Mài 6 Septembre 1928
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ânmém).
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Le Numéro 2 5
rr=a.-.tam
Cent«W ì'
paraissant 1« Jaudl
Organe de Concentration
3?Or.XTX<S5tXTB,
ABOttKsoBessrs
:
Fiaistère et départesaemts limitrophes
Autres départeaeats
•
Depuis quatre ans la commission a
beaucoup travaillé.
Elle avait à collaborer à nne grande
œuvro, celle du relèvement de notre
marine cruellement éprouvée par une
guerre où les unités dé toutes catégories
ont accompli leur mission et duré, comme si elles avaient reçu leur part du
lovain mystérieux qui soulevait les Ames
et les maintenait in ce niveau supérieur
qui, par l'ascendant du moral, donne la
victoire sur l'adversaire ou y contribue.
Uue chose digne d'être notée quo
cette propulsion des esprits et des cœars
vers un idéal patriotique élevé !
•
•
•
Le commandant Hubert nous donne
le tableau des bâtiments de guerre pro. prement dits, lancés dans les diverses
marines ou achetés par elles de 1914 k
1922 :
navires
tonnes
Grande-Bretagne.
595
1.174.000
Etats Unis.»
419
873.000
Japon
141
465.500
Italie.,.,
112
69.400
France
40
28.000
Depuis lors, 120 t&liments de guerre
faisant un total de 290.000 tonnes ont
été construits ou mis en chantier dans
nos arsenaux.
Au cours de 1928, 26 vieux bâtiments
ont été condamnés, 25 nouvelles unités
sont entrées en service, 27 ont été mises
en chantier.
En 1928, le tonnage de nos bâtiments
en service dépasse 500.000 tonnes.
Nos bâtiments nouveaux, croiseurs,
ontre-torpilleurs, torpilleurs, sousmarine de haute mer ou cdtiers, égalant
ou surpassent les unités les plus réussios
des marines étrangères.
Nos grands croiseurs Duquesne et
Tourvilte, armés de 203, calibre maximum autorisé par les accords de Washington, tiennont actuellement le record
de la vitesse pour les unités de leur classe; ils filent 35,3 et 35,5 nœuds. Nos
•oua-maiinr, munis de torpilles de 590,
tiennent le record de la puissance.
•
••
Ce renouveau maritime n'est pas un
trompe l'oeil. Non seulement ces unités
nouvelles satisfont par leur silhouette et
la pureté de leurs lignes aux lois de
l'esthétique navale, mais elles ont, au
coure de leurs croisières, voyages ou
manœuvres renouvelées, donné la preuve de leur solidité et de leur endurance,
sans rien perdre de leurs qualités initiales. Le Lamotte Picqust a franchi 29.000
milles ; le Prtmauguet, 23.CÛ0 milles ; le
Duguay Irouin, 19.000 milles ; les
contre-torpilleurs Chacal et Jaguar,
24.000 et 17.000 milles; les torpilleurs
Simoun et lempéte, 21.000 et 15.000
milles ) la sout-marin Souffleur, 14.000
millet.
O O M M B R O I A L
&Z
.
16 frames.
12 ~~
Téléphone 86
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Les Bureau* sont ouvert» do Huit heures i Midi, lo matin, et do Deux heures k Cinq heures, la soir
Adresser toutes coœmunicntiens concernant la Rédaction, l'Administration et l'Imprimerie
à
m. piarrt CUÉQUEH,
M i e t t e s
M.
de la
Semaine
•
L'activité de notre marine s'est ré
véléo au cours des oxercices d'été qui
ont permis d'étudier l'action combinée
de l'aviation et de nos nouveaux bâtiments, Tandis que les sous-marins ne
purent intervenir, l'aviation se montra
particulièrement active et brillante.
Le souci de notre avenir naval nous
commanda de soigner, de polir et de
multiplier cetto arme d'nvenir particulièrement apte à faire ressortir et à
mettre en valeur toutes les qualités des
hommes de notre race.
Le bon état d'une marine OBt un facteur de paix incomparable.
Comme le disait excellemment la ministro de la Marine, M. Georges Liyguis, à la rovue navale du Havre : « elle
assure notre sécurité, garantit la liberté
des routos océaniques, relie le métropole à
ses colonies, resserrent lea liens d'amitié
qui nous unissent aux autres peuplea,
affirme partout notre présence et concourt au maintien de la paix, en participant au maintien de l'ordre et de l'équi.
libre international, »
Gaorgea LE BAIL.
ancien Président de la Commission
de la Marine Militaire,
RÉPUBJCilNS,
il se faudra pas l'oublier !
En maintenant leurs candidats aa deuxième leur, les Bolchevlstes ont fait passer
36 réactionnaires au lieu de 36 radicaux
eu socialistes,
— L'Assemblée Constituante a proclamé Ahmed Zogou roi d'Albanio.
— On a découvert un flotteur qui a
appartenu à l'hydravion de Guilbaud.
On continuora encore les recherchas
pondant quoique» jour*, mais on no conserve guère plus d'espoir de rotrouvar
vivant l'équipage de l'hydravion français.
— Une quaranteiae d'Etats ont actuellement adhéré au pacte bannissant
la guerre.
MOTS DE COMBAT
La
liberté
est
comme
la santé ; on
n'en sent tout le prix que lorsqu'on
la perd.
Voltaire.
L'Or dans le Monde
La France se place immédiatement
après les Etats Unis et l'Angleterre au
point de vue du stock mondial de l'or
(calcul en livres sterling).
Etais-Unis
Angleterre...
Fronce
Japon..
Allemagne
Italie
Hollande
Boîgiquo
Suisse
Suède
Argentine
Etc....
836.175.000
252.238.370
219.815.000
115.535.000
91.270.000
69.181.000
33.038.000
20.530.000
18.682.000
12.675.000
92.915
meurt carbonisé en avion
Un terrible accident d'aviation s'est
produit k Toul dimanche matin.
La berlina do transport O. I. B. A.,
qui deyait mener M. Bokinowiki, ministre du commerce, au meeting aérien
de Clermont Ferrand, a pris feu quelques minutes après avoir quitté le terrain d'aviation, alors qu'elle se trouvait
à 500 mètres de hauteur, au-dessus de
la Croix de Neige.
L'appareil, dans une chute rapide,
vint s'écraser sur la sol et tous ses occupants : lo ministre, lo secrétaire général
do la Compagnie de navigation aérienne, le pilote, le mécanicien 6t le radiotélégraphiste, furônt tués our le coup.
Leurs corps furent complètement carbonisés.
M. Bokanowaki était né au Havre, le
31 coût 1879. Il était donc âgé de 49 ans.
Ce terrible accident a produit une
profonde émotion dans toute la France,
où l'on juge que les catastrophes de ce
genre deviennent vraiment par trop
fréquentes.
Los obsèques de M. Bokanowski ont
eu lieu hier matin, à Paris, aux frais de
l'Etat, le ministre du Commerce ayant
trouvé la mort dans l'exercice de sa
charge.
Suivant la volonté de la famille, aucun
discours n'a été prononcé.
B ^ n o i w M t i & K a s i
La tête méne quelquefois à Charenton ¡mais le cœur, plus souvent, à l'Hôpital.
Chez les répablicaîos-âdmoerates
Déjà X
Le parti démocrate populaire, qui n'a
f&it son apparition à la Chambre que
depuis 1919. et qui no compta que dixneuf membres, est déjà menacé d'un
schisme.
Comma dans toutes les formations
politiques, deux tendances s'y opposent : les anciens et It-s jeunes.
Les anciens suivent los inspirations
des parlementaires, ex-parlementaires
et aspirants parlementaires, MM. Paul
Simoa, Jadé, Balanaut, Thibout, Cornilloau, ainsi que de M, Raymond Laurent, conseiller municipal de Paris.
Loi jaunes reprochent aux ancians de
voir trop étroit, de no pas donner au
groupe toute l'envergure qu'il pourrait
avoir, do se montrer jaloux de leur collègue Chaaipolier de Ribos dont les interventions à la tribune ont été remarquées ot louées môma par M. Poincaré.
Los démocrates populaires se targuent
d'être très à gaucho socialement, mais
beaucoup n'oublient pas, étant Bretons,
qu'ils sont surtout catholiques, et les
anciens reprochent à M. Chsmpatier de
Ribes d'être trop laïque.
< Les jeunes comptent parmi eux M.
Charles Fleury, ancien président des
jeunesses catholiques, gendro du professeur Blondel, MM. Georges Bidault
et Marcel Prélot, deux universitaires
d'avenir qui poussent à gauche et ne
veulent pas quo le parti soit maintenu
à l'état de coterie facilement diaciplinable.
Enfin, il faut compter avec la question de l'autonomisme ; certaines personnalités bretonnes ont approuvé bruyamment les autonomistes alsaciens et
l'abbé Hoagy ; d'autres démocrates
trouvent cette rympathie fâcheuse et
compromettante.
Un prochain congrès verra s'affronter
ces tendances et peut êtro éclater un
schisme.
Cri de Paris.
•^wsssssk.miftmm&mwwmmmmEm
Républicains I AJtiastœoz-woua
au
journal
mi faltmm
von
réclames (3° page)
»
le Ugae
1 t . 98
1 !.7 S
Prix & forfait
pour les Annoncez répétées et traité« de publicité
Antioncet payables
d'avance.
Le» Annonces doivent être adre«séej, au plus tard, le Mardi soir.
Les marins parlent argot dans bien
des perts.
Nous avons pu recueillir quelques
bribes du jargon pittoresque et imagé
du marin boulonnais.
Il dit una guernouille au lieu d'una
grenouille.
Pour dira que le temps va devenir
baau il dit : l'temps y ta btaucir; pour lui
l'Angleterre, c'est l'Ingneneterre ; avoir
un temps sombre, c'est avoir de l'som
breiure ; un charcutier, c'est un coçonnier ; être malmené, c'est avoir des
durtes à souffrir ; un douanier s'appelle
un par roquet d'falaise ; un citoyen Iotj
d'une grande bouche a una « gueule
d'sciau » seau.
Le mot gueule y est en faveur. Ainsi
cite-t-on un dicton d'un sens poétique
assez embryonnaire qui court les rues :
Matelot
Gueule ed'bos
Va-t-en à l'mer
Gueule d'onfer.
Pêquer d'zérings,
Gueule d'tien.
Té les rapport'ras,
Gueule d'eat.
Té les mettras d'sur l'gril,
Gueule d'souris.
Et té les maqueras...
Gueule d'rat.
Et puis, ces mots :
Etre à l'eâte (être ruiné) ; amarrer
s'blague (se taire) ; briquer l'pont avec
sin dos (dormir sur le pont) ; s'en aller
en drive (an dérive) faire la fête ; passer
sa chique à bâbord (mourir) ; être naufraga être gravement malade ; un matalot qui traîne la jambo dit qu'il a :
une xambi naufraxii.
Une figure désagréable est una « figure
d'vint debout)) (de vantdobout); maigre,
une figure « sans viande » ; plate, une
figure d'plaque d'assurance ; laide, ingrate, une figure d ' f e m e l l e d'pou ».
Une vieille matelote, en voyant passer
une dame énorma, s'écrie avec stupeur :
«.Arguetta c'monsse (regardez ce monstre).., Quand on a fait l'tour de e* fliau
là, on a perdu l' mémoire. »
P. S. — Nous prions nos lecteurs de
nous rensoigner sur le jargon das marins
bretons.
BON Q t » T , BOX R * T
Sauf en cas de force majeure, le laie
d'action ne donne
— à• gagner qu'au laie.
Questions administratifs
Le» m a i r e s n e
p e u v e n t r é g l e m e n t e r la v i t e s s e d e s
automobiles en r a s e campagne
Un automobiliste passant sur la route
nationala n* 14, dans la traversée de la
commune de Gainneville (Saine-Inférieure) fût l'objet d'un procès verbal
pour excès de vitesse. Le mairo de
Gainneville avait, an effet, pris un arrêté
interdisant une vitesse supérieure à
30 kilomètres à l'heure, parce que la
routa est bordée de beaucoup d'habitations.
L'Automobile-Club de l'Ouest a fait
plaider, devant le tribunal de simple
police de Montivilliers, l'annulation du
procès-verbal fondée sur l'illégalité da
l'arrêté.
Dans un jugement qui vient d'être
rendu, la jugement de simple police
déclare qu'en effet la procès-verbal na
tient pas, les maires ne pouvant réglementer la vitesse qu'à l'intérieur des
agglomérations. Il précisa qu'il faut
entendre par ca terme « agglomération»,
une réunion continua de maisons bordant l'un et l'autre cdtés da la voie suivie
et donnant l'aspect d'une rue.
Voyage en Zigzags
UN PEUJDE
TOUT
La quête s i l t n c l t u s *
La Démocratie Bretonne des Côiesdu-Nord nous on raconte une bian
bonne.
M. la Curé de Saint-Qaay disait récemment en chaire : a Mes trèr.chers
frères, nous allons faira aujourd'hui un*
quête silencieuse. »
Le pasteur continue « vous ne savet
pas ce que c'est qu'une quête silencieuse 1 Voici. Je na vous apprends rien
en vous disant que le silence est indis*
pensable à la prière et que I9 bruit trouble la recueillemsnt. Eh bian ! la quêta
silencieuse dont je vous parle obvia à
tous ces inconvénients. Plus de pièces
d'un ou de deux sous qui font du bruit
en tombant dans le plat d'étain. Vous
n'avez qu'à mettre des billets de banque
dans le plateau et le recueillement qui
convient à des fidèles dans une église
na sera plus troublé par le bruit scandaleux de la monnaie sonore. Au nom da
Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen.»
Qu'en dites-vous, citoyens. No trouvez-vous pas que ces Messieurs piètres
la connaissent dans les coins ?
Une religion catholique s a n s c u r é s
Le lundi 27 août on a célébré à Pau
les obsèques émouvantes d'an ligueur
d'action française.
L'évêqua de Bayonne fit savoir qu'il
interdisait que ca catholique ait des
obsèques religieuses, parce qu'il était
royaliste.
L'Action Française, qui relata cas
faits, nous apprend qu'on sa passa 4a
curé et que les prières das morts furent
dites par des camarades du défunt at
que les obsèques furent d'une simplicité
que ne connaît plus l'Eglise chrétienne.
Le journal royaliste ajoute :
« Ainsi se déroulèrent ces obsèques
sans prêtre qu'on ne peut appeler vrai»
ment des obsèques civiles, car le recueillement et les prières des assistants y
apportèrent plus de piété qu'on n'en
voit à beaucoup d'enterrements auxquels
l'Eglise accorde ses pompes.,. »
Comme on le voit, si le Papa na dé*
sarme pas, les royalistes tiennent bon,
Kiss ! Kisa !
• m
Gayan af l'aufonomlsma
Quand lo Citoyen vous disait qat les
cléricaux sont partagés entra la désir de
désavouer l'autonomiinn pour se conserver la réputation da bon« français at
celui de so ménager une enclâva séparatiste dans la République pour la eaa
où, dans le duel qui se prépare, la laïcité
viendrait à l'omporter !
Goyen est-il pour ou est-il contra î
En la lisant je dis comme la dindon
de la fable de Florian :
Moi, disait le dindon, je vois bien qnelqna
Mais, je ne sais poar quelle cause [chose.
Je ne distiDgas pas trôs bien.
Nous savions par avance que les cléricaux, pour être sûrs de gagner, jouant sur
las deux tableaux et qu'en parailla ma«
tière il leur est interdit de raisonner
droit et ferme.
Si Goyen était poussé au pied du muret
mis an demeura da choisir entra Rome
et la France, je gage que la Franea ne
pèserait pas lourd pour lui dans la balance. Rome d'abord !
Si la Pape, après avoir adhéré du boni
des dents à la République, revenait de*
main à la Monarchie en invoquant la
maxime de St-Thomas ; Unus rex tanquam sol, un seul roi, un seul soleil, je
gage que la républicain Goyen s'inolint«
rait dans la poussière.
• a•
Emila Combas
La Librtir!« laïque du « Citoyen »
L'Homme Libre écrit sur Emila Com»
livre très rapidement toutes les fournitures scolaires et de bureaux, ainsi bes un fort intéressant article.
que tous les litres classiques et de
La fait est qua la petit père a laissé on
aeafa. bibliothèque.
rade souvenir dans la cœur du peupla at
Citoyen
mbemaêr
—
Le jargon des. marins Boalonnais
*
a
A n a o a c e s judiciaire» et diverses (l* page)
VARIÉTÉS
BOKHNOWSKI
ministre da Commerce
— Les obsèques nationales du Maréchal Fayolle ont eu lieu joudi matin, au
milieu d'une foula recueillie comprenant
nombre d'anciens combattants dos armées que commanda, pondautla guerre,
le regretté défunt.
Lo corps avait la garde la plus glorieuse qu'un soldat puisse rêver : un
généra! roumain à gauche, un général anglais à droite, et, derrière, les
maréchaux Lyautsy, Foch, Franchat
d'Espérey, Pétain, le général Gouraud,
l'amiral Violette, qui remplaçait le ma•
réchal Joffre, souffrant.
• •
Le cercueil a été déposé provisoireEt que dire maintenant de notre perment
dans un caveau des Invalidos,
sonnel ?
entre
la
Tour d'Auvergne et Rouget de
Sa situation matérielle a été fort heul'Isle.
reusement améliorée.
— Le fils d'Hugo Stinnes, l'un des maLa solda mensuelle d'un capitaine de
corvette qui était en 1914 de 549 francs gnats de l'industrie allemande, a été
(L. V. de dix ans do grade), est au arrêté à Barlin, sous l'inculpation
d'abus do confiance et de manœuvrea
27 Août 1927 de 2.950 francs.
La soldo d'un premier maître, com- frauduleuses.
parée à cou deux époques, a passé de
— Une fabrique de dynamite a sauté
225 francs â 1.300 franc*.
à Ablon, près de Hotfleur. On compte
Les traitemonti do table et les primes huit morts et uns vingtaine de blessés.
d'engagement ont été améliorées ; le
— Les aviateurs Arrachart et Rignot
relèvsmont des soldes a été effectué et étaient partis samedi matin du Bourget
les traitements mensuels des jaunes pour Calcutta, afin de battra le record
officiers mariniers soutiennent la concur- de distance; mais ils durent atterrir à
rence avec las salaires industriels.
Strasbourg par suite d ' une panne
L'attrait dos voyag«s et le bon accueil d'huile.
qui leur a été réservé partout ont vite fait
— La
assemblée do la Société des
de modifier l'état d'esprit do nos équiNations a tsnu lundi, à Genève, sa Béanpagas et Isa goûts de notre jeunesse qui ce inaugurale.
est revonuo à l'amour des choses de la
Elle a choisi, comme présidant, M.
marino dont ello avait paru complète- Zahle, le représentant du Danemark.
ment so d é s a f f actionner depuis quelques
—• Des pêchburs anglais ont capturé
années.
deux
requins on pleine Manche.
Eu 1925, on comptait 225 candidats
Le
deuxième de ces squales, mesurant
et75 admis k i'école navale tandis qu'on
2
m.
10
do long et posant prés de quatre
1928 il y avait 389 candidats pour 110
quintaux,
ne put être maîtrisé qu'après
admis.
deux heures d'efforts. Il mit, à plusieurs
L'école des pupilles et les écoles d'apreprises, les pêcheurs en péril.
prentis passent de 669 en 1925 à 1.250
— Le sous-marin « Vengeur » a été
en 1927.
lancé
samadi matin à Cherbourg avoc
Les engagements volontaires suivent
plein
succèj.
. . .
une progression idontique : on 1926
Lo « Vongour », sous-marin do l r *
nous avions 3.226 engagés dont 884 de
cinq ans ; on 1927 nous en avions 6.466 classe, préaenio les caractéristiques
suivantes : longueur, 92 mètres; lardont 2.256 de cinq ans.
Enfin, pour la première fois depuis geur, 8 m. 16; tirant d'eau, 4 m. 70;
longtempr, nos unités navales possèdent déplacement, 2.080 tonnes ; vitesse prévue, 18 uœuds 55 ; équipage, 60 hommes.
la totalité do leurs équipages.
•
Administrateur-Gérant.
Les manuscrits ne sont pas rendus. — Pour les renseignements joindre un timbre pour la réponse.
Ces croisières ont permis aux pays
étrangers et aux populations de nos
colonies de revoir, après une longue
éclipse, avec les couleurs de notre pavillon national, le visage classique de notre
France fait à la fois de grâseet de beauté délicate, do douceur humaine et de
force pacifique et fraternelle.
Elles ont sorvi k ruiner de créance
les peuples qui parlaient mal de nous
et à calmer les impostures ignorantes
ou malveillantes de nos voisins se manifestant parfois on turbulente vantardise ou en jactance bruyante.
•
D ' I N F O R M A T I O N
¿1 MBOnWM
NOTRE MARINE EN 1928
•
M A R I T I M E ,
1 AB.
Ktrii{[ir
• • • • • • • • • • • • • • » . . « . « « .
15
«
Ls$ abonnements partent du 1** ou du 15 de chaque mois
et sont payables
d'avance
Dans le numéro de juillet de la Revue
Maritime, sous le titre « Notre marine
en 1928 », le capitaine de frég&t* Hubert examine notre situation navale.
J'ai lu son article avec infiniment do
plaisir et de profit.
J'ai présidé doux lois pendant la paix
et pendant la guerre la Commission de
la Marine militaire.
Pendant la gueire, cette Commission
s'est beaucoup appliquée àf&ire aboutir,
•n parfait accord avec le Gouvernement,
les problèmes complexes qui s'offraient
à elle ot à exercer sur les événomants et
sur les hommes un contrôle à la fois
discret et vigilant.
Pas un dissentiment n'est venu troubler les rapports des membres de la
Commission qui maintenait une liaison
constante avec le ministre dans l'intérêt
supérieur de la Défense nationale.
J'ai conservé pour mes collègues une
estima affectueuse. Tous travaillaient, et
beaucoup ont réussi, par leurs qualités
, maltresses, un labeur obstiné, et, souvent,
par une technicité avérée, à apporter
nne contribution précieuse à l'œuvre du
•alut commun.
A G R I C O L E ,
Républicaine
LE
lo rédactsur 011 donne comme raison
qu'il était féru comme le peuple
luimime de la vieille revendication
de liberté élevée pendant de» siècles dans la
conscience
confuse des humbles
contre
la domination
de l'Eglise et sûrtout de
la congrégation.
Et il ne fit rien de plus
que traduire
en lois libératrices
cette
revendication
jamais
satisfaite.
Voilà qtii est parler.
Je me souviens que le père Combes a
dit : « que les congrégations prédicantes avaient encore moins de raison
d'être que les congrégations enseignantes puisqu'il y a un clergé auquel lo
Concordat a réservé l'exercice de la
chaire. »
Il a ajouté que, partout où passait
le moine prédiaant, « il portait, dans sa
robe, non la paix, mais la guerre. »
Le
Faucheur.
Glanes et Perles
Les ivrognes ont parfois des mots
étranges.
Une jeune dame dans une position
intéressante très avancée suivait l'autre
jour la rue Keréon.
Arrive, en sens inverse, un ouvrier un
peu ému, qui se plante tout à coup devant
elle, et lui dit d'un ton de profonde commisération :
— Voilà ce que c'est ; nous n'avons
pas été sage.
••
N'allez pas voir les fous. Sorti de là,
on ne sait plus où sont les sages.
Un conflit sardinier
aux Sables d'Olonne
1
Cruel problème !
Dans le dernier numéro de la Vendée
Républicaine
je lia q u ' a u x Sables
d'Olonne les fabricants de conserves
avaient promis de prendre de 25 à 30
tonnes de sardines par j o u r , qu'ils
prirent en effet pendant les premiers
mois, et qu'ils n'en prennent plus ac
tuellement que 15 tonnes les cinq pre
miers jours de I* semaine et 5 à 6 tonnes
senlement le samedi. Si bien, ajoute ce
journal, que, depuis le début de Juillet,
les pêcheurs sablais ont été réduits à ne
pêcher que la tiers du poisson qu'ils
auraient pu prendre d'une façon nor
maie s'ils e n avaient eu la vente.
Et c'est pourquoi une délégation du
Syndicat ¿es marins-pêcheurs
des Sables
s'est rendue à Paris, aux bureaux de la
Marine marchande, pour faire connaître
la perte qui résulte pour les marins
pêcheurs de la non absorption du pois
son péché par les mareyeurs et les
fabricants de conserves.
Nouvelles
Fédération
des
Régionales
fonctionnaire
On nous prie d'insérer :
La section départementale de la fédération nationale des syndicats de fonctionnaires d'IUe-et-Vilaino, sur le va d'une circulaire récente de M. le Recteur de l'Acadé'
mie de Rennes, rel&tive aux heures de travail
des maîtres d'internat, adresse à ceux-ci
l'assurance do sa sympathie et de son appui
dans leurs revendications légitimes.
Elle s'étonne que par une incidente regrettable, M. le recteur ait cru devoir critiquer l'allocation des nouveaux traitements
dont bénéficient ces jeunes fonctionnaires'
qui, si l'on s'en tient au chiffre même de
leur rétribution, sont parmi les plus modestes des serviteurs de la Nation.
Elle ajoute que les traitements alloués
ont été proposés par une commission ministérielle, acceptés par le Ministre lai-même
et votés en définitive par le Parlement ;
qu'il serait déplorable par conséquent que
fût envenimée, par un document officiel, la
campagne démagogique qu'ont entreprise
certains contre le corps des fonctionnaires.
Les Hospitaliers S a i v e t e n r s
Bretois
Voici que va bientôt se clore la saison des
bains. Le long beau temps dont nous avons
joui, le grand nombre des baigneurs, des
ignorances, des e r r e u r s . . . et les imprudences habituelles, ont causé de fréquents accidents. Mais une organisation
croissante et rationnelle de la sécurité,
pour la protection des baigneurs, a limité
le nombre des morts. Or, cette organisation
progressive, due à l'initiative des Hospitaliers Sauveteurs Bretons, semble avoir
suscité des démarches douteuses contre
lesquelles il sied de mettre en garde le public, les Syndicats d'Initiative, leo Municipalités, etc.
Les H . S . B . , en effot —qoiont en lemérite indiscutable de l'initiative et d'un long
effort (plus de trente ans) enfin couronné
de succès — ont aussi celui d'avoir conduit
l'entreprise bénévole à une mise au point
qui, sous peu, d'accord avec les Autorités
compétentes, deviendra aussi parfaite que
possible. Déplus leurs dirigeants accom
plissent la tâche sans rémunération. Les
indiscrets, pour ne pas dire plus, qui s'efforceraient aujourd'hui do gêner leur action
utile auprès des Syndicats, des Municipalités et des populations, accompliraient
donc une besogne aussi peu scrupuleuse
que bonne. C'est pourquoi il semble utile et
légitime de mettre en garde les intéressés
contre de tels abus de confiance, lesquels
du reste peuvent favoriser des agissements
encore moins avouables, à la grande joie
de ces chevaliers d'industrie qui toujours
surgissent, en pareils cas, pour exercer
leurs talonts au détriment du bien public.
Quiconque s'intéresse réellement, sérieusement, à la sécurité des plages et & la pro'
tection des baigneurs, fera donc sagement
de s'adresser directement au siège social
de la Société des Hospitaliers Sauveteurs
Bretons, « reconnue d'utilité publique et
subventionnée par l'Etat », 7, rue de l'horloge, Renues (I. et Y.). Ajouter si possible
cotte mention : « Service des Plages ».
moins d'empêchement de force majeure, il
est répondu par courrier tournant.
(OTOYK*
régulièrement plus de 15 salariés doivent
employer un pourcentage déterminé de
pensionnés de guerre. Ce pourcentage est
fixé actuellement à 10 •/• « on v «rtn d'un
arrêté du Ministère du Travail pris sur avi»
conforme de l'Office national dos Mutilés.
Les établissements occupant plus de 50 %
de main-d'œuvre féminine bénéficient ¿'une
exception : pour la partie féminine de leur
personnel ils peuvent remplacer par lus
veuves de guerre, mères ou filles mineures
de militaires morts & la guerre, les panBionnés de guerre qu'ils devraient occuper en
proportion de ce personnel féminin.
LAS chefs des exploitations assujetties À
la loi, qui, lors de la mine en application
de celle-ci, n'emploieraient pas le nombre
prescrit de pensionnés de guerre, sont tous
tenus d'embaucher les pensionnés de guerre qui lenr manquent pour parfaire le pourcentage fixé et de déclarer à l'Office départemental de placement, tant qu'ils n'auront
pas atteint ce pourcentage, toutes les vacances qui se produiraient, à l'avenir, dans
leur personnel.
S'ils ne se soumettent pas à ces obligations,
ils sont assujettis à une redevance fixée à
six francs par jour ouvrable et par pensionné de guerre non employé, à moins qu'ils
ne fassent la preuve qu'ils ont demandé des
pensionnés de guerre acx Offices publics
de placement et que ceux-ci n'ont pu les
leur fournir.
Les chefs d'exploitations ont tout intérêt
à se mettre en rapport avec l'Office public
deplacemeat de leur département et à s'entendre avec lui sur les modalités d'application de la loi, en vue de se mettre en règle
avec elle, en réduisant au minimum les formalités.
Dans le département du Finistère, les
intéressés doivent s'adresser à M. le directeur de l'Office Départemental de placement, 52, quai de l'Oiet, à Quimper.
»
————
M
miIIYELIiES DÉPARTEMENTALES
Nouvelles Locales
QUIMPER
Noivelle Ceinture Perfectionnée
Aooldent d'auto. — Samedi dernier,
rue de Kerfeunteun, le jeune Bodivit, 6 ans,
domicilié à la Croix des gardiens, a débou
ché derrière une charrette, allant vers Ker
feunteun, pour traverser la chaussée, au
moment même oû arrivait, en sens inverse,
l'antomobilo de M. Tréhout, négociant, rue
Saint-Marc.
Le petit Bodivit fut hourté et renversé
par l'auto.
Assez sérieusement blessé à la tête, on
le transporta immédiatement à l'hospice.
L* HERNIE
ON DEMANDE
Emploi obligatoire des Mutilés
S u i t e s m o r t e l l e s d'un aooldent. —
Nous avons relaté la terrible chute fuite, le
lundi soir 20 août, par M. Jean Kermoal.
31 ans, menuisier, alors qu'il travaillait sa>
le nouveau bâtiment du Bureau da Bienfaisance.
Transporté à l'hôpital, le malheureux y est
décédé le 30 août au matin, après d'atroces
souffrances.
M. Jean Kermoal laisse une veuve et
trois enfants en bas âge.
Au M e s s a g e r Qulmpérols. — La Société Colombophile « Le Messager Quim
pérois » vient de faire effectuer le concours
réservé à ses membres honoraires en 1928.
Le parcours Pont-Château-Qaimper, 163
km., a été effectué à la vitesse moyenne de
75 km. à l'heure.
C O N T R E
Voici la liste des gagnants :
1. M. P&nl Villard (pigeon Chavalier) ;
2. M. Jêzéqnel (pigeon Chevalier) ; 3. M.
Y. Hénaff (pig9on Merrien) ;4. M. Charroy
il est a b s o l u m e n t Inutile do gaspiller du (pigeon Chevalier) ; 5. M. Noël Cornic
temps et de l'argeut à toutes sortes d'essais. (pigeon Chevalier) ; 6. MM. Pascal frères
Les Etablissements A. CLAVERIE, les (pigeon Chevalier) ; 7. M. François Carnot,
plue o é l è b r e s et les plue c o n s i d é r a b l e s (pigeon Chevalier) ; 8. M. Pérodin (pigeon
du m o n d e e n t i e r sont la vraie « Maison
de oonflanoe » qui n'a pas beeoln de Merrien) ; 9. M. Guével (pigeon Merrien) ;
r é o l a m e t a p a g e u s e ; en r e n o m m é e 10. M. Trochet (pigeon Merrien) ; 11. M.
mondiale est faite par les olnq m i l l i o n s Beauvir (pigeon Merrien); 12. M. Pierre
(6.000 000) de hernieux soignés par eux, Carnot (pigeon Merrien) ; 13. M. Le Brun
qui font connaître spontanément l'Inoom- (pigeon Pichon); 14. M. Sunvian (pigeon
parable supériorité des Appareils breve- Pichon) ; 15. M. Gallon (pigeon Pichon) ;
tés de A. CLAVERIE.
16. M. Hermier (pigeon Troalen) ; 17. M.
Ne manquez donc pas d'aller voir l'émi- Autrou (pigeon Lelièvre) ; 18. M. Egonneau
nent Spécialiste qui vous recevra de 9 h. (pigeon Lelièvre) ; 19, M. Victor Cieutat
à 4 h. & :
(pigeon Lelièvre) ; 20. M. Toulgoat (pigaon
Douarnenez,
mardi 11 septembre. Hôtel
Bohannic) ; 21. M. Bourhis (pigeon Bèhande France.
Landivisiau, mercr. 12, Hôt. du Commerce. nic) ; 22. M. Kerveillant (pigeon Flahaat).
Châteaulin, jeudi 13, Hôtel de la Grand'
Le« intéressés recevront, par l'interméMaison.
diaire de l'un des membres actifs du MesQuimperlé, vendr. 14, Hôtel du Lion d'Or, sager Quimpérois, toutes indications lenr
Morlaix, samedi 15, Hôtel de l'Europe.
permettant d'entrer en possession du loi
Q U I M P E R , dimanche 16, Hôtel de l'Epée. qu'ils ont gagné.
Brest, lundi 17, Hôtel Continental.
Saint-Pol-de-Léon,
mardi 18, Hôtel de
C o n o e r t s militaires. — Programme de»
France, (jusqu'à 2 heures).
concerts du dimanche 9 et du jeudi 13 septem« T r a i t é de la Hernie » des « Varloes « bre, de 17 à 18 heures, sur le kiosque du
et des « Affeotlons a b d o m i n a l e s »
Champ-de-Bataille, aux Halles, en cas de
Conseils et ronsf>ign"m«ms gratis et dis- pluie :
crètement, A. CLAVERIE, 234, faubourg
Le Toulois (défilé)
X.
Saint-Martin, Paris.
Amiante Cantabile.
Menuetto. '
de la 1'* symphonie do. Beethoven.
La Cinquantaine
G. Mario.
Si j'étais Roi (fantaisie)... A. Adam.
DISTINCTIONS UNIVERSITAIRES
Feu do joie (schot. «spagn.). E. Demeule.
M. le Ministre de l'Instruction publique
LaVictoireouIaMort(déf.). L. Chômai.
et des beaux-arts, par une circulaire en
date du 25 juillet dernier, vient de rappeler T r a n s p o r t s m a r i t i m e s de Cornouaille
Horaire de la semaine :
aux Préfets qao les candidats aux distinc
Dápart de
Départ de
tions universitaires (palmes académiques
Qaimper
Bénodet
et officier de l'Instruction publique) doivent
Samedi 8 , . . . . .
9 h.
10 h. 80
fonrnir les pièces désignées ci-dessous : 1° Dimanche 9 . . . .
10
15
15
une demande sur papier timbré ; 2» un Lundi 1 0 . . . . . . .
18
30
16
extrait de leur casier judiciaire ; 3* un acte Mardi 1 1 . . . . . .
13
30
16
Mercredi 1 2 . . .
13
de naissance sur papier timbré.
30
16
8
16
30
— d° —
14
16
30
PRIX DU PAIN
Dimanche 9, excursion do Loctudy à
Le Préfei du Finistère porte à la connais Quimper par Bônodot et vice-varsa : départ
s m e e de la population que, par suite de la de Loctudy à 9 heures, départ de Quimper
nouvelle baisse survenue sur le prix do la à 15 heures.
farine, le pain a été amené de 1 fr. 95
Prix des places : de Quimper à Bénodet
1 fr. 90 le kilo, dans toutes les communes du aller, 10 fr. ; aliar et retour, 15 fr. ; de Bé
département, depuis le lundi 3 septembre. nodet à Loctudy : aller, 5 fr. ; allor et retoar, 8 fr.
Excursion en mer : de ou pour Qaimper :
LES FOIRES DE LA SEMAINE
aller, 20 fr. ; aller et retour, 25 fr. ; de ou
Lundi 10 septembre. — Le Folgoêt, Les pour Bênodet-Loctudy : aller, 15 fr. ; allor
neven, Ménez-Hom, Huelgoat, St-Thégon et retour, 20 fr.
Pour bénéficier d'une réduction imporn e : , Landudec.
tante sur ce tarif, les habitants de Qnimper
Mardi 11. — Plabennec, Le Conquet,
ot de la région devront être perteurs de la
Plouigneau, La Feuilléo.
carte spéciale d'abonnement.
Mercredi 12. — Landivisiau, Bannalec.
C o n s u l t a t i o n de n o u r r i s s o n s . — La
Jeudi 13. — Hanvec, Guipavas, Pleyber
consultation des nourrissons pour le quarCbrist, Plonéour-Lanvern.
Vendredi 14. — Coray, La Feuillée, Le tier de Saint-Corentin aura lieu le jeudi
13 septembre courant, à 15 heures, rue de
Faou.
Samedi 15. — Landernoau, Landivisiau, la Mairie n° 4.
Ce voyage leur a révélé que la vente
de la sardine était pour ainsi dire inexil
tante aux Halles de Paris où il faudrait
l'expédier en caissettes de 50.
Ilsembleressortir, d'autre part, qu'une
p e u r le» Fonction* p u b l i q u e s
sardine vendue aux Sables 10 ou 12 cen
times par le pécheur est vendue à Paris,
Rédacteur de 2* classe des Services civils
au consommateur, 50, 60 et même 75
de l'Indo-Chine.— Date : 17 décembre 1928
centimes.
délai d'inscription : 31 octobre 1928 ; traite
Rien d'étonnant à cela puisque dans ment de début ; 12.000 fr., plus 8.421 piastres
une ville pou éloignée des Sable« elle Licence ou divers titres exigés.
Inspecteur départemental du travail. —
s'est vendue jusqu'à 70 centimes pièce.
Date : 12 novembre 1928 ; délai d'inscrip
La conclusion à tirer de cela est que tion : 10 septembre ; âge : 26 à 35 an«, plus
le filet droit suffit à sa tâche et que le services militaires ; traitement de débat
filet tournant no ferait pour le momeut 14.000 francs, plus indemnités. Licence ou
qu'aggraver aux Sables une situation certains titres oxigés.
Contrôleur civil stagiaire au Maroc. —
déjà peu brillant«.
Date : 20 novembre 1928 ; délai d'inscrip
* L a seconde conclusion est que les tion : 20 octobre 1928 ; âge : 21 à 30 ans,
marins sablais s'apprêtent à oxpédier plus services militaires ; traitement de
eux-raêmas le surplus de leur pêche, début : 21.000 francs, plus nombreuses
indemnités. Licence ou divers titres exigés.
après avoir fourni aux besoins des ma
Concours ouvert en France.
reyears et des fabricants.
Commis d'administration au Ministère
C ' s s t là un sage parti. Il est préfé
do la Guerre. — Date : 20 novembre 1928 ;
re.ble d'agir ainsi que de jeter la sardine délai d'inscription : 1" octobre ; traitement
de début : 8.000 francs, plus indemnités ;
à l'eau.
Bâbord.
êge : 20 à 30 ans, plus services antérieurs.
Baccalauréat, B. S. ou diplôme de fin d'é
tudes secondaires exigé. Accessible aux
dames.
Rédacteur à la Préfecture de police. —
Date : 25 octobre 1928 ; délai d'inscription :
25 septembre ; âge : 21 à 30 ans, plus ser
vices de mobilisation ; traitement de début:
12.000 francs, plus indemnités. Licence ou
divers titres exigés. Acessible aux dames,
MEMBRE OU JURY M O R S CONCOURS
Rédactour au Ministère des Finances. —
Grâce aux célèbres Appareils sans Ressort à
Concours ouvert en novembre 1928 ; âge : Quimper.
COMPRESSION 8OUPLE
20 à 30 ans, plus services de guerre ; traite
f i ASCD
£ r *°d spécialiste de Pa- ment de début : 10.000 francs, plus indem
. ULiloLn, ris, 44, Boulv. Sébastopol, nités. Baccalauréat exigé.
la hernie, infirmité dangereuse ot souvent
Les personnes qui désirent des renseidu t Citoyen » - Quimper
mortelle, n'est plus désormais qu'un vain gnements sur l'un des emplois ou concours á l'Imprimerie
mot.
ci-dessus ou sur un examen quelconque i n j e u n e onvrier Compoiit?ur-Typographe
Sanctionnée officiellement par le Corps peuvent s'adresser de notre part à M. HouMédical, le 5 juillet 1922, ces nouveaux ap- devillo, directeur-gérant de l'Orientation
pareils appliqués à des millier« de désespé- Professionnelle, 108, rue Erlanger, Pari«
rée réalisent chaque jour dei prodiges et (16*), qui leur répondra à titre absolument
procurent à tous ceux qni les ont adoptés gracieux.
Joindre un timbre do 0 fr. 50 et ne pas
la 8 É G U R I T Ê , la 8 A N T É , et selon l'avia
oublier
de mentionner : en qualité de lecdes malades eux-mêmes, la Q U É R I 8 0 N
teur du (( Citoyen » à Quimper.
DÉFINITIVE»
Avis. — Nous prions les personnes qui
Devant de tel« résultat», garanti« toujour«
ont des communiqués
à insérer dans le
par écrit, ton« ceux atteint« de hernie doiCitoyen de vouloir bien les remettre direcvent s'adresser «an« retard à M. QLA8ER
tement à nos bureaux, 21, rue du Sallé,
qui leur fera gratuitement l'essai de ses
dans la journée
du mardi de chaque
appareil« de 8 à 18 h. à :
semaine.
Le « Journal Officiel » vient de publiar le
Concarneau, 7 septembre, Hêt. de France.
règlement d'administration publique relatif
La Croix-Rouge. — Voici les noms des
QUIMPER,
dimanche 9 septembre, Hôtel
à l'application do la loi sur l'emploi obliga- heureux bénéficiaires des dons offerts à la
de l'Epêe*
Croix-Rouge, le 18 août :
toire des Mutilés.
N' 415, Mme Chauvel, don de M. Simon
Aax termes de la loi toutes exploitations
père.
industrielles
et
commerciales
qui
occupent
pour déplacement de tons organes
N- 98, Capitaine Huilier, don de M. Sirégulièrement plus de dix salariés de l'un mon fils.
T r a i t é d e la Hernie, franco sur demanou l'autre sexe de plus de dix-huit ans,
N' 40. Mme Tosio, don de M. Dauchez.
de à M. CLA8ER, 44, Boulev, Sébastopol, français ou étrangers, et toutes le« exploiN* 600, Mlle Seznec, don de la maison
PARIS.
tation« agricole» on forestière« occupant Henriot.
EXAMENS
La o o n f é r e n o e s u r Glozel. — Nous
rappelons à nos lecteurs que M. J. Loth.
professeur au Collèga de France, membre
de l'Institut (académie des Inscriptions et
Belles-Lettre«), fera samedi prochain 8 septembre, à 21 heures, au Théâtre municipal,
une conférence sur « Glozel »,
Ou «ait que l'illustre et savant professeur
vient faire sa conférence sous les auspices
de l'Asuociation des Officiers de réserva de
Cornouaille.
La location est ouverte au théâtre, dôa aujourd'hui 6 septembre. Prix des places
fauteuils d'orchestre oi de parquet, 5 francs.
Toutes les autres places, 3 francs.
Etat-olvll du 2 9 a o û t au 3 s e p t e m
bre 1 9 2 8 . — Naissances. — Denise Le
Goqill, rue Ducouédic, 3 ; Marie Rocuet,
rue de Kerfeunteun, 14 ; Aline Graziano,
rue de Pont-l'Abbé; Andrée Nivolon, place
de Locronan, 3 ; René Cadiou, rue SaintFrançois, 11.
Décès. — Yves Le Douce, 4 mois, rue de
l'Hospice ; Marguerite Pleuven, 44 ans,
côlib., Place La Tour d'Auvergne, 4 ; Jean
Kermoal, charpentier, 31 ans, époux Gouérec, rue de l'Hospice ; François Kerdoneuff, 33 ans, côlib., rue de l'Hospice ; François Le Vaillant, maçon, 70 ans, veuf Mahé,
rue de l'Hospice ; Marie Grannec, couturière, 15 ah«, rue Goarém-dro, 25.
Publications
dé Mariages.
— Louis
Quilliec, coiffeur, et Renée Le Moigne,
p., dom. à Quimper ; André Sévignon,
ouvrier de» P . T. T., et Marthe Le Nair,
employée do commerce, dom. à Quimper ;
Raymond David, couvreur, et Mario-Louiso
Goallic, journalière, dom.. à Q a i m p e r ;
Yves Guirriec, garçon limonadier, dom. à
Ptìnhars, ot Catherine Bernard, couturière,
dom. à Quimper; André Hólias, ébéniste,
dom. à Quimper, et Marie Souiller, «, p.,
dom. à Kerfeunteun.
Docteur
absent jusqu'au
GIFFO
16
septembre.
PROPOS D'UN VIEUX QUI M PÉROIS
« EN ROUTE POUR QUIMPER »
Hervé Vichylou
a quitté son
vieux
Quimper. depuis plusieurs années, pour
se retirer dans un de nos ports
côtiers
finistériens.
Il a beau gagner
beaucoup
d'argent dans sa nouvelle résidence où le
beau sexe « perd ses bat ma pôv'Jllle » ;
il a beau y posséder une jolie maison où
rien ne manque du confort moderne, eh
bien I malgré tout ce bonheur il est rongé
par le « spleen », cet affreux mal du pays
qui fait tant de ravages chez les Bretons.
Pour essayer de vaincre son
cafard,
Hervé a décidé qu'il lui faut aller revoir
son Quimper, sa vieille rue Neuve où il
« levait » des « goras », des « chinges » et
des variétés de poulets si belles qu'elles
rapportaient
les premiers prix au con
cours.
Il a bu trois « lampées » avant de s'em
barquer dans le train où il s'assied en
allumant une pipe courte, bien culottée et
qui sent tris fort. Une famille de gens
décoiffés fait irruption dans le wagon en
parlant une langue dont notre brave Vi
chylou connaît l'origine :
— Ces messieurs et ces « dêmes » sont
des « Anglaises » ? dit-il, la figure rubiconde et un large sourire découvrant
ses
dents noires.
— Oh! y es, répond le vieux Monsieur ;
nous pârlons french correct, vous savez I
— Moi, ajoute Vichylou, j'ai « oblié »
tout ee que i'ai « attendu » avec les Angliches quand «j'était-à » l'hôtel, là-bas, à
« Sénazère ». Moi je « fésais tout
l'ira
vaille » des chaussures
et j'allais
« envoyer » leur « pitit » déjeûner dans leur lit.
— Monsieur
beaucoup voyagé ? ques
tionne la dame qui s'éloigne au fond de
la banquette pour éviter les nuages opaques lancés par la bouffarde
malodorante.
-Oh
1 « voui » Médème » /... J'ai fait
tous l' métiers I « mette Mtelle » ; em
ployé dans les « ministrations
», même
que f travaillais souvent « nuit et jour » /
Astique, pitit 1 Hardi I Et moi çà me
connaissait pour mettre les « allonges »
quand qu'y avait « une grande repas » I...
A ce même moment, cahoté par le train,
Hervé fait entendre un rot sonore. puis
reprenant la conversation,
annonce :
— « Ménant » je vais à Quimper « ous
qu'elles sont toutes mes bons amis » et
surtout mon cher « vieux Charles » qu'é
travaillait ensemb' avec moi dans 1' même
ministration.
Seul' ment le « vieux Char
les » qu'elle est « tétulaire » et moi que
j'étais « à rien » que « aussilaire » /
Les Anglais, en débarquant à Quimper,
sont littéralement
abasourdis
par la
faconde de Vichylou
qui, au moment de
l'inévitable séparation, propose :
— Ah \ ménant j'sus content vous payer
unuVichy » ou bien unuViandox
», comme
çd plaira de ces
messieurs-dèmes.
Mais il essuie un refus et, songeant à
la rue Ste Catherine, se presse d'y arriver
pour inviter son « vieux Charles » à
prendre un « demi-camo » au café qu'ils
fréquentaient
jadis.
Pipichik.
fouonanf
Festival de g y m n a s t i q u e . — Ainsi que
nous l'avons annoncé, l'Union sportive de
Foaesnant-Brèhoulou organise, dimanche
prochain, un grand festival de gymnastique
avec le concours dos sociétés « la QuimpéroiBe » ot l'Amicale scolaire de Pont-l'Abbé.
A 10 h. 30, sur la place publique, réception des sociétés et défilé.
A 14 h. 30, sur la place publique, rassemblement des gymnastes et défilé jusqu'au
terrain do l'U. S. F. B.
A 15 h., grand festival, entrée 3 fr. : formations gymnastiques ; mouvements d'asaoaplisscment ; travail aux agrès ; pyramides ; courses do relais ; mouvements
d'ensemble, etc...
A l'issue du festival: courses et attractions diverses, réservées aux jeune« gens
du canton de Fouesnant (nombreux prix).
Le soir à 21 heures, d s n s la salle des fêtes
do Bréhoulou, bal à grand orchestro, entrée : 3 francs.
Bénodef
Le o o n o o u r s d u S y n d i c a t d ' é l e v a g e . —
Le concours du syndicat d'élevaga du canton de Fouesnant s'est tenu lundi, à Bénodet, dans la vaste prairie dn Penfoul.
Excellente réunion oû il fut donné, une
fois de plus, de constater les grands progrès réalisés dans l'élevago pa? les agriculteurs de cette riche et plantureuse région.
Un banquet fut servi chez M. Le Gali, à
l'issuo du concours. Il ne réunit pas moins
de 120 convives, sous la présidence de M.
Bouilloux-Lafont.
Au dessert des discours chaudement applaudis furent prononcés par lo vice-président de la Chambre ; M.. Bénac, vice-président du Conseil général,, et M. Rischmann,
préfet.
BtuzeoConq
Etat-CIvll. — Naissances
: Jaaa Le
Goanvic, rue Adig«,rd ; Armand Villard,
avenue de la Gare ; Jannino Derrien, au
bourg ; Yvonne Lo Noac'h, à Kermenglaz ;
Louise Pencoat, au. Poteau-Vert ; Huguette
Hubert, rue de l'Abattoir ; Yves Le Grand,
à Ménez-Roz-Bihan ; Jane Joncoart, avenue
de la Gare ; André Salomon, à Keristen ;
Jeanne Barq, à Keraimotiou ; J e a n n e Le
Goff, rue Adigard ; Jacqueline Alix, avenus
de la Gare.
Publications
de mariages 3 Jo» eph Martin, marin, dom. à Casablanca, et Marie
Guongard, ouvrièro d'usine, dom, à BenzecConq ; Joseph Gaillon, marin» domi. & Concarnean, et Julienne Corrò, mi*oa.«ôre, dom.
à Berzec-Conq ; Achuar Msoticho, journalier, dom. à Paris, et Germaine ¿ ancien,
journalière, dom. à B â s z e c C o n q ; René
Raoul, cultivateur, dora, à Melgven, et
Marie Le Becx, cultivatrice, ,dom, à B euzee*
Conq.
Mariage : Joseph Guillou et Julienne
Corré.
Décès : Anna Davail, 27 ans, domestique,
célibataire, aux Sables Blancs ; Marie
Moisan, 53 ans, ménagère, épouse do Jean
Sancêo, avenue de la Gare ; Jean Rouat,
54 ans, manœuvre, époux de Marie-Jeanne
Bourhis, Ménez-Bihan ; Marie Gnêdez, 78
ans, ménagère, veuve de Jean-Mtrie Le
Goc, avenue Thiers ; Raymond Le Tellec,
2 ans 1/2, à la Croix-Neuve ; Vincent Bran*
quet, 85 ans, sabotier, époux de Marie
Gefctin, avenue de la Gare ; Marie Morvézen, 41 an?, ménagère, épouse de Christophe Le Mour, avenue Thiers ; Maxime
Nàdélec, 16 ans, rue des Lavoirs.
Tréjunc
Enfant noyé. — Dimanche après midi,
Mme Furie, du hameau de S tint-Philibert,
a trouvé sa fillette, âgée de deux ans, noyée
dans un lavoir près de sa demeure.
Pouarntn«*
Aooldent, — Dimanche soir, le jeune
Jean Louboutin, 8 ans, de Pen-ar-Hoat, a
été projeté sur la chaussée, rae Jean-Jaurès,
par le char-i-bancs de M. Le Bar«, pro*
priétaire i Kerloaarnec, en Ploaré.
L'enfant a été sérieusement blessé à la
jambe droite.
Léch!«gaf-Tr*fff«jaf
C o n o o u r s e t Inauguration. — Le concours agricole qui a eu lieu lundi à Léchiagat a obtenu un grand succès.
On profita de cette réunion pour inaagurer la mise en culture des maraii de
Squividan dont l'assèchement est actuellement terminé. Une petite fête, avec courses
et danses sur la dune, fut organisée à cet
effet. Elle se déroula devant on nombreux
public et fut parfaitement réussie.
Tréogaf
F ê t e p u b l i q u e . — A l'occasion du concours agricole, la municipalité de Tréogat
organise les réjouissances arrivantes, la
12 septembre :
A 15 heures, course de chevaux, galop,
communale ; course de bicyclette«, communale ; course« à pied pour hommes et enfants, course en sac ; course de bicyclettes,
cantonale et commune de Tréguennec.
Distribution des prix à la Mairie après le«
courses.
Pouldrcuzk
Le Pardon de P e n h o r s . — C'est samedi
prochain 8 septembre qu'aura lieu le pardon
de Penhor« en Pouldreuzic. Voici à ce sujet
quelques réflexions qui noua ont été suggérées par des habitants du pays.
Pourquoi Monsieur le Maire a-t-il voulu
interdire, l'an dernier, l'accès de Penhors
aux manèges qui s'y rendent chaque année t
Quelle excusa peut-il trouver i cette mesure
inexplicable T Ces manèges ne troublaient
cependant en rien le pardon, attendu qu'il«
ne tournaient pas pendant le« cérémonie«
religieuses l Jusque-là d'ailleurs on ne leur
avait pas cherché d'ennuis l Mais voilà,
M. Hénaff n'était pas encore maire.
Le pardon de Penhors attire beaucoup de
monde. Pourquoi n'organise-t-on pas de«
fêtes publiques à l'occasion de ce pardon,
le jour mémo ou le lendemain, comme cela
se fait partout ailleurs t A marée basse, il y
a une grève magnifique qui peut «ervir de
terrain de courses. A marée haute, il «erait
facile d'organiser des régates ; il y a un ai
joii coup d'oeil de la côtel Courses et régate«
contribueraient à rehausser l'éclat du pardon.
La municipalité est assez riche pour fournir les fonds. N'a-t-elle pas ver«é 25 000
francs environ, dit-on, pour la reconstruction du clocher de Penhors ? Nous admettons la légitimité de la dépense, escore que,
pour une pareille somme, on aurait pu faire
quelque chose de plus artistique. Mais n'y
en aurait-il que pour Monsieur le Recteur f
Rien autrement pour Penhors T
plozévaf
Fête» s u p e r b e « t
H n r r a h p o u r ïa j e u n e s s e T
Les fêtes de Plozévbt "qui se sont déroulées par un temps splendide ont été encore
mieux réussies que de coutume.
De mémoire de bigouden on ne vit j a mais une aissmblée plus nombreuse ni
plus brillante. On peut dire que cette fête
fut essentiellement celle de la jeunesse.
Courses à pied et à bicyclette, coaraea
de chevanx et au trot attelé menée« successivement sur les routes nombreuses qui
sillonnent le bourg. Rien d'intéressant
comme le déplacement de l'immense fouis
so portant tour à tour, biniou et drapeaa
en tète, à travers les raes de la eité¿ sur
les chemins oû la course va avoir lieu.
Le clou des deux journées a été le championnat de qnillos avec sou n e u f , «e«
quatre cinq et «es quatre unité« comptant
chacune pour un, la chaquettic, comme on
dit ici.
Chaque joueur tient dan« le* mains deux
boules qui sont de rudes et lourd« galet«
de la côte arrondis par les vaguea et par
l'effort des siècles. Avec quelle adresse et
quelle précision ces boules viennent atteindre et sortir du jeu la quille choisie par
le joueur 1 II y a à Plozévet une collection
d'à« qui ont fait l'admiration de« a«ai«tants.
Honneur aux bigoudens de Plozévet qui
ont maintenu ce jeu traditionnel qui a été
celui de leur« arrière-grands pères.
La gavotte n'a pas non plus perda «e«
droit« à Plozévet. Après le« coursas on «'an
est donné à c œ i r joie aur la place de la
ville. Da sept à huit heures la danse a, le«
deux journées, déroulé «e* longs anneaux
ai gracieux au milieu d'un cercle très dense
de spectateurs. Plus de soixante couples
dansaient en même temps. Toute la jeunesie
de Plozévet et d?s environs était là augmentée d'an nombre considérable de marin«
des équipages de la flotte et des élèves de
l'écola des apprentis-mécaniciens de Lorient
qui jetaient caca ce vaste ensemble une
note gaie et chaloupante.
Mais voici la chute du jour qui fut admirable sous l'implacable aoleil, avec, à l'horizon, la ligne bleno de la mor «i jolis»
LI errors*
Si M. Joies B'ouquet, notre maire, avait
Deux orchestres endiablés appellent à des
réjouissances nouvelles pendant ano partie pris soin do consultar son cœur qui était
do la nuit la belle jeunesse qui se repose malheureusement absent, il aurait sans
des rades travaux des champa dans le doato moderó le tarif de ses prétentions.
rythme des danses modernes, où les gr&oes
da corps apparaissent et où les couples
faits l'un ponr l'antre ébanchont des proConsoil Munlolpal. — Le Consoil Mujets, des idylles, des intrigues, qui mûrissent ensnito à la clartâ dos étoiles pour nicipal do Quimperlé s'ost rénni la semaine
venir un peu plus tard demander une con- dernièro pour sa session ordinaire d'août,
sécration officielle à M. le Maire ceint de sous la présidence de M. Lo Louédec,
député-maire.
sa belle écharpe tricolore.
M. Madac, oeerôtsire de séance, donne
Hurrah 1 pour la jeunesse et pour Plozévot, cité rustique du travail d«is champs et lecture du procès-verbal de la dernière
de l'artisanat, sous la forme dos jolis petits séance, qui est approuvé sans observations.
O a paseo onauite à l'ordre du jour :
meubles bretons ; trois fois, hurrah pour le
pays des joueurs de quilles et do la danse.
Élection d la Chambre de Commerce.—
Travail et joie, telle est la devise de Plo- Lo Maire demando au Conseil de désigner
deux do sos mombres pour la revision de
zévet.
Elle devrait être celle de tons les citoyens la liste dos électeurs.
MM. Honoré et Tamic sont désignés.
de la République française.
W.-C. de Lovignon. — MM. Hermile et
Le» résultat» du Championnat du jeu
de quille». — La victoire de M. Loui» Millet sont désignés pour assister le Maire
Gourlaouen.
— Voici les résultats du i l'adjudication de ces travaux.
Pacage de la rue Elli. — Le Maire est
concours proclamés par la commission réunie sons la présidence de M. René Bosser : autorisé à traiter de gré à gré avec M. FauEliminatoires : Albert Le Bail, D.tmât con, entrepreneur do pavage i Rosporden,
Bosser, Louis Gourlaouen, Pierre Cabillic, pour les travaux de repavage de la rue Ellé.
Jean Griffon, Pierre Madec, Jayqaes KêDemande de tuboention. — La revue
rouêdan, Louis Kérouêdan, Henri Griffon, l'Illustration, ayant l'intention de publier
Louis Julien, Louis Brigant, Emile Brigant. un numéro spécial sur le départemant du
1/2 finales : Louis Gourlaouen, Louis Finistère, a sollicité de la ville une subvenKêrouédan, Jacques Kérouédan, Henri tion poar cette publication ; sa demando
Griffon.
est rejetée.
Finale : Louis Gourlaouen. Henri Griffon,
Lo Conseil se réunit en»uito en boraité
Jacques Kêrouédan, Louis Kérouédan.
secret.
Btnnalec
plouhlntc
P o n s l o n n a t de l'óoole c o m m u n a l e
Conoours. — Le concours du syndicat d e s Allés. — La rentrée des élèves interbovin de la race pie-noire du canton do nes aura lieu le dimanche 30 septembre.
Pont-Croix aura lieu à Plouhinec lundi
Les f ê t e s . — Voici le programme des
prochain 10 septembre, à 9 heures : A midi
fêtes
de Bannaloc des 9,10 et 11 septembre
banquet par souscription.
Dans Paprês midi, des réjouissances se- 1928 :
Dimanche 9. — A 16 heures (départ place
ront organisées par la municipalité: courses
du
Monnment). — Course pédestro (pour
de chevaux, courses de bicyclettes, courses
pédestres, courses à dos, courses à la brou- hommes).
A 10 h. 30, route do la Gare. — Course
ette, concours d'avaleurs de ficelle.
Le soir, illumination du bourg et feu pédestre (pour enfants).
A 17 heures, routo de Rosporden. —
d'artifice.
Course cycliste.
Eiquibisn
A 17 heuros, route de Scaër. — Course
C o u r t e s . — Voici le programme des de bicyclettes (pour débutants, non licenciés
courses organisées dimanche prochain 9 et &gés de 18 ans au plus).
septembre par la municipalité :
A 18 heures, routo de Saint-Thnrien. —
Courses de chevaux: au galop, régionale ; Course pédestre (pour hommes âgés d'au
au galop, communale ; au trot, communale ; moins 50 ans).
courses de bicyclettes, régionale et comA 18 h. 30, place do l'Ezlise. — Concert,
munale ; course à pied, communale.
donné par la Lyre
Bannaleccoiie.
La musique municipale de la ville d'AuLundi 10. — A 11 heures, route de Quimdierne prêtera son concours pour ces perlé. — Course de motocyclettes (distance
courses et donnera un concort sur la place. 18 km., départ par cylindrée, handicap de
1 minute 1/2 par catégorie).
plojoff
A 11 b. 30, roule de Qaimporlé. — Course
Un beau m a r i a g e . — Mardi 28 >oùt a de chevaux (trot attelé).
A 18 h. 30, routo de la Gare, face chez
été célébré à Plogoff le mariage de M. Cloarec avec Mlle Saoutic. Dès neuf heures L. Côme). — Course pédestre (hommes).
A 13h.45, routo de Scxôr, face la poste.—
le petit bourg de Plogoff présente un aspect
inaccoutumé. Des groupes de jeunes geno Course pédestre (enfants).
A 14 heures, routo de Seaôr. — Course
débouchant de toua les chemins se réunisse nt en face do la mairie où aura lieu bientôt de bicyclettes (pour dames).
A 14 h. 30, route de Rosporden, place de
le mariage civil.
A l'issue de cette cérémonie, le maire de la Liberté. — Course de bicyclettes.
A 15 heures, route de Saint-Thnrien. —
Plogoff exprime d'une voix émue des vceox
de bonheur pour les nouveaux mariés et les Grandes luttes bretonnes.
A 17 honres, place du Monument. — Gafélicite. De la mairie un long cortège se
forme et se dirige vers l'église. Quel ma- votte d'honneur.
Mardi 11. — Course de bicyclettes (comgnifique défilé l Les demoiselles du cap sont
vraiment charmantes: les broderies de leur munale).
Gavotte d'honneur (onfants et vieillards).
t a b l i e r produisent sous le soleil des effets fééCourse de brouettes ; Jeu du baquet
riques. Et les bigoudens ne leur cèdent
russe ; Jeu de la ficelle et diverses autres
ni en grâce ni en beauté.
Tous nos compliments à M. Perhérin. attractions.
Danses aux binious pendant les journées
Jamais repas ne fut mieux servi de l'avis
de tous, il est impossible de mieox laire. de lundi et mardi.
Au champagne, M. Albert Le Bail, ami
intime des deux familles, se lève et exprime
en quelques paroles la joie qu'il éprouve
C o n o o u r s . — Le concours des races
d'être parmi des amis sûrs et une jeunosse
bovine et porcine, organisé par la Société
si ravissante. M. Griguer, directeur d'école
d'Agriculture de l'arrondissement de Ch&à Brest, nous fait part du plaisir qu'il éprouteaulin, sous la présidence do M. Ch. Goas,
ve d'assister au mariage d'un de ses meilconseiller général, président de la Société
leurs élèves qui épouse la filio de son vieil
d'Agriculture, aura lieu à Ch&teanlin, place
ami Saoatic dont l'énergie a toujours égalé
du Champ-do-Batailla, le jeudi 20 septembre,
le cœur dans l'accomplissement de sa tà'-'he.
à 9 heures.
M. Saoutic père se lève à son tour et d'une
Das subventions s'élevant à la somme de
voix ferme, mais émue, il adresse les re9.015
francs, ainsi qu'uno médaille de vermerciements des deux familles aux invités.
meil,
deux
méiailles d'argent et deux méIl dit toute l'estime qu'il a pour M. Cloadailles
de
bronze
seront distribuées aux
rec et ajoute aussitôt que deux invités font
défaut, s J'aurais voulu, dit-il. voir parmi les lauréats.
Fleybtn
laïcs qui sont ici Mme et M. Georges Le
Bail, le grand défenseur de notre école.
Zézef a'on va-t-en g u e r r e 1 — Z5z»f
Depuis 84 ans que je lutte de toutes mes n'en va-t-en guerre comme Malborough de
forces pour la causo scolaire, plusieurs fois légendaire mémoire.
j'aurais succombé, sans l'action encouraLe Petit Breton, voilà le champ de bageante de M. Le Bail. Retenus choz eux, taille do Z6zef I C'est là qu'il polémique,
nous possédons toutefois le fils, que je prie qu'il accomplit ces prouesses et emporte
d'être notre interprète auprès de ses d'atuant les positions de l'adversaire, à
parents. »
travers des réseaux de fils de fer barbelé.
Disons aussi que « Lannic Ar Men », le
Zézef est à lier et bientôt on sera obligé
sympathique barde breton, a déridé les de lui mettre la camisole de force I II
visages les plus maussades par ses chants veut à toute force polémiquer contre n'imbretons. Le bal a duré jusqu'à deux heures porte qui ot à propos de n'importe quoi.
et jamais le Jazz ar R»z n'a fait preuve de
Il ne cherche que plaies ot bosses, et,
plus de virtuosité et d'allant.
quand il aura exterminé tous ses adversaires,
sentant lo besoin d'exterminer encore, il se
llc-d«-S«ln
détruira lui-même.
NI. le M a i r e va un peu f o r t . — M. lo
Prêt à tout pourfendre, notre foudre de
Maire est propriétaire d'une petite embar- guerre clérical en veut à la municipalité, à
eation qui lui sert pour faire le va et vient la laïcité, à tout ce qui se termine en É et qui
«ntre son grand bateau, mouillé dans le lui cause la même horreur quo l'eau à un
port, et la cale.
chien enragé.
Dernièrement, celte embarcation, qui ne
Souffrez, ô Zézef, que nous ne répondions
vaut paa un clou, aurait servi à deux jeunes pas pour l'heure à votre défi. Ce serait du
gens, étrangers à l'Ile, pour se rendre à pain réchauffé, dur aux dents, et, bon aux
leur bateau mouillé dans le port, mais ils chiens, comme chacun sait.
avaient négligé ensuite de la remettre en
Nous vous abandonnons pour le moment
lieu sûr, de telle sorte qu'elle était partie i à votre démangeaison des polémiques et à
la dérive et fut légèrement endommagée la volupté de vous gratter.
avant d'être recueillie.
Prenez garde, Z4zef, trop gratter, cait.
Aussitôt, gendarmes sur le pont, enquête,
C'houitel.
mobilisation, Zim, /,im-Boum et Traíala. Il
Carhtix
s'agissait da canot de M. le Maire.
E t a t clvll du mois d ' a o û t . — NaitM. le Maire a exigé de ces jeunes gens
tance». ; Jean Tressard, place du Champqui étaient évidemment en faute la réparation
do-Foire ; Jean Morvan, rue Danton ; Ludes avarie«, ce qui était naturel, et, en
cienne Elléouet, impasse Marat ; Marcel
outre, de chacun d'eux, une somme de cent
Guyader, Clos-Kerharo ; François Pirou,
francs do dommages-intérêts, ce qui est
route de Callao ; Paul Chauvel, rue de
excessif.
l'Eglise.
L'un de ces jounos gens, âgé de 17 ans,
Mariage» : Ernest Robin, cultivateur à
serait le cadet d'ane famille de 10 enfants,
Le
Moustoir, et Mario-Louise Le Bonil,
de Leacoff, en Plogoff, et l'unique soutien
journalière
à Carhaix ; Jean Martin, marde sa famille, le père ayant péri en mer il y
brier,
st
Estelle
Le Gaillou, contnrièrs.
a 8 ai», et le frère alnê étant «a aervice.
&UIMPERLÊ
CHATBACLIN
Décès
: Mario Grall, 40 ans, ménagère,
boulevard do la République ; Guillaume
Tanguy, époux Mario-Anne Le Rïzer,
33 ans, courrier auxiliaire, boulevard de la
République.
Hueigoaf
Conoours. — Le concours annuel d'animaux reproducteurs de la race bovine et de
la race chevaline, du syndicat d'élevage, aura lieu à Huelgoat la jeudi 13 septembre,
sous la présidenca d'honneur de MM. Le
Dilasser, conseiller général, et Le Fioch,
maire.
BREST
Le capitaine de vaisseau Pippon, attaché
nav.nl à l'Ambassade d'Angleterre, à Paris,
a visité, cette semaine, en compagnie du
lieutenant de vaisseau Lablacho-Combier,
l'arsenal de Brest, plusieurs navires de
guerre et remplacement de la future école
navale.
Landerntau
connu de tous, qui croit spontanément
dans las friches, et dont les bestiaux
broutent los pousses avec avidité. On
peut en couper les branchos, los piler à
l'aide da machines spéciales pour en
hacher les piquants.
Le fourrage d'ajonc est très tonique
et très nutritif. Il constitue la basa de
l'alimentation des chevaux bretons,
dont tout le monde connait l'énergie
et la vigueur remarquables.
D'après plusieurs agronomes, les vaches nourries avec les ajoncs donnent
un beurre d'excellente qualité,
A. FLEURY DE LA ROCHE.
(Le
Quotidien).
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PIGEONNEAUX A LA DIABLE
Partager ea deux de jeunes pigeonneaux, les aplatir légèrement, les paner
et los faire griller k fau vif. Les servir
avec une sauce Tartare ainsi obtenue :
Travailler en pâte lissa dos jaunes d'œ'ifs
dans un mortier, monter la sauco à
l'huila comme une mayonnaise, saler,
poivrer, vinaigrer ot additionner de ûnos
herbes hachées.
MACHINES AGRICOLES
FRANÇAISES
Aooldent m o r t e l . — Samedi dernier un
gruve accident d'automobile s'est produit à
Kerloret, au promier tournant avtnt la
Grande-Palue.
Un cabriolot Citroôa, conduit par M.
Pichon, marchand de chevaux à Landivisiau, et dans lequel se trouvait également
son collègue M. Hervé Le Corre, de Plounéventer, filait à bonne allure lorsque la
voituro dérapa sur le macadam et heurta CONSERVATION DES FRUITS MURS
an poteau télégraphique.
On prolonge considérablement la conM. Lo Corre fut projeté à travers la por- servation des fruits frais en détruisant
tière et vint s'écraser sur le sol ; la mort fat
par un procédé chimiqo l'altération compresque instantanée.
La victime, âgée de 88 ans, laisse une veu- mencée et les germes de forment?, qui
ve et cinq enfants, à qui nous adressons seraient à leur surface. Pour cela on les
immerge pendant dix minutes dans une
nos bien sincères condoléances.
eau froide qui contient trois parties pour
cent de formol commercial (aldéhyde
FAITES
LIRE
LE
fornique). Los pommes et poires sont
placées, après l'opération, sur la paille ou
sur dos rayons, Los autres fruits sont
placés dans un tamis avant d'ôire plongés dans la solution, puis lavés à l'eau
pure pondant cinq miuutos, et égoutés
sur un treillage.
VESOUL
journal l e C i t o y e n
-
à régime lent : 3 à 13 CV.
DURÉE
-
RÉGULARITÉ
—
Questions Agricoles
Las feuilles d'arbres
permettant
d ' o b v i e r à la d i s e t t e d e f o u r r a g e
C'est à l'automne que l'on procède
à la récolte des feuilles d'arbres destinées à la Dourrituro hivernale des animaux domestiques.
Sur plusieurs points de la France, un
grand nombro de vaches laitières sont
entretenues presque exclusivement à
l'aide de cette nourriture aussi excellente qu'économique.
Dans nos départements méridionaux,
l'on fait consommsr aux chèvres et aux
moutons do grandes quantités de fouillas
de vigne. Olivier de Sarros recommandait fortement cette pratique et conseil
lait « qu'on baillast dos fouillas aux
bestiaux, non tant pour alloDgament do
fourrs.ga quo pour friandisa de paaturo ».
L'utilisation des feuilles d ' a r b r e s
comme aliment constitue une ressource
importante qui ne doit jamais être négligée, môme les années où il n ' y a pas
disette do fourrage. D'après les analyses
faites à ce sujot, les feuilles d'oimo et de
frêne sont aussi riches en principes nutritifs que la luzerne. Do plus, ces feuilles
perdent peu de leur poids par dessiccation,
Tandi?, en effet, que cent kilos de
feuilles d'orme no se réduisent, en séc h a n t , que de dix-sept kilos, la même
quantité d'herbes, légumineuses ou graminées, petit perdre jusqu'aux trois quarts
do son poids.
Nous allons, maintenant, ônumérer
les diverses variétés d'arbres ou d'arbustes pouvant fournir dos feuilles comestibles.
1° L'orme (Uimus lampcstris). L'orme
est l'arbre qui fournit le plus do fourrage. Dans les Cévennen, on en fait cuire
la feuille pour ergraissar les porcs. Les
fagots ou « fouillards » qu'on ea retire
sont de conservation facile.
2° Le frêne (Jraxinus exeeltior).
Les
feuilles de frêne sont recherchées de la
plupart des animaux domsstiquos — et
particuliêremont des bœufs, des vaches,
des veaux et des mouton?, à cause de
leur saveur légèrement amère. Il faut se
garder, toutefois, de récolter, pour l'alimentation des bestiaux, los feuilles de
frêno salies par les excrémsnts de cantharides ;
3" Le robinier (robinia pneudo acacia).
Les feuilles du robinier ou faux acacia
sont peu nutritives, mais on peut néanmoins les récoltor on quantité pour l'alimentation dos bestiaux qui les recherchant avec avidité.
4 9 L'érable (acer camptttrit). Les
moutons et les chèvres aiment beaucoup
les feuilles do cet arbre rustiquo, propre à la confaciion des haies et des
taillis ;
5° Le bouleau (bétula alta) Le bouleau a la grands qualité de se développer sur les sols arides et do fournir un
fourrage abondant dans cortainea con
trées pauvres ;
Indépendamment de 06« arbres, on
dépouille encore, pour an faire da s
« fouillards », les saules, les hêtres, les
noisetiers las peupliers, los tilleuls, les
mûriers. Les feuilles de marronniers
d'Inde constituent aussi un excellent
aliment, mais leurs tiges charnues
s'opposent à leur dessiccation. Quant
aux feuilles do chône, elles forment
aussi des fouillards excellents, surtout
les feuilles provenant des jeunes chênes
de taillis.
Parmi les arbustes à feuilles comestibles, citons l'ajonc ou genêt épineux,
1
UTILISATION DU MARC DE CAFE
Généralement on laisse co résidu sans
utilisation.
Il faut lo conserver soigneusement
pour l'utiliser au jardin on le faisant
entrer dans la composition des terreaux
à remporter pour la culture des planios
on pots.
C'est un engrais très efficace dans la
culture des melons auxquels il donno de
l'arôme et dont il augmente la qualité.
Le marc do café agit aussi comme
désherbant dans les allées et comme insecticide notamment contre les pucerons.
Les « repasses » do café constituent
une boisson efficaco contre la mal&dio
des jaunes chiens.
L* Gérant : Pierre Guéguin,
des
bourpour
rosés,
: Dir.
Saint-
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Procureur do la République près ladit
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indépendamment
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M I Ê L I É H
les hommes excellent À retourner le sol
et à y fairo pousser avec un rare bonheur
los moissons les plus variées 7 Ces
rudos défricheurs das champs sont dos
maraîchers ot dos producteurs de blé
incomparables. Ils prennent un tel souci
de leurs animaux que les sociétés d'assaranceB contre la mortalité du bétail y
sont florissantes.
Et que dire de nos goëmonniers, ces
damnés de la terre, qui font dos prodiges ?
Ajoutez-y que, dans la grande tourmonte de 1914, les enfants de Plozévet
so sont conduits en héros. Deux cents
des fils de la cité sont tombés pour la
patrie.
De plus, ne vous en déplaise, Monsieur
Joncour et Monsieur Saliou, les électeurs
de Plozévet votent dans la perfection, et,
s'il en est qui ne peuvent résister à la séduction de l'or clérical ou aux menaces
des propriétaires terriens, la très grande
•
•
1
Tout y était pour le mieux dans le majorité des électeurs de la commune
meilleur des mondes. Les mères de sont demeurés ñdéles depuis près de
famille envoyaient leurs fillettes à l'é- 60 ans à la République laïque et sociale
cole publique, ot, pour en faire dos qui sera encore, malgré vos efforts en
chrétiennes, elles leur taisaient suivre sons opposé, la République de leurs enfants ot de leurs petits-enfantB.
aussi le chemin de l'Eglise, ou, entre
•
les heures de classe, et, le jeudi, M. le
• •
Recteur ou son vicaire enseignait le
Et voilà ce qui ne vous plait pas. Piocatéchisme aux enfante.
zivet est républicain ot il faut à tout
Les parents, qui sont des gens raisonprix y changer les opinions par l'innables, pensaient, avec raison, que s'il
fluence de l'école dito chrétienne.
. convient à l'institutrice d'inculquer aux
C'est aujourd'hui la toile d'araignée
enfants l'instruction civile, il laut laisser
tendue
au travers do la route pour prenau prôtre le soin de leur donner l'instruction religieuse. Il taut bien que le prôtre dre les potitos filles, et, ce sera demain
travaille, que diable, et qu'il gagae son le tour dos garçons de tomber dans les
filets.
argent et son picotin de blé,
•
Dans toutes les communes on creuse
• •
une fosse dans laquelle on se disposo À
M. Saliou, notre recteur, a changé jeter les principes do 89. L'école prépare l'avenir, et, celui qui tient l'enfant,
tout eela.
Là où son distingué prédécesseur, M. possède déjà l'homme.
•
Guiniec, trouvait des objections, M. 9a• •
, liou ne vit aucune difficulté. Dès que
Je proteste contre vos paroles, M. Jon•on évèque lui eut donné l'ordre de
cour,
quand vous dites que l'institution
créer à tout prix l'école chrétienne, il
de
l'école
laïque est un mensonge et
march», tète baissée, vers le but.
qu'elle constitue un acte d'hostilité
M. Saliou doit être un des descendants
contre l'Egli«e¿
de ce gendarme légendaire qui répondait j
Partout Votre Culte est libre et roapectoujours à son supérieur : « Brigadier,
té
ot toute atteinte portée à son exercice
vous avez raison ».
constitue un délit spécial puni par les
lois.
Le dimanche 2 septembre eut lieu la i Je ne puis accepter votre dédain de
bénédiction de l'école libre au milieu l'école laïque proclamó ouvertement sur
d ' u n tra la la de tous les diables, ot, on les toits et dans les chaires par vous et
pouvait entendre le c h a n t des cantiques vos pareil«.
dans la rue tandis que, dans l'aire voiVous manquez de doucaur et de tolésine, les rudes joueurs de quilles assom- rance et vous n'avez rien de la bonté de
maient le n e u / e t faisaient le coup de 14. ce Dieu qui fait luire également son
• «
soleil sur les cléricaux et sur les laïque?,
Cette cérémonie mérite de retenir
' notre attention par ce qu'on y a dit
' dans les sermons do la journée.
Si j ' e n crois la Semaine
religieuse
qui rend compte de la fête, M. le vicaire
général Joncour a développé, on chaire,
la thèse de la nécessité et de la bienfaisance de l'école chrétienne.
M. le vicaire général exagère. Je veux
le mettre au pied du mur.
La commune de Plozévet compte DQS
p r e s q a ' u n a n i m i t é do braves gens et
d'honnêtes mères de famille qui pourt a n t ont été élevés à l'école laïque.
On n'y voit pas, comme dans certaines
communes ultra oléricales, les gens noyer
les nouveaux-nés comme de simples pe»
* tits chats ni se livrer à des crimes de
' sang qui rappellent les siècles de la barb a r i e primitive.
Ce qui prouve que les filles de Plozévet
• o n t sages, c'est que les bâtards y sont
inconnus, ce qui n'était peut être pas
le cas, lorsque les bonnes cœurs avaient
dan» la commune la direction de l'école
puhlique.
Faut-il ajouter que si les jeunes filles
et les femmes de Plozévet sont dignes
de servir de modèle aux autres femmes
peur leur bonne conduite et leur travail,
2!, l i s
à m . Pierre CUÉCUEfl, Administrateur-Gérant.
Réponse à 19. le Vicaire Général JONGOUR
La commune de Plozévet vivait heureuse sous le régime de ses écoles
publiques ouvertes à tous les enfants
de la contrée, riches et pauvres. Garçons et filles, formés par des maîtres
et des maîtresses instruits et dévoués,
devenaient, les gàs, de rudes travailleurs
des champs en même temps que de bons
citoyens dans la République, tandis que
les filles se recommandaient par leur
conduite, leur gaieté sage, le goût du
travail et une jeune et précoce expérience du ménage.
Le progrès, comme une pluie bienfaisante, y avait renouvelé la suiface de la
terre et donné son empreinte à toute une
jeunesse orientée vers le bien et le
juste.
La paix régnait enfla dans la commune, oomme à la surface d'une eau tranquille que trouble à peine le souffle léger
de l'aquilon.
I m p r i m e r i e ,
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Les Bureaux «ont ouverts de Huit heure» à Midi, le matin, et de Deux heures à Cinq heures, le soir
Adresser toutes communications concernant la Rédaction, l'Administration et l'Imprimerie
Lei abonnements partent du i" ou du Ï5 de chaque mois
et sont payables d'avance
3D-A.3STS
e t
Républicaine
sur les bons et sur les méchants 1 !
Jo crois pouvoir vous dire, M, le Vicaire général, qu'après votre discours
rien no sera changé dans la commune
de Plozévet. De môme que l'eau continuera d'aller au moulin pour so perdre
ensuite dans la mer, les pères et mères
de iamille continueront à envoyer leurs
enfants à l'école publique.
Les gens de Plozévet ne se laisseront
pas confire comme de la casse-pierre ou
dos cornichons et ils n'ont rien de commun avec ces oiseaux imbéciles qu'on
prend avec de la glu.
Ce n'est pas aux gars do Plozévet
qu'on va faire croire que l'éducation
laïque constitue le poison des dm as,
quelque chose d'analogue à l'arsenic
pour les rats ou au psrBil pour les perroquets 1
Les môros de famille n'auront pas
non plus la faiblosie de se laisser mettre
á la broche comme de simples pintades
ou commo des poulets innocents.
Le M charrettes elles-mêmes ne so
laisseront pas jetor des goupillons
dans le» roues, si elles consentent
encore à porter demain le produit de
la quôto de M. le Vioaire.
Voue avez ajouté, M. le vicaire géné-
ral, que Plozévet monte depuis la construction de l'école libre.
Quoi, déjà 1
C'est pour cela sans doute que, huit
jours après votre sermon, l'Eglisa était
à peu près vide aux deux messes du
matin.
Périsse le pays plutôt que l'esprit bureaucratique ou la rivalité de bouton !
Il est temps que ce scandale cesse.
Les ministèros sont faits poar assurer
la sécurité ot la grandour du pays, notre
France, et non pour entretenir la vanité
de la haute bureaucratie.
Plozévet monte.... c'est donc que le
Notro aviation ne bat plus que d'uno
Plozévet républicain était, selon vous, aile, et, pourtant, quelle sauvegarde elle
tombé bien bas.
constitue pour la défense du pays penA cela je réponds que la fierté de ses dant tout le temps que durera la période
électeurs est à l'abri de vos outrages.
indéterminée de la paix encore incerLe vrai miroir de la vertu de l'éduca- taine l
tion laïque est le cours de la vie de ses
S'il prenait demain fantaisie à un
heureux bénéficiaires.
grand paya doué d'une aviation puisVoilà pour l'honnêteté privée.
sante de déclarer la guerre à son voisin,
Quant aux dînas citoyennes des élec. les villes 6Dnemies seraient aux quatre
teurs de Plozévet, elles ne se sont jamais coins du pays réveillées la nuit en surprosternées devant la toute puissance saut, bombardées et détruites tandis que
des prêtres et elles sont vierges d» les populations inoffansives seraient asl'empreinte de Iours lourdes sandales.
phyxiées ou passées au fil des lamelles
Là où régnait la paix, vous déchaînez des bombea d'acier éclatant partout
la guerre.
comme des mines.
Là où les mains ouvertes se touIl a fallu les catastrophes de Vléna et
chaient ot so serraient, vous faites du Liberté pour entraîner les réformes
surgir dos poing« tendus!
heureuses qui ont ramené le progrès et
Là où l'harmonie existait, voua insti- l'harmonie dans nos constructions et
tuez le concours de deux musiques qui dans nos institutions navales.
joueront ensemble et à perpétuité des
Dans notre aviation qui branle au
airs différents.
manche on trouve la même désharmoLes républicains ne sont pas gens à nie.
laisser tomber le gant sans le relever.
Que toutes les aviations qui garderont
Qui vivra, verra.!
leur autonomie définissent leurs besoins [
A bon entendeur, salut !
Le ministère de l'air les coordonnera
Georges L E BAIL.
et les réalisera au mieux. La décision
P . S. —- Curés et bonnes sœurs, sous définitive lui appartiendra.
la forme de la chrysalide ou du papillon,
Ce n'est pas la nation française qui
visitent, depuis un mois, toutes les est incompétente. C'est le système qui
maisons de la commune dans le but de est mauvais.
recruter des élèves. Cotte insistance est
Vite, un ministère de l'air, et ça ira,
navrante et révèle un toupet formidable. comme disaient nos père«, puisqu'il est
Cetto chasse à l'enfance est en oppo- vrai qu'en France les réforme« s'accomsition avec la doctrine du Christ qui plissent à la lueur des catastrophes.
interdisait la contrainte 6t censurait
•
• •
la retape. Il disait: « Laissex osnir <t
moi les petits enfanta. » Sinite oenire
, Un ordre du Jour
ad me paroulos.
des Radicaux -Socialistes
de la Mayenne
Voyage en Zigzags
UN PEU DE TOUT
Victimes de première
•t de seconde classe
Tous les hommes devraient ôtre égaux
dans la République comme devant la
mort.
Si l'égalité politique a fait des progrès dans les lois depuis l'instauration
du régime républicain, il no semble pas
que des réformeu correspondantes aient
été réalisées dans nos habitudes et dans
nos moeurs.
Pourquoi deux poids ot deux mesures
quand il s'agit des victimes du même
devoir T
Il n'est pas un cœur vraiment français
qui n'ait frémi de douleur à l'annonce
de la catastrophe qui a enseveli dana le
même trépas le ministre Bokanowiki et
sos héroïques compagnons.
A la famille BokanoWiki on a annoncé avec dea précautions infinies la
mort de son chef. Pourquoi n'avoir pas
témoigné des égards semblables aux
familles des autres victimes ?
La mort trouvée en commun aurait
dû conduire à l'observation du même
cérémonial pour les uns et les autres,
puisque tous sont morts pour la patrie.
L'éducation de notre pays n'est pas
faite, et dans le même reproche j ' e n globe les gouvernants et les gouvernés.
•
La Fédération do la
qu'il ost nécessaire et
parti radical reprenne
tiatioe et de direction
majorité excluant tous
droite.
<
Mayenne trouve
urgent que le
son rôle d'iniau sein d'une
les éléments de
C'est notre avis et nous espérons bien
que la Fédération du Finistère se ralliera au texte do cet ordre du jour.
Mais pour qu'une majorité républicaine gouverne, il est nécessaire que IPS
socialistes marchent comme un seul
homme et qu'une politique claire, ferme
et résolument réformiste recueille l'adhésion complète et sans m o r v e du
groupe radical présidé par M. Daniélou.
Quand notre compatriote fera entendre sa voix de commandement, il faut
que tous obéissent à son appel.
A part quelques exceptions honorable«, ce groupe a flanché, lors de l'assaut
donné au ministère Herriot, et, qui nous
dit qu'il ne flanchora pas uno fois
encore ?
Noua voudrions que son chef put nous
donner l'assurance de l'intrépidité laïque et républicaine de tous ses collègues.
S'il n'en est pas ainsi, il faudra vivoter, et, quand, dana quatre ans, la
Chambre s'éteindra, aile pourra nous
répondre commo Sièyez, quand on l'interrogeait sur ce qu'il avait fait t « J'ai
vécu ».
• «
Le monopole des tabacs
La production du tabac est en hausse
dans notre pays.
* •
Quand,
Un ministère de l'aviation
pour créer dos ressources au
In neeessariis unitas I
trésor, les Chambres durent augmenter
Une aviation ot un seul chBf, voilà ce les prix du tabac, mômo ordinaire, les
qu'il nous faut. Toutos les aviations, client« menacèrent do fairo grève. Beaucommerciale, navale ou militaire doi- coup môme prêtèrent un serment qu'ils
vent dans leur variété aboutir à l'unité ne tinrent pas.
Lç produit brut de l'entreprise qui ne
de direction et obéir à un même souflle.
Au lieu de 34 maisons «'occupant donna que 3 milliards 400 millions en
d'aviation il en faudrait 3 ou 4 tout au 1926, B'oriente actuellement vers les
plus, puissamment outillées on matériel 4 milliards chaque année, en attendant
mieux.
et en personne!.
La fabrication atteint môme une telle
Les ministèroo se jalousent comme
perfection
que les femmes mordent de
des femmes «t se battent entre eux
plus
en
plue
à l'hameçon tentateur, tancomme des tigres.
dii que les pays étrangers et nos oolo-
SOISTS
3DE!
O L O C H B
Un enterrement civil à Nizon
Un drame de la conscience humaine
M. François Flatrè», propriétaire do
la salle de danse de Kérigazuel en
Nizon, a été enterré civilement dana
cette commune le samedi 8 septembre,
à 11 heures, au milieu d ' u n grand concours de population.
Les obsèques ont été civile?, parce
que Flatrès qui était un pur républicain,
l'un des meilleurs de la commune, en
avait décidé ainsi dans sa sagesse ; car,
Fiatrès était un ssge.
Pourquoi 1
Parce qu'il avait été victime de la
tyrannie des prêtres de sa commune et
que sa femme et sa fille avaient été, en
1924, privées des secours de la religion
et enterrées civilement sous le vain prétexte que Fiatrès ne voulut pas fermer
sa salle de danse, qui était son gagnepain.
de victimes en Bretagne franchit le seuil
de la maison Fiatrès, clouant sur le lit
à la fois, Mme Fiatrès, sa fille et son
fils.
Fiatrès n'avait aucun espoir de les
sauver, et, chaque jour, chaque heure,
chaque minute qui s'écoulait avait dans
son cœur un retentissement douloureux, parce qu'elle lui annonçait un
p9u plus l'approche du terme fatal.
La jeune fille mourut le 8 mai 1924.
Le clergé lui refusa les secours de la
religion parce que Flatréi refusa de
prendre l'engagement de fermer pour
toujours sa salle de danse.
Rien ne put vaincre l'intransigeance
farouche du prêtre.
L'enterrement civil de la jeune fille
fut chose émouvante.
, Une foule de plus de 2000 personnes
déferlant en houle autour du cercueil et
précédée du drapeau tricolore flottant
Il y a du drame dans le cas de cette au vent, réalisa l'immense et impresfamille, victime de l'intolérance des sionnant cortège de la douleur sans
prêtres oppresseurs de la liberté hu- voix.
maine.
Au cimetière, M. Cadoret et son colL'Echo de Bretagne, dans son numé- lègue Tanguy, conseiller« généraux,
ro du 9 mai 1924, a fait le récit de cette prononcèrent, au milieu du recueillefunèbre aventure.
ment général, de graves et émouvantes
A* village de Kérigazuel, en Nizon, paroles dans lesquelles ils se firent l'écho
habitait la famille Fiatrès. M. Fiatrès, do la compassion et de l'émotion pucultivateur à ses heures, tenait un débit bliques.
de boisson en bordure de la route de
A l'issue de la cérémonie, l'orage
Pont-Aven à Concarneau, où la jeu- gronda autour du presbytère et des
nesse rurale avait coutume de venir poings tendus se tournaient vers les
danser joyeusement au son de l'accor- fenêtres derrière lesquelles se tenaient
déon, après les fatigues et les pénibles les êtres de malédiction.
travaux de la semaine.
tâ •
tâ
Plus tard, M. Flatrôa, marchant avec
le progrès, commit le crime inexpiable
A quinze jours d'intervalle, la mère
d'installer dans son cabaret un piano
Fiatrès
suivait sa fille dans la tombe.
automatique.
Le prêtre fut impitoyable pour la
Du coup, le brave homme devint la
mère comme il l'avait été pour la fille.
victime désignée de la vindicte du pres« Ferme ta salle ou meurs sans nous ».
bytère.
Comprenne qui pourra ! La fille et la
mère rendues responsables de la ténacité du chef de la famille qui n'obéit
Une terrible maladie qui fait beaucoup
pas servilement aux sommations du
prêiro, parce qu'il croit avoir raison !
Même empressement de la foule aunies font Iours délices de notre tabac.
tour
du cercueil, et puis, dans ses rangs,
Décidément les monopoles ont du bon
une
indignation
muette qui portera ses
et on constate qu'ils abandonnent de
fruits
tôt
ou
tard
car rien ne se perd
plus on plus la tradition conservatrice
pour entrer dans la danse du progrès dans la balance éternelle. La voix et la
conscience du peuple se confondent
qui perfectionne tout.
avec la voix et la conscience de Dieu.
•
tâ
*
•
Le prix du vin augmente
Le pinard est de plus en plus en
faveur et en hausse.
Il aura bientôt atteint des prix astronomiques.
Non pas que la production baisse.
Celle de la métropole sera bonne cette
année, sans compter celle de l'Algérie
qui nous donnera au moins 12 millions
d'hectolitres.
Ça n'empôshe pas les viticulteurs du
midi de se plaindre et de répandre des
larmea do crocodile.
Quels admirables metteurs en scène
que les gens du midi ! Ils se soutiennent
comme les doigta do la main et ils aont
inégalables quand il s'agit de monter le
coup aux consommateurs.
Lo vin coûtera 3 fr. 13 le litre acheté
à Narbonne, sans compter les frais de
transport et lo bénéfice de l'intermédiaire et du marchand. C'est pour rien.
Vous verrez que le prix de la viande
non plus ne baissera pas, malgré la
vente obligatoire d'un nombreux bétail
que la disette des fourrages ne permet
pas de garder à la ferme.
En vérité, en vérité, je vous le dis, et
comme le répète sans cesse notre curé
qui est un brave homme mais qui ne
lâchera pas pour cela une pinte de sa
gaioté, uno aile de son poulet, ni une
chopine de son pinard : « Ma breudeur,
ha ma c'hoareset, ar bed ha so leun a
tristidiges, »
Le Fureteur,
Cette fois, ce fut M. Le Louédec qui
se fit l'éloquent interprète de l'indignetion publique.
Quatre ans s'étaient écoulés depuis
ces jours maudits, quand le père Fiatrès
dut s'aliter.
Il savait sa mort prochaine. Convaineu de l'innocence de sa fille ot de sa
femme, il refusa obstinément les secours
do la religion qu'on lui offrit avec une
insistance du plus mauvais goût.
Une demoiselle connue par son zèle
religieux, le recteur nouveau et son vicaire firent lundi, mardi ot mercredi le
sièga de sa maison ot de sa conscience«
Fiatrès résista et tint bon jusqu'au bout,
voulant être enterré de la même façon
que sa femme et sa flllo et partager leur
mystérieuse destinée.
Un nombreux public a conduit à sa
dernière demeure cet excellent homme
qui fut aussi un bravo poilu pendant la
guerre.
j Sur sa tombe, M. Autret, directeur d*
• l'école publique, a prononoé les paroles
suivantes :
S
|
« Mesdames, Messieurs,
« La population de Nizon est encore
tout émue de la mort d ' u n chef de
famille qui vient de décéder comme u n
vrai poilu laïque. Sa femme et ses
deux e n f a n t s , fauchés par la mène
LE
terrible maladie, avaient été inhumés
sans le faste du culte catholique. Ce
scandale provoqua la mutation du desservant de Nizon.
|
« Aujourd'hui le recteur successeur a |
voulu passer un peu l'éponge sur l'intolérance de son prédécesseur. Peine perdue. Le pôre Flatrâs s'en est allé comme
il avait vécu, en homme de bien qui ne
craint pas la mort parce qu'il n'a rien à
se reprocher. Quelle volonté admirable !
Quelles leçons pour ses amis survivants !
u Malgré les interventions successives
et réitérées des dirigeants cultuels, \
l'ami Flatrds est demeuré inébranlable *
dans ses convictions de libre penseur..,..
« Et maintenant, oher Flatrés, tu es
allé rejoindre ta famille que tu as retrouvée Adèle dans l'au-delà.
« Tes nombreux amis de Nizot), de
Pont Aven, de Eiec et de Keenével ont
communié dans le culte de la sincérité
et de la libertré que tu as illustrées par
ta vie et mieux encore par ta mort l
« Les jeunes générations de Nizon
garderont le souvenir de ta vie honnête
et de ta fin héroïque.
« Adieu, cher ami, que la terre te soit
douce ! »
U»
Etalions
canfonalts
! Républicains, révaillez-voos !
Les élections cantonales approchent.
Nous faisons appel i l'aclion collective
de nos amis et à la discipline géné aie des
républicains qui doivent marcher unis
contre Fenneml commun. Malgré ses divisions Intestines, H réalise eenlre nous, à
chaque coup, l'unité de front
Il ne faut pas qu'on puisse dire de nés
amis de la ville qu'ils se désintéressent de
la bataille prochaine, ni, des agriculteurs
dovt la République a singulièrement amélioré la situation depuis 40 ans, qu'ils se
montrent ingrats ou Indifférents à l'égard
de celle mère généreuse.
La République a plus fait depuis ces 40
ans pour l'amélioration du sort des classes
laborieuses que la Monarchie et l'Eglise
pendant dix-hall siècles.
La Bruyère a flétri avec raison Flagrad•
tude de f enfant gros et gras du bon lait
qu'il a sucé et qui bat sa nourrice.
Alerte, républicains I Réunissez vous,
faites choix pour les élections prochaines
de bons candidats à l'esprit laïque, social
et pacifique, et débrouillez-vous pour faire
le front unique centre f adversaire et emNe trouvez-vous pas, amis lecteurs, porter d'assaut la redoute ennemie.
quo c'est la religion qui, grâoe à l'into
Le mot d'ordre doit être : R o u g e » centre
lérance dos prôtres, sort vaincue de Blanc», comme autrefois, et, en avant,
cette épreuve.
Lo Citoyen
Lo Citoyen ne s'en réjouit pas, car il a
toujours distingué entre le mauvais prê
tre et Dieu, ontre la religion et le cléri
calisrne qui n'est que la caricature, et,
parfois, la sinistre mascarade de la
de 1«
religion.
An Diaoul Ru,
M i e i i e s
S e m a i n e
MOTS
DE
COMBAT
Les amis de l'heure présente
Ont le naturel du melon.
IL faut en essayer cinquante
Pour en trouver un ton.
Le beau geste de Mgr Ruch
fttftqu*
dt
Strasbourg
Ainsi qu'on le sait, le curé autono
miste de la commune de Wisches avait
eru très intelligent, ou très politique,
d'annoncer en chaire qu'il ne voulait
plus célébrer de service religieux au
cimetière militaire français de Wisches
où dorment leur dernier sommeil plus
de 200 soldats français tombés sur 1e
territoire des communes de Wisches,
Rus8 et Hersbach en août 1914.
La section de l'U. N. C., émue da cette
décision maladroite, avait adressé une
requête à Mgr Ruch, le priant de dési
gner un prêtre pour célébrer la messe
anniversaire. L'évôque avait répondu :
Je désigne Charles Ruch, ivique de
Strasbourg, ancien aumônier
militaire du XXe corps, »
Aussi bien plus encore que les années
précédentes, la cérémonie s'est déroulée
en présence d'une foule considérable que
le cimetière ne put contenir toute.
De cette cérémonie, nous ne voulons
retenir que le discours prononcé par l'é
vôque de Strasbourg, qui marque nettement la désapprobation publique de Mgr
Ruch pour la partie gangrenée par l'an
tonomisme de nombreux membres de
son clergé.
Et cela apparaît d'autant plus claire
ment que les journaux catholiques de
langue allemande de Strasbourg consa
crent à peine quelques lignes à cette
manifestation toute française.
L'on conçoit fort bien d'ailleurs la
colère de ces feuilles si l'on retient les
paroles suivantes prononcées par Mgr
Ruch : « Les hommes qui sont tombés
ici étaient venus de loin ; ils n'étaient
pas vos parents ; ils ne vous connaissaient pa*. Et pourtant, ils vous ont aimâs comme des frères. Pourquoi donc,
ont- ils tombé sur la terre d'Alsace T
Ah ' no l'oubliez pas, o'est parce que
vos frères à Bordeaux, en 1871, avaient
demandé à la France qu'on les délivrât
et qu'on rendit leurs familles à la mère
patrie. C'est pour avoir répondu à cet
appel qu'ils sont tombés sur 3a terre
d'Alsace. Qu'auraient-ils pu faire de plus
pour mériter votre aflection 1
— Le dramo aérien de Toul, qui coûta
la vie au ministre du Commerce et à
quatre autres personnes, a été évoqué
le 5 courant à l'ouvorture du Conseil de
Cabinet qui s'est tenu au ministère des
Finance».
Après avoir renouvelé l'hommage qui
leur avait été rendu le matin môme, les
membres du gouvernement ont décidé
de proposer la citation à l'ordre de la
Nation des cinq viotimes : M. Boka
now«ki ; Lefranc, directeur de la C le
aérienne ; Hanin, pilote ; Vidal, méca
nicien ; et Villius, radiotélégraphiste.
— Le docteur Bougrat, depuis quatre
ans au b'gne, s'est évadé. Il s'est enfui
avec deux autres déportés de Thôpita
de Saint Laurent-du-Mareni.
— Le meeting automobile de Bou
logne a été attristé par plusieurs acci
dents, Jeudi après-midi, notamment, le
coureur Bielovucic est entré dans la
foulo à 200 km. à l'heure.
Deux spectateurs ont été tués. Le
conducteur n'a été que pou gravemsnt
atteint.
— Un funèbre bilan : 254 personnes
ont été tuées, pendant le 2 e trimestre de
1928, à Londres, dans des accidents
d'automobiles.
— L'association professionnelle de la
Presse républicaine, qui a son siège à
Paris, a tenu samedi son assemblée gé
nérale à Aix-les. Bains.
Après la visito des principales industries de la ville, un grand banquet a
réuni les officiels et les visiteurs.
— Le 14* anniversaire de la victoire
de la Marne a été célébré avec une
grande solennité dimanche à Meaux.
Prenant la parole au banquet, M,
Painlevé, ministre de la guerre, a dit
notammont : « Nous devons BOUS gar
der à la fois d'une aveugle défiance qui
laisserait échapper des occasions peut
ótre décisives de rapprochement ontre
les peuples, et d'une confiance trop généreuse ou prématuréo dont notro pays
risquerait d'être victime. »
CÎTOYK»
adressé directement, le 6 septembre, aux
H BON CHÛT, BON R&T
Halles centrales, un premier envoi de
Sauf en cas de force majeure, le laïc
sardines.
Les bonnes ménagères n'ont pas hési- d'action ne donne à gagner qu'au laie.
té à s'approvisionner de ce délicieux
petit poisson, qui était mis en vente au
E X A M E N S
prix incroyable de cinq centimes la pièce!
p
o
u
r
l
e
s Ponction» publique«
On assure que chaque jour 100.000
sardines fraich«s seront expédiées à Pa
Rédacteur de 2* classe des Services civil«
ris.
de l'Indo-Chine.— D*te : 17 décembre 1928 ;
délai d'inscription : 81 octobre 1928 ; traitement de débat ; 12.000 fr., plas 8.421 piastres.
RIGOLETTO
Licence oa divers litres exigés.
Contrôleur civil stagiaire an Maroc. —
1.
Date : 20 novembre 1928 ; délai d'inscription : 20 octobre 1928 ; âgo : 21 à 30 ans,
services militaires ; traitement de
et chasse les bélugas pins
débat : 21.000 francs, pins nombreuses
indemnités. Licence oa divers titres exigés.
L'autre jour, le bourg de Treffiagat Concours ouvert en Franco.
était en liesse. Le syndicat agricole y
Commis d'administration an Ministère
donnait sa représentation annuelle. On de la Gnerre. — Dite : 20 novembre 1928 ;
y rencontrait une bête à cornes tous délai d'inscription : 1" octobre ; traitement
de débat : 8.000 francs, plas indemnités ;
les vingt mètres et un réactionnaire à âge : 20 à 30 ans, plas services antérieurs.
chaque pas.
Baccalauréat, B. S. oa diplôme de fin d'éA part quelques républicains qui s'é tude» secondaires exigé. Accessible aux
taient fourvoyés là, la fleur des pois de dames.
Rédacteur k la Préfecture de police. —
la réaction agricole du département s'y
Date : 25 octobre 1928 ; délai d'inscription :
était donné rendez vous.
25 septembre ; âge : 21 à 30 ans, plus serOn attendait avec curiosité le discours vices de mobilisation ; traitement de début :
de M. Quéinnec. Il enfila au dessert 12 000 francs, plas indemnités. Licence oa
quelques périodes d'une banalité déso divers titres exigés. Acessible aax dames.
Rédacteur aa Ministère des Finances. —
, lante et, à la fin de son sermon, il frappa un coup de grosse caisse en l'hon Concours ouvert en novembre 1928 ; âge :
20 à 30 ans, plas services de. gnerre ; traiteneur de M. Le Gouvello de la Porte, ment de début : 10.000 francs, pins indemdont le mérite rare consiste, selon lui, à nités. Baccalauréat exigé.
vivre sur ses terres.
Les personnes qai désirent des renseiLe public a trouvé que M. Quéinnec gnements sur l'an des emplois oa concours
exagérait. M. Le Gouvello n'a aucun ci-dessus oa sar an examen quelconque
s'adresser de notre part à M. Houmérite à vivre à la campagne. Le com- peuvent
deville, directeur-gérant de l'Orientation
pliment pouvait s'adresser à tous les Professionnelle, 108, rue Erlanger, Paris
paysans qui fuient les villes pour respi- (16*), qai lear répondra à titre absolument
rer l'air des champs. En ne le compre- gracieux.
Joindre un timbre de 0 fr. 50 et ne pas
nant pas et en brûlant de l'encens sous
le nez de M. Le Gouvello de la Porte, oublier de mentionner : en qualité de lecteur da « Citoyen » à Quimper.
M. Quéinnoc a agi en vrai notaire dési
reux de flatter un client de marque et
non en représentant du pouple.
Le public a pensé que M. Quéinnec
avait commis là une gaffe. Il est vrai
que M. Quéinnec n'en est plus à une POUR LES VICTIMES DE LA GUERRE
Le Préfet da Finistère informe les anciens
gaña près.
combattants hospitalisés oa soignés à do• •
micile pour des affections se rattachant à
M. l'Administrateur de la Marine du la guerre, qu'ils peuvent obtenir da comité
Guilvinec a voulu tenter une expérience. départemental des mutilés et réformés, à
Il a embarqué M. Quéinnec sur le Pétrel partir da sixième jour de l'hospitalisation
comptant bien que la seule présence du ou da traitement, une allocation jonrnalière
député de Penmarch ferait fuir les trou- dont la maximnm a. été fixé à 3 francs pour
peaux sournois de ces empêzhaura de l'ancien combattant lai-même, et ponr cha
cane des personnes à sa charge.
pêcher en rond.
Les demandes doivent être adressées an
Les bélugas, qui sont de grands mo
queurs, ont défilé deux par deux devant comité départemental des mutilés, réfor
M. Quéinnec. Ils se tenaient nageoire més et anciens combattants, 52, quai de
l'Odet, à Quimper.
contre nageoire et tendrement enlacés
• •«
comme les amouroux à la sortie du bal.
Ponr permettre d'appliquer aux intéL'un d'eux pourtant qui était resté ressés le règlement d'administration pucélibataire comme M. Quéinnec, et avait blique exigeant des commerçant*, indus
je ne sais comment appris la chanson de triels et agriculteurs l'emploi obligatoire,
Gustave Nadaud : \oilà pourquoi je suis dans lear personnel d'an pourcAntage d'in
garçon, le régala de cas jolis vers mal valides de guerre, MM. les mutilés et réfor'
heureusement oubliés depuis plusieurs més à quelque titre que ce soit et quel que
soit le pourcentage de leur pension, qui se
années :
trouvent
actuellement inemployés, sont in
Ah. i si jamais je me marie,
vités i faire lear déclaration au bureau de
Je 0eux, lorsque viendra mon tour,
l'Office dn travail, 52, quai de l'Olet, le
Etre amoureux à faire envie
plas tôt possible.
A tout les couples d'alentour.
MM. les invalides à 100 pour 100 tuberJe veux, doux, bénin et fidèle,
culeux et autres sont évidemment dispen
Etre sans crainte et sans soupçon,
sés de cette déclaration.
ie veux être un mari modèle...
La même invitation s'adresse aax veuves
\oili pourquoi je suis garçon.
et orphelines de guerre actuellement sans
emploi.
Il doit exister sur la terre
L'ange que j'ai rêvé toujours;
•
ECOLE D'AGRICULTURE
En lui j'ai Jol, par lui j'espère;
DE BRÉHOULOU
De luij'attend* longues amours.
Nous rappelons quo la deuxièmo session
Illusion, sainte vestale,
da
Dore toujours mon horizon ;
concoars de rentrée k l'école d'agriculJ'ai rêvé la femme idéale...
ture de Bréhoalou-Foaesnant aura lien le
Voilà pourquoi je suis garçon.
mardi 25 septembre coarant, k 8 heures du
En somma M. Quéinnec a passé son matin, dans une salle do la Préfecture, à
Quimper.
temps à flirter avec les bélugas à bord
Les candidats sont instamment priés d'adu Pétrel. M. Quéinnec a trahi.
1
dresser, dès à présent, leur dossier à M.
Le naïf député, à la fia de la jonrnée, Buqnet, directeur de l'Ecole d'Agriculture
ne parlait do rien moins que d'offrir une de Bréhouloa, en Foaosoant (Finistère).
tournée à ces ravageurs do filets.
LA FERMETURE DES PHARMACIES
Las bélugas ont décliné son invitaLE DIMANCHE
tion avec beaucoup de dignité.
M. le Préfet da Finistère vient de prenCombien d'habitants de Saint-Pierre dre an arrêté réglementant la fermeture
n'en auraient pas fait autant ?
des pharmacies le dimanche dans les localités da département possédant aa moins
\lan.
deax pharmacies.
NOUVELLES DÉPARTEMENTALES
— Le grand prix d'Europe automobile, qui s'est disputé dimanche sur le
circuit de Monza, a été gagné par le
coureur Chiron, »ur voiture Bugatti.
La course a été malheureusement
marquée par un terrible accident : le
coureur Matérasi s'est retourné alors
qu'il roulait A plus de 200 à l'heure, Sa
voiture a été projetée dans la foule, fauchant de nombreux spectateurs. Il y a
eu 21 mort», dont Matérasi, et 26 blesUn sot raillait un homme d'esprit sur
sés, dont quelques-uns très gravement, la grandeur de ses oreilles : « il est vrai,
— M. Paul Bluysen, sénateur de lui dit l'homme d'esprit, j'ai des oreilles
l'Inde, s'est tué lundi soir, prés de Cor- trop grandes pour un homme, mais convenez aussi que vous en avez de trop
beil, dans un accident de voiture.
— Les autorités espagnoles ont dé- petites pour un Aue. »
Glanes et Perles
« Si la réadaptation à la patrie retrouvée
vous impose, chose inévitable, quelques
efforts et môme des sacrifices, que sontils en comparaison de celui de vos libécouvert, mardi, une conspiration qui
rateurs ?»
tendait à renverser le régime instauré
On comprend facilement que ces pa- par le général Primo de Rivera. La déroles si françaises ne soient pas du goût couverte du complot a été aussitôt suides prêtres autonomistes qui sont mal- vie de plusieurs milliers d'arrestations,
heureusement légion en Alsace et reçoi- dont colles des généraux Lopez Achoa
vent leurs direotivea de l'abbé Haegy. et Girona.
Elles font honneur «n tout caa i Mgr
Ruch qui vient de prouver qu'il n'est
nullement prisonnier de son clergé et
Ui« Initiative de Marini-Péchcira
qu'il est bien Français.
Quant au Curé de Wisches, on assure
qu'il va être déplacé 1 Mais les paroissiens en seront, parait-il, fort marris,
ear ils disent : «Noos connaissons le bon
apôtre, c'est le gafieur par excellence et
Le syndicat des marins-pêcheurs-sarnous craignons la venue d'un prêtre rediniers
des SableB-d'Olonne a fait preuve
tors et fourbe, à la manière d'Haegy, cad'une
belle
initiative dont tous les Paripable de nous entraîner 1À OÙ nous
siens
lui
sauront
gré.
n'avons nulle envie d'aller. Français,
Estimant
que
pour
faire baisser le prix
nous sommes, et nous resterons* »
de la vie, il est indispensable de suppriYan B...
mer d'abord les intermédiaires, il «
Li sardine
à 1 son ani Halles de Paris
NOTARIAT
L'examen des candidats notaires da département da Finistère aura liea à Quimper, aa siège de la Chambre des notaires,
rne Toal-al-Liêr, 6, le jeudi 4 octobre 1928,
à neuf henres da matin.
Les candidats devront faire parvenir leur
dossier à M. le Président de la Chambre
des notaires le dimanche 30 septembre 1928
an plas tard.
L'examen des candidats au grade de premier clerc aura liea dans le môme local, le
jeudi 20 septembre 1928, à neuf houres du
matin.
Les candidats devront déposer lear demande, avec les pièces à l'appui, chez M*
Jaoaen, notaire à Quimper, secrétaire de
la Chambre des notaires de la circonscription judiciaire du Finistère, section de
Qaimper, le 17 courant aa plas tard.
• m
Six heures du matin, en gare d'Annecy,
on attend le train de Paris.
Un groupe d'Allemands circule, lunettes d'or, cr&nes passés à la pierre ponce, joues roses, ventres arrondis par la
bière.
Tout à coup l'un d'eux s'arrêta en
extase, devant ces mots qu'il lit sur les
murs de la gare, à l'endroit qu'outreRhin on appelle i Abritt :
YACHTING
Femmes gratuites
Le comité des régates deBénodet-LoctuHommes payants
dy, réani le 1" septembre 1928, à son siège
— Ach 1 So i Femmes gratuites ! quel social, hôtel de l'Épée, k Qaimper, a acbeau pays que la France j s'écrie-t il,
cepté avec regret la démission de son président, 1e docteur Cbauvel.
M. R. Levainville a été élu président à
La Llbr«!rl* l a ï q u « d u « C i t o y e n » l'unanimité. Très compétent dans tout ce
livre très rapidement toutes les four- qui touche aa sport nautique, la Société des
nitures scolaires et de bureaux, ainsi régates aura on lai lo plas dévoué collaboque tous les litres classique» 11 de rateur,
La mort de M. de Laubrière, vice-présiMblioihique.
dent dn Y. C. S., prive la Société d'un de
ses membres les plus influents et tous les
yachtmen de la région ont été attristés, par
ce doaloureax événement.
A l'occasion de sa réunion, le comité a
décidé de faire connaître la note reçue de
l'Uaion des sociétés nautiques françaises,
et nal ne doate que ceax qai comprennent
la noblesse de ce sport, qui s'appelle le
yachting, hésitent à contribuer par nn don,
si minime soit-il, au souvenir offert par
des yachtmen français k la grande sportive
Mme Virginie Herriot, et à ses coéquipiers,
qai tons ont bien travaillé ponr le triomphe
des couleurs françaises à Amsterdam.
LES FOIRES DE LA SEMAINE
Lundi 17 septembre. — Ploudalmézeau,
Guimiliau, Plovan.
Mardi 18.— Lambézellec, Pleyben, Plounéonr-Ménez.
Mercredi 19. — Argol.
Jeudi 20.— Plouguernean, Chàteauneufdu-Faou, Huelgoat, Sizun, Pont-Croix,
Rosporden.
Vendredi ZI. — Néant.
Samedi 22. — Carhaix, Landivisiau.
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Nouvelles
Locales
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Avis. — Nous prions les personnes qui
ont des communiqués à insérer dans le
Citoyen de vouloir bien les remettre directement à nos bureaux, 21, rue du Sallé,
dans la journée du mardi de chaque
semaine.
La loterie de Loomarla. — Pour des
raisons indépendantes de la volonté des
organisateurs, la fête et la loterie organisées
par les établissements céramiques VerlingueBollorô et Cie n'ont pu avoir iieu le 2 septembre. Cette fête et le tirage de la loterie
sont reportés au dimanche 14 octobre
prochain.
« Les Petits Chasseurs ». — Les sociétaires sont priés d'assisîer à la rénnion
qui aura liea le samedi 22 septembre 1928, à
20 h. 30, café Gentric, place Sl-Mathieu.
Conoorts militaires. — Programme des
concerts dn dimanche 16 et du jendi20 septembre, de 17 à 18 heures, sur le kiosque da
Champ-de-Bataille, (aax Halles, en cas de
pluie) :
Cadet Roussel, défilé...,
X...
Eaterpe, ouverture
Andrian.
Pavane Louis XIII
Marietti.
Patrie, fantaisie
Paladhile.
Dans le fjord, maz. norvégienne Demeule.
Marche da 1" zouaves
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Transports maritimes do Cornouallle
épouse Tangay, rue Astor, 1 ; Anne Velly,
boulangère, 46 ans, époase Brélivet, me
Bourg-leî Boarga, 5,
Publications de mariages. — Louis
Bissonnier, peintre céramiste, dom. à
Qaimper, et Anna Doucin, infirmière,
dom. à Kerfauntean ; Yves Le Breton,
électricien, dom. à Lambézellec, et Marie
Le Yonc'h, cuisinière, dom. à Qaimper;
Jean Louis Marzin, cultivateur, dom. à
Qaimper, et Marie Conan, -cultivatrice,
dom. i Landudec; René Le Bras, ébéniste,
et Marie Le Gars, contnrière, dom. à
Qaimper ; Jean Lautridoa, étameur, et
Catherine Rannou, dom. à Qaimper ;
Ollivier Muzellec, second maître mécanicien, dom. à Brest, et Marie Brigant,
employée des Postes, dom. à Qaimper;
Pierre Thébault, employé de chemin de
fer, dom. à Ergué-Armel, et Marguerite
Jolivet, dom. à Qaimper; Hervé Laurent,
ébéniste, dom. à Qaimper, et Perrine Le
Magaer, lingêro, dom. à Ergué-Armel;
Alexandre Faguet, ingénienr des A. E. M.,
dom. k Quimper, ut Cécile Tourrelle, dom!
k Saint Leu la Forêt (S.-et-O.); Edouard
Le Flaouter, agent général d'assurances,
dom. à Quimper, et Corentine Pouliquen,
dom. Kerfeunteun; Jean Le Doaré, employé de banque, dom. à Penhars, et
Andrée Ségoin, dom. à Qaimper; André
Hasccët, mécanicien, dom. à Quimper, et
Marie Le Goff, dom. à Ergaé-Armel.
PROPOS D'UN VIEUX QUIHIPgfiOlS
LA VENTzÎ
L'autre jour, il y avait une vente à
côté de ma rue.
Au commencement c'est moi qui a eu
du (( goût », du goût quoi, plein mon
ventre/
Figurez-vous qu'on vendait toutes sortes
de choses. Presque à la fin, on mit trois
«casteroles disparties sur un pitit scabel»
Alors je me dis comme ça : si j'achète,
avec mon prêt du dimanche, tout ça
Sotxic, ma bourgeoise, me donnera « sûrement un bouch-trouz » et comme ça on
« ara diquoi » faire baver les autres qui
demeurent sur notre « pondallé », car ils
sont toujours à dire qu'on fait du «reuzn
à quand même que lorsqu'on était marié
on n'avait pas une chemise à se mettre
sur le derrière.
Et puis je me di's, en moi-même, Fanchic, ça mon vieux c'est pour ton «bouette»,
car ta Souic pourra te faire de bonnes
choses. Allons, hardi pitit. pousse dessus.
Le monsieur chargé de la vente demande : « Il y a preneur pour combien f... »
— Moi je mets « uguen réal » /
— Bon, il y a preneur pour cinq francs.
Alors, Marie Bléo Stoup. qu'était prêt
de moi qui dit : « Oh l fille d'ann Doué »,
«çuild » qu'à le « front » de mettre tant
qu ça. Eh l bien, je pousse dessus la
moitié ».
- A 10 francs, une fois, dit le vendeur...
D un coup de colère je «va» prendre «un
'eu,el """ Bon Coin> cela pour pouvoir
« dischper » après et mettre aussi une
hausse.
Quand «je suis été» revenu, Marie Bléo
Stoup partait avec ses trois « casteroles »
en me faisant de la « malice ».
— Ché, c'est moi qui va dire ça à ma
Somc et cette « Toul-Reus » qui va attraper son « paquet » avec elle.
r n t iiim
Pipichik.
K«rf«unf*un
Obsèques. - Dimanche après-midi ont
ea heu, aa milieu d'une sfflaence considérable, les obsèques de M. François Kerbourc'h, ancien maire, conseiller municipal
de Kerfeanteun, décédé en son domicile à
Kerbasgaen, le 7 septembre, à l'âge de
63 ans.
Le char funèbre était couvert de fleur».
Les cordons du poêle étaient tenus par MM
Floch. maire ; Hémery, Seznec, conseillers
municipaux, et Patérour, secrétaire de
mairie.
Le défont fut adjoint au maire du 19 novembre 1909 au i mai 1912, et maire da
2 décembre 1917 au 23 février 1919, puia
du 10 décembre 1919 a n 14 février 1926
époque à laquelle il dut donner sa démission pour raison de santé.
Que ce fut à la mairie de Kerfeunteun,
k la présidence da Comité républicain de
cette commune, oa à la tête de la Société
d agriculture de l'arrondissement de Qnim.
per, partout le môme dévouement, le même
souci de se rendre utile animait M Kerbourc'h. C'est an homme de bien qai
disparaît et qui sera sincèrement regretté.
Eu ces douloureuses circonstances, noos
adressons à aa veuve Mme François Kerbourc'h, à Mme et M. Edouard Ménez, à
Mme et M. Jean Kerbonrc'h, à Mme et M.
Corentin Kerbonrc'h, à Mme veuve Tanguy
et à toute la famille, nos condoléances
attristées.
Horaire de la semaine :
Départ de
Départ de
Qaimper
Bénodet
Samedi 15
9 h. 15
15 h.
Dimanche 16...
9
30
18
Lundi 17
9
30
16
Mardi 18
9
30
15
80
Mercredi 19...
9
30
16
Jeudi 20
9
30
16
30
Vendredi 21....
9
30
17
Dimanche 16, excursion de Qaimper
aux Iles Glénans, par Bénodet, Loctady et
vice-versa. — Départ de Qaimper à 8 heures, départ des Glénans à 15 heures ; arrivée
à Qaimper à 19 h. 30.
Prix des places : de Qaimper à Bénodet:
aller, 10 fr. ; aller et retour, 15 fr. ; de Bénodet à Loctady : aller, 5 fr. ; aller et reK E M E R
C I E M E , \ T S
tour, 8 fr.
Excursion en mer : de ou poar Qaimper :
Madame veave François Kerbonrc'h ;
aller, 20 fr. ; aller et retour, 25 fr. ; de oa
Madame et Monsieur Eiouard Mênex.
pour Bànodet-Loctudy : aller, 15 fr. 5 aller
imprimeur à Qaimper, et leurs enfants ;
et retoar, 20 fr.
Madame et Monsieur Jean Kerbourc'b,
Poar bénéficier d'une rédaction importante sur ce tarif, les habitants de Quimper négociant en vins à Qaimper, et lear fila ;
et de la région devront être porteurs de la
Madame etMonsieur Corentin KerbourcTi.
carte spéciale d'abonnement.
agriculteur à Leurguéric, et leur fille ;
Madame veuve Tanguy, née Kerboùc'h i
Etat-olvil du 5 au 1 1 septembre
Et
toute la Famille,
1928. — Naissances. — René Seznec,
dans
l'impossibilité de répondre individuel*
rue Rouzaut ; André Cariou, rue de Locronan, 6; Annick Daigou, rue de Kerfean- lement aux nombreuses marques de sympa*
teun ; Marcelle Cadiou, rue des Reguaires, thie qui leur ont été témoignées à la sait*
12; Robert Coustans, rue des Regaaires, da décès de
M. François KERBOURC'H
16 bis ; Yves Le Floch, rue de l'Hospice.
Ancien Maire
Décès. — J ian Pichon, enliivateur, 52
Conseiller
municipal
de Kerfeunteun
ans, célib., rue de l'Hospice ; Maurice
lear
époux,
père,
beau-père,
grand-père,
Qaéré, sellier, 29 ans, époux Mével, rue
frère,
oncle
et
cousin,
prient
les
personnes
do l'Hospice ; Marie Garel, religieuse,
qui
les
leur
ont
témoignées
de
trouver
ici
55 ans, célib., rue de l'Hospice ; Caroline
l'expression
de
lear
vive
reconnaissance
e»
Schmi&t, s. p., 87 ans, veuve Morange,
de
leurs
sincères
remerciements.
rue do Kerfeanteun ; Jean Baptiste Prigent
Un service de huitaine sera célébré le
de Kerallain, s. p., 79 ans, époux de Bidimanche 16 septembie, à 9 h. 30, en l'église
gault d'Avocourt, rue de ia Mairie, 3 ;
Denise Labat, sans profession, 25 ans, paroissiale de Kerfeatean,
LB
ErguKUbérlc
A o o l d e n t . — Dimanche matin, M m e
P é r o n , 22 a n s , m é n a g è r e , et M m e H e n r y ,
20 ana, c o m m e r ç a n t e , tonte» deux de Leatonan, revenaient, à bicyclette, de la Chapelle de Kerdévot, dont c'était le pardon,
lorsque, dans art tournant brusque, elles
f a r e n t calbutéea par u n e motocyclette
m o n t é e par deox j e u n e s gena.
Mmea P é r o n et H e n r y furent asiez dé
r i e u s e m e n t blessée» et leurs vêtement» m i l
hors d'usage.
L a g e n d a r m e r i e enquête au sujet de cet
accident.
fouMnanf
festival de Gymnastique
4' courao : A a g t î o p • ptix : 2.000, 500,
300 et 200 f r a n c s à l'éleveur du gagnant.
A 21 heures, aax halles, grand bal avec
orchestre complet et j i z z - b a n d .
Mardi
25 »eptembre. — A 10 heures
course de bicyclette» (cantonale). Départ
ronte de Loctudy, route du Cimetière, place
au B e u r r e , r u e des C a r m e s , r u e E r n e s t
Ronan, arrivée route de Loctudy (6 tour»
du circuit).
A 1 5 heures, eonrao de bicyclettes. Départ
route de P l o m e n r , Saint-Jean, P l o n é o u r ,
arrivée route de P l o n é o u r .
A 21 h. 30, grand feu d'artifice sur le
quai.
Grande féio foraine sur la place de la
République.
Loctudy
CIfOfi*
Pouldavld
E n C o r r e c t i o n n e l l e . — No» lecteur» se
souviennent des circonstance» de la mort
de l'ouvrier agricole J e a n Liminec, 72 an»,
trouvé, lo 13 août dernier, sur la ronto, à
la hauteur du village de Saint-Guédal, en
Pouldavid.
L e chauffeur Herlé Le B e r r e , 26 ans,
l'auteur de l'accidont, a comparu la semaine
dernière devant le tribunal correctionnel
de Quimper. Il a été condamné à un an de
prison et à 200 francs d ' a m e n d e .
Tréboul
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U n p l a n o h e r s ' e f f o n d r e . — La semaine
dernière, alors que lea invités an mariage
de M. et M m e L e Saux se mettaient à table,
dan» un débit, à Troc'Yallarc'h, le plancher
céda et les gens de la noce f u r e n t p r é c i
pités dana la cavo d ' u n e hauteur d'environ
S mètres.
Plusieurs p e r s o n n e s farent assez griève
ment blessées.
SPÉCIALISTE M O N T A L , 2 9 , Rue OKF1LA, P A R I S
Les cause» prédisposantes de Hernie sont dans les cirorts, !os exercices violents, le»
cris cl]c?. lea cillants, la toux incessante chez les vieillards.
Le malade est généralement averti de la formation de la Hernie par u n craquement
dont il a conscience, ou par la sensation d'une petite boule qui se gontlcrait à l'intérieur
quand 11 tous3c, ou exécute un mouvement violent.
Faute de soins convenables le malade e«t exposé à de redoutables complications..
U K R N I E U X FAITKS CETTE KXP&RIKXCH : Rentres
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La traversée de l'Atlantique en oan o t . — Un commerçant de Berlin, M. P a u l
Muller, 42 ans, a relâché, lundi matin, avec
sa petite barque de 18 pieds, au port de
commerce.
Ce Berlinois va tenter, avec son canot, la
traversée de l'Atlantique. P a r t i de Hambourg, il a successivement relâché à Cuxhaven, A m s t e r d a m , Douvres, D u c k e r q u e ,
Deauville, Le Tréport, Cherbourg, Jersey,
Roscoff, Brest.
M. Muller va repartir maintenant pour
P e n m a r c ' h , puis Belle lle, puis il longera
les côtes de F r a n c e jusqu'à Biarritz, de là
il f e : a route sur Lisbonne, Madère, etc. etc.
et pense arriver à New-York pour la Noôl.
Et tout cela parce qu'il a formé le projet
d'épouser une j e u n e fille de son choix avec
laquelleil voudrait vivre ensuite en Australie.
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(Dordogne) . • • . « • • . . • . . » , « • • • • » . • • • . . . . • , . • • . • • . » *
Foumet, J e a n n e , institutrice. La Coquille (Dor.)
Raulline, Jacques, i Ouesvi'le, par Blasville (Manche).
Charles, Claude, à Fresnay-lo Samson, par V i m o i t i e r s
(Orne)
Joly, Marie, aux Granges, par Xertigny (Vosges)
Chaudet, Arlotie, Saint-André-de-Cnbzac (Gir.)
L F R
Somma
versée
1.000 fr.
2.500 -
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1.500 -
425
1.500 —
1.500 -
415 —
890 —
1.500 1.500 —
1.500 —
370 —
S55 —
225 —
l.bOO
1.500
1.500
-
205 65 35 —
1.000
10.000
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60
300
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INFIRMITES DU VENTRE — DÉPLACEMENTS D'ORGANES
C o n c o u r s a g r i c o l e . — Mardi ont eu lieu
à Tréboul le comice agricole du canton de
Douarnenez et le concours du Syndicat
d'élevage.
' I n o e n d l e . — Dimanche soir u n violent
L e temps ôiaii superbe et le succès de incendie a détruit un h a n g a r contenant le
ces réunions fat considérable.
fourrage de la d e r n i è r e récolte de la ferme
Les jurys des diverses spécialités, devant de Coatigoff, appartenant à M m e Vve Caôr.
le n o m b r e et la qualité dea animaux et proL e s dégâts s'élèvent à u n e trentaine de
duits, eurent à fournir un important travail mille francs.
pour attribuer les récompenses méritées.
Le feu a été mis involontairement à la
L e palmarès est le suivant :
paille par un domestiquo de ferme en alluRace pie noire. — Taureaux de 1 et mant une cigarette.
Ce domestique, n o m m é J a a n Corre, qui
2 ans. — 1, à J e a n Boété ; 2. à P i e r r e Belbéoch ; 3, à Alexis Kernaléguen ; 4, à F r a n - ne jouit pas de toutes ses facultés, a été
laissé en liberté provisoire.
çois Caradec ; 5, à J e a n Béléguic.
Taureaux de 2 à 4 ans. — 1, à H e n r i Caradec ; 2, à Alexis Kernaléguen ; 3, à Théophile Courtier ; 4, à Hyacinthe Belbéoeh ;
M a r i a g e . — Mardi a été célébré à Goué5, à P i e r r e Belbéoeh.
zec le mariage de Mlle Marie Quintin, fille
Races
diverses.
— Taureaux de 1 à du sympathique et dévoué secrétaire de
mairie, avec M. Yves Le D a .
4 ans. — P r i x d'ensemble : 1 (ex-œquo), à
Nous a d r e s s o n s aux j e u n e s époux nos
Belbéoeh et Courté ; 3, à K e r n a l é g c e n ;
meilleurs vœux de bonheur et aux deux
4 (ex-œquo) & François Caradec et Caradec. honorables familles tous no» compliments.
Génisses de 1 à 2 ans. — 1 (ex œ g no),
à P i e r r e Belbéoeh et Louis Youinou ; 2,
H e n r i Caradec ; 3, à A. Kernaléguen ; 4 (oxC o n c o u r s e t f d t e s . — Voici le program
œquo), à Joseph Caradec et François Came dea iétes des 15 et 16 s e p t e m b r e :
radec.
Samedi 15. — Comice agricole ; Concours
Génisses de 2 à 3 an». — 1, à François de dressage ; Course de bicyclettes pour
Caradec ; 2, à Hyacinthe Belbéoeh ; 3,
enfants ; J e u x divers ; Danses au biniou.
H e n r i Caradec ; 4, à Alexis Kernaléguen ;
Dimanche 16. — Sonnerie de c l o c h a s ;
5, à Jean G o n i d e c ; 6, à Joseph Kervoalen, Arrivée de la musique de Brest, défilé en
Vaches pleines. — 1, à Courté ; 2, à L e ville; Courses de bicyclettes; Course de
vieux chevaux ; Course d'enfants avec chien
Brusq ; 3, à P. Belbéoeh ; 4, à Le Bars ; 5, à
e n laisse ; Course à l'aviron ; Concours
J. G o n i d e c ; 6, à Bourhis.
pour brevets tcolaires de n a t a t i o n ; Canards
Vaches à lait. — 1, à Alexis K e r n a l é g u e n ; sur l ' e a u ; Course â la nago ; Mât de cocagne ; Concours de d a n s e s ; Circuit du Faou
2, à H e n r i Caradec ; 3, à L a i h e n t e c .
(course de bicyclotias) ; Distribution des
Poulinières suitées. — i , à P i e r r e Bel
prix à la m a i r i e ; Retraita aux flambeaux
béoch ; 2, à Gabriol Moreau ; 3, à Hervé avec musique ; Grand feu d'artifice ; Bal à
grand o r c h e s t r e ; Danses su biniou.
F r a n c è s ; 4, à Hervé Croc.
P o u p i n s et pouliches de 1 et 2 ans.
1, à Hervé Croq ; 2, & Yves M a i m e l ; 3,
Hervé R t p h a l e n ; 4, à François Hénaff.
L a s H a l l e s o a m b r l o l é e s . — La semaine
Poulains et pouliches de 2 et 3 ans. —
dernière
des cambrioleurs ont visité, la
1, à Corentin B o u r h i s ; 2, à Hervé G u é g u e n ;
nuit, les halles de Recouvrance ; cette se3, à veuve Losq ; 4, à Le Bars.
Verrats — 1, à J e a n Maguet ; 2, à J e a n maine ce sont le» halles de Saint-Martin
qui ont reçu d'indésirables visiteurs.
Gonidec.
U n s quarantaine de boutiques ont eu leurs
Truies suitées. — A J . - P . Gonidec.
cadenas fracturés et le montant des vols est
Produits agricoles. — 1, J e a n Gonidec
2, Hervé Cloarec ; 8 , François Hénaff ; assez important.
D ' a p r è s l'enquête de la police, on sup4, J e a n Maguet.
B e u r r e . — 1, Doaré (Kerlaz) ; 2, Jean pose que les malandrins sont des enfants.
D i m a n c h e avait lieu à F o u e s n a n t , ainai
que nous l'avions a n n o n c é , le grand festi'
Un patron-pêohsur sa noie. — En re
val de gymnaatique organiaé par la j e u n e levant ses casiers à h o m a r d s dans les para'
aociôté 1' (( U n i o n aportive de F o u e s n a n t
ges des Iles Glénans, le patron-pôoheur
Bréhoulou ».
Guiziou, âgé de 35 ans, de Loctudy, père
L a fôte bien q u e contrariée, jusqu'à
de 5 enfants, est tombé à la mer et s'est
h e u r e s , par u n e pluie battante, obtint u n noyé.
succès aussi réel quo mérité.
Vera 10 heures, bravant les intempéries
C o n s e i l m u n l o l p a l . — Voici les princi
tout Fouesnant est dehors ou sur le pas des
porte». 11 asaiate, émerveillé, au défilé pales questions traitées à la réunion du
Conseil municipal du 26 août dernier :
taraboura et clairona en tète, de « La Quim
— U n e subvention de 100 fr. est votée au
péroiae » et de 1' <( Amicale Scolaire », qui
viennent prêter leur concoura à la société Comité départemental des mutilés et anciens combattants.
amie.
— Le point de départ de l'indemnité pour
lia ont flère preatance, lea bonnets noirs
la
levée de la boite aux lettres de la gare a
et les b o n n e t s r o u g e s dont la tenue impec
cable et l'allure décidée produisent lo moil été fixé au 1»'janvier do l ' a n n é e courante.
— M. le Maire est autoriaé à traiter de
leur effet sur la foule dea spectateurs I
gré
à gré pour l'achat du matériel d'incenA. midi, u n e cinquantaine de convives
amia dea troia sociétés de gymnastique, se die nécessaire.
— La m ê m e autorisation est accordée au
réunissent à l'hôtel d'Àrmorique, où le
Maire
pour les travaux de la pompe de la
sympathique M . Arzul lour fait servir un
r
u
e
de
Plogastel.
succulent m e n u . Inutile d'ajouter que la
— Le Conseil désigne les deux membre»
plua g r a n d e cordialité a présidé à cet exde l'assemblée pour la revision de la liste
cellent repaa dont il convient de bien fêli
des électeurs consulaires et atatue ensuite
citer M . Arzul.
sur les d e m a n d e s des allocations aux miliA la sortie de table, la pluie tombe de
taires, aux femmes en couches, anx familles
pins belle. L e s organisateur» de la fête sont
nombreuses, aux vieillards et incurables.
consternés.
L e s tamboura et clairona se rassemblent
cependant sur la place, tandia qu'à l'aide
L e p a r d o n d o P a n h o r s . — Grande
d ' u n porte-voix il est annoncé que la fôte se
déroulora dans la grande cour de l'école de afflaence samedi i P e n h o r s . Depuis les
beaux j o u r s de 1919, où lo clergé avait
Bréhoulou.
, X e s vaillants gymnastes font e n c o r e le tour « réalisé » 20 ou 80.000 francs, parait-i), on
n'y avait vu tant de monde.
du b o u r g , puis il» se r e n d e n t à Bréhoulou.
A la procession, M. le Mairo, ayant à ses
- Deux h e u r e s et demie. L e soleil se met
enfin de la partie. Petit à petit, lea bancs côtés M. Quéinnec, marchait en tête. M. le
. qui entourent la cour se garnissent et c'est Député redressait sa haute taille afin qu'on
devant u n e assistance aaaez compacte que le vit bien. Un peu plus d'humilité siérait
mieux à un parfait chrétien I
débute le grand festival.
et
Le produit de la quête du pardon a été
Lea gymnaates rivalisent de force
d ' a d r e s s e . Formation» g y m n i q u e a , mou fructueux, dit-on. « Un particulier a donné
vementa d'assouplissement sont exécutés à 1.000 francs, un autre 800 francs, a dit M. le
la perfection et aoulôvent les applaudisse Cnré du haut de la chaire », et on ne
ment» de» »pectateurs qui n ' o n t paa i compte pas les autres billets de 100, 50, 20,
r e g r e t t e r le déplacement. L e travail aux 10 et 5 franca ; enfin une qnète silencieuse
agréa et lea pyramidea où se distinguent les quoi, pas u n e seule de ces pièces qui troumeilleurs des gymnaatea font l'admiration blent la méditation des pèlerins en tombant
de la foule qui prend auaai un bien vif inté- sur le plat d'ôtain I
« Si tu veux être parfait, va, vends ce que Gonidec.
rêt aux autres exercices et attractiona diCidre. — 1 (ex aequo), Jean Gonidec et
tu
aa et donne-le aux pauvres, et tu aura» un
verse» dont voici le» résultats :
Doaré (Ploaré) ; 2, J e a n Gonidec; 3, Tanter
trésor
dans
le
ciel
».
(Mathieu,
19
21).
C o u r t e de 100 m è t r e s : 1 « , Nonez, de
Espérons que, fidèle aux paroles de (Lanuget) ; 4, veuve Le Bri» (Tréboul).
F o u e s n a n t ; 2», J . Glôonec, de la Forôt
l'Evangile,
M. le Recteur va procéder diU n excellent banquot fut servi salle Biger
Foueanant ; 3% Le Goff, de la F o i ê t - F o u e a
m
a
n
c
h
e
prochain,
à
la
sortie
de
la
messe,
à
à
l'issue
du concours.
n a n t { 4», ex œquo, Dànez, de la Forêtla
distribution
d
'
u
n
e
bonne
partie
de
ce
R
e
m
a
r
q
u é dans la salle : MM. Gonidec,
F o u e s n a n t , et L e Lay, de F o u e s n a n t .
qu'il a « eu » le jour du pardon ?
président
du Syodicat d'élevage ; Coadou,
Course de 1.600 mètres : 1", Glôonec,
président du Comice ; du Fretay, conseiller
On
dit
aussi
que
M.
le
R
e
c
t
e
u
r
a
voulu
2«, L e Lay, 8« L e Goff.
louer tout P e n h o r s pour deux jours. De cette général ; A n d r o , conseiller d'arrondisseM i t de cocagne : de n o m b r e u x prix sont
façon il aurait pu renvoyer tout ce qui ne sement ; Belbéoeh, président du Syndicat
enlevés par des j e u n e s gens de Fouesnant
lui plaisait pas. H e u r e u s e m e n t qu'il n'y a agricole de Douarnonez , P e r r o t , ancien
et dea environs ainsi que par dea gymnaatea
maire d'Esquibien ; Vigouroux, maire de
pas réussi I
Durant tout le featival un excellent jazz
Tréboul
; Doaré, maire do Gnengat ; Le
Au cours de l'après-midi il y a eu un peu
band ae fait e n t e n d r e .
d'effroi parmi les pèlerins. A chaque instant Bars, de Pooll&n ; Le Floch, maire de PIoP a r m i les p e r s o n n e s présentes à la fôte,
les automobiles traversaient la foule à l'en- névez-Porzay ; H é m o n , adjoint au maire de
noua r e m a r q u o n s n o t a m m e n t : MM. Bénac,
droit où elle était le plus dense. Les voi- Locronan ; Nédélec, maire du J a c h ; de
vice-président du Conseil géné ra),et Bouquet
tures de M. le Maire et de ses enfants don- Kéroulas, son adjoint ; Cornic, vétérinaire
directeur de l'école de Bréhoulou, p r é i i
Qaimper ; Albert Le Bail, a v o c a t ; Tannaient l'exemple. Ah I il faudra réglemendenta d ' h o n n e u r do l'U.S.F.B.; MM. Charles
guy, directeur d'école à T r é b o u l ; Philipot,
ter cela, Monsieur le Maire.,..
L e Baatard, maire de Pont-l'Abhé, et Aude Plogonnec ; etc....
guste Coïc, son adjoint ; Gomdec, ancien
Jadé, honteux sens donte de sa récente
m a i r e de T r é b o u l 5 les dirigeants de
condamnation devant le Juge de P^ix de
L e s r é g a t e s d e P o u l h a n . — Les réga1» « Amicale Scolaire » : M M . Canévet, Le
Douarnenez, adressa u n e d é f ô c h e disant
Séach, Blayau, Gloaguen, Bernard ; les tes annuelles auront lieu dimaucho proqu'il avait raté le bateau I
dirigeante de « La Quimpéroiso : MM. Ri chain 16 septombro devant le polit port
Aucun applaudissement n'accueillit son
de Poulhan, situé à la limite des deux
pault, Grimaud, Ronel, Bollê, Guégan
nom. P a s très populaire à Tréboul et parmi
M M . Héloret, adjoint-maire de Fouesnant ; c o m m u n e s de Plozévot et de Plouhinec,
les cultivateurs do la région, le roi du Cap I
Courses à l'aviron, à la godille, à la voile
L e Bihan, directeur de l'Ecole a n n e x e de
Au dessert, un certain nombre do disl'Ecole normale de Q a i m p e r ; BernèB. Glô- ae succéderont pendant toute l'après-midi.
cours furent prononcés.
Des courses de bicyclettes auront égalem a r e c , Le Lay, Coroller, Rousseau, GuyaM. Kérivel lut un rapport excellent sur le
ment lieu, ainsi que des jeux divers.
d e r , de F o u e a n a n t , etc...
concours deB fermes. Il décrivit l'admirable
De très beaux prix sont prévus cette
M M . K e i o u l i n , m a i r e ; H é m o n , conseiller
effort tenté par MM. Gonidec, père et fils,
municipal, ainai que d'autres personnalités a n n é e et u n e foule compacte se p r e s s e r a pour faire une exploitation modèle de leur
c e r t a i n e m e n t aur les rives pittoresques de
• a «ont fait excuser.
propriété de Trézulien. Le 1 " prix des exU n bal populaire clôture la j o u r n é e . Il se la crique pour applaudir lea exploits de nos ploitations leur est donné.
tient, à 21 h e u r e s , dana la aalle dea fêtes de hardis marins.
MM. Coadou, Belbéoeh, du Fretay et
Comme chaque a n n é e , se joindront sans
Bréhoulou, qui est le lieu de rendez-vous
Vigouroux prirent ensuite la parole.
doute aux habitants du paya, de n o m b r e u x
de toute la jeunease foueanantaiae.
M. Gonidoc prôna la race pie-noire et
touristes,
qu'attirent la sauvagerie et labeauté
Le» mère» de famille et lea curieux gardemanda qu'on vint davantage en aide au
nissent le» côtés de la »aile où de nouveau le du fond de la baie d ' A u d i e r n e et do ses Syndicat d'élevage.
jazz-band, dirigé par M. Mercier, entretient, sites trop peu connus.
Réclamé vigoureusement par l'assistance,
durant toute la aoirée, v a entrain endiablé.
M. Albert Le Bail dut se l e v e r ; il prononça
Belle réunion, e n un mot, pleine de galté
u n e allocution, montrant la nécessité d'aiet r é u i a i e à souhait.
U n d é p a r t . — A l'occasion du départ de der les agriculteurs dans leur admirable
A u d e m e u r a n t , donc, malgré lo mauvais M. Darcillon, directeur d'école à Douar- effort de production.
t e m p s durant u n e partie de la journée.la fête nenez, n o m m é , sur aa d e m a n d e , directeur
Il remporta le plus vif succès et un ban
d e l ' U . S . F . B . a été couronnée de succès. Et d'école à Morlaix, ses amia ae »ont réuni», fut battu en son h o n n e u r .
il noua est t r è s agréable, e n terminant, de dimanche, dans u n e dea salles de l'hôtel du
A p r è s la proclamation du palmarès, chacomplimenter le» dirigeante de la j e u n e Commerce, pour lui offrir, ainsi qu'à sa cun se retira emportant le meilleur souve•ociété de Foue»nant-Bréhoulou, en particu- dame, un vin d ' h o n n e u r et un souvenir.
nir d ' u n e réunion on tout point réussie.
M. J e a n A n d r o , président de la délégalier «on actif.président M. Saltllo, économe
4a Bréhoulou, qui en ont assuré, de main tion cantonale, a , en t e r m e s émns, exprimé
M. et à M m e Darcillon, les regrets que
de maître, l'organisation parfaite en tout
L e C o n o o u r s . — Lo concours bovin piecause leur départ de Douarnenez aux élèves noire du syndicat d'élevage du canton de
point.
et aux p a r e n t s , ainsi qu'aux amis de l'écols Pont-Croix s'est tenu au bourg de PlouhiM o r t s u a p e o t o . — A la auite du décès laïque.
nec, lundi dernier, 10 septembre.
• a s p e c t , aurvenu vendredi dernier, de M.
M. Darcillon par sa bonté, par la douceur
L e concours, favorisé par un temps super*'
Boussard, marin-pècheur, âgé de 65 ans, le de son caractère, par sa haute valeur probe, s réuni beaucoup d'expoiant» dont le»
p a r q u e t de Q a i m p e r »'est r e n d u dimanche fessionnelle, s'était attiré la sympathie de
bêtes ont fait l'admiration de n o m b r e u x
a u le» lieux pour p r o c é d e r à uno enquête. tous.
visiteur».
De plus, comme secrétaire de la aection
Voici le» prix qui ont été distribués:
cantonale de» pupille» de la Nation, il
P r e m i è r e catégorie. — Mdles : l*«1 prix,
P a r d o n d e la T r é m l n o u . — Voici le apportait à aa tâche, avec »on esprit de Donnart, de Tréhouzien ; 2 ' , S;dor, de
p r o g r a m m e de» fôte» de la T r é m i n o u dea justice, un dévouement constant, accueillant Trévoédal ; 3-, Yves Guillou, de Trohonan ;
23, 24 et 25 a e p t e m b r e courant :
toujours avec la plu» g r a n d e bienveillance, 4', Guillaume Cabillic, de K s r v é n e c ; 5',
Dimanche 23 septembre. — A 9 h. 30, le» demandea et le» réclamation» qui lui Rogel, de K e r s i g n e a u .
défilé de la.aociétô de gymnaatique « l'Ami- étaient formulées.
2« section. — Rogel.
Cale S c o l a i r e » .
E n terminant, M. A n d r o , e n leur offrant
Deuxième catégorie. — Femelles
: 1"
A 10 h . 30, p l a c e G a m b e t t e , b a q u e t r u s s e . ses meilleurs \ œ n x de bonheur, leur souprix, R o g e l ; 2', D o n n a r t ; 8 , R o g e l ; 4-,
Lundi 24 septembre. — A 13 h. 30, hip- haita une bonne santé.
Yve» Trévidic, do Trébeuzec.
b o d r o m e do B i o n a n v e c , c o u r s e s de c h e v a u x .
M . Darcillon remercie tous les ami» pré2* »ection. — 1 " prix, Porrot, Ker»iviant ;
1'* course : Au trot monté ou attelé ; sents de leur témoignage de sympathie. Il
2', Rogel ; 8", R o g e l ; 4', P e r r o t .
prix : 300, 150, 50 et 25 franc».
lour fait savoir combien il est peiné de les
3* section. — 1«, 2', 3' prix, Scudeller,
2» course : Au galop ; prix : 2.000, 1.000 quitter, mai» que des circonstances indéde 8 a g u e n z o u ; 41, P e r r o t ; 5', Rogel ;
et 500 f r a n c s .
pendantes de »a volonté, l'ont p o u i s é , pin» 0', Scudeller ; 7-, P e r r o t .
3* course : A u trot monté ; 2.000, 800, que l'intérêt à d e m a n d e r «on changement.
U n banque» très bien »ervi, présidé p«r
700 et 300 f i a n c i .
ploniour-Lanwrn
le Maire do Plouhinec, assisté de MM
F e n o n x , sénateur, et J a d é , député, a ensuite
réuni dea exposants.
Lo concours de 1929 aura lien à Eequibien
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25
48
15
1 7 551 12 25 17 15
8 20 12 50 17 40
1 8 50]13 20 18 10
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LIGNE DE PONT-L'ABBÉ A AUDIERNE
b
a
Audierne
dép
9 40 19 5 9 40
7 25
10 2 19 23 10 2
Pont-Croix
7 38
Plouhinec
10 17 19 35
7 58
Plozévet....
10 35 19 48
8 11
10 57 20 7
Pouldreuzic
8 30
Tréogat
11 11 20 21
8 42
11 38 20 36
Plonéour
8 56
11 50 20 45
Pont-I'Abbé
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Audierne
• s Arr»•«••••e«
9 10
(a) N'a lieu que les Jeudis et Dimanches.— (b) N'a lieu que le 13 de chaque mois, jour de foire à Plonéour,
I
1
a
b
15155
16 .14
16 37
16 59
17 15
17 27
17 47 17 »
18 5 17 18
LIGNE DE QUIMPER A DOUARNENEZ
a
Douarnenez
I 6 », 9 251 13 361 15 48 18 26 19 39 dim.
Quimper
I 8 71 12 26! 551
Douarnenez
8 45| 18 4| 15 47 19 l l | 21 21
Quimper
I 6 37l 10 i0| 14 4l| 16 25 19 5 20 16 et fôtea
au 1
2 octobre inclus.
(•) A lieu du dimanche des R*maaux au
I
Douarnenez
Pont-Croix
Audierne
I 10
I 10
LIGNE DE DOUARNENEZ A AUDIERNE
13 5li 19 30
Audierne
14 32 20 15
Pont-Croix
14 44! 20 27
Douarnenez
i 8* '» 12 2 i | 17 9|
8*19 12 43 17 ,28
| 8 57 13 21 18 6
LIGNE DE ROSPORDEN A CONCARNEAU
7 56 11 561 17 301 20 17i
g Concarneau,
I 62491 10 22| 16 101 19 13|
8 25 12 30| 17 59| 20 461
| Rosporden. ......•.«..•.«.,. I 7 16| 10 49| 16 u | 19 40|
LIGNE DE QUIMPERLÉ A CONCARNEAU
f
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I
e
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13 25 16 30 17 4 2 i l 9 4 4 | Concarneau
Quimperlé
8 401 13 25 17 111 18 141 18 50
b
14 45 17 35 18 42 20 441 Pont-Aven
I 6 24 9 40 14 40 18 12 19 121 19 45
5*34 7 is;
Pont-Aven
I
I Quimperlé
| 7 24 10 38< 15 40 19 121
15 40 18 30
Concarneau....
6 29 8 10
(a) Vendredi et jours de foire à Qoimparlé. — (b) Mardi, dimanche et fêtes et jours de foire i Qaimperlé.— (c) Mardi, vendredi,
dimanche et fêtes et jours de foire à Quimperlé et à Pont-Aven. — (d) Tous les jours sauf les mardi, vendredi, dimanche et fêtes
(e) Mardi, vendredi, dimanche et fêles. — (0 Da Concarneau P . O. i Pont-Aven, mardi, vendredi, dimanche et fêtes et jours de foire
à Quimperlé et à Pont-Aven ; de Pont-Aven à Quimperlé, tous les jours.
LIGNE DE ROSPORDEN A CARHAIX
7 401 11 531 20 13f
I Carhaix
I
l
Rosporden
» tl«lM»M
6 15I 14 561
.9 44| 15 351 22 l |
| Rosporden
|
Carnaix • »IMIMMMIMIIIIM
9 42,! 16 55]
LIGNE DE ROSPORDEN A PLOUESCAT
Plouescat
8 5
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Rosporden
7 »
Landivisiau-ville
11 50
Chàteauneuf
8 15
Landivisiau-transit. » • • • e • • •
14 45
La Feuillée
11 45
La Feuillée
17 10
Landivisiau-transit.
14 30
Chàteauneuf •••»««(•»(tiita
17 25
Landivisiau-ville. ..........
17 15
Rosporden • MMIlMMltlHl
18 35
Plouescat
19 5
LIGNE DE MORLAIX A CARHAIX
.1
I 9 321 17 31 19 251 19 47 I Carhaix.
Morlaix.
I
I 6 261 7 491 16 101
.1
I 11 2 l | 20 42| 21 14| 21 36 | Morlaix.
Carhaix
I
I 8 15| 11 121 18 »I
LIGNE DE CHATEAULIN A CARHAIX
Carhaix.. . . . . . . . . . . . . . 4 45 6 24 7 35 9 42 9 55 16 8
Châteaulin (P. 0.).iép. 7 30 10 16 12 10 16 » 19 2 21 »
Châteauneuf-dn-Fsoa. 5 42 7 21 8 32 10 37 11 45 17 7
7 51 10 30 12 24 16 24 19 16 21 14
Port-Launay
Pleyben
8 30 11 5 12 51 17 6 19 43 21 41
6 14 7 51 9 2 11 8 12 52 17 44
Pleyben
Port-Laanay
6 37 8 14 9 25 11 35 13 19 18 7
Chàteauneuf-du-Faou.. 9 44 11 35 13 23 18 31 20 15 22 13
14 20 19 49 21 13 23 9 1 Châteaulin
6 55 8 32 9 43 11 47 13 50 18 27
Carhaix
arr. 11 33
LIGNE DE CHATEAULIN A CAMARET
Rosporden.
Concarneau...
Châteaulin
St-Nic
Crozon
Camaret
dép.
arr.
7 25
8 7
8 52
9 13
10
11
11
12
14
B
54
16
15
17
18
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6
9
32
19 10
20 1
20 50
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Crozon
Saint-Nic
Châteaulin
21 12
dép.
6 05 9 45l
18 13
6 34 10 15 17 5 19 »
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11 18 5 20 38 23
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| 6 50j10 15I 14 35J 16 381 19 10]20 9 et fêtes
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»
9 15
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23 18
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M i 20 Septembre 1928
N° 3 ¿
(21e
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Le Numéro 2 5
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Autres départements
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A G R I C O L E ,
A
•
•
J'estime que le péril clérical a grandi
terriblement.
La cléricalisme a tout envahi. La
bourgeoisie ont contaminée. Le monde
ouvrier, les fonctionnaires, lea membres
de i'enaeignement commencent à être
atteinte. Lea associations rurales sont
dirigéea par lea prêtree, et, dana notre
département, M. de Guébriant et l'Evô
que ne font qu'an.
*
•
Eh bien 1 oui, je ne auis pas prudent.
Si j'avais voulu être plus conciliant il
y a gres à parier que je serais encore
conseiller général et député.
J'aurais triomphé parce que je n'aurai«
pas en contro moi une propagande formidable, un véritable raz de-marée clérical.
Tant mieux pour les «âge« qui se
tirent d'affaire et qui ne jouent pas leur
tète dans une élection.
J'avais prés de 4 000 voix de majorité
au début de ma carrière politique, en
1902. Ea 1906, il ne m'en restait plus
que deux cents.
En soutenant le pôre Combes, je risquais gros,
Je n'ai pas héaité à le faire pour
m'aaaocier à la croisade laïque entreprise contre le parti clérical qui menaçait alors, comme aujourd'hui, do tout
submerger, à la fois nos institutions et
nos libertés si chèrement conquises.
Mes amis, même lea modérés, me
•ont reatéa fidèlea à travers les années,
lia ont pour moi une sympathie dont je
auis fier et dont je lea paie do réciprocité.
Il y a bien quelque* déserteurs, des
enrichie récent« qui m'accablèrent en
1906 de leur amitié en faisant leurs
petite« affaires et qui ont des gestes de
révolte en pensant que j'ai soutenu
Herriot.
Combes était pire, et ils ne faisaient
pee alors lea dégoûtée.
•
• •
quant uno foie do plus, vous avez perdu
uno belle occasion de vous taire.
G. L. B.
Aux Républicains !
O r n a i e n t u * Républicain peut-il
d o n n e r a u Citoyen u n e p r e u v e de
sa s y m p a t h i e T
E a a i d a n t à s a d i f f u s i o n , en le
faisant connaître à ses a n i s et surt i w t a a S'A.
BOJSTNJlNT.
Les aouveauz Ministres
Le Président du Conseil a fait connaître au Conseil des Ministres dn 14
septembre les décrets nommant M.
Henry Ckiron, ministre du Commerce
et des Postes, et* M. Laurent Eynac,
ministre de l'air.
M. Chéron, sénateur du Calvados, est
né à Lisioux an 1867 ; avocat À la cour
d'appel de Caen, il fut d'abord maire
de Lisioux, conseiller général du Calvados en 1898. Il préside cette assemblée
depuis 1911,
Il fut élu député en 1910 et sénateur
en 1913.
M. Ilonry Chéron a lait à maintes
reprises partie des Conseils du Gouvernement : sous secrétaire d'Etat à la
Guerra do 1906 à 1909, ROUS secrétaire
d'Etat à la Marine de 1909 à 1910, minittre du Travail eu 1913, ministre de
l'Agriculture do 1922 à 1924.
On sait aussi qu'avant d'être rapporteur général du buget au Sénat, il exerça durant trois ans les mômes fonctions
à la Chsmbre.
M. Henry Chéron appartient au groupe de l'Union républicaine du Sénat,
dont il est le Présidont.
M. Eynac, député d e l à HsuleLoire,
ont né à Le Monastier en 1886; avocat,
il fut élu député à 28 ans, en 1914, par
son départtment natal.
Rsntré à la chambre à sa démobilisation, M. Laurent Eynac fit partie de
toutes les grandes Commissions, dont
colle de l'armée, qui le délégua aux armé;».
Commissaire aux essence» en 1919, il
fut nommé sous secrétaire d'Etat à
l'Aéronautique en 1921 et occupa ces
fonctions dans lea d.fférents ministères
qui se succédèrent jusqu'à la suppression du sous-secrétariat.
M. Laurent Eynac appartient au
groupe de la gauche radicale de la
Chambre.
Election Sénatoriale
L,oz6re
Voici les résultats de l'élection sénatoriale qui a eu lien dimanche À Mende
pour pourvoir au remplacement de M.
M. Daudc-Gleize, inscrit au groupe de
l'union républicaine.
Au premier tour de scrutin, M. Bonnet
do Pailleret», ancien député, avocat
(union démocratique) a été élu par
259 voix, contre 116 à M. Perric, chef
de contrôle au ministère du Travail
(union républicaine).
L'exportation desffipfgea Espagne
Dana notre grand parti, chacun a sa
liberté d'action.
Je ne m'inquiète pas de ce que font les
autre«.
Je joue à ma faÇon ma partie dans le
Concert universel dea ètrea et dea choses
de la République,
San» chercher à »avoir et »an» tontidérer
Si quelqu'un a plié qu'on aurait cru plu»
[ferme
Ou »i d'autre» »'en vont qui devraient
[demeurer
Conséquence imprévue de l'ouverture
du Transpyrénéen, dos courtiers parcourent nos campagnes de la vallée d'Aspe
et relient à domicile les oeufa qu'il«
paient souvent plus char qu'aux marchés ot qu'ils exportent en Espagne.
H est presque impossible aux Français
de so procurer cette m t chandise, même
au prix fort de 6 à 7 (r. la douzaine.
Nous noua retrouverons, Goyen, et
j'espère bien voua prouver qu'en « ' a t t a -
Journal le Citoyen
t AIT E S LIRE
C
O
M
LE BUDGET DE 1929 L'envers du Fascisme
G O Y E N "
Pourquoi je suis anti-clérical
Pour une fois, vous avez dit vrai,
Goyen. Je «uia anti-clérical, et, je le
proclame «ans broncher dans chaque
numéro de ce journal avec une obstination toute bretonne.
J e n'ai qu'un regret, c'est que le
Citoyen «oit hebdomadaire et qu'il ne
puitae faire entendre chaque matin, au
lever du aoleil, le môme «on de cloche à
ses lecteura.
Noua aviona autrefois la sainte alliance des rois. Nous avons aujourd'hui
la sainte alliance des curés. A vrai dire,
ai j'avaia à choisir, je préférerais avoir
hff&ire aux rois qu'aux curés.
La France gouvernée par un souverain
étranger, voilà votre idéal. Ce n'est pas
le mien.
Je me méfie des voltigeurs du droit
divin qai, dans chaqio diocèse et chaque commune, prennent leur mot d'ordre à Rome.
La souveraineté du peuple est pour
ces gena une hérésie. C'eat pour moi un
credo, comme auaai la laïoité avec toutes ses conséquences : la liberté et la
raison, pourtant invariablement condamnéss par lea encycliquea de toua lea
papes et les mandements de tous lea
évêque».
M A R I T I M E ,
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de l'habillement, du couchage et du casernement de nos soldats seront améliorées.
La main d'oauvre civile sera substituée
à la main-d'eauvre militaire.
La police intérieure «ara assurée par
les seules forces de la garde républicaine mobile.
Notre frontière de l'Est sera mise en
état de défense.
Le programme de construction« navale« sera exécuté.
La défenso de l'Iado-Chine sera ron
forcée.
Outillage économique. — Mise en
œuvre méthodique d'un plan d'intensification de la production agricole.
Majoration des crédits afférent« aux
travaux d'électrifioation de« campagues.
50 millions de plu» pour améliorer le«
routes.
9 million« de plus pour l'aménagement dea forces hydrauliques,
16 milliona de plua pour rostaurer les
voies navigable?.
35 millions de plus pour les ports
maritimes.
40 millions de plus pour l'aviation.
Dépente » sociale», — 106 millions
pour la construction de maisons à bon
marché et à loyer modéré ; lutte contre
le taudis ; Aménagement des lotissements.
103 millions de plus aux bénéficiaires
de la loi 8ur les retraites ouvrières et
paysannes.
12 millions pour les colonies de vacances et les dispensaire».
Traltementt et pentiont. —- 323 millions do plus pour les pensionnés de
guerre (mutilés et ascendants).
157 millions de plus pour les veuves
de guerre non remariées.
133 millions de plus pour les anciens
pensionnés civil» et militaire».
500 millions de plus pour les fonctionnaires.
Riforme» fltcalet. — Extension de
l'impôt sur le revenu aux intérêts dea
comptes courants.
Les salaires des associés gérant» des
sociétés à responsabilité limitée seront
soumis à l'impôt sur les bénéfices com
merciaux.
Taxes à la meunerie ou A la minoterie
sur les blés.
Fjxati. n de l'impôt glob.il sur le revenu au tiers du revenu imposable.
Dégrèvement». — Abattement de
10.000 francs au lieu de 7.000 francs
pour l'évaluation de l'impôt sur les
traitements et salaires.
Réduction de 9 i 2 •/„ du droit de
mutation sur les marchandises neuves
dépendant d'un fonds de commerce.
Modification des régies de l'assiette
de l'impôt sur les valeurs étrangères.
Consolidation de l'abattement de 3 à
2,5 du coefficient applicable au revenu
cadastral pour l'évaluation de l'impôt
sur les bénéfices agricoles.
Réduction de la perte subie par lea
induatrielu et lea commerçante de l'impôt sur le« bénéfices industriels et commerciaux.
La vite»»e est vraiment le »eul vice
nouveau.
Paul Morand.
. . •» a
Glanes et Perles
Il y a des Anglais à qui 1« vuo des genoux d'une femme fait mal. L'autre
soir* à Birmingham, un voyageur «'est
plaint au conducteur du tramway qu'une
dame assise, en faoo de lui, avait une
robe trop courte,
Conformément au règlement, le conducteur transmit la plainte et demanda
à la voyageuse da sortir ou de ae relever.
La dame se lova sans dire un mot et
eontinua ion voyag^ debout,
'
Non, lo fascisme n'est pas article
d'exportation. Il cet d'agence trop essentiellement italienne, trop exclusivement autoritaire et dictatoriale pour
s'étendre à l'étranger. Il n'est pas de
ces régimes adaptés à la vie moderne
qui s'accommodent des besoins et des
aspirations des masses. Ds ces aspirations et de ces besoins, il ne se soucie
pas : il vise à une sorte de brutal impérialisme chauvin, par lo truchement
d'une armée sociale et qu'importe pour
lui la liberté des individus 1
Noua n'entendona point parler ici dea
défiances que suscite à l'étranger sa politique intrigante, cauteleuse, envahissante. Bornons-nous à situer les résultats qu'il obtient à l'intérieur de ses
frontières ; ils ne «ont point remar
quables.
C'est dana une sorte de situation de
faillite que se trouve l'industrie italienne ; l'une dana l'autre, presque
toutes les branchea de l'activité intérieure «ont caduques t l'industrie de la
soie se trouve dans une situation critique : en 1926, lea exportation étaient
de 3.677 million« ; en 1927, elle« étaient
tombée« à 2.889 milliona.
L'induatrie cotonnière vit en grande
part» aur les réaervea du paaaé. En 1927,
l'importation de la matière première
américaine a été réduite de 33 pour cent
par rapport à l'année précédente. L'industrie de la laino a dû, jusqu'aux plus
extrêmes limites du coût de la fabrication, restreindre sea importationa. Da
môme de la soie artificielle qui a dû se
restreindre dans tous les établissements
de la capitale italienne ; ne citons qu'une
compagnie, la « Shia Viscosa » qui a vu
son chiffre d'affaires baisser d'un milliard à 800 millions.
Môme marasme dana l'industrie automobile : dan» les trois pramiers mois de
1927, on a encore exporté 7.948 voitures;
dans les troia premiere mois de 1928,
5.374 seulement.
Ajoutons que les nouvelles souscriptions de capital étranger ont fait passer
les meilleures industries «ou« le capital
étranger.
Passons aux industries sidérurgiques :
elles sont en complète faillite, ainsi que
la métallurgie. Les sociétés de navigation traversent, elles aussi, une crise.
Quant à l'industrie des touristes, qui
était, jusqu'à présent, l'un des rapports
les plus aû:s de l'Italie, elle a baissé do
plus de 50 pour cont.
Les industries des cuira, du papier,
aont en pleine déconfiture.
L'agriculture ne va guère mieux. La
atabiliaation de 1» lire à un taux relativement élevé a supprimé presque l'exportation en même temps que baissait
la production du blé ; on a, d'après les
données mômes du fascisme, récolté
60 millions de quintaux en 1926, et 53
en 1927, alora qu'on 1925, on en récoltait 65 millions.
L'avoine 6st passée de près de 7 millions de quintaux en 1925 à 4 millions
et demi en 1927 ; le maïs de 28 millions
de quintaux en 1925, à 22 millions en
1927. Les culture« spéciales aont presque toutes en régression.
Paralysés par les impôts, et obligés
d'entretenir les milice« fascistes, les
cultivateurs vivent dans l'inquiétude du
lendemain.
La situation du commerce italien
s'aggrave de jour en jour. Lea statistiques officielle« aont truquéea. La vérité
eat que, réduit en lires'or, ie décalage
commercial, c'est'à-dire la différence
entre l'importation et l'exportation était
de 643 milliona de lireaor en 1924 ; il
s'éleva à 940 millions en 1926, et atteint,
en 1927, le chiffre énorme de 1.259 million«.
De tous les pays du Bionde, l'Italie
est peut être, comme conséquence de
cette situation, celui qui poasède le plua
de chômeur». Dangereux privilège, Lea
atatiatiques offlciellos ne déclaraient'
elles point, pour janvier 1928, 439.211
chômeur« complets, et 76.327 chômeur«
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A n n o n c e z j u d i c i a i r e s e t d i v e r s e s (4* p a g e )
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S O N S
P B
O L O C H B
La secte de l ' a i Haepy et la secte de Mgr M
Laquelle des deux a les faveurs de Rome ?
L'Evèque de Strasbourg manifeste,
depuis quelques jour«, une grande activité. L'autre dimanche, un curé autonomiste, ayant refusé de célébrer la messe
dans le cimetière militaire de Wisches,
où tant de héros, morta pour la libération
de l'Alaace, dorment leur dernier aommeil, Mgr. Ruch, se rappelant fort à
propos qu'il fut aumônier du 20* corps,
prit sa mitre et sacrosae et alla lui-même
célébrer l'office à la place du curé défaillant. Ce geste valut à l'Evôque de
Strasbourg, — qui avait perdu, par auite
de son incompréhensible faiblesse à
l'égard des prêtres germanophiles, sa popularité de jadis — un regain de sympathie. Le sermon du champ do bataille
fut d'ailleura parfait, et tout imprégné
d'un beau patriotisme. On Bnt gré au chef
du diocèse de rappeler à ses brebis égarées que la France qu'elles calomnient
tant ne leur doit rien et qu'elles lui doivent tout.
Comme il fallait s'y attendre, l'admonestation épiscopale déplut souverainement à l'abbé Haegy ot à ses complices.
Et l'on assista à ce spectacle vraiment
paradoxal : toute la presse républicaine,
protestante, israélite, aocialiate, iaiaant
la plua large et la plus sympathique publicité aux paroles de l'Evôque, et la
preBse catholique, dont Haegy est le
m&ttre, consacrant juste vingt lignes
d'un comuniqué d'agence à toute la cérémonie et résumant ainsi le discours
de Mgr. R i c h : « Mgr. L'Evèque prononce alors un discours patriotique ».
Un point, c'est t o u t . Comme les
curés, dans toua les villages, défendent
aux catholiques de lire d'autres journaux que ceux du consortium Haegy, il
en résulte que la majorité des fidèles no
peut entendre la voix de «on chef spirituel si cela déplaît au tout puissant
Haegy.
Ii y a, en Alsace, deux secte», celle de
l'&vôque et celle de l'abbé Haegy, qui
comprend tout le jeune clergé élevé
dons le» facultés allemandes, et férocement ennemi de la France et de la République. M. Poinoaré crut l'amadouer
en lui octroyint de «plendides traitements, sans consultation préalable du
Parlement, par simple déoret. Les curés
alsaciens touchent de la République,
décidément bonne fille, de 16.000 à
45.000 francs par an. Immédiatement
après ce bienfait, le clergé, ayant obtenu satisfaction, sa dressa avec plus de
fureur que jamais contre la Patrie, et
conclut la plu« immorale des alliances
politiques avec lea communistes,
aux catholiques placés sous «a houlette
par la voie officielle de la lettre pastorale,
que tous les prêtres devront lire, le dimanche, à chaque office, Dana cette lettre, il rappelle les bienfaits dont la France a comblé l'Alsace depuis 1918, condamne la collusion dea cléricaux et des
bolcheviatea, et met en garde les Alaacien» contre les dangers que l'attitude
singulière des catholiques fait courir aux
intérêts de l'Alsace et à la religion ellemême, car cette attitude scandaleuse
ne peut que précipiter la séparation de
l'Eglise et de l'Etat au lieu de l'empêcher.
Les curés liront-ils l'épitre épiscopale ?
On assure que certains la lisent rapidement en français. Comme les paysan«
ne savent que l'Allemand, le tour est
joué et l'abbé Haegy triomphe. L'Evèque
va-t-il se décider à prendre de« sanction« 7
Donnera-t-il les coups de crosse nécessaires, surtout étant donné que le Concordat lui permet de frapper à la bourse?
Pourquoi, jusqu'à présent, cet Evêque
patriote »'est-il tu, n'a-t-il pas osé affronter le tout puissant abbé Hatgy ?
Est-il vrai que ce dernier est l'agent de
Rome, et que toute l'agitation clèrico boche en Alsace fait partie intégrante
de la politique du Vatican ? Quelle voix
catholique répondra à ces questions ?
Georges WAGNER.
(Le Populaire de Nantes),
Miettes
de 1«
Semaine
— L'hydravion postal de l'Ile-deFrance est tombé en mer au large dea
côte« d'Islande. Il a été recueilli par un
langoustier camarétois.
L'équipage e«t sain et sauf.
— Un violent cyclone a dévasté lea
Antilles. Lovent a atteint jusqu'à près
de 200 kilomètres à l'heure. Lea dég&ta
sont énormes. Il y a des centaines
de mort«.
— Un formidable incendie a détruit,
«amadi, le plus beau quartier de B surges. li y a 30 millions de dégá's.
— Mlle Agnès Souret, la première
femme qui fut élue la plus belle femme
de France parmi de« centaines de concurrentes, vient de mourir en République
Argentine où elle était en train do tourner un film. Elle était âgée de 23 ans.
— Le Pape vient de lancer une encyclique dite « R4rum orientaliam », qai
récapitule d'abord tout es qui a été fait
depuis le concile de Lyon jusqu'à nos
jour».
— Au cours du Conseil des ministres
qui s'eat tenu vendredi à Rambouillet,
M. Poincaré, président du Conaeil, a
fait signor, par le Président de la Répu*
blique, des décrets nommant M. Chéron, ministre du Commerce et des P .
partiels T Encore convient-il de remar- T. T., et M. Laurent Eynac, miniatre
quer que ce« chiffres ne ae rapportent de l'Air.
— La rentrée des Chambres aurait
qu'aux chômeur« qui obtiennent un
secours officiel, c'est-à-dire à bien moin« lieu le 13 novembre.
de la moitié.
—- DJS manœuvres aériennes viennent
Dangereux privilège que celui que je d'avoir lien dan« la région parisienne.
vais vous dire : l'Italie est le pays du Les trois cents avions qui y ont pris
monde où les prix sont les plu« élevés. part ont survolé Paris samedi. M. PainLa atabiliaation de la lire, loin de lea levé, ministre de la guerre, assistait an
faire diminuer, le« a fait augmenter. défilé.
' •
Le« impôt« élevéa, la réduction de«
— Un télégramme de Shanghaï an*
vontea dana lea magasina et l'inaéourité nonce qu'un typhon a balayé toute
générale rendent le commerce onéreux. l'embouchure du Yang Tsé-Kiang, couOn produit mal et l'on vend peu...
lant une vingtaine de bateaux de pêche.
Tola tont, en fait, Isa réaultats du
On est absolument «ans nouvelles de
faaciame. Na lui enlavona point, toute plus de 150 pêcheurs.
fois, qu'il a da verbe ; o'eat mémo le
—- M. Herriot, ministre de l'Instruc«eul qu'il ait en propre à lui.
tion publique, a inauguré, dimanche, à
TOC,
l'Ile-d'Aix, le Musée Napoléon,
Mgr Ruch, n'ayant plua autour de lui
que quelques prôtres et le« aouls fidèles
appartenant à la bourgeoisie alsacienne et
aux familles françaises venues en Alsace
depuis l'armistice, a décidé de faire
entendre tout de même aa voix. Paisque
la presse catholique sabote se« parole«
et «ea actes, comme aucun journal anticlérical ne l'a jamaia fait, il «'adresse
LB
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de Quirriper et des environs,
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On peut visiter les fauves
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de 10 heures à 20 heures.
La Direction d a ZOO CIRCUS, soucieuse de sa bonne renommée, prie le
Public de ne pas confondre «on Etablissement, qui est le plus moderne de tous
las Cirques d'Europe, avoc des cirques anciens et démodés, voir môme des nouveaux qui so parent de noms pompeux, s'octroient des noms célébrés, et qui, en
réalité, abusent des dits noms pour no montrer que du déjà vu et annoncer
20 lois plus qu'ils n ' o n t .
Pendent les périodes électorales on
entend les candidats se réclamer volontiers de la République démocratique et
sociale.
Derrière la façade et la vanité des
mots il est bon d'asseoir la réalité des
choses.
C'est ainsi qu'il est nécessaire, aprô»
avoir fait des boursiers des meilleurs
élèves appartenant aux classes laborieuses, de leur continuer à travers les
stades divers de l'enseignement supé
rieur l'aide précieuse qui leur permettra
de vivre, d'émerger et de briller dans la
société.
N'est-ce pas un curé qui a écrit cos
autres lignes : « Que sont les quatre
opérations laïques ? Ce sont, de cracher
sur lo drapeau, do marcher sur le crucifix, de sortir à son papa le mot de
Csmbroane. »
Au lieu de se livrer à cette croisade
abominable contre l'idée laïque, les
curés feraient mieux de surveiller lirnrs
maîtres de l'ensoignem3nt libre, professeurs ot instituteurs. On connait les
scandales récents qui ont attristé cortains départements bretons.
Voilà encoro un curé, cîdui de Mont!héry, qui disparait après avoir satyrisé
les jeunes enfants qui lui étaient confiés.
Dès que los parents ont dénoncé les
abominables pratiques dont leurs pau
vres enfants avaient été victimes, les
supérieurs de l'abbé l'ont sans doute mis
à l'abri.
Passez, muscade !
Le
Fureteur.
AVIS AUX CHA.SSEURS
Chasseurs, encore quelques jours et vous
allez pouvoir poursuivre et la « plume »
et le « poil ».
A ce sujet il est rappelé l'interdiction
formelle do tuer les pigeons-voyageurs
facilement reconnaissables pour tout nomrod vraiment digue de ce nom.
Un pigeon-voyageur est d'ailleurs un
bien maigre gibier q ai ne vaut certainement
pas qu'en le tuant vous encouriez les rigueurs de la Loi.
CONCOURS DES P. T. T.
Un concours au surnumérariat des P. T. T.
aura lien à Qaimper les 12,13 et 14 novembre prochain.
La liste d'inscription des candidatures
sera close le 13 octobre au soir.
Les candidats devront être âgés de 17 aus
au moins le dernier jour du concours et de
25 ans au plus le premier jour du concours.
Aucune demande de dispense ne sera
prisa en considération.
Les renseignements utiles pourront être
fournis par les bureaux de poste.
C o n o e r t s militaires. — Programme dea
concerts dndim»nche28ietdujeuii27 septembre, de 17 à 18 heures, sut le kiosque da
Champ-de-Bataille, (aux Halls», en cas de
plaie) :
Marche du 118"R.L,déf. Dimeule
Les Muses, o u v e r t . . . . Audrieu
Gavotte Suzanne
Corroyez
Danses eBpag1'» n " 1,
Moritz-Mozkowiki
2 ût 3 • ««••a*
Polka des Commères.. Allier '
Petit
Salut au85'
R E M Ë B
C I E M E N T 8
Madame Adolphe FEILLET, ses enfanta
et petits enfants ; Mademoiselle Jeanne
FEILLET, remercient bien sincèrement los
personnes qui ont assisté aux obsèques de
Monsieur Adolphe
FEILLET,
et toutes celles qui leur ont témoigné de la
sympathie en cette douloureuse circonstance.
Du 24 septembre au 19 octobre
Cette dernière a besoin de se démo
Le Docteur KiLLOlZEL
cratiser au sommet et d'opposer aux
ne recevra que les samedis ou sur renI Ahanmoz-vous
au
produits frelatés de l'enseignement clé- Républicains
dez-vous.
rical qui tendent do plus en plus à acca
LES FOIRES DE LA SEMAINE
parer toutes las places ou les positions
N'oubliez pas que pour la rentréo
Lundi
24 septembre. — Pleyber-Christ,
en vue dans 110a grandes administra- «tf
des cleines vous trouverez « AU SANS
©&«»»«;»» wat» ís:)wfi
Plogastel-S*.-Germ.*in.
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tions, dans l'aimée et la marine et
Mardi 25. — Sl-Pierre-Qailbignon, Plou- du Chapeau-Rouge à Quimper,
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Mercredi 26. — Néant.
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qualité à 39 fr. 00.
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livres, par l'organisation de restaurants salle Baocond, lo dimanche 30 septembre,
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logements gratuits.
Chaque commane eiii autorisée à s'y faire,
de lits et petits lits an laiae e t coton.
représenter par autant de délégués qu'elle
comptait de centaines de voix républiAvis. — Nous prions les personnes qui teMgjaMW-giTiffBaBaisaiaaBBa
La f i t « de l'arbre, fêta français« caines aux dernières élections, en y com- ont des communiqués à insérer dans le
Pouarnenez
prenant toatofois line voix par fraction en Citoyon de vouloir bien les remettre direcIl faut reboiser !
Cirque. — Zoo-Circus sera da passage
sus. Chaqne commune aura le droit en tement à nos bureaux, 21, rue du Sallé.
Le déboisamsnt est un péril national. outre à une majoration d'une voix.
dans la journée du mardi de chaque dans notre ville dimanche prochain 23 sepL'arbre oat à la fois une richesse et
tembre avec un spectacle sensationnel comEu conséquence, le nombre des délégués semaine.
posé de 250 personnes et 500 animaux.
une beauté en môme temps qu'une assu- est ainsi fixé :
Conseil municipal. — Le conseil murance contre les risques que font courir
Plozévet, 10 ; Plonéour, 6 ; Pecmerit, 4 ; nicipal se réunira ce soir jeudi à 20 h. 15.
Tréboul
les calamités, pluies et tempêtes. Dans Plogastel-Si Garmain, 4 ; Plovan, 3 ; Poul- Voici l'ordre du jour de la réunion :
Incendie. — Lundi après-midi le feu a
notre pay* braton, harmonieusement dreuzic, 3 ; Gourlizon, 2 ; Gailor, 2 ; LuaCommunications ; élection d'un délégué
groupés autour de laferme, les arbres nous dadec, 2 ; Plonéis, 2 ; TréogM, 2. Au total, du conseil municipal à la commission admi- détruit deux meules de paille d'une contenance de plus de 20 tonnes et une meule de
nistrative de l'hôpital-hospice, en rempla- foin de 10 tonnes, appartenant à M. Franprocurent un abri contre les vents et 40 délégués.
Cette note tiendra lieu de convocation. cement de M. Siéphan, démissionnaire ; çois Guével, cultivateur au village de Troul'ombre biar.faisanto et salutaire après
contribution mobilière, déduction d'un balan.
A
chaque commune do «0 débrouiller.
le repas do midi, durant la sieste.
minimum de loyer ; revision de la liste
Grâce an concours des pompiers ds
Je voudrais voir nos maîtres et nos
électorale consulaire ; nouvelle pétition Douarnenez et de Tréboul, malgré l'éloiComité
de
Défense
¡Laïque
da
Finistère
maîtresses d'écolo apprendre à lours
du syndicat de la boulangerie ; la Lyre gnement de l'eau, on a pu préserver un
Ile-Molène. — Une belle réunion de Qaimpéroise, à prooos d'une demande de hangar contiga au courtil et les autres
élôves à planter, l'arbre, à le soigner
• t à le multiplier en attribuant chaque Défense loiique. — Ou nous avait dit : subvention ; ouvezture d'une recette auxi- bâtiments de la ferme.
Le propriétaire est assuré.
année à la fóto de l'arbre célébrée à « Vous vous ferez éehurper à l'Ile Molène, liaire des postes dans le quartier Saintet,
avec
votre
viande,
les
péi:hours
et
snrtoat
Mathieu;
logement
de
M.
le
président
des
l'école, un sona symbolique ot national
1
plogonnec
Je lis dans l'Œuvre,
qu'une saule leurs femmes feront de la « bouôito » pour asoisc-s, demande de MM. Le Theufi et C *;
crabes et homards ». Sains et saufs nous reconstruction du pont de Saint-Denis sur
Obsèques. — Le vendredi 14 septembre,
communo a planté, le 11 novembre 1927,
voici revenus sur la < grande terre » après l'Odot, demande d'une contribution de la une foule énorme d'amis et de parents a
9 1 , r o c d u S a l l é — QC1MFER
43.500 jaunes arbres, que dans la Mo
avoir répondu aux calomnies et absurdités communo ; projet d'organisation d'une conduit à sa darnière demeure le corps de
sollc, pour no citer que ce département, quo M. l'Abbé Gris avait répandues dans exposition permanente d'arts décoratifs M. Jean-Mari« Philipot, négociant en grains
77 communes ont organisé la fóto de l'Ile.
bretons, à Quimper; lycée de jeunes filles, à Ty-Nàvez-Kérnatans.
Le défunt, conseiller municipal et prési*
i'arbro et do la plantation,
Une heure ayant notre réunion da 11maintien de la surveillante d'internat,
•
dent
de la section des anciens combattants
septembre, le brave garde-champêtre, au création d'un poste de médecin sappléant ;
de Plogonnec, était âgé de 39 ans. Il était
• •
quel line barbe do sapeur donne la physique projet d'extension des captations d'eau père de quatre enfants.
Le tempi« d e la paix
de l'emploi, passe dans le bourg et annonce potable, résultat de l'enquête d'utilité
Aux dernières élections municipales, il
Les Elections cantonal««
la
conférence. A l'heure dite, 150 personnes, publique ; projet d'inatallation de l'éclai- avait été élu sur la liate do M. Henry DaLes Français, qui ont cru sincèrement
dont un fort groupe de femmes, so pressent rage électrique au lycée de jeunes filles, mey. Républicain ardent et convaincu, il
p o u r le« f o n c t i o n « publique*
que la guerre de 1914 1918 était la dor
dans la sallo mise gracieusement à notre obseivations de M. l'Inspecteur d'Acadé- était un des meilleurs soutiens des idées
nière des guerres, suivent avec une disposition par M. le Maire. A noter la mie; projet de mise à l'alignement de la de gauche dans le canton de Douarnenez.
Contrôleur stagiaire des douanes en
attention de tous les jours les mjgnifi présence de nombreux adversaires qui,; sauf ru9 Saint-Mathieu, propositions de M. l'InFrance et on Algérie. — ~ Date : 7 janDu reste, il avait l'estime et l'amitié de
vier 1929; délai d'inscription : 7 novembre;
ques effortM tentés dans le monde pour quelques nouvaau-nés dont nous reparle- génieur on chef des Ponts et Chaussées ; tous, grâce à son caractère ouvert et symLes élections cantonales approchent.
âge : 18 à 25 ans ; traitement de débat :
Nous faisons appel à l'action collective l'organisation définitive de la paix.
rons, écouteront très attentivement et se restauration de la toiture da la maison de pathique et i. ses qualités morales.
9000 francs plus indemnités. Baccalauréat
Aussi une foule considérable se pressaitA
Genève
les
nations
élèvent
le
laisseront gagner par l'exposé des idées garde du Frugy; projet d'alimentation de elle derrière le cercueil, précédé du draexigé ou diplôme d'une écolo do commerce de nos amis et à la discipline géné aie des
républicains qui doivent marcher unis temple de la paix dont le fronton laïques dont ils n'avaient jamais entendu l'E ola normale d'instituteurs en eau po- peau des anciens combattants et encadré
reconnue par l'Etat.
table do la ville ; pétition tendant à l'instal- de nombreuses couronnes.
Rédacteur de 2' classe des Services civils contre l'ennemi commun Malgré ses divi- porte ce texte en lettres de diamant. parler.
Notre conférencier, que la calomnie avait lation d'une borne fontaine dans la rue
Il n'était pas de familles de Plogonnec
de l'Indo-Chine.— Date : 17 décembre 1928 ; sions intestines, il réalise contre ncus, à Dans ce temple chaque peuple a consdélai d'inscription : 81 octobre 1928 ; traite- chaque coup, runité de front
précédé,
provoque un vif mouvement de Goarem-Dro ; demande d'autorisation de et du Juch, qui n'y fussent réprésentées et
truit un autel distinct où il entretient i
ment de début ; 12.000 fr., plus 8.421 piastres.
curiosité quand il fait connaître qu'il a hor- b&tir en encorbellemast ; hôpital-hospice, les habitants des communes environnantes
Il ne faut pas qu'on puisse dire de nos ses frais un pontife chargé de présider
Licence ou divers titres exigés.
reur des mangeurs de curés, qu'il recher- aliénation d'un immeuble, avis du conseil ; étaient également venus nombreux.
aux pratiques du culte de la paix.
Remarqué dans l'assistance : MM. Damey,
amis
de
la
ville
qu'Us
se
dés'ntéressent
de
che la discussion courioiso et sérieuse, et compte rondu des dépenses imprévues ;
Contrôleur civil stagiaire au Maroc. —
vice-président du tribunal civil du Finistère,
Tandis
qu'apparaît
aux
yaux
du
visiouverture
de
crédits;
victimes
civiles
do
la
bataille
prochaine,
ni,
des
agriculteurs
Date : 20 novembre 1928 ; délai d'inscripque, respectueux de la liberté do conscience
Georges et Albert Le Bail, Àndro, conseil'
tion : 20 octobre 1928 ; âge : 21 à 30 ans, dopl la République a singulièrement amé- teur tout l'attirail dea emblèmes sacrés chèrement conquise par nos pères, il s'en la guorre, transfert da corps aux frais de 1er d'arrondissement, Mèn«z, adjoint au
l'Etat,
crédit
d'ordre
;
emprnnt
de
195.000
plus services militaires ; traitement de lioré la situation depuis 40 ans, qu'ils se consacrés à diviniser la paix, branchos voudrait de s'attaquer à la religion.
francs contracté par la ville auprès de maire de Quimper, Doaré et Nihouarn,
début : 21.000 francs, plue nombreusea montrent ingrats ou indllférenis à l'égard d'olivier, caducée,instruments d'agricul11 fait lo procès de la R. P. S. (RSparti
maire et adjoint-maire de Guengat, Le
l'hôpital-hospice, impôts sur les valeurs Mer, notaire, Hémon, adjoint au maire
indemnités. Licence ou divers titres exigés.
ture, ex noto du commerce, de l'indus- tion proportionnelle scolaire) qui serait
de
celte
mère
généreuse.
mobilières; admission en non-valeurs de de Locronan, etc...
Concours ouvert en France.
;
injuste et que repoussent beaucoup de
Commis d'adminiatration au Ministère ] La République a plus fait depuis ces 40 trie, urnes d'abondance, on apprend que
sommes irrécouvrables; lycée de jeunes
Toute la municipalité était présente,
de la Guerre. — Date : 20 novembre 1928 ; ans pour Vamélioration du sort des classes l'Allemagne construit u n croiseur cui- catholiques; M. l'Abbé Lsmire s'est dressé Qilcs, approbation des tarifs d'internat, ainsi qu'une nombreuse délégation de
contre
cette
R.
P.
S.
qui
mettrait
les
Ecoles
délai d'inacription : 1" octobre ; traitement laborieuses que la Monarchie et ÎEilise rassé et s'apprête à augmenter sa puisreversement il effectuer par les maîtresses l'association des anciens combattants.
de début : 8.000 francs, plus indemnités ; pendant dix-huit siècles
sance par l'annexion et la mise en libres sous le contrôle de l'Etat qui payerait d'internat pour le logement et la nourriture,
< Le Citoyen », en cette douloureuse cirMais l'argent de îoua ne doit aller qu'aux demande de crédit pour achat de livres constance, adresse à sa veuve si cruelle• âge : 20 à 30 ans, plus services antérieurs.
valeur de l'Autriche ; que la Grande
La
Bruyère
a
flétri
avec
raisop
l'ingrat!•
Ecoles de tous, et sonlos les Ecoles laïques classiques.
• Baccalauréat, B. S. on diplôme de fin d'é- '
ment atteinte et à sa famille plongée dans
Bretagne fait do graudes manœuvres
tudes secondaires exigé. Accessible aux lude de l'enfant gres et gras du bon lait
sont ouvertes à tous les enfants quelle que
le deuil, l'expression de ses condoléances
Comité socret.
aériennes,
que
la
Russie
fait
man
œuvrer
qu'il a sucé et qui bal sa nourrice.
dames.
soit leur religion; seules les E;oles laïques
attristées et de sa sympathie émue.
Rédacteur à la Préfecture de police. — (
Alerte, républicains 1 Réunissez vous, 300.000 hommes sur ses frontières, que leur sont accueillantes parce qu'ou y resMariage. — Lundi prochain 24 septembre
Date : 25 octobre 1928 ; délai d'inscription : laites choix pour les élections prochaines la France elle-môme n e peut quitter la pecte toutes les religions en n'y enseignant
Eiquiblen
25 septembre ; âge : 21 à 30 ans, plus seraura
liou à Perros Guirrec (Côtes-du-Nord),
danse
ot
qu'elle
sacrifie
aussi
à
la
aucune. A l'Ecole l'instruction et l'éducade bons candidats à l'esprit laïque, social
Obsèques. — Mardi dernier 18 septemvices de mobilisation ; traitement de début :
le mariage do M. Joseph Drapier, ingénécessité d'assurer la defenso nationale, tion ; à l'Eglise la religion 1
bre, ont eu lieu, à Esquibien, les obsèques
12.000 francs, plus indemnités. Licence ou et pacifique, et débrouillez-veus peur faire
nieur
du
génie
maritime,
fils
de
nos
amis
Pais, après avoir fustigé les rédacteurs
de M. Laurent Chapalain, adjoint-maire,
divers titres exigés. Accessible aux dames. le front unique contre l'adversaire et em- en attendant l'avènement définitif de la
du
« Pèlerin » et autres fouilles cléricales Mma et M. Drapier, directeur d'école en décédé k l'âge de 58 ans.
1 porter d'assaut la redoute
paix
dana
le
monde.
ennemie.
Rédacteur au Miniatère dea Finances. —
qni présentent l'Ecolo laïque comme une retraite, conseiller municipal, avec Mlle
Uu nombreux public a accompagné à sa
Concours ouvert en novembre 1928 ; âge :
L'avenir de la paix me parait assuré.
Le mot d'ordre doit être : R o u g e » contre
1
dernière demeure cet homme excellent,
usine i préparer des bandits (voir à Bégsrd Louise Fournié.
20 à 30 ans, plue aervicea de guerre ; traiteMais jusque là il faudra tenir la main et au patronage do Châteaulin), le conféran
B l a n c « , comme autrefois et, en avant.
Nous adressons nos compliments aux deux droit et sincèrement dévoué à ses idées.
ment de début : 10.000 francs, plus indem- '
M. Chapalain, qui était à Esquibien le
sur
la
garde
de
son
épée.
honorables
familles et nos meilleurs vœux
Le
Citoyen.
cior parle do l'Ecole Unique. Cotto Ecole,
nités. Baccalauréat exigé.
chef du parti socialiste, avait fait alliance
de bonheur aux futurs jeunes époux.
N'est-ce
pas
le
grand
Jaurès
qui
a
dit
qui
sera
celle
de
demain,
n'amènera
pas
Les personnes qui désirent des renseiaux dernières élections municipales avec
que la conquête de la paix était le plus nécessairement la fermeture des écolos Transporte maritimes de Cornouallle les radicaux nuance Perrot.
gnements sur l'un des emplois ou concours
libres. Frères et soeurs auront toujours la
difficile des cembats ?
ci-dessus ou s i r un examen quelconque
Horaire de la semaine :
Aimé et estimé dans le pays, M. Chapaclientèle des ch&teaux et dos palaces, des
peuvent s'adreaser de notre part à M. HouDépart de
Dépsrt de lain laisse derrière lui le souvenir d'un
deville, directeur-gérant de l'Orientation
gros bourgeois et des enrichis do la guerre.
Quimper
Bénodet homme loyal et sympathique.
Professionnelle, 108, rue Erlanger, Paris
L'Ecole unique, c'est les grandes écoles, Samedi 22
Remarqué aux obtêques outre le Conseil
17 h. 45
13 h. 15
Le» A s s u r a n c e s Sociales
(16*), qui leur répondra à titre absolument
En maintenant leurs candidats au deumunicipal au complet, MM. Fenoux, sénaprofessionnelles ou autres ouvertes gratuite- Dimanche 23... 13 30
19
On nous annonce qu'en attendant le
gracieux.
xième tour, les Bclchevistes ont fait passer
ment aux enfants des pauvres commo aux Lundi 24
11 45 teur; Georges Le Bail; Dataud, adjoint10
Joindre un timbre de 0 fr. 60 et ne paa 36 réactionnaires au lieu de jé radicaux jour assez prochain où les assurances eofauts des riches, sous la seule réserve Mardi 2 5 . . . . . . 13 30
maire d'Audierne ; Albert Le Bail ; Renaud,
16
oublior de mentionner : en qualité de lecMourrain, Pichon, conseillers municipaux
sociales
seront
devenues
uno
réalité
16
13
30
Mercredi
26...
qu'ils seront aptes à continuer leurB étudea
eu socialistes.
teur du « Citoyen » à Quimper.
d'Audierne ; Heurté, de Primelin, et de
16
tangible e t où ellos commenceront à C'est l'instruction largemont répandue aux Joudt 27
13 30
nombreux amis d'Audierne et des environs,
16
13
30
Vendredi
28....
répandre leurs bienfaits parmi le peu frais do 1 E^at, k tous les degrés et seuld
A la famille. du défunt, si durement
Prix des places : de Qaimper i Bénodet :
Etude de M* LE BERRE, notaire
pie les organismes nouveaux vont fune ment dans los Ecoles de 1% Nation.
MOTS
DE
COMBAT
éprouvée, nous adressons l'expression de
aller,
10
fr.
;
aller
et
retour,
15
te.
;
do
Béà Qaimper
tionner à blanc et faire leur apprentis
A signaler dans le fond da la salle, un nodet a Loctudy t aller, 5 fr. ; aller et re- nos condoléances sincères.
Le cléricalisme n'est pas plus la relu sage au moyen d'opérations fictives, de groupe de 2 ou 3 tout jeunes gvns échappés
tour, 8 fr.
pontrUbbé
gion que la earieature n'est le visage, manière à connaître parfaitement leur des jésuitières ; dans l'ombre aomplice ils
Excursion en mer s de ou pour Qaimper :
que Tartufe n'est un saint, que doyen métier au moment où les assurances menaient un bon petit chahut qui fait hon aller, 20 fr. ; aller et retour, 2ô fr. ; de ou
Lee courses. — Ainsi que nous l'avons
λAË ADJUDICATION VOLONTAIRE
neur aux professeurs qui leur ont enseigné pour Bénodet-Loctudy : aller, 15 fr. ; aller annoncé, lundi prochain 24 septembre, à
n'est
Jésus-Christ,
devront fonctionner pour de bon.
Le Mercredi 9 Octobre 1 « I 8
la politesse I Autour d'eux, dans l'ombre, et retour, 20 fr.
Le cléricalisme est le frère de l'Evan13 h. 30, auront lieu sur l'hippodrome de
Cette idée est ingénieuse et séduisante, quelques enfants de Marie poussaient des
* 14 h. 90
Pour bénéficier d'une réduction impor- Brénanvec, les courses de chevaux.
gile de la mime façon que Caïn était le
- en l'Etade de M* LE BERRE.
petits cris de vierges qui so pâment ou tante sur ce tsrif, les habitants de Quimper
1" course, au trot monté ou attelé* pouf
frère
d'Abtl.
4 e 1« REB1E 4 a R a f a « l , située cométouffaient des rires de bienheureuses et de la région devront ôtre porteurs de la chevaux appartenant à des propriétaires de
La Laïcité e t l e s b o n n e s m œ u r s Qu'avaient-elles donc à tant se trémousser carte spéciale d'abonnement.
mune de Landrévarzec, en bordure de
l'arrondissement de Qaimper et n'ayant
Dans le Nouvelliste
du 12 septembre dans l'ombre T N'étaient-ce pas les pigeons
1« route nationale de Qaimper à ChâN o u s r a p p e l o n s 4. nos L e c t e u r s
| jamais gagné un prix ds 000 fr. — Distance
CHASSEUR8, vous risquez un procès- 2.800 mètres. — 1èr prix 500 fr. 2' 150 fr.,
1628, on lit les lignes suivantus : « Pour qui faisaient roucoulor les tourterelles ?
teaulin.
q u e Y Imprimerie
du
e
verbal
en chassant sans permis. Vous 3' 50 fr., 4- 25 fr.
Une
forte
section
de
Défenss
laïque
est
sauver les bonnes mœurs et la sooiété
Contenance : 35 hectares environ,
risquez la ruine en chassant sans Assucréée à l'Ile Molône.
2* course, au galop (à réclamer), pouf
il faut lutter centre les doctrinoB la!
m i s e à p r i x : 1»».000 f r a n c » .
rance.
Pour 5 0 frs de prirtie, Louis LE
— Une autre fois nous parlerons de la
chevaux de 3 ans et au-dessus. — Distance
ques d'abord. »
Facilités de paiement.
u s assure
FLOCH
cou»
2
0
0
.
0
0
0
frs
de
moisson de faits de cléricalisme que nous
™
" f ' r / . v . ^ ^ h o 7 2.400 mètres. — 1«* prix 2000 fr. et le«
En cas d'offre suffisante, on traiterait e x é c u t e t ê t u l e » t r a v a u t y p e «
C'est l'abbé Jallier qui a fait eetto avons fait à tUe Melóne.
t ^ Ä o 0 1 6 L A P A I X ' u t é P h o M * ' 9 5 ' entrées, %' 1000 h., 8' 500 fr,
à M« s r a p h l f H M « a Meir «t c o u l e u r »
«
»vont- l'adjudication. S'adresser
Le Comité. 31 QUIMPER.
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Liquidation générale
Pour cause de cessation de commerce
Mesdames, avant de faire vos achats pour la
saison d'hiver, profitez de l'occasion unique qui
vous est offerte. Un rabais considérable sera
fait sur toutes les marchandises.
La liquidation commencera le 22 Septembre.
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— 1" prix 2000 fr. et les entrées, 2' 800 fr., | Il est de leur raco, aimant comme eux la | da cimetière.
dans les pièces qui, depuis longtemps,
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gaieté et »usai le travail.
Le montenr de l'horloge de l'église de- sont chaulées régulièrement,
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i• course, an g»lop, poar chevaax de
Pais, il brosse un magistral tableau de mande G00 fr, de salaire par an aa lieu de
A F F E C T I O N S D E LA M A T R I C E 6.T D E L ' E S T O M A C
selle de 8 et 4 sns, de la 3« région. — l'évolution de l'agricnltare françiise dans 200 fr., montant actuel. On lui en offre
V A R I C O C È L E . REIN M O B I L E - P T O S E - O B É S I T É • H Y B R O C È L E
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I
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Voici les résultats d'une expérience
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Sont désignés comme délégaés : poar la
Les cauBe» prédisposantes de Hernie sont dans les eiro;tB, les exercices violents, les
cris chez les enfants, lu toux incessante chez les vieillards.
gagnant.
dont le travail créo la véritable richesse de liste électorale consulaire, M. J. Riou et faite en vue do déterminer la valeur des
Le malade est généralement averti de la formation de la Hernie par un craquement
5* course, an galop, poar chevaax hors la France.
V. Launay ; ponr la liste électorale poli- résidus de laiterie dans l'alimentation
dont ¡1 a conscience, ou par la sensation d'une petite boulo qui se goutterait à l'intérieur
quand
il tousse, ou exécute un mouvement violent.
du
porc.
série r,* 6. — Distance 2.400 mètres. — An I Actuellement, g>âce à la République, dos tique, MM. J. Riou, P. Le Doarê et J.-F.
Faute de soins convenables le malade est exposé à de redoutables complications.
HÏRNIEUX
FAITES CF.TTK EXPÉRIENCE : Rentrez convenablement
la Hernie et constatez
que
1" 5000 fr. et los entrées, 2' 1000 fr., 3' 500 | jours meilleurs ont lai pour l'agriculture.
1°
Il
est
établi
que
6
kilogrammes
da
Guillou.
le bout </<• votre doigt placé dans l'anneau herniaire suffit à la maintenir. Cette expérience a
fr. ot 500 fr. à l'élovenr du gagnant.
Jadis la Bretagno était à ce point de vue
donné l'idée de S U P P R I M E R LES B A N D A G E S ET LES A P P A R E I L S I N U T I L E S , CAUSES DE F A T I G U E , DK
An sujet de l'omploi du produit de cer- lait écrémé ont la môme valeur nutritive
ofisK ET D ' A G G R A V A T I O N DE L ' I N F I R M I T É . Et en place : créer un T R A I T U M Î N T S I M P L E «r
6* course, au trot monté ou attelé, pour la province la plas misérable do France. taines impositions extrsordinaires, contrai- qu'un kilogramme de grains une unité
chevaux do 3 à 8 ans. — Distança 3 000 Aujourd'hui on paut dire qa'ello est ane | rement à leur diminution proposée par le fourragèro, tant que la part des résidus
, par
mètres. — 1" prix 2000 fr. et les entrées, des régions qui évoluent lo pins rapidement sons-préfet, le Conseil est d'avis de les de laiterio ne dépassent pas 35 °/ do la
l'ouverture herniaire.
•
0
A
la
lassitude,
aux
malaises
succèdent
la
J.Jc de vivre et l'équilibre pariait de la S A N T É .
2• 1000 fi., 3 700 fr.. 4- 300 fr.
maintenir et d'en consacrer les reliquats Valeur nutritive totale de la ration.
vers le progrès rural.
Cette découverte incomparable connaît actuellement la plus çrandc vogue.
Pour vaincre déiinitivement H E R N I E S , E F F O R T S , DESCENTE, É V E N T R A T I O N . et autres maux
7* et dernièro course, haies, pour chePlus bas ello était, plus haut ello doit | pour les travaux neufs on vue.
qui vous harcèlent, sans plus tarder allez v o i r e n toute confiance le S P É C I A L I S T E M O N T A L I
2* La valeur nutritive du babeurre
vaux do 3 ans ot au-dessus n'ayant pas montor.
Le Conseil vote le déclassement total du
justement réputé par son expérience acquise en vingt ans de pratique et de succès.
CONSEILS ET RENSEIGNEMENTS GRATUITS do 9 à 4 heuroe à :
gagné 15 000 fr. dans une même année. —
Les qualités d'obstination ot de coursge chemin vicinal n' 15 depuis le quai jusqu'à équivaut à celle du lait écrémé.
3°
Pour
des
porcs
d'un
poids
supérieur
Distance 2.800 mètres. — 1«» prix 2000 fr., des bigoadens leur vaudront le succès qu'ils la route de la gare d'Orléans et son incorQuimperlé. vendredi 21 septembre, Hôtel du Lion d'Or.
à 19kilogr., 1500 grammes de lait écrémé
2-1000 fr., 3' 500 fr.
QUIMPER, samedi 22 septembre, Hôtel de l'Epêe.
poration dans la voierie urbaine.
méritent.
Lorient, mtrdi 25 septembre. Hôtel Terminus.
Le pari matuel fontionnera.
La harangue improvisée de M. Albert Le
La création d'une deuxième classe an ont la môme valeur alimentaire pour
Prix des places : pelouses, grandes per- Bail, prononcée d'une voix enflammée, pro- cours complémentaire do l'école publique l'accroissement que 750 «ramons de
sonnes, 2 fr., enfants, 1 fr. ; Observatoire duit un gros effet sur l'assistance et nne | de filles est adoptée.
lait complot.
8
Etude do M* Gustave MOREAU,
et pari mutuel, 5 fr. ; Paddocks, 10 fr. ; longue ovation saluo l'oratour.
Avis favorables sont donnés à des de4° D'une manière générale et compa- Etudes do M Albert FORGET, huissier
notaire a Audierne
à
Quimper,
15,
rue
de
Kergariou,
et
voitures attelées et automobiles de sociémandes de bourses, de sursis d'incorpora- rativement aux autres aliments les résiM®
ART
US,
commissaire-priseur
à
de
Plozévcf
taires, 5 fr. ; autres automobiles, 10 fr.
tion, de sontiens de famille et aux diverses dus de laiterie exercent une action nutriQuimp&r, 5, rue de Kergariou.
Les régates de Poulhan. — Soleil l i s t e s d ' a s s i s t a n c e .
tive favorable, en raisoa de leur teneur
Plobcnnalcc
éclatant, mur d'huile, jolie brise. Toat était
Eoolo polytechnique. — Sur la liste
PAR ADJUDICATION PUBLIQUE
Dana l'enseignement. — Nous appreonjugué à Poulhan, dimanche dernier, pour des admis à l'école polytechnique flous rele- en matières minérales et en vitamines.
en Mairie d'A udierne
nons le départ de M. Querné, directeur que les régates so déroulent dans los meil- vons avec plaisir le nom du jeune Emile
Le
Mercredi
ÎO Octobre I 9 t 8
Bideaa, fils du sympathique secrétaire de
de l'école des garçons à Plobannalec, nom- leures conditions.
AUX E N C H È R E S P U B L I Q U E S
mairie.
à quatorze heures
mé directeur de l'écolo publique des garçons
Aussi le succès a t-il été très grand. Une
par
Nos meilleures félicitations.
à Douarnenez.
foula considérable occupait les bords de la
autorité de justice sprôs saisie-exécution
18 l o t s d e t e r r a i n du Parc de
SOLES AUX FINES HERBES
Etat-olvll du mois d'Août. — NaisM. Querné, qui enseignait à Plobannalec pelite crique ot les assistants s'étaient
Le Dlmauehe M S e p t e m b r e 1918
Locquéran,
en bordure de la grand«
Videz uno ou plusieurs soles. Enlevez
depuis huit ans, avait su gagner l'estime de dérangés de fort loin pour assister à cette tances : Guillanmo Guédès, rue de la gare
à 14 heures
route
d'Audierno
à Qaimper avec vue
d'Orléans
;
Henri
Pirion,
qnai
de
Brest
;
tonte la population. Malgré la joie que nous fêle, dont l'intérêt croit chaque année.
soigneusement la peau noire, grattez la
superbe
sur
le
port,
la ville et la rade
a causé son avancement, c'est avec un vif
La course à la voile suscita un intérêt Marguerite Francès, rue de la gare d'Or- peau blanche et essuyez-les avec préAu préjudice des époux Fermon, dans
d'Audierno,
regret que tous les amis de l'écolo laïque particulier. Hait batoaux prirent le départ, léans ; André Jézéquel, quai Carnot.
caution. Mettez-lea dans un plat assez l'appartement qu'ils occupent 2, rue
1° Six lots de 375 m2 ayant 15 m. de
ont appris cette nomination. Faire l'éloge les voiles largoment gonflées par une brise
Mariage : Pierre Le Mat, cultivatour à large avec très pen de beurre que vous des Gentilshommes à Qaimpor.
façade
sur la grande routa :
de ce fonctionnaire serait trop vaste.
favorable. Le retour par vent contraire Ch&teanlin, et Marie Quefféléant, cultiva- laisserez fondre à feu doux. A ce moment,
M* ARTUS vendra :
Mise à prix : 5,250 francs.
Eu matière agricole, la compétence de ce permit aux manœuvriers de déployer tout trice à Ch&teaulin.
1
très
belle
chambre
moderne
façon
2° Un lot de 373 m2, môme façade :
Dicèt : Marie Rolland, 67 ans, vouvo de ajoutez y du persil et des échalotes ha- citronnier comprenant : 1 lit de milieu,
maître de valeur s'affirmait chaque année leur art.
chés,
du
sel
ot
du
poivro.
Etendez
los
Mise à prix : 5.222 francs.
Yves
Marchaland,
rue
Notre-Dame
;
Anne
par do brillants résultats scolairos. A ce
Les courses à l'aviron montrèrent qu'on
1 sommier, 1 matelas à bourrelets, 1 trapoissons sur ce lit d'assaisonnement versin, 2 oreillers, 1 couverture laine,
3° Un lot de 322 m2,1S m. de façade :
fervent républicain, ainsi qu'à Mme Qaer- sait encore souquer sur les bouts de bois à Riou, G7 ans, célibataire, Grand'rue.
Mise à prix : 4.508 francs.
et recouvrez les par un autro semblable. 1 édredon américain, 1 couvre-lit, 1
né, directrice de l'école des filles, é g a - Plozévet et Plonhinec.
4"
Un
lot de 434 m2,19 m. 80 de façade:
P
l
o
n
i
v
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P
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z
a
y
Versez
un
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do
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blanc
ot
lement changée avec son mari pour DouarAprès une course de bicyclettes, la danse,
table de nuit dessus marbre, 1 grande
Mise à prix : 6.076 francs.
nenez, nous adressons nos meilleurs vœux qui ne perd jamais ses droits, termine
L'élection des membres de la com- saupoudrez le plat de mie da pain émiet
armoire à glace à trois portos, avec glace
5° Deux lots de 420 m2,14 m. de façade:
de bonhenr dans leur nouvelle résidence.
mission syndicale aura lieu le dimanche 30 tée. Laissez cuire à fou doux en remet- sur la porte du milieu, 1 chiffonnier &
joyeusement la journée.
Mise à prix : 4.620 francs.
septembre,
pour
distraction
d'une
partie
A leurs successeurs, non encore désignés,
Voici les résultats des diverses épreuves
tant de distance on distance quelques cinq tiroirs, 1 vitrine dessus marbre à
6° Ua lot de 367 m2,15 m. de façade:
de la commune de Plonévez-Porzay pour petits morceaux de beurre. Enfournez trois étagères drapée de velours, 1 table
nous souhaitons d'avance une cordiale bien- do la journée :
Mise à prix : 3.670 francs.
venue.
Courte à la voile. — 1" Michel Ansquer, être rattachée à celle de Locronan.
le plat un quart d'heure avant de ser- guéridon, 1 glace ovale encadrement
7°
Ua
lot de 365 m2.13 m. 30 de façade:
Le scrutin sera ouvert à 8 h. du matin vir, pour lui faire prendre couleur.
».
piomtur
boia argenté, 1 fauteuil moderne, 2 chaibateau Le» 4 frère« ; 2° Guillaume Trépos,
Mise
à prix : 5.110 francB.
et
fermé
à
6
h.
du
soir.
ses rômbourréo3,1 chaise longue, 1 poêle
, Pensionnat de l'éoole laïque de filles. batoan Printemps ; 8' Maurice Le Corre,
Propriété,
jouissance, charges immé*
CONTRE
LE
TORTieOLIS
bateau
Geneviève
;
4*
Corentin
Ansquer,
ba«
Brulbois
»,
1
grand
tapis,
2
descentes
— La rentrée des élèves internes aura lieu
ploévtn
diates.
teau Patse Partout ; 5° Alain Le Dréan,
Le torticolis est une douleur rhuma- de lit, 2 poufa, i coussins.
le dimanche 30 septembre.
Pour tous renseignements, conaulter
Incendie. — Un violent incendie a dé- tismale causée par le froid ou un couLa directrice se tient à la disposition des bateau Jeanne d'Are.
Ua lit fer et cuivre à daux personnes,
les
&ffich3s ou lo notaire chargé de 1*
truit
la
semaine
dernière
trois
meules
de
parents ponr leur donner tons renseigneCourte à l'aviron. — 1" Henri Mazo
paille, deux granges et de nombreux ins- rant d'air. On le guérit en tenant la par- 1 lit cage à une personne, 2 sommiers, vente.
ments utiles et les informe qu'un professeur 2* Jean Le Bars ; 3* Samon.
truments agricoles, appartenant à M. Lou- tie chaudemont, par des frictions avec 1 matelat à bourrelets, 2 traversins, 2
de musique se rend à l'école pour donuer
Courte à la godille. — 1" Arsène Trépos; boutin, de Goredreff, en Ploéven.
des leçons de violon aux enfants qui le
un Uniment calmant, des douches de va oreillers, 2 couvertures laine blanche,
Etude de M* LE BIHAN, notaire
2« Yves Bourdon ; 3* Henri Mszo.
1 édredon américain, 3 descentes de lit,
désirent.
Les dégâts sont évalués à environ 60.000 peur, un cachet de pyramidon.
,r
à Plog£8tel-Saint Germain
Course
de
natation.
—
l
Raphaôl
1 couvre-lit, 1 table de nuit dessus marfrancs qui sont fort heureusement couverts
Tréojtf
NETTOYAGE DE L'ARGENTERIE
Ansquer; 2* Henri Gourret; 8" Alain Le par une assurance.
bre, 1 tsble de jeux, 2 chsisss rembourUn moyen bien simple : frottez le mé- rées, 1 graedo glace enesdromant doré,
Les Concours agrlooles. — Le nou- Goff.
On suppose que c'est le chai de la maiveau Comice de Plogastel-St- Germain a
Courte en baillet — 1" Henri Gourrot; son qai, le poil en feu, s'est réfugié dans la tal avec an pen d'alcool et de noir de 1 fourneau « Mirua », 8 chaises paille, par tuite de cessation
d'exploitation
paille et a causé ce désastre.
tenu cette année ses assises annuelles à 2* Raphrél Ansquor; 3* Jacques Boquet.
fumée.
1
porte-serviettes
marbre
blanc
et
nickel,
Tréogat, le 12 courant.
1* Le s a m e d i %t s e p t e m b r e I M S ,
Courte de bicyclettet. — l , r Goyat;
a(K^OMSWCMMMMBQHMMqçaWBMBagSMMHBBasaWJ MH
iH Ml ÎHIIIgat» 2 porto-sorviettes en bois.
Lopértc
Cetto fôte de l'Agriculture avait attiré 2« Guellec ; 3' Bosser.
4 tables diverses, 1 lourneau cuisinière à Lesminguy, en Tréogat : 1 jument,
Le Gérant : Pierre Guéguen.
Inoendie. — Dans la nnit de jeudi à
beaucoup de monde dans ce joli bourg. Les
état neuf, 1 fourneau à gaz avec rôtis- 1 pouliche de 2 ans, 4 vaches, 2 charvendredi dernier, un incendie, qui parait
Cllîant
expositions de chevaax et de bovins ont
soire, 1 glacs fsçon bambou, 1 potite rettes, 6tC...
été allumé par une main criminelle,
été très remarquées.
2' Le mat-d! 95 s e p t e m b r e 1 M I ,
Pour lo Bureau de Blonfaisanoe. — avoir
étagère marbre blanc, 1 étagère démonA midi» un b»nquet admirablement servi Un concert donné à l'occasion do la fête a'est déclaré dans une meule de paille apà Kergag en-Vian, en Peumerit : 3 vatée,
1
pare-étincelles
en
cuivre,
2
applipartenant à Mme veuve Le Pape, aa village
,par MM. Le Renn et Hélias a réuni environ patronale a produit 150 francs.
ques chinoises, ustensiles divers de cui- ches, 2 porcelets, 1 écrémeuse et tous
de Kerguel, on Lopérec.
Cette
somme
a
été
versée
dans
la
caisse
Etude de Me LE BIHAN, notaire,
200 couverts.
sine et de ménage, et quantité d'autres objets mobiliers de ménage et d'exploiDa nombreuses personnes se rondirent
à Plogastel-Ssint-Germain
M. G. Le Bail présidait, ayant à sa droite du Bureau de Bienfaisance.
objet?, 1 bloc « Ajax » T. S. F. 90 volts. tation.
rapidement
sur
les
lieux
et
parvinrent
à
Félicitations ot remerciements aux orgaM. Gaorges Caondal, maire, et, à sa gauche,
protéger
cinq
autres
meules
de
paille
et
de
3° Le m e r c r e d i >6 s e p t e m b r e , à
Au comptant, frais en sus.
M.Th. Le Hars, sénateur. On remarquait en- nisateurs.
foin.
Kéringuy, en Peumerit : 1 cheval, 1 jaL'Hu'.tsier
chargé
des
formalités,
pltuvon
core, à la table d'honneur, MM. Croguen
La gendarmerie enqnète.
ment et son poulain, 6 vachss, 2 char*
Joli PAVILLON, avec pare et Jardin
A. FORGET.
Féto patronale et Inauguration. —
n te, jage de paix ; Cabillic, professeur d'agrirettes, etc • se
S'adresser en l'Etude.
Pleybtn
culture ; Le Bihan, secrétaire du Comice, et Voici le programme de la fête patronale
R i g l e s Irrégulières, retardées ; 4° LE VENDREDI 98 SEPTEMBRE
Hernigoa, trésorier; les msirer, anciens et de l'Inauguration du Monument aux
ou Interrompues.
rétablies
Un départ. — A l'occasion du départ
adjudication
volontaire
PEMUNPE
*
LOUER
c e r t a i n e m e n t p a r le L Y R O L
ON
maires et adjoints des communes dn canton, Morts qui ont lien dimanche : à 9 heures, de M. Cariou, direoteur do l'école publique,
m a i s o n d ' h a b i t a t i o n avec
nouvelle m é t h o d e u n i q u e de t r a i t e m e n t Interne d'une
A QUIMPER
MM. Prigent, Le Coant, Guennec, Nor< courses de bicyclettes, communale et régio- un vin d'honneur fut offert, le 9 septembre, au
e t v a g i n a l d ' u n e Incomparable efficacité. Le traite- crèche, située» an bourg de Ponldrea*
ment complet pour cure radicale, 100f. f". LiteriiiireLACROlX
mand, Lautrédou, Plonhinec, Goanec, Le nale ; à 10 heures, inauguration du monu- restaurant du Commerce. Nombreux furent o n a p p a r t e m e n t de 4 à 5 pièces.
2 2 , B o u i ' K é b a w l o p c i , i ' A H I S (TOUTES PHARMACIES) zic, près de la Mairie,
Bran, Le Gaellec; Voqaer, suppléant de ment; à midi, banquet par souscription ; à les amis qui tinrent à manifester leur symS'adresser
au
Journal,
paix; Pétillon, instituteur; Mme Georges 1 h. 30. roule de Siint-Bvarzec, course de pathie an fonctionnaire qui quitte Pleyben
ponr jouir d'une retraite bien gagnée.
chevaux ; à 2 heures, courses d'hommes et
Le Bail.
A l'éducateur, d'une haute conscience
OnremarquaitégalementdanslasalleMM. d'enfants ; à 3 heures, grandes luttes professionnelle, qui s'est va décerner dans 91 VEJIPRE, fflafhls 5 c. v. 2 pl.
motenr remis à neuf
Albert Le Bail et ses amis de Plonéour- bretonnes, 500 francs <le prix.
la même année scolaire les palmes acadéJacques
Amigues, Villa des Roses,
Lanvern, Sans, receveur-buraliste ; Jean
miques, la médaille d'argent de la mutualité
Penhars,
par
Q iimper.
Conc«rntau
Louis Peuziat, recevenr-buraliste de Plo
et la médaille d'argent de l'enseignement ;
aa
musicien
consommé,
qui
ne
ménsgea
zévet ; Alain Le Gnollec, et MM. Flairés,
Aooldent du travail. — Un jeune ouNormand et Le Moigne, instituteurs, etc.
vrier, M. René Besnier, demourant à la jamais son précieux appui à la vaillante Etude de M* A. LUCAS, avoué licencié,
6, rue Vis, à Qulmper.
Aa dessert, MM. Georges Caoudal et Le Ville-Close, travaillant sur la nouvelle fanfare municipale ; an républicain vigilant
averti, qai nous soutint dans les luttes
Htrs ont successivement pris la parole et église de Concarneau, a lait une chnte et
politiques, nous présentons nos meilleurs
ont parlé des questions agricoles avec une d'environ douze mètres.
vœux dans sa nouvelle résidence.
compétence et un à propos que l'auditoire
Le malheureux jeune hommme a été
(Dicision du 1er juin }928)
A son successeur, M. Jézéquel, directeur
a soulignés de ses bravos répétés. Tous transporté au dispensaire de la rue Vau- d'école à Lannilis, nous offrons nos sinD'un jugement rendu par la première
deax ont insisté sur le dévouement de ban, où il a reçu les soins du docteur cères souhaits do bienvenae.
Chambre civile du Tribunal du FinisM. Le Bail aux choses de l'Agriculture Dabois, qui a constaté de graves contutère, section do Quimper, le trente-et-un
Carhtlx
Il a fondé, depuis 25 ans, le nouvean sions sur tout le corps.
juillet 1928, enregistré et signifié, par
Comice agricole, le Syndicat d'élevage, une
Conooura. — Un concours spécial
Cirque. — Le cirque Zoo-Circus sera
défaut, faute de comparaître,
Mutuelle assurance bétail très florissante et
d'animaux
reproducteurs de la race bovine
Au profit de : Mme Marie Quéau,
propagé dans le canton l'enseignement de passage à Concarneau le mardi 25 sep- armoricaine so tiendra à Carhaix les 28, 29
épouse de M. Léon Mao, demeurant à
agricole et ménager, tandis qu'Albert Le tembre où il donnera nne grande repré- et 80 septembre.
Quimper, 17, rue Le Déan, demans?»
Bail écrivait sar le Finistère Agricole une sentation à 20 h. 30.
Un concours spécial d'animanx repro- deresse,
thèse qai restera on pieux et superbe hom
ducteurs de la race durham française, orM8 LUCAS, avoué.
msge à la terre nourricière.
\M
ganisé par le nynlicat dos éleveurs de
M. Georges Le Bail, président du Comice
Contre : M. Léon Mao, époux do
Conooura. — Un concours d'arrondis- Durham, et subventionné par les offices
agricole et da syndicat d'élevage, a un mot sement des racsa armoricaine et pie-noire départementaux du Finistère, du Morbihan Marie Quéau, garsgisto, domicilié à
à régime lent : 3 à 13 CV.
aimable ponr chacun. Il salue le maire, se tiendra à Quimperlé le lundi l , r octobre et des Cétea-du-Nord, anra lieu les mômes Quimper, 17, sue Le Déan, défendeur,
M. Georges Caoadal, administrateur dili prochain, à 10 heures.
Défaillant.
jours, et danu la mémo localité.
DURÉE
RÉGULARITÉ — SOUPLESSE
gent et qui fat naguère le percepteur mo
Il appert que la séparation de corps a
dèle de ce pays, fonctionnaire corapi
— SIMPLICITE —
toano
• • B M g B a M M a a a B B M a a a B B B a a B été prononcéo entre losdits époux Mactent, aimable, faisant aimer la RépuQuéau,
au
profit
de
la
femme
et
aux
Incendie. — Un incendie a détrait ces
blique, et M. Le Hais, sénateur, né au pays
torts et giiefs du mari avec toutes les
jours
derniers une maison, couverte en
Avant d'Acheter le Moteur que vous désires
bigouden, fidèle à la terre et dont la louaconséquences de droit.
chaume,
situéo
an
bourg
d'Arzano.
ble activité est sans cesse aa service de
Pour extrait :
Ce sinistre s rainé trois ménages de
ECRIVEZ
à la
SUCCURSALE
toas, et M. Croguennec, magistrat de
Qaimper, le 19 septembre 1928.
La r o u i l l e d e s c i r é a l e s
travailleurs.
science et de conscience, et MM. Le Bihan
A. LUCAS,
des Etablissements
I 1 C
Aurait-on trouvé le moyan de prévenir
HUon
et Hernigoa, secrétaire et trésorier dn
avoué-licencié,
eomice, chevilles ouvrières d'un comice déjà
Conooura. — Le concours agricole du cetto redoutable maladie cryptogamique ? ^imji.i.,——«.Vl• 1 1 — •« i»
(Morbihan),
ancien ; et M. Jean Cabillic, professeur canton de Pont-Aven se tiendra lundi Le « Bureau d'études économiques indus
d'agriculture, qui joue par sa technique prochain 24 septembro au bourg de Nizon. trielles et agricoles »signalequelaronil
consommée fortifiée par la pratique, à l'école
A midi grand banquet par souscription. le des céréales est combattue avec succès,
L U T T E COHTRÊl L A
Parfamern Articles de Paris
de Bréhouloo, an rôle de tout premier ordre ; Après le banquet, courses de vélos et de en Amérique et en Allemagne, môme
•f
et les maires, anciens maires et adjoints ; chevaux, danses au binioa.
après son apparition, par des poudrages
et toas les convives si nombreux accourus
Le soir, retraite aux flambeaux et bal à de soufre (IUX Etats-Uni«) on de cianade toutes les communes poar fêter l'agri grand orchestre.
M , rue Keréen, Qaimper
mide (Allemagne).
culture et lt République.
Spécialités
de chomisos habillées et de
Ce dernier produit s'emploie sur les
BOURDONNEMENTS
DURETE
D'OUiS
.
Pais, M. Le Bail père, en termes saisis'
travail — Cravates — Ceintures — Bas
Nous Informons nos Lecteurs que le SPÉCIALISTE F. ROYAL.! 29. RUE OF _
plantes couvertes de rosée à la dose de
•ants et qai intéressent et impressionnent
— Chaussettes — Ganis — Pull Over
PARIS, e»t à nouveau de passate dans notre r i g l o n . — C'EST A TORT qu'on r o s
dit : " i l n'y a rien à faire' 1 . En réalité peu de personnes se tiennent au courant
Conseil munlolpal.— Le Conseil muni- 00 à 80 kilos par hectare ; il empèjhe,
tivement l'auditoire, fait un parallèle entre
Sous vôtenionts, etc...
de la Science. SACHEZ qu'une METHODK NOUVELLE ET SIMf
I'rojrrès
VGft IMMEDIATEMENT, FAIT .TRAVAILLER
L'ORGANE, car l'ofçllle fili
AGIT
TRAVAILLER "L'ORGA!
la situation de l'agriculture il y s soixante cipal s'est réani le 2 septembre au matin, par sa causticité, le développement du
La maison se recommande par la
FAUTE
O
EXERCICE, Ihilt par NE PLUS ENTENDRE. RIEN ne vaut ce 1
C * v a rtTïrw^iTi.-c C A V C r
sous la présidence de M. L'Haridon, pre- champignon qui causo la rouille et qualité et les prix de ses articles.
ans et aujourd'hui*
I.our vaincre. ces maux rebelles. SANS
D R O G U E S , SANS OPERATIONS, SANS AÊR
REILSINUTILES, vous_nouveiENTENDRE BIEN d i a l e PREMIER ESSAI. Vous sçntlre»
protège les céréales pondant quelques
Dos bravos soulignent à tout moment son mier adjoint aa maire.
délicieux SOULAGEMENT »»porle suns retard. No vous résignez donc plus à ENl'ENE
MAI- et lentement de MOINS EN MOINS. VOS OREILLES V O L S SONT PllECÏËUS
Voici
lo
compto-renda
sommaire
de
cette
semaines;
en
cas
da
nouvelle
invasion,
discours qui est salué à la fia par un ban
Défcnxc de chasser
DÛIVENVFAIRE UN ESSAI : S W
séance :
ilpoutôtro nécessaire de faire un second sur le» terres de Kcroern, en Penhars.
.. nourri.
BRUITS. BOURDONNEMENTS, DURETE D OREIl.LES, SURDITE.
*
Approbation, sans observation, da procès- traitement.
D8B cris vigoureux retentissent dans l'as'
ALLEZ VOIR en toute CONFIANCE ln réputé SPECIALISTE qui vous fer« GRAT
TKMENT1» démonstration del'INCOMPARABLEdécouvertcaux SERIEUX RESULTA
vorbal
de
la
séance
précédente.
Suivant d'autres observations faites
sistance « Albert 1 Albert I »
Chasse gardée
t o u j o u r s obtenus au PREMIER ESSAI. IL RECEVRA DE 8 i 4 H EU R M .
Le Conseil prond en considération la égalemant en Allemagne, les blés à fuLo sympathique conseiller municipal de
Quimperlé. vendredi 21 septembre, Hôtel dn Lion d'Or.
en
PENHARS,
sur
les
terres
de
Pon«
P l o n é o u r - L a n v e r a , q u i d é j e u n a i t a u m i l i e u demande de M. Le Duff, pour la location mer à la cianamide en automne seraient
QUIMPER, «amedi 22 «eptembre, H6tel de l'Epée.
mellee,
Rertichari,
Kerc'haradec,
y
d'un
terrain
communal
à
Ïy-Carré.
des nombreux convives originaires de cette
nettement pins réfractaires que laa ac.
Lorient, mardi 25 leptembre, Hôtel Termina»,
La Président entretient le Conseil dei
compris propriété
Botter,
ooromune, se lève.
très à 1A ronillo ; la chaux parait auiai
VENTE
V
E
^
t
e
Petites recettes pratiques
Vestes pabliqnes de meables
annonces"
À Vendre à l'Amiable
RETARDS
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(a) A lieu du dimanche des Rameaux au 2 octobre inclus.
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dimuncha et fêtes et jours de foire à Quimparlê et à Pont-Avan. — (d) Tous les jours sauf les mardi, vendredi, dimancha et fêtea. —
(e) Mardi, vendredi, dimanche e! fêtes. — (f) Di Conearneau P. O. à Pont-Aveu, mardi, vendredi, dimaachî et fêtes et jours ds foirs
à Qaimperlê et à Pont-Aven ; ds Pont-Aven à Qaimperlê, tous les jours.
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Impnmeïio op«oiale du k Citoyen », 21, rus du Sallé — Quitapsr
par i* <3ôro»l «»»ssiesé»
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Jeudi 27 Septembre 1928
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Année).
Le Numéro 2 5 Cent.
paraissant I« Jtudî
Organe de Concentratiûn
HEBDOMADAIRE
ABmassssasrs
POLITIQUE,
s
Finistère e t département« limitrophes. . . . .
Autres départements
l'itrixjir
« » » » • • » • • • « • • • • » • » • • •
t AB.
19 f r a i e s .
12 ~
15 —
Let abonnements partent du Ie* ou du iô de chaque mois
et tont nay ablet d'avance
AGRICOLE,
Républicaine
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Les manuscrits ne sont pas rendus. — Pour les renseignements joindre un timbre pour la réponse.
où il demeura jusqu'en 1830, pendant no qui fat un citoyen noble, désintéquinze années.
ressé et profondément dévoué à sa
Guezno était en 1815 souffrant, miné patrie et & la République.
par les chagrins et atteint comme d'une
Après la Révolution de 1830, Guezno
FINISTÈRE
DU
vieilleaae prématurée qui l'avait conduit regagna sa petite ville d'Audierne qui
au bord de la tombe.
l'avait vu naître.
M. Jean Savina, si connu par sas inconvénients d'un pareil jugement,]»
II essaya, par un mémoire eu roi, de
Il y vécut jusqu'en 1839, sans patriEtudes historiques sur la Cornouallle no puis me refuser-d'obéir au cri impé- le fléchir et d'échapper au sort de ses moine, presque privé de la vue et dé
et le Léon à la fin de l'ancien régime et rieux de ma conscience ni prendre sur anciens collègues. Les plus hautes in- pouillé de la modeste demeure qui avait
sous la Révolution et par ses travaux moi de composer avec la justice. Je vote fluences de tout ordre qui se manifesté abrité son enfance. Il consacra ses der.
historiqaes sur l'histoire locale de notre donc pour la mort de Louis et, en pro- rent à tous moments en faveur de cet nières années à préconiser et à organirégion, vient de publier à l'Imprimerie nonçant ce vœu terrible, je renouvelle, homme de bien ne purent avoir raison ser l'instruction des enfanta du peuple.
Bretonne du Citoyen un volume fort dans le sein des représentants de la de l'intransigeance du pouvoir royal.
•
• •
intéressant sur L e C o n v e n t i o n n e l Nation, le serment de ne jamais exister
Guezno prit un jour son bâton de
« n e x n o 4 a I l n l a t è r e ( 1 7 6 S - 1 8 S 9 ) . sous un autre tyran et de ne vivre désor- pèlerin et s'achemina vers l'exil, à la
Le livre de mon ami Savina est une
Mathieu-Claude Guezno naquit à Au- mais que pour combattre celui qui recherche d'une terre hospitalière. Tour contribution parfaite à l'histoire de la
dierne, le 17 février 1763. Son pète voudrait succéder au tyran que jeà tour il se fixa en Belgique et en petite et de la grande patrie. On y trouve,
avec la conviction et la probité de l'écri
« noble homme » Claude-Charles-Marie condamne. »
Hollando.
Par
l'ensemble
de
ses
votes,
Guezno
Guezno de Botsey était négociant en
Faut-il le blâmer d'avoir imploré son vain, un récit animé des événements où
se
rapproche
des
Girondins
mais
il
fait
cot<e vi'le.
pardon et humilié sa pensée devant le Guezno a inséré son action qui fut pro
cause
commune
avec
la
Montagne
dans
fitable à la cause de la Révolution et à
Les Guezno, originaires du pays de
despotisme ?
tout
ce
qui
intéresse
le
salut
public.
l'avenir
de la République.
Carhaix, appartenaient vers le milieu
Doit-on voir en lui un déserteur du
Le
style
de Savina eat comme aon
du XVIII* siècle à la petite bourgeoisie,
camp démocratique ?
caractère,
plein
de conacience, de aéré,
elle-même issue d'une famille de payPour la conservation de son bon
Guezno est surtout connu par ses misnité
et
de
philoaophie
humaine !
sans laborieux et économes.
renom devant l'histoire, j'aurais préféré
L'œuvre
de
notre
hiatorien
est un livre
Vers l'Âge de 11 ans Mathieu-Claude sions à Rochefort et aux Armées.
qu'il eut adopté une autre attitude et
qui parle et qui enseigne. Il sait interentra au collège de Quimper où ilfitses A Rochefort, il réussit à donner une accepté l'âpre exil d'un cœur ferme.
humanités et fut confié à quelque auber- grande activité aux chantiers de consSa maladie lui est une excuse. Son roger lea documents et lea aourceB, lea
giste ou boutiquier quimpérois « tenant truction et il fait de ce port le grand pauvre corps n'était plus qu'une loque bien analyser et dépeindre les événe
atelier, la grande manufacture navale
monta avec la simplicité du ton, la
écoliers ».
en mauvais état.
convenance
et le choix dea mota, la
Dès l'&ge de 25 ans, Guezno se môle de la République.
Quitter dans un pareil moment sa
C'est à coite époque que Janbonprécision
et
la transparence du style,
aux affaires publiques et se distingue
Bretagne lui parut un sacrifice au-dessus
par sa mâturité d'esprit et par son ci- Saint-André lance à la Convention le de ses forces, et, presque un arxèt de qui conviennent à un tel aujet.
visme jusqu'au moment où la Révolu- cri de guerre contre l'Angleterre : « Des mort.
Le livre de Savina eat un monument
vaissoaux, dos canons, des matelots, toi
tion le prendra tout entier.
Il avait à Audierne ses habitudes, ses de plua élevé à la gloire de aon paya
A Audiexne, Guezno se fait l'ardent doit être votro cri de ralliement. »
parents, ses amis. Il regrettait, après les natal en même temps qu'il est une conNous devions entendre une pareille grands jours de la Convention et de la tribution à notre belle histoire.
défendeur des idées nouvelles. Il aide
puissamment à l'organisation de la Fé- exclamation pendant la guerre 1914- représentation aux Armées, le calme de
Il sera accueilli du public avec une
dération caviste qui englobe les parois- 1918 : « Des canons, des munitions ! »
la vie intérieure, le silence au bord de la faveur extrême.
La misNion de Guezno à l'armée de mer, la sérénité des soirs de la campagne
ses du Cap Sizun : « S'armer d'abord,
Georges LE BAIL.
s'unir ou, comme on disait alors, se Hoche fut féconde en résultats et contri- bretonne, la flèche des clochers corfédérer ensuite, voilà ce que firent, peut- bua à la pacification de la Vendée qui nouaillais. Le ciel de la Bretagne lui
Patrouille» noire«
être les premiers en France, les com- se fit laborieusement, malgré les intri- était entré dans le cœur.
gues, l'hypocrisie, lets complots et la Il vécut à l'étranger, seul et isolé do
munes du Cap Sizun. »
Et M. S»vina ajouta : « Ainsi naissait, traîtrise des reballes et de leurs chefs. ses compagnons d'infortune, « comme
à l'extrême pointe do l'Armorique la La rnpturo du traité de h Mabilais en les vieux sangliers qui abandonnent les
fraternisation municipale qui devait est une preuve.
compagnons do leur jeunesse pour vivre
La misaion de Guezno fut renouvelée solitaires. »
•'étendre sur toute la France. Il convient de remarquer que la Fédération sur l'insistance de Hoche dont il était
.... Nos patriam fugimut et duleia
capiste précédait de trois mois la Fédé- l'ami comme il fut aussi celui de La linquimus arsa.
Le brave commandant Vannier vient
ration dauphinoise l'Etoile, de cinq mois Tour d'Auvorgne.
J'aurais préféré sans doute qu'il n'in- de so donner de l'avancement. Dans
La douceur et la persuasion ne parve- clinât pas sa fierté devant la dynastie l'armée il était à quatre galons. D'un
le Fédération bretonne de Pontivy et de
nant pns à ramener les rebelles & la sou- royale qu'il avait sacrifiée au salut de la coup, il vient de conquérir les étoiles en
onze mois la Fédération nationale. »
Successivement Guezno devint pro- mission, en dut employer la force.
adressant aux électeurs du Finistère
République.
cureur syndic d'Aadierne et adminisTandis que Hoche bloque ot défait les
Beaucoup de ses anciens collègues se une proclamation dans le style employé
trateur du département.
émigrés dans la presqu'île de Quiberon, réfugièrent à Bruxelles, et, ces athlètes par le Général Bonaparte quand il haLe V ao&t 1790 les 36 administrateurs Guezao inspocte les côtes, entre Qui- brisés sentirent se ranimer en eux les ranguait ses soldats de l'armée d'Italie.
du département ue réuniront à Quimper beron et Le Pouldu, en prévision de vieilles passions de la Convention. Ils y
Le Commandant Vannier ferait mieux
et éliront Guezno l'un des 8 administra- nouveaux débarquements.
ranimaient leurs souvenirs et, debout et de planter des choux que de faire de la
teurs du Directoire départemental. Il
Si l'action de Hoche fut prépondé- rajeunis, se contredisant et s'exaltant politique qu'il raisonne, ou plutôt qu'il
•'y occupa surtout de finances.
rante, on deit rendre justice aux repré- les uns les autre?, y reprenaient leurs déraisonne, au même titre que les vieil« Quelques chiffres empruntas au rap- sentants du peuple qui secondèrent ce querelles et leurs haines d'antan.
les bigottes qui ne voient tout qu'à traport fait par lo Directoire au Conseil du grand chef dans sa tâche immense, ai
vers
lea lunettes de M. le Curé,
Los anciens nvaiont coutume de dire
département, le 14 novembre 1791, don- ardue et si diflloile.
•
qu'il n'y a pas de plus noble spec• •
neront une idée de l'activité déployée.
tacle au monde que celui de l'homme de
Il y a tout de même une limite dans
En 15 mois, le Directoire expédia 9200
bien aux prises avec le malheur.
les voies de la sottise humaine.
Guezno fut plus tard nommé député
lettres ou rapports officiels ; il rendit
Pourquoi faut-il que notre cancanier
3648 arrêtés définitif« et traita 8798 af- aux Cinq Cents.
nous réchauffe les vieilles calembredaiIl soutint à la fois le Directoire contre
faires comportant un nombre égal de
Dana le camp adverse, on n'a pu par- nes ressassées tant de fois par toua les
les intrigues ïoyalistea et contro les donner à Guezno d'avoir voté la mort
dossiers. »
monteurs de coup de l e séquelle cléLe Département, « au milieu de soucis anarchistes.
de Louis XVI.
ricale ?
11 p out s'appro prier ces mots qu'Bschylo
de toute nature, réussit à recruter, haCette mort fut le premier acte du
Etes-vous bien «ûr, mon général, que
biller et organiser trois bataillons de d'Athènes mat dans la bouche d'Eumé- drame qui découle de la logique d'ai- les républicains ont été par leur imprégardes nationales volontaires,
sans nide : « Ne te réjouis ni du triomphe rain de la Révolution.
voyance responsables
de la dernière
compter diverses unités de moindre de l'anarchie, ni de celui du despoLe salut du Peuple fut alors la loi guerre, comme vous le prétendez à
tisme. »
importance. »
suprême. Si la Convention n'avait pas l'instar d'un certain nombre de vieilles
• •
Peu après, la « Division du Finistère »,
prononcé l'arrêt fatal, le peuple n'eut culottes de peau que je connais bien et
composée de 150 hommes sous le comSous le Consulat et l'Empire, Guezao pas épargné le Souverain. De plua, le qui vont prendre leur mot d'ordre dana
mandement de Pierre Desbouillons, devint receveur des douanes à Audierne. cerveau de la Convention avait la han- lea colonnes de l'Echo de Paris 1
concourait, le 10 août, à la prise des Tui- Cette modeste fonction maigrement ré- tise des visions et dos crimes de la Etes-vous bien sûr encore que du
leries.
tribuée, À peine 80 francs par mois, suf- Monarchie. Au premier plan, l'image de temps d'Herriot on s'acheminât vers la
••
fit À son ambition.
Richolieu décapitant les Grands I
banqueroute ?
L'Assemblée électorale du Finistère
Guezao ne protesta pas lors du Coup
Les révolutions ne sont pas un jsu
Voua le disiez alora tandis quo vos
lut appelée à élire 8 députés à la Conven- d ' E t a t de Bonaparte, qui recueillit innocent.
amis poussaient à la roue pour faire
tion. Guezno y fut nommé avec Bohan, l'adhésion passive de tout un peuple. Il
Le roi, d'abord ! Puis, les partie ae dé- chavirer le bloc des gauches dana le
de Kervélégan, Blad, Maree, Guermeur, y eut seulement 2.000 opposants dans ciment, a'accusont réciproquement de foasé.
Quéinnec et Gomaita. Tous les élus toute la France,
conspirer contre la République. Les
Cette attitude ne plaidait pas en faappartenaient au parti modéré et symDans le premier livre de aes Histoires, crimes se auccèdent et a'enchatnent lea veur de lour patriotisme. Périsse la
pathisèrent d'abord avec la Gironde.
Tacite traoa le tableau schématique des una eux entres dana lea tueries et les France plutôt que le cléricalisme,
Au moment du procès du Roi, Gaezuo coups d'Etat. Ils se sont immuablement assassinats où périrent tant de bona
C'est nn ciime que de pousser un
et Guermeur votèrent constamment aveo déroulés de la môme fnçon depuis lora. citoyens, tant de nobles victimes.
homme par lea épaulea pour le jeter
les Montagnards. Ils se séparèrent à
Aux Cent-Jours Guezno signe l'acte
Châteaubriand a reconnu lui-même dans uno carrière où il risque de trouver
cette occasion de la Gironde qui so additionnel.
que la Terreur ne fut paa un plan com- la mort.
déclara partisan de l'appel au peuple.
Plus tard il écrira : « Jo n'ai rion biné d'avance ot qu'elle vint peu à peu
Maie il ne s'agit pas seulement de
Sur la question de la peine À infliger, demnadé à l'Usurpateur; ja n'ai rien eu avec lea événements.
' vous réfuter. Il faut qu'à la veille des
Gaezuo s'explique do la façon suivante : de lui et j'ai nouvent blâné ses mesures, s
Ce grand mal a enfanté do grandes élections, nos amis so liguent ot accor« Citoyens, je no viens pas «ouseffroi conchoses. Notre République, belle et fra- dent leurs violons pour vous faire danser
courir au jugement d'un roi conspirateur
ternelle, est sortie de cette immolation une vieille gavotte, comme du tomps de
et prononoer ainsi nur le sort d'une patrie
La loi qui frappait la plupart des qui fut un prodigioux onfantoment sans nos pères, quand tout ce qui est rouge
marchait contre tout ce qui est blano.
qui m'eat plus chère que mon existence. Conventionnels régioidea fut appliquée précédent dans l'hiatoiro.
Mai« quelque grave« que soient les à Guezno qui prit le chemin do l'exil
PanI
Paix profond* à la mémoire de Guez-
LE CONVENTIONNEL GUEZNO
Le Commandant Vannier
s'en va-t-en guerre
C
<3C DTCOTORMATIOIT
i
A n n o n c e s j u d i c i a i r e s e t d i v e r s e s (4* p a g e ) . I .
—
r é c l a m e s (S 4 p a g e ) . . . .
la Ugne
zf.«e
1 (.75
Prix à forfait pour les Annonces répétées et traités de publicité
Annonces payables d'avance.
Les Annonces doivent être adressées, au plus tard, le Mardi soir.
M O U S T I Q U E S
Goyen ment
comme nn arracheur de dents
A propos de la tardine à un sou,
Goyen trouve le moyen, sous la signature de X, de commettre un nouveau
mensonge qui ne lui viendra pas plus
tard en déduction dea peines de purga.
toire si le bon Dieu veut bien, dana sa
souveraine bonté, le sauver des flammes
de l'enfer auxquelles il me parait tout
destiné.
Le Citoyen avait inséré, d'après les
journaux, un entrefilet paru dana
V Œuvre et annonçant que les marina
sablais avaient expédié à Paria, au lieu
de la jeter à l'eau, de la aardine invendue^ parce que fabricants et mareyeurs
n'avaient pas tenu à l'égard des pêcheurs les promesses d'achat du début
de la saison de pêche.
Et, Goyen, soua la signature de X, de
conclure que M. Le Bail serait partiaen
de la vente de ce poiason à un prix de
famine. On ne pèut pas être plus canaille dans son raisonnement.
Si vous aviez, Goyen, pour un liard de
bonne foi et de pudeur, voua rougiriez
d'employor de pareils procédés de discussion.
•••
me toutes les flèches d'un carquois qu'il
avait dû voler à Cupidon.
Le Bail'Béluga /
Le Bail-Béluga { Pendant plusieura
années ce cri a retenti dans la presse
cléricale.
S'il le faut, le Citoyen mettra à Goyen
le nez dans ses petites ordures. Qu'il
rassemble aea souvenirs, que diable, au
lieu de perdre du temps à se maquiller
le teint et à se peindre les yeux, comme
une vieille coquette, j'allais dire comme
une vieille cocotte.
Vlan.
Un fameux gratte-ciel
Une société au « modeste » capital de
125 millions va édifier dans la cité américaine des < gratte-ciel » un immeuble
qui mesurera près de 200 mètres de
hauteur ; il ne le cédera donc qu'au
fameux Woolworth Building ainsi qu'A
l'immeuble de la Metropolitan Life. 6 e
dernier, par contre, ne compte « que »
cinquante étages, tandis que le nouveau
bâtiment, qui sera occupé excluaivement par dea bureaux, e n aura cinquante-deux. Le record, cependant, ne
aera paa battu, puisque 1e Woolworth
superpose 57 étegea !
»
BOH
BOH
RUT
Sauf en eas de foree majeure, le laie
d'action ne donne à gagner qu'au laie.
Lea pauvres marins sablais s'étaient
peut-être tenu ce raisonnement qu'il était
EPINGLE»
préférable do vendre à perte l'excédent
de leur pèche au lieu de le jeter à l'eau,
pour mettre à la disposition du consom*
mateur victime de la vie chère un poisson destiné à lui procurer à bon marché
Cette vieille pratique de Goyen n e
un aliment de choix.
peut paa accoucher de deux lignea aana
Il avait compté aana les vautours, je
y introduire une kyrielle d'injurea.
veux dire les intermédiaires
qui ont
Il soigne ainsi un vieux prurit ambitrouvé le moyen de revendre la sardine
tieux qui, en politique, n'est jamais
à un sou avec un bénéfice de 700 ou de
parvenu à ae aatisfaire.
800 pour cent.
L'impuissance d'être, voilà le mal irLe but n'était plus atteint et l'expérémédiable auquel il est condamné. Là
rience était concluante.
où l'abbé Gayraud a autrefois réussi, il
échoue, et, récemment, le auccès de
l'abbé Desgranges dana le Morbihan lui
M. Le Bail e tout fait pour organiser
a tourné la tête.
la vente directe du poisson et pour déAlors, Goyen fait ce qu'il peut pour ae
fendre les intérêts des marins pécheurs.
mettre en vedette. Besoin de s'exhiber
Il a été sans cesse combattu à chaque
et de paraître !
élection par les fabricants et par lea
Si la destinée en avait fait une femme
mareyeurs.
au lieu d'un homme, nul doute qu'il se
Aux dernières élections tous les fabriserait exhibé sur les planches et noua
cants et tous les mareyeurs dePenmaro'h
aurait régalés de chansons de beuglant et
et de Guilvinee ont marché contre lui
fait voir tous ses dessous.
comme un seul homme et fait voter pour
Désir de paraître et de s'exhiber 1
M. Quéinnec,
•
On cite même le nom d'un fabricant
• •
qui, pendant trois ena, a été aux trousses
C'est l'article dédié à M. le vicaire
de M. Le Bail pour faire voter la loi sur général Joncour qui a déchaîné la grande
les appellations d'origine, et qui lui e colère de notre polémiste du sexe ectémoigné sa reconnaissance en dépen- clésiastique.
sant contre lui la forte somme lors dea
Un prêtre est pour un autre prêtre un
élections dernières.
personnage sacré qui a le droit de tout
Combattu à outrance par les fabri- faire et de tout dire sans qu'on ait la
cants et les mareyeurs, il ne restait plus liberté do lui répondre, en le payant de
qu'à tourner les marins contre M. Le réciprocité.
,
Bail.
Goyen est le chien de garde du dioOn y est parvenu en leur servant à cèse, et il lo fait bien voir e n toute
Penmarch, notamment,le double poison oecaaion, à moins qu'il ne aoit quelque
de la calomnie et de l'alcool. L'Ouest- chose d'analogue à ce manteau dont on
Eclair s'est chargé de distiller la calom- s'est servi au premier âge du monde
nie tandis que la Caisse Noire s'ouvrait pour cacher l'ivresse de Noê.
à deux battants pour tomber Le Bail,
Panl
Pan/
le triste politicien, le vieux drôle, comme
dit Goyen.
a•
MOTS DE COMBAT
Goyen fait eneore des siennes !
Goyen qui «, dana le peraonne du déLe cléricalisme n'est pas plut la relu
puté Quéïanee, un politicien novice qu'il
gion
que la earieature n'est le vitaget
conduit par le bout dn nez, ne peut paa
que
Tartufe
n'est un saint, que Ooyen
admettre qu'on plaisante ce chérubin
n'est
Jésus-Christ.
parlementaire qui a été le tombeur du
Le elériealisme est le frère de l'Eoan«
sinistre vieillard / /
gile de la même façon que Caïn était le
Que Goyen assemble ses souvenirs
frire
d'Abel.
d'un quart de aiècle, car Goyen eat vieux
ausni, quoiqu'il fasse pour réparer des
ans l'irréparable outrage.
Nous rappelons k nos Lecteurs
Nous avonB connu une époque où M.
q u e l'Imprimerie
du
le député Le Bail obtenait de Pelletan
les torpilleurs qui faisaient victorieusement la chasse aux bélugas.
exécute t e a a le« t r e v a e x t y p e Avec-quelle ironie lourde, Goyen alora
g r a p U ^ a e * e n noir «t c o u l e u r s
le oombattuit, épuisant sur «on épider-
journal l e C i t o y e n
LK CÏTOY&R
Mmes Amigues, inat. en congé, est nom.
Le Meur, dir. à St-Rivoal, est nom. à
à
NSvez.
Tréméoc.
Autret, inst. à Plouhinec, est nom. à
Gaudefroy, inst. à Tréguennec, eat nom.
Peumerit.
dir. à Tréguennec.
Férec, inst. à Moëlan; (St-Pierre), est
Mc.nach, inst. à Plouédern, ost nom. dir.
nom. k Plonéis.
i Kornonôs.
Lazennec, ins), à Plouénan-Penzès (g.),
Horellou, inst. à Plomodiern, est nom.
est
nom. à Plouénan-Penzès (f.).
ch. d'éc. à Plounéour-Trez.
Mme Le Meur, adj. à Ch&teaulin, est
Le Bideau, inst. à Camaret, est nom.
nom. à St-Pierre-Quilbignon (bourg).
ch. d'éc. à Ploujsan-Troudouiten.
Mlles Jizéquel, ch. d'éc. à Locmélar, est
Bodénès, inst. k Leuhan, est nom. ch.
nom. inst. à Plougastel-Daoulas.
d'éc. à Sizun (St-Cadou).
Séven, adj. à Scrignac, est nom. à PiouPallier, inst. à Landunvez, eat nom. ch.
rin-Morlaix.
d'éc. k S&int-Pabu.
Mlle Miossec, adj. i Lanhonarnean, est
Foulon, inst. k Huelgoat, est nom. à Ban91, r u e i n « a l l é — QVIHPER
nom.
à Plonzévédé.
f.cflfi»'» abttuni&é&s' vass tnmSvi* nalec.
Mme
Courapied, inst. à St-Pierre-Quilbignon, Renan. Guillou, dir. est nom. inst. à Saintest
nom. k Brest, rue de la Communauté.
11 y a peu do changement dans le
Mlles Beulze, adj. à Treffiagat-Léchiagat,
Le
Moigne, inst. & Lambézellec (Bourg), est nom. k Tréméoc.
commerce chevalin, la demande est
eat nom. à Brest, rue de la Communauté.
Péron, adj. à Cast, est nom. au Trévoux.
peu nombreuse, les marchands étranAuffret, inst. à Lannilis ott nom. à Ch&Cotten, adj. k Mellac, est nom. an Trégers à la Bratagno, clients habituels de
teaulin.
Ine
réunion
de
la
Fédération
radicale
voux.
celle-ci, viennent très rarement depuis
Cloarec, inst. à Cléden-Cap-Sizun, est
Ménez, ch. d'éc. i Lanneuffret, est nom.
et radicale-socialiste
quelque temps.
nom. à Plogoff.
adj. à Le Tréhou.
Les laitons «o vendent au môme prix
La Fédération radicale-socialiste du FiLo Gac, inatituteur à Melgven, est nom.
Pinault, inat. en congé est nom. à Plouqu'il y a trois mois, no laissant, comma nistère s'est réunie, samedi après-midi, à Clohars-Carnoët.
gasnou (Kérénot).
Stéphan, inst. à Lesneven, est nom. à
on le voit, que de la porte aux éleveurs dans une des salles du Gymnase municipal,
Mmes Lacorne, dir. à Irvillac, est nom.
à Quimper.
Guiclan.
qui les ont achetés À cette époque.
adj. à St-Pierre-Qailbignon, (bourg).
La réunion était présidée par M. Georges
Le Guiner, inst. à Plobannalec est nom.
Dans le commerce des bovins, en
Povie, ch. d'éc. i Guiclan, est nom. adj.
Le
Bail,
qui
était
assisté
de
MM.
Le
Louéà
Gnilvinec.
vaches amouillantes ou laitières, il y a
au CIottrc-St-Thégonnec.
dec, député, et Boulais, président du comiFavennec, inst. à Plougasnou(Mesgouez),
une reprise, la vante est bonne, mais
Pennec, aij. k St-Marc, est nom. à Lamté radical-socialiste de Quimper et des est nom. à Hanvec.
bézellec (Kérinou).
nous ne pensons pas que cela dure. Ce environs.
Le Bec, inst. à la Martyre, est nom. à
Angué, ch. d'éc. à Hanvec (Pen-ar-Hoat),
sont surtout les vaches de moyenne
A quelques exceptions près, tous les Huelgoat.
eat nom. inst. adj. à Camaret.
taille, modèles du Finistère ou Côtes comités locaux y étaient représentés. Le
Jégo, inst. à Plondaniel, est nom. à LanLalla, adj. à Lanildnt (g.), est nom. à Ladu-Nord, qui sont en reprise, mais sans président présenta les excuses do 2 ou 3 derneau.
nildut (f.).
membres de droit.
hausse vraiment sérieuse.
Guennec, inst. à Lambézellec, est nom. à
Mlle Latrouitte, adj. à Sibiril, est nom. à
L'assemblée a d'abord procédé à la no- Peomerit.
Les porcs continuent à être peu
Lesneven.
Autret, inst. à Plouhinec, est nom. à
demandés ; l'arrachage des pommes de mination des délégués devant se rendre
Mme Donnart, adj. à Lanildnt, est nom.
à St-Marc.
terre n'étant pas terminé, il y a peu de au Congrès national du parti qui tiendra Peumerit.
Alain, inst. à Rosporden, est nom. à Stnourriture pour ces animaux ; toutefois, ses assises à Angers les 3, 4, 5 et 6 novemMile Rannou, adj. à St-Thois, est nom. à
bre prochain.
Pierre-Quilbignon.
Plomodiern.
il faut s'attendre à une reprise incessamMmes Campion, dir. à Quôménéven, est
Elle a ensuite examiné la situation poliUJt
Mme Kergourlay, adj. à Primelin. est
ment.
tique dans notre département, la veille des nom. inst. à Ploéven (g.).
nom. à Plouhinec (Poulgoazec).
Morvan, inst. à Tréméoc, est nom. à Ploprochaines élections cantonales et a, une
Mlles Deuffic, adj. à Plozévet (g.), est
melin
(g.).
fois
de
plus,
affirmé
la
nécessité
de
l'union
à régime lent : 3 à 13 CV.
nom. i Plonhinec.
MM. Boustouler, inst. à Guerlesquin, est
des gauches. Là où la République sera en
Le Goellec, adj. à Donarnenez, eat nom.
danger, il ne devra y avoir qu'un seul can- corn, k Plouédern.
RÉGULARITÉ SOUPLESSE
DURÉE
a Pont-Croix.
Comment un Républicain peut-il didat vraiment républicain et laïque en
Léon, inst. à Lesneven, est nom. à PlouéMmes Nicolas, adj. à Port-Launay (g.),
— SIMPLICITE —
donner au Citoyen u n e preuve d« face du porte-drapeau do toutes les réac- dern.
est nom. à Port-Lannay (f.).
tions qu'il s'agira d'abattre à tout prix.
Bédel du Tertre, inst. en congé, est nom.
«a sympathie ?
Guillou, ch. d'éc. à Landudec, est nom.
à Piouescat.
Plusieurs
conseillers
généraux
ont
pris
En
aidant
à
sa
diffusion,
en
1*
adj. k Pouldavid.
Avant d'Acheter le Moteur que vous désires
Laviec, inst. à Pleyber-Chrigt, est nom. à
faisant connaître à
aaais et sur la parole et exposé la situation électorale
Bourdon, adj. à Plogoff, est nom. à PriPlougoulm.
dans
lours
cantons
respectifs.
ECRIVEZ
à la SUCCURSALE
,
melin.
t»wt • » S ' A B
Mmes Bloch, inst. à Ploudiry, est nom. à
Puis l'assemblée, avant de se séparer,
Goragner, inst. à Guengat, est nom. à
des Etablissements
H O M J K j Ê
a adopté, à l'unanimité, l'ordre du jour Ploojoan-Troudousten.
Gourlizon.
Planet, inst. à St-Hernin, est nom. à Plosuivant :
Le Goff, inst, à Poulgoazec, est nom. à
EXAMENS
(Morbihan).
van (g.).
«
La
Fédération
du
parti
républicain,
l'Ile-de-B»tz.
p o n r l e s Fonction» publique»
M. Hémery, ch. d'éc. à Lampaul-Ploudalradical et radical-socialiste du Finistère
mézeau,
ost nom. inst. à Pont-de-Bnis.
dénonce
comme
une
vaste
duperie
la
poContrôleur stagiaire des douanes en
Mmes Kernafi-m, inat. à Plonhinec, est
France et on Algérie. — Dite : 7 jan- litique dite d'Union Nationale et, tout en
vier 1929; délai d'inscription : 7 novembre; mettant hora de cause la haute personnalité nom. à Trégunc (g.).
Le Meur, inst. à St-Rivoal, est nom. à
Age : 18 à 25 ana ; traitement de début
de M. Poincaré, souhaite l'avènement d'un
9000 francs plus indemnités. Baccalauréat ministère homogène d'union dea gauches Tréméoc.
Bothuan, inst. à Guerlesquin (g.), est nom.
ton de Pont-Croix atra débarrassé de exigé on diplôme d'une école de commerce réaolument orienté vers une politique d'acreconnue par l'Etat.
à
Pleyber-Christ
(g.).
tion
sociale,
de
laïcité
et
de
paix
mondiale.
»
M. Jadé.
Avis. — Nous prions les personnes qui
Rédacteur de 2* classe des Services uivilt
MM.
Breton,
inst.
i Lambézellec (Kâri- ont des communiqués à insérer dans le
*
Quel soulagement 1
•
•
de l'Indo-Chine.— Date : 17 décembre 1928 ;
non) est nom. à Coray.
Les élections cantonales approchent.
Citoyen de vouloir bien let remettre direcLe trésorier de la Fédération départedélai d'inscription : 81 octobre 1928 ; traiteVelly, inst. à Plomodiern, est nom. à Pri- tement i nos bureaux, 21, rue du Sallé,
• •
Sous taisons appel A faction collective
ment de début; 12.000 fr.,plus 8.421 piastres. mentale du parti radical-aocialiste rappelle melin.
dans la journée du mardi de chaque
de nos amis et à la discipline générale des
On nous écrit :
Licence ou divers titres exigés.
aux délégués de droit et aux délégués des
semaine.
S'.éphan,
inst.
à
Penmarch
(bourg),
est
républicains qui doivent marcher unis
Deux candidats sont actuellement en
Contrôleur civil stagiaire au Maroc. — Comités au Congrès d'Angers que la nom. à Brasparts.
contre Tennemi commun. Maigri ses divi- présence pour l'élection au Conseil gé- Date : 20 novembre 1928 ; délai d'inscrip- cotisation est fixée à 25 francs (art. 4
Chez las officiers de réserve. —
Fnselier, ch. d'éc. à Guipavas (Coataution : 20 octobre 1928 ; âge : 21 i 30 ans, du règlement du comité exécutif). Cette
sions Intestines, Il réalise centre nous, à néral dans le canton de Pont-Croix.
Poarauivant
le cycle de ses conférences,
plus services militaires ; traitement de somme, avec la carte du parti pour 1927-28, don), est nom. inst. à Camaret.
l'aasociation
des officiers de réserve da
chaque coup, Tunfté de front.
Le premier est l'homme des presby. début : 21.000 francs, plus nombreuses
Michel, inst. à Gouesnou, est nom. à
Cornouaille, après la brillante conférence
11 ne faut pas qu'on puisse dire de nos tères «t des enrichis de la guerre «t de indemnités. Licence ou divers titres exigés. doit être envoyée, pour le 1" octobre au Lambézellec (bourg).
plus tard, en mandat poste ou mandat carte
amis de la ville qu'ils se désintéressent de l'après-guerre. Il a pour partisans les Concours ouvert en France.
Coat, inst. à l'Hôpital-Camfrout, est nom. de M. le professeur J. Loth, organise pour
de préférence, à P. Guéguen, journal le
le samedi 9 octobre nne conférence, faite
i Lambézellec (bourg).
agriculteurs 1 r0 yaliflt«a, les bonapartistes et quelques
la bataille prochaine, ni, des agriculteurs
Rédacteur au Ministère dos Finances. — Citoyen, 21, rue du Sallé, à Quimper.
par l'un de ses membres. M» Albert Le Bail,
Brenaut,
détaché
à
l'école
normale,
est
dont la République a singulièrement amé- ] c a m é n o n i l dits démocrates chrétiens Concours ouvert en novembre 1928 ; âge
qui a pris comme sujet : René Madec.
nom. inst. à Plomodiern.
20 à 80 ana, plus services de guerre ; traite
lloré la situation depuis 40 ans, qu'ils se qqui,
u i | tous, entretiennent sa caisse. A y
Bien peu de Quimpérois savent quels
A
la
m
é
m
o
i
r
e
d
e
m.
Louppe
de début : 10.000 francs, plus indenv
Mme Moigne, inst. à Gourlizon, est nom.
montrent Ingrats ou Indlttèrenls i régard regarder de près tous ces gens s'enten- ment
furent
les exploits de leur compatriote
nités. Baccalauréat exigé.
à
Plouhinec
(g.).
Le buste du regretté M. Albert Louppe,
de cette mère généreuse.
René
Madec;
il s'est formé antonrde son
dent pour duper les électeurs : chacun
Les personnes qui désirent des ronoei ancien sénateur, ancien président du ConMM. Boennec, inst. à Trégunc, est nom.
nom une sorte de légende vague...
La République a plus tait depuis ces 40 a sa manière ; ils se sont partagés la gnements sur l'un des emplois ou concours seil général du Finistère, sera inauguré à Moëlan (St-Pierre).
On a célébré les exploits des conquistaans pour ramélloration du sort des classes besogne pour mieux nous berner.
ci-dessus ou sur un examen quelconque mardi prochain 2 octobre, à 10 h. 30, au
Hîingué, inst. à Hanvec (Pen-ar-Hoat),
dores
espagnols, des pionniers américains
peuvent
s'adresser
de
notre
part
à
M.
Houlaborieuses que la Monarchie et l'Eglise
Tous les républicains sincères, de
sanatorium de Guervénan, on Plougonven. eat nom. i Camaret.
du
Far-West
I Mais qui connaît René
deville,
directeur-gérant
do
l'Orientation
pendant dix-huit siècles.
Seznec, inst. k Brest (Communauté), est
quelque nuance qu'ils se réclament, ont Professionnelle, 108, rue Erlanger, Paris
Madec, plus étonnant pent-ôtre qu'eux?
La Bruyère a flétri avec raison l'ingrati- le devoir impérieux de se grouper autour (16«), qui leur répondra k titre absolument ECOLE DE LAITERIE DE KERLIVER nom. dir. à Gouesnach.
C'eat sa vie, féconde en aventures extraorMmes Horellou, inst. k Plomodiern, est
tude de l'entant gros et gras du bon lait de la candidature Perrot.
gracieux.
Un extmen d'entrée i l'école do laiterie
dinaires, véritables contes de fées, qui serqu'il a sucé et qui bat sa nourrice.
Joindre un timbre de 0 fr. 60 et ne pas de Kerliver aura lieu, à l'école môme, le nom. dir. i Plounéour-Trez.
Le républicain qui — pour un motit
vira de thème à la conférence de notre
Velly, inst. à Plomoiiorn, est nom. dir. i camarade Albert Le Bail.
Alerte, républicains 1 Réunisses vous, quelconque — fera le jeu de la Réac- oublier de mentionner : en qualité de lec- lundi 8 octobre.
faites choix peur les élections prochaines tion, trahira ses convictions et son parti. teur du « Citoyen » à Quimper.
Les demandes d'inscription doivent être Primelin.
Mlle Yan, inst. k Pouldavid, est nom. dir.
Les T o u r n é e s Ch. Baret. - Le Scande boas candidats i r esprit laïque, social L'abstent on sera aussi coupable, puisadressées à Mlle Bohan, école do Kerliver,
à Clohars-Carnoët.
dale. — Las tournées Baret nous revienB
I
B
L
I
O
G
R
A
P
H
I
E
commune de Hanvec, qui fournira aux inet pacifique, et débrouitlex-veus pour faire qu'elle fera le jeu de l'adversaire.
Mmes Furie, inst. a Loqneffret, est nom. nent et samedi 6 octobre nons sera donnée
téressés tous renseignements concernant
le front unique centre f adversaire et emUnissons-nous donc, la victoire est au
l'admirable pièce de M. Henry Bataille
L'Argu» de la Preste «voit tout », fon- les conditions à remplir et la constitution dir. à Loqueffret.
porter d'assaut la redoute ennemie.
bout ! Jadé sera battu. Ses odieux men- dé en 1879, les plus anciens bnreaux d'arti
Kérautrot, inst. à Moëlan (St-Thamec), « Le Scandalo ». La distribution nous promet des surprises. Ce sera un spectacle
Le met (Tordre doit être : R o n g e » contre songes à propos de la ligne d'Audierna cles de presse, 37, rue Bergère,. Paris, lit des dossiers pour l'attribution des bourses est nom. dir. à Plobannalec.
d'entretien.
Mlle Le Dervouet, ch. d'éc. à Gailer- incomparable.
Blanc», comme autrefois et, en avant.
à Douarnenez et de la Caisse de Secours et dépouille plus de 20.000 journaux et
Plogastel, est nom. dir. à Pouldreuzic.
La aouscription pour l'abonnement des
Le Citoyen. aux marins recevront leur juste châti- revues dans le monde entier.
LA RENTRÉE DES
CLASSES
f
Mmes Bodénez, inst. à Leuhan, est nom. tournées Ch. Baret, saison 1928-1929, est
L'Argus édite « l'Argus de l'Officiel »,
ment. Votons tous contra lui comtm an
Nous rappelons que la rentrée des classes
ouverte.
seul homme, car sa réélection sorait lequel contient tous les votes des hommes dans les écoles publiques du département dir. à Sizun (St-Cadou).
Hamonou,
inst.
à
Trégarantec,
est
nom.
politiques.
Les abonnés auront droit à leur place et
,
r
Canton é% pont-Croix
une honte pour notre beau canton.
L'Argus recherche les articles passés, aura lien lundi prochain l octobre, à dir. à Tréfiaouénan.
à leurs réductions habituelles ponr les
8 heures du matin.
Défendons notre honneur, l'honneur présents et futurs.
Heurté, inst. à Trégarvan, eat nom. dir. à représentations non comprises dans leur
Perrot contre J a d é
républicain fait de droiture et de
L'Argus se charge de toutes les publici.
abonnement.
Irvillac.
Dimanche après-midi, un congrès ré- loyauté 1
tés en Franco ot à l'Etranger.
LES FOIRES DE LA SEMAINE
Beacon, inst. à Plouider (g.), est nom.
S'adresser au burean de location an théâpublicain s'est tenu à la mairie d'ÀuJadé est une épine au pied de la
tre municipal.
Lundi 1*' octobre. — Brest, Plonévez- dir. à Lesneven.
Brenaut, inst. à Telgruc, est nom. dir. à
dierne, par le parti socialiste et le parti République. Arrachons-la pour assurer Le orépusoule de l'amour, par Georges Porzay. Brasparts, Guerlesquin, Taulé,
Dana la polloe. — Nons apprenons le
Day, un volume de 200 pages, 10 fr., chez Briec, Plozévet, Sc»ër.
Plomodiern.
radical, afin de désigner un candidat sa marche.
départ
de M. Renault, inspecteur de police
Eugène
Figuière,
éditeur,
17,
rue
CamGaudefroy, inst. à Tréguennec, est nom.
Mardi 2. — Locronan, Scrignac, Saintaux élections du Conseil général.
Un Capiite.
spéciale
à Quimper, nommé à Lorient.
pagne-Première, k Paria.
dir. à Tréguennec.
Thégonnoc, Commana.
M. Jean Perrot, conseiller d'arrondisTout
en
félicitant M. Renault de son
Le crépuscule de l'amour est un livre
Stéphan, inst. à Saint-Méen (g.), eat nom.
Mercredi 3. — Dioulas, L&nnilis, CMavancement,
nous lui exprimons nos resement, maire d'Esquibien, chevalier de
profond,
douloureux.
Un
cœur
de
femme
ch. d'éc. à Guiclan.
Canton do fouasnanf
teauneuf, Pioanéour-Ménez.
grets
de
le
voir
quitter notre ville où, par
la Légion d'honneur, a été acclamé
se livre tout palpitant à l'analyse. Une
Mlle Le Bars, inat. àTreffîagat-Léchiagat,
Jeudi 4. — St-Eloy. La Roche-Maurice,
son
affabilité,
il
s'était
acquis beauconp de
M.
Bénac,
le
si
sympathique
et
dévoué
candidat à l'unanimité.
passion contenue, discrète, en est la tra- Ch&teaulin, Lsnvéoc, Huelgoat, Pont-Croix, est nom, ch. d'éc. à Guilligomarch.
sympathie.
vice-président
de
l'Assemblée
départe*
me
;
l'héroïne,
devant
la
ruine
de
sa
fortune
Mmes Le Bideau, inst. à Camaret, est nom.
» •
Pont-l'Abbé.
A son successeur, M. Cœuret, qui noua
mentale, se représenta. Il est assuré d'une et de ses illusions, a mis dans son fils toute
ch. d'éc. k Plonévez-du-Faou (Langalet).
Vendredi 5. — Lanmeur, Pouldavid.
vient
de Valenciennes, nous exprimons noa
Eh bien 1 oui, le choix est fait.
réélection triomphale.
la raison dernière de sa vie ; c'est pour lui,
Rozé, inst. i Kerzaint-Plabennec, est
Samedi 6. — St Renan, Lanmeur.
meilleurs
souhaita de bienvenue.
nom.
ch.
d'éc.
à
Plouédern.
que,
blessée
par
un
amour
défunt,
elle
refait
C'est à Perrot, conseiller d'arrondisseMlle Troadec, inst. à Plougasnou, (Késon existence avec un être d'exception qui
ment, qu'est échu le mandat de
Amicale dea Anolens Coloniaux,—
Canton dt fflorlalx
rénot);
est nom. ch. d'éc. à Plouézoch.
MOUVEMENT
^INSTITUTEURS
lui
assure
la
grande
paix
matérielle
pour
Les sociétaires sont priés d'assister à la
eombattre Jadé ; c'est lui qui le battra.
Mmes Bernez, inst. à Motreff (g.), est réunion trimestrielle qui aura lien dimanSamedi après-midi s'est tenue à Mor- son enfant et, qui sait, peut-être, l'onbli
Nul mieux que Perrot n'est à même
1
nom.
ch. d'éc. à Piounévézel.
Par
arrêté
de
M.
le
Préfet
du
Finit
ponr
ellemême.
che prochain 30 septembre, i 10 heures da
d'avoir raison du matamore qui n'a rien laix une réunion du comité républicain
Villard, inst. à St-Pabu, est nom. ch. matin, restaurant Bidet, me du Front.
tire,
en
date
du
22
septembre
1928
:
.
en
vue
de
la
désignation
du
candidat
du
fait depuis qu'il siège au Conseil généLa 2' série des Sermon» du Bedeau
MM. Morvan, dir. à l'Hôpital-Camfrout, d'éc. à Kersaint-Plabennec.
B'zouarn, inst. à Plouigneau (Lanleys),
ral. Les réactionnaires ont, parfois, le parti aux prochaines élections au ConArmée. — On sait que le commandeDe l'avis unanime c'est un chef-d'œuvre est nom. à Ch&teaulin.
seil
d'arrondissement.
est
nom. à Bertien.
ment du 2« groupe de subdivisions de 1»
don de sympathie. Avec Jadé, il en ost
d'édition que la 2* série de :
Moigne, dir. à Gourlizon, est nom. à
Lecronior, inst. de la Manche, est nom. 11« région, actuellement à Lorient, doit être
M. Jourand du Trémon, maire de
autrement, et, malgré tout on l'a élu
Plouhinec.
Mos Sirnwnf du Plmancho
à Ch&teaulin.
incessamment transféré à Quimper. Le
Piourin,
a
été
désigné.
Jouve,
dir.
à
Lanhouarnoau,
est
nom.
à
paree qu'il était le candidat des curés
par Paul-François-Louis-Marie Le Provost,
Le Guiner, inst. à Port-Launay, est nom. général de brigade Jouan de Kervénoaël
l'Hôpital-Camfrout.
qui ont an M. Jadé un homme à eux,
bedeau.«.
vient d'être nommé à la tète de ce service«
Martin, inst. & Pleyben, est nom. dir. à à Ch&teaulin (mat.).
Tout le monde se souvient de l'immense
l 0 n p l a comme un gant et docile comme
Mlles Ichante, inst. à Brgué-Armel, est
Canton do Lanmour
St-Rivoal.
retentissement qu'eut, il y a deux ans, la
La pont du Stelr. - La Chambra i4
un eanicht.
Gnragner Léon, inst. à Plogastel-St-Ger- nom. à Douarnenes (rue du Pont).
Une réunion s'est tenue le 13 courant 1** série des fameux « Sermons du Bedeau ».
commerce
vient d'émettre un avis favorable
Le
P«pp»
inst.
à
Pont-Croix,
est
nom.
à
M. Jadé va avoir aféfl qui compter,
à Lanmeur, sous la présidence de M. Ce livre amusant, spirituel, un pea gaulois, main, est nom. dir. à Gourlizon.
au
projet
qui
lui a été soumis par l'admiDouarnenez
(C.
C.).
M. Perrot a été élu contra M. Jadé Piriott, conseiller d'arrondissement.
Kérautret, dir. k Moëlan (St-Thamec),
nistration
dea
Ponts-et-Chaussées relatif à
souvent
voltairien,
toujours
d'une
saine
et
Lo
Mat,
inat.
à
PlogoS,
est
nom.
à
St-Eloy.
est
nom.
à
Plobannalec.
qu'il s déjA battu une fois an la par«
Les maire* et conseillers municipaux joyeuse ironie, fit la joio de tous les répuSeznec,
inati
à
Penmarch,
eat
nom.
à
l'élargissement
du pont dn Stélr.
Lacorne, dir. à Daoulas, est nom« à
•onne de son eandidat M. Jaffry qui, républicains du canton, o'est-à-dire la
Guilvinec.
blicains et laïques de l'Ouest de la France St-Pierre Quilbignon.
Un ooura d'art. - Nous apprenons qu«
lui, était plutôt sympathique.
presque totalité, étaient présents, de et le régal des hommes d'esprit. Pour comLe Direur, inst. au Tréhou, est nom. à
Clech, inst. à Botsorhel, est nom. dir. k
M.
Georges Géo-Fourrior, l'artiste bien
M, Perrot sera le conseiller général même que le* membres du comité répu- ble de succès, il valat à son auteur nno Botsorhel.
Huelgoat.
connu,
a l'intention da créer dans notre
Mmes
Bridonnean,
inst.
au
Huelgoat,
est
blicain.
idéal, connaissant à fond las intérêts
poursuite dn Syndicat ecclésiastique des
Villard, inst. k St-Pabu, est nom. dir. à
ville un cours d'art (leçona particulières
nom.
à
Bolazoc.
Au
cours
de
cette
réunion,
M.
le
docCôtes-du-Nord devant le tribunal correc' Kersaint-Plabernec.
des agriculteurs puisque, comme eux, il
Balé, inst. à Lambézellec (Kérinou), est pour dessin, gravure et arts appliqués i
teur Guillemot, sénateur, maire de Lan- tionnel de Saint-Brieuc qui l'acquitta.
Féroé, inst. à Moëlan (St-Pierre), est
labouro la terre.
nom.
à Lambézellec (Pilier-Rouge) (mat.). l'industrie régionale).
Les marins et les ouvriers sont sas meur, oonseiller général sortant, a rendu
La 2* série des (( Sermons dn Dimanche » nom. dir. k Plonéis.
Pour tous renseignements, s'adresser,
Mlle
Labory, dir» à Lesneven, est nom.
oompte
de
son
mandat.
du célèbre bedeau est encore plus savonCampion, inst. à Qaéménéven, est nom.
amis.
rue
Bourg-Iei-Bonrgs, à Quimper.
inst. à Lauderneau,
Après cette allocution, 1« congrès • renie que la première et va créer des dir, à Ploèten,
Le 14 octobre, dana la soirée, Il oac
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adressez-vous
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ravages dsns lea rates soudain dilatées des
lecteurs. Chacun voudra avoir an exemplaire de cet ouvrage qui instruit et corrige
en riant.
La 2* série des « Sermons du Diminohe »
est adressée franco contre 1» somma de
12 francs, par retour du courrier. Ecrire
Il n* faudra pas l'oublbr 1 et adresser la montant du volume aux
« Editions des Nouvelle» Rennaises », 18,
En maintenant leurs candidats au deu- rue de Nemours, Rennes.
xième teur, les Bolcbevistes ent fait passer ÇSSSBBia®^^
36 réactionnaires au lieu de
radicaux
Républicains 1 Aho/urnex-vassa
au,
eu socialistes.
acclamé la candidature de M. le docteur
Guillemot pour le conseil général, aux
élections du 14 octobre prochain.
r
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Vers les Elections cantonales.
A nos amis !
Nouvelles Locales
CWIMPER
L I
GITOYIR
Radlo-Olub. — Lea réunions bi-menaaellea da Radio-Club do Cornouaille vont
reprendí* à partir de mardi 2 octobre, à
20 h. 30, daña la aalle annexa d'Odet-Palace.
Cotte première réunion de la aaiaon 19281929 aera trèa importante du fait dea qaoations particulièrement intéressantes qui y
aeront examinée».
Toua lea amateurs de T. S. F., qu'ils
poaaèdent ou non nn poste, sont instamment priéa de donner leur nom et leur
appui au Radio-Club de Cornouaille qui
entre dana aa deuxième année de vie avec
ardeur et eapoir : plua il comptera de membres pina il aera puissant pour aervir et
défendre lea intérêts des sana-filistes.
m o r t s . — Dimanv:h'j avait lien à Pleuven
Cette voiture repréaentait tout son avoir, syndicat d'élevage da canton de Chàieanlin
COMMUNE DU JUCH
l'inauguration dn m »unment élevé par la acquis par des années de travail et de oni été encore cette année très suivis.
Si le nombre des bêtes présentées fut en
commnne en l'honneur do s-ss 46 morts fatigue.
Travaux ralaflfs au Tranifarf
Sa situation est d'autant pins intéressante plas petit nombre que l'année précédente,
pour la France.
P é s l n f e c f l o n d ' u n » lalierSc
du Clmtflèr* communal
leur qualité fat supérieure et fait le plus
M. Cosquéric, maire, préaidait la cérémo- qu'il est marié et pèrn de famille.
Pour bien désinfecter les locaux où se
Il se trouve actuellement sans gagne pain grand honneur aux élevears de la région.
nie, entouré de son conseil municipal, de MM. et sans situation.
A l'issue da concours, an banquet fat manipule le lait, on commence par laver
Le Gall, conseiller d'arrondissement; Bénac,
Un groupe de ses collègues, entrepreservi
à l'hôtel Grand'Maison, et les nom- le sol à grande eau et lea boiseries & la
vice-président du conseil général; Bouilloux, neurs de transport, émus par cette situation,
vice-piéaident de la Chambre des députés, ont décidé d'ouvrir une souscription pour breux convives qai y assistèrent firent hon- brosse avec de l'eau de javel étendue an
Le 1 8 o c t o b r e 1 9 8 8 , à 14 heures,
des maires ou adjoints maires des anires lui procurer les fonds nécessaires fc l'achat neur aux mets abondants et soignés qai vingtième, ou avec dn formol à 10 •/„, on
à la mairie du J u c h , il sera procédé par
lear furent servis.
communes du canton et de nombrauaet d'une nouvelle voiture.
encore avec du bisulfite de chaux à 10 <>/•• M. le Maire dn J u c h , assisté de denx
Us s'adressent à l'esprit de solidarité de
autres personnalités.
A la table d'honneur, autour de M. Goas, On bouche ensuite toutes les issues et l'on conseillers municipaux et en présenca
Au pied dn monnmoat, MM. Bénac et leurs collègues de la région et au bon cœur conseiller général, président de la Société brûle du soufre à raison de 50 grammes de M. le Receveur municipal, à l'adju'agriculture et da Syndicat d'élevage de de soufre en fleur ou en canon par môtre dication des travaux de transfert dn ciBonilloux-Lafont magnifièrent tour à tour, de tous pour soulager uno infortune vraiment intéressante.
Ch&teaulin, avaient pris place les invités :
en termes élevés, la mémoire glorieuse
Prière d'adresser les dons à l'une des
cube, en prenant toutes les précautions metière communal, dont le détail estimaM. Rischmann, préfet da Finistère ; MM.
des vaillants qui ont payé de leur vie le personnes ci-dessoas :
pour éviter les dangers d'incendie. On tif s'élève à la somme d e . . 1 9 0 0 0 f r .
MM. Tanguy, camionneur, avenue de la Fenoux, Le Hsrs, Lancien, sénateurs ; Da- placera le récipient contenant le soufre
C o n o e r t a militaires. — Programme des sslut de la patrie et le triomphe de la plus
A cet effet, les entrepreneurs devront
niélon, député ; Th. Hallégaen, maire de
Gare, Quimper.
adresser au maire, deux jours avant
concerts dn dimanche 80 aeptembre et du belle des causes.
sur
une
grande
plaque
de
tôle.
On
laisUn banquet eut lieu à l'issue de la céréRomain Cariou, camionneur, aa boarg Chàteaulin ; Perrault, directeur des serl'adjudication, une lettre recommandée
jeudi 4 octobre, de 17 à 18 heures, sur le
vices agricoles ; Le Bail père ; d'Ampher- sera agir le soufre pendant 24 heures,
monie.
Il
réunit
de
nombreux
convives.
de
Combrit.
portant extérieurement une mention inkiosque da Champ-de-Bataille (aux Halles,
net, président da Syndicat agricole de puis on aérera quelque temps. Enfin, on
Yvea Ansqaer, autobus, Plozévet.
Au dessert, des discours vivement applaudiquant la nature du contenn, et aver«
ea cas de pluie) :
Pleyben ; tons les membres du jury ; MM. badigeonnera les murs avec la composiLe Grand, autobus, Cast.
dis forent prononcéa par M. Cosquéric,
tissant qu'elle n e doit pas être ouverte
1« Au pria de ma blonde, défilé Bonalet.
Launay et Damoy, conseillers d'arrondisse- tion suivante : chanx vive, 100 parties ;
Le Guallec, autobus, Pouldreuzic.
maire; M. Bénac et M. Bouilloux-Lafont.
avant l'adjudication. Ces lettres devront
Andrieu.
2° La Fée Printemps
Oonsell munlolpal. — Le Conseil mu- ment ; Morvan, président da Syndicat agri- sulfate de cuivre, 5 à 20 parties. Le sul- contenir : 1° la soumission dans une
3* Adagio de la Sonate Pathécole
de
Saint-Ségal
;
Richard,
maire
de
Pont-l'Abbé
nicipal s'est réuni le dimanche 16 sepfate ayant été dissous dans l'eau, on enveloppe cachetée ; 2 e un certificat da
tiquo
• • « . . • • » . . . . , « . Beethoven.
Ploêven ; Delaporte, Duray, professeurs à
tembre,
soas
la
présidence
da
M.
Hênaff,
capacité délivré par un homme da l'art
Les Fêtes. — Les fêtes de la Tréminon
4» Le Grand Mogol, fantaiaic. Aadran.
école d'sgriculture ; Linérac, secrétaire l'ajoute au lait de chaux.
assisté
de
M.
Le
Gall,
adjoint.
9
conseillers
ont
obtenu
dimanche
et
lundi
ploa
de
succès
Boic.
Lorsque les murs sont couverts de et une promesse de versement de caude la Société hippique; Le Bail fils, avocat ;
5* Griserie, valse lente
sont
en
séance.
tionnement fixé à 700 francs.
que
jamais.
X...
Millour, vétérinaire à Ch&teaulin ; L'Hari- mauvaise moisissure on les gratte soi6* Le Toulois, défilé..,.
Voici an compte renda succinct de la
L'adjudication aura lieu dans les
Dimanche à la fête foraine sur la place
don, adjoint au maire ; des maires da gneusement avant la désinfection et
Transporta maritimes d e Cornouaille de la République, impossible de circuler délibération.
formes ordinaires.
canton, de nombreux élevears et cultivabadigeonnage. Tontes les boiseries
Horaire de la aemaine
Désignation de 2 membrea da Conseil
Les frais divers auxquels l'adjudicatant la foule était dense.
teurs, etc....
peuvent
être également passées au lait tion aura donné lieu, ceux d'expédition
Départ de
Départ de
pour
la
reviaion
de
la
liste
électorale
conauAux coarses, lundi, également grande
Qaimper
Bonodet
Au dessert, des discours très applaudis de chaux. Pour éviter les moisissures, du devis estimatif qui )ni sera délivré,
aftlaence do monde. Coursas intéressantes. laire. — MM. Htscoét et Yannic, du bourg,
Samedi 29
14 h. 15
16 h. 45
furent prononcés par MM. Goas, Perrault, nous conseillons de badigeonner entière- seront à la charge de l'adjudicataire qui
sont désignés.
Dimanche 30...
8
45
17
Revision do la liate électorale. — 8 con- Daniélou, Le Hars, Fenoux, Lancien, Le ment les murs et la charpente de la cave en acquittera immédiatement le prix sur
plomtur
Bail père et le Préfet.
Prix dea placea : de Qaimper à Bénodot :
seillers
du bourg sont désignés à cet effet.
avec l'enduit hydrofuge suivant : chaux le règlement qui en sera fait par le
La Tréminou. — Dimanche a eu lien la
aller, 10 fr. ; aller et retour, 16 fr. ; de BéBalayage
des
classes.
—
M.
le
Maire
lit
Incendia.
—
Dans
la
nuit
de
dimanche
à
vive, 100 parties ; chlorure de chaux, 10 Maire.
fêta raligieose dans la vieille chapelle de la
nodet à Loctudy : aller, 5 fr. ; aller et reLes plans at devis sont déposés & la
Tréminou. Ce pardon a une origne exces- ane lettre da Préfet demandant que le luudi an violent incendie a détrait ane parties ; sulfate de cuivre, 10 à 12 partoar, 8 fr.
balayage dea classes des écoles publiques forge, ainai que tout le matériel qui s'y
Mairie dn Juch où on peut en prendra
sivement
ancienne.
ties.
On
délaye
le
chlorure
dans
le
lait
Excuraion en mer : de ou pour Qaimper :
soit assuré par la municipalité et non par trouvait, appartenant à M. Rémy Goavec,
connaissance tous les jours, sauf les
La chapelle de la Tréminon, qai date de
de chaux, puis le sulfate, dissous à
aller, 20 fr. ; aller et retour, 26 fr. ; de ou
lea élèves pour raison d'hygiène. M. Le rue Gravoran.
dimanches, de 8 heures à 16 hsures.
1385,
est
située
à
3
kilomètres
de
Pontpour Bénodet-Loctudy : aller, 15 fr. ; aller
part, est ajouté au lait.
Gall parait assez disposé à voter les crédits.
Mairie du Juch, le 13 septembre 1928.
Les pertes s'élèvent à une quarantaine do
l'Abbbé, sur la route de St-Jean-Trolimon,
et retour, 20 fr.
M. Nicolas, de Kerguelven, est nettement
Le Maire: NEDELEC.
mille francs, partiellement couvertes par
Pour bénéficier d'une réduction impor- elle sa trouve dans la commune de Plocontre. Il ne fant pas, dit-il, que les élèves
tante aur ce tarif, les habitante de Quimper meur.
une assurance.
prennont l'habitude de « fainéanter ». M.
et de la région devront être porteura de la
On auppose que l'incendie est dû à un
Lors de la révolte du papier timbré, lea
Etude de M* Gustave MOREAU,
le Secrétaire de Mairie propose l'ajournecarte apéciale d'abonnement.
meneurs s'assemblèrent dans la chapelle
court-circuit.
notaire a Audierne
ment. Le Conseil se range à son avis. On
CIVET DE LIÈVRE
EtaUolvll du 1 2 au 2 6 aeptembre do la Tréminou et y élaborèrant tout an
p
o
n
f
d
«
B
u
i
»
fera comme les aatrea communes.
Une condition absolue pour avoir un
1 * 2 8 . — Naittancet.
— Paule Mariai, programme de revandicationa populaires,
Paratonnerre. — Le Conseil accepte les
Arrestation. — Le nommé Jean-Loaia bon civet, c'est que le lièvre ait conserrue de l'hoapice ; Alain OUivier, place qu'ils rédigèrent en quatorze articles, c'est
PAR ADJUDICATION PUBLIQUE
Terre-aa-Duc, 32 ; Paul Capitaine, rue ce qu'on appelle le Code paysan ; ce pro- crédits pour la pose d'un nouveau paraton- Le Bras, 22 ans, originaire de Quimper) vé son sang, en quantité suffisante pour
est un gsillard peu ordinaire. Déserteur da
Jean-Jaarès, 33 ; Yves Massicot, rue Jean- gramma fut aoumis aux délégués de qua- nerre. Ces crédits s'élèveraient à 3.600 fr.
en Mairie d'A udierne
faire sa liaison.
Chemins. — Le chemin de Trégonguen 3* bataillon d'infanterie légère d'Afrique, il
Jaurèa, 33 ; Marcel Mênez, rue Sainte- torze paroisses et adopté à l'unanimité.
L
e
M
e
r
credi ÎO Octobre 1 9 t §
La bête ayant été mortifiée, on la déThérôse, 4 ; Fernand Deryoke, route de
L'emplacement de la chaire à prêcher dont on attend depuis si longiemps le pro- vient de purger troia mois de prison à la
à quatorze heuret
pouille et vide au moment de l'em«
Pont-l'Abbé; Jacky Bihan, rue de l'hospice; prouve combien le pardon était fréquenté longement jusqu'à la roate de Penhors, maiaon centrale de Clairvanx. Aussitôt
libéré, il met le cap sur le psys natal, se ployer ; c'est alors qu'on recueille soiMonique Wasselet, rue de Pont-l'Abbé, 5 ; autrefois. Cet oratoire, en granit, se trouve attendrait encore.
1 S l o t » d e t e r r a i n du Pare de
Tout le Conseil est d'accord sur l'utilité sentant peu pressé de repasser la Méditer- gneusement le sang. On coupe le lièvre
Bernard Le Bec, place Terre-au-Doc, 4.
placé à l'extérieur de la chapelle, au bord
jiocquéran,
en bordure de la grande
ranée.
Et
comme
il
fant
vivre,
Le
Bras
se
de
l'élargissement
de
la
route
Qaimper
&
la
en morceaux comme on fait pour un route d'Andierne à Quimper, avec vue
Décèt. — Louise Raphalen, ménagère. d'un champ voisin ; la chapelle était trop
mer, mais ne veut nullement participer aux révèle négociant, prêt à brasser des affaires. apin.
84 ans, veuve Théophile, place Bérardier, petite pour contenir tous les fidèles.
superbe sur le port, la ville et la rada
dépenses.
A Rumengol, il est maquignon et traite
4 ; Olivier Mandée, cultivateur, 51 ans,
Réunissez tous les morceaux dans nn d'Audierne.
De nos jours ce pardon n'est plus aussi
Par contre, le chemin de Crosz-Vao, qui des marchés. Il se fait livrer un cheval
époux Bellec, rue de l'hospice ; Yves Le fréquenté, car c'est surtout Pont-l'Abbé,
plat creux ou une terrine et ajoutez 3
1° Six lots de 375 m2 ayant 15 m. de
ne aervira qu'à des intérêts particuliers, d'une valeur de 2.500 fr., oublie de le payer
Reste, tailleur d'habits, 49 ans, célib., rue a v e c toutea ses attractions, qui attire tout
cuillerées
d'huile
et
5
cuillerées
d'eau:
açade
sur la grande routa :
sera construit entièrement aux frais de la et emporte en même temps une bicyclette.
de l'hoapice ; Louis Le Pape, 4 ana, rue | n n peuple des environs,
Mise à prix : 5.250 francs.
commane.
A Qaimerc'h, il se métamorphose en ex- de-vie ou cognac (pas de vinaigre). Fai*
de la Providence, 6 ; Jeanne Le Cornée,
2° Un lot de 373 m2, même façade :
Penalonnat de l'éoole laïque de filles.
Bureau de poste. — M. le Maire lit une portateur, recherchant des pommes de terre tes mariner 24 heures en secouant et en
6 moi», rue Froide J Yvea Beaupré, 6 ans, — La rentrée dos élèves internes aura liea
Mise à prix : 5,222 francs.
remuant
les
morceaux
pour
que
tous
longue lettre, de laquelle il ressort que dans les fermes.
rue de l'Hospice ; Jean Jacob, menuiaier, le dimanche 30 aeptembre.
3°
Un
lot de 322 m 2 , 1 8 m. de façade :
s'imprègnent
du
goût
de
l'assaisonnous
n'aurons
pas
de
bureau
de
poato
à
Finalement, le filou fut arrêté an Pont62 ana, époux Trêvidic, rue da l'Hospice ;
La directrice ae tient à la disposition des
Mise à prix : 4.508 francs.
Pouldreuzic.
Das
milliers
de
demandes
at
nement.
de-Buis
aa
moment
où
il
allait
prendre
le
Yvea Le Ging, retraité, 37 ans, époux parenta pour leur donner tous renseigne
4° Un lot de 434 m2,19 m. 80 de façade:
Prenez 250 grammes de lard que vous
raents utiles et les informe qu'un professeur tendent, parait-il, au miniatère. Il faudrait train.
Beraard, rae de l'Hotpice,
Mise à prix : 6.076 francs.
attendre
de
longues
annéea
avant
d'obtenir
débarrassez de sa couenne, coupez en
Cut
Publieationt
dt mariage». — Jérôme do musique se rend à l'école pour donner
5* Deux lots de 420 m2,14 m. de façade:
ce bureau de poste. La lettre préconise
des
laçons
de
violon
aux
enfants
qai
le
Le Floch, cultivateur, dom. à la Foiét
Les FAtes. — Voici le programma des gros dés et faites blanchir. Epluchez 24
Mise à prix : 4.620 francs.
plutôt ane agence postale. La municipalité
désirent.
Fouesnant, et Théièse Le Carre, a. p
fêtes de dimanche prochain 30 septembre : letits oignons.
6° Un lot de 367 m 2 , 1 5 m . de f a ç a d e :
étudiera
le
aystème.
Locfudy
dom. à Quimper; Charles Toussaint, ajuaDans une casserole à fond épais, en
Course à pied pour enfants ; Course à
Mise à prix : 3.670 francs.
L'électricité. — M. le Maira et M. le Seleur mécanicien, et Anna Nadorê, dom. à
Le port. — La Chambre de Commerce crétaire de Mairie lisent des instructions pied poar hommes ; Courses de bicyclettes, cuivre étamé de préférence, chauffsz 50
7°
Un
lot de S65 m2.13 m. 30 de façade:
Qaimper ; Albert Marchand, sergent-four do Qaimper a décidé la constitution d'un
communale et régionale ; Course de brouet- grammes de beurra, mettez-y les larreçues
du
ministère
desquelles
il
résulteMise
à prix : 5.110 francs.
rier aa 118* d'infanterie à Quimper, et Comité composé des Ingénieurs des Ponts
tes ; Danses et grand bal avec jazz.
dons que voue faites rissoler à feu doux
Propriété, jouissance, charges imméThérèse Tymen, s. p., dom. à Plnguflan ; et Chaussées, des Délégnés de la Chambre rait qu'une subvention aurait été accordée
en les remuant de temps en temps ; en- diates.
Jean Daêron, horloger, dora, à Liévin (Pas de Commerce de Quimper et de la Muni à la commune. M. le Maire répète 5 ou 6
pltybtn
evez-les ensuite et remplacez-les par
Pour tous renseignements, consulter
de-Calaia), et Marie Le Fer, dora, à Qaim- cipalité de Loctudy, des représentanta dea fois que cette subvention n'aurait pas été
Contributions dlrectea. — M. Le les petits oignons que vous faites dou- les affiches ou le notaire chargé de la
accordée ai les travaux avaient déjà été com'
p e r ; Roger du Boia Saint Savrin, inap.cteur Q | t g e r a d a p o r | | d 0 § ratrey(,nrl 0 t marins mencés. Pourquoi T M. Nicolas proteste Bars, actuellement receveur-contrôleur des
vente.
adjoint de l'enregistrement, dorn, i Quirn- p 6 c h e a r g d e L o c l n d y > k r e f f e t d«examiner contre l'électrification, qui, dit-il, coûtera Contributions directes à Aiguilles (Hautes- cement revenir.
Pendant ce temps, enlevez les morper. et Marie Daniölou, a. p., domiciUGe » lea
per,
. travaux oqui
n i npourraient
o n „ . i e n l Aêtre
l r i l eexécutée
si
en énormément et ne profitera qu'au bourg. Alpes), est nommé receveur-contrôleur des
Paria (17*).
ceaux de lièvre de la marinade et éponvue de l'amélioration et de l'agrandisse- M. le Maire fait aavoir que l'ingénieur Contributions directes à Pleyben.
gez-les avec un torchon ponr les débarment du port de Loctudy.
chargé dea travaux va se tenir à la diapo
l « r«uiii<«
raser de toute humidité qui empêche- l e D i m a n c h e « S O c t o b r e 1 S S 8
La CHA88E e s t INTERDITE tan»
aition du Conseil dans quelques instants.
Plonftour-Unvorn
à 10 heures
permit à tout, elle l'ett autti aux chatSulolda. — Un vieillard de 72 ans, le rait la viande de se raidir et de bien
Le Conseil se rénnit ensuite en comité
A
LA
MAIRIE
DE PLOBANNALEC
teurt prudenti. tant Atturance
AtturexEtat olvlldu 1*' au 1 5 aeptembre. — secret.
nommé Françoia Betheleur, a été trouvé dorer.
vous pour 2 0 0 . 0 0 0 franoa, moyennant Naittancet. — Lucienne Larzul, au bourg ;
d
e
a
t
r
a
v
a
a
x
de
restauration
des Ecoles
pondu à une poutre de son grenier, aa
Les oignons étant rissolés, joignez-les
Remerolementa. — Au nom du bureau
5 0 franoa par an. Agence Louis LE Jean-Marie Goascoz, à Kergonda ; Corentin
communales
de
Plobannalec
et consvillage
de
Kerbruguen.
aux lardons et mettez dans la casserole
FLOCH, téléphone 1-96,i QUIMPER.
truction d'abri.
___
Sépignon, à Stang-ar Bacol ; Laurent latin, de bienfaisance de Pouldreuzic, j'ai l'hon
les morceaux de lièvre. Faites-les dorer
Mentant des Travaux. 92.560 f r .
à Kervescar ; Marie-Jeanne Coasec, à Hal- neur de remercier les « joyeux Bigoudens»
à feu vif pendant 10 à 12 minutes ; saudu don qu'ils lui ont fait au profit des pau
Du 24 teptembre au 19 oetobrt
lès ; Le Papa au bourg.
Cautionnement
3.000 f r .
vres et des vieux. J'espère qu'ils continue
L e Doeteor MALLOIZEL
P e n d u . -— La semaine dernière, an poudrez alors deux cuillerées à bouche
Renseignements à la Mairie de PloPublieationt de mariaget. — Henri Le ront à organiser de nouvelles représentanommé Kérandon, 30 ans, de Quimperlé, à de farine, et remuez sur feu moyen bannalec et chaz M. MONY, architecte
ne recevra que les samedis ou sur ren- Bec, cultivateur à Créniat, et Marie-Jeanne
tions pour le bien de tous les malheureux été troavé panda à la branche d'un sapin jusqu'à coloration en roux de la farine.
à Douarnenez.
Le Bran, cultivatrice i Karsoualen, en du pays. En leur nom et d'avance, je lea en
dez-vous.
Ajoutez alors un litre de bon vin rouge
dans la forêt de CarnoSt.
Tréogat ; Laurent Vaillant, cultivateur
remercie.
et deux décilitres de bouillon ou, à déN'oubliez pas que pour la rentrée Keratrad, on Saint-Jean-Trolimon, et Ma
La Salnt-Mlohel. — Samedi 29 et
L'Ordonnateur
Etude do M« LE B E R R E , notaire
faut, d'eau chaude ; remuez pour délayer
des classes vous trouverez « AU SANS rie-Louise Barréhouc, cultivatrice 4 Kersdu Bureau de
Bienfaitance, dimanche 30 septembre auront liea, sous la
à Qaimper
P A R E I L » Maison P . « « a l l e r , 21, rue quédel ; Jean Larnicol, cultivateur à Tré
présidence d'honneur de M. Le Lonédec, le roux, jusqu'à l'ébullition; joignez la
Le Rest.
du Chapeau-Rouge,
à Quimper, le plus I i ' a t n ) e j Marie-Louise' Lautrédou, cultivadépoté-maire, les létes da quartier Ssint marinado et tous ses ingrédients, du sel,
grand choix d.1 '•a«»fi.»!*«
nnnr I trico
. • au
_ .LeuréI
Tréboul
r t i c l e s d'hit/Ar
d'hiver pour
du poivre, des quatre épices et faites
Michel, à Quimperlé.
trousseaux, lingerie, bonneterie, chebouillonner doncement. Laissez cuire PAR ADJUDICATION VOLONTAIRE
Adduotlon d'eau. — Dans sa séance da
Décès. — Marie Qaeffôloe, 42 ans, coûta
Seair
miserie, aux meilleurs prix.
une heure.
rière, épouse de Pierre-Jean Le Loc'h, de 15 septembre, le Conseil municipal a décidé
Le Mercredi 3 Octobre 1 9 $ S
Voir notre bas de laine, chiné,
Slang-ar-Bacol ; Alain Le Pemp, 65 ans de hâter l'étude définitive du projet d'ad
La mort du lutteur. — 11 y a quelques
A ce moment mettez les morceaux de
à 14 h. 30
13 f r . 50.
cultivateur, époux de Françoise Carrot, de duction d'eau potable et a voté à cet effet jours, le favori des luttes bretonnes, René lièvre sur un plat creux et passez dessus
en l'Etude de M* LE BERRE
an crédit de 5.000 francs.
Grand choix de mi-bas en laine pour Kervallot.
Scordia, 22 ans, de Sca&r, fut victime d'un la sauce au travers d'une fine passoire.
d e l a fERME d a R a g a e l , située comgrave accident alors qu'il luttait à Henne
•nfants.
Remettez ensuite dans la casserole et mune de Landrévarzec, en bordure da
pouldrwlc
Brite
bont.
Draps pour lit de collège très bonne
ajoutez lardons et petits oignons. Faites
Incendie. — Vendredi soir, vers hait
P
a
s
o
o
n
t
e
n
t
s
du
t
o
u
t
1
—
Lea
laïques
A la suite d'une chute qu'il fit avec son encore cuire doucement 20 minutes. la route nationale de Quimper à Chàqualité à 39 fr. 00.
heures, le bourg de Poaldreazic fat mis en da canton ont bien ri à la lecture de l'ar
teaulin.
rival, il se fractura la colonne vertébrale
Liez alors avec le sang et laissez mijoter
A l'occasion de la Saint-Michel m u e émoi par les cris de : aa feu I au feu I
Contenance : 35 hectares environ.
ticle
du
Progrèt
au
sajet
de
notre
C'hana
Transporté
à
l'hôpital
Bodélio,
à
Lorient,
jusqu'au moment de servir,
an venta de rideaux pour fandtres, brise
Le feu venait de prendre dana l'autobus dtk Ru. Evidemment notre petite feuille
Mlae à p r i x : 1 * 5 . 0 0 0 f r a n c s .
il y a succombé le mercredi 19 septembre
bise et tulle pour store. — Couvertures de M. La Cœar, commissionnaire, pendant
CONTRE L'URTICAIRE
Facilités
de paiement.
fait
mal
aa
cœar
à
noa
bons
cléricaux,
car
de lits et petits lita en laine et coton. que ce dernier était occupé à y faire quel
ila savent à présent que nous dévoilerons
Cette affection légère est due la plus
Jouissance immédiate.
ques réparations,
souvent à une intoxication alimentaire.
sans hsine et sans crainte leurs procédés
En cas d'offre suffisante, on traiterait
L'auto en flammes, M. Le Cœur eut la Voici d'ailleurs encore un exemple de leur
Plomtlln
Elle ne résiste pas longtemps an régime avant l'adjudication. S'adresser à M*
Cloffr«-Sf-Thétfonn«c
présence d'esprit de la sortir de son gara intolérance :
lacté et à l'emploi de 4 à 5 gr. de pnosVol da linge. — Mlle Andrée Banot,
Inauguration de la nouvelle éoole phate do soude après chaque repas. Les LE B E R R E .
go, se brûlant aux mains, mais sauvant de
Tout dernièrement a eu liea à Briec le
20 ans, était employée comme femme de l'incendie son garage, contenant aon appro
de fil lea. — Le Cloître-St-Thôgonnec, qui applications do lotions vinaigrées ou
ohambre aa service de M. de Kérallain, visionneraient d'essonce, ainsi que le p&tê mariage de M. Corentin Gnyader, fils de postède depuis de nombreuses années déjà alcalines calment le prtarit.
notre sympathique conseiller municipal
maire de Plomelin.
une belle école publique de garçons, est
de maisons avoisinantes.
avec Mlle Jeanne Pérennès, de Plonévez
Mécontente de ce que Mme de Kérallain
Parfumerie •:• Articles de Paris
Le tiérant : P i e n e Guéguon.
dotée anssi aujourd'hui d'une coquette
Les secours organisés par des moyens Porzay.
«é
lai reprochait de sortir trop souvent, elle de fortune n'ont parmis, malgré les efforts
école de filles.
Les nouveaux mariés n'eurent pas l'hon
S'esquiva un bon soir emportant avec elle do toute la population, d'éteindre le feu
La nouvelle construction a été inaugurée
neur
d'avoir la sonnerie des clochas, parce
poar environ 450 francs de linge apparte- que lorsque l'autobus avait été prasque
dimanche. Elle a donné lien à ana belle
que le jeune époux avait manifester l'inten
95, rue K e r é o n ; Quimper
nant à sa patronne.
manifestation républicaine qui ne sera pas
complètement détruit.
tion de faire un bal après le repas de noces,
Une perquisition faite chez la domestique
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do chamises habillées at da
oabliée de sitôt dans la commane.
Nous déplorons, une fois de pins, I'incnrie
femme
indélicate a permis de retrouver le linge de notre maire et conseiller général Hénaff, et qu'il ne voulut pas se plier, dit-on, au
travail
—
Cravatas
— Ceintures — Bas
La cérémonie a'est déroulée soas la
d e Chambre.
noavean procédé créer par notre recteur,
qui a été rendu à sa propriétaire.
—
Chaussettes
—
Gants
— Pull-0 ver —
présidence
de
M.
Le
Lann,
mairo,
et
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Hôtel de la Gare, Quimper,
dont la commune ne possède ni pompe
c'est-à-dire de lui verser soas ane forme
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et
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scolaire,
des
voix
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Vên, ingénieur agricole, est délégué dana
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les fonctions de professeur adjoint à l'école moins de deux ans, plus de trente mille
bliqae. MM. Le Lann, maire ; Paugam,
ni
à
l'école
dite
«
chrétienne
»,
mais
aa
sur
les
terres de Kerosrn, en Penhars,
d'Agriculture de Bréhoulou.
conseiller d'arrondissement ; Pouliquen,
francs pour des réparations aux Eglises T bureau de bienfaisance...
sur les terres
conseiller général ; Bourgot et Masson
de Kervroac'h,
N'aurait-il pu trouver deux ou trois mille
Bénedet
Un des convives s'assura à l'avance à qai
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députés ; Guillemot, sénateur ; Lancien on P e n h a r s .
franca pour des besoins aa moins aussi irait le produit da la qnâte et dit en breton
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en
PENHARS,
sur les terres de Port•
sénateur et président da Conseil général
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LE CITOYEN DU JEUDI 03 AU JEUDI 31 OCTOBRE 1935

LE CITOYEN DU JEUDI 07 AU JEUDI 28 JANVIER 1926

Novembre 1921 - Site en travaux, le week

Novembre 1928 - Site en travaux, le week

Octobre 1911 - Site en travaux, le week

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Officiels

LE CITOYEN DU VENDREDI 04 AU VENDREDI 25 MARS 1921

Mars 1929 - Site en travaux, le week

le numéro - Site en travaux, le week

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24 juin 2014 Download View

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Histoire de la famille DUMAINE Ger(50) Beauchêne(61)