m - Kiosque Lorrain

CINQ
Jeudi 22 Mai 1902
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eÉCÂCTIQN et ADGIIHISTRATiQN, SI, RUE SAIMTDIZIE
Rédacteur
DERNIÈRE *wa
Tsaeagji^sag
HEURE
Son approvisionnement en vivres est assuré.
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MM
Les grandes cultures sont toujours en bon
état, depuis le Lorrain jusqu'au Marin. Les
habitants de Morne-Rouge ont été complèParis, 22 mai, 4 h. 50 matin. tement évacués sur Foft-de-France, à la
suite d'une grêle de pierres et de matières
sulfureuses.
Ceux du Carbet ont été aussi amenés au
{suite)
chef-lieu, avec l'aide de l'aviso Jouûroy.
Après la revue de Krasnoë-gclo Il en est de même du détachement d'infanterie de marine qui se trouvait au Garbet et
Tsarkoë-Selo. — Le tsar, le président de qui n'a éprouve aucune perte.
la République française, les deux impéraLes vapeurs Salvador, Horthim et
trices sont repartis de Krasnoë à trois heu- Helga ont transporté environ un millier de
res et demia. Le train impérial s'est arrêté personnes à la Guadeloupe et à Sainteun moment à Gatschina, résidence de l'ini- Lucie.
pératrice:mère, où celle-ci est descendue.
3,000 personnes environ ont quitté JFortLe train est arrivé à Tsarkoë à 4 h. Ii2. de-France pour se rendre dans les commuL'empereur et la tsarine ont accompagné I nés de l'extrëme-sud de l'île.
M. Loubel jusqu'au palais où le président a
M. Lhuère, le gouverneur intérimaire,
ses appartements.
termine en. disant que la dernière nuit a été
Le comte Lamsdorf, minisire des affaires calme, et que la population demeurée â
étrangères de Russie, a été reçu ensuite Fort-de-France a repris un peu de tranquilpnr M. Loubet. Il s'est entretenu longue- lité.
ment avec le président. M. Delcassé, mi— Le ministère de la marine a reçu, d'aunistre des affaires étrangères de France, tre part, le télégramme suivant au comassistait à cet entretien..
mandant du Suchet :
Les cadeaux
Fort-de-France, 21 mai. — Ce matin,
Le tsar a offert à la suite du président de une éruption violente de la Montagne-Pelée
ïiebes cadeaux, consistant surtout en pièces a lancé des pierres et causé une forte pa.
d'orfèvrerie, ornées de pierres précieuses. nique à For tde-France.
J'ai visité la côte avec le gouverneur, jus11 a envoyé à M. Delcassé un riche coffret
en argent, serti de perles, rubis, topazes, qu'à la Grande-Anse. Il n'y a pas eu de victimes do ce côté et les dégâts ne sont pas
éméraudes, etc.
Le colonel Lamy, de la maison militaire importants.
Le Jouffroy ramène du Carbet et des vildu président, a remis d'autre part, dans
l'après-midi, les objets offerts par M. Lou- lages voisins environ deux cent quarante
personnes.
bel au personnel de la cour impériale.
De nombreux habitants quittent l'île,
Ces objets consistent surtout en objets de
Sèvres, eu pièces de verrerie artistique, quoique Fort-de-France ne soit pas menasortant de la maison E. Gallê, de Nancy, en cée.
Fort-de-France, 21 mai. — Pendant l'éorfèvrerie et en tableaux.
Les enfants des souverains russes ont ruption d'hier, de nombreuses personnes
reçu les jouets les plus ingénieux de l'in- tentèrent de se réfugier à bord des navires.
Plusieurs barques chaviréi'ent, mais perdustrie parisienne.
sonne ne fut noyé.
Les banquets
Fort-Castries. — Un raz de marée est
A l'issue dé la revue de Krasnoc-Sélo; le venu augmenter la panique à Fort-deministre de la cour a offert un dîner aux France.
journalistes français. Le doyen d'âge, M.
Une partie de la population s'est enfuie
Lapauze, a exprimé les remerciements de sur les collines. 300 personnes sont arrivées
la presse pour l'accueil reçu.
hier ici.
— Le soir,un dîner intime a été offert pai ' . NeivYork, 21 mai. — Le capitaine du vales souverains russes auprésident, au palais i peur Talisman dit que la Roche-de-Dia<
Alexanr'rowilch.
mant, située à deux milles au sud-ouest d€
Le prince héritier et la grande-duchesse ; la Martinique, a lancé delà fumée et du
(Serge; les secrétaires généraux de la prési- feu — Havas.
dence, les maisons civile et militaire de M.
MORT D'UN SEWATEUF
Loubet.y assistaient.
Tours. — M. Nioche, sénateur républi
A l'issue du repas, l'impératrice, la gran
de-duchesse Serge, le prince héritier se sonl Icain d'Indre-et-Loire, est mort hier, après
entretenus avec le président, et M. Loubci ■ jmidi. Il était âgé de 82 ans. — Havas.
est rentré, à 10 h,, au palais de Tsarkoë
Selo.
. ,
Il partira ce matin, à 8 h. Ii2, par traii il3—spécial, pour Saiut-rôtersbourg, où il pas
NANCY, mercredi 21 mai 1902.
sera la journée.
M, LOUBET EN RUSSIE
A
en
chef:
LA
LEON
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Troisième Edition
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nouvelle éruption du
Mont-Pelé.
Un télégramme du gouverneur intérimaire delà Martinique à M. Decrais, ministre des colonies, confirme la nouvelle
éruption de la Montagne-Pelée et la panievue
de Fort-de-France.
Cette dépêche ajoute qu'une trombe de
feu s'est abattue sur le Carbet, mais que le
détachement de soldats qui y stationnait
est indemne.
New:Yorlt. — On télégraphie de SaintThomas, S0 mai, les détails suivants sur
l'éruption d'hier r
« Un réfugié, arrivé cet après-midi à la
Dominique, dit que l'éruption de la Montagne Pelée a continué pendant toute la journée et toqte la nuit d'hier. La quantité de
lave projetée a été plus considérable que
lors de l'éruption du 8 mai.
« Les ponts* qui avaient résisté au premier désastre ont été emportés, et leurs débris flottaient sur le torrent de lave, qui a
envahi la Grande Rivière et littéralement
fauché les constructions qu'il a rencontrées.
Les dégâts sont estimés à 250,000 dollars.
Les autorités avaient promis de faire évacuer le district de la Grande-Rivière, mais
les secours promis ne sont pas arrivés, et
tous les moyens de transport locaux sont
à présent détruits.
Le réfugié qui a fait.ee récit essaie d'obtenir les moyens de secourir les femmes et
les enfants de la région éprouvée »
Jusqu'à présent, on ne croyait pas qu'il y
ait eu émission de lave. Cette dépêche nous
apprend que son épanchement s'est produit
CARTE DE Ù
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SALLE D'EXPOSITION, DE PUBLICITÉ ET DE DÉPÊCHES
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GOULETTE
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au point CentraI de la Vill0ï
lènrs il est signalé à mesure qu'il s'avance
par les clameuïs lointaines des soldats, qui
répondent, suivant l'usage, par des hourrahs, au salut de l'empereur.
Après la revue
dans une direction opposée à celles qui on*
Après la revue, les impératrices et le préravagé les précédentes manifestations du' sident assistent au défilé des troupes du
volcan.
' haut d'une tribune au pied de laquelle se
La Grande-Rivière coule en effet, suivant tient à cheval l'empereur entouré des grand sune direction nord-sud, des pentes septenducs.
trionales de la Montagne-Pelée.
Le déjeuner. — Les toasts
Les souscriptions
Le défilé terminé, le cortège, reformé
La souscription nationale ouverte au mi- dans le même ordre qu'à l'arrivée au camp,
nistère des colonies en faveur des victimes gagne une villa où un déjeuner est offert
dè la Martinique s'élève aujourd'hui à près
par l'empereur et auquel sont invités, outre
d'un million, exactement à 978,036 fr. 95.
la suite du président et des souverains, les
Parmi les souscriptions citons : le gouverofficiers généraux ayant participé à la renement du Canada, 129,250 fr.: l'Institut vue.
colonial de Bordeaux, 10,000 ; la compagnie
Au dessert, l'empereur porte le toast suiel'assurances l'Urbaine, 3,000; la Compagnie vant :
algérienne, 1,000; la chambre de commerce
« Monsieur le président,
de Calais, 1,000; le lycée Louis-le-Grand, ! Mes troupes, dont vous venez de voirie
4,200: le duc d'Orléans (le prétendant),
défilé, sont heureuses d'avoir pu rendre les
10.000.
Les associations de secours, notamment honneurs au chef hautement estimé de
*
l'Œuvre coloniale des femmes françaises, l'Etat ami et allié.
s'emnloient à organiser la répartition!
j Les vives sympathies emi animent l'armée
îtr- M. Millerand, ministre du commerce, russe à l'égard de la belle armée française
ai reçu de la cliambre de commerce de Bue» vous sont connues. Elles constituent une
i(os-Ayres deux chèques d'un montant total réelle fraternité d'armes .que nous pouvons
dfe 40,000 fr. à valoir sur le montant de la
souscription ouverte par cette compagnie constater avec d'autant plus de satisfaction
; que cette force imposante n'est point desaiu profit des victimes de la Martinique.
Le ministre a adressé ses remerciements tinée à appuyer des visées agressives, mais,
âJa chambre de commerce de Buenos-Ay- bien au contraire, à affermir le maintienn > et a fait tenir au ministre des colonies de la paix générale et à sauvegarder le res
ïfes fonds qui lui étaient parvenus.
' pect des principes élevés qui assurent le
* Paris. — On continue à célébrer, dans bien-être et favorisent ie progrès des nadiverses villes de France, des services fui lions. ■
,-'
'
res à la mémoire des morts de la Màrlij Je lève mon verre à la prospérité et à la
' njtque.': .
gloire de la belle armée française. »
MARTINIQUE
La
—
j pereur
M. Loubet répond ainsi
:
/"<
■
i J
CIironique_de l'Est
LE TEMPS PROBABLE
(26 raai-ler juin)
J réchauffement du temps commencé
Le
dan l'après-midi du 25 mai se continue et
dans
ren
rend
probables quelques pluies le 26 ; puis
après s'être rafraîchi le lendemain,le temps
?£*
se réchauffe rapidement, ce qui amène le 29
des vents et pluies suivis de temps plus
jra
frais et souvent couvert ou pluvieux ; enfin
un dernier réchauffement, commencé le 31
ma
mai,
produit encore quelques pluies le
jj£
r-' juin.
: Albert BERTHOT.
^
Aubigny
(Cher), le 20 mai 1902.
(Reproduction interdite.) '
LE
TEinPS QU'IL
FAIT
jLe temps est loin d'être guéri. La pluie a
rec
recommencé,
en effet, mercredi, mêlée parfoi
fois de grésil, notamment vers 1 heure lf2.
Le ciel reste chargé de-nuages et les êclairCH% sont presque immédiatement accompatâes
gnées d'averses. 13* k midi.
*23 mai. — Lever, 4 h. 12 ; coucher,
7' £h. 42. Dernier quartier le 30.
Dépêche météorologique
fl771 Brest, 759 Nice. Hausse barométrique
générale, forte pression Ouest Europe.
gé
1Probable : vent des régions Nord, faible
ou modéré, nuageux, quelques averses,
temps moins froid. Nord fort puy de Dôme,
N(
Nord très faible pic du Midi.
.
las grands travaox à Hase;
au toast de l'em- **
ï. Un emprunt «le 1.200,000 fr.
Éi
« Sire,
Si l'on recourait au rei'cz'emtum?
Je remercie Votre Majesté de m'avoir
Là commission nommée par lé conseil
le 15 décembre 1900, pour étudier
procuré le plaisir très vif d'admirer les municipal,
nu
belles troupes, dont la flère contenance, la les
&i grands travaux à effectuer, en a confié
le'rapport à M. Millery; ce rapport vient
démarche martiale, les mouvements précis, V.
imprimé. M. N. Millery y expose les
attestent que l'armée russe, par d'incessants d'être
^
projets que la commission a adoptés.
progrès, soutient vaillamment sa haute re- y « Ces projets — dit le sympathique M. Milnommée.
je;
lery — forment deux catégories bien disDe même que des sympathies communes tïi
tinctes.
el^es intérêts supérieurs-ont uni les deux
« Ceux de la première catégorie, considérés comme absolument urgents, peuvent
peuples, de même la noble fraternité des ar- dé
mes et une estime réciproque lient étroite-. être
êjt effectués uniquement au moyen de nos
re
revenus habituels qui, d'après les rapports
mant les deux armées.
de notre honorable collègue, M. Marcot,
Celle force imposante n'est une menace; ^
nous laissent annuellement un excédent de
pour personne; mais il est permis à la- |
Q
400,000
à 500,000 fr. L'exécution de ces proRussie et à la Frauce d'y voir, en même! jets
je
est donc indépendante de la question
temps qu'une garantie pour l'exercice de: d'un
d'
emprunt. D'ailleurs, une partie des
sommes nécessaires étant déjà volées, nous
leurs droits, un abri sous lequel elles, peu-. se
n
plus em'à les compléter.
veut en toute tranquillité poursuivre le la-. n'âvons
'
« Ceux de la deuxième catégorie, quoi*
Hj
beur fécond qui, les rendant plus prospères,
; qu'ayant également un caractère d'urgence
Les marins français
augmentera leur puissance et leur légitime gj
' bien établi, comportent par leur nombre et
à Saiut-Pét.ersbourg J
ii'ii'jence.
]e
leur
étendue, un chiffre de dépense tel, que
Saint-Pétersbourg. — La municipalité i
DEVANT L'OPIXIOX
Au nom de l'armée française, qui n'a pas'< p(
pour la balancer avec nos recettes seuleoffert hier des fêles aux matelots français
oublié l'honneur que lui a fait Votre Ma-- m
ment, il nous faudrait attendre de longues
(Suite)
dans la Maison du peuple de l'empereur Ni- ; I
jeslé
en assistant à ses manœuvres, je bois; ai
années, ou, autrement dit, les abandonner.
colas II.
Cela ire répondrait ni à l'opportunité, ni
à la prospérité et à la gloire de la brave ar-. Ci
300 matelots-français, bruyamment acola
On s'est étouné dans le public' — et nom
a
aux
niée russe ! »
J désirs de nos concitoyens. De là vient
mês par une foule énorme, sont arrivés
j* .
In
? ! nous sommes fait i'écho de cet êtonnemen
la nécessité de recourir à une forme partivers 3 heures, bras dessus, bras dessous
culière de ressources extraordinaires, si
Petits échos des fêtes
— que- la Rente viagère, qui vient de
avec les matelots russes. •
i'on veut actuellement les mettre à l'étude.
1
Tous ensemble, ils ont gravi les perron: > {s'écrouler lamentablement, ait pu auss
Krasnoë. — Une dépulalion de paysans5 ,(
...
- '
de la Maison du peuple, comme s'ils mon • J longtemps subsister, continuer ses lou
de Kr.isnoë-Selo,' coneluite par le bourgmesProjets de la première catégorie
taient à l'assaut.
tre, a été présentée à M. Loubet, qu'elle a1
ijehes opérations, et engloutir les millions d<
« Ces projets sont au nombre de trois :
féiicité d'être venu passer la revue des trouDevant un portrait en pied du tsar,ils on
pes du camp établi sur son territoire.
,c I» Captation des eaux souterraines de
poussé, tous ensemble, de formidable: 5 tant de victimes ! Et on a dit : mais qu'i
la forêt de Haye, réservoirs de retenue,
hourrahs, les musiques ont joué alternat! • donc fait le gouvernement, l'Etat ?Pourquo
Saint-Pétersbourg. — Les israêlites de n
l canalisation et distribution publique. —Saint-Pétersbourg offriront à M.Loubetune j,
vementla Marseillaise et l'hymne russe > j n'a-t-il pas surveillé, contrôlé ?
en langage hébraïque antique, riche-- Jusem'ici 818,375 fr. y ont été absorbés.
que les soldats accompagnaient à plein 5
Le neau s etena et accélère la ruine de tion de ses habitants, si bien qu'au momentt bible
Nous aurons encore à porter au budget
D'après notre loi, il no ie pouvait pas
ment reliée.
voix.
supplémentaire de 1902 une somme de 2C0
notre malheurause colonie.
le mon retour eu France, j'eus toutes less
— Les prochaines couches de l'impératriOn les introduit ensuite dans la grand e Aux termes des art. .1938 et suivants dv t
< sont attendues dans le courant du mois mille francs.
II est à redouter que cette ruine ne soit peines du mondé à m'en procurer quelquess ce
salle des spectacles et l'on joue la Viepow. f code civil, le contrat de rente viagèr 2
s
Les prévisions de dépenses, à répartir sur
Kilogrammes.
Les
personnes
qui
prétendent
(
I
d'août.
le Tsar. Les principales scènes sont expli " [peut être fait par n'importe qui, sans aucu: pas passagère.
les années suivantes,sont, de 600,000fr.pour
en
Europe
ne
boire
que
du
café
de
la
Marquées en français, au milieu des ipplaueifi
Dans la Revue Bleue, un commissaire de tiniciue n'en ont jamais bu une goutte. Lee 'La
arriver au terme de cette entreprise.
presse outrîcMenne
>
'"j contrôle.
sements et des rappels frénétiques.
2* Agrandissement des cimetières. —
et les fêtes franeo-ruesses*
Et on arrive par notre loi à cette anomf la marine, M. Francis Mury, en expose les café qu'on leur vend sous ce nom vient enn
Les matelots des deux nations assislen t
100,000 fr. pour le cimetière du Sud. Une
réalité de la Guadeloupe et surtout de l'Amé'■Vienne. — Parlant du voyage de M. Lou- 3
ensuite à un banquet.
Jlie que les assurances sur la vie ne peuver l raisons. Il rappelle d'abord ses souvenirs rique du Sud. Il est de qualité bien inféW ]bet en Russie, la Neio.-Press fait l'éloge du1 vsomme encore indéterminée pour PréAu dessert, le maire porte un toast à 1 a être traitées que par des sociétés soumise s personnels ;
ville.
rieure à celui de la Martinique.
, président de la République française,
France et à la marine française. Un pn
3e Construction d'une nouvelle école
«... Tout ce qui restait de commerce a
à
M
à
l'autorisation
préalable
du
gouverm
3«...En
approchant
de
Saint-Pierre
la
Elle
ajoute
que
l'alliance
franco-russe
^
mier maître mécanicien du Gûichen lui re
2 des Beaux Arts. — M. Millery écrit :
la
Martinique
s'était
concentré
dans
la
ville
]
j.
route
devient
moins
pittoresque.
Nous
trae n'est plus aujourd'hui mise en doute, mais
pond en buvant à la nation amie, aux m; {.\ menti, et au contrôle permanent de Vai
^
« Pour satisfaire auxpremières conditions,
de Saint-Pierre. C'était par ce port que les <
rins russes et au .maire.
\ministration, tandis que les rentes viag< . versons de nombreuses plantations aban- usines à sucre, les rhumeries expédiaients ique son but n'est pas agressif. Elle n'en est; M
l'emplacement qui nous semble le plus condonnées où des centaines d'hectares, autret pas moins forte et d'une très grande impor- v
La musique joue sans discontinuer U !S 1res dont l'importance au point de vue éc
" venable en même temps que le plus avantai
3- fois couverts de cannes à sucre, sont main- leurs produits, c'était là que venaient see tance.
deux hymnes nationaux.
geux, se trouve dans les terrains du Jardin
L jnomique n'est pas moins considérable, pei î- tenant en friche. Des maisons dont la toi- décharger les navires apportant de Terre'•
—
Les
autres
journaux
viennois
parlent
1 |
Les matelots français acclament les m\
Neuve les cargaisons de morue dont less ;aussi de l'alliance franco-russe comme d'un botanique. Suivant les plans et devis qui
ture
tombe
en
ruines,
des
usines
dont
les
v
[vent
être
traitées
par
le
premier
venu,
sai
;1 vous
1S
siciens. Ils arrachent les rubans de leu
v
sont soumis, l'édification de notre
\
murs écroulés laissent apercevoir des ma- nègres consomment des quantités si consii- gage
de la paix européenne. — Havas.
d
blrcl et les donnent aux femmes qui le § la garantie d'un contrôle effectif.
Ecole en cet endroit, nous occasionnerait
dérables
cliines
x'ongées
par
la
rouille
fent
une
tache
servent et qui se les attachent au bra! 3
—:
une dépense de 350,000 fr. ; après déduction
II y a plus : les sociétés dont nous pa p- sombre dans ce riant paysage,
« Laterrifianté destruction de Saint-Pierre
e
comme des brassards
des crédits déjà votés, il nous faudrait enconsomme
la
ruine
de
cette
colonie.
Les
seet
«
C'est
la
crise
sucrière
qui
a
amené
Une fois au dehors, dans le parc Alçxai j.liions tout à l'heure, qui sont autorisées
core, pour parfaire cette dépense, une somdre, les matelots sont entourés, acclamé! j, contrôlées, sont les seules qui ne peuve: ^ l'abandon de ces plantations. La Martinique, cours que la métropole et le monde entier,
me de 180,000 fr., sur laquelle nous propoembrassés. Des groupes nombreux s'er a- [pas se prévaloir des articles 1968et suivant s qui était un des plus riches pays du monde, ému de pitié, lui enverront, si considérasons d'inscrire, comme à-compte, un crédit
bles
qu'ils
soient,
ne
lui
permettront
pas
de
>
a
été
ruinée
par
la
baisse;
du
sucre,
puis
par
e
—
e
parent de chacun d'eux, leur font escort » [cités plus haut, pour faire librement d
de 50,000 fr. »
surélever.
La
pluie
de
feu
etdecendres
qui
ss
l'abolition
de
l
esclavage
et
enfin
par
l'attria
Infanterie
terril
triale
les emmènent.
!t
bution à tous les nègres des droits de ci- vient, de s'abattre sur Saint-Pierre est
contrats de rente viagère.
Sont passés, avec leur grade, dans l'arf
A Cronstaut et Sébnstopol
e mêe territoriale :
II faut que cela cesse : Lorsqu'une loi e ,st toyen. Aussi y a-t-il aujourd'hui dans l'île comme un immense linceul jeté sur l'île
Projets de la deuxième catégorie
plus de 30,000 hectares de terres très fer- tout entière el je crains qu'aucun effort huCronsladt. — Un dîner a été offert ai
Ç
42* rég. territ. d'inf. — M. WinsbachÙ
j*| mauvaise, on l'améliore ou on la chang e
marins des deux flottes, par la chambre <
- tiles qui restent incultes. Les quelques piau- main ne soit assez puissant pour le relever
)«
« Ces projets sont les suivants, dit M. Mili' Georges-Marie, lieutenant de réserve au 19*
j II nous semble que ce serait ici le cas i le teurs qui continuent à lutter avec une ener- et rendre la vie fc-çe malheureux pays. »
commerce.
lery :
bat. de chas s.
h
Les ovations oht été les mômes qu'à Sali ît- Maire l'un ou l'autre le plus rapidement pc is- gie désespérée couvrent à peine leurs frais.
45* rég. territ. d'inf. — MM. Druart Char« 1° Prolongement de la rue Viclor
La fabrication du" sucre de betterave, en
Pétcrsbourg.
les Albert, lieutenant de réserve au 145* rég.>t Hugo.
/
Isible; la constitution de rentes viagère ,s Leur existence est une longue suite de pri- dépréciant le sucre de canne, reste la
— Le prolongement de celte voie à
la d'inf.; Benoit Charles, sous-lieutenant de ti
":' vationset ils se découragent les uns après
^Lc commandant du port a offert de si n
e travers les terrains du Bon-Pasteur, serait
ij _ tout au moins lorsqu'elle fait l'objet des o[ ,e
côté-un dîner suivi d'une réception aux <
lés autres. Ils sont de jour en jour moins principale cause de la ruine des Antilles!s. réserve au rég. d'inf. d'Abbeville, et Rémy
y d
d'une grande utilité. Non seulement il ouj rations d'une société anonyme, devrait êt re nombreux et la culture de la canne est fata Toutes ces îles splendides, joyaux de verAciers.
r- Alfred-Eugène, sous-lieutenant de réserve
v
e vrirait
un dégagement vers Boudonville, ce
Sébastop>ol. — On prépare des fêtes et cpmmc la réalisation des assurances sur la lement destinée à disparaître de l'île.
au 101' rég. d'inf.
qquartier si pittoresque et jusqu'à présent
dure au sein de l'Atlantique, ces terres
ÎS
une représentation de gala à l'occasion i in vie soumise à des dispositions légales <j „\ ' * Çà et là nous apercevons quelques planbien négligé, mais il serait aussi tout indi'
Le colonel Routan
voyage de M. Loubet en Russie. Leçons
. talions de caféiers dont la culture est au poétisées par la grâce nonchalante des
Dans quelques jours, le colonel Boutan,, <]que pour recevoir la continuation delà ligne
en
fassent
une
œuvre
de
consolidation
ae
de France et les principaux membres de
contraire très rémunératrice. Malheureuse- créoles (l'impératriee Joséphine était MarVr qui commande depuis sept ans passés le du
f tramway venant de la Porte SauU-Nicocolonie française y sont invités.
l'épargne publique, et. non plus un moy en ment elle exige des avances de fonds nssez tiniquaise), tous ces pays que dore un éter£ \las, afin d'en permettre la jonction avec celle
r- 117* d'infanterie au Mans, va prendre sa re'c de
Sues surprises des toasts d'adi< !U d'enrichissement pour quelques personi ia- exmsidérables que les planteurs à près rui- nel soleil, la Jamaïque, Saint-Domingue, la traite. Ce très vaillant soldat lorrain — le
° la rue de Metz.
. nés sont incapables de faire, aussi récolte« Le projet, proposé par la commission,
Paris. — Suivant le correspondant rtU lités aussi entreprenantes que malhoni ie t-on dans toute i'île une quantité dé café Martinique, Sainte-Lucie, la Guadeloupe,
e
e colonel Boutan est un enfant de Luné ville
,s *comporte rétablissement d'une chaussée de
? — a été, au cours de sa carrière, le héros
Gaulois à Saint-Pétersbourg on parle < >u- tes.
etc.,
sont
plus
ou
moins
mortellement
vraiment insignifiante. La Martinique n'en
nt d'une curieuse aventure.
20
^ mètres de largeur, entre la rue de Toul
vertement d'une grosse surprise que rês 1
—
«—
produit même pas assez pour la consomma- atteints.
. C'était vers 1876 ou 1877 ; le sultan du Maveraient les toasts d'adieu, qui seront éclu in-i •
a. ?el la rue d'Auxonne. L'exécution de ce proa, roc, qui faisait une grande tournée dans
i coûterait 500,000 fr.
lS jet
gôs, vendredi, à bord du Monlcalm.
GUILLAUME II EN LORRAI
« 2e Si la ligne du tramway passe par cette
Ses Etats, avait annoncé son arrivée à
Il ne serait pas impossible que des al La- j
i
■
rités de Krasnoë-Sélo, qui leur offrent le Oudjda, sur la frontière algérienne. Le gé- *nouvelle artère et qu'elle descende la rue du
sions y fussent faites, par exemple, à la I L'empereur allemand arrivé mercredi n
i
i_ Ruisseau,
il'faut prévoir l'élargissement
pain et le sel.
néral Osmont, alors commandant de la diquestion du Transvaal.
tin aUrville, s'est rendu dans la journéi
cdu pont du chemin de fer qui traverse cette
visiQii
d'Oran,
fut
désigné
pour
aller
saluer
Enfin, on affirme qu'avant de le quill er, Metz.
Krasnoë-Sélo. — La gare est splendideU ]rue et y affecter une somme d'environ
[SvAte)
le- le souverain, et il chargea le capitaine Boule tsar remettra en son nom personnel à
Ce matin, jeudi, Guillaume II inspecte
nient décorée aux couleurs russes et fran[e (60.000 fr.
n- tan. chef du bureau arabe de Tlemcen, de
M. Loubel une somme de 100,000 fr. pc lurjFrescaty, près Metz, les bataillons du 1 4 V
"
çaises.
« 3° Prolongement de la rue Bésilles.—
régler les détails de l'entrevue,
La revue de Krasnoe-selo
les sinistrés de la Martinique. — Havas.
régiment, dont il est le chef. Cette insu
Le cortège se forme dans le même ordre
. Ce
re
Tâche ardue entre toutes. Le sultan vou' projet, est en quelque sorte le corollaire
a
I lion sera suivie d'un défilé de tous les re giPéterhof. — C'est aujourd'hui que se dé- qu'au départ de Tsarkoë-Sélo et les voitures
(
es lait recevoir le général Osmont de la même
Jments de la garnison, des deux bataille nis roule la partie militaire des fêtes franco- prennent la route du camp.
ie du précèdent. Son importance est considéc
1
e
_
rablement
accise par le voisinage du si fufaçon
qu'un
de
ses
ancêtres
avait
reçu
l'am» I du 135» régiment d'infanterie et du 6 ré ;gi- russes. Le tsar et M. Loubet passent une
a
Elles passent presque à chaque pas sous
,] 1nesle passage à niveau de la rue de la Raus bassadeur de Louis XIV, et ce cérémonial,
le rapport du gouverneur lui ;é- meni de dragonsde Thionvillc, actuellem 2nt grande revue des troupes, au camp de Krasdes arcs de triomphe.
lè vinelle.
En offrant à la circulation un déri maire. — I^a nouvelle éruptrès compliqué, comprenait une foule de
!
là Metz. L'empereur déjeunera ensuite au noë-Selo.
1
Les enfants de la ville forment la haie et prescriptions, génuflexions, front dans jla
bouché
toujours libre et moins dangereux
tion du Moïït-l*eïé.
I Casino des officiers du H5" régiment à M ana
Le corlègequitte le château à neuf heures
poussent de continuels hourrahs, auxquels
ce dernier, il permettra d'en restreindre
Le gouverneur intérimaire de la Marti ni-|ligny.
ils poussière, etc., quî pouvaient être de mise
'
5e que
du matin. M. Loubet et l'impératrice-mère
1
beaucoup
l'usage, si l'on admet toutefois,
que vient de câbler au ministère des ce »lo-1 Vendredi, l'empereur visitera les forts en sont dans la première voilure; le tsar et la vannent se joindre les acclamations d'une
ne au dix-septième siècle, mais n'allaient plus
1S
foule énorme.
du tout à la fin du dix-neuvième.
'qu'il ne puisse le remplacer complètement.
nies qu'il est rentré, mardi soir à Fort- de- j construction.
tsarine sont dans lâ seconde,
■e. , « Ce projet comporte une prévision de
_
Les pourparlers furent longs : ils duréFrance, après avoir effectué la reconn: iis-l Une manœuvre de siège autour du f orl
Les maisons sonl toutes décorées. La plulu
L'empe',reur porte l'uniforme de colonel
-e '270,000 fr., y compris la participation de la
. rent plusieurs jours. Ce ne fut qu'à force
Sance entreprise dans le nord de l'île.
« Lolbringen » est prévue pour samedi,
du régiment des chasseurs de la garde avec pstrl des drapeaux portent les mots dee :
iR 'compagnie de l'Esl pour la construction
d'habileié el aussi d'énergie que le capitaine
Les ruines de Saint-Pierre, dit-il, i ïui I L'impératrice arrivera vers la fin de s la le grand-cordon de la Légion d'honneur en « Vive la France ! »
jé d'un
pont à son usage,
je Boutan réussit à faire revenir le sultan de
'
étaient encore debout à la suite de la r re- semaine au gâteau d'Urville.
A 10 heures, le cortège pénètre dans le
sautoir.
son idée première, et l'entrevue a eu lieu à . « Dans ce chiffre sont compris également
miôre éruption de la Montagne-Pelée, h > 8
champ
de
manœuvres.
Courcelles. — Le maire a exprimé i à
M. Loubet est en habit, avec le grand corles travaux à exécuter dans la'rue Démai, ont été démolies par la commotion ( me l'empereur la reconnaissance de la pope da- don de l'ordre de Saint-André,
Le tsar, la tsarine, l'impératrice-mère et
et Oudjda sans incident, le général français
is
1
|roekusil l'éruption du 20
accompagné d'une petite escorte, le sultan
in silles.
lion pour la suppression du paragraphe de
L'impéralrice-môre est vêtue d'un riche M. Loubet quittent leur voiture.
« L'installation d'un passage pour piétons
Ce jour-là, le bourg du Carbet reçut i ine la dictature.
jr. suivi d'une armée de 40,000 hommes.
Le tsar monte un superbe cheval noir;
manteau blanc, orné de garnitures sombres,
traversant le chemin de fer, au droit de la
avalanche de boue chaude.
I Le président du bureau du conseil d'E Itat et d'une robe blanche. Elle est coiffée d'une use voiture, attelée à la daumont et dont
toi
rue de la Ravinclle avait été l'objet de nos
De nombreuses coulées s'avancent enc ore la exprimé ensuite les sentiments de resp ect capote pailletée garnie de plumes gris-clair, lés sièges sont disposés en phaëton, vient
'fit
préoccupations. En raison de son urgence,
dans la région comprise entre Saint-Pie rre Jet de sympathie des Alsaciens-Lorrains à
prendre M. Loubet et les impératrices.
La
tsarine
porte
un
manteau
blanc
et
une
Télégramme commercial
et le Prêcheur.
le projet présenté a été renvoyé à la comI l'égard de l'empereur et de l'empire,
exquise robe mauve, garnie de dentelles,
■Sur le premier siège, montent l'impérafa(Bourse du commerce)
mission des travaux pour être exécuté au
(On peut se rendre facilement compte de I Dans sa réponse; Guillaume II a dit q
u'il Elle est coiffée d'un chapeau garni de plu- trice-mère et la grande-duchesse Serge ; sur
la situation de ces localités et de celles d ont avait supprimé la dictature aussitôt o
.
I
Chiffres
fournis
par la maison E. Bollack a!n*I moyen de nos ressources ordinaires.
u'il mes blanchés et de roses France. Les deux le second, la tsarine et M. Loubet. Les banm-1
■
« 4" Elargissement et prolongement du
il sera question ci-dessous en consultan t la j l'avait pu, c'est-à-dire aussitôt qu'il avait
_I
Paris, 31 mai, 1 h. 37 soir.
eu impératrices portent en outre le cordon de quettes font toutes les deux face aux chele
earlc ci-jointe.)
boulevard d'Alsace-Lorraine.
Ce bouleI gagné l'amour de ses sujets d'Alsace-I- .or- Saint-André, dont la couleur est bleu de vaux. L'àltelage est composé de magnifiifl. I
CUUIUN»
4 DOCT. vard, déjà amorcé, doit relier le Mon-Désert
Les cultures de première nécessité et les raine.
t
Avoine
(f
00
ML)
20
75
16
95
ciel.
ques chevaux blancs. Un piqueur galope à
cultures secondaires sont complètement dé-1 II a affirmé en terminant 1 le caractère
' , Blés (100 m.)
23 25
20 ^
70 à la Garenne. M. Millery écrit :
abLe Ira-jet en chemin de fer de Tsarkoë à gauche de la voiture.
^5
« En considération de notre situation
truites de la Grande-Rivière au Marigot, La Isolument pacifique de ses intentions et de Krasnoë-Séto s'accomplit en 45 minutes.
' Farines (100 kll.)
95
26 75
Le cortège passe devant le front des trou- Huiles (100 kll.) . , . .
61 75
61 25 financière, que nous ne devons pas perdre
population qui y est demeurée a beauc< >up celles du gouvernement allemand. — '.
HaM. Loubet et les souverains russes sont pes. On le distingue de fort loin, car le terer- Alcools (Vheclol.)
£9 50
30 37 de vue, votre commission, tout en adoptant
souffert, mais elle resle néanmoins cali ne. ivas.
.reçus, à la descente|du train, par les auto- rain de la revue est à peine ondulé. D'ail.il- Sucres
SI 12
'H .■a?1 le projet complet, en principe, vous proposa
J
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L'affaire Humbert-Crawford
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BULLETIN MILITAIRE
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M. Loub. Len Russi-3
La catastrophe des Antiile
Jeudi
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Mai
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EST REPUBLICAIN
dès
^^S^^rt
vardmainte,
de la me de^f
Mon-Descrt
jusquà laTenue de la Garonne seulement. Pour ce
ÉMMH «H* vous demande d'inscrire un crédit de 150,000 fr.
Elargissement du pont de Mm-Dew| _, La dépense qu'entraînerait ce travail serait de H0,000 fr., mais la compagnie
des tramway» s'est déjà engagée a y con:
tribuer pour une somme de 20,000 fr., el si
l'on admet la participation de la compagnie
de l'Est dans la dépense, on pourrait reduire à 80,000 fr. la somme qui resterait
complètement à la charge de la ville.
« S" Vu l'intensité de Ta circulation qui se
produira sur ce pont, lorsque les rues et
boule-ards projetés dans les environs seront exécutés, il est indispensable d en faciliter l'accès, du côté de la rue de 1 Equitation par l'achat et la démolition de la maison située à iingla de cette rue et de 1a rue
de Mon-Dé'ert.
,
« Le prix de cet immeuble est évalue a
50,000 fr.
„
„ ,
«T L'eau à Boudonville. — Votre commission a pensé que ce serait un < acte de:
bonne administraUon de procurer l'eau in-■
dispensable aux besoins domestiques aux
habitants des quartiars élevés de la ville:
Boudonville, Beauregard, etc., qui la reclament du reste avec instance. Dans ce:
but, elle a fait projeter l'établissement d'une:
machine élêvatoire qui permettrait une distribution locale d'eau de Moselle à une cote
d'altitude que l'on ne saurait atteindre au
trement.
«Lesfrais de cette installation seraientd'en-.
viron 150,000 fr. »
« 5.
cond versement de dix mille francs que je
voï
vous
vous prie de recevoir pour le compte du
ministère des colonies.
min
« Touillez, etc.
c Le Maire, MARIHGER. »
_
Souscriptions reçues à la trésorerie
générale,
le 21 mai 1902, au profit ues sinistrés de la Martinique :
p
£
Perception
de Nancy, 1" division : Mme
veuve Paquet, à Nancy, 10 fr. — Percep,.
tion
de Nomeny : Laveine, percepteur, 10
. . Brelon Joseph, à Abaueourt, 1 fr. ■—
fr.:
;L
Perception
de Saint Nicolas : Petitcolas,
p
"
percepteur,
10 fr.; Pierron Emile, à SaintET
Nicolas, 1 fr.; Un écolier de 5 ans (éconofflie
mie de la fêle deSainWSicolas), 0 fr. 20. —
Perception
de Nancy, 2° division : Colelle,
per
percepteur,
20 fr.; Barlhès, fondé de pou1 .
voira de la perception, 2 fr. — Total :
,,
. 20.
54 fr.
-
—
Homéconrt
de Langres, les 18 et 19 mai, a
en 18T7, une première feis, diitiaguês par la se- nastique
nasli
ciété »ationale d*encouragement au Bien, puis hc- f
j
remporté
les récompenses suivantes :
Ce
Ces jours derniers le sieur Buraglio, terCm
norés par le gouvernement d'mne médaille de brong
En
deuxième division, concours simul- rassier
;
n
à Homéconrt, se rendait à Piépape
hc» lettres eos*>pro»iettantos. - zo
,
. premier prix d'excellence ; en division iass
Ze en 1887 et d'une médaille d'argent en 189d. tané,
(Haute-Marneh
chez le nommé Viganoti
C'était
la
juste
et
méritée
récompense
de
l'amour
Le revolver
G'4tai
unique, concours de lutte d'ensemble, pre- canlinier
|
à Eize-l'Assaut, pour y toucher
cau
que M. Labriet montrait pour ta Société, qu'il UI!K1
mier
prix:
concours
de
boxe,
troisième
Mercredi, vers dix heures du malin, le aima comme un père aime «on enfant.
une somme de 550 fr. qu'il avait laissée en
[Hier
une
brui
bruit se répandait en ville qu'un drame do
NOI
Nous
devons lui savoir-gré d'avoir si bien ho- prix;
prix au championnat, M. Mathieu, vingt- dépû
dépôt chez ce dernier.
c
sa
l'adi
noré notre société, et p«'
dalicate activité, et sept]
l'adultère
avait eu lieu dans le quartier Wé
septième prix individuel.
Ap
Après avoir touché son argent, Buraglio
par le
Grandville.
par
h zèle qu'il a déployé dans l'éducatio» et pour
Gra
partit
•*
Dombaile
Pait à ViUegusien où il comptait prendre
l
'établissement
de
ses
enfants.
La
L nouvelle était exacte. Un drame de r*»b
le train
aussitôt. Mais en roule, il renconPuisse
le témoignage que notre grande famille
M. Mangon, entrepreneur à Nancy, nous !®
,
Pui
l'adi
l'adultère venait, en effet, do se dérouler au mutualiste
tra trois Italiens, ses compatriotes, lesquels
rend à sa mémoire, apporter quelque prie
j
pv c de dire qu'il a été déclaré adjudicataire JP*
n° 49
4 de la rue Sellier, dans l'immeuble de adoucissement à la deuleur des siens.
ges travaux d'achèvement de l'église de l'entraînèrent à la cantine Meroni, à Ville,
des
joy<
joyeuse
mémoire, connu sous le nom de
En
En vous adressant notre dernier adieu, mon cher Dombasle
D
avec un rabais de 7,60 0[0 et non gusien, où ils burent quelque peu. Ses conw
m
« mairie
de Pintenviile ». Voici ce qui s'é- trésorier,
nous avons la certitude que Dieu que
*
pagnons l'ayant quitté, Buraglio resta et setréS(1
de
16,60
comme
il avait été indiqué par er- S?^
"
tait passé :
vous avez tant aimé saura vous recompenser et
nt servir à dîner.
reur.
{h
dormirez en paix votre dernier som- reui
« Le n» 49 de la rue Sellier est un immeu- que
que vous
■>
Malheureusement
pour lui, après'avoir
Fêt de pèlerinage
Fête
fêté
ble dont les appartements sont loués en meil. »
fètô Bacchus, il voulut fêler Vénus. Il resta
à Saint-Nicolas donc
j
gar
garnis
et donl la gérance est tenue par les
( on( à la cantine où il passa la nuit avec la
Nécrologie
j
Les offices du lundi de la Pentecôte, à sœur
ôpo
époux Zabel, qui occupent un appartement
sœu
de la cantinière, couchant dans laNous
apprenons avec regret la mort de s
j
au rez-de-chaussée. Le mari est ouvrier
Ni
Saint-Nicolas
de
Port
ont
été
présidés
par
£
a n
Drame de l'adultère
m
a
même
chambre que le canlinier et sa conMe /André Gircourt, avoué honoraire a la M
plombier
et travaille à l'usine à gaz. Deux M"
ploi
Mgr
t,j
gr l'évêque de Nancy.
cubine.
cu
cour
d'appel,
père
de
M*
Gircourt.
avoue.
Le
enfants
sont issus de son mariage : une pe- coin
Le grand orgue était tenu par M. Kling,
J
eilfi
JC matin,
***
Le
quand Buraglio voulut payer
Nous prions la famille du défunt, qui 1^3
lite flile.de dix ans el un garçon de sept
Ni
Les chants à l'unissou ont été exécutés par iles
j
es faveurs do la bejle, il s'aperçut aveo
N
Nous avons encore . eçu de Mr G. Gulton, tite
"r!
meurt
à l'âge de GG ans, de vouloir bien ilaa c
]
me
âr
chorale
Saint-Nicolas.
'
t
n
ans.
J
H
&^
qu'il avait été, pendant la nuit,
s U
avocat,
20 fr.
.
£
jy fanfare de la soudière de la Madeleine stupéfaction
Dans la matinée, M. Zabel, qui, depiifS"! agréer
agré l'expression de nos condoléances.
La
\
soulagé
sou
soulagé de son porte monnaie.
Nous
N
avons reçu six francs, produit d'une longtemps,
.
avait
des
doutes
sur
la
fidélité
———pr
a
prêté
son
concours
à l'office des vêpres
\\
Il porta plainte contre ses hôtes qui pro-'
collecte
coll
faite entre « joueurs de quarante, de
j - j
ct à la procession.
et
ttestent
t<
es
A la Pépinière
?
énergiquement de leur innocence.
habitués
du café Mougenot, à Lemainville ».
.'sa femme, parlait sans rien faire conhab
(Ce
£ pèlerinage annuel avait attiré une fou- u„
naître
d'anormal
à
son
travail
quotidien.
c enquête est ouverte par la gendarme-'
Une
Voi
Voici le détail de cette souscription: MM. Mais
. il s'était juré de revenir à l'improvisle , Oi
On travaille activement en ce moment jlee C(
considérable.
i ,
rie.
Dur
r e
Dumet-Mougenot, 1 fr. ; Golé Numa, 1 fr. ; dans
V,
à la Pépinière à la construction des tribula matinée, dans l'espoir de constater a
**
Gra
Grandeury, chef cantonnier, 1 fr. ; Claude si ses doutes étaient fondés.
Conilans
*
nes
et
à
la
pose
de
l'immense
clôture
en
nos
Auguste,
1 fr.; Prud'homme, maçon, 50 c;
Âuj
Une
splendido châsse du martyr saint
qui doit entourer le carré où auj*
;
Mme Zabel habilla les enfants à l'heure planches
plan
Dans
la nuit des malfaiteurs ont fracturé
Mougenot,
Mo
50 c; Gerberon, 1 fr.
jl^
^
ront lieu les courses du concours hippi- Sabinien, exécutée par M. Vallln. ornée par ]la
habituelle et les envoya en classe. Puis, ronl
a devanture du magasin de M. Léon SponM. 'Drioton, vient d'être placée dans l'avant- v
jij€ horloger-bijoutier, à Conflans, et ont
#**
aya
que.
ayant
fait sa toilette, elle se rendit au bu- que
ville,
cœur
j[ main-basse sur les montres el bijoux
Ces courses commenceront, comme on c
ceu de la basilique. Ces reliques du mar- ffait
reau de poste et. y retira deux lettres qui lui
C<
a
En
« ouvrant la dernière séance du conseil fe*
w ltyr
vr ont été offertes au sanctuaire du patron
1 1
sait,
le
26
mai
et
dureront
jusqu'au
l
étaient
adressées
poste
restante.
le
s;
accl
accrochés
à l'intérieur de la vitrine, réprémunicipal,
M. le maire de Longwy a pro- e »
mu
de la Lorraine par M. le marquis deGerbé- gsentant
|
iuin.
Après
avoir
pris
possession
des
deux
juin
en
une
valeur de plusieurs centaines
noncé
les
paroles
suivantes
:
A
noi.
uL
vlller,et
la châsse est un don deMmeRemy- de
<
mii
Les
.
missives,
Mme Zabel les plaça dans sa poLi amateurs de foot-bal profitent des Yj
ae francs.
« Mes chers collègues,
Paillot.
•
L;
quelques jours où le carré est encore dispo- * ail
che et revint chez elle. Elle entra ensuite que'
' La gendarmerie a ouvert une enqête.
Nous sommes encore sous le coup de la Phe
*
On remarque enfin, près de l'autel de
bible pour se livrer à leur sport favori.
V
La même nuit, des malfaiteurs se sont inpénible
émotion qui s'est emparée du monde dans
dan la chambre des enfants et, se croyant nibi
* *
peu
Saint-Nicolas,
un
superbe
cadre
en
forme
^JS
— La Pépinière a reçu trois nouveaux pen- j*"
Le rapporteur eonclut :
eut
troduits dans la cave de l'hôtel Cordierentier,
et de notre nation en particulier, à bien
hie tranquille, se mit à lire la corresponde Ïportique, renfermant quatorze petits ta- Hémond,
g|r
sionnaires,
des sapajous, don d'un de nos "e
« Tel est, Messieurs, L'exposé très som-' la
ja nouvelle de l'affreuse catastrophe qui dance.
sion
dar
en face de la gare de Conttansblea
bleaux
qui retracent les principaux faits de Jarny.
jari
com
.
maire des grands travaux dont votre com-" v
je de frapper notre colonie de la Martivient
%Lorsque la lecture fut terminée, elle sor- concitoyens.
et
ont
emporté plusieurs bouteilles
Ces naïves peintu- cde
je (Champagne, vins Ans, jambon, et, pai
llt
Ces singes, qui ont été placés dans le laa vie
v de Saint-Nicolas.
tit . d'une armoire un coffret qu'elle y cachait
Gl
mission vous propose de déclarer l'uti-' n
jq
nique.
e
ur€
c
tures,
sur
bois,
du
16
siècle,
ont
été
offer,),..,,
kiosque
abritant
déjà
plusieurs
de
leurs
|
lité.
soigneusement
et
y
plaça
les
deux
lettres
kio.
En attendant les mesures généreuses qui SO*
dessus le mzrché, une paire de chaussures
u une ^
pp
« Bien que n'ayant pas été étudiées d
congénères, ont fait de suite bon ménage Lles
ÇS au pèlerinage par M. le chanoine Bar- a
venait de recevoir.
eonj
appartenant
à on voyageur.
seront prises par notre pays, pour venir au qu'elle
qu
hier,
curé
de
Saint-Vincent
et
Saint-Fiacre
£ jours derniers, un vol de saucisses a
façon approfondie, les prévisions indiquées* sec
A
ay« ceux-ci ; ils semblent joui** d'une parsecours des victimes d'.un désastre, dont on
» peine avait-elle refermé la cassette que avec
Ces
ae
1
de Nancy.
u
|Àn été opéré la nuit chez Mme Maguin,
à chacun des projets nous autorisent a vous5 ne
le mari faisait irruption dans la chambre, faite
faiti santé et d'un robuste appétit.
déjà
ne connaît pas encore toute l'étendue, je »»«
présenter comme chiffre probable du coût' vous
propose, au nom de toute la popula- Il
H sse dirigea tout droit vers la femme, s'emdébitante,
à Confiai)s-Jarny.
Poiuney
déb
vm
La
crème
de
s-ix
Jîloefa.
de leur exécution, un total de 1,260,000' u
para du coffret, l'ouvrit et constata qu'il
tion
0, de notre ville, de nous associer à la par
La
garde
des
usines
Fould
a
arrêté
à
sa
O
On
a
tout
lieu de croire que les voleurs
aliment sans rival pour les enfants, sertégaJj
francs.
tri?
un grand nombre de lettres. Il, ff™
trislesse
générale et aux témoignages d'uni- renfermait
ren
sortie du chantier Joseph Desjardin, âgé de ne :sont autres que des chemineaux de touleraent
à
la
préparation
d'excellents
potages.
1
c Nous croyons même, en tenant compte' veI
en
verselle sympathie qui vont de toutes parts en . déplia une, puis deux, prises au hasard,
55 ans,- mancenvre, qui transportait dans {tes
tes nationalités, dont le Jarnisy est infesté
fie ce que nous permettront de faire nos re-" vei
prit
vers notre infortunée colonie. »
Pn connaissance de leur contenu et termi-■ ^
depuis que la Compagnie de l'Est a ouvert
A .propos d'une «ffaire
son panier, un coussinet de bronze, pesant dep
3
cettes ordinaires, que ce chiffre peut être
^A l'unanimité, le conseil municipal a voté P«
na sa lecture par celles que sa femme avait
10 kilogrammes, d'une valeur de 25 fr., des chantiers de réfection des voies.
«le correctionnelle 1°,.
US
réduit à 1,200000 fr.
M
reçues dans la matinée de mer«J
celle motion el a décide d'ouvrir une sous- 3justement
qu'il avait dérobé dans l'intérieur de l'usine.
qul
Nous
avons
parlé
de
la
condamnation
« 1 our réaliser cette somme avec nos re-" cription
lue» eaux notables a Longwy
credi.
S
publique en tête de laquelle la ville CI
'e
avv
Haroiié
,,
OT
par le tribunal correctionnel de
f.ettes extraordinaires, nous n'avons qu'un1 de
de Longwy s'inscrit pour une somme de
t"
11 y a quelques mois M, Nicklès, directeur
CComplètement édifié sur ce qu'il tenait à* prononcée
11
Bien
peu
animée,
nous
écrit-on,
était
la
.
contre Mme Marie Marchand, femp
moyen à notre disposition, c'est de contrac-" m
j] francs.
sa
savoir,
le mari eut une violente discussion?1 Nancy
*
mille
^
aH laboratoire de géologie à la Faculté des
du
me Blosse, inculpée d'avoir abrité chez elle foire de Uindi à flarouô, le mauvais temps
ter un emprunt et de les augmenter de son
avec sa femme, à qui il reprocha son odieu- me
sc
de Nancy, a fait une enquête sur
elat
étant
un empêchement très sérieux à ces sciences
î*
U1
un
déserteur.
Nous
avons
reproduit
égaleproduit.
se conduite.
\
les sources des environs de Longwy sus1
manifestations
commerciales.
ment
les
explications
de
Mme
Blosse
qui
a
ro*
De
\La femme loin d'avoir peur de son marî m
* Uu capital de 1,200,000 fr., acquis de5
I VAuto-Revue de TEst:
.~,'
ceptibles
d'être captées.
C'est,
à peine si une demi-douzaine de ce
P
au tribunal qu'elle .ignorait comC
cette façon, nous occasionnerait dans less
*« Aux dernières réunions de l'A. C. L., la ou
ou de lui demander pardon, lui tint tête et) déclaré
.
M
M. Nicklès donnait un avis très favorable
marchands
ambulants
avaient
installé
leurs
E
plètement
la
situation
du
militaire,
un
nomMai
de membres honoraires s'était plu- se
se laissa aller à une violente colère. Elle lui ' .
conditions financières actuelles, une dépeu-- .création
cré
pour
OT
celles de la Moulaine, de Mexy-Rehon
eve
éveptaires
sur la place du Maréchal-de-Bas- P
sieurs fois posée. Adoptée par l'assemblée ^cria, même, à plusieurs reprises, le mot at-1 méS Schmitt.
se annuelle de 70,000 fr.. en Intérêts et fraiss ;Sic
et
de
Romain. Par contre il émettait une
scm
.
sompierre.
J*.
Nous recevons à ce propos une lettre did'amorlisse-ient, celui-ci étant prévu pourr générale,
gei
le comité était chargé de dèiermi- tiibué
trr
à Cambronne.
l
opinion
défavorable aux sources de l'AbatLa marchandise la mieu.x représentée — °P
sant
que
Schmitt
a
élô
acquitté
par
le
conL
lier leurs avantages.
une période de 30 années.
uei
La colère de M. Zabel fut alors à son1 ™J ■
on de la minière de M. de Saintignon et
e
S11
si l'on peut s'exprimer ainsi — était, sans 'toir,
seil
de
guerre
du
7
corps
à
Besançon.
'
« En conséquence, vôtrè commission vouss r II
I a donc élô décidé de leur permettre de coi
au Coulmy (ûanc nord).
comble. Il saisit un revolver d'ordonnance,
i
con
. contredit,
les petits porcelets, car 170 repré-! du
,
propése :
«P»
venir
vei
aux rallye-paper, où des voitures se- qu
fl
qui était chargé et en lira deux coups surr' , Noti'è correspotîdant s'indigne de la con- sen
Nicklès n'exprimait que des apprôhensentants de cette espèce avaient été amenés1 j M.
damnation
prononcée
contre
Mme
Blosse,
à leur'disposition ; d'assister aux soi- 3a
« 1» De décider, en principe, l'exécution1 raient
rai
10
sa femme.
■ 2*:
sious,
inspirées par l'étude géologique du
'
sur
la
place.
f
'
dont
i)
s'affirme
garant
de
la
bonne
foi,
des travaux èjjdmérés au présent rapport,., rées
rée récréatives et aux fêtes données par
]
Les
deux balles portèrent, la première un
. terrain,
,£:r
la perméabilité des terres ou l'ex'
On
avait,
craint
l'envahissement
de
cette
}
alors
que
Schmitt
est
acquitté.
Lex
dura,
|C
p0i à droite de l'arcade sourcillière du côté ™î
après leur étude par les commissions com-.- l'A.
l'A C. L. Ils recevront gratuitement l'Auto- peu
;
ploitation
des couches de minerai. Il redou'
place
yar
les
eaux
du
Madon,
enflées
consiP
.
Revue
de l'Est.
Sri
pêlentesj
Re
droit
du visage, la seconde sur le côté droitft sed lex.'
ta1' une contamination possible. Il ne la
I
Uer
déi .ii ienient par les pluies consécutives de[ tait
Leur cotisation est fixée à 12 fr.
du menton.
du
j
ce
pas.
Les démêlés de simple police
ces derniers jours; mais la rivière a, dès'. certifiait
« 2° De Toterles crédits nécessaires, à pré-y
T
ces
£
Puis
une importante question avait été .. La
j
femme tomba sur le parquet, pendant,
' ijRestait à analyser les échantillons d'eau
lever sûr les recettes extraordinaires que\ ilaissée
Î nia
maintenant déjà, réintégré son lit.
'
_
Eh
vas-t-en
donc
manger
de
«la
tête
de
au Comité. C'était la suppression du qu
a}.
que le mari descendait rapidement l'escalierr
puisée à chacune des sources.
no.^ procurera un emprunt de 1.200.000J <j
mouton
?»
droit
d'entrée. Après un examen apnrofon- et
* disparaissait.
r(
-. .
.EJmberménil
î Colomb-Pradel, directeur de la station
M.
frahes.
di
Cette
phrase,
couranë
sans
répit
à
ses
di, le comité a décidé de mettre à l'étude la
]L'alarme fut aussitôt donnée. Des étu- , J:
. agronomique à Nancy, vient de procéder à
r
« Le Rapporteur,
(
i
La
gendarmerie
a
dressé
procès-verbal
à
trousses,
avec
un
accent
ironique,
avait
fini
I
proposition de M. le D Viller, et après essai aiants',
di;
pr
qui habitent la maison en garnis.des i v,
ly
de ces échantillons.
« E. MILLERY »
ç faire la proposition à l'Assemblée gé- ci
- un1 jeune douanier de Vaucourt qui étant l'analyse
,'
c e
d'en
dendirent
au premier étage, et, s'occupèrent par
P'..- exaspérer une brave étalagiste du pa-3 W
C
111 déclare dans une lettre adressée à M. le
;
surexcité
par
la
boisson
a
porté
un
coup
de
Nord delà place du Maiviié,qui porle sui
« Les conclusions du présent rapport ontt nérale.
né;
en toute hàtg de donner des soins à la bles- villon
On
7
maire de Longwy :
à un taureau en pâture dans un{ ma
le nom d'un village de la banlieue nan-h baïonnette
MM
été.adoptées à l'unanimité par la commis-i«« Le droit d'entrée est suspendu momen- ;sée,
séi tandis que des voisins couraient préve-;~ J,A;
;
( longeant un.chemin de grande commujprê
*« Sauf le puils de Lorïgwy-Haut, toutes
si an des grands travaux, dans sa séance dun m
"
céientie.
PV
tiMiémenl et à titre d'essai pour les sociéAat- nii
nir la police. /
ces eaux peuvent, être cîassées'comme d'exnication.
.ces
— Ça finira bien par se gâter ! grondait- roc
11 avril. »
rcf
i-cs habitant à plus de 10 kilomètres de : Après ce premier pansement, Mme Zabel,
cel
(
qualité. Aucune ne présente de trabête appartient à M. Alison, cultiva- cellente
en a-parte et roulant des yeux furi- , Cette
■Wiqjp. »
pu gagner à pied la rue, et monter dans'„ elle
S*
put
f '
' cce^'.de contamination organique, et tout au
e
leur
à
Emberméniî,
qui
a
été
obligé
de
la
?
bonds.
Je
leur
montrerai
que
l'on
ne
mange
1*t
* *
l'iAu scrutin de ballottage, le comîlé a ad- une
un voiture de place, qui la transporta à [J: ,
Tout en rendant justice aux délibérationss mj
teer. La perle éni'ouvée par M: Alison est* plus
PR pourrait-on formulcrquelques réserves
pas. chez moi. * de la téle de mouton ».
mis comme membres actifs de l'A. C. L. :
l'h
l'hôpital,
où elle fut admise dans le service* r*v
u point de vue chimique sur les échantilau
r
de la commission et au rapport de M. Milj
e
de
350frf
(Traiter
queitiu'uit
de
mangeui
de
tête
de
lMM. le D Renauld (Antoine), à Thiau-■ do
de M. le docteur Gross.
., y
lons
des sources du Coulmy (amont), de l'aLesmenîls
i
c'est le traiter, paraît-il, de meurtlery, il est permis de prévoir une objeetiorf.f.
court.
D'autre part, aussitôt qu'il connut la nou- Tmoiilon
îr;
■
ba
battoir
et de la minière de M. de Saintignon
'"|larluim.)
.
1
Rosfelder
(Antoine),
pharmacien,
12,
y
Lucie
Samsou,
13
ans,
avait
placé
sa
main
On ne manquera pas de constater, dans iec
, vclle, M. Flury. commissaire de police'lu,I -j
* an
an raison de leur richesse en sels calcaires
.,1
iv.m-.,
notre
marchande,
grasse
à
reluire,
rue
de
la
Visitation.
•
da
N spr
«anlon nord, qui remplissait àcemomentv?
su: l'engrenage d'une niachine à battre lors- <# magnésiens. »
public, que les travaux de Ifag* iàfêgdviçe
tee j|-,n prouve bi'-n qu'elle mange tout à son11 «h
Poulain (Jules), tailleur, 4, rueGam-- îfeque sa.sœur plus jeune quelle de quelquess
;
tes fonctions du ministère public à la .fus-ri?
Les
deux sources de l'abattoir et de la
proposés par la commission, ne viaept
'".faise,
i-iaii
Loï\
en
colère.
L'autre
matin,
une
>t
betta.
■
tu de paix, se transporta accompagné de't
tice
minière de M. de Saintignon, dit le Longo■■
tri'!
/.l
'itv
x
in
w
,
l
voisine,
avec
laquelle
elle
eut
une
discusque de nouveaux quartiers à créer, MÉ
3" années
e
Bergeret (Albert), imprimeur, 18,, son
sn secrétaire et du brigadier Louvi-m . •,
eut la fâcheuse idée de tourner laa liieien, étant classées comme très bonne
an
rue Lionnois.
àà l'Iiôpital civil, où il ne put interroger la sioiv lui lâcha encore la phrase maudite.
manivelle de la machine qui broya atrocede nouvelles voies à ouvrir dans les qu'ar- 11
> *
et bonne, on peut se demander dés aujourBédin (Alphonse), étudiant en mé-■Wlcsséeen
13
njent trois doigts de, la main droite de laa d'hui
Ji
raisoy des soius que les méde^.
tiers excentriques.
h " :
***
ro<
pourquoi la ville de Longwy s'impodecine. L rue de la Salpêtrrere.
ci
!
ucie
cins
lui
donnaieitt-à
ce'moment.
11
n'en
fallut
pas
davantage
pour
la
faire
Pj,
apr^it
des dépenses considérables pour les
'e
P['iUÏ£
'
...
ZÀ
Le centre delà ville ne doit cependant pas
1L sfc
:
B
Hanus (Pierre), brasseur-chiiiiiste,. ,, Quant au ma#i il se promena quelque)
;
i, '
-ru appelé en toute hftfë dut pvor- tr<
i;» '00
bondir. Ce fKLune vraie tigresse qui sauta,
travaux d'adduction d eau provenant du tercire perdu de vue. Dé nombreuses amélio0rue des Capucins, à Charmes3 temps dans le quartier de la 'Ville-Vieille,
ne tiTtjs ses dnglcs, à la figure do i'insul-jee<
i'. Ictacr à l'amputatio.i de l'index. On espèree riloire
Si
s, de
d'autres communes, quand elle a de
li
(Vosges).
-» *tt^»^
'ft
rations sont à apporter dans la Villejuis se rendit au bureau de police du can1.
pouvoir sauver les deux autres doigts.
la
M geuse.
Celle-ci lui répondit de son mieux.
jpo
la très bonne eau à. sa porte.
i:
uns
-.Antoine),
brasseur,
rue
du
If3
1 ten nord où il fit le récit de son crime.
Les deux dames so sont au jour-.':'i ut ré-j :
Vieille et dans la Ville-Neuve.
II.reste cependant à savoir si le débit des
Pont.-à-Menssoi^
Pj i'f,' à Charmes (Vosges),
Il fut ramené ensuite roe.Sellier et, c'est
co
st conciliées,
mais plainte avait été portée à|
a Jte'i
so
sources de l'abatloir et de la minière de M.
s
Les projets ci-dessus exciteront au moins
is
Ontél-j ;alement admis comme membress ac
accompagné d'ui>-gendarme-,, fort Iran qui 13erie Saintignon est suffisant, pour l'alimentae- la pafice et elle a suivi son cours jusqu'à laa ACaisse d'épargne. — S0' semaine. — Opérationss de
fai
autant de critiques que d'approbations. On
m ht
honoraires : '
m
faites
• tion
U(
.ment,
qu'après avoir pris dès nouvelles de
le ba
barrette simple police.
, du 11 au 17 mai 1'JOâ:
.de la ville
MM. Charbonnier, architecte, 37, fau.-- |^es
Àc enfants, il se dirigea à pied vers le parjt
Versements: à Pent-à-Mougson. par 54 verse-,
.
reste perplexe devant cette situation.
S
i'M. le juge de paix les condamne l'une et
"
EIÎ cas d'insuffisance, il faut reconnaître
s
raeDts. dont 14 livrets nouveaux, 31,876 fr. .. ; a
a
bou)'g Saint-Jean.
<ji
quet.
*<§,\
*•
" l'autre
l'a
à une amende de deux francs.
SÏ
, 9Jque par sa position et sa qualité la source de
TltUwxmrl PU' 21 versements, dont 8 livrais nonNe serait-ce pas l'occasion de mettre le
Kronberg (Emile), boulevardLobau.
Un attroupement oeusidôrable s'élaitalors
PS
Où irons-nous, mon Dieu, si les hommes
i
!S
22 Mexy-Rehon
est toute indiquée pour une
Y ;
vèaux
.10,103
fr.
;
i
Oaville,
par
4
versements,
dout
T
i
Valet,
rue
du
Pont-Mouja.
fr
public à même de faire connaître son avisS
formé rue Sellier et les commentaires, alil- >'<
s'eu mêlent ?
'
- . TT li\
lijrrcis uouveaux, .'465 fr.; à Pagny-Sttf-Moselle,parr captation
ca
totale ou partielle.
Burlb,
13,
rue
du
Pont-Mouja.
S
huent leur train. Nous devons dire- qVîls
par voie de reîerendum ?
ls
II s'agit ici des hommes de la halle. Deux
a vHis'ements, dont 1 livret nouveau, 2,073 fr.*; à
X li
Majorelle (Louis), rue Saint-Geoi'-'- éi
étaient plutôt favorables au mari, considéré
d'1
je Ej
Dtieutouard, par 4 versements, dont 1 livrets nonrô d'entre
eux, installés place du Marché, se
Le référendum, appliqué aux questions
^ '' ■ Fête des vétérans de Longwy
18
ges.
,
Û(
•j. T«;IUI.2,270 fr. ; hauts-fourneaux et fonderies iie
Comme un mari rangé et un travailleur.
so pris l'autre joui'd'une querelle si vioLe j
.
sont,
politiques, présente de graves inconvénients,
s,
' Raffi (A.), rue Saint-Georges.
„
Px^nt-a-iiousson, par .. versement», dont .. liAvant do Iravailler à l'usine à gaz, M. Za-te
i- jj Le lundi de la-Pentecôte a eu lieu, avec
a- -tente
que l'un d'eux, à bout d'arguments,
^
' vrets
îouveaux
fr. ..; J>oniêvre-eii-Haye par
1© "cérémonial et l'ordre accoutumés, la fête
rA
Everle (Emile), Insming (Alsace-1- bel
h exerçait avec sa femme ta profession
mais il nous semble qu'il pourrait fonction'r le
in sa
saisit un panier plein d'oranges et le langa
'
!.
. versement, dont .livret nouveau, .. fr. .."—
',
-Lorraine).
">'«( "ilj
de laitier, qu'ils ne quittèrent que pour géqes
ner dans les questions municipales, surtout
e
é- à la tête de son adversaire. Ce dernier ré\a
7 Total
des versements : 36,789 fr.
as vétérans de Longwy qui s'est déroulée
Vve Pernot, 26, rue du Bastion.
ri l'immeuble de la rue Sellier. Le mari
rer
pc
.. dans l'ordre suivant. :
ri ponditdu
tac au tac, el comme il est aussi
ittemboursement» à Pbnt-à--Mou(j!on, par 51
quand il s'agit (c'est le cas) d'engager les
Si
es
Decollogne, Grands Moulins de Li-1- e:
entra alors comme plombier à l'usine à marchand
m
d'oranges, il.fit jouer à son tour
U' re.
remiiourseniBiits, dont 13 soldés, 21,732 fr. 29 ; \
à . A 9 heures du matin a eu lieu la réception
disponibilités financières de la ville par un
in
verdun.
g
a la gare des délégations et des invités avec
gaz,
Xhiaucourt, par 15 remboursements, dont 5 soldés,
à
- s;
sa charpagne l
A
Sj
empru!it<
Porle, Briquetterie de Liverdun.
La femme Zabel est âgée de 28 ans. C'est
ni le concours de « là Longovicieftne »
st
Vous pensez si les oranges rôulaient à sS il) t'r. 22; i Onville, par 1 remboursement, dont
Boyer (Georges), tanneur, 13. ruee une
u
'„ ■. :suidé. 400 fr...; i Paguy-sur-Moselle, par 22
femme assez jolie, brune et de lahle
at
le l'envi
sur le sol bitumé et si les voisins
L'entrée en ville s'est faite avec le co"N'est-il pas juste en effet que le public
1C
Pascal, Pans.
a
rembourseinents, dont . soldé, 475 fr. ..; à Dieuau-dessus
de la moyenne.
ri
riaient
de
bon
cœur
!
J*J
f- ce
cours
de la « Lyre de G-orcy », de l'Harmo
qui paie soit amené à se prononcer ? Nous
louard,
par
3
remboursement,
dont
1
soldé,
1,680
]
us
Malte, directeur d'assurances, ruee
Le mari est âgé de 32 ans.
u
On riait d'autant plus que les deux com- a.
!° nie
des Aciéries de Mont-Saint-Marlin : de
fr. 85 ; uauts-fourneaux et fonderies de Pout-à- i„
nj.
Saint Jean.
avons la persuasion que le conseil municibattants n'avaient pas pris le temps de se
n'.
la «Longovicienne» et des sapeurs-poni5e Mousson,
par . remboursements, dont . soldésJ XI
Aubê, rue du Grand Verger.
1
pal voudra examiner cet leformedeconsulta. P
piers.
débarrasser du panier qui les avàit coiffés
.. fr. ..; à Domêvre-en-Haye, par 2 rembouris
...
r
M.
Flury,
commissaire
de
police
du
canLe Secrétaire, Eug. BONNE.» J
se lancer des oranges. On eût dit des
*
.
A 9 h. Ii2, les délégués ont été présentés
2S s
sèment,
doat . soldé, 900 fr." .. - Total des remtion populaire dont nos voisins de Toul se
s
e
,
u
ton Nord, s'est transporté de nouveau à pour
H
a
0. 110
L)oursements : 33,799 fr. 36.
à la municipalité, et un vin d'honneur a été
guerriers casqués et masqués. Un des pro»
deux
heures
de
l'après-midi
à
l'hôpital
cisont fort bien trouvés pour l'adduction des
.
'
fUib.
V
i.1..
-.-t
.*■
j
es
Pour avoir un vêtement irréprochable, ^
■,e 'jectites
atteignit une boitne grosse marservi à l'hôtel de ville alors que la « Longox"
" yvil
,
:-(
I>iei5ÏOMarcl
_
ndressez-vous
chez GilleULafond.
, où il a longuement, interrogé la blessée
eaux alimentaires.
,
chande de chaussures, en plein visage :
vicienne» donnait un concert.
»«r
d
don t l'état, ne donne iieu, sauf complicalie
AVajEvnm
^
Nous
avons
déjà
parlé
de
la
crue
des
P. S. — Nous exposons dans notre Saile
'
"
—
J'adore
les
oranges,
s'ecria-t-eile,
mais,
»s
On-s'est ensuite rendu à l'église, où une
tions, à aucune inquiétude.
s
A Dieulouard, la Moselle avait déborm
celle-ci, je la trouve vraiment mauvaise ! ' eaux.
^
r- messe
de Requiem a été dite pour les soly J Société amicale des anciens militaires
la carte annexée au rapport de M. Millery.
d(
d;
L'ai'rivée d'un agent mit fin à ce combat
morts f>our la patrie et pour les sociédni 106°..-—L'assemblée générale aura lieu
at dé sur l'île de Scarponne. qu'elle couvrait à dats
■e peu
re- iiinédit, qui a eu son épilogue judiciaire,
P' près entièrement, et. on a pu voir'un
m ù
t'aires décédés.
le samedi 24 courant, à huit heures et de- r L'enquête a démontré que les lettres repar la femma Zabel lui étaient adresn:
Pour les sinistrés de la Martinique
a
' d
des
BS- mercredi, devant M
le juge-de paix.
< habitants de l'île, pécheur--de son état,
mie du soir, au siège social, café Hahillon, çues
5
it,
Le cortège s'est reformé et s'est dirigé
' 1sées par un ancien sous-officier, récemment
int
Les deux adversaires paieront chacun
Je
4,
jeter
ses. filets sur ses canards pour les rav
a- vers
le cimetière. Là, une palme a été déU1
Souscription ouverte à la mairie de
n rue de Metz.
encore en garnison à Nancy.
' deux
d>
francs d'amende.
>P
mener.
p
posée
sur le monument des soldats tombés
Société mtlîtïtire de tit'du
Nancy
Ce militaire aurait eu des relations intiti• «
Lnnévllle
a service de la France et un vibrant disau
i-é^imeiit
territorial «l'infanterie
r
e mes
n
avec
Mme
Zabel.
Il
habite
actuellement
sut "
* *
Journée du 21 mai 1902. — Septième
ûe
c
[i cours
a été prononcé par le président d'hon«le Kaiïcy
g:
L'assemblée générale annuelle de la SoNous avons parlé d'un pugilat qui a eu
liste :
, Saiut-Malo,
mais, comme on l'a vu n'avait
11
!je neur
do la section.
ciété
des
pêcheurs
à
la
ligne
de
Lunêville
La
troisième
séance
de
tir
de
la
Société
p
e pas
lieu
entre
deux
étudiants
de
la
Faculté
des
cessé sa correspondance.
"
MM. Larcher, conservateur du musée, 10
10 ^ 41e régiment territorial d'infanteri-c de
A une heure, un grand banquet de 115
„ aura
lieu samedi 21 mai, a 8 h. du Soir, au
l
e
si
au
sciences de Nancy, un Belge et un Italien,
£
,a
fr. ; Mesmin, 6, rue Sainte-Catherine, 20 fr.: du
N
couverts
excellcmcnt servi par les soins de
k
»
Salon
des
Halles.
|
£:?
Nancy
a
eu
Heu
dimanche
dernier,
11
mai,
i, -. ^
Ppour une histoire de livré prêté.
Thiry, à Lay-Saint-Christophe, 20 fr : Thi- a
M
Ehrart,
maître d'hôtel, réunissait dans
,
Voici
l'ordre
du
jour
:
1*
Compte
rendu
f
à
la
distance
dé
300
meircs,
au
champ
de
ie
Obiwqiie»
de
M.
Latoriet
d
L'affaire qui était venue devant le tribunal ^
ry, à Tomblaine, 20 fr. ; Villain, ingénieur
ur fi
tir du 69e régiment d'infauteric.
~* 3de l'exercice 1901-1902 ; 2° Renouvellementt rla salle du théâtre, vétérans et invités.
La société de Prévoyance et de Secours
d
trs
de
simple
police
de
Nancy
avait
été
remise
des mines, 10 fr. ; France, Lanord et Bieha:ia"
... Plusieurs toasts patriotiques ont été portés.
'
f " partiel
des membres du comité; 3"Questions'
'S .mnluels
de Nancy, a été durement, frappée
à huitaine pour l'audition des témoins. Mer»éc à
s
;
ton, 50 fr,
J A cette séance ont obtenu les meilleurs
L'après-midi a été égayée par des concerts
résultats"
5:
*jÇ
diverses.
par
la
mort,
de
*M.
Jean-Baptiste-Nicolas
c:
las
credi,
M.
le
juge
de
paix
en
a
entendu
huit
Mme reuve Emmanuel Coblentz, rue Ba_ exécutés par les diverses sociétés de musi\
Tous
les
membres
de
la
Société
sont
ins6
balles
17
points,
Achin.
Diller,
soldats.
s.
Labriet,
I
trésorier
de
la
société
depuis
U
1S
lis
tant
à
charge
qu
'à
décharge.
Finalement,
ron-Louis, 10 fr. ; M. Henri Staub, facteur
;ur _
f
- 0-15, Pradié, soldat. — 9-14, Gudin, aide., ' tamment
priés d'y assister.
^que et un grand bal donné dans les salons
e- 118-70.
J'l'étudiant belge a été condamné à deux
do pianos, 10 fr. ; Mme veuve Claudel, rue
ue v
do l'hôtel de ville, clôtura dignement cette
vétérinaire; Dabin, sergent-major; Durand,
Les
administrateurs
et
les
sociétaires
de
f]
!
de francs d'amende et l'étudiant italien acquitté
Saint-Julien, 31, 20 fr. t'- les religieuses dé
\
(w
Mouaconrt
t
belle
journée.
°f Jost,
sergents; Coubé, Jacques, Laprévotte,
e, ccette mutualité T'Mit accompagné samedi àa p
purement et simplement,
l'abbayé de Flavigny, 50 fr. ; Mmes Bert
er
" Spachmânn, Thomas, soldats.— 6-13, Gille,
ssa dernière demeure. Le deuil était conduit
M. Aimé Mirgon, garde particulier „ à*
uit
.
e,
trand, 20 f r. ; Ernest Brussaux, 20 fr.
Longwy
ft
lieutenant; Klein , officier d'administraa-: Ipar MM; Jules. Emile el Chartes Labriet,
a tué dernièrement dans les fo,-.i, '*Chute d'un cable du tramway Mouacourt,
l0
MM. Culmann, 100 fr.; PeiTin, notaire, t
;
Voici
d'après le Tir national la compo*
ftUT1 e
ilses
fils,
et
par
MM.
Doyette
el
Robinet,
ses
rêts
de
Mme
veuve
Renauld,
rentière
à
i
H'**' M
i r, Poincignon. officiers; Pel- s
20 fr.; Goudchaux, rue des Dominicains, 'on
20
ses
Mercredi après midi, un câble amenant
î
M 1
-* tion
du comité de la société mixte de tir de
in
lier,
sergent-major; Aubry, Dursapti , igendres.
,
n
* Nancy, situées au lieudit Ëois-Blàmont, terr
fr.; J. Greff et fils, 100 fr.; Mme veuve Ver1
l'énergie
électrique au trolley s'est détaché
Longwy:
er
,ue
r
' Evrard,
sergents; Leloup, caporal ; Biaise
ritoire
de
Mouacourt,
deux
renardes
avec
se
AU cimetière de Prêvilîc, M. îe docteur
(j
gne, 20 fr.
j
ror du poicau faisant l'angle des rues Saintnt
%l
« Présidents d'honneur: MM. le lieulen
1
r Friol
a prononcé d'une voix émue les pa1
* neuf
renardeaux; grâce à la perspicacité de
MM. Vaultrin, ancien inspecteur des 10
fo- <.Louis. Delhalt, Gardel, Lyon, Martel, Piev
pa- Léon
et du Faubourg Saint-Jean.
\
liani-coloncl
L'Iioste, Mézières, sénateur.
r
son,
Watrinet,
soldats.
—
5-13,
Collession,
n,
rôles
1
suivantes
auâuiMMHK',K«>
^
...
M.
Mirgon,
les
chasseurs
lunévillois,
qui
t
u
rêts, 20 fr.; Chartron, 20fr.; le commandant
«
Le transbordement des vrjyageurs a du
dû 0
a,m sous-lieutenant.
l,de
' Lebrun, député, Ladret, conseiller d'arn-!.
ont
loué
le
droit
de
chasse
dans
la
forêt
n
Messieurs,
è
Larguillon, 10 fr.; C. Aymes, 12, cours Léoêtre opéré pendant le restant de la Jourur_ t
^ tassement, Féry, maire, de Saintignon;
'p0.' , Séries remboursables. — 6-TbaHes 18 ' "» L.o président de la.Société da prévoyance ul de ^
Parroy, auront un supplément de gibier
[
pold, 10 fr.; anonyme-, 10 fr.; Audiat, présiesi
s
'<!«
née. ^JQtt ÇT ffû ïÛnfli i T
Président : M.'Petitier;
]t iSiecours
mutuels considère comme un pienx devoir
points,
Collesson,
sous
lieutenant
;
Delhalt,
ni
, npour
la prochaine ouverture de la chasse*\;
dont de chambre honoraire à la cour d'apj
*
Une
équipe
spéciale
est
venue
procéder
à
n
a
a
e,
Vice-prêsidërits : MM. Mercier, Robert ;
<j' de
et t
P- <Kenel, soldats. — 6-17, Grelot, Velte, offl^
! sa charge, de retracer brièvement la longue rï^g
ils
déploieront
en
reconnaissance,
loot
leur
la
réparation
du
càlile.
,u
pel,^50 fr.; Paquy, avocat à la cour d'appel,
,',. laborieuse carrière de M. .leau-Baptisl»-Nicolas
Directeur ue.tir : M. J.-B. Marie;
?eI> ciers : Jost, sergent ; Achin, Coubé, Diller,
zèle pour débarrasser notre contrée des sanin
t ' Labriet at d'exprimer, devant cette tombe qui-Vat
7a
" 1,. 'Sous-dircctêùrs de lir : MM. Meyer,■ BfThomas,
soldats.
—
6-16,
Meunier,
Klein,
j
Mendiant»
arrêtés
I
n
gliers
qui
causent
sa
grave
préjudice
à
MM.Grillot.aToué, 10fr.; Barthélémy et De- ,
> se fermer, les sentiments d'affectueuse reconnais*
pe- offleiers;
Strauss, sergent: Cougy, capo, ïagriculture.
Les cultivateurs et les petits|s doux, La tarse, Geoffroy ;
•O- isauce que les sociétaires et les administrateurs
«rs ?; Le nommé Comte, âgé de 22 ans, un mal*
lacour, 10 fr.; Hasse, professeur honoraire,
ire j
Secrélair-'-trésorier : M. Brocard ;
ral;Bolliel,
Dominique,
Pàrmentier,
Wa.
propriétaires
leur
en seront très reconnais^aéprouvent
pour
set
Irente-ieux
années
de
loyaux
I
iiis heureux aveugle, et son frère, 14 ans, tous 1
15
20 fr.; Alfred Crépin-Leblond, imprimeur1
u'- trinet,
" ,- Assesseurs : MM. Person, Rémy Samsons»Wa(s.
?r sants.
et dévoués services dans la mutualité,
C
deux
l)a!>it.ant.Jarville. ont été arrêlés mer• iileur, 20 fr.; Alfred Spire, 23, rue de Metz,
lz
Courty, Jacquot, Frilley. »
(jjAprès s'être essayé, ron sans succès, dans l'en{
^ La iniatrième séance aura lieu le dlman20 fr.; Gérardin, ancien conseiller à la cour
diBriey
'ejcredi
par la police de Nancy pour mendiou
. seignerosnt pub'ic. d'abi»rd cômrnc i:istitutenr ad
ad- (
)U
d'appel, 20 fr.; J. Estienne, rue de Serre, 7,i che 25 mai, à la dislance de 400 mètres, cou~
cité
aux
passants.
r
Une
liste
de
souscription
circule
en
ce
•
joint à Nancy, puis comme Instituteur à Art-sur—
su*H
.,
.
> '1 ché, au champ rie Ur du 37* régiment, d'ince
..,,»,,.,«»
*
20 fr.;
.
Weuithe, à Houdemont *t i Vandoeuvre, localités
moment à Briey pour venir en aide aux
ités
Tram de pèlerins alsaciens
ux
y
MM. Boyer, 64, rue Stanislas, 10 fr. ; To- fanterie; les tirs de rappel seront exécutés où il a laissé le souvenir d'un fonctionnaire exact
victimes de la catastrophe de la Marlidans la position de la séance précédente et
iiEtat civil de Nancy du 2! mai
Mercredi, à sept heures et demie du soir,
hler, receveur municipal, 20 fr. ; André, „„"
noet et b'.er. pénétré de ses devoirs, M. Labriet occun
?!rà.t \tiique.
°' sur les mêmes cibles.
un
trarri
venant
d'Avricotirt
a
amené
pait
un
poste
de
commis
au
greffe
du
tribunnl
de
!
a
taire, 20 fr. ; Mme Poinsignon, 20fr. ; MM.
je
Naissnnces. — Malhilde-Juliette Arna'v
1
;
de
Le conseil d'administration rappelle aux
§70, Nan.-y
huit cents pèlerins alsaciens, se ren] JD'un autre côlé, le comité de Briey sut
UX 'Nancy, lorsqu'aux premiers jours de juillet 1870,
'
en
1,'l'f! Notre-Dame, 29. — Margnerite M;-François Lelièvre, 10 fr. ; Moreau, avocat,
cat
- l'Association des dames françaises vieul
»
militaires
de
toutes
armes
appartenant
à
la
la
à
la
veille
de
la
guerre,
ses
pairs
éclairés
des
coft-ot>'
dant
à
Lourdes.
'
20 fr ; Jules Moreau, 25 fr. ; Mme Ange
1 e
Ire ville, 10. — Raymoi*!
. £eils i!u président de la société de Prévoyance, M.
Mk
8
réserve de l'armée active et \ l'avmco terA huit, heures, un train spécial a ^
été d'envoyer une somme de 200 fr. pour les 'B.-:- ''"I"i,^1 on
noux. 50 fr.
Pr
rue de VAbbé-Grégoire. 5.
: .
firutiement, t'appelèrent à la garde des finances
de
jformé et les pèlerins ont continué leur
ritoriate
et
à
sa
réserve,'
qu'ils
peuvent
faire
is
de
MM. le baron Guerrier de Dumast, 100 fr :
[Ai
Décris — André Gircourt, 60 ans. v..
,
celte AsxqciaUûn.
eur; j _ Malgré le temps incertain et plutôt
.
«,oute.
cSJ partie de la société, sur la présentation y.
de
c
René Thomas, 3. rue de Serre, 10 fr.; Cerf
D s'éprit p^Ksiopnément des fonctions de trésoeri
froid qui régnait dimanche, lundi et mardi
es0
lfii 'hoiioi-«ire à la cour d'appel de Nan. y.
-leur
livret
militaire.
Les
adhésions
et
coli;
Menus
«ait»
Bloch, 61, rue Saint-Dizier, 5 fr.; Léon
'tl- (rier. Le dévouement et le zèle, qua.de concert avec
.er. 1Ca'.lôt.» — Catherine Greff, 15 ans l,-.
derniers, la foire de Briey a été d'une cerî0" sations sont reçues au champ de tir à tou-|
1
3U-IMM. Rliretet AébravT'tz, U apporta dans l'établUJoseph, rue Raugraff, 5 fr.; Gardeil„pr<>fc-<
biisLa police de Nancy a arrélé Nicolas Fres'
Jrs sans
profession, Grande-Rue, 37.
res
res- taine
animation pendant ces trois jours,
les
les
séances.
t
T sèment di-s actes de comptabilité, dans la gestiott
seur àla Faculté de droit, 25 fr.: Housse»nx.
neau, 2S ans, marinier, sa femme, née Ma- :suri -ut lundi, où un grand nombre d'étraumx, ,
. •
j et la reconstitutiondep finances de l'osuvre, leition
an«
siS1
négociant, 5 fr.; Gerber, commissaire spéi
rie Dageois,- 30 ans: Alphonse Hardy, 35 |ers sont venus des localités voisines et du
3pi
Incendiaire en fuite
gnalèrrnt à l'attention d'un important établissementf
du
cial, 10 fr.; Mme Bauvieux, 20 fr.: M. René
ans. marinier, sa femme, née Marie Bertilrtil- pays annexé.
TVATlOîVALB (vie) Situation hors pair.
on recherche activement un nomméJ, da crédit, la Société Générale, qui le proposa bienMichel. 20 fr.: anonyme, 20 fr.; M. Rcy,tènè
in..ûU" lat. 28 ans, tous en station au port Saintetôtà l:i i:*isse de la succursale qu'elle venait d'où
Rentes viagères, assurances, mixtes, dotales
>in" Georges, de Dommarlin-sous Amance. " ' yrir
génieur, 10 fr.
à Nancy.
Vilïernpt
Catherine, pour coups et blessures el jel"Je
de
Itenseig. gratuits et brochures, 7, HUE DESCAH^'
Cet
individu,
dont
les
facultés
mentales
Total de la journée du 21, 1,185 fr.: re!CS
cepuij ceite lointaine époqne del870, M. I,abriet
r
seur
Nous avons mentionné une correspondait
b iet pierres sur la personne d'un entrepreneur
^ .soqt des plus affaiblies, a mis le feu dans,
ian
port des listes précédentes, 21,518 fr. 50. —
——'
♦
*2S
— l'aiiivilé fait homme — est resté le iidèle colla0na. et d'un débardeur.
ce de Villerupt qui contenait certaines ap- •;
'•
la
nuit
de
dimanche
à
lundi
à
sa
maison
siTotal général.22,703 fr. 50.
Si- beimeur, \r bras droit, de tous', ceux que la conpréclalions
pou
{laiteuses
pour
le
directeur
tuée à Dommarlin.
Avis aux cultivateurs
eur jyiustQUB MII.TTAIRB. — 26e d'infanterie--"
ftjtuc ■ ,es sociétaires a mis à leur tète,
M. le niairc a adressé aujourd'hui
.
d'un café-concert de la localité. Celui-ci
îi à
à
II y aurait attiré au préalable une periact,
MM- "Vllgrain, Simon et Cie payent tes
ii-ci §91 Programme du jeudi 22 mai 1902, de
erSi -m.ivciant le trésorier scrupuleux et exact,
M. le trésorier-payeur général la lettre
]ll nousécritune lellre de protestation dans
ni! Ile sé véré 1 àore miis'touiours iuale défenseur
:ttre sonne du pays qu'il avait- enfermée el 'qui
ir de i bons blés vieux ou nouveaux 21 francs tes
ans 3 h. à 4 h. \\2, a la Pépinière :
,
suivante :
ies
laquelle il dit notamment : « J'ai seulement
s'fest échappée à grand'peine du foyer de
r • 1100 kilos rendus aux Grands-Moulins.
tent
1. Allegro (Boucbel). —2. Les diamant*
1
« Monsieur le Trésorier-Payeur
Idt-.i'
.
..-us
oui
saisi
l'influence
lii'créte,
mais
a déclarer que ceux qui ont rédigé cet arli•eur rincer die.
irti- de la Couronne, ouverture (Auber). — A,
pi. f, c, le «ju'il exerijait sur les destinées de la So»
, .
général,
„ cle fonl voir leur jalousie contre mon éta' La
Sentinelle de Saint-Max "
iJ.-A'. — Georges a été arrêté mercredf
éta- Scènes alsaciennes (Massenet). — 4. L^
a
onneur de vous fai
blissement, avantageusement connu, en
en jardins d'Arrnide, valse (Godefroy). r~T'
™™,
<
« parvenir
enir à trois heures du soir" à Nancy, faubourg
Ul'g | t'ei sonne, parmi nous, no s'est i tonné quees»!
Mtj La Sentinelle de Saint-Max, qui vient*•
de
pour les sinistres de la Martinique, un sese- Saint-Georges.
t
de
•
i pi ivarit la vole de la presse. Du reste,, on
on Le Trouvère (Verdi), — 6. Marche jubi| longs et dévoués services mutualistes aient été,
été, «prendre
J
part au concours national de gym'
ym- 'coiuiait leur numéro. »
laire (de Merlier),
D
TJ
.....
.
ï
L
1
s
41'
f
,
35
M
8
EST R&PUBLICAm
Jeudi tl
Mai 1902
bles. Il y va de leur propre Intérêt et de
On a fait preuve à Vienne de la plus
l'intérêt général.
grande discrétion à ce sujet, On a interSéance du 20 mai
On reconnaît extérieurement la présenc*
dit aux jonriiaux d'y faire allusion,sur le
Vols. — Antoine Comte, cavalier au 9» du phylloxéra à ce que, sans transition,
désir, dil-on, exprimé par l'empereur luidans
ou
plusieurs
endroits,
la
végétation
de
Et;stbliia**em*"Vît naosièle orée s^écinlomt'iit ponv fournir aux
dragons, à Lunéville, est ce militaire qui a|
même.
mulaïU'x et aux. eiiia»*** un luit ricli« et |>in-, *IIVaiit t*utca les
(Jèjà été condamné, à un an de prison le 29 la vigne est très faible. Les surfaces ainsi
Sarautict» «i proveu^ut de vaches Vitccméoes contre la tuberculose.
LE MAUVAIS TEMPS.— Le mauvais temps
avril dernier par le conseil de guerre du 20« | atteintes affectent la forme d'un cercle dont
corps pour vol do divers objets commis les ceps sont d'autant plus malades qu'on continue à être général en France.
chez un officier dont il était l'ordonnance. se rapproche du centre. Si le mal reOn signale do divers points des orages
A la suite d'un supplément d'enquête il a monte a plusieurs années, les pieds du el même de la neige :
WH VEIWE A JEUK PURGE AGRÉABLEMENT
milieu
peuvent
être
complètement
desété établi que Combe avait également déro♦
Valenciennes
(Nord).
—
Le
clocher
de
bé des pantalons, des bourgerons et des séchés.
rue Saint-Georges —
rue de la Commande rie
Ne pas confondre avec le pourridié qui l'église de Billion vient d'être entièredraps.
11 comparait à nouveau pour ces faits de» fait également périr des ceps, mais par ci, ment détruit par la foudre. Les deux pevant ce conseil qui le condamne à un an de par là, sans ordre, et sans donner lieu aux tites cloches qu'il contenait sont comprison et décide que cette peine se confon- taches circulaires que nous venons de plètement fondues. Les dégâts sont im6ignaler.
.
dra avec la précédente.
portants.
Un des traits les plus amusants de. la carrière
*** Jules Jolivet, soldat au 79'd'infanterie
l<o shah à Contrexévllle. — Le
Paris.— Un violent orage s'est abattu dugouveraeur deVilna(Uussie), locomlede W&bJ
à Neufcliileau, est un individu d'intelli- shah de Perse arrivera à Conlrexéville le sur Paris, et la foudre est lombée>à trois qui vient d'être victime d'un attentat politique, est
gence des plus médiocres et d'une malpro- 3, et non le 2 juin, par train spécial de la
reprises, sur la tour Eiffel.
ccltti-ci: ayant, un jour, tenté de vains efiortsj
preté repoussante.
compagnie royale de Berlin, mis à sa disMoulins. —Le mauvais temps soulève pour calmer une émeute formidable d'ouvriers
Le. 23 avril, son sergent de section, lors position par l'empereur d'Allemagne. Le
ii les menaç;i d'appeler les
A i»urtir da 5 Mai
d'une revue de détail, trouva dans son pa- shah sera reçu à la frontière, à Pagny-sur- des plaintes générales dans nos campa- près de Pélersbourg,
et de faire tirer sur eux ; puis, il alla au
quetage un étui-musette et un ceinturon du Moselle, par M. le préfet de Meurt lie-éi-Mo- gnes où la situation des récoltes est très troupes
Pour cause de cessation de commerce
lôi#[.dono et appela tous les pompicre de Péters5" régiment de chasseurs à cheval, une ser- Selle, et à Contrexéville par M. le préfet des' compromise.
bourg auxquels il donna l'ordre d arroser copiou-:
viette appartenant à un soldat du 79*, et 15 Vosges et par M. Morel, msire de ContreLa grêle est tombée en abondance el sèment la foule des ouvriers. Et, comme on était
lacets do orodequins.
xéville, qui lui souhaiteront là bienvenue il a lonné durant plusieurs heures. La en plein hiver russe, ce procédé fut aussi efficace
Jolivet, interrogé sur la provenance de au nom du gouvernement et de la popula- température est extrêmement froide pour
i«» Mie de la Faïencerie, fVArV'CT
qiioujueAnoius meurtrier-qu'une fusillade.
ces objris. déclara qu'il avait soustrait les tion lorraine.
1
(U
s'utait
sans
doute
souvenu
du
moyen
employé
.
la
saison.
lacets au magasin d'habillement où il était
Rafoni^ Airtu<> sur t©«t*»s» Ses mnrchaudiMCM. tluautlfé eoii»i«3éraB>ïe
On procède à l'organisation d'une garde
Le Creusot. — Depuis plusieurs jours e!i ISSi, sur la place Vendôme.à Prris, par le ma- d'artieles telw^Ueï Chemises, pantalons, camisoles, mouchoirs, torchons, loaneleric, «le.
employé et qu'il avait trouvé le reste. — Un d'honneur au shah de Perse, laquelle sera
récnal Lcbau.)
*
'
le
mauvais
temps
règne
dans
noire
réan de prison.
constituée soit par des détachements de
Abus de confiance. — Le 18 avril, le gendarmerie, comme en 1900, soit par un gion. La neige est tombée en abondance;
Le général de brigade de Sdrwarzkoppen, ancien ,
canonnier Léon Zeddé, du 39" d'artillerie, à escadron de chasseurs fourni par les garni- les montagnes environnanlessonl restées
francs ; 221,000 fr. par sufîe de la réduction
atUené militai» allemand à Paris, dont il fut si 1 ilution des cinq millions payés à la banTouî, étant avec deux de ses camarades, sons de l'Est.
couvortes de neige plusieurs heures.
me Girard, d'Llbeuf, constituerait un ac- de la production et 2,670,000 fr. par suite de
souvent
question
dans
l'affaire
Dreyfus,
vient
j
rencontrait place du Marché un individu
Saint-Etienne. — Dans le haut pays, d'épouser la comtoise Louise de Wedel. La céré- I if permellant uno oxcellenloréparlilion. la baisse du prix du cuivre.
Ronvres-cn-Xalntois, — La genqui leur oJïnt une montre en vente. Les mi- darmerie
Le rapport des administrateurs ne fait
a
arrêté
Joseph
Meyer,
âgé
de
52
la
neige tombe sans interruption. Le monie a été célébrée dans la plus stricte intimité. 1 nais |L Duret, ancien liquidaleur de la
litaires- ayant refusé cet achat, se rendirent
aucune
allusion à la baisse des titres, et
ans,
sans
profession
ni
domicile,
en
flagrant
mont Pilât est couvert d'une couche
, 1 >anque Girard, a déclaré qu'il n'y avait quant aux conditions défectueuses de l'ex
peu après dans un débit où ils retrouvèrent
Le 13* congrès international des mineurs a com- ^ t cet égard aucune possibilité de restitu- pioitalion, il insiste seulement sur les diffiblanche de 20 centimètres, et dans les
le marchand qui, après avoir renouvelé son délit de vagabondage.
— Les travaux de
immenses bois de Saint-Genest-Malifaux mMiçcitfes délibérations à Dusseldorf (Allemagi.?). j ion.
offre sans suecès, quitta l'établissement. la GcEnmelaincourt,
cultés de main-d'œuvre.
verrerie sont commencés et vont être
Quelques minutes après, Zeddé sortait du
les communications sont rendues très Il y a environ 50 c^'égués d'Allemagne et plus de
L'obligation 4 1[2 0[0 de la compagnie cote
poussés
avec
activité.
La
nouvelle
société
cliâtoaiix
cnn(i»>ï"îolé»
40
délégués
d'Angleterre.
'
débit. Il retrouvait l'homme à la montre
507 coupon semestriel de juin compris. C'est
difficiles.
'"
occupera,
dit-on,
un
grand
nombre
d'ouL'Autriche,
la
Belgique
et
la
France
sonl
aussi
Malgré
les
scellés
et
les
gardions,
on
qui lui confia cette dernière avec mission
un prix avantageux.
Dans la plaine et au chef-lieu les rafa- représentées.
vriers, ce dont se réjouissent les habitants
( iontimie à cambrioler les châteaux des
de la vendre.
Mines d'or Roodcprrtviml de reprendre
les de pluie et de grêle font rage.
des
communes
avoisinantes.
»poux Humbert. J3n connaît la visite des ses broyages.
L'inculpé se rendit aussitôt chez un M.
mam**m»-^
Privas. — Le froid continue à sévir. ^ Au déjeuner qui a ou lieu mardi au Nouveau- ! 'ol-eitrs au ckàteau des Vives-Eaux, près
Eemircmont. — M. Alphonse FranGantier qu'il avait connu lorsque celui-ci
Treasury. —■ Le dividende de 6 shellings
était cuisinier à la cantine et lui dit qu'il çois, menuisier chez- MM. Roussel et Tliia- La neige est tombée môme sur les altitu- Palais d* Posldais, après la revws de la garde, le Melun. Voici maintenant quo c'est le es t payable contre le coupon n* 5.
avait une permission pour aller à Paris, ville, a été blessé à la jambe droite par une des peu élevées et sur les hauts plateaux l'empererm. d'Allemagne a adressé un vivat à l'em- : our du châléau de Celeyran, dans
Chemin» «le fer ïownx exploimais qu'il ne pouvait en profiter car il était pièce de bois. Incapacité du travail : six qui sont recouverts d'une couche épais- perscr de Russie.
tés! et garanti» i»aî- I*Iî«at autri'Aude
:
j
sans argent pour payer le voyage. Il offrit jours.
se. De fortes gelées ont élé constalées.
Le sergent Iloff, le brave Alsacien, i.iros de
« Narbonne. — On vient de constater chien» — La série en cours d'émission ne
— Mlle Marie Brenet, employée à l'usine!
alors-en vente à Garnier la montre contre
lardera, pae à être épuisée
Champigny et de vingt audacieux coups de main
de la Tuberie, s'est blessée à une main dans! Les récoltes sont sérieusement compro- en 1870-71, qui, depuis plus <le vingt httit «ns, oc- ci lue les scellés apposés sur une des porlaquelle 8 fr. lui furent remis.
de titres do 400 couronnes, ion
es du château de Celoyran, propriété 42011 fr.s'agit
Zeddé, au lieu d'aller livrer cet argent, se les lames dé sa machine. L'incapacité de mises.
rapportant un intérêt ae 4 OiO net de
Saint-Pons (Hérault). — Il est tombé cup::ille poste de gardien de l'Arc-de-Triomphe , les Humbert, avatenl été -brises dans la tousimpols quelconques el payable semesrendit dans les cabarets et le dissipa en travail est de dix jours.
— Le même jour M. Alphonse Rouhier, de la neige en abondance dans loùs les de l'Etoile, à Paris, va prendre sa retraite.
Miit et que plusieurs personnes avaient triellement les 1er février et Ie' .août.
boisson. Le lendemain, plainte ayant été
mécanicien
chez M. Bolmont, ajustant une hauts caulons de l'arrondissement de Stportée, l'inculpé fit des aveux complets. —
La,Banque Renauld et Cie les cède à
Il y a des vidimes de l'affaire Humbert qui [ iù s'introduire à l'intérieur. La justice
pièce au tour, reçut les éclats de fonte dans Pons. 11 fait un temps excessivement
^Crois mois de prison.
1 «for n te- »
417 fr. 50, sans aucuns /'rais, ce qui
excitent
un
apitoiement
général
;
mais
U
en
est
les yeux. U en esl résulté une conjonctivité mauvais.
C'est donc un épisode nouveau à ce fait ressortir un revenu net de plus de
d'autres.
des deux yeux qui entraînera une incapa4 OiO.
ikJlkJ
Fourmiguières
(Pyrénées-Orientales).
Ainsi,
on
annonçait
Lier
la
liquidation
d'un
(
:opieux
roman-feuilleton !
cité de travail de huit jours, sauf complica
C'est un placement en Rente autriLA
boursicotier
entraîné
dans
le
sombraga
universel.
—
La
neige
esl
tombée
abondamment
sur
lions.
chienne, ayant en outre une garantie hypo— Honneur au couric.gc mnîlieureux! dit quel— L'assemblée générale annuelle de la le canton de Montlouis. , Les routes sont
LE KRACH DE LA BANQUE DE BOUKGOG^. thécaire sur un réseau de chemin de fer.
IRQTOÏ RANCT. — Tous les soirs, à 8 h. l\2,
; obstruées par un mètre déneige; les qu'un en manière d'oraison funèbre.
société
de
secours
mutuels
des
ouvriers
— On se rappelle l'affaire di le le krnch
grande représentation. Dimanches, jeudis et jours fériés, deux grandes représen- aura lieu à l'hôtel de ville dimanche pro- communications sonl interrompues.
A l'Aéro-Club •
( ie la banque de Bourgognaj à Dijon,
Paris a Frctnc/ort, 81,25-30..
Le bétail meurt dans les étables, faute — Ne troavez-vous pas qu'on devrtiit interdire i svaluè à sept millions. Le tribunal
tations à trois heures et à huit heures et de- chain, 25 courant, à deux heures et demie
du
soir.
•de
foin.
Les
populations
sont
constermie. A chacune des représentations, les
ces -ballons périlleux et leurs tentatives homi- j i Je ^ftm-merco de
celle ville vient
phoques savants.
nées.
cides ?
d'homologuer le concordat. Les clients
Vienne (Autriche). —' Le professeur
— En effet, ce sont des ballons-décès.
op perdent tion, il seront remboursés à
«|"HÉATRK BoRGfîfTKT. — Place de l'Académie.
Falb, connu par ses prédictions météore»
cent pour cent, résultat ainsi obtenu par
1 Speclacles de la semaine : mercredi 21,
.
Jj'Qbsession.
logiques, a exprimé récemment sa siklis- é
Saint-Avold
Le Voyage de M. Perrichon, comédie en
,_w_ _ la rentrée lie loules les actions souscrifaclion de voir que ses pronostics (»e sonk Au restaurant :
les et par dos versements volontaires
quatre actes ; jeudi, Le Maître de Forges.
M. l'abbé Lemire, curé de la paroisse, jusqu'ici accomplis presque littérale-' — Jimisieui- prendra du potage Parmentier?
f est la Compagnie d'Assurances s?er la*
pièce en cinq actes: vendredi, Champignol souffre en ce momeiU d'une grave affection
— Merci ! soupé do l'affaire Humbert.
; l'ails par tes membres du conseil d'admir
Vie et de Rentes viagères
|
malgré lui, comédie en trois actes.
ophtalmique qui no lui permet plus de rem- ment.
nistration
de
CAlte
banque.
Un
d'eux
noi.
■
—|
A ce propos, il annonce pour les derplir ses fondions sacerdotales. M Golbus,
|
LA PLUS IMPORTANTE DU P/IONDE
|
tamment a Versé un million et demi.
«^■HKATRE-SALOH CA.RUEI.LI.^Grandes reprë- ancien "député au Reichsiag, est chargé oie niers jours du mois de mai un temps
SAVOV DU row.o
moins mauvais,' sauf une journée épouCet exquis Congo en vaut quatre :
1 sentations extraordinaires par le pro- remplir cette vacance.
Si vous en oeoa tous les jours,
fesseur Carmelli, prestidigitateur. A chaque
15 .«Àï ^iii fi ^ *2 .V'i
vantable. La première semaine du mois
Voivc p '-ui restera toujours
séance, le « Royal biograph », ou ciuématode
juin
sera
pluvieuse
et
relativement
On
annonce
la
mort
de
M. Quilloué, maiFerme
"et
Blanche
comme
l'albâtre.
graphe perfectionné, sans trépidations, sans re de la commune de Lcssy. Le défunt était froide. Le G juin sera un jour critique des Docteur Sanitas au ■parfumeur Vicfior "Vaissier. ; m Les îamillcs WTJRC.AT, PEDIUN et g
§►
d'Assurances en cuur»
scintillements.
y GTJIL"LB-MIN remcrcionl" ntncérwncnt lè« M
adjoint de. la commune depuis 1865 et maire plus graves ; il y aura à celle période
m
personnes
qui
ont
bien
voulu"
leur
témoiH
depuis 1882 jusqu'à ce jour. 11 laisse.de vifs même de la neige. Vers le milieu du
Le professeur Carmelli, du musée Grévin regrets parmi ses administrés.
îf j?ner leur sympa-luie en assistant aux obsë- M
.mois, le temps deviendra sec ; vers la
p ques de
J.
uirectpraci
ît du théâtre Robert Houdin, a commencé
fin, il y aura pluies et orages avec abaisStrasbourg
ses grandes représentations, qui durent jusf
20, rue Saint-Georges, Nancy
qu'à onze heures un quart. Georges Hlrlomaun, garçon de bureau à sement de la température.
| IVlonsieur François HUSCÂT
Les représentations du professeur Car- la poste, l'auleur du voi commis au mois de ( Le mois do juillet no sera pas chaud
melli sont spécialement recommandées aux mars à la pople de Strasbourg, a comparu j non plus; il lombora même de la IK\U\>
——i—Pi ■million mi
muli «HIIHIM——■»!, m, *i nll l m
w
familles; la réputation du célèbre profes- devant le tribunal correctionnel. On con- — encore! Le mois d'août aura une tem'affaire
seur, méritée par douze années de succès à naît-les faits. Le 20 mar% vers dix heures pérature, normale.
i\.
Paris, est un sur garant de. la composition du soir, une sacoche contenant 34,-OOOmurk,
IS, rue Gam'hs"9, K/W»C¥
Il esl vrai que d'au 1res météorologistes
du spectacle.
qu'avait amenée, avec d'autres coll.-'. un
nous
prédisent
au
conlrauté
ùû
mois
de
ie
Tous
les
jour.3 C0ÏSm,TOJ0î-ÏS
Pour ces soirées exceptionnelles, M. Car- fourgon de la poste, disparut de la voiluDT la Bsntjue-fienaijid & C , à ïiancy
Nous avons dit que la Renie viagère
de 8 h. kim«i ^llcflfti W.ÛIt'»06
melli a su grouper une série d'expériences rette s m' laquelle ces colis avaient été his- juin très chaud. Espérons que ces derCapilal 4 millions
po*.-*'■ ' ; ai L, eu f lus & G plusieurs, i.m meuhlep
inexplicables et inédiles, dont l'imprévu sés sur le petrrou. Hirlemann avait profilé niers auront raison.
augmente le charme. L'espril et .la fantaisie d'une courte ab-.ence du conducteur -des
a Paris, de nombreuses propriétés eu
1
La Bourse - nlle'nd les bras croisés< le réde ces expériences justifient d'au;; :;; plus postas pour s'emparer de la sacoche, qu'il
Ar.ciDE&T A UN GÉNÉRAL. — On mande province, toutes acquises moyennant une
des négociations dans l'Afriu'ue du
leur succès qu'elles sont toutes du domaine alla enfouir, après en a/voirenlevé HX) mark, do Dijon :
ren'.o viagère au vendeur. Ces renies sultat
Elle finira par trouver le temps lon^.
dans un terrain vague prés de la porle de
de l'inconnu. ,
« Lu accident qvd n'aura, il faut l'espé- oui, d'ailleurs, élô jusqu'ici très réguliè- Sud.
'
quai du-Canal. Nancy
. AlclrQjpli\Q.in. — Le dividende de 15 fi\
En venant assister à une représentation .Kehl.
| rer, aucune suiîe fâcheuse, malgré i'à'ge rement payées el constituaient, en appa- géra payable le 1er juillet, sous déduction
M.
CH
A M R AY procède à la déguRfstC'était
un
vol
de
denx
saucisses
commis
du professeur CarnièlFi, on peut cire assuré
tiou et à la remise d'échanlil-loiis gratuits,
des impôts.
d'avance de passer quelques heures agréa- chez un ajubèrgisle du nom de V.'idmayer, 'avancé de la victime, vient d'arriver à rence, un revenu de premier ordre!
C'ésl ainsi qu'à Toulouse, où la Rente, L'appel du'2e quart sur les actions nou- tous les jours, de 2- à 5 heures. - - '
bles et de se retirer l'espril plein de bons rue de la Forêt-Noire, qui'avait pAii&jé Hir- M. le général Philpin do Piépnpe, anVente asi canifttiin'f""
et. charmants souvenirs. Prix des places : lemann à voler la sacoche. Un Individu du cien gouverneur militaive de Dijon, ad- i ingère avait acquis cinq ou six immeu- velles aura lioudu 10 auSOjnin prochnin.Les
0H PRÊTEDES FUTS 1UX ACHETEURS
premières, 1 fr. 50: deuxièmes, 1 fr.; troi- nom de Walthcr, témoin d$i voi> des saucis- mis au cadre de réserve depuis cinq bles, l'un des vendeurs louchait'un re- deux antres quarts ne seront probablement —^.^-w-^-w—
—p..^^. inTarr-Tn- ~nn-—- --yun wm'm*11
m.» 11.
sièmes, 50 centimes. Enfants demi-place. ses, avait, de connivence, a y ce l'aubergiste, jours.
venu de 5,500 fr. par an, pour une mai- appelés que dans le courant de 1903.
voici
quelques
chiffres
relatifs
aux
résulKks
in
déclaré
à
Hirlemann
qu'ils
te
dénonceraient
Jeudis et dimanches, matinées à' prix ré' ^ I VOS CHcVIUX
<™^™
Le général passait à cheval rue des son qui. précédemment, lui en rapportait
duits avec ' distribution des jouets aux en- à.l'adriiinis!ration postale s'il ne leur payait j MoitHfis, suivi par un bicycliste q".i, à un environ 2,000. Les propriélaires d'im- tats de 1'exeroice 1901 :
J% 8 »TAW"T?Mir PETPiOLE HW5H 4ntisepluni<
Receltes
totales
d'exploitation
8,550.234fr.;
Wi
iOûiiJhWl
LcTrésor
delà
Chevelure.
fants. Le théâtre 'Carmelli- ost installé au pas200 mark. Ce sonl les 200-mark enlevés ! niqirîenl donné, sonna de «a trompe.- Le meubles s'imaginaient donc avoir fait
dépenses 4,031,596 fr. D'où un coefûcieitJ Vente jiartflutS.SO el 4f. TIBEîtT, Lyon, 47, av. d. P«M|, Vùn
bout de la grande allée, nou loin des *"flft)fl- de la s-acwhe qu'il remiUle tendonmin èu •cheval,.effrayé, feo cabra et après pludes placements remarquables.
d'exploitalion de 47 16 0t0. Ce coefficient esl
vol commis à la gare,- à W altiier ; celui-ci
gues Busseq.0j, $
A Fiovaa.la société possédait plusieurs beaucoup moins élevé que pour les uamgarda 150 mark et remit 50 mark à l'auber- sieurs voiles vint s'abattre sur la bicyLé
YENt "™
! dette, dont le conducteur avait continué immeubles. L'un fut habile en 19*30 par ways électriques où il atteint couramment
Grand Café de la Comédie : RGTOHDE gisle.
On sait comment les soupçons se portè- a marcher près fl.e l'anirtil. Le bicycliste la famille d'un grand-duc de Russie el 30 0[0.
Chirurgien-dentiste
Seul concessionnaire des bières de Pilsen et rent immédiatement sur Hirlemann. qui fut tomba et se contusionna au bras et à la l'autre a ser ri de caserne de gendarPart versée à la ville, en vertu de l'acte (Diplôme d'honneur, deux médailles d'or)
de Culmbach (tirées au fût).
, ,1:^ arrêté et fit des aveux complets. La 'poste
de concession : 2,778.133 fr. 50, soit 32,50 0[C
NANCY — 47, rue Gambetta — NANCY
m
Concert tous les jours dans res jardins et rentra en possession de Août 4'wrgeiit volé. face.vy A M ]
Quant au général, il fut projeté sur le"
Divers créanciers te sont réunis pour environ de la recette brute.
Consultations de 9 à 5 heures.
dans la salle de 8 heures et demie àminuil. Après <ke longs débats, le tribumvl a conBénéfice propre à l'exercice 1901:1,942,1 U
trotlnir où, sous le coupde la commotion examiner par quels moyens ils pourront
damné Hirlemann à deux ans de prison ;
fr.
15.
11
serait
inexact
de
dire
que
c'est
là
g|RASSERIK-RESTAtTRANT MlGHATT, à Maxé« k Wall lier; pour extorsion, à un an de prison, violente qu'ilressenlil, il demeura pres- sauvegarder leurs intérêts. Ils ont décidé
ta. sémunéraÉton propre du capital initial de
!5 ville. — Tous les dimanches, lundis, ■ -et Widmayer, pour recel, à un mois de la que évanoui.
eu principe :
25 millions, car ce capital a servi à des insjeudis et samedis soir, solo de violon, vio- même peine.
La Maisou V» AT as i A - J «IT ATT5Î.
Apres pvoir pris un cordial dans une
D'abord de faire examiner quelle est tallations telles que paiements pour l'usine
loncelle et hautbois.
pharmacie
voisine,
le
-général
Philpin
la part de responsabilité des conseils de de Bercy, achats de terrains, administration S, rue Saint-Jean, Nancy, voulant
La cathédrale «le Strasbourg
de Piépape a pu regagner à pied son do- la Rente viagère et des personnes qui centrale, qui seront communes à d'autres terminer an plus têt sa liquitluLa Société des architectes allemands
tioa, otfre aux acheteurs tous ses articles
lui avaient donne'l'appui de leur nom e! lignes.
s'est adressée il y & quelque temps au miciles
Le rapport évalue à 19 millions les dé- en brillants, sautoirs, broches, bracelets,
et l'aulorilé de leur silualion.
gouvernement allemand pour lui demanEnsuite, de s'opposer à lotit projet qui penses réellement afférentes aux lignes ex- ■ bagues, boucles-d'oreilles, épingles, bouder de contribuer .aux frais de la restauraATTENTAT CONTRE L'EMPEREUR D'AUTRIAssociation vçHgienne de Pa* tion de la célèbre cathédrale de Slrasploitées en 1901, soit un rendement de ! tons, montres, ainsi que l'orfèvrerie, la
CHE. — L'empereur François-Joseph a consisterait à faire' une distinction entre
ris. — Le prochain banquet de l'association ■ bourg.
JÛOO.OT ioû'i oj .ni. m js ->M
âm.
coutellerie, les bronzes et. pendules
le
capital
versé
en
argent
et
le
capital
failli
dernièrement
être
victime
d'un
ataura lieu le mercredi 12 novembre pro^
Chargeurs-Réunis. — L'augmentation
A
Berlin,
©n
répondit
à
cette
requête
par
représenté
par
des
immeubles.
Il
avait
i tentai anarchiste.
chaînefronftJWqïSD ïeSinomP* Wa* ne* j<
du
capilal
sera
prochainement
proposée
au
DESSOUS DU PRIX D
un refus assez sec. On donnait à en tendre à | Une bombe,enveloppée de papier.avait été question, en effet, de remettre simrote d'une assemblée extraordinaire.
l<e phylloxéra, — La présence du la Société des architectes qu'elle n'était pas
plement en possession de leurs immeuForces motrices du Rhône. — L'exercic* Magasin à
phylloxéra n'est pas encore olficiellemonl : qualifiée pour intervenir en la circonstance, I élé placée au terminus du chemin de fer
1901
laisse un produit aet de 520,508 fr. qui,
bles
les
créanciers
qui
avaient
vendu
à
i
de
l'Elat,
à
Vienne,
sous
'le
compartiment
iet
qu'il
appartenait
au
«enseil-de
fabrique
conslatéê dans les vignobles des cantons de
t
joint
au report précédent, compense presla
rente
viagère
maisons
ou
propriétés
;
•
du
wagon
impérial,
que
devait
occuper
Rambervillers, Mirecourt, Monthurcux-sur - ou a la Dicte d'Alsade-Lorraine-seuls defaicomplètement le solde débiteur laissé
j l'empereur à l'occasion d'un voyage do la silualion de ceux-ci eût.donc élé privi- que
Saône, Chàtenois, Goussey. Mais nous n< >' re une pareille démarche.
la première année d'exploitation.
D'ailleurs, ajoutait-on, l'empire n'a pas nuit à. Budapest..
serions nullement surpris d'apprendre sor ;
légiée. f*f
uilO U IA-J parSoléo.
— L'écart de 5,200,000 fr. entre les
Enfin les créanciers rechercheront les bénéfices
apparition, un jour ou l'autre, dans ces ré • de crédits disponibles pour des dépenses ; Un fonctionnaire du chemin de fer a
de l'exercice 1901 et ceux du prém
gig».
—i. -..t mm. .. . n i i .m,m Ti
de ce genre et la conservation des monu- i découvert la bombe dix minutes avant moyens de faire restituer à l'actif do la
cèdent se décompose : 1.33(5,000 fv, pour ciel
s
menls
incombe
exclusivement,
aux
autorités
Aussi, pour faciliter les recherches, les
faillite d'importantes sommes payées par' augmentations du prix de revient; lmillior i
j
l'arrivée
de
l'empereur.i
Alfred
GAIE,
gérant.
propriétaires et vignerons de ces canton; i locales. TUPjjl»Yw» oHM-H^
M. et Mme Humbert à divers-créanciers,
La Société des architectes ne se tien t pas 1 On a procédé à une enquête rigoureuse en faisant remonter l'état do failli to a une du fait que la réalisation des stocks a donw : Nancy. — Imprimerie coopérative de l'Est
sonl priés de vouloir bien signaler au ser
en 1901 une ierle de 83,000 fr. alors qu'elle
\
et
plusieurs
employés
du
chemin
de
fer
vice phylloxériquo les taches anormales ; pour balaie el a décidé d'en appeler auprès
51, rue SainMMiiier.
époquo antérieure. C'est ainsi que la res- #f$t laissé en 1900 un bénéfice de 885,00C i- . I ont élé révoqués.
qu'ils pommaient constater dans leurs vigno - du Reichstag.
CONSEIL DE GUERRE DU 20 CORPS
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,I
•
'
— Qu'y a-Vil donc? dit Cardez.
FEUILLETON de Y EST RÉP UBL1CA IN
Instinctivement Marcel se sentait en— Restez ! Restez ! Mon oncle seul l réN'57
veloppé par un réseau de menaces et de
haines.'Etait-ce donc toujours ce secret pliqua le jeune homme.
L'oncle'allonfea les jambes et le suidu général de Trémont qui attirait le déGeorges OÏ1ÎVET
sastre sur tous ceux qui en étaient, dé- vit. Sur le seuil,-déjà, apparaissait Bautenteurs % U chercha des yeux Baudoin, doin, prêt à barrer le chemin aux imporLES BATAILLES
il avait disparu. Le feu diminuait d'inten- tuns.
DELA VIE
— Entrez...Mon Dieu ! Entrez! ditMarsité. Les pompes versant dès torrents
d'eau sur l'approvisionnemctat avaient cel en poussant devant lui le vieillard...
éteint les balles de laine. Les bâtiments Baudoin, fermez la porle et mêliez la clef
de l'usine ne paraissaient pas gravement en dedans...
atteints. La perte se localisait. Le capi— Mais, tu me fais bouillir, cria l'oncle
taine de pompiers d'Ara, plombier de GrafT. Qu'est-H arrivé encore T
son état, s'écarta pour .an instant de la
— Voyez.!
mëléo et vint, rouge et tenant son casque
Arrêtés sur le seuil du ranharnaum,
Ils ont pris des tuyaux, à la main, parler a l'oncle GrafT et à Car- les trois hommes regardaient atlérés.
^ ont fait la chaîne avec ardeur. Et dez :
Le désordre d'un-combat bouleversait la
— Eh bien, messieurs, nous nous*en vaste pièce. Le grand fattleuil de cuir
quand ils m'ont TU paraître avec Gardez,
ils triaient i
j
i tirerons à meilleur compte qu'on ne l'au- gisail, renversé. Un rideau à demi arra« Monsieur G-rafï, -ce n'est pas nous ! » ' rait cru... Plus des doux, tiers do 1'usftno ché de la'fenêtre. encore ouverte sur la
Sur nos femmes et nos enfants, ce n'est sont à l'abri, maintenant... Je crois qu'on rivière pendait à son fcàlon brisé. Les
pas nous !» Il y a plus. Un inslanl après, peut souffler... Ah ! pendant une heure, bocaux, les cormies, lep alambics piélinés, écrasés, tordus, jôpchaionl ie planun des elrangors qui sonl ici, depuis huîti ça a élô chaud !
jours, un Luxembourgeois nommé Vers1
— Oui, sans M. Marcel, dit Carde»!, cher. Snr la table .ufe$ <&ahj§ de sang
tract, ayant éLé surpris à rôder autour nous ne serions pas avec vous, monsieur s'élargissait humide, connuesKquehjii'un
fût tombé là pour y mourir. Des gpuUes
des baUmenls, ils Font à moitié assom- Prévost.
mé, l'accusant d'avoir mis le feu. Il a
— Il a élé admirable, ce jeune hom- rouges avaient éclaboussé les papiers.
fallu le leur arracher des mains.
me ! fit le capitaine ! Ah! ÎM> mes hom- Lo tiroir do la table était béttnt.
-— Que s'est-il passé ? demanda l'oncle
Marco?! écoulait, sombre, le récit de mes, ni moi, non» n'avons eu l'idée de
l'oncle G fait'. 11 rapprochait cet incendie, faire co qu'il a fait..v-Pdur lo courau^e on. Graff a voix basse, comme avec crainte,
des singulières craintes manifestées, à, l'aurait bien eu... Mais il fallait penser.%. j — Fouillez dans le lirtoir, oncle GrafT,
rdii Marcel. Cherchez la formule que j'y
différen tes i éprises, pur Baudoin sur la trouer le plafond... Il n'a pas perdu
fdplacé devant vous.-,^j
sécurité du laboratoire. Il entendait le tête... Tout ost là! ' " ,;
:
— Eh bien ?
serviteur dire: 11 y a ici dos gens qui oui
Au même moment, ,'ùno voix pleine'
— Elle n'y est plus ! On l'a dérobée !
de mauvaises figures, en ce moment. Les' d'angoisse se fil entendre el du laboraouvriers disaient aussi: « Il y a des toire, Marcel pâle, bouleversé, aocoprut Cherchez lo flacon où était enfermée la
poudre de guerre et qui était sur la taOrangers ! » Un mystère planait sur tou- criant :
ble ? Disparu!..,
te* cet; choses.
— Oncle Graff... Venez vite 1
iâ
TÉNÉBREUSE
I
- ' '
pays, se sonl prcduits. C'est lui qui a fait 1 — Impossible î cria Marcel. Hans? Ce
— Volé ? Mais par qui ?
*9rloh JI'ÎSIXÏCB xWq ,oïif*
— Par qtiiaétemis le feu à l'usine? Quel allumer l'incendie. C'est lui qui a poi- bandit'
gnardé
le
général
de
TrémoaL
Cest
—
Monsieur
Marcel, reprit Baudoin
esl ce sang qui.rouçit lo plancher ? El
courageusement, mais avec uno infinie
par quelle main criminelle a-t-il été-ver- l'homme de Vanves, enfin c'est Hans l
tristesse, je l'y ai vu. Laforêt l'y a sur— Comment le savez-vous ?
sé ? Oncle GrafT, nous avons déchaîné
— Parée quo je l'ai vu. Laforêt, l'agent veillé, pendant une semaine. Il habitait
con Ira nous des inimitiés formidables.
Vovez ce qui so passe autour dos inven- du ministère, qué j'avais fait venir, pour dans les combles et ne sortait quo la
tions de M. de Trémont... Il y a uno ban- surveiller les gens que je soupçonnais ÎBwFlL
"
~~ —"
de de scélérats à l'œuvre, depuis des suspects,"et qui a payé sans doute de sa t -if- Et je ne m'en suis pas douté. Je n'ai
mois, pour dérober ces secrets à tout vie son dévouement et son zèle, l'avait rien soupçonné ! s'écria le jeune homme
prix el sans reculer devant rien ! Mon suivi, hier éoir, 'et, avec moi, l'a observé avec: uno stupeur douloureuse. Mais
père le devinait, lui qui ne voulait pas une partie de la nuit. Nous avons assislé qu'est-ce donc que celle.femme qui était
me laisser m'occiipcr do cetto découver- à ses conciliabules avec les chefs de la- là depuis six semaines î El quelle cométe, Baudoin le savait qui me demandai! à grive, à l'auberge -du Lion d'or. Nous die atroce jouail-elle vis-à-vis de moi?
— Ah ! murmura l'oncle Graff. Une
veiller dans lo laboratoire. Il a fallu l'in- l'avons entendu faire ses recommanda-:
cendie pour le contraindre à quitter son lions, donner ses ortlros... C'est à lui que: femmé! Encore uno femme! Incorrigible
■ '
posle, et sans doute, s'il était resté ici, les malheureux ouvriers, égarés par les' enfaott*1* •"'
Marcel, assis près de la table, sur tu
ce serait, son sang qui aurait coulé... déclamations des meneurs,'obéissaient"
Mtiis qui est celui qui a versé ici le sans le savoir. C'était lui, ce brigand, escabeau, le front dans ses mains, cherchait à rassembler ses klées. Frappé on
sien?
.. 't««ausi*i qui de loin, à l'écart, obscurémeut, diri_ Voyons, mon enfant, jet en prie, geait l'émeute, ordonnait lo pillage et plein rêve, il tombait du ciel, on il planait, dans la bouc et lo sang.
calme-toi, dit le vieux Graff, effrayé par lincendie ! :
— Mais voyons, c'est impossible, iv
— Mais comment a-t-il pn savoir que la
roxo-llalion grandissante de son neveu.
Parlez, vous, Baudoin,, expliquez ce que formule récrite était dans la table au la- prit-il la yoix tremblante. Comment
boratoire ?' Comment a-t-il pu entrer pourquoi,» r»'aiuail-e!!e si alroceme;:i
vous savez...
" '— Monsieur Graff, |o sais qui a élé ici ?
> t * irl£k 91M3| I mm V * dupé if A vail-elle besoin de me rendre
— Tl esl entré ici, parce que j'avais- fou d'elle ? Non, je ne puis la croire coufrappé ici, je sais aussi qui a frappé. La
victime est un homme dévoué a notre courti au feu et abandonné mon poste. 11 pable Pas une de ses paroles n'a menti.
Ses regards étaient francs ! Non ! non l
cause, celui qui dès la première heure, a eu dos indications précises...
Baudoin s'arrêla, il jota sur son jeunfe Yousiv'ous trompez, vous" la calomnie z i
avait éventé les coupables. Et il n'a pu
El si même l'homme est un miaérah'te,
empêcher lo vol d'être commis, s'il n'a maîlre un regard-d'angoisso :
— Ah ! Monsieur Marcel, dois-jc vous elle, du mrj^is, n'est pas complice! Vile
pas arrêté le voleur, c'est qu'on l'a
esl uno victime, comme nous. Si or\. a et»
tué.
_
J le dir-e ? El allez-vous me lopardohuor?...
0
A
— Marcel blêmit. Cependant il. dit sayé de me faire du mal, c'est qiVelle n'a
: —Et celui qui a frappé ?
. ., . pa* eu l'aulorilé ou la force de s'y oppo— Ah I Celui-là, dit l'ancien brosseur, d'une voix forte :
ser. El si elle le sait, elle pleure comme
— Parlez, je le veux.
^ ,,
il n'en esl pas $ son coup d'essai. C'est un
déterminé bandit. C'est à son instigation ,T»Eh bien! cet homme, depuis huit I moi, eu ce moment S
suivre)
que tous les troubles qui ont agité le jours, logeait dans la villa de la Gavée...
<i
|
là
Jeudi It Mai 1802
fiST REPUBLICAIN
m
Uquels ils ne ressemblaient que par les vêt
temenls.
Dona Rosarïo poussa son cheval contre
celui de son père, tandis que le plus
1
jeune des deux cavaliers arrêtait le sien
pour jeter un regard de feu sur le visage
do la jeune fille, dont la beauté parut vivement le frapper.
'<
Los deux cavaliers échangèrent quelques mots dans une langue que les MexiPar Gabriel FERRY
cains ne comprirent pas, et passèrent
outre, non sans que le plus jeune se retournai plusieurs fois pour suivre dos
Leur aspect était à la fois étrange et yeux le voile flottant et la taille tvelte
sinistre. L'un était un vieillard aux che- de la fille de don Augustin. Puis tous
veux blancs, l'autre un jeune homme a la deux disparurent dans l'ombre du soir.
« Je n'ai jamais vu, dit Rosarita avec
chevelure noire. Tous deux avaient leurs
cheveux relevés en chignon derrière la un sentiment d'inquiétude, deux Papagos
lêle et attachés avec des liens de cuir porteurs d'une semblable figure.
— Ni armés de celte manière, ajouta
blanchâtre. Uno espèce de calolle étroite
ie filet grossier, ornée d'une houppe de le sénateur ; on dirait deux loups revêtus
plumes, couvrait le sommet de leur lele de peaux de brebis.
— Bah ! répliqua don Augustin, il y a
si so maintenait par une mentonnière de
de
mauvaises figures partout, même
cuir.
.
L'un et l'autre avaient les jambes nues; parmi les Papagos. Qu'importe, après
mais le haut du corps était enveloppe tout, ce que peuvent être ces deux Inà'une couverture de laine de l'apparence diens ? Nous sommes ici en nombre et
aussi bien armés qu'eus. »
la plus commune.
;
Les voyageurs continuèrent leur route;
C'était le costume des Indiens Papagos.; toutefois, au lieu d'être armés mais néanmoins ces deux inconnus semcomme eux d'arcs et do flèches, les deux blaient avoir laissé dans l'air un souffle
cavaliers portaient en travers de leur• de funeste augure. Pendant le temps qui
selle une longue et lourde carabine dont. s'écoula jusqu'à la couchée, le pas cala crosse et le bois étaient constellés dei dencé des chevaux sur le terrain sec et
clous de cuivre. La férocité empreinte en sonore se mêla seul aux derniers bruisDulre sur leur physionomie était loin dei sements des cigales que les ténèbres faicet air de bonté débonnaire qui distinguef saienl taire.
cette tribu d'Indiens très pacifiques, aux-• I1 Bientôt la vue d'un feu allumé dans la
feuilleton de Y Esl républicain
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PARIS 1900
CHAPITRE XVI
LE CHASSEUR DE BISONS
La rivière de Gila, après avoir traversé la chaîné des Montagnes-Brumeuses,
vient jeter l'un de ses Dras dans la Rivière-Rouge ; celle-ci, après un parcours
d'environ cent quatre-vingts lieues à travers le Texas et le pays de chasse des
Indiens Caïguas et Comanches, se jelte
à son tour dans le golfe du Mexique.
A soixante lieues do l'hacienda del
Venado, el à une demi-lieue à pou près
de l'endroit appelé la Fourche-Rouge,
■
h
s'étend une vaste forêt de cèdres, de
chênes-lièges, de chênes, de sumacs et
de palétuviers.
Depuis sa lisière jusqu'à la fourche,
terrain ne présente plus qu'une plaine
garnie d'herbes si hautes et si touffues
qu'un cavalier sur son cheval- dépasse a
peine de la lêle ces vagues onduleuses
de verdure.
Dans l'un des réduits les plus secrels
de la forêt, et sous les plus sombres arcades formées par la cime de ses grands
arbres ; sur les bords d'une mare si vasta
qu'on pouvait lui donner le nom de lac,
ët en effet c'était celui par lequel elle
élait désignée dans le pays, une douzaine
d'hommes se reposaient, les uns adossés
contre des troncs de chênes plusieurs
fois séculaires, les autres dormant élondus sur l'herbe épaisse qui tapissait les
bords de l'eau.
C'élait une grande nappe limpide d'une
configuration irréguliôre, formant une
espèce de trapèze. Au bord opposé à celui qu'occupaient ces personnages, et
sous une voûte formée par l'entrelacement de branches d'arbres et de lianes,
un canal se perdait au milieu d'un réseau de verdure.
Le soleil, encore au début de sa course,
lançail obliquement ses rayons qui scin.1
tillaient sur lasurface do l'eau, où se reflétaient comme dans un miroir, les arbres de la forêt et de l'azur du ciel.
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Le DIMANCHE 25 mai 1902, à trois heures de l'aprèsmidi, au port de Jarville,
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distinguée et très recommandé©
fier au vent qui sifflait dans ses cheveux
un soupir de douleur qui l'élouffait.
Rosarila venait de se rappeler que jadis aussi Tiburcio cueillait pour elle des
fleurs sur sa roule, et celles qu'elle tenait maintenant dans sa main lui semblaient odieuses ; elle les froissa convulsivement et les jeta loin d'elle.
« Il y avait donc quelque insecte venimeux dans ces fleurs ? lui demanda le sénateur quand il l'eut rejoint.
— Oui », dit avec un effort Rosita, qui
sentit ses joues se colorer de la pourpre
dos fleurs qu'elle venait de jelor.
Nous en savons assez maintenant des
sentiments secrets de dona Rosita, pour
ne plus la suivre pas à pas dans ce
voyage.
Nous laisserons donc arriver la cavalcade.le malindu quatrièmejour,toul près
du Lac-aux-Bisons, où nous devons la
précéder.
[jiltudes de M GŒTJRY et POIRELLE, huissiers-audienciers près le tribunal de commerce de Nancy.
54, RUE CHARLES-IH
'
■
Exposition universelle
à établir à chaque instant des ressemblances frappantes sur les analogies les
plus lointaines.
Quoi qu'en disent certains esprits chagrins, l'imagination est aussi habile à se
créer de doucos illusions qu'à so forger
de désolantes chimères.
Dans tout le trajet de l'hacienda au
Lac-aux-Bisons, car c'était à cet endroit
que la cavalcade se rendait, la réalité
semblait favoriser Fabian et ne laisser à
l'imagination que bien peu à faire.
Après avoir marché plusieurs heures,
le sénateur, resté quesques instants en
arrière, rejoignit la cavalcade. Il apportait en triomphe à Rosarita un bouquet
de fleurs de lianés qu'il s'était arrêté
pour cueillir. Un petit cri de joyeuse surprise, arraché à la jeune fille par la vue
de ces campanules aux brillantes couleurs, paya le sénateur de sa galante
attention ; puis, au moment de le remercier, Rosarita sentit la voix lui manquer
el se détourna soudain pour ne pas laisser lire sur son visage une émotion douloureuse, tandis que sa main laissait retomber, une à une, les fleurs offertes par
le sénateur.
« Qu'avez-vous? grand Dieu! s'écria
Tragaduros, surpris et peiné à la fois de
ce mouvement inattendu.
— Rien. rienf » reprit la jeune fille en
faisant un effort pour serrer dans sa
main le bouquet si subitement dédaigné.
En disant ces mots, Rosarita donna
de la houssiue à son cheval, qui partit
comme un trait. Elle avait besoin de con-
.^.^^nrnwTwmaaiaBSg
ii
niHMiiiiii
J CÉDER coSîœA
de la S*
■4-0, rue St-Jea»; -^O
I
'
campagne
indiqua aux voyageurs l'en<
droit
que les domestiques qui les précé(
daient
avaient choisi pour faire halte
(
jusqu'au
lendemain.
;
Une petite tente de soie, que la galan1terie de Tragaduros avait fait venir d'Arispe
en vue de ce voyage, fut dressée
i
sous un bouquet d'arbres pour dona Rojsarila. Quand le repas du soir fut achevé, elle se relira sous sa ienle, mais elle
•chercha vainement le sommeil sur les
dentelles de son oreiller.
La jeune fille so rappelait la nuit ou
Tiburcio dormait non loin d'elle, lors-qu'elle l'avait vu pour la première fois ;
et, comme l'avait fait Tiburcio lui-même
cette nuit-là, elle écouta tour à tour avec
une larme el un sourire le murmure du
ruisseau qui coulait tout près d'elle, lo
tintement de la clochette de la jument
capitana,\es glapissements lointains des
chacals, le cri de l'oiseau de nuit, en an
mot, toutes ces harmonies vagues du
désert, qui éveillent tant d'échos dans
un cœur de vingt ans.
Quo n'eût pas donné Fabian pour voir
le lendemain, quand au point du jour la
fille do don Augustin sortit de son abri
de soie pour remonter à cheval, la pâleur enchanteresse qu'avait laissée sur
son visage l'insomuie dont il avait élé
l'auteur ?
La cavalcade reprit sa marche comme
la veille ; mais Rosarila élait plus rêveuso encore que le jour précédent.
Les souvenirs qu'elle croyait avoir
laissés à l'hacienda surgissaient partout
autour d'elle ; car l'amour est ingénieux
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