CINQ Jeudi 22 Mai 1902 ■ . m Tlll ' l Ill.l III II I i... l^^a ^'^^c^o . - ^^^m «... .i.™ CEHTIMES l --y-- ■ ————■»-n—WJ ^fe^ § ' ,. -£^-^r eÉCÂCTIQN et ADGIIHISTRATiQN, SI, RUE SAIMTDIZIE Rédacteur DERNIÈRE *wa Tsaeagji^sag HEURE Son approvisionnement en vivres est assuré. ' | MM Les grandes cultures sont toujours en bon état, depuis le Lorrain jusqu'au Marin. Les habitants de Morne-Rouge ont été complèParis, 22 mai, 4 h. 50 matin. tement évacués sur Foft-de-France, à la suite d'une grêle de pierres et de matières sulfureuses. Ceux du Carbet ont été aussi amenés au {suite) chef-lieu, avec l'aide de l'aviso Jouûroy. Après la revue de Krasnoë-gclo Il en est de même du détachement d'infanterie de marine qui se trouvait au Garbet et Tsarkoë-Selo. — Le tsar, le président de qui n'a éprouve aucune perte. la République française, les deux impéraLes vapeurs Salvador, Horthim et trices sont repartis de Krasnoë à trois heu- Helga ont transporté environ un millier de res et demia. Le train impérial s'est arrêté personnes à la Guadeloupe et à Sainteun moment à Gatschina, résidence de l'ini- Lucie. pératrice:mère, où celle-ci est descendue. 3,000 personnes environ ont quitté JFortLe train est arrivé à Tsarkoë à 4 h. Ii2. de-France pour se rendre dans les commuL'empereur et la tsarine ont accompagné I nés de l'extrëme-sud de l'île. M. Loubel jusqu'au palais où le président a M. Lhuère, le gouverneur intérimaire, ses appartements. termine en. disant que la dernière nuit a été Le comte Lamsdorf, minisire des affaires calme, et que la population demeurée â étrangères de Russie, a été reçu ensuite Fort-de-France a repris un peu de tranquilpnr M. Loubet. Il s'est entretenu longue- lité. ment avec le président. M. Delcassé, mi— Le ministère de la marine a reçu, d'aunistre des affaires étrangères de France, tre part, le télégramme suivant au comassistait à cet entretien.. mandant du Suchet : Les cadeaux Fort-de-France, 21 mai. — Ce matin, Le tsar a offert à la suite du président de une éruption violente de la Montagne-Pelée ïiebes cadeaux, consistant surtout en pièces a lancé des pierres et causé une forte pa. d'orfèvrerie, ornées de pierres précieuses. nique à For tde-France. J'ai visité la côte avec le gouverneur, jus11 a envoyé à M. Delcassé un riche coffret en argent, serti de perles, rubis, topazes, qu'à la Grande-Anse. Il n'y a pas eu de victimes do ce côté et les dégâts ne sont pas éméraudes, etc. Le colonel Lamy, de la maison militaire importants. Le Jouffroy ramène du Carbet et des vildu président, a remis d'autre part, dans l'après-midi, les objets offerts par M. Lou- lages voisins environ deux cent quarante personnes. bel au personnel de la cour impériale. De nombreux habitants quittent l'île, Ces objets consistent surtout en objets de Sèvres, eu pièces de verrerie artistique, quoique Fort-de-France ne soit pas menasortant de la maison E. Gallê, de Nancy, en cée. Fort-de-France, 21 mai. — Pendant l'éorfèvrerie et en tableaux. Les enfants des souverains russes ont ruption d'hier, de nombreuses personnes reçu les jouets les plus ingénieux de l'in- tentèrent de se réfugier à bord des navires. Plusieurs barques chaviréi'ent, mais perdustrie parisienne. sonne ne fut noyé. Les banquets Fort-Castries. — Un raz de marée est A l'issue dé la revue de Krasnoc-Sélo; le venu augmenter la panique à Fort-deministre de la cour a offert un dîner aux France. journalistes français. Le doyen d'âge, M. Une partie de la population s'est enfuie Lapauze, a exprimé les remerciements de sur les collines. 300 personnes sont arrivées la presse pour l'accueil reçu. hier ici. — Le soir,un dîner intime a été offert pai ' . NeivYork, 21 mai. — Le capitaine du vales souverains russes auprésident, au palais i peur Talisman dit que la Roche-de-Dia< Alexanr'rowilch. mant, située à deux milles au sud-ouest d€ Le prince héritier et la grande-duchesse ; la Martinique, a lancé delà fumée et du (Serge; les secrétaires généraux de la prési- feu — Havas. dence, les maisons civile et militaire de M. MORT D'UN SEWATEUF Loubet.y assistaient. Tours. — M. Nioche, sénateur républi A l'issue du repas, l'impératrice, la gran de-duchesse Serge, le prince héritier se sonl Icain d'Indre-et-Loire, est mort hier, après entretenus avec le président, et M. Loubci ■ jmidi. Il était âgé de 82 ans. — Havas. est rentré, à 10 h,, au palais de Tsarkoë Selo. . , Il partira ce matin, à 8 h. Ii2, par traii il3—spécial, pour Saiut-rôtersbourg, où il pas NANCY, mercredi 21 mai 1902. sera la journée. M, LOUBET EN RUSSIE A en chef: LA LEON ■ —, Troisième Edition - L 1 ' UJ "" ' " ' ' " nouvelle éruption du Mont-Pelé. Un télégramme du gouverneur intérimaire delà Martinique à M. Decrais, ministre des colonies, confirme la nouvelle éruption de la Montagne-Pelée et la panievue de Fort-de-France. Cette dépêche ajoute qu'une trombe de feu s'est abattue sur le Carbet, mais que le détachement de soldats qui y stationnait est indemne. New:Yorlt. — On télégraphie de SaintThomas, S0 mai, les détails suivants sur l'éruption d'hier r « Un réfugié, arrivé cet après-midi à la Dominique, dit que l'éruption de la Montagne Pelée a continué pendant toute la journée et toqte la nuit d'hier. La quantité de lave projetée a été plus considérable que lors de l'éruption du 8 mai. « Les ponts* qui avaient résisté au premier désastre ont été emportés, et leurs débris flottaient sur le torrent de lave, qui a envahi la Grande Rivière et littéralement fauché les constructions qu'il a rencontrées. Les dégâts sont estimés à 250,000 dollars. Les autorités avaient promis de faire évacuer le district de la Grande-Rivière, mais les secours promis ne sont pas arrivés, et tous les moyens de transport locaux sont à présent détruits. Le réfugié qui a fait.ee récit essaie d'obtenir les moyens de secourir les femmes et les enfants de la région éprouvée » Jusqu'à présent, on ne croyait pas qu'il y ait eu émission de lave. Cette dépêche nous apprend que son épanchement s'est produit CARTE DE Ù ffi^fr ' ^^"rl SALLE D'EXPOSITION, DE PUBLICITÉ ET DE DÉPÊCHES ,^, rT w GOULETTE ' au point CentraI de la Vill0ï lènrs il est signalé à mesure qu'il s'avance par les clameuïs lointaines des soldats, qui répondent, suivant l'usage, par des hourrahs, au salut de l'empereur. Après la revue dans une direction opposée à celles qui on* Après la revue, les impératrices et le préravagé les précédentes manifestations du' sident assistent au défilé des troupes du volcan. ' haut d'une tribune au pied de laquelle se La Grande-Rivière coule en effet, suivant tient à cheval l'empereur entouré des grand sune direction nord-sud, des pentes septenducs. trionales de la Montagne-Pelée. Le déjeuner. — Les toasts Les souscriptions Le défilé terminé, le cortège, reformé La souscription nationale ouverte au mi- dans le même ordre qu'à l'arrivée au camp, nistère des colonies en faveur des victimes gagne une villa où un déjeuner est offert dè la Martinique s'élève aujourd'hui à près par l'empereur et auquel sont invités, outre d'un million, exactement à 978,036 fr. 95. la suite du président et des souverains, les Parmi les souscriptions citons : le gouverofficiers généraux ayant participé à la renement du Canada, 129,250 fr.: l'Institut vue. colonial de Bordeaux, 10,000 ; la compagnie Au dessert, l'empereur porte le toast suiel'assurances l'Urbaine, 3,000; la Compagnie vant : algérienne, 1,000; la chambre de commerce « Monsieur le président, de Calais, 1,000; le lycée Louis-le-Grand, ! Mes troupes, dont vous venez de voirie 4,200: le duc d'Orléans (le prétendant), défilé, sont heureuses d'avoir pu rendre les 10.000. Les associations de secours, notamment honneurs au chef hautement estimé de * l'Œuvre coloniale des femmes françaises, l'Etat ami et allié. s'emnloient à organiser la répartition! j Les vives sympathies emi animent l'armée îtr- M. Millerand, ministre du commerce, russe à l'égard de la belle armée française ai reçu de la cliambre de commerce de Bue» vous sont connues. Elles constituent une i(os-Ayres deux chèques d'un montant total réelle fraternité d'armes .que nous pouvons dfe 40,000 fr. à valoir sur le montant de la souscription ouverte par cette compagnie constater avec d'autant plus de satisfaction ; que cette force imposante n'est point desaiu profit des victimes de la Martinique. Le ministre a adressé ses remerciements tinée à appuyer des visées agressives, mais, âJa chambre de commerce de Buenos-Ay- bien au contraire, à affermir le maintienn > et a fait tenir au ministre des colonies de la paix générale et à sauvegarder le res ïfes fonds qui lui étaient parvenus. ' pect des principes élevés qui assurent le * Paris. — On continue à célébrer, dans bien-être et favorisent ie progrès des nadiverses villes de France, des services fui lions. ■ ,-' ' res à la mémoire des morts de la Màrlij Je lève mon verre à la prospérité et à la ' njtque.': . gloire de la belle armée française. » MARTINIQUE La — j pereur M. Loubet répond ainsi : /"< ■ i J CIironique_de l'Est LE TEMPS PROBABLE (26 raai-ler juin) J réchauffement du temps commencé Le dan l'après-midi du 25 mai se continue et dans ren rend probables quelques pluies le 26 ; puis après s'être rafraîchi le lendemain,le temps ?£* se réchauffe rapidement, ce qui amène le 29 des vents et pluies suivis de temps plus jra frais et souvent couvert ou pluvieux ; enfin un dernier réchauffement, commencé le 31 ma mai, produit encore quelques pluies le jj£ r-' juin. : Albert BERTHOT. ^ Aubigny (Cher), le 20 mai 1902. (Reproduction interdite.) ' LE TEinPS QU'IL FAIT jLe temps est loin d'être guéri. La pluie a rec recommencé, en effet, mercredi, mêlée parfoi fois de grésil, notamment vers 1 heure lf2. Le ciel reste chargé de-nuages et les êclairCH% sont presque immédiatement accompatâes gnées d'averses. 13* k midi. *23 mai. — Lever, 4 h. 12 ; coucher, 7' £h. 42. Dernier quartier le 30. Dépêche météorologique fl771 Brest, 759 Nice. Hausse barométrique générale, forte pression Ouest Europe. gé 1Probable : vent des régions Nord, faible ou modéré, nuageux, quelques averses, temps moins froid. Nord fort puy de Dôme, N( Nord très faible pic du Midi. . las grands travaox à Hase; au toast de l'em- ** ï. Un emprunt «le 1.200,000 fr. Éi « Sire, Si l'on recourait au rei'cz'emtum? Je remercie Votre Majesté de m'avoir Là commission nommée par lé conseil le 15 décembre 1900, pour étudier procuré le plaisir très vif d'admirer les municipal, nu belles troupes, dont la flère contenance, la les &i grands travaux à effectuer, en a confié le'rapport à M. Millery; ce rapport vient démarche martiale, les mouvements précis, V. imprimé. M. N. Millery y expose les attestent que l'armée russe, par d'incessants d'être ^ projets que la commission a adoptés. progrès, soutient vaillamment sa haute re- y « Ces projets — dit le sympathique M. Milnommée. je; lery — forment deux catégories bien disDe même que des sympathies communes tïi tinctes. el^es intérêts supérieurs-ont uni les deux « Ceux de la première catégorie, considérés comme absolument urgents, peuvent peuples, de même la noble fraternité des ar- dé mes et une estime réciproque lient étroite-. être êjt effectués uniquement au moyen de nos re revenus habituels qui, d'après les rapports mant les deux armées. de notre honorable collègue, M. Marcot, Celle force imposante n'est une menace; ^ nous laissent annuellement un excédent de pour personne; mais il est permis à la- | Q 400,000 à 500,000 fr. L'exécution de ces proRussie et à la Frauce d'y voir, en même! jets je est donc indépendante de la question temps qu'une garantie pour l'exercice de: d'un d' emprunt. D'ailleurs, une partie des sommes nécessaires étant déjà volées, nous leurs droits, un abri sous lequel elles, peu-. se n plus em'à les compléter. veut en toute tranquillité poursuivre le la-. n'âvons ' « Ceux de la deuxième catégorie, quoi* Hj beur fécond qui, les rendant plus prospères, ; qu'ayant également un caractère d'urgence Les marins français augmentera leur puissance et leur légitime gj ' bien établi, comportent par leur nombre et à Saiut-Pét.ersbourg J ii'ii'jence. ]e leur étendue, un chiffre de dépense tel, que Saint-Pétersbourg. — La municipalité i DEVANT L'OPIXIOX Au nom de l'armée française, qui n'a pas'< p( pour la balancer avec nos recettes seuleoffert hier des fêles aux matelots français oublié l'honneur que lui a fait Votre Ma-- m ment, il nous faudrait attendre de longues (Suite) dans la Maison du peuple de l'empereur Ni- ; I jeslé en assistant à ses manœuvres, je bois; ai années, ou, autrement dit, les abandonner. colas II. Cela ire répondrait ni à l'opportunité, ni à la prospérité et à la gloire de la brave ar-. Ci 300 matelots-français, bruyamment acola On s'est étouné dans le public' — et nom a aux niée russe ! » J désirs de nos concitoyens. De là vient mês par une foule énorme, sont arrivés j* . In ? ! nous sommes fait i'écho de cet êtonnemen la nécessité de recourir à une forme partivers 3 heures, bras dessus, bras dessous culière de ressources extraordinaires, si Petits échos des fêtes — que- la Rente viagère, qui vient de avec les matelots russes. • i'on veut actuellement les mettre à l'étude. 1 Tous ensemble, ils ont gravi les perron: > {s'écrouler lamentablement, ait pu auss Krasnoë. — Une dépulalion de paysans5 ,( ... - ' de la Maison du peuple, comme s'ils mon • J longtemps subsister, continuer ses lou de Kr.isnoë-Selo,' coneluite par le bourgmesProjets de la première catégorie taient à l'assaut. tre, a été présentée à M. Loubet, qu'elle a1 ijehes opérations, et engloutir les millions d< « Ces projets sont au nombre de trois : féiicité d'être venu passer la revue des trouDevant un portrait en pied du tsar,ils on pes du camp établi sur son territoire. ,c I» Captation des eaux souterraines de poussé, tous ensemble, de formidable: 5 tant de victimes ! Et on a dit : mais qu'i la forêt de Haye, réservoirs de retenue, hourrahs, les musiques ont joué alternat! • donc fait le gouvernement, l'Etat ?Pourquo Saint-Pétersbourg. — Les israêlites de n l canalisation et distribution publique. —Saint-Pétersbourg offriront à M.Loubetune j, vementla Marseillaise et l'hymne russe > j n'a-t-il pas surveillé, contrôlé ? en langage hébraïque antique, riche-- Jusem'ici 818,375 fr. y ont été absorbés. que les soldats accompagnaient à plein 5 Le neau s etena et accélère la ruine de tion de ses habitants, si bien qu'au momentt bible Nous aurons encore à porter au budget D'après notre loi, il no ie pouvait pas ment reliée. voix. supplémentaire de 1902 une somme de 2C0 notre malheurause colonie. le mon retour eu France, j'eus toutes less — Les prochaines couches de l'impératriOn les introduit ensuite dans la grand e Aux termes des art. .1938 et suivants dv t < sont attendues dans le courant du mois mille francs. II est à redouter que cette ruine ne soit peines du mondé à m'en procurer quelquess ce salle des spectacles et l'on joue la Viepow. f code civil, le contrat de rente viagèr 2 s Les prévisions de dépenses, à répartir sur Kilogrammes. Les personnes qui prétendent ( I d'août. le Tsar. Les principales scènes sont expli " [peut être fait par n'importe qui, sans aucu: pas passagère. les années suivantes,sont, de 600,000fr.pour en Europe ne boire que du café de la Marquées en français, au milieu des ipplaueifi Dans la Revue Bleue, un commissaire de tiniciue n'en ont jamais bu une goutte. Lee 'La arriver au terme de cette entreprise. presse outrîcMenne > '"j contrôle. sements et des rappels frénétiques. 2* Agrandissement des cimetières. — et les fêtes franeo-ruesses* Et on arrive par notre loi à cette anomf la marine, M. Francis Mury, en expose les café qu'on leur vend sous ce nom vient enn Les matelots des deux nations assislen t 100,000 fr. pour le cimetière du Sud. Une réalité de la Guadeloupe et surtout de l'Amé'■Vienne. — Parlant du voyage de M. Lou- 3 ensuite à un banquet. Jlie que les assurances sur la vie ne peuver l raisons. Il rappelle d'abord ses souvenirs rique du Sud. Il est de qualité bien inféW ]bet en Russie, la Neio.-Press fait l'éloge du1 vsomme encore indéterminée pour PréAu dessert, le maire porte un toast à 1 a être traitées que par des sociétés soumise s personnels ; ville. rieure à celui de la Martinique. , président de la République française, France et à la marine française. Un pn 3e Construction d'une nouvelle école «... Tout ce qui restait de commerce a à M à l'autorisation préalable du gouverm 3«...En approchant de Saint-Pierre la Elle ajoute que l'alliance franco-russe ^ mier maître mécanicien du Gûichen lui re 2 des Beaux Arts. — M. Millery écrit : la Martinique s'était concentré dans la ville ] j. route devient moins pittoresque. Nous trae n'est plus aujourd'hui mise en doute, mais pond en buvant à la nation amie, aux m; {.\ menti, et au contrôle permanent de Vai ^ « Pour satisfaire auxpremières conditions, de Saint-Pierre. C'était par ce port que les < rins russes et au .maire. \ministration, tandis que les rentes viag< . versons de nombreuses plantations aban- usines à sucre, les rhumeries expédiaients ique son but n'est pas agressif. Elle n'en est; M l'emplacement qui nous semble le plus condonnées où des centaines d'hectares, autret pas moins forte et d'une très grande impor- v La musique joue sans discontinuer U !S 1res dont l'importance au point de vue éc " venable en même temps que le plus avantai 3- fois couverts de cannes à sucre, sont main- leurs produits, c'était là que venaient see tance. deux hymnes nationaux. geux, se trouve dans les terrains du Jardin L jnomique n'est pas moins considérable, pei î- tenant en friche. Des maisons dont la toi- décharger les navires apportant de Terre'• — Les autres journaux viennois parlent 1 | Les matelots français acclament les m\ Neuve les cargaisons de morue dont less ;aussi de l'alliance franco-russe comme d'un botanique. Suivant les plans et devis qui ture tombe en ruines, des usines dont les v [vent être traitées par le premier venu, sai ;1 vous 1S siciens. Ils arrachent les rubans de leu v sont soumis, l'édification de notre \ murs écroulés laissent apercevoir des ma- nègres consomment des quantités si consii- gage de la paix européenne. — Havas. d blrcl et les donnent aux femmes qui le § la garantie d'un contrôle effectif. Ecole en cet endroit, nous occasionnerait dérables cliines x'ongées par la rouille fent une tache servent et qui se les attachent au bra! 3 —: une dépense de 350,000 fr. ; après déduction II y a plus : les sociétés dont nous pa p- sombre dans ce riant paysage, « Laterrifianté destruction de Saint-Pierre e comme des brassards des crédits déjà votés, il nous faudrait enconsomme la ruine de cette colonie. Les seet « C'est la crise sucrière qui a amené Une fois au dehors, dans le parc Alçxai j.liions tout à l'heure, qui sont autorisées core, pour parfaire cette dépense, une somdre, les matelots sont entourés, acclamé! j, contrôlées, sont les seules qui ne peuve: ^ l'abandon de ces plantations. La Martinique, cours que la métropole et le monde entier, me de 180,000 fr., sur laquelle nous propoembrassés. Des groupes nombreux s'er a- [pas se prévaloir des articles 1968et suivant s qui était un des plus riches pays du monde, ému de pitié, lui enverront, si considérasons d'inscrire, comme à-compte, un crédit bles qu'ils soient, ne lui permettront pas de > a été ruinée par la baisse; du sucre, puis par e — e parent de chacun d'eux, leur font escort » [cités plus haut, pour faire librement d de 50,000 fr. » surélever. La pluie de feu etdecendres qui ss l'abolition de l esclavage et enfin par l'attria Infanterie terril triale les emmènent. !t bution à tous les nègres des droits de ci- vient, de s'abattre sur Saint-Pierre est contrats de rente viagère. Sont passés, avec leur grade, dans l'arf A Cronstaut et Sébnstopol e mêe territoriale : II faut que cela cesse : Lorsqu'une loi e ,st toyen. Aussi y a-t-il aujourd'hui dans l'île comme un immense linceul jeté sur l'île Projets de la deuxième catégorie plus de 30,000 hectares de terres très fer- tout entière el je crains qu'aucun effort huCronsladt. — Un dîner a été offert ai Ç 42* rég. territ. d'inf. — M. WinsbachÙ j*| mauvaise, on l'améliore ou on la chang e marins des deux flottes, par la chambre < - tiles qui restent incultes. Les quelques piau- main ne soit assez puissant pour le relever )« « Ces projets sont les suivants, dit M. Mili' Georges-Marie, lieutenant de réserve au 19* j II nous semble que ce serait ici le cas i le teurs qui continuent à lutter avec une ener- et rendre la vie fc-çe malheureux pays. » commerce. lery : bat. de chas s. h Les ovations oht été les mômes qu'à Sali ît- Maire l'un ou l'autre le plus rapidement pc is- gie désespérée couvrent à peine leurs frais. 45* rég. territ. d'inf. — MM. Druart Char« 1° Prolongement de la rue Viclor La fabrication du" sucre de betterave, en Pétcrsbourg. les Albert, lieutenant de réserve au 145* rég.>t Hugo. / Isible; la constitution de rentes viagère ,s Leur existence est une longue suite de pri- dépréciant le sucre de canne, reste la — Le prolongement de celte voie à la d'inf.; Benoit Charles, sous-lieutenant de ti ":' vationset ils se découragent les uns après ^Lc commandant du port a offert de si n e travers les terrains du Bon-Pasteur, serait ij _ tout au moins lorsqu'elle fait l'objet des o[ ,e côté-un dîner suivi d'une réception aux < lés autres. Ils sont de jour en jour moins principale cause de la ruine des Antilles!s. réserve au rég. d'inf. d'Abbeville, et Rémy y d d'une grande utilité. Non seulement il ouj rations d'une société anonyme, devrait êt re nombreux et la culture de la canne est fata Toutes ces îles splendides, joyaux de verAciers. r- Alfred-Eugène, sous-lieutenant de réserve v e vrirait un dégagement vers Boudonville, ce Sébastop>ol. — On prépare des fêtes et cpmmc la réalisation des assurances sur la lement destinée à disparaître de l'île. au 101' rég. d'inf. qquartier si pittoresque et jusqu'à présent dure au sein de l'Atlantique, ces terres ÎS une représentation de gala à l'occasion i in vie soumise à des dispositions légales <j „\ ' * Çà et là nous apercevons quelques planbien négligé, mais il serait aussi tout indi' Le colonel Routan voyage de M. Loubet en Russie. Leçons . talions de caféiers dont la culture est au poétisées par la grâce nonchalante des Dans quelques jours, le colonel Boutan,, <]que pour recevoir la continuation delà ligne en fassent une œuvre de consolidation ae de France et les principaux membres de contraire très rémunératrice. Malheureuse- créoles (l'impératriee Joséphine était MarVr qui commande depuis sept ans passés le du f tramway venant de la Porte SauU-Nicocolonie française y sont invités. l'épargne publique, et. non plus un moy en ment elle exige des avances de fonds nssez tiniquaise), tous ces pays que dore un éter£ \las, afin d'en permettre la jonction avec celle r- 117* d'infanterie au Mans, va prendre sa re'c de Sues surprises des toasts d'adi< !U d'enrichissement pour quelques personi ia- exmsidérables que les planteurs à près rui- nel soleil, la Jamaïque, Saint-Domingue, la traite. Ce très vaillant soldat lorrain — le ° la rue de Metz. . nés sont incapables de faire, aussi récolte« Le projet, proposé par la commission, Paris. — Suivant le correspondant rtU lités aussi entreprenantes que malhoni ie t-on dans toute i'île une quantité dé café Martinique, Sainte-Lucie, la Guadeloupe, e e colonel Boutan est un enfant de Luné ville ,s *comporte rétablissement d'une chaussée de ? — a été, au cours de sa carrière, le héros Gaulois à Saint-Pétersbourg on parle < >u- tes. etc., sont plus ou moins mortellement vraiment insignifiante. La Martinique n'en nt d'une curieuse aventure. 20 ^ mètres de largeur, entre la rue de Toul vertement d'une grosse surprise que rês 1 — «— produit même pas assez pour la consomma- atteints. . C'était vers 1876 ou 1877 ; le sultan du Maveraient les toasts d'adieu, qui seront éclu in-i • a. ?el la rue d'Auxonne. L'exécution de ce proa, roc, qui faisait une grande tournée dans i coûterait 500,000 fr. lS jet gôs, vendredi, à bord du Monlcalm. GUILLAUME II EN LORRAI « 2e Si la ligne du tramway passe par cette Ses Etats, avait annoncé son arrivée à Il ne serait pas impossible que des al La- j i ■ rités de Krasnoë-Sélo, qui leur offrent le Oudjda, sur la frontière algérienne. Le gé- *nouvelle artère et qu'elle descende la rue du sions y fussent faites, par exemple, à la I L'empereur allemand arrivé mercredi n i i_ Ruisseau, il'faut prévoir l'élargissement pain et le sel. néral Osmont, alors commandant de la diquestion du Transvaal. tin aUrville, s'est rendu dans la journéi cdu pont du chemin de fer qui traverse cette visiQii d'Oran, fut désigné pour aller saluer Enfin, on affirme qu'avant de le quill er, Metz. Krasnoë-Sélo. — La gare est splendideU ]rue et y affecter une somme d'environ [SvAte) le- le souverain, et il chargea le capitaine Boule tsar remettra en son nom personnel à Ce matin, jeudi, Guillaume II inspecte nient décorée aux couleurs russes et fran[e (60.000 fr. n- tan. chef du bureau arabe de Tlemcen, de M. Loubel une somme de 100,000 fr. pc lurjFrescaty, près Metz, les bataillons du 1 4 V " çaises. « 3° Prolongement de la rue Bésilles.— régler les détails de l'entrevue, La revue de Krasnoe-selo les sinistrés de la Martinique. — Havas. régiment, dont il est le chef. Cette insu Le cortège se forme dans le même ordre . Ce re Tâche ardue entre toutes. Le sultan vou' projet, est en quelque sorte le corollaire a I lion sera suivie d'un défilé de tous les re giPéterhof. — C'est aujourd'hui que se dé- qu'au départ de Tsarkoë-Sélo et les voitures ( es lait recevoir le général Osmont de la même Jments de la garnison, des deux bataille nis roule la partie militaire des fêtes franco- prennent la route du camp. ie du précèdent. Son importance est considéc 1 e _ rablement accise par le voisinage du si fufaçon qu'un de ses ancêtres avait reçu l'am» I du 135» régiment d'infanterie et du 6 ré ;gi- russes. Le tsar et M. Loubet passent une a Elles passent presque à chaque pas sous ,] 1nesle passage à niveau de la rue de la Raus bassadeur de Louis XIV, et ce cérémonial, le rapport du gouverneur lui ;é- meni de dragonsde Thionvillc, actuellem 2nt grande revue des troupes, au camp de Krasdes arcs de triomphe. lè vinelle. En offrant à la circulation un déri maire. — I^a nouvelle éruptrès compliqué, comprenait une foule de ! là Metz. L'empereur déjeunera ensuite au noë-Selo. 1 Les enfants de la ville forment la haie et prescriptions, génuflexions, front dans jla bouché toujours libre et moins dangereux tion du Moïït-l*eïé. I Casino des officiers du H5" régiment à M ana Le corlègequitte le château à neuf heures poussent de continuels hourrahs, auxquels ce dernier, il permettra d'en restreindre Le gouverneur intérimaire de la Marti ni-|ligny. ils poussière, etc., quî pouvaient être de mise ' 5e que du matin. M. Loubet et l'impératrice-mère 1 beaucoup l'usage, si l'on admet toutefois, que vient de câbler au ministère des ce »lo-1 Vendredi, l'empereur visitera les forts en sont dans la première voilure; le tsar et la vannent se joindre les acclamations d'une ne au dix-septième siècle, mais n'allaient plus 1S foule énorme. du tout à la fin du dix-neuvième. 'qu'il ne puisse le remplacer complètement. nies qu'il est rentré, mardi soir à Fort- de- j construction. tsarine sont dans lâ seconde, ■e. , « Ce projet comporte une prévision de _ Les pourparlers furent longs : ils duréFrance, après avoir effectué la reconn: iis-l Une manœuvre de siège autour du f orl Les maisons sonl toutes décorées. La plulu L'empe',reur porte l'uniforme de colonel -e '270,000 fr., y compris la participation de la . rent plusieurs jours. Ce ne fut qu'à force Sance entreprise dans le nord de l'île. « Lolbringen » est prévue pour samedi, du régiment des chasseurs de la garde avec pstrl des drapeaux portent les mots dee : iR 'compagnie de l'Esl pour la construction d'habileié el aussi d'énergie que le capitaine Les ruines de Saint-Pierre, dit-il, i ïui I L'impératrice arrivera vers la fin de s la le grand-cordon de la Légion d'honneur en « Vive la France ! » jé d'un pont à son usage, je Boutan réussit à faire revenir le sultan de ' étaient encore debout à la suite de la r re- semaine au gâteau d'Urville. A 10 heures, le cortège pénètre dans le sautoir. son idée première, et l'entrevue a eu lieu à . « Dans ce chiffre sont compris également miôre éruption de la Montagne-Pelée, h > 8 champ de manœuvres. Courcelles. — Le maire a exprimé i à M. Loubet est en habit, avec le grand corles travaux à exécuter dans la'rue Démai, ont été démolies par la commotion ( me l'empereur la reconnaissance de la pope da- don de l'ordre de Saint-André, Le tsar, la tsarine, l'impératrice-mère et et Oudjda sans incident, le général français is 1 |roekusil l'éruption du 20 accompagné d'une petite escorte, le sultan in silles. lion pour la suppression du paragraphe de L'impéralrice-môre est vêtue d'un riche M. Loubet quittent leur voiture. « L'installation d'un passage pour piétons Ce jour-là, le bourg du Carbet reçut i ine la dictature. jr. suivi d'une armée de 40,000 hommes. Le tsar monte un superbe cheval noir; manteau blanc, orné de garnitures sombres, traversant le chemin de fer, au droit de la avalanche de boue chaude. I Le président du bureau du conseil d'E Itat et d'une robe blanche. Elle est coiffée d'une use voiture, attelée à la daumont et dont toi rue de la Ravinclle avait été l'objet de nos De nombreuses coulées s'avancent enc ore la exprimé ensuite les sentiments de resp ect capote pailletée garnie de plumes gris-clair, lés sièges sont disposés en phaëton, vient 'fit préoccupations. En raison de son urgence, dans la région comprise entre Saint-Pie rre Jet de sympathie des Alsaciens-Lorrains à prendre M. Loubet et les impératrices. La tsarine porte un manteau blanc et une Télégramme commercial et le Prêcheur. le projet présenté a été renvoyé à la comI l'égard de l'empereur et de l'empire, exquise robe mauve, garnie de dentelles, ■Sur le premier siège, montent l'impérafa(Bourse du commerce) mission des travaux pour être exécuté au (On peut se rendre facilement compte de I Dans sa réponse; Guillaume II a dit q u'il Elle est coiffée d'un chapeau garni de plu- trice-mère et la grande-duchesse Serge ; sur la situation de ces localités et de celles d ont avait supprimé la dictature aussitôt o . I Chiffres fournis par la maison E. Bollack a!n*I moyen de nos ressources ordinaires. u'il mes blanchés et de roses France. Les deux le second, la tsarine et M. Loubet. Les banm-1 ■ « 4" Elargissement et prolongement du il sera question ci-dessous en consultan t la j l'avait pu, c'est-à-dire aussitôt qu'il avait _I Paris, 31 mai, 1 h. 37 soir. eu impératrices portent en outre le cordon de quettes font toutes les deux face aux chele earlc ci-jointe.) boulevard d'Alsace-Lorraine. Ce bouleI gagné l'amour de ses sujets d'Alsace-I- .or- Saint-André, dont la couleur est bleu de vaux. L'àltelage est composé de magnifiifl. I CUUIUN» 4 DOCT. vard, déjà amorcé, doit relier le Mon-Désert Les cultures de première nécessité et les raine. t Avoine (f 00 ML) 20 75 16 95 ciel. ques chevaux blancs. Un piqueur galope à cultures secondaires sont complètement dé-1 II a affirmé en terminant 1 le caractère ' , Blés (100 m.) 23 25 20 ^ 70 à la Garenne. M. Millery écrit : abLe Ira-jet en chemin de fer de Tsarkoë à gauche de la voiture. ^5 « En considération de notre situation truites de la Grande-Rivière au Marigot, La Isolument pacifique de ses intentions et de Krasnoë-Séto s'accomplit en 45 minutes. ' Farines (100 kll.) 95 26 75 Le cortège passe devant le front des trou- Huiles (100 kll.) . , . . 61 75 61 25 financière, que nous ne devons pas perdre population qui y est demeurée a beauc< >up celles du gouvernement allemand. — '. HaM. Loubet et les souverains russes sont pes. On le distingue de fort loin, car le terer- Alcools (Vheclol.) £9 50 30 37 de vue, votre commission, tout en adoptant souffert, mais elle resle néanmoins cali ne. ivas. .reçus, à la descente|du train, par les auto- rain de la revue est à peine ondulé. D'ail.il- Sucres SI 12 'H .■a?1 le projet complet, en principe, vous proposa J j IJ L'affaire Humbert-Crawford •I j J 8 >I J t J 1 t BULLETIN MILITAIRE *** 3 j i j M. Loub. Len Russi-3 La catastrophe des Antiile Jeudi %% Mai im% EST REPUBLICAIN dès ^^S^^rt vardmainte, de la me de^f Mon-Descrt jusquà laTenue de la Garonne seulement. Pour ce ÉMMH «H* vous demande d'inscrire un crédit de 150,000 fr. Elargissement du pont de Mm-Dew| _, La dépense qu'entraînerait ce travail serait de H0,000 fr., mais la compagnie des tramway» s'est déjà engagée a y con: tribuer pour une somme de 20,000 fr., el si l'on admet la participation de la compagnie de l'Est dans la dépense, on pourrait reduire à 80,000 fr. la somme qui resterait complètement à la charge de la ville. « S" Vu l'intensité de Ta circulation qui se produira sur ce pont, lorsque les rues et boule-ards projetés dans les environs seront exécutés, il est indispensable d en faciliter l'accès, du côté de la rue de 1 Equitation par l'achat et la démolition de la maison située à iingla de cette rue et de 1a rue de Mon-Dé'ert. , « Le prix de cet immeuble est évalue a 50,000 fr. „ „ , «T L'eau à Boudonville. — Votre commission a pensé que ce serait un < acte de: bonne administraUon de procurer l'eau in-■ dispensable aux besoins domestiques aux habitants des quartiars élevés de la ville: Boudonville, Beauregard, etc., qui la reclament du reste avec instance. Dans ce: but, elle a fait projeter l'établissement d'une: machine élêvatoire qui permettrait une distribution locale d'eau de Moselle à une cote d'altitude que l'on ne saurait atteindre au trement. «Lesfrais de cette installation seraientd'en-. viron 150,000 fr. » « 5. cond versement de dix mille francs que je voï vous vous prie de recevoir pour le compte du ministère des colonies. min « Touillez, etc. c Le Maire, MARIHGER. » _ Souscriptions reçues à la trésorerie générale, le 21 mai 1902, au profit ues sinistrés de la Martinique : p £ Perception de Nancy, 1" division : Mme veuve Paquet, à Nancy, 10 fr. — Percep,. tion de Nomeny : Laveine, percepteur, 10 . . Brelon Joseph, à Abaueourt, 1 fr. ■— fr.: ;L Perception de Saint Nicolas : Petitcolas, p " percepteur, 10 fr.; Pierron Emile, à SaintET Nicolas, 1 fr.; Un écolier de 5 ans (éconofflie mie de la fêle deSainWSicolas), 0 fr. 20. — Perception de Nancy, 2° division : Colelle, per percepteur, 20 fr.; Barlhès, fondé de pou1 . voira de la perception, 2 fr. — Total : ,, . 20. 54 fr. - — Homéconrt de Langres, les 18 et 19 mai, a en 18T7, une première feis, diitiaguês par la se- nastique nasli ciété »ationale d*encouragement au Bien, puis hc- f j remporté les récompenses suivantes : Ce Ces jours derniers le sieur Buraglio, terCm norés par le gouvernement d'mne médaille de brong En deuxième division, concours simul- rassier ; n à Homéconrt, se rendait à Piépape hc» lettres eos*>pro»iettantos. - zo , . premier prix d'excellence ; en division iass Ze en 1887 et d'une médaille d'argent en 189d. tané, (Haute-Marneh chez le nommé Viganoti C'était la juste et méritée récompense de l'amour Le revolver G'4tai unique, concours de lutte d'ensemble, pre- canlinier | à Eize-l'Assaut, pour y toucher cau que M. Labriet montrait pour ta Société, qu'il UI!K1 mier prix: concours de boxe, troisième Mercredi, vers dix heures du malin, le aima comme un père aime «on enfant. une somme de 550 fr. qu'il avait laissée en [Hier une brui bruit se répandait en ville qu'un drame do NOI Nous devons lui savoir-gré d'avoir si bien ho- prix; prix au championnat, M. Mathieu, vingt- dépû dépôt chez ce dernier. c sa l'adi noré notre société, et p«' dalicate activité, et sept] l'adultère avait eu lieu dans le quartier Wé septième prix individuel. Ap Après avoir touché son argent, Buraglio par le Grandville. par h zèle qu'il a déployé dans l'éducatio» et pour Gra partit •* Dombaile Pait à ViUegusien où il comptait prendre l 'établissement de ses enfants. La L nouvelle était exacte. Un drame de r*»b le train aussitôt. Mais en roule, il renconPuisse le témoignage que notre grande famille M. Mangon, entrepreneur à Nancy, nous !® , Pui l'adi l'adultère venait, en effet, do se dérouler au mutualiste tra trois Italiens, ses compatriotes, lesquels rend à sa mémoire, apporter quelque prie j pv c de dire qu'il a été déclaré adjudicataire JP* n° 49 4 de la rue Sellier, dans l'immeuble de adoucissement à la deuleur des siens. ges travaux d'achèvement de l'église de l'entraînèrent à la cantine Meroni, à Ville, des joy< joyeuse mémoire, connu sous le nom de En En vous adressant notre dernier adieu, mon cher Dombasle D avec un rabais de 7,60 0[0 et non gusien, où ils burent quelque peu. Ses conw m « mairie de Pintenviile ». Voici ce qui s'é- trésorier, nous avons la certitude que Dieu que * pagnons l'ayant quitté, Buraglio resta et setréS(1 de 16,60 comme il avait été indiqué par er- S?^ " tait passé : vous avez tant aimé saura vous recompenser et nt servir à dîner. reur. {h dormirez en paix votre dernier som- reui « Le n» 49 de la rue Sellier est un immeu- que que vous ■> Malheureusement pour lui, après'avoir Fêt de pèlerinage Fête fêté ble dont les appartements sont loués en meil. » fètô Bacchus, il voulut fêler Vénus. Il resta à Saint-Nicolas donc j gar garnis et donl la gérance est tenue par les ( on( à la cantine où il passa la nuit avec la Nécrologie j Les offices du lundi de la Pentecôte, à sœur ôpo époux Zabel, qui occupent un appartement sœu de la cantinière, couchant dans laNous apprenons avec regret la mort de s j au rez-de-chaussée. Le mari est ouvrier Ni Saint-Nicolas de Port ont été présidés par £ a n Drame de l'adultère m a même chambre que le canlinier et sa conMe /André Gircourt, avoué honoraire a la M plombier et travaille à l'usine à gaz. Deux M" ploi Mgr t,j gr l'évêque de Nancy. cubine. cu cour d'appel, père de M* Gircourt. avoue. Le enfants sont issus de son mariage : une pe- coin Le grand orgue était tenu par M. Kling, J eilfi JC matin, *** Le quand Buraglio voulut payer Nous prions la famille du défunt, qui 1^3 lite flile.de dix ans el un garçon de sept Ni Les chants à l'unissou ont été exécutés par iles j es faveurs do la bejle, il s'aperçut aveo N Nous avons encore . eçu de Mr G. Gulton, tite "r! meurt à l'âge de GG ans, de vouloir bien ilaa c ] me âr chorale Saint-Nicolas. ' t n ans. J H &^ qu'il avait été, pendant la nuit, s U avocat, 20 fr. . £ jy fanfare de la soudière de la Madeleine stupéfaction Dans la matinée, M. Zabel, qui, depiifS"! agréer agré l'expression de nos condoléances. La \ soulagé sou soulagé de son porte monnaie. Nous N avons reçu six francs, produit d'une longtemps, . avait des doutes sur la fidélité ———pr a prêté son concours à l'office des vêpres \\ Il porta plainte contre ses hôtes qui pro-' collecte coll faite entre « joueurs de quarante, de j - j ct à la procession. et ttestent t< es A la Pépinière ? énergiquement de leur innocence. habitués du café Mougenot, à Lemainville ». .'sa femme, parlait sans rien faire conhab (Ce £ pèlerinage annuel avait attiré une fou- u„ naître d'anormal à son travail quotidien. c enquête est ouverte par la gendarme-' Une Voi Voici le détail de cette souscription: MM. Mais . il s'était juré de revenir à l'improvisle , Oi On travaille activement en ce moment jlee C( considérable. i , rie. Dur r e Dumet-Mougenot, 1 fr. ; Golé Numa, 1 fr. ; dans V, à la Pépinière à la construction des tribula matinée, dans l'espoir de constater a ** Gra Grandeury, chef cantonnier, 1 fr. ; Claude si ses doutes étaient fondés. Conilans * nes et à la pose de l'immense clôture en nos Auguste, 1 fr.; Prud'homme, maçon, 50 c; Âuj Une splendido châsse du martyr saint qui doit entourer le carré où auj* ; Mme Zabel habilla les enfants à l'heure planches plan Dans la nuit des malfaiteurs ont fracturé Mougenot, Mo 50 c; Gerberon, 1 fr. jl^ ^ ront lieu les courses du concours hippi- Sabinien, exécutée par M. Vallln. ornée par ]la habituelle et les envoya en classe. Puis, ronl a devanture du magasin de M. Léon SponM. 'Drioton, vient d'être placée dans l'avant- v jij€ horloger-bijoutier, à Conflans, et ont #** aya que. ayant fait sa toilette, elle se rendit au bu- que ville, cœur j[ main-basse sur les montres el bijoux Ces courses commenceront, comme on c ceu de la basilique. Ces reliques du mar- ffait reau de poste et. y retira deux lettres qui lui C< a En « ouvrant la dernière séance du conseil fe* w ltyr vr ont été offertes au sanctuaire du patron 1 1 sait, le 26 mai et dureront jusqu'au l étaient adressées poste restante. le s; accl accrochés à l'intérieur de la vitrine, réprémunicipal, M. le maire de Longwy a pro- e » mu de la Lorraine par M. le marquis deGerbé- gsentant | iuin. Après avoir pris possession des deux juin en une valeur de plusieurs centaines noncé les paroles suivantes : A noi. uL vlller,et la châsse est un don deMmeRemy- de < mii Les . missives, Mme Zabel les plaça dans sa poLi amateurs de foot-bal profitent des Yj ae francs. « Mes chers collègues, Paillot. • L; quelques jours où le carré est encore dispo- * ail che et revint chez elle. Elle entra ensuite que' ' La gendarmerie a ouvert une enqête. Nous sommes encore sous le coup de la Phe * On remarque enfin, près de l'autel de bible pour se livrer à leur sport favori. V La même nuit, des malfaiteurs se sont inpénible émotion qui s'est emparée du monde dans dan la chambre des enfants et, se croyant nibi * * peu Saint-Nicolas, un superbe cadre en forme ^JS — La Pépinière a reçu trois nouveaux pen- j*" Le rapporteur eonclut : eut troduits dans la cave de l'hôtel Cordierentier, et de notre nation en particulier, à bien hie tranquille, se mit à lire la corresponde Ïportique, renfermant quatorze petits ta- Hémond, g|r sionnaires, des sapajous, don d'un de nos "e « Tel est, Messieurs, L'exposé très som-' la ja nouvelle de l'affreuse catastrophe qui dance. sion dar en face de la gare de Conttansblea bleaux qui retracent les principaux faits de Jarny. jari com . maire des grands travaux dont votre com-" v je de frapper notre colonie de la Martivient %Lorsque la lecture fut terminée, elle sor- concitoyens. et ont emporté plusieurs bouteilles Ces naïves peintu- cde je (Champagne, vins Ans, jambon, et, pai llt Ces singes, qui ont été placés dans le laa vie v de Saint-Nicolas. tit . d'une armoire un coffret qu'elle y cachait Gl mission vous propose de déclarer l'uti-' n jq nique. e ur€ c tures, sur bois, du 16 siècle, ont été offer,),..,, kiosque abritant déjà plusieurs de leurs | lité. soigneusement et y plaça les deux lettres kio. En attendant les mesures généreuses qui SO* dessus le mzrché, une paire de chaussures u une ^ pp « Bien que n'ayant pas été étudiées d congénères, ont fait de suite bon ménage Lles ÇS au pèlerinage par M. le chanoine Bar- a venait de recevoir. eonj appartenant à on voyageur. seront prises par notre pays, pour venir au qu'elle qu hier, curé de Saint-Vincent et Saint-Fiacre £ jours derniers, un vol de saucisses a façon approfondie, les prévisions indiquées* sec A ay« ceux-ci ; ils semblent joui** d'une parsecours des victimes d'.un désastre, dont on » peine avait-elle refermé la cassette que avec Ces ae 1 de Nancy. u |Àn été opéré la nuit chez Mme Maguin, à chacun des projets nous autorisent a vous5 ne le mari faisait irruption dans la chambre, faite faiti santé et d'un robuste appétit. déjà ne connaît pas encore toute l'étendue, je »»« présenter comme chiffre probable du coût' vous propose, au nom de toute la popula- Il H sse dirigea tout droit vers la femme, s'emdébitante, à Confiai)s-Jarny. Poiuney déb vm La crème de s-ix Jîloefa. de leur exécution, un total de 1,260,000' u para du coffret, l'ouvrit et constata qu'il tion 0, de notre ville, de nous associer à la par La garde des usines Fould a arrêté à sa O On a tout lieu de croire que les voleurs aliment sans rival pour les enfants, sertégaJj francs. tri? un grand nombre de lettres. Il, ff™ trislesse générale et aux témoignages d'uni- renfermait ren sortie du chantier Joseph Desjardin, âgé de ne :sont autres que des chemineaux de touleraent à la préparation d'excellents potages. 1 c Nous croyons même, en tenant compte' veI en verselle sympathie qui vont de toutes parts en . déplia une, puis deux, prises au hasard, 55 ans,- mancenvre, qui transportait dans {tes tes nationalités, dont le Jarnisy est infesté fie ce que nous permettront de faire nos re-" vei prit vers notre infortunée colonie. » Pn connaissance de leur contenu et termi-■ ^ depuis que la Compagnie de l'Est a ouvert A .propos d'une «ffaire son panier, un coussinet de bronze, pesant dep 3 cettes ordinaires, que ce chiffre peut être ^A l'unanimité, le conseil municipal a voté P« na sa lecture par celles que sa femme avait 10 kilogrammes, d'une valeur de 25 fr., des chantiers de réfection des voies. «le correctionnelle 1°,. US réduit à 1,200000 fr. M reçues dans la matinée de mer«J celle motion el a décide d'ouvrir une sous- 3justement qu'il avait dérobé dans l'intérieur de l'usine. qul Nous avons parlé de la condamnation « 1 our réaliser cette somme avec nos re-" cription lue» eaux notables a Longwy credi. S publique en tête de laquelle la ville CI 'e avv Haroiié ,, OT par le tribunal correctionnel de f.ettes extraordinaires, nous n'avons qu'un1 de de Longwy s'inscrit pour une somme de t" 11 y a quelques mois M, Nicklès, directeur CComplètement édifié sur ce qu'il tenait à* prononcée 11 Bien peu animée, nous écrit-on, était la . contre Mme Marie Marchand, femp moyen à notre disposition, c'est de contrac-" m j] francs. sa savoir, le mari eut une violente discussion?1 Nancy * mille ^ aH laboratoire de géologie à la Faculté des du me Blosse, inculpée d'avoir abrité chez elle foire de Uindi à flarouô, le mauvais temps ter un emprunt et de les augmenter de son avec sa femme, à qui il reprocha son odieu- me sc de Nancy, a fait une enquête sur elat étant un empêchement très sérieux à ces sciences î* U1 un déserteur. Nous avons reproduit égaleproduit. se conduite. \ les sources des environs de Longwy sus1 manifestations commerciales. ment les explications de Mme Blosse qui a ro* De \La femme loin d'avoir peur de son marî m * Uu capital de 1,200,000 fr., acquis de5 I VAuto-Revue de TEst: .~,' ceptibles d'être captées. C'est, à peine si une demi-douzaine de ce P au tribunal qu'elle .ignorait comC cette façon, nous occasionnerait dans less *« Aux dernières réunions de l'A. C. L., la ou ou de lui demander pardon, lui tint tête et) déclaré . M M. Nicklès donnait un avis très favorable marchands ambulants avaient installé leurs E plètement la situation du militaire, un nomMai de membres honoraires s'était plu- se se laissa aller à une violente colère. Elle lui ' . conditions financières actuelles, une dépeu-- .création cré pour OT celles de la Moulaine, de Mexy-Rehon eve éveptaires sur la place du Maréchal-de-Bas- P sieurs fois posée. Adoptée par l'assemblée ^cria, même, à plusieurs reprises, le mot at-1 méS Schmitt. se annuelle de 70,000 fr.. en Intérêts et fraiss ;Sic et de Romain. Par contre il émettait une scm . sompierre. J*. Nous recevons à ce propos une lettre did'amorlisse-ient, celui-ci étant prévu pourr générale, gei le comité était chargé de dèiermi- tiibué trr à Cambronne. l opinion défavorable aux sources de l'AbatLa marchandise la mieu.x représentée — °P sant que Schmitt a élô acquitté par le conL lier leurs avantages. une période de 30 années. uei La colère de M. Zabel fut alors à son1 ™J ■ on de la minière de M. de Saintignon et e S11 si l'on peut s'exprimer ainsi — était, sans 'toir, seil de guerre du 7 corps à Besançon. ' « En conséquence, vôtrè commission vouss r II I a donc élô décidé de leur permettre de coi au Coulmy (ûanc nord). comble. Il saisit un revolver d'ordonnance, i con . contredit, les petits porcelets, car 170 repré-! du , propése : «P» venir vei aux rallye-paper, où des voitures se- qu fl qui était chargé et en lira deux coups surr' , Noti'è correspotîdant s'indigne de la con- sen Nicklès n'exprimait que des apprôhensentants de cette espèce avaient été amenés1 j M. damnation prononcée contre Mme Blosse, à leur'disposition ; d'assister aux soi- 3a « 1» De décider, en principe, l'exécution1 raient rai 10 sa femme. ■ 2*: sious, inspirées par l'étude géologique du ' sur la place. f ' dont i) s'affirme garant de la bonne foi, des travaux èjjdmérés au présent rapport,., rées rée récréatives et aux fêtes données par ] Les deux balles portèrent, la première un . terrain, ,£:r la perméabilité des terres ou l'ex' On avait, craint l'envahissement de cette } alors que Schmitt est acquitté. Lex dura, |C p0i à droite de l'arcade sourcillière du côté ™î après leur étude par les commissions com-.- l'A. l'A C. L. Ils recevront gratuitement l'Auto- peu ; ploitation des couches de minerai. Il redou' place yar les eaux du Madon, enflées consiP . Revue de l'Est. Sri pêlentesj Re droit du visage, la seconde sur le côté droitft sed lex.' ta1' une contamination possible. Il ne la I Uer déi .ii ienient par les pluies consécutives de[ tait Leur cotisation est fixée à 12 fr. du menton. du j ce pas. Les démêlés de simple police ces derniers jours; mais la rivière a, dès'. certifiait « 2° De Toterles crédits nécessaires, à pré-y T ces £ Puis une importante question avait été .. La j femme tomba sur le parquet, pendant, ' ijRestait à analyser les échantillons d'eau lever sûr les recettes extraordinaires que\ ilaissée Î nia maintenant déjà, réintégré son lit. ' _ Eh vas-t-en donc manger de «la tête de au Comité. C'était la suppression du qu a}. que le mari descendait rapidement l'escalierr puisée à chacune des sources. no.^ procurera un emprunt de 1.200.000J <j mouton ?» droit d'entrée. Après un examen apnrofon- et * disparaissait. r( -. . .EJmberménil î Colomb-Pradel, directeur de la station M. frahes. di Cette phrase, couranë sans répit à ses di, le comité a décidé de mettre à l'étude la ]L'alarme fut aussitôt donnée. Des étu- , J: . agronomique à Nancy, vient de procéder à r « Le Rapporteur, ( i La gendarmerie a dressé procès-verbal à trousses, avec un accent ironique, avait fini I proposition de M. le D Viller, et après essai aiants', di; pr qui habitent la maison en garnis.des i v, ly de ces échantillons. « E. MILLERY » ç faire la proposition à l'Assemblée gé- ci - un1 jeune douanier de Vaucourt qui étant l'analyse ,' c e d'en dendirent au premier étage, et, s'occupèrent par P'..- exaspérer une brave étalagiste du pa-3 W C 111 déclare dans une lettre adressée à M. le ; surexcité par la boisson a porté un coup de Nord delà place du Maiviié,qui porle sui « Les conclusions du présent rapport ontt nérale. né; en toute hàtg de donner des soins à la bles- villon On 7 maire de Longwy : à un taureau en pâture dans un{ ma le nom d'un village de la banlieue nan-h baïonnette MM été.adoptées à l'unanimité par la commis-i«« Le droit d'entrée est suspendu momen- ;sée, séi tandis que des voisins couraient préve-;~ J,A; ; ( longeant un.chemin de grande commujprê *« Sauf le puils de Lorïgwy-Haut, toutes si an des grands travaux, dans sa séance dun m " céientie. PV tiMiémenl et à titre d'essai pour les sociéAat- nii nir la police. / ces eaux peuvent, être cîassées'comme d'exnication. .ces — Ça finira bien par se gâter ! grondait- roc 11 avril. » rcf i-cs habitant à plus de 10 kilomètres de : Après ce premier pansement, Mme Zabel, cel ( qualité. Aucune ne présente de trabête appartient à M. Alison, cultiva- cellente en a-parte et roulant des yeux furi- , Cette ■Wiqjp. » pu gagner à pied la rue, et monter dans'„ elle S* put f ' ' cce^'.de contamination organique, et tout au e leur à Emberméniî, qui a été obligé de la ? bonds. Je leur montrerai que l'on ne mange 1*t * * l'iAu scrutin de ballottage, le comîlé a ad- une un voiture de place, qui la transporta à [J: , Tout en rendant justice aux délibérationss mj teer. La perle éni'ouvée par M: Alison est* plus PR pourrait-on formulcrquelques réserves pas. chez moi. * de la téle de mouton ». mis comme membres actifs de l'A. C. L. : l'h l'hôpital, où elle fut admise dans le service* r*v u point de vue chimique sur les échantilau r de la commission et au rapport de M. Milj e de 350frf (Traiter queitiu'uit de mangeui de tête de lMM. le D Renauld (Antoine), à Thiau-■ do de M. le docteur Gross. ., y lons des sources du Coulmy (amont), de l'aLesmenîls i c'est le traiter, paraît-il, de meurtlery, il est permis de prévoir une objeetiorf.f. court. D'autre part, aussitôt qu'il connut la nou- Tmoiilon îr; ■ ba battoir et de la minière de M. de Saintignon '"|larluim.) . 1 Rosfelder (Antoine), pharmacien, 12, y Lucie Samsou, 13 ans, avait placé sa main On ne manquera pas de constater, dans iec , vclle, M. Flury. commissaire de police'lu,I -j * an an raison de leur richesse en sels calcaires .,1 iv.m-., notre marchande, grasse à reluire, rue de la Visitation. • da N spr «anlon nord, qui remplissait àcemomentv? su: l'engrenage d'une niachine à battre lors- <# magnésiens. » public, que les travaux de Ifag* iàfêgdviçe tee j|-,n prouve bi'-n qu'elle mange tout à son11 «h Poulain (Jules), tailleur, 4, rueGam-- îfeque sa.sœur plus jeune quelle de quelquess ; tes fonctions du ministère public à la .fus-ri? Les deux sources de l'abattoir et de la proposés par la commission, ne viaept '".faise, i-iaii Loï\ en colère. L'autre matin, une >t betta. ■ tu de paix, se transporta accompagné de't tice minière de M. de Saintignon, dit le Longo■■ tri'! /.l 'itv x in w , l voisine, avec laquelle elle eut une discusque de nouveaux quartiers à créer, MÉ 3" années e Bergeret (Albert), imprimeur, 18,, son sn secrétaire et du brigadier Louvi-m . •, eut la fâcheuse idée de tourner laa liieien, étant classées comme très bonne an rue Lionnois. àà l'Iiôpital civil, où il ne put interroger la sioiv lui lâcha encore la phrase maudite. manivelle de la machine qui broya atrocede nouvelles voies à ouvrir dans les qu'ar- 11 > * et bonne, on peut se demander dés aujourBédin (Alphonse), étudiant en mé-■Wlcsséeen 13 njent trois doigts de, la main droite de laa d'hui Ji raisoy des soius que les méde^. tiers excentriques. h " : *** ro< pourquoi la ville de Longwy s'impodecine. L rue de la Salpêtrrere. ci ! ucie cins lui donnaieitt-à ce'moment. 11 n'en fallut pas davantage pour la faire Pj, apr^it des dépenses considérables pour les 'e P['iUÏ£ ' ... ZÀ Le centre delà ville ne doit cependant pas 1L sfc : B Hanus (Pierre), brasseur-chiiiiiste,. ,, Quant au ma#i il se promena quelque) ; i, ' -ru appelé en toute hftfë dut pvor- tr< i;» '00 bondir. Ce fKLune vraie tigresse qui sauta, travaux d'adduction d eau provenant du tercire perdu de vue. Dé nombreuses amélio0rue des Capucins, à Charmes3 temps dans le quartier de la 'Ville-Vieille, ne tiTtjs ses dnglcs, à la figure do i'insul-jee< i'. Ictacr à l'amputatio.i de l'index. On espèree riloire Si s, de d'autres communes, quand elle a de li (Vosges). -» *tt^»^ 'ft rations sont à apporter dans la Villejuis se rendit au bureau de police du can1. pouvoir sauver les deux autres doigts. la M geuse. Celle-ci lui répondit de son mieux. jpo la très bonne eau à. sa porte. i: uns -.Antoine), brasseur, rue du If3 1 ten nord où il fit le récit de son crime. Les deux dames so sont au jour-.':'i ut ré-j : Vieille et dans la Ville-Neuve. II.reste cependant à savoir si le débit des Pont.-à-Menssoi^ Pj i'f,' à Charmes (Vosges), Il fut ramené ensuite roe.Sellier et, c'est co st conciliées, mais plainte avait été portée à| a Jte'i so sources de l'abatloir et de la minière de M. s Les projets ci-dessus exciteront au moins is Ontél-j ;alement admis comme membress ac accompagné d'ui>-gendarme-,, fort Iran qui 13erie Saintignon est suffisant, pour l'alimentae- la pafice et elle a suivi son cours jusqu'à laa ACaisse d'épargne. — S0' semaine. — Opérationss de fai autant de critiques que d'approbations. On m ht honoraires : ' m faites • tion U( .ment, qu'après avoir pris dès nouvelles de le ba barrette simple police. , du 11 au 17 mai 1'JOâ: .de la ville MM. Charbonnier, architecte, 37, fau.-- |^es Àc enfants, il se dirigea à pied vers le parjt Versements: à Pent-à-Mougson. par 54 verse-, . reste perplexe devant cette situation. S i'M. le juge de paix les condamne l'une et " EIÎ cas d'insuffisance, il faut reconnaître s raeDts. dont 14 livrets nouveaux, 31,876 fr. .. ; a a bou)'g Saint-Jean. <ji quet. *<§,\ *• " l'autre l'a à une amende de deux francs. SÏ , 9Jque par sa position et sa qualité la source de TltUwxmrl PU' 21 versements, dont 8 livrais nonNe serait-ce pas l'occasion de mettre le Kronberg (Emile), boulevardLobau. Un attroupement oeusidôrable s'élaitalors PS Où irons-nous, mon Dieu, si les hommes i !S 22 Mexy-Rehon est toute indiquée pour une Y ; vèaux .10,103 fr. ; i Oaville, par 4 versements, dout T i Valet, rue du Pont-Mouja. fr public à même de faire connaître son avisS formé rue Sellier et les commentaires, alil- >'< s'eu mêlent ? ' - . TT li\ lijrrcis uouveaux, .'465 fr.; à Pagny-Sttf-Moselle,parr captation ca totale ou partielle. Burlb, 13, rue du Pont-Mouja. S huent leur train. Nous devons dire- qVîls par voie de reîerendum ? ls II s'agit ici des hommes de la halle. Deux a vHis'ements, dont 1 livret nouveau, 2,073 fr.*; à X li Majorelle (Louis), rue Saint-Geoi'-'- éi étaient plutôt favorables au mari, considéré d'1 je Ej Dtieutouard, par 4 versements, dont 1 livrets nonrô d'entre eux, installés place du Marché, se Le référendum, appliqué aux questions ^ '' ■ Fête des vétérans de Longwy 18 ges. , Û( •j. T«;IUI.2,270 fr. ; hauts-fourneaux et fonderies iie Comme un mari rangé et un travailleur. so pris l'autre joui'd'une querelle si vioLe j . sont, politiques, présente de graves inconvénients, s, ' Raffi (A.), rue Saint-Georges. „ Px^nt-a-iiousson, par .. versement», dont .. liAvant do Iravailler à l'usine à gaz, M. Za-te i- jj Le lundi de la-Pentecôte a eu lieu, avec a- -tente que l'un d'eux, à bout d'arguments, ^ ' vrets îouveaux fr. ..; J>oniêvre-eii-Haye par 1© "cérémonial et l'ordre accoutumés, la fête rA Everle (Emile), Insming (Alsace-1- bel h exerçait avec sa femme ta profession mais il nous semble qu'il pourrait fonction'r le in sa saisit un panier plein d'oranges et le langa ' !. . versement, dont .livret nouveau, .. fr. .."— ', -Lorraine). ">'«( "ilj de laitier, qu'ils ne quittèrent que pour géqes ner dans les questions municipales, surtout e é- à la tête de son adversaire. Ce dernier ré\a 7 Total des versements : 36,789 fr. as vétérans de Longwy qui s'est déroulée Vve Pernot, 26, rue du Bastion. ri l'immeuble de la rue Sellier. Le mari rer pc .. dans l'ordre suivant. : ri ponditdu tac au tac, el comme il est aussi ittemboursement» à Pbnt-à--Mou(j!on, par 51 quand il s'agit (c'est le cas) d'engager les Si es Decollogne, Grands Moulins de Li-1- e: entra alors comme plombier à l'usine à marchand m d'oranges, il.fit jouer à son tour U' re. remiiourseniBiits, dont 13 soldés, 21,732 fr. 29 ; \ à . A 9 heures du matin a eu lieu la réception disponibilités financières de la ville par un in verdun. g a la gare des délégations et des invités avec gaz, Xhiaucourt, par 15 remboursements, dont 5 soldés, à - s; sa charpagne l A Sj empru!it< Porle, Briquetterie de Liverdun. La femme Zabel est âgée de 28 ans. C'est ni le concours de « là Longovicieftne » st Vous pensez si les oranges rôulaient à sS il) t'r. 22; i Onville, par 1 remboursement, dont Boyer (Georges), tanneur, 13. ruee une u '„ ■. :suidé. 400 fr...; i Paguy-sur-Moselle, par 22 femme assez jolie, brune et de lahle at le l'envi sur le sol bitumé et si les voisins L'entrée en ville s'est faite avec le co"N'est-il pas juste en effet que le public 1C Pascal, Pans. a rembourseinents, dont . soldé, 475 fr. ..; à Dieuau-dessus de la moyenne. ri riaient de bon cœur ! J*J f- ce cours de la « Lyre de G-orcy », de l'Harmo qui paie soit amené à se prononcer ? Nous louard, par 3 remboursement, dont 1 soldé, 1,680 ] us Malte, directeur d'assurances, ruee Le mari est âgé de 32 ans. u On riait d'autant plus que les deux com- a. !° nie des Aciéries de Mont-Saint-Marlin : de fr. 85 ; uauts-fourneaux et fonderies de Pout-à- i„ nj. Saint Jean. avons la persuasion que le conseil municibattants n'avaient pas pris le temps de se n'. la «Longovicienne» et des sapeurs-poni5e Mousson, par . remboursements, dont . soldésJ XI Aubê, rue du Grand Verger. 1 pal voudra examiner cet leformedeconsulta. P piers. débarrasser du panier qui les avàit coiffés .. fr. ..; à Domêvre-en-Haye, par 2 rembouris ... r M. Flury, commissaire de police du canLe Secrétaire, Eug. BONNE.» J se lancer des oranges. On eût dit des * . A 9 h. Ii2, les délégués ont été présentés 2S s sèment, doat . soldé, 900 fr." .. - Total des remtion populaire dont nos voisins de Toul se s e , u ton Nord, s'est transporté de nouveau à pour H a 0. 110 L)oursements : 33,799 fr. 36. à la municipalité, et un vin d'honneur a été guerriers casqués et masqués. Un des pro» deux heures de l'après-midi à l'hôpital cisont fort bien trouvés pour l'adduction des . ' fUib. V i.1.. -.-t .*■ j es Pour avoir un vêtement irréprochable, ^ ■,e 'jectites atteignit une boitne grosse marservi à l'hôtel de ville alors que la « Longox" " yvil , :-( I>iei5ÏOMarcl _ ndressez-vous chez GilleULafond. , où il a longuement, interrogé la blessée eaux alimentaires. , chande de chaussures, en plein visage : vicienne» donnait un concert. »«r d don t l'état, ne donne iieu, sauf complicalie AVajEvnm ^ Nous avons déjà parlé de la crue des P. S. — Nous exposons dans notre Saile ' " — J'adore les oranges, s'ecria-t-eile, mais, »s On-s'est ensuite rendu à l'église, où une tions, à aucune inquiétude. s A Dieulouard, la Moselle avait déborm celle-ci, je la trouve vraiment mauvaise ! ' eaux. ^ r- messe de Requiem a été dite pour les soly J Société amicale des anciens militaires la carte annexée au rapport de M. Millery. d( d; L'ai'rivée d'un agent mit fin à ce combat morts f>our la patrie et pour les sociédni 106°..-—L'assemblée générale aura lieu at dé sur l'île de Scarponne. qu'elle couvrait à dats ■e peu re- iiinédit, qui a eu son épilogue judiciaire, P' près entièrement, et. on a pu voir'un m ù t'aires décédés. le samedi 24 courant, à huit heures et de- r L'enquête a démontré que les lettres repar la femma Zabel lui étaient adresn: Pour les sinistrés de la Martinique a ' d des BS- mercredi, devant M le juge-de paix. < habitants de l'île, pécheur--de son état, mie du soir, au siège social, café Hahillon, çues 5 it, Le cortège s'est reformé et s'est dirigé ' 1sées par un ancien sous-officier, récemment int Les deux adversaires paieront chacun Je 4, jeter ses. filets sur ses canards pour les rav a- vers le cimetière. Là, une palme a été déU1 Souscription ouverte à la mairie de n rue de Metz. encore en garnison à Nancy. ' deux d> francs d'amende. >P mener. p posée sur le monument des soldats tombés Société mtlîtïtire de tit'du Nancy Ce militaire aurait eu des relations intiti• « Lnnévllle a service de la France et un vibrant disau i-é^imeiit territorial «l'infanterie r e mes n avec Mme Zabel. Il habite actuellement sut " * * Journée du 21 mai 1902. — Septième ûe c [i cours a été prononcé par le président d'hon«le Kaiïcy g: L'assemblée générale annuelle de la SoNous avons parlé d'un pugilat qui a eu liste : , Saiut-Malo, mais, comme on l'a vu n'avait 11 !je neur do la section. ciété des pêcheurs à la ligne de Lunêville La troisième séance de tir de la Société p e pas lieu entre deux étudiants de la Faculté des cessé sa correspondance. " MM. Larcher, conservateur du musée, 10 10 ^ 41e régiment territorial d'infanteri-c de A une heure, un grand banquet de 115 „ aura lieu samedi 21 mai, a 8 h. du Soir, au l e si au sciences de Nancy, un Belge et un Italien, £ ,a fr. ; Mesmin, 6, rue Sainte-Catherine, 20 fr.: du N couverts excellcmcnt servi par les soins de k » Salon des Halles. | £:? Nancy a eu Heu dimanche dernier, 11 mai, i, -. ^ Ppour une histoire de livré prêté. Thiry, à Lay-Saint-Christophe, 20 fr : Thi- a M Ehrart, maître d'hôtel, réunissait dans , Voici l'ordre du jour : 1* Compte rendu f à la distance dé 300 meircs, au champ de ie Obiwqiie» de M. Latoriet d L'affaire qui était venue devant le tribunal ^ ry, à Tomblaine, 20 fr. ; Villain, ingénieur ur fi tir du 69e régiment d'infauteric. ~* 3de l'exercice 1901-1902 ; 2° Renouvellementt rla salle du théâtre, vétérans et invités. La société de Prévoyance et de Secours d trs de simple police de Nancy avait été remise des mines, 10 fr. ; France, Lanord et Bieha:ia" ... Plusieurs toasts patriotiques ont été portés. ' f " partiel des membres du comité; 3"Questions' 'S .mnluels de Nancy, a été durement, frappée à huitaine pour l'audition des témoins. Mer»éc à s ; ton, 50 fr, J A cette séance ont obtenu les meilleurs L'après-midi a été égayée par des concerts résultats" 5: *jÇ diverses. par la mort, de *M. Jean-Baptiste-Nicolas c: las credi, M. le juge de paix en a entendu huit Mme reuve Emmanuel Coblentz, rue Ba_ exécutés par les diverses sociétés de musi\ Tous les membres de la Société sont ins6 balles 17 points, Achin. Diller, soldats. s. Labriet, I trésorier de la société depuis U 1S lis tant à charge qu 'à décharge. Finalement, ron-Louis, 10 fr. ; M. Henri Staub, facteur ;ur _ f - 0-15, Pradié, soldat. — 9-14, Gudin, aide., ' tamment priés d'y assister. ^que et un grand bal donné dans les salons e- 118-70. J'l'étudiant belge a été condamné à deux do pianos, 10 fr. ; Mme veuve Claudel, rue ue v do l'hôtel de ville, clôtura dignement cette vétérinaire; Dabin, sergent-major; Durand, Les administrateurs et les sociétaires de f] ! de francs d'amende et l'étudiant italien acquitté Saint-Julien, 31, 20 fr. t'- les religieuses dé \ (w Mouaconrt t belle journée. °f Jost, sergents; Coubé, Jacques, Laprévotte, e, ccette mutualité T'Mit accompagné samedi àa p purement et simplement, l'abbayé de Flavigny, 50 fr. ; Mmes Bert er " Spachmânn, Thomas, soldats.— 6-13, Gille, ssa dernière demeure. Le deuil était conduit M. Aimé Mirgon, garde particulier „ à* uit . e, trand, 20 f r. ; Ernest Brussaux, 20 fr. Longwy ft lieutenant; Klein , officier d'administraa-: Ipar MM; Jules. Emile el Chartes Labriet, a tué dernièrement dans les fo,-.i, '*Chute d'un cable du tramway Mouacourt, l0 MM. Culmann, 100 fr.; PeiTin, notaire, t ; Voici d'après le Tir national la compo* ftUT1 e ilses fils, et par MM. Doyette el Robinet, ses rêts de Mme veuve Renauld, rentière à i H'**' M i r, Poincignon. officiers; Pel- s 20 fr.; Goudchaux, rue des Dominicains, 'on 20 ses Mercredi après midi, un câble amenant î M 1 -* tion du comité de la société mixte de tir de in lier, sergent-major; Aubry, Dursapti , igendres. , n * Nancy, situées au lieudit Ëois-Blàmont, terr fr.; J. Greff et fils, 100 fr.; Mme veuve Ver1 l'énergie électrique au trolley s'est détaché Longwy: er ,ue r ' Evrard, sergents; Leloup, caporal ; Biaise ritoire de Mouacourt, deux renardes avec se AU cimetière de Prêvilîc, M. îe docteur (j gne, 20 fr. j ror du poicau faisant l'angle des rues Saintnt %l « Présidents d'honneur: MM. le lieulen 1 r Friol a prononcé d'une voix émue les pa1 * neuf renardeaux; grâce à la perspicacité de MM. Vaultrin, ancien inspecteur des 10 fo- <.Louis. Delhalt, Gardel, Lyon, Martel, Piev pa- Léon et du Faubourg Saint-Jean. \ liani-coloncl L'Iioste, Mézières, sénateur. r son, Watrinet, soldats. — 5-13, Collession, n, rôles 1 suivantes auâuiMMHK',K«> ^ ... M. Mirgon, les chasseurs lunévillois, qui t u rêts, 20 fr.; Chartron, 20fr.; le commandant « Le transbordement des vrjyageurs a du dû 0 a,m sous-lieutenant. l,de ' Lebrun, député, Ladret, conseiller d'arn-!. ont loué le droit de chasse dans la forêt n Messieurs, è Larguillon, 10 fr.; C. Aymes, 12, cours Léoêtre opéré pendant le restant de la Jourur_ t ^ tassement, Féry, maire, de Saintignon; 'p0.' , Séries remboursables. — 6-TbaHes 18 ' "» L.o président de la.Société da prévoyance ul de ^ Parroy, auront un supplément de gibier [ pold, 10 fr.; anonyme-, 10 fr.; Audiat, présiesi s '<!« née. ^JQtt ÇT ffû ïÛnfli i T Président : M.'Petitier; ]t iSiecours mutuels considère comme un pienx devoir points, Collesson, sous lieutenant ; Delhalt, ni , npour la prochaine ouverture de la chasse*\; dont de chambre honoraire à la cour d'apj * Une équipe spéciale est venue procéder à n a a e, Vice-prêsidërits : MM. Mercier, Robert ; <j' de et t P- <Kenel, soldats. — 6-17, Grelot, Velte, offl^ ! sa charge, de retracer brièvement la longue rï^g ils déploieront en reconnaissance, loot leur la réparation du càlile. ,u pel,^50 fr.; Paquy, avocat à la cour d'appel, ,',. laborieuse carrière de M. .leau-Baptisl»-Nicolas Directeur ue.tir : M. J.-B. Marie; ?eI> ciers : Jost, sergent ; Achin, Coubé, Diller, zèle pour débarrasser notre contrée des sanin t ' Labriet at d'exprimer, devant cette tombe qui-Vat 7a " 1,. 'Sous-dircctêùrs de lir : MM. Meyer,■ BfThomas, soldats. — 6-16, Meunier, Klein, j Mendiant» arrêtés I n gliers qui causent sa grave préjudice à MM.Grillot.aToué, 10fr.; Barthélémy et De- , > se fermer, les sentiments d'affectueuse reconnais* pe- offleiers; Strauss, sergent: Cougy, capo, ïagriculture. Les cultivateurs et les petits|s doux, La tarse, Geoffroy ; •O- isauce que les sociétaires et les administrateurs «rs ?; Le nommé Comte, âgé de 22 ans, un mal* lacour, 10 fr.; Hasse, professeur honoraire, ire j Secrélair-'-trésorier : M. Brocard ; ral;Bolliel, Dominique, Pàrmentier, Wa. propriétaires leur en seront très reconnais^aéprouvent pour set Irente-ieux années de loyaux I iiis heureux aveugle, et son frère, 14 ans, tous 1 15 20 fr.; Alfred Crépin-Leblond, imprimeur1 u'- trinet, " ,- Assesseurs : MM. Person, Rémy Samsons»Wa(s. ?r sants. et dévoués services dans la mutualité, C deux l)a!>it.ant.Jarville. ont été arrêlés mer• iileur, 20 fr.; Alfred Spire, 23, rue de Metz, lz Courty, Jacquot, Frilley. » (jjAprès s'être essayé, ron sans succès, dans l'en{ ^ La iniatrième séance aura lieu le dlman20 fr.; Gérardin, ancien conseiller à la cour diBriey 'ejcredi par la police de Nancy pour mendiou . seignerosnt pub'ic. d'abi»rd cômrnc i:istitutenr ad ad- ( )U d'appel, 20 fr.; J. Estienne, rue de Serre, 7,i che 25 mai, à la dislance de 400 mètres, cou~ cité aux passants. r Une liste de souscription circule en ce • joint à Nancy, puis comme Instituteur à Art-sur— su*H ., . > '1 ché, au champ rie Ur du 37* régiment, d'ince ..,,»,,.,«» * 20 fr.; . Weuithe, à Houdemont *t i Vandoeuvre, localités moment à Briey pour venir en aide aux ités Tram de pèlerins alsaciens ux y MM. Boyer, 64, rue Stanislas, 10 fr. ; To- fanterie; les tirs de rappel seront exécutés où il a laissé le souvenir d'un fonctionnaire exact victimes de la catastrophe de la Marlidans la position de la séance précédente et iiEtat civil de Nancy du 2! mai Mercredi, à sept heures et demie du soir, hler, receveur municipal, 20 fr. ; André, „„" noet et b'.er. pénétré de ses devoirs, M. Labriet occun ?!rà.t \tiique. °' sur les mêmes cibles. un trarri venant d'Avricotirt a amené pait un poste de commis au greffe du tribunnl de ! a taire, 20 fr. ; Mme Poinsignon, 20fr. ; MM. je Naissnnces. — Malhilde-Juliette Arna'v 1 ; de Le conseil d'administration rappelle aux §70, Nan.-y huit cents pèlerins alsaciens, se ren] JD'un autre côlé, le comité de Briey sut UX 'Nancy, lorsqu'aux premiers jours de juillet 1870, ' en 1,'l'f! Notre-Dame, 29. — Margnerite M;-François Lelièvre, 10 fr. ; Moreau, avocat, cat - l'Association des dames françaises vieul » militaires de toutes armes appartenant à la la à la veille de la guerre, ses pairs éclairés des coft-ot>' dant à Lourdes. ' 20 fr ; Jules Moreau, 25 fr. ; Mme Ange 1 e Ire ville, 10. — Raymoi*! . £eils i!u président de la société de Prévoyance, M. Mk 8 réserve de l'armée active et \ l'avmco terA huit, heures, un train spécial a ^ été d'envoyer une somme de 200 fr. pour les 'B.-:- ''"I"i,^1 on noux. 50 fr. Pr rue de VAbbé-Grégoire. 5. : . firutiement, t'appelèrent à la garde des finances de jformé et les pèlerins ont continué leur ritoriate et à sa réserve,' qu'ils peuvent faire is de MM. le baron Guerrier de Dumast, 100 fr : [Ai Décris — André Gircourt, 60 ans. v.. , celte AsxqciaUûn. eur; j _ Malgré le temps incertain et plutôt . «,oute. cSJ partie de la société, sur la présentation y. de c René Thomas, 3. rue de Serre, 10 fr.; Cerf D s'éprit p^Ksiopnément des fonctions de trésoeri froid qui régnait dimanche, lundi et mardi es0 lfii 'hoiioi-«ire à la cour d'appel de Nan. y. -leur livret militaire. Les adhésions et coli; Menus «ait» Bloch, 61, rue Saint-Dizier, 5 fr.; Léon 'tl- (rier. Le dévouement et le zèle, qua.de concert avec .er. 1Ca'.lôt.» — Catherine Greff, 15 ans l,-. derniers, la foire de Briey a été d'une cerî0" sations sont reçues au champ de tir à tou-| 1 3U-IMM. Rliretet AébravT'tz, U apporta dans l'établUJoseph, rue Raugraff, 5 fr.; Gardeil„pr<>fc-< biisLa police de Nancy a arrélé Nicolas Fres' Jrs sans profession, Grande-Rue, 37. res res- taine animation pendant ces trois jours, les les séances. t T sèment di-s actes de comptabilité, dans la gestiott seur àla Faculté de droit, 25 fr.: Housse»nx. neau, 2S ans, marinier, sa femme, née Ma- :suri -ut lundi, où un grand nombre d'étraumx, , . • j et la reconstitutiondep finances de l'osuvre, leition an« siS1 négociant, 5 fr.; Gerber, commissaire spéi rie Dageois,- 30 ans: Alphonse Hardy, 35 |ers sont venus des localités voisines et du 3pi Incendiaire en fuite gnalèrrnt à l'attention d'un important établissementf du cial, 10 fr.; Mme Bauvieux, 20 fr.: M. René ans. marinier, sa femme, née Marie Bertilrtil- pays annexé. TVATlOîVALB (vie) Situation hors pair. on recherche activement un nomméJ, da crédit, la Société Générale, qui le proposa bienMichel. 20 fr.: anonyme, 20 fr.; M. Rcy,tènè in..ûU" lat. 28 ans, tous en station au port Saintetôtà l:i i:*isse de la succursale qu'elle venait d'où Rentes viagères, assurances, mixtes, dotales >in" Georges, de Dommarlin-sous Amance. " ' yrir génieur, 10 fr. à Nancy. Vilïernpt Catherine, pour coups et blessures el jel"Je de Itenseig. gratuits et brochures, 7, HUE DESCAH^' Cet individu, dont les facultés mentales Total de la journée du 21, 1,185 fr.: re!CS cepuij ceite lointaine époqne del870, M. I,abriet r seur Nous avons mentionné une correspondait b iet pierres sur la personne d'un entrepreneur ^ .soqt des plus affaiblies, a mis le feu dans, ian port des listes précédentes, 21,518 fr. 50. — ——' ♦ *2S — l'aiiivilé fait homme — est resté le iidèle colla0na. et d'un débardeur. ce de Villerupt qui contenait certaines ap- •; '• la nuit de dimanche à lundi à sa maison siTotal général.22,703 fr. 50. Si- beimeur, \r bras droit, de tous', ceux que la conpréclalions pou {laiteuses pour le directeur tuée à Dommarlin. Avis aux cultivateurs eur jyiustQUB MII.TTAIRB. — 26e d'infanterie--" ftjtuc ■ ,es sociétaires a mis à leur tète, M. le niairc a adressé aujourd'hui . d'un café-concert de la localité. Celui-ci îi à à II y aurait attiré au préalable une periact, MM- "Vllgrain, Simon et Cie payent tes ii-ci §91 Programme du jeudi 22 mai 1902, de erSi -m.ivciant le trésorier scrupuleux et exact, M. le trésorier-payeur général la lettre ]ll nousécritune lellre de protestation dans ni! Ile sé véré 1 àore miis'touiours iuale défenseur :ttre sonne du pays qu'il avait- enfermée el 'qui ir de i bons blés vieux ou nouveaux 21 francs tes ans 3 h. à 4 h. \\2, a la Pépinière : , suivante : ies laquelle il dit notamment : « J'ai seulement s'fest échappée à grand'peine du foyer de r • 1100 kilos rendus aux Grands-Moulins. tent 1. Allegro (Boucbel). —2. Les diamant* 1 « Monsieur le Trésorier-Payeur Idt-.i' . ..-us oui saisi l'influence lii'créte, mais a déclarer que ceux qui ont rédigé cet arli•eur rincer die. irti- de la Couronne, ouverture (Auber). — A, pi. f, c, le «ju'il exerijait sur les destinées de la So» , . général, „ cle fonl voir leur jalousie contre mon éta' La Sentinelle de Saint-Max " iJ.-A'. — Georges a été arrêté mercredf éta- Scènes alsaciennes (Massenet). — 4. L^ a onneur de vous fai blissement, avantageusement connu, en en jardins d'Arrnide, valse (Godefroy). r~T' ™™, < « parvenir enir à trois heures du soir" à Nancy, faubourg Ul'g | t'ei sonne, parmi nous, no s'est i tonné quees»! Mtj La Sentinelle de Saint-Max, qui vient*• de pour les sinistres de la Martinique, un sese- Saint-Georges. t de • i pi ivarit la vole de la presse. Du reste,, on on Le Trouvère (Verdi), — 6. Marche jubi| longs et dévoués services mutualistes aient été, été, «prendre J part au concours national de gym' ym- 'coiuiait leur numéro. » laire (de Merlier), D TJ ..... . ï L 1 s 41' f , 35 M 8 EST R&PUBLICAm Jeudi tl Mai 1902 bles. Il y va de leur propre Intérêt et de On a fait preuve à Vienne de la plus l'intérêt général. grande discrétion à ce sujet, On a interSéance du 20 mai On reconnaît extérieurement la présenc* dit aux jonriiaux d'y faire allusion,sur le Vols. — Antoine Comte, cavalier au 9» du phylloxéra à ce que, sans transition, désir, dil-on, exprimé par l'empereur luidans ou plusieurs endroits, la végétation de Et;stbliia**em*"Vît naosièle orée s^écinlomt'iit ponv fournir aux dragons, à Lunéville, est ce militaire qui a| même. mulaïU'x et aux. eiiia»*** un luit ricli« et |>in-, *IIVaiit t*utca les (Jèjà été condamné, à un an de prison le 29 la vigne est très faible. Les surfaces ainsi Sarautict» «i proveu^ut de vaches Vitccméoes contre la tuberculose. LE MAUVAIS TEMPS.— Le mauvais temps avril dernier par le conseil de guerre du 20« | atteintes affectent la forme d'un cercle dont corps pour vol do divers objets commis les ceps sont d'autant plus malades qu'on continue à être général en France. chez un officier dont il était l'ordonnance. se rapproche du centre. Si le mal reOn signale do divers points des orages A la suite d'un supplément d'enquête il a monte a plusieurs années, les pieds du el même de la neige : WH VEIWE A JEUK PURGE AGRÉABLEMENT milieu peuvent être complètement desété établi que Combe avait également déro♦ Valenciennes (Nord). — Le clocher de bé des pantalons, des bourgerons et des séchés. rue Saint-Georges — rue de la Commande rie Ne pas confondre avec le pourridié qui l'église de Billion vient d'être entièredraps. 11 comparait à nouveau pour ces faits de» fait également périr des ceps, mais par ci, ment détruit par la foudre. Les deux pevant ce conseil qui le condamne à un an de par là, sans ordre, et sans donner lieu aux tites cloches qu'il contenait sont comprison et décide que cette peine se confon- taches circulaires que nous venons de plètement fondues. Les dégâts sont im6ignaler. . dra avec la précédente. portants. Un des traits les plus amusants de. la carrière *** Jules Jolivet, soldat au 79'd'infanterie l<o shah à Contrexévllle. — Le Paris.— Un violent orage s'est abattu dugouveraeur deVilna(Uussie), locomlede W&bJ à Neufcliileau, est un individu d'intelli- shah de Perse arrivera à Conlrexéville le sur Paris, et la foudre est lombée>à trois qui vient d'être victime d'un attentat politique, est gence des plus médiocres et d'une malpro- 3, et non le 2 juin, par train spécial de la reprises, sur la tour Eiffel. ccltti-ci: ayant, un jour, tenté de vains efiortsj preté repoussante. compagnie royale de Berlin, mis à sa disMoulins. —Le mauvais temps soulève pour calmer une émeute formidable d'ouvriers Le. 23 avril, son sergent de section, lors position par l'empereur d'Allemagne. Le ii les menaç;i d'appeler les A i»urtir da 5 Mai d'une revue de détail, trouva dans son pa- shah sera reçu à la frontière, à Pagny-sur- des plaintes générales dans nos campa- près de Pélersbourg, et de faire tirer sur eux ; puis, il alla au quetage un étui-musette et un ceinturon du Moselle, par M. le préfet de Meurt lie-éi-Mo- gnes où la situation des récoltes est très troupes Pour cause de cessation de commerce lôi#[.dono et appela tous les pompicre de Péters5" régiment de chasseurs à cheval, une ser- Selle, et à Contrexéville par M. le préfet des' compromise. bourg auxquels il donna l'ordre d arroser copiou-: viette appartenant à un soldat du 79*, et 15 Vosges et par M. Morel, msire de ContreLa grêle est tombée en abondance el sèment la foule des ouvriers. Et, comme on était lacets do orodequins. xéville, qui lui souhaiteront là bienvenue il a lonné durant plusieurs heures. La en plein hiver russe, ce procédé fut aussi efficace Jolivet, interrogé sur la provenance de au nom du gouvernement et de la popula- température est extrêmement froide pour i«» Mie de la Faïencerie, fVArV'CT qiioujueAnoius meurtrier-qu'une fusillade. ces objris. déclara qu'il avait soustrait les tion lorraine. 1 (U s'utait sans doute souvenu du moyen employé . la saison. lacets au magasin d'habillement où il était Rafoni^ Airtu<> sur t©«t*»s» Ses mnrchaudiMCM. tluautlfé eoii»i«3éraB>ïe On procède à l'organisation d'une garde Le Creusot. — Depuis plusieurs jours e!i ISSi, sur la place Vendôme.à Prris, par le ma- d'artieles telw^Ueï Chemises, pantalons, camisoles, mouchoirs, torchons, loaneleric, «le. employé et qu'il avait trouvé le reste. — Un d'honneur au shah de Perse, laquelle sera récnal Lcbau.) * ' le mauvais temps règne dans noire réan de prison. constituée soit par des détachements de Abus de confiance. — Le 18 avril, le gendarmerie, comme en 1900, soit par un gion. La neige est tombée en abondance; Le général de brigade de Sdrwarzkoppen, ancien , canonnier Léon Zeddé, du 39" d'artillerie, à escadron de chasseurs fourni par les garni- les montagnes environnanlessonl restées francs ; 221,000 fr. par sufîe de la réduction atUené militai» allemand à Paris, dont il fut si 1 ilution des cinq millions payés à la banTouî, étant avec deux de ses camarades, sons de l'Est. couvortes de neige plusieurs heures. me Girard, d'Llbeuf, constituerait un ac- de la production et 2,670,000 fr. par suite de souvent question dans l'affaire Dreyfus, vient j rencontrait place du Marché un individu Saint-Etienne. — Dans le haut pays, d'épouser la comtoise Louise de Wedel. La céré- I if permellant uno oxcellenloréparlilion. la baisse du prix du cuivre. Ronvres-cn-Xalntois, — La genqui leur oJïnt une montre en vente. Les mi- darmerie Le rapport des administrateurs ne fait a arrêté Joseph Meyer, âgé de 52 la neige tombe sans interruption. Le monie a été célébrée dans la plus stricte intimité. 1 nais |L Duret, ancien liquidaleur de la litaires- ayant refusé cet achat, se rendirent aucune allusion à la baisse des titres, et ans, sans profession ni domicile, en flagrant mont Pilât est couvert d'une couche , 1 >anque Girard, a déclaré qu'il n'y avait quant aux conditions défectueuses de l'ex peu après dans un débit où ils retrouvèrent Le 13* congrès international des mineurs a com- ^ t cet égard aucune possibilité de restitu- pioitalion, il insiste seulement sur les diffiblanche de 20 centimètres, et dans les le marchand qui, après avoir renouvelé son délit de vagabondage. — Les travaux de immenses bois de Saint-Genest-Malifaux mMiçcitfes délibérations à Dusseldorf (Allemagi.?). j ion. offre sans suecès, quitta l'établissement. la GcEnmelaincourt, cultés de main-d'œuvre. verrerie sont commencés et vont être Quelques minutes après, Zeddé sortait du les communications sont rendues très Il y a environ 50 c^'égués d'Allemagne et plus de L'obligation 4 1[2 0[0 de la compagnie cote poussés avec activité. La nouvelle société cliâtoaiix cnn(i»>ï"îolé» 40 délégués d'Angleterre. ' débit. Il retrouvait l'homme à la montre 507 coupon semestriel de juin compris. C'est difficiles. '" occupera, dit-on, un grand nombre d'ouL'Autriche, la Belgique et la France sonl aussi Malgré les scellés et les gardions, on qui lui confia cette dernière avec mission un prix avantageux. Dans la plaine et au chef-lieu les rafa- représentées. vriers, ce dont se réjouissent les habitants ( iontimie à cambrioler les châteaux des de la vendre. Mines d'or Roodcprrtviml de reprendre les de pluie et de grêle font rage. des communes avoisinantes. »poux Humbert. J3n connaît la visite des ses broyages. L'inculpé se rendit aussitôt chez un M. mam**m»-^ Privas. — Le froid continue à sévir. ^ Au déjeuner qui a ou lieu mardi au Nouveau- ! 'ol-eitrs au ckàteau des Vives-Eaux, près Eemircmont. — M. Alphonse FranGantier qu'il avait connu lorsque celui-ci Treasury. —■ Le dividende de 6 shellings était cuisinier à la cantine et lui dit qu'il çois, menuisier chez- MM. Roussel et Tliia- La neige est tombée môme sur les altitu- Palais d* Posldais, après la revws de la garde, le Melun. Voici maintenant quo c'est le es t payable contre le coupon n* 5. avait une permission pour aller à Paris, ville, a été blessé à la jambe droite par une des peu élevées et sur les hauts plateaux l'empererm. d'Allemagne a adressé un vivat à l'em- : our du châléau de Celeyran, dans Chemin» «le fer ïownx exploimais qu'il ne pouvait en profiter car il était pièce de bois. Incapacité du travail : six qui sont recouverts d'une couche épais- perscr de Russie. tés! et garanti» i»aî- I*Iî«at autri'Aude : j sans argent pour payer le voyage. Il offrit jours. se. De fortes gelées ont élé constalées. Le sergent Iloff, le brave Alsacien, i.iros de « Narbonne. — On vient de constater chien» — La série en cours d'émission ne — Mlle Marie Brenet, employée à l'usine! alors-en vente à Garnier la montre contre lardera, pae à être épuisée Champigny et de vingt audacieux coups de main de la Tuberie, s'est blessée à une main dans! Les récoltes sont sérieusement compro- en 1870-71, qui, depuis plus <le vingt httit «ns, oc- ci lue les scellés apposés sur une des porlaquelle 8 fr. lui furent remis. de titres do 400 couronnes, ion es du château de Celoyran, propriété 42011 fr.s'agit Zeddé, au lieu d'aller livrer cet argent, se les lames dé sa machine. L'incapacité de mises. rapportant un intérêt ae 4 OiO net de Saint-Pons (Hérault). — Il est tombé cup::ille poste de gardien de l'Arc-de-Triomphe , les Humbert, avatenl été -brises dans la tousimpols quelconques el payable semesrendit dans les cabarets et le dissipa en travail est de dix jours. — Le même jour M. Alphonse Rouhier, de la neige en abondance dans loùs les de l'Etoile, à Paris, va prendre sa retraite. Miit et que plusieurs personnes avaient triellement les 1er février et Ie' .août. boisson. Le lendemain, plainte ayant été mécanicien chez M. Bolmont, ajustant une hauts caulons de l'arrondissement de Stportée, l'inculpé fit des aveux complets. — La,Banque Renauld et Cie les cède à Il y a des vidimes de l'affaire Humbert qui [ iù s'introduire à l'intérieur. La justice pièce au tour, reçut les éclats de fonte dans Pons. 11 fait un temps excessivement ^Crois mois de prison. 1 «for n te- » 417 fr. 50, sans aucuns /'rais, ce qui excitent un apitoiement général ; mais U en est les yeux. U en esl résulté une conjonctivité mauvais. C'est donc un épisode nouveau à ce fait ressortir un revenu net de plus de d'autres. des deux yeux qui entraînera une incapa4 OiO. ikJlkJ Fourmiguières (Pyrénées-Orientales). Ainsi, on annonçait Lier la liquidation d'un ( :opieux roman-feuilleton ! cité de travail de huit jours, sauf complica C'est un placement en Rente autriLA boursicotier entraîné dans le sombraga universel. — La neige esl tombée abondamment sur lions. chienne, ayant en outre une garantie hypo— Honneur au couric.gc mnîlieureux! dit quel— L'assemblée générale annuelle de la le canton de Montlouis. , Les routes sont LE KRACH DE LA BANQUE DE BOUKGOG^. thécaire sur un réseau de chemin de fer. IRQTOÏ RANCT. — Tous les soirs, à 8 h. l\2, ; obstruées par un mètre déneige; les qu'un en manière d'oraison funèbre. société de secours mutuels des ouvriers — On se rappelle l'affaire di le le krnch grande représentation. Dimanches, jeudis et jours fériés, deux grandes représen- aura lieu à l'hôtel de ville dimanche pro- communications sonl interrompues. A l'Aéro-Club • ( ie la banque de Bourgognaj à Dijon, Paris a Frctnc/ort, 81,25-30.. Le bétail meurt dans les étables, faute — Ne troavez-vous pas qu'on devrtiit interdire i svaluè à sept millions. Le tribunal tations à trois heures et à huit heures et de- chain, 25 courant, à deux heures et demie du soir. •de foin. Les populations sont constermie. A chacune des représentations, les ces -ballons périlleux et leurs tentatives homi- j i Je ^ftm-merco de celle ville vient phoques savants. nées. cides ? d'homologuer le concordat. Les clients Vienne (Autriche). —' Le professeur — En effet, ce sont des ballons-décès. op perdent tion, il seront remboursés à «|"HÉATRK BoRGfîfTKT. — Place de l'Académie. Falb, connu par ses prédictions météore» cent pour cent, résultat ainsi obtenu par 1 Speclacles de la semaine : mercredi 21, . Jj'Qbsession. logiques, a exprimé récemment sa siklis- é Saint-Avold Le Voyage de M. Perrichon, comédie en ,_w_ _ la rentrée lie loules les actions souscrifaclion de voir que ses pronostics (»e sonk Au restaurant : les et par dos versements volontaires quatre actes ; jeudi, Le Maître de Forges. M. l'abbé Lemire, curé de la paroisse, jusqu'ici accomplis presque littérale-' — Jimisieui- prendra du potage Parmentier? f est la Compagnie d'Assurances s?er la* pièce en cinq actes: vendredi, Champignol souffre en ce momeiU d'une grave affection — Merci ! soupé do l'affaire Humbert. ; l'ails par tes membres du conseil d'admir Vie et de Rentes viagères | malgré lui, comédie en trois actes. ophtalmique qui no lui permet plus de rem- ment. nistration de CAlte banque. Un d'eux noi. ■ —| A ce propos, il annonce pour les derplir ses fondions sacerdotales. M Golbus, | LA PLUS IMPORTANTE DU P/IONDE | tamment a Versé un million et demi. «^■HKATRE-SALOH CA.RUEI.LI.^Grandes reprë- ancien "député au Reichsiag, est chargé oie niers jours du mois de mai un temps SAVOV DU row.o moins mauvais,' sauf une journée épouCet exquis Congo en vaut quatre : 1 sentations extraordinaires par le pro- remplir cette vacance. Si vous en oeoa tous les jours, fesseur Carmelli, prestidigitateur. A chaque 15 .«Àï ^iii fi ^ *2 .V'i vantable. La première semaine du mois Voivc p '-ui restera toujours séance, le « Royal biograph », ou ciuématode juin sera pluvieuse et relativement On annonce la mort de M. Quilloué, maiFerme "et Blanche comme l'albâtre. graphe perfectionné, sans trépidations, sans re de la commune de Lcssy. Le défunt était froide. Le G juin sera un jour critique des Docteur Sanitas au ■parfumeur Vicfior "Vaissier. ; m Les îamillcs WTJRC.AT, PEDIUN et g §► d'Assurances en cuur» scintillements. y GTJIL"LB-MIN remcrcionl" ntncérwncnt lè« M adjoint de. la commune depuis 1865 et maire plus graves ; il y aura à celle période m personnes qui ont bien voulu" leur témoiH depuis 1882 jusqu'à ce jour. 11 laisse.de vifs même de la neige. Vers le milieu du Le professeur Carmelli, du musée Grévin regrets parmi ses administrés. îf j?ner leur sympa-luie en assistant aux obsë- M .mois, le temps deviendra sec ; vers la p ques de J. uirectpraci ît du théâtre Robert Houdin, a commencé fin, il y aura pluies et orages avec abaisStrasbourg ses grandes représentations, qui durent jusf 20, rue Saint-Georges, Nancy qu'à onze heures un quart. Georges Hlrlomaun, garçon de bureau à sement de la température. | IVlonsieur François HUSCÂT Les représentations du professeur Car- la poste, l'auleur du voi commis au mois de ( Le mois do juillet no sera pas chaud melli sont spécialement recommandées aux mars à la pople de Strasbourg, a comparu j non plus; il lombora même de la IK\U\> ——i—Pi ■million mi muli «HIIHIM——■»!, m, *i nll l m w familles; la réputation du célèbre profes- devant le tribunal correctionnel. On con- — encore! Le mois d'août aura une tem'affaire seur, méritée par douze années de succès à naît-les faits. Le 20 mar% vers dix heures pérature, normale. i\. Paris, est un sur garant de. la composition du soir, une sacoche contenant 34,-OOOmurk, IS, rue Gam'hs"9, K/W»C¥ Il esl vrai que d'au 1res météorologistes du spectacle. qu'avait amenée, avec d'autres coll.-'. un nous prédisent au conlrauté ùû mois de ie Tous les jour.3 C0ÏSm,TOJ0î-ÏS Pour ces soirées exceptionnelles, M. Car- fourgon de la poste, disparut de la voiluDT la Bsntjue-fienaijid & C , à ïiancy Nous avons dit que la Renie viagère de 8 h. kim«i ^llcflfti W.ÛIt'»06 melli a su grouper une série d'expériences rette s m' laquelle ces colis avaient été his- juin très chaud. Espérons que ces derCapilal 4 millions po*.-*'■ ' ; ai L, eu f lus & G plusieurs, i.m meuhlep inexplicables et inédiles, dont l'imprévu sés sur le petrrou. Hirlemann avait profilé niers auront raison. augmente le charme. L'espril et .la fantaisie d'une courte ab-.ence du conducteur -des a Paris, de nombreuses propriétés eu 1 La Bourse - nlle'nd les bras croisés< le réde ces expériences justifient d'au;; :;; plus postas pour s'emparer de la sacoche, qu'il Ar.ciDE&T A UN GÉNÉRAL. — On mande province, toutes acquises moyennant une des négociations dans l'Afriu'ue du leur succès qu'elles sont toutes du domaine alla enfouir, après en a/voirenlevé HX) mark, do Dijon : ren'.o viagère au vendeur. Ces renies sultat Elle finira par trouver le temps lon^. dans un terrain vague prés de la porle de de l'inconnu. , « Lu accident qvd n'aura, il faut l'espé- oui, d'ailleurs, élô jusqu'ici très réguliè- Sud. ' quai du-Canal. Nancy . AlclrQjpli\Q.in. — Le dividende de 15 fi\ En venant assister à une représentation .Kehl. | rer, aucune suiîe fâcheuse, malgré i'à'ge rement payées el constituaient, en appa- géra payable le 1er juillet, sous déduction M. CH A M R AY procède à la déguRfstC'était un vol de denx saucisses commis du professeur CarnièlFi, on peut cire assuré tiou et à la remise d'échanlil-loiis gratuits, des impôts. d'avance de passer quelques heures agréa- chez un ajubèrgisle du nom de V.'idmayer, 'avancé de la victime, vient d'arriver à rence, un revenu de premier ordre! C'ésl ainsi qu'à Toulouse, où la Rente, L'appel du'2e quart sur les actions nou- tous les jours, de 2- à 5 heures. - - ' bles et de se retirer l'espril plein de bons rue de la Forêt-Noire, qui'avait pAii&jé Hir- M. le général Philpin do Piépnpe, anVente asi canifttiin'f"" et. charmants souvenirs. Prix des places : lemann à voler la sacoche. Un Individu du cien gouverneur militaive de Dijon, ad- i ingère avait acquis cinq ou six immeu- velles aura lioudu 10 auSOjnin prochnin.Les 0H PRÊTEDES FUTS 1UX ACHETEURS premières, 1 fr. 50: deuxièmes, 1 fr.; troi- nom de Walthcr, témoin d$i voi> des saucis- mis au cadre de réserve depuis cinq bles, l'un des vendeurs louchait'un re- deux antres quarts ne seront probablement —^.^-w-^-w— —p..^^. inTarr-Tn- ~nn-—- --yun wm'm*11 m.» 11. sièmes, 50 centimes. Enfants demi-place. ses, avait, de connivence, a y ce l'aubergiste, jours. venu de 5,500 fr. par an, pour une mai- appelés que dans le courant de 1903. voici quelques chiffres relatifs aux résulKks in déclaré à Hirlemann qu'ils te dénonceraient Jeudis et dimanches, matinées à' prix ré' ^ I VOS CHcVIUX <™^™ Le général passait à cheval rue des son qui. précédemment, lui en rapportait duits avec ' distribution des jouets aux en- à.l'adriiinis!ration postale s'il ne leur payait j MoitHfis, suivi par un bicycliste q".i, à un environ 2,000. Les propriélaires d'im- tats de 1'exeroice 1901 : J% 8 »TAW"T?Mir PETPiOLE HW5H 4ntisepluni< Receltes totales d'exploitation 8,550.234fr.; Wi iOûiiJhWl LcTrésor delà Chevelure. fants. Le théâtre 'Carmelli- ost installé au pas200 mark. Ce sonl les 200-mark enlevés ! niqirîenl donné, sonna de «a trompe.- Le meubles s'imaginaient donc avoir fait dépenses 4,031,596 fr. D'où un coefûcieitJ Vente jiartflutS.SO el 4f. TIBEîtT, Lyon, 47, av. d. P«M|, Vùn bout de la grande allée, nou loin des *"flft)fl- de la s-acwhe qu'il remiUle tendonmin èu •cheval,.effrayé, feo cabra et après pludes placements remarquables. d'exploitalion de 47 16 0t0. Ce coefficient esl vol commis à la gare,- à W altiier ; celui-ci gues Busseq.0j, $ A Fiovaa.la société possédait plusieurs beaucoup moins élevé que pour les uamgarda 150 mark et remit 50 mark à l'auber- sieurs voiles vint s'abattre sur la bicyLé YENt "™ ! dette, dont le conducteur avait continué immeubles. L'un fut habile en 19*30 par ways électriques où il atteint couramment Grand Café de la Comédie : RGTOHDE gisle. On sait comment les soupçons se portè- a marcher près fl.e l'anirtil. Le bicycliste la famille d'un grand-duc de Russie el 30 0[0. Chirurgien-dentiste Seul concessionnaire des bières de Pilsen et rent immédiatement sur Hirlemann. qui fut tomba et se contusionna au bras et à la l'autre a ser ri de caserne de gendarPart versée à la ville, en vertu de l'acte (Diplôme d'honneur, deux médailles d'or) de Culmbach (tirées au fût). , ,1:^ arrêté et fit des aveux complets. La 'poste de concession : 2,778.133 fr. 50, soit 32,50 0[C NANCY — 47, rue Gambetta — NANCY m Concert tous les jours dans res jardins et rentra en possession de Août 4'wrgeiit volé. face.vy A M ] Quant au général, il fut projeté sur le" Divers créanciers te sont réunis pour environ de la recette brute. Consultations de 9 à 5 heures. dans la salle de 8 heures et demie àminuil. Après <ke longs débats, le tribumvl a conBénéfice propre à l'exercice 1901:1,942,1 U trotlnir où, sous le coupde la commotion examiner par quels moyens ils pourront damné Hirlemann à deux ans de prison ; fr. 15. 11 serait inexact de dire que c'est là g|RASSERIK-RESTAtTRANT MlGHATT, à Maxé« k Wall lier; pour extorsion, à un an de prison, violente qu'ilressenlil, il demeura pres- sauvegarder leurs intérêts. Ils ont décidé ta. sémunéraÉton propre du capital initial de !5 ville. — Tous les dimanches, lundis, ■ -et Widmayer, pour recel, à un mois de la que évanoui. eu principe : 25 millions, car ce capital a servi à des insjeudis et samedis soir, solo de violon, vio- même peine. La Maisou V» AT as i A - J «IT ATT5Î. Apres pvoir pris un cordial dans une D'abord de faire examiner quelle est tallations telles que paiements pour l'usine loncelle et hautbois. pharmacie voisine, le -général Philpin la part de responsabilité des conseils de de Bercy, achats de terrains, administration S, rue Saint-Jean, Nancy, voulant La cathédrale «le Strasbourg de Piépape a pu regagner à pied son do- la Rente viagère et des personnes qui centrale, qui seront communes à d'autres terminer an plus têt sa liquitluLa Société des architectes allemands tioa, otfre aux acheteurs tous ses articles lui avaient donne'l'appui de leur nom e! lignes. s'est adressée il y & quelque temps au miciles Le rapport évalue à 19 millions les dé- en brillants, sautoirs, broches, bracelets, et l'aulorilé de leur silualion. gouvernement allemand pour lui demanEnsuite, de s'opposer à lotit projet qui penses réellement afférentes aux lignes ex- ■ bagues, boucles-d'oreilles, épingles, bouder de contribuer .aux frais de la restauraATTENTAT CONTRE L'EMPEREUR D'AUTRIAssociation vçHgienne de Pa* tion de la célèbre cathédrale de Slrasploitées en 1901, soit un rendement de ! tons, montres, ainsi que l'orfèvrerie, la CHE. — L'empereur François-Joseph a consisterait à faire' une distinction entre ris. — Le prochain banquet de l'association ■ bourg. JÛOO.OT ioû'i oj .ni. m js ->M âm. coutellerie, les bronzes et. pendules le capital versé en argent et le capital failli dernièrement être victime d'un ataura lieu le mercredi 12 novembre pro^ Chargeurs-Réunis. — L'augmentation A Berlin, ©n répondit à cette requête par représenté par des immeubles. Il avait i tentai anarchiste. chaînefronftJWqïSD ïeSinomP* Wa* ne* j< du capilal sera prochainement proposée au DESSOUS DU PRIX D un refus assez sec. On donnait à en tendre à | Une bombe,enveloppée de papier.avait été question, en effet, de remettre simrote d'une assemblée extraordinaire. l<e phylloxéra, — La présence du la Société des architectes qu'elle n'était pas plement en possession de leurs immeuForces motrices du Rhône. — L'exercic* Magasin à phylloxéra n'est pas encore olficiellemonl : qualifiée pour intervenir en la circonstance, I élé placée au terminus du chemin de fer 1901 laisse un produit aet de 520,508 fr. qui, bles les créanciers qui avaient vendu à i de l'Elat, à Vienne, sous 'le compartiment iet qu'il appartenait au «enseil-de fabrique conslatéê dans les vignobles des cantons de t joint au report précédent, compense presla rente viagère maisons ou propriétés ; • du wagon impérial, que devait occuper Rambervillers, Mirecourt, Monthurcux-sur - ou a la Dicte d'Alsade-Lorraine-seuls defaicomplètement le solde débiteur laissé j l'empereur à l'occasion d'un voyage do la silualion de ceux-ci eût.donc élé privi- que Saône, Chàtenois, Goussey. Mais nous n< >' re une pareille démarche. la première année d'exploitation. D'ailleurs, ajoutait-on, l'empire n'a pas nuit à. Budapest.. serions nullement surpris d'apprendre sor ; légiée. f*f uilO U IA-J parSoléo. — L'écart de 5,200,000 fr. entre les Enfin les créanciers rechercheront les bénéfices apparition, un jour ou l'autre, dans ces ré • de crédits disponibles pour des dépenses ; Un fonctionnaire du chemin de fer a de l'exercice 1901 et ceux du prém gig». —i. -..t mm. .. . n i i .m,m Ti de ce genre et la conservation des monu- i découvert la bombe dix minutes avant moyens de faire restituer à l'actif do la cèdent se décompose : 1.33(5,000 fv, pour ciel s menls incombe exclusivement, aux autorités Aussi, pour faciliter les recherches, les faillite d'importantes sommes payées par' augmentations du prix de revient; lmillior i j l'arrivée de l'empereur.i Alfred GAIE, gérant. propriétaires et vignerons de ces canton; i locales. TUPjjl»Yw» oHM-H^ M. et Mme Humbert à divers-créanciers, La Société des architectes ne se tien t pas 1 On a procédé à une enquête rigoureuse en faisant remonter l'état do failli to a une du fait que la réalisation des stocks a donw : Nancy. — Imprimerie coopérative de l'Est sonl priés de vouloir bien signaler au ser en 1901 une ierle de 83,000 fr. alors qu'elle \ et plusieurs employés du chemin de fer vice phylloxériquo les taches anormales ; pour balaie el a décidé d'en appeler auprès 51, rue SainMMiiier. époquo antérieure. C'est ainsi que la res- #f$t laissé en 1900 un bénéfice de 885,00C i- . I ont élé révoqués. qu'ils pommaient constater dans leurs vigno - du Reichstag. CONSEIL DE GUERRE DU 20 CORPS LAITERIE MODELE DU PHENIX FAITSJïEhî MAGASINS DE VENTE A NANCY : 17, $7, Échos de partout mm m rois LES mmm m umm mkm i MIS &PISS Spécialité de Pelris Suisses double crème LIQUIDATION DÉFINITIVE FOIRE C & LORRAlMH ET ALSACB j [Un MILLIARD m lions film I, Plas du SIX MILLIARDS f \m. mwm n m A TRIBUNAUX •L J 1 Humbert-Grawford GÀSCUEL dentiste MMCH£ AUX VIN1 ■ T-IT^T ^TLÎrPA p4i(ptf%itj ttiiiys^ii Vosges wmr J m 'ÂCHÂT louer très proeliaissmefît GTBINET DENITIRE^ tl & ; P. BARTHELEMY ,I • ' — Qu'y a-Vil donc? dit Cardez. FEUILLETON de Y EST RÉP UBL1CA IN Instinctivement Marcel se sentait en— Restez ! Restez ! Mon oncle seul l réN'57 veloppé par un réseau de menaces et de haines.'Etait-ce donc toujours ce secret pliqua le jeune homme. L'oncle'allonfea les jambes et le suidu général de Trémont qui attirait le déGeorges OÏ1ÎVET sastre sur tous ceux qui en étaient, dé- vit. Sur le seuil,-déjà, apparaissait Bautenteurs % U chercha des yeux Baudoin, doin, prêt à barrer le chemin aux imporLES BATAILLES il avait disparu. Le feu diminuait d'inten- tuns. DELA VIE — Entrez...Mon Dieu ! Entrez! ditMarsité. Les pompes versant dès torrents d'eau sur l'approvisionnemctat avaient cel en poussant devant lui le vieillard... éteint les balles de laine. Les bâtiments Baudoin, fermez la porle et mêliez la clef de l'usine ne paraissaient pas gravement en dedans... atteints. La perte se localisait. Le capi— Mais, tu me fais bouillir, cria l'oncle taine de pompiers d'Ara, plombier de GrafT. Qu'est-H arrivé encore T son état, s'écarta pour .an instant de la — Voyez.! mëléo et vint, rouge et tenant son casque Arrêtés sur le seuil du ranharnaum, Ils ont pris des tuyaux, à la main, parler a l'oncle GrafT et à Car- les trois hommes regardaient atlérés. ^ ont fait la chaîne avec ardeur. Et dez : Le désordre d'un-combat bouleversait la — Eh bien, messieurs, nous nous*en vaste pièce. Le grand fattleuil de cuir quand ils m'ont TU paraître avec Gardez, ils triaient i j i tirerons à meilleur compte qu'on ne l'au- gisail, renversé. Un rideau à demi arra« Monsieur G-rafï, -ce n'est pas nous ! » ' rait cru... Plus des doux, tiers do 1'usftno ché de la'fenêtre. encore ouverte sur la Sur nos femmes et nos enfants, ce n'est sont à l'abri, maintenant... Je crois qu'on rivière pendait à son fcàlon brisé. Les pas nous !» Il y a plus. Un inslanl après, peut souffler... Ah ! pendant une heure, bocaux, les cormies, lep alambics piélinés, écrasés, tordus, jôpchaionl ie planun des elrangors qui sonl ici, depuis huîti ça a élô chaud ! jours, un Luxembourgeois nommé Vers1 — Oui, sans M. Marcel, dit Carde»!, cher. Snr la table .ufe$ <&ahj§ de sang tract, ayant éLé surpris à rôder autour nous ne serions pas avec vous, monsieur s'élargissait humide, connuesKquehjii'un fût tombé là pour y mourir. Des gpuUes des baUmenls, ils Font à moitié assom- Prévost. mé, l'accusant d'avoir mis le feu. Il a — Il a élé admirable, ce jeune hom- rouges avaient éclaboussé les papiers. fallu le leur arracher des mains. me ! fit le capitaine ! Ah! ÎM> mes hom- Lo tiroir do la table était béttnt. -— Que s'est-il passé ? demanda l'oncle Marco?! écoulait, sombre, le récit de mes, ni moi, non» n'avons eu l'idée de l'oncle G fait'. 11 rapprochait cet incendie, faire co qu'il a fait..v-Pdur lo courau^e on. Graff a voix basse, comme avec crainte, des singulières craintes manifestées, à, l'aurait bien eu... Mais il fallait penser.%. j — Fouillez dans le lirtoir, oncle GrafT, rdii Marcel. Cherchez la formule que j'y différen tes i éprises, pur Baudoin sur la trouer le plafond... Il n'a pas perdu fdplacé devant vous.-,^j sécurité du laboratoire. Il entendait le tête... Tout ost là! ' " ,; : — Eh bien ? serviteur dire: 11 y a ici dos gens qui oui Au même moment, ,'ùno voix pleine' — Elle n'y est plus ! On l'a dérobée ! de mauvaises figures, en ce moment. Les' d'angoisse se fil entendre el du laboraouvriers disaient aussi: « Il y a des toire, Marcel pâle, bouleversé, aocoprut Cherchez lo flacon où était enfermée la poudre de guerre et qui était sur la taOrangers ! » Un mystère planait sur tou- criant : ble ? Disparu!.., te* cet; choses. — Oncle Graff... Venez vite 1 iâ TÉNÉBREUSE I - ' ' pays, se sonl prcduits. C'est lui qui a fait 1 — Impossible î cria Marcel. Hans? Ce — Volé ? Mais par qui ? *9rloh JI'ÎSIXÏCB xWq ,oïif* — Par qtiiaétemis le feu à l'usine? Quel allumer l'incendie. C'est lui qui a poi- bandit' gnardé le général de TrémoaL Cest — Monsieur Marcel, reprit Baudoin esl ce sang qui.rouçit lo plancher ? El courageusement, mais avec uno infinie par quelle main criminelle a-t-il été-ver- l'homme de Vanves, enfin c'est Hans l tristesse, je l'y ai vu. Laforêt l'y a sur— Comment le savez-vous ? sé ? Oncle GrafT, nous avons déchaîné — Parée quo je l'ai vu. Laforêt, l'agent veillé, pendant une semaine. Il habitait con Ira nous des inimitiés formidables. Vovez ce qui so passe autour dos inven- du ministère, qué j'avais fait venir, pour dans les combles et ne sortait quo la tions de M. de Trémont... Il y a uno ban- surveiller les gens que je soupçonnais ÎBwFlL " ~~ —" de de scélérats à l'œuvre, depuis des suspects,"et qui a payé sans doute de sa t -if- Et je ne m'en suis pas douté. Je n'ai mois, pour dérober ces secrets à tout vie son dévouement et son zèle, l'avait rien soupçonné ! s'écria le jeune homme prix el sans reculer devant rien ! Mon suivi, hier éoir, 'et, avec moi, l'a observé avec: uno stupeur douloureuse. Mais père le devinait, lui qui ne voulait pas une partie de la nuit. Nous avons assislé qu'est-ce donc que celle.femme qui était me laisser m'occiipcr do cetto découver- à ses conciliabules avec les chefs de la- là depuis six semaines î El quelle cométe, Baudoin le savait qui me demandai! à grive, à l'auberge -du Lion d'or. Nous die atroce jouail-elle vis-à-vis de moi? — Ah ! murmura l'oncle Graff. Une veiller dans lo laboratoire. Il a fallu l'in- l'avons entendu faire ses recommanda-: cendie pour le contraindre à quitter son lions, donner ses ortlros... C'est à lui que: femmé! Encore uno femme! Incorrigible ■ ' posle, et sans doute, s'il était resté ici, les malheureux ouvriers, égarés par les' enfaott*1* •"' Marcel, assis près de la table, sur tu ce serait, son sang qui aurait coulé... déclamations des meneurs,'obéissaient" Mtiis qui est celui qui a versé ici le sans le savoir. C'était lui, ce brigand, escabeau, le front dans ses mains, cherchait à rassembler ses klées. Frappé on sien? .. 't««ausi*i qui de loin, à l'écart, obscurémeut, diri_ Voyons, mon enfant, jet en prie, geait l'émeute, ordonnait lo pillage et plein rêve, il tombait du ciel, on il planait, dans la bouc et lo sang. calme-toi, dit le vieux Graff, effrayé par lincendie ! : — Mais voyons, c'est impossible, iv — Mais comment a-t-il pn savoir que la roxo-llalion grandissante de son neveu. Parlez, vous, Baudoin,, expliquez ce que formule récrite était dans la table au la- prit-il la yoix tremblante. Comment boratoire ?' Comment a-t-il pu entrer pourquoi,» r»'aiuail-e!!e si alroceme;:i vous savez... " '— Monsieur Graff, |o sais qui a élé ici ? > t * irl£k 91M3| I mm V * dupé if A vail-elle besoin de me rendre — Tl esl entré ici, parce que j'avais- fou d'elle ? Non, je ne puis la croire coufrappé ici, je sais aussi qui a frappé. La victime est un homme dévoué a notre courti au feu et abandonné mon poste. 11 pable Pas une de ses paroles n'a menti. Ses regards étaient francs ! Non ! non l cause, celui qui dès la première heure, a eu dos indications précises... Baudoin s'arrêla, il jota sur son jeunfe Yousiv'ous trompez, vous" la calomnie z i avait éventé les coupables. Et il n'a pu El si même l'homme est un miaérah'te, empêcher lo vol d'être commis, s'il n'a maîlre un regard-d'angoisso : — Ah ! Monsieur Marcel, dois-jc vous elle, du mrj^is, n'est pas complice! Vile pas arrêté le voleur, c'est qu'on l'a esl uno victime, comme nous. Si or\. a et» tué. _ J le dir-e ? El allez-vous me lopardohuor?... 0 A — Marcel blêmit. Cependant il. dit sayé de me faire du mal, c'est qiVelle n'a : —Et celui qui a frappé ? . ., . pa* eu l'aulorilé ou la force de s'y oppo— Ah I Celui-là, dit l'ancien brosseur, d'une voix forte : ser. El si elle le sait, elle pleure comme — Parlez, je le veux. ^ ,, il n'en esl pas $ son coup d'essai. C'est un déterminé bandit. C'est à son instigation ,T»Eh bien! cet homme, depuis huit I moi, eu ce moment S suivre) que tous les troubles qui ont agité le jours, logeait dans la villa de la Gavée... <i | là Jeudi It Mai 1802 fiST REPUBLICAIN m Uquels ils ne ressemblaient que par les vêt temenls. Dona Rosarïo poussa son cheval contre celui de son père, tandis que le plus 1 jeune des deux cavaliers arrêtait le sien pour jeter un regard de feu sur le visage do la jeune fille, dont la beauté parut vivement le frapper. '< Los deux cavaliers échangèrent quelques mots dans une langue que les MexiPar Gabriel FERRY cains ne comprirent pas, et passèrent outre, non sans que le plus jeune se retournai plusieurs fois pour suivre dos Leur aspect était à la fois étrange et yeux le voile flottant et la taille tvelte sinistre. L'un était un vieillard aux che- de la fille de don Augustin. Puis tous veux blancs, l'autre un jeune homme a la deux disparurent dans l'ombre du soir. « Je n'ai jamais vu, dit Rosarita avec chevelure noire. Tous deux avaient leurs cheveux relevés en chignon derrière la un sentiment d'inquiétude, deux Papagos lêle et attachés avec des liens de cuir porteurs d'une semblable figure. — Ni armés de celte manière, ajouta blanchâtre. Uno espèce de calolle étroite ie filet grossier, ornée d'une houppe de le sénateur ; on dirait deux loups revêtus plumes, couvrait le sommet de leur lele de peaux de brebis. — Bah ! répliqua don Augustin, il y a si so maintenait par une mentonnière de de mauvaises figures partout, même cuir. . L'un et l'autre avaient les jambes nues; parmi les Papagos. Qu'importe, après mais le haut du corps était enveloppe tout, ce que peuvent être ces deux Inà'une couverture de laine de l'apparence diens ? Nous sommes ici en nombre et aussi bien armés qu'eus. » la plus commune. ; Les voyageurs continuèrent leur route; C'était le costume des Indiens Papagos.; toutefois, au lieu d'être armés mais néanmoins ces deux inconnus semcomme eux d'arcs et do flèches, les deux blaient avoir laissé dans l'air un souffle cavaliers portaient en travers de leur• de funeste augure. Pendant le temps qui selle une longue et lourde carabine dont. s'écoula jusqu'à la couchée, le pas cala crosse et le bois étaient constellés dei dencé des chevaux sur le terrain sec et clous de cuivre. La férocité empreinte en sonore se mêla seul aux derniers bruisDulre sur leur physionomie était loin dei sements des cigales que les ténèbres faicet air de bonté débonnaire qui distinguef saienl taire. cette tribu d'Indiens très pacifiques, aux-• I1 Bientôt la vue d'un feu allumé dans la feuilleton de Y Esl républicain N° 147 CHERCHEURS d'OR1 i nm———■an—— i»™ SSMAH9EZ la nouveïle Machine m ' Maison ANTOINE-SIBILLE avec 8 garnis, près du Marché. Prix 2,000 fr. ■ CAFK-RESTAURANT réalisant 3,000 fr. bénéfices nets, à placer, par an ; affaires prouvées ; a reprendre avec av 4,000 fr. comptant. KUIIBAU DE TABAC A CE15; DER, recettes 80,000 fr.Prix 13,000fr. MAISOIVMEUBLEB A CEDER. !* Rapport 4,400 fr. Bonne clientèle. Maisonmeublée,Tà^ porlncl 1,200 fr, prix 5,000 fr. S'adresser à L. Moaiin, 46, rue Saint-Dizier, Nancy. ' PARIS 1900 CHAPITRE XVI LE CHASSEUR DE BISONS La rivière de Gila, après avoir traversé la chaîné des Montagnes-Brumeuses, vient jeter l'un de ses Dras dans la Rivière-Rouge ; celle-ci, après un parcours d'environ cent quatre-vingts lieues à travers le Texas et le pays de chasse des Indiens Caïguas et Comanches, se jelte à son tour dans le golfe du Mexique. A soixante lieues do l'hacienda del Venado, el à une demi-lieue à pou près de l'endroit appelé la Fourche-Rouge, ■ h s'étend une vaste forêt de cèdres, de chênes-lièges, de chênes, de sumacs et de palétuviers. Depuis sa lisière jusqu'à la fourche, terrain ne présente plus qu'une plaine garnie d'herbes si hautes et si touffues qu'un cavalier sur son cheval- dépasse a peine de la lêle ces vagues onduleuses de verdure. Dans l'un des réduits les plus secrels de la forêt, et sous les plus sombres arcades formées par la cime de ses grands arbres ; sur les bords d'une mare si vasta qu'on pouvait lui donner le nom de lac, ët en effet c'était celui par lequel elle élait désignée dans le pays, une douzaine d'hommes se reposaient, les uns adossés contre des troncs de chênes plusieurs fois séculaires, les autres dormant élondus sur l'herbe épaisse qui tapissait les bords de l'eau. C'élait une grande nappe limpide d'une configuration irréguliôre, formant une espèce de trapèze. Au bord opposé à celui qu'occupaient ces personnages, et sous une voûte formée par l'entrelacement de branches d'arbres et de lianes, un canal se perdait au milieu d'un réseau de verdure. Le soleil, encore au début de sa course, lançail obliquement ses rayons qui scin.1 tillaient sur lasurface do l'eau, où se reflétaient comme dans un miroir, les arbres de la forêt et de l'azur du ciel. [A suivre. J Hôtel Ses Tentes ie Mi Passage io Mw. Vente par suite de faillite } VENTE MOBILIÈRE Le Vendredi 23 mai 10O2, à deux heures. GÉNÉRALE j Matériel de boucherie : Un grand dressoir, un bloc, crochets, paniers, grande glacière, etc. Lits et literie, commodes, secrétaires, rayonnage, bibliothèque, meuble de salon, bureaux acajou, tentures, appelé "Marine" *fauteuils, guéridons, chaises, cuisinières, fourneaux mesurant 38 m. 50 de longueur, 5 mètres dé largeur, jau- *faïence, fourneau à pétrole, baignoire. géant 330 tonnes (grand jaugeage), forme péniche et 2 coffres-forts (Hody). 1 tandem, 2 bicyclettes, i bicyclette a pétrole, etc. ponté, ensemble ses agrès et accessoires. Au comptant et 5 OiO. Au comptant plus cinq pour cent. Les officiers ministériels vendeurs, Commissaires-priseurs de Nancy GŒTJRY et POIRELLE. VASTES LOCAUX INDUSTRIELS A LOUER g A LOUER POUR XaE 1 AVRIL 1902 r de M LAISSY, notaire à Nancy, place St-Jean, 2. Etude IMSU2E EUSAISONS er 6 l D'UN BATEAU DES MEUBLES EN MAGASIN « t! M. RISS, syndic Le DIMANCHE 25 mai 1902, à trois heures de l'aprèsmidi, au port de Jarville, I LIQUIDATION AA vendre BEAU CHEVAL pension sage, primé aux coucours, C ans, très et se monte. de Famille *s'attelle S'adresser bureau du journal. 651 distinguée et très recommandé© fier au vent qui sifflait dans ses cheveux un soupir de douleur qui l'élouffait. Rosarila venait de se rappeler que jadis aussi Tiburcio cueillait pour elle des fleurs sur sa roule, et celles qu'elle tenait maintenant dans sa main lui semblaient odieuses ; elle les froissa convulsivement et les jeta loin d'elle. « Il y avait donc quelque insecte venimeux dans ces fleurs ? lui demanda le sénateur quand il l'eut rejoint. — Oui », dit avec un effort Rosita, qui sentit ses joues se colorer de la pourpre dos fleurs qu'elle venait de jelor. Nous en savons assez maintenant des sentiments secrets de dona Rosita, pour ne plus la suivre pas à pas dans ce voyage. Nous laisserons donc arriver la cavalcade.le malindu quatrièmejour,toul près du Lac-aux-Bisons, où nous devons la précéder. [jiltudes de M GŒTJRY et POIRELLE, huissiers-audienciers près le tribunal de commerce de Nancy. 54, RUE CHARLES-IH ' ■ Exposition universelle à établir à chaque instant des ressemblances frappantes sur les analogies les plus lointaines. Quoi qu'en disent certains esprits chagrins, l'imagination est aussi habile à se créer de doucos illusions qu'à so forger de désolantes chimères. Dans tout le trajet de l'hacienda au Lac-aux-Bisons, car c'était à cet endroit que la cavalcade se rendait, la réalité semblait favoriser Fabian et ne laisser à l'imagination que bien peu à faire. Après avoir marché plusieurs heures, le sénateur, resté quesques instants en arrière, rejoignit la cavalcade. Il apportait en triomphe à Rosarita un bouquet de fleurs de lianés qu'il s'était arrêté pour cueillir. Un petit cri de joyeuse surprise, arraché à la jeune fille par la vue de ces campanules aux brillantes couleurs, paya le sénateur de sa galante attention ; puis, au moment de le remercier, Rosarita sentit la voix lui manquer el se détourna soudain pour ne pas laisser lire sur son visage une émotion douloureuse, tandis que sa main laissait retomber, une à une, les fleurs offertes par le sénateur. « Qu'avez-vous? grand Dieu! s'écria Tragaduros, surpris et peiné à la fois de ce mouvement inattendu. — Rien. rienf » reprit la jeune fille en faisant un effort pour serrer dans sa main le bouquet si subitement dédaigné. En disant ces mots, Rosarita donna de la houssiue à son cheval, qui partit comme un trait. Elle avait besoin de con- .^.^^nrnwTwmaaiaBSg ii niHMiiiiii J CÉDER coSîœA de la S* ■4-0, rue St-Jea»; -^O I ' campagne indiqua aux voyageurs l'en< droit que les domestiques qui les précé( daient avaient choisi pour faire halte ( jusqu'au lendemain. ; Une petite tente de soie, que la galan1terie de Tragaduros avait fait venir d'Arispe en vue de ce voyage, fut dressée i sous un bouquet d'arbres pour dona Rojsarila. Quand le repas du soir fut achevé, elle se relira sous sa ienle, mais elle •chercha vainement le sommeil sur les dentelles de son oreiller. La jeune fille so rappelait la nuit ou Tiburcio dormait non loin d'elle, lors-qu'elle l'avait vu pour la première fois ; et, comme l'avait fait Tiburcio lui-même cette nuit-là, elle écouta tour à tour avec une larme el un sourire le murmure du ruisseau qui coulait tout près d'elle, lo tintement de la clochette de la jument capitana,\es glapissements lointains des chacals, le cri de l'oiseau de nuit, en an mot, toutes ces harmonies vagues du désert, qui éveillent tant d'échos dans un cœur de vingt ans. Quo n'eût pas donné Fabian pour voir le lendemain, quand au point du jour la fille do don Augustin sortit de son abri de soie pour remonter à cheval, la pâleur enchanteresse qu'avait laissée sur son visage l'insomuie dont il avait élé l'auteur ? La cavalcade reprit sa marche comme la veille ; mais Rosarila élait plus rêveuso encore que le jour précédent. Les souvenirs qu'elle croyait avoir laissés à l'hacienda surgissaient partout autour d'elle ; car l'amour est ingénieux —p» MATÉRIEL DË~ MAGASIN e —! X^' 48 et 44, rue Saint-Dizier, NAXCV, Point-Central A VENDRE AUX ENCHÈRES PUBLIQUES Un Oemanuede 15à 17 ans, de la u Le samedi 24 mai 1902, à onze heures du matin, Façade 16 mètres. Profondeur 50 mètres campagne, pour soigner un cheval et c a les courses.S'adr. Le mardi 87 mai i 902. à deux heures de l'après- à \ Nancy, rue de Paris prolongée, dans le dépôt de M. S'adresser à M« HOUOT, notaire, 114, même rue. au journ. 652 NANCY 13, rue Baron-Louis, 13 ) pour po i midi, à Nancy, en l'étude et par le ministère deESchmiteiin, déménageur. „-. DÉSIGNATION t W LAISSY, notaire, Grands comptoirs, caisse, étalages, comptoir de coupe, C f D'UNE maison RoDardell<?.; cl] chez M. Aimé, à Saint-Nicolas-du-Port. 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