessant ; è
senter : il s'agit de M. Divanach, de Pen
9 h. 30, Brest (1er) ; h 14 heures, Bresl (3').
bars, le « propagateur » de la main-forte
Vendredi 24 mars, 6 9 h. 30 et 14 h. 30 :
et du désordre...
Brest (2*). (Seront examinés le matin, les
Cet homme, qui n'a pas toujours le ajournés des classes antérieures).
courage de prendre la responsabilité de
Lundi 27 mars : 6 9 heures, Sizun ;
ses actes, ne peut pas représenter notre 11 heures, Ploudiry ; â l 5 h : u r e s , Laudiviclasse paysanne, paisible et laborieuse, au siau.
sein de celte Assemblée.
Mardi 28 mars : à 10 heures et à 14 h. 30,
Amis cultivateurs, que tous ceux d'entre Landernean (le matin pour les ajournés des
vous qui veulent l'union dans notre belle classes antérieures).
.organisation et désapprouvent ainsi le
Mercredi 29 mars : ô 9 h. 30, St-Renan ;
rôle de chambardeur et de trublion tou- à 14 h. 30, Ploudalmézcau.
jours joué par M. Divanach, rayent donc
Jeudi 30 mars : à 9 h. 30, Lesneven ;
résotament ce nom de la liste.
14 h. 30, Lannilis.
Un agriculteur qui comprend bien son
Vendredi 31 mars : 6 10 heures, Daoulas;
intérêt professionnel, qui veut travailler à 14 h. 30, Plabennec.
dans le calme et la tranquillité, ne doit
Lundi 24 avril : à 14 heures, Brest (étranpas voter pour M. Divanach.
gers au département).
Vendredi 6 mai : à 14 h. 30, Quimper
YVONNOU,
(séance de clôture).
Maire et Conseiller Général,
Mardi 26 Juillet : à 14 h. 80, Quimper
Présidentdu Syndicat agricole de Bénodet.
(session extraordinaire).
Elections i la LDamOre d'Agriculture
Républicain! 1
A I m m m > t i u
mm Syndloat de l'Eneeignemen«
joumai l e C i t o y e n
7, rue Küe-Fréron, QU1MPBR
Le Conseil syndical de l'Enseignement
laïque a fixé au 23 février, la date do
réunion des sections cantonales avec l'ordre
du jour suivant !
Examen de la situation ¡ titularisation
psr promotion ; œuvres sociales du S. N.
Réfugiés Espagnole
» *
» i m T I K I X f
Des réfugiés Espagnols (femmes, enfant!,
vieillards), en provenance de la Catalogue,
sont arrivés dans le Finistère. Ces réfugiés
Oùt été répartis dans différentes communes
et hébergés dans les salles de patronages,
de colonies de vacances, hospices« eto...
Lisas
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mi F a i t e s
e
lire
CITOYEN
la
Cito ve!
7, rue Klifi-Fréron — Quimper
Les
QUIMPER
Fétm d a a E c o l e s . — Les grailles fêtes
annuelles des E oies publiques, organisées
au profil d'oeuvres postscolnires (cantines
scolaires, colonies de vacances, ce'ivrés
du vestiaire, etc...) sont fixée!- cette année
au dimanche 7 mai pour la fête des E>;otéH
et au dimanche 18 juin pour la fôtu de lu
Jeunesse.
.-•>:•
A a a o o l a t l o n d e a aastajatUa a u x
loi»
inr U a H 8 . M . — Le Conseil d'administration a pris en considération les
demandes de nombreux sociétaires désireux de voir reporter la date fixée pour
pouvoir disposer de la journée de dimanche
prochain, jour do l'ouverture do la pécho,
et a décidé de reporter l'assemblée générale au dimanche 12 février.
Elle aura lieu à 10 heures, salle du Prétoir, rue Verdelet.
Préparation m i l i t a i » . — Le Président
du Conseil, ministre de la Défense Nationale a prescrit que les jeunes gens nés au
mois do novembre 1918seraient incorporés
en avril 1939.
Une stission d'exampns de préparation
militaire aura lieu dans la dernière semaiue
de février et leur sera exclusivement réservée.
Les jeunes gens que les dispositions cidtssus intéressent bout invités û se faire
connaître sans îetard au capitaine chef du
service départemental d'éducation physique ot préparation militaire, caserne La
Tour d'Auvergue, à Quimper, qui leur
adressera tous i enseignements utiles.
La
Q a l a da la L i g i n
d'Honnanr. —
Ainsi quo nous l'avons annoncé, c'est j ;udi
prochain, 9 février, qu'auia lieu, au thoàtre
municipal, à 20 h. 30, la soirée de gala de
la Légion d'honneur.
Après une partie de concert, où les meilleurs artistes qciinpéiois se feront entendre dans un répertoire particulièrement
choisi, le public assistera à la présentation de uouzo tableaux vivants inspirés
des maîtres de la peinture classique et
moderne, présentés dans des décors brossés par le peiutre Louis Lécuyer.
Ces tableaux seront accompagnés soit
par le brillant orchestre du maC'stro Henri
Contant, soit par le sextuor régimentaire,
soit par des chants adaptés aux œuvres qui
seront présentées.
Ce sera un spectacle d'art d'où la fantaisie ne sera pas exclue et au cours duquel
on applaudira une j une danseuse étoile
qui sera une véritable révélation.
Il sera prudent de retenir ses places.
1«
Liste
éU«<«f«I«
Rappelons qui la délai pour les réclamations au sujet de id lista électorale eiplf»
demain soir, samedi 4 favrlef.
Les électeurs arrivé« daii» IdOf nouvelle
Commune depuis le
avril 1991 ont à se
Présenter, avant demain soif tbltitllt, I
leur Mairie, munis des pièces nécessaire!
an vue de leur inscription sur la liste életi»
totale de 1939.
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«»«Ht
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MéfrabUosla
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L'altfttbtéé générale itatutnifè de 1«
f t t H t m
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lalfllitâttfta 4 e a
0 4 » t - P > l m i a (près
Programme jusqu'au
Actualités parlantes
film, et le grand film
pe ».
de. la Préfecture). —
lundi 6 février 1939 :
et "onores ; un joli
: « L'enfant de trou-
Ras (près de la Gare). — Programme
jusqu'au mardi 7 février 1939 : Actualités « Eclair-Journal » et deux beaux
films, dont : « La hé 1 -' humaine ».
A p o l l o (près du Cap-Ilorn). — Programme du vendredi 3 au dimanche 5
février 1939: Actualités, un beau film et le
grand film : « Mon père et mon papa ».
Plogasfel-St-Germain
S n l o i d e . — M. A. Glinec, cultivateur à
Kergrenu, s'est suicidé, dimanche malin,
dans son grenier.
Le malheureux était snj it ô des crises
nerveuses des suites de blessures de guerre.
Pont-l'Abbé
L < b a l daa O h a m i n o t a . — Préparé avec
!e plus grand soin, le bal des cheminots,
oiganisé dimanche dernier, dans la vaste
salle du Café de Cornouaillo, a remporté
un g r o j sucrés. Une jeunesse joyeuse et les
nombreux amis des cheminots avaient
répondu à l'appel des organisateurs et
quand l'orchestre attaqua ses premières
notes. la salle était déjà comble.
A l'ontr'acte, M. Plantade, membre du
comité, remercia l'assistance, rappela lo
but de l'Orphelinat des ch':mins de fer et
souhaita ô tous de terminer joyeusement
la soirée.
Compliments aux cheminots pour ce
beau succès.
Ploxévet
S y n d l o a t d a a dAbttanta d a b o i a a o n a
Les membres du Syndicat de défense des
débitants de boissons et épiciers détaillants
de Plozévet, réunis en assemblée générale
extraordinaire le 26 janvier, à la Mairie,
ont. décidé :
1° D-! r e f u s r r de délivrer les timbresprimes à partir du 5 février 1939. Une note
sera adressée, en conséquence, aux épiciers
en gros fournissant Plozévet ;
2° De protester auprès des marchands
de vins et spiritueux en gros fournissant
Plozévet, pour qu'ils cessent la vente au
déiail concuire.i ç m t déloyalement les
débitants payant patente et autres charges
(i c»les correspondantes ;
3° De maintenir les petits verres à Ofr 60,
mais de porter les apéritifs secs à 1 ir. 50
et les mouillés à 2 fr. 75.
D<iau ; Louis Le Moal, 3. rue de I Hospice ; Pur gara ; Jacqueline Pennec, rue MonteMarie-Claude üuéguen, -¿4. ruo de BTBKt ; «u-Ciel (au Clos) ; Florentine Cariou, 16,
Pauline Denis, 1, rue Th"odore«Li-Hars ; rue Plomarch.
Mariages : Jean Nony, marin, et MariePhilippe Maugard, 17, rue de Locronan ;
Yvon Cornille, 7, rue Bourg-les-Bourgs ; Corentino Gourlaouen, à Douarnenez ;
Odette Nihouarn, 12, rue Pen-ar-Siang ; J<cques Giocoudi, ajusteur, 6 Paris, et
Danièle Cusson, 8, ruo do Locronan ; Henri Françoise-Marie Kéraudren, à DouarneBernard, 5, rue des R^guaires ; Marie- n e z ; Henri Belbéoch, marin, à Ploaré, et
Thérèse Hascoôt, route do Pont-1'Abbó ; Anne-Marie Picbon, à Douarnenez ; Henri
Gloaguen, quartier-mallre infirmier, et
Calixto Blanchard, 3, rue de l'Hospice.
Publications de mariage : Marcel Bellamy, Marie-Emma Hascoôt, à Douarnenez ; Jean
employé des P. T. T., dom. à Tours, et Boudigou, manœuvre, à Douarnenez, ot
Honorine Baloin, à Ploaié (mariage à
Anna Barriou, dom. à Quimper.
Ploaré) ; Théophile Losq, employé de
Dicis : Jean-Claude Fouquat, 4 jours,
commerce, et Henriette Laurent, ô Douarquai do l'Odet ; Marie Le Grill, veuve
nenez ; Henri Hubert, brigadier de husCalvi, 53 ans, 11, rue Jean-Jaurès ; Joseph
sards, de Douarnenez, et R^gina Provost,
Le Noc, 20 nus, 3, ruo de l'Hospice ; Victor
à Ploaré (mariage à Ploaré) ; Michel Lo
Garanton, 51 ans, 1, rue de l'Hospice ;
Léon, marin, à Douarnenez, et MarieMario-Louise Lours, veuve Albert, 77 ans,
Jeanne Savina, à Pouldergat (mariage à
12, rue BriZeux; Charles Lo Moudoc, époux
Pouldergat).
Bouquet-iVadaud, 44 ans, ingénieur agroLécès : Guillaume Le Floch, veuf de
nome, G, placo Saint-Corentin j Marie
Alexia
Doaré, 68 ans, rnariu, rue Berthelot ;
Jézéquel, épouse Gouien, 67 aua, route de
Mathildo
Giguet, 4 aus, 61, rue Duguay*
B é n o i e t ; Jeuune Lappart, 41 ans, 3, rue
Trouin
;
Jean-Marie
Le Meur. époux do
de l'Hospiuo ; Joseph Coetmen, époux
Marie-Anne
Caradec,
53 ans, charpentier,
Cojan, b8 uns, peintre en bftiiment, rue du
Comniandant'Aviil; Marie Le Corre, veuve rue Monte-au-Ciel ; Marie Cotonéa, veuve
Quéau, 64 ans, 17, rue Le Déan ; Eugène Ausquer, 95 ans, ruo du Champ-de-Foire.
Touruior, 71 ans, 3, rue de 1 Hospice ;
Pierro Le Bris, 44 aus, 3, rue de l'Hospice j
Yves Colin, 66 aus, 1, rue de l'Hospice.
CttblâVtMeS
il est rappelé aut Intéressés qu'aux
terthel des dispositions légales relative! à
la pwtection du marché du blé i
1° Il est interdit d'ehsetaBnCet en blé les
superficies supérieures A celles Consacrées
par les usages locaux pour l'assolement j
1" Il est également interdit de cultiver
du bla sur une terre qui a déjà porté cette
Céréale l'année précédent«! sauf danl les
réglons où cette pratique e«t de tradltidn,
•t sous réserve d'uue superficie d'un hedtare pour l'alimentation familiale )
S1 il est enfin interdit d'augmenter par
etploUatlon les superficies ensemencée!
eu blé par rapport a la œo/enno do« troll
itoftéa»
otM»
Cinémas
René Kernoa, né le 25 octobre 1905, célibataire, beau-frère du précédent, rue Ernest-Renan, à Douarnenez;
René Thomas, né le 10 septembre 1904,
marié, un enfant, avenue de la gare, à
Tréboul ;
Yves Kervarec, né le 18 août 1901, mirié,
un enf int, 25, rue du Pont, fi Donarnen« z ;
Franço'S Jadé, né le 30 août I90S célibataire, 8. place des Pèeb"tirs, fi Donarnen' i. :
Charles Tynévez, né le 26 aviil 1908.
marié, deux enfants, 55, rue D gnayTrouin, ft Douarnenez ;
Joseph Le Moal. né le 28 septembre 18i)8,
marié, deux enfants, rue Traverse-S liuteHMènn. à Douarnen< z ;
Mathieu Gonidec, né le 25 novembre 1913,
célibataire, rue S tint- Jean, à Douarnenez;
E'igène Guénadou, 33 ans, célibataire,
rue de [Observatoire, (• Douarne.niz.
A n C o m i t é R a d l o a l S o o i a l i a t a . — Les
membres du Comité républicain radicalsorialiste de Douarnen« z sont convoqués
pour demain samedi 4 février, à 20 heures,
salle Cl8quin, rue Duguay-Trouin.
Le bureau compte sur la présence de
tous les membres.
HAilLLlE VO^e
A
m m i
y . rua ëu Para, C H U P I N „,.„
A n ttkéàtr«. ^ tolirhééS Ch. Bal'el. C'est d main bOir, samedi i février> que
lefr'à donnée sur btìtfe scène municipale le
spedatile de choit qu'est i La fomme en
Fletir -).
Les iaurnéeè fiaret tint monté ceitë piòte
aVec Un grand iute de décors et de to^
lette. C'est Mme Germaine Lancier, la
brillante artiste de i'Qdâdn, (jui jdaeMl
(i La f e m m e eu Fl«»r »,
l i t p a r t « d « (t M i e h a a n - O b a r l l o S. —
Voici la liste des quatorze braves marinspèc heurs embarqués sur le bateau do pêche
< Méchann-Lharlic », lors de son départ
de Douarnenet, le 13 janvier dernier:
Charles Doaré, patrou, né le 22 février
1907, marié« doux enfants, demeurant 18,
rue do Plomarch, à D o u a r n e n c i ;
Paul Doaré, frère du patron, né le 31
décembre 1897, marié, deux enfants rue du
Centre, à Douarnenei ;
Eugène Le MaOut, né le 25 juin 1892«
marié, d e u x ^ n f a n t s , 26, rue du StancOu, à
PlOai-é j
Jean-ftené Jaccf, né 16 18 juillet 1Ô06,
marié, un enfant, 29, rUe Jean-Jaurès, à
Douflrtioni'i ;
Jean Louhoùtifl, hé le 13 novembre 1837,
marié, Un enfant, Î9, ruë dU Carrefour, à
Dauarneneg ;
Yves Banec, né le 6 juin lt)01, marié,
tfn «sciant j
chanteuse populaire de nos foires, Mme
venve Lr.chon, née E-niliri B'iuvry, décédée
à l'hApili 1, dans sa £6e année.
Née it Plouguer, en 1852, h vénérable
défunte à fnit entendre des romance* et
complain'es durant d e n o m b r e u s e s a n n é e s .
t f t o ^ W ^ "Mon J a r d i n "
'
R i v n *m J a r d i n a « «
THOUARS (Oaw ièvraa)
ut Is guide pratiqua
in «nstiurt
Etiti 0»
7 fr* »n
Essai 3 mois : 2fran€fc
BREST
L é g i o n d ' h o n n e n r . — M. Fabrcguettes,
trésorier-payeur général du Fiuistère, vient
d'être promu officier de la Légion d'honneur.
Rosporden
— D'autre part, nous apprenons avec
S o o l é t à d a P â o h o . — Uae société de plaisir la nomination au grade de chevalier
pêche, dénommée « Le brochet de l'Aven >., de la Légion d'honneur de M. Lullien,
pour les étangs de Rosporden, a été for- premier adjoint-m aire de Brest.
mée et un comité a été nommé.
Le distingué adjoint-maire de Brest, q u i
Le but de cette société est d'étudier, seconde avec tant de dévouement le pred'accord avec les administrations et les mier magistrat de notre grande ville marisociétés intéressées, les mesures à prendre time, jouit de la considération de tous
pour a-surer une plus grande efficacité au ceux qui l'approchent.
Nous prions MM. Fabreguettes et Lullien
repeuplement naturel du poisson dans les
étangs de Rosporden et de réglementer la de vouloir bien trouver ici nos sincères
félicitations.
pêche.
Lps pécheurs, désirant faire partie de la
A v i a a u x Orphalina da Qnorra
•(
société, pourront se procurer des cartes
Pupilla» da la N a t i o n aana amploi. —
de sociétaires ou à la journée, chez M.
L'Office départemental des Mutilés, ComConan, secrétaire général delà société; M.
battants, Victimes de la Guerre et Pupilles
J. Flatrès, rue du Moulin; M. Y. Hervé,
de la Nation appelle l'dtlention de ses
route de Concarneau.
ressortissants actuellement sans emploi
sur le concours qui doit avoir lieu, le 15
Concarneau
février courant, à la Direction des consA r * J . Q . O. — La section de l'Union tructions navales à Brest, en vue du
Bretonne des Combattants de Concarneau recrutement d'ouvriers aux écritures è
tiendra sa réunion générale annuelle, l'Arsenal.
dimanche prochain 5 février, à 10 heures,
Pour obtenir tous renseignements utiles
à la Mairie de Concarneau.
au suj'ît de ce concours, ils doivent
Le camarade Burin assistera à cette s'adresser à la Direction des constructions
réunion et y prendra la parole. Apiès la navales.
réunion, il se tiendra à la disposition des
camarades qui auraientdesrenseignements
à lui demander.
Il est rappelé que les cartes de 1939 sont
à la disposition des adhérents aux endroits
suivants : Chez MM. Gabriel Gai g i n , eu
Ville-Close ; Louis Oliivier, cat'é, rue
Courcy ; Jules Le Flour, café-tabics, avenue de la Gare.
Traltio dn P o r t . — Voici le traii 1 . du
port de Concarneau durant. Tannée 19."<8 :
Nombre de navires de commerce entrés,
691 ; lonnag.'. de. jange, 44 758 'onnea»x ;
importation. 28.410 tonne aux (1e marchanA l'Union Pa4ronnle dn BAlimant. —
dises diveives dont 2.743 to neanx de
Au cours de l'assemblee générale de
houille en provenance deCardii)'; exportai Lnion p a t r o n » ^ du bàiiineut < t des traB a n q a a t d a la S o o i é t é d a a P é o h a a r a tion, 10 775 tonneaux de march indises
vaux publics du S'id-Fiuimère, le nouveau —• Le banquet annuel de la Société des diverses.
bureau de l'associalioii a élé constitué de Pécheurs à la ligne aura lieu le dimanche
La pêche a également vu son trafic augla façon suivante :
5 février, ft 19 h: 30, à l'hôtel des Bruyères menter de prés d'un million de k*los de
Président: M. Bon 'uelle, deConcarneau. Les sociétaires désirant y prendre part poissons de toutes catégories, réalisant
Vice-présidents: MM. Moreau. de Qnim- sont priés d'aviser le restaurateur avant le une vente de 42 millions, en aegm-nlalion
oerlé ; P e m z , de Pont-Croix ; Pérodeau, repas et d'apport' r quelques spécimens de de p i è i de 10 mi lions sur l'année précéleur pêche.
dente.
de Quimper.
Pour obtenir des cartes de sociétaires,
Secrétaire général : M. Marchand, de
A u C o m i t é R a d l o a l - S o e i a l i a t a . — Le
s'adresser soit à M. le docteur Domain,
Quimper.
Comité
républicain radical et radicalsoit à M. Pierre Biou.
Secrétaire adj >int : M. Mével, de Quim
socialiste du canton de Concarneau se
per.
A v i a d a la M a i r l a . — Des feuilles de réunira en assemblée générale, le samedi
Trésorier général : M. Allain, de Qiim
renseignements au sujet de la contribution 4 février, ù 19 h. 30, salle Rayer, à Concarper.
nntiouale extraordinaire de 2 % , applicable neau.
Trésorier adjoint M. Le Founteun, de à compter du 23 janvier 1939, sont à la
Les citoyens désireux d'adhérer à la
Quimper.
disposition des employeurs à la Mairie.
section sont cordialement invités à assister
Membres : MM. Jourdain, d ' E g u é
à la réunion.
Armel ; S^ordia, de Quimpor ; Bornés, de
Douarnenez
Quimper.
B t a t - O l v i t . — Naissances : Joseph Castrée, rue Obscure ; Alain Le Plomb, place
B t a t Chril dn « 4 an 3 0 J . a v i o r 1 9 3 9
— Naissances ; Yvonne Pmel, 23, rut! de S lint-Michel ; Suzinno Le Joncour, 9, rue
Ce&ûÂù,
À
trtút
S i l o u i q u e ; Pierre Tannneau, 3, rue Le du Grand Port ; Guillaume Kérivel, rue
navlalM
dé
— Prochain spectacle dpg tournées Ch.
Baret, le samedi 11 février 1939, sous les
auspices des Annales politiques et littéraires, « Ester » et « Le Médecin malgré
lui ». -
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LOTERIE
NATIONALE
Football-Association
A n O. A . d a P o a h a r a
U t e m voite
duuuef
ScaÔr
Siégloa d ' b o n n a n r . — M. Joseph Croissant, négociant à Scaer, conseiller d'arrondissement, chef do bataillon de réserve,
vient d'être promu Officier de la Légion
d'honneur.
Ën cette heureuse circonstance, nous lui
adressons nos bien sincères félicitations.
CHATEAULIN
O m Vilain« A l l a i t « . — M i s a aa point.
— Un nous prie d'insérer : Une information
parue dans un quotidien régional annonce
l'arrestation, sous l'inoulpation d'attentats
à la pudeur sur des écoliers, d'uu nommé
J
de Châteaulin.
Comme il est question « d'écoliers »,
nous tenons à préciser qu'il s'agit de l'arrestation de Mi J. Jadé, vicaire à Châteaulin, directeur du patronage catholique,
ibculpé d'attentats à la pudeur 8ur de
jeunos enfants fréquentant son établissement.
M. l'abbé Jadé a été placé Sous mandat
de dépfilt et écrdué samedi dernier à la
maison d'arrêt de Quimper.
Pour le edmité de la réunidn tenue
le 30 janvier 1939, à Châteaulin :
Le Secrétaire de séance.
C a r h a Î I
tùà dktfaiÀrë fcfc**t*«èè *>ojpaUlfé. —
Ces jours derniers, a été conduite à sa
dernière demeure, à Carhaix, la dernière
Mauvaise journée pour le C. A. P., à
l'image du temps exécrable q u i a reudu les
parties très dures pour les joueurs, surtout
pour les jeunes.
Les juniors, avec quelques minimes;
rencontrèrent au Stade Keihuel, les juniors
du S. Q.
A la mi-temps, le score de I à 0, en faveur du S Q. permettait à nos jeunes Pen*
harsiens de s'en tirer honorablement, mais
une blessure du demi-centre obligea celui*
ci ô se retirer, et ce fut la défaite par 5 à 1.
Il n'y a pas pour cela à désespérer.
La 2 équipe, à Plozévet, quoiqu'arrivée
assez tard, ne trouva pas au complet l«s
gars de la Ploz. Ce qui fait que les joueurs
furent mélangés et que l'on ne peut tirer
aucune indication de ce match.
La 1» j o u a de déveine I Elle f u t battue
par 7 à 0.
Pendant la première mi-t«mps, nll> flt
jeu égal avec la Ploz, et quoique menée
par 3 h 0 contre le vent et la pente, elle
espérait se rattraper ô la 2* mi-temps.
Mais elle comptait sans l'arbitr \ dont
nous ne mettrons pas la bonne foi en
doute, mais qui n'a pas su conserver ses
joueurs en mains, énervé par leurs criailla'
ries.
£)eux ou trois erreurs cju'il cûmmit
jetèrent le découragement dans l'équipe
de Penhars, qui eut le tort de se désunir,
ce qui amena u s e défaite plus forte cfu elle
n'aurait dû être en réalité.
Ajoutons à cela 4uo Kerloch fut bleiad
en première mi-temps, que les joueurs de
Plozévet étaient, eu général, plus lOUrdl
quo les nôtres, et que le jeu dur étant eti
faveur eu 2» division, ce handicap se tiè
surtout sentir en deuxième mi-tempô.
Je no voudrais pas terminer ce compté^
rendu fions signaler la Venue sur leterrairi
de nolro «ynipathiqu« député-maire da
Plosévet, M. Albert Le Bail, qui a M w K
LB ClfOYEN
Les Minimes, q u i r e n c o n t r a i e n t en demi(luale d u c h a m p i o n n a t Breti>gne-Sud l e u r s
c a m a r a d e s do la P. A . , a u t e r r a i n d e
St-Denis, s ' e n s o n t r e t o u r n é s avec le m a t c h
nul, 0 à 0.
Ce n'est g u è r e brillant, ni p o u r les u n s ,
ni p o u r l e s a u t r e s . H e u r e u s e m e n t q u ' u n
match r e t o u r a u i a lieu d i m a n c h e p r o c h a i n
au terrain d u S. Q . , e t s o u h a i t o n s q u e
l'une d e s é q u i p e s fasse au m o i n s un b u t .
Les J u u i o r s b a t t e n t les J u u i o r s d u
C. A. P . p a r 5 à 1 (voir a u C. A. P.).
La 3» é q u i p e b a t la 2« d e la P . A p a r
9 à 2.
Joli s c o r e q u i i n d i q u e aussi u n e é q u i p e
de valeur.
P o u r q u o i faut-il q u e la 1 " n e suive p a s
le m ê m e c h e m i n q u e l e s é q u i p e s dites
« inférieures » 1
La
é q u i p e e s t r e v e u u o d e Morlaix
avec u n n nouvelle défaite (7 6 2) Inutile
d ' é p i l o g ier s u r la partie ; u n seul fait e s t ù
r e t e n i r : il n'y a plus do m o r a l chez les
j o u e u r s , c'est-à-dire p l u s d ' û m e d a n s
l'équipe.
La r e m a n i e r 1 J Ï crois q u o cela n e s e r virait p r e s q u e à rien.
U n e seule c h o s e , il m o n avis, s'impose,
la m ô m e q u i a déjà é t é faite d a n s les
m o m e n t s c r i t i q u e s et q o i a sauvé le vieux
S a d o d a n s d> s c a s aussi d é s e s p é r é s q u e
c»'ui devant lequel on se t r o u v e : confier
l ' é q u i p e à un e n t r a l n o o r qualifié, à q u i on
d o uerait l s p o u v o i r s nécessaires p o u r
iv .w-r 1« r e d r e s s e m e n t à b o n n e fin.
u t - o n le t r o u v e r à Q u i i o p e r '/ J o crois
qu
o u i , soit p a r m i l e s m e m b r e s d u
C unité, soit a u d e h o r s .
Il y a à Q u i m p e r assez d e s p o r t i f s c o m p é t e n t s e t ass' z j - u n e s p o u r e n t r e p r e n d r e
c» travail, a n c i e n s j o u e u r s s t a d i s l e s q u i
o n t le c œ u r g r o s do voir les n o m b r e u s e s
d é f a i t e s q i e subit leur vieux club, et q u i
n e r e c h i g n e r a i e n t p a s à la b e s o g n e .
J e d o n n e m o n idée p o u r ce qu'elle v a u t ,
el j o Crois qu'elle vient à son h e u r e .
Que si q u e l q u ' u n pensait q u e j e p r é ho
p o u r m o n saint, qu'il lise bieu ce q u o j ' a i
écrit plut- h a u t : a n c i e n s j o u e u r s stadistes,
assez j u n e s , e t hélas t j o n e p. é t e n d s plus
ôtre c o n s i d é r é c o m m e j e u n e . K e r v a h u t .
AAAOLAZUR
f ^ É M r l
I ôLâzud I
V l H I
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notaire, 3, rue de Kergariou, Quimper.
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D'une ordonnance rendue p a r le
Président du Tribunal de l r " Instance
de Quimper, le 4 octobre 1938, enregistrée lo 5 octobre 1938, il a été
extrait ce qui suit :
Nous, Chauvin, chevalier de la
Légion d honneur, Président du Tribunal civil de l r e Instance de Quimper ;
Vu la lettre de M. le Préfet du
Finistère en date du vingt-huit septembre mil neuf cent trente-huit ;
Vu le décret du huit août mil neuf
cent trente-cinq sur l'expropriation
pour cause d'utilité publique ;
Vu la délibération, en date du six
mars mil neuf cent trente-huit, p a r
laquelle le Conseil municipal de
Trégunc demande que le projet de
construction d'une école de garçons au
bourg soit déclaré d'utilité publique ;
Vu les plans, devis, cahier des
charges dressés pour l'exécution de ce
projet ;
Vu les plan et état parcellaire des
terrains à occuper ;
Vu le procès-verbal de l'enquête à
laquelle il a été procédé, du trois au
six juin mil neuf cent trente-huit
inclusivement, ensemble l'avis favorable du commissaire-enquêteur ;
Vu le décret-loi du huit août mil
neuf cent trente-cinq sur l'expropriation pour caui-e d'utilité publique,
complété par le décret-loi du trente
octobre mil neuf cent trente-cinq ;
Vu le décret du deux mai mil neuf
cent trente-six relatif à la procédure
^ c •<» h
«c fe
O. o.S®
£0 N o m s , p r é - a i® o. œ
s-o „ o
n o m s e t do- X u
micile d e s H'â
propriétai- a «
<res d ' a p r è s o« n
le cadastrt •<r. c
EN LA COMMUNE DE KERFEUNTEUN
à Tij Iiivoal
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Déléi luse
U n b e a u C h a m p d e terre
à
l a b o u r a b l e e t f r u i t i e r s , bordant la ligne de chemin de fer de Q u i m p e r .
Enfants
Qiiimper-Bre>t, pourrait convenir à Di'.léduse
industriel ou pépiniériste,
contenant
à
Quimper.
40 ares environ.
Pour tous renseignements, s'adres- E n f a n t s
Morel
ser au Notaire.
à Brest.
Commune de Plogastcl-St-Germaio
Avis d'Enquête
Le public est prévenu qu'une enquête d'utilité publique sera ouverte
du l u n d i 6 f é v r i e r a u m e r credi 1 5 février 1 8 3 9 , à la
Mairie de Plogastel-SalntG e r m a i n , sur le projet de création
d lin parc de stockage de gravillon en
bordure de la route nationale n° 784,
au point kilométrique
6 7"25, sur le
territoire de la commune de PlogastelSt-Germain.
Les intéressés pourront, pendant ce
lemps, prendre connaissance du dossier, à la Mairie, tous les jours, de
de 10 heures à 12 heures et de
14 heures à 16 heures.
Le Commissaire-enquêteur recevra
les observations sur ce projet au
même lieu et aux mêmes heures, les
1 0 , 1 9 et 1 8 février 1 8 3 0 .
Le Maire : Kerlouégan,
Ecole
publique
de Garçons
Exfkpi&fioa pour Cause d'u(ilifé pMipe
C—'.--r
.'-at:
es
f l ^ s
a
d'une
Enfants
Morel
à Brest
l.e Beux
Yves,
menuisier
au b o u r g .
id.
Disons que la présente ordonnance sera' publiée," affichée • et notifiée}'daM
les conditions prévues aux articles dix-neuf et cinquante du décret du huit août
mil neuf cent trente-ciDq, relatif à l'expropriation pour cause d'utilité publique«
Fait à Quimper, le quatre octobre mil neuf cent trente-huit.
Le Président du Tribunal,
Pour extrait conforme :
Signé : Chauvin.
Voyez
Le Maire de Trégunc,
Signé : Carduner.
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taillis
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Parc
MeilMeur
id.
terre
labourable
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531
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468
468
Nature
de la
propriété
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Dasrorn
Félix,
menuisier
au b o u r g .
d'enquête préalable à la déclaration
d'utilité publique :'
Vu le décret du cinq novembre mil
neuf cent vingt-six, article cinquantehuit, ;
Vu l'arrêté de cessibilité en date du
onze juin mil neuf cent trente-huit ;
Attendu que cet arrêté comporte
déclaration d'utilité publique de cessihilité des propriétés nécessaires à la
construction de l'école des garçons de
Trégunc ;
Attendu que des pièces sus-visées il
résulte que toutes les formalités prescrites par la loi ont été régulièrement
remplies ;
Attendu que l'arrêté du viogt-quatre
septembre comporte cessibilité immédiate des terrains dont l'occupation est
nécessaire pour permettre la réalisation du projet ;
Qu'il y a lieu d'en poursuivre l'expropriation ;
Prononçons par la présente ordonnance l'expropriation pour cause
d'utilité publique des propriétés ou
portions de propriétés, bâties ou non
bâties, situées sur le territoire de la
commune de Trégunc, nécessaires à la
construclion de l'école des garçons,
telles que ces propriétés ou portions
de propriétés sont figurées au plan
parcellaire ci-anuexé par une teinte
rose et telles encore qu'elles sont
désignées avec les noms des propriétaires inscrits sur la matrice des rôles,
dans l'état indicatif ci-joint et qui sont
indiqués ci-dessous :
Capitaine 534
Prosper,
534 p K
d é c é d é , veuf
d j Gourby
J e a n n e , maeon, au Roudouic.
Dagorn Fé534 p K
lix,
époux
D.-gorn, au
bourg.
Guillou An- 537 537 p
Enfants
na, a u R o u Morel
douic.
à
Q u i m p e r . GuitTant Jo537 p K
seph, épou*
Nivez,ôRoz
Coz.
Capitaine
537 p
P r o s p e r , au
Rouûouic.
Guillou An- 538 538 K
Enfants
na, au R o u Morel
à Brest. •louic.
CanévetCo538
r e n t i u , au
Roudouic.
F u r i e Am- 533
Enfants
K
broise, décéMorel
à Brest. dé, époux d<
533
Mélanie Richard.
Roudouic
bian
RozCoz
Observa-
16» 95
1«08
4 "59
4 «59
32" 02
lande
26« 48
11 « 58
56" 48 32« 43
25» 71
20« 85
7 »98
lai
M a i s o n
4,
Y .
rue Elie-Fréron,
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à
E
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5«60
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COMMUNE
Contenance
& la matrice
m o n t r e r l'intérêt qu'il p o r l a l t a u x s p o r t i f s
l a ï q u e s e n d o n n a a t le c o u p d'envoi do la
âeuxiè ne mi-temps.
Et il fallait v r a i m e n t avoir du oournsre
p o u r r e s t e r s u r le t e r r a i n , où l'on était
f r i g o r i f i é a u b o u t d e cinq m i n u t e s .
U'i b a l , a u profi'. d e l'école d e s filles,
avait lieu au m i r a « m s m - n t c l . n a t u r e l l e m ' ' n ' , v a i n q u e u r s et..vaincus n'y d o n n è r e n t
r e n d e z - v o u s p o u r parad r devant les jolies
b g o u r i è n e s , e t ce n e f•»t p a s u n polit
truvail
k s delà, h e r d - cet t.- jolie salle
do bal o ù , j'ititrment, u ' i e doi z i i n e d e
j e u n e s fuies c o s t u m é e s e n m a r q u i s e t
m a r q u i s e s c h a r m a i e n t l e s yeux p a r la
r e c o n s t i t u t i o n d e s belles d a n s e s d ' a u t r e fois.
Allons ! j o crois q u e m o i aussi j o m e
laisse e m p o r t e r p a r m o n s u j e t e t q u e
j ' a u r a i s mauvaise g à c e ù n e p a s excuser
la mauvaise h u m e u r d e mes j e u n e s j o u e u r s
q u i so t r o u v a i e n t si bien à Plozévet qu'ils
n e v o u l a i e n t plus q u i t t e r .
K.
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à mon domicile, sans aucun
engagement de ma part et
sans frais.
ranr m
Feuilleton
ut
du « Citoyen », Quimper
u b i
(d'après Albert Le Grdnd)
Ayant c h a n t é mòsse, se soUvehaht d e In
r é s o l u t i o n q u e s e s pèt'c e t m è r e avaient
f a i t e d e se faire c h r é t i e n s e t c r a i g h o n t
qu'ils n e l'eussent e n c o r e exécutée, il e u t
désir d'aller les voir et f u t c o n f i r m é en
c e l l e volonté p a r u n a n g e qui lui a p p a r u t
et lui c o m m a n d a d e se diligente!'. A y a n t
d o n c o b t e n u licence, o b é d i e n c e e t un
c o m p a g n o n , il prit c o n g é d e son a b b é et
de ses c o n f r è r e s e t se t r a n s p o r t a en un
h a v r e o ù , t r o u v a n t les n n u t o n n i e f s d ' u n
voisscau d e son pays q u i a t t e n d a i e n t le
v e n t , il y avait sept j o u r s , .il lit prière ¡1
l e u r intention et, è l'aube, le v e n t l e u r
souillant à g r é , ils levèrent les a n c r e s e t
firent voile ; mois, c o m m e ils é t a l e n t en
pleine m e r , ils v i r e n t u n e g r a n d e t r o u p e
de, d a u p h i n s e t a u t r e s g r o s poissons e t
m o n s t r e s m a r i n s , q u i c o m m e n c è r e n t fi
t r o u b l e r la m e r , h e u r t e r le vaisseuu e t
m ê m e a u c u n s s ' é l a n c è r e n t d e d a n s , luisant
c o n t e n a n c e d e vouloir d é v o r e r les murifiicrs, bien é t o n n é s d e c e l l e n o u v e a u t é ;
tuais saint Brieuc, r e c o u r a n t ii s e s a r m e s
o r d i n a i r e s d e l'oraison, chassa c e t escaclroii d e m o n s t r e « et retidit le calimi.
Il arriva h e u r e u s e m e n t r n son pnVs le
p r e m i e r j o u r d e l'an 550 e t allu d r o i t chez
3011 p è r e , lequel il trouva c é l é b r a n t les
festins d u faux Dieu J a n u s , qlii d u r a i e n t
trois j o i i r s ; mais c o m m e d ' o r d i n a | r e , selon
ltì d i r e d u sage, les jdiea (ie en m o n d e Sé
tfcrnfirtdiit tin tristesse, la réjoUisftanco de
fcfcUë fête ftlt t r o u b l é d p a r uil a c c i d e n t qui
f ufriva î c a r Un d é s cdnvivés Salila bt
d a n s e Inttt, uprét! ê t r e satìiil, qiic ( tdmbaiil
d e srt htttilbtir, Il «c fotrlpil (a dulosi). Saihl,
¿ r i e u c , a r r i v a n t lù-tÎos»ùsr f é j o u l l tdùto ¡11
J}iimjwgtiic, n o m m é m e n t ses p a r e n t s j mal»,
— N
il I D
U1ILIU1
par Yves LE FEBVflE
d'ailleurs bieli m a r r i d e les voir e n c o r e
c r o u p i r aU p a g a n i s m e , il c o m m e n ç a à leur
p r ê c h e r l'iîvaiiglle i et, p o u r confirmation
de la d o c t r i n e qu'il leur prêchait, il lit le
signe d e lu sainte croix s u r la cuisse r o m p u e
de ce p a u v r e h o m m e et, p a r c e m o y e n , le
guérit ; ce <|iie voyant, les p a r e n t s d ' u n
p a u v r e g a r ç o n q u i , p e u a u p a r a v a n t , avant
été m o r d u d ' u n chien cui'agé, était d e v e n u
furieux, l'cuuiienèrciil au saiul, lequel, lui
avant m i s les d o i g l s d a n s la bouche, le
g u é r i t e n t i è r e m e n t . Voyant ses p a r e n t s disposés h recevoir le sninl b a p t ê m e e l aussi
lu p l u p a r t d e ses cotiipalriolcs, Il leur
o r d o n n a un J e û n e d e sept j o u r s ; puis, les
oyalil catéchisés, il les baptisa, Il planla
des croix, biUil d e s églises el d e s m o n a s t è r e s où il r e ç u t p l u s i e u r s religieux, qu'il
insi l'unit selon l ' o r d r e e l la règle qu'il uvalt
a p p r i s en francC.<1
.•i il employa q u i n z e u n s el d e m i h c o n v e n i r , i n s t r u i r e e l c a t é c h i s e r son paysi
J u s q t i c s & c C q u ' é l a l i l en Oraison eu son
m o n a s t è r e , le J o ù r d e la PenlSI&lti d e l'an
B05, il f u t s u r p r i s d ' u n d o u x sommeil,
ptindaill leqUel (ill a n g e 1(1 i c o m m a n d a d e
p a s s e r ta m e r e l d'ullor elt la Bl'elagndAMnbMqlie p o u r y p r ê c h e r l'tëvangiltii L e
saint, revenil /1 sol, eorlvdqua sds l'cligieu*i
Itiiir fit savoir lé eotmtiantibmetH qlie Putlkti
lui a r a i l fait, et, d e letir avis, voyant les
affaires de lu religion p r o s p é r e r de iilieitx
bu mlctik, ciidislt cent soixante el iftiit dd
8é8 m o i n e s et sd dispdsa p d u r avec dli*
basse r In m e r . ils s'eiiibah|Uèreiil ddrtc b l
tbtlnlèreiil ia prtiùo vers HOlre Brb'lngiie j
bl, tiOttiinri Ils étitlefll nti tfiiliëti dri lbtir
bolirse, 1e diable, eOmiaisflaitl qii'llBl'aliélerii
cornballt'i! e t tiéiivhtf les ftiliCis de ôtf SciM*
Itulc, a r r ê t a le vaisseau i niais saiul lJrieuc, d u r e r , q u i lui fit r e c o n n a î t r e q u e c'élalt
par ses p r i è r e s , r e p o u s s a ses efforts, si line punition d e Dieu. R e p e n t a n t d ' u n
bien q u e , c o n t i n u a n t l e u r r o u t e , ils orri- c o m m a n d e m e n t si c r u e l et si l é g è r e m e n t
Vèrent h la c è l e d e la
flretagne-'Armorique fait, il e o n l r e t n a n d e ses satellites e t fuit
el e n t r è r e n t d a n s l'emboiicl iilrn du fleuve p r i e r les saints de le venir t r o u v e r . Saint
J a u d v qui, passant p a r sotts le eluUeuu de lu tlrieuc s'y accordu v o l o n t i e r s e t y vint,
l l o c h e - D e r r i o n , se d é c h a r g e d a n s le canal a c c o m p a g n é de ses moines. I n c o n t i n e n t
ou, p o u r mieux dire, rivière d e L a n d - qu'il l'ut o u t r é d a n s lu sulle, Riwnl, le
î r é g u e r , e l s ' a r r ê t è r e n t là où n i a i n l c n a n l recultuuiSBunl, s'écria : « Quoi, c'est Brieuc,
est bâtie 1a ville d e L a n d - T r é g u e r .
mon cousin ! » e t il lui d e m a n d a p a r d o n
Ils f u r e n t les b i e n v e n u s e t fort grucieuse- d e l ' o u t r a g e qu'il lui avait voulu faire et "à
liienl recueillis p a r les B r e t o n s T r é g o r r o i s , ses religieux, le s u p p l i a n t d e p r i e r Dieu
lesquels a i d è r e n t le saint n bàlir un p o u r sa s a n t é . Le saint, l'ayant resalué e t
i n o n a s t è r c en ces q u a r t i e r s p o u r lui e t s e s consolé, se m i t en p r i è r e s ; puis, avant
moines. Etant r a p p e l é en son pays, p o u r l'ail venir d e l'eau, 1a bénit, l'en a r r o s a e t
le délivrer d e la peste q u i y faisait 1111 lui en fil boire, e l i n c o n t i n e n t il se leva d u
g r a n d ravage, Il mit s u p é r i e u r d a n s son lit. sain et dispos, l'embrassa é t r o i t e m e n t
m o n a s t è r e un sien neveu, lequel »'étant el. en reconnaissance d e celle faveur, lui
bien c o m p o r t é au r é g i m e du m o n a s t è r e , h doiinn ce sien m a n o i r , avec l o u l c s ses
son r e t o u r il le c o n t i n u a en c h a r g e e l le fit a p p a r t e n a n c e s , p o u r s'y a c c o m m o d e r e t
a b b é en c h e f ; puis, choisissant quai r e - ses religieux.
vingt q u a t r e m o i n e s d e ce m o n a s t è r e , e t ,
Huliil Brieuc, ayant accepté ce d o n , bâtit
a y a n t pris c o n g é d e son neveu e t d e s 'un pelll o r a t o i r e p r è s d e la f o n t a i n e où 11
a u t r e s religieux, il s ' e m b a r q u a e t , d é v a - s ' é t a i t , p r e m i è r e m e n t a r r é l é , luquclle a é t é
lant la rivière de L a n d - T r é g u e r , s'élargit d e p u i s n o m m é e la f o n t a i n e d e saint Brieuc ;
en m e r , r a n g e a n t la c è l e j u s q u ' a u havre puis, puis il loisir, se m i t à édifier 1111
d e Cesson, m a i n t e n a n t n o m m é le Légué, monaiiièl'e, j o i g n a n t le palais de Biwal q u i
qui esl le havre d e Sniut-Urieuc, où a y a n t esl le m a n o i r épiscopal ; e t , p o u r ce faire,
pris t e r r e , il se m i t ¿1 c o n s i d é r e r l'assiette il fit c o u p e r plusieurs a r b r e s d e lu forêt,
et situation d u lieu, lequel t r o u v a n t un tant p o u r d o n n e r place uu b ù l i m c n t q u e
s é j o u r a g r é a b l e , il e n t r a d a n s u n e forêt là p o u r servir fi la c h a r p e n t e , Le m o n a s près, suivi d e s e s religieux, o ù , é t a n t en tère p a r a c h e v é , salut Brieuc y vint d e m e u eolloques e t devis spirituels, ils f u r e n t r e r avec t o u s ses religieux j lu r e n o m m é e
a p e r ç u s p u r un chasseur, d o m e s t i q u e du d u q u e l , volatil p a r t o u t te paya, Ht q u e
e o m t e flitfal, cjui d e m e u r a i t lors d a n s u n celle f o r ê t l'ul, d a n s p e u d e j o u r s , p e u p l é e
sien m a n o i r p r è s cette f o r ê t . Ce c h a s s e u r , et enfin tould a b a t t u e , puis convertie en
les voyant en si g r a n d n o m b r e , a c c o u t r é s u n e ville q u i y f u t édifiée e t a p p e l é e , d u
d ' u n e façon i n c o n n u e eh ee paye, s'en oliu, au nom d e son p r e m i e r p a s t e u r , Saint-Brlcuc,
g r a n d galop, en o v e r i i r s o n m a î t r e , lui d i s a n t Vivant en ee m o n a s t è r e avec ses f r è r e s ,
qu'ils ululent usais près d ' u n e foulaifidi
tiieu le r e n d a i t illustre p a r plusieurs
HitVal, ajdttlutil foi nu d i s c o u r s de son gt'aHtis tnihiclds. tirtli'd a u t r e s lui f u i amené
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c h a s s e u r , cohiiffundtt il Uhd IrUUpd dd sds u n jiuiiW'd h o m m e a v e u g l a lequel, pat sa
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élûiërit Hdrs d e s p o r t a s dli fiiafioir tjUd èirë lorigiidWÈiiit eaehée, ni 1b flambeau
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J t i ^ û i ftlt, saisi d'Uhb fflnindits ilttf tout ië ailuttiii demeut'et BOUS la mulds, Dieu vou;
Wi'ps, s i
a l t i u l w l o t|ti il nti j)(juv«it lut tjuo « m serviteur Brieuc parut en »on
église, p o u r r é g i r ceux l e s q u e l s il avait
convertis ù la foi. 11 l'ut donc, d ' u n c o m m u n
c o n s e n t e m e n t d e tout le pays, élu é v ê q u e
du Brioçois el sacré, et son m o n a s t è r e
converti en c a t h é d r a l e .
... Le t e m p s é t a n t venu a u q u e l Dieu le
voulait r é c o m p e n s e r d e s e s travaux, il lui
lit savoir, p a r révélation, qu'il se liul p r ê t
p o u r q u i t t e r la prison d e s o n c o r p s . H se
coucha d o n c s u r son p a u v r e g r a b a t e t ,
ayant c o n v o q u é t o u s s e s religieux... il
r e n d i t son b i e n h e u r e u x esprit ès-niains d e
son c r é a t e u r le 90'' an d e son i\ge e t d e
n o t r e S e i g n e u r l'an 614.
B r a n d a n , son p a r r a i n , q u i prit u n soin
p a r t i c u l i e r d e l'instruire p a r m i l e s a u t r e s
écoliers qu'il avait e n p e n s i o n , l e s q u e l s
saint Malo s u r p a s s a i t e n t o u t e s choses. S e s
délices, c'était l'oraison, e t , e n c o r e q u ' i l
lût p a r f o i s les livres d e s p o è t e s e t p h i l o s o p h e s p a ï e n s , il n e se laissait néanmoins'
pas e m p o r t e r à l e u r s o p i n i o n s , p r é f é r a n t
la science d e s saints à la vainc p h i l o s o p h i e
des s a g e s d u m o n d e . . .
Saint B r a n d a n a y a n t d o n n é c o n g é à s e s
disciples, u n e a p r è s - d i n é e , saint Malo s ' e n
alla p r o m e n e r s u r le b o r d d e la m e r a v e c
ses c o n d i s c i p l e s ; e t , p e n d a n t q u e l e s
a u t r e s se divertissaient e t p r e n a i e n t l e u r
r é c r é a t i o n , il se r e t i r a à p a r t d a n s la g r è v e
et se j e t a s u r un faix d e g o é m o n e t s'y
V i e de Saint M A L O
e n d o r m i t d ' u n s o m m e i l si p r o f o n d q u ' i l
n ' e n t e n d i t le b r u i t e t c r o u l e m e n t q u e f a i Du t e m p s q u e le p a p e S y m m a c h u s séait sait la m e r en son m o n t a n t . L e s a u t r e s
au t r ô n e a p o s t o l i q u e , soiis l'empire d'Anas- e n f a n t s , qui virent la m e r m o n t e r , q u i t t è r e n t
tase l, r é g n a n t en la B r e t a g n c - A r m o r i q u e le rivage e t s ' e n r e t o u r n è r e n t a u m o n a s le roi Iloêl 11 d u n o m , il y avait en la tère, sans p e n s e r à Malo, l e q u e l , e n p e u
province q u e les a n c i e n s B r e t o n s insulaires d e t e m p s , f u t d e t o u t e s p a r t s e n v i r o n n é
a p p e l a i e n t Guic-Kastel et les Anglais do m e r , sans q u e , t o u t e f o i s , elle l'osât
W i n c h e s t e r , u n riche s e i g n e u r n o m m é t o u c h e r , ni m o u i l l e r ; m a i s , - à m e s u r a
Client, il q u i le roi avait d o n n é le g o u v e r - qu'elle croissait, elle haussait, c o m m e u n «
n e m e n t d e la dite p r o v i n c e , parce qu'il petite lie, ce g r a v i e r s u r lequel était s a i n t
avait fuit p r e u v e d e su fidélité e t de MOU Malo, q u i , s'étant éveillé, j e t a n t les y e u x
c o u r u g e en p l u s i e u r s h o n o r a b l e s occasions. de t o u t e s parts, n ' a p e r ç u t a u c u n d e s e s
Ce s e i g n e u r é p o u s a u n e v e r t u e u s e d a m e , c o m p a g n o n s , e t , se v o y a n t d e t o u s côtéa
n o m m é e Darval, d e maison n o n m o i n s e n v i r o n n é d e m e r , s'écria : « O m o n Dieu 1
illustre q u e lu sienne, uvcc laquello il vécut où suis-je ? Soyez-moi e n aide ». Les a u t r e 9
J u s q u ' à uu Age a u q u e l ils é t a i e n t h o r s e n f a n t s , é t a n t arrivés BU m o n a s t è r e , e n q u i a
d ' e s p é r a n c e d ' a v o i r d ' e n f a n l s , s e l o n l e c o u r s d e saint B r a n d a n q u ' é t a i t d e v e n u Malo e t
o r d i n a i r e do la n a l u r e i mais Dieu, p r e - n'en p o u v a n t d o n n e r a u c u n e nouvelle c e r n a n t pitié d'eux, l e u r d o n n a c e t e n f a n t , taine, Use t r a n s p o r t a s u r le rivage, F o r t t r i i t «
q u e Durvul mit au m o n d e au 67e an de s o n et d é c o n f o r t é et, ne le p o u v a n t a p e r c e v o i r ,
âge e t d e n o t r e S e i g n e u r l'an 502, la vigile l'appela p l u s i e u r s fois i maie rien n e l u i
de P ù q u e s e t f u t le m ê m e J o u r b a p t i s é p a r r é p o n d a n t , il s'en revint a u m o n a s t è r e b i e n
l'évêque d e GUic-Kaslel e t t e n u s u r les triste et veilla t o u t e la n u i t d a n s l'église,
eueréB fonte p a r ce g r u n d p e r s o n n n g e , p r i a n t Dieu, d e g r a n d e f e r v e u r e t affection;
Saint B r a n d a n , q u o n o s B r e t o n s a p p e l l e n t qu'il lui plût m a n i f e s t e r en quel état était
sant Brévaluzr, lequel lui imposa le n o m son. c h e r filleul Malo,
do Malo ou Machutes,
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d e s p l u s i n t é r e s s a n t s s u r la s i t u a t i o n i n t é r i e u r e e t e x t é r i e u r e a c t u e l l e , cite l e s
f a i t s les p l u s s a i l l a n t s q u i o n t m a r q u é l e
ministère Edouard Daladier depuis s o n
a v è n e m e n t , c ' e s t - à - d i r e dt p o i s dix m o i s ,
e t c o n c l u t q u e l e P r é s i d e n t d u Conseil a
t o u j o u r s t r a v a i l l é p o u r la R é p u b l i q u e e t
p o u r la Paix. M. Mazé a été, t r è s a p p l a u d i .
T o u r à t o u r o n t p r i s e n s u i t e la p a r o l e
e t se s o n t fait é g a l e m e n t a p p l a u d i r , MM.
T a n g u y , a n c i e n s é n a t e u r ; A l b e r t Le Bail
et Jean Perrot, d é p u t é s .
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réponse.
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Annonces judiciaires et diverses (3" ou 4" p a g e ) . . 3 f r . l O la ligne
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Les communiqués et annonces
doivent parvenir au journal le mercredi matin an plus tard. ,
ville natale, où l'assassin
Pilorge
devait payer sa dette à la société. Pilorge n ' a ainsi été exécuté q u e l e lendemain samedi.
Plus de 350 criminels ont expié p a r
Le syndicat national des instituteurs primaires supérieures ; elle d é p e n d
La Fédération radicale-socialiste du citoyens. Léon Blum voulait de l'Unales
soins de M. Deibler qui était né à vient, d'adresser le document suivant, à directement de l'Eglise, tient d e s r é u nimité
Nationale.
Nous
ne
sommes
Finistère m ' a fait l'honneur d e m e
Rennes le 29 novembre 1863.
pas de ceux qui ont été sourds à son
nions sous son égide, diffuse d e s j o u r un certain nombre de groupements :
m e t t r e à sa tête.
appel.
naux
e t d e s brochures i m p r é g n é s d e
— De sanglants incidents antisémile lui e n suis profondément reconEn vous adressant, le 16 novembre
son
esprit.
Si
les
dangers
extérieurs
semblent
tiques se sont produits à Budapest. 1938, un premier a p p e l : « l'Ecole laïque
naissant, mais j e ne m e dissimule p a s
Pourquoi ces g r o u p e m e n t s auraientPour en éviter le renouvellement, l a en d a n g e r », nous vous avions avisé
combien est sérieuse la tftche à entre- moins pressauts depuis quelques jours,
il
ne
faut
nous
y
tromper.
Ce
n'est
ils
plus droit d e cité q u e les g r o u p e loi
martiale
a
été
proclamée
en
Honprendre.
que nous vous saisirions, e n t e m p s
qu'une
brève
accalmie.
Il
faut
s
'
a
t
ments
politiques ?
grie
où
l'on
parle
de
l
a
dissolution
du
Ma p r e m i è r e pensée a été pour mon
opportun, des revendications arrêtées
Xj'Ordre du jour
f
j
Abolition
d u caractère obligatoire
parti national-socialiste.
p è r e , qui aimait la Fédération et trou- tendre d'un j o u r à l'autre à des tentaà nos assises nationales d'août 1938.
Pour terminer cette assemblée générale,
de
la
présence
d e s m a î t r e s d e l'enseivai*, dans ses réunions et les conver- tives violentes de chantage et de presNotre b u t final est la nationalisation
— Après le remaniement ministériel
l'ordre du j o u r ci-dessous, proposé par un
g
n
e
m
e
n
t
privé
dans l e s Commissions
sations amicales mais parfois fort sion . Si nous cédons, c'est le commencequi a eu lieu dernièrement en Rouma- de l'enseignement. Dans un Etat f o n g r o u p e de délégués, a été adopté à l'unaanimées qui les marquaient, un intérêt ment de la tin et nous n'en triompherons n i m i t é :
nie, voici qu'une crise ministérielle dé s u r la laïcité, u n e seule école s'im- d'examen d u certificat d'études p r i que si les hommes de tous les partis
maires.
très grand et u n véritable réconfort.
« La Fédération républicaine,
radicale et vient d'éclater en Yougoslavie. Le pose, comme s'imposent u n e seule
sont
ensemble
au
coude
à
coude.
Dans les Commissions d'examens d e
Je succède à notre excellent ami
radicale-socialiste,
réunie
à Ouimper. le. cabinet Stoyadinovitch a démissionné. justice et u n e seule armée. C'est à ce
l'enseignement secondaire n e figure
Nous savons bien que nous serions
Jean Riou, qui r e m p l i t excellemment
Il
est
remplacé
p
a
r
un
ministère
préprix
q
u
e
sera
respectée
la
liberté
d
e
février, sous la présidence du citoyen Jean
sidé p a r M. Tsvetkovitch et partisan conscience, reconnue la liberté d e aucun m e m b r e des institutions privées.
sa tftche et q u e l'affection d e tous a tous unis dans la guerre, tuais c'est, lliou,
actuellement,
dans
la
paix
que
nous
« à l'unanimité e.rpiime au Gouvernement de la solution rapide de la question l'enseignement, assurée d e vivre l a L'attribution d e s diplômes d ' E t a t n e
élevé à la présidence d ' h o n n e u r do la
saurait être conférée à ceux q u i c o n devons
être
tous
unis,
précisément
pour
et
à son chef, le président
Ed. Daladier, croate qui avait déterminé l a démis- démocratie.
Fédération.
testent l a légitimité d e son pouvoir
éviter
la
guerre.
son
affectueuse
reconnaissance
pour
Id'uure
sion du précédent gouvernement.
A l a place q u e j'occupe, je vais
Cette solution d'avenir n e sera réaliijiiils accomplissent
à la tète du pays,
tant
en
matière d'enseignement. E n y
Le
Parti
Radical
e
t
ses
chefs
se
sont
avoir besoin de l'appui énergique d e s
— Le gouvernement russe a rompu sable que dans l a m e s u r e où l'intandans l'ordre intérieur que dans l'ordre
extéconsentant
pour le C. E . P . l e Conseil
donnés
à
cette
tâche
passionnément.
élus e t d e s mililauts, car une organiles relations diplomatiques avec la gibilité des lois laïques sera maintenue.
rieur,
supérieur
d
e l'Instruction p u b l i q u e a
Nous
comptons
q
u
e
les
citoyens
se
sation telle que celle qui est nécessaire
« elle félicite ses députés:
A. Le liait et Hongrie. Sa décision est motivée p a r Les atteintes multiples portées à la loi porté un coup sensible à l'école laïque,
grouperont
de
pbis
en
plus
n
o
m
b
r
e
u
x
ne s'improvise p a s . Elle ne peut être
J. Perrot,
de s'y être étroitement
associés. le fait q u e la Hongrie, sous la pres- de séparation, comme à l a loi s u r les surtout dans les régions o ù d e s a t t a solide et d u r a b l e que si elle est métho- autour de ce g r a n d parti pour accroî« elle, fait confiance
au Président du sion d e l'Allemagne et d e l'Italie, a congrégations, sont regrettables en ce
ques contre eUe redoublent l'intensité.
tre sa force, qui est la force m ê m e de
diquement poursuivie.
Conseil pour persévérer
avec énergie dans adhéré au pacte antikomintern e t sens qu'elles p r é p a r e n t de nouvelles
la
France.
g) Obligation p o u r les fonctionnaires
la voie de redressement
qu'il s'est
lui-même qu'elle a ainsi, p a r conséquent, a'iéné concessions susceptibles de les abolir
Depuis deux ans l'elTcclif d e s miliAlbert LE RAIL,
de
choisir p o u r leurs enfants l'école
tracée,
tants a doublé, niais les comités sont
son indépendance.
D é j a l e s journaux cléricaux enregistrent
Député,
p
u
b
lique.
« pour maintenir
l'intégrité du territoire
encore trop p e u nombreux, surtout
— Deux sous-marins japonais sont avec joie la valeur des coups qu'elles
Président de la Fédération
Obligation
d e l'exclusivité d u r e c r u et
de
l'empire
français
devant
d'inadmissibles
dans le nord-ouest e t le centre d u
reçoivent ; le r a p p r o c h e m e n t d e l'Etat
Radicale-Socialiste
du Finistère. prétentions,
pour assurer l'ordre
intérieur, entrés en collision. L'un d'eux, l e
tement d u personnel enseignant p a r m i
Finistère.
et de l'Pglise s'accentue ; des minisla production
nationale, « I - 63 », a coulé avec son équipage
pour développer
les enfants issus des écoles p u b l i q u e s .
C'est u n i question d e prospection
tres acceptent l'abrogation prochaine
elle adresse un a'-dent appel, fac • au péril qui comprenait oO h o m m e s .
L'école p u b l i q u e n e blesse l a consh laquelle nous allons énergiquement
extérieur, à tous les républicains pow s'unir
— Une formidable explosion s'est des « lois d'exception » en faveur d e s cience d e quiconque ; s a neutralité
proc^der. D i s réunions permettront
autour
d'un Gouvernement
qui montre produite, dimanche, à l'usine de muni- religieux anciens combattants. Sous le
peut apaiser l e s susceptibilités l e s
d ' a c c u lire l e s « ITectifs des comités
clia'iue jour, par ses actes, qu'il n'a qu'une tions de Billy-Berclau, près de Béthu- couvert d e l a répartition proportionplus
vives. Elle n'enseignera la liberté
seule préoccupation
: le salut de la Répuexistant d<\jà, et d'en former d'butres,
ne. Tout un b&iiment a été complète- nelle scolaire, un effort tenace est et l a démocratie q u e dans la m e s u r e
blique
et
de
la
Patrie
».
nombreux.
ment détruit. L°! bruit de l'explosion entrepris pour assimiler à l'enseigne- où ses maîtres auront appris à c h é r i r
« •
a été entendu à plusieurs lieues à la ment laïque l'enseignement confession- l'une et à servir l'autre.
La défaite d e s gauches aux dernièronde. A Billy-Berclau môme, aucun nel.
P A S S E Z
V O T R E
h) Alsace-Lorraine. — P o u r cette
Dans l'immédiat, un certain n o m b r e
res élections municipales a été d e e au
carreau n'existe plus sur les fenêtres.
région, nous d e m a n d o n s l'introduction
m a n q u e de cohésion dans le départePar bonheur, l a catastrophe s'est de dispositions pourraient enrayer progressive d e s lois d e laïcité.
j o u r n a / l e
m e n t , au défaut d'organisation.
produite un dimanche, j o u r de repos, l'offensive déclenchée contre l'école
1° Dispense p o u r l e s m a î t r e s n o n
A V O S AMIS
Ne retombons pas dans cette e r r e u r .
et il n'y a aucune victime à déplorer. nationale p a r ses adversaires :
croyants ou n o n pratiquants d e d o n a) Obligation pour l e s maîtres d e
C'est d è s à présent qu'il faut nous
— L't llondrement du front républin e r l'enseignement religieux.
l'enseignement
privé d e posséder les
p r ' p a r e r . Je d e m a n d e aux amis, concain de Catalogne est un fait accompli
2° Dispense p o u r l e s candidats aux
nus et inconnus d u Finistère, de nou-*
Après le douloureux exode des civils diplômes exigés des m a i ' r e s d e l ' e n - écoles normales, qui en font l a d e écrire. Nous serons à leur disposition
qui, au n o m b r e de près de 100.000, seignement public.
d e 1«
Le brevet élémentaire n e p e r m e t m a n d e , d e subir l'épreuve d e religion
pour les voir, les guider et les aider.
ont passé l a frontière, le président
plus
d'exercer dans les é c o b s de l ' E t a t ; imposée a u concours d'entrée e t d e
Du reste, le parti Républicain lUdiA/.ana et les chefs des gouvernements
suivre, quand i l s deviennent élèvescal e t Radical-Socialiste n'est pas un
basque et catalan ont d û , à leur tour, le brevet supérieur, le baccalauréat maîtres, les pratiques d u culte a u j o u r ou le diplôme d efind'études seconsimple parti d e combat. Aux heures
— Parlant la semaine dernière aux se réfugier en France où ils étaient daires sont imposés aux f u t u r s maîtres. d'hui en h o n n e u r d a n s ces établissegraves, c'est autour d e lui qu'on s i
Communes, M. Chamberlain a déclaré suivis, d è s lundi matin, p a r le gros de Pourquoi ne seraient-ils pas exigés d e s m e n t s .
A l b e r t LE B A I L
g r o u p e , et c'est en lui q u e le pays sent
l'armée catalane en retraite.
i) Afrique d u Nord. — L e s instituque, devant l'affirmation de la réalité
Député Maire de Plozével
maîtres de l'enseignement privé ?
le mieux vibrer son â m e .
Les soldats républicains, q u i ont
teurs
d e cette F r a n c e d'outre-mer sont
de
l'axe
R
o
m
e
B
e
r
l
i
n
,
u
n
e
étroite
Président de la Fédération
b ) Suppression des moniteurs ayant
Son action et son aide rendirent
déposé leurs a r m e s aussitôt après
unanimes
à réclamer :
coopération
entre
la
France
et
l'AngleRadicale-Socialiste
du Finistère
dépassé l'âge scolaire.
possible la lutte contre u n Fascisme
terre était l a base d e la politique avoir passé la frontière, ont été inter1° La suppression d u b u g e t des c u l La pénurie de personnel diplômé a
nés dans le camp d'Argelès.
qui voulait fouler aux pieds nos liberbritannique.
conduit les écoles confessionnelles à tes, avoués ou n o n ;
tés intérieures
c'est lui qui, aujourL'aviation gonvernementale, fuyant
Commentant le dernier discours
utiliser les services de j e u n e s gens qui
2° La création d'écoles afin d e poud'hui, tenant d ' u n e main ferme la
ses
aérodromes où elle n'était plus en
d'Ilitler, il a précisé q u e , selon lui, il
ne possèdent p a s toujours le modeste voir instruire l e s centaines d e milliers
sécurité, a atterri, dès dimanche, sur
direction si difficile d e nos allaires
ne s'agit pas là d ' u n discours d ' h o m m e
certificat d'études primaires. Comme d ' e n f a n t s d e s d e u x s e x e s q u i s o n t à l a r u e ;
l'aérodrome de Salvaza, près d e Carextérieui es, tient tête au danger, lutte
d'état qui se p r é p a r e à lancer 1 Europe
moniteurs, p r é t e n d - o n . Comme instiLa protection e t l a défense d e s
cassonne.
avec calme e t énergie & la fois pour
tuteurs, répondrons*nous. Fort souvent maîtres t r o p souvent attaqués, m ê m e
Les d é l é g u é s d e la F é d é r a t i o n d é p a r t e - dans une nouvelle crise.
conserver la Paix qu'un geste inconsiCette situation pose avec u n e acuité ils « enseignent » daus d e s loeaux
L'Angleterre restera fidèle à la polimentale d u parti républicain
radicald é r é p e u t c o m p r o m e t t r e , et p o u r s o c i a l i s t e s e s o n t r é u n i s , d i m a n c h e m a t i n , tique de non'intervention a réaffirmé particulière, l a questions d e nos r a p - séparés d e ceux des maîtres chargés physiquement, p o u r leur action l a ï q u e
et républicaine ;
sauver l a France, le plus beau pays d a n s la salle m u n i c i p a l e d e la r u e V e r d e l e t , M. Chamberlain qui a indiqué en con- ports avec l'Espagne nationaliste. M. de leur surveillance.
4° La f e r m e t u r e d e s écoles italienlotis le ciel, et son magnifique empire à Q u i m p e r , s o u s la p r é s i d e n c e d o M. J e a n cluant q u e la politique d'apaisement Léon Bérard> sénateur des Basfles-Pyc) Interdiction de l'enseignement d u
rénées, ancien ministre, vient de faire catéchisme, q u i entraiue u n e réduc- nes, qui p r o p a g e n t dans l'Afrique d u
colonial, objet d e tant d e convoitises, fliou.
n'avait pas fait faillite mais qu'il falNord l e s doctrines fascistes.
un voyage à Burgos où il aurait tion de l'horaire scolaire.
De n o m b r e u x c o m i t é s é t a l e n t r e p r é s e n t é »
lait passer des paroles aux actes,
p r é p a r é , dit-on, l'établissement d e s
à cette réunion.
De plus en plus, cet enseignement
—'• M. Roosevelt a fait devant la relations diplomatiques entre la France
Après les souhaits do bienvenue du
Il serait Indispensable q u e les répu*
est
donné à d e s h e u r e s telles q u e les
Commission d u Sénat américain d e s et le g o u v e r n e m e n t du général Franco.
Telles sont, très b r i è v e m e n t définies
blicains inorganisés entrent nombreux p r é a i d o n t , le t r é s o r i e r g é n é r a l d o n n e l e c enfants
qui l e reçoivent arrivent en et commentées, l e s dispositions adopdéclarations
qui,
bien
qu'on
n
'
e
n
conau parti Radical. On a d i t parfois t u r e d u r a p p o r t m o r a l , p u i s d e la s i t u a t i o n
r e t a r d en classe ou la quittent avant tées au congrès d'août 1938.
naisse pas exactement les termes, ont
qu'il représentait davantage u n e ten- f i n a n c i è r e d e la f é d é r a t i o n q u i e s t a d o p t é e
qu'elle n e soit finie. D'ailleurs, les lois
à l ' u n a n i m i t é a v e c l e s f é l i c i t a t i o n s d u eu dans le monde entier u n profond
Le syndicat national vous prie d e l e s
dance q u ' u n véritable parti et on lui a
organiques ont prévu un j o u r d e conprésident.
retentissement. « En cas de g u e r r e ,
soumettre aux organismes dirigeants d e
r e p r o c h é son m a n q u e d'unité d'action
gé, le j e u d i , p o u r cet enseignement.
L* Ourla«
les frontières des Etats-Uuis seraient
votre g r o u p e m e n t e t il e s p è r e o b t e n i r
MM. Charles Pomaret, ministre du
et d e discipline.
d ) Condamnation de ceux qui, p a r
L ' o b j e t p r i n c i p a l d e la r é u n i o n é t a i t l e en France » aurait, selon la presse
votre appui lorsque, p r o c h a i n e m e n t
Ces reproches sont exagérés, mais r e n o u v e l l e m e n t d e s m e m b r e s d u b u r e a u , américaine, déclaré le Président des Travail, et Henri (Jueuillc, ministre de voie de pression ou p a r d e s diffamail tentera d e les faire accepter a u P a r il est certain q u e l e s radicaux ont q u i e s t c o m p o s é , p o u r 1939, d e la f a ç o n Etats-Uuis qui a laissé entendre qu'il l'Agriculture, o n t fait signer p a r le tions, portent atteinte à u n e institulement.
Président d e la Republique un projet tion essentielle d e l a République.
l ' h o r r e u r d u caporalisme et le goût s u i v a n t e :
y aurait déjà d e s a r r a n g e m e n t s précis
de loi qui sera déposé s u r le b u r e a u d e
Président
: A l b e r t Le Bail, d é p u t é « m a i r e
de l a Liberté. Ils n'aiment point
11 nous parait inadmissible que soient
et des accords positifs entre les U. S. A.
;
la
Chambre, créant à l'occasion d u assurées d e l'impunité les personnes
d
e
P
l
o
z
à
v
e
t
se plier sous l e j o u g des formules
et les démocraties européennes.
Vice-Présidents
: Y. T a t ' g u y ,
ancien
cent cinquantième anniversaire d e l a et certaine presse qui f ç r m u l e n t contre
impératives.
Ces déclarations d'une importance
sénateur, vice-président d u Conseil généRépublique, un contingent exceptionnel l'école laïque l e s imputations les p l u s
Sur l e s p r o b l è m e s qui se posent
venant après l a livraison
ral ; d o c t e u r Mazé, a n c i e n s o u s - s e c r é t a i r e capitale,
de
croix d e la Légion d ' h o n n e u r qui calomnieuses et les plus graves. Toute
r •
on p e u t discuter, mais il est de gran- d ' E t a t , c o n s e i l l e r g é n é r a l ; J . P e r r o t . d é - d'avions à l a Franco et à l'Angleterre,
seront
accordées
à
d
e
vieux
ouvriers,
atteinte
à
la
liberté
des
parents
à
leur
des Idées s u r lesquelles chacun est p u t é - m a i r e d ' E ^ q u i b i e n ; A . B e r g o t , d e ont déchaîné dans la presse allemande
d ' a c c o r d , Patrie,
Liberté,
Progrès B r e s t ; F . Le B e r r o , du B r i e c ; Liot, a n c i e n et italienne u n e campagne d'une vio- employés, paysans, artisans urbains libre choix, mérite d'être punie.
et ruraux.
e) Dissolution d e tout g r o u p e m e n t
social dans l'ordre, Laïcité dans la m a i r e d o y u i r o p n r l é ;
lence inouïe contre le Président HooseDernièrement, a u Minis'ère d e Tft
Le
contingent
prévu
est
de
100
croix
de
caractère politique ou religieux
tolérance.
Secrétaire
général : D e s t o u r , p r o f e s s e u r velt qu'elle traite n o t a m m e n t de bolGuerre,
une conférence a èu lieu entfe
pour le ministère du Travail et 100 croix fonctionnant au sein d e s écoles.
Ce p r o g r a m m e e s t celui d e l ' i m - a u L y c é e d e y . . i m p e r ;
chevik et d'excitateur à la g u e r r e ,
MM.
Daladier,
président du Conseil,
pour le ministère de l'Agriculture.
La diffusion des j o u r n a u x et le port
Secrétaire
adjoint
: Martin, professeur
m e n s e majorité d e s Français, aussi
—
On
sait
q
u
e
M,
Mussolini
devait
Georges
Bonnet,
ministre d e s Affaires
d'insignes sont interdits dans les é t a C o m p r e n d s q u e le Pays se soit au L y c é e d e B r e s t !
Etrangères,
P
a
u
l
R e y n a u d , ministre
trésorier
généfdl : A. Stéphan, 6, rtlo aussi prononcer utl g r a n d discours
blissements officiels. Nul g r o u p e m e n t
groupé alllour d u président Daladier
samedi. Mais il n ' e n a rien été. 11 a
Louls-Hémon, à Quimper )
des
Finances,
e
t
Guy La Chambre,
politique n ' y est toléré. Il existe pourqui, dans l'écrasante lAche qu'il acAnsestieurs : MM. C a d o r e t , m a i r e d e ftiec- remis sa harangue à des t e m p s meilministre
d
e
l'Air.
L'objet
d e cette réutant, dans l'enseignement d u p r e m i e r
complit, au milieu d e s responsabilités s u r - B é l o n ; P o s t i c , m a i r e d o t l o ^ p o r d e n ;
ù ^ f t ù , À v t f a ù t e t
leurs, sans doute. Il a réservé ses
nion
était
d
e
discuter
le
p
r o b l è m e de»
degré et dans leu écoles d u deuxième
Inouïes q u i pèsent s u r sa tête, a O a r n l o l , m a i r e d e M o ( J l a n » s u r - M e r j
¿A $ & f u t A & á
déclarations au Grand Conseil fasciste
fournitures
d'avions
américain»
à Is
degré, deux associations d e caractère
besoin de sentir l ' a p p u i d e s citoyens L'UarldOn, m a i r e d e C b f t t e a u l i n ; Mallégûl, qui s'est d'ailleurs lui-mémo ajourné
France, e n relation avec l e s récente»
clérical,
les
«
Davidées
»
et
la
«
l
e
u
dfc so'/ p a f â .
avtfcat ii M o r l n i i ; Madoc, m a i r e d o L.0- du 10 février,
nesse étudiante chrétienne «, qui s'as déclarations d u Président Ttoosevelt
CeHcfl, nous regrettons de tout cC'Jar ffannB b a o u t r i s .
signent comme fin l'abolition d e l a qui, comme on le sait, a offert à n o t r e
-=a
M.
Anatole
Deiblor,
alian
M.
f
a
rr.tftagotiistile (jill eiiste efltre le parti
M. J e a n HioU e s t rtommé président
d'Iiotllaïcité. Les « Davidées » sont d e s pays le concours sans réserve d e »
ri8j
eftétiuteur
des
hautes
cëuvresi
est
fadlcfll et Ctfua q(ui Rfl trduVeflt ft s a tieur do la Fédération* du Fiuistifrei
institutrices officielles qui p r é t e n d e n t industries aéronautiques d e s Etats»
rtiott
preôcjuc
auititemetit
le
$
février,
^flùelin;
i«
pouvoir concilier leurs obligations pro- Unis. L e s ministres o n t pris acte,
des
fluitèfl
d
'
M
e
cUngeslidn
cfui
l
'
a
Lft Fraotie a bcROliri q u e lotis flea
À o i è s ^ueicj'iefi d é t a i l s donnéfl p d f lo
fessionnelles et les prescriptions oppo- avec u n e vive satisfaction, d e l e j o l i *
terrassé
(tioro
cju'il
8e
ti'duvait,
deVaht
M a d t e fitfièfct étfoHeatetit tmla potir Piêûidetit sur la propagande dti Parti datio
sées de l'Eglise. La « Jeunesse étudiante darité américaine et de l'appoint pré*
la
otatito
du
métro
«
Saint-Gloud
».
défeflefl e t Ùtfùfl he potlvtins pditit lfc d é p a r t e m e n t e t i w r l'oi g'anlaatldn d e la
chrétienne » se propoiw d e reçhristia- cieux q u ' e l l e représente pour 11 p f t x
Il devait, lo jetidetHitlfl) présider â
hous p e r m e t t r e l e ltiàts de j e t e r l ' e i - fodéfaildn defl dôprirtemtiata de l'Ouest,
MMmt J t
niaer Ici lycégg, lçs ç o l U g c i , l e i éspl«» teçttoR d e ?
jkiusive s u r certaines catégorie«) de je dociml' i t a ï i , secrétaire général du uhe eiôcutioti capitale k itctthèSi
L'Ecole Laïque en danger
Citoyen
Miettes
Semaine
A la Fédération BépuMicake
Radicale-Socialiste
La Légion d'honneur
lisez et faites lire « Le Citweo
aenei
L O T E R I i
NATIONALE
LE-CITGYE!»
menace totalitaire, appuyée sur une
Oonoours m
Fonctions P i i l p s
avance considérable d'armements.
Le gouvernement français envisage
— A g e n t t e c h n i q u e de terrain du Service
de porter le solde de ces commandos
à l'Amérique à un minimum de 1000 t e m p o r a i r e d e la r é v i s i o n d e s é v a l u a t i o n s
f o n c i è r e s . — C o n c o u r s o u v e r t en m a i 1939
appareils, livrables à raisou de 100 p o u r 50 p o s t e s . Délai d ' i n s c r i p t i o n : 28
ou plus par mois. La question du f é v r i e r 1939. A v o i r s a t i s f a i t a u x o b l i g a t i o n s
paiement a été également discutée m i l i t a i r e s . L i m i t e d'Acre s u p é r i e u r e : 45
dans cette réunion et il a été décidé a n s nu lh j a n v i e r 1939.
— Sténo-Dactylographe au Ministère des
qu'il serait fait rigoureusement au
comptant — ce qui retire aux adver- C o l o n i e s . — D a t e : 9 m a i 1939. D é l a i d ' i n s saires du Président Roosevelt leur c r i p t i o n : 11 a v r i l 1939. Limite d ' â g e s u p é principal argument contre sa politique. r i e u r e : 30 a n s a u 1« j i n v i e r 1939. T r a i t e m e n t d e 9 500 ft 15 000 f r . p l u s i n d e m n i t é s .
Nous croyons savoir aussi que le A u c u n d i p l ô m e e x i g é .
gouvernement s'est préoccupé des op— A d j o i n t technique stagiaire du génie
positions qui se sont récemment mani- r u r a l . — D a t e : 27 m a r s 1939. Délai d e s festées dans un petit secteur parle- c r i p t i o n : 10 m a r s 1939. C o n d i t i o n e x i g é e :
mentaire contre le système des achats a v o i r s a t i s f a i t e f f e c t i v e m e n t a u s e r v i c e
à l'étranger. Mais à fort juste titre il m i l i t a i r e a c t i f . T r a i t e m e n t d e h a s e : 10 500
a 1 décidé de passer outre aux objec- f r . p l u s i n d e m n i t é s A u c u n d i p l ô m e e x i g é .
tions présentées à cet égard et qui
— Ingénieur adjoint des travaux aéroparaissent inspirées a>i souci de servir n a u t i q u e s do l ' E ' a t (16 p o s t e s ) . — D a t e d e
des intérêts privés beaucoup plus que l ' o u v e r t u r e d e s é p r e u v e s d ' a d m i s s i b i l i t é :
l'intéiêt national. Il s'agit en effet de 6 j u i n 1939. Délai d ' i n s c r i p t i o n : 6 m a i 1939.
manœuvres dirigées par certains cons- A v o i r s a t i s f a i t a u x o b l i g a t i o n s m i l i t a i r e s .
tructeurs fiançais qui, n'arrivant pas A g e à la d a t e d u c o n c o u r s : 22 à 30 a n s p l u s
s e r v i c e s a n t é r i e u r s a d m i s s i b l e s p o u r la
à couvrir par leur propre production
r e t r a i t e . T r a i t e m e n t s d e 14 000 à 35 000 f r .
les nécessités de notre défense natio- p l u s i n d e m n i t é s . A u c u n d i p l ô m e e x i g é .
nale, préféreraient laisser la France
R e n s e i g n e m e n t s t o n r m s p a r 1« O n n a U
démunie plutôt que la voir chercher Mon P r o f e s s i o n n e l l e », r e v u e m o n a u e l l r
à couvrir ses besoins au dehors. A cet i b o n n o m o n t : 15 f r a n c s p a r a n .
égard, le nom d'une grande maison
Les p e r s o n n e s qui désirant des renseï
d'aviation est sur toutes les lèvres : < n e m o n t s s u r l ' n u d o s e m p l o i s o n c o u c o u r il est même curieux de noter que les • i - d o s s u s on s u r i n e x a m e n q u e l c o n q u e
e u v e n t s ' a d r e s s o r d e n o t r e p a r t ft M. Hor>
députés qui à la Chambre ont pris po- plovillo,
directour-gérnnt de « L'OrinntatÙ»
sition contre nos achats en Amérique, P r o f e s s i o n n e l l e », 7, r u e M a r b e u f , P a r »
sont notoirement inféodés à cette en
8'). o u i l e u r r é p o n d r a ft t i t r e s b s o l n m e n
treprise, dont le chef fut mêlé, il y a - r r s e i n n i
J o i n d r e nu t i m b r e d e 0 t"r 90 jt u e pu
quelques années, à un gros scandale
•oblior d e m e n t i o n n e r : ou q u a l i t é d e le<
judiciaire.
l'ai d u • C i t o y e n », 7. rwo R l i e - F r é r o n
Par ailleurs ces mômes parlementaires se sont trouvés au moment de
Munich parmi ceux qui justifièrent la
capitulation de la France par l'insuffisance de notre armement aérien. Tout
se passe aujourd'hui comme s'ils étaient
intéressés à faire durer cet état de
choses et à préparer ainsi de nouveaux
abandons. L'attitude du Président Roosevelt et la ferme résolution du gouvernement français tuent dans l'œuf
ces manœuvres criminelles. Tant que
l'industrie française ne sera pas suffi
samment équipée, le gouvernement
profitera largement de la faculté qui
lui est donnée de s'approvisionner aux
Etats-Unis. Et si les intéressés s'avi
•aient, comme certains le font prévoir,
d'organiser une campagne de dénigrement contre le matériel qui va
être mis en service ou ménti, comme
certains latfirmcnf, d'tn préparer le
sabotage, il faut espérer qu ils trouve
raient à qui parler. L'opiuion française, désormais alertée sur les dessous
de Munich, ne tolérera pas que la
défense nationale et la capacité de
résistance à l'agression totalitaire
soient compromises au profit d'intérêts
privés.
Au
Parlement
Au
Sénat
Mardi est venue au S ' n a t la discussion des interpellations sur la politique
étrangère du Gouvernement.
Apiès avoir entendu plusieurs ora
teurs, le Ministre des Affaires étrangères et le Président du Conseil, la
Haute Assemblée a adopté l'ordre du
jour suivant par 290 voix contre 16 :
« Approuvant les déclarations du
Gouvernement, confiant dans sa vigi
lance pour maintenir l'intégrité de
l'empire français et la sûreté de nos
routes impériales, affirmant la permanence de la politique traditionnelle
de la France pour le développement
de la paix dans la stabilité de l'ordre
européen... ».
A la Chambre
Poursuivant la discussion du projet
d'amnistie pour les sanctions prises
•après la grève du 30 novembre, la
Chambre des Députés a adopté mardi,
par 348 voix contre 24i, le projet de
gr&ce amnistiante.
Le Gouvernement avait posé la
question de confiance.
La
Loterio
Nalionala
Le tirage de la deuxième tranche
de 1939, de la loterie nationale, aura
.lieu le mardi 21 février courant, à
il heures, au Salon des Machines
agricoles, à Paris.
Lisez i t
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i l Conseil Général
Los Transports
Départementaux
Ainsi q u e n o u s l'avons a n n o n c é , u n e
session e x t r a o r d i n a i r e du Conseil Général
d u F i n i s t è r e s ' e s t t e n u e le 4 f é v r i e r , ft
l ' h ô t e l do la P r é f e c t u r e , ft Q u i m p e r .
La p r i n c i p a l e q u e s t i o n p o r t é e ft l ' o r d r e
d u j o u r é t a i t celle d e s t r a n s p o r t s d é p a r t e mentaux.
D è s le d é b u t do la s é a n c e , M. P e r r o t
conseiller général de Pont-Croix, déposa
la m o t i o n s u i v a n t e s u r le b u r e a u d e l'assemblée départementale :
« Le C o n s e i l g é n é r a l d é c i d e d ' a u t o r i s e r
« l'exploitation, sans subvention, des voies
« ferrées
d'intérôt
local
Dounrnencz« Audierne, Landerneau-I.esnoven. Ploues
« cat-St-Pol-de-Léon, dans des conditions
« ft d é t e r m i n e r d a n s le c o n t r a t d ' a f f e r « m a g e ».
C e t t e m o t i o n fit l ' o b j e t , en C o m m i s s i o n
plénière, d ' u n e l o n g u e discussion au cours
d e l a q u e l l e p a r t i s a n s et a d v e r s a i r e s du
maintien de certaines lignes opposèrent
u n e fois d e plus leur point de vue.
M. P e r r o t p r i t la p a r o l e à t r o i s r e p r i s e s
d i f f é r e n t e s p o u r s o u t e n i r sa p r o p o s i t i o n
F a i s a n t é t a t d e l ' o f f r e d ' u n e s o c i é t é se
p r o p o s a n t d'exploiter ces lignes sans
subvention et plaidant c h a l e u r o u s e m t leur
maintien, son a r g u m e n t a t i o n
produisit
une grande impression sur l'assemblée
q u i s e m b l a i t s e r a n g e r ft s o n avis.
Mais, M. le P r é f e t , i n v o q u a n t d e s r a i s o n s
d e d r o i t e t do f a i t , s ' o p p o s a a u v o t e d e la
motion.
T o u t e f o i s , s u r Ior i n s t a n c e s d e M. P e r r o t
le C o n s e i l g é n é r a l d é c i d a d e l a i s s e r a u
c o n c e s s i o n n a i r e é v e n t u e l la f a c u l t é d ' e x ploiter certaines lignes sans subvention et
ô son p r o p r e c o m p t e .
A p r è s d i s c u s s i o n , ft l a q u e l l e p r e n n e n t
p a r t p l u s i e u r s C o n s e i l l e r s g é n é r a u x , le
Président d o n n e lecture des offres des
trois sociétés suivantes :
1°) La c o m p a g n i e d e s c h e m i n s d e f e r
é c o n o m i q u e s d u S u d - E s t , 56, r u e d e L o n d r e s , à P a r i s (prèvi l e n t du c o n s e i l d ' a d m i
n i s t r a t i o n - d i r e c t e u r M. J e a u c a r d ) ;
2°) M. R e n é M a n a n t , i n d u s t r i e l à Paris,
40, b o u l e v a r d d e C o u r c a l l e s ;
3°) La s o c i é t é a n o n y m e d e s t r a n s p o r t s
d é p a r t e m e n t a u x du F i n i s t è r e , 36, r u e C o l b e r t , B r e s t ( a d m i n i s t r a t e u r - d é l é g u é M. Le
Calvez).
M. Le P r é s i d e n t Lancleii a n n o n c e q u e
l ' o n va p a s s e r a u v o t e s e c r e t .
M. G u é g u i n , c o n s e i l l e r g é n é r a l d e C o n carneaU, dépose alors une motion préala
b l e , s p é c i f i a n t cjue le d é p a r t e m e n t no t r a i
tera qu'avec des sociétés légalement const i t u é e s a u 3 J a n v i e r 1939.
Il n ' e s t p a s p a r t i s a n du v o t e s e c r e t , q u i
d o i t ê t r e d é c i d é a p r è s d é p ô t d ' u n e liste
c o n t e n a n t a u m o i n s dix n o m s do c o n s e i l lers généraux.
Le p r é s i d e n t a n n o n c e q u e c e t t e liste
c o n t e n a n t 1? s i g n a t u r e s , lui a é t é r e m i s e .
M. T r é m i n t i n e s t i m e q u e le v o t e d e la
m o t i o n d e M. G u é g u i n n o f e r a i t q u e r e t a r d e r l ' a v è n e m e n t d e la c o n v e n t i o n .
M) C a d o r e t , c o n s e i l l e r g é n é r a l d e P o n t A v e n , j u g e , p o u r sa p a r t , q u e le d é p a r t e m e n t ne peut avoir affaire à une société
fictive.
Le président s'étonne do ces remarques*
Les sociétés ont été admises à soumission'
nor Valablement.
M. G u é g u i n m a i n t i e n t sa d e m a n d e d e
vote.
M. Le G o r g e u e s l i m e q u e , d a n s r e s
c o n d i t i o n s , e t si la m o t i o n e s t v o t é e , le
Conseil g é n é r a l d e v r a s ' a j o u r n e r s a n s a v o i r
pu p r e n d r e a u c u n e d é c i s i o n . Il d e m a n d e
q u e l e c t u r e 30it d o n n é e d u p r o r ô s - v e i bal
do la d e r n i è r e d é l i b é r a t i o n d u C o n s e i l
g é n é r a l , p o u r é c l a i r e r l'ssftetablétt s u r la
question.
M. M o u n i e r d e m a n d e à M. le P r é f e t dafl/i
q u e l l e s Condition» Ont e u lleU les a p p e l a
d ' o f f r e a u x s o u m i s s i o n n a i r e s . M. le P r é f e t
lui f o u r n i t les r e n s e i g n e m e n t * bollicilés.
La m o t i o n d e M. G u é g u i n ,
voix, eut r e p o u M é o .
miao
au*
Le p r é s i d e n t d o n n e l e c t u r e d ' u n areicod ë m m i t , r é d i g é p a r M, T r é m i Q t i n , s u l v M t
l e q u e l le Conseil g é n é r a l d é r i d e q u e la
c l a u s e n° 4 s ' a p p l i q u e r a ft t o n t e s o c i é t é
soumissionnaire.
O i passo au voto d e s t r e n t e - n e u f cons e i l l e r s p r é s e n t s , q u i d o n n o les r é s u l t a t s
suivants :
Société anonyme des transports départ e m e n t a u x d u F i n i s t è r e , 22 voix.
M. M a n a n t , 10 voix ;
C o m p a g n i e d e s c h e m i n s d e 1er d u S u d Est, 7 voix.
La S o c i é t é a n o n y m e d e s t r a n s p o r t s d é p a r t e m e n t a u x du Finistère r s t donc déclarée fermière.
M. P . T r o t pr< nd a c t e do c e l l e d i s p o s i tion e t fait la d é c l a r a t i o n s u i v a n t e :
« Au t e r m e d o c e s l o n g s d é b a t s , j î
d e m a n d e la p e r m i s s i o n d e f a i r e u n e s i m ple et b r è v e d é c l a r a t i o n .
-i'..
« J a u r a i s m a u v a i s e g i à ^ e ft r e v e n i r e h
s é a n c e p u b l i q u e e t j o ne, r e v i e n d r a i p a s
s u r la longue, disen-'sion q u i s'est instituée,
co m a t i n , e n C o m m i s s i o n p l é n i è r e , s u r la
m o t i o n q u e j ' a i d é p o s é e , t e n d a n t , ft a u t o r i s e r l ' e x p l o i t a t i o n , s a n s s u b v e n t i o n , de
certaines lignes de notre réseau ferré
départemental.
« J'ai c o n s c i e n c e d ' a v o i r d é f e n d u — a v e c
q u e l q u e v é h é m e n c e p e u t ê t r e et j e m ' e n
e x c u s e — les i n t é r ê t s q u e j ' a i l ' h o n n e u r
e t la < h a ' g.; d e s o u t e n i r . J ai f a i t en ce s o n s
un < ffort q u i j u s t i f i a i t e n t o u t p o i n t , p o u r
la r é g i o n q u e j o r e p r é s e n t e , l ' i m p o r t a n c e
d e la q u e s t i o n d é b a t t u e .
« Néanmoins, pour des raisons juridiq u e s , le C o n s e i l g é n é r a l n'a pas v o u l u
p r e n d r e à cot < g a r d u n e d é c i s i o n f e r m i
J e le r e g r e t t e et n e p u i s q u e m ' i u c l i i n r
d e v a n t son v e i d i c t .
l a i s s e r i n d i f f é r e n t e la p o p u l a t i o n d e ce p a y s
e t s i n g u l i è r e m e n t les i n s t i t u t e u r s e t les
institutrices de Franco.
Des m i l l i e r s d ' e n f a n t s o n t déjft p a s s é la
f r o n t i è r e d a n s le d é n u e m e n t le p l u s c o m plet.
Le g o u v e r n e m e n t se p r é o c c u p e d e l o g e r
et d o n o u r r i r ces e n i n n t s r é f u g i é s .
Mais q u i s ' o c c u p e r a do l e u r f o u r n i r les
v ê t e m e n t s e t l'-s c h a u s s u r e s d o n t ils o n t le
plus p r e s s a n t besoin ?
Le b u r r a u d u s y n d i c a t n a t i o n a l d e s
instituteurs a décidé de coordonner toutes
les i n i t i a t i v e s q u i n e d e m a n d e n t q u ' à s e
pioduire dans re domaine.
Il a c r é é « l'OEuvre d u t r o u s s e a u d e s
e n f a n t s r r f u g i é s e s p a g n o l s ». D è s m a i n t e n a n t il a o u v e r t u n e s o u s c r i p t i o n d o n t le
produit sera u n i q u e m e n t destiné ô p o u r voir d e l i n g e e t d e v ê t e m e n t s les e n f a n t s
évacués.
Eu r a i s o n du c a r a c t è r e d ' e x t i é m e u r g e n c e
do c e l l e a c t i o n d e s o l i d a r i t é t o u t e s les
i n s t i t u t r i c e s e t t o u s les i n s t i t u t e u r s s o n t
instamment, pries d'adresser directement
au Syndicat National des Instituteurs,
91, r u o d o l ' U n i v e r s i t é , P a r i s (7 e ), c o m p t e
i h è q u e s p o s t a u x 2172.11 P a r i s , l e u r s s o u s c r i p t i o n s i n d i v i d u e l l e s , a i n s i q u e le m o n tant des fonds qu'il leur sera possible de
recueillir dans leur entourage.
P o u r les R é f u g i é s E s p a g n o l s
I a Pi é f e c t u r e s e p r é o c c u p e a c t u e l l e m e n t
d e c o o ' d o n n e r l°a>'.lion d e s c o m i t é s l o c a u x
d'accueil aux réfugiés espagLols arrivés
d a n s le d é p a r t » n i e n t .
Uu c o m i t é de. p a t r o n a g e a é t é c o n s t i t u é
q u i co p r e n d M. le P r é f e t d u F i n i s t è r e ,
Mtçr. l E v é q i i e d e Q u i m p e r e t d e L é o n ,
MM. le« s é n a t e u r s , d é p u t é s , p r é s i d e n t du
Conseil g é n é r a l , M. l i v i c e - a m i r a l , p r é f e t
m a r i t i m e , M. le m a i r e d e Q u i m p e r , MM.
les p r é s i d e n t s d e s C h a m b r e s d o C o m m e r c e
e t d e la C h a m b r e d ' A g r i c u l t u r e , M. le prés i d e n t d e la F é d é r a t i o n
départementale
d e s m é d e c i n s , M m e s les p r é s i d e n t e s e t
MM. l e s . p r é s i d e n t s d e s S o c i é t é s d e la
C r o i x - R o u g e , M. le s e c r é t a i r e g é n é r a l d e
l'Union d é p a r t e m e n t a l e des syndicats.
« Toutefois, une lueur dVsnoir st.bdsle
p u i s q u e l ' a s s e m b l é e a laissé au c o n c e s s i o n n a i r e — on l ' e s p è c e la S o c i é t é tics
T r a n s p o r t s p ' i v é s du d é p a r t e m e n t du
F i n i s t è r e — la f a c u l t é d ' e x p l o i t e r , d a n s les
c o n d i t i o n s i n d i q u é e s p a r la m o t i o n , les
l i g u e s qu'il j ' g é r a i t i n t é r e s s a n t e s .
« J ' e n p n m i s a c t e et il nie r e s t « à s o u h a i t e r q u e c e t t e é v e n t u a l i t é se r é a l i s e ».
»•
Questiona
divamoa
A p i è < a r . o i r iét>olu la q u e s t i o n d e l'afferm a g e d e s I r a n s p o i t s d é p a r t e m e n t a u x , le
Conseil a e x a m i n é r a p i d e m e n t d i v e r s
r a p p o i l s q u i lui é t a i e n t s o u m i s .
Ce c o m i t é p r e n d r a t o u t e s les m t s u r e s
pour 1 aide aux réfugiés esppguols.
Mérite Agricole
Ayents et fonctionnait
es
départementaux.
— Il e s t p i o p o s é d ' a p p l i q u e r a u x a g e n t s
e t fonctiounaii't.8 d u d é p a r t e m e n t , a v e :
e f f e t d u 1 e r j a n v i e r 1939, les i n d e m n i t é s
s p é c i a l e s t e m p o r a i r e s , i n d e m n i t é s d e résid e n c e et a l l o c a t i o n s p o u r c h a r g e s d e
famille attribuées aux fonctionnaires de
l ' E t a t p a r le d é c r e t d u 14 j a n v i e r 1939.
Adopté.
D a n s la p r o m o t i o n d u M é r i t e A g r i c o l e ,
n o u s r e l e v o n s les n o m s s u i v a n t s p o u r
notre département :
O/J'iciers : MM. C o n . b o t , a g r i c u l t e u r ô
Saint-Pol de-Lcon ; Riou, agriculteur à
Plobannalec.
Chevaliers : MM. G o a s c o z , a g r i c u l t e u r à
T r é g u e u n e c ; G u i b a n , c u l t i v a t e u r ft B a n n a l«c; Chaussy, agriculteur A Pleyber-Christ ;
Pouliquen, cultivateur a Rosnoôn ; Prigent,
c u l t i v a t e u r à Rosuofin ; P r i m a t , c u l t i v a t e u r
à Plougasnou ; Brounec, jardinier à Locl u d y ; Le B r e t o n , c u l t i v a t e u r ô P l o u g o n ven ; Le F l o c h , c u l t i v a t e u r à P l o m e u r ;
Le G u e n , c u l t i v a t e u r ô C l é d e r ; Le Viol,
cultivateur à Kerfeunteun ; Lichou, cultivateur à Ploudaniel ; Loac, cultivateur à
Brignogan ; Manach, cultivateur à Ploug u e r ; Marzin, cultivateur à P l o u g u i n
Herry, constructeur agricole à Lampaul
Guimiliau ; Riou, cultivateur à S t - J e a n T r o l i m o u ; R o s m o r d u c , c u l t i v a t e u r ft R o s noèn ; Talloc, cultivateur à Bannalec ;
C o a u t , c u l t i v a t e u r à B o t s o i h e l ; Coïc, h o r ticulteur à Quimper ; Coqaet, cultivateur
ft A u d i e r n e ; B é g o t , c u l t i v a t e u r à S a i n t Méen ; L o u a r n , c u l t i v a t e u r à P l o g o n n e c
Pérennou, cultivateur à Guengat; Peuziat
cultivateur à Mahalon.
Indemnités
de licencù ment au p< rs nnel
de l'ex-compaynie
des chemins de fer départementaux
— Les e m p o y e s et ouvriers
do l'ex-couipuguie des c h e m i n s de fer
d é p a r t e m e n t a u x , r e s t é s a u s e r v i e do l ' a n cien c o n c e s s i o n n a i r e le 1 e r j a n v i e r 1936,
avaient f o r m u l é u n e d e m a n d e d'indemnités
d e l i c e n c i e m e n t . Le Cous« il a v a i t d é j à é t é
saisi d e la q u e s t i o n l o r s d e sa d e u x i è m e
s e s s i o n o r d i n a i r e d e 1936. Il a v a i t e s l i u i é
q u e les a g e n t s e u c a u s e n ' a v a i e n t p a s d i o n
aux indemnités puibqu'ils n'avaicut subi
a u e u u e i n t e r r u p t i o n do s e r v i c e . Mais d e puis, le T r i b u n a l civil d e Q u i m p e r a é t é
saisi do la q u e s t i o n . Il a s u r b i s à s t a t u e r .
Et d ' a u t r e p a r t , le.s i n t é r e s s é s o n t d e m a u u é
un î è g l e m e n t a m i a b l e .
A u s s i la c o m m i s s i o n d e s finances, d a n s
un b u t d e c o n c i l i a t i o n , a - t - e l l e d é c i d é d e
t r a i t e r d e c e t t e f a ç o n a v e c les a g e n t s d e s
chemins de fer en leur a c c o r d a n t des ind e m n i t é s , m a i s r é d u i t e s do 50 °/o s u r la
p r e m i è r e d e m a n d e . U n e s o m m e d e 132.U00
f r a n c s s e r a n é c e s s a i r e . Le C o n s e i l a d o p t e
cette solution.
Nos félicitations à tous.
Lia Médaille du Travail
La m é d a i l l e d ' h o n n e u r d u t r a v a i l v i e n t
d'être accordée, pour notre département
aux persounes ci-après :
M. A i a n o u , ft Q u i m p e r ; M m e A n s q u e r ,
n é e L a s t e n n e l , à T r é b o u l ; M. B a r g è s , à
C o n c a r n e a u ; M m e C e l t o n , n é e Goff, ft
Ti'éboul ; Mme Cloarec, née Seznec, à
T r é b o u l ; Mme Daniel, née Brusq, à T r é b o u l ; M. G a d o u n a , ft D o u a r n e n e z ; M m e
v e u v e G o y a t , n é e Colin, ft T r é b o u l ; M m e
v e u v e G u é v e l , ft T r é b o u l ; M m e G u é v e l ,
née Nouy, à T r é b o u l ; Mme Guillou, née
Sévélidor, à T r é b o u l ; Mme Labasque,
n é o A n s q u e r , ft T r i b o n i ; M. Le B a r s , à
B r e s t ; M m e Le Coz, h T r é b o u l ; M m e Le
G o u i l , n é e G u é v e l , a Tre. b o u t ; M. Le H o u x ,
ft B r e s t ; M. Le R o u x , ft Q u i m p e r ; M. Le
S t e r , ô E r g i i é - A r m e l ; M m e Le S t e r . a
E < g u é - A r m e l ; Mme v e u v e Mazéas, à T r é b o u l ; M m e v. u v e Q n é r é , n é o Moalic, ft
T r é b o u l ; M Sibiril, a B r e s t ; M. T h o m a s ,
à M o f l l a n - s u r - M e r ; M. T o s t i v i n t , à L a n derneau.
Nos félicitations à tous.
M. Le C o r r e a t t i r e l ' a t t e n t i o n do M le
P r é f e t e t d e s e s c o l l è g u e s s u r le p e r s o n n e l
d e s c h e m i n s do 1er l i c e n c i é lia 1938 e t q u i
est resté sans situation.
Il y a lii d e s c a s intéress-ants qu'il i m p o r t e do r é s o u d r e p a r un r a p i d o r è g l e m e n t d e s i n d e m n i t é s d e l i e e u c i e u i n n l et
on t r o u v a n t , si p o s s i b l e , d e n o u v e a u x e m plois a u x agi lits licenciés.
M. le P r é f e t p r o m e t do f a i r e t o u t , le
nécessaire.
Pour les familles des disparus du « Alèchann-Churlic
». -— S tir Ih p i o p o b i t i o n d e
M. P e r r o t , le Cous, il g é n é i a l a v o t é u u
c r é d i t d e 10 000 l i a n e s p o u r les f a m i l l e s
d e s d i s p a r u s d u b a l ' a u d e p è c h e le
« M é c h a n n - C h a r l i c », d o D o u a r n o n e z - T r é boul.
B I B Ï . 3 E ©
J & R À P H i S
C h a m p i g n o n s de oauotiea at
autre*
aapAoan c u l t i v a b l e s , par J. Lacbaume
( o n z i è m e é d i t i o n ) . Un v o l u m e do 148 p a g e s e l 39 g r a v u r e s . - P r i x : 10 f r a n c s ;
f r a n c o : 11 f r a n c » .
La c u l t u r e d u c h a m p i g n o n d e c o u c h e e s t
l'objet d' u n e i n d u s t r i e bien c o n n u e , mais
elle p e u t ê t r e a u s s i d o m e s i i q u e ou f a m i liale p o u r p e u q u e l ' o n s u i v e e x a c t e m e n t
la b o n n e m é t h o d e , L ' o u v r a g e c l a s s i q u e d e
Lachaumo donne, avec une g r a n d e clarté
e t u n e g r a n d e p r é c i s i o n , t o u t e s les i n d i c a tions pour que chacun puisse m e n e r ô bien
ces deux culture*.
S e r v i c e s routiers
P a r a r r ê t é de M. le M i n i s t r e d e s T r a v a u x
p u b l i c s , le s e r v i c e d e s v o y a g e u r s , b a g a g e s ,
Chiens et. colis e x p r e s s , e s t s u p p r i m é ô la
d a t e d u 6 f é v r i e r 1939, s u r l e s l i g n e s d e :
Rosporden à Concarneau ; Quimper à
P o n t - l ' A b b é ; Morlaix ft C a r h a i x .
Le s e r v i c e s e r a d o r é n a v a n t a s s u r é p a r
autocars.
Ë n o u t r e , s u r la l i g n e d e Q u i m p e r à
L a n d e r n o f t u , les g a r e s I n t e r m é d i a i r e s (sauf
Châteaulin) seront f e r m é e s au service des
V o y a g e u r s , b a g a g e s , c h i e n s e t colis e x p r e s s ,
le s e r v i c e d e r e m p l a c e m e n t s e r a é g a l e m e n t
assuré par autocars.
D a n s les a u t o c a r s d e r e m p l a c e m e n t d e s
t r a i n s , d e s r é d u c t i o n s sUr le p l e i n t a r i f
sei o n t a c c o r d é e s :
Aux a b o n n é * ouvriers et scolaires, aux
mutilés, aux familles n o m b r e u s e s , aux
V o y a g e u r s d e c o m m e r c e , S u t tiiilitairea e t
m a r i n s , s u r p r é s e n t a t i o n d o s titrefl t j u i
l e u r l u i r a i e n t d t i n n é d r o i t ft 1r r é d u c t i o n
s u r la voie f e r r é e .
L ' e x p é d i t i o n e t la liVraistin d e s colis
ëSpreSB se fortin t rtu b u r e a i i d u c o r r e s p o n d e n t d u s e r v i c e i-Outier d e a s e r v u n t la
localité.
S u r d e m a n d e , envoi g r a t i s et f r a n c o du
C a t a l o g u e d o la L i b r a i r i o do la M a i s o n
l l u s t i q u e , 26, r u e J a c o b , P a r i s <6 ).
B
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itoUMëëàii
t6iugUM
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de«
e s p a g n o l *
HERNIE
JE SL1S GUÉRI. — C'est I\ifnrmauon de
toutes les personnes ariennes de hernies qui
ont porié le nouvel appareil sans ressort de
M
fil
A Q C D l e 0 r a n d S p é c i a l i s t e de
. U k A O C n PARIS. 4 4 . Bd SÉBASTÛPOL
En adoptant ces nouveaux appareils, dont
l'action b i e n f a i s a n t e se réalise s a n s g è n e ,
sans aonf I r a n c e s ni Interruption de travail,
les b » r a l e a les plus v o U u n l n e n s c a et les
plus r e b e l l e * diminuent Instantanément de
volume et disparaissent peu à peu c o m o l t tement.
Devant de tels résultat» sarantistoujourapar
écrit, tous ceux atteints de hernie dol vent s'adresser sans retard il H G L A S E R qui leurfer»
rratultement l'essai de ses appareils ti 9 à i È. ft
Quimperlé,
merce.
17 f é v r i e r , h ô t e l d u C o m -
Quimp'r.
18 f é v r i e r , h ô t e l d e l ' E n é e .
Brest, 19 f é v r i e r , do 9 h e u r e s ft 1 h e u r e ,
h ô t e l d e P a r i s . 58. r u o d ' A i g u i l l o n .
Châtea une u f-du -Fanu, 20 f é v r i e r , d e 9
h e u r e s ft m i d i , h ô t e l B e l l e - V u e .
CHUTES
MUTRICE et
tous
O rqnnnn
V«nlo«8, O-thop&rtlfl
G L A S E R 44, B d S é b a s t o p o l , P A R I S
& U I M P E R
An
Munlolpal.
- Le C o n s e i l
m u n i c i p a l s ' e s t r é u n i d a n s la s o i r é e d u 2
f é v r i e r , s o u s la p r é s i d e n c e d e M. G a u t i e r ,
maire.
Cenaail
Au d é b u t d e la s é a n c e M lo M a i r e i n f o r m e le C o n s e i l q u e la s u b v e n t i o n a l l o u é e
l " 17 j n u v i e r 1938 à la ville d e Q u i m p e r
p o u r les t r a v a u x d e r e c o n s t r u c t i o n d e
l'abattoir, r e h t e en d e h o r s du
rhsmp
d ' a p p l i c a t i o n d u d é c r e t - l o i d u 12 n o v . m b r e
19 î8 et q u e les t r a v a u x p e u v e n t s e c o n t i nuer.
M. lo M a i r e r e n d c o m p t e e n s u i t e q u e le
p r o j e t d ' e x t e n s i o n d e s a m é n a g e m e n t s d e la
g a r e de Q u i m p e r a été r e m a n i é u n e fois
d e p l u s , ft la d e m a n d e d e M. le M i n i s t r e
des Travaux Publics.
Le m o n t a n t t o t a l d e s d é p e n s e s d e l ' e n s e m b l e d u p r o j e t r e s t e , en d é f i n i t i v e , sensib l e m e n t le m ê m e q u ' i l é t a i t a u p a r a v a n t .
5.430.000 f r a n c s c o n t r e 5 360.000 f r a n c s , s e
réparlissant c o m m e suit :
A la c h a r g e d e la C h a m b r e d e C o m m e r c e .
4.687.000 f r . ; à la c h a r g e d e la ville d e
Q u i m p e r , 266.000 f r . ; ft la c h a r g e d e la
société nationale des chemins de fer fran
gais, 477.000 f r .
Api ès q u e M. le M a i r e e û t f a i t l ' h i s t o r i q u e
du p r o j e t et prouvé, avec dates à l'appui,
q u e la m u n i c i p a l i t é a f a i t t o u t o d i l i g e n c e
p o u r q u e les travaux soient exécutés d a n s
le p l u s brt f d é l a i , le Conseil a a d o p t é le
n o u v e a u p r o j e t q u i lui é t a i t s o u m i s .
C h a s l a s A n c i e n s E l à v e s d u X»yoàs
Xsm T o u r d ' A n v e r g n s . — L ' a s s e m b l é e
générale de l'Association des anciens
é l è v e s d u L y c é e s'est t e n u e d i m a n r h e
matin, 5 février, d a n s un salon de l'hôtel
d e l ' E p é e , s o u s la p r é s i d e n c e d e M. A
Keihuel.
Le r a p p o r t m o r a l , p r é s e n t é p a r M. Le
Gall, s e c r é t a i r e , e t l ' e x p o s é d e la s i t u a t i o n
f i n a n c i è r e , f a i t p a r le t r é s o r i e r , M.
Lenioine, furent unanimement approuvés.
Diveises subventions furent
encuite
allouées, n o t a m m e n t aux sections de foot
bail e t d e b a > k e t - b a l l d e l ' A s s o c i a t i o n
sportive du Lycée et au comité du m o n u
m e n t q u i d o i t ê t r e é l e v é à la m é m o i r e d e
M. G. Le Bail, a n c i e n é l è v e d u C o l l è g e .
D ' a u t r e p a r t , l ' a s s e m b l é e accueillit f a v o
r a b l e m e n t le p r o j e t d ' o r g i n i s e r u n e s o r t i e
d'été.
*
» *
Le b a n q u e t t r a d i t i o n n e l d e l ' A s s o c i a t i o n
a s u i v i l ' a s s e m b l é e g é n é r a l e . M. L e T h e u f T ,
ancien élève du Lycée, avait réservé à ses
c o n v i v e s e t c a m a r a d e s un m e n u do q u a l i t é .
Au Champagne, d e s d i s c o u r s t r è s a p p l a u dis f u r e n t p r o n o n c é s p a r MM. K e r h u e l ,
président de l'association, Kessler, provis e u r du Lycée, H. Nader, d é p u t é de
Q u i m p e r , e t l e s j e u n e s p o t a c h e s Le Foll et
Le P a g e .
*
• •
La j o u r n é e se c o n t i n u a p a r u n e s a u t e r i e
q u e l ' a s s o c i a t i o n o f f r a i t c e l l e a n n é e ft s e s
m e m b r e s e t à l e u r s f • m i l l e s d a n s les
salons de l'Hôtel de l'Epée.
Cette matinée dansante a connu un
m a g n i f i q u e succès. De n o m b r e u s e s personnalités l'honorèrent de leur présence.
Les g r a n d s é l è v e s d e n o s d e u x l y c é e s
a v a i e n t é g a l e m e n t é t é c o n v i é s ft cette, f ê t e
qui se déioula, j u s q u ' à dix-neuf h e u r e s
lr n t e , d a n s u n e c h a r m a n t e a t m o s p h è r e d e
j e u n e s s e et de galté.
O a n s l a O a n d a r t t t a t l s . — La s e m a i n e
d e r n i è r e s ' e s t d é r o u l é e , d a n s la c o u r i n t é r i e u r e d e la c a s e r n e d e g e n d a r m e r i e d e
Quimper, u n e prise d ' a r m e s ô l'occasion
d e la r e m i s e d e la m é d a i l l e m i l i t a i r e ft t r o i s
g e n d a r m e s , c o m p t a n t a u m o i n s 13 a n n é e s
d e s e r v i c e e t 17 a n n u i t é s .
Un p i q u e t e n a r m e s , p l a c é s o u s le c o m m a n d e m a n t d u c a p i t a i n e Le T h o m a s , r e n dait les h o n n e u r s .
L e c o m m a n d a i Beilçtt, c o m m a n d a n t la
gendarmerie départementale, remit, selon
le c é r é m o n i a l d ' u s s g e , la m é d a i l l e m i l i t a i r e
a u x t r o i s n o u v e a u x d é c o r é s : les g e n d a r m e s
Jean Dilasseur, de Quimper ; Jean Pelaut,
d ' A u d i e r n e , e t J e a n L e C a n n , d e BrieCde-lOdet.
P u i s il p r o n o n ç a u f l e c o u r t e a l l o c u t i o n
p o u r s o u l i g n e r la p o r t é e d e c e t t e c é r é m o n i e e t la v a l e u r m o r a l e d e la r é c o m pense attribuée au* bons serviteurs de
l'ordre.
T o u s l e s p o s s e s s e u r s d e c a r t e 38 d e
m e m b r e de l'Auberge do J -unesso. ainsi
q u e t o u t e s les p e r s o n n e s s ' i n t é r e s s e n t a u x
A J , s o n t p r i é s d ' a s s i s t e r ft c e t t e r é u n i o n .
Bnnqao» des Médaillés Militaire». —
Le b a n q u e t a n n u e l d'-s M é d a i l l é s Militaires
d e la s e c t i o n d e Q u i m p e r e t d e s e n v i r o n s
a u r a lieu, d i m a n c h e p i o c h a i n 12 f é v r i e r , à
midi, au Restaurant du Marché, r u e A s t c .
T o u s les Médaillés M i l i t a i r e s , l e u r s
familles et leurs amis, sont cordialement
i n v i t é s ft c e t t e f ê t e d e f a m i l l e .
Un m e n u t r è s s o i g n é s e r a s e r v i . P r i x d u
r e p a s , 20 f r a n c s .
A n T . i b u n a i — N o u s a p p r e n o n s la
n o m i n a t i o n d e M. R o g e r D a u m o n l , e n
qualité de j u g e suppléant, au Tribunal
civil d e Q ' i i r n p e r .
M. D a u m o n t n o u s v i e n t d e R e n n e s , o ù
il a p a s s é q u e l q u e s s e m a i n e s è la C o u r
d'Appel.
N o u s lui p r é s e n t o n s n o s s o u h a i t s d e
bienvenue.
X<a B a l d u S t a d a . — Le g r a n d b a l
a n n u e l d u S t a d e Q u i m p é r o i s a u r a lieu le
s a m e d i 18 f é v r i e r c o u r a n t , d a n s la v a s t e
salle d e s f ê l e s d e la r u e d u C h a p e a u - R o u g e .
C e t t e s o i r é e s e r a , c o m m e t o u j o u r s , le
« c l o u » d e la s a i s o n , e t a t t i r e r a t o u t e l a
jeunesse de Quimper et des environs.
Etat-Civil du 3 1 Janviar au 0 février
1 9 3 9 . — Aaissances
: J o s i a n e M a z é a s , 23,
r u e d e K e r f e u n t e u n ; C l a u d e Brillet, 3, e n clos Pen-ar- Stéïr ; Noële Cabon, c h e m i n
d e l ' H i p p o d r o m e ; M o n i q u e M a r b l e z , 65,
r u e de Douarnenez ; Serge Louis, coteau
du Frutfy ; Colette Mignon, venelle de
K e r g o s ; M a u r i c e J é g o u , 10 r u e d u S»llé ;
G i l d a s B a r r e a u , 25, r u e B o u r g - l e s - B o u r g s .
Publications
de Mariages
: Rnymond
Marchand, couvreur, d o m . à Quimper, et
M a r i e - L o u i s e V i g o u r o u x , d o m . ft P l o m e lin ; F r a n ç o i s P e r d r i ' - I , m é c a n i c i e n a u x
c h e m i n s d e f e r , d o m . ft R e n u e s , e l L u c i e n n e
Le G o a i l , d o m . ô Q u i m p e r ; L o u i s J é z é quel, employé de chemins de fer, d c m . à
Q u i m p e r , et A n n e Le B r e n n , d o m . à E r g u é A r m e l ; Guillaume Hélias, e m p l o y é de
c h e m i n s de fer, à R e n n e s , et Marie Le
R o u x , d o m . ft Q u i m p e r ; Alain V i g o u r o u x ,
coiffeur, et Corentine Toullec, d o m . à
Q u i m p e r ; Louis Vigouroux, charcutier,
d o m . à Q u i m p e r , et A n n a Le B e r r e , d o m .
ft P e n h a r s ; R a y m o n d M a r b e u f , c a p o r a l a n
137» d ' i n f . , ft Q u i m p e r , e t J u l i e t t e H é m o n ,
d o m . ft E r g u é - A r m e l .
Décès : M s r i e - J e a n n e Le G u i l l o u , é p o u s e Le
G r a n d , «4 a n s , 14, r u e S t - M a t h i e u ; M a r i e T h é i è s e H e u r t i e r , v e u v e L e b i h a n i c , 80 a n s ,
37, r u e S t - M a t h i e u ; G u i l l a u m e L e B r e n n ,
é p o u x C o s q u é r i c . 52 a n s . m a r c h a n d f o r a i n ,
11, r u e d u P i c h é r y ; Elisa D a v i d , v e u v e
M é r e t , 76 a n s , i m p a s s e d e 1 O d e t ; P é p i l o
T a r r i o , 18 m o i s , s u j e t e s p a g n o l , 3, r u e d e
l ' H o s p i c e ; M a r g u e r i t e Le S a g e - D -svallees,
v e u v e C a v e n g , 94 a n s , 30, q u a i d e 1 O d e t ;
F r a i ç ^ i s B o n a r d , veuf H a s c o ë t , 66 a n s ,
a n c i e n b o u c h e r , 3, r u e d e l ' H o s p i c e .
A n T h é â t r e . — Tournées Ch. Baret. —
La r e p r é s e n t a t i o n d e g a l a , o r g a n i s é e p a r
les t o u r n é e s B a r e t , s o u s les a u s p i c e s d e s
A n n a l e s p o l i t i q u e s e t l i t t é r a i r . s, a u r a l i e u ,
au théâtre municipal, demain
samedi
11 f é v r i e r , à 20 h. 45.
« E s t h e r » s e d é r o u l e r a a v e c la m u s i q u e
et les c h œ u r s d e J e a n - B a p t i s t e M o r e a u ,
d e v a n t les c o l o n n e s d e m a r b r e d e V e r s a i l les q u i s e d r e s s e r o n t s u r les c h a r m i l l e s d u
grand parc.
La s o i r é e s e t e r m i n e r a p a r « L e M é d e cin m a l g r é l u i ».
Des réductions
intéressantes
seront
c o n s e n t i e s à la j e u n e s s e d e s é c o l e s .
— Le p r o c h a i n cye.le d e s t o u r n é e s B a r e t
s e i a « Le C a p d e s T e m p ê t e s », l ' œ u v r e la
r é c e n t e d ' H e n r y B e r n s t e i n , le g r a n d s u c c è s
du théâtre du Gymnase.
s a
X«as Cinéma«
O d a t - P a l a o a (près
Programme jusqu'au
Ac ualités p a r l a n t e s
film, et le g r a n d film
en g a l a .
de la Préfecture).
—
m a r d i 14 f é v r i e r 1939 :
et s o n o r e s ; un joli
: « L e s t r o i s v a l s e s »,
Ras
(près de la Gare). — P r o g r a m m e
j u s q u ' a u m a r d i 14 f é v r i e r 1939 : A c t u a lités « Eclair-Journal » e t d e u x b e a u *
films, d o n t : « L u m i è r e s d * P a r i s ».
A p o l l o (près du Cap-Horn).
— Prog r a m m e d u v e n d r e d i 10 a u d i m a n c h e l J
f é v r i e r 1939 : A c t u a l i t é s , u n b e a u film e t l e
g r a n d film : « S a r a t i le t e r r i b l e ».
Ergué-Armel
S u i c i d a . — D a n s la s o i r é e d e d i n i a n c i v ,
le n o m m é P i e r r e - J e a n Laz, 61 a n s . c u l t i v a '
t o u r a u village d e K e r h o r n o u , e n E r g u é A r m e l , a é t é t r o u v é , p a r sa t e m m e , p e n d u
ft u n a r b r e d a n s u n c h a m p à p r o x i m i t é d e
son habitation.
Il y a t r o i s a n s , le m a l h e u r e u x a v â i t
d é j à e s s a y é d e m e t t r e fin à s e s j o u r s .
La g e n d a r m e r i e a p r o c é d é a u x c o n s t a *
tations d'ussge.
Foueflnant
H é n n i o t t . — D i m a n c h e p r o c h a i n 12
f é v r i e r , à 10 h e u r e s , s a l l e V v o n n o u , à
F o u e s n a n t , M. J e a n - L o u i s V v o n n O u , coti*
»ciller g é n é r a l , r e n d r a c o m p t e d e s o n
m a n d a t et p a r l e r a de l'école de Br^hoaloUt
iVos f é l i c i t a t i o n s a u * n o u v e a u x d é c o r é s .
lioftUiA d'HoHlottitUra. » L'assemblée
g é n é r a l e d e la s o c i é t é a u r a lieu d i m a n c h é
p r o c h a i n , 12 f é v r i e r , ft 10 h e u r e s , salle
habituelle. Comme d'iiabitude entrée g r a tuite et tombola.
Lés Èhembree d e la s o c i é t é p o u r r o n t 86
p r o c u r e r deh g r e f f o n s ft la s t a t i o n a g r o n o mique; boulevard de Rerguélen.
S«éuotoi!c. — L'a«3emblée générale an-
Bénodet
l i a £f a * . — Le s e r v i c e dti b a c 6 VnpAùf
d e B é n o d e t e s t i n t e r r o m p u d e p u i s le
5 février.
U n avis uKérleUr f e r i c o n n a î t r e la dalè'
d e la r e p r i s é d u s e r v i c e ;
P e n d a n t c e t t e i n t e r r u p t i o n , - te SefVIcg
Sera a s s u r é p a r le b a c à r a m e S , p o u r I6tf
vOiturefl, et p a r la v e d e t t e p o u r Isa p l é "
ttfns;
T o n s reuaelgnâthenid cortip(éiiaër>inlreii nuelle du comité de l'A•• berge de j •unesse
6oncàrnâàù
Les eVétiSnietils q u i se produisent ett s e r o n t d o n n é » dan» Ion g n r e s et ltti bureau* do Quimper aura Heu lo mercredi 15 f é Cntuiogne et le désolant exode dea p o p u - j des services routiers.
0u|»j>r*aiitoa daa t r a i s * 4 « v « | r t | M ' l <
vrier, ft 20 h. 30, ft la mairie de Qaimper,
lations civiles q u i en résulte n e peuvent
ancienne salie de l'état-oivil,
! — Depuis lundi dernier, le trafic d*t
'
LË CITOYEN
de v o y a g e u r s s u r la ligne R o s p o r d e n Concaroenu est s u p p r i m é .
Le trafic d e s m a r c h a n d i s e s r e s t e t o u j o u r s en v i g u e u r .
Lb service des voyngeurs sera d o r é n a vant a s s u r é p a r a u t o c a r s .
Pont-l'Abbé
S u p p r e s s i o n d e s trains do voyagonra.
— [) i»iiis le 6 février. I»' n-sti' 1 des tr«ins de
vi.yngrurs s u r In lign* y n i m p e r - P o n t l'At>brt est é g a l e m e n t s u p p r i m é .
Deux trains pur joui c o n t i n u e r o n t p o u r
lo trafic des marchandises.
D" n o m b r e u x services des v o y a g e u r s ,
par a u t o c a r s . soi>t assurés, p o u r les agglo
luérations du c a n t o n et avec (Juimper.
Combrit
Légion
d'honnanr
— M. le
docteur
Chauve!, c h i r u r g i e n ù Q u i m p e r . m a i r e de
Combrit, vient d ' ê t r e p r o m u Oflicier de la
Légion d ' h o n n e u r .
M. Chauvel n'est pas dos n ô t r e s et nos
idées r é c i p r o q u e s sont a n t a g o n i s t e s , mais
n o u s t e n o n s à n o u s incliuer d e v a n t sa belle
p e r s o n n a l i t é et les services n o m b r e u x q u e
son talent et sa b o n t é ont r e n d u à la r é g i o n .
Pouldreuzic
ttm «niant a*
d e r n i è r e , le petit
de C r é m u n e c , en
en t o m b a u t d a n s
remplie d'eau.
n o t a . — La semaine
J a c q u e s Bosser, 4 ans,
Pouldreuzic, s'est noyé
u n e g r a n d e lessiveuse
Plozévet
E t a t - C i v i l d a J a n v i e r . — Naissances
:
Jean-Louis Simon, à B n g o u l s O r ; S u z a n n e
Kt rloi h, à K e r m e n g u y ; B e r n a d e t t e Quéré,
à K r l a é r o n ; Solaug» Signor, 6 Kervouér e t ; J e a n Plouzennec, à Ruviscou.
Mariages : P i e r r e G u e g u e u , mariu de
i E at, et Marie A n d r é ; Yves Kerloch et
Marie-Anne Le Corre, cultivateurs ;
AU x a u d r e Le Burel, marin du c o m m e r c e ,
et Marie-Jeanne Claquin.
Décès : J e a n u e Le Papo, é p o u s e Le
Moa 1 , cultivatrice, au b o u r g ; Pierre-Marie
Mao, 3 ans, au b o u r g ; Christophe Bescond,
époux Guichaoua, cultivateur, 74 aus, à
Lesneut ; M a r i e - J e a n n e Quideau, veuve
B o u r d o n , 72 ans, cultivatrice â Lesplozévet.
Pont-Croix
A a l o a l * d a a » . O . B . — La fête
annuelle d e s sous otliciers de r é s e r v e de
P o n t - C r o i x a u r a lieu d i m a n c h e prochain
12 février.
Au p r o g r a m m e : à 9 h. 30, assemblée
g é n é r a l e , salle do la Maiiie ; ù 11 h e u r e s ,
d é p ô t d ' u n e g e r b e au m o n u m e n t aux
M o r t s ; èi midi, b a n q u e t é l'hôtel des Voya> g e u r s , prix : 20 f r . ; à 20 h. 30, bal dans les
salons de l'hôtel, e n t r é e : î> f r .
Le président r a p p e l l e qu'il est a n n e x é à
l'Amicale d e s S. 0 . R. u n e école de p r é p a ration au b r e v e t militaire. Il e n g s g e les
j e u n e s g e n s â g é s de 16 à 20 aus à s'y faire
inscrire et à suivre r é g u l i è r e m e n t les c o u r s ;
l'obtention d u brevet leur c o n f é r a n t de
nombreux avantages.
P o u r t o u s r e n s e i g n e m e n t s , s'adresser à
l'Amicale d e s S. O. H., ou à M. le chef de
g e n d a r m e r i e de Pont-Croix.
voilà tout. Et p o u r t a n t , M. Guillou, l ' a r g e n t
récolté ailleurs qu'à P l o u h i n e c par ces
« c o m m u n i s t e s •> servira à venir en aido
aux m a l h e u r e u x Espagnols, m ê m e aux
catholiques. Mgr D u p a r c , évêquo de Quimper, q»i le sait. bien, a accepté de faire
partie du comité d'accueil où figurent des
élus de toutes nuances, depuis les membres do votre parti d é m o c r a t e populaire
j u s q u ' a u x élus d ' e x i l è m e - g a u c h " .
Le t o r t de nos c o u r a g e u x q u ê t e u r s de
Pouldavld était d ' é l i e des c o m m u n i s t e s ,
journal l e C i t o y e n
Veuillez a g r é e r etc...
CHATEAULIN
A l ' E t a t - C i v l l . — Depuis trois mois,
a u c u u e naissanco n'a été déclarée à la mairie de Chàteaulin.
C'est la p r e m i è r e fois q u ' u n fait s e m b l a ble est constaté d a n s n o t r e ville, qui
c o m p t e 4.000 habitants.
L é g i o n d ' h o n n e u r . — M. F i l u z e a u , 80US-
p r é f e t de Chàteaulin, vient d'être n o m m é
Chevalier de la Légion d h o n n e u r , au titre
du ministère de l'Intérieur.
Nous lui a d r e s s o n s t o s vives félicitations.
Le Faou
Aooidant
d'auto».
—
Une
collision
d ' a u t o s s'est p r o d u i t e lundi matin près du
F a o u , s u r la r o u t e Q u i m p e r - B r e s t .
Un camion a p p a r t e n a n t à la quincaillerie
Bellion, de Brest, et la voiture de t o u r i s m e
de M Rozé, p h a r m a c i e n à Quimper, se sont
h e u r t é s violemment.
M. Rozé était a c c o m p a g n é de MM. Bourhis, chef de laboratoire, et Poriel, p r é p a r a t e u r en pharmacie, d e m e u r a n t tous deux
à Ergué-Aimel, près Quimper.
T o u s les trois ont été plus ou moins
blessés. Aucun n'est en d a n g e r .
Le P a r q u e t de Brest s'est r e n d u s u r les
lieux d a n s l'après-midi d e l à m ê m e j o u r n é e
p o u r p r o c é d e r à la reconstitution do l'accident.
BREST
L a n o u v e a u Chef da la M u a i q a e d e s
E q u i p a g e s d a l a F l o t t a . — M. J u l e s
Seuiier-Collery, capitaine chef de m u s i q u e
à Amiens, a été n o m m é , a p r è s concours,
chef de la Musique des E q u i p a g e s de la
Flotte, en r e m p l a c e m e n t de M. Michel Boh e r , décédé.
Atfé de 36 ans 1 2, M. S e m i e r - C o l l j r y ,
a p p a r t i e n t à u n e famille de musiciens.
Trois de ses fi ères sout chefs de m u s i q u e s
militaires.
A » T h é â t r e . — Deux g r a n d s galas
auront lieu, d i m a n c h e p r o c h a i n , au t h é â t r e
municipal do Brest, avec le f a m e u x c o m é dieu C o n s t a n t - R é m y , qui
interprétera
l'œuvre a d m i r a b l e « L'Aventurier ».
Nul d o u t e q u ' u n n o m b r e u x public ne
Feuilleton du « Citoyen », Quimper — N° 44
U
(d'après Albert Le Grand)
P e n d a n t qu'il était en la f e r v e u r de son
oraison, un ange lui a p p a r u t et l'assura
que, non s e u l e m e n t l'enfant était h o r s de
tout d a n g e r , mais e n c o r e q u e Dieu -avait,
p o u r sn conservation, créé une île nouvelle.
Saint Hrnndan fut g r a n d e m e n t consolé de
CC9 nouvelles. I.c lendemain matin, il alla
nu rivage de la m e r et vit cette motte ou
t e r t r e de t e r r e flottant sur l'eau et saint
Malo dessus qui louait Dieu. Il s'approcha
le plus prés qu'il p û t du saint et discourut
avec lui de cette merveille ; puis tous doux
r e n d i r e n t grâce» à Dieu...
Saint Malo ayant d e m e u r é q u e l q u e s
a n n é e s en l'école de saint, Braridan, ses
p a r e n t s le v o u l u r e n t r a p p e l e r à la maison ;
triais lui, qui désirait s ' a d o n n e r e n t i è r e m e n t au service de Dieu, leur dit qu'il ne
q u i t t e r a i t j a m a i s le m o n a s t è r e , Encore
q u e ses p a r e n t s eussent fort désiré l'avancer
ou* h o n n e u r s et dignités et lo laisser héritier de tours g r a n d s biens, de p e u r t o u t e fois de résister ad Saint-Esprit qui
l'inspirait, ils Ici laissèrent faire ce qu'il lui
plairait et ne lo m o l e s t è r e n t plus de ce
côté-là, Voyant cet e m p ê c h e m e n t été, il
postula hmnbletiietlt l'habit ail m ê m e
m o n a s t è r e , lequel il reÇut de la ttialn de
son p a r r a i n ël m a î t r e , saint B r a n d a m Se
Voyant parvenu /i ce q u ' i l «volt tant désiré,
il ¿iiohtt-fi qU'aVbc l'habit rtiOriaëal il avait
p a r e i l l e m e n t vétU JésUs-ChriSt ; Caf il
fcbrrirtieriça 6 m e n e r une r i e si sainto qU'll
revissait tbUs Sfeê c o n f r è r e s on a d m i r a t i o n
de sri ànlhtbtéj se hinihlch ht, àvëc Cela,
eh unb il p r ô f o h d e hùmilité tjii'il è'tislirrï »it
lë plus Impai'falt du triohaftlèi-c fct indiguti
tic cette c o m p a g n i e h llgleueei
U #7in trouva, toutefois, en t e mohftBtècc,
MORLAIX
L é g i o n d'honnanr. — C'est nvec plaisir
q u e n o u s a p p r e n o n s la nominal ion au g r a de do Chevalier d e l à Légiou d ' h o n n e u r do
« J e ne suis pas un sectaire », vous plaiM. Corentin Cafcr, i n s t i t u t e u r à l'école de
sez-vous à dire, Monsieur lo Maire, Eh !
P o a u - B e n , à Morlaix, d i r e c t e u r de la J e u n e
bien n o u s croyons q u e les c o m m u n i s t e s le
Lyre Morlaisieune.
sont un peu inoins q u e vous. Vous vous
C'est au titre do l'Education Nationale
êtes e m p l o y é d i m a n c h e , p<fr sectarisme, à
q
u
e M. Coèr reçoit cette h a u t e distinction.
enlever des b o u c h e s d'innocents allumés
Lo
n o u v e a u Légionnaire, avec un dévouelo pain quo de g é u é r o u s e s p e r s o n n e s voument digno do t o u s les éloges, qui n'a
laient leur offrir.
dVgal q u e sa modestie, a assuré d e p u i s plus
Un l'iouliinécard t/ui a versé
de t r e n t e a n s la direction de plusieurs
sans demander l'autorisation au maire.
sociétés de m u s i q u e scolaires et postscolaires.
Douarnenez
Ou connaît ses j e u n e s artistes qui ont
P o u r l e a f a m i l l e s d e s d i s p a r u e d u participé à de n o m b r e u s e s fêtes populaires
« M è o h a a n - C h a r l i o ». — C o m m e suite à d a n s n o t r e d é p a r t e m e n t .
ses p r e s s a n t e s d é m a r c h e s , M. Jean Porrot,
Nous a d r e s s o n s à M. Ci Cr nos c h a l e u d é p u t é , a reçu la lettre suivante do M. le r e u s e s ot cordiales félicitations p o u r le
Ministre de la Marine Marchande :
g r a n d h o n n e u r qui lui échoit.
Monsieur le Député et c h e r Collègue,
Vous avez bien voulu a p p e l e r , tout spéA l'Xmprlmaria du
cialement, mon attention sur la pénible
situation des familles de m a r i n s de D o u a r nenez disparus à bord du « Méchaun-Charlic ».
On e x é c u t e « o v a
Xwprtméa
J ai l h o n n e u r de vous faire c o n n a î t r e
q u e des s e c o u r s d ' u r g e n c e vont être
i n c e s s a m m e n t payés aux veuves et aux
orph- lius des d i s p a r u s et q u e je m'efforcerai de les assister à nouveau dans leur
détresso dès q u e mes services a u r o n t reçu
les é l é m e n t s nécessaires à l'attribution
d'un secours c o m p l é m e n t a i r e .
Plouhinec
On nous prie d'insérer :
M. Guillou a été p r o b a b l e m e n t le seul
m a i r e de F r a n c e à avoir interdit, d a n s sa
c o m m u n e , la q u é l e de d i m a n c h e d e r n i e r
au profit d e s r é f u g i é s e s p a g n o l s . A la
suite do ce r e f u s , q u e la population a
r é p r o u v é , n o t r e très c a t h o l i q u e maire a
t e n u à s'expliquer d a n s tout le b o u r g ,
c o m m e q u e l q u ' u n qui n'a pas lu conscience
t r a n q u i l l e : les j a u n e s q u ê t e u r s ne lui
avaient pas d m a n d é sou a u t o r i s a t i o n I
p . nsez d o n c ! C o m m e si la q u ê t e eu question n'avait pas été a u t o r i s é e d a n s t o u t e
la Franoe (et P l o u h i u e c est en F r a u c e j par
le M i n i è r e d e l ' i u t e r i e u r l u i - m ô m e .
tienne à m a n i f e s t e r à l'émouvant I n t e r p r è t e
de « L'Aventurier » lo v i b r a n t t é m o i g n a g e
de son a d m i r a t i o n , ainsi qu'à la pléiade
d'artistes do tout p r e m i e r o r d r e d o n t
Constant-Rémy a su s ' e n t o u r e r .
Ulli
par Yves LE FEBVRE
A qui ses l'at'es Vertus et l'éclat de sa sain*
teté éblouirent les yeux trop chassieux, d e
s o r t e que, poussés d ' u n e envie malicieuse,
ils se r é s o l u r e n t de lui j o u e r q u e l q u e f o u r .
Ces malicieux dune o b s e r v è r e n t
une
semaine q u e saint Malo devait, à son t o u r ,
éveiller les religieux et leur d o n n e r du feu
en leurs lampes p o u r aller à mùtines. Ils
p r i r e n t cette occasion et, le soir, a p r è s
q u e tous les f r è r e s se f u r e n t retirés, ils
é t e i g n i r e n t leurs lampes, tant (lu d o r t o i r
q u e de l'église, se p r o m e t tant q u e saint Malo,
ne pouvant trouver du l'eu assez à t e m p s
p o u r p o r t e r ù l'abbé et aux a u t r e s moines, subirait q u e l q u e discipline ; mais il
en alla tout a u t r e m e n t qu'ils n'avaient
p r o j e t é , car, n'ayant trouvé du feu à la
lampe du d o r t o i r , il alla au foyer c o m m u n
où il trouva q u e l q u e s - u n s de ces m é c h a n t s
religieux, qui lui d é n i è r e n t du feu et lui
baillèrent, p a r décision, des Charbons
éteints. Le saint, sans se t r o u b l e r a u c u n e ment, prit ces c h a r b o n s et, n'ayant o ù
c o m m o d é m e n t les porter, il les mit en son
soin et les p o r t a en la cellule de l'abbé o ù
Ils se trouvèrent a r d e n t s et e m b r a s é s , sans
quo sa chair, ni ses habits en f u s s e n t
a u c u n e m e n t offensés; 11 voulut pfésentet'
du leu ii l'abbé ; mais il n'en était plus de
besoin ; cal-, ayant été i'etardé en l'exécUti6n de son OlTlcfe pat- la malice de ses
p r o p r e s frères, Un ange ardlt s u p p l é é h ce
d é f a u t et allumé la l a m p e do l'abbé, lequel
embrassa t e n d r e m e n t saint Mdld, r é v é r a n t
h u m b l e m e n t en lui leu mërvellléô dë Dieu,
le regai-dant non plus odmme sori disciple,
mais coriimo Un g r a n d ami et favori dë
b i e u | ftials l'humble Siulo référait le t d u t
nli* ffléfites fct sainteté dç m a tibbij fit
Football-Association
A n G. A.
da P e n h a r s
Nous p o u v o n s m a i n t e n a n t m e t t r e en
p r e m i e r lieu la p r e m i è r e équipe. Après
avoir essuyé, t r o p souvent, des défaites
cuisantes, elle vient de se réhabiliter en
battant les P a o t r e d - D i s p o u n t par 4 à 2.
Ce qu'il f a u t s u r t o u t quo ses j o u e u r s se
r a p p e l l e n t , c'est q u ' u n e é q u i p e est u n e
machine où c h a q u e pièce doit se trouver
à sa place. Si u n e pièce n'est pas à sa
place, la machine se d é t r a q u e .
C'est p o u r q u o i c h a q u e fois q u e le d e m i c e n t r e Bébert n'était plus à sa place, il y
avait u n e descente des adversaires. Coût :
deux buts.
T o u t e la défense a bien j o u é , et les
q u a t r e j u n i o r s : Le Bihan,
Larnicol,
L o u s s o u a r n et Kerviel f o n t des p r o g r è s à
c h a q u e partie.
La ligne d'avants a e n c o r e t r o p flotté,
q u o i q u ' u n peu moins qu'à Plozévet, et avec
ce petit p r o g r è s , 4 b u t s ont été m a r q u é s .
Que les inters g a r d e n t leur place et cela
ira e n c o r e mieux d i m a n c h e prochain c o n t r e
la J. A. de Q u i m p e r , qui ne se laissera pas
faire aussi facilement q u e les P a o t r e d Dispount.
E n c o r e u n e r e m a r q u e très j u s t e
On dit de telle équipe, qu'elle est t r è s
brutale, et j'ai t o u j o u r s dit, q u e c'est
l'arbitre seul, qui est r e s p o n s a b l e de la
t e n u e des équipes.
P r e u v e : la r e n c o n t r e ci-dessus où les
j o u e u r s ont été bons c a m a r a d e s , et se s o n t
q u i t t é s b o n s amis.
Le mérite ne leur en revient pas totalem e n t , mais eu g r a n d e partie à l'arbitre qui
n'a, dès le d é b u t , toléré a u c u n e incorrection.
Les j o u e u r s l'ont compris, et en ont les
p r e m i e r s profité.
La d e u x i è m e équipe, pas e n c o r e au point,
s'est fait b a t t r e par 1 à 0, par leurs vis à vis,
la deuxième des P a o t r e d Dispouut.
Le C. A. P. d o m i n e , mais ne sait pas
m a r q u e r , c'est p o u r t a n t ce qu'il f a u t faire
pour gagner
A signaler la joli partie des minimes
Kersall et Coathalem.
Les j u n i o r s , avec le c o n c o u r s de trois
celui-ci à la sienne et ils passèrent quelq u e s h e u r e s en cette sainte contestation.
Le l e n d e m a i n , saint B r a n d a n , ayant
e n t e n d u tout le d é m ê l é de celle fusée,
voulut c o r r i g e r les a u t e u r s de cette méchanceté ; mais les t r o u v a n t obstinés eu leur
malice et q u e plusieurs a u t r e s les s u p p o r taient, il résolut de les q u i t t e r et s'exposer
plutôt à la merci des o n d e s de la nier qu'à
la malice de ses p r o p r e s f r è r e s et voir,
c e p e n d a n t , si son absence et de celui
auquel ils p o r t a i e n t tant d'envie les a m e n derait. Il s ' e m b a r q u a avec saint Malo et
78 a u t r e s personnes, en dessein de trouver
les « lies f o r t u n é e s » , f o r t r e n o m m é e s des
anciens (ce sont les Canaries à la cète
d'Ethiopie), p o u r y p r ê c h e r la foi aux b a r bares et les r é d u i r e fi la connaissance de
Jésus-Christ. Ils f u r e n t sept j o u r s v o g u a n t
en pleine mer, ¡'i bon vent, sans voir a u c u n e
t e r r e . Enfin, le septième j o u r , ils a n c r è r e n t
è lu r a d e d ' u n e ¡le où ils m i r e n t pied h
t e r r e et y s é j o u r n è r e n t q u e l q u e peu, et se
p r é p a r e r o n t p o u r suivre leur r o u l e ; mais
un a n g e leur a p p a r u t cl leur lit c o m m a n d e m e n t de s'en r e t o u r n e r en leur pays ; à
quoi ils o b é i r e n t ot levèrent les ancres,
d r e s s è r e n t les voiles et t o u r n è r e n t leur
p r o n e vers le s e p t e n t r i o n ) et, c o n t i n u a n t
leur course, ils se t r o u v è r e n t lo p r o p r e
j o u r de P û q u e s en m e r et eussent bien
désiré a b o r d e r q u e l q u e 11c OU côte, p o u r
c é l é b r e r les saints m y s t è r e s et ne d e m e u r e r
sans messe un tel j o u r . Dieu leur octroya
leur désir ; car, ayant d é c o u v e r t Une f o r m e
d'Ile (co leur semblait), ils y d e s c e n d i r e n t ,
d r e s s è r e n t un autel et f u t célébrée la solute
messe ; mais, sur le point du P a t e r N'ustCr,
toute cette lie vint ù ce mouvoir de telle
impétuosité q u ' u n chacun cherchait à se
sauver d a n s le valssoau lë p l u t ô t (ju'il
p o u r r a i t . Saint .Malo, voyant 9o d é s o r d r e ,
lës r a p p e l a , les a s s u r a n t cju'il tì'y avait
aucun d a n g e r j et, dë fait, l'Uë në t r e m b l a
plUs, ni në reinurt, j u s q u ' à ce cjuë lfl mësgë
étant finie et tous é t a n t mdfltés d M s lë
tnlssëofi| lis WcijMiJrîilH ^
W
lycéens, b a t t e n t la deuxième é q u i p e mixte
des Loisirs par 4 à 2.
K.
A n Etada
Quimpérois
Le S. Q. est b a t t u par 2 à 0, p s r
l'U. S. S. M. de St-Malo.
Bon ! e n c o r e u n e p i q u e t t e p o u r le S. Q.,
d i r o n t les g e n s qui n'ont pas vu la r e n contre.
Or, ce n'est pas l'impression des spect a t e u r s q u i o n t q u i t t é le terrain c o n t e n t s
et confiants dans l'avenir.
C'est q u o les j o u e u r s , qui ont résisté do
toutes l e u r s forces, ont été r é c o n f o r t é s
par le r e t o u r de deux de leurs anciens :
Lili et Marcel Le Grand. Le p r e m i e r , r e p r e n a n t en main l'éducation physique, et,
le deuxième, la partie t e c h n i q u e où sa
c o m p é t e n c e est indiscutable.
Et cela a sutli p o u r r e d o n n e r à l'équipe
le moral qui allait l ' a b a n d o n n e r .
Aussi quelle belle partie ont-ils vue les
s u p p o r t e r s e n c h a n t é s . N'eut été la g r a n d e
valeur du goal visiteur, T h é p o t , le S. Q.
a u r a i t g a g n é , car non s e u l e m e n t les avants
ont dominé les 3/4 de la partie, mais T h é pot a dû faire plus d ' a r r ê t s q u e Daniélou.
En ce m o m e n t l'équipe est au point,
a u c u n c h a n g e m e n t à prévoir, la défense
est sûre, la ligne d'avants est s o u d é e et
n'a plus q u ' à c h e r c h e r le b u t de loin
c o m m e de près. S u r dix essais, u n e ou
deux balles p a s s e r o n t .
J'ai t o u j o u r s eu confiance d a n s les
j o u e u r s stadistes. Plus q u e j a m a i s j e mise
s u r eux p o u r les p r o c h a i n e s r e n c o n t r e s .
P a r l o n s u n peu des Minimes. Ayant fait
u n p r e m i e r match nul c o n t r e ceux de la
Phalange, ils viennent de b a t t r e ces d e r n i e r s par 3 à 0.
Les voilà d o n c c h a m p i o n s des g r o u p e s
A et B.
Ils vont, d i m a n c h e prochain, r e n c o n t r e r
à Quimperlé, les Minimes de la Garde de
St-Yvi, de Pontivy, p o u r la finale d u district B r e t a g n e - S u d .
J ' e s p è r e qu'ils y f e r o n t t r i o m p h e r les
c o u l e u r s du vieux S. Q.
Kervahut.
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fi s a u t e r et g a m b a d e r p a r la m e r ; ce q u e
voyant toute la c o m p a g n i e , ils r e m e r c i è r e n t
Dieu de ce qu'il les avait délivrés de ce
d a n g e r et fait dignes de participer, ce
j o u r , aux sacro-saints mystères de la messe.
Etant arrivés en leur m o n a s t è r e , ils n'y
t r o u v è r e n t plus ces faux f r è r e s cl saint
Malo n'y eut g u è r e été q u e , l'évêque de
Guic-Kastel é t a n t décédé, il f u t , à la
r e q u ê t e de tout le p e u p l e , installé en sa
place et consacré évêque, q u e l q u e r e f u s
qu'il e u t pû faire. Néanmoins, il résolut de
q u i t t e r le pays et s ' e n f u i r par m e r sans
dire m o l de son dessein il p e r s o n n e ; ce
q u e son père ayant e n t e n d u , il lit crier,
par tous les havres d u pays, q u e p e r s o n n e
n'eût à le recevoir d a n s sou vaisseau, ni le
passer delà la m e r , s u r peine de la vie.
Nonobstant celle défense, saint Malo se
p r é s e n t a sur le p o r t p o u r devoir s ' e m b a r q u e r ; mais p e r s o n n e ne le voulant recevoir
d a n s son vaisseau, n o t r e S e i g n e u r , qui le
guidait, lui envoya un ange, en f o r m e d'un
beau j o u v e n c e a u , lequel le pria de m o n t e r
en son b a t e a u et qu'il lo r e n d r a i t delà la
mer, en l'Ile du saint e r m i t e A a r o n , 11 no
voulut pus r e f u s e r cette c o m m o d i t é , mais
s ' e m b a r q u a cl passa lu m e r b r i t a n n i q u e et
vint se r e n d r e à la còle de n o i r e B r e t a gne, eu l'Ile où est à p r é s e n t bàlie la ville
de Saint-Malo, laquelle s'appelait alors
l'Ile d'Aaron, à cause do saint Aaron qui y
vivait solitairement. Saint Malo descendit
du bateau et remercia son nocher, lequel*
uvëc Son butëau et tout son é q u i p a g e ,
d i s p a r u t , d o n n a n t à c o n n a î t r e qui il était j
d o n t saint Malo r e n d i t g r â c e s à Dieu et
m o n t a d u rivage duns l'île j Où le suint
e r m i t e Aardn (averti p a t Un ange de sort
arrivée) lui vint aU-dëvaiit, a U liçu où est k
p r é s e n t la chapelle dudit saint Aaron,
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spirituelle des âmes, prit c o n g é de saint
Aaron et passa en t e r r e f e r m e et vint en la
ville d'Aleth, laquelle était bâtie à l'embouc h u r e de la rivière de Hûtice, au lieu où,
e n c o r e à présent, on voit les m a z u r c s d e s
mur», q u e l q u e s vieilles antiquailles et
a u t r e s vieilles r e m a r q u e s et édifices de la
dite ville d'Aleth et le château de Solidor.
Saint Malo e n t r a d a n s la ville d'Aleth, la
vigile de P â q u e s , l'an de salut 538, et, le
l e n d e m a i n , il dit la messo en l'église de
Sainl-Pierre et ensuite 11 prêcha et, descendant de la chaire, il s ' a p p r o c h a d'un c o r p s
mori qui attendait la s é p u l t u r e et. ayant
fait sa prière, il le ressuscita el lui p r é s e n t a
de l'eau à boire d a n s un vase d e m a r b r e ,
sur lequel ayant fait le signe de la croix,
le m a r b r e fut converti en cristal et l'eau en
vin. Ces trois miracles, q u e Dieu fit par les
m é r i t e s de saint Malo, le mirent tellement
en crédit vers les s e i g n e u r s du pays et le
peuple, qu'ils lui édifièrent un m o n a s t è r e ,
près la ville, où il amassa g r a n d n o m b r e
do religieux. Un s e i g n e u r du pays, suscité
du diable, ayant voulu raser son m o n a s t è r e ,
devint aveugle ; mais, s'en é t a n t repenti
et ayant d e m a n d é p a r d o n à Dieu et au
saint, il lui f r o t t a les yeux d'huile sainte et
d'eau bénite et ainsi il recouvra la vue et
resta d e p u i s f o r t affectionné à saint Malo
et, en sa considération, lit de g r a n d s biens
à son m o n a s t è r e et p r o c u r a , envers le roi
HoCl II du nom, q u e saint Malo f u t consacré évêquo d'Aleth ) — ce qui fut fait
environ l ' a n 541, sous le pape Vlgilius et
l ' e m p e r e u r Justinien,
lesquels, l i b r e m e n t et sans crainte, il
r e p r e n a i t ceux qu'il voyait s'éloigner d e
leur devoir, le r e n d i r e n t p e u a g r é a b l e 6
c e r t a i n s g e n t i l s h o m m e s d é b a u c h é s , lesquels, incités d u diable, ne se p o u v a n t
a u t r e m e n t v e n g e r du saint, e m p o i g n è r e n t
son b o u l a n g e r , n o m m é R h u n n a , et, l ' a y a n t
lié pieds et mains, le p o r t è r e n t bien a v a n t
d a n s la grève, afin q u e , ne se p o u v a n t
a u c u n e m e n t r e m u e r , la m e r , en son m o n tant, le s u f f o q u â t . Saint Malo sut, p a r
révélation, le d a n g e r a u q u e l était ce p a u vre h o m m e innocent p o u r son s u j e t et p r i a
Dieu de le g a r a n t i r d e ce péril ; Dieu
exauça saint Malo, de sorte q u e la m e r , au
lieu de s u f f o q u e r ce p a u v r e h o m m e , s'éleva
peu à peu a u t o u r de lui, laissant u n e
o u v e r t u r e , c o m m e la g u e u l e d ' u n puits,
p a r d e s s u s sa tête, p o u r lui s e r v i r d e s o u pirail et, la m e r s'étant r e t i r é e , saint Malo
l'envoya q u é r i r . II délivra u n e p a u v r e
f e m m e g r a n d e m e n t t o u r m e n t é e du malin
esprit, lui a y a n t fait boire plein un calice
d'eau bénite. Une fois, un p a u v r e p a y s a n ,
plein de b o n n e volonté, mais qui n'avait,
g u è r o de bien, fit p r é s e n t au saint p r é l a t
d'un j e u n e ànon p o u r le service do sa
maison ; le saint, a y a n t plus d ' é g a r d k la
b o n n e volonté d u d o n n e u r qu'au présent,
l'en remercia et, depuis, se servait de cet
animal p o u r p o r t e r son bois et ses autres
provisions ; mais le loup, ayant trouvé
cet â n e à son avantage, le dévora : c e
que r a p p o r t é â saint Malo, il se transport»
à la prochaine forêt, et, ayant fait couper
et fagotor un gros faix de bois, appela
gré, le loup qui avait mangé son âne.
Se voyant do rechef, contre son
élevé à Ta dignité épiscopale, il mit à bon
escient la main à l'œuvre, veillant jour ot
nuit sur son troupeau, 11 visitait personnellement les paroisses de son diocèse et
les pourvoyait de bons ecclésiastiques,
prêchait ses diocésains, réformait les abus,
l'embrassa affectueusement et le logea en criait hautement contre les vices, sane
son ërmiiQgë. Mais suint Mala n'étant pas épargner grand ni petit, se m o n t r a n t vrai
ëtiroyiS dë Dieu en ce» contréus popr no pfcrc nux gon« de bien et gévèrti ccnseti?
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Remite habituelle aux Membres de l'Enseignement
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N° ? (32° année)
Vendredi 17 Février 1 9 3 9
Le numéro 3 S centimes
A l'Imprimerie du » Citoyen *
7, rue EIie-Fr6ron <ancienne rue Rogalej
— QUIMPER on exécute tous le« genres
D ' IMPRIMÉS *
Organe Hebdomadaire de Défense Laïque et d'Action Républicaine.
ABONNEMENTS
i
Finistère et départements limitrophes
Autres départements
Colonies
B U R E A U X
f S I r . par an.
88 O
—
Les abonnements sonl payables d'avance.
P R O P O S
D'UN
et I M P R I M E R I E ,
Fondateur : Georges LE BAIL
1906-1937
7 , R u e Elie-Fréroa — Q U I M P E R
Téléphone Se
Chèque Postal n° 142.70, Nantes.
Adresser toutes les communications à M. P i e r r e GUÉGUEN, Imprimeur-Gérant.
Les manuscrits ne sont pas rendus.
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B R E T O N
Situation nouvelle
Mieiies
La Mort Un Souverain Pontife
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ANNONCES
P R O P O S
journal l e C i t o y e n
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Journal l e C i t o y e n
giclé à vaincre et qtle l'on cannait ltl
jolttiçiue nûtifrançaiso de Muisollm
»r de «ombreux problèmes Itfljpof- malie MM. le D' ftégrid) président du anjfUi»,
gofoeil, et A l W e ï ¿el Vajro, ministre
tflta jusqu'à pféfieët;
£
P U
J O U R
La Marine veille
Le Pape Pie XI est mort vendredi
dernier après quelques jours de maladie, d'une crise cardiaque.
Les funérailles ont eu lieu mardi
Une mise à l'eau est bien loin d'être
—
Weidmann,
le
tueur
de
La
Celledans
toutes
les
questions
méditerra
On connaît mal les conditions de la
soir
à
la
Basilique
vaticane.
aussi
spectaculaire qu'un lancement.
Saint-Cloud,
comparaîtra
le
15
mars,
néennes.
défaite catalane. Elle a surpris tous
Lorsqu'à Brest l'énorme masse du
Agé de plus de quatre-vingt-un ans,
Sans doute, Mussolini a promis avec ses complices, devant les jurés
les milieux par sa rapidité et par son
ampleur. Ce fut un effondrement, une solennellement à l'Angleterre de reti- de Seine-et-Oise, siégeant à Versailles. le chef de la chrétienté devait célé- « Richelieu » s'ébranla, il y avait
Les débats dureront vingt jours et brer, samedi dernier, le dix-septième cependant beaucoup d'émotion dans le
déroute militaire en même temps que rer ses troupes d'Espagne aussitôt la
cœur de tous ceux qui étaient présents.
l'exode de tout un peuple vers la paix signée et la victoire de Franco ce n'est qu'au début du mois d'avril anniversaire de son couronnement.
Pour bien servir la marine, sur terre
acquise. Mais c'est précisément ce que Weidmann sera fixé sur son sort.
France, devenue « terre d'asile ».
L'abbé Achile Ratti (Pie XI; naquit
Nous ne rechercherons pas les qu'il veut éviter. Il veut garder Ma— L'aviateur anglais Alex Henshaw à Dosio, dans la province de Milan comme sur mer, il faut l'aimer très
fortement, il faut être imprégné de son
causes de cette extraordinaire défaite. jorque et ses légionnaires à proximité a effectué le voyage Londres-Le Cap- (Italie), le 31 mai 1857.
Il fut ordonné prêtre le 20 décem- esprit. Le dévouement et l'intelligence
Ce sera affaire aux historiens. Des de la frontière pyrénéenne, au cas de Londres en quatre jours 10 heures
tension
avec
la
France
et
pour
exercer
15 minutes, battant ainsi d'un jour bre 1879. Le cardinal Ferrari, arche- ne suffisent pas. Il faut aussi de
déments d'information nous manquent
l'ultime
chantage
dont
la
presse
ita6 heures 45 minutes le dernier record vêque de Milan, lui confia la direction l'amour.
et il faut prendre garde à un certain
Dans la période lourde de tant de
lienne
nous
menace
chaque
jour.
Il
des maîtres destinés à donner l'insétabli.
« bourrage de crâne » dont nous
craintes
que nous traversons, il est bon
emploiera,
dès
lors,
toute
son
influence
L'as britannique a atterri à Londres truction religieuse dans les écoles de
avons tous été victimes. Les divisions
de
se
plonger
un peu dans ce milieu
et
toutes
ses
ressources
à
empêcher
daus un état d'épuisement complet, le la région de Milan.
politiques et les passions partisanes
maritime,
ou
les
traditions les plus
la
paix
en
Espagne
Ce
ne
sera
pas
le
visage couvert de sang par une hémorEu 1907, il fut nommé bibliothéont eu certainement une large part
nobles
se
sont
perpétuées,
où les mots
moindre
des
obstacles.
ragie nasale. Il était vraiment temps caire de l'Ambrosienne, bibliothèque
dans cette défaite. Aucun pays n'
de
patriotisme,
d'honneur
et
de dévoueSur le terrain où vont s'engager les qu'il parvienne au bout de sa course. de Milan. Son succès dans cette entreété plus profondément perverti par
ment
ont
conservé
tout
leur
sens.
l'abus de la liberté individuelle que pourparlers il faut faire confiance à
— Le ministère belge, présidé par prise fut reconnu par le roi d'Italie,
Du
haut
de
la
terrasse
de
la
magnicette malheureuse Catalogne où l'action l'Angleterre qui a su garder des amitiés M. Spaak, socialiste, a démissionné. qui lui décerna l'insigne de chevalier
fique
école
navale,
tous
regardaient
républicaine était paralysée par les précieuses en Espagne nationaliste. Il M. Jaspar, catholique, qui avait été de l'ordre de Saint-Maurice et Lazare.
En 1913, Mgr Achille Ratti, appelé avec émotion l'escadre de l'Atlantique,
luttes intestines des socialistes, des faut faire confiance aussi à M. Bonnet chargé de former le nouveau cabinet,
dont les coques grises se détachaient
communistes et des anarchistes. En qui a de très grandes qualités de diplo- a échoué. La constitution du nouveau pai Pie X, vint à Rome pour remplamate
;
mais,
plus
encore,
il
faut
faire
gouvernement semble présenter, en cer comme préfet de la bibliothèque à peine sur la mer glauque et le ciel
voilà la tragique rançon.
nuageux, où un pâle soleil faisait parconfiance
à
M.
Daladier
dont
le
patriovérité, de sérieuses difficultés.
vaticane le P . Ehrlé.
Que cela nous serve d'exemple à
fois passer un rayon d'argent.
et
l'énergi«
ont
été
plusieurs
tisme
Mgr Ratti ne quitta pas Milan tout
nous-mêmes ! La liberté n'est pas la
— Un nouveau complot, fomenté
Une extraordinaire impression de
licence. La liberté philosophique doit fois appréciés dans des circonstances par d'anciens membres de la Garde de de suite et jusqu'à la fin de 1914 fit puissance se dégageait de l'ensemble,
graves et qui s'est révélé comme un
s'accompagner d'une forte discipline
Fer, a été découvert en Roumani». Un la navette entre les deux bibliothèques. tandis que les salves réglementaires
homme d'état de la grande lignée
morale. Elle est un aliment dangereux
attentat devait être perpétré le 20 fé- Enfin, il s'établit définitivement à saluaient la prise de contact avec la
française des Clemenceau, des Iules
vrier contre le ministre de la Défense Rome, où il venait d'être nommé mer de l'immense 35.000 tonnes.
qui ne convient ni à tous les individus,
Ferry et des Gambetta.
Nationale. Vingt-cinq arrestations ont chanoine de Saint-Pierre.
ni à tous les peuples. Mal comprise,
Nos deux bâtiments modernes, le
Dans cette dure bataille politique été opérées.
Le 25 avril 1918, Benoit XV l'envoya
elle conduit à la dictature et aux
«
Dunkerque » et le « Strasbourg »
d'Espagne qui peut être le prélude à
en Pologne comme visiteur apostométhodes de force, le crains que
—
Un
déraillement
de
train,
en
montraient
leur force élégante. Plus
la guerre, mais qui peut aussi emlique. Mgr Ratti fut nommé nonce à
1 Espagne n'en fasse la douloureuse
pêcher la guerre, nous devons garder Catalogne, a fait 31 morts et une cen- Varsovie le 10 juin 1919. Le 28 octobre loin, étaient mouillas nos trois cuirasexpérience apiès l'Italie où « la marche
3 type « Provence », un peu vieux
tout notre sang-froid, tout notre cou- taine de blessés, tous des civils.
1919, il fut sacré évèque par le carsur Rome » avait eu comme prélude
et lents, mais puissamment armés.
— Le lapon a occupé l'île de Hairage ; nous ne devons penser qu'à
dinal Kakwsky, avec le titre d'archedes occupations d'usines dans le PiéPartout, des bâtiments divers, croil'intérêt supérieur de la France qui se nan, dans le golfe du Tonkin, base vêque de Lépante.
mont et en Lombardie.
seurs,
contre-torpilleurs, sous-marins,
confond, une fois de plus, avec l'in- stratégique d'une grande importance.
Le
13
juin
1921,
Benoit
XV
lui
confie
Quoi qu'il en soit, à l'heure où nous térêt de la civilisation et avec l'intérêt
jorte-avions,
remplissaient le port.
La France, qui n'avait pas été avertie
l'archevêché
de
Milan
et
le
nomme
sommes et devant l'évolution rapide de la paix.
de l'opération, a énergiquement proEt tous ceux qui ont travaillé pour
et brutale des événements, l'intérêt
a marine, qui ont senti qu'elle était
testé auprès de Tokio. On prévoit une cardinal.
Yves LE FEBVRE.
seul de la France doit nous guider.
Le 6 février 1922, il était appelé indispensable à la sauvegarde du pays
démarche analogue de l'Angleterre et
Et il est bien certain, puisque nous
probablement des Etats-Unis et de la à s'asseoir sur le trône de saint Pierre. dans notre siècle d'acier, trouvaient
n'avons pas su ou pas pu sauver l'Esdans cette vision la récompense de
Hollande qui sont tout aussi intéressés 11 fut couronné le 11 février 1922.
pagne républicaine, qu'il importe d'enDans le domaine de l'organisation leurs efforts.
que nous dans cette affaire qui est une
*
visager la situation sur un plan nou» »
véritable menace pour les possessions intérieure de 1 Eglise, Pie XI fut le
veau.
pape des missions et de l'action
des quatre pays en Extrême-Orient
A V O S A M I S
La marine pèse, parmi les incertiLe Gouvernement a agi avec sagesse
catholique.
— I e Comité secret de défense
tudes de l'heure présente, d'un très
eu envoyant M. Léon Bérard en misAprès le décès du Souverain Pontife,
nationale du Sénat a entendu succesgrand poids dans les balances de la
sion à Burgos. Il est probable qu'à
sivement, les 8, 9 et 10 février, MM. tous les cardinaux actuels du monde, destinée.
l'heure oû paraîtront ces lignes la
Daladier, Campinchi et Guy La Cham- au nombre de soixante-deux, dont 35
En cas de conflit, montagnes et forreconnaissance, en fait sinon en droit,
bre sur l'état actuel de notre armée, italiens et 27 des autres nations, ont tifications tenues par des antagonistes
Condamné, durant les derniers mois
du gouvernement de Burgos, sera
de notre marine et de notre aviation. été convoqués, à Rome, en vue du bien armés stabiliseraient les fronts.
chose acquise, aussi bien de la part de 1938, à une oisiveté presque totale,
Leurs déclarations ont fait une Conclave qui s'ouvrira le premier mars L'aviation qui n'occupe pas le terrain
du gouvernement anglais que du le Parlement rattrape, depuis l'ouvergrosse
impression sur les membres prochain, pour l'élection du nouveau pourrait faire du mal, mais non pas
ture de la session de 1939, le temps
gouvernement français.
du
comité
qui, dans une motion votée Pape,
remporter la décision.
Ën politique, il faut savoir s'incliner perdu. Il met les bouchées doubles, et à l'unanimité, ont terminé leurs traWÈÊÈttSÊUMSÊM i ~
B B B B B » Le mouvement tournant, cher aux
même triples. Dans les deux assemdevant les nécessités et il ne servirait
blées, régne une fébrile activité. Au vaux en affirmant leur coi fiance
stratèges, ne pourrait s'effectuer que
à Hefl de contester la victoire du généSénat, outre des séances beaucoup absolue dans la puissance de nos arpar la mer ou les colonies, ce qui veut
ral Franco.
plus fréquentes que de coutume, on mées.
dire que celui qui aura la maîtrise des
Sans doute Madrid peut encore peut assister chaque jour, matin et
— Karl Roos, conseiller municipal
L'annuaire militaire de la Société mers sera le seul k pouvoir manœurésister.
soir, dans la « Salle des Conférences », de Strasbourg, a été arrêté pour travrer.
Madrid résisterait utilement si la à de discrets conciliabules, ponctués hison, Né de parents allemands, Roos des Nations, pour 1938, qui a été
lamais, nous l'espérons de toute
France et l'Angleterre pouvaient lui de sourires et d'exclamations. Le qui était l'un des chefs autonomistes publié récemment, montre que la notre force, nous ne verrons s'accomtenir en aide | mais il est bien certain thème général de ces conversations, d'Alsace, est convaincu d'avoir com- course aux armements, que l'assem- plir le crime d'une lutte fratricide entre
q u e Ce» deux nations ne sauraient c'est l'élection du Président de la muniqué à l'Allemagne certains docu- blée définissait dt'jà, en 1936, comme la France et l'Italie. Mais que pour« une course vers des dangers graves
Intervenir après avoir laissé écraser la République, dont la date a été fixée ments secrets,
rait contre nous ce pays bloqué par
et inconnus », n'a fait que s'accroître
Catalogne. Leur attitude dans le drame au 6 avril.
les
Alpes neigeuses en cas de conflit ?
— M. Hitler a présidé mardi à Ham- en 1938.
Catalan marque suffisamment le caracComment
ses troupes pourraientAutrement dit, dans moins de deux
Le chiffre global des dépenses mili- elles tenir en Lybie et en Ethiopie,
tère d'une politique qui, au contraire mois, l'Assemblée Nationale réunie à bourg au lancement du premier cuitaires mondiales en 1938, tel qu'il
d e la politique Italienne, fut, de bonne Versailles désignera le successeur de rassé allemand de 35.000 tonnes.
Un deuxième navire de même ton- ressort de cet annuaire, se monte à pays sans ressources suffisantes en
foi, une politique de non-intervention. M. Albert Lebrun, dont le mandat de
vivres, sans industrie permettant de
Ce n'est pas le moment de la changer. sept années arrive à expiration le 10 nage est en voie d'achèvement et sera près de 9.500 millions d'anciens dol- produire et de réparer le matériel de
L'effort concordant de la France et mai. La personnalité qui prendra sa lancé vraisemblablement au début de lars-or — 604 milliards de francs guerre ?
français — contre 8 milliards en 1937.
de l'Angleterre vise au rétablissement place à l'Elysée doit être désignée, aux l'été prochain,
Comment pourrait-elle protéger ses
Enfio, la construction d'un troisième
de la paix en Espagne, à la faveur termes de la Constitu ion, un mois
côtes
si étendues, parsemées de villes
d'un armistice qu'elles peuvent obte- avant la fin du septennat du prédéces- cuirassé allemand, dont le tonnage
florissantes,
contre les insultes de
A l'Imprimer!« d «
nir de Franco et qu'elles doivent, au seur. Le G avril au soir, ce sera chose n'est pas indiqué, est projetée.
l'ennemi ?
— L'or continue à affluer à la Banbesoin, imposer à Madrid. Depuis deux faite.
Ce sont des choses que l'on consiquo
de France et M. Paul R ynaud,
Ans que dure la plus atroce des guerPlusieurs noms ont déjà été lancés
dère, même lorsqu'un demi désir forres civiles, oû l'étendue et la cruauté dans la « mêlée » : ceux de MM. notre grand argentier, a pu écrire On exécute (ona !•« I m p r i m é « . cené d'agression et de conquête vous
des meurtres ne sauraient se mesurer, leanneney, Bouisson, Queuille, Piétri. lundi, dans un journal anglais : « l'ai
étreint.
il est certain que l'intérêt de toute Il avait été question, aussi, de M. Léon dit, le 28 janvier, qu'aveo l'or reçu à
A l'heure où la question coloniale
l'Espagne réside dans la paix. 11 n'a Bérard ; M. D.iladier avait ses parti- la Banque de France, nous pourrions des Affaires étrangères, ont reioint est posée avec persistance par cerdéjà été versé que trop de sang; il sans ; M. Henri Roy avait les siens. acheter 5.000 avions, je pourrai» dire l'Espagne républicaine. Madrid demeu- tains peuples, & l'heure où la quesb'a été détruit que trop de villes ou Il n'est pas jusqu'à M. Pierre Laval aujourd'hui 6,000... ».
re le siège du gouvernement républi- tion de la guerre industrielle, grande
de monuments par l'aviation italienne qui no se sente qualifié, 8fflrme-t-on,
— Un grave accident d'aviation s'est cain qui a décidé de continuer la lutte consommatrice de matières premières
et allemande, acharnée à la mort de )0ur devenir le premier Magistrat de produit près d'Istres. Doux appareils « jusqu'à ce que soient remplies les et de produits fabriqués, est d'une
la vieille Espagne» Certaines de ces a République et pour avoir son por- se sont heurtés en ploin vol. 11 y a eu conditions qui assurent l'indépendance importance primordiale, une Marine
trait dans toutes les écoles et dans quatre morts et deux blessés.
destructions sont irréparables.
du pays, la réconciliation et la vie en forte devient indispensable danB un
outes les mairies de France,..
— L'occupation de la Catalogne par commun des Espagnols, eux-mêmes conflit.
*
A quoi bon continuer f
les troupes nationalistes s'est achevée étant seuls maîtres de leurs destins ».
il est malheureusement plus difflN'est-elle pas la gardienne de notre
samedi. Environ 40.000 soldats et
Ajoutons que l'Ile Minorque, dont la Empire, objet de tant de convoitises,
Cile de faire la paix que de continuer
Dans les couloirs de la Chambre,
civils
n'ont pas pu se réfugier en garnison républicaine s'était ralliée à la protectrice des bâtiments important
la guerre. La France et l'Angleterre aussi, l'élection présidentielle comâssument une lourde lâche en essayant mence à devenir un des suj-ts de Con- Frahce qui eu a recueilli plus de Franco, est actuellement aux mains du matériel, des vivres, et la sauved'obtenir un armistice et dos pourpar- versation favoris des élus du suffrage 300.000 dont 160.000 militaires, Plus des nationalistes. Les Allemands et garde des convois qui amèneraient au
lers entre flurgoS et Madrid. La lAche universel. Mais, à vrai direj nos dépu- de 411.000 réfugiés et soldats catalans les Italiens n'ont pas participé à l'opé- secours de la Mère Patrie les troupes
sut d'Autant plus lourde qu-- Franco tés tl'oflt pas encore pu accorder beau- ont d'ailleurs déjà passé en Espagne ratiou dont ils semblent avoir été déli- de toutes couleurs et nos régiments
bérément écartés, Des républicains, coloniaux, élément important de la
• 1 etm ) 'îfe nécessairement le prisonnier Coup d'attention à la désignation du nationaliste.
au
nombre de 480 ont été évacués sur résistance aux frontières et du succès ?
M.
Aaana,
Président
de
la
Républiquinsiêuie
préoident
de
la
H
publique
de I Italie fasciste et de l'Allemagne
C'est dire combien il est esçofttiel
Marseille
p a r le» soin» d'un navire
Française)
car
ils
ont
été
fort
absorbés
que
Espagnole)
est
toujours
efl
FrallCe,
hiilerleuns qui l'ont puissamment
Semaine
t
Annonces judiciaires et diverses (3* ou 4* page).. 3 ir. t O la ligne
Prix à forfait pour les Annonces répétées et traités de publicité.
Les communiqués et annonces
doivent parvenir au journal le mercredi matin au plus tard.
qu'elle conserve sa» force,
• «
On ne saurait parler à propos de
la Marine de ce redressement qui
s'impose dans notre Aviation.
Notre Marine n'a pas besoin d'être
redressée. Elle ignore, fort heureusement, les batailles d'équipes et les
querelles d'individualités. Un effort
s'y poursuit depuis de nombreuses
années avec méthode et continuité et
les Ministres se gardent bien d'essayer
de torpiller l'œuvre de leurs prédécesseurs, même s'ils sont des rivaux,
sachant bien qu'en pâtirait la Marine
qu'ils aiment, et par conséquent l e
Pays.
Est-ce à dire que nous soyons pleinement rassurés ?
A cette question nous devons franchement et nettement répondre : non 1
Notre effort, si important qu'il soit,
est surclassé par celui de nos rivaux
éventuels.
Laissons de côté la situation de
l'Allemagne, dont Je programme est
à peu près comparable au nôtre.
L'expansion navale de l'Angleterre en
face d'elle s'accomplit à un rythme
sans précédent. A ses 15 cuirassés et
60 croiseurs, ce dernier pays va ajouter 7 cuirassés et 24 croiseurs, en
construction ou en projet.
Prenons plutôt l'Italie, qui mène en
Méditerranée, avec âpreté, la politique de la Mare Nostrum.
Elle construit actuellement 4 cuirassés de 35.000 tonnes, dont 2 entreront
en service en 1940. Elle a doublé en
6 ans sa flotte sous-m&rine qui comprend plus d'une centaine d'unités.
Elle a en chantier 12 petits croiseurs
de 3.500 tonnes et finit les dernières
unités d'une série de 32 torpilleurs
légers.
Si nous possédons bien (ne parlons
ici que des bâtiments modernes) deux
27.000 tonnes type Dnnkerque, nous
n'avons en construction que deux
35.000 tonnes, commençant à peine l e
3* et projetant le 4*.
Dans le temps où l'Italie a construit
32 torpilleurs légers, nous n'en avons
sorti que 12 et mis 4 en chantier.
Les tranches navales 1938 et 1938
bis prévoyaient notamment la construction rapide de deux cuirassés de
35.000 tonnes, de deux porte-avions
de 18.000 tonnes et de deux croiseurs
de 8.000 tonnes.
Jusqu'ici, il n'a été commandé qu'on
cuirassé, le « Clémenceau » et u n
porte-avions.
H est nécessaire que les autres bâtiments soient mis en chantier immédiatement.
Le gouvernement italien vient de
donner la mesure de ses prétentions.
Si nous voulons que la Méditerranée
soit libre, ce qui est pour nous d'une
importance vitale, notre flotte doit
rester supérieure à celle de l'Italie.
Nous sommes certains que M. Campinchi, si dévoué aux intérêts de l a
marine, saura faire triompher son point
de vue au Conseil des ministres e t
pourra prendre ces mesures essentielles au salut du pays.
Albert LE BAIL,
Député,
Vice-Président de la Commission
de la Marine Militaire.
llssz et faltas lire « la mtovn
r « Bison »
es! aPorflé par on croiseur
Un terrible accident s'est prodnit
la semaine dernière, en pleine mer,
à 18 milles dans le sud de la pointe
de Penmarch. Au cours d'un exercice
de nuit, par temps bouché» le contretorpilleur « Bison » a été abordé p a r
le croiseur « Georges Leygues ».
Le choc fut terrible. Atteint à. l a
hauteur du blockhaus et du poste
d'équipage par l'étrave du croiseiny
l'avant du « Bison » fut sectionné e t r
•près avoir tenu 2 heure» sor 1« mer?
il s'&bima dan» tes Sots,
§9» $tr»ve rolefiÇf Je # r o f r t f 0 f %
«
LEJt CITO YEW
leur, remorqué par 1' « Hippopotame»,
a été reconduit à Lorient, tandis que
le « Georges Leygues », qui n'a eu
que des a\aries tout à fait k-gères, a
rejoint Brest.
La catastrophe a fait, au total, trois
morts, dix-huit disparus et onze blessés.
Les obsèques des victimes ont eu
lieu samedi à Lorient. Une foule émue,
évaluée à 30.000 personnes, assista à
X J O S Fêtes du Carnaval
la cérémonie. Les fusiliers-maiÏD» renA l'occasion des t'êtes du Mardi-Gras, le
daient les honneurs.
P r é f e t du Finistère autoriso les r e s t a u r a Le vice-amiral Darlan, chef d'état- teurs, cafetiers et d é b i t a n t s do boissons à
major général de la Marine, assistait g a r d e r l e u r s é t a b l i s s e m e n t s o u v e r t s j u s q u ' à
à la cérémonie au cours de laquelle 2 h e u r e s du matin, d a n s la nuit du 21 a u
le vice-amiral- Gens&ul, dans un- -dis- .22.février c o u r a n t . .
cours des plus émouvants, rendit un
hommage touchant à la mémoire des Ligue des Droits de l'Homme
malheureuses victimes du « Bison ».
M. Luigi Campolonphi, p r é s i d e n t de la
Ligue italienne des Droits do l ' h o m m e ,
d é l é g u é à la p r o p a g a n d e do la Ligue trançaise, fera u n e t o u r n é e do c o n f é r e n c e s
dans le Finistère, d u 18 an 26 mars.
Nul n'est plus qualifié q u e lo chef d e
La Commission d'assurances et de
l'émigration italienne, qui a choisi n o t r e
prévoyance sociales de la Chambre a pays c o m m e t e r r e d'asile, p o u r dire ce
mis au point un nouveau rapport Fié, qu'il advient d'un pays là où la liberté est
sur la retraite des vieux travailleurs. bannie e t les droits do l ' h o m m e foulés aux
Après qu'eut < té décidé le renvoi en pieds.
bloc à la Commission des textes relaLes l i g u e u r s et les républicains du Finistifs à la retraite, cette Commission tère assisteront n o m b r e u x aux c o n f é r e n c e s
avait, tout d'abord, refusé de prendre de M. C a m p o l o n g h i e t lui r é s e r v e r o n t
en considération le projet du gouver- l'accueil le plus f r a t e r n e l .
Les lieux e t h e u r e s do ces c o n f é r e n c e s
nement, puis, un peu plus taid, admis
s
e
r
o n t i n d i q u é s u l t é r i e u r e m e n t p a r la
le principe suivant lequel aucun appel
presse.
ne devait être fait au budget. D'où la
il
nécessité de réduire les taux primitivement envisagés.
Après consultation des services techniques des Finances et du Travail, la
Commission a conclu aux chiflres suivants :
Allocation de la retraite à un Age
unique : C0 ans. Taux de la retraite :
3.200 francs pour les ménages, 2.100
francs pouc les célibataires.
Plafond des ressources au dessus
duquel la retraite ne sera pas accordée : 4 000francs pour les célibataires,
6.000 francs pour les ménages.
D'autre part, la commission a décidé
de spécifier : 1° que les réserves actuelles de la Caisse de garantie devaient
être maintenues ; 2° que le taux de pension des assurés devait être maintenu,
ainsi qu'en a disposé la loi, à 40 0 / o
du salaire moyen.
q u e les prix ont été t r o p bas p o u r la dernière c a m p o g n e et n u l l e m e n t e n r a p p o r t
avec l'indice é c o n o m i q u e .
P o u r s a u v - g a r d e r li s intérêts de p a r t et
d ' a u t r e , il serait nécessaire d e s e conform e r aux règles ci-api è* :
Les p r o d u c t e u r s n e devraient s e m e r
q u ' u n e p r o p o r t i o n de leurs t e r r e s relative
aux besoins d é t e r m i n é s d e s usiniers,
exception faite p o u r l e s cultivateurs du
t e r r a i n s a b l o n n e u x b o r d a n t le littoral,
d o n t cette c u l t u r e e s t la principale r e s source culturale.
Si cette innovation n'est pas p r a t i q u é e ,
la g r a n d e culture p a r le machinisme
étouffera celle de la cueillette à la main.
P a r m i les f a c t e u r s p r o v o q u a n t la m é v e n t e
des petits pois, il y a p r i n c i p a l e m e n t l'habitudo de certains cultivateurs d e cueillir
des coins c o m m e n ç a n t à m û r i r ; cette
pratique détermine l'effondrement d e s
cours ; les c o m m e r ç a n t s devraient i m p é rieusement refuser ces marchandises et
c'est cette complaisance q u i e s t u n e des
s o u r c e s de tontes les d é c e p t i o n s se rapportant à cette récotte.
T u d y Jolivot,
cultivateur, maire de T r é g u e n n e c .
M
Syndicat
de l'Enseignement Laïque
l{éunions
JE s u s GUÉRI. — C'est I-'arnrmatlon de
touies les personnes atteintes de hernies qui
ont porté le nouvel appareil sans ressort de
fil A C E R l e ô r a n d Spécialiste de
• U L H O E n PARIS. 4 4 , Bd SÉBASTOPOL
En adoptant ces nouveaux appareils, dont
l'action bienfalaante se réalise «an* gSne.
sans aoaf Irancca ni Interrnptloa de travail,
les harnlea les plus volomlncusca et les
plus rebcllea diminuent Instantanément de
volume et disparaissent peu à peu complètement.
Devant de tels résultats garantis toujourapar
«ont, tous ceux atteints de herntfe doivent s'adresser sans retard il m GLASER qui leurfera
gratuitement l'c»sal de ses appareils ds 9 k 4 h. à
(Juimperlé, 17 février, hôtel du Commerce.
Quimprr. 18 février, hôtel de l'Eoée.
Brest, 1 9 f é v r i e r , d e 9 h e n r e s à 1 h e u r e ,
hôtel de Paris. 58. r u e d'Aiguillon.
C/uileaitneiif-rlu-Fanu,
20 février, de 9
h e u r e s A midi, hôtel Belle-Vue.
CHUTES
MATRICE
et tous
cantonales
Par suite d ' u n e r é c e n t e décision d u
Conseil s u p é r i e u r de l'Instruction p u b l i q u e
d o n n a n t c o n g é aux écoles p u b l i q u e s du 19
au 23 février inclus, le Syndicat 8e voit
obligé d e r e p o r t e r a u j e u d i 2 m a r s les
r é u n i o n s cantonales p r é v u e s p o u r le 23
février.
En effet, e n m a i n t e n a n t la date p r i m i tivement. fixée, b e a u c o u p
d'adhérents,
a b s e n t s d o leur résidence p a r suite du
c o n g é d e s Gras, n e p o u r a i e n t assister à
leur r é u u i o n de section.
Le Syndicat s'excuse a u p r è s des camar a d e s de ce c h a n g e m e n t de d a t e i n d é p e n dant d e s a volonté e t e s p è r e q u e les
r é u n i o n s cantonales d u 2 m a r s s e r o n t
a s s i d û m e n t suivies.
Le Syndicat.
OrqBn««.
OnthopMi«
G L O S E R , 44, Bd S é b a s t o p o l , P A R I S
QUIMPER
A v i a a n x C o n t r i b u a b l e s . — Le Maire
de Q u i m p e r i n f o r m e ses administrés qu'ils
peuvent r e t i r e r , au secrétariat de la Mairie,
les i m p r i m é s n é c e s s i t e s p o u r les déclarations fiscales à faire avant le l " mars 1939
Il est rappelé à ce suj»t q u e , penis les
c o m m e r ç a n t s taisant a n n u e l l e m e n t plus de
400 000 f r . d'affaires ou 1RS i n t e r m é d i a i r e s
en faisant plus d e 40 000 fr.. Font t e n u s
'l'i.ffecluer lo déclaration de leurs bénéfices
industriels et c o m m e r c i a u x .
Il est é g a l e m e n t signalé aux c o a l r i b t i a bles q u e l e s p e r s o n n e s p o s s é d a n t u n "
voilure ou tome bile de lourisme. un yacht,
une o u plusieurs r é s i l e n c e s secondaires,
t e m p o r a i r e s ou p e r m a n e n t e s , ou d o n t la
' é s i d e n c e p r i n r i p a ' e dans les villes et
c o m m u n e s d e t r o i n s d e 50 001 h a b i t a n t s
c o m p o r t e une valeur locativo d e plus d e
1500 fr., sont t e n u s do s o u s c r i r e une.
déclaration p o u r l'impôt g é n é r a l s u r 1e
revenu, quel q u e soit le m o n t a n t total de
leurs r e v e n u s .
N é c r o l o g i e . — Nous a p p r e n o n s le décès,
à la suite d ' u n e t r è s c o u r t e maladie, à
Saint-Molo, d e M. Jules Lesteven, direct e u r t e c h n i q u e des c h a r b o n n a g e s f r a n c o anglais.
M. Lesteven, originaire de Douarnen< z,
où réside e n c o r e t o u t e sa famille, avait
a s s u r é au cours de s a carrière, d ' u n e r a r e
activité, la direction des usines Dyle e t
Bacalan, à Casablanca ; d e s cristalleries de
Baccarat, à Redon, e t était venu se fixer
tmRmmsms^yjcracOTKmaEsa^
à Saint-Malo, où il devait sous peu p r e n d r e
sa r e t r a i t e .
L e s Cinémas
L ' i n h u m a t i o n de M. J u l e s Lesteven a eu
O d e t - P a l a o e (près de la Préfecture.). — lieu hier à R e d o n .
P r o g r a m m e j u s q u ' a u lundi 20 février 1939 :
Nous a d r e s s o n s à t o u t e la famille nos
Actualités p a r l a n t e s et s o n o r e s ; u n joli bien sincères condoléances.
film, et le grand film : « Le Jardin d'Alloh ».
Ainsi q u e nous l'avons a n n o n c é , « Le Cap
des T e m p ê t e s ». l'œuvre la plus r é c e n t e
dn g r a n d d r a m a t u r g e Henry Bernstein,
sera r e p r é s e n t é p a r les T o u r n é e s Baret
demain s a m e d i 18 février, e n soirée, a u
T h é â t r e municipal.
L ' i n t e r p r é t a t i o n e n a été confiée à u n e
pléïade d'artistes d e valeur, e u tête d e
laquelle il n o u s f a u t citer le g r a n d artiste
J a c q u e s Berlioz.
Rosporden
E t a t - C i v i l d e j a n v i e r . — Naissances :
Renée Le Gall, r u e Nationale ; Nicole
W e i d k n e r h t , r u e Nationale ; J o s e p h Rann o u , r u e Louis P a s t e u r .
Mariayes .: J é r ô m e L e Meur, s e c o n d m a î t r e f o u r r i e r , d'Iilliant, et R a y m o n d e
A p o l i o (près du Cap-IIorn).
— ProMasso, employée de b u r e a u , à R o s p o r d e n ;
g r a m m e d u v e n d r e d i 17 au d i m a n c h e 19
Jean Lo Moigne, cultivateur à Melgven, e t
février 1939: Actualités, un beau film e t lo
Marianne Le Dû, de R o s p o r d e n ; Jean Le
g r a n d film : « L'Esclave blanc ».
N a o u r , c h a u f f e u r , e t Marie-Louise M-abé,
mimmmm
KMtmBtatmaaaaagMuaBaaBm à R o s p o r d e n ; R o b e r t Le Guillou, cultivat e u r à Melgven, e t Marie Q u é m é r é , cultiPlomelin
vatrice à R o s p o r d e n ; J e a n Martin, m a n œ u P ê c h e d e s Huître«. — La pêzhe des vre à Saint Eloy, e t Simone Horellou, à
huîtres, en b a t e a u , sera p e r m i s e s u r toute Mi igveu.
l'étendu« de l'hullrière dite de P é r e n n o u
Décès : J e a n n e Fraval, veuve L e Dû,
ou de Keigozien, les 20 et. 21 février 1939, 67 ans, r u e de la Sablière.
pendant trois h e u r e s c h a q u e j o u r , c o m m e n çant u n e h e u r e e t demie avant la basse
mer.
Seuls seront admis à d r o g u e r les bateaux
E t a t - C i v i l d e iTanvier. — Naissance :
a r m é s à la petite pèche d a n s les g a r d e r i e s n é a n t .
de Q u i m p e r , Bénodet e t Loctudy, q u i
Mariage : F r a n ç o i s Le Gac, terrassier, et
seront, munis d ' u n e d r o g u e r é g l e m e n t a i r e J e a n n e Lanchec, d o m e s t i q u e è Châteaulin.
et qui se sont fuit inscrire.
Décès : F r a n ç o i s Golhen, j o u r n a l i e r ,
Il sera interdit aux bateaux à propulsion
65 ans, époux de J e a n n e Milin, G r a n d ' r u e ;
m é c a n i q u e de faire usage de leur m o t e u r
Jean Helpin, cultivateur, 71 ans, époux d e
pour draguer.
Marie-Anne Crenn, L o t p a r s ; M a r i e - J e a n n e
Les h u î t r e s pêchées n e p o u r r o n t être
P r i g e n t , 83 ans, veuve de F r a n ç o i s Madec,
v e n d u e s q u e p o u r le r e p a r q u a g e à d e s
r o u t e de Q u i m p e r .
o s t r é i c u l t e u r s d é t e n t e u r s d'établissements
B a l dn C a r n a v a l . — Un g r a n d bal t r a de pêche, sur production de leurs titres de
concession ou d'un certificat de l'Adminis- vesti a u r a lieu d i m a n c h e prochain, salle
Le Meur, avec u n orch ;stre de Brest. —
tration de l'Inscription maritime.
N o m b r e u x prix.
G u i l v i n e c
Coray
R e x (près de la Gare). — P r o g r a m m e
j u s q u ' o u m a r d i 21 février 1939 : Actualités « Eclair-Journal » e t d e u x beaux
films, d o n t : « L u m i è r e s de Paris ».
CHATEAULIN
Création d e Ooora complémentaire.
— M. Albert Le Bail a r e ç u d e M. Jean
Zay, ministre de l'Education nationale, la
lettre suivanto :
Monsieur le Député et r h e r Collègue,
Vous avez bien voulu a p p e l e r m o n attention sur l'intérêt, q u e p r é s e n t e r a i t la création d ' n n e Hasse de c o u r s c o m p l é m e n t a i r e
fi l'écoled g a r ç o n s d e . G itvi-.ec(Finistère).
J'ai l ' h o n n e u r d e vous i n f o r m e r q u e ,
c o n f o r m é m e n t à la proposition de M Tins
p e c t e u r J ' A r a d é m i e , j e viens d ' a u t o r i s e r
l'ouverture immédiate de cette classe.
Je suis h e u r e u x d'avoir pu ainsi r é p o n d r e
f a v o r a b l e m e n t a u vœu q u e vous m'avez
exprimé.
Veuillez a g r é e r , etc...
Z n o e n d i e — Un incendie a d é t r u i t , la
semaine d e r n i è r e , e n g r a n d e partie,
l'immeuble d e M ' Le Bihan, n o t a i r e à
Coray.
Vu la gravité d u feu, on fit appel aux
p o m p i e r s de R o s p o r d e n et de Q u i m p e r .
Les causes d u sinistre s o n t difficiles à
établir. On croit c e p e n d a n t q u e c'est u n
c o u r t - c i r c u i t qui a u r a i t mis le feu d a u s
u n e pièce m a n s a r d é e de l'immeuble.
Les dégâts, qui sont évalués à plus d e
deux cent mille francs, s o n t partiellement
couverts par u n e a s s u r a n c e .
et bien conseillée, et. cela, q u i ' p a r a i t p e u
de < h o s e , est. cependant d ' u n e i m p o r t a n c e
p r i m o r d i a l e . De l'avoir oublié il n o u s en a
cuit.
H e u r e u s e m e n t q u e la r é f o r m e est v e n u e
à point, et les r e n c o n t r e s à venir p a r a i s sent déjà moins d a n g e r e u s e s .
Les a u t r e s é q u i p e s s e sont, aussi, bien
comportées.
La 1 B a r e n c o n t r é enfin u n e é q u i p e
coriace, la I B d e l'U. S. D. P., e t n e l ' a
e m p o r t é q u e p a r 2 à 1. A t t e n t i o n !
La 3" avec Plogastel-Gourlizon s'en tire
avec un match nul. P a s brillant. !
Les J u n i o r s b a t t e n t les J u n i o r s de l'U. S .
D. P. par 4 à 1. P o u r q u o i faut-il qu'ils a i e n t
m a n q u é d'un papillon ?
Les Minimes b a t t e n t la G a r d e de St-Yvi
p a r 4 à 1, eux aussi, et sont c h a m p i o n s d u
district de B r e t a g n e - S u d .
Distriot B r e t a g n e - S u d
Championnats
des Juniors
et des
Minimes
Ces c h a m p i o n n a t s , qui ont "fait j o u e r
21 é q u i p e s d e J u n i o r s e t 13 é q u i p e s d e
Minimes, soit environ 600 j e u n e s j o u e u r s
qui sont la pépinière des clubs, s e s o n t
terminés dimanche dernier.
En Minimes, le S t a d e Q u i m p é r o i s g a g n e
le titre en b a t t a n t les j e u n e s d e la G a r d e
de St-Yvi p a r 4 à 1, a p r è s u n e p a r t i e toute
à son a v a n t a g e .
En J u n i o r s , la P h a l a n g e d'Arvor, a p r è s
u n e saison q u i p e u t servir d'exemple à
t o u s les clubs, ne p e r d q u e d e u x m a t c h e s
s u r quinze r e n c o n t r e s .
Elle est aussi c h a m p i o n de son district.
Ce s o n t d o n c deux clubs q u i m p é r o i s q u i
vont d é f e n d r e l e s c o u l e u r s d e la C o r nouaille d a n s les interdistricts, en r e n c o n t r a n t les é q u i p e s du N o r d - F i n i s t è r e .
A n C. A . d e Penharai
Les m ê m e s f a u t e s c o m m i s e s p p r l e s
m ê m e s j o u e u r s ont été la cause d e la
nouvelle défaite.
La J. A. de Q u i m p e r g a g n e p a r 3 à 1.
On dira q u e l e u r 1 e r b u t a été c h a n c e u x ,
le 2" fait s u r u n b r a s , e t le 3« d ' u n e t ê t e
non m a r q u é e .
Qu'est-ce q u e cela p r o u v e ? sinon q u e la
ligne d ' a v a n t s de la J . A. n e laisse p a s s e r
a u c u n e occasion d e m a r q u e r , t o u j o u r s s u r
la balle et chacun à sa place.
T a n d i s q u ' a u C. A. P., chez les a v a n t s ,
c'est u n véritable m a n è g e où les j o u e u r s
t o u r n o i e n t , s e b o u s c u l e n t e t où l'on voit,
t e n e z - v o u s bien, l ' i n t e r - g a u c h e faire u n e
t o u c h e s u r la d r o i t e d u t e r r a i n 111
Si c'est avec pareille l a c t i q u e qu'il a la
p r é t e n t i o n d e m a r q u e r des buts, il f a u t
Ainsi q u e nous l'avons a n n o n c é le c o n qu'il soit bien i g n o r a n t de son r ô l e .
g r è s d é p a r t e m e n t a l des r h e f s - c a n t o n n i e r s
Le d e m i - c e n t r e , t o u j o u r s t r o p actif, A
ot c a u t o o n i e r s d u Finistère s'est tenu
i-ontre-pied. lui aussi vq t r o p s u r ses ailes,
d i m a n c h e à Cliôteaulin.
e é n a n t ses deux aid- s. et laissant un g r a n d
Plus de doux cents m e m b r e s avaient r é trou ou e.piitre. par où n a t u r e l l e m e n t passe
p o n d u à l'appel des o r g a n i s a t e u r s .
la rafale ¡ t r i s t e .
A l'issue do la séance de travail d i mr.liri.
A part les i n t e r s e t le d e m i - c e n t r e , l e s
Carhaix
le nouveau b u r e a u du syndicat a été consnutres j e t e u r s ont bien j o u é , et n ' e û t é t é
E d i t i o n s d e t o u s prix }
titué de la façon suivauto :
LOB F à t e s on 1939. — Le comité des la mauvaise p a r t i e d e ces 3 j o u e u r s , l e
Secrétaire général, M. Henri Le P e m p .
fêtes a établi un calendrier provisoire des succès était c e r t a i n .
I 3 f r . - I 8 f r .
cantonnier-chef à Q u i m p e r ; secrétaire
fêtes p o u r 1939. Il sera c o m p l é t é d a n s une
La leçon, la m ê m e d e p u i s 1« d é b u t de la
St'Jean-Trolimon
a d j o i n t , M. Guillou, c a n t o n n i e r - c h ' f , à
2 4
f r . - 2 9 f r .
prochaine séance.
saison s e r a - t - e l l e é c o u t é e ? Uo e n f a n t de
Morlaix ; trésorier, M. Bicrell, c a n t o n n i e r U n e Moule de paille en (en. — L a
Le comité des fêtes o r g a n i s e r a la fête 3 a n s la c o m p r e n d r a i t à l'instant e t d e
4 8
f r a n c s
chef eu r e t r a i t e à K e r f e u n t e u n ; trésorier
semaine d e r n i è r e un incendie s'est déclaré des Gras avec les j e u n e s g :us de la classe. vieux j o u e u r s n e la c o m p r e n d r o n t d o n c
T«xt» •« Hlustratton
adjoint, M. Bouillis, c a n t o u n i r-cbef d e
dans u n e meule de paille a p p a r t e n a n t à M.
Voici les dates des fêtes qui sont r e t e n u e s j a m a i s ?
plut « b a n d a n t «
m«lll«im,
T. P. à Q u i m p e r .
Gloagnen, cultivateur à Kervellec.
r i I i m dan* !•• formats réduit«,
par les sociétés carhaisiennes :
La 2* du C. A. P. b i t la 2« de la J. A.
flvtr«
dkttsanslrs«
Commission exécutive. — MM. Le Bris,
Grûce aux s e c o u r s des voisins l'incendie
Société des Courses : 30 avril et 11 juin ; par 1 à 0. Elle n'est pas e n c o r e au p o i n t .
de Quimpnrlé ; G u é g u e n , de Landivisiau ;
f u t maîtrisé à t e m p s .
P a t r o n a g e L a ï q u e : 18 j u i n o u 2 j u i l l e t ;
* 1« b l b r a i r l t U l q a e
Les Minimes, r e c e v a n t les Minimes d u
L u a r d . d e Morlaix ; F e r r e c , de Brest ; Fita
On croit q u e le f e u e s t d û à u n e Dernières Cartouches : 19 m a r s ; S o u s - Lycée, encaissent 5 b u t s . Mais il f a u t
7, ri« B l l c T r i m — Qilaptr
m e n t , de Châtenulio ; Coulm, de C b à t e a u imprudence.
otliciers d e réserve : 25 avril ; Anciens r e m o r q u e r q u e les Lycéens avaient avec
neuf-du-Foou.
C
o m b a t t a n t s : 4 j u i n ; Colombophile : 25 eux plusieurs J u n i o r s . Si cela est vrai c e
S i r à n e d ' A l a i m a . — Uue sirène d ' a l a r m e
Plonéour-Lanvern
Commission de coutrôle. — MM. Garin,
j u i n ; C o n c o u r s de p ê c h e : 30 juillet.
vient d ' ê t r e installée s u r lo toit de la mairie
ne serait g u è r e chic de la p a r t d e s scolaide Pleuven ; Pensivy, de Scaêr ; G u é g u é C o n s e i l M u n i c i p a l . — Voici le c o m p t e
de Q u i m p e r .
res. Car ou n e j o u e pas s e u l e m e n t p o u r
niat, de D a o u l a s ; Didailler, de F o u e s n a n t .
St-Pol-de-Léon
r e n d u succinct do la d e r n i è r e r é u n i o n du
Il
a
été
p
r
o
c
é
d
é
à
des
essais
de
puissance
g.igner, mais au»si p o u r faire d u joli j e u ,
— A g e n t t e c h n i q u e de terrain du Service
Vers 13 h e u r e s do n o m b r e u x c o n g r e s - et de s o n o r i t é .
Conseil municipal :
l i e B a l d e a O r a a . — Le comité de la ce qui n'existe q u e d a n s l'égalité des c h a n t e m p o r a i r e d e la revision d e s évaluations
sistes s'étaient r é u n i s à l'hôtel GrandmaiPuits de la place aux Porcs. — Le Conseil société de g y m n a s t i q u e e t de m u s i q u e la ces des deux équipes, d a n s le cas actuel :
Par la suite, la sirène d ' a l a r m e a u r a
foncières. — C o n c o u r s o u v e r t en mai 1939
son,
o
ù
,
a
u
c
o
u
r
s
d'un
b
a
n
q
u
e
t
f
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a
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e
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n
e
l
,
a
a
p p r o u v é lo traité de g r é à g r é relatif à St-Politaine d o n n e r a à l'occasion des g r a s Minimes c o n t r e Minimes.
p o u r 50 poste* Délai d'inscription : 28
é g a l e m e n t son utilité nu c o u r s d'exercices
f é v r i e r 1939. Avoir satisfait anx obligations excellemment servi par Mme Kérinit, n e de défense passive q u e la Municipalité se ce puits e n t r e le maire e t l ' e n t r e p r e n e u r son bal traditionnel, d i m a n c h e prochain
Kervahut.
militaires. Limite d ' â g e s u p é r i e u r e : 45 cessa d e r é g n e r la meilleure e t la plus p r o p o s e d ' o r g a n i s e r en accord avec les Le Reun. La s o m m e d é p e n s é e sera prise 19 février, salle du m a r c h é couvert. L'api èsfranche camaraderie.
a n s au 15 j a n v i e r 1939.
s u r la subvention de l'Etat accordée à la midi, u n e s a u t e r i e e s t p r é v u e p o u r les
services publics et l'autorité militaire.
Marche
c o m m u n e en 1938.
— S t é n o - D a c t y l o g r a p h e au Ministère des
e n f a n t s , et le soir le g r a n d bal.
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secréAqueduc de Trunuel. — Par suite de manColonies. — Date : 9 mai 1939. D^lai d'insl«a Disette fourragère
L a eroea de» « iTohnnlea »
taire général de la Prt' f - c t u r e , est n o m m é q u e d e crédit, la d e m a n d e d e v e r s e m e n t
cription : 11 avril 1939. Limite d'Age s u p é P a r suite do la sécheresse a n o r m a l e du préfet h o n o r a i r o e t P r é s i J e n t d u Conseil do la subvention de 5 000 f r . votée a n t é r i e u r e : 30 a n s au 1 " j a n v i e r 1939. T r a i t e L'originale é p r e u v e d e m a r c h e d e s
m e n t de 9.500 à 15 000 f r . plus indemnités. p r i n t e m p s d e r n i e r , la récolte do foin a été de P r é f e c t u r e i n t e r d é p a r t e m e n t a l de H e n - r i e u r e m e n t est a j o u r n é e .
marchands d'oignons léonards, en A n g l e '
déficitaire de sorte q u e daus la p l u p a r t des nés.
A u c u n diplôme exigé.
Chemin de Trégalet et lavoir de Mariano.
Organe hebdomadaire
t e r r e , o r g a n i s é e d i m a n c h e à 3t-Pol*de«
f e r m e s les réserves sont s u r le p o i n t d'être
M. Caumont, socrétairo général des Vos- — La Commission des travaux est désignée de Défense laïque et d'Action républicain! Léon, p o u r f ê t e r leur r e t o u r a u pays, •
— A d j o i n t t e c h n i q u e stagiaire du génie
épuisées.
ges, e s t n o m m é secrétaire g é n é r a l d u p o u r se r e n d r e s u r place afin de voir si le
• « • a u «tImprimerie i
o b t e n u un très vif succès.
rnr»L — Date : 27 m a r s 1939. Délai d'insD'autre part, les gelées de d é c e m b r e ont Finistère.
travail sollicité est d'utilité p u b l i q u e ; e n r, Rue Elîc-Fréron —
criptiOD") 10 m a r s 1939. Condition exigée :
(JUIMPER(Finistère
L'arrivée s'est faite au t e r r a i n d u Stadfl
causé à diverses cultures f o u r r a g è r e s des
M. F o u a c h e doit p r e n d r e ses nouvelles ce qui c o n c e r n e le lavoir de Mariano, la
a v o i r satisfait effectivement a u service
T é l é p h o n e 86
Léonard, d a n s l ' o r d r e suivant :
d é g â t s i m p o r t a n t s e t r e n d u inutilisable fonctions lo p r e m i e r mai p r o c h a i n .
commission s t a t u e r a s u r l'emplacement è
militaire actif. T r a i t e m e n t de base : 10.000
Chèque postal n° 142-70, Nantes.
1 " Larvor Louis, Sibiril.
u n e partie des b e t t e r a v e s et a u t r e s racines
d é s i g n e r e t s u r le chemin d'accès y accéfr. plus i n d e m n i t é s Aucun diplôme exigé.
2°
Azou F r a n ç o i s , S a i n t - P o l .
Zi* B a l d n S t a d e . — R a p p e l o n s q u e le
fourragères.
Abonnement* g
dant.
3" H e r r y Yves, S a i n t - P o L
— Ingénieur a d j o i n t des travaux a é r o b
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11 en r é s u l t e q u e l'alimentation du t r o u École de Créac'h-ftu. — Le Conseil d e m a n - Finistère e t d é p a r t e m e n t s limi4' Guivarch Louis, Santec»
n a u t i q u e s de l'Etat (16 postes). — Date d e
trophes
15 f r .
peau s'avère e x t r ê m e m e n t difficile et q u e a u r a lieu demain soir, s a m e d i 18 février, de la mise & la disposition de la c o m m u n e
5" Caroff, Santec.
l ' o u v e r t n r e d e s é p r e u v e s d'admissibilité :
salle
des
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Autr s d é p a r t e m e n t s
20 f r .
des m e s u r e s spéciales doivent être envisade la p a r t d e l'Etat d a n s le rabais d e
6* Quéré, Santec.
6 j u i n 1939. Délai d'inscription : 6 mai 1939.
Commo
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cette
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gées p o u r le m a i n t e n i r on bon état.
l'adjudication afin de r e c o n s t r u i r e les m u r s
7' Legoff, S a n t e c .
Avoir satisfait aux obligations militaires.
Cette situation a l a r m a n t e n'a pas é c h a p p é sera un e n c h a n t e m e n t et a t t i r e r a t o u t e la de clôture et les caniveaux.
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Age à la d a t e d u c o n c o u r s : 22 à 30 a n s plus
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K e r b r a t , Santeci
Judiciaires
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à la sagacité des P o u v o i r s publics e t le j e u n e s s e de chez n o u s .
\Xater-closets.
—
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Conseil
décide
le
Les a n n o n c e s doivent ê t r e a d r e s s é e s an
services a n t é r i o u r s admissibles p o u r la
9 e Moal J o s e p h , Roscoffj
Ministère d e l'Agriculturo e n particulier
S t a t - C i v i l d o 9 a n 1 3 f é v r i e r 1 » 3 S . maintien d e sa délibération a n t é r i e u r e plus t a r d le m e r c r e d i m a t i n .
r e t r a i t e . T r a i t e m e n t s de 14.000 ô 35.000 f r .
10e Guivarch J o s e p h , Santec.
s'est p r é o c c u p é d e savoir ce qui pouvait
— Naissances : A n d r é Toussaint, Mont F r u - concernant l ' e m p r u n t de 10.000 f r . p o u r la
p l u s indemnités. Aucun diplôme exigé.
11« Saluden Michel, S a i n U P o L
être fait p o u r venir e n aide aux cultiPour tout renseignement, joindre un limkrgy ; Anne-Mario Cariou, 3, r u e do l'Hos- construction envisagée.
12* P r i g e n t J e a n , S d n t - P o l .
Renseignement* fotirnis p u r 1'« Orienta- v a t e u r s .
pour la réponse.
Avancement des cantonniers
communaux.
pice ; Mario NüClo Bourbigot, 30, r u e d e
13« Pleyber J e a n , S a i n t - P o l .
tion Professionnel!«' », revne mensuelle,
Dans ce b u t on p r o c è d e actuellement 6
BreBt ; Gabriello Lo Grand, 60 bis, quai de — Lo Conseil a p p r o u v e la décision prise
abonnameut : 15 francs par an.
14e R o i g n a n t J e a n , S a i n t - P o l .
a c e e n q u ê t e g é n é r a l e s u r l'importance des
l'O let ; Henri Bléoinélen, 7, r u e Bourg-les- par la Commission désignée à cet effet.
15« L e b o r g n e H., S a n t e c .
L m personne* qni d é s i r e n t des renseid é g ô t s causés aux c u l t u r e s f o u r r a g è r e s et
B o u r g s ; Paul Lobry, allées do Locmaria ;
gnement« sur l'on d e s emplois on c o n c o u r s
16« L e b o r g n e F r a n ç o i s , S a i n t - P o l .
ci-dessus o n «or nn e r n m o n q u e l c o n q u e , s u r les besoins en p r o d u i t s alimentaires Raymond Lo Lons, c a s e r n e ancien sémi»
17« C r e i g n o u .
peuvent s'adresser de notre part à M. Hoa- du bétail.
naire ; F r a n ç o i s Dogorn, 7, ruo Bourg<les18« Albert, Roscoff.
El ta t - C i vit. — Il a été e n r e g i s t r é , e n
deville, directeur-gérant dfl * L'Orientation
B o u r g s ; Manuel MartinoZ, 3, ruo de l'Hos* 1938, à Plovan : 27 naissances, 9 décès,
19« B e r n a r d , S a i n t - P o l .
Professionnelle », 7, r u e M a r b e n f , Paris
L a oultura das petits pois pice (sujet espagnol) ; Maryvonne P o m m i e r , 8 m a r i a g e s .
20« Leduff, S a i n t - P o l .
(8«), qoi leur répondre 6 titre Rbsoioment
Les e n s e m e n c e m e n t s d e petits pois 2, r u e du C h a p e a u - H o u g o ; Ronan Guellec,
21° Guyader, Saint-Pol.
Ën 1937, il avait été e n r e g i s t r é : 2 6 naisgracie««.
d e v a n t c o m m e n c e r b i e n t ô t , il y a Heu 4, r u e du P a r c ; Marcel Marchand, 30, r u e sances, 1? décès, 7 m a r i a g e s .
Challenge des c o m m u n e s : l 4 r S a n t e c , 18
Joindra an timbre de 0 fr. 90 ot ne pa*
d'envisager et de p r e n d r e des dispositions J e a n - J a u r è s .
points
; 2' S a i n t - P o l , 16 points ; 3" Roscoff,
Otblier de » « n t i o e n * ? • ou qnolité d e lec
Football-Association
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; 4' Sibiril, 32 p o i n t s .
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firutear <1« • "«tovo/t 4 . 1 **** fclto-Kréron
l é g u m e d a n s la r é g i o u .
net, soldat a u 137« d'mf. à Q u i m p e r , e t
A n S t a d e Qnimpéroia
P o d i lea f a m i l l e « d e s d i s p a r a s d n
(
Uno e n t e n t e préliminaire s'iroposo e n t r e Emilienne Marchossou, doin. à Saintes.
W*
« iMUehana c k u r l i o H. — C o m m e suite 6
Enfin lo S. Q. o b t i e n t u n e victoire (4 à 1)
les f a b r i c a n t s e t los r e p r é s e n t a n t s d e s
DéciS : Marie-Louise Bidon, célibataire, ses p r e s s a n t e s d é m a r c h e s en laveur d e s
s u r sa vieille rivale, l'U. S. D. P.
b[ í ü ü í i s
Ib
CUltltltteuts pour ilxer les m e s u r e s qu'il 4 8 a n s , 8, r u e Siiul-Yiitrc; Simon MdnevamnlIl'Mir' u n s familles d e s d i s p a r u s d u
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est lffipéi-leu* d ' a p p l i q u e r . D ' a b o r d , l e s 8 0 , 8 0 a n s , s u j e t espagnol, 3, r u e d e l'Hos« Méchann C h i r l l e », M. J e a n Perrttt, d é - pas s e u l e m e n t d u succès, mais aussi d u
b e s o i n s des usiniers de conserves en petits pice ) Marie-JeanUe Guégiien, vuuVe Tjrraen,
puté, a riÇn la lettre suivante de M. S u r r a u t , r e d r e s s e m e n t de l'équipe.
ah
¿ ¿ j u t * «î A
pois s o n t s u b o r d o n n é e à la riguellr de 8 2 a n s , 13, r u e d e D o u a r t i ' n e l ; Madeleine
m m M r e de l'Intérieur :
C o m m e j e le disais Jusqu'ici, il ne m a n l'hiVef et, à u n trtometlt dontté, ceùft-cj Colin, 1 8 ans, 3 , f u e d e l ' t i o s p l c e ; Marcel
MOnslent le d é p u t é ,
q u a i t q u e peu d e chose au 3. Q. : u n e â m e
s o n t fixé» sur la q u a n t i t é dont Ils a u r d n t Le Quon, 2 3 ans, e m p l o y é d e commence,
besoin»
V o " s avez bien voulu a p p e l e r m o n atten- d'équipe, et cola, seuls de vieux stadistes
24, r u o defl Bouchorios ; f h é o d o r o P a b l é ,
Ën connaissance d e cette d ü n n é e , Ils é p o ü í Cárval, 29 ans, r u e Bourg^mr.Roürgs : tion s u r u n e d e m a n d e d e s e c ù u r s d ' e x t r ê m e c o m m e les Cornicyles Le Grand, p o u v a i e n t
p o u r r o n t m e t t r e lnfl Cultivateurs, d ' u n e Mario-Anne Le F l d c ' h , veuve OlIiVier, 8 3 u r g e n c e f o r m u l é e p a r les familles d e s le lui d o n n e r .
C'est fait. 11 n'y a plus ¿¿u'è continuer.
façon g é n é r a l e , en m e s u t e de c o o r d o n n e ? ans, 3, r u e do l ' H o s p i c e ¡ Marguerite Pessy, p ô c h ' u r s d u b a t e a u « Méchann Charllc »,
La pàrtie a été u n e des plus intéressantes
l'étendue d e letirs e n s e m e n c e m e n t s e n c é l i b a t a i r e , 7 0 ann, 8, place Claude-Le CoZ ; de D o u a r n . ut'i, r é c e m m e n t p e r d u c o r p s
de la saisOu, et c h a q u e j o u e u r e tenu sa
r a p p o r t avec les besoins éVoutuula.
tíoBa' io Maclas, 5 ano, s u j e t e s p a g n o l . " S , r ü e ot biens.
J'ai l ' h o n n e u r do vous faire Connaître place avec un c o u r a g e et u n e ténacité q u i
l.e prix étant en rapport avec la quantité d o l'Hospice ; Alain Moallc, époux f r i r l d i c ,
q
u
e j'ai mis à l a disposition d u P r é f e t du Ont valu la victoire eu S. Q.
ot la qualité, la méthode employée l'année 4 0 ana, 3, r u e d e l'Hospice.
L'équipe est d o n c au point, l û r e d'ellaFioiBtfcrg
une somma de 10,000 frs, eu itti
dernière pour la llxatiou des cours chaque
laissant
le
soin
de
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répartir«
Au
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h o m o g è n e , et s u r t o u t bien d i r i f é e
uamsinQ <?9t pr($qi»<?i i v e o l e «eul d é f a u t
UN KTÏT
LAROUSSE?
Chez nos Cantonniers
coocoors m Fonctions PiiDitijuss
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CITOYEN
Plovan
Douarnenez
Isez
LOTERIE
NATIONAL!
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iirf) «
Oltoieïi
LË
CITOYEN
Recettes de cuisine
hars-Quimper, avenue Ican- Jaurès,
Et : ledit M. Henri Jouannet, hôteCommune de Tréboul
n° 9 ; Ernest-M. Lelaudais, demeurant lier, demeurant à Concarneau.
à Saint-Servan-sur-Mer-Lorette ; Yves
Croquettes Grand'Mère
Défendeur défaillant..
Il appert que le divorce d'entre les
Voici un petit dessert vile préparé et Quéré, expert-comptable, demeurant
peu coûteux. Mélangez, dans un peu de à Saint-Malo, 10, rue Saint-Vincent : époux Jouannet a été prononcé au
Le public est prévenu que, confor11 a été, suivant acte, sous sein
profit de ladite dame Jouannet.
beurre tiédi, deux grosses cuillerées de
mément <^u titre 11 du décret-loi du
privé,
en
date
du
15
janvier
1939
Pour extrait certifié conforme par
farine et une pincée de sel. Mouillez
u
8 août 1935 et en exécution d'un
avec du lait tiède et tournez sur le l'eu enregistré à Quimper, t 39, c° 38, le l'avoué soussigné.
arrêté préfectoral du 3 février 1939,
pour obtenir une crème épaisse ; ajou- 9 février 1939, constitué une Société
A Quimper, le 9 février 1939. le plan parcellaire des propriétés
tez un reste de citron ulpe et laissez à responsabilité limitée ayant pour
A. Bourdais, avoué.
situees sur la commune de Tréboul,
cuire t u tournant saus cesse. Ajout» z, objet, en France, Colonies, Pays de
dont
la cession paraît nécessaire pour
hors du feu, tiois jaunes rt œufs que protectorat et de mandat, et éven
e
la
construction
d'un groupe
Etude
de
M
de
TRÉGLODÉ,
avoué
vous mettez un par un. Laissez refroidir tuellement à l'étranger, la manufac
scolaire,
restera
déposé à la
licencié,
12,
quai
de
l'Odet,
la pâte et faiteb-toU des croquettes que turc et la fourniture de produits pour
Mairie
<£e
ladite
commune
Quimper.
vous tremperez dans du blanc d'œuf la Marine, ainsi que toutes opérations
pendant
huit
jours
conséculegéremeni battu, pour les rouler en- mobilières, immobilières, industrielles
tifs,
à
partir
du
S
O
fevrier
Séparation d e c o r p s
suite dans une chapelure obtenue avec financières se rattachant directement
jusqu'au
«SB
février
1339.
quelques macarons durs finement écra- ou indirectement et sous quelque
D'un
jugement
contradictoirement
Les personnes intéressées pourront,
ses. Jetez dans la friture bien chaude forme que ce soit auxdits commerce
et servez en saupoudrant de sucre va- et industrie dans ce qu'ils ont de plus rendu par le Tribunal Civil de Quim pendant cet intervalle, eu prendre
per, le 30 novembre 1938, enregistré connaissance, sans déplacement, tous
étendu.
nille.
signifié
et définitif,
les jours (excepté les dimanches et
La dénomination de la Société est
Entre : Mme loséphe-Marie Diva- jours fériés) de 10 heures à 17 heures,
« E. L. E. A. ».
R e n s e i g n e m e n t s utiles
Le siège de la Société est à Penhars- nach, épouse de M. Jean-Pierre Seznec et produire, s'il y a lieu, leurs obser
demeurant à Quimper, 1, place de vations qui seront consignées sur un
Quimper, avenue Jean-Jaurès, n° 9.
Pour enlever le tartre des bouillottes
Le capital social est fixé à la somme Locronan, demanderesse,
registre ad hoc déposé à la Mairie.
Ayant M" de Tréglodé pour avoué
Les bouillottes finissent toujours par de oO.UOO francs, représenté par le
Tréboul, le 9 février 1939.
Et : M. Jean-Pierre Seznec, garas'entartrer, c'est à dire par se revêtir matériel suivant :
Le Maire, Gonidec.
d une couche du sulfate et du carbo1 pistolet automatique pour la pein- giste, demeurant à Quimper, 39, rue
de Pont-l'Abbé, défendeur,
nate de calcium contenus dans l'eau
ture ;
on les débarrasse de cet enduit en
Ayant M0 Quéinnec pour avoué
l moteur électrique ;
COMMUNE DE PLOVAN
1 imbibant û'acide munatique étendu
11 appert que la séparation de corps
24 biUis pour toile.
de dix lois sou volume d eau. Agir pruet de biens a été prononcée entre les
Ledit matériel, apporté
demment pour ne pas corroder la par- par M. Angel Eguidazu-Y.
époux Seznec-Divanach, au profit de
tie métallique de la bouillotte.
la femme et aux torts et griefs du
Garay, est évalué à la somme de cinq mille francs, ci.
o. 000 fr mari, avec toutes les conséquences
Le public est prévenu qu'une ende droit.
quête d'utilité publique sera ouverte
M. A. Eguidazu apporte,
C o m m e toujours, voyez...
Pour extrait :
du 20 février 1939 au 1e' mars 1939,
en outre, à la Société une
LES VÊTEMENTS CAOUTCHOUC
somme de quinze mille
R. de TRLGLODU, avoué-licencié à la mairie de Plovan, sur le projet
de fixation de tracé du cheChez G E O H G E S
francs, ci
15.000 fr.
min
départemental (ancien
M. E.-M. Lelaudais la
Etudes de M" RIOU, notaire à Pont- chemin de grande communila AAlbVà M l'IMïiBMISABLl somme de quinze mille
Croix, et de iVlc Yves KERDRAOiN, cation n° St A) daus la partie
francs, ci
15.000 l'r
6U, Hue Jean-Jaurès, SO
notaire à Audierne.
comprise entre le point 1 km. 530 et
M. Y. Quéré la somme
... Q U I M P S n -:le
chemin de G. C. n° 2.
de quinze mille francs, ci.. 15.0C0 fr.
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Les
intéressés pourront, pendant ce
Ces apports eu espèce et en nature
temps,
prendre connaissance du dosAiticeifcss
sont intégralement libérés.
PAR ADJUDICATION VOLONTAIRE
sier,
a
la Maiiie, tous les jours, de
M. Y. Quere est gérant de la Société
Eu la Mairie d'Audierne
9 heures à 12 heures et de 14 heures
pour
sa
durée
à
dater
de
sa
constituPour vos t i m b r e s e u o a o u t
L e Vendredi 3 Mare 1 9 3 9 a 16 heures.
o t t o n o e t e u o u t v r e , adressez-vo ut tion. 11 possède à cet eflet des pouvoirs
à 14 h. 30
Le commissaire-enquêteur recevra
àl imprimerie metounu ûu « Citoyen » les plus étendus, mais il ne peut
valablement
accomplir
que
des
actes
les
observations sur ce projet au même
EN LA VILLE D'AUDIERNE
Jravait execute rapidement et à des
rentrant
dans
l'objet
de
la
Société.
11
heu
et aux mêmes heures, les 2, 3 et
vrix modérés.
ue peut valablement elfectuer des
4
mars
1939.
Premier lot
libéralités, ni substituer un tiers dans
Le
Maire, Pierre Lautridou.
Maison d'habitation, rue Louisouvrier tailleur demande ses fonctions.
Pasteur, n° 25, ayaut 4 pièces au
place stable. — S adresser au journal.
Les associés pourront déposer dans rez-de-chaussée, 2 étages de 5 pièces
la caisso de la Société, avec le conA v e n d r e , a 1 amiable, abattoir 8- ntement du geiaut, des fonds en chacun, grenier ; contenant 1 art
10 centiares. Eau, électricité.
privé. Vaste bâtiment entoure de compte courant.
Mise à prix : 65.000 francs.
terrain et pouvant servir d usine.
Les conditions d'intérêts et de retrait
S adresser au journal.
Deuxième lot
de ces avances seront déterminées
Maison d'habitation, rue Marcellind'accord entre les associés préteurs
j e u n e h o m m e , liberé service
îerthelot, n° 12, ayant au rez-deet le gérant.
militaire, demande place comptableDeux exemplaires des statuts de la chaussée une entrée, uue pièce, un
dactylo. — S'adresser au journal.
Société ont été déposés le 9 février, garage ; deux étages ayaat chacun
au gr< lie du Tribunal de Commerce deux pièces et un cabinet ; grenier ;
C u l t i v a t e u r s : pour vendre vos de Quimper.
contenant 60 centiares. Electricité.
récoltes de pommes de terre et de
Pour extrait :
Mise à prix : 45.000 francs.
légumes : choux fleurs, oignons, caLe Gérant, Quéré.
Troisième lot
rottes, etc., faites des propositions à
Maison d'habitation, rue MarcellinTy-Breiz, produits du sol, 12, avenue de
Etude de Mc BOURDAIS avoué
3erthelot, n° 14, ayant au rez-dela Gare, Les Sables-d'Olonne (Vendée).
à Quimper.
chaussée entrée et deux pièces, deux
étages de chacun deux pièces et un
Assis'ance
Judiciaire
S u i s aoheteur d'une auto coni l i *
cabinet, grenier ; contenant 60 cendécision
du
11)
octobre
li),'li
duite intérieure G 7 ehevaux, très bon
tiares. Electricité.
état général : M. Coublant, 13, cité
D'un jugement rendu par défaut par
Mise à prix : 50.000 francs.
La Ruche, Pontirjou, Quimper.
e Tribunal civil de Quimper, le 16
Quatrième lot
mars 1937, enregistré.
Extraits de Statu s
Un
jardin,
situé rue Marcellin-BerEntrp : Mm<- Yvonne Tailleux, épouse
thelot,
d'une
contenance de 4 ares 80
de M. H uri louannet, ancien hôtelier
à Concarneau, demeurant de droit quai centiares. Bel emplacement à bâ'ir.
d'Aiguillon à Concarneau, mais résiMise à prix : 40.000 francs.
S . Zi. B. A. »
dant en fait à Dieppe, hôtel Métropole.
Pour tous renseignements s'adresEntre : MM. Angel Eguidazu-Y. Demanderesse.
ser auxdits Notaires.
Ayant M* Bourdais pour avoué.
Garay, chimiste, demeurant à Pen-
POUR; RÉCOLTER.SA CHANCE/
Avis d'Enquête
Avis
Feuilleton du « Citoyen », Quimper —
"ama
Li G'STË
[Havres Albert Le Grand)
Le loup c o m p a r u t et, d'arrivée, se jeta
au pied du saint, c o m m e d e m a n d a n t p a r don de ce qu'il avait fait- ; mais, ne se
contentant de celte satisfaction, il le c o n d a m n a à servir au môme usage ¡1 quoi
servait la bête qu'il avait d é v o r é e . Le
loup se.leva e t tendit le dos, s u r lequel f u t
c h a r g é le faix d e bois, et, depuis, il devint
si d o m e s t i q u e et serviablc qu'on en tirait
beaucoup plus de service et profit q u e de
! àne ; et, bien qu'il mungei'it et logeât en
m ê m e élubie avec les a u t r e s bêtes, il 11c
leur luisait point de mal.
Le roi Hoêl 111 de ce n o m étant parvenu
à la c o u r o n n e l'an de salut 5'J4, c o m m e
c'était un j e u n e prince hardi, vaillant el
Courageux, conseillé p a r q u e l q u e s courtieuns, il voulut e n t r e p r e n d r e q u e l q u e chose
contre les privilège» et libertés de l'église
d'Alcth j mais il se vit en tête saint Malo,
lequel s'opposa c o u r u g c u s e m e n t à ses
prétentions, l'admonestant d o u c e m e n t ;
mais, le prince se voulant raidir et user do
violence, Dieu prit en inuiii la cause d e
son église e t de son fidèle serviteur e t
punit c o r p o r e l l c m c n t le roi, porniettunt
qu'il devint tout h c o u p aveugle, et, p a r
Celte atlliction corporelle, il l'admonesta
de son devoir, c a r , r e n t r a n t eu soi-même,
il r e c o n n u t sa faute, en d e m a n d a p a r d o n
Ix Uieu et au Suint, p a r les prières duquel
Ù recouvra la vue et, depuis, resta fort dévot
au saint é r ê q u e , etiqucl et à non église i!
fit de riches p r é s e n t s et aumônes, Le
diable, envioux du grand f r u i t ot riclië
rrtoisstfn q u é saint Mald amassait é'g-gre'tiicrs d e «on Seigneur, anima c d n t r e lui
certaines p e r s o n n e s perdues, lesquelles
par Yves LE FEBVRE
lui, qu'ils a n i m è r e n t presque Ion L Îc peuple
contre l'évêquC, ne pouvant s u p p o r t e r ses
paternelles corrections j ce qui fit r é s o u d r e
le saint prélat ù s'absenter p o u r q u e l q u e
temps. 11 s ' e m b a r q u a au p o r t d'Alcth, ayant
r e c o m m a n d é son t r o u p e a u au souverain
pasteur, cl a b o r d a k la côte d'Aunis, au
port d e la Rochelle, d'où il alla (1 Xainles
trouver suint Léonce, évêquo d e la dite
ville, qui le reçut c o m m e sa sainteté le
méritait et le voulait retenir a u p r è s de
soi ; mais saint Malo le supplia d e lui
p e r m e t t r e de se retirer en q u e l q u e lieu solitaire p o u r y m e n e r u n e vie privée et se
disposer ù la mort, ù quoi son g r a n d Age
l'obligeait de penser s é r i e u s e m e n t . Saint
Léonce lui accorda sa r e q u ê t e et le c o n gédia, la larme ù l'oeil, lui d o n n a n t l'église
du village de Brie, lieu fort p r o p r e h son
dessein, où il dressa un ermitage, y vécut
q u e l q u e t e m p s avec un rare exemple de
sainloté, laquelle Dieu manifesta p a r quelques miracles,,,
Tandis q u e la Xuintonge était illustrée
par lu sainteté de saint Malo, le diocèse de
Saint-Mulo étuit autant affligé de son
absence ; car la peste et la fnniiné, causée
d ' u n e g r a n d e sécheresse qui brûla les blés
ot ruina les maisons, étrangla plusieurs
centaines de personnes ; ot colle ealuriiité
croissant do j o u r oh autre, ils r e c o n n u r e n t
qUe c'était Une j u s t e punition de ldur
i n g r a t i t u d e envers le suint prélat et, en
ttfle assemblée qui se fit en lu ville d'Alcth,
il f u t résolu d'envoyer vers le saint p o u r
le supplier d e s'en r e t o u r n e r en son érêcllé.
' eux fjtli furent fleirnirtés pour ce voyagri
l'altèrent trouver et, s'acquittèrent al bien
^trouvèrent tant de calomnie«/ contre de icui' chat{f(; que, soint Mcki ayant piis
délai d ' u n j o u r , é t a n t ù la ferveur de son
oraison, f u t averti p a r un ange de s'en
r e t o u r n e r avec les d é p u t é s d'Aleth, p o u r
lu consolation de sou peuple, et puis iiprè
tju'il s'en r e t o u r n â t vers son hôte, saint
Léonce: Le ternie du délai empiré, saint
Malo déclara aux d é p u t é s lu révélation
qu'il avait e u e c l sa résolution de s'en
aller avec eux, d o n t ils lurent fort a i s e s ,
et, ayant pris congé de suint Léonce, ils se
m i r e n t 011 chemin ; et, aussitôt q u e saint
Malo entra en Bretagne, l'air se p u r g e a
et, toul à coup, lu peste cessa dans tout
l'évêehé d'Aleth, et les ports et havres
f u r e n t remplis de vaisseaux chargés d e
blés e t a u t r e s vivres, en toile abondance
que la lamine f u t e n t i è r e m e n t chassée.
Le saint prélut, arrivé en son diocèse,
fut reçu p a r t o u t avec une g r a n d e allégresse ;
mais spéciuleinent 011 la ville. d'Aleth, d o n t
le clergé et le peuple lui vinrent bien loin
uu devant, lui d e m a n d è r e n t p a r d o n do
leur faute el le conduisirent cil l'église.
Notre saint, oublieux d e s i n j u r e s reçues,
l e u r p a r d o n n a et leur d o n n a hu bénédiction et commença do rcchcf ù veiller s u r
son t r o u p e a u , visitant en personne toutes
les paroisses de son diocèse, prêchant
cassé de vieillesse, de travaux, fatigues et
austérités, il fut saisi d'une violente fièvre,
laquelle le liiil si bas qu'au troisième j o u r
il supplia saint Léonce do le venir voir, ce
(JU'il lit, et lui ayant administré les saints
sabre nient s, ¡1 rendit son heureux esprit
à son c r é a t e u r , le quinzième j o u r de novembre, l'an de gr;\ce C>1'2 el le 110° de son
âge,.,
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KetevuK uot\e chance au
tbicuft de. la
d e Saint
XMtÉBN
Saint Méen ¿luit natif de la province d e
Cnmbrie, a u t r e m e n t n o m m é e Sud-Wallia,
(mi l'Ile d e Bretagne. Ses parents demeuraient en une ville aux q u a r t i e r s de Wenl,
qui s'appelait Orkh, ot élaienl proches
parculs de sainl Sainson, archevêque
d'Yorkh, on Angleterre, puis d e Dol, en
B r c l a g n e - A r m o r i q u e . ils f u r e n t soigneux
d e bien élever la j e u n e s s e do leur enfant,
l'apprenant, tout petit qu'il était, à p r i e r
Dieu, Il f u t après envoyé ù l'écolc, où il
s'adonna tellement h l'étude el dos lettres
et jilc la vertu, qu'il laissait loin derrière
soi tous ses condisciples,
infHtigableinent s o n p e u p l e e t se c o m p o r Etant sorti des écoles et r e t o u r n é chez son
tant, en toutes ses actions, comme vrai père, ses parents espéraient j o u i r de sa
pasteur, Mais, se souvenant du comman- douce présence ot le retenir près d'eux p o u r
d e m e n t qu'il avait reçu du ciel do s'en 6olgner leurs affaires j mais lui, q u i était
retourner on Xainles, près saint Léonce, touché do Dieu ot appelé au plus haut
il prit congé do ses diocésains et s ' e m b a r - d e g r é do perfection, ayant supplié h u m qua au porl d'Alcth p o u r a l l e r e n Xuinlonge, blement. n o t r e Soigneur do le c o n d u i r e cl
où il f u t reçu do son ancien oitii soinl meltrc uU chemin de son salut, so d é r o b a
Léonco j lequel, connaissant qu'il était d'eux ol alla trouver son oncle saint Samplus porté ù la retraite et solitude qu'un son ù Yorkh, duquel il l u i reçu à brlis
séjour de la ville, lui lit dort de l'église et ouverts, le snlul prélat sucliaiil l>ieil qu'il
village d'Archambruy, où il se retira uvec était guidé do l'espi'it de Dieu et rjuo Ce
quclquos j e u n e s clercs Vertueux qu'il avuil devait être, un j o u r , le père do plusieurs
e m m e n é s de Bretagne, uvec lesquels il bons religieux, qui travailleraient h b o n
vivait eu c o m m u n et passait les j o u r s et escient eu 1« vigne du Seigneur, Il f u t
lus nuits en oraison ot contemplation, se quch/uo t e m p s uu m o n a s t è r e , on habit
disposant, p a r ces religieux exercices, ù séculier, eiiiiiuduiH lu doctrine do son
passer de ce siècle ti la vie lifiiriortelle, ce oncle et servant a u * reliifieux, j u s q u ' à co
cjui arriva peu aiiffis/ car/ 6t«Ht itmipu et f|U'aj'!ii)i fuit prcilvii d<? ifi vertu, ppllciicc,
Voyez
x
[les belles
voitures
CEPTl°
p e n d a n t leur q u i n z a i n e publicit a i r e , les a p p a r e i l s d e r a d i o
•'G. M a r c o n i " v o u s o f f r e n t u n e
a u d i t i o n à domicile d e leurs n o u v e a u x modèles, s a n s a u c u n I r a i s
ni e n g a g e m e n t p o u r vous, d a n s
u n seul b u t d e p r o p a g a n d e .
P o u r en bénéficier, il v o u s suffit
d e d é c o u p e r le b o n ci-dessous e t
de l'adresser, sous 48 heures, à
H. W O L F ,
Quimper.
A3. H C L L X O , Concarneau.
en i n s c r i v a n t v o t r e n o m e t v o t r e .
adresse a u d o s d e l'enveloppe.
/
B O N pour une audition
d'un appareil " G . M a r c o n i "
à m o n domicile, s a n s a u c u n
engagement de m a part et
sans frais.
persévérance et dévotion, il f u t vêtu p a r
saint Satuson, q u i aussi le reçut à p r o f e s sion et, le voyant croître 0 vue d'œil et
s'avancer do vertu on vertu, lui conféra
tous les o r d r e s et enfin la prêtrise.
Quelque t e m p s après, saint Samson,
ayant reçu c o m m a n d e m e n t do Dieu de
passer en noire B r e l u g n e - A r n i o n q u e , fit
choix d ' u n bon n o m b r e d e ses religieux,
lesquels il j u g e a plus p r o p r e s à la conversion d e s â m e s ; du n o m b r e desquels f u t
l'heureux Méen. Ils passèrent la 111er et
a b o r d è r e n t au rivage de B r e t a g n e , où
saint Samson, ayant fait plusieurs miracles,
fut le très bien venu et entra si avant
ès-bounes gr;\ees dos habitants, qu'ils lui
aidèrent d e bon c œ u r à b à l i r u n m o n a s t è r e
p o u r soi e t ses religieux, en
ville d e
Kerfeunleun von la n o m m e à présent L a n m e u r , distante do doux lieues do Morlaix).
Mais Dieu, p o u r lui d o n n e r occasion de
plus travailler p o u r sa gloire et le salut
des Ames, p e r m i t q u e tous les évêques de
Bretagne (la plupart ses c o m p a t r i o t e s ,
r é f u g i é s de l'Ile comme lui), l'élurent volontiers p o u r leur métropolitain, lui d é f é r a n t
la m ê m e préséance et autorité s u r eux,
qu'il avait en l'Ile, s u r ses sufiïagants,
étant archevêque d'Yorkh. Alors il institua
saint Magloire abbé de K e r f e u n l e u n et
continua à c o m m u n i q u e r aux peuples circonvoisins lu clarté de sa doctrine céleste.
11 j u g e a incontinent q u e Méen, son
disciple, était p r o p r e à telle conquête,
C'est pourquoi, de l'avis e t délibération
universelle d e s frères, il lui d o n n a son
obédience ot bénédiction el un n o m b r e do
frères, lui d o n n a n t pouvoir d'accepter d e s
monastères q u a n d il lui 011 serait offert,
recevoir religieux e t so p o r t e r entièrement comme abbé. Saint Méen, ayant pris
Congé de ses confrères, se mit en chemin
avec sa t r o u p e , marchant p a r le pays, et,
arrivé» ès-torros du seigneur de Gaèl, qui
était bon catholique, u u m o n i e r c t religieux,
Ile le r e n c o n t r è r e n t ' e n leur chemin et le
M'iHTpnl jprfiçicijgenicnt, ¿ y t , JfU gj
aussi salués, les pria de lui faire c e t t e
faveur que de vouloir e n t r e r en sa maison
p o u r se raffralchir, et qu'il tâcherait à l e s
a c c o m m o d e r le mieux qu'il p o u r r a i t . L e
saint répondit pour tous c t . l ' a y a n t r e m e r c i é
de sa charité, accepta l'offre, e n t r a dans le
manoir et y s é j o u r n a q u e l q u e s j o u r s .
P e n d a n t le t e m p s q u e le saint d e m e u r a
chez ce seigneur, il e u t plusieurs colloques
et devis spirituels avec lui e t tellement
l'embrasa d e l'amour d e Dieu et d u d é s i r
de le servir e n état d e religion, qu'il
supplia saint Méen d'accepter cette sienne
seigneurie, avec t o u t e s ses a p p a r t e n a n c e s ,
à condition d'y bi\tir u n m o n a s t è r e et l'y
recevoir religieux. Saint Méen remercia
Dieu do cette faveur e t accepta l'offre d u
dit s e i g n e u r aux conditions proposées, e t ,
laissant q u e l q u e s - u n s do ses moines avec
lui, s'en r e t o u r n a à Dol faire savoir le t o u t
à saint Samson et à sainl Magloire, lesquels, ayant r e n d u g r â c e s à Dieu, le
renvoyèrent avec tout pouvoir t o u c h a n t
cette affaire. Etant de r e t o u r à Gaêl, il fit
sa réponse au dit seigneur, lequel, i n c o n tinent, m a n d a des ouvriers de toutes p a r t s ,
ayant amassé tous les matériaux qu'il
j u g e a i t nécessaires p o u r l'édifice, e t ,
inconlinent, mit ses gens en besogne,
on sorte qu'il y avait g r a n d e a p p a r e n c e
que, dans peu d e temps, on verrait c e
bâtiment parfait. U n e seule chose i n c o m modait les artisans, c'était faute d'eau
p o u r d é t r e m p e r leur mortier, la p r o c h a i n e
eau étant si éloignée d'eux, q u ' o n p e r d a i t
bien du t e m p s et avait-on bien d u m a l i»
l'aller q u é r i r ,
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AUTOBU3 DB QUIMPBRLA A CONOARNBAU BT QUIMPBR
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QUIlfPSR (ai.... 7 1» 11 35
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Lm AflSeiuss : Horaire, loi» et règleQUIMPBR j J '
v*«nt* tur le travail,
l'Imprimerie Bretonne du Citoyen
TOTjmSßH 86;
QUIMPER
qui livre vite, bion Ht an dornier prix.
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Il ne peut y avoir personne dans le
— Le nouveau Ministère belge a LE S DÉBATS AGRICOLES A LA C H A M B R E
pays pour admettre que la France été constitué par M. Pierlot. La crise
puisse faire la moindre concession ne fut pas aisée à résoudre. Plus de
soit en ce qui concerne son territoire dix jours de pourparlers et de-négociasoit en ce qui concerne ses droits.
tions furent nécessaires pour la mener
Il n'y a personne dans le pays qui à bonne fin.
ne réalise qu'une telle question ne
— Le château de Cléres, près de
Au cours des débats agricoles qui attendant l'application d u décret-loi d a
Le bruit d'un rapprochement entre l'Allemagne, les persécutions et les peut pas faire l'objet d'une négocia- Rouen, a été détruit par un incendie.
l'Allemagne et la Russie a couru exécutions dont ont été victimes les tion puisque, pour nous, la question Il contenait des collections de grande se sont déroulés à la Chambre des 14 juin 1938, les agriculteurs qui peucommunistes dans ce dernier pays, ne se pose pas, puisque nous répon- valeur qui ont été anéanties. Les Députés, M. Jean Perrot est intervenu vent prétendre au bénéfice de ses disces temps derniers.
Seuls s'en étonneront ceux qui n'ont les luttws militaires camouflées qui se dons à toutes les réclamations de animaux du jardin zoologique, connu pour signaler, une fois de plus, la positions recevront-ils une majoration
examiné que superficiellement les pro- sont livrées sur le front d Espagne, l'Italie par un « non possumus » caté- de toute l'Europe et renfermant les nécessité d'apporter des modifications des primes qu'ils touchent au titre d e
blèmes qui se posent dans l'Est euro- semblent avoir creusé un fossé que gorique.
plus rares spécimens d e la faune essentielles et de notables améliora- l'encouragement national aux familles
nombreuses.
rien ne pourrait combler.
péen.
Mais il n'y a personne aussi qui d'Afiique et d'Asie, sont indemnes.
tions au régime des allocations famiIl était indispensable de régler cette
Ne nous y trompons pas I Le n'ait le devoir de comprendre que
11 est peu de questions que la passion
Les dégâts sont évalués à environ liales agricoles.
situation. Mais, ce qui surtout doit
politique ait plus systématiquement III* Reich est avant tout réaliste et ne pour dire ce « non possumus », pnur 6 millions.
Dans sa réponse au Député du Fi- retenir notre attention, c'est l'utilisadéformées que celle des accords frauco- s'em barrasse point de semblables ques- le dire définitivement et pour n'ad— Devant la villa Torlonia, résidence
nistère,
M. Queuille, ministre de l'Agri- tion du crédit de 450 millions reprétions
lorsqu'il
poursuit
un
but.
mettre pas de réplique, il faut que de M. Mussolini, un policier, chargé
russ'es.
culture,
a fait un examen complet de sentant la dotation budgétaire d e s
toutes
nos
forces
soient
mises
eu
C'est l'Ail« magne qui, au lendemain
On pouvait certes, sans dépasser les
de la protection du dictateur, a été
œuvre.
de
la
guerre,
a
réorganisé
l'armée
la
question,
et indiqué les améliora- allocations familiales agricoles.
limites de la libre discussion, contesgrièvement blessé par un individu susSur ce montant, une somme d e 50
rouge
;
elle
y
a
conservé
de
préter leur opportunité et leur utilité,
Il faut la force financière et la force pect. Il s'agirait d'un fou, sorti depuis tions qu'il a déjà apportées à la situamontrer les inconvénients qu'ils pou- cieuses sympathies et une incontes- monétaire qui sont u n e nécessité quelques jours seulement d'un asile tion d e s salariés bénéficiaires d e s millions a déjà reçu une destination
précise, puisqu'elle doit permettre
vaient présenter en détournant de nous table irfluence. Ses instructeurs g e r - pour assurer le réarmement de la d'aliénés. 11 y a trois semaines, une allocations.
l'application du décret-loi du 31 mai
certaines amitiés, mais il était, dange- maniques sont du reste restés en France.
bombe aurait également fait exploQuant à l'extension aux exploitants,
reux et inopportun de leur donner une Russie pour la p l u p a r t , sous le
Il faut la force de la proluction, la sion dans la villa, en l'absence du il en souligne les difficultés et dit : 1938 instituant des bonifications d e
cotisations a u profit des employeurs
portée qu'ils n'avaient pas, fournissant couvert de fonctions diplomatiques force du travail qui doit donner à ce Duce toutefois. De nombreuses arres«
Tout
en
rendant
hommage,
M.
Perrot,
chargés
de famille. Monsieur le Minisainsi des arguments aux campagnes de diverses, et leur chef n'est autre que pays l'armature économique indispen- tations ont été opérées à la suite de
au
sentiment
de
justice
et
de
solidarité
tre,
vous
avez pris là une disposition
l'attaché
militaire
allemand.
C'est
un
certaines puissances étrangères peu
sable.
ces deux attentats.
paysanne
qui
vous
anime,
ainsi
qu'au
heureuse
à
laquelle nous ne pouvona
général
de
division,
alors
que
le
nôtre
soucieuses des intérêts réels de notre
Il faut enfin l'union de tous les
— Le Gouvernement japonais a fait bel exposé que votre pratique de la qu'applaudir. Mais il s'ensuit q u e nous
est un simple colonel.
pays.
Français qui doivent opposer aux savoir à la France, à l'Angleterre et
vie rurale vous a permis d e faire, j e ne disposons plus, en tout et pour tout,
Que les chefo russes qui furent exé- ambitions du fascisme un front uni.
11 s'agissait, du reste, d'une quesaux Etats-Unis, à la suite de leur
que d'une somme de 400 millions pour
cutés
aient
été
des
traîtres,
on
ne
saution extérieure, devant être examinée
demande d'explications relativement pense que vous vous apercevrez im- assurer l'application du décret réalirait
le
dire
avre
certitude,
mais
il
uniquement au point de vue national.
à l'occupation de 1 île de Ilainan, qu'il médiatement que l'extension des allo- sant l'extension des allocations a u x
Elle ne l'a été trop souvent qu'en fonc- semble bien qu'ils étaient restés en
n'avait pas l'intention d'occuper cette cations familiales devient singulière- exploitants et aux artisans ruraux.
tion des sympathies et d e s haines rapports avec ceux dont ils avaient été
tle au delà des nécessités de la cam- ment délicate, en raison de la situation
en Angleterre
Je déclare tout net qu'avec d e s c r é politiques de ceux qui en discutaient. jadis les intimes collaborateurs.
pagne nippone en Chine.
particulière des travailleurs et la cona
conservé
dits
aussi faibles, il n'est pas possible
Par
ailleurs,
l'Allemagne
Cette intrusion des idées partisanes
Voici le programme de la visite offiOn annonce, p a r ailleurs, que les texture même d e l'agriculture en
des
amis
là-bas
et
pas
seulement
dans
d'instituer
des allocations suffisantes
dans une matière où elles n'avaient
cielle du Président d« la Répub'ique Japonais ont occupé Nan-Tan, à 4 km. France ».
en faveur des enfants d e nos campafien à faire est particulièrement redou- les é h m e n t s frotzkistes. L'idéologie Française et de Mme Lebrun, en Angle- de Hong-Kong. Les autorités britanLe Ministre reconnaît le bien fondé
table pour l'unité et la vie d'une n a - nazie et l'idéologie bolcheviste sont- terre.
niques se montrent ti C3 inquiètes de des observations de M. Perrot dont il gnes.
Aussi, comme il n e saurait ê t r e
tion. Elle est, hélas ! caractéristique elles d u reste si éloignées l'une de
M. et Mme Lebrun arriveront à la la nouvelle situation ainsi créée.
a déjà, dit-il, retenu des suggestions question d'étoffer les allocations famik
de notre époque, où, trop souvent, les l'autre !
gare de Londres le mardi 2l mars, à
— M. Julien, ministre des P. T. T., en la matière ; il reconnaît également
liales avec ce maigre viatique, j e
passions obnubilent le sens national,
* .
15 heures. Ils seront accueillis par le a présidé lundi à l'inauguration du
la
nécessité
de
créer
d
e
nouvelles
serais
d'avis de l'utiliser pour combler
exposant le pays aux désastres de la
Le Reich poursuit un grand rêve à roi et la reine Elizabeth et se rendront nouveau poste émetteur de T. S. F. de
guerre civile et aux agressions étran- l'Est. Il y cherche les vastes espaces et au palais de Buckingham ; ils rendront
ressources pour financer la réforme, les lacunes et corrig'-r les imperfecRennes-Thourie.
gères qui en sont la conséquence.
et ajoute qu'il s'efforcera de résoudre tions du décret-loi d u 14 juin 1938.
les terres à blé que, ni l'Anschluss, ni visite ensuite à la reine Mary, à MarlboLa station de Thourie se trouve à
«
En d'autres termes, j e voudra!»
l'annexion des Sudètcs, ne lui ontrough* House. M. Lebrun ira ensuite à 40 k m . de Rennes et à 80 km. de ce délicat problème au mieux d e s
* »
qu'avec
cet argent on débarrassât
intérêts
paysans.
l'Institut
français,
dont
il
inaugurera
les
apportés.
Nantes et d'Angers. Elle fut choisie,
Pour notl«, nous n'éprouvons aucune
notre
chétive
construction d e quelnouveaux
bâtiments
de
(JueensburyMais le Chancelier Hitler préfère
Nous donnons ci-dessous, d'après
en 1935, pour recevoir la nouvelle
honte à nous entendre avec qui que ce certainement, selon une méthode qui Place. Dans la soirée ils assisteront à
ques-unes de ses malfaçons.
antenne du poste de Rennes-Bretagne. les débats parlementaires, le texte de
soit, si cet accord peut servir notre lui a d ' j à si bien réussi, arriver à son un banquet à Buckingham.
Les plus graves reproches qu'on
la pertinente intervention du Député
Pays.
adresse communément a u nouveau
Le lendemain, le Président recevra
but plutôt par l'intimidation, que pardu Cap :
Certes, l a plupart d e s Français la guerre.
régime sont les suivants :
les chefs de mission du corps diplomaM.
le
Président.
La
parole
est
à
M.
n'accepteraient p a s un gouvernement
1° 11 n'apporte aux intéressés qu'on*
tique
au
palais
de
Buckingham,
puis
il
La campagne menée youv l'indépenPerrot, pour développer son inter- avantage souvent illusoire, puisque d e
»'inspirant des principes de Moscou, dance (?) de l'Ukraine n'est sans doute se rendra avec Mme Lebrun au
Une élection sénatoriale a eu Heu
pellation.
pas plus que de ceux de Berlin, car qu'un sondage.
l'allocation elle-même il faut déduire
Guildhall, où un déjeuner sera donné dimanche, à Epir.al (Vosges), pour
M.
Jean
Perrot.
Messieurs, d e
ils mettent la liberté au-dessus de tout.
pourvoir
au
remplacement
de
M.
la prime de l'encouragement national'
en
leur
honneur
par
le
Lord-maire
et
Il est hors de doute que, poursuitoutes les questions qui peuvent nous
Flayellc,
sénateur,
u.
r.
d.,
décédé.
Mais là n'est pas la question.
la
«
Corporation
s
de
la
Cité
de
Lonet
le montant d e la cotisation personvant sa volonté d'anéantir les derniers
' On ne choisit pas ses associés. Les restes d u Traité d e Versailles et sa dres.
Au premier tour de scrutin, M. préoccuper au cours de ces débats, j e nelle.
n'en retiendrai qu'une, j e n e retienévénements les imposent et François I", politique d'expansion territoriale, l'Al2° 11 fait peser u n e charge trop
Dans l'après-midi, ils assisteront à Gaillemain, député de Remiremont, drai que la plus pressante, celle qui
u.
r.
d.,
a
été
élu
par
576
voix,
contre
l e roi Ués chrétien, fut un politique lemagne va se trouver tôt ou tard face une réception donnée par le London
lourde sur l'exploitant auquel o n
avisé le jour où il s'allia avec le Grand à la Pologne, en ce qui concerne Dant- County Council, et le soir le roi et la 375 à M. Mougeot, indépendant, 74 à est à l'ordre d u jour du monde impose le payement d'nne cotisation
rural : j e veux parler d e l'extension
Turc, contre lequel la catholique Au- zig, le couloir et l'accès de l'Ukraine reine seront leurs hôtes à un dtner M. Julien, s. f. i. o., et 17 à divers.
relativement élevée.
des allocations familiales dans l'agritriche menait la Croisade.
3° il établit u n e inégalité flagrante
qu'elle lui barre.
ollert à l'ambassade de France, dîner
culture.
< Or, il n e semble p a s que nous
entre
le paysan qui reçoit l'allocation,
que
suivra
une
réception
de
gala
à
La neutralité sympathique de l'U. R.
Et, tout de suite, j e m'empresse de
puissions sans danger laisser se dé- S. S. serait pour elle un atout consi- 1 Opéra de Covent Garden.
familiale et les antres bénéficiaires d «
déclarer que j e n e suis pas à cette
tendre complètement les liens qui dérable pour la réalisation d e ses Jeudi 23 mars, M. et Mme Lebrun
cette allocation, qui l a touchent-dè«
tribune pour faire une critique sysAftur unissent à l'U. R. S. S . , liens premiers projets qui constitueraient assisteront à une réception donnée par
On lit dans te grand journal
anglais tématique et vaine d e la réforme et pour le premier enfant.
que l'affaire tchécoslovaque n ' a certes pour elle une base de départ à l'Est. les Membres du Parlement à Westmins- « Le Manchester Guardian » :
En raison des circonstances, il est à
accomplie, ou plutôt aftiorcée, en juin
pas contribué À resserrer.
A
le
voir
de
près,
l'esprit
de
l'armée
présumer
que le nouveau régime n e
ter, puis ils se rendront au château de
Plus tard, on verrait l
dernier. Au contraire, mes premières
allemande
n'est
évidemment
pas
compourra
guère
entrer en application
On peut, certes, discuter la valeur
Windsor
où
ils
déjeuneront
avec
le
roi
Et l'éventualité d'un nouveau partage
paroles seront pour rendre u n homde l'armée de l'U. R . S. S. et ses pos- de la Pologne n'est nullement exclue. et la reine. Dans la soirée ils assiste- parable à celui de l'armée d e 1914, mage mérité aux efforts d e M. le avant le 1 " juin prochain. Il faudrait
sibilités d'intervention dans un conflit
Nous n'avons plus guère aujourd'hui ront à une réception donnée par les Une armée a besoin d'organisation, Ministre de l'Agriculture qui a fait profiter d e ce délai pour y apporter
européen. Une armée décapitée par d'influence en Europe Centrale, c'est Associations unies France et Grande- de matériel technique, d e matériel sortir des limbes une réforme dont on les retouches et les. modifications i n Bretagne, puis avec le roi et la reine humain, ce dernier doué de l'esprit parlait toujours et qu'on n e réalisait dispensables.
l'exécution pu la destitution d'une un fait.
En premier lieu, il faudrait supprià
un dîner offert par le secrétaire nécessaire. L'organisation actuelle est jamais. (Très bien ! très bien !)
partie de ses grands chefs perd cerN'abandonnons point les atouts que
mer l a disposition la plus choquante
tainement de sa valeur.
nous possédons encore du côté de d'Etat au Foreign-Office, et enfla à une bonne, mais elle subit les nécessités
Mais, hélas ! Monsieur le Ministre,
D'autre part, l'aviation soviétique a ces pays de l'Est, Russie, Pologne, réception, accompagnée d'un divertis- d'une politique de bluff militaire. Le il faut bien le dire, lorsque vous avez du décret : l'interdiction du cumul d e
Certainement été atteinte dans le mo- Roumanie, qui ont déjà dans l'histoire sement tfrtàtral, organisée au Ministère matériel d'artillerie est bon ; le reste mis ce projet sur le chantier, vous ne la prime d e l'encouragement national
du matériel est produit trop à la hâte
et de l'allocation familiale.
d e r n i s e d e sa construction p a r la représenté un si utile contrepoids aux de l'Inde.
disposiez pas des ressources nécessaiet
il
est
franchement
mauvais.
Le
visées
impérialistes,
menaçantes
pour
Au cours de la discussion du budget
décision d e s Etats-Unis n'autOiisant
res et vous avez bâti avec des matématériel
humain
est
bon,
bien
entendu
;
l'intégrité
de
notre
pays.
de
l'agriculture, j'ai démontré, e n
en la matière l'octroi de licences que
riaux insuffisants.
mais,
sous
son
admirable
surface,
il
m'appuyant
sur des chiffres incontesEt
surtout,
lorsqu'il
s'agit
de
la
vie
deux ans après l'enregistrement du
U en est résulté utl régime , emest incontestablement animé d ' u n
tables,
que
cette
disposition aboutit,
de
la
France,
laissons
la
politique
au
brevet.
esprit qui laisse à désirer du point de bryonnaire, en vérité bien difforme et dans certains cas, à ce paradoxe effaclou
I
de
1«
Quoi qu'il en soit, seul u n partidébile. Aussi, j e Voudrais en faire
vue militaire.
pris politique évident peut faire dénier
une critique à la fois raisonnée et rant et vraiment étrange que plus l a
Citons un détail caractéristique. Lors
famille est nombreuse, moins elle est
une réelle valeur aux forces militaires
constructive.
de
la
guerre
mondiale,
jusqu'à
la
fin
de l ' U . fi. S. 9 . , solides, pourvues
En la matière, le budget de 1939 favorisée.
de
1910,
pas
un
seul
soldat
ou
civil
De plus, cette interdiction, n e s'ap- ;
Les
crises
gouvernementales
se
—
d'un matériel abondant, composées
a apporté deux éléments nouveaux :
succèdent en Europe centrale. Ces allemand n'encourut la peine de mort. d'une part, l'attribution ' d'un crédit pliquant qu'aux seules familles r u r a d'hommes vigoureux et dont le Goujours
derniers, c'est la Hongrie qui, à Jusqu'au dernier jour d e la guerre de 450 millions au titre d u chapitre les, est inacceptable, non seulement
vernement s'applique soigneusement
f A C s a s
v o w * »
son toUr, a changé de ministère. Le mondiale il n'y eut, pour ainsi dire, 80 du budget de l'Agriculture ; d'au- du point de vue matériel, mais encore
à maintenir l'esprit de dévouement au
régime par des privilèges nombreux,
nouveau gouvernement est présidé pas un seul cas d'espionnage pour le tre part, le vote des dispositions tran- et surtout du point de vue psycholo*
compte de l'ennemi, Imputé a un
j o u r n a l l e
par le comte Téléki. L'ancien présisitoires énoncées dans 1 article 113 de gique.
• *
soldat ou à un ©ivil allemand, A p r é Qu'on abandonne donc aù Ministère
dent du Conseil, M. de lmrédy, qui
la loi de finances.
A
V O U
A M I S
sent, il ne se passe guère de semaine
de
la Santé publique les crédits d e
Mail le prlticipfll intérêt des accords
passe pour être trop inféodé à Berlin
La date d'entrée en vigueur du noumm
sans qu'un Allemand subisse la peine
cette
provenance^ et ce département
frftnco-sotiétiquei n'est pas l â . 11
et à Rome, ne fait pas partie du nouveau
veau régime était fixée au 1 " janvier
capitale pour crime d'espionnage.
continuera
à sertir les primes de
féside dans le fait que Ces accords en
cabinet.. L'une après l'autre, les petites
Dans bien des cas* il s'agit de soldats 1930 ; mais, de diilérents côtés, des l'encouragement national aux famille«
empêchent d'autres et i l semble bien
puissances danubiennes essaient ainsi de l'armée active au d(3 réservistes. difficultés pratiques ont surgi pour sa
paysannes comme à toutes les autre«
que l'Allemagne n'ait pas perdu l'esde détendre les lleHs qui semblaient Les premières Condamnations à mort mise en Cëuvre. Puis, des dispositions
familles
françaises.
pair d'ùn rapprochement avec ftjoséduj
tandis qué d'aU6uM fia semblent le« unir trop intimement à l'axe iufeixt prononcées contre des femmes législatives sont Veuuss en troubler le
De la sorte, on ne retirera pas d'une
«t d'un rapprochement qui île serait ataii* d'autre sOucl que de trtiuhler Bërlin-ttoinci
mécanisme.
de l'aristocratie, des filles d'officier,
main ce que l'on donne de l'autre.
1
pus uniquement pacifique^
l'âme nalioualë, dé jeter lë désordre
C'est
ainsi
que
le
décret-loi
d
u
12
M. Jaspai ) arieiefl président du et des fonctionnaires du ministère d e
En second lieu, il m e paraît désira«
Cela peUt iurprettdfe flu ptemier dafls lës esprits, le gtfu^ërnement Ctfnseil de Belgique, côt mort des
novembre 1938, affectant un crédit de
la guerre^ (je détail suffit à prouver
ble d'alléger la cotisation de lVxploi*
ifctfrd, étant doifné la férocité d e s radical n'a è'u. d'autre sbuci t^tie dë SiiitëS d'ufae intervention chirurflicalej
200
millions
au
relèvement
des
primes
que l'armée allemand« fe&t obligée de
ItiOeS idéologiques <Jui së scint pb'ufr- réalise!' i'utiànlmité nationalefeton On «ait t(ue< chargé en£ore> ëu d^but
à com- tant, c a r , en l'état actuel de» choses',
compter avec lYalstcmce, parmi les de l'encouragement national,
ëllg minimise singulièrement l'ullocaSÙiviei députa de« jlnnécfl efitre le» peut bien dirë qu'il f ë'st paf-Vëiiu.
pliqué
singulièrement
la
situation:
dë la seitiaifie (ieiniÊrë, dë déflm.er la trüuuefij Comme parmi les civils, d'un
iitin
qui lui est dévolue« En < #<>t, suiCar i'unànimitâ nationalefe'stdatia Crise belge, il ¿tait échtiué dans sa esprit différent de celui qui régnait
I l eût été souverainement injuste
vant
le cas, il peut être appslé $
t U é & Q de« officier« aOviéiidue« le fflofflétt présent Uiië Côûdltioii missioûi M, lasp&f était uii grand ami en 19Í4,
d'écarter les familles pa^iflues du
v
o
f
w
¿ç? s ç t ! g » r
w ^ M k i i
«JMtrtlellË dfci la v«i*i
hénéflçe
(jettg 'rteipre! h m \ [ «e
éiffiftî«!«!
VEILLONS
A
L'EST
M MtVI
Li lililí ET 1/ALLEHlfilVB
Le voyage da Président ds la République
Election Sénatoriale
Que veut l'Armée ailmnie ?
Miettes
Semaine
Citoyen
tôu^onùéi de sympathie & l'égard de
X.E
pour s e s enfants majeurs et pour s e s
e m p l o y é s . D'autre part, il ne faut p a s
oublier qu'il p a y e déjà pour son p e r sonnel d e s p r i m e s assez é l e v é e s pour
couvrir l e s risques d'accidents du t r a vail e t ceux q u e concernent l e s assurances sociales.
Toutes c e s charges totalisées d e viennent difficilement
supportables
pour l'intéressé. Certes, n o u s ne m é connaissons p a s l a nécessité d'un
effort d e l a part d e l'exploitant l u i m ê m e ; mais étant donné qu'il n'a p a s
d ' e m p l o y e u r , il y aurait lieu d e mettre
l a moitié d e l a cotisation individuelle
à l a c h a r g e d e l'Etat. Ce n e serait p a s
u n e innovation, puisque cela s e fait
déjà en matière d'assurances sociales
et d'accidents d u travail agricole.
E n troisième lieu, i l n e faudrait p a s
écarter, dans tous l e s cas, c o m m e à
présent, l e premier enfant d e l'exploitant du bénéfice d e l'allocation. Q u ' o n
l a refuse pour le premier enfant ou
pour l'enfant m o m e n t a n é m e n t s e u l ,
soit I n o u s l'admettons. Mais la .refuser pour l e premier enfant d ' u n e
f a m i l l e qui en compte cinq ou six,
par e x e m p l e , c'est inadmissible.
11 y a donc lieu, e n toute équité,
d'accorder l'allocation pour l e premier
enfant d è s q u e la famille e n compte
au m o i n s u n deuxième.
Vorlà, à m o n sens, l e s trois modifications e s s e n t i e l l e s ; il y en a d'autres,
qu'il y a lieu d'apporter immédiatem e n t au" régime d e s allocations familiales agricoles.
l e n e "puis chiflrer exactement l e
coût d e c e s m e s u r e s , mais il m e s e m b l e
qu'elles peuvent être réalisées avec
l e s r e s s o u r c e s dont on dispose actuell e m e n t , Binon il faudrait l e s compléter
par d e s crédits budgétaires.
ne désertait p a s la terre. Aujourd'hui,
j e suis d é s o l é d e voir n o t r e j e u n e s s e
s'évader vers d e s occupations qu'elle
s ' i m a g i n e p l u s faciles et p l u s r é m u nératrices.
De tout t e m p s , il e s t v r a i , ce c o u r a n t v e r s l e s villes a existé. De tout
temps, la campagne a été la grande
pourvoyeuse d'hommes.
LeB villes sont l a r g e m e n t p e u p l é e s
d e p a y s a n s ou d e fils d e p a y s a n s
déracinés.
Mais, a u t r e f o i s , ceux q u i s ' e n ' a l l a i e n t c o n s t i t u a i e n t le t r o p p l e i n d ' u n e
population
excessive.
Aujourd'hui,
c e u x q u i s ' e n v o n t n e sont p l u s e n
t r o p . C'est l a t e r r e q u i se vide d e sa
s u b s t a n c e . E t voilà le d r a m e d e n o s
c a m p a g n e s . E t voilà le d a n g e r p o u r
le p a y s .
S a n s d o u t e l e s allocations f a m i l i a l e s
n e sont p a s u n e p a n a c é e . Mais il n ' e s t
pas téméraire d'affirmer que, bien
c o n ç u e s e t b i e n o r g a n i s é e s , elles p o r t e n t en elles q u e l q u e s r e m è d e s à c e t t e
a f f l i g e a n t e situation.
Pour le Monument
X«ea v a c a n c e s s c o l a i r e s
Par arrêté de M. le Ministre de l'Education Nationale, les vacances dans les établissement» scolaires ( l ' r e t 2 e degrés), sont
fixées comme suit :
Noé'l et nouvel An : du 23 décembre au
soir au 2 janvier inclus.
N o m s d e s Souscripteurs
Carnaval : lorsque le dimanche des
Mme et M. Muzellec, directeur d'école, Rameaux tombe en avril, les établissements
Logonna-Daoulas, 20 f r . — M. et Mme et les écoles vaquent les lundi, mardi Gras,
Mest, instituteurs, Logonna-Daoulas, 10 mercredi et jeudi.
Dans le cas contraire, il n'y a aucun
fr. — Mite Goachet, institutrice, LogonnaDaoulas, 5 fr. — M. Henri Le Bec, Léchi8- congé.
Pâques : la semaine précédente et la
gat, 10 fr. — Anonyme, Tréméoc, 5 fr. —
Anonyme, Tréméoc, 50 f r . — M. E Cos- semaiue suivante.
Pentecôte: les écoles vaquent le mercredi
quer, directeur d'école honoraire de la
Seiue, 10 fr. — Association amicale des et le jeudi qui suivent la Pentecôte, quand
anciens Elèves du Lycée La Tour d'Au- aucun congé n'a été accordé à l'occasion
du Carnaval.
vergne, Quimper, 100 fr.
(>rand s vacances : du 15 juillet au 30
septembre inclus.
Le montani des Souscriptions
s'élève à
Toussaint : l " et 2 novembre.
roes Le Bail » à
4 6 . 3 3 3 fr. 5 5
¿/e. ÇjOjputA
Monsieur le Ministre, v o u s avez
a t t a c h é v o t r e n o m à u n e œ u v r e . 11
faut parachever cette œ u v r e . Nous
v o u s y convions. L ' a c c o m p l i s s e m e n t
de c e t t e l â c h e m a r q u e r a v o t r e p a s s a g e r u e d e V a r e n n e , et v o u s a u r e z
bien mérité de la paysannerie française. ( A p p l a u d i s s e m e n t s s u r un g r a n d
nombre de bancs.)
CITOYEN
<£> tà
LOTERIE
NATIONALE
f t M t e z
â
v e i u
m
e
!
UN PETIT
LAROUSSE?
ÉDITIONS DE TOUS PRIX
1 3
i
f r . - l 8 f r ,
2 4 f r . - 2 9 f r .
4 8
f r a n c s
T » * t » « t Illustration
p3us a b o n d a n t s o t meilleur»,
mémo dans los formats réduits,
v ' * n aucun autro dictionnaire«
avait emprunté également & un commerçant de Lorientune somme de 2.000 francs
et lui avait remis des titres engagés.
Cu< ff nie les faits. II avait gagné un lot
d'un million à la Loterie nationale, en
. participation avec trois bouchers de Brest,
et aurait r< çu, pour sa part, 250.000 francs.
Avec cette somme, il avait, dit-il, acheté
les titres à un personnage nommé Rault,
dont on n'a pu retrouver la trace.
Le second vol eut lieu le dimanche 11
février 1938. CuetTs'introduif-it au domicile
de M. Le Qoellec, dentiste à Quimper, rue
Keréon, força les tiroirs et les meubles
sans réussir à les ouvrir ; il ne put emporter qu'un stylo et un porte-mine.
Arrélé quelque temps après pour un
autre délit, il f u t trouvé en possession du
stylo du dentiste. Mais c'est encore, dit-il,
son ami Rault qui le lui a procuré.
La Cour n'adopte pas son système de
défense et elle élève à 5 ans la peine daDS
la première affaire, plus 10 ans d'interdiction de séjour.
Elle confirme la Fécondé peine et p r o nonce la confusion.
P o n r l a F o i r a > E x p o a « i o n . — Un concours pour une maquette d'affi h<3 pour
la Foire-Exposition de Quimper et de
Cornouaille 1939 est ouvert entre foutes
les personnes qui désirent y participer.
Le concours est doté de trois prix ; un
de 400 fr., un de 200 fr. et un de 100 fr.
Les maquettes devront être remises à la
Chambre de Commerce, au plus tard le
4 mars.
Le lèglement du concours est à la disposition des intéressés à la Chambre de
Commerce.
Taxe s u r ' e s spectacles. — Le Maire
expose au Conseil qup, p a r délibération
en date du 10 avril 1938, le Conseil municipal a décidé q u e la taxe s u r le droit
des pauvrres, fixe à 5 '/ 0 . est applicable à
tous les spectacles tels que théâtres, cirques, cinémas et bals publics. Il y avait
lieu de préciser qoe la dite taxe ne sera
perçue q u e sur les spectacles et autres
réjouissances assujpttis è la taxe d'Etat.
Service des Pompes funèbres. — Un service des Pompes funèbres, comprenant la
fourniture d'un corbillard et de ses a c cessoires, fonctionne à Plozévet. M. le
d é p u t é - m a i r e porte à ia connaissance
des communes environnantes que le corbillard et ses accessoires seront mis à la
disposition des personnes qui en feront
la demande, aux tarifs ci-après : hors
clause, 100 f r . ; première classe, 60 fr. ;
deuxième classe, 40 fr. Pour tous renseignements, s'adresser à la Mairie de Plozévet.
Penmarch
' S a i o i d a . — M. Nonna Stéphan, demeurant à Kérouille, en St Guénolé, a mis fin
6 sp8 jf»urs en se pendant à la rampe de
l'escalier de sa maison.
Le défunt, réformé pour troubles mentaux, éti it âoré de 65 ans et avait été interné
plusieurs fois.
Pont-Croix
Xiégion d ' h o n n a u r . — Dimanche ma'in,
au cours d'nn>- cérémonie intime, M. Chauvin, négociant, adjoint-maire de PontCroix, a remis la croix de chevalier de la
Légion d'honneur à M. François Gourmel*n, grand mutilé de guerre, receveurburaliste à Plogonnec.
Toutes nos félicitations au nouveau
décoré.
E s p é r a n t o . — Le groupe espérantiste
« Odeta Stelo • se réunira dimanche p r o chain 26 lévrier, à 10 heures, dans le local
Vout ne trouverez
pat le Citoyen
habituel de ses cours, à l'école la r u e du
Douarnenez
"hei tout let dipotitairet
de journaua
Lycée. Entrée, place Claude Le Coz.
A
v
i
a
a
n
s
OhAmaara. — Les Ouvriers
du département,
mait vout Le trouvera
Ordre du j o u r : allocutions, chants en chômage de Douarnenez, anciens comlûretnent chex vout en vout
abonnant
R e m i s e s d o Xa'gioa d ' h o n n e u r . — lectures, distribution de listes de corres- battants, font invités à se présenter le
plus tôt possible à la Maine, munis de
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Voir
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'»honnein»>nt
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p
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Samedi,
è 17 h"ures, les Conseils d'admi- pondants étrangers, etc...
Mais, ainsi q u e je l'ai indiqué tout
Ne
pas
oublier
d'apporter
les
corresleur
carte de combattant, pour renseignenistration du Comité d'Hygiène sociale et
à l'heure, tout cela n e nous donnera
pondances
et
les
documents
intéressants
ments.
de la Société de Crédit immobilier du
encore q u e d e s allocations étriquées.
Finistère conviaient, dans les salons de reçus depuis la dernière réunion.
m
B 1 3 ? A S y « l t t 8 K T
E t a t - C i v i l . — Naissances : Maryvonne
Quoi qu'il e n 'soit, nous pensons
La réunion étant libre, toutes les personl'hôtel de 1 Epée, à un vin d'honneur, de
Criou, r u e Monte-au-Ciel ; Anne-Marie
qu'il y a l i e u tout d'abord d e faire
nombreuses pi-rsonnalités, à l'occasion de nes désireuses de se documentei s u r la Simon, r u e Plomarch ; Danielle Pierson,
de la Chambre
Syndicats d'Initiatives
disparaître l e s injustices, car l'injustice
la remise, à M. le docteur Chauvel, de la question de la langue auxiliaire internatio- rue Amiral-Courbet ; Jeanne Le Gac, i m du Finistère
nale y sont cordialement invitées.
ert l a chose l a plus intolérable à
croix (t Officier de la Légion d'honneur.
passe Curie ; Pierre Le Bihan, r u e MorceLe g r o u p e d e Défense l a ï q u e d e l a
l'esprit français.
M. le docteur Le Gorgeu, sénateur-maire
C h a m b r e d e s D é p u t é s v i e n t d e se Avis tmporlaniaux hôteliers et restaurateurs.
A u T h é A t r » . _ Tournées Ch. Baret. — au Ciel; Emmanuel Queinnec, rue du MouEnsuite, i l faudra créer d e s res- r é u n i r .
Le P r ' s i d e n t de l'union des syndicats de Brest, présidait cette manifestation de C'est du rire qui nous arrive... : « La Son- lin.
sources n o u v e l l e s pour permettre d e
Mariages : Marcel Lhommet, commerd'initiatives
« Essi » du Finistère a l'hon- sympathie.
nette d'alarme », l'immense succè9 de rire
Il a e x a m i n é l e s d i f f é r e n t e s q u e s t i o n s
M. Angéli, préfet du Finistère, et M. qui connut à Paris une fortune extraordi- çant à Angers, et Marie-Anne Théphany. a
donner d e s allocations p l u s substan- i n t é r e s s a n t la d é f e n s e l a ï q u e .
neur de prier MM. les hôteliers et restaurateurs du département, de vouloir bien Le Gorgeu, sénateur, président du Comité naire (plus de 600 représentations consé- Douarnenez ; Corentin Dieucho. biscuiti r
tielles.
Le b u r e a u a é t é r e n o u v e l é .
lui retourner d'urgence, et porteur de tous d'Hygiène sociale, prirent la parole pour cutives), nous est annoncé par les Tour- à Ploaré, et Berthe Plouet, à Douarnenez;
Pour aboutir à c e résultat, j e reste
M. A l b e r t Le Bail, d é p u t é d u F i n i s les renseignements demandés, le question- complimenter le nouveau p r o m a et faire
Jean Jourdren, mareyeur, et Alexandrioe
nées Ch Baret.
partisan d u m o y e n q u e j'ai préconisé 1ère, a é t é é l u v i c e - p r é s i d e n t .
son éloge.
Castel, à Douarnenez; Henri Joncour, hornaire
destiné
à
établir
la
liste
des
hôtels
et
Cette
représentation
ne
saurait
manquer
d a n s l a proposition d e loi q u e j'ai
loger à la Forêt-Fouesnant et résidant à
M. le docteur Chauvel, en termes choisis, d'être bien accueillie.
restaurants du Finistère qu'il vient de leur
d é p o s é e a u n o m d u g r o u p e radicalDouarnenez. et Marie Le Bagousse, à T r é remercia les organisateurs et les particiadresser.
socialiste, c'est-à-dire d'une taxe relabonl ; Hervé Kervarec, commerçant, et
MM. les hôteliers qui, pour quelque pants do cette réunion.
t i v e m e n t l é g è r e sur l e s ventes de
Désirée
Tallec, professeur de musique &
De
vifs
applaudissements
saluèrent
les
cause que ce soit, n'ont pas encore reçu
Lea C i n é m a s
produits agricoles d e grande consomDouarnenez.
paroles
de
M.
le
docteur
Chauvel
et
les
de
questionnaire,
sont
priés
d'en
aviser
le
E n E s p a g n e , on s e m b l e s ' a c h e m i n e r
mation.
invités levèrent leur verre en l'honneur
Décès : Etienne Jéquel, époux de Marie
enfin v e r s l a Paix. C e r t a i n s é l é m e n t s Secrétaire général de l'Union des Essi du
Odot-V*alaoo (près de la Préfecture.). Finistère, 6 Brest, qui s'empressera de leur, du nouvel Officier de la Légion d'honneur. Programme jusqu'au lundi 27 février 1939: Le Dem, mécanicien, 38 ans, r u e JeanMalgré l e s critiques qu'on p e u t lui r é p u b l i c a i n s s e r a i e n t p r ê t s , assure-t-on
adresser,:je continue à préconiser ce à d e m a n d e r la c o n c l u s i o n i m m é d i a t e en adresser un exemplaire par retour dii
— Le môme jour, ô 18 heures, a eu lieu, Actualités parlantes et *onores ; un joli Jaurès ; Eugène Tournier, 71 ans, marin,
courrier.
au café de Mme Le Vergos, place Saint- film, et le grand film: « Un de la Cane- célibataire, place des Pé heurs (transcripm o y e n parce q u e j e n'en vois p a s d ' u n a r m i s t i c e .
tion de Quimper): Elisa Le Gall, épouse de
Le Président attiro l'attention de M M. les Corcntiu, la remise de la croix de la bière ».
d'autres, parce que, sans doute, il n'en
M. Léon B é r a r d s'est r e n d u d e n o u Ferdinand Join, 33 ans, r u e Ducouédic ;
hôteliars
et
restaurateurs
s
u
r
l'intérêt
qu'il
Légion
d'honneur
à
M.
Fily,
employé
de
existe p a s d'autres, si l'on s'en tient à v e a u à B u r g o s , c e t t e fois e n mission
Marguerite Simon, 19 ans, célibataire, place
l a voie dans laquelle on s'est e n g a g é . officielle. De l a suite d e s e s e n t r e - y a pour eux à répondre sans retard à son Préfecture, décoré pour faits de guerre.
Res (près de la Gare). — Programme Edouard-Vaillant ; Paul Mao, 18 ans. é t u npp.'l, en lui adressant avant le 1 " mars
M. Douguet, du Service des Mutilés et
Le décret-loi du 12 novembre 1938 t i e n s v a d é p e n d r e l a r e c o n n a i s s a n c e
jusqu'au mardi 28 février 1939 : Actua- diant, rue Ernest-R nan ; Françoise Perrot,
prochain, dernierdélai, des renseignements Pupilles de la Nation, délégué de la Chanlités « Eclair-Journal » et deux beaux veuve de Eugène Bonizec, 80 ans, r u e
a apporté d e s améliorations très s e n - d u g o u v e r n e m e n t d e F r a n c o p a r la
précis, des prix soigneusement étudiés, 6 cellerie, épingla, avec le cérémonial habis i b l e s au r é g i m e d e s allocations fami- F r a n c e e t l a G r a n d e - B r e t a g n e q u i o n t , seule fin que, sauf cas de force majeure, ils tuel, sur la poitrine du nouveau promu, la films, dont : « New-York Express ».
Obscure ; Marguerite Gonrret, veuve de
liales d e s salariés d u c o m m e r c e et d e s u r c e t t e q u e s t i o n c o m m e s u r t o u t e s ne subissent aucune majoration au cours croix des braves.
Pascal Kerouédan, 74ans, rue Jean-Jaurès;
l'industrie.
A
p
o
l
l
o
(près
du
Cap-llorn).
—
P
r
o
Alain
Le GofT, époux de Catherine Bourdon,
l e s a u t r e s , a d o p t é u n e a t t i t u d e c o m - de la saison.
*»• B a l d u S t a d o . — Samedi soir, le gramme du vendredi 24 au dimanche 26 53 ans, chaisier, rue Monte-au-Ciel.
A partir du V* avril 1939, c e s allo- m u n e .
bal annuel du Stade Quimpérois a connu, février 1939 : Actualités, un beau film et le
c a t i o n vont être portées à 5 % du
Notariat
,
De n o m b r e u x r é f u g i é s civils et miliune fois de plus, le plus vif et légitime grand film : « Rêve de Monte-Carlo ».
Tréboul
L'examen des candidats au grade de pre- succès.
salaire m o y e n d é p a r t e m e n t a l p o u r le t a i r e s c o n t i n u e n t à r e n t r e r e n E s p a g n e
Oonaoil
M
a
n
i o i p a l . — Voici le compte
p r e m i e r e n f a n t , à 10 • / , pour l e d e u - | D e p u i s h i e r , j e u d i , l e s r e l a t i o n s ferro- mier clerc de notaire aura lieu à Quimper,
Comme chaque année, toute la jeunesse
rendu succinct de la dernière réunion du
x i è m e , à 15 % pour l e troisième et viaires o n t r e p r i s
au
siège
de
la
Chambre
des
Notaires
des
sportive de la ville et des environs, ainsi
entre la France et
Pluguffan
Conseil Municipal de Tréboul, qui s'est
p o u r chacun d e s suivants. Il e n résul
arrondissements de Quimper, Châteaulin que de nombreux supporters, s'y étaient
l'Espagne.
tenue sous la présidence de M. Le Gonidec,
Vfnm
v
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.
Ces
temps
dertera pour c e s familles u n e aide t r è s
et Quimperlé, r u e des Reguaires, 35, le donné rendez-vous.
niers, les gendarmes, en tournée à Plu- maire.
mercredi 8 mars 1939, à 14 heures, pour les
appréciable et n o u s n e pouvons q u e
Ce fut un bal très chic ; les dames et les
guffan,
étaient mis au courant de certains
Changement de j o u r de marché — Le
écrites, et le lendemain 9 mars, jeunes filles étaient toutes en toilette de
n o u s e n réjouir.
La Loterie Nationale àépreuves
marché
ayant lieu annuellement le mercrefaits
lamentables
qui
se
seraient
passés
au
9 h. 30, pour l'oral.
soirée ot presque tous les messieurs en
Bien e n t e n d u cela nécessitera un
lieu dit « La Boutique », dans un débit di des Cendres, est fixé au mardi du CarLes candidats devront fiure parvrnir leur smoking.
effort financier considérable. Croit-on
tenu par le nommé Loussouarn, Agé de naval.
Le tirage de la troisième tranche de certificat de travail à >1' Revault, président
L'orchestre Devil-Duval justifia, une fois
qu'il v a être supporté p a r l e s entre- la Loterie Nationale 1939 sera assuré,
37 ans.
Borne-fontaine Cité Julia. — Suite è une
prises
e m p l o y a.n t c e s chefs d e famille 7 . e n présence du public, à Grasse (Alpes- de la Chanib-e des Notaires, è Douarnem z, de plus, l'excellente réputation qu'il s'est
Après une longue enquête, les gendar- nouv. lie réclamation de M. Le Naou^, a n
.
le l " mars au plus tard.
acquise à juste titre, et fit tournoyer les
mes apprenaient q u e cet individu, après sujet des infiltrations d'eau provepaat <ti_.
Une n o a point. Ces entreprises vont Maritimes), le mercredi 8 mars 1939,
nombreux couples aux sons d'anciennes
avoir
esssayé d'abuser de sa jeune bonne, la borne placée à proximité de son imne»«
i m m a n q u a b l e m e n t intégrer c e s c h a r - 1 à 21 heures.
danses et de morceaux des toutes dernièh
o
M
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S
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a
l
orpheline
et mineure, l'avait, i de n o m - ble, le Conseil, reprenant sa délibération
g e s n o u v e l l e s dans leur prix d e re
res nouveautés.
breuses
reprises
et depuis trois ou quatre du 3 jnin 193?. décide, en attendant 1«
Sont
nommés
officiers
itu
Mérite
Social
:
vient et, e n définitive, e l l e s seront
Pendant l'entr'acte, le Slade a offert Un
suppression de cette borne, la fermeture
ans,
excitée
à
la
débauche.
MM. Lastennet Henri, ô Ploarô j Pirqne- vin d'honneur à ses invités.
s u p p o r t é e s p a r l ' e n s e m b l e d e s con
immédiate de la Vanne,
De
plus,
11
aurait
volé
ou
essayé
de
voler
nard Charles, à Quimper ; SeZoec Louis, à
sommateUrs.
Tour à tour, prirent la parole et se firent
Chemin de RoZambidou. — Sur la réclades
jeunes
gens
qu'il
incitait
à
passer
la
^ulmpef.
applaudir, M. Louarn, président de la
Vous verrez, d'ailleurs, que personne
mation de Mme veuve Glaziou, demandant
nuit chez lui.
Sont notnmés chevaliers du Mérite So- société ; M. Gautier) maire de Quimper
— Agent technique de terrain du Service
n'y trouvera à redire e t q u e cette
Loussouarn a été écrOué à la prison de l'installation d'un caniveau dans ce chemini
temporaire de la revision des évaluations cial ! MM. André Médard, à Brest ; Audren M. Digrenne, chef de Cabinet de M. le
r é f o r m e , à l a fois g é n é r e u s e et oppor
afin d'empêcher les infiltrations d'eau dans
foncières. — Concours ouvert en mal 1939 Lucien, à Brest ; Mlle Bossard Aline, à Préfet ; M. Nader, député, et M. Kerhuel, Quimper.
tune, sera opérée sans heurts n i récri- pour GO postes. Délai d'Inscription i 28
le pignon de son immeuble, le Conseil
Hellac ; MM. Denis Lucien, à Q u i m p e r ; président d'honneur de la société.
décide qu'il y a lieu tout d'abord de remet»
février 1639. Avoir satisfait aux obligations
minations
Plovan-PfiDldreDfflC-Ploeétet
îtnoy Alexis, à Brest ; Gironde Genès, à
militaires. Limite d'âge supérieure : 46
tre
en état le chemin de ftozambidou.
ZlAooflipaftil«.
—
M.
Siméon,
conseiller
Dès lors, j'attends q u e l'on m e dé
E j J a v a » . — A la suite de l'abordage du
Brest ; Hall Hervé, à Brest ; Jacob Emile,
ans au 15 janvier 1939.
Service téléphonique. — Suite A la demontre q u e c e qui e s t j u s t e et vrai
h Brest ; Kerbérénès Charles, à Brest; La- municipal, vient de recevoir la médaille torpilleur « Bison n et du croiseur « Geor— Sténo-Dactylographe eu Ministère des
ges-Leygues », des épaves de toutes sortes mande d'un abonné sollicitant l'ouverture
pour l e c o m m e r c e e t pour l'industrie
gadec Jean, à Quimper ; Le Bars Guillau- d'or de l'Education physique.
Colonies. — Date : 9 mai 1939. Délai d'insCette récompense est due 6 la suite d'âne ont été recueillies par la population mari- du service téléphonique, de ? à 21 heures,
me. h Morlaix ; Le Bras Yves, à Quimperlé ;
n e l'est p l u s lorsqu'il s'agit d e l'agricription : 11 avril 1939. Limite d'Age supém s f s au 31 octobre.
longue
activité mise 6 la cause sportive time des communes du littoral de Plozévet, du
Le Floch Louis, è Quimper ; Le Gall Franculture.
rieure : 30 ans au 1 " janvier 1939. TraiteLe Conseil : considérant les s e r v i e s
dans plusieurs sociétés de notre ville.
Pouldreuzic et Plovan.
çois,
à
Quimerch
;
Le
Lay
Henri,
6
Brest
Monsieur l e Ministre,
c'est l e ment de 9 500 à 15.000 fr. plus indemnités
Nous lui adressons nos bien sincères
Le Meur Jacques, h Brest ; Le Minor E r g è Elles comprennent : une caisse en bois qu'il pourrait rendre 6 bon nombre d'abonm o m e n t ou j a m a i s d e r a p p e l e r le Aucun diplôme exigé.
félicitations.
ne, è Quimper ; Levaufre Jules, ô Quimper
contenant des diverses pièces pour canon nés eu fonctionnant à ? heures au liett df
p r o v e r b e : « Qui veut l a fin veut l e s
— Adjoint technique stagiaire du génie Le Verge Olivier, 6 Brest ; Madoc Jean
de 138 mm., sauvetée par l'inscrit maritime 8 heure», émet le vœu q u e le service téléSa'allaira OnaM. — La Cour d'Appel de
moyens ».
rural. — Date : 27 mars 1939. Délai d'ins
Marie, à Brest ; Mondot Edouard, à Brest;
Jean-Marie Strullu, de Kéristenvet, en phonique soit assuré h partir de 7 heure»
jusqu'à 21 heures, pendant la période susVotre prédécesseur, M. Chapsal, crlption : 10 mars 1939. Condition exigée ! Penfeunteun YvtB, ù Brest ; Per Jean, 6 Bennes s'est occupée lundi de l'affaire Plozévet.
Cueff qui avait fait appel de deux juge
indiquée,
dont j e salue r e s p e c t u e u s e m e n t l a m é - avoir satisfait effectivement au service Brest.
Une caisse métallique» peinte eu gris,
ments rendus le28 janvier par le t r i b u n a l de
de
base
:
10.600
militaire
actif.
Traitement
Consommation anormale de lampes
moire ( A p p l a u d i s s e m e n t s ) , s'était rallié
Félicitations à tous,
Quimper et qui l'avaient condamné : le pre avec poignées en cuivre 6 chaque extré- d'éclairage. — Le Conseil, se faisant
bn
mité,
contenant
80
appareils
pour
masques
à celui-là dans s o n discours au Sénat, fr. plus Ittdemuilés Aucun diplôme exigé,
mier, 6 4 ans de prison pour vols de titres
—
Ingénieur
adjoint
des
travaux
aérodes
réclamations
des
u
s
s
g
e
r
s
a
u
sujet
>•
l e 18 février 1938. Vous m'avez donné
et d'une somme d'argent au préjudice de à gflï, marqués Pulmann, établissements variations de tension du courant élec i--.
nautique« de l'Etat (16 postes). — Date de
fc'Aflair«
de
l
'
a
b
b
é
tfadé
H
Scheider,
sauvetée
par
l'inscrit
maritime
V o u s - m ê m e l'impression d e n e p a s y
Mlle Juliette Colliec, r u e des Halles, et
l'ouverture des épreuves d'admissibilité i
que, qui occasionnent Une consommation
L'ihstruClloti de la si pénible affuire de 10 ans d'itaterdictlou de séjour ; le deuxiè- Nicot, de Penhors* en Pouldreutic.
être opposé. Mais cela n e suffit p a s ,
6 juin 1939. Délai d'inscription : 0 mal 1939, l'abbé Jadé continue.
exagérée
de lampes che* les ones et t. a
Une bouée couronne, peinte en blanc et
i l v o u s appartient d e déterminer l e Avoir satisfait aux obligations militaires,
me, à 9 ans de prison pOur vols d'Un stylomanque
d'éclairage
chez 1rs autres, émet
Elle 6 caupé dabs tout le pays, et uotato- graphe et d'tin portemine chez M. Le rouge, portant l'inscription « OeorgesGouvernement à entrer d a n s cette voie Age A la date du concours ! 22 6 30 ans plus
le vœu q u e la question soit portée & Ja
Leygues
»
et
M.
M.,
sauVetêe
par
l'inscrit
q u i sera enfia la voie d e l a réalisation. services antérieurs admissibles pour la ment 6 Châteaulin et 6 Audierùe, Ub6 Quelle^ dentiste« rue Kéréon, qu'il avait
connaissance du service du contrôle, i«fi lu
émotion considérable.
teuté de Cattbrioler de façon plus maritime Jean-Louis KârOurédan* de Poul- priant de prendre toutes mesures util. »
Les suggestions que je viens de retraite, t r a i t e m e n t s de 14 000 6 36.000 fr,
bréhen, en Plozévet,
On prétend que des tnarœuvrrs fltil-aiebt sérieuse.
présenter sont simples et me parais» plus indemnités, Auctib diplôme exigé«
Un masque a g a i par M. Pierre Hascoét, pour remédier fi cet état de cbOs»s.
été tentées pour essayer de faire revenir
Dans la première affairé, Cueff avait
Indemnités de logement. — Le Ctfflseii
aent évidentes, le le» al formulées en
Ronseiçùements fourni* par 1'« Orienta- Certains tétnoins s u r leurs déclàràtlotis
cultivateur, au vllls^e de Kéristenvet« eb
alloue les tau* suivants, à titre â'tndettt«
ma double qualité dé père de famille tion Ff&fo*0iôttftelie », Petra» mensuelle* pHtoillres bt étouffer l'affaire, ties toe- profité d'ooe absence de Mlle Colliec pour Ploiévet;
péuetrer chei elle. Il s'était emparé, p a r
faite de logement afat instituteur« et Ifattfr
rurale et d'employeur de tnain'd'ttutra «boatiMMui : l à ftftfiM p a r a n .
bàcës atiràifefal tiiétbe été proférée«;
Pie*ét6i
èffractitinj
de tOuS leâ titres et de l'àrgent
Les potmawi
qui d é u r e n t des renseitutrices non logés dans lei écoles i
agricole,
froUè n'éprtttitobS, 6e«eâ, aUfcUri àlltaft CdntebUS dans uti coffret; toute Sa f o r t u n e ,
6 t i a t è l l frtfcàioijiat. — Compte ïetidu
gnements ont l'an dtifl ampim 6â coaedur«
Indemnité de 1.000 franCs potir les KrtllJ
l e l e s a i f o r m u l é e s parce q u ' e l l e s cl-dtttSJMI 0« m «fi essttigù qùelcànqfcût èjtôclal h ctfdiincnter des fails dë Cette
Cueff avait ètâ vu SUr le» lieu* le 6 février de la deruière réunion du Cbiiseil Munici- tuteurs et institutrices mâriéS ; indemnité
toe paraissent s u s c e p t i b l e s d e donner pflflfeiit rtdttMttr fis tibifa part à St. H o * feature et fiOùè ho Vôbiohn pOibt introduire 1938. Mlle COIliec aVait pris la sage p r é - pal de Ploéétct qui S'eût tenue bOuo la pré» de 750 fratics pdur les instituteur« èt initi-:
t u nouveau r é g i m e d e s allocations devllH diraeiflaf-^ffitit de * L'ONeutatitta là M i l i e u « UBbS dès Question« bfl ell« n ' t caution dë bbter le» butoôros de seâ titres SidebCë de M. Albert Le Bail.
tutrlceé CéllbatfiirèS,
Profesctonnello »,
f « e Jterbëtifj Parla que faire.
èt aVait pu fairb lmtaédlateMent une bpptifamiliales l e climat habitable qui lui
École
de
gnr(jons.
—
M.
le
faalrë
àOUttièt
Expropriation deà ieMÎtiH
dë fcoàk
S«), qoi leur répondra « titre absoiement
Mais II fatidrfi qiiri ibuiè le luftiérë Mil èitib'ti.
ati CObScil municipal tthe ilote de M. l'ini- Niion. - L'exprOprlation dé cès t e i - M u i
m a n q u e actuellemedt«
gradées.
Quelques jours après, bh apprenait qu<* peftteùr d'Académie, ctfnCerbabt Utie prO- s^afat été prô'nb'nCéë poctr ëatuè «'Milité
Pendant vingt ans, J'ai
l e . Joindre «n timbro da 0 fr. Ü0 et n e p u 'alto èt hbUS àvoca (ihb itHiki gràbdtl COU..
.pratiqué
,
fiance eb Ifl juttice pour être ceHainô Cuiff avait vebdu de* titres irappés d'Op- pofiltiott de trabeformatiOti dû pebSiOriual publique (travail* de ssptâtftfn d'fcaoy. ÎH
m é t i e r d e s c h a m p s j l e d u r M é t i e r q u i " « C i a r d o maatlotiaer : en qnallté de lee* qu'elle fora lout stm devoir d&M nue position et avait emprunté sur d i u t r e d
de l'école des garjjddft eh r é f l e : le ftbfiseli, conseil fixe le mOnlafat ttè l'indi innltif
(tiártyttü l è plus s o n h o m m e .
'®f,,Jj* »
». ne Klle-Préion, t «bielttt sâréKté*
Jtres,
après en avoir délibéré, décide le M A 1 J t t œ m
IWàrtki»
À eMt$ génènm
'
Î ï e n q u é t e révélait eii Outre a u s C M lien do 1b situation {tomellf,
loram« de 18tooo f f M ç s ,
*
RÉPUBLICAINS I
à la L i b t a i r i u U l q a e
7 , m a Elia-Fréron — Qalmpor
QUIMPER
Au groupe h Défense laïque
EN ESPAGNE
Concours am' Fonctions PoMijoes
d'éviction
«p
LG
Le Conseil se réunit ensuite en comijg
secret, p o u r examiner diverses demandes
d'assistance.
Briec
O b a è q n a a . — Hier ont eu lieu, A Briec
l e s o b s è q u e s d e M. E t i e n n e C a r i o u , instit u t e u r h o n o r a i r e , d é c é d é le 21 févri« r , t
l ' â g e d e 69 a n s .
E i a ile douloureuse circonstance, nous
a d r e s s o n s à la f a m i l l e d u r « g r e t t é d i s p a r u
nos bien sincères condoléances.
Moôlan-sur-Mer
B a l d » Oélibatairaa. — Un g r o u p e de
célibataires moiilannais a décidé d ' o r g m i
s e r u n g r a n d bal, au profit d e s œ u v r e s de
b i e n f a i s a n c e d e la c o m m u n e , d i m a n c h e
p r o c h a i n 26 f é v r i e r .
La s a l l e C o r o l l e r , d e K e r m a r é c h a l , a é t é
r e t e n u e à c e t e f f e t , et le c o m i t é s'est a s s u r é
p o u r la c i r c o n s t a n c e , d ' u n o r c h e s t r e d e
premier ordre.
R i o o a p w « * - — On connaît. la c o u r a g e u s e a t t i t u d e d e n o i r e c o n c i t o y e n , M.
S é b a s t i - n Boz-'C. q u i s<- j - t a d a n s « l ' A u l n e »,
a u s e c o u r s d e M m e Le B r u n , d e la G r a n d e r u e , e t q u ' i l a r r a c h a il u n e m o r t c e r t a i n e .
Ce t r a i t d e b r a v o u r e e s t d ' a u t a n t p l u s
m é r i t o i r e q u e M. B o z e c e s t u n i j a m b i s t e .
La f o n d a t i o n C a r n é g i e v i e n t d ' e n c o n s a c r e r la v a l e u r e n d é c e r n a n t à M. B o z e c un
d i p l ô m e H u n e s o m m e d e 300 f r a n c s .
Elle a é m i s n o t a m m e n t l'avis q u e l ' a l l o cation d'indemnités au litre de calamités
agricoles, indemnitésforcément très faibles
en raison du n o m b r e dos siui-trés et de
l'importance des dégftts, ne r é p o n d r a i t pas
au b u t poursuivi et qu'il était infiniment
p r é f é r a b l e d ' a i d e r les é l e v e u r s à s e p r o c u r e r , d a n s les m e i l l e u r s c o n d i l i o a s p o s s i
bles, les m a t i è r e s a l i m e n t a i r e s d o n t ils v o n t
avoir besoin.
sauce à la tomate.
Il e s t p r o b a b l e , p a r a i l l e u r s , q u e d e s
r é d u c t i o n s s e r o n t d e m a n d é e s e n ce q u i
c o n c e r n e 1h t r a n s p o r t d u f o i n e t d e la
paillo n é c e s s a i r e s p o u r c o m b l e r le d é f i c i t ,
ainsi q u e d e s e n g r a i s d o u t u n e m p l o i
i n t e n s i f i é va se r e c o m m a n d e r b i e n t ô t p o u r
a c t i v e r la v é g é t a t i o n d e s p r a i r i e s e t d e s
plantes fourragères.
X
*
—
Le c o m i t é c h a ' g S d e l ' o r g a n i s a t i o . d la k r m e s s e d e s é c o l e s p u b l i q u e s d e L h ô t e s u l i n a fixé a u d i m a n c h e
2b j u i n p r o c h a i n C !te j o u r n é e d e f ê t e et d e
bienfaisance.
— M B —
gr T - g j B »
Il e s t p o s s i b l e e n f i n q u e l ' I n t e n d a n c e
p r o c è d e à d e s a c h a t s d e b é t a i l en v u e d e
la f a b r i c a t i o n d e c o n s e r v e s d e v i a n d e .
Nous profilons de cette occasion pour
r a p p e l e r à tous éleveurs qu'il est p o u r eux
du plus g r a n d iutéiét de ne pas laisser
d é p é r i r l e u r s a n i m a u x s'ils v e u l e n t e n r e t i r e r , u n e f o i s r e v e n u s les b e a u x j o u r s , le
m a x i m u m do b é n é f i c e s . E n p a r t i c u l i e r ,
nous leur conseillons vivement l'emploi du
b l é d é n a t u r é d o n t la v a l e u r a l i m e n t a i r e
n e le c è d e en r i e n à celle d e s m e i l l e u r s
t o u r t e a u x et d o n t l'utilisation r a i s o n n é e ne
comporte aucune contre-indication.
CITOYEN
Organe hebdomadaire
de Défense laïque et d'Action républicain»
• u u u mi l a y r h i a r U i
7, Hue Elit-Friron — QUIMPBR(Finistère
T é l é p h o n e 86
C h è q u e p o s t a l n» 142-70, N a n t e s .
Finistère et départements
'rophes
•••mei d é p a r t e m e n t s
lait.
N o u s n e s a v o n s p a s e n c o r e les m e s u r e s
q u i s e r o n t p r i s e s , tuais il e s t à p r é s u m e r
q u ' u n e f f o r t financier, v e n a n t s ' a j o u t e r à
c e l u i q u i a d é j à é t é c o n s e n t i p a r 1 Oillce
national interprofessionnel du blé, sera
f a i t p a r le G o u v e r n e m e n t p o u r q u e les
é l e v t u r s puisseut a c q u é r i r , ô d t s prix
a b o r d u b l e s , le b l é q u ' o n d é n a t u r e a c t u e l l e m e n t e n v u e d e la r é s o r p t i o n d e s e x c é dents.
CHATEACLIN
LE
a s i é g é il y a q u e l q u e s j o u r s d a n s le F i n i s t è r e , à l a q u e l l e a s s i s t a i e n t les r e p r é s e n t a n t s
des principaux groupements
agricoles.
Cette Commission, après avoir approxim a t i v e m e n t é v a l u é les d é p ù t s c a u s é s a u x
d i f f é r e n t e s c u l t u r e s f o u r r a g è r e s p a r les
g e l é e s d o d é c e m b r e e t les q u a n t i t é s d'ali
m e n t s du bétail qui seraient nécessaires
p o u r a t t e n d r e les f o u r r a g e s d e p r i n t e m p s ,
a é m i s u n c e r t a i n n o m b r e do s u g g e s t i o n s
q u e M. Mélox n o m a n q u e r a p a s d e t r a n s mettre au Ministère de l'Agriculture.
limifr.
20 f r .
N o u s n o u s m e t t o n s d ' a i l l e u r s à la d i s p o s i t i o n d e t o n t e s les p e r s o n n e s q u i n o u s e n
f e r o n t la d e m a n d e , p o u r l e u r a d r e s s e r u n
Joaiciaires on autres.,
la l i g n e , 3 flr. 10 e x e m p l a i r o d ' u n e p e t i t e b r o c h u r e é d i t é e
Le» a n n o n c e s d o i v e n t ê t r e a d r e s s é e s a c à ce s u j e t p a r 1 Oilice n a t i o n a l d u Blé.
E n f i n , d i s o n s q u e les C a i s s e s d e c r é d i t
Tit'is .!>rd le m e r c r e d i m a t i n .
agricole ont été spécialement invitées à
><• .r totit renteignement», Joindre un Itmkr-v e n i r e n a i d e a u x a g r i c u l t e u r s e n m e t t a n t
nnnr In rinOU**
à leur disposition, sous forme de prêts à
c o u r t t e r m e , les s o m m e s n é c e s s a i r e s à
leurs achats d'aliments et d'engrais.
G. P E R R A U L T ,
Directeur dos Services agricoles.
L a Disotta Fourragère
macaroni
deux
cuit
possédez,
débarrassé
cents
à
Beurrez
le
de
coupé
en
un moule droit,
chapelure,
la
l'eau
L o u i s - H é m o n , Q u i m p e r ; M" Q u é i n -
que
nec, avoué, r u e du Palais, Q u i m p e r ;
au
heure,
pendant
démoulez
VENTE PARLICITATION
saupoudrez-
r e m p l i s s e le
Faites cuire au
bain-marie
M° F a t r a s , n o t a i r e à T r é g u n c .
peau.
avec
votre préparation bien assaisonnée
sel et poivre.
four et
une
E n l ' é t u d e et p a r le m i n i s t è r e
en
grande
et servez avec
de
M" F a t r a s ,
Trégunc
Trégunc
au lieu dit « Kerouiny »
et
U n e belle propriété rurale
c o m p r e n a n t : Maison
d'habitation,
grenier, couverte en
Renseignements utiles
à
En la c o m m u n e de
une
C'est profitant
notaire
Le Vendredi 3 Mars 1939, à 15 heures
bon.
avec
ardoises.
Divers b â l i m e n t s d'exploitation, cour,
Remise à neuf d'un pinceau desséché
sol, àire, issues, jardins, terres labou-
Quand un pinceau a servi à étendre
Le t o u t c a d a s t r é s e c t i o n G, n 0 ' 9 0 9 p ,
de
la
peinture
poils
à
l'huile
et
que
les
se sont collés les u n s a p r è s les
a u t r e s , on lui r e n d sa s o u p l e s s e en le
laissant t r e m p e r pendant
heures
dans
thine ou
vingt-quatre
de l'tssence de
dans
térében-
de l'ammoniaque
pen-
dant quelques instants.
r a b l e s et prairies.
Comme toujours, voyez...
9 4 0 , 9 4 1 , 9 4 4 , 9 o 0 , 9 5 6 , 9 5 7 , 9G0, 9 6 3 ,
C h e s
CAOUTCHOUC
G E O R G E S
993,
1000,
1006,
1001,
1007,
1002,
1008,
1009,
1003,
1005,
1010,
1012,
1016 p, 1024, 1025, 1027, 1028, 1029,
1049,
1068 p,
1070 p,
1081,
1085,
1086,
1087,
1100,
1103,
1104,
1110,
1114,
1030,
1031,
1123,
contenance totale
La CUISINE ELECTRIQUE est ECONOMIQUE
1072,
de
¿rfice aux tarifs réduits de
L E B O N
vingt-
quatre hectares, soixante-quatorze ares,
q u a t r e - v i n g t six c e n t i a r e s , ci : 2 4
Droit
80, Rue Jean-Jaurès, 80
Q U I M P E R
indivis
d a n s les étangs « Loc'h-
a r V r e i g n », p o r t é s a u p l a n
cadastral
de ladite c o m m u n e sous les
numéros
P o u r
9 1 2 , 1 0 6 7 e t 1 0 6 9 d e l a s e c t i o n G.
Droit
A K K f t l V C X f t
indivis
dans un placitre
lavoir n o m m é
Pour vot timbres en oaoutohouo et eu ouivre, adressez-vom
à / ' I m p r i m e r i e B r e t o n n e d u « C i t o y e n ».
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exécuté
rapidement
et à det
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modéré».
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plan cadastral
v o s
b e s o i n s
de la m ê m e
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Maison
com-
à prix
privé.
Vaste bâtiment
entouré
de
terrain et p o u v a n t servir
d'usine.
S'adresser au journal.
«Feune h o m m e , libéré service
militaire, demande place comptabledactylo.
160.000
A
PAR
En la Mairie
récoltes de
de
terre
vos
et
de
:
choux-lleurs,
oignons,
ca-
etc.,
faites des
propositions
légumes
pommes
vendre
à
p r o d u i t s d u sol, 12, a v e n u e d e
EN
LA
d'une auto con-
M.
Coublant,
13,
cité
Quimpcr.
VOLONTAIRE
D'AUDIERNE
Premier lot
d'habitation,
n°
25,
rue
ayant
4
Louis-
pièces
T L
au
chacun,
grenier ;
10 c e n t i a r e s . E a u ,
contenant
1
are
électricité.
Seuls, les appareils d e radio ultrasensibles "G. Marconi" v o u s apporteront cet ensemble d'informations
et de distraction^
Mise à prix : 65.000 f r a n c s .
Deuxième lot
BertlnTot,
n°
12,
chaussée
une
garagè
deux
;
rue
ayant
entrée,
étages
Marcellinau
une
n e s t facile d e v o u s e n rendre
c o m p t e , sans frais pour v o u s : déc o u p e z le bon ci-dessous e t adressezle &
rez-de-
pièce,
ayant
un
chacun
d e u x pièces et u n c a b i n e t ; g r e n i e r ;
contenant 60 centiares.
KERVELLA
ZX. W O L F ,
Electricité.
M .
A Tendre à l'Amiable
Recettes de cuisine
E n voici un, avec le pain
étages
Ayez un reste de poisson sans arête
Faites
avec
colin,
une
du
sauce
Feuilleton du « Citoyen », Quimper
de
industriel
ou
chemin
pourrait
de
pépiniériste,
béchamel
épaisse
Pour tous renseignements,
ser au Notaire.
de
la farine et
du
— N» 46
FËBVÎIË
htoH, d ' ê t r e Canonisé.
Le q u a t r i è m e f r è r e d e s a i n t J u d i e a ë l ,
n o m m é Iloel, j e u n e prince
fougnou*
et
nyunl. le feu d a n s la l é l e , bien d i f f é r e n t
d ' h u m e u r s et d e m œ u r s d e s e s t r o i s a u t r e s
f r è r e s , saillis J u d i e a è l , J o s s e e t NVlnokh,
luisait sa d e m e u r e o r d i n a i r e en u n m a n o i r
j o i g n a n t le m o n a s t è r e d e Gnt'l, f o u l a n t e t
o p p r e s s a n t le» p a y s a n s p a r s e s e x a c t i o n s
et violences, t ' n de ses serviteurs n'ayant
p e u t - ê t r e v o u l u e x é c u t e r q u e l q u e sien
i n i q u e c o m m a n d e m e n t , ou p o u r q u e l q u e
a u t r e r a i s o n , é t a n t t o m b é e n d i s g r â c e , l'ut,
pur son c o m m a n d e m e n t , «erré prisonnier
et d é t e n u c n u n e b a s s e ÎoksC, e t In t o u r m e n t é d ' a u l r e s peines, d e sorte qu'à peu
q u e ce p a u v r e h o m m e n e p e r d i t p a t i e n c e .
8(rint Méert,' v i s i t a n t u n J o u r les c e l l u l e s
d e ' s e s r e l i g i e u x , e n t e n d i t les c r i s et l a m e n t a t i o n » d e ce p a u v r e c a p t i f , e t , s ' é t a n t
e n q u l s , il lui f u t d i t q u e c ' é t a i t ut)
pauvre
homme
q u e le p r i n c e
Iloèl
t e n a i t a u x f e r s . I n c o n t i n e n t , il d é p é c h a
d e u x de ses moines p o u r aller, cn son
n o m , I n t e r c é d e r p o u r ce p u u v r c h o m m e e t
s u p p l i e r le p r i n c e d e le m e t t r e e n l i b e r t é ,
Les moines y allèrent, mais
t a i n , c a r il
n e leUr f u t J d m n i s pOsRlbH d e fléfchir lë
ecettr t<hs(lrié du ce printibi S o i n t Méen*
t s y a h t bel«, se m i t en p r i è r e , s u p p l i a n t
tfieu d ' a v o i r p i t i é d e t e p i i ù v r e h o m m e e t ,
î M i t * w p o u r p r e t e r m i n é e , m u bas m iftbbrltihcM, fin pi'iferd a i i h ë t é S , c e t h o m m e
à a t i W ë t e t , r e c e v a n t h u m b l e m e n t l ' h a b i t f u t , p a r lb m i n i s t è r e d'Un ahgti, d é l i v r é dft
m«rtflfcal, p a s s a iti ffeitfc db àbà j b h f t Uutls la p r i s o n e t vint nu m o n a s t è r e r e m e r c i e r
8b fHtfrfaMètë, jfc'qiifc'l étàHt é t t f i i t fct H l i r t f u * .Oifeii et Sailli Méfen e t se j e t e r ëti itaiitfWW
t « fjiùsiëUrff iië'u*< ii lit à u p e n t e r et e n t r e s e s b r a § :
i f o è l , entfc'ndaHt tjliti sdri pr'iitrtlfliët'
ïépatbr éb pWn dti Millé, f a/itibiàtii dfc'
é
t
a
i t é b h u p p é e t q u ' i l ê'eiail jeti? d a n s lt>
W d f l d i fotb'rilifi Bt II f téijUl fe'tt Ifciie suliicbf«tnfi en lift liftil
«J à »
fwtC t!t b e t à f i l l M tjù'll ftéritti, ù M s &«
fer
convenir
même.
pac Yves LE
1
ligne
morue
u . . .
Albert Le Grand)
la
40 ares
lotte,
beurre,
dant
Quimper-Brest,
poisson Napolitain :
comme
U n b e a u Champ de terre
labourable et fruitiers, borde
à
contenant
environ.
rue
ayant
Marcellinau
deux pièces
grenier ; contenant
Quimper.
Concarneau.
rez-de-
et d e u x pièces,
de chacun
cabinet,
tiares.
à Ty-Rivoal
de
14,
chaussée entrée
E N LA C O M M U N E D E K E H F E U N T E U N
Pdté de poisson Napolitain
n°
HEXjXjXO,
en inscrivant votre n o m e t votre
adresse au dos de l'enveloppe.
Troisième lot
Maison d'habitation,
êleâ mciLme... d exigeant.
vous voulez être an courant d e
t o u t e s les opinions, d e t o u t e s les
formes de l'activité humaine, de
tous les visages de la musique.
rez-de-chaussée, 2 étages de 5 pièces
Berthelot,
marché.
QUIMPER
d'Audierne
VILLE
^Vendée).
notaire, 3, rue de Kergariou, (Juimper.
re-
à
Le Vendredi 3 Mars 1939
à 14 h. 30
Pasteur,
: pour
E t u d e d e Me Jean
bon
LE
francs
Mise à prix : 4 5 . 0 0 0 f r a n c s .
et
U t e r i «
VEiNDKE
ADJUDICATION
Maison
La Ruche, Pontigou,
copieux
et
E t u d e s d e Me B I O U , n o t a i r e à P o n t C r o i x , e t d e M* Y v e s K E R D R A O N ,
notaire à Audierne.
— S'adresser au journal.
état général :
plats
B r o d e r i e
fixée p a r
le T r i b u n a l
A v e n d r e , à l'amiable, abattoir
duite intérieure 6-7 chevaux, très b o n
les
"Y.
4, rue Elie-Fréron,
m u n e s o u s l e n° 1 0 0 4 d e l a s e c t i o n G.
Mise
M e r o e r i e ,
adressez-vous
avec
» porté
d e
place stable. — S adresser au journal.
S u i s acheteur
TMWtes l e s m a l t r e s s e s d e m a i s o n
O"
G o r z i o u », « L o c ' h - a r - G u e r » e t « L o c ' h -
Maison d'habitalion,
cherchent
«te
ha.,
74 a., 86 ca.
D
-:-
NATIONALE
967, 968, 969, 980, 981, 982, 985, 986,
pour une
VÊTEMENTS
LOTERIE
910 p, 911 p, 921, 925, 927, 929, 938,
1034,
'T-t
LES
elêà^ voPie
chance
E t u d e s d e M0 B o u r d a i s , a v o u é , 3 , r u e
morceaux,
d e s a r ê t e s et d e
l a G a r e , Les Sables-d'Olonne
spéciale
sentent en pratique. Epris d'un désir de
servir Dieu en é t a t d e religion, é t a n t d e
M o u r d e la guerre de France, le chef o r n é
d e lauriers è't lès m a i n s c h a r g é e s db
palmés, foulant aux p i e d s lu victoire
mémo, il s'en tint au monastère de o a e l ,
vous
Ty-Breiz,
Cette situation a l a r m a n t e de l'élevage
n'a pas m a n q u é d ' i n q u i é t e r un certain
n o m b r e d e Parlementaires qui ont alerté
M. le M i n i s t r e d e l ' A g r i c u l t u r e et lui o n t
d e m a n d é d'étudier les m e s u r e s qui p o u r r a i e n t être prises p o u r venir en aide aux
sinistrés.
Une enquête a été immédiatement presc r i t e , d o n t a é t é c h a r g é M. Mélox, i n s p e c t e u r d ' A g r i c u l t u r e d e la r é g i o n d e l ' O u u s t ,
et d e s r é u n i o n s o n t e n lieu d a n s t o u s l e s
départements intéressés.
S a i n t Méen a v e r t i d e c e l a , p l e i n d « foi,
se p r o s t e r n a Cn o r u i s o n , (in I n q u e l l e il
p r i a Dieu d e l e u r d o n n e r d e l ' e a u , e t ,
» ' é t a n t levé, Il ficha son b o u r d o n e n t e r r e ,
l e q u e l r e t i r a n t , Il fit j a i l l i r u n e s o u r c e
d ' e n u vive, l a q u e l l e se voit e n c o r e m a i n t e n a n t e t e s t fort r e n o m m é e p o u r la v e r t u
qu'elle n de guérir d'une maladie, n o m m é e
p a r les m é d e c i n s « P r o s a » e t p a r le
v u l g a i r e le «< inal d e s u i n t M é e n », q u i est
u n e forte g a l l e ou r o g n e , q u i r o n g e j u s q u e s
DU* o s . Le m o n a s t è r e , f a i t e t p a r f a i t , l'ut
d é d i é en l ' h o n n e u r d u glorieux p r é c u r s e u r
saint Jeafi-Bnpliste, d u q u e l ces bons pères
se p r o p o s a i e n t i m i t e r e t le zèle e t l ' a u s t é r i t é . La r e n o m m é e d e la s a i n t e vie q u e
m e n a i e n t ct?s b o n s r e l i g i e u x étant r é p a n d u e
p a r t o u t e la c o n t r é e , g r a n d n o m b r e d e
J e u n e s gens, t a n t n o b l e s q u ' a u t r e s , y
a b o r d è r e n t , d é s i r e u x d e Vivre s o u s la r è g l e
et d i s c i p l i n e d e s a i n t M é e n j e n t r e a u t r e s
Judicacl, roi de Brelagnc-Armorique, ne
p o u v a i t se rassasie!" d e s b o n n e s et s a i n t e s
I n s t r u c t i o n s d e Saint M é e n , l e s q u e l l e s II
e n t e n d a i t t r è s v o l o n t i e r s et m e t t a i t s o i g n e u -
de
œufs,
salée, b i e n égoutté, et le poisson
rottes,
Les dégâts causés aux cultures fourrag è r e s p a r les g » l é e s d e d é c o m b r e o n t p r i s ,
d a n s c e r t a i n s d é p a r t e m e n t s d e la r é g i o n
de l'Ouest, l'allure d'une véritable catast r o p h e . E t s'il n ' e n e s t p a s t o u t ô f a i t
a i n s i d a n s le F i n i s t è r e , il n ' e n r e s t e p a s
m o i n s vrai q u e l'alimentation du bétail
s ' a v è r e c o m m e d e v a n t ê t r e , p e n d a n t 1< s
m o i s q u i v o n t s u i v r e , e x t r ê m e m e n t difficile, é t a n t d o n n é q u e les r é s e r v e s d e f o i n ,
p e u i m p o r t a n t e s p a r s u i t e d e la s é c h e r e s s e
anormale du printémps dernier, commencent partout à s'épuiser.
(ttapfèt
grammes
deux
Cultivateurs
Questions Agricoles
C'est ainsi q u ' u n e Commission
Ajoutez
CITOYEN
deux
et
60
un
BON
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d ' u n a p p a r e i l "G. M a r c o n i "
à m o n domicile, sans aucun
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thelot,
Marcellin-Ber-
d'une contenance de 4 ares 80
centiares.
Bel
emplacement
à
bâiir.
Mise à prix : 40.000 francs.
s'adres-
Pour
tous
renseignements
s'adres-
ser euxdits Notaires.
f r a n c h i s e , d é p ê c h a p r o m p l e m e n t v e r s s o i n t d o n t q u i lui é t a i t a r r i v é e t la s u p p l i e r d e
M é e n , le s o t n m u n t d e lui r e n d r e son p r i s o n - p r e n d r e lu p e i n e d e l i v e n i r voii\ Le s a i n t
n i e r , Le s a i n t a b b é s ' e n e x c u s n h o n n ê t e - a b b é , a y a n t su cet a c c i d e n t , v i n t v o i r l l o e l ,
m e n t , d i s a n t qu'il n e p o u v a i t l i v r e r e n t r e I c j r é p r i t a i g r e m e n t d e st's d é p a r t e m e n t s
s e s m a i n s un p a u v r e h o m m e q u i s'étnil p d s s é s , l ' e x h o r t a n t à e n d e m a n d e r p a r d o n
J e t é e n f r n n c h i s e d a n s son m o n a s t è r e , ¡1 Dieu e t e n d u r e r p a t i e m m e n t c e l t e a 111 le«
c o m m e e n lieu s a i n t e t p r i v i l é g i é . C e p e n - l i o n , bien p e t i t e au p r i x d e ee q u e se»
d a n t il t a c h a ce p a u v r e h o m m e d a n s •péchés m é r i t a i e n t . Il l'excita /i u n e v r a i e
l'église, p e n s a n t q u e Hoel n e l'en t i r e r a i t e d n l r i l i o i l , l ' e n t e n d i t d e c o n f e s s i o n , lui
p a r force j m a i s il en a d v i n t l o u t a u t r e - a d m i n i s t r a les o u t r e s s a c r e m e n t s e t le
m e n t , c a r le p r i n c e , a y a n t e n t e n d u la d i s p o s a h la m o r t , l a q u e l l e l ' e m p o r t a le
r é p o n s e d u s a i n t e t ne s'en t e n a n t s a t i s f a i t , t r o i s i è m e j o u r , c o m m e le s a i n t lui avait
v i n t au m o n a s t è r e , t o u t b o u i l l a n t d e c o l è r e , p r é d i t ,
m i t la p o r t e d e l'église c n p i è c e s , cn tira
A y a n t m i s fin à l'édifice, t a n t m a t é r i e l
ce p a u v r e h o m m e , collé a u x p i e d s d u q u e s p i r i t u e l , d e s o n m o n a s t è r e , v o y a n t
g r a n d a u t e l , le mil. h o r s
v i o l e m m e n t , t o u t e n b o n o r d r e , lo d i s c i p l i n e r é g u l i è r e
n o n o b s t a n t les h u m b l e s p r i è r e s d e s a i n t en v i g u e u r e t le p a y s i n s t r u i t p a r s e s reliM é e n e t do s e s m o i n e s , l e s q u e l s , n ' e n p o u - g i e u x , il r é s o l u t d e f a i r e le v o y a g e d e
v a n t t i r e r a u t r e c h o s e , e x h o r t a i e n t ce Moine p o u r v i s i t e r les s é p u l c r e s
des
p a u v r e h o m m e ù la p a t i e n c e e t q u e , d a n s p r i n c e » do» a p ô t r e s , s a i n t P i e r r e e t s a i n t
p e u d e t e m p s , il s e r a i t a f f r a n c h i . E l . s a i n t ! l'util e t los a u t r e s saint» lieux q u i s o n t ,
M é e n s ' a d r e s s a n t ù HoCl lui d i t d ' u n Ion , t a n t d e d a n s q u e h o r s les m u r » d e c e t t e
p r o p h é t i q u e ; « (Ju'il p e n s â t b i e n û sa s a i n l c c i t é . 11 p r i t d o n c c o n g é d e s e s
c o n s c i e n c e e t qu'il c o m m e n ç â t
f a i r e .religieux, d e s q u e l s en a y a n t choisi q u c l p é n i t e n c e , p a r c e q u e d a n s t r o i s J o u r s II qtie«-UH», nc m i t e n c h e m i n , f a i s a n t p a r t o u t
m o u r r a i t et f a u d r a i t r e n d r e c o m p l u an «it II p a s s a i t do g r a n d s m i r a c l e s . S ' e n
J u g e s o u v e r a i n »,
,^lijmt p a r A n g e r s , il f u t p r i é d e p r ê c h e r
Ce j e u n e folâtre, OJ'tint cela, ne p r i t ' ih en!lu g r a n d e é g l i s e , ce qu'il fit a v e c g r a n d
r i r e h g o r g e d é p l o y é e e t se m o q u e r d u suinl a p p l a u d i s s e m e n t e t é d i f i c a t i o n de» a u d i u b b é et d e s e s p r é d i c t i o n s c o m m e d e s r ê v e - t e u r s .
rie» d e q u e l q u e vieil r a d o t e u r , p u i s m o n t a ,
lin c e t t e ville, u n e b o n n e d a m e , m u e d u
ii c h e v a l , s'en r e t o u r n a , r a m e n a n t son p r i - r é c i t q u ' e l l e uvuit ouï f a i r e d e sa s a i n t e t é
s o n n i e r , bien r é s o l u do lui f a i r e r e s s e n t i r e t d e s m i r a c l e s q u e Dieu a v a i t o p é r é s p a r
les e f f e t s d e sa r a g e . Mais Dieu a r r ê t a bien lui, k v i n t t r o u v e r e t le s u p p l i a d e lu votl-^
ses fougues, car, c o m m e n arrivait devant loir délivrer des d o m m a g e s qu'elle recele p o r t a i l d e son m a n o i r , il p i q u a »on vait d ' u n h o r r i b l e d r a g o n , l e q u e l avait »a
bhtirul p o u r lui d o n n e r c a r r i è r e , l e q u e l , r e t r a i t a o r d i n a i r e e n uu p e t i t b o c c a g e s i t u é
d ' u n e r u u d c , j e t t e s o n h o m m e b u s e t lui uu p l u s b e a u e t f e r t i l e e n d r o i t d e s e s t e r r e s ,
r o m p t u n e c u i s s e , lu s e c o u r e a y a n t élii l e s q u e l l e s , c r a i n t e d e c e l t e h o r r i b l e b ê l e ,
si r u d e (pi'il e h û l ü la r e n v e r s e , t o u t b r i s é d e m e u r a i e n t i n f r u c t u e u s e s e t v a g u e s , p e r e t m o u l u . L o r s , r e v e n a n t ù soi et se s o u v e - s o n n e n ' o s a n t en a p p r o c h e r , d e t t e d ô m e
Uatii d e ce q ü c s a i n t M é e n lui a t o l l p r é d i t , é t a i t fort v e r t u e u s e e t d e s a i n t e vie i k
le t o i l a au t e p e n l i f • il se foit b o r i e r e n l u t j u e l l e le s a i n t p r o m i t t o u t c o n t e n t e m e n t .
s t m m a n o i r et e o u t i h e r d a n s boh Í!l¡ d é l i r e Ce s e r p e n t avutl sa c a v e r n e en un d é t r o i t
stm p m w m i i e i ' e t le s u p p l i e , à ( o i n t e s q u i e s l p r è s l ' a b b a y e d e s a i n t F l o r e n t , s u r
malas, d'aller au m u n a s l t o e t p r i e r s u i n t le l i o r d d s lu rivions d o L u i r e , S a i n t M é e n
U m t tlti lid j/RNtottjjfci', lili M í t ü ' l e i ' j'yüüi'
lit u i v a u r | mai« »«tt g u i d w e t lu p e u p l o
q u i le suivait p o u r v o i r l'issue d e l'affaire,
A y a n t dit cela, il d e m a n d a à r e c e v o i r
é t a n t a r r i v é s à v u e d u lietl, le lui m o n - l ' E x t r é m e - O n c t i o n ; p u i s , r a v i e n u n e
t r è r e n t d u d o i g t , n ' o s a n t c n a p p r o c h e r p l u s p r o f o n d e c o n t e m p l a t i o n , les y e u x , le c o e u r
p r è s . Le s a i n t a b b é fléchi) los g e n o u x e n e t les m a i n s é l e v é s e n D i e u , il r e n d i t s o n
t e r r e et, a y a n t f a i t fit p r i è r o h Dieu et g l o r i e u x e s p r i t è s - m a i n * d e s o n c r é a t e u r l e
c é l é b r é la »ointe m o s s e on l'église p r o - v i n g t - u n i è m e j u i n , e n v i r o n l ' a n d e s a l u t
c h a i n e , »'on alla d r o i t h la c a v e r n e d u six cent s o i x a n t e e t c i n q , r é g n a n t e n n o t r e
d r a g o n e t lui c o m m n n d n d e s o r t i r , ce q u ' i l l i r e l a g n e A l a i n II d u n o m , n e v e u d u r o i
lit i n c o n t i n e n t , é t i n c e l n n l d e s y e u x , l'rois- S a l o m o n , s e c o n d r o i d e s d e u x B r e t a g n e « ,
s n n l la t e r r e d e s e s ('railles e t f a i s a n t u n h a u t e et b a s s e , r é u n i e s e n u n e t i g e p a r la
s i n i c m e n t si e x t r ê m e m e n t h o r r i b l e , q u e c e s s i o n q u ' e n lit s a i n t J u d i c a t ' l . . .
t o u t le p a y s c i r c o n v o i s i n e n r e t e n t i t , fl
s ' a p p r o c h a d e lui, lui n o u a s o n é t o l e a u
c o u e t le m e n a ainsi, c o m m e u n e b ê t e
d o m e s t i q u e , j u s q u e s s u r le b o r d d o la
L o i r e où il lui c o m m n n d n , d e In p a r t d e
V i e d e S a i n t
M É L A R
D i e u , d e s'y p r é c i p i t e r , ce q u ' i l lit d e v a n t
t o u t le p e u p l e .
Cela fait, il r e v i n t à A n g e r s , o ù t o u t e la
Les histoires de Bretagne nous a p p r e n ville lui alla a u d e v a n t , le r e c e v a n t a v e c
l ' h o n n e u r q u e »a s a i n t e t é e t s e s v e r t u s n e n t q u ' a p r è s la m o r t d ' A l a i n II d u n o m ,
m é r i t a i e n t , et. c e t t e b o n n e d n m e , on r e c o n - s u r n o m m é le « L o n g », o n z i è m e r o i d e
n a i s s a n c e d e ce b i e n f a i t e t p o u r é t e r n e l l e B r e t a g n e - A r m o r i q u e , a d v e n u e l'an 670,
m é m o i r e d e c c m i r a c l e , lui d o n n a c e t t e t e r r e D a n i e l s u r n o m m é « D r e m - R u t z », fils d e
qu'il nvnit p u r g é e d e ce d r a g o n , où il bfttit J e a n , c o m t e d e C o r n o u a i l l e , p a r v i n t à la
u n p r i e u r é d é p e n d a n t d e son a b b a y e d e c o u r o n n e , e t , d e la fille d e l ' e m p e r e u r
Gnt'l, y mil d e s e s r e l i g i e u x e t e n v ê t i t L é o n c e ou L é o n II, e u t d e u x e n f a n t s , l e s
d ' a u t r e s ; p u i s , l ' a y a n t a c c o m p l i , se d i s p o s a p r i n c e s B u d i c e t M a x e n c e . B u d i c p a r t a g e a
avec Macliau, c o m t e
de
il p o u r s u i v r e s o n c h e m i n v e r s R o m e ; m a i s le r o y a u m e
Dieu lui r é v é l a q u ' i l le v o u l a i t r e t i r e r h soi, V a n n e s , e t p r i t p o u r soi le r o y a u m e
p o u r le r é c o m p e n s e r d e sos t r a v a u x , ce D o n i n o n é e n o u d e B a s s e - B r e t a g n e e t e u t
qu'il r a c o n t a à s e s f r è r e s , l e s q u e l s lui c o n - do sa i c m m o . t r o i s fils ; T h é o d o r i c , M é l i a u
s e i l l è r e n t do r e t o u r n e r h Gnèl, p o u r y et R i v o d e .
m o u r i r c h e z sol e t p a r m i s e s f r è r e s . 11 c r u t
(à tuivrt).
leur conseil et revint en son m o n a s t è r e ,
au g r a n d c o n t e n t e m e n t d e s e s r e l i g i e u x .
P e u a p r è s , il t o m b a m a l a d e , et, d a n s
p e u d e j o u r s , f u t si a b a t t u , t a n t h c a u s e do
sa vieillesse q u ' à c a u s e d e s g r a n d e s a u s t é r i t é s , l e s q u e l l e s il avait t o u j o u r s p r a t i q u é e s
s u r son p a u v r e c o r p s , q u ' i l s e n t i t b i e n sa
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fin a p p r o c h e r , H a p p e l a t o u s s e s r e l i g i e u x ,
a u x q u e l s , f o n d a n t c n l a r m e s p r é s d e sa
c o u c h e , il fit u n e g r a v e e t a m o u r o u s e pré-d i c u t i o n , les e x h o r t a n t à le persévéra»«:«,,
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