Z5' Année. - W^5S5^ Téléphone: W tiurf ■• ^ ^ ITR0IS M0,s i " v.,.1.4 K" 0 " ,," «V Isuse X os "' ' ' ' "î | I g"", m , 12 £ | 13 * ^ slx MCIS » UN AM *i8 > *n « 24 » 06 » 3 faut s'abonner .'ans frais dans toa? Us bureaux " fa*c I i ir Dieii connaître les conditions dans f ^uiu^t-j f.ii. uiîieiers lotoés chez L^1 Habitai)U parvenaient à s'entendre *» ' ux et pour apprécier équitablement Ktttu» des rapports qui s'établirent en1 sannsaircà et leurs hôtes, il conil - u.> s!<-naler d'abord l'usage qu un IrïaiH noiuure d'Allemands étaient capaui'"de faire plus ou moins heureusement de KL- i -ditrue. Cet usage du français, par'1, - ou les soldats et les habitants pou„t s- recourir simultanément, fournit i ""'..tl'txphcution oe l'attitude récipronés mis et des autres ; nous devons ^ , tur nue dans bien des cas, l'emploi fia Se française lae.lita la solution. Sdoucit les rapports et d'une foule de difficultés, pour le plus grand avantage de la j ; i ' . 'iJans les pavs de la Lorraine septentrionale l'usage oe la langue allemande avait )ersi=té maigre les etiorts de notre gou[ernement pour y taire prédominer le tançais. A ce propos, ro.neier Prussien ïudwig Schmitz nous rappoite ainsi lob- . brvation qu'il tit au village d hberwiher, tes de l'hionvtlle : « Le cure, un très ditne homme, nie raconta, dans une conversion sur les rapports de langue, que, irmcipaiement dans ces dernières années, e gouvernement avait place dans les écoles leur enseigner le trançais des maures ['ailleurs tort accommodants, mais que les pdications cl l'enseignement religieux se Gisaient toujours en allemand, maigre les ■torts du gouvernement, vu que la population était incapable de comprendre le tranfeis. Dans le cimetière, il n'y avait que des inscriptions allemandes ».En traversant ces pavs lorra'its de langue allemande, les fcvalnsseurs avaient i illusion de n'avoir pas quitté le sol de leur pairie, et, s'ils n'ébient pas précisément reçus à nras ouverts, au moins la communauté du IangaH facilitait et adoucissait singulièrement les rapports. C'est pourquoi le dragon \i '• Kayser déchire que. le paysan lorrain de cette contrée mixte est » un nielange cic français et d'allemand » ; il cons; :e l'aménagement de sa demeure est :bien aTîemand, comme son nom et celui de s'>n village. 11 est vrai qu'il ne peut s'empêcher de reconnaître aux femmes du pays, des manières polies, alertes et avenantes « qui sont absolument le propre des Françaises ». Dans la Lorraine de 'angue française, les rapports de langage entre soldats et habitants s'établissaient tout différemment. Quand le soldat, complètement ignorant de notre langue, adressait une demande ;i un hôte ne comprenant pas un mot d'allemand, l'entente était le plus souvent impossible, en dépit d'une mimique exprev sivi ; alors le soldat, pourvovant lui-même o. ce qu'il lui fallait ou a ce q'u il convoitait, se servait sans vergogne : u ou des discussions fréquentes, luujouis incohérentes, in tournaient vite u i aigre, et dans les'lielles l'habitant, exposé <i être brutalisé, «ait naturellement tort à ses dépens. Jour les uns, comme pour les autres, l'iguoranco de la, langue était donc une gène, 'me occasion de méprises et souvent de TJercllcs. Elle donnait également lieu par™ ades quiproquos bizarre,?, d'où se dé»<^eait, malgré la tristesse des circons^»«s, une note de comique irrésistible. •> eest un dragon rhénan oui pose à son m :°f apeurée la question* inquiétante : fvous unô f!lie ? » avec l'intention 110 '-en tionnête de lui demander du fil ; là, ■ j Un soldat qui pour obtenir « des >m«-"' reclame « dix œufs ». L'officier •nra n Lie°ermann von Sonnenberg ra»wfl quun chef de bataillon ayant acheté w uun officier f.raneu;s prisonnier à Metz e chey soU P al arabe, était aux petits 0U récieus îaè'^ 4 ^ P e bê*e qu'il allait luial ei à sant «- ' ' l'écurie. Un jour, en pasV la e de Z5rfa\ S Bouligny (Meuse), il delais© H 50n ^"dant la traduction franfcuxic rmot allemand stail qui signifie teur u La"des5us, s'adressant à son lofalllé i commar!dant, tout fier de sa trouîbevaux! aemande « un curé pour mes ion,")".* ' " — U voulait dire une écurie toaST .cl^vaux. — Et il parait que le D arriv a procura w perruquier ! Tai ^ > en des cas exceptionnels, il est 8S pins • Plus instruits comme aussi Vlsés E e 1 tirai .6 iieut/ ' ' ent avec le latin, tonnai* i9"?1 bavarois Emmer, qui affec0 chèro ct asion oc mnie u considérait l'ini j|, ne occasion de continuelr Da raconte WtAaUn qu'en arrivant au * Marne58 (ie Lagal>de, près du canal de ai1 n s faira ^bi > il ne parvenait pas à 3uner \ c°mprendro pour obtenir un déon i ie iit,! goût « Heureusement, écritsuw m,' e,naat Woorle vint à notre sea r. n nous commencions à desospéiel il nf»u-i,n?2 un propriétaire avec ielait Z k ; n^ !aUn. Cet érudit fut hospitai 11 des n«ls rec~nt a niervaille, et nous serd0 «icisson ^""e, du jambon, du tort nn- JP'.ee ^ni aurait fait boire un 10 toi 'ia ficassée do poulet ». Comme fers d*„PnaisS)inee du latin n'était point I Ul u % i -P° rvue de toute utilité prati11 5) :f s y t $ > 3 ^ >- ^ Bm. ^ Direction et Administration r i c • , T . n f J H* 1 ! ^un^^ovcml>''e ^barrlï nombre de soldats se tiraient 1s a u ha.vcc quelques mots usuels, apUn ami ate> et force gestes à l'appui. réllssi a h, rarjraV*ut le apprendre trois fc, et c'°* fantassin wostphalien 8 avec fourni f ce maigre bagage qu'il Ht daj!:1 lnute la France. Dès qu'il arriUn -' d'a!t0- , cantonnement, il s'empresNti tir frercÎ!ei la maîtresse de la sa ilNrw, montre et disait : « Ma! 1 *ei S " et il indiquait 6 heures, Métros'■ •' 3 hcnrss. et de nouveau « ISairo ' J"i1S 11 taisait un rapide geste 011 cadran en disant : Wts i T oi, :our iours ! ,, î;teiror; lant la si%oi« i prononciation de nos pFl, cftmtv0rrain5' des « pisangs ,» (navJls *^» cn»w 3 ét usaient, Vs soldats les S^iier aient très vite en état de " «u pœng (pain) et du vœng | i»b^> possêd ; t quelques rudimc-T,ts 1, w £ eri Oi A à un l? > avaient facilement reeu , i ^aire , 7, . °nnaire ou à un petit vota ec lvis " Î9ïài ' r à la maison, raconte wurtembergeois Karl Geyer, ■ Bureaux de Paris , n Faubourg Saint-Jean et Boulevard Mazagran I gatf g L», r, . Pastage de» Pnacea, NANCY Directeur 1913. : René MERCIER 97, Rae Richelieu, et 5 4/J, ^ ^Jt Boulevard des Italie!» ' PUBLICITÉ L» publicité efi reçue à l'Agence HaTM, 8, plsce de la Bonne, à l'Agence John F. Joe»*, 31& fauboorg MoMmartre. a«x bore..» de l'Es.- Hipubhcain. .«ge «le. Prkce», à P«ri* pas dans tontes les Agences, et à l'Est Républicain, à Nancy. pQ$ty pour avoir un dictionnaire, ct je conserve encore pieusement les deux petits volumes du dictionnaire de poche de Seller que mon brave grand-père envoya au jeune défenseur de sa patrie ». 11 est vrai qu'il ne suffisait pas d'avoir des dictionnaires ; il fallait savoir s'en seryir. Le général Hartmann, chef d'état-major d'artillerie dans la 3* armée, rapporte qu'en arrivant à Lunéville, ses serviteurs usèrent pour la première fois de petits dietionnaires dont il les avait pourvus, mais « cola ne se passa pas sans des confusions comiques ». Un certain nombre de jeunes soldats, engagés volontaires, appartenant aux régiments de la 4* division de cavalerie, et d'une culture au-dessus de la moyenne, s'exprimaient en français avec facilité. Ils rendirent les plus grands services, non seulement il leurs camarades en leur servant d Interprètes, mais encore à l'état-major pour lequel ils traduisaient les correspondances saisies dans les bureaux de poste ; on les employait de préférence dajis les patrouilles et les tournées de réquisitions, l'armi ces cavaliers provenant de la province rhénane, il y avait aussi des garçons ayant servi dans les stations balnéaires du Taunus, à Km?, à Wiesbnden, à Hombourg, ainsi que des jeunes gens appartenant a des familles de réfugies protestants français qui s'entendaient parfaitement avec nos gens. « C'est un régiment du ithin ; on parle français dans ce pays », disait-on naïvement à Nancy, en les voyant défiler ct en les en tendant" s'exprimer en français. Le uhlan Fiko, qui appartenait à l'un de ces régiments, raconte que, quelques {ours avant la bataille de Sedan, étant chargé par son chef d'escadron d'aller chercher des rtufs et du lait dans un petit village des Ardennes, qui regorgeait de soldats de toutes armes et affamés, il entra dans une maison de pauvres gens. « Ma connaissance de la langue lit d'abord bonne impression, et inspira confiance, car, lorsque je leur fis part que je voulais acheter du lait et des œufs, K bonne vieille me conduisit dans une chambre voisine, devant laquelle lè grand-papa se tenait en sentinelle. Me montrant aiors sa provision d'oeufs dans une commode dissimulée sous des vêtements et du linge, elle m'en donna une douzaine, sans vouloir, la bonne vieille, accepter le paiement, que je lui offrais ». Savoir parier le français était donc, pour le soldat, une connaissance précieuse, qui lui valait de n'être pas trop mal reçu. « Je remarquai combien ma connaissance de la langue auprès d'une population parlant le français, me procurait un accueil surprenant », rapporte l'officier prussien Ludwig Schmitz. Parmi les officiers qui parlaient couramment notre langue, plus d'un devait cet avantage inappréciable aux emplois qu'il avait à remplir en France dans la guerre ; ces messieurs s'imaginaient naïvement qu'ils allaient trouver chez nous, en qualité de vieilles connaissances, un accueil à souhait Le 16 août 1870, en arrivant à Nancy, le lieutenant bavarois de la landwehr" Leinenweber se félicitait d'avoir pour cicérone son camarade le lieutenant Culimann, qui avait été employé dans une banque de la ville. Culimann s'empressa en effet d'emmener son ami à son a!ncienne pension, et ne fut pas médiocrement surpris de l'accueil peu aimable que lui tirent l'hôtelier et sa femme. « C'était, ajoute Lmenweber, lo vieux refrain : Es pions et trahison ! Les soldats capables de parler français étaient naturellement très fiers de faire étalage de leur science. Le jeune étudiant Dans Leitzan, appartenant à un régiment d'infanterie de Brunswick, était de ceux-là. Mais il éprouva à Nancy une piquante déconvenue qu'il nous a racontée en termes fort humoristiques. C'était dans les premiers jours de novembre, après la capitulation de Metz Son régiment cantonnait à Nancy. Avec soa frère, il eut la bonne fortune "d'être logé chez un notaire où tout était « parfait ». Voulant pour être à la hauteur de la situation, se mettre en frais de courtoisie, le présomptueux jeune homme médita d'adresser à la maîtresse de maison un petit discours en français destiné à faire son effet. « Nous ne faisons pas la guerre h la population civile ; nous ne combattons que le gouvernement et ses troupes ; nous n'avons aucun sentiment d'hostilité contre ce pays voisin du nôtre ; on nous calomnie indignement, nous no sommes pas des barbares ; nous nous comportons en hommes civilisés, etc. » Satisfait d'une telle déclaration dont il avait formulé l'expression en des termes parfaitement congrus et d'une rigoureuse correction grammaticale, Hans Leitzen éprouvait dëjàle trouble de l'orateur qui va prononcer son exorde. Il demande à voir Madame, mais Madame ne daigne pas paraître. Il ne voit que la bonne, et c'est devant elle que, de guerre lasse, et très humilié de sa déconvenue, Hans Leitzen se décide à expectorer la harangue qui lui pesait. « La fille ouvrait de très grands yeux, exprimant une profonde stupéfaction et me fixait de ses regards. Je me sentis tellement confus que j'eus l'impression de patauger dans les règles si redoutées de la grammaire. Tout d'un coup, le visage de la fille s'épanouit, elle ouvrit une large bouche et m'interrompit par ces mots débités en patois allemand : « Mais, parlez donc allemand ! » J'étais anéanti et mon frère faillit mourir de rire. » EMILE CHANTRIOT. LE COIN DES POÈTES Mélancolie I | i | i : j j ! i ; ! ! I j i I i Je sais un vrai jardin de conte et de féerie, Asile de Vamour et de la rever/e. Quand, exilés du monde ou d'un eorttr trop aimé, Ils cherchent à leurs pleurs un désert embaumé. Une ombre confidente où s'égare leur ombre. Un bois oh le soleil est toujours frais et sombre, Où h fleur qui flétrit n'est jamais le fruit mûr, Jl qui les deux d'été regrettent leur azur Et ces mille rayons d'où mille essaims s'envolent C'est là que le poète et l'amant se consolent, — Qu'ils se consoleraient si, nobles désolés. Le poète et T amant s'acouaieni consolés. $moureux désespoir et songeuse folie, X)otrc saur bienfaisante est la Mélancolie. L'allégresse du jour pose a son front penchant ; Son sourire est éclos d'un reflet du couchanU Et son regard lointain qu'une espérance éclaire Luit comme ces lacs pur:, gardiens de la lumière, Où le jour fugitif jette son manteau d'or, Et qui, les cieux éteints, resplendissent encor. % Elle dent ; h ses mains délicates et frêles Une colombe errante a confié ses ailes. Les fleurs de ses cheveux s'effeuillent sur ses pas ; Elle oient, mais le cœur joyeux ne i entend pas. Amants désenchantés et poètes sans joie, C'est un remords des dieux qui du ciel vous /*envoie. Dans l'ombre et le silence au jardin merveilleux Suivcirla ; son visage est le repos des yeux. Et, veilleuse didne aux paroles amies. Elle est le songe heureux des douleurs endormies. \ i j I [ I j j i | ( i 1 | 1 ' George VILLE Fu3 E^9 L'aliment I i I J j j I I pur M. flenry Maret vitupère contre les » bandits » qui nous fabriquent, sous le couvert de l'autorité, du beurre avec de l'acide borique, du irornage avec de la gélatine, des œufs avec des courges... Et c'est à l'intention de M. Maret que je cite les extraits ci-dessous d'un tout récent rapport écrit par l'administrateur d'une société de produits aliment aires : <■ Notre industrie permet de livrer à la consommation des denrées procurant aux classes laborieuses l'illusion dégustative de comestible que leur prix élevé met au-dessus de leurs moverts. » Goûtons « illusion dégustative... » «Illusion dégustative » me plaît. « Nos grains de café, d'abord composés avec de la larlne rie glands, mollissaient, trahissant ainsi leur origine. On n'emploiera plus que des fnrines de châtaignes grillées et réduites en pâte. Lustrées à l'aide de substances gommeuses, les grains obtenus de la I CHRONIQUE DU DIMANCHE Cambriolages et agressions recommencent Des bijoux et des valeurs aux pauvres boîtes à ordures - « «- A quci s'amusent les jeunes filles anglaises i ! } j j I ' A chiper les messages de télégraphie sans fil.".. Le correspondant de la « Westminster Gazette » raconte due, movennant « une dépense de quelques francs »", sa fille a pu établir chez, lui une installation de télégraphie sans tU. grâce à quoi, sans études préalables, elle s'amuse à détourner ver» elle certains messages aériens qu'expédie à nos marins le poste de la tour Eiffel. C'est très gentil, en effet., très spirituel, et des jeunes filles ne sauraient, se divertir d'une façon plus intelligente. Reste & savoir si c'est en vue de tels amusements que la télégraphie sans fil a été inventée ? C'est, là une très grave question et dont il serait temps, peut-être, qu'on s'occupât. Car entre nos bateaux et la tour Pilffel 11 y a d'autrès curiosités en éveil que des curiosités de jeunes filles. I . trente ou quarante ans. Morts toujours |I jeunes i Douleurs toujours fraîches ! Le jour de la Toussaint, si l'on pouvait interroger en ce qu'elle a de plus secret la conscience des visiteurs, quels dialogues émouvants on recueillerait 1 — Où vas-tu, toi qui crois l'âme immortelle ? — Je vais rendre hommage à mes morts. — Où vas-tu, toi qui affirmes que la mort c'est l'anéantissement ? — Je vais rendre hommage à mes morts. Spirituaiistes, matérialistes, sceptiques, tous, au fond d'une tombe, sentent la mêji me tristesse les remplir du même réconi fort. Tous ceux qui vont au cimetière en ce jour de novembre fleuri, printemps dés trépasses, ont dans l'esprit, quelquefois à leur insu, le mot poignant : « Et pourtant je vis. » Presque tous, en effet, devant un corps à peine refroidi, se som dit : « L'existence serait désormais impossible : par bonheur, je suis sûr de ne pas survivre. » Et ils ont survécu. Hélas ! tout vivant est un survivant- Ils reviennent respectueusement à la tombe où ils ont cru s'abîmer. Ont-ils à rougir d'avoir pu endurer leur épreuve ? Nullement. Si leur douleur a cessé d être intolérable et farouche, leur regret n'en est pas moins profond. Ils n'ont plus l'affolement des premières heures solitaires, mais leur amour de l'être disparu n'en est que plus réfléchi et plus tendre. Il n'y a pas très longtemps, une brave rentière du faubourg Stanislas eut ses meubles dévalisés pendant que, dans la pièce à côté, elle dormait du sommeil du juste. On ne peut que la féliciter d'avoir le sommeil profond, car il est facile de prévoii que, si elle avait risqué une observation, une menace ou un appel, elle n'aurait pa>eu la peine, le lendemain, de pleurer su ses bijoux enlevés et de prier la police dt les lui retrouver. Entre deux maux, il faut choisir le moindre. C'est ce qu'elle a fait, sans s'en douter. C'est qu'ils ont le revolver ou le surin facile, ces bandits. La vénérable buralistt de la rue d Amerval en a su recemmem quelque chose ! L'arme était, paraît-il, de pacotille) C'est fort heureux pour la victime. La bai le, en effet, aurait bien pu ne pas s'immobiliser dans la mâchoire, passer par la bouche et sortir de l'autre côté de la tête L'assassin n'aurait eu de la sorte qu'à fouiller à pleines mains dans la cais se et qu'à repartir le plus tran quillement du monde, après avon s'il l'eût voulu, garni convenablement se> poches de cigares. Et il eût certainement préféré cet épilo gue à la chasse ardente qui finit par de sérieux horions an pied d'un pilier de Saint-Epvre, et par la maison d'arrêt * ** Mais pour un que l'on prend, combien d'autres continuent à brûler la poliiesse à la justice ? Il y a eu, depuis, — c'est d'hier —- de nouveaux cambriolages. On a opéré au grand jour, en pleine rue SaintGeorges, et l'on peut se demander si ce n'est pas le commencement plutôt que la fin de la série 7 Le remède ?... Mais où donc est-il, le remède ?... Les femmes doivent-elles porter, à chaque sortie, toutes leurs parures sur le corps, se mettre en toilette de soirée pour aller faire emplette de bœuf ou de poireau ? Los malandrins veulent-ils contraindre les plus Insouciants des hommes à prendre le chemin de la caisse d'épargne chaque fois qu ils toucheront cent sous ? Devrons-nous clouer sur notre porte un ecriteau prévenant Messieurs les voleurs qu'ils perdraient leur temps et leurs pinces à fracturer des tiroirs vides, et qu'à la fin du mois — jour de Sainte-Galette — ils trouveront à qui parler ?... Cela vaudrait peut-être mieux, au fond, ipie d'aller gémir dans le gilet du commissaire. Car, que voulez-vous que fasse le commissaire ? — Avez-vous le signalement du voleur 7 — Non. — Eh ! bien, alors ? Quant à la forme des objets dérobés, une teinture, un simple rafistolage suffisent à les rendre méconnaissables. Vous n'oserez pas exiger, cependant,que l'on mette un agent à chaque palier ? Agents mobiles ou municipaux ne suffiraient pas à ce service. #* .\ ' i ij 1 I , j jj '1• ' En se penchant vers la dalle funèbre, on s'incline devant la loi de la nature. Quelle que soit la. croyance religieuse ou ,1a doctrine philosophique, on se rend compte que les morts ne sont jamais des u absents ». On ne voit plus leurs yeux, on ne touche plus leurs mains, on n'entend plus leur voix, on ne peut plus se réfugier entre leurs bras. Mais tout ce qu'ils ont fait, tout ce qu'ils ont dit, tout ce qu'ils ont rêvé, se continue dans le survivant, lui crie : Courage ! et Je fait vivre. Mieux encore ! Le survivant se rapproche d'eux sans cesse. Il devient de plus en plus familier, leur intime, leur frère. Oui, c'est fraternellement que nous visitons nos morts les plus vénérés. Pendant tout le reste de l'année, la rivalité, l'envie, peut-être la haine de certains vivants, contribuent à augmenter, pour chacun de nous, la douceur et le charme de cette visite. Alors, les chers morts nous raniment et nous guident. Du fond de leur tombe montent à flots jusqu'à notre cœur l'apaisement et l'énergie, Puis, voyez ! vos morts vous semblent parfaits. Cependant, en réalité, aucun d'entre eux ne réalisait la perfection. Celui-ci avait la répartie incisive, voire impitoyable. Celui-là s'abandonnait volontiers à la colère. Celui-là... Vous souriez. Que de piété jusque dans votre sourire ! Le souvenir de ces menus défauts, lesquels d'ailleurs vous ont, peut-être été transmis, c'est un lien cordial de plus entre eux et vous, une intimité secrète dont vous êtes jaloux. Ils vous ont tant aimé ! lis vous aiment toujours. Ils vous ont tant secouru ! Ils ne cesseront jamais de vous secourir. N'avezvous pas éprouvé, dans vos pires journées, quelques brusques élans de joie ? — Joie sans' cause ! songiez-vous. Ingrats 1 C'étaient eux. Faites, en expiation,'votre visite plus longue, lo 2 novembre. EMILE H1NZELIN. JULES VÉDRINES et te Meeting d'aviation de Luxembourg **# C'est à ce moment que les clapiers sont mis à contribution. Jeannot lapin ct son épouse, après avoir élevé une nombreuse progéniture, sont désormais gras à point. Vous vous êtes promis, pour la Toussaint, une copieuse gibelotte des familles. Petit poulet, à force de grains et de pâtée, est devenu coq superbe et annonce un rôti de premier choix." Ah ! ce qu'ils vont en faire une tête, nos voisins, qui n'ont jamais voulu prendre de jardin, les paresseux !... Et vous allez, d'un pied léger, vers votre lointain garde-manger de banlieue. Hélas! quelqu'un a passé là avant vous et si lo voleur vous a laissé, dans le carnage, quelque plume de la volaille, vous n'avez pas même la consolation de dire que, des lapins, il vous reste au moins la peau ! Si vous êtes philosophe, constatez simplement que si on vous a ainsi pris vos lapins, on vous en a posé un de choix, ct qu'en tout cas votre vie n'a pas couru le moindre danger. Il n'en est pas de même lorsque le voleur pousse l'audace jusqu'à s'introduire dans votre habitation, histoire de constater si vous avez fait plus que lui des économies. Si vous êtes absent, au moment de la visite, tout va le mieux du monde, et vous en êtes quitte, à votre retour, pour constater les dégâts. Mais qui vous dit que votre arrivée imprévue ne vous aurait pas valu une balle dans la tête ou quelque bon coup de couteau au milieu du dos '!... La Toussaint, fête du peuple. — Un mot divin écrit sur unr. tombe. — Physionomie caractéristique et vivante des Cimetières. — L'immortelle amitié des morts. — Pourquoi le culte qu'on leur rend est une raison de vivre. Paris, dont on dit tact de mal, et qui souvent tout Je premier dit tant de mal de lui, nous offre parfois les spectacles les plus touchants et les plus édifiants du monde. Le jour de la Toussaint, on voit, en longues files noires, Parisiennes et Parisiens se diriger vers les cimetières de banlieue. Là, peu de tombes illustres, peu de décors somptueux, peu de légendes captivantes. Pas de promeneurs, pas de curieux. Les morts sont visités pour eux-mêmes. Dans ces allées de peupliers ou de cyprès, dans ces espaces d un sol jaunâtre plantés de maigres arbustes, le long de ces interminables alignements de tombes nues, règne un regret pur et simple, qui est sublime. . f .' « La Toussaint, disent les marchands de fleurs, c'est la Saint-Chrysanthème ». Ca et là, peut-être, y a-t-il trace de vanité, folle gerbe do fleurs, un peu trop lourde, semble murmurer un peu trop haut, dans le froufrou de ses pétales : « Nous avons tant d'aïeux, et qui sur terre ont tenu tant de place 1 » Quoi qu'il en soit, la Toussaint reste une fête éminemment, sincère et pieuse. La fête des Morts a été fixée le 1er et le 2 novembre par la Gaule primitive. C'est donc, pour la France, un héritage légué par les aïeux lointains. Les chrétiens la célébrèrent dès 1 origine en allumant des lampes sur les tombeaux Nous avons vu souvent en Alsace, pavs de tradition si fidèle, des lampes ou des bougies disposées en forme de croix ou de lettres initiales. Douces constellations funèbres ! . ». „, -En Allemagne, au cimetière de Worms, un des plus rudes travailleurs que l'humanité ait connus, Martin Luther, s'écriait: Invideo quia quiescunt. « J'envie les morts, parce qu'ils reposent, » Nous, au contraire, nous les pleurons, parce qu'ils n'ont plus la joie dé travailler avec nous. Puissent-ils du moins constater que notre travail demeure digne d'eux ! Sur une tombé antique était gravé ce mot divin : « Courage ! » Voilà le mot que nous répètent à l'oreille tous nos chers morts. — Club des millionnaires Avec une régularité pour ainsi dire ma- , imalheureux contribuables qui ont remplaLe Club du Wagon est un des clubs les plus thématique, les approches de l'hiver nous cé ( la boîte à ordures réglementaire par fermés de New-York. Il compte parmi ses ramènent les agressions et les cambriola- (quelque vieux récipient, relégué jadis au, membres MM. Percy Rockt'ellcr et J.-.D. Mor- ges. On jurerait que les va-nu-pieds, si (grenier. gan, et n'admet comme, affiliés que les heuOn cite de ces malheureux — pas le» reux privilégiés dont la fortune se chiffre par imprévoyants soient-ils, éprouvent à ce moment le besoin de se mettre quelque iagents, les contribuables — qui ont poussé millions. Le Club, par convention spéciale avec la chose de côté pour la saison où il fait par- 1le respect des arrêtes municipaux jusqu'à compagnie des chemins do fer, met à la dis- ticulièrement bon d'avoir le ventre plein et Ifaire, à deux et même trois reprises — emposition de ses membres, pour les transpor- les orteils à l'abri des intempéries. plette d'une boîte conforme aux règlements. ter de leur résidence d'été à la capitale, des C'est même le seul point qu'ils ont de Mais ! cette boîte n'était pas plutôt dans la rue wagons-salons d'un luxe extrême qui sont commun avec les braves gens. Malheureu- < qu'elle avait disparu pour toujours. On en attachés aux trains ordinaires. pour ses sept francs. < La direction du Club du Wagon s'émeut du sèment, ils en diffèrent complètement par était Il doit y en avoir une jolie collection nombre extraordinaire des accidents qui se les moyens qu'ils emploient à se créer une i certains brocanteurs 1 sont produits récemment sur la ligne, ou sorte d'assurance pour les mauvais jours, chez voyagent ses membres, et elle vient de cora- | Ce n'est point aux escarpes professionOn ne peut raisonnablement pas sacrifier mander de nouveaux wagons.qui Feront cons- nels, en effet, qu'il faut parler de prévi- 'une heure ou deux chaque matin à monter truits en acier blindé, capables de résister à > sions à longue échéance. Travailler en la i garde sur sa porte pour veiller au pastoutes les pressions. du tombereau et à la patte du touComme conséquence de cette innovation, le été ?... Mais le sommeil est si doux à l'om- tsage bre, le long des rives de la Meurthe, le Itou ! Club augmentera le taux de ses cotisations. corps mollement étendu sur un lit de gaAh 1 soyez indulgents, Messieurs les comLes mouches n'ont ZOlï ! En avez-Vous seulement goûté de ce missaires. i Nous vous bénirons tous lorsplaisir-là, vous les moralistes, vous les que, i au lieu d'être sans pitié pour les pecpas beau feu /... < des braves gens, vous serez arrivés, On les extermine par tous les moyens et bourgeois ?... N'en goûtez surtout jamais, cadilles car nous n'avons pas besoin de concurren- grâce i en tous les pays, notamment en Angleterre. à votre flair et à votre courage proA Glasgow,'par exemple, les murs de la ce. ifessionnels, à débarrasser la vdle des maville et des établissements publics, ainsi que En revanche, lorsque novembre arrive et landrins de tout acabit. les tramways et les omnibus, sont ornés d'inv qu'entre deux sourires de soleil, il nous Et jour trois fois heureux sera celui où menses affiches noires et blanches, et qui représentent, un enfant, attaqué par une mou- prodigue bise et brouillards, il faut bien les Nancéiens qui n'ont malheureusement se rendre compte que les arbres n'ont plus à craindre le vol ni pour leurs bijoux, ni ebe, considérablement grossie. Au-dessous, imprimés en gros caractères, de fruits et que les jardins sont vides de )pour leurs coupons, de rente, n'auront rien on lit ces mots : « Tuez cette mouche I » savoureuses garnitures pour le pot-au-feu. à appréhender de désagréaEle pour leurs Une seule mouche peut, dans le courant La rivière, elle-même, cette bonne mère boîtes à ordures 1... d'un été, donner naissance fi des millions de nourricière aux temps chauds, prend des J. MORY. ses semblables ; elles sont dangereuses eaux si méchantes que l'on risquerait désorpour la santé publique, et doivent donc être j mais sa peau en posant ses cordeaux et détruites partout où on les trouve. i ses nasses au front des herbes. LETTRE DE PARIS Chaque cimetière a son caractère, sa physionomie et, en réalité, sa vie propre. Il y en a d'animés et de pittoresques, comme le cimetière de Montmartre, îlot ! de repos en plein tumulte de l'océan hu| main. Il y en a d'austères et de silencieux, \ comme le" cimetière de Passy. il y en a d'à! ristocratiques, comme le cimetière de Long' champ où l'on ne peut pénétrer qu'en excipant de sa parenté avec un des mortels qui y ont élu résidence et qui reçoivent, ce j jour-là. Mais cela encore n'a-t-il pas une grâce saisissante ? Ce cimetière apparaît comme un salon très fermé. Avous-nous besoin de rappeler aux Nancéiens que le cimetière de Nancy est représenté à Paris (musée du Luxembourg) par un chef-d'œuvre émouvant et spirituel d'EVOIR PAGE ? mile Friant ? Pas un Parisien * qui ne soit séduit par l'ingénuité mélancolique de la fillette au bouquet, donnant son sou ou : vieux mendiant aveugle assis devant la i grille de Préville, Dans les cimetières populaires, on voit Prière à nos correspondants de n'écrln souvent de vieilles femmes s'agenouiller en pleurant sur de toutes petites' tombes. On que d'un seul côté de la page, pour facili- s'approche. On déchiffre la date et le nom. ter le travail typographique. Ici dort un petit être enlevé brusquement i à la tendresse des siens, il y a quelque Dernière Heure t sorte restent, durs. Ils imitent très bien le j café naturel. « Avec des feuilles de troène colorées de rouge, nous concurrençons victorieusement le thé. « Nos conserves d'artichauts sont faites avec des topinambours, et nos conserves de i tomates avec des potirons ou des carottes, — exclusivement... » Et que de fierté dans « exclusivement I • Fierté légitime, d'ailleurs. ÉCHOS Comment les Allemands parlaient le français p ^ ! I L'OCCUPATION ALLEMANDE EN LORRAINE f ^ JOURNAL RÉGIONAL QUOTIDIEN g p JepartemeBis Ètr*n6c Qn ^ == 3.21-10.37 ABONNEMENTS •' ^^ J Au reste, nos agents ont Ken d'autres occupations à cette heure. Ils verbalisent, 1 notamment à tour de crayon contre Notre correspondant nous écrit ; de Luxembourg « La presse luxembourgeoise reproduit les détails fournis par 1 « Est républicain » sur i'« aventure de Juiea Vedrinea a Nancy ». Celui-ci devait prendre pari en eilKl, avec son frère Emue, au uieeung d'aviation qui avait ete oiganise a Luxemuourg au uefiut ae cette semaine. Le comité u organisation était tout lier de s ètra assure le concours de ce roi ue lair. Mais ueja la veili* oe la lète on concevait des apt/ieneusioiis. h,imle Vedrmea et farmeuii eia,i«ni arrives enscimile par la voie ae lair, et jusqu'à la nuit tumuante ou aiieiiuait, mais vainement, l'arrivée de julea vedrinea. On expédiait dôjjèetie sur uepeene. linun le président de i Aero-club îuxeujuourgeois reçut une lettre datée de .Muney, dans laquelle Jules Vediuies expliquait que le temps brumeux ne lui avait pas permis de faire ce qu'il voulait ; qu'il sapprétait â entreprendre « son voyage au long cours » et qu il lui était impossible de se rendre à Luxembourg. « J'irai vous voir, ajouia-t-il, à mon retour CQ aéroplane, et cela ne vous coûtera rleo. Mille régrets et à bientôt ! » Il est vrai que son frère Emile Vôdrinea et Parmelin uepioyerem pendant les deux journées une belle maîtrise, exécutèrent des montées et des virages si hardis que lu meeting n'en lut pas moins un succès grandiose. Au banquet qui réunissait lundi soir au Casino de Luxembourg, les aviateurs et les organisateurs, M. Paul Sturnlier, éctievin ue Luxembourg, remercia en termes chaleureux les aviateurs français des sensations Indubitables qu'ils ivaient procurées au public luxembourgeois. Avant son départ, Emile Védrines issura les organisateurs que son frère .tendrait parole et qu'on le verrait bienôt arriver en aéroplane à Luxembourg, c.mile Védrines lui-même fut appelé par elégramme à Paris, où des engagements attendent pour a'autres randonnées. Après Ses incidents de Ton! Dix-huit cégétistes renvoyé* en correctionnelle I| jj , j . L'UISU uctiun ouverte le maa dernier pour provocation Ue militaires à la désoiieiosance. sur la plainte du ministre de n. Guerre, à la suite des incidents de Foui, est clo»e. M. Drioux, magistrat instructeur, renvoie devant le tribunal correctionnel dLxhuit membres de la C. G. T., à qui on reproche d'avoir envoyé à des syndiqués sous les drapeaux des circulaires antimilitaristes, sous le couvert de l'œuvre du « Sou du soldat ». Ce sont : MM. Marck, trésorier de la C. G. T. ; ^ vetot, secrétaire du comité des Bourses du travail ; lesson, secrétaire du syndicat des métallurgistes de Vaienciennes ; Moiitaran, secrétaire général des travailleurs des omnibus ; Morin, secrétaire du syndicat des terrassiers de la Seine ; Hubert, trésorier de ce syndicat ; Dalstein, secrétaire des monteurs-électriciens ; Bâtas, secrétaire de l'union des syndicats de la maçonnerie et de la pierre ; Etchevcry, ancien secrétaire, et Gauthier, secrétaire du syndicat des charpentiers en bois ; Thomas, ancien secrétaire, et P.aud, secrétaire des dockers de Nantes ; Marchand, secrétaire du syndicat du bâtiment de U Seine ; Vincent, trésorier du syndicat des terrassiers de Seine-et-Oise ; Maria secrétaire du syndicat des mineurs d'Epi nac ; Andrieu, secrétaire du syndicat de$ charpentiers en fer de la Seine ; Giron, secrétaire du Syndicat du bâtiment d« Rouen, Quatre inculpés bénéficient d'une ordonnance de non-iieu -. MM. OutHemin, ancier secrétaire du syndicat des terrassiers d« la Seine ; Ledu, secrétaire de ce syndicat Hervier, secrétaire de la Bourse' du travail de Bourges, et Varnat, secrétaire de) dockers de Nantes. M. Guillemin, le seul de ces quatre pré venus qui soit encore détenu, a quitté II Santé hier soir. Les dix-huit membres de la C. G. T. rm tenus sont poursuivis en vertu de Parti cî-e 2 de la loi du 28 juillet 159-4 sur lr menées anarchiMes. DANS L'ARMEE Un drame ^ DERNIÈRE HEURE *p Le relèvement de la solde des officiers et des sous-officiers PARIS, 1" novembre. — La commission du budget s'est réunie, pour examiner la question du relèvement de ia solde des officiers et des sous-officiers. Le projet déposé par le gouvernement prévoit, on le sait, une dépense globale annuelle de 63.300.000 francsalont 36.800.000 j a francs pour les troupes métropolitaines et les troupes coloniales dans la métropole, 2.050.000 francs pair les troupes aux co15.200.000 francs pour les gendar* i lonies, L meo et sous-officiers et 4.500.000 francs pour la. marine. M. Bénazet, rapporteur du budget de la guerre, estime que ces augmentations Sont I ; Sur plusieurs points insuffisantes et propo' se des relèvements plus importants. La commission du budget, a adopté le PARIS, 3 novembre. — « Excelsior » principe du relèvement immédiat de la éécrit : £solde des officiers et des sous-officiers, et K Maintenant que nos troupes de l'Est sur les observations de M. Messimy a acs o ont été renforcées, on va renforcer notre ccepté le projet de rajeunissement des cad défense des Alpes. ^ dres. Elle a décidé d'entendre le gouverne« Notre mobilisation et notre conesntra- Dment dans une de ses très prochaines séanttion ayant pour but de faire affluer en ces sur ces deux questions. 1Lorraine la majeure partie de nos forces, c M. Abel a défendu ensuite, au nom de iil a fallu constituer clés barrages, surtout i, la commission de la marine, le principe édu côté de l'Italie, et recourir à forti- fjde -i-'extension du relèvement de la solde f ficafion permanente dont l'emploi est tot.t aux a officiers et assimiiés des corps techniiindiqué en pays de montagne. hques de la marine qui ne sont pas compris r « îs os camps retranchés de Nice et do dans cl le projet du gouvernement. I Briançon peuvent arrêter une offensive La proposition de M. Abel a été adoptée i italienne, mais des routes d'invasion, res- par r la commission. t.latent ouvertes par les cols du Petit-Saint•>•-<» e— IBernard et du Mont-Cenis, et jusqu'à ce jjour, étaient assez mal protégés. LE FIASCO DE MME PANKHURST « Elles viennent d'être fermées par ia EN AMERIQUE construction de nouveaux ouvrages, no{tamment des forts du Replatin ct du SapDe notre eorrrgpsnjBnt pirï'culier. \ pey, qri ont été remaniés et doublés par NEW-YORK, 2 novembre. — Les amies c des batteries annexes taillées en plein roc, j c < Mme Pankhurst avouent qu* sa tourappuyées et complétées par une défense ! de I mobile active et vigoureuse, facile à cons- !; rnée en Amérique a été, jusqu'à présent, 1 t tituer avec les populations montagnardes Ij un véritable fiasco. Les salles presque vic une froideur frisant l'hostilité, des de Maurionne et de Tarentaise. j des, f « Ces nouvelles fortifications libéreront I *interruptions sèches mais logiques tom1 bien des unités de notre armée de premiè- !j 'bant comme des coups de massue sur la r ligne qui seront mieux emplovées sur Ii 'tête de la conférencière, enfin les organisare inotre frontière du Nord-Est. » — Havas. 'teurs de conférences dans de nombreuses * ^ \villes de l'Union annoncent, l'un après ia l'autre, qu'il? renoncent à leurs projets et j !que la conférence n'aura pas lieu, voilà, certes, un bilan peu flatteu*- pouv la fa1 suffragettes du TROYBS, 2 novembre. — Une importante ij meuse maréchale des — \V. i réunion viticole a été tenue cet après-midi, Royaume-Uni. J ;à Troyes, sous la présidence de M. Riche, l maire, assisté, de la plupart, des élus du NOS FORCES NAVALES ( département. Plusieurs discours ont été TOULONt 2 novembre. — Le croiseur cui!prononcés. ra9sé « Ernest-Renan » a reçu l'ordre d'apBAR-SIJU-SEINE. 2 novembre. — Le syndi1 cat de la fédération de l'Aube, réuni au- pareillor. Il a quitta Toulon à 2 heures j jourd'hui à Polisse, après avoir entendu ! pour se rendre en Corse. Il y rejoindra VI. Paul Meunier, député, a décidé de ré- I! l'escadre légère sous les ordres du viceelamer la réintégration de l'Aube dans la !' amiral Aubèrt. Des exercices d'attaque au{ Champagne viticoîe. navale se dirigera sur Bizerte. — JOURNAL DES Fl^ à MoiU-Saint-Martin ^ ANNÉE 90, rue Saint-Lazare _ p MONT-SAINT-MAIUIN, 1" novembre. — îi y Abonnementr^"^ . ^'S ^ avait longtemps que la ville de Mont-Sainta Abonnement d'essai Dour . Martin n'avait été ensanglantée par un de M anné PrÊ ^2jfr. 50 *lîn ces drames qui se reproduisaient naguèce rent avec une régularité que beaucoup esg re Sommaire do n° du i« timaient désespérante. tiI nov Grâce à l'active surveillance exercée par E 6 Etudes d'actualité ; Le cas t. '5l3 i jla Cas a gendarmerie et la police locale, grâce agent lyonnais. ^bla^ aussi à certaines circonstances qu'il est L al La Semaine, "Us j as assez difficile d'expliquer, le calme règne (j Causerie : Y a-t-il Uno cri„ft , en permanence à Mont-Saint-Martin, i-.es quo ? «ise mé^ ej] rares querelles ôplatant dans cette localité A p Travers la Cote : Electric , ra ™ j se se vident maintenant à coups de poing. Machines Hartmann ~ ^rk Le règne du couteau paraît être à son BERLIN, 3 novembre. — L'aviateur Gil-- Corocoro - Çha.iered^"?;\**\T ^ déclin. Un individu qui n'est peut-être pas U bert est rentré à Berlin par chemin de fer. brançaise des Naphtes 611 a déclaré qu'étant parti hier de Putnick, encore connu à voulu faire couler g er ' „, un peu de sang dans la cité-frontière. Et u trois heures de l'après-midi pour gagner a MlIîes I c'est „. x. de /me de c,ul duCen PARIS, 3 novei>6re. — On lit dans le Mai pourquoi un hornme*est à l'hôpital de Berlin, il avait été. gêné par un brouillard Phosphates tunisiens. ~ G,\^T^Î £ lin : (.épais, qui lui avait fait perdre sa direc( Longwy avec trois ou quatre blessures, de Corbeil. n Le groupe de l'A. G. des agents anibu- tjtion et l'avait empêché longtemps de redont une très grave. CCorrespondance. ! lants tics lignes de l'Est, réuni hier, à prendre p Comment cela se fit-il ? On ne le sait contact avec le sol. vot'j 1'ordro du jour suivant : pas encore exactement, la victime du dra- Revue du Marché : Fonds d'Etat, Ce n'est qu'au bout d'une heure, qu'il bhssements de crédit. -fij *L. « Le groupe, considérant que l'augmen- ;taperçut une ligne de chemin de fer, qui I me n'ayant conservé qu'un très vague soub.heres. - Transports p£ ^ K tation de l'effectif des troupes de ia réj( ye lui permit de repérer sa. route et de re- • venir des événements et l'auteur présumé P re eau. - Métallurgie _ ^o:f *Z j « gion de l'Est a ac'jru dans des proportion^ prendre p a la direction de Berlin. Puis la affirmant ignorer tout de cette affaire. • et Eaux. - Chnâonnagfs^ K considéra files te trafic postal du réseau ; ,", nuit survint alors qu'il en était encore à A 5 heures du matin, on trouvait un ^ cuivre. - Mines diverses. v>«Me « Considérant qu'au lieu de faire subir I uuna cinquantaine de kilomètres. homme gisant dans le couloir d'un débit (l f et de diamants. Pétrole et ,îfe » te au personnel une augmentation para lié- ■ En voulant atterrir, Gilbert brisa contre voisin du passage à niveau, avec quatre — Valeurs diverses. * ^w*^ K le, l'admi'.fsiration a supprimé, le l" oc- . w u un fossé une roue et son hélice. blessures, a la tète, dans le dos, dans la Revue de la presse : L'assainis K tobre, l'cn.pioi de onze agents sédenta.iIl emballa alors son appareil ct vint à poitrine et dans le flar.c droit. P Lombards — Missouri Oklahom611' n res, et n'a pas remplace deux agents jBerlin par chemin de fer. Par cette dernière plaie sortaient les ] j_ Gulf. La liquidation de h » ^ « partis au ri-gimeni ; L'aviateur estime qu'il a dû parcourir intestins. ffranco-améifcaine, etc. "an1'iî « Considérant q;:e ios services ne par- ' plus „ do 1.200 kilomètres en 5 h. 13 minuLe blessé était Vinant Barthélémy, 66 iLettres des départements et de lut.» * viennent pas à acheminer régulièrement | tes, !„ avant, dlt-il, passé au-dessus de Luans, manœuvre travaillant à l'entreprise Lyon. - Lille. - Londres. _ Be»i A les correspondances, maigre les quelques ! Jaspa j, Dec D s. rt et logeant chez M. Boisteaux. Au- £ K moyens ue fortune employés par la ditour de lui on ne voyait pas la plus peti- , (Cours dis métaux, tc * rection au détriment du parsonnel exté- ! Dauccurt te tache de sang. Cote des chan;:cs t nué ; Malgré son âge, Barthélémy est coura- fRecettes comparatives des cher-!-» • VIENNE, 2 novembre. — L'aviateur Dau« Considérant que l'armée de la classe I court a pris son vol ce matin, à dix heugi geux ét rude, il eut encore la force de g Informations ct renseignement' * de 20 ans ne fera qu'aggraver la crise I rcs.de ,. la capitale autrichienne se dirigeant monter jusqu'au deuxième étage, où se (Goupons. m * actuelle , 1 . tr sur Budapest. trouvait sa chambre. nTirages financiers. « Porto à la eonna^ance du public que, t ■ Bt'BAi'EST, 2 novembre.— L'aviateur DauI CeU'X qui l'avaient trouvé le regardèrent, En raison du prix réduit consenti t malgré tout son 'iéV.mement, le personnel j (court . ct son passager Roux, qui accomI ft l'examinèrent, le retournèrent, lui donné- r prions ceux qui désireraient s'-rW Wl* « sera dans rimyi.-sibilité absolue de diri- 1 plissent p | rent rt quelques vagues soins puis se décidé- r le raid Paris-Le Caire, sont arrii nous adresser par mandat ou timbré?* n ger ses correspondances, si l'administra- I vés à Budapest à 1 heure 30. rent à prévenir un docteur d'abord et ia j ! r< la somme de 2 fr. 50, afin de nm''"" s'' « tion ne pr'jnd pas des mesures pour pa- i gendarmerie ensuite. Il était alors 8 heu- vun recouvrement oa>- la ve-ste"m* evi,'f! Ils ont atterri sur 1-3 terrain d'aviation i gi « rer à une situation critiqua. » J res, r< trois heures avaient suffi pour que ccoûte 0 fr, 35. qui ,!0U! de Rakus. ' t le geste si simple consistant à aller cherUn brouillard très épais les a gênés du- , En vente à Nancy cher tous nn* *■ m acWsicl cher les gendarmes fût accompli. tta ires. rant tout le voyage. " | La gendarmerie accourut et interrogea 1 — «*—— Toujours interdites le blessé, qui ne put dire grand'chose, AU CONGRES ét étant encore sous l'influence des libations PARIS, 2 novembre. — Parti du Crotoy à I REPUfiLiCÀliN-SOCIALISTE fi faites la veille. ù h. 30 du matin, l'aviateur Maurice GaiVers 8 heures et demie, dit-il, j'ai quitté lier, ex-sapeur aviateur du Crotoy, libéré j ma pension pour aller chercher du tabac 1 y a un mois, atterrissait à 7 h. 30 par tttuàtOiu.K, 2 novembre. — La ;éanco (bj il " au bureau voisin. J'ai rencontré un indivice manu est consacrée au débat sur la $suite d'une panne de bougies sur la plage [ d du avec qui j'ai bu dans divers cafés. Nous de Gravelincs. Des douaniers l'interrogépolitique gêiiéruie. I éi LUNDI 3 NOVEMBRE. — 306» JOUR DE L»« 1 étions tore deux un peu ivres, nous nous et sur la présentation de son livret Quawe motions sont en présence. L'une cent i| sommes , AWOURO'HI I : les Morts. — {jt : " disputés, je ne sais pourquoi, ils ne firent aucun obstacle à dépusée par les amis de M. Augagneur, militaire, S ¥ ( 1Saint-Charles, d ' : son départ. L'Intention de Galtier était de dans la rue et j'ai reçu des coups de couau nom de la fédération du Rhône et souI t< teau. Ephémérides lorraines En 1810, - . tenue par la fédération des Bouches-du- Sse rendre à Ostcnde en passant par Haze| corouck, afin d'éviter Dunkerque. Il s"égara Je ne connais pas mon agresseur. Je ne sauce ! a Amance du docteur Eugène Gn* Khône, condamne énergiquement la poh | sais quelle est sa nationalité, tout ce que J tique dite d apaisement et blâme les acte?- ;ians la brume, et une nouvelle panne de bienfoiieur des pauvres , | je j* peux dire c'est qu'il parle le français ' jougie l'ohligea à atterrir, vers nuit heudu ministère Barthou. La deuxième, dé Visites aux cimetières de PréviJJe et i \es du matin, sur la plage de Saint-Polsans le moindre accent. posée par m fédération de la Seine, de 1T 1 u <i. iur-Mer, près de Dunkerque. Le médecin appelé auprès do Barthélémy S sère, ne la Loire et du Lot, dite motion Apprenant qu'il était à proximité du déclara que l'état du blessé était très graA 2 heures L — Musique inilitaire i U Zévaès, rappelle les principes généraux du d'atterrrissage de Saint-Pol, il ré/e et ordonna son transfert à l'hôpital de 1Pépinière. parti lepuulicain socialiste, parti de lai- j poste 1 j Longwy, ce qui fut fait dans la matinée. cité, de démocratie et de réforme sociale. 1para ses bougies et alla y atterrir, à l'effet Le temps qu'il a fait . PARIS, 3 novembre. — L' « Eclair » anM- le" juge d'instruction Ketter se troumais so refuse a condamner la politique de faire son plein d'essence ; mais les gar- nonce que le théâtre des Champs-Elvsées ! Jes de Saint-Pol arrivèrent aussitôt,ainsi ; , vait justement à Villers-la-Chèvre, avec V d apaisement. Dimanche malin, le temps semble s'te j serait sur le point de se transformer, d'acj —«* s son greffier, M. Garnier, enquêtant sur iremis au beau et Je ciel est largement!^ Il estime que les ententes et désistements -rafl les agents de police de Dunkerque. Dé- ][ (eord avec la direction actuelle, fense fut faite Galtier, en v^rtu du nou) l'odieux attentat que nous avons signalé ; par j doivent s'effectuer non de candidat à car. ' 1 les averses de la veille. « On dit que l'Association de MM. Mes- j .eau règlement, de repartir, et son biplan | | q;:and le parquet de Briey fut avisé télétiidat, ni même de comité local à comité, I «ager ct Gailhard, faite au point de vue était mis sous clef dans un hangar. j graphiquement par la gendarmerie de mais de fédération à fédération ou de part; A P « Est Républicain « L'aviateur télégraphiait aussitôt au pré- îi 1de l'Opéra ct réduite à néant par une JéMvni-Sairit-Martin. à parti, par l'intermédiaire des organisVoir dans notre salle des dépêches des I marche de M. Bronssan auprès de M. Bari à Mousson Le télégramme fut transmis à M. Ket- bulletins j mes régimers de ces partis. Il est prêt, et Ifet du Nord et au général commandant le j ;thou, se reformerait à la tête de ce théâtre, i de vote en Italie ; les portraits 1" corps, pour avoir- l'autorisation de reter, qui se rendit à l'hôpital de Longwy de , il le déclare hautement, à pratiquer la dis Ch. Rousseiière. de l'Opéra-Comiqa, qui ferait yne concurrence acharnée, méI partir. afin de recueillir les déclarations de Bari cipline la plus étroite vis-à-vis des grou 1 Un alcoolique tire sur lo tv.r.irc °. Philippe Gaubert, l'auteur de « Phiiolisu, thodique à l'Académie de musique. thélémy. Le magistrat tomba mal. Le bles- (Claude Terasse, compositeur des « Trapements républicains qui prendront à son « La nouvelle entreprise disposerait de PON"I'-A-MOUSSUN, 2 novembre. — La pitAccident exagéré égard des engagements identiques. s sé venait d'être opéré et se trouvait enco- ,vaux d'Hercule », Gheusi Emile et Vincent i toresque commune de Mousson vient u è! igros capitaux. » — Havas. r Il ne. saurait la pratiquer vis-à-vis de I re sos l'influence du chloroforme. Il ne Isola, ] nouveaux directeurs de l'Opéra^ BEHUN, 3 novemrbe. — Voici à quoi se tre uuse en émoi par une tentaitve de ' a ceux qui, au nom de? décisions? de leurs résume l'incident qui a fait croire à la ' dit donc pas grand'chose, mais sa décla- ,inique, lleilé, auteur de la « Boite à joumeurtre commise sur Ja personne de son i congrès, s'y sont toujours refusés ; autre- perte dans la mer du Nord d'un dirigtaj ration r ne ressembla pas tout à fait à celle jjoux », Delaw, les fêtes de Verdi, une répémaire, M. Alphonse Ancé, âgé de 43 ans, qu'il avait faite aux gendarmes. ment dit, c'est la répudiation formelle du ole ! Parseval : tition des « Trois Masques » au tbéfin ancien candidat tuiuaisiste a la députa! groupe avec les unifiés. i « Vers 8 heures et demie, dit-il. j'ai quit- . BERLIN, 2 novembre. — Le dirigeable ParChamps-Elysées, et « les Travaux tion, par M. Aiidre-Prosper Droit, 42 ans, |j té *, ma pension pour aller chercher du ta- des Deux autres motions dites transaction . seval « P-L-16 » partit de Bitterfeld, près dt d'Hercule » au théâtre Femina. cultivateur. | Y Sous un (rain nelles sont déposées par les fédérations dt j bac. En sortant du bureau j'ai renconJerlin, hier à cinq heures de l'après-midi, Depuis plus d'un an, ce dernier s'adonne la Marne et de l'Hérault. I tré devant la porte un individu que je Comrnis d'Académie ! ,.rès de Neustrelitz, gêné par un vent vio LUNÉVII.LE, 2 novembre. -- Cet après-mi- {i à la boisson et ses crises aicooiiques ont | Nous apprenons avec plaisir la r.omii» GRENOBLE, 2 novembre. — Le congrès du ' lent. I Le danger couru par le n P-L-16 » fut <di, à trois heures un quart, M. Paul Guyot, I valu bien des lois aux nacitants ue Mous- I n'ai pas dévisagé, mais que je crois être v un italien. tion de M. Morè, instituteur à Nancy, a) parti républicain socialiste a voté à l'una- |j tel t que le capitaine dut procéder au dégon- employé < auxiliaire à la gare de Lnnéville, I son des émotions qu'ils étaient loin de Sans rien dire, cet individu s'est jeté poste de commis d'Académie dans Jamftt nimlté une motion de la fédération de j ..lemeiu immédiat du ballon, en déchirant j a : eu le pied gaucho broyé par un train. I désirer. eur moi et m'a mis dans le triste état ou ville. Sincères félicitations. l'Hérault désirant la transformation dt J l'enveloppe. 1 E Guyot a été transporté dans un état, gra- |[ Droit faisait caracoler ses chevaux dans VOLVS me voyez. Si j'étais mis en sa prél'état économique actuel en un ordre so On annonce, d'autre part, que les ate-l' ^ 1 ve à l'hôpital de Lunéville. Il est céliba- |i le village ou bien il se promenait . vee un I(| sence, je Je reconnaîtrais peut-être, mais cial où les travailleurs posséderont Tinté- t liens I de construction de dirigeables de |l j taire. (Coffres i fusil en proférant des menaces. On s'at- I ' BAUCîïF. (' gralité du fruit de leur travail. i Dusscldorf ont fait failli1*.;. Les ouvriers i | tendait d un instant à raiitre à un mal- i! ccela n'est pas certain. D'ailleurs, j'étais 17, rue d'Ameroa!, NANCY — Cstalosas fraad j pris de boisson. C'est tout ce que je peux Ladite motion s'oppose a la politique ont ( été congédiés. ; heur. Récemment, il avait passé devant le " v dire. » d'apaisement ; elle décide l'action laïque j ! tribunal correctionnel pour outrages au vous Le succecGOiir de M. Gruhicr C'était peu, mais l'état du blessé ne lui et le retour à la loi de deux ans ; réclame i i gardj Klock et avait été acquitté, .e garde !J M. Coquet de Gennevillc a été noua j permettant pas d'insister, le juge d'ins} PAHIS, 3 novembre. — Le bureau de sta, l'impôt global ct progressif sur le revenu | l n'ayant pas voulu trop le enarger dans sa j 1directeur de l'asile de Maréyille, tu M j tistique du ministère de Strasbourg publie i déposition. |i truetion dut s'en contenter. avec déclaration ; ne refuse pas d'accor- I placement de M. Gruhier. Le nouveau » iune série de données sur ie dernier recen(1er la collaboration du parti aux sneia- 1 Droit continua sc3 excentricités. Dans la |I » Pendant ce temps, les gendarmes de recteur prendra son service dans ejuoii| sement de la population en Aisace-Lcrrai- 1j soirée, vers six heures, alors que l'obscu- !i Mont-Saint-Martin continuaient leur enlistes unifiés et aux radicaux contre la I 1 apprenaient que Barthélémy jours. ne. réaction. Manifestation avortée I rite était complète dans les rues, il se pro- ji ^quête. Ils | avait passé la soirée avec un belge nommé Sur un total de 1.874.014 habitants.204.692 L'après-midi, on a voté l'élection de neuf ! menait brandissant un fusil, la crosse en ;> ! Conférences Alsaciennes-LerrainM MADRID, 2 novembre. — Une manifesta-3 \ Jean-Richard Renerte, 34 ans, manœuvre membres de la commission administrati- i tion t publique contre l'avènement des con- |,ont indiqué le français comme étant leur l'air, parlant d assommer ie premier qu'il j *?aux aciéries, logeant à l'Economat, à Lcnà Paris ,M I langue maternelle. ! rencontrerait. I ve du comité exécutif du- parti. ] siervateurs ? au pouvoir qui, aux dires des J Comme chaque armée, notre cori* ■ glaville. j En IU00. on en comptait 199.493, et, en e i A ce moment survint M. Ancé, maire do : = La liste Zévaès a été élue. I organisateurs , devait s'effectuer aujour- I Or, cç belge parle le français sans au- « L'Alsacien-Lorrain de Paris » fi, ™ î ! 1905, 200.220. — Havas. i la commune, qui allait rejoindre un de ses i! L'exclusion du parti de MM. Millerand, I d'hun , malgré l'interdiction du ministre de ! Médicis), organise à la salle de la s c 'jcun accent, comme l'agresseur du vieux ! amis qui l'attendait au café. Briand, et de Monzie est réclamée par la s l'Intérieur, i fM T)E LA DEIINIEHE WEf'RE n'a pas eu lieu. j de géographie, 184, boulevard aau , j — Voyons, qu'est-ce que tu fais là ? dit- i! 1manœuvre, d'après" les premiers dires de :i main, à 8 heures et iemit fédération des Bouchc^dn-Rhône. Celle-ci S Un fort déploiement de police et de genc f il en s'adressant à Droit ; \l ne faut pas | se sentant en minorité, au moment où \ darmerie , avait été organisé sur divers Les gendarmes recueillirent encore di- série do « Conférences Alsacicimef-W"' te promener comme cela avec un fusil, j l'on va voter, quitte la salle avec la déipoints de la ville. vers renseignements qui ne firent que | nés ». En voici le programme : ^ j cela t'amènera des histoires. ^ légation de la Marne et la moitié de la . *r f e_— Mercredi 5 novembie ifl--- " V ET 1 ! rendre plus obscure encore cette affaire. ! ) Droit ne répondit rien à ces excellents i délégation de l'Hérault. Ces délégués sont constatèrent d'abord que nulle traee de Hahays : La cathédrale de A»ew conseils et se recula d'une dizaine de nié- ! Ils ' hués par le congre:-. | restaurations. $4 I fcraes &m issir» précédente édition très, tout en glissant une cartouche dans i: 6sang n'existait à l'endroit où Barthélémy i Puis, après la nomination du bureau Mercredi 19 novembre. — *;rfi.;8i| le canon de son fusil. | tavait été trouvé. Celui-ci prétend qu'il dont M. Zévaès est élu secréi-aire générai, Welschinger, de l'Institut : Le c-<uu —»— frappé entre 8 heures çt demie et 9 j En raison de ! obscurité, le maire de !i fut i le congrès est déclaré clos pour cette anBisiuar ^ PARIS, 3 novembre. — « Excelsior » re- ! LA CRISE CONSTITUTIONNELLE ] i heures du soir, ij est établi qu'à 9 heures I! Richelieu et le prince de M Mousson ne vit pas le geste et il se diri' née. — Havas. produit une dépêche de Rome annonçant J A L'ILE DE M AN Mercredi 3 décembre. - ; 1 ' njs# t j et demie il n'était pas là où il fut décou| geait tranquillement vers le café où on —X—I Helmer. avocat : Le po.ng<-rm<u qu'à l'occasion de l'inauguration d'une jj Q£ q«i i l'attendait, quand une détonation retentit, 'vert gravement blessé!I « Conscience nationale du p«"Ple grande cathédrale orthodoxe à Rome, i% j1 De notre corresponJant particulier. r " Enfin, malgré toutes les investigations ' . I M. Ancé entendit lo sifflement des plombs, i91-î, le tsar viendrait probablement pré- | i'e H* iauxquelles ils se livrèrent, les gendarmes i mnnd. » LONDRES, 2 novembre. — La ravissante ! qui allèrent se loger dans la façade d'une pm ^ider la cérémonie. — Havas. Mercredi 17 décembre. I ine purent recueillir aucun renseignement / petite île de Man, située entre l'Irlande et [I maison, il venait de l'échapper belle. j zelin : La terre exquise de LOI ! sur l'emploi du temps de Barthélémy de! La gendarmerie, prévenue le lendemain, s J l'Angleterre, rendez-vous des touristes du - > j ciér 8 her.res ct demie du gojr jusqu'à 5 i d'Alsace. M ]e 1 j Lancashire et de la Verte.-Erin, et qui | monta aussitôt à Mousson pour procéder I puis Mercredi M janvier 191». ""..Le > Les vaincus qui veulent garder t ! jouit d'une autonomie législative fort lar-,, à l'arrestation de Droit. Celui-ci prit tout • !heures du matin. leur patrie | d'abord un air badin, déclarant : Renerte, qu'on avait vu avec le blessé, ral .Dertnery, du caire de^i'« ^ .y ( ^ ij *ge, traverse depuis quelques années une ----Si seulement je ne l'avais pas manl fut recherché, découvert et interrogé. Il !: défenseurs 'de Metz en l^aa e* ■ j crise politique profonde, une vraie crise VIENNE, 3 novembre. -- On mande de Vai duc de Guise et le général Dun»-^ reconnut sans hésitation qu'il avait passé I constitutionnelle. Mais nous approchons iona que, d'après des nouvelles parvenues ! Jeudi 5 février 1914. — M- '^ ^ «• Puis comprenant sans doute quelques une j partie de la soirée aveç le vieux maj MADRID , 3 novembre. — Le capitaine I m du dénouement. On sait que la chambre ! d» Kirana, 40.000 fugitifs albanais sont ar- f , j j a* e i à boire clans divers cafés. A 9 gel, ancien député d'Alsacertrés dans cette ville, venant de Dibra et ,' 'Sonchez. condamné à mort pour assassi- jj populaire manxoise, la Chambre des Clefs, iI instants après la gravité de son acte, H nœuvre, « Landessauschuss : La miss»» 1nat suivi de vol, a été transféré au camp lest j les environs. actuellement très radicale, mais par jj tenta de faire croire qu'il avait simple- |I 1heures et demie, dit-il, je l'ai quitté oour nir de l'Alsace-Lorraine. .. . | *J i me coucher bien tranquillement à Le (nombre des émigrants albanais pro- 1de Carabancel, où il sera fusillé ce matin. |i contre le Conseil législatif, ou Sénat, est i ment tiré ie coup de fusil en l'air pour J alier I ea Alsaciens-Lorrains nai.w< t^ ,r ]l'Economat des aciéries. C'est par vous I réactionnaire et a pris l'habitude d'oppo- !! effrayer M. Ancé. venant des territoires occupés par la Ser- —r Havas. nmin.tena» Malheureusement, les plombs logés dans ique j'apprends que ce pauvre homme a éLé pitale peuvent dès f ser invariablement son veto à toutes les {i tie s'élève a 100,000. leurs places pour ces conférence ^ LES ELECTIONS ITALIENNES mesures démocratiques des députés, et no- !] le mur de la maison à hauteur d homme 1blessé à coups de couteau. 2 fr. : 1 fr.). aux bureaux de « L* , <p e Cependant diverses circonstances paruLes méfaits des comitadjis bulgares tamment au projet de réforme constitu- ji indiquaient bien que Droit, avait épaulé ROME, 3 novembre. — Hier a eu lieu le Lorrain » < ni en publiera m\oaTt0 dans la direction de M. Ancé. j rent étranges aux gendarmes, qui arrêtèBKt.flBADEi 2 novembre. -- On annonce :scrutin de ballottage pour l'élection de la tionnelle, analogue à celui introduit en te in-extensô et à la salle de „ o Voyant qu'd n'y avait pas moyen de so rent Renerte et le conduisirent à Briey. Angleterre sous le nom de « Parliament- iI que 10 à 50 comitadjis bulgares ont fran- Chambre des députes. Présenté à M. le juge d'instruction ketA 1 heure 45 du matin, on connaît 83 Act », et qui équivaut à la destruction des 1! disculper, il se contenta d'ajouter : « Ça chi la frontière serbe, vers le village de Une communication cle attributions de Messieurs les sénateurs, ji ne fait rien, si j'avais su cela, vous ne iter, Renerte nia de son mieux être l'auNotre savant compatriote, ■ Rabrovatz, sur la route de Douaran à résultas sur 101. Sont élus : m'auriez pas arrêté. » teur de la tentative de meurtre qui |yj Le gouverneur anglais lord Ragan n'a 46 ministériels, 17 socialistes, 3 catholiStroumitza. Ils ont attaqué rsie vingtaine Droit a été amené au parquet de Nancy valait le plaisir de faire un voyage au 1 pas osé intervenir jusqu'à ce jour. Mais de familles turques se rendant en Bulga- ques, 12 radicaux, i républicains et un soen prflfepce d'une situation impossible, et et après un bref interrogatoire conduit à <chef-lien d'arrondissement. rie avec l'autorisation des autorités bul- 'cialiste réformiste. ' la maison d'arrêt. M. Ketter le fit écrouer cependant m-iis, d'àccoi'cf avec le gouvernement de Londres, gares. Il est marié et père de quatre enfants, ne voulant pas garder un innocent en a iI! LS VCYACE DE M. KUKOTSGF il vient de dissoudre les Chambres et d'orIl y aurait de nombreux tués et blessés dont le plus âgé a douze ans. Il n'avait prison, le magistrat instructeur décida de DJouma, à Salonique, - „,ntfl jn**' pat rai les 1 tires. ROME, ? novembre. -- L' « Italta » dit donner des élections générales pour la aucune raison d'un vouloir à M. Ancé, et confronter le plus tôt possible le blwi et' g"uornement l»el1éniq»o comp ! que M. Kukotsof, premier rninif-tre russe, |j Chambre des Clefs, de façon à pouvoir' | on ne peut s'expliquer sa tentative de j un inusee uyzam..). i ^tlcnn«.,'7(i> r ir I complètement rétabli, partira mardi pour soumettre à la décision du peuple jf& ques-; Ltnnurtre -qu'en l'attribuant à une crise 1 1 n< U a Pour cela'il fa Hait aller a Longwy, ' ''i' ' !. '"' l °y {l rno'tié du ci«<I |^|*'' tion brûlante do la réforme consfiiùtio'nLA LO! SUR LS SECRET DU VOTE I Paris où, quoique son voyage n'ait, aucun ; d'alcoolisme, — A. M. C'est ce qui fut fait dimanche matinneile. adoptée par les députés et repoussée PTHVIGNAN, 2 novembre. Aujourd'hui, 1J caractère politique, il aura des entrevues par les sénateurs. A S heures \2, MM- Ketter, juge d'Instr g en mosquée, .'l |" Tott^i a eu lion, à Bamiyls Mit-Mer, à l'occasion Jj avec MM. Poim nré, Barthovj et Pichontruit ion intérimaire. Garnier. greffier, pre-" j formèrent Ces élections, très intéressantes, auront tée. Sur les conseils du M. ^ clirf^,. I De Paris. M. Hukotsof repartira pour d'une ehvtion muniotn&i* compiémentaire, ] naient le train pour cette ville, ainsi que ' lieu dans une dizaine de jours. Si, comme les m ! II qui lit tant pour en V la première application do la loi sur lo se- Saint-Pétersbourg. U s'arrêtera probable- | tout semble l'indiquer, les démocrates que Renerte qu'accompagnaient deux cendarj de S;uoniqtie, lu ' . i . c*de ,'jeii' cret du vête. Les électeurs, conformément ment à Berlin. i mes. c f conduit à la bataille leur fameux leader, L'ambassadeur de Russie, M. Kubinskv, treprise. L'aspec, exer^ W cU»ux dispositions légales, ont procédé à la I aVtiC ran ^ Lft eRllfrOfltetjon eut lieu à 11 heures à d romancier Hall Crime, gagnent Paris et , K 1 natse sous enveloppe do leurs bulletins accompagnera M. Kukotsof à lies élections, le gouverneur nommera unt DverLor^Tui, 2 novembre. — Aujourd'hui, ( d'élégantes lento** ^1*** dans îles cabine* d'isolement. Aucun inci- prendra quelques semaines de congé. nouveau Conseil législatif ou Sénat, com1 dent ne s'est produit. posé de partisans §a la réforme, les pou-• Thonvenot, garde à l'usine Gouvy et M. nous ignorons que:.; en furent les t6i ilLA SANTÉ voirs de la Haute Chambre seront immé-- Robin Paul, remarquèrent à l'ancien pai- tati! - L- D. Ole par l'harmonie de £ ^ QU GOÎ.ONEL OS WINTERFELD diatement abolis, et la pittoresque île dei sage de l'usine et sur la voie n° 1 qu un i la richesse do sa décora^ - • a m LES INVALIDES AU CIMETIÈRE GRISOLLES, 2 novembre. — Les médecins Man. si riche et si prospère, pourra intro-• homme était couché en travers d'un rail. La basilique d'Esiu-W en goUv» * SE VAÎ1G5KARD qui feiprent le edone! de W'interfeld duire dans sa législation une série de raânnf cette Salonique si y;" :x aW u" Ils s'approchèrent et eon-.tntèrnnt avec [ Accident à Mont-Saint-Martin PARI», 2 novembre.— En présence du géavaient fuit appeler en consultation le docchrétiens, de prendre pijuitriOfr > i une léffit'me emot:>n nue le malheureux I bel1 néral Nies, donne invalides commandés teur Hartmann, professeur de clinique i i ftyait eu la tête s/clionnec du tronc. Dix - basilique dç^Snrnt^ RIUEV, 2 novembre. — Deux ouvriers aui par 1» capitaine Cnhvmbaim «ont allés au chirurgicale à ia Faculté de médecine de l'idole des Manxois autant que des Gallois . mètres plus loin, ils ramassèrent la tête, eimetière de Vougirard déposer une cou- Paris. — T. M. Les morchandM» qu'ils n^rtèrent, avec le corps, en contra- I ronne au pied du monument élevé récemLa consultation a eu lieu ce matin, à bas de la vole. s Dimanche matin, vers ' j!fft(|e ? » ment à la mémoire de leurs frères d'ar- huit heures. Les médecins ont ensuite rét demie, les inspecteurs de la f 4gé« A On prévint aussitôt le maire dp Dieu- de vapeur, lorsqu'une des cordes m-es. Le gouverneur des Invalides a pro- digé le bulletin suivant ; LES ŒUVRES LAÏQUES louar -"d on reconnut qu'il s'agissait du l'échafaudage se rompit et les doux hom-- lo ont a-rété André Pr»"? i s. à noncé une courte allocution. Et ces vieux s « Le, blessé est. actuellement sorti de la SAINT-ETIENNE, 2 novembre. — Ce matin,, jeune E Lafleur, âgé de 1R ans, qui tra- mes furent précipités sur 1-e sol, de qua-- ans, peintre, rue ,l3a)''lr ic0 je & H, i < braves, accompagnés de jeunes soldats, période grave des accidents du début. L'é- a eu lieu à la Bourse du travail, sous lait veillait aux usines Gouvv. Arpès les cons- i tre mètres. Pierre-Léon Chapelle, afi^ „j e» ^ ont défilé devant la stèle sur laquelle so tat local nécessite une intervention qui présidence do M. Jean Morel, la séance do> tatations d'usage, le cadavre du mniheu& L'Un des ouvriers, de nationalité italien-- ckl HT, rue de Icmbia.;Irouve sculptée en relief uno épée en pal I aura lieu dans quelques jours. clôture du deuxième congres ries œuvress renx fut transporté clev sn mère, restée ne, lut tué sur le coup. L'autre. ,b m-- en vente des briquets re*»' on emtourée, d'une palme et d'une branche de | « Signé : docteurs Voivepel, Roy, profes- laïques. veuve avec enfant* et dont la douleur fai- BaptlStÔ llar.'ès, de •Mont-Saint-Martin.. qué* clandestinement Ct «hêne. seur Hartmann. » — Havas. Le prochain se tiendra en 1914, à Lyon. sait peine à voir. I est très grièvement blessé. J'estampille. SIXIÈME Les postiers de 1 Est! se plaignent et avertissent ie public ÉDITION LES GRANDS RAIDS . ] La défense des Alpes I £ GILBERT peut arrêter j? toute offensive italienne j i j j "W' f S 6 la ai j L'AUBE MECONTENTE les zones I ~ UNE CONCURRENCE A L'OPERA LA JOUKXEE ffié* l Dans la Réqion \ *J I Jj k f . Tentative de meurtre j \ j I SEGION j K -foris I LES REPUBLICAINS ESPAGNOLS ( Les Français en Alsace-Lorraine , J 1 I I j ^J LE TSAR pape orthodoxe à Rome EN MUTELLES B11E1SES! J I ORIENT ' LE CAPITAINE S AN CHEZ j FUSILLE ; j j j j j I , Sôn Décapité par un train ' à Dieulouard ! Stages l soutenant I ta panne de Védrines vrtus avons rencontré .dans la soirée Ju<J védrines qui nous a fourni sur sa » les explications suivantes : " ' On a profite de ce que mon appareil i/u mal gardé pour pénétrer sous le hanr et voici le joli travail qu'ont fait les Renversée par le suburbain à Laneuveviile La Soirée au Casino Chronique Départementale tre MM. Emile Gfandcler, cultivateur à Traroorit-Saint-André, et Lucien Vitier, cultivateur à Sauixerotte, pour défaut d'éclairage à leurs voitures. FOUG Rixe entre dames. — La gendarmece de j Toul a ouvert une enquête au suj-it d une rixe qui se serait passée la semaine dernière, au lavoir, sur l'Ingressin, entre les dames Kaiser, née Virginie Garaudé, 41 ans, et Sedan, née Marie Perraudet, 51 ans, toutes les deux ménagères. U sembla que les torts le? [>UIP graves doivent être impités à la dame Sedan, qui aurait été la provocatrice et aurait finalement jeté à l'eau la dame Kaiser. i OOMMARTIN-LES-TOUL ! Violences. — Le sieur Henri Catrin, maj nœuvre, s'est plaint à la gendarmerie qua le sieur Jean Julien, 43 ans, également manœuvre, l'ait violemment frappé à coupa de tuile sur la tête et les bras, le 80 octobre dernier, au moment où tous les deux déchargeaient un wagon de tuiles de l'entrepreneur Erb. Julien s'est fait régler le soir même et a disDaru de la localitéTRONDES Enquête. — Une enquête est ouverte par la gendarmreie au sujet de tapage nocturne et de malpropretés envers Mme Grassi dont se seraient rendus coupables troit jeunes garçons de la localité. CRQLL'S. LES BROOOA LA RENTRÉE DE RATCÉE La composition du spectacle révèle un Vive la France S Vive la République ! (ALchoix qui a reçu brillamment, depuis trois piaudissoments.). jours, la consécration du public. M. Gransem, président du Sport, rend Croll's anime à la perfection ses autocompte des exercices de tir de l'année '•'vilrînes' montre alors un? « borne ». en ABfWKOlSSEMENr DE NANCY mates. On ne peut pas même diro d'eux écoulée et donne rendez-vous aux tireurs •vre qui norte visiblement. )es traces qu'il ne leur manque que la parole, car, Sri* eoup violent produit par un marteau MALZEVILLE pour le printemps prochain. Il donne engrâce an talent de Croll's, la ventriloquie Cfftàr un burin : les dote d'une voix agréable. La Toussaint. — Le cimetière de. Malzé- suite lecture du palmarès et M. Henriet l a partie isolante en «bonite a été Les Broeca sont d'excellent danseurs. Ils ville présentait, pendant ces jours de Tous- procède à la remise des récompenses. Prix du tir de concours. — Velsch CaT-i.:.' • l'huile suinte dans cette fissure et ont fait les délices des Folies-Martigny-La saint, un magnifique aspect et les félicitamille. Section des Vétérans : MM. Velsch Rétablit le contact par intermittence... présentation de ce numéro est un peu usée tions n'ont pas été ménagées à M. Eugène A-, Braux N., Braux Al., Braux J., Braun A 'ftnt de trouver les Causes exactes des et même inutile : l'habileté des artistes suf- Mansuy, le dévoué conservateur de la né- Aimé.— Section des pupilles : 1" division: AV*,4S ,1 d'allumage, nous avons dt), mon firait pour soulever les applaudissements. cropole. MM.Thomassin L., Gransem R., Lognon " Jtàniciett et moi, travailler pendant toute L'inimitable Ratcée se consacrait aux Samedi, plusieurs sociétés y ont accom- L-, Paugain M.,Lognon Ab..Georges Louis, Ajournée... Le mal est réparé. Maintenant fonctions de directeur artistique qui l'é- pli un pieux pèlerinage. — 2« division : Henriet Gabriel. if oïfls partir, due l'on me signale seuleloignaient d'une scène où il connut tant de SAINT-NICOLAS La fête se continua encore après le déSiht Ott vente de dix mètres soufflant de triomphes. Il a fait une rentrée à sensation La fête des bltus.— La « fête des bleux », part de MM. Schortzer et Lombard, aux SoScst • et I '"'envole. " dans » Ce bon docteur ». Le rôle di> do- a été célébrée au 4* bataillon de chasseurs, applaudissements de la foule qui jugeait Nous parions ensuite du raid magnifique mestique Joseph y gagna une truculente à Saint-Nicolas-de-Port, avec beaucoup sévèrement l'attitude du conseil municipaL jovialité. A signaler parmi les principaux d'entrain. Nous ne pouvons que féliciter les organisa'''(••est in'i résultat épatant... Mais, avec interprètes MM. Montigny, Villemer et teurs de cette réjouissance, si bien réussie, On remarquait parmi la nombreuse asla moteur de 160 chevaux, cette perforMystral ; Mmes Maures Da et Maud Mon- sistance, la présence de M. le commandant dans sa simplicité, et leur souhaiter bon--mes n'avait rien d'impossible... Mon tigny, qui ont répandu dans la « Nuit de Lacapelle, des « ffleiers et do leurs famil- ne chance pour l'an prochain. Frtôœe est de 80 HP ; mais je suis sûr bonheur » leur grâce alerte, leur irrésisti- les, et des autorités municipales de SaintPONT A-MOUSSON /n'en partant de Nancy avec l'aide d'un ble bouffonnerie. Nicolas. La Toussaint. — Comme chaque année, ëfnt favorable, j'atterrissais tranqullleOn s'amuse beaucoup cette semaine au Une revuetto a été interprétée avec ta- le Sport mussipontain avait convié les aueent en Pologne. Casino. — L. lent par de jeunes artistes parisiens, qui torités et les sociétés locales a l'accompa" Est-ce là le but de votre prochain se firent particulièrement applaudir en gner dans son pieux pèlerinage aux tomARRONDISSEMENT DE LUNcVllLE vû-vaié ? ,. , i dansant le Tango, la danse à la mode. bes des enfants de Pont-à-Mousson morts '...-le vous en dirai rien. Une farce d'étudiants LUNEVILLE Cette fête, très réussie, eut lieu au stand pour la Patrie. C'est aux accents de marVédrines manque de confiance dans le ; Voyageur peu ordinaire. — La police a Une farce peu banale a été jouée par un ches alertes jouées par la musique Adt et du bataillon, coquettement décoré pour la secret professionnel des journalistes. jeune étudiant russe à un de ses camaracirconstance. la Musique municipale que le Sport mussi- arrêté, sur la plainte de M. Godard, de Connue '11 a raison I des. Théâtres pontain, les sapeurs-pompiers, la prépara- l'hôtel des Halles, un individu, Léon DOMBASLE-SUR-MEURTHE '_. Si vous retardez votre départ, disons- : Mollet, âgé de 36 ans, pour escroqueries Plusieurs jeunes gens russes s'étaient ici'irs c'est peut-être par superstition. THEATRE MUNICIPAL DE NANCY. *Fête de la Toussaint. — Les membres ac- tion militaire, les vétérans, les médaillés commises à son préjudice. C'est, semble-tréunis, il y a quelques jours, pour céléAu contraire, répond Védrines, jo- j brer ensemble leur admission à l'Institut Mardi 4 novembre, première représen- tifs des sociétés d'anciens militaires do militaires, le groupe Iéna, la Sidi-Brahim, il, un pauvre déséquilibré qui a fait déjà vid •■ U Toussaint, c'était ma fête... tation do Zaza, comédie en 5 actes. la ville : vétérans, groupe Sidi-Brahim, le Souvenir français, etc., M. Pierre, ad- plusieurs dupes, se dit ingénieur et tra* mécanique de Nancy. '_"oh ! la fête d'un peu tout le monde. ' Jeudi 6 novembre, première représen- légion étrangère, groupe Blandan, groupe joint et plusieurs conseillers municipaux vaille à des plans fabuleux d'aviation. Bien entendu, le *; vin généreux » ne fit Pardon, ma fête, à moi. insiste l'avia- [ pas défaut et la compagnie s'amusait, on tation de : La Divorcée création à Nanoy), Lasalle-Drouot, brancardiers, Souvenir se dirigèrent vers le cimetière. Là se trouLa Toussaint à Lunévilie, — Vendredi et tenr. qui décline son identité... Je m'ap- I ne peut mieux. Le propriétaire de la mai- opérette, en trois actes. Français, conscrits des classes 1913 et 1914 vaient déjà M. Cabaret, maire, et les délé- samedi, une foule considérable s'est portée gations d'officiers, sous-officiers et soldats pelle, âe vous en déplaise, Védrines Jules- son occupait naturel,cnierii, le fauteuil Samedi 8 novembre, ^our ne pas arrêter et les sapeurs-pompiers se sont réunis pladu 26e bataillon de chasseurs à pied et du vers l'unique cimetière de la cité, au bout Toussaint... » présidentiel, et les coeurs, français et rus- les études de la Sorcière, qui doit passer ce Solvay, à 11 heures et quart du matin, 12e chasseurs à cheval. Plusieurs couron- de la place des Carmes. U pourrait se faire qu'aujourd'hui Toi- I ses, battaient à l'unisson ; l'accord était irrévocablement les premiers jours de la d'où a eu lieu le départ du cortège. C'est par brassées qu'on a apporté des sein cuittàt sa cage de Jarville. semaine prochaine, deuxième rreprésentaUne couronne a été déposée au nom de nes furent déposées sur le monument et ; fleurs à la nécropole. complet. M. Simon, président du Sport mussipontous. tion de : La Divorcée. MARCEL DURIEUX. Le jour de la Toussaint avait revêtu, Tout à coup un jeune étudiant Z., fartain prononça en des termes émouvants | VAR ANGE VILLE le discours d'usage. Le cortège se rendit comme d'ordinaire, son vêtement de brume Spectacles ceur endurci, eut l'idée de se payer un +\ peu la tête de son camarade S., lequel Ivresse. — Le sieur Jean-Baptiste Claule monument du Souvenir français et et de vent. CASINO. — Tous les soirs, Les Broccas, de, âgé de 43 ans, avait bu plus que de sur Singulier attroupement. — La police inslimanche matin, Védrines devant faire était déjà entièrement sous les charmes transformistes regagna ensuite la place Duroc où se fit ; Croll's, ventriloque ; « Ce coutume et comme il faisait du scandale la dislocation. truit une affaire assez grave d'agression dei vols et essais ou même prendre une \ de la liqueur, chère à Bacchus. De concert avec ie propriétaire, Z. fa- bon docteur », pièce en un acte, avec Rat- sur la voie publique, l'agent de police inEntrainement. — Une belle émulation | dont se sont rendus coupables les trois frèlointaine envolée, nous nous sommes ren- ; tervint et lui dressa une contravention. anime les habitants de Pont-à-Mousson de- j res Poisson et leurs femmes. Tous se dispudus, dans une élégante, souple et rapide briqua une pièce qui fut remise à S. par cée, et « Une nuit de bonheur ». taient samedi soir, 9 heures et demie, rue Deux noyés. — On a retiré du canal de puis l'arrivée du bataillon de chasseurs. automobile Vermorel, conduite de main de ; un militaire, ami du propriétaire, contre Saint-Maur, et se battaient quand passèla Ma.rne-au-Rhin, en face la saline MarCinq hommes.dont uii a dépassé 45 ans, maître par son représentant à Nancy, M. ! signature du destinataire. 1 rent deux dragons du 8°, Néret et Guitton, Le lendemain, les vapeurs du vin s'écheville-Daguin. le cadavre de Joseph sont partis de Pont-à-Mousson à 11 h. s Rï'cot,"à l'aérodrome 'de Jarville. Eleinsenger, âgé de 71 ans, demeurant à du soir pour rejoindre pédestrement le ba- ainsi que deux civils, MM. Belcourt, bouvMrfhes est arrivé à 6 heures et demie i tant dissipées, S. heureux quoique encore t Nancy, rue Saint-Georges. taillon qui était en manœuvres de deux cher chez M. Poirisse, et Georges Rimbert, dt: rlialin ; Càubet, son mécanicien-, vérifie | bien malade, se souvint vaguement de ce qui s'était passé là veille. Il se rappela m Des mariniers ont retiré avçc leurs jours du côté de Nomeny. Ils ont accompli employé à l'établissement des Bains-Douéi .-caisse les pièces dé l'appareil. crochets, près du lavoir de l'écluse, le ca- la marche-manœuvre avec lui et ont fait ches. ' i,'|}èi}ce est inisc en mouvement» mais bien avoir donné sa signature, mais sa Leur querelle cessa comme par enchandavre d'une femme qui a été reconnue en moyenne 40 kilomètres dans 12 heures. c'est'vain qu'on essaie de faire marcher mémoire refusait de lui fournir la suite de l'histoire. pour Marie Chevalier, âgée de 49 ans. M. P..., cafetier, se propose, ainsi que tement ; ils se précipitèrent sur les nouie moteur. Force lui fut donc d'avoir recours à ses Les formalités d'usage ont été remplies ses quatre amis, de suivre les évolutions veaux' arrivants et, arrachant brusquement Le-) mécaniciens démontent alors une par la mairie. du bataillon, ceci dans un but patriotique, l'un le sabre et l'autre le fourreau du capar de du moteur et Caùbe't s'aperçoit camarades, qui s'étaient moins « intoxiLETRICOURT afin d'être souples et entraînés le jour où valier Néret, s'en servirent pour frapper q/'un charbon de distribution est faussé. ] qués » que lui. Il's'adressa à Z. (auteur de sur son camarade. Ce que voyant, les draLa distribution des prix du Sport. — la patrie aurait besoin d'eux. C'est pi'ob.ibiéiii.'iit, un de 'es individus j ce bon tour), lequel s'empressa de l'enLe dimanche 26 octobre dernier, à trois Le feu. — Une logette en planches ap- gons s'enfuirent, craignant un mauvais que l'en' a 'vu pénétrer l'autre nuit dans • voyer chez le propriétaire-complice. D'APRÈS LE CHïr-D'ŒTITXB Celui-ci. à l'aide d'un dictionnaire parheures du soir, a eu lieu salle Hanriat, partenant à Mme Lcevv a été détruite la parti et allèrent porter plainte au commish luuVgar, nous déclare Védrines, qui 'à vint, au bout d'une petite heure de tramalheureusement trop petite, pour la cir- nuit par un incendie qui semble devoir sariat. u.tàli nnjii appareil. Ah ! si je le tenais ! d'Alexandre DUMAS Des agents s'en vinrent quelque temps constance, la distribution des prix aux ti- être attribué à la malveillance. lut il pièce de bronze on voit la marque I vail, à expliquer à son pensionnaire que, après cueillir les Poisson et les amenèrent d'après les lois du pays, on choisit parreurs du Sport Létricurtien. A 2 heures et fi'fin coup de marteau ou do poinçon. Nécrologie. — L'un de nos concitoyens, Eu raison des sacrifices énormes que le au violon. m mécanicien Caubet enlevé ia pièce | mi tous les étrangers un jeime homme Ciné-Palace s'est imposés pour passer à demie, la musique de Jeandelincourt, ren- le capitaine Edmond Lejaille, en garnison Un aubergiste, sur ces entrefaites, avait qui est honoré d'une mission délicate. Le Nancy LES TROIS MOUSQUETAIRES, forcée de la « Clique » du Sport,traversait à Sedan, est décédé jeudi soir, ravi en faussée et en remet une neuve. pu faire entendre raison aux Poisson et I.apurçil est sorti du hangar, un tour papier qui lui avait été remis l'appelait en raison aussi de la durée inusitée du le village pour aller chercher le drapeau de peu de temps à l'affection des siens. En effet, le défunt, qui avait épousé la se faire remettre par eux le fourreau et la cRiélke est donné et le moteur se met à pour accomplir son service militaire, en spectacle, les prix des places ont été majo- la Société chez le nouveau président, M. qualité d'infirmier, et l'obligeait à se ren- rés légèrement. Gransem.où se trouvaient déjà réunis MM. seconde fille de M. Roch-Ciri, de notre vil- latte qu'il donna aux agents. ronflerMort subite. — Mme Mathieu, directriSchertzer, commandant Vivier et Lom- le, où il a encore sa mère, était venu asSatisfait de cette expérience, l'aviateur dre le lendemain matin, vers 7 heures, au En semaine, les prix seront ceux du di- bard. sister, samedi 25 dernier, aux obsèques ] ce de la fabrique de confitures et de couVédrines fait rentrer l'avion et, à onze heu- plateau de Malzéville pour y recevoir les manche. Le cortège se rend ensuite salle Han- de M. Julliac, huissier honoraire, et rien I| serves rue Carnot, s'est affaissée subitert»'s'f rJetniê, regagne Nancv en automo- armes et instructions nécessaires. LOCATION : Le bureau de location est Là-dessus, le malin propriétaire félici- ouvert tous les "jours, de 10 heurco du ma- riat, et au moment où les invités . .^nnent ne laissait supposer que quelques jours | ment, pendant la messe qu'elle entendait, ta le jeune « lauréat » et, les larmes aux tin à 11 heures du soir, à la caisse de la place au bureau, la musique de Jeande- plus tard la mort serait venue semer le |! '■samedi matin, dans la chapelle de 1 hôpilincourt joue la Marseillaise écoutée de- deuil dans deux familles honorablement I tal. Transportée aussitôt à son domicile, yeux, lui donna un baiser paternel. rue des Domiricains. On peut louer ses bout y expira aussitôt. Elle était âgée de et tête nue par tous les assistants. Fier et orgueilleux des marques de dis- places par téléphone : 16.83. connues. Aussi la nouvelle de ce décès pi^- j (elleans. Quand les applaudissements ont cessé, maturé a-t-elle fort surpris ceux qui çon- II 6B tinction que la France lui avait 'onfè[ Manifestation des conscrits de la classe APÉMTBF S DÉ AL M. Schertzer, président, prend le pre- naissaient le capitaine Lejaille. rées, S. sortit et se dirigea, très ému, QU'ON SE HATE mier la parole. 11 évoque le souvenir de vers le télégraphe pour envoyer à ses pa- ; Le défunt était né le 17 février 1872 à | 1913, — Dimanche matin, à 10 heures, un la belle lète du printemps dernier, donnée Pont-à-Mousson ; engagé volontaire en 1j cortège se formait place Léopold. il était rent la sensationnelle nouvelle. Avenir Cycliste Nancéion par Je Sport létricurtien à 1 occasion de la 1893, élève à l'Ecole militaire le 8 avril composé de la société de gymnastique La Lo soir, S. offrit un souper succulent à l Numéros gagnants de la tombola : nous quittent remise du drapeau. 11 est beureux de se 1896, 11 fut nommé sous-lieutenant le Lorraine, de la Musique municipale, des ses camarades et au propriétaire de la ! ju 92 10 i 158 173 17-4 25G trouver au milieu de bons patriotes et de 1er avril 1897 au 25e batailon de chasseurs , conscrits des deux cantons de Lunévibemaison et remercia chaleureusement tous j & 410 440 449 451 4iS9 402 sincères républicains qui travaillent tous à pied, lieutenant le 1er avril 1899, instruc- I|1 Nord et Sud avec leur drapeau, des Vétéles assistants de l'accueil qui lui avait été S» 584 615 618 621 645 666 \ les jours sous ia conduite de maîtres teur à l'Ecole militaire d'infanterie en 1901, rans et de la Société des brancardiers, chafait, ainsi que de l'intérêt « sincère » que dS 780 810 813 830 858 024 ' M. de TurcJeudi sois* dévoués, à la grandeur et à la pros- ét capitaine le 24 septembre 1911 au 147° ;j cune avec le leur. Au milieu, : tout le monde lui avait, témoigné. 1008 1092 1174 1256 1276 1284 1300 kheim, maire, M. Braux, 2e adjoint, MM périté de la France. Il félicite les d'infanterie, à Sedan. « Mon devoir m'appelle, déclara-t-il, et W 1497 1531 1535 1570 1661 1745 1 Edmond Guérin et Rickiin, conseillers muGRANDE TAVERNE. — Hier, salle com- membres du Sport ae leur courage et esLe capitaine Lejaille laisse une veuve et I nicipaux, 18» 1867 1925 1955 1980 1*165 2105 : je tâcherai de justifier par mon zèle et etc. père que, l'an prochain, les tireurs et les P 2213 2217 2270 2-275 2324 2471 mon dévouement la haute confiance dont ble à l'occasion des débuts du nouveau , récompenses seront encore plus nombreux, deux fils âgés de 9 et 12 ans. Au son des clairons de la Lorraine, le la France a bien voulu m'honorer. » (Bra- programme. Les Ronco, acrobates antipo- j Nous prions sa famille d'agréer nos sin- cortège m 2490 2540 2610 2722 2798 2884 vos se rendit au square où est élevé le l'assemblée. ) des, ont obtenu un véritable triomphe, et (Applaudissements.) cères sentiments de condoléance. W m 3121 3-48.1 3T.34 ?573 3770 ;: Dèsdel'aube, monument commémoratif des citoyens et :vi. Lonmard, fondateur et ancien préce n'est que justice. Les 6 Mayos sont de j S. se dirigea d'un pas ferme Au violon, — Les agents ont déposé au M mn 33 40 3987 4014 4026 4120 et assuré vers le plateau de Malzéville bçns auteurs. Fauvet, avec ses chiens Rita j sident du Sport, actuellement instituteur violon les nommés Sch... Maurice et G. des soldats tombés pour la patrie en 1870m 4251 71. Longue en est la liste inscrite sur le à Chaligny, rappelle que le Sport létrites lots pourront être retirés dès lundi (accompagné, bien entendu, de ses cama- et Dora, nous présente un dressage unique I curtien est sa seconde famille et que ja- Georges qui, après de nombreuses liba- marbre. au monde. Le Chinois Won Ko Lian a un rades). l0v tions, voulaient entraîner au bal malgré •T ','.J embrc, à sept heures, café HicAu pied de ce monument, M. Ch. VîgneArrivé au pied du plateau, il fit de tou- numéro original et intéressant. Le reste du mais il ne 1 abandonnera. U remercie M. V««K '■ nîe de rE,anS- jusqu'au 17 no- chants adieux à ses compagnons qui « re- programme' est excellent. Samedi et di- le préfet, qui a bien voulu accepter la pré- elle leur amie et causaient du scandale i ron, président des conscrits du canton sur la voie publique à dix heures du soir. | Nord, s'est placé et a fait un long dissiitftte inclus. I/es lots non retirés seront sidence de cette fête de famille, laïque et <*eqm< a tournèrent à leurs devoirs », et il arriva manche, doux matinées. Rixe. — A Boozeville, au débit Rouers, j S0Ciété. patriotique. 11 salue respectueusement M. Vaucher était attablé, mais le patron trou- :j cours où vibrait toute l'ardeur patriotique au sommet du plateau, où il remit ses jeunes gens, les soldats de demain. Schertzer, président du groupe Bara, et papiers au premier officier qu'il renconAL8AZAR-BRASSERIE CINEMA-CONvant qu'il avait assez consommé refusa de i de« ces Ce quo nous promettons, tous, devant Un ancien du 8» d'artillerie j tra. CERT. — Les mardis, les vendredis, chan- conseiller général, M. le commandant Vi- lui vendre d'autres boissons. inutile de parler de l'hilarité de ce der- gement de programme. Tous les jours ma- vier, représentant, la noble armée franCelui-ci se fâcha et partit. Ses camara- jI ce monument, dit-il, en terminant, c'est, On vient d'enterrer à Benfeld, en Alsace, çaise, ardent patriote et ancien "ombat- des, Ditsch Eugène et Bender Charles ju- Ii s'il le fallait un jour, de verser notre sang nier.... Toujours à l'aide du dictionnaire tinée et soirée. Entrée gratuite. Charles Huschard. Né en février 1830, tant de 18,0. gèrent à propos d'intervenir. Une bagar- pour notre pays. Nos devanciers aimaient v <M,frêsqVe atteint sa 84" année en pleine que le « jeune sanitaire » lui présenta, Il remercie les généraux donateurs qui re suivit la discussion. Des chasseurs à leur « Doulce France » ; nous serons comConcerts l'officier, pouffant de rire, put expliquer ligueur physique et intellectuelle. ont répondu à l'appel du comité et dont les pied présents, jugeant critique la position i me eux et nous mourrons pour elle, tous défenseur de la Patrie » qu'il un3i&ma ' volontaire en 1S49, au 8° d'ar- au « vaillant CONCERT DU GROUPE GLEY. — Le tout simplement victime d'une farce Groupe Antoine Gley (prolonge des com- lots et, subventions ont permis de récom- du cafetier, vinrent à la rescousse et mi- i! serrés fraternellement et abrités sous le XV;'. '>tei:iant à Nancy, il fit de suite était penser les tireurs assidus : MM. Poinca- rent à la porte ces deux individus. Le drapeau que nous saluons et derrière le1 ar titnfv mée d'occupation de Rome de ses camarades. mis et ouvriers militaires cfadministraLa tête basse et le cœur rempli d'amer- tion) organise, à l'occasion de sa fête an- ré, président de la Rtpumique ; Marm.dé- nommé Bender, dans cette bataille, reçut quel nous marchons, comme si c'était derUm ment ou fut r«X r ? déclarée la guerI rière la France elle-même, nous appelant puie ; Michel, Rose, Bouinon, Thiébaut, t>«■ u nmee- R y suivit son régiment qui tume, S. s'en fut vers son domicile en ré- nuelle, une matinée artistique qui aura Villemin, Prud'homme, François, Blum, un horion à la main. pour Ja défendre. ea a fléchissant à l'instabilité des choses hula 3 ?P gne depuis le début jusqu'à lieu le dimanche 23 novembre, à 2 heures Tninon, Kiffer, Nicolas, 'lhiaville, Bûck, « Vive la France ! Vive l'armée î Vive la AhRQNOISStlnENT DE JOUL maines et en regrettant le rêve passé. ae | et demie, dans le grand hall de la Bourse Goy Stadier, la Brasserie Greif, les MaPrimil ^ébastonol. En quittant la \ ji République ! » n ré im TOUL : de commerce, sous la présidence de M. gasins-Réunis, la Distillerie de l'bst. Il re'rie où •-r°restaS ent fut envoyé en ÀlgéLa Toussaint. — Une des grandes vertus |1' M. Vigneron, en terminant, dépose une I l'intendant militaire Savoye, directeur de mercie également le vaillant ami Joné, qui IliiMt^L et continua à guerroyer AVIS MORTUAIRE 9 de la population touioise a toujours été le superbe gerbe sur ie socle du monument, mofllent où i! obtllU sûn COï ! l'intendance du 20 corps d'armée. ! n'a pas craint les foudres du conseil munitandis que la musique municipale exécute w> m i^» ! Cette matinée s-era donnée avec le con- i cipai de Létricourt, car celui-ci n'avait pas culte des morts et cette vénération a été la Marseillaise devant tous les fronts déMademoiselle Emma FIESSINGER ; aussi remarquée cette année que les précours d'artistes des plus appréciés du puvoulu l'autoriser à jouer de ia musique cédentes. Toute la semaine qui a précède !! couverts... Monsieur Théodore D1NTCHERT, souschef de bureau à la Compagnie de l'Est, blic nancéien : Mlle Lucy Vauthrln, la dans le village, le bon camarade Han- la ioussaint, ia vaste nécropole s'est tranSrj Et le cortège, aux accents de pas redou■ Chez les Eolaireurs de l'Est charmante- cantatrice de 1 Opéra-Comique, riat, qui a bien voulu donner un local, et et Madame, née FIESSINGER ; blés, de la Marche lorraine, de la Marche formée soudain. Pierres tombales et croix c olone souvent applaudie sur notre scène muni- tous les amis connus et inconnus dont la eifil'l , l Lecomte, conseiller muni- i Monsieur Jean DINICHERT ; des conscrits, traverse la ville dans le mêdes cipale ; M. Jacques Borel, dont Je souvenir | présence à la fête es tun puissant récon- soigneusement lavées et débarrassées de me ordre qu'au départ pour se rendre au Mademoiselle Marcelle DINICHERT ; * 4ml i ldent Boys-Scouts de l'Est. leur mousse, terres fraîchement remuées, Les familles FIESSINGER, DIDIER, est toujours vivant parmi les Nancéiens, îort. :ieii«or«Asa ieune société l'étendard gralierres taillés ou arrachés furent l'œuvre i cimetière tout fleuri de chrysanthèmes, enfin M. Jolbert, le ténor cpii triomphe 0 fert M. Lombard montre alors l'utilité des de quelques journées et tout à coup ie ci- jt Là, en face de la pyramide dressée sur DOMINIQUE et WETTERVALD, 5 Par M. Pierre Bachelard, cette année à notre théâtre. Des amateurs I sociétés de tir et de P. M. au point de vue meuere prit son grand air de iêio. t&^.l'Escadron de Lorraine. Ont la douleur de vous faire part de la l'ossuaire des soldats morts pour la patrie •ia) h ,i intln|e avait réuni au siège so- perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en de la. meilleure réputation artistique (MM. de la défense nationale. Il donne en Les tombes disparurent sous une profu- I| pendant ia guerre terrible, M. Cosson, vide Bucy, Arnoux et Joaseni) seront égalevard (!e lft exemple la petite Suisse et déclare que ce ce-président des conscrits du canton Sud, »«œbr.= . com Pépinière, plusieurs la personne de ment au programme. M. Oiiger tiendra le qui fait sa force vraiment sans pareille, sien de fleurs, chrysanthèmes multicolo- remplaçant M. Enel, président, s'exprime Prouvé • ité de direction, le maître res et de belle venue grâce à la clémence piano et la musique du 37* régiment d'in- c'est que chacun de ses soldats est un tiMonsieur Paul FIESSINGER lo'ût rZ'J "^-président, dont les deux fils en ces termes : fanterie, sous la direction de M. Farnbry, reur excellent. Il montre ensuite que l'exer- de la température ; fuchsias rouges et •objet d • B°ys-Scouts et ont été déjà « Nous venons ici puiser l'enseignement inspecteur des tabacs en retraite blancs, pensées bigarrées, bouquets de ro! cice du tir est une preuve d'adresse et de ses, plantes de toutes sortes.' de l'héioïsme des vaincus. Poiiive vï\iConiPerises pour leur énergie décédé à Nancy, le 2 novembre 1913, dans se fera entendre pendant le concert. Nui doute qu'avec de tels concours la' sang-froid, un divertissement plein de moktk'à-l , lettre, capitaine de réserve, sa. 71e année. « Beaucoup de ceux dont les noms sont Par les soins de M. Bana, l'ancien brisalle de la Bourse de commerce soit com- ralité et de dignité, et surtout une cons«anV n* Président du Cercle des étuinscrits sur ces pierres n'avaient aucune gadier de police, les allées étaient s-blées Et vous prient d'assister aux convoi fuble le 23 novembre. tante manifestation du patriotisme. « Ce obligation à remplir. "i ltiene ielard et Wûissnèbre et enterrement qui auront lieu > le Des cartes sont en vente au prix de 2 fr. sentiment se traduit dans notre Société, et les monuments publics se mettaient à i. ses ieiîîf ■' directeur instructeur, présen- mardi 4 courant, à 3 heures de l'après« Us sont partis, jeunes et vieux, dans l'unisson des tombes particulières. Le cie chez M. le conservateur de la Bourse de non par des paroles, mais par des actes ; metière réservé aux soldats allemands un rugissement de douleur et de rage vers te et L,l !éves au comité de patrona- midi, au Temple protestant, et delà au cimbr l«lâir8l,Vi "? eux parents et amis des metière do Préville où aura lieu l'inhuma- commerce, 40, rue Gambetta- La location il n'est pas de parade, ni de façade : il avait aussi reçu la visite des délégués du la frontière éventrée, pour défendre le sol (0 fr. 50 en sus) est ouverte dès à présent. est ardent et continu. Cela n'empêchera 6 pâj.Q] •.;U1S M. le colonel Lecomte prit tion. Souvenir et chaque croix recevait son bou- sacré de la patrie, au moment où une are — -» o ♦■ — pas certaines gens de nous jeter quet de pensées. mée jusqu'alors invaincue, reculait hâtiUfieisB J • Pr,ûnonèa à l'adresse de la Maison mortuaire : a la face le reproche d'antipatriotisme et vement devant de tels succès. • ^ocution TI' l '^'^"tait, une vigoureuse Mais le carré militaire,hélas ! trop grand Rue Eugène-Ferry, 33. d'antirnilitarisme. Ce reproche, nous le affecté aux deux divisions de la place, où ! t i.', . aPpela combien plus pres(j Us opposaient leurs poitrines à ce flot e Il ne sera pas envoyé de lettres de repoussons avec indignation, comme une les soldats sont rangés dans la mort com- déchaîné. Ils résistaient sans espoir, pour ' i'ûirs l'^.^pêrieux que jamais sont les riQt iniure. En travaillant dans notre Société me pour la parade par régiments et com- l'honneur. ^ • ^s- Piii* "|ues des nouvelles généra- I faire-part, le présent avis en tiendra Eieu, de" tir et de P. M., nous nous efforçons de pagnies, fut encore l'objet de l'admiration 1 « Gloire iPeux et merci pour l'exemple !ûr&peaii < 0Iiremit k Vliiîié des boys-scouts donner à la France des générations for- de ia population, et ce soin jaloux qui pré- qu'ils nous ont donné. » t W&iren»* i !^ désormais à la garde des Entreprise privée assujettie au contrôle tement trempées, prêtes â remplir toutes sidait à l'entretien des tumuh fut surtout Après avoir exprimé l'espoir qu'un jour ^tte cï. ■ l Estde l'Etat leurs obligations envers la patrie. » très remarqué et apprécié. L'armée, elle prochain ils contribueront à délivrer leurs i. licite DH»ei?-lùnie émouvante dans sa simOn a déjà pu constater les services ren- aussi, conserve pieusement le souvenir de frères enchaînés depuis plus de quarante | étudie avec le plus grand soin toutes les * Eclairé,.fm au '-'n'etiè1"6 de Préville, oh demandes do représentation à divers titres dus par toutes les société de P. M., si bien ceux que. la mort est venue faucher dans ans, l'orateur remercie la municipalité et y ' tombe QAi or't déposé uhe couronne sur les sociétés présentes de l'honneur qu'elles qui lui sont adressées. Situations sérieu- que des hommes éminents demandent au- ses rangs. i. i es soldats morts pour la patrie. jourd'hui que la préparation militaire soit ses à personnes sérieuses et capables. Toute la journée de samedi, les soldats leur avaient fait d'assister à leur maru■—*,— ELLE CONSTITUE UN CAPITAL DANS UNE DURÉE obligatoire pour tous les Français de 16 par groupes, et la population entière "sé ! festation et dépose dans ie iiorro qui enHappé 31 ; ■r ûim P " "ne courroie à 20 ans. Et ils ajoutent : « La loi sur sont portes en masse vers le champ du re- j toure le piédestal une couronne en perles MAXIMA DE 15 ANNÉES AVEC CONTRE-ASSUKANCE. l'instruction militaire préparatoire per- pas et .cette visite a revêtu l'aspect d'une nouée aux trois couleurs. VERSEMENTS DEPUIS 6 FRANCS JUSQU'À 120 '■' \ N'ancvhe*matin ' on a amené à l'hôpital Torpédo S. C. A. R. 4 places mettra inévitablei.-.eut la. réduction de la | véritable manifestation du souvenir Successivement, au nom des Vétérans, le | FRANCS PAR MOIS. il y, peiiTi:nSel Bonelli, âgé de 17 ans, de Les voitures S. CA. R. allient la simdurée du service militaire ». capitaine Colman, puis, au nom de la muSOUCRIPTIONS DE 1.000 A 20.000 FRANCS SUR "' r de Vm? Son ^^'^ à Tusine électri- plicité française au « confortable » des l'âme touioise envers ses chers disparus. En terminant il s'adresse aux membres l Incendie. — Le feu a détruit complète- nicipalité, M. lo maire de Turckheim, ^Qsmuo^' a été haPé Par une courroie voitures anglaises, à l'extrême modicité UNE MÊME TÊTE. du Sport et leur dit : « Vous serez peut-être ment la logette habitée par une dame Cau- prennej^ ,(la parole et tiennent chacun GARANTIES lUreUx A«on' Lorsqu'on dégagea le mal- des prix des voitures américaines. Vendre 8,18, qU n aVaU ravant Assujettie au contrôla de l'Etat, confor- encore en butte à des tracasseries, à des drior.et située dans les terrains avojsinant j un I;:..,.."' de circonstance, aux pensées i ^» gauche broyé ' " une voiture Torpédo avec capote, glace, mément à la loi. insultes, à des attaques violentes même. le faubourg Saint-Mansuy. êlcvéesVi' animées des plus chers espoirs. JCUne b,es phares, lanternes, trompes et pneumatiLa musique municipale termine la cérésé a dû subir l'amputation. ques pour 6.900 fr. n'est possible que dans Commission spéciale de contrôle nommée Ne vous- découragez pas, restez calmes, Cette dame, ouvrière agricole, s'était mais énergiques et forts et vous iriompht- enivrée comme d'habitude et par irapru- monie par la <; Marseillaise » et la dislopar l'assemblée générale des sociétaires. Une maison aussi sérieuse et lorsqu'on cation s'opèro. Il est onze heures moins Avoir dej sociétaires déposé et conservé rez. Comment pourrait-il en être autre examine la ligne fuyante de l'ensemble, Je Lu Les voleurs cinq. — C. L ment,puisque vous accomplissez une tâche à la Banqi-e de France. Quand les secours arrivèrent, la femme fini du châssis et les ressorts à crans de Indépendamment de ses nombreux so- noble entre toutes : rendre la France tou- Caudiier fut trouvée étendue à proximité ! BACCARAT dlWierf nés René Legras, âgé de 32 ans, l'arrière, l'on reconnaît la maind'ceuvre ciétaires et do l'importance des contrats jours plus forte, toujours plus respectée. >. du brasier. La logette a été détruite. | Vagabond arrêts. — Les gendarmes ont française. applaudisemeuts.) Les dégâts sont évalués à 25 fr- et cette arrêté à Gélacourt un Allemand, Charles ,^rê^P ofession ni domicile fixe, ont Donc, la nouvelle voiture 10 HP 4 cylin- qui lui sont souscrits, La Mutualité Uni- (Vifs M. le commandant Vivier félicite les femme s est vu gratifier d'un procès-ver- Worm, 53 ans, aide agricole, qui, sans resë p 0ur vo1 e verselle trouve sa force et augmente son \ ]iinnZ t complicité de vol dres, 69x130 (type 1914), est bien, ainsi a J gens de leur ardeur patriotique. bal pour ivresse. Elle est originaire de sources, sollicitait la charité d'autrui, ain|1 e» des Magasms-Reunis. que nous l'avons'dit, une petite merveille prestige dans la valeur morale et finan- jeunes Pour réussir, pour arriver au succès, à la si que deux Hongrois, Gunta Hovaès, 24 i qu'on nous la présente soit en Torpédo à cière des personnalités qui la dirigent, ga- victoire, il faut trois choses : une volonté Void, dans la Meuse. Marche. — Café du Bosquet (bière â-1 j• ans, employé de commerce, et Stevan Miopîo.« 0ut»,ages à agents | deux places à 6.500 fr., soit en Torpédo 4 rantie essentielle d'une bonne gestion. î énergique, un travail assidu et une bonne La Mutualité Universelle pratique l'asChampigneulles). — Blé 26, seigle 17 50, | dagrovic, 19 ans, horloger, qui vivaient de ! places à 6.900 fr. La France aujourd'hui s'est re- mais 24, avoine 18 50, foin 7, paille 4, sons i la même façon. à al s été dressé Une agence de cette importante marque surance Mutuelle en cas de Vie et en cas conduite. ffi Pour outrale\ée de ses malheurs ; elle est puissante Us ont été amenés au parquet de Luné#contre Maria D'.., âgée de devant $é créer sous peu à Nancy, nos { de Décès à l'exclusion de toutes combinai- et forte et sait se faire respecter, même 14 50, retraits 19 50, pain 0 40, farine 39, | 1 aenie houblons 180. ville. «rant 24, rue des Quatre-Egli- compatriotes seront à même de la juger I sons de capitalisation avec tirages. Contravention. - La gendarmerie de Ecrire pour renseignements à la Direc- par ses ennemis. Il termine sa vibrante alutilement BERTR (CHAMPS locution par les cris de : Vive l'armée ! Vandeléville a verbalisé, le 31 octobre, con1 tion générale, 3, rue de Turbigo, Paris. Ineendio. — Dans la nuit, le feu a pris I A f| Dimanche, vers quatre heures et demie de l'après-midi, un grave accident est arrivé à Lane.uveville-devant-Nancv, au pont du canal de l'Est. | _ Une marinière, Mme Bompert, née Anne I\a.yser, âgée de, 27 ans, conduisait les che| vaux lialant le bateau dirigé par son ma1 1 r], Comme elle se baissait pour relever la Corde et la jeter par-dessus le garde-fou, I arrivait un car des tramwavs suburbains. ! Le marchepied accrocha les jupes de la marinière, qui fut renversée et traînée ainsi sur un assez long parcours, jusqu'au moment où le wattman, prévenu par les cris des témoins, put arrêter son lourd véhicule. I Un témoin, M. Jean Chéry, qui fait partie des brancardiers, releva Mme Bompert ! et lui prodigua les premiers soins. Puis il la transporta dans un car se dirigeant j vers Nancy, afin de l'amener à l'hôpital, où l'on constata qu'elle n'avait aucune j fracture. ! L'on craint toutefois des lésions inter] nes. i Un rassemblement considérable s'était : formé rapidement devant l'hôpital, au moment où l'on descendait du car la pauvre malade. ne MEURTHE-â-MOSELLS Spectacles â Concerts CINÉPILACE Les Trois Mousquetaires w K POPOL Quinquina "LES TROIS MOUSQUETAIRES' IRRÉVOCABLEMENT, H. La Mutualité Universelle ErV AUTO Après Je Salon " ï *r 1 ÏKl f M. Corste, i Bernard Schneider, mineur, demeurant j cultivateur-cafetier, n a été la proie des j ià Mont ; Jean Loubriat, machiniste, demeurant a flatonmes. Tout au plus, dès l'alerte, put-il arriver à sauver son bétail à l'aide do M. Mont. Commissaires : MM. Henri Auburtin, AJard qui l'avait réveillé. Malgré les efforts des pompiers et dos j eemployé, demeurant à Mont ; Eugène Poncelet, forgeron, demeurant habitants, immeuble, mobilier, récoltes, instruments aratoires ont été anéantis. Ses tà Mont. XIVRY-CIRCOURT papiers et 300 f r. que M. Coste avait, il a pu Déserteur arrêté. — Etant en tournée, | lee' soustraire aux flammes. Les pertes s'élèvent à 21.550 fr. ; il n'y 1les gendarmes interpellèrent un jeune homme sur la route de Xivry-Circourt et a assurance que pour 17.100 fr. AVRICOURT 1lui demandèrent ses papiers. Il fit voir un Vol d'armes. — En ouvrant son tir, qu'il 1livret d'ouvrier au nom de Arnould Joa installé à Avricourt, M. Léon Drahon, sseph et un bulletin de naissance au nom domicilié à Moyen, a constaté que, durant de ( Chasseloup Gaston. Invité à s'expliquer sur la provenance la nuit, on lui "avait volé une carabine_ de dame, genre Flobert, un pistolet, même (de ces papiers, il déclara que les papiers genre et une boîte de cartouches. M. Dra- ;au nom d'Arnould lui avaient été prêtés par ce dernier et qu'il s'appelait réellenon estime son préjudice à 30 fr. | ment Chasseloup, et était déserteur du 104° ARRONDISSEMENT DE BRIEY \ régiment d'infanterie, à Paris. Il fut arJŒUF rêté j et conduit à Paris. Faux-papiers. Avec le jeune homme Arrestations.— M. Mabille, commissaire fie police, vient de procéder à l'arresta- (dont nous venons de raconter l'arrestation tion de deux filles soumises, Périnet Ma- sse trouvait un autre individu auquel les gendarmes demandèrent également ses rie, 22 ans, et Chardon Louise, 25 ans. r d'identité ; il avait des papiers au Cec deux filles étaient recherchées par pièces j 10 parqr.et de la Seine pour un vol commis inom de Chasseloup et disait s'appeler Arlions ta banlieue parisienne. Depuis quel- nnuld. i , Pressé de questions, il avoua être deserque temps déjà elles étaient à Jœuf où elles S'étaient fait inscrire sur les régis- tteur du 104" régiment d'infanterie et avoir ses papiers à Chasseloup pour très de la prostitution. Avant de venir emDrunté ( ici elles habitaient Vmcennes. téviter d être arrêté. On voit que ces efforts furent vains, car M. Bou'rdeaux, juge d'instruction à Pafut bel et bien arrêté. ris, avait lancé contre elles un mandat Arnould l PIENNE d'arrêt ct c'est en vertu de ce mandat que Arrestations. — Jeudi soir, les gendarW. .Mabille a opéré cette double arresta-. Ion. ■ imes de Pienne ont conduit deux individus Expulsé arrêt*. — Les gendarmes de jà Briev, où ils ont été écroués. Le premier se nomme Sylvio Bosco, 22 îectif ont mis en état d'arrestation le sieur Angelo Casanova, 27 ans, sujet italien. ians, manœuvre. Il avait été arrêté en verEn venant à Jœuf, Casanova avait em \tu d'un extrait de jugement du tribunal Montmédy l'ayant condamné à deux freint un arrêté d'expulsion pris contre lui de ( jours de prison pour port d'arme prohibée. 11 y a quelque temps, — Le cas du second, un sieur Joseph Toil fut conduit à Briey en même temps que les demoiselles dont il est question :sani, 40 ans, marchand de primeurs, était différent. cl-dcssus. • ' Tosani se fournissait en légumes chez Il a été admis à l'hôtel des Haricots de un commerçant de Bouligny, M. Lettro. Boissons. ' ' Um innovation. — Nous apprenons avec Mercredi soir, il allait chercher diverses plaisir que M. J. Reîss, horloger diplômé, marchandises chez son fournisseur habisuccesseur de M. Charroy, 15, rue de Fràn- tuel. Pressé, celui-ci lui dit de repasser le thepré, à Jrruf, installe actuellement un lendemain. Ne voulant pas revenir à vide, poste de télégraphie sans fil qui lui per- Tosani chargea sur sa voiture à bras une mettra de recevoir journellement l'heure caisse de vingt kilos de fromage, faisant partie d'un chargement que Lettro venait officielle' de i'Observatoire de Paris. Vol et agression. — Un porte-monnaie a de recevoir. Et il réprit la route de Pienne avec son changé de maître dans les circonstances butin, pensant bien qu'on n'aurait pas suivantes : Annibale Cagiolini, 42 ans, manœuvre, l'audace de le soupçonner. Tosani se trompait. Le vol fut constaté rue Pierre-rle-Bar, 27, déjeuna au café Giardini, Côte-de-Montois. Dans cet établis- peu après son départ et il fut aussitôt sement, ' il rencontra trois jeunes gens de soupçonné par ie volé, qui envoya ses deux nut'idualité italienne qui lui proposèrent enfants à sa poursuite à bicyclette. Les deux gosses rejoignirent le mar' jouer, aux. cartes avec eux. Craignant de so faire plumer comme un chand dé légumes à l'entrée de Pienne et pigeon, Cagioli refusa et s'attabla devant lui demandèrent deux sous de marrons. En les servant, Tosani découvrit un peu la un bock en fumant une cigarette. Vers trois heures, il sortit pour satisfaire caisse volée. . un besoin. Deux des joueurs le suivirent, Fixés sur ce qu'ils voulaient savoir, les le firent tomber, le rouèrent de coups de jeûnes cyclistes coururent à la gendarmepoing. L'un d'eux fouilla ses poches -et rie, où ils relatèrent les faits. Lés gendars'empara de son porte-monnaie contenant mes se mirent aussitôt à la recherche du 22 mark. voleur qu'ils ne tardèrent pas à rencontrer, Puis ils partirent, laissant Cagiolini avec mais celui-ci, mis en éveil par la vue des une petite blessure à la tête et un œil po- jeunes Lettro, avait caché la caisse sousché. traite derrière une haie et l'avait recouLes gendarmes de Jœuf, avisés, ont pro- verte de terre. cédé à une enquête de laquelle il résulte Les gendarmes firent des recherches, la qu'un sieur Casanova, arrêté pour infrac- découvrirent et arrêtèrent le marchand de tion à expulsion, pourrait bien ne pas être légumes, qui commença par jurer qu'il étranger à cette agression. ignorait tout du vol dont il était accusé. Arme prohibée. -- A 10 heures du soir, Pressé dé questions, il se décida à les gendarmes de Jœuf se promenaient avouer. dans la rue Pierre-de-Bar. Ils rencontrèCRUSNES rent un couteau-poignard Vendetta-Corsa Vol. — Le manœuvre San-ella Humbert, porté par Luigi Buzzani, 29 ans, manœu- en pension chez Trinclet, en rentrant dans vre. sa chambre, constata la disparition d'un Buzzani fit l'objet d'un procès-verbal paletot et de différents vêtements, ainsi pour port d'arme prohibée. que d'une montre. Son camarade Tessier Gaston s'aperçut qu'on lui avait également soustrait plusieurs effets. M. BURELLIER DAUBENTON Ils supposent que ce vol a été commis par leur camarade Toussaint Jean, qui CHIRURGIEN.DENTISTE ' n'a pas reparu à la pension depuis ce reçoit à Briey, rue de. l'Hôtel-de-Ville jour. les 3 et 4 novembre LAERY Fanfare du 16° bataillon rie chasseurs.— HOMEÇOURT Agression et vol. — En cinq secs, un Programme du concert donné par la fanhomme a été débarrassé, de son porte-mon- fare le samedi 1" novembre, à trois heures du soir, place des Tilleuls : naie dans la Côte-de-Montois. 1. D'Artagnan, allegro (Allier).— 2. Viojl était 7 heures du soir, quand Eîéonore Mânhi, 24 ans, manœuvre, rue ViCtor-Hu- lettes de Cannes, mazurka (Blémant).— gè, 8, alla, tîirë un tour dans la fameuse 3. Miss Helyett, fantaisie (Audran).— 4. Les Veinards, polka (Allier).— 5. Doux esCôte. Là, il rencontra son camarade Piétro poir, valse (Kelsen).— 6. Encore un, déRenpi, 29 ans, avec lequel il. alla boire un filé (Mongeot).— 7. La Protestation, déverre au débit Evangelisti- Les deux hom- filé (Âr. par Veys). Le chef de fanfare, VEYS. mes restèrent quelques minutes dans cet VIVIERS-SUR-OMIERS établissement. Blessures accidentelles. — A la fabrique Henni demanda à Manni de raccompagner jusqu'au débit de tabac allemand, ce de noir, le farinier Jacques Célestin, 25 ans, plaçait une courroie sur une poulie à quoi il consentit. En cours de rouie, au moment où les du moulin, il eut le pouce gauche serré deux hommes arrivaient à hauteur d'une entre la courroie et la poulie. Le bras fut carrière; Henni déclara qu'il avait un be- entraîné et Je agrafes de la courroie lui soin à satisfaire et s'enfonça dans la'nuit, déchirèrent les chairs. M- Durouaux, docteur à Longuyon lui laissant son camarade seul sur la route. Manni ne resta pas longtemps sans com- prodigua les premiers soins et conclut à pagnie. une incapacité de travail de six semaiTrois individus sortirent en effet de la nes. HERSERANGE carrière voisine et s'avancèrent vers lui. Accident. — Un accident s'est produit « Tu n'as pas vu les douaniers ? » s'enquit l'un d'••••••. dans les dépendances de l'usine de SeManni ayant répondu négativement, les nelle-et-Maubeuge. trois hommes se jetèrent sur lui avec un Au cours de son travail, l'électricien Vicensemble parfait. L'un lui ferma la bouche tor Schmitt, demeurant quartier Saintavec. sa casquette, les autres fouillèrent Louis, à Longwy-Bas, est tombé du pont rapidement ses poches et s'emparèrent de roulant sur lequel il se trouvait. son porte-monnaie contenant environ 80 Dans sa chute, il s'est fracturé la jambe francs. droite et fait des contusions diverses. Sous la poussée de ses assaillants, le Le blessé a été transporté à l'hôpital de manœuvre tomba et ses agresseurs prirent Longwy. Ja fuite sans lui faire aucun mal. SAULNES Il se releva et se mit à la recherche de Vagabondage. — La gendarmerie a arson camarade Renni qu'il retrouva au bout rêté pour vagabondage Charles Gilson, 20 dë dix minutes. Il lui fit part de ce qui lui ans, qui était sur le trimard et qui avait etâit arrivé et l'autre fut très surpris, car encore trois sous en poche. Gilson était il n'avait rien remarqué. sorti de Clairvaux le 15 septembre dernier Les recherches faites pour retrouver les et y avait purgé une condamnation à quinauteurs de cette agression suivie de vol ze mois de prison. n'ont pas donné de résultats. Avec lui se trouvait Nicolas Dussemang, Manni n'a pu donner qu'un signalement sujet allemand,qui vivait de l'air du temps très vague de ses agresseurs, si vague et couchait à la belle étoile. Il fut arrête qu'il ne peut servir aux recherches. aussi et tous deux prirent le chemin de Représentations théâtrales. — La « Co- l'hôtel des Haricots, à Briey. médie Lorraine » (troupe M. Cransac), LO N G LA VI Ll» E donnera à Homécourt-Jœuf, le samedi p* Vol. — M Cailbeaux Paul, négociant, novembre, salle Georges, à Homécourt, le s'aperçut que plusieurs paires de pantoudimanche 2 novembre, au casino des Fa- fles qui se trouvaient sur un rayon de son milles, à Jœuf, « Marceau ou les Enfants magasin avaient d/sparu. Soupçonnant sa d« la République », grand drame histori- bonne, il l'invita à ouvrir devant lui sa que et patriotique d'Anicet Bourgeois, en valise. Celle-ci contenait six paires de 5 actes. Pièce montée avec une luxueuse chaussettes, cinq paires de pantoufles, un mise en scène et figuration. foulard, deux tricots marin et un porteBON VILLE RS-MO NT monnaie, le tout d'.une valeur de 40 fr. La bonne, Germaine Bilot, 16 ans, avoua Accident.— M. Mansàrt, camionneur de la Brasserie Munier à Briey, qui effectuait aux gendarmes qu'elle avait soustrait tout une tournée aux environs de Bonvillers, cela dans le magasin de se spatrons. Elle voulut dételer son cheval. Celui-ci, une fut arrêtée et conduite à Briey. bête fort ombrageuse, s'emballa subiteGOURAINCOURT ment, lui lança une violente ruade sur Vol de chaussures. — Le manœuvre une jambe qui le projeta sous son ca- Guillaume Jules, de l'usine de l'Est, avait mion dont les roues- lui passèrent sur le déposé ses chaussures dans la huchette corps. Atteint de multiplfwi et graves con- où il met d'habitude ses effets de rechange. tusions, M. Mansart a été transporté à son Quand il voulut les reprendre, elles n'y domicile. Le docteur qui lui donna ses étaient plus. Il fit des recherches et apprit soins, lui prescrit un mois de repos. que Julien Artus, 28 ans, chaudronnier, Nouvelle coopérative. — Une société coo- qui travaille dans la même usine, avait pérative vient d'être tondée pour le person- été vu changeant de chaussures. nel de la mine de Murville. Usant d'un subterfuge, Guillaume se La nouvelle société, qui a pour but l'a- rendit aux Coulmy, chez la femme d'Artus chat et la revente de produits alimentai- et réclama les souliers que son mari avait res et de vêtements et de toutes autres rapportés la veille. On les lui donna ; choses nécessaires à ses membres, prend Guillaume reconnut les siens ! Il vint ausle nom de « Société coopérative de consom- sitôt porter plainte à la gendarmerie, et mation des ouvriers et employés des mi- Artus, pressé de questions, 'finit par avouer nés de Murville ». lo vol. Vu le flagrant délit, il a été arrête. Sont nommés a dministrn.teurs : MM. VILLERUPT Nicolas Wagner, directeur des mines de Amicale des Jeunes Filles. — L'assemMurviile, demeurant à Mont ; blée de la Société Amicale des Jeunes FilHyacinthe Touchot, docteur en médeci- Jgs de Villerupt, qui a eu lieu dimanche ne; demeurant à Montt t dernier, a revêtu cette année un éclat Eugène Brauseh, chef comptable aux inaccoutumé Wincs de Murvjlle, demeurant à Mont : Toutes les jeunes Mlles faisant partie de «Mita un» muistMi appartenant à cette utile association, . • ' c * pagnées de bon nombre do mamans et de p membres honoraires E C'est devant une salle comble que la sséance fut ouverte. Morceaux de musique, chœurs, comédie, chansonnettes et monologues, lo tout fort e h bien rendu alternèrent heureusement avec 1 prodigués à la jeune « Èstudiantina » p rprouvèrent que l'assistance sait apprécier 1le mérite des gracieuses musiciennes. U yy a en effet quelques mois à peine que les *cours de solfège et de mandoline ont comrmencé et les résultats obtenus ne laissent jpas que à~> surprendre agréablement. La socié*. 5, désireuse- de poursuivre son 1but : joindre l'utile à l'agréable, décicda, entre autres choses, que les cours do couture et de repassage seraient réorgac nisés sur des bases sérieuses. r Nul doute que leur succès n'aille do Fpair avec celui du cours de musique et que nombreuses seront les futures ménagères r qqui se feront inscrire chez Mme Riche. Pour clôturer la séance, la sympathique directrice des écoles, dont le dévouement 0 égale sa modestie, adressa ses remercie' >ments à l'assistance et sut trouver d'aitmables encouragements pour ses collaborratrices. Enfin, l'assemblée se sépara, les jeunes ( tfilles étant charmées d'avoir passé quelques heures agiéables et heureuses d'avoir r Ipu constater une fois de plus la prospérité r de l'amicale. HERSERANGE Un pendu. — Vendredi après-midi, plusieurs Italiens qui passaient dans le bois \de Chà, aperçurent pendu à un arbre le corps d'un homme. Ils se gardèrent bien de le dépendre et coururent avertir les gendarmes de Longwy, qui vinrent aussitôt, selon l'usage, { couper la corde. Le pendu fut reconnu pour un nommé (Coquelin Jean-Baptiste, 49 ans, sujet français, séparé de sa femme, en pension à la Folie. Il s'adonnait quelque peu à la tboisson ; on l'avait encore aperçu à 10 , heures du matin. , CONFLANS Vol. — M. Nicolas Binz, entrepreneur de ]peinture, demeurant rue de Verdun, avait iemprunté une voiture à bras à M. Charles ; Munier, mécanicien, son voisin, pour ■ transporter divers matériaux à Jarny, ave; nue de la G are. M. Binz rangea la voiture près du « Bar Parisien » quand vint le soir et la laissa en cet endroit pour la nuit. ( Quelqu'un passa, se mit entre les bran. cards et emmena le véhicule, dont l'entre■ preneur de peinture ne put que constater la disparition le lendemain matin. La voiture soustraite vaut une centaine ide francs. Coïncidence curieuse. Dans la matinée iqui suivit le vol, un inconnu vint deman, der à M. Munier, propriétaire du véhicule volé, s'il ne voulait pas acheter une vbituro à bras. M. Munier déclina cette offre. C'était peut-être sa voiture qui lui était offerte par ce quidam. LONGWY 'I Mégère. — M. Poulain, commissaire de police à Longwy, a ouvert une enquête sur une affaire de mauvais traitements. La femme Steuer Léonie, âgée de 28 ans, née à Ars-sur-Moselle, qui vit en concubinage avec Baldi Gaétan, sujet italien, demeurant rue d'Alsace, 4, frappe à chaque instant sa fille Marie, âgée de 9 ans, et la fait travailler comme une négresse. Le faux ménage s'est empressé de passer la frontière en se réfugiant à Athus (Belgique). Ariac prohibée. — Rugieri Marins, ferblantier à Rehon, se promenait dans les rues armé d'un nerf de bœuf en guise de canne. Rencontré par la police, il est gratifié d'un procès-verbal pour port d'arme prohibée. Contraventions. — Padroutte François, fruitier à Saint-Louis, pour avoir jeté de la suie sur la voie publique, récolte un procès. — Poulot Eméïie, ménagère à LongwvBas, a oublié de faire une déclaration d'étrangère ; le brigadier Melin lui rafraîchit la mémoire eh lui octroyant une contravention — Mazza Paul, entrepositaire de bière à Rehon, voyage la nuit à bicyclette sans lanterne. Le brigadier Mélin le rappelle aux réglementa en le gratifiant d'une contravention. VALLEROY Coup de couteau. — Au cours d'une promenade nocturne, un homme a eu un œil crevé. Dans l'après-midi, le sieur Adolphe Brugnoli, 24 ans, mineur, en pension chez l'aubergiste Farina, avait eu une légère discussion avec deux autres Italiens. Cela se passait au débit Zanetta. Dans la soirée, un peu après 9 heures, Brugnoli, qui avait bu quelques verres de trop, se promenait sur le chemin conduisant à la mine. A une centaine de mètres de sa pension, il croisa deux individus ressemblant un peu à ceux avec lesquels il avait eu un© querelle l'après-midi. Ces deux hommes, qui venaient de la direction du quartier de la Gare et se dirigeaient vers les cités, se jetèrent sur Brugnoli qu'ils frappèrent à la tête avec violence. L'agressé se défendit de son mieux à l'aide du bâton dont il était porteur. Il réussit à mettre ses adversaires en fuita Brugnoli regagna sa pension cù il arriva couvert de sang. H avait, entre autres blessures, reçu un coup de couteau dans l'œil gauche. Cet organe est perdu. Les gendarmes de Briey, avisés de ces faits le. lendemain seulement, procédèrent à une active enquête. Les auteurs de l'agression dont fut victime le malheureux Brugnoli seraient deux individus qui prenaient pension et logeaient à la cantine de la mine, les sieurs Samuel Amboni, 23 ans, et Jean Bergamini, dit Presti, 26 ans, manœuvres Tous deux ont quitté Valleroy le lendemain de l'agression. Ce serait Bergamini qui aurait crevé l'œil du mineur. On croit qu'ils ont franchi la frontière - - % -— — MEJUS E ARRONDISSEMENT DE COMMERCï _ t ._ UQNY Contravention. — Pour ne pas s'être muni d'une paire de guides, la gendarmerie a gratifie d'une contravention M. Laurent Charles, cultivateur, qu'elle a rencontré sur le chemin de Rigny-Saint-Martin, assis tranquillement sur son chariot VAUCOULEURS Plainte. — Aubert Louis, soldat au ''ï-'iit venu passer une petite permission chez sa tante Galizot Jeanne, chez laquelle sa sœur s'est réfugiée en quittant le domicile paternel. Aubert Léon père étant venu faire du bruit chez sa belle-sœur, fut mis simplement à la porte, et, pour se venger, il a déposé plainte pour coups contre son fils Louis. ARRONDISSEMENT DE MONTMcOY BOULIGNY Procès-verbal. Mlle Schon Elisabeth oublie de faire sa. déclaration d'étrangère : elle récolte un procès-verbal. Le feu. -— Une meule de gerbes de blé ]J appartenant à M. Robert Louis, cultivateur I détruite par un incendie. Vol. — Des malfaiteurs se sont introduite dans un poulailler situé derrière la cantine Benedetti, aux cités d'Amermont à Boulignv et ont soustrait 6 superbes pouAttention aux vols. — Lejeune Zélie, 28 ans, ménagère à Etain, est venue se promener à Bouligny en bicyclette dépourvue de plaque d'identité et de contrôle. Elle est retournéo à Etain accompagnée d'un procès-verbal. Bindini Louis, 30 ans, cantinier à Etain, se promène dans les rues des cités de Bouligny ; il rencontre les gendarmes, qui lui demandèrent sa plaque d'identité do vélo. Comme il n'en avait pas à leur présenter, il récolta une contravention. — Bizzi Adzine, femme Bindini, cantinière à Etain,néglige de munir sa bicyclette d'un grelot et retourne chez elle avec une contravention. Ivresse. — Gagliardini Rilvio, manœuvre, se promène dans les rues des cités StPierre abominablement ivre. U récolte un procès-verbal pour Je maintenir d'aplomb. J Procès-verbal. — Franc, camionneur à I Briey, abandonne son attelage dans les rues de Bouligny, comme cet attelage empêchait la circulation, il récolte un procèsverbal. Les logeurs. — Lenz Giovanni et Casolari Louise possèdent des registres de logeurs mal tenus. La gendarmerie leur dresse à chacun une contravention. Vol. -- liholley Marie a été surprise au moment où elle remplissait ses valises de linge appartenant à Mme Mentré, aubergiste à Boluigny. La gendarmerie, prévenue, l'arrêta et la conduisit directement à l'hôtel des haricots, à Montmédy. Coups de'couteau. — Stablio Dominique, maçon, et Albizetti Paul, mineur, se prirent de querelle devant la cantine Griffo, aux cités Saint-Pierre, à Bouligny. Albizetti porta plusieurs coups de couteau à son compatrote Stablio. Les gendarmes qui arrivaient sur les lieux, arrêtèrent Albizetti et le conduisirent à Montmédy. Expulsion, — Eyermann Madeleine, des cités d'Amermont, fut invitée à quitter la France le plus vite possible, un arrêté d'expulsion avait été pris contre elle. ARRûNDlSLsEMthi DE VERDUN VERDUN Marchés. — Mercuriales de la semaine, 28 octobre 1913. — Céréales. — Prix moyei (Marché aux grains : café du Commerce). — Blé, l'hectolitre 20,50, le quintal 26,50 ; seigle, l'hectolitre 13,75, le quintal 18 fr. ; orge, l'hectolitre 12 fr., le quintal 19 fr. ; avoine, l'hectolitre 8 fr., le quintal 19 fr. ; farines, première qualité 37,50, deuxième qualité, Wt,50, troisième qualité 31,50 ; foin, le quintal 8 fr. ; paille, le quintal 5 fr. Taxe du pain- — Pain blanc fantaisie, le kilo, non taxé ; pain blanc percé, le kilo 0,40 ; pain blanc non percé, le kilo 0,375 ; pain bis, lre qualité 0,35 ; pain bis, 2° qualité 0,325. Bestiaux. — Le quintal métrique. — Bœufs 180 ; vaches 170 ; taureaux 160 ; veaux 240 ; moutons 240 ; porcs 190. Le tarif des voitures de places, — Nous avons dit par ailleurs qu'un nouveau tarif des voitures de place avait été approuvé par le conseil municipal ; voici ce tarif : lw zone. — 1 ou 2 personnes, la course 0 80 ; 3 personnes, 1 20 : l'heure, 2 fr. 28 zone. — 1 ou 2 personnes, la course 1 fr. 25; 3 personnes, 1 fr. 50 ; l'heure, 2 fr. 3e zone. — 1 ou 2 personnes, la course 1 fr. 50 ; 3 personnes, 1 fr. 75 ; l'heure, 2 francs. 4° zone. — 1, 2 ou 3 personnes, la course 2 fr.; l'heure, 2 fr. 50. 5e zone. — 1, 2 ou 3 personnes, la. course 4 fr. ; le stationnement se paie à part. Heures de nuit ; de minuit à 6 heures du matin : la course se paie respectivement dans les différentes zones : lre, 1 fr. 50 ; 2e, 1 f r. 75 ; 3°, 2 f r. ; 4e, 2 fr. 50 ; 5°, 5 f r. ; l'heure, 3 fr. Lee indemnités aux cochers non employés sont fixées ainsi qu'il suit, dans les différentes zones : 0 fr. 50 ; 0 80 ; 1 fr. 50. L'heure est comptée du stationnement au stationnement. Pour le transport des bagage3, à partir de 30 kilos, une indemnité de 0 20 est due par fraction de 30 kilos. * DOTATIONS D'ENFANTS Peut-on, pendant vingt ans ou plus,a.voir la persévérance de placer à intérêts composés et de faire bouie de neige avec ses économies ? L'assurance dotale à l'Union-Vie, entreprise privée assujettie au contrôle de l'Etat, fondée en 1829, nous offre ce moyen rare, garantit notre avenir et celui de nos enfants. A l'âge de 26 ans, versons 300 fr. par an, à 51 ans nous toucherons 10.000 fr. Si nous mourons demain, nous ne laissons aucune charge, et notre enfant trouve dans 25 ans, 10.000 fr. Remboursement immédiat de toutes les primes en cas de décès de - l'enfant. Renseignements gratuits et confidentiels s'adresser S MM. FA.1VRE n'ARCIER, 7. rue de Serre, à Rancv; RODRIGUE, à Xivrv-Circourt; PAUL SPIRE,» Lunéviile: TRÉVIS, àTout SAMS0N,CHA?IUTetP0ILBLA.NC.àBâr4e-Duc: SCAILLET, àSl-Mihier. LECB1QUE et DOMINE, à Dun-s-Meuse; ODIN, à Verdun : THOU VENIN, à Commerey : LÉONARD, à Eplnal : GEORGE, à ai (recourt ; SAUVAGE, 4 Neufchâteau ; 10UBDA.Net FILS,à Remiremont ; TISSERAND, àSwat-DiaV. _ _„ •—^-m-^m, « .VOSGES ARRONDISSEMENT D'ÈPINAL EPINAL gp>F -! PUISSANT^ DES^REGONSTITUABTS 11 I ENVOI GRATUIT D'UNE BOITE D'ESSAI **■ JH fl| aux affaiblis, aux vieillards cl à tous ceux qui sounTren* '''*' l'estomac ou qui digèrent difficilement. : ' , • Fcbvay est condamné à 3 ans de prison \avec sursis et Witz à 2 mois de la même peine sans sursis. 1 — 25 fr. d'amende sont octroyés à Geor1 ges Manot, manœuvre à Epinal, pour infraction à la police des chemins de fer. . — 6 jours de prison par défaut à Ernest Giardini, maçon à Epinal, peur port d'arme prohibée. • — 3 mois de prison, par défa.ut à Charles Thiriet, manœuvre à Fontenay, pour ! vol de vin au préjudice de M. Victor Colin, propriétaire audit lieu. ARRONDISSEMENT OE REMIREMONT REMIREMONT La taxe du pain. — Elle sera la même pour novembre que le mois précédent, le cours des farines n'ayant pas sensiblement varié. Une station pour l'aviation. — Le comité 1 national d'aviation militaire vient d'infor1 mer le comité local de Remiremont qu'il 1met à sa disposition une somme de 53.903 ] fr. 75 pour la créaton, dans les environs immédiats de Remiremont, d'une station d'atterrissage. Des pourparlers sont enga' !gés avec les propriétaires de deux terrains 'qui réunissent les conditions favorables ;après études et rapports des services techniques de l'aviation. Si l'achat à l'amiable ne pouvait aboutir auprès des propriétai; res intéressés, le comité national aurait re- j !cours à' l'expropriation, vu la nécessité et i ;l'urgence de la création d'une station d'atterrissage à Remiremont, et conformément jaux avis et rapports compétents consécutifs à l'augmentation des effectifs militaires aux frontières de l'Est. Le montant des !sommes recueillies par les soins du comité local de Remiremont s'est élevé à 20.710 fr. 30, dont il faut déduire pour frais divers 579 fr. 75. Le solde est donc de 20.131 fr. 75, qui a été remis en un compte d'attente au comité national. Expulsion tapageuse. — A minuit, au :moment de la fermeture de leur établissement, les époux Aimé Claudon, restaurateurs à Remiremont, refusèrent de nouvelles consommations à 6 Italiens et 2 Français, attablés depuis quelques instants, lesquels refusèrent de sortir. U fallut cependant que ces individus, sous la menac-e de l'intervention de la police, quittent l'établissement- Mais une bagarre j éclata, au cours de laquelle la glace de la porte d'entrée vola en éclats. Mme Claudon fut frappée à coups de pied et reçut un coup de couteau au sommet de la tète, lui occasionnant une assez grave blessure. Mme Claudon devra garder la chambre pendant quelques jours. Le lendemain, la I police a arrêté les 8 énerguuièner-, parmi lesquels se trouve un dangereux repris de |j justice, Albert Masson, qui serait l'auteur principal de la bagarre. Visite, nocturne. — Dans la nuit, on a cambriolé les bureaux de MM. Dcronne et Cramazon, entrepreneurs à Remiremont, et situés au quartier de la Madeleine. Le malfaiteur a brisé les tiroirs des meubles I pensant y trouver de l'argent, mais ils J( étaient vides. La police enquête. Etat civil du 25 au 31 octobre.- Naissances, Maurice Vaubourg.-- Emile Seigain.— Robert Colé. — Andrée Lerognon. — Recôtinaissance par sa mère, ouvrière de (abrique, de Maurice Tbiébaut. Publications. —- Henri Jeandcl, employé », de commerce à Remiremont, et Marie Thomas, femme de chambre à Epinal. ■— Isidoro Jeanpierre, boulanger à Remiremont, et Marie Vanier, cultivatrice à Eloycs. Décès. — Germaine Aimez, 20 mois. — Marie Mougel, 68 ans, rentière.veuvc Briot. — Marie Barbaux, 65 ans, célibataire, sans profession. — Thérèse Santo, 11 mois. — Jules Maugenot, 73 ans, célibataire, plâtrier. LE THILLOT Battu et pas content. — Le chiffonnier del Laurent a été abandonné il y a 4 ans, par sa femme, laquelle vit en concubinage avec un ouvrier ferblantier, nommé Emile Echemann. N'ayant jamais pu rentrer en bonnes grâces auprès de son épouse, le chiffonnier en conçut un dépit d'autant plus vif qu'elle l'a totalement frustré de sa part de mobilier. Laurent se prit alors de querelle avec Echemann, qu'il rencontra dans la rue, et lui reprocha de lui avoir volé et sa femme et son mobilier. Echemann bondit sur le chiffonnier et le frappa d'un si brutal coup de poing sur la joue que l'infortuné dut consulter un médecin. Il a joint à sa plainte un certificat médical. i'UPT-SUR-MOSELLE Vol. — M. Lièvre, entrepreneur au Thillot, a l'entreprise des travaux d'établissement des fontaines. Ces jours derniers, il constata qu'on lui avait dérobé une certaine quantité — environ 490 k. — de vieux plomb qui devait' servir aux nouvelles canalisations ; d'où un préjudice de 300 fr. L'auteur de ce vol était un de ses ouvriers nommé H. ., lequel a reconnu qu'il avait vendu au chiffonnier Haillant 332 kilos de vieille fonte pour 8 fr. 50 et 142 kilos de vieux plomb pour 35 fr. 50. H... a ajouté qu'il s'était cru autorisé par le chef de chantier. 1 Salle, prétendant que la, comrm la i;usurpe ses droits en captant un ° avs* q qui appartenait, il y a 60 ans à son S°Ur°' y.père, s'en vint nuitamment d'Etiv 0(1 Ihabite et, armé d'une hache et r " sse, il brisa une partie de ln cinir ?«e rnas' g grès. De ce fait, toutes les'font '■^ \village ne coulèrent plus, et une r ^ cde ménages qui le composent il , ^ ]1er s'alimenter à quelques kiloWtr a '" ppompiers durent être mobilisés pourV les à tuutc éventualité. Le coupable A à acte de vandalisme. Emile Uhtrier il Wt a été arrêté. Il prétend être d'ans ^ dlls -es droits. ° . . „ PA'R ET GRANDE?: rnU Sur h - , , y Collision de voitures. Provenchères, nrès de la section iS» • x villers, une collision se produisit ènb u , voiture de M. Braun, boulanger à vJ? j Dié, et celle d'un nommé Valcrce' àem j rant à Saoles : ce dernier, étant 'ivp c jcrocha les roues de la voiture de « Braun, qui s'était garé complètement <» fsa droite. Sa femme, ses enfant? Pans'il» 'f 'csœur furent projetés dans le''fossé à c'est miracle qu'ils n'aient eu que".™"' I ((pies égratignures. L'auteur de l'accita ss'empressa de fouetter ses chevaux et rt* ^ 'gagner la frontière. Quant à la voiC du boulanger, elle est en miettes. ' I 1 1 I I 1 J j kGKRAIJïÎET ALSÂ9 j Tribunal correctionnel. — Audience du 3l octobre. — Présidence de M. Lejeune, président Césarine Ziegler, femme Tisserand, ménagère à Thaon, est condamnée à un mois de "prison par défaut, pour avoir frappé à coups de poing et renversé à terre en lui mettant un genou sur la poitrine, la jeune Blanche Marcot, 11 ans. — 30 francs d'amende à Donat Villemin, 53 ans (6 condamnations), manœuvre à Dogneville, pour outrages à garde champêtre. — 2 mois de prison à Léon-Auguste GaLrion, manœuvre à la Chapelle-aux-Bois, qui a frappé à coups de pied et de pomg, lui faisant des blessures aux jambes, la veuve Lervy, âgée de 73 ans, parce qu'elle refusait ses avances. — 6 jours de prison à Gaston Gély, 20 ans, manœuvre à Rambervillers, pour vagabondage et mendicité. -— 2 mois de prison à Jacques Kcehl, 60 ans, mouleur (3 condamnations), qui a voARRONDISSEMENT DE SAINT DIÉ le à Epinal des effets à un de ses cama8AINT-DIE rades, et pour infraction à un arrêté d'exBrevetez-vous. — Un des plus aimables pulsion. 50 fr. d'amende à Henri Anetav. 35 ans huissiers de Saint-Dié (ils le sont tous, du (2 condamnations), maçon à Grandrupt- reste, à moins qu'ils n'instrumentent !) de-Golbey, pour avoir frappé d'un coup "de fait ses courses dans l'arrondissement, pitruelle sur le nez, son chef de chantier. lotant une petite Zèbre de 6 HP, qui mar— 15 jours de prison à Marcelin Laniè- che admirablement, malgré son âge mûr, re, 40 ans, berger à Oncourt (3 condamna- et qu'il conduit avec prudence, célérité et; tions) pour avoir frappé d'un coup de cou- discrétion. Malgré cela, sortant, il y a■ teau sur le nez le sieur Gaillot, cultiva- quelques jours, de Fraize, M. Eugène Vaucourt, notre huissier, tamponna un indiviteur— 10 jours de prison à Rose Levray, 19 du qui vint se jeter bêtement devant saans, ouvrière à Nomexy, pour vol d'un ju- voiture : le mulheurçux s'en tira avec une! pon au préjudice de la" dame Bauer. jambe brisée, mais il fut reconnu que la• Un de ces derniers soirs, au faubourg responsabilité du chauffeur était hors de1 d'Ambrail, à Epinal, Auguste-Edmond Eer- cause. Par contre, il fut constaté aussi, au1 vay, 19 ans, manœuvre, a fropné de 6 cours de l'enquête, que M. Vaucourt, bien1 coups de couteau le sieur Doffner, tailleur que chauffeur émérite, avait négligé de se i d'habits, dont trois dans le dos et trois au faire octroyer un brevet. C'est pourquoi ilI bras droit, qui est paralysé. 11 a aussi frap- s'est vu condamner pour ce fait, par M. le1 pé d'un coup de couteau Je sieur Colin. I juge de paix de Fraize, à un franc d'àI Joseph Witz, 27 :'iis. manœuvr-, camarade I meiide et'aux dépens. Chanffcivs sans breib- Febvav. a frappé celui-ci d'un coup de I vet, garde à vous !!! — E. G. poing américain >ur lu nuque pogr l'emLA SALLE pêcher de frapper Doffner et Colin. J| Plus d'eau I — Un ancien habitant deI j j WASSEL0NN5 Commerce et pangermaniïtes. — ijj j pangermanistes I en ont parfois d'inénu)rables. Jusqu'ici ils se bornaient à dt. | jclarcr la guerre à nos commerçants qui f 1leur adressaient des lettres à en-tête Iran- J <çais. Maintenant Jours prétentions voit 1 Iplus loin. L'autre jour une fabrique di | Wasselonne (Basse-Alsace) adressait da 1prospectus à sa clientèle d'Allemagne. Ca prospectus étaient rédigés en allemand 1 1mais imprimés en caractères latins. Ceii 1 a suffi pour mettre les pangermanistes <dans une colère indicible. Us ont répondu au fabricant alsacien : « Nous vuus rej tournons vos prospectus parce qu'ils sont } Jimprimés en caractères latins. Nous ne !sommes pas des Français, ni des Espagnols, ni des Italiens ». 11 ne reste pius ! 1à l'Alsacien, s'il veut faire des affaires en Allemagne, qu'à changer les caractères 1 de ses réclames ; car il ne faut pas s'af> ; tendre à ce que les pangermanistes, eux,, ' 1changent de caractère. D'autre part, un» 'maison d'épicerie de Strasbourg vient dt 1perdre nombre de clients pour la seult !raison qu'elle s'obstinait à s'appeler : '« X..., frères ». Ces client-- perdus exijgeaient ou'on r'lntî-vc-il In-res en « ^fr brueder ». Mais la maison strn.sbourgeoi: se s'y refusa, lit l'on \ endra dire que Ct :sont les Français ou les Alsaciens qui emjpêchent Je rapprochement commercial' franco-allemand !! STRASBOURO « Das Elsass » cesse sa publication, •< Des Elsass » (l'Alsace), journal hebdoimadaire illustré, qui paraissait à Stras1 bourg depuis trente-cinq ans, publie s<"! 1 dernier numéro. Ce périodique qui a j0"1 d'un grand succès dans les campagnes, p* ' raissait d'abord moitié en allemand w* tié en français. En dernier lieu le texte a.- I : Jemand avait presque supplanté le test* français. En même temps le journal avait abandonné sa ligne de conduite partie» I lariste pour donner dans la neutralité P*J litique. Ce fut le commencement <;c 1 La volonté de guérir Il ne faut pas dire comme un perse* nage de Voltaire : « Humble dans mes soupirs, soumis <w» [ma soiifn'anwl : «Je ne m'élève point contre la Providencj Autant vaut-il se laisser mourir t(ff . * suite. Il faut réagir, il faut chercher « i mède efficace. La plupart des maJiî ont pour origine la pauvreté du t»* Aussi, sept fois sur dix, pour lutter eu j le mal, la seule ressource sera de P': 'ja j les Pilules Pink, le grand régéneratcu j sang, tonique des nerfs. Ne vous e- ( j pas, ne prenez pas autre chose, car ^ j en revenir toujours aux Pilules l'njj| j vaut-il pas mieux commencer pei„jj j guérir tout de suite ? Lisez ce ^i"^^ j Villatte, ancien instituteur de MO"1* Vicomte (Creuse) : _ . «naftâ I « J'ai l'honneur de vous "faire c°','s'rjr'ï* ce rit-il, que les Pilules J'ink que "^ ^ ^ j vez adressées en novembre dernier> ^jf montrées d'une efficacité inc0, 'ijgjjl ; Elles m'ont complètement guen oie ;| j et dures souffrances que les PieI " e & pharmaceutiques n'avaient pu nie- 0 lager. Ma reconnaissance vous ^ 0 acquise, monsieur Gablin, vous u^i le propagateur de ce remède saiw ^ En vente dans toutes les phai j Placement" en cours..., La Société lorraine d'assurances 0 les sur la vie, assujettie au i-g,^ ? l'Etat, procède actuellement a 'QQ ît0de 5.000 bons privilégiés de 1rs i sentant le fonds temporaire a-_^ 0? j prévu par l'article 8 des statut» risé par la loi du 17 mars i^-J- érnj;ti<J Les fonds provenant de ceue ^ hv seront employés à l'édiheatiu» sjège ^ meuble à double destination u ^ ^ 1 cial et de maison de ^aPP°efflnloi.a .y j déposés en attendant ieur _ ^ N'?rjy banque d'Alsace et de Lorr.i l'actif u, Les bons garantis par 1 ai . )fl v la Société, et notaminem P it « # ner totale de l'immeuble précité» . ^ 5 ^ |j à un intérêt annuel statuUU IiSl;s P3v(1j( à une part des bénéfices ■ . 9 par ^ Société. 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On ne voulait pas la démolir ct l'on tres d'eau-de-vie dans une seule journée. n'osuit point la surcharger de sept étages Vous avez bien lu : deitj itires d'eau-dc-vie nouveaux, les murs étant trop faibles. M. dans une seule journée !... Cullan Marris commença par édifier à La seconde, la femme Auvray, plus so- droite et à gauche les deux r.nnexcs neulide ou moins ravagée par l'alcool, résista ves. Il les bâtit, suivant la mode que nos à la terrible secousses.Mais la leçon n'avait arohiectes ont importée de là-bas, en charservi de rien. Ne l'ayant point aperçue pente d'acier ; il les éleva jusqu'au dixpendant toute une journée, eut la curiosité neuvième étage, le dernier ; puis, arrivé à d'entrer chez elle le soir. Elle était morte la hauteur du toit, il jeta de l'une à l'autre depuis deux jours déjà, terrassée par une des poutres de 48 tonnes, ayant vingt mènouvelle congestion, le corps complètetres de long et trois mètivs d'épaisseur, ment noir. A côté d'elle, sous son oreiller, de était un litre de tafia ; elle n'avait eu le qui formaient comme un pont au-dessus la vieille maison. Ils es réunit cur de fortemps d'en boire que la moitié. I tes n averses j pu'9, a loioft de tiicntant^â verticaux, il attacha au-dessous de cse tablier la carcasse métallique du dix-rx.aiLA MAISON SUSPENDIT. — Les Ingénieurs vlème étoge : par lt inûme moyen, il susaméricains ont acquis ur.e telle virtuosité pendit 1» dis-huitième au précédant, «te, dans la construction des gratte-ciel qu'ils se ainsi de suite- jusqu'à ce qu'il eût rejoint, font fort d'en élever un de cent étacres, dès toujours en descendant, le faite de l'anqu'un propriétaire en voudra faire la dé- cienne bâtisse. Il n'y eut plus au'à percer pense ; la J-eule difficulté, di?ent-ils, est en le toit pour établir la communication eneffet dans le prix de revient qui augmen- tre le vieil immeuble et ses nouveaux ôtatant pins vite que l'altitude, ne donnerait plus qu'un trop faible rapport. C'cst sans doute le premier édifice qu'on Un d'eux, M. Culi&& Marris, vient d'achever une bâtisse dqnt les proportions I conunence par le haut ct un joli exemple de maison à l'envers. fms de Pays mÈIÎES : Orasïeria du Pâsheur — (Paie aie) Schiltlsheîm Spstenfcrau Munich Coiisomiiiatioiis do l " marques Eil'jra, Esanpts, îcreïlsw - PLAT DU .1333 - Salle rfetrrJe potr UcM Cuisine soignée :: | I • MAISON CODE 76, rue de Metz, NANCY ■■■ , . :; Prm^OM AKCiENNE 84©4 ^ tUNCY — 9, Ru2 Gambetta, 9 — NANCX Atelier Spécial pour toutes Réparations Spécialité de Vins M en-. poawalsmfB biisrt pour* !as Etrennes ? P B01 BARRE RI. Téléphone LJEERE — - pffrlr 17, rue Saint-flijler (A côté de la Brands-Taverne) Le »Hl m: M règloo lie l'Est Spécis!!tt ds Services de Table, The, Café, Lunch, etc. j i—- 2 SOUS —— RAYONS à 0 fr. 25 et à 0 fr. 60 lai GSîise SaEni'Jtsiian, NA2SQY "GRAND DÉPÔT OE TMIMF RFr.GKSTITUANT • «»>v««.» »»» • Réparations à des pris défiant toute concurrence HORLQGERIE.GRFÈVRERIE. ANTIQUITÉ M I OUTILLAGE MODBRNS '^^^'^ Machines à coudre depuis t05 fr, VOITURES O'EIWAPaT S . Voittirss d'Esîanls BIJG'JX |«rfl et d'Cccrsicn BICYCLETTES Grand choix teresnîs à neuf Qusl est le Bazar ie moins cher ? 71, rue Saint-Dizier (en face le Marché) On y trouve tout es qui so fait azi inonda APÉRITIF Cycles, Motocydes. Automobiles TERROT 4 CÎE Cadeaux Etrennes vos 105, Rue Saint-Dizier ^'Jk^^ <^ xo!^%J>s-4Jr±. 40 it | ^€^^ê UNE Grand Chois de Carte* de Vue» et Fantaisie plaintes avaient été déposées — a été mis en état d'arrestation et écroué à la Santé. Toutes les succursales de province ont été fermées. 5 A u LUNt 3 Détail curieux, les locaux de la rue Ros°5ri — S" * mandat de feissaii-p ' ;,Uge d'instruction, M. Dam, siai, occupés par M. Sèches-Bazes, avaient tepa„n| délégations judiciaires, été autrefois loués à deux escrocs célèbres, M pPoro'N; - Uétang, expert, s'est Boulaine et Péquignot. Sx d'uJÎ' rS}e Rossini, à Paris, dans les — A la suite d'une plainte en escroquepèches-R, dirigée par M. Al- rie et abus de confiance déposée contre M. dzes Squi UP , - Précédemment, ce flnan- Edgard de Marçay, accusé d'avoir vendu 114, ru;uPe. quinze employés, était ins- pour 70.000 francs de titres d'une société altbou anglaise irrégulière, « The Constantza peci R > es fais îles échtn alt de la pubUcité Trust Syndicate Ltd », M. Daru, assisté de rim Mettait à • P es de la rente et j de M. Dufour, expert, a perquisitionné 82, f très t>\a^ cliettts des bénéfices men- ! rue Saint-Lazare, au siège de cette société, dont M. de Marçay était administrateur G ié <îes ^ reiinKK , succursales à Lyon, délégué. La comptabilité, les titres des adminisW'rpiffn Amiens. Paimpol, MontauiBie).'b n' Dunkerque et Tournai trateurs et de nombreux documents ont été saisis et remis à M. le juge Pamart, le» fnr,j UMiPonr * on mi hli «aient versés, il chargé d'instruire cette affaire. itj.%rj* ;f Propre compte et, menSh,*Jfiiw" en.y°yait à ses cliente, pour LES MÉFArrs pis L'ALCOOL, — Un double déH ^tend •♦•\ance' des sommes prove- cès occasionné par l'alcool vient de mettre de ses réalité 1b . opérations, mais sens-dessus dessous la rue du Petit-MouDtî^ effpet, ,éta«nt prises sur les ver- lin, à Pont-Audemer. WtB^«ectupar les nouveaux sousjS La semaine dernière,deux alcooliques invétérées, les femmes Tapin, 3(3 ans, et Au3 des il? '0.ôSÎ , détournements commis vray, 33 ans, réussirent à soustraire ou à ^1 jju'jj^ iraoes. soutirer une bouteille d'alcool à un bouils la U w PerquisitioD opérée par leur de cru qui avait installé son alambic Banquier - contre lequel six | à leur porte. Elles s'empressèrent de boire Faits-Divers ?Si s : Ouvrages «ranatons, BWW ! Pnmerie - Lithographie -- Typographie OUI. t chez si il n Victor *W HiC^3 J JVZ-VIr V<<r*i .- PHARMACIE CENTRALE DE NANCY çce, pour cef/e ^/r; J année, eue a an choix cor. ïjérablc d'Articles nouveaux pour ETRENNES à i eur sou mettre ai ils onl intérêt à ne faire aucun achat sans la visiter :: W' * W *^(?*% ^7F*^ BÛLLETI N __FIH A N €1ER PÔ ris, le 31 octobre 1913. pour la liquidation a été très abondant et les reporteurs ont dû se contenter de i! 3à 3 %, Le marché reste E'aVgènt Installé a neuf. - Chauffage central et électricité Hôtel de Luxembourg Propriétaire Charles TH1ERY METZ - 55, Fiue Serpenoise - MET2 5 .. I •' MINUTE» Pt LA GARE PRIX MODÉRÉS - TÉLÉPHONE 706 i ; son 768 ; Parisienne de distribution 638. ; Valeurs cuprifères aux environs des cours d'hi-er : Rio 1954 ; Boléo 795 ; Chino 216,50 ,| Cane 14S ; Spassky 76 ; Tharsis 190,50. Valeurs industrielles Russes lourdes en général : Briansck 198 ; Sosnowice 1540 ; Prowodnik 5w ; Mnïteôïï 830 ; Hartmann 687 ; Toula 1044 ; Lianosoff 708. Mines d'or et diamantifères en nouveau recul : Rand Mines 119 ; East Rand 54 ; Goldnelds 57,50 ; Crown Mines 159 ; De Beers 470,50 ; Jagersfontein 133. Caoutchoutières toujours fermes : Financière 112 ; Malacca 131. Le 3 % ost lourd a 87,07 en liquidation et à 87,30 à fin novembre. Rentes Russes faibles : 6 % 1906 105,30 ; } 4 A % 1909 98,60. Consolidé 91,02 ; 3 % 184*1 74,65, Serbe et Turc à peu près nu même niveau qu'hier a. 82,20 et à 88,70. Extérieure stetionnaire à 90,65. Banques et établissements d« crédit réalisés : Crédit Lyonnais 1(157 ; Union ParilTO 't'P'ts. eczémas, rou sienne l!io8 ; Banque ottomane 63G ; Grédit Foncier d'Orient i'tb. Banques Mexicaines toujours stimulées IniUeintuil de t.. îW% Ifill, pharmacien à ! par du» rachats de vendeurs : banque nai ^ancy .I'asdedépiM. S'adresser di rudement tion.* le i)Z> ; Banque Centrale 1U. a «g^,i«n> «ew<<^«e> Banques Bûmes en meilleure tendance : I o»-*8» ■*b-*tbv^> t&*'*%. Aitoff |)of) l'i03 ; Russo-Asiatique 7Rfi. Chemins f rançais délaissés : Lyon 1310 ; I\ord 1708. Diplômé de la Faeultt <ie UM.icine Chemins Espagnols ne s'écnrtent pas des cours précédents : Nord Espagne 470 ; NANCY. 30, tenhourg Bt-Jea», angîc rue 81-r.éoa Consultations de S li.à 11 &. Irîetle 1 h. |i| à 0 u. Sarugosse 45t>. Valeurs de traction et d'électricité calJ itt^^e - CHAI EL Y. ijéTant. ' mes, sauf l'Omnibus qui c?t en nouvelle baisse à Càj ; Métropolitain 621 ; Thompï^^^ top dê -st lépubllcala, ' l\ k firPTi Henri PETIT, Chirurgien-Dentiste ^^^^ „, ju ç _„ ■■iii,ij,,u n|>|| ^^ gwg^^^^^ ? ' ^ ^ ' --' î * rnmr^miP sUIf-fT} flïïIO IHHHIHTIIIIT ! M LSCQfflpapG MuULn LE. I MIS 110 Pour In Ktimllle Pour In Confection rvifd-i» coi«^rac*-« , - *ur iii MS niiartier J . j^S" crédit Condi- J> M'*""»- * pas de' ^ très avantageuses. Occaislr. s'adressera 2202 4lon à sa * «* commerçante | COMMERCE ■ du Lavette», Ganterie. Merce, ouvrages de dames, etc. r e On prouve 56 000 fr d'affaires moyennes des 3 dernières annf es B ief ' « nets 10.000 rr. Mise au courant. M faut *< *.m-mtf*? 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Cr re Mete ' — Sa ndê mains du syndic. &0 "" ™ b aU ai^'SikataUe LG '"m C G G . mal : 'PHILIPPOT —^ . p t. ay. été école, rr. fr. nf| à P Au- Paris°'R f t Ech^r' p ^ — VENDRE A |i iç MOVVSS'E Une Bfartyre des Apaches Drame Cccv du banditisme actuel CAMILLE DESCAMPS Ses millions étaient allés à ses seuls unis : les pauvres. Le marquis d'Ambleuee découvrit dans une place choisie et voilée par des arbres, B,u centre d'une nécropole aussi vaste qu'une cité, le monument bâti par la reconnaissance publique â Bianca de Las TablasOui, mais ici il y avait des gardiens fie jour et de nuit ; il y avait la vénération des milliers de familles, secourues du vivant comme depuis le décès de la regrettée bienfaitrice, qui formait une sorte d'atinosphère de protection autour de son tombeau. Sans cesse des cierges y brûlaient, sans îesse des gens entraient "dans le magnifique mausolée pour s'y agenouiller, y pleurer, y prier. C'était sous du marbre et encore sons % bronze que les reliques de la Sainte 1T|\ gl VINS EN GROS Kg WÊ ma fp i 11T m TTI k. \T j| M LA Kit K _ SOfr<«'% »<* B%&A*M& m m ~ " -~ ■ 1 g -r^usfm=ddi g pfcllUéf df o»—- Tf RI fi 1 H Ik 11Y I D D 1 S » ■ H cVUV m /1 If BTMI ! kl iiI 28 11 1JI tlJ>.'Mi il ij'll "* VA \J t.' HÀ^ili^i LJ — - -— « M -_ 1 ^^ •» ,\ % > * 1 II " ' II S 4 _' #)| S S WZ* f?-?":* F SV-F WJt C# 1L$ %^ % -* â » ' « ■ "*«9g m mw p — ~ liArfl^ttiVei <6. V a v* W .'llHlfi trv 11 ïT II fï Ci î\ itit iiW^AJ «►* -i : Angle des rues Salnt-Oeorges et Pont-Mouja - Rue des Quatre-Eglises, 4 Pïace Saint-Epvre - Rue de la ComtTiandene, 36 , ■ disons: L08EVILLE : 27. r. fiarnsain-Charricr; EPÎSàL: 28. r. U^old-Onurg; Sl-DIZ: I5,r. Slaittf _ —~~ ; , , J FOyft s 3 rT£S ET rt CT Tr Bt Grande Depoussiereuse Hacan sue WU|IWU««I*I OUOG MES^^^^W -'' " ^ îi i »*^J >^^^^^^g!P Oa pre»J .1 «vr. i rf 6 ^ gl .—,—.— mÊÊWmmmâàvmiÊmàmmmtSSSim^ FEUILLETON DE L'EST RÉPUBLICAIN — N* 13 - * ■ T. 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Alors rien, rien à tenter 1 Et le marquis d'Ambleuse rôdait autour de la sépulture de Bianca comme une fouine, un renard auraient rôdé autour d'un poulailler soigneusement, solidement fermé et à quelques pas du chenil de toute une meute de chiens de chasse. Il rôdait avec des yeux avides, des lèvres sur lesquelles passait et repassait une langue gourmande, des grognements sourds de rage impuissante. Un second voyage inutile, encore du temps et de l'argent perdus ! Quelle guigne ! Non, cependant, non. L® gredin eut plusieurs consolations. La première fut que le nom de Bianca n'était inscrit nulle part d'une façon spéciale dans le mausolée, donc il semblait peu probable que quelque lien rattachât cette tombe de la fille au secret du père, au chalet et à la sépulture espagnole. La seconde ce furent les paroles d'une vieille négresse, l'ancienne nourrice de la demoiselle, ave« laquelle M. d'Ambleuse parvint à s'aboucher en se présentant comme un parent éloigné de Las Tabias, un parent d'Europe, venu tout exprès mation désolée, il gagnait la Pologne par La ville la plus proche était à cinquante pour s'agenouiller sur la tombre de la le Nord de l'Allemagne. vertses, autrement dit à plus de duuze Sainte. Déjà trop longtemps on avait tenu les lieues. La vieille négresse lui raconta que tout, Sanchez avec le bec dans l'eau. Et le château en lui-mÊme était bien tout ce qu'avait possédé sa chère maîIls pouvaient se défier. plutôt une grosse maison d'exploitation tresse était allé aux pauvres, tout, excepté Aussi à peine avait-il touché terre à Varune somme considérable réservée par le sovie qu'if leur écrivait une très longue agricole avec des dépendances qu'une demeure seigneuriale. maître, autrefois, et qui avait dû servir lettre expliquant aux Espagnols, fort peu Des centaines de paysans avaient groupé à faire la guerre. documentés sur la région probablement, Somme déposée, lui avait souvent confié que la différence de température l'avait leurs cabanes autour des bâtiments plus la demoiselle dans leurs longues conver- rendu malade, qu'il avait voulu apprendre élevés, plus solides, plus vastes des Czarsations, somme déposée dans un lieu sa- un peu la langue afin de saisir les mots kowski, et tous travaillaient, vivaient sur cré, un asile inviolable où les soldats du essentiels prononcés autour de lui, qu'il le domaine, les uns dans les champs, les roi espagnol, ami du maître, lavaient s'était crée une autre personnalité, une antres dans les forêts ou sur les étangs. Ruinés par les anciennes guerres de Posans doute trouvée.ou la trouveraient aux personnalité de domestique français ayant logne, les Czarkowski n'étaient pas rijours de besoin. déjà servi dans le pays et se présenterait ches, tant s'en fallait, mais ils étaient | Le fils de Lucienne savait à quoi s'en incessamment chez les Czarkowski. quand même généreux, justes, accueillants, i tenir maintenant. De cette manière le temps perdu au BréTous les travailleurs du domaine les ai- i « La cachette existait quelque part. sil était regagné. m aient. « Et son nom, s'il comprenait dans l'enLes Sanchez ne pouvaient plus contrôler La famille vivait sur elle-même, avec ! semble les lettres A N C A, n'avait cepen- ses jours de départ de Champagne et d'arpour distractions les seuls plaisirs de la i dant aucun rapport avec le nom de la fille rivée en Pologne. campagne, rarement elle visitait ses voide Las Tablas. Et de fait il se mit immédiatement en sins, rarement elle allait à la ville. « Il fallait posséder la dernier parche- campagne et s'en vint rôder dans les enAutour du domaine c'était le vide en min, celui des Polonais, les comparer tous virons du domaine des Czarkowski. fait d'autres agglomérations d'habitants trois, en faire jouer les lettres et les chifComment devait-il s'y prendre pour po- et sur le domaine même rien que des gens ' fres dans plusieurs assemblages et arriver ser ses griffes sur le dernier des trois morconnaissant les maîtres du château, îcur I à la désignation d'une localité de la fron- 1 ceaux de parchemin ? obéieeant, leur rapportant tout ce qui se ' tière française. fj n'était pas homme à reculer devant passait. « Probablement une petite ville, un cou- une effraction. Le jeune marquis d'Ambleuse n'avait vent peu éloigné des lieux où l'officier carMais encore fallait-il savoir à quelle pas pré™ cela. liste avait combattu dans les derniers porte s'adres3er, ou la précieuse envelopIl ne pouvait aborder en cachette le ! temps, jugé la causa royale désespérée pe avait été cachée. théAtre du coup prémédité, étudier le châpour l'heure et souhaité réserver des fonds VI teau sans y pénétrer, ni non plus s'en saupour l'avenir, pour une prise d'armes opéI.À STEF-FB AITX LOUPS ver brusquement sans que chacun ie sût. rée dans de meilleures conditions. Le château habité par les Czarkowski D'autre part, il sut que les seuls domes« Sa mère ct lui avaient fait fausse était situé au centre de plaines immenses tiques dont les Czarkowski réclamnsrent route. et prescrites désertes, plaines qu'encer- les services étaient des paysans et des j « Il fallait, et bien vite, manœuvrer du claient de toutes parts de sombres et pro- paysannes de leurs ferres, a part une Inscôté de la Pologne. » fondes forêts ne sapins. titûtrice française pour les jeunes filles Quinze jours plus tard le marquis débarDo pauvres villages ici et là, très éloi- leur fortune ne leur permettant aucune quait en France ct, sans môme repasser gnés les uns des autres et avec des fondriè- dépense de luxe. par Ajnbîeuse, où il envoyait une infor- res en fait de routes. Là encore rien à faire comme introduc- j . tn.ii aoui'inune dans la pla et. ^IIII Pourtant 1 aventurier ue puu**1 : encore bredouille chez su iuei |,riJtio». ' H se décida pour une WLI *f$f* touriste, d écrivain visitant v* ^ afin de publier ensuite des ,e(,)rj*in ift* ges illustrés, toujours u-. Cl' '^a .. oert qu'il avait déjà pri< au Urt Muni d'un appareil pbi'o 1^ S'arrêtait ici et ià dans les Jver com plorant les environs, et il 'kj s'y'8 i{ ainsi jusque chez les C/.arkow* • jor héberger, amener la envers- .^.sc passé de la famille, P.",n0"..,j, à 'i!re t< ! sous lo masque ce qu'il f .Yîa'heureuMnnrnf P"1"", ■■ H'K'1 ,',„< domaine forestier des Czarko» . 'g'' y «^ " ^ft trotivttit tres en rct3.ro ï- i puis,'et puis le fils de à >3 fléchit point qu'il était ar" ^jr, d'homm* fait et rru'à rruoiq" - j'Atnb1;, j ■ "ri orince Czarkowski. „ A. 1 V»* . f» '..'in circonstances ter Pour lui-même'une V^%,f Se's combinaisons crim.ne"^ t> t* e jouées et il fut brutalement y de la simple vérité. ^ e). , ( vT '^ll\ ^HOCOLÂf"10**, i QUALITÉ ]
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