jg^gg^J _ ' ABONNEMENTS TROIS_MOIS 450 v jgl^Sc^M«««. A „t«5 départements -l» D » SIX MOIS 9 » io » b > 12 » ....... 9 > 18-» On pei// s'a&onngr »qns ./rat» aVjf» (ous fgs bureaux Je poste k"* POLITIQUE I c la > 20 24 36 > lU. g? » t# » NANCY L'XfiTU&UTÈ . fiuc?tion économique est le prin- du Maroc et que pas un sultan ne s'est considéré comme le maître du pays tant a ^ ' i question politique et admi- qu'il n'avait point occupé Marakech. a tetrative en est la base essentielle ; U suffit pour se rendre compte de jîSs nour que la première puisse se l'importance de l'occupation définitive SfepiJer normalement, il faut que la de cette ville, de jeter les yeux sur une niV ai! trouvé ses assises déflniticarte. Placée au confluent de la plus seconde a» grande partie des rivières qui descenVC \Mlheureusemerit, de 1830 à 1898, la dent du Haut-Atlas, il ne s'agirait que nation de la France au Maroc a été' de déboucher quelques canaux pour longue suite d'hésitations et de ter- lui rendre son ancienne prospérité. Elle ,ime lions . SiMls se désintéresser domine du côté de la mer une vaste nletcnient du Maghreb extrême, elle plaine, d'abord aride, mais qui ne tarde C \avaU cependant rien fait pour y pas à montrer des terres noires aussi "xer'cer une influence politique prépon- riches que celle de Doukala. De plus, dérante et sur la frontière algérienne, elle commande tous les passages qui du situation restait, après, la même Haut-Atlas, ou par le littoral, conduisa sent dans la vallée du Sous, contrée ou'en 1845. Pourtant la France ne pouvait échap- riante et bien arrosée. ner a l'obligation de s'occuper du MaC'est aussi de Marakech que l'on peut ne pas plus qu'il ne dépendait d'elle le plus facilement gagner par la monrie ne point avoir de politique marocai- tagne la grande oasis du Tafilet, qui ne par la raison que l'Islam, bien que compte plus.de cent mille habitants et nartaflé entre divers gouvernements, qui passait autrefois pour la métropole l'en constitue pas moins une seule nasaharienne sous le nom de Sidjilmassa ; tion, où un musulman est citoyen d'un comme ce sont encore les caravanes de tout', en même temps que citoyen de Marakech qui portent les produits eurotout' pays musulman où il se trouve, péens jusqu'aux lointaines oasis que et bénéficie de la sorte d'une solidarité fructifie le cours immense du Draâ. Il dont l'équivalent-ne se trouve dans au- faudrait donc que l'opinion française cune nation chrétienne. Nulle part ail- se rangeât à cette pensée qu'une fois leurs, cette solidarité n'est plus étroite entrés à Marakech, les Français ne dequ'entre l'Algérie et le Maroc, car reli- vraient plus en sortir. gion, mœurs et organisation familiale, -Cette position acquise, le régime de tout y est commun. Or, en ces matières, Tanger étendra quand même son ombre les musulmans ont des habitudes d'es- sur l'occupation française, car l'Angleprit que les Européens ne peuvent com- terre, pour dormir tranquille à Gibralprendre, parce qu'ils les prennent dans tar, n'a pas voulu qu'une autre puisle Coran, où il n'est point parlé de pa- sance pût tenir une des clefs de la Méditrie, et qu'il renferme pour eux toute terranée. Pour l'empêcher,'elle a trouvé la loi, considérant tout le reste comme le régime international, sous la garde un accident dans la vie. de douze représentants étrangers. PourDe telle sorte que toute agitation au vu qu'à l'ombre d'institutions qualifiées Maroc a sa répercussion en Algérie. De d'autonomes, elle ne le transforme pas là est venu pour la France l'intérêt tout en conquête anglaise et ne fasse de spécial de veiller à la tranquillité de Tanger qu'une simple annexe de Gil'empire chérifien. braltar, où Raisouli et Menebbi, clients Mais si l'on se rend compte de la né- avérés de sa politique, auraient la charcessité pour la France d'avoir une poli- ge d'#n faire un fief de la puissance britique marocaine, on n'est pas moins tannique ! frappé" d'autre" part des difficultés L'œuvre du général Lyautey n'est qu'elle aura à la faire servir toute à donc pas chose facile,- mais il a montré son profit. Et l'Angleterre, l'Allemagne une telle précision dans ses conceptions et l'Espagne n'ont pas encore dit leur militaires et administratives que la dernier mot à ce sujet'. Elle aurait done France peut bien augurer de l'avenir.... grand tort d'oublier que c'est en EuL. BITSCHINË. rope, que se gagnent ou se perdent les colonies, et le Maroc pourrait bien devenir un pion de discorde de plus sur l'échiquier européen. Si, en 1904, lors de la signature de raccord franco-anglais, la France pouvait cjoire la partie gagnée ; en 1905, Un ministre, — que je ne vous nommerai moment du débarquement de Guillaume Il à Tanger, elle risquait de la voir pas, — visitant un -pays, — que je ne désiperdue. Après Algésiras la partie n'é- gnerai pas davantage, — a prononcé ces tait ni perdue ni gagnée, mais cet acte paroles mémorables. — Vous habitez, Messieurs, un pays exmplomatique n'était que l'ajournement traordinaire. de la question du Maroc. En effet, l'ac Je ne sais pas si les habitants ont trouvé c °rQ de 1909 n'a pas empêché la crise i extraordinaire » la définition de leur fle 1911, bien qu'il ait été fait en vue de pays, s'ils en ont été froissés ou s'ils s'en tesoudre le litige qui mettait aux pri- sont réjoui. Il est certain que le ministre be s, depuis 1906, deux grandes puissan- avait eu l'intention de glorifier le pays, et tes européennes, et si à propos du Ma- de flatter Vamour-propre des habitants. 0c Il eût peut-être mieux fait de regarder la ! les mations et les groupes de naions ont mis sur les plateaux de la ba- carte, de consulter Larousse ou Foncin, de lance où se pèsent leurs alliances, leurs rechercher quelles étaient les productions de la région, ses désirs, Ses ambitions, et, — lei f' leur or&anisali°n intérieure et puisqu'il y allait faire un voyage d'études,— r nei e mora e ch ^î -l i malgré que ces d'étudier le pays qu'il visitait. n a eri ma ' '' point créé la question Au surplus je ne saurais trop durement ocaine, il n'en reste pas moins pour blâmer VExcellence. On exige trof des ntimoment un dos éléments essentiels nistres, trop de déplacements, trop de scienj7 ^retiendra l'antagonisme franco- ce, trop de compétence. u mand et la rivalité économique et On veut qu'un ministre, traversant une de rA1!ema 4rre gne et de l'Angle- ville, se rende compte en un quart d'heure Extraordinaire i de ce qu'elle est, en vingt minutes de ce qu'elle réclame, en demi-heure de ce qu'elle sera. Les hommes d'étude, les gens de commerce, les promoteurs d'industrie n'ont pas dans toute leur vie réussi à discerner exactement les intérêts emmêlés. On prétend que le ministre les débrouille aussitôt, pendant le trajet de la gare à la mairie. Alors les ministres se contentent de trouver le pays « extraordinaire ».• Ils n'ont pas tout à fait tort. JEAN es» Lt Passage des Prince» o... e -j. r . c u e 1 J J t. ■ 97. Rue RicheLeu, et 5 iis. Boulevard des ItaGen. _ J» 07 . DURBAN, ea Grand cordon d'Académie C'était pendant le récent vovage touristique de M. Poincaré. Dans un petit village, l'auto présidentielle s'arrête, et M le maire s'avance tout rouge, tout ému. Soudain, les membres de la suite présidentielle répriment une immense envie de rire. Au bout de son éebarpe de maire, dépassant son habit, les palmes académiques grand format sont épinglées. Sans doute, le brave paysan a-t-il cru que le grand cordon de M. Poincaré se composait de son écharpe de président et d'une croix de chevalier de la. Légion d'honneur. lit tandis qu'il lit son compliment de bienvenue, les palmes en argent battent sur son pantalon à mesuré de son émotion. Quatre-vingts recommandations Une demande vient d'arriver au cabinet du préfet émanant d'un ancien soldat qui veut devenir gardien de la paix. Elle bat le record de l'apostille, étant signée des quatre-vingts conseillers municipaux, sans exception. Le brave guerrier a Mis près d'un an à réunir sa eollêetié» de signatures ; mais enfin, à feree d'influences, rie relations utilisées û est arrivé à la compléter. Et maintenant, tranquille ,il attend lo résultat. S'il n'était pas nommé, ce serait vraime»* à décourager d'être recommandé. ! A Les nouvelles casernes Il faut bien revenir à l'éternelle question des i nomades. Les tragiques événements de Lunei où l'on a vu des romanichels campés [ sur la roule tuer un gendarme et en biessser plusieurs autres, ont a nouveau redon1né de l'actualité a ce problème qu'en vain 1 les législateurs cherchent à résoudre. Voua des vagabonds sans nationalité, sans morale, sans lois, sans autre métier îque celui du piliage et de la mendicité,sans < état civil, sans domicile, qui, venus on ne f sait d'où, tziganes de Hongrie, zingari d'Iîtalie, gitanos d'Espagne, gypsies d'Angleterre, s'installent sur notre sol en pays (conquis, détruisent le gibier, font main1basse sur tout ce qui se trouve à leur por1 tée, sèment la terreur dans les campagnes, îapportent et propagent les maladies .-ontagieuses de village en village, en un mot !vivent en parasites, à même la société à 1laquelle ils demandent tout, sans rien lui (donner en échange. Comment se fait-il que ces tribus malfaisantes, perpétuellement errantes, que ] l'étranger chasse et rabat forcément : ur 1nous, ne puissent pas être atteintes par 1nos lois f 11 n'y a donc pas de texte, rlâns notre législation, qui leur soit applicable ? j Qu'est devenue cette loi du 19 juillet )912 ( que le Parlement a votée à grand'peine, fsur les instances réitérées du marquis de JPomereu, de MM. Cruppi, Berry, Fland^n, Lebrun, Marc Réville, auteurs ou rapporj teurs de nombreuses propositions destinées . à débarrasser notre sol de cet élément de itroubles ou tout au moins à placer les in]léressés sous la surveillance étroite de 1 i'autorité ? ] Toutes les mesures édictées par la dite loi auraient dû être mises en vigueur au , plus tard le 14 mars dernier. Or, en fait, 1 n'en est rien, puisque les événements de il 1Lunel nous ont appris que l'on s'était trou]ve dans l'impossimlité de connaître l'idmtité de la plupart des agresseurs des gendarmes. ( Pourtant, la loi de 1912 offre un moyen 1bien propre à s'assurer de l'ideiiLité des nomades : ces derniers ne doivent-ils pas | être munis d'un carnet d'identité avec pno1tograpme anthropométrique, carnet qu'il ileur iaut faire viser dans toutes les co-n1munes où ils séjournent, par le commisaire de police, le commandant de gendarmerie ou te maire, sous peine de trois à.six mois ,de prison, avec huit à dix ans d'interdic1 tion de séjour ? Il a fallu cette tragédie de JLunei pour que l'on se soit aperçu que cette disposition essentielle était demeurée ' jusqu'ici lettre morte et que les romani;cheis circulaient aussi librement qu'aupa1 ravant, dans nos campagnes, sans avoir^à fournir la moindre pièce d identité. 1 Que de lois, en France — et des meilleures — en sont là. Nous aimons faire des j lois ; nous avons le goût de la réglemen1tation ; et puis, une lois le texte élaboré, 1discuté,, voté, promulgué, nous ne nous en occupons plus ; son application ne nous intéresse pas. C'est un tort. Certes, tous les nomades na sont pa,s des malfaiteurs. Mais les honnêtes gens qui se rangent dans cette catégorie seront les preniiers à bénéficier de la loi nouvelle qui leur donnera en quelque sorte un statut civil et leur permettra d'exercer sans inquiétude leur profession réelle de vannier, îaccommodeur ou marchand. Songez qu'il y a de par la France quatre cent mille individus qui cheminent et vaga' bondent à travers notre pays, ne vivant que de charités et de larcins. Ces gens-là constituent un poids mort pour notre so-,ciété française, déjà si peu favorisée :ous le rapport de la population. Alors que cha1que Français lutie avec une énergie admirable pour conserver à son pays sa place 'dans ie monde, pour tenir tête, commer-ialement parlant, à des peuples comme les Allemands, dont la densité, en quinze tns, \ s'est accrue de huit millions d'habitants, il y a des êtres paresseux, inutiles, nuisibles, qui rongent notre organisme social 1 vivent en oisifs aux dépens ae ceux qui et travaillent. Il faut que cela cesse ; il faut que ces chemineaux contribuent, eux aussi, a l'effort immense que nous accomplissons. Nous ne sommes plus assez nombreux pour nous offrir le luxe d'entretenir à ne rien faire une armée entière de parasites. Ceux-ci devraient être à l'atelier, à l'usine, iux champs ; ils devraient collaborer, dans la mesure de leurs forces, à l'œuvre d'expansion et de richesse nationales On entend dire, depuis des années, que l'agriculture manque de bras, et c'est vrai, la main d'œuvre se raréfie. Mais quoi 1 n'est-il pas lamentable de constater que les champs sont vicies de travailleurs,alors que derrière les meules de ble qui jaunissent au soleil, les vagabonds sont accroupis, lamentables, les nras croisés, flairant i© mauvais coup à accomplir et, hormis cela, ne sachant rien faire et ne voulant pas d'ouvrage. C'est à l'éducation professionnelle de cette masse énorme d'individus, chemineaux, vagabonds, mendiants, nomades, que devraient se consacrer les pouvoirs publics. Qu'on réglemente leurs allées et, venues c'est déjà bien, qu'on les oblige à travailler serait mieux encore. Donnezleur le moyen de se relever matériellement et moralement. Mettez-leur un métier dans les mains, faites leur instruction professionnelle, dans les asiles, dans les chantiers communaux, et du même coup, cornme le constatait dernièrement M. Marc Réville, député du Doubs, on augmenterait dans une forte proportion le nombre des hommes réguliers, susceptibles de se marier, de constituer des familles, de donner des enfants au pays, de prendre, en un mot leur part de l'effort national,. avec les bons citoyens — et par la même occasion, le rôle des tribunaux correctionnels et des cours d'assises s'en trouverait singulièrement allégé. Désirant nous rendre compte de l'état d d'avancement des nouvelles casernes destin nées à recevoir les hommes appelés à .-enfi forcer le 94", nous sommes allés visiter les c chantiers de MM. France Lanord et Bichati ton. Nous avons eu le plaisir de rencontrer à l'entrée M. Pardaux, l'aimable directeur à d de la succursale de Bar. Sous sa direction, ri nous avons visité les travaux. Les casernes ssont formées de quatre grands bâtiments àà un étage formant un vaste rectangle. Il rrégnait une activité fébrile. Partout, .les ttas énormes de matériaux a pied d'œuvre, p partout des grues électriques montant sans ccesse moellons, mortier, tuiles, etc. Trois bâtiments seront prêts pour l'arr rivée des recrues. L'emplacement est • rai* n ment bien choisi. A une extrémité de ce r rectangle coule la rivière l'Ornain. Le lavvoir militaire où chaque soldat armé . e sa bbrosse et du banc traditionnel fera sa pet: tite lessive lui-même se trouve au milieu de b rivière. la A l'autre extrémité, passe la route départ tementale, longée elle-même par le chemin d fer, ce sera pour nos troupiers une véride t.table distraction. L'intérieur du bâtiment eest divisé en une grande quantité do pettites chambres faites pour seize hommes, ddonnant toutes sur un même couloir. în d dirait un vaste wagon couloir. L'hygiène a eu sa grande part, atten lu q qu'au premier étage et au rez-de-chaussée s sont installés de superbes lavabos. J'oubliais de dire que la grande nllée c centrale était plantée de jolis platanes qui ddonneront de l'ombre pendant les heures d théorie. Ce sont en un mot des casernes de Cmodèles. J î ] MARCEL FRANCE. VOIR PAGE 2 Dernière Heure §Jf BAR.LE.D'JC Nomades et Vagabonds j ""^ . igrf g Bureaux de Paris Faubourg Saint-Jean et Boulevard Mazagran ETRANGERE sa ; Direction et Administration 1 facteur de la mise en valeur du rance Directeur ; René MERCIER ^ UM_AN La Pénétration du Maroc le n ^ possède bien aujourd'hui t0ral marocain m coûr° i . °is il lui a Ejrvnf ° ' abar'don de ses droits en Sacrifices 80 et ri territoriaux au Conaine réserv *emné à l'Espagne dans chériflen l'inù ; et le caractère de l'état I6"1100 allemande autant que j ies h^en^'al de l'Europe ont modifié le ^.j es Pour-elle, et la laissent sur v 'eàr7Ve' car la situation reste graet i( ."Prieur et aux confins du Maroc. Pukti 1 Gsl décile de concilier les stikcher Pass6es avec le nouvel état Le ti'Tii i avcc ■ îa Fia' l'Espagne prouve que avait rf06 a COmPris la nécessité qu'aile ses en De pas multiplier le nombre de a emis mis !J et de se faire le plus d'a[vaiajjj SSlDle. Mais ce traité ne sera soiue<= 'C'Ue s* les deux nations sont réCa a m arcne 1 f s'il , r en complet accord, | ces çj en était autrement certaines de a Se f)0urra F' procè ^, ient devenir des nids st une tnes rj'pi vérité dont les homdes deux Pénétrp pays devraient se lions J ?°ur la raison que les deux na^leein?*11 acccPlé un tête à tête dans u fcùisérp <^far°c, ne se sont point tefaite aU'rC allernalive qu'une entente à ^ bien une guerre sournoise COu Pas de Pinft'e qui ne manquerait pr ^avp,^ , °dnire les conflits' les plus Tout f?18 rave«ir. s 'arrftte 8 lfi rôle ds la Francft ne que ai J?a? la ; elle n?, doit pas oublier ^^"estCZ eSl le centre ara'^e' Mara* capitale berbère de l'empire Vendredi 1 & septembre 1913 JOURNAL RÉGIONAL QUOTIDIEN Téléphone : 3=21 -10.37 """" _ PUBLICITÉ P'Miàté eft reçue à l'Agence Havas, 8, place de la Bonrse, à l'Agence John F. JOB». 31 ««. faubourg Montmartre, aux bureaux de l'£jf Républicain, passage des Priirce», s Paria, , Agences, et à VB# Républicain,* Nancy. daE5 tOBte le> LJAUTOMNE EN LORRAINE Au Paio-de-Sucre cTAgincourt Parmi les bruyères et les buissons nains le vent passe, humide et déjà froid, le vent d'automne des septembres lorrains... et de l'eau suinte, goutte à goutte, à travers les rocailles ferrugineuses du ;sommet du Pain de Sucre, face au plateau igaulois de Sainte-Geneviève, aux frondaiisons dorées de Flamémont, à reversmont ofe Malzéville. Le mont regardait Agincourt et Agincourt regardait le mont. Entre eux deux, depuis longtemps, c'était l'accoutumance du bonjour quotidien, des sentiers à travers les champs pierreux, des mêmes herbages et des mêmes plantations. Les gens du pays, depuis d%s millénaires, regardaient la montagne pelée qui se : hissait comme un cercueil géant en plein cœur de leur terroir, observatoire merveilleux au temps des invasions d'autrefois, i simple baromètre aujourd'hui indiquant le beau temps ou la pluie suivant les saisons. Loin, bien loin, dés bords de l'Amezule aux rives sinueuses des ruisseaux de chez nous, on apercevait le mont bizarre, dans son splendide isolement, borne titanesque aux contours changeants, suivant l'orientation, « pain de sucre » ferrugineux dont les flancs recélaient des trésors. De Lay, d'Eulmont, de la citadelle d'Amance, des bordes et des censés d'alentour, on contemplait avec étonnement la mystérieuse montagne, où,jadis, affirmaiton, s'allaient joindre les satyres et les dryades, où les fées, sous le plomb-soleil tissaient des étoffes de pierreries, où les braconniers chassaient le gibier de nos ducs, où, maintes fois, depuis l'An terrible, les douaniers firent la guerre aux contrebandiers. Le Mont restait là, sentinelle avancée, regardant à des lieues, dominant les terres aux rayures rouges et jaunes, les luzernières et les champs de blé, les avoines et les seigles, les vergers et les bois, regardant couier, toutes menues, les eaux clairettes d'Amezuie et de Seille, des rupts innombrables des plus humbles vallonsDe ses flancs, de sa croupe puissante, i d'autres eaux yssaient, susurrantes. C'étaient des" sources de vie, un ruisselet id'argent qui s'en allait dans un .epli fleuri et qui fertilisait un cantoti, une « fin », avec une manière de « reposoir » > exquis au milieu d'herbages de senteur, là même où l'eau sourdait du sol, entre des saulaies, du thym et des menthes sauvai ges. ter sa tente ailleurs, trouvant qu'on M travaillait pas assez chez les Florentin. Un sentier prend là, « derri lé fontèn* d'Aginco », et c'est tout de suite la ruda grimpée, l'ascension du Pain de Sucre, l'emprise de la montagne. Droit devant soi, l'on monte, l'on monte encore. Les terres s'en vont, à la ribambelle ; voici les éteules des récentes moissons ; voici les fronces desséchées de nos pommes de terre ; voici les endroits pierreux où se terrent les lézards gris, où se sauve un lièvre, en caponnant ; et voici les trèfles et les sainfoins où paît le troupeau communal d'Agincourt. Finies maintenant les cultures... la terra que l'on foule est stérile et rebelle au soc de la charrue. C'est déjà le sommet de la montagne, comme un cône long et étroit, une pyramide do pierres, rouges et jaunâtres, tapissée d'herbe courte, avec, ça et là des fleurettes qui ne veulent pas mourir, des buissons nains d'aubépine, des touffes d© rosier sauvage, chargées de gratte-cul tout mollats. Lentement, dans le calme mystérieux de cette solitude, je fpis le tour du sommet, de la cîme auguste qui fut peut-être un temple, qui reste aujourd'hui un signal militaire et qui, demain, pourrait être le piédestal grandiose d'une grandiose statua de Jeanne d'Arc, l'épée haute pour défendre la Fiance... aux Marches de Lorraine I « Excelsior ! » Plus haut 1 plus haut encore !. Me voici au faîte, dans « l'oppidum » des Gaulois et des Romains, sur la crête rocheuse qui domine le pays tout entier. »————-——*^>-j^-^^ — ■ Tonte la terre est là, la terre de chez nous, encore embuée dans les lointains. , Mais aujourd'hui je ne suis pas venu \ demander au Mont les apothéoses des pa* noramas splendidcs... aujourd'hui je voudrais connaître un peu des mystères d'autrefois, de ces temps révolus où ils vaElle n'aura lieu riaient s'aimer ici, les monstres chèvreque du 10 au 15 novembre pieds et les nymphes aimables des campagnes, les divinités faciles et douces dea âges lointains... tout pareils aux nôtres, je veux le croire. . La question de la libération de la classe 1910 sera examinée, et discutée au conseil Une croix est là, faite de deux brindille* , entrelacées et que les saisons ont dessé,des ministres que M. Poincaré présidera lundi prochain à l'Elysée. chées... et c'est l'entrée obstruée des carIl est à peu près certain que les soldafs rières, de la mine de fer que les homme» qui devaient être libérés avant la fin du primitifs exploitaient, comme ils tiraient 1 présent mois seront maintenus sous les dradu sel dans leur fameux briquetage de la P Sêilia. 3peaux et qu'ils ne pourront être renvoyés dans leurs foyers avant le 10 ou le 15 no0 Et dans un vieux manuscrit des âge» y vembre prochain. lointains, je relis la légende cruelle d'Amarina, la fille gauloise de Flamémont, ve. . ~, , ——-—— Un matin de ce septembre humide,je suis nant, la nuit, rejoindre son amant, le beau retourné seul à ce Pain de Sucre, à ce Sa.ncius, au sommet du Pain de Sucre fer• géant d'Agincourt, ïhabor merveilleux du rugineux. | pays de Lorraine. Là-haut, dans « l'oppidum » de SainteDes ouates blanchâtres s'enlevaient len- Geneviève, ies huttes gauloises s'étatement, débris de fumées voltigeant à mi- geaient, dominant la plaine. Le ministère de l'agriculture fait con- rnont. Les femmes activaient le foyer, entasnaître r aujourd'hui l'état approximatif de De Lay-Saint-Christophe, on n'apercevait saient ies poteries grossières (que Ton a la récolte en 1913 du froment, du méteil et qu'une mer de nuées grises, d'un gris sale retrouvées naguère), écrasaient le blé sou» c du seigle. ( s'épaississait par en haut, comme une les meules en porphyre quartzofère et e-n 11 Voici les résultats généraux de cette qui masse impénétrable et profonde, cachant lave de Niederniendig* apportées là, à do» sstatistique, ainsi que la comparaison avec les choses, dérobant les horizons coutu- d'homme, durant des exodes..: pierres saceux des cinq années antérieures : c crées du pain quotidien. miers. Froment Et les Gaulois de l'âge du fer allaient En bas, ces brouillards se diluaient en" Récolte de 113,321,100 hectolitres corres- moiteurs humides, faisaient les chemins et venaient par les forêts d'alentour, avec pondant à 87,883,200 quintaux et une sur- gras, les sentiers glissants, déposaient ,des leurs haches polies en chiste amphiboliface ensemencée de 6,543,550 hectares. gouttelettes sur les herbes des champs, sur que, leurs flèches en silex, leurs broyons, f Voici le rappel des cinq années antérieu- les arbres aux feuillages éternels, étouf- ' leurs lances munies de solides ferrures. Le fer, ces populations guerrières la t'aient tous les bruits de la vallée. res : 1 Années Surfaces Hectolitres Quintaux C'était la matinée fraîche de fructidor, trouvaient tout près, quasiment au faîte veille des automnes où, pourtant, la na- du Pain de Sucre, et ils en faisaient des 11908.... 6.564.370 111.979.680 86.188.050 ture n'a pas encore dépouillé ses splen- armes, des instruments, des objets de toua 1909.... 6.596.240 125.521.900 97.752.200 deurs, 6ù le soleil met des points écla- genre. 1 Le fer, ils le prenaient là, sous forme d* 90.834.200 68.845.900 tants à travers les forêts, où les peupliers 11910.... 6.554.370 11911.... 6.433.360 111.049.900 87.727.100 des routes font mine de jeter aux passants minerai de fer fort, en rognons, en gro» 1912.... 6.571.580 118.505.800 90.991.500 un# pluie de sequins d'or ou de gros sous grains ou pysolithes, et c'était- un véritar 1 ble établissement métallurgique dont le» rouillés. Méteil De Lay à Eulmont, par le creux du val- scories deux fois millénaires attestent ea« Récolte de 2,119,530 hectolitres correscore l'importance. ,pondant à 1,583,830 quintaux et' à une sur- lon, la routç est pittoresque au possible. Cette Amezule est d'un caprice' sans pa{face ensemencée de 126,415 hectares. reil, allant à droite, allant à gauche dans Deux fois le jour, Amarina la Gauloise Voici le rappel des cinq années antérieules héritages, coupant les prairies, traver- descendait du valium retranché de Saintejres : Années Surfaces 'Hectolitres Quintaux sant un champ de pommes de terre, cares- Geneviève pour aller puiser de l'eau à la sant doucement des rectangles violets où fontaine des Druides, qui coule encore ^1908 142.870 2.278.140 1.687.960 poussent des blés de Rome ou des topinam- reversmont, regardant Agincourt et le ^ 1909 141.640 2.477.500 1.853.500 bours... et toujours suivie, gardée, déli- Pain de Sucre. j1910 A Rosmerte, la bonne déesse de ce temps135.690 1.890.400 1.382.800 mitée par un double rang de saules verts j là, elle fit un vœu : d'aller choisir un 1911 127.270 2.051.850 1.541.320 aux troncs noueux et tout déjetés. On tire joliment le « pâchat » en passant époux parmi les rudes forgerons du mont .1912 ' 128.750 ' 2.120.2|0 1.554.620 par les sentiers des vignes, les pauvres vi- chauve, parmi les jeunes hommes sachant Seigle gnes où l'on a tant œuvré cette année pour manier le glaive et. bâtir les huttes massiRécolte de 18,563,200 hectolitres corres- une récolte absente. ves de branchages. La terre est grasse, prenante et forte. ]pondant à 13,555,350 quintaux et à une Le soir, quand les flammes de la forge surface ensemencée de 1,197,200 hectares. Sur son mamelon, couronné de forêts, primitive eurent fini de rougeoyer sur f Voici le rappel des cinq années antérieu- Eulmont s'étire et s'étend à n'en plus finir, l'horizon, Amarina salua les étoiles, quitta jusqu'à une manière de château, gentil- le campement, decendit la pente de Flaires : Années Surfaces Hectolitres Quintaux hommière agricole des Urrnès. mémont et bientôt, après une pause à la Et soudain, sans que l'on sache com- fontaine — où son cœur battait bien fort 1908?... 1.244.320 18.220.160 13.130.280 ment, sans aucun souffle du vent d'autan, — elle fit pour la première fois l'ascension 19.358.600 14.145.900 voici la vallée qui se découvre, toute ; du Pain de Sucre. :1909.... 1.226.980 1910.... 1.211.730 15.527.900 11.146.800 voici les à-côtés grimpants qui apparaisCe fut là, sous les regards amis de la 1911.... 1-174.420 16.172.800 11.875.000 sent successivement, avec leurs bandes de lune, parmi les silences sans fin de cette 1912.... 1.201.600 17.228.900 12.382.200 J terres se suivant à l'infini, découpures nuit divine qu'Amarina fit la rencontre de D'après l'aspect des céréales au mois d'acquêts, frontières de propriétés morce- Sancius. Dans la grotte • du Mont chauve, parmi de mai, la production s'annonçait comme lées. C'est alors la vue qui plonge sur Agin- les pierriers de pysolithes, ils s'aimèrent. devant être particulièrement bonne. Un Et il n'y avait là que deux jeunes humacourt aux deux chemins qui' montent. ; (certain nombre de circonstances défavorables,, d'ailleurs différentes selon les ré- c'est le plateau de Malzéville, avec son bois nités, aux premiers âges du monde. Comme .aujourd'hui, la. montagne soupigions, sont venues .modifier sensiblement de Flamémont ; c'est le moulin de Piroué; jles prévisions, principalement la prolonga- c'est le rupt sorti des flancs du Pain de rait faiblement, des pierres' cassées roulaient dans les éboulis ; le vent murmu. tion excessive de la "période pluvieuse, la Sucre et de Sainte-Geneviève, et c'est, dans multiplication des mauvaises herbes, des sa gloire, parmi les fumées blanchâtres du rait sa cantilène étrange des nuits d'amour, et les eaux coulaient, clairettes, sur invasions de campagnols et de limaces sommet — léchures de brumes, débris tle les pentes, à travers les herbages, parmi vagues aériennes — c'est la cime auguste dans un assez grand nombre de localités, 'la verse, l'échaudage, la coulure, enfin dû Mont, qui se dresse, isolée, attirante et les saules et les bouquets nains d'aubépine. Le matin, quand le soleil reparut sur la ■ des atteintes de rouille et de piétin. Par mystérieuse. Le Mont regardait Agincourt et Agin- cîme, irradiant les entours, les forgeron» contre, la moisson s'est en général effecgaulois découvrirent en le pierrier du fer tuée dans d'excellentes conditions. Le court regardait le Mont. les corps inanimés d'Amarina et de Santemps est demeuré chaud sans excès, sufLe rupt de Chachauoïe... c'est ainsi cius. fisamment ensoleillé, et il n'y a pour ainsi Le Génie mystérieux du Pain de Sucra qu'ils appellent, We toute éternité, le ruisdire pas eu de pluies ni d'orages. t les avait tués, fauchés dans leur fleur en seau qui traverse Agincourt. La récolte est, dans l'ensemble, un peu Une fontaine est là, dans un paysage pleine nuitée d'amour. inférieure à !a movenne : ce déficit résulte d'une légère réduction des emblavures biblique, sous les grands arbres, avec des On dit que le Géant du Pain de Sucre, (réduction d'environ 28,000 hectares par bancs de pierre en hémicycle pour les larapport à l'année dernière) et surtout d'une veuses fatiguées... ou pour leurs admi- génie si redoutable'aux amants d'autrefois, s'est bien apaisé depuis. diminution du rendement moyen à l'hec- rateurs. Il est rentré sous son couvercle de pierA cette fontaine, bien des gens sont vetare : 13 q. 42 contre 13 q. 84 en 1912 et 13 q. 63 en 1911, ou exprimés en hectoli- nus boire, chemineaux de tous les temps ; res et de minerai de fer... c'est à peine, en tres : 17 h. 31 contre 18 h. 03 en 1912 et bien des bêtes ont ruminé, les yeux va- prêtant bien l'oreille, si l'on perçoit encor» 17 h. 26 en 1811. Le grain est, dans pres- gues ; bien des oiseaux ont humecté leur ses chants mystérieux et ses clameurs d'en dessous. que toutes les régions, lourd, très-sec et frêle gosier de bons chanteurs lorrains. . Parmi les bruyères et les buissons nain» Y vont encore, à des heures propices, d'excellente qualité. Le poids moyen de I d'aubépine, le vent passe, humide et frais... l'hectolitre,, pour l'ensemble de la Franee, les tout vieux d'Agincourt, ceux qui vont ressert à 77 kil^gr. 50 contre 76 kilogr. 78 sur « leur menante » p«ur voir passer le et de l'eau suinte, goutte à goutte, sur la ossements des deux amants d'autrefois maade et pour « eeuarailler » du passé. l'année dernière." O» les « renouvelle toujours » les axeiens e» la mine de fer du Pain de Sucre, fad La paille a. de»né des résultats e»eere plus satisfaisants que le grain, non seule- disparus, ceux qui ont laheuré depuis des au plateau gaulois de Sainte-Geneviève asj ment pour la qualité, mais aussi pour la siècles, les Maucolin et les Bazelaire. et pays de Lorraine l EUIÎX BABEL. jusqu'à ce « garçon u qui s'en allait plan.«uantité. 1d'aubépine, LA LIBÉRATION DE LA CLASSE La récolte des céréales en 1313 4 I 3 „ ,„..,.„.„„,„„.,->.«..: :.....«..,,......»..«...•«..«».«■».«..«■..»««»•»««»•■«.....»«« SIXIÈME APRES M. LES ÉDITION MANŒUVRES BU ! SUD-OUEST Raymond Poincaré a quitté Toulouse ..................«■•»■•...«..».,.„„.„.,..„.,«...««......»....«M».«....«.«»....™ "•■»...«„ L'Imbroglio 1La nouvelle Au Congrès jLa Détente Loi militaire Balkanique cta Colliej. Socialiste La sympathie populaire entoure ic général Pau La couronne d'Albanie ne trouve aucun prince On y discute la question de l'Impôt et du Chômage Les deux dénonciateurs éprouvent une déce t P l0a De notre corrcip ,£, Du « Matin », 19 septembre. — Sur le VIENNE, 18 septembre. — Suivant la Not(!)a w IÉNA, 18 septembre. — On discute la quesde la gare de Toulouse, des parleLONDRES, 18 s.iptemore. y*"^** Presse Libre, à l'occasion de la pré- quai q tion du chômage et les moyens d'y remé- vellc r vinrent féliciter le général Pau \velles surprises houri attendent en '•% sence à Vienne, du ministre des affaires mentaires n dier. s de la svmpathie populaire qu'il suscitait, cette c Le M, — surprenante et rayn^.,, Cott,|'ii M. Vimen, député bavarois, constate que éétrangères d'Albanie, la question de la d Mais le général Pau, dont l'émotion était c du collier ? Voici la déclaration f^S au trône d'Albanie serait défile chômage est aussi grand en Allemagne nomination r visible, leur répondit : '• — qu'à l'étranger et déclare qu'il est urgent de rnitivement réglée. Le prince Wilhern-lu- v — Non ! ne me félicitez pas... Ce n'est «c London Agency » par ic cléteet'•ve *-t engagé spécialement par -les .,«>! W serait nommé prince d'Albanie, avec voter des lois pour conjurer la crise. — Wied S pas à moi que cette manifestation s'adres- 11Lloyu : „ Au sujet des rie^.^fS l'assentiment de l'Autriche-Hongric et de p Havas. J, se l'Italie. s ; c'est à la loi de trois ans... J'ai été j^vante, je suis «.nlige de garder u-ft grand courage, a prié le général IÉNA, 18 septembre. — Le congrès a dis1 heureux ouvrier de recrutement, voilà cd autant plus que le SrotUiui si •» ll Cotte nouvelle est cependant démentie un v. La dislocation , , avec d'exprimer au président ses vifs remercie- j cute cet après-midi la question des impôts. dans , tout.... C'est le plus beau' couronnement de velles pistes et que d'autres ■ r ^ ",* les cercles informés de Vienne qui t GRENADE-SUK-GARONNE, 18 septembre. — j n ments. — Havas. niii i paraissent fort probables > ^''H disaient hier soir que la question était r,ma carrière... » Les corps d'armée ont continué hier soir, Mme von Winterfeld, dont la fermeté Ceux qui sont dans la inip IÉNA, 18 septembre. — Le député Vimen ] loirt d'être aussi avancée. — HavaS. Les contingents sont améliorés sur le terrain de3 opérations dans la di- d'âme ^ fait l'admiration de tous, y a joint dit que pour arriver à une œuvre législade contre-assurai-(•*'• > r'n°nl ** C0NSXANTlstOPL.lt 18 septembre. — D'aprè3 rection de leurs gares d'embarquement les j( Le » Matin » publio sur l'incorporation à acheteurs ' siens et s'est montrée très touchée. tive, il faut s'assurer l'appui des autres i rj rent avec un bénético de 60 >'/ ai/ '* respectives. La population de Grisolles continue à vingt ans l'article suitant : (ou les assureurs du Lb ui \;','',*" partis. ! lisions i auraient eu lieu ces jours derniers, * d TOULOUSE, 18 septembre. — Le présiloBt Les résultats d'ensemble des opérations manifester l'expression de sa sympathie n M. Molkembourg estime qu'il serait dans poir de retrouver le ceiher et $'« f.eu * *• dans les villages de Faghiederé èt do Pa- des , c' tle la République quittait la préfecture ce j à ^ Mme von Winterfeld au cours de l'éconseils de revision pour l'incorpora- * | l'intérêt de la société de faire disparaître ehmakly, en Thrace occidentale, entre les J trop heureux de se dcdiaVi'er *" matin à 8 heures OU, pour se rendre à 1 Hô- preuve qu'elle traverse. c sont | raient ^ 1tion des jeunes gens à vingt ans ne tel-Dieu. ' j * Un ofticier d'état-major du 17" corps a i le' chômage. Plusieurs autres orateurs in- \Bulgares et la population musulmane. Les pas encore tous parvenus au ministre de j à; ce prix, d'une partie de leurs onL',»''"' sistent sur la nécessité de faire prendre musulmans auraient été contraints de se rla guerre ; mais dès maintenant on peut "Jugez donc. Le contre'Uwureur nf ^ r Sur le parcours, des délégués agricoles éété mis à sa disposition. — Havas. pris pour dix mille livre? — .m'-', qui ^ • dans les municipalités des mesures contre retirer. jj -- Havas. lui sont présentés ; un peu plus loin, un annoncer que ces résultats seront des plus sieurs | m - a reçu 6 000 ivre* » vf ^ le chômage. Le bulletin médical second arrêt a lieu devant le monument I I ïpayer les dix mille si ks coin* nW"'! L'attitude d'Essad-Pacha ssatisfaisants. La séance est levée après l'adoption élevé a la mémoire des morts de 1870, au I GRISOLLES, 19 septembre. — Voici le bulOn dit que 65 % au moins des jeunes j jretrouvé, mai.-; gardant les sfv :ii ''^ j VIENNE, 18 septembre. — On mande de pied duquel sont groupées diverses 1 ocié- jletin rédigé ce soir par les médecins mili- d'une solution disant que le chômage étant j cas contraire. Bref, un petit h*n«i une conséquence des productions capitalis- iValona qu'Essad Pacha a préparé l'action <■gens qui ont été examinés par les commis- j le tés patriotiques, la Société d'Alsace-Lor- taires j qui soignent le major Winterfeld : sions militaires ont été déclarés bons ,de 150.000 francs. "ce tes, ne disparaîtra que par l'organisation I dirigée contre le gouvernement provisoire, | ' raine, la Société des anciens combattants, i ( « Après une nuit très mauvaise, légère pour le service. des productions socialistes. — Havas. 1 \ Par contre, les deux dénonciat»u-<; bien qu'il en soit lui-même membre. i ' Des jeunes filles costumées en Alsaren- ^détente ce matin, qui s'est accentuée.dans Le contingent qui sera incorporé au , 581 Le gouvernement reçoit de toutes parts mois de novembre prochain sera légère- navrés. Ils ont trahi ieur paient et ami ' nés et en Lorraines offrent des fleurs eu la j journée. r 1 avait déposé en eux leur confiance H'"' des télégrammes blâmant la conduite d'Es- ment supérieur aux prévisions et les hom- j président. Une allocution est prononcée. Les suites dé l'opération sont bonnes. l'espoir de toucher les dix mille livre sad Pacha, affirmant la solidarité de la T Le président de la République visite enLa sonde uréthrale fonctionne bien ; lea mes de cette classe seront en nombre sen- ^ au lieu d'une commission de i population avec le gouvernement et expri- 'siblement égal à la classe de 21 ans qui fortes, suite .l'Hôtel-Dieu, contenant plus lun rurines sont abondantes. Ce soir, tempéra? j mille que leur offrait l'accusé Gutw'tt mant la volonté de protéger le pays con- F millier de lits. tture 37,1.; pouls 96 ; signé : docteurs Roy arrivera à la caserne dans les premiers Maintenant, ils ne pourront «damer r ! tre les ennemis intérieurs ou extérieurs. M. Poincaré se rend ensuite, à pied, à et Voivenel. » e jours du mois d'octobre. jprès les stipulations do l'offre, Bu'un'mî On dit dans les sphères gouvernemen1 l'Ecole supérieure de commerce, où le pré* ( NEW-YORK. 17 sefttembre. — Chaque pas -ti* # ■•}. • lier de livres environ, la grosse somme < * * J qu'Es?ad Pacha a confisqué à Dusident de la Chambre de commerce de Toufait par l'enquête policière sur le crime de j; taies ' LIMOGES, 19 septembre.— La France mih, vaut être remise à 1 ouvrier Home nuit | rnzzo des sommes importantes à l'Etat. — . louse lui souhaite la bienvenue. l'abbé Schmidt marque la découverte d'un i ! taire écrit que dans le contingent qui va être eu la bonne fortune do trouver lo* ésaî ( Havas. Le cortège rentre vers 11 heures a 'a nouveau crime ou méfait. La vie de ce ! ' incorporé le 1" octobre, 17.038 jeunes gens ,abandonné de si mystérieuse façon i préfecture. singulier ecclésiastique apparaît comme inaptes au service armé, ont été reconnus Le généra! Brulard à Marakech La repris- des débats, aujourd'hui n L'Epirc veut être grecque TOULOUSE, 18 septembre. — Avant, de se une longue série d'actions ou de pratiquei bons pour le service auxiliaire. tribunal de Bow-Strcet, est, vous vous »n rendre à l'école de commerce, le président TANGER, 18 septembre (Mazagan, 17). — criminelles, et c'est avec un cynisme exJANINA, 18 septembre. — La dépf che suiLa proportion, par rapport aux jeunes jdoutez bien, un événement.qui rejette r,* de la République est alié inaugurer une i Le j général Brulard a rejoint le sultan à j! traordinaire qu'il reconnaît toutes les char- ^vante a été envoyée de Barghas, au prési- jgens du service armé est du. treizième, il i second plan toutes les autres questliu nouvelle crèche créée par l'œuvre de la (Chichaoua et est rentré ce soir à Mara- jI ges qui pèsent sur lui « ( dent du conseil des ministres et aux am- iy aurait donc amélioration dans la. qua- jmôme la crise sociaie qui vient de •ur'ir Goutte de Lait. 1 kech. Aux accusations de meurtre, de faux et !i 1hassadeurs des grandes puissances à Athè- îité i du contingent, puisque cette propor- de nouveau, à Londres, et dans la nro>!n. Il a visité ensuite, avec Mme Poincaré, de faux monnayage, vient s'ajouter celle j nés i : ttion était du douzième seulement l'année j ce, Des chefs se soumettent avec uue intensité.menuemua e't ait( l'école dont il a admiré le bel arrangement. de faiseur d'anges. La population de Barghas et des alen- dernière. r tendue. — T. M. aux Espagnols ! — Mais oui, dit-il, avec le plus grand i tours, ( s'est réunie aujourd'hui, sans disPar contre le chiffre total des incorporaLe banquet de l'Arsenal LONDRES, 18 septembre. — A laudiene» MADRID, 19 septembre. — On mande do calme, j'ai été tout cela. Tout comme la j |tinction de religion à l'occasion de la 1tiens de la classe 1912 est inférieur de TOULOUSE, 18 septembre. — A midi et du tribunal, au su>et <!.• l'.iî'aire du ,ciLarachç que les chefs des tribus ont écrit Sainte-Trinité, je suis en trois personnes : prochaine i arrivée de la commission inter- 12.500 j au chiffre de la classe 1911. demi ,1e président assiste à l'arsenal, à J ller, un vif mouvement de curiosité s°pr> au pacha* de Larache pour le prier d'in- prêtre impur, faux-monnayeur et méde- inationale, pour la délimitation de la fronun grand banquet que lui offre le conseil j cïuisit dans le public,/ lorsque M. Mavetl tervenir auprès des autorités espagnoles cin avorteur. Comme médecin, j'ai inventé tière. | Elle émet le vœu que la population général de la Haute-Garonne. fut appelé à reconnaître le-, cinquante-sept en vue d'obtenir leur pardon et la paix, i: et fabriqué des pilules destinées à réduire <de l'Epire, purement hellène, ne soit pas Pendant que le président déjeune à l'ar- ( | perles retrouvées et qu il dechra être peu l I la natalité. La misère sociale vient du . | séparée de la mère patrie. Genal, Mme Poincaré déjeune à la préfec| les siennes. ! nombre exagéré des naissance?, et je compI Le3 habitants sont disposés à tout sacriture en compagnie de Mme Etienne et Mme • Chacun s'avançait, pour jeiêr un coup tais bien acquérir une renommée mondiale i j 'ACCIDENT DE TRAMWAY fier, plutôt que de permettre une autre so- | Hyérard. ' ElèvsS'QffJcicrs ds réserva I d'œil sur les fameux bïjoux. — Havas. j en corrigeant la nature. J'ai essayé nies j lution, contraire au désir de la population. Mme Poincaré, accompagnée de Mme de Villeneuve-Couvet PARIS, 19 septembre. — Le « Journal offi— I pilules sur Anna Aumuller, du reste sans Hyérard, précède le président de la Répu.. Délimitation de l'Albanie .. j! <ciel » publie ce matin la liste, par-ordre I i succès. | blique à la gare d'où il se rend à Borj de mérite, des élèves ayant obtenu le litre] Schmidt a avoué spontanément avoir déIl y a 17 .morts i TRIESTE, 18 septembre. — La section au- j \ deaux. — Havas. d'élèves-officiers de réserve de cavalerie : 1 ANTIBES, 18 septembre. — Les opérations ! tourné certains fonds appartenant à la patrichienne de la commission de la délimitaN» 12, Couton, 12* dragons ; TOULOUSE, 18 septembre. — Au banquet LA rsISDSTCRRAKEB de déblaiement continuent et se sont pour- roisse dont il était vicaire. II subtilisa la tion de la frontière Nord de l'Albanie, est N° 23, des Mazis, 5" hussards ; de l'Arsenal, M. Poincaré a prononcé un suivies ! totalité de la recette des quêtes faites pen- partie dans la matinée- — Havas. ce matin, sans interruption. I en dans I© Levant N° 24, Hanus, 17" chasseurs ; discours chaleureusement applaudi dans NICE, 18 sepembre. — Le nombre de dant la Noël dernière, qui se montait à N» 37, Chevillot, 18* chasseurs. lequel il a vanté la beauté et la richesse .morts de l'accident d'hier est de 17. cinq mille francs, et remplaça la monnaie ! Un protocole a tracé ^>2P du Toulousain et rappelé les sentiments TOULON, 19 septembre. — L'amiral M Huit appartiennent au 24* chasseurs, le de bon aloi, donnée par les fidèles, par des la nouvelle frontière j communs qui rapprochent les Français du caporal Bonnet, le caporal réserviste Du- billets de vingt dollars de sa fabrication. !1 de Lapeyrère a soumis à M. Baudin, mi la Nord et du Midi. nistre dé la Marine, le programme d'uM ranton, le chasseur réserviste Puaux, les j CONSTANTINOPLE, 19 septembre. — D'après o Le président de la République dit qu'il . chasseurs Amont, Chabert, Mitoulat. Con- ; tournée de la première escadre te la le protocle signé cet après-midi, la nouLe « Journal » annonce qu'avant-hier sait combien le peuple toulousain est re- cardier . et Jean. velle frontière partira de la Mer Noire au soir, pendant l'orage, quatre femmes qui eaux du Levant. connaissant à la République d'avoir su X ; Après le vovage de M. Poincaré en E» Quatre appartiennent au 27" chasseurs, ' nord de l'embouchure du fleuve Rozyaya, s'abritaient sous un parapluie, dans un épargner à la France les tristesses d'une le i sergent-fourrier Marchiani, le sergent- ! La tcntnîive cfe Garros ]passera immédiatement au nord de la ville ichamp voisin de Fretay, sur le plateau de pagne, la première escadre de ligne, le» guerre, d'avoir contracté pour le bien de fourrier Coïaman, les chasseurs Viguier et I de San-Stéphano, se joindra à l'ancienne Nozay, entre Montlhéry et Palaiseau, fu- cadre légère et deux flottilles de con» 1 deux grandes notions une alliance indis- .Tarisse. TOULON, 18 septembre. — L'aérodrome de torpilleurs appareilleraient pour cette tow frontière, près rie Devlt-Aghatch ; elle sui- ;rent frappées par la foudre. solubls, d'avoir acquis de précieuses ami' Fréjus vient de se préparer pour la tenta; Cinq civils sont au nombre des victimes. née qui durerait 45 jours environ. vra l'ancienne frontière jusqu'à Soudjak ; Mme Goy fut tuée. tiés, d'avoir su défendre en tontes circons- Ce tive de l'aviateur Garros, qui doit se ren( sont M. Gary, ancien professeur au lvelle passera ensuite à deux kilomètres au On la trouva entièrement nue, le'côté tances notre intérêt et notre honneur. cée de Nice ; Mlle Lombard, fille du coh- || dre en Tunisie. UN DETOURNEMENT DE 500,000 FB. « Vous n'ignorez pas, dit le président en , Mais, contrairement à ce qui a été an- 1sud de Mustapha-Pacha, à deux kilomètres idroit carbonisé. servateur des eaux et forêts, nouvellement j Près d'elle, la seconde femme, à- genoux, terminant, que pour assurer notre indé- ! ! | noncé, l'aviateur n'est pas encore arrivé. à l'est d'Ortakeuy ; elle touchera la MaBERLIN, 18 septembre. - Des agents à» I nommé à Charleville ; Mlle Raybaut, ha- : ritza ; elle suivra le cours du fleuve jus. avait le corsage arraché ; elle avait le pendance, nous sommes obligés d'entrete- ' i la compagnie de navigation Bambou £ ; bitant le village de la Colle ; M» Molinina- [ — Havas. qu'au delta où la frontière sera formée par sein et l'épaule gauche horriblement brûnir et d'exercer une armée forte, comme : : L'aviateur Séguin America du Sud se sont rendus coupato ; ri, clerc de notaire, et sa .mère.— Havas. ! la branche droite de la rivière. 'lés. . celle que nous venons d'admirer aux envi- ; COLOGNE, 18 septembre. — L'aviateur SéLa troisième, Mme Lecceur, avait le bras de détournements de fonds pour une vfr rons de Toulouse. , ; guin est parti à 11 heures trois quarts brûlé. Toutes les deux sont dans un état ieur de 500,000 francs. Vous êtes, en un mot, xles patriotes' auARRESTATION D'UN ESCROC Ce sont principalement des emploi» ; pour Paris. — Havas. -gravetant que des républicains. .» PAUIS, 18 septembre — M. Gilbert, juge Enfin, Mme Goy mère, qui fut atteinte périeurs et des officiers de la comMgJ Inauguration d'un port aérien Le départ <d'instruction a fait arrêter à Bruxelles, le j| BERLIN Premières excuses aussi par le fluide, est devenue subitement ] qui sont compromis dans cette »W 19 septembre. — Le Lokal Ansei| Quelques arrestations parmii l»Wg | ummé Toi, représentant dans cette ville, i paralysée. LONDRES, 18 septembre. — On apprend ! ger annonce que l'inauguration du port TOULOUSE, 18 septembre. — A 2 heures i d'une ! celle de l'inspecteur général Sibber, o» grande maison de nouveautés de Pa- | x que le roi de Grèce en traversant Londres ■ aérien de Schneidemûhl aura lieu le 9 ocït demie, M. Poincaré, toujours très a,c- i' ]ris, qui a détourné une dizaine de mille LA GARE DE BAYONNE EN FEU tobre prochain, sous la présidence du mi- a dit à son entourage qu'U aurait un grand elamé, a quitté l'arsenal, pour gagner la '! (rar.es. ) 'trsqtietfagents pénétrèrent^ — Havas. BAÏONNE, 18 septembre. — Un incen lie, plaisir à se rendre en France, particulièregare. nistre de la guerre. — Havas. ->0-Q-^y. i. qui a tout de suite pris de grandes oroment eu ce moment-ci pour achever de' Le comité des fêtes, en signe de protesL'officier aviateur belge Godefroy dissiper tout malentendu entre la Grèce et portions, a détruit, co matin, toute l'aile | l'en empêcha, quelques mst^ Pf tation contre l'abstention de la municipaXIII vient de îucsomïier gauche de la gare de la compagnie du la France. lité, avait .fait passer le cortège du côté il tenta, mais en yain, de sempw* 8 ANVERS, 18 septembre. — L'officier aviaIl est heureux que cette occasion lui soit Midi, ainsi que l'hôtel Loustau, qui y était de la place la plus éloignée de l'hôtel de attenant. teur belge Godefroy, qui fit, avant-hier, une j offerte de manifester ses sentiments envers villeLe feu a pris dans le local de la lampisPARIS 19 septembre. — Excelsior repro- |j chute, vient de succomber aux suites de la Ffiance dont il reconnaît les grands serA 3 heures, le président repart pour terie et est dû à l'imprudence d'un employé 1 une dépèche de Londres annonçant ii contusions internes, à l'hôpital militaire vices rendus à l'hellénisme. Montauban, où un arrêt d'une heure est duit de ce service. Les pompiers prévénus tcut 1que le roi Alphonse XIII viendra à Lonoù il avait été transporté. prévu. — Havas. La visite à Paris aussitôt ont pu, au prix de grands efforts, dres fin octobre. ^-0-^*—1 C'est demain que le roi de Grèce arrivera A P/Sontaubaîi sauver la portion principale de la gare, ! j à Paris, où il séjournera jusqu'à mardi qui était déjà entamée. MONTAUBAN, 18 septembre. — M. Poincaré GRÈVE A LONDRES soir. Les bagages et les divers colis qui se est arrivé à 4 heures 10 à Montauban, où Il sera reçu à déjeuner à l'Elysée, par trouvaient à la consigne, local situé dans LONDRES, 18 septembre. — La grève <fes De BERLIN au Journal. — On mande de il a été reçu à la préfecture, par les autola partie incendiée, ont pu être sauvés. Le rités. Après s'être arrêté une heure, il est omnibus de Londres a commencé ce ma- Cux-Kaven que le vapeur Albatros armé M. Poincaré, dimanche. tin. — Havas. Un séjour à Berlir» maire, le sous-préfet et toutes les autorités spécialement, partira sur le lieu de l'acreparti pour Menln. — Havas. RSMIREMONT, 19 septembre, ^tt De BERLIN au « Matin ».— La « Lokal- se trouvaient sur le lieu du sinistre. cident du Zeppelin L-I, pour entreprendre vision a clos ses exercices par " i irï <ft-^^— M. Poincaré rend visite LE TUNNEL SOUS LA MAftEHE les travaux de démontage de la carcasse Anzeiger » annonce que la famille royale vre finale qui s'est déroute au* de Grèce reviendra dans quelques semaiANVERS, 18 septembre. — Le congrès des i pour essayer de retrouver les morts et sauà M. Faîlières du Tholy. , , . ennemi* nes au château de Friederischoff, d'où chambres de commerce britanniques, réuni ! ver certains appareils et les moteurs, " Le thème était d'empêcher uu ——x-— MÉZÏN, 18 septembre. — M. Fallières à Anvers, a discuté hier la question du elle se rendra à Berlin avant de rentrer à couper les communications " nsJ* De notre correspondant particulier ntag s'est montré très touché de la visite de M. ) tunnel sous la Manche. Il a' voté ensuite LES JOURNAUX AMERICAINS Athènes. artie les hauteurs de cette P , ,\ vue"' SALNT-PÉTERSBOURG, 18 septembre. — -n — «^-^-^" Raymond Poincaré. CRITIQUENT LES EXHIBITIONS j le vœu suivant : Le général Gérard a passé ^re^ confirme qu'immédiatement après l'inauMme Fallières, lui et son fil3 André, so DU SESFSETAiRE S'ETAT M. BRYAN Considérant l'importance du tunnel protroupes qui, depuis huit 3ourr; ^ entr*1 guration de la statue de Stolypinc à K _iï, sont employés toute la soirée avec une sol- i posé sous la Manche au point de vue de NEW-YORK, 18 septembre. — La présence vré par le mauvais temps av^ le ministse, M. Sazonoff, se rendra en licitude d'hôtes attentifs et pleins de pré- ' la jonction des chemins de fer britanni- i'< de M. W.-J. Bryan, secrétaire d'Etat aux France, et l'on ajoute que le but de cette admirable. — Havas: venances à faire passer à leurs invités . ques et continentaux en vue du trafic et de i!. affaires étrangères, au milieu d'une troupe visite est de faire disparaître, si posai le, h0 une soirée qui restera à la meilleure place Ii la nécessite d'assurer le transport d'une j d'artistes de music-hall, donne lieu, depuis On ignore !s verdict la froideur que créa, entre le quai d'Orsay dans leurs soucvnirs. I partie des approvisionnements en vivres l; quelques jours, à des critiques assez vives. MADRID, 19 septembre, — La délibération et la chancellerie moscovite, l'attitude D'autre part, notre correspond- [ ff Le dîner a été servi dans la salle à man- ! en temps de guerre, que ne pourra, être \ Pour brillant conférencier qu'il soit, et a c0 ger éclairée par des bougies ; il compre- autrement assuré par mer, le congrès se ; pour originales que soient ses vues, le mi- du conseil de guerre s'est terminée hier, égoïste et peu correcte de la Russie à ;'é- culier à Remireraont nous au , à 4 h. 30, mais le résultat est encore tenu gard de son alliée, à l'époque la plus cri- munication suivante : nait une vingtaine d'invités. res ft f ; nistre, désireux de grossir ses revenus, est déclare favorable en principe à la cons- j œuV tique de la crise des Balkans. — J. A. M. et Mme Poincaré ont pris congé à truction du tunnel proposé, pourvu que I allé beaucoup trop loin dans la voie dés secret. REMIREMONT. - Les t f nen L'impression est que Sanchez est con4P division d'infanterie vien 9 heures 05 de M. et Mme Fallières, ainsi soient prises toutes les précautions impo- \. complaisances, et les journaux de toutes damné à la peine de mort et Louise San- , que de M. Earthou et des ministres. LA CAMPAGNE PANQERMANJ6TE terminer après un brillant cott^ ^ sées par la défense du pays, et insiste au- !i nuances condamnent d'un concert unani- chez à quelques années de réclusion. — M. André Fallières reconduisit, à la gare ! près du gouvernement britannique pour Ij me la désinvolture avec laquelle il agit, CONTRE LA LÉGION ÉTRANGÈRE Les 8P ét 82* brigades 88 ^«jr « de Mér.in les invités de son père qui ont j trées jeudi matin, dans us ^ Tt)0iy. j( ainsi que les écarts de son imagination. Le « Matin » reçoit la note suivante de j qu'il fasse dans la circonstance actuelle un ; repris, leur place dans le train spécial. Cepris entre Eloyes, Tendon j , | Un journal lui propose une collaboration LA PRINCESSE DE SAXE-WEIMAR Ji Strasbourg, le 19 septembre : I accueil favorable au projet. ès lui-ci repartit aussitôt pour le Verdon où j I La. campagne contre la légion étrangère jLt I la dernière Le même congrès a adopté un vœu en qui lui vaudra au moins 40.000 francs de O le président s'embarquera demain matin j continue. t faveur de la conclusion, entre la France et rentes par an. n Voilà, dit le Neiv-York Elle meurt mystérieusement à bord du « Duncis » pour se rendre à j l'Angleterre, d'une convention réduisant : World qui se présente avec ce projet, le C'est ainsi que les journaux signalent ; Suicide eu affeetJen cardiaque ? pc Bordeaux. | seul moyen de sauvegarder la dignité du qu'yn sujet hanovrien est arrivé aujour- ! jeudi à 9 h. 1 du matin. Vt4à les taxes postales et télégraphiques. 1 vl La population lui prépars une réception i La princesse Sophie de Saxe-Wcimar a d'hui à Vallérysthal (Lorraine annexée)-et !i également de retour, .avait P*' ; " les ; gouvernement américain, de ses princitriomphale. — Havas. , i paux fonctionnaires, et de contribuer au été trouvée morte ce matin dans la cham- que « le mallieureux jeune homme s'est j mont la veille et cantonne | UNE COOPERATIVE CAMBRIOLEE ,À ]a ren I succès de l'œuvre républicaine entreprise bre qu'elle occupait au palais de son père, arrêté, mourant de faim, au milieu du- rgea voisins. A LA 9TATI»N DES SOUS-MARINS j par le président Wilson ». Départ des officiers étram c s La 81* brigade se Por n nêch«r ' ji à Heidelberg ; on attribue cette mort su- village ; il s'agit, prétend-on, d'un sol- j| bite à une affection cardiaque. On se sou- dat de la légion ». M. Bryan va-t-il accepter ? C'est ce qu'on TOULON, 18 septembre. — Le capitaine de MONTAUBAN, 18 septembre. — Huit offivient que le bruit courait récemment, avec Les « Dernières Nouvelles », de Munich, ciers étrangers ont quitté à 8 heures, ce i frégate Mac Guckin de Slane, commandant ne sait pas encore. persistance, des fiançailles de la jeune Signalent de leur côté qu'un jeune homme matin, Montauban, par train spécial, en j les sous-marins de Toulon, a saisi la jusprincesse, qui ne comptait que vingt-cinq de seize ans a disparu. Naturellement on même temps que 30 officiers français, at- !i tirs» maritime d'un cambriolage commis à AUX ASSISES DE LA SEINE printemps, avec le fils d'un riche banquier met cette disparition sur le compte de la tachés à leur personne, pendant leur .sé- la station de Missiessy. Le coffre-fort de PARIS, 18 septembre. — La cour d'assipolonais. Encore que la maison de Saxe- légion, qui a décidément bon dos. la coopérative des sous-marins a été évenu jour sur le terrain;» des opérations. ses de la Seino a jugé cet après-midi Weimar ait fait démentir catégoriquement vj& La « Neue Zeitung », de Strasbourg, I pluie continue et des f f f Un piquet d'infanterie rendait les ncm- tré et les 600 francs qu'il contenait ont été Charles Lapie, né le 19 décembre 1885, à cette nouvelle, la princesse Sophie n'en fut écrit qu'un ouvrier brasseur alsacien, ra- II cependant elle fut. rnene« vec. ;tU ét3 neurs. dérobés. menuisier, pas moins vue très souvent, à Heidelberg, colé par un agent recruteur, a pu s'échap- j! par la 8P brigade a pied. • b Les perquisitions effectuées n'ont encore Château-Portiaut (Ardennes), à inculpé de tentative d'homicide volontaire. en compagnie du banquier en question. L'état du colonel Winterfeld per près de Vesoul, d'un train qui l'emme- ii I 3P bataillon de chas^s ^ dép. donné aucun résultat. Marié en novembre 1909 avec Mlle Adolun combat violent i en" ^td Les journaux du soir publient, au sujet nait à Marseille. TOULOUSE, 18 septembre. — L'attaché miphine Cabaret, il alla s'installer avéc elle de cette mort sensationnelle, une version • _e iflW°Z$$ Enfin la « Metzgcr Zeitung », journal ment repoussé. » litaire, très affaibli au début rie la nuit, a chez ses beaux-parents, à Pantin. PHARMACIEN TUÉ PAR UNE EXP--QI A l'issue de cette maiiœu* ^, ivtout à fait différente, d'après laquelle la pangermaniste de Met::, annonce qu'on ou- j a ( 3!tN A LiSSONNE recouvré ce matin, une partie de ses forMais en août 1912, à la suite de discus- princesse ne serait pas morte d'une mort vrira à Paris, en novembre prochain, un iI lo générai Gérard, chef de* p» , LISBONNE , 18 septembre. — Un pharmasions qui avaient mis aux prirscs le beauces. naturelle, mais se serait suicidée ; on au- home où sêront recueillis et nourris tous I dont le sièse est à R"^'f ° le» GRISOLLES, 18 septembre. — La légère décien, qui a été victime d'une explosion père, la belle-mère et le gendre, celui-ci rait, en effet, trouvé son cadavre, la tête les jeunes Allemands se trouvant momen- revue de toutes lesi trotpes g ur . J»JJ u tente constatée ce matin dans l'état du cette nuit, a été surpris, non pas pendant résolut de les quitter. trouée d'une balle de revolver. tanément sans travail et qui, poussés par de Boimfontatne, pie=* "énéral. î „r dj colonel allemand von Winterfeld persiste. qu'il chargeait une bombe, mais au moSa femme refusa de le suivre et conserI^s motifs du suicide sont à rechercher le besoin, seraient tentés de s'engager dans cier étranger, hôte du .),assa%c^ j Le rein fonctionne bien, la vessie se vide ment où il' manipulait un produit déto- va la garde de l'enfant né du mariage. dans le veto que le chef de la fsmille de la légion étrangère. ^ . ! tait : c'était le ffls L;i,hKab- UL cO<i nant. Ce pharmacien, M. Costat, a été Malgré ses instances répétées, il ne put Saxe-Weiniar opposa au mariage de la régulièrement par la sonde uréthrale. Perse à Paris. Abdullah-A . le ^ De nombreux visiteurs viennent de la trouvé le visage tout noirci, le gilet-et la décider sa femme à venir vivre avec lui, jeune princesse avec le banquier sus-men- UNE $6LSN!*S ÏKCffiS MAttAORÈE (?) siève -; Saint C' i, nyai «-^ang* $t part du ministre et des généraux, deman- chemise remplis de sang, le ventre ouvert, si bien qu'il résolut de se venger, et, le 27 tionné. rl» l'école venu au.titre BRUXELLES, 18 septembre. — Des nouvelintestins, la main mai 1913, à 7 heures du matin, à l'angle der à Mme von Winterfeld des nouvelles laissant ressortir les à les alarmantes viennent d'arriver au mi- I les Vosges, pour suivre <■ t de la rue des Grillés et de la rue VaucanI gauche mutilée. ,a & de son mari. nistère des colonies, à propos du "ongoi vres de la 81» brigade, t e M. Costat est mort pendant son trans- son, il tira une balle qui atteignit M. Ca- LE BANDIT DE GRISOLLES, 18 septembre. — Le général ^ belge. Depuis quelques semaines, na è*t | «tta brillante, revue qu eut baret à la mâchoire et quatre coups de rede Castelnau a remis ce matin, au nom fert à l'hôpital. | tion des troupes. , *f,!0i»* sans nouvelles du commandant Roul'.ig, Lie SALNT-ETIKNNE, 10 septembre. — U résulte Le pharmacien Valério Tarata était l'as- volver sur sa femma qui fut également du président de la République, au colonel ' Tl c,: utile de rapportef ^ st^ de l'expertise que M. Grivola, conservateur commandant supérieur des troupes de Ka-: temps épouvantable, M blessée. * Movon Winterfeld l'insigne d'officier de la socié de Costat. sai, et du lieutenant Haide, partis avec u8 Sur réquisitoire de l'avocat général Gai! du musée des armes de Saint-Etienne, que vingt-cinq soldats noirs, dans la Mme Costat en apprenant l'accident «nt; ment les réservistes ont e» Légion d'honneur et "lui a donné l'accorégi m son mari a été victime, s'écria : « C'est la, et après plaidoirie de M* Turtaud, la cour Chiapale est bien l'auteur de tous les a'tes troublée des Bakete. Ou lade. craint ju'ils. conduite. j criminels qui lui sont reprochés. — Ua /as. 1 a condamné Lapie & 5 ms de réclusion. Le blessé, qui supporte ses souffrances iI politique qui a fait mon malheur I » n'aient été massacrés. président chez Fallières. Le départ des Officiers étrangers. Le major Winterjeld 1 LES CRIMES DE L AL30E SCHMIDT f j AU MAROC Dans 'Armés L J L'ESCADRE DE tournée VICTIMES de FOUDRE AERONAUTIQUE LE ROI DE GRECE ' • ALPHONSE A LONDRES REGION Les manœuvres dans les Vosgej L'EPAVE OU ZEPPELIN f LA FRANCE et la RUSSIE L'AFFAIRE SANCHEZ EUT TERR«8KEE La revue du T ^ ^ 1 ^^Sffi S ^r iV ]$ manœuvres dans l'Est NANCY X La 39 division j e Retour des grandes manœuvres Tnfi 18 soptembre. — La 39e division a - r te^ré ses casernements jeudi matin, n nr éviter à. ses troupes les fatigues d'une n longue étape, le général Ebener avait «terté mercredi à ses régiments, des can^nements peu éloignés, 10 à 12 kilomè, liiqueley, Ochey, etc. ne'nombreux Toulois, parmi lesquels on «marinait beaucoup de vétérans et de méfiés s'étaient portes au devant des trou, et les accompagnèrent à ieur rentrée P « ville Les habitants fiers de leurs bataili ni étaient sortis pour assister au défilé Sri» division d'acier. i M régiments avaient tous une tenue reniuable et les hommes frais, dispos, le "«r alerte,n'avaient nullemnt l'air de se sentir des fatigues des grapdes manceuj novirtant très dures cette année. "T! V, jBS rhevaux des section de mitraiîisès avaient un peu souffort et boitaient. t « division est rentrée,mais elle est prête repartir. Le généra) Ebener doit être fier <„Vnmniander de telles troupes. j j i *2 OC -<f> ^) "1 ' tA «fr.- . —— a Région Syndicat d'initiative des Vosges et de Nancy L'Assemblée générale annuelle du Syndicat d'Initiative des Vosges et de Nancy , tiendra mardi 30 septembre prochain, a 10 heures précises du matin, dans le grand salon de l'Hôtel de Ville d'Eplnal. Ordre du jour : Allocution de M. le Président ; Compte rendu de M. le Trésorier ; L'exercice 1913. P.apport de M. le secrétaire général ; Vœux des villes d'eaux et des comités des promenades ; Modifications aux statuts ; Distribution des médailles d'honneur au personnel des hôtels et établissements thermaux. Aussitôt après l'Asemblée générale, MM. les administrateurs se réuniront pour la formation de leur bureau. Le déjeuner sera servi cetle année par l'Hôtel de la Poste, au prix de 5 francs. L'EXTENSION du bassin minier de Brie:; Nous apprenons qu'une enquête va é*re ouverte incessamment à l'effet d'établir un transport de minerai par wagonnets aériens de Saint-Ail, Jouavilie et Batilly à Hagondange, en territoire annexé.Cette enquête aura lieu aux mairies sus-indiquées. Elle est provoquée par une demande présentée par M. Bavier-Chauffour, 43, rue I abruyère, à Paris, au nom de la société des mines de Joudreviile* Tout semble donc indiquer la prochaine mise en exploitation des concessions de Jouavilie et de Batilly et l'on ne peut que se féliciter de voir notre bassin mimer s'enrichir à bref délai d'une nouvelle et importante unité. La ligne aérienhe à établfr viendrait, nous dit-on, se raccorder, à Montois-iaMontagne, à celle qui existe déjà de cette commune à Hagondange. j L'assassin de Moyeuvre se serait suicidé MOYEUVR:>GRANDE, 18 septembre. — On a trouvé entre Homécourt et Jœuf le corps d'un Italien dont le signalement correspond à celui de l'assassin. Il s'agit d'un Italien nommé Danti qui avait travaillé à Moyeuvre il y a trois ans et qui était au courant de la situation de la famille Clément 'i " — ———-—-———- Mm LA TEfflPÉRATWRS sjl. "59 Brest, 756 Marseille, dépressions J £ Manche Méditerranée. Le 18 Il 1g Le 19 A NANCY Heares ïberm. ®»-™™?,%mpsprobable: 6 h. m. -f- JE §!* s*,-,»; +" il élus., || Min... é jMax.. W 7 il, 713 ... 4j ' I; \l Vent variable. Ondées orageuses -f- 13 746 >' + o - :Temp' +14 (û"«'»!*>i i* M. Bellià-i.) i norma,e - ^ ^ ^x^^"^^ SOLEIL / LUNE ^J *m j^^heV ^^^^^^^^^^^^^^^ Le temps qu'il a fait jour* \ î jeudi a été froide et tousin„ la P'uie. Aux devantures des maga■» apparaissent déjà les vêtements d'hi- LA JOURNEE Vendredi 19 septembre. 26P jour de'l'année AUJOURD'HUI ; DEMAIN : « s L'Escroc de la rue Saint-Georges LES VOLEURS Binet est arrêté La police interrompt à Béziers /o cours de ses coup&ùlns exploits | Saint JANVIER | Saint EVSTACHE dépêche parvenue jeudi soir à NanEpMmèrides lorraines : En 1284, à la cyUne annonçait l'arrestation de l'e3croc A. suite d'une effervescence populaire, les I Binet, qui commit de nombreuses escrobourgeois de Toul expulsent les chanoines queries à Nancy dans lo courant du mois de la cathédrale. de juillet. Nos lecteurs se rappellent les faits. Reprise dos retraites et concerta Cet individu était arrivé à Nancy le 1" militaires juillet ; il louait le même jour, rue SaintLes retraites militaires hebdomadaires Georges, 49, un petit appartement de deux reprendront à partiv du samedi 20 sep- pièces situé sur la cour ; il le meublait tembre courant. sommairement d'une table, de quelques Les concerts militaires à la Pépinière et chaises louées chez un marchand de meuau parc Sainte-Marie auront lieu de 14 bles do Nancy. heures 45 à 18 heures, à partir du dimanPuis, après avoir affiché cette simple che 21 septembre 1913. indication : « A. Binet » à l'entrée du couSociété centrale d'horticulture de Nancy loir de la maison, après avoir placé dans ce couloir une'modeste boite aux lettres, La réunion mensuelle de la Société cen- il faisait paraître dans les journaux de trale d'horticulture de Nancy a eu lieu Nancy l'annonce suivante : « Prêts d'ardimanche dernier, à 9 heures et demie du gent à tous, sur signature, depuis 4 pour matin, dans la salle de l'Agriculture, rue 100. S'adresser l'après-midi, de 2 à 6 heuChanzy res, rue Saint-Georges, 49, A. Binet. » Siégeaient au bureau : MM. le Monnier, Bientôt les lettres et les demandes afprésident ; Schott, premier viee-président ; fluèrent au cabinet de l'agent d'affaires. Emile Lenioine, secrétaire général ; Bel, A tous les emprunteurs, celui qui se faisait trésorier. appeler A. Binet expliquait tpie pour « les M. Thirion, vice-président, en congé, s'é- frais d'actes, d'enregistrement », il fallait tait fait excuser. lui verser une somme variant de 20 k 1,000 Une superbe collection de dahlias, pré- francs, selon l'importance du prêt qu'on sentée par M, Son, l'habile horticulteur de lui demandait. ïomblaine, occupait toute une face latéLa plupart de ceux qui voulaient obterale de la salle de la réunion ; de son nir des fonds versèrent les avances decôté, M. Lallcment, le jardinier bien con- mandées. En échange, ils reçurent une nu de M. Cournault, de Malzéville, avait quittance de Binet qui devait les convoapporté des coleus, des aster et des bran- quer pour percevoir l'argent qu'ils avaient ches en fleurs d'une jolie plante grimpan- demandé. te : le « mina lobata », assez difficile à Le lundi 28 juillet, dans la matinée, cent réussir dans nos contrées. vingt personnes, chacune d'elles appelée M. ie président adressa un souvenir ému par une lettre de l'escroc, se présentaient à la mémoire du regretté Bussière, il ex- à la rue Saint-Georges, 49. prima également les sentiments de sincèLa porte du cabinet était hermétiqueres condoléances de la Société à M. de ment close. Le soi-disant prêteur avait Bosschere, membre correspondant de la disparu avec le magot que la confiance Société, à l'occasion du décès de sa fem- des naïfs lui avait constitué. me. Des plaintes furent portées à la police ; En dépouillant la correspondance du une instruction fut ouverte ; on apprit que mois, M. ,1e- Monnier appela l'attention de le sieur A. Binet n'était qu'un faux nom ; l'Assemblée sur l'invitation de la Société on ne savait où logeait l'aigrefin qui s'édes chrysanthémistes de France qui prie tait fixé à Nancy en compagnie d'une jeula Société d'envoyer un ou deux délégués ne femme élégante. au congrès qu'elle tiendra à Gand, du 25 Il était parti le 26 juillet pour Homéau 28 octobre. M le Monnier rappela à court en automobile, puis, dès son retour cette occasion la part active qu'a prise la à Nancy, il repartait pour une destination France à l'Exposition de Gand, faisant res- inconnue. A son départ, il faisait enregissortir que notre activité répond à la lutte trer une malle portant l'inscription : engagée par le parti flamingant, frère du « Bay » ou « Bey ». pangermanisme allemand, contre le parti Les recherches continuèrent. Les agents wallon. Il termina en exhortant, les so- de la sûreté générale finirent par découciétaires à se rendre à l'invitation qui leur vrirent que le pseudo-A. Binet s'appelait est faite de son véritable nom Albert Boudet, qu'il Après expédition des affaires courantes, était originaire du Midi de la France et la séance est levée à 10 heures et demie. qu'il avait commis déjà de nombreuses escroqueries en FTaUee, notamment à Lambesc (Bouches-du-Bhône), où il avait Comment le teint s'abîme séjourné sous son véritable nom. Un savon composé de graisses impures Son signalement détaillé et le croquis et d'huiles rances et contenant à l'excès furent insérés au « Bulletin criminel de des sels alcalins abîmera infailliblement la sûreté générale », c'est ce qui facilita la peau chez toute femme. Il privera les les recherches et aboutit à l'arrestation à pores de leur sécrétion naturelle, indispen- Béziers. sable à la vitalité de la peau. Le Savon Sous peu, Albert Boudet, le filou connu Cadum, préparé avec les éléments les meil- sous le nom de A. Binet, sera ramené à leurs et les plus purs, est parfaitement ca'- Nancy où il devra fournir ses explications mant et curatif, car il a pour base la fa- à M. Lecomte, juge d'instruction chargé meuse pommade Cadum. Ttes pharmacies. de suivre cette affaire. Le Soutien fraternel des sous-agents et Pour nos arbres ouvriers des postes, télégraphes M. le général Lyautey, en ce moment h et téléphones Crévic, vient de faire don d'une somme de XIIe fête annuelle des groupes lorrains Le dimanche 5 octobre prochain, aura 100 fr. à la Société des amis des arbres et lieu à Nancy une grande fête régionale du au Syndicat forestier lorrain. Notre émiSoutien fraternel des P. T. T., sous la pré- nent compatriote apprécie, dit-il, « d'ausidence de MM. Mazoyer, directeur de i tant plus l'utilité et l'intérêt de cette assol'exploitation postale au ministère ; Bris- I dation depuis qu'il voit au Maroc quelle son, directeur des P. T. T. de Meurthe-et- lutte il faut soutenir pour sauvegarder et Moselle ; de M. le préfet et de M. Laurent, étendre les massifs forestiers ». maire de Nancy. Une inondation ! Elle comportera un grand banquet qui Dans la soirée, un locataire de l'immeuaura lieu à midi, dans les salons du resble où se trouve le café Biche, rue Saint- ' taurant Walter, place Stanislas. Un grand bal de société sera donné le Jean, oublia.de fermer le robinet d'eau de même jour en matinée et un autre en soi- la pierre à évier. L'eau s'écoula d'abord sur le plancher, rée, à la salle des fêtes de la brasserie Mipuis peu à peu traversa les plafonds. Des chaut, à Maxéviile. Lès comités départementaux du Soutien garçons de café s'aperçurent à temps heufraternel des Vosges, de la Meuse, de reusement de ce fait Le service des eaux fut averti et M. l'Aube, de la Côte-d'Or, etc., etc., y seront Lepetit, employé à ce service, fit 1® nécesreprésentés. M. Mazoyer, directeur de l'exploitation saire. postale au "ministère, président d'honneur ~~ du Soutien fraternel, sera accompagné de !?û£?Qî«ï^c4nc La douche chaude, MM. Tromas, président ; Vasseux, trésoLe bain dans rier général, et Niquet, administrateur. grande piscine d'eau minérale courante du parc Sainte-Marie, 35°, vous feront ouAvis important. — Contre un mandat blier vos fatigues, et vous rendront la souposte de 6 francs adressé à M. J. Bonne» plesse et la gaieté. Ouverte de 6 h. du matin tain, 14, quai des Marans (S.-et-L.), vous ilij^lj^jhi^ recevrez franco en votre gare une superbe volaille de Bresse. Programme merveilleux Keserv isies Un pseudo-malade Jeudi matin, vers 9 heures, M. Susset, fabricant de caisses, rue des Tanneries, descendait de chez lui, lorsqu'il aperçut un homme couché dans la cour de la maison. M. Susset interrogea l'individu qui déclara qu'il était malade et qu'il se nommait Beiter, âgé de 50 ans, sans profession ni domicile. Le commerçant prévint aussitôt la police. Une voiture d'ambulance fut aussitôt envoyée, mais à son arrivée Beiter refusa de se laisser transporter à l'hôpital et déclara qu'il allait très bien continuer sa route. ouri éo de Programme merveilleux au CINE-PALACE ^ au CINE-PALACE iarclsé m bettiaux da ttanéf Du 18 septembre Covrs communiqués par ta Syndicat de la Boucherie : Bœufs (viande nette de) Vaches Taureaux Moutons rasons — Moutons africains Brebis porcs / Champenois (vif) 1 Autres provenances ' Veaux de pays Veaux champenois (viande nette). Autres provenances , Veaux de pays rïix fjflT* m l l m ± 0.93 à 0.05 0.83 à 0.95 0.7J à 0.SS iM a L38 1.20 à 1.21 1-23 à 1.25 0.92 a l.Oi 0.92 a 0.85 0.74 à 0.82 0.Û8Ù0.70 1.3G à 1.40 1.23 à 1.30 1.13 a 1.20 Un ouvrier pâtissier, M. Joseph Zipper. prenait un bain dans un établissement âè Nancy. Pendant qu'il était tout à la joie de se délasser, un individu pénétrait dans sa, cabine et lui dérobait une somme de 16 fr. dans ses vêtements. M. Zipper est allé porter plainte â la police. T . *** Le nomme Jean Sch..., âgé de 29 ans, maçon, demeurant rue du Faubourg-Sainttycorges, 106, a été arrêté sous l'inculpation de vol d'une ceratine somme d'argent commis au préjudice de M. W..., débitant, rue du Faubourg-Saint-Georges. Pendant que M. Albert Nicolas, employé à l'usine à g;;;:, demeurant 58, rue de Tomblaine, allait toucher le montant d une facture dans la maison portant Je numéro 62 de la rue de Phalsbourg, un adroit filou lui a dérobé sa bicyclette d'une valeur de 200 francs. La police informe. * * M. Nay, commissaire de police du 3' arrondissement, a ouvert une enquête cîu sujet du vol d'une bicyclette d'enfant cornmis rue de Rigny, au préjudice de M. Pench. P4énagëres attention Depuis quelques jours de nombreuses personnes circulant sur le marché ont vu leur porte-monnaie adroitement soustrait, soit dans la poche de leur robe ou bien dans les paniers qu'elles portent au bras. Une active surveillance est établie pour surprendre cet habile pickpocket. Une volsusa à rh&pital * Une servante, Thérèse Frideuchsoz, âgée de 23 ans, en traitement à la maison Marin, annexe de l'hôpital, s'approcha du lit de Mlle Saint-Dizier, sa compagne de chambre et adroitement s'empara d'une somme de 37 francs qui se trouvait entre le matelas et la couverture. Le même jouiThérèse Frideuchsoz sortait de la maison Marin ei allait retrouver son amant Philibert Léon, a qui elle remettait une partie de la somme volée, mais sans lui indiquer la provenance. A la suite d'une.plainte, la voleuse a été arrêtée et écrouée. Grande Taverne, 8 attractions sensationneîes. ... Merveilleuses vaes Gaumont. ■ D'après un Quatrain fameux Faussa alerte Mercredi, vers 4 h. \ de l'après-midi, les pompiers étaient prévenus qu'un incendie venait de se déclarer au Comptoir d'Escompte, rue Saint-Jean. Ils se rendirent aussitôt sur les lieux. A leur arrivée ils constatèrent qu'il n'y avait rien. Ils firent aussitôt demi-tour avec leur matériel et rentrèrent à la caserne. GROUPES et SOCIETES Chambre syndicale du perc-onns) de Pé> claîra^a de Nancy. — Assemblée géné-ale le samedi 20 septembre 1913, à 8 h. 30 du soir, salle Chenel, rue des Quatre-Eglises. Ordre du jour : Compte rendu du -,ongrès de Bordeaux par les délégués ; causerie par le camarade Thierry .secrétaire, sur « La Fédération nationale : sa *or^e, ses moyens d'action » ; l'organisation bordelaise et sa caisse de retraites ; la retr lite des gaziers des différentes villes de Fraa;e. ETAT OIVÏL Du 18 septembre 1213 , Naissances Robert-Pterre Fougeron, rue Bastien-Lepage, 2.— Joseph Mallien, pont de Malzéville, sur le bateau « Victor ». — Lucien-André Chaffotte, île des Grands-Moulins.— LucienEdmond Charf, rue des Quatre-Eglises, 56. Publications -Je mariages Henri-Arsène Coutard, cmplové au chemin de 1er, boulevard Lobau, 24, et Hélène Farnl, ouvrière en confections, boulevard Lobau, 24.— Paul Dubois, conducteur d'autpmobiles, ruo de la Charité, 16, avant à Vire (Saône-etLoire), et Marie libres, femme de chambre, rue de la Charité, 16, de droit à Mersch (Grand-Duché de Luxembourg).— Léon-Eugène Etienne, valet, de chambre, rue du Fau- " bourg-Stariislas, 13, et Marie-Amélie Génot, cuisinière à Neuves-Maisons (Meurths-et-Mosalle, avant à. Nancy.— François Guérites, cordonnier a Lépaud (Creuse), "et Marie Cofîin, couturière à Nancy.— Henri Hill, journalier, rue de la Source, 43, et Héléna-Augustine Pellé, ouvrière en chaussures, rue de la Source, 43.— Charles Hùckel, peintre en bâtiments, à Brumath (Alsace), et Maria Wicker, cuisinière, rue de Mon-Désert, 56. — François-Joseph îoos, plâtrier, rue Mac-Mahon, 107, et Anna-Marguerite Koscher, ouvrière en chaussures, rue du Crosne, 7. — Paul Karst, paveur, rue Saint-Thiébauî, 26, et Ernestine Jacrnin,-journalière, rue SaintThiébaut, 26. — Félix-Augustin-Marie Leblond. garçon boucher, rue Raugraff, 27, de droit à Changey (Haute-Marne), et MarieLéonie-MuUe.r, couturière, chemin de la Cure-d'Air.— Charles-Marcel Morche, garçon de café, rue du Généra!-Drouot, 17, et MarieErnestlne Bolin, cuisinière, rue du GénéralDrouot. 17. avant h Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle). — Victor-Louis-Ollivier Mou- , j- 79e rhet, sergent au régiment d'infanterie, à > Naney, et Jeanne-Marie Roland, entrepreneu' s» de broderie à Marbache (Meurthe-et-Moselle) .— Georges-Ulysse Perret, boulanger, à. | ' La Chaux-de-Fonds (Suisse), et Elvina-'Lucie | Romann, horlogère à La Chaux-do-Fonds.— ! Arsène-Paul Romann, maître boulanger à ! I La Chaux-de-Fonds (Suisse), et Olga-Adèle VuiUe, ménagère à La Chaux-de-Fonds. — Léopold-Florimond Rozé, employé de chemin i de for, rue d?) Phalsbourg, 28, et. Lucie-Er- j i nestlne Soupev, couturière a Échenoz-la-Méi line (Haute-Saône).—Joseph Thomas, plâtrier, j rue Saint-Nicolas, 20, et Marie-Marguerite ! Klein, femme de chambre, rue des Domini- ! ! cains, 22, avant à'Malzéville (Meurthe-et-Mo- I selle).— Emilien-Nicolas Thouvenin, employé ; au tramway, rue Lothaire-H, 32, -et OtgSFrançoise-Maria Laryet, employée de coin- j merce à Maxéville (Meurthe-et-Moselle). — | ! Eugène Henry, garçon de bains, chemin de la Cure-d'Air, sans numéro, et Eugénie-Ade- | line Robert, ouvrière en chaussures, rue Vay- i j ringe, 37.— Paur Surget, cordonnier, rue l saint-Thiébaut, 29, et Anne-Alexandrine»Adelino Fravelle, sans profession, rue de l'Equitation, 13. Bécèe Joseph- Messenet, 71 ans, journalier, rue I Foller, 1.— Charles Muntzel, 30 ans, sans pro-'! fession, rue Charles-IIL 50.— Philippe Kei- j i ser, SS ans, sans profession, rue des Quatre- j j Eglises, 56.— Marie-Louise-Martine Marchai, < 39 ans, sans profession, épouse Thomes&o, j programmes, la direction du CinémaThéâtre a tout mis en csuvre pour que le nouveau programme passionnât également ses nomnreux habitués. L'art cinématographique remportera une nouvelle victoire avec le grand film artistique « Par l'Amour », drame historique en couleur en trois parties. Dans le cadre pittoresque et grandiose ces côtes méditerranéennes, sur ies récifs célèbres du château d'If, se déroulera l'action dramatique la plus émouvante que le cinématographe ait pu enregistrer. . Comme d'usage, le programme sera complété par de fines comédies, comiques, actualités mondiales et les grandes manœuvres de l'Est et du Sud-Ouest. REPRESENTATIONS. — Vendredi 19, soirée ; samedi 20, soirée ; dimanche 21, matinée et soirée. QINS'PALAOI, — LTPIUÏI joli des cinémas, le plus beau des programmes, avee « L'Ambassadrice », film d'art d'une perfection merveilleuse, et « Le chiffonnier de Paris », grand drame, d'après l'œuvre célèbre de Félix Piat, et des voyages, des comiques, dos actuélltés, comme on n'en voit qu'au Ciné-Palace. CASINO. — Ce soir, débuts des « Heinarek et Riloy » avec lotir nantomine mvsj Vaize (Meuse). — Charles Laurent, 50 ans, , tenouse. Débuts des « Charléy Bert-he* », i manœuvre, rue Clodion, .71.— Rosalie Jes- | comédiens musicaux. Débuts de « Villeson, 44 ans, brossiôre, épouse divorcée La- | vialle, rue Sainte-Anne, Pierro-Louis-Jo- • seph-Jeàn Degott, 19 ans, sans profession, rue Aiciac t cpie et de La Ctixtiubrc à côté, deux de l'Ecole-Normale, 3 bis. 1 mort-né. EDEN-THKATBE. ÇiNBMAT0afeA*ttl PAVHE, rue Bénit, — « Reflet 2a Honte », AVIS MORTUAIRE cmemadrame «n dix parties ,(3.000 m. de Vous êtes prié d'assister aux convoi fu- vues). Spectacle angoissant et intéressant vendredi soirée ; samedi soirée ; dimannèbre, service et enterrement de che matinée et soirée. Plerre-Uais-teph-Jeaa 0SS8TT \ j A propos d'un vo! Nous avons reçu la visite de M. Emile Nœsser, charcutier, rue du Montet, 228, ! qui nous a déclaré être complètement in- [ nocent du vol de viande commis au préju- . dice de M: Wertheimer, commissionnaire en bestiaux, rue Bastien-Lepage, 15. Qu'on parle bten au mal de ce CINE-PALACE, Ma prose ni mes vers n'en diront jamais rien ; J's ai ri trop souoznt pour qu'en mal j'en... parlasse, 6t j'y ai trop pleuré pour en dire du bien. — décédé à Nancy, le 17 septembre 1913, dans sa vingtième innée, muni des sacrements de l'Eglise, Qui auront lieu le samedi 20 courant, à 10 heures du matin. De l'église Saint-Vincent-Saint-Fiacre on se rendra au cimetière de Préville, où aura lieu l'inhumation. Maison mortuaire : rue de l'Ecole Normaie, 3 bis. I! ne sera pas envoyé de lettres de faire-part, le présent avis en tiendra lieu. Prière de n'envoyer ni fleurs ni couronnes De la part de M. Paul DEGOTT et de Madame Paul DEGOTT, née LORIN DE REUB.E, ses père et mère ; de Mademoiselle Marguerite DEGOTT, sa sœur ; de Madame LORIN DE REURE, sa grand'mère ; de Monsieur MULLER, conservateur des Eaux et Forêts et de Madame MULLER ; Monsieur PELE, lieutenant-colonel au 20* régiment d'infanterie et de Madame PELE ; Monsieur Henri LORIN DE REURE, administrateur de l'Inscription maritime ; Monsieur Jean LORIN DE.HEURE, inspecteur adjoint des Eaux et Forêts et de Madame Jean LORIN DE REURE ; Monsieur François LORIN DE REURE, juge au tribunal de Nogent-îe-Rotrou et de Madame François LORIN DE REURE, ses oncles et tantes. Les dames sont priées de se rendre directement à l'Eglise. ANDERSON A UAUÛY. — SdineJi 20 et dimanche 21 septembre en matinée et soii rée, au théâtre municinal, un snectaelo des plus originaux et des plus amusants nous sera offert par le plus extraordinaire magicien de ces temps, le commandeur Anderson, qui n'e^t pas un inconnu de j notre public. Il présentera les exercices de prestidigitation les plus étonnants j • avec cette science de l'illusion qui fut api préciéc par la presse parisienne toute eutière. v , j GRANDE" TAVERNE Ce soir, débuts des Léonard et Cie. acropantoministes. La troupe •Waihaiîa. i bates acrobates de force. Le clown Gérard singes et chiens dressés. Les 4 Spie'«a Mêlait*»» et Anny and Frey, clowns ràusie&us. Les Décharneux, transformistes éclair et le ténor Tamagny sont prolongés de 3 jours. Merveilleuses vues Gaumont. .^^-^fr——m ., A»^—p»— Chronique départementale —*»-@-<f~— MEURTHE-&-MQSEILE MHIORDISSEMEdT DE iïAh'CY AVSS MOfîTUÀIRE Les personnes qui, par erreur ou omission, n'auraient pas reçu de lettre de fairepart du décès de Monsieur Charles MUNTZEL Président oie la Conférence ds jeunes gens et de l'Union amicale Saint-Nicolas décédé à Nancy, le 17 septembre 1913, dans sa 31e année, muni des sacrements de l'Eglise. Sont priées d'excuser la famille et do considérer le présent avis comme une invitation à assister aux convoi funèbre, service et enterrement qui auront lieu le vendredi 19 septembre 1913,-à 10 h. i du matin, en l'église Saint-Nicolas, et de là au cimetière du Sud où se fera l'inhumation. On se réunira à l'église Saint-Nicolas. Maison mortuaire : Rue Charles-III, n° 50, Nancy. cteusm Oourse do 70 kilomètres. — Dimanche, s'est disputée sous une pluie battante uno course de 70 kilomètres à Lenoncourt. Voici les résultats : 1" Léon Caye, sur Peugeot. 2" Eugène Simon, sur Peugeot. 3° Marchai René. 4* Prosper Kenri, etc., etc. Spestaelesjl C«erl§ Théâtres THÉÂTRE DE NANCY. — La ;ut«re troupe.— Nous avons annoncé que la troupe de M. Poucet arriverait le 24 septembre prochain. En attendant, nous affichons dans notre hall les photographies des principaux artistes, notamment les protagonistes des troupes d'opéra-comique et d'opé-1 rette. Spectacles CINEMA-THEATRE, SALLE DEGLIN, me de l'Equitation. — Après avoir battu les records du succès par la beauté de ses DûfwBASLE Vol de fruits — L'autre jour, les époux Lucien François, ouvriers d'usine, ont été surpris au moment où ils secouaient des quetsches dans un verger appartenant à M. Jules Visine. La justice arrangera l'affaire M. le commissaire de police ayant dressé un procès-verbal. Coups et viaiences, — Le sieur Busin, manœuvre, est venu se plaindre à M. la commissaire de police qu'un nommé Simon, ouvrier d'usine, habitant rue du Moulia, l'avait frappé devant le café du Port. Après enquête un procès-verbal a été dressé à Simon. Au conseil municipal. — Le conseil municipal s'est réuni mardi à cinq heures du soir, sous la présidence de M. le docteur Remy, maire, 19 conseillers sont présents, M. Bour est désigné comme secrétaire. Après lecture du procès-verbal de la dernière séance, celui-ci est adopté. L'ordre du jour de cette séance extraordinaire comporte d'abord une adresse à M. Ernest Solvay. M.' le maire expose qu» dans une de ses dernières réunions, le Conseil avait voté les fends pour l'achat d'un» plaquette en or à offrir au nom de la ville de Dorabasla à M. Ernest Salvov, à l'occasion de son cinquantenaire, il demande à ses collègues de joindre à ce souvenir une adresse pour témoigner la reconnaissance de la ville envers ce généreux -bienfaiteur. Le conseil approuve cette proposition et ' charge M. le maire de faire le nécessaire. Après discussion, ie conseil vote les fond» demandés par l'administration forestièr» pour continuer les plantations de reboise* ments faites aux grands pâtis. Le conseil est appelé à examiner la que»» tion de surtaxe à appliquer par la Compa» gnie des chemins de fer de 1 Est, aux ma* chandises reçues ou expédiées par la g&ri ds Varangéviile pour payer en partie le\ travaux qu'elle se proposé d'exécuter daao cette gare. ^ Le conseil émet un avis défavorable et décide de faire une protestation ior3 d» l'enquête. La séance est levée à six heures. R08LBRES-AUX-4AUNCS Gorrssricernent d'incendie. -— Le dernier Jour de la fête, un forain sentit comme un goût de roussi, il alla voir dans sa voiture. Un enfant d'un an pleurait dans son lit. Une lampe allumée, placée tron près des rideaux y avait mis le feu et lo plafond de la voiture, enduit de vernis, commençait à brûler. ' % 1 FEUILLETON DE L'EST REPUBLICAIN ~v — N» 28 - ^ Brèche ^d'Enfer Par son1?? caaayre la Pierre DEC00RCELLE »eur)e femme était morte, et uiême pas voulu voir son n avait Ler'javait Pas pardonné, ll0mme la veui priait à genoux depuis quand le i a^x Piecls de sa bien-aimée ; et sur i". vieil ermite le toucha du doigt la SéDJ;aule Pour l'avertir que l'heure de l'énm ^ïa 011 suprême était arrivée, il ne S]I*l - pas 'P-Tvt» (lecreusa douleur, rieoj. J: , alors U Uart dans l'intéVtfent t grotte, en ces lieux où ils s'é1 1 ail $ut. îpo j * ués, une seule fosse, qui rex amants, et où ils dorment «niar-Âe s rjg f P°ur l'éternité, le hfivï une vieille femme, connue dans 8<?us le nom ne « mère Bazile », qui i J{err;??.ta cette légende à Raymonde et uu Us a, ,H jour qu'un orage imprévu <%«■ la ,- * 1 obligées à chercher un refuge ' grotte. rj a boucll de cette I^t ItV i ° vieille, ce récit, -ns le-souore et poétique patois cata- lan, avait pris- un caractère si touchant qu'il avait provoqué l'émotion et les larmes de Mercédès. Pour elle aussi, ses amours étaient des amours malheureuses, des amours où les joies se mêlaient d'amertumes. La passion qui les unissait, Pont-Hébert et elle, n'avait pas encore reçu la consécration qu'ils en espéraient, et souvent son cœur se serrait, son front rougissait lorsqu'on miHe circonstances de sa vie quotidienne elle sentait la honte de sa situation. Certes, Jacques l'aimait toujours avec la même ardeur, lui jurait chaque jour de l'adorer éternellement. Il endormait ses remords à force de baisers, et elle ne craignait ni l'abandon, ni même un refroidissement dans sa tendresse. Néanmoins, elle avait des moments d'intolérable tristesse et d'invincible désolationElle se répétait qu'entre la coupe et les lèvres il y a toujours place pour un malheur et se" demandait quel malheur pouvait la menacer ? Souvent, Raymonde devait relever le courage abattu de sa cousine, _ rallumer ses espérances, calmer ses angoisses. Ce jour-là, l'orage, sans doute, avait influé sur les nerfs de la jeune fille, et d'épouvantables terreurs avaient surgi dans son esprit en entendant la vieille femme raconter sa triste légende. La narratrice avait bien dit avec sa dévotion catalane, elle avait même insisté sur ce fait, que l'ermite avait uni en légitime mariage le beau chevalier et la gente demoiselle, sans quoi celle-ci n'eût point reposé en terre sainte, et, pendant l'éternité, elle et son amant se seraient doulou- reusement cherchés, sans jamais parvenir J à se rencontrer. Mercédès, pieuse comme une Espagnole, songeait que, si elle mourait maintenant, son âme serait damnée, et que son amant maudirait peut-être sou souvenir. Elle se prit à sangloter dans Us bras de Raymonde, qui faisait tous ses efforts pour chasser ses sombres pensées et lui donner quelques consolations. En ce moment, Evariste parut à l'entrée de la grotte. A son entrée, Mercédès leva la tête, — Oh ! mon Dieu, d'où sortez-vous ? s'éeria-t-elle. Et, avec cette excessive mobilité d'impressions particulières aux jeunes filles, elle partit d'un éclat de rire qui, peu à peu gagna Raymonde olle-mftnie. Le digne savant était trempé comme un terre-neuve qui sort d'un bain. L'eau ruisselait tout le long de ses vêtements et son large chapeau de feutre ÎCSsemblait à une éponge, laissant échapper une cascade qui coulait en rebondissant | sur les épaules, du • brave homme, sans j qu'il parût s'en inquiéter. — D'où je sors ? répondit-il à ]» question de la jeurie fille et ayant l'air de ne (as comprendre l'hilarité qui l'accueillait,mais de nulle part. J'étais la tout près en train de travailler.,. — Mais vous êtes mouillé jusqu'aux es... — Mouillé ? reprit-il evee un accent plein d'étonnement... Ah oui, peut-être... 4 J6 crois qu'il a un peu plu pendant que j'étais occupe J mois je ne m'en suis pas'aperçu... Imaginez-vous que j'ai trouvé un poudingue formé de granit diorite et de quartz.il y a, vingt ans que je n'en ai vu un aussi superbe et vous comprendrez qu il y l a lieu, en présence d'une pareille trouvaille, d'être un peu ému. ■ Il montrait, en disant ces mots, un fragment de pierre grisâtre et, dans son enthousiasme, il s'agitait envoyant de l'eau de tous côtés comme un chien oui se secoue en sortant de la rivière. Les rires de Raymonde et de Mercédès redoublèrent. — Vous riez, poursuivit imperturbable ment l'oncle Evariste, mais vous ignorez que ces pierres indiquent clairement que, contrairement à l'opinion reçue, la géologie des Pyrénées... — Mon oncle, dit Mercédès, qui l'appelait familièrement ainsi, nous ne comprendront rien à vos explications et. certainement, vous vous enrhumerez en restant là à nous les donner. L'orage que y.ms n'avez pas entendu et qui nous a obligées à nous réfugier ici est'terminé. Accompagnez-nous, nous allons rentrer. — Ma foi, vous avez raison, répliqua le savant, qui n'étant plus dans le feu de son travail, commençait à sentir un léger frisson. Jo crois que j'ai besoin d'aller me sécher et changer de vêtements... Mais n'importe, cette trouvaille me ravit... Une poudingue de granit diorito et de quartz ! Comme ils feDprochaier.t, du château, Ils virent de lom "Pont-Hébert, à cheval, qui, causant avec un jardinier, semblait se 1 aire indiquer le chemin pris par les promeneurs, ai in d'aller les rejoindre. il aperçut les deux femmes et Evanne. I! sauta vivement dé cheval, abandonna la bride de ranimai au jardinier et courut à leur rencontre. —; Qu'y a-t-il donc de nouveau et iu a» vez-vousî monsieur de Pont-Kérare. ? demanda Mercédès, devenant pâle d'émotion, — Je venais, mademoiselle, vou» îaire mes adieux, répondit le jeune homme... — Vos adieux ? interrompit Evariste.... Le visage de l'officier était rayonnant de joie. Après avoir respectueusement et affecteusement salué Raymonde et serré la main du savant, il s'était placé aux Sô$S de Mercédès et lui avait offert son bras. — Vos adieux ? répéta Mercédès, dont le cteur battait précipitamment, car la ;<"ie de son amant lui faisait deviner une bonne nouvelle. — J'ai reçu une lettre de ma mère, reprit Pont-Hébert ; elle m'annonça son retour h Paris et son désir de me voir. J'ai aussitôt demandé à mon colonel une permission qu'il m'a accordée et je pars ce soir même. — Vous êtes bien heureux d'aller embrasser votre mère ? dit Raymonde, tandis que Mercédès s'appuyait sur le bras de son amant, chancelante sous le flot d'émotion qui l'envahissait, ne pouvant parler, respirant à peine. — Oui, madame, répliqua le jeune officier, je suis en effet, bien heureux et ma joie est d'autant plus grande eue la lettre de ma mère me permet d'espérer que mon entrevue avec elle décidera du plus graad bonheur de ma vie. — Je' partage votre émotion, répondit Raymonde, n'osant en dire davantage en [ présence de son beaû-frère. En dépit des résolutions que j'avais rrises, continua l'officier, de ne point informer per lettre ma mère d'un projet /pie j'ai formé et qui sera la. réalisation 'de mes înon impatience et je lui avais laissé entrevoir mes désirs... — Alors, elle sait î... interrompit Mercédès. i . — Elle doit savoir on tout au moins soupçonner... — Et vous en parle-t-elîe ? reprit Raymonde aussi émue que sa cousine. — Elle ne me semble pas, tout au moins d'après sa lettre, manifester l'opposition que je pressentais. Elle p^nc-e, dit-elle, me je suis à l'âge où l'on agit avec réflexion et semble même approuver lo parti que ja veux prendre. — Alors, interrompit Evariste, qui parut soudain sortir de ses méditations, c'est -lécjdé, mon cher ami, vous partez 'i... — Oui, monsieur, ce soir même i.... — Ah !... Et où allez-vous '.'... Est-ce «pi* vous changez de garnison — Non, répliqua l'officier en souriant, ji ne change pas de garnison, je vais «"aliment passer quelques jours auprès de l ia mère, à Paris. — Vous allez à Paris ?... Eb bien ! p^i la même occasion, vous seriez bien aimable de me faire une commission assez importante. — A votre service !... —i Je chercherai ce soir l'adresse di j quelques-uns de mes correspondants Ai 1Académie, et je vous prierai, quand vertu serez à Paris, d'aller les voir et de leur di re que j'ai trouvé aujourd'hui môme, ici un poudingue formé de granit diorite « de quart?.... Mais vous oublierez e.e!a... Vous ne vous occupez pas de géoloijl» n'est-ce pas ?... — Je l'avoue â ma honte ! Pas «h tout !... — Il vaut donc micu'? crue je rédige ui mémoire, que vous emporterez... . . - - Mif . - (À <MÎW«4 'y .'/' . ' au nouveau quai Boré. Les propriétaires I Grande-Place, éclairage électrique ; lundi t at la surveillance d'un agent, la viande l'une i G Coups oti blessures. — p ,,,f H^'-NTit» s'engageant à rembourser la moitié des h 22 2 h. h, course pédestre pour jeunes gens • s'< vache atteinte de tuberculose. 2Î '-•' -';^noàAiM v frais. . .,, de 16 ans ; à 3 h., jeux divers, fr Pris de remords. — Le nommé Poupy au-dessus ai Poste d'incendie. — La Caisse d epargne imenait, veis < heures et demie du*Lm. place de la Houssaye, nombreux prix ; Jean-Auguste, 37 ans, se trouvant sans rog. p] J est autorisée à établir un poste d incendie jplusieurs camarades, lorsqu il les jeux, concert par la Montmé- ! es n sources a Bar-le-Duc, s'est présenté au bu- pendant pi s à priximité de son immeuble, qui sera 1 rois m ,ma.s sujets, le „o rnré & <*h& dienne ; 8 h. J, bal public, Grande-Place ; à reau de police de Bar-le-Duc, et s'est accu- di tecôte 18 ans, ouvrier d'us ™ >l T»5 r embranché sur la conduite de la rue de la I dimanche 28, grand bal, salle des Fêtes ; er à sé ( s d'avoir, par suite de pertes d'argent au d Comédie. ..,' , d'entrée : un franc, par cavalier. Ci jeu, détourné 1.800 francs au préjudice de prix pj Hangar au Château. — Un crédit de < j' 1 STENAY M. Meycr, notaire à Saint-Mihiel, chez de filature '>^^>/$ Is 450 francs est voté pour la reconstruction ouvriers < Foire du 22 septembre. — Conformément 45 qui il était employé en qualité de princiq du hangar à houille au Château. 1ti ois étaient en état d'ivresse'et % ' à l'arrêté de M. le préfet de la Meuse, en di Ure pal clerc. à p Bue Buaiménil. — MM. Weill frères, imontrer spirituels en cherch « s! du 24 juillet 1913, et en raison des Conduit devant M. le procureur de la P.é- daté d; négociants, demandent l'autorisation d'ins- i ià Thiebaut. Charles Baradel e ^«1 nombreux cas de fièvre aphteuse, constatés ni S publique, qui avait fait contrôler ses dires, n> P à une hauteur de 3 m. 25 du sol isur lui, le saisit, à la gorge «* , ^eciwu sur tous les points du département, seuls, taller ta Poupy a été écroué à la maison d'avétlst I une marquise vitrée de 3 m. 40 de largeur ]pendant ce temps, pW^^eS les animaux de l'espèce chevaline pourront va de Bar-le-Duc, en attendant son transfert le i £: Portait i sur 4 m. 40 de longueur, devant leur ma- Ihiébaut dos coups de pj d P or le être exposé et mis en vente. si à êi a la prison de Saint-Mihiel. gasin, sis rue Rualménil }et Maurice Baraael l Sp^f vjJ Grande fête kermesse donnée le 21 sepg! e av Conseil municipal. — Le conseil muni- | Le conseil donne un avis défavorable à écrous i en fer liés au bout /r e «c dl. tembre 1913, dans le parc du château de cipal de Bar-le-Duc s'est réuni sous la pré- te cette demande, mais proposera à ses mes- ienfin Charles Baradël, de pfc «celft Bronelle, à deux heures de l'aprsè-midi, ce sidence de M. le docteur Moulin, maire ; j B une largeur maximum de 1 m. 30 rieux, tira de sa poche un eôm n P1^ [„' avec le concours de la fanfare du 18° ba- sieurs si k il a adopté le procès-verbal de la dernière a' au lieu de 3 m. 40 ' d'arrêt et en frap'pa viol mZnt% -*X taillon de chasseurs, par la société de pré- ai lhl séance du 9 août dernier. t£ En outre, une demande de tarif réduit, au i côte droit ; puis il partit éW, paration au service militaire M La Sentinel1 Le conseil soumet à M. le maire la com- p pour faire un étalage devant leur magasin, 'lytes . en disant ; « Mofcïufe^ A le ». Défilé des sociétés ; remise de mép< munication relative aux remerciements de ic tenant un poignard, il a f„ ,1 du 7u eFt «laîn et brevets militaires par M. le sous- est ee rejetée. Le conseil maintient les cofidi- ' Mme Chevalier pour la subvention de 500 dailles d fera encore ». sang V| tions d'usage de 5 francs par mètre carré en e préfet de Montmédy ; attractions et jeux ti francs qui a été allouée par le conseil en p Thiebaut a été examiné par „„ . et par mois. ; comptoirs de vente ; buffet-buvet- et faveur de la Société de charité maternelle, divers d Wedecin'éclairage. ••- Une commission munici- il porte au cote une blessure te ; bal enfantin ; nouveauté sensationDe vifs remerciements sont également te pale de plusieurs membres est nommée ; de ; le pouma» droit est l'éc-èr^fe: P»'oW nelle : grand feu d'artifice tiré en plein p: Bleat votés par le conseil pour les généreux dons n v complications sont nZ atteint elle se compose de MM. Merklen, mai- des i jour ; tombola ; entrée libre. cl offerts par Mme Varaigne. j< 6 % Les agresseurs ont été i'è r ,' Hyménée. — Mercredi avait lieu le ma- re re ; Mieg et Poignon, adjoints ; Pellerin, Cours professionnels d'apprentis. — M. vés Baudouin, Véry, Pierrot-Lacroix et Logendarmerie et seront n .^ P»r ]. .le maire donne lecture au conseil de la ri riage de M. Jules Benault avec Mlle Maria B t u j le tribunal correctionnel1 pour , U1V1S devaï wendowski. Demanet, auxquels nous adressons nos w lettre de M. le ministre du commerce et de D 1 coups * Au marché. — Le beurre et les œufs mis blessures. vœux de bonheur. u 1l'industrie accordant une subvention de meilelurs en vente au marché ont été vérifiés meiM. Jules Benault est le frère du sympaet 700 fr. aux cours professionnels d'appren7 credi dernier par la police, les œufs int Le comice. — La fête de r ^E"R*RDefliR thique conseiller municipal de Stenay, et ci t tis, tl été reconnus bons, mais des observations ganisée chaque année par u. £ul.tUlA Ot du capitaine Renault rentré ces jours derét Legs Blampain de Bcnusson. — Le con- d ont été faites à divers marchands au su- colo de rarrondissemenV1 doSaS-4^ niers des colonies. oi seil prend connaissance d'une lettre adres- n % a* Classe 1913. — Même gaîté, chez les cens- jet je de pains de beurre qui ne pesaient pas ra heu a Gérardmer, le dim^li sée par M. Blampain de Benusson au prés le poids pour lequel ils étaient tembre, avec le gracieux en , Che « crits de trois ans que chez ceux de deux exactement e: sident de la République et transmise par c: s concours f| mis en vente ; ils ont été prévenus ou'à nion musicale. ans. La revision a été fêtée avec le même IX dc M. le.préfet de la Meuse. a 1 l'avenir leur marchandise serait saisie et entrain que les années précédentes. l'i Ponts et chaussées. — Le mauvais en- e: 1 0 poursuites exercées contre eux. Banquet, restaurant Cresson, et bal salle des di Cours d'enseignement ménage? ^ ^ftretien de la chaussée, boulevard de la demande de M. Verlot, dé m m. ~ * IniRochelle avait fait l'objet d'une plainte de des LE CLERJUS fêtes ont été des plus animés. d , part de M. Samson à cette administraNoyée. — Mme Brochet Marie-Nathalie, vention de 500 francs vient d'être -e 5<ui)la ARRûf/DiSiEliltm DE VERDUN * née Jeandin, 37 ans, ménagère au Champ a la ville par le ministère de YiJ?C(lt^ 1tion *; M. l'ingénieur des ponts et chausVEROUN f. (Le Clerjus), s'est noyée dans l'auge de sa publique pour l'aider à orsank* sées a dressé un rapport sur ce point, et £ t,ns{ La dernière réunion des conscrits. — On fontaine. r gnenient ménager. Le con%i idont connaissance est donnée au conseil. c r lnici nous communique : n Pal Depuis quelque temps, elle souffrait hor- de Senones a décidé d'installé! ?' Après la visite du président de la RépufutUl6 La séance est ouverte à 8 heures et ie. école ménagère dans les anrii», , riblement d'un cancer. iblique. — Sur la proposition de M. le comie. Présents : 45 conscrits. Lecture est de l'école des filles et a égalemnt J0^ ilonel L'Huillier, le conseil adresse ses re- 11 aiu subvention de 500 fr. f ""t vote uae donnée de : 1° Une lettre du secrétaire de ARRQHDISSEMENT DE MIREC0PR T " merciements et ses vives félicitations au d En outre, plusieurs dons ont uà MI RECOURT personnel du service de la voirie et du se- M. le sénateur Humbert, qui fait actuellerc I ment partie de la commission sénatoriile 300 francs de M. Vincent 5u f Çus ; crétariat pour le dévouement dont ils ont n t qui suit les manœuvres du Sud-Ouest, re- ** Procès-verbaux. — Procès-verbal pour Parisot, maire ; 50 francs d^-vf3 ^ ^ fait preuve pendant les préparatifs des fèT f coups réciproques a été dressé contre le merciant de l'adresse. c< 0 ancien maire ; enfin les cotu r IjOU'3' tes présidentielles. t Ladjali, Akil, colporteur, demeuS de3 2° Lettre de M. E. Simon (d'Argenteuil), nommé n membres honoraires et partir? Les vieillards. — Le conseil é.met un rant à Nancy, et Boulangeot, Henri, à de de la classe 1899, qui adresse r: l'Association amicale des ancienn *f ,avis favorable sur le projet de construction président P elèves tous ses regrets de ne pouvoir assister à Mirecourt. ]y ville, 52 ans de services ; médaille dé bronze d'une salle de bains à l'asile des vieillards. JACQUET. \ de l'école de Senones contrihiYoT * — Pour tapage nocturne contre Marm cérémonie et ses sentiments patriotide la même Société, M. Jacques Joseph, à 'Il fixe à 25 fr. le montant de la redevance la « ABiïDaBISSEMEifT SE TOUL <Ville-en-Woévre, 46 ans de services ; Mlle j chand, Fernand, et Chabot, René, tous dépenses de l'enseignement mèn ques et amicaux. e , TOUL Gondy l à payer par MM. France Lanord et Bicha1 E DMîR Arzelie, à Thierville, 45 ans de servi- t deux à Mirecourt. Les conscrits acclament les auteurs de d Brillante chasse. - Par uS ^! entrepreneurs, pour l'établissement Marches de Toul. La maire de Toal a cces ; Mme Bourguignon, à Bonzie, 45 ans de ton, t — Pour outrages à agent et infraction sade, brumeux, quatre de nost branchement électrique allant aux cces deux lettres. < l'honneur d'informer ses concitoyens qu'à £services ; M. Lafeuillade'François, à Don- d'un au règlement municipal du théâtre contre disciples de saint Hubert MM <tl Uls Une adresse est votée au camarade Li- a 41 ans de services ; M. François Xa- nouvelles j casernes. partir du 1" octobre prochain 1 ouverture court, c les époux Davriller des Essarts, sans pro- Tonnelier, Gley et Lalevée, ont'nriivS' mousin, dont le père vient d'être victime p à Froidos, 41 ans de services ; Mme Société électrique « Meuse et Marne »• nd'un accident mortel. Il est décidé que le fession, annoncée à son de cloche des marchés sur vier, \ f< à Paris. Schiltz Marie, à Gerncourt, 39 ans de services; rection de la Schlucht à travers ilfJÏ — Le conseil autorise l'installation d'une d la voie publique aura lieu ci-après : *M. Doucet Jean-Eugène, à Maucourt, 36 ans I!> la f — Pour ivresse contre Lecomte, domesti- de la Brande. surplus des fonds recueillis pour couvrir s f °'« canalisation souterraine par la Société % 1 '.'heures, Rendant les mois de janvier, de services ; M. Toussaint Nicolas, à Fresnes, < les frais des fêtes sera versé au camarade q que à la ferme de Beaufroy, et contre Ils venaient d'atteindre l'endroit &M électrique « Meuse et Marne », février, noverobro et décembre ; i36 ans de services ; M. Chatel Auguste, à d'énergie < Chipot, Jules dit Oruf, 19 ans, manœuvre. communément sous le nom de Mal- ■ n Limousin. Q A 6 Mutés, pendant les mois de mars, jFresnes, 35 ans de services ; M. Blandin Hip- imoyennant paiement de la redevance fixée * Trois automobilistes belges, se trouvant Etat civil du 1" au 15 septembre 1913. — au-dessus de la Roche du Diable ntn, ! par les articles 1 et 2 des décrets du 17 polyte, à Dombasle, 35 ans de services ; M. i dans la cour de la mairie, près des f ne- Naissances. > — Mulot, André, fils de Louis, 1907, modifié par celui du 7 sep- 0 ils aperçurent venant de la directtS A § beûïç's, pondant les mois de mai, jMichelet Théophile, à Riaville, 31 ans de ser- octobre ^ Alfred .luthier, et de Boulanger, Louise, 1 Alsace trois élégants cerfs, dressant à™ vices ; M. Limoge Hippolyte, à Fresnes, 31 ;tembre 1912, et autorise la construction l1très, sont invités à entrer dans la salle. jdjn, juillet, août et septembre. » I Après la séance, un de ces messieurs '-rit ouvrière en lutherie. — Bailly, Mauriceans de services ; M. Nicolas Jean-Pierre, à 0 ment leurs gracieuses tètes ornées deîeiw d'une cabine à l'extrémité du Champ de f Les marchands ne pourront commencer \ la parole et raconta son voyage de l'autre Jean-Laurent, j Thierville, 30 ans de services ; M. Schneider fils de Félix, employé au cornes ou bois à doubles rameaux ditS destinée à raccorder la ligne aérien- * leurs installations, en toutes saisons qu'une Auguste, à Fresnes, 30 ans de services ; M. Mars ' lUi côté de la frontière et fit le récit de sa chemin de fer et de Barthélémy, Maria, douilliers. c amenant l'énergie électrique de Ligny c demi-heure avant l'ouverture légale* jPhilbert Léon, à Auzeville, 30 ans de services; ne 1 visite à Strasbourg, puis celui de son re- ssans profession. — Desandre, Ferdinandv au réseau souterrain desservant la ville de De caractère timide, les trois rumioiati 11 leur est formellement interdit de ven- M. ; Girô Nicolas, à Clermont, 29 ans de ser- i tour en France ; il charma l'auditoire et Louis, j fils de Pierre, marcaire, et de Car- s avançaient sans défiance, quand un -oia ; M. Rour Alexandre, à Amemont, 28 Bar-le-Duc, ; moyennant paiement d'une re- l'émut par les dre à qui que ce soit avant l'heure d'où- vices \ sentiments francophiless lin, jj Maria, domestique. de ieu parti de nos nemrods abattit l'un verture. fans de services ; M. Gobillot Henri, à Vrain- ,devance annuelle de 23 fr. 04 par la So- *qu'il témoigna : Il rappela le mot célèbre : Mariages. — Parisot, Henri-Ernest, pro- d'eux ; un second coup immédiat fit UDJ 1 Il est en outre rigoureusement interdît <court, 28 ans de services ; M. Lemagny Louis, ciété « Meuse et Marne ». « Tout homme a deux patries ; la sienne I(fesseur au collège de Verdun, et Jeandei, seconde victime. Mais la troisième bète ii à Rampont, 27 ans do services ; M. MauAchat de houille. — Le conseil ratifie la et " aux revendeurs en gros et en détail, aux beuge j j Napoléon, à Ronvaux, 27 ans de serviJoséphine-Elisabeth-Jeanne, sans profes- veillée par ces détonations, reprit aussitôt e puis la France » et assura, au nom de restaurateurs, aux pâtissiers, aux mar- ces ; M. Perotin Eugène, à Aubréville, 26 ans réception d'un bateau de houille fourni par ses amis et de lui les assistants de sa gransion. — Streiff, Joseph, concierge, 'et Viant, son agilité et par la rapidité de sa coune s M. Jannin. jj chands de légumes, fruits, comestibles, etc., (de services ; M. Enard Auguste, à Harville, de sympathie. Le président remercia ces jJulia, tisserande. — Charpentier, Léon- échappa au sort qui un instant k msaaMarché couvert. — Le cahier des char- messieurs, S de s'approvisionner avant l'heure d'ouver- 26 ; ans de services ; M. Champagne Louis, à qui remirent un don génére.ix ^ r , pour la location des places du Marché et l'assemblée les acclama au cri de : « Vi- jMarcel, employé de commerce, et Stoquert, çait. «enfonçant dans les profondeurs dt ture réglementaire des marchés et même <Gincrey, 26 ans de services ; M. Bouilly Eu- ges Pauline, brodeuse. — Antoine, Auguste-Vic- la forêt, ce fugitif qui, d'après ceux-là mie gène, a Auzéville, 25 ans de services ; M. , couvert en 1914 est adopté. de se porter sur les Toutes, dans les gares i ve la Belgique ! » ^ Ernest, à Auzéville, 25 ans de ser1 Les mémoires de MM. Bugger, Kuntz, v La séance fut levée au cri de : « Vive la tor, luthier, et Favier, Louise-Geneviève, me qui le convoitaient était de plus torte et autres lieux, au devant des marchands, Dementin vices ; Mlle Coudry Marie-Barbe, à Dugny, sans profession. — Charpentier, Pierre-Sé- taille q*ue les deux victimes, court encore. s pour retenir ou acheter les denrées appor- 24 ! ans de services ; M. Lavigne Edmond, à 1Juet, Borrel-Barré, Guéry, pour travaux France ! » « Vivent les trois ans ! » j, bastien, peintre en bâtiments, et Kauff1 Chargés sur une grande voiture à quatre et fournitures à l'occasion de la visite du tées aux marchés. SOUILLY mann, Aubréville, 23 ans de services ; M. Warel Gusv Marie-Juliette, tisserande. roues, ces deux sujets de la famille des Eooles municipales. — La rentrée des \tave, à Abaucourt, 23 ans de services ; M. président de la Bépublique, le 17 août derChien écrasé. — Une voiture automobiDécès. — Sommy, André-Emile-Louis, cervidés furent ramenés en ville, où ils Louis, à Donconrt, 22 ans de services; nier, sont acceptés. classes pour l'année scolaire 1913-1914 aura André . le de passage à Souilly, a écrasé un chien o Perignon Marie-Florence, à Ronvaux, 21 Le conseil rejette la demande de sub- *danois, d'une valeur de 200 francs, appar- 3g ans i. — Perrut, Louis-Paul-Henri, un firent l'admiration de nombreux curieia lieu dans les écoles municipales de Toul, Mlle i an. —Vautrin, Philomène, 69 ans, sans qui ne manquèrent pas de féliciter les p* de services ; Mlle Lefèvre Marthe, a vention qui lui est demandée pour le trans- J filles et garçons, le mercredi 1er octobre ans l tenant à M. Prud'homme, boulanger à profession. ' — Claudepierre, Léa-Joséphine, tre compaghons nemrods de leurs brillants 1Charpentry, 20 ans de services. port du corps d'un soldat mort à Alger, en Souilly. \ 1913, à huit heures du matin. • ' fj mois. — Lotte, Marcel-Auguste, 10 ans, coups de fusil. Serviteurs ayant de 15 à 20 ans de services 9 Malpropre individu, — La police muni- dans la même maison. — Primes de 15 fr. — faveur de la Prévoyante des agents du ré- - Le chauffeur a disparu sans se faire ionemployé de commerce. — Antoine, Louis- ' e Chaque cerf pèse environ cent cinquiit» cipale a arrêté Victor André, 50 ans, origi- ' MM. Robert Modeste, à Boinville, 19 ans de seau de l'Est. ^André, 4 mois. — Magnier, Charles-Augus- kilos, ce qui, pour les deux, représente la 1naître, mais on croit cependant avoir le Une subvention de 10- fr. est accordée à numéro naire de Villacour, lequel a été surpris .services ; Larminach Victor, à Hannonville, de l'auto. *te, 23 ans, mantEtivre. — Miellé, Auguste, poids respectable de trois cents kilogn» faisant ses ordures sur la voie publique et I 19 ans ; Mouton Paul, à Varennes, 18 ans ; la Société Barrisienne d'encouragement à 1 Plainte a été déposée. o ans .soldat au 60e régiment d'artillerie, mes. Taïaut ! Taïaut ! 23 a outragé et fait rébellion au garde-cham- 1Collinet Auguste, à Germonville, 18 ans ; Mlle l'escrime (subvention de premier établissef <5t--Si-^>. • Thirion Emélie, à Saiet-Hilaire, 18 ans ; MM. à Troyes. — Gilîet, AdeÙne-Eugénie, veuve ment). pêtre. André sera poursuivi pour outrage ' ' Robinet Camille, à Bethelainville, 17 ans ; Weil, 70 ans, s. prof. Vote la cotisation pour adhésion à la public à la pudeur, outrage et rébellion Labissy Eugène, à Villers-sous-Pareid, 17 ans; Quêtes. — La quête faite à la maia agent. [ ;Willerriin Auguste, à Pintheville, 17 ans ; Société Lorraine des études locales. ProVOSGES rie à l'occasion du mariage Antoine-FaEtat civil du 11 au 18 septembre 1913. — Périn Antoine, à Cumières, 16 ans ; Lambert nonce diverses admissions en non-valeurs. vier a produit la. somme de 3 fr. 25 au proNaissances. —- François G'Meiner, rue des Henri, à Villers-sous-Bonchamp, 16 ans ; Mlle Les fonds nécessaires sont votés pour dire BARS fit Herbelot Véronique, à Pintheville, 16 ans ; des messes à M. Blampain de Benusson et ARROUDISSi ME A' T D'EPIHAL t des œuvres de bienfaisance. Tanneurs, 84. Conférence. — Samedi prochain, à fuit — La quête faite à la mairie à l'occasion Publications de mariages. — Gabriel-Ed- MM. Rcgnault Clovis, à Récicourt, 16 ans ; payer celles dites en février 1913. EPINAL du c mariage Charpentier-Kauffrnann a pro- heures et demie du soir, notre coneito/ea Gillant Jules, à Velle-sur-Couzanee, 15 ans ; Une. somme de 17 fr. 91 a été retenue mond Laurent, instituteur à Toul, et Jean- Mlle Cordier Zéline, à Velle-sur-Cousance, 15 René d'Alsace fera au Cercle des Anime, Conseii municipal. — Le Conseil muni- cduit la somme de 8 fr. 50 au profit des œu- de Barr une conlerence sur « Le boau W» ne Jenin, sans profession, à Colombey-les- ans ; MM. Legrand Jacques-Gustave, à Raré- sur. le traitement des emplo}-és, le conseil vres de bienfaisance. en vote le remboursement. cipal s'est réuui m»;rcredi dernier à trois ^ Belles. —- Charles-Louis-Aimé Brunau* ser- court, 15 ans ; Gérard Marcel, à Auzéville, 15 ( de Corse ». Toute la société intellectuel* ? t ' VÎTTEL de la ville et des environs se donnera reuLa deYnande d'admission au sanatorium \heures de l'après-midi, dans le Grand sagent rengage au 37* d'infanterie à Toul, et ans ; Mme Gérard Marcel, à Auzéville, 15 Ypl. --M. Victor Rabby, boucher, a délon de l'hôtel de ville. Etaient présents : avant .au 146" à Toul, et Marie-Madeleine ans ; MM. Wandlaincourt Adolphe, à Dieue, de Zvydcoote est rejetée. dez-vous au Cercle pour entendre la jeunAprès avoir émis un avis favorable sur jMM. Merklen, maire ; Poignon, adjoint ; cclaré à la gendarmerie que son employé, parole de l'orateur et 1 applaudir. Escompte, sans profession, à Nancy. — 15 ans ; Mangin Hippolyte, à Génieourt, 15 e deux demandes d'incorporation et sur diLéonard, secrétaire ; Baudouin, Piton, -Marcel Marillier, avait, quitté son service Victor Sandeyron, soldât au 168 d'infan- ans. Disons que René d'Alsace a un livre « Serviteurs ayant de 10 à 15 ans de services terie, à Toul, et Annëtte Charlimbaud, dans la même maison. — Primes de 10 francs. verses demandes d'allocations journaliè- ]Denisot, Etienne, Lowendowski, Mosser, après lui avoir dérobé la plaque de con- prose sous presse à paraître le 15 ÙCWD'.«I trôle de sa bicyclette. res au titre de soutien de famille, la séan] Prétot, Ballon, Raillant, Geistodt, Kiener, t sans profession, à Paris. intitulé : « Les Cenares bleues »■ ^ — MM. Somnard Emile, à Charny, 14 ans de DOMPAIRE Véry, Pellerin, Lecomte, Pierrot, Lacroix. Mariages. — Léon-Alexandre Lacour, em- j services ; Mangin Jules, à Cornbres, 14 ans ; ce est levéeVol. — On a volé dans le tiroir-caisse Excusés ou absents : MM. Mieg, Simoployé au chemin dé fer, à Jarville, avant Daunon Gabriel, à Pintheville, 13 ans ; LaîUn monument du souvenir. — Les COMBLES net, Gilbert, Renaud, Coineune, Duvertioy, cde la boulangerie de M. Ferrv Jules, à battants de Bitche auront un monumeœ l à ToUÎ, et Lucie-Gabrielle Labrousso, sans lemand Jean-Louis, â Dieppe, 13 ans ; WesDonipaire, une somme de 60 francs eiivichard Gaspard, à Neuvilly, 12 ans ; Pierquin Pendu. — On a découvert à Combles, Algan Biaise, Haffner, Guth. profession à Toul. -— Lucien-Eugène Fourdigne d'eux par les soins du Souvenu uo" Projet d'aménagement de la Caisse d'é- Jjon. gny, couvreur a Toul, et Angèle Vautrin, Hubert, à Ville-en-Woëvre. 12 ans ; Herder pendu dans une chambre de sa maison, M. çais et à la libéralité de M. Charles iw ■ François, à Saint-Jean-les-Buzy, i2 ans ; St- Joseph Arnould,. ancien facteur. C'est sa pargne.— On croit connaître le coupable. . Lîmmeubie dans lequel était insrepasseuse à Cornimont, résidant à Toul. --' Vanne Anicet, à Dieppe, 11 ans ; Marchand mer, petit-fils de l'un des pws vauw» ARRONDISSEMENT DE NEUtCkÀTEAU Henri-Ferdinand-Eugène Gailois, caissier Alix, à Thierville, 11 ans ; Peridon Charles, à petite-fille qui, en allant le chercher pour jtallée primitivement la Caisse d'épargne défenseurs de cette place, Sçhuster, m »» dîner, l'a trouvé pendu. On attribue cette quai de Juillet, a été acquis par la vule à la recette des finances à Toul, et Gabriel- Bezonvaux, 11 ans ; Simonet Auguste, à CharNEUFCHATEAU tué pendant le bombardement enjo>v- , mort à l'ennui de ne plus pouvoir travail, pour installer plusieurs services municipentry, 11 ans ; Pâtissier Georges, à Dieppe, le Brendle, sans profession, à Toul. M. Charles Zimmer vient en effet, cw « Ligue de l'enseignement. —- La Ligue de 1er à cause de son grand âge. paux, entre autres les cabinets des deux jl'enseignement (cercle de Neufchàteau) a guer douze mille francs à la vule de »^ Décès. •— Auguste Faivre, 52 ans, terras- 11 ans ; Prot Laurent, à Dieppe, 10 ans. Bergers communaux. — Prime de 25 fr. et Il jouissait dans le village d'une exceUeote ' adjoints au maire, le bureau de police, la prié M. Emile Hinzelin, le bon poète, e- et au Souvenir français, pour ?ie™ ' sier, à la Champagne. — Paulette Urich, 2 rappel de médaille de. bronze de la Société J mois, hospice Saint-Charles. — Eugène nationale d'encouragement à l'agriculture.— considération et sa mort sera regrettée par recette municipale, le bureau des retraites crivain distingué si connu, de vouloir oien ce coin glorieux de la Lorraine, un ouvrières, les archives, etc. jfaire entendre son éloquente parole aux ment commémoratif dans le cayt*» ^ Lhomme, 35 ans, journalier, célibataire, M. Génin, berger à SamogneUx depuis 50 tous ceux qui l'ont connu. L'aménagement de ces différents servi- ,Néocastriens. Nous avons le plaisir d'an- quel seront déposés les .restes des W« hospice Saint-Charles. ans. ARR0N0ISSEMEHT DE COMMERC/ ces, d'après le devis fourni par l'archi- \noncer qu'une conférence sera faite diman- soldats ou douaniers, morts au.w<* Prime de 20 fr. et même rappel à M. HousAVRAINVÎLLE SAINT-MIHIEL tecte municipal, s'élevant à 3.600 francs, (che prochain au théâtre municipal de Ne jf- Bitche. Outrages. — Procès-verbal a été dressé sard, berger à Ville-en-Woëvre depuis 33 ans. ccLMA» Prime de 20 fr. et médaille de bronze de la à Mme Auguste Meunier, journalière, qui Ivresse et violences. — La police a dressé indépendamment de l'achat du mobilier, (château. même Société, M. Kirschmer, berger à Paqui fera l'objet d'un vote ultérieur. Adopté. a outragé le garde-ebampètre, dans l'exerEncore une ! On communique J> M. Emile Hinzelin a choisi comme sujet : procès-verbal pour ivresse manifeste et vio- ' rois depuis 27 ans. Rue d'Alsace. — M. Bertrand demande (« Le Cœur et l'Esprit de l'Alsace ». cice de ses fonctions. Nouvelliste une nouvelle ietue au Prime de 20 fr., M. Leloup, berger à Gine- lences envers ie nommé Gilson, Arthur, au jc( CREZILLES rey depuis 27 ans. Nos concitoyens seront heureux de venir son de Hambourg à un chen * sieur Vigneron, Eugène, 22 ans, mouleur à une indemnité de 600 francs pour la mise à l'alignement de sa propriété sise rue en Outrages. — Une enquête est ouverte Prime de 20 fr., M. Beaugnon, berger à Saint-Mihiel. foule entendre et applaudir notre émi- (mettons, si vous le voulez, ae.s." ( sur la plainte de M. Emile Ferrv, maire, Hautecourt depuis 27 ans. En voici la phrase principale. i — Le nommé Bosquet, Henri, employé d'Alsace. Le conseil accepte et décide que ,nent compatriote. èche Prime de 20 fr., M. Husson Célestin, berger les travaux devront être termines le 30 qui aurait été outragé et violenté par M. « Nous ne pouvons pas nous ei ^ de commerce, à Saint-Mihiel, pris de boisr'ST à Moulotte depuis 27 ans. ARRONDISSEMENT DE REMlREtë Alfred Jea.nnot, cultivateur. 1914. de vous exprimer notre SU1P'\nc^Bi Prime de 15 fr., M. Thomas, berger à Be- sons, ayant rencontré, en promenade, un juin J Propriété Martin. — M. Martin accepte REM1REMONT qu'une maison allemande de ," noUï groupe de jeunes filles, les injuria, leur thelainville depuis 20 ans. Aux manœuvres. — Pendant que le 5° ^ a- et établie dans une ville ahenianw,^ Prime de 15 fr., M. Husson Félix, berger à adressa des insanités ignobles puis les mit définitivement l'indemnité de 15TH) francs LUNEVILLE Joity-eu-Argonne depuis 19 ans. en joue avec le fusil avec lequel il revenait qui lui a été offerte par nne précédente ,taillon de chasseurs à pied manœuvrait envoie des lettres rédigées en Le 7e en 12 jeurs ! — Un serrurier, . Prime de 15 Er., Si. Lahaye, berger à Pa- de la chasse. Pour tous ces faits et tapage délibération du conseil municipal, pour aux environs du Thillot, un soldat de la Nous vous prierons donc Polu";7 pgui Charles K..., 21 ans, s'est présenté mercre- reid depuis 17 ans. la mise à l'alignement de sa maison, sise j3e compagnie eut deux doigts de la uain vouloir à l'avenir vous servir oei « 1 ia ^ injurieux, Bosquet s'est vu dresser des prodi soir aux autorités locales pour s'enga3». dtvision. — Animaux reproducteurs. — 23, rue LéoDold-Bourg. « gauche emportés par la décharge d'une allemande dans votre correspond Espèce chevaline. — i" catégorie, étalons de cès-verbaux. ger à la légion. Ecole Industrielle. — Le conseil vote un ,cartouche a blanc, alors qu'il s'appuyait r — Pour ivresse publique et outrages à uous ». .....i n fl!"', Cet Allemand a été dirigé sur le bureau trait. — l« prix, 100 fr. et médaille dee ver, l'extrémité de son fusil. — Zut ! a déclaré le commerça»1 f^«oi meil, M. Bidon, a Bezonvaux ; 2» et 3 prix l'agent de police Quarenghi, Gironde, Char- crédit pour arrachage d'arbres, terrasse- sur de recrutement de Nancy. e Les nouveaux effectifs. — Les 5 et 15" tion à notre confrère colmarien. »« ^ „{ décernés. les, 29 ans, manœuvre, s'est vu dresser ment, etc. La loi ttrammoRt. — Un procès-verbal non Centimes additionnels. — Le conseil re- bataillons | de chasseurs à pied recevront à mes clients en allemand, en •«• prix, 40 fr., M. Langry, à Belleville. „ procès-verbal. pour avoir donné des coups de bâton â ùn Indenniité do déplacement, 20 fr., M. Au, 640 hommes de la classe 1912 oris anglais, en italien et si un uw ^ Vol. — Le sieur Thiéray, Ernest, terras- nouvelle pour l'année 1914 les centimes chacun chien a été déclaré à une journalière de bry, à Vraineourt. additionnels à inscrire au rôle des contri- dans , les garnisons de Bourg, Besançon, la rue S.unl-Maur, 3*.), la nommée Marie 2» Catégorie, juments poulinières. — f sier à Saint-Mihiel, avait déposé sa pio- butions directes, qui sont ainsi fixes : ;Epinal, Lons-le-Saunier, Boanne, Limoges, lait faire des affaires avec ^rÇ^M rais un interprète pour P0»\0lr che et sa pelle, devant le café Glorieux, prix, 100 fr. et médaille d'argeut, M. Bouchy, Gutherlbi. 0 fr. 05 contributions vicinales ; 0 fr. 01 et ;Belfort, Guéret, Beliey, Montluçon, Laval. dre avec lui. L'argent nest pas un ^ pour y boire un verre. i Warcy ; 2», 100 lr., M. Gille, â Boinville' ; Injures. —■ Un procès-verbal pour inju7 dixièmes pour le salaire des gardesNos concitoyens. — M. Septime Thierry, national. Par tradition, ma coni Q ^ 1 Lorsqu'il sortit une heure après, l'ouvrier res simples a été dressé au nommé Pierre 3\ 60 fr., M. Leroy, à Montblainvllle ; 4", 40 champètres ; 0 fr. 01 pour secours aux fils j du sympathique principal honoraire ce et les livres de ma mais»» fr. M. Aubry à Vraineourt ; 5", 30 fr., M. Ni- jl constata la disparition de ses outils. u'»» Blanz, maçon, demeurant 39, rue Saint- colas Honoré, à 'ihierville. du , collège, est reçu définitivement élève en en français. Mes fournisseurs « at(J i L'auteur de ce vol n'a pu ôtre.'décou- réservistes et territoriaux. is Maur. Droit de chasse. — Le conseil autorise ,pharmacie du service de santé militaire. prendre leur parti, comme Jfc Vjcei Prix supplémentaire, 25 fr., M. Jacquemin BLAINVILLE Emile, à Vraincorut L indemnité de déplace-; vert et Thiéray en éprouve un préjudice M Peureux à céder son droit de chasse Il est affecté à l'hôpital Saint-Martin, à inien des volontés et même des^ oi de 8 francs. ourgê dans la forêt de Surance à M. Etienne. Paris. Toutes nos félicitations. Crêpage de chignons. - - Mlle Maria-Lu- ment, 15 fr., M. BroRchon, à Hennecourt ;; mes clients. Tant pis pour l* n?ucon. Je ' Ivresse. — La gendarmerie a dressé f ro, indemnité de déplacement, 15 fr., M. Igier, à Instruction primaire. — Le conseil vote SAINT-NABORD qui a voulu me donner une >^ , qUe cié Miche, ménagère, k Blainville, a porté . Vraineourt. cès-verbal à Hulm-Charles Venandi, 33 une indemnité de résidence annuelle de W plainte contre la femme Oscar Zuberbler,1 A propos de paie. — Le manœuvre Jo- écris en français, s'il vous p« 3e Catégorie, pouliches de 3 ans. — 1" pri-■ ans, rencontré dans les rues de Saint-Mide 125 francs à Mme Poirot, institutrice à ^ t» née Hélène Tunis, qui, au sujet d'une dis- me, 100 fr. et médaille d'argent, M. Bouchy,: hiel, en état complet d'ivresse. seph Alexandre se prit de querelle avec son n'ai aucune remontrance a it«, de Bazimont. cussion relative à une question de propreté,i à Warcy ; 2°, 80 fr., M. Bidon, à Bezonvaux ; patron, M. Joseph Crochetet, industriel, à et que dorénavant je nie ^ VAUCOULEURS l'école Subventions. — Le Souvenir Alsacien propos de règlement de comptes. Dans sa se jeta sur elle, la gifla, lui déchira soni 3«, 60 fr., M. Gille, à Boinville ; i8, 50 fr., M. Avant le départ de la ciasse. — Les Bogie Louis, à Malancourt. sollicite une subvention de 500 francs. Le colère, il brisa deux carreaux à la jjorte corsage. Prix d'ensemble. — Médaille d'or offerte! conscrits de la classe 1913 organisent pour Conseil lui alloue 1ÛÛ francs une fois don- du bureau. Plainte a été portée. Mme Zuberbler nie avoir fait quoi que par M. Moraau, conseiller général, non dé- dimanche prochain une cérémonie patriotice soit. nés. LE VAL-D'AJOL que avec le programme suivant : cerné. La société de préparation militaire « Le 4e division. — Animaux de basse-cour. — ELAMONT-CIREY 11 heures du matin. — Service solennel à Quand on est un pau gris. — En sortant Drapeau » sollicite également une subChemin de fer L.-3.-B. — A l'occasioni Médaille, d'argent grand module, M. Herbinet,> l'église en l'honneur des camarades consRambluzin ; médaille d'argent, >M. Igier, à vention ; mais plusieurs conseillers font■ du café Hocquel, le tisserand Constant crits décédés et des soldats morts pour la de la fête organisée par la Société de tir- à 1 Vraineourt ; médaille d'argent, M. Roqùebert, Grandmougin chercha chicane au domespatrie. La société « La Lorraine », avec remarquer que d autres sociétés similaires tique de ferme Auguste Deschasea îx. et de préparation militaire de Blâmont- à Verdun. s'occupent déjà de la préparation militaiCirey, sous la présidence de M. le sous5« division. — Instruments agricoles. — Mé-- sa musique, prêtera son concours à cette re des jeunes gens, entre autres les socié- « Pendant que les coups de poing trotpréfèt de Lunéviile, le dimanche 21 sep-• daille do vermeil, M. Manternach-Pierson, àt première partie de la cérémonie. taient », Grandmougin tomba et sa t^te s Clermont : médaille d'argent, Maison-Mau2 heures de l'après-midi. — Béunion nia» tés de gymnastique. Le conseil, par 8 voix vint porter sur le trottoir, où il se fit une tembre la Compagnie du chemin de fer de Lunéviile à Blâmont mettra en circulationi poix, à Triaucourt ; médaille d'argent,' M.; ce de l'Hôtel-de-Ville pour le départ au ci- contre /", rejette la.ddma.nde. S . Baissin, à Sainte-Menehould ; médaille de Création d'un 3 jour de marché. — Eni assez large blessure au front. Nos lecteurs et abonnes y des trains spéciaux. De-Lunéviile à Blà- bronze, M. Lancelot-Habary, à Clermont ; mé-■ metiôre où une couronne sera déposée par fl La gendarmerie enquête. en pèseniant ce bon >e r, & mont, sans arrêt, départ à 10 h. 20 ; ar-L daille de bronze, MM. Lardenois frères, à~ les conscrits au monument du Sou/en'ir raison de l'augmentation prochaine de la1 ' ARRONDIS SEME fil T DE SASNT-DIÈ au rivée à 11 h. 20. Retour : Blâmont, départ Souhesmes : médaille de bronze, MM. Collet, Français. Le conseil municipal, la section garnison, il est décidé de faire un essai dans nos bureaux ? en créant un 3° jour de marché, qui se tien15 h. 50 ; arrivée à Lunéville-Est, 17 h. 31 à Ville-sur-Cousance ; médaille de bronze,\ des Vétérans, les sapeurs-pompiers et la SAINT-DIE drait le lundi. ; Société de préparation militaire « LAmii Pour !a légion. — Deux déserteurs se — Entre Domievin et Blàmont : départ de MM. Louis, à Souhesmes. fr Revision des listes électorales. — Sontj ' sont présntés au bureau de M. Billaudel, 6» Division. — Produits agricoles. — Mé-- cale », sont invités à prendre part à cette Domjevin à. 12 h. 35 ; arrivée à Herbévilnommés : 1° pour la révision des listes[ commissaire spécial de la gare, et ont de, daille de bronze, M. Lescuyer, à Verdun :; seconde partie de la cérémonie. ler à 12 h. 50. — Départ de Domèvre,. médaille de bronze, M. Roquebert, à Verdun; électorales consulaires : MM. Poinsignon; mandé à contracter un engagement pour Un Magnifique Buste i tfirtQHD'SSEMENT DE MOHJMcûr 13 h. ; arrivée à Blâmont, 13 h. 15. Réduc-r- médaille de bronze Mme Idoux, à Clermont; et Ballon ; 2" pour les listes municipales tion de 50 à tous les voyageurs pour médaille de bronze, M. Bastien, à Auzéville. MONTMEOY politiques : MM. Mosser, Ballon et' Bau-- la légion étrangère. L'un est sujet autrichien originaire ds Blâmont, M. R. POINCA^ 4RROHDISSEêSEUt DU 8AR-LE-DUC Fêta «aunïc'spnle des 21, 22 et 2fe septem- douin. Budapest, et se nomme Kallemann HoXURES5 s Quai Boyé. — Une somme de 2.080 francs! walth ; l'autre, Karl Helbstreis, est né à BAR.LE-DUC! bre 1913. — Programme : dimanche 21, 3! i P **smsNr m LA RivvBiiV* Etranger en défaut. — Fr.mi-Karl Kock, Montmédienne, est' votée "pour l'établissement d'un trot- Walhausen (Alsace). '. Viande malsaine. — M. le commisaire de3 haures, concert par la toir asphalté d'une largeur de 1 m. 20, 32 -ans, marinier à bord du bateau allei place de la Houssaye ; 8 h. bal public, t police de Bar-le-Duc a fait incinérer, sous mand « Vesta », ue passage à, Xures.ayajit de faire sa déclaration d'étranger, j Quelques sceaux d'ejiu suffirent pour oublié o; a ét él'objet d'une contravention. &tshïd;e co conimoncement d'incendie, il a MERVILLEP. ftUH temps, car quelques instants plus tard Cambriolage. — En l'absence, de M. AuIft voiture prenait complètement, feu et on Massel, 40 ans, cultivateur, un malaurait eu à déplorer la mort d'un enfant, guste g inconnu s'est introduit dans sa Les dégâts sont évalués à une cinquan- faiteur îf maison en ouvrant les volets et en pasn laine de francs. sant pan la fenêtre. Tout était en désordre Une heure après un second incendie se Si au rez-dechaussée, dans les deux chamdéclarait, mais cette t'ois dans une bara- a bres à coucher et la cuisine.«Le carnbrioque de la fête. Un tuvau d'un appareil à b leur avait arraché la serrure d'un secréacétylène eut une fuite, mais on parvint le taire. Une voiture d'enfant a été fouillée. en peu d'instants, à éteindre cet autre t; Il s'y trouvait, 'dans un panier, un porteeommepeement d'incendie. Les dégâts sont II monnaie en pièces de 5 fr. ; le ou les von insignifiants. le trouvant, n'eurent garde de l'y VEZELISE leurs, U laisser. Débit cîandestïn. — Louis Moroni, ma- U çon, vendait à boire à plusieurs personnes dans son logement. Comme il avait omis d'en faire la déclaration, procès-verbal lui MEUSE a été dressé. AHMAUCOURT Rixe. La gendarmerie a ouvert une enquête sur une rixe qui a éclaté à la suite d'injures entre Mme Joséphine Belleau, qui fut frappée par M. Paul Godefroy, cultivateur. Pour se défendre, elle mordit son agresseur au bras gauche. M. Joseph LISTE DES RECOMPENSES Noël, journalier, cousin de Mme Belleau, lr» division. — Amélioration culturale (canintervint et fut frappé à coups de pioche ton de Clermont et de Varennes). — Prix culsur la tète. t< partage entre : 250 fr. et médaille de P0NT-A-M8USS0N tarai ti vermeil grand module de la Société des agriConcert. — Programme du concert qui culteurs de France, à M. Georges Antoine, à sera donné le dimanche 21 courant, à £Brocourt; 250 fr. et médaille de vermeil grand 2 heures jj de l'après-midi, sur le kiosque „ module, a M. Louis Leroy, à Montblainvllle. Ensemble d'améliorations. — 100 fr. et médu boulevard de Riolles, par la Société d'argent grand module de la Société mixte chorale Mal/évilloisc, avec le con- daille d cours de }a musique municipale : ddes agriculteurs de lrauce, M. Paul Pierron, 1, Allégro militaire (Leroux), Musique 1 a « AÙzavÛle ; rappel de prix et médaille d'argent grand modulo do la Société des agricultannicipaïë. i 8leurs de France, M. Paul Collin, à Courcellos2., Lover de soleil, de Chapuis, Chorale flés-Aubréville ; 60 fr. et médaille de bronze Maizévilloisc. ggrand module, de la Société des agriculteurs .& Fantaisie sur des airs russes (Bouve- ae § France, M. Chopinct-Guédon, à Brocourt. Spécialités. — 50 fr. et médaille de bronze tolis). Musique municipale. 4. Les Brésiliennes (Luigi Bordèse), Cho- j[ ggrand module de la Société des agriculteurs France, M. Jules Lejeune, à Dombasle ; laie, Makévilloise, chœur mixte. ode 50 fr., M. Petitjean Onésime, à Dombasle-ena! Gavotte Duchesse, Musique munici- *jArgouae ; 25 fr., M. Roger Benaur, à Malanpale. *court ;' 25 fr., M. Douin Paul, à Parois ; 20 6. L'Oracle des champs, de Michel Cha- fr., ï M. CoUpra Charles, à Dombasle-en-Arpuis, chœur mixte, Chorale MalzéviTloise. gonne. g 2» division. — Serviteurs ruraux. —- Ser7. Bougogno, défilé, Chaquain, Musique municipale. yviteurs ayant plus de 20 ans de services dans môme maison. 8. Les joyeux vivants, chœur, musique et 1la Primes de 20 francs. — Rappel de médaille chorale. >d'argent de la Société nationale d'encouragéLe chef de la Musique municipale, ~ment, Mlle Gondy Scholastique, à Thierville, FULAINE. g53 ans de services ! médaille d'argent de la même Société, M. Lelaurain Saintin, d'AuzeLe directeur de là Chorale, r C l Le Concours agricole . de Ciermom-en-Argonne ; 4 ^l LOR&AIBiËJT KUm — pjRHMIE ^ de l'&t ^publia* x 2 ' 75 * % g$ CONTES LORRAINS L j brité, grâce à son invention du « rat à, trompe », cela consistait a couper la queue d'un rat et ô, ta lui greffer sur le museau, comme on greffe une lige cultivée sur la. tige d'un sauvageon... Assurément, il y avait-là une idée à suivre. Malheureusement, le nommé Dache était mort depuis longtemps, emportant son secret dans la tombe. L'infortuné Modeste était donc désespéré, lorsqu'il entendit parler des incroyables et merveilleux travaux du docteur Carrel, de l'Institut Rokfeller. ! trois semaines .Cotonnat sortit de la chni- . ] que, la bourse un peu allégée, mais a la ! tête — c'est le cas de le dire — d'un nez j j tout neuf, lequel lui seyait si bien qu on j eût pu croire qu'il l'avait élevé jeune. | ! Entre temps, le phlegmatisant qui s'était j dévoué lucrativement pour Modeste, avait | quitté l'établissement du docteur Carrel, et , i nez tient incontestablement une pris son envoi vers la suite de ses destinées Si . portante dans la physionomie, on aventureuses. Le gaillard, du nom de llibi- | ^Sien oblige de reconnaître qu'il joue est Safiole, menait une existence assez, mou- j i Tfois aussi un grand rôle dans no1 vementée. Il fréquentait les endroits les j ?u q iStence. plus mal famés de la ville. On le trouvait jre exisL' ^g-, davantage que le cheval, Le i d'habitude, dans les bars interlopes et les i ,, °f;'de phomme. Sans lui, nous feOn sait quelle importance a prise cet Ins- : bals équivoques. Une fois guéri, il revint ; j (?t la,.'te figure dans le monde. Chacun 1 ns WBL jJlement sur ce point. C'est l'a- titut depuis le fameux débat qui eu lieu tout naturellement, à ses occupations courio entre les chirurgiens rivaux, Vcrneuil, sur- j tumières, se hâtant, en compagnie d'indi- j S ocleste Cotonnat le B |« «C M" ' héros de nommé le « Tombeur de la Pince Hémos- | vidus louches, d'hétaïres quelque peu dé^nrfant^' ce gracieux appendice n'a tatique », et Péan, dit « Le Rempart de la j fraîchies, de dissiper en folles orgies tout j l'or qu'il avait gagné avec se, propre chair. T sans lui causer certains ennuis... Forcipressure ». Or, le docteur Carrel venait précisément C'est ici qu'il faut reconnaître que si la faS fnU de plus se justifie cette vérité phid'arriver à Paris, dans le but de faire con- science, malgré l'affirmation de Brunetiè- j j Y^hiaue que plus un objet nous coûte, naître à ses confrères, le résultat de ses re, n'a pas encore fait faillite, elle n'en est I l f°Pnnus y tenons. pas moins sujette à de déplorables erreplus w» ^ catonnat, sans avoir les pro- expérieuces sur la greffe humaine. Cotonnat, résolu à faire tous les sacri- ments qui s'atténueront certainement, le be ne idérables de celui do notre fices financiers pour recouvrer un physi- jour où elle aura dit son dernier mot, ce. portions cons Cyrano, était tout de génial t faI)tasque ^_ don). on dit qu.ila sont „ UI1 que ordinaire se rendit aussitôt au domi- qui ne peut manquer de se produire avant cile de l'homme de science, afin d'obtenir quelques milliers do siècles. lQêm r « Toutefois, ne n'est point à son de lui, au moins une consultation. A sa a Ainsi, par exemple, le docteur Carrel eu P ou'il devra la célébrité, dans les iroluiiie ci^ientifiques ; c'est précisément à ' vue, l'illustre docteur ne put retenir une l n'avait point cru devoir tenir compte de ' légère exclamation : annales ^ ceci : Bibi-Safiole avait le svstèmé pileux ion absente... ^ . ^ — Oh / oh !... Vous avez, monsieur, ce fort abondant ; il était velu comme un que notre cher et vénéré maître, Doyen, vrnrleste Cotonnat, grand industriel qui n'hésiterait pas à appeler une « sale bouil- ours... Il en résulta, que Modeste Cotonnat fut obligé de se raser le nez deux fois par . * inait du tissage des bretelles hygié- lotte »... semaine... l'occup ^ venu au monde comme vous Apostrophé de cette façon, imprévue et Ce n'était, en somme, qu'un petit inconpiques, ^..\.cîire avec un nez honorable, dépourvue d'artifice Modeste fit un nez I... îl "nez humain, un simple nez, quoi J... (Cette dernière expression, on le comprend, vénient. Mais voici qui est plus grave. Un soir, Bibi Safiole se trouvait dans sa ri nez à n'en pas douter, qui ne deman- n'est que métaphorique). société ordinaire. Ayant pas mal lichê, il •t u'à faire connaître à son propriétaiVoyant son embarras, le docteur Carrel, eut une conversation inquiétante avec l'un ,PeVeu'mati?mes voluptueux du cory;:a, qui est la bonté et la sensibilité mêmes, î t les jouissances que procure le tabac à | écouta tout le récit de l'accident dont le de ses amis. Une dispute s'en suivit, à la f suite de laquelle il encaissa un formidable grand industriel avait été victime, ainsi pr p^ 'maiheiift il arriva un jour que Co- que l'énumération des essais coûteux et coup de botte... quelque part, — juste à nit vers Si. quarantaine, visitant ses illusoires qu'il avait faits pour y remédier. l'endroit où le docteur avait pris la matière indispensable à la confection du nez ! mes' impreÉemment s'approche trop Lorsqu'il eut fini, l'homme de science lui de Cotonnat;.. irim engrenage... dit avec un sourire : Or, exactement à l'instant où Bibi Safiole fin entendit un léger craquement... puis — Mon ami, si vous êtes disposé à subir recevait son coup de pied dans le bas des I nlns rien ! Le métier continua son tic tac l'opération nécessaire, — et à en payer la qui venait de '!m)ier. Ét Modeste Cotonnat, tout san- note, comme de juste, — je me charge de reins, Modeste Cotonnat, s'endormir, fut éveillé en sursaut avec la SJmt et évanoui, comme l'on pense, <Haît i vous fabriquer un nez... Mais un vrai ! rvé'&e l'ornement indispensable a tout Mon en doublé, mais en chair et cartillage, sensation douloureuse d'un maître coup de I poing sur le nez, en même temps qu'ne visage soucieux de sa dignité. Il n'avait un nez de premier choix !... abondante hémorragie se déclarait, ensant)lus"fè tiez... Pas plus qu'il n'a en a entre Cotonnat lui prit la main. Et, la Ber- glantant les draps... Ço3 deux épaules. rant avec effusion : Nous devons livrer ce fait à la connais*** — Ah ! Monsieur, s'écria-t-îl, si vous fai- sance et à l'étude du docteur Carrel. Il ne Un désastre ! Un désastre, qu'on ne. pou- te» cela, vous serez... le plus beau jour de manquera pas d'en tenir compte dans ses • vait passer à la comptabilité au titre « Pro- m\ vie. futures opérations... N'empêche, que la science chirurgicale est une bien belle choIt; et Pertes ». Cette ablation faisant le plus grand tort Deux jours plus tard, Modeste était con- se. i son physique, et, du même coup, imi- fortablement couché dans l'un .des lits de CLÉMENT ROCÎIEL. tant & ses affaires, Cotonnat s'en fit fa- la clinique temporaire du Docteur Carrel, briquer un en argent, bien que ce noz lui ayant comme voisin un malade qui devait routa les yeux de la tête. Mais, apr^s en fournir l'étoffe nécessaire à la fabrication «voir essayé, il y renonça, à cause .de la d'un nez convenable. 1 sonorité c'a ce métal, qui, lorsqu'il se mouCe malade, atteint de douleurs phîegA CRAMPICSEBLLES illait, donnait à ses clients-, l'illusion d'un matisunales dans les paumes des mains, C jolo de saxophone. , ™FBIES était un pauvre diable qui, moyennant une Déjeuners & Dîners co N U tâta ensuite du caoutchouc vulcanisé, honorable compensation financière, ' conFrïtare. 8atel»te, Plat iu jaiir Ton» i« Dimanche, de l'ébonite, de la. gutta-percha, et enfin sentait à distraire une parcelle de son in- titra it ciessm ds BwnpijSMttM GEAIS D BAL du cslluloïde. Mais ces substances subis- dividu au bénéfice de Cotonnat. saient l'influence de l'humidité et de la séCette parcelle fut prise, — est-il besoin cheresse, et arrivaient à perdre lerr for- de le dire, — dans la partie postérieure la me normale. II advint même un jour, à plus charnue de sa personne... (en latin : H?Jbi-l!lii!tK2Àb Concours de tir a la carabino Cotonnat, sans qu'il y prit garde, de- fumer fissa). | son nez en allumant sa pipe... , L'opération réussit merveilleusement, ! Hmt PSf-â5îiliCP C88SE7S, 9. »!*:• SK'wtn, On lui parla d'un certain Dache, ancien comme on s'y attendait. Le célèbre chirur- ; M jslMimUB.S.0, jftsii, SR ejUi cliîîiiiiis, perruquier des zouaves, demeurant à Cons- gien était un maître incontestable et sûr i siscieass »"(*!é$a; sf di biw-âtra, à s'rirsïîsr à ella, tantine qui avait acquis une grande célé- dans cette sorte de travail. Et, au bout de à partir m 22 séant*! (les Siec'siss wn-r; prête) 1 Histoire de Nezj > Brasserie-Hesfiiira^HSRIAÎIR ♦ A.ionÈi,»* j Faits-Divers | j i 1 1 i I j | ', g« II j I | I LES onAGxs. — Valence-sur-Rhône. — La ouit dernière, un violent orage a éclaté SUT notre région. ~a toudre est tombée â Valence.au quartier de la Palla, sur une guérite située le long de la voie ferrée et, dans laquelle sa trouvaient trois employés, qui ont ressenU une violente commotion.' Une pluie diluvienne a inondé la plaine. Le Rhône et ses affluents subissent une HEURES 13 DE NANCY. Desservies par de nom Dreux trains un matériel tout à fait confortable, un horaire dont la cofnJhnçdité fait le plus grand honneur à la Compagnie des chemins de fer de l'Est, les lignes Avrlcouni>Metz-NaiicyPARIS, amènent journellement, dans la capitale une moyenne de irais :•«> voyageurs Lorrains et Alsaciens. Par sa proximité des Ar.1rnnes et des Vosgss PAtiiS attire facilemeîit et retient toujours quelque temps nos compatriotes. Ce sont nos industriels ou commerçmts qui viennent, sur le marché mondial des affaires, discuter et trafer de leurs intétrêts vitaux ; es sont nos fonctionnaires, nos universitaires qui a chaque occasion viesunent prendre coniact avec leurs chefs. PAS.IS attire nos artistes si nombreux. PAP.iS attire la jeui>6a â 10^ui Pense. comme colle qui produit ; r«Rls attire en un mot toutes nos popula"ons si avides de nouveautés industrielles, scientinques. ou artistiques, dont chacun l-reud sa part pour en faire bénéficier la "pains tout entière .r** compatriotes pendant ïeur villégiature A vï?rn caPitale se logent de; préférence, et r WPÙA i 'eurs rePas aux -a lehtours de la ESt et à vards Proi'inuté de S grands boule- 1 I «fc j |fi a al ■ 7y7 - Auch. — Un violent orage s'est abattu sur le canton de Mirande. Dans lc3 communes do Belloc, Saint-Clamens. Berdoues, t.lermont-Pouyguillès, Moncossin, SaintMédard et Saint-Blix-Tbeux, les vignes et le maïs ont été hachés par la grêle. Los cultivateurs sont consternés. ÉCLATE DANS UNE ÉGLISE. — il i m de Brun ®mm* pleins de , De la cathédrale, on revietst à la piac-3. de Toal, ! peu éloi- I à Saint-Tbomas (Monument du Maràohaî da a visiter. Saxe), par Pigalle. Passef ensuite 16 Dont qui traverse l'ill, tourner à droite vers les, i PfMit^-Ociivcrts descendre le beau cuai St* rsIpntK; * T^fenflrp a /raneîie ÎP l>o_t .oflM u r>i, fin Vipt,v-\rirrhé-ïiiiix-T^o^^oo^ HOTEL CE^T^RAL, continuer en ligne droit par la rue des GranSallcè de Sociiiti CIF_-Ï1_3TÂUÏUST Serrasse omhra^ce \ des-Arcades pour arriver à la Place Kléftair (statue de Kïéber). La plupart des tram-' BECKCR ♦ »JS_»_M ♦ , wavs "de la ville y aboutissent. Tout près de là ie Broglie, longue place où Dtjcuners et Dîners Fn'ture, McleUle et fiacvissci se trouvent le ThcAtro, 1 Hôtel «Se Ville, mû*, tel du Général-commandant, la réaidence du' Gouverneur cî'Alsaee-Lorraine, etc. Dans le vaste quartier neuf qui s'élève audelà du théâtre et du canal do l'ill, le Palait" de l'Empereur, la Blbliothètiuo de l'Univsr.8lté. le Palais de la Délégation, le Minisîèrs d'AIsasc-Lorraine, et sur la rive gauche d*. l'ill, l'Université et le Jardin botanique, La Ruprechtsauersilea conduit au •magniflREPAS A 3 FRA-STCS Une li.sjne de tramway, franchissant la < Meteger Tor, conduit aux - Ponts de KeM sur le Eiiin. A droite, le monument élevé Pension de fzmûlz « Les Miig«eh t • par Napoléon au général Dnsalx. ia» Jaanas-tS ~rc 148 bis. Vie ds ftlils, «aftrt Pris medérés Le visiteur verra encore avec intérêt l'église Saint-Gul!laun.s (i'îGO), l'église SaintEtienne (époque' romaine) et de "nombreuses_ . GI»X9£ T I T ADpilMF 5-7-9. rut Sl-Jenn î maisons historiques. aSsSSEKlE «A liV-kiliiiii-ï et.ncSl-Dizitr.32 MSWtiMRT * fKX FIXE ÎT » U CASTE: 6«ltin tt.'pM) — On y traite l'entérite, la neurasthénie, les rhumatismes, les phlébites et l'éréthisme veineux. A 404 !:ilomôtres de Paris. Buffet de îa Gare j Contrexéville [ MartigBy-les-Bains j E IWel-Restaurant « > j I BRASSERIES ««B0R108S Sff"" 100 * mmi imrmi-mimm'i-M'iii. © m -— fi»^> r ■ L^_ Metz EÛLA ËXFÛET t^Ts^ï • REND FORT M Eug. L'HUILLIER '""'J [ tatomobito et kviatHt a. ?f ! j j _._. | VAXELAIRE & WtS I propriétaire y îtisl | ! nni a Pf'SîIPT I f^iS^SiS^ ! 13.32 ! un Taii, s. ». p., pli MiHHILH 7, ras d Toal, 7 j ; ÀPâBtiF i ! B1VAL __^4a«_ '2«..î_î i j PAïRïS G. rii&OElSRtiND, ._'-._._-_ ALLO 1 * VBNB OB AJ-L.O ! 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BDLLETIHÏÏHANGIER =♦= UXEDIL doit son orieine aux Cel rp tes. Dix-huit sources d'un débit de JJ 600.000 litres (température 30° à •si 52°) formant deux groupes dis" VHVV " hncts. X?" Les alcalines, sédatives et décongestionnantes. Luxeuil est une statioa essentiellemnt fé- Til : I mm num wm mm rtttli I I U §jJ offrent au promeneur des paysages charme et de fraîcheur. Les villes de LunâviHe et, de Porti-à-Mcissson, gnées de Nancy, sont intéressantes •A 4 h. 14 de'Paris. • Gérardmer ' I WMl JtiË *** £.fcw^ î^rt^^ ■ : L© plus puissant des reconstituants A .r" * .m^f&i^ ll^WWT^'N, ■ (ancien PHOSPBO-CAOAO) Lo plus esquis des dâjonner* d'exaspération. Dans la mémo chambre se , trouvait une dame Heudiard, âgé do 24 ans, cpii tenait dans ses bras un bébé de j Eclassan (Ardèche), pendant la célébra- deux ans. Tous deux avaient également tion du service divin, la foudre a pénétré cessé de vivre. Paris, le 17 septembre 1913) -.ï dans l'intérieur de l'église, où elle a éclaté On ne s'explique pas aisément ce drame. Le marché a encore manifesté de la 'ouipaprès avoir serpenté autour de la sainte Mmé Heudiard passait pour être au mi^ax table et brisé une porte de sacristie. avec M. Pied fils, mais pourquoi la femme deur ; les différences de cours ne sont Un enfant de chœur a été légèrement de ce dernier se trouvait-elle parmi 'es peut-être pas bien sensibles, mais les ventes sont plus difficilement absorbées. blessé à la tête. L'assistance effrayée a j suicidés ? C'est là tout le mystère. Le 3 % est remarquablement ferme à quitté précipitamment l%glise. Vendredi soir, la dame Heudiard avait eu une discussion avec son mari, à la suite 89.72. Rentes Busses toujours bien tenues : 5 de laquelle elle avait déserté, avec *.cn ACCIDENT DE CHASSE. — Un grave accident jeune enfant, le domicile conjugal. Depuis % 1906, 103.50 ; Consolidé, 94.20 : 3 % 7891, do chasse est survenu au hameau de Re- ce moment, elle n'avait jamais reparu i hez 77.10. tournade (Gard). Le jeune Albarey, portant i son mari. Quant aux époux Pied, leur siLe Serbe esquisse un mouvement de reson fusil au bras, rentrait chez lui, quand I tuation était très bonne et ils avaient de- prise et termine à 83.85 ; le Turc perd un une jeune bergère, Marguerite Julien, 15 vant eux un bel avenir. peu de terrain à 90.02. ans, voulut visiter le fusil, qui partit ôn Extérieure ferme à 92.70. Ce qu'il y a de certain, c'est que la mort ne sait comment. La malheureuse fut at- fut consentie entre eux tous et qu'avant Banques et Etablissements de Crédit teinte en plein visage et tomba morte sur d'allumer le réchaud fatal, M. et Mme plutôt offerts : Banque de Paris, 1778 ; le coup. Le désespoir des parents de la Pied et Mme Heudiard firent un repas co- Crédit Lyonnais, 1725 ; Banque ottomane, jeune alla en présence du cadavre fut na- pieux. 650 ; Crédit foncier argentin, 789. vrant. Marguerite Julien est affreusement j Banques Busses alourdies. mutilée. Chemins Français répètent leurs cours . LA FIDÉLITÉ D'UN CHIEN. — Un trait de la fidélité proverbiale du chien nous arrive d'hier : Lyon, 1325 ; Nord, 1730. Chemins Espagnols fermes : Nord-Espa-. de Sttône-et-Loire. M. Céau, garde forestier DRAME MYSTÉRIEUX. — L'émotion est grangne, 472 : Saragosse, 453 .; Andalous, de à Saumur, à la suite de la découverte à Laives, près de Chalon-sur-Saône, mou- 327. • de trois grandes personnes et d'un bébé de rait dernièremejht. Il possédait un chien Valeurs de traction et d'électricité fié-deux ans asphyxiés à l'aide du charbon de auquel il tenait beaucoup et qui l'accom- chissent sensiblement : Métropolitain, 616 ; bois. Voici dans quelles circonstances on a pagnait dans ses tournées, ne le quittant Parisienne de distribution, 677. eu connaissance de ce drame, sur lequel jamais. Depuis la mort de son maître, la Valeurs cuprifères déprimées malgré la pauvre animal parcourait chaque jour les pèse, jusqu'ici un angoissant mystère. publication de statistiques favorables : endroits où il avait l'habitude de le suivre M. Pied, commis des postes à Saumur,, Rio, 2018 ; Boléo, 853 ; Tharsis, 200.50. et terminait sa triste promenade au cimerecevait hier matin une lettre signée de Valeurs industrielles Russes continuent son fils Raoul, âgé de 25 ans, également i tière, où il grattait la tombe. Depuis le à rétrograder,sauf les valeurs naphtifères : j-our de l'enterrement, le chien refusa toute commis des postes, qui lui apprenait son Briansk, 524 ; Sosnowive, 1574 ; Prowod-1 suicide et celui do sa femme, une jeune 1 nourriture. Et hier il mourut d'inanition et nik, 555 ; Naphte, 781. de chagrin. modiste âgée de 18 ans. Mines d'or et diamantifères s'alourdis- • En proie à une très grande appréhensent encore : Rand .Mines, 155 : East Rand, sion, ne comprenant tout d'abord rien à 58,35 ; de Beers, 52G. cette déconcertante nouvelle, il courut au Valeurs caoutchoutières accentuent leur domicile do ses enfants. Il frappa à la p.ir- ] PORT SAINT-GEORGES (débarquement) recul : Financière, 107.50 ; Malacca, 183. te. Ne recevant pas de réponse, M. Pied ! Arrivages continuels de vins do toutes provecomprit que la terrifiante nouvelle était ; nances, de 8, 9, 10 et 11 degrés, vendus moyenmalheureusement exacte et pria un des ! nant faible commission, avantages en prenant voisins de son fils à l'aider à pénétrer dans au débarquement Vente comptant, on prêt» les fûts. Dégustation #i 3 h. 1/2. M. CHAMBAY, le domicile de ce dernier. i rue des Jardiniers, 63, reçoit les commandes Chirurgien - Dentiste Soi!». — D»micn en tom ném, Les deUx hommes se procurèrent une ' et remet les échantillons. . . /ixi?(tcilon cbsolrmcnl mr.s daubât nn échelle, montèrent jusqu'au premier étage, 1 3S, Slrastourg; Cotmiutiu* a. 9 » 5 bas* ... Sisfr» MTIMMII et, après avoir brisé un carreau, pénétre- i rent dans l'appartement. Un silence lugubre régnait. | Prière à noe correspeudanta de n'écrire ttKf.^xt i CHAILLY, u&ranL M. Pied aperçut tout de suite, morts-, ; que d'un seul côté de la page, pour facîlison fils et sa bru. Mais sa douleur, déjà fetj^ppgiil Imp. de LEst Républicain; grande, devait trouver un nouveau sujet [ ter le travail typogrannlquo. LA FOUDItE =•0= ONTREXEV1LLE est à 350 mètres /f^i du niveau de la mer ; c'est donc BLJ véritablement dans la montagne que se , trouve la station. Elle est - 3gSS= néanmoins, grâce à son heureuse : Les places et monuments qui méritent nîw»' rjf position, à l'abri des grands vents ; particulièrement l'attention du visiteur sont. : ] elle est située entre deux collines promenade de l'Esplanade, à l'entrée de ; s'ouvrant largement au nord, ce qui prendre la s'élève la statue du ftîarécïiai fSsy et en été une fraicluïur idéale. Seuls querftes laquelle l'on jouit sur la vallée de la Moselle i '■ '■ ■ AUX naturelles, froides, sulfatées hôtels, dont les habitués sont en même temps d'où d'une vue incomparable, le Jardin Bcufflsrs l cakiques, Bicarbonatées mixtes, que des buveurs des amateurs de cure d'air et le Palais de Justice, la très remarquable litfîiMcee, ferrugineuses, silicatées. sont sur la hauteur. I " Trois sources, sises à ds très proCathédrale fiaini-Etrsrm» (1Ù»-1G<i siècle), les ilsi m etaDhssements préfériîs sont ceux où Tous boivent l'eau de Contrexéville. les églises Saint-Martin, Saint-Virtoent, Moire-Da' , r'yjy • ches distances, dans un parc clos u «trouvent la firme ou les produits de goutteux pour rendre leur acide urique ; c e de 20 hectares, dénommés : Source me et Sainte-Oésoline, la Place d'Armes avec ; aussi soucie» i e* eu friands des plaisirs que les phosthaturiques, pou3*expuïser leurs phe-s- une statue du Générai Faberi, le Musée, la LithiAée, Seurc* des Dames, OUP i» • l rs travaux, c'est avec joie, phates et acidifier leur urines ; les glycosu- _ih1i.th*«.ue et la Porto dss Allema ids. : Sourcts Savonneitae. Les deux premières sont (îîvJr jnir' ils s'éparpillent aux spectacles si riques, pour abaisser leur toux glycémique 1 Un Français ne saurait quitter Metz «ans • prises en boissons ; laSettree .avanneuss est uwers de PARIS, * et relever celui de l'acide urique ; les liéna- visiter au Cimetière de l'iic Chambiére le l-'exclUsivement réservée aux usages externes, tiqOes pour expulser leur sable, leurs gra- monument funèbre élevé en 1871 aux soldats i ! La. Source Uthinéa, source type, est la plus wn n« i!« 9ettc saison estivale on les retrou°sera, à la Gaité brique, à l'Apollo, viers ; tous pour se refaire une nutrition : français. a employée. Elle renferme, d'après l'analyse physiologique, tous pour reconquérir la santé. à i» B ô8' chez Antoine, au Vaudeville, Les excursions dans les. riants environs [ la plus récente : <rr. 03097 de bicarbonate de Sa Renai 'nt-Martin, à l'Ambigu, à la Saison du 20 mai au 20 septetnbre. de Metz sont des pèlerinages historiques, litbine par litre et Ô gt. 0501 de silicates, taux à ciiinu ■C0' au ûym""»se, au Palais Royal, champs de bataille de Gravelelto, de Saint- le, plus élevé des eaux similaires. donnovr U et les oraeiteurs de Music-Hall se La température à l'émergence est de + Privât, etc. (une journée avec une voiture). Bere(.'r« 1T'.rendez-vous à la Scaia, aux Folies10°25. L'eau est donc éminemment transporOiiam '- , Cisale. au Mniuiin-Kouge. table et insensible aux variations de l'atmosTû«r-Eiîfel .et la Grande-noue. Lttna.Oa.t I p-hère. Sa saveur est douce, son odeur nulle, et i—r<>—| ITUÊE à une altitude moyenne chez Magic-City, les familles y sont ! elle est claire, limpide, transparente et de *wj de 800 mètres et au milieu de to P faP<iC j0ie réaction neutre. forêts de sapins, Gérardmer n'est ^^^e pa rentef ^ RECOMMANDÉS :; s Saison du 25 mal au 25 septembre. u_/ pas seulement une ville de tou5 - ~~~r - riame et de .sports d'été, c'est ausMS&M si une station médical» dont les ^SIË! ds Sîraslmitra < T. ™de indications demandent à être pré■ " St rasbeura (lace aare de l'Est COHFORY MO C . ri cisées. E • Gérardmer cure d'air » résume d'un mot "!'t"-h — Ma, jprtc/ii Deutsch A â LORS » la thérapeutique de cette station estivale. tVf 99m at t9 «*• Strasbourg Quels sont donc les malades qu'on devra y place d'Armes. (Voir tons les jours, vis-à-vis, le reieve - ANCY. chef-lieu du département rte t^SZS^^^ OtiTiirtsre 15 Dctcbra envoyer 1 Les anémiques et pariai ceux-ci de la garde en mtvàtft», à ' 2 heure» et àarnie.) ;ev<» Meurthe-et-Moselle ; 20e corps surtout les enfants, les convalescants. les déi ïhv d'armée ; Evéché ; Cour d'appel ; biles. Les surmenés physiquement et intel_.^_ Université ; Ecole nationale foreslectuellement ne pourront que gagner à venir llCtel fl ffiiSSCe n_~J_ __«, _ Garçon à toi» le. Iruiu. I - "-.laT- tière ; Conservatoire de musique ; respirer un mois ou deux 1 air pur et ozonisé QUUOi TERBASSE Pa»wi!iT»i.. . J.. jr.*-? j NrJ" Ecole fie Nancy (Alliance, provindes montagnes gérômoifies. ciale des Industries d'art), Le tuberculeux seul doit considérer le séj population : 110.570 habitants, jour des Hautes-Vosges comme son ennemi : i Nancy est aujourd'hui une des plus grandes a aucune période de l'évolution de son mal. villes de France. Par la grâce de ses monuil n'y trouvera d'amélioration notable et il ments elle mérite de passer pour une des ACiL,TÉS s'en retournera plus affaibli. t | plus jolies villes de l'Europe, et elle ne- fait CAT ! DE PAIEMENT Gérardmer enfin, grâce à son eau très mire A r pas mentir son surnom Mancy-!a-Belîe. G UE Tjll!9t*l° . SUE DEMANDE et contenant, à peu de chose près, les mêmes \ Nancy se partage en trois cités différentes. principes que les eaux du bassin alcalin vos^^^4»!^ ie, suerm^in, PARIS ' Àu nord s'étend la Ville-Vleills, du Moyengien, sera le rendez-vous de tous les arthrihnl ^ef\wMew Are. La Ville-Neuve fut élew.e d'un bloc par tiques. le duc Charles III. Sur l'emplacement des A 124 kilomètres de Nancy. Trajet de Paris fortifications qui séparaient ces deux villes, Sfanislas intercala dans les années 1750 et I en sept heures. «.vm ^tA^m-w Saison ^1».^ w M septembre!; 1760 une troisième cité. Une ville nouvelle, très s'est élevée a côté des trois Aititixt 'e ; 405 mèires P«ï5â Si-BÎSîï^O 3, me Marelle. Lo rendez-vou» cités étendue, historiques. WH« WaillllW de, Vieux-Messins. Donc inuHOTEL DE PARIS E e& Près du parc Sainte-Marie s'élèvent les. imT»^~ „^ rix de Bains-ïes-Bains furent tiîe de dire qu'on parie français. menses bâtiments de Nancy-Thermal, autour eonnues et utilisées dès les temps en fece de la Poste, prh Je la Gare et du Vramulay Je la Schhchl c S' de l'a source lithiriée dont les eaux acquièrent Installation modems, jardin, élactrieiti, chauffags I** h,,-,»9 eupation romaine. Au dixi une renommée bientôt universelle. ^Vei-- tt!?'Ut:me siècle, les célèbres Ra. central, salie de bains, garage, Prix madérés. VX " m; ,n Lifc,i.é, Rlorand, Kast, preNancy doit sou grand renom, non seuleBière de Maxèeille — c.&MUS, propriétaire ment li la beauté de ses monuments, à son i,,.' Médecin de Stanislas, duc de | université, à son école d'art, mais encore à Tion rt^T01 raine avaient fait de Bains une lr | son industrie dont les produits sont appréciés Jfcins nn«SJ,us dcu 6qt'-entées. ^Vette • i»'n," x établissements et une TMnPi_f_c Pour tout change, àdressez-vdu~ à | Les industries artistiques, cristallerie, verT»ade Vt i» o Romain, le Bain do la ProIUUI iOtwO la U AN OUK »)'8C l'Ait*. MO KTV ! rerie, meubles modernes, tissus d'art, brodeOUrce =:*=ETZ. A 58 kiloen. de Nancy. Po- j fcT«ninloi7io Saint-Colomban. !>K PKÊTH, me d'Alsace, 8. — Dépôts de' . ries, y sont particulièrement florissantes. Les lr pulation : 58.500 habitants. Syn- j fonds aUemp ,, ,s eaux *a Bains-les'Bains daDs remboursables : à volonté, 3 1/20/0 d'in- } créations des Dallé, des Prouvé des Daum, dicat d'iniiiativi) de Metz. BUT l d!s, affectlo l „la goutte, du rhumatisme, térêts ; à 6 mois, 4 0/0 ; à 1 an, 4,1/2 0/0. Clos Majorelle, des Valin, des l-Tidriçh, des a ritltîUes de renseignements, place Emv« e,1elrcuiatir? ' dans les maladies . . j Grùber, des Morot ont provoqué une véritable ' pereur-Guiliaume (devant l'Espla(? ses liS'. artério-sclérose et affections A est un P'"ebite). >^ nade). BUREAU I>B TABAC | Ve "puissantes maisons exploitent les grancie viné iature Metz est dot* d'une gare eo^tP1eQdiâ?PaKys^ 8 agréable avec 8 fb gra i des industries de la métallurgie, de la brassaIorfA. 18 jT^es « Ax cllrsi et de nombreuses pro- lossale, au sortir de laquelle on rencontre le I rie, de l'imprimerie, de la^ tannerie, de la ordre ® . ons. luxueux boulevard qui a rwmplacé les magni• cuisirie renommée, arrangement fiques fortifications, orgueiï de la cité messit ? Pour séjour ne. Le boulevard conduit a gauche t la Port » at.inn se distingue par la production te Frédérich, à l'eiyrée d'ane rtie large qui I 1, inc de l'Esplanade. 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Verkehr.-bubureau (privé), 13, rue Kù;-s. : Tramways : Place de la Gare, tramway circulaire, tramway pour l'Orangerie et les Ponts de Kehi. . j C'est a sa merveilleuse cathédrale et au pit- i | i j De la gare monumentale, par la rue KUss, j on ^arrive en quelques minutes au canal dé I j j j Un peu à droite, au-delà dJ canal, on pénèI tre au cœur des vieux quartiers par la Grande-Rue (Langé StrasSej et on aboutit a la ! place sur laquelle se trouve la status de , «.usliiiK— « " David ^d'An;;»r^ De là par I 1 gr. 20), elle est lôsèrement alcalins et renferme des sulfates et des bicarbonates da chaux,, de magnésie et, de soude, ainsi qu'un peu de lithino ; le rOle ttierapeutique de ca La Source fîalée, avec les mômes caractères généraux et ne présentant abs-lument aucun goût, est plus mmeiaiisce gr. DJJ et si.irtout plus magnésienne ; elle est cnolsgogsfsi et laxative. r Saison du 2. > mai au 23 septembre. 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Croyez-vous que je vais empoisonner — Maintenant, sortez, dit Mme Lor- mes premiers jours de mariage avec ces meil, vous allez réveiller Antoinette. » soucis matériels ? Je veux beaucoup avoir Le couple se dirigea vers la* porte et Mi- d'avance pour moi. J'aurai trop à m'occuper de vous, je veux le faire sérieusecheline le regarda avec attendrissement. En voyant Maurice si léger, si enfant, si ment. Plaignez-vous encore, monsieur MilROMAN INÉDIT ■ faible, elle se demanda : , lineau... — Je vous comprends Suze ; vous aurez « Comment ai-je pu l'aimer d'amour ? » Elle s'assit, prit sa, broderie ; un air de encore ce mois. D'ailleurs, j'aurai, à fournir des pièces ; ce sera long, hélas ! grande sérénité se répandit sur ses traits. — Nous n'avons pas joui de notre temps Elle pensa ; « Aurait-il mieux valu que cet amour de fiançailles ; nous sortirons ensemble. — Nous irons nous promener tous deux n'ait jamais existé entre Maurice et moi?» Mais la voix intérieure, la voix de la vie dans les mes, à la campagne. — Le mois sera long. profonde répondit : — Non, vous verrez, il sera court. » « Il ne faut rien regretter ! » Micheline aussi, regardait dans le miSuze prenait des poses coquettes à son Maurice et Suze étaient rentrés au café. roir ; son sourire s'accentua ; ses beaux insu. Elle était simple de cœur, sans maIls s'installèrent dans'une table au fond, yeux larges s'ouvrirent encore plus et se lice, sans mauvaise pensée. Elle était un et se mirent à parler de leur avenir. firent radieux. Alors les deux jeunes gens petit animal, tout d'instinct, elle atti.» « Ma chère petit© amie, disait Maurice, la virent s'avancer. Elle éleva les mains, rait. en posa une sur l'épaule de Maurice, l'au- je vais de ce pas à la mairie. On me renMaurice subissait son étra»ge influence. formalités à , remplir. tre sur celle de Suze ; les jeunes gens se seignera sur les Il tremblait à. toucher seulement son petit retournèrent vers elle, avec une mine un I Pourquoi attendre ? doigt. Tout son sang bouillonnait à la sen— Déjà si tôt, murmura Suze. Oui c'est peu confusè. Mme Lormeil dit tout bas, si bas qu'on vrai, pourquoi attendre. Mais je voudrais tir si près de lui. Ils regardaient vaguement dehors quand pourtant bien avoir un mois. Pensiez donc entendait à peine : « Pourquoi ne pas m'avoir fait part de | c'est à peine- si nous semmes fiancés d'au- ils virent arriver Mme Vertin et ses deux filles. cela plus tôt ; que craigniez-vous de moi ? jourd'hui... J'ai un trousseau à achever, Luciea, confus de l'beaneur qu'on lui faimes affaires de jeune fille à arranger,\enEst-ce que ce n'est pas la réalisation de j sait, ne savait que faire pour bien recemon plus cher désir- Allez, Maurice, le fin mai-môme à préparer. - _\t;«s après 1* in'i^s* i] y a le temps plus tôt sera le mieux. Ce_menuez dès de coudre. Et puis on achète 'tout fait. aujourd'hui les démarches pour votre madans ce magasin étroit et sans air. Lise riage. Je vous donne ma Suze comme elle I ae tenait comme une demoiselle bien éle■lent de se donner à vous »; je sais que iviâînsn Micheline Hésitations j j — Oh ! alors !... Dites encore, vée et ne laissait rien voir denses impres— C'est partout la même chose, murmusions ; mais Madeleine eut bientôt couru ra Antoinette. » Dalmoise ? — Quoi ma chérie ? pei1™ dans tous les coins, furetant comme un Un cri partit du berceau. Les jumelles vûS — Où avez-vous été chercnei petit chat curieux. ElleTie venait guère à se réveillaient. Nancy et ce voyage était un événement. « Et la nourrice qui n'est pas là, dit filles ? — Tu n'as pas vu un beau r Tandis que sa maman causait avec LuMme Lormeil. Je vais les bercer un peu, 1 cien, Maurice et Suze, la petite fille conelles se calmëront. rue de Metz ? ,. j0 usa'*' tinuait son voyage de découvertes. Quand — Si. celui qui gfimpe c?Dl.r' . \KÏ"1 — Non dit Madeleine, c'est moi. » — C'est cela. Je regardais t°" ul,ef elle eut fait le tour de l'ôpicerie-mercerie, La petite fille courut au berceau. Elle ne pour voir si je n'apercevrai» 1 - ^ elle revint au petit café, monta les mars'imaginait pas que les petites filles ne ches du comptoir. Sur le haut il y avait des pouvaient la comprendre. Elle leur partite fille. . „ s - g •— Il v en a dans toutes les. rosC pouf' litres contenant diverses liqueurs apériti- lait : — Non, et il faut de bons î • ' vcrfî* ves ou digestives. En regardant du côté « Ne criez pas... votre nourrice va redistinguer. Tes petite yeux J ^ de la perte, on voyait le soleil à travers les venir, je vous le dis, vous pouvez bien me litres. C'était joli : bleu; vert, rouge, jaurien. , ..;>e £ille croire... Vous vous taisez, c'est très bien — Alors vous avez vu la P ^issWj ne, orangé, brun, grenat... en regardant en cela... Ne recommencez pas... C'est toi qui — Oui. J'ai demande la I ns p biais les couleurs se mêlaient pour faire «es encore la moins gentille... Si vous n© sa cueillir la rose. Et voila q j regaîy des teintes nouvelles. Les clignements pleurez pas, vous grandirez vite et vous attention, j'en cueille oe»x._ y> d'yeux produisaient des effets inattendus. viendrez jouer avec moi. Je n'ai pas de plus attentivement., je vois 4 I Madeleine se trouvait dans la cité des petite compagne, c'est triste, n'est-ce pas ? une petite fille dans chaque w ^ w ■ rêves. Vous voudrez bien venir jouer av;c moi ? — Comme c'est drôle... 'j1»'daJjS laMalheureusement la voix de la maman Vous ne répondez pas... c'est Vrai, vous ne ■ rompit le charme : ' savez pas encore causer. C'est une chose toutes petites les petites rJic ( « Viens donc, mon petit, nous allons voir qu'il faudra vous dépêcher d'apprendre... — Oui. *out de vi* I — Elles ont bien granoi ■ les jumelles. » vi£,„neD Je vous raconterai la prochaine fois des — Sorties de la rose, e... ^ ^ I Antoinette était réveillée, et, assise »ur belles histoires, vous les aimez bien, les le lit, elle tendait les mains à Mme',Dal•„ suis â I histoires ? Et jouis, quand vous viendrez I fortes. — Maman, est-ce que j«, moise. jouer, vous verrez ma belle poupée, mon j dans une rose- ? « Vous êters bien bonne, madame, d'être I ballon rouge. Vous verrez les belles fleurs — Mais oui. venue. Quelle belle, demoiselle vous avez, du jardin. Dodo, dodo. » — Et Lise ? e'est Mlle Lise, je ne la connaissais pas. ] Madeleine s'aperçut .qu'on l'écoutait elle Et ce ijetit furet, c'est Madeleine. se retourna : : — Prenez place, dit Mme Lormeil en » Dites, monsieur Dalmoise, quand nour._ Dans'un groî chott, ur^ # avançant des chaises ; la pièce est petite. ront-elles venir jouer avec moi, les pêtitea îie ia Suze et Maurice sont restés au magasin, -filles ? — C'est tant de, même »*^éê ff" cela les amuse de servir les clients. — Pas encore maintenant, dans trois ou ce jour-la. , — Jt cela me repose aussi, dit Lucien. quatre ans_ Ah ! certa-Afti- '• \;. Ah ! on travaille, allez, ici ; il le faut bien, — C'est leagtentps ? !ir 1 su avant j-, •• '- ' - ' ' «i on veut arriver à joindre les deux — Oui. bouts. — Plus longtemps que depuis l'hiver 7 I — Le quartier n'est guère bon ; il y a — Il faut passer encore quatre fois l'été 1 I : et l'hiver. troo de commerçants. / j i I
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