Mardi 21 Octobre 1902 IMQ ^^ ^ ^ ^ • ^ ^ RÉDACTION et ADMINISTRATION, 51, RUE SAINT DIZ1ER DERNIÈRE s-i HEURE C MT1ME »- kBm ^ Rédacteur en chef: X-ÉlOIST GOULETTE SALLE D'EXPOSITION, DE PUBLICITÉ ET DE DÉPÊCHES au Point Central de la Ville. c NANCY, lundi 20 octobre 1902. dii diriger les patrouilles, notamment dans le l'urgence, que le général André repousse au mouvement.) nu S'il ne l'a pas fait, il aurait bassin deDenain et Anzin, les meneurs de nom du gouvernement, la question, dit-il, ab absolument manqué à son devofr. la Boui'se du Travail de Paris, tous étrande demandant un examen approfondi, M. Pelletan. — Je viens d'avoir avec l'ïh» gers aux mines et qui prétendent, par l'inSéance du lundi 20 octobre 1 TÉLÊFHONiaUE j Le lieutenant-colonel Rousset retire alors mirai m Marquer un entretien qui établirait timidation, la menace et la violence, empê!Séance ouverte à 2 heures 20. sa demande d'urgence. co contraire. y ;— ^ cher les mineurs de se rendre paisiblement M. Léon Bourgeois préside. L'affluence i M. Lockroy. — Et moi, je viens égaleM. Pelletait et M. Pictet Paris, 21 octobre, 4 h. 50 matin. à leur travail. es est considérable daus les tribunes réservées ] ment de l'entretenir; je lui ai posé la quesM. Ferrette, député de Bar-le-Duc, a la m ' « Quand j'ai dit à M. Edgard Combes, au au public. On s'attend, en effet, à une séanVOTES DE NOS REPRÉSENTANTS tu~ il m'a demandé à se retrancher derpa parole pour poser une question au ministre tion, chef de cabinet de M. le président du conce mouvementée. § n Au scrutin sur 1"urgence de la proposition rière le secret professionnel (Mouvement e la marine, qui l'accepte. de < se seil, que j'allais armer nos sections syndiEn tous cas, l'ordre du jour est très chari é de M.Rôveillaud demandant que toutes les général et exclamations.) (A ce propos, plaçons ici l'information ê Celle personnalité puissante de Zola cales pour leur permettre de répondre aux gé, gé car, avant le grand débat sur la grève ca motions relatives à la séparation des Eglises Je demande à la Chambre de décider que suivante. Elle est la suite de celles que nous attaques dont elles étaient l'objet, j'ai voulu gé générale des mineurs, M. Ernest Roche, av encore la scène. Hier, à Turin, at 1 a et de l'Etat soient renvoyées à une commis- occupe 0< Marquer soit relevé de ce secret et déjà publiées, et expose à nouveau l'amiral d'abord exercer une pression efficace sur député 3o de la Seine, doit demander l'urgence javons sion de trente-trois membres que la Gham- ui appelé à témoigner du fait que j'ai indiqué. a nature des attaques dirigées contre M. a une foule enthousiaste a acclamé Zola, M. ^ le ministre, en lui montrant la perspec- pour la P pa sa proposition de loi portant sépara p bre nommera, lous les députés de Meurthe(Applaudissements sur de nombreux bancs.) e Pelleian : (A tn de batailles rangées dans lesquelles eût tic tion des Eglises et de l'Etat, et M. Ferrette, et-Moselle ont voté contre, excepté M. manifestation compréhensible, puisque tive M. Pelletan. — Je suis stupéfait de voir «En réponse au démenti que lui infligent coulé, des deux camps, un sang généreux dé député de la Meuse, doit poser une question j Emile Zola était de race italienne. Chapuis, qui a voté poitr. E un e ministre de la marine et l'ingénieur Lau- u le .r ancien ministre poser pareille question, qu'il fallait réserver pour d'autres combats, à M. Camille Pelleian sur la présence de be et si M. Lockroy était à ma place, je suis — Dans le scrutin sur l'ordre du jour pur et beuf, notre confrère le Français publie . C'est en termes moins admiratifs que, non ,K moins inhumains, mais plus, en rapport M M. Raoul Pictet dans les bureaux du minis- un et simple qui a clôturé l'interpellation do . sûr qu'il se refuserait à répondre. une de ce dernier, adressée il y a six su les intérêts et la dignité ctiSa patrie ! le n 1ère de la marine et sur les bruits de li- jours ;01 lettre également, à Nancy, M. Sorel, ad- avec a\ M. Bertboulat sur la présence de M. Pictel hier Depuis que je suis au ministère, ajoute-tà un tiers. vraison qui lui aurait élé faite de plans de , dans les bureaux du ministère delà marine, joint je 11,> jamais ta moindre apparence de fuite n'a au maire, a évoqué la mémoire de ps « Voilà quel a été l'unique but poursuivi ,I vr Or, M. Laubeuf parle uniquement, dans ti par cette démonstration au président du su submersibles. tous les députés de Meurthe et-Moselle ont y, eu lieu, nos armoires sont mieux gardées ce missive, de ses types de submersibles eï Zola à ce vibrant banquet des vétérans ce conseil des ministres, de nos Jaunes prêts et J Après l'adoption du procès-verbal de la celle l voté contre, excepté M.Chapuis, quia voté qu'on ne le croit. (Applaudissements à l'exet et de l'arrêt de construction ordonné par le <l ov outillés pour reconquérir, au besoin à main I j 01 où se rencontrent coude à coude, en une précédente séance et de plusieurs projets mi pour. — Havas. trême gauche.) p minisire, M. Pelletan. Cette lettre, privée, W armée, leur liberté au travail, c'est-à-dire «'intérêt |>j local, M. Ernest Roche dépose la est es en contradiction avec le télégramme enToutes les accusations actuelles contre le fraternité passagère, les champions des ileur e droit à la vie, entravé, violé, par les :, proposition m pï de loi relative à la I'TÛ i voyé postérieurement sur la demande du ministre et ses collaborateurs sont la suite violents partisans de la grève obligatoire, [fl opinions contraires. vi m de la campagne de presse, déjà ancienne, i! ministre. de (Suite) ii Séparation des Eglises « Ai-je réussi ? d La virulence de nos discordes empoidirigée contre lui pour avoir dénoncé les I Dans cette lettre, il n'y a pas un seul mot | et de l'Etat lie comité fédéral du travail « Evidemment oui puisque, fidèle à la pro-1 en abus de l'administration de la marine. concernant l'affaire Pictet et à la faveur al 3< do plus en plus la vie nationale, rn messe qui m'avait été faite, M. le président | M. Ernest Roche, qui est un socialiste na- de Une note communiquée à la presse à fis- sonne Il est regrettable seulement que le contredont jouit cet ingénieur suisse, installé dans du conseil des ministres, ordonnait télégra- tfa tionaliste, demande l'urgence et la discus- un sue d'une réunion privée tenue hier soir à Aussi, A -des trêves comme celles d'hier dt cc coup en soit retombésur un inventeur qu'on, U1 local du ministère de la marine. phiquement aux douze préfets intéressés sfl sion immédiate, aux applaudissements d'uii Paris, à la Bourse du travail, par le comité g( a attaqué jusque dans sa vie privée. Cette lettre n'apporte donc aucune clarté a sont-elles les bienvenues, encore que les jîjd'appliquer, le soir même, le grand proce certain nombre de membres. da fédéral du travail, qui représente 600 orgaCes attaques intéressées me soHt profondans le débat. Ce qui apparaît clairement, de mobilisation élaboré par M. i I La lecture de l'exposé des motifs de la c', actuelles y aient trouvé gramme gi nisations ouvrières, déclare le comité prêt préoccupations P d( indifférentes, mais je peux dire aux c'est que le passé de M. Raoul Pictet le re- dément Waldeck-Rousseau, et dont l'application pt proposition est soulignée par des marques co à accepter une entente avec le comité nalio- \(. instigateurs de cette campagne que les pirèS leur écho. ^ commanderait peu à la faveur du ministre lr loyale — qui est une garantie pour l'ordre d*: d'approbation sur les mêmes bancs. de nal des mineurs pour une lutte générale c'c ne m'arrêteront pas dans morl de la marine et de son chef de cabinet. On calomnies M. . Edmond Gérard y a porlé avec pi public et le respect des droits de tous — |: 'I M. Combes, président du conseil, minis- ie basée sur les revendications communes à œ œuvre. (Applaudissements à l'extrême gaule trouve mêlé à divers scandalesflnanciers, mettait enfin un terme aux entraves appor- ,ti» j§ de l'intérieur et des cultes, est seul en- nc tout Je prolétariat. c< conviction la santé du général André. Il m cl che.) notamment dans une affaire d'acétylène. ce au banc du gouvernement. j Voici les renseignements que nous puiy aurait des réserves à faire sur ce toast ; tées par les révolutionnaires au libre exer-1icore M. Berthoulat, nationaliste. — Je demant Dans le» Imagina iionillerw cice du droit au travail des mineurs M. Ernest Roche rappelle que sa propo- SQ de à transformer la question en interpella» sons dans les débats judiciaires de cette d< « Jamais, depuis la fameuse grève de De- ' si Douai. — 250 grévistes environ de l'Es- la '3 personnalité du général est trop mêlée sition est inscrite depuis vingt-cinq ans affaire f a reproduits par les journaux locaux tion. » l'on n'était arrivé à obtenir, dans d* carpelle ont tenté d'empêcher le travail à la aux a' luttes politiques pour échapper à la cazeville, Çf dans le programme des républicains radi- e M. Jaurès demande que cette interpellaetj notamment par le Progrès du Nord: les plus sombres jours de troubles et d'effroi, eaux. es fosse de Sainte-Reine. La troupe a dù iuler- C( Il est donc grand temps, dit-il, de 11 soit renvoyée après celle sur les grècontroverse. y. « La société en question d'éclairage par lion l'application de ces mesures depréservation. le venir. Une arrestation a été, opérée. leur donner satisfaction. (Rires au centre-et y Vl ves. s l'acétylène avait été constituée, en 1897. au M. Combes, lui-même, a dû mettre sur « Or, le soir même de ma démarche au- à Montluçon (Allier). — Le comité des à droite.). ica MM. Berthoulat et Riper t insistent pour pi de M. le président du conseil des mi-1I L'adoption de ma proposition, continue ! capital de un million et demi. Sur cette la jaunes vient d'informer le préfet de l'Allier le le compte de « la chaleur communicalive près so somme, l'apport des procédés de M. Pictet la discussion immédiate, que M. Pelletan 1 1 de l'intention d'un certain nombre d'où- J nistres (9 octobre à 11 heures du soir) les M M. Ernest Roche, aura en outre cet autre était évalué à 500,000 fr. ; 700,000 fr. étaient accepte, a< et qui est adoptée par 343 voix conbanquet » certaines paroles « sensa- préfets p: 1 vriers de reprendre le travail. Le préfet a d'un . prenaient, de toute urgence, les me- a avantage : celui de vous faciliter l'équili- co tr tre 234. (! pi'omis de les protéger. tionnelles » du général. Nous n'en dirons sures si nécessaires pour amener sur les lieux bre bj du budget et de vous aider à constituer couvertspardes souscriptions; les300,000 fr. M. Berthoulat déclare qu'il ne s'attendait re restant furent souscrits par MM. Pictet et Clermont-Ferrand. — Les grévistes de pas » |la caisse des relailes ouvrières. B< autant de celles prononcées par M. des ^ conflits les troupes protectrices délava Boulaine, ce dernier alors banquier à Bru- pas P! à prendre la parole aujourd'hui. Il sera Sainte-Florine et de Brassac-les-Mines se ,7 liberté des uns et des autres. M. Combes monte à la tribune. Il ne veut xelles. bref. X( » b; sont engagés à permettre l'entretien des Edmond Gérard, car nous savons que «C'était la fin des sanglantes bagarres, 'pas, 'pf dit-il, répondre sur le fond de la propoLa porte du ministère de la marine, dit-il, On sait que M. Boulaine est actuellement puits, que l'eau commence à envahir. 1'. l'honorable président des Sauveteurs et sans s< la lâcheté de ceux qui, a ces troupes, si sition. Il laisse à la Chambre toute liberté à sous qui s'ouvre si difficilement aux Français-, so les verrous. 1' Saint-Etienne.— Les grévistes sont plus j présentes, refusèrent de donner I ce ce sujet. devait-on l'ouvrir aussi facilement à un des Vétérans a la sagesse de ne rien lais- enfin fles ordres — Enfin on signale de Cherbourg, Roche- d ' que jamais décidés à continuer à empêcher d'agir. 01 I Quant à l'urgence que demande M. Ernest ' fo 81 fort, Toulon, Saint-Nazaire, que des bateaux étranger qui n'a aucune valeur scientifià l'improvisation. tout transport, si les compagnies ne dôli- ser « Tous les esprits instruits et impartiaux 't> Roche, le gouvernement ne croit pas qu'une commandés co par l'Etat sont arrêtés dans leur que? Q' vrent pas aux ouvriers, en échange de leurs le constatent : les pouvoirs publics ont . 11 y aurait donc, répétons-le, des ré-. le M. Pictet n'a pas de domicile réel. Il en a question d'une importance telle que la sépa- co construction, sans qu'on puisse obtenir du bons de chauffage, du charbon de bonne g laissé faire, par crainte des violents dont i 01 en Allemagne, en Amérique, en Angleterre. serves à faire sur sa harangue, puisque1 ils }{ recherchent l'appui électoral en flattant ration des Eglises et de l'Etat doive suivre m ministère des instructions définitives.» qualité. S'il a aujourd'hui un domicile réel, c'est * S la filière ordinaire de la méthode parlemen- 1 hardiesses oratoires du général le Decazeville (Aveyron). — Deux coups dei les... » leurs passions et eu attisant leurs haines. ua i * * d. depuis que vous l'avez installé au ministaire. fusil ont été tirés sur un train-conduisant- André ^ t, ne permettent pas de voir unique- d « Bien mieux, nous ferons citer du haut {j M. Combes se demande si la demande j1 M. Ferrette : — La Chambre connaît ca^ tère. des ouvriers au travail. Un ouvrier a été de la tribune parlementaire les noms d'of-' ^, que plusieurs journaux ont raconté. On re-i Si vous aviez pris les renseignements éléd'urgence n'est pas faite uniquement dans ~ ment en lui « le ministre de la guerre ». fi blessé. — Havas. ficiers de notre armée, de fonctionnaires ,„ prochait à M.Pelletan deux ordres de faits : mentaires, vous auriez su que M. Pictet n le but d'embarrasser le ' gouvernement?, g; d'abord d'avoir interrompu la construction eétait dans une situation financière pleine Nous n'y avions pas songé cependant, ddu ministère et de membres du Parlement 'M LA PEViTION DE L'ÉPISCOPAT FRANÇAIS (suite) (Applaudissements à gauche). j( 1 ( , qui, au lieu de leur favoriser l'entrée dans ' de sous marins dont la mise en chantier d , i rôle de critique acerbe, d'échenilleur d'embarras (Bruits à l'extrême gauche). • Le M. Lasies. — C'est un enterrement de aA c mines, ont fait rebrousser chemin à les , avait été décidée par MM. Lockroy et de .Le Figaro publie le texte d'une lettre ^ M. Pictet était une espèce de Pic de la Min première classe. j i do toast est encore plus ridicule qu'anlin Lanessan. l nos camarades a qui le travail seul peut I adressée par Mgr Le Nordez, évoque de .tandole.ll a touché à tout et n'a réussi danss "M. Dejeante, député socialiste, appuie la a! M. Camille Pelletan. — C'est là une ques- rien. 3j Dijon, au chanoine Yon, directeur de la Se- pathique. F Mais, l'Etoile de l'Est n'a pas assurer avec le droit, la possibilité de vivre, ; jdemande d'urgence. Il n'était qualifié en aucune manière ij, Voilà en vérité, la situation qui depuis le de politique générale. Je n'ai accepté p maine religieuse du diocèse de Dijon, aut observé o pour l'honneur exceptionnel que lui a faille I -M. Gcrault-Richard et divers autres dé- tion la mémo réserve que ses con-' début (j, d( vous répondre qu'au sujet de M. Pictet. n de la grève est faite à nos Jaunes de _ de sujet de la pétition de l'épiscopat français f ministre de la marine pjilés socialistes, connus pour leur dévoueFrance. » ' frères. Toute affaire cessante, elle a criF M. Ferrette. — Eh bien ! j'y arrive. On a ÏU Parlement. En 1882, il a écrit une lettre où il accepte ment au ministère, déclarent au contraire ^ dit que le ministre de la marine était en red Mgr Le Nordez, tout en désapprouvantt tiqué l de l'amirauté anglaise de faire les frais pour avec aigreur (et avec, injustice) le La réunion «lu comité national qqu'ils ne voleront pas l'urgence, qui, disent- ja lations avec un étranger pour la construci; la persécution religieuse actuelle, pense que3 i lalfonslruction de son bateau (Applaudissen'a qu'un but, celui de mettre le gou- tj toast porlé par M. Sorel, au nom de la Le comité national des mineurs s'estréuni its, « tion de sous-marins, M. Raoul Pictet, un ments la manifestation de l'épiscopat français, inironiques à l'extrême gauche. n v| vernement dans l'embarras. AI d dans la matinée à Paris, à la Bourse du trarmunicipalité. étranger, qui a une maison en Angleterre et terdite par le Concordat, peut avoir des; > C'est un inventeur qui promène ses in? M. Lasies déclare qu'il votera l'urgence, vail. Les délégués se refusent à toute inlerij en Allemagne. conséquences très dangereuses pour le clerv ventions à travers l'Europe. Il ne vous a On lira ce toast plus loin. Nous nei view v et le secret le plus absolu est gardé rien que la séparation des églises el de l'EOn a même dit qu'il avait mis des dessi- a gé et pour la religion. C'est pourquoi il a1 c apporté aucun plan. Il ne vous a apporté t! s tât ne soit pas près d'être un fait accompli. ■ , sur leur délibération. croyons pas qu'il contienne quoi que ce n refusé de s'y associer. idée. Est-ce une raison pour mettre M. Boulard, radical socialiste, vient dire naleurs et des locaux de l'Etat à sa dispo- qu'une Les membres du comité assisteront, cet ' sition. On dit même d'autres choses plus d L'évêque raconte ensuite dans quelless soit s qui puisse blesser les convenances' aaprès-midi, au Palais-Bourbon, à la discus- .-qu'il des ingénieurs et des locaux à sa disposiy a d'autres projets plus importants à * fq i graves : Pourquoi le ministre a-t-il intro-iti conditions on lui demanda d'apposer sa si-■ et e les habitudes courantes : ; tion ? étudier : notamment l'impôt sur le revenu, jg ssion des interpellations sur la grève géné- é gnature au bas de ce document : L'orateur s'égaie au passage de la diver-' )I duit un étranger au ministère ? Est-il vrai i1 C'est un agent de l'amirauté anglaise. r raie des mineurs. . Ce toast est patriotique, naturellel [ qu'il lui ait confié des secrets importants de •! n Un vieaire général, dit-il, d'un des prélats g gence de vues qui a éclaté, lors du récent j j* 1 (Bruit à l'extrême gauche.) C'est un homme à Signataires vint. le. trouver le 4 octobre aui rment, puisque dédié à une société dontl IDans le iYorri et le l*fis-«le-Calais. g est animé des sentiments les plus antidébat, entre M. Jonnart et M. Aynard, en-"jla ' défense nationale ? (Applaudissements qui sur divers bancs). " ffrançais. On en troupe la preuve dans un ljt\ ilyitHmitt'. t) soir, et lui remit le document, avec prière3 la i devise est : « Oublier, jamais ! » tre te gendre et le beau-père... (Rires.) M. Camille Pelleian, ministre de la mari- n de le lire et de le signer le soir même ou lea mémoire rédigé par lui en allemand ei où Lille. — La situation de la grève n'a pas; ' M. Henri Brisson. — Je ne voterai pas[ ne, à la parole. Ce toast blâme les appréciations de: lendemain matin. ilj dit avec ironie : « Les Français, on le sait, car j'eslime que la proposition de ■ changé. On signale cependant de divers en-. l'urgence, j" a L'évêque lui demanda si le Saint-Père; iZola sur l'armée de 1870, de laquelle le5 droits assez promettre d'aller à Berlin. » M Ernest Roche a surtout pour objet d'em-1 ^ Loin de savoir mauvais gré à M. Ferrette ,1' aiment d une reprise partielle du travail. # " i de sa question, je 1 en remercie, dit-il. -\ avait été consulté, quel était l'auteur duj. souvenir ' Voilà l'homme qui bafoue nos sentiments . , barrasser le cabinet. Arras. — La nuit a été agitée dans le b s planait non moins naturelleCertains scandales ont élé soulevés par i, les plus sacrés. document et aussi quels évêques y avaient M. Brisson annonce ensuite qu'il va débassin du Pas-de-Calais. ment sur 1'assislance. poser deux propositions : l'une sur l'ensei- la ' presse avec les moeurs qu'une partie de C'est une personnalité des plus discutables adhéré. A Auchel, une cartouche de dynamite ai, P cette presse pratique aujourd'hui. (Exclae Le vicaire général répondit par une fini et des plus discutées. Il est étrange qu'on gnement libre, l'autre sur les congrégations. Enfin, ce toast était un appel à l'unioni fait f explosion sur la fenêtre d'un chef de. g : mations ironiques a droite.) \ l'ait installé au ministère de la marine pour MM. Dejeante et Sembat disent qu'ils ont de non recevoir. cchantier. La fenêtre a été mise en mor-'. ( Mgr Le Nordez déclara alorsqu'il lui était,t 'et à la concorde. Ce sont bien là les ex- cceaux et. quelques meubtes ont élé délério-. déposé des hommes de valeur. une proposition sur la séparation de\ j J Le général Jacquey, député nationaliste supplanter s d " i des Landes. — De votre part le mot est pique doivent faire entendre les3 rés impossible d'accepter les conditions qui luii horlalions 1 M. Pelletan a commis là une grosse im; mais il n'y a pas eu d'accident de per-. rl'Eglise et de l'Etat antérieure à celle de M.; |"quant r v étaient faites et qu'il ne pouvait adhérer au1 magistrats , Roche, et réclament la priorité et l'urgence p prudence. (Applaudissomenls à droite et sur sonne. municipaux. s ' . M.Camille Pelletan. — Je tiens à hon- \divers bancs de la gauche. Exclamations à document d'un inconnu, A Carvin, une cartouche de dynamite at en e faveur de leur proposition. neur d'être un vieux journaliste, fils de \ Alors, cette mauvaise humeur de i; l'extrême gauche.) L'évêque de Dijon termine sa lettre en(1 M. Ernest Roche. — J'ai tellement le dé-1, f fait aussi explosion la nuit dernière sur une; " J journaliste, j'ai vu s'écouter dans cette pro- j ! M. Ripert parle dans le même sens que s'affirmant partisan de l'action de l'épisco1 )• l'Etoile? Elle ne peut se motiver que3 fenêtre f de la maison d'un mineur qui a re-. ssir de voir aboutir la séparation des Eglisesf ji i fession toute ma carrière et j'ai le droit de ! jM. Berthoulat, puis M. Pelletan a de noupat, mais il voudrait que cette action fût . [ 1fusé de se mettre en grève. Les dégâts sontt et e de l'Etat que je demande la jonction des5 I rm'étonner de voir s'introduire dans uneU \ par le mot sur Zola, car, malgré l'appui : veau la parole. tout autre. Il la souhaite active et vaillante. ' deux propositions. | purement matériels R t de la presse des mœurs qui ne res-jI On n'a rien répondu, dit-11, aux arguments è parfois prêté par l'Etoile aux détracteurs5 ^ Divers attentats à la dynamite sont égaleM. Lepelletier, député nationaliste de la ! partie J; mais faite plutôt d'actes que d'écrits et de 1 — Les deux propositions diffèrentt i semblent guère à celles de la profession que: (que j'avais apportés à la tribune. On s'est discours. — Havas. ;systématiques de l'armée, le patriotisme3 rment signalés de plusieurs autres points dux Seine, ^ exercée.I borné ) J à apporter sur l'honorable M. Pictet » sur des points essentiels en particulier en j'ai bassin, mais ils n'ont nulle part entraîné s NOUVELLES DIVERSES , Entrant ensuite dans le vif de la question,i !| des § de notre confrère ne lait pas l'ombreB ' ( détails complètement étrangers à la poce qui concerne les biens de main-morte. , ^ d'accident. jj • M. Pelletan dit qu'il n'a eu à supprimer au<} ■ litique de la France. Marseille. — Le conseil général, aprèss <d'un doute. demandons donc un vote distinct sur t M Courrières, trois coups de feu ont élé3 Nous I cun des sous-marins mis en chantier par Je n'ai donc rien à répondre. Je m'en avoir affirmé ses sympathies à l'égard de ■ Il en résulte que Zola serait sacré de-i- itirés dans la direction de la fosse n° 5, oùt 1les deux propositions. M. Lockroy. Ils sont achevés, dit-il, ou | l'armée de la République, a rétabli les sub' tiens aux explications que j'ai données et je M. Réveillaud demande la nomination travaillent quelques mineurs. 1 * près de l'être. 1 « l'Affaire », que ce serait un crimee ventions accordées aux divers cercles dess puis ] à la Chambre de régler cet inci( A Maries, la maison d'un non gréviste a\ <d'une commission de trente-trois membres^ . Je n'ai interrompu ni ne veux interrom- ,demande officiers des garnisons du déparlement. ,de discuter sa littérature ? Singulièree iélé assiégée par les grévistes. Les fenêtress à laquelle seraient renvoyées toutes les dent par l'ordre du jour pur et simple. (ApLe Caire. — Trois nouveaux cas de chopropositions relatives à la séparation des »pre, continue le ministre, la construction iplaudissements à l'extrême gauche.) ( été brisées à coups de pierre. j* inconséquence, on en conviendra, chezz ont d'aucun sous-marin prévu au budget de, léra ont été constatés au Caire, 12 à Alexan' i M. Boutard. — Nous venons d'entendre Eglises et de l'Etat. , , drie et 91 pour toute l'Egypte. — Havas. les apôtres de la pensée libre. Dans le Centre et le Midi orateurs très éloquents parler de choses M. Lasies. — Ce sera l'enterrement de ces £1902. J'ai recommandé, au contraire, aux: des arsenaux d'en hâter la construction. J'ai re-■ ,qu'ils ne connaissaient nullement. (Rires).. . propositions. \ gj Ce serait un comble. Saint-Etienne. — Une détente semblee * M.Jaurès. — La Chambre a décidé d'a- fusé seulement de faire exécuter quelques-■ i| Moi qui me suis occupé un peu de chimie, l" uns des sous-marins de M. Laubeuf. se produire parmi les mineurs. Sur diverss journer après les interpellations sur les niiI je puis dire que Raoul Pictet est un grand Décidément il y a beaucoup d'« hommes d'affaiQue s'esl-il passé entre M. Pictet et moi?? |savant. La science n'a pas de patrie, points, on signale que des grévistes mani- îieurs la discussion sur les grandes commisres » dans le clergé, à celte h«ure : M. Pictet est un savant universellement! festent le désir de reprendre le travail. i | En cette affaire, il s'agit de savoir si le L'agence Paris-Nouvelles raconte l'arrestation sions. On devrait donc ajourner le vote sur connu. Si j'avais refusé l'invention qu'il me5 ! ministre a le droit d'acheter une invention Alain (Gard). — A Rochehelle, il y a jla proposition de M. Réveillaud. d'uu ancien missionnaire, l'abbé Bertrand. Il avait j proposait, tous ceux qui ont entamé contre5 jdestinée à assurer la sécurité de la France. moins de grévistes. ouvert à Paris, notamment dans le 18e arrondissePar 237 voix contre 219, la Chambre ref moi une lutte acharnée me l'eussent, repro-- , Ce droit il l'a. Aussi voterai-je l'ordre du D'après quelques ouvriers, une détente se j ment, plusieurs dépôts de vins. Il y plaçait des f fusela priorité à la proposition de M. De- j ché avec plus de raison, sinon avec plus dej 5 i jour pur et simple. produirait si les travailleurs étaient proté- > gérants qui devaient, tout d'abord, verser un cauJ 1Ô violence. gés contre les grévistes. La clôture est prononcée. M À. Reille (Droite), dit qu'il votera contionnement entre 1,000 et 2,000 fr. On a raconté dans les journaux une fable3 l~ tre l'urgence de la proposition de M. Ernest Hier, après-midi, les grévistes distriPlusieurs ordres du jour sont déposés. Seulement, le vin qu'il vendait, l'abbé ne l'avait ( î ridicule: mon chef de cabinet aurait mis M. Paul Lanoir, secrétaire de la Bourse se huaient aux soldats des papiers sous formee -Roche, car, ajoute-t-il, un projet aussi im5 M. Bertrand. — Je ne conteste pas du pas payé à ses fournisseurs. En outre, il acceptait demeure M. Laubeuf de livrer ses plans3 tout le patriotisme du ministre de la marile de bulletins portant : « Soldats, ne lirez pass jportant devrait émaner de l'initiative gou- en parfois, pour un seul dépôt, trois ou quatre gé- indépendante du travail (Jaunes), publie une . 1 à M. Pictet; M. Laubeuf a démenti parf ne; mais je constate que demain il y aura e a- sur vos frères de misère, rappelez-vous le rants. Ceux-ci ayant versé leur cautionnement déclaration dont nous extrayons ces passavernemcnlale. \ télégrammes ce récit qui se dément• dans le pays une certaine inquiétude. (Récolonel de Saint-Remy » ne pouvaient entrer en possession de leur emplai. ges : M. Cunéo d'Ornano votera 1 urgence parce deux lui-même. « J'affirme que dans la proportion de le II y a, disséminés dans le bassin houiller , clamalions à l'extrême gauche.) Aussi les plaintes affluaient-elles au parquet 'r qu'à son avis le Concordat est devenu un ™ , Les plans de M. Lau'ieuf sont au minisit du Gard, 1,800 hommes de troupe, M. Gérault-Richard. — La France est contre l'ecclésiastique. A l'archevêché, où se ren- 170,000 sur 221,000, les mineurs sont instrument de discorde. Il votera aussi plus tère de la marine, je n'avais qu'à les comopposés à l'application du principe de la Cransac (Aveyron). — Ce matin, on a tard pour la dénonciation du Concordat. ■ moins bête que ça. seignaient les dupes de l'abbe Bertrand, on leur , muniquer à M. Pictet. J'eusse, il est vrai, grève générale ; la preuve mathématique de le constaté i\»e reprise assez sensible du tral" > M. Bertrand. — Et c'est pour cela que répondait qu'il n'appartenait plus au diocèse. M. Maujan demande à la Chambre de ; j simplement fait œuvre de trahison. Je prie3 nous demandons à la Chambre d'inviter le /& vail. L'abbé Bertrand a été arrêté dimanche II n'a la véracité de cette affirmation, on la trouve voter la priorité pour la proposition de M. ' la Chambre de ne m'en pas croire capable.• ministre à ne plus mettre de locaux à la dans le dernier référendum qui a donné té Campagnac (Tarn). — Il y a eu, ce maopposé aucune résistance. *~ Réveillaud La proposition de M. Roche, ' (Applaudissements à l'extrême gauche.) 42.O0O voix pour, sur 8S,000 syndix dit-il, n'est qu'une manœuvre politique. li- lin. 310 entrées de grévistes, dont 133 aux disposition d'étrangers. (Applaudissements . On a dit alors: « Vous avez installé M.• au centre et à droite. — Bruit à l'extrême o- aciéries de France. A l'occasion du récent voyage de M. Loubet à qués Rouges, et, 221.000 mineurs. La majoM. ErnesllRoche. — Tous mes actes ont .p Pictet dans un cabinet spécial au centre du I rité des syndiqués Rouges, soit 54 0[0, refuuBesscges (Gard). — La rentrée des ouValence, notre confrère, M. Charles Legiand, digauche.) Y toujours éfFconformes à mes principes de ie vriers mineurs qui couchent depuis quel- libre-penseur. En déposant ma proposition, ministère de la marine. » recteur du Journal de Valence, a été nommé sent donc, eux-mêmes, d'entrer dans la voie L'ordre du jour pur et simple est adopté ',' M. Jaurès : La nuit ! (Rires.) sur laquelle les meneurs veulent les cona :i- ques jours dans les locaux de la compachevalier de la Légion d'honneur. , par 336 voix contre 211. (Applaudissements " j'ai agi avec sincérité et indépendance. Perduire ! M Pelleian. — Voici la vérité : J'ai mis à a gnie, afin de ne pas être inquiétés par les a l'extrême-gauche.) f sonne n'a le droit d'en douter. la disposition de M. Pictet un cabinet danss Une soixantaine de jeunes gens Marliniquais, « Nous, les adversaires d'une action vio;1" la* grévistes, a donne lieu hier à divers inciUne interpellation de M. Selle est jointe à Par 285 voix contre 179. la Chambre ree " un immeuble de la marine, rue de l'TJni-l réfugiés en France à la suite des récents désas- lente que nous considérons comme ne pouu- dents. " celle sur les grèves, ainsi qu'une autre de fuse l'urgence à la proposition de M. Ernestt versitc; il n'y a dans cet immeuble rienII M. Dejeante sur le même objet. vant servir que les industries étrangères au tres, viennent d'être admis gratuitement dans ni De nombreux grévistes, massés devant \l Roche. ...:-< qui aurait pu servir à M. Pictet. lycées et collèges, en attendant le jour procham détriment de nos industries nationales, dele- les portes, ont essayé de se jeter sur les ouLa séance est levée. Séance mardi. -1" M Lasies. — A bas la calotte ! A ^Kl L , Pourquoi ai-je accueilli la demande de où le ministre de l'instruction publique deman- vons-nous en subir les conséquences terrix rl- vriers à leur sortie pour se rendre aux Par 290 voix contre 254,M proposition de :^ M. Pictet? Parce que j'ai le devoir impédera au Parlement les crédits néeetsaires pour bles pour nos foyers familiaux, parce qu'il 'il puits. Les gendarmes sont intervenus; quel- M. Réveillaud est adoptée. Elle tend, comme l'institution de bourses régulières dont bénéficie- plaît à une minorité infime mais turbulente ç rieux de ne rien négliger pour arriver à le le ques-uns d'entre eux ont reçu des coups de on t'a vu, à renvoyer à une grande commisront ces jeunes gens. de nous l'imposer ? . perfectionner notre armement maritime, pierre. Deux grévistes ont été arrêtés. — — sion toutes les propositions de séparation M Demagny, conseiller d'Elat, est mort « Qu'eut-on dit de nous, dans le monde du pour le rendre supérieur à celui des autres dans la matinée. — Havas. Le» charbonniers de» ports des Eglises etfle l'Etat, HUne centenaire, Mme veuve Langelier, est dé- travail, si nous eussions courbé notre front, nations, pour favoriser les progrès scienticédée chez sa fille, à Granville. Elle était née le lésé nos intérêts et abandonné « notre droit îù Marseille. — Le syndicat des charbon(M. Emile Demagny succombe à la fleur ilL,a réquisition «les troupes fiques. • j niers du port de Marseille vient d'écrire à 21 janvier 1800, à Saint-Pierre-Langers. |»a«- l'autorité civile Il ne faut pas confier exclusivement la de l'âge. Né en 185G, il avait donc à peine sacré au travail»,sous la menace des agents M. Combes pour le prévenir que la Fédéra:î" de la grévicullure ? je recherche des sous-marins à des personna- 46 ans. Depuis quelques années, il jouait Le lieutenant-colonel Roussel, député de Le roi des Belges, ayant terminé sa cure, a lion des ports et des fleuves de France, rôu ges à deux ou trois galons. (Applaudisse- un rôle considérable dans la coulisse politi« Nous ne nions pas à nos camarades es ' Verdun, a déposé la proposition suivante, e quitté définitivement Luchon, pour se rendre à rouges le droit de se croiser les bras auj pondant à l'appel de solidarité des mineurs, i ments à l'extrême gauche). ^ qu'il avait été chargé par le groupe natio0 Biarritz. a décidé d'arrêter le travail dans tous les! M. Reille. — Vous devriez leur rendre que. Il a été chef de cabinet de plusieurs milieu de travailler, et d'inutiliser, pour un laps D ^ naliste d'élaborer : \r, ports, à moins que les revendications des nistres. Il était commandeur de la Légion de temps plus ou moins long, leur capital f * Aaticle 1"'. — Le droit de réquisition des es hommage. (Applaudissements adroite.) Le fameux brigand italien Musolino est à l'ago- humain. C'est parce que nous respectons ' mineurs ne reçoivent une solution favora. M. Pelletan. — Je n'entends pas les ex- d'honneur. troupes par l'autorité civile ne peut s'exersr nie. Il est en proie à une fièvre violente. . ble à bref délai. — Havas. cs clure, mais les portes du ministère doivent ce droit que nous entendons faire respecter x cer qu'après un décret rendu en conseil des Il fut le secrétaire général de M. WalDurant ses accès de délire, il crache à la figure le noire. ministres. Il ne peut être délégué à une au♦ u. être largement ouvertes au progrès. Voilà deck-Rousseau, durant ces trois dernières de tous ceux qui s'approchent de lui, hurle et se «Que l'on me cile un seul fait de nos Jauma politique. (Applaudissements à l'extrêtorité civile nommément désignée que par ar démène d'une manière terrible. Une prostration nes ayant organisé des patrouilles armées années, au ministère de l'intérieur et à la me gauche.) ' un arrêté du président du conseil. suit en général ces attaques. Le médecin de la pri- pour s'exposer à l'exercice du droit de grève On me dit que M. Pictet est un étranger. présidence du conseil. I Art. 2. — La présente loi ne change rien 3n son et deux gardes-malades le surveillent nuit et des Rouges ? Le budget de 1003 M aux dispositions de l'article 5 de la loi du 22 Quelle est la nation qui a jamais refusé les jour, A l'époque où le conseil de la Légion Le projet de budget pour l'exercice 1903 M « Or, qui niera que les Rouges s'opposent, S|. inventions des inventeurs étrangers ? juillet 1879 visant les pouvoirs des présid'honneur fut partiellement renouvelé, l'an a élé distribué à la Chambre, lundi. par des patrouilles armées, circulant de jour iu Toute cette question est absolument rididents des deux Chambres ni à celles du L« trust do la viande a été enregistré à Trenton, et de nuit, sous l'œil bienveillant de là pouledernier, M. Demagny y entra.) Le bureau de la gau»-îse radicale 5), c te Code d'instruction criminelle (art. 9 et. 25), flans le New-Jersey, sous le nom d' «United Statos lice, au libre exercice, pour les Jaunes, de La gauche radicale a renouvelé son buu- non plus qu'aux pouvoirs spéciaux conférés v és Incident Packing Company ». Le capital autorisé est d'un leur droit au travail ! reau, qui est ainsi composé : président, M. I. par les lois et règlements en vigueur aux ax M. Lockroy. — L'amiral Marquer, dont Le ministre de la guerre a décidé que le nommillion de dollars, il sera probablement porté à « L'armée du désordre est allée plus loin Sarrien ; vice présidents, MM. Chapuis et huissiers el aux agents des douanes, des es personne ne suspecte le patriotisme, a dû bre d'engagements volontaires de trois an» attri800 millions de dollars, c'est-à-dire i 2,500,000,000 encore dans sou action révolutionnaire et Ruau: questeur, M. Chandioux; secrétaiti- eaux et forêts, des postes et de la régie. » vousj>révenir qu'il existait au ministère un bué à chaque corps ou fraction da corps par la fle françS, tyrannique. Elle vient d'embaucher, pour res, MM. Lanet, Morlot, Noulens, Couyba. x. Le lieutenant-colonel Roussel demande de dossier très grave coulr© M. Pictet. (Long circulaire du 17 septembre dernier serait doublé -H 1 1 1 UN COMBLE! i 1 Saint-Zola? « g i - f l g i ip \k S Une déclaration des Jaunes MORT DE M. DEMAGNY Nouvelles parlementaires EST REPUBLICAIN Hardi U Octobre^1902 chaudronnier, faubourg Stanislas. 45 bis, de Pagtny-sur-Moselle char Ecolo d'agriculture de Saulxn La confiante enfant accepta et le même Dépêche météorologique I droit à Dompaire (Vosges), et Marie-Antoi- res sur MoMelotte. — M. Joseph Poi La gendarmerie a expulsé du territoire le droi soir, la bague était engagée « chez ma tan. 769 Cherbourg, 767 Perpignan. Dêpres- soi sieur Nicolas Drouot, âgé de 66 ans, ma- nette nelt< Weber, cuisinière, faubourg Stanislas, rot, maître surveillant chargé de cours î su lc * contre la somme de 6 francs. sion Iles-Britanniques. Baisse : 9 Shields, 3 île j 45 bis. — Auguste-Nicolas Chapizot, journa- l'école pratique d'agricull tire de Saulxurcs condamné libéré, sujet allemand. b Le lendemain du dépôt au mont de piété, nceuvre, ne I ICI* rue de Mirecourt, 35, et Françoise-Dê- sur-Moselotle, a éle nommé, en la mêmà lier, DE NOTRE PRÉCÉDENTE ÉDITION Brest. t, ., < le igrenier du logeur commença à être mis Probable : vent des réglons Ouest, faible "j « sirce Siré'{ Blanpoil, chaussonnière, route de Mi- Aialilé, à l'école pralique dTagriculture àn Paris, 20 octobre, » h. soir. _____ ou modéré, nuageux, averses, temps doux. en. coupe réglée Tout le linge que l'on y 25, avant à Ligny (Meuse). — Nico- Ncubourg (Euro), en remplacement de M Dimanche, vers six heures du soir, un recourt, reco déposait so mit à disparaître comme par en. las Bastian, camionneur, rue Jeanne d'Arc, Jouans, non acceptant. forain était installé, place Léopold, à Luné jas i UNE COLOSSALE ESCROQUERIE {suite) Ouest violent puy de Dôme, Ouest-Nord- " chantement, ce fut une vrjde fugue de bas, fo Julie-Victorine Cuny, lingère, rue Ouest faible pic du Midi. ' M. Marc-Lcon Husson, diplômé des ètMÊm il vendait des « bijoux surprises» 81, et ' de vi de chemises, de pantalons, de mouchoirs, ville; dans une petite boîte éclairée par -JJeanne-d'Are, 81. — Jules-Auguste Lange, Ératlques et des écoles nationales d'agiT^ui! (Voir aax Faiis divers, page 3) qui attendaient le jour de la lessive. Puis contenus co A 1 ïîlysée qu à Haraucourt (M.-el-M.), et Julie- lire, a ete nomme mailre surveillant char Parmi les personnes reçues lundi à l'Ely- vint des » _,. maçon, , x le tour des bol Unes, etc. d£ bougies. Le parquet de Versailles s'est transporte ,P vii Joséphine Lalante, cuisinière, rue de Stras- ge de cours, à l'école pratique d'agricuNura A un moment donné, trois individus, Fie- José On ne soupçonnait pas encore Joséphine sée par le président de la République, on < ce malin à.Biaige (Seiwe-el-Oise), .dans l'es- see Boeglé, 22 ans, journalier, et deux de bourg, «oui 29. remarque le nouveau commandant du 20e Brunner, j}, de Saulxures, en remplacement de M Poi. lorsque la jeune servante ayant déric dt poir d'y arrêter le chanoine Rosemberg, *•» ' Ui ses camarades, vinrent, sans motif, cherCi Ch;>rlos-Eug&uc-Eloi Caslan. capitaine, rot. corps, le général Michal, et M. Gasquet, , pressé celte dernière de lui rendre sa bague, se compromis dans l'escroquerie commise par çorj pr cher noise auforain, lui bousculant sa boite, domicilié dom à Nancy, et Hélène-Blanche Viancien recteur de l'Académie, directeur de apprit, qu'elle lavait portée « chez ma à ap le-banquier Mallevai et consorts au préju- anc Xertigny. — On télégraphie de Toulon lui ron, sans profession, à Malzéville. — Henriprimaire. tai tante ». lu éteignant ses bougies. dice de 1» dame Civet, mais, lorsquil est l'enseignement ton Le marchand; nommé Jules Séty:i 30 ans, Alljc Albert Viard, boaiielior à Troyes (Aube), que Régina Mélinc, qui a été mise, il y a Elle ne comprit, pas: arrivé, Rosemoefg était parti, emmenant E Echo du baiii:'i<'( deH vétérans avant à Nancy, et Caroline Noesser, blaii deux jours, en état d'aiTestalion à la suite d'Angoulême, prit le paru d* se ayat — chez ma tante? inferrogea-t-elle un originaire ôi avec lui ses deux fillettes. — Havas. «le A"a an; et de regagner l'auberge dp M. Dit- chisseuse, clos impasse Raison, 5. — Louis Mo- du meurtre de son amant, Maurice Arnaud peu déconcertée Mais je n'ai pas ici de retirer rc TIRAGE FINANCIER ^ 15, place Saint-Jacques, ou il était riait rlau, chapelier, rue Granclvillc, 3, domicilié membre du conseil d'administration de li Voici le texte complet du toast porlé di- tante. lai C'est, sans doute chez la tienne tante rand, n IV1' au nom de la municipalité, par qu â Molenbeck Saiul-Jean (Belgique), et Jean- Bourse du travail, a avoué qu'elle avait agi que tu veux dire ? d( descendu Voici Me résultat du tirage des obligations manche, ma M Sorel, adjoint, au banquet, des vétérans Pour cela, Sôty suivit les rues des Capune-J Emue sans doute d'une telle candeur, la ne-Julie Huliger. taillouse, faubourg des avec intention. de la vil&fc de Pari» (emprunt 1871); iM. Arnaud, qui était également conseiller de Nancjî, toast auquel il est fait allusion vo elfiS du I'uifs-Contcnt et s'engagea dans la Troi voleuse avoua que le bijou était au « clou », ci Le numéro 93&£46 gagne 100.000 fr. Trois-Maisons, 49. — Léon Bigorne, emdans c'esl-à-dire c'e au monl-de-piété. Elle ajouta en ruelle ri Saint-Georges, donnant sur le der- ployé ploy de commerce, rue des Carmes, 1, prud'homme,préparai(. sa candidature en vue -Le numéro 787,719 gagne 50.000 fr. dai notre article de tête : rière de l'auberge Durand. venl JLe numéro 857,922 gagne 50,000 fr. E riant: ri veuf de Caroline-Louise Jacquot. et Marie des élections législatives dé 1906. En demandant à la municipalité de vouloir bien ru Les trois agresseurs ne le lâchèrent pas, Joséphine Josc — Apprends donc « qu'aller au mont-deBerné, journalière à Nancy, Les dix numéros suivants gagnent cha- prendre frei part à votre fête annuelle, vous avez enten&aint-ï>ié. — Il circule en ce moment du associer en elle la population nancéienne t pu d'injures. Sôty, suf le point de Veuve veu' de Marie-Léon-Henri'Jcanmichel. — dans les quartiers de la rive gauche un« piélé ».ça ne se dit plus. On se feraitf...iche l'accablant n cm 10,000 fr.: ; C'est donc comme représentant de noire char- de (g soi On dit simplement : « Je vais chez renlrer dans l'auberge, défia les trois gar- Paul Pau Vibrolte, cordonnier, rue Sl-Mictiel, 8, pé! i tion, dont voici le texte, et qui sera 38 19» 2-15 886 578.545 668 928 1.058.421 G r< ( mante cité'et de sou Conseil municipal, que jo dois m; 97.312 556.741 634.783 771.560 1.272.482 mai nements et fit le moulinet avec sa boîte sus- avant avai soldat, rtu 39e régiment d'artillerie, à sous peu de jours remise à M le maire et ma lanle. » n l'honneur de votre aimable invitation, dont je sens — Tout cela ne me rend pas ma bague ! pendue p, à une lanière de cuir. Ecrouves Ècn (M.-et M.), et Jeanne Demetz, tis- à MM. les conseillers municipaux de SaintWAGON-POSTE CAMBRIOLÉ ton" tout le prix et l'attention délicate qui vous a ^ répliqua la volée en se fâchant. Et elle se La boîte vint atteindre à la lête l'un des serande sera à Vandœuvre (M.-etM.) ——————gu [, Diô : uUM -titre que vous avez donne. a• votre Soewto ■ Lwd .. rendit re immédiatement au commissariat, où jeunes jr gens, aussitôt Boeglê tira son couBendaye (Basses-Pyrenées). — Un vol 8 De L « Les soussignés, commerçants et proelle déposa une plainte. u important de dépêches a eu lieu, la nuit der- « Les L Vétérans des armées de terre et de mer 1870- ell teau et se précipita sur le forain qu'il frappriétaires, ont l'honneur d'appeler votre Cj Cie d'Assurances Générales sur la Vie 71 » évoque biei> des souvenirs tristes et doulouOn arrêta aussitôt Joséphine Brunner, p niére, dans le train Bordeaux-Irun. Quinze 71 « pa à l'omoplate gauche. Sôty tomba, les attention sur la question ci-après : Rentes vimg-ercs, — mixtes — dotales r«<> à la fois, qui nous rappellent notre chère pa- qu qui avoua tous les vols. Une partie du lui- aagresseurs s'enfuirent, au plus vile: sacs destinés à l'Amérique du Sud ont été reux Comme conséquence de l'embellissement trie déchirée et meurtrie, obligée d'abandonner y U ]e M M. Simon, 38, rue Gambetta, Henseig. gratuits r lin, enfermée dans une valise, a disparu. lie ôvenlrés. Tous les chargements ont. disparu. On transporta le malheureux blessé à de la place Saint-Martin, de la rue d'Alsace, aux mains du vainqueur ce beau pays d'Alsace- ve La constatation du vol a eu lieu en gare Lorraine, £0J a èlé retrouvé. Quant à la voleuse, l'hôpital. r La lame du couteau était restée rue d'Hellieule et rue Gambetla les immeuqui nous touche de si près qu'il fait, resle „ elle a été écrouée. d d'Iran, au. moment de la livraison des sacs po<l dans la plaie, M. le docteur Paulin l'en re« pour ainsi dire, partie de nous-mêmes. bles ayant augmenté de valeur dans ds par la poste française à la poste espagnole. ' Et E cela... wel-ïré les plus héroïques efforts de lira. L'étalée Séty est très grave. S'il en v grandes proportions, les loyers des comCar et voiture nos vaillants soidats qui ne succombèrent qu'écra— Havas réchappe, iPreslera paralysé du bras gaug merçants ont été doublés ainsi que les paLundi, à qualre heures de l'après-midi, ' sés par le nombre. che ^ tentes. Par suite d'une habitude trop rouLES GÉNÉRAUX BOEBS ET GUILLAUME II +% Je n'ai pas la prétention de faire l'histoire de un ui car électrique de la ligne de PrôvilleLa police de Lunéville IrThimédiatement tmg tinière, le marché et les fêles (même celle cette époque douloureuse, qui blessa si cruelle- JSaint-Max Sa HÉÂTRE MUNICIPAL DIS NANflv. — Spectacle a pris en écharpe faubourg StOn sait que les généraux boers viennent ^ mardi 21 octobie. ment notre amour-propre national ; mais je dois 'Georges, Gi près le pont du canal, une voilure ouvert une enquête pour retrouver les cou- | du Tournée Ch. Ba- de ia Saint-Martin) se passent en dehors de de quitter Berlin, sans avoir vu GuillaumeII. dire-, ,. furent découverts, lundi ret : Loute. comôdie-vaudeville en 4 actes, ce nouveau centre, nous plaçant ainsi dans da di ( cependant, que les- ju-gementS les plus sévères: dans laquelle se trouvaient deux cultiva- pables qui De l'article publié par le Journal des De- de l'étranger i nous furent moins humiliants et sur- (g matin, à six heures, au domicile de l'un de ,]e Pierre Véber. — Bureaux, 7 h. 1[2. Ri- des conditions de déshérités et nous metleurs. r tout moins funestes que celui qu'osa porter sur bats sur le séjour des illustres soldats à tou d'eux, rue Traversière. On ne tarda pas à deau, ^a 8 h. tant dans une position par trop inférieure à Le car a ét£ peu endommagé, mais la , nous l'auteur de « la Débâcle ». Berlin, nous extrayons ces passages : noi nettement que le coup de couteau nos collègues, nos voisins, qui sont réputés v 1 a été mise hors d'usage. Les deux établir . ^ « Les polémiques et les publications de <Ce sont toutes ces causes, bien certainement, ■voiture avait élé porlé par Boeglé. habiter la ville. (Nous avons pourtant les qui se trouvaient assis sur le qui ont amené vos sentiments patriotiques à vou- voyageurs »« communiqués officieux se poursuivaient 3™ I j Cet individu a de fort mauvais antécémômes charges qu'eux.) loir pour devise ces deux mots bien significatifs siège Slt n'ont eu aucun mal. encore au sujet du projet avorté d'une au- qui f dents, il a déjà subi plusieurs condamnaNotre pétition a donc pour but de desont inscrits sur vos armes et que Vous avez Sursis mal placé dience entre Guillaume II et les généraux sûrement ^ûr tions. Ses camarades ne seront probable„ aussi profondément gravés dans vos mander la répartilion plus équitable des Les foires de la Alettse. — Tableau ! boers, lorsque ceux-ci sont arrivés à Ber- cm ment poursuivis que pour tapage scanda- . ' cœurs: « Oublier... Jamais ! * « ,Lundi dans la soirée, la police a procédé n des foires qui se tiendront dans la Meuse £places du marché en niellant sur la place ' à l'arrestation, pour tentative de vol et port leux. i< Cependant, bien que ces sentiments patriotiquesF ai fin. <Saint Martin, jusqu'à la rue d'Alsace et la pendant le mois tic-novembre 1902 : "i innés en nous, nous devons reconnaître que: d d'arme ; prohibé, de Arthur Daudés, 17 ans, « i reste bien établi que la première soient soit partie de la place faisant face à la rue b<»nijevin g Bar le-Duc. le 3. — Billy-les-Mangiennes, 1 c'est au régiment qu'ils se sont développés et for- demeurant de en garni chez M. Tavard, logeur, idée d'une audience entre l'empereur et. les *f Sous le poids des récoltes, un grenier s'est le ic 4. | — Vuucouleiirs, le 4. — Stenay, le 4 d'Hellieule, les marchands de denrées aliuu< : par l'instruction militaire que nous y avons1 Gl Grande-Rue, 96. généraux boers est venue du côté allemand, tifiés r effondré dans la nuit de ;,amedi à diman- |j<« par l'esprit de discipline et d'abnégation (1"' mardi). — Ligny, le 6 (veille du l«r ven- mentaires. Daudés, qui a été condamné tout récem- , en sorte qu'on peut dire qu'il y a eu invita- reçue, "g qui y régne, et par le culte de la patrie et l'amour m J che, au domicile dos époux .lacquol-Ghaton. dredi). — Revigny, le 6. — Bar-le-Duc, le , Cette répartition aurait le double résultat ' nient par le tribunal correctionnel à deux tion adressée aux généraux, sinon directe- j du „, u drapeau qu'où y enseigne. Une vache a eu les reins cassés par la fn 7 (1er vendredi). — Demange-aux-Eaux, le 8. de dégager la circulation de la rue Thiers ment, par l'empereur, du moins indirecteo Oui, Messieurs, c'est bien à ce contact que ces, mois de prison, avec sursis, n"a réellement c chute d'une pouli e et a dû êive abattue. _ Sâuviguy, ; — le, 8. — bamvtllers, ie 10. — 61 de donner à l'entrée de la ville, les jours \ pas de chance, car il va lui falloir tout ment, par son gouvernement. «m sentiments se sont imprégnés en nous, comme le P; Ci s d'abord purger cette condamnation. Verdun, fefë - Sorcy, le 15. — Stainville, \de marché, un aspect plus seyant et plus baume qui guérit les blessures et sont demeurés U ! Hcrtrambol* ^ «... Nous continuons d'estimer qu'on a ban qu'actuellement. vivaces pour nous faire éprouver le besoin — SLitiay, le 15. — Vavincourt, le 17 animé ' Nous apprenons i[ue M. Ferry, instituteur le 15. 1 commis une maladresse à Berlin. Ce n'est assez ^ss Nous réclamons aussi énergiquement de nous grouper autour de ce Drapeau des » VétéA côté de son grand choix de confections là à Saint-Sauveur, vient d'êlre nommé insti- (3e lundi). — Gondrecourt, le 20. — Dun, le que les attractions de la fête de la SainEpas, comme nous le disions l'autre jour, que «e rans des armoes de. terre et de mer », que nous1 e| à BcrtramUois. 22. — Cleriiiont-en-Argonne, le 25. 1 et tissus haule nouveauté pour vêtements,3■ tuteur t nous blâmions le gouvernement allemand saurions ^" encore défendre énergiquement, si l'honMarlin, soient uniquement placées dansle M. Ferry était très apprécié à Saint San < la maison Gillet-Lal'ond possède un assorlide n'avoir voulu recevoir les généraux boers nCT Const-ii de Prud'homal'* de Mar- ffaubourg, puisque c'est la fêle du fauneur nous en faisait un devoir. ' v Nul doute qu'il n'en soit de même à le-9>u«. leque sur la demande et la présentation de çQuand on a le bonheur d'appartenir à un pays( ment, complet de chapeaux, chemises, cols, veut*. — Renouvellement partiel. — bourg. 1 . .* Eic cravates, parapluies, etc. IBertrambois. l'ambassadeur d'Angleterre. Ce scrupule comme con le nôtre : aussi riche par sa situation topo-. Cl Election du 19 octobre 1902: Espérant que notre pétition sera prise eu re ■ que par la nature même de son sol ; était naturel el légitime. Mais, puisque ces graphique gra Patrons. — l série, 1" catégorie. — MM. ssérieuse considération, nous avons l'hon! DCisipoîsoaaicment d'enfants I , tffenus faits Aussi fertile, entre les mains d'hommes laborieux 61 généraux ne manifestaient pas le âésir A Philogène-Albert et Morisot Emile- neur, | ps»r la !>,-l!a<loiic 1Pernet etc. » 6t 'économes, comme le sont tous nos braves cam Mardi, vers une heure du malin, la d'être reçus, c'était faire preuve à la fois et François, élùs: Dimanche après-midi, des enfant.sdeJœuf, ^ i pagnards ; p( re série, 2" calôgorie. — MM. Meurtre — Voici des détails sur le de légèreté et de peu de générosité que de Pâ-Aussi fécond par son industrie et son commerce, police a-dressé procès-verbal contre une dePatrons. — l m,* n| douzaine de jeunes drôles qui ont occa- .appartenant à des familles italiennes, étaient Thirion leur proposer une audience, en y mettant do 'r fessor et la prospérité sont l'apanage, des; mi Edouard - Joseph - Marie et HotT meurtre de Taintrux, dont nous avons pardont j , allés se promener dans les bois a voisinant À g lé hier : • ? sionné. dans la partie supérieure de la rue , d'avance une condition humiliante pour merveilleuses : Georges-Jacques Charles, élus. qualités de génie et de l'amour du \ me la localité, et où ils m'angèrent de la bellaJ de la Hache, un vacarme infernal qui trou- J Théodore Jacquel revenait de la scierie eux. C'était les placer dans une situation tra travail, inhérents à notre race, r Ouvriers. — 1" série, lre catégorie.—MM. done, en pleine maturité en cette saison, j-, ^ On 01 longuemenlle sommeil des gens habttrès fausse, et les obliger' dams te cas où ils; ( peut dire qu'une natton ainsi privilégiéei bla Duchatel Victor Joseph et Gérard Charles, 1Bacchus, des Rouges-Eaux, conduisant un [poison très violent, comme chacun sait. |vr jouirait, nos seulement, d'un bien-être incalcula-. tant ta 1chariot chargé d'écaillés de bois. ce quartier. * refuseraient celte condition, de blesser en j°n élus. J ble mais serait invincible, si l'union et la concordes e série, 2* catégorie. — MM. — Dans ia soirée de lundi, la police a1 , Lundi malin, à 7 heui'es, les petites Anna Dans un débit, il rencontra deux jeunes même temps Guillaume II et. Edouard VII. ble, Ouvriers. — l' rr. d filles qui, dirent-elles, se dirigeaient sur dressé procès-verbal pour coups et blessu- Galon, 8 ans, et Joséphine Moutarini, 4ans, Kieffer « Quoiqu'il ne soit pas douteux que l'ac- y *régnaient toujours. Eugène et Noël Victor, élus. ' \ expiraient dans d'atroces souffrances. . ' C'est à l'affermissement de ces principes, que je' r( Saint-Diô. Jacquel leur proposa de faire cueil très chaleureux fait aux généraux■ vous , prie d'unir tous vos efforts. En apportant res sur M. Edouard François, employé de vo Théâtre asuuic>s>al de ïïar. — j Le jeune Galon, frère de la première vie' C( roule avec lui, ce à quoi elles con sentirent. boers à Berlin ne s'adressât surtout à eux-' toute votre énergie pour atteindre ce but, vousJ commerce, conlre Charles Bertrand,21 ans,'j ■lime,qui ;ivait,lui aussi,mangé de la beila- Tournée tolj falbot. — Mardi prochain 21 To Au plus ôp»is de la forêt du Haut-Jacques, cordonnier, demeurant, ainsi que le plaimêmes, il n'est pas téméraire de supposer" aui aurez bien mérité de la Patrie ! octobre, M. Talbol, sociétaire de la Corné- les j ' I doue, a vomi à temps et a pu être sauvé ; oct trois voyageurs rencontrèrent deux jeuà Malzéville. qu'il y avait; dans cet enthousiasme, quel( C'est à l'union de tous les Français que jè lèvee gnant, g die-Française, accompagné par des artisles j un autre enfant, Dominique Caboli, 2 ans, die nes gens qui leur .cherchèrent querelle. Les que chose comme une protestation indirectei mort me verre et à tous les membres des c Vétéranss — Mardi, à deux heures du matin, la po- ; d'élite, donnera, au théâtre municipal, une dei srmées de terre et de mer ». li (deux jeunes filles ayant pris la fuite, Jaclice a déposé au violon Mathilde Mougenot, à ' qui on avait rapporté des fruits perni- d é contre l'altitude du gouvernement, nonseu-. des représentation de l'Avare et du Malade quel. ; f ciettx, est dans un état grave, mais non dé- rer. resté seul en face des nouveaux ve35 lement en ce qui concerne l'incident de! Fa-eulté de médecine * ans, fille soumise, qui faisait un scandale , }n imaginaire. | [ sespéré. i nus, fut terrassé, et, l'un de ses agresseurs, . épouvantable sur la place du Marché. l'audience manquée, mais aussi au point de! e| Le registre des inscriptions sera ouvert l^â^'îiy-en-Harrois. — Le nommé lui j Tous ces enfants habitent avec leurs pa' mettant un genou sur la poitrine, lui vue des mesures un peu mesquines, prises' <} 1 u 24 octobre au 10 novembre inclusive-du Didelol Camille, âgé de 18 ans, domicilié à demanda: I renis, cité Dirlrich, boulevard des Italiens, Dit Jlarebé de iVaney du octolii'e ( «La bourse ou la vie! » à l'occasion de l'arrivée des chefs sud-afri- ment. , m • fà Jœuf. Li£ Ligny-en-Barrois, ouvrier en Instruments — Làchez-moi une main, répondit le voicains. » ™ « de précision au compte de la société des Les jurys d'examens fonctionneront à da- j 151 bœufs, de 70 .. à 82 .. ; 32 vaches, de 60 ..• I turier, j'ai 200 fr. en or que je vais vous " à 80 .. : 18 taureaux, de 65 .. à 68 .. ;, 142 veaux, — . tei ter du 3 novembre. $ 1 lunetiers, était occupé à tourner une pièce'■ donner. , de 60 .. à 70 .. ; 335 moutons, de 90 fi 105 .. ; 2833| Berlin. — Le général de Wet est partiI ETAT CI%'II>, I>K SVArVCY Le concours pour l'internat aura lieu lee pporcs, de 76 à 80. de cuivre dans les ateliers dits « des Instru■ , Jacquel élait, en effet, porteur de celte hier soir à 10 heures pour La Haye ; les gé-; lundi _u 27 octobre, à 8 heures du malin, et | Du i 9 octobre 1902 nu ments », lorsqu'à la suite d'un faux mouve-1 somme, mais, au lieu de sortir de sa poche néraaxKfilba et Delarey à 11 heures lOpourl* celui g Avis aux cultivateurs mc ce de l'externat, le jeudi 30 octobre, à 8 . ment, il eut la main gauche effleurée parle: son porte-monnaie, il y prit son couteau Bruxelles^ ^ MM. Vilgrain, Simon et Cie payem, iess j Naissances. — Elise Perseval, rue Vieheures du matin. * ^ tour. Il est résulté de' cet accident une plaie! (j La foule les a salués d'acclamations frébons blés vieux ou nouveaux 20 francs less tor, 25. — Jeanne-Eugénie Jeu, rue Deville,. toi pouce gauche. M. le docteui" Maucolel, dont il frappa à la gorge son agresseur qui 1 10. — Marie-Anna Ridacker, rue Saint Ni- du s'affaissa: il avait la veine jugulaire ouLes récoiU|>eD«cs des apprentis nétiques. l< s 1100 kilos rendus aux Grands-Moulins. qui colas, 98 in*. qu soigne le blessé, estime que 1 incapacité1 verte. La Haye. — Les généraux boers quittentt du bureau d« bienfaisance a 6 «n » xièrcs-aux-Da m es I Décès. — Marie Chautraine, 47 ans, cais-. de travail sera d'environ 8 jours. Quand, avertis par Jacquel, les voisins mardi Rotterdam pour se rendre a Lon-iLa séance générale annuelle ainsi que la a M Louis Masson, charretier, a portéô sière, épouse Schergès, rue des Tierce— Le maire informe les habitants des rues1 .accoururent, le blessé avait rendu le dernier dres. ' di distribution des récompenses aux apprentiss plainte p à la gendarmerie contré Françoiss lins, 18. la gare, de la Terrasse, Saint-Georges, soupir. . de Berlin. — Les fonds recueillis jusqu'àà e ett apprenties patronnés par le bureau auG i- Guilleret, mineur, qui à la suite d'une dis-; l présent en Allemagne se montent à 610.000° RFI Son cadavre fut reconnu pour celui d'un " Du lundi 20 octobre ^du- Sud et des Buttes, qu'ils logeront des» ront lieu dans la salle Poirel, le dimanche c e cussion, lui a porté un coup de canne à la mililaires, jeudi et vendredi prochain 23 et nommé Gaston Léonard, ancien ouvrier n a mark, La recel te faite vendredi, à la sallee 26 2Î octobre courant, à 2 heures de l'aprèsNaissances. — Jules-Marie-Jeùn Manfi 0i octobre. i- figure, qui a occasionné une ecchymose au24 delà Philharmonie, a dépassé 12,000 mark.• m midi, sous la présidence de M. Floquet, d t, dessous de l'œil gauche. Guilleret prétend1' dray, rue de Boudonville, 7 bis. — Alice- ~\— Procès-verbal a été dressé par la gîn- mouleur à Saint-Dié, en dernier lieu sans " travail. On dit que Je gouvernement a été très sa-- professeur pi ^a à la Faculté des sciences, vice6- qqu'il a frappé le plaignant pour repondree Blanche Poitier, rue de l'Equilalion, 61. — darmerie de Ligny-en-Barrois contre le! tisfait de l'attitude absolument correcte dess président Cette version est celle de Jacquel. Le parPaul-Alhert-Hubert Mangeot, rue de Mon- £Q de l'Académie de Stanislas. à ses provocations. pi à mommé Mairel Berard-Charles, débitant en1 généraux boers, et ne mettra aucun obstaDésert, 18.— Marguerite-Anne-Marie Stor^^g ;' cette ville, rue de Saint-Dizier, pour mau- quet, qui s'est, rendu sur les lieux, s'occupe Ie Ordre du jour : Discours de M. Léopold cle au mouvement boerophile. T_ [ker, rue de la Coïnmand^rie. 71. — Ray- „„ " de contrôler ses allégations. Lallement, vice-président, sur l'organisation n Les ■ vétéran» de Frouard vaise tenue de son registre d'inscription des5 a de Londres. — Le steamer Saxon de la eti l'assistance à domicile à Nancy et l'asmond-Louis Bargeaud, rue dés Ponts, 34 La gendarmerie recherche le compagnon iet de l'ompey r v0 voyageurs. « Union Caslle line », est arrivé à Southamp- s . de Léonard et les deux jeunes filles qui Décès. Marie-Catherine Diéboid.59 ans, sistauce obligatoire aux vieillards, aux inl" C'est dimanche que la 655* section des s Gondrecoart. — Compte rendu de la1 pourraient bien être des complices de l'aIon, venant du Cap. n, repasseuse, épouse Frédériek, rue du Fau-'. ' firmes, aux incurables et aux familles charL % '" vétérans de Frouard-Ponipey a célébré,!> bourg-Saint Georges, 62. — Marie Marchai, foire A bord se trouvaient les Tcommandanlss g, tenue dans celte ville le 16 octobte; grosseur. f°: gôes d'enfants. , . pour la troisième fois, sa fête annuelle,;- 15 jours, rue de l'Équitation, 37. — Léopoldî 1902 Joubert, Kruilzlnger et Fouchô. ï* : « — Compte moral à l'appui du compte admi£ J' dont l'éclat était rehaussé par le concours s Ferry, 66 ans, journalier, rue Victor, 27. — Animaux amenés: 12 vaches et 73 pet Us Les commandants boers se sont refusés à a nislratif de l'exercice 1901, présenté par M. ^ n » toujours si apprécié de la Société musicale, 5> Rosalie Jcandel, 65 ans, sans profession, porcs, toute interview, concernant, les affaires dee Camille Mat bis, ordonnateur. qui étaient dans un état sanitaire saP.° r mise gracieusement par M. Munier, son tisfaisant. l'Afrique du Sud. n veuve Badel, rue Sellier, 60. — Adolphe» lis Discours de M. Floquet. président, à sa disposition, ainsi que par l Les petits porcs se sont vendus de 45 à 60i '| Gille, 60 ans, coiffeur à Frouard. —JeanNOUVELLES DIVERSES S Distribution des récompenses aux appreul " Lcelui des sapeurs-pompiers, en grande teH Pierre Schwartz, 66 ans, journalier à Maxé-. fr. la paire, en moyenne. ~ ties filles et aux apprentis garçons. ,nue et superbes sous les armes, que comParis. — Le roi de Portugal a fait céléVente faible sur le gros bétail. Les vab ville. Pays d'Avricourt [suite] '1 Musique militaire, chants. brer ce matin en l'église Saint-Roch, une mandait le lieutenant Bussière. Près d'eux, ches maigres se sont vendues de 0 fr. 55 à% On nous écrit à propos d'un article que ^ Mort-nés, 2. en messe à la mémoire de son père, le roi don II marchaient les gendarmes de la brigade de6 0 fr. 58 le 1[2 kilo. Avis très important nous avons emprunté à un journal de Metz Publications de mariages. — Paul-JoLuis. Frouard el leur chef. Collège de Saint-Mihicl. — Celle3 et relatif.à la vente des raisins du pays d'A... Un ou des commerçants peu scrupuleux 13 seph-Henry Cuny, industriel à Thaon (VosBrest. — Ce matin, a eu lieu à Landerf La municipalité, invitée à la cérémonie, y v vricourt : se 2t ( 4 ges), el Marie-Augustine Giron, sans proies-. année, la rentrée des classes a été superbe. neau, l'ouverture de l'école laïque. il servent de la firme Vaxelaire, Pignot et était représentée par MM. Rollin, maire, et V( « Je ferai remarquer à l'auteur de l'article . De longtemps on n'avait vu pareille al'fluen, Cie, pour écouler en son nom des marchan] n j. sion, rue de Metz, 38. — Charles-FrançoisA huit heures, au pensionnat Saint-Ju- V " Bertrand, adjoint, Cordier, Gabriel, Hu. qu'il ne connaît peut-être pas la partie. La ce dans cette vieille maison. C'est aux nom1 û dises de qualité secondaire qui ne sortent < i" René Chardot, ingénieur civil à Asnières5 ce lien, était célébrée une messe, à laquelle 't gnin, Paulin et Schmitt, conseillers munisuccès des années précédentes, ett presque totalité des raisins arrivés à AvriLa P pas de cette maison . (cipaux . (Seine) avant à Nancy, et Naucy-Marie-Ma-, breux P1' toutes les sœurs assistaient. A l'issue de la s à l'habile direction à la fois fermeg court français a été vendue 23 fr. les 100 _ MM. Vaxelaire, Pignot et Cie informent i I deleine Jattiot, sans profession, rue Israël- surtout " cérémonie, une manifestation en faveur des " La section de Bouxièrcs-aux-Dames, inviet et paternelle de noire dévoué principal, di-i. kilos, plus 5 fr. pour les frais de douane [e qu'ils n'Ont aucun représentant et qu'ils ne e ( [ Sylvestre, 17. — Félicien-Séraphin Lorenlz, sœurs s'est produite. La ftfule a poussé de 9 ' tée, était représentée à celte fête, par MM. secondé, du reste, par tous sess allemande, ce qui donne 22 mark 40 pfenfont pas voyager. Seul, un coupeur se rend, ] ['. cultivateur à Brômoncourt (M.-et-M.), el{ guement &'1 nombreux cris de: «Vivent les sœurs!i l< u,i Burlé, son président, Singer, vice-présiqu'il faut attribuer cet ac-. nig. mais ces raisins, dits « alicante Bouspendant les mois de mars et septembre, a à ,dent, et Chrétien, porte-drapeau. Marie-Aline Munier, cuisinière à Nancy, collaborateurs, ÇÇ Vive la liberté ! » — Havas. P R '. croissement progressif de la population sco-|_ chet ». sont une marchandise médiocre ne Longwy, Briey, Saint-Diô, Epinal et leurs l s domiciliée à Gerbécourt (M.-et-M.). JoÇ ' Après la réception habituelle à la mairie, p produisant qu'un vin de faible degré et donla laire de ce bel établissement. Télégramme commercial eenvirons, afin "de visiter, avec la collection m . "tseph-Edouard Thouvenin, tailleur d'habits, a eu lieu le service solennel à l'église. nant 50 p. 100 de jus. » de Draperies pour vêtements sur mesure, e! (Bourse du commerce) La messe a été dite par M. l'abbé Robi- rue Ciodion, 7, veuf de Philomène Lescard, Saint-Mihiel. — M. Didelol, répêti-iNotre correspondant ajoute qu'il a vendu les clients habitués qui n'aiment ou ne peull" net, curé de Frouard, et T* quête a été faile le et Marie-Appoline Firquet, concierge, ruee teur, te Chiffres fournis par la maison E. Bollack aîné chargé de cours d'allemand au collè- du raisin français provenant du Roussillon, v '■ vent se déplacer. j A Ciodion 6, veuve de Michel Zehren. —Léonpar Mlle Cordier, conduite par M. Langlard, ge 0( de Saint-Mihiel, fera sous le patronage Paris, 20 octobre, 1 h. 32 soir. e raisin produisant un vin de onze degrés et MM. Vaxelaire, Pignot et Cie seraient, re- de ] ' Désiré Marchand, orthopédiste, rue de laa § Pompey, jeune matelot en congé. de( M. le général Lelorrain, commandant ia1 65 à 70 p. 100 de jus. COURANT 4 PttKII. i; c connaissants aux personnes à qui il serait! Primatiale, 20, et Jeanne-Joséphine Potier, 4c llt e nt ') 40 division d'infanterie, des conférencess j Après le service, les Vétérans se sont; « Si je m'étends un peu longuement, conAvoine (100 ftll.) 15 80 15 95 f fait des offres de celle nature, de bien vouu " rendus au cimetière pour déposer la palme 1P employée de commerce à Maxéville (M. etBTes (100 lui.) 21 80 21 05 i. ~ d'allemand aux officiers de la garnison quii tinue-t-il, c'est que l'auteur cie l'article de» *j loir les en aviser. ; a M.). — Louis-Odile Henrion. employé au Pnrrhes (100 kll.) 31 55 28 80 du souvenir, au monument communal. se se destinent à l'école de guerre. mande comment il se fait qu'on vende une ,c chemin de fer, rue de Strasbourg, 154, et Huiles (100 kll.) ....... 57 75 58 . M. Brunei, vice-président de la 655° sec^ Ces conférences auront lieu au cercle mi-- espèce de raisin 22 mark et une autre 28 Annuaire de Nancy Alcools ll'ueetol.l 36 87 37 25 | I Marie-Amélie Bloise, sans profession à Bru u jj tion, a prononcé un discours vibrant de palitaire, trois fois par semaine. a mark. Cela ne peut-être la même marchanSucres 24 06 25 18 L'éditeur de l'Annuaire de Lorraine -s- (Vos-ges). ije triotisme, puis la compagnie des sapeurs! dise, car entre le « carignan choix » et Eeurey. — Vers sept heures du matin, (département de Meurthe et-Moselle) prie . 1—A . ■ — V le )■). Louis-Joseph-Paul Haurye, caissier à la a " pompiers, et la musique a joué la Marseilw Guiot était parti battre de l'avoine dansg 1' « alicante Bouschet » il y a une forle difM. toutes les personnes venant sse " recelte particulière des finances de Toul, y L'empereur de Chine a présidé à une réception instamment < y f laise. . férence Si .. fixer à Nancy, de bien vouloir venir donner, sa grange. r 5. domicilié, et Jeanne-Pauline-Léon ie Prévôt, 3.u Palais d'Eté. Ton» les membres du corps di? > Cette pieuse cérémonie terminée, Vélé£ j, B est, prétendu qu'un grand nombre d'aleur arrivée, au bureau de l'adminisè Vers onze heures, inquiète de ne le point 1S sans profession, place Saint-Epvre, t, veuve plomatique, à l'exception du ministre d'Angle-" dés . ~ rans et. invilés se sont rendus au banquet, tration, leurs nom, adresse et profession, . Vl voii rentrer, sa nièce l'envoya chercher par cheleurs iront faire leur provision à Avriu ■ ' de Victor Marchai. — Joseph Buchmuller, terre, et tous les commandants des gardes des , e Ie u * pour l'inscription dans ' r Annuaire >de> confortablement servi à l'hôtel Bussière. voisin, qui revint bientôt lui annoncer court, mais d'après la nouvelle loi alleà un légations y assistaient. ' aux sons d'un magnifique pas redoublé, joué ue marinier de passage à Nancy, domicilié a Nancy pour 19U3. l_ que son oncle élait étendu sur le sol de la a mande il est possible que les raisins paient (Toul, et Françoise-Augustine Fischer, ma- 1 L'abstention du minisire anglais vieut de ce par l'Harmonie. dix mark de droits au lieu de quatre. On " , L'insertion du nom etdela profession est et ne donnait plus signe de vie. ÏS rinière, de passage à Nancy, domiciliée a à grange S qu'il se refuse à toute relation avec la cour de e t De chaleureux discours ont été prononcés os a. préférera la bonne marchandise qui paiera " gratuite pour tout le monde. j. , Pendant qu'on courait chercher un médee section, Custines. —Auguste-Emile Vouaux, compChine par suite de ce qu'il considère comme un un par M. Hentz, président delà 655 m C! ù comme la mauvaise. » Administration : (passage dn Casino) 21, on transporta l'infortuné cultivateur (ie| table à Saintes (Charente Inférieure), avant cin, déni de justice dans l'affaire de l'assaBsinat d'un 41» et M. Burté, président de la section de un , rue Saint-Dizier : 40, rue des Dominicains, ir Les suiehle* d'officiers allemands chez lui, où bientôt arriva M. le docteur ls missionnaire anglais dans le Son-Nan nù quelque» . ' à Nancy, et Zelpha Moineau, lingère à ® a ; Frouard, puis M. Wante, un des convives, ie* à l'imprimerie Crépin-Leblond. 3S qui constata une fracture de la ia Le médecin-major OttoDurr, du régiment pauvres ignorants ont été décapités, tandis que les rfl I Saintes. — Léon-Louis Leclercq, terrassier * )r Maillard, les a débité d'une façon remarquable divers 0 base du crâne, : la mort avait été inslanta- d'artillerie à pied n° 14. s'est brûlé la cerfonctionnaires responsables du erime étaient aflà Amiens (Somme), et Marie-Léonie Perrez, z monologues patriotiques. afActes de probité n franchis de tout blâme. velle dans soi: logement, pmee Brûlée, 2, a e'_ née. <re journalière à Amiens, avant à Nancy, cheMlle Marie Balling, de Dombasle sur- ' Un bal a clos la fêle, ainsi que le tirage M. Guiot était âgé de 71 ans. Strasbourg. On ignore les motifs de ce sui» ^s min des Sables. — Joseph-Emile Duchêne, e fWh d'une tombola, dont les lots, splendidês, Meurthe, a fait la remise au chef de gare x fgi II est à présumer que c'est en lançant des is cide. Le major était, âgé de 60 ans et devait 2g ouvrier d'usine à Epinal, et Louise Rérol} y avaient été offerts par les commerçants de Facéties : De l'odorat : sentir sa fin approcher. < er. de. Nancy d'une bague en or qu'elle avait ait }e gerbes d'avoine du grenier sur l'aire que le prendre sa retraite l'année prochaine. les. domestique à Epinal, domiciliée de 8 Frouard et rie Pompey. — Pour une négresse : passer une nuit blanche. — — ! trouvée-dans les salles d'attente, . 11malheureux vieillard a fait celte terriblee I droit à Dijon et à Nancy — Ernest-Louiss De l'honnêteté : se refuser à prendre un escalier ^ Un village privilégié ier — M. Théophile Armand. 46, rue de la c Frouard . jQuiriau Philippe, garçon charcutier, rue le chute. dérobé. — De la tyrannie : arrêter un ruisseau Le petit village de Winket dont tous les Vau Hache, à Nancy, a fait la remise au chef (de 1 des Jardiniers, 9, et Salomé-Marie Gslalter, le Le jeune Henri Kierren, âgé de 16 ans, a r, Peuvillers. — Vers huit heures du parce qu'il murmure. — Pour une chanteuse : faire a lu écoliers d'Alsace ont appris le nom —- l'IUJ tire gare de Nancy d'un parte-monnaie couleôn lingère, rue des Jardiniers, 9. — Charlesîle; déclaré à la gendarmerie que M. Besançon s- ssoir, le feu s'est déclaré dans un groupe de un gâteau de sa voix. — De l'audace pour un tamle Uijeiid sa source — jouit dans tout le Hautrai- liant 73 fr. 20 et de jetons qu'il avait, trouvé l Adnôs Lecompte, manœuvre à Laxou, veuf r tve l'avait frappé de deux coups de poing à la itf maisons appartenant à MM. Simonin Taxile, bour : battre la générale. — De la propreté : esa e, aundgau d'une réputation méritée pour ia es- sur le bureau de la consigne, l de Marie-Marthe Styr, et Blanche-Jeanner lête. Besançon a voulu, dit-il, corriger lee suyer des revers. — De rétonuemeat pour un proe- manœuvre, Leriche Gustave, garde ehamn- saluinilé de son climat. Le fait est que les iro■ Ce porle-monnaie a pu être restitué à son son jeune Kiernen qui insulte journellement sa Léontine Leibold, fleuriste, rue du Faur fesseur de géographie : voir un fleuve suivre son u- pêtre, et à Mme veuve Leriche Emile. sa gens de Wiukel se portent bien, si bien que son propriétaire. if"*\ nièce. bourg-Stanislas, 72. cours. — Oi! la stupéfaction pour une nourrice ce Les pertes, évaluées à 13,000 fr. environ, m la moyenne de l'existence dépasse cn<il^ Charlemagne Blancquart, marinier, de s trouver son sein dans le calendrier. — De la cruaulîixc grave à Preiuud au_ Les candélabres de sont couvertes par des assurances. ' beaueout) la moyenne des villages avoiM té: tuer le temps. «le la fontaine du marché hé , Une rixe grave, à coups de couteau, a passage à Nancy, domicilié à Jeumont nt Les causes de ce sinistre sont inconnues, s. nants. C'est ainsi que l'on trouve pain" * (Nord), et Elisabeth Lauer, caissière, rue ue II n'y a heureusement aucun accident de de eux 8 ou 4 nonagénaires, plusieurs oc*,°t% ^ Nous avons signalé, il y a deux jours, à éclalé dimanche, vers dix heures du soir, aà s à '• Saint-Lambert, U, — François-Lêopold »ld 1personne à déplorer, et cela grâce au déùrs P'^'nilé de l'hôtel de ville, — la voirie, le mauvais état des deux brûleurs lénairfts et que les vieilles gens de pur> "Ç Schwach, manœuvre, rue Jeanne-d'Arc. 113, < e uncluele a été ouverte lundi malin, 13, vouement des habitanlsde Peuvillers et, dès , du candélabre placé au-dessus de la fontailes an?, forment à Wiukel une minorité uu» taiUl • > et. Mallitlde Jenot, repasseuse, rue Kléber, < îi\ communes voisines, ainsi qu'aux inle'.ligent; ■m- ')ar la gendarmerie, >( s ne monumentale du marché. Ceux-ci, ren> ils respectable. , , . 20. — Eugène Walter, manœuvre, rueGamm- iétroits des gendarmes de la brigade tle <i( Nous reviendrons sur cette affaire. ^| plis de naphtaline qui empêchait le gazr ^p de Le type le plus curieux est le père r]'œ1 • betta, 11, el Anna Tronville, lingère, rue ue Damvj'lers. J«< brûler, étaient transformés en veilleuse. ly. un vieux brave qui s'achemine. aMegr*' Xi'U ves-Maisons Gambella, IL — Charles-Victor Thyrion, m. ._ i. Lundi après midi, des ouvriers gaziers ment vers ses cent ans. Né en 180-, des cordonnier, rue de la Hache, 40, et Joséphiiers Tout le gros-œuvre des constructiô*ns dei sont venus réparer les brûleurs. bonhomme est encore vaillant et, P011]*-' ., ,.es ne Berrard, ouvrière en chaussures, rue aciéries de Neuves-Maisons est à peu pré: pas mentir à son nom, d'une humeur nie « Chez nia tante » i Notre-Dame, 7. — Louis-Hubert Fèvre, terminé. Les massifs destinés à recevoir le: es égale, voire joyeuse. Volontiers, il raconw nés journalier à Amance, et Marie-Adelphinc Sftntquelques boutades, qui se sont, résusuJoséphine Brunner, 31 ans, servante, ac- machines sont achevés. Quelques machine aux jeunes — il appelle jeunes des viei Verpillier,domestique à Amance, domiciliée mées en de minuscules averses et un venl enl tuellemcnt sans place, avait loué une ebam- elles mêmes sont en place. I^a situation agricole. — Le mois i ois lards de 80 ans ! — des souvenirs "e ~ ,m. à Nancy, rue Saint-Dizier. 163. — Antoine de septembre, beau et sec, a permis de ter. . Les installations électriques seront com ai inique, la journée de lundi n'aurait pas bre chez M. Michelahd, logeur, rue Saintllil l Ler Ilongue existence. . „ piétés d'ici un mois. Un moteur à gaz pau iau- Valcnting, aide rural à Malzéville, veuf de miner la fenaison des regains dans d'excelêlé du tout désagréable, L'air n'était point )int Thiébaut, 2. Au bout de quelques jours, la Parfois il confond Iss dates et les persorç: -,,,1 j Anna Dubach, et Marie-Rosalie Brcffi, do- lentes conditions. Les seigles sont bien :cl* î* vre est posé, l'autre le sera incessamment fr i-!. et. autour de 9heures notaniin-nl..on ou domestique du logeur était devenue l'amie lé- • mie le- nages: il en a tant vu et entendu ! H lul..e;,2 : chacun sera de la force de 500 à 600 chc he- mesllque, rue des Dominicains, 37. — Théo- vés: on sème le blé et le uétcfl et on arraR Mé favorisé des bons regards d'un soleil deii Ide Mlle Brunner. , ., vaux, Taresté du passé une ôonce philosophie. B * phile Edouard Hage,cordonnier, rue de l'Eautomnal. 15°àmidi. Voici le dicton du 20 20 1, La jeune servante de M.Micheland portait clioles pommes de (erre et les betteraves. 'tait „ quilalion. 30, avant à Schlestadt (Alsace), La situation du vignoHo :.-sl mauvaise; •es. .octobre : la un doigt une bague en or, veuve de> la la Frassnes-cii-SaiHtois la vu un premi.or consul. 5 empereurs, 3 ro» et Caroline Ludwig, ménagère rue dcl'E-l maturité est en >était) et on sera obligé doa et deux rimibliques et n'en est pas plus S'il pleut le jour de saint Caprais J i>c-i'!e dont elle était ornû^jadis. Joséphine On vient de célébrer à Fraisnes lesobsi bsè-l quitatkm, 30, avant à Schlestadt. Il pleuvra trente jours après. |I Brrfnner proposa à la jeune fille de lui iiine de pour cela, encore que semblable chose er vendanger le raisin a peine noir. La recolle en ques de M. l'abbé Lap, curé de la paroiss EUen e Noël, garçon brmlangcr à Saint-' du sarrasin est terminée; on rentre lo l -oit pas réservée à tout le monde : « T her,! faire sertir une autre par un bijoutier«de; ses ses i depuis 27 ans. Au cimetière, M. le mail J s i h. 57. Dernier quartier le 23. » aiie | Max, et Joséphine U.umberl, journalière, choux de grande culture.. Il -s« « mort m'a oublié, dit-il parfois, mais s i ■- Q£i |de b> «'onmiune ^ retracé la vie du dèfunl ya peu( e v om-j« !iil. place carrière, 15, —- Jules-Lotiisoa Plumet, me$ et de poires. | n'ai nulle crainte ; elle me retrouvera, « je la suivrai sans regrets.» NflWaUl Di¥^3S3 Tentative de meurtre à Lunéviiie y f iraiiiiiiiii T j 1 Meuse [j j Jj" c LORRAINE ET ALSACE f j Vosges Il TEMPS OU'It FUIT ^52l„ » | £ST REPUBLICAIN BULLETIN AGRICOLE Etat des récoltes Après quelques tentatives infructueuses, la température s'est cependant abaissée. La pluie esl tombée sur quelques points ; pas en si grande quantité que la culture 1 aurait désire : assez cependant pour aider a la levée des semailles. Las d'attendre une pluie «ui ne venait pas, les cultivateurs se sont décidés à semer. Ils n'ont pas jusqu alors raison de s'en plaindre, car la levée se fait bien dans les terres meubles, ou les hersages ont été complets. Dans les molles, par contre, la levée est très irrégulière. U ne reste plus à semer, à l'heure actuelle, que les trèfles, les terres de pommesdeterreetdebetteraves. Pour ces dernières une bonne fumure est nécessaire, aussi bien peut-on atlendre encore quelques jours avant de labourer. Peut-être aura-t-il plu à celle époque. L'arrachage donne de nombreux mécomptes aussi bien en pommes de terre qu'en betteraves et les variétés tardives de pommes de terre pour lesquelles on escomptait un bon rendement, laissent sujet à de nombreuses plaintes. Fort heureusement encore, le tubercule esl sain et on ne remarque celle année aucune trace de pourriture. La récolte est, paraît-il, excellente dans la Meuse et dans les Vosges; ce qui n'empêche pas que les fôculeries n'achèlent point ou très peu ; le prix de la pomme de terre étant trop élevé comparativement au prix des fécules. Les farines de froment restent cependant à un prix très élevé, prix qui ne modifierait pas le cours du blé, ce qui tendrait à faire croire que les besoins de la meunerie n'ont pas diminué et qu'elle attend que la culture fasse des offres nouvelles vers la Saint-Martin, époque où il lui faudra battre monnaie. Nos cultivateurs seraient bien inspirés si à cette époque ils déjouaient les calculs de la meunerie en restreignant leurs ventes ou en ne vendant que l'absolu nécessaire. Chaque année, la meunerie spécule sur les besoins du cultivateur, qui s'y laisse prendre sans avoir rien fait pour s'empêcher de retomber dans ce cercle vicieux. Qu'une bonne fois donc il s'affranchisse de celte ,routine et se mette en mesure de tenir en échec ceux qui ne cherchent qu'à tirer profit de sa détresse momentanée. Les blés sont au cours normal de 20 fr., il appartient à la culture de faire que ces cours ne descendent pas. Beaucoup trop de vignerons, pressés de rentrer une vendange qui ne demandait qu'à rester au soleil, ont coupé le raisin. Ils ont eu quelque raison de s'en repentir, car jusqu'alors, la vendange n'a fait que gagner à rester au cep. L'heure est venue cependant où l'on peut couper ; caria feuille commence à se détacher, et dans ces conditions, le raisin cesse de profiler. Les vignerons pressés qui ont déjà vinifié, accusent un vin de 5° ; tandis que ceux qui vendangent aujourd'hui, obtiennent un vin qui atteint 61-fJî, c'est-à dire un bon pelit vin ordinaire. Il s'est fait quelques achats en vin gris au prix de 7 à 8 fr. la charge ou mesure. Dans les vignobles plus rapprochés de la frontière allemande, les vignerons ont trouvé facilement acheteurs de la vendange au prix de 17 et 19 fr les 100 kilogr. chez les fabricants de Champagne allemands qui ont plus d'intérêt à acheter le raisin sur pied, en France qu'eu territoire annexé. Le résultat de quelques vendanges a donné des surprises, car le rendement a dépassé celui qu'on espérait dans les vignes qui n'avaient pas été atteintes par la gelée. Aussi dans ces vignobles la ' vendange se fart-elle joyeuse, et rappelle les beaux jours d'antan, où chaque soir, malgré les fatigues du jour, vendangeurs et vendangeuses dansaient au son du crin-crin.à la clarté des lampes fumeuses. Dans quelques jours l'on n'entendra plus que les gémissements du treuil et les graines .s'écrasant sous l'étai du pressoir. La qualité du vin variera considérablement, selon que les vignes ont été ou pas gelées, et qu'elles ont été plus ou moins bien cultivées. Les marchands de vins ne semblent pas devoir se presser pour faire leurs achats, sauf cependant en ce qui concerne les vins gris. Beaucoup de vignerons dont les vins de l'an dernier se sont mal conservés tendent à les raffermir cette année en les passant sur les marcs nouveaux qui ont servi à faire le vin gris et dont l'acide larlrique n'a pas élé extrait. En ce qui concerne les vins du Midi que l'on fait bons cette année, on constate une augmentation dans les prix. C'est peut-être d'un heureux augure pour nos vins de pays. Le bétail continue à aller au pâturage, bien maigre, mais qui lui permet néanmoins de trouver une grande partie jîe sa nourriture. L'état sanitaire est excellent. (Bélier.) A. JACQUES. Mardi 21 Octobre 1902 varié de 90 fr. à 85(80fr. par 50 kilos, et à!< >t conservant la garde de son enfant, [i Tiandat d'arrestation au caslol de Mme ce premier prix il s'est traité plusieurs lots Mme Civet souhaite que la cour de Ro-H Daragon, l'oiseau n'élait plus au nid. de 50 à 100 balles. , ne annule, par son tribunal régulier, les | A Paris, Rosenberg n'avait pas un doA Poperinghe, il s'est également produit i iens religieux qui, d'après eux, demeu-' i micile : il en avait quatre, huit, dix. AI lpendant les premiers jours de la semaine, 1 ■eut toujours. vrai dire, il s'agissait plutôt do pied-à-' une hausse d'une certaine importance,puisv ^ Sur les conseils de l'abbé Guillaumin, terre. Dans chacun d'eux, et dans des qu'il a été payé pour le houblon ville avec pour le s Vlmo Civet entre en relations avec M. i tenues différentes, il recevait une catéccertificat de fr. 80 à fr. 85 et j.houblon village, fr. 80 par 50 kilos, mais de < jadobert, qui lui dit être chancelier de i gorie spéciale de « clients ». Ici, sous le j même que dans la contrée d'Alost, les prix ] .'archevêque de Chypre et dont elle n'a i costume ecclésiastique, il écoulait les r { .y sont beaucoup plus faiblement tenus, de- ■ xucune raison de suspecter l'honorabilité y ;onfidonces et les confessions do cerlai- ! . puis deux ou trois jours, avec acheteurs ( 3t l'influence. i :ies pénilenlos. Là, en vêlements civils, ; { très réservés. Aussitôt, M. Gadobert propose à Mme i 1 traitait avec ses correspondants les L'approvisionnement du marché de ce ( ^ jour se composait de 44 sacs de houblon 2ivel de lui présenter M. Rosemberg, vi- i questions financières. Ailleurs, il dos- ; Jd'Alost 1902, dont la qualité donnait génô- ' jaire général à Tours, missionnaire i rendait seulement avec la jeune miss, 1 tu'il présentait comme sa jralement satisfaction, quoique la siccité > apostolique en Chypre. pupille et L'entrevue a lieu le 4 mars 1901, et il i ;ommo la nièce d'une chanoinesse d'An-: cd'un certain nombre de sacs laissait encore ;à désirer. i 3st entendu que MM. Gadoberl ol Rosem- gloterre. |, On a coté, selon le mérite de la marchan- berg feront le nécessaire. En doux fois, dise ( exposée en vente, de fr. 75 à fr. 90 par ils se font«donner 70,000 fr. pour faciliter e50 kilos. (Bélier) jj î NE JUGEZ PAS SUR L'APPARENCE U y a dans un vieux quartier de Mar, ieille une modeste boutique que nous ne " :omparerons certainement pas aux somp. ueux magasins de la Cannebière, mais, elle t'en est pas moins des plus fréquentées, , 'lus d'une fois nous y avons rencontré des , ettrés et des savants à l'affût de quelque mricuse trouvaille, car Monsieur Charles , \oux, le bouquiniste de la rue Sainte Barbe ;st bien connu dans le monde des amateurs le livres anciens. Ils sont parfois bien intéj •essants ces vieux ouvrages, tout usés qu'ils , loient par le temps et il en est qui sont réelj ement plus utiles que lel livre richement , labillô en maroquin et doré sur tranche. Ce l'est pas d'ailleurs dans les publications les )lus luxueuses que nous trouvons l'explicaion des problèmes les plus difficiles à ré, soudre. Tel nous parait avoir le cas de j Monsieur Roux lui-même. « Nous avons été bien éprouvés », écri, /ait-il le 18 février 1902, « notre petite fille , igée actuellement de 8 ans, avait été il y a ' ;inq ans, cruellement brûlée à la main. Demis elle n'avait pas cessé d'être toujours | souffrante. Son corps était couvert de dar; .res. Elle ne mangeait pas, son sommeil Hait mauvais et nous étions navrés de sa , pâleur et de son abattement. Ou lui avait : prescrit des fortifiants et des remèdes qui \ n'avaient pas modifié sa triste situation. Ses ( iigestions étaient des plus laborieuses et îlle était aussi fort constipée. Un jour, un homme me remit un petit, livre ; ce n'élatt ju'une simple brochure et je ne me doutais certes pas de la valeur que je devais lui resonnaître plus tard. Le soir en le parcourant, j'appris qu'un pharmacien de Lille, M. Oscar Fanyau, propageait en France, sous le nom de Tisane américaine des Shakers, un remède préparé par une communauté d'Amérique. Ce médicament, disait la brochure, guérissait toutes les impuretés du sang, ainsi que les autres malaises qu'engendre la dyspepsie ou indigestion chronique. La description des symptômes de cette affreuse maladie me fit aisément comprendre que notre pauvre enfant en éprouvait les tristes effets. Après un premier flacon de Tisane américaine des Shakers ses joues avaient repris leurs fraîches couleurs. Deux autres flacons lui ont rendu la santé et elle est actuellement aussi alerte et aussi gaie que tous les enfants de son âge ». Signé: Charles Roux, bouquiniste, 46, rue Sainte Barbe, à Marseille (Bouches-dii-Rhône). Vu pour certification matérielle de la signature apposée ci-dessus: Milhau, commissaire de police du Ve arrondissement. Vous voyez par cet. exemple qu'il ne faut jamais juger sur l'apparence. Un homme moins avisé que notre correspondant aurait peut être jeté sans le lire le modeste opuscule que Monsieur Roux n'aurait pas donné par la suite pour tous les ouvrages les plus précieux. Le diamant avant de brille:' au front des reines, n'a-t-il pas élé souvent foulé aux pieds, ignoré qu'il était dans sa gangue rocheuse ? la défense de sa cause devant la Cour de Rome. Quelques mois après, Mme Civet recevait, par l'entremise de M. Rosemberg, le document suivant, dans lequel il n'est aucunement question do la Cour deRonîe : « Nous, primat d'Orient, évëquo par la grâce du Saint-Siège et par bref spécial de Sa Béatitude l'évêque d'Orient, disons que l'instance introduite par Mme Civet, à l'occasion de sa demande en nullité de mariage,est venue devant notre tribunal. Signons le présent pour servir ce que de droit. Pour le primat d'Orient, Le Secrétaire. Dès la réception de ce document, Mme Civet conçut des doutes. Elle se renseigna. Le chanoine Rosemberg existait réellement avec cette qualité el avait h Tours une prébende incessible et insaisissable de 60,000 fr. Elle écrivit à l'archevêque de Tours pour le mettre au courant de ce qui se passait et reçut uno réponse dans laquelle l'archevêque lui disait avec tous ses regrets que tout ce qu'il pouvait faire il l'avait fait, c'est-àdire qu'il avait interdit au chanoine Rosemberg de porter dorénavant la soutane et de pénétrer dans le chœur. Mme Civet s'adressa alors à la cour de Rome, qui lui proposa de lui donner toute satisfaction, à condition que l'affaire n'irait pas plus loin, mais l'intéressée refusa formellement d'accepter celle proposition. Mme Civet, voulant toutefois éviter le scandale, chercha à rentrer dans son argent. N'y pouvant parvenir, elle s'est décidée à porter plainte. SAVOM DU SÛIGOïrS"' LAITERIE SAINT-HUBERT BULLETIN FINANCIER' NANCY, 6, rue Raugraff, NANCY Téléphone 49Î — ; ie DT la Banque Renauld & C , à Nancy VINS Capital 4 millions Marché ferme. Rente 3 1\2 0]0 convertie. — Le livre ies rentes 3 1(2 0(0 sera fermé pour toujours le-3 novembre prochain au soir, dale à partir de laquelle ce fonds cessera de figurer à la cote. Il sera remplacé par une rubrique spéciale p^ur la rente 3 0(0 jouissance 1er janvier 1903 et cela jusqu'au 16 décembre; à ce moment, il n'y aura plus de différence entre l'ancienne el la nouvelle rente. Le transfert des titres nominatifs de rente 31(2 0(0 au grand livre des renies 3 0[0 se fera d'office, mais l'échange des titres n'aura lieu qu'à partir du 1er avril 1903. Pour les litres au-porteur ou mixtes, les dépôts en vue de la conversion seront reçus à partir du 16 novembre. Le 16 novembre, seront payés en même temps que le coupon trimestriel, la bonification de 1 fr. attribuée à chaque 3 fr. 50 do rente, ainsi que le demi-trimestre d'intérêts à courir sur le pied de 3 0(0 du 16 novembre au 31 décembre. Ce paiement se fera dans les conditions suivantes: Pour les rentes nominatives sur présentation des titres qui seront estampillés en conséquence. Pour les rentes mixtes ou au porteur sur présentation des coupons aux 16 novembre 1902 el 16 février 1903. Pour les litres dont le dernier coupon serait celui du 16 novembre 1902 ou d'une échéance antérieure, les titres eux-mêmes devront être présentés. Obligations Lombardes. — Le minisire italien du Trésor serait disposé à entrer en pourparlers au sujet du remplacement par une capitalisation en Rente italienne3 1(20[0 de l'annuité servie par Je gouvernement à la compagnie. Saragosse. — Il serait hasardeux, semble-t-il, de tabler sur un dividende supérieur à 10 pesetas. La compagnie a en vue d'imporlants travaux. Mobilier espognol. — Grâce à la hausse des fonds espagnols, cet établissement réalise son portefeuille titres dans des conditions bien meilleures que celles qu'on pouvait espérer au moment de la mise en liqui- îts^SïhoUAZ ROUSSILLON J. SAUVAT, propriétaire de vignobles, à Corneula-ïa-RTviere (Pyrénée-Orientaies). Renrésentmtti* wérieux «lenmmlés. Surdité ggriz A Gorge yâgôtztlons AtiénoYdes. —*RTéquentes chez les enfants, ils ne pécivenX respirer par le nez, dorment la touche ouverte, ronflent la nuit, leur voix est couverte et nasonnée ; ils sont chétifs, sujets aux maux de gorge, à la surdité et aux bronch'tes chroniques. Maladies du Nez. — Nez encliiffrèné, bouché, polypes, mucosités, croûtes, pus, ozène, punaisie, haleine fétide, perte de l'odorat, nez roug-e, lupus. Malsdle» do la (xovfto et du 1.3r\ynx. — &êne da l'arr ère - gorge j pri ncipalement le matin, renifloments,crachotements, toussotements, rîclements, efforts, pituites, err err, heiu heni, gorge sèche, voix couverte, fatigue de la voix, toux, crachats vitreux et collants, difficulté d'avaler, bronchite chronique. maladies des Opel/les. — Ecoulements, suintements r démangeaisons, affaiblissement de l'ouie, surdité, lourdeurs, étourdissements, vertiges, bruits, tintouins, bourdonnements. Le Traltemont de ce; diverses maladies varie avec leurs causes. C'est pourquoi il faut examinai' le malade mvant de le saigner. Notre méthode spéciale, dittê| renle de celles de nos confrères, perj permet au malade de se soigner lui-même, sans se déranger de son travail et guérit assez rite ces affections, ainsi qu'on s'en rendra compte à notre consultation. (Guide franco). Le Bosteuf RAHON, licencié ès-sciénces, spécialiste, 121, Avenue Parmentier, Paris, revient tous les mois et consultera à Nancy, le 23 octobre, hôtel du Commerce; St-i>ié, le 24, hôtel du Commerce ; Eninnl, le 25, hôtel du Louvre. Ch. L'HUILLIER, hanflagîsîe-tîGriîiaire-spéciansîe Rue StDitier, i41,à NANCY (pr. porte St-Nicola.s Maison de confiance fondée en 1^12 Nouveau bandnge à clef à pression facultative. Nouveau bimdaKC liydropneumatique Indégnnflable rins ressorts ni sous-cuisses, dernier perfectionnement. Nouvelles ceintures ventrières et hypojfastiiquos pour les descentes de matrice b. s. g. d. g. Membres artificiels «t appareils orthopédiques perfectionnés. Instruments de chirurgie. Seul dépositaire d'oxygène pur de la Compagnie française VOxigène. La Maison n'a pas de suceur sale. AVIS M. SAIIVAL- dentiste, rue Guerrierde-Dumast, 9, à Nancy, prévient que, contrairement aux bruits divers, répandus par certaines personnes malveillantes, notamment qu'il serait dans l'intention de ! quitter Nancy, il se tient tous les jours, da 9 à 5 heures, à la disposition de sa clientèle, et qu'il ne s'absentera plus. j MARCHÉ AUX VINS On annonce de Moulins que le bruit court dans cette ville que le magistrat à mm DOCKg SAINT-GEORGES quai du Canal, Nanci/ propos duquel une enquête a été ordonM. CIIAMISAY procède à ia dégustanée par la cour de cassation relativement tion et à la remise d'échantillons gratuits, à l'affaire Malleval, et dont nous avons tous les jours, de 2 à 5 heures. parlé il y a trois jours, appartient au resVente an comptent sort judiciaire de l'arrondissement. ON PfirJE DES FUTS AUX ACHETEURS On croit que Malleval s'est réfugié en Belgique, emportant sur lui une somme CABINET DENTAIRE de 100,000 francs en billets de banque ; il y a quinze jours environ il a expédié dation. P BIRTIIPT PMV Dentiste du lycée LEÇONS  DOMICILE r. D A II 1 h L L L iil i 34. rue Gambetta Obligations 3 i\2 0\0 de la Société des sur une banque anglaise 150*000 francs. Prix modérés Le second employé de Malleval, René Grands Travaux de Marseille. — Ces liT Frôler, âgé de 19 ans, originaire de Pa- tres, dont le service, intérêts et amortisse- Mme L. GEî\ TET, Institutrice 'te ment, esl garanti par une annuité de la ris, accompagne son patron. 15revêt supérieur et certificat De la Faculté de Médecine de Paris ville de Saint-Raphaël, présentent tous les On raconle que M. Boulaine, le finan- caractères des obligations municipales. d'aptitude pédagogique Diplômé de l'Ecole dentaire de Paris cier de la place Vendôme, arrêté récem- Ils sont en outre la dette directe d'une so- S'adresser : 12, rue du Bastion, au 1 «r. CONSULTATIONS DE 9 H. A MIDI ET DE 2 A 5 H. ment, et dont les démêlés judiciaires ciété prospère. 23, rue Saint-Dizier, NANCY avaient, il y a quelques mois, occupé Le prix de 475 fr. avec coupon semestriel plusieurs audiences correctionnelles, au- au 1"' décembre représente un rendement Léon LE PA YEN rait trouvé le moyen de se faire remettre net de 3,30 0(0. Maison fondée à Metz en 1S56 La Banque Renauld et Cie se charge de Chirurgien-dentiste par Rosemberg une somme de deux cent transmettre les demandes. S, rue St-Jenn,8, au 1er étage, NANCY (l)ipïôme d'honneur, deux médailles d'or) mille francs qu'il devait faire fructifier et ^lmcîVîar. Messageries maritimes. — Jusqu'au 20 NANCY — 47, rus Gambetta NANCY que le chanoine n'aurait jamais revue. octobre inclus, la Banque Renauld et Cie Consultations de 9 à 5 heures. — Voici quelques détails sur la vie reçoit les dépôts de titres en vue de l'asque Rosenberg menait à Chèvreville semblée. Homme sérieux, disposant de 1.500 (Oise) : Paris a Francfort, 81,30-35. "fr., cherche situation, commerce ou Harcelé par ses innombrables créanindustrie. Gonn. dessin et photograp. Grand choix de Jaquettes, Grands vêteciers, le chanoine résolut nn jour d'aller Une colossale escroquerie V. M. 44, bureau du journal. ments, Boléros, etc., en astrakan, loutre, chercher la tranquillité dans une retraite [suite) et autres fourrures. — Collels et pelisses ignorée. Après dos tentatives infruc'fourrés, Etoles, Cravates, Manchons- et de suite dc BONS Mme Civet, assistée par son conseil, tueuses à Brou, à Chelles, à Boauvais, il fin ftamnnrta autres Nouveautés de la Saison. 'a8 MAÇONS, à O f. ÇO M> Laureau, a été entendue hier par ML jela son dévolu sur un domaine séculaire de l'heure. S'adresser "au journal, 259. Prix, très» .it oilérés Flory, juge d'instruction. Mme Civet a que Mme Daragon possède au beau miprécisé les faits énoncés dans les plaintes lieu du village de Chèvreville. Sur la foi UÊT à touSi argent de suite sur RÉPARATIONS ET TRANSFORMATIONS qu'elle a portées- contre le banquier Mal- d'une promesse d'achat, on lui permit de flC I signature, long terme 4 0(0. Conservation des Fourrures pendant l. 'été leval et les autres personnes mêlées à s'installer dans ce château, où ses paCOUDER, 53, rue Vacon, Marseille (22). l'affaire. Elle s'est ensuite longuement rents et ses amis ne tardèrent pas à le étendue sur ses rapports avec Gadoberl rejoindre : bientôt il n'y eut pas là moins OUVRIERS VERRIERS, principalement et le pseudo-évêque Rosemberg. Mariée do vingt personnes. CARREURS. sont demandés aux Verà M. Mourichon, l'un des compagnons du A Chèvreville, le chanoino continua reries de Glageon (Nord). Très bons .prince d'Orléans dans ses explorations, ses exploits : il fit restaurer la propriété, salaires garantis. (39). elle avait demandé et obtenu le divorce mais ne paya pas l'entrepreneur, s'apà son profil. Mais comme nous l'avons provisionna copieusement chez les fourOn iIcmaïKle Dames ou DemoiHo II liions raconte, elle eût voulu être déliée de nisseurs, mais ne solda que fort irréguselles bonne tenue, connaissant la Alost. — Les prix élevés qui ont été payés l'union religieuse. représentation et pouvant voyager. lièrement ses factures. On menait joyeuse pendant quelques jours pour le houblon I S'adresser chez M. Monin, 1, rue du Voulant l'aire négocier en Bourse pour vie là-dedans, ont dit certains habitants d'Alost de la récoltede cette année ne se sont 650,000 fr. de lilres,Mme Civet avait penPont-Mouja, 3e étage, de 10 heures à . de Chèvreville. pas maintenus. midi et de 2 heures à4 heures du soir. sé au banquier Malleval. Elle s'était renRosemberg eut, avec le curé delà paLa demande pour l'exportation ainsi que pour la consommation de la brasserie belge seignée : M. Mallevai élait connu dans le roisse, d'assez curieux démêlés : évincé A I DIICD petite chanilire était devenue très active, et avait imprimé monde où elle fréquentait el on lui eu par ce prêtre de l'église, où il prétendait A LUUCn meublée, 10 fr. par à notre marché un cachet de grande fer- avait dit du bien. La banque avait la célébrer les offices à sa place, le chamois, rue Charles-IIl, 121. meté, que les prétentions élevées de nos meilleure réputation el, au surplus, les noine ouvrit dans le domaine de Mme planteurs avaient contribué à accentuer. 'opérations financières de Mme Civet Daragon une chapelle aux dames de 13, rue Gautfoetta, NANCY La semaine a débuté par un brusque mou- étaient des plus simples : il s'agissait de vement de hausse, à 85 fr. et 90 et excep- vendre immédiatement des litres et d'en Chèvreville. Celles-ci fréquentèrent d'aTous les jours CONSULTATIONS A CKDEït bord ce sanctuaire improvisé,puis,émues tionnellement jusque 100 fr. par 50 kilos de 8 h. a midi et de 1 h. 1(2 à 6 h. Seule dans quartier populeux. Belle faire le remploi en achetant immédiatedes allures du monsignore, s'éclipsèrent prix de culture et premier coût, il s'est fait occasion. Prix l.800fr. Pressé. Ecrire des achats très importants qu'on peut éva- ment d'autres valeurs qui étaient dési- définitivement. offres au journal, 260. gnées. Il n'élait nullement question d'oAlors Rosenberg, jouant son va-tout, luer à plusieurs centaines de balles. -.-ami SÏILLA OELAIMI Depuis jeudi dernier, les acheteurs sont pérations à terme, ni de report, mais commis ses frasques au grand jour. Il PERSONNE sachant très bien racLeçons particulières de chant et cours devenus plus réservés et les prix offerts aux d'une vente ferme et d'un achat terme. fil unir clandestinement par un prêtre à commoder, connaissant la couture et d'ensemble. S'adresser chez M. Hnpontnlanleurs n'ont guère dépassé 85 fr. ; mais, C'est parce que M. Mallevai ne voulut ou ses gages des jeunes gens à qui leurs la lingerie, demande des journées. 56 Metzner, 7, rue Gambelta. à '.es conditions, il ne s'est traité en culture ne put remettre les valeurs règnes ou ac- parents refusaient de donner leur conque des quantités de nulle importance, le ROBES - MANTEAUX quises qu'une plainte fut déposée au par- sentement. Bref, il fil tant el si bien que p.us grand nombre des détenteurs n'ayant Vous tous qui souffrez d'Opt r. "!ons 25, rua Sigishert-Adam. on demanloul Chèvreville le mil à l'index. pas encore pu se résoudre à vendre leurs quet. de plusieurs petites ouvrières. La seconde escroquerie dont a élé vicEn novembre dernier, il quitta le villaproduit à des prix en baisse. time la rentière est beaucoup plus com1 Les cotations pour le houblon en huit ge avec ses commensaux. El, l'autre Alfred GAIE, gérant. Kîrfvcj i M. L. BRUNEAU, l'u.u ni»-i à h lie. marques, livraisons octobre, novembre, pliquée. Divorcée depuis plusieurs an- j jour, quand les gendarmes de Nanlueil•l»ousi .-,-ti-tiigrRtuitement't franco une BOITE tî'ESSAI df ' Nancy.— Imprimerie coopérative de l'Est ont été très irrégulières, puisqu'elles ont nées par jugement prononcé en sa faveur jie-Hauduoin se sont présentés avec un POUDSE CIGARETTES ESCOUFLAIRE ITec u?ml;reux i.ettiflcai» ue guâriioa».— vtpût toutes Phkrmuciu, 51, rue Sainl-Dizier. E»»«iîMM u™ mM E. SRQSOWSKI, chirurgien-dentis Mon KEGEL assis™; — FAIT8JPERS P A ^ L, ée„tfstfî Boucherie-Charcuterie ,M. -K ET Feuilleton de YEST REPUBLICA1N\ N' 18 Alexis, parfois, la déroutait. Elle rentra au salon des dames d'hon neur. Yvana s'amusait à essayer des cosRené D'ANJOU tumes de cheval. Puisque sa bête était blanche, elle avait choisi une jtïpe courte de fin drap clair, rehaussée do boulons de vieil argent, et retenue au-dessous d« genou, à la jonction des bottes molles d gris, par une agrafe de même métal. Un corsage ajusté s'ouvrait en haut, sur une chemise d'homme, où se nouait PREMIÈRE PARTIE une cravate noire, épinglée d'une seule perle, un pelit feutre assorti couronnait Iluic cedo nemini alteri ses cheveux mousseux. — Vois, dit-elle à Spéra en riant, je redeviens garçon, si lu savais quel char— Tu as eu tort,si je n'avais rien dit à me j'en éprouve. ma femme.c'eslque jelejngeaisàpropos. La comtesse l'entraîna dans une pièce J'admets Ion intention, mais te prie à voisine. l'avenir de me laisser seul juge de mes — Ma chérie, tais-toi, ne t'amuse pas confidences. tout haut, tu es une enfant terrible. — Mais, Sire, ce n'est pas Votre Majes— Ah ! toi aussi, tu prêches, où pourté qui les aurait faites, nous avons des rais-je bien me sauver ? ennemis. Qu'esl-ce que tu as à sembler si désa— J'ordonnerai une enquête. Tu peux gréable ce soir, ma bonne amie ? le retirer. — Tu viens de me faire gronder. Elle sortit, l'âme attristée. Elle avait — Moi! agi cependant comme une mère eut pu — Pourquoi as-tu été conter à ton mari le taire près de son enfant bien-aimée, ce que je t'avais confié ? pour lui éviter l'effleurement des ronces. — Je voulais savoir plus. Mais l existence dos cours, et môme la — El tu as réussi ? manière de penser des souverains, est — Oui. tellement en dehors des règles ordinai— Tu aurais, dû au moins, ne pas me res que Spéra,rompue très jeune à ton tes nommer. les subtilités de cette presque anormaic — Ma foi, j'ai essayé. Seulement tu existence, gardait encore.au fond de son sais avec sa façon d'interroger, ce n'est mmo conscience, des surprises. |pas commode de se dérober, ïu n'as pas Aigle â Colombe eu Irop d'ennuis, j'espère ? En lous cas, compagnerles jeunes souverains, ils res- fut une envolée joyeuse, rapide, entre les ; pression depuis tantôt. Je repense à celle ma petite mère chérie, je t'aime. taient immobiles de chaque côlé de la arbres aux tons roux. infortunée Jehanne, dont peut-être je ' Très câline, elle embrassa la comtesse grille. Yvana, toute rose, les lèvres entr'ou- t lois me reprocher le crime... mes joies qui la retint sur son cœur, des larmes — Quelles jolies bêtes, remarqua Yva- vertes, les yeux brillants, arrêta sa bête seraient-elles faites du supplice de deux perlaient aux cils de Spéra, venant d'une na, bien nommées : le Jour et la Nuit. au bord d'un sentier étroit, désert, au- femmes... indéfinissable impression de crainte vadessus duquel se croisaient les branches —Tais toi, redeviens gamine. Ne parle Le grand écuyer, chef des écuries im- des grands hêtres. gue, impossible à analyser. pas de choses trop graves, jouis un peu périales, s'avança, les mains jointes sur — Où allez-vous galoper ce scir ? A Son mari l'imita. de ta courte récréation. l'heure où vous parlez, il sera nuit an. sa cuisse, pour mettre en selle l'Impéra— Descendons, voulez-vous ? demanda Nous laissons le trône une heure, laistrice, mais son mari l'enleva d'un mouretour. t-elle. sons-en les soucis. Tous les hommes ont vement rapide, la posa d'aplomb : — Tant pis, j'aime bien trotter sous la D'un signe, il appela ses gens, pendant eu plusieurs amours, et, d'ailleurs, sois — Tiens les rênes à deux mains, n'en- qu'eHe sautait à terre lestement, saus ai- rassurée. Après notre conversation de la lune. — Moi, je n'aime pas à vous voir tous fonce pas ainsi les pieds dans les étril- de, eu garçon. Elle reprit : ce matin, j'ai envoyé Hedjade Walbourg, deux en celle forêt menaçante, presque liers. Je crois la bete docile, mais sois — Allons par ce pelit chemin désert, mon premier aide"de camp, chez Jehanne attentive, on ne sait jamais. sans escorte... Voyez comme il s'enfonce mystérieuse- de Kerlof. Elle s'interrompit. Alexis entrait en Il se retourna vers le grand écuyer : ment dans un commencement d'ombre, Elle était presque guérie de sa blescostume civil de cheval, culotte bouffan— On a fait sortir Midi, aujourd'hui ? avec la clarté rouge des feuilles de ceri- sure, capable de voyager ; son frère va ; te, leggings, chapeau rond, U avait sou- . — Moi-même, Sire, je l'ai menée au- sier sauvage, où s'accrochent les derniers venir la prendre pour la ramener dans levé la portière et entendu la dernière dovanl dos tramways, des automobiles, rayons du couchant, Nous allons rencon- sa Bretagne, où elle fera le bonheur de phrase : de la musique militaire, elle n*a pas ! trèr des biches par là. lous les siens en assurant leur avenir. —Mais, qu'est-ce que tu as donc Spéra, à bronché. Elle parlait sur la mousse jaunie, hou-1 — Mais son amour?... vouloir absolument jeter des ombres sur I Personne n'a monté Minuit, je reuse d'êlre libre en son costume com— Veux-tu lui faire l'aumône d'un parlous nos actes ? Laisse cette enfant profi- pense ? mode. Elle avait envie de courir, de tage? ter en paix", des rares moments que ie — Non, Sire. Seulement j'oserai pré- jouer, ainsi qu'une fillelle ; ses membres — Oh! puis lui consacrer. venir Votre Majesté, l'aràmal est plein souples et adroits avaient besoin de dé— Comme tu es influençable. Ta belle — Sire, je suis comme les vieilles, un de cœur, de feu, pas voyant, mais il . tente. Depuis tant de jours, elle pontifiait colère de co matin, contre une créature peu radoteuse. Jo supplie Voire Majesté s'emballe, a la bouche dure. en de lentes représentations. Elle saisit sans conscience, est tombée. de'ne voir, en mes paroles, qu'une pensée Pendant ce temps,, Alexis était sauté i le bras de son mari : — Devant une souffrance qne je CoiTide prudence dictée par un cœur telle- en selle, le cheval frémissait, les oreilles i — Gomme c'est bon d'êlre ainsi, si vous prends. Moi, si chose semblable) rn'arriment dévoué... dressées, soufflait. saviez comme j'ai envie de grimper là- vait, je mourrais tout à fait, — Jo le sais, ma pauvre amie, tu es Il rendit la triain. Midi imita son corn ■ haut? — Tu te tuerais. parfaite et... ennuyeuse comme la per- pagnon, parlu d'un trot allongé. Sa fine > Elle lorgnait les cîmes où roucoulaient -Ce ne serait ^s la peine, je lo sefection Allons, n'aie pas de soucis, au tête haute. Les gardes suivaient à trente » les tourterelles. rais du coup. Autrefois, à Kalchoven où revoir. pas. La r,elite troupe allait à travers U ) — Tu aimes les sommets, c'est domIl fit passer sa femme, la suivit. Les parc afin d'éviter la ville, de gagner lou 1 mage que je ne puisse t'en offrir qu'au j étais en exil, il a passé un soir des Bonem'/ens, toute une exode de Romanis, chevaux, tenus devant le perron, atten- ;de sr/ite la campagne. figuré, n'est-ce pas ? Pourtant, tu es heu- l'qui défilaient à travers nos montagnes, daient aux maias des écuyers. Itès la première allée du bois, Alexis s reuse, dis? pour gagner la Kouranie. Un d'eux m'a Deux gardes seulement devaient ac~ Jfi! prendre lo polit galop de chasse. Ce > — Oh i absolument, mais) j'ai une op- dit la honue aventure. (A suivre) I — EST^Rj^UgLICAlM^ Mardi 21 Octobre iUOâ FEUILLETON deï EST REPUBLICAIN \ iestiné à être déclaré sinon innocent, du N° 55. i noins non coupable. Cela, il pouvait le faire. Sa conscience 3Ût trouvé toutes sortes de circonstances atténuantes à ce silence imposé par l'honneur. Mais ce qu'il ne pouvait pas faire, Par Armand LAPOINTE c'était de laisser un innocent sous les verrous et sous le coup d'uue accusav, et Henri ROLAND tion capitale. Celui-là, ce n'élait pas l'acquittement qui l'attendait: c'était la peine de mort, la peine ultime, l'ignomiuieux supplice Et mort assassiné ! réservé aux scélérats dont le crime atroEl par qui ? ce a glacé d'horreur la clémence, el séché Par Breval, son propre beau-irere, a les larmes de la pitié. lui, Georges Danglars ! Cette idée lui était un cauchemar, une chose insupportable. El pourquoi ? Parce que Edmée Danglars, sa sœur, Le devoir lui criait : Cet homme en Avait apporté le déshonneur au foyer liberté, tout de suite ! conjugal ! Et à celte grande et impérieuse voix, Et cet innocent Arrêté par son ordre ! seul un long sanglot répondait, secouant C'était celte arrestation qui compli- douloureusement toutes les fibres du maquait la situation. gistrat jusqu'au plus profond de son être. Si Bruno, au moment du meurtre, C'est qu'alors, la situation lui apparaiss'était trouvé très loin du théâtre du sait terrible, irrémédiable, sans issue. crime, s'il n'avait pas eu contre lui La Il n'y avait qu'un seul moyen de faire déposition accablante du garde, l'affaire élargir Bruno, c 'était de livrer le véritase fût présentée sous un bien meilleur as- ble assassin. pect. Mais livrer le véritable assassin, c'était Malgré l'aveu de Breval, l'assassinat l'écroulement de tous ^es rêves, sa carpouvait rester enveloppé de mystère et rière de magistrat brisée, son mariage i le dossier pouvait être classé au bout rompu l d'un certain temps. . Ah ! c'était là ce qui le frappait le plus i A la rigueur, Georges pouvait suppo- cruellement. ser qu'il ne commettait pas un déni de A cette pensée, l'image de Pauline d« s justice envers la société, en ne livrant Rochemaure surgissait devant lui, et des i pas aux tribunaux un homme assurément larmes brûlantes coulaient de ses yeux i L POUR L'HONNEUR cette sorte de vision de la jeune fille qu'il aimait à la fois d'un amour si ardent et si respectueux. La perdre ! Il ne voyait rien au dessus de ce malheur. Il fallait s'y résoudre pourtant. 11 s'y résolut. Il accepta les faits accomplis avec toutes lours inéluctables conséquences. C'était décidé I Dans quelques instants, aussitôt la triste cérémonie terminée, il irait dénoncer Breval et délivrer Bruno. Et le regard morne, fixé à terre, tenant machinalement le cordon du poêle, il accompagna le char funèbre jusqu'au cimetière, en pensant que celle foule, dont les yeux se portaient sur lui et scrutaient sa douleur, saurait le soir même que celle-ci n'avait pas seulement pour cause la mort de son ami, mais encore la tache faite à l'honneur de son nom. Sur le bord de la fosse, le préfet et le général prononcèrent chacun un dis* cours dans lequel ils déplorèrent la perte du brillant officier, exaltèrent ses mérites et chargèrent d'imprécations le mi-* sérable assassin. Au moment où le préfet dépliait son papier et se préparait à le lire d'une voix claire, Breval, ne so sentant pas retenu par l'éloquence préfectorale et ayant hâte de met lre a exécution le projet qu'il avait conçu, sauta dans sa voiture et se fit conduire rapidement à l'hôtel Danglars. II courut tout droit au cabinet de Georges, attendant le retour du magistrat, Lorsque le procureur de la République revint, brisé par tant d'émotions, il trouva son beau-frère plongé dans une rêverie profonde. Au bruit que fil Georges en rentrant, Breval releva la lêlo. —. Eh bien ? demanda-t-il. — C'est fini ! dit Georges, s'asseyant, accablé. — Je sais que je vous ai cause une grande douleur, reprit Breval sur le ton de compassion ; mon excuse est dans mon honneur outragé. — Oui. , . — Et ce n'est pas seulement mon honneur que j'ai vengé, mais le vôtre aussi, — Il se peut... Il n y a m a expliquer ni à récriminer.Toute parole entre nous, à ce sujet, esl désormais inutile.L arrestation de cet innocent rend tonte solution impossible et nous conduit tout droit à un procès scandaleux. Si pénible que soit mon devoir, je l'accomplirai tout entier. . , — Pourquoi avez-vous commis la maladresse d'arrêter un innocent ! Si cet homme n'avait pas été inquiété, nous serions sauvés. — Pouvais-je faire autrement ? Toutes les apparences étaient contre lui, el j'avais hâte de punir le meurtrier de Gaslon d'Auberive. Au surplus à quoi bon tout cela ?... Une seule chose nous reste à faire : courir au palais, délivrer le prisonnier et dénoncer lo coupable. TRÈS BON CAFÉ la «<• ivc So Machine de la avec remise el écurie, affaires 30.000 fr., bénéfice net 6.000 fr. par an, à céder pour se retirer des affaires. Marcbaml devins, situé quartier Saint Nicolas, près de grandes t . O, rue St-Jean, 4-0 usines, à céder pour 2.000 fr. NANCY Restaurant- marchand «le vins, faisant 20 hectos de bière et Exposition universelle 12 hectos de vins par mois, à céder, PARIS 1900 pour cause de départ. Bonne boueberie, angle de rues, située dans bon quartier, à céder pour cause de double emploi.Prix 4.000 fr. Occasion à saisir. 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Les banquiers désignés pour rece voir les dépôts d'actions au porteur a en vue de l'assemblée, et autorisés à délivrer les caries d'admission à la dite assemblée sont : MM. RENAULD et Cie, à Nancy. BLUM Frères, à Charmes. Mf : ■1 que le nommé DIDIER Société Financière, 53, rue Condorcet, Paris jR Mi_ 3s D1 , ■ il Us Grand ciiûix de Couronnes Croiï, Gerbes, Fleurs, Milles m Beurre ■ 1 ■" M, RAILLIARD 5, rue du Pont-Mouja, à NANCY Spéc. de Couronnes, Croix, Gernes, Corbeilles en perles, métal et fleurs artilicielles PLANTES D'APPARTEMENTS GROS ww Maison «le conlianee VA.V*. DiSTAIL Adresse télégraphique : BAILLIARD —Couronnes — Nancy ! SPÉCIALITÉ DE CORSETS Luxembourg (Grand-Duché) Boulevard Royal, 27, Terminus du tramway K"> VZXiIaEXttZSif l 13, rue de» Ponts, 13 NANCY La maison met en vente pour la SAISON D'HIVER DBS ARTICLES EXCLUSIFS à des prix très modérés MAISON Wffl CONFIANTS! 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Pour l'avoine, le dépôt d'un échantillon est obligatoire et est valable Place du Marche. * KANCY pour toute la camnngne agricole. FOUKXKAI X l»E V\ ÏSS\E — At»i'.l!(8U.S »K CHAUFFAGE La commission d'fxamen des échanCALORIFÈRES A FEU CONTINU DE TOUS SYSTÈMES tillons se réunira à Ponl-à-Mmisson (parc à fourrages), le 3 novem! re proEcliunges — K«.'parafions chain, à 2 heures de l'api ès-midi. f !NÂ!RE™ZIHll!iiERS3ÂK ^ ! Danse et ie Maintien " LA CONFIANCE " des Oreilles et du Nez * f^Gu MhLAPIERRE AVIS Une distribution par contribution 20, rue des Dominicains <je de l'actif mobilier dépendant de la A l'occasion de la TOUSSAINT succession vacante de M. 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Il est possible qu'une ordonnance de non-lieu soit rendue en sa faveur. Vous êtes bien placé pour voir quelle tournure va prendre l'instruction. Vous pouvez en surveiller tous les incidents avec d'autant plus de sang-froid que vous êtes toujours sûr de pouvoir intervenir, à l'heure que vous aurez choisie, pour empêcher que ce braconnier soit renvoyé devant la cour d'assises. Attendez au moins jusque-là. S'il nous resle une chance de sortir da celte horrible impassa où nous^sommes acculés, ne la perdons pas de gaieté des cœur par une démarche imprudente et irréfléchie. CHIÉE OE VOLAILLE Vient encore de créer M* RÉM0ND Ouiii«Ironnerieclt:harpcnte« se s * yr. s m: iït ^ vérité — Co n'est pas mon avis, dit froidement Breval. Georges eut un geste de profondo surprise. — Que diles-vous ? fit-il. — Je dis que vous ne réfléchissez pas assez aux conséquences de cet acte. — Je n'ai que faire d'y réfléchir à présent, J'y ai assez réfléchi depuis hier. — Peut-êlrel — Jo n'ignore rien de ce quo doit nécessairement entraîner celte démarche, et je no m'explique pas voire opposition. Seul en cette affaire vous n'êtos pas atteint. Que craignez-vous?... Le jury vous acquittera et l'opinioj^aussi. — Je le sais, répondit hypocritement Breval, et ce n'est pas pour moi que je redoute le scandale; c'est pour vous, c'est pour Edmée, que j'aime encore assez pour lui épargner la honle. La honte ! C'était toujours sur ce mot que Georges retombait depuis la nuit fatale où le sombre drame s'était accompli. La honle pour sa sœur qu'il aimait tant, et qu'il voyait exposée aux propos méchants des bonnes amies, aux quolibets et aux sarcasmes d'un monde qui juge souverainement et sans pitié les actions des autres, comme s'il était luimême impeccable. La honle pour lui, qui s'était pourtant toujours efforcé de mettre dans sa vie une austérité devant le placer à l'abri de toutes les catastrophes. Vaguement, il se sentait ébranlé sans bien se rendre compte du sentiment qu'il éprouvait. Fondée en 1819. - PARIS, 87, rua da Rlohelîam Ls plut ancienne des Compagnie» française» . Vie entière — Mixte! Terme fixe et dotale», 863 MILLIONS de Capitaus Minréa en eoure. Nombre de aontrali ; 63.138 r s . ■ '' n : 758 HKIIîoiis, S Bnt RENTES VIAGERES L'auuraw-e »«• ta ou j'odreae ait* deux plus puiuanU rmortt de notre nature ■ à nos intérêts et à nosafieeiu>nt.e,M cunvttm £ * ««t" le* classes de ia «été sans exception. t0Ute 1 Immédiate! DIBérëei — De lurtli» —~~ o« MILLIONS de Reste! , .imiwilemeBÎî k " ^ contrat! : e 44 . s J£™ iBntjèpemenî s? i i0a AL^mJ^°J} ^° ' Compagnie» nimîlaire» du continent, dépassant d'environ SSO millions celui de toute autre Compagnie, I i 1£ f' Achats de Nues Propriétés et d'Usufruits S g ement h N^îv M"/- " ?' s'adressertTM. Simon, n' 38, rue Gambetta on ien, ?ea^ w. V\f. Longwy ; G. de Golhéry, à Epinal; MouOS S,N a ? H-? : M„,? , Mirecourt; Gérard, à Verdun ; L. Moaehot, fl Ale.a«»»rV f?îî? reuve Lux ^8& àCommercy; Roch, à Belfort; Fn v er\ Mri ; euil ; Plot, à Ghaumont. Env. gia^t des prospectus et des tarifs concernanttoutes les combin»isPJ>» jwssiu auccs i»ur m vie ci ileutc» viagère»*
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