Année. - M' 9*30. bone ■ 3.21 fêlép _ GR A N U - io.37 JOURNAL Mercredi 30 Juillet 191», QUOTIDIEN DIRECTEUR: RENÉ MERCIER =;:?:::: 7 ^nMWT;Mî;NT3 ABONM-M^^ rtf ^ C„ elle ^earL';i-Mos 5,6 •• Qj| es TerOIS MOIS "WMt l ^nartemenls cires depa" r ;tr<mge : . ' °° |* Ç,. J 7 » ° 1 | I SIX M0I3 UN - 15 ? %, l * 12 î lï ? 14 » 1 p AN r R * ?* » 28 » B S, , ! } Jf BÉDACT10N ET ADMINISTRATION : • NANCY Question • n'est plus suggestif que la lectuR n . « iournaux allemands, de ceux qui t un devoir quotidien de dénigrer onl i' ' el de se montrer à la veille de 3lre Avec une haine et une présomp1 fn ' 'nDelant les semaines qui précédé°n. (E alors que les officiers .prus! allaient aiguiser leurs sabres sur 6 ches de l'ambassade de France iS et assuraient qu'ils feraient une t bouchée de Napoléon el de ses ils déclarent que la France ac; ra rayée du nombre des nae ûn doit nous prendre les Fian3 te 'la'Champagne, le reste de la Lorla Bourgogne et la Franche-Comfrè oui subsistera encore de la Fran' «erait à jamais écrasée. Une indemne vingt-cinq milliards lui sera dénudée et comme nous ne pourrons aver, l'es soldats allemands occuperont .'territoire. Est-ce seulement la Prusse avant Iéna me rappelle cette gallophobie des pan'ermanistes. Elle semble bien plutôt rever des illusions de Picrochole envaB lissant les Etats de Gandgousier, Muions dont nous venons d'avoir un sailissant exemple dans les Balkans par le îrusque effondrement de la puissance julgare. Les Allemands, s'ils n'étaient égarés |ar leur fol orgueil, pourraient cepenjant trouver matière à réflexions caillantes dans les événements qui se députait en Orient et en conclure qu'il le faut pas croire à la victoire avant de [avoir remportée et que rien n'est plus jécevant que spéculer sur la faiblesse jupposée des voisins. ! Quand les petits royaumes voisins de a Turquie prirent la résolution de s'atkquer à cet empire que l'on croyait plissant, dont les Allemands surtout ^comptaient la supériorité, puisqu'ils avaient réorganisé son armée,lui avaient (purni canons et fusils, l'issue paraisjail à peine-douteuse. Les Osmalis devient écraser leurs adversaires. Presque tout le monde s'attendait à."ce réliM ; l'Europe, cependant, ne voulait las que la Turquie revînt sur le passé în reprenant les territoiressqui furent pens, mais elle acceptait qu'une leçon jût donnée aux chrétiens des Balkans. I Dès la première heure, toutes ces ■révisions furent démenties par les kits. Non seulement les Bulgares, qui Semblaient les plus redoutables des alliés, mirent en fuite les Turcs, mais Grecs, Serbes, Monténégrins,eurent des succès foudroyants et montrèrent une organisation militaire infiniment supérieure à celle que les Allemands avaient «tonnée à la Turquie. A égalité et même infériorité du nombre, ces petits peuples déf irent en batailles régulières les a ™eesdu sultan. '~élre ne remarque-t-on pas assez w«e conduite de la guerre en Macédoine et en Epire. T0ue ratiention se por»i vers la Thrace : les victoires bulga^ Parurent infiniment plus éclatantes F celles de leurs alliés. En dépit de « ournée de Kimanovo, où les Serbes jrni montre de qualités militaires Itivi! remarcIuables, de l'extrême f ^ et de l'habileté des Grecs dans he à travers foire u l'Epire, toute la J alla aux armées du roi Ferdi- , | ' | > L. U • difh i»e 1 C uanc J ^ ''heure sonna du parta' cIuand les Bulgares, avec ïusiL euse habileté, crovant avoir S dans leur iPréte r de Jeu' émirent ir le- > . Pendre la part du lion Tasser f1"nlou'es envahis et voulurent MinqijK ,s anciens alliés des contrées Permet Pïr ceux~c>' l'opinion euro1 Vent 1 r-Upposa que les Bulgares al;lir le, 10mPher sans peine et fonder es de la ifaseiw, , Turquie et par l'éGre<2S ct des •ûpire m'i Serbes, un «iniibe à iUaire fortement installé du «utrichim mer E°ée- Allemands et Jénagea"sCSc°mptant ce triomphe, ne Pas leurs Bulgarie sympathies à la : 1 ——•»$>^M©*' Le général Foch ————™ ! Le chien, la niche et les autorités Non, je ne suis pas de ceux qui dénigrent systématiquement nos voisins d'outre Vosges. Pour moi je les tiens pour un peuple éminemment spirituel. Sans doute leur esprit est un peu particulier. Il échappe à la lourdeur de l'esprit français, comme en témoigne l'anecdote suivante : Un fermier danois du Sleswig-Holsiein avait un chien noir qu'il logeait dans une niche feinte en rouge. Le chien vint à mourir. Le fermier le remplaça par un chien blanc. Il reçut incontinent du président de police du district un avis ainsi conçu : « // faut abattre votre chien ou peindre votre niche d'une autre couleur. Le fermier demanda des explications. On lui répondit que les couleurs danoises étant le rouge et le blanc, le chien blanc dans une niche rouge constituait un délit qui ne pouvait être toléré. Quel est le commissaire français qui aurait trouvé celle-là ? Aucun. C'est pourquoi, à juste raison, les Allemands prétendent que nous sommes un peuple fini, vidé, inexistant. Ils le croient... D VALVERT. ' B Un geste de Grébauval M. Armand Grébauval, — qui vient de mourir — était célèbre pour la verdeur de son langage et l'énergie de ses ripostes, mais il supportait mal la contradiction. Aussi, lorsqu il présidait le conseil municipal, se montrait-il souvent nerveux. Mais en dépit de cette apparence de violence, son sangfroid ne l'abandonnait jamais non plus que cette bonhomie et cet humour qui le faisaient estimer de tous. A une séance de nuit, au cours d'un débat passionné, l'extrême-gauche du conseil poussait de telles clameurs qu'on se fut cru à la Chambre, le président était débordé. — Gardez le silence ordonnait-il à l'un. Taisez vous ! criait-il à l'autre ; mais le tumulte continuait de plus belle. Tout à coup on vit le président, tremblant de fureur, bondir de son fauteuil et; s'élancer... vers' le commutateur électri-■ que. Doux secondes après, la salle était plongée dans l'obscurité! le calme était rétabli. Un résul mme a tat inattendu se Kirk-Kilissé et à '»fj îl mné l - ip^\'2 I ^ions ont donc été dé'SNceî. 'elte guerre, malgré les3 é 103 raisons faifuï ^évoir Hlgabord f " lfi ^111? «ontro s succès des5 ttor&com P"is ceux de la1 fenï^esl,^565 amis de la veille, la1 4 s 6S a été con * «rS traire à l'atI ^ls empires germaniques. 1 L'autre Jour, le greffe du tribunal de Win-1terthu'r (Suisse) annonçait, au rédacteur de la » Schweizerische Wochenzeitung • qu'un£ certain H... à lui totalement inconnu, lui:t avait, légué une somme de 50 francs qu'il re-:cevrait chaque année par moitié le 1er août et au Nouvel-An. La seule condition à rem-* plir est que, ces deu-x jours-là, l'héritier boi-£ ve un bon verre au souvenir du défunt lI Cette rente lui aéra servie jusqu'à la fin d« t Chronique locale 30 e. la ligne 60 90 — 150 - ! j ; | I * ^ L'Agence Kavas, 8, place de lft la Bourse, t Paris tl MM. John F. Joues et C , 31 Mj faubourg Montmartre, à Paris, sont seuls chargés de recevoir £ publicité extra-locale du journal Pour la publicité de Meurttie-et Moselle, Meuse, Vosges. Alsace-Lorraine et Luxembourg, s'adresser anx bureaux de fEst - position du chapitre et des vicaires capi- | CAUSERIE FÉMININE tulaires. Mgr d'Osmond hésitait II réclamait ses ' T bulles d'institution canonique. On lui rép< pondit que les affaires avec Rome étaient j| eien bonne voie d'arrangement, qu'il aurait sous peu ses papiers en règle, les civils * comme les spirituels. — Mais partez et ne retournez pas à Nancy. Et le baron d'Osmond partit II s'arrêta à, Lyon ; on lui enjoignit d'aller plus loin, à Il est certain que le sport contraint à °J les bulles le suivaient ; il s'arrêta de une que UJ élégance sobre et saine. Essaye d» n ' nouveau à Turin ; le même manège re- fa c< ! faire du football ou du tennis avec *e« commença. fa fards, par exemple : Au bout de cinq 1 MiEnfin il arrive à Florence, capitale de' n, nutes le noir des cils et des sourcils ser » ^ la Toscane, qui avait alors pour grande- J( dans le blanc-gras du. visage, le d duchesse Elisa Bonaparte, sœur de Napo- i délayé „ rouge coulera, mettant sa teinte de fraise M léon. I" écrasée dans cette bouillie innommable, A Florence, personne ne veut de l'intrus éc e d dans le monde ecclésiastique. Elisa fait et t je vous promets le masque le plus hiel emprisonner deux ou trois chanoines, sup- : di deux que jamais imagination japonaise prime la prébende de plusieurs autres et ait ai conçu ! Impossible également de faire P 0 ordonne à l'évêque de Nancy de faire son du di sport avec des bottines trop étroites, ; e entrée solennelle au Dôme, escorté de toute C( cfes souliers cruels qui donnent aux marla U garnison française, ayant à sa tête le ' u volontaires qui les endurent une déï général Belfort qui avait commandé à j tyrs J: marche sautillante et douloureuse d'oiNancy peu d'années auparavant. blessé. Les chaussures devenues ra*( . Mais le nouvel archevêque n'était pas | seau tranquille. i " tionnelles, le pied, à l'aise, gagne en esEt ses bulles qui n'arrivaient toujours i thétique tl et s'éloigne de plus en plus de pas et qui... ne devaient jamais arriver. ci moignon idéal auquel aspiraient jadis P ce . Alors Mgr d'Osmont se souvint qu'il était le les Chinoises. diplomate et qu'il séjournait en Italie, Ceci dit, les critiques que l'on fait sur ]c Ppays de la « combinazione » par excel- les fourrures, les lunettes menaçantes des lence. * a adeptes de l'automobile, ne sont point sans Il eut le tact de refuser les palais qu'on f . f : « Comment une jolie femme, lui offrait pour résidence, même l'arche- I fondement J vêché, et il se retira dans un pauvre cou- I1 disent les critiques, peut-elle avoir le cou* r v de s'affubler de la sorte ? Sur ses vent de religieuses annonciades. | rage ; C; d'or ou d'ébène, elle met, soit le De leur côté, les chanoines italiens, j1 cheveux v v voyant qu'il n'y avait rien à faire contre [ voile vert des Anglaises de vaudeville, soit "« le tyran et ses suppôts », rusèrent à leur | u un capuchon hermétique en odieuse toile tour, et consentirent à recevoir l'archevê- grise. g Ses yeux sont cachés par d'effroyaque, non comme leur chef et supérieur, b 1 bles lunettes ; un cache-poussière de teinte mais comme un prélat étranger, en rési- n j l'enveloppe complètement. Voue dence provisoire à Florence et à qui ils de- neutre ° a aviez une créature délicieuse, il y a quelmanderaient les services de son ministère ï minutes : vous avez devant vous main^ fépiscopal... en attendant des jours meil- ques tenant un monstre auquel on ne saurait leurs. " a ni sexe, ni âge 1 » Cette situation dura trois ans. Les dé- assigner tails de ces épisodes nancéio-florentins ont . Ne perdons pas de vue qu'il faut d'abord été racontés par un chanoine italien, le q j; que la chauffeuse évite la poussière, le comte d'Haussonville, les abbés Guillaume v vent, la pluie, la boue. Son costume doit e et Martin et Paul Marmottan. r répondre au but cherché. Après tout, le . Nous y renvoyons les lecteurs curieux plus ravissant, le plus Impalpable chacde ces querelles politico-religieuses du Pre^ _ peau, fait de quelques brins de paille et mier Empire. , Mgr d'Osmond rentra en France à la fin "de deux fleurs, n'en a pas moins été exécude 1813. I té pour protéger la tête contre les intemBenoît Costaz — jamais sacré — se reti- |j Ppéries : les gants sont là pour mettre lea 1 ra à Paris, laissant la place à l'ancien ;j mains n à l'abri, et il convient que l'automoévêque qui s'excusa fort diplomatiquement biliste b : ait un costume de protection. Maia auprès du pape de tout ce qui s'était passé j; , il peut être exquis ce costume : la beauté, à Florence. Son successeur sur ce siège ' cassa tous ses actes, puis les revalida, et lpour être pratique, n'en est pas moins la , beauté. Il faut convenir que jusqu'à pré\Mgr d'Osmond n'entendit plus jamais parsent, modistes et couturières ont tâton1er de cette cruelle affaire. r Il redevint bon lorrain, pasteur dévoué, né : le costume automobiliste est encore et quand il mourut à Nancy, le 27 septem- dans c l'enfance, et il faut longuement cherbre 1823, ce fut chez nous un véritable con- ccher pour trouver des modèles réussis. (cert d'éloges et de regrets Si nous passons à la bicyclette, aïeule Mgr d'Osmond, après un épiscopat de incontestable i des sports, il est certain que yvingt ans, où il fit preuve de tant de zèle . r n'est plus affreux pour la femme que ] infatigable et d'une conduite si prudente, rien j pantalon. La jupe seule est repose dans les caveaux de la Cathédrale l'abominable , , de Nancy où son inscription tumulaire élégante, effleurant la cheville. Un « blouj s » correct fait ressortir la chemisette rappelle qu'il fut d'une politesse raffinée, son , d'un esprit supérieur et très fin, d'une cde toile ou de flanelle. Les -bottines hautes 1bienveillance remarquable, d'une doctrine sont s lacées. Le canotier ou le petit boni( et d'une piété supérieures, faisant toutes cchon, dont la fantaisie atténuée est tolé1 choses avec prudence et modération... lrée, comme coiffure et c'est parfait EMILE BADEL. Le cheval nécessite une tenue impeccable. On montrait jadis au bois un élégant dont le minutie était proverbiale : Monté sur une fort jolie bête « mise au bouton » et qui allait d'un trot de cirque, il portait dans sa poche une petite brosse à habit ! La poussière venait-elle à saupoudrer lee i basques de sa jaquette, il hélait un gabin, descendait de cheval et priait le bamLes conseils généraux sont de pleine ac- !bin de le brosser en conscience. Ceci fait, 1 enfourchait à nouveau sa monture, mais tualité, puisqu'ils Sdnt renouvelables par il moitié dimanche prochain. 'alors le gamin devait passer un chiffon Il faut rattacher l'institution des con- isous les semelles des bottes Chantilly — seils généraux à celle de ces assemblées 1car ces semelles étaient vernies ! provinciales dont Turgot avait eu l'idée Sans aller aussi loin, il est cependant pour mettre un frein au pouvoir discré- , avéré que l'équitation, quelle que soit la tionnaire, sans contrôle, des intendants et ' dont Necker avait fait des essais qui eus- science de l'écuyer ou de l'écuyère, doit sent pu sauver la Monarchie s'ils eussent 'être pratiquée avec élégance. Le sportsété plus énergiquement soutenus et géné- man qui enfonce jusqu'aux oreilles un ralisés et si, dans cette entreprise tardive couvre-chef démodé, s'habille d'une vieills de réforme, il n'eut manqué le coup d'oeil redingote et d'un pantalon fatigué, chausnet et la main ferme du maître de l'heure. se à fond les étriers, fait, malgré la soliLes assemblées pronvinciales créées par dité de son assiette, assez piètre figura II Necker nommaient un bureau permanent ou Commission intermédiaire pij devait aura, croyez-le, le même insuccès que ce veiller, dans l'intervalle des sessions, à pauvre homme, au dos rond, ballotté sur l'exécution des délibérations de l'assem- son cob et dont se détournaient deux snobs blée. Cette commission ne devait pas se! croqués par Forain : substituer à l'intendant, mais contrôler les1 — Faisons semblant de ne pas le reconactes de son administration. La même or- naître, il monte trop mal à cheval t ganisation a été adoptée par la Belgique, L'amazone moderne prise peu ou prou la a sa constitution en 1830, sous le titre de1 Dâputation provinciale. La République .l'a chapeau haut de forme et le remplace par reprise quand elle a doté les conseils gé-[ le melon qui peut être porté avec grâce. néraux d'une commission départementale. Le paletot-sac ne doit avoir aucun orneIl n'y a guère qu'un point où le rôle dui ment Le met de Brummel relatif au cosconseil général est mal défini, c'est en ce! tume reste éternellement vrai : l'élégante qui touche à la politique, est celle qui ne se fait pas remarquer. En principe, il ne doit pas s'en occuLe tennis développe admirablement la per et cependant, il est dans ses attribugrâce ct la beauté du geste et lea tions de remplacer, le cas échéant, en face d'un coup d'Etat, par exemple, le corps lé-' jeunes filles l'ont bien compris. Le costugislatif empêché, et il est de plus appeléi me blanc, de flanelle ou de piqué, convient de droit à participer à l'élection des séna-'. aux hommes comme aux femmes. Le rival teurs. du tennis est le golf : les mêmes costumes D'ailleurs, il est constant que la plate-- y sont adoptés, mais la vigueur qui doit y forme électorale du conseil général estt être déployée est bien plus grande ; c'est essentiellement politique, pour cette raison qu'il est malaisé d'y con-, Qoui qu'il en soit, le devoir du préfet seserver une élégance aussi parfaite. rait d'opposer la question préalable à touL'alpinisme exige la jupe trotteuse d'éte motion politique proposée à l'assemblée" départementale et il est d'usage que, celle-I toffe solide, les guêtres, un voile épais proci passant outre, il quitte la séance en ma-. tégeant le visage ; c'est un sport héroïque nière de protestation. pour lequel il existe néanmoins une éléCependant, il est avec ce devoir et cett |i gance qui consiste à ne pas s'affubler de. usage des accommodements et on est en-" 1 accessoires inutiles et encombrants qui ont core à voir un préfet opposer la question1 !I rendu populaire la silhouette de Tartarin. préalable et quitter la séance sur des féli-, 1 En résumé le sport peut être élégant, citations au gouvernement. Quoi qu'il en soit, les conseils généraux j sans tomber dans le snobisme. Le sport se montrent avisés, au point de vue admi-[. met l'homme et la femme en évidence ; rat nistratif, prudents et économes, malheu-[. son de plus pour que leurs gestes soient reusement ce ne sont pas eux qui font laa harmonieux et leurs costumes élégants e» loi, ils la subissent pour le département.'■■ simples. Qu'un homme porte, en allant i D'autre part, la Commission départe->- ses affaires, une cravate vermillon, et per mentale exerce un contrôle sur l'adminis- | ! sonne ne trouvera rien à dire ; qu'il metti tration préfectorale. I une cravate sang de bœuf piquée d'ui <^ ^t. Z gros brillant, en conduisant deux chevaoo attelés à un véhicule quelconque, et il n'es i pas impossible que l'on ne lui fasse sig» i d'arrêter pour lui demander le prix auque , i il veut vendre ses bêtes parce qu'on V&vm 4 I pris pour un maquignon'! ' " puzanne GABON- Il y a cent ans : . Un épisode Nancêisn de la lutte entre Pis VU et Napoléon et Ses Sports '■ j I i j j ij S! j! I i |I j\ i | 1i |I ! J j || , L'Origine îles ; Conseils généraux ! : Le généralissime monténégrin #"é .i „ 0Ur Le prince Miloutine Voukoticht, généralis-. Co S eux que ron saluait dé •,lent"»ne v ' queurs ° " sime de l'armée monténégrine, oncle de la1 à d'Italie, a fait ses études militaires5 ! l'ay ance < dont on se dispu- reine partie en Autriche et partie en France. rîf'Ure ies l'amitié, ne tinrent pas1 Après un séjour aux Cadets de Vienne, il fitl nâa rsaires <f n qui semblaient, en effet un stage de deux ans à Paris ài de guerre. W^k ie " recs et Serbes mirent-en. l'Ecole Comme le prince n'entendait qu'à peine le3 Con JfCes quérants d'Andrinople. français, il éprouvait, à suivre les cours, évén Uler menls une grande fatigue, dont il se délassait vo-; N ,? continuent à se dé-' lontiers le soir en bonne compagnie. 0 all Wgarie Jr °ns peut-être voir laL or, le général Saussier vint un jour vîsil'Ecole de guerrte. Le prince Miloutine8 loutes ses im^ne laisser entar conquêtes et\ ter lui fut naturellement présenté et le gouverKJ^ com„ ner son territoire, sil ne-ur militaire de Paris lui demanda s'il pré-] ! end pas un notre enseignement militaire à celuii |! "Session e prompte> férait 00 ^ de l'Autriche. Le prince réfléchit, chercha* ffltent aux faits s'impose et ne se'' 1 ses mots et dit lentement : e de la —Les Viennoises ont le corps ; les Pari• Thrace,lot fort envia-■ siennes la figure plus jolie. P é j Une rente viagère tf°dl|ïsitmr W Tout le mouae connaît cet épisode politi1 c du règne de Napoléon Ier, au ' co-religieux 1 moment où l'Empire avait atteint son apoj gée f : l'enlèvement du pape Pie VII à Ro1 me, son internement a Savone en 1809, 1 1 'puis au palais de Fontainebleau jusqu'en .1813, les cardinaux noirs, le concile national de 1811 et finalement la signature d'un < nouveau Concordat qui ne fut jamais mis 1 exécution. . j à Echantillons sans valeur j , Ces faits sont l'histoire contemporaine... et ce n'est pas sans un vif intérêt que l'on Un grand nombre de personnes se sont : ' aujourd'hui, au palais de Fontaine(étonnées que le fameux collier ait été confié visite 1 bleau, les anciens appartements du pape à la poste comme un simple échantillon 1et de l'empereur avec leurs tragiques sousans valeur Mais c'est que l'espèce d'ano< venirs. z nymat, dont jouissent les envois de ce gen- | 1 re, semble offrir à l'expéditeur le maximum j , Cette lutte de plusieurs annéés' eut sa récde sécurité. percussion assez inattendue à Nancy.Voici Lorsqu'en 1905, le général Botha voulut en- 'comment : 'voyer à Edouard Vil, pour le remercier d'àAu Concordat de 1802, les anciens sièges V«ir promulgué la constitution du Trans- épiscopaux 1 \ de Toul, ' Saint-Dié et Verdun vaal, le Cullinan, qui était le plus gros dia- 1 , 1 mant du monde, puisqu'il pesait 3.023 carats ! avaient été supprimés ; seul, le siège de \314, il fut très perplexe. Quel était le meil- ; ,Nancy avait été conservé pour les trois leur moyen d'amener à Londres, sans dom- départements lorrains de Meurthe, Meuse 1 mage, le précieux bijou T et Vosges. Pour dépister les voleurs, un haut foncLes titulaires des sièges supprimés tionnaire transvaalien, escorté de quatre so- | avaient du donner leur démission, deman1 lides policemen, se mit en route, emportant dée par le pape. C'étaient des Michels de «une valise qui était veillée Jour et nuit, ce- i ! Champorcin, pour Toul, de La Galaizière ]pendant que l'on confiait à la poste de Pré- 'i pour Saint-Dié ; Desnos, de Verdun, était toria une petite boite qui. fut recommandée, ■ :sans indication de valeur, pour trente-trois !j mort en exil. ! sous... A Nancy, l'ancien évêque La Fare réslà Vienne comme agent de Louis XVIII • o» —— I dait et refusait d'accepter le Concordat. I Quant aux évêques constitutionnels : . Maudru, des Vosges, Aubry, de la Meuse, Nicolas, de la Meurthe, le pouvoir spirituel et temporel les déposait tout simplee ment. Deux d'entre eux redevenaient sim, jj pies curés à Stenay et à Commercy. j Un choisit alors pour évêque de Nancy j un homme qui avait donné des gages au ! premier consul et à Portaiis, Antoine-Eus... Bien des noms ont déjà été prononcés >!■ tache d'Osmond, né en 1754 à Ouanamin|! the, Oe de Saint-Domingue, ancien vicaire 'pour la succession — légitimement enviée général de Loménie de Brienne à Toulouse, — ] de M. le général Gœtschy, commandant : puis évêque de Comminges (Haute-Garonle 2f> corps, et qui passe le 11 août pro- ' j ne) dès l'année 1785. <chain au cadre de réserve. I Osmond avait émigré en Angleterre à la Un journal parisien du matin — dont ■ Révolution, mais avait adhéré aussitôt au ] les attaches avec la rue Saint-Dominique | Concoruut. sont connues — a mis en avant le nom de ! C'était un habile courtisan du pouvoir, M. le général Lanrazac, commandant le j' très correct, très diplomate, au point qu'un 11e corps d'armée à Nantes. Le général jour Napoléon pensa en faire son minisLanrezac est né le 30 juillet 1852 à la Poin- j| tre des affaires étrangères, et qui plus est, 1te-à-Pître (Guadeloupe). Il a donc encore \ un fort bel homme, d allures distinguées et quatre années avant d'être atteint par la ij de manières aimables, en tout un caractère maniable et ciocile, mais non un hélimite d'âge. C'est un fantassin qui s'est jj ros ! distingué aux dernières grandes manœu- j Un jour, en pleine cour de Versailles, vres de l'Ouest. Louis XVI voyant arriver l'évêque de On a parlé, également avec insistance, Saint-Dié, Chaumont de La Galaizière, et pour le beau poste de Nancy, de M. le gé- Osmond, de Comminges, avait dit aux seinéral de division Sarrail, né le 6 avril gneurs de son entourage : 1856 à Carcassonne et qui a succédé au « Messieurs, je me fais huissier pnur général Valabrègue dans le commande- vous annoncer l'entrée du plus grand et du plus beau des évêques de France. » ment de la division de Reims. Le général Sarrail, divisionnaire depuis Ij Ce « plus bel » évêque arriva à Nancy le 27 mars 1911, est dans les conditions 'j le 10 juin 1802, où il fut accueilli avec de j grandes marques de respect par tous les voulues pour la plume blanche. C'est un des officiers des plus connus de ; corps constitués. Aous avons rappelé Jadis ses divers lol'armée, ancien commandant militaire du gements et comment l'empereur lui donna palais Bourbon, ancien commandant de plus tard en toute propriété, pour lui et l'Ecole militaire de l'infanterie, ancien di- ij ses successeurs, i'aacien Hôtel de la Ferrecteur de cette arme. I me, sur la place Stanislas, en remplaceEt cependant, dans les milieux bien in- \I meyt de l'Hôtel Primatial, vendu comme formés, on assure que M. le général Lan- 1j bien national el morcelé depuis. rezac restera à Nantes. | A Nancy, .Mgr u usmond, tout en réorgaD'autre part, M. Etienne, ministre de la I disant son vaste diocèse qui s'étendait sur guerre, interrogé tout récemment par plu- jI tout ou partie de onze anciens évêchés, fut sieurs députés de l'Est, aurait déclaré j• toujours l'auxiliaire attentif du pouvoir et son meilleur appui. qu'il n'avait point l'intention de désigner Napoléon entendait tirer des prêtres des1 e M. le généra] Sarrail pour le 20 corps. services utiles à sa politique, et il pensait; Dans ces conditions, il est possible que que chaque chaire de village pouvait être s le successeur de M. le général Gœtschy aussi une tribune. Il percevait sans le lais-• soit M. le général Foch, commandant le 8e j ser voir, toute la puissance de i'organisa-• corps à Bourges. ■ tion catholique et il aimait mieux l'avoir• M. le général Foch est né le 2 octobre ! pour lui que contre lui, en dirigeant l'es-■ 1851 à Tarbes. Il est entré à Polytechnique prit public en sa faveur. Mgr d Usmond entra fort habilementt le 1er octobre 1869 et passe pour un de nos dans ces vues du monarque... et la devise5 meilleurs artilleurs. de son épiscopat aurait pu être : « Dieu et Il a professé, d'une façon tout à fait re- César », au lieu de : « Atavis et Armis ». t marquable, comme colonel, le cours d'hisbes mandements, ses lettres, ne taristoire militaire, de stratégie et de tactique sent pas d'éloges sur Napoléon. Il lui de-générale à l'Ecole de guerre, mande pour -la Cathédrale des drapeauxi Ses deux livres : Les principes de la pris à l'ennemi en 1805 et 1806 pour en pa-guerre, et De la Conduite de la guerre {La voiser les murailles intérieures. Que sont devenus ces trophées ? manœuvre pour la Bataille), sont devenus Il fait faire des recherches sur saint Na-classiques pour nos jeunes officiers. poléon, recherches hagiographiques assezs M. le général Foch a commandé l'Ecole pénibles, semble-t-il... puis 0 offre au lycée 3 de guerre. de Nancy une bannière avec l'image du ditt Après M. de Castelnau, il a été placé à<, saint ; il en achète d'autres pour les prin-la tête de la 13" division d'infanterie, à j cipales villes du diocèse ; il recommandeî Chaumont où M. le général Toutée lui a, le cathéchisme impérial ; il demande pourr la place Royale une statue du roi Stanissuccédé. On se rappelle qu'à la mort du toujours1 l las (qui n'arrivera qu'en 1831), et il pro-I pose à Napoléon, comme résidence impé-regretté général Houdaille, il avait été ' j riaie, le splendide château des ducs dee fortement question de M. le général FochI j Lorraine à Lunéville (devenu caserne deH e pour le commandement de la 11 divi-- puis). sion. C'est d'Osmorfd qui souffle le premier ài Le commandant du 8e corps est division-. l'empereur I idée d'un concile national gal-.. lican destiné à discuter les remontrancess naire du 21 septembre 1911. à faire au pape, etc., etc. En retour de ces divers actes, l'évêquee M. le général Gœtschy fait actuellementt ) de Nancy est comblé de faveurs. Napoléon1 ses visites d'adieu. Après un voyage, il compte se fixer près5 I lui offre un anneau d'or, enrichi d'une su-. de la Rochelle où Mme la générale Gœts- perbe émeraude ; il le nomme baron et't " j comte de l'Empire, chevalier, puis officier, chy possède des liens de parenté. I puis commandeur dè la Légion d'honneur,•' Comme on lui demandait ses intentions5 commandeur de la Réunion, etc. Il le nom['. e le chef du 20 corps a affirmé qu'il n'avaitt me aumônier de son frère Louis « baguee nullement la pensée d'entreprendre une» au doigt » de 12,000 francs de prébende ant. autre carrière ainsi que le bruit en avaitt nuelle... puis un beau jour, le 22 octobree couru. (t 1810, en plein conflit avec le pape, il le fait i Atteint par la limite d'âge, en pleine vi- archevêque de- Florence en Toscane, pent gueur physique et intellectuelle, il compte dant que le curé de la Madeleine, à Paris,; 4 employer les loisirs d'une laborieuse re- M. Benoît Costaz, était nommé évêque de Nancy. traite à d'intéressantes études militaires. ,9 Il lallait partir, exécuter les ordres En outre, M. le général Gœtschy va re-- inflexibles de Napoléon. A la dernière cé4. cevoir une lettre de service lui attribuantt rémonie religieuse de la Cathédrale, l'évêL un commandement en cas de guerre. "s que fut pris d'une faiblesse ; plusieurs Ses efforts de patriote et de bravé soldatt chanoines eurent le bon goût d'en faire .e tendront à être toujours prêt à exercer cee autant et la sacristie fut envahie par la a haut commandement. foule anxieuse et désireuse de voir « les !S 1 ... Rappelons aussi, en terminant, qu'un pâmés ! » D'Osmond vint à Fontainebleau où rési21e corps va être prochainement créé àa? Epinal, et que, parmi les candidats à sonII dait la cour de Napoléon, à côté du pape prisonnier et invisible, commandement, M. lè général Poline, s, L'empereur lui réitéra ses ordres de pai'commandant la U« division, figure en ex-:- tir immédiatement pour l'Italie et de prencellente place. dre possession du siège métropolitain de UOH PIREYRE. Florence, malgré le p»«»e et malgré l'oo- Le commandement j I du 2Q corps —— RAOITL mj j ÉCHOS D Annonces (4« page)... Réclames (3« page)... Faits divers de langues Quand Alphonse XIII croit Evoir quelque représentation à lui adresser, il parle angglais à sa femme, qui répond ce même. La reine veut-elle, en matière grave, tmposer au roi sa volonté, « elle lui fait en\ tendre un espagnol hautain », comme dit cdon Carlos dans « Hernani ». , En présence de tiers, non espagnols, la langue française est de rigueur, cela va sans cdire. Mais si la reine et le roi usent chacun de (sa langue maternelle... alors le baromètre conjugal marque « beau fixe » et le ther1 momètre atteint une température élevée. ARDOUIN-DUMAZET. mmmmm^mm ■„— 1 , Potir les familiers de la cou: de Madrid, langue qu'emploient les souverains espagla gnols est l'Indice certain de leur humeur. Ce qui s'est passé dans les Balkans ; peut se produire ailleurs. En dépit de leur jactance, les Allemands ne sauraient spéculer sérieusement sur le succès d'une guerre contre nous. Ils nous ont battus en 1870, cela est vrai, mais les fautes qui ont amené nos désastres sont de celles que l'on ne renouvelle pas, à moins de vouloir se suicider ; puis, nous avons aujourd'hui, un armement au moins supérieur à celui de l'Allemagne ; notre corps d'officiers, pris dans son ensemble, est plus instruit que le corps d'officiers allemands ; notre soldat a plus d'allant ; nous avons sur nos voisins l'avantage de compter dans les rangs de l'armée active et parmi les réservistes et les territoriaux des milliers d'hommes,, plus de cent mille sans doute, qui ont fait campagne aux colonies et connaissent la guerre autrement que par ouï dire. Telles sont les raisons qui permettent d'envisager sans trop d'inquiétude les menaces de Picrochole, des pangermanistes, veux-je dire, surtout avec le. service de trois ans qui rétablit un peu l'équilibre du nombre et nous donnt, une cavalerie mieux entraînée, des troupes techniques expertes,un recrutement précieux de sous-officiers et de caporaux expérimentés. Si les rédacteurs de la Gazette de Cologne et de la Taeglische Rundschau veulent bien remplacer les violences et le mépris par un peu de réflexion, ils comprendront peut-être que nous avons de bonnes raisons pour ne pas prendre au tragique le partage de la France qu'ils décident, comme le fit Picrochole pour le royaume de Grandgousier ou, de nos jours mêmes, comme la mégalomanie bulgare pour la Macédoine. C» " la vie par la Banque cantonale de Zurich. Pour original que soit ce legs, il prouve néanmoins qu'il y a encore en ce bas monde des gens qui reconnaissent les mérites des journalistes ! illusions de Picrochole ~~ *~ PUBLICITE: ■» j ^ Abonner sans frais dans tous les bureaux de postes pg p, ET I ! Ij j1 i . ! 16 ! ^> *t> -«g» -<ah ■^■^.^» | Vom page 2 l\DERNIÈRE HEURE gl ai I titTHit IHWl WTJ^ —M W | Jf] I >' H Bjp I j I U'HjTl. i ' ' i J11 j_ ! * [T~ " 11 Hf M11 i i|sJM|J»WMpHI|INm ' I SENAT — L'amélioration du sort j des fonctionnaires i i i] 'Les affaires balkaniques - mm ' L'attitude de l'Autriche juillet. — La scan.ee (le ce maVIENNE, 29 juillet. — Los journaux affirtin est ouverte à 9 heures 50, sous la pré1 nient catégoriquement que l'Autriche-Honsidence de M. DUBOST. On reprend la dis» i grie . n'a nullement proposé à la Russie de cussion de la loi de finances. \ marcher contre la Serbie, tandis que ia Le président met en discussion les ar- j entreprendrait une action contre "tlcles 41 et 43 de la Chambre, repoussés ji la iRussie Turquie. —- Havas. par la commission et relatifs à l'amélic- j ration de la situation du personnel des P. | La démarcha des puissances T. T,, des contributions directes, douanes | ct nianutactures. j VIKNNE, 29 juillet. — La « Nouvelle Presse Le ministre des finances demande le ré- ILibre ■ dit apprendre de source diplomaque la démarche collective des puis«abassement des crédita La loi, ajoute le ] tique t aura lieu au commencement de la I ministre, fixera le PHY?ny»» f9W le sacn- sances ' s prochaine. Au cas où il en sortifice à consentir par le Parlement, dans les semaine nimbes à venir. | irait un résultat, il n'est pas impossible, ce journal, que la Russie, avec l'asAi. AÏMONU, rapporteur général, s'étonne ajoute ' s des puissances, débarque des que l'»n vienne demander au Sénat qu'il ; sentiment sur la côte de ia mer Noire. ■accepte une solution transactionnelle et de |j troupes * Le projet d'entrer en Arménie semble renoncer a cette transaction. 1 M. Louis MARTIN demande au Sénat de j abandonné ». —- Havas. voter les articles de la Chambré à titre j La mission française ! d'encouragement aux éléments modérés des associations de fonctionnaires. , | «n Macédoine M. BIENVENU-MARTIN, président de la com- i ATHÈNES, 29 juillet— La mission fran- I mission, e -oose que i on demande au Sénat ' , çaise qui enquête en Macédoine s'arrêtera I de vote: , avance, pour plusieurs an- ;, à | Dédéagudtch. nées, du.v . çps#s afférente» à l'améliora- ! Lors de son arrivée à Sérès, des miltion des ...: , ,oi.:.s et traitements et que la j liers de veuves et orphelins entourèrent i commission et ie Sénat ne peuvent renon- i la place dg l'hôtel du gouvernement en çer à ieur droit d examiner chaque année t poussant des lamentations. Parmi eux se les demandes de créditai demandes. trouvait une femme, en larmes, dont l'enL'article 41, mis aux voix, est repoussé j fant avait eu les doigts coupés par les Bulpar 261 voix co'ut-e 3ti. gares. L'a n ici© 43 est également repoussé. Le Sénat prononce ta disjonction et le Rappel des délégués ottomans à Paris renvoi à la commission des finances d'un CONSTANTINOPLE, 29 juillet. — I:e gouverarticle additionnel 52 bis; tendant à accorder un rappel d'avancement et d'indemni- 1ment ottoman a rappelé ses délégués finanà la conférence de Paris et a autorisé tés ixux fonctionnaires, agents et ouvriers ciers | 1 à prolonger son séjour pour de l'Etat ayant satisfait aux obligations mi- Djavid-Bey litaires. ipoursuivre les négociations en cours. — ^> Ce rappel serait égal à la totalité du 1Havas. temps passé au régiment et il serait fait iUn nouveau belligérant à l'occasion du premier avancement des intéressés. balkanique ; le choléra La Commission des finances propose la De notfe corr.-«poadfttlt p«rt>cnlier. disjonction de l'article 91 de la Chambre, SAINT-PÉTERSEOURG, 29 juillet.— On manétendant Je bénéfice de la loi du 17 juin 1913 aux femmes se livrant à leur domici- 'de de Bucarest que le choléra, importé dans les rangs de l'armée par les prisonle à un travail salarié. niers bulgares, cause en ce moment de M. BCHILLE demande au Sénat de repousj tels ravages qu'il est fort possible que le ser U disjonction et de voter l'article. « Pourquoi, dit-il, les secours accordés terrible fiéau devienne un allié des Bulgaaux ouvrières en couches seraient-ils refu- res contre l'armée du roi Pierre, de la sés à celles qui travaillent chez elles et même manière qu'il se comporta, après non en ateliers ? :Lule-Burgas, comme allié des Turcs contre M. CHÉRO.N appui? l'amendement Bouile, l'armée victorieuse ciu roi Ferdinand. — . il expose que la dépense sera de 1.850.000 i ' francs, La président de la commission dit que l'extension de la loi aux ouvrières à domi- VÏOLEKTS ORAGES cile n'a pas été suffisamment étudiée ; c'est ! DÂM8 L'ALLIER pourquoi la commission demande la dis- S jonction «je l'article 91. MOULINS, 29 juillet.— De violents orages Le président de la commission déclare i: que si l'on veut obéir à un sentiment de :' ont éclaté sur Gannat et les communes justice, il faudrait songer aussi aux « ha- :. 1environnantes. La grêle est tombée pendant un quart bitantes » des campagnes, à nos modes- i: I d'heure. Les vignes et céréales ont été les cultivatrices. La disjonction est prononcée. L'ensemblei i complètement anéanties. Les dégâts sont considérables. — Havas. du budget est adopté à l'unanimité de\ j\ H| 0*^1 8N votants. SIXIÈME ÉDITION »*AMS, P( — I^ LA LSI DE TROIS ANS d'Autriche et de Russie auraient fait, con- . *A1 joint^ment des démarches auprès du gouJ» vernement serbe pour suspendre les hosfl tilité;. A ' Le salut des femmes bulgares il aux combattants ie PARIS, 30 juillet. — §1 l'on r SOFIA, 29 juillet. — Les femmes bulgares, Libre Parole, un fniarde «Mjlj| mfc)H l' réunies en meeting, ont voté une résoluau aurait lieu pendant les vacsrw 'Nfc —— roi x tion BUCAREST, 29 juillet. — La situation reste tio: approuvant la guerre actuelle, « qui MM. Dumont (finances) • Jg* ™ J' er s'est imposée pour achever l'œuvre de déliencore bien indécise ce soir. Il faut atten- se; re), % PARIS, 29 juillet. - La commission séna) et Ratier (justice), quiu^fUj»M \ re d; des Bulgares de Macédoine ». * "uwitj^ [ o< dro la première discussion pour obtenir vrance \r> tOïiale de l'armée s'est réunie ce matin, vernemfnt. e V qi adressent un salut chaleureux J°J quelque précision dans un sens ou dans IElles sous la présidence da M. Uoudenora, pour ;M. Caiilaux reviendrait iu. f L" u, autre. « naux invincibles soldats bulgares, qui ont entendre la lecture du rapport de M. 1 aui M. Millcra.»d a la guerre. aux lln4»tJ un le monde par leur vaillanco ». 2?» Cependant, il semblerait que les entre- étonné éto Doumer, sur la loi de trois ans. 1Dans ce cas, M. Baudin abanrt ti, tiens renouvelés d'hier et d'.iujourd bul IElles font appel aux puissances pour Les conclusions du i apport ont été adop- ]e le porteteuilie de la marine arrêter l'invasion turque dans les terri.s* des an tées par la commission, qui a rejeté un (Nous ne reproduisons qu'à ùi ■ ,, & différents pléirpotentiairrs et les ln- toi à pe.ne libérés et laissés aujour- lamendement ^ fluencea amies qui se sont exercés dans toires de M. Félix Martin, rééditant mentnire et sous réserves cpo e (*i mf d'hui sans protection. ' un ui sens modérateur autour des délégués d'1 une proposition de M. Driant, député de tiû tion de « Libre Parole ». _! yj^m ont amené à la fin de la journée une légè1Elles îécluinent en terminant la pari 01 Nancy, relativement aux rengagements. 1 fication complète des Balkans. j re dans l'état d'esprit aes fici re amélioration Elle a écarté en outre un amendement _ FIN DE LA r>Kn,\lsHK H u] uns et des autres. T de M. de la Battut, concernant le fane- mm tionnement des conseils de revision, i .,, Déjà, un fait important est acquis, c'est } 1 l'acceptation par la Grèce et la Serbie du Elle a écarté pareillement un contre'LA LUTTEDAiYS L^ ' LONDRES , 3C juillet. — Les ambassadeurs * principe de la suspension d'armes dans 1 1 projet de M. Herriot, constituant le serP r se sont réun.s au Foreingh-Office. Ils ont P. se quelques jours. vice de 30 mois, et celui de M. Debierre, l 1 Cette question sera définitu'sment réso- achevé la discussion du statut de l'Alba- 2* instituant le service de 32 mois Mf nie, et adopté le projet instituant une com ' du poste dTshaffen oiu su?**! lu Une vive discussion s'est engagée, tou- gneles H lue à la réunion de demain. 1 mission de contrôle. . groupes maures qui préparaient ! 11J chant la réserve, qui devra contenir un b h Déclarations d'un délégué bulgare m et les ont mis eu ""«1 On ne s'est pas occupé officiellement, j^S ( rapport, car toute la commission estime buseade, JÉL Le général Tounchef, en soi tant, du pa- au cours de cette réunion, de la question toujours que le projet doit être voté sans Les Espagnols ont eu un tué M ; blessé. im 0 u ™~ lais, a déclaré à l'envoyé spécial de <• Ha- des de: moyens à employer pour faire resp-> modification pour éviter une seconde déli* y< ter vas » à Bucarest : tei le traité de Londres par la Turquie, bération devant la Chambre. e mais on en a beaucoup parlé npès la réuïElle est unanime à penser que le projeti « Je crois que tout s'arrangera Nous nu ACCIDENT A UN AVIATEUB dans les conversations particulières contient * sommes venus ici avec la sincère intention nion m< sc des imperfections, qui devront1 , LORILM, 29 juillet Peuti ,1 di I?' ant de conclure la paix, et le désir de réparer qui qu ont suivi. être corrigées après le vote dés trois ans. données a Locmine (.VIoihilian \ v"É d( u les fautes commises par 'e gouverneront ]La prochaine réunion de 'a conférence Doirée, pilotait un monopl,-tn 1,?^» , aura lieu vendredi. Elle s'occupera, ce IPARIS, 30 juillet. — Voici quelques-unes g précédent. au p ter la foule, il fit un virage hnlf™i3':| jour-là, de la question de la frontière qui des des considérations dont M. DournV a faitt « Mais encore nous demandons que l'on jet . vint se priser sur le soi et K l " , suivre son rapport à la commission sena- pareil B* doit séparer la Grèce de l'Albanie. sui n'exige pas de nous une réparation dépas- do c fut sérieusement contusionné m »e toriale sur le projet des trois ans voté par .— • navup | à tor s: sant i'importance de la faute commise. » r ; la Chambre : . n t DEMISSION S UN MINISTRE in, J * c « Certaines dispositions du projet n'ont m La rébellion du Rif provoque * QOME. 29 juillet. -- Par décréta pas été bien accueillies par vo£re commisa ce jour, le roi a accepté la décii«.-.| / faite3 ci PARIS, 30 juillet. — Les journaux sont d'incessantes escarmouches sion. sio L'étude approfondie qu'elle eil ministre de la marine, le vice-amiralf ■ u a démontré que plusieurs d'entre •S.1'68b n p plutôt enclins au pessimisme en co qui remplacé étaient très critiquables, que bien des tex*. ynardi Catvpiico, qui est Havas. TÉTUAN, 29 juillet— Pendant une reeonéta concerne les résultats de la conférence de , contre-amlra' Millo. I a." S! tes se ressentaient des improvisations de *' nf naissance aux alentours de la position de Bucarest. — En voici quelques extraits : ™ ou des conclusions trop précipitées Lauria, des groupes de montagnards ont séance séi A L'ÉiYSÉE — Du Temps : M des été attaqués et dispersés. dei commissions où ils étaient nés. « La conférence de Bucarest est le prePARIS, 29 juillet. - Le président IM * Ils ont abandonné cinq morts sur le <« Ils auraient dû, ils devront être modimier effort des Etats balkaniques pour ré- terrain. . n fiés. La tentation était forte pour votre• n République et Mme Raymond PoifloarM I» fié; gler eux-mêmes leurs affaires. Sans doute le g offert ce matin, selon JV?.!?*, un i commission, après avoir examiné et dis-- oi Les Espagnols ont eu un lieutenant et coi u rl'Europe sera exactement informée des néner en l'honneur des généraux (iu cuté les dispositions qu'on jugeait diffici-- n< un soldat blessés. — Havas. eu gociations. Mais elle n'aura pas, comme UI ment promus. — Havas. j un iement acceptables, de vous proposer des n: L'investissement de Tétuan a Londres, figure de tutrice et de mentor. les modifier incontinent et de renvoyer le PARIS, 30 juillet — Dépêche de Tanger j* yMieux vaut certainement qu'il en soit projet de loi amendé à la Chambre. M. MILLERAND A CARUMI) | ' « Elle accède à la demande instante du ainsd et qu'au lieu des fictions européen- au au « Journal » : CARLSEAD, 29 juillet. — M. MiHer^L |0a On connaît l'investissement de Tétuan gouvernement et elle s'est inspirée de connés les négociateurs voient en face d'eux par les indigènes. °des réalités. Les Balkans ont à constituer pa sidérations d'ordre supérieur d'intérêt na- M. ° Maurice Herbette sont arrivés a Cq^ pré [tx « La ville commence à souffrir du man- '■ h leur propre équilibre. Ils doivent s'efforcer tional pour voter intégralement le projetî bad.— Havas. que d'approvisionnements. ,c d de le rendre durable. Dès maintenant qi et vous prier de l'adopter. « La colonie juive a tenté de faire pard d'ailleurs, lés grandes lignes de l'accord « Le temps presse. C'est une question de venir à ses coreligionnaires un troupeau jours . ' ft souhaité .sont notoires. Elles répondent ve qui se pose. Si la loi n'est pas pro-;; j&m.m.m À M A !S O % D L S â\uâ v]' de *m a aux exigences des événements récents. » de bœufs, mais les routes sont occupées. mulguée dès le début du mois d'août, il g « Malgré la présence de 20,000 soldats est' impossible d'appliquer les mesures j — Du Petit Parisien : espagnols, le gouvernement fait appel aux transitoires ?r « Les dispositions d:;ns lesquelles s'ou- es qui permettent d'incorporer % y volontaires. er vrira la conférence de Bucarest paraissent enrôlements la classe 1913 en novembre. i « Une entreprise privée es tchargée par plutôt pessimistes. D'après les indications « Tout serait donc changé sur ce point, j L'ÉQUIPAGE D'UN AMBASSADEUR décret royal de procéder aux enrôlements . iMisa en vente spéciale W' que l'on reçoit, les Bulgares tenteront di- . sur et l'on ne sait à quoi il faudrait se résou|| concurrence de 40,000 hommes,qui } verses manœuvres : ils proposeront d'abord jusqu'à iu : D'AUTRICHE SAUTE DANS LA MER v dre. | Le rapporteur général, au nom de la '< chacun 300 francs. re la constitution d'une Macédoine autono- recevront « Il importe d'avoir immédiatement le J u Dana des lettres, les indigènes déclicommission des finances, demande au Séme ; ensuite, ils chercheront à conclure renforcement de notre armée. I Installations : Salles de bmtm »■ ; VIENNE, 29 juillet. — On mande de Cons°une entente séparée avec la Roumanie. n( nent la responsabilité des pillages dont nat de voter le projet de résolution sui-. ! n iJ K Ailleurs, on ne perd pas son temps, on I tantinople, 28 juillet, qu'au moment où le j, var.t : les étrangers pourraient souffrir ». — Hae Mais comme ila échoueront très certaine- ' ne ménage pas ses efforts, on ne compte ;e j Cabinets de toilette, Lavabo,M te ^ « Le Sénat, résolu à remplacer la con-, S! marquis Pallaviacini, ambassadeur d'Au ment sur ces deux points, force sera bien v* pas ses sacrifices. L'exemple vaut d'être j tribution personnelle et celle des portesi ; triche-Hongrie, passait cet après-midi, sur ^d|en venir à des conceptions différentes et Disgrâce du général de Ri&erra su suivi par le Sénat I ^ et fenêtres, par un impôt général et pro-. '< le quai, devant le bâtiment de l'ambassade d'aborder la discussion des conditions des « Il saura consentir à laisser passer des ; M ADRID , 30 juillet. — Le général Primo . de France, les chevaux prirent peur et se gressif sur le revenu, décide qu'il discualliés. Dès jeudi, croit-on, on possédera de $f Riberra est rappelé à Madrid par le m mesures fâcheuses et des textes incorrects,' tera le projet établissant cet impôt à la, i jetèrent dans la mer. quelques précisions sur les chances de m le i pour donner au pays l'augmentation de ministre de la guerre, d'accord avec le pc . ; L'ambassadeur put sauver en sautant 3 prochaine session. » (Exclamations et intersuccès de la réunion.! » g, forces qui lui est indispensable. gouvernement. fo j de la voiture au dernier moment. ruptions à droite.) « Le sacrifice peut d'autant mieux être — Du Journal des Débats : Ce rappel est une disgrâce. On reproche Le cocher a eu également la vie sauve. Le projet de résolution est adopté par■ ; que le mal est réparable, et répa« Les premières impressions de la con- à cet officier d'avoir, au début de la cam- accepté à< — Havas. 223 voix contre 68, sur 291 votants. _ _ i fférence de Bucarest ne sont pas très bon- p: pagne actuelle, entrepris des opérations rable rc promptement. ■" ^ " — Séance levée à midi 50. — Havas. r. M. Conti, rue Maréchal-uucim^ * jai « Une loi nouvelle peut modifier demain qui causèrent des pertes très sensibles aux nés. D'après les plus optimistes, la confé- qi SÉAUCE DE L'APRÈS-MIDI ie cconstruire une maison et un canal» sur certains points les dispositions que Espagnols. — Havas. sv renœ durerait au moins deux semaines. E PARIS, ,29 juillet. — La séance s'est ouv if rrue. ^t te vous allez voter. On a opéré ainsi aprè;Les délégués bulgares sont arrivés avec '— ^ aM. Belaizoux, rue de Mon-Désat» j verte à 5 h. i, sous la présidence de M. Dule vote de la loi du 21 mafs 1905 qui étaû rfVlTltftlTlOKlflfiTl 1l'intention d'user leurs adversaires par la bost construire une maison et un canal IH blissent le service de deux ans. temporisation et de les diviser à l'occaLES w ie Mon-Désert (F. Danselme, enue» , Le Sénat adopte le projet de loi rela« Les membres de votre commissiona sion. M. Toutchef ne parle pas en vaincu * i M. Ducret, rue de Mon-Désert, » ,* altt tif à l'établissement du régime des doua-■ \i d, d'accord d'ailleurs avec le gouvernement, chargé d'obtenir les conditions les moins PARIS, 29 juillet. — Mme Moncharmont, c nés coloniales. 0- ttruiro un canal et une maison niei« ^ sont résolus à ne pas faire attendre ce propossible ; il s'exprime en homme | qui a trouvé la mort dans le terrible ac- dures i Chute mortelle d'un aviateur IK Mon-Désert (F. Dancelme, entrep^ ■ nj, Le ministre des finances dépose le pro-" cident que l'on sait, était la fille de Mme cdécidé à refuser aux vainqueurs le bénéfijet de loi de redressement » iL SAINT-PÉTERSBOURG, 29 juillet— A l'aéroM. Dancelme, 7, rue de l'AbW-uns». «| jet du budget de 1914 modifié par la Cham-" Jeanne Samary-Lagarde, qui fut une des ce c de la victoire. » drome militaire de Gatchina, le lieutenant bre. construire une maison et ua c»w -j * * plus brillantes sociétaires de la ComédieVeil!e de conférence aviateur Mathay est tombé d'une hauteur c« i a La commission des finances demande' Française, la nièce de Mme Marie Savary, , ie Mon-Désert. LE CODE AERIEN FRANCO-ALLEMAN; de 300 mètres et a été tué sur le coup. L d que la séance soit suspendue pendant une5 qui jouait encore récemment à la Comé- » BUCAREST, 29 juillet. — Le gouvernement Mlle Dubreuil, 11, rue ^aré * nx C'est la 342e victime de l'aviation. a demandé à la Roumanie d'occudemi-heure, pour lui permettre de déposerp S die-Française,et la belle-sœur de M. Brous- Bulgare •t ; exhausser sa maison (MicWm. BERLIN, 30 juillet. — Comme suite à l'éz. M son rapport. ; per Vidin pour protéger la population Vingt-huit personnes noyées cl change de notes d'avant-hier entre le sej san,un des directeurs de !Opéra,'ancien di- \ 1Fischer, eiUrep.). . îiluM ,<»>,mu0 vîJ contre les troupes serbes. Le Sénat s'ajourne à demain matin,» |i recteur de théâtre à Lyon et à Nancy. Elle '| éventuellement crétaire d'Etat aux affaires étrangères e. et M. Perrin, 2u, rue uu 7Î| î GRODNO (Russie), 29 juillet.— Une barque j>! 9 b. i. :j avait épousé M. Moncharmont il y a en- 1. iCette demande a provoqué une conférence. . 1 iGeorges ; transformer sa asm - jju« de Franee,l'officieuse « Gatransportant 28 personnes a chaviré au l'ambassadeur j Les délégués Serbes ont protesté. Les pour- milieu du Niémen. Séance levée à 6 h. 15. — Havas. zette de l'Allemagne du Nord » publie uin Zl .anaux. . r«»if j viron quatre ans. Ce dernier dirigeait à i n La fabrioue de c'.ocoiut, a ^ m r à l'usage des aéronautes alleLyon le théâtre des Célestins. Il a entre- j! Iparlers à ce sujet continuent. Tous les passagers se sont noyés.— Ha- règlement h .sancy ; établir une devanture de f mands, qui contient quelques détail.11 pri3 de nombreuses tournées en Fran ;e et j . M. Venizelos a rendu visite ce matin au vas. 1 du Conseil. La première séance v •in, rue des Donnnicains, ,,| complémentaires. i à l'étranger. Il donnait dernièrement en- Président Collisions morîeîles sur les routes cde la conférence aura lieu demain. La lér- i MM. Dreyfus et May, h, Tfë» En ce qui concerne les atterrissages fori core à l'Apollo, en association avec M. PARIS-PLAGE, 29 juillet— Une automobile gation do Serbie déclare que l'interview ..ourg-Saint-Georges ; agranow .. ,i cés des aérostats militaires, il est dit qu c PARIS, 29 juillet. — La séance est ouverte3 ; Franck, deux opérettes : le « Soldat de i! i r j( personnel de i'aéronat sera invité ps i qui a été attribuée par Y « Universel » a cconduite par son propriétaire, M. Henri le iers (Bernariose et Lommée, tua uf à deux heures. M. René Rcnoult, qui pré-• ! chocolat » et la « Chaste Suzanne ». j, M. Beilaire, 8, rue Lufayea» ; m autorités à affirmer sur l'honneu side, prononce l'éloge funèbre de M. Bou-- j M. Moncharmont avait acquis récem- 1un délégué, au sujet des négociations, ne dd'Almanza Gosse de Gorre, propriétaire1 les château à Bouvry (arrondissement de1 «qu'iJ n'avait commis aucune action (pris* d Si ,e une maison et un canal » , i«« hey-AUex. ! ment une propriété à Cély, près de Me- 1représente pas le point de vue des pléni- d'un iBéthunc), est^entrée en collision, dans la■ de <] pholographies,expédition do radio-téléévry (F. Bichaton, entrep.). M ** Dans la discussion du projet relatif à lai. 1 lun, où il passait l'été. Il venait de faire Ipotentiaires Serbes. n forêt de Paris-Plage, avec une voiture de■ grammes; le M. Migevant fils ; coustrui« compromettant la sûreté de convention collective du travail, M. Paul1 une promenade avec sa femme et Mme g BUCAREST, 29 juillet. — Les délégués ont1 maraîcher. Le choc a été extrêmement vio- p et un mur rue Migevant ("au* m ^ Beauregard a la parolo ct explique pour-• Broussan et avait pris en passant à la consacré , leur journée à faire des visites. ïlent. La tante de M. d'Almanza Gosse de'( l'Etat. quoi ses amis et lui le votèrent. 11 constate3 gare de Melun son secrétaire, M. BelluS'il n'est pas établi que l'aéronat ait tr Il est possible que les délégués seront' Gorre , a été tuée sur le coup. M. Gosse de ra M.^Haramer, rue de la ^P"^* que ce projet constitue un réel progrès. M.• gue, qui revenait de Paris. M. Broussan reçus j demain en audience par le roi Ca- ïGorre est grièvement blesse. Le chauffeur' jnatterri par force majeure, l'affaire sera mt ouvrir une baie de mngas'» , ■ , Charles Dumont, ministre dos finances, dé-- devait les rejoindre dans l'après-midi à ,roL déférée aux tribunaux.et le gouvernement 1 înl est indemne. Deux dames, qui étaient dans' jintéressé en sera informé. house, 15 (Ch. Schnii?ser, ^>« pose le Dudget de 1913, modifié par le Sé-<■ ! Célv. c BUCAREST, 29 juillet. — M. Venizelos est , voiture du maraîcher, ont été légère' la iiM. Martin, 11, rue Pasteur , nat. Les deux gouvernements se communi1 j NÎlle Louise Dubourg, dite d'Orsay, ha- arrivé à 10 h. 45. — Havas. ment contusionnées. Le cheval a été tué. M. Noulens, rapporteur général, donnee ;; bitait boulevard de CÎichy, 62, un coquet queront les signes distinctifs des véhicuu- sa maison. , .,,„ . ndS £ BEAUVAIS, 29 juillet— Un cycliste, nom| lecture du rapport sur ce projet. En ce quii appartement où elle ne recevait d'autres M. Ciré, rue de Mal^ ^"| lesaôriens. U mé Georges Morda, âgé de vingt et un1 concerne les dépenses, la commission du1 :, visites que celles de M. Brault, à qui aples une maison et un canal nlc L Ces signes devront être reconnaissables ans, descendait une côte rapide entre Ar-J à; une grande distance,. budget accepte la première partie des mo-t \'. partenait l'une des automobiles. tin et Berger, entrep.) t ,oiirfB Côté gres ctrflS mnntières et La Chapelle-aux-Pots. Une oifications du Sénat. Après quelques ob-" Ij leM. Hennequiu, rue de ^^nil*' l'hôpital de Fontainebleau M. MonLes aéronautes et aviateurs privés dedame Nicolas Blanche, passait à ce mo- ,vront se munir de laissez-passer consulaiservations de MM. Millevoye et Gillette-Ari-■" j charmont et son secrétaire sont dans un ATHÈNES, 29 juillet. — Le ministre de iai i ■xi- construire une maison et un 0\ ■ E; mondy qui protestent contre le rétablisse-'■' :! état qui inspire les plus vives inquiétu- guerre communique la dépêche suivantei jment sur la route. Le cycliste ne put l'évi- res. . ^ Uonsecours, 19 ;.-or.;n:l. f ment du crédit des sous -préfets, on passee :! des. Le chauffeur Bue, qui est à l'hospice et la heurta avec violence. envoyée du quartier général à la u 1 ter 1 La convention entrera en vigueur dès à la discussion des articles. M. Georges Morda a été tué sur le coup.'■ le 15 août prochain. — Havas. 29 juillet : i de Melun, est également "dans un état très 1 M. Klotz défend cette modification et le6 JI alarmant. M. Georges Morda a été tué sur le coup. « Les Bulgares, après avoir essuyé unei crédit pour les sous-prélets est admis parr |i défaite le 26 juillet, se sont retirés à Djou-- !Mme Nicolas Blanche est grièvement blesLe corps de Mme Moncharmont et celui L'AFFAIRE DU COLLIER 245 voix contre 186. I de Mlle d'Orsay ont été déposés provisoi- maya et ds continuaient leur retraite vers3 ■sée. M. Bonnefous a la parole dans la discus-t jj rement à l'hôpital de Fontainebleau. La 'e nord, quand des renforts importants leur P ARIS , 2a juillet. -- M. Lecouvé, procuLe feu à la colonie de Clteaux sion de l'article 3 (impôt sur le revenu) et !t I I mise en bière a eu lieu hier après-midi. pont arrivés par le chemin de fer de Dsarij. reur de la République, a eu cet après-mirai: dit qu'il votera contre. f VM « s N UITSS AINTG EORGES , 29 juillet — Un inbod. Les renforts envoyés soht constitués , j Les obsèques auront lieu demain, merune longue entrevue avec M. Richaud, 1 Le paragraphe premier de l'article est a di, par le 2e régiment du tsar Ferdinand etl ,cendie d'une extrême violence a détruit la 3 credi. Ï. adopte et ia disjonction du paragraphe "2 i ferme dépendant de la colonie de Citcaux. .juge d'instruction, et M. Niclausse, sous-a-*»-**le 6e appartenant à la 1'° division. k. 'chef de la Sûreté, au sujet de l'affaire S du mise aux voix est rejetée par 411 voix con- ! Un corps de bâtiment de soixante mèCes renseignements sont confirmés parr tre 136. LES ALPES HOMICIDES 'collier. les prisonniers capturés dans ces régi-- très de longueur sur douze de largeur, et u L'enquête ouverte n'a donné aucun réLes paragraphes 2, 3 ct 6 de l'ensemblee ^ cent mille kilogrammes de fourrages ont ± Nos lecteurs et t'-^' ments, dont un major du 2" régiment. J L sultat, aucun indice n'a pu être recueilli SûUt adoptés. à. été la proie des flammes. Les dégâts dé,!; en présentant ce bon » r ■ ^| , Ces renforts ont décidé les Bulgares à, sur les circonstances mystérieuses de la a jj La chute mortelle de trois jeunes Français Sur l'article 6, disjoint par le Sénat, la passent quatre-vingt mille francs, dans nos bureaux *» ' || léoccuper les positions perdues. disparition du fameux collier. commission accepte la disjonction. Ii PARIS, 29 juillet. — Une dépêche de GeOn ne croit pas à la malveillance. Ils ont concentré .eurs forces sur la droi-iDans ces conditions, on juge d'affaire M BEUKY en demande le rétablissementt 5 nève a signale la mort en montagne de te de l'armée grecque, sifrtout sur les haul" FamiHe empoisonnée par des sardines comme close. — Havas. n Par 337 voix contre 129, cette proposition trois jeunes touristes français. teurs fortifiées au nord-ouest des hauteurs C ALAIS, 29 juillet. — Une famille de cinq n'est pas adoptée. Ces trois jeunes gens, dont les familles3 de Djourmaya. iu personnes ayant mangé des sardines avaLes articles suivants sont adoptés ou villégiaturent à Argentières, près de ChâLes Bulgares, qui se sentaient très proARRESTAT!GN A LISBONNE rétablis. [. riées fut empoisonnée. monix, avaient décidé de faire l'ascension1 bablement assez forts, ne se sont pas conUne fillette est morte et les autres sont L'article 47, après une autre intervention" de la Sallières, point le plus élevé du mas-• tentés de garder ces positions, mais ils ont ^ LISBONNE, 29 juillet — Un nommé Ameneu dans un état désespéré. — Havas. de M. Georges BERRV, est rétabli par 440 ™ sif de la Dent du Midi et dont l'altitude at- entrepris des attaques consécutives et asrico Livera, qui contribua à rétablissement M< R< 0 voix contre 99. LM teint 3,222 mètres. sez vives qui ont toujours été repousâées de la République et se distingua notam" PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQ^ M. l'amiral BIEN AIMÉ et M. TOUCHE de?,* Ils quittèrent leur hôtel, à Salvan, biena avec de grosses perte3. ment à la défense de la place de Lisbonne, M. POINCARÉ A MARSEILLE mandent le rétablissement de l'article 62. r que le directeur de l'établissement, le célôATHÈNES, 29 juillet. — Enfin, hier ma. a été arrêté à Alcobaca. Le journal <c| O Ce buste d'une admnaf M a j. P ARIS, 30 juillet. — « Excelsior » reproMais, par 337 voix contre 201, la disjonc°" bre guide Delez, leur eût déconseillé dee tin, 27 juillet, les Bulgares ont été défi1_ Muido » dit que Livera a affirmé publibHest stgné de MCo/!'"' ; fa duit une information du « Petit Marseiltion en est prononcée. faire cette ascension, en raison des grandss nitivement défaits. Ils se sont retirés. , lais » disant que M. Poincaré se rendra à à quement que les bombes qui ont récemL'ensemble du budget est adopté par 443 *** ! dangers qu'elle offre. Des combats ont été engagés sur la gauterme. umet»1' ■< , ment éclaté à Lisbonne ont été lancéess à re ,t Marseille pour la pose de la première voix contre 65. M. Delez qui, avec une longue-vue, suil- che de l'armée grecque où les Bulgares ont auC'est une édition U _ l'instigation d'Alphonsa Cossa et des e 01 pierre de l'exposition coloniale, à son reOn reprend la discussion du projet de. loi vait la marche difficile des jeunes gens, »j concentrés des forces importantes. — Habiscuit ou ivoirinef , f 9 ^ _ très éléments démocratiques. s a tour d'Espagne, en septembre. — Havas. relatif aux conventions collectives du tra" les vit faire une chute. Il prévint aussitôt >t vas. socle de bois temtt ■ 0 vail, dont l'ensemble est adopté et du proH °I les guides de Salvan, et une oolônne dee ATHÈNES, 29 juillet. — Un communiqué pèse 525 grammes. i W ,• jet de loi sur les retraites ouvrières, dont secours s'organisa. lMALVERSATIONS DANS UN REGIMENT T du ministre de la guerre dit que GhaauL'ASSISTANCE MATERNELLE . , d'art %,4W «h, r les articles et l'ensemble sont également C'est une aru.-n <* ,-i . Après de rudes efforts, les guides parvinïl- luldjina a été occupé, hier, sans résissDOUAI, 30 juillet. — Au cours de la vériadoptés. ^ , p refit à retrouver les trois cadavres qui ii tance. sé prendre place dans * 0, ,F. fication des comptes de l'exercice 1912, on >n PARIS, 29 juillet — M. Schmidt a déposé i0 La séance est levés à 7 heures 10. — P. étaient affreusement mutilés. Les Bulgares, en se retirant, ont incendié. ié constata que, dans ceux batteries du 41" 1" à la Chambre son rapport au sujet de sa ries, dans toutes tes ^s > » G. Les trois victimes sont MM. Baudin.âgé 'fi les munitions déposées à la gare. d'artillerie, des journées de présence perr- proposition de loi, sur l'assistance matertertoutes les deme*'es l* ±t I de 26 ans, chimiste à. Paris, Marcel Gélies nelle. çues n'avaient pas été portées en recettes Côté serbe Lorrains. „ pûl^ Jk^ J" niel, étudiant en médecine à Paris, et un et que l'argent avait disparu. Le buste de M-<tf/ AI ■ BELGRADE, 29 juillet. — Un combat assez j ami de ce dernier, qui étal tvonu visiter ÏR aDes sanctions sont imminentes. — Ha1 j* important a eu lieu à Wlasina. UNE DIVISION NAVALE ALLEMANDE IDE sera ^vvyéen 'f fat* VA • iu Argentières, et n'était pas encore inscrit PARIS, 29 juillet. — La commission du .e Les Bulgares s'obstinent à attaquer contomme de 3 fr- 75 ^ t jM ,0_ sur le livre des étrangers. Le propriétaire DANS LES EAUX CHINOISES - budget a examiné cet après-midi, le proie tinuellement le front serbe. Directeur de l E»' ^ J Rh de l'hôtel le Connaissait sous le nom de ar jet du budget, qui a été voté ce matin par n Les pertes sont inconnues. MORT DU DOYEN DU RHICH8TAG BERLIN, 29 juillet. — TJa « Gazette Rerlotfetubourf Saint-] ea -\^yr. \% Bartholomi. le Sénat. ir, linoise de Midi » annonce que le contreBKBT.IN. 29 juillet — L' ' Lendor, Pa3 de démarche auslro-rusee tre, -~,~~~tft*Zlk %' Elle a décidé de rétablir le texte de l'ale amiral de Stee, doit arriver à la fin de ix Je di'-outé le plus âgé du Reichstag, vient de ^ CONSEIL DES MINISTRES BELGRADE, 29 juillet. — Dans les milieux de ' on peut Je < mendement Malvy, ainsi qu'un petit nomla semaine, dans les eaux chinoises, avec ^vec bon.prlmeaux.Llo»*ft * la mourir, à l'âge de 83 ans. (r. officiels on dément catégoriquement la PARIS, 29 juillet. — Le conseil de l'Elybre d'autres dispositions, notamment ce co : ï- trois gros cuirassés et un petit cuirassé — ' m H détenait son mandat deouis la fondam nouvelle apportée par le journal italien S rue gaint-Dizlef» j^,^^ {j ml j sée s 'est entretenu ce matin de la situation qui concerne les postiers, qui n'avaient Uavas is tion du Reichstag. » Xribuna », d'après laquelle les ministres pas été adoptés par la haute assemblée. 1 à 1 extérieur. — Havas. J. A L'impôt ete le revenu A BUCAREST On incline à croire ^ à un arrangement prochain É A la commission sénatoriale Un remanie^ { du ministère? " •< on entend "corriger55 le projet j M. I I ES Jj conférence de Londres g, La I 5 L'opinion des Journaux L M ] | J ; | MAGASINS RÉ1IH g g 1 . J mmîM mmmim i J Chronique du tnm > L'accident d'automobile d \ ACCIDENTS C HAMBRE j Les hostilités \ A '^^i . tu PElMB de l'&t 11 %épnhm j) LM II f p lN(>- J A la commission du budget de la Chambre ( MiMtoiyiiiiwiiiiMMjuii pans la Région PûnrprsiégariiHGkivws théâtre contra S'incendie i i w «Mil" m y*»*- • -»-•»£•««•. L hscroc ae m _ me omnt-ueofges l Un suicide à k cassrne Tàirj j L ÂtWÙsWME ÛE VAEAH9EYILIE ... o Le sergent ÛÙIar -e fait sauter <m ce: «c!is courent vers le miroitement des pins fallaDepuis quelque temps, le sergent Gillar, cieuses promesses, comme autant d'alouet- du 2o« d'infanterie, caserne Thiry, semtes ; les filons n'ont qu'à préparer la bro- blait en proiç à de sombres préoccupache pour en faire un salmis. tions. Ses camarades le disaient neurasLe jeune aviateur Lecomte, fils de l'hoQuand l'agence Iriss, rue d'Amerval, thénique. nornbie lieutenant colonel Lecomte, <oas évanouit, on plaisanta doucement : En réalité, le sous-officier, après un fté- ! „,7 V'ia ce qu'on appelle un complet à jour aux colonies et des états de service '; seiller municipal de Nancy, possède, en1 iris... n i tre autres mérites, celui sic la persévérécompensés pur la médaille du Maroc, I A quel parfum l'audacieux D. Binet. qui | comptait beaucoup, dit-on, sur la prochai- j rance. A diverses reprises, avec des alterna» Rivait lui-même en odeur de confiance chez , rie liquidation d'une pension de réforme i ; tlvee rie succès et d'échecs, il a expérimen* les gngos, va-t-il « arranger » ses dunes h laquelle il avait été autorisé à faire vaI ! té sur l'aérodrome de Vnrangéville pluen levant le pied ? loir ses droits. ] sieurs appareils dont il est l'inventeur. II En parcourant la liste disses longue des j A mainte reprise, il avait exprimé son iI fit l'an dernier une chute assez grave ; la coquineries accomplies en moins d'un moi* espoir, en se plaignant des lenteurs admi- ; — vingt-huit jours exactement — on reste j nistrntives. Il souffrait de crises intennit- I veilie du 11 Juillet, croyons-non*-, un vol effaré devant le nombre de capitalistes ' tentes, des « fièvres », seion les uns, d'Une ii au-dessus de la voie ferrée se terminait j pur un brusque atterrissage au cours du petits eu gros qui attendent l'occasion de j pleurésie, d'après les autres. ; quel l'aviateur fut de nouveau blessé. jeter leurs prudentes économies dans les En raison de sa :«anté quelque peu |! Mais ces tentatives, loin d'émouvoir t/L mines de gruyère, les- fonderies de maca- éprouvée, le sergent Gillar, quoique fïgu- ! j Lecomte, et de diminuer sa confiance roni et l'élevage des cochons d'Inde. rant au service actif de la sixième compa- II dans un heureux résultat, r affermissaient *** gnie, prenait très rarement la garde et I on contraire son espoir de résoudre bienn'apparaissait que par intervalles sur le l tôt le problème qu'il cherchait. Eau trouble, pêches claires. Le hasard terrain d'exercice et dans les marches. Il semble qu'hier le jeune aviateur ai. i a parfois de souriantes ironies. Binet ouMardi après-midi, vers quatre heures, ; vrit son « cabinet » d'affaires dans la mai- une sourde détonation retentissait dans la complètement réussi. ■M. Lecomte sortit mardi matin, à 5 heu» son même où M. Dulehé, marchand d'en- chambre qu'il occupait : rëa, son biplan du hangar. Une foule nomgins de pêche, enseigne à ses clients la Tout de suite l'idée d'un malheur s'embreuse était réunie a l'aérodrome. Après manière de lancer le filet, d'utiliser les para des eoklats : avoir roulé sur le gazon pendant 60 mèmeilleures amorces. Les naifs sont on train — Il s'est tué ! tres environ, l'appareil s élevait rapidemaintenant de frire dans la poêle. On courut à la chambre du sous-officieT. Rendons à Binet cette justice -— en at- Un cadavre gisait sur le plancher. Du ment à une soixantaine de mètres, et, très tendant que la vraie justice le retire de la sang, de la matière cérébrale éclabous- maître de soi. le vaillant pilote goûtait eu» circulation — qu'il ne variait guère les saient les murs et le lit. Le fusil Lobel dont fin la joie d'exécuter plusieurs tours aumoyens de frustrer les pauvres gens tom- il s'était servi pour attenter à ses jours dessus de la voie ferrée et de la vaste plaine de Varangéviilr. bés dans la nasse. était posé sur son corps inerte et la balle, Cette première sortie I enlhcnsiasmé ie Dès qu'on lui demandait de l'argent, il traversant la boîte crânienne, avait percé publie. M. Lecomte o reçu les chateureu» exigeait non pas une commission, mais le plafond de la chambre. ses félicitations de ses «.mis. Nous lui de» une légère avance sur les premiers frais On examina vainement les papiers du vons aussi .un sincère éloge pour la ténapour renseignements et démarches. défunt pour y découvrir une lettre où Gil- cité qu'il a déployée dans la répét.it.rm Trois ou quatre jours plus tard, il adres- lar eût exprimé ses dernières volontés, ou d'expériences mit lui Ont permis de réalisait une lettre conçue en ces termes : expliqué les motifs de son suicide. ser un sérieux progrès dans les appareil! « Monsieur, Pour mettre à exécution son funeste pro- de locomotion aérienne. — L. C a Votre demande d'emprunt étant prise jet, le désespéré avait placé dans sa bouNt considération. les espèces, sept mille 1 che le canon de l'arme, puis, à l'aide d'une Nos aéreplfmes îra,îïï*ov0119 eer°nt versées le lundi 28 juil- j planchette adaptée à la détente, il avait L'escadrille aérienne do Villers est réIet 1913, de neuf heures à. onze heures du i tn.it partir le coup. La mort fut instantamatin. venue mardi matin du camp de Mailly. née. Aucun ' incident n'a marqué' so i \ovaae. « A mon oabînet, 49, rue Saint-Georges, Le sergent Gillar était âgé de 28 ans Les opérations de reconnaissance se'con-> à Nancy. Pour fa bonne règle, veuillez mo seulement. On le rencontrait souvent en | dire par courrier si nous sommes bien ville. Célibataire, il prenait !a plupart de i tinueront dans notre région frontière. d'accord. ses repas dans un petit restaurant près | Cure <l'alr milltaîra « Recevez, je vous prie, toutes mes salu- de la Cathédrale où la nouvelle de cette tations. fin tragique n'a causé qu'une faible sur- ! L'autorité militaire vient de décider lï prise. j création d'un dépôt, sorte de sanatorium, « A. BIYKT. » En attendant les constatations d'usage pour les milltalTOE maHttfrres de la 11" di<r P. S. ym M'adresser le montant pour < frais d'actes, timbre et consignation pour et l'enlèvement du corps, deux soldats fu- }j vision. Ce dépôt tera situé au plateau de frais d'enregistrement, soit oîA francs, reiit p!acé*s en sentinelles à la porte de la j Malzéville et pincé sous fa direction d'un I capitaine. avant le 24 juillet 1913, passé ce délai, votre chambre mortuaire. Dans la soirée, la dépouille du désespé- i Les militaires, sortant de l'hôpital, demande d'emprunt sera de plein droit anré a été conduite à l'hôpital militaire. — Ij iraient, également s'y reposer et reprendre nulée. Ç. L. | des forces avant d'être réintégrés dans « X. BI.STTT. » j leurs comjiagnies. Académie de Stanislas Dommage, vraiment, qu'nne coquille tyEn péchant pographique n'ait pas prévenu les emprun.Concours de lblé. — L'Académie décerteurs naïfs qu'ils aient à se présenter au nera en 1Û14 lea prix suivants : Doux chevaliers de la gaule péchaient « piège » de la société ! prix littéraires. — 1° Concours Dupeux. sur une barque mardi, vers trois heures D'ailleurs, pour composer «on nom *~ —> Prix de fr. attribué au meilleur ou- après-midi, aux abords du Sport, nautid'emprunt naturellement — le filou de I vrage, manuscrit ou imprimé depuis le I| -que. la rue Saint-Georges n'eut qu'à supprimer 1" janvier 1HU3, qui aura été présenté sur j Soudain, pris de vertige, ou perdant Véla première lettre de la pancarte « Cabi- ! un sujet de science (sciences inathemati- ji qoslibre par suite d'un faux mouvement, net » accrochée à sa porte. Les méthodes i ques, physiques et naturelles) ou de hn- j l'un des pêcheurs tomba à la renverse simples sont les meilleures. guistique, sa rapportant de préférence â I! dans la Meurthe. Son compagnon fut telleLe nombre des dupes dépasse la centai- la Lorraine. Le uepot des mémoires et des |; ment frappé de stupeur qii'ii ne put appene. Binet a fait une asses fructueuse pério- travaux imprimés (cee derniers en triple ;i 1er au recours. de de vingt-huit jours. Nous avons rendu exemplaire) sera effectué, au plus tard, ie |i Par bonheur, M. Viîry, marchand de visite à plusieurs braves gens, qui s'éton- 3i décembre ii)13, au secrétariat de ï'Aca- jj chaussures, péchait aussi non loin du lieu nent encore que l'aigrefin ait levé si tôt demie de Stanislas, à l'ancienne Univer- de l'accident. Ramener dans sa nacelle les le pied avec leur argent sité, rue Stanislas, 43, à Nancy. J pierres qui immobilisaient son emharcaIls n'en mourront pas tous ; mais beauZ* Concours Stanislas de Guaita. — Prix j tion fut pour lui l'affaire d'un instant, coup en sont frappés ! de 200 fr.-ayant pour objet de récompenser jJ M. Vitry se dirigea rapidement vers Binet avait pour les notaires, les avoués, les efforts et le mérite d'un littérateur ou j| l'endroit où l'homme avait disparu. Un aules hommes A affaires une sainte horreur. de venir en aide à un jeune homme se tre sauveteur, M. Masson, rentier, lui prêQuand ses victimes manifestaient la vel- destinant aux lettres. Le candidat devra ta son assistance, et l'on fut assez heureux léité de les consulter, il entrait dans une appartenir a la région lorraine. Les ren- pour ramener sur la berge la victime de fureur où se mêlaient les invectives et les seignements relatiis aux candidats de- cet arcident. récriminations, A quoi bon recourir aux vront être adressées au secrétariat de l'AAprès des soins énergiques et les tracnotaires, quand il se chargeait, moyen- cadémie de Stanislas, au plus tard le 31 tions rythmiques de la langue, le malheunant honoraires défiant toute concurren- décembre 1913. reux pécheur recouvra enfin l'usage da ce, de signer compromis, baux, contrats et Concours de 1916. — L'Académie décer- ses sens et, put être ramené sain et sauf à autres actes sur papier libre ou tinths-é ! nera en 1916 le prix de LOTO fr. de la fon- I| son domicile. Après la disparition retentissante des dation Herpin au meilleur mémoire sur le Les félicitations n'ont pas manqué aux banques qui s'écroulent, des caisses qui sujet suivant : sauveteurs, qui n'en sont^point, paraît-il, liquident, des succursales qui mettent "la » Etude d'un château ancien de la ré- à leurs débuts. P clef sous la porte, la race immortelle des gion lorraine présentant un sérieux intégogos se reprend h espérer : rêt au point de vue historique et archéolo—« Il n'y a plus de filous... La gendarme- gique. -- Quli s'agisse soit d un château ris, îiisr/a coffré le dernier... suis tran- raine (tel que Prény, Custines, etc.), soit j quille... A moi les vieilles et riches héri- d'un château actuellement existant (Consuêres ? A moi les placements sans hypo- ' la-Grandville, Haioué, i'iévilie, etc.) » N.-B. — Sont de fait hors concours les thèques ! A moi les achats de fonds sans j un sou vaillant.. La saisoft des poires est ; Ouvrages ou mémoires déjà réeompensés j passée... » par une des Académies de i'ïn&Uiut de | Mais non 1 la saison des poires ne pas- France. se jamais. Que le plus malin des gogos détroussé Gambriobur arrêté par le tire-laine Binet entende causer d'une Il y a une quinzaine de jours, un vol agence offrant « ■sérieux dividendes » dans une fabrique tle machines à ranger avec "effraction était commis au bar de la les cheveux par paquets de sis, U s'écrie- rue Mazagran. Une somme de plus. de ra : deux cents francs était dérobée dans le tiroir-caisse. Les soupçons se portèrent — Où donc, que j'y coure ! sur un garçon de salle, Auguste Bilqué, AcHnxE LIEGEOIS. âgé de 20 ans, demeurant à Janille, avenue Carnot, qui avait travaillé dans l'établissement et qui, depuis, avait disparu SOUSCRIPTION de Nancy. Dans la journée de mardi, Bilqué étaiten faveur des hangars militaires arrêté sous l'inculpation de port d'arme ' 11» i.rsTE L'instîtctsur secrétaire de mairie de Vlé- prohibée. Il fut interrogé au sujet du vol ; AOUT ville-pn-Haye, 1 tr.— La commune de Neuf- et, entrant bienefôt dans la voie des aveux, maisons, 56 fr. 73.— La commune de Chau- il se reconnut être l'auteur du cambriodeney, 50 fr. — La commune de Mairy, 97 lage de son ancien patron. fr. OS.— La commune de Erbévlller, 9 fr. — L? commune ds Badonvjlîer, 57 fr. 30.- La commune de, Senimerviller, 28 fr. tjk L» f) E S ■» commune rt'Avillers, W fr. — La commune IntxmbastiUcs, imp^rferablm, blindé J'actif de Maxerulles, 23 fr. 80. — La commune de ViUecey-sur-Mad, 40 fr. — La commune de NANCY8, rue Sslnt-Gîorgee — NANCY Ludres, 4 fr. — La commune de Millery, 46 fr. 60.— La commune de Tucquegnieux, 6 fr. 80.— La commune de Crévic, 35 fr. — La Un cheval s'emballe, — Le cacher Mi blessé commune de Waville, 14 fr. 65— La commune de VilIers-les-Naney, 321 fr. 85. — La comDans l'après-midi de mardi, vers trois mune de Lelosuf (2« liste), Ï0 fr. 50. — La heures, M. Emile Gérard, cocher, demeucommune de Saint-,Tnlien-Ies-Gorze (2* liste), 17 fr. 03.— M. Guldenschuh, représentant de rant rue du Duc-Antoine, conduisait rue commerce à Esby, 10 fr. — M. Facq, indus- de Villers, une voiture de place dans la33-43, rue Saint-Jean et 2, rue des Pont* triel à Verviers (Belgique), 20 fr. — Souscrip- quelle se trouvaient trois personnes. tion recueillie fc l'école Caliot, 6 fr. 25. — Le cheval s'emballa. Le cocher, impuisSouscription recueillie par M. Reynaud, 20 sant, ne put le retenir et fut projet'i sur fr. 50.— Les Médaillés militaires, section de. le sol. L'équipage continua sa. coures et Nancy, jf ff. — Souscription recueillie par M. Aubertin, «arde forestier à Bmixières-aux- fut arrêté rue de Mon-Désert par un emsaison Chenes : Mlle Pougnaud, MM. Christophe, Ro- ployé de la maison Singer. Les \evageubert, Charton, «odhein, chacun 0 fr. 25 ; 1 fr. ses*purent descendre sans aucun mal. — MM. Theuvenin, Salat-Mihiel, Léon .Tac g Le cocher fut conduit â l'hôpital Ou cot, Pournier, Voirgard, Haneâ, Mlles Char- l'on constata, qu'il avait le pied gsnche din, MaretUy, chacun * fr. 5ô ; i fr — MM- fracturé et des plaies multiples à la Mourot Déoche, Foumier. Godini. Aubertin, face. Bibart. Baraban, Genévrier, Clia>l*s ïaem, L'-aet* Ae eôurage de remployé de la pertin, Cofiien, Bimnet, Vlrv, Copln, Ma. gnin d'Bpinal, Choux, Olivier Albert «t Ifé- compagnie Singer, lui fait daot*ftt pins hée, Gireh, Thouvenm, Marceau, Mme veu- d'honneur qu'il n'a qu'une seule main de ve pougnand. chacun 1 fr. ; 22 fr. — MM. libre, l'autre étant arikylosée. j6'v, F-hrenfold, Grosmaagin, Gérard, Petitlea'n, la-Société de tir de Bouxières, chacun 8 fr : t? m ™ MM. Ferdinand Mouehot et Tombé de béeane Emile Kippeurt, chacun. 3 fr. ; 6 tr.— M. Mardi, vers quatre heures et demie de j|jB**M*É*yiBW**B »■ ■■■ii'iiiii'ii i mi iHM'i'i iir'U'irrriiiMiiBiMilM**^^ MUllet. Institut chimique, 5 fr— M. Kicklès, Institut géologique, 20 fr. — M- A. Guntz, 10 l'après-midi, le jeune Pierre Kany ùstû de fr. « M. Guntz fils, 5 fr. — M. Grignard, 5 14 ans, apprenti coutelier, demeurant rue Françoi*-dè-NeufcbAieau, allait ir.'re unei niiriim ~iiriniM iiiiniii'"iirnriiniiiTr*nn r———————~P^-"' **-^-fr. — M. Becker, 1 fr. Total de la 11* liste : 997 fr. 40 course à bicyclette, au Pont-d'Essey. La fto^j»: Total des listes précédentes : 13.558 fr. 20. roue de sa machine ayant dérapé, il fut Total à ce jour : 14.555 fr. 60. projeté sur le sol. Le comité à également reçu de V « Est ré, Lapprenti se fit une longue (.échirare le publicain » la somme de 8.563 fr. 50, produite bar l'Exposition d'art qu'il avait organisée long du ner. et par suite du choc resta a l'hêtel de ville au profit, de l'œuvre des quelques instants sans connaiss^inre. z~jsn^ VJILIS i i *g| 3 Relevé par les témoin* de l'accident, ili Hangar» militaires d'aviation. fut transporté dans une maison voisine où son patron. M. Romain, rue Lafayeu-, vint Tomba d un échafaudage le\'nereher en voiture pour ie - transporter à. l'hôpital: Marui4 dan* l'après-midi, M. Michel HeiLa mère du jeune Kany, qui est *>euve, Ur, ««Trier charpantler, travaillait à une a été prévenu* avec tous les nunagbinents REMER0!ZMeNT6 i maiswi au construction avenue de la possible*Mn-lgronge. Il m trou-ralt sur l'échafauLe« familles SALLAMD, ftASTIBU. VA dage à la hauteur du premier étage lorsGUEXEZ, VÎLLEMUM, JOICNON', THO tin» eoliiaian -i fit un faux mouvement et tomba sur îfLA S et PIEBSON, remercient bien sincèUne rencontre s'est produite entre unei renient les péreoiinw qui lenr ont témoile srtl. Dans sa chute, d'une hauteur de i}U!itre mètres, il s'est fait diverses plaie* automobile de livraison de l'imprimerie gné de la sympathie à l'occasion du dé a la têts et de» conclusions à la j P.epger-Levrault et la voilure eie M- OéBM■ ces de i gauche. Pain, areoiteéte, dans la rue du SergontMadame Veuve THOMAS t II se rendit à l'hôpital, où il {ut parisi <*t Blantlan. ' refagji» ei)«uit* eon domicile, ru* LaCette GoJIifitft ue produit lue des dc- J Née Jeanne 8ALLAN0 gâtjs matériels. SftBe, 37. On s'est benucoup préoccupé, ces temps [ M. Nay, le commissaire de poire chargé de. mers, des moyens de préserver de l'm«te l'enquête sur les escroquerie; commises juillet. — Lors des visites ad< snaie les nouvelles construction* du théân par A. Binet, epii habitait rue St-Ceorges. 49, teatlves aux fnmmnn^ sinistrées par tre ae Nancy. n,1 tffl traité a déjà été pansé entre la ville a, clos son procès-verbal qu'il S transmis Xne du 8 juin, M. le sous-pré», de au parquet, ainsi qu'une* assee volumiH f ,,..|t, engagé IN maires de* eommu- et la maison Gonzé, de N*nte«, pour Tins- | neuse correspondance parvenu? depuis )o»! ^>gsser des riemar.de* do subvention tallation, au thé.ttre de la pl«ee Stanis- ] lundi au cabinet de l'homme «'affaires, 1 d«? " émission déparir-mentale pour leur las, a es divers appareils de protection eonconformément aux rèq-ies quelques livres à souche et d'antres papiers à P.Jjfa aide à l'effet rie remettre en (Hat tre 1 incendie, saisis comme pièces à eonvteticn. «S! rtÉhflUnS ravinés, les murs écroulés, adoptées par le Syndicat général des Com- , Plus de cinquante personnes ont fait pugnies françaises d'assurances. Le prix ■ «lifté** cotumunatlJ détériorés. leurs déclarations au commissaire de poK*.«flqUOle ci instruction par les fli- di l'ensemble de l'installation es^:. fixé i la lice. Sommé considérable de 85.400 francs. B I SPÎàrVte** compétent*, M, Herrgott vient La plupart, confiantes dans les anîîJiflimettrS à- la préfecture les diffé- comprend tous les travaux et toutes les ; nonces de A. Binet, étaient venues fournitures utiles an complet achèvement ' W «jn»9l»rs en appelant htonveillmire au fonctionnement de l'installation des pour emprunter de l'argent ; toutes f u Kirnrnii*pinn départementale sur ln st. après avoir versé des sommes vaMIL» îfig inwrewante de eê* commnnee. appareils avertisseurs. I^a ville, — dit 1' « Immeuble.», aura à riant de 20 à S.000 francs., selon l'im£\llarnnfi un projet se montant a i.ooo portanee de la somme qu'ils demandaient. ML « été étdbii tant pour ses eh«min« Sâ charge l'aménagement des locaux pour ! 1 >'-> représentait, selon les dires de l'esrecevoir les appareils à acide carbonique rr rft iS f!< hj rt *«« : ' *i * P * " ^l-ff , et la pompe centrifuge, et une place con- cror, les frais d'actes, d'enregistrement et |leil»fl< demande pour .'os murs du venable pour loger le matériel et les ac- de renseignements. Beaucoup de dames, sans la consentecessoires. La ville doit aussi payer les frais de ment de leurs maris, étaient venues sollii auîlVftde sont Wtimélj IbO francs. Ha- ' péreeiftent des murs, des planchers, des j citer le concours de Binet pour emprunfat- iu-Plain les dégât* aux flhèmHM I cloisons pour le passage des tuyauteries, ter quelque argent pour payer des dettes fjW «vtluf* 100 francs. Aari^ev-Ia-Cote, i des fils et de tous les raccordements. Elle criardes. fin francs Ceux de BtilllgTvy sont pins im- i devra aussi fournir le courant électrique Elles n'avaient fait qu'en augmenter le ■elârta»'! 'e '"hifire S'Wevè à 3.100 frahès. ' continu ou triphasé pour actionner le mo- | chiffre car elles avaient dû faire des em! SSrj||*«, pour la chaussée détériorée une • teur, et établir un rideau métallique, des j prunts près de leurs amies pour payer l'esnnie de 70 francs est demandée. A Hous- partes en fer aux communications entre la croc SïwnL pour ie* Chemins, i *0 francs. , «cène et la salle, et un réservoir en sous- I On cite parmi les victimes une jeune fille IT^t l'i-h'Oit, l-lûrt francs. Kiulxures, sol de mètres cubes, alimenté par la j qui, voulant, sans doute s'acheter une belle Kg fhfltt, Vannes, 920 francs. ville pour garantir l'approvisionnement toilette sans le secours de ses parents, h f a lis" d espérer que 1» commission , certain de la pnmr>« au cas où le service ! voulut emprunter 400 fr.. elle versa 20 fr. iftlftctttfltAte ou le conseil générai Un des eaux ferait défaut momentanément qui disparurent dans la caisse profonde •onJ«roïi! une subvention à CM communes Tous ces travaux devront être terminés de Bine*.. 0 prouvées. pour la fin de cette année 191S. Binet avait également un autre procédé Comme complément à ces travaux pré- pour soutirer de l'argent à ceux qui veservatifs d'incendie, il y S lieu d'ajouter I naient le trouver pour l'achat do fonds de certains appareils, tels que rideaux de fer j commerce. Il commençait par raconter pour la saiie et la scène, portes en fer, lan- I qu'il avait ce qu'on lui demandait et qu'il tevneaux, etc. Tous ces appareils seront ( allait faire aussitôt les démarches nécesUn lue. — Sïeux bl*es*s saires. MAIUT-LE-CAM/, juillet —■ Le vague- i fournis par la maison Pifre, de Paris, Tui s'engage à les livrer, complètement, termiDeux jours après, il convoquait le client «entre d'un des grouues du 8* régiment ; nés et prêts à fonctionner, moyennant le et lui disait : « C'est entendu l'affaire va se 1 artillerie, en retour sur Nancy, passait prix de 5Ô.00Û francs. traiter, il faut me verser 1.000 francs, comi cheval, près du village de Lesmont (AuCes appareils comprennent : nn ascen- me garantie pour les créanciers du venseur électrique, an monte-chs,rge électri- deur, cela est nécessaire, car la loi l'exiL« maréchal des logis marchait à droite 44 la route, seuls quelques cyclistes s'en- que, un rideau de fer pour la salle, avec | ge. » lambrequin, un rideau de fer du lointain, i Pour donner du poids à son dire il preittuient. à rester sur ia gauche. Une corne deux portes mobiles en fer pour le fond i'ëttto se faisant entendre brusquement, de la scène, ct un lantemeau mobile au- nait un livre et d'un ton doctoral lisant un soi-disant article du Code où il était dit no» cyclistes se rangèrent vivement sur dessus de la scène. que l'on devait verser des garanties entre !eut droite- L'auto arrivait à grande vitesLa ville aura à payer les arrivées de le* mains d'un tiers. se, [c chauffeur, vouiant, éviter les eyclls- ; courant Jusqu'aux tableaux placés près Cela réussissait toujours, car comment Itï donna un coup de volant assez brusdéfi treuils de l'ascenseur, du monte-char- aurait-on pu soupçonner un horomo qui juè vers la gauche. C'est alors que l'accige et du rideau de fer de ka scène, les savait trouver immédiatement un texte de 3eM se prouuisit, terrible. La machine massifs, trous et scellements, la menuise- i loi qui vous était applicable. tint buter avec une violence inouïe contre j rie, la peinture et les raccords, les pertea j ua arbre de la route. palières et entourages de protection de Cent mille francs <Fescroqueries Le chauffeur, M. et Mme Gérard, de ' l'ascenseur et du mente-charge. frères, furent projetés à plusieurs mètres. - Mr — Des renseignement* recueillis tout indiU maréchal des logis, dont, ou ne peut que ! louer le dévouement en la circonstance, se Manœuvres de corps d'armée que que Binet a pu escroquer près de cent ftfécipitf» rapidement au secours des malAinsi que nous l'avons annoncé, il y a mille francs dans le peu de temps qu'il est heureuses victimes. plusieurs mois, des manœuvres de corps resté à Nancy. Une seule victime aurait 11 trouva ie chauffeur, le crâne onvert, , d'armée, dites « manœuvres progressives » été dépouillée de 30.000 francs. Il svaH M respirant encore. M. Gérard était à quel- d'une quinzaine de jours, auront lieu dans I étendu son rayon d'action sur tout l'Est i ïtlts mètres couvert de sang. Quant à Mme les 3», 8» et 20* corps d'armée. Pour la 2* de la France el même en Alsace-Lorraine. liéfarJ, file avait cessé de vivre. Plusieurs de ses victimes habitent en partie de ees manœuvre», le 20* corps seAidé de quelques cyclistes qui l'accom- i ra renforeé par la 2> division de cavale- effet ce pava. pépiaient, le vaguemestre transporta les rie, également portée à six régiments par Il est établi que Binet n'était qu'un nom vjHimes dans l'auto, dont l'avant seul les 12* dragons et 5* hussards. d'emprunt de ce maître escroc, toutefois | «Tait un peu souffert., et les ramena jusLes 4, 5 et, R septembre, ies tronpes des \ on sait epi'il aurait a?ri de même façon à fl'i Lesmont, Où l'on prodigua les soins tl* et 22* brigades exécuteront des ma- j Bordeaux où des renseignements ont été 1er, plus urgents aux blessés. n.oeuvres de régiment contre réfriraent dans ; dermandés sur son compte. L'état du chauffeur, à qui on a fait l'o- la région Nomeny-Arraconn-Cirey-sur-Ve- j Les agissements de cet individu avaient oeration du trépan, est désespéré. Quant à zouse-Rambervillers-Lunévllle.Dans la mê- déjà éveillé la méfiance de pluiseurs habiM. Gérard, on espère le sauver. mo région, les troupes de la 11* division i tante de notre ville qui avaient averti la Comme on peut se l'imaginer, cet acci- I exécuteront des manœuvres de brigade poiiee, mais aucune plainte n'étant déposée dent » causé une profonde émotion à Les- contre brigade les B, 9 et 10 septembre, et celle-ci était désarmée et ne pouvait agir. mont et dans les environs. de division contre ennemi figuré le 11 septembre. Les victimes de Binet Les troupes de la 39* division opéreront Le général Diciio ne peut aller dans la région Void-Toul-Colombey-lee- Hélas ! que j'en ki vn tomber des port», Belles-Neufchâteau-Gondrecourt, les 5 et 8. feuilles. Quelques-uns viennent de se -éi- j en Alsace Les 8 et 9 septembre, il y aura manœuvras der chea Binet Mardi matin, un voisin à collé sur la continues de deux jours brigade contre MUSSÎER, 29 juillet, — On annonce qu'on | brigade , les 10 et il septembre, manœuporte de l'agent d'affaires en fuite une aurait refusé au général DIdio, en retraite, vres continues de deux jours de la divi- pancarte où les visiteurs déconfits lisaient î«i «t originaire de Munster et habite j sion contre ennemi figure. cette phrase lapidaire : « Culture intensiEpinal, l'autorisation de séjourner quelque Les 13, 14 et 15 septembre, les lî« et 86e ve des poire» ». Puis, jouant sur le nom temps en Alsace. divisions, avec la 20* hrigade de cavalerie de l'aigrefin, l'auteur de cette pancarte A ce proposée « Bote vom Munsterthal » : et la 2" division 4e eavalerie, exécuteront signa D. Binet en mettant dans ce calem- ' '«t les justes réflexions que voiei : des manœuvres de division contre divi- bour tout son esprit — seule chose qu'en « M général Didio, qu'un amour fidèle : sion dans la région Charmes-Chf',tenois- les dépouillant le filou de la rue Saintattache a son ancienne patrie et qui, eba- Chatel-sur-Mosene-Vittel-Dornpurre. Georges a pu laisser à ses dolentes victiT« année, la visite avec plaisir, n'a, cer- ' Ajoutons (rue les troupes de la place de mes. 'wnement aueune arrière-pensée d'espionL'erxploitation de la crédulité humaine j Tout exécuteront des mancen/res spéciales 1 Qsge, du 27 août au 2 septembre, dans la région i a suggéré la fondation de mainte compa- I1 « Des mesures de ce genre, Je mè.ii» que Toul-Pont-à-Mous?ôn-Thiaucourt gnie « itlimited ». La Lorraine semble ùa -e refus d'accorder des permis de chasse ■ V9< ~terrain particulièrement favorisé. San3 j nn 3rs sont P«>ur les sinistrés du T«ulo?s remonter a l'invasion des Kun.% nous trou- ! !. ^T, S > mesquines et chicaniè«!• Elles n'ont aucune valeur au point vons les banqueroutes, faillites et dispa- j 5* usrs «rue de la sécurité de l'empire ; elles proM. Poulet, aneien pharmacien.. 20 * j ritions de Marin, de la Caisse Lorraine, ™^ifnt«8U rontrf,i>°e l'amertume chez ceux Anonyme 0 bû I d'établissements de crédit, rues Gambetta, Tueiies frappent et leurs proches ; et amè- ' Saint-Dirier et Saint-Georges, de la banque „'nt t0DS les hommes sensés à condamner " 2050 ! du Blanc, d'un autre attrape-nigauds, plaPareil système, n Report des listes précédenf.ffs ($8 60 j ce Saint-Jean, d'une banque provinciale, ne - ■-■ ! yue Saint-Nicolas -~ j'en passe et des Total à ce jour 589 10 j plus véreuses I Arrestation à Epinal L'escroquerie et l'abus de confiance fleuSoutenance de thèso rissent comme en serres chaudes. A peine EraAl, 29 ju'llet. -- ie nommé Paul O., I M Marius Guillemin, ancien interne des I un guichet est-il ouvert que les dupes acïous r-ma!tiresse' vlwnent d'être arrêtés, ; VA+oki■,nc Pation d'incendie vt lontaire à hôpitaux, a soutenu publiquement sa thèse 1 "WjBUssement dont D... avait la gérance. inaugurale sur le sujet suivant : « Contrî- \ lavas, Examen des braneardlers de la bution à la pathogénie et au traitement j des collections phariplgiennes d'origine Greix-îîoiigt ' " »<* *> O i i ■ . i ia" j otique ». Ces jours derniers, à 8 heures i du maLe jeune docteur a été reçu au gracie j tin, dans la grande cour de l'Ecole profesavec fa mention « très bien n. sionnelle de l'Est a eu lieu l'examen des Pfetrlifutton $e prix brancardiers de la Croix-Rouge en vue de La distribution des prix aux élèves des la délivrance des cartes d'identité, permetécoles Didion-Raugraff et Charlemagne, tant aux seuls titulaires, le droit d exercer j, JOURNÉE pour l'année scolaire 191S-1913, aura Heu en temps de guerre. M. le médecin inspecteur Schneider, as■*»credi 20 juillet 211* jour de Vannée le jeudi 31 juillet courant, à 0 heures du matin, à l'Eden, rue Bénit, sous la prési- sisté d'up'TOédeein-major, posa aux brandence de M- le docteur Ganulnotty, conseil- cardiers des sections de Nancy, Heille'mit LOUP | SaitU IGNACE court Laneuveville et Maxéville, des quesler municipal. E Paémérides lorraines. — En 1683, arrêt Une musique militaire prêtera son con- tions touchant la manœuvre du brancard 6 ement BamJ français portant saisie du cours à la solennité et les enfants des éco- et les premiers soins à donner aux blessés en temps do guerre. H est inutile de rapA?> m k d,,« Gharles IV. les interprêteront différents chœurs. J Ut peler en effet l'importance de ces connais»Mv h'~ Sall« Polrel : Distribution 1 les. Ecole supérieure de ieunes t'Upharmacien» sances, précieuses, puisque des premiers Ont été reçus pharmaciens de première soins dépend souvent la vie d'un blessé, 8 utiles, puisque par ces premiers p4j l*^ - ~ Musique militaire sur la classe avee la mention n très bien » et fé- toujours soins le blessé pourra attendre plus facilicitations du jury : M¥- Gtllot et Jalot. lement son transport à l'ambulance. ,{* LA TBmpÊttATtmn Presque tous les concurrents ont satis785 11 a- Ounkerque, 780 Blarrits, Dépresfait aux différentes questions, quelquesiUt!UB îorte ression Iles Dri I> Sa"qTO~ ' P " uns même d'une façon extrêmement satisLa Nirvana, Hindou est là haut, bien faisante. Ce résultat fait le plus gmnd l y haut, au-delà de plusieurs ciels que l'on 1 ~..jî * NANCY S» honneur à M. le chef instructeur Botç et franchit difficilement. Chaque étape repréà ses collaborateur». sente une vi* entière pleine de sageïss», M. le commandant Herrmann assistait aussi coneoit-en efue l'heureux humain qui aux différente sépreuves. \ ! * «t. 4-1R 7-49 y atteint, etoit largement récompensé par Ouelques élèves de l'Ecole profession%i&idi.. a a*8 7««, uVentdesrégions 'des bonheurs infinis. Sait-on en France neîle, qui préparent leur oral pour l'Ecole m 1 f | "5(5 N*«rd i que le Nirvana des automobilistes est près S e" si + 748 Quelques plaies de Paris ? Arpentes ie quai Miehelet; à i des arts et métiers de Châlons, se sont distraits de leurs occupations pour venir Wr Levallois, vous remarquerez les figures le» diverses phases de l'examen- ^ ~ | Sale épanonies des nouveaux propriétaires de regarder Ces jeunes gens ont jugé, et tout le mon- I voitures C.lément-Bayard, sortant de l'usine, et vous comprendre*; que c'est bien là, de jugera avee eut, éwe l'œuvre de la à la r>ortée de tous, que se trouve le Nir- ' Croix-Rouge a un intérêt d'une importance vana de l'automobiliste. Concessionnaire : capitale et qu'elle mérite d'être de plus en plus suivie et encouragée. —» A- F. il. Morlsse, 9 bis, rue de la Constitution, Nancy. pour le» sinistrés du Touioîs r Œu* S Grave accident d'automobile NANCY LA Le Nirvana 1 S f Z" - Charité récompensée.,. Avant laissé, mardi, vers une heure dé Paprès-mldî, dans sa chambre, rue Brouin, 7 un individu qui lui avait demandé l'hospitalité afin de pouvoir se reposer, M. z Charles constata à eon retour, vers 7 h«ura*, q,J8 snn Protégé avait disparu, lui faisant une soustraction en règle de linge, vêtements et, surtout dune montre. Z... n'a pu que porter plainte à la polies, . jurant, mai* un pea tard, <p*'»n n» Vf ( prendrait plu* »- ** tt?',v ehiftSTn,er \ 11 "ti-a- Em un asclOent ? heupw ». 1* nommé Da«; 8nTls Sî *«ï! u domicile fixe, a été w iNne* .« l?ont Saint-George3, sans eonr mair «J *n*nft»?' h? i droite écrasés. a,Sd& .HuvVuî, »>*Pital par l'ambulanc* d « MeurChe.«t-Mos«Ut, U * enn^? "'««rie,». nqiJêt « est ouvert*. h T/olitir srrQM Dam 1* soirée de lundi, un ptate*» m métal Manc était dérobé Sans le jardin dn café de la Rotonde, du cota de la rue de la Pépinière. Mai-di à la, première heure, un chiffonnier, Joseph Lové, âgé de Ai ans mns demloftt oftwiit en venta watt plateau. 11 fut aussitôt arrêté et conduit au burt»u de police. ^ri(,--;.'t:'i'>:;i-^'t-^...^iri"y ■^ax«g»t^aTa s ^J,J'J^™-'JM Comment le teint s'abîme Un savon composé de graisses impures et d'huiles rances et contenant à l'excès des sels alcalins abîmera Infailliblement la peau chen toute femme. Il privera les pores de leur sécrétion naturelle, indispensable à la vitalité de la peau. Le Savon Cadum préparé avec les éléments les meilleurs et les plus purs, est parfaitement câlinant et çuratif, car il a pour base la fameuse poiamadi Cadum, Tte» phar. 1 fr. i .li-*»!»" I tmk II M -<*fr »J|My»J .1—J»ll».l»l'|l .1. 'l'"*»* **»»lfe .iLIII—M************ Grande Taverne Allez voir les g TURRIDDU, acrobates du Cristml Palace de Londres et GÂBY and Léo, eauleurs unijambistes, programme extra&dimire»^ Un vol de l'aviateur Lecomte MfiQflSIllDQ ! |r|l&ilII|Sy i C'EST p C FFI* F O RTS FiCJIET  la Samaritaine NANCY La déplorable qu« nous avons^mhie^^t^ ^^ marchandises ami dû dépréciées très être largement , pour être vendues coûte qum ■ coûte. , C'est dire 1 que les : occasions ^emnt^aussî Promis \ retrouverez jamais ! M il Ces iours derniers, le couple Viala par- | S,/,xTw?n Imn prt- Président de I-TJ». 1 n procureur d> la République de Nancy, qui , it sans prévenir, emportant, deux draps dlélégués cantonaux des Vosges n le faisait érrouer. j tf cinq 'serviettes appartenant à leur lo- ciompenser l'instituteur qui a mP Ur r? ARMOISSEUENTDE TOUL f Du 2S Juillet d'efforts dans l'organisa^"0i"« 1» use. . .. ... \ydus Tes post-scolaires. ° des ^J* Le préjudice eansé par cet acte indélicat v TOUL i * N aisances Les casernements. Nous avons annon- | et it de 20 fr. environ. RUPT-SUR.Mr.6 Laiire-Paulette-Anna Fo< ■ob'.fsky, rw du La foire - La fête patror Contravention. Magrini Antoine, ruiau journal « L'Eclaireur » de Pont-à-Mous- ' ^ cé que La caserne Teulié ou Saint-Léon, a STapis-Vert. 9.— Jeanne-Marie Derhé, rue CONSEIL GÉNÉRAL \son, le son* de lancer et de patronner sa en «, ce mènent occupée par la compagnie j n eur se promène le soir monté sur sa bi- he dimanche 3 août malgré les b?ïw Ferry-ITL 7.— Jean-Jacques Zimnier, nie ^lts l'aj. candidature. ^ d'ouvriers d'artillerie, devait être affectée Q- ,'clette dépourvue d'une lanterne allu- fiirmant reculée de huit jours Canton rfa Nancy-Est Jeanne-d'Arc, 78. n L'Eclaireur n a pour les monarchistes gi et trasfornéo en hôpital pour les troupes rr lée. IJ a la déveine de rencontrer les gnnDécès Groupe Lehau-La Satle-Salnt-Nleelae iune tendresse profonde. Cafés et débits. Par arrêté dH,LL0T ^ de la défense.. Voici les changements de j d armes qui, naturellement, lui dressent | Augustine-Henrlette Marchai» 18 an», cêles débits et cabarets seront Urnï ^'(t rocès-verbal. ! 1 Le comité du Groupe Lobau-La SalleDans s«n numéro du 16 mai dernier — casernes ^ lécessités par cette affectation. I p Bbatàire. rue des Quatre-Eghses, 06. -- Saint-Nicolas Invite les électeurs de ces 1la date, était propice — « L'Eclaireur », Coupe. — Marchai Paul a porté plainte i rriuit les jours fériés légaux, ie™»J mj Mercredi prochain, la 12* batterie du C11 Georges Roth, 1 an 9 mois, rue Sonnini, 1 quartiers à Assister à la réunion qu'il or- après 'ee ^ un préambule flatteur, reproduisait R< I 6* d'artilkrie ira, rejoindre momentané- \ c< mtre Schweizor Henri, chef porkm, qu'il f[cires et de jours fériés. ter,— Suzanne-llortense Mayer. 3 mois 5 ganise le merrrerii 30 courant, à huit heu- 'un article duquel nous détachons la phru- n ment à Fagny-la-Blanche-Côte, la 11*. La a eeuse de l'avoir frappé alors fru'il Se trou- I jours, rue des Sables, 16.— Barbe Rouve- res et demie du soir, au café Buienet, an- ?se suivante, aussi brève que significati- compagnie ARRONDISSEMENT DE SAINT-Bit , des ouvriers d'artillerie ira à v ait au café Césario, me de Coinville, «t j c nack, 75 ans, rentière, veuve Abresol, rue gle des rues des Jardiniers et CharlesTII, ve : *i la caserne de Forêt-Curinl. La 4* batterie e< *la sans aucun motif. h de Villers, 44.— Jean-Bnptiste-Ernest Gil- seus la présidence de M. Bussière, conseilSchweizer dit, pour sa défense,que Mar« Le mouvement de réaction qui a si vite j, Chronique électorale. M. EmP'^ï ira à la caserne de Bigny. bert, 68 ans, ferblantier à Robert-Espagne ler municipal. nr accru les forces royalistes en France Le 6* régiment d'artillerie va se voir Cl tial a insulté sa, femme. Une enquête est rpeut, candidat au Conseil général H (Meuse).— Jean-Baptiste Frey, 14 ans, cori tton de Raon-l'Etape, a commencé }■ ^ ^ M. Lucien Larcher, candidat du parti «< n'est qu'une chose en retour logique et doter d'une batterie montée pour Bimail- O uverte. Béfaut de déelaration. Il y a déjà un c:he ses tournées à Nompatelize <s ■ donnier, ne de I Vbî W.—• Bo- républicain, y exposera son programme. «' salutaire. » ! ho ; il recevra prochainement 160 che- | n ger-Marie Gobert, 1 an 2 mois, rue Sellier, ans, une rmy et Etival. Dans cette dernière i*"1^ La suite était dans la même note. Il ne sera envoyé aucune convocation, le vaux. ! ois que Mlle Joséfa Benzal, v 43.— Roger-Louis Babel, 6 jours, nie JQC- pjrésent appel eh tenant lieu. Une candidature républicaine comme — La direction du génie va prochaine- b ■une espagnole, habite Auhoué, cités du iil a été tout particulièrement accla^^ quot, 3 (hôtel de la gendarmerie).— Paulcelle de M. Cabaret ne pouvait être évi- n En résiliant son mandat de dérmï. ment s'occuper d'édifier une infirmerie de ; T • Georges .lacquot, 2 ans 17 jours, rue des Elle n'exerce pas de profession et ne £avait promis a ses électeurs de dem ' 8 Le candidat républicain, M. Lucien Lar- I <demmont placée sous un meilleur patro- garnison. Comme les emplacements mari- i 1 Dames, 25. quent, le génie s'est arrêté, paraît-il, au ci oyait pas devoir faire une déclaration ttoujours leur conseiller général • ?e,lret cher poursuit la série de ses réunions na fe' , „ • , q Apres cela, il n v a plus d équivoque pos- projet p 1 mort-né. qui consiste à construire cette in- d étrangère. Les gendarmes, qui ignorent jpas un coureur de mandats, niaK nest avec le même sucrés. ifirmerie sur les remparts. En ce moment, lt L galanterie, lui Ont dressé procès-ver- ^veut pas faillir à ses promesses » ne Mardi, c'était dans la rue Mac-Manon, sible ■ on tire des plans pour construire sur le I h salle Mnnfemont, qu'il faisait une causerie que les électeurs lui renouvelleront N RBWBRtlEfMEHTll HttMECOURT (confiance, il restera sur la brôehô Ur CONSEIL D'ARRONDISSEMENT bastion gauche de la porte de Metz ; les ; avec les travailleurs du quartier. D r ——. Ivresse et tapage. En rentrant de < prendraient en face de la rue Por- I Beaucoup de ses amis et de ses clients tenir haut et fier le drapeau rénuhi Po,lt Us familles PKRRIN et. FIX remercient Canton de Nancy-Sud £bâtiments te-de-Metz et longeraient le chemin de j t< lurnée de nuit, les gendarmes d'Homé- j >,En quelques mots et chiffres en • bien sincèrement toutes les personnes qui étaient venus l'entendre et nul doute que M. VIRIOT rronde intra-muros, appelé la rue des Ecu- I c Dtirt trouvèrent sur le coup de minuit, ; \il donne à ses électeurs quelques™^ leur ont témoigné de la sympathie à l'oc- son appe.' à la discipline républicaine ne n individu fort occupé à envoyer de , écouté. casion du décès de, M. Viriot se présente à nouveau, comme fries de Bourgogne, derrière les écoles de I u rands coups de pied dans la porte de leur I (cations sur le budget départemental •* j g Les ouvriers ot parfaitement compris <■on l'a vu par sa profession de foi, au con- la Maison Dieu. (dit-il,, a toujours été très bien îserne. \ Charles-Louis FF que le parti auquel appartient, le conseiller seil d'arrondissement. Il est à fa fois, par - Pourquoi la direction du génie ne pro- Cj Interrogé sur les causes qui le faisaient tré ; pour sa part, il s'applique à f ( sériant. M. François, ne se montre géné- ]l'aménité de son caractère, le candidat ; fite-t-elle pas de ces travaux pour faire la | et a approuver tout particulièrement i j nécessaire dans les remparts, don- | c auser un tel tapage, l'homme raconta dt»- | les dépenses qui s'adressent aux (wiJf reux et ne distribue la bièro et les brio- I sympathique, < et par le nombre et la quali- percée V e voix pâteuse qu'il avait été volé et qu'il I, ner un dégagement du côté de Saint-Man- ! n d'assistance et de solidarité. *'!' ches que dans un but électoral. :i (té des services le candidat utile. ■ RÇMEBGISMEUTa illait que les gendarmes l'accompagnent. suy et ménager la sortie Porte de Metz, si fi Parlant en quelques mots de H » Apres l'élection, quand on n'a plus imB Tous les électeurs' rendent hommage à ? Comme il était complètement ivre, il fut le ] loi militaire, M. Fleurent exprimé1, Les famides CHARBONNIER, GERARD médiatement besoin des électeurs, on .'eur ,sa courtoisie souriante, et tous se plaisent dangereuse et si difficile ? Ms îvité à revenir quand il se serait débar- sentiment, . Il suffirait pour le génie de jeter plus i' réfléchi, en sa faveur ■ n tourne le dos pour ne plus se présenter deet LANCE, remercient bien sincèrement à reconnaître que nul n'a de titres aussi , assé de sa cuite. i présence des attaques continùellfl81?' tontes les personnes qui leur ont témoigné vant eux que ia veillé du scrutin suivant, i| ,considérables à la fidélité du suffrage uni- à gauche les bâtiments, les mettre à l'ali- j r Il ne voulut rien savoir et continua à i en j gnement des maisons et une fois la percée notre voisine d'au delà des Vosges Quant à leurs intérêts,on s'en soucie peu J «versel. § dé la sympathie à l'occasion du décès de ; faite dans le genre de la Porte Jeanne- C rier de plus belle France forte, pace que ce sera pour^9 chez les réactionnaires. Depuis vingt-quatre ans, il fait partie * Finalement François Bergamini, 28 ans, ;le moyen d'être respectée, et do fairn Ie Les électeurs sont assez clairvoyants jI ,du conseil d'arrondissement, où sa parole d'Arc, se servir des terres de construction pour remblayer dans les remparts. Les H mnœuvre, me de la Mine, tels sont les gner la paix. Dans notre pays front* pour comprendre cette manœuvre. Ils ont est , écoutée avec respect, où son bon sens | terres qui sont en grande quantité y trou- E om, qualité et adresse du perturbateur 'nous ne voulons pas être exposés, si ip été trompés il y a six ans. La leçon leur pratique est hautement apprécié. veraient leur utilité au lieu d'être condui- f ut conduit a uviolon d'où il sortit le len- ,succombions, par suite de notrô ! suffit Dimanche, ils iront voter pour .le Depuis dix-neuf ans, il est vice-président J tes à grands frais au Parc aéronauti- ! d emain matin avec une contravention pour | rence, à l'attaque brusque et à la m,„„ i : candidat républicain, M. Lucien Larcher. de la Société centrale d'agriculture. Il a 1 ,à devenir allemands : nous possédons | i' iresse et tapage nocturne. apporté sans trêve à cette compagnie l'ap- que. " Une fois les remparts franchis, la voie C&Rlm as tiMcy-tfaosi régime de justice et do liberté, et nous? pui de son expérience et de sa grande au, -«&■ <£>■&!■-- -■■ Charretière emprunterait la canonnière et \ c voulons pas du régime de despotisme l ... profession de loi oe M. An- torité. U8 viendrait se brancher à la route de la gare là-bas. (Applaudissements). Enfin depuis seize ans il est président i Ciuia sportiî it, la coiffure. MM. les toine ; à Saint-Mansuy. Un ordre du jour de confiance a été vnu e c Electeurs, du Syndicat agricole de Nancy. m «uvriers coiffeurs de Nancy et environs Le terrible pont tournant serait évité de â l'unanimité. Désigne par tous les groupements répuNul donc mieux que M? Viriot ne peut sont priés d'assister à, la réunion générale cette façon et la Porte de Metz pourrait £ M. Verlot, député, qui assistait à cett« I ioneours de juments poulinières . du Cl ah, le jeudi 31 juillet, à fi heures du blicains de gauche, j'ai l'honneur de me rendre au pays les services les plus effi- être conservée comme monument historiprésenter à ves suffrages comme candidat caces. et pouliches réunion, a engagé les électeurs répubfi soir, brasserie de 1» Poste, rue des Domique. cains, à voter en masse pour M pi»»' 1 au conseil général. Si l'on ajoute à ces qualités qui lui ont * Ces concours auront lieu cette année : t&caïivs. Voilà un travail utile et nécessaire, qui rent ; se réservant de revenir à un moment PROGRAMME POLITIQUE | donné la confiance ininterrompue des élecA Neufchâteau. le 4 août, à 9 hè du #m pourrait être fait. Cette porcée coûterait plus propice, rendre compte de son man Républicain cenvaincu, je suis de ceux Internationale de Î26 kilomètre». 27 qui pensent que la démocratie doit se déve- teurs, que M. Viriot, depuis plus de trente- • 60.000 francs, tandis que le transport des r natin ; dat ; il a déclaré néanmoins, s'associer | cinq ans sert la République avec un désin, A Mirecourt, le 5 août, à 8 heures du iuiliet 1913. Mullenbach (Grand duché de lopper et se transformer méthodiquement terres coûterait 3 fois plus. complètement aux idées émises par le can. téressement admirable et un»dévouement natin ; 1 Luxembourg).— 1" Victor Ferry, Peu- e#ws la sauvegarde des lois, et du régime j Aceidente. — Un terrassier employé au didat en ce qui concerne la loi militaire," que nul ne saurait contester, on c-t < crA Epinal, le 6 août, à 9 h. $ du matin ; geot, pneus Continents'. ; ?" Cnliignon, de laïque librement accepté par la majorité parc à ballons a été snrpris par un éboutain de l'élection du candidat républicain. | A Rambervillers*, le 7 août," à 9 heures Namnr ; 3* îlobaye, de Bruxelles ; V Bef- républicaine. lement. Muller est tombé d'une hauteur de LA BOUE Tout le reste est littérature morale et ;3 mètres et s'est brisé l'épaule gauche. ja ; 5* Simon Paul (crevaisons) ; 6" Knott, j c lu matin. Je suis partisan de la liberté de cons- paroles en l'air. Le feu. — Un incendie a détruit en par. Bureaux de bienfaisance. Sont nomBoudot, Rhénard, etc. — Lundi, vers 1 heure et demie de l'a; cience la plus large. J'entends rester le détio au lieudit « Les Maîtresses », une ferme Epreuve très discutée. Beaucoup de fenseur résolu dés idées de justice et de près-midi, une automobile s'est jetée dans ! j nés membres de la commission adminis- appartenant à M. Albert Simon, et occupée Canton ia Nameny i rative dn bureau de bienfaisance des la voiture des postes, convoyée par M. Pej monde à l'arrivée. solidarité qui/sont la raison d'être de la par M. Camille Ferry. Les pertes ne sont M. Galilé, le sympathique maire d'Eply, J ( •ommunes : L'accident s'est produit place Curel. Le République. ,candidat au Conseil d'arrondissement, ac- tit :cheval de M. Petit a été assez sérieuse1» de, Bertrîmoutier : MM. Collin Gusta- pas très importantes.'mais le locataire, mi PROGRAMME ÉCONOMIQUE « ( j compagné de M. Bailly, maire d'Armau- : e, propriétaire ; Masson Auguste, rentier; n'était pas assuré, en sera pour son mobiJe collaborerai avec la majorité rêpubli- i (court, continue vigoureusement sa eampa- ment blessé. lier. Vlathis Camille, cultivateur ; Picard Lu: ■ leseure. Lundi soir, dans un débit eaine du eonsed général pour résoudre au SAINT-OIE I 1gne électorale dans le canton de Nomeny. do boissons des environs de la place du ] ( :ien, négociant. mieux des intérêts du département toutes i Domestique indélicate. — M. Simonin Partout, dans ces villages de la Seille, Marché, , 2° de Neuvillers-sur-Fave : MM. Cuny un ouvrier menuisier de Toul, les questions qui lui seront soumises. s'apercevait depuis quelque temps qu'il il est accueilli de la façon la plus cour- nommé ' Decieux a, sans provocation, lance , ' \drien ; Michel Albert ; Picard Jules ; était victime do vols de linge et 'd'objeta Membre du conseil municipal de Nancy, toise. Bovel-Hauviller Eugène. organisé p-ar Alcyon Kuiehinsen avec force un gros verre de bière, apnelé délégué aux oeuvres sociales, je m'efforceEnfant du pays, l'abord très franc et communément « sérieux », à la tête d'un . 3° de Pair-et-Grandrupt : MM. Bastien mobiliers. Il fit une visite dans la charoavec le concours de VEsi républicain rai de faire étudier et appliquer par le loyal, M. Galilé voit se rallier franchement commerçant en bois de TouL Le verre vint Eugène, cultivateur ; Clément Alfred pè- i bre de sa bonne où il trouva de nombreux censeil général les oeuvres sociales de réaà sa candidature la majorité des électeurs ,se briser sur le front, lui faisant une forte '. •e, cultivateur ; Durain Eugène, cultiva- objets de toutes sortes qui lui avaient été' Le dimanche 3 août se courra la quatriè- lisation "pratique et immédiate. soustraits : la bonne indélicate a été antdu canton. me éliminatoire du Grand Prix de Lorraine I blessure d'où le sang s'échappa avec abon- : eur ;. Tisselin Albert, cultivateur. Je demanderai notamment : tée. C'est une nommé Adèle Bucholti !° de Prey : MM. Baîland Emile ; Bara-sur le parcours suivant : dance et les éclats de verre lui firent enco- j ji 1° L'étude et l'application des moyens âgée de 19 ans. . sf# Hsi sué < lf 1 Henri ; Ferry Alphonse ; Georges ProsPont-à-Mousson, Vandières, Pagny-sur- i les plus propres à diminner le coût de la re quelques entailles dans les joues et le I ! «-a>-a> — Lundi 28 juillet, M. Albert Tourte!, can- \nez. Moselle, Vandelainville, On-rille, Wnville, I vie ; ! 1 ier„ 5° de Raves : MM. Balv Alfred, cultivadidat au conseil d'arrondissement s'est Rambereourt, Jaulny, Thiaucourt (contrôPlainte a été portée. j , 2° La création d'un office départementeur ; Colin Alfred, cultivateur ; Gérard rendu à Benney exposer son programme le au café Goudy), Regnéville, Montauvillc, tal des habitations à bon marche ; important* armtatlon. — La police muIsidore, cultivateur ; Gérardin Alfred, culPont-à-Mousson (contrôle fixe avec signa3° La création d'une école ménagère mo- aux électeurs. " nicipale u mis en état d'arrestation un ; tivateur. I Malgré le beau temps qui retenait les ,nommé Maurer François, dit Morer, re- ; ture, près du café de l'Espérance), Blénod, bile telle qu'il en existe dans la Meuse et ARRONDISStHENT 0'EPINAL Dieulouard, Belleville, Marbache "t retour dans les Vosges où elles donnent de bons travailleurs aux champs, une assistance (cherché depuis 2 ans par un mandat d'ar- | nombreuse s'était rendue avec empresse- rêt de M. Boucheron, do Paris. Ce Mauà Pont-à-Mousson. résultats ; EPINAL L'arrivée se fera route de Blénod, en fa4° L'augmentation et une meilleure ré- ment à l'appel de l'honorable M. Tourtel, rer a commis de nombreux vols à Paris Les grandes manœuvres d'automne du Arrestation. En vertu d'un mandat ce de l'usine à gaz. Une banderole l'indi- partition des crédits destinés à l'entretien montrant par là le profond attachement ,et*a déjà subi de nombreuses condamnaqu'ont toujours manifesté à la République, .tions. Cette arrestation parait être très d'amener, le parquet d'Epinai vient de 15" corps auront lieu, cette année, iw des voies de communication ; quera. l'arrondissement de Wissembourg et ej Cette épreuve est dotée de cinq cents b" L'organisation pratique et rapide de nos vaillantes populations. , importante. Mairrer est surtout un voleur procéder à l'arrestation des nommés Paul majeure partie sur les champs de bataiili Après qu'on eut entendu les paroles proj Dubach, 30 ans, et de Marie-Augustine-Anl'apprentissage dans le département ; de bicyclettes. francs de prix. | autour de Wœrth. drée Fichesser, 30 ans, inculpés^-dL'incene noncées par M. Tourtel, paroles aussi sin! 6 La création d'un comité destiné à diTout coureur terminant le parcours en Procès-verbaux. — Procès-verbal a été I A partir du 12 septembre, la 60* brigad» cères que loyales, l'ordre du jour suivant dressé , moins de quatre heures et demie, recevra minuer le chômage ; contre B... Julien, 47 ans, ébéniste die volontaire du Casino d'Epinai, le 9 d'infanterie prendra ses quartiers à Wœrtt 7° La réorganisation du seiTice d'assis- a été voté à" l'unanimité' : à Toul. pbur coups et blessures, menaces juin dernier. un prix. Ooup de eouteau. La nommée C... Eu- et clans les villages avoisinants. La 8? « Soixante électeurs républicains réunis1 de J mort Contrôle de départ, signature, remise tance des enfants en bas âge ; brigade manœuvrera entre Wissembourg 8* L'application aux étrangers habitant en la salle de mairie, pour entendre l'exdes dossards, dfcianche, rue des Murs, à — Chery Ernest, de Toul, a été arrêté \ génie, 26 ans, ouvrière diusine, demeurant et Rœschwog. Pont-à-Mousson, devant les magasins de l en France de toutes les charges qui pèsent posé du programme de M. Albert Tour- eu vertu d'un extrait de jugement qui l'a ! rue Entre-le6-Deux-Portes, a été arrêtée Les manœuvres de corps d'armée auront tel, candidat au conseil d'arrondissement, ,condamné à î mois de prison pour coups pour coups et blessures. En voulant frapM. Brayer-Linassier, agent Alcyon, entre sur les Français. pera noamant, M. Wiss Paul, porteur de lieu entre les forts de Haguenau, laLanttf « Décident à l'unanimité d'acclamer sa Enfin je m'efforcerai d'être utile à mes ■ et blessures. midi et 13 heures. bois, elle a biessé au bras d'un coup de et la Sauer ; elles prendront fin le 24 depA 13 heures, nn premier dépar t sera don- concitoyens toutes les fois qu'ils feront ap- candidature, ct s'engagent à faire tous leurs — La gendarmerie a dressé procès-ver- | couteau le frère de celui-ci, M. Wîss Au- tembre. efforts pour la faire triompher aux élecpel à mon dévouement. né. Les coureurs se rendront en groupe a bal à Heillouis ilabriei, • WŒRTH tions cantonales du dimanche 3 août pro- les, pour défaut de lanterne à sa bicyclet- guste, qui s'était interposé. Electeurs, petite allure au café Bello, route de NorNouveau monument allemand. Le 3 RAMBERVILLERS chain.» Vous me trouverez toujouis partisan des te, ainsi qu'à Stnefe Gabriel, de Toul, et ; roy, où le départ réel sera donné. Grève. — Un commencement de grève août prochain sera inauguré, à Wœrth, « En somme bonne journée qui fait envi- à Heullis Raoul, marinier à Dômbasle. Plusieurs primes au contrôle rixe de mesures propres à sauvegarder la granj, J'est déclaré mardi matin sur le chantier nouveau monument élevé à la mémoire dtt deur morale de la France et l'intégrité de sager avec certitude lo' résultat du scruPonb-à-Moussen. ie construction de casernements de l'entre- soldats morts pendant la guerre de OT A HHêltBiSSEMF. H T BE LU H EiIL LE tin de dimanche prochain. Engagements jusqu'à samedi soir chez son territoire. du 11* régiment d'artillerie de camps^ Electeurs républicains, rappelez-vous que BABON VJLLER prise de MM. Ehret et Brueder. M. Brayer-Linassier, à Pont-à-Mousson. Cette grève est provoquée par une de- à Cassel. la victoire dépendra de la discipline avec Visitée domiciliaires, — M rresttense, Comme les précédentes éliminatoires,celle STRA8B0U8H président de la Ligne des Droits de l'hom- mandat d'augmentation de salaire. de Pont-à-Mousson est déjà, assurée du laquelle vous accomplirez votre devoir élecme, vient d'adresser la lettre suivante au I Les ma,çons qui gagnent 0.70 de l'heure, succès. De nombreux engagements mêt- toral. L'expulsion de M. Brunner. M. Bruaréclament 0.20 et 0.30 d'augmentation et Je compte sur vous pour faire triompher ministre de 1 agriculture : tront en. ligne les meilleures pédalos de la, ncr, le libraire strasbourgeois, de MU» les manœuvres qui reçoivent 0.50 réclaMonsieur le ministre, région. L'itinéraire traverse une région des, sur mon nom, le 3 aoûyprochain, les idées nalité suisse, qui a été l'objet d'un arrW i J'ai l'honneur de vous transmettre une ment 0.10 à 0.15 centimes. plus sportives.Les coureurs trouveront par- laïques et de progrès social qui nous sont d expulsion parce que, malgré des av. La situation est calme. chères. » pétition d'habitants de Badonviller (Meur- j sernents réitérés, — c'est un télégraiœw tout des encouragements à leurs efforts. Vive la République 1 the-et-Moselle) protestant contre I'interdic- ! de Berne à l'agence Vv'ollf oui le prewn0 ; Nous souhaitons de voir s'y révéler de ArWONDISSEMElIT DE NEUf-CHATEAU ; tion qui vient d être prononcée dans ce ANTOINE» il avait mis en vente,le livro de nouveau champions, comme à la, précédenNEUFCHATEAU 1' « Histoire de l'Alsace, racontée aw ejj cantonnement forestier de se servir de : Conseiller municipal de Nancy, délégué te éliminatoire, ce qui nous promettra dei Accidents. — Lundi, vers onze heures perche avec crochet pour élaguer le bois ! aux œuvres sociales. » fants », s'est adressé au conseil IM°* belles luttes pour la finale, en septembre, du matin, M. Turlot, mécanicien à la mort. pour le prier d'intervenir en sa 'aye~L du Grand Prix de Lorraine. A/tBOPDISSEÊEttT OE H ANS)' Compagnie de l'Est revenait à bicyclette 11 paraît rrue l'emploi de cet instrument Rappelons que la réunion de l'Eden, La presse alsacienne et suisse sest,^ji JARVILLE! était consacré par usage immémorial et du dépôt de Rouceux. Au moment où il coup occupée de-cette .afaire. Le ç0»» présidée par M. Schertzer, aura lieu ce Mort subite. — Mme Paul Esserre, nées qu'il n'est pas interdit dans les cantonne- entrait en ville, en face du bureau de fédéral a fait prendre des information soir, mercredi 30 juillet, à 8 heures et de, mie. On' y entendra M. Antoine, candidat Catherine Muller, âgée de 72 ans, mère dei ments voisins. La mesure, en tous cts, l'octroi, il se jeta sur une voiture automo- Berlin par l'ambassadeur helvétique-AV l'honorable conseiller municipal, M. Jacob) frappe la classe la plus pauvre de la po- bile qui venait droit à lui par la me de avoir pris connaissance du dossier, u ,^ des groupements républicains. France. Portail, étant dans son jardin, près de lai palation. connu oue l'expulsion de M. Brunner Spectacles Canton tfe Bsmèyrs-en-Haya Le chauffeur, M. Michel-Bure!, négociant pas contraire au traité d'établissement^ Malgrange, fut prise d'un malaise. Il vous appartient d'examiner si elle Elle se rendit dans la maison de Mmeî correspond a une nécessité de service im- I à Montigny-le-Roi, avait fait les signaux ciproque passé entre l'Allemagne ei M. Lucard, de Minorville, candidat aux GRANDE TAVERNE. Par ces chaudesi réglementaires. On ne s'explique pas com- Suise et qu'il n'y a pas lieu do fane Bicque^et, rue de la Gare, où elle s'affais-- périeusc. . élections du canton de Dornèvre-cn-Haye, soirées, aller à la Taverne, cet établissesait subitement et expirait aussitôt. Je crois devoir vous signaler, en outre, j ment l'accident a pu se produire. Toujours très démarches. ,' \gg0t\ . reçoit dp tous côtés l'accueil le plus sympament d'été dont tout un côté s'ouvre sur M. le docteur Michel, appelé, a constatéS les conditions irrégulières dans lesqueues est-il que M. Turlot fut renversé et grièveRappelons que la version de des jardins, voir le programme merveil-. ihique. Dans les principales communes, il que la mort était due à une hémorragie ment blessé à la face. Il a notamment le 3 auraient eu lieu des visites domiciliaires I Wolft du sujet de la vente du livre P'" leux de cette semaine, est un vrai régal. s'est présenté accompagné de M. A. Denis, interne. par des gardes forestiers chez des habi- ne;; écrasé. de Hansi est diamétralement oppo»e ( Où peut-on se trouver mieux que dans cetteJ député, et Chapuis, sénateur, et l'affirmaCependant, ses blessures ne sont pas HEILLEOOURT assertions de M. Brunner lui-même' I" tants de Badonviller, MM. Louis Grangé, tion de sa politique franchement républicoquette salle si bien aérée. Une famille désunie. — Mme veuve Des-- faïencier ; Louis Masson, cartonnier ; les Les 8 Turrider sont des acrobates comme5 caine fera rallier sur son nom une fortes . hayes, ménagère, vit en mésintelligence — Dimanche dernier, vers 9 heures du 3 frères Dupoutot. C'est ici qu'il convient de on en n'a pas encore vu & Nancy. Qu'on se> majorité. Obsèques. — On vient de célébrer ^ avec son beau-frère, M. Rauch, tuyautierr rappeler les termes de l'article 161 du code matin, le jeune Miqué, 15 ans, descendait hâte de venir les voir, car ils terminent1 Canton Longuyon en cimenL Les gardes suivront les la rue Saint-Jean à bicyclette. Emporté mur les obsèques de M. Bousquet, leurs engagements jeudi soir. Il y a quelques jours, la veuve Deshayes3 objets enlevés par les délinquants jusque par la pente, il vint à toute vitesse tom- maréchal des logis au 2» hussards. *um\ On nous écrit : « M. Jenyen, conseiller i et Mme Rauch se rencontrèrent, s'adressè-- dans les lieux où ils auront été transpor- ber sur une voiture automobile qui passait le maréchal des logis Bousquet ava> y | CYRANO AU CASINO DE NANCY. —- général sortant, qui se représente, a été au carrefour des routes de Chaumont et neur de porter le fanion du gène» ^ Je n'âi jamais tant ri ! Telles sont les pa-- accueilli de la façon la plus chaleureuse. rent des injures et en vinrent aux mains.. tés et les mettront également sous séquesLe mari vint au secours de sa femme,, tre. Ils ne pouront néanmoins s'introduire de Nancy. L'imprudent cycliste en a été grand, son ancien colonel. Pren»' Tojr, roles prononcées par notre grand poète? dans tous les villages du canton. M. Jei dans les maisons, bâtiments, cours adja- quitte pour la peur et une bosse â l'occi- au gigantesque combat de fVw 'tue d*" Edmond Rostand, à. la sortie de la repré-- nyen, comme président du Comice de\ puis ce fut Mme Deshayes mère qui arriva put lo 16 août, le général Legrand fut iu Jf sentation du « Petit Cyrano », donnée lai Briey, est d'ailleurs parfaitement au cou-\ et frappa sa bru. Plainte fut portée et une5 centes et enclos, si ce n'est en présence, j la mêlée furieuse de cette charge A,,, soit du juge de paix « ou de son suppléant, : MARTIGNY-LES-BftINS semaine dernière à Montmartre, par Jean) rant des besoins des' agriculteurs et au" enquête a été ouverte. aux cotés de son porte-fanion qui' ^ MAXEVILLE5 « soit du maire du lieu ou de son adjoint, 1 Subvention. M. le ministre de l'intéPéheu et sa compagnie, et que les Nan-- Conseil général ses avis en matière agriidentité établie. L'identité du noyéé « soit du commissaire de police. » rieur a accordé à la commune de Marti- sé. Tandis que le -énéral Legrand w céiens auront le bonheur de pouvoir ap-- cole ont toujours été écoutés, La conséquence de ce texte est que des gny-les-Bains une subvention de 400 francs glorieusement, 1 sabre à la niJ'ieDi»l trouvé dans le canal a ét éétablie. C'est uni plaudir au Casirto vendredi 1"' août ett L'autre dimanche, à Audun-le-Roman,1 ] &I 7 visites domiciliaires ne peuvent être faites en vue de l'aider à pourvoir à la dépense tète de ses escadrons et de son nommé Joseph-Camille Poirson, âgé de 37 jours suivants. à la fête du Comice, M. Jenyen a été l'obeiment, son porte-fanion, le ra',l„,,i,,ur *| ans, originaire de Lavolme, canton des sur un simple soupçon de fraude. Aucun d'acquisition de matériel d'incendie. jet de nombreuses marques de sympathie. Fogis Bousquet, dut subir a dof £ , ' Saint-Dié. Le défunt demeurait en dernierr doute n'est possible à cet égard. C'est pourGRANDE TAVERNE. Par ces granOn sait que M. Georges Reboul, notre l'humiliation de la capitulation « . tant sur de simples et très vagues soupAR FBS&I S S EME N T DE RECOURT , lieu aux Quatre-Vents, territoire de Laxou. des chaleurs allez à la GRANDE TAVER-- nouveau préfet, a tenu à s'y rendre, alors captivité. Retiré du service. U [»'' yai I e çons de fraude, que les citoyens nommés ' Il était disparu de son domicile depuis le NE, l'établissement le plus frais et le pluss que depuis vingt quatre ans un préfet de MIRECOURT tard employé de la ville de Par»*( a^1 plus haut ont vu opérer chez eux des neraéré de Nancy, programme merveilleux : Menrthe-et-Moselle n'était pas allé au Co- 22 iuillet dernier. Arrestation. ~ Le garde Hel a mis en pris sa tétrade, vécut au nuheu " POMPEYf quisitions qui sont donc nettement enta'- état d'arrestation un nômrné Houssemand, Les 8 TERRIDER, acrobates du Cris-- mice d'Audun. » Concert. — Dimanche, par une journée0 chées d'arbitraire. Aussi vous aurai-je une Jean, 45 ans, qui colportait en ville des chez son neveu, M. Harnischtal-Palace de Londres, sont tout simplesplendide, l'Harmonie des usiness vive gratitude de vouloir bien faire rappe- allumettes de contrebande. Extrait do l'état civil do ment merveilleux. GABY AND LEO uniiCanton de Pont-â -Mousson .' vraiment de Pompey a donné un concert fort bien0 1er l'esprit et la lettre de la loi aux agents jambiste, exécutant des sauts sur une jam-:Lee prix. La distribution des prix aux Naissances. — Augustin» Wad. 'QJ^ forestiers qui l'ont enfreinte. réussi d'ailleurs, en plein air, pour la pluss be que môme les personnes avec deuxs Marson. Marier«e t , Pas d'équivoque |. Veuillez agréer, monsieur le ministre, élèves des écoles communales de garçons Victor grande joie d'un nombreux public instaljambes sont incapables d'exécuter, c'est ;t aura lieu dimanche 3 août, à 10 heures Steitz. - Joseph Zenger. - ilenI uies Tous deux honorablement connus, MM.- lé aux terrasses de tous les cafés situéss l'assurance de nu hante considération. Robert-Ernest bpraul. _'Be{Wjî incroyable, c'est inouï. du matin, sons la présidence de M. Mari- 1er. Cabaret et Bonnette ont également droit1 rue de Metz. LE PRÉSIDENT, - Paul-René Plyer. - Wo»^.? chal, directeur de l'école normale. au respect de tous leurs concitoyens. Audelon. — Louis-Marie Thiébaut. ie-1»" Ce concert a eu lieu sous l'habile direcMar Celle des écoles communales de filles NANCY-THERMAL. Ses jeux spor dessous de la question personnelle, les5 tion de M. Richert, professeur au conserlinger. salomé Duwa. — Ir,3frj-1. y ARRONDISSEMENT DE BRIEY aura lieu le même jour, à deux heures tfs, de 6 h. matin à 11 h. soir. électeurs auront donc à se prononcer sur Bourdon. — Charles Potier. ! rges Théâtre Guignol des Champs-Elysées.—~ uue question de principe. La lutte sera■ vatoiro de Nancy. BRIEY du soir, sous la présidence de M. Debar, Christine Hudolphe. - Henn-Geo^^l r ' PONT-SAINT-VINOENT conseiller municipal. Séance à partir de 3 h. Programme varié.!■ surtout une lutte politique. Il faut espérerr - Marie-Louise Guepratie. jac4H!rj! Examen. —- Nous apprenons avec plaisir Fête scolaire. — Dimanche prochain 33 Joseph Oger. - Charles-Lucien ^ pu qu'elle restera jusqu'au bout sur ce ter-* août, dans la salle de M. Perrin, une fêtee que notre compatriote, M. Maurice Lexa, ARRONDISSEMENT DE REhilREM^NT Anne Erdfelder. - Louisc-Hen^ f(J rain.Tous les républicains ont compris ia1 scolaire sera donnée sous la présidence dee ancien élève de Châlons, vient de passer meyer. - Pierre-Paul-Juh.cn cow ^ GROUPES *et°SOCIETES nécessité de se grouper autour de M. Bon-: M. le maire et de MM. les conseillers mui- avec succès l'examen d'ingénieur électriREMIRBMONT Mariages. -- Nicolas Diednch. ^ j « Taxa du pain. La taxe du pain étanette et de faire sur son nom l'union qui1 nicipaux. cien à la Faculté des sciences de Nancy, Jeanne Kunz, tous deux à ™e ^rn» "S Union des sous-officiers en retraite problie pour le mois de juillet est mainte|" donne la force. Le succès de M. Cabaret Samuel, négociant â Metz, et t-va „^ Une quête sera organisée au profit dee Nos félicitations. M portionnelle. Réunion vendredi 1" août,»> serait en effet celui des idées îénctionnai-* AUBOUE nue pour le mois d'août, Je cours des faà Schwetzihgen. - ^l}v};mq%ci-^ P " l'école. eU e à, la Lorraine, salle du Veloce-Club, 2e éta-!" res. mécanicien, et Amélie * ; .*njer, W M Omission. — A Auboué,depuis le 15 juin, rines n'ayant pas varié. PONT-A-MOUSSON ge (5 heures et demie du soir). zette. - Adolphe Maus. cordonn» Lo Musée. — L'inauguration officielle du Les pires adversaires de tout progrès so-'■ | is Stanislas Panozich, 22 ans, manœuvre, ciUn allemand outrage un agent. Dans liette Malnoury, à Metz. rpWfl cial fêteraient son élection comme un1 la soirée de dimanche, Henry Michel, âgé ;é tés du Tunnel, 200, avait omis de faire vi- musée municipal aura lieu le samedi 2 droguiste à Novéant, et uapne» oropma; le ser sa feuille d'immatriculation à la mai- août, à 3 heures du soir. Le public pourra triomphe. Dans sa profession de foi, M. Ca-■ de 43 ans, sujet allemand ayant fait de Metz. — Rodolphe Mallmsnn, f Brfoûfd ■e rie. Les gendarmes en profitèrent pour lui visiter l'exposition de peinture le diman- à Metz, et Madeleine Lapomte. baret se déclare républicain au sens largoc copieuses libations, se trouvait à la gare ^ a che 3 août ; la fermeture ne se fera que ie - Henri Welsch, bûcheron a * n dresser procès-verbal, ■ du mot, mais il ne dit pas s'il admet, less j où il causait un véritable scandale. Un • Nolis rappelons à NOS ABONNÉS qui toute 15 octobre. roline-Clairc Fey, à Neuhaiisej_ j g,. ■f lois de défense laïque. te Vol. — Le 5 juin 1912, les époux Viala f agent intervint. Michel lui adressa une demande de CHANGEMENT D'ADRESSE aeiï'< Décès. Marie Muser, née Ra'J | [O entraient en qualité de locataires en garni Son attitude permet de croire que s'il1 I série de paroles outrageantes, puis comme COIÏNtMBMT ; - Charles Imme.lsberger, voxtun «. . Récompense. — A la suite du banquet de ■ tire aceotxpagnie de ta âerm&r bande im> it chez Mme Otto Cajamaïa, ménagère cités »• n'en dit rien, c'est sans cloute pour ne pass | il était conduit au violon, il traita l'agent Veuve Caroline Beckerath, "^ifle^/j l'Amicale des instituteurs, M. François, ans. - Rodolphe Pilz, ancien ^ du Tunnel. |. avoir à les réprouver primée et de CINQUANTE CENÏIMFS {en timI de « sale Français ». | sCette dame leur prêta du matériel Ûe préfet, a remis à M. Quillé, instituteur à H En tout cas, sa campagne électorale ?a bres-poste ou en mandat postrl), jour frait Il fut déposé à la geôle et dans l'aprèsans. Mathias Kaiser, ?uvff,nl Travexin, le prix de 100 francs instituté par le couchage et une batterie de cuisine. débuté par une maladresse. U a confié midi de lundi il était amené devant le S veuve Marie Mo"'""", née ■4* rtimpression ie bandes. Chronique électorale ETA'»' OlVIL — — — — — 21 sait Monsieur .RRIN tS* creusé/^ V O .■Si G E S l — sur — —_— Grand Prix de Lorraine — J LORRAINE BT ALSAC1 Les manœuvres du 15 corps — — — Chronique dépaitementale — MEURTHE-^-MOSELLE Spectacles à Concerts rfs — — — ni — j — — — — — — Changements d'adresses — 4 ——. pis carrespondanGës ■*---JM™^i*««WBMWl!ffl(«|fiiy.a*lW("J.lirjMMOIW ~vimfnrT-»nrinrnT En 1010, J'ai soldé une facture qui a été rrjKj librement acquittée. Aujourd'hui ie cous. SoL»"0! orreur dc î() francs. Lo client est-il oblige de me rembourser cotte somme î V ~ brreur ne fait pas compte. Vous pouvez aomander le remboursement en prouvout 1 erreur. Il annonça à M. Landel que ses protégés l L'orage qui s'est abattu sur la région étaient disposes à quitter l'immeuble et qu aussitôt leurs meubles charges sur aes d eau qui ont transformé les rues en torvoitures commandées à* cet eiiet, us par- rents. Des vaches ont été emportées et tiraient pour tiougival où la comtesse de tuées. Des maisons en construction se sont La Rochefoucauld leur offrait lhospttali- écrnulées sous la pression des eaux. Les ,J, *«i loué une chasse en plaine do 800 hec- tô dans sa propriété. u,ie maison dont une partie du Aussitôt le déménagement commença. * P , Vf/ondrée. n'occasionnant aucun dé- tares environ, pour un bail de 6 ans, apparLes dégâts causés par les orages dans la 10* le nuir qui est mitoyen avec mon tenant aux habitants d'une commune, etc... î Lits, armoires, literie, furent descendus province sont incalculables. Do nombreux fit "* rnmmc Je n'ai Pas dessein de réparer R.— Il faudrait, pour vous répondre, con- sur le trottoir. Des agents en bourgeois fermiers son* ruinés. fô^uS* et que. je m'engage à crépir le naître les conditions exactes de votre bail de tenaient le rôle de déménageurs. —=,—-tn— m» *B moiTle; oc voisin est-il en droit de chasse. En tous cas, il ne nous paraît pas Tandis que la descente des meubles s efCOFFRES-FORTS BAUOHE î"ur,Pf/e abattre l'autre partie du toit qui que vous puissiez autoriser cette personne a I fectue, la comtesse Antoine de La Roche■P effondré*, comme, il en a 1 intention chasser seule, sur des terrains ne lui appar- I foucauld arrive dans une voiture d'ambu- Construction suptrienre, 77, Hue d'Âmaroal, NANCY n'est Vfl.fg Mon voisin ni d autres n ayant tenant pas. — CATALOGUE FRANCO — lance automobile ; elle a amené celle-ci de ,e •Sait de passage contre le mur iniJe suis ouvrier spécialiste en matière de j pour faire transporter dans une clinique »ucU%* mon c3té parquets et je travaille seul, soit à forfait ou SOUS-OFFICIER MEURTRIER. — Un dramo tov«i ae l autre partie du toit ne menace au mètre carré. Comme je ne suis pas riche celle de ses protégées qui va être mère. La comtesse de La Rochefoucauld pénè- sanglant s'est déroulé au Tréport. tf"" ■ ,1 on n* peut vous le laire abattre. et que j'ai doux petits débiteurs qui -me reAu mois de mars dernier, le sergent doivent l'un 10 francs depuis le 17 décem- tre dans la maison en chantant un can™ . riouuis -1012. deux billets par lesquels Sauvage, âgé de vingt-quatre ans, du babre 1912, et un autre 13 francs depuis le 29 tique. Ses protégés l'acclament. ''•''■it Vir m'a reconnu une dette de 1,000 clu mars courant, je suis allé trouver le secré«a <w , % Elle demande au- commissaire de vouloir taillon du 39e d'infanterie en garnison à taire du conseil des prud'hommes, qui m'a bien la faire elle-même expulser. Dieppe, épousait une jeune tille de dixC*nC8, vous' nouvez faire une saisie sur les dit que ce n'était pas de leur ressort, parce M. Landel accède à son désir et envoie huit ans, Mlle Geneviève Tabouriez. Le ulre du'fVJre seulement. que je travaillais à la tâche ou aux pièces deux agents la chercher dans la pièce du sous-oflictèr avait l'estime de ses chefs ; et comme je ne veux pas faire de frais pour je Pay* , s entre au. 1" août 1911. La si peu, veuillez me dire si, en poursuivant second étage, où la comtesse Antoine de quant à la jeune femme elle se fit bientôt renient, jit s nVCI1due -au mois de novembre. par la voie de : 1° chez l'huissier, j'aurais La Rochefoucauld les attend eu chantant remarquer par sa légèreté, et ne pouvant »aiQ nnuvrau propriétaire m'a envoyé le 12 des frais ; 2° si je peux les inviter au juge des chants religieux. supporter les reproches de son mari, elle iMo "« demander de signer comme quoi je de paix et ce que ça coûtera pour me faire Entre les agents et elle c'est um assaut prit bien vite le parti de déserter le domim taifl ° \ partir pour le 1« septembre, car payer ; 3° ou alors la marche à suivre î cile conjugal. Elle se réfugia au Tréport, de politesse à qui descendra le premier. ox'engnp» ^0tif Qe jaire des changements R.— Vous ne pouvez vous adresser qu'au Quand Mme de La Rochefoucauld appa- chez sa grand'mère, Mme Allouin, âgée do il * p., maison. Je n'ai rien signe, Est-il juge de paix, voyez un huissier qui vous raît dans le jardinet entre deux agents soixante-cinq ans. dira exactement le coût des frais à avancer. ffl droit Désespéré de cet abandon, le sergent d'escorte, les photographes prennent clii, -'Non Je suis veuve depuis plus d'un an. Mon chés sur clichés. Sauvage tenta de se suicider. On intervint ■ .-^18 en location, je paye 20 francs par défunt mari aurait contracté d'être membre Mais tous les meubles sont maintenant à temps et ses chefs réussirent à lui renî nropi'i. taire a dit à ma femme que intéressé à une, union pour affaires commerbwmeat était retenu pour le 1" sep- ciales, pour aplanir des litiges de toutes sor- descendus et chargés sur les voitures. Le dre courage. Il y a quelques jours, le sousll0 's,o inon année finissant à cette date), tes. Ladite union me réclame une certaine cortège s'ébranle dans la direction de Bou- officier, qui paraissait avoir définitivement teraare t ^ prévenu environ trois mois à somme pour frais par elle commis (quoique gival, tandis que le citoyen Cochon et la oublié l'infidèle, obtenait une permission 9u°*'PP/verbalement), est-elle dans son droit j'en ignore) pour un procès que mon mari a comtesse Antoine de La Rochefoucauld de huit jours. '*v? vait-elle me prévenir par lettre recom- eu avec une autre personne. Comme j'igno- surveillent son départ. Il se rendit au Tréport pour tenter un rais cette union et que moi-même je n'ai La voiture de tête est traînée par un rapprochement. L'entrée de la maison de a l e u ^ nu moment que la propriétaire vous a jamais rien signé, je voudrais savoir si je cheval de belle allure qui attire l'attention Mme Allouin lui fut refusée. Le lendei'Tnn trois mois d'avance, si vous êtes suis soumise de payer 1 main matin, il revenait se remettre aux aTnmte. vous ne pouvez pas nier avoir été R.— Si l'engagement pris par votre mari des connaisseurs. C'est un ancien cheval est valable, ce qui est probable, vous devez des écuries présidentielles du temps de M. aguets, et profitant de la sortie de la bonLoubet. ne, il réussissait, cette l'ois, à forcer l'ena e rl payer. \ . »uis dans une ville de l'Est, gérant L'atelier du boulevard Lannes évacué, trée. succursale dépendant d'une société de Sa femme s'étant présentée à lui, Saul'huissier de la propriétaire y procède à â aux appointements fixes annuels plus par de minutieuses constatations. vage lui tira deux coups de revolver dont ,'nt liour cent sur le chiffre d'affaires, un Les écriteaux qui ornaient la façade l'un l'atteignit au côte, sans gravité, La ,if navé tous les mois. il n'ai pas d'engagement écrit ni de causont successivement enlevés. jeune femme s'enfuyait dans la rue, pourtionnement versé. Si je démissionne, comDes agents sont laissés de faction de- suivie par son mari, quand se présenta le ffinde temps a l'avance dois-je prévenir ma vant les grilles pour en éloigner les cu- commissaire de police qui se trouvait chez rieux. un coiffeur voisin. .Un mois au moins. Peut-être pourraitRebroussant chemin, le sous-officier même soutenir qu'un préavis de trois rentra, dans la maison et tira deux coups LA « PRISE » DTJ « FORT COCHON ». — La mm " est nécessaire. Ce serait une question de son arme sur Mme Allouin, puis il se gaie après-midi ue lundi, avec ses six miiie à apprécier par le tribunal. logea une balle dans la tête. curieux, son concert en plein vent, les haNatives et d'occasion „ BXjSjB dans notre villa un café avec salle La grand'mère, qui avait été atteinte J ivrt èrit le pignon donne sur la rue que rangues du citoyen Cochon et de la comCLEMEN7-SAYAR3 à la nuque, a succombé quelques heures "habite *«t établissement est complètement tesse de La Rochefoucauld montés sur une après, Le meurtrier a été transporté à iinnurvu d'urinoir public. Compic- consé- tabie, devait être la dernière journée du 8 bla, rue de la Gendarmerie, NANCY l'hôpital. On espère le sauver. m.âncc les consommateurs et jeu pis gens s <ort vOcLoa ». La débandade qui marmii tré'auentent ce bal viennent uriner con- qua, avec ia pluie, vers cinq heures du !™ », nio-non donnant sur la rue, infectant soir, la fin de ^ette lête improvisée, était LES ORAGES. — Un orage épouvantable aLi toute la rue par l'odeur nauséabonde symbolique. s'est abattu, vers cinq heures de l'aprèsoui s'en dégage. Lorsque les derniers « sans-parapluie ». midi, sur Paris et sur une partie de la A côté de la question hygiénique il y a la motion morale. Bien des jeunes gens, par abrités par les « sans-logis » a l'intérieur banlieue. Tandis que les éclairs zébraient ma'iaue. de précaution, laissent entrevoir ae l'atelier l'eurent quitte, toutes les issues le ciel et que le tonnerre roulait avec fra«îi leianes enfants toujours curieux ce qui lurent derechef barricadées, plus solide- cas, une averse de grêle, bientôt suivie devrais, à leur âge, rester caché. A qui dois- ment encore qu'auparavant, et les assiégés d'une pluie diluvienne, est tombée. Ce fut fi m adresser pour faire cesser cet état de S'endormirent dans l'attente du commis- une catastrophe. Les nombreux promeinoses insalubre et immoral ? neurs qui avaient profité de ce rare beau saire. R— Il faut vous adresser à la mairie. Leiui-ci, M. Landel, du commissariat de jour durent fuir dans les tramways, les C'est le maire qui a la police de la rue. C'est la Porte Dauphine, se présenta devant le autobus, le Métropolitain ou se réfugier i M à faire respecter les règles de l'hygiène iort du boulevard Lannes, avant six heu- dans les cafés. L , ■ ■ i et de la morale. A Paris, la foudre est tombée en trois L'employeur assure par corvtrat tant pour res du matin. M. Gaiquin, ofiicler de paix, endroits. A la gare du Nord, elle a frappé ^•f*S" lui prêtait son concours. eent sur les bénéfices nets. Ceux-ci provienTuus deux commencèrent par établir rue la statue de la ville de Vienne qui surnent de la vente des marchandises et des ■ jetons. L'employé a-t-il droit au (bénéfice) de Longcnainp, sur le pont au chemin de monte la façade. Boulevard Saint-Marcel, | | Lisez tous les Vendredis pourcentage sur la totalité des bénéfices î 1er et boulevard Lannes, à la hauteur de au numéro 52, elle descendit le long d'une R.— Oui. la caserne de gendarmerie et à celle de conduite de gaz. Le plomb fondit. Un com- I dans l'Est Républicain, j'habite un logement que je paye au mois. la gare du Bois-de-Boulogne, des barrages mencement d'incendie s'ensuivit. Mais les I Le prix est de 17 francs. Nous y sommes d'agents, isolant complètement le fort. Une pompiers intervinrent promptement et les ' depuis le 23 avril dernier. U est impossible de consigne rigoureuse empêcha de passer dégâts furent insignifiants. La foudre est :; :: la rubrique :: :: latte du feu, tellement il y a de fumée, en quiconque ne pouvait justifier de la pos- également tombée aux Buttes-Chaumont, I I surplus, il y a aussi des pxinaises. Je vou- session d'un coupe-iile. Ainsi empècha-t- devant l'établissement des Folles-Buttes. drais déménager. Le propriétaire a-t-il le on que les amis de M. Cochon, venus assez Un jeune homme de dix-neuf ans, M. Louis I Tr [j droit de m'en empêcher ou de me faire payer nombreux.; malgré l'heure matinale, ne Duparc, artiste lyrique, qui se trouvait à une indemnité î puissent encourager par leurs cris les as- proximité, a ressenti une commotipn si R - Vous ne poUvez déménager sans avoir forte qu'il s'est évanoui. obtenu du tribunal la résiliation. Il faut fai- siégés a une plus âpre résistance. — Un violent orage s'est déchaîné sur Le commissaire attendit ensuite jusqu'à re un procès. six heures et demie, avant d'opérer, ne la région de Saulzet (Allier). La grêle qui Mon locatBlre eei parti, ayant eu un ma«i0J~j et 1?BL.5,!$£î« Th?iîi.ES' | C^W lade contagieux dans l'appartement. Est-ce voulant pas réveiller les jeunes enfants est tombée abondamment a saccagé les réa lui ou à moi à paver la désinfection î des hospitalisés à une heure trop mati- coltes. Les dégâts sont évalués à une centaine de mille francs. Pojs-je payer aussi le ramonage de ses nale. — De violents orages se sont abattus-sur" eùemïnées ' 1 M. Landel se présenta alors devant le R.- C'est au locataire à payer tout cela. fort accompagné d'un huissier et soutenu divers points de la province de Liège. _ , —i J'ai une maison. Je l'ai louée pour café par de près dune brigade d'agents. Personne un bail de trois, six, neuf» Les personnes qui n'apparaissait sur re toit et tous les volets sont dans le café veulent partir pour prendre restaient clos. Cependant, on entendait des une autre café et ils veulent sous-louer ma allées et venues à 1 intérieur. maison pour ne plus tnnir de café. Ont-ils — M'entendez-vous '! cria M. Landel. le droit de sous-louer, n'ayant pas fait ces — Oui ! répondit une voix, en même conventions sur notre bail î R.— Ils ont le droit de sous-louer à condi- temps que la fenêtre du second étage s'oution que le sous-locataire continue à tenir vrait et qu'une tète y apparaissait. un café. — Eh ! bien, continua le commissaire, J» suis jardinier dans un château, sans en- vous savez pourquoi je viens, vous avez gagement écrit. Combieta de jours dois-je don- dix minutes pour réfléchir. D'autres logener pour mon départ ; autrement dit com- ments vous attendent, boitez de bonne grâbien de temps dois-je avertir le patron avant ce. Je vous promets que des secours vous 4« sortir. seront distribués. Si vous refusez, je deR - Il faut, à notre avis, donner un mois. vrai, a mon grand regret, employer la Le 17, je donne congé à ma femme de mé- force. nage pour la fin du mois. Elle me dit : La fenêtre se referma sans que le com« Rien, Madame ». missaire ait reçu aucune réponse. Montre Le 18, elie manque toute la journée sans me en main, il attendit dix minutes. A la onPrévenir. Le 19, samodi, elle revient comme si de rien n'était. Alo»rs je la remercie et lui zième, .aucun changement ne s'étant prodonné congé définitif.' en la payant jusqu'au duit, M.Landel se retourna vers ses agents: n compris ; ce quielle accepte. Le même <c Allons-y !» Mir, elle revient me. faire une scène, réclaCeux-ci, qui avaient déjà pénétré dans mant ses huit jours puisque c'était moi qui le petit jardin, s'emparèrent d'un madrier lavais remerciée. Lui dois-je vraiment huit et, s'en servant comme d'un bélier, ils attajours, puisque c'est, ce sans-gêne d'absence quèrent la fenêtre de gauche du rez-dePe sa part qui m'a fait la liquider avant chaussée. Au premier craquement de sa '«terme fixé î barricade, plusieurs détonations retentiR- Non. rent. Des coups de feu ! on se compta ; lc Est -ce le proprfiétalre qui doit venir touch personne n'était blessé. Un nouveau coup « sa location î de bélier enfonça la fenêtre. JM. !if*ais demandé verbalement à mon — Entrez 1 ordonna M. Landel à ses [Polaire qu'il me donne un terrain pour er nnii ' " m a répondu par lettre que je agents ; si l'on vous frappe ou si l'on tire puuvnis j5 cultiver. Comme il y avait du sur vous, ne répondez pas. Evitez tout intani Vdans le ' 'Train, je l'ai laissé, comp- cident et ne pénéttrez pas en trombe dans fa ucner ï-rLiï , ixur du fourrage ; dans l'in- la chambre de Mme Husson qui va être tri le propriétaire le donne à une au- mère. ràriat 0Dne <ïui a enlevé la récolte. Puis-ie A ce moment, l'un des défenseurs du fort récolte*? &U ProPriétaire ou a celui qui a apparaît sur le toit, brandissant un revol0i°rtl,o''î trois rtols 1ue j'habite la maison. ver dont il déchargea dans la direction de réParer la toiture et l'intérieur de la police, les six cartouches... chargées à la'm»V clanW*?' 0n n an fa» rien. Ai-je droit à ré- blanc. Comme pour les pétards >ie la miru! jdes gommages-intérêts î nute d'avant, il ne s'agissait que d'une manifestation platonique. . . Vous taire P°uv(jz vous adresser au propriéC'est ce que les occupants du fort ex3° Oui. pliquèrent eux-mêmes aux agents. Sur ces entrefaites, M. Cochon arriva. S» î JL i Faits-Divers VOITURES luTOMOBILES Agence É|j Stations Thermales \m JI1~~±]KL I gu Stations Thepmales"L™f l de L'EST RÉPUBLICAIN — N 30 - loin vers ceux des campagnes voisines. I de bonne c'était lui qui s'offrait à balayer, Dans un mois l'exposition allait s'ouvrir ranger, faire n'importe quel travail. Deattirant à Nancy un grand nombre d'é- nise s'apercevait bien que François souftrangers. frait à accomplir ainsi la tâche d'une doMme Lormeil et Suze retournaient pres- mestique, mais elle n'en admirait que plus France d'ARCY que chaque dimanche à la ferme. Maurice sa complaisance à toute épreuve. M. Vertin aimait sincèrement ce garçon ne s'y trouvait pas chaque fois. Il s'excusait quand il ne pouvait pas venir. Mais rouge et fort, sur le visage duquel on lijamais rien dans son attitude n'était chan- sait tant d'intelligence et de ténacité. Le gé. Quand Mme Duminier amenait la rentier avait promis a Olivier de faire obquestion sur le mariage, le jeune homme tenir au petit Duminier tous les appuis né détournait habilement la conversation.Un cessaires pour la réalisation de son rêve. Aussi chaque fois qu'il n'y a%ait pas de jour il signifia un peu brusquement d'avoir à se dispenser d'avoir à parler de travail à la ferme, François courait à la maison blanche pour offrir i:es service» ces choses. Elle se le tint pour dit. Depuis lors, Maurice resta pour les deux Quand il ne trouvait plus rien A faire, il ROMAN INÉDIT amies un bon compagnon, un aimable s'installait à la machine à écrire et copiait1 partenaire dans les jeux. Chacun se dit des notes, des avis, des circulaires. Cé tra *—xque le jeune homme voulait décidément vail lui était procuré par M. Vertin. L'arrester vieux garçon. On finit par oublier gent ainsi gagné par François était dans le DEUXIÈME PARTIE le roman à peine ébauché. Seule, Suze y coffre-fort du rentier. Quand il y avait une certaine somme, Philippe achetait au nom pensait toujours. de François un titre qui rapportait de peII tits intérêts. Entre le garçon et son bienfaiteur, une Le secret découvert convention avait été passée. Pour prix des Ce 1 ne Pendant ce temps, sous n'importe quel services de François, Olivier se chargeait ^afi'' ^ discutons pas là-dessus. au ?Ucan6 temps perdu pour n'amener prétexte, François allait chez les Vertin. dc l'achat des livres nécessaires pour ses séc ueuce Le petit jardin autour de la maison était études et M. Vertin, homme très instruit, l'esse e^°2 i - Votre devoir de poae J^tiiie • 'n'assurer que je parais toute son œuvre. Chaque printemps, il arran- donnait des leçons. 9 0n b geait les plates-bandes avec un goût reC'esti pourquoi l'orgueilleux François °UtV T °u sens me commande d'en marquable ; il changeait ia disposition voulait ne pas être en reste avec la famille . - AnT1 r.0v'oir, monsieur Millineau. rfépnrJ»rV01r> madame. Je suis à court des massifs, retraçait le jardin à son idée. Vertin ; c'est pour cela qu'il leur consacrait la ^«nt* ' vous luez toute possibilité d'ar- M. Vertin ne lui disait rien à ce sujet. Il tous ses loisirs, et n ouvrait ses livres comprenait que François, en arrangeant qu'au moment où il n'y avait plus rien à Sl b len heureux, il a déjà trop le jardin, faisait une œuvre d'intelligence. faire. V SUr , François avait confié une partie de son *|>t ! ; '» terre et de paroles au Si le jeune homme avait fait un travail machinal, sous un commandement serré, secret à Maurice : son travail chez les Veràe sî?a?Ps s'annonça bientôt. La flè- il s'en serait dégoûté. Denise souriait en tin, son désir de passer un baccalauréat. ML°1iièt« MEPvre Perdit pour des mois le regardant ainsi occupé, la pioche ou Maurice avait encouragé François, lui donl'arrosoir en main, déplantant, replantant. nait des conseils, même des leçons, lui prên S qu elîe n arc u lU ur SJtts Peru é r ' ? ' '' f olus , ! Quand tout était fini, François faisait lire tait des livres. %* M <H , ' Les jours devenaient RI 06 e moir L'ingénieur avait promis de garder le 1* >9 sédentaire. Les cafés fa petite Madeleine ou donnait un problè"^e étaient plus vides, car ou allait me'à Lise. Quand Mme Vertin n'avait pas secret de François. C'était bien inutile Maman Micheline Hésitations ?! Cu Su -V . y ri» ..w i n mmi m i i«n i ni m niiii i 'in» TsrassqMÎHité ùitf@i"te £b tows i m il mi iiininiiiigiiii nui—iiiimiiiiiiini isrctié aux bestiaux de la ViSleltt Les Fonctionnaires, les Banquiers, les Du 28 juillet 1913 Négociants, les Industriels, les Hôteliers, I etc., peuvent s'assurer contre le vol, les ■S ' J 'il'ÛÎX DU 1,2 KILO détournements, les pertes, les vols sur la BESTIAUX 1 7rT~;— personne. L'Union, compagnie française, 4| £S t Vt lanilo. HRlle Poids Vif assure contre lo vol dans les musées, les I bibliothèques, les églises. Elle fait l'assu- Bœufs 3.938 2.053 0 70 aO 8!) 0.35a (i.M 1.910 1.710 0 BU ni Où 0.45a O1.*!? rance caution et l'assurance des prêts I Veaux Taureaux.... 351 323 0 00àO 75 u.aOa 0.45 pour cautionnements. Vaches 1.469 1.228 0 68a h9O.34à0.5J| Primes minimes. Moutons 20.181 15.0U0 0 95 àl 35 J.4Sâ<Mi(f S'adresser à MM. Faivre d'Arcier et fils, Porcs 3.895 3.895,0 95 àl 07 0.07Ù Ùeïfti 7, rue de la Ravinelle, Nancy ; Rodrigue, Bœufs. — Vente difficile et tendance 4 à Xivry-Circourt ; Paul Spire, à Lunéville ; 'Prévis, à Toul ; Samson et Chanut la baisse. On cote : maraîchères, de 0 80 à 0 88 ; et Poilblanc, à Bar-le-Duc ; Thouvenin, à Commercy ; Dominé, à Dun-sur-Meuse ; normands, de 0 85 à 0 93 ; bœufs blanca» Odin, à Verdun ; Léonard, à Epinal ; de 0 85 à 0 92 ; manceaux, de 0 80 à 0 88 i George, à Mirecourt ; Sauvage, à NeufchiV choletais, de 0 75 à 0 85. Le demi-kilo neL Veaux. — Vente mauvaise et prix plus teau ; Jourdan et fils, à Remiremont ; Tisfaibles. serand, à Saint-Dié. On cote : choix de Brie, de Beauce, d« Gâtinais, de 1 05 à 1 10 ; champenois, dë 0 95 à 1 05 ; manceaux, de 0 90 à 1 fr. ; caennais, de 0 80 à 0 90. Le demi-kilo net.' Moutons. — Vente difficile et prix plua faibles. Paris, le 28 juillet 1913. On cote : petits moutons du Centre,"M L'annonce du départ pour Bucarest des 1 25 à 1 35 ; métis, de 1 10 à 1 15 ; d'Auverdélégués balkaniques a produit sur notre gne, de 1 07 à 1 15 ; du Midi, de 1 10 à marché une excellente impression et pro1 20 ; africains, de 0 85 à 1 fr. Le demivoqué des rachats précipités de vendeurs kilo net. à découvert. Porcs. — Vente plus difficile, mais pria Notre 8 % passe de 84.72 à 85.10. soutenus. Les fonds Russes font preuve d'une On cote : bons porcs maigres, de 0 68 à grande animation : 5 % 1006, 103.80 ; 4 1/2 0 75 et les gras, de 0 67 à 0 68. Le demi% 19(39, 99-40 ; Consolidé, 91.75 : 3 %, kilo vif. 74.30. Les fonds balkaniques clôturent en hause : le Serbe, de 0.50 à 80.75 ; le Turc, de 0.15 à 83.95. En vous assurant sur la vie et en vous Banques et Etablissements de Crédit enregistrent des plus-values : Banque de Pa- adressant à la SOCIÉTÉ LORRAINE D'ASris, 1.724 ; Crédit Lyonnais, 1.G58 ; Banque SURANCES MUTUELLES SUR LA VIQ ottomane, 620. —- assujettie au contrôle de l'Etat — la Les Chemins de fer français sont actifs : plus libérale des sociétés françaises. Nord, 1.668 ; Lyon, 1.270 ; Sud de la FranCette société vous délivrera une police ce, 109. d'assurance valable pour le monde entlèt Chemins Espagnols en légère plus-va- en temps de paix comme en temps de guerlue : Nord-Espagne, 448 ; Saragosse, 433. re et couvrant tous les genres de mort à Valeurs de traction et d'électricité en l'exception du suicide volontaire la prereprise marquée : Métropolitain, 603 ; mière année ; La Parisienne de distribution gagne frs : Vous aurez la faculté de payer votre pri9 à 667. me annuelle par versements semestriels, Le Suez s'inscrit à 5.280. trimestriels ou mensuels et il vous sera Les Cuprifères reprennent vigoureuse- accordé un sursis de paiement de un à six ment : Rio, 1.885 ; Boleo, 772 ; Chino, 202. mois en cas de maladie, d'accidents ou da Valeurs industrielles Russes • recher- chômage ; chées : Briansk, 465 ; Sosnowice, 1.470 ; Vous participerez dans les bénéfices réaNaphte, 680. lisés chaque année par la Société. En 1912, Mines d'or et diamantifères enregistrent il a été réparti une somme de bénéfices une moins-value : Rand Mines, 152.50 ; égale à 6 % des primes versées ; East Rand, 59.75 ; de Beers, 516. Plus de deux millions souscrits à ça Valeurs de caoutchauc inchangées : Ma- jour. lacca, 132 ; Financière, 111. Demander notices, tarifs et renseigne^ J. EYLAU. ments à M. MERCIER, administrateur-direct teur, 21, rue SkDizier, à Nancy.— Tél. 1.27, BULLETIN FINANCIER Gemment protéger ss Famille CONSEIL UTILE Les personnes qui respirent difficilement éprouvent en été de véritables accès d'oppression lorsque la température devient lourde et orageuse. Aussi leur conseillonsnous un remède peu coûteux, la Poudre Louis Legras, qui a obtenu la plus haute récompense à l'Exposition universelle de 1900. Ce précieux médicament dissipe en moins d'une minute les plus violents accès d'asthme, oppression, catarrhe, essoufflement, toux de vieilles bronchites et guélit progressivement. 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Maurice s'amusait, de l'enthousiasme de François, et François profitait aveç^avi- vances depuis maintenant, je ne lirai plus dité des moindres paroles de Maurice. avant le moi de juillet. Co que je suis conUn jour, c'était au commencement d'a- tente. Tu continueras seulement à me vril, François se dirigeait vers la maison faire des a-musettes avec des roseaux ou blanche. 11 faisait beau, les arbrés com- du bois. — Madeleine est malade, demanda mençaient à se phiuer de vert, il y avait des marguerites piein les prés, François anxieusement François à Mme Vertin. — Mais non, c'est la croissance. Nous marchait plus lentement qu'à l'ordinaire. Il avait bien travaillé, il apportait à M. préférons qu'elle se promène ou joue, au Vertin un devoir de mathématiques appli- lieu de tant étudier — Mais moi, alors ? quées sur lequel il avait presque passé' la —En voilà une bonne, dit M. Vertin en , nuit. H avait aussi dessiné d'après nature une série de feuilles, des études de bran- riant, tu es, François, un garçon comme chages. 11 était arrivé à un ton. si exact je n'en ai jamais vu. Tu te donnes beaucoup de peine. Quand tu apprends que tu qu'il était bien content de lui. ■ Comment Mme Duminier pouvait-elle laura une heure de moins à travailler, tu le soupçonner son fils ? Quelie bonne surprise regrettes. — Je n'ai que ce moyen de reconnaître elle aurait plus tard. Quand François ouvrit la porte, une vos bontés. Vous me l'enlevez, cela m'enbonne odeur de violette lui arriva du jar- nuie. — U faudrait peut-être pour te faire plaidin. Le soleil avait fait épanouir tous les boutons. Un peu plus loin un buisson de sir que cette pauvre petite se rende malabois-joli lançait vers une fenêtre ses bran- de d'étudier, ou que j'amène dans la maiches de corail rose. Autour du petit per- son un régiment de soldats pour que tu ron les guirlandes de clématites commen- aies ie plaisir de frotter ou de cirer après. — Je suis si heureux de tout ce que vous çaient à s'enrouler. François entrait. Denise cousait sur une faites pour moi... Je voudrais avoir l'occhaise bosse. Lise parcourait un livre d'i- casion de vous le prouver. — Ne t'inquiète pas, mon enfant. Plus mages. Madeleine, à plnt ventre sur un tapis, les poings contre les joues, les cou- tard, j'aurai besoin de toi, tu me rendras des à terre, parlait à voix basse à cinq de grands services. Mais pour le pouvoir, ou six poupées alignées devant elle. Dans il faut travailler pour toh Il faut obtenir cette année ton baccalau- ] ses cheveux, blonds comme les cytises, passait un larrre ruban bleu. On ne voyait pas réat et entrer au lycée l'année prochaine | ses yeux, la pression des petites mains J'ai montré tes devoirs à des professeurs avait fait remonter les pommettes jusque qui sont mes amis. le te félicite de leur part : ils te feront vers ie front. Au bruit de la porte, l'estant sauta sur ses pieds, Denise posa son ou- passer un examen et sur ma recommandavrage, Lise leva la tête, le pèr« sortit de tion tu auras une bourse. I Mais il faut que tu sois de force. Tu n'ei pas encore au point pour être reçu à l'examen. Tu as une infériorité sur les autrei qui ont été préparés dans les écoles. - Tu travailles à la ferme, ici, que te reste-t-il pour t'instruira ? — Quand je suis aux champs oh à.-la laiterie, je repète mes leçons tout bas. J'écris le soir. -- Tu uses tes yeux, tu te surmènes l'es prit. — Oh I je ne serai jamais fatigué. Li grand air sain des champs ine donne uni force inconnue aux petits citadins. Regar dez comme je suis fort, on me donnerai plus d6 vingt ans. Mes compagnons von se moquer do moi, C6 n'est pas à la motti d'ètro gros et rouge, d'avoir les mains cal leuses, mais je laisserai passer les rail leries. — Comment cette idée a-t-elle pu te va nir. Je t-d croyais trop intelligent pour peu ser une minute seulement â des ineptia pareilles. — Ne vous fâchez pas, monsieur Vertin je voulais simplement vous démontrer qu le surmenage ne pouvait m'atteindre 4 m'affaiblir. — F.t rrioi Je voudrais te démontrer qu'i faut m'otéii. je t'ai fait inscrire pour 1 bachot et recommandé au lycée. J'anrrti uno grosse humiliation si tu n'étais pa reçu. Je me suis avancé, il faut aller jâï qu'au bout. Tu me feras le plaisir de n plus arroser le jardin, Lise et Madelein s'en acquitteront Quant aux fleurs, nou trouverons un instant entre deux leçon pour les soigner, je suspends aussi la U çon à Lise. Olivier la donnera. Tu vas v< avec moi dans mon cabinet et nm travaillerons ferme. Ç4 smr.m% DE FEUILLETON LEST REPUBLICAIN - N« 30. — Le Charme Roman inédit par Mrs Alice PERRIN Traduit de l'Anglais par Mlle Marthe LECOMTE Teresa comprendrait mieux et que la chose lui serait moins pénible. Donnez-vous le temps de voir comment les autres femmes s'habillent, ce qu'elles font, où elles vont; vous comprenez ce que je veux dire, n'est- i ce pas, ma chérie, je... U hésita et la regarda un peu gêne, au fond de lui-même, il se méprisait de ne pouvoir l'accepter telle qu'elle était, mais il savait qu'il ne pourrait la présenter à la société de Koranabad, à Eve Lancaster, sans ressentir de l'humiliation. Et tout cela parce qu'il n'aimait Teresa ni avec son cœur, ni avec son esprit et que la séduction qu'elle lui avait inspirée n'avait jamais été que physique. Teresa semblait avoir ce jour-là l'esprit plus rapide (peut-être était-ce dû à la responsabilité qui lui était incombée par le fait du déménagement ou à la perspective d'une joyeuse existence) car elle comprit son mari plus facilement qu'à l'ordinaire et un doute qui touchait presque à la crainte assombrit ses traits. Elle s'agenouilla près de lui, posa ses mains sur ses genoux comme si elle réclamait sa protection contre quelque danger à demi pressenti. — Craignez-vous, Marck, qu'on ne vous blâme de m'avoir épousée ;avez-vous peur que je ne sois trop différente des autres dames ? Ainsi sa première inquiétude était pour lui ; tout en s'en voulant à lui-même, il la rassura, lui disant qu'il n'avait parlé que dans son intérêt et que le monde était méchant et prompt à la critique, il valait mieux qu'elle se tint sur ses gardes jusqu'à ce qu'elle eût fait la connaissance de quelques aimables dames qui lui donneraient aide et conseils. (Qu'aurait-il pu ajouter sans lui dire qu'il était houtcux d'elle) ? . », , — Vous me conseillerez aussi, Marck, murmura-t-elle anxieusement, je ne ferai Teresa diaboliquement belle dans une fobe de chambre rouge délaissa son traraii et vint s'accroupir sur un coussin à les pieds. — Je ne sais pas, dit-elle dans un bâillement, mais puisque ce dont nous avons beloin ce soir est sorti, cela n'a pas d'importance. — Il faudra nous décider rapidement pour une maison, dit Mark après un instant de silence ; j'en ai noté une ou deux que nous irons voir demain après midi. — Quand commeneerai-je mes visites ? — Oh, rien ne presse ; vous pouvez attendre d'être installée. Ecoutez, Teresa, ajouta-t-il en heurtant violemment une bû;he enflammée, ce qui fit jaillir une gerbe î'étincelles : Je voudrais que vous compreniez que les ttersonnes que vous verrez ici ne sont pas iout à fait pareilles à celles que vous connaissiez à Calcutta ; elles sont d'une différente jat (classe) et peut-être devriez-vous pour commencer être très « chup » ; il se lervait du mot hindoustan signifiant : tranquille, silencieuse, pensant qu'ainsi ( n r . orvnro peut en INSERTION LÉGALE fayette, et de M« JACOPS. avoué en la même ville, T, rue Dom-Calmet. TT-mvTrnTl V VA 1% ï Vl •Àedr^J^'^Wi /^lSis. ^8 ar conversion de salsie-lmr8 mobH?ero en vente vol'ontaire sur baisse de mise a (■W ' ^ŒlM^ Wvr<Wi&ê ^rS^^gy aw2ïïfe\ ■wfiiïSw ■ rvieitc satm-jçAN, an i , x ■  î-TT-e T T lifîl'hiK „ a-ij-ai i! , 6 Situés territoire de FORCELLES-St-GOKGON canton ' ' en ■'L.ad„ udication _ —X— ,. , ! aura lieu le' a« a n-n a la mime^uo, me de°ta A LOUER DE SUITE dans maison tranquille de campagne, 2 ou 3 belles pièCes avec eau, électricité et dépendances. Conviendrait à ménage de 2 personnes. . S'adresser au secrétaire de la mairie. 3492. ^, » >g? A LOUER ¥ 'TP-îéT^TPSrî 1*4 i %SJ 1 £>JJL# HTJo^csnnviiio », ae w. ie corme a ridussoiivuie » Triiîi.. L n ini. Sm.lmta leubel em K-adressér '1 °" |"S' ■M^r«nnf.i 1 nm nom : CM m ' V. m. I UUUIH met, Nancy. A 1 niierD W TOUBlN A LOUER dans pays des Vosges.MAISON 9 pièces, 3 meublées. S'adresser au journal. 3708. 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' „™ Nancy, le 31 juillet 1912, enregistré, l \e divorce a été pronoog MaiSOn T apéritifs Prix 9 500 fr Brouant. 3699. entre Madame Marie-Mélahie-Angé'ie GANTER, épouse M et Brasserie aidera jeunes gens I sieur Paul-Gabriel TRUY, représentant de commerce, laWf <leu; ; JEU actifs et travailleurs S'ad à MU nFMtÂNEff ' " dame résidant à Nancy rue du Sergœgjt-Blandan, 61. 1 1 nrn TT 111 nrnn UiS LiLSVlKnJr. NES GENS, Et ledit sieur Paul-Gabriel TRUY, ree>résentant de commerce,,» J. LuED tl ALLUAKU itrès serieux . ayant belle écri- demeurant à Nancy ci-devant, actuellement sans domicile* et rue Saint-Georges, Nancy , calculant bien, pour résidence connus, aux torts de ce dernier. ' —— L débuter dans entreprise comPour extrait: ; m p ri. rnifF«»ei»> . me marqueur. Références exiSic,.' Pierre GAUDEL. ftn e rcn urs e travaux ar J-OnGS COiîîeur • gees. S'adresser 0, n quai Isa_~ à céder par suite de décès, bey, Nancy. 3706. „_ , „ Très bon poste, affaires for" T INSERTION LEGAtLE s et sûres. 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Paul-l-ruden'J ^ son mari,garçon coiffeur, domicilié prôcédemiiaent 8= ^. et résidant actuellement h Ecrouves, aux tort ; de ce Pour extrait certifié ço^g,, (sw m1 Signé : Picire GAU^ , CSITU ' MASUFÂCTÎIRE OE CAMPES I ATi0^< ^LV S,TU enfants M» "O td Suivant jugement du Tribunal civil dp Nancv, en 4#«| !0 mars 1913, rendu par défaut, le divorce .a été prononf^i Madame Louise-Camille PIERRE cigeiriôre, demeurât!'I Nancv, rue du Ruisseau, 66, et M. René VALTER.f» domicilié précédemment à Nancy et rés Mant actuellement 1 Diion, aux torts de ce dernier .\ M Pour extrait certifié confon»'1 . Si^nô • Pierre GAUDEL. ^tito marlé /"'t ii 1 V U M CD A CEDER IB'D MUBILIbR CECI t^Z 1 ?tX^I li3 es ct dc bons ouvricrs mo JïiaiiœUVre de ®mm préviennent leur clientèle M U?i nanDtmANSt ^^tinc ouvrTer» ~* bons 11 ébé- I m , j . | | g| nulsiers, Etabh^ HB 19, rue du Généra-Favier, I — J, LOEB ET ALLOARO I ^m | r ~r 1 . . 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Par jugement sur requête renHu par le Tribunal civil de Nancv, le 16 avril 1013/a la demande des saisissants et de la partie saisie, la saisie-immobilière fut convertie en vente volontaire elle jugement mentionné au bureau ces hypotheques de Nancy, à la daie du 19 avril 1913 ; Le jour de l'adjudication fixé au 12 juillet 1913, aucun amateur ne s'étant présenté.le Tribunal civil de Nancy par jugement sur requête rendu le j suivant enregistré, 15 uillet ordonna la vente sur naisse de s& a W prix et à tout prix des ïnmeunies ci-après aésigués ; Ouallté des oarties Qualité des parties . La présente vente a Ueu à la requête de MM. LEVI et COMPA( lN1E f N-, industriels, demeuue ierce • ^ S, »^n^J. , *îi??oï " ...... >™™t ^ ^ g j WrW4* . 1 Propriété'! 6 à Nancy rue Obe, sisie , 'F ■ radiation p our une nil nPMiNFIf Un utlTIArlUt glus avec cave a louer de suite, dans grand centre industriel, Convenant A tout genre de commerce. Café excepté. 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Y c commerce de la chaux, tels rant à Nancy, rue des Car2.800 francs. que, étatt neul\ accessoires RIE-MERCERIE ■ que maqhines. bacs, wagon- mes, 26, commis par jugement I Landaulçt Peugeot, 10 HP w tonaMW' Bonnes conditions, gros vilH CMiSRl T<i$Z nets, etcT. rendu sur requête par le Tri- 1 2.800 franca. S adresser au journal, S3W. Meurthe-et-Moselle. U^ilARlOL _o L'appareil et la ligne té- tmnal civil de Nancy, le 21 . H K , ^ S'adresser au journal. 3717. de suite ouvrières couturlèE léphonique installés à la fer-, mai 1913, pour représenter I . » adresser <W, Douievard « %/EflflORE~! " res> s'ad. au journal. 3692. me de Montplaisir ; Mlle Adrienne SCHUNCK, ma- § de la Pépinière, Nancy. •» &Sra3Jrei£ . ASSON, huis■ . Etude DE M M 3° Le petit pavillon se trou- jeure, sans profession et sans | "834 bon CHIEN DE GARDE, rue sier à Nancy, 8, i»ie des Poiiiiiniàyin vant dans le jardin de ladite domicile, ni résidence connus, f —■— Jeannot, 10. 3694. Ponts. 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'H u HypoUlfr ques de Nancy, le 3 avili 1913, ! „„~° '\ bât.ment eleve sur | BB A« MAKBACHE , Auen ne «itiinr g B qagnê* TOURS DE 5 400 kilomètres SUr machines poinçonnées * |g PEPINIM S^n^ ba /iTTTi C=» FRAêSGE consécutifs de 1 Lundi 25 août 1913, à deux ! f T«TC p*»: IUWIB, fiiTiï QBfB t,Sï: r i heures de l'après-midi, en l'é- **»' "» ; tude et par le ministère do .vi« * GEKARDLN, notaire a Nancy, Le Samedi 23 août 1913, à ^^J^^tSfS Swiïrtt puaere. feadr. au journ. 200*. , * *j ^HL Etudes dc M» MARC, notaire , m jixrryAr « r à Nancy, rue st-uizier, 20 H ALHJYOW c^t^t^t tié'SÏ „ II* tP £?l tffil if* U là _ m est la seule g é. r ca.net '""T £ %A ^^Sf Svoué ! g â ON DEMANDE , (P* (fi iM «KpS DUlU R0lSTAÏIX -f W éf^ikk ^"' ■ ^t Enenc.at.ons préliminaires : uSr.V pièce, OÎÎR1P ^J^Si iv^™* La Pâtisserie - CnnfWrîo NOUVEAUTES g8 U C 52, rue du Montet > R H H Lafàyettef 8 ; 2° à M" JAavoué à Nancy, rue fou| ii " ulSÎ &i Ha COI'S, poursuivant T-} ■ "^ACOPS. si fliinar finifint ^ o ■ || Hn _rix d'adjudication ; . -S'adresser pour les rensoi0 à mN^notatre à Nanc^rûe Vézelise lieuclit Montplai JiniUlM(fiUEOEBoaotsERT.73 I , —T son . sfr. ! MIN |» VUl\OiiUliiUA j ' ^^ÊS^SSTV^Ê^Ê\ tfe * ^ Dremfère tentative vente scrom^ payable de l'acquéreur en déduction de FOURS  CHAUX 1 . Elle s'endormit la tête sur les genoux de voulais arriver îusqu à lui, mais je n me ;:n .'.l'..hindoue. Elle '-et,tV. ^ com • < • Mark, ct lui, évitant tout mouvement pour çais d'un seul pas, car je tournais f qu'elle avait vn u • ait- du7_* cesse et les pierres pointues me °°crn- , depuis n ô,./1 ,„,; „ Vu 13 jeune f? r«sta : ne pas la réveiller, regarda le feu d'un air raient les mains ot les pieds ; je ne me déS aire sombre. Son cœur"était plein do pitié pour | , \r? ■<' , f,nl; «ne no me a Mark et elle voulait à tout DrivPollt<*«. îlle • cependant il sentait toute l'amertume courageais pourtant pas. Mark de sa fausse position et sa solitude de cœur voyait pas et mes appels ne parvenaient tre la situation dans toute sa c mmcn fl Ç Lve d'un s'en augmentait encore. La chaleur du feu pas jusqu'à lui. Tout a coup, queiquun i ™7L oi^fhil, ° faisait monter de la chevelure de Teresa me saisit le bras pour m aider ; C était la l e * ie parfum musqué d'une huile indigène dame blanche de la gare ; sa jolie ligure ■ étr ange que je ne vous aie pas «5 Uen votre mari vous a sûrement; dit uiiY. rayonnait de bonté. Hélas ! les résultats j qui lui sembla symboliser sa nature indo1 * <W lente et voluptueuse, séduisante et pour- ne furent pas plus heureux ; désespérée, sommes de vieilles connaissantqu °i<nk tant encombrante ; immédiatement il se je me mis a pleurer, et c'est à ce moment nous ne nous soyons jamais re,,, 10 de nous retrouver ici. »us &vrj repentit de cette dernière pensée et voulut que je me suis éveillée. Elle se tourna vers son mari : — Oh ! oui, dit vaguement T la racheter ; il songea longuement au dé— Voilà mon rêve I qu'est-ce qu'il peut pour la jeune fille ce fut un souu^ « vouement de Teresa, à sa simplicité, à sa confiance en lui ; il savait que si la néces- bien présager ? Si la Bibi ou Chandi était de voir que Mark n'avait pas •H sité s'en présentait, elle ferait pour lui là je le saurais tout de suite. Elles con- I femme 1 étendue réelle de leur ?' ( -°rnjJ naissent tout ce qui a trait aux rêves, leur | sance. l'impossible. — J'ai pensé que vous seriez » Pendant au'elle dormait, un petit san- bonne ou leur mauvaise signification. J'ai I a contente de connaître tout de glot lui échappa ; il en fut attristé et lui envie d'écrire à Sarcy Joseph d'aller qu un ; votre mari m'a dit que v0n >* posant la main sur l'épaule, il lui dit ten- Krabgany. A — Ii signifie tout simplement, dit Mark j pas d amis ici et dans ces conditi 1«l drement : 8 grande ville peut sembler bien m^ ' % avec humeur, que vous êtes fatiguée et — Qu'avez-vous, Teresa ? e I 11 Elie" fit un mouvement, murmura quel- devriez aller vous coucher ; appelez votre est vrai que vous ferez bientôt la * n oui ,„°1 8» que chose, puis elle leva la tète et se frotta «y ah et dites-lui de déblayer un peu tout sance de M. et Mrs Jackson, 4U Sont Mes. trè| ce fatras. les yeux comme un enfant. Mais Teresa n'écoutait pas. ES* M . Teresa était bien persuadée que j — Oh ! j'ai fait un mauvais rêve, répon- sonMais rêve avait une portée spéciale et celle- cupée à détailler la toilette de Mi dit-elle avec agitation. ci lui apparut clairement lorsque le lende- caster, s'émerveillait que celle-ci ^ -- Racontez-le-moi. main on lui passa les cartes du colonel et l'air aussi élégant en étant austj -H Elle hésita : — Il vaut mieux ne pas raconter un rêve de Miss Lancaster. Etendue sur son lit, ment habillée ; puis, avec admirai ^P'* n' % le soir, à moins qu'on en ait déjà parlé elle regardait un journal de modes ; de- leva les yeux sur sa visiteuse. dans la journée: La Bibi disait toujours... vant cette visite inattendue, en hâte elle — Je vous aie vue hier à la gare u 1 sé Teresa brusquement. cri| — Oh ! Teresa, soupira-t-il triste et rési- enfila une robe et tenta de s'arranger les gné. Il savait que jamais rien n'ébranle- cheveux, puis se précipita dans le petit — Oui, dit Eve un peu déconte-n rait ces croyances superstitieuses, et de- salon que Mark avait loué ; c'était une ma cousine miss Metcalfe et moi n^1**', y chercher un paquet. ^ ions été pièce nue au plancher couvert de nattes puis longtemps il avait cessé de lutter. — Mais je peux sans inconvénient le ra- ayant pour tout mobilier une table ronde Elle fit tous les frais de laconw» boiteuse et six chaises d'osier. parla déménagements, maisons \ conter à la lampe. Miss Lancaster seule s'y trouvait. Elle jusqu'à ce qu'elle s'aperçut ;cra'e'lb Elle changea de position et les yeux fixés avait dû faire des prodiges de diplomatie loguait et que Mrs Rennard,' assise • sur la lampe, elle commença son récit bile et les veux fixes, ne faisait n^'i181*11, — J'ai rêvé que je faisais des efforts pour écarter sa cousine. Elle avait cédé *"* surhumains pour gravir une haute monta- sans aucun combat au désir qui la pous- léger eifort pour lui répondre. gne à pic ; Mark était au sommet et je sait à aller rendre visite à la femme de l U «uiïfji. MMile^BMBMMMMWWWMW1 prendre connaissan- STê^l^T' Pour la Famille Pour la C....I,...t.on ,Fv/rer Je» c0«t>»faoer... f _r i. -~ , -_^TÎ__Jr'!'*_. ^ Jm^BSfi^h§\ rien sans vous en avoir d'abord parlé. Il lui répondit par un baiser qui sembla la consoler ; elle ne savait heureusement pas ce que ce baiser contenait de remords. Elle posa sa tête sur les genoux de son mari ; elle était inquiète, car elle commençait à comprendre que dans une grande station, il y avait autre chose à considérer que le plaisir d'aller au concert, do faire des visites, de porter de jolies toilettes. U y avait cette atmosphère mystérieuse appelée la société, dans laquelle ses actes et ses paroles les plus inoffensifs, mal interprêtés décèleraient son manque d'éducation. Comment devinerait-elle ce qu'il fallait dire ou faire ? Elle n'avait encore jamais réfléchi à cette question qui maintenant la remplissait de méfiance visà-vis d'elle-même, il lui semblait être entourée de périls. Elle aurait donné beaucoup pour se retrouver à Usepur où tout le monde connaissant son orignio,personne ne lui en faisait grief ; toute sa.joie d'enfant était tombée. Elle éprouvait en môme temps un sentiment de reconnaissance envers Mark qui l'avait épousée et l'aimait malgré ses imperfections, elle qui était en tout point si fort au-dessous de lui. Elle se promit à elle-même d'observer attentivement les dames de Koranabad et de les imiter de son mieux ; elle irait même jusqu'à étudier les livres arides que Mark aurait voulu lui faire aimer. Ei seulement elle trouvait une amie pour l'aider à surmonter ces mille petites difficultés dont Mark souffrirait peut-être sans pouvoir y remédier. La figure de Miss Lancaster, la jeune fille en blanc qui était à la gare cet aprèsmidi-là et qui était venue d'Angleterre sur le même paquebot que Mark, s'imposa à son esprit. Elle devinait d'instinct qu'une personne prise à gré par Eve gagnerait une amie rare et loyale. -^^^ - ^attpour etous renselCbOffé ^ d Les appareils ser- gnements soit à M MARC, 110A vendre en bloo ou Géodes 3690 Matelassière, 8, rue Canro- nuit ou analogue. «mande ^alC-J>ra au ge ou des bone monteure 6M vant à l'exploitation indus- taire, soit aux dits MM» séparément Utovges. *au. _ ^ ' ° S'adresser au journal. 3703. " ' important un fP^ !" 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