t«»^CT»^^^^^iggg'" ■ ii i „, I 18 « 20 » 24, s» 10 i 12 . 28 14. . écrits „on ... ■ .. ..: , i RÉDACTION! «--ACTION . ri LT plus ancien Quotidien de la Région AnvivismAnow • rn« o ;„» n:.:~ mum a M ADMINISTRATION . W, 1*6 8«tot -WneP, NANCY Bfj-CCfeïir , 7 ion prie Maire £a politique extérieure (3 Hg.es) : DireCon e, Admims.ration : 3.34 - „__» , L'AGITATIOSEH PORTUGAL L'ESPAGNE AU MAROC La grève générale est-elle une cm ira-révolution ? Les rêves de conquête Le retard du budget LISBONNE, 11 janvier. — Les employés de commerce do Lisbonne, mécontents de ne pas voir publier un décret qui devait paraître aujourd'hui, fixant leur journée de travail do huit heures du matin, à huit heures du soir, se sont mis en grève • deux mille d'entre eux environ sont allés manifester devant les rédactions de journaux. Devant le ministère de l'intérieur, où les ministres, sont réunis, des groupes se rassemblant pour manifester contre les grevâtes, que l'on accuse de se soulever Oxtns le but de créer des difficultés au gouvernement républicain. Un certain nombre de cheminots se sont mis en grève et les services postaux, sur les ordres du gouvernement, sont assurés par des automobiles. Employés de commerce et cheminots sont en grève Les travaux LISBONNE. — Les employés du Comptoir L'affaire de la N'Goko-Sangha commercial, de Lisbonne, principalement Après avoir entendu M. Hanrotte, prési- ceux de la confection, qui sont les medent du conseil d'administration de la so- neurs de la grève, se sont réunis dans la ciété la N'Goko-Sangha, la commission salle de l'Athénée commercial, et confèdu budget a exprimé le désir d'entendre le rent avec le ministre de l'intérieur. Quant aux cheminots, qui paraissaient président du conseil ainsi que le ministre des affaires étrangères et celui des tout d'abord vouloir éviter des incidents quelconques de nature à entraver la marcolonies sur cette question. (Nous avons, dans notre numéro de di- che des trains internationaux, ils se sont manche dernier, expliqué les causes de opposés au dernier moment au départ de l'incident survenu entre la Société de la LISBONNE. — Le service des trains, tant N'Goko-Sangha, au Gabon, et nne société nationaux qu'internationaux, est complèallemande limitrophe du Cameroun.) H, Briand a fait connaître au président tement suspendu depuis ce matin. Dans la journée, des groupes se sont île cette commission qu'il entretiendrait le conseil des ministres de la question dans rassemblés, particulièrement dans le centre de la ville, criant : « A bas les grévisla réunion de samedi matin, à l'Elysée. tes ! Vive la République ! » Il y a eu quelques conflits, surtout avec les employés de commerce, qui circulaient L'élection du bureau de la Chambre. — Le en automobile, et manifestaient en faveur « Bulletin » du parti de la grève. Le comité exécutif du parti radical et La garde républicaine est " intervenue radical-socialiste s'est réuni, mercredi pour disperser les manifestants et quelsoir, à Paris, sous la présidence de II. ques arrestations ont été effectuées. Emiles Combes, ancien président du conLISBONNE. — La grève des employés de seil. commerce n'est pas générale. Beaucoup de Il a voté une adresse de félicitations à magasins sont ouverts, excepté dans la M. H. Brisson, à l'occasion de sa réélec- basse ville. tion à la présidence de la Chambre et a La erarde républicaine fait des patrouilfélicité également les membres du parti les dans cette partie de la ville, qui, dans qui ont été réélus ou élus yiçe-président ; la soirée, a repris sa physionomie habisecrétaires ou questeurs. tuelle. — Une discussion s'est engagée sur la Démission du ministre de l'intérieur transformation du « Bulletin officiel » du LISBONNE. — Le ministre de l'intérieur a parti en grand journal hebdomadaire. On a décidé finalement, que ce serait le jour- donné sa démission. Des groupes de manifestants, favorables nal le Radical qui serait chargé d'accueillir les informations et convocations du au ministre de l'intérieur, l'ont prié de continuer à gérer son ministère. parti. i ministre a reçu une délégation de Un excommunié cinq employés de commerce, avec lesLe comité a enfin voté, à la presque quels il s'est longuement entretenu. unanimité, l'exclusion de M. Maître, déLes régiments consignés puté de Saône-et-Loire, coupable d'indiscipline. — Havas. LISBONNE. — Tous les régiments de Lisbonne sont consignés. POUR LA REVISION DU PROCÈS Tous les ouvriers métallurgistes de la DURAND capitale ont déclaré la grève. Les sociétés secrètes sont d'avis que le EPERNAY. — L'Association radicale-socialiste d'Epernay a voté un ordre du jour ministre de l'intérieur doit garder son en faveur de la revision du procès Durand. portefeuille. Elle a voté, en même temps, une adresse La perturbation sur les voies ferrées de félicitations à M. Brisson, à l'occasion de sa réélection à la présidence de la ! SONNE. — La grève des chemins de Chambre. ' fer portugais s'étend aux lignes de l'Etat LYON. — Une réunion organisée par la et de la région du Sud. section lyonnaise de la Ligue des droits de Une dépêche de Tavira annonce que le l'homme a voté un ordre du joui- protes- service entre cette localité et la province tant contre le verdict de la Seine-Inférieu- d'Algravc est arrêté. Le courrier de Lisre et réclamant la revision du procès Du- bonne n'est pas arrivé. rand. — Havas. A la frontière espagnole MADRID. — Le ministre de l'intérieur a LE MINISTRE DE LA MARINE A BREST reçu des gouverneurs de Cacerès et de (suite) Badajoz des nouvelles annonçant que les BREST,H janvier.— L'amiral Bou& de Latrains portugais sont arrêtés à Maroa, en peyrcre.ministre de la marinc.a visité plu- Portugal. sieurs bâtiments, notamment la Bretagne, Les directeurs des chemins de fer espanouvellement aménagée pour l'école des gnols ont été avisés d'avoir à signaler tout mousses, et le Borda, les défenses sous-ma- mouvement anormal parmi leur personrines et l'hôpital maritime. nel, et en particulier si les cheminots esLe ministre est reparti à 5 heures pour pagnols essayaient de seconder les cheParis. — Ilavas. minots portugais. Ces derniers ont adressé aux cheminots espagnols des télégrammes disant que la grève est générale dans tout le PortuTout s'arrange gal. L'affaire du collier de M. Claude CasiM Joao-Franeo mir-Perier entre dans une phase nouvelle BIARRITZ, 11 janvier. — L'ancien dictaet paraît en voie d'arrangement. teur îoao Franco, qui a bénéficié d'un M. Dutrain (qui avait prêté sur le col- non-lieu à l'occasion des poursuites intenlie* dont, disait-il, il avait fait cadeau à tées contre lui, est arrivé du Portugal à sa fille et par conséquent ne pouvait plus Biarritz. le rendre) l'a remis, mercredi, à son avoIl était accompagné d'un délégué du cat-conseil. M" Linol, qui l'a montré au gouvernement pour garantir son arrivée parquet, ajoutant que M. Dutrain était dis- à la Irontière. — Havas. posé à le rendre à M. Casimir-Perier contre la somme de 63.000 francs qu'il lui avait avancée. LE M. Léo Weill s'est présenté de son côté au cabinet de M. Drioux, et lui a déclaré Le jUiEsntent est relatlvemnt bénin, et les considérants sont durs pour les qu'il avait reçu, le matin même, la visite agents. d'un employé de M. Dutrain chargé de lui dire que le' commissionnaire en marchanBERLIN, 11 janvier. — Le procès relatif dises s'était décidé à rendre le collier con- aux désordres de Moabit a eu son épilotre le remboursement de l'argent avancé. gue aujourd'hui. L'employé avait ajouté que c'était lui qui Après deux mois de débats, le jugement avait conduit M. Claude Casimir-Perier a été prononcé cet après-midi, en présence chez M. Issavcrdans et qu'il ne fut jamais d'une affluence énorme. question de vente à réméré mais de simUn des prévenus, reconnu coupable d'aple prêt sur le collier, qu'il savait valoir voir blessé à coups de couteau un agent de au moins 120.600 francs, et que, dans ces police, a été condamné à trois ans et deconditions, il ne pouvait être question du- mi de prison. H6 vente pour moins de la moitié de la Un autre a été condamné à un an et demi de prison. Trois inculpés n'ont été convaleur. ,„ . liemployé avait dit enfin que M. Issa- damnés qu'à des amendes légères et trois Vw-uts n'ayant pas la somme disponible, ont été acquittés. Les autres prévenus ont Il avav eu fa pensée d'aller engagei le col- été condamnés à des peines variant de un à . Her an wont-de-piété et de garder la re> neuf mois de prison. Enfin, pour la plupart, îe Jugement ordonne que les mois de prévmnaissanto en garantie. — Havas. vention compteront pour l'accomplissement des peines prononcées. LE HME BERLIN. — Les considérants du jugement dans l'affaire de Moabit portent que le triLes cadbtmx de Guillaume II bunal a acquis la conviction que des bévues LONDRES. — V^nlnn-Standard apprend ont été commises de la part de la police, et Une L'Srnrjêréur d'Altè^gne a fait faire par que des agents ont de beaucoup outrepassé Ta fabrique rovale de pofUjnine de Miesseo un magnifique service pour i« banquet que leurs droits, — Havas. l'empereur de Chine donnera dn»^ ]e palais (Impérial au nrince héritier de Prusse. r rii DE L'AVIATEUR CP-ACE Il est, probable que le service sera ensuite , La Chronique annonce qu'on «fferi h l'empereur de Chine. En tout en*. a trouvé, sur la place de Mariokiech des Pour son trnn^/ort en Extrême-Orient, il a déhris de l'appareil de l'infortuné aviateur été assuré pour une très forte somme Cecil Grâce. — Havas. * 'Pavas-, ' C'est à la séance de cet après-midi, jeudi, après l'installation de son bureau définitif, élu mardi, que la Chambre réglera son ordre du jour. . C'est à ce règlement que sera vraisemblablement consacrée toute la séance. On doute que la Chambre, malgré toute sa bonne volonté, puisse terminer le budget de fflll avant le 20 février. Dans ces conditions, le Sénat, saisi à son tour, ne voterait guère celui-ci avant le «20 mars. Il parait se confirmer que le budget des affaires étrangères sera abordé à ki séance de vendredi matin, et l'on croit que la discussion générale en sera terminée lundi. C'est, selon toutes probabilités, lundi aprèsmidi que M. Pichon, ministrô des affaires étrangères, prononcera le discours attendu sur la politique extérieure. — Havas. des commissions Chez les radicaux-socialistes L'IFFÂIRE DU COLLIER PROCES DE MOâBST mwmz in Annonces (4* page) Réclames (3»page) Faits divers...... *t : LEON GOULETTE P<>W ______ Paris-Journal se demande si la visite du roi d'Espagne à Melilla ne serait paa la préface de la conquête du Rif. Il fait observer qu'une campagne de la presse espagnole fut, pendant plusieurs mois, organisée contre nous et nos confrères espagnols réclamaient Tazza et s'indignaient de la prise de Taourit par les troupes françaises. « Le roi Alphonse, continue le journal cité plus haut, estime que l'Espagne a des droits séculaires à exercer au Maroc et une influence prépondérante. « Il voudrait, par une expédition heureuse, soumettre le Rif de toute la zone concédée à l'Espagne, puis commencer aussitôt la colonisation, et M. Canalejas (premier ministre) rêve de séduire les Rifains par une administration sage et beaucoup de justice, et de leur faire accepter le voisinage des colons espagnols. Or, les Rifains veulent rester maîtres chez eux. Le roi et M. Canalejas vont choisir entre les deux systèmes. « En tout état de cause, la guerre est inévitable. Elle sera extrêmement meurtrière et aura de terribles surprises. » Le général Toutée ORAN, 11 janvier.— Le du Chayla,ayant à bord le général Toutée. sa mission terminée, a quitté Melilla pour Mers-El-Kébir, où il arrivera dans la nuit. — Havas. CHUTE DE LATHAM 11 janvier. — Latham a fait hier une chute de trente mètres. L'appareil est démoli, mais l'aviateur est indemne. L'AVIATEUR SAN-FRANCISCO, CIÎEÏ LES mr ^ S/LLCSS Nouvelle agitation CARDIFF. — L'agitation recommence parmi les mineurs du pays de Galîès. La population s'est portée autour des puits des houillères de Clamorghan et a criblé de pierres les locaux et les hommes qui y travaillaient. On s'attend à de nouvelles manifestations. — Havas. MUTATION M. Bert, capitaine au 41e d'infanterie, détaché au bureau de recrutement de Verdun, est nommé au bureau de recrutement d'Ave ne — Havas. DANS LêTRÉGION I propos ria la ; m a tJtivHi Cette note, d'allures officieuses, est communiquée par 'agence Kavas, sur l'épidémie de fièvie typhoïde que nous avons signalée déjà dans la garnison de Lunéville : « Une nouvelle manifestation épidémique de fièvre typhoïde est signalée à Lunéville, atteignant simultanément la population civile et militaire. « Dans l'ensemble de la garnison, le total des cas, depuis le 20 novembre 1910, est de 15, dont deux décès. « De par ses caractères, cette épidémie, comme les précédentes, paraît avoir une cause hydrique. Elle montre une fois de plus que les mesures prises par les autorités militaires pour doter les casernes d'appareils stérilisateurs ne sont pas suffisantes pour garantir les troupes contre cette affection, tant que la municipalité n'aura pas réalisé le projet qu'elle a fait d'arriver à fournir à la ville et aux casernes une eau unique, hygiéniquement pure et suffisamment abondante pour servir à tous les besoins, n — Havas. LMM de R8lZ • note • ><••' Les journaux ou matin reproduisent le télégramme suivant de Berlin à Aa iGazette de Cologne : « Les manifestations qui se sont produites à Metz provoquent ici, non seulement de l'étonnement, mais on en a pris connaissance avec le plus vif regret. « Lorsque le gouvernement se décida sérieusement, malgré certaines appréhensions, à tenir compte des vœux des Alsaciens-Lorrains qui réclamaient une modification de la Constitution, il avait le légitime esnoir que cette marque évidente de confiance aurait un autre écho que celui de manifestations germanophobes. « Dans les milieux parlementaires, où on avait déjà passablement d'appréhensions contre le projet, les sympathies envers les Alsaciens-Lorrains n'ont pas augmenté. » — Havas. FIN DE LA ) .nmP.nE HEURE __M______»_»U-.-_L mm | ,|| , M EÎ g_B___—____»»—"* pîR'iâL Le pape et les fêtes du cinquantenaire S'il faut en croire le correspondant romain de la Croix» le Vatican observera au cours de l'année jubilaire (1911) qui célèbre l'unité italienne et le vote par le Parlement de Turin de Rome capitale plus qu'une attitude de réserve, une sorte ae deuil. .. ■ Il n'y aura au Vatican ni réceptions d'apparat 'au cours de cette année, ni audiences do pèlerinages, ni réceptions des souverains qui viendraient à Rome à 1 occasion du cinquantenaire de l'unité italienne. Sur ce point de la visite des souverains, le Saint-Siège se montrera plus intransigeant que jamais, d'après ce qu'on affirme au correspondant de la Croix, puisque le pape déclinera de recevoir même les souverains non catholiques bôtes du Quirinal, qui jusqu'ici avaient l'accès du Vatican sans autre formalité que celle d'un court séjour préalable au siège de leur ambassade. . Cette fois, les souverains et chefs d Etnt non catholiques qui viendraient assister aux fêtes jubilaires ne seraient ni reçus par le Souverain Pontife sous aucun prétexte, car, dit le correspondant de '» Croix, « en venant 5 Rome dans les conjonctures actuelles, ils rehausseraient par leur présence des fêfcs oui- ont pour objet direct de célébrer la ^ijtift» ^:,nc "* .37 - Imprimer,. « rU = 3.09 i0 * ,^SSKito U „ Meurthe-et-Moselle, Meuse, Vosges n*_. _ ^ïv'^t l'Affaire de "La Lorraine Sportive Chez M. Samain, président (Ce notre envoyé spécial) Interview de M. Samain •••• À la gare de Novéant, les voyageurs ont défilé en queue-de-cervelas devant les douaniers. Courte inspection de quelques bagages. Puis je me trouve dans un compartiment déjà occupé par une vieille dame et par un immigré à tournure de maquignon. Elle arrive de Savoie, la vieille dame. Vingt-quatre heures en wagon. Elle gémit de fatigue. Ça ne l'empêche pas de raconter ses impressions. Sapristi I qu'il fait froid dans les Alpes. Comme elle craignait d'être bloquée au milieu des neiges, elle s'est décidée à partir : — Et qu'est-ce qu'on m'a dit, à Frouard ? On m'a dit que les « Prussiens » tapaient encore sur nos sociétés... Toujours la police... Ça ne finira donc jamais... Ah ! j'en ai de la peine... Faire un si long voyage pour recevoir des mauvaises nouvelles ! On est si bien, en France... Le flot intarissable des confidences est soudain heurté par la réponse de l'immigré : — Que fulez-fus, matame ?... Le cheunesse, il tésopéit tuchurs... On afait vermé les bortes tu Derminus... Eh pien, ils ont endrô quand même tans l'hôdel... C'est bas pien, matame... Le bolice, il a embêché le sgandale... » Mais la digne Lorraine n'est pas convaincue. Son petit bonnet blanc s'agite — et, jusqu'à ce que le maquignon soit descendu à la gare d'Ars-sur-Moselle, il fallait voir avec quelle fougue ma voisine harcelait sans répit ce partisan de la « manière forte ». Après un mot de félicitations, nous demandons à la voyageuse si elle désire connaître mieux les manifestations de dimanche soir i — Tenez I voici les journaux de Metz... Vous y lirez le récit complet. — Merci, monsieur. Et, comme si elle continuait la discussion avec l'interlocuteur disparu s — Des Allemands comme celui-là, il y en a fort peu dans les villages... Mais à Metz, où j'ai été « établie » pendant près de trente ans, j'en ai connu assez pour savoir de quoi ils sont capables... Le gouvernement ignore souvent les actes de ses fonctionnaires... On pousse à la révolte. La jeunesse se fâche ; elle résiste... Moi j'approuve... » La génération qui a vu la guerre, qui en a subi les premiers effets, fléchissait sous le poids écrasant du désastre. La jeunesse actuelle se ressaisit ; elle prend conscience de sa force... Et puis, nous avons si souvent raconté les douloureux événements qui saignent dans notre histoire que toute cette enthousiaste et belle jeunesse frémit au moindre incident. Point n'est besoin de prononcer les paroles de haine, les discours d'excitation. A quoi bon ? Les fautes du pangermanisme, ses erreurs, ses provocations servent mieux la cause lorraine que toutes les conférences, toutes les harangues, toutes les fêtes commémorât i ves. — Ah ! on veut nous embêter... Soit ! nous allons rire... » En chantant les airs proscrits, en sonnant allègrement les marches françaises, les cortèges de gymnastes traversent Metz ; ils arborent leur gaieté comme une cocarde, et cela impressionne. — Je vais vous raconter un fait dont j'ai été témoin, un matin de l'an dernier, ajouta ma compagne de voyage.. La Lorraine Sportive avait fixé son point de rendez-vous sur une des places principales de la ville, avant de partir pour Ars-sur-Moselle.. Les clairons se firent entendre ; ce furent le « rassemblement », le « garde à vous », puis les refrains qui précèdent la formation de la colonne. Un officier prussien assistait à ces joyeux préparatifs : — C'est un peu trop français, tout de même,murmura-t-il... mais n'importe ! c'est si joli de voir une jeunesse comme celle-là... A la bonne heure 1 » Combien de fois les Allemands n'ont-iîs pas fait chorus, quand les sociétés locales défilaient en chantant le Chœur des Girondins ; Mourir pour la patrie C'est le sort le plus beau ! M. Samain.président de la Lorraine Sportive, dirige un commerce d'épicerie en gros. Il consent à nous recevoir dans son cabinet de travail dont le buste de Napoléon, posé sur un meuble, constitue un des principaux ornements. — Ainsi, nous aurions dû céder aux injonctions de la police, nous incliner devant l'arbitraire, tolérer une flagrante illégalité ?... Non, je n'ai pas supporté cela. Mes amis ont protesté avec moi.. Le président de la vaillante société est un homme jeune. Trente ans à peine. Une fine moustache brunit sa lèvre ; la clarté du regard brille derrière le loïgnon, la voix vibre en accents pleins de sincérité. La taille est élancée ; des bandes alpines sanglent les jarrets : — Nous cultivons beaucoup le sport. Ma société se divise en plusieurs sections : boxe, escrime, foot-ball, gymnastique... Nos sociétaires ont formé aussi une fanfare de 45 exécutants, un orchestre... Plusieurs de nos membres appartiennent à un groupe de clairons, de tambours, de cors de chasse... En tout, la Lorraine Sportive compte plus de 350 adhérents actifs et 800 membres honoraires... Notre concert de dimanche dernier à l'hôtel Terminus aurait remporté, comme d'habitude, un très grand succès... Les autorités, la police, ont naturellement pris les mesures nécessaires pour contrarier nos projets.. » M. Samain relate alors par le détail ses démarches chez le président de police, les exigences administratives : — La loi de 1908 sur les associations stipule que les réunions privées peuvent avoir lieu librement... J'ai envoyé un avis, j'ai soumis une partie de notre programme ; j'ai montré autant desprit de conciliation qu'on en pouvait montrer ; mais je n'ai guère été payé de retour... La police voulait des incidents ; elle a réussi. — Quelles seront les conséquences des manifestations ? — Je l'ignore. C'est une affaire de police correctionnelle. Mais les excitations, les commentaires de la presse pangermaniste s'efforcent de grossir l'importance des manifestations... La répression, — ajouta en souriant M. Samain, — peut aller jusqu'aux assises et me conduire même sur les bancs de la Haute-Cour, à Leipzig... — Espérons qu'on n'ira pas jusque-là1. — Il faut s'attendre à tout... Les plus clairs résultats des légers troubles de dimanche se manifestent dans l'élection, à la mairie, de M. Forêt. Les indigènes ont fait taire leurs préférences politiques ; ils ont cessé d'être enfin les dupes et les victimes de ces petites querelles entretenues avec soin à Metz ; ils ont réalisé un « parti national ». Je compte bien que cette union sera féconde en enseignements et que nos amis ne perdront plus leur temps en vaines chicanes quand il s'agira de préparer le triomphe des idées qui leur sont chères.. » Maintenant, les fanfares a trop françaises » Gunt bannies de Metz. Elles se réunissent le dimanche, à Jouy ou à Ara. Eles y organisent en été leurs fêtes, leurs divertissements. Nous arrivions à destination, dons celte gare immense comme une cathédrale ; —En France, nous dit encore la brave dame, on s'occupe beaucoup de l'Alsace... Tous les livres parlent de l'Alsace... Mais, croyez-moi, la Lorraine montre autant d'indépendance, et elle mérite bien qu'on s'occupe d'elle. » Nous avions bientôt la preuve que l'âme lorraine reste impénétrable, qu'elle oppose un bouclier sans défaut aux attaques incessantes, des exaltés du pangermanisme,. ; -toiAS-^ Publidté imanant de La SITUATION à METZ Après L'AGENCE HA VAS 30 c. la ligne 'tftà mm Y C 1 60 — ... . , „ 90 31 bis, faubourg Montmartre, à Parit Chronique locale.. 1 60 Pour ce qui concerne les communiqués, notes, etc., s'adresser ou écrire à M le Secrétaire îe la liidact'ofi' TÉLÉPHONE __ Jcgfay/ #5 Janvier 1911 INSERTIONS =— DERIIIERE HEURE — raris, 12 janvier, 3 h. 45 matin, Hfr l Lf! 4 50 5 » 8 » l'attmummt est payable tfawnu», ii continue „u/aw« confcwe. mm m _J©Ï7JI^ ABONNiatBNTS^ NANCY Menrllic-et-Moselle, Meuse, Vosges Autres départements || ACHILLE LIÉGEOIS. *** D'autre part, notre correspondant particulier de Metz nous écrit : « Toute la presse du pays commente les incidents qui se sont produits dimanche. La presse indigène, ainsi que nous l'avons déjà fait ressortir, adresse de sévères reproches à la police, qu'elle accuse d'avoir fomenté, voulu, provoqué ces incidents. La presse immigrée, par contre, prend la police sous sa défense et pour un peu elle regretterait que police et troupe n'aient pas exterminé séance tenante ces (c bougres » de Lorrains. Aujourd'hui, la Meteer Zeitung pousse la complaisance iusau'à rechercher et citer tous les paragraphes, articles de loi, prescriptions, etc., susceptibles d'être appliqués contre la « Sportive », et bien entendu les amendes, la prison, la réclusion pieuvent tant et plus. Il n'y a pas lieu de s'acharner selon nous contre ce réquisitoire fulminant et anticipé, nous espérons et nous souhaitons pour les membres de la « Sportive », qu'ils trouvent des juges. Si l'on se met à rechercher les causes initiales de ces- incidents, on ne peut s'empêcher do les reporter sur la manière d'agir de la direction de police de Metz. Nous avons déjà indiqué le caractère privé de la soirée organisée par la « Lorraine sportive », chaque assistant était détenteur d'une carte d'entrée. La police conteste le caractère privé de cette soirée à cause do cette particularité que certains membres, ayant reçu plusieurs cartes, les distribuaient selon leur bon plaisir, et qu'il était en outre excessivement facile de se procurer ces cartes. Ello feint d'ignorer, en la circonstance, que pareille chose se produit à toutes les soirées, concerts, bals, etc., organisé? par les sociétés allemandes, sans que jamais on ait songé à intervenir. Et puis, 11 y a un précédent, des précédent*. k Chaque année» la « Lorraine «pcrtiye. y \ - _ donne off concert, S ses membres. Pour-i quoi cette année justement a-t-on trouvé moyen d'intervenir, alors que les années précédentes ces soirées ont pu avoir lieu, et qu'aucun accident ne se soit jamais produit i Mais on voulait un incident, on voulait une raison d'intervenir, et pour cefaire, on a attendu que tout soit organisé pour la soirée ; on a placé le président dans l'impossibilité de contremander la soirée. Lorsque le monde aifluait, il était trop tard. Du côté de la police, par contre, tout était prêt ; on étaH au* aguets et je n'en prends pour preuve que l'entrée, en groupe, des huit agents sur, la scène. Donc, on les tenait en réserve. Mais le fait le plus intéressant à retenir c'est la leçon qui se dégage de ces incU dents. Il y a d'abord le réveil plus accentué que jamais de l'âme lorraine. Après les jours de Noiseville (1908) et la tolérance dont le gouvernement a fait preuve en cette circonstance, on avait espéré une ère de liberté. Et effectivement une année s'était écoulée, qui a vu éclore la (c Lorraine sportive » et d'autres sociétés similaires dans nos campagnes. Année de paix et d'estime réciproque/ On reconnaissait sans ambages les libé-; ralités du gouvernement, on parlait déjà? d'une ère Zeppelin. Mais vinrent les at-taques contre nos société? indigènes de la part des journaux pangetmanistes, attaques qui gagnèrent en violence de jour, en jour et qui eurent pour résultat de motiver d'abord une crainte chez nos gouvernants. Wissembourg n'était déjà plus Noisseville i Timidement d'abord et rigoureusement ensuite, le gouvernement donna suite aux sommations de plus en plus au« toritaires et menaçantes des pangermanistes. Malheureusement on avait compta sans le caractère lorrain. Le résultat obtenu fut tout autre que celui désiré. Notre jeunesse, qui a suivi les classes des collèges allemands, qui a servi dans l'armée allemande, y a appris entre autres" choses à mieux se connaître. Les attaques renouvelées de ses advew saires ont trouvé un peuple prêt à la riposte, jeunes ci vieux affirmant nette-, ment leur intention de maintenir leuiv Place au soleil, La crainte du gendarma, s'est évanouie et les manifestations de dimanche montré cette police faut vantée, que l'on croyait invincible, débordée, impuissante et obligée de recourir, à la troupe armée — ce qui ne se fait quà la dernière extrémité — contre une population inoffensive, désarmée et dont l'unique but était de jouer une bonne niche à cette police qui l'avait provoquée. Voilà où en sont les choses aujourd'hui. On peut affirmer sans crainte que depuis deux ans la germanisation a subi dans notre pays une défaite désastreuse, et le régime nouveau — le régime de la main do fer — est en train d'en briser les dernières attaches. Hier encore, la nomination d'un Lorrain au poste de maire de Metz est très caractéristique. Depuis près de trente ans, la mairie de Metz était administrée par- un Allemand et il semblait bien que l'on dût renoncer pour toujours à voir un indigène à sa tête. Or voici que d'un brusque mouvement notre édilité secoue de ses épaules un joug qui lui pesait par trop et choisit un Lorrain de vieille souche comme maire. On conçoit le redoublement de fureur chez les Allemands. « Deux mauvais jours », écrit la Lothringcr Zeitung : dimanche les manifestations de la « Sportive », lundi l'élection du maire de Metz. Deux bons jours, pourrions-nous répondre, si notre situation n'en demeurait — nonobstant, la prétendue constitution s* particulièrement triste. Finissons par une note pittoresque î « Les incidents tels que ceux qui se sont produits dimanche à Metz ont toujours un eôtû comique. On s'est beaucoup amusé dimanche de l'incident suivant : Place d'Armes, la troupe, baïonnette au canon, exécutait UDC charge contre les manifestants. De la foule, un vieux à l'impériale blanche, ancien soldat de Mac-Mahon, septuagénaire, s'avance et s'ormant de sa canne il se met bravement à la parade devant le Prussien en prononçant ces mots : « Touche 1 je suis un soldat d'Afrique et de Solférino !» Ce disant, le vieux briscard s'escrime en une série de mouvements, tant et si bien que le Teuton ainsi tenu en respect l'abandonne et va charger ailleurs. *** Rue des Clercs, les manifestants rencontrent un officier qui, entendant les chants français et les cris de « Vive la Lorraine »„ ne peut s'empêcher de pousser cette exclamation : « Dreckige Franzosen », ce qui signi-» fie « salée Français ». Il n'a pas plus tôt achevé qu'il reçoit une de ces tripotées dont il conservera certainement un cuisant BOUT venir. » LE GENERALLYAUTEY MARSEILLE. — Le général Lynutey est arrivé ce matin à Marseille, venant d'Oran par le paquebot Duc-dc-Éragance, de la Compagnie Transatl.inttqù?. îl partira demain matin pour Toulon et Nice <t"<">ù il se rendra directement à Paris. - Havas. 2 i,, , ■ , m,, i ■■■■■ i im I i~ L'EST MWLIMW artS-iaa-^^ Eahos du congrès eônMori^ BnlvsrsHô Baucy , En réponse à un télégramme do M. A. Le conseil do l'Hùlvoraiô a tenu une Papetier, que nous avons {publié, nous 'mnortanto eoance lundi 0 courant. recevons la lettre suivante : H a d'abord onroetstré-los déççpts 4u 30 K Vézeliso, lo 11 janvier 1911. .lécembre. nommant., à la Faculté de Les détails « Monsieur le directeur, irait, MM, Senne ot Roland, professeurs LitJ.K. — A cinq heures, (es coJbarcts « Dans son numéro 3529. du 10 janvier, le droit romain ot ilo droit administratif, SOiio ouvert.» ; ils sont ... atô re*iplis par l'Est réjuibllcain reproduit un télégram:t M. Brocard, professeur adjoint d'écoLES ACCIDENTS les curieux qui s'étaient cacké* dans I inme de M. Papelier, ancien député, di- «omie poMtiquë : à la Faculté des scienEnseveîï3 sous l'avalanche sant, : « Je réclama à M.Florentin une rec- ces, M. Husson, déjà professeur à Caen, térieur des immeuble*. LOB curioux appaBERNB. — Après un travail pénible et danraissent aux fenêtres. tification. Je no fus jamais convoqué au et wansrféré a Nancy, dans la chaire de On signale l'arrivée du pére et du frère gereux, on a retrouvé, au fond d'un ravin, congrès. » sfilcul différencie} ot intégral (M. Pierre Les journaux du département avaient de Thain, lo garçoa de recettes assassiné, les victimes d'nno avalanche qui s'était profîoutroux étant, sur sa demande, nommé duite le matin, à Ricnthal. anoncé qu'un congrès se réunirait a Nanvenus pour assister à, l'oxécution. X Poitiers) j a la Faculté des lettres, M. EsIl y a trois morts et un blessé grièvement. cy lo 7 janvier. M. Papelier ne l'ignorait 5 heures 1/4. — M. Delalé, juge d'insève, professeur adjoint de littérature frantruction, arrive en automobile, accompa- Explosion dans une fabrique do poudre pas : d'un autre côté, une séance do la çaise. Société centrale a agriculture, dont il cet gné de M. Dubron, bâtonnier dos avocats Le recteur annonce ensuit? qu.? le transBUENOS-AYUBS. — Une explosion a détruit de Douai et défenseur de Favier. la fabrique do poudre de la ville de Saint- le président, devait avoir lieu dans la fert des services géologiques do la Faculté Ils pénètrent dans la prison dont la Martin. 12 cadavres ont été retirés des dé- matinée du même jour. les sciences dans une partie de l'ancien porto se referme aussitôt. J'étais donc fondé à croire que M. Pa- rrancl séminaire est accompli. LUntversicombres, et l'on waint qu'il n'y en ait d'aupelier était a Nancy et c'est au lieu ha 5 heures 20. — On amène le feurgon tres, — Havas, ïi i\ désormais un Institut de géologie qui, bituel des séances de la société que, contenant la guillotine. U est suivi d'un comme installation, peut soutenir toute qu'il y ait pour moi une obligation quel- îomnaraison ; pour l'organiser pariaitetiacre vide, sur le siège duqwal a pris plaVIOLENT INCENDIE EN AMERIQUE conque de le faire,mais pur pure courtoi ce un aide du bourreau. jnent., on peut compter sur son directeur, CINCINNATI. — Un violent incendie a éclasie, je lui ai adressé une lettre lui rap M. Deibier et doux aides descendent du M. Nickiès. fourgon. Aussitôt, à la lueur d'une grosse té à Cincinnati. Les perles sont d'un mil- polant, « a toutes fins utiles », que h . Les locaux devenus disponibles dans les congrès se réunissait a deux heures 4e '«àtiments de la pkieo Carnet, au nom de lanterne, commence le montage de la guil- lion de dollar». — Havas. l'après-midi, au Casino. — M. Papetier la rue- de Serre et de la rue de la Ravinclle lotine qui a lieu tout auprès du mur du LES TREMBLEMENTS DE TERRE n'assistant, pas à la séance, n'a pu ôtro •serviront ù l'agrandissement de doux autres palais et_à côté de la porte de la prison, touché par ma communication. J'ai, du services : la zoologie, la place faisant déM. Deinlcr est en pardessus et est coiffé SAINT-PÉTERSCOURG. — D'après une dépêd'un chapeau me'.on. che de Prczewal/.k, le tremblement de ter- reste, dit tout ceci au congrès, qui a pu faut h M. Cuénot pour ses recherches si in5 heures j. — On apprond que Favier re du 4 janvier n'aurait pas causé de dégftt3 apprécier. téressantes sur le cancer do» souris ; et J'ai agi avec loyauté, M. Papeilor re- l'Institut agricole et colonial, qui, sous la dort d'un profond sommeil. notables dans cette région. Il n'en serait pas 6 heures 20. — Le réveil du condamné de même, malheureusement, sur une des grettera peut-être que sans vérification direction de M. Gain, a pris une importana lieu. rives du lac (TlssyUoul, où cinquante per- préalable, il ait opposé une dénégation ce de plus en plus grande, depuis la créatroc» formelle Pénètrent dans la œllule : MM. Cheuzy, sonnes auraient péri. — Havas. tion, en 1902. J'ai l'assurance, monsieur le direcleur, procureur de la République ; Cnuvvez, Le recteur rappelle ensuite au conseil la quo vous voudrez bien reproduire ma résubstitut ; Richard, secrétaire général de* mission rie M. Senne, l'été dernier, dans la TIRAGES FINANCIERS ponse dans l'un des plus prochains nula préfecture ; Dubron et sun secrétaire ; I péninsule balkanique, d'où il a rapporté de méros de votre estimable journal. Obligations foncières 3 % 1903 Dolalé, juge d'instruction et son greffier ; ; mé-ueuses indications pour Lo commerce et Et vous prie d'agréer l'expression dû l'industrie de l'E9t, aussi bien que pour nole gardien chef, le médecin et l'aumônier. Le numéro 175,323 gagne 150,000 fr. mes sentiments distingués. Lo procureur de la République s'avance | tre Université. En outre, tout récemment, Le numéro 496,109 ga^-ne 30,000 fr. A. FLORENTIN,. vers Favier qui semble sommoillor ; il lui un de nos maîtres de la Faculté des scienLes huit numéros suivants gagnent chaVice-président du conseil génèfeà, ces, M.Mauduit, a été appolé à Roustchouk, dit : cun 5.000 fr. : Président du congrès des délê« Favier, réveillez-vous ; voire recours en Bulgarie, pour l'organisation des servi42,148 87,30!) 177,802 256,051 344,013 gués sénatoriaux. » en grâce est rejeté. J'espère que vous ferez : ces d'éclairage public et privé, par l'élec352.S8G 570,470 576,541 preuve de courage, n tricité ; jusqu'ici on s'adressait de préféFavier se dresse sur son séant, d'un air ; rence, en ce pays, aux ingénieurs alleuoiiii^so s>as a»AICI» calme. Mardi soir, le tout Nancy commerçant et mands. M. Mauduii y a reçu le meilleur Tn n R Le procureur lui demando s'il a bien enindustriel se pressait dans le grand hall de accueil, ainsi qu'a Sofia, où il retrouvait de PrfM ftm Dm. wars tendu. Lo condamné répond très simplela Chambre de commerce, à la très intéres- ses anciens élèves do l'Institut électrotcch11 j»M. 11 jw». ment : « Oui, j'ai compris ». sante conférence de M. Brocard, profes- nique. D'autre part, plusieurs visites à Rente n 0|0 »7 59 97 45 On lui apporte ses vêtements et il com- \rii«ns L'on seur d'économie politique à la Faoulté do Nancy de personnes influentes de Bulgarie lia* .. 1180 .. mence à s'habiller avec Une tranquillité MèlrufoU'M* droit do Nancy, sur « Le moyen de mieux ci do Roumanie font espérer a notre Uni• 620 .. stupéfiante. Il se confesso à l'aumônier, Ilio Tiiilo. utiliser nos banques ». versité, unie à la Chambre de commerce, 1/65 .. 17(ii .. 1387 .. 1385 .. puis il a un court entretien avec son avo- Susoowice Au bureau avaient pris place MM. Met. et à la Société industrielle, un champ d'acBxf^ripiire 4 0i<» 01 57 04 95 tray, directeur de la Banque de France à cat, et demande à entendre la messe. tion fructueux en ces contrées. luicsa MiiiBolulé 4 O|0 .... 97 80 07 <i> 6 heures 45. — La guillotine est prête ; Ut Nancy ; Villain, président de la Société inEnfin, l'Université de Nancy vient d'être Beern 467 . le bourreau pénètre dans la prison pour Uni!» Mines dustrielle de l'Est ; Sterne, président du associée à un projet d'Institut français à SI9 .. procéder à la toilette du condamné. Syndicat des marchands de vins en gro* ; Saint-T'éterebourg.' L'idée est de M. Paul Ilriansk 383 .. 380 .. 7 heures 27. — Favier sort de la prison, l'uro Doumer, qui l'a exposée à Paris, le 23 dé«3 70 V3«0 Pignot, président de la Fédération des commerçants de Nancy. G9f'> . 695 .. cembre, -dans une réunion à laquelle assisaccompagné de l'aumônier qui lui présen- l$Hnmie oUomaiM),.., Serbe 87 47 87 iO te le crucifix. Le conférencier exposa d'abord les rap- taient l'Ambassadeur do Russie en France, ports des banques avec les commerçants et nos deux ministres des affaires étrangères Le condamné descend posément les marTélé^i-auissuo cornusercSal les industriels. et de l'instruction publique, lo vice-recteur ches de l'oscalier de la prison et d'un pas (liourso dit commerce) Il fit ressortir quo lo rôle des banquiers de Paris et le recteur de Nancy, ainsi que ferme, presque sans être tenu, il se dirige CHiIffroS foutais par la maison Roger Bollackel Cio ne devait pas seulement se borner a des diverses personnalités s'intarcs'aant à l'exvers l'échnfaud. Il s'arrête une seconde ; Paris, 11 janvier, 1 h. 57 «oir. avances de capitaux. Ils peuvent être pour panaion do la culture française dans le les aides du bourreau le saisissent. le jet- i COI'IIANT 4 MAI. les commerçants et industriels des caissiers monde slave. M. Doumer n'a pas eu de peitent brusquement sur la bascule. Le cou- Avoines (100 til.! 19 55 20 10 Blés (KHI kil.l 28 .. 27 90 capables de leur rendre, pour la conserva- ne à faire agréer en hau* lieu son projet, teau glisse, la tête tombe dans lo panier. 37 10 87 23 tion de leurs capitaux temporairement dis- au cours d'un voyage à Saint-Pétersbourg. La foule pousse de longs cris : « A farines (tuukiî.l COURANT DKHNdîH ponibles et aussi pour les paiements, des Selon toute probabilité, les importantes mort ! » pendant que les gendarmes la dis- Lin 105 ffl 95 75 services excellents. Le conférencier montra fonctions de directeur du nouvel Institut persent. — Havas. II .i!es(inokl1.1. 67 25 69 .. par des chiffres qu'aux Etats-Unis et en An- français dans la capitale de la Russie se, ■»» » Alcsoî <i'h«otol.) . 53 50 51 .. gleterre les industriels et commerçants de ront confiées à un de nos jeunes maîtres Suores 30 63 31 37 toutes les classes de la société ont pris l'ha- de l'Université de Nancy. bitude de déposer dans les banques les Faculté des lettres moindres sommes disponibles et d'effectuer Cours publics tous leurs paiements par l'intermédiaire DE NOTRE PRECEDENTE EDITION Jeudi 12 janvier, à quatre heures et dedes banquiers. M. Brocard montra les avantages directs mie. — Littérature allemande. — M. BeParis, 11 janvier, 3 h. soir. et immédiats qui résulteraient pour les in- noist-Hanappier : Gœthe et l'immortalité de dustriels et commerçants français de l'a- l'âme. — Vendredi 13 janvier, à quatre heuLE DISCOURS PICHON res et demie. — Histoire de l'Art. — M. Perdoption dos méthodes anglaises. IMPATIEMMENT ATTENDU En déposant leurs fonds dans les banques drizet : Le réalisme dans l'art alexandrin. EN RUSSIE ils échapperaient à tous les désagréments, — Samedi 14 janvier, à quatre heures et doNous avons dit hier que la chasse a tir ft tous les travaux, à tous les risques qu'en- mie. — Archéologie gaho-romaine, — M. SAisT-PÉTERSBOimG. — La presse et l'opinion publique attendent, avec impatien- serait formée le 15 janvier en Meurthe-et- traîne pour eux la gestion de leur caisse à Grenier : La Gaule cisalpine ; les stations domicile.et spécialement à la visite des gar- lacustres et les tenamares. ce, le discours que doit prononcer M. Pi- Moselle, Meuse et Vosges. A cette date, elle sera aussi close dans çons de recettes des banques qui, les jours Club-Alpin français chon, ministre des affaires étrangères de Excursion pour sxieurs à Uôrardmcr. — France, au cours de la discussion du bud- l'Aube, la Côte d'Or, la Marne, la Haute- d'échéance, viennent en procession les reMarne, le Haut-Rhin, la Haute-Saône et lancer chez eux aux moments les plus inop- Départ samedi U janvier, à 6 heures 10 du get do son département. On estime que M. Pichon doit préciser l'Yonne, pour ne citer que les départe- portuns, et souvent leur enlever leur mon- soir, arrivée à Gerardmer à 9 heures 05. naie, aux risques d'erreur dans les paie- Hôtel do Paris. Des excursions seront orgaque de l'entrevue de Potsdnm est résul- ments les plus rapprochés de nous. Mais la clôture aura lieu seulement le 29 ments, aux risques d'incendie, de vol et nisées le dimanche pour skieurs exercés et tée une entente russo-allemande qui ne modifie en rien la situation réciproque de janvier, dans le plus grand nombre des d'assassinat. Les paiements pourraient pour débutants. dénartements, parmi lesquels l'Aisne, les s'effectuer de la façon la plus rapide en doDépart de Gérardmer à 8 heures du soir la Russie vis à vis de la France. Le gouvernement et la diplomatie rus- Ardennes, Seine, Seine-et-Marne, Seine-et- miciliant les lettres do change et les chè- et rotour à Nancy à 10 heures 46. ques dans les banques, c'est-à-dire en menPrière de s'inscrire au siège social, 15, ses ne sauraient admettre qu'une amitié Oise. Le transport et la vente du gibier tué tionnant sur ces titres qu ils sont payables rue Gilbert, avant, vendredi à midi. russo-allemande puisse influencer sur la Rendez-vous à la gare samedi ' 5 heures solidité de l'alliance franco-russe et de la avant la fermeture seront tolérés jusqu'au chez les banquiers et par leur intermédiaisurlendemain des dates de clôture à mi- re. 45 du soir (signature de la feuille). Se mutriple entente. — Havas. Le conférencier montra le réel avantage nir des insignes ot du carnet. Dépense apdi. Cette tolérance s'étend au gibier prode l'étranger, à condition qu'il soit qui résulterait du système pour les ban- proximative, ^0 francs. Emporter un repas L'AFFAIRE BîJRAND ET LE CONSEIL venant parvenu à destination avant l'expiration quiers : Augmentation de leur capital de troid à consommer dans le train. MUNICIPAL DE TOULON travail, économie sur les frais d'encaisse-, de ce délai de 36 heures. — Projet de promenade pour le dimanche A propos d'une information Havas, où Les espèces de gibier indigène importées ment. Mais il n'est pas douteux qu'une ré- 15 janvier. Rendez-vous à une heure au teril était dit « que la majorité du conseil de l'étranger, à destination de départe- forme de nos mœurs dans ce sens profite- minus des tramways suburbains, rue des municipal de Toulon s'était déclarée an- ments où la chaase n'est pas close, pour- rait aux industriels et aux commerçants. Qaatre-Eglises départ à 1 heure 10 ou a tirevisionniste »,nous recevons d'un do nos ront traverser sous plomb de douane les Les banques, ayant des capitaux plus l heure 1« do la station Montet Jeaimecompatriotes, conseiller municipal de départements où la clôture a été pronon- bondants en prêteraient davantage et a, d'Arc. Arrêt à Brabois. Excursion. cette ville, une longue lettre où notre cor- cée de meilleures conditions. Cette conférence, Vandœuvre, plateau d'Houdemont- Arrêt respondant nous explique qu'il n'y a pas suivie avec le plus grand intérêt, se termina à La Ronchère, où l'on tirera les RoLs. Reeu. en fait, de vote anli révisionniste, mais vers neuf heures et demie, au milieu des tour a Nancy à pied ou en chemin de fer seulement une constatation que ce n'était applaudissements. (pour 6 heures). ni le lieu, ni la place, à ta mairie, de M. Julien Félix, garde domanial des Prévenir M. George, 36, rue de la RaviAu bureau do bienfaisance s'occuper du cas Durand. eaux et forêts de 2» classe au poste d'Etinelle, ou 19, rue Saint-Georges, samedi 14 Nous apprenons que M. Le Monnier, La lettre en question est de M. k' doc- val (Vosges), est appelé avec son grade janvier avant onzo heures du matin. teur A. Hagen, médecin consultant à et sa classe à la maison forestière de Côte professeur à la Faculté des sciences,vient d'être nommé vice-président du bureau Chambre syndicale patronale des (SasîSeas'S Plombières, conseiller municipal de Tou- do Senones, à Senones. ci.: Nancy ci ua la région lon. M. Pierron Georges-Emile, garde doma- de bienfaisance, en remplacement de M. La distribution dos prix ae l'Ecole des nial de 2° classe au poste de Chatel, est Lallement, décédé. apprentis tailleurs a ou Heu dimanche 8 LE MINISTRE DE LA MARINE appelé avec son grade et sa classe à la Fête de l'Amicale du Nouveau-Nancy janvier, à 4 heures du soir, en le grand A BREST maison forestière de Straiture, commune Samedi soir.salle do l'Eldorado, l'Ami- nall de la Bourse de commerce. de Ban-sur-Meurthe (Vosgos). BREST, 11 janvier. — Lo ministre do la cale laïque du Nouveau-Nancy a donné aa La séance fut ouverte par le président M. Antoine Martial-Victor, garde doma- première tète annuelle qui a obtenu un marine, accompagné de 2 officiers d'étatdu syndicat, M. Poulain, qui remercia major, est arrivé ce matin à Brest à 7 heu- nial de 1" classe à Triaucourt, est appelé brillant succès. toutes les personnes qui prècent leur conres 30. Il a été reçu par le vice-amiral de par mesure disciplinaire à la maison fo; Parmi la nombreuso assistance se trouMarolies, préfet maritime, et par M. Morlu, restière d'Houdreville, commune de La- vaient MM. Bovier-Lapierre, représentant cours à l'œuvre. La parole est ensuite donnée à M. Vosadjoint au maire, qui l'a salué au nom de chaussée. M. le préfet ; le commandant Goëtz.repré- gein, directeur de l'écule^ qui trace les la municipalité. sentant M. lo général commandant lo 20° avantages et les bienfaits de l'écolo. BREST, 11 janvier. — Lo ministre de la corps ; le commandant Deloche, le capi taiLa lecture du palmarès a ensuite lieu : NANCY marine s'est rendu à 8 heures et demie, ne Cornillon et le lieutenant Bruant, ui!'jPremière catégorie. — 1er prix : Rayavec sa suite, à l'arsenal et s'est aussitôt gués par lo colonel du 79". mond Muller, 30 fr. et uno médaille d'ardirigé vers le bassin de Pontaniou, où se M. Panigot, président de l'Amicale ; M. gent, offerte par la Société industrielle de TEMPS trouve le cuirassé Danton. L'amiral Boué Raoul Bigot, de l'Amical Ory ; Deloche et l'Est ; 2e prix, Zaenguerlé, 25 fr. et uno Mercredi, nous avons eu un brouillard de Lapovrère est monté à bord du cuirasIleyde, fondateurs de l'Amicale ; Petitcosé et s'est rendu compte des avaries peu extrêmement pénétrant et bien que la gelée las, trésorier ; Kopp, président de la com- médaille de bronze, offerte par la Société n'ait pas été très forte le matin, le froid mission dos fêtes, et Warcolier, secrétaire industrielle de l'Est ; 3° prix, Roinert, 25e graves dn bâtiment. francs ; 4" prix, Clerc Victorin, 20 fr. ; 5 n'en était pas moins rigoureux. L'amiral a visité les magasins de l'atede l'Amicale. prix (encouragement), Renggli aîné, 10 lier central incendiés lo mois dernier. Après quelques paroles de M. le prési- francs. Dipfiche météorologique Il a. constaté encore l'état avancé des dent, M. Bovier-Lapierre a exprimé à la 2" catégorie. — 1°' prix, Rouleau, un liClermont 771, Brest 76G. Dépression Ecos- jeuno Société les sympathies de M. le prétravaux du cuirassé Jean-Barti de 23,000 vret de caisse d'épargne de 20 fr., offert se, forte pression Suisse. tonnes. — Havas. fet, puis eut lieu un concert au cours duProbable : Vent d'entre Sud et. Ouest, quel se sont fait applaudir plusieurs chan- par les membres du conseil patronal de prud'hommes ; 2° prix, Picard, 15 fr. ; 3" pluie, temps doux. teurs, MM. Schcnal et HciWer ; on a aussi prix, Poirot et Renggli jeune, 12 fr. ; 4" LE FEU A LA 8EYNE Ottsl<USA TU)NS MiïTKOROT.OC1 TQ1 'F.S particulièrement remarqué une fantaisie TOUT.OS. — Le feu a pris dans l'entrepôt prix (ex-ajquo), Michel Auguste et Vignede la Maison dos aîannsina Réunis sur Faust, piano et violon, exécutée par ron, 10 fr. ; 5e prix, Kauffmann, 5 fr. des vidanges et des balayages des conEnregistreur Richard Mlle Lucie Dabut, et le jeune Roger Heydo, cessionnaires de ces services à la Seyne. L'école dispose encore de dix places. Do 11 jaar., g h. soif, sa lî janv., 8 h. im | a de l'Amicale du Nouveau-Nancy. Onze chevaux ont été brûlés vifs. Le 8" i i Prière aux familles désireuses de placer A la fin de la séance, une agréablo sur- leurs enfants de s'adresser chez M. Vosrégiment d'infanterie coloniale avait enprise a été ménagée au public par la visite gcin-Chibout, directeur de l'école, 48, rue voyé une compagnie sur les lieux pour inopinée de MM. Lebrun, Grosdidier, Mé- Gambctta, Nancy. assurer le servico d'ordre. — Havas. quillet et Abel Ferry, députés, et Schc-rtzCr, —- Chez les employés conseiller général, qui passèrent la revue LE VOYAGE DU ROI D'ESPAGNE des jeunes gymnastes, aux accents de la Ce fut une charmante fête de famille n : MEUT.I.A. — Le roi d'Espagne et sa suite Q quo la matinée organisée dimanche dans Marseillaise et le chant de l'Amicale. sont allés en automobile visiter les détache- 151 -j-O ~ Un bal dos plus animés clôtura cette les salons Walter, par le comité do l'Uments ; ils ont poussé jusqu'à Yazanem, poToi<» nion syndicale des employés, pour les encharmante soirée. sition avancée au sud-ouest de Melilla. (> Le tirage de la tombola au profit de l'A- fants des sociétaires. MEMI.U, 11 janvier. — Le général TouRien no fut négligé pour amuser et micale, a été remis à une date ultérieure. téo, commandant par Intérim la division o charmer les petits et même les grands : d'Oran, et qui s'était rendu à Melilla pour ?" CREME BERTHUIN, hygiène de la peau, arbre do Noël tard venu, mais rosplendisy saluer le roi d'Espagne, s'est embarqué sant.dlstributions de friandises, programo évite rides, boutons, taches, irritations sur le croiseur Du Chayla pour retourner W - é à il <» me amusant, ot, enfin, une tombola qui à Oran. Il a éié reconduit à" l'embarcadère » » combla de jouets tout ce petit monde. o è T -. par toutes les autorités. — Havas, Ligue de l'enseignement 7^0 '-9 -((■•-( >T-j ---•» La partie récréative, ouverte par une La quatrième conférence do l'exercice brillant* improvisation au piano par M. GRAl'DE REVUE NAVALE 1910-1911 aura lieu dimanche prochain 15 Weber, se continua par des auditions de LE FERROL (Espagne). — On annonco que janvier, à quatre heures, au grand salon phonographe. Puis ce fut ensuite une rele mois prochain une grande revue navale de l'hôtel de ville. Pour cette séance,le co- marquable séance de prestidigitation qui, Jeudi 12 janvier. — 12e jour de l'année. à laquelle pren Iront part 21 cuirassés et 9 mité a fait appel à l'un de nos plus distin- pendant plus d'une houre, plongea les jeucroiseurs anglais, ainsi que l'escadre espaAujourd'hui : saint Fréjus. — Demain : gués concitoyens qui, il y a quelques se- i nes invités dans la joie. gnole, aura lieu au Ferrol. Le roi d'Espa- saint Félix. maines, faisait apprécier son beau talent A peine la tombola fut-elle tirée, quo le gne passerait cette revue, accompagné de Epltêmcrides lorraines : En 1776, transla- à Paris dans des conférences sur l'histoi- vaillant pianiste attaquait uno entraîM. Canalejas et du ministre de la marine tion du Présidîal de Nancy par Louis XVI. re de l'art. M. Réau, professeur à la Fanante polka, et un bal animé s'ensuivit. — Havas. A quatre heures un quart. — Cercle mi- culté des lettres de l'Université de Nancy, L'heure du dîner vint, hélas l trop tôt litaire : Conférence aux officiers de réser- a pris, pour dimanche prochain, pour su- dore cette fête cordiale et charmante.dont LA SITUATION DE l.A PERSE ve. jet : u Un chef-d'œuvre de peinture au tou9 les assistants, petits et grands, garLONDRES, 11 janvier. — Lo consul de PerA huit heures et demie. -- Brasserie des musée de Colmar ». La conférence sera deront un excellent souvenir. so a communiqué un document portant, te Dotn... : Assemblée générale du Groupe La- accompagnée de projections. Il iwt permis Les danseurs se sont quittés en se donsceau du gouvernement persan, ainsi que rnarche (153°). de penser que le public nancéien qui &< nant rendez-vous au bal que l'Union synla signature du président du conseil et deA huit heures et demie. — Salle Foirel : savouré, le 15 décembre dernier, une si ex- dicale des employés donnera le samedi 4 mandant aux nations de protéger la Perse Soirée théâtrale. quise sensation d'art, n'emportera pas contro la Grande-Bretagno et la Russie. — A une heure du matin. — Assemblée gé- une moins bonne impression lo 15 janvier ; février, à l'Eldorado. On sait quel est, , tous les ans, le brillant succès du bal de jOéi'ftle des garçons de café. ^prochain, > T_va3. l l'Union syndicale, da LE PRINCE JAIME DE BOURBON Il janvier. — Le prince Jaime de Bourbon, chef d'escadrons aux kussards de Grod-o, a quitté l'armée avec le grade do ooleneJ pu» de» raisons d'ordre privé. — Havas. b BXBSuIIOTI QB I mm SAiNï-Piniir.SBDWua, Genférence surrutnlsttlwi^as bauqm M S» nouvelles diverses ! Clôture de la chasse latatioss d3 gardes forestiers LE QU'IL FAIT LA JOURNEE A NANCY - 11 i I Eocîâlô lorraine do photographia La Société lorraine de photographie tiendra sa séance mensuelle le vendredi 13 janvier 1911, à huit houres et demie» du soir, dans son local, 3, rue Blondlot. Société de secours mutuels daa ouvriers chapelisra de Nancy La société do secours mutuels dos ouvriers chapeliers de Nancy donne soft bal annuel lo 4 février 1911, salle de la RonaiS3ance, rue du Ruisseau, 79. Nécrologie M. Germain Arnaud, professeur de rhétorique au grand lycée do Marseille, chevalier de la Légion d'honneur, vient de mourir à l'âge do 55 ans. M. Arnaud avait été professeur de rhétorique au collège de Lunéville. Vol do linge Pendant la nuit, des individus restés inconnus ont pénétré dans la cour de la maison portant le n» 72 de la rue MacMahon et ont dérobé des draps, des chemises, des flanelles, etc Uno enquête est ouverte. Vol de lapins Pendant la nuit dernière, des individus sont allés dévaliser la basse-cour de M. Kapp, chemin du Placieux, et ont dérobé huit lapins et huit.poules. Plainte a été déposée entre les mains do M. Nay, commissairo de police de la rue do la Prairie, qui a cfuvort uno enquête. Pour être à l'abri Jules Poisson est titulaire d'une petite pension qu'il s'empresse de dissiper lorsqu'il en a touché le montant. Comme il a pu aussi apprécier le confortable de la maison d'arrêt et se trouvant sans asile mercredi matin, il brisa un arbuste de la Pépinière devant le gardien. Il fut aussitôt arrêté et déféré au parquet qui l'a fait écrouer. Feu de cheminée Mercredi, vers midi,, un feu de cheminée s'est déclaré rue Jeanne-d'Are, 113, chez M. Nicolas, confiseur. Los pompiers appolés, ont fait le nécessaire. Les mendiants Mercredi, à ouatre heures de l'aprèsmidi, Adolphe Karanoff. ûgé de 65 ans, sans profession ni domicile, a été arrêté rue du Bastion on flagrant délit de mendicité. Abr.ttoir de Nancy Animaux abattus du 2 au 9 janvier : Taureaux, 19 ; bœufs, 131 ; vaches, 47 ; veaux, 381 ; moutons, 643 ; chèvres, 3 ; cheyaux, 42 ; porcs, G02. m i i « B> ■ i i.... m AVIS Nous informons nos lecteurs que lu M«i jwvil (ic-s GHAUS&UiïES t KANCK, 66, rue Saint-ûizier, Nancy, prép»re pour aujourd'hui Jeudi 12 Janvlot* et loura suivants, une BSJse on vente avec aiïA^O RABAIS ne (ous les ARTICLES i?wy*r«. Voir aux élid.igis les nombreux iota avmo wëdissîion tèo prix, Sacîsîé centrais d'agrhriiQre La Société centrale s'est réunie le samedi 7 janvier dernier, sous la présidence de M. Michel, vice-président. M. Papelier, empêché d'assister à la séance, s'était excusé. Fièvre aphteuse. — M. Marange donne quelques renseignements sur les loyers de fièvre aphteuse en Allemagne ; il signale notamment que deux cas de fièvre aphteuse ont été constatés à l'abattoir de Metz. Cette maladie prend une importance tellement inquiétante chez nos voisins de l'Est quo le grand marché de bétail maigre de Beriin vient d'être fermé- Los pouvoirs publics doivent porter toute leur attention sur cette question, car si la fièvre aphteuse venait à envahir notre région, ce serait encore une fois une nouvelle et énorme perte nour l'agricultui'e et par répercussion un renchérissement du prix de la vie oour le consommateur par suite de la diminution de ce cheptel national. L'assemblée émet l'avis que le vœu adopté dans une précédente séance, soit à nouveau adressé au ministère de l'agriculture en lui demandant instamment de prendre toutes mesures nécessaires pour protéger notre bétail contre le mal qui lo menace. Chambra syndicale. — L'assemblée procède au renouvellement de la Chambre syndicale de Nancy, ainsi que du bureau de cette association qui est composé comme suit : Président, M. Ch. Viriot ; v'iceprésident, M .L. Michel ; secrétaires, MM. C. Bailly et A. Gœtzmann ; trésorier, M. H. Drarmier. Règlement d'abatage. — M. Michel donne un compte-rendu succinct do la réunion qui groupait les représentants des corporations intéressées au règlement d'abatago de l'abattoir de Nancy. Cette question fera l'objet d'une nouvelle réunion de la commission désignéo pour cette étude. La nouvelle évaluation dîs propriétés non bâties. — M. de Crevoisier signale l'intéressante communication faite au Comice agricole de Toul relativement à la nouvelle évaluation dans la commune de Minorville et au travail préparatoire bien compris effectué dans cette localité par les classificateurs. M. Bailly estime qu'on pourrait même ajouter une évaluation provisoire avant l'arrivée du contrôleur afin de discuter plus efficacement avec ce dernier ; il dit mie malheureusement, bien des commissions de classification sont loin d'apporter dans leur travail tout le soin désirable. Une Question importante est, celle de l'estimation de la valeur locative dos bâtiments ruraux, car celle-ci doit venir en déduction du prix du fermage pour l'obtention dn revenu réel do la propriété non bâtie. Dans une précédonte étude à la Société centrale il avait été admis que la valeur locative des b-ïtiments ruraux correspondait à environ 15 % du prix du fermage, non compris la maison d'habitation. D'anrès une enrruête minutieuse, M. Bailly s'est rendu comnte eue ce chiffre est en dessous de la vérité ; il neut être onnlicable dans le rayon avoisinant les villes parce <me là la valeur locative du terrain est très élevée alors que celle des bâtiments reste sensiblement la même que dans les exnloilationa éloignées des centres urbains ; mais pour ces dernières, la défalcation pour les bâtiments ruraux doit être plus élevée surtout si l'on tient compte mi'en rnlson de l'extension de l'élevage il faut de plus vastes logements nour les animnnx et un plus grand nombre de clôtuvea pour les narcs. etc Comme suite îi «a eomrmm'ioati'on. M Baillv propose à KasuemhWe la résolution suivante, mil est Montée à l'unanimité • « Consirlè-f,,^ nn-ir.ortan^e en Meurtheet-Moselle des bâtiments d'exploitation, où In mise en meules n'est qu'une exception • Considérant l'extension obligatoire n>« narties des bâtiments nff<W*s nu logemem des animaux h l'écurie et en nlr-in air pasuite du dévpInn^PTiM-it de t'éWaire • Cnnslrlprnnt l'extension ?! rlnnnPr b Cornte échéance, an Moment des ouvriers at tachte ft l'evnloitntlnn ; In Soei('»t4 oentr.iln' d'a^rionUiive r>Meuvth"-ft-MnsMlfi esH^p nnnr ,Vns*rnW<du dénariempnt ^e ATP„rihr>-f>t Moselle |> valeur locative fiea Mtimpnts r„Vn„x no-omnris la mnisnn d'h.M.*tn«on 5 % (h 2 fermage inscrit rlrms lo ba'l. » La séance est levée à midi EN JUSTICE DEPAIX A MEC? Un mariage moderne Le mariage, dont Boaumarchais disait qu'il était la plus bouffonne de toutes les institutions sérieuses, semble vouloir devenir une inlarrissable sourco do procès. On plaidait déjà pour en sortir aveo fracas par la porto basse du divorce. On plaide maintenant lorsqu'on y entre j<ap l'escalier tortueux dos agences mutrimo» Bialos. A notre époque excessivement pressée, I «n no prend, plus le temps do trouver uno fiancée on faisant valoir ses ckarnics dans les soirées dansantes. On a reewors à d'autres moyens. Les damas v#nvc9 ou les jeunes filles avec ou sans tacho lancent des invites par petites annonces aux célibataires écœurés d'une vlo de bâton do chaise et qui désirent prendro place humbles ot repentis sous lo harnais conjugal. Aux timides qui n'osent exposer leur désir de convoler en do justes noces, à coux qu'effare la pnrspeotive M'èlxiiichtr 10 premier pas, les a^enoes matrimoniale^ offrent leurs bons offices ; cependant, il n'en va pas toujours sans désagréments. C'est ainsi quo M. lo juge de paix du cantoa Sud. a rendu mardi matin son ju> gement dans un de ces nombreux procès que suscitent nos modernes façons d'accéder au mariage. Un valet de chambre d'une trentaine d'années, M. R..., se présentait dernièrement — en quôto d'un emploi — chez Mlle D..., qui tient à Nancy un bureau do placement. Au cours do la conversation, Mlle D... s'intéressa de la situation du valet de chambre. —• Tiens, à votre âge vous n'êtes pas encore marié 1 — Oh I j'ai bien le tomps do me mettre la corde au cou. Et M. R..., vanta la vie de garçon, ses heures de douce liberté, exemptes do soucis et des tracasseries d'une belle-mère. Mais Mlle D... s'employa à lui dépeindre sous des couleurs riantes les agréments du mariage. En excellents termes, elle lui parla des douceurs du foyer, célébra la consolante idée d'avoir un intérieur et une compagne fidèle, toujours prête à s'attendrir sur vos infortunes 1 Son éloquence ébranla les convictions de M. R... qui, finalement gagné à la sainte cause du mariage, avoua qu'il ne délesterait pas d'avoir une femme, mais que l'important pour lui était d'en trouver une. Il fit comprendre que son âge ne lui permettait guère de se faire un « béguin » du jour au lendemain. Sa moustache n'était pas conquérante au point d'accrocher le cœur des beiles en pleine rue et, sans être laid, cm ne pouvait cependant le comparer à coux que les femmes supplient, agenouillées, de vouloir bien les épouser. — Peuh 1 — s'écria Mlle D..., — qu'à cela ne tienne, je me charge bien de vous trouver une fiancée. Ravi, le valet de chambre remit son avenir entre les mains de cette obligeante personne, après s'être au préalable engagé par écrit à lui verser 500 francs si elle menait les négociations a bonne fin. L'affaire ne traîna pas longtemps. Mlle D... ne fut pas en peine de trouver une jeune fille honorable que tourmentait la crainte de coiffer sainte Catherine. ...L'entrée en ménage fut heureuse et le couple savourait les délices d'une lune de miel exempte de nuages, quand survint Mlle D... avec le billet souscrit à son profit. Aux réclamations qui lui étaient adressées, M. R... fit la sourde oreille et c'est ainsi aue l'affaire vint devant M. le juge de paix. Par l'intermédiaire de son avocat, M. R... se réclamant d'une jurisprudenceconstante, invoqua la nullité de son engagement commo étant contraire à la dignité du mariage. M. le juge de paix, dans son jugement, a admis cetto théorie et a déclaré sans valeur le billet souscrit par M. R... au profit de Mlle D..., d'autant plus —• dit le jugement — que l'épouse de M. R... ne lui apporta aucuno dot. Mais ostimant que toute peine mérite salaire, M. le juge de paix a condamnéle valet de chambre à payer à Mlle D... la somme de cent francs pour les démarches qu'cllo fit et l'élomience qu'elle dépensa à vanter ses mérites en vue de lui trouver une compagne. Ainsi, dès aulourd'huî. M. R... sait ce que sa femme lui coûte, mais seul l'avenir lui apprendra s'il doit se féliciter d'avoir fait un bon marché.— A. M. COFFIIRft-FOItTft Fïî'JgSilT Incombustibles st blindés, d'acier impirforab/e 8, rue Saint-Georges. NANCtf COUR ETDE NANCY D^ÂPP Audience du 11 janvier Infraction à expulsion. — Simon ValenHtt, âgé de 58 ans, domestique, sans profession ni domicile, fut condamné le 8 décembre 1910, par le tribunal correctionnel do Nancy à huit mois de prison pour infraction à expulsion. lu cour a élové la peine à un an de pri1 son. Jeune tapageur. — Le jeune Jean-Philmne Sthal, âgé de 16 ans, garçon boucher a Charmes, à la sortio d'un café en compagnie de camarades, avait fait du tapage.. 11 fut condamné à 16 fr. d'amende par le tribunal correctionnel do Lunéville. La cour, réformant le juQ-ement l'a nequitté comme ayant agi sans ' discerment. 9t m© fkm© qa© îe iff BANUEME-NANCV Malzévllle Dans la soirée de mardi, vers cinq heures et demie Eugène Gross, mineur, qui a des motifs d animosité contre M. Louis Desmaiet, chaudronnier, se présentait à son do"ÎSS*' on ProWfant des menaces. Mlle pesmaret, qui était présente, se saisit du tisonnier et en frappa Gross, qui fut brutalement expulsé de la maison Gross, furieux de cetto expulsion, brisa la porte du logement à coups de pied et aveo des bouteilles et rentra chez Desmaret Une scène de pugilat s'ensuivit, des coups nombreux furent échangés et tous les combattants portent sur la figure les traces des horions reçus. La gendarmerie, prévenue, a ouvert l'enquête d'usage. Sninl-Max Auguste Dumont, dit Provins, «Igc de t* ans, plâtrier, était allé souhaiter la br,no innée chez son ancien patron. EtaiJ ivrc« a9 e et trouvant que l'on ne lui ouvrait f ! vite la porte, il adressa des injures à celui à qui il venait présenter ses souhaits. Ce lernicr sortit, mais Dumont, mat assujetti sur ses jambes, tomba et se froctura la jambe gauche,eo qui lui occasionnera un mois de repos. Jmvffle , , .M. Séraphin Clavier, domestique do cul!ure, avait paw?e'la soirée dans un débit do Vancy avec plusieurs de ses camarades., 'lomme il regagnait la ferme où il travaille d eut une discussion avec ceux qui l'accompagnaient. L'un d'eux tira même, plusieurs coups de revolver mois personne ne fm atteint. t-idl iU «EJ £W u&èg Snint-Kon*ré-le8-B:\ins (Morvan). — de même, une eau thermale (30° à 3 31"), chloiuréo sodique faillie, lithinée, contenant un peu d acide sulphydrique, ces bromures et carbonates alcalins, avec mie trace d'iode et d'arsenic ; mais elle est plus pauvre que l'eau de Nancy en chlorures et bromures, et plus riche en silice. \oici, d'ailleurs, sa composition : Par litre d'eau Aciite sulphydrique Ogr00037 Acide carbonique libre 0 078 m — combiné ".. 0 019 1 Carbonate de sodium 0 014 — calcium 0 082 — magnésium ;. 0 01 )7 Chlorure de sodium O :if>9 £ Bromure de sodium 0 002 sSulfate de sodium O 005 — potassium 0 037 — lithium 0 0038 jArséniate de sodium 0 00047 S -SSice , 0 0036 Acide borique, acide azotique Traces i Matières organiques , 0 0093 Ë*Ï-; L EAU PARC • SAINTE-MARIE S (Source Lanîernler) par Sis professeurs SAUTHIER ot MOUREU L'Imprimerie de l'Est ayant été chargée do l'impression de ce Rapport, veut bien inous en communiquer les « épreuves », avant sa publication. C'est donc une véritable primeur que nous offrons aujour'd'hui à nos lecteurs, curieux, sans doute, •d'être positivement renseignés, depuis le temps qu'ils entendent déjà parler de <« l'eau de Nancy » et des projets de fondation de Nancy-Thermal, Nous ne pouvons entrer, on le comprend, dans de nombreux détails techniques, mais de l'ensemble de l'Etude se dégage cette impression que les eaux du Parc Sainte-Marie présentent une « valeur » désormais établie, et que leur em-ploi est des plus bienfaisants. * * 0gr593 — Température 45°.-470. débit est analogue à celui de la source du parc Sainte-Marie (30,300 hectolitres par jour) ; mais les eaux d'Aix sont plus ssulphydriques, moins salées, et beaucoup imoins bromurées que l'eau de Nancy (1). Acqua-Santa (Italie, près Aocoli).— Eau 1légèrement sulplïydriquée, comme celle de Nancy, 1 mais plus salée (3 gr. 07 de NaCl par litre), et contenant de même un peu de brome et d'iode. , Néris (Allier). — Eaux thermales, légèrement salées et alcalines, et laissant par jlitre un résidu presque égal en poids, 1 mais non sulphydriquées. Aix-les-Bains. 1Le j Le Rapport compte une introduction, et quatre chapitres. — Voici comment défcute l'Introduction ; L'eau du Parc Sainte-Marie (Source . Aix-la-Chapelle (Prusse rhénane). — Lanternier), à Nancy, a jailli en mars Eaux abondantes, thermales, salées, bro1909 à la suite d'un sondage heureux murées, légèrement sulfurées et alcalines, d'une profondeur de 800 m. 30 (1). Elle 'comme celles de Nancy, mais plus riches .sort des grès vosgiens, entre la couche de en chlorures (2 gr. 6 par litre) et en carbovNurschelkalk, d'où sont originaires les nates alcalins, et plus pauvres en bromusources froides de la région lorraine (Vit- res. On voit qu'il y a, entre ces eaux,des anatel, Contrexéville, Martigny, etc.), et la couche des terrains primitifs, d'où pro- logies et des différences plus ou moins viennent les eaux thermales de Plombiè- marquées. Les indications thérapeutiques res, Bains, Luxeuil. Le puits est tubé (en auxquelles elles répondent pourront seracier) jusqu'à la profondeur de 653 m. 85, vir de guide aux médecins dans l'étude point précis où l'eau fut rencontrée. Une des effets à attendre de l'usage de l'eau coulée de lait de ciment entre deux colon- du parc Sainte-Marie de Nancy. nes de tubes étanches et la roche traverParis, 26 décembre 1910. sée, en aveuglant toutes les issues, rend ARMAND GAUTHIER, CH. MOUREU, impossibles les infiltrations d'eaux des Membre de l'Institut, Membre de l'Acadétouches supérieures aux grès vosgiens, , Professeur à la Faculté mie de médecine. et, en particulier, des eaux de surface (2). de médecine de Paris. Professeur à l'Ecole Le tube d'acier émerge de. 3 m. 50 ausupérieure de phar'dessus du sol. L'eau, qui jaillit avec force, macie de Paris. retombe dans une vasque disposée autour; qtww-WI — ■— iffij, *j» j^mm mi I i» du tube. D'après des renseignements que nous tenons de M. Lanternier, le débit de la source, qui était, au début, d'environ 3,500 litres à la minute, a diminué peu après, pour dévenir, normalement, voisin de 2,000 litres. Mesuré officiellement le 13 décembre 1910, il a été trouvé égal à 1,8/0 litres par minute, soit 112,200 litres à l'heuJeudi 12 janvier 1911, représentation exre, et 2,692,800 litres par 24 heures (3). traordinaire de famille, à prix de coméCette eau a déjà fait l'objet de quelquesI die : LA TOSCA, drame lyrique en 3 ac(études. On a trouvé que sa température! tes, d'après Victorien Sardou, musique de 'était de 36° au sommet de la colonne as-• Puccini. cendante. Des analyses en ont été exécuOn commencera par La Parisienne, cotées par M. H. Deval, et par M. A. Sarto-- médie en 3 actes, de Henry Becque, réperry, docteur ès sciences, préparateur à l'E-- toire de la Comédie-Française. — Bureaux cole supérieure de pharmacie de Paris.• 7 heures 3/4. — Rideau : 8 h. 1/4.. Voici les résultats du travail de M. Sartory, qui paraît le plus complet (4) : CONCERTS DU CONSERVATOIRE. — Le 6e concert de l'abonnement sera donné le 22 janRésidu sec à 180».-. ........ Igr476 Résidu calciné ...... 1 3534\ vier, avec le concours du célèbre violonisRésidu calciné avec S O 3 1 549 te Hugo Hermann. On sait que cet illustre Alcalinité correspondent à 3 cm 5 de virtuose est, depuis la mort de Joachia, le solution N/100. premier des violonistes allemands. Il n'est, Densijé 1,00088. d'ailleurs,-, pas inconnu au public de nos Cryoscôpie. 0,039. Matières organiques (liq. alcalino en O) 0 0005. concerts qui eut l'occasion de l'apprécier, Matières-organiques (liq. acide en O).. 0 0028\ il y a quelques années dans une interprétation parfaite de pureté et de style du Hydrolimétrie : dureté totale, 28»5. Wydrol<njét*ie : eau oxalatée, 2». Concerto de Beethoven. Cette fois, Hugo Hydrolimétrie : dureté persistante, 20°5. . Hermann se fera entendre dans le ConHydrolimétrie : eau bouillie e-xalatce, 1». . certo de Brahms et dans un Adagio en mi Chlore, (des chlorures).... 0 5 5 Brome et iode (des bromures et iodures) néant ' de Mozart. La partie symphonique du programme SoHfre en S 03 (des sulfates) 0 0823. comprend, dé Beethoven, les Ouvertures Phosphore en P2 05 (des phosphates). néant de Léonore hs 3-et Egmont, et dans la séAzote en N 02 H (ni'rites) néant Azote en N 03 H (nitrates).... 0 oona! rie des symphonies françaises contempoAzote en N 113......... néant raines la deuxième de Vincent d'Indy. : SPËMilsÇiiRts THESTRE KUWM. Si MKT *** iVoicl, maintenant, les titres des diffé-■ rents chapitres : CHAPITRE PREMIER. — CARACTÈRES OR-\ GANOLEPTIQTJES. —- ETUDE PHYSIQUE. RADIOACTIVITÉ, CHAPITRE IL — ETUDE CHIMIQUE. CHAPITRE III. — ETUDE MiCRomox.oniQUE. CHAPITRE IV. — CONCLUSIONS ET CLASSE-' MENT DE L'EAU. Au cours de ces chapitres, les distinguésj professeurs indiquent les travaux de : MM. Rothé et Gutton, professeurs à la Faculté des sciences de Nancy ; M. le doc-! teur Bouin, du service de microbiologie à1 la même Faculté ; M. le docteur Macé, [ professeur à la Faculté de médecine de Nancy. En parlant de l'étude physique de! l'eau, les auteurs indiquent que, pour ceî 'faire, ils ont mis « largement à profit », à1 l'Institut chimique de Nancy, les ressources des laboratoires de MM. les professeurs Guntz et Muller. — Enfin voici les Conclusions et classement de l'eauf du parc Saints-Marie L'eau du Parc Sainte-Marie (Sourceîianternier), telle qu'elle émerge à la sur-" face-du sol, est une eau thermale chloru-' rée sodique faible et légèrement sulphy-" 'driquée. Elle est remarquable par les ca-" ractères suivants : 1° Son énorme débit de près de 27,000> hectol. par 24 heures, débit qui paraît res-: ter constant depuis plusieurs mois, et quii permettra de l'employer largement surf place en douches, en bains, etc.; ^ 2» Sa température de 36<>5, qui la rend propre à l'utilisation directe, sans recours; tau chauffage artificiel ; 3° La proportion relativement élevée dei sel marin (0 gr. 87 par litre), avec de petites quantités d'acide sulphydrique libre, !et une légère alcalinité, qui ajoutent leur■ action excitante des fonctions de la peau1 » celle du chlorure de sodium ; 4° L'existence d'une quantité très notante de bromure alcalin (0 gr. 017 de bromure de potassium par litre), et d'une proportion appréciable de lithine (près de 3 jniuigramrnes de chlorure de lithium par Mitre) ; ETAT CIVIL DE NANCY c ('.est, Nous avions espéré que le maître viendrait lui-même diriger son œuvre, mais il est actuellement trop sérieusement souffrant pour nous laisser supposer qu'il pourra être à Nancy le 22 janvier. Débuts des Boyston's dans leur scène fêerique ; Anileda et son excentrique, des Folies-Bergère ; Ninon Thalie, chanteuse de genre. Première de Bloomfield et C°, comédie en 1 acte. Cïnématographo PftTHE Jeudi 12, matinée à 2 heures \. Demiplace pour les enfants et les militaires. Programme de tout premier ordre : La Princesse TaraS^anoiva et Catherine llf film d'art russe ; Le Marchand d'images, féerie ; Le Voyageur inconnu, scène dramatique ; Le Foot-Bail en Famille, scène comique, etc., etc. Pathé-Journal et les actualités, SALLE DÉGLSSti Cinéma-Théâtre — Rue de l'Equilation Jeudi 12, matinée à 2 heures A cette séance seront données La Poupée, beau drame interprété par une enfant de trois ans ; Une Pouponnière à Paris, film excessivement intéressant, et toutes les actualités. Moitié prix pour les enfants et les écoles. Parmi les actualités figurent la Tragédie anarchiste d'Houndstitch, à Londres ; Le départ et le retour du lieutenant de Caumont à Lunéville pendant le Circuit, film absolument unique ; Les funérailes du lieutenant de Caumont, etc., etc. SKATING, 79, rue du Ruisseau Les mardis, jeudis et samedis, matinée et soirée. BRASSERIE MICHAUT Cinéma gratuit tous les jeudis. Vues spéciales pour familles. Goûter aux enfants. ' «» a <i>- ——■ 1 ■ ■■ ; Gl)FOi)iqtie_8poFHve de l'Europe. \ (2) Voir Essai (Je classification o.q principalesi sources minérales de la région lorrân*,. d'après J? constitution géologique du sol, par MM ' Lharles Thiry et Barachon. Q) Rapport du Contrôleur des miws de l'arrondissement minéralogique de Nancy (16 de^bpc 1910). «J11 Bulletin de la Société chimique de JTrance,, * Çfefc, t. vu, p. 313 (1910). NaïSF.p.siQes Maurice-Auguste Lamarche, boulevard de la Pépinière, 18. — Marguerite-Henrictte-Eugénie Biegler, rue de Cronstadt, 10. — Elisabeth-Anne-Marie Laffitte, rue Charles-III, 66. — Camlile-Victorine-Huguette Brouant, boulevard d'Alsace-Lorraine, 86. — Jacques-Pierre et Jean-Simon Prudhomme, rue Notre-Dame, 18. Décè9 Lucien-Georges Henry, l an et 2 mois, rue du Général-Drouot, 10. — AugustineMarie Moret, 6 mois et 5 jours, rue de la Hache, 116. — Caroline Georges, 48 ans, débitante, épouse Mathias, rue Saint-Nicolas, 88. Transcriptions Hippolyte Basset, 63 ans, surveillant de travaux, décédé le 5 décembre 1910, à Laxou (Meurthe-et-Moselle). — Auguste Renaud, 38 ans, malteur, déeédé le 31 décembre 1910, à L&xou (Meurthe-et-Moselle). — Clotilde-Appoline Heitz, 35 ans, domestique, veuve Kim, déeédée le 24 décembre 1910, à Laxou (Meurthe-et-Moselle). Onllctiii liel>i1oiii)t<!:«i«*c «le Mtiifi* tique déaiiogra|t!ii<j(ic et mé'li«ntle «ïe rVmtey Mois de décembre 1910 Fièvre typhoïde, 1. — Scarlatine, 1. — Coqueluche, 4. - Grippe, 3. — Tuberculose des poumons, 19. — Tuberculose des méninges, 5. — Autres tuberculoses, 3. — Cancer et autres tumeurs malignes, 16. — Méningite simple, i. — Congestion, hémorragie et ramollissement du cerveau, 22. — Maladies organiques du cœur, 17. — Bronchite chronique, 5. — Pneumonie, 12. — Broncho pneumonie et autres affections de 1 appareil respiratoire, 22. — Diarrhée et entérite (au dessous de 2 ans), 9. — Hernies, obstructions intestinales, L — Cirrhose du foie, 3. — Néphrite et maladie de BrJght, 5. —Tumeurs non cancéreuses et autres maladies des organes génitaux de la femme. 2. — Débilité congénitale et vices de conformation, 3. — Débilité sénile, 13. — Morts violentes (suicide excepté), 4. - Suicide, 5. — Autres maladies, 38. Maladies inconnues ou mal définies, 4. — Total, 218. AVIS MORTUAIRE I Vous êtes prié d'assister aux convoi funê- H ■ bre et enterrement de 1 Madame Jules RACADOT I Née François NEVEUX g ■ g ■ H | H H jS décédàe à Nancy, le 10 janvier 1911 qui auront lieu le jeudi 12 courant, à 3 heures du soir, en l'église Saint-Nicolas, et de là au cimetière de Préville où se fera l'inhumation. On se réunira à l'église De la part de Monsieur Jules RACADOT ; Monsieur et Madame RIFF et leurs enfants ; les Familles RACADOT et RIFF. II ne sera pa« envoyé «le lettre» de ralrc-pnc-i, le présent avis en tenant lie 11. H H 9 B I H I I ■ £ayant l'intention de commander à brève échéance le monument en granit poli, exécuté sur les plans de M. A. Rougieux, £architecte. Les souscriptions sont reçues chez le t président, M. Léon Herbier, ruelle do Na1bécor. et chez le trésorier. M. Edouard ]Thomas, 11, rue Saint-Georges, à Nancy. Macabre découverte â Fraimbois M. Rambaud, manœuvre à Fraimbois, qui traversait la forêt entre Fraimbois et ■Moyen, a fait la découverte d'un cadavre 1 méconnaissable. M. Liégey, maire de Fraimbois.prévenu, 'se • transporta sur les lieux et reconnut les 1 restes de M. Prud'homme Paul, cafetier à Moyen, disparu de son domicile depuis 3 mois. Le malheureux s'était pendu à un arbre, ! mais la corde s'était rompue et son cadavre fut trouvé sur le sol. H avait quitté le domicile conjugal le 5 1 octobre dernier, il ne jouissait pas entièrement de ses facultés mentales. Pont-à-Mou88on La police municipale vient d'arrêter Jules Emile Schmitt, garçon de salle, recherché depuis 1898 par le parquet d'Epinal pour vol. A la gare de Pagny L'Officiel du 11 janvier contient un décret autorisant l'installation d'une grue et de voies ferrées sur la rive gauche de la Moselle, à Pagny. — Havas. Toul Dans la nuit de mardi à mercredi, à 1minuit un quart, les appels lugubres du tocsin résonnaient en ville. Le feu venait de^ se déclarer au café du Murot, rue du même nom. Cet incendie, dont les conséquences auraient pu être plus graves, avait pris naissance dans une chambre à coucher de premier étage de ce petit café, tenu par les époux Martin. Il fut rapidement attaqué par les sapeurs-pompiers, et au bout de quelques instants, ces derniers on furent maîtres. Les dégâts s'élèvent de 750 a 900 fr., couverts par l'asurance. Remarqué sur les lieux du sinistre : MM. A. Denis, maire ; Masson, adjoint ; Malet, commissaire de police. La maison appartient à Mme Reigenback. Les décorations de la garnison de Toul M. le général Defforges, commandant d'armes à Toul, remettra jeudi les décorations suivantes : Officiers de la Légion d'honneur. — Le général Sellier, adjoint au gouverneur ; le colonel Kruger, chef du génie ; le commandant Grimault ; le médecin-major Charier, de la territoriale. Chevaliers. — Les capitaines Bioley et Poignon, du 6e d'artillerie ; Kintzel, du 39e; Vasser, de la commission d'études ; Gougelia, Renouard, Willems, du 160* ; Toupet, du 146" ; les officiers d'administration Ferrat-Martin et Triolet. Médaille militaire. — Les adjudants Lame, du 153' ; Crambs, du 160e ; le sergent Caremé, de l'hôpital militaire. La ligne Toul-Thiaucourt prolongée jusqu'à Conflans Une indiscrétion nous permet de dire que le « Groupement commercial de Toul » se préoccupe depuis quelque temps déjà AVIS MORTUAIRIÎ de faire adopter par les pouvoirs compéM Vous êtes prié d'assister aire convoi funè- I tents et les communes intéressées l'idée H bre, service et enterrement de de la prolongation de la ligne Toul-Thiaucourt jusqu'à Conflans-Jarny, en se soudant vers Vigneulles à la ligne étroite en construction dans la Meuse de CommerNée Caroline GEORGES 8 déeédée à Nancy, lé 11 janvier 1Ô11, B cy: à Montmédy. Si cette idée était adoptée, ce serait là dans sa 48* année munie des sacrements de l'Eglise mjse en valeur d'une région immense avec S jqui auront lieu le vendredi 13 janvier 1911, I une-'répercussion heureuse pour le com■ a 10 h. Ij2 du matin, en l'église Saint Nico- B merce de Toul. m las, et de là au cimetière dn Sud où se fera B Le' tracé est à étudier, mais en jetant H l'inhumation. les Vêtes' sur la carte, il semble devoir être Réunion à là maison mortuaire i |; Essey â Vigneulles et Vigneulles à Con,88, rue Saint-Nicolas. fl flans. . Saizetais B De la part de ; B UMonsienr MATHIAS, marchand de Tins, et B Procès-verbal a été dressé à Mme GuilM des lamilles MATHIAS et GEORGES. laume, de Saizerais, pour divagation de B H 'se sera ESSS envoyé «le ■ctt'i-cs fl son chien, et à Charles Chèvre, de Benney, ■ «le faire part, le prëacnt a vis en H pour défaut d'éclairage de ses voitures. Madame MATHIAS EM I tenant lieu. '■■ . Cette adresse, revêtue des signatures des membres du comité, a été transmise à M. Samain, président de la Lorraine spor- tive, n (1) Dans une recherche spéciale faite comparalivement è propos de ce travail, nous avons trouvé dans les eaux d'Aix-lcs-Bains (par litre) : Source Source d'alun UUSOiifTI Bromure de potassium 0 millig. 250 0 mfjj. «0 Iodure do polussium... 0 millig. 041 0 mil). 0a4 'Verdun, où des médecins vinrent en toute 1 hâte leur prodiguer les soins nécessités ] par leur état. Pendant ce temps, les plus intrépides 1 rendaient dans les bois où ils organise .saient une battue, sans beaucoup d'entrain, cela va sans dire, et qui ne fit pas |beaucoup de victimes, puisque seul M. le 1 capitaine Gabarrot, du 3e hussards, fut as1sez heureux pour descendre un sanglier de 110 livres. Une femme tombe dans laMauseetse noie Vers 6 heures 3 quarts du matin, une 1 dame Ferry, veuve depuis dix jours, âgée de 70 ans, demeurant au village de Belie'ville, se rendait à Verdun pour y acheter 'différentes choses dont elle avait besoin. : Elle suivait le chemin de halage. Arrivée entre les deux ponts volants, situés à l'arrière du jardin d'horticulture, 1 elle glissa sur la chaussée transformée en véritable patinoire par le verglas, perdit ! l'équilibre et tomba dans la rivière. Un témoin de l'accident courut appeler un batelier qui, à l'aide d'une barque, fit force coups de rames pour rattraper la pauvre femme qu'entraînait le rapide courant. Un peu en amont du pont de la Galavaude, soit trois cents mètres plus loin, et après vingt minutes d'efforts, on put se saisir de la victime qui.... fut déposée sur la berge, les jambes dans la rivière jusqu'à la hauteur des genoux, en attendant l'arrivée de M. le commissaire. Il me semble cependant que la plus élémentaire humanité exigeait quo les premiers soins que l'on donne d'ordinaire aux noyés (respiration artificielle, chatouillements, tractions de la langue, etc.) fussent essayés. N'a-t-on pas vu des noyés revenir à la vie au bout d'une heure de soins empressés ? En la circonstance, rien ne fut fart... M. Proust, commissaire de police, accompagné de son secrétaire, et de M. le docteur Pélas, vinrent procéder aux constatations d'usage. Après quoi, le cadavre fut transporté à la morgue de l'hôpital StNicolas, aux fins d'autopsie. Le 100 ar«Hi?3rsair8 ds Eflme LisparEatta LORRAIHBJBT ALSACB Groupe ir.îsoin de conférences Le groupe messin de conférences a or< ganisé une conférence qui sera donnée dans la grande salle de l'hôtel du Nord, le vendredi 13 janvier 1911, à 8 heures i très précises du soir. « La vie de cour et de château au moyen' âge », par Frantz Funk-Brentano.. Brasserie de fêancy garantit sur facinr» u bière liirlniilinirill MU ET HOUBLONS DE f CHOIX Trtl fabriquée ayee dej saine et digwtiv». Ecl)o§ deja jfiede Paris, 10 janvier 1911. — On a essayé des robes courtes pour îe soir. Décidément, ce genre est laissé aux jeunes filles qui dansent beaucoup. Les toutes jeunes femmes aussi l'adoptent pour les bals intimes. Mais les mères, et les femmes qui ne dansent plus, reviennent à la robe longue, que ce soit un fourreau étroit à petite traîneserpent, ou la demi-traîne classique. Le fait est que les dames mûres, qui pour la plupart ont pris un certain embonpoint, sont plus à leur avantage dans une robe longue. Il serait à désirer que, s'inquiétant plus de ce qui leur sied, les femmes qui n'ont pas ce que nécessite la mode actuelle, je veux dire assez de sveltesse et de souplesse, renoncent aux fourreaux étroits qui les boudinent et les rendent ridicules. Mais ce serait peine perdue que de vouloir en convaincre certaines d'entre nous. Parmi les jeunes élégantes qui adoptent leschapeaux excentriques, sans se soucier si leur physique s'y prête, il y en a plus qui s'enlaidissent qu'on ne le croit. D'ailleurs se voit-on jamais vraiment telle que l'on est ? Au théâtre, a présent, le grand chic est de se coiffer d'une marmotte, — en soie précieuse il est vrai — telle qu'en porte la femme des champs, pour se garantir soit du se-, leil ou de la bise glaciale. Ce fichu, qui enveloppe la tête en cachant tous les cheveux, et s'attache devant par un simple nœud à petites cornes, est la folie de l'heure.. S'il y a dans une salle de spectacle trois femmes qui sont adorables air/si coiffées, combien nombreuses sont celles qui font penser au lord anglais de Fra- Ainsi quo l'Est républicain l'a déjà dit, une grande fête est organisée avec le concours de la Société de musique « La Patriote », à Vaux-devant-Damloup, pour le dimanche 23 janvier, à l'occasion du 100» anniversaire de la naissance de Mme veuve Lisparlette-Gabriel. Voici le programme de cette fête, qui sera présidée par M. le préfet de la Meuse, assisté de MM. Poincaré, Develle et Humbert, sénateurs ; de M. Noël, député ; de M. le général Lecomte, gouverneur de Verdun ; de M. le sous-préfet de l'arrondissement, etc.. A 11 heures du matin, — Réception par M- le maire et le conseil municipal, à la diavolo ! ?... mairie, de M. le préfet et des représenPourquoi cette mascarade puisqu'elle ne tants du département. Ensuite aura lieu la présentation de Mme Lisparlette et de sert qu'à se ridiculiser ? ses enfants, en présence de la jeunesse du Parlons un peu des sacs en velours soutapays. chés d'or, dont beaucoup ont une allure de À midi. — Banquet par souscription, sabretache, et qui ont une longue cordelièauquel assistera la vénérable centenaire. re que, jusqu'ici, l'on passait à son bras. « La Patriote » jouera pendant le banUne élégante, un jour, fatiguée de sentir quet. S'inscrire à la mairie jusqu'au 15 le sien lui battre la jambe, le passa sur l/é-r janvier, prix 5 fr.) A 3 heures. — Tirage d'une tombola au paule gauche, pour le retenir d'un joli petit bénéfice de la centenaire ; réjouissances geste « chasseur » sur sa hanche. Maintenant le sac est porté ainsi par toutes les jodiverses et bal de nuit. Cette fête ne manquera pas d'attirer de lies mondaines. nombreux étrangers et, le beau temps ni Les manches des robes et des manteaux dant, elle obtiendra le plus grand suc- remontent au-dessus du coude, comme il y cès. Et ce sera justice ! a quelques années déjà. Les gants longs s'imposent donc avec cette mode-là, et pour, BiÈRJË BE CM A MPUGHEULLES ne pas avoir froid, les manchons grandisLa nouvelle BEI ME des bières sant en conséquence, les femmes y enfonest fabriquée avec da malt d'ORGE et du HOUBLON eiclnsiveiueat cent leurs bras tant qu'elles peuvent. ' BRUXELLES 1910: GRAND PRIX Comme geste, ce n'est pas trop gracieux, •—-«S*— — ' car celles qui ont les bras courts, sont obligées d'arrondir leur dos pour arriver à se protéger de.la'bise ; mais c'est si chic, ma chère ! Pour ce printemps et l'été, ce sont les dentelles russes, et les broderies russes et roumaines qui font fureur. Les dentelles russes qui sont faites par Bureaux de bienfaisance. — De nouveaux bureaux de bienfaisance sont créés les paysannes du Caucase et des bords du à Moussey et à Rehaupal. Un décret at- Don, sont d'une solidité étonnante et fort tribue à ces établissements des biens pro- jolies. Il y en a aussi en couleur, où le rou-: venant des fabriques et qui n'ont pas été ge et le bleu dominent ; de blanches et rouréclamés. ges, de toutes rouges, qui, avec les entredeux blancs et rouges, garnissent le linge des dames et des paysannes aisées,Peutes A Saint-Amé, Lucien Mathieu se livrait Russiennes, leurs tabliers en étamine de' à de graves voies de fait sur la personne lin, richement brodés en petite croix, leurs de sa femme, née Adèle Pierre, âgée de blouses-russes, etc., etc. 64 ans, qui est remariée avec lui en 3e Certaines de ces dentelles imitent la guinoces. Mathieu, étant ivre, assomma sa femme pure et les dentelles de Saxe, dites Klœppelà coups de poing et, comme elle était Spitzen, dentelles au fuseau cme font les étendue sur le plancher, il lui plaça le paysannes des (t Monts-d'Airain ». Lorsque j'habitais l'Alsace, tous les ans, tranchant d'un hache sur le visage. La pauvre femme se débattit et parvint au printemps, arrivait un marchand qui, à se traîner jusque son lit où Mathieu es- du Tond de la Saxe, apportait à ses clientes saya de l'étrangler. fidèles, des dentelles admirables qu'il avait Depuis cette scène, le ménage allait de! récoltées dans les villages. plus en plus mal. Mais la malheureuse C'étaient de# dentelles de fil pour orner n'osait pas porter plainte contre son ma- le linge ; des tours de mouchoirs d'une ri, craignant ses représailles. beauté remarquable, des écharpes en guiSon fils, âgé de 4z ans, n'osa pas non pure de soie noire eu blanche, des hauts de plus intervenir, tant il redoute la violenchemises, qu'il vendait à des prix fort raice de son beau-père. Mathieu, rentrant ivre dernièrement, sonnables. C'est aussi ainsi que les marchands ams'arma d'un bâton et en frappa sa femme sur les reins et sur la tête, jusqu'à ce qu'il bulants russes parcourent les villes de Russe rompît. sie, porteurs de dentelles d'une finesse exDa malheureuse s'enfuit et passa la nuit quise, œuvres des mains habiles de simples à. la belle étoile. Elle est venue à Remire- femmes de moujicks. mont, où elle s'est décidée à porter plainDonc, cette année-ci la dentelle russe sera te à la gendarmerie. la joie de nos élégantes, certaines maisons Interrogé, Mathieu s'est borné à réponde Paris en ayant un stock considérable à dre qu'il ne se rappelle de rien. On redoute un drame dans cet intérieur écouler. On fait des blouses en crépon blanc, dont d'enfer. le devant et le dos sont brodés en couleurs variées, les manches courtes sont ornées d'un galon pareil. L'état de la victime. Ce sont des imitations de broderies de JéL'assassin court toujours. L'état de Mme Ried, victime de la tenta- rusalem, de Turquie et d'Algérie. On peut tive d'assassinat que nos lecteurs connais- parfaitement les reproduire et arriver à se sent, reste stationnaire. La malheureuse faire, à bon compte, une 'de ces blouses-là. On parle même de porter de longues ceinfemme souffre horiblement et des complications fatales sont à craindre. On n'a tou- tures-écharpes de ce crépon brodé, sur les jours pu obtenir d'elle aucun renseigne- robes de velours, et sur les robes claires de ment sur son agresseur. cet été. Une somme de 3 à 400 francs, représenEn attendant, c'est la ceinture de satin tant ses économies, a disparu. Une autre noir à nœud-moulin qui tient le record en somme importante, appartenant aux, fils ce moment. Elle se fait à pans courts ou Ried, et qui n'était pas dans le même tilongs, selon les goûts. Le nœud-moulin est roir du meuble, est restée intacte. On n'a aucune trace de l'assassin. Les formé de coques larges et carrées qui imipistes suivies jusqu'ici n'ont donné aucun tent les ailes d'un moulin. résultat. L'instrument du meurtre, que l'on Comtesse BERTÏJ suppose être un marteau ou une barre de — *■ fer employés dans les carrières voisines, n'a pas encore été retrouvé. Les ouvriers disent qu'aucun outil ne manque sur leurs chantiers. CjHL H m:i:ro an/que po»» ^S^SB^CEJÎllSEÎ, MÎÎA35ES * SODiS di la P£JÏ. Ménage d'enfer! AVM AlOBTUAIltli: 5° La présence d'une très minime dose do manganèse et de matière organique: CYCLISME — azotée, probablement de la nature de la1 Une adresse à la Lorraine sportive. — glairine. Cette substance peut (sans que» nous en avons toutefois la preuve, réser-■ Dans sa réunion de mercredi soir, au sièvée à l'étude clinique) permettre aux tra-■ ge social, café Thomas, rue des Quatreites de manganèse que l'eau contient ae! Eglises, le comité de la Jeune Cycliste iouer le rôle d'agent catalyseur, confor-" nancéïenne a voté l'ordre du jour suivant, mément aux observations de M. G. Ber-' sur la proposition de son président, M Trano «t de M. Trillat ; Achille Liégeois : 6° Un» légère radioactivité et une pro« La J.-C.-N- envoie à la Lorraine sporportion appréciable de gaz rares, où l'hé-■ tive, de Metz, à l'occasion des incidents lium entre pour près de la moitié. de dimanche dernier, toutes ses félicitaD'après sa composition, on neut rappro-" tions pour l'attitude indépendante qui lui cher l'eau a<. ia Source du Parc Sainte-- a conquis en France l'unanimité des symMarie des eau* thermales suivantes : pathies. » ... <1) Ce serait, d'aprfe* M Lanîernler, archi-tecte, le copiage d'eau mi^a]e \e pius profondi Du 11 janvier 1911 eAsmo EDEH-THEATRE de Bosserville, sont priées de \intéressante le faire le plus tôt possible, le Comité I Monsieur et Mme N. SCHNERF-EISENi MANN et leurs enfauls, 78, rue de MonH Désert. fl Ont la douleur de vous faire part de la w perte cruelle qu'ils viennent d'éprouv»r en la ■ personne de S B H m fl Horrible mort d'un soldat à Verdun Dans l'après-midi, vers 2 heures, un soldat du 4e bataillon du 106° régiment d'infanterie, conduisait une voiture régimenI leur père, beau-père et grand-père, décédé à H taire dite de corvée. §5 Strasbourg, le 9 courant, dans sa 72* année. H Il venait du quartier Bévaux et s'engageait sur la route de Neufchâteau à Mézières, lorsque soudain, on ne sait pour cruel motif, son cheval prit peur et partit à toute allure dans la forte descente qui va jusoue près de la Tour du Champ. Le conducteur fit des efforts désespérés Madame LALLEMENT et toute sa Famille § remercient bien sincèrement les personnes M pour le retenir, ce fut sa perte. Il fut renqui leur ont témoigné de la sympathie à l'oc fl versé, piétiné et la voiture lui passa sur le casion du décès de corps, l'écrasant littéralement. Lorsque les personnes qui avaient assisté de loin et impuissantes à ce drame horVice-président de la Commission rible, — comme M. le capitaine Henry, du administrative du Bureau de Bienfaisance fl 61" d'artillerie — accoururent pour le re: lever, le malheureux n'était plus qu'une masse inerte et sanglante. Il fut transporté au café de la BelleEtoile, chez M. Renard, qui très obligeamment, prêta une chambre et un lit pour installer la victime en attendant l'arrivée de l'ambulance militaire. Monsieur Elie SCHNERF I Monsieur Miciiel-Léopold LALLEMI? Ileurllsel-Moseilc ioiiumsnt patriotique de Bosserville Tragique partie ds chasse près Verdun 16e liste de souscription MM. Rozières, marchand de charbon, 0 fr. 50 ; Pierson, agent d'assurances.l fr.; anonyme, 1 fr. ; quête faite la nuit du Nouvel-An à la brasserie de France, 1 fr. 75 ; les anciens médaillés militaires, 10 fr. ; Roland et Koch, rue Saint-Dizier, 5 fr. ; la Compagnie de Saint-Gobain, 100 fr. ; Gonin, directeur de la saline d'Art-sur-Meurthe, 5 f r. ; Jusseaume, comptable, 2 f r. ; Jacquot, magasinier, 2 fr. ; Léon Boulanger, à Lenoncourt, 2 fr. ; Cognon, rue du Montet, 1 fr. ; le curé de Viterne, 5 fr. ; le curé d'Essey (2° s.), 5 fr. ; Albertin, à Laneuveville, 3 fr. ; Vial, avoué au tribunal de Nancy, 5 fr. ; Mézy,négociant, 3 fr. ; Achin, huissier, 2 fr. ; Arthur Cahen, 5 fr. ; Voinier, conseiler d'arrondissement, à Bouxières-aux-Chênes, 5 fr. ; Pierre Pelte, à Bosserville, 5 fr. ; anonyme, 2 fr. Montant de la 16" liste : 173 fr. 25. Listes précédentes : 5,061 fr. 25. Total à ce jour : 5,234 fr. 50. *"* Le ministre de la guerre vient d'écrire au comité qu'il était très favorable à l'œuvre de souvenir patriotique entreprise à Bosserville et qu'il la soutiendrait et l'encouragerait par tous les moyens en son pouvoir. Les ministres de la guerre de Belgique et d'Italie sont aussi très sympathiques à cette œuvre lorraine qui, en trois mois, a déjà recueilli plus du tiers de la somme nécessaire à la réussite des divers projets en vue pour rappeler le souvenir des malheureux soldats de 1793-94 et de 18131814. Les noms de ces morts de la Chartreuse de Boserville viennent d'être placés en deux grands tableaux dans la petite église de cette localité, qui deviendra ainsi un sanctuaire patriotique comme Marsla-Tour. Les personnes qui ont l'intention d'apporter leur souscription à cette œuvre si Trois blessés Un groupe d'excellents chasseurs verdunois se rendait à la chasse, vers neuf heures et demie du matin, dans les bois de Belrupt, où une imposante troupe de sangliers a, paraît-il, élu domicile. Ils étaient installés dans une tapissière conduite par le cocher Henry, et devisaient gaiement, lorsque tout à coup, l'arrière de la voiture dérapa sur le verglas en descendant la côte rapide qui conduit au village de Belrupt, vint buter contre le revers du talus de la route, et se renversa.entraînant avec elle dans le fossé et pêle-mêle, chasseurs, chiens, armes, provisions, etc., en un mot tout son contenu. Ce fut une mêlée effroyable. Des fantassins qui manœuvraient près de là, accoururent relever nos douze braves nemrods de leur fâcheuse position. La plupart n'avaient que des contusions ou des ecchymoses sans gravité. Mais il n'en était pas de même de trois d'entre eux, MM. Pertenne, Rouillier et Vautrin, qui paraissaient fortement blessés. En effet, M. le commandant Pertenne-du 5" régiment d'artillerie, avait une bonne partie du cuir chevelu et de l'arcade sourcilière arrachée et des contusions multiples à la face ; de plus, un œil était à moitié sorti de l'orbite. M" Vautrin, avoué, rue Saint-Pierre, avait le nez brisé et était atteint d'une forte hémorragie. Quant à M. Rouillier, juge près le tribunal de Verdun, qui se trouvait sur le siège près du cocher et qui fit de ce fait un saut énorme, il avait l'avant-bras droit fracturé et de nombreuses contusions. Le cocher, lui, en a été quitte pour quelques contusions pou graves aux jambes et aux reins. On réquisitionna une voiture où l'on installa le plus confortablement possible les Massés qui furent ramenés d'urgence à Le crime de Darney Mort accidentelle à Viocnurt Plusieui's ouvriers bûcherons étaient occupés dans le bois communal, au lieudit « Aux Faraux », à abattre des arbres, lorsqu'une maîtresse branche s'étant brisée, s'abattit sur le sol, atteignant le groupe dea bûcherons. M. Henri Maillot, âgé de 54 ans, fut tué sur le coup, ayant eu Te crâne fracturé ; un autre bûcheron, M. Charles Burnel, atteint à la tête, tomba sans connaissance, il put être ranimé et ramené à son domicile. M. le docteur Sacquin constata qu'il avait une plaie n'intéressant que le cuir chevelu et sans aucune gravité. f CHICORÉE BOULANGÈRE ] PAQUETAGE CROISSANT g loi ils flptiep. Giire iêlêiiaisÉ EPICERIES JAUNES dans tous les QUARTIERS Garanti naturs' Le litre -.0^30 Corsassions Impcrtanies par fûts. Léon LE PAYEN Chirurgien-dentiste Diplôme d'honneur — Deux médailles d'ol NANCY — 47, rue Cambetta — NANOV I Consultations ds 9 heures à 5 heures ff.'H*]?!""' 4 HBBËSB BË5BBBBBBHBBBM1 "' " ^^HB*MBBjÉWBWMB3BBBgSMWBBÉSMB8SSSBSBMMiH M. Majérus, charron dans la maison Murchev îlle-Uaguin, à Vurungeville. Al. Alurigin.gurde intérimaire à la Compagnie de t'Est, à Nuncv. (SUITE ET M. Mangin, garde-barrière à la Compagnie de l'Est, à Kosières-aux-Salincs. MEURTHE-ET-MOSELLE M. Martin, ouvrier à la Société de Mlle *ereite, broueuse a la société de Pierrepont. Pierrepout. Mme veuve Martin, née Thomas (MaM. Perry, employé à la société îles sali- rie-Célestine), ouvrière dans la maison nes do Alaixe. Les Fils d'Emanuel Lang, à Nancy. M. Fiacre, chcl d'équipe à la manufacM. Mauchand, tisseur à la Société de ture de glaces de baint-tjobain, à Varange- Pierrepont. ville. M. Méder, ouvrier à la Société de Pier M. L ici, polisseur retraité de la société repont, à Bcuveilie. M. Michel, contremaître dans la maide Saint-Gobain. M. Flavion, ouvrier à la société de Picr- son Solvay. à Dombasle-sur-Meurthe. M. Mien vil le, manœuvre à la Société repont. M. Flèche, tisseur à la société de Pierre- du Noi'd et de l'Est, à Ludres. M. Mischo (Rodolphe), à Nancy. pont, à Saint-Supplet. M. Monnet, chef mouleur à la faïenceM. Fleurent, magasinier à la société Relrie Keller et Guérin, à Saint-Clément. ier et Guérin, à Lunéville. M. Monpcrt, polisseur à la Société des M. François, ouvrier dans la maison Solétablissements Adt, à Pont-à-Mousson. vay, à Dotnbasle. Mme Morgenthaler, née Scheid (Eugé M. François, ouvrier ù la société anony nie), ouvrière dans la maison Henri Durmo de Pierrepont, à Doncourt. Mme veuve Freppel, née Dietmeyer (Ma- lach, à Nancy. M. Noël, garde-barrière à la Compagnie rie), ouvrière dans la maison Les Fils de l'Est, à Nancy. d'Emmanuel Laiig. M. Pacatte,peintre céramiste à la faïenM. Fridrich, à Nancy. M. Gabay, manœuvre à la compagnie des cerie Keller et Guérin, à Saint-Clément. M. Parisse, cisailleur à la Société méforges de Chàtillon, Commentry et Neuvestallurgique de Gorcy, à Vaux (commune Maisons, à Neuves-Maisons. de Cosnes). M. Galliot, à Ville-en-Vermois. M. Patoux (Hilaire), à Dombasle. M. Gauzclin, employé à la société des M. Paulin, mouleur à la Société anoaciéries du Nord et de l'Est, à Ludres. M. Gérard, tisseur à la société de Pier- nyme des faïenceries Keller et Guérin, à Saint-Clément. repont, à Fresnois-la-Montagne. M. Penin (Jean-Baptiste), à Nancy. M. Gérard, manœuvre à la société anoMlle Perrin, caissière dans la maison nyme de Pierrepont. M. Giovannella, manœuvre à la société Marcel Wagner, Nancy. M. Pertusot, peintre céramiste à la des forges et aciéries du Nord et de l'Est, faïencerie Keller et Guérin, à Saint-Cléà Ludres. M. Gitzhoffer (Pierre)- manœuvre à la ment. M. Petit,comptable à la Société de Piercompagnie des forges de Chàtillon, Comrepont, à Laroche (commune de Montimentry et Neuves-Maisons,à Champigneulgny-sur-Chiers). les. M. Pierson, ouvrier à la faïencerie KelM. Gitzhoffer (Jean), manœuvre à la ler et Guérin, à Lunéville. compagnie des forges de Chàtillon, ComM. Pierson (Victor), polisseur à la mamentry et Neuves-Maisons,à Champigneul- nufacture de glaces de Saint-Gobain, >es. Chauny et Cirey, à Cirev-sur-Vezouze. M. Gomel (Auguste), à Nancy. M. Pinot, ouvrier ajusteur à la Société M. Grandjean (Charles), à Nancy. des hauts-fourneaux de Pont-à-Mousson, Mme Grosjcan, née Pauly (Joséphine),ou- à Pont-à-Mousson. vrière dans la maison Jules Bloch, à TomM. Proth, monteur à la Société de Pierblaine. repont. à Beuveille. M. Guillaume, contremaître à la société M. Régnier,ouvrier dans la maison Soldes aciéries de Longwy, à Gouraincourt- vay, à Dombasle-sur-Meurthe. Longwy. M. Retz, poseur à la Compagnie de Mme Guillen, tisseuse à la société de l'Est, à Nancy.. Pierrepont, à Montigny-sur-Chiers. ■Mi Rhoer (Auguste), à Cirey-sur-VezouM. Habay, contremaître à la société de ze. Pierrepont, à Laroche, commune de MonM. Riehy, modeleur à la Société des tigny-sur-Chiers. hauts-fourneaux et fonderies de Pont-àM. Hagenbourger (Nicolas), manœuvre Mousson, à Pont-à-Mousson. , à la société de Pont-à-Mousson. Mme Riegel, née Dach (Marie), ouvrière M. Hanus (Auguste), ouvrier peintre cé- dans la maison Les fils d'Emanuel ramiste à la société Keller et Guérin, à Lu- Lang, à Nancy. néville. Mme Riess, née Freppel (Marie), à NanM. Hébert, tisseur à la société de Pierre- cy. pont, à Saint-Supplet. M. Rif. manœuvre à la Société MarMme Heydt, née Jacob (Agathe), à chévllle-Daguin, ù Saint-Nicolas. Nancy. M. Risser, à Nancy. M. Heinemann, manœuvre à la verrerie M.' Ritter, comptable à la faïencerie de Croismare. Keller et Guérin, à Lunéville. M. Helmer (Jules), mouleur à la faï:ac: M. Rothenmacher (Jean), manœuvre à rie Keller et Guérin, à Saint-Clément. la Société de Pont-à-Mousson, à BlénodM. Henrion (Nicolas), teinturier à la so- lès-Pont-à-Mousson. ciété anonyme des usines de Pierrepont, à Mlle Royer (Marie), ouvrière dans la maison Eschenlohr, à Nancy. gaint-Supplet, M. Schal, garçon de magasin, dans la M. Henry, manœuvre à la société de maison Henry Charleville, à Nancy. Pont-à-Mousson. M. Schlatter, tisseur dans la maison Mme Hermann, ouvrière dans la maison Louis Lang, à Nancy. Les Fils de Jules Bloch, à Tomblaine. M. Schneider, charpentier dans la maiM. Humbert, verrier à la société de Croisson Solvay et Cie. à Dombasle-sur-Meurmare. the. M. Iuncker (André), à Nancy. M. Scliœny, brasseur dans la maison M. Iuncker (Jeaw), à Nancy. Moreau et Cie. à Vézelise. Mmo Iuncker, à Nancy. M. Schohn (Auguste) tisseur à la SoMlle Iuncker (Rosine), à Nancy. ciété de Pierrepont, à Pierrepont. Mlle Iuncker (Marguerite), à Nancy. M. Schott, ouvrier à la Société anonyM. Jacob, retraité de la société de Cirey. M. Jacob, brigadier garçon de comptoir me des usines de Pierrepont, à Pierrepont. à la Banque de France, à Nancy. M. Simon, fondeur à la Société des M. Jacquemin (Otto), modeleur à la sohauts-fourneaux de Saulnes, à Saulnes. ciété Keller et. Guérin, à Lunéville. M. Sobrembnt, ouvrier à la Société de M. Jacquot, ouvrier peintre céramiste à la société Keller et Guérin, à Saint-Clé- Pierrepont. M. Speich, peintre céramiste à la faïenment. cerie Keller et Guérin. à Lunéville. M. Jacquot, à Cirey-sur-Vesouse. M. Starck, ouvrier dans la maison SolM. Jolas, tisseur à la société de Pierre vay, à Dombasle-sur-Meurthe. pont. M. Stock, chef de manœuvres à la M. Jolivalf, employé dans la maison Jr Compagnie de l'Est, à ■ Nancy. les Rousselot, à Nancy. Mlle Tarisse, ouvrière à la faïencerie M. Kaupp, ouvrier à la société de Pierre Keller et Guérin, à Saint-Clément. pont. M. Thalmann (Joseph), ouvrier à la SoM. Kautzmann (Ferdinandï, ajusteur a ciété anonyme des manufactures de glala manufacture de glaces de Cirev. ces de Cirey. M. Klein, manœuvre à la société de Crois M. Thiébaut. employé dans la maison mare, à Croismare. des Enfants d'Ernest Schmid, à AlM. Klein, ouvrier à la faïencerie Kelie> lnmns. •t Guérin, à Lunéville. M. Tiné, peintre céramiste à la fa'ienM. Kooh, verrier à la société de Crois erie Keller et Guérin. à Saint-Clément. mare. M. Toufflain (Pierre), domicilié à LunéM. Knntz (Marc), verrier à la société de ville. Croismare. à Croismare. M- Toussaint, charpentièr à la Société M. ft-Toix, employé dans la maison Ni- métallurgique de Gorcy, à Gorcy. colas, à Blninville. M. Turban (Paul), machiniste à la So M. Lambert, ouvrier à la société de Pier- piété métallurgique de Gorcy, à Saint renont. à Ugny. Pancré. M. Lamy (Fnsèbe), à Dombasle. M. Varlet, ouvrier peintre céramiste à M. Laurent, ouvrier minerir à la société la faïencerie Keller et Guérin, à S^ntd^ hauts-fourneaux d< Saulnes. , Clément. M. Leclerc, à Dombasle. M. Vircondelet, emplové retraité de la M. Leclère. faïencier à la société Keller Compagnie des chemins de fer de l'Est, «I Guérin. à V'trimont. à Croismare. M. Lemoine. manœuvre à la Société de Mme von den Steinen, née Margraff Gnrcv. à Ville-Houd^mont. (Marie), tisseuse dans la maison Les fils Mlle Lemoine (Aurélie), ouvrière à la d'Emanuel Lang, à Tomblaine. Société de Pierrepont. M. Vouriot (Jules), à Dombasle. Mlle Lemoine (Colombe-Célénie), ouM. YA'arion (Alphonse), tourneur à la vrière à la Société de Pierrepont Société anonyme des usines de PierreM. Lendroit. ouvrier à la Société de pont, à Pierrepont. Pierrepont, à Montigny-sur-Chiers. MEUSE M. Levieuge. emplové à la Société KelM. Chamoin, employé à la compagnie ler et Guérin, à Lunéville. des chemins de fer de l'Est, à Jardin-FonMme Lhntllier, née Mercier, à Nancy. M. Lott (Charles), ajusteur à la Société taine. — M. Charoy, ouvrier modeleur, maison Salin, à Fouchères. — M. Dalnegro, oudf> Piprrepont. M Lucot, polisseur à la Société Adt, à vrier carrier, maison Civet-Pommier et Cie, à Euville. — M. Daubié, ancien employé de Pont à-Mousson. léàijbs k travail pm) Feuilleton de VBST REPUBLICAIN N° 69 Gi aiid roman dramatique Pisr* Henri GER AIH D'aileurs.ne m'as-tu pas sauvé la vie en me retirant de la Seine ? J'ai trouvé, ce soir, l'occasion d'exposer la mienne pour te venger au besoin, s'il t'arrivait malIreur. 3e l'ai saisie avec empressement. — Je t'en remercie. Malheureusement, de Landrec doit avoir ÏLiabitude de ces sortes d'affaires ; notre infériorité vis-a, vis de lui no me paraît pas discutable. Nous n'avons jamais touché une épée ou un pistolet, il nous blessera l'un après l'autre. -- Bast l avec du courage, on s'en tire ti lionrs, affirma Pierre. /ailleurs, à quoi bon discuter ; ce qui fst fait est fait ; nous nous battrons cha> : à notre tour. je n'y vois vraiment pas grand ineon^ f, en ce qui me concerne du moins. ■ suis-je pas à peu près seul au mon■ ans famille ; nia mort ne causerait à rie, shiôn a toi, le moindre chagrin, tua dune voix subitement ait ri t ; — Toi, tu as une mere qui t'adore, et à qui tu le rends si bien ; enfin, tu aimes une jeune fille charmante et tu en es aimé. Ce sont pour toi des êtres chers, à qui tu dois éviter des douleurs. Je ne suis pas dans ce cas, malheureusement. Après avoir dit cela, le peintre demeura silencieux un instant, le temps de vaincre l'espèce d'émotion secrète dont son cœur était étreint subitement. Il reprit bientôt, la voix plus assurée : — Nous devons, au lieu de nous attendrir sur nous-mêmes, songer à prendre les dispositions indispensables en pareil cas. Tu ne peux compter sur moi pour t'assister, puisque moi-même je suis l'adversaire de M. de Landrec. — J'avoue mon embarras, quant aux témoins à trouver, fit Paul soucieux. — Ne cherche pas, je viens d'avoir une idée. — Laquelle ? — C'est d'aller trouver cet original de chimiste, avec qui nous avons fait si étrangement connaissance au restaurant. — Ah I oui I Charles Barru t — Lui-même. Il connaît justement de Landrec et de Mendoza ; il acceptera volontiers de nous assister et de nous procurer un second témoin. — Mais comment le prévenir î — J'irai chez lui. dès demain matin'. — Merci, mon brave Pierre, tu es vraiment un ami précieux t Puis, après un moment de silence, Paul Duroc reprit gravement : — Je ne crois pas très utile de prendre ■e que l'on nomme « les dernières dispositions ». Je possède si peu de chose 1 se| L'EST -R Ë P tIB LI Bft tf).wy^'»y '* '»>' » » 1 ■wpwwwnwr MBM *aig*jg™tggj^ la Société anonyme des forges et aciéries • do Thaon. — M. Leduc, ouvrier tisserand, de Coinmercy. — M. Denarcq, ouvrier ma- maison Febvrel frères, à Jarménil. Mllo Lcmairo, ouvrière à la maison Mouçon, maison Chenu, à Rcvigny. — M. Flauder, chef d'équipe à la compagnie des che- gel-Humbei tclaude, à la Bresse. —Mlle Lemins de fer de l'Est, à Laneuville. — M. maire, ouvrière à la maison Mougel HumGaerther, ouvrier mouleur, maison Salin, bortclaude, à la Bresse. — Mme veuve à Dammarie-sur-Saulx. — M. Georges, ou- D'Hôte, née Marchai, ouvrière à la société vrier carrier, maison Civet-Pommier et Cie, anonyme des établissements N. Géliot et a Vignot. — M. Groff, visiteur à la compa- Cie, à Fraize. — Mme Litaizo, née Maurignie des chemins de fer dé l'Est, à Menau- ce, ouvrière à Fraize. — Mlle Louis, ouvriècourt. — M. Lafrenez, ouvrier scieur, mai- re au Thillot. — M. Luc, comptable à la son Civet-Pommier et Cie, à Euville. — M. maison Claudol-Krantz, à Docelles. — M. Latasse, ouvrier carrier, maison Civet-Pom- Maenner, ouvrier dans la maison Michel mier et Cie, à Euville. — M. Launois, ou- Hartmann, à Saint-Laurent. — M. Maire, vrier cordonnier, maison André Fortuné, à ouvrier teinturier à Thaon-les-Vosges.-- M. Ecurey. — M. Marquet, ouvrier carrier, Mangin, ouvrier dans la maison Vincent, maison Civet-Pommier et Cie, à Commercy. Ponnier et Cie, à Moyerimoutier. — Mlle — M. Miche), contremaître, maison Civet- Mangin, ouvrière dans la maison Belzung Pommier et Cie, a Morley. — M. Millot. ai- et Cie, à Basse-sur-lc-Rupt. — M. Mangold, guilleur chargeur â la compagnie des che- contremaître, maison Schwartz-Antuszeiimins de fer de l'Est, à Longcville. — M. wiez, à Rcmiremont. — M. Marchai, ouMinguin, ouvrier carrier, maison Civet vrier fileur dans la maison P. Anccl-Scit/ Pommier et Cie, à Vignot. — M. Nicolas, et fils, à Granges. — Mlle Margaine, ououvrier mouleur, maison Salin, à Damma- vrière ù la société anonyme la Filature dep rie-sur-Saulx. — M. Paquin, ouvrier tein- mousses, au Val-d'Ajol. — Mmo Moratel, turier à la Société anonyme des usines de née Houiilon, ouvrière dans la maison VicPierrepont, à Han-devant-Pierrepont. —- M.' tor Claude], à ChcnimosniL — M. Marsot, Poincelet, comptable, maison Fenaux et manœuvre à la société anonyme la FilatuCollas, à Triaucourt. — M. Prot, ouvrier re des mousses, au Val-d'Ajol. — M. Mar opticien à- la manufacture générale d'op- tin, ouvrier fileur dans la maison Febvre) tique, â Ligny-en-Barrois. — M. Riché, ou- frères, à Pouxeux. vrier, maison Moat, à Revigny. — M. Rolland, ouvrier à la Société des lunetiers, à Ligny-en-Barrois. — M. Roussel, ouvrier ajusteur tourneur, maison Salin, à Dammarie-sur Saulx..— M. Rustenholz, ouvrier cordonnier, maison Lapiqiic, à Revigny. — M. Tallois, ouvrier briquetier dons la maiLE RELIQUAIRE DE SOUOEILLES.— L'instruc son Delacour-Thierry et Cie, à Cousancelles. — M. Thomas, ouvrier scieur, maison tion ouverte par le parquet de Limoges è Drappier, à Laneuville-sur-Mcuse. — M. la suite d'une plainte déposée par M. Dusous-secrétaire d'Etat Truchet, mécanicien, maison Civet-Pom- jardin-Beaumetz, mier et Cie, à Vignot. — M. Verniette, ou- des beaux-arts, sur la substitution du chef reliquaire de Soudeillcs, dit de Saintvrier, maison Salin, à Ménil-sur-Saulx. Martin, vient de donner un premier résulVOSGE.S tat. Le chef reliquaire a été retrouvé chez Mlle Clément, ouvrière maison MougelHumbertclaude, à Daval. — Mlle Clément, un antiquaire de Bruxelles, par M. Canac. ouvrière maison Mougcl-Humbertclauàe, à commissaire divisionnaire de la brigade Daval. — M. Colin, ouvrier, maison Louis mobile de Limoges. L'antiquaire a déclaBoucher, à Docelles.— M. Coliumaire, blan- ré qu'il avait acheté, le 17 novembre, à la chisseur à la Société des blanchisserie' et commune de Soudeilles, pour la somme teinturerie de Thaon. — M. Dartos, ouvrier de 41,000 francs, le chef de saint Martin et fileur, maison Febvrel frères, à Jarménil.— une navette à encensM. Décieux, cocher-livreur aux MagasinsM. Delmas, député de la Corrèze, qui Généraux d'Epinal. — M. Derché, manœu- assistait à la vente, a confirmé ce fait en vre à la Société des établissements N. Gé- ajoutant que le chef de saint Martin était liot et fils, à Plainfaing. — Mme veuve un ouvrage truqué, « un mauvais morceau Didier, ouvrière maison P. Ancel-Seitz et de cuivre » dont il avait demandé souvent fils, à Granges. — M. Didierlaurent, ouvrier le déclassement au sous-secrétaire d'Etat maison Mougel-IIumbertclaude, à Réchi- des beaux-arts. goutte. La vente du chef de saint Martin a donc M. Diory, employé à la Société des éta- eu lieu le 17 novembre et la plainte en blissements N. Gôliot et fils, à Plainfaing. substitution est du 13 novembre ; ainsi il — M. Dulion, ouvrier maison Irroy, à Bon- y aurait deux reliquaires : un authentivrllet. — M. Durand, contremaître à la So- que, l'autre, truqué. ciété anonyme des établissements N. Géliot Voici la description du chef reliquaire et fils, à Fraize. — M. Durupt, ouvrier mai- authentique : son Hatton neveu Mangin, à Lépanges. — « Le chef de saint Martin a une hauteur M. Durupt, ouvrier fileur, Société anonyme totale de 30 centimètres. Le saint est vêtu la Filature des Mousses, au Val-d'Ajol. — d'une chasuble, garnie autour du cou M. Ernst, ouvrier à la Société des blanchis- d'un large orfroi ; elle est décorée d'éléserie et teinturerie de Thaon. — M. Fores- gants rinceaux qui se détachent sur un tier, ouvrier à la Société des blanchisserie fond pointillé et imitent une étoffe damaset teinturerie de Thaon, à Thaon-les-Vossée. Sur le devant de la poitrine est fixée ges. — M. Forter, ouvrier brasseur, maiune agrafe de forme ovale, dentelée sur son Perrut frères et B.arjonet, à Vittel. — les bords, enchâssant un gros cabochon de Mlle François, ouvrière maison Mougelcristal entouré de huit pierres. Humbertclaude, à Richigoutte. « Le buste, à proprement parler, est en M. Gaudel, contremaître à la société des établissements N. Géliot et fils, à Fraize. — cuivre fondu, coulé, retouché au burin et M. Généraux, ouvrier peintre à la maison doré ; il paraît appartenir à la fin du XV veuve Rodh.iin, à Epinal. — Mi Georges, siècle ou peut-être au commencement dsi chef de gare à la compagnie de l'Est, à Gê- xvi" siècle. « La mitre est composée de bandeaux rardmer. — M. Gérard, ouvrier tuilier, maison Albert Blanchard, à Serocourt. — émaillés, adoptant la forme bombée des M. Gérard, ouvrier dans la maison Feb- parties sur lesquelles ils se trouvent apvrel frères, à Pouxeux. — Mlle Gérard, em- pliqués. Les nlaques sont ornées d'une séployée dans la maison P. Ancel-Seitz et rie de auatre feuilles inscrites dans un fils, à Granges. — Mme Gley, née Babel, cercle de couleur rouge, liseré d'or et qui se détache sur un fond décoré de petits ouvrière à l'a : maison' P. Ancel-Séitz et'fils, réservés à Granges. — M. Grandjean, contremaître fleurons à trois pétales dorés, par la gravure et disposés en écoinçons. adjoint à la société des blanchisserie et teinturerie de ftiaon.— M. Grandjean. ma- Chacune de ces quatre feuilles encadre un nœuvre à la société des blanchisserie et Wlp oiseau qui a été finement ciselé. Tous les turerie de Thaon. — Mlle Grosdemarigo. oiseaux ont une attitude différente. Les ouvrière dans la maison C. et G. Bezanson, fonds sur lesquels ils apparaissent sont au Val-d'Ajol. — M. Guyot, ouvrier à la bleu d'azur translucide et le jeu de la lumaison J. Bouchon, à Bains. — M. Hail- mière est augmenté et varié par des halant, manœuvre à la maison Febvrel frè- chures non croisées, faites dans le métal ; res, à Pouxeux. — M. Hantz, ouvrier à la les têtes et les pattes des oiseaux sont épargnées ; elles ne présentent qu'une silmaison Leduc-Rémy, au Not. — M. Hostin ouvrier à la société des établissements N. houette mais les détails, tels que l«s conGéliot et fils, à Fraize. — Mlle Houbre, ou- tours des yeux, sont exprimés par un travrière à la maison Gros-Roman et Cie, au vail de burin,dont les failles sont niellées Tliiîlot. — M. Houlné, ouvrier à la maison de noir. Les corps et les ailes,au contraire, reVincent, Ponnier et Cie, à Moyenmoutier. — M. Humbert, ouvrier à la maison Mon- couverts par des émaux roses, pourpres, gcl-HuiT.bertclaude, à Pont-du-Void. — M. lilas, jaunes et vert clair. Ces émaux, ciselé, Humbert, ouvrier à la société des blanchis- étendus sur un fond également changent de nuances, selon le plus ou serie et teinturerie de Thaon. Mme Jacquemin, ouvrière maison P. An- moins d'épaisseur de la pâte vitreuse, en cel-Seitz et fils, à Granges. — M. Jacques, produisant sur la plaque métallique des contremaître-adjoint à la Société des éta- reflets brillants. Tous ces émaux ont été blissements N. Géliot et fils. — M. Jacquot, coulés en argent, les parties épargnées ouvrier serrurier à la Société des établisse- seule sont dorées après coup. » Lorsque l'inspecteur Marcou se rendit ments N.-Géllet et fils. — M. Jacquot,(Ouvrier tisserand, maison Mougel-IIurnbert- à Soudeilles, il constata que Tobjet qui claude. — Mlle Jacquot, ouvrière, maison se trouvait dans le coffre-fort n'était pas Mougcl-Hmhbertctaucle. — M. Jeandel, chef le même crue le reliquaire classé par arrêde halte des-chemins de fer de l'Est, à La té ministériel du 25 juin 1801. Il adressa immédiatement, ainsi que Nouvcvillc-los-Raon. — Mlle Jeandel, ouv: 'In à la «Société anonyme des établisse- nous l'avons dit, un rapport au sous-secrément i F Géi---r « t-1" — Mlle Jeandon, ou- taire d'Etat des beaux-arts. M. Delmas a déclaré qu'après de nomvrière, m; ' ' ' Mégnin, au Tholy. — li. f -u lier, maison de breuses tentatives auprès de la direction svèrés. — M; Lades beaux-arts, et sur le vu d'un rapport Prnihes et hlanche, ouvrier tUserana, maison Febvrel de M. Marcou, inspecteur des beaux-arts, frères, à Jarménil — M. Lagarde, ouvrier qui concluait à la désaffectation du reliblanchisseur à Thaon-les-Vosges. — M. quaire, il avait, sur l'insistance de la Lamboley, ouvrier tisserand à la Société commune de Sourdeilles, engagé la muanonyme des tissus, au Thillot. — M. Lan- nicipalité à accepter les offres qui lui ge, chef de train des chemins de fer de étaient faites. C'est dans ces cond'.tions r i"lT.a reçu l'Est, à Neufchâteau. —• Mlle Lapoirie, ouvrière, maison Victor Claudel, à Chenimé- lui-même les 41,000 francs, mutant du nil. — M. Laurent, ouvrier, maison Mougel- prix de la vente, et qu'il les a ci ->osés au IIumbertclaude, à La, Bresse. — M. Lau- nom de la commune dans une banque de rent, ouvrier, maison Mougel-IIumbertclau- Maymac. de, à La Bresse. — M. Laxenaire, chef de L'ORDON'KANCE DES DÎNERS A LA COUR DE BELfabrication dans la maison' Bodet, à Etival. — M. Lederlin, employé à la Société GIQUE, — Quand le roi Albert donne un dîanonyme des blanchisserie et teinturerie ner, le grand maréchal de la cour lui sou- Je te charge seulement, pour le cas où I Personne à présent ne s'aperce/r«it de il m'arriverait malheur, d'en disposer la disparition du maUre de la umis- n comme je vais te le dire. Don José poussa donc de Landrec vèrs A ma mère et à Mme de Sommereuse.les le vestiaire, lui serra la main, sans parler souvenirs qu'elles pourraient désirer. davantage de l'événement récent, et reACarmen de Mendoza, si tu peux la lui monta s'enfermer dans son cabinet de trafaire parvenir, toute ma musique manus- vail. crite. Et, jetant le masque, cette fois, il se Enfin, à toi-même, je te laisse tout mon laissa tomber lourdement sur un fauteuil, petit avoir mobilier. le" front barré d'une ride,les sourcils fron— J'accepte, dit simplement Pierre, plus cés. ému qu'il ne le voulait paraître. Tout en prenant fait et cause pour son Mais je suis bien5 convaincu de l'inutili- associé, il n'approuvait point sa provocaté de ces précautions. tion de ce soir, à l'endroit de Paul Du— Sait-on jamais ce qui peut arri- roc. yer ? Elle s'était, à son sens, produite beauEt, tu vois, en y réfléchissant, je pense coup trop tôt, et dans de telles conditions qu'il serait préférable que j'écrivisse te ut qu'elle risquait de compromettre, irrémécela. diablement, le succès des projets d'union Je le ferai cette nuit même. intéressée formée par les deux comTout en causant ainsi, les deux jeunes plices. gens avaient marché vite, se dirigeant par Or, cette union, si elle avait pu se faile plus court vers la rue Lepic. re, en dépit de la résistance première de Ils v arrivèrent fcientôt et se séparèrent Carmen, et aux conditions financières préaprès une longue étreinte, devant la m.ii- vues par de Landrec, pouvait à brève son de Paul. échéance assurer le salut de la banque. — A demain ! fit le musicien ému. Mais à présent, il ne fallait plus guère — A toujours ! répondit Pierre dans uc compter sur cette ressource. élan de vibrante affection. Il devenait urgent d'en trouver d'autres à tout prix. V Depuis un moment, une idée étrange, déPIERRE ET MARTHE jà préconçue, d'ailleurs, assaillait l'esprit Après le départ brusque d'Hélène de surexcité de don José. Elle était audacieuse, et sans do.i:3 de Sommereuse, don José de Mendoza, soucieux, n'avait pas tardé à persuader à son réalisation difficile, mais non impossible. Cependant, aviyfit de la mettre à ex£"U associé, de Landrec, d'aller se reposer. Lui-même éprouvait le besoin impérieux tion, il fallait hahilement préparer in ver rain spécial, auprès de la marouise de d'être seul. d'autre part, Il était près de deux heures in matm ; Sommereuse, et s'assurer, de l'inteligence d'un homme destiné à la fête battait son plein dans le somi tueux hôtel, ot malgré le trouble nanager jouer un rôle compliqué. Dans l'esprit suhtil et retors de celui qui suscité par t'altorcation QUÎ s'était f "Adulétait autrefois le comte de Bersac, s'élabote, elle était brUlrant* PARTICLES -6 ' H* *^**»^ DESPORT- BICYCLETTES! T Maison J^^ imËJLE & Q" g Si« STOCK s*s3iQ | SaintiStGorges, 77 m 1 Représentant des principaux fabricants d'articles de sport WILLIAMS and C", WINSLOW-AYKES i i Etfuîpamemis campSeis FÎ90TBALB., 13S32ZE, TENMSS séparations do Ballons et de Raquettes | Patins à roulettes, Patins à glaça Hftiscassfsi'es Football, à parti»' de 3 fr. 23 ''.n'oitor. si FMaïUota do toutes nuances, ù partir de 1 fi*. 75 Ballons Football, à partir de O fr. | | 'i ^A'SL" I [réductionauxSasisîês Lccat.o» de SKI* met une dizaine de menus dans lesquels le souverain fait son choix. Le menu désigné est alors présenté au chef des cuisines qui fixe un prix par convive. Ce prix varie entre douze et treize francs, outre les reliefs dont le chef cuisinier fait l'usage qui lui plaît. Le protocole exige que les dîners de la cour soient servis en une heure. Les plats se succèdent à des intervalles de quatre minutes, ce qui fait que beaucoup de convives laissent passer un plat sur deux. Quant aux vins, ils sont fournis par les caves du palais qui renferment d'importantes réserves des crus les plus renom- LES FRÈRES WRICHT PERDENT UN PROCÈS. — On sait quelles difficultés créèrent toujours aux aviateurs étrangers voulant effectuer en Amérique des expériences d'aviation les frères Wilbur et Orville Wright. Les pilotes français Paulhan et Farman entre autres furent victimes des procédés dos constructeurs de Dayton (Ohio), forts de leurs brevets. Afin de décider les aviateurs européens qui ne voulaient pas participer au meeting d'aviation de Belmont park sans être garantis contre les revendications desWright brothers, l'Aéro-Corporation, société organisatrice du meeting, obtint des frères Wright que moyennant une indemnité de 125,000 francs, ils consentiraient à ne pas user de ce qu'ils considèrent comme leurs droits. Un accord fut conclu : les frères Wright reçurent. 50,000 francs avant le meeting do Belmont park. Ils devaient toucher les 75,000 francs restants si les résultats financiers de l'entreprise étaient satisfaisants. Il n'en fut rien. 11 y eut 1 million de dé: penses contre 940,000 francs de recettes.L'Aéro-Corporation refusa donc de payer les 75,000 fr. L'avocat de l'Aéro-Corporation fut très dur pour les Wright dont il blâma publiquement l'âpreté. Les \Vi ight répondirent qu'une clause du traité indiquait que les dépenses du meeting de Belmont park ne devaient pas dépasser 125,000 dollars (625,000 fr.) et qu'ils étaient donc en droit de réclamer ce qui leur revenait. Ils appelèrent le 26 décembre dernier l'Aéro-Corporation Company devant la Cour suprême de New-York. Le jugement, après avoir été ajourné à nuitaine, vient d'être rendu. La cour a débouté les frères Wright de leur demande. POUR ATTIRER L'ATTENTION. — Joseph Séraphin, qui comparaissait mardi aprèsmidi devant la cour d'assises de la Seine présidée par M. Brégeault, pour y répondre d'une tentative d'assassinat, ëst âgé de cinquante-neuf ans. Il est sujet autrichien. ■ Y I Le 17 juin 1910, s'étant approché, avenue Montaigne, à Paris, de M. de Segefser, qui sortait de la légation suisse dont il est, le premier secrétaire, il tirait sur ce» hii-ci un coup de revolver. M. de Segesser pouvait, au dire des témoins, être atteint en pleine poitrine, mais un brusqué mouvement du corps le sauva : la balle ne fit que l'effleurer. Séraphin soutient dans son interrogatoire qu'il a tiré au hasard et sans aucune intention homicide. Il voulait, par un scandale, forcer l'opinion publique à s'occuper de son cas. — J'étais venu chercher en France, dira-t-il, la justice et la vérité. De quoi donc avait-il à se plaindre ? L'histoire a été longue et compliquée. Séraphin a habité la Russie. Il était arrivé, à force de travail opiniâtre, à s'y créer une situation. Il aurait eu même des intérêts dans l'exploitation d'une importante carrière de marbre. Cependant, un beau jour et au mépris de tout droit, il avait été expulsé par le gouvernement de Kief, ses biens, qu'il évalue à trente mille roubles, étant confisqués. Il s'était réfugié en Suisse. A Berne se trouvait un ministre plénipotentiaire de la Russie auquel il avait adressé requête sur requête ; il voulait être dédommagé de ses pertes. Pas de réponse. Alors, le 18 juin 1904, il avait tiré un coup de revolver sur ce haut fonctionnaire, qu'il blessait légèrement. Arrêté, Séraphin avait été, à la suite d'un examen mental, interné, comme irresponsable, dans un asile, à Massingers. Il s'évadait, se réfu- BOURSE H giait en Autriche, était repris et enfermé une seconde fois. Cependant, il réussissait encore à tromper la surveillance de ses gardiens, et le voici en France, à Paris, où, sans retard aucun, il fait sa déclaration d'étranger à la préfecture de police. Et c'est depuis novembre 1909 une suite ininterrompue de lettres adressées par lui au gouvernement de Berne, qui ne répond pas, puis à la légation de Suisse, qui ne répond pas davantage, et dans lesquelles il réclamait véhémentement n une indemnité peur 1185 jours de détention arbitraire », et la restitution des papiers et des fonds qui auraient été saisis sur lui au moment de son internement. N'ayant pas obtenu satisfaction, il s'était décidé au scandale, mais uniquement au scandale, car, à aucun moment, a-t-il dit en terminant, il n'a voulu attenter aux jours de M. Sagesser. Joseph Séraphin est-il responsable ? « Les trois experts commis, dit l'acte d'accusation, ont conclu à sa responsabilité, tout en lui trouvant les apparences d'un individu atteint du délire de la persécution ». La cour l'a condamné à six mois de prison et dix francs d'amende. — Vive la justice française ! Vive la France ! s'est écrié le condamné en quittant la salle d'audience. BULLETIN FINANCIER Paris, 10 janvier 1011. D une façon générale, le marché ne modifie pas ses tendances.qui restent orientées vers la fermeté. Notre 3 % s'alourdit à 97 47. Fonds d'Etat étrangers : l'Extérieure se tasse à 94 50, le Portugais à 65. Fonds russes : Consolidé 97 80, 5 % 1906, 105 85 ; 4 J % 1909, 104 70. Le Serbe à 87 22. Turc unifié 93 60. Brésil à 90 90. Bons de Sao Paulo 502 50. Etablissements de crédit : Crédit lyonnais 1.501, Banque de Paris 1.852, l'Union Parisienne 1.130. La Banque Franco-Américaine 524, Auxiliaire de crédit 599, Crédit Mobilier 713. Banques étrangères : Ottomane 695, Nationale du Mexique 1.157. Chemins de fer français : le Lyon 1.188, Orléans 1,330. Chemins espagnols : Nord de l'Espagne 405, Saragosse 423, Andalous 276. Valeurs de traction : le Métropolitain s'avance de 616 à 624, Nord-Sud 310, Omnibus 646. industrielles russes : la Bakou à 723, Sosnowice ferme à 1.387, Briansk 383. Le Rio-Tinto est plus lourd à 1.768. Mines d'or : l'East Rand à 131, la Goldfields à 143 50 et la Rand Mines à 218. Diamantifères : de Beers 464, Jagersfontein 217 50. Métallurgiques fusses : Hartmann 677, Maltzof 1.658, Platine 660. En caoutchoutières, l'Eastern termine & 62, Financière 324, Malacca 205. PHILOUZE et WADOINQTON. 20. rue Le Peleticr. des de table. U l AYIPRE Ea Reine Rafraîchissante. EAUX LMÂÎLÏÏL Exposition IntërnotioB. Luiros. h«rs roneouis, Membre du Jury. Dépôt : Pharmacie Ont alo, r e Visitation, «t toutes pharoiaeio». Henri 5 dllll m" M ''£c0(S GUIDON uuiuuni "oentaire de Pans, chtrurgien^deniista de la Faculté de médecins. MALADIES de LA BOUCHE ET DES DENTS < onsultations de 8 b. du malin à fl h. du stii (Dtsaués excepté) I il j l-HtJlliCIS. SlilICt SÏ VO US TOUS S EZ LAKRITZINE O fr. 4Q ta botte dans toutes tes épiceries \ 8ASCUEL, dentiste "~ 13, rue Cambetta, NANCY Tous les jours CONSULTATIONS 8 h. à midi et de l h. 1]2 à 6. h. u. HUNZIKER, e&irnrgiBB-dHïirstT «iiccuHsiMir (lu VV. Itoburt Nancy, 41 ter, rue Saint-Jean ■i^Dltalioiis fia 8 b. à midi el fie 1 b. 12 a h n. 112 J. CHAILLY, gérant. Impr. de l'Est, 51, rue S.. :er, K Opérations sérieuses t^i^l^^^^^^ Mfnard, TouT à terme, noUce explicat. et Cire, franco, rait l'une de ses combinaisons les plus infâmes. Faire retrouver, fournir plutôt à Hélène de Sommereuse le fils qu'elle pleurait toujours, en plaçant auprès de la pauvre mère un individu bien préparé à cet emploi. Ce soi-disant fils, créature du pseudo don José, devrait naturellement s'engager à verser à son auteur, sur l'héritage du marquis, s'il réussissait, une somme d'au moins deux millions. Cet homme, ce serait le Blondin. _ A cette heure de nuit, où les bruits de la fête donnée en sa luxueuse demeure n'arrivaient plus aux oreilles de don José que très assourdis, il songeait à cela. — Je verrai ce garçon-là, demain, conclut-il en lui-même, désormais résolu à l'action. Le lendemain, vers onze heures, il se présentait à l'hôtel de Sommereuse, rue de Lille, et faisait prier instamment la marquise de le recevoir. Hélène, fort attristée par les événements de la nuit, et mal disposée à voir l'Américain en ce moment, hésita d'abord. Don José avait prévu cette a(Jitude ; il tenait en réserve un argument séripuy t— Dites à Mme de Sommereuse que j"nsiste, fit-il au domestique, j'ai à lui faire part de très importantes nouvelles venues d'Amérique. Un instant après, le valet de chambre introduisait le visiteur dans le petit salon rouge où, tant de fois, il avait attendu. Hélène de Sommereuse parut bientôt, l'attitude hautaine, le regard froid. — Vous avez insisté pour me voir ce matin ? dit-elle en entrant. — Oui, madame. Pourtant, je n'ignorais pas que je vous ! dérangerais certainement, surtout après la fatigue et les événements de cette nuit. remisier, 23, r. Gam'beUa Mais j'ai reçu de graves nouvelles de Buenos-Ayres, il m'a paru de la plus e trême urgence de vous les communiquer sans aucun retard. — Vous m'effrayez, monsieur de Mendoza. —■ Il y a de quoi, madame ; vous en jugerez tout à l'heure. Permettez-moi, tout d'abord, puisque j'ai pane des événements de cette nuit, dp vous exprimer tous mes regrets à ce sujet. Je n'ai pas été maître d'éviter ces incidents déplorables, dont j'ai connu la ca;tse secrète seulement après votre dépa.t. — De quelle cause secrète parlez-vous donc ? —-Vous allez le s'avoir. C'est au cours d'un entretien personnel avec M. de Landrec que j'en fus informé moi-même. En réalité, c'est lui qui a fait naître sciemment.ces difficultés, et provoqué votre protégé. Son attitude étrange lui était dictée, oaraît-il, par le désir d écarter de ma mai ^m et surtout de la présence de ma fille men, M. Duroc. — Pourquoi cela ? fit Hélène de jri1,n™5' reuse, stupéfaite de cette ingér-'aca ' de Landrec dans les affaires personnelles du musicien. — Oh ! poue un motif bien humain. Vous vous souvenez, madone, du joui cm j'eus l'avantage de vous rencontrer au w tir de l'église de'la Madeleine .... Certes. Je terminai'notre fiOart WtrMWP en vous disant <me la fête projetée -eiaii peut-être une soirée de fiançailles. r \A. suivre.) CBOGOLAT LORP A : ^ i ■ fgBSPS* )4 I I 11 flOS gîgBgggagg^gSSg^ *acs~*^** Bit* J! C S .S !■ KHEÎ ~I« TjT Les ofOcl«r» elsousoffl- |f- W£l fil* « • f S ' 1 \Ù&£M S ■. L i il U U U I S 3 " B GUSTAVE manillon LAIV mauvais, SSscœss GWSTAVB . WUa J | *■ "* Sent liés ^ww'i"II>IJ«II»>!W«I^ i * ' ' Î RSPUSLiSAIN £KS£S!!g^ COTE DES VALEURS REGIONALES DE LA BANQUE RENAULD ET CIE i REBUS Dam. iye»t paabi-a**. •Foist un SIIUOVU n'ayant MIMMIQ usagn do. monde, L'EST . , — M' POUR!., jo ^ suis l'auteur du Cid, — M' DAIZAU j'aurais honte- ee me vanter de cela, mot t carl'aïU^ur'O'uii Oor-■ neille i .—. . | . Six prix seront tiré* au sert parmi les oersonnes qui auront envoyé le plus de solutions justes. Voici ces sis prix des quatre rébus de la série- D C : 1<* pris : Une pipe (écume, 2» prix : Un bibelot (fantaisie). 3» r>r>x : Un volume. 4». 5e, 6* piix ■ oeux cartes artistiques. (Chaque gagnant de eteBS partes postales n'aura qu'à nous adresser tes noms qu'il désirera voir figurer sur ses car.es. Celles-ci, dues à une main artiste, constitueront donc autant, d'oeuvres originales.) Ont devin* le dernier rébu» : Hiver pourri — Trebor — S. T. — A, des Loizire — Myosotis — En soupr.nt —- Un admirateur du Tartarin de Saurupt — Marcel et sa marraine — Heure et K — Un amateur de concours — Le chef d'orchestre — La Barbe — Le petit Théodoricitn — Mon petit 'i'om — Un baoué de la Seille — Thomas saint — Un Ardennais (la trouvons aujourd'hui seulement dans la boîte) — Drauer Joseph — Sépel — Lo petit Jules avec sa cousine Germaine — S. Piègle — Gaston et son aé-ééro Blériot — Notre petite pensionnaire — Ma petite sœur — Marie Thérèse (reçue aujourd'hui seulement) — Le Jacquet et sa petite Jacquette — A. Toupie —- Litting Bull — Latnoo — Un laid queuteur — Rn pensant à mon zouaze — Mon adjudant — Jean de l'âne os à pie ère haut pie érette — Si ça ? — Lady zette — ; L» i ' 1 Voici quelle était la solution : LA vit assis — ON — CEUT rate Août — jour pour ceux — Kl sans tête assis — livre — L et P de uame HOC -- laisse. (L'aviation sera toujours, pour ceux qui s'entêtent à s'y livrer, l'épéo do Damoclès.) Résultat du tirage de la dernière série : 1" prix : Un portelouills : A Toupie,. 2° prix : Un bibelot (fantaisie) : Le Jacquet et sa petie Jacquette. 3e prix : Un volume : Mon adjudant, 4«, 5», G* prix .Deux cartes artlstîquos • S. T. — Litting Bull — SepeL | | j ! .<.< SÉRIE 0 0 | j Rébus n° 1 I [ *^**~~*™*****'*,'*T"~~****~" "Ti'niinii'ii ™*^™^nillltJi^isifaffllll^lriitlÊrWlA mèmM aîiirls . deniaiidê pour : A CEDE^ Atelier da Gharroonags A«C!'e»»« Maison tris connue à SUM'J Prix : 4.O00 Ir, Valeur mu matériel P. CliESTE °' r»&<ff* Eiu-e de M« AERTS, notaire à Nancy, rue d«s Carmes, 31, (successeur de 51e VEHGNBj. Adjudication amiabla LeSAMEDf"âîjANVIEH 1911, k 2 heures de l'après-midi, à Nancy, en l'étude et. par le ministère de M' AERTS, notaire à Nancy, il sera procède à l'adjudication l'osi; liiSSi Sise à MAXÉV1I.LE Hue de lu République, 5S avec JARDIN y attenant. 4ares environ. Pour visiter, s'adresser â M. Savio, à Maxéville, ruo de La Mairie. 8. et pour traiter, s'adresser à M. AERTS. nolaire à Nancy, rue des Carmes. 31. On traiterait avant l'adjtid*tution s'il était fait des offres Suffisantes. Etudes de M» I.AiSSY, nolaire à Nancy, place Salit-Jean, 2, et de M- Henry GROG l'A IN E. docteur en droit, avoué en la même ville, place 4e la Carrière. 81. ïmh par Le JEUDI R! JANVIER 191L l 3 heures de (*après:«wdl, en la mairie de Pout-Saiul-VuiceuLd«s immeubles suivants ; vu» '\!n:u t OT Une Maison Sise a Pont- Saint Vincent roule Nationale, 19 bis, élevée •or caves, d'un rez-de-cbausiiée »t d'un étage avec greniers audessus, cour et buanderie sur MISP a prix : 5,000 fr. DEUXIÈME LOT Un Terrain •° ""«Une de jaidm situé teiri, Uire d». piml saint-Vuiwnt. lieudit aux «^nnerice, d'une coule* *ance deim„m g a,es lit cent. Alise a prix; 1.50U ir. Frais de poursuite en déduction. Polir les ie"1!i©»wienients, s'alresaer à M' LAISSÉ/ notaire àNancv, et à MM" CMVrrAlNK •t BAR A 11 AN, avoués eu L môme ville. A VENDRE lîelle uinlMkB de rapport-, ("■es U me a» Ui UavtueUij cou"r. moites ni-, Prix iifi.OOO fr. «"^drenaera l'Office- du Rail *>'•<■ W lus, rus ùtaui.ia». Ws't > cie M* DBFP.ESNB, no. ts.re à Suint-Nlcolas-tle-Port liïsarlîQîï !cg?j8(lpravls) Prodiiils alimetftairesab olument nouveaux adoptés par régiments de Pans. Commission. Pour dé parlements naute-Marne, Meurthe-ei-MoKOlln, Vosges. Toutes ré féreness exigé?*.' Ecrire au jour nal sous chiffres N. 5. G û FE- B il A S S E R1E Angle de nies, fait 250 h^c. tôa, bière, traiterait avec 8,000 francs comptant.. Pension de famille Bien située, agencement *nodenie, nornbrsiut pens'onnalres, conviendrait 6, cuisinier, (le la Faculté de Montpellier. Gonprix à dêbatlro. ! sultatiu"» de2 à 4 h. P.endpeiiS. A. GAUTUAN 14. rue dfS ii»> cvluis. NANCY Dans rue très passante, peu do loyer, fai! 120 hcoios de biès aomanûQ re. Prix : 3,500 uv d'apprentissage. Sad.e.-ser chez S adresser à Mite Weil, 10, ruo d» la Faïencerie. 1" étage, 13, rue Saint-Nicolas, N.anCy. Suivant acte sous seings privés en date à Paris, du 27 décembre 1910, à Saint-Nicolasdc-Port, du 30 et, à Briey du 31 du môme mois, dépose au rang des minutes de M« DUFRESNE, notaire a Saint-NicotaiS-de-Port, par acte de son minKtere du 9 janvier 1911, M. HARTMANN, chef de fabrication & la Brasserie Simon, do Rfiey, et Mme Hortcnse GAYON, son épouse, demeurant à Briey, ci-devant à SaintNfcolas-de-Port, ont vendu à Mme Louise BOURY, sans profession, demeurant à Pcris.veuve de M. PASQUET, LE FONDS DE COMMERCE DE MODES nue Mme HARTMANN expioilait a Saini-Nicolos-de-Port, Grande-Rue, n» 16. L'entrée en jouissance a été fixée au Pr janvier dernier. IÉS oppositions, s'il y a lieu, devront êtro faites dnns les 10 Jours end suiwont la seconde insprlion, renouvelant la première et seront reçues en l'étude de M* DUFRESNE, notaire, où domicile est élu par les parties. Pour première Insertion : DUFRESNE. Sâ8?-Ptffl!E8 de \™ GlâSSB ^^^^^^^ Md de Vins On demande f^fi? buun garnissouse et vendeuse. S'adresser au journal. <jl3. des apprenties pour lingerie et layettes. M. Dawson.fi, r. des Fabriques. os aux * nchères publiques liUfiliUll et coin à peisonueactivea. Iinqiitles. ayant relations Uaus «illes, cantons, communes, pour représenter importante Société. Ni apport, ni caution. Ecr. avec réf. La t'ursévérauce» Angers. ' 1 er '. gogne. Au comptant et S %. N.-B. — Uégiistaiiou le matin de la vente, i ld In ures. OH DEMANDE jjlsseur dans une fermo région oe t'Est, ti'adresser au journal, i.98. i&S&fàa @^y^Igf ^^i^ lîllriM g K-.J I j ■ ni.it a l.ndres, rue de l'Atre. u» 5, connu sous le nom d» : « Calé de ( Est ». L'entrée en Jouissance a été fixée on V* jtinvier 1911. Los opposition-, s'il y a lieu, devront être faites dnns les 10 jours de la seconde insertion et seront neçncs a Ludres, au domicile de M. IIINZEI.IN, Signé : IIIN7.Ef.lN. bis, rue Stanislas a toujours à vendre, dans tons les quartiers, des maisons de rapport et pour habiter seul ou aveo un locataire, ainsi que terrains pour çonsliucliû s, I -'îijpoUiécuiies51 W]J''J^% ^^M! ^P#Sml Wâ&éfi ^^^^^H -- A VÉRITABLES PASTILLES VALDA hommes, pour légion. S'adresser 1, place du Marché ^^^8 vendues SEULEMENT ^^^^^^cn BOITES de US ^ Sa demajîdQGo^Saon^oa; ." f /- Magasin et dépendances de nom \. ^^^^^^^ îliUiftillIIl situé- rlace Si-EpTre, 8, Nancy. S'ad à M. Toussaint. prop".au o*. Grand appartement 6 p.,cuisines, s.de bains, grandes déiier.iiances. garage, jardin, eau de source et da Muselle, j S'adresser au journal. 614, I PETIT ÉCHO " MODE! LE U 18 grandes panes dont une en couleurs et un patron découpé II I , ,(,.(* femme de m. i *?• P'^ el exacte, 4 heure* le malin, S'adrtfl,ser 76, (jrande-Rue. au l". On demantli courant du commej-CD. IfrtcreJices de .oui premier ordre enigées. iknre *si iu««ttd< iuil. U. 5. I éclairage électrique, installation t» '.l-me. ; Hue Dnm ( al****. »• DAME demande û fairî des mcna"cs ou des lessives touie la journée. Mme Sclicfler, lit. rue du Monlct. . GUisiNii-RE sèftDuse, monde pl&cc mfi^^n houreec* «e ou commerce, libre de suit* Mme Durucli, 48, juo.Stanislas. J A . «Pi». V Ji /n^ v!-:..-'! /ÎV •â.'gSl J MOP^, tlTTÉnATURÏ COnRESPOHBXWS ^^i KM - ^..nF. IÎV::.«. ; .«n;.«^.:« 'A CUiSlfiE, JEUX û'ttrnir. USHcOUSS M ^lft trnnnp i ' ,, On demanda K wm I p>«"BSPnin<!* des courtiers pour vente d'immeubbs. Eerire au journal, i j lia les O. ô. LBPÉTIT ÉCHO "~ Ne publie jue des dessins grandeur natufiVnMtMè'^ relie el donna gratuitement des initiale» Francs. I:i, 6 i'F.'«e»n,S.68 _ ..- iUie.LîiMRi,,;.'. d. o - ; 6»t:i.«.s0 : 7. ru» LimiKii, --. r'ÀRtS (14') A^/t^pstjj^ >r,^^/. ;v"&« L 4i-mmmàmïit>^~ iipur i illlr. liinif Un yhmAnUc ÊÊËiijSSefm M,: P ,a,,x ,!,, valet Ue cll«inljre, très propre et très consciencieux, pas nourri, pas logé. Très bonnes références exigées. S'adr. au journal. 610. l eta 1 T!O V W.ÂJWW r: ; I dit. Société Foacaïre, 9, rue Sti Michel, Nancy. Samedis, 2 à 4 h. : „vec eonnaissant les trois branche». S'a.ire-ser au journal, d!5. «« ismm arX"Z T K ^Kîp5%l ATTENTION!! EXIGEZ TOUJOURS meubleos Un demanda an jardinier Cnameres salon el cabinet de toilette, —— - Ê W ^SÈ^^ Avis Suivant acte sous signatures privées, en date du l'r janvier 1911. M. Henn FR1TSGH, limonadier, demeurant ù Ludres, a vendu à M. Joseph HINZËI.IN, employé de comro-rce, et Mmo Marie LEGENS. son épouse, demeurant ensemble à Ludres, _„„ LE FONDS DE COMMERCE . L'Office du lliinient ~™~ 1^^^^^ INSERIION t.ËGAt.B '. i miM/wwi une ouvrière llnuère de suite. Mmenchlfï, 18. rue «1 M 11 CieiiX, Le Vendredi la Janvier J il 11), à Ueuï heures du soir. Salon, salle à manger, armoires anciennes, piano, secrétaire, commode, liiset literie, fauteuils, chaises, canapés, lit pliant, toilette, buffet, glaces, pendules, garnitures de cheminée e! de foyer, tableam. gravures, machine à écrire, fourneaux, cuisinières, bascule, diable, banquet te de café, tentures, rideaux, tapis, lustres à gas, électrique, suspensions et quantité d'auues . Y Monsieur II. CANONNIÎ. pharmacien, 49. rue Ut-aumur, Parië7| l^humldltè de. Vhioer m'aoatt r-alu un rfctiKio opiniâtre donti aucun médicament ne parvenait d me ttebarrwwer. .Je totis-S «ai* fovr et nuit: fêtais très fatiguée. Je résolus aessayeri ^8 PASTILLES VALDA i Veffet fat aussi rapide qu inespéré : g aaec moins dune botte j'étais radicalement guérie. I Je eout remercie, Monsieur, et cous assure qu'en tente occa-& feiortje recommande chaudement les PASTILLES VALDA. I * Signé :I.*»"«ePAnB03. g k Grenade-sur l'Adour (Landes). g —-———f-"-^-=- Passage dit Casino , i ^ Wm§îm&ë m$S@Sm m\ des Ventes H3 lim ^^^^^'^ m On 5. rue de la Fayei cene, N"ncy Vend très bon marché, achèlo et cchai ge l'iir, l'argei.t, et les dentiers même hiisés. ^^^^^^ . W \T | Hi ri. 1 LJ y : j jr^^r;:-^ H IÎMI ' £n»enta chsz mus les diomidres de l'B*i BévuMlea m M, . Il " 0Liogerie, ' - PlâiSOD fiOUPOGOlSG DAME demande à faire S ou ( heures de ménage tous tes joursMine Jeune, &j faubourg SainteCatherine, JEUNE FEMME sérieuse, tas. truite, demando emploi de cais< Mère, préférence alimentation, ;i« étage, iîi, rut. Guilbert-de-Pixeré';ourt. DAME demande â faire de*: ménages, libre toute la journée Mme Vive/., 7g, rue Glodioa DAME libre toute la j^urnét. 4 pièces, rez-de-chaussée, 4 piè- demande à faire ménage ou ces, pr otage, 2 ch. à donner place de remplaçante. Mme Nk avec cheminée, jardin avec colas, 18, rue Saime-Anne. «rille. ^r'x : 2f,000 'r. DE MENAGEoemanM. GEYER, 5, nie Téméraire. deFEMME emploi pour toute la journée, Mme f'i rrin. citez Mme Thiébaut, E.ude de M* M/vooo.,, hui- 1^8, rua Saint Dizier. sier, 8, rue des Ponts, a FEMME DE MENAGE libre Nancy. touls la journée, cherche place. Mine Flagôlet. 7, rue Guilbert. COU'iUmiiRE demande des journées. Mlle Claudel, 8 ter, avenue d» BoufOers. JEUNE FEMME de ménage, —• sachant laver et cirer, demanda Le VENDREDI 13 JANVIER des houred ou des journées. M. 1911, ù deux heures du soir, Matpece. 32, rue du Lioa-d'Or, à Itiôtc! des vwitas, passage du Malzôvilte. Casino, à Nancy, SI sera proHOMME, marié, î?0 ans, discédé à la vente des meubles et posant de plusieures heures par objets suivants : Une armoire, un fourneau, jour, demande emploi quelconune table ronde, deux tables que. S'adresser 82, rue do Laxou LiAME demande uu nourrisson carrées, une table ronde en fer, un fauteuil, sept chaisas, bat- à élever à sec. S'ad. à Mme Ber-•, ton, chemin tle Remicourt, Nancy. terie de cuisine. PERSONNE SERIEUSE, haEt quantité d'autres ofoje's. bitent près la cure d air Saint-* Au comptant et 5 p. 100 Antoine, cherche un enfant en L huissier poursuivant, pension, soins maternels. S'aMASSON, dresser, Mlie L. D., faubourg Eludes de M" BECl.br. licencié Sl-îean, 55, Nancy. DAME JEUNE, demande plaen droit, greffier de paix, à Nancy, et de M" MASSON, ce do cuisinière n m logée. S'ahu'isler, 8, rue des Ponts, a dresser au rez-de-chaussée, 7, rue Vicior-Hugo. Nuney. ■ â::rnM: clos louruCcï i de ménage. Mme Christophe, 7, rue St-Thtôbaut, «u fond de ta 12 pièces aveo porche, jardin 700 mètres carrés, hangnr et écurie, prix ; 50,000 fr., après décès. M. GEYER, 5, rue Téméraire. par autorité da jusOsa VENTE MOBILIÈRE AUS ENCHÉHEP JEUNE DAME, présentant i bien, munie brevets, demande emploi bureau, ou vindeu-c dans magasin. Ecrire : Mme Uuufut 8. Gdc-liuc, Nancy, CQÙC, » ; , ■ X .' . . i DAME.Sgée de 85ans, demande à entrer à ta manufacture des laPiscft Nitlunaic. Maison : bacs, soit aux pièces ou aux feuilles, connaissant très bien là Le SAMEDI 14 JANVIER partie ayant cultivé pendant 16 1911, a dix heures du malin, ans, M. Bertrand, (J ter, rue de Malzêville. il sera procédé à la vente vtwv uih D'un beau Mobilier composé de : une armoire a ginoe, deux canapés, cliaises velours et cuir, lavabo, table guéridon, linoléum, deux places, pendule, suspension, lampp A pied, table â ouvrage, un buffet en chêne, une table en chêne, un buffet de salle a mtin-'er en chêne, table de cuisine, un fourneau de cuisine. Et autre* ohiets. AU COMPTANT ET 5 % l es ofliciers mini-téritls vendeurs, DECISY et MASSON. 11 a li. ai.H. ilorsets. Bonneterie. Porte rétribution. Association ouvrière, 49. rue Saint-Nicolas. DEVANDESJp'ElIPLOl BONNE REPASSEUSE et raccommodent demande des journées. Ecrire Mme V..., rue des Carmes, 21. DAME jeune, libre toule la journée, demande des heures ou. journées de ménage.. Mme Ôffland. 4. ru* d« Boufuj/-Uela-Mt-urtho, »- sives, raccommodages ou repassage à la maison. Mme Mîri;uet, 18, quai I .i;àer Ricl 1er ; • . «• couture. Wiiit! Bouillon, 17, rue Raugraff, 8* éiage. DAME demande à fairs de* ménages ou des less ves. Mme Muller, 17, rue de PKquilalion. BONNE C.OUTUltfEHE, saehaul fa.ire tailleur, flou, réparalion», demuii'iB journées. S. B., titi. rue Mon-Désert. PERSONNE SERIEUSE, aajbitunt près la cure d'wr Saint. Antoine, cherche enfant en pension, soins maternels. L. D.. faubourg Suml-Jeun, 55, Nancy. DAME, mariée sans enfant, demande à garler des enfants umi» la journée. M. Frttoch. 84, ru» Bassom pierre. BONNE REPASSEUSE . demande journées dans tnais_>a !. baïu'jieoise. Mme i-iéveau, ïauiivurg St-Ç,coTges. i • • (Ifi souvent occasionnées par les causes les plus différentes, toutes les maladies de l'estomac, du foie et des intestins avaient néanmoins un point de départ unique et commun : rinflammation des muqueuses de J'estomas et des intestins. Les gastrites, les dyspepsies, les gastralgies, les dilatations, 1 ictère, la jan= nisse, 1 entérite, la gastro-entérite, l'enWrite muco-membraneuse, les vomissemonts, les indigestions, etc., tous noms qu'on donne aux principales maladies de ces organes pour les distinguer l'une de l'autre, suivant leur caractère plus ou moins aigu ou chronique, dépendent donc uniquement de l'acuité plus ou moins grande de cette ïnflammation.En d'autres termes, toutes les maladies de roslomac, du foie et des intestins sont produites par une lésion des muqueuse» de l'estomac pouvant aller d'une inflammation simple à une Inflammation aigus jusqu'à une véritable plaie de l'estomac (ulcère, cancer, etc.). C'est cette inflammation qui paralyse les fonctions de l'estomac, du foie et des intestins, qui empêche de digérer, diminue l'ap- liPeliiifEulBMO Gastrites, dyspepsies, dilatations, indigestions, entérites, gastro-entérites, diabète, r albuminurie, ulcères, cancers, etc.,, Ca m23ècîne vienl de faire un grancl progrès dans l'art de guérii les maîaiiies de l'estomac. j!v Effrayé par le nomEre sans cesse croissant des personnes qui souffrent £Be l'estomac, du foie et de3 intestins, le ^.docteur de Cock se mit à chercher, un 'remède à ces pénibles maladies. \ Pendant de longues années, il étudia tjft analysa la salive, les sucs gastriques ml pancréatiques, les biles, les glaires çel tous les déchets provenant de l'orgainisme de personnes souffrant de l'estomac, du roic et des intestins. Il acquit àipsi la certitude absolue que, Sien que ■ Affairée recammandéss ; Commerce Chaussures i «èder centre Nancy, justifié d an «bénéfice de 15,000 fr., fortune fait* avec 30,000 fr. ' Transports et factage eh, Ae ter, réalisant an bênéfico net 3e 18,000 fr. avec 10,000 fr. f Epicerie Débit angle, Nancy, itosteforcé,occasion réelle. Prix: '5,000 fr. A débattre. " Café, centre Nancy, tenu 8 sas bar cédant. Prix : 8,000, maladie. ' Avec 3.000 fr., situation d* 3.000 £r., en reprenant suite ciliéma ville de 22.000 habitants. Avec 12.00O lr.,situation de 9,000 fr.. lucrative, indépendante, facile à augmenter. Près la gare, Café Restaurant justifie un bénéfice net de 12,000, ïortune faite avec 15.000 fr. S'adresser i M. Vasso, 3, rue Bassompierre (16* année.) i a- rec RESTAURANT, a céder tr ès belle installation pendezyi lus de la belle société, granA Ï terrasse, affaires : 90,000 fr. p, H* an, brasserie aiderait amaUT 6érienx. S'adresser # * PATISSERIE c onflserie à Nancy, boa pasige, quartier riche, pas de concl irrence, i céder cause d* santé. p rix : 14,000 tr. S'adresser « ft ^AS. gencelBONia MAISON MEUBLÉE . céder, cenire de la ville, 13 ■ ïambres rapportant 15,000 fr. ™ ir an. Prix : 25.000 fr. S'adr. MAISON de On demande sérieux, stylé 25 à. 30 ans taille î m, 70. S'adr. au journal, b02. — npuiiinr domestique en second, 80 ans, environ pour tous travaux maison, soigner jardin, bons rengeignements, 19, rue St-Daie>. ON DEMAliDfc MALADIES 1 ||| 1 Auriez-vous essayé sans résultat tous les Dépuratifs, toutes les Eaux. Pommades, tous les Emplâtres recommandés jusqu'à ce jour? Ne désespérez pas Faites usage du *?:M 1 p: ■ TRAITEMENT NORMAND BÉNARD HÉB et vous guérirez comme tous ceux qui l'ont employé et dont nous publions comme preuves les noms et les adresses. « £ Ouverture d'un magasin JMMKJ» on bon compj Jn demanda table, inutue s* Acnâi et Boutons chez Eczéma biimide de la Horpès et Rougeurs, che- Plaie variqueuse, malade un jeune homme mamain, malade atteint un adulte malade depuis atteint depuis 6 ans. guéri lade depuit-7 ans, guéri depuis 2 ans, guéri 4 ans, guéri eu 40 jours. en 3 mois sans cesser d* •n 65 jours. en 20 jours. travailler. Pour recevoir gratis et franco la 1res intéressante brochure explicative illustrée contenant tous les renseignements, s'adresser ou écrire à UNSTITUT NORMAN!?, 38, rue Armand-Carrel, Rouen, Prix du Traitement Normand Bénard, © fr. ; franco, 6.60* On demande un secrétaire a , a mairie de Jarny. j ; 01 DtiilDE 13, pue Sainte-Anne p. AUBURTIR, achitecte EjiBriey, demande un dessinafteur it un comptable. ON DEMANDE de commerce j eïe 15 à 16 ans ayant bonne ins- itruction primaire. GEORGE, 28, rue Gambetta, piHaœB à DEDÎTÈIS et ne Vieute IDG La Blanchisserie prend et livra gggjj DEMANDE 4?MjK Me, jeune homme de 20 a 25 ans. S'adresser au journal, 61L Apprenti tapissier est demanda 2, rue Mazagran, Nancy. DAME sérieuse aiderait à comptabilité ou travail de bureau, 3 h. par jour, 80 fr. par mois. Adresser offres au journal, aux initiales, N. 5. ON DEiANDE^Ùn'jtuuo"0 homme sortant d'apprentissage, ou un fort apprenti. Rétribué de suite. S'adresser au journal, 593. Etude de M' LAISSY, notaire à Naney. Adjudication amiable Lo LUNDI 6 FÉVRIER 1911, à 3 heure* du soir, a Nancy, en l'étude de M» LAISSY, aotaire, place Saint-Jean, 9. D'UNE Belle Propriété Sise à NANCY rue de Bonsecours, 4 et 4 bis, comprenant : Maison de Maître élevée sur cave*, d'un rez-de! chaussée, d'un premier étage el d'un deuxième étage en greniers et mansardes. Salle de bains, calorifère, eau de MoseUe et eau de source, gaz, NANCY, 3, ruo du Montct électricité. (près b port» SaiBt-iNkdas) Chambres à coucher, salles à manger, grand chois de meubles pouvant serfir de logements do de salons, vitrines, tables à thé, dôme-tiques on être louée. REMISE, écurie, poulailler, étagères, sellettes , porte-manJARDIN, pièce d'ean, grands leatix, bureaux, etc. arbres. Croquis et devis sur demande Superficie totale 1880 mitres FiBBlMTiOH S0I68ÉE & StRASTIE carrés environ. On traiterait avant l'adjudica' & PCnCD Pour cause do tion, s'il était fait des offres suffisantes. \ Ut.Ul.l1 décès. Grand S'adresser : | jonuieree de Vins, dans ville Pour tous renseignements, à importante do l'Est. Contre industriel. Grand stock de marchan- M» LAISSY, notaire ; Et pour visiter, sur plac*. dises en cave. S'ad. journal, 459. FABSIQliE DEMOLIS Petite Maison ARMOIRES ANCIENNES CREOENCES Salle à manger Chambre à coueher MEUBLES TOUS GKNUES g4> l'ue du Poui-Mouja k Personne sérieuse est demandée pour la campagne, 30 fr. par mois. S'adresser au journal. Sffl. BgOPJÉigMÉSg Bon Piano à vendre Pour cause ."• double emploi. S'adresser au journal, a» 598. Maison Dominique MOREL PROPRIETAIRE-VITICULTEUR RECOLTANT CARPENTRAS (Vauclute) Avis aux Proprlétnfres-Vlgnnot»* La Maison D. MOREL, toujours soucieuse de sa bonne renommée et encouragée par l'accroissement régulier du nombre de ses clients, informe sa nombreuse clientèle qu'elle peut lui fournir, comme par le passé, des producteurs directs racines de toute première qualité. Des expériences nombreuses et constamment renouvelées lui permettent de n'offrir que des plants indemne* de toute maladie cryptogamique, d'une très grande résistance, d'un rendement excellent et d'une végétation supérieure, conditions essentieUes pour obtenir un vin de qualité supérieure et franc de goût. Des études approfondies lui font un.devoir d'engager vivement les vignerons a planter, d* préférence' les producteurs directs cidessous qui ont toujours fait une bonne récolte comme quantité et comme première et parfaite maturité des raisins : Hybrides Coudcrc noirs, première époque, n" 132-11, 198-21, 28-112 ; Hybrides Complexes, 117-45, 198-21, 198 89. 267-27, 202-73, 106-51, 106-46, 503 ; Gannay Couderc, 3103. Hybrides Couderc blanc el rosé, maturité première époque, Cnasselas H Rupestris, n* 4401 rosé. Couderc blanc ressemblant au Chasselas dorên" 241-125 et 199 18. Couderc blanc n" 89-82 et 117-13. Couderc blanc dit Merle blanc n« 2+1-150. Hybrides Serbri n» 1, 14, 29, 38, 70, »4. 117, 128. 156, 254, 408, 474, 486, 1000, 1020, 1077, 2003, 2006, 2007, 2010, 2044, 3772, 8012. Hybrides Castel blanc n» 121 et 19 402. Hybrides anciens ; Noah blanc ; Auxerrois sur Rupestris ; Alieante sur Rupestris Terras n« 20. Une grande économie est obtenue dans l'entretien toujours croissant des vignobles en plantant ces variétés qui ne nécessitent, i cause de leur résistance, ni soufrage ni sulfatage. M. MOltEL, ayant déjà reçu de nombreuses visites, invite les propriétaires-vignerons, qui désireraient dus plants, à lui adresser leurs commandes, dans le plus bref délai, afin de pouvoir être servis. Pour les commandes, s'adresser à M. Mangin Barbier, propriétaire a Isclies, et a M. S. Serrlére, aux Vallois, par Lerraiu. Des REPRÉSENTANTS sérieux sont demandes. Toute VENTE ne sera définitive qu'après confirmation de la Maison. CYCLES DEPREZ '%rJÇ~~jLm. B1 - BouUv. Saint-Martin, 51, Paria. ON DEMANDE hommes, dames ou jeunes gens Vrfâf pouvant «'occuper n temps perdu de placer des "■>•»■ .■ InryeletlaB, «mies, machines à coudre,horlogerie rt bijouterie au prix a* jçros, remis* ou bteyelette gratuite au choix. Datalogue-album »! inatruotions franco M ita»WB> ÇffiPy FONDS COITFEUR «lar.S ville des Vosaes. Prix : 10,000 fr. FONDS COIFFEUR dans tous les crix. BUREAUX DE TABAC. COMMERCES en tous genres dans tous les prix. I nrD21,rueSt-GeoTges, A NANCY ^s^MHBi M. Restaurant Germania, Metz vls-à-vl» de l'Esplanade entièrement remis à neuf et modernise! LUtD 011EWME i^^m homme de 13 a 14 ans, ayant belle écriture. S'adresser chez Fauville et Garcin, 23, r. St-Diîier. DINERS et SOUPERS à 1.50 et 2 Mark i domicile Etablissement Modèle de Viticulture 'AOPTCÛLTO R6 1 ;= PLATS DU JOUR INSTALLATION PERFECTIONNÉE BIÈRES de MUHICH tt ds PILSEN — CAFÉ — BILLARDi pour Blanchissage de chemises, faux-cols et manchettes spaatemBRt Fëcommauâg am touristes et veiagenr* le mmm «sziïsr {horlogers. Sérieuses références exigées. S'adresser aux Magasins Réunis, à Nancy. SAIS^T-GEORÛIS 45» place Dombasle, XAl%€Y Dépôts : Nancy, Pliie Lorraine, C. Page! ; Bar-le-Due, Phie Gérard ; Commerey, Phie Morelle ; Lunéuilie, Phie Demangeon ; Toul, Phi* Zeller et touUs bonnes pharmacies. Pour le gros : Droguerie Trimbach *t Thû 1 uni ni ; alliiii*'s Vente-réclame pour quelque temps seulement 1 A VIS TOUX» ^TEHTE AU COMPTAIT ET A BON MARCHÉ BAR •ences. S'adr. an journal. 616. tier, connais- I saa» le eoffrage de béton armi. Références exigées. S'adresser au journal, 588. flniiS ru- priili ipale, ffî m présenter sans de bonnes réfe- J. LEIPERT, - _ 1 " Propriétaire '- ' ■ CUISSE HLE DE FBJJCË Occasion à saisir EPICERIE-TABÂC S6 d'une ville de garnison, près Nancy, aff. 40.000 fr. «n tabac et 80.000 fr. en épicerie par an. Après fortune. Prix a debattr*. S'adr. à M. Fribourg, banquier. 33, rue do la Haeu». Nancy. POUR ACHETER vendre uni maison, adressez-vous en tente confiance à SOCIÉTÉ MUTUELLE D'ÉPARGNE l'Agenee d'Affaires Réunies MâKCY - 84, Rue Pasteur, 34 - NANCY à NANCY, 1, place Stanislas. La Catsae Générale offre aux épargnées la combinaison la plus facile, la plus pratique el la plus avanlngeuse pour !e placement de leurs économies. Le but de la Société est de constituer à chacun un capital, par versements, depuis S francs par mois, avec faculté de retirer son avoir a toute époque du contrat, après deux ans de verse mets, tout en parllrlpsnl à de nombreux "rage», comporlaut plusieurs million» de J."1!08."6 Lots, dont le paiement est assuré par les Etals, les Villes ou le dépôt de Fonds d'Eiat. suv aif4^1rw demande adressée M. ^HANÇOIS. directeur régional, 24, rue Pasteur, Dsux liaisons à Nancy rue Hocbc, n" 39-41 Prix : 24.000 et 22 OOO fr S'adresser à M» DUSSAUX, notaire, 12, rue St Dizler, Nancy. Combustibles pour lover» domestiques Jules 33, Boulevard e S Livraisons à partir de iOO kg, aux mêmes prix que par 1.000 kg ARTICLES DE CAVE - BOUCHONS^ Matériel complet pour négociants Vins en gros et détail C. BARRÈRE V^irf Sur demande, envoi franco du tarif illustré 1818. iii DE GOflERGE OE llï et Office de Renseignements économiques lie H.-st-rH. LOCATION DE SALLES DE TOUTES DIlEPiliKS pour assemblées d'actionnaires, réunions ds syndicats proiesSI de conseils d'administration, pour conférences, concerts, etc. L Office Economique de Meurthe-et-Moselle met à la disA es lnd«slriels et des commerçants, pour ces réunions, sa bibliothèque, sa documentation et des stêno-dactyloaraphes, se charge les convocations et de tenir les registres des"délibérations. *i"!îrJâ' Eïï- nï ner ntS 4 1 01 0 1? Uenti0n des en t^iïTïJ™ V" .}^™ unet cu t, en& K sur toutes le* questions qu'ils peuvent avoir à traiter. m « a I entrée de la ru* d* Metz à à vendre pour 25,000 fr., par suite de décès. S'adr. M. G. HUSSON, ï9, ' rua des Dominicains, Nancy. à 11. les Boulangers ; Sage-Femme Sf^4Sî . - Lovis xvi une très jolie SALLE A MANGER noyer, une autre an chêne, i buffet 5 porte», table et 8 belles huissier, 11, rue Cbanzy, i Toul, chaises cuir, an* coiffeuse des- demande de suite un bon prin-. 'sus marbre sellettes et divers cipal clerc, d* préférence ancien n objet*, superbe huissier. M" VISOT d'occasion niarq. «Singer» • ««"-rX guide à ourler el tous accessoires, y •coffret, etc. G«onjo, 2&, place serrurier pour être eh«f d'atelier. S'adr, journal, init. L. 4. Carrière, àô. pensionnaires à toute époque de la grossesse. Place enfants. Maison de tout premier ordre, recommandée par les sommités médianes, située à deux minutes de «* lMn»way. Quartier tranquille Grand jardin. Discrétion assurée par I absence de toul nersonne], l'isolement do toutes maisons de commerce, pas de cafés comme voismaK». Prix déliant outeCoucurr*nce. 1» me paraiJa rue .ûeNancy.Enseinne: ** BOUUHSE. tîhampigneulles. Consultations chaque jour d* •»> à 4 heures, dimanche sur d«raande. L S a Pour tous renseignements et tarifs, s'adres^r an secrétarlat de la Chambre de Commerce, 4P. infcauibet^? . Ne pas acheter de pétrins mécaniques, sans avoir vu le nouveau pétrin breveté le SUCCES. Agent régional : E. Snyor, boul. d'Alsace-Lorrainc, 9, Nancy, àl'année. pour eM 4 86 de place enf., maison anc.,très sér., très confort. Jard.d'agr.,2sorties, Mlle Garon, 43, rue de Nancy, Cbampigneulles. Maison bourgeoise 6 pièces, véranda, jardin, située On demande TÉLÉPHONE G37 SSTS auralt e- Machine à couin — parLOOOkg iarl »î kg Maries criblé 34 fr. Anthracite têtes de moin. 50 — Charl*roi têtes de moineaux 50 — — gailletins . . 46 — — gailletins ... 48 — coneassage spé— nnii. .... 42 — eial p. calorifère -'ni— Sarre criblé 84^J0,^9 • • • • g- têtes de moineaux. 36forges! 38 — Rendu franco devant domicile, rentrage en sus Au comptant sans escompte COSSS Z>E GAZ aux mêmes prix qu'à l'Usine à Gaz Mes marchandises sont garanties de toute \*> qualité. ft Vendre ou Louer Chaire à nier NANCY PRIX à partir du i* Octoln P à l'ancien moulin de Chaude- buffet ancien et armoire lorraine uey, une chuta d'eau sur la Mo- (500 fr.). S'adresser à Mme Laselle, 1.500 mètres de Toul, force eoaabe, 46, rue Stanislas. minimum 120 chevaux. S'adresser, " pour traiter, & M. Ferlia, propriétaire à Chaudeney. A PROFITER DE SUITE KRONBERG Lobau, encffi^^SrSS A LOUER Accoucheuse ïûtt^A BUREAUX °Nn,« i ? v l" ^ » ?. parmois.par trimestreet services rendus dans la localité, l'i^rMn,f^l ^. * , Sroupcments professionnels sur lauréate de la Faculté de Nancy, r&ÎSÎL?* ^ «ans les locaua de la Chambre Commerce on. dehors des avanbuîe? nrAMUs ils reçoit dames pens. toute époque, à î° NANC Y 90 fr. par jour. Prix : 5,000 fr. FRUITERIE - EPICERIE. Loyer 500 fr., affaires : 50 fr. par jour. Prix : 4,000 lr. Occasion exceptionnelle : Bureau américain, cîlfee massif, " ÉPICERIE FINE sur grand verni ou ciré, meuble soigné : «a 1-22, MO fr- ; •» »"87, iQO fr. passage-, affaires : 65,000 fr. — Prix : 6,000 fr. Occas. à saisir. BOULANGERIE daas centre industriel, cuisson 120 sacs par Spécialité do meulilea peins- in**«nfIntIoii mois. Prix : 12,000 fr. complète de bureaux PETITE BOULANGERIE aux environs de Nancy, cuisson 50 Visitez les magasins d'exposition, où vous sacs. Prix : 3.500 fr. trouverez un grand choix de meubles simples BOULANGERIE dans la Meuet riches de bonne fabrication â très bon se, cuisson 60 sacs. F onds avec la maison, 20,000 fr. après for- marché, tune. BOULANGERIE dans ville de garaison, cuisson 100 sacs. Px : 15,000 lr. PATISSERIE,installation moôî, rue Saint-Georges (près la Cathédrale) derne, avec CONFISERIE, affc. GUÉPRATTE, propriétaire faires 40 ù 45,000 fr. Prix : 32,000 fr. CAFÉ, 0.1S, avec petit verre, O.ao BOUCHERIE.CHARCUTERID BOCK.0.10 et O.IB, DEMI, 0.20 très belle Installation, bonne clientèle, affaires : 1 bœuf, 3 j APERITIFS ■' mafquma, C.îo veaux, 4 moutons, 8 porcs. Px :• OBAMBRSB «SQBliSilS 7,000 fr. CHARCUTERIE au centre de la ville, 5 porcs par semaine. TfPTJTT? A PETTriTT AU PRIX DE COMPTANT. Pnx : 0,000 fr. (a débattre). VLiïiiLt tX UJL\£iJJi 1 sans aucun versement d'avance. VINS EN GROS dons vi le do Habillement», Nouveautés, Meubles, Literie, etc. la Meuse. Vente : 4,000 Iiectos Prix : 25,000 fr. VIKS EN GROS Jur-; ï. = V : Lo Maison n'a ni courtiers, ni encaisseurs ces, très ancienne maison.Vente : 350 hectos. Prix à débat- ES p LOUEB Prochainement au cro chetfrue Sl-Oharles, 34, au rez-de-chaussée. | DESSINS D'APRÈS PHOTOGRAPHIE OE MALADES GUÉRIS Et demandé dans usine des eni irons de Nancy. S'adresser au journal, 617. ■ — DE L'EST CAFÊ-HESTAURANT dans ville des Vosges, à la sortie de la gare. Loyer couvert au-delu DOT 10 chambres. Prix : 25,000. PETIT CAFE-RESTAURANT, près gare, dans forte locallé. Prix : 13,500 fr. CAFE-HOTEL près d'une garp. I) faut disposer do 25,000 fr. CAFE-BILLARD, affaires : 50 Ir. par jour. Prix : 13,000 fr. DEBIT DE VINS sur grand passage, affaires, 9,000 fr. Prix: 5,uuu fr. (A débattre). Moitié comp!ant. CAFÉ-BRASSERIE dans ville de garnison, angle de rues, 10 chambres laissant 1,000 fr. de bénéfices sur le loyer. Prix 14,000 fr.. moitié comptant. ÉPICERIE - COMESTIBLES Ion sténo-dactylographe i • U S PEAU MAUX DE JARfSBES, VICES DU SANG, ETC. ï fr. par jour cheî soi. Travail * facile. Echantillon contre timre. Sans caution. POD, 103, fanourg du Temple, Paris. Pressé, Commerces à céder FABRIQUE ANCIENNE 25 et 27, rue St-Lamhsrt (lu> anuce — Téléphone 94) Eczémas, Dartres, Boutons, Ulcères, Plaies ■ t Saison LAB1QHTA6KE DE K|| (S pour différents rayons. Ecrire en donnant références. Ne pas se présenter sans convocation. letite chambre meublée au reale-chaussée pouvant servir de j lureau. S'adr, au journal, 61S. r.ierges, Bougies, Cire, Huiles, Savons, Fromage», Couronnes mortuaires Place du Marché (Aux P«iu»as) En face de la rue Joseph-Carez 11 BB Hj B5 ■ employés vendeurs :I 21, rue Saint-Georges A NANCY K hésitez donc plus, vous qui êtes atteints de 1 demanda des A. CÀBÀYOT S Cabinet J. LOEB Relis - A.GRASSET-ïi r;? LA PLUS 1H Cirûjfez ceux qui ont sopîîcîrtl p AUX GALERIES HANCEIEMES Vins en gros, MARBACHE [On demande -r—" '"TrTrTffl'TOlffllH J| la M gancaMONlN^^Y. H _ M. CABAYOT, vins en gros, à Marbache, informe ses nombreux clients qu'il n'a jamais en le moindre ennui avec la régie ou le service dts fraudes, contrairement aux bruits courus aux environs de Nomeny. Cette invention n'a pu être faite que par un farceur ou an commerçant jaloux du chiffre d'affaires de ma jeune maison, dont les fournitures soignées, irréprochables et garanties Naturelles en ont fait une des premières malsons du département. OH dSfflanflB ■■■■■■ m I il i ■ T~ 1 l CAFÉ-BRASSERIE IM ? gencBMeilN^N^gY S même la putreraction aes anmcnxs dans l'estomac et les intestins. C'est ainsi que sont produits les gaz qui gonflent et ballonnent le ventre, les biles et les glaires qui encrassent le tube digestif, de niûrae que les différents germes infectieux qui souillent et affaiblissent le sang, qui attaquent le eœur, les reins et le cerveau. Bref, c'est cette mflarntnation qui produit toujours toutes les maladies de l'estomac, du foie et des intestins et leurs tristes conséquences ; l'infection de l'haleine, les maux de dents, la carie dentaire, Finitalion de la gorge, les bourdonnements d'oreille, l'apoplexie, les congestions, les palpitations, les étouffements, les maux de foie, les gaz, les gonflements, les suffocations, la fatigue et l'essoufflement au moindre effort, les maux de ventre, les crampes, les coliques, les vertiges, la tristesse, la mélancolie, le découragement, les cauchemars, les Insomnies, l'anémie, la neurasthénie, le diabète, l'albuminurie, l'appendicite, le cancer et l'inflammation intestinale. Le docteur de Cock eut donc l'idée la ne pouvaient puis aigerer ci qui avaient'1 .plus liaureusa lorsqu'il appliqua l'arrti- de l'estomac, du foie ou des intestins, vainement tout essayé, ont élé guérie» eepsie au traitement des affections sto- si grave, si ancienne qu'elle puisse être, uniquement par les Poudres do' Cock. macales et gastro-intestinales, puisque par le fait qu'elles en suppriment la Profitez de leur expérience, et au lieu cause. C'est un tonique, un digestif et l'antisepsie consiste précisément dans de perdre votre temps à prendre des reun stomachique incomparables. les propriétés si précieuses qu'ont cerCe serait donc une grande erreur de mèdes inconnus, prenez un remède sétains remèdes d'arrêter l'étal morbide se décourager sous le prétexte que tel rieux qui a été fait expressément prjup désigné sous le nom d'inflammation et ou tel remède, que tel ou tel traitement combattre les maladies de l'estomac et de réveiller l'action vitale des parties ne serait pas parvenu à guérir la mala- qui vous offre toutes les chances de guémenacées ou envahies. Mais où le docdie de l'estomac dont on souffre, car il rison radicale et définitive. Prenez les teur de Cock fut particulièrement heufaut savoir avant tout qu'aucune mala- Poudres de Cock, et les Poudres de reu*. e'esl dans le choix des différentes die de l'estomac n'est incurable el que Cock vous guériront. Cela ne fait ausubstances toniques, antiseptiques et si on né parvient pas à se guérir, c est cun doute. aatiinflammatoires qu'il groupa pour ,„-,„ ... lenJ parce qu'on ira QM encore On peut se procurer les Poudres de combattre ces maladies et qui sont auCock dans toutes les bonnes pharmapris le remède appiopre. jourd'hui universellement connues sous Que toutes les personnes qui se trou- cies du monde, à 2 fr. 50 la boîte, n le nom de « Poudres de santé de Cock ». vent dans ces cas essaient seulement faut toujours avoir soin d'exiger les véCar, on peut l'affirmer sans la moindre une seule boîte de Poudres de Cock, et ri tables boîtes de Poudres de Cock, bien exagération, les Poudres de Cock sent si les résultats que celte première boite fermées et bien cachetées. en réalité des poudres de santé. C'est Les Poudres de Cock sont toujours1 leur donnera ne les satisfont pas, qu elle plus heureux assemblage des plus absolument inoffensives. Quatre boîles les les cessent. Mais si, au contraire, puissants fortifiants, toniques, antisep- elles en obtiennent des résultats satis- suffisent généralement pour guérir mê-; tiques et digestifs connus. qu'elles les ccnlïnuent, et les me la maladie la plus grave et la plus Le9 poudres de Cock ressuscitent faisants, Poudres de Cock les guériront certaine- invétérée. Chaque boîte contient tou< réellement les fonctions digeslives et jours toutes les explications nécessaires* intestinales suspendues ou abolies par ment. Cela mérite donc d'en faire l'es- au traitement. la maladie. Aussi elles procurent touRenseignements gralis,pliormacie des Bien des personnes qui souffraient "de jours la guérison complète, absolue et Poudres de Cock, Jeumont (Nord), définitive de n'importe quelle maladie l'estomac, du foie et des intestins, qui lIlllWlWWIillMWI— «■«Il AVIS AU j ^ SI ^fêy y vous TOUSSEZ" Prenez des Pastilles du Docteur DUPEYr&UX ' H _ |AÏl^ ' AA^^^rW^i Mwigtw rWx^A /«*» u VSSSKÀ IJtdiMM n"tt!*vÀ Elles guérissent les rtuunes, bronchPes, trachéite», laryngites, pharyngites simples, STace aui vapeurs microbici lcs qu'elles déS^ftent en se dissolvant dans 1» salive. |v -IH 11 SWÊ/I Elie» préservent aes maladies de poitrine et I "NL,,*IIM| i™iS™»J des complications pulmonaires graves. — La ^BBI|I b»'te 0 lr- 75i franco a donuciîc contre -«muapr 'msita»^ Q fr 8g en tjmore3 ou mandat. J'envoie sur demande mes dix ouvrages de thérapeutique et d'hygiène. B- DtTPEYROnx. 5. iquare de Messine. Paris. •IIP'' HOTEL cmwYm NEUVES-MAISONS, rue de Heufchâteau &.%A (util •» M. Léon MAi\<iEON, ex-chet du buffet d* la gare «le Nan^j* a l'honneur d'informer MM. les touristes «t voyageurs qu'il sor'... à M. CAVAD1NI,. depuis le 20 décembre, el qu'il viest d'^*nc on restaurant de premier ordre dans les dépendances de )' , ,'' Déjeuners et dîners à table d'hôte. Friture et n"* :J' !g «t Muselle tous les dimanches et sur comMiati<<><* \ % rbcuigots tous les jours. Espédilion journalier* *l , _„;'»«»). u a, lso 1 domicile de Tripes à la mode de Cae« (Spé.ialu* *<■ " Prix modéré»
© Copyright 2024 Paperzz