Décembre 1909 - Site en travaux, le week

Samedi,
80* Année: — N* 4 866.
JOURNAL FRflNQAIS-BRETON
CAtes-du-Nord, M orbihan,
Autres Départem ents . .
.
C o lo nies et É tr a n g e r ...................... ....
4*ért$.*t t 0 ft\ SO
du
W
dê
Ils réveilleront, Je n ’en t« u r> li douter, l'étbo
le nias r.baleuiéux d a m mon pays, di'Ji ntttirht
è la Pranoe pur des H tm »1 étroits d’ufflalié
Intellectuelle et de sincère amitié.
C e s! en forment les v aux les p ’us sincères
pour l'avenir de cette Rrat.de et glorleuno cailon
et pour votra bonbenr personnel que le lève mon
ve-re, pour boire fc votre santé, Monsieur le pré­
sident et é la prospérité de la Pranoe, amie du
Portugal.
J*udi, le roi de Portugal (jùiffait Paris
pour rentrer à LUbonne, où il est arriud
samedi.
Start eo hor o'halon ont» hor c'hrola
l i a starloc h ar lîroaz unn hor Uroizl...
CE QUI_SE PASSE
Le S in tt s Mrmintf la discustion gé­
néra le sur les r e tr a it® » s u v r lè r e s et
a pa**é à la discussion de» «raclej.
L'artiul» 1" dont on commence (a dis­
cussion Ml ainsi eoftçu ?
L*« u la r lé * d e s 'd m m w dé l'In in itrle , da
commerce, des c r o ta n lo li libérales et de l'amiculinre, et les eervllenrs I gnitee, auront droit,
dans Ire coniiltlou» déle'mluéee par la présent*
loi, 4 »n* retraite de v H llleiie oo n itllale par le«
verifm vn ti obligatoire* et facaltallta de* tutéres■4e et par dea mtJoraUuns de l'E tat. lia recevront
en outre, nne allocation vtaxèré annuelle oonttltuée par dea contribution! d e i employeur! et par
une eabvenllen complémentaire de l'Etat.
«L e* salarie* dont la rémunération annuelle
d é p a u « l.DOO fraaca ne eeront pas sonm li aux
o b llia tlo n i de la prêtante loi. Ceux dont 1« rfiusDération annuelle atteindra I ooo fiuuci cesieront
dé (air* partie de la liste des assurés, mais Ils
conséiveront leurs droits acquis.
«*s
Lundi, MM. D u iu o n et Alexandn
9lf.no ont vâm6tn#ni d é m u n it à U
Ch*mhr* laréintigrat’on de M . N è g r » ,
I n s t i t u t e u r r é v o q u é , v o i l à d t j à trois
a n » , p o u r ie s o p i n i o n s s y n d i o a l i s l i s réo
lulionmircs.
M. Briand s'y Ml opposé formellement
Le droit d'accorder des réintégrations
a-f-il ioutenu, appartient au gouverne­
ment ol non au Parlement.
Et puis lui, l'anotan tynlioalisie révo­
lutionnaire, au jo urd 'hu i assagi, n'a pas
caché qu'il verrait d 'u n très mauvais
ctil u n syndicaliste révolutionnaire re­
prendre rang parmi les fonctionnaires.
Cn que c'en que l'ussgs du pouvoir I
•
* *
L a Chambre des députés discute le
b u d g e t d e » fin a n c e s . Tout le monde
réclame dei économies.
L» m in iilr e promet (ouf ce que l’on
veut pour que l'on vote, au plus vit*»
son budget.
Mais promettro et tenir tout deux cho»te différentes.
* v
L » r é d u c t io n d e s g r o s t r a i t e ­
m e n t s « t , comme la suppression des
mus-préfeli, una de ces question« dont
on pari* toujours, pour ne jim a i» la
résoudre. Cett« *nnrfe ta commission du
budget, en épluchant les comptes, a cru
devoir faire remarquer que les traitem ania fabuleux des trésoriers-rayeurs
généraux et des receveur! des finances
pouvaient lire rognés de quelques billets
de m ille.
On pourrait ainsi réaliser annuelle­
m ent un» économie de 150.000 /Varies.
Dans u n budget de plusitursm ildardt
cette somma oit une goutte d ’eau. Otaz-là,
l u pauvres contribuables n'en seront pas
moins subm ergts tout le flot de* contributions. i4u l û u de riali»er des écono­
mies de bouts de chandelle, nos dêputds
devraient suture te conseil do je n» sa>s
plus quel ministre dos finances. « Faites,
dit-il, de ta bonne politique et je vous
ferai de bonnes finance». »
*
¥¥
Quatre milliards 374.485 000 francs,
tel est le neûi du rachat des c h e m in s
d e fo r d e l'O u e s t, d'après le rapport
d'un * commission sur la convention
si gnée U 20 octobre 1908, entre le mini*Ire de» Irauaux p u b lia d’alors. M. Bar*
thou «I le prdsiaent du commit d 'ad m i­
nistration de la Compagnie de l’Ouest.
Le rapporteur critique la légèreté aueo
U qu é’le H. B art hou traita ia ffù rr.
Mai» il /allait aller vite et former u n
gago aux socialistes q u i Ȏtient, on le
tdit, l'otntisationde toutes (•* industries.
Nos politiciens se soucient en général
_rt peu des conséquences ru.niuses de
t°
jm r v o te et pr»nn<nt pour deviso celle
Itti
de Louis A T : Après nous le déluge I
w
• a
Dopui» oamndi lo jeune r o i d u P o r ­
t u g a l , Manuel I I , «si k Paci», /ti/ant
pour te fàir» aimer 1« don si apprécié
des Parisien», la jeunesse, il rtcoit par­
tout u n aoeufli! sympathique. Dis ban«
nefs offioieh lui sont offerts ; une chasse
Rambouillet, le c h itia u présidentiel a
été oraaniide pour lui.
ï
Le roi de ï'n tu g k l a visité, en outre,
Je cKttéaU dé Versailles, le» monuments,
muiég» de Pari», mat» toujours sout
I’œII du protocole.
Voici les toasts qui furent échangé»
e«(r« lu i et le Président du la République
a u ' cours d 'u n banquet.
felie, lui dit lé président, o’est aveci u n vil
olaUtr q«é Je souhaite la bienvenue * Votre
Mal es té, dans ce palais où mon éminent préitétesteur a t a l'honaeur, 11 J a quelques atmie».
de 'r'ce v ôlr'v o tre lié s regretté'pére', S»
l t roi Dea C t r lo t t l votre noble mère Sa Majiaté
la ré la t Amélie.
Je sala h taie ax de pouvoir vous assurer, aulonrd'hul, dé aea u n t lm t a t i d t cordiale sympa­
thie pour votre, ptreonaé et votré beau pays, en
vous exprlmani lea v aux très slucéres que le
loriue po«r votre bo cbiur.
Je norte la san té de V o trt ü tje s té , de Sa HaJtsté ta r tla » , votre mér* et la la a tllé royale. Je
hols é la « f ta d tu r t l k la proapérIU da P ortu fal,
am i 4é la Fr<
La r q l* ripondu i
io n S * a * u !
U^ioaehê dei psrolas
•VtetueaaM «as voai vanta de m’adrener «t tiét
t n i i a i dé voai exprimer ma rooonnalitenot
>|e ebarmaat accatti dont je sale ¡’objet Ici
. où atoa pére hlea ataaé et aaa mère, la
obi été tl aimablement re«ue par
vffo^aa«é»^\ympaiblès, *>nt fai été,
titrée en Praace et let senti^ h toa ré d e p ila « o a *a<
ΫfSRiotloB«
S lS * a
t que *oa» avta bled vo*:« attaW
ma obère paule ne remplissant dei
*
♦*
L e s r o is s 'a m u s e n t. — Pataud est.
on le sait, to roi u t l'eleUricité et fait la
nuit et le j >ur suivant son bon plaisir
Lundi soir, il a renouveld ses exploits,
L* jeune roi de Portugal, en ce moment
à Paris, avait annonce pour le soir sa
visite à ¡'Opéra.
Pataud, quelque temps avant son arri
vie fait appeler les directeurs et les me­
nace de supprim er l’ticlaireflsdu thtAtra
s'ils ne s’enqagtnt pas à la minute à aug­
menter de 2i continus lis électriciens du
théâtre.
Le roi de Portugal allait arriuer
l ’instant. Quel esclandre s’il trouve le
théâtre plongé dar-s l’i/bfourité r E l les
directeurs durent s'incliner et nc^ipter
les conditions propoiées par le citoyen
Pataud.
C'est que Pataud ne badine pas «t tfe
mârfia q u'il coupa u n joür l ’électricité
pendant u n grand bal, de mâme il n'au
rait pas Hésité à priver le roi du Portu­
gal d u spectacle si on avait refusé de
céder &son injonction.
Mail ses procédas d ’exterquer par con­
trainte de» «i\ff*Qements, ne sont pat
(unan)
-1
ADMINISTRATION ET RÉDACTION
3
b
Les abonnements partent
chaque ino!* et se payent fi a t a r e
L*e
c.blo aux tirs et avait et4 quelque fieu
maltraité par les canons de l’escadre de
la Méditerranée. Aussi avait-on ordonné
son remorquage au port où les voies
d'eau auraient été bouchées. Mais, mer­
credi m atin, comme on le remorquait
des Salins d ’Hijères k Toulon, une vicrlente tempite s'éleva et t’Iéna coula par
dix mètres de profondeur. Il n'y avait
heureusement personne à bord, f i jera
tris difficils dé le renflouer.
n
¥«
L a q u e stlo m m a r o c a in s nous mena
plusieurs foi» k deux ilo.gts de la guerre
avec l'Allemagne. Let Français viennent
d'avoir la surprise d ’eniendre l'empereur
allem and lui-même, affirmer mardi,
dans le discours du trône ouvrant la
sejiion du Parlement, que cette question,
loin d ’Sire désormais un casus-belli,
peut être une omise de déteinte.
Les journaux allemands ajoutent que
l ’em pereur a voulu témo/gner à la
France de ses sentiments amicaux.
Le lion peut rentrer ses griffas, mais
on doit toujours s’en méfier.
t
¥¥
La Chambre des Lords anglais se
trouve <m complet désacàord avec la
Chambre des Communes pour lo vote du
b u d g e t a n g la is .
La Chambre das Communes, issue du
Enn-dro d’ar Skol
La poudre B, de
s in iitr * mémoire,
Les journ au x technique» en appellent
U rfUittat d i leutiiravaU i « uiii'décûUvirta sénsstionnéMe. »
Nou i nàus en féliciton» pour nos
m arin« cano nnieri.
t
Décidément U o u lr a s s é l é n a jo u e d *
m alheur. I l «eroait en ce moment de
M a n u s c r its
Ma Icarluc'b e vljo.
Perak zoken na ratae'h-hu ket d’ar
ikollou
oker im
iniplij
eut al
SK0I10U kiislea
Kl isiea oeer
p n j cuz
ai levrion
irvrio
koudaonei; gant .bon Xrklbien, ruz ar rt zze
hebken? Nauze, maiteze ar gerent a ra
i
rate
ho zriuj da gas. h » bugàle e’bo akoilonakolloi
o'bonl, pa ne o'helllt ket ho leunia a-hentatl.
,
. ....
Ha prirak c’bosz. enn hano bo liberti
to, ne gasfac'ti ket an ingpectourieu pt>
J polltiei da welout peienrt levriou a (aita,
an tadoii hag nr maortmou etra daouarn ho',
bngalfe er gearT Ne ve tamtarwauoCh eged
ar pez a rit dljji e-kenver ar skol.lou libr (?),
ont tout inori
hag heveloc’h a vi t*q'h ou
ilei, ber (li,
k v s »
î s î»n ar ptení
da c'hedal kas ho ienn dldan ar gillottln
n h n
tn s é ré s
no
•
-
R éclam es, en 4» page
Dernière rolonne de la 3* page.
BREST
h J 'ït lt t 4 bi^ue
PUÉLICITÉ
Annonces diverses
4 — R u e du C h â te a u — 4
4
suffrage universel, avait proposé pour
bouc lut le budget la création de n o u ­
veaux impôts qui frapperaient surtout
les grands propriétaires terriens et ur­
bains.
La Chambre des Lords, qui compte
beaucoup de eu propriétaire», refusa son
tris recommanaabtes.
approbation à la création de ces nou­
veaux im pits et par suite ne vota point
A Paris, une viue campagne i la tête le budget.
de laquelle se trouvent les catholiques
Unae ses membres, lord Lansdown»
sociaux, tit menée pour obtenir la sup­ demanda k ce qu'on ne le votât qu’après
pression du travail de nuit dos u n i consultation du pays par voie de ré­
boulangers. Ceux-ji vivent, à cause de férendum.
ce iraoati de nuit, dans des conditions
Le gouvernement anglais d'accord
anormale» qui let mettent pour ainsi avec la Chambre des CcmmuntS combat­
dire en marge de la société.
tit vivement cette motion qui, néanmoins
Amette, archiv&que de Paris,
a été votia mardi soir, à la Chambre des
vient d'apporter à la campagne 1« puis­
Lords, par 350 voix contre 75.
sant appui de ton autorité. L ’iminent
A in ii, te conflit entre les deux Chimprélat adresse une lettro diocésaine aux bret est flagrant ; it d'aucuns vont jus­
fidèles pour les prier de renoncer à cer­ qu'à diru q u i la Constitution anglaise,
taines habitudes qui obligent les patrons pourtant si Iradilionmlinte, pourrait en
à exiger de leurs ouvrier* le travail de être ébranlée.
nu it. Pour bien des journiux, ce geste
En atiena'anf, jeudi, à la Chambre des
deiarchivêquedeParisaparuinatte-idu. communes, l » lord chancelier A iquith,
Il est vrai q u ’ils ignorent l ’histoire de chifdui/ouve-rnoment, l'est livré à utte
l'Eglise qui a toujours fourni les cham- critique acerbe de l ’attitude des lords,
p iota les plus désimérsssés rfo la causa qui « en une semaine antianlisseni mt
du peuple, lorsque cette cause était juste.
travail consciencieux auquel la Chambra
H
d u communes consacra six mois, en vue
¥¥
M. Augagneur, gouverneur d« de faira face aux lourdes dépenses addttionncllis cx!gie» par les réformes so­
Madagascar, est eu France. i4oant ciales
et par (a déftnse nationale. »
de partir, il avait supprimé u n journal
Pour la première fois, dans l'histoire
local, parce que, suivant ses propres
de l'Angleterre, des crédits ouverts pour
paroles t il reprochait à ce journal
le service de l'année courante, des cré­
d ’atioir présenté le conflit des éoé'jues
ditsouverts par la Chambre des com­
et des instituteurs en France, en termes
munes, i\la demanda de la Couronne,
qui n» lui agréaient pas. »
ont été interceptés, frappés de nullité
Que dites-vous do cette désinvolte
)ar u n corps qui, de l ’avou de tous, n ’a
formule qui n ’est qu’un (Cho du fameux :
e pouvoir ni d'augmenter, n i de d im i­
Tel est m on bon plaisir ? Avgsgneur sa
nuer UTto tax» quelconque, ni da la rem­
sent pousser des oroille* de satrape. Que
de radicaux siraietit heureux de pou­ placer pur une autre.
« La Chimbre des communes serait
voir supprimer la liberté de la presse en
France, comme Augigneur la supprime indigne do son passé et de ses traditions,
si elld laissait s écouler une seule journée
à Madagascar I
sans dire nettement qu'elle n'entend ¡pa»
¥¥
subir le plus grave dus affronts et la plus
Dimanche, u n Algérien du nom <i» arrogante des usurpations auxquels un
R,.bin EudéUia tire deux coups de re­
lui ait jamais demandé de se soumettre
volver sur le général Vérant, adjeint depuis pius de deux siècles. »
au commandant supérieur du la difense
Lord Asquilh termine en proposant à
de Paris.
iAssemblée la d is s o lu t io n du ParleCet Algérien, qui fut secrétaire civil m «nt. Cette proposition oht votée par
d’un bureau militaire arabe aurait eu à S49 voix contré 134,
se plaindre des offi-.iers qui dirigeaient
Les nouvelles élections auront lieu
le bureau. D'après lui, les officiers l’au­ vers la mi-janvier,
raient volé eti faisant tu r son traitement
des retenues il'égales. Et dipuit, Jîebin,
q u i parait ne pa* jouir de ses facultés,
brûlait de se venger des injustices com­
m is « , sur (a personne môme du minis­
tre de la guerre.
Il vint k Pari» avec l ’intention de le
IV
tuer, m ai s ce fut la général Vdrant qui
Potred
al liberte
fut la cible.
Le général Virant a reçu u n e balle à
TVompillou ar hrezel a gendalc'b da drela nuque. Sa blessure ne met pas sa vie geini gwasoc’h-wsia e mesk bourrevlen al
en danger.
liberte.
Ho o'hatetennon a zo leun a c'hourdrou¥¥
zoi; aia k k Finistère Kemper betek kazeIl y a quelques jours, un individu s» tenn ar Cbloarec ba c'boultelilgoa Mondisant »out-offioier italien se présentait à troulez, eup eur dremen die blet Halleguen
la place de Nice et annonçait qu’il avait’ ha Riou ar G'üaatellia ; hag ar vtnlstred ne
la preuve de la t r a h is o n d ’officiers o'hcllont m.'ii eu em welout bep klaak cur
frankit ail.kennak.ila lamct digant ar eatofrançai».
Il raconta qu’il avait pu dérober k likcd, — b lar.*hl goalskoude haèi a zeblaot
keu souetet ne fellffiket d'hon Eskibien ho
¡Rome, u n oertam nombre de documents
lezel da ampo.-zouni dldra’oas ene bor
livrds à l'Italie par di>s offl'iiirs français
bucali con.
de l'état-major de la Guerre et de la Ma­
Ar bokfd, etouez an oli Rrosm^lerlcn-ze
rine. On le conduisit h Paris pour q u'il aivblant l>tza beteg-hen, ú¿ eur « J.ickou >
y fût interrogé par la sûreté.
cm Slzuu, a zlaka'ge dlsadorn be zae'had
Mais lo pstudo sous-offiiner italien himor ekfietetino'bouitelliÂOTi Mootrouicz.
Ar c’houaj'namant, cme-z-han, a c'hour.
refutade parler. Devant cette altituie,
on »e demsnda si l'on n ’était pas en face c'itemenuo ma ne vezo «<;i deaket er skolion
librncmed ar c'htn'elloahaj; al lc^ilou
d'un etcroo voulant faire chanter legou •
«rit akolioB ar gommini.
varnement françù». Ô n l'a rril* et l'on mftrket
Mul a traïeklz, mul a hidtor saotel nag
fit bim . Car, de l'e nqul !e aussitôt ouverte a jmixéor David I... >
on apprit que cet individu était u n «snroo
Ah I potr, kavet eo gan-ez avad eun
con.tamnà à d
<iffirentes reprisas pour ta»; m al
,
tentative d» chantage »oui de»'nom» dif­
An dru-te a zesko d'om? beza dloieret
maur a dra ovlt sovel eun hotmizou nonférents.
Mail il faut admettre que de tell »soroot unaù uko 11ou el ieac'b n i c’betljemp kaunt
doivent être doué» d'une grande im agi­ d'bor h a t'ai è «ar gfiw-nnséuruz krlsten,
ont-no e «ko'ton ar (ornam i'
nation pour im aginer des histoire» in- dlnac’het
pnet gouitlcoada gànt hon arc'hant lvez I
vnisimUables.
Ne onlamp ket petra oa al liberte :
*
c'houi, Jt.ckoa, ha diskouezo d'omp evel
** ■
dont la désompoiititn spontanée causa
la catastrophé de l’Iéna, <Stait depui»,
l'objit d'une élude attentive de la part
dei eWmisfes et savants du miniitire'de
la ouérre.
On assure que eetix-oi ont réussi à1
r m d ré la poutre B »table, o'M-k-dire à
écarter tout danger de qombuittons spon­
tané en y mêlant u n, produit chimique.
PARAISSANT L c SAM ED I,
Jb G - Z .
ABONNEM ENTS
Flnlstèrt,
4 Décembre 1909- —
*»b
Ila U tm o )
O fr .„
O
O
—
40
50
t J t i f te tro tnont peut le» tn itr tlM l r W t t t t
s o n t p as
re n d u s
H a bet<*k kett-iô eo e karfec h m oût,
J msïou ? 0 2 1 mar p’.ij, lavarlt d'omp ho
meoDoz peun-da-taBQ, ma ooexlmp, pennda-bctiD tire*, pegen kaer eo ho liberte, ba
ma prlentrlmp e poent ha* amter ar peí or
b :ro red e v ltd ifè n n e m d bon bini ; — rak,
J ic k o u , a n c'bredl a reot martexe : »oad
»walc’b a joum dldan hon iviuou «vit eellout Uvarout ii’ex afemp ket d ar c’blferez
evel denvetfijoo.
Awalc’b ta r ar poent-te, evit ar wecb-ma.
*
* *
Re ail. bep mont kcit-ze, a lavar ez eo
evit le u d a ar skoüou kiistcn hebken co b
komz an Eskibien a enep al levnou ta ? ar
c’aenteilou fall a faver c darn tu z skolion
ar c’honarmrmaat
Diyarez talr, rak ma ’z eo lenn avra’c’h
ar skollou krlsten a b îo n e n u z ev.z nn-.bo.
Dre ze, m ienounfd, arabal kr<di al
lavariou-xe. A n Eskibien n ’o doa nr.iried
eur zonj bcbken o sïclva ho lizer : D.gkulila aa danjet a g>.v ar Turala kiisten c
skolioa ar c'iiouarnamaiit, «uz a betî. eue
datn Irvrloü ha mistrl p» mestrczrd ha
Ro’j lf n n ma reno e oli skoliou ar c’honarnatnaot an doaj»cs a zo dleet da goustlaas
ha da telz ar vugale, — evel ma c'houleune
lvex disal audibatsr Polncare, bat m iois’.r.
o la v a rc u t: « À.rskol pub.ik ne d,e b.-xa
n a f evit naïf a-eaep rellllon ebed ; ar vraia
dùujani e tie dougeu d aD oli gredi*DCon,
h»u arabad d’etbl noazout e glz ib=d da
goiistiaas ar túgale a xarempred autzh:. >
An E ikibicn o decz graet Ce dever, —
dever poanluz, ab^lamour a oulect peee
ment e vef'r.t tamallet hag- e pegeo brat
trubulll e lakfent kalz kerent knsten. Uer
graet o deux evelato, abalambur ma ne
o'hellf>ut ket tevel, lezel aa traon da vont
peiioc'h.
D'omp-nl h:ema da ober hon dever lvez.
Sslaouat e veiimp, ma karomp keriet a■nan — ba rar traou evel-se eo eaz en em
glèVOUt.
« la, a lavare, er itzun-ma, eur mestr«kol eur. Brest da eur vamm grlstsn eet
d b iî usout; — la, o hlnienaou eus hon
levriou-skol e t eut traon kontrol d'ar
wirion- z ha d.A teizar gati.iikei. Prtra a tell
dh»,',’n çoulskoüde ? Ne c'nellnmo ket
evolato cbench levrioa evlt plijoat d ’hcc’h
hebken. Bvteg-heu u ’ez e\is bet nemedhoe’b o kietem. Ra zeulo ar re all lvez a
vandeen, h* neuze ne c'üoulennimp ket
gwe.I eged kesaer ievriou ail. »
Sata aze eur ¡fentei bsg a dalv he tooez
a ivour.
I . o.l da glemoi ouz ar vlstri ha mestrete J a la ïa lerriou kon U'inet etre oaona^n
ar vuçale, pe a zibua dVzlio kentclloa kontrol d h o f ï i z ; has o borr am¿er, an oli
t&oliou ha mistrl pa raestrezed a zeuio da
veza ar pez a dlcvfrat ct>oi;ra, herves al
l«z;nn 2 0 kcn : leun azoa)a;i8 evit telz ar
vugalc.
Corkntin.
ir Briaail a §oli lie «
1
E V E Z O U T-H A N
Po„
le» Annonces extra-regîonAlen, s'adreeeer
4 r.lffrDcc IIuva*, Plico d«“'I»
Bourse, 8 , a Patte
doui var ar g a o u ; h s g evel eur peDnok
k ouD artt da veza eboum et berr vàr he
grog, e klasko eu em veeji te n to c ’h
eged a n ta o he fasi.
Dre ze, dig ^ecer, er Gampr, e reaz
gourdrouiou ttag a zeree gwelloc'h euz
eur C homb bennak.
Gwelomp petra eo.
*
¥»
A rC b alo ci Gayraud en doa diskuillet
ha kondaonet, eur wech muioc'h, al
lezennou o deuz dispartiet ar relijiuzed
ha laeret ar c'houentchou, — diskuillet
ha kondaonet ivez dislealded an deputeed ne fellaz ket d'ezhò ober eur rell
hebken euz ar goulecnou o doa pedet
superiored an u n io u relijiuzed ha leaneze'i da <>ber, evit be;a leret da veva
o’boai er stid a vuez m ’o doa dibabet,
— (ir B ail, ar C hloarec ha Dubuisson
a zo c u i an depuie<jd-ze).
Goude xe e kom^az euz lezecn an dis­
parii, e deuz lik ee t ken braz aaiten e
Frans ; hag e pouexaz dreist-oll var he
defaot brasa: gra ft eo bet hep emgieo
gant ar Pab, a dreuz hag a-enep gwin o u ha reizou an Iliz.
Ar Pab eo raeiàtr an Iiix den ne c lie ll
hen n a c b ; dre ze, ar c’Iiouarnamanchou hag a teli d ezbo reiza he stad
enn ho broiou a die en em glevout ganthan evel ma reont ga&t eur c’houarDaroant all pa o deuz eun affer bennak da
zirouestla g^nt-bao,
A dra zur. ar Pab n’eh deuz ket
srraeou, evel ar c’houarnamauchou
ordinai. N'euz iors, gouarnamant ebed
ne gont kement a aujidi, na test, ha
m'en deuz-bea a vogale doujuz.
Setu pérak ne zisplij ket d ar c’bouarnamanebou all. zoken protestant evel
bini ar Stadou-Uaaaet euz an Amerik,
eu em glevout gmt-han pa o deuz
ezomm d'hen ober, egiz ma reazNapoleon he-unàn. Pc ra k n e fell ket d boc'Ù
ober evél-d-ho f
Respont a rit ne c'hellit ket piega
dirag ar Pab. Ezomm ebod da bl<?ga
dira-z-lnn, muioc’h e»>cd ne rraz Napoleon pe Prczidant ar Staiou-Unanet, pe
c'hoaz Prezidant ar Bresil. Ha pa o peuz
eun dra bennag da zibuna etre ar Frans
hag eur rouantelez all, ne lavarit ket:
« Ne c'hellomp ket klask en em glevout
gant ar rouautelez-ze, kement-se a ve
piega dira-z-U. » Nan, ne lavarit ket
evel-se. Lavarout a rit : « Ni a gaoieo,
ni a zivizo, hag en em ^levo. »
Evel-se ivez e tleac'h beza graet ekenver an Iliz, ma kredac’h o poa eun
dra bennak da Jench or reiz koz. Ha
padal o peuz kavet gwelloc'h lsmet
madou ho ilizou digant katolikcd ar
F ra n i, hep faot ebed euz ho ferz ; ha var
ar marc'had e karfac'h ho gwelout o
piega da eul lezenn kontrol-beo da reoienn an Iliz. Ne c'hellomp ket ben ober,
dre eno e teufemp da vezs chi3inatiked.
Ac'hano an anken a welit er vro, hag
a bado keit ha ma ne zistrooc'h ket enn
hent eeun, oc'h en em glevout gant ar
Pab, an bini hebken en deuz da welout
ha da lavarout peur e c'hellomp heuilla
reizou graet evit an Iliz gant gou3rnamanchou ar bed.
Salo e sonfe pelloc’h an heur-xe !
i
start enn be zivestter. ma r»t.u
tiot eun ite enep he çouca**.
A iitroooi. aa taro a ta illa i
v *ï
so tato
''éo>-ti
* fifosz var h« vestr ha? ar wech maa
d; le hen lazet, panefe m i teoat s d ir e a
C Di.
»
Seta %ta eur c hi baft^i vav'tsar. te
a he vestr daon tevez (ttoc htu cuz r e ik
Cbas evcl-se a dalv bo maga.
K .? ïr.
Ar vraa a vev kor,
' ljA t, hervet a lavare ",
tulinbo urer dobareut V ^e-n.r-kîchft n
Maoriac. en decz laiet unan b;.K c doa t.X)
vlonz... marexe.
E kr^ir eur v is te a n d iik tn a e t \sr he
barïad ed en doateucot ; l a pa la s to r n «
an bini en doa ;liet. e wclax eur c helo ¡ iu
eaa-dro d&e ;rof.d ; hag va.- ..r
e hefe big-ze e ieunt>». kemem ma : . l e
n . Chartrts année 17S9. »
M a r o e n n e n r c 'tio a r x tu . —- E';a
ttroun egz B irm in ib ìiu Bro-Z.oz, a aa , , t
aa wcl>.-t d is p ltg i cur p.-z-c boati U r * u ¿
eun dra b-»nn*g evel « B iii &i l.iardou >
tm icbans TEoo, unan euz ar c noarie.ien a
‘“'•'are hag a rae traou ken drot, m . ne
c helle an itroun cbu»tztn he ÿoualcu.
H» goulukoude e c'toariaz keu.ent ma
oe-hi mouget l
H a c h o n n t o p e n z d a v e > a kor. ? —
It neuze da |oum ita L ipe, ru- rarreziic
vi5n eut d-nartamaut Luir-,
Var an 270 den a zo eno. 7 o 1;nz o.!?¡)eni
80 vioaz, ta g 11 all r.uspecn 70.
Ha kavet e va kement ad er Finis!er
et a eur batrez ker bian ?
.M c k a u lk e r c n n t r a i n d ib o n u o t —
Ar mekanUer Gandemer, o vii ina eun
traia o vont euz Roxzonn da Ba-is, k i a
plgoet var karr a-- ¡fiaou da rl-av an
tammou pella to ito ^’h d'avi t.>u. X 'ta 'l re
zonjaz ket e ìoa enr pont da drenien. B j's
ar Dout ze a f ikaz d’er.han he li?rn. 1
An tommer a skol'az rak'al an traiu. ba
korf he gatnaiad a oe kaset da c hovte da
Gourvill, ar gar dosta, e departamaiit Eareet-t.oirc.
A tlip o « » * o m ie rle n sotid-.inied. — K .r
brii?»di“r sut an eizvt*i r -llait. ;
ded. e’.'z Verdun, en d>>tiz k!asi;e- aoipocsouni eun escadron a her. o te ulir eur puezonn e baizar zotibea : bogee, rr ea di>a
lakaet.
b« caffialaded, gant ar c hoaci,
«raok tanva ho xoiiV’ n. à fnì&z, e tu e
b*za eun d-a b?nn:l: f iti eut-ai.
aledisined a oc gatvet ba^ h :,skieri..i e
ì m € cya'iure de pat-.miuui « er ? u t'ju .
Ma ne v je ket bet tao|..t por-tou i a\v¿:o'a
enn-bl *’vit roi c hinez d'czhi, s^tu ma \efe
bei arnpoeiouuft SO dea eno.
Ar bilRadler tamallet a zo b c tp uoaiiie".
l,a«arour a rrer crear, antaol i« it . a .:ut
vet.ji ouz uuan cu: be g-nnlade l.
— E il letanant euz an A utric i, bauvet
!ïofricbt*’r. eu deoz k asktr, am pucicuui
dekkabiten tratjt tir m-me.s p,>e¿oun-zo. e
kear l.inz. Uuan aneibo a varj:.z ic ie o .
Hen-man a reaz he d.i;ted. evie d>a;r;
evit gel'out pi "ra t hunloc i o lavarout ;
vero ezomm kabiteued all me a vezj b,mvet ecz ar re genta.
Ha padal ema er prltoup. ha? evit peli
amrer, ma ne vez ket fuzUlet zoken.
M a d o u a a I l iz o u h.n jj a r o h o n soiilo u ti- k e u r. — k JusciiR tfcq'rsny uepartainaut Mauch, a oa bet galvet g in t ar
p r fet da zis'ilerla petra e fello d'or^aa
obi r gaat m alou an l'ic parr-a. A : c h-mseil a lavaraz ne c'b Jtileune. ket ba ne Vror.
le uuj morse tualoa lam^t gant ar re h i
c'htnnig d;gaut uo gwir f¿r.' becn.
Komseiiiou Cbatiilon ha N.drval, d pirtamaut Ardenn o deuz eraet kement su.
« A r madou-xe a giQiiiget d omp, cme-?t o d ar prclct, ue d-int r a d'hoc’b, ua
d’omo ui. Lszlt anezbo gant fo ferc'Uenn.
N'or bi-uz ezomm ebed snezUo. i>
Gwall-gaset a gleiz, gaat be vignouned koz, pa lavar c karfe digas ar peoc’h
er vro, ha kemeut all Kant darn eux ar
gatolikcd, ar m iniati’ Briaud a zehlant
koll he benn.
D ie ze o k ro d i e klaskfe va j ar Ileliiion ; Napoléon kenta ken nebeu 1 ue oa
ket nemeur douget evit-bi. Mogen, enn
üespet d’ai liamuiou e lezaz gant-hi Ita
d’ar re c lakoaz d’ezhi da c’houde, N a­
Ar Briand a respontaz o venli he
poléon a roaz d'ezhi galloud d'en era lezenn hag o klask r t i da gredi, evel
ievel e Frana euz ar stad reu?.eudik ma
nía c'hoarvez be wech ma i o rz aue 2 hi,
ca-lti kouezet e anizer ar Revolution
e oscile an Iliz plega brao d'eíhi.
vrax ; hag ar C honcordat a reaz a dia
E n n e ur echui, c reaz ar reket-ma, a
zur muloc’h a enor d'ezhan eg:d he oli
guz eur guut’orouz m i l l i g t t :
A r C ’h » f d a B r e s ta
vrezeliou : n'eut nemod an neneudiU tud
« E u u he ur a zono, eme-z-han d ’au
Gaelet a reomp die ama e klnnigar d'af
hag e ve ho llijadur neunvi er goad liag a
notr. G ayrau d, m:i klevoc h bo koustians
Ch>;f muioc'h a arc'haut epct na r. bougarfe lavarout ar o’bontrol.
a Fransisien o c'holoi lio koustians a
lenuer digar,than. Dre ze b m deuz bet
Ar Briand, m ’oarvad, a glaske hevegatoliked. >
leac'h da g!aakperng»ve.z kiunlget kement,
lep enor. llogen, eun lient dishevel e
ha dlspigoet ken n fb 'ut.
Da lavarout eo, eraichana, ne varkemeraz.
Ma c'hell ati dud klnnig a-c'bant d ar
c’hato ket ar Briand evit dougen lezenNapoléon en deyoe furnez aw alc’h
nou gwasoc’h c'hoaz eged re ar bloave- G hef. ez eo dre ma c'hounczont braolk ;
evit kompren ne c’helle reizaervad stad
ziou diveza-raa e.vit hor c harga a cha- greun ha cb-atal a ver,-ont mad. Perai? «
teuont d ar 0 hef elliac'h œoat da (tatui, au
ar ll-lijion er vro hep en em glevout
dennou ma ne fell ket d'omp en em 2 is- noter? Abalamonr ma oazoat petra ra «c
gaut he mestr, gant ar Pah : ar Briand
partia diouz ar Pab ?
C h e f gant ho aie bant, bug an notar no
bug he seurt o doa re a ourgouill, po re
Neuze, ar clialoni G ivraud a zavaz
lavarte k e t; paea rafe aa interest dezl'o,
a aoun da zisplijout d’ho miguouned
adarre he vouez, nerzusoc'h eged bis- n ttra k e n , hadre-ze den na c'hell sui vei.lt
di>akr, evit ober evel-d-hau.
he dammik d a iv e t da c'houzout d» be
koaz, evit lavavout:
Ha cetra a zo c'hoarvezet ? Evçl ma
leac he za. Ferag ne lakeont k e te rC ’Qali’se
i Nan, aotr. Briand, an heur-ze ne
oant aianaoudek e-kenver lezennou aa
d’épargue ? Abalamonr bo livret a zo leuu.
zono ket, lizians am beuz.
E i eur g ir, lUiauz o dtuz er fi htf.
Uix, ho lezebn, goude beza laer, a ?.o
• Fiziaus am beux ue vezimp biken
Brema, perag neo ket goest ar chef da
koütrol-beo da re au Iliz, er poentchou
kpndaonet da zibab etre senti ouz eul
b-esta da vuloc h a dud VN’eo ket mauk da
zoken ma sonje d'ezho marteze beza en lezonn euz eur bro pe dizenti ouz ar
velet
tud ezommeV. Peli ac'ba.o. Mes tu<l
cm ziskoueiet al laoska.
Pab divar-benn ar Relijion.
zo da geuta i o cri dont ket dont da o'bouDro xe, ar Fab a dleaz diskleria
» Ma tou goulskoude an beur ze, n'lior
lenn : ma ne c'houlennit ket, n ’o p z j ket.
d'ezho :
Ha d’an eli, tud zo hag a c'boulcn, iu ìs et»
sponto ket. Hon tadou koz a anavezaz
« Madou an douar o deux nebeud a
digas
gatttno bini da veza kred evitilo ;
eun amzer evel-se, ba gouzout a rit
bouez evit a n lliz katolik : anaout a ra
bogen,
ar C hef a rauk kaout eur o'brert
pegón statt e cboumjont enn lio lexenn
»barz («resta aro’bant. Pcrait ne gavor ket
ai* baourentez, n ’e deuz aoun ebed
enn despet da olí griader an tiranted.
kred?D aou dr.i zo kaoz: 1» nu dud ti lut
rao-z-hî. B iïe n avad ne roio lie aotre
» Gaut eras Doue, ni ivex, doujct
ket kristen beteg etrad ho c’Daloun, ùa
da lezennou hag a ra (ae var ar galloud
evel-d-ho d al lezennou n intket kontrol
dre ze ne dizont ket siiou r bo c<.¿a kemert
roct gant hor Zalver d’ar Pab lia d'an
d ’hor c’houstians, ni a ouezo herzel ouz
ha ma c'UeIJent ; ne ouz- nt ket. t o le? u ..c
Kskibien unanet g.ittt-han var an dud
ar re a glasliíe boa dougen da nac’h eun
garanter, bvasa lezen hor rc'ljioa ; 2- no
(Idei a zo flzlet ena-ho. »
ouzoDt ket Rouslo'h p 'g î'n ni.baut e ilsartikl bennas euz hor íeiz, — ar zentiIla g e leae'h an ouor a c’hortoze >-uz d ig e zd ’ar Pab e kement a zcll ouz ar
kiont pa zlnont evit ho ues.t : da rene.k-u
a bor/, lezenn an disparti, ar Briand ne
Relijion a zo unan anezho, — ba gou- ar C hef eo desM d'ar gsuseurted m,c'.t.-r
ar
c'hred. dr“ j omn oe dre s’<rl 1 : ¿uel.oo' i
glev nemed goaperez c u i kostez lie
zauv arm aro keuioc'h eged plega.
aa d i i n o (lesero taui » ir
vignouneddiza 'r', ha rebechou c houero
» E-kecver politil? hor bro, ar Pab a sklerljonact,
b. az aon.
euz kostez ar gatoliked en deuz enkre¿et,
lez gan-omp peb frankiz da zonj al evel
Erliu, pa finn ige r d'ar C h t m u ìoc a
hep digares n..g ezomm ebed.
ma karom p; mes evit a r p e ; a z-;ll ouz eget ua c to ile n n e v , a r C ü i f hag h t., a
la', Napoléon en cm ziskouezaz, e gwi- ar R eliiion hag an Iliz, hen eo hor
rauk refuz beprrd? Nap. D¡gcmeret.»c’h¿ 1
rionez, iu o c ’h potr eget-han.
m estr; hag ac'ban e c’hellau lavarout
kouis lavaiet h'rs pegemeut, var bou«/,
*
daou dra. D a genU, ar Ü beta c heli lakad,
d'ezhan
en
devezo
ato,
a
katoliked
ar
¥¥
var he livret Ga’sss d'Epa'gac beteg
Marteze eoonjeue oa ketkatoliked ar' F r á n , bugale doujuz ha kalo u n e k ! >
patreek mil lur: da v^ur a b:at e remo
*
Frana stag mad ouz ar Pab ? Marteze e
¥¥
servlch evolse. D'ait eli, ar Cfief a c'hell
krède ne zcllfe¿p Uct neuieur evit en
Impllja
aro’hant o sevel tiez e«lt an dervrA r Briand ne gavaz seurt da respont
em zispartia diout-han, evit bova hervez
zo u le n , mlcher<'urlt!i', etc. ; ho guerza, pe
d’ar c’homxou didroidoll-ze.
f.trml pe haot ir- e-mi, haater-vorrà eu
hor c'hix, dom dost egiz ar brotestanted ?
Mes n ’e ket rae co a gredfe e rafe evit euri ’heulen fOuel-mlkeal htiroc’h rg .t na
A nhlstor, p j ne (Thelle ket béxa he
8« he zonj da veza lealdoc’h, da glaBk
d a la n tl fà o t konditlon ma vezo ar fa:foi*, a dlee lavarout d'exban o rae eur rapari he fa ;tou.
monv perc'hen abenn eur 15, 20 25 b oa*
fazi, eur fazi bi'az. E vit kement-se.
Bezomp aoun kentoc’h ne glaskfe ober
benag; ar C hef a c’hell kemeret donar,
ezomm ebed da goll arazer o lenn peli re all grevusoc’h c'hoaz; ha dalc’homp
patkeler, foemieler b1h»ù, hap o rei evei
n’en doa : eun taol lagad var arazer ar
sonj eux he c’hourdrouz a zigwener.evit an tiez GOlr eb, t veto pipstou a bep
brotestnnted kenta a veto bet awalc'h
seutt d ober, hag aotreo i da gaout : traou
kaout muloc’h a norz da cnebi ouz he
evit hen dlfarla.- Enn deapet d'al lezen- genseurted abenn votadek miz mae
dleasoc'ù zo bet great.
noii laoikoc’h klnniget d’ar Fransislcn
6 . Trvm .
kenta.
gant. Calvin ha Luther, hon,tad(?u,koz a
i
C O B K N T IN .
randenn a zalc’haz stard d’ar Pab : eun
Mo a s p re v e n o a n uos le o id u ra , ao n»
l ’a b o n n e m e n t e x p ire le 1 « D E C E M ­
nebeud hebken, tud ha ne oant katollked
B R E , que d a n s Quehraes jo u r s n o b »
nemed a hano, en cm lezaz da veza
le u r forons p r é s e n te r , p a r le fa c te u r ,
touellet gant ar falz-ebeatcl-ze.
.*4
t< ane q u itta n c e de r é a b o n n e m e n t do
h wVi. , ¿14 ■
■i. ......... •
Petiaoz, a c’houlenuoc’h-üu, penaoz e
3 rranoR à la q u e lle n o u s les p r io n s
R I h a t a r o . — A u aotr. LafTorff, 60
c’hell c’ho.az ar Briand beva enn he fazi
r é s e rv e r bon s o e a e ll.
vloaz, Ubourar douar e Saiguelt, departagoudebezagw elet au.oll Eakibien hag
C eux q u i préféreraient r é g le r d ir e c ­
mant G e n , eu doa eur c u l lia g euu taro.
an cil veleicnotiskregl diou ^o ll danves
te m e n t le a r a b o n n e m e n t d e v r o n t n ou s
H ;u man a o» droug ; hogon, be vaitr ua
an ilizou kentûo'h eged dlgemerout he
(elle ket d'ezhan he werxa, ¿balamom' ma
lezenn r
oa eul loau brao ba ma c'üouauze d’ezhan
Me a gred e oar e faziaz, peli 'zo.
arc'habt mad.
n d a tl
Hogeny evel1m ’en deux oürgouill, kalz
Eun dez, ettu an taro ha Milla var üafforgv d u journal.*
mutoe’n egsd a lealded, e talc’ao da Raktal ar c’hl a zlredat hag a grogaz ken | T o ute d e m a n d e de c h a n K « n ie n t d»a-
achaim ar Ia&aankiz
K E L iB IE R
en
d re s s e — fa lte à iute a n t r e épo qu e
a e l'é e h é a n c e d e l ’a b o n n e m e n t o it ê tr e a e e o m p a r a é e d e l ’n n e dee
d e r n iè r e » b a n d e e d u j o u r n a l e t de
3 0 c e n tim e s e n tim b re s - p e s té .
3
Pourquoi od combat
llcole laïque!
Vous ce le lavei pas, chers lecteura?
Je vais vous le dire, en m'appuyant sur
quslques-uoes des révélations trouvées
ntt)« un Journal looal, organe de la Science
Universelle.
Il n aime pas la méthode »colisiMiiquo ;
I' prend la p-lne d'en préfenir ses lecteurs;
Il curait pu s'en dispenser. Ne la cherohez
doue pus au oours de ses réflexions.
« En principe, dlt-ll (c'eut ainsi qu'il
commence), l‘>'duca.Hon de l’individu est
homogino et proportionnelle à l’état do
l’tspèoe »...
Vous no saisissez pas bien? Mol non
plus. Mais panions, l'auteur s’échauffera
peu A peu.'
• L’ùducntion... c’est la concentration
dam l Ame du jeune homme des rayons
qui partent do tous les points de la collec­
tivité. »
Pauvre Joano homma I Js comprends
mieux désormais que les nouveaux progintumeu ucolaires aient prévu on q ja it
a'tioure de récréation entro 8 heures et
ousie tteuics, ainsi qu’a trolo heures. Com­
ment, sans cette précaution, 1flme du Jeune
homioo aurUt-elio pu résister à pareille
concentration ?
« Jl eut rfuicinnt. continue l'auteur, que
i'iMiiculion occlést'nitliijufl n’a pas prrfcudmont pour but do remplir ce programme. »
Non, non I c'est entendu, t t merol de le
dlro.
,
« L’Eglise, par exmpla, ne se mele pas
du t'avait manuel. Fi ! C’ost bon pour le
îisupie grossier façonné par (a laïque. *
Votre par exemple est une trouvaille.
FI I donc, a votre tour. NI Jésus, ni Marie,
ni Joseph, ne bs sont Jamais mélés du tra­
vail manuel I L'histoire avait affirmé le
contraire Jusqu’Ici j ma's Je soupçonne fort
l'hlatolre de h« rapproober beaucoup de la
philosophie (celle dont vous parlez) : « La
philosophie, partout où elle se montre, est
le mouvement, nous ne titrons pas anti­
religieux, mais extra-religieux de l'esprit, »
Quelle gymnastique de mots I Ainsi on
est-il également sans doute de l'histoire Y
Ou ne nous l'a pas encore dit : ce sera pour
une prochaine fols.
E q attendant, ou se csntentn d’écarter
du pied tout c i qui, en histoire, n'a pan été
au moins extra-reilgltux.
Arrière donc les religieux qui auralont
poussé l'inconvenance Jusqu’à sa mêler du
travail manuel.
, v
„
Arrière, llo s'l tut des frères de Plcërmel,
•tout l'un d’es membres, le tiù e Abel,
:
’
une réputation méritée par sa
comoétenoo <»“ • >•« <taeitloaa
culture.
Arrié e, l'école des i « *
Homut, dirigée récemment p .. a,eV,w.||
des li ¡oles chrétiennes ¡ arrière, le».?-*»
sr.mout de Salut-Joseph k Nautes ; arrière,
l'nteiler de mécaniciens toaotionpaiit a
l'Ecole libre de la rue l.annouron, a Bre»t¡
arrière. l’Ecole libre de Kerlnon, aveu son
c.onrs do mécaniciens; arrière, ,1 «noten
Likòs (li Qulmper, préparant ft la fols a
l’écol» dus mécaniciens, & l’agrloulture, au
commeroe.
.
Arriè-e les écoles d’agriculture de notre
riîcion. dirigées l'une p*r l’abbé Plauté, à
Ilerr'CDont; l’autre par un autre pi ótre, k
Saint [V»o (COtes-du-Nori).
Voli» po'tr notre région.
S H a'agi»«a:t de donner une simple énu
mérail-m des écoles professionnellesdues
aux Frères,nousu’aurlons pas liai: IEcole
d'agricolture de Longsyon (Heurthe-etM oieiio ¡ le» cours d'agncultare des Pen­
sionnats de Bézlers ; de la lloohe-sur-Yon
et de üismur, avec sa ferme école ; locoie
d'horticulture d’Igoy («00 prix à divers coucour») ; UüStltut agricole
placé flous le patronage de la Société de*
Agriculteurs de France ot courounée à
l'exposition de 1900 par une médaille d or.
Vocm voyox «’tí quo déviant votre par
exemple : « L’Eglise, par exemple, ne se
mille pas du travail manuel, * Je vous al
prouvé, J« c ois, un peu la contraire par des
exemples. Ko Je n’ul parlé que de t'enstigatm -utprufauslonnoi agricole. Les l'ières
avalent aussi des é ab'.lssomcnts kpiclnux
cnil réalisaient la pié.iaratlon aux c«r'lères
comm'sicl tics «neo les trois degrés de l'on
geignement, — primaire, secondaire, siipî
................... ....
rieur.
I s ,ivalent enfin (1rs écoles industrielles
A Sulnt-Cüamond. A Roanne, a Salnt-Omer,
a ruva de Ciler. à Gummentry, 4 Fourcham
bault... où encore?
Aussi le Dictionnaire de Pédagogie de
M. Boisson ( Isez bltn, M. Lin»), de M. Buisaoa dit a soa tour : « VotIA bion, oommont
ne pus le confesser, le point de départ de
l enseignement primaire supérieur et le
premier dessein de l’enseignement secon­
daire spécial. »
E". M. Oistave L ì lion directeur de la
Bibliothèque de Philosophie scientifique
(an titre qui vous ira, colui-iA), écrit & son
tour:
• Les Fràres onl montré (ouf le parft nue
l'on peut tirer desprogrammes [ ie i Etai] et
justifié une de mes assertions fondamen­
tales. à sauoirque ce ne soni pus les pro­
grammes, mais les professeurs qu’il fau­
drait pouvoir changer. •
Je dédie ces quelques mots A M. Lina,
auteur de l’artlcie queje cite, s'il est dans
l'enseignement; sluon, J'Inviterais M. Donmergue, ministre de l'instruction publique,
a les méditer * loisir. Jamais il n'a été si
o n c'u an t pour ses programmas scalaires
de 1902.
De plus, ces Igaorantlns sont des êtres
lnoompréaeasinleii Au lieu de puiser à
pleines malus dius le budget de l'Btat, Us
ont la fantaisie de le mô'er du travail
manuel, sans réclamer un céntimo au bud­
get al bien équilibré de leur p*y* : volU le
cléricalisme ea action, volU ta philosophie
de l'Egllie I
Aussi, il n'y a qu’une réponse à cette
question po iéj p u l'auteur de l'artlole que
Je parcours :
Qu’a fait l'EjtHte en phüoiophie ? —
« Rien •, évidemment, et 11 l'enregistre asm
hésiter.
« La scolastique, ajoute-t il, si fameuse
U'grel l'armure, en elTdt, devait être de
bonue trempe, pulfqae maniée l'autre Jour
encore à la tribune par M. l'abbé Oayraud,
elle a remporté an détriment du aéputé
Uerteaux une victoire de p'us I
• L'Ejlite a toujours combattu, p«r*é«uM
la science... »
Les p euves abondent; ami licteur, on
vous les énumérera .. plus tard. En atten­
dant, pour ue citar qu un nom, l'illustre
inventeur de la télégraphie sans fil, le pro­
fesseur Uranly continuera de Jouir. A l'Iostltut catholique de Paris, de W blenvellitnce et do festlme des représentants de
cette E dise, persénntrloe de la soline».
• En ce qui concerne les arts, la répu­
gnance de t’Eglise est plu» forte encore ..
Ella n toujours t>u dans la peintura et la
statuaire des auxiliaires du drfmon. »
OU I oui, vouez-vous la face, contempo­
rains d’une époque connue sous le nom de
siieie de Léon X ! Oelui-ol fut pape, ami t t
promoteur datons le« ai^s. Tout le monde
te sait ; mais qu Importe ? Présenter 1Eglise
comme ennemie des arts ¡ « c'est bou pour
iè peuple grossier fiÇ’JDOé par la laïque. >
Cette science est de uatureA le dégrossir I
Qu’Importe
quedeiadvtrittreide.l
Eglise,
„
8<
IUcomme
Snlomon Raloach, par exemple,
enregistre des a<reux comme ceux ol t
* La société du moyen Age doit beaucoup
l VEiilse. Le mer, c'est taire un mlraole de
SA dU'é '1 ,,
D J i JUlen proposait ses ouvres charl*
Vab> 3» eu exemple aux païens.
i t h iu i .
irf
S É N AT
U N D IS C O U R S D E M , F O R T IN
Ainsi que nous l’avons aunoncé la
semaine lem lèro, M. Fortin, sénatiur du
Finlutèro a prononcé au Sénat un discours
sur la question des retraites ouvrières.
Nous en donnons aujourd’hui le texto
in-extenso. Nos lecteurs le liront avec
iutétêt, car l'honorable sénateur a pris
pour base de son argumentation, une étude
attentive des conditions économiques de
notre région. M. Portiu, comme trop de
scs collègues, n'est pas de ceux qui veulent
iégllé. er pour le royaume 4cb nuages...
Meaitours, oomme to u i loa orateurs qui m’ont
précédé a oette tribune, Je suis un partlm n absolu
dos retraite« ouvrière». Mon oplofuu n ’u fumai»
varié m r oe point '; elle a persisté surtout d la
aullo d'une oonveraatjon que J'eus 11 y a vingt
ans avoo tin ouvrier typographe do lu ? !!!: ■!;
tlreit et qui ae termina par un mot qui me Irappn
étrangement et que je vbus demandé lu permis­
sion de vous répéter.
Quelques «mis et m ol venions de fonder une
looieié unonyuio puur l'exploitation d'une petite
Industrie dans lu ville de Uroet. Lors de lu ditousslon des statuts, j'eus l'heureux avantage do
falto déoldor par les uollonuatros, qu'ttno fols los
tr<i|s généraux p ijé s , uno (ils la réserve lé­
gale dotéo ol 10 capital social rémunéré do lagon
lu e , A raison do 6 p. 100, le surplus, ni surplus 11
j avait, soralt considéré commu benedoe net et
purtaRé, moitié uux actionnaires, moitié aux om
ploves ot ouvriers.
C’était la participation des ouvriers aux béné­
fices.
Commo blon voui pensez, ontte Innovation fut
du goét de» ouvriers, ot l’uu d'eux vint mo trou
ver pour me remorolpr nu nom da tous.
A p'ès les remeroloments d ’uiaga, ont ouvrier
ma d it : « La participation aux bé n in :«*, c’ost
cboio évidemment morvellicuse, m alselle rettora,
pour ainsi dire, cbo<e «xuoiillonnolle ponr nous ;
aussi ledola vptis dire que, d ms le monde ouvrier,
oe que nous voulons p.r-dersus tout, ce quo nous
entendons ob.enlr nuis! vile que possible, o'est la
consllteilon le s rolrultes ouvrlé es qu’on nous
promet depuis de nombreuses uunéei et q ui ne
viennent Jaeijls. Il ajoutait : Je suis marié, pére
de olnq enfants ; la vie matérielle a n.-est est très
chè:o ; los loyers sont également tr£>< obers ot,
bien quo j'np.iarilonue A une oorporalton cû les
salaires sont relativement plutôt elevés, u’esitout
juste i l J’arrlva é nouer les doux bouts de l’eouOe.
Mos enfants g ra nd lio nt; lia se marieront ; Us t u
ront, eux au.'si des charges de famille et Ils soront duus lu mémo situation que mal-méme, c'estA-dlre qu’ils parviendront «usai dlfildloment que
mol a subvenir A leurs besoin», SI bleu que,
lorsque ('arriverai A la vieillesse, Je ne ppurral
pas . orapter sur le concours do mes enfants et
que Je snrul ob lgé de travailler jusqu'e mon dernlor loufllo envers et contre tous. Je suis, ajoutaitIl — o'e»t borilble quand J'; ponse, un ooudamné
aux travaux forcés i porpeiuUé I »
Vollft, messieurs, le mot quo Je voulais vous
taire ooonultre.
Jih bien, nous allons tous voter une loi grâce A
laquelle, déiormals, aucuu ouvrlor ne pourra plus
tenir un pareil langage.
Mais II nn suffit pan de vpler une loi, Il faut
enooie ««'elle suit iccepinble, qu'elle sqlt accep­
tée par fe monde ouvrier ; faute de quoi, peu Imo' le que voue mettiez en U s du prog'amm e
ob Igatlon ou la liberté des versements. — si
l ’ouvrier n'y trouve pas nn avantage réel et cer­
tain, oette loi deviendra Infailliblement lettre morte.
l/ponom ble M. Llptllljao n#us « dit que, pen­
dant aat éU . Il *valt parcouru les oem plgne» de
sa région et qu« l»s ouvriers agricoles consldéranent comme uue retraite suflliaute la
modeste somme de 3(i0 Ir, proposé* p»r noire
commission.
L'honorable M. Rlbot, en oe qui oonoerne les
ouvriers des villes, s’est montre, lut, beaucoup
moins afllrmullf; 11 a m is en doute que la somme
proposée oomme retraite ouvrière rat su disante,
et li vous u parlé du chlfTie désirable de 305 fr.
par an.
Mais quelle est doue l'opinion de l'ouvrier des
villes en la matière — ear Jusqu'lot je ne eache
pas qu'aucun de nos ootlègues soit venu apporter
a la irlbuns l'opinion des ouvriers consultés sur
U question.
OrAjs, messieurs, t la blenvelllanoe de l'honorablo M.Pessard, bienveillance appréciée de nous
tous, J'avais pu, dès le principe, obtenir la solu­
tion du pioblème, telle qu'elle était proposée par
la commission des retraites ouvrières. J'eus l'idée
de réunir à Diest euvlron (00 ouvriers, et Je leur
ex posai, dans un* causerie tl As si m pie, les grandes
lianes du projst qui allutt vealr en disousslon.
T ou t d'abord, je leur parlai de la retraite A
soixante-cinq ans leur disant que la nécessité de
leouter la letralte t cet égo était basée sur les
nécessités financières ; et l'un d'eux da me ré­
pondre ! s A solxnnte-olaq ans, nous serons tous
morts I »
Je lui fia obierver que, d’après nos etatlstlques
10 pour 100 des ouvifers survivent enoore A soi­
xante olnq ans, soit un ouvrier sur o liq , *t qu'il
y avait malgré tout. Intérêt à eocopter U discus­
sion de la loi des retraitas ouvrières, mêmes d în a
oes oondlilons.
Puis, Je U ur expliquai an quoi oonalatalt la triple
versement : v*rs*m*nt da l'ouvrlar, 0 fr. l'an, ver­
sement patronal, 9 fr. l'an, et e n fh , majoration
ar l'Btat des sommes produites, à concurrence
a «o tr. au maximum.
Gomma Je voulais leur faire touoher du doigt la
résultat m im a da l'opération et que J'avais l’heureuse fortune de posséder dans la salle un tableau
nour. Je Se sur oe tableau le oaluul des sommés
produites par oe tripla versement. Bt J'arrivai au
résultat exposé par la commisstQo, au chiffra ds
W fr. pour 1« retraite o n n u ü ls ,
8
...A l'époque où i» société se divisait en
eûtes, oh il y avait des nobles, des vilains
..il
AU
P
autrefois et ai oubliés, est sortie tout armée
des livres d'Ariatote. •
lt\l.|!
et des serfi, elle maintint le principe de
l'égalité des nommes devant Dley. L'Eglise
fut le refuge des capacités. > '(ReluucU :
Oipheus, p. 319).,.
TV*
Talne, Llttré, tant d'autrsi, ne parlent
pas autrement, bien qu'ils n'appartiennent
guère, que le sache, * oes gens suffoqués
par • la méthode de mortification et d'oralson », obère aux cléricaux.
» Oe Reluach ne connaît rien &<l’é lucatlon
eocléilastlque. »
Vite, réparons en lui cette lacune. Et le
professeur d’écrire :
« Elle a pour objet : i* l’enseignement du
culte... •
Pardon, répliquera le dernier venu, aux
cours d’instruction religieuse, préparatoire
A la première communion ; le catéchisme
qu'on mo fait apprendre est ainsi divisé :
1* la doctrine ; 2° la morale ; 3° le culte.
Mais noire théologien en redingote ne
s’arrête pas pour si peu ; Il continue :
« L’éducation ecclésiastique a pow objet :
2“ L’accommodation à l’esprit de l’Egtiso
des études profanes. •
Pardon, B'écrle de nouveau l’enfant : la
géométrie dont Je me sers est celle qu'ont
entre les mains les élèves de l'école pu­
blique de ma commune. »
SatltUit de sa démonstration, le mrltre
conclut:.
« Et UOiU pourquoi les dudques, aidés de
leurs ourâi, se font u n p iu partout les persé­
cuteurs de l'enseignement iafquo »
Hein ? que pensez-voui de cette argu­
mentation philosophique ? N’est-ce pas que
la ac ilaatlque est éreintée dans les grands
prix ? Eh I bien, pas complètument encore :
il lui reste un dernier souffle. Mais attendez ;
cetto fols, c'est 1« lutte finale...
Il icbtü un dernier pavé...
Mais oui : l’HIstolre du Père Lorlqaet I
« Quand on a connu l Histoire <iu Père
Loriquet l'indignation do nos cliric&ux
prête à lira. »
Oui, et la vôtre pifite k... pleurer, comme
dirait Beaumarchais.
Uelcsulte, écrit Louis Madelin, vers la
date du 27 novembre 19( 9. aurait Imprimé
en Juillet 1814 que le «marquis de Buocaputo, UeutmiHnt général des armées du
roi Louis X V III, » avait pour son compte
gagné quelques batailles.
Le 8 mai 1814, A la Ohambre dea Pairs,
répondant à M. Passy, Montalembert dé­
clara que « cette falslti nation stupide de
l’histoire n‘a Jamais exUté. »
Le J mrnataes Débats m t 30.000 francs A
la dltpr sillon de la première personne qui
rapporterait un exemplaire do la fameuse
ILstolre (Il y on avau 100 000 en circula­
tion) : personne ne se piéseuia.
M. Ularetle, en 1904, aboutit aux mêmes
conclusions,
Je préviens Paul Lina, qui a signé l’ar­
ticle que Je commente, de p"nser aux
30 000 francs. Cotte fols les rieurs seront de
son cûté ot la fortune aussi I
Par la même occision, il voudra bien
nous souffler a l’oreille ie nom de « l’éciivatn catholique » dont 11 donne le pro­
gramme A la lin de son étude. Beralt ce
Voltairo ?
U q peu de lumière, ail vous pltit, ou
garo A l'ombre do l<'lorian, A La Lanterno...
magique I
A. CarniU sk .
‘fl
SJl
. -
Ce fut, dans tonte la sallo, un rire prolongé ;
le nord du Finistère où la pêche:ne se tait pss de
du vapeur anglais Congress, allant de Caret, quund Je voulue m ’en expliquer la nuturo, Jn
M. le député remercie l’auembiée dea
la même façon.
diff A Brest.
m ’aperçus qu’il était Iroulquo et moaueur. lit
marques de sympathie qu’elle lui témoigne
J'a i dit (ju'll n’y avait IA que deux ou trole
Immédiatement un ouvrier l a me dira: « Monsieur,
Suivant
ce
marin,
le
capitaine
et
les
et déclaie la séance ouverte.
hommes par bateau. Ile se livrent A la pêche à la
vous êtes venu Ici pour nous parler des retraites
quinze nommes de l’équipage auraient péri
ligne pendant 1hiver ; pendant l'été, lie font la
La parole est ensuite donnée à IL Carrai
ouvrières ; oe que vous proposes ae n ’est pas la
pendant la tempête.
f™fhe an oasler, c’est-à-dire qu'ils péekent la
qui d une voix sonore et en termes he are u
retraite : qui dit retraite d it possibilité de vlvr*
langouste et le homard.
Des
navires
se
rendant
de
Pont-l'Abbé
développe
le thème de circonstance :
aans travailler A un moment donné ; or, ce n'est
J al, dans ma commune, un port de pêche où II
en Angleterre ont dû relâcher à Lcer.udy.
p u aveo 240 fr. psr an que nous pourrons rester
L’Ecoie. le Oi oit et le Devoir des Parents.
1
“ “ y'ron cinquante ou eolxonle bateaux.
Le
canot
Marguerite,
patron
Jean
Tréeans travailler. SI sous devons être obligés do
M. Vitllers, après un éloge mérité an
. P .?*î en ,ac® d'O ueisant, dans des parages tout
bern. de Loctudy, qui rentrait de la pêche, jaune conférencier breton, expose briève­
travailler jusqu'au dernier Jour, noue ne voulons
A fait dangereux, où les bateaux ne peuvent sortir
pas de votre fol ? »
chavira.
Les
t'ois
Hommes
qui
le
montait
que rurement entre deux graine, entre deux temment l'importance capitale qu'ont les
Alors, Je leur parlai des versements facultatifs,
auraient péri sads l’arrivée du canot Saint- pères et les mères de f smllie de se grouper
t.âles, notamment p e n d a it l’hiver. Les hommes
grt-ie auxquels ils pourraient majorer leur pen­
Antoine, qui s’éiait aussitôt porté a leur pour la sauvegarde de ce qu’ils ont de p;u*
■misent par gagner, dans cee oondltlone, 400 fr.
sion ; et l'on me répondit : < Voae savez que,
secours.
toucher*
maximum de ce qu'ils peuvent
cher au monde : l'îme de leurs enfants.
dans notre pays, l'ouvrier ne conserve pas d’& ritnt
entro ses mains al facilement qao cola, qu'il ne
Il donne eusoi.e, avec commentaires,
.
<*e.> Pêcheurs dont le salaire annuel varie
consentira Jamale A ajouter un versement facul­
lecture des statuts qui suscitent quelque
de 150 tr. a 4C0 fr., et qel se constituent tous les
tatif A un premier versement obligatoire. Il fant
discussion et, finalement, reçoivent i appro­
w i i . P* £ ,? V
A ■* marine, une retrait*
que uous nous en tenions au versement certalu et
bation géi.érale.
q u ll* touchent A lAga de clnquaate ans, avec
réel. C'est dono au moysn du seul versement o bli­
vingt-cinq ans l e servlcee. Ils veraint annualleL’assemblée élit le conseil d’admlDlstragatoire qae nous pourrons constituer notre reB
R
E
S
T
ment 9 fr. A la caisse des Invalide» et 4 fr. 60 A la
tlon qui choisit comme président M. D om i­
trslte. »
calsie de prévoyance, au total. 13 fr. 60 pour l’ob.
L e S ac ré - C œ u r de J é s n s de Q n lm p e r
nique Le Bot, et constltae te s bure»n.
J'a lla i enoore plus loin dans mes explications,
t ont Ion de le u r retraite. O r, q i a n d u d hom m e n u l
désireux de faire revonlr mes auditeurs sur leur
La séance, qui avait commencé k 2 heures,
Deux requêtes étaient soumises samedi,
gagne 400 fr., peut tou» le« eus arriver a f„iro
mauvaise Impression première et Je leur dis
se te r m in a i 4 heures, a p è s avoir atteint
sou versement d* 13 fr, 50 — et la marine ne
au conseil d'Etat, par la congrégation
« Voyons, en quarante-cinq ans, vous aurez
|
objet
qu elle sepropoiait : constituer pour
citera pas de cas où le voreement n’aat pas effecautorisée des filles de la retraite, dite du
versé, A S francs par an, 170 fr. Or, considérée
.,1 “ .Pourquoi voulaz-vous qae l ’ouvrlar des
le canton de Daoulas. une association décla­
Sacré-Cœur de Jésus, de a jim o e r. contre
dono l'avantage énorme que vous aurez, maigre
vil es ot dos csmpaane», qui gagne davantaga —
rée de pères de familles en vue de m»lntout, puisque, dès la première année de votre
un arrêté en date du 18 Juid 1907 par
p a i r i e nos Journaliers, je vous le déclare, uateulr dans 1 écol*, la neutralité religieuse,
retraite, vous toucherez 240 ou 260 fr., c’est-Aleqael le ministre de ilu lé rle u r prononça
gneni 2 fr. par jour et travaillent environ trois
dire le muntant mémo de vos versements. »
le culte du patriotisme, le respect des ins­
la fermeture des établissements de la lte
cents Jours, ce qal fait 600 fr. par an —■no pulsae
Ils ne voulurent rien entendre et so réunirent
titutions et traditions nationales.
pas ver»er 12 fr. par nn 7
congrégation, sis a Brest et à Lesueveu.
en dlITerents groupes pour y discuter de lourM. Euoknb L ik tilh a c . Le prix moyen dae »aLes deux requêtes, étant formulées par
Wo,f,a-— La conférence donnée à Daovlts
lutéréts. Je m appt ochai do ces groupes et pars
lalre» agricole» duna le centre est de 450 fr. oar
la même congrégation contre un même
par M. Carret va être publiée en broehure
tout ce fut le môme refrain : « Nous ne voulons
an, nourriture non comprise.
arrête,
ont
été
fondues
eu
une
aeuie
par
le
pas de votre loi comprise de cetto lagon, parce
Les personnes qui voudraient la rep&ndre.
M . FoivriN. Aujourd hul, vous ue trouverez pao
conseil d 'Ita t qui a annulé, pour excès de
qu'elle ue noue donno pua la possibilité de vivre
sont priées d en aviser sms retard le. Courun domestique da ferme d’une réelle valeur qal,
sans rien faire ; nous voilons, à soixante-cinq ans,
pouvoir, l’arrêté ministériel en tant qu’il a
Mer ou FinWtèr«, en indiquant le nombre
avoir au m inim um los 365 fr. qui nous sont néces­
vaut bleu 1*0 1°*
Pa‘ 5° ' fr' S ï ,o u rrU “ re
prononcé la fcrm iture totale des établisse­ d exemplaires i leur retenir.
saires pour vivre. »
ments de Brest et l e Ltsueven.
M. EcoftNn L in t ilba c . C ’est ce que Je dis.
Et tou|ours Ils terminaient ces conversations
G o lp a v a s
M . F o r t i n . Q u a n t a ux ouvrier* a g ric o le ! n on
Les établissements, véritables maisons
par cet éternel r*frnln : « N o u i ne serons contente
Un fauss&lra. — ]_,0 ulounal correctionnel
n o u r r it c h i z B o u t, lia touchen t certainem e nt S ir.
de
retraite pour les habitants des villes et
que quand vous nous proposerez 305 fr., c'est-Aae tiresi,
aa derulè.e audience, a Jugé
p a r Jour et so foot environ 000 tr. p a r a n .
campagnes voisines, ont le csraclère m;x*.e
dlre 1 fr. par Jour, o
l’affaire aulvarite :
m . DR L i m a r k b l l g . Les J o u r o a lltr i ?
et ne tombent pas soui le coup de la loi du
Messieurs, devous-nous faire nos efforts pour
Cioulven Lo Verge, 44 ana, garçon da fsrmo à
M. FORTIN. Lee journalière gagnent % fr. par
lonuer satisfaction 4 ces ouvilsrs, dons la mosure
7 Juillet 4904.
Ka louau, a.aii trouvé un truc vraiment IngéJour, dani» tout le nord du Finistère.
qui vient de vaas éire Indiquée par oux-mômes ?
Dans im p lic a tio n de la loi contre les
“ *u.z P"ar J® procurer de l'argent. Lorsqu'il
M . L b R a p p o r t i u r . M a li pas dana le M o rbihan .
Je dis que nous devons faire tout notro possible
était embauché par un patron, sous un prélîxto
congrégations, on procéda avec une bâte
M . F o r t i n . Je «u ^ p lln 4ouc la com m ission de
pour arriver A leur donner co m inim um q u ’ils
quelconque, U Maalt «npoaer i» Mgnatnre de «
revenir sur le cklffre ie 6 fr. q u ’elle a a do pté et
injurieuse,
en
commettant
d'énoimes
d*inis
entendent obtonlr et qui leur est incontestable­
de le porter Im m é diatem e nt à i l ir. J e aep p lle i l .
,ur V? ,PaP er-f “'» Le Vorge rempllassit
de justice. Les v ljilm es protestaient, m ils
ment nécessaire pour vivre dans leurs vieux jours
la feuille qu il libellait ainsi ■
le m in istre de trav a il d ’Iaterveolr et ie reprendre
les liquidateurs qui s'étalent jetés sur leurs
sans se livrer a aucun travail.
a Je reconnaisi devoir A mon garçon la somma
son chiffre prlasltlf, q u i é ta it de 12 tr. L e S én a t
o* jvies comme des oiseaux ûe proie, n'en­
Co chiffre, noua pouvons l'attelndr* ; seulement,
fera a in s i umo loi q u i sera acceptée p a r le m onde
entrée
** P“1168 cbel mul lo Jour de son:
Il est nécessaire do blon établir un premier point,
tendaient que le bruit de l’or dont Ils rem­
d u trav a il, parce q ie celui-ci verra que U letralte
o'ost qu'il n’est pas posslblo deréolamer au patron
Bien entendu, lorsque Le Verge présentai«
plissaient leur* poches et celles des r"inf a o n la i p*opos* art suffîinn te. Q c « voua accepplus que ne demande actuellement le projet sou­
liez I obligation ou la liberté, aoyaz blon convolnoîilfi t®C0DD“1,l**n,c», Il T avait contestation ; oo
plioes. Comme l'a dit Coubes lul-mêae,
mis A notre examun, soit 9 fr. pur an ot par
allait devait le Juge de paix, qui ne pouvait
fl “ * ‘’ouvrier qui verra une retraite
l'appllcatioj de la loi devint une ceuvie de
ouvrier. C * chiffre, pour lu petite Industrie, n'aura
qu engager le Bl^Di.talre à acquitter sa dat* « Le
de 400 fr A toutner A solxante-cltq ans sera le
banditisme.
pas uno Influence bien considérable ; m a li, dans
premier A faire ans ver»ements.
o ï«.a tU
o,: lt deux Y 9: U Waiiioux, CnlUVAteurà
L'ariêt du conseil d’Etafqne nous citons
la grande lndustrln, au contraire, où le même
Gulpavaa, paya alDsI 70 francs qu’Une devait
SI ce principe ost admis, Je sols oonvalnau que
est un des rares arrêis qui ait tempéré
patron peut employer plusieurs centaines d'ou­
pas et M. o .b r W . à Pl«umof uer, *7 fr e) A la
la discussion de la loi se fera très p r o m p te a n t ;
vriers, lu chargo sora relativement assez Impor­
l’audace de ceux qui ont été voués au m i
trois èai« leata'lve, l'escroque, M. Qulstlnlc d*
chacun doi articles ne donnera pas lien A de
tante.
pris public par celui qol déclara une guerre
«e fâ'-ha ef porta ¿l.Tnt» .a .b u’, U
grosses discussions, et lorsque nous arriverons
Eu oe qui conoerne la participation de l'Etat, 11
blanc-selog.
Le Verge, qui a déJA subi trois connu dernier article, lorienie nous aurons voté coite
acharnée aux congrégations.
est évident que nous no pouvons pas la majorer
loi attendue du monde ouvrier, nous aurons cons­
moUrdo
'pris
onî
aU“‘P'’ U“9 <'aatrl*“ « *
davantage. Nous savons, par les explications qui
cience d'avoir accompli notre dovolr ot nous
nous out été fournies, quo lu subvention de l'Etat
R f ll lg la n a e * p o a r s a lv la e
pourrons dire que nous aurons fait csuvre de saL and erseai
aux caisses dos retrultre ouvrières variera entre
Ainsi que nous l'avons dit, dans notre dernier
gessa et de Jaatlce sociale. (A p p ls u ils ie m e n ls
100 et 130 millions, nt H . le ministre des flonncei
T amponn*m*nt. - M ocanU len tué. i
numéro, sept roilRleuses du Salnl-Bs^-rlt, du
sur u n grand nomftro de bancs.;
n'ignore pas les difficultés avec lesquelles 11 est
Gonquet, et trois rellgleises de la Bsgesse, de
Ï!
10
‘un train
Il faut croire que le lansa^e si sensé du
déjà aux prises lorsqu’il s’agit d’obtenir que les
Balnt-Plerre-Qullblgaon, étalent poursuivies de­
dêL“
ea’ e , ° Péralt UD8 “ ■ « * " « « « £
80 millions néceualres i l'equlllbro du budget
sénateur Fortin a produit Impression sur le vant le tribunal correctionnel.
solont vo'és sous forme d'InuOts quelconques.
„ ^ “ 2* “ ornent arrivait |uslo l'expr«ss de NanU»
ministre du Travail, qal a compris enfin
Le Jugsment a été rendu vendredi dernier La
La contribution de l'Etat devant rsster flxéo au
qu’une retraite de 2(i» fr., même de 340 fr. place uous marque pour l’Iiuerllou in extenso
mont éUiMnévlUble1
TOte' Ua
maximum de G0 ir. par nn, Il ne reste donc plus
du
Jogsment
avue
tous
ses
considérants.
Les
1 an, était et ne poavalt ê*re qu’une retraite
Lo
qu'A se retourner du cô-.é do l’ouvrier.
attendus essaient do justifier la légalité qui
irli 1
I n c ì s i » vi au a “ d® marchandls9s com,de famine. Il vient ea rtfet de déposer un
prit
Le rapport de la commission fixe la cotisation
erî« »,
»
• íon cbl*nffour de «autor i
terre
<
nouveau projet gra:e auquel, tout en main­ Interdit aujourd'hui le dévouement ei la ch arlll
ouvrière a ti fr. par an. Eit-co 1A un'ch iffre s u f­
*
lul obélt- L ui, kérofauemsat
lorsque co dévouemm t et cette charité s'entre­
tenant le versement annuel de l'ouvrier i
UraJ.nnwPa
4
80U poste nour âfHuvAr nar un«
fisant 1
tiennent A la flamme de la fol.
nluvrIa
Ç??1? pour e,85Je’r par ànë’ mâ■I l’on veut obtenir une route de 3C5 fr., Il est
9 fr. t t le versemont patronal ¡t 9 fr., il
d
A
’
lt,'r
an ma.heur. Hais, taaéts
Oo eatlme «an» doute qae ce» vertns sont a u ­
Indispensable d’augmenter lu quotité de ce ver­
arrive, en capitalisait ces deux sem o*s et jourd’hui m onnaie»! coui^nte, q a ’ll est temps de
f,1 “ achln" tD arriéra, la locomotlva de
sement.
l
«xr>,
es»
1
enleva
de
sa
plate-forme
«t i* prol*ta.
rebuter ceux ou celle» qui les pratlaient. »an»
en renonçant à la répartition aanualle du
Contre dss wsgons.
J
I! eut, au roste, Mtperflu quo je mo llvro A cet
versempnt patronal, à donner A l’ouvrier 1autorisation du gouverLiment.
Ls
pauvre
mécanicien
lut
broyé.
égard 0 un oulcul spécial ; 11 me nnfllra dn me
Le» religieuse» de 8»lnt-Plerre Qullblgno»- ont
a?é de 65 ans, une retraite de 414 fr. 23, de
teporter au rapport dn l’honorable M. Ctivlnot,
Lb
heurt
du
tamponneaaani
avait
affilé
Vm
telle go,te q u i l’ouvrier qal aura versé élé condamnée» pour avoir tenu une g a r d '.i» d’i n . voyageurs qui descendirent précipitamment ds
premlèr* partie, p ig e 92, pour résoudre la ques­
u u . au m é .rls dé la loi », dit le ’jugement
pendant 45 ans 9 fr., soit une somme glo­ fs U
tion que nous uvons A trancher. Notro honorabl*
Jjnr*.wagons.
L«
train
des
voyagtura
n'arriva
à
»* loi qui fait asssnlr se b-nc dis prévenuea
rapportenr donn» trois oxemplea ; le troisième
bale de 405 fr., touchera dès la première
Brest qu » 2 h. S0 du matin. Pendant ce temps on
seul peut ie rapprocher du dislr exprl&è par les
,ôi*
lD*r"1
d>
recuslilalt
les
débris
sanglanto
d*
la
vlctltna
t
e
aanée de retraite une somme supérieure &
îîn n .r i l,
‘t.
’ ,D *
le* a‘ ire * puissent
devoir pour les transporter à l'hospice.
ouvrlor», puisqu’il ou résulte quo, pour un w s e tous ses versemfnts.
? r ,be,08,le el »sgner quoiqu’argent
ment de 11 tr., la pension acquise sora de 220 fr. 50
Lo mèoanlclen s’appelait Jullaa La Bail. Il
qui aug aap te le (a ln dn aaarl, cett« lut mérita
par la capitalisation, somme é laquelle 11 y a lieu
était né ü Lauderne.m, le J Janvier 18S9 T. lalsis
blan le a mépris s dont parait s’offutqt.er le réd ’a|onter, avec lu majoration de l’Btat de 60 lr.,
Sactaur du Jugement, lequel :
SMnt'Br'ieuc Un* nUeU* d* D**f
l’allocation viagère provenant d«a versements
■isjoint l’affaire en co gui concerne la «lame
patronaux, soit 120 fr., si bien que le chiffre global
Lanildat
Lévaèr
;
donne
défaut
contré
Ilo
o
k
;
condaano
de la pension vlngè-o atteint 400 fr.
cetto dernière A 10j franes i ’aïuende ; Marie PléE le ctlo a Taliaôo. — 1j 9 comseil de préC ’est ch chiffre qu ll faut absolument nttelndre.
menr ot J .n n Kernéla A 18 frnnca d’amende, ces
iecture, dans sa séancc; d» 19 covemb e, a
En bien I Je vous demunde s’il serait ex g-'ré,
N o m in a t io n d a n s lo C l e r g é
deux dernlara avac application do 1s loi de aur.ls;
r^Jrté la protestation lormuiée par MM.
dans ce but, de fixer 1 12 fr. la contribution de
les
condamne
solldalremantaux
dépens,
et
Sxe
au
l’ouvrlor ?
Vincent Le Port Ita a c contre l’élection da
minimum de la durée de la contrainte par csrps.
Par
décision
de
Mgr
l’Evêque
a
été
A mon sens. Il n ’eu est rlea. Q ui l i t 12 francs
docteur Le Cietiü. Bu conséquence, le doc­
Aux religieuses du Conquet l'accusation ropronom m é.
par an, dit 1 franc par mois — 20 tous par iuoIs
teur Le U e c h est ém conseiller municipal
Çhalt: 1« do no point a’élre dispersées malgré
— pour purlor le langage ouvrier.
Directeur au Grand 8*mlnalr», M. Michel Léon,
de Lanildut^
I arrêié du 1* ju in 1IW7; a* d’avoir en 1W7 et en
O.-. comme on peut tabler sur vlnt-clnq Jours d*
llctaclé «n droit canonlqu* do Hustltut catho­ ÎOOS ouvert ot dlrlgéun établlsssment cougreKaLe R e lc c q - K e rh a o n
travail daDS un mois, le p'é'èvement sur lo sa­
lique d* fails,
1
nlrle.
"
laire est lnMilt-ur A un sou par jour pour acqué­
A n t ic lé r ic a u x lu t o lé r a a t a . — Nq»
Elies ont été eondamnéas : Urnes Uonorlaa
rir une retraite de
francs J
v a iiu c ts amis, les demosrates corét'ens du
Simon, Mûrie «onfort, Ann* Henrlo, A ^n a La
E l ce qui conoorn» loa ouvriers de la campsgc*,
nelecq K frbuon tenaient, dimanche der­
«ris, Ann* •ulff-.nt, Maila Kerjean A 1« francs
Je * u l i «ncore mieux documanté, parce qu'étant
d’amendo aveo sursis et la supérieure genVale,
nier.
une réunion publique et contradictoire
nsslre d'un chef-lieu de cauton rural, Je nuls en
«m
e
Mathurlno
Régnier,
par
dalaut,
¿
1(0
Irauc»
aa conrs de laquelle l’abbé Madec m ontra
La première s n illr n des Assises du
rapports constants, pour rlnsl dire, avec tous les
d'amcado sans sursis. C’aat la fameuse « deteme a
que l’Eglise, apréa avoir conqois la liberté
travailleurs de la région. Js connais dos plqueuri
Fitistère pour l’année 1910, s'ouvrira A annoncte.
oe conscience, a su la conserver au m o nde.
d» plorre, dos m*(pns, des charpentier», dés m e­
Qulnauer le lu n ll 3JanvI*r a midi, sous la
nuisiers. dos couvreurs :t'ous ces ouvriers gairnent
Le discours tièa fortement documenté tJe
présidence de U. Frétsud, conseillera la
U n b a n q u e t o r ig in a l
• n réulltg de 3 frauc: A 3 fr. 2!) par jour. Enint
l’orateur
souleva, à plusieurs reprises. les
G )irr ds Rennes, aysnt comma *SBC3 seurs
L,tu eourd-muei» de Brest, au nomhre de
donné qV* la oaiep^g-B, un t?l selalre équivaut
applauiisorments
chaleureux des 500 per­
U. D jfo u r, jug,t su tribunt.1 de Q ilmper et
vingt-cinq, se sont réunia dim ancut 28 no­ sonne? qui l’écoutai-nt n u is aussi m it en
A un la is l'é do 5 franc» en ville, ces travailleurs
Le Scour, juge snpp éant, «u máme triferont très aisément I'é3onomlojourn»iiè-e néces­
vembre,
pour
fêter
le
197'
anniversaire
de
mtu7ais« posture les anticléricaux du
banal
saire d'uu sou pour se eonitltuor cetto reirslto i ç
la naissance de l'abbé de i Epée.
Reiecq, qui avouèrer t leur défaite ea reeou•
400 francs qu'ils ambitionnent par dessu» tuut.
Après une messe dite d . i s la matinée,
rant » une obstiuction stupide.
A <û'é dus ouvrlo'» noui irou*on* losjournallors
un banquet a tu lieu , midi au coui.i du­
Nos amis en ont appelé a la jurj'ice de
du la u impsijae, Eu tj.'fltngn* ¡1 la inalu-d’ou*re
quel des discours out été prononcés... par
leurs compst'-iotes en d is tr ib u e r à Dlun’est cp.peudûnt lias t 'è i chu è. ces Journalier»
signes
et
aussi
par
la
bouche.
«out payés du 2 francs 4 2 f 1. 35 par Jour. Or,
sieurs centaines d'exem plaire, i’e t râCf
La fête s’est terminée à la matinée du
mémo avoc ce'le somme, l ’s arriveront, j'on al la
réunion^"’ reprodult U P ^ I ^ a o m le de la
Souscription pour élever une tombe au
Casino, où les sourds-muete se sont rendus
ferme conviction, A économise’ , oux aussi, les
12 francs par nn que nous leur demandons. fAfouregretté Rédacteur en Chef du Courtier du
ponr « M ite r à la matluée cinématoKraAUX CITOYENS LUjRES
uomems itlvtrs.)
pbique.
Finistère : témoignage de la sympathie de
Citoyens,
M. HuoÈ.fK LltyTlMlAG. Le Chili a de 2 fr. 00
ses Confrires et de la. reconnaissance des
M. l’abbé «le l’Epée fonda,au dix-huitième
La groupe d-« aD.'jsIérlcatix relacquols s'est
comprend u'i'St co p i», le enlul’o nn nature ?
Catholiques du Finistère.
siècle, la premiù;e inbtitutlon dea eouruadéshonoré devant ’. opinion.
M. I-'OUtin Je parh du aalalro un argent.
muet*. Il n ’eut poui- soutenir sou œuvre
Il
a donné, nu Cours de la réunion de dimanche
M. E uohnh U ntim iaq . Salaire on nature oom6* E T D E R N I È R E L I S T E
a lm lia b e qoe sou dévouement et ses mo­
dernier, le spectacle d^ la p us spu^age Intolé­
prls ; ces Journaliers n’ont cirtalnem eat pas
rance
et de la plua larnentakle falbleeso.
MM. Graü, vicaire â Plouguerneau. 6 fr.
destes ressources D autres vinrent ensuite
700 franos do salaire annuel, plus leur oouirlluro.
Quand M. Vallaux a fait sa conférence aur la
(.Von ! H un ! A droilt.)
S o a ê ire .rro 'e u ri St-8 *uvi:ur.
2
al perfectionnèrent sa méthode et ai j iurM. Fortin. Il fa it, dlsal»-|s, compter de 2 francs
L.LÆlt par^ t!on’ nott8 ,,av0B8 écoulé, nou».
Cone, vicaire à S l- S »u v :u r...
2
'hui, on est parvenu * rendre, pouralusi
pendant une heure, dans un sll«nce respectueux
A 2 fr. 25 par jour, pour los Journnllers do la usm
Biauqnet, recteur du R;lecqdire, la parole à qielqucs sourds-muets,
™
, uw
foi« nous ne ÏOLvm imerromvu
pagne, de même qu'il faut évaluer a 3 frauc» ou
Kern n on ......................... ............ 5
très
Impaifaltemenc
encore,
il
est
vrai,
Dlm.incht* M. Vaiiaux. plus ae vingt raie a
3 fr. 25 le salaire des mnçons ; mais 11 nppartlont
D»ux Lampaolais..................... ...... 4
mais ce résultat est déjà beau.
coupé la parole A l'orateur catholique
9
A tous ces travailleur» de so nourrir avec les sa­
Kfl.-audren.reot. deU uim illau.
S
A chaque Instant, des rangs de ses a'nla par»
E : naturellement, pour les anticléricaux
laires quo Je viens (('Indiquer.
talmt
des
Interruptions
d'ailleurs
Laurent,
vicaire
à
Plougonven.
3
1
Eglise
a
toujours
été
l’ennemie
du
peuple,
Je soutien» encoro, m eilleur», quT » arriveront
IV estemenirelevse».
A fulro des économies aullltantes pour verser leurs
Particulier de l’école Saintcette Eüilse dont furent prê.res ik* S .ln t
N’a-l-ou
pas
vu
nn
assesseur
12 francs ; je vais vous eo doannr uno preuve Im­
Blalse, Douarnenez................... 1
Vincent de Paul ei les abbes de 1Epee et
chargé, par sa fonction même, d’s.fivjîî'r10/ ^
médiate par un fait qui s'ost passé a la mairie de
Le Recteur de Landeleau___ ___ 3
tant d'autres bieefiiteurs de l'humanité.
pect de liberté de parole, tro u bler.'i'0;(j P# M «_
Ploudalmézeau, au mois d'août dernier.
Le Vicaire ds L a n d e le a u .,...
2
Ivrant a diverses manllostatl ,n « aaugrenu*s t
Une malheureuse laveuse, Agée de solxanfo-dlx
Suiffnard.à lierhoa, LandeU-au
5
¡Tourner 1* do» A 1orateur et
bureau est u n
ans, demandait A bénéQ:l»r de l'isslstaqce aux
Le poste de pellce
Ud
ami
de
K
e
rg
lo
ff................
5
b*l
exemple de polli«»ae. M. Gourlaouea 1 )
vlulllard». Elle avait été laveuse toute sa vin, ot
de R e c o u v r a n o e a t t a q u é
Moal, recteur de Hauvec....... ...... 5
La preuve e»t faite que nos adversaire» n’o *
commo Je lui demandais de quelles ressources
pas Ifs mœ îrs de la liberté.
Mardi, vers m inuit et demi, des a g e a »
elle disposait A ce moment, olle uoub répondit :
Kergoat, vicai-e a U ac v e c ...
5
arrêtaient, rue de la Fontaine, un marin qui
i J * n'ai absolument rlnn, si ce n ’est un livret de
“l 1? P ' " " “ r-‘<«, CI,UI qal essayant d’ilt>» vicaires d E ilia n t...............
o
toaffer sou» des cr,e lnartlei'léb une conviction
venait de frapper un élè?e de l'école ue*
oalsie d'épargno. La somaae qal s'y trouve Inscrite
Jeanne Çirajson, à C ollorrc..
2
dlguo do lespect ,
mo servira en oas de maladie ; o'est pour cela
mécaniciens ; mal# ses camaïades, au nom­
Hervé
Collobert,
A
Co:
o
re
c..
1
qu* jo l’ai mise de côté, mais, J* vous en aupplte
nnî,r '» y t!!aa')L ï.* S. e®t, P"S coctonté d'interrompre
bre d’une vingtaine, suivirent les agen'.s et
Comte Albert de Mnn, député.
10
noire ami A to, t et A travers. Il a provoqué, Il e
n ’y touchez pas. »
leur attitude était si menaçaute que les
mené le vacarme.
*
Le C o ï,cu ré de P ie y b e n .,,,,,
5
Nous n'avlon» p is A tenir compte du livret de
agents
sortirent
leurs
reve
verB
et
leurs
Sévellec, vjeaire à pieyhSr, , ,
2
cnlsee d’épurgno pour l'application de la loi, et
l a .Vtt' P ,n daat quelque» minutes, ne peubaïonnettes.
Luttant
et
sedefenda"t
contre
î
.
assis, arpenter d'nn pas fisvrrux la#
noüs Allons tenus d'aocorder le bénéflie de l usRozec. recteur de Plouévezleurs agresseurs, les agents ar/ivèrent au
»bords de la tribune ; pal», d'un élan fur îeax
«litsnco aux vieillards, A laquello cette pauvre
du- F a u u .................................
3
bondir »ur l’estrade pour demander qu*. c mtralfemme avait druli.
ÉO«teet réussirent
j fai e reotier l«'p;
Colin, vicaire à Plouguerneau.
2
romi-nt t tout dralt et A tonte lovanté, on • . t i r s t i .
Savez-vous quelle était la somme Inscrite A son
prisonnier.
Presbytère de Salnt-Mathleu
parole A l ’orateur catholique.
livret de eals«e d'épaogne 1 500 et quelques francs.
A
ce
moment,
une
baude
d'une
dout
aine
de
Morlaix.............................
in
. H'\
r l'énergique n f u » d* notre camarade
Or. voici quels avaient été exactement los salaires
qe matelots revenant du Graad-Pont, se
Letrlonnalre, pré>ldeot, l i . V allaü »
rT.rH.nt
Le Chat, vicaire â IJ; Joseph
qu'elle avait touobés pendant ses cluquaute an­
Joignant i la première et les marins for­
tout* d i g n i t é / , , mit A trépigner, a ’ d £ ï ï ? " *
du P ilie r- R o ug e..:......... .
2
nées de travail : «Ile avait commencé, mo disaitmèrent
le
projet
de
prendre
le
pog-.e
dasbattra
du
pied
1
estrade
qu*
u
>
a
p
ouvait
mal»’ et
elle, par reoevolr 50 centimes pÜr Jour sans être
Un a m i.......................................
5
•aut.
A pousser dea cris do ra^« vli» c/ ,u reris par les
nourrie et, dans les derniers Jours de son exis­
Le Pape, vicaire à Salnt-Louls
tence, elle touchait 1 fr. 25 par Jour.
L'attaoue commença et fut formidable,
P ' h i ï u 2“ ln J ,ÇD1‘ « ' i a ‘‘“d ' I ' Ue pendant que
de Brest.................................
3
1abbé Madec p a rfa is a ie n t ca a » ,, 1„ bras erolColto malheureuse fomme avait donc reçu, bon
les agents durent s'adosser â la por.e du
De Kerdsnct, maire de Trésés souriant au spictaole de 1» fureur grote»qa*
an mal un, un salaire moyon de 80 ccnllmee par
poste, la baïonnette en avant, pour ieponsg a r a n t e c ., , . , . . . ,
...........
5
jour ; ollo avait cependant économisé 100 irancs,
d a luraulte
,0 ° * 4’ ,r s * lr*. atlenualt la fin
ger les énergumènes qui se précipitaient
Ii p.unven, recteur de Pencran.
3
somme A peu près <qu|vnlanlf> aux quarante ver­
sur
eux. Dans la rue, tous les hib itam a a tti­
Plus de cinq mln-jt*» s’éconléreat daas n n
sements annuels de i? (rance qa'tl 1UI am-alt aufll
A-biutret, négo .'lant 4 Lauderrés par les cris sauvages que poussaient le»
vaoarme iRÎescrlptltole, H . T allaux ne cassait
d'effectuer A l| caisse dps retraites ouvi lères pour
. uean.......................................
o
d agiter hraa et jambes, avac an désespoir
assaillants, se mettaient a Iturg feLê’.res et
obtenir, A snlzapte-olnq ans, qps pegilqn de
Jean Hall, à P loum oguer.___
1
comlqua, netra ami constatant que l'audltolra
400 francs, g i l e t t laq ae le elle n ’aurait pàe été
avalent l’impression d une véritable bataille
Donval, adjoint-maire de Sio
m r t .¡e la ttlt'id o laquai!a.ible des anticléricaux!
obligée d* recourir A l'assistance.
rangée dans laq/elle les agents allaient
Marc........................................
2
avait perdu le calmn Indispensable aux dtscas»M, E o o è n b L i n t i u i a o . Oal, mais elle n'aurait
avoir le dessous lorsque le poste du
Tanneau, directeur dos Ardoi­
alons fructueuses, s’avança au h ird de l'estrada
pas pu verser 12 fr. pur a» dès le début I
deuxième dépêt, prévenu à temps, arriva
et, d une voix qui r*tenut Jusqu’au fond da U
sières L. de Kerjégu, tfalntM. F o u r n it. Ajoutez qu’elle n'a pas été malade.
sous la conduite d’un quariiei-maître. A
sali*, s écria: a u n e fols de plus, les au tlcltrl,
M. F o u ïin . E-lo ou ail pu être malade, cela est
Q o a te c ......... .................
5
cette
vue,
les
assaillants
s'enfuirent
de
tous
eaux relacquols ont prouva leur Intolérance. Ja
lacoatesubt*; tflulp l'nl vqalu donner su Sénat uq
Rappel des listes précé lentes. . . .
644
demaude qne la atauce »oit levae I >
cOtés.
eiomplo slwpj».
Le» catholique» quittent la eatle en ckantan tla
Le chef de la bande s’était par trop m ani­
Q uant aux ûômestlquos A gages, Je ne sais pas
Total................. 765 fr.
JfarsejlUfaa, tandis que, kors d ’aile-méme, la
festement distingué pour que l’on ne se m it
ce qu'il on est dans d'autres réglons, mais on
petite
troupe de M. Vaiiaux kurle Vin «m atio rial*
Bretagne, Il n'y a pas do domestique attaché A la
A insi que nous l'avions annoncé dçns
pas immédiatement à sa recherche, et en
i T, ‘
,îî !, non 1 ,l’ a * i ralernstf(onale.’ Oüantez.
personne, soit A la ville, soit è la campagne, qui
notre dernier num iio, nous arrêtons Ik effet un quart d'heure ap: è i, il était trouvé la
ifai-aelllalse » clame M. V aiiaux sappllant EC
ne possède un livret do oalsie d'épargne sur lequel
dan» un débit de la rue Borda, où, après
notre
souscription,
en
remerciant
sincè­
I
°P
vit
le
pauvre président de l'Association d* a
Il effaotue', chaque année, un versement supérfsur
8oi-dl*ant défenseurs de l’école 1er lue, transfont 2
rement tous les amis, connus ou non, une résistance acharnée, il a pu être ari été.
aux U fr. nécessaires, selon nona, pour la consti­
eu
ckel
d
orcke.tre. battra la masure, sa ee» k
C’était
un
marin
du
r.om
de
Chaumier.
tution de leur retraite.
qui y ont prit part.
quelle d'une m alu et aa canne de l'autre.
A u surplas, je val» voue donner, à l ’appui da
Et
maintensnt,
après
cet
hommage
de
M.
Vaiiaux
voudra faire croira que n oua i ’aro a»
mon ayatème, uu aatre exemple, »1 convaincant,
D r a m a t iq u e » u le ld e
em^éuhé de preadre la parole. Ii ,'a dit dans i m
reconruissano* rendu à la mémoire d’un
i l lrappai,t; que voue aertz obligé» d* resonnuhr*
?
1
No,Dl •‘ “ “ ■‘ear. lul a lépll
Mardi m atin, vers n e tf heures, les cuqae le versement annuel de 19 Ir. eat acceptable.
vaillant champion des libertés catho­
1abbé Ma lac; dus.é-|o raater loi Jusqu'A m l u î i t
Je ne connut» pa» dn »Ituatlon pins modeste —
liques, que tes lecteurs du Courrier n’ou­ vrurs de i'aisenal, q»i travaillaient aux vous parlerez e tjo vous é ;o u tira i eu s'.ienr» .5
J’allais dire pin» difBclle — que celle dn malslot
blient pas, dans leurs prières, celui qui environs de la grande grne surplombant la je vous répondrai .Mal» l'organlre l» r é u n iO jT j.^
plolieur. Je parle de oe matelot pécheur embar­
I enteld. aperçarent un de leurs camarades,
la parole, j ’ai la droit do continuer um n dis -nni. .
consacra à leur Cause les dernières François
qué A bord d uu bateau de p êik* le long des cotes
Bideau, qui grimpait au sommet
Le Préaident de aéauco a plusieurs !0. E' r ^ L *
bretonnes du cdté de Dousraounz, de CoucarnesJ,
années d ’une vie trop courte, hélas !
ue
la
,</ue.
éie>
é«
ae
trente
ruèties
au
des­
va
le la mémo dsclaratlon. K ïld e rnra a o V M V al^
d'Audlerno; Il y a alx A huit hommes par batoau;
L ’exécution de la tombe a été confiée à sus de la PeiifelJ. On vit l'euvrier s'age­ laux dovali reuoncer é l'espolr de reintérTÀr
Ile sont au contraire, dane lu nard du Flnlsièro
*
soa
don,l.lln.
Mais que dlabla, m onU W r,
M
M . Pichon, marbrier à pieyben. Jl y nouiller. regarder un lnstaut et, se préci­
qun j'tnblto, et oA la pêche est tout A fait diffé­
entra dans la lu ne 11 faut accapter tea condirlo“
rente, deux ou trois hommes seulement A b jrd .
mettra toute son habileté el foui son bon piter drins le vUe.
de la lutto et souo-r qualquefol» un peu tard
Le patron, évidemment, touche la plus forte
Le docteur Lallement. médecin de mat ine,
goût.
Vollà la» lai.*. L § »out piua éloqaenir auo to t»
somma...
ne put que constater une mart Instantanée,
le* uommi-nialres et 6oo témolns sont r r i u l »
M. L b P bovost su L aonat . Le matelot dont
le o&Qt ayant été fracturé.
ultestei l'exactttude.
rre u 4
vous parlez eat insurlt maritime : o'est tout d<fféBi reau était âgé de 51 ans. Il était né il
L'opinion pnbllque a déJA formule son ----reut I
meni : elle a flotti la aauvage Intalérauce ^ S
Plou Janlel et habitait rue Vularet-Jojeuse.
M. F ort in . J'y arrlvo; permettez.mo! seulement
mauvbts répubilcatns, dea laux l l h r , * - M M * .^ i
i l é ait marié, sgus e n fa u ts , et uepuls
de continuer.
La tempâte fait encore rage sur nos
quelque
temps
ne
paraissait
pas
Jouir
de
la
Il s'agit dono de savoir ce que g a in * o it homme.
'jiùxe "0U
‘t'‘ 8ulvaur* «sdavea d e M y S eûtes.
A la suite les événements récents et fort tristes
A Brest, elle a obligé le cuirassé Charles ■ pienilude de ses facultés.
Le Group« dea Bémotritet c h fd H e iu
qel s* sont déroulés A Douarnene; et A Concar­
Martel à stationner au large d’Ouessaut
du Heltcq-K&rhuon
neau — M. 1* ministre du travail sait A q io l j*
D a a n la a
tout l'apris diuer de mercredi et touto la
fala allusion, puisqu'il s’est re n d ! eur las lu u x —
N. 8. — I . y a saus d ii* q .a ni la» Kroasttree
nuit du mercredi au Jeudi. Le commandant
I qus les Journaux de Parla ont parlé de la sltuavloiince»,
m
la
déloyaaté
do nos n d w s a lv a s * *
A s s o c ia tio n de p é re a de fa m ille . —
tlbn de nos Matelots pécheur» breton» et tous
uous empé baroni da oontluner notr* orotw aand»
n’osait pas s’engager dans le gculet a cause A i appel de quslques pères de f amibe des
voua ont fait, I peu de ehoae près, le décompte
dau* le paya. Btan a * br|M n ootre oouraaei M ala
du personnel réduit dont il disposait. Ce diverses commune» du cantoD, un grand
de ce qu'on bateau rapportait par an *t da o*
nou* prandroos désormats la preeaetlon d* r «.,
n'est que Jeudi matin que le Chai (es Martel nombre de parent» se lo t't réunis, lundi
qu'un homme a bord de ce bataeu, o ù Ils pont six
com m anétr M. Vaiiaux . u bona aolus de raoréprofitant d’une éclaircie rentrait ru rade.
dernier. A D^oulss, en vue de la fondation
u huit, pouvait gagner dans le mém* temps. Ou a
sentanl de la force pub'.lqna. M. le g a r d e - d X r *
P «ns la Manche, ou a recut-i.il j >udl aolr d’une sssociatlou de pères ne fainilte.
lé tre lul apprendra la toiarence.
^
comtate a s'il gagnait environ, chaque aunéu, d*
un marin de nationall'é suisse qol, pen­
à su« fr. su maximum.
— L 'r«, daiis le proohatn num éro de
oditi*,
La préslueuce de la léuLloa a èie offerte
dant dix heures, avait flotté sur des débris par acclamation k M. YUiteri.
¿ t Situation set, |s «rois, un pet* meilleure dans
r ia m o * .“ ' "
’“
d « t» à a t « s to
Arrondissement de Brest
Y.
ver" hour“
CHRONIQUE LOCALE
LES PROCHAINES ASSISES
A la mémoire d'Hervé Diraison
Î
L A T E JIP Ê T E
800
Li.
•?
•a
m
U n M l « 4 a j M t l e a . — O n M it avec
« e l l e vigueur iea redacteara de la ÇuinM>n< • u r r t ir » o a t m e n t campagne jo u r
obtenir une «ga<« répartition d M « in ve n ­
tion* budgétaire« entre lea enfanta qui fré­
quentant Te« école» libre» et ceux qui vont
«ox étabUaaemeata de IB ta t.
U ne revendication fondée «ur la Ja«tlce
fi it to u jju i» par tilJU 'ib e r. pour peu
qu'on apporte à la io u tc n lr de courage et
de ténacité.
Lea démocrate« chrétien» dn Relecq ont
eu, dimanche dernier, la ]oi» d'apprendre
que le Conaell m unicipal a» .lt (ait droit à
la réclamation (ormn ée par M. J Le Goff.
P ar M volt r o jtr e i. Il a décidé qu'cne
aemme de 120 fraaca aérait lnacrlte au
budget m u n ic ip a l en vue' d’a itu re r de»
(ouraltarea gratuites aux élève» lé c e u lte m da l'éoa e libre.
l i convient de recounaî ire qu’an cour»
de la brève dlacuialoa qui • précédé le vote
de cette décIMon. M. M »l»iln, maire, a
haatem ent alll 'tué le bien fundè du p'inclpe »ur Itquel M. Le ü o f h a i< lt aa récla­
mation : égalité devant I t i charger égaillé
devant lea aecout a '
Le Conaell municipal du Relecq-Kerhuon
a>*t (r*»nd*T«eiit b o*o ré eo dectan » — ••
premier ou Fiuicero. a uowe
»•«•.ce
— qa'un* to m t)* »«»a p élevé', uni» i>. s
lentem ent i n r l e i f o u d i d i B n u n d * H.en(alaaace, mal» sur le»r'*»o»>c»« au k J f t
municipal pour t>e."meltre d ic .o r u e r »ux
e ( in t id e l'é o le libr» le* avantage» do»t
béoétl Jnieot, a«put» qielque» »i.nCe», lt»
élève» d^s rcoiea 1-Iq«e».
L* B a rfa "1 1* B'e f '#»rc», to m l« d ’
s*\i dernier, »«».t üeja vo-é aa p * lii i* h
l n d l i ' i t » Je i’ét b '.M im e u t chretteo, la
m odique»ubv entioi da 80 f an.’ » Ce retait q ra r e a'itrôae L** oathollqie* rekcqaol» reveo 'lq j.l» n t uu dr»it que ia muni«
ripaillé a reconnu et coDiacré^ar »ou vote
de dimanche
Tous v i x > no» c ) opatriot*» qui o it
le i « m d • lt. J a itiJ u hjI «n le to u t reconnalaaanta.
L cao e v cn
4 5 an s conaeUler m u n lo lp al
mètre« sur la chaoaaée, et, avec u n brait
(ormldable, vint s’abattre contre la bordure
d a trottoir, an tac* l’octroi da I r a i t aa
brisant an mlettea.
U premier m om ent 4e ( t n e t t r p a n é ,
on acoourut an aaaeu n de« bleaaéa qn’on
retira u n k un avec beaucoup de difficulté,
car p’nilenra d’eatre aux étalent pria a »oui
le i décembre!. A part de ex ou trol«. tente«
le« personne« dn tras.w»y ont été p ln i ou
molus grièvement blessées. Le condnetenr
dn car, M. Pierre Taxler, était atteint k ia
figure ; le receveur, kl. Louis Gauache. par
un hasard extraordlaalre. n'avait rien. Par
cootre, deux personne« étalent grlèvemert
bleiséei : Urne Ouégantoa, demeurant 1 4,
rue de B reit, k Balnt-Plerre, atteinte k la
figure et k la tête, et Mme Orangy. femme
d'un cantlnler du 2*eoloalal,^ui a p lo n e n ri
oêtei enfonc黫.
Parmi le i antrei blessé« le t o tt 'tr .i
U. G lilei, llsutenanl au 6« cci.j iai r. >lures k la figure et k la tète; M. G -arcj
cantlnler an 2* colonial, blesia;ra a .» .ét- ;
M. Pense', 37, rue Maaslllon, s i te m r * ei
«es deux ei.fants, blessures i ‘v H^nr«
causées par des IcJats de vitres l ’ • mate­
lot de la Jtunn* d’Ar» et u n ^ 'y p-ur d»
commerce d'une mal «on du m in . qui om
ic fm é Je f J i c connaître leur nntn, vu.t été
pat s** da»s tir* phannacle.
Le Jcu oi I e iu u r , 13ans, portait <1»? b'essares k la figure; M. F rarç U l.al é de
menrant rue de la Vierge, a I a i bézel.ec
«a femme «t ses estants, sont b le ttis ¿ux
bras «> aex J»ma*s.
M. E gène D * illle i, cbsud'o nnlfr nie
I/m is Pastenr 98 est blessé k la li ;ure et
sur diverses f in ie s du cerps.
0 * ne pent nue regretter q ’e les tra m ­
way» q -1 ont k desesnire des cites rapH.*s,
ne soient pas vitiMs de frelni asie t ^uitl&nts pour 1. s n u i m e r.
— A
üem ânde*
M M* R jb ln r*mercla et, p'écédé de la muaique muulclp» e, le conaell *e rendit au
bouquet organisé » l’occasion de cette f r e
adinlnlstra'.ive.
Ty»»W. monologue»,
chat»on»
P in is tè r r
 r r o n d is s e m e n t_ d e
mat»u, ¿»-le B ii.n t. do C'u.i»-ar-Hiun.
devenue bile i la «utte de là vente de ia
malion et de l'i l bleni, «é»t lacéré le»
b-a» avoc trol» faucille« qa'en a trouvée»
da,!» le Ht c o i, où elle i était «ferm ée
n ja r fcccainpllr »on de» «eln. H>l<* avait aveo
eilâ «es tr^U eLfanti, qo on lot * trrâc b 6 «
i t:m^>. O i Ignore *' »e» horrible» piale»
xueueui »a vie en danger.
P lo u in o t r u e r
C a r b n ix
C ro co n
Ba v a * das élactlou» lé g lalativaa. —
C 'a it a « * c la p .a i g n a l lu c e k i qa a M. C barlaa
D ao ialo n , la « j n p a i a l q i a r j i i i l i a » aux prochaines
e ia c .lo a i lé f iilit lT a a , p a u n a l t la aSrla da aaa
r*D°ma'e.EÎMaiaîar, aaos avoaa sa la plal.-lr ds
l'ai.piaullr > C m i m ok U a lait lalia eamb.a.
L i reaulon é ait pifeldSa par H. Balooa, coaaelilar 4 'airua1iuanant et maire da Croion. ai• lu * da iea adjoints at «a p. Biliari M o iillliri
mnalolnaai. A i . i l avoir fait eoanalUs la »*•
oUloa uri»« a» caaaikJ i l CbAlaïu.ln a* lavaar
«a M. D inil'oa, M/Ia «air» aa Ciosjb praaants
l'o aie» at iul ionna la paio!».
d *Lei c^l* n» retrouvèrent la tr*ce, ^ * ? . i l e
fiai) et M attel M »té *o.eut lo MOKller
D î u x coupi de ( .n i) partent. La b i tic a t
hiAxiAo cet elle ra\cntlt § 0 0 allore. 1
io ». eiln continue » mener 'e bon train. a a
pou v iu i loin, elle einum un trolilètne >jO«P
Se ln»ll de kl. Q uém éneur. Lo iai*gl»er,
harcelé par le» cnlen», »« Jette d*0*
rlvlè e de Poui-»’U®t>ltai,iù li » en llia d a n »
cultivateur de Rericbatel en
Ploù*'»né, arrive et donne le coop de g’ ft ;e
» u »olltaire en lui a lié n a n t un coup de
“ j ï b i t a p l u i t 118 k llo i o t l i t vendue à
HroiJt lundi dernier.
U oe que»t.ion ie po«e. A qui «n «r tle ut I* bête? B '» ‘-ce ice ux qui i’o . t laiiCÎe
ou A ceux qal I out captorérï l' e.B« . A ^ n
uni l'out lancée et, aeion eux, b k ilé e , « a
teitv'nt en effet & M. Bllcot 1e dr«l» de
l ’avoK’ vendee.
S a in t- M a r c
K lo o tlo u s m u u lo lp a le » . — Dimanche
proch.ln aoroat -leu les é ^ illo t 11 mm.Mp»ie» complémentaire». Au premiri to tr
trol» H*tp» étaient eu vréience . a ü a l e
pio-rie*8 ls»B I» H «te rartica e et la lllte 10
c'aliaie. C i» denx d truiè rt» o r te u la m ino­
rité. Oo »ait qi>'en deQoi» <l(» période*
électorale», » o u rl- t'H et
»ultent à q »1 mieux mieux. M a u ce» colère«
i e taU ent .or»que i lutôiôt le commande.
E i cette circonstance, lo c la llltn i ^t raolchut *e sont «m b rai» 6 i ailû d évlnoer, si
possible, au deuxièm ettur, lt* t rola csn*
d l a « . « 0t*ïa8 !dVicipUn« du parti dit m.lllé.
Mal» comme dit l'autre, Il <it avec le
nartt'de» accommodement«. Cette a'Ilanue
montre bien que le* radicaux et leu »ocla-
listes «ont p>u« ou molu« «oildaire» lea ura
de« autrei. Cette conltatatlon r eut dor ner
M «! » dei commentaire! qui au. out un jour
ieur opportunité.
S a i n t P i f p r c - Q n llh lf n o n
U n t r a m w a y e m b allé
Dimanche
■oir. ver« 4 h. 1/2, 1» tramway f 2 veuaut
de Saint-Pierre et se dirigeant iu r B eit,
« ’apprêtait, en lace du clmetlè e de Ricouvrance, a deacendre la côte ra p id e d e .
Onatre-Moullo«, lorsque, toat i cosp, 1«
Wtettmaa s’ap îrçut q ;e, bien q io je «
fusient bloiuéi, 11 notait p'ui n.altre de ia
voiture, qui. en vertu de 1a vite»!« acqulie,
lie mit fc descendre la oéteA ane allure ve rtlalacaie. Au mlMeu d 1
' la dejcanle. le
tramway fallait l’t lîet d’un véritable bo.lde ;
le« crli uei voyageori qui l'y trouvaient au
u o m b .e d'uue vingtaine, ■» m *,*o ««»lent 4
ce;S dei paisaati qui, épouvanté«, le g«« iV o t daa deux côté* de la route. Au b u
de là côte, <4 tramway dérailla, Ht quelqn««
P ia llu to n au t ie n r r la r d a T ln la tè re
K e a r h a H le a z io u
— « K ateillk paoar 1 N eubeut «
'
talc'Q ^a var gement-man, sloué« I... Me io
!*DVme*éU i eul liner evldoo’h 1 » eme
#nr o nn a l A tfAOQ M diri»
I . a ÀP faetòn u n » '!... Arfsctopl »
it d i w o liti mar p^ljt K it# ilik l •
dliio, i l i liw f tu he
~KePk*nt
d* p% , u I Lena I O w e llt’ta petra eo an draemexhl d’oe meitres laonank.
finn m io a tlrog ar glotenn ralital, bsg,
v a ? a r W « e n o l i d a itlm é t a b a n , e ibnn
kement-man :
• Kurskao, ao 23 a vU <envar 19..
, v a m lg a on e ^ke r,
> R itu n e llllt ’ *o n'am eut b«t di.'U* ho
kfi’ ou^ip en an i « la ’r vue* «anhoo’n dre an
amxer I6u-man ? D « am a«, au Boll io mad,
ha fltlau* am ause m ao u’h eveidomp a dra“ “ D r tT b r a d an amrer, emaomp e « vakanaou » aun net b'su't io.
**•
ur vuazed a labour er c’nardl da gempenn
ar benSlou ha* « rele.ou tlegex ; bogen,
« i r ^ e a n dnut an no* m a n tro ar... ohlstr
h a f i f o’honouettnoti i
•
* p a tra ’la v a «!«; d'boc'h goudeandcam uri ? N s tra
do A
i d s m euz h ^ i t d ho
»a vota e kredan a o i t a h«nn foar Bask
ì . n » « lira s u t o t ktl.<n« d’ho kwelet
2 <
M
J it S k X
M D îa lt lo u l l t q a 'l l e a lv a a u a a lo a rd k a l t C ro to a
n o a r p ra o Ira to a la a » a v ic
a la c t ia n at ia latra
ot>naillra.ünlalroa»ara.al'ial»-a-ll.|pi»t-»tra blia
Un# chaaao an «a n g lle r. - r e a *™*1
dernier. .*■ LiU-cih l y i r i ^ o n . de P*oum 'C J*r. aop'fuant q j n u ¡.an<ller venait
d’#'ta a i*îrcu d io * uo * g\reiine de a.er‘
vrouan p*it »ou
fct pa.'.lt à «a pourau?te avec «e« chien», avlaant aur «ou
p m a g e quelque« cnaneuri de la préience
M
C h â te a u lin
Vul à la gare. — D *ni la nuit de di­
manche k ¡nudi, dei voi^vri le «ont Introdalti dans le bureau de ta gare de la petite
vlteiae. 1 1 f.>r< è ent lei tlroln, m ali n'y
trouvèrent que deax sons: I l partirent
sprès avoir prit qoe'.qaes marchandises
deposeei soa» 1.s hallea
c.Otu-
tè ro Jt j» bicqui t.
P lo a 4 a la » é < c ftu ( P o r t a a ll)
Une f»m m * q u i ae m u tile . — Samedi
i* i « C o u r r i e r
Finistère » «Uns touu*^ le,»
Bibliothèques des G *re s dv
l’ocrailon Uq là* aonlverialre de ic n t.é e
de y . Roblo. entrep-eneur, an conaell muaiclpai, M. O ity é . maire de Leaneven, lui
a remis au nom d i la ville une médaille
«ommémoratlve, au coûta d# la lé a a c e d e
Dovfmbje^^ ^ i’#|r(re de M Robin éloge
qui la t t è* applaudi par 1j puDllc de la
■. Danléloa l’estime aussi quallâé q»» ■. Boit
poar raprétaolar le pays. A oe moment de aa
répliqua aa eataod dans la »alla lea mol» :
a fia a aine I a k l*adreaae da candidat Bot».
Aa æelralm, raeelataaee (ait ane véritable
ovatloa k H. DanMIea al e’aat aa mlllaa da l'a»,
tboaitaaoa «itérai qae la eésaoe est lavée. La
prochaine réan Ion punll que da M. Danléloa aara
m a k PlajbefL la dlmaaohe 11 décembre.
i?
« w » • P*da M *“ -
a u d » e lin x de v arJr c o m a ilt r a a a b o nia ia com m a
I l lU H * « o e D <onv la p a r io a n a llM aat i j m p a lh l •
qu a a beaucoup, t « a I n a lila a ’aat p u a o s p i a i
locoDt.ua, d ii l'o a la a r ; «»aa s U u x a aa t orlgtn a tre i de Lor.rouaa et oioa r è 'a a é t» lo D K tw p a
m nlra de 0 m u ru a a e t. J a is la m o l- m k n a , coaisll*
1er m u n ic ip a l da L o c ro a a » . V o n i a v a td n a a de v an t
t o n i , n o a u u P a r lile a coaiaia la d u a a t « e s a<v e r ia tre i. m a li u » c o m p u - lo ta , n e B re to» c o rn u e
« o a i c o n n a li a u l t o i W n o tn i at tout dé»oué S
t o i t m é r t t i. ¡ * M im b altr» ! d 'a llle u r i, non t u r le
» •rra ln p e n o nel, m a li hl> « i u r celui d e i Idée». »
« Denx r n n n p rlu . I p . i ; c o m m u e l'orate ar,
d o m in e n t te u U un e v l». ('.'m i m on a m o u r p o a r
m a p » l I*, «t .'e I m oa « m o u r pour la Hépab ll u u i » >-t d . D m lé lu u d é e tlo p p a é lo q a e m m a n t
ce, deu« p o ir.li d» t o n dl- c o uri.
|i de,'K'io le» meaéea d» I Aillallilirlinna et
Un électeur.
Lanvéoe
B a e c é » . — U . Adulpbe Jam anlt vient de iontenir avec nazét aa tbtae de doctorat ea droll
devant Ja faculté de Renne».
Non» la l ad'AMons r o i ilncéres félicitations.
P o a lla o n e n
U n o d le o x a t t e n t a t . — On vient de
proceicr k la r r r it a 'ijn d'an Lcmmé Lo
xacb. domeiitiq le k Poullaoueu, qui ae
«erstt r e n iu oo. psbia d'on attentat k l'é<ii 1 1 a' s.
i-1 ' n» • ü le
M i.it d i sotr» a i d a i
i
A r r o n d is s e m e n t
je
Q id m p e r
R u « K e ré o n , 24
V C U IP E H
«as Vétéran»
La téte annuelle du dripsai de la Mi' lecllon
i l . C o im é lilt ne i Traflunoa.
de» Vétéraut dei arméei de terre et de «er, a
T e lg r o c
été célébrée, dimanche, à Qolmpar. A cette oc­
casion la lociete nailonMe an Souvenir francala
Daaoanta d» juatice. — Merwadl, la parquet
Inaugurait an cimetière S itnt-Marc, mr rossastre
de Ubtle»u ln » >il Ira.^porlé é Tel^rue, a 1’, Set
qu'elle s créé daai le carré affecté anx restes
di proc»4*r » u je esquéie
de» lalta roprochéa
mortili dea militaire», an superbe meanmant.
aux epnex X.. d» Leinoc, qaoa accusa da laluer
La iocIi sn plerrai J l taille est surmonté d'une
au enfir.t d'un moli lans te Inc ni noorrllnr*.
•latue m foata broute. r»prei»nUnt an marin,
tinant »n main an fusil, ,'iall an guet, dans la
position dn « Qui vivo T » tu pied da socle,
recouvert par das girbss de Heurs eldes palmes,
•e iroav» le c*v»aii où, depuli quelques année»,
le Soaveafr franfals, de Qulmper, par une délleat» attention, a inhnmé las dépouilles mortdlu
M OKUL1 1
du mllltalr« morts au larvlce.
C é r a m o n l» p a t e lo t lq a a
Sur la divani dn monumeal le trouvent gravé»
CM ilmpl»», mil! il éloquiBt» moti : Pro Patria ’
Dim n 'h t , ÎJ a o iim b ra , * ♦ hearai u n q u ir t du
Bar II côté droit, se lit catle Inscription : JS»numalin. I r .g 'i.e d i S itul- M ilhleu. »ou» lei ta»menl élan» par 1« Souvenir français, l»0P.
nl 'a i du coo.i‘. ^ ■orlalaiam da la Société tra«çal»e
A g»u<Jie, una piena commemorative rappelle
aa »acouii a u b e > iu mllltalr»» dei armée» de
l'icte bérciqa» de c» brigadier d’artlllsrls colo­
u r r à et da m a', a été célébré ua larvlce »olenael
niale, le jeun» Thoumelln. dost le pére, brave
puer le r-*r*e da lUme d u lo ld iU de» armeai de
«almpérois, vit encore et fait parile dea Vétérans
irrre et da mer mort» pour la patrie el ipéclalem in t p j« r le. quatre storie-.» J viet a » * de la
de France.
A * heures trois quarti., c'ait d'abord, dans la
c a U lU o th l da i l ’ l«eable Ripubhqut.
cosr da l’HAtel de Ville, la remise de décorations
Deu, la ■.»! de l'eKlIia était éd.11. un ip eadlda
è plusieurs membres du Souvenir Franr.ils et d.s
CjUf,lq«a. Une foale coo»lder»b »» lilall * la
Vétirans. puis départ pour la gare, eu arrivent
ni u n qMt > f.l é dite pir 11. l’abbé Ha». Un»
par les diluenti traina d» 10 b., 1» h. U »t
«nude qi.iatlv» da d-a» I ée .» lircx.Rouç» I»
lé h. 25, l*a délégatloni.
pru»aluit au'.oar d» U pié»li-nt», Im a Dulong
Ap'éi a'olr longé l'avenue de la Gare, 1» bou­
0 » Roaaav, <tam l'eapace réaervé è catte loclété.
levard de l'Odet, traversé la place T.ru su I)uc.
On remarquait parai le» notabilité» qal aiila1
»
cortèg» ae rend au clmctlèr» de 8alnt-Marc.
taleet é la oérémonle, MM. Cb. Ldabn»,
Bar loal 1» parcoars, 1m ma sons fout pavoliéei
maire d» Morlalx; doctanr Bodroa, vlc*oréalSt 1» pnbll» e»t nombreux.
danl dee Vétéran» d» 1170^1 ; capital»» F .dal.
D«vant la itatae, lei clairons de >a«uimp^rois»
ooamaBdant d'arma», Oné«an, B., pré»ldant dei
■onnint 1» . gard» è vont » ; pula commtnc» la
combattasi» ¿1 1170 71 ; d» Oirmlnj, vie» présérls
des dlscoara. C'ut d’abord M. le colonel
•Ident d» 8 e»Tsnlr Prsnijali ; Coq.l», pré»l«l»»i
Roudiére, prlilleit le la îsv section, qal prend
da» médaillée mllltalrea (eecUon d» Morlalx) ; bon
1» parole, m. I» maire L» Hari lai inccèle, et
nombre d» ioni-o«cl»ri «d de loldaU : MM. V i­
• s l a ua vétéran, M. Vaillant. Cea discoure sont
rant, iacl»a itolalre : Vellhan, Ingénieur ; I .
chalearasiemint applauJli.
PnlODg da Ro»n»T. D»abord»», n»urj, notaire.
L» cortège »e réforme et le rend sur la place
Paracaa, Rolland, Traon, Harrj, dé Leléa, etc.
La Tour-d’Auvergne, au plel du monument. Li,
eie. Pendast tonte la cérémonl», M. Rloa, 1ex­
M. Rondile lait l'appel du Vétérans ^ulmpéroli,
cellent profeaiaur de mnilque, accompagné da
■al ae sont plus qu en nombre d» doux».
l'orsne, e charmé lai aailitanla, e» ¡oaant lea
L» meilqa» mllltalr» |oae la MtrsellIilM, et I»
malllanr» morc»aux de ion répertoire.
eortéga i» rend é 1» cathidrale, où. devant une
L'abioale i élé donnée par Mgr Dnloag da
aombreuee aulitane«. M. la chanoine Coat, curé
Roana;, prélat de la malioa d* Pape, ayant a sai
«a aalnt-Corentln, oflcle.
célés comme i.RIclaile, M. I »bhé d» Roqntlenlll».
Mgr Duparc, évêque d» Qulmpsr, prend la pa­
st M. l'»bbé Corvet.
role, Avec l'éloquenctal vibrante d» patriotisme
Une qaéti f actueaie ea prott de l’aavre s élé
qu’os lal conaaft, 11 dit qu» I» drapeau ns pouvait
fait* par Msie T. de Pancan, accompagné» par
être «a melllenru m»lns qa'tn celles du Vété­
il. DeibordaJi, al Mm» Romain des Foiiéi,
ran!.
accomprgnée par M. J. Véraat, solaire.
Une qslte faits peadaat l'office par Mlle Le
Poauln, qae ncondalt «n membre dn Soavsnlr
▲ e e ld e nt de v a lto r a
IroBç.l», M. I-e Corre, a été très Irvetavuss.
Ml Haon, boucher, ras Ange da GnerSA midi, un banquet de» mieux eervli réanlssalt, aalla Rleax, ru» du P»nt-Plrmln, vétérans et
n lia c , descendait en voltare cette vola
lavllés. A e» bsnquet, dM toute ont été protiè» étraite An marnent de dépM ier le
aoacés par la colanel Rondlér», 1» député Hécbaval q ta .'.ondalsalt k la commission de
moa, 1» président de la V section de» vétéraas de
i acconta U . Fra» poli Careff, da ié r o g n a n
■rast, MM. La Prlaca et Vaillant, vétérans, le
•a P.oavora, la béU fil un a-'.art et la b-sn
■résident da Souveslr Irerçali de BrMt, M. de
cari da la vettura de U. Huon alla a'en
Laiguara, 1» colossi Barrata, du Iti', st M. Is
foncer dans la c a liia d ra ite dn cheval de W
Préfet du Flalitèr».
A l’Issa» du bsasuet, a «u lieu 1» londulte dn
GarofT. I a l-ê'e qui va'alt 1.20» fcuncs e it
dra»»a« an domicile du président de 1» 3Sjmorte.
lecllon, rv» Bourg-lés-Boarg, la uaaelqss mili­
___________
taire ea téle.
D é e a a v e rta «l’a n c a d a v r e
'tierM atoIraa » la l. b ir t» « t r»nie-
¿If la rtp' h q e » »on vrai rôle q I doit lira le
ff,inve^r.e'ne» t du pnuple par la ptui.l(l.
t
M I>n.l.Mcu eiqilne alon lei iraadH Ilgnis
de eoo pi. gr^oin.« qil comprend
Le'’¡ X O T à a U n l i » parlement.ire k n « t
mille frur ci ;
.
.
^ BiAM.
Le «crnilu do llitn avee r»préiia »llO« proper
tlonnnlle De eetle I Ç'ia le» minorile» isronl repreientin, e.er II n'»»t f» 1 l»!'».,,'0* “ * ®*!*
exlete ue-.etilten.e jt, <|*» dix mili» éUcteurs pies
un (âi.e iI f. I.‘l A dl.\mille molai aa.
Uaa rélo ma dicale 9«t auifl aiceeiilra l i a
na» lea l»|ôU lolint ikaartle il «ne f ^ n plus
equitable eul. a le» eoatrfbaiblee
L'oruteur sil psrtlian d^lae p Hllq la d ecoiiamlia et advaoalr» risola d» t«“1
41 nouveau,
l e s coatnbuab'ea élanl dé|à iurçkar«M.
Dea ipi>l«uilneme»ti aenrrls aeoaellleat la
belle peioralion de oe «lticouii.
,
M. Antoine null demande epialte la paroi«
pour déclarer que, lui aaiil, ait capdldat aa»
pioohaïuei eiecilom ii¿lslattvee.
Lo eiiniou de C ozon a’a encore lamals aa da
repvéa»».|ant i la Chambre, tandis que les csatons du Kiou, Pnjbtn et d» CMUaalla ont ÍU
tour k tour repréionlit. Or o aet mol, dit U. Doltr
out luis aialilé potu devenir ce rjpréientent.
Tant oe qie U. Hailégasa apa faire pour flroioa,
o'eat d'obtenir « b 1»« »n boat dn mòla da ìiorgat,
dont on fall lïpéortir les IrtU k la commune
C’«.t une Bi»aval»e ptalseaterie pplsqne l Kla>
leeorde tonsuri ^ l s «ralnlUmeat.
I ait vint q' e »I *■ Banlélo» devleat depute
.ormali la abara
ixicromin q»
nuns aaroni aéiormals
pbara ce
da Locroaaji
^ji
la bal« d» Doparaeaei et éeirplllaalnera toute U
n 4a Margal.
•era le beo de gn
que a*
la momeat da
M. Boit uloaiei qve
_T rest pss
. ....
développer ion programw, ç# qa'llfera an l»mps
T0M.*'Danl*lnu Ini répoaí, ava« beaneoap d'à*
propos, qa'll prêt* e avoir deux adversaire»
plutôt qu'a» leni. C o M » Il a daax polrjgi,
trouvera alaal le morea U les «UlUer ton» les
diax poar lamber sea öeMurraat»,
nbon da g a i d’hoo’h,' den* he bert, he
Q’bourc'hemounoa a vlavei mad : ic ta
greet I
r.p*,,T
i Yec’h e i mad d’an boll bepred.
• Bkilvlt d'la keata tro e e helloc’h k»out
an tu.
• Ho mlgnonec da vlken,
a U ako UAMT. a
« Ah ben 1ema Katelllk, o walet n'e doa
ko; h i meatre* c’boant da bsouei gant aj
liter, petra ’ lavar Qaldlk d hoc h i yak
dloutbt eo, m eu* aoun 1 » ....
... ,
— . Dell 1 Katelllk I leun anethan I %Kerkent taolet gartbl ear sell var,.*l„llM r,ar
vateilk a xav he fenn en enr c’boartin !
,
t All 1 ah I Lena 1 an Aotrou Bone, me
' Bred, a glev ao’hanhoc n I Hein I o houea
vad xo ’ vout da tevql, ’m ea* aoun I (Jwell
a xe : ne rafjo’h ket m e i au ell d eglle, iu r
a ^ i ' j p Jtra llvlrlt? Ne walan k 'e tl» ' eriii
Lena, en eur rtxla betelc be dlou «kouarn.
— i Ne wellt ket, merc’h paonr I A h ben.l
gwall berwelet e ranklt bexa evlt chom
h e n .. intent I... Mad eo an tra o u l... ha da
o’lfortDis ne rlt ket goad (all drelst m n ip l ;
le tit ar bed da tfliilal, ha Done da labou............... r ny
i At i »
II
ïn m e n e t eo «r foanv k r li hag he amier*Bun h e o ^kloiar a glnnlg he vannou mad o b ir u i d ar meaalo» h»8 »,
d’« ih * , dlvar bol* an oabl fia » en m »
kla*tout 'ftret : D lhunlt I hoU draou v*oi O
Nator I D iaun lt I.
an NeT M 'ilQ E if I BthUDltl B M
tm
«vit Hda ml» U . • I » B t ïïf a d lli MOU-, evel
dlskredlk on«' k o » » o l k m to t « I t a . w
boaetlk nrute, prant àoun d « o em im }*,
kroaadurlon au Nfttui ft le n t C U U U 'W *
a v s i Ä Ä Ä “|. *•
F ê ta
^rrondi3S3menl_ de Morlaii
Mardi m »tm , M. Kermorvan, Jardinier
cbet M. Caxln d'Honlnctbua, découvrit U
p.slavre d nne femme dont l'identité (at
établie le lendemain.
C'étsl* celui de Mm» Annette L'Hostie,
I f i c de St aos, de Gulmsëc.
La maldenreuae ne loalssslt pas de 1»
tienltadr de «et (ic u lté i. L’m quète a con
clu k une mort »ccldentelle.
P lo a é u a a
U n a o y é . — M Alain G tb'nc’h, bourre­
lier a G. .as-ar VliUn, a éie tio,.V î uoyi
d anl la Pensé. Le corps a été découvert
piè» du pont qui sépare Plouénau de Penzé
M. Gabloc’h avait travaillé dat a la m atirer ;
l'a p ièi midl, il l ’était rendu k Penié, cù il
avait comoiamé. Une petite ülle a entendu
Gab'ao’b tomber dans t eau et crier ; il était
cinq heures du soir. Pen de temps sprè», la
constattt'.iou du décè» était faite.
P lo n v o r n
In o e n d le . — Le f n a p .ii accilentel e
ment au Moulln-en Toui, d a m l’aire qui
contenait de la paille, k quatre mètre» de
la m alion d'habitation de M. Paul Portier.
Il (allut bientôt l ’efToroar de protéger la
malson »eul?m»nt, et »»crifier le (oin et le
fourrage ilt ü é ito u t piès da la paille et qui
flambèrent bientôt. 4 000 kilo» de f -m,
2 .50 O kilo» de carottei(ourr»gère» furent la
proie d» l'Incandl*.
Le» dégèt» »'é évent k ülK fa n e » et sont
couvert» p»r une aim rance.
S a la k - P o l- J e - U a »
T e n ta tiv e *la a u lo id e . — Dans rae
crlae de l o m i t h M » ,
J alT* . (j. r,t|
homme de lettres, demeurant k Gréaolian
éré, eu 8 alat-Pel-de-Léon, »'e n Uré an
con* de revolver d a m la région da cœ ir,
La balle, aprÿ» avo|r glissé »ur le i rûtei
e it allée le loger d a m l* i rein». M. G »rat
nul avait l'hapltud* d’abiorber de l'èiner,
avait com em m é tjn (Jsml-Utre de c» ilifuld«
avant ds longer k te dètraire.
S a la t- S e r v a la
U n d é s e s p é ré — Ma faisant ia tournée
le earde onasie Mleicec aperont, d a m un
enamp proche de la (èïme de ’penvern, en
Salut Sarvali, un corpi la ip e n d a k une
branche anse* baise, de l m. 5* environ
au-de»»ni 7a an1. c'était an vieillard de i l
a m , ayant l'apparence d'un mendiant por­
tant uu b lu a c in r l e i h a lllo ai. Il n y av.l»
PSI de tracei de lutte ou de violence. D in i
«ne de le ip o e h p i on trouva an apte de
UilpiftQCô nu nom é t GvlUsutxio Blilen, Dé
à Piouoévppter, en 1*4*»
Oonféranoa agriaola. — La dlmanebi * dé
esmbr», é trol» ttenre» d» l’ipré» midi, M. U
Loapp, profaisaar d'agrloultora k Morlalx, faia
lo«k da w «l«t e«a dell«* g«nU . Darn to ­
ken, lêroc’k, a éaol « rm a a t ear vleinwenDlk, «■ e n sl«pak lirai« en ear e’hoarsl«
.............
on» «t«roden« a* del«.
O vrelet ar burtudou-man, an eoned d ho
tro « > lle* ar o’hou«lfed. D o »t a reont da
«aludr a n « l ie n , »r Tvleunven genta, har
enn ho henör, e taolont varca an oabl
glas, an d'idloia tonlou den» ho o’bAa.
...Dlndau baunoa an heol klouar, a-hed
á n h e n t braxi koitexet a brajeler don», a
Uorilou koant, dloa blao’h laouank e ia ’n
ear savarnt.
Ho 41on evefe r o e td ’eiho c’hneaek pe
xeïïek vloa, ha kemeret e ve(ent evlt
o'ho»re«e#, ma taoir«! eves hebken enn ho
bleó gell, ec’h anaveier (oannt dlndau an
dlonaikell e a i ho c’hodTea gvren. Hogen,
unan «per,ho, raip e n n ma 'x e* huelec'k
(ged tb»D, a io .c ho a i g w liket gant eun
neubeudlk « klask », petra bsnnak n’emahl
k i t enn eun doare dlrels, Bor chadennik
aro’hant, laolet dreUt he (¡oik, e tea an
daou beim a te ib l d en em gavout var he
(enltrln, evlt delc’her eun horolach-godel a
ilvàner kueet enn he bruched.
, . ,1» I Katellik I va daoalagad ne »kulxfent m orie o «eilet o ut enn daa enn keo
kaftr, ken dudlnt. Qwellt an avaleoned-xe
B-at ho « lagadou » ,reud, var boaex ta n a
o W e « ^ ! fta « !>r Prajeler a-hont goloet «
je o t (ounut na g i» ï, kemme»Ke» g«nt «r
q'boantabokedou-UOXl na p «g e n > » 6 r ««
an boli draou;ze t H * du-bo&t î stUonLt I N»
Ä k i t « e o i l i U w o W M .h e .g t o ü .
dalveioot, e kreii cbalorl m ouikan an holl
eoned 1 » h l pegen doui eo bera bepted
etous» eur p e le îl ken dydln» I »
' T . / t a l C e n ai k»nim v r « f t eu« «tre
. hon buet-nl h»g J M ar c’fionerladrd I...
Den» enr c’hoite*, e«r vad, p«oc h, (rank'*,
Ä if c W
iA ir Ä X
P e n m a r c 'h - R e r lf y
T o i a n d a c le u x . — Ut iem ali e dernière
le j 'U li la fv-mlle Doucen. du village de
Loc-ar-NarnHou. s'était mise au lit entre
t b 1/2 et 9 heures da l 'ir. Vers 10 heures
le si-ur Doucen crut entendre dn bruit dans
sod écnrie. Tout d’abord, 11 r ’y fit pas atten­
tion, a is li peu après il eDtendit dn bruit
su rex-de-chaussée de sa m .lson. Doucen
se leva aussitôt et allumant une bougie, il
jn t voir en descendant, uu nomme qal se
sauvait au plu* vite.
Comme la porte de 'V m o ire était ouverte
Il l i l’io vantai r# de ce qu'elle contenait et
constata la dispaillio i de trois portemoaneie en cclr noir contenant nne gomme
de 1,600 francs envi-o >.
Le voleur est entré rar la porte de l’é­
curie qui don»e n ir un petit chemin et qui
était maintenue ferirée par un morceau de
bois englué d;»n» le mur.
P e n m e r lt
A c c id e n t. — La nommô Gorculî. de
Hallaouen, se r r n ia lt i bicyc'tttek Peu
m irlt, qaand arrivé à ¿n kilomètre environ
da bourg. 11 ctolsa dfux cyclistes qui arri
valeat en sens inverse. L'un de ceux ci.
qui m ir .h tle n l k pasebe, ne put é\it
Gorpsff et ylnt d o m er en plein dans la bi­
cyclette. Les deux cyclistes furent projeté»
vielsmm ent k terre : Corei (T portait une
a iic t grave blsssnre k la téte ; qnsnt
l’autre cycliste, qui a nom Le Pspe, et tut
d» Penmerlt, 11 u ’vut qu» des contunioi s
très légère». La bicyclette de GorculT a été
lé riia ie m s n t endommagée.
PlO YH«
A e o ld e n t. — Le nommé Le R mx, culti
vateur k i,e»nolec, était monté, d a m le
courant de l'aprèi-mldl, sur le toit en
chaume de sa grange pqor y faire quelques
réparation!, quand soudain 11 vint k perdre
l'équilibre et tomba sur le sol d’une hau­
teur de quatre mètres, flilevé presqu'aua•Itflt, Le Roux, qui était sans ceanalssance,
(at conduit à la (erme, o* on ml prodiera
le i m ellleuri soins, en attendant l’arrivé;
d u m îd e c ln , Ge dernier constata que Le
Roux avait revu tro ll graves blessures der­
rière la tète et l'était cassé deux cQte». Sa
vie p'eat point en danger, mais un long
repos lal sera nécessaire.
P o n t- l'A k k ô
G r a v e a e o ld e n t. — La semaine der­
nière, dans U matinée de 'vendredi, plu
sicuri employé! de l’uilne électrique de
P çnM ’A bhé, travalllateat é l’essai d'une
noavelle dynamo, torique tout k coup, par
lutte d'an accident causé aa volant de la
maohlne, une explosion «e produisit. D îux
—
J ill
IH M
l Jl'lLUBLJBilBae
evel al labouilgo«>xe, breman o tlsk&na ken
drant var begou ar gwe. Neuze, me Ivct, a
# ie noz-delt, va c'halon leun a Joaüsted :
irlo am eu« kollet va lô n lk 1 »
— « Ha me I ne oëa ket ? »
— « Oa c'hul? Bepred o taolßt er m eat
kanaouennoa dullusoc'h an eil eged eben I
Me reipcan t ’xo eet mear a hlnl n'ho zro,
etre Qaldlk Kerekao h\ c’bul I •
— « A h I (el la v»d 1 A h I llvlrlt 'ta ?
sbenn pemtek delsac'han e vo tost da veza
dre aman I »
— « la I hag ar pez 'zo ewelloc’h ne veio
ket he unan : Im dor e teuio lvez m ’oarval ? »
— < Katelllk 1 p:rak kemer an ton-ze:
den n'en denz lav&ret... •
— « A r p»t n’en deuz den lavaret c’hoaz,
ma hen lavato breman Ha neuie c’hul oar :
« A'I m »■ Jlmuloa
» A m i*T»t dr» K»noh«anou I... »
— < Pe.oo’h I Katelllk 1n'eo nemed huvreou
kement e. llvlrlt I »
— < Ah be«! peoc’h e rin nenze, pa (ell
d’boc’b I . . K im te m p bremnn, mar kirlt,
deuz al leué pemp pao, dent deac'h e Koataskorn I »
M a rk a rlt! hogen, ne zavarlmp mui birr
am jer a got tez, le tu Pipi K erlab o m o tont
a-benn fo m p t évlt mont bubanoc'h d'ar
gear nl ' la 'n he wetnr i •
III
Deut eo ( larB igk... Neubeud ha nebeui,
marc’hallac’h Kernltra en em garg*lt> 6 n e 1 ,
relxet var an dacbenn. hervez ar ouenn
h*g an o«d K rezho, an ergruSz a d u i,
dççt ejtear, o d m * po< nokaout hent da
dremen
,
■on hostalerlou, u r b r .z zo ken braz...
dr« xe, Katelllk bag ne meetrez o denz
labour aw»lc’b o lalifti var ar * c’hontouer »
goulenu kement den o teu enn îy.
Seto, d’an t«ol a unek heur, o tont ebarr.,
fér- V rai, tlek K erikao, gant Marc’h a ilt
6
,% ,^r
*
• -,■»*•»
des employés, les nommé« Pierre Le Molgn
et Cnriou, furent atteint« et asset griève­
ment blessés. Tn leur é ta t,tin dut aussitôt
les transporter k l’tép ltal des S a u rs A u ­
gustin es de Pont l'Abbé. Les blessures
reçues par Le Molgne et Cariou sont très
rraves ; on ne déaeipire pas cependant i t
e i sauver.
L'explosion a été t i forte qu’elle a été
entendue a quatre kilomètres de Pont*
l'Abbé.
U n n a u fr a g e . — On e*t sans nouvelle«
de la barque ae pêche l'Eipéranc» de Dieu,
patron Le Gsll, partie le matin da 18 no­
vembre pour la pèche. On craint qu'elle
n'ait sombré.
T r é fr n c n n e c
A c c id e n t. — Dimanche, dans l'aprèsmidi. an hameau de Siint-Vlo, en ïréguennec. plusieurs personnes s'amusaient k
Jouer lu x cartts sous un hacsar, lorsque
tout k coop une aile du toit s'affaissa. Trois
des personnes qui s y tioavatent forent
prite« sous les décombres.
Deux d entre eox. Le Roux et Calvei,
n'eurent que quelques fgraugnures sans
danger. Il n’en fat pas de m è n e du troi­
sième, un nommé Sénéchal, de Piomeur,
qui fat asset grièvement blessé à la tête et
aux reins. On s’empressa de le retirer da
milieu des décombres ; comme 11 ne bougeaittplas. on crut tout d'abord qa'ii était
mort, on ne tarda pas cependm t à s'aper­
cevoir qu'il respirait; c n iu l prodigua alors
les meilleurs soins et on le reconduisit k
son domicile. Son état s’est beaucoup amé­
lioré depuis.
■
-
>...
i
*
Âlmanak
ar Breizad
Î
Jareau-Annexe
et Dépôt Centrai
du Courrier du Finistère
raolenr. — M.
C q\. I* . a:.laar
P ojiliotej p' ndant
|i u.l n;i ftba.ei- »r. .1* »Ja a Stdnt-P,auçeli
lie « w lilt, eanj »a »3* annl».
da l'Anarchla qui, aveo l u J u èj el l u Her»*,
n.échent U disertien at lniuilea» la d.ipium
natloael Il I» ‘Urlare pariliau d une arin»e bUn
orffuuUea et f«'t» d’auià« cet k^hk» latin blea
contiti : • S. vl» paceir, para Ba.lua» ». • 81 ta
vaux \
a
uréinre I*
•
Pal*, M- OëiiUiou dit qa*ll a hAMté 4m trtdl
lions ré] »bllwtlne* di» *on père qui était «n
16 »ub lc.-ln dan» t»»ulo »’accepilo» du mot.
Actufl'-ra'nt. noa^ ne »oromo* P*» in Rlptoli«
que, mais* eu F, inc-Maçonnerle. C'e*t la Franc,
y.ctnuerlo qui a uturpé U pouvoir ot oe*t élis
nul tfoimrtu- C'est elle ^«l a lait totar la lépa»
ntloa fÏK ) Kf «»«•« d« l’Ktat, InuccepUbls poar
Hs cn'h »l‘«i o“-Crtt^ loi doit êire ratlaô«, dacO'ifi avec Hcbai da i'BijllM.
« ■»nu u
Bimalu on au.è^êra uni p^rso d* fanll’4 lt
direction de Uu r* entant«, tn totant lamonopole
de l'K'atan iu.itlè"e d'enielgnement. Il (autrédglr
S b'mV c . . M
«onlérenc» sar rasraranea-bélall st las sagrala
potasilfua.
T rM anénsn
M ort da aotra a a o l » n c t i s r . — La J»
aovambrs est décédé dans sa famille, k Roscoff,
Rolland, aedan recteur d» Tre&aoaénas.
Né é RosoolT sn tlto, M. Rolland fat sacsasslvtmant vicaire k Balnt-Tbarlen »t à Croies, où
U pasi» 1» am. — recteur d» 8»lnt- Hotrop» et
ansult» da Trvllaouésas Cnovimbre i m s die»mbre 1*07).
•• i
A r r o n d is s e m e n t
de
L
A lm a n a k
z a d
p a r a îtr a
a r
la
B r e i­
s e m a in e
p r o h a in e .
Les
com m andes
s e r v ie s
le u r
du
“
seront
l ’o r d r e
r é c e p t io n
m e r ie
F
dans
de
à I'I m
C
p r i-
o u r r ie r
du
in is t è r e
7
f r . le c e n t , le p o r t e n
sus.
P r iè r e
m ode
d 'in d iq u e r
le
d 'e x p é d it io n ,
s 'il y a l i e u ,
la g a r e
e t.
des­
tin a ta ir e .
Q u im p e r lé
Q U IM P E R L t
In c e n d ie
Le 1« aécem^re, vers 10 heures du matin,
on incendie s'est déclaré dans la rue SaintT ?es cbez la veuve l<e Coi, ip é de J3 an».
Cette aerniè.e qcl est en erfarce, avait
approché sa lumière trop piè* de la pail­
lasse et y mit le feu. Sans 1arrivée d i deux
voisin», MM. Louis Maréchal et Pierre
C lrls 'ie n , la pauvre femme était asphyxiée
et son lmtneub u, a ijs i que les maisons
voisine», étalent ’a proie de» flammes.
U e lg rv c n
V o l. — Pendant la nuit du î ' au 28 no­
vembre dernier, des voleurs ont pénétré
d.*’’-« la csva de Mms Rioual, débitante A
la Trinité, en Me'gven, et ont enlevé, d'un
sa" contenant du linge mouillé, divers
effets et notamment des draps de lit et des
chemUe». U n pala to lr de zô livres que
les voleurs ont trouvé k leur conveuancc,
a également été emporté.
Mme Rioual estime son p cjudloe k
ICO f.ancs environ.
X lz o n
S u ic id e . — La semaine dernière, mer­
credi matin, Jei>n-Louls Le Breton, journa­
lier et com m itçant à l’Enfer, en Nixon, se
rendit au champ pour extirper le» mauvaise»
heibes et y conduisit sa vache. Ver» ü
heure» de l’après-mldl, pa femme ne le
voyant p a i dans le champ se m it k l'appeler.
Ne recevant aucune réponse, elle (at prise
d irquiétude et se mi-', k sa recherche.
Eue Huit par le découvrir, pendu k une
co de, dans une c « r i ère abandonnée.
Epouvantée, elle revint en cou-ant k la
maiaon ét prévint ses enfant*. En toute
b it? , le li s îln é de Le Breton. Sgé de 25
ans, se rendit k la carrière et s’empressa de
couper la corde ; mais le malt eurer'X »valt
déjk ce»»é de vivre, i t il fat impos»iLle de
¡e ranimer.
Le Breton relevait d’une longue m a laile ,
au cours de laqoelle 11 avait eu le cerveau
nn pea d étn qué. Il avait dep iis quelque
temps des idees sombres, mais n'avait ja ­
mais parlé d'attenter k s^s jours.
Il laisse une veuve et claq enfants.
N év e x
C h a t in c e n d ia ir e . — La semaine der­
nière. jeudi, vers 6 Heures du m atin, Mme
Gostiou , de Ktrdruc, ayant en b ’ roln de
monter au grenier poar prendre de la paille,
p'aç i sa lampe sur une nierre, au ¡ri«d de
l'échelle. Effrayé, un chat, qui somnolait
d^n* le grenier, descendit p ’-e-lpltamment
l’éche'le et renversa la la np» qui rou'a
sons le lit des époux Gostiou, o'>. as trou­
vaient encore le mari et nn de ses cnf.tuts,
et commuiiiqaa le feu i la paillasse. M.
Costlou se leva anssliôt, et, avec l aide de
p uaieuis voisins açcQurcs i\ses cri«, réus­
sit. au bout de deux heures dVITorts, à
enrayer ce commencement d'icceo'tte. La
porte, de 300 f r?.nçs envlion, e tt rouverte
par une asamance,
Q o e r r le n
D.-umatlque auiclit«. — Morcreli, l’Iarro
Be'lheiot, s.iooil.r uu bou-g, s'est rulcldé en se
porlunl un torrlble eoup do rnsolr i ln gorge.
De.lhe ot esall sonfftant depuis quelque temps :
et c'est pendant quo ra lernme l'avait laissé seuj
p iur prendre son repas au rex-de-chaussée, quo
le dé'eepéré se trancha la gorgo.
li ûtatt otlglualre de Bannalec, Agé de UÎ aus et
I è e de 7 rci intr.
ru " " " . . -i___ ?.. T ...... ..
""a
LA H E R N IE
e t le a d é p la c e m e n t s d e s o r p s u c s
L e » a p p a r e il * p e r f e c t io n n e s
d e A. C L A V E R 1 E , d e P a r is
sont
le «
« c a ls
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rebellts, tans gêne, sans souffrance et sans
interruption de travail.
H e ttiu p e tU u dlnslster sur les hautes
qualités de ce profeislonrel de premier
ur.ire dort la personnalité «st blea connue
de nos lecteure, ni sur les »vintages sans
précédents de se» merveilleux appareils
brevetés.
Le chiil're énorme de 950 000 donné par
une st&tMIque déjk ancienne des person­
nes q a il a aéllvrées de cette lntirmité dan*
R e r e u s e , prouve mieux que le» plus bril­
lante» promesses l elticacité souveraine
des appaielis C L A V K H IK .
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t e l C o n t in e n t a l.
A L A A D E R N E A U , lundi 13, h O tc l d o
l'U n lv e r s .
A S T - t»O L D E LEO.\, mardi 14, h ô t e l
de France.
A M O K L A 1 X mercred 15, h ô t e l d o
l'E n r o p e
A C H A T E A U L IN , Jeudi 16, h ô t e l d o
la G r a n d 'M u ls o n .
A (JU iW P E IIL E , vcLdrec i 17, h ô t e l d u
L io n d 'O r.
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rebelles k tout traitement et régime, don­
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M O K L A 1 X , dimanche 19 décemb e
h o tr.l d e l'E u r o p e .
I E S N E V E N , lundi 20 décembre, h ô t e l
de F rance.
B R E S T , maral 21 décembre, h O te l
C o n t in e n t a l.
NOTA. — Le Docteur revient tou* If»
deux mois environ. Notice franco.
8536
bag Izidor I... Lena, petra bennak ema-bl
var c'bortoz anezno, e la eun taol en he
c’balon I
. ,
— « De mad I » emezbo... « Penaoz la r
vue ganboc'h abaoue miz eost dlveza r »
eme (Jaldlk.
— « Mad-kenan emaoun ; mar n em gavlt
vac’h hoc'h unan ? »
— « Dre c'hr38 Done, denz ar gwclla
emaoitp boll, tvei a w ellt I • eme Per.
Heg karz etrezbo evel a vez otre n Igno­
ti* d k' z.
.. Peciet da veren'a, e chomont ker laoit :n
ha tin. Dcnt arc’tioulz da ' o . t K ult,Indor,
er eur dr. ni^o e kl 'tienu L>r ;i e ii<var
d’eibl .-un ora boiiu^k enn be ekdiaru : an
In sti/., i la.'nan^c c teu da ru-ia evel rur
■". l.zenn liao, bag a reppm nt stouet he
fsut :
■ K. n u lt ouz va zud I >
L. Da ? »
— « Neuze ’ c’hellan »onjal eonhoch,
Hep liltet ger, ar plac’b laouank ec’h
astenn he dorn etrezek he amez-k gwecball ; bag hen, oe’b hen starda gant nerz :
« 9 h I mil bennoz I Lena! Mil b 'nno z ba
mil drugarel Abenn cur bloa goude ralt
gwengo.o e teuan o’ar gear evlt mad : me
onezo breman v a u u peleach ttlua va
c'ham m fjoul «
Hag hen, difrf ilt varlerc’b be gcrent, en
cur gas eun tsoi legad diveza d’ar plac'U
koant. he veitrez hlvlziken I
« ...A h b en i Lena 1 breman n'eux »man
nemed-omphon diou: ra k b o c ’ho a rh a gh o
tnou vreur a zo konsket mad enn tu all,
hag ho tud enn « tbéatr » 'xo d'ar c'boulx
louexet o welet ar p'il o tont en yCr, hag
ar v éro trol en krampoi't I .. C’han I C han I
atra io ’ neve ganboc’h birlo ? Gwall leder
oe’h, ’m ont aoun T »
— • O ’) I va Doue I neubeudlk a dra ’vad,
KateHU I Me n'ouezan ket va ucan i rak
«e, c'hul wel I »
— « A zo mad I eme Katelllk etre he
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dent, c'bul fell d’hoe’h knrat nnzln ar wl*
no-cz I.. D.zale ni la da welet I »
Ila g bi krenv :
« Lena ! n’o peur, ket sorj denz cur zonile
koant a gânec h gwecha1!, a lez, allez I »
— « Pthit 1 ’(ill d'Doc’b lavaret 't »
— « An bini zo kaoz ennhi e ue ar Pill]»
hag ar Melonek I Ob I me gav hounez eur
zc.lIR koant, sellct !... P^ncvcit b j siu iza ,
ho pedfen d ho c’fcftna I »
— « Ob I lezlt da vont I Me n’eun ket
re skulz : evit beu dUkuez d hoc h c stagas
gantbt ! »
Hag ar jö n lk o etvel lirzin, dlvar muzellou aour ar plac'b laonank.
...Honitì ar post diveza o nijai llouiik,
dlvar tc o i Leca.
« Setu aze 'vad enl labons hag a drec’h
gouenn i mont da glask pár var ar mea* T
P»bex sonj i... (îw ir e » ! Penaoz e fell
d’hoc'h e chomfe be tklant vad gant eoe
flllp, enr paour kez labousik hep spercd
An dud io a zetk nn trolou d'al labouslgoa
ke* ! setu neaze I .. Eveisj, gweilt 1 Em
anaoudeget cz cut eur plac'h laouauk, hag
a zun] ober abnrz pell amzer e g li nr fPip :
mont da glask par var ar meaz I... Ah ! ben I
n ’e pouz ket an ear d’am c'hredi : gwlr eo
konfzkonde I 111 ken g x lr evcl ma 'xeo
bet Izidor dloux ho koulenn birlo 11 •
— «III»
— * N'eo ket ar boan d’ho;'b lezell ho
tloujod da ruzla evel k ip le m ar c 'b lllo gt
Ne lavaran ket gaou. 'k it ta ? *
— N. n 1 ne llvlrlt ket gaou m&rtcre. ho«
gen muloc'h etred ar wlrtoncx xo (*.eut ga­
nboc'h Ivex. Komzet en deux ouzln, evlt
gulr ; d’am zud n'en deux kfat c’hoaz toullet
eur gomz. >
(Da “gendelc’her J
U A V Ô M à O Ô M O Ô ^ ê r ïV v Z S ^ Î
BIMETIH CORIERCIAI.
Dalle« do Purl»
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du Sii n jv.
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i*’»«- •> d». a die.
i.e»n«uun. —- VuiuUt- un "9 nov. •». tfsyi
moût, lo» w kll., I V r. O igu la, i.a&. Barratiti,
8.00. Avnlno, Id., 8.76. Pomma» do torra, le» 60
. 11., 4 US. tìourrn »alò, lo kllo, 1.00. Pourra mm«
fot, Id., a oo. (.Bui», la doniam o, 1.36.
ifoM-l AUbA.
•.are»* »ivi 2 décembre —>
l?co®olit, 11.00 Bolgln, 8 ,oo. Orga, 8 .60 . U li «oli,
(1 Oj. Avola«. 8.76. Ponuana do tirro, s 60. Pola,
'ii,Oo. lo* too VU. .?ílllo, 36.05. <ßu*Ä, p.'tx w o»*«,
1 60 U iW uialn». Baurro, t.3ä I» l / i V".
liutinpov. -• Mari.fti du 37 uov. ■" P io " " « ! ;
12,tiu Ini ¡00 kll.; anille, 17.0c. lili Mit 1910;
»-.vit-e. 19.00; oigo. 17.00 : iioioraii» d t >orro, f* 5)1
lOlM, 48.00; pnlllo, 18.00 ; l a i ir.'», 1” unti. >3 001
i* riu i. »• qniil. so.oo «pn '4.f.,'¡ «rois, lu dou-
lalno, 1.9’' ; cidro, ln barrique, 85 1. .; iiomuiea A
oidio. 00 fr. tos 1,000 kll.
sinitr.yúfl«. — ï n vue* d» SG nov. ■
*- v**"
A a lu ta a
s a a s x v iiH
M ïÈ iiÂ
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o * W . la »¡1., 0 ir. 65, UttiUll ,CI J)0 « 6i.crla,
0 tu 70 ; vaobMt d i boucüsf! o fr. cu ; ftjwsio do
lra»Mi . oídla. ; ttoavitions, o í le.; «<;,•!)«* to-,
30ú ; .reales«, J00 fr. ; ofcnvuux, élevé ; v » m ,
0 Sí. 85 ; laoatoO.«; î tr. 65 w j . ; , o sr. 95 ;
¡JroiUJD'., Ibí loo Kilt», 31 U. 75 ; srlfílo, 10‘.t. 60;
■ni», 17 ir. )! in m u t o ) l# Ir. M> ;avoÌMi), 17 lt,(0 ;
¡mmL'iOü do 'ivo, 6 Ir. oo , Sani'rfr, I« «ilo., 2 (r.a^ ;
filili, la dov.’.'/URL 1 ir. 30 , (ovii, io* Mo kilo;.
65 Ir. oo , palli», l«t 500 .lito.i, 26 Ir. 00 ; «oa ' >»
S » R ii;». 1« Ir. oo ; tarla», i- « i l i » , t t a . 76 ;
c a lm o
Ici
ld
bonne
o u i d io
» .8 :3
It i
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ijj| !
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ohfltsauttn. - H »robé tì>, « i nov. « . , l»i; .a i u t . In» 100 kU.IO.&O; nvolnn,10.00 ; iplple, 1S.M1;
or*«. 16.50 ; »arruilu.lfl.00; botirre, Io Allo, ».JO.
« n l i . Ih du u l. 1.3», puuiuKU do l., 6.60 lm- iQokil.
a. Cldro, 1» burrlqae, so A 86 Ir.
t i n t it i!» . — Unteti* du 1" d io •» IV moni, t u SO kit., 13.00 j or*o, «.60 ; M im lr ,.
1.76 : avolne, 0.Ó0 : »ou, n.60 ; ji. du torni, lo» t>o
k ll., ».60 ; poro trai», 1.10 ; liourri; « « li. 9.10
bourre «nu» »si, 1.00 ; wula, la doui., 1.70
L in d tu lv ia u . “ > M archi «Hi ih oet. ■
.
wout, I«» 100 kll.. 11.60 ; m in iti, ltt.05 ;
iU.
14 .S6 ; «iirrailn, io ! «voluti, lo.oo : orno, itì.oD :
I). de t e r « , 0.00 : canili, la don»... 0 OJ.
'• . «II1A, SII ir, 00
Ponimos A cidro, o Ir. 00 la bnrrlquo do tan kll.
Sl-Pot ito temi.— warcii* a.i 3) uov.— Vari*../,
I“ imat., lo» loo kit., so.oo ; tarin», v. as.oo ; ho
lOtut, a i.76 ; uvotuo, 17. 60; blâ uolr, 18 .1.0 ; or««,
17,60' lolu, 34.00 ; arttobauta, 80 fr. lo» loo kllo..,
StU>n.\ r.tiUK, 3 25 ta doux.; poti mas do lori o G 60,
Iti« 00 kll.; oíuit. la doun.. 1 70 ; bourro, 1 20.
n
_______ ,
____ _____ c J l l I
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IStOrtnOtt^TÑÍut1;/»! OHMtilltur«' N-ntran«B«t\
_ tn\
/0) UrUANOOetOHATUlTI'.MLNT.
Il» unlitn/unt /• plut btâu Choix -*•
a'!lortoí«rl» du Mende ^*t*s
nt no«*
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M^y^i.-cv*.^
intur cl to>ni
1g
SJ^’
ì>'i'Ci'
.commini:"
UorUU. —.ttaroM du 2’ uov. — lui, lai- " 0
Itti kll., 11.7» i Mlfltb, 14.00 ; aari'Siln, 18 0
■voto*, 10.60 ¡orge, 16.60 ; toln, le» suo kll.,46.0j ;
palilo 30,00, « U t», la d o u i., 1.66.
I
If
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;'?S
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T /'
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' t.......‘ Vo
$. i
W
Etudes d o : 1° ' M* A. UAUD, lituilen de M> Louln A L L A IN ,
»vewé.tlcencié ii BreKt, îu o <ln
n\ouô près lo tribuunl civil de
Clifttcatj, i “ 21 et, de M* DIS
tìalnt-Walo ;2» M* LA V A I,O U ,
HODELLECI
D U POH/K1. no­
notaire h Snlnt-Pol do Léon
taire A Salnt-Reuan (Finistère),
U'’llllBtÔIO).
l ’L'IU'I'ï,’’ dc hlenu de minent s,
v Ij.s I ti sur baisse cio mise h
on la commune ce S a in t- P o i
^
L e " Jeudi W.’l d C c c in lu v î 1909,
d o L A o u , Rrrondlaucmcnt de
A uno nouvo et dcmlo de l'après*
_________
Morlalx.
midi
Adjudication, lo v e n d r e d i 17
En l’étuJo de M* do Hotleltcc
d é c e m b r e 1909, it doux du P o u le , totalro à Saint-Hebeures de l’upròs-midl.
aan.
EnT âtndo et par le ministère
Promior lot
do M* I avalou, notaire A
En la commune do .Ito liar».
8alnt-Pol de Léon.
et, par extenslou en ceil» de
,o Pi èr la ville, au lteudlt BolL a in lt é z e llc c , à cinq kilo­
lenua-La Clmse ,
mètres de Brest,
Une Malson d'habitation
comprenant rer - oc - chinisi éo,
étngo et grenier, Inrdlnet c'oa de
mute, cabinets d'alsaitce et bitcher.
i,o tout est loué :
Cadastre, section C, numOio
«5ti. do deux arca envi'm i.
Mise A prix : 4 ,OUO tr.
2» A u nord du précédent et y
Joignant,
Deux soues à porcs
établo et écurie, maison aorvant
do locemont à M .;Hiuon, grange,
le tout construit en inȍouneilo
et couvrrt en ardolai:«, cour,
airo ft battre, cadastré tioatlon
C, numéro 85G, contenant s a
nie«.
Falusut tu lle il l’aire \ liattrn.
l)n' champ de terre labourable
d it Parc-al-Leur, porté au cadas­
tre section C, numéro 855, conte­
nan t trente-huit arts dix-iiutt
centlarea, ayant ses touiiés au
cerne.
i Wlso ù prix 1.4,OOO.tr.
Puculté de réunion pour ces
doux lots.
3° A u terroir de Kornonfluy,
Un champ do terre labourable
d it Pure.-Ketnônguy-HruH, ca­
dastré section O, nmnoro 898,
pour uno contenance de soixaiuesept area vlnut-olnq conU a^s,
ayant sesfoaiésau cerne,saut sur
le numéro 891), ctuiprls dans le
quati lènto lot.
M I rm il prix : 4 ,0 0 0 fr.
4° A u sud du précédent,
r ii
[i
Un champ de torre labourable
d it Parc - Besquclicc, cadam ie
acctlon C, numero 899, pour tien
confenauce de quarante - neuf
area soixante centiares.
A faut du auméro K9 »,
Autro champ
dit Parc-Uluan-K«ruuuhiiy, cadaiilré soctlon C, num éro 900,
pour une contenance de trente
ot un aroii tionte-sept centiares.
tien cUampc ont leurs lou&é»
au corno, Buut à tv.st.
¿MIko A prix : tt,0 0 0 fr.
I " Quartier du Vdtaudan,
Une
Un champ, Parc-an-Faros
Deux
PR A IR IE
Un petit triangle
ADJUDICATIONÄ
:
La coupo actuollo do doux taillis
Un pr6 et un champ
v a r h e s la it iè r e s . £ ? & « « , -
¡ t ò l t a /o u s, — é le v a g e , — r e p r o d u c tio n .
Le. lail et tes produits, p a r L a r b a lé tr ie r ,
i 7 0 lu d it; a u b u r e a u , 2 ir . ; fr a n c o , 2 I r . 18.
HAUANT! KMUHlit.
R O U G E ü6 tr.
BLANO
i*-
_ lu |)|ècs U* lift l l lit s .
» lìm o (I^iillnnlitlro. fât coimirltl,
U N E
P
WMl<.i UtiUM
Fera
V,
M A IS O N
.U M I1 M C 4 T M R S 1? »
D ’une Wi
IS O N
K irivin, en
•»t dipeir.'.'' CfB,
G n lp a v a o . ;
,
ho to at loué A l’année du 2'1
septembre, A uuo veuve Fioch,
70 tr. i’a».
oc(U
Voir les afltcUes.
M m DES DOMAINE; D2 3REST
40, rue d u ChCtcoan
Le J e u d i O d é c e m b r e 1909.
à neut neu/c.s,
V E S T IT E
de matériel et d'objets réformés
de la Marine
comprenant 152 lots, composér
de :
Ferri, toti'os, aciers, cViaudlèree, laiton, coivi e rouge
b:oii?.e, caisse A eau, cordages.
. Ables, caout,chonc, tollcet. vie.ii
tissus et vêtements, cim ent,bar
riquesN 1!. — On peut prendre con­
naissance du cahier des chargsf
audit
bureau.
•
8529
A C C O R D E O N S Stra­
di Ha Ira.iett, sonorité
p audloso, nouv. cavar’ R e l ig ie u s e donne secrets pj
iérir eníants m1r¡ar-t au lit Ecs'
Wgtte fir«< l> ne rtteu ls"
alno» Burot, n° 387, Nantes.
A Bilvo (Corréze).
^'.M'V.V ,;,V,:,'i: ,i.i,
l e s ü a l a d i e s d e la F e m m e
JOUVENCE de l'abbé SOURY
pru . remplir ce» couditions, paroe qu’elie est composée d»
.ufe», a*t:s aucun poison ni produits chimiques, parce qn elle
purllis ie sang, rétablit la circulation et décongestionne le»
o. gates.
_
,, . . .
Los mé::cs de famille font prendre la Jouvence de I abbé
S o n r y à leurs fillettes pour leur assurer nue bonne formation.
Loif'dames eu prennent pour éviter le3 migraines périodi­
ques, a'assurer des époques régulières et sans douleur. I^e^
malade-e qui souffrent de m itidies intineurrs, suites de touches, pertes fcîanpitas, ni«trites, /Ibrèmes, hémorragies, tumeurs trou
veront la guérison en employant la Jour
r
! venae de l’abbé 8oury.
Colles oui craignent les accidents du R E ­
T O U R D’A G E doivent faire une cure avei
la J o n v c n c u pour aider le sang A se bien
át¿or m ferirai placer, et éviter les maladies les plu» dan-
\#Æ J
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-.- A Quimptr, pharm . Uidouco. — A Morlaix, pharm. Coolî.
A St-[‘ol de t jo n , pharm. B landln. — A Crozcn, pharm.
Housse. —■A Landim tiau, p hann. Doualle. — A Landerneau.
iH'ann. Keriirat. — A St-Pierre, p h a n a. David. -» A Pantl Abbâ, pharm. Gra'.l. — A Zesneven, pharm. Roudaut. 8527
Guérimm du jeune Bourgeois
•
par le Iraiterrunt à base (PElixir Uupeyroux
A mwtE
censistant e-n logemeut» en boa
état, tarr** cûauie s et frelde».
L o ié a »ox époox Guivarc’h,
Jusqu'au Î9 septembre 1914 pour
300 Iran ce l'aa et l’acquit 4? s lml>Ôti.
Cette ferma a «n e coateaance
d» 3 b. 59 a. 90 c.
On traiterait avant l’adjudliatio», en cas d’o fie s sullfliate s
S'aarei>i(cr, powr visiter »ur l«*
lieux et pour tans re»*e’g*ement» et pour trii'.er a M* 6»briel Poullquen, notaire.
Hj35
IJ.-B. KER 8 0 UL
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tassé au trieur; togé.l fr déplus.
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lontaire, eo l’étude, le m e r ­
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S’adresser audit M* Le Corre,
notaire.
“" ’u n e f e r m e
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c h « il) d é c e a in r o 1909, a cm
hou e.
rtmtv •.KtnmRtmnmtttmtnBmroiwamt!riwini>wiwwtww)mnwwp)mi»f-ntptmmtnwinB»wmtnmtqnmimtpnittttotmtt»tmBt»it)mnm,ttmH»tf..>
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aTeoJardlu et dépaudance», situé» i>a bonrj de P lo m o d le rn ,
route deLeacobet c»d »iveenou»
le n* 8 de la atetien F, pour une
contenance de 51 a 55 c.
Mise * pilx : 10,00« fr.
.ToaUsaijC» : 1« janvier 1910.
B j cas d’oïres Buftisantea oa
traiterait de gré k gté avant i’adJudlcatlon.
Pour tous renseignements, s’a ­
dresser à !&• Le Doaré, notaire.
Etude kle M« Gabriel POULIQU BN , notaire à gLandlvlsi an.
m V T B 1 PàT adjudication pabli! M i l Cl que «t volontaire.
fia l'etade de M« Poullquen,
netatrr à LanilifisisuL e v e n d r e d i 17 d é c e m b r e
lt-19, A dix bauxrs da yiailn
A a Heu i t Kardévy, en Pion-
H
Ktude de M ' Ch. LOR1N, hoencié en droit, notairo A Gtjiipavas
Î
iuN'-i»*iUnüi.aiUo», liouuulôroii^rt//,
\r \ lk l» r P|ir »d julicatlo n
i L l l l I I l L volontat’ i*. le s a ­
m e d i f i d é c e m b r e 1909, i î
neure» de l’apièc-midl, en I étn de de M« Le D a a ri, notaire a
P.omodiern.
;
M co
A deux étages, cour et l.tai'gar
tenue psutie par Mme veuve Dauiétou et loué pour le surplus A
divers.
D ’un revenu total de, 360 fr.
Mise à prix : 0,<i0,i Ir.
On t»'aitoi.ait avant l’adjudiça;
tlo*.
La ferme et le moulin de Kergoat
Un prô
A
5- A K e r a tíl, P A R C ARC’H R E A C U , 3 a. 25 c., n» 1115,
oectlon N.
: g* P A R C E lil/R dans Parc-ar; (îu e tn o u , 10 a . 8Í c., n* 8i5, b c c tlom M.
7* JfA R C E L IJB & Baiissaiig.
• 22 a. 2« c . , n» t ii.
] 8’ P A R C E L L E da»a M icüou■lira* • T it'gutB itn, 9 a. 1S c.,
: a» 1981
: 5» P A R C E L L E dans Michau; Bra»-TiMnia»r*». 4 a. 60 3.,d«<27.
] 10« P A R C E L L E dans même
; Mécüou. 2 a. 46 c.
11° P A R C E L L E dans même
; Uéckon; nxe* Poal-Coi, 1 a. 20
. a-, n» 172.
EE
eonüislast en érftkoes d!u.,uit<*tion oto.’exploltation ft l’état neuf,
tori es chaudes et troidos, prés,
landes et garenne».
Le tout d’t te superficie d'eu"
vlron U hectares.
Mise A prix : SJi) 0 f;0 (r.
Pour ton s ranseigaements, a'aUn cham p
dresnor A M« Geffroy, notaire et
P aro - "m 'n !té.
pour visiter, aux «o-prop/iétaires
Mise A prix : 1 ,7 0 0 Ir.
y dem u , aot ou ft M. Nieolaa
Eu lu commune de P o i’e p o
iaiiiorn, à Donar-Ijamor on » M.
dor.
Le Fur, du Fera-Vlan, tous de
12- lot. — A u terroir du Gon- l.anliooarneau.
quor,
On pourra traiter de g îé A fjre
avant la vente
84»r
Un cham p
Mise A prix : 7 0 0 tr.
Etu'do
do.
M«
M
O
A
I
j
,
notaire
13* lot.— 1“ A u terroir du Dreff,
A Solnt-Pol de Léon
Un cham p
irP W T P volontaire, en l’é ut’e.
2° A u Kotmo".,
V f c M l l le m e r c r e d i 1S d*C e in b re 1909. ft 2 Ouur^s.
Un cham p
Eu lu vide de S a ln t- l’ o l â c
3“ A u ¡¿jierntio,
L é o u , rue Bat-,.
AWCDICAÏlOil ï f S
Etuda ae U* LB DOAhB, no­
taire a Piomodieia
;
-o
du
landes
Oo 10 lots trimmeubles
rne-Tenan.
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n» 4"i.
O
contenant environ 33 arefl 00 fit, une pâture, Roarcm-ar-Roseten.
centiares.
Mise A prix : « 0 0 fr.
Mise A prix : SI,0 0 0 fr.
Eu la commune do L a n d u n Quatrième lot
V(*!S,
E n la commune de LmnbGil* lot. •— A u terroir de Mer.ou,
z o llo c , en btir»lut «• de la
lierbec,
rouie de Bohars A Brest,
Un corps da ferme
I ' ,Volioi''!1!!!1v ;’ii
vros da difsnto piofes-IorueUe, »ynllcste œédtcaur. 6te. (chapfire lit do la otiqutème partie)
occupent i eux seult* 7i peges do c»t Important
ouvri'C« Aux cbspllres YI ot VII, Iss tuaisou»
d■
■tau *, lac eaux mlrérsle» et »talions thermales
((»nçïlseï «t étratgàros aiec leur législation
(16 vnge«\ Les cours, conférence« dn la Faoulté
ot une taule des roullèreb très complète qui perKiot da Ct’usulier très faLllcmont l'index et de
trouver rapidement 1« rtnselgnemont cheiche,
lermlne l’ouvr»go.
Enfin 1,011* aurons terminé qunnd nous »nron»
dit q«a co ouvrago unique par les documents
qu’il rouanne et par son pilx (2 fr. 6») plus 1«
port, 41, roe dos Ëoolos, P ailsj. Vient d'obtenir
nu dli/ôn o de grand prix à l'expollUon tntornallona'o do Kanoy.
S ir o p C e lt iq u e
ADJEDKATIONS*îSia
A VENDUE E"ÆÏ.C“"“' A VENDUE W™.®1“'"”’
P-
N-IUMWM/riMin
il P;ou, sc .t,
De la fermo do Croaspren
853i
Etude de M* L B H IR , notatrelicenclé à Lv.uuIIIb
■ ' volôtitsUe,
l ej e u d i a »
d é c e m b r e ÏSOÎ, a m idi.
A la mâtrle de Plonguerncau,
en 20 Iota.
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2* P A H C E L I B dans Mëahoul<o»tr»uc'ti. 3 ». 84 c . n° 83Z.
3-P A R C E L L E dite IV k e n T heT eiíé. l î a 6^ c.. »» <076
4" P A R C A U - T A L E C dans
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8540 tion et d exololta ioc..
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S’adressev, touc voa» rencclA Lanuilis
gnements. A M« de H niellée du
t’orzio, notaire A Suint Reoan,
cliargé di: la vente, ft M* Le C ild it Pavc-Giec-an-init, cadastié lu tl) d é c o m b i'o , a 1 heure.
loch, avoué poursuivant, t> M”
i.ectlon ü , num ero 178, pour uno
Eu t* jo iifïu c i'u o ttu et C uls- Sorgnlard, avoué colicitant et A
r.ontenance de vluRt-huit aroo siny,
M* Q u in te l, notoire A Porapoi lnquante«sept centiares.
der.
Stiaj A ptlx : 1,1100 fr.
U LE GALLOGU
louée A M. t.e M m tic, pour A. r>
avoue-ilcenclé.
«514
A. U M ID .
ou V ai il, pour 105 fr. l'an. 8541
(Voir Ion allictte^).
*494
E tudo de M' OU B U SU N A N .
Etude de M« D A. V il), notaire
notaire A tiultnllllau
Etude
do
M*
Th.
F
L
E
U
R
Y
,
no­
A Ptoudlry
taire A Morlalx
A v n i v n n r par adjudication
Lq lu u d l 9 0 d è c o m b rc
i i U i l M I I i f j volonttlr«.
a u iititiig du rl r é l i o u
10U9.
Eu U b.iiii do lu mairie de G u i­
Pur 1( m inluièio de v
Oa^ld
L j u t a r d l Ull d é c e m b r e d a i ) .
à Korari'tt’it, en lo c - E R u lo e r . I9!'J A nne lieure.
i.r (llinanclio 1Udécembre
1909. A 2 heureti.
Sur la iulao A prix de 10 ,0 0 0
francs.
15,1 1» com'uuue de C n lc l a n
ÎUé» U i 8 et i3 ami, e uiteiunt
ch cai 4 hcctarou 51) aros envi­
A l'oUifanc.Blan.
ouutenaul 8 hectares 12 aten 0„
ron.
M ltlj A prix : 1 ,0 0 0 fr.
S tuéa au Kergoat,en L e Tré- oemiareii.
Loués aux convorts Mlngam,
lio n .
p our vlt lter, s adresser aux 700 frfitica l’an, phw l’acquit des
à Lnnandol.
,'OnuotiH Quldolleur, au Iverguat. luipétu
Miss A prix i 1 ,0 0 0 fr.
M t s o à p lx i lO .K O O fr. 8503
Dit IM tO P ltlD T A ins
A O ulm illlau.
La deuxième p a illo comprend les facullis et
écolo« de provlnco ; la trolftèmo la Ils o oftlctoll»
do <méduelns «t chirurgiens q ui ont déposé lenr
diplôme conformcnient aux aitlclea 10 et 32 de ta
11,! eu SI) novembre 18il.
La ftuati lim e paille toutes te» faealléc et écoles
do n ùdeclne du monds entier, eporçu d«s ttude»,
chaires et noms des prolesseurs.
Lu clnqnlOffie partie renferme 1» recueil des
lois, d ic r tls et arrêts, concernant l'oxorclce de la
médecine et do luphorm acle ; la prolecllon do la
pantii publique,l’esilstanc» publique, les aocldent»
do travail, la ropros.-lon des fraudes, *tc. Un cha­
pitre est ràsoivé à t’exposé de» »«rvlces médto n publics.
L'. h sotlltôj d’asslrlsnca profepslonnelt», «u-
Hen-man eo, etouez al louzeier a ginnigor d’eoe’h, an hini a
atank e berva amzer ar paz.
Mad tre evit an Influenza, Bron­
chites, a Bhumou negliged.
Eur voutaillad hebken a ra
burzudou.
, B gwerz partout : Goulennit
| mad S I R O P C E L T I Q U E deuft ti
Ö 3 E U L , e Landeme.
Un champ, Ponlzeugues
UNE
«tfMMé.
l'AIhum Z lluitré d« M o n t r a . niju.'xW tcuûm im ,
VISITE
d it P«rc-iilt.an-ar-Vllln. cadas­
tré Btcilo't Cl, cutiéio836, conte
n a n t viugt areu vlugt-hult cen­
tiares.
Mine d prix i l,U O O ir.
‘J ° Prés le obamp de la Iìive,
A Poulfanc-Bras.
Mise A prix : l.K O O 'r
H’adrtasar pour ronselgae
U W t«, A M*Tle Rusunan, nowifi
k H V
O
Trois garennes ot une pâture
Trois champs
■' f i
;
Propriété
Un champ de terre labourable
Un champ de terre labourablo
S
ilfi niAniA nun Ina hAnltmi« at hnunfoau A
lös
1?» P A R C E L « dan» aiê*n* M. Chou, 9 ». 03 c., c«* >37 rt 138,
13*PARC-AN ODE-VESprès
Korjega, 2» a. 38 c„ o* 5tf0, sec­
tion M
11* S I
Le» • Ji«jerdnt, près Por^guen,
6 a , n» 3?0, section A.
15» P A R C E L L E ««ibionnecge,
mêmi'ti>n, 20 a., »• î:1.
iti» CHAMt* dit Ltora-Allsnic,
A Kerm»»eD, 15a 6 2 c .,t* 448.
17* GARENÎVE io n i lande et
pi;ure dite Lau-Meur-Melen,
49 a. î 1' c . io» 447:
1S» P O R T IO N de dune à Kelerdat, t4 a. 62 c., n« ,r>8 bis.
18* Aatre P O R T IO N au même
lien dite CIoa-Ménéai, 35 a. 18 c ,
»• 65.
ÎO* Une P A R C E L L E dan*
f& ß f lIE A g f lU o s tiC H E T B O il
V H H M
comprenant maiB u principale,
muiüoti do traverse et partie
ouest du magasin, deux cotiro
Lu Rflmotorle
pavés, puits, Jardin muré, cabi­
PRjfZ : E U R 8 K O K »
du Ponchou nets d’aliiances.
Mise A prix : 1 '¿,000 Ir.
montée A ey'lndrû pour 10'.) qulu2* lot. — AuinOwO lieu,
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Partiellement en'ouié d^ mura,
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14 ( lé c e m lir e 19*9. A dou:.
Tont-’s'ios tnabdles dont souffre la femme proviennent de 1»
ront 6t''o réunis après «oiudl a2" Au terroir do K-irmorgant, hem es de t après-midi.
otauoa's :■
■
. circulation du aang. Quand le sang circule biea. tout
t.lons partielles en un so i lot, et daou iMéiou-Mes éaoil,
M- Geff oy, n, taire, iirocé r.ri
>a bien lea nerfs l’estomac, le cœur, les reins, la tête n étant
rends en vente sur le total des
e
n
so
n
é
tu
i'e
,
A
la
vente
puoliUne parcelle
1ooint c, ■ngeationnés, ne font point souffrir. Pour maintenir
mines A prix ou des prix et’adju
que et volontaire.
^.e.ie b.inne-, harmonie dans tout l’organisme, il eut nécessaire
Mise a,a nx ; ii.a o o tr
dtcatlon.
Eu la commune de'LaubonaP•¡e l'ai: e usage A intervalles régulier», d'un remkde qui » r î s s h
En la commune de P lo u a r z e l o i an.
TroisMmo lot
|
:
\la fot:i au.- io m aaff. i ’e u t o m a c et les n e r f# , e» seule la
Un la coramuno du l.a ia lté lu* lot. ■
— A u terroir do Ké
La belle fœrmo
/.e llo i:, A Pont-ar-SnoM,
> éam ln,
Du lieu ilo Porslmon
Un champ de terre labourablo
-
¿kí£
d it Paro-liran-ar-Renen-Dun, ca­
Le l ü i l c c c j . b i O liO 1), A uno
dastré Diction D , numéro 47,
pour uno contenance de cln- heure.
quarto-otun arcs quatre-viuRtü i* centiared.
en L n n u b ls , occupe par al. Bre­
Un cham p
Mine t\prix : 4,t(U0 fr.
ton.
85 J9
G'OSBras-Moî.uu- Mau7“ A u terroir de Coi-Vilin,
Mtoe A prix : l,S O O fr.
Htudo de M ' QU EN ’I EL, notaire
Eo la cou mime do l ’i o ’. ir l a
A Lanuilis
d it Pai'c-ur-Villn, cadastré sec­
14« lot. — A Stréat-ar-uroiavolontaire,
tion G, numéro 828, eontenaut
l î <n l'ét ida. «ant,
quarante - trois areu soixante
t.e inniM ll 14 ilé c c m h r e
seize coutlarcï.
1909, A une lu uro.
iviso a prix : I ,.tO<’ fr.
Mise à p rix : îi,V'Ot' fr.
En l.n n d firtu
15" tôt — E n la commune de
8“ Au nerd du précédent lot
P lo n S fiiïti,
1S
al coloniale fait l’objot de deux ebapttres. Lo»
rM.'U! glens-dentliteo, sages-femme»,
d'fitudlanU trouvent leur p lico dans cet
-\
u
V; ,
r
Et a d is de M” I I. LE ÜALLOGH,
uvoué-llccncie il urest, rue de
la 'Mairie, 21 et de M* D E B 0 ‘
D ELLEU D U P O liZ ld , notaire
a Sal&t-Reuan.
srrivnrv l>av licitation Jodiclaire,
l ü i i l i l l i en I étude e t par le mli.iijtè.c de M’ de Rodelloc du
Porxic, notaire à S',îlot Renan.
Le M .im cdl 1 1 d é c e m b r e
1909, A ut,a titure d e l’aptèa-midi.
D E SIG N A T IO N :
Kit la commune de J U iu Ild u t
l ,r lot. — A u lieu do Ruinervau,
do terrain, contenant environ 4
Un champ
dit Parc-Uttuii-ar«Reie/i, catlau- ares.
Mlsn A prix : 10 0 fr.
tré saotlon I), numéro 4(1, conte­
Eutréo ou jouissance im m é­
nant trento eluq ares.
\yimt fosbéH a l’eat ot tu r le diat.«.
(Voir les atllches).
8531
chemin otpurtlo sud.
M l 60 A prix : » , ¿ 0 0 te.
Etude do M* O U EN T EL, notaire
C° A l'ouest du précédent,
A Lannills
Un champ de terre labourable
l’é c o le
Cornino toul co qui concerno la mfdoclno no
doli, pas laltsor nos le,;t(‘urs IndllTél'onts, nous
orovons devoti' parler lei de l’index Módicos, quo
M. Ronzami, Hdinlnlstrulsai' géiui.t du Progris
mildicat • Parti, vlollt de falli p>.iattre.
do volume do plus do l,c(i p iges, grand lu-8
ralitn supeibemont rollò, eont,cij Ioni io.< rm.
tolsiiomenls qui peu.oot fi re útiles sur. dlutdasts
et «u.\ niò.'.ocliis. l,a cltnique cs palloni do l Ii>ilex dai.u sou numi ro «In i j courji.t du : « c'esl
un vtjrilublo, uotlln medical.» 15a cir;l l l d i x
coallsiit lout co qui ptul òli o utile aux ótodlai/u;
debuts comlnuatloii et lln d'Otudes n.£dlautos.
L'iustlgnemonl de la inOJeclue, nilUiaUc, uuvliIc
j k
LICITATION « ¡ ” Stu«j
m
«i
de
lîa nppolant li dniv ipprltas, l'attention de»
callioilqneH tur le» « daugern don ico'e.i officiel*
les » ppur le» enfants, N N . a s . ics Evêqurs ont
dénoicO la lulto, qui 10 priienro oontro t’cntolga6mont ebrOtton. Les caihollquaa souilend ont
d'autant plus laolliiinont cette bstallli, qu'll,'< con­
naîtront mieux l’erfnnt, dont on , o dlsputo l’Oma,
C'osl pour 108 assister dans Isur Ifloho et pour
tour donner une «upôrlorllO sui le lorrain (le l’é­
ducation, qu'uu comllO, composé do personnages
Éminents, a prie l’iulllatlve do publier sous ie tttio En/atiCd ul Jcuucise une séi le de petit» volum. s, où dos sptuluildtos lompètorils iralti nl la
quostlon de t’^dueatlon sous tou* scs ufpccts :
pOd.igoglquo, psycholof lque, historique cl s'oc­
cupent des d.veises carrlferes, que les icunes
tus soni suecoptlblea d'embiutssor, à la «orile
JI8 ont
01
dOI' paru
8u coltÔKC. Plusieurs volumi»
, » pai " ' . Po
proiesseur à t'écoto Mcssllton. Ilo 1’ « Iulllntton
il,» la Jeunesse .1 la line t>\» par l'abbO Goauvln,
dlreeteur de l'iScol ) Mui-slUon. V « Enlunt dans
l’anttqullò, a pur A. Daudrlllarl, agregò de l'italversilo. I/ « Educallou oo l’ei.Iance, par Mgr Lobbedej, évfl,|iie de ìklouiln», eie., ole.
Nous uo (tuntous ptis qui? colte coltoci loti uo
trouvo lo melllfur ae utlt auprii» de nos leoteurs, qui no peuiont plus te déslulOrn.'ser do
cotto passionnanlc questlun.
Prlx dola brochure, Iranco 0 l'r. 70. Los douz«
pnruoi tinnco 8 Ir. 7t.
S'aoresser Ealanco-Jeunosie, H>, me da MAztòres, Pari».
i.-.
/
i i
A u to u r
r*
«
L« Jeune Louis BOURG EOIS» <jüô r o g
présenta U photaKrsruro ci-conlrç, est ¿3
nô en 1004 et habitent c h c t te é ^ « « 1^ ^ ,
placo 'Gambotta, à Beauraont-flurOlso (Setnfr-M-Oiie). Ho UKfl, Jl «n t a
H
roureole, puis uno bronchopneumof»!« < ¿3
et eafln la coqueluche. Depuis, 11 sut
o,
bronchites iufbKonchttes et, au lieu do I ^
sc reraâttre, 11 a llait dp raal en pis. . f l í
Q unnd sa mère Taraeni á n lt censultdlion, le ip a rrll iqo®* H
« a qua*re 7
branchttes coup sur coup- U toussait,
crachait, transpirait la n u it, t r a i t nne ~CC
IMrre eontlnn«, s’exaoerW nt lo soir.
était très afTatssé, ne Jouait p lu s 0 1 ^ ^
pouvait à peine sa tenir dshouf. Jo lu i ü« .
IrouTal da la bronchite' tuberculeuse ¿ ^
généralisée. Tors la Un de 1008. rrâce à
m on traitem ent à hase d ’i L l X i n r w
D U P E Y R O U X , il allait m ieux, mais 11 aut la grippa en Janrlor 1009 ot fit ■
H *jj
une rechute «rave. Ce no fut que le ay août 1909 que Ja pus constater la
guériRon c»)iui>lèle du Jeune Hounreols. Ses parenta m o n t permis ae ^ 0
publier soaous dans le b u t d’étre utile à leurs semblable^.
'
Docteur Eugène DUFEYH ODZ» «f »
wt
u« Metsine,
Parla» V M
B, s<(u*iv
square da
M enine. Parla.
P ,.S . — Si la tuberculose fait ta n t do rlctim as, c’est parce que les mè- 35 ieclna ne mivont pa» la soigner. A ux hafheuBes c alom niai do nt » H o n o r e n t
I
:erlnin 9 dV nlroeux, Jo répond* par des faits précis et des
^m
rulnblos. Quo ces insulteurs m ontrant donc de pareils rè s n ltâtil L’B u x ir .W
D upe vroui. t». base de créosote rraie de nôtre, iode, tan in, gl/oèropnea* fUw
pùate de chaux, guérit les lésion! tuberculeuses en »ré v o q u an t U forma* t » p
lion d ’autlloxlnes dans le sérum sanguin. — Consultations rra tu lt^ s to u s v o
ica Jours, excepté les Jeudis et les Jours de flte, de 1 benre à 3 hoarfÿnlana
mon cabinet d u 5, square da Messme, Paria.— C on sulU U on l gtmtoltee par
:orrcspomlauco. — J ’envoie gratis et fn n o o le# n euf ouvrage* contenant
mes travaux de thérapeutique et dliyglêa&e_et un_qufaUQMQjU p. » * *4
petit flacon do f. fr. 50 et le moyen flacon
sont envoyés franco à «Vaatefle centre
On demandeou hé« NA ny oc niiia
te
dem. pi'ur vondro A la
c a m p a n e des produits
vétérln. deM . Bouyor, pharm.,
indisp‘ ns. aux culiiv. et é ev.;
Í5 A 20 f. p. J. A gagn t. l'année.
In u t.d ’é:r. sin sD .réf S’ad.AMM.
GhaUveau-Dixneut et üis, d ip . Ala
Séguinlére.près Gholet (M -et-L.).
Une A nglaise, a besoin d’uae <«>aBeH8B»»gBg g a Hg «W B B e sa a
bonne domestique, pour son pe­ ,'rn»nñi'r.-{« tf* U> Preses libérais
roa do '.'»A to ai!, 4, a r c a i
tit ménage, dépense de voysge.
Ecrive« M'* Kat-ley, Horiabridge, prè3 de Piymouth, An?n
g.eterre.
‘
'
?5W 'T t»
U tca.ir 1 hemme grand pour anprenire service intérieur cbfttoau, Finistère ; Dourrls, logés,
éclaires, blanchi. Gages 5C0 Ir.
t « année ; 700 fr. 2« aunée.
S’adresser bureau du Journal.
A P P A R E IL S DE CHAUFFAGE
T »U S
C lic m in ó e
1 2 3 , ru P a r ia h » ru B a g « * n i
H0R0LACH0U — BRAOIGOÜ r— IUNEQQ0
Ail dud a zired anozho ho-unan d’âii>H-*t*flxi*nt, o e'hou.•
souci enn-hi eun dibab brtz a vs,ro'hadmret a fa lit« vtd.
M O »Ê LE S
lu x e
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R É jV E
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L E J O N C Q U R , 45, rue Traverse, BREST
tS u s p e n s io n s a u g a z- p é tro le
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L E J O N C O U R , 45, rue Traverse, BREST
COMPTOIR GÉNÉRAL DE L’AMEOBLEïEfiT
■ A IS O N K E B ilB I O U
FONDÊB EN 1S76
Bkbht -t- Ru* Í9 Paris, 97-9&-ÍOÍ — Bsesv
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K E R L E R O U - P O U Ll
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JOURNAL FRANÇAIS-BRETON
3
A utres D é p a r te m e n ts ...........................
C olo nies et É tr a n g e r ...........................
4
6
—
—
Les abonnements phrtont
du t** de chaque molK ol no payent d'avanno
faiseurs d» lu Faculté et surtout contre
M. Lyon-Caen, doym de (a Faculté de
droit.
.
..
L* motif tu le prétexte de ces manifes­
tations est la réélection de M. Lyon-Caen,
comme doytn. M. Lyon-Caon n ’aurait
.obtenu que 19 voix contre 21 bullefm*
blanc«. Cette réélection montre que M.
|Lyon-Caen n'a pas la faveur de tout ses
.collègues.
,
, .
Les étudiants ont donné un * certaine
....................
..
■
J
“
----line
' Htiirt eo hor o'halon enn hor o’hrolz j acuità h cet incident de discipline inti•nie­
lla »tartoe'h ar Groaz onn hor Broizl... Ì rieure en conspuant deputi, le mameureux doyen.
L a politique s’en est naturellement
mêlne et M. Lyon-Catn a désormais
pour défenseurs les étudiants républtcaïm , tindit c[U0 les cstuetois du Koy lo
Le Sénat poursuit la dùcussion de la hu«nt à qui mieux mieux.
Quelques bagarres assez sêneuses ont
lot sur les r o t r a lt o s o u v r iè r e s . Apre ,
les débats des deux séances, v n c i oc mis aux prises les deux camps.
Hjpérons que cette exubérance ss
aWtst devenu le texte du premier article
sur amendement d ’u n certain nombre celmora pour le plus grand bien dee
étudhs des JtuJisntt. E n attendant, les
de Sénateurs, aont M. Fortin.
cours de la Fatuité de droit ont été sus­
< Les salariés des deux sexes do l industrie du commerce, des profusions libé­ pendus.
« 4
rales et de l’agriculture, les serviteurs à
L» j'u r n a t l'O u e s t- B c la lr , son direc­
a t a u et tous autre* salariés qui ne jouisu n e retraita ou n o*U <»uown teur, AI. Deaurees du LtU, w a » in»««»»
trateur, M. l'abbé T rodiu,
droit A la Titrait« iu r le* fonds de l'Etaj,
d u départements ot des communes, bé- diffamés par une brochure de M .A lben
Monniot, rédacteur A la Llbro Parole,
n<ifloi«ron>, dan» le* condition* déterm ttée, dans la pré.tn ie loi, d ’u no re- avaient intenté u n procès en dxfftmanon
à M. Monniot et M it. llouitte de la
¿r»ite de vieille***-.»
. . .
.
A la séanat de m a ri» , M. Do M a cte- Clnsnais et de Calan, président et vteem »nd*que Von classât parm i oei « sala­ vrésiientdo l’Aotlon KraDçaiBo Ciection
riés », les métayers et les fermiers et M. d ’Iile-et-Vilaine). Ceux-ci étaient pour­
suivis pour avoir coopéré a la diflasion
Faure ajoutait
petit* propriétaire».
de la brochure.
,
i e m i n i i t r « M. V M a n ia répondu que
En première instance, lo-tribunal
voter des extensions du ia loi, serait la
avait condamné M. Monniot : r A trois
compromette. Au mrplus ou frouuar
amendes de 500 francs pour chacun des
Isa ressources *u(tis*ntc8 your ***ur0r
trois délits de diffamation relevés contre
una refra'fe uti pou à fout ie tnondô ?
A s ô n e v is u n fermier, un métayer et lui ; 2° à li 000 francs de dommag»s-intérflls envers l'Ouest-Eclalr ; 3* à 3.000 fr.
surù'iut u n petit propriétaire »ont pluldt
des employeurs, et, en cette qualité, ne de dommages-intérâls envers Ai. Dasgrées d u Loû ; 4* à 3.000 francs de don,"
peuvent av»ir droit A une retraite des- maaos-intérôts envers M. I abbé Trochu,
fin ïe 'a u x employés, en prenant ces mots
G* à 30 insertions dans (as journaux.
U aona économique.
.
D'autre part, MM. H ^ il t e du la
Les fermiers, métayers, petits proprt(Scon¡«irus peuvent se constituer une P«M® d m n & ii et de Calan, avateni
M i t e en entrant dans les sociétés de damnés comme compltces de M. M nraot,
fciaour* m utuel* et d assurance q u il est
^ Ï Ï u W t u a l î o n oit parfois a s m préc a ir i pour qu’ils songent A o e tte p n
caution, puisque l'IStat leur refuse le bé­
néfice de la loi sur tes retraites.
t a Chambre vUnt d<* votor,
m ent d u S lm p lo n dans les ^Ipes. Le
Vu«,.nl nue io n va construire va détour­
ner au profit des chemim de far français
ïm * « artie du trafic commorcia de la
y<eÎJoue et de l'Angleterre, à deslimlion
Ü ^ U Suisse et de I t a l ie ,
uwqu'ioi par le lunnelde Saint-Goth&rd,
au profit des lignes allemandes.
A nnonces diverses . . . . .
R éclam es, en 4» page
. . .
Dernière co lo nn e.de la 3* page.
4 — Rue du Château — 4
B R E S T
Ckanqtmtnt é'aëte.ise : 0 f r . 3 0 avec la d e tn li'« b aui«
Quelque* jours, *on chahut journalier
organisé contré l ’un ou l'autre dee pro-
P U B L IC IT É
ADMINISTRATION ET RÉDACTION
ABON NEM ENTS
FlnTstftre, Cfites-çlu-Nord, Morbihan, (un on)
au Mont-ie Piété de Paris. On les estime
e nviron 1.200 000 francs. Lundi, on de­
vait procéder à la vente, mais la vente a
été retardée d ’un mois, à la demande de
l'am busadtur A Paris du sultan régnant
Moulay Ila fii, qui se prétend le pro ­
p riétaire de ces bijoux, parce qu’il a
baliu Ab l-El-Aziz. M ais i l y a pou d »
chances pour qu« les tribunaux français
acceptent un e telle prétention et les bi­
jo u x sans doute seront bientôt dispersés
A l'encan.
Après avoir été presqu’emptreur et en
Krt aujourd'hui réduit Ane pouvoir em­
pêcher cette vsnte, quelle décadence I
*
¥ ¥
L e P r é s id e n t de l a R é p u b liq u e
d eit E t a t s - U n i s , M . T a i t a fait con­
naître son m essaje annuel. M. Taft y
annonce u n « notable dim inution des
dépenses publiques.
A quand le jour trois fois beni o ù les
conft ibuables français entenlront pa­
reille nouvelle ?
«*1«
D a m le grand a r s e n a l a l l e m a n d d e
AlIOï, oes m alversations avateuT éïë dé­
Seta en* an a m e r a garte, ar velelen
diw.a enn dro. >
N'0 »n ket ken enr hapr ar Finistère e
c'hoanUje ar velelen digas enn dro an
a a ie r * 0 1 . Lakaomp e *ija gwlr, ha gwelomp nem e, c ücarlk geat :
Pa la m a n bnnnak da c'boulenn labour
enn ho tl, m ’oarfad e l a w l t d'ezhâD ha
cetra en d«»e*o da otvn-, ha pefement
bem íen pe hep m it o paeoe'ö ancEhan. Ma
kaT an den dereai ar marc’bad e chouMO,
ms ae gav ket • la da g iaik gwelloc’h.
S itu d*m-d0 8 t petra a dremeaaz ctre
konaell Cuotevlll hag ar »kolaer Vaußear.
H^n-mao a gavai inad ar marc’h a i kinnlfret d’ezha«, hag hen disemeraz.
Me, bag a gred goulskoude eo l « m
awalc'h va la*ad, ne wclan uetra estlarnm »r e kement-se.
H a c’hoal, lennerle»?...
M« a lavaro c’hoaz e plijfe gwellec’h d In
an doare-r.e d en era gletout eged ar rcol»nn ma rank ml*trl-skol hon amzer piega
dezùl.
Ma ne vlje ket plljet d’etban beza kaaer
haklocaar, ti» Ire ze goanit nau dra b in nak muloc’b, Va^íear en defe gellet mont
da leac h all da g ' i s i our c’bonHcll hag e»
def < ben dlakar je t eut an ell mlcber-ze.
H a t bino ?
. . ,
litri«, ar tiikrl ha meBtrezed-akol a zo
kaaet ba uigaset, h tp goulenn bo all. A h !
n’ez euz ket *»enck evit-ho da c houlean
m out il'ar p a rie ziid a b lljli ar gvrella
•I-CIUU« l/n »VMW«
‘ .'l.“
ko^t m out li* choam, p» klask cui vicber
couvertes. D» nombreux fonctionnaires
furent poursuivis et leur procès, qui se neHaZiors e pn leac'h en em gavont, eur
poursuivit un mois, vient de se terminer rei* a houez yar n-ho, eur reiz hag a zlfeni
out-ho oil beza *a ìeiien e tn lllz .
pur un acquittement général.
an dlon rcol«:CD e*n eur genver,
Les gaspillages étaient, paraît-u, im ­ haLukaomp
iava.li. d in. Finistiro, pahlnl anezho a
putables à la m auvaise gestion de la bu­
lez ar br»sa tranklz gant ar vletr -idol t
reaucratie, qui a aujourd’hui uns mau­
G ant an klnl tor., ar viitrt a bllje d ezho
vaise presse en Allemagne.
an dra, a c'holle beza krnerieu ha kloc heP renons po ur un e fois le méchant
rlen enn lliz ; m t ne telle ket « ezho, e
choument libr da lavar nut nan, p“. da Tiona
p la is ir de constater que tout n'est pas
da vont da eur b; rrez-all, p e g w lr gant
parfait chez nos am is lot A lle m an ds.
Le procès a eu des échos * la Chambre konseil ar gomtnt'n pe hint an lllz eo e
h a n ïe t ba paet.
des députés de Berlin, où l'on ne s’est oaut
tìsn t ar re»,ena a vrema, an oil vis .ri o
pa« fait faute de critiquer violemment la
deuz ditrnn-krenn da gana enn lliz pe ia
bureaucratie, tan Us que le service d'Etat
zcnl an ograou ; dittnn-k'enn d a « oil, la,
de la marine s’tfforçait de couvrir ses zoken d’ar re a garte gounlt ère ze enn dra
bennag muioc'h evit 3cvel uaioc h h o la m lii.
fautes,
t
Barnit, Finistère. M’oarvad e rankocb
*¥
L ’I t a l i e vient de se donner un nou­ anzao e loa muioc'h a liberte gant al lezenn
veau ministère. Une crue budgétaire a ^ Ha ka^r o devezo C hoult^l-Bras ye
renversé l’ancien. De plus en plus, les C'hooltel-Blan dont d’ho sikour, labour
états ont besoin d’argmt et bon gré mal llva iie'-iero pszo i-barz rei da gredi d a r
gri il faut créer des impôts nouveaux iforejau eean ez eo ken r is t hon Eskiblen
eonjomtorrunt et solidairement pour ce dont on ne se débarrassa point avec, des h a t Ü91-gouarnonrleu a hlrlo.
B “
Corbntin.
nui concernait les dommaw-rnt.érô.s crises ministérielles o u parlementaires.
alloués aux plaignants, sans préjudice
*
¥4
de trois amendes d e 100 francs payables
En Angleterre, la Chambre des dé­
par chucun d’eux.
n
r,'$ffxir» fut éuoquéfl devant la cour putés a commencé résolument sa cam ­ A l L a l i o u r D o n a r e r U
d ’appel qui, mercredi, a confirmé le juge- pagne contre U C h a m b r e d e s L o r d s
mont d* première instance, sauf sur (es C'est la lutte de ta dém ocratie contre
D ilu n e tigo raz, er G am pr, an dtviz
l'sncienn* aristocratie. Celle-ci est à l ’a­
deux points suiuants :
.
divar-benn an dispignou da o ber, ar
vance
battue,
car,
en
Angleterre,
Ile
peu­
1* Le chiffre des demm»ges-intérèls
bloaz a zeu, enn n ano a r c’houarna'
alloués à l'OuesW Sclair a été ramené de ple est de rK'ir avec la Chambre des m an t, evit m ad a l labo ure rien douar.
députés. Nous avons dit à diffirentes
/, 000 A i .6/00 franos, les magistrats
E ve l bep bloaz, e koinzim p a m a n euz
n'ayant pas considéré q u il fut prouvé reprises los motif.\ de ce grave conflit. an traou talv o ud ok a a vezo bet lavaret
Nous croyons inutile d» les rappeler.
que la société d u jo u rn a l jv a it éprouvé,
epad an diviz-ze.
d u fait de la brochure diffamatoire, un
A r c’h e n ta prezeger, an A otr. P t o
sonnier, a roaz eun nebeud allou fur
«réjurfica supérituï ;
.
m ad da h e u illa enn hor c’horn-douar.
2* AiM. llouitte de la Chtsnua et d»
E nn-dro d ’a r S k o l
Poni* les annonces extra-réfçlenalen, s’adresnor
& t’A|f«*nco Il avait, Place do la JUourse, 8, & Par!»
n
1.
Petra a dalv an teil-ze? Nebeud
ne vent ket pareet, guclloc’h e ve da Zone
dont da gerc'hst an eallk paour zo. »
aw alc’h, rak m a ne joum ket an dour
N'euzi forz. ar vam a brometaz m ont
hanvoez d’ben drusaat ; an dour hanvoez a red knit, a ia da eoli, oc’h ampoe- adarre d’ar Folgoat hag a lavaran : * Ac
Vero'bez a rank parea va bugel ». Abaoue
zouni an ear enn-dro d ar bodad tiez ha
an delz-se n'eo mni kouezet, pare oa ha
kreier.
are eo chommet. NI on deuz soii]et ne oa
Perak ne ve ket, e peb ke^r, kleuzet
et a leac'h da ober eun navet goad* miz
kaaoliou biaD, graet gant ciment ha
mai; pa ’z eo gulr ar bngel a oa pare. Doue
:òloet, pe lakaet enn douar korzennou
ne gavaz ket mad guelet Molzez o skei
diou vech var ar roc li evlt kaout dour en
a gas an dour druz-ze euz ar marchodcseit evit ar bobl a Isrfél, p ao a lavatet
siou ha kreier da eun toull braz kleuzet
d’ezban rei eun taol hebken ; kementse a
eur pennadik diouz an ti, — eun toull
verke an d iS ilin z . la , ar c’hrouadura oa
graet e ciment ivez ?
pare abern üq miz m ie , baie a rea, ar pez
Eno e ve Deuze al leac'h da ober teil,
n ’endoa ket great c'hoaz; drebl a rea ive
teil druz ; hag enn-dro d’an ti ar porz a evel ar vagale all deuz be oad, ba koulg»
•oumfe neat, bag an ear iac'husoc’h. Ha
goude beteg neuze n’en doa ket drebet, a
Var ar marc’hacT,
lavare he vam, talvoudegez eur bara a
. t poull an teil a ve eun
veaDek.
tenzor evlt peb tiek.
Er hloaz varlerc’h, epad miz mee, da
llervsz PlisBonnier, o lezel an dour
c’houel aa Ascension, ar vam hag he mab
hanvoez d’en em skuilla e peb leac’h,
a
deuaz
da drogarekad ar Verc’nez Vari ;
labourerien douar ar Frans a lez da
ba deuz ar gador e'oue embannet ar c’Uras
vont da goll 1 m illiard hanter bep bloaz ! ka6r-ze, ar mirakl. « En bo touez ez euz
Lcnnit mad : 1 m illiard hanter bep
eur c’hrouadur bet pareet gant an I*:onbloaz a lezit da vont da goll, dre ho
V atlae miz r .ii diveia. Vai lene ez oa eaa
leziregez pe hini ho perc’henn, hag ivez druez he volet ; birlo Joseph AbWla a zo
dre ma n ’ez euz ket betdesket d'hoc’h
eur paotrik ruz he benn, iac’h mad ba
krenv evel ar vugale all deuz he oad ;
an impli] gwella da ober euz an dour
leveromp eun' dizenez : evlt trugarekad
hanvoez hag euz an teli druz a c'heller
I tron-Varia ar Folgoat. •
kaout gant-han.
Hirlo e man er skol ha den ne lavarle e ve
Ar mercurien a responto ne c’hellont
hot klanv ; ha bep bloaz c teu da drugare-
S
an t à F i a g a f c’i i T n o i ì Ò u 'a r ^ to ll!
hanvoez eñn-han. Nan, a dra zu r; ar
perc’henn eo a dlevfe ober al labourouze, a rofe brasoc’h talvoudegez d’ho
douarou.
D ’ezhan da gompren i n zever var ar
poent-ze, ha d‘ar merour d hen alia ha
d’he zikour.
*
* *
D ’ar frouez brema.
Kaout a reer enn hor broik tachennadou braz a zouar goaskedet a bep tu,
troet ouz an heol, ha gouest da zougen
frouez a bep seurt.
Perak neuie lezel ar broiou all d’en
em binvidiUaat divar hor c'houst, o tigas
var-n-omp ho Irouez, pa chellfem p
kaout koulz pe welloc’h hon-upan ?
Ah ! an darn vuia euz al labourerien
douar n'emaint ket e chal da gaout
frouez, abalamour ma ne c’h^unesfent
ket eant-ho.
H a peratc «e c’hounezer ket gant-ho ?
Abalamour m a ne oue:er nag ho
gwerza, nag ho miret, ha nebeutoc h
c'boaz ho chench o likurlou pe coniìturiou.
Ne ouezer ket lio g ^Terza, nemed
tro-var-dro d’ar c'heariou braz e ve.
Eul labourer douar euz ar c'hreisteiz,
a lavare Plissocnier, en doa kaset 420
liur prun da werza da Barin. H a pegement en devoe evit-ho ? Ne zillnfac'h
morse ; ha rakse eo gwelloc’h lavarout
d’hoc’h dioc’htu ne resevaz evit he boa*
hag he brun nemed eiz real nemed eur
gwennek. O h ! keroo’h e oent gwerzet.
Ar pez l?aer pa goustaz d'ezhan an henthouarn 3G lur, hag ar c’hommissionner
e Paris 8 lur ha 2 weunek !
Eun all en doa kaset, da Baris ivez,
480 liur avajou-pechez. An heni-houarn
a gemeraz adarre 40 lur ha 1Gkwennek,
hag ar o'hommisslonner 9 lur ha 16
kwennek. Gant ar perc’henn ne Jouraaz
nemed 1i lur ha 3 gwennek,
Ne ouezer ket gwelloc’h miret ar
frouez ; ba petra 'c’hoarvez neuze ? Red
eo pe ho roi a hanter-bri’., pe o lezel da
vreina.
Nebeutoc’h c’h o ^ e ouezer ober gantho lifeuriou pe confituriou. H a petra
• ’hoarvez adarr» ? Broiou ali, ev«l
BrO’ Zaoz, a zeu da gerc’hat frouez ha
sukr e Frans hag a zigas anezho d’omp
enn dro, chenchet e confituriou, o werza
ker d’omp, evel just, al labour e devoe
gant-ho, koulz hag ar mizou kas ha
H ivia ik e n , ar F ra n s a eost g w in iz
a w a lc ’h evit m a g a he fobl ; ezom m ebed
età da sigerl ho n doriou d'an ed estren
L e s a g e n t s de p o lie * de P a r is ,
A r vlstri-skol a gendalc'h da gas hnohe
evel m a c’houlenn kalz.
sentent passer sur leur ttte comme un rlen d'an Eiklblen, evlt ho gelter d en em
E -kenver traou a ll e choum om p
vont d’indiscipline et de fronde. C est gaout gant-ho dlrag ar Justie, abalamour berr avad, h a kalz.
Chamhro.des députés «tait appelée à se qu'ils se plaignent dusurmen.gs auqufll d’ho Uzer a-tnep al letrtoa hag ar chenD re ze, er bloavez 1907, ar t r a n s a
nrouoncer sur cette convention.
selon m x, on les contraint. lUltU I qui teiiou éizakr a roer d’ar rugale e skollou
brenaz d ig a n t ar b rolo« a ll, m u io c h
»
zo;
«
e
t
h-.teg-ben
a’eoz
bet
barnedigez
VI Jaurès, q u i vota la rachat, attaqua ait aujourd'/iui content de son sor^■'
eged ne gavaz d a w e rza d ezho : evit
U convention, q u i est cependant u n peu
Vous voyez d'ici une grève d agents. ebed. Mail ez euz da weloùt petra a lataro
4? m illio u n han te r a anevaled beo ; —
. . . Mui¡re et oetle de ses amis.
Cambrioleurs assassins et a1
u !ra*
evit 684 m illio u * a g ig b a g a grec h in ;
^
or« petra 'c’boarteto, an Bnklbi'n
-*■ Uillerand, ministre des Travaux vidui du même acabit « «n donneraient
— evit 44 m illio u n a bessed ; — e v u
a zalc'bo «tart d'bo dever, a zo di ;a» eo.;j
fendit en disant que lle
d ar gerent kristen ne e hallont ket, hep
23G m illio u n a irouez h a g had ; — evit
alors A cH»ur joie.
i»*t>a*taieu«e pour IBtat.
L ’éventualité d'une pareille grève heu­
nac'h ho Doiie, lezel rot d ba bugale eur
11G m illio u n a goad ordinal.
reusement, «st encore lointaine Néan­ eelennad'arez kontral d’ho teli.
[vivra verra I
P o a e tit ar c’hontchou-ze, h a m a rte z e
12 kalz leac'hiou, aa tadou a tamill a. zo
moins le gouvernement s est préoccupé
e lavaroc’h gan-en :
bet o kaout ar vlstrl ; darn bo selaouazmad
du
mouvement
do
reveniioations
qui
P a ’z om p deuet a b f ^ n da eosti ed
r e p r é s e n t a t io n p r o p o r tlo n u
cauchemar d'.a radicaux. s’est produit parmi les gardiens de la MA “afca< ¿ìern l « U r Crre-ma. It da ziaklerla a w a lc 'h evit hor c’henvroU , b rem a, hep
5 * . 'Vf, «n disent, cette question ^À f. ilna nd , dimanche dans une réu­ hoc'h auken d ar v litrt ha d’ar vestrezed a distrei v a r hor c’niz var a r poent-ze, e
ra skol gant levrlon difannet pe a ro kenve m ad d'om p sevel m u io c ’h a chatal
?l„sa0iq^
Î J v e et
que lespréoecup*
e t cc'es ainsi
^ radical
nion qui comptait prè* de 'i 000 agents telloa divallo d ar vu*ale ; mes ^omzlt kcm. h a g a voo'h evit rpa ne ran k o ke t ar
très
de police, a commenté en termes *ràn »ennlfc ato, bep gourdronzo», loia peseu.t F ràn s m ont da g las k loened na k lg d ’ar
les alfem er a vezo graet d'hoc’h.
flitt*urs, le refrain bien connu
broiou a ll.
UhourQlt dofead biprcd, ha start cvelaoents sont de braves gins. »
P etra c’h o a z ? K ve m ad b eu (lla ar
rak
af
ffwir,
tutnr
al
K
zcno
zoiioQ
m
Los sergots en ont redressé leurs mous son^décUrés % p o U s à 9la°réforme Ce
zo
a du gab hoc’h heS d l« k o u « * t or heuZ c'he ntclio u a oe displeget a m a ken brao
tache.'! de contentement. Mais — m cauda a m i, a i B*kihien i?ez hen dlskOueraz enn gant va c’ham alad Leon, e v ith o c ’h a lia
venenum, — à la fin de son discours, H
ü& h a d a gw ez enn douarou h a no c hel­
leur u laissé entendre qu» tout« tenta­ ll°Ma Utrar d hoc’h ar vistri ne c’heliont ket ler ket ho la b o u ra t ervad.
p ro c h a in s élections, une, grand«
tive d'insubordination s,irait sévèrement kemer al levrlou a gartent, respontlt d gibo
D arn a responto, m arteze : evit sevel
•partie de l'opinion aujourd hui gagn
liardli, — ar w lr W e z e o: « Ktoueis al
m uioc'h a cha ta l e rankfem p la k a a t braa ta idées proportionnalistes.
H j S o u p jej moustaches sont refom- levrlou ma ’z oe’h aotreet, da zlhab ez euz aoc'h tachenn didan boed loaned, h a
*
islelz ha n* gaver droug ebeJ enu-ho ;
* *
neuze en em gavfem p berr adarre gant
bAot,
Des facétieux disent que les agents nerak né gemerfac’h ket e at ar re ze t »
t . ministre de la justice vient de faire
hon ed.
, ,
Martfze, aa aotMuned hag Itrouai z i'1-zo
•naraitre le troisième rapport au prési­ chargés du service d’ordre n n o m pas a glaajco dlgaretiou all, o lararout: « b il t
A n dra-ze n ’eo ket g ^ou penn-da-benn ;
dent de tsK ^publique, sur les opératioiw tu à intervenir k la sortie. »
hogeo, PlisBonhier a lavare e c’hellfac h
ebeneh levrlou e vezo mlzQU. »
D'ailleurs, les réwluuonnaires de U
la ka a t eaz a w a lc 'h ho touarou da zouQespoutlt rdarre : « D re h o ta o tc o ; ha
C G. T. ont demandé au gouvernement ffoulikouie ni a b*eo al levrlou nevez,
ren eost p u illo c h. A n devez-arat a ro
l’autorisation
d
’assurer
l’ordre
dans
les
gant
ma
ne
vezo
enu-ho
notra
uoazuz
evit
n r t m ô e s Ce rapport nonuerne l ji " n 'je
jre m a , an eli dro egile, 9 he cto litrad
réunion*
professionnelles
des
agents
en
L
iz
pe
koustlan#
hor
bugale,..
»
füOS^Le*ministres des Finances e de là
ed ; hervez P lisso n n ie r, ne ve ket diez
*
l’assurant
qu'on
cas
(le
besoin,
ils
sau­
hen la k a a t da roi 25 litra d m uioc'h.
Justice, qui ont signé ce document,
P
¥»
raient rendre au centuple lo» coups de
G w as' a zo, evit kement-se e ve ed d a l
E.ir respoht brema da gazetenn ar
poings
que
leur
ostroybrent
de
temps
en
labourerien douar antiout gw ello c'h ho
p r Î!*Uosent faire u n reproche au* oonG iiloarec hFa c’bouitelllgou Montroalez.
nrfflationsde s'itre défendues et a OTOir,
douarou h a ^ a u trem p cia roi d e 2 ho. H a
DUadorh e k'jmze c u i eun H istoua aa
temps les « flics. »
Frane« akfW etgaat ar beleg Vandepltte.
pad al er akoliou no gom zer nem eur
Sar des procès justi/Ws, écorné
Ha goude b iz a keoieret eun nébsad arr meuz an traou-ze d ’ar vugale.
i m illia r d des congrégations ’’• Suivant
0 5 c o n t r e 1 ,0 0 0 . - Dernièrement,
dou
anezui,
dlvar-bena
a
i
Revolution
A n d a rn v u ia euz a r vistri zoken ne
sux, lorsque le voleur entre chez vous,
le c a p i t a i n e Prévôt qui n ’avait que 6b ti­ dreist-oli, G houltel- B as a lavar : * Gwelet aoavozont ho *unan aeurt d ivar hQ
ne voua défendes pas contra l u v m »is railleurs sous ses ordres, a attaqué dans a rlt petra à jàrte an Eaklblenhag ar ve­
fóuez. P é ra k ne ve ket lezet e kear
iaifes-vou» son oioerone complaisant afin
le Ifaut-SénégaJ, une bande de 1.000 lelen de»k( d ar voglie. »
ar viatri ganet e ke ar, h a var ar meaz
t/u'U n'oublie Hem dan» sa
k. . {
Guuitad, G’uonltel.
.............
Arabes m araudeur* et pirates. Les
ar re a zo ganet e «z f m i l l o u a IabouAn Iiik lb lèÈ ' hag ar vnliln o laBaat o
Oageons que oeux q u i •«
Arabes furent battus et laissèrent sur• U
reriea douar, ctoI m a c tioulonneQ am an
Ame -téDOuilles des con0 ré(jations refus*
[<t(ì claoaot d’h.'v ol?er.
turrain plusieurs cadavres. Ce fu t d.'Bkl
an Ilistpire-fit et skollou kriaten,
n i â t K m d\suivre cet éiranffe conseil.
er ¿loaveziou trem enet ?
d ’armes fait l» plus grand honneur aux rak, b*z' ez eo uuan eaz ar »troilad leVnou
H a reiza ouspenn a r «koliou hervpz
kondaoaet gaut a n , ln«pectourl«n, evlt
troupes colonial«*.
ar viig ale a la re m p re d anozUo.
b»za re rust e-^onver ar chanfarted a
liouidafeUM des congrégations
Gáínt ar c’hlz divaio o deuz hor gouarwiakaz pobl 'Praié V a o g bjm 'Umaw. * » g
t r i l i u m f d X u l O n en a
O n a renoncé a renflouer l 'I é n a ^u lé ,
nourien d a ren peb tra dre bevar c’horn
mwkIo h e ve rol dlgar d'an Histotre-ze «uu
ain»i g ««n o u * l avons dit, en Méditerar vro eu» P arís, h a g h e r v e n ta r ía , ar
«ur «k«l grletea evlt ma teufe ho mlgaonranéa. Il sera vendu nomma maille fer­
v ug a le a #av ar tnemes denkadurez
n«d, - tud a Uberto, var ho mc^o, - da
raille aux démolisseurs et les difficultés
kear' h a v a r a r m eaz, — pa n ’ez euz
arra ar naol-r-o
que ceux-ci r«noontreront pour an ar ra­
Hag eur wech c'hoez e kemerln an har- goulskoude kem m ebed etre stad bugale
dier le» moroe»ux n encourageront point
dlzlegez da c'houlenu aigau-hoc’it :
kear h a g ar re a zo var ar meaz.
P* ne teli ket d’hor gouaraoatlen leiel
les surenchérisseurs.
P ao u s t h a ne velo ket deread h a t a l
dcikl,
e
»koltoi
ha
ue
gotì»toht
gwenneg
^rotnttdM » r i t n m e : la même jour
Ainsi finit u n cuirassé, dont le nom
v o u iu z lezel ar g a rg da v e rka a r c henJ u r a i t à Lyon* l'abbé Darquebot, rappellera un* des plut affreuses catas­ ebad d’ezho, kentallo* ha ne ganont kot teliou dfl, rol ep sko\io:i\g ^nt, ^ r o bonmeuleuil awale'h, d ho «eurt, p e rage z
0 « Æ » i i P»Wie des otages extraits de la trophes maritime»,
seillou jé n e fá l, h a beteg eur poent a zo
lnt-bl »ouezet ha ken koutaret e tenie hon
ÎT
lire conduit*
conduits rua
rue Ilaxo.
I '.MtiZ nour Itre
Haxo.
zoken g a n t a r c’h o n ie lllo u tl-kear ?
Kaklblen
da
glaak
mlroat
e ve ro»t dar
***
d«UX
fédéré*
proposèrent
A
i ^HÎÎÜIln datwc
à
K laòustre e ve neuze cl^achet nebeu
vagale kristen kenteilou kontrol d ho tei*
)n (ihsmin,
aufourd'hui
aujo urd’h u i archiarcheM t f r F u lb e r t - P a t lt , a r o h e T ô q u e
e akollou ar c’houarnamant, paet gant ho top’h euz b ug ale a l labourerien douar
d
e
B
e
s
a
n
ç
o
n
,
«
t
mort
«otr,
à
^ !n t iextrime
*»>"
da vont d a glask paourentez e kear ?
vflqua, dont
I fM rim ^jeûnai»«n#lesw«Ufcit
w ,u|
o’herent?
Cslan sont mis hor* d? cause,
Notts a von« dit, la semaine dernière
le nrix d^ r a c h a t d e s c h e m in s de fe r
d * l ’O u e s t, d'après ta convention paast'«
•»une l'Etat et la Compagnie. \tndredi, la
à
¥*
44
m
& g t£ X S ïïS £ ii"
frappe»,
‘ .J 1E d i t i o n d ltre suivi de
« '.« f u ir q u à lA C o n a m o
accopZ n T iV
Ä
V «™
. .n-
W t ' u t d « souvenirs historiqua* qu»
ilf c r Ä A Ä ;
¿ m i t point d• o u scrupules
. V -'h V
.
I t q ü f t r t lo r L a t i n de Pari* a, depuis
t òga da 78 ans. C'était u n prélat actif et
entreprenant et que préoccupaient tou»
lai grands problèmes de son époque.
Lorsque fut votée la loi d» la Répara­
tion. Mgr Fulberl-Petit proposa k la
pr«m ièrî assemblée des évfques, un pre*
Jet d'aisojiation» oanpntqua* légales.
Mais lorsque le Pape eut prononcé «on
«o» p o S Œ * il *• soumit sans hésiter
tt travailla A réorganiser sur d autres
Pan* le culta dan* son diocèse.
Finistère Kemper lvex e doa he ger da
^ Q h 'lp o 'l ez eaz d’her c'hla»k, betek departamant 0i»e hag at hioavez Iq ïl.
K parrei Gontevlll. ar c’houneH e> do»
kemeret et. hioaz-ze da ve»tr-»koi «*n aotr.
Mlkeal Ta»«eur, a asante beza, er m»m»«
erar (Tdouttel :
W SÈ
S e la o u lt b rem a.
K a l« pennadou-akrid, la k a e t a m a
gan-en, n a g a n t re a ll e . T a c he n n a f
Taouanfel*, a gomze euz ar fan k a gavec
re allez enû-dro da diez a l labourerien
dou&r,
0
O
/ y r f f décrolstant pour lea Insertion» ré p itit»
Le«« M anuscrits non Innrtr«'«?! no sont pas rendus
Les bijoux do l’a n c i e n s u l t a n d u
M a r o c , A b d - E l- A z lz , sent déposés
(la llfçne)
—
—
ar fank-ze, p itr a eo peurvuia?
dour haavoez.
K E L E IE R
K v l t p e l l o n t e n e m z iz o b e r o u z c-ur
Ig ro a z. — E kear Sens, ar framasouned a
*r pez a garont, an elektourlen o veza
dib.-bst eun cebeud anezho da gonseillerien.
Dre ze, ar c hroaziou a oa e kear a w al
an olí a zo b tt dlskaret an eil goude eben.
Uuan hebken a jncme, cur groaz houarn,
cavet er bloaz 1'87, e kreiz eur pcnt.braz,
a zioc’h ar ster Toan.
Keariz a zalc’he evit doare d’ar proaz-ze;
mea Itanl^rted an ti-kear o deuz kavet an
tu ú’en em zizober out-ht hep lakaat krosmol.
A r pont a oa re goz, var ho m o n o ; red
oa Kevei unan nevez enn be leao’h.
Ha setu graet.'an ta o l; freuzet ar pont
koz ha savet unan nevez; marteze ne ¿al»
ket egile, mes ar groaz a zo b ;t disfcaret,
bag eun d*a evel-ee n ’eo morse paet re
ger, evlt fud a zc... pa u’ez eo ket ena ho
lalc’h ha unan eo e kemeroat ar. arc’cant.
E u r m u n t r e r d ib e n n e t. — Ar muntrer
Riboulet a io bet dibennet e kear Montorlson, departamant Lolre, d’ar c’henta eus
ar miz.
Kan co 8 ve*, ma oa eet da c'bouifena
lojtis pnn eun tl var ar mear,, e iíz a z an
ozac’h hag ar c hreg, a dennou. tuzll, evit
gellout laerez kement o doa.
Riboulet a oa eun dib&ter ha ne ouis
seurt dlvar-bonn ar Ilelijton. Goude he
gondacnaston, e k’askaz meur a wech ea
em laza enu he brizouu,
A r beleg b ;ignol a c’hellaz gou'skoude
beza digemeret gant-han. Raktal e poaniaz
d’he geletm e-kenver Done hag fce ene;
hag an eurvad en deuz bet da deneraat
d’ezban he galoun.
A n dez zoken araok ma tlee beza dibeanet, ar m um rer a goveaaaz hag a ?ommuniaz; hag e hed au bent etre he brlzoaa
hag ar giilottin e responte da bedenr.ou ar
beleg.
Piou car ha ne vefe ket bet hea nez eon
den honest ma en devije anavezet ar Retí]¡on eca he iaouankiz ? Ha c’hoaz hor
gonarnourien a laka ho brasa, a
d’he
mouga enn hon touez.
Tud éail I
Hogen, piou a zo kaoz, Demed ar griste*icn agaskannaded digoustlans (1’arGampr
ha « ar Seaat da voti BwalMezennou ?
L a h o u s e d k e r . — E kear Londres ez
ecz bet eun txp'jsiílon laboused, digaset
euz pa^ar c'born ar bed.
Ar c’benta priziou a zo e tt gant daou « labous ar baradoz ».
Evlt ar c’lu n ta , ar perc'henn a c’houlecn
“te38'
•
.u .
H a penaoz sevel muioc h a arc hant 37.000 lur, evit an eil 25 000 lur.
E n n te n z o r e on c u r v o g e r. — O
euz ar frouez ?
trenza unan eoz an tt-z a oa bet oaDter-zisDisadorn kentae welimp.
karet gant ar c’hren douar, e Balón, er
C o b b n t in
Provence. mansounerien o deuz kavet er
voger enr b ;m psttou aour, euz amzer
Louls X I I I ha Louie X IV .
Talvoudegez 20 000 lur e loa anezho.
M llllo n n o n F e r r e r . — Ferrer, ar revoluUouüer-i,e, bet fuzillet er Spagn, a ca
mllliouner, evel ma ouezlt.
Ar c’bouarDnn'”"r « e n deuz lavaret e kemero he olí zaavez evit paea ar c’boll a reaz
P a r o b u r z u d n z 1901
c Barcelon an taol dispac’h tamallet d’ez­
Joseph-Mari Abivin a zo ganet e! Plahan.
bennec, ar bevarzeka vlz guengolo 1899. A
Heritourien Ferrer a lavar n ’ez euz lezeon
veae'h en doa eur miz pa deuaz he vam da
ebed bag a n.ie g w k d’ar c'houaruamant
veli-t e koueze varnezhan barrou poan
da ober kement-se, ha prosez a vezo.
akrijuz hag a rea d’ezhan rnüla hag en em
E u r v a r n e d lp e z h ls lc lz . — l^ez-varn
zifreta en he gavel blan. Er penn kenta
ar G’hassation e deuz uouget eur varnehe vam ne veze ket goall drubilllet
digez ha ne ralo ket, a dra zur, oemeur a
. Krm-tit-man a dretneno, ar >oigale vian >
enor d’ezhl. 8 etu ama petra eo,
deuz aliez meur a gaouat evelie ». Mes,
Kpad eur gentel kateki» enn lliz, eur
stovaz! heman ne b ree ket, koueza a rea
beleg euz 8 r Berrv en doa komzet d’ar
en drouk saut (épilepsie) ; stankad co a rea
vugale euz ar brezeíilou santel e reaz gwear barrou bag ar bugel ne rea roud tbet.
cball Bro-C’hall d'an Turked evlt ditenn
A r raedisin a oue galvet, au Aot. Gueguen,
enn ho enep an Douar Santel. Ar brezeldeuz Plabennec ; na c’hellaz ober vad i bet
llou-ze a vez h a n v e t« Ctoisades. »
d'ar bugel. Koueza a rea peurvuia peder
Raktal, ar o’helou a ieaz beteg procurenr
guech var an deiz ha diou vcch epad an
ar Republlk, ha proíez a oe graet d’ar
nOfc.
o lavarou’c bn doa roet eur gentel
D i Bask 1900, ar bugelik a oa toc hor,
skol o k o m i euz ar brezelli i Eantet, hag
hag ar vam, pa nlielle ket ar raertlstu P»r5a
ha wah a fflnKk PTlGllOû’h. MOPŸ T
*. ra e pele- e tlee dre ze beza graet arj- g eur gou­
lenn da zigerl eur skoi 1
kenta, ha var n i lerc’h re
% arA*r varoerien
G’hour d’appel • euz Bou , o devoe
glëvaz embaun «u lntanBionou a ycz pedet
lealded awalc’h evlt dlsklerla ne ioa gwir
evitho bep *ul epad miz maê, evit foulen
abeg ebed da gondaonl.
gfatou pe evit trugarekaé an Itron-Varia
Hogen, ar procureur a gasaz an affer
aherz ar pelerlned, e teuaz ive da c’boulen
d'ar < G hour d* G'hassation », hag eno,
ma vije pedet evlt be inab. Bep eul ar
barnedlgez
RourJ a zo bettorret.
bugel en do» «ta perz er pedennou, ha d’ar
Ean torfed eo, evlt doare, komz euz an
zuif dlveza a v!* m a i, ar beleg a lavaraz - hlator, nemed er skol e ve.
an Itron-Taria da beur-barea
« Ptdomp
!
Ha ne gav ket d'hoe'b o defe ar varnerien
eur huge!sí htau ; kalz guelloc'h eo ahaoue
AR FOLGOAT
ma pedom» evlthan bep »ul. <
Ar bugel a oa bet digaset d ar Folgoat,
hag ar re o deuz guelet anezhan « lava: i
« Eun druez oa guelet ar paour keaz blan,
krlzet, drebet koulz lavaret gant he gtenved
z, doare ar boan varnezhan, ken dl
diinkrljuz,
11vet, ken digterlkhag eqr bugel daou viz
Ar mamou a ouele, ken t:Ut oa doare ar
c’hrouadur, ha gant truezouz he vam.
Daouzek dervez goude miz ma6, mam ar
bugel a deua* da rel kelou divar he benn.
Ar narrou a oa ebanet pemzek dervez a oa,
ar ohroqadur a oa pare abaoue miz mae.
Eun naved pedennou a oue great c’boaz
kouligoude, ba trl dervez goud« ar bugel
a goiiciaz adarre dlou pe telr guech, goasoc’b eget hlikeaz, he zent nevez dent
d’ezhan, a cbokaz he d«od, ttue*u* oa da
velet. Ar v an koulagoude ne gollaz taca
d fu j jje lizlanz, daou»t ma k li-;«z uuac
pel
gtvelloc'h labour da ober?
(fu i
&evr nevez
K ontader.nou, llv e t h a renket g a n t
a n Aotron Jazagou
Kontadennou a zo eul levr leuh a hlrtorlouegism a kountet, gaecball, en amzer
*01.
Kontadtnnou a vo digemeret deuz ar
guella. D an oll e plljo: an htstorion, evel
madlgou, a zo koulz d’ar re goz ba d’ar
vugattgou,
Kaad ar -¿oanv an noz zo bir. N« der ket
d» ffouiket dloc’h-tu ma ve paket koan.
Oboma rer eur ptnaadik e »Mrn an daol
p« e klchen an Uu.
Guechall, oa neuie, ar mare guell« :
konntet t vlj« hlitorion.
!tr c r i» w iiH f
Brema pephlnl o’taoa» a gount be gaos;
Mes ne ve ket pell an abade». Ne den* muí
kounterlen evel en amier b o u tacna«
hlatorlou pep unan ne deo muí braa.
A balamour da ie, kentadennou an Aotrou
Jezegoa a ie lo tro peb ti.
Au boU • o'hello ne breña. N eo ket ker
pemp real ebken. Hag an olí gantb»n
aevexo pltjadur lels ho chov.
E gnert e ma e ti an olí maro hadourien
levrlou.
Prochainement. 1«<COUR
KIER PU FINISTERE » sera
Imprimé sur presse Rotative
et des caractères entière­
ment neufs. En mêmetempsi
le format sera considéra
blement agrandi.
La Congrès de [Action Libérale
L’Action Liberóle Populaire « tenu un
congrès JmoojWnt la lemalnç dernière.
Oe congrí* prit, jusqu'au dernier jour,
plutôt le oàractère d’un eongies d’action
■ocíale, que le caraotère d un congrèa d ac­
tion politique.
. .
Cottes, 1Aotlon l.lbérale accorde toujours
l'importanon qu'elles méritent aux ques­
tions politiquee, mais 11 semble qu'elle ait
évolue pour abandonner lo oonservatlsra«
Boulai ou voulaient la ilger oerta ne» per­
sonnalités qui la boudent aujourd bul.
llspproclunt, d'ailleurs, les vceux émis
au congrès du geste de Mgr Amette eu
faveur de* boulaugors do Parle, les Jour­
naux radicaux, anticléricaux ou simplement
opportunistes comme lo Ttmp», ont conclu
à la formation « d'une démagogie ciérloale ».
Cette épltbète Injuríeme a dessein, mon­
tre cependant que dans les milieux anti­
cléricaux l’on »Inquiète dee tendance* de«
catholique«, qui de plu« w plu; se rappro­
chent du peuple. dette luqaletudo.est de hon
augure et ne pout qu'encourager le« catho­
lique« &»ulvre la même vole.
Voici quelques-uns de« vœux émis par
le« congressistes. Non» ne pouvon» nous
étendre *ur le« discussions qui précédèrent
leur vote. mhlS l'énonoé d"« voeox Indique
too URUUIUIUS
lonctlounalrsa ns p a llia n t 6ira Soartis que pour
indlgulté ; qoo la U blaau d'svsnoorae'H drossé
par uue commission oompoiéo as uiu|aura partió
do fonctionnaire», soit obligatoirement m lv l pur
le m lul'tra et qu'auint;« palne diloIpUaalro ne
pulrao Aire prononcée pour m snlfesutlon hora
service, d'opinions politiquea on rallglsuses.
1* Lo congrè» do l'Aotlon libérale populaire ulllr.
mnnt In néoeaalté et la poialbIHtA de la rspréiettUtlon p ro f‘»»lounelle ém «t la v a u q u ’an atteniluut qurt la représentation de» professions Usns
le» graude» asiem bl es du psya pulai« êtrn éta­
blie, 11 >olt oonitllué «as représentation générale
deo professions ém anant d'uno organliattoa preleiflotinelln analogue 4 oello proposée par im
groupe da députés de l'A . L, P ., la t juillet 1&o*,
et que dès h présent lea assoolstlons profii.loaliciten exlatuntea lolent obligatoirement cum ul
tíos tu r toutca lea q u e itlo m luMreisunt le* pro
lesiloos.
3* tlur la question du sululr« rfss ouvrières i
l'itlgulile 1 rtotuloile, voici lo v a u étal* par la
constó» :
« Considérant que al les dlvera moyen» d'Iul
tlatlve privé* pour remédier 4 ntuum<t>ooe dea
«alalrea doivent être eaeourugéi de toutes façon« ;
i n e s’ili août utllea en puttlouller pour préparer
l'upltilon pnbliquo i Paucsptutlou d ’une Intervendos l<'g'ile, lia n ’en demeurent m u molna
d ’une réadautlou lointain« et « ’use eitloaolt» ln
ru 111«ante :
„ Coti»ldé:aut quo ln nâco ulté de 1« roneurreno*
et l ’obligation de l ’unanim ité en pareil ou* tuetInnt aonvrnt obituolo aux plu» g tu tr e u ie i Inlllaîlves de l’notlon patronale, llntervonlloa légale
devient tiôa lora néoeiaulroa ;
» CoutldArnnt en outre que dans pluMaur« nallo u l 6tretigèrea, le m inim um logal de auUIra
fonctionne u il4 . ou quo dea propoaltlona en oa
aun» ont 4til <W* dúpuaúea ! . . .
.. .
» Cnnaldérunt que la loi ea flxa.nl dea oomlléa
profoailonuela cburgAa de déterminer lea tnlt,|tpa
de aalalrea déaormala obligatoire», appoituralt
ne loulnuem eut dtalrable au sort de* travailleur!
A (locololia ;
» Emet le îa iu : qu'une propoalllon de loi aur
r e iablluem e nt de aalalroi ailnlm a pour le« truvallleura 4 dom icile, aolt dlJcutie aan i retard
un Parlomeut «I voM q pur lui. »
„
4 * § n r la propoaltlon de M. de Hun, députrt du
l'Inlatèra, vlce-préaldent da l'Autlon' Libéralo, les
congreaalatea ont voté par aoolamatlon le
n tv u n t.
.
6* Le o o n g iti d ' l'A . L. P. enraie aux
ouvrit»» boulangera q u i ptotuateiit «>ntr« ln Iravt.ll tio nuit aea plua nrdeutoa ajtapntltlaa et «ca
louhîtlta pour le auccéa de leura revendication«
pur la vote d'une loi q ui le« aauotlonuo.
l
M. Kerreat, matelot dei dounnea (témoignage
officiel do «ttilaluotlon) : s'es! port* nu aeconrS
d'un onfant on dàngar üe se noyer daus Te port de
Qulm psr, le 17 septembre.
M. Morvnn. matelot Inscrit t Conoorneau (té
molgnage offlclel dn antle(uctlon) : a aecouru ans
bulgnsuse qui »e noyait dans la bal« de Concarnta a , 1s 2« soût.
A la m ûre ¿'Herví Diraison
Après clôture de notre dernière lista de
souscription, nous avons encore reçu 3
du R. P. Güulvon Ttébaol. du iia;a
UalicB, et 3 francs de M. Qulllévéré, rec­
teur d'Argol.
A Q o iQ c o
uu
r m iù in n fl
1," uisioa n« loio
Voici les nums des jurés désignés par le
sort pour siéger au cours de cette session,
qui s'ouvrlra à Qalinper le lundi 3 janvier
prochalu, bous la présidence de M. le con­
seiller Frétant), ajunt comme usseusrurs
MM. Dufour, Juge et Le So^nr, jugo sup­
pléant au tribunal de Qulmper.
Jurés fllulalrea
MM.
G uillaum e Q ulalou, cultivateur é Plosré.
Michel Borgn», propriétaire S Lennon.
Jean Le D s, cordonnier à Btleô. '
René Perron, cultivateur A Pioegsanou.
Alexuudre Poullqueu, peintre a Salut-Roann.
ioaepli Reverchou, propriétaire a Plouvipu.
■erv* Prlol, méouutélen a Cnmaret.
Nûél Ouénec, cultlt.tteur é Pouiuerlt.
Uabrlel Huutoti, cultlvuteur S Tsulé.
I^nuue rsunclteo, proprletulrd a l’ Ioutgnenu.
ï ’rsiço is Dlgiiurd, couvreur 4 Cb&toauMn.
Jean vlUyader, boulhnxer A Hiuzec-Conq.
liOBlréïuuy, charcutier S Douuraeuei.
Auguste Carol, Indualrlel a Ploudalm izenu.
(iulilaum e Le lit un, cultivateur n Pouldcrgut.
Jacques Ln O j IIIc, propriétaire û Querrlou.
Em m anuel Hlou, commerçant a Balut-Renun.
Loula VolHBt, propriétaire 4 Ploareur.
Prunoota Le Putter, tnr.lre de Lannôanou.
Jean Fioclt retraité de U niailne a P luutlu.
Henri Le Callo. h, avoaé S Breat:
Jncg je» B leunv.n, négociant 4 Plouvuerneuu.
Jeuu Kethoa», ouvrier loigoi'on uu Feoa.
Yves Mutliurlu, cultivateur a Pleyb„n.
YVe» V aillent, coi'donnier 4 PlouvUn.
Prangols Ka'jeuu, cnpltulio Su cabotage an re­
traite a Ploudulroéieuu.
Jeun l'ûrtj ju , oulttvutiur 4 A 'g o l.
Paul Quaruliiion, culilvutour 4 SalntThégonnec.
Louis Le Marié, Ingéniénr civil 4 Concarneau.
Uhnrlo» Jsuq. cultlvatsur 4 S lblrll.
Le Btls-Dureat, proprlstalre 4 Pont-Croix.
Jean Puvé, prupnélalie k Kernllls.
Y voi Le Btu-, oultlosteur s Salnt-Cadon S iïu n.
Kmlle Tüillet, négoolant en vint 4 Lumbizeiluc.
Jean Thoman, bouclier nu Pontbota.
Joun Ilélou, foigorou 4 Plouénau.
Jurés tu ^p lda n la
Blotances. »
Le i^qdlcat « arme do guerre >. tel qae
le conçoit M .L q Bail, peut momontyuément
aider a la solution d'un coi.fltt mais qui
peut it nouveau éclater, puisque les causes
eu uemeureut latentes.
Mloux vaudrait tut remède Rréventlt qqi
supprimerait cis causes et par 1« mêaue
H- Le y »11. Cémme remèdes préventifs,
nrécQpWe « 1encouragement. A la péché ds
arge, l'enièlgnemeut nautique ùuifiô, l’attrlbstlon do diplômes de' patiotm-pAcheurp
et «urtout l'orgaotsatlon du crédit mari­
time ».
. .
Par le crédit maritime, les pécheurs pour­
raient. en organisant des coopératives de.
vente et d'actiat, ét happer a la lourd» tatelio de quelque* Intermédiaires qui, comnso
dans la vente de la rogue, par «xemplD, les
pt'oSSutent scandaleusement.
Tulle a été la conclusion de M. Lo Bail.
Certes lé crédit mtlHthnè échrteralc p r it
âcre quelques càutes 'de conflit, mais les
pécheurs surdimers èn apprécierai-nt-llu
.lin blepfslt«?
Uûe campagne préalable s'impose pour
combattre leur routine r-t leur Imptévoyante tradltlonoelloS, nilu qd’dne org«nlsatidu du crédit maritime leur soit pc«fltabtt}. Cette tftcie sera lourde ét làgrate,
mtls s’impose.
'
" '
Comme l’éctit M. Jadé, dan« VAjonc.
« utie éducation morale >o1ldé ést néces­
saire 4 la bsso de loutmouveme&t qui veût
M- L»my, député du Morbihan, qui suc­
cède à M. Le Bail, envisage suqs un hufre
point ds vue W problème. Il «outieot que
u s fabricants ont été éprouvés depüls quel­
ques années puf 1« oohoülrreilde; f' 1'
La rédfte dè là sardine étant liée «a dé.
veloppémeftt de la fabrication, toute crise
dont souffrent les fabrlcabts aura sa répetoüsslon sur la situation dés pécheurs.
,
péotiei.
M. Hémou, député de Qulmper, le troi­
sième orateur, demanda que r’on fit appel
a ilh itla tlfe s t 4 l'énergie de» population«
cûtlères en leur rappelant la vlelrift maxime':
a;Atde-toi et le clef t’aidera. »
d u a tw 'Ja 'Otra, a« sobatltast jam ais votre rs*^
p onao bllltéà la Isur,
1
/ ■
■■ • »■-
U‘ ^»«4.
M. Monot, novice, Imsrll t Qulmper (timolgnati
offlolèT de satrsfsotlon) : a «soourn nn 'eflMnt qu
■e noyait dans le port dn OalIVtneo, la 'SI isp'
tembre IM S.
. ,, ■•
Noutt pvoji* tenu nés lecteurs au cesrant
dr» iu,.ldent« qui uiatquè'Ant tes graves
cQtilllt* de lu crise mralnièrt», Noù* tn
avorm indiqué lis c.hiscm, tracé la ffttièse.
Aussi croyons-nous Inutile C.v. nous répéter
4 propos dt) l'IbtOtpeilaMon eu:' la crise
sardiulèro poitti.i le Viidrcdi 3 décembre,
4 ia tt'lbuuo de la Chanshro, par nu certain
nombre do députés de la t ête bretéune,
particulièrement éprouvée par la misu.
Ce fut M. Le I3ail, député da Finistère,
qal lit d'abord l'historique du oonfl.t qui
latérc«*;, dit-il, • 23,000 marins sam
ccirroter les ouvriers des usine*. »
uet historique, non lecteurs le con­
naissent.
M. Le Util n’est pas tendre pour les lnduitrlel* et uaValt i£Ur attribuer en parti*
la reipons&bl.lté du coifllt.
Aussi conselllu-t 11 aux pêoheurs de
prendre une a'tltude défenilve en s» syn­
diquant « pour triompher de certaines ré-
^ • ¿ « ^ í r m t o ^ é S í 'v S
su« liia 'a W 'd a recatfolr’laur a p p u i s! da le tu
•
MM. Le'MoIgn, ex-oaarln (médaille de brome)
Corbé, employé ; Darnloot, poudrier ; Colllot,
•oua-agent dea poudres et aalpltrea. et Palllari
(témoignage offlclel de aatlafactlon) : ont anuvé
deux baigneurs en danger da périr dans la r i
.............
vlére de Pïllarn, le 4 août t90B.
M. Lorjou, secrétaire de mairie (médaille de
brome) : a annvé un aoldat duus le port de Lan»
dernoau, le 17 acSt 1*0#.
_ . . ,
M. Le Pora, da Lonnllla (témoignage offlclel ds
lallafnctlon) : s’eat porté au aecoura 4« troll peraonnea moutnnt une embarontlon, qui n chaviré
dan* is rlvlèie ds l'ABerwracb, lé > oetobre.
M. Hlon. tnatltutear (témoignage officiel de sa
tlalttcllon l i a porte isoours a u n entant, dans
l’an«« de Pouldavld, le 17iullle». "
.
M, Qalnquls, mareyeur (témoignage offlclel da
sallafaotlon) : a seoonru un autant tombé dans le
port de p o im e u r, le >s éo|t.
,
M. Héveno, arépélé da» douanes (témoignage
offloM ds satiifacllon) f a porté lecoars à un
enfant « a danger da se noysr dans la port da
Roamaur, le S I èspjembro.
M. Gbnldea, matelot Inscrit i Douarnenrz (té.
molgnage officiel de »atlifaollon et grutlfl iitlo n de
to lr.|; Arovor, matelot tniorlt à D ouarntnazî L «
lierre, Pelbnec et III*».. matelots laaorlts à Douarnenei (tétnolgnngea officiels de aattilaotlon) t pnt
porté aé«ours S quatre énfsnts q « l montaient anè
bsrqae « a détreiae, dana la bala de Deusraenir,
la S ootobre.
An pays J e la S a in e
écroulés i,u preüler (fhoh? veua se l'avstpu
pana« et voua « v u eu rulion.
r D a m leJ élection» qui npprochint voit» app .in a ru i votra Habituel Saprlt do condlilutlou.
Voua ln i prendre aur le obamp de bataille vrttf*
» .ato da nombat, aana (amula ravendlquer’un
>01» auoédeur â vos foioea, Vous n« l.trntat qu’aa
d'iVo» T a-m taet n'n»ph«> paa * la direction'daa
op«ra Ion» général««. Dea parda (ujtoment Ji.lntu
i»
Récompenses pour faits de sauvetage
MM.
Partlaana obatlné* de l'usina, voua l'aver voalte
alnctre, voua l'av«« ebérohae partout art «11« était
P'HMlble. L'ai.loti ralIgleuaa d ’alMi'di RU« a’ia t
iulied'oile métne, aana.aHort, par le a«ul «laa daa
douvlotlous cotntanuea. Chaque loi» qu'il a'rg|t
de revendiquer a n droit d« l'BglIs« «t d« àila n d h i
Ut.e de sea llbettéaT II d 'J a paa on d t noua q tl
na a'einpraoaa dn ré|ionar« * rappel de eaux qtal
ont qualité pour le lu i adreia«r. Aux 1our» du
rudr« uaisuta, voua
«té, voua saiea toujoarn
aur la b'ùohti et aux premiara rauga.
L ’union électorale auaulte. Peraonnane l'a pra­
tiquée aveu plua de ooriaçllan, plu» d« lartjpul«
que voua. Quoi eat le oaudfdat pnrtagaaUt vot
ari yancaa dont Votre atllln d« Bit obtnproral» la*
obancea 1 Combien aont-'la 1*1 «SVéVaalr«a da
vu ro p o lltlq ie à q ui l«Ur q aalltédt'oaibo flq aesa
itsturft volt» plua dévoué ounûoura I A qui aV4tvoua demando un tenlameot ou liauo ié uaaKnnoa?
A qui uwi-voua propoié un* alliance dont lea
i-nudttluna euaaent lté amoindrissantes poiïr sa
dlffOltô ?
1
^
* ' **
.*•'.*
Ku revanche, Il a it an« autrs nulon que voua
n 'a v lt Bi«nperé<, n n s a t le . e’est l ’union p a n i ­
que ; oelle-1* anppoie la lualon da toas le í partía
eu un aanl. Et von* oooaatisax tro p llitato lre de
votre paya pour tla paa aaVWr q v e ll» eat un«
cttlmér«. A de 1«ut d'sne anlott loyal« «t aol Ma.
fallait-il eraayar qatrqaa o o n b la a lio n v aw a, qal
y
CHRONIQUE LOCALE
Vlolor Plottl, patron tapissier 4 Qulmper.
Paul Prometit, directeur de la bauque do France
4 Qulmper.
Churle» Aulfruy, Im p e ctlu r de l ’eureglatromoal
4 Qulmper.
Victor Uu'rlnaatt, bljonlier 4 Qulm per.
I l 'murai t lo prooramme e o c la l do l'A..
L. 1' M Hon. rrésldant, pour ciOtuiei- lit
purtlo soflîtln du congrèf», ru^piia Ic a prin­
cipaux pointu du programme qui «ont : rotruit^fi o.tvrlèrt'B. orBUtilaatlou prefaoslonncllo, droit de propriété reconnu aux ayadlc.tU, légls’fttlou du travail.
M. do ¡'EitourbelHou. députt1, roppnla
q a n la déceutiTllHatlon fuit nasHl carlin du
programma de l'A. L. P. toi nuil i éaulte des
vœux éuilB par les prâréi '&ts coiikiôi.
Uno »saoclatlon comme l’A. U P. ho p uivalt no d^Blntéresaut' do la qj6«tlon r-.UKlt 'jsi Lym'ongretmlutea après avoir étudié
la situation (alte ti 1Kiilbü par la BépatatU)’>, ont i xprlmé 1« désir que le gouverneinoLt repretine le« relation* aveo Home,
pour ttrrfi'or un «tatut légal. Car comme le
dili'lt M d« Mnn, « Il n'e«t nus d'organisa­
tion de l'ISgllie poaarblo en Krunce, en debor* de l'entent« avec le Pape ».
Le programme politique de l'A. L. P. est
connu. Toutelola tn talion du* circons­
tance* actuelle*, le* CQngre8si<tes en ont
ptéoiaé q V'!qu^w i'0"'*'*'
C est ainsi que les congressistes ont dé
cldé qne les candidats de l A. !.. P. Ipscrlrout «aps leur progr#mmsi la Représenta­
tion pioportloiriièlle et la promusse d') ré­
clamer dab'i les école« publlqùei lit respi et
do la liberté retlaleuse, dont le principo est
ln s c lt dà’n* la 161.
i;'Action l.lbérale Populaire c'Atqralt son
congrès dlnuuohu'par un banqüet.
A rtssuo du banquet, M. Prou pronorça
un discours.
Comment doit se fulre l’union des cutho>
llq tes aux élection«? üe st ane question
qui provoque de* controverse« ardentes 'er,
der déclaration» contradlo.Oire* M. Plou
«>kt exprimé ainsi sur oette biûlante ques­
tion :
•
M. Plou a terminé par l’exposition du
programme antl-seotalre de l’A. L. P. après
•voir passé en revtifl les réformes que ré­
clams le monde ouvrier st que fAotion
Libérale doit Soutenlf.
.
,v..
jf
r V.
uo
su»
d a
« La populatlou, dit-II, est voué« * une
existence précaire ut tourmentée. Bile a
besoin des secours de l'Btat. Cette solution
n’est pas sans dangnr, elle est humiliante
et, à la longue, elle pourrait cdndnlre h la
démoralisation de la population. »
La pgche à la Sftrdlne. conclut M. Hémon.
ne peut nourrir les'pêïhêtirs; Que ceux-ci
fassent d'autres pêches.
Il est vrai que TO :éau se dépf.np'.e, m»is
des savants etndUnt le peupKm nt artifi­
ciel. Du Jour où leurs études auront abouti
à des résultat* pra'iqjes et iéconds, « le
pêcheur, termine M. Hémon, pourra so
libérer de ia dépendance tyrannique do
l’usine qol le trahit 4 chaque Instant. »
Mais ce Jour, hélas I paraît encore bien
lointain. Ku vérité, le problème est b1 com­
plexe que nul, semble-t-il, n’en pourra
trouver la solution.
M. GuiUowaux, député du Morbihan, pour
prévenir le tetonr de la crise, demande,
comme M. I.e Bail, i. l'Etat d’orgaulsor le
Crédit marltrmB.
' ,
'
Puis. M. Cùéron, sous-secrétaire d’Ktat
i la Marine dans nu discours, dont nous
donnons lo résumé analytique, vlut dire 4
la tribune les intentions dont le gouverne­
ment était animé.
Lss po pslatlo nj bn.tonnsi que l'at vues de
ré», dit-il, dans dsa momenta difficiles, aont
Ignés de toute la bienveillance dn la Chambre.
(Applaudlsasmenta répété«). Comme l a moütrii
M. Le Bail, des olrconetancss «conomlqaes as
sont sjoutSss itu* osuaei naturelle» pour aggra­
ver la orlie. Noua avoûi eu longtemps le mono
pôle de 1* conserve de sardlnss. Actuellement,
nos Industriel» aablsaeut la concurrence de leurs
rivaux de l'E ipsg ne st du Portugal, où la cam­
pagne de pfehe ne dur« pas seulement quatre
mol» comme chec notu, m ais tout« l’année.
’ » astre »art, 1« prix ds la rogue s augmenté
sndattt qaS cslul du poliaon dim inuait par s ilt«
« la' cônettHenss.
■Divers»! aslutloss ont été propoiéss en et qui
tonnhs la regus.
. . .
La question ds l’achat direct ds la rogue ssra
résolus par l'otganlantton du Crédit mnrltlme.
D'allleur«, ln rogue (le morue, appAt artmeltl..
peut étr« remplacé par S’autre» ap»Ati. Je lais
étudier la q u w tlo » de la iabrltiallon 4 j,b a i pflx
de e n rognr» artilt>lelle».
Il
faut obaerver que le pola»on reate un aliment
de luxe dana la plaa grande partie du territoire,
4 cuutn do» Intermédiaire» trot, noabreux.
Le poliaon, gui a det qualltsa nutritive» étfaloa
4 celles ds la viande, vulatt is r nos câta» o Ir. 40
le kilo, alor» «ue la viande te vendait 1 fr. S<> ou
1 fr. 80, o's»t »-dlrs gastre tüls plus chsr. (Tré»
bien I Très blsn I)
Il
taut donc, pour le bien des pécheurs at des
consommais«™, aupprlmer 1*» ob»taclea pur la
oréatlo» da coepératlvi» maritime» et par d’autre»
meiurea «a s le gouvernement ne manquera pa»
do prendre. ITroi bien I T iè i bien !)
Ke oü'.re, Il faut donner aux marina pécheur»
l’aritenl et l'inatructlon profeeilnnnell«. Il» l'ob­
tiendront p»r l'orgaulastlon d » Crédit^maMtlmn,
S
S
¿sôléâ tlè péch e.'
Be» décrets ds 4 novembre t% 9 organisent le
Crédit maritime. Dans le courant de ce mois, un
projat de lot complétera celte orgunlistlon. (Très
bien I Très bien I)
Le crédit msrltlms ost calqué sur le crédit agrl
colo. Sur le littoral, des écoles de pâcbe vont
être lnatallées.
Lus me»ure» Indiquées par d'autres orateur»
»ont 4 l'étude. Ou peat compter «ut lo coucou.»
du noii-»ecrét»lre d'Etat pour guo cette étude
soit p d u iié s activement.
Je reads hommage, continua M. Chéros, 4 la
solidarité de» >erlni-pêchaur». I l leur lera fa­
cile de leur appiaudre 4 ae grouper, A a'orgaal.
aer et à tirer meilleur parti d'uSs rlcheue L at»
relie. |Tré» bleu I)
Js me léllclle d'avoir pu «puiser de» conSIts
redoutables en prarignunt la politique du gou­
vernement et d’avoir raffermi alual la ro n S .u c «
dea travailleurs dans ls République. (A,.p'audlssemonts répété»).
La Chambre vote ensuite nn ordre du
Jour adoptant. c«b déî'arat'ons, mais re
pou^ue l’l^ati;ution d un« commission satis­
fecit.
Comme on l'a vu, M. Chéron s’accorde
un brevet ae satlsf;cit un peu prématuré
ment peut-être. Nom nommes 1rs premiers
à rendre hommage a ku bonne volonté à son
activité, mais que l'on nous permette de
no point croire à tous k s miracles que la
renommée lui attr.bueUn* crise éclaté au Nord, au Midi, i
l'Bst, ¿t l'Ouest, M. Chêrou apparaît tout
rendre dans l'ordre. Des populations
allaient se Jeter contre l'autre ; sou»
1cell de M Cheron eues s'embrassent.
M. Chéron arrive en Rretagne, voici
qx’aussltôt, Indnsl rlels et pêcheur e, patrons
et iouleurs qui s’éteient vooé une haine
quaiti mortelle, «uliilent lrur* querellen
a'antan et verre en m«in scellent leur
réconciliation.
Où Cherou pasae, r.e germent plus le*
aenénees de la dlicord«. Telle pourrait
être «a devise, disent se* »mis et admira,
t'ea -a.
Héiaa 1 Ci-rtaUs nyjup.flni's fort craindre
que Mv Qï Aron ne se. suit ilutté troj) tOt
d'avoir apaiaé le conflit. Le feu couve tou­
jours sous la cend.e, et les événements ne
tarderont peut-être paa ^ montrer qne la
baguette • de la fée barbue norman se »
n’est pas toute pulssaate.
(i. L.
A G R IC U L T U R E
U o r la lx
C e n e o n r e d 'é ta lo n it de t r a i t . — Voici lea
réantuit» dn concours pour 10« atalun» de trait
Agé» de trois an« et au-ite»sui. susceptible» de re­
cevoir la primo d'approbation dépurtemeutale. Sur
40 présenté« : 1" prime, 400 Ir., Hirodo, M. Cuell,
dn Plougur ; 9', 3tO fr., Girafe, au m é no ; 3',
S60 fr., Bros, M. Poullgven, dn Gulclan ; 4-,
100 fr., Gam in, Q ulllou, d» U otao iilil ; t ', MO fr.,
Oeor>;aa, U. Ilélard, de Plonuéve/.-Lochrlat ; 8’,
tso .rr., Henri, M. Croguenuac, de PlouuéourMén»2 ; 7', 110 fr,, Charlal, Si. Dohollou. de Bot■orhol ; *•, 150 fr., H u m ain, M. Goaoo, de Lapdlv lila u ; s-, ICO
/fermé». M. K()rlvlu, de flouvorn ; 10', lte fr., Libéral. M. Caér, de Plouénun ;
11', 110 lr„ J/ara», M. Lo Hunn, de Plourlo ; la-,
ISO |fr., f/hlan, H. Y . «avéré, de Saint-Pot-doLéon. Suppléants : Karaul, M. Fers, doPlougourvest ; Varcheur, M. Ménez, de LandlvlsU u ; Gobefout, si. Bérou, da PloUuourvost ; Cirent10, U.
HéneIT, de Batnt-Vougny. Ont été approuvés hors
concours avec uno Indemnité de 400 francs : Mou­
lait, M. Dos, de Plonlgnlian : Uontblinc, H . Pers,
de Plouguurvest : Pom pier, U . Lo Bann, ds SalatThégonueo : itusllgue. M. ü u lllo a , da Morlulx ;
««m atU fi, M. C u tg , de Plougar ; ViUltnlif, U.
Kerdllés, de Plejhsr-Chrlst.
Contra l’Abandon des Campagnes
UW C O N C O U R S
L« Boalété Fronçait« d’Umulatiyn Agri­
cole coatrc l’Absalon d«» Campagne*,
dont le slèga social est * ParJ», J, rt({
Balliy, vleni d’«uvilr un coicsura qui con­
siste à déterminer le modèle d'habitation
pqur un tyiéotiga d’otivrler agricole «tt dt
petit propriétaire r«r4I.
Cette habitation devra coavénir A an mé­
nage av»c enfanta d«« deux «exes, et bou
prix de restant ne doit pas excéder 3.000 fr.
Ledit ooncouia eat doté- da trole prix en
espèce« ; «avoir : une prime de OH frsnf*
an projet c lw é 1" ! one prima de 150 franc»
au projet classé 2« ; nne prime de 100 f, anca
sa projet elàssé 3«, ainsi («e de'nomnrauseu
SkédalileÉ.
^
Dea diplômes, constatant les récompen­
se« obteaues, Seront remis aux lauréats en
même temp» qaa-lea prix.
Le ceaceura aat ouvert dès maintenant
et «ira clos >• 1" avril 1910.
Tons les renseignements cerc^rnant le
concdar»parilt'rûnt d:tnsl’Hmui«lfort Agricolt, bolietln offlclel de la société, aarvl
gratnltement A toua aea membres. ((Botlsattbn : i fraaea par an).
■■^.1». a— .......
■ ■ i^ l^ i
,
De l’utilité et de l’inconvénient
DE IKOg TALUS
levée de terrea dlvlnftnt nos ferstea an
psrcell«s Bouveat de c*nt*nance m in la u :
il s* demande qaelle jsèut êtro l*ar utilité 1
II* nou* roadent den services màltlples :
fonrnltare de aotre b tl« de ohaafage, *iroage de natte bétail, délimitation de nés
propriété««;^ -,ff
-9
. B US ont leur utilité, ils ont aussi leurs
Inconvénients : lia empêchent lo dévelop­
pement de l outlllsg« moderne de travail
ngrlco!« etaous eccasionne uno perts con­
sidérable de terrain, surtout dana lia réglons où le chêne cat lu bols dominant.
L’ouvrier agricole se faisant de plus en
plus rare, il n’est pas besoin d’être grand
prophète poar prévoir que c’est ana néceaslté poar neus d'organiser 1« travail d'une
façon plus rationnelle «t d’augmenter de
la aorte le rendement de l’ouvrier, ee qui
nous permettra d’améliorer son sort et ae
l’attacner A nousBeaucoup d* nos fermiers n* se rendent
pa* encore compte qie le etêne qae leur
produit le talus est pour eux nou une source
de bénéfices mal* u ie perte réelle.
Examlnoas ensemble, si nous le voulons,
qae peut être le revanu not d'uno coup?, de
chûne de talus, en prenant pour base le
talus de 100 mètre*.
L’4ge moyen du chêne pour une coupe de
bon nols est d* 15 ans : le. rendement moyen
est de 410 fagots qui, tei,dus ¡i raison de
14 fraaes, rapptrte brut 56 francs.
La larteur de nos talus est d’environ
3 mètres et la pirte d- chsque cOté est éga­
lement d'environ 3 mètres, ce qui ports la
largeur de terrain perdu Ot 9 mètre* : la
•urface perdue pour la culture sera donc do
9 ares qui, pour la période de 15 nn*, repré»entera une perte totalo de 9xi5 soit 1 h. 35;
en admettant le prix dé location à 50 francs
l’hectare, le loyer monterait à 50x1,35 soit
67 fr. 50- Il y aura de plus 4 entretenir le
talus, A couper et A fagoter le bols, Aemtnelonner les fagots et A les transporter 4 la
ville, divers travaux qui lui coûteront 25 fr.
La recette est donc ae 5C francs, alors qu«
les dépenses montent A 92 fr. 50 : c’est du
Joli travâll, comme vous le voyez.
De plus, tonte plante poar vivra et pros­
pérer a bestsln d'air, d* lumière, de chaleur.
Or, les talus boisé« ernpdchbnt toute plante
qua vous oultlvei dans do petites parcelle»,
de Jouir da ces trais priaoipes aécesaaires ;
aussi voyez le coatrasta en An da Juillet,
après an* période d* mauvais t«mps, encra
an petit champ de céréale« entouré de b«la
et «ne grande parcelle bien aérée.
Dans la petit champ la pailla, molle faate
d* prlsclpea fortifiants, n'a pa résister aax
Intempéries, «st verséa partie A droite,
partie A gauche, les épis par endroits réu­
nis en faisceaux, sa tr mvent dass des con­
ditions déplerablea poar atlrir ; dans la
grande parcelle au contraire, ia paille aura
plus de résistance et la maturitlon se lera
dans de mellleares conditions.
L’txcèa des talus est donc funeste et U y
aurait avantage A les réduire A la strict«
nécessité.
Nous avona malheureasament certalas
propriétaires qal, par Ignorance, s’oppo­
sent systémstlqicment A la démolition des
à’àvîs
'«nselirnéii Us chanteraient
bre t'e commerce, prcsseaU par uu con­
frère local, otgaue du pattl radical, « est
déclaré disposé, si les comités de gauche le
désignent, A être le candidat dea répu­
blicains de gaaehe.
Telles sont en ce moment les candida­
tures officielles et officieuses pour les
élections législatives.
Nous nous garderons encore de cous
prononcer entre les petuonues, attendaut
que leB programmes paraissent et précisent
les Idées directrices qal les mèneront a ia
___________
bataille.
les convie à la bataille qui s’engage a«tetlk iu c u t f n ‘re i ’BgiUe tfc st s »dverwiftss.
Cette belle instruction produisit ane pro­
fonde impression sur l’auditoire.
L’olfico se poursuivit ensuite tt, à
11 h. 1/2, le clergé quitte processioüoeHement le cnoaui* tat di* q u ' la muaiqne fslgalt
résonner le# vt at< » »ac 0 « uu sortie.
Dans la rue <i»» la 1 1 ■ j«.y-» r-> iM c nddisrut a son p^utio-u^t
A 3 heures, les vêjte* furent chant黫,
sutvieB du s ilu t »o ennel, puis ta fouie s’é ­
coula lentement'e» chantaut :
Reçois nos v o m , nos hommages
O bon Péie, d 8 du t Hobarduo,
Bleetlons a a trib u n a l de com merce
O toi « n i m r ces rivage».
Dimanche, les électeurs consulaires de
Do la Pol vins porter Te don.
l’arrondissement de Brest avaient été con­
La
muviqu?
Siinte-Cécile doana ensuite,
voqués pour élire un président, nn Juge
pour clore la fête, un concert devant le
titulaire et un Juge suppléant au tribunal
preiby’ ère.
R. A.
de commerce.
A n t r i b u n a l c e r.- e o tlo n ne l. — Lo trlbaoal
Dans les cantons, les bureaux de vote ne
prrent être constitués. A B.est meme le correctionnel d« Bro.-t îa u - ■„ dernléro soance «
condamné a trois mois de prl .on, pour supumsbureau t,e put être formé.
d'enfant, Jeannn Simon, 31 aus, domiciliée,
Et naturellement, partout les électeurs alou
à Peant.ro*, en L and'rteau .
ont brillé par leur absence. Il faudra dot,c
A la même séance, o " a Jug4 l’afTalre «uivautr. :
procéder a un deuxième tour de vote.
Lo i9 mal dernier, Vincent Q rull, 17 eus, et
A f ulmper, â Morlalx tes électeurs ont
Pierre Uarchalant, ib ans, tous deux »ans proieslio n ni domi ne, out att.q u r m Lan^^rneau 'i. tdofait grève.
Il
est regrettable de voir le« commer­ f'Izur, et après i'av ,lr 1-uppr. et menacé d’u j cou­
çants se désintéresser d’élections qui out teau lui eiilovèreut «on portemonnale.
Lea deux IncuIpM jouls»ent de la plus détestable
po»r eux uae grosse importance.
réputailoo et passent 4 |usto titre pour des Indi­
N est-il pas de leur intérêt que. les Jugea vidus
extrêmement dangereux. D u reste Or 1:1 h
da tribunal de commerce qui referont d< j4 subi 17 condaotnallens, et llnrchalant. S,
leurs litiges soient des hommes Intègres et dont plaslnurs g/avos et fu t les rendent tou»
deux passibles de la rélégation.
dignes de confiance ? Ils le sont en général,
Le tribunal a condamné les deux Inculpés 4 six
mais cependant A la faveur de l’IndliTérence
deS électeurs, parfois peut-être pourraient moi» dn prison et ordonté qu'ils riro n t relégués
à l'expiration de leur peine.
être élus des hommes dont on n’anralt pas
voula, si toat le monde avait voté.
Lopcrhct
L a fièvre typho ïde
à l a caserne d u C h âte au
Une épidémie de lièvre typhoïde sévit a
la caserne du CbAteau. Trente typbique*
provenant de cette caserne sont actuelle­
ment soignés A l’M piial maritime.
Dtux morts sont A déplorer : celle ou uol
dat Drapier, du 19*, originaire d’Asnières,
et celle du soldat Yves LeTurquals. 22sns,
soldat secrétaire d’état-msjor, originaire
du Mans.
Ce.lui-el était une proie toute désignée à
l’éptdémto. Ea effet quoique malingre, souf­
frant d’une maladie de cœur, la commission
de la révision l’avait cependant déclaré b-ja
pour la service. Mais le comble est que lo
malheureux soldat avait aussi un piea bot.
L’acceptation de Turqusis avait été très
commentée au Mans eu l’on s'iodlgna de la
légèreté avic laquelle avait procédé la con»'
m illion de révision.
M o rt s u s p e c te d 'u n enfant. — Ven­
dredi matin, décédait coez aa mère, au vil­
lage de Mézargos, un enfant de onze sob,
Yves Gaugé. Le médecin de l'état c.fll,
appelé pour constater le déi’ès, trouva q ie
le corps était couvert de marque* pvaisaant être laites a coups de sabot et refusa
le permis « ’inhumer.
La gendarmerie, aussitôt prévenue, ou­
vrit une ei. quête de laquelle II résulta que,
le 21 novemnre dernier, le Jeune Gaugé s’é>alt banu avec un de ses petits camarades,
Yves Rlou, domestique de ferme, âgé d ; 12
ans. L ’enfant s’était p'alnt en rentrant,
néanmoins it retourna 4 l’école le lende­
main, mais deux 'ours aurès il fat obligé te
s’aliter. Le (loueur Maheo, médecin iégiate,
a pratiqué l'aulop-ie du cadavre et a con­
clu à uue mort v.otenve uue A une Iractare
da cr&ae.
Plabenaec
Sapeurs-Pomplora. — Le
conseil m u­
nicipal vient de décider la création d’un
L a f r a u d e d u la-t*
groupe de sapeurs-pompiers de l ï hommes ;
So présence des nombreuses saisies de le matériel de.JA exlstar.t sera remis en état
•
autres, qoe la rapacité entrstae au-delA lait qui ont Heu en ver ta de ta loi sur la et complété, afin de donner * ceux qui en
de ce qne l’equlté devrait leur inspirer, se répression des fraudes et en rsiton dtg
seront chargés tous les m ^jtüa a apporter
prévalent de leurs droits de propriétaire et contestation* qui sc font Jour devant les leur concours rapide et efficace dans tous
revendiquent les souches d j démelition ; tribunaux compétents,la Société d’norticjl- les sinistres qal leur seront signalés.
leur droit est incontestable : mai» a ceux-là
J’opposursi mou expérience dedémo’lsseur :
ell.iS na rsppertent pas c* que cottent la
démolition et le* travaux da premier tabour.
Je fais appel à leur propre intérêt pour
qu’ils ne s’opposent pas, par de paréils
procédés, an développement de l'agricul­
ture et A l'amélioration de leurs propriétés.
F. T.
tare de l’art oadlssemeut de Brest a émi*
le vœu que lors de la saisie d ua lait sup­
posé suspect, il soit fait, 4 l'étab’e du ven­
deur une épreuve A la même heure de
traite que pour le luit saisi, et autant que
possible 24 heures après l’aff juragemeat
des vaches devant rester le mime.
L 'a f f a i r e d a « T r a v a i l l e u r »
P lo n d u Iiu C z e a a
V o la de b re b la . — Deux brebis ayant
disparu des établis des cultivateurs Wirnel
et Le Her, ceux-cr t n avisèrent ia gendar­
merie qui arrêta un ancien berger d< * cul­
tivateur*, berger qui est fortement s&apçonné de ces vols.
Salnt-DIvy
Le tribunal murlllaie conaerclal u'eit rival
N é c r o l o g i e . — l/i p o p u la tio n c n r é tK s tn e
mardi, pour juger le capitaine au cabelago Louis
Stéphau, Axe de to ana, originaire de l’île d'Oue»- de SaLit-Divy, acc^u»pa*ualt ruüdl derhier,
au cimetière paroissial, le corps de Jeanaant, lnacrlt au Conquet.
Le 18 julu dernier, lu Compagnie des Vapeurs Marle Luguern, père du vioalre de Camaret.
hrastol« avait organiié une exoursloj à l’I.o de On serait tenté de dire que Luguern a été
®a la preav® (suite). — Bt ïteta au­ Sein, 4 lsqntlle prirent part uno soixantaine de surpris par la mort ; mais le mot surprendre
thentique (suite). — Dans les doux précé­ paaaager».
ue s'applique pas au bon chrétien, toujour«
Le capitaine Stéphau ne connal»sunt qu’impar­
dentes eauserles 11a été exasatné ce qa’étalt
prêt 4 paraître devant D ie« d’autant olus
un acte authentique. Oa a vu aussi qu’un faitement le» puruge» de lire de Belu qui, on le que U. Luguern est un de ceux qui jnt le
acte authentique nul pour défaut de forme anlt>ont fort dangereux, la Compugnla lui donna mieux profilé de la misslau donnée 11 y a
de prendre un pilote, q»l devait rentier et
pouvait an général et * la conaltlon d'avoir l’ordre
un m o u à Saint-Divy.
sortir lo navire. L’ordre fut ponctuellement exé­
été signé des parties servir de preuve de la cuté. Le pilote Coulllandre prit le bateau au
L<-s lils du défunt conduisaient ledeall ;
a à n e fafan qu'un acte »su* signature pri­ largo pour 1« faire rentrer 4 1lie, où 11 arriva M. Derrien, recteur de Kersaiot-Plakennec,
vée at avec la même valeur. Sapposant aana Incident» i onze houroa du matin.
a fait la levée du coipa, M. Herry a chanté
A 4 heuros, le navire r» dlaposslt A partir pour la mesBe. M. Gioar.ec, ancien principal du
maintenant qne l'acte notarié dont 11 s’agit
a été entièrement rédigé confarmément A rentrer a Breat. Le temps était beau ot la mer collège de Lfsneve.n, a dit k s dcinlèies
très calme. Confiants dans la sécurité que pa­
la loi, nous allons neas poser les questions
offrir la trave-sée, lo capitaine et le ¡tr'ères sur la tombe
suivantes : qu’est ce que peut prouver raissait
Relevé dans lassiiitance : MM. les rec­
pllotn avalent un peu trop lâlé leur rencontre, et
exactement un act* viUtf'ntiqie et. J rtqu’A d’aprb» tous le» ttmolguagos des passager», se teurs do Landédn, de Tréfiévénea, uo la
qoel polat pant-ll 1m prouver ?
trouvaient en état voisin de l'ivres-e au moment Forêt ; M. Le Yssseur, profeasenr A Lesne»
I. peut y avoir dvsu un aeti! aatheatiqao du départ.
ven où l’abbé Luguern a laisse le meillenr
A environ un mille de l lle, alors qae l’on ee souvenir commue surveillant, aept ou b u it
de«x sorv*s d’énoMclatlons : les unes prove­
nant du noUire, iaa autre* pru»e»,*ui des trouvait oti'V^re dans des pascagos dangereux, lo auttea prêtres, et nombre de maires da
pilote voulut descendre dans son batnau pour canton.
personnes entrolesquelles l’acteaétépatsé
regagner l'ite ; le capitaine quitta la barr.* pour
Parlons d’ab*rd dee premières : un notaire
Nous adressons A M. Luguern et A sa
faire les adieux A son compaguon. A ce moment
rappoitj dans un aete au;h«ntiqae que le navire talonna et vint »’échouer sur une rochs. famille nos sincères condoléances.
Tiarre as Jecqa«« se sont présentés devaul
Il y eut un moment d’affoiemect. Les passagers
S u in t- M a r c
lai et ont passe te'la convention tel Jo*r.
se précipitèrent dans les canots du herd qan l’on
mit à la mer, et ce ne fat que grâce à quelques
E le c tio n s m u n ic ip a le s . — Malg-é la
L’acte notarié fera plaine fol d* ce fuit.
Supposoaa qaa pias tard Pierre veaille at- ofll.deri de marine gui se trouvaient parmi les coalition des radicaux et des soclat<sies, la
tsqaar cet acte, et prétendre par «temple pa».ingor» que la pantgao fut enrayée. Le capi­ liste pi ogreseiate a remporté la victoire.
avoua lui-méme A l'audience qu’il avait
Ea effet, voici les résultats de l’élection
qae ce n t r pas 1» convention inscrite dans taine
perdu la této et quo l’ordre do « machine en
1 aeta qu'il a passée avec Jt-«ques. mais une avant » qu'il donna 4 ce moment était absolu- complémentaire muoiclpale qui a eu lieu
aatre cosventio» toift i fait différente.
dimanche,
A Saint-Marc, pour les trois
aaeat contraire 4 lu manouvre gu’ll y avait lieu
lièges vacants.
Sera-t-il autarlsé A le prouver T Sera-t -Il d’aHactuer.
Le tribunal a condamDé le capitaine au cabo­
Liste progressist» : MM. René Dambreantorlsé A démontrer par exemple, qu’il
s est présenté d«,vant an aotalre ^our con­ tage Biépbsn, S 8 moU de prison avec sursis et 4 vllle. 333 voix, élu ; Jean Rémoad. 331 voix,
S
mois
de
auspenilon
de
commundeiaunl.
sentir un bail A Jacques et qae le notaire
é?u ; Etienne K e ré té m , 331 voix, élu.
aa lie« d'nti bail a fait une vente. Sai
Liste ridicale-sncialiste : MM. Krneat
Double noyade
Picard, 315 voix; Louia Madec, 302 voix;
Plerra st-a aatorist A falr# cette preuve, i
Benoît G uttln, Ï04 voix.
sera autorisé A démontrer que le notaire u
Jeudi matin, on a relevé du 3- bassin du
Cette élection est de mauvais augure
lait an faux, ntal* Pierre sera pour cela port de commerce, lv-s oaüavrts de Mme
pout- le parti socialiste qui, on le sait,
obligé d emnloyar une procédu»-« upéotale Julien Crenn, 39 ane, anciennement dornaffrontera
A nouveau la lutte électorale A
mlaucleuuetuont réglée par la loi et qu'au
clllée 19. rue Postreln-Néves et de son lils
appelle l'insoriptUn d» faux. Cette procé- Joseph, âge de do u n ans et demi.
Brtst. L ’alliance des socialistes et des
dnra e*t extrésassaent dlflcile A mener à
Celle-ci étslt sortie avec son fila, le 2 dé­ radicaux tolérée est un futur argum ent k
bien. S i 11 en résuite qu’il est malaisé de cembre au eotr, pour aller seneter des deux tranchants contre les deux partis,
prouver qae ce qui dans nu acte s’eat passé bouglen. La tempête lalsr.lt rage et l’on
qui pour *muser la galerie S'invectivent
düMuit la aotalre lal-mêsae a été inüdèlecroit qu une rafale l’aurajetée avec uon lils sur certains tréteaux, alors qne dsrs les
s&enl rapporta par celui-ci. La loi accorda
coulisseB,
ils s’entendent oomm* .larron«
A la mer, alors qu’elle passait sur le quai.
en foire.
nue tiis grande confiance A ce qae le note.ire lal-aêaac a constaté et t apporté. La
Salnt-PI«rre-t'diIbIgraont
D ir ln o n
notaire est lorsqa It écrit un acie nn témoin
Parents dénaturés. — Le parquet de
P rl« «u r la fa it. — La semaine dern.ère,
tout A tait privilégié. Cela tient A de*x canBt». D'sbord n’est pas notaire qal v»ut. Il M. J.-L. Vével, cultivateur a Dtriuon, en­ Brest est sulsl d’une pi- inte du maire de
faut poar «tn» soatmé aotslra remplir cer­ tendant da brait autour de sa maigou, se St-Pierre-Qullbignon contre les époax
taines conditions préalables, et la iol a pris leva poar aller voir ce qui se passais et Haet dont le mari est ouvrier A l'arsenal, et
des garanties poar assurer le boa recrute. aperçut un ludlvtdu qui prenait la fuite en sont accusés d’avo'r odieusement brutalisé
meDt des notaires. Ensuite 11 serait ex'ré- sortant du poulailler. M. Mével et ;tes do­ leur enfant, Agé de V ans. On a constaté h
a jm e n t dangereux poar un notaire do faire mestique* se mirent S la poursuivi dn l’école dor t ee petit garçon suit lea cours,
fayard qu'iia rejoignirent 5*0 mètres plu* qu’il avait le« yeux tuméfiés et que sur cer­
un faux. 81 ce faux était prouvé le notaire
loin. Le voleur était muni d-un «ac dan* taines parties du corps, il était couvert do
perdrait sa charge et serait condamné Aun*
leqacl 11 avait enfermé cinq poules qu’il bleus provenant de coups de bâton.
peine très sévère.
La iemme a été arrêtée.
venait
de dérober. Cet indluda, qui a été
Mais en dehors des énoncUtion» qui dans
un acte notarié émanent dq notaire k-1- conduit an Parquet, de Brest, se nomme
même, Il p^ut y en avoir d’autres qui éma­ Tves Croron, a ié de 53 ans, terrassier,
demandes le * tloamer d«
sans domicile fixe, originaire Ci Saintnent seulement des partie*. Les parties
Coalltz.
Finistère » dans wmtôs (es
contractantes peuvent d’nn commun accord
G n lle ra
déclarer an notaire certaines choses que le
Bibliothèque* des Garsa da
notaire n’a pas pa coastuter psr lui-même.
A ttrlbatloia d e s biens de l ’églW«. —
L'existence réelle de cee chus««, le fait que L’èce des attributions a’ouvre pour le dio­
Finistèrecette déaiaration des parti«« est alnc&e,
cèse de Qulmper. Le 14 du mois dernier,
lé notaire ne peut pas en répondre, fit alors les commissions administratives de i'hoson poarra attafaer la alncérlté de cette dé» pioe et du bureau de bienfaisance ont été
claratioa aana recaurir A l'inscription d« mises en deaæure de ae prononcer aa sujet
faax. Cn sera autorisé A faire toat «Imp!»- de l’attribation de» Meus de i’égllsc de
SOAVUAUU A
mant l» oreave contraire \nous verrons Guilers. A ¡’unanimité elles ont énergique­
d'ailleurs, pttts tard qne cette preuve con­ ment repoussé toute attribution.
Les suites d'ox a c c l io n t
traire no peut être faite par témoins.
Leur décision * été, également A i’uuatjlIl y a quelque» jour«, Tves Bréllvtt Agé
Bd résnmé on ne peut nier ce que le no­ mlté, approuvée par le Conseil municipal
da iiO
environ, couvreur, rue Notretaire a co**taté par lai-même sans recourir Beau geste qui sera sans doute Imité.
Dame, A Ch&teaulU, voulait franchir Une
A l'inscription de faax, mais oa peut faire
passerelle reliant ion habitation A la Mon­
Landerneau
tout slmplesacnt, en prodnlsant un autre
tagne du OttAtean, lorsqu'il tomba dan« le
Lo P ard o n . — C’e»t ma.l’aènreusement
écrit, la preuve contraire de 1« fausseté de
vide,
d une hauteur de 12 A 15 mètre*.
ce que le notoire a simplement rapporté par une froide et pluvieuse Journée qae les
Relevé par des personnes accourue* g
Landernéen* ont fêté, dimanche dernier,
sans l’avoir constaté par tal-mêtne.
ses cris, on constata qu’il avait uae Jambe
le pardon de leur paroisie Salnt-Houaido».
J. D.
landl* que du ctocher ajonré le grand ea- fracturée. De plus, 11 «e pUignaitde douleurs
rlllon se iawait entendre, la musique Mainte- Internes.
Transporté A l’bûpltal, A Qulmper, BréllCécile traversait la ville, au pas d’une mar­
che bien rythmée, entraînant A sa suite la vet y est décédé dimanche, des suites da
ses blessures. L’Infortuné était célibataire.
foale qui se rendait au pardon.
L’autel avait revêtu sa parure de grands
BREST
Argal
jours, et entouré d’un nombreux clergé, M.
En vue des éleotlons législative«
N o y é , — Alain Joln, 4« an», passant près da
l'abbé Goret, cnrë-dojén de Huel^oat, asLe mand.it de député de Brest sera, dit- slsté de MM. Flocb, aumônier de l’nôpl- ruUsçau do Lescout, aperçut uu corps eu oblleue
on, disputé cette a*ioée par de nombreux tal, et Blzien, de Landerneau, chantait la dans lo ruisseau, 1a têts presque Immergé». H
retira le cadavre st le déposa sur la be/ge et
csndldats. D i ceux-ci, uu seul o a conna
grand'meise.
prévint le» autorltéa. Le cadavre lut reconnu
oflicielliment. C'est M. Charles Bos, ancien
A ['Evangile, M. I’abbé Henry, recteur de poar ètro celui du nommé Jecqnea Gourmelon,
député qui, dans une réanion tenue mardi Saint-Pierre QullblgDon, — une figure bien
4t an», cultivateur i Argol. Cet homme avait été
soir, A Brest, a exposé son programma
connue et bleu sympathique aux Lander- vu la veille Ivre, et c’e»t sans doute trompé par
devant une centaine d électeurs.
néens — monte eu chaire et, avec une cba- l’obscurité qu’U eat tombé dana le ruUssau.
M. Charlea Bos s’est déclaré surtout an- lenr apostolique, prononce une magnifique
Carhalx
tlcollectlvlste. C'était aussi l'éplthète de allocation, c Soyeï fort* devant votre Foi »,
Un e n fan t brûle . — Lundi matin, Mme
M. Blétry et U semble que M. Otiarle* De* telles sont ses premières paroles. Il rappelle
Gueguen, habitant rue de Callac, était des­
recherche le patronage des personnalité« la fête du Jour, la fête de Salnt-Houardou,
cendue daua «a cav» pour prendre dn
qui soutinrent la candidature de son prédé­ qui, comme beaucoup d’uutres saints, lilas
bots, laissant son petit garçon, Roger
cesseur.
tuèrent notrepay* de1leurs Virtus. Rappe­
Guéguea, Agé de 14 moi«, assli dan« le
M. Ooade, I* concurrent de M. Blé'ry
lant la beauté naturelle, mais «ut toat la foyer.
aux dernières élections, quolqa'il- n ’ait pas beauté religieuse de la Bretagne la vail­
Uq coup de vent, en fermant ln port« de
encore pris contact avec les électeurs lance et le dévouement de sç« enfants qui
la cave, augmenta tout A coup ie« flamme«
tirestpis. P°s*ra certainement *s candldaM
tp
fs
marin*,
ses
«u foyer, «1 bien que lea atteignirent les
tare socialiste A laquelle Ifrpartf ùnfflé pr«.
ion peu- vêtements dn reniait, A s,-a criaadchlraatSL
tera son concours.
• &. pi# le plus Mêle, avec klal’EgiJee,
fîcilltlL______
facilité
d’éidca- «a mère csssya d’accourir, n a is «lia était
Oh assuré — mais de c*cl oa n’a encore Mon qu on lui connaît, l’orateur montre lés
auçune confirmation offbielle — que M. a m u t* qu’A l'heure présente Satan livre A renfermée (Uni lauav*. Hr«reniement «t>è
■es voislui sont acanurus « t ont sauvé
fergnlaud, adjoint au malrô'de Brest, re- l’Eglue et A notre Fol.
1enfant d’one mort affresse. B est ce­
présentera le parti- progressiste aux éleo*
Dans une superbe envolée, M, Henry ter­ pendant brûié A uae main et à la culis« e t
Mous législatives.
.tr
.
mine par «n vigoureux appol a la bonne oa espère que ce« brûlures n’auront pas d*
»»lin, M. Rolland, président de la Gtam- TOisnté de tops les chrétleiia et, pour Dieu,
conséquence graves.
CAUSERIE JUIUOIQUE
ArroDdissement_i« Cllteaalia
Arrondissement de M
Cror.ua
M ortella Im prudence d'e n fan t». —
Mme Le Hoy, da Fret, »’étant absentée an
instant pour «lier aux prüvUlon», *ut l inopradeño« de 1»1ma[ «culi U U miliQtt IM
doux e n fiati. Ij»1q6, ft,«o 4« dcqx bui tf
demi, l'approcha da foyer et l'am ai» 1
repiaer lei cendrei. En an Im U nt, toni
■ei vêtemeuts furent en tcu Aux orli du
pauvrep’-tlt u i volila, M. I,r Pur, accourut,
et, non l»n» ie biûler »ux inaia», parvint,
A l'»Me d’nn seau d’nau, * éteindre tei
ilammsi II ^ a lt maheureuiomeot trop
tard. L'e* tant avait tout le ventre of rbonlie,
et 11 ii'coonibslt eu boat dune beute
d'atroce» »ouiI.^Lceu.
Coray
V o l Im p o rtan t. — Alain U.irré, fermier
au villa** ri* KoTorét avait cher lui un<i
lonime de 700 trinci, composée do 7 bllitota
de 100 f nuoti, iVuu t'IU'.’t de 50 francar d i
deux pièce» 'ie 20 traucs. C-.t urgent prove­
nait u’utir veuie Un bié effùctuéo k R,iporden et d'un puro, vendu à Coray, le 25
novembre. Lo 2 dicembre, quand Darre, all»
à gnu armoire 11 constata que la somme
entière avait olspuru.
P lo n é te x - P o ria y
Incendio p a r la foudre. — An cour«
d'un violent orage, la foudre est Wwbéo au
village do Keniannlellet, en Plouévi'zPorzay, sur un bûtlment servant de crficb*
et d'écurie.
lie bft'lmeut a Atô en partie détruit par
lei flammes.
M. i.ouboutin. propriétaire de l’Immcuble, esMmn ae* certes & environ 500 tranci,
couvertes par une assurance.
Q aém ônévcn
de Luzeoc'h, en Teigmc, n été irritée
pour mauvali traitement« iu r «au enfant,
âgé de un moli.
tloaéaaa
T . *pl'afi<Ueit"Urmlaé ; Il l'iliv e iraoleax à
c ò li de l'anolm couvent dea nellgleuiea, devina,
i notre plus vit regret, proprietà c o m m in a li.
Malntenent, * qo«'>ü la b iu id lo llo a de c«
superbe bAtlment ) Q a u u l y plaoera-l-on aa
oruoldx don« lei o lane r, releclolrei et dortoir» i
JLlora, peul-itre I m a li «lor< leulem eut, n p m
autrei, p ir e i chrétleni, noua pourrlona n o ai
dielder i v conduire n o i enfant».
Cetto b inid lo tlo n , que notre oo'uolenoe et
celle de noa eufanti reclament, n'aura p a i lloa ;
noua »erlo'ia bien uatti de l i iupi>oier.
I l v aura b ltn , n o m pouvoni l'aanoncer
d a v u a -.o l'o coatialre ier»!t i,normal), Il j aura
bien, un lour quelooaqae, nue cérémonie u îq a e l
Pae oet nWor : le i routei »ont trop mauvaluei,
m a lt au prlutem pi prochain, au m oli de mal,
par exemple. A lu n n o ui verrona dibarquer la
■oua-prilet, q «l aalt 7 peut-être le p r it lt l«la tu » . uveo D u b u liio n , L ancila «1 q u elq »«l
péiagoK U ii. Il* banquatteroal : pourvu que ce
ne »oit pua i n o i trais M
_ . ,
,
Le préfet, ou aon repréientant cfflolsl, sssslsra
ea des phraie» oreuiei, de taira liloge de 1éco e
lai jus I Le Per« La Pipe (taoa I)i»a I noui le
p,lom di< uulouri'Sul de ne paii se msttre trop
•n peine: Il lors to»lo»ri aai'l iloqaent a » 4 a
Cbambie I) L# Pire la Pipe teaerolera le
dliaoureur an teraie» tri» lo«cb«nU: quelques
oonislllsri municipaux, attlrii per 1« coup de
Kusulston, applaudiront A outraaee «t quelqa an
kicalere : « vl.fvl, vl^e «» Aetrou DI-»lklaaoua I a,
•usuile oe aera un« vlilte au *k» ir au palala
scolaire oA Isi pimlouuolrei orl;ro»t la Jiarielfluise II Un point, r.'eat tout. Ce lera la aeu e
binidlotlon, »oje»-en id."i, qoe rsoayia ls
aouveau palali q»l a ooftie la paille bufateli! de
40 i lO.OiO franc» III
,
r n jreupe te c«nlrl»u«Hf».
P S . — Bl. contrairement U n o i p r iv lilo j» .
c irim o n ie lulque que d o u i venoa» de
devait avoir lie* aam trop larder, i k klen l u o ^ .
• m u n a ra e ltro u i de prl«r H . le raiilre d lb*li<-.r
H O K U lI X
teon I
IV
K o a n ’ z o d e b r e t e u n t a m m lk ; i o . B on« d ’a n d a o l . a u t la d *o b o d e t - a n ta d a
SLR
tua ty.braxHeajt.anN aou ed «v lt ir o
le r s neve-m»n. Hep dalo ta, neo ket la
^ rv e ^ ^ tU c ô im ld tg e tW .
p n r e n t L* r a p p e la r à f »
vie.
Santao
X t l a b o it a a a x U ttv a a ? — S i c «al to sje ar.
h iu a t« ... « a l ? - Qaol ? - Uala la b a tti s »
Uttre«, do ué I L ’autre |oar, « a pia» fait da 1»
tè a pile, d « «ri» plalnUU a lllr ir ta t aaoa alU atlcn :
e’it i l e a l .la». l i i « à m i o n » d* cette psavr« hotl»
«'liai k:as l em i »r Glhloarek. soalsl a
rean zar, ar c tiei 'a 'e >•*« n’oant ket d *iz
ar ras » bMJ u'muup m. G h o ii. Aotcou
Mear, a xo ssuaut -c’. >
ar te*M„m,M
fldandoiieu I au dauv /' Si t eo andaivoz
wella I Dero’bul et» ar ruban kenta, ‘»ta,;» d a r mear » ir
a i ben ractal da '»tas«
rab^a glaz var he v.-ui'.V..;t.
lia seti axç, va xail^ »iüaos en deiz ket
mear Loc i r prit kfckjta ,»coa< e i>u traau
È
ththv.
„ ,
. .
Ar o'hstsft te» a loa eno a »’H a » o velet
oher kement ait, ba pa dreme^r potted ar
rbbanon, Sur a^ostaâ'n e ion]ent ei.n-ao ho«nan : « B ètl axa «un den h a r en deux
gwercet he vlfcnOrnlàch d ar ü kloarek a' it
Fixlais « w « U t , P»ollna lane* d i t e ,
na dalve»!* ket kemer poan. Man xur I m
-
a
^l^V f^i-'glaiklet ket I... ff«- fla ik fra ket l
M’fio ket va aliou ha va eaasdlioi o deis
é » s o u i» t ver u t i l i ? 1 ! {iblec’k vU«-te
bet p»n»vert d'ln-me r D» non»,
età blljet kement : • krils ar la ik hag ar
, r _ ' « Awalc'h a gaoxlou, FaoltaA-, fre e t
omp evtt rei allou an eli d'eglle : n eo ket
red en *m ta n n a dlvw bouei »raou kwa
diiter »velato l »
...
..
- a »*e m »o in ket o ta ti Jien oBer; t o t
■enbeid ! nemed keaieat ha' dlaklerla ar
" r io n e * I - A b 1 J . l l i i f n ’a a p e *» k ^ » o » J
deus a» dlip'ac'h a W U aow-WfT®m«tp,
• i r wach brudet é tllisessp Cerdou»tbn ?
A h I A k I A h I... Ken’ » r a n k » i c hoaràta I
Pa tonjan : va tad, aqi’aetro» Per»»ud, ha
me n'oussan dare p lo i an
il r io m p I Ak I m e » W rfe hb gWe! '' W I
- '- - “p*
klrio, k» dr»l»t
holl
. vaso ar c.:i • .a-
wei* ueves f r im a i l f
1-Ï». P 0'
iñ s ls w s r s s "
.........
•vit 'n « a g a lla gaa| ar o'bÓii«« I H 0*»n,
« ... A xo, h » f a v» krenv I H e i lftret a
reén d i i , ra gUskfn lakftt ar wlrionex en
a i bein 1 eti r ta 11% nag eo b it »tardar
c'hrood l Ped P«nnàd leiva n'am.eus-me
ket'itHet, itík ifa ó iít i-bein éiouitdl
- . V a i a i PaolinaI Me Ivex e « boa
c’hoantpeTl
ris.'
ne
eependant .
«11«, de» l e a i »
ssilUeara ; de* vUiteare. «t a» »
•e s aioladr««, veaalenl qdottdl«na«aeat a u
aaln«r «t o o aap tut «ar aaa dlaaritl«» i toxU
ie r iuve, a'héaltalect aa» i a « «oatar leura plv*
aeeraa ; l'haaae mrstlgubl« i la bloit«
Ηraads
isna etdekl ta * cecârde trlcaiora ara« 1« Itapl.
la k itia r, — l«Uctea»«aa«»t d««x fol» 1« ]u«
<lharttl am ballé. — Lundi, veis sept
heures du matin, le cheval attelé de M
Rolland, conseiller municipal, den»«rant
au Théven, l'embaii» et prit la direction
dé la m»if»n. M.' Jean Tven, forgeron,
latita i la tête de 1« bête et fut assez heu
rerx pour la maîtriser.
H t r le a n b r fllu r i. — Le Jeune Claude
Tfvrifi, 4ge de 18 mole, a été séaleuseraent
brtl'é ft la hsnche pendant qa'll louait avec
sa sœur prèa d l foyer.
G u liu llla a
aoafiremoa agrloala. — Dlmaacke, à 9 h. I»
de l’ap, ii-mldl, M. Le Loapp, profe.rrtr d'airlciltur» i Morlalx, 1er» au« conferentt» lur : Le
«riillt ifrlools «t le» eegraU potunl^M f
L o c - lü g ila e r
Mort da ooaaaatloa. — M. Je»a Klli«, culllvatour » KÜÈOU, eb Bilat-Bauvear, a die tioavi
moit duas «n Toix» sa bourg de I^c-Bsulne»
S'.lôi avull apporte la veille uae ckurstts de bol'
B ureau-Annexe
a un iakoller du bourg. Un miaacla, appelé, a
«onolu i un« cosgwtlon oecaalonnie-]iar 1« frol»
et Dépôt Central
et l'alcool.
Loc-E fpitaer>SM t-T he& ouaek
dû flowm#? du Finistère
A r r e r lt —• K j It, a dnd ne ornent ket
R u « K tré o n , S i
pebeuz pinsennad ïez»k kaer a loa a i em
QU 1M PER
navet er zlzun ail e L»c evlt ^r verk. —
Blicoaz en eur buirklk dliter <m l b»»ck Ls foudre
Loc ne oa k :t great kement a Icll hag en
/tu cours d’un» violeat* te m p it» qt'i s’est
d»lz-ze...
déchakaée daus la nuit du 2 au 3 sar QulmIwin despat da r.e, paotred ar c boqarnapsr et les environs, la toudre eut tombée
mant, panslonct pèmzek m il luv er k o»j, a s ir la maison sltaée 50, rae d» Pont-Flroa deuet lva, hanet deoe'k, uuan ben»g
m ln, appartenant k M. 'l'komas, organiste.
anezo. Ar Chloarek, pa flev a m QbaÇjl
Aptéa avoir aéaa«U la cheminée dç l’bada vnlet «n t i benag ae ket <vit taahkait
klla tlu t, le tonnerre a aalavé m e plkachn
d'en em xiscuez en ho z»ier : ebo • ve* do l’a p^arte nan t situé au-deasis da la
hardlssoc'h eget er GasUr da 'av«.e.} e»r
«1 ambre e cahoter de Mme VhoMas. Getra
goas kenag .. M»z, ev»l ma n a <>v w a »r
pfnhotiR «st v e uie » l i i l i e s'abattra sar 1«
lust ae isurt kess » M etre ruv c'buncoar
,it üe Msae Tkosws, mais m w sju l ;caaser
h ig ar verk, e l»kn atao. d'ai av aitir, air
asoan H al.
■
iib a n benag
h» c’h»a»l.
Mear L o i a laa var «vw evlt ditusla he
Clohare-reaensaat
vUnoun : ra< tremeni hsg oker ar yerk oa
S a r d a a tk a q id . — Une de ces n ilts
kouls m»rka n u i Aiaoadek eo d'eaz ka*
dernières le K.>-rde de QÜeS'ontalnei, U.
a dnau. H Paris ea deai griat h» stadl 1 iyiiohemtn a été attaqué nu cours d’une
h#g «no, daoist m'a« deuz ankoiaac'k^at
tournée par cinq ou sfc Individus qui le
d «un h* vre«auu»k, en d e it desket
roaèient de ocup» «t lui portèrent on conp
a-oaiKC u evlt rel da geumpren
de coateau à la m ais.
, i^nu dopuvj ^ ( j.’vez ket,roet a rsbanou
b r #«rde réneelt I sa dégager et rentra
— a An ér» s i i *eulo ér» o'hra» Doue. D a
c’hortos. p’eguir »un d » it a ^ e n i d l 0 houîo u t ar P « a e'boantaec’kr k u w oailfl,
deomo da gemer lec’hed hon lln u rlo u , mar
Jtlrlt, Lena?^om p, K>t#1,lk ,
« u n dra
eo 1 P»oc’h ' vexo v»c ar ohoari, penn da
Ë
oombrout la ^o e. Le c ur de l’noiptréi q*»
commence liste eo taoa, a été abrita |ur
une longueur de cinq mètrci environ, par
la masse éctoulée. U u bec de gaz e|t resté
* peu près lidemno. Il .■
>y a pas étf d’aç-1
- .
client de ptrsoni e._______
K e a r h a M e a z io ü
h%f r û v V ° a U e a « d * , d re nk a,.«Irai Mad
Plougoalaa
M o r t a a k l t i . — Dimancne, M. T oirc'h,
mai lu en rutri,lte, débitant & Prat-Goulm,
allait i Salnt-Pol-de-Léon en se proposant
da preuuio p«rt i i éUctio.i i^our le tribunal
(le cornu.erce. Il vec u a car ^ ¡i.l ,uvib l'aptèsi dl et se coae.ba, 1« soir, sans malaise,
ucdl m »'la, on l a troavé mort, dans son
Ut. M. Voarc’h ôtait la sobriété même. Ge
n est donc pas i un abus de consommai Ion
d’alcout qu 11 tant attribuer non ilétèi.
S a ln t- P o lr é e - L io s
A. la M alsoa Earoalaa — Par 4b.Uu» 4pla«opal», U. Saloaaan, -Iculre A IjlrUn Croix d,)
QuJaaperli, oyt Loaarni e«ÿirUnr <le 1« raalloa
Kiioulas, * lalal-l’i.-do-Leo». (Cvtle nomination
a' i t i agre*! par U> Coniali acadéal^tio, & la
date du I» dicembre.)
D a n s m i r t i i i b l t a i . — Loriqa’elle
allr., vtndradi mutin, préseiter du poisson
A eun m .tire , la b o v i e d# t’bè<«l de F.v.nc»
.o m ta ti qd«‘ cslui-ci, M. A h *« f l i p p e ,
¿(ait » o . t..
M. Philippe, qui soul'.ait d'une maladie
de epos, jpal» d*nt l’état de santé n’était
dépits quoique temps fort amélioré, n ’était
âgé "ine de i l ans.
— Tendredi lOir, à Ü heures, M. Jicque:*
M àzéai, retraité da part, âgé de 60 ans, n
été s iftlte m e it frappé d'une attaque d'apo
pleile d a n la w w nkre qu'il occupait ches:
4 Le Bihap, coidonnler. rue G irr».
Ta»» le i soin» qui lsi furent donnés pa>
M. Le Ulban et par M. Ajchard, ferblantier
veaatt m« diehaigir d u lecrete qae je recilulu
dana aaoa »au ; et depaL», hila» 1 |e giat» !
L'adcalalalrailca fiait I aar mal, «t poartaat J>
a'avili-pai ds rival« 1 Oh I la «raelle qa’alle «ni,
U u» a i r a i n » s’éaroala
ail« se bouche les oretilu et aie laliaa crlir I »
A la suite des p lu k i torrentielle* de ces Trilment, é admlalitratlon de» P. T. T., a'j a-t-t!
deruler» jouri, le msr d» loutènement Ua pal de qaol voua dmoavolr ; et qa« taat-11 da
la propriété db M. O n -,uel, saur haut de plae poar «tleadrlr vos sntrslllae ? — U» ordr»
huit mèlrei, l'est e ;i ou é sur le chçmin de da alnlltr« T— Mali, qa« ae le dlilez-voua depuu
Gloii-ï’ret'er.
lhonplce. Quinze tnèt'vs de murai.le en-: !M|{t«mp> 1
g] Faulliesou du Caarrlir dn Flaiitéra
- ' . ‘ Tïug’a r . d'hoe'h, a grelï t a l .n , t a
m lin o n e t I S^tu porak e c’tioulennan ar
m ô « 'h t Isldor en deuj c'hoa* eur Woa haní» r ria okeri mx Vffe bradet Keiwntr e
oueiit atnlek h tiiô , an dud, o lire t peb bini
Le leudl
de la auoiaine dernière, aussitôt après le
passage du train 7 des chemins de fer é»onoiulqien an rare de Plougonven-Plourln,
le iiolr, à 8 h. 10, on r»levalt lu r 1» vole un
corpi borriblem eit mutilé : le i deux Jambes
étalent d étichéM d i corpi et an bras était
complètement broyé. Le malheureux a reçu
immédiatement t o n le i lo lm passibles,
rca'» 4 10 h. 35 il expirait s a m avoir pu
doi ner le moindre renseignement sur l’ac­
cident dont il était victime. Son nom est
M L e H é n a ».
On suppose que M. Le HénaV. c u lti­
vateur i Plougonven, ftgé de 40 ans, a
;ei té de nmuter d a m le train en marche et
'Il a glissé ions le i roies.
L a queation du f u n iia la lr a
On l'intéreise beaucoup en
M a a v a iia m èra. — La temme Uoa-ài
A i ^ h«
I/DAl.aa
nD i
î S 'kkverzHi
.e r x a . L
- n a l... u
O'hul
c'hémer: evlt
e\ eur MIJg to ul'ta ? Dlnec’h »c’h
ssa.m ero'h kc* '; mud e chossln ev»i
helTlt beia.
F losgiivea
Tanspoaaé par ua t r a in . —
H d e ro lo g li
•Au commencement de aatte.<a«n»iM f i t
déqédé à Morlalx, >A. Des Ja ri de lié.-:
rauroué. M. de K4raa(ot)é avait combattu
dam les ruags des zouavei pontlflcuux et
i a vaillance lui valut l« i décoratloni de
Meitana, Pie IX et le n e Merentl. Longte m n secrétaire de U ioclé*d d'agtioaltiita
tlo furroadiiaetqeat de M i u U . , U dut,
l’année dernière, po*r came dé laaté,
donier ►» démission.. L# société, roconnaitaïUnte de* services qa’ll lnl avaitU
renlni. te pessena »oct*tat;e honoraire.
Il al,i«eult une fouille mensuelle, le
latin dm syncttcatu ifrtcoles dt liretagnr,
c*v 11 fttttt •l’unx trèj grande compêtenco
enlagrlçulture. Rappi Ionique ^.(dei^éum -,
roüé ent pour com psaon uu onvrler de ta
rue 'leu Vlgnei, oai «'enrôla aussi soui le
drapeau de Pie JX et y trouva la mort.
ballai, Psna-ar-Prat et Trivlly , —
Ksrdunlel, par P»1U< et lerouaio h ; — i Peurll
•sr Kerdern et Le tlei'guer ; — enla * Qulnonreo par Ooascaillen, HaInt ■
Thu dea, Q W “i vm,
Kerfera st Kerlsdlenll Uitemenl, a*, le prifet,
leralt oblisi d'avouer qua l'ouvei turo de cheaaln»
vlolaaux alsiiioaatt à •(>¿»«1 blen pini que Is
couatruutlon d'uu palali aeolalrs qus nul contrikuablo, lalaii libre, n'auralt voli si doni on
l'tv a li nul besolu II
Coutrlbuablei, noi amie, n u t- o i pai qua aoui
dlsous vral ?
le i fra c
k^uliko nâo tm eu* c’ûoa» d * lâT^r^t 5
diouaUit da wersa ac’h a ih o n , na d »m xud,
Iaaaadla. — Un Inoeadle a c a u s a i îe.ooe
Mloa da pailla, l.oc» kilo» d’avolaeeonlena»duna
aaa hache et an hangar, chae M. Qairi, de Kerh»el, en Plouinsn. Lee bttlaeat» oat p i être
pr*e»rvéi.
taniissEmerà de Iorlaii
moment,
dam le monde commercial de Morlalx, A la
qiestloi du failculnire éi toai'psrtrtj.irièrement aux combinaisons qui permettraient
n o achèvement et nu mise en activité.
Les uas racontent que MM. Fabre et
Oballuiseau, entrep'aaeura et concriulounnlres da la ligne oépsrtçmeutsla de. Mor­
lalx a Plrstln-lei-Urèvdé, taraient dlepMés
à entrer e« converixtloa avec ln S jcU té du
tunlculelri pour acheter & calla-cl tau» ses
M o rt d* froid. — M. Y re» Trellu, (M o i, ouldroits, le» Immeuble* et lo i travaux d*}a
tlvsuur a Keijekel, en Q'i*m*n4»en, en •« readant à 1« ine»« nu bout« trouva Inanimi au* la
exécutes
rontt, Liuuli Tmi'noat, laotommoJeur do. para­
Leur valeur serait payée p if (|ei ae.tlom
pluies, luna dumUlla.
de la tuture so lété d'exploitatloa dé U
Ce mulü.iuiuu* a i'ft auocomber * «ne congésllgfie Monaix-Pleatln lM-Urèvai.
tlo* oooiialonnAo pur le Irold al l'alouul. La
des npire^aaa ».iraient
c» U'Ieu par
veilla, Il avait ¿10 vu cou -hl d-na us* Uoqvo, ta
i
état d’ivreaiie.
’
1
k tout le ponde avec setf|faut)o>u
■ Il tant s|outer fat à l a s a it« t mit., i Id.^t
S p éce t
aurait imposé le fanlculatre aux couctssloiualres dei ctam lni de ter dépaiteA o o H e n t m a r t a l . — M i l e Françoise
Fléjou, de Kroaa-Heitangoff, recevait la ntenteux, la H k h ,lf! Muclstx à Pleiïm-lei(iiè^ea ne poivatt #tr - *»|ioliee normalundi 21) novembre, au loir, uue dcpêctie
l,-..ur ut e»m le fnnicolare'.
1*1 annonçant ia m iri tB *o i u url it’.r*e
Les actlannalres i^-.vraleit de* titres
n ie , par accld~r«t * Né'«|r (Ofue) Fléjou,
dru chemlnm de f»r d. partemsntaüx rap<
&/é awi'tomflut la 37 au», U U U six oi.Uo'a
po ta.it 50/1, ï», av:l* p '.r r lia t.e a échange
en b i» a * a : l'a im a l i ans, le plur¡¿vue,
d •« leun action» ; o i vn même liisqu'à dira
deux o» trel i m il» 1
que tes aoiiovAhiri-'s, ssécontenti de cette
Le corpi d’< ia vletluii' ae ié transporte
axproarlatlan. rér.U'oi \t une lndemnif^
de Nécy a Spézet, eu iinhumatt» 1 a eu ileu
a»e l 'l u t et le <*6p;tr' ment {c'eut A-dire
samedi matin.
f
ue leua le» oonfrteunk va sama wotpHon)
Aoolden* g ra v e . — Jaièpho Qu|lllec,
luytr.
du Goiliu, »geo de 10 ans, est une épt'ep- V f81t ce
qui oiécèd» est exact, cette nou­
tlaue. Mardi, 30 novembre, seule a la ç.alvelle
coiuiuiiation eatialaerait une. aug­
10 a avéc «ou petit Irè' e, elle tomba dans
mentation
de dépeça?! finvUpnîQD.Maft.,.
le ten- La figure et ln oou «ont presque
auo le üoasell généifl, M êle k bel prin­
entièrement brtié». La pauvre enfant q*i
cipes d’économie, et va l’état lamentanli
fait pitié a voir, est. menacée de perar»
des IluaroM da département, » i peui ap­
l'ssll gauoh» ; Il y a m *«n à cralodre qu'elle
prouver ; ce tait entr; lierait w» prai un
ne puisse survivre a se» horribles kiûiures.
nouveau re’ ard de plm ionriainéerpopr 1#
N o m in a t i« - M. Taro, préco lemmoot
■,,tc d* la o< aitrut.ilon U cbensln de ter de
employé * la g«ro d;.- tlourln. v iiut dé'.re Marlsix à Piounwur-Ca W atule et 9elIornumm i «bot de fave 4 Üpô»*t, ea rempla­ lalx à G ie rluq uln , reUrd qui causerait in
cement de Urne Jamot. nommée i Garni et.
préjudice coaiidérabl» A notre région.
Qoiclaalon : dépenses exagérées d’une
▲a Heu da routes, un p a la li. — Oa
part,
retard préjaaïolabie de 1autre.
noas écrit U lettre suivante :
Laquelle des deox ve ston■est la vrai» i
Nos» eaatroni q'ie noua n» serons paa taxis
C'est ce q i'il importe de connaître.
de aalomnlateur» en lilaunt qat notre «runde
ooœiaiin» «auque complètement de routes I G est
1A un luit t'i» litsa connu de tuut le canton 4s
Certielx... D»pula dea uaniea et des nnn*es noua
n'avons oaasi de riolauier dea rouira, paa oarroiaablea, noa, malt doa ro’itea tout alipplemat
Dlua ou moina pralloalilM »n «n mot, d u rnatsa
aut notti permelteot de taire nos obetrola. N“**
Mlllona, parolt-ll, voir sutn d s i Juatei reireudlostlona eeouiem, quand de pulaaantoa vol* ont
■stenti S la prilanlur« : MM. lui tnitltutaun
rielamnlent «niialslall Cornino qeux-ol aont le»
aulaota Riti» du jour, H. 1« Prilat l i.mpreua de
luire droit i laur demande, ««ni «a demandar
m i doute, al olle était Jmtltle. lin Islsant la
lourd« o-ellu, il l«iuv<lt »e compromettra
dinlnlre i M. Urland II Üe aerali dono, lt. 1»
Profit «'il uuralt leipoat, d’oBie, la conitruotlon
d'un palali aoolalre uhoi noui : au molai tout le
cur rubini nç dal ket d»ou wenncg 1 Hor
perc'hcnn-ni.pa garo hor gwerta, ea do e in
d o ita d tnad a vounix. »
d l”
g X f i f a H J U *-1
r f i R a T i w n f o o l V o a S f K ó ’k e t g a i t a r
S
i 1A n i .'! ! ? W S ! » Æ
i
m i î o W d I... I » n l'a I S e llld u * i n t eux a n l p ;
m n tM i
jfe tr tu a ik i s u 'd » # '
t e r r a . — M aintenant que la campagne des
p»mmcs de terre est terminée, si on la
compare k celle de tfO I, 11 apparaît «u’il a
été exporté en Angleterre an 1911, 17.SM
tonnes de cette denrée a i prix moyen de
5 fr. les 110 kilos, ce qui représente la
sommé de *75 MO francs ; en 1SM, u an a
été expédié 15.20# to n ie s au prix moyen de
6 fr. fé l 100 kilos, soit prmr m ftéO T râic».
II est à noter qu'en 19H, 90 navires dont
50 vspeurs anr'als ont »'té utlllsi s pour ces
ixpprtatlons. B i 1908, U y a eu M Charcéments, dont 29 vapeur« seulement, d'où
Il rélsort que cette année 11 a été employé
21 vapeurs de plus que l'année dernière et
1 «! l'etoptot d»e vapeurs tend à supplanter
éflnitlvem»nt celui de» voilier», reconnu!
motp» aptes i transporter pce marchandise
périggsblu comme la poium j de t«rre.
D ’autre part, malgré la grande différence
des exportations (i 311 tonnes le plus en
19f9 qu'en 1941), le pays n’a reçu en plus
des Anglais que la bagatelle dv 83.000 fr.,
de sorte ^u<f l’ancétj d’ibèadance n ’est
g vire p oütabU aux caltivatears de 1«
régioni,.a mé .'cnte Ve îetiry p /o lu its provient
d ut) né ec ce que la ctùtuic de* pommes
de terre, qui est la plus grande, sinon l'u­
nique ressource d is travailleurs de la terre,
a btriolÿ d’être pstfectiounéfc II i onvlentfra
de s'attacher à ootenirdèr. iliO des résultats
meilleurs qui permcttiont de concurrencer
les récoltants du nord du Flntntère ; ces
derniers, tu ' tff«t, produisant plus tôt,
vendent leurs marchandises à un prix beau­
coup plus rémunérateur.
Nul ne doit Ignorer que la ser^encs de­
mande k être changée tous Us aas et qu'il
e»t nécessaire d'employer lncontlneat les
engrais chimiques, qui Jusqa'U.1 ent été
totalement délaissés.
Ta la qualité «le la terr» et la doacear du
climat, l«s résultats n» se taro-it pas at­
tendre.
D ’i * autre côté, si les qc»|iî s itie ls , qvl
a,.nt c ia ip è u w e n t 1» sufliaant-e, valaient a
être praïongis en «wu pretonde cesasae Ils
dolveat l'être poar 1910, Il est i, préaasaer
u t l'ou reca . r tit a L o c tily d -mvapeirs
l i n plus fort tonnage qal ne sciaient plus
•xposéB. alaiii qae cela a est encore vu cette
as,»ée, & s4'oxrner » q**l 3 o i i J o ir i
après leur cha> gem ett par sulto da m an­
que d’e a i. Au surplis l t navin.» lo n t arri­
vés à la tois p a ir prend: « lov cuargamant.
P ils fa 'll n'y a actueUetuent p'ac» k quM
que pour 3 ou 4, les aatres pirdent aa
U n p s considérable, c» q«l est ti&s préju­
diciable aux latérgis de la région ; II im ­
porte d'y remédier au plus têt.
Le port de Laotady, grdC'i il se.P dlsposltlona »«turcUc», c»V ücaUud b
uh
tiès grand développement.
Il n ’est même pas doateux tu e <iès l'actèvementda nouveau quai, Loctady deviendra
I* »a*t a’attacVe d ua certain nombre de
chalutiers k vapeur k condition que le part
soit relié i Pont l’Abbé par m e vole ferrée ;
cctta ligne «st d é ji projetée.
f lo n e u r
In c e n d ia .— Ces Jours iernlars, un lnccidlu s'eat déclaré au vlllig e de Kerfloas,
dans une meule de paille app&rtenait k U.
Bahiaume Morvao, ciitivataar.
Cette meule, ainsi qu'une meola de foin
eo.,,iec.ë, devinrent la proie ;lrs flammes
ava;.t q<>e toot tecourti pêt être organisé.
Les pertes s'élèvent a ‘J M francs et sont
couvertes par une assurance.
Quoique les causes de ce sinistre ne
soient pas nettement établies, on sippose
qu’ane étincelle, s échappant du foyer avolslnant les mauhk-s, aura commaalqaé le
feu à «es dernières.
P le u b ln e c
Im eendle. — Dans la nuit de vendredi i
»amedl, à 11 h. 30, un Incendie B’e it déclaré
d a u i la malson de M. Jacques Cubllllc, ma­
rin pêcheur, demeurant au village dq Kervrazee. en Plonhlnec. Malgré les secours
apportés, par in poppUtion de ce village,
alliez liflpnftan’ , on n'a pu (te rendre a s ltte
da feu, qui était activé par le vent seuitlant
en tempête. Maison et mobilier ont été la
proie des gammes. Les dégtltJ s’élèvp.at k
X.M0 franca eavlron. couverts par une assu­
rance.
Tréogat
c^éh itli * re-lnt av»o un rtVolVer puùr
eKrayer le» même» Individu» qui enlevaient
d«a MOUsaea d« c b ita lp tle r.,
M ail uu coup violent porté sur son bras
lui lit Mfcbbi' non revolver qui fut pris par
n i msraadeur.
Fonem ant
D é a e a v a r ta * ' a a c a d a v r e — L « 3 courant,
a a « ve»«« Le l i e a , a e u a g ir « i R in a z I3ils
troavalt d a a » a n cheaals cruax I» o d a v re d« J«a»'
W M i s œ æfe:mw
K .t
h»»atél
du taies, car le midectn
e»p aia«rco s«la
i mae mert ooeailoaaie par «aelraclwre d a «ries,
L o c ta g y
iS
prôa la aaaapagaw dis p»aaas«s
di
iM H H M S B a a s a itw s ia N iH c » !
j ’o deus k e i holl an hevxlep xoul : goulcn*lt;M_dlMRt L»jpa 11»
— a L e u » i»m da i W ke ie . j evel ar
n i ili, p» n ’e i k*t di i?tfBt^p: Brf»pren*
"fa, emlckaa* a-kenn »re»»« e ranker, er
beé-ssan, troi o n tu ar c'haunl<l|»S, è li 1
ltiTLana arato he sonj, ka p’e*air al laboar
a gtask, ahtrt anaenr a v»t» r»d lordai da
«laik plfr dTt*kl... Petra Uvlrlt, plac’blk 1 »
i— t Netr» I* aiamm 1 nemed' e Mfran ar
parkeler m ilec'k eged blskesx '... N'ised »
r ekulzan » Crelz trous ha dlspac'k ar c’hearì»u kreln I »
r — «,PlM'htk.ptaar.l m'a pV» racket laboirat var ar measl»», »v»l am eus great,
n i vijsr ket cuomet ho c'hdant enaho
TOlftlI J ' : »’*>•• l1 « '
— HarnmI oad awale'h es» hoapagle faVJaaYd’ir o W n e a r e tlintì^aii, ar ìarisoiia uYTaif òatTa > r e i f tlàntV
l'
an
n e r c h lil »
i
irrondissement
h Huimperll
M e tta a
Iaeeadla. — Dlaaathe lelr, en lanadle aa
dalaanlt chu Un« viave Rohto, i Kergrots. L*
t«a »rit dans aa aaigaal» da naercerl« «t a« fat
iUlnt qa’i oazl h«ar«i. Le» d iftt» i«at «aiaz
laportaat» pilstia’oa l u ivalue & pria de
l».»eo Irane».
•ÏÏS S S S T iT 'T în rp T ü la e s e iT ^ p h a rm * .
21, rue de G ram m oit, Parla, et voua rece­
v r a franco avec un almanach gratis, ane
boite de Pilule* Baisses, le meilleur ren a e d e c o n tre . Im i
c o A B ttp a tlo a .
m a a v
d > * f m n » n
et
____ ________
A U G H K W T A T ïO m D U R E V E N U
Toute p e rio n n l âgée désirant »siurer le
repol de sa vieillesse, peut se constituer
de gros revenus par la Rente Viagère. Elle
aura, en traitant avec L K P H E n I X (en­
treprise privée, assujettie au contrôle de
l’w a t), Sx. r ie Lathyette, Paris, la certi­
tude de vivre de aes rentes, aam aléai ni
formalités pour leur paiement. Cette Com­
pagnie présente à cet ég ird une sécurité
absolue. Aùéuhe ne peufoffrir plus d'ivantages, plus de facilités, plus de garanties à
ses rentlçrs. S’adresser a son slege sociel
ou à ses agents généraux.
7(11
rax-ttn e oa, er begad douar. Kalz zoken,
o dite c’buexet d'hoc’k ’n ho skouarn, e oa
D is io lle r framasoun.
AOtrou persoun ïre v e ltre a grede '»l•banz « c’nelie ar c’helou-xe beca gw irlo* :
r ik , pa ouexaa e l»a an traou k»n mad
•treshan ha Jullan, e teaaz dloustu da
vrelet hen-man. Dlgemeret oe gant douJins, hogen, pa reas da arjiout, an digar»
deis he valeaaenn ne «a mul sllaoiet.
— < * v lr eo I aotreu la r v a i, Dussoller na
rén ke t e ir vue krlsten ; hogen, e rc ’hemmwers nan euz ket da evestM nag oux r»UJlon, nag ous • polltlk a i ar skfant-prenet
e lavar a’omp ex eus tud v id ha tud fall
enn dfou gostesenn I asspenn-ze, skoazell
• ra d’ln p’am eu* ezomm : ne welan ket
perak 'ta e-keoierfen drouk o uth a nl a
Setu a rankas an actrou per»oun klla
he p seta greet netta.
Ualoo'h eged blskoaz et», DussalUr ha
J u lla i a Joma* u ia n e t. A n aotrou Cbastlng»assóller, choraet intanv abaoue maro he
vrotjt, en doa tri a vagale: diou verc'h
laouanklk c'hoas, bag «ar m»b, oajet a
btm p bloa var 'n ug»nt.
...a Oh I la 'Vad l aotrou DussoIUr, a i
tra o d e la mad-kenafl. R e a labour am euz
Koues sn ameseien neves, greet gant
Jullan e Kernltra, ar gwella, Ijep mar e oe
an »otrou Chastins'-DuSsoller. Deu* ar re
— < Í ? a laboar ï —
.7 » l- p «r*k
I
entae oa bet o tare»»pr»d hostalefl Jullan,
ha breman, petra bennate e rea hen-man ne gemerai két eur «ekretetir l >
« io n je t 'm c u i hen ober lv»z : hngen
eur 6’hemm-'««t dem-henvel d’he bini, —
Oftnet ba'Sarcter »’hemm -vrers, an aotrou
Jferuand Daiioller en dos eun anaoudegex
vra? o u M r , W ¥ è ent» he *i$jM}n, Juitan
et en
n
«mtì
D M io llir , oajet a kemp blea hag hanterIcant, d'ar m i n J t re d an danev»U-aan, •
oa un an deus plnvlalka bourc'hftlen Ker-“ ■
'‘■'H e haùo en doa.brud vrax, n ’eo k»t
LAImanak
ar Breizad
pour 1910, avec sept ma­
gnifiques gravures repré­
sentant la Vierge couronnée
de Kernitron, H. Diraison,
notre regretté rédacteur en
chef, des aéroplanes, etc.
Le texte très compact
comprend la revue de l’an­
née, la lettre des Evêques
au sujet des écoles, un ar­
ticle très documenté eu
vue des élections prochai­
nes; d’autres articles ins­
tructifs sur les pôles, les
comètes, etc.
Et pour égayer le tout,
des devinettes et une lé­
gende touchante autant
qu’attrayante.
7 fr. le cent, le port en
plus.
Lm expéditions, com­
mencées cette semaine, so
continueront dans l’ordre
de réception des comman­
des à l'imprimerie du Courritr du Finistère.
Prière d’indiquer le mode
d’«nvoi et, s'il y a lieu, la
gare destinataire.
3
• r a v i a a c ld a n t da v o liu r e . — Le
jeudi de la semaine dernière, ver» & heures
du soir, Guiilou, de Malars, et Le Roux, de
Tréogat, regagnaient en char k banc» leur
demeure après la foire de Pont-l’Abbé.
Arrivé près de Tréogat, Gulllon voulut dé­
poser Le Roux, mais celui cl se ttoavalt sur
le côté droit de la route, Guiilou au lieu de
ae porter k gauche voulut déposer Le Roux
par la droite, m a l! la place mauqaalt et le
voiture Ua Gailiou vint donner dans le rossé
et ensuite contre le mur. Par ls violence
du choc, Guiilou qui se trouvait être seul
dam sa voiture, fût pïoj-v.é dîna un champ.
O i sa p ir’.a ar usltOt k sou secours. Il avait
plusieurs côtes brisées et unu blessure i
la tête.
Les blessures rr*ues par Gulllon étalent
assez grave, sans Inspirer d'inquiétudes-
n ’ensveaan den ebed a gement 'c’hellfen
Br.iout ennhan eur garg ken Krevux. a
' «ss* a M'tLnavezex den barrek awale'h evit
ar stad-aa !... Soitox I... P ia n 'c'hellfe ober
i n taolT... R io » ?... ijW ll k a v q t’m e u z a n
dea 1 Y uan mad tu r ! ■leal evel our c’hi :
heneat'agtz «ur sil I fian thsu ec'h belli
b iza dlnee'b 1 u r r à da zaoulagad, hakoUEku
Vrir da sto* s m a t i I à
.— '« lu x a belec’k eo, mar pllj ? a
— a Ah teli n'ep kut euz ar v ,o: nze
'man he tos'hed't...'Ha neaseI teoar, me
gaoze d’ids hogen, atabal eo koulikoude e
H E R N IE
V IE N T R E P A R A IT R E
♦
V ARieE8.CHÜfE3d.HATHÏ5SS
DÉPLACEMENTS tu ORGANES
Let Appartll» Edouard (de P*rlt) sont lot plus
modernes. — lovpm et fnrltltles, lit tont let
tiuk pouvant assurer la gtirlson.
T o u t t é t4 d i t s u r l a h e r n i e : le s p r o m o M M
I f i p l « « r o n n a i t e s s o n t p t f b l i c e ' *r. n*»
!
n)6(a feu offllgé» d« ¿«Ue
D ’t o t t f t f e n t
p lu a
le o f
c o n f T if t c »
c iu û
x»j.'
A . » d o u a r d le • ! rn pn tfe s^écialiite-fierD iairc
d « » a r i a , d o n t lo i éloges no son t plus ft foire
Xia d U p u r lt lo s i de l a b a r n t e est m a in t e n a it
à Ui portée de to u s , (frfice ft l'tn c o m p r.r u b !e
m ^ t b o d « S d o n m d d ô llu itlv e m e n t im p la n té e
p a rto u t et q u i laisse bien lo in derrière elle. I.-s
ancien s ban dages chaq ue Jour p rôn és 6 g ra n d s
re nforts do réclam e. A ussi est-ce un de voir
p o u r n o u s d 'an n on co r 6 tous lea intéressés le
a o u v o a n p â » < a | é d in e ü o tfa corttfée de
HT A . B f lo n a r d , cé c é lè b r e e t d e v o u t p ru tteien.etfrflcommandafltafoxiûtéi'oRfcésrtiomfrreB,
fem m es et en fa n ts, d ’a lie r pro fite r do bcj
••dbaIIs è e la lv M A-
Morlalx. le samedi 1 " Janvier, hôtel Bozellec.
PIoUi>astel-Daoalas, le dimanche 2, hôtel
des Voyageurs.
Rrest, le lundi 3, hôtel du Cheval-Blanc.
Pour renseignements : Ecrir» k M.
Edouard, 140, boulevard Richard Lenoir.
Paris, 11*.
8546
G U E R IS O N D E S IN F IR M E S
runs appareils, sans opérations
Salt-on quelle erreur on commet i lors­
qu'on enferme un malheureux coxalglque,
Un entant surtout, un boiteux atteint de
tumeur blanche du genou oa da Pied, dans
un appareil immobillsateur, une Jeune fille
au dos dévié dans Un corset de fer ou de
pl&tre : lorsqu'on opère des piadi-bots ou
qu’on les enterme d a m dei chaussure*
dites orthopédique», lo rsùi on applique d e i
appareils d’acier A un enfant paralysé des
Jambe* et des pieds ? Ce sont la des procé­
dés barbares etiautllee, souvent nuisibles,
a abandonner.
GiSlce t. une méthode nouvelle et ration­
nelle, sans corset, al appareil», ni opéra­
tion, le ftocteur BALMON, directeur d»
1 I m t i t i t Orthopédique de Caiteleu-Lille
(Nord), se signale k l’attention 4e to is ceux
qui souffrait de déviation» du dos et des
membres, maladie de Llttle (raideur des
bras et des jambes), boiterie», coxalgie#,
paralysie?, pleds-kot», rhumatismes chro­
niques, etc.jpar.se» aolns, l'in firmité dlspa-
LA H E R N IE
Le hemieux qui souffre toute l’année des
Inconvénients de son tnlirnoité nsalencontiease ne connaît réellement qu’en hiver
toate l'éten l ue de soa mal.
r>a tenx le isoïoqae, le courbe en deux,
foi ç«\nt la kernic à s'échapper Jour et nuit,
malgré la pression violente des ressorts
les plus rigides.
G’eat dire que, plu* que Jamais, il est de
l’intérêt de ceux qui «ouffreit de taire ap­
pel sa m retard ¡aux a p p a r e il « s a n s r c i■ ort p e r f e c t io n n e * inventés par M . A .
C L A V E R IE , le grand spécialiste de Parti,
dont la reaommée est répandue d a m le
monde entier et dont le nom est particu­
lièrem ent cornu dsrs notre région pour
les nombreuses gnéilsons que ce Rrand
praticien a su y obtenir.
..........
Seuls en effet, les appareils C L A V E R IE
asspre une cocteuHon I l li m i t é e mais
dot’ae et facilement supportée.
fl’est pourquoi, nous ce isurlons trop
recommander à ceus de nos lecteur# qui
souffrent de h e r n ie » , e f f o r t i , descen­
tes. m a l a d ie » (la r e n t r e , de proiiter
de la trop rare présence parmi nou» de
M . A . CLAVË1UE, et des conseils désin­
téressé» que ce savant spécialiste prodipue gratuitement à tous ceux qu, viennent
se coniier à sec soins éclairés.
M. A . C L A V E R IE , recevra de 9 h. à
i h. :
A B R E S T , dimanche !2 décembre, hat e l C o n t in e n t a l
A IiA n O lîR P Ilü A U , lundi 13, h f lt e l de
r iÎ B lr ^ r e
A S^T-VOL !>E L E O N , mardi 14, h ô t e l
<j<» F e n n e c .
A M O IU A I.Y acïPered 15 h ô t e l d e
l ’iia r o p e .
A C H A T E A O L IN , jeudi 16, hôtt-1 d e
l a G r a n l ’M a ta o n .
A Q U IM P E R L E , vendredi 17, h ô t e l da
L io n d ’O r.
A Q U 1M P E K , samedi 18, h ô t e l d e
l ’E p e e .
appareil« perfautionnés 11 CLAVER IB ” pour le traitem ent des m aladie*
du ventre, déviations des organe»,
varlcep, eto. .
S5f>5
C H ïtiÜ '^ E S .
XTRA
CANTINIÈRE BLACK
»Et it. m iille'iiue £*« Cti'.aore«?
L» pive ««perlant» Fsbrfqu» dt Fys.~j»
sanx c ïw e s ’
a, aia b ite - O U e - lc iz - fla a b ra l tKrra'
oe CONFIANCE
RS°orfevreIm*U
psnbulco s'achètent aax Fab^TRIBAUDEAU |
i « B E S A N Ç O N . - T arif"s e n a o y é s F r a r n o o S
l P r l K Coaconra Obiartâtoire d* B*«ançon.
P A R A P L U IE REV EL
T
3 .9 0, U .» » , 7 ^ 0 , 1 0 .5 0 , “i
1650
8U PÎRIÏÜ RS A L’USAGE___
ses reprennent force et vigueur.
Le doefr ur Salmon comultera à BRBST,
hôtel Cottinental, le samedi 18 décem­
bre 1909.
8556
J bui fi'ium
a
^ ÎMIUil
r* bum lUuatré d» Koatr«., ■
’l’y.-;;*?*»??.1**«
O l..rcrl0 tf» O«
« «J
Oitisle1Oiitr ttClrt
M M e i iEiioms et ï m m
C U ez L ’H O M M E e t cher, l a F E M M E
Maladies dt Matrice
HERNIES
Le Docteur G E R A R D , le flpéc'.allsw
bien connu de Paris, 76, rue de ifaubeuge,
l’auteur de la M é t h o d e O r t h o s p l t n e U n l q u e , la seule qui assire la
cure radiale de la Hernie uns opit&tion
et la guérison en quelques jour» et sans
midictiments internes, des maladies de
matrice, des nutîjuiie* de l'estomte et des
nerfs même les plus anciennes et les plus
rebelles à tout traitement et régime, don­
nera ses consultations à :
M O R L A IX . dimanche 19 décembre,
h b te l d e l ’E u r o p e .
L E S K E V E N , landl 20 décembre, h ô t e l
de F rance.
,
B R E S T , mardi 21 décembre, h d t e i
C o n t ln e a t a l.
'
NOTA. — Le Docteur revient tous les
deux mois environ. Notice tranco.
»M»
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P ro d u it n a tu re l
"des Vins récoltés etdistiltés
dans la Région de Cognac.
BULLETIN COMMERCIAL
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Brait : d*p. : gr. pb. r6g. uour., r. Louis Pistour l'Onliapor.pli. *ér«,. ra» dtlat-Fraacil!
__ l j m i J L U - j j j
sonjfez era betu c’ùoaiit d’he welet en da
dy, kentoc’h eged eun all I Evldhoud eo 1
rak-ie... •
— a P» llvlrit e» « den *, me ho kr«d I
Uetek hen am euz bet telz enn ho Itomzou,
hep kaout digare da geuzia goude ; re lap
ket da Jeach birlo I mad eo an den-ze
evldbon I >
— « N'az po ket d’en em glemm I ganin
n e co bet epsd daou vlo», hag hirroc’h e
vlje ebomet c'hoaz, psnevert e teuaz va
mab d’ar gear, echu ganthan he dro
Franz, a
— a Trugare d'toc’h I aotrou Dussolier... a
— « Aotrou Duüsolier I... Awale’h ?• aotroned evelse I knmz o u iln eVel ouz da
vreur I Lavar d in Fem and enn-tan I »
— « Trugare 'ta I aptrou... Fernand I
Trusrare 'vit an holl bosn »pered e kemerit
evldhon I »
— « I t r e mlgnoned hag çraezeien, traou
’vel»e o ’eo netra I lv u r e z oun, en enep, 0
klask rei plljadur oa eun den eveldbood 1
rak te da vihana a inter.t eun dra henna* :
n'oud ket dallet gant »orc’bennou bcleiea I »
— « • h i n»n evadi K riite n oun, ha
kredi 'ran ; hogen, n» lavaran ket a vete
an holl draou mad ouz va zu : an diou go»tezeD nodi;u?hololennvad b agh ob ln i fall I a
' — « Bravo I evelse diete komz peb den,
hag ar peoc'h a renfo dre boli I— Setu
ase i .. varc’hoa/. dioustn eekrlvln d’an den
laouank e komzan dlvar he boeez. Ankoueet a sa eus da rel d i i dn c'hruxout e
chom e Parlz, hag eo hanvet Jut tìergatf.
Me a skrlvo d’i.zhan ’ta, bag araok an els
de a veso ea da dy. Stcler eo, ec’h te B l rei
d'eznan ar franklz d io m ti, mar ne bllj két
d’id I... N 'eiz ket a varo’had greet, te o»r l a
— « Fernand l a jre ls k a lo i e trugarekia
ac'hanhOTid 1... S ili t.kem er breman tu r
banplk a in e • evlt stella ar pez zo b*t
etrw om p I •'
...D'ar zaiorn goude kreiz-dc, e .tigonezaz J u l Bergas.
v* * a a
•
Dussoller kag he vab hen bleinaz betelc
ty, he veatr nevez.
B«r paotr llpet braceo Ju l, evlt dor-e :
na vele ket kredet, dlouz he welet, lA-et
anezhan eur mevel, na *ok»n enr sekre­
tour ! G w iikct eo ’vel eurbourc’hlx, hedln«
dan rlbl he dck * m *’oa » e aaavizer, dra
ar gwel deuz ar pleg, bleo daou-hanteret-i
ledet con daou du.
Var lie rireiti, daouta^ad glaz luc’hat'uaÿ
gant eur »onstach gclf iu?. e ra d’eih an
euu digemer diUan tji ter.
— « Ah bén 1 rte gred ne v eii ket droub*
laouen ouz '•a rekrctour? * eme Dusso«lec
goude ar a' c’hlnnlgoa a kuatum.
— « Oíi I e t enep a vezo acwtoc’h , e k re­
dan I Ao aotrou Bergaa en deuz eun dlgemer a ?.oar;ì : he benu ‘so »eder, ho tagad
‘x6 lanini, iizianz am euz e w tm p labour
tàlvoudaz ha tiege* vad hon daou I »
— « Trugare ’vit h» kòmzofl midalezuz,’
ic veuleudiuz evidhon I An digemer ken
kalonek a gavan enn ho ty. azalek a¡» taol
tenta, e ra d in lenn enn amser da zent, aa
dudiusa emgleo etreromp I »
— . Re evuruz da vezettrert hoc'h anaoudegez, aotreu Bergin l Breman. p egulr eo
tremerei enn hanter deu* er, deli, deoma
da goùe r bep a vanne kafe, a'ettr gaoienl»
opiò eun dam ili deut al iodeaa »11 !...
D euit u , aotrou BergasI A llo ! deult ’t a
aotroned l a
______________ (Jf* it n M if h t r .) *
O A V O W iiQ g N Q O
B/esUnno» a •«»s* K
iflféiài rWiHwwi
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m ''( ¡ m m m 'm
y m m m t
H E U R E U S E N O U V E L L E T O U R L E S B R E S T O IS
U
P a r ïs - T a îllç iii“ s ’in s ta lle â B r e s t
3 9 bis, ru e M onge (près la rue de Siam )
2 2
» »
)) ))
50
50
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29 “ ’, rus Monge (près la rue de Siam), B R EST
t
R a is o n
tr è s
im p o r t a n t e
§e n n e s,
a
8 ,
ru e
Tandon dû * I o • M* A« B A U D ,
__________ M* . Louis A L L A I!1?,
Etude
M m
V rH IT D 'T ar adjudication publlnotaire A ¿alnt-Pol de Léon
taire k Balnt-Renan il-’lnlstôre). V u ll 1 Ci quo et volontaire.
jFinlstèro).
,
_ _
n tudo do U* Pouliquen,
irKiivrrp.de biens de mineurs,
V P i l i l l l *«)' kaisso
mxsr * nutulrc ft Landlvlslaum n r n « íe s .
L e T e n d r e d ll7 d éce m b re
i , i» commune 1,6
£lL e l e a d l US d fic e m b r o 1!)09, 1«09, a dix heures du .natln
d o Í í ? O i frrondlM em ent de k une heure et demie do l oprosA u lieu de Kerdévy, en P io n
B ar.
JAorlalx' • _______ ^
midi.
En l’étude do M* do Rodellec
UNE FER M E
A djudication, le v c n d rC '- 1 1»
d é c e m b r e ; 1909,
.d0IlX du Porzlc, notaire ô '8 »ln t*R e ' ctnNistant eu logcmer.tu en bon
état, terrfs chaudes et frolden.
heures de 1 après-midi.
Premier lot
i.onée aux époux Gulvarc’h,
En.Vótndo et'prvr le ttlnw tèM
E n la commune de J lo h a r » . jusqu’au 59 septembre 1914. pour
de M* Lavalou, notaire A
et par extension en celle de 300 francs l’an et l’acquit drs lmSalnt-Pol de Léon.
L a m b é r .o llc c . à cluq kilo­ iiOtu
I» Près la vlllo, an llendlt DelCette ferme a uue contenance
mètres de Brest,
leüu«-La Cllalso,
ie 3 h. 59 a. 90 s.
La'M
inoterie
Une Mal$on d’habitation
On traiterait avant l'adjudica­
du Ponchou tion, en cas d’oïrefl ari(S»antes.
rtt ■
«
- chaussée,
S’adresser, pour visiter sur les
étage euçreiiier, jardinet Clos de
montée i cyllr.dre pour 100 quin­
lieux et pour toos rctsettfncm urs, oablnets d alsanoe et
taux de blé p«-r Joù", grande ments et pour t r r l’.er à M* Ga­
cher.
,
.
chute d’eau, mucülne’ ù k m pau­
briel Poullquen, potaire.
m î»
Ko tout est loué s
vre ù i
oheveaux, neuve.
Cadastre, section 0 , numéro
M A lS O n d’habitation, b âti­ Etude do M' K E K N E I8 , avoué
856. de doux aies environ.
ment d ’e x p lo it a t io n , vécurle«, re­
à Morlalx
Mise A prix : * ,0 0 0 fr.
mises, jardins, parc, bols, seires,
2® Au’rord du précédent et y pialrles, lavoir couvert.
Joignant,
D ’uue superllcle de i hectares bilière delô e’E R M K d n IlO U R
Deux soues à porcs 20 &rcfl>
G E S , en S a ln tT lié flr o n iie c ,
Cette minoterie ebt "n e des nuDODc^e pour le lO d f ic ç o ib r o
étuble et écurie, malson servant
do logement à M.iBaron, grange, plus fortes de la région* possède 1909, à l’auilicnce des criées du
le tout construit en maçonnerie féclalrage electrlque est en tribunal civil de Morlalx, n’anra
et couvert en ardoises, codr, plelno activité et .était exploitée pas lien.
«<ro A battre, cadastré soutlou p a rM , Monot, propriétaire.
L’avoué poursuivant,
Facilités de transport è proxi­
l i ul'm ûro 856, contenant six
V. K E RN ÏU S
m ité de deux Rares.
Mise
à
prix
:
7
0
.0
0
0
fr.
' “ F a is a it suite A l’aire à battre,
Etude do M* B A R JO U , notaire
E t in fim e nu- dei»8on« d e
fi LesntvuU
lin chamo ¿5 terra labourable c e tto m ls o à p r ix .
N B. — Le matériel d exploi­
ï. , D .« fi
corté au cadas.
dit,
or.r rnntC' tation pourra êtro pris par Tactro section G .ftum éro « » j
> e m ai-ili un (ló.-.rinbre 1901,
quércur k dire d’expert.
» a n * tre a te - W t « e s a»* . ^
a uue heure de t'après-mldl.
ceutiares,. ayant se», lo s u s au
Ptuxiim« lot
Lot milqvie
Kn la commune de i.2 5 »b * ’
En la commune, do l ’io n ld e r ,
f eMls‘e à prix j' 4 ,0 0 0 Ir.
zellec, au Heu de Kerlé- il ftundven,
J'acuité do .réunion„pour ces
guer,
fl^ XA u Bterrolr de IKirnsnput/,
«n champ de .terre 'labourable
d it Parc-Kornonsuy-Iîfa#, ca­
dastré section 6 , numéro 898,
titu r unecontenancedo salíante,
•o p t ares vingt-cinq centiares,
î y l n t sestosiésau cerne,saut sur
le numéro 899, ctm prls. dans le
quatrième lot.
Mise A prix : 4 ,0 0 0 lr.
4» A 3 sud du précédent
Un champ
t»
terre labourable
d it Parc cadastiê
Section 0 , n im é ro S & pour une
contenance de quarante ■neuf
ares soixante centiares.
A l'est du numéro 899,
¡Autre Champ
dit Paro-Blhan-Kernenguy cadastré section G, numéro 900,
ares.
S t T n m s Î r 0^ » ? ^ !
Ces champs ont leurs fossés
au cerne, saut M 'e st.
Mlso à prix : 8,000 fr.
5« Quartier du V éiaudan,
Un champ
j , . parc-Bean-ar-Rezen, cadas­
tré section D , numéro 46, conte­
n an t trente-cinq ares.
A yant /ossé* A l’est et sur le
chemin et p».rVle sncI.
Mise * prix l a ^ O O tr.
6« A l’ouest dn précédent,
Un champ de terre labourable
scinquante-sept
a » « ? « Mj j M
s æ “* *"•
*
Mise à prix : M v , J « •
851*____________ A .
1e salle de
dan.
de Gui-
r ,
Le d lm a ta c h e 1 9 d é c e m b r e
1909, A 2 benrei.
E n U commune de (¿ n ie la n
la
ferme et le moulin de Kergoi
contenant e hectares 12 ares 03
C0L o u é i, « u l consorta Mlngam ,
100 francs l’an , plu* ïa c q u lt de«
mm et Fils
Etude de M* A N T HONY, a’/eué
4 Brest, rue d'AlRUiil.in, 18
ir n iliT lJ judiciaire, en l’étude de
i t i l l l l ü M" Lamarqae, notaire
u Un bv, rue de Siam, n* 26.
Le J e u d i 2 3 d é c e m b r e 1909,
iid e u x h tu rc s de 1après-midi.
A lle c o u v r a u c e , en lnça'e
sur leo rues Ijiru re n t Le
Gendre et Lars, où II porte
le n-13,
UN T E R R A I N
I
Propre a bâtir
Etude do M* QU EN TEL, notaire
Contenance : 330 mètres carK Lannilis
rés
Mise & prix : 8 ,0 0 0 fr.
Pour tousrenselgntm cnts, s’a­
Lv 1 2 det-c<i>b-e IliOS, il une dresser il U* Lnmarque, notaire,
heure.
h. M* Anthony, avoué poursui­
vant et A M* Sorgnlard, avouécollcltant.
*-549
L a n u llls , occupe par M. Bre­
ton.
853y
ADJUDICATION Â | :
Du lieu de Porsimon
Etude de M* QUENTKL, notaire
A Lannilis
|OrlUe«, C roix . E n to u ra g e s
KM TSn BT RN Ï0NTII
PAIX
H O 0 fe 'R K S
llü l
lilfflill
^ j B w a i p i U J 1 0 ,8 0 0 fr.
rrsntwiv.utnwitî'
C h e m in a d e f*-r d e l ’E ta t
JOUVENCE de l’abbâ SOURY
JOUVENCE de l’abbé Soury ïm«r m p.nr»n
on to u tj confiance, car elle gu4.lt tou» le . Jours des milliers
de désespérées.
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l'Abbé, pharm. Grall. — A Lesneven, pharm. Roudaut. 8527
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De 10 lots d'
inclus, avant quatrs heuras du
8548
T *U *
C h e m in é «
M O ȃLE S
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S E R IE U X
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de valeurs A lots, contrats con­
formes A la loi. Fortes remises
et gratllioatlons. S’adresser A la
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V E N D R E
de snâ a gué
En S ain t- P ie rre Q u llb lg u o n
près la Penfeld
j | |l . ; j
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K ie n v e jo u a n Ü a o u i d c ^ d
A r m e d ia la H o u it a rr
LA FERME DE LANGOULOUARN
Brest. 6t, rue A lyuulor.
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18 bectares 13 ar -i 9' Ccunare»,
louée Jusqu’en 191?, moyennant
1,300 francs, l’aeqolt des impôts
et une commission de 1 025 fr.
{Kunlioi »tr* i k. bi 4 t. [«„: „ u i
i Armedltln a oar fcrezoune*, hzç
-1 chelUiijB. *r. dud c (ieui eiom <ia
; lumen he¡j(chenevttnunorenlion
i A i i r n de su te, une MAIL v t t U SOU DE CO M ­ lm p rimerie de U Presse libérala
M ERCE e t F O R G E , a«, bourg
rxiti d a C h & te a«, * . S>räj4
de C a lle ra .
P ouî' visiter et traiter, s’adres­
g
ufi
n*
se' audit lieu.
8534
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¡.<£ô.£.\œtiu9\4tX
L A JtA A l
K E R L E R O U - P O U L I Q U E
1 2 2 , r u P a r is h a ru B u g e a u d
H0R0LACH0Ü — BRAOIGOU — LUNE50U
Andud n zi rad anezho ho-unan d’an ti-ze a. fizians, 0 c'hou1
tond enn-hi eun dibab braz a varc’h&douroz a aulit' rad
I I T»D» I I I M I
in r h ii^ à
?Oü vos
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Programmes
Prospectos
C O M M A JV D ES
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Circulaires
d'imprimés
t AdililitratliiR
SPÉCIALITÉ
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RELUIRE
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CARTES DE VISITE
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L ’I M P R I M E R I E
fourrier da Finistère
BREST, rue du OhJlteaa, 4
FOHDÉK KN 1876
B rm t
— But de Paru, 97^- iO' —
1# *
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nmn.H)imjnj5miutnranmjpwuiji)()>HjsWijiBnirtiuiutiiUiiini-.t(iiu
:
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B kzbt
Ciruti I uickN
I b fiica l’Bflllse Sam -Wartii*
Lettre* f t . I i l m s c n
lu (U d é c e m b re , & l 'heure.
Eq P lo o g u e m o a u et Gnlssény,
'
A l’occasion des tite s de Noël
et du Nouvel Au. la durée de va­
lidité
des billets d'aller e t retour
pris l’Octroi, BRES1
ordinaires (grmdea ligne»), déli­
vrés pur toutes ta^es du réseau,
de l’Etat, a partir du 23 décembre
Etude ds M* FORGEOT, notaire 1909, sera prolongée exceptnnà Brest, 25, rue de la Mairie
ncllemeut Jusqu’au dernier tra in
du 6 janvier 1910.
i m p r e s s i o n s
L
E
LE
LEJO N CO U R) 45, roe Tram*«, BREST
Etude de M* QUENTKL, notaire soir.
(i Lannilis 1
A G E N T S
1000-1310
Prolongstion de !a durée de vali­
dité des billets d’iller et retour
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I. LE CROISEUR " LE TAGE "
||, L’EX-TflRPILLEUR N5 7
F„i I a n d é d a
Fêtes de Noël et du Nouvel An
SLouîou evit an dokec. ar
velia remed evit ar vugalc.
gvrers evel guochall sr
2R» I n f i r m a c i C o r b é
A4S, rn o da V aria,
” ne b le a e 'h ne wei-zer k e n m a r c 'h r d
M D I C A T M r .10, » :
IJ.-B. Q R U I E C ADJUDICATION ’. ï « ? .;
S A IN T IVKNAN
le Proibytère)
-nW—
J
uniquement composée de plante» Inoffensives Jouissant de pro­
priété» spéciales qui ont été étudiées et expérimentées pen­
dant de longues années.
La J O U V E N C E est faite i
les maladies de la femme.
débarrasse l’intérieur de tous L ________
circuler le sang, décongestionne les organes, en même temps I
j ju ’elle les cicatrise.
La J O U V E N C E ne peut jamais être nul-,
slble, et toute personne qui souffre d’une’
mauvaise circulation du sang, soit v a r ic e » ,
p h lé b it e s , h é m o r r o ïd e s , soit de 1e s t o ­
m a c ou des n e r f » , c h a le n r » , v a p e u r s ,
6 to n lT o m » n ta , sol malaises Uu K E T O l] K
D’A G E doit employer la
D O M A IN ES
loués b MM. L'hoatls, de K-éra.
L^s Koumibslcis doivent 6tre
11iiîs è à prix s 3,(-00 fr.____8521 moml ; Hou7.1c et llen é Le üuen.
de Suinte-Margnerlte.
8540 déposé« du 13 an 15 décembre
(an /aco
«j- .
- o ti
Toute femme qui souffre d’un trouble quelconque d e là menstruation , règles itriaulièrcs ou douloureuses,: en avance ou en
'etard, pertes blanches, muUdies intérieures, métrites, flbrôme,
snlpingyle, ovarite, suites de couches, guérira sOrement, sans
qu’il soit besoin de recourir à une opération, rien qu’en faisant
usage de la
Il sera procédé le m a r d i 21
d é c e m b re 1909, a nue heure,
aa bureau des Domaines, 40, rue
(¿g m ç f i ü 1.4 d é c e m b r e du Château, à la vante sur sou­
U n e
p e tite
F E R M E
missions cachetées, de :
consister;*' t u n\»!»on, c è ç h e et 1909,’à une heure.*
SCULPTUaE * MARBRERIE
SH TOUS ÜKNIIKI
Jü »
. 1
'N ig
POUR LA FEMME
\ T E N D R E volontaire,* cn’l’éî
CKÎrargien-OeDlIsts
UNE MAISON
BLÉS
^>2
sotit envoyés fraucv) A dam ile contre timbres ou mandat-*.
Etuds deM* M A N IE R E , notaire
il Q .Imper
Ba vira Marchand
¿range, couverte» t iî »rOoUtS,
et terres labourables, cou U nau t
environ 1 hectare 39 arcs 70 cen-
^ H
Dnclcur Bvgèar DUPRYnOUX,
m la cninm uie de Ile o v le , oorn
6, square ne Messine, Paris,
posée de sus edlli'.ts et terres et
-tny, i- 51 la hiber«i«loie Oiit tant de rictlines, c'est parce q«e les niécontenant 11 U. 31 a. 80 c.
a^cins no auvent pas la soigner. Aux ha (notiseli caiemnles dont m lio n o re n t
dV ulrr e u t, je réponds par dea ftiits précis et des preuves irr4Le tout affermé 4 Rsné Prl- nïà•tains
ablei. <‘>iw cc* ln«ultonrs montrent donc, de pareils résultat«! L’ElixIi*
gent, Ju»qu’i‘u29 septewbrel9U, l)bpp e jr o u i, h Ixiir de créosote vraie de hêtre, Iode, tnnio, (clycérophosmoyennant un fermage annuel ;»fc«te «le tImiiit, jçncri leu let<ioas lub ci’culeuses en provoquant ki formad antiioxines dans ls aéruia M iipuin. — C onsultations gratuites teue
de 1,150 tr , l’acquit des couti i- lee Jours,
excepté les jeudis et les jours de fTte, de i h e u if à‘3 heures, daim
bntions et une commission de i»4)ii cabinet du S, square de Messine, Paria. — Consultation« «rntuites par
c^rreapondaar«.
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petit flacon de 1 fr. 6 0 et I«* moyen (façon 2 fr. 00 d ’Kllxir Dnpeyroux,
tlvllst li 1» ««nl'ids HUmIm il ?»rii,
f>rm i/taHon« tous le* Jour* ‘
d* B h. \5 h.
j
¿•«n/ ><• »Hineiti et le d im a n d i*
!} Tir* l.-t dont* «*n* duultUr ,
il o, uose dei d(mll«ri »rHflcIol«;
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VAUI.V t « "a«Tow
En la commune de L o g o n n a D a o u la n , au Heu de Mengieux,
A VENDRE
f il’ELlXlR DUPETROUX, il alla aUeux
I.e ^
.....l atoe
a r ?npp6til.
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mrnrn à-.....
níue^rr
„.e-t. com
i fe‘>01 io©¡>, il i lait Kinipleteiiient grtiérl tst mai permis
ptrn»! do ^ablirr son
le eut d'étru nliJe a ses semblabl«*»
UNE FER M E
A VENDUE E » ...
KEnVENDRE ia mairie
[ ^telt Ir^s futiffué et i«c4pnblo de teut
i tm re ll. 11 était oppressé, m anquait d ’ap- ««aj
; pétit et sotifrratl de doalours inUjreog- ^QC
taies. Sa voix ètoll earouée. U » «aédacin t ^
du |>nys l’ftrftlt déciavé 1perdu. A »rta
anatra raois de m on traitement à hase a .
La coupe actuelle de deux taillis
UNE FER M E
a *
a .«
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, M. Jonoph DOURFUNCIiU, oo» r». g
i nré§*»le 1« phoVe^ravoro ei-conir©, «et ^
■é &
(AIpâco) e» iW(J et habite 3 •
n?, «Timuo dr Paris à la Flalne-St-Deivi# D”«
(Seine). l e i5 Juillet iço8, lour eù 11 vint
, a inn consultation, Je lulUrôUTfti dee léi sions tuboreuletisce <Ib a* def ré oceupaat O.
é I© poumon droit tout entier et le q»M't I .
i »upérlour du ponnaoa gaucho, il toau»«lW . 2C
t crncliait benticon», tranBpirolt la nuit.
Deux champs etportlon de champs
à
D E S IG N A T IO N :
Lot unique
RÉPA RATIO N S
Guérison de M. Voerflinper
atteint do XU BERCBlOSa PÜ LM O IÎA IR S
far lu hmitvimt à it t t tCEltàr Di^tyrtvm
De la ferme du grand Kergestln
l
l
franco et tous renseignements sur demande
Cmpaple TITANIA, Rayin 33, ni Cariai, 46, PARÍS.
vudt,“ iu u r tl 10 j a n v i e r 19:0,
à 2 beurc.s après-n,ldi.
dits Trtbldon-Blhan oti Trebl.
A u b o u rï de l 'io m e l l n , sur la
contenant environ 1 hectare 12 dou-Braa, contenant ensemble
place de l'Egilse,
ares 23 oectlarça.
99 a. 70 o.
P a r tie lle m e n t e n to u r é do m u r s ,
E n la commune de T r é f lc z , a
U N F. M A I S O N
planté d ’a r b r e s d ’e s s e n c c s di­ Stréat-l.edan,
dite « M 'iso'i Le Bris », avec
verses.
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tontes (lépeadar.cc*.
Vue superbo sur la vallée.
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dits A r Q u io z et Ar Gtiloz-ban,
Mise & prix : 15,000 fr.
S'adresser audit M* Manière.
N. B. — Les l ,r ot 2* lots pour­ contenant ensemble 1 h .’, 78 ».
ront être réunis après adjudica­ 90 c.
Etude de M* D A V ID , notaire
tions partielles e« «u seal U t et
Mise ô p rix : « ,0 0 0 fr.
à Ploudiry
icm ls en veate s»r le total des
S'adresser audit M* Bsrjo*.
mises a prix ou des prix d adju­
EtuSo d e M 'B O R liN IA R D .a v o n é A T E N D R E volontaire.
dication.
docteur e» droit, rue Voltaire;
a u bourg du T r f b o a
XYoijidmo lot
n» 13. à Brest.
Par le m ltis iè re de M* Da')ld
Eu la communo do L n tnb é- IT1WWF'
judiciaire, en l’étndo
Le m a r d i 28 d é c e m b r e
z e llc c , d Pont-ar-Saouf,
I li 11 I L de M* Dauguy des Dé- 1909, à.une heure.
sei
ts,
notaire
A
Daouias.
U N E P R A IR IE
Le m a r d i A J a n v i e r 1910,
contenant envlronj 33 «res 60
ft^é» dr 18 et '.T ans, contenant
une heure et demie du soir.
centlmeH.
.
E n la communo d’l r * I I l a c , au cnacun 4 hectares 50 *res envi
alise &prix : a ,0 0 0 Ir.
QuiklfUtn« Inf
ljçn de ‘Qréaclimensrnv Ct ron.
OlCuéo i K crgu«^ on L o T r ¿
dépendancea,
En la communo de L n m b é
lio u .
z o llc c , ou bordure de al
Pour visiter, s'adresser aux
routo de Bohars à Brest,
d’une contenance d environ 18 consorts Quldelleur, au Kergoat.
hectares 10 ares 17 centiares.
Un petit triangle
Louée ii Jean-Tves Mazéas,
de terrain, contenant environ .4
jusqu'au 29 septembre 1911, 720
ares«
lrancs l’an et charges.
M is e è p rix : 1 0 0 fr.
Steuc’hlgner Pitchpin ; da verzit
Mise * prix : 2 0 ,0 0 0 fr.
Entrée en Jouissance lmraéS’adresser il M," des Déserts, Oo*t Cormier da ober dent pe
dlato.
■ • -• „ . . i
(Voir les a(Uchcs).________ 8531 notaire à Dfloulas, a M» Trao- dent great.
noufcz. notaire au Faou tk à M*
Etudo de M ' LK C0RRI5, notaire Sorgnlard et Robert, avonéii *
Urttl
& Lesneven
Brest.
,
A V E N D R E publique et volond it Paro-Bras-ar-Reien-Dun. c a ­
dastré section D , numéro 47, U 1L è e m a r d l ° ' a i dC-cembre
pour uno contenance de cin­ 1909, une heure et demie.
quante et un arcs quatre-vingtKn lu communo do S a l u t
dix centiares.
F r 6 « a n t , au Penhoaf,
Mise à prix ! 4 ,« 0 0 fr.
7» A u terroir de Coi-Vihn,
un *hamp de terre labourable consistant en A llllccs, t, rre» la­
bourables et prairie«, contenant
4 hectares 25 aro* 74 c -ntlaivs.
Tcnuo par (îulllnumo Caraes.
ïa A ita .
»i»»«- lasqu’au 29 septembre 11113, 381
« e lie centiares.
francs l'an.
Mise k prix : 2,K00 fr.
Mise & p 'Ix : 0 .0 0 0 fr.
8» A a nord du précédent lot,
^ adresser & M* La Gorro, no^
Un champ de terre labourable taireS it piro-lilhan-ur-VllIn cadas­
tré section 0 , numéro 836, conte- Etudes de M“ LE COR R E et
lia n t ving t ares vlngt-bult cenS O U B lü O U , notulrti» ù Les
neven.
tlares.
. i «OO tr.
adjudication
“ p r è s ie c h a m p d e là Iîive,
vc lontal. e, un l'é
ou m * L i üorro, ne tairc^
Un champ da terre labourable tude
Le m e r c r e d i 1 tt d é c e m b r e
. i* n « rc.oreo-aD-Ant, cadastré
^ n u m é r o 178, pour une 1909, d une heuio et demie.
E n IM o n d a n le l, au P e n lra t
u
l'essai
de
9125 »
Etude de M* L O Z tG H , iiot.aiie
ASaiot-Pol de Léua
rivrj’j ' pj.r adludlcation voiou-i
m I 1j tilre , ie l o n d l MO dftc e m b r o i9 ^l, i 2 heures de i’après-nildl.
En l'étude et par le ministère
de M» Lozach, retaire è SalntPol do Léon.
Il sera procédé k la vente par
adjudication, en un seul lot,
E ty RtOU
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JAM AIS
SÉPARATEUR T.
50 ll'res. lt^Ofr.
70 » 128
D EU X CHAM PS
UN T E R R A IN
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dit Paic-MAucs, scctlou A, L"a
méro4H), eontenaut environ U
ores 70 «enti*ieu.
Mise A pi lx : KOO fr.
(Voir les affiches,.
851ï
ADJUDICATION S T Ä
M
GARANTIE
2 ans
Un champ de terre labourable
LA V E N T E ffimSi
e
iouverie >'n cbaim'-, c-ecne ea
ruines, soue à uorcp, couvert eu
chaume, courtil o u Liore-arG uiot, droits lodi is dans les is­
sues, frai.ctiiseï, loütalce et la»
voir du village de Mengleuz.
Jouissance car main» ds 29
septembre 1910.
Mise à piix : Six cents francs,
c’, « 0 0 tr.
E t même au-dessous.
La vente de ces lmr1ie"b!cs a
été oïdonuée suivant jugem ent
du tribunal clvii de Bre»t. du 8
décembre 1909, enregistré, rei du
à ia rrqnfte d ' ;
t* M. Hervé Dréau. gendavme
i Trévièrea (Calvados) ;
Jac ­
ques D, é^u, martn d i l’Etat Jeuiesraut k D a l l a s ; 3e M iiie .
A o n e D éau et M. FrarçrVs iverveiK, «oc. mai 1 qui l assiste et
autorise, cultivateur i Llngoual.
en Lopeihet ;
Mlle Anne
D éôu.m aj ui », au MniiRiciii ea
Lo -oi:d* - D»< lilas ; 5» Jifl •i le—
Aucu Guermeu. , veuve en ¡.rex lc r carlag e ¿e ü . Reunoot e t
!4. A lain Guiilou, son 2» mari qui
<
lassiste r t sutor se t t en outre
r,u sa qualité de subrogé-tuliur
du m ineur Dré»u. cultivateur au:
M .n K le n z;6 " Vme. Ma^ie Jo'.èph*-IIeur.ft e D îha: é. ménagère
a B-est. m e du la F ,n u in c , 2S,
veu-e
de M
Jeun ■Cort-. tin
à
Dréau. en sa qualité de tutrice^
légale d : J e ïii -Joae^a • P urre
Dréau, son lila m inrur, lisu^ de;
sonâlt mar)a?e ; 1° M. Jean Le
Stir, cVrc d avoné, demecr-rv à
B-eBt-Kç-couvrsnce. rve Ar»; ori*
lu e , 18, en sa q ia i'.é de tuoregé-nt‘:ur ad hoc dudit mii\<*ur
D iéau.
Tors les susnommé* ayant
M L ™
™
ooar avoué M» Soriruiard,
L’adiudica ion aura Üeu en la
T IT A N IA
L. C .
manière accoutumée, en IMt'ide
et par le m laistèpì de M» des Déu n t i, notaire où se trou vi dé­
Etude de M* MO AL, notslre posé le câbler des charges, par­
ties présentes ou elles dûment,
s 8alnt-Pol de Léon
IT H IT I' volontaire pii l’érude appelées.
l u l l l ü i le m e r c r e d i 1 ;» d é ­
Fait et rédigé corforméraent S,
c e m b r e 1908 à 2 beurre.
la loi par l’avoué soussigné
En )a ville de S a ln t- P o l d e
Brest, le
décembre 1909.
LC on, rue Batr,,
S O R G N IA R D ,
avoué.
U N E M AISON
à deux étages, cou»- et hangar,
S adresser, pser renseigne­
tenue partie par Mme veuve Da- ments, à M* D aüguy des D é ­
nieiou et loué pour le 'urp lu s à serts, notaire à DdOUias et à M»
divers.
S orgnlarl,avo sé pouisuivant.
D ’un revo j u total de 360 tr.
M'»“ u prix : 6 ,0 0 0 tr.
.jü traiterait avant l'adjudica­
tion.
8525
à ’, amiabis
de semence il ven­ En la èammune de M lllz a c ,
d re: R O H O E A IJ X .
au lieu de Penarpont
I A'V EU S Alt LE de B O R D E A U X
et J A C H E T .
Deux petites Ferm es
i’rls a la terme, ou gare de l’une louée * M. Joseph Jao ue u,
Brest : 25 ir. les 100 kil. ; — 27 tr. jusqu'au 29 septembre 1912,
passé au trieur : logé.l f r. de plus. moyennant 180 francs l’an, im ­
M Quentel. Lambér.ellec. 8482 pôts en sus.
L ’autre, louée à M. René Le
A C C O H D E O N S Stra­ Gall, jusqu’au 29 septembre pro­
d in a Italien, sonorité chain. moyennant 115 francs
grandiose, nouv. cata­ l’an et les impôts.
logne g ra tis .D e d e n ls ,
S’adresser, pour renseigne*
à Brive (Corrèie).
ments. à M* Gheml-jant, notaire
a Saint Renan.
^
FACILITÉ OE NETTOYAGE
Eludes de M* P. 'C O L IN , avoué ‘
licencié i Brest, 4 »la, rue Volimrs et ae i t ” T ito ^ lE U R , uot»lre à L»«neveu,
l / m iT P P*r HcHatlon, en l’ô! fcll I B) lüde et par le m inis­
tère de M' Tromemr, notaire *
Lesnevon.
Le m a r d i 14 d é c e m b r e
IS09, S ur e heure et dt-.iuie de l'a"rèn-m!di.
Sa la comtauiiô do T r fio in o u é v.an au terroir üi: Kordudiiar lirait,
ds
i n
loi simple et dômontabl
N a t io n a le
Si.
3ês O U V RIER S
c
L A M E IL L E U R E
DE TOUTE* _
» ))
2 0
u
A n U l m i n u c i n e e o a l lo u z o u g w ir io n
e v it p a r e a a n D O K E N . A l lo u z e ie r a il a
g ip m g e r d ’e o e ’h a z u d e u e t v a r le r c ’h , d a
e s à a t , t r e c ’h o a n t , o b e r c o n c u r r e n c e d ’a n
U l m i n u c i n e . A lla z , re z iv e z a t in t s a v e t
e v it re i la m n i d a h e n -m a .
L g ive rz, o p e b a p o t ik e r e z . G o u le n n it
ai& d a n b a n o M O R E U L , g a n t a o u n d a
'X
tij/ ie t.
U l m i n u c i n e , lo u z o u n e r z u s , d a v ir e t n e
g o u e z o e ’h p e u lt r in e r ; d a g r e n v a a t a r
m è r c ’h e d ia o u a n k .
A l lit r a d , d a o u s k o e d ; l/ 2 1 it r a d , p e v a rz e k r e a l ; a r v o u t a illa d , n a o r e a l.
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k re n v aat a r go ad, e v it p u r ifia a r goad.
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l m
Etude d i M 'S O R G N IA R 'J avoué
* Brest, rue Voltane. 13
liF lV T ï' judiciaiie, en l'étude et
VCililU par le mioistère de M*
Üanguy dea Déserts, notaire à
Daouias, le m a r d i 4 J a n v i e r
1910, à 2 heures do l'apres-mldt.
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Autres D é p a r te m e n ts ...........................
C o lo nies ot É tr a n g o r ...........................
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i*uniimint d’adnm i 0 fr. 30 <wo M
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Leu nlHmnrmonts partent
du t*' do chaque mois et se payent d'avmtro
Start eo hor o'Imlon ont) hor c’hrola
lia «tarloo'h ar Groar, unn lior Brolzl...
CE QUI SE PASSE
La discussion des articles do la loi sur
les retraites ouvrlèros sa poursuit au
S^ntu A coups a'amendements.
M ai* le gouvernement paraît décidé à
maintenir ton texte et M. Viviani, m i­
nistre du travail, repouiae catéguriqmment tout amendement susceptible
d'avoir des conséquences financières im ­
prévu ft.
Ces jourt-ci, on examine l'article 2 qui
vise lu fixation et la répartition dis coti­
sation* ouvrières et patronales.
Lt t commission sénatoriale propose do
fixer k six francs la cotisation ouvrière
»t k neuf frines la cotisation patronale,
aven reduotion de moitié pour (os assu­
jetti t n'ayant pas alttint lé ans.
Le gouvernemtnt, au contraire, de­
mande une cotisation de neuf francs
Aussi bien pour les ouvriers quo pour
les patrons et sans ré.tuotion pour les
salariés de moins de 18 ans. Il est encore
prématuré de porter un jugemont sur
une loi qui s'ébauche &peine.
*
* *
Vendredi dernier s'est livrée k la
Chambre la dernière bataille autour de
la convention du raohat d e s chemins
de fer de l’Ouest.
Il résulte de l'impression des débats,
que pour l'Eiat ce fut une mauvaise
affaire financière. Mais comme dit le
iroverbe, lorsque lo vin est tiré, il faut
e boire.
M. Jaurès vouhnt profiter de cette
improssion proposa carrément la confis­
cation sans indomnité, n i paiement A la
Compagnie. Il était d'ailleurs logique
aveo les théories 'u collectivisme dont il
est, on lo ta it, l’un dos apôtres les plus
Î
chauds.
M ait & cotte ¿vocation d u spectre col­
lectiviste, hs radicaux r n i eu peur et ont
approuvé à une grandemajorité, le gou­
vernement qui par la bouoho de
MM. Millerand ot Briand demandait
« au nom do la probité » da tenir lus
engagements pris envers lesaollonnsires
et petits porteurs d'actions do la Compa­
gnie de l ’Outst au moment des pourpar­
lers d ’achat. Cts scrupules do pn bité
parlent d ’un bon sentiment, mais on
aim erait quo le gouvernement Its a ffieh.Tt aussi, lorsqu'il semé!« do politique
religieuse et s’oocuve pur exemple des
congrégations, de l Eglise dont la spolia­
tion st poursuit encore.
*
Dimanche
ont
¥¥
eu lieu deux é le c ­
tions législatives.
A Besançon, M. Méiin, redir&l-iocian§tv, a obf'nu 366 uai.ic, Ai. Bouvard,
progressiste, 2.311 ; Ai. Dourmey, liberal,
2 .7 fi. Il g a ballottage. Il s'agissait, de
remplacer M. Janet, radical, décédé.
\/l P tm itrs (Aiège) les électeurs ont
chosti comme député le général Pedoj/a,
radical - socialiste, par 10.632 voix.
M. D*ni*u, répuMioain liberal, n'obtt■nxitt qve 3.147 voix. I l »’agissait de remuUcoi M. 'I’ournw r, rarfieal, dri.aid^.
Oie» nUtt-vous <i u n g^iéral qui prend
s'épiiliète de radiaal-soaialiste tt qui par
M te Un d u n e m ain aux socialistes et
celleciivisfes antipftriotes ?
«
» •
Le m im e jour avaient lieu i.** élec­
tions municipales de Toulon.
JÇ-'an­
cien conseil municipal socialiste divisé,
comme celui do Brait, du t démissionner
faute dt poutioir travailler idneusemeiit.
Six Ust«s pr^iantoiant des candidats
dont let deux plus importantes étaient
une liste anti-colleotivxste et une liste
socialiste unifiée, celle-ci ayant à sa tâte
le députa Ferrera.
Les 9.007 voix dos uo/ants sur 21.169
inscrits s'éparpillèrent on chiffres iné­
gaux sur las candidats don six listes,
mais donnèrent une ttyèro majorité
au x candidat* anti-colleolimstes. Il est
à craindra, si le* soeialistes qui présen­
taient trois listes, taisent leur.i anciennes
querelles, que lu mairie de Toulon n ’ap­
partienne A nouveau aux socialistes. A
iiofer h ch'ffr* rrv’sW rablii d ’absttntionv : plus Uo io vuU. Si ces 10.000 élec­
teurs allaient à l ’urne, la fcataille c/ian>
gérait ptut-Stre de face, il y a fort à
parier qu'ils na bougeront pas.
Ils seront peut 8fro let premiers
A geindre lorsque les sosialistos pren­
dront leur ville pour un champ d ’expé­
rience révolutionnaire. Ils méritent
cependant do pâlir u n peu do lour
indifférent» .
Or
¥ ¥
Le svcdlo&t des chemins de ior,
affilié à la Confédération O .nhulu du
Travail, * tenu, samedi et dimanche,
ton congrèt annuel, k Paris. A u sein do
ce syndicat, réformistes et_ révolutionnui rts tt disputent la direction du mou­
vement «t tout leur est prétexte à sa dis­
créditer les uns et les autres.
Au congrès, il no fut presque pus ques­
tion de revendications professionnelles,
mais de querelles de personnes, quo l on
,"'4« apro* forco injures lancées surtout
'• ’ «• révolutionnaires contre les réfor« .» « ,
se rassurant do no. Tm'i?*
■ouvrière ils
teniiont diviseront l'aotion „ uvr ! * / ’ ‘ï
pourront jo u ir de leur» rentei aa„.
paix égoïste.
.
i
3 fr.
4 fr.
B fr.
4 — R u e d u C h â te a u — 4
B
triomphait, grâ:e au ¡ang généreuse­
ment versé par les enfants de la France.
*
¥ ¥
M . de B e t h m a n , le c h a n c e lie r de
l ’e m p ir e a lle m a n d , q u i a remplacé
M. ite Bulow a parle à la Iribuno du
Rtisohtag du Maroc et de l'Alsace-Lorruine.
Dans ses déclarations sur la question
marocaine, il s’est félicité de la « détente »
qui s'est produite dans les relations
franco-allemandes.
Mais parlant des fêtes d'inauguration
des monuments de la guerre de 1810
4rM.'.<s cet été an Alxace-Lorraine pour
commémorer le souvenir des soldais
français et allemands tués, il a critiqué
l ’attitude des Alsaciens qui ont profité
do ces fêtes pour afficher leurs opinions
anliallemsnles. A l'une de ces fêles, on
chanta la Marseillaise.
¥¥
Non sans regret, il constate que la
Le conseil de guerre maritime a con
germanisation de la province annexée
damné, morcro.ti, le l ie u t e n a n t de n ’est pas encoro achevée.
v a is s e a u L a l r à 18 mois cte prison et
Sous le sédiment allemand dont l’in ­
à la destitution dit son grade, pour vol vasion recouvrit laterre Lorraine, se re­
de la caitso du bord. Lair se trouvait en trouve l’âme Lorraine qui n ’a rien
service à Brest, lorsqu’on septembre, il
oublié. Los paroles du chancelier de
fut embarqué sur le Claymoro à Toulon.
l’empire vont ouvrir une ère de persécu­
Profitant de l’absenco au commandant,
tion contre ceux qui attendent l'heure
il prit dans la caisse, dont il avait la qui lits détachera d’un pays qu’ils n ’ai­
garde, une somme de 1.380 francs et mant pas.
s'enfuit.
Et sans plus tarder, on s’est mi* <n
U fut retrouvé ot arrSté à Drives.
besogna. C'est ainsi que M l'nbhé We>Durant toute sa carrière, Lair avait terlé, député, ¡¡irecteur au Nouvelliste
été mal noté. Il buvait beaucoup et était d’AlHacc-Lorraino de Colrnar, a reçu nu
devenu alcoolique. Sa passion lo jeta sur procureur impérial de Leipzig Vardre
le banc d'infamie du conseil de guerre. de rejoindre la prison où il doit purger
Encore une existent giï.'Mo par et la condamnation à deux mois de réclu­
terrible fliau de l'alcoolisme I
sion qu'il a encouru*.
L'abbé Wetterlé s'est aussitôt constitué
prisonnier.
La France a créd le b a llo n d ir ig e a '
Il avait été condamné vour avoir re­
b le , mais commo toujours, l'invention
produit dans le Nouvelliste d’Alsacopassa la frontière et. les étrangers nous Lorraino des critiques dirigées contre le
ont rapidement distancés. Cest ainsi directeur du lycée do Colmar, l’un dos
que l’armée allemanda dispose déjà militants les plus ardents dn ia germa­
a'uno quinzaine de ballons dirigeables nisation dos territoires annexés.
montés par des (îquipas tntratnées,
K
¥H
tandis quo l'armée française, depuis l'ac­
L
’assemblée
fédérale
de la Suisse, a
cident de la République, n'en a plus un
■ttul. Cotte situation inquiétante a été élu p r é s id e n t de l a C o n f é d é r a t io n
soumise au ministre de la guerre par h e lv é tiq u e pour 1010, M. Comtesse,
un certain nombre de députés patriotes. vu-.K-presidcnt sortant.
Entré au Conseil fédéral en 1000. M.
Le minist'e s promis de la faire cessar
Comtosio 6ti.il depuis longtetrips chef
le plus lût possible.
incontesté du gouvernemtnt radical du
canton de Noufchâtel.
L ’h is t o ir e lo c a lo k l ’é c o le . — A si­
Lu constitution éminemment déinognaler une heureuse initiative qui Vient craftquc de lu Suisse ne prévoit qu'une
d ’être priso pur la ville de Pontivy. Lors année da présidence, afin que la dicta­
dt la remise en adjudication dus fourni- ture n'ait poinl lo temps do se fortifier
tures nécessaire s uuxélèvesd’écoleu publi­ si U président avait des visées a mbv
ques, uno clause ■Muvslle fut introduite tieusei.
Bandctwauo»
au cahier des charges : l'adjudicataire
devra s'engager à publier, ù la quatrième
pago de la couverture des cahiers, six
notices sur Pontivy et ses monuments.
Combien de B reti ns connaissant l’his­
toire de leur pays ? Alors quo dans les
écoles on ne laisse rUn ignorer de la vie
légendaire dei Pharamond, dont les
figures s'e/ficenl dans la vuit des temps,
on na souffle nwt, par exemple, du gènio
militaire d'un N orninei, ou de l ’action
religieuse et populaire de nos saints
bretons, fondateurs de la Nation Bre­
tonne, à laquelle Napoléon I I I a dreisait le toast célèbre de Saintc-Anned'Aurty. Au sortir de l'école primaire,
bien peu, mftmt) parmi lis intellec­
tuels complètent leur instruction sur
l'histoire do Brviagno, histoire émi­
nemment passionnaitto et intéressante
cependant.
*
¥¥
L ’industrie du c h a lu t a g o h v a p e u r
L o r le n t a ls qui connut une ère de
grande prospérité subit m ce moment
une crise par suite d'une gièv h des
chavff'Urs iJet chalutiers. Les chauffeurs
pioibuhnl coniro le surmenage qu'on
leur im/icee et réclament la présence de
deux chauffeurs à bord au lieu d'un
seul comme maintenant.
Lis compagnies se refusent il donner
satisfaction aux grévistes. Le conflit
jusqu'ici n'a été marqué que par des
incidents sans importance.
n
V¥
Le vieux r o i de B e lg iq u e Léop o ld ost dangorousomera malade et
les journaux donnent des bulletins quo­
tidiens de sa ssntt).
Il a dû subir une opération qui a pro­
du it uno légère amélioration, mais le
grand tge du roi fait néanmoins craincre une issue fatale.
Le roi Léopold no fut nas précisément
au cours de sa vie lo moaèle dos pèro3 ni
des époux, k tel point quo ses enfants se
séparèrent de lui.
8es filles demandent m aintenant k
l'approcher, mais le père n 'a pas encore
v o u l u lus voir. Sous les lambris dorés
des palais, plus que sous les toits de
chaumt, éclatent souvent des drames do
famille poignants dont 1rs victimes sont
traînées sur la claie du mondo par un«
pretto avide do scandales.
C ’est aujourd’hui la rançon dus hon­
neurs officiels que l'on accorde aux
familles royales et princiôres.
E n E s p a g n e , le s é le c t io n s m u n i­
c ip a le s generales ont donne dimanche
un peu partout la majorité aux républi­
cains ot aux adversaires des conserva­
teurs quedo quo fût leur épithète. Par­
tout — qu'on lo déplore ou non — le flot
de la démocratie monto et scs va guet
troubles quelquefois battent en brèche
les plus puissantes citadelles.
*
* ’#
Le 30 novembre tes tirailleurs algé­
riens livraient u n v io le n t c o m b a t
d a n s le
S u d - A lg é r ie n
contr» une
bande d'Arabes qui se dirigeaient vert
l’Afrique centrale pour piller et so livrer
&dos razzias d’esclaves. Nous avons ou
U tués dont le capitaine Orosdemange et
dix tirailleurs, 20 ftlessds dont lasser-*
ponts Rostiot et Dovillate et 24 tirailleurs,
Mais la marche des Arabes a <M arrê-
A ilS M S h f c llB t t | tout t u
pen
()
t■ '
»-t». «SMv
r
iir
u
Penaoz serel muioe’h a arc’hant euz
ar frouea ?
It ila ober e.un dro da BlougasíelDaoulas hag e tcskoc’h.
Kno i'i euü etngleo ctre potred ar
«ivi ha frouei a l l ; epad ar pre* braz, e
íermoat listrl da ^as h0 marc'hadourez
da Vro-Zaoz. E mareou all. ho c’nar­
co nt orti train da vont, da u e ll; hag o
París koulz hap; e Bro-Zaoz o den/, tud
leal ha gwizielr d& werza evit-bo, pa uo
K»*ont «et sok*ri e »» ntsbeud bennak
«ibabot rnn he touez.
R a g e n o al labourerien douar cuz ar
FiniBter var lio roudou, ha gant aa
aruzer e teutnt da ve¿a ken pinvidik ha
Plougaslelliz.
Ar c'lieuta tra da obor eo an emgloo,
Revel eur « c’hoopératWe » da lavarout
eo, ma karit, eur seurt syndioat karget
da breña ha da weiv.a evit ar re olí en
etn lakaio enn-han. Aoe*. panuoz fermi
listri pe traioiou? l i p» ieac'u orna an
tiek hag a c’helife karga gant he varo’hadouroz he-uuan pe eul lestr, pe eim
train ? Hen-nez n ’eraa ket er vro-ma, n ’e
ket ’ta ?
Hog«m, leas a boíl a daramou H an ne
dalv k e t : gwelet e peuz üiéado' ' petra
c’koarVezaz gant potred ar prun hag ar
peche? a gomze anezho Plissonnier.
Meur a bini all enn ho leao’h o
defe gouezet raarteze kaout an henthouarn evit nebeutor.’h ; ra k , an hentchouhouarn o deuz raour a briz, ha. potred ar
gariou ne hentchont ket ato evit ar
gwella, an dud o deuz att'er out-ho. Re
aliez o leíont anezlio d'en etn zisluga
ho-unan, ha m a paeit ar priz huela,
gw as’ a ze evid-hoc'ü ?
E uu enigleo, eur « c’hoopdrative », a
c'hell karga unan pe zaou cuz he zud
da »tudia aa traou-'/e, reolennou au
hent-houarn, hag aliez o c'houncuo
aro’hant brao var ar pez a baefe eun all.
•
¥¥
Empleo a zo red ota evit gellout kas
da bell ar Irouez — hap: an ed — e ve
re amezh* er rro. Emgleo a zo r e í
c’hoaz evit ho miret da c’hedal ar gw ella
raare d’ho gworza.
H rit gw ir, evit kement so e rnnlíer
liaout staliou tiag a gouatfo re gerevit
unan bebken. Peb parrez, ha dreist-oll
pob kanton, a o’belí avad sevel unan pe
zlou euz ar staliou-ze, da'c’hot ien pa
vez re domm aa amzer, ha tomra pa vez
e ien an amzer.
Kement all a c'heller lavarout euz
krignoliou brazha reuket mad da zastum
au ed da c’hedal m a vezo ena he huela
ar priz.
Emgleo adarre evit sevol staliou ha
irena mekanlkou da obor conllturiou pe
ikurlou gant avalou ha frouez ail.
Ar ro m aa a c’hellfe be/.a savet e-Uiebenu ar ro genta — e-klohenn ar sta­
liou da virot ar frouez. Eyel-se e ve
nebeuíoc'h a vizou.
Evcl-se c’hoaz al labourerien douar o
dote nebeutoc’h a dregas, nebeutoc’h a
arazer Ivez da goll o redek ar m arc’haou.
E ur wech dastumet ho frouez pe eostet an ed, n ’o defe neraed ho c'has d’ar
stal po d ar c'hrignol, ha mont da gerc’hat bo aro’hant dre ma veüt gwerzet.
Au dud kargpt cus ar slal «%ar c’hrigaol
9 0 a wersfe, evit ar gweUa.
¿Jjj
E
S
T
(la ligna)
—
—
i il/ décroissant pour ttt Initrtlom répétées
Los Mnnuaorlts non Inuórós ne sont pna ro n d u j
eI naïfs, ils avaient oru, depuis les ma
ni festalions anticléricales dont la mort
do Ferrer fut lo prétexte, quo la rue
appartenait à tout le monde et que si
dus milliers de manifestants y pou
voient à longueur de demi-journée
crier; à bas la calotte! un millier
d'entplmjês do chemins de fer y pour
raient aussi crier quelques-unes de
Iturs revendications.
Erreur ! Le gouvernement n'autorisa
point la manifestation. Il autorisa seule­
ment trois paquets de 200 congressistes k
se rendre auprès des administrations des
grandes compagnies des chemins d« for.
Quant à lturt camarades, la police lot
boucla à la Bourse du Travail.
Le gouvernement fut conspué par
ceux-là ot il le méritait bien, car en leur
interdisant ce qu’il avait permis aux
autres, il commettait uno injustice.
U
Cette initiative mériterait d’être suivie
par d ’autres v ile s do Bretagne.
R
A nnonces diverses . . . . .
R éclam es, en 4« page . . . .
Dernière colonne de la 3 " page.
Darn a c’houlenno
l í a da c’hedal ar werz, o pe leao’h
kaout arc’hant da baea ar GreuelM ikeal?
E pe leac’h
pe krignol, a dra
zur.
Evit gw ir, eaz
vo d ’an empleo
kaout arc'hant etro /ie daouaro ; ha b»
wech n a 'z afe eun tiek da ^as ed po
traou all, e c’hellfet roi d’ezhan dioc’htu
«ul lodenn rraz euz ho zalvouaeue-.
Setu !
Perak zoken ne ve ket eur vilin e-lcichenn ar c’brignol evit cliench eul
lodenn cuz an ed e bleud ?
E r c’hiz-*e, oil gounedigez ho labour
hag ho foan ajo uiufo g a tt allabourerioü douar.
Daoust ha ne gavfac’h ket an dra-ze
brao braz V
Ha ne deuit ket da lavarout ne ouesfac’ít ket en em zisluga mad awalc b
e»it kas kement a draou da beun.
Eo, rnignouned, üeskadurez o peuz,
t” d a benn a ?.o enn ho touez : bolont^z
Vu. ’ a muioc’h a garantez etre-z-hoc'h
ne fftot ken.
Gwelit pegen brao e kerz an assuransou o peuz savet etre-?.-hoc’b.
A r staliou all-ze no veot tamn dicsoc.’h da ren, goude eur pennad.
En em lakít e stad da zevel aatfcbo,
evit gw eilaat ho stad hoc’h-u)>¿tn lia
dre eno gwellaat stad ho servicherien,
ne c’belloat ket ato, kalz auezho, gouriit
aw alc’h evit beva ervad er stad a briedelez.
Nebeutoc’h a w arizi etre-z-lioc’h,
muloc'h a emgb o hag a garantez, hag
c vezoo h euruüoc'h e peb giz !
C O H E N T IN .
K rab an al L a e r
Astennet eo bet, pn kentoo'h sarret co
bfct f.vit mui var rnádou ilizou 33 pam-z
cuz «r Fmiuti-r, dre eur j eiv. d .uget gant ar
miuisti' B iiand ü ’aa i euz ar miz, hag
embaaaet d’an 9 er Journal Of/lciel.
Sota aman ar pa-.rtv.iou-ze, tire re u n í
hsrvez ma z eo b tt lakaet a. madou U.met
digant an ilizou pe da vui'fco au aluzenuo»,
p6 ü au hospital, pe d'ar gommnn Plleac'fl
ne ioa na bureou aluzennou nag hoRpital.
— Madou aa lUz a zo bat latiaet eta :
D i vureo an altuemtou, e B?rtcz, KonkK cína, Kosk-Lieon, D^ouías, Pouesnant,
G>iiuavao, Enez-Tady, Lo!;g'j.onole, l.ogouna •Rim'.-ro'U, S<ut Coulitz ha Sibiril;
i Van hospital, e üoahicn hag er Faou ;
D a r gom m nn evit ran na al lev;» acezno
d’au dud c-zoiumek: Avgol, Bay«', E no iet,
Drenur-b, GouesBac’n, Gueugat, Yenrr.’h,
Keifeunteui!, Lanueanou, Lopre, Nizon
Pioncas, PloobíiKk, üwitevedt;, Pont tou
8aCt*I<in-Trotluion, Sant-Maik Sant-Tiurían, Sant Sügál h
an Tr. hon.
— Hon taddu koz o dea »oc t ar nia-unZ8 d iio ilizou evit ma v?te eaßoe’n t1'h(
biigAio po kercBt pcurvel da ezomtnoa ai
K d jiü u var ho lere’h, pe c’hoaz evit k^r.u
pedfünou gonde ho maro :
L 'Zi nt'OU «¡Izair, votet g s n ta rC ’bloarec.
Duljul'iüon ha¡< ar B rü , ha Kam. lla>l< ,-ui‘u
JUetji -ut ha m ’ea tieuz g. lii>t. p. deu d ho
diframma oh dlgaut ar Rell]lon. ha a ’lio
)8lc!i;‘.í aa dud ha n'o doa inorila ho gen len­
ii ir ,
H a da c’hovide, ar c'ha/if,irted o íe u z
gourc’hemennet al laeronsl sakrilsch-ze a
tnvsro d'ar beorieu: « Gw<*lit pegtmvut a
vad or bi'uz grset evld'hou l) »
A ■bcorieu honest » respanto d'cz' o
m'oíirvad: « H o poa e’lio in t da ober .a i
fv !J o¡np « vef« b,;t <Ureatt d'boc’h t>-¿;
«ber gant hoc’h arc'hant hoc'h>unan, )>• e c ,
drclüt-oH pa o peaz kraakot ho pao <v,í
daou vil gKoed ar ö'ohz. N •>•■beuz avi <)> í
ouz aa aluzennoa a g innigit d’ou'p... ga-,t
arc’bant laaret, r&k, gwir e choum b p e l
e ia ato bleutl an dlaoal da vi tn u .
» Hagabavz kredi or bero muioc'l?, i. i a
c’hortozo ken or iit-zo gweltít, rak peli 'za
e ouezomp ptgen bras lodenn euz an alureiinou promettet d’omp s joum en a ‘icut
pa rankont tremen dre zaouaru an dud e
korg.
» Ounosnu-ie, nag a liregaa, nag a
viloniou zoktn da ohouzanv »harz kaout
nfctra. Red co, da genta m ont da 8 houleeu
d'au H kear, komz flourik ouz meav ha
kouiieiller, ha goudo-ze ober aliez diou iia
telr leo evit saout da gerc'hat eun n^beudik garenueicu.
« Gant ar madou ze o p ;a z dlframmet
digant ar Relijion, ar veleien » oule b ao
dont d’hor sikour, hep enklaak, üep oner
u i“Z d’omp, kouiz hag hep direnkamaus
i ak ma 'z eo d'hon tl zokeu eo « tigatieut
penrvuia ho alnzeunou. »
Ne bonezln ket h in o e ’h h i’ io var p.n
traou ankeniuz-ze : pell 'zo hu meur ;;
wecü am be-'Z lavnret petra e sot j in ha
petra e tie; son jal anezho.
N beud, a dra zur, eu7 mearlou pe konseiileiien au 33 banez-ze. a o’houiennaz ma
veto lakaet madou ho liiz etre ho dat.ua lu.
A n taol a zo bet graet enn despst d'au
darn vuia anezho.
Gant ar.un da veac’hla ho c’l.'ouati&n3, e
ve mad d’tzlio mont hei> dale da c’jboulenn
kuz.nl ho fiTbown, a zlepicgo d’ezho, m ’o
deuz ho ankounao’haet, ar reolenn merket
evit-ho gAns îlo n Aotrou ’n Eskob, d'an
20 a veut» ha d ar 7 a wengolo diveza.
H a d’ar heoilen a gredo k'ask ho led ouz
an aluzenuou laerut-ze, e. la v a iin : O peí
so»] da tla n a da b»dl evit A saoun ar gilstenlen vsd a roaz an douezonou-ze C’ho
luzou evit kaout pedennou digant an liiz
goade ho m aio. A r chouarnam ant a nas'ii
>.i dio takr-ze ; d’hoe'h-hu d ho faoa, ma
kemerlt ho lod euz an arc haut, pa o velou'h ken laer hag hen.
COnBNTIN.
PIOU Ä ZO PAB ?
Goulenn souezuz, n'o ket ’ta ?
Piou ne oar ket ez eo ar Pab a vrema
hanvet Sarto ouz he hano latn iil? Piou
ne oar k e te oa kardinal o Vonis pa oe
dihabet evit ber,a sturier an liiz warlerc’h Leon X III, hag o kemeraz an
hano a B i X o pignat var kador Saut
P er?
Kent-zo, n’c ket, hano ar Pab eo a
c’houlenn ar faU-duktored a skriv er
c'hazetennou difelz ; an neuz a reont da
gredi, eur penna ! ’to, n ’o ket an bini a
zouR an hano eo a c’houarn an liiz.
E ur c’h ii koz eo, euz a berz ar re e
tisplij d’ezho kelennadurcz Vlkel JezuzKr 1st ; eur c’hlz lia ne wella tamm avad
evit kosaat.
Heuillot eo bet, e amzer Leon X III,
O fr. 2 a
O
40
Q
KO
Pou/ les annonces extra-ré^lonales, s’adresser
a 1A g en ce U avax, Place do la Bourse, 8 , 4 Part»
gant. kalz rea gatolik'-d euz ar Frans, ha
ne c’hellent ket psrdounid’ezhan da veza
digasetda zouj n'ez euz ezomru ebed da
veza rouelistevitbezs katolik, hag ol eo
dever ar galoüked douja d’ho c'houariiamant, fors pe h«no cn deu<., e kem tnt
lia n ’eo ket kontrol da lezenn Doue,
evel ma ’z eo ho dever ensbi ouz aa oli
lezennou fallakr, fors gant piou e vene
bet douget.
Nebeud anezho a grede en era zevel
a-enep ar Pab he-nnan. Neure, var he
sekretour, ar c’hardinal Ram polla, eo e
tai'lent ho himor fall, o lavarout, e oa
hen eo a c'ùouro'liemenne e leac’h
Leon X III.
Gouzout areeet e lavarent gaou ; hag
ar re anezho a gemere ar boan da vont
beteg ar Pab gwirion a wele, dre z-ho
ho-unan, ec’h anaver.e g w tlloc’h alTei iou
ar Frans tged an darn vuia anezho.
Ìlirio ar zor* e deuz kavet kaaerien
all, etouez mignouaed ar B iiand. Ilenmsn ne c’hell ket pardeuni da Bi X da
veza kondaonet ar reiz trubard en doa
fardet evit an Iiiz, goudo nao’h die ar
Frans enn ne c hen ver.
Hakazetonnou arB rian d da lavarout,
evel armor.archisted aheurtet gwechall
« N'c ket Pi X eo a c houarn aD Iliz ; ar
c hardinal Spaglici Merry del Val eo a
c’bo u ic’bemenn enn he leac’h. »
Gaou divergont : arabad he gredi !
A l lizeri o deuz kondaonet rekou ar
Briand, koulz hag ar re a lavarazd om
breman ez euz 17 vloaz: « R-dt hoc’d
asant d’ar R epublik, reketet gant ar
bobl ha diazezet mad enn ho pro, ha
poaniit hebken d'en em zirober ouz al
lezennou fall hag ouzar c’hanuaded a vot
anezho » — an oli lizeri-zc a oa sinet
gant ar Pab he-unan : ha kant c’hoaut
oa fazia e ranker kaout evit sonjal
hebken e c'hellfe traou ken grevuz beza
digaset beteg enn-omp, didan hano ar
Pab, hep n ’en defe li > gwelet hag ho
gourc'bemennet he-u':an.
I la n ’eo ket aw alc’h zoken d’ar Pabed
skriva ho c’hemennadurcz, he neve, i a
reont goude a c’heni.u, he weoh ma
welont dira-z-ho eur bodad beunag euz
ar gatoliked galvet d’he reseo.
Marteze ar Briand hag he seurt
lavaro ivez ez eo ar C'nardinal Mery del
V al eo a gonite dre c hen >u Pi X ¡ a
gondaono udarre, dirag rseur a gant
euz hor c'heuvroiz cct d’be weicut d he
vouel ctivera, lia reùou Irubard ar
K iiand hag ar skoliou h g l.s k mou„d
ar feiz e k ilo u n ar vugaleV...
Lavarit ’ta, BriMi'i, ma n'c peur. ken
mot ebeil !...
Evid-omp, mignonned, selaouomp ar
Pab gant doujsns, ha senio .up, zoken
pa garfe:np klevout gourc’heme m u u
dishevel euz he bers.
Arabad, a dra zur, la k ia t muioc’U
egod ne lavar: k tm ent ha ma lavar
,o aw alc’h.
Araba-J L k a a t nebeutoc’h ivez avad
netra muioc’h, netranebeutoc’h ; awalc’h
eo, ha re n ’eo ket.
Evit boa lin a enn he genver, an dud
difeiz a lavar ez ee eua divroad ?
Evit-ho, marteze; evit ar gatoliked
n'e'• ket n a ne c’hell ket be?,Li pa ’z eo
lio Zad Situici, mesir ai-fanali v iaz euz
an Iliz.
O ojucntjn .
ELb ’J U 'ilI Ì JBJ JriHLador a r g o uarno nr. — A >gc«Benr,
b»; :»<•«»’ •■
. l.yo «to trit
V.o gOvarnourc S»a>tii'«t8ear. Kao i i. -v --r. ' 0
ioni'., b-t;c kaov.t tur g?dor lü-r, evr
« c’lia.iapé » hag a goust kero^a eg«d
meur a iron
Dre ze. t-./H n m rl p *. kempe^n 8vg*dorze, »!> aotro t a
»l»"«r en ‘at
v, o 3 500 '« r Q* b '-vn z 19 (J, 4 500 tur cr
binavcz 1907, 5 500 lu»' et b o vez 1908, bas;
8 ä(!01er '. .v h ' a/.-u:a I
m .i ouesje *r í í a !cached bivzcuack, e
íofea a;i ü'ftziio da breña d’no guuainour
tu r gndor hoaarn. Aiieaoch e iTftikíe da
c boude po.Bselia be vragez ¡ men g w U o c ’b
mxre'bad c’noviz e kon’s tfi o ’ezho, ùag e
rankfeat preca d’Mh&n ta r brag, z cevez
bemdez.
P io u a g a r f o ? — N ’e keí me co a garfe
be/.a sboiarr didao ar c'hoiiítrnatuant enn
nutzerBt-mler. kou;a la ^ r u n t o deuz
da sibr.» etre en; bí ouz ho c’ü ->;-3Írbs pe
digiil'Jout C ío mlnlr!
Ha seiu ma Uavout brema bugaiß hag eu
em ziskoutz rnstoc h c’eeaz tn*i ho c'tenV. r rged an in::p“. ¡touilen hag ar p/títv, J.
Evit gwir, aa 8 piac’hlg a jouiae er akol
dibatereuz eur barrez vian euz an lodre etLoire a soe n em iaka‘;t e Rréve D 'f llit
pi>rag'í A talam our m i ves bo mestrez <.nu
offerenn I
A r merc’hed-ze a vezo merc’Ued br.'.o
emlcbanw pa v¿zint aeuut da biached
iaonank : ba ne gav ket d’boc’h ?
L a z e t o s a v e t c l h e b e u m o e ’h •— Eul
lsb.mrc-r douar e.;z B>„cé, lt.; rtam ant
Doubs hag bauveí. Jouglet, o titrcl euz ar
f >ar, gant eur penmoc’n, en doa can h*'nt*
¡íouarn da dreuzi. Ar, snovai en . m iakaaz da c’to a ri he Bonn fail eno, bag eun
train a oa o tont.
O klaak her chacha kuit, an den fceaz a
j /t'.nia'i he-uBan re ïlvo.zat var h tn t
an train, a díetatnaz var-n han.
M o u ifc t e n ti e n ti to H fl l a p i n . —
Emil M aim a oa eur poti' s&out, eu-; Sastjia rthi, dt pjrtam aiit Hérault.
D ilun e wclas eur e’honlkl o redek d'he
doull ; baa' ben en em fo u n a var he leic’b
bete« he zargreiz
A lla s! he vragez a lugaz ono ear bod
dero: ba1 (jw^soch c'bo z, oc’h en cm
zifretta enn toaü, o reaz d'ar c’bieu/. di;ac’ha vav-n-ban, hag evel-se s oe mo^^et.
13 vloaz en doa.
A n d u d a u l j . — D'ar c’henta a viz
kemt, Lathsma reaz adarre euu idjadenn
gaer « camp Gliâ'ocs. Enn dcspet d’ac
avel ba d'ar sdao, t- ava>. bi.teg tun huelder a 475 pa 500 metr.
Nijer all ebjd uc zivaz ken huel betegben.
— Euu all, ntb'uti o’h anavezet, Antonio
Fernandez, a oa o • ij t <
■Nis d •' G (»«/. u*
ml2, pa g'>?*zîz cvz 15 mr.tr h.cUwr didaa
he gaii :U.J. Lazrt ; , ■
.
— An nljerlen biudeta, pavezont p >det
da lelua hlvhlken gaat, eur mtgoo.ni
becuak, n’ez «ont mui da trîaak au train ;
piguat a reont enn bo c'barr-nij. ha.vareenn ntuze d’ai leac’h market.
Evel-iie a reaz dlgwcner Moris Farmau,
breur d’au nl|er all a c’bounezaz ar prisiou
kentae Betbeny.
-------L-J V
a, ' ^ ve' a ^ az elln ear euz a gicbenn Ver­
sali), ha 53 m m ut dlver.atoc n e tiskenne
etouez be vignouned e Gbartr, goude besa
graet 17 leo aanter var nij.
- Hor c’henvroad Burrlct, an bini a
dreuzaz ar c’henta ar Pa-j-de-G i ,r„ a o? *
.3,>l dii'ul e Go;;siantiuoyi, pa oe kaset he
garr-i! J gant,
avcl var toenn eun ti :
ac. haro Blerlot a gouezaz d’an d'.uar, " a
c o e ra k ta i bsn d o u v a d'au hospiUU
Evelafo n’ez eu» ket riski evit he vuez.
T o r f c j o » h e a z u z . -- An aotr. Verrier,
labourer douir ■
: Ju |y, dtpjirtamKnt
bot:' ?aoui g in iiiK euz w Buia,
o^jet unac a 15 Woa7, egiip ^ ig V
D a za-r n o 2 , d aa 10 eii”. a f ir i -. an d oa
la k e p o ta e h a lv ^ z «n-zbtr. euz ar p c » da
.'oni, gaut-Uo da weiuut euu «-:ro. Ù"
a la n v , vai bo m eno.
’
Ve!d«r bo e'ùrtdaz ; mes lakt&l m’ec .• i
gavaz er c nraou, al l xkisien a laz.iz anez«
tian gant eun tenn ¿evolver.
Ile c’hi-fcg, diredet o k le io a t a n ie n » . e - a
lazet he unan et- mem s doare, n.ivr.- ha
lerc h daou vevel hag ar vaie.;, flon-c , e
oe onspenn hsnter- .ro. c’h r * ’• ?.hi "• ?
gouzoug. ha etiapet da e'boude er nutki.
E ^ m e v e l all laoua ke cb, la m b e r t '-e
ba.,o, a oe rabezet ivtz. t a teze tvic Ifi: o
var an dacnecn, pa i>e oa üeme«i.gwu*>
cbloazet.
Neure an daou. lakt z . en etn larasz <a
S i
’ t 'í‘t
ta n dra benr; k
in..d da zamma. iÍ íb au ainezaien ne zalc«jont ket d en 6ie gtout, hb./ £l lampcncd a
rat’kaz tee hat, da guz^t er e hoajou.
Antrouoz. enaserlen a rv .’o „ rfdaz d'ho
c h la s k ; hag unan acezbo, hanvet Lt-. ht«nei', o veza bo c’üavet, a r«az c ’tz o
/erzct dirá ¿-bao. br.tci: ti-kear San -M nncm er, .o ttle ’b tr be uzil ecunet
var-a-ho.
‘
Diou revolver ka.got a oa gant-ho ; na
tr« spontuz e\at tu n o *d ken ten¿r “ a
zisko itz o n t neuz tbsd d’uo zarfed.
—• E Marseill, t r m tmes nosvez an
hofítiz AiexiH
er a reaz kem ent a'“ pe
gwasoc h e boaz.
'0
E : n h * n :e r barrikennad gwin o v^za
redet er«; c’hap, d¿n ne o a j
hostiza icaz e ¿ou ar, Uag a^drouc’haz he
gonz'.ag d b e v a m u , oajet a 7U vícaz.
(iOudc, c resz ktmeD.t ail da una euz ce
e
c*j6ín Saüt* eun teun
S ! . « » ?2a a reaz c i'.oaz he zaou bo*r,
unan pem¡) h o a z ha u.ran c hooec'ii vloaz.
O klaek sav tei d ’ezho b " tu w , bo man ía
oe lazrt irTz"1*0 eca ícatt tevolTCr>hag a
.h^kiUi7' "’ ‘ a n e a a «e m u id e n beodira-z-han,
tena.
“ cm Iazai be‘ uaaa
eua
L:olchan¡: endoa koiiethe benn, a n rzco
kMfd^r6 Cn
e
diskouez heveiep
íK u r n io n s ie a , — Ha sonj t o p¡.uz, len■
P^gemet t a ijin a zisk./ue/. k ..¡7. ¿-.-2
in d.; d oinater a e’b !abouz ar gtvasa var fta
Iiiz da ober enn. ho c’blz ai“ pëa a ra-hl
ne-unan Y
Go\it:-nt í v y en deuz ivantet ena he
m on'z* 6Ur vad,!!iant t a S tu n eated tnarSetu ma fell brema da hinlennoa euz
mearlou ar P y é n é is O rlentaks k i ’. u í
kleier d ezno ho-unan, d* n-ol evit an dud
a c hoantao b ’zA ka<¡et d’ar v .e ud bcp
pater na b jlep evel eur c bi.
Sevel a rsint var an t i k r .r, e mizou ar
p in m u n , ez-m a ^.bed d'hen lavarout. eun
tour, oa iaka»tana bo.c’ach ba kielcr '»atr
ar c üleler-man eo a vezo soüst cvic lia
c acnseucted. p » zim ezirt pe pa varviut,.
A r oboati a z j konman&út d.:ja e R v.>.
salf.
' '
Gonde kement ail, mear ar gommnn-ma
ne zaleo ket, m'oarvad, da v«.za b a r . t t
deputei
--------- -- *C*—---------- ---^
Korf Bernaíoít Soubirous
ps guelloc'h ar Sœur Marie Bernard
H )« !« .'».erien, n ’o rt.ecz s o .i m a j «s
e ' "a ez euz hano <is 'at&t ar Sœav Marie
lU r M td o >cuk ao dud tO tz. ü. ,oi*.u « ; j
b it dib&bet gant Aotrou ’n E i&op N< *cre
var »Bâtit Hou Tad Sa: tel ar Pub ->i X evit
i'b;r eua f'.irians ; reseret 0 deuz t c j- n i
au Aotrow Brtrad». f « n den bag eu deus
«navizet m a i Bfrcadetr en amzer an appajivionou, ha sk îvetbebuoz; reu-Vcco d ; z
b> ,
Aba.1ie bu kalz tud ,«a.
Eu dervezlou uiveza cas mi/, guensoio
b z gertieberrz 1 -oun Varia ^aard a 0 "è
h»s 9? e bo t a zo b d Uavct k:.ee
<b breinatlure? ebit. S ttu atua .ar gemeatî
se lavarou eun te: t, eveî m'bo le n n ït er zizun t.'om :net er güzetfn l.a Croix,
« N.i c’hell. t ket aaaoat n;
,b dibtn ta
brei'iadurcz var ar pez a c' * 3 a da w ip t
cb*d
* Beruadett’ pa oue
-oOret an ar-
» Kig ar cho-f a ioa b.iuk, mntaket 0
veze k'-n eaz ha »i.-; eun dea beo ; a.- b u a
vouit c b -eae h pe kof-gar ar e borf ££:•.'■e, a zauke eba-z dioc htu ; mes k .ik e n t ha
^
ar,ljiz k '\
lr-an tonil a veze het
g re a ta d e v e da Bta-ica. Kotî ar w . rc’üez
jaonank a zo asteanrt .n arched. ne
udouarn a zo kro: zlet var he le a lu ia . Sevel
d
th . f» rktukcnt 111 rn’no laohket
e loc’beat
.1to
ocrhtu
adarre,
, i ,ÜJ 11 iS’ eYel ara°k, aaezo ho-uuan.
un ri r f
m 11 w °»
e a z eo g a e ie t
an d rit oll. Eut la^ id eboumet eb beza
serret ma<! diochtu gouda an tremeuvau. a
zo digor at.ni ; çuelet a reer eaz n u b al
K.gad eb bnez A l lagad all a î o cüoamet
fco rca K ioz.
» A r goazied, nendapnet sklear va- kil
an diiou irn, a zo ken esz da studia ua poa.
:ied eun den beo. Y vlro a an tr J d ha« an
d «ouata a ZO choumet evel pa 0 ,. Beraadett
o tremen.
-**»unu
A ! ieanez yaouank 0 doa enn Le ec.r
•ur goull : tra sou zuz l ar gouli i v a ?o
¿ b«iaz diftor. E jr medir a en det.z sunket
«.k
eiâi'!n- 1
8a ssi'orn, mes au
.skorn, d locji ma 'avar a zo c'hoaz stard.
t.a gonlskonde Soa«- « a ie l í irnard a w à
k;an» he estera ftubirculose des os), en he
¡doavezioB divez*.
* Ar e botf a zo bet diaicheoet bx Iakeat
en «un «rooed all, eun arened uovez
lu x n ’p . m e s k o .f
le a n e z a 10 c iio u m e t
< n e bc-z, eb e u r m e r k euz a u d is te r r a breinad urt*» e n ^ b Ie ac ’b . epad m ’ù e d e n n e t e u z
an arched kenta d’he Iakât var an daol,
hag ac’bano en e!t arched.
A r gulsk!m!\nt. a zo gonlskonde tezet
o! ha var n^z raa»t e >ndà. »
Le «
fififiiard »
des Congrégations
m Z t7 J ? SSr,0n8 aat!cl*:l raies en faisant
miroiter le f'tn en x «m illiard des Gonsrigattocs » où l’on puiserait à pleine» mains
vrtère
Ber aU peupIc 138 retrait«8 o«.
coup de slfQet, sans doute pour appeler
un em elgnem ent qui contredise l’ensei­
d'autres camarades. Le factionnaire Invita
gnement familial.
la bande à déguerpir, mal» le» six lndlvldas
Or, c'est ce qui «e pratique dan» un trop
granu nombre d'école» officielles, hélas 1 se précipitèrent sur lui, enayèroat de le
bâillonner, et comme 11 ce débattait avee
Décrétée» neutres en matière religieuse,
violence, l'un d’entre eux »ortlt »on couteau
beaucoup de ces écoles n ’ont pas tardé à
et voulut frapper Charles Bonhorre, qui ne
devenir des éeole» »an» D ieu, et même des
fut »as atteint. Il cria au »ecours et le«
écoles contre Dieu.
malfaiteurs s’enfuirent.
Mais que leB parents prennent garde : si
— La môme nuit, à la poudrière de Kéliles enfants désapprennent leurs devoirs
verzan, vers six heures da matin, deux
envers Dieu, Ils auront tôt fait d’oublier
sentinelles aperçurent des Individus qui
aussi leurs devoirs envers leurs père et
avaient franchi le treillage en fll de fer qui
mère ; c*r qui ne veut pas de D ieu ne veut
délimite le terrain de la poudrière et qui se
pas davantage de maîtres, et ne reconnaît
trouvaient prè» du paratonnerre.
bientôt plus d'autorité ni mfcne de patrie.
Un des soldats tira un coup de revol fer
Triaor.
Parents catholiques, vos enfants catho­
Main Ica .'ongrépinllouH voulurent sauver
dans la direction de» rôdeurs, pendant que
liques devaient aller tou» à l’école catho­
<i le mu'S m ix te s de lenr» blennet conllanteB
l'autre sentinelle allait prévenir le poste.
lique. Malheureusement les écoles catho­
Mes ar gwella moyen a 7.0 tout da vlret
» ucore en l i Justice do leur paya — Mon
Celui-ci accourut, fit des battues, mais sans
liques, trop peu nombreuses, n ’ont plus de
euz ar peli eo kavet kestennadou krên. Ar
____________
nu'oa It-u euo mises Uors la loi — protesréBultat.
place pour le» rec-volr. Nous pourrions en
reman, evel eur vro poblet mad, o deuz
lù m n t devant los tribunaux contre Us nRiscoDStrolr s d'autres ; mais le môme gouver­
kal» soudardet hag a vtr ouz an cnebourien
T errible chuta
semoutH Illégaux «’t souvent déllotuitux den
nement qui a tourné l'enseignement offi­
da zonet drelst e frontlerou ; er c'hontrol,
Mardi aprèe-midl vers 4 heure», un ou­
liquidateurs.
ciel contre notre foi a dispersé nos maîties
mar d’eo sempl. e c'hoarveso gant’bi ar
vrier couvreur, Jeau Le Saout, &^é de
O .nx cl avec une l ft'.e «enr tluleuso -- tels
Lo Journal officiel u promulgué la loi
chrétiens ou les a condamnés à l'exil.
pez a lavare Gauthier de Clagoy n'eur. ket
d is v im lu u u qui se Jettent sur un cadavre
64 a. s, qui travaillait daus l lmmenble por­
sur le paiement des salaires des ouvriers
E t alors, nous Kvêques, aprèt avoir
pel ebars er Gamp, a c’hoarvezo eb dale
lultant le n* 2« ue la rue Moage, est tombé
— «'étalent Installés on uuU rcs dans les
réfléchi pendant sept ou huit mois sur le
et employés, votéo délialtlvement la seant ar I<'raas, mar gontunu fcentellou
Mais il n ’en est pas m o ins vrai qu’une
couvents et en dispersaient à l’enoau les
»ur le pavé, de la nauteur du troisième
rr**ède
à
apporter
a
cette
triste
situation,
malue dernière par le Sénat.
laltbus da ober o hent.
eau qui lo co ntie nt est m auvaise. S * pré­
étage. L’ouvrier qui a les deux Jambes
bious, les iloheSBCB, ou souvenir» artlstlnous vous avons d it: Quand vous '.e
Ko volet le texte :
Koulskoude, en despet da gement a
sence sig o llio que cette eau est lnfeeîée
brisées, fut transporté à l’bOpltal civil dans;
pouvez faire autrement, nous tolérons que
rafet, a c’hel ar peli douet, hag ar pez a
Artlolo t ” . - L ot lalulro» de» o u v r ir a et ompar des m atières féeales.
un état très grave et mourut dans la soirée.
i|lU’e»t ulnni qu’aujourd’hui les malsons
vos enfants allient à l’école neutre.
so ar goassa, ar peli Jeneral. E ur veach ess
plovôi doivent itre p »jé » eu raonunle métallique
D e plus, il y a lieu do bc dem snder »1,
Juives d’.tntlquités ont leurs rayons bondés
Remarquez bleu que nous n'approuvons
ou tliluclalre ayant cour* ldgal, nonobitant tout*
beuz er gwelet ; en dervez ze na moa ket kais
dans ces eaux contam inées par le baeterlum
L a fièvre typhoïde
stipulation ooutralro, à peine do nullltô.
de croix ciselée» avec amour par 1orfèvre
pas le principe : nous sommes les ennemis
a c ’ho a n td a c’üosrzin. E oan eno etoues
coll. noue trouverait pas le bacille d Ë o ertb,
Art. a. — Le» salaire« do» ouvrier« du com­
du mojen-fUo, do olittases, nue n piété dos
de la neutralité, parce que c’est un mal. B'
ma gwenan gant eur mosreder eb»rs em
Uu troisième décès dû à l’épidémie de
m
icrobe
de
la
fièvre
typhoïde
q
u
l
l
est
merce et do l'indu itrl* dolvimt «lr» p i j i s nu
populations avait enrlohlos de pierres préd'ailleurs, un homm e complet ne peut ¡;aB typüoïde qui règne à ia caserne du Château
dorn o tenler moget maya ma c’haiien evlt
puvfoie f u t dlflkllrt de deceler daus l'ea*.
moins doux fol» par m o li, A aolzu Jours au plus
être
neutre
:
1
1
est
pour
ou
contre
la
R
e
li­
ClcUBQH.
eassa
calati
anezo,
evel
eur
roue
c
touez
e
s'est
produit hier. La victime, Albert StelCortslcs auteurs ont niôm s été p'.us lo in.
d'iutorvnllo : ooux do» employés doivent être
J)(s piocôs b’ci'Rhïô ont entre les llnulgion.
sujudl ravoltet ; üa me bromet deoc h na
c'ael, à^é de 22 ans, est originaire de Paris.
Leu rc ïs tm b la n c e s du bucterlum e*U avec
payés au moin» une lot» pur mol».
«atours et tes congrégations ou leuts débi­
Mais enfin, du moment que la nrutralité
Pour tout travail aux plioe» dont lexâoutlon
oant ket goal dener eu derveï-ze em
10 bacille u’Eberth sont telles rçuon a été
Saisies d* la it
teurs. li» partie n otait point égal« c ir lea
doit duror pluB d'une nulnislno, le» dates do pale,
bous a étéprom isi. qu’elle est inscrite dan.i
audret, ha meur da dol klcze em boa resejusqu'4 en fa lM une variété de ce dernlsr,
mout pouvont étro flji-'OS do gi'é 8 gré, mal» l'ou­
llquldateu » qui, pour supportor les frais
la
loi, nous demandons an gouvernement :
vet ebarsem c'hroc’hen; ha na p am bije
Le burenu de la 8ucl*U d'agriculture de l ’eret de lo croire cupable. dau » certaines co n­
vrier doit recevoir des aoomptos chnquo quinzaine
du piocôs recevaient des avances du
roudlsssinuut de Brest, en présence des njm tenez votre promesse, appliqu-z votre loi.
bet gallout Josue, na rai]* k»t great
ditions. de subir des transform ations qui
ol élro Intégrulemont p a jô dans la tiulm alno qui
bieuics
saisies do lait qsl ont lieu en vertu de ia
T risor, 6 aient a s iu ré i do no rien perdre ;
Car
elle
est
outrageusement
violée,
cftte
evelVhan,
er
c'hontrol
eo
o
klask
gwelet
l'ideutifleraleut avec lui. Cette U eutilisuit la llvralion de l’ouvruge.
_ , ,
loi Bur la represaluu des fraudes — regrette que
leuia p o u : suivants agissaient ù leurs ilsloi. dau» certaines ecoles, où l’on a Intro­
an aol vonet ar c henta ar gwella dindan
cation par transfo rm atio n n ’a pus été, ju s ­
Art. 3. — L » p&tomout 11« peut itre effoctuis uu
k
s
producteurs
Je bonne loljoe puissent lnvoeeer
duit des manuels nette,nout hostiles 4
skeud an douar a o»u; monet 4 reas <bars
lour où l’ouvrier ou l'employé a droit nu ropo»,
q u ’ici, réalisée par aucun expérim entateur.
de règle »xe qui leur permettrait de se détendre
® U*eeÙe 6qüo fut la légitim ité des réclal’Egiise, A ses enseignements divins,comme
ar t u ; mes pegement a gorfou maro 11a
soit en vertu d# la loi, »oit en vertu do la con­
Q u oiq u'il en soit, u ne eau co nte nant le
devant les trlou.i.iux correctionnels.
mation» - légitim ité qui parfois orevalt
vention. Il ne peut avoir lieu dau» los ¡débits do
aussi a la vérité bittonque.
oa ki)t ebomet eno var an dachen I
Le li lt rst eu efet Dn p -o tu't complexe ¡'rósenbaeterlum coli, le m icrobe de la p u tré ­
bolsaous ou muKMlns do veuto, saut pour los per
Îch veux — le» liquidateurs s'enfoncaient
Bo uotre devoir est 0 en avertir le3 pa­ tsut dei dlSsrenccs con.i lé rtb lfs ians sa com­
El fit an draman, ar gwella zo da ober eo
faction et quelques antres, est «n e eau
eonuc» qui j so.it ocoupéos.
position
: Il n ’y n pus un loi:, 11 t a do« laits,
toujours dans le maquis de la procédure.
rents,
et
d«
leur
dire
:
surveillez
l’école
de
sari
dorlou
ar
c’hosteuuou
evlt
na
c
dello
souillée et u u liib le a la santé publique. Soa
Art. 4. — Ba 00 qui concerne lo commerce ot
(üncleux).
Quelques notfS do frais présentées au
vo* enfants. La chose est f Acile.
ket ouspen dlou wenanen sortial asamblea,
Ingestion m e t celui qui la consom m e en
l'industrie, los Inspecteur» du travail sont ohariiés,
La
cum^jotlll;n
moyenne da lait u t blea*
trfsor par ces llqullateurs tombèrent
Vos eufauts ont des livres : voyez ce
mogodi pe arosi gant dour.
état d’infériorité et le reud plus apte à
conourremraont aveo le» util lier» d 3 police judllisu
= *7 .»•/••
sous le» yeux de cléputé» et »éoateur»
qu'ils contieua«nt ; Ils ont des cahiers,
A n Gw knansb.
olalro, d’. ssmor l'exéoutloa 4a la présente loi.
contracter les m aladies.
Extrait sec — 1» t •/,.
dn l’oDnoalilon. Lour exagération, leur»
examinez-les. Il* reçoivent des leçon» ora­
Le» contravention» à 1a présente loi sont cons­
L ’eau peut renferm er, en «titre, acciden­
Mais les lindo* rarleiluas observées sont :
c a l c u l s Çautalslstos, lear obscurité los Iraptatées dan» le» conditions Indlq ttea par 1 article
les : vus eufante peuvent vou* les rappor­
»1 » »0 •/. «a».
tellem ent, d'uutres m icrobe«, m icrobes
ter. Ce n ’e it pas là de la délation ni même
................
î»,',d* l» loi du 3 novim br* l i a i .
1* t 10 •/. «xtralt see.
vraim ent spécifiques ceux là, c’est-4-dlre,
ben»
Hans
préjudlco
préjudice
de
la
responsabilité
«
elvlle,
m
ie
,
tout»
lout
^M.^IUou, sénateur du Morbihan, réelama
de l’indiscrétion : l'école est publique, tout
La densité da lait natarel « uae '.«m a irs in rn
capables
d'engendrer
à
eux
seuls,
une
m
a
­
oontravoutlon a»x prescriptions do» articles l , .
de
ti*
varie
vgelenent
4e I0.SS a 1 «
le monde a le droit de savoir ce qui s y
avec lénaolté, ténacité qui fut récompensée et S de la préieat* fol, »era jo rtée devant le Juki
ladie to«]oura la m ôm e, la fièvre ty p h o lie
K .ftn, lu quantité de natté e '¿ratre va>le tel­
do Duecèa 1« communication des dossiers de paix Jugeant on elmple »olloe et «era P « » « ^ 1«
passe, et les parents en ont le devoir.
pour lo bacille d ü o e rth , lo cQoléra pour le
D e l a p r o u v e d es ob lig a tio n « (suite).
lement qu II a est pas posslbl». 4 « ta b !l, ar. limites
Si le livre e lt condamné par 1Eglise ou
des llauldatlons en coût» de 1année ISO”.
d'ano amende de cinq a qalnao frano» (» a l l fr.).
baclllo virgule.
exactes comme pour la de».,lté
„ fa<t
tU M .
— Nous avons vu dans leu dernières cause­
contient quelque chose de contraire à la
Uombes lul-même demanda cette comL’artlole 483 du G o ia rénal »ora applicable,
L ’u rU Iu e h y d r lq ie d » choléra fu t étab'.lo
sur la rlckewe moyenne dee ».,iu de 1* regina a
ries ce (ÿi'étalt ua acte authentique, ce que
Religion,
vous
ne
pouvez
permettre
à
votra
A rt. ». — L » présent# loi est applicable a
la
Dation
cooaldtré«.
en 1849, par deux amteurs an glais, J o h n
l’on pouvait prouver par un acte authen­
“ unecom mlislon sénatoriale lut nommée.
enfant d’en apprendre une ligne, vous ne
S u o w t t W illia m Rndd. Le eholéra peut Be
tique et Jusqu'à quel point ou pouvait le
^T. r,
la
rappelle également
pouvaz même pas le laisser entre sesmi-ins
Kilo vit dès le premier examen dos dossiers * ^ k r f F — La présonle loi »era applicable, six
tra
n
s
m
e
tu
e
de
différentes
m
anières.
M»ls
îîîJ »
l* ‘ prélè*em «nu doivent
proaver. Nous avons constaté que l'on pou­
......
mola
après
»a
promulgation.
n i le garder pour vous-mêmes
q u e la liquidation d é s a g ré g a tio n s n’était
t u » r Mk ¡
i * * l , «at au dMrat d’admlalutral'agent le plus «rd lna lre de sa diffusion est
vait prouver par un acte authentique pre­
Ht si les cahiers ou les rapports concor­
n m w .i i ’ t 0 11 Juillet 1*0», Inséré a j o u r n a i
l’eau V ienne u n cholérique dans u n paya,
mièrement, ce qui s’étalt passé d ;vant le
dants de vos enfants vous apportent l’asi^
11 engage donc lee cu.tlva'''lJo a uc c up ^e liquidateur» s’étalent con­
'''lJoauccup^e
consi scs d éj*c llo n » arriv e nt à infecter un
notaire et deuxièmement ce que les parties
Police
du
Roulage
°
aller ^et arrêté (.qills troareront au
surance que le M iltre ou la mUtres^e
i.nltii
pUlaut
les^conduits on véritable» bandit»
bandits P
»1«»* !®5L®9î;
pnlla, u n cours d ’ean, une canalisatio n
avalent rapporté aa notaire, mais que le
»l*ge
ue
Soclôié)
afln de »olr si le tnode d »
donnent un enseignement qui ue respecte
cations 'rut no pontfticnt 86 détendre
d’eau, les h ab ite nt» q ti se serviront de
La chambre orlmlnelle do la cour do onssatlon
notaire u’uveit pu constater par lul-même.
P-1*« n’échantlllon est st-li;eiueat obiervé. I l
pas les convictions ,Je votre ftme, vous
cffljaoomei'' contre eux et l’Btat è qui Ils a tondu un arrêt qui vloat groislr uuo Jurispru­ estte eau co ntractèrent en pins ou m oins
•
‘
PP'.Ue
neanuiolùs
que lluobiervatlsa d’un»
L’acte i.otarlé ne peut être combattu qua
devez les rappeler à leur devoir.
ne remboursaient point le» avances. Il y dence déjà très abondaat» et que tous conductours
io ii u i iu e u ’e m n l je pas nécessairement la nalIltA
grand nom bre la m aladie, qal peut ainsi
par la vole très périlleuse et très difficile à
Le
père
n
’osera
pat
toujours
faire
cettu
eut an moment d'émoi dan» les m î le »
da procés-verbal, donc qu'il n'en résalte pas u s e
do véhiculas »orout «»aiilmos A déploror.
gagner toute une ag g lo m ératio n, u n v il­
m iner X bien de l'inscription de faux en oe
démarche : l’hom m : est brave dans le
Il s'aghsslt d'en procècverbal d ro n é 4 un cy­
atteinte aax droits de la defease. Ceax-cl sont
nnlitlauea parlementaire» i on craignit des
lage, an bourg, s'il s ’ag it d’un p u lls , uae
qui concerne Iss choses qua le notaire a pu
■e avogardes dés l'instant ( s 'il n'est pas douteux
danger
et
sur
le
c
h
im
p
de
bataille;
mai»
Févélations car nombre de parlementaires cliste pour défaut d'éclairage A sa « « c h in e A huit
ville s’I l s ’agli d ’une canalisatio n d'eau.
constater par lul-même. \u contraire, en
heure»
qunrinte
du
soir.
A
une
date
(JO
mal)
où
f4 *e les eckantlllons dé lait prélevés ont été Immé­
devant un devoir moral à rem»l',r 11 e*t
avaient prété leur complicité morale aux
Il en est de m êm e do la lièvre ty p ho lie ,
ce qui concerne les choses que le notaire
diatement places sous scellés et soat b l,n ceux
le oouohor du soleil avait lieu A «spt heuro» cluplutôt peureux et hésitant A'.or», u ia n t de
Kogardons Jt ce propos co qui se passo
n'a pas pu constater par lul-mêne et qu’il
qui oat été soumis a l'examen des expert*.
V Aialsprudemment le gouvernement i.flu <,ULo lu'g* de police avait ludloleuiement pronoucé
io n autorité, 11 comma> 4era à la m ère:
Remarqua. — L ’ialéressé (commerçant oa ealdans nos cam pagnes.
rapporte simplement sur les dires des par­
Tai-y, toi, le» f e m ^ cg ont plu» de langue
d'im iter ces révélations Joua 1Indignation
relaxo ea déclsruat que le Jour visible no to «^
tlvatéar) devra spielalement veiller a ee qua 1«
U .t m em bre f u n o fam ille c o n tra e tî, Ici
ties. on peut prouver quo cr» choses ne
et
plus
de
baii'iegie.
Va
donc
trouver
le
bail eu Unnis nermal, étant donné le ll»u da la
contréleur
remue lé liquide avec une longae cuil­
e t «e revêtant d’un manteau de probité
ou l i , la flèvr« typhoï le. A u c u n s précaution
sont pas vraies par ua antre écrit et saas
oonlravcriilon, qu'uue haur* aprèsil* coucUsr du
lère de bas en baut et de h aat en bas ou lo traaas
maître, \
-A maîtresse, et dli-l*ur, sam
S éjî men troué, n'eut pa. de m a . . » » «
n'est prise : les m atière* fécales sost Jetée»
recourir
à
1
inscription
de
faux.
soleil et qu'au fuit, * • i«ur et A 1h*ur* Indiqués,
vaser dans un autre réclpleat bien propre. I l sst
én ergiques pour flétrir les liquidateurs
aa^.Hionte q t ’il* blessent nos oonvictloui
sur uu fum ier, volsla d 'a n palts m al coas
Nous allons exasalnar m aintenant la se« l'état Un olel était beau et q u ll laleelt eaooie
essraUel, en effet, de mélanger toutes lee conchos
Intime», et prle-lt« de l ’abstealr de cei
trait, délabré. Il a ’en faut pas p la» pour
conle des principale» pr uve» par tZ nt,
du lait à examiner. Le lait b lia roma» doit i.r o
attaques contre notre sainte Religion. »
jn üet’“ DaUeitide habile Otait tout prétexte 1° ï! a " n ”nr‘ »P c>asllé l co Jugement en déoldnnt quo,
co ntam ine r to u t le village do nt la plup art
versé dans des bouteilles d’un deml-lltre, préala­
c'est-à-dire l'acte sou» slgn*1^ . privée.
d’iutc-pellatloj dangereuse pour bsaucoup
Ht »’1110 rencontre des chefs de faullle
tes hab itants p aie nt «uocesslvem ent un
blem ent reconnues vides et blsn propres. Lee houon mntlô.o pénale, le temps de nuit était rouNon» al Ion» voir oe <»■
’ ' C'egt' qu’un acte
qui auraient à craindre, en défendait direc­
teUles soat rea p lles complètement pour éviter >4
(utnié d m » les limites préolses et cor t» nos et
trib u t plus ou m o in s lourd & la redoutable
sous signature j^ v é e , comment 11 doit être
nu'll oompronalt lntégrulement 1 Intervalle qui
ballottement, <[ul amènerait lo barattage. 0 «
tement rame de le u ri enfant», d’encourir
t
*
n’en allèrent pas mieux ainsi
maladl.','.
tait
(»
ce
qu»
l’on
peut
proaver
par
son
ferme aveo dea bouekoos de beans qualité et
de» dlsgrftces, »’11» »ont rattaché» à l’adrnloui le con»tate une série do rapport,i do s'ôeoulo du couchor uu levor du seloll, s.ma uôLa tuberculose, elle-même, peut avoir
moyen.
après avoir placé sur le bouckon a te banda im
des période» çrépuioululre».
« titratio n par un lien quelconque, qu’Ui
C sroctlon de» l'Inauces snr le» opéra­ duotlou
pour c«u»e U k u o rn tlo u d'eau contam inée,
Gala fait, nos» ferons une comparaison
1
)6
|
A
,
a u su|ot do l In te rpré tatio n d u déoret du
papier, Indiquent la nom et lé domicile d a véal'enrôlent d a m le i aasoclatloni ue pères et
t i o n » des liquidait urs, rapport* ^dronsés
ü h u n te m e is e et W id a l o n t, en effet, d é ­
deur, la date dn Jour, 1'lndleaUon de la traite loa
10 u n d l
relatif A 1» polloe d u rou la g e .et
entre l'acte autkentlque ot l’aote sous seing
mères chrétiens, dont le bureau le chargera
ce» josri derniers au président de la Jlé- dont IVirtlcIo 16 p esorlt de m u n ir d u n e lanterne
m ontré que le bacille de K o cb , le mlorobe
signatures de l’opérateur, d«s témoins (s'îi en m
privé. Noas verrons qu*ls sont tes avan­
d e i démarches nécessaires, et les fera en
été requis), du vendeur.
de lu tuuerouloue, pouvait rester vivant
ullu m o n Ion voitures c ircu lan t pe nd an t 1» n u it, la
tages et les inconvénients de chacan d'eux.
toute compétence, et avec d’autant plus
Ou Scelle et on cachette.
‘"'Au '1'iTdoiBlcra, 24 p'étalent à dlv.rses c lium bro c ilu ilu illo tiV. lt I f j j ! 1! nov um b iti lBOO,
plus de 7U jo u rs dan* l’eau distillée.
L’acte soas seing prlvéi autrement dit
Les «eatro échantillons doivent lir a p ré io v ti
d ’autorité qu’il représentera un plu* grand
3 lAvrlOi' IB iil, Ot 30 marn laos rondu des aJ ‘ fll*
La dysscntfi'lc, elle aussi, Be transm et
cri iquei.
sous
signature
privée,
est
celui
qu'une
ou
A t,in " , ’ a nt m m ém o ¡urlsprutleuco « t déorétaut
et cachous dans d w conditions •.deaUque», oa 11
nombre.
sonvent par nue euu Infectée.
OuolleB sont ces critiques/
plusieurs persouues dressent pour leur
î* »... », / ’• ‘-'«r dovultOtro coualiléré« comm®
est
utile d ajouter 4 c b 'q a o éf k in tlllon an demi«
Ce devoir de contrôle Incomberait au
(¿îant au paludisme, l’it fluence de l’eau
in.i],ort connu du public ne les InJlpropre compte, en leur qua'.ité de simples
groniSQ do k lc h r o v s ii as pjta»se ou
a y u n u fe ù a l hVura astro n o m iq ue d . eoucU tr du
gouvernement, et un gouvernement digne
mu ua contagion a été démontrée depulü ua
iiuo poB.
.
x>
gouttüs de formol, de faç®r. «u« ]§ x^it Q*arrlvo
particuliers.
ae ce nom aurait à iseur de l'exercer ; et
N’auralt-on pas voulu par un oupué- “ 'lloureusoment quo dan» lu P'ajtauo te* ngenla
pas caillé aa lahoratelnt.
demi siècle.
Quelle» sont les forme» aaxqaelles est
d sprèi quelques-uns il a paru y venir e n
rnlai io administrai it adoucir 1expression vorballsat-urB tlounont pou uompte.idos prtsoirlp
Com m e on le volt. l’Infi iSBoe de l'eau sur
SM ujettlun acte sous signature pdvée pour
dont lnate»au
«»Sage le enlllvatear,
tem
pi
derniers,
en
disant
aux
Instituteurs
:
dont le lait ^ ûté .mlsl, a envoyer — à titre coulions aussi étroites; malB, çepoudantle» cvolls «»,
lu santé est prépondéraute. A ussi voyonsd’une Idée Mcheuso I
être valable ? J ’attire d'une fafon toute par­
< Ne donnez p is à votre enseignement un
Üo rapport nouB apprend cependant
lo» atilomobllUtn» ot d’une ngon ginéralo les con
nous les m u nicip alités rivaliser de ïè le et
f^h !?riL ~
la l, i * eu 11 possession, au
ticulière l'attention de mes lecteurs sar les
laborat^,ré départer,¡Sntai de Qulmpor.
caractère de polémique, n ’ouvrez pas v o l
« «rue lo (tarde dcsncoaux u dû prendre des duettur» do véhicules, quoi» qu’lTs »olent. agi on
pourvoir d’eaux pure» leurs ad m inistrés.
considérations qui vont suivre. Il peut le^r
I ', bateau, tout en luslstant poar «ce l'anaWso
iivoo nrudonca ot
on ullum ant Joui inn
écoles aux discussioi'3 de la rue. *
montres rigoureuses eontro trol» liquidaAux individus de com pléter l'œ uvre de
arriver
d'avoir
à
rédiger
eux-mêmes
des
chimique, conformément é l'arrété du '.8 Jaavler
“ern. dé. que I* >ol*ll aura disparu du BrmaCes païoles étalent tro.j peu claires pour
cura élus en lie cnnstruitiaat de bons puits
acte» sou» signature privée et 11 est bon
1U07, du lait saisi dans los formes légales colt
nous inspirer oonliauee; et elles ne pouvaient
_______
tUCe« trois liquidateur» avaient «an» doute ment.
bien abrités i l « lu iiu re té s .
toujours faite do la f.ço n la p lo t rlruoiouse e t
qu’ils sachent quelles sont les formalités
manquer
d'être
ainsi
interprétées
:
«
pas
dépassé le» bornes ds la raallioniiêteté.
D r Q u in t in (de Plouescat).
pour quo le chlmlsto du laboratoire admis t pro»
abïO ument cécctsslr^.n pour que l’acte
d histoires, mats n o u j comptons sur vous
cédor l ’exam en de l'echautllion soit toujours apOuat d on s ' fiit voleur, il faut connaître
qu’ils peuvent &*oir à dresser coit valable.
•mrnmg e m sismmiÊmiÊËmiamiimÊSs m
pour nous aider â éteiudre les lumières du
polé á soutenir ses conclusions devant lo tribunal,
sou métier et avoir en dépouillant sa vic­
Les paroies (ou l'auteur do l'acte s'il est
b-riet le vœu,
ciel,
»
ce
qui
veut
dire,
sans
doute,
extirper
time un cortalne élégance do geste, sans
Beu ) sont libres d'fmployer telles fjrm es
Que lors de la saisie d’un lait supposé suspect.
des
«couis
la
croyance
eu
Dieu.
nuol l’on n’est, qu’un vil goujat. Le» Mois
et de se servir de te,lea txp.essiona qu'elles
Il doit toujours «ire lait, * l’etable da v e n d W
E t au lieu de s occuper de maintenir soa
llquldatoura trappéa n’auront pan eu cetio
voudront. PI 1 général, voici la forme usuelle
Prochainement, le « C O U R ­
un« épreuve a la ^6010 heure détm llo que v>oiir
llrcst
enseignement dans les limites de la loi, le
«loganco Je KCMtc qui réserve à <1autres
pour uu contrat qui n ’engng« qu'une sjule
le lait saisi et autant quo possible vlnirt-qaa'tr«
gouvernement n ’a d’autre souci que d’en­
collègues non moins voleurs, nuls plus R I E R D U F I N I S T E R E » « e r a
Concours d'étalons. — Samedi a eu paitle :
houres après — l ’affouragement des vaches oevant
rester le n:6œe.
Iwbiu a, rindulgaace Rouvernementale.
lieu, sur les Glacis, lu concours aumiel d é« Je, soussigné, Jean-Murie X .., domi­ traver le nôtre.
imprimé
sur
presse
*
.otatlve
Ne nous a-t-il pas lancé cette menace :
Eotre lt s m «lns de ces algrelluB le ml talons de trait de trois ans au m ins Ce
cilie i tel endroit, prend par le prisent
Bt nous ajouteront que la meilleure m a ­
«
Nous
Irons
dans
vos
écoles
I
»
l
i
n
’y
vient
ilutd « eut fondu, évanoui. C'est à peine si
organisé par la Société hippique
acteienyagement de... •
niere de ne pas s’attirer d histoires est de
et des caractères entière­ eeucour»,
déii. que tro,i> ; il y i-sp'O e les cahiers, et
l’Ktat a PH rénllseï' un actif atteignant
de Lcsueven, avsit réuni 51 é'.atons.
6 il s «gît, au contraire, d'un acte des lné
vendre toujours du lait po<\ Sur ce point
pro*ciit les livres qui lui déplaisent. C'est
V7 minions 200,483. «4 de la vente des biens
En voici les résultats :
ment neufs. En môme temps,
à ll*r deux ou plusieurs parties, on e m ­
nous cioyur.s qae q^-eiques o a ltiv a te u r «
ainsi que i l vous allies demander daus une
cMKrôitauiiJ'os. Nous Hommta loin du
ploiera le plus souvent la for mal- suivante :
pourraieuî laire uu petit t x a m e a de con»Etalons Asrnoi'vts ethinsionnés par i.*s haiuu
école
chrétienne
ou
i'nis
otre
de
l'abbé
l e format sera considéra­
m lllW d . « Ulen mal ncqulfi no prollto Ja­
ck-uce.
•1 Entre les soussignés, L»u\l X... domi­
Romulut, M.
liai»ü .. d', l’ Iouzdno, kM lr.
Courval,
ou
l’nistoire
de
1
abbé
Gagnoi,
ou
mais » dit, la Bagesso des peuples. Ç.ot
cilié
i
tel
endroit,
et
Pierr»
Ÿ...,
domicilié
pur itu ; S«(ril U rli»ln, K. Q ui Iminsn L:iv;,naot,
blement
agrandi.
celle
de
l’abbé
V
andepltte.il
vous
serait
adago trouvo une nouvelle confirmation
,10 SHlnt-Dlvy. ',00 lr. par uu ; Ziplilr, V. Yves
à tel autre, d'une p a r t ; etjran Z- ■
. domi­ tépoadu : • Nous n’avons plus le droit
Lampaul-Plour.rzel
li,r,u , de rioutdar, 400 f,'. pur an : (loujird, M.
cilié ici ni iîaul T..„ domicilié là, d ’au tro
d’employer cea livres et une trentaine
J
i.in-Mnrle
lloullu,
d’Hstivec,
400
lr.
p*r
au
;
D o u a n ie r s a tt a q a O » . — Le trlbunai
6' MiVudlsftnt M M. Barthou et üocliç.ry dans
p
a
rt,
il
a
été
coiioimu
ce
qui
suit
:
..
•
Arthur, M. y , os Uel.tU, d» Womsué, ni)0 lr,
d antres. »
correclionut;! Oe SrtSA a jugé 10» agreg-,
pn rapport olllolnl, si lf» llq u dations des
Mais, encore uoe (ois, ces formules n'ont
par an ; Hrfrut, M. Jean-Marlo Pailler, do PlouKt pourquoi? K it .ce q i ’ou y prê .'^erait
seurs q^i, le 17 octobre dans la soirée,
conpréRatioos n’ont produit qu uno somme
absolu meut rien d’obligatoire. La perso ace
vleu, 400 lr, pur un.
l’anarchie, la révolte ? Holnt di> ‘t00t, Muis
attaquèrent le sous-brig^dler Guaries Lo
minime en regard de celle que I on escomp­
ou le» personnes q ü veulent faire un acte
ils »ont imprégné* d'eiD-^ chrétien. Ht eu
Mcitlour et le prépose Tüél»*ut, tou* deux
Eïai.ohs ra ia é s i u soNeounS
tait. la faute en est surtout aux congregasons siKUttiare privée sont absolument
N o m in a t io n ! * ] d a n s lo O l
en service a La.ripaul-Piouariel.
outre oa leur r.o n ^ 'u e de ne pas parlar en
Ifesdln, M. J,i»n-Miirlo Ksrbsul, de Plouédern,
ttons ot A leurs ami» qui ont entravé le»
libres d'en employer d'autres Au contraire,
400 francs ; P arfu«, M. Puul Lsgadec, de PlabenA u c o m s d r I en^tête, quatre pêchcari
terme» as*“- flatteurs de quelques persoaopération» par tous les moyen».
les form ilitésque nous allons étudier m ain­
Par décision de Mgr l’Bvéque ont ét»
use, «7» lr. ; fa r a u d , M. Palllor, do PlouvUn,
furent ariôtéü, ujw* seu», le gabarrter
Oe reproche est naît ; car il oat bien rare
^ * ^ ' « 1 du la Révolution.
tenant sont drg formalités substantielles,
310 fr. ; Afotffll/, M. J«an-Prançols Kerkuall, de
nomméa
•
Jacques
Jonequeur. ï» anK,, 4 e Pl«uatv»l a
ou’oi; se laisse dépouiller de ses biens aveo
B)lt, disons-nous a'ors au gouverne­
Leur absence rend l'acte nul Nous divLsntilll», 350 fr. ; Vnrue, M. Joseph Lannniel, de
Vlcalro é P lo u ja in o u , U . Boussard, vloalro 4
été coudamno à « m-f« do prison, le«
bonne tfrftoe ot les exécuteurs do la loi
m ent: nous n'emploierons p a l cei manue's
rons
ces
fo
.m
ilie
u
eu
de»’
oatéff0<Te»
Plouilu,
Hat
1^.
;
tig
tril,
M.
Fr»PÇ'>l»
Vli<ouroiix,
l'R U é - O ib é r lo ;
,
autres ont été acquitté».
eontro les congrégations ne devaient po nt
dars n o i écoles. Mais, puisque v o u b ne
lo Dlilnon, aa» lr. ; L»m|/. U . Y
Bergot, de
cedes qui som oéci*®*' ireH ^ ^oug [eg acte»
Vloelro é Ergaé-Onbérlo, M. Madoo (Thêopbllol,
Jouqueur était a c c ^ e d ’avoir porté ua
compter aur nno collaboration détouôa de» vloulre U Plougasnou.
vouiez pas que nous critiquions certain»
Plouvlen, 100 lr. ; Giron, M. François A.bf?rall, de
sou*
siu;ii"L
are
privée,
et
celles
qui
ne
Bout
coup de coute.au uu Ç/réposé ïk é b a u t.
Ploumoguor, 800 lr. : RuHnsen, M. Josn François
aeteB de la Révolution et vos idée», de quel
nécessaires
qu'*
certains
actes.
J
.
D
.
Korboull, de Lannllls, 1176 fr. : «iflelo, M. Tfos
C°BUes*avalent le devoir d'essayer de sau­
droit permetteZ'Vous à vos nultres et msi
Laoderaeaa
Uergot, de Plouvlen, 1176 lr. ; Eh bttn / M. l i k i i K Jno B r o c h u r e
ver dans le naufrago sinon leur» bien» tout
tresse» de donner à nos enfants un ensei­
M a rc h é .« — Les Marchés de» ZS décem­
lien Calvsn, de KernUls, üio fr. ; f i s u i i î , M. Yves
gnement qal blessa toute» no» eonvicau moin» la notion de propriété, base de la
Rtou, d* Ploulder, as* lr. ; flluoli, le. Paul t a g a .
bre 1W et 1" Janvier i t l l ctJkeldant avec
tlons?...
ASSOCIATIONS DE FAMILLESJ dso,
société actuelle.
....
,
do Plabennee, 316 lr.
d-» l'ours d(- fêtes auroae lleti les 24 et SI
Oü 1 pas d’illusion ; nou» n'obtlendron»
81 — par malheur — les socialistes an*
d^oembre
lit /
P n tu is s»rn*«usNTAi*ss
pas satisfaction du premier coup ; l’attento
valent au pouvoir, U» pourront »e »ouven r
La contérence bretonne fuite i Da oulas,
B It E SI?
Oarfon, N.' Auguste t a ls t u , de flouxsné ;
»era longue, car les mouvements d'idée»
du précédent dangereux oréé par les radi­ le S» nouembro 1909, en vue de la fondalton
Lasrlvearé
Robin, M. FanifÇols Lanntuel, ds Ploarln ; P om ­
»oat lent*. Les maîtres de bonne volonté,
caux, poar le» spollor à leur tour de leurs
Icrasé par an trala. — (jt ssmalce
d'une Association des Familles du canton,
p ie r!//, U . Jeuu-Murle K eibaul, de P lo ué dtrn;
— 11 y en a — n ’oseront pas changer tout
bien» et de leurs fortunes
,
,
dernière, !e Jeudi au soir, i C t . 30, an
Voltaire, N. Jtau-U arle Uoatln, d 'B ja v c o ; lléplAu nom de quel droit protesteraient le» paratlvu ce* jour»-ci en brochure.
de suite les livre» condamnés, craignant
moment nè le train dépar'.omental allant de
Elle est suivit des statuts et ti'uno longue que, M. oebrlel Ilolloré, de P lo u ia ié ; Garde feu,
radicaux t Lo droit de propriété Ua l’on foulé liste
lo»
tracasse,
les
de
toute
!a
Liérarchic
qu’ils
vt. P» il Lasadeo, ds Plabonnsc ; Lami, U . Yves
Brest à Porteall «ntral*. en garo de Lanrld'ouvrages scolaires pernicieux.
j,u ï pied» lia ne pourraient Invoquer
ont au-dessus d'eux : Inspecteur!, acadé­
S ïla ü i. do P lo uian é ; » I/o u, U. Joan-Pranfols
voaré, le méounlcleD IJtmauda sentit une
Le tout forme une brochure de la papes, Abgrall, de PlouosoKUsr.
pour leur défen»e que de» lntéiêt» per»onmie, ministre, gouvernement, Parlement.
certaine reslBtur.ee sur L » rail» et crut que
Les primes ne seront payées qu'après la monts
Mais le mouvement le produira lelaillluol» ? On leur répondra qu 11» doivent on cidée; ù 5 francs le cenl d'exemplaires,
l’on avait placé défi gravier» ; aussitôt »on
Une grande Mission française sa pour­ blement si nous y metton* notre ténacité
do 1*1*, lois du concours do poulinières ds Lesfaire le »acrlllce sur l'autel de la Défense p»rt e‘n *t>s.
train arré é, il vf:rm» ce qui avait occasuit
en
ce
moment
à
Brest
et
dans
le»
nevsn,
au
mois
de
septsnabrs
ISIS.
sociale, comme Jadl» Ils exigeaient le
d» Bretoas ; et un moment arrivera ofe les
»ionné cette resl»tanee et trouva lo cadavre
paroisse» environnante». Bile est prêché»,
électeuri »e diront: Puiique le mal vient
Bactlilce de» droit» le» plu» sacré» »ur
d’un homme q u i venait d étre complète­
dan» les quatre paroisse» de Brest tout am d’on haut, du Parlement, d o u i cbangeroas
l'autel de la Défense républicaine.
ment écrasé par la machine. Le médecia
moini, par des Pères Rédemptorlstes.
le» élu» du Parlement, ot p»r là mftme le
Drumont, dan» uu article è l’allure promajor Lorlu, qui »e rendait t PloudalméCette UUslo* française a été précédé« gouvernement, le» ministre», et aussi la
pl étique, annonce que cette heure est
leau et qui se trouvait dana lo train, ne
Noua avons encore reçu catto semaine,
d'uno Mission bretonne de huit jour», qui
désastreuse direction doanée à l'enseigne­
put que con»w tor le décè» qui avait été
Ar
gwenss
a
«•
aoelalUtot,
moa
pour lo monument Diraison, 13 francs de
eut
an
succès
da«
plus
consolants.
Nul
P Quoiqu'il en soit on ne vlolo pas Imnunéim m édiat.
n'lut; k et korvolatot. — A r Poil
quatre personnes qui désirent no point se
n’ignore en efet que la population cosmo­ ment.
Q
io
l
qu’il
en
«oit,
votre
devoir,
parent*
rao tt « cetto Justice lmmauente » dont par.
Le cadavre était celai d’an «oanné Je a n
polite de Brest compte des m illion de Bre- chrétiens, est de vous montrer vigilant» et
fairs connaître.
,
Bu our gomparl eur gestennat gwenan
iiiit un Jour Uambetta.
.
Vailland, domestique de terme, llgé do 45
S’il nous reato une certaine somme après
gaut eur gouarnamaat, e c'kaileur lavaret tou» accouru» de» campagnes à la recher­ de ne reculer devant aucun sacrifice pour
Tout se pale icl-ba» ou dans 1autre
é S0 ans, au »ervlce de M. Raguénès, culti­
avoir soldé la tombe ot la concession, nous
che d'un emploi. Un trop grand nombre,
ez lnt soctallutet, rag tout a labouront ovlt
inonde. Dieu aura son heure.
héla» I de ce» Breton», chrétien» excellent» »auvegarder 1Innocence et la fol de» vateur au village de Lanvsnne», en Lanrlcroirons répondre aux Intentions des sous­ at »ocíete, hug hlnl ebitevlt hl e c'baaan.
U. li*
enfant»
que
le
bon
Dieu
vou»
a
confié»,
voaré.
chez eux, négligent laurs devoirs religieux
crip te u r en commandant qu e lq u e prière»
Hag envol euz pennou bras ar sociallstet,
pour an taire de» être» dlgae» du bonheur
Cet, homm e était descendu du train «ol
pour le repos (lo l’ílme do M.. Diraison, a a zo 0 klask aon«.t da gomaudl cbars er qaand il» arrivent en ville. Mal», la fol da Ciel, f i vous manquez à ce devoir,
arrive de Portuall S ( b. i pour «e diriger
n'eat pas morte dans leur ccasr ; et c'est
rocjaslo.'i do l’unnlversalro do su mort.
Fracs, e ve'er lve en lio toucs eur rum
vous
vous
rendrez
Indignes,
devant
Dieu,
vers Brest ; Il »e troavait en état d’IvreMe :
kofou teo, l u pennou bras, ha nu reont avec un empressement admirable qu'il» se de l’absolutlou du piètre.
la receveuse de la gare, Ulle Floch, le
pressaient autour de la obalre sacrée pour
uemet bragal pa vcz brao an amzcr, hag
Ht ne dltei pas que voqs voui faltei forti
ENSEIGNEMENT PRIMAIRE ober cher vad dlvar goast labour ar re al -, écouter la parole de Bleu, que leur distri­ de détruire dans l’esprit de vol estants les prit par le bras et le co nd n ldt en deher«
de
la gsre en lui Indiquant son chemin. Q
buaient de» prêtre» de choix dan» la langue Idées perverses q i ’Ils pourraient roctvoir
ar rum-ze a zo hanvet gorertted.
Pa« do convocations de rôservlstos
est probable qu i ce moment l’homaia *
Mes, ma 'z co ar gwenan »oclallstet, ne de lears aïeux.
Lo flânât vient de voter une proposition
dans certaine* école». L’ftme a été comparée
— Le« Béftnooa da oonsell do
voulu revenir sur »es pa», e»t rentré de
Si la M illion bretonne fut coaiolante, la
d’ii.t ket avad hervelstet ; Herve hag e ii»de loi fixant it douzo ans révolus, au lieu df
à un va»» : ai vou» commenoez par y dépo­
rovialon fieront retard ée s.
nouveau en gare et a été pris en écharp#
M illion franyaiio dépsiie toute» los espé­
klblen u lavar teulcr an drapo ebjus en
onzo, r a je de» candidats au owtillcat
l
i
r
de
la
loue,
ne
serait
ce
qa’une
pincée,
en traversant la vole par le train qui venaii
Bien qu'aucune décision n'ait été prlao d’études primaires. Exception est faite tou­
tell, dlBkara an armeou hag ar frontlerou ; rances. Le loir lurtout lei égiiioo ne suf­ vous aarer, beau y verser ensuite par-dessus
en sens contraire.
en ce qui concomo la date exacte dos éleo- tefois ou favour de» enfaut» candidat» A lavaret a reont m’o d#u» bro *bat. Ar gwo- fisent aai, malgré le» vaste» proportion»
de» lo t» d’eau claire, le fond réitéra tou­
tionn t'énérales pour lo renouvellement de l’inscription maritime pour lesquels 1 ftgo nau n’int ket tam ebet deuz avl» ar re-ze ; do quofouei-une», k contenir la foule avi la
Plabenaec
lu (ibambre, le gouvernement se préoccupe
d'entendre le» belle» Instruction« de» Père» jours trouble.
ha malhtar d’an hlnl a ve hardlz awalac’h
Be même les Impression» reçue» par
I
n
a
u
g
u
r
a
t
io
n d a P a tr o n a g e . — A {’oc­
copondaut do la question, notammont en co resto lixé ft onze ans.
Missionnaires.
da a*ten e irelt drelst frontlerou eur rouancasion ae la bénédiction de la mao”ùiftqae
n ui conct rno Îch convocation» doB résorHt qu'on ne croie pas que cet au S tolro l’enfaut demeurent gravées à tout jamais
telez al, r«c euo e kavo euu arme relzot
dans
son
esprit,
salle pa-olsulale, le* Jeunen gem> donneront
vlstca ot territoriaux, ot le» »éanccu du con­
■e compoie exclusivement de femmes. Les
mad ha »antlncllou aketu» da zloual 0 bro.
Et le saint Mgr de Ségur disait qu’il lui
uno eéance recréative du plu» tiaat Intérêt,
seil de révision.
, . . . . . .
,
Piou na nous ket gwelet, en eur evesaat, hommes, des ouvriers pour la plupart, tien­ avait fallu des c fo rts de plua de vingt
à
l Issue des vêpres, i 3 beuyes préd»e».
On sait qu’eu temps dn pfirlodo électoralo
nent é honneur de remplir une bonne moi­
out tu r gestenuat gweran, dlou, telr,
années pour extirper de son coeur des pré­
Au programme : uoe comédie bretonne.
lea convocations des résorvlutos et torrltopeder pavez red, krog en unan al, 0 skleja tié des églises, et leur tenue est des plus jugés voltslrlens qu’il avait reçu» de ses
L
E
au
et
la
santâ
publique
xlunx Bontsospondues do droit
hUnved ar Medalenriou, et ane oomédloanezl er meaa. iod dre e askellou, lod dre édldantes : le bon Dieu les en récompensera.
m«ltre»
au
collège.
boufft*, agré»aenteeii de monologue».
Aucune date n'a été llxée, mais 11 est
— Ba grandeur Mgr Duparc a bien voulu
e uclt.peblblnl el leao’h mae'hol krogl ? Ha
L'eau Joue un grand rOie au point de vue
Retenez cet exemple, parents chrétien».
La mémo séance se renouvellera avir
cependant é pou prés oettalu que lo çlrMx
na vezo ket dllezet ken e deveso rontet he venir paner la semaine à Brest et présider Soyez vigilant», soyez courageux et tenace».
de
la
aauté
publique,
et
létat
»anltalre
mêmes
heures, le dimane’u a 2«. La aéauce
une
cérémonie
dans
chaeune
de*
paroisses.
«n portora cur doux dimanches de mal. Kn
d'une agglomération, village ou ville, dé­ buanaden dlveza. Kement man a vez gwelet Inutile do dire qa'à cette occasion la foule
C it e que coite, sauvez vos chers en­
du
19 eût plus particulièrement réservée
1808, leu éloctlows ont eu lieu le» 8 et 2
aile», hag ar gwenanerlen nadaolont ket
fant»
:
Dieu
vou»
aidera
I...
pend
en
très
grande
partie
de
la
qualité
de
aux paroissiens de Piahennec.
était encore plus eompacte.
mal : on 1902, leo 27 avril et 11 mBl ; et, en
kal» a gout c kementse.
— Ce discour» fut religieusement écouté.
Mousolgncur en profita pour parler à ses
îliOfj! le» ü et 20 mal. Suivant toute» proba­ reau comommée.
Ar pez aviid a ra disesper ar gwenanerP lo u g n e r a e a «
N
ul
doute
qu'il
n
’ait
dé]
1 produit de salu­
L'eau
la
plu»
puro
n'est
pas
Indemne
da
bilités, les élection» auront lieu comrao on
rlen eo ar peli. K pelec'h e man ar gwena- ouailles du devoir le plu» prenant de taire» résolution», et que ce p&le résumé
Découvert« d’un cadavre. — Lundi
raloro-organiami!». L'eau en contient un
l'heure aotuolle, l'éducation de» entants.
181)8, cW-A-dire les dimanohes il et ¿2 mal.
ner
kos,
ha
1
1
a
neus
ket
bet
great
anaouplu» ou moins grand nombre suivant »on
' lettre
do n'en produise bien d'aatrcs parmi nos soir, vers deux Heure», la je u o * f in . GaCommentant pratiquement la
leti
Cotte année le 1« mal tombant un diman­
degez gant ».r peli ? roue» lnt ar re no deu»
brieiie Guéguen en cherchant iJ i'c o o a U »
nombreux lecteur» l
C.
Bplscopat »ur les écoles, 11 rapuellle aux
che, le premier àlmanoùo da mal ne pouvait degré de pureté. Tandis que l'eau de pluie ket bat gnelet dlstruja dez’ho, 0 nebeutoe’h
lages sur la grève de 1 Ue
déSun'en
renferme
que
4
&
8
par
centimètre
Ctre cbolil. La Période électorale »'ouvrant,
iarent» qu’en portant leur» enfant» aux
evlt eun anter-dervez avechou, eur ges­
vrit
un cadavro rejeté
f f « .
cube,
on
en
trouvera,
au
contraire,
de»
ont» baptismaux, Us en firent faire de» S o n tln o lle a a tt a q u é e s
aux terme» de la loi, au moins vingt jours
davre était ri un« <
Ift mor« L l • •
tennat gwenan I Hnoavad a veleur lasero».
vonet bag o tonet a heller gouzout d'eu» a
beseurt keiten eo ar re a zo 0 pelllad ; ma
na neus nemet eur geitennad 0 pelllad, ar
gwella so da ober, eo lakAt an hlnl a meur
0 nelllat e plaa a i hlnl a zo 0 pelllad anezl.
Mes alie» a vez dlou. telr gestennat oe’h
on em ilcour da belllat una« ; neuze oo
dleisoc’h ; ma na n'eo ket goal avanset ar
peli, en eur deuler var ar pont eur lian
glebet gant petrol, hag en eur vlanad an
nor, a heller c'hoas douet a ben d'e aretl ;
mes mar d'eo goal avanset, ar gwella zo
da ober eo dastum aneti, mar dal c'hoaz ar
bean, etoues eur serpleren hsg e c’has
evel-se e* eur c’bao, pe en eur gampr kioz
ha tanvai, hag e lezer eno da neseuta tout
peder heur varnagent.
L a richesse d’u ne eau quelconque en
mlcro-orgaulsm e» n ’e»t pa» constante. L a
tem pérature est p lu» ou m o ins favorable a
la m u ltip lica tio n de» germ e». D é p lu » , plu»
on puise de l’eau dans u n p uits, et plus e lt
co n tin u cet épuisem ent, et p l ia »’abaisse la
proportion de« m icro-organism es de ce
putt». D a n » u n ré»srvolr n a tu re l ou dan»
u n puits, le» germ e» «e m u ltip lie n t, m al»
to m b in t pour la plu» grande partie dan» la
vase du fond o ù ils se conservent vivants.
Il b' cu faut que tous les micro-organismes
contenus dans l’eau salev dangereux pour
la santé publique. La pi lart d’entre eux
sont indifférents et no» pouvons leB in ­
gérer sans en le ss e n tlr » cun m alaise.
Mais, i. cOté de ccux-c il en est d'autres,
néfastes p ,ur notre santé, et qui dénotent
nue souillure de l’eau. P arm i eux, Il y a
lieu de faire une m e ntio n spéciale du bacterlum coii.
O lu l- c l » st un h a b ita n t no rm al de nos
voies digestives o ù nous lu i donnons asile
sans, le plus souvent, être Incom m odés par
les convocation» de» réservistes et territo­
riaux. Aussi, nous recommandons à ceux
qui voudraient bénéllcler des dlsposltUms
nouvelle» qui leur permettent d'émettre un
avl» »ur la date de leur convocation, de ne
pa» choisir cette période.
Il y aura, en outre. 4 modlier la date de
la leuslon de» conseil» de revlalon. Depuis
plusieurs années, l'usage s’eat établi de
suspendro los opérations pendant la période
électoiale.
Régulièrement, les commissions de révi­
sion terminent a la lin de mal (le 27 mal eu
ltKKi), dette année, la clôture sera reportée
A lu lin de Juin, si, comme tout le fait pré­
voir, les élections out Heu les dimanches
_____
8 ot 22 mal.
Aprèi «voir ml« U dernière main * 1« loi
couvre lei Gongrégatlont, 11 dltparut de »
scèuo politique poar lalasor à Combe» le
»olo de l'appliquer, üombe» dans aa lutte
contre lea Congrégation» fut sans pitié ; U
prenait môme comme une Joie latanlquo a
Insulter lea vlotimc» do» odleuie» expultiioiii dont les catholique* ont gardé le bou<
venir douloureux.
P.ila commencèrent les opérations do la
liquidation. L’iiuttaum épri» do tout droit
s'emparait deH biens des congrégations
dispersées et chargeait des hommes dp loi,
los liquidateurs de les vendre an proilt du
Le paiement des Salaires'
des Ouvriers et Employés
S
CAUSERIE JURIDIQUE
AGRICULTURE
CHRONIQUE
Arrondissement de Brest
M l.
A la mémoire d M Diraison
DE M E
DE
Eun toi lagad varar Gwenan¿rez
Leu dates des Elections générales
Causerie du Docteur
1
avant le premier tour de «orutln, commen­
cerait dono le mardi 18 avril. Bu réalité, elle
s'oavrlra plu» tôt, car elle commence légar
lcmcjit à dater de 1a publication pu Journal
officiel dn décret convoquant le» éleotpur«,
vraisemblablement le 19 avril, pour dqrer
lusqu'au 21 mal. 0 « t dono pendant près
d'un mol» et demi fa « «eronl wipendues
'M
nrm
•i
itmmCTTtnmtmrnronmTTw
III 111!
quantité» énorme» dan» oertalne» eaux
¡fouillée». « 5,000 au voi»!nage d’une ujlne,
jusqu'à SI million» dan» une eau d'érott.
Lo» oaux de »ource» et le» eaux de pnlt»
«ont pauvre» en bactérie». L'eau «oitcrralne alimentant un pult» u’en contient pa»,
4 condition qu'elle provlènne d'une cer­
tain« dlatance de celul-cl.
y
Ar gwenan an em gounaret, e« em l u an
ell ebon, hit re ar 0 hestennou al a ga»
gaat’ho (out ar pez a zo ebar» er gesten e
maini 0 pelllat.|
Ar peu a zo cuu dia die» da zlorbenn, ar
gwella a zo da ober eo gwolét pore a zp 0
pelllat ; en eur doler bleut var ar re a so o
Îchrétien» po«r toujours, ét pour tout le»
Initant», pour toutes les eircomtanoe» do
la vie,
lis no »auraient d^nc admettre qu’après
tu pilR
WIU U
14UDI m
ivui o uuviw
avoir
pria O
soin
d IUUU
inculquer
& leurs
cnera
lauta les première» vérité» religieuses,
entants
créatures rencontrent ÿ l’éeol»
•e»1 bibles
‘
uia
Dimanche »«lr, ver» 8 heure» 1/2. Charles
Bonhorre, 31 an», torpilleur breveté du 2*
dépôt de» équipage» de la fl >t>«, qui se
trouvait de faction, rue Pierre Oi^an*1 '
fsce d® la prison de Poutanlo"
• ®n
cher d a lu l six indi**'«—
-, vlt aPPf°'
L ’on d’ov- * vêtuB en civil«.
» na moment donné, lança on
9m S ¡ W *
'
41 ààamfùÊÊÊm
■G® uOlt' être oalal d’aa m ari« péri a*
coure de» dernière» t m p A t n
soufflé sur ia cdte.
Plounéonr-Trcx
qui ont
>
S ap e u rs - p o »ap le rs . — Le conseil m in i•
m 'c o m m is e ' m
clpal dan* M dernière réunion, a voté U
création d’une aubdlvlalon de Mpeurt*
pompier».
P U B «V M -<U FaO »
T r l| l t B O V
Sanyeteura. — Le SO notemkWt le pa­
tron Le GoK, du biteau Jiarte, et «on matelet Quéré univalent dan» 1an»e de Loc■ujean Tanguy, patron dn bateau
■al avait ohavlré. languy ne »avaltpa»
Baser et aurait péri »an» leur Intervention,
Le 1 décembre, le bateau Mari* se trou­
»'est re id u au village de Lunven, en Plenévet-du-Faou, peur procéder à une en­
quête nu i ' j ï t de la ieqae»tratlon, psr a
femme Valette et son w n d re <Bravée,de la
■eenr de ce dernier, âgée de 34 an». Ce»
misérable» tenaient renfermée dan» un
réduit malpropre cette malheureuse et la
privait de tout ; 11» ont été ml» en état ar­
restation et é o ro u é »- ____________________ _
vait dan» le» mime» paragt», lorsqu une
forte rafale chavira non loin de lui le ba­
teau i ’icaut monté par Jean Blzlon et »on
Ul» Antoine. Le tioff et Tanguy » 0 portè­
rent Immédiatement t leur» »ecourietiauaèrent d'une mort certaine le» naufragé»
qui le »outonalent avcc polne sur leau,
______
cramponné» aux aviron».
NHOKJi'JlEX
L e c h e m in d .
fer - • ¿ f ^ 5 „ . Qp6Te-
Le oomit* d’Inltlatlve et de défense pour
Le» populatlona Int.lrejaéea «oat ImpaUmtea et
plu» micontente» encorn de comtater■«jiie le»
travaux qal devraient èlre U cette heure en
or.tida partie tr*e uvaiicôa, et anr plu» e»r»
pointa terminée, ne commencent ni d un bout ni
Ärrondissement_Jl6 ¡Meaulin
P l C J l) « l»
Bn Tue dee éleotlon» législative». —
D’.whd :»i dernier, lu joli bum* <io 1
„
o iiliu e
d’ordlnalre, prABontu't un* uu1mo»l.>n
extraordinaire, tout oom»» on* loure de l«tee
« ‘¿ "’Ä
D»ul*lo», conseiller mu»lcl(i»l île
v « K O » V v .lt »uuoaoi P o .r ce jour-ls. «ne
»«x prook» ne«
de» foud» départementaux ne c a c h a i. t pu« quelqaa »peonlatlon... Rtpifoia qu II n ta ej>t rjeu.
* VM
d
Ä
7
q«e leur attente u’. p u
Ita \oei oti, on 68t tooiilé* •* •«
«*
aux
d llliu lté » aulvante», qui
nivnt daa travaux 4 au» data ln4M la» »1 ‘■ara
^ ' r i n n l o n a eu lie» *o»» *n vaete banijer
m u M ta e e a t à H. Hollaad, et mis i r « o l.u .e « .n l
p a r lâ t * *» d lip o iltlo n dss 0 i B»»T»»le«r» de I«
. . . . „«.¿iro n s dan» oette «»Ile en pW o
Qu i J i d »
»
«
•
i onnaat .« r Ü > nhampa
^ ’ ’ i . V î . r d l n » I« («aie y »si déjà oosa,iaüte ;
mi mîiler J'audlte aie environ a’j Pre H *u‘ ; LM
un m inier u ■
.
bano» rangée devant
'u
dVnfrei? n 'w a n t pu y trouver plaoe,
de* bateaux /rm a et
Il ne laat paa com ptai e*r aon xi,ta av„»t le
C0 «“ ri n4 o î u ” “p i r 11 * * * a t ; retard d» »lac à doux»
“ v ip p r o b a t l o n
da C oowtl 4 ' * . t :
qualqaaa
K
^
° UCe*«»l 1er. qu.tre b( ana» aaa*aa eatre le r a ­
mier el le <‘ e r n ( . r d * * 4 t Sr4,ld.ntl. at na . . . » !
€
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u
r . . r t po; t conl,; . . w i t ^
cnaw lller
Co>lté
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Jur U ooal*teneler.
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o o w a a n l e d ’a m
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il» k titre d’éièeIl »ata heareax
comme
»u]*t : A.a»»raace bétail.
flilm llta »
f t î î :
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*•• s r s s - » »»,“ “• s r s it
tu
p ‘S Ï ! “ u ™ u l m i . ,r » lr e .
d o u ie r *u lioû w n b è je «
P-'rïï'Vi'BhÏÏSi par celle P»role ekauie
iu t û iu O iq > 1 %|nMB « 'tiiu le r o a i p M
rtpro-
et
«e betu dleoenri q«l
dulre le»
.'«manvou-a.iai 4» r* * * * * î
ua »aooé» ^ , „ « 1^.,. «al oat le »1»» frappé
qu«H«a»-un» * •' ^,01ul• •
.
la» aaalitanta.
itohii ««'il '•t Îretoa Je
Aprt» avoir bl». nir(,|tBi cemiae ù*.
*.(rt
honne race et non » iqUtl voalraUnt le 1».
aei adveraalre» pollv f
. Ti( 4 , jon aajet.
•rolre. l’orateur entre
iioauomiueat ee <»'11
Il expllqae et oommeuv®
VikArté.
entend par le» mol» l i ''îi .enemont, a parler de
Gela 1amène *eut n
nuadMlt „ diolare;
■on programmo polltlqui '• “ , llb e rt4 4 , «onaolenca
tout d’abord, part .an d '
" , Uol ; toue
pour toui 'e* #lley«n*,
,nHUii,,»t*r librement
doivent avoir le droit t e
|nqUm*a,
leur» opinion», aan» r ', ludrulu utvl<>i«a de»
Partlian de IA)îallt4 de»
notorme ilectoollojani, li Juge
10 lUio avec Riprûrale ooiaporiunt le »or«Hn .
m,tira tn u«x
santatlon proportionnelle. G
m 0 | .a
repr*q»erelle» de olooher et nous . luj tu(md»nta. K i
sentant» vraiment libre» et . vlno,H«a o»t une
outre,
la repriientalton its» ■.
. 1,
* h W l n i l » p e a * » h l a d a M Me d«AnjOoratlaj
tit 1* regretté déKint u» darder lernoi
iroaae public de ajmpatbie, ce psndan»
îu'iin aaeea fort groupe de parolBSlen»
prouvaient, par leur preeence, le respect
et l’a f ctlon qa'll avait su » y concilier.
u Talabardo«, curé de Plouguerneau, 11
chanté le service ; M. BUanven, recteur do
P*anpritn frère ¿n défiDt, * entntt la
ZUmmm itiiité d« U. FlOC’fc,
¿0
Ploigmerneau, et de M. •oanès, vicaire de
Plouirasnou. M L» Bar»,
orateur «borde •oialle1 la »
,1U|„.
principe d’un ImrAi »1^hi.iTuVvV'arga» do 1But
au# oliucun doit u m t lbu»i au* v „ . j eoncep.
¿au» la mai»ie daod4 u’«po»»*de.
f
“ on Galllaux a.t
porte i^reiploun«!»,«!^ ïi^rù'dè^vtmonopoje
L
■ « ' e n r i « l » t r e m e n l e t M « U a n , a » o o n t r jv i ' ^
llburte.
L e P »re d e
lamllla a
|a , 4
• flro '
Grand
Séminaire,
la . ^
- In a ir *
v ..
a
donné
'* UAdeu. recteur de Ir é iîV é n e * et Bt. je
i
ialnt-Tûégonnec,
.
ont
C h e m in » de fe r de l ’B t a t . - Le décret
suivant a paiu à l'Offlciel:
,
t
sfc70rffflnci»
s rpmbour«ahle
^ i Eeu qulnz®
n ..r. i,M.
doîiu
¡1
lougtfnai* »»«,‘WT»!?:
s ts & fà ix s œ
« n e retraite et »ne aug
s
i t j4 0\,,re >'b *o-
n,ia,a““u 1<W
.mentalre a •', J ï ln r 'l!’orar*ènr'’'»*trlt Ife meoA«u 4o
Patriote ard<ïn‘ > U
erll»tionml«me I ■« t
liau tlm llltanam e e. « V l L t l par n o a û 4 ««u t, 11
m trllaaa d’une artnift . y
iTir m * ,, 1« rmtauw o lia ita laréorgantaatton «
(
approuve 1»
i,«\ton 4e nolra m arin*
r4 lo'vma 4e l’arllllerle.
voua a u f » , dit
a L* 1" mal proohal» » « * 1,r“lr i.|r m ir e de»x
......... ^ ^
u i kV.nant A. D an W lo». * « ,K ,r
‘O
SASES.1SJWSMAA
de la bénédiction.
u i*
Oette cérémonie vient d avoir lie*. M.
ch moine «aélunec, curé-doyen de t*u.e,
délégué par l'évêque de Qulmper, y a pro°éPour la grande oloohe, ta « m i « » « « g *
î s
»
^
•
*
«
ÿ?AT«.V“pK¡“^ T îBss:
...w w ä a s ^ v Ä S S r “
*'î*Je
“ ¡s i’
‘m
serai "aon'porte-dripeau. • ‘ •. "o'.npkor. •
i , voïïê ehalelres e q»e vo»a‘ h rStaSVo«P’* P»r
...........
d*Port hesreu.eeeent, le» perte» «ont cou­
verte» par une a « « « » ^
A efcM * • o k e v * w . - U . Ber»lha*d' de
où
fo urnisse ur
nous
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le # » e r v o n s d a n s l ’o r d r e d e
le u r
in s c r ip t io n
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¿.fM nXtx d e 0 Î 5 0
m e r ie d u
“ C o u r r ie r n u
F i n i s t è r e . ” C ’e s t a i n s i q u e
t o u t e s le s c o m m a n d e s
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sans sim ilaire à
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a u r a p a s u n 2 e tir a g e , n o tre
t r a n s f o r m a t io n n é c e s s it a n t
le d é m o n t a g e
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n o s presses.
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Mostaganes» (Algéde), J«
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Pilules 8*lsses m ’ont r* é r' *®
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toma«, mauvaise« d l| e .t o*«, é o * r ilis e
menta. i ’«n prend» «epul» lo n iw m p »
ïe*r eosìflel m » fai» toufoir» d* bien. Gulllemaln. { S ii“ -
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L A C O N S T IT U T IO N D'U N C A P IT A L
est chose difficile : l’épargne vous le don­
nera en 21, 26 ou 30 ans ; 1 a e e n r a n c e
uwr 1®
le constitue tout de suite, car
ses combinaisons répondent à toutes les
situation», s’accordent avec tou» 1«» bud«uts
Mais, pour piaser un tel contrat, qui peut
durer toute une vie, adre«»ez-vou» à une
Compagnie sérieuse et dont le» eneagements ne laissant rien d indéterminé.
A a c n a e S o c ié t é n e d o M e pta® d.*
s é c u r it é q a e l a CoastraffiUe Lü. P H E
N lj t (entreprise privée »»»ulettle s* con­
trôle de m a t ) 4*1
d e p u is
« o lx a a te - c la q a a » .
,
8'adreestr *u siège social d t la Compa­
gnie Le Phénix, 33, rue Laiayeu ou k »es
agent* généraux.
7t)W
16 « 0
l ’u s a g e
L E MORVAN. n i *
de
_
Léon
du C o lo m b ie r
H Ë B N IE
. VARICES,CnüTESd.MATRICE8
DÉPLACEMENTSi»ORGANES
Les iouarells Edouard (de Par/s) sont Ica plut
modernes. — Souples et Invisibles, Ils sont lie
seuls pouvant assurer la gutrlson.
Tout a itii dit sur I» k«r»to! les promesses
les plus ronflantes sont publiée» sons cesse !
niais las affliges da catto cruelle Inflrmlt»
n'acoordont piua leur conllance qu k MA. BJoaard la »1 réputiï spéctalista-uerniaiK
do Paru, dont les «logos ne sont plus 6 faire.
t.q dlnnarltlon do la b^rnio est maintenant
t le portéo da tous, grUce û l'inoomparubl.
mùtbodo Edouard déllnltlvamenl Implaatôe
partout et qui laisse bien loin derrière elle. Ica
anriens bandsfrp» chaque jour prîmes a grand«
renforts do réclame. Aussi est-ço un devoir
pour nous d aüuoacer û tous les intéressés lo
Konreàn possaxe dans notre contréo de
M 1 ». 39d*uard, ce oiloore e> ,i*vouv prutte;ea.eu recomwaodaBla u». intéresses: burnuiea,
tomme* «i *n'&als, daller profiter de ae»
Moialts fcrta.trta b :
Morlalx, le n*m dl 1«’ Janvier, bStel uozellec.
Piougastel'Daoula', le dimanche 2, DOtel
deBrestï,!'lceiur* il 3, tfltel du Cheval-Blanc
Pour renseignements : Bc.rire à w
Edouard. ISO, boulevard Richard Lcnoir,
Paris, U*.
8548
Au.:-ci.o.
UN MONSIEUR
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ü e p m r .eaaeaf
-.iiitetaltn. — «»relu . iv. ' d6a
F-o.
.aat. In» <00 Ul.tO.tO; avotns, 16.00 -, ^I«ii., 16 b» ;
oriie. .ti.îiO . aaiTaxln, lt.OO; beur-i,
kilo, a.10.
uU. la doui. 1 30. pom issi de »., 6 50 11» la o k iî.
— Cidre, la barrique, SO i 85 tr.
a n n u ii.
— murena 4« 14 déc ~ Cro­
ient, le» w> XU., U.6Q , erg*, S/.t. ; aurrarln,,
1 10 ; aToIno, 9.S0 ; »on, S.S0 ; p. de terre, les '-O
Ml., 'i.oo ; porc trala, t.10 ; beurre aali. ? ?0;
-surre aana «si, Î M ; osnia, la doux., 1.7a.
VcrUU. - Uarctit du 11 déc. — Bl*. ife; *
'.v W
52 ' o - seigle, 14.00 ; « a r m i* , 17 0 .
»vo’.îie, 18 0) ; créé, is.to ; folo. le» ICO
:
l a liu
,uo. a n i» , ia doux., t . 63.
Cidre la barrique, 16 à 4 î lr. Pommes à eld.-e,
les 1,000 kl)., Où tr.
tesneweii. — Marco» du 13 déc -- ->««
ORtn. le» M U l., 10.'6 Orge la . /.S5. M«1 rr.i.',«.
8 00. a vola», ld., 8.7b. Pomme» (*e lerro, ici
,ii. 4 35. Courre ealû, le kilo, 1.63. Baarr* -u.5*
-»1,‘ ld., 2 oo. CIîuls, la douzaine, 1 35
« H ii- W W w
o a arcn» da 16 décembre —
’ voœent 11.00 B i'gia. 8 .00 . Ors*-. 8 6 '_ > 'j » .i.,
»-frto» s 75 » i » s w M ttr.-i, s <». ' r^.,
■io'
45 00, '*» W» Ml. P*tlle, « • - . TtUsi. > t t
->K^,
1 45 la dour*ln». Bsurr», 1 85 ra 1/» »•).
Oulllipet — Viaiv.04 flo '1 déc.-“ p O" ~<t
« .6 » le* t « . kn.; M igie, 6 6 j ; b i 4 Bair. 19 0 ;
.volne, 1 ¡1.50 ; orge, 17.00 ; pomme» de terre, t"!n, 48 00; paille, 18 00 ; fartau '*> (tuai., »i *N>;
-He*, 1' ¡usi 30,0). ^oa. ^.ofl ; œuts, la iloui»lne,l 6 ' ; cidre, la barrique, 35 ir.; pomm - Si
cldie, oo fr. les 1,000 Ul.
« S r.o « rie .
-
du 10
fo ; basât*
0 -r 70 • » n i* » * de 'jon.iti«rla 0 t».
travail, ordì». '. uooviuihw . «J tSoo ; :ttA it^o. Sou K. .; cuev^ux,
0 *T 80 r TOXlQBt, O V . SB ,
■
n - ;e xil.. 0 ‘t
:r^ca.bûi, rsa
-g, n fr.
,^ i,n t at.
de faire connaître à tous ceux qui sont at
teints d'une maladie de la peau, da; très,
ec/émas, boutons, démangeaisons bron­
chites chroniques, maladies de la Po't!1“ ®
de l'estomac et de la vessie, de iburna^
tismes, un moyen infaillible de se Su^r*r
promptement, tira i qu'il 1a été radicale« e n t lui-même, après avoir souffert et es­
sayé en vain lous les remèdes préconisés.
Cette oiïie, dont on appréciera le but h u­
manitaire, est la conséquence d un vœa.
Ucrire par lert'e o» earte peatale a «a.
▼incect, *, place. Victor Rugo, 1 Grenoble,
qui répondra gr atis et hanco par courrier
et enverra les indications demandes. 7805
> VU
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d écem bre
b i e n d e se p r e s s e r , c a r i l n ’y
V É R I T Ë
a
/d a /id in e i.
it/> v u ù e ô
c o m m a n d e s à ,1a f o is , n o u s
L8Dans°un but bumanltalre cette magnlfique brochure illustrée eut adressée giatultem ent à tous »os lecte«r».
Les personnes q d B0 t>ff ent doivent
donc en laite la d. m ind'- a u j o n r a n n l
m ê m e à M . A . C L A V E R IE , 234, aubourg Salnt-Mariln, à Paris, qui la leur
adressera par la poste, avec tout« la d s
crétion dé»lr»bls.
* a*6
X e n dH1» t o l t e #- ? « p o ^ r sans néi r r i t é à s»« flléle» leur présence ù le»
« « d e s « Se M ite extr» ordinaires, au mom e Æ
t . m v x « g e . u comme ceux
d’une récolté ou d’u*e motsso*.
n ’aiii.-iirs travailler cfst prier. Bt cest
» , . « _ O u vient d’Uhw aer le corp» de
u n *
retraité d« la matlne, t&é de
78 ans. Bon corp» avait été trouvé «*r une
grève de Goulven. Le M i y monte rite et
le vieillard aura auis doute été swpris p ir
lui alor» qu’il se pron»e**lt le »olr »*r
plage__________ _
:
♦ilM • \MiBUX-FaÊaE» viennent d t
com bler cette lacune et vous p o u v e i
désormais obtenir de votre,
é t i o n s d e f o u r n i r t o u t e s le s
Tous ceux qui sout atteint» de hernies,
efforts.descfn'.es,maladies du ve’. ;tre, etc.,
o n t lu t é r S t avant do se soigner et de se
nrocurer un appareli c a p a b le de li s soufager et de les guérir, à lire très attentive,
ment un remarquable ouvrage i ^ t M pakm et 200 gravure», e “ T l U I l E û t l a
H E MN I h
(o^r a .
V B R lb ^ \
dan» 1« quel la “ V é r it é s u r 1« n c i n . c
. «a^uiu « aile m10 l'on accuse si
P*PourTâ
• J l a l ü aon .entarl.me .on ‘‘ ’' « “ ‘J f A .b i, dieat’eit pa» «ne r4p»bliq»«. « « ni liei»»ll9aaant i
tatar«, ct’le q«e nou» »ublaio <ur I|a ^jinolpea
a lim en t recom m andé p«' i«» Médecin».
cadavre. “
sun
g 11 g »
p e ig n e | | » §Q
Kiu “fê luae de paix i* Taulé faisait valoir
de teues aSwlo». pouvaient . ’ouvrir
pendant les vi^aaee», cest-à-dlre *. l ép
ri» la moisson et de la résous.
riiirllse a le souci des 4mes aile ne veut
P lo a é a a a
i—
s
d ’u n
L A
de M. le juge de paix de Taulé, si
la cour de cassation lui avait prêtU apçu
Mile M. de Gratavlll», » » e de 1ancien xnaUe
d» la com m une; 1» R W « in . » • Le ■u».
aaeien tré»erler de la »b rique .
S a r d in e s g a r a n t i e s â l ' h u i l e ,
d 'o liv e p u r e , s'abstenaient de cet
a u ta n t
e s t l a m o U la a re de« C hleor6eb
La plu» im portant» fa b riqua dt Fraru.
e«:nx usina»
décembre dernier, la gendatmerle était
prévenue que le cadavre d un nommé André
A ilie r , #4 ans, demeurant à B 'c-Lar.de•
Rtec? venait d'être d é c c u v e r t i a n s u n e
fosse, au village de Loçtady, en lt eç. Cette
fosse est située * 10« mètres environ du
village et remplie d’eau. Quand on retira le
cadavre, on remarqua q ie le» nariues
étalent pleines de vase, ce qui f*U suppoier
que le corps a d* séjourner
!°'lra
d»ns l’eau. Le docteur Le Lui ét, de PoutAven, a»n*lé povr pr»c*d.-r aux conktatatlons a ’uaitge u ’» relevé aucune trace de
violence et a conclu à une mort p ir immer­
sion.
•°} Æ
1 xfgiifi
Ü u t t de po u v o ir te p r o c u re r 4
prix m o d iq u e d e » petite» boite» de
lé ­
f r . le c e n t , le p o r t e n
l ’i m p o s s i b i l i t é
ltle e - » * r - B 6 1 » a
D é c o u v e rte
•ourquo'l les date» de«
tüulours i de« époque» a« chômage relatit
i la «ampagne, époques qui ne colacldent
Jamais avec le« vacances sieialre».
“ r a s » .* m». » 'u a e s a îs
• (Vault e
« • J '’o ïtloke w
P rater alté
m o t, la
ta D fa m e n t
» , vau du produit dea surtaxes looaies ei«»..«
si«ntêm u du cloches. — 0»i
otale»
Bmleld». — Dans une crise de dése pol
dont la cause est Inconnue, Mme veuve
Brlec, Igée de #5 ans, s est pendue è son
domicile.
'2
Biveau n i» de la ligne de Morlalx 4 Roscott.
une
et
H o * » u it « l- S a ln t - G e r « » a U *
“ ’^ ^ ‘ er autoltr*duf prétre 1 «
npei#ner a utrui
dea
to u t,
p lu s .
N o u s r a p p e lo n s q u e d a n s
abM.*8téphat?, socialiste. 1.198 voix (élnj.
# a t ensuite ob’enu : M U . Gnyadei, socia­
liste, 1.069 ; Q jicqg ls. républi;aln libéral,
652 ; Le Ronye, r^p’j b lc i l n 11b. jü 5W ,
Gitïo, républlciln, 457 i UarBcae:, 4Ï&.
I l v a ballottaje pour oes derniers.
Le scrutin de hallettage aura lieu
dlmaache prochain.
P * Î Ç S l A e d a n s l e . S
« qui*cu?deD
* n < m ilk e u * « c n ic c u * c p *
le
d e v in e tte s
le s
m a in e .
L e s r e t a r d a t a ir e s f e r o n t
parentajur de c t m tlo»a adopté la thèse
du bon sens eontre la pseudo-Jurlsprudeuce Imprudemment et maladroitement
Instaurée par le juge de paix de Ifujé.
n -tains magli.trats en mal dautlclérlO 'i:. ■«nssl... d'avancement — M. le
callsme ei -- r ,4 _iegt 8, lg doute pas
degeeuxPlè -
p ô le s ,
a u r o n t é t é s e r v ie s c e t t e se ­
^^.'îe^'Sanoine Q^éleaec
¿5
ce iugm snt è la cour de caséation «al 1*1
donna raison en adoptant ' ^ . “ ^ ' “ ment
de son avocat, M. de Ramel. ^«J**emen
de Taulé » été annulé, la cour ayant estimé
«uo M. fjélnnec n’avait exeroé aucune
contrainte sur les enfants, mais ru 11^s étalt contenté d’inviter le» parente *.con­
duireleurs enfaats a*x exercice» de la
Mission. Les enfants n ^ ®°“k,him5S e«
librement so*s la responsabilité
e
Iïcmvlc
a r t ic le s in s ­
le s
m Tiols listes étalent en présence. Voici
«lJa» Annuur.réi aux eïi^ats 1 ôcuie puDiiquc
d-Hi garçon» an particulier, fut à peu piès
légou,
dirigé le chant.
; M U . de KerRemar^ués dans le Ou.
-a g jm in a lre ;
véoaoaèl, professeur au (»raun 'n|gt ;
M. Gulllou. recteur <>e P le y b e r^
M. Le ü ih a n , recteur de L a m p n u l, M. uo
rnlleur reateur de Silnt-ïvarEec 1 M. * fiffot
rocteur de Lothey - Landrem e. ;
M. ’B*rré, aumônier de talnt-Jacques oe
L4iér»rlen.
sur
c o m è te s , e tc .
E t pour égayer
7
T o u t e s le s r e e h e r o h e s f a i t e * p o u r le ree u v e r s o n t d e m e u r é e s la f is c t u e u s e a .
P*ri0 «-aoDmvalt s ir l’article 3* de la loUde
Séparation
(4u
» uwcmuic
décembre WW)_quMnterKàparatiou \
4u s
i-- ~
. —
“™ Îv ”H s r s : ' «■ »-*»„• •!*
en
vacanUi, doat l unt par la démission du
T a n lé
Ii1o h lis a t le a s e e la lre e t 1m •*?*'*
aloes r e lia i« * * - —
décembre
i9M le Jig e de paix de Hamlé condamnait
r Æ o t a e W » « , çsré doyen de
Taulé 4 un ¿ a n « d amenda pour avoir, a »
■rèe i« jugement, 4éto«r»é le» eafants de
? * ^ 1» en le* a p p e lâ t * fculvre Us «x»r*io.e» d'une mleelo» q»l se donnslt dans la
d'uvo r âs’ous PAV'îndldat , » «ItollMi l*»lila-
• ï s
q u ’A o w f i heur» 8 s u r la
ar­
d o c u m e n té
gende
to u c h a n te
q u ’a t t r a y a n t e .
'* * S ï ! * 8 :78« ; votants. 2.119 : majorité
4 Bul,ü,ko1
trè s
tr u c tifs
N o y é an m e r . — Le b a t e a u 512, d u q u a r
tler de U o n c a r n t a u , patron B a p t l s j e 1/
Scsér, se trouvait, samedi m a t i n , ve.s 9
heure», aux e n v i r o n s d t C o r v e n , i t r o is
milles et demi du p*>rt, par f.osi.e bnse d .
_ . a t and levant se» casiers à crevettes. Ii
venaltplèln v«Rt arrière. Lamlsslne attrapa
le jeune La S c i ^ r , I g é de qulnee a r a , ti.s
da D a t r o n , et le jeta à la mer.
Après dix minutes d’efforts poar le i a t ­
traper, l’intortsné coula.
MiTéridelle. IU ut
Evêques
v u e d e s é le c t io n s p r o c h a i­
C oae arn e aa
t
com pact
des
n e s ; d ’a u t r e s
“ U lid e u tT a n g u y ,
reeu le» soins de U . le doctemr Ssrvet.
Lear état, toatefols, était grave.
« • a f é r a a a a . - M. La Loupp, p r o to ia iir d'a»
«rlaultar» a Morlalx, fera une conférence dl-
miaohè "• déewbre. » »
tic le
A u d le r a o
▼ol» — L o trib u n a l correctionnel de Q u lm p e r
a cond am né, m a rd i dornler, 4 a an» do prison le
m arin-pécheur L .g a d ln , «4 ans, et sa fem m e
L e u r 41s H ervé a été cond am né 4 six m ois. Le
trio de puis p lu sla u r» années, av ait organisé
v éritable e n liep rla e de plllpge de» volsl»a.
grève de K «M t. lia is e t L’o t.lt plus qu’um
B o ta o rh *
d it
T lM * l’a b b é Q o a ig u e n réclam e l’in aortlon de aa
lettre et u n franc 4e dom m ages et Intérêts. M
p rocu reu r de la R é p u b liq u e a reconnu le d é lit
L a ja g em e o t aera r t u i u n u r d l p ro ch a in .
dl! î a * n t 'a i aalheareux patren
m iala n t blan ambarraaae» al oa leur
trè s
a u s u j e t d e s é c o le s , u n
H le e t ie m s m n a l o l p a l e s . — D im a n c h e
o n t e u li e u , 4 D o u a r u t a e x , d e s é le c tlO D »
m u n i c i p a l e s c o m p l é m e n t a i r e » , d e u x p la c e s
d e c o n s e i lle r s a s n l c l p a u x
*e ^
m vsnt
i l lie f u t ^ro u ^ 6
te x te
n é e , l a le ttr e
Lè, U» trouvèrent le» deux la n g u y qui.
cemVètement gelé», » • crampennalent
désespérémeit * leur bateau naufragé. Le
sauvetage de René Taagay l» t de» p lis
O ièv ie et Trègaatrt.__________ _
» l mTeeiSie 4«. f j U ' m u i ï '
Le
c o m p r e n d l a r e v u e d e l ’a n ­
D on arncaaz
Si M S S S ? r k l4 « U . M r . . 1* , * «n t . . »
Il *T0<**,l}, i î n i a ane dlaalne d 'an iie a, ea
tr a te n m ' I l B r e » t .
jr
4a d o m m agoa at Intérêt» ù pro p o s d « n a rticle
In titu lé « le» a v atar» » de M . M o ue h o t.
Celui-ci faisait d é fa ut et n ’é ta it pa» re p ré ie n té .
Le trib u n a l l ’a p a r »ulte d é b o u lé de son action.
L ’a utre procès de pressa était Intenté p a r M .
l’a b b é Q o a u n a u , vicaire è B alnt- C orentln de
Q u lm p e r, a u Je u raa l le F i n i s t è r e , p o u r refua
d ’Insertion 4’u n » lettre de réponse 4 » u a rtic le le
rendirent en b*'e sur lea Ueax du slalitre.
d4m .n(fal't q u e l tem pe
l? ur4 VleaUn-laï-’
ra tio n d » chem in de fer de M o rla lx a P lee lln iee
, ottyi n |r d’ene
H.
*6!unte avait Intenté un procès a u /¡o aré ê d u
FlnitUr§, de Qulmper, et lu i demandult 2.000■ fr.
enr la cêie, apsnçat le bateau qui semblait
couler. A ses cris, dM pèc^eurs de Mougué'lec accou>»r*mt. aUsl qie léqsipag»
**** À io p t lo » p » r la n o av e lle c k a m k ». — A^tèi
laa élection» de m a l, celle-ci ae r4u»t>a poar la
v ir lt c a llo n dee pou v oir« et le vote 4u bu, »gai.
*,,'S ? i a 8 »o S ? e u n ' a i p w t d e e rp l « r p t t t o r e i m e »
* v m tou* ce» caltlvatoar» au chapeaux aoli» et
Dams aon .« d le n c e 4 a m a rd i 14 d ie e m b re . ta
t r lb e i a l correctionnel de Q u lm p e r » « t oceapn
. . . .
d'atfalrea 4e preaae.
H . U o u c b o t, ancien directeur de 1» D etno crauü
n t iM t n # e k * * r e » p r è « , ma c m ltlta te n r
n o m m i B e lle c , q u i r a m a u a i t dm g o è o io ii
" v ^ À d ïp t le a par le C .ouell g ia é r I 1» la no\iva'le ooncepllo». - Ce vota ae pour.» éirn 4n>l»
q«'* la »*Mloa d'avril et pa«t-4ire a a»lle d a c i t
HERNIES
Le Docteur G E R A R D , le spécialiste
bien connu de Paris, 76, rue de Maubeugc,
l’auteur de la M é t h o d e O r t h o n p l a n c h a l q n e , la seule qui assure la
cure radicale de la Hernie «ans opération
et la guérison en quelques jours et sans
médicaments internes, des maladie» da
matrice, des maladies de l'estomac et de*
,i*rfs même les plus anciennes et les plus
.-cbellee à tout traitement et régime, aonuera ses consultations à :
M O K L A 1 X , dimanche 19 rfécpmb e
H ô te l d e l'E u r o p e .
L E S N E V E N , luudi 20 décembre, h ô t e l
d e F ra n c is .
_ ,
B R E S T mardi 21 décembre, h d te t
C o n t in e n t a l.
NOTA. — ut Docteur revient tous les
deux mois environ. Notice franco.
8536
pour 1910, avec sept ma­
gnifiques gravures repré­
sentant la Vierge couronnée
d« Kernitron,
Diraison,
notre regretté rédacteur en
chef, des aéroplanes, etc.
A f f a ir e » d e p re a a e
S llilr ll
N a afrase . — Lundi matin, vers « heurei
et deoil*. ie bateau de pèche Samt-.rotppH
avant 4 son bord le patron Gabriol Beganton 30 an», et le« matelots ïl»né l*ng»T
et Yves Tanguy, sortait de M o .| u érl^
pour relever Ir t palangres à detti BiUe«
d,G ^ t ' r . ‘edVmd.n d T :i une p.reUle .„r.uctat-ee
C h e z L 'H O M M E e t c h e z l a F E M M E
Q Ü IM P E R
0 fr. « .
C hus les c o iffeurs. - Dans une réunion
tenue lu*di dinuirr. ¡es c o iïîu r s de 8»lnt
Pul-ie-l^on ent décidé d’élever d" 8 fr. lü
ii 0 fc. 15 le prix d* la c*upe d*
et
de ü tr. 15 à 0 fr. 20 celui de la coupe de
chcveux. Iis ont en outre décldi d» fermer
lears salons le lundi, et de ne plus &e ren­
dre a domicile, sauf en cas de Maladie.
C O N F IA N C E
ïa M ti dUstomc et lertsitts
M a la d ie s de M a tric e
R u * K « r é o » i 21
* P rix dea placea : prem ière», • lr . M ; «econde»,
jBo 'e « U m n vraiment qn’ll eat argent do
ter dea explications sur une iltuatlo u si « ra n g e .
Ku .rrul, tous les «en» aenai» fout d afeord
pour reoonaaltre qu'il mit *té P'u* 'v,®.l„q ®,n®
laisser conamencerles travaux votis et do aolllol.er ouiulla Ica I klloniMrea 4e pro onganiant.
• a n’Igoore poa que ca retard c o t '^ a tort 1cher
aux cootrlbuahlee et que l’indem nlli i payer aux
oouceaalonaalre reprt«ei.te actuell»in»»l la prix
de
rc*iouu«»a’achèteut aux Feb«»*T B IB A U D E À U f >
^1
de B E SA N ÇO N . - Tarifa envoyés F r a n c o . t g r
l«s> f r is C*ocoor« Obaarvatolr« da Baainçoo.
^ •
V IE N T D E P A R A IT R E
du C o u rrie r d u F in is tè re
PHOBBAMU*
C/ianleple, drame en I acte*, d* Botrel.
Motr'acie» : Paaleurelle ; Trlpea i la mode da
Oten ; Le loup el l’ajneau ; Buveur carrlj* ;
de fer départementaux du Finistère nous
adresse la communication «ulvant» :
»
Bureau-Annexe
et Dépôt Central
S ia u a e e r é o r é a t l v » . — L e eerel» cathollgu e
de Saint-Pol-de-Léon do nnera u » e »éanoe récriaUve aam e dl proohaln, 18 décem bre, à » heurea du
»olr, p o u r la v ille ; dim a n che p re o n e l», à I » . 1/»
po u r I» e .m p a g n * .
le raccordement de MorUlz aux cUfcülus
r o
Arrondissement io Qaimper
S a ln t- D e r r le n
U n v e a u p h é n o m è n e . — Chez H . Maublan, de Kéralvei, on peut voir un veau
d’un molB, qui porte sur la téte une boBse,
d’eii sort une eapèce de queue de cinq cen­
timètres de long.
Le veau mange bien et sa constitution ne
paratt nullement affaiblie par cette ano­
malie.
SalM t-Pol-de-Léoa
Arrondissement de l o t o
l>emaû>Ut U «Lourifierd»
Finistère » dans toute# ieb
Bibliothèque» de» Gaw- d»
Finistère
f e «ïin p atM q »» candidat
Koscoff, vient de se rendre acquéreur de
sept beaux chevaux, dont six ont été ache­
tés aax prix aulvant» : l.K O fr., l.lBO ft.,
1.176 fr., l-20t tr., 1.8N fr., 1Æ#0 f r , à M U .
Loul» Le Blhan, Gélestln Mével, Franeol»
Sévère, Hamon lâoal, Jacques Moal et J ean
■ lhM , tous de la circonscription hippique
de l»lnt-Pol-de-Léon.
L» ié»nce u t donc levée et ohacun n relire,
emportant de oette lournée,1
jiî,
*
favorable.
*n <<«0,*ur-
r a
d îc »•
•
ae DoECfc50 : h « ’ . U
é:eve,
-.
0 ^r. jï ;
allo», ' l *r 50 ssige^. t6 ïi 2>;
' : ssri-Ritn 'O lr ^0 . i " r.ir.r 17 i ^ o ;
vocine? do »ro, 6 ïr 0 , , Voutts, tuk.lo., 2 tr ^3^
ceU le '.ouxaf^u 1 ü ’ 0 icla « W». ».i1 a,
se ir w -palli». <n 80«. *Uoj. 25 i i . w ; nos "-s
ite kLus,
L. 25 ; fa r.* ,, f ' r.,« u,». I l ?-.t.0 ;
V ». ,1114 59 ", 02.
Pommea à cidre. 0 lr. 00 la barrlqu« de 1 » ku.
Si Poi ac I {<.1%.'- a..roliu au 4 d':
fit ,
«.-• «liai, laa >00 > il. SO.Ov ; (atiUc, T 28 50 ; ü,-«
j i « i t l i . ’ 5 ; avoîu*, t . b , b it aoir 1S.H0 ;o .> k ,
17 tO • loin. 30.00 ; ertloUnuU, 8 'r.
le.' i !c>;
ito-- -fleurs, 3 « la doui.:
mes ¿e erre-. 5-,
im ‘ oo tu .: *«<■ la doux., t 70 ; beurre, '
L ,.p > im erio do U
?rw «
ubrt-)- •
<in C h u te a - n , 4 , B r e s t
Le gérant
if.
(* E O i*
— < Uad eo I... Ha bienisiK: perak dont tr a 'v ii* greet d’he vare : B e g a s a rea ear
»ekretour oispt ! An aolro-.tifd D ussc'^r
da zi»!ar -t ac timbón úiraS. aubü . f- dam
golola véxl... dúo laiftt da chouiout e ha£ hen a oe mlgnoned braz bepred. A b j.
bJ Í
.aotroued »M *oll«r,
Im b II
m o u r da ze n e oe ket ^ 1 h o c > a '<t ,r i o
lavaren eur K»oa I »
. la
ta r b o ir e m T * .
d e e k t a e g e d a verzrt oc h i b.-.r eur c h o a r la « e n n gartou ga: t
—
«
Perak
ht-mer
troiou
neu?e?...
O
huí
7j r iTiiintrT *" n tnrri*r in irHt>" t> re
— « B i b i m i io « ■ »
■ aot^ot.
hoc’h ucan a teskut d’iü em bjgalcacn e Jullau.
E'.re Dutsolier nag an hostie, ar vipn.>. m «
oa gwelloc’h morvei, eged... »
,
,h
— a Penn fa 'l! .. deBket ’m enz d’boc h niach’ oa kreskît ivez B p.ed, Kn-a ,t).l
5 S ± .“ K
. Ä
“. i Ä
^ f e
4 ou»e«n aueah« l »
^ ^ Q t e c ' h , * l* n * lvet e kredan e tle ar vugale »entHtae* ba ’ oa gauihau tie gai.;n v»r he "o- a f¿vjt
d bjiiiz d’hozud I .. LUt da vont l... N •“ c 1| Julian: prest da lo^enui pa zw•*v..
ket c hoax dlmi iet, plac h brau 1... nvlt re1 d r o , laout-n o kemer oa vije eiomiu... Ü vn
’ oa souuet Kornltrsït, 0 welet emgleo Ken
be koass n’ho pea», ket goulennet va asant,
-»An
An a
d e
e vv ee s« -- a. f« evr
# giniterv
gVn' t er v
• O*ç
e
ka 0111 k ktff- lud esiren an eil d'eeile.
evlt eureojl e rat.'c’k, m’hen respountl...
“ r i i l e f * « m ees'h e « a n a r c’h a o r e r a n k
. Kau devez, l-'ernand Bassoller, p r i t
t 'a ho tío, pennege» ? >
varntm
i. e tffuaz da gaoot Julian :
— « ...Hex, te i vez. Julián I... Ne gomw ä r t « dw rnlaVd *
« • »“ *
^ V ù i d . c ’h o r t « . « « ¡ S ß S f S
« Mljîoon feer! taat d'omp
* -^.urik
prennan ket pe^Cü diskimt out I Prt8t d ne
1 D V n i t>U g o n ie M
t Picon » I. ■ Lak soeto» » karrt » te ra r:
r,zell da vo^t ía Geifkaol... rsag oul
h a t hi» * B V 'Si* * *
• ’'« 1 “ : <ie«c ke*r.
barr-speredet I N-. weici ket. giuaouLk ma rak eun dra a dalvondegez am r;it* d t rei
S
Ä
‘Ä
» W
n ,
W l t va* sl'aou 7 * / A »^ek va bustaleack ht— 'ab M«d ìsò I mad-kena I .. Ml a welo x euz ac’banoud, au dlzhenora skuiiltí var- d ld^ouzout ! A bioaepailz) eo eotet l iiv
uomp eun taol eve'se I Ah I neuze vad e b àia ar vertuzlou a urz ha« a labeur, da
neute ta, ha beslt sur n ’omp ket droukc’heille an dud konchennl 1 Neuze val o euzverc’h l Kak se nevesi ketti: iteiet, pa
Tue? Ä
Ä
Ä
««««W ,
e“ V S * Ü w k l e’kul later íoug jnrA oiil
laouen dlouz ho koulenn I Ba enep, evuruz
lavaran e pritsn aneshi dreist:-: k-Caan f Ac
vele klevct en peb korn deuz Treveltre:
omp, 0 welet eun den laouank a zoare,
pez a gavl mutoe'b... burzudut ec H heltea
<
Re
Gerdousten
a
glask
diga»
ho
bógale
evel Iridor, o prista hor a e r c ’h I »
var av meaz: keuz o deuz da veza eet en foret eo, pa oueil eo touellet va mab gau«
pija gwel it ha kl«ve, deuet#r iekretuur, Istdor. .öoutout e n j
Bpad
an
dlviz
ze,
an
daou
c'boantuz,
eun
^
d, l0 »t ;
kear I » N’az peuz ket sonjet enn dra-ze, tb ll Hen dlskierlet. en deoz rl’ln oe.*ch
»kulllet cant ar bleunieu dudiut
tam mlk a rostez, rue evel »Ivi dare, a rulli
tout 6
tel l««t, ®o ..¿Knc'h : ken gwedrocim a ’zo ud l... A h í va D-uel pfcile ütveza. eant pedean d b»r rei d’td da c'hou-^
ho
zclleu
ro*
an
e
l
l
i
’eglle,
var
ho
c
hercnt.
zout: setu greet I »
hocen , 8 ^®U|00« lnî 2 ,olf faro avad, gant
oa
e waskenu va muzellou, cu eur gas
d’an am pctnt 0 vare'hata, e prizla anezho ?...
let al ta
I ®ur J J ° îr. xtet d’an nec’h,
— . Pcnaoz, aotroul... penaoz Fernand,
d’ld
taollou
lagad
:
ella*
1
te
’gerze
bepred,
»» oo uu»i .ta
tachou
c h o u ielltro
i e U t r onM
n t e t,
t , s^
»- t)?nn
lK, B
n o 'h u l
• Lena I Lena I... Deult var la e l... Ho
’vel cur marc h spountet, en eurjftret bra- ec h bellte beza guir eun taol k < . soucmam m a c’houlenn ec'hanoc’h I a
c’halon ka vs h»P0 ? »
___ _
A hí HvKlt *a !... w *ui oar, “ ^ meM
soc’b soton i an ell gwech eged t ben I Blrvi zuz ? .. Kun dimcii etre mab au aatrou
— * Dlou»tu, Katelllk I »
«eaheudlk souexet drc eur foulenn
a reen, sell I .- Ah ben I ne lavarez netra Dussolier, plnvldlka marc'hadeut- enz Ker..s A h b e n i plac’h braol laouen ho c h
breman ? Anzao ’ rez ’ta, ez oud kebluz l... ultra, ba merc'h Jalian Äwonchian, eur
deus ho taol ket, ’ta ? Trolou kaô,- e rit
aour kes deskalour a gem-werz I Oh t
Neuze, dieoall hlvlzlken, do gaout teod re
d’emp’m
eu»
aoun
I
»
ement ze ’n heil ke beta gwlrion I •
bra* : rak anaouit e r a n a r * t -„iato reí
zlitagellet I-.. Mlr da c’blnou »arret pa vo
_ a Pebez taollou, mamm ?»
— < Ken gwir hag e lavaran d id l... Da
S A
ï g . ï i f ' Î . I Â s ^
red, pe m’heh prenno d’ld l »
dp
taee
ur
réípeunt
i
k
l
Ä
u
s
t
u
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O
ve.a^e
_ a Me rlt ket er glnaouegez I Bag hen
genta, cveld houd, em tuz ’n em ztskuezet
dl ten t r e « • “ S “ ù h a ï eo hanvet, ma m
n’emaoc’h ket kloa hanter ’to bremalk. enn
dlskredlk oui komzou ve mab ; bogen, ken
kaVomp Lena laouank|k c
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«antao ar trankls I »
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_ < 8*tu »ae I... D ffasitd In n e u ti Itê.ou,
mar plü, pa v u o n ho ioi/j dlmezi ho
merc'b, ha ni ’a em plevo sur : rak Lena a
bili d’ln kemect ha d am m c ! Bur wech
dlmeset, »c’h hellint obom du man da
c’korto* G outl Mikaél. Nem e e kemcrlnt
ar IVoc’k-Traz : ve iad-ka*r, deut oajet
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Moimeutl (br. 40 fr ; rel. 50 fr.) ; GrandeBretagne et Islande (histoire générale de
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7 ffl&O) ; L6 m t i m 'SaWt-XnOè,pat B.
Hodobanaohl br., 20 fr.; rel. toll«*, 30 fr ) ;
La Route de l’air, par A. Berget (br., 15 if.;
rel toile 20 ft.; ¿et. amateur, 22 fr,) ; Au
ccour dt iAntarctique, par sir B. JK. 8haokleton (br. 25 fr.; rel. toile 30 fr.; rel. ama<
tcur, 32 fr.) ; Le Paseago du Nord-Ouest,
par le capitaine Roald Amundsen (broché,
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Sy*n Hédin (br. 15 fr.; cart, toile, 20 Ir. ;
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d'aujourd'hui, par 'Walter Tyuaate (broché
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27 fr.) ; L'Empire du Soloil, par le barou
et la baronne U. do Meyendoiff (br,, 15 ir.;
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Leo M a n u s c r its n o n In s é r é s no s o n t p a s r o n d u s
zigkouez pegen trubard eo al leaenn e
venn dougen hep dale, pa lavar e o’hello
an tadou a fam illou, pa ziaplijo d’ezho
kenteltou po levriou ar skol, kas ho
c’hlemmou d’an inspectour ha zoken
d’ar ministr.
Kas aw alo’h ; selaouet avad ne vezint
morse ; respontet o vezo d’ezho : « O a»t
hor «pered a framasouned hag a brotestanted ne welomp el levriou po kenteliou-xe netru fall. »
Dalc’hom)) son] !
O fr .2 5
O
40
O
50
Eno e c’houlenne d’al labourericii
douar asambleou da zifenn ho mad
e-kenver ar c’houarnamant, evel m ’o
deuz ar c’hemm-werzerien.
A r re-ma, he r gouzout a rit, • deuz, e
peb arrondisamant koulz lavarout, ar
pez a hanver « Kam pr a gemra-werz >,
da lavarout eo eun nebeudik tud gwiziek, dibabet dre votadek gant-ho hounan, hag evit ho c’helenn, hag evit
beza ho alvokaded dirag ar c’h o u ana ma*t.
Dre ze, er Fininter ez euz t*ir Gampr
a gemm-werz : unaa e Brest, eun ail e
Montroulez, eun deirved e K e a p e r ; ha
disul diyeza e ioa votadek evit-ho e peb
kanto«.
Pell ’zo e reketer hevelep asambleou
evit al labour douar ivez : meB al lezenn
a joum da stleja, evel kal* a re a il; al
labourerien douar a zibabfe en* ho
zouez eun nebeudik tud gwiziek var ho
micher hag e-kenver ho ezommou, hag
hep mar ebed ar c’hannaded nevez-ze a
rate d’ezho eur vad hep muzul.
Da c’hedal, ra zeuint d’en em voda
stankoe’h-stanka enn ho syndicajou ha
kefiou-asurans. P a vezint unanet. etrez-ho, ho mouez a vezo krenvoe’h, ha dre
ze e vezint selaouet gwelloc’h ha buanoe’h gant ?.r c’houarnamant, a zo
bouzard-kloo’h e-kenver ar goulennou
mad a gaaer beteg enn-han.
K E L E IE R
Da genta, o veza m a ioa neDeu.oc n
c’hoaz a emglco cnn amzer-ze etre al
labourerien douar, marcTiadourien heb-
Prochainement, le «COUR­
R IE R DU F IN IS T E R E > sera
imprimé sur presse Rotative
et de» caractères entière­
ment neufs. E n même temps,
le format sera considéra­
blement agrandi.
An h an tw k e n ta j»u z prOTegenn an
W
Les Arnffldissementiers
I * politique allon
ohsgue Jour le vocabuiatre français d« j >t«n vilains __
mots. L'épHhète d'Arronriissementler vient d’tore
créée par la campagne de faveur de la
représentation proportionnelle.
Ce mot paniu à Ta finale Marque, vous a
l’aUare pelante u un nomme qui patauge
dans Uù»i inare, peut é're colle que d4c.'l>
■vit «il bien M. Brland, A Pérlgseux. Les
arrouaiaaemontlers sont — U eut à palno
51 lin de :<j mre -, les défenseurs du sorutin
d'arrondissement.
1*» compaguo do* t\rô‘rfs <!e la H P.
les Irqulète. Ayant épwsé toute» les réser­
ves, us o it M t donner la \leille garde
lundi rolr, A Paris
Ue n'est p»H dans uu meeting public qui
est en quelque soi tu uu champ de bataille
— '"■que, que cette vlallle g-.rde attaqua
servie.
M. üombei. ancien président du conseil,
présidait le banquet. Il était entouré de
ilÿ députés, pnrmi lesquels MM. Le Dali,
Dnbulsson, ûloareo, Le 1/Otiôdec, Halléguon et de 43 sénateurs.
Dfeputs sa chute. M. Combes n'avait
p< int prononcé de discours politique.
Aussi attendalt-on avec une certaine cu­
riosité ce qu'il allait dire.
Pendant, plus d'uue heure, M. Combe«
récita — car II apprend par cœur ses dis­
cours — une violente diatribe contre la
liepréientatlon propoitlonuoli*.
Ah 1 maudite proportionnelle, que de
crimes l'on va commettre en ton nom I Tu
troubles l’appétit des blocards qui se sontrnt cependant un estomao assez solide
pour manger encore gloutonnement aux
ratollors bien garnis do la politique. Tu vas
Jeter la discorde dans le camp du bloc et
compromettre alusl son Influence et peutêtre libérer le pays a d'une domination
Objecte I >
Ü’est sous l'impression do ces sentiments
que U. Uombos lit une charge A fond con­
tre les proportlonnallstes qu'il appelait
p.vcc une nuincn de dédain de la voix « les
missionnaires de la R. P. » Et les ventres
de nos radicaux attables rebondissaient de
contentement A chaque passage rageur et
violent.
Les grenouilles de 1» mare de Urlond
croissaient de Joie en retrouvant leur
maître. Puis M. Uombos voulut effacer
l'imnresslon de l'image flétrissante de M.
Bciâud. Uo passage eut a citer, 11 est cu­
rieux :
C'est, dlt-on, A dot mania itoRnahtcî que a’atlmente uotre eornlln uninominal. On omet de dlto
que d« c m prétendues muroi atagnnntea tl
a Aohappe autant de couri d'eau, aux qusli m an­
que sana douta A l'orlffln« l’aipeot plus grandiose
d'un« rivière, mnla qnl rénnli dei dlveriea par­
tira île Iw r lto n , forment enieuibla nu fleuve au*
porbo, où aont venues l'u g lo u tlr d o p iti trente
nna, où vlennont l'ougloutlr enoore chaque |our
les balayures dos rAalmea paaaé», tan lla que ses
eaux, périodiquement acoruaa par tea pluies bleu*
taisante! des rrnouvollomonts législatifs, arrosent
et féoondont lea terres nouvelles et de plus en
plus émergentei de la démocratie,
Ouf! dire* vous I Quelle pénible accamuiatlon d'images et comme io n sent bien
que celui qui a forge cette phrase est gêné
aans ses entournures.
C’est que vous n'avez pas de goût, car les
assistants ont, parait 11, b.ittu trois ou
quatre bans A ce pasaaee.
Prenant le ton de l'homélie — car M.
Combes se souvient touloui n de son édu­
cation c'érlcale — l'orateur gémit sur le
sort des BncJa'lstes aujourd'hui »ortls du
bercail du Blou. Qu'Ils y reviennent donc
et M. Combes promet de les mener sous sa
boulette aux gras pfl.tu<ages.
Tout & coup l'enthousiasme de I’usbIstar.ee rs refroidit. M. Combes parlait tout
comme un vulgatoe proportlounallste « d i
réforino administrative, de décentralisation
et — hovrosco r«f«rtns — de scrutin de
liste. »
Les li'ocords ne veulent pasdd léfonnen.
mais pas du tout, lis ont les plcdn nu feu et
ne sont pilota alïaméB.
Us no so soudent nullement de livrer
leurs precleuses personnes aux vicissitudes
dss réformes quelles qu’elles soient.
Ce passage de son discours dit un Journal
officieux parut surprendre l'auditoire.
M. Combes ne s’y méprit pus et s'em­
pressa de faire les casulste — quel cléri­
cal que en Coin lien — entre la thèse et la
pratique au sujet du scrutin do listo. Mais
Il eut vite reconquis son auditoire en com­
mentant A la Un do sou discoure la lettre
des évêques A propos des manuels pri­
maires
Quelle rapport pest avoir cette lettre
avt.c la représentation proportionnelle ?
Uu rapport nous échappé, mal« cette let­
tre iourufsualt une merveilleuse dlsgreeslon et bien dans la note combisto.
Combes ne connut qu’un programme qui
so résuma toujours dans les cri« de : A bas
la oalottu I Heureux d’entendre ce cri dé­
suet et vieillot, 1*s radicaux «e crurent ra­
lentis de plusieurs anneea et revenus su
boa tempi où le peuple, duné et trompé, se
cont ntnlt do mf.tgreg os de l'antlulérlcailsme qu'on lui Jetait dédaigneusement de
la table du banquet.
Pendant que nos arrondlssementters,
montraient le poioguux proportionnalités, ;
ceux-ci, le mCme luur. dans deux meetings
réunissant, A Parla, plnstcurüinllllersd'uudlteur», faisaient acclamer la représen­
tation proportion nulle.
LeH radicaux veulent soutenir la folle ga­
geure de marina parlant de conduire leur
barque contre vents et imiréc. Aveuglés
par le dépit, la colère, Us ne volent point le
oanuor.
Souhaitons que leur fol enthousiasme ne
les abandonne point et lea mbue jusqu'à
l’écu'.ll contre lsquel se brisera leur
barquo.
G. L.
M
LM
La première de le i filles la princesse tea elTorli de ceux qsl travaillent A la grandeur
Louis
lise, née en IBM, épousa un prince de da la patrie et qui d a m l'esprit da concorda et
d’avancement aocial, «lkvent le nlvnan moral ot
:e, qu’elle abandonna pour épouser un
Intellectuel de la nation, développent l ’éducation
ornai«
ioler hongrois. Bon père en oonçut un et
l'instruction et asaurent aux nasses un plug
grand chagrin. La princesse Louise qui graad bien-être.
dépensait follement, se trouva acculée A
rs. La
mine partane mes sonJ'aime raoa pays.
L a rela»
ible fidélité A
la ruine. Elle istenaç* d'intenter un procès tlmants d’inaltérable
‘ la Belgique. Ncvs
enfants et nous évaillona chct
A son père, pour lui réolamer la part de en pénétroui nos em
'eux
lu
voix
de
l’omour
du
lo
i natal, l’amour cto
succession de sa mère. Les bijoux de la
famille, l ’am osr du travi li, l’umour du bien.
reine défunte fuient u cette occasion expo­ la
Us aont r.qa vertua qui rendant la nation forlu,
sés pour être m il en vente, m ali le scandale
Messieurs, l'aocueil qui m'est fuit me touche
d'une pareille vente n’éclata pas, grftce A . rotondément. J ’y vols la preuve d'une confiance
l'intervention de hauts personnages, Le qui m'honore autant qu’elfe me soutient. Je m ’nttoroernl de la mériter. En prAtant le sarment
père se détacha de la princesse Louise.
conatltuttonnel, je prendu devant mol-mAme et
La deuxième Ulle, la princesse Stéphanie,
mon paya rengagement do remplir terunée en 1864, mariée un 1881 à l’archlduc devant
pulauaement mon dovolr, et do consacrer tous
Rodolphe, prince Impérial u'AutrIche. Ce­ mea
eltorta et toute ma vie au service de la patrlo.
lui-ci fut, alt-oa, tue dans uno rixe de ca­
Ce discours p produit une bonne impres­
baret. Mais la cour d'Autriche, pour des
raisons que l’on comprend, Ht toujours sion même dn is les mlilenx socl&llsfcs
belges.
Il dénote chez le souverain de nobles
planer le mystère sur sa Un.
La princesse Stéphanie épousa, en 1909. préoccupations ot la ferma volonté de réa­
liser ueu promisses.
un noble Hongrois, le comte Longay,
Léopold ‘ne voalut Jamais consentir A ce
co
mariago qu’il considérait
lé
comme uuo mésalilanoc et se refusa de la recevoir.
La prlaoesse Clémeutlue, la plus Jtunc
de ses filles eut son amour sacrlUé A des
ralious politiques. Le prince Victor Napo­
Nominations dans lo Clergé
léon, descendant do Bonaparte, lai de­
manda sa main. La princesse Clémentine
Par décision de Mgr l’Evêque ont été
l'aimait, mais le roi s'opposa \une union
qui aurait peut-fltre gravement troublé les nommés :
Chanoine lltulalro de la cathédrale, M. Qunlnrelations politiques de la Belgique avec
ohunolne honoraire, ourê-dnyen de Taulé ;
la Pranoe républicaine. Car le prince Victor nec,
Garé-doyen do Taule. M. Lo Uull, roctour du
u u pas reiouci A l'espoir du remonter sur Polgodt ;
le trône de ses ancêtres eu F/ance.
Recteur du Polgodt, M. Breton, profassour do
Léopold ¿tait beau-frère de Maximlllen. l'Inatltutlon Hnlat-Vluoent-de-Paul, a Qulmper.
fusille av Mexique en Juin 1*67. A la nuit'!
de cotte Bn tragique d uu rêve enconrage
iar Napoléon III, *i\icsur Charlotte devint
L ’ O R D IN A T IO N
olle. Elle vit. toujours et la miilheuretiso
L ’ordination du samedi 18 décembre
Ignore encore la mort do »ou royal frère.
Comme on le volt les malheurs prlvéu comprenait 1 minoré, 3 sous-diacres, 12
n'ont p«s été épargnés A Léopold.
diacres et 9 prêtre«, dont 8 du diocèse de
Il faut ^jouter qao sa vie privée ne fut Qulmper 1 1 1 du diocène do Tours.
Voici les noms deu nouveaux prêtres :
pas exempte dp tout reproch*.
Il
non» p'uslonrn Intrigues et Pa;in ne MM. Arzel, François, de Ploudalmézeau ;
connut pas de boulevardler plus endlab’6
Arzel. Herve, de Lanrlvoaré :
que loi. Cir II aimait. Paris et y venait très
Herrlet. Clct, de Uléden-Cap-Sizun ;
Corre, Léon, de Lampaul-Gulmlliau ;
»onvçrt. Il avait ci'ai'leurs ue l'opinion
(ionldec, H enri, de Douarnenez ;
publique et du qu'en dira-t-on, le plus par­
Cueilec, Joseph, de Peumerlt ;
fait mépris.
Pollé, Henri, de ÏYlmelin ;
C'est a Paris qu'il rencontra en 1900 une
Talahardon, A lain, de Roscoff ;
eune Ulle d’ane arande beauté, Caroline
Apamon, Yves, du diocèse de Tour»,
Jelacrolx, née le 10 mars 1*83 Une llals'ui
originaire de Lanclllv.
tut vlto coutractéc et depuis cette époque,
Caroline Delacroix, que le roi avait laite
baronne do Vaugüan, vivait A ses cOtés.
Elle assista même A ses derniers momeutn.
De cette nnlon deux enfants sent. m!o »5
C o n tre les E v êq u e s
auraient infime pu prôteudre au tiOue de
Belgique si rualon qui unissait Léopold à
la oaium e Vaugha.n, avait été régula
Il paraîtrait que le bureau de la Solidarité,
par la lot civile. Mais i> desaein, porr
société de défense du personnel enseignant
éviter de» oomollcation» politiques, le rcl
du Finistère, »e aérait réuul ces jours der­
de Belgique n’avait contracté qu’une union
niers A Qulmper, pour examiner la situa­
rellgleu««.
tion créée par la lettre collective Ces
Toutefois l’on asssre qu’il » pria touteu évêques concernant l’école.
ses précautions pour laitier k celle qui
Sur 12 membre u préaentn. 9 se »oral*nt
charma se» derniers jours d*î sa giftce prononcés pour q’une action, judiciaire sait
als»»nte, une grosse lortnue. C'est alusl intentée aux évêque», et notamment A iiitr
que par testameut, il lui aurait do.ond Duparc, évfiquc de ftu m p tr et de Léon ;
près de 81 million*, alors qu'il ne laisse A — 2 votèrent contre le prtncipo des pourscs filles, les trois princesses royales,
lulte» ; Il y avait en outre un bulletin b'.àuc.
qu’une fortune évaluée seulement â qslnze
Cependant, mvant do ponasw pins loin,
millions
le bureau de la Solidarité sursit décidé d*
Anasl sa succession sera-t-elle un nid A consulter les sociétsireB par vole de réfé­
procès et Jusque par delA la tombi so ré- rendum Il leur a donc adressé nn« circu­
perenterout tes ichos douloureux des
laire les invitant A répondre par oui ou par
conflits qui séparèrent le père de ses lilles.
7ien A la qneition suivante : « Doil-vn
lit l’on critique la vie privée deLêouold,
poursuivre >es évêque»? »
on s’attache A ml reconnaître de giundog
La circulaire ajouto qae les sociétaires
qualités politiques. Le peuple bolge, dit- qui ne répondront par. seront cousidé is
on. ne l’aimait pas, mais l’estlmalt parce comme favorables aux poursuites : C’-st
qu’il avait beaucoup travaillé A la prospé­ une trouvaille I
rité et A la grandeur de la Belgique.
Le dépouillement du vote aura lien A
Il fr*t d’abord un roi vratmeai constitu­ Qulmper, dimanche prochain 26 décembre.
tionnel et n’empiéta Jamais sur les droits
Le résultat ne nous semble pas douteux ;
des Parlement«, Ou lui eu est reconnais­ mais, en admettant — ce qui est moins
sant aujourd’hui.
certain -- que ces mesnieurs pnrvlenncar, à
Bon diplomate, il tlut la balance é/nle
se faire ectioyer quelque» bons billets pour
outie le parti catholique, et le parti radiosi un préjudice qu’ils n ’ont pus subi : crotentqui ho disputent !c pouvoir en Belgique
ilsque c*’>x-l» siratcî’* ensuite davantage
seiÎJiçaut rt’écnrter les décisions d’une
dans le bon droit qui continueraient à vio­
Intratibigeance trop sévftre et déménager
ler, en même torupn que la loi do neutralité,
aux deux partis dea rerrulna d’entent*.
I» liberté de coasctenoo des f at nie» créa­
CHRONIQUE LOCALE
Î
Î
Les Instituteurs du Finistère
H.u’ son Initiative d ’éuorines travaux
publics fuient oj.t. ontia pour i'embellis**m eutdt: Bruxelles r.t l a(traB,liste«if.n:, du
port d'AnverB, qui est, devenu l'un des p 'u i
grands povls du rnond;. Vais l’une des
idées r l'ri'OSfB de sa vie, fut l’œuvre
coloni.,,o.
Lea Belges ne *e souciaient, n'ns d’avoir
dea colonies. Il réuaalt a le» Interesuer A
sou Idée d’expansion coloniale et aujour­
d’hui la Belgique possède lu Cougo beige,
une dns colonies les plus prospères et i«s
plus vastes.
Les Uelges bo félicitent maintenant de
l’obstination qno mit Léopold A leur mon­
trer da«* ie Congo un vaste champ d’acti­
vité d oit i's tirent de grandes richesses.
lies oosèques du roi ont eu lieu mer­
credi A Bruxelles. Dans son testamiint le
toi iwa U expteSHéiueuï recomiaanùé que
ses funérailles eussent lo c a ra te rò le pi va
simple.
Une messe bssü'' A *eptb«ur<.'» du tia tln
en piéi.eru’.e nu personne' etn chlltnau de
liuskeo, puis l'inhumation sans cortège
ofüotol dans len caveaax de légMie do
Linolton- Mais le geuverneaseut a jagé qu'il
e nveuait, üo faire au toi des Belge« des
il
f
La formalité d’une déclaration nouvelle
n ’est maintenue qu’A l’égard :
1“ Des contribuables dont le revenu ca­
dastral aura été modifié A raison d’acqui­
sitions d’immeubles, d’aliénation d’im­
meubles, etc., et qui, malgré ces modifi­
cations se trouveront encore dans les con­
ditions voulues pour obtenir un dégrè­
vement ;
2° Des contribuables auxquels it n ’a pas
été accordé de dégrèvement en 1909 mais
qui y auront uroit en 1910.
La déclr.iation du ces contribuables
va ôtre faite dans le délai d'un mois, à
partir de la publication du dernier rôle
foneier ou personnel mobilier Intéressant
le contribuable.
S U R T A X E S D’O C T R O I
Sont autorisés Jusqu’au 31 décembre 1914
inclusivement, lea prorogations de aortaxe
par hectolitre dVlcuol pur contenu dan* les
eaux-de-vie, euprits, liqueurs, fruit» A l’eaude-vie, absinthe et autre» liquide» alcooli­
ques non dénommés :
A l’octroi de Ploudalmézeau d’une surtaxe
de dix lrancs dont le produit 3era affecté
au payement dc-a ciépouseï» énumérées dans
la délibération municipale du 14 février 1909.
A l’octroi de Ploaré uue ;iurt.*xe de trois
francs indépendante du droit de 15 franco
établi â titre de taxe principale.
Le produit de la surtaxe est spécialement
affecte au remboursement de l’emprunt de.
4.754 francs contracté en 1907 en vue de la
conatruction d un chemin vicinal et de dé­
penses scolaires.
A l’octroi de Piogastel-Saint-Germain
une surtaxe de 14 francs indépendante du
droit de 15 francs établi A titre de taxe
principale.
Le produit de la «urtaxe est spécialement
affecté au remboursement de 1emprunt do
30.000 franc», contracté en 1893 en vue de
la reconstruction de l'église.
A l’octroi de Lecunoié d’une «urtaxe de
cinq francs indépendante du droit de 15 fr.
établi k titre de t.-xe principale.
Le produit de la surtaxe e»t «pécialement
aïecté au remboursement de l’emprunt de
1.8G0 franc» d isticé A pourvoir aux frais
d'agrandlinement de l’école des garçons.
"
â c tiW l t ü h ë
De i’arganisaiion proitssiom illi
A u congrès de l'A. L. P. tenu à Paris
dans les premier* Jours de ce mois, M. Plou,
député, fallait rewortlr la nécessité de
1’orgnnisatlon profesilonnelle.
Cette question est pour ieo cultivaUurs
d’une actualité reelie.
De toute# parts nous voyons surgir des
organisations lo it ouvrière« liolt tie fonc­
tionnaires qui, à cor et A cri», réclament
pour leur» membre;» : amélioration de leur
«ort et bien-être.
Loin de moi la pensée de vouloir m ’oppo­
ser A l'amélioration du sort des fonction­
naire»,. mai* 11 ne faudrait pas qae le
bonheur d'une partie de la population fut
conutituée par 1« mUère de l'autre.
Celui qui sn.lt, depul* «uelqu»« années la
dlacu»»lon ite notre budget, n* peut vol?
»an» Inquiétude la rapide augmentation
de» dépense* ; elles montent estte aasée au
chiffre fabuleux de quatre milliards. (Il
faudrait 05 wagons chargés A 100.00 kilos
pour les transporter en louis d’or).
U ne autre raison pour nous alarmer,
c’est de constater la légèreté avec laquelle
nos bonorablss Jonpïest avec nos mllitCD*:
arrivistes politiciens ou enchérisseurs éiectoraux, tels un troupeau de chacal» snr le
corps d’une victime, c'eit A «ut emportera
le plu» gro» morceau. La fortune de la
France et le bien-être da contribuable, ne
comptent point pour eux ; si quelque sage
parle d ’économie, il est nûr d i no pouvoir
se frire ¿coûter.
Cettr voix du sage 11 faut loi trouver un
tures qui leur oont conlieea?
écho pour qu’elle sol* mieux entendue : les
So
ligureut-llu d'*uwe part, qu’i'.a vont doléance* des contribuables présentée»
avec fermeté seraient cet echo.
faire hésiter lea E tèq ata pour si -,»a ? ,,.e
Aujourd'hui pour être écouté le bon
nôtre, nu particulier, a démontré m n la tïi
droit «eut ne suliic paa, il faut encore ,*
fois qu'il ne criiitt ni ¡cet tribunaux, r.i 'es
condamnation», qiand il s’r gît d’nit d*roir
force.
A remplir, d’nu droit A 'léfendre.
L 'org a nisatio n p ro lessio nacllo . en l ’e s ­
Et c'>i sottes pourauttes le feront, simple­
pèce les syndicats agricoles, psr le nom bre
ment aimer davantage de tons ceux que la
des m em bres, d o nne rait A nos vœ i.x cette
force qui leur eat nécessaire.
haine anticléricale n'a pas encore aveuglé».
Le syndicat agricole n ’eat, pas. ce que
beaucoup pensent, uno association com ­
merciale quelconque, c'eut surtout un
organe d'etude* et de propagande, de
défense et de réformes sociales.
Monseigneur Dnparc vient d’adregaov A
Il
ré u n it lea cultivateurs pour défendre
M. Nieol, directeur d'un journal pédagogi­
les h u ô rë ts com m uns de la profession soit
que, récemment fondé, sou» le patronage
m atériels zoit m oraux, en restant *'n dehors
üe 1inspecteur diocésain, lu lettre suivante :
de toute ingérence p olitiq u e, m ais tout en
Le Breton à l'Êcole
Cher Monsieur Nlool,
J ’ai lu avec Intérét les premiers num iros de
votre B kvuo pédngORlque.
Cet effort pour elever encore le niveau lulollectuel de nus jeunes mnl'res ne sera pu» moins
apprécia des la n llle t qua d« nou Acides chrétlenuat.
Un rappelant aux (Idèlci qu’ils doivent neus
couder lonrs enfsnt» pair# que l’école nnns Dlau
aérait pour eux mauvaise, uoae devons pouvoir
leur dira qu'ils aont assurés d« remontrer dana
noa Instituteurs et nos Instltutrlcaa libres, avec un
dévouement qua rien n’nr'flte, une Instruction,
une cxparlent«, uno cbiupétoni.e de plus on plus
étOQlIllDU.
Je vous tèdoltt) d ’avoir procuré i vos jounes
collègues l'instrument rt’ftude dont lia avalent
busoin pour sb tw lr tn h j ’.plno et to roattra uu
courant des travaux qui pouvant (autlltcr leur
ouvra qactldlanno.
Vaus ave?, réservé aux devolra d'instruction
rellglenit) la plaça Importaata A laquelle Ils ont
droit dana un programma catholique : c’est pour
nos mattras uno obligation plua airlcte que jatnala
d t présenter A luura élévas lu doctrine chrétienne
dans toute sa précision. Leurs «asspositions aaront
ravuaa par un prêtre A l'esprit tré» sAr. Ils expo­
seront ensuite la vérité avec plua d'am onté, et lia
y Battront an pan de chaleur apostolique pour
ioraser aux «niants uue ninntalUA rallgluusa, ré­
fléchie at prolande.
J'alaaerals à vous voir compléter Ira matières de
voo devoirs de quinzaine par uno petite page de
kreton. Vos maîtres doivent s'eu servir, q u a n j Ils
1« peuvent, pour bien enseigner la IrM çals. Vas
Aaollara anx-mémee doivent arriver A connaître
d’an« façon plus gramaautlnale leur langue maternelle. Voua pourriez consacrer une deml-coloune
da chaqns numéro A »u « courte leçon d« gr«mnsslre tout« AlAmentaire, et une antre deml-colonne
A «n récit da notre histoire bratonne. C«tt« Idée
aaralt sans doute besoin d'Atr« mArle avant d'«atr«r dana la pra tlq ie , ]a vona la aoumet pour qna
vons y réléchls.tlvz avac vus exaellants collabora­
teurs.
Qae Dion bénisse le Sentier d'acrot où vons
Invitez e l'avancer avoo vous tons las tions servi­
teurs de l'euselgniaent libre, et qn 11 voua facilite
la rrnte tAche que vous eccompllsr^r. al bien itama
mon 'llocése.
Veuillez agrier, eker Koualeur NIcol, l'sssnrance d« mon pntarael et ra ipactueux dévouement.
-1- AI01.PKB,
Evoque de ♦ ulm per et de Ldon.
funérailles olUclsllts et solennelUa.
« Sauf A men neveu Albcit et aux membrou de ma Uiaiaon dit textuellement ;e
roi, dan» son testament, Je défends A tous
do »ulvte mes (nuérallles. »
Le gouverneasent belge passa outre A
se» volontés et tes obsèques ont été gran­
dioses.
lie corps enfeiMé dans un cercueil orne­
menté, fat descendu du ctateau de Laiken
ut hissé sur un ebur tunèbre A 9 heures du
matin.
L« cardinal archevêque do Mallnes, le
clergé de Bruxelles, précédèrent a i» levée
du’eorpa.
Put» le cortège se forma lentement «e
dirigeant vers m catéJrale métropolitaine
de Brunelle». Derrière vonaiont le prtnee
Albert, succesaeur au tiâne, les princes
étrangers, les grande dignitaires de la
Cour, tvute» les autorités marquantes
oifllcs et, militaires de B'iflquo, les délé­
gations étrangères.
Ce cortè;?# ovnlt près do 4 kilomètres de
long. Sur le parcours s’écrasait une toule
énorme.
Dana notre dernier numéro, noua avons■ A la cathédrale, la cérémonlo se pro­
dit que Léonold II, roi de Belgique, était! longea près d'uno heuro.
iravement ssalad* et. que son grand titre — i
Puis le cartège ne reforma pour se ren­
e roi eat né le !) avril 1835 — faisait cralndro I dre A Lacket. dont, l’église renferme la
ure Issue fatale. Uue petite opération
tumlie de lu relue Marie Hanrlette. A
l'avait, soulagé on peu, mais daua la nuit 1 2 h. 1/2, le cercueil royal étMt placé dans
du vendredi 17 décembre, »'.ors que l’on une crypte.
croyait, tout danger passe, le roi mourait
Mata le Roi est mort, vivo le Roi l
A 2 h. 1l'i du matin dans sou palali do,
Albert 1« qui vu succéder A léopold II,
Uxeoken, situé à 3 kilomètres au nord do •st »ou neveu. Il est né A Bruxelles, lo
Bruxelles.
I avril 1875 et est donc ftgé de 35 uns.
Des religieuses le veillaient lorsqu'elles1
Il est marié A la princesse Elliubsth de
le virent s'agiter. Elles crièrent : « lo roi Bavière et a trois enfants.
se trouve mal • et s'approchèrent.
Ii u beaucoup voyagé et s’ost beaucoup
Toui ceux qnl aimant lu langue bretonne,
Le baron Oofttnet et le docteur Thlrlar oecané da p'oirè» social et économique et
parce qu’en olle vibre l'Urne bretonne, »e
accoururent. lia furent les témoins d'un «»éclatement de l amélioratlon du »ort des réjouiront des conueil» que donne Monialspectaole terrible.
classes ouvrière».
gnear pour propager l'enseignement de la
Le vieux roi, l’esll hagard, taisait des
Oa la dit très Intelligent, très bon, trop
lingue dei ancêtres.
efforts désespérés pour se dresser et lps bou même, écrivent quelques journaux.
Momolgneur manifeste également le
mains crispées A 1« gorge. Il rAla, plutôt
La viude travati ut d 'études qu’il u menée désir que l’on mette A la portée des enfanta
qu U n'artlcnla cea mot« : « J'étoufre, doc­ Jusqu’ici lui u conqals les »ympathiew d’un
l'htatofre
do la Bretagne. Ce déair répond
teur... étouffe. » Ce fur. toutpeuple, qui fut liés souvent f olsoé pur les aux vceux de tous les bretonnants qui, il
lies bran retombèroi.t, m grand corps so Inoldents pénible» qui marquèrent la vie taut l’espérer, aideront les écoles libres A
détendit. Il étau 2 h. 37.
de Léopold .II.
le réaliser.
l<e docteur tenta nue plifftre de ûatéTne,
Le nouveau roi Albert 1" a prêté ser­
mais ep vain. Lé"pold II était mort.
ment, de icopecter la GotiNittution. jeudi
iiMimt avait,reç«i la veille, en .pleine con- mutin, au Parlement de Brtixelles. Dea acRemise sur ies cotes foncières
nslssflnct. l'absomtio'j et le sacrement du oiamatluiia entli'Oialuatt« Siuuèreut «ou ar­
l'extreme-onctlon.
La loi du 19 juillet 1909 dispose que le
rivée daim la salle, convrant les voix des
Dès l'aube la nouvelle était connu» a . socialistes qui criaient : « Vive la Répa- dégrèvement des petites cotes foncières
Bruxelles dont .tou« les édifices publics
(cotes foncière« des propriétés non bfttiea
bllquel »
arborèrent le draoeau national voilé do , Après la formalité du nerment,, le nou­ liai dépassant pas au total, pour la part de
ortpe.' wi'iM.t 11.»;.,' ",J
veau roi prononça un discours où 11 passa l'ita t et poar le même contribuable, la
an revtte l’œuvre de son prédécesseur, puis somme de 25 te.), ordonné par la loi du
1ÎP's1 t0DDftet 10S>M*onnu Atout**
21 Juillet 1897, sera de nouveau effectué
II termina alm i :
«n 1918.
i H f t inant le roi béopold appartient 4
M eilleurs, J’ai la vliton netta ds m a charge. La
Les propriétaires qnl ont obtenu le dé­
, devoir dei pi Iacea e it dloté A leur consolane« par
grèvement en 1909 obtiendront d'office et
l’Ame d i i peuplai, car i l le trôna, a sea préroga­
•ans nouvelle diclAïMiim en M O la mime
tives, Il a surtout aea responsabilité!. Il faut qua
remise d ’tmpOi qu'en 1389, pourvu que : j
le souverain sa tienne uveo uuo entière loyauté
Bourbon-Orléans, Ulle de Louis-Philippe,
nu-dslsoa dea parila. 11 taut qu'il veilla au mala1* La contribution personnelle mobilière
roi de France.
llen d ai foroaa vivai Su la nation. Il taut que,
4 laquelle Ils sont-assujettis pour 1910 dans
•una cs«aa nlteailt A la voix du pays et panoM
lear»
diverses résidences ne dépasse pas
avno aulltottuda sur la sort des humblan, le iouveraln soU le'iéfV inw r d u droit, le aoutlen de ta l au total, 20 fr, (part de l’Btat) ;
nette, qui mourut eu 110! après avoir m il
2* Le chiffre du revenu càduitral indiqué
paix aooiala.
an monde troia filtra et un fili. Celrii-ol
sor leurs avertissements de 1910 soit le
Qua Dieu m’aida A remplir aatte mlaalon I
mourut * l’Age de dis ani.
même qu’en 1WS.
Q uant a mol, |S asti tonjaura prêt A aeoonder
Mort Roule BelgiQue
» itp fittiS T S ii
ô ta n t nu organo de c o m m u n ic atio n entre
ia corporation et leur» représentants éiac,
qui leu co nsulteraient
c fru it lors de
1élaboration ue, nouvelles lors agricole».
Le syndicat serait également le noyau
naturel sur lequel pourrait se greffer
diverses o»uvres mutuelles et lociales telle s
que: Mutuelle-Incendie, Mutuelle-Bétail,
Mutuelle accidents, Caisse rurale, coopé­
rative# diverses, œ urresqul depuisquelque»
années fteurissent avec tant de succès
dans plusieurs communes du département.
C’est uu devoir social pour ren cultiva­
teurs qui, dans leur récloa, joui*sent d'une
certaine influence de prendre l’initialive
de rocgacmitioQ professionnelle : ie mal
est déjà gra*e, il est grand temps de
l‘(’nrny»r.
F. T.
Q n lm fe r lfi
C o n co urs d ’a n lm sin x g r a s et raprod n c to n r s . — Jeudi a eu lieu a Quimperlé,
le concours d'animaux de boucherie et
d'an Imamx reproducteurs organisé par l'as­
sociation du Suti-Finistère.
Voici la liste dss lanreats :
A n lm a u ï do boucherlo. — Eipèoa bovin».
1” classe. — Jeunes ba-ufs do toutes races u’uyaat
pas plus de 5 uns en bouche. — 1- prix, 80 fr.,
François l'Arez, Kerancollleo, Bannnlec ; 2 -, 18 fr.,
J. Bleuzen, Balut-Yvl ; »•, 60 fr , J. Tallec, à Kornabat, Uannuleo; 4-, 40 fr., Penblanc, A Locinarzln, B annalec; a-, io lr., reporté ù la s- catégorie
de la 3' classe.
3' classa. — Race pur« 4e Cornouallles. —
Boula marquant moins d« six ans en hiuche. —
1'- catégorl*. — Paire 4e bssufa. — 1- p rix , un*
médaille d’argent offerta par M. le Ministre » •
l’Agrieupure «t 100 fr., J . BUrateu,, Salnt-Yvl
S
; 2-,
70 ir., nené Perni»; Plonéls.
2- catégorie. — Braufs Isolé». — 1” prix, SO Ir.,
J . Bleuzen, de ■atrn- Yvl ; 3’, flé fr., R. Pernez,
de Plonéls ; J ’, 20 Ir., F. Pérez, de Karancolllec,
B annalac; 4-, 31 fr., J. T ollie, de Kornahat,
Banualac.
3- catégorie. — Bande de quatr« bmufa. —
1“ prix, «ne médaille d« vormell uffarte uar M. le
ministre de l’agriculture et SI Ir., J. Tallec, de
Karnabat, Bannalec , 2-, ano médaille d'argent
offerte par M. le ministre de l'agrlcultur« et 4» fr.,
J . Bleuzen, de Balat-Yvi.
Bapèce porcin«. — S- classe. — Porcs et truies.
— 1“ prix, 60 fr., J.-M. Callu, * Trognnvel, «a
Bannalec ; 3 , 40 fr., Corolter, A Punitane, Qulasnerlt ; 8', 30 fr., Tanguy, a Kerdarld, T.J4vo«x ;
4', 35 fr,, Ixniln P tron, u Coatsnvé, Moélaa ; 5-,
30 fr.. Cadlo, L » Vlllanenvo, Tréméven.
Anim aux repruduuteurs. — 1- cUoae. — Rese
pure de Cornoualltas. — 1” catégorie. — T a u ­
reaux n'ayant en bouche aucune*-!ont de remplaplacement, — 1“ prix, »0 fr., I,nul> Fonutenn, à
Ergué-Armer ; 1', »0 lr., René Feuntenu, a SalntYvl ; 8-, 40 fr,, René i-cruòs, é Uémz-Brae en
Plonels ; 4 , l o ir ,, Jean Dnnlon, ù Kermunteun ;
8‘, 30 Ir., Peroès péro, A Méncr-Bra» >ra PlonAls;
6‘, la fr., Lauan, h Kem ouarn. Quimperlé ; 7-,
supplémentaire, 10 fr., Melo, a Arzauo.
Menllon honorable : René Parnés, de Plonéls.
3- catégorie. — Taureaux de plua de doux nus,
n ’ayant pas plus de quatr« donts du remplace­
ment. — 1” prix, uu« médaille d’argent otTurte
par la ministre de l'Agrlculture at 00 fr., René
l'eunteun, a Saint-Yvl ; 3-, bo fr., René Pernez, A
Ménez-Bras, A Plonéls ; 3-, 40 fr., Hervé Feunlaun
A ICrgué-Armel ; 4-, »0 lr., Le Craur, a Psnharo.
3classe. — Raca Durharn at Crolsenenta
divers. — Taureaux Agés de moina de 4 ana. —
1" prix, 60 fr,, Avan, a Peucruu, an Plomodlarn :
*V 60 fr., G uillaume Pérez, A Keraalao, «a IBaanalao ; a-, 30 fr., L » Tallee, Rosoasqnin, «n
Qalosparlé ; 4 , 30 fr., Mlalou, St-Tknrlan.
3> classi. — Race pure de Cornoualllm . — t 'a
catégorie. — Pim eli«« n ’ayant an bouche attenne
d m t d r remplacement. — 1» prix, une médaille
d« bronze offerte par M. le ministre d* l’egrloultur# et *0 fr,, R. Pernez, A Plonéls ; 3’, 30 fr.,
R. Fennteun, Saint-Yvl ; 3 -, 30 fr., L . Feuntenu,
Hrgaé-Armel ; 4«, 1« Ir., J . Danton, Kerfeuntenn,
min............ ...
i l S i í i í i l l í I I i í ’l !
J* catégorie. »
Femelles pleines on à lait
n’ayant pus plus de 4 dents de remplacement. —
1*> prix, nne médollle de bronze offerte par M. le
Ministre 4« l’agrlcnllure et 40 fr., L . Fennteun,
Brgué-Armel: S-, 30 lr., Fauuteun, Balat-Yvl ;
3-, 20 fr., L a Cssur, A Panhars ; 4-, lo fr., J . Da­
nton, Karfeantaun.
Mention honerabl» : J . Péron, â Locqultoc, «n
Baye.
3* calégorl«. — Femelle? pleine» ou A lall iaéea
de 4 ans et un-dessus. — 1-’ prix, G0 fr., R. l'euntoun ; 3-, 60 fr„ R . P arniz ; 3’, 40 fr., J . Danion ;
4-, 30 fr., Y . Garf-rm, i Kellac ; 6', 20 fr., L.
Feuntcun, A Ergué-Armol ; 6', 10 fr., L. Marlr-n,
de Baye.
Montlon honorable : Pernez père.
4- Clause. — Race Durham e i races diverses. —
Femellos âgées de moins de 0 nns. — 1-' prl*,
60 Ir., François Pérez ; 2 -, sa fr., v«uve Lancleu,
an Trévoux ; 3-, 25 fr„ Ladau, a K em ouarn, eu
Q ultuptrlé.
6- Classe. — Ver>3ts da 0 A lr» mol». — 1 " piix,
40 fr., Json Laudreln, à Kerloler, en Trévoux ; 2',
>0 fr., Malhle» Le Clac, a K/!r!«:ls, en Mollau ;
3-, 20 fr., Joseph Tallec, í Bannalec.
Prix d’ensemble df.cernrs aux exposants p'”ir
le plus bol ensemMe d’anim aux reproducteurs.
— 1 " prix, une médirllle de Tcrmell cITtito par lo
ministre de l ’Agrlculture : René Fcucteuu; 2-,
une médaille d’argent ollerie par le ministre do
l’Agrlculture : René Pîrncz fils ; 3'. une médaille
de btonze offerte par le ministre do l’Agrlculture t
Louis l'eunteun ; 4-, une médaille de br o m a otlo rte p a rle ministre de l’Agrlculturo ; Jean Dinlon.
Anim aux de basse-cour. — 1 " prix, 1 médaille
d’argent, Maurice Habría!, de Quimperlé ; 2-ei 3-,
1 médaille d’argent, Jndlc, de Q ulœ prr ; 4 , une
médaille de bronzs, Morcrotte, de Quimperlé ;
6-, nue médaille, nou décerné.
Concours annexas. — Beurres. — 1 " prix,
12 fr., Le ü a ll, Kernous, en Quim perlé ; 2-, 10 fr.,
Guyomar, Héder, en Clohars-Carnoét ; 3-, 8 fr.,
Péron, Iîoalls, eu Q uim perlé; ' i , « f r ., Péron,
Korvlguennou. en Nelluc ; 5', 4 ir., Da-nnd, Keranxquor, eu Quimperlé.
WS
s*?;
CAUSERIE JUüDipij
V
r
Do la preuva (suite). — Nous en »ommes
à étudier comment 0 ?. acte sous signature
privée doit être rédigé pour être valable.
Nous avons donné dans la dernière cause­
rie les formule» tea pin» ordinaires que I on
emploie pour rédiger ce» sorte* a actes,
mai» nous avons fait remarquer que ces
formules n ’avaient absolument rien d’obiigatoire et que lea partie* pouvaient les
remplacer par telles autres qui leur aembioralent bonn«s. Au contraire lc-s forma­
lités que ncu* avons 4 examiner m ainte­
nant aont substantielle». Leur omisaion
entraîne la nnllité de l'acte. Ces formalités
peuvent être divisées en deux catégorie*:
celle» qui sont nécessaires â toas lee actes
et cclies qui ue sent neceasaire» qu aux
actes de certaines catégories. Nous ohona
ensuite quelques mots de deux formalités
fiscales, le timbre et l’enregistrement ; notw
verrans à ce moment l’importance tonte
psrticulière do la formalité rte l’enrej’iatrement.
A. Formalités nécessaires i. tous les
ac tes sou» tijnature privée. Les formalités
nécessaires a tous ies aetts sou* signatnre
privée sont au nombre de dtux : la signa­
ture et la date. La signature de ¡a partie
qui s'engage *1 elle est seule, et la slgnatare de tonte* les pa-ties qui s’engagent
s’il y en a plusieurs, «ont absolument indis­
pensables pour que l’acte lo it valable et
puisse lervlr de preuve. Ceia est évident.
C’eat de 1s slgcatnre qne l’acte prend s*
valeur. Notons A ce propos qn’une personne
qui ns sait pas aipe.er ne pert pas faire
constater lea con-entic.i* qu’e l.î prBse
par acte so^.s signature privée. Eüe Oevra
donc s’adrer^er tenjon-!’ A nn notaire, sauf
peut-être dana les très rares cas. où la
preuve peut dire faite par témoins. Et
•lucore faut-il ajouter que la preuve uar
témolus est toojour» dangereuse. Les
témoins peuvent mourU, se trompes-,
mentir. I l ne caflirait pas peur signer un
acte sons seing-privé u’y faire mu croix.
Mais il n ’est paa nécessaire non ptus que la
signature «oit la reproduction exacte des
nom* et prénoms de la personne qui sisrne.
Il suffit que ce volt la forme ordinaire, ¡a
/arme ha.bitue.lle. dont eita se sert pour *e
niguer. Mes, lect-.urrs le savent r.nssi bi-n
que m o i: les trois qnar*» -Jes signai.'.:es
nont illisibles. Sen'.ement elles» o n t en
généra! difficiles à imiter.
A v e c ’a siersture il faut que l'acte sous
sigas-ture privée porte sa dots. Cette for­
malité xtVst théoriquement exigée pa- ia
loi qne dan* quelque» cas, me.is en pratique
elle est. toujours nécessaire et >1 ne faut
jamais l’omtittre. Elle sert, ¡>.autres eiiuses
ai .es parties qui contr-cteut avaies: la
espteité requise po«r contracter a l ’époque
où l ’acte a été pansé, si à cette un me
époipie te vpndeur par exemple était pro­
priétaire du bien qa’li a vendu, etc,, etc...
VoilA donc les deux élémears qu’il ne
faut pas oublier lorsque l’on, rédige on acte
sioua-signature privee, quelle que soit s*
nature. L ’acte doit être sigue. I» il ne .-.’était pas, il serait railcalem ent nul, et ue
pourrait, en rien servir de preuve -1celai,
qui !e présenterait. De plus il doit être
uaté. La date n ’est pan généralement
requise â peine de nnllité, maïs si. elle m an­
quait cela exposerait le pros Bouvent le*
parties a de graves déssgrémeuts.
J. D.
Arrondissement ile t e i
BRESTT
Dévolution <Jes biens de l ’ISn-line
Lundi soir, le conseil municipal de Brent
entendait la lecture d’un rapport de M
Gargam, sur l’attribution faite par î’Etat A
la vfile. de biens provenant de la
le fabrique
d* Salnt-Vartin.
t-Vartln. Ce* biens sont :
1* Cinquante france de rente *nr l’Etat,
Série 2, h* 517.001 ;
2° Cent Iran»» de rente *ur l’Ktat, «érie
2, n» 583.523 ;
3» Promes*e de renta de 0 fr. 571, n»
48 404 ;
'<• Meubles r.t objets awbil'ors g-m irsant
l’église.
Le rapporteur conclut à la réunion de la
comml»sion administrative du bureau du
blenfaiaance et de ia commission adm inis­
trative de l’hoiplce pour décider lu façon
dont se fera la répartition de* titre« dn
rente entre ces étabiiaseraent». Quant aux
mobiliers garninsant l’église, il demandait
qu'il» fum ent dUtralts de l’attribution.
Après la lecture du rapport de 8i. Gar­
gam, M. Trlcq donna lecture de la protes­
tation suivante :
« Notre coniclance réprouve un* mesure qui
Aéponllia Injnstement l’KglIse de ses biens et
noue protestons énergiquement contre la dévolu­
tion prop«sé«. Nons puons M. le maire do lalro
Insérer notre protestation au procès-verbal. »
Slené : Trlcq, Glezlou, Pérlu.
M. RolIand: l*r a i j o i 't 0 0 maire, qri pré­
sidait la séance en l’abience du maire,
répondit en ee» termes :
J« ne peux p u laisser p a s u r la protastntlsn
qui vleut de vons Atre lue sans répondre quelque«
mot», « n voue dit que l’on a dépouillé l’F.f it« :
ce n ’aai paa tout A fait exact. L ’BglIse n ’a paa
cru pouvoir accepter las assoslattons cultuallea :
Cont son droit, mais les klaus appartenant aux
I-ib'tqaas ?« t-uu -:iot xanr » » lir e , retournaient
lorcauient a l ’Ktat. O r peut penser que la loi qnl
a remis aux communes lea Agllsas ui lo mobilier
las garnissant, avec affeotuilon nu service du
cuit», aurait pu s i montrer plut krgrj tel, llve.
osent surtout nu paiement der dettes des fabri­
ques, qui peuvent n’Au-e pas totalement pavées,
al la liquidation d 's bl-rns des menace n>i
donnent pR* les résulta's que l’ou prévoit, or r on
comprend difficilement une attrlbutlo» de blans
«en» qu« lea délits soient entièrement payées.
O n aurait pn égm«menl assurer le s«rvlc« d«s
tondatlona. mala ra situation actuelle provient du
défaut d’uccaptatlon des cultuelle», «t je ne crois
pas exact de dire que l’Etat déponlllo t’ICgUso.
M. Qliitou. — Je domnnde qn’on mette aux
voix la proposition da M. Trlcq.
M. Rolland. — Je ne vola pas très bien le
moyen de donner latlsfactlon a notre collègue.
Nous n o u i tronvoaa «n ce momant eu présenc«
d'une prot»at«Uon d«nt on dtm ande l’lns«rtton
un procèt-v«rbal. Cela aéra fait. Hl d ’antres
asambres de l'assemblée veulent signer la pro­
testation, lia «n aont libres. Mala actuellement
noua «vons almp]«m«nt A «dopt«r ou A rejeter
l«a conclusions du rapportanr.
On met anx voix les conclusions du rap­
port de M. Gargam, lel conclusions furent
adoptées A l’unanimité moins trois voix.
A la snlte de ce vote, M. Billant, cnré de
Salnt-Msrtin, a écrit à U . Rolland la lettre
suivante :
Konslen.* 1« matre.
J'a i l'honneur do proiseter auprès d» c t"s e li
municipal centre deux allégation» qui ont Ati formuléoe dans In eéenco d« 30 dAcernbre.
Las fscdatlonfc de l’égllfo Saint Msj-tl» ».n ,s*»t
pas libérées de leurs «berge». L ’obligntlen de
taire dire les messes protulsea aux auleurf, de ce»
fondation.; demeure cuUùro.
Vous r -'tz paru crolt'i qur> l’égllae t a par été
dépouillée dn eee biens. Eli« était oonrt?«t pro­
priétaire legtdme. 8on droit était ,-oconcu p ar
l ’Etat lul-n-émo. Ello tenait ses modet-ta-, re»sourcen «Je la générosité de» catholiques- Les ca­
tholiques n’avalent {anal» on vue l’tiosplc.' oa le
buroou 4c blonlaleance, nrals la parole»«. Or, on
enlève à la paroisse ce qu’ello possédait. NV>«t-ce
pa* dépouiller l’EglIae 1
Eu rejetant le» associations qui aont central.’ «
A sa coneiitutlon et A ses lois. r’Egll»? n’a paa erv
tendu renouoei- a ia prov'IAté. Kn l’eu prt\A»t, on­
ia d.-pouill*. Injustement. Parce qu’un propriétaire
se raisserait vorer plutût que de commettre un
acte contr.-lro A sa cousclanco, en ««ralt-ll ruoluarésliemerit toIA '! C ’est le cas de l’E rlIar : la p a­
roisse vit encore. Rien n ’était plue ü c lle que d »
lui li,laser se» titre» et aes droits. Lo tslt d» los
lui enlever eat une grave et aucrtlègc fujoullce.
Les colbollq<i"B l'on! compris. Il est h rcaKalter
qne MM. ies membres do conseil municipal le
comprennent tous et s'associent A nu acte de ré­
probation qui répond A leurs sentiment» comme A
ceux du pays.
J ’.-il l’honneur '■'être, monsieur le maire avec
le plus profond respect, votre très barobte ser­
viteur.
F.-M. Uir.LANT,
Chanofr.e honorafre, curi de
Suint-Murlln.
On ne saurait plus énergiquement dé­
fendre les droits de I Egliou.
E le c tio n s a u t r ib u n a l d e c o m m e rc e
Vvici ies résultats des élections au tribu­
nal de commerce pour l ’anondissem ent de
Brest :
DRUXIKVH TOUR DE SCRUTIN
1-' Canlon de Brect
Ioicrlts, 690 ; votants, 113. — MM. Henri Steff,
président, ‘J9 vols ; Léon Thlllet, juge, ¡13 ; Ram ce,
jugé suppléant, 18.
2* Gtnton
Inscrits. 441 ; votant*, 38. — MM . Btîff, S i vo!x
Tklllot, so ; Ram ée 37.
J- Canlon
IoscrlU, 314 ; votante, 10. — .'.¡M. Staff, * vo% :
Thlllet, t> ; Iî« c a * . 7.
Nombre total 4« voix. — U?7. Stéff, 1W vol« :
Thlllet, 1Î 6 ; Ramoe, 133.
Ioscrlta
Valants
2 b8
«
B aouloa.............................
L aaaerar.aa......................
444
gj
L a nn tü o .............................
Isa
lit
Leonevcn..........................
24a
'e
O u e s s a n t.........................
17
7
Plabencec.........................
138
20
P lo u d a 'm é z e a u ...............
176
15
Ploudlry.............................
70
0
Sslnt-Rennn......................
366
Boit en tout, y compris Bre»t, 3.1*1 inscîlt*. et
344 volanU.
Ont obtenu : M. Henri 8teiT(nr'Atldev:!).317roix;
M. Léonce Thli'at (juge), 208 voix ; ii. linm io
(juge suppléant), 206 voix.
Toua trois sont éiua.
Football
Dlm snclij, i Salnt-Brleuc, l ’Arm orfcaine (1), da
Brest, « battu 1 U. 8 . Beauregard, de Laval, par
alx bute - un.
Des bœufs qui E’órliaspent
La semaine dentiere au moment c i I'ca
procédait m débarquement d’rc -vr.^rn da
b a ri» , ver» 7 heure» du noir. A ¡p. ¿are de
l'Ëtat, trois basala » échappèrent.
L ’un, après avoir traverie en courent la
place de 1a lib e rté et la rue de Pr.r.'t, vint
s’engager ù lu s U ras Vlct«r-Hugo. ¿.’»gent
Lakous, du i- arrcudisiement, ae p'aça de­
vant l’anim al et voalut l ,u, é(er, ma!« ce
dernier, tête baissée, se lança sur l agsnt
et le projeta A quelques mèt-es pins loin.
Le tureador Improvise -n’eut aaens m al,
ies cornes n ’ayant heu feulem ent pénétré
que dans ses vêtemeats.
Quant A l'animal, il continua sa c-iarse
vagabonde vtrs la camj agao.
Deux autres bœ uft longèrent la voie fer­
rée. L ’un ('.’eux, vendredi ma in, voyar', arri­
ver l’express près de K e rtro n , *e Je'>» sur
ls locomotive qui le broya.
L ’autro bœul avait f«dt un bor,d sur le
talus et aiia tomber aur ls ciiemin du >’ievx
Sa'.nt-fiiarc, faisant une caute de vingt
m ètics et se b'isent les quatre p»ttea. On
dut le tuer sur place.
Cet: deux bwaie aupavtenaient i M. Nicol,
boucher .y. Brest.
A qu i la vache ?
Une vache se trouve A l ’abattoir de B rait,
depuis quelques jour» ; elle y a suivi un troupeau
d ’animaux : le propriétaire peut l ’y réclamt-r aiata
avec renseignements précis.
D aoulas
A s s o c ia tio n d es H a m llle s. — Le Jour­
nal Officiel publie la déclaration suivante s
« 2 ueceraore 1909. Déclaration de l’A s­
sociation des Famille» au canton de Daoulas (Finistère). Assurer la neutralité reli­
gieuse A t école. »
La conférence de M. Carret, Pan! : L'école,
le droit et le devoir des parents, est en
venta chei! l’auteur, A Piougastei-Dion’as,
et A l'imprimerie du Courrier du Finistère,
4, rue du Château, A B re s t..
La brochure 0 fr. 05. Franco, • fr. I l \par
quantité, 0 fr. 05 l’exemplaire, port ea p its.
A a lp a v a a
A s eoneoars «(«a étalo ns 4e Sratt. -i
Nous »vont. Sonné »amedt lea réamltat» du
cnncaurs d’étalons de trait, qui sut lie» A
Br«*t, le 11 décem ir».
Une «rreur s'était glissé daas ¡es féatfltats. C'est ainsi qoe !e palmarès portait que
l ’étalon Saint-Urbain qui v a u t A son pro­
priétaire une primé de 400 francs, appa-teu a ii a M. Guillaume Lavanant, d* Srint*
Divy. En réalité, cet étalon appartenait à
M. Guillaume Lrvanant, de Kerlixic, en
Guipava*.
K c r s a îB t- P 'Ia b c D n e e
A b a rd a e z la d - c ’h o a r l. — Da c’hoaeiiou
Nedelec, goude *r gouü; crou, <Sa lavaret
eo, disado'-n ha dizui. d’a * taol a 3 h., e tlgo-n « m nbadenmc C’hoarl e Boarg Kerzent. Displeget e ve?.o tro lottarn Biel «{
liardov. a reaz ar mrro Dthan evit anaout
»antlmanchou he nlzien en he genver araoc
ober he destamant.
Be.t e vexo ou:ip*n eun histof ac eur
ganouen bsnac.
L a n tle r n c a n
331«ctlotîs légrt*;ativea. — V. v i’iiersj
députe, nous aa.-eiwc ta lettre sulvaste :
Parla, le 23 Déejr-^re.
M osstsün t.K DmiîCHKCR,
J» me yermets de voua dnmi.ad«r rh c t^ lla llté
de» colonnes du Cuurritr d u Ftniafère p*m* <14mentir, dès maintenant, Je brnlt qnr »e : repaga
avea une certaine InteniltA, paratt-tl, < v is la
région uue je représente,
• n « firm e , en effet, qao j'aurais manifesté
l'intention le ae paa (olllclter la renouv»:i«iaaat
du mandat législatif que les électeurs ae 1« ï-alrconncrlptlon de Bre«t m ’ont confié, Il y * dljA da
longue» annéea.
C ent IA un canard anqnel II convient d'orea et
déjà de couper lea n lla i. Je n'al jamais 1 nterlaé
personerj a déclarer qne je ronoirçais t 1« yle
politique, et le n’al Jamal» tenu le limgafre qn'on
me prête. J ’ai toujours déclaré, « n contrafr», mie
je resu l» >nr la brèche et que le reatals candidat
aux élection» de 19t0. J'ajoute qn'avec ie con­
cours dt» ami» fidèles et devouAa qui, jtttqu'A ce
Jour, no m’ont Jamais marchandé leur appui, j'eapèro de nouveau triompher.
Agréez, Monsieur le Directeur, l'assnranci da
mea sentiments les plua distinguée.
Emile Vll.MBBS.
A c c id e n t. — Il y a quelque» jonrs, nn
acciécnt. dû à l'encombrement de terre
gléine, déposée sur le» quais, est arrivé Jt
M. Jeau Kéromsès, patron du sloop de
commerce Efotle. À elx heures du »olr,
lorsqu’il se dlaposatt A descendre A »on
batr-au par l’échelle qui le reliait au quai, il
Rllssa o urla terre glaise et tomba dans son
bateaa d'une hauteur de trois mètres. Dans
«a chute, il a eu la tête abîmée, le braa
droit et la cuisse fracturés.
L a it n llls
M a t c h d a f o o t b a ll. — La» équtpleri i» l a
Luire sont prlèa ae venir aana fauta anx réanloaa
d’antralnamant, «a n i 0 du prochain match avao
la i a n e lllz .
U n » b r a t a . — Vincent Jacob, i l t > ar Q«n<
qu»r » mnrin-ptchear, fa lla it appal, mercralL
devant la cour de Rennoa de trola jugements da
tribunal de Breat.
ÎÆ i^O Ü R îaE R 'D ÏÏiF lN IS T M
L
n d'eux
atx mol»
d» pr-„--f l '" 1
li'aan
O eux V»
1 a oon4«ra»*
ouihkium t« an
niv» »»
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U M A
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ponr avoir port* de« coup« dt u lti Aj * ®
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do Lannllt«
«««ond («a»—
|o«««m *»I >• °°BW
H«I| uv
INHUUia l; un
**« HW1IH
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damna * quatta mol», pour onupi i ta w r». a
i» quelle Il laogu una plorra qal la bU*»a Mfiaa■e<nent.
. .
Rafla ineob »'oit entandn luHIger ••L“ «'» <*•
prison pour vol. 11 a éérubé au dttH »telai, à
Lannlll*, dota boMallloj ds cognao, <14 ■i0rr#
an coutim».
, „
L'ipp«l«nt est un violent et un «l 'oollquo. Il
■limande a la Uour i\e prononcer I* coniuilon den
triilü paleen. Après délibération, * Cour prononce
oattn eonfuilou.
Dim anche dernier 1116 î»en#ôa m é » e de
aon couteau. Heureulôm ent son frère T vej
vint au Becour» de i» ®èro et reusilt a
éviter un grand malhotir.,
Maio le lundi matin. Jaoqua rentrait
cher, ua mère et y btlia tout. On releva
dan» la maUon des pierres de 17 kilo». La
maison après ion départ avait 1 air d «voir
subi un véritable siège contre de» ennemis.
Salut-U»rc
B n rt& j.s a n r l ’&loool. — UOffictil pu­
blie Uuo loi dont la teneur Huit :
L e isn cve “
A r r e s t a t i o n m o uve m e n té e . — Allaln
Made,«, 29 »ni», ouvrier {toulangeiALesnevcü , ayant tenu
un débit a© doIh^
ao’j* , u été «menò &R e a t. E ta n t, dimanche
d.erulor, 1 zMdl, e ü é t«t a'W rrsw placo du
Cbfctoau, à Lewioven, le b d g a lte r do gen­
darmerie tonta da l'appréhender. D e i cou pu
■de pied furent a» ».aula roponiie. Le «arde
champêtre fu. égalem ent frappé, ainsi que
l>i «pud r j o ?iaoi<*t, qui l u t mordu à la
m ain.
T.O|gonni»-l)»»oul<»s
ArKolo i» . - K it autorisée Jaatra’aa « dé­
cembre 1014, Inotuilvement, ln percapllon ilo c t r o
d» Balnt-Maro 4'une .u rta re da tin g i Irano» (ao lr-l
par baotolltre d'aloool p a r contenu da m le« aaaxde-vle, euprlt». llqunur», ira it« i l'eau-de-vl»,
abdntaee et autros liquide» alcoollqnos non ü*-
U n d e u il c o m m u n a l. — l<o 1Í décembre
dans
n u it aorabraiv au large des Sablea
d Oiuttnu, le bateau îîloi!« <1« la Mer, comrnr.udé pur un Jenuï capitalo» ai. oabotage
Louls-Olllvier Le üaon, d'à Ulnéy.
Tout l'équipage oérlt. Deux cadavre» ont
été rf'vio.i'/ûK, celui .lu capitaine et de
Jcuu-Mnrie 1.« 0»P’j , de K e u io t 6t.
L:; «oclia du novice Jean-M arc Camus,
âgé de i l un», ite Rumonguy, n a pas été
retrouvé 1 1« mer «ora «on tombai u.
Ce si’ .Istro a Jeté la coMMfufction dan*
notre paisible oommuue où «es Jeune« et
solides marins, Jouissaient de les„lm e
Bén-inlo. lia ¡ais iwit uoe ulM-.e vide nua
«eulemeut au toyüf et à
de.';eu,a
tomUlea mal« au cimetière où dorment leurs
ancêtre«.
.
(lue reste-ll A ces m uvre» ven' e» de ce«
UW, leur unique soutlou, qu elle» almalen
tant et qui le k i r rendaient .)len r de»
lettre» ooiit«» la veille du nuarra je «p eues
oo x trempée» de. lyrmes.
b l l «ut ime chose qui pulsso adouelr la
■doulou d a m laquelle sout plongées le»
familles Le Cann et üvt \
u ». es «ont a«»urém ont le»
______lu
»r»• témolgnaget
_ . t A r«'- »'.'ite
I¡■.-.w
. ■/ jetdaffecat
ilo b qui leur ont i'tè y io iilg u i» et cettfl
o/nictiou point« *ur T«« vlsanen qui dmalt
Aicquenuiu ¿ i ju x prière» do Clnuuche
■raoli* part
qvl
UUUIIu
|IWI v ma»
i"* * '¡eux M
-» les eonnaUsent
, j * «a
nrt)nn<'ivt i* l’U'.cousolftule deuil «oat ellos
“ ï/aiaila liitrntlo n lodale 1er« tenaa d« lustm jir,
ohagun «uaéo, au préfet, de l emploi dei cei pro.
dult dent un cempte fiénérul, ta»t eu reoette
qu'oa dôueuao. dotru ôiro fourni à 1 cxplrallon uu
dâlal flxo pur la présent* loi.
,a n t frin .p 6 e s .
n0(üoftH* «urtoxo eit ladipondaulo du droit de
16 frAtics Atnbll h titre de tn*o prlaelpslc.
Ari. s. - Le produit de 1«' «ürt«xe «atorliée
pat l'aitlolo précédent eut «p6cl£»m «n‘ «trei.té
t u rombonrinmont do l'em prunt de 64.000 iranc«
coatructé en 1»0I et de o*lul ¿ V 1' ? , ! . «
ïn
tarifé p«r arrête préltoloral du J J,ulîî,.,*
van de l’exécullon i o dlver« travaux d utilité oora-
Ilo a c o ff
A b r i d * m a r in . — Dimanche, en une
cérémonie toute Intime, a été inauguré
l’Abrl du Matin de Roscofî, élevé çrice à
la générosité d’une femme de grand cœur,
M m eK em éls.
.. ..
, .
• Én mémoire de mon fils bien aimé,
Edouard Kernéls », explique une lnscrlp:
tlon C'eat l’amour maternel, craellement
éprouvé par 1» dispari ion prématurée d un
fils unique, excellent Jeune homme dévoué
&touteB les œuvres, qui a noblement Ins­
piré cette fondation.
La bienfaitrice était présente à la béné­
diction de 1' » Abri », donnée par un jeune
piètre do lu f ^ l u c .
A ccident. — Samedi soir, vers 11 heure»,
Mlle Eugénie Hoary, bonne ft l'hôtel Talabardon, voulut fermer la persIenne d une
fenêtre qui doone suc la cour dû l notei.
Elle perdit l'équilibre et tomba sur une
pierre de taille dont l’angle lut lenmt le
crttne. M. le docteur Stéphan, aussitôt.ap­
pelé, Ut un pansement sommaire, eu aticn*
daht l’arrivée de M. le docteur Prouff, de
Morlalx. qui pratiqua dimanche matln iopeaatlon du trépan,
tid» ïeusci..
| Arrondissement
Odlanac «traaalon. — Dana «a
*V
diouc«, lo trlbuual do Uroit a jugé l atf*lro î b i
T l ' 50 novembre an soir, deux jouroaller» tra-
valllant ohe« la œ«™» l’^,r““’ J.'Vi . l i tSuahJr
I»iuo Le Houx, 87 ans, qui »«J'en t d« tOuoh«r
U U B Ï Ï S « f w tedivi«« « x t r ê m . . « t d a n g ^
roux et II u déjà »ubi pluilear» «rsToe ccindamnatlon. pour « t m u e nocturnei; «u»el la tr lb u n « !,
anrta l’avoir condamné a doux aoa de prlion.
ordonna <(*'!! «era rûlégaé à I expiration do sa
peine.
d e m a n d e *
»Imanoho
1v
v't-' Ti ui b '(
<iu‘ilaoe**j,
F’iü is t è ü '« »'
11# W reelro^
B ib lio th è q w o B
i » >o ::k C U t í du HrK», « « t l ml» » o u le vaoa*!«
du ont a d’Arn. V lujl«urs do» n « t r * j orl|lnalrei
i!i I j jinroUia prenaient part a la o M ra o n e qua
iir tild a lt « d iltx u A d o «o n »a lg n m n , In divoui'
« u u in e u r dn grn'jd «ém lnnlra, ao".t »vn«nA du
i. 1 .
... * ____ a . ,... . . . . . . i l i . f i A a n l n i I a i l . ' n l t
dlaUnauA
profuw aui dloadsalü do droit Canon.
A "•. uruLd’DQi^o
obniUôe par
r .tau u*»«*1< uwii.i.vr ;■ M
■* It
- rcoteur
MU. 1«!
d ’HmivIo, an'nfliIltrilAnt
«n'aa»l«talent MU.
1«» flcnlre^
»lonlre1; d«
Xaulé «t de L anlldut. * . le r«ot«ur dh ►'Ils l u ! t.
i dJimit le «ero on d« elrc#r»tunci«. l,*lo g e d«
dn
jn varoio
ju róla ciuiro
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g*rnanni d
prone.nlon
e’n it reudu« h la iu lle ♦ Mn|r, d a i . laqu«lla
»'oidR.iéront 1.500 pnrol.sleiie. A v ia t a’«ua*proaitf« le» prl*ro» llturKlqu«o d'a,'«g« «t en
remerciant d illo n ti'«e n t tou.» ceux i « l ont eontrlbuù 4 l'édlli-.utlou de en v a .l« «l beau louai,
M U HupMIoui' t «dro.nA un fort bea» é l.c o a ri
au «uperbe audltolr« attentif o u .a ïa d » é «oa
lé-'rA. ilUant que ’.ett» m «g n ll^u n b « tl..e , dont
Piabenn«o a le droit d’étra (1er, itevi « être non
m i neuloroent un r« t» fn d’agr*abl« p«a»«-tomp»,
m al« avant tout lîî ooutro de toute, le» aittvrei
parolnlulea, «oiaia« une .'joondu «g ll.a l ù la lo’,
d e l « population »'« vI u t « de plu« «o plu« ; uu
aou v aau fojer d« vl« oliréllenn» plu» m ien»«
ao»r tou», et no. It«u >'dr o(l ln C(»«r de 1« |euneMe
eeru Hguorrl peur 1». combat quotldlea contre lei
lédunllim ii d u «Ifrol« at ion «»prit ml» «u gardo
oontr« to,at« d o à r ln « d»»*ar#u.o...
arrondissement
— Lo
dlmaueue 12 * e'.è oûnits l'éoole cea garç.oni
qui seri dlriKÛPj par MM. Morvi.r, vlcalrr,
et Caroli, préfjre-lnstltutenr, ^ Kerrasltat,
ptè» U c.dape'.lo Notre-Damo du Scapulaire,
Le» pères i?t. mère» de fnmliieii, en foule
compiiate, 'ont w 's nart la pr:n:eatiion, en
tôtu du .a'iueUe i l . Yvea Saioa, '.'habile pa­
tron du bateau do «auvetage, marchait
porlaut la o w .d ü croix.
a
M
e
a
z
i o
lorlÉ,
Conaoll des prud'hommes
Votoi tes résultats des élections ou con» il des; :v.d’hom m îs qui ont pris fin dlmuncas. O nt o btenu:
. .. .
U1I
Pa ik 'HM, l » catégorie (votants 14). MM.
L irrt.r Yvea, conaeüler sortant, tonnelier,
1i vo'x, élu ; Pierre Croc, peintre, 14 voix,
élit: \'ex.uidre Mavson, peintre, 14 voix,
^O u v rie rs, l r> catégorie (votants 149) : M.
L'iou Piusquellec, ébinl«tre. 148 voix, ¿lu.
O u " r 'e V 2* catégorie (votants 67) : MM.
(iuatsva Hourch, bijoutier, conseiller sort ut, 37 voix, <ilu ; ,Te»n Larvor, tailleur
d'bablts, 29.
u
— « Oh I emu Julian ennhan he-unan, an
«otrou Mllx a gar va marc h : p»bei buriu3, ha r»b ft mir-vad evldomp I « Han hen
kr»nv: Mtie. aotrou I''«rnand I biken an
dud ne gredlnt an dra te I •
— « l o l tnafokitr I kredt e ralnt abred pe
«tvezat: da vinaua pa veilut uuc an D«olZantell >
— a Oh I enn Ills o nureujo PAllx a (talon
v adf »
— « Pebez gouleim t Me’ »¡red zur e tol® d’an
Ills I... To oar, Julian, nl n’omp ket tud hop
kredonu I Ansae e reomp ct euteun Done,
hep kradl avad kement kom* a tlslounk ur
veieten I... Hogen, letomp ar c’hamlou-r.e
a joatez evtt b rm »n ba dttroomn d’hon
denved... Hlrlo eman ar iwener, net 'ta I...
ah ben I abeon dlsul d'ait nor. e kred mont
va mab da c'honlenn doru an deaiesell Lena,
<la verc’h. Ooude, ma la peb tra 'n ear
■turn deread, an cured no lftleo k e t.»
— a Oh I ha b ra ’ c'hellfe bora 'vaise?—
Penaot ho trug»rel<ftt 'vlt ho madeles,
•otrou Duasoller? N’eo ket Het awalc'h
d’hoo h 4« c’telonn
c’te ’.aun var sVlautnhom
sklautchou »r
ar
o’hem v/er«,
-et», kiakkct
kiatket ’ peui d'ln,
d
ouspenn,
eur mevel tur ba feni. ha breman, ho mab,
•v lt kurunl eul labour k«m iuad booic’het, e
teu da Uunlava c'halon a levener, en eur
lnnlft he h»no d'ara moro’b I Mil beanw
a n il trifares d’koe’h ho taoa I a
— « Neui ket eiotam kerent a veuleudlou etretomp, Juila» ; nl 'n e « an»vet evlt
tud, hag on em gAr »bMattvnv da te I Greet
am eus ar ((''Mat : setua o I Bkarsomp hon
gw*r b*fm*n, h»?, gertoi acuanomp dlsul
g
u’dta a w I a,.,
k
len.a i.iivCiii.
S| F•'.t.uoUtr tu C ourrlor (lw Ifln la tè ra
h
300 elle J i m riu n l» aallo Jeanno «l'Aro, r<S,0 luB
« d tla n d 't loa droit» i a i pères de famille sur
l’éducatlt n do Hurs enfanta, damnnilrnt comme le
■ ellltur raoven de faire c«s»« r le conflit »colalre,
ot de »nn<«g«rder la liberté de toute« le» con«clences la «eparatlon d e l’é o o lje td « 1 hta t ot i «gale
réputlltioa ae« fond» du bndgnt do lln itru o u o n
punlique («ntro toutes 1©î> écoles, au prorata ao
M. OUivier S sr.et, Juae sortant a été
rtiilu. Les éitcteurt comme toujours ont
la it preuv? d’une indifférence contraire a
TTn n i* In d ig n o . — La «entUrmerle de
Saint • Uenan vient de faire uno enquête sur
tes agissements d’uu Journalier, Jacques
Lis Jeune, ftgé d* 20 an». Celui-ci, lorsqu'il
est. stoni — oe qui ml arrivo trop souveit,
— oaaae tout chea «a mère, une pauvre
veuvo qui gagne péniblement sa vie.
r
d it
' YoioU’ordvc du Jour qui a été voté par
acclama'Ion à l'issue de la conférence :
a tt .r iu jiT
ï'I o n * it n f t
a
I l a p r ^ c u c i ’u u io ü £»Uuwv.i u>.s
Election autrlbunul de oom«»6rce
Av» o’hnruster uoz. — G’oat ainsi q»e
la population appelait un brava homme
J<‘ romc Tbépaut qui vient ue mourl'.’ > i ftge
rt<- K'.l a u » . I l devait eu c le t Ôtce le doyen
«le» eutaut» ue euiear, qui «out en generai
0« petit» fars . lu face poupine et e»plègln.
Touü les dlmjn.ches, Il servait la m^sso A
! i eba^nlie de la Trinité en P lo tm u é . Il arri­
vait tnnjour» la cDapsUe »ne deml-Ueure
Hvtmt la metiae, aliu »u ’U ramplaçat au
iiBwin 'e bedeun al celui-ci pout une raison
ou pour une autre oubliait do mettre la
■■'or.hi ou branle pour 1s deuxième son.
I l 'V
«-«irvalt,
avec une
piété
ji
-ji wimi, la me»«e nvtu
kuw r
,vlu touchante et Otaalt «outent que le Jour, ou il
ne viendrult /dus, il «or&lt nlen malade.
En o iï’ t i-*. mort seul'j u privé le prêtre
du sortant modèle qu'il était.
e
le a
« ...*ur vêt l... la I eur v«x eo an taol-*e
La parte du dundeo « Andrée »
l,c ♦rlir.nal maritime commercial spé­
cial do Brest, s'e*t réuul, lundi aprè»onldl,
nour iUK«r le capitaine au cabotage PranC dn Ca'inu, inscrit h Morlalx, Inculpé d’a­
voir perdu son bâtim ent, le dundee Andréa,
p :r ".ntUsonce ou lmpérltle.
Le eai'lthlne » été acquitté.
Aocldnn*
Le cheval conduit par le charretier do
M. Rlvonl, maître tonnelier ru e d a Port»meur, descendait lundi, ver» 4 b. 1/2, la
rue Gnmbctta. Il Ht soudain un écart. Lo
conducteur,.un nommé Jean-Marle Tanguy,
ftïé de W ans, hit reuvereé. Une roue de
lu voiture lui passa sur une cul««o et qur
le oOié du bassin, » n le releva et on le
transport« c hc ï lui. M. le docteur Sau^uot,
appelé, lut donna les soins que nécessitait
«on état.
A f f a ir a d a p r « « « e
Le t r lb .in l correctionnel de Qnlmpoi; « rendu
mardi, son jngoraont dans 1 nflalro Intentée ««
DlrooUur-Gérant du tournai La Flnlsfôro, pour«alvl » la rHnfito 1,8 l'abh* floatgaan, vicaire i.
la cntbéir: 1e de Qulmpar. po»r rela» d Insert bn ,
11 a it condsmn* * S« d’am»«de, ot 1 franc de domraeges-lnUrêtii «nvor« M. Goaigcen et ù 1 Inser­
tion d» la Vépaneo 4« ce dernier <!'■'■* l« Jo u ...a .
_____________
Le iTinfst*Ve.
entré Te» équipe» p rîn lè re » de l'Etotle ip o rllv ,
»«Int-Vlocent et le S ta io Qulmpéioi».
Pur ault« de» plûtes récenio», le ternln était
réoUemeet défaclaeex «t cette lito ajortlvo n a
■as élé au»sl l.téremitr.te que I ".. n at'.nndalt.
Malgré tout un aombra«x punllc a etnlt raadu «u
vélodr.mo, La8t«doQ»lmpérol« B.sa» B®r ’ ^ »
é l. A la première mi-temps, Richard, d i Slrda,
uu promlsr but eur ua sboot, sulyl Je
t.’i u tiM. es, 4a irsnd dôsetjiolr du goal do l E. 8.
V « .i ¿’.e pout qua voir pnrsor le fca-loc.
À. 16 deuxième rol-Umps, le lladc marque oncor« aucoeoalvement trol» buts fu r da. renierfiua.
bloe drlbbllmta de (Jl«uim »nn, Avant une 1a:fbltr.
n’« u aim* la «a de la uartle. I F.. 8. V .. qu. vrai
ment »'«taltp a « b a b ltié « do pareille» deiail«.,
r é u u l l à m«iquar
Jiren,:t'r »¡.it.
Disons p o m larmlner que l’E S. V . n i pu, an
cour» de ca mateb, g l i e i la dutsctuoillé du ter­
rain, tlrnr p ir ll drs beltes n/albf.» de,loueur» dont
habtluelleinrni elle f.-'t p'O'v-e.
Inoendlo
Vendredi Boiv. entre s pt heures et
sept heures et demie, un mcendle s est
déclaré dau* la rue Ntnve au numéro 59
(Buvette du Transvaal), don! M. Pulllandre
est lo propriétaire.
L’Incendie cam n uaiq é :■ 1» suite d u n
feu de chuntnfie qwl «’était déclaré chez un
voisin, M. P. Cornlc, chs'cutler, gagna
rapldem intl’appartemenioc. npé au deuxiè­
me étags de l'immeuble poi .»nt le aumérp
59 de la rme par l i fe uille i3ejeants, fabri­
cant do f ie * « at tilîc'.sl'
! narme, aussi­
tôt donnée,, le» voisins acc urnrent, ainsi
au nout troue a « m < - u i u > « ** i.
vl*é des nomulc.r», le # ‘ ar. qui menaç»it
l'immeuble entier etatc circonscrit. Une
compairnio du 118* ne tarda pas à arriver
sur les lieux pour renforcer le aervlce
T o r r lb la r u a d o
D tux journaliers terrassiers conduisaient
lundi «olr, vers sept heures, une bande de
cbevaux pour le compte de M. Le ïloux, à
Pioudlry. Ils revenaient des environs de
Trégultr, un des chevaux envoya à son
conducteur une terrible ruade sur la face,
i 1» hauteur de 1» bouche et du ne». On
transporta le h!es*4 A l'bosplco cd 11 fut
admis d’urgence. C'est un nommé Vincent
Dulgnet, Journalier, âgé de 31 ans, natif de
Tréfrnt«r,
evldboc’k: mala1ran païonlanhoc hmerc h
d’lu l Penao?, I an »otraunea-xe dont aman
evlt «un tamrn pennegee eveli'hoc’h. ha
c’bul kaout an tu da rei d’erto ken lall dlfjemar i Hogen, enr week o‘ho»x, llvlrlt d’ln
petra «onjlil... Petra zocjlt, e c’houlennun 'I a
— « Va mamm 1 n»tra, nemsd n’«M etz
ket c’hoant da tlmesl c'hoas. a
— « Oh 1 la I la 1 Bell 1 hegasi 'm eu7, dionshoc’h. Run den evel an aitrou Félix, arc'nant u'«?.hau da vazula hag ob»r faè varnhan la
11
— « fiwlr «», Lena, »un drolouzavatc'h
o peui greet d’omp 1 N'hoc'h nemed eur
penn fall : ho mamm e dent kant dlgare da
yudal varnboc'hl Betek hen omp bet re
vad ovldoc’h : hivlilken e vezoc'h kelzat 1
Pa tell d’hoc’h klask trouz e kavfet : taol
evlt, taol I... Me gnrfe gouzout perak e peux
rcspountet da Kéllx ne gredoc'h ket dlmetl
c’hoaz : breman er, euz eun neubeud zuuvezlou n’e poa ket an hevelep kaoz : abalamour dabetraT «
...... 1
— « Tad l gwir eo n'em b!Je Içet greet
tur rCHoonnt henvel. d'eur goulenn deut
euz a c bluou lildor : n’eo ket souezuz 1
Itldor to pinot ba maget em c’ktehenn,
Félix n'oticr.aii a bolee h ¿o I Mab ^erBHao
en douz bepred bevet en g-wlr grlstpn : ouz
hano Dussolier eman stag krud an hollalzurzlou I Iztdor, enn eur gomz, flzlanz am
ouz, e rafo eur pried a galon, eur ponn-tleget dtrebech ; Félix, eu» epcp, mar klask
iireman eur plao'h laoaank, n’eo nemed
evlt dlikulz* dtouz enr vue rtlgomtyet ha
distnr I N*u I üzlout en tud ‘velse ne-tfbW-1
1er »et I Nan l rak abénn eur bloa martreze,
goudo beta cur«ujet gaqthan, e tetjfen da
vera evel ear o’hoz-tra mad A daoler a
Bostez : «keudenn eur verc'bodnra hanterzralllet etre daouarn eur c’hrouadur I a
— « Oh I eh I merc'h I kaozeal brao e rit.
’m eut aoun I An aotrou Karval ne oar ket
relza prexegennou ken brao ha c bul. Fazlet
G r a v e a c c id e n t de c a r r iè r e . — Jeudi,
vfM'i quatre
et dftinle dt aolr, un^
carrière is’eet éboulée entre lea Villages <Ao
Péméarch et de Porsloubous.
pour la défense do la neutralité scolaire.
gn char de éloqueuco Ut grande impres-
Bame, marin de
?^
C am briola b #
Proü.c..it ne l’absfcjve de K . François
Derrie», ouvrier à l’usine Ga tt .lier, q«i
était allé comme d’habitude A s u travail,
des cambrioleurs pénétrèrent Jaas sa
chambre en D rlstn tu n des carre a ix de la
fenêtre. Ils se régalèrent d’abovd de c?t'é
et d’eau-de-vie, puis 3’emparôreiit le divtra
effet* de femme et d’uu drap de, il
1,8 commissaire de poiiea ouvrl ■nna î?quête et découvrit le«ob)itt» volé! au domielle dp» énonx Le Dceinge. L'-, femme
Le D w irg e nia *out d'abord, puis finit par
faire des aveux. BU* a été écroui
A p r è * un o o x p u l» lo n
Ou ae rappelle que quelques religieuses'
réfiffiées dans uno maison privée de la rue
TnierB avaient été expulsées, m a n u mili**càr on no se contente nas de voler les
des rollçleïx »t re-lglcn-cs ; on l.-v
dclend même de » abriter son» un toit ami.
afin sans doute qu’ils ressemblent A leur
Maître, qui n’avait même pas une pierre ou
reooser sa tête.
,
.
,
U se ancienne dame pensionnaire ré­
voltée d’une telle ioiqait/;. écrivit au pro­
cureur de la République ’¿ ne lettre eu elle
commentait l'expulsion en termes un peu
™Comme nos Juges ont aujourd’hui l’épid«rm* sene'b'e, le tribunal prit prétexte de
cette ¡ettre pour poursuivre, l’ancienne dame
pensionnaire, Mlle Brazierpour « outrages
à îaiinaiïistrature. »
Le trlhvnaU’a cemdamnéeftl mots deprt»ua nvec sursis.
...K nnhc c’ha œ ïr, Lena, azezetckichenn
he RWftle, a labour ver eor p<-z a«àt£ll...
Var he zrem koant, ar glaçhar bag nr
vclkonl o deuz Kkrlvet deun tmti-.hgez he
b’tialonl Ho em lezell e»ra da vont <w
sonlou. Roadeetln harlu hlrr. em*hl adftrr
var ar meaz, ei leo’mou biunltjet aaiv.mpredet gwechall I Bmahi a nevo» etouez ar
glazur nag ar bokedou, o v liia c hoas an
eurssted, o sllaou gant
dudiuz a n e v n c d i g o u k o a n t I Hvel ul labouoed munud, en em lakads gana I All»z I he
mouez a jom raoulet, enn he gou /o u.,
Htàtket dre an huanadou, hag adarre, an
daëlon a red pulii var he dloujod 1
...Neubeud ha neubend koultkoude, ar
neoe’h en em ra ennbi : rak an esperauz, —
kaêra blêunvenn hadet gant Doue enn -en,
— n ’eo ket maro en he chrelr. i
Enr mouzc’boarzlk tener • tcu var be
muzellou, he zftl glítu ken tenval b remai s
c sklcrl, hc daouiagad, hanter » e w U
zaëlou, a viîrv, he gluon a zigor ... Emani
o kana, gant our voueztk molkonluz ba
,
DÉPLACEMENTS , 0 R i f ANES
le s Ippurellt Edouard (de P v M to n t
motltrnes. — Souple* et Invisibles, l ‘ ‘ ont
eeu/s pouvant assurer la guérison.
P o u rc tu o l h é s it e r e n c o re ? Pourquoi se
désespérer et conserver une telle inflrmitélorsqu »
est prouvé depuis longtemps q u e a herme « t
grand h u m a n i t a i r e , t i n n i v » r » e l l e m e o t
connut dont la réputation n e f , . J i J ï S » üi
nln% faire, crâce au nombre ¡ncaiCUiiviW V*
auérlsons au'il a obtenues, sera a ioouveaii: ^
h<C o
“ ■?, notre centré.T ena n t . f a r * g » « »
les intéressés
intéresses ue
!,, , fts
de sa
«a r„c,
■
il ne neul «'Mro souvent parmi nous, étant reclain«
de toSrcéli». Aussi noire devoir nous mipose-t-U
de recommander i toutes les personnes d ^ deu*
s^res jeunes ou vieilles, de ne plus attendre ci
d " " ' r j f “ire appel aux conseils uniqueSique cc
r é p u t é p r a t ic ie n sera à même de leur prodigu«
_
.
« TînJ
dans les villes suivintcs.
Morlalx, le samedi 1 " Janvier, hôtel I3o
Zepîoug.istel-Daoulas, le dimanche 2, hôtel
dCBrcst IeCîundi 3, hôtel du Cheval-Blanc.
Pour ’ ; enseignements • E crire A M .
Edouard, 140, boulevard Richard Leçon1.
__________
b
Paris, 11*.
Dom CotTUiuF.lt
Sainte Bathiide, reine des Francs
Histoire polltlaue et religletiee. Un' Wlu>n« fc-8%
Prix : 3 Ir. *0. — Librairie P. Téqul, 82, m®
B.maprrte, Parls-6-.
Lu dynastie mérovingienne a
dans l’hlstolra de notre pays antantper ees rein«*
qua par ses rois : Clovis et D aK O b.'rtnosont pa*
plus cé'ébrc! que Clotllde, lirunebf.ut et FrédéB°8alnte oathildo, épouic de Olovl* I L elôt l a
e6rle de*
reines uiéroviiiglonnes. Le
motae a t m im # q ui a écrit «a vie la e m p a r e , à
bon drol: au“ *r!<nte* GlotUCo et iUdcgoude ;
volonller aussi, l'ûlstorlen la m e1
avec B n nebaut qu’elle égale psr !a graM enr des
vues poil- (iuea et qo'eilo surp.'5ae par 1honnCtoie
d is moyp. J f employer pour la réaliser.
n
L ’arno • de Clovts I I fit une reine de Bathildo
esclave e! étrangère. On ne sait rien ae son ori­
gine, ni f’.e non eniance, smon ,qu ''l,l e rA t®1^
ëoxonue et qu'elle fut vendue à Ercblnoald, n'ait®
du paloi Neustrle. Avec elle, le lecteur pénôtte
dans la «oeléti gallo-lranqoe ; Il en étudie
Irjslltutlo -f, la vie domesHq.je les ^ b l .u d e *
i n j e i»s œœurs : Il la suit d é u p e es étape ae
iu ts lo K*"«cée d’Ercblnoald lu s q u a u palais (la
Panda'-, le régr.o paolflque do ce prince, la*Fellses ii-i Neustrle nt do Bourgogne tinrent -âi
Obûion-s ir-8aôno un C u n c llio ù «e reflète, w i « » *
dan* un nirolr, l’état du clergé et du peu, le à
C*D*ue»''<Urégentc, Bathildo a’toplre dos c ^
de eo Concile pour combattre la e,mo“ 'e e, L ' *
traflo de, esclaves. D’autre P“ l > ^y *°4 nriœ e f t s
tre, le Kalre du palat* Ebrom, elle réprlire iw
empléteTnente des fonctionnaires royaux, elle ra
formlt 1' .itorlté royale et réussit pour la pr
m lèrefo- , à maintenir, pendant plusieurs W ne^s, to t l’empir» franc sous 1 autorité d u n roi
u fiu u e , Clolalro I I I , alors que le ,1®UX
rovlcgiej réclamait le partage do la monarchie
entre les '.rois dis da Clovl» II.
réala
Bathiide se fit aussi la Propagatrice <le a ^
bénédlcili-e par les Immunités qu elle a“ ord» a » t
roonaste:--.» dociles u f*- luvlla ioas et p, r
donation-,|u elle y joignit.
,.
, fa,i
La Io u j j Ion de l’abbaye de
I?T_
assister ' a naissance d u n de ces grands
bllssotne-'t» religieux où *e trouvent réunit, PO1^d in tlo f ’ ven-Age. des hospices,
de» écoles et jusqu'à des aie,lors moo6Ulr| S. ^ ,
Enfin .100 révolution du palais
thldn du trôpe et la jette dans le cloltro «Je ChM
les où elle achève de se sanctlfler et meart en eSO.
L'auteur ù qui nous devons ce travail a su laire
revivre *-à un relief aolslssant cette alm ab a et
fleure Le grand mérite de ce llvro est d avoir re
mis en n elne lumière celte période mér°yiDB!*aS?
m eare p e i connue et pourtant si captivante da
n . e vie nationale. Les lecteurs onrfeux da ren
cherches historiques trouveront profit k l etude
da co lWre, comme aussi ie3 âmes chrétiennes na
la cjûualsstinco qu’el!03 y ieroD^ c}I®
gr;.aaei salnvea le Frouca au septième siècle.
f y fr T d l k ô
¿
M
Û
5'* !
. . . .
ftdfrt tffíTl'9
sont
êr» ..^kPh
v i n t i ' darti
SjondC mtílson d/filimcfllatlon
à n a r M
À
£ Q
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p ÿ îî
tique de l’éleveur, com pienant: l« le i
som» à donner aux prame* ,2-> la desC)rip
tion des principales laces vtE espèces nov
vine, ovine et porcine, les su 1ns q n i i e «
conviennent ; 3° une table de la corr. JO^
si iou chimique de tous les
P o u r r a ' r o u v r ir te la^ai’.
1v o lu m e a u bureau. 3 fc. 50 ;
0
VIENT D E P A R A IT R E
d y s p e p s ie * ,
cram pes
d e w to m a c ,
p’ Ì ’
irùeriroQt mûrement p»r l
^ew PIfuie» Snlsses. remèâe ellicaee et ;opulairo.
A U G M E N T A T IO N 1)0 R E V E N U
La C o m p a g n ie L E P IIE W IX jentre orise »rive ; arsujettie su contro e de i »
taü ett, fréquemment déaignee psr le« J '
bunaux et Cour d’appel pour la con»titv
lion r’es rentes viagère.*. L a COBipafif»»'
L E P H E N IX paie chaque année, plu» ce
15 millions à plus de dix-neuf mille ren­
tiers. Rensiiguements erat'M.s et cjnlt
denMels aualège «ocial. 33. rue Lafayett ,
t’ w U c t c h « tous 1.3 a£efttájíC í¿r.'ux
ALMANACH
HACHETTE
i fr. ü i
1 fr. 1Î9
PO U R l» iO
le
l iv r e
fine chacun doit a' olr sur ra iable, oarce
qu il condcnce tous its .eiiseiinem ^ v ,s
indispensables à la vl«' , o chaq i tour,
y ¿ r a n d » e t m e o n r n , i i p w C es - l # W
vcar
üBtiñicr^ « w£ñJ»-
•t INPAILUBL»
jH H R
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fRÂLES COULEUR*. NEJRASTHÉtMEl
I !-'LUEt¡!B|UüCH:r..f OHVALESCc:¡CEj W f s x ' C C 'Î
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Brest : dép. : sr. ph. rég. nonv.
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rue'ifi"t"t-PranQOta
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Hag ar bourréeil ;pogen dlgalou n'eo ket
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d’hen delc’her da verzerla veis« - A lisal
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bragoul P»tr» ’fell í h o c ’h s
a)1 eostlk 'zo klanv da vervel
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hi a gred en l e ct.i : c bul en hoc h h in t1
sstennet o klcbenn lie baret, he benn K , ggriier-’b ‘i« “ or- m a n nr
^ 'z
el*
blhan kuzet en ha b.ti I..- A l iabousic
^on
f be « 1 Ha c’boas e 'X- .r(_r naour!.. Qt'ut l...G o u le ùn ’rkdl^orBi-tuiat,
Ar ouen a denn,
___,
-o K u ïJ J L m ’r L-auklz, Pc n ’eu» aeined *r
Dlvar laou no ton ket o aouenn i
maro cvtthan : a- maro dre ar rann-galon 111
« A h ben ’ta, Lena I küntt eur wt’chiE
» M antro?, eo belato I Lens. Ser l --pct^ :
c’hoaz mar p’ ij, ar rônlk-ze ken. -net, h *
keram Atre he stad. hag bmt an eostlk.
bn o kou-zkonde, e kancc ti pa plgûen
souezuz eo ! Nag e dlefe beia glac h<wj.1t,
va** laë I *
poude Itacft enr zonik ken mantruz 1...
(Dn. qtndtlcrhtrrr'i
Deomp d’be frealzl, ar vignonez vad I *
« Pion 'zo sze ? »
— , Me, Len:\ I Dlgorlt, mar plij 1 »
■ Paoor kez Lena! nag ex doc h trab u l l l e t 1Oh 1ne vouëltt ken 1 R rit peoe b :
arabad koll üzianz morse! Izldor n e o krvf.
dlmczet c'hoas, hag ouspenu, ho kortoz e
ralo m'oarvad ! Ha r.eoze bo tud mlchatiz,
a lezo a postes ho zonj da<*er
n
pned I-’elix Dnisolier !... Kemerit. htlan-,
petra ! Eh I c’iml oar me m eaz kievet ar
rônlk gi»c'haruz e kanee’h brem aik: euz a
belec’h e peuz dinelzet hounez ? *
?
— « Va c’hlovet e penz o kiVoâ, Katelllk <
* r a a f p t a a
»
* * ? * £
kfl.na i... Gwcllaen a zo en h t fltad cun
A h ia I uaoa en enr vouëia, nai; gouc a en
ta m ra ,’i* cuz aonn? breman ^z
eur gana, setu ar pez e rao broman enn
heur abosn, evooëlc dourck
I... W
boll 1 PPtra felt d ’hnc’ti e rafee ken ?... A n
a z e ! rak eur plac’h m ad,eo, m h e n rea
urz roet d’ir, gant va m sm m a zo we kc-n
pount I... Pec ned rei d ezhl dlgarez a
did ruez : dimeni gant Dossolter
¡
— A h ben I d'hoc’n hen lavaran. Katein» .
c’hlac’h a rl...
» Petra ’gan ?... Enn eostlkerprizoun ... blken Feltx ne vezo va fried I biken I Aonpc er c'haoued, henvel eo !... SUaouomp ■••• toc'h é c'bouzanv f .« ar maro I »
Ar paourkez evnik kaluzet e wel ar mça■ > Me lavare-» íd lio c ti, L o ta l bag ynct
iinuirlaz dlrak he zaoulagad? uweiet ra ho lec’h, # rafen eglz a rlt, r a t i
m lalîaftgant hevleunlou, üag al Ubousod,
Snell’ «o karaatez lelz au doro
Kg«d n’eo raalou Icau ar fern I »
he f(envreud*ur, o nilal a skour da skour
eS enr « in a I... Hep 1... teo’het eo an eostlk
— « Hea displeget ’m enz d’am mamm
dfoux he brizout^r.. eman adarre o vouz- deac'h-dlve;a c'boaz, dlrak va zad ; hogen,
kana ctouei an dftliou glas l... J3 ^ I »an
pe felle d’czbl silson netra: re gounar«-t
huvreal eo a r»a »1 labous p«our. ®t°ket ’ oal... O h 1 mar pije gwelet I Va zad ivez
rn rtcuz he benn enz ncud-hoijal ne
p oa drouk awalc'h ennbau ; hogen kenc'haoued 111... Nag eo rcuzeudlk breman,
toc’h e teu bepred da. welet ar wlrionez :
eur weoh tremenet he tüvre ken dous ....
V A R IC E S .C H U T E S d. M A T R I C E S
♦
P r a ir ie s e t é le v a g e d u b é t a i l ,
D lis r a in e ,
K e rnéve l
d A huit heures quinze, tout danger était
écarté et les décombres noyé*.
De ce frit, le propriétaire, M. Pulllandre
subit plunleurs raiilltrs de francs de dé­
gâts, couverts p«r une assuranco. Malheu­
reusement, 11 n'en est pas de m è n e des
locataires »t particulièrement des familles
Beleante et Le Percheé, qni ont eu leur
U ne é c n rlo q u i » ’effondre — C»s jour»
meblller respectif complètement détérioré i derniers, vers 5 h. <Ju so!-, le jeune Llupéry
par la grande quantité d’eau déversée sur
était allé prendre du foin dans 1écurie d»
i Immeuble qu’elles occupaient.
S'.u père, quant tout à coup il aontit des
elerres et du mortier qal lui tombaient sur
D ou n rn cn e r.
L nuque ; il releva -.Pssltôt ln ' ête. et vit 1s
toiture q il commerçait k s’efl'oedre ; vite
B le o tlo n a m u n ic ip a le s . — C’est encore
11Iftcua son foin et s'empressa au désuorpir.
un sociallst* qui * été élu dlmancite.
Bien lui en prit, car i peins i. a i i il scîvi
M. I<e Guyader, socialiste, a etc élu
que la toiture tombait.
conseiller municipal p»r 1.047 voix contra
ü lo ë la n
859, i M. Pl»rre tu ln q u ls , libéral.
S » présence de ces succè», le parti so­
Ineend!® . — Revenant mercredi du vilcialiste a, dlt-»n, l’intention d opposer un
lo ,»e de Kerhuite*, Pierre Le Porz, culti­
candidat A M. Le Bail aux prochaines é.ecvateur et marin-pêcheur à Kerjcseph, apertlon» légl»latlves.
On* ar garrtk a r«lo lur I
H E R N IE
pour 8910, avec sept ma­
gnifiques gravures repré­
sentant la Vierge couronnée
de Kernitron, H. Diraison,
notre regretté rédacteur en
chef, des aéroplanes, etc.
Le texte très compact
comprend la revue de l’an
née, la lettre des Evêques
au sujet des écoles, un ar­
ticle très documenté en
vue des élections prochai­
nes; d’autres articles ins­
tructifs sur les pôles, les
comètes, etc.
Et pour égayer le tout,
des devinettes et une lé­
gende touchante autant
qu’attrayante.
7 fr. le cent, le port en
plus.
Toutes les commandes
enregistrées avant le 2.°>dé­
cembre auront été servies
cette semaine.
Les retardataires feront
bien de se presser, car il ne
nous reste plus que trois
milliers d’exemplaires de
m l’Almanach, et il n’en sera
pas fait d’autre tirage, notre
transformation nécessitant
le démontage de trois de
nos presses.
Prière d’indiquer le mode
d’envoi et, s’il y a lieu, la
irare destinataire.
C rlB e ra u n lo lp a îo ..— Depuis déjft quelque
temps des dissentiments s’étalent élevés
tu t,-« M. K e rtuitc, maire de Kernével, et
ü«eiques-nna du ses conseillers.
il. Kersutec, avec 14 de ses conseillers,
vUnt de donner se. démission.
M e lla c
A » nep na zent Ket ovz ar etur,
»eux nsuvMl
* S »iáaíe-O U e-I«t-O aM ií»ral («<-'*“ )
L’Âlmanak
1 ar Breizad
Arrondissement k teperlé
hec'h ver ho mtcher : alvokadez e tllcch
beza bet l... Nemed c savarlt ovel eun di«klantez : hag an«t eo tem e nte rebechU
d’an «otrou Dussolier iaotmnlt í... Ha pa
vete zoken : pelcc'h eptan ar vourchlzlen,
fur evel lient, epnd arlaouankla?... An dra^
se ne wir ket e reont prlejon mad gou«
deze 1 »
— « Mnrtrete, mamna ! Hogen, ne gredan
ket e vefe »n»d eun den evelse gamn-me :
an hint, a r» ke galon a-bez, a c’fcoulenn
enn dltro e*r galon all, ha nan eur Bilzénnkd heblten I tìetu va zonj ha va c’hre-i
denn la
— « Son) dlvalo, kredenn dtsktant I
ün »n ail a vevo bremsïk er btnvldlgez hag
enn e»ru«ted en eur diugarekat açha-!
nhoc’h diouz b» ,sotonl I Ilag epad an
amzer'ze, martrete, c’hul a g'asko stantia
al lec’hiOu goullo e zavo en lioc’h yalc h, en
eur « denna dlouz aman, da lakftt aze I »
— « Ne lavaran ket nan, mamm !...
E-doug ar vues, her gouzout a ran, ez eu7,
avrechou heuriou tenn da dremen, bec mou
ponner da zougenn 1 Hogcn, pa gerzer
unanet, kalon ouz kalon, an amzerlou a
drlstidlgcz a zeblant berroe'h, ar zammou
»kanvoc h. An eürusted, gwech ha gwech
ali, ec’h beil beza martreze, gwall-gaset
ha dlikwrec, epad ar barrajen trubultluz,
hogen, evlt adsevel skedusoen eged blikoaz,
— «keudenn an heol o tispak séder deuz
a-drenv arc’houmoul du, — rak he magadurez hag he buex eo an unvanlez hag ar
garante-/. T a.................
— « Oh I Oh I n’euz ken ?... Mad I mad I
flunhoc'l), evel Jist emanradarra ar wlrionez: g»utho tad ha ganen me, »r gaoul
Mad eo i Qonzoute ran breman piou boc h :
o’hul xenko lvez «naout ae'hanon I Araoki
dlmezl ei e’houlennoc’h va asnnt 1 Evel o
lavar Katellik:
o»* I» melUewe dee Gklef r*? * w,
plus im porta«!« Fabriqu« ds Fr a n ^
Í4
EN VENTE PARTOUT
Les deux ecfantn Prlol et ont bile ^ormant surpris par l’éboulement f r o n t ense­
velis et sont morts.
En outre, une veuve Le l'Ioch ît un autre
enfant Nonwant, atteints aussi m leboulemer.it, ont reçu de al graves blesstves
que l’on désespère de les sauve ?. Un tro i­
sième enfent Normant s’en ett tire a- ec
quelques légères blesnures aux jinibes.
l io n l l a n
U n c a d a v r e d a n s u n t a illis . ■
— Ven­
dredi dernier, vers 3 h. 1/2 de 1’» p ès-midi,
la femme Por*, née Joscpho /¡ordonnée,
ménagère à Tréboul, a découvert dans le
taillis de Uot-Speine, «n P.oull tu, étendu
dans un fossé, le cadavre da nommé JesnLouls Corr.ec. 78 ans, marin-Ju A tu r a
Kerieuy, en Tréboul. l-a mort t! . i à une
conrei .ion oecïslonnée par le ft'-.d avait
(léii f«it sou ceuvie et tons ¡es ç )!•■» Pjpdtonés la victime turent, inntilec. A côté du
cadavreso trouvaittm pe íií iago' d /Igulhes
de pin, que Cornee avait ramassé. Aucune
trace de blessure n’a pu être rel ivpa sur le
corps, et un docteur appelé a coi<; u a u >e
mort naturelle. En présence ao -e • censw*tüitions. le permit) d'inP.nmer ù 5U- délivre
par le maire de la localité.
q u i m p f .r
CANTINIÈRE BO CK
Pont-Aven
P lo g o ff
Conférenee de M- l’abbô Lemarescal
U. l’abbé Le*ireso*l a donuô, samedi
«olr, i la nalle Jeaane d’Aie, uue conlérence
»ur U question »chaire.
SA CHICOREE EXTRA,
U ne b r u te . — Dann sa dernière audience,
le tribunal correctloar.el de Quimperic a
jugé l’affaire suivante :
.
commerce à Poat-Aven
a oroféré des menaess de mort à 1adresse
de sa mère, aprè« avoir brisé les clôtures
de son domicile. Puis, continuant son
accès de furie, a porté des coups de pied a
Yvonne Mestrlc, sa nièce et à Louise Louedee, sa cousine. (Mlle Louise Louédec est
la l 1’ demoiselle d’bcaneur le S M . fraaçolse Madec, la reine des Fleuri d 3 ]oucs
de Pont-Aven).
,
,
.
Barzic comparaissait sou3 la quadruple
inculpation de m *nacesde mort, bris de
clôture, coups et ivresse.
I l a été condamné à 3 mois de prison e*
5 an» d’interdiction c e sélour.
P°D inuache m itin n ût íju le sombreu
assistait à m-.» ob.èques.
Ineandle. - Jac<vea L i Flccï, dom?ntiqnr che», la veuve Yaouanç, se trouvât
dau» uae grande, vit sortk dua tas
•aille de la fum«îe et des ll»mmes.
L donuh au*»ltOt 1»larme et. avso lalde
dr.» vol»lu», «e rendi, maître des n*m™e*.
Le tas da palile fot néanmoins brftlé. La
propriétaire, la veuve Yaouanc, épreuve un Football
préludlce de 150 francs environ. Bile e»t
A d»ux Uaur«» et demie, dlneacho, n été donné
»««unie. Le» causrs du sinistre sont In- la coup d’i«vo l pour 1« a jatc h d e b o tbal (r»''»*i
aul s'wt disputé, su Vélodrouno do 1Odot,
conuues.
B a t o a u cto SRUvatagro. — Darnlèrem e n t, l’équipage a ôté appelé i l’impro^l»te a faire une sorti« d’entraloem ent, la­
quelle a brillam ment ré u tfl.
K
Elle était mosts.r, par !s patron Le Gai et
Bli hoDjmesduGuUvirie.:.
On Juge, de rangolus» des familles qui,
malgré tout, gardaient u*-« lueur d espsr."'ice. H^'as 111 faut se rendre i ojourd aul
à L dnuloui eusu évidcccô d'un » aufrage.
Ko
'.o bate-" '1" rê-ht; Amour du
Dr.-ipsau. é m ' ’ d • tîuilvv .ec, a rscueilli dr.r.s sor cha’ut, ? 15 m ires des lies
G'énâ'is, ï è ' ’«irtvru du mousse de l’Espérn v c art Dieu. l)f>-rrt-.«>i*ri'’ Quéméuer,
â*é de 15 ans. Le corp3 éta’t d
decom ■
Juges suppléants, MW. Georgss Courtln,
47 voix et Alain Le Berre, 47.
H o n é v e ;> in - F tto u
Plondal»CK«»n
o h r ô tlo n n o .
«les
Naufrage de
M o a l 52.
< 'U >w r-tî*»* ô x
to n te s
Aoimpsr
Le second tour de scrutin pour le canton
de Qulmper a donné le* résultats sulvarii.8.
Inscrit!', 665 ; votant*. 59.
Ont obtenu : président, M. JostP»
Alavolne, 56 voix ; jupo» titulaires, M5 .
Octave Carnier, 49 voix ; Gabriel Le
Hrrondissemeni j e Otèteaulin
Le dlmnnohe sn, A s hewreu, M fl«« «éanr.e
récréative. L a i audltaurn «nront euoore nom breux
anne douta ; le» ivolaln« «ont lnvltéa. Arriver tous
* rnoure Irèa pr*ol»<>.
d 'é c o le
'
,
çut, en arrivant che* lui, le leu dan» une
meule de paille située dans son aire à
battre, à 15 mètres * peine de sa malson
d’habitation. I l se Joignit aussitôt aux
quelques voisina accourus, qui 8 ®D}‘
ployaient déjà ft combattre l’lncendle ; maU
tous leurs efiorts furent Inutiles et, en
moins d'une demi-heure, la meule de pâme
fut entièrement consumée.
,
M. Le Pors, q’il estime son préjudice à
280 francs environ, n'est aBSuré que pour la
somme de 100 francs.
,
.
L’incendie serait Cû à l’imprudence du
jeuue tu fa nt de Le Porz, âgé de 5 aes, qui
seri-.lt ailé jc je r avec un tlBon enflammé
auprès de là Beule de paille.
I.c G u ü v ln e c
1’ « Espérance on
D în a ». — Depuis le 10 no^cmbie, on était
sans nouvelles de la chaloupe de pêche,
Btnirance »n Dieu, partie k la pêche.
Elections consulaire»
K t n if t t 't 'e .
A i'l-/»ue dai vèpre», »ona 1« regard kl«nv«llluiit <jn leu,.' '>r^'flïer t>rotii««ar, ootaellameni
vlci.iro « Vlo«Kae,n«au, «ou. b«ur«ux de voir r«
6oatluu«r «an» dégénérer l'on» doa «uvr«. do»t
Il « été le pèi», Ü3. loui'«» gene p'olo « de dénuévent ont Interprété avno beaucoup «le talent loi
eomédlea a Klenved >ir Medalennou » ^ul e»t un»
•orltlquo tré. »plrUuelle de I» «ott» « ™anle ou
boat de rubnu » et do. mamn polltleue.i de B'n.o«rd», et 1« « FUncé dl.trnlt », agréeantô»« dn
olitola «t dn monologue» qui ont »nulevé a
dlvorao» reprl ou le fou tiro ot l«:i bravoa do
1'aaalatano« éraervellli'o,
B é a é d lo tlo u
1J
dj'tu9
.
Le dernier rapport annuel que vou» mavez
transmis n montré, en oftet, l'inullllté do oe torpil­
leur en balo de DouHrienez après le 1“ octobre,
confl mnnt ainsi les rappc.to des années precedsn tüi.
,
_ .. .
D ’Ici le 1" mal IStO, le 130 restera alTecté ft
l'écolo de chauffe de la 1” flottille, «ou» réserve
que le» réparation» létjàreis dont ca torpilleur
aurait besoin, et «on curéuago, sot nt fali» uu
temps utllo pour lut permettra do zulare sa dnstlnailon à lu. diste fixée et d« ne pas fltro, alitant
qta poeslblo, dlBtrslt de sa mission.
q u im p e r
sa tomme« qui, depnlt quelque tempi, aval ,
quitto 1* domiciles cotjugtl.
OiwuliM v. eu lieu, * Plubtnnao, U b*n4il ollon
.«lolxauella rt» pnlrouRRo. L'Adlflea, m on contredit
1010.
R u e K e réon , 24
S Ȕnt- ?lcrre- Q ullklr*on
Suicido. - Wd ouvrier de l'arsen»l, Jo«eph Collet, haültaut b»lnvPloire*QuUbltrnou, i ? 1! do
ans, »’est »ulcldé, mer­
credi vu« l<a l>’ontalua, nu domicile de »n
môr' on en tirant un coup de revolver dan»
la tempe droite. L» mort a été Instantanée.
-Collet, qui était marliS «t »ère de de 'X en­
fants, avait ôté très «ffecté par le départ de
.
Monalour lo vlee-«mlral, »ou* bordereau, en
dato du 5 novembre 1900, vous »'av e z rendu
compta de 1» chame aux marsouin» pondant 1»
mois d’octobre dernier et de la mise en réeerve
du torpilleur 130.
Je vou» Informe que, «nul avl» contraire, le h o
armera du 1" mal eu t " <club 6 1910 pour être
nfleotê à la chn«»e eux inaranuln» en baie do
DouarneneK, pendant la saison do peeno ao I Ote
d u O o u t t m t d u F in is tè r e
? lM b e u * « c
B in é d lo tlo » du ja tro n a jt» . -
maritime :
Bureau-Annexe
et Dépôt Central
lour l'ttT«. i 5K»KUttlt Hur dom icili é Baio»
Kn c itv iln , uluco do ln Llb*rl6, Le Roux, sachant
qu« io n compagnon avait
ôgl
lui délit sa colnturo ot, à l’uldo do la bottait» as
»«lia un violant coup «ur la télo da Donilo, pnl»
r M v ie u x m a r i n .
à
l a chas«e a n s m arBonlns. - Le mlnlstre de la marine a adressé la dépêche
suivante au vlce-amtral de Marolles, préfet
Produit naturel
d e s V ins r é c o lté s e t d is t i l lé s 1
' d a n s la R é g io n d e C o è t t a c .
P A R A P L U IE
T
3.0;), !î.!)0, 7 ,5 0 , 1 0 . 8 0 , ^
t e KO
SUPÉRIEURS A L’USAGE. _
le
Dépositaire à St-Pil *- téwi
MORVAW , ra» «ln (’.plombier
V e I b N T I A N C E M°0 i)Ft VRil UfcUXJ
pendules s’achètent auxFob^TrtXB AUDEAUfÿ^
dp BESANÇON. - Tarir» erwoyto Franco.yfa
1*" Prix Concoam Ob«arvitolr® do Be«*oçon.
s a v o n o o o n q o
» » ssrx asssa
n
M T C tnaM B R * M ï rHNifirttfìg
JOM», rural et Droit usuel
M oomatatalro) «t droit uiuel,
ar Mil, II. Watrio, docteur en droit, avoue
............ >OlAcitof de rioitruotlon publique ot
fc-BouiIlr. proKsitur à I» faottlté'do Droit do
l'Unlvenlté da Lyon. Prtfao« da M. Ub. II«^ « .P N m lw p rtild a u l honoraire do U Cour
4? °**î*flon (*' *dHlon). Ouvrage lionori da
IbaiMlplIoin de M. 1* mlnlitN d» l'agrloulture.
Un fort volume ln.8 d« xii-m page«. UrooUâ :
*? f* tt.’
: ,4.!r' ” Kdllsur» : L. Lutoso
•I L. Tanin (reouall do Slray «t Journal du l‘alati), U, ruo Houfllgl, parla.
Votai jm llw « dont laa daux premières éditions
« n i été favorablement soouolllles du publlo, A co
joint qu’une aoniella édIUon Nt devenue bientôt
BéOMMlff,
d R **• “ «•>"»> «V«« «* «rende nuto-
eaux, polloe rurale, attribution des maires, eto.
(!' partie). Expropriation publique, eto., louage
de services, responsabilité olvite, nooldeuU du
travail, asilstanoo, soolttéu et assoolatlMs, habi­
tations A bon mnrohû, bien de lamllle, syndicats,
warrants, presso, oltasse, Impôts, régies munici­
pales, usages looaux (3* purtla).
L» livra e'adresse ainsi non seulement aux
hommes do loi, et aux administrateurs, maie onooro au publlo en général, aux propriétaires ot
aux lermlors, A quiconque enfin a le souol de la
gostlon d'un patrimoine quolconquo. Il trouvo
également sa pince dnnB los bibllotbéqnes sco­
laires, et particulièrement dans celles des mairies
rurales.
Hofln parmi les llvros qu'on peut offrir comme
étrennes utiles, aux Jeunes gons sortant ou prêta
A sortir des écoles, Il n’en existe peut-être pas
boauooup de plus Indiqués.
pleusement Illustré d’une oentalno d'illustrations
et A la lectuiû duquel tous trouveront leur profit.
Que d heures passeront vite lo soir, i la veillée,
■oit A leullloter les amusantes caricatures de
Gervèse, eolt A chanter les gaio rolralns do Tati,
lovent. L Almanach du Martn Ureton est. sans
contredit, lo plus vivant, le plus Intéressant et lo
moins cher do tous los almanachs qui llourlssent
depuis quoique» iiomalnes nos Ubralrlos.
a
COUHh
C'Ht» Çn répété 1** Rrancli Reouelle et les llaW i» de liflilullon, de jurisprudence et d'udmlnutratlon « une aorte d'enoiélopédle do Iîk IsIu« f f ™rvJe\rdv.7roTtV.Sv
e 1 .T
Dt de droit usuel.
> "',f" ~ W8" ltt
ko présentait iM)4
sas début» las
81 rouvrifte
iMja A ses
qualités raaltrosses d’un b>>» livre, «lors qu'il
n'était que l’œutr* d« M. Watrln, anolnu avocat
• t avoué, OMBblen ast-U plue vrai encore do los
attribuer i oette ! ' édition Alaquelle oit vonu col­
laborer «n second auteur, M. K. Bouvier, profes­
seur k la faoulté de droit de l'UnlversIlé de Lyon,
déjà avantageusement oonnu pour sa aulenco |urldlque et sas nombreuses publloatlons
Lee deux aulours, aillant une pratiqua des nflalrea Judlololrea de I* années A une soleuoe Juri­
dique consommée, ont réalisé cette lois lo degré
de perteotiou que peut atteindre un travail aussi
complue «t aussi oliaraé do matériaux
---—--‘ "nUAqi
' oxposés
--- ' aveo ré­
Oa
y trouve, sotentiAquemeut
férences________.
aux lois etaux«
aux arrêts mis « la portée de
tout V» a
monde,
“ -*- les
1--auleta
1— les
■---plus
---divers
--- :
Notions de droit olvll (t" partie). Toxta du
Code raral aveo ses 11 lois et leur commentaire,
mrtlole par artlole : voirie, vaine pAture, lounse
dee choses (maisons et termes), empliytéoso, nulmaux domestiques, police sanltalro, vices ródilifcltolTM) aervltudes, régime (erestler, réglmo des
du 1« déo.
fcwoL-ni......................
On sait qu'olle salubre OHmnngne a été entroprlno, volol uno doulnlne d'années, pur U. do
Thér.ao. Il vaudrait guérir la Ilretagne du ohunoro horrible da l'alcoolisme qui la dévora et la
ronge chuqua Jour davautago. Kl, pour cela, Il u
construit dnns la plupart dn nos porte bretons
des Akrls du Marin, sortes de cabarets modèles
ot do corelos populaires où los marlns-péobours
trouvent en uboudance des Joux pour se dtstralro
ot des livres pour s'instruira, on même temps
qu'on leur sert gratuitement A pleines boléos do
la blenlalsanto tisane d'eucalyptus.
liais M. do Thézao u uuo nuira nrmo do com­
bat contre l'alcoolisme : c'est cet oxoollent Alma­
nach du marin Breton si Intéressant, si amusant
ou sont condensés sous uno forme agréable non
seulement des ronsolgnements de toutes sortes
pour les pécheurs : calendrier de marée, oartos
murlnos, mtruotlon de pilotage, malu do salu­
taires et utllos articles d'byglène, de médeclno,
d'économie domestique. Très dlscrètoment, l’ousolguoment antialcoolique se déguise sous mille
fermes variées: caricatures, chnnsons monologue»
compsés par les poètes préférés des marins
Talllevont et Botrol et aussi par des murlns ouxmémes.
, .
Tout nos leoteurs voudront pour la ipodlquo
somme de ï l oenllmos aolioter c* Joli volume co-
dn SSdéc.
31 Ir.10
23
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. ïl *? ° so
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»
90
112
*K isv ï ,iJIo«4ti
lfi BO*
" « i1.1. S3.Î* : avol=e, 18. 60; blé noir, 18.60 ; orge,
16,0# f loin, ao.00 ; arUcii at*, 8(1 fr. les 100 kUor
«•Inl- lto nan. — Marci i dn 18 déc. — Prajsro t, l u ftokll., 11.56 ; orge, 8.00 ; «arratin, Id.,
2i? ' i î ! °
i l , 9,*° » 1,01000es de terre, les ne
Sfff. » y ’.p a ln .b l« q c ,_ tonift fleur, le kll., o.rG;
pajB bit, 0M ; butuls. le Ml., n.oe ■-.«„»:»! i K
P “ " W , 1 . 6 0 ; rexu. J.oc
jaouion, 2.4. , poro
? *bourre <alé, le i a . 2.20 ; beurre sam
a do.“
5.160f
500 kUJ6*0f5
pallie, *4.0 : ion
le«-100
kli.,/0lQ»le*
8.00 ; farine,
i» »rntai
*
la cttlafie, 36.00 ; tarine» !• «juailté, 83.bp.
2
a inVOn fl*
de terre, le* d
25n
P . ,a la
.lé»douzaine,
le Wio* 3*°°*
Beum» éani
•al, M
ld., •2 3
30.KGSr'j,
1.70.
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» 108
îîJ as 58 dio.
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9fc :
0 /
0
h■■80
0 78
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Moj . 51 fr. 60 ; ictaS, „ ¿. »O
orw, 17 Ir. I ; usrraïin, 1# ar 60 ;avoW 18 lr.00 ;
i
Mu
Ui. Uópai-toi-aiai
Ihlteaiuln. — Harcbé du lfi dèe. ». *ri*.
«»ut, les 10O «U.|0.60j avolne, 10.00 ; «sirIo, lS.ljO ;
o r « . 16.60 ; ¿arra/.!», 18.00; beuire, le Itilo, a.10.
0!ih,, la d on . t 30. pommes de t.. 6.60 lea 100*11.
— Cldro, la barrlquo, 30 A 36 fr.
¿ a n n illc
56 ,r'; Poœ<nM »
I aÏ
’ i oa
1 oa
e
rrn’ 4 lr-l ! ; benrr«, le kilo., 2 tr. 50 ;
«Uva. 1» ioniainn 1 u\ ko : foin, I n
M il»
[ L v * » patliù, lr* tOC Ulot, 26 tr. v*0 ; «or< loti
*
S t:
t" u *'
Cf’ am i-51 - 10 ;
Pommes i cidre, 0 lr. oOla barrique do 11« kll.
St-Pol de Léon— marché du 21 die.— Paj-ia».
I- quai., lut 100*U„ 80.00 ; larlne, 5-, 28.60 ; Iro^
Fro
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___ n— . — Doütet‘f P- SIGATTD.
Kmprimtrie de U Presse lib éril
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L., „O. T, . S
VOLONTAIRE
▲ La Ninon, en S alnt- P lerro
Q n llb lfriio n , au domiolle
ae M. BTaabère.
Le d im a n c h e ï l) d é c e m b re
1909, à deux heures do l’aprèijsldi, M* Tanguy, vendra aux
fencbèrei publiques :
|lne malsonnetti neuve, en bols
couverte en zinc,, composée de
doux pièces, tacitement démon­
table et transportable, mesurant
5 mètres de longueur, 4 mètres
de largeur et 3 mètres 40 et 4
mètre« de hauteur, sous larmier
et faîtage,
' Environ 30 mètres de barrières
k claire-voie, un lot de planches,
llt l, 2 Sommiers, tables, canapé,
banquette, barrique, conre, cais­
ses, fourneau et autres objets.
Au oomptant. 10 I/O en sus.
8580
A. TANGUY.
£¡tude de M* Henry OROUAN,
notaire à Coray (Finistère)
; par adjudication
.il T EilllIlU i volontaire.
Le d im a n c h e 16 J a n v ie r
1910, è deux heures do l'aprèsmidi.
En l’étude et par lo ministère
de M* Grouan,
Premier lot
Au lleudtt Le Oouaillou, en la
commune de Goray,
Une belle FERME
Joute Jusqu'au vingt-neuf sep­
tembre 1910, moyennant 1,600 fr.
l'an.
Contenance : 19 hectares envi­
ron dont 4 hectares sous prai­
ries, baignées par l’Odet.
Mise f prix : 80,000 ir.
Deuxième lot
Femmes qui souffrez
morruirloH, HnitoH de couclicM, ovaritüH, tumcurti,
portcH l>luuckcM, etc
car 11 existe un remède incomparable qui a sauvé des m il­
liers do malheureuses condamnüosii ua martyr perpétuel,un
remède simple et facile qui voua guérira »flremcnt, sans
poisonti n i operations, c'est la
JOUVENCE de lfabbé SOURY
FEMMES (JUI SOUFFllEZ, auriez-vous essayé tous
les traitements sans résultat, que vous n’avez pas lo droit
de désespérer, et vous devez, i,aus plus tarder, faire une
cure avec la JOUVENCE de l'abbé SOUIVY.
La .lOIJVEUCE c'eut le na lut du
la feinino.
FEM M ES qui SOÜFFRUZ de r<V
ffies lrr6fr«U6ro8, accompagnées de
douleurs dans le ventre et lea reins ; de
migraines, do maux d'estomac, de cons­
tipation, uerliijBS, étourdissements, va­
rice«, Mmorroicies, etc.
,,
,
Vous qui craignez la coa^cH tiou, les
chaieorH, vapeurs et touu Ica accidents du IIETOIJK
d’AGE, faites usage de la
100.000 francs
60.000 francs
10.000 francs
CT 632 LOTS DE 1.060 A 26.000 FR.
loute Jasqn'au vingt neuf sep­
tembre 19Î6; moyennant «no fr.
l ’an.
L b bail est résiliable au 29
septembre 1910,
Les bfttlments sont neufs.
Gontenanoe totale : 9 hectares,
dont 2 hectares sous prairies,
M lM iV prU : iH.OOOfr.
Troisième lot
An lieu de Karequtl, en la
commune de L c a tia n ,
L E J O N C O U R ,
45, rue
H
UN E FER M E
I située ii Kéraziou, commune de
iM abc in e c , d'une contenance
de 7 hectares 93 ares 35 cen|tiares.
Louéu i M. Jean Le Bars, jus­
qu’au 29 septembre 1913, 500 fr.
l'an, plus Impôts et charge«.
1 Mise à prix : 1 2 ,01 )0 fr.
Deuxième lot
UNE FER M E
ÎCKelouzerne, commune de Piouv ie n , d’une contenance d’envi­
ron 6 hectares 75 ares.
Louée à M. Toussaint Berder,
300 jfr. l’an, plus les impdts et
une commission de 250 fr.
Mise i prix: 0,0 00 fr.
IVoir lea alliches).
Pour renseignements, s’adres|scr au notaire.
8508
|Etude de M* J . SENIE, avoué'
licencié, 25, rue Laënnec, à
Quimper.
I W M I V Par sn**;e
converi n l i l ü i slon de saisie-immobi­
lière, devant le tribunal civil de
S,’?nmi)erï i f J ° n d l 6 ja n v ie r
1910, à midi.
DESIGNATION :
En la commune de H e ila r s ,
canton île Poat-GroU (Finistère)
au lieu »Je PennesqulE-Vra8.
Une E X P L O IT A T IO N ra*
raie, fonds et droits réunis, comprenant : bâtiments d’habitation
! et d exploitation, terres chaudes,
Itérres froides, prés, pâture,
landes, taillis, avec ses efreonsItances et dépendances, d’une
contenance d’environ 11 hec­
tares 23 arcs 90 centiares.
Mise A prix : Quatre mille cinq
francs, ci, 4 ,«0 0 fr.
E R Ê V E ; ” 1 |cents
(Voir les affiches).
i or o.
L’avoué poursuivant,
Traverse, BREST
L8581
J. SENIE.
S u s p e n s io n s a u
E L H
O
T
L E J O N C O U R ,
R I O
45,
K
I T
rue
®
L
11 r
,
T O B I j i
ia Rampe, Brest
, — ~
r.ru .tl clmlx
Traverse, BREST
Une belle et bonne PROPRIÉTÉ
d'une éxploltatlon facile, louée
Jusqu'au vingt-neuf septembre
1914, moyennant 2,200 francs et
1400 francs pour les quatre der­
nières années.
Contenance totale : 31 hec
tarera) ares.
Mise * prix s 80.000 tr.
Pour toun renseignements,
s’adresser k M* Grouan, déposi­
taire des titres de propriété
Etude de M« MANIERE, notaire
A Quimper
A VENDUE
tude, le lu n d i 10 ja n v ie r 1910,
& 2 heures après-midi.
Au bourg de P lo in o lln , sur la
plaoe de l'Egllse,
J.-B.
K ERBO U L
Chlrargleo-Oentlstn
WflM é tli lutlU ^i IU k îii 4« J»rii
Contultations tous les jours
de 9 h. k 5 h.
Sauf I« «arriseti et le dimunohe
, Tire tei dents » n t doulaur
oio dei
et pòi
.... dentteri irUfictili
Etude de M* ÉARJO U no. tajre k Lesneven
m m im
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*»AV fi.tr **!•
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rappelle k fïb üombrenx clients
et amis qu’il est toujours a gent
de la Coauagnie daeaurancos
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Wise à prix : 38,000 fr,
22 JANVIER, 1" ET26 FÉVRIER 1910
R ï
LOTS VILLE de PARIS
M
H
PPlfHB
B
Etudes de M* VICHOT, avoué'
licencié h, Brest, 24. rue de
Siam et de M- IZENIG, no­
taire i Landerneau.
I/PWTF Par licitation Judiciaire,
i L l l 1 L en l’étude et par le mi­
nistère de M* Izenlc, notaire à
Landerneau.
Le s a m e d i 8 Ja n v ie r 1910, à
une heure et demie de l'aprèsmidi.
Etude le Al- SOH'iNI ARJD, avoué
docteur en dioit, rue Volt .ire,
D‘ 13. à Breit
.
°H ACCEPTE LES ORDRES CONTRE REMBOURSEMENT (SFR. 80)
A a r a ie lorjmax mont d v m a n d ô a
Ktude de M* LE NINIVIN
»voué.lijtncié, 20, rue Vis, i
tâQuimper.
à l’audience des criéeB
m
n du tribunal civil de
, , ----aiaiper,
ymm»er.
SCULPTURE a< MARBRERIE*
BS TOCS «inniis
J.-B . G R U I E C
SAINT- RENAI*
(en /ace le Presbytère)
h m?dl
d * 30 dfice,nll>*'e 1909,
En cinq lots séparés.
H o t-
'
GriU«a, Croix, Entourage«
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Des cinq Maisons Lanirin
i i »
.-«n-
f'r'K s j»
on gâ r . de
Bresi ; ¿ i u. tes lui) k ii. ; — 27 fr,
p a_^
frie: rtlogé.l fr. déplus,
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41co.propriétéMl'u participe auxprochainatirage®
on!
S Í O de semerce í
8536
I® v t S L V . . dre : «O R M E A U X .
S
î
L E d e B O R ü fc A I’X
» Judiciaire, en l ’étude
_ de M* Danguy des Dé­
serts, notaire- à üaouias.
Le mardi A j a n v ie r 1910, à
une h».ure et demie dn soir.
En la commune d’Ir v llln c , au
Usa de. Ciéachmenguj et
dépendances,
UNE
FERM E
d'une contenance d environ 18
hectates 10 ares 17 centiare».
Louée à Jean-Yves Mazéas.
Jusqu’au 29 septembre 1911, 720
PRIX
MODÈRES
situées au bourg communal de
lrancs l ’an et edarges.
G a ilv in e c .
Mise i prix: « 0 ,ÿ 0 0 fr.
„ , Lot unique
, Sur les mises à prix de 4,000
S'adresser à M» des Déserts,
En la commune de P e n c ra n , f.Jraucs, 4,000 francs, 3,000 Etude de M- Th. FLEUR Y, no­ notaire à Daoslas, A M* Traoaux dépendances du vlllagel francs 1,000 fr., et 3,000 fr
taire â Morlaix.
nouez, notaire au Faou et i. )>!••
de Lesmoualah-Bras,
Pour plus, amples renseigne­
V
E
W
n n r Par adjudication Sorguiard et Robert, avonés A
ments, s’adresser i M* Le Nli
Brest.
85i8
l
Ë
l
l
J
l
l
t
L
volontaire,eu
l’é­
Deux champs de terre labourab e vin ou à U» Le Scour, avoués
tude.
situés au couchant du chemin Quimper ou A M» Mauduit, no­
Le lu n d i 17 ja n v ie r 1910, i
de Botcaérel, A Kerestric, dits
taire à Pont-l’Abbé.
deux heures.
Parc-ICerestrlc-Tosta, ayant
P.
LE
NINIVIN,
fossés levant et couchant, sec- 8587
En la cimmune de G n iclan ,
avoué poursuivant.
Non B n- 079, contenant 51 ares
près la route nationale de
10 centiares
Parie à B: est.
Porc - Korestric - Pella, ayant ALIMENTATION COMPLÈTE
¡Louzo'.» ev!i a-: dokec. ar
fossé au couchant seulement, en
reí)» remetí evit ar vugale
ET KKOIUISSEMENT
L
a
ferm e du Planten
l'endroit d'une prairie i M. G ohgwerr eve! K'iechall er
l’une
contenance
de
39
hectares
d u J e u n e b é t a il
bin et figurant au cadastre, Bec'
| P h » r in iic i C o r b é
12arcs80ceatiares.
tlon B, n» 678, contenant 53 ares
PHOSPHATINE lactée Dort*
Louée jusqu’au 29 septembre
Í 4 3 , r a e c'e P a r t s , 1 4 ?
80 centiares.
Envol grttult de la netice «*- 1913, aux consorts Bilian et Min­
Ces deux champs sont actuel
près VOctroi, BREST
plicalivo.
ier, 960 francs l’an, l’acquit des
lemeut libres de location.
Kw n m
Poujr ichats et dmundet de rc- impôts et diverses chr.rgcs.
Mise à »rix : 1,000 fr.
Mise à prix : Ü3.000 fr. S585
pritentüion, s'adresser i U. L.
S'adresser, pour tous rensei
O n d e m a n d e à lo u e r
Barrêt, quai de la Pouane, 12, i
nements, à M* Izenlc, notaire i, BREST.
KERMES près de la mer. de
anderneau et à M» Vichot, avoué
500 » 8' 0 tr. On achèterait, mobi­
poursuivant.
lier et matériel.
E. VICHOT,
LA B O U L A N G E R IE
S'adresser au Courrier.
8579
A r m e d is iu D o m t a r t
8583
avoué-licencié
Les boulangers de l’arrondis­
ßrc.il, 64, rue Aiguillon
Etudes de ü * H . LU CALbOGH,
sement de Brest ont l’hoeneur
pvoué-iicencie ¡»Brest, rue oe
D O M AIN E S
d’informer le public que les frulliti «m 1 t. h 4 k. h r * ¿i ni
Ar
medietn
a
oar
brazaur.ck,
h&
g
la Mai.-ie, 2i et de M- D E R0étrennoBen nature et espèces,
Il sera procédé le 27 décent sent supprimés dans l’arrondis•' tc'helltojsi a n d u d o deux ciom ds.
D E LL E C D U POH/CIC, notai,e
ioriienhealchen evit eunootra' !on
à
liaint-Rinats.
b re 1909, k 10 heures, à Brest, uement.
8584
iTfrn par licitation Judiciaire,
40, rue du Château, à la vente
aux enchères de :
eur baissf- ae mise 1
prix.
1»
300 kll. crlblure de blé
En
l’étude
et par le ministère
15.500 kil. farine basse,
de M* de Rodellec du Portic, no15.000 kll. son,
tairé à Saint Benan.
provenant des Subsistances de
Le »a m c d l 22 ja n v ie r 1910,
la marine.
à une üeure de l'après -midi.
Au comptant, 5 0/0 en sus.
Et 2* k la vente des os, débris
DÉSIGNATION:
de pain, eaux crisses, etc..., pro
Premier lot
venant des hôpitaux de la ma­
En la commune de L a n ild n t
rine pendant les années 1910,
(à Laber-Tldut),
1911, 1912.
Voir le cahier des charges au
Une petite M AISO N
bureau des Domaines, 40, roe du
Mise à prix : 1 ,2 0 0 fr.
L A C T I I Í
s u i s s e
GhSteau.
<•••
8582
Et même aa-dessous de cette
a l im e n t Co m p l e t p o u r v e a u x & p o r c e l e t s
mise a prix.
DÉSIGNATION :
A
Ê
! an yau
■fA
Í,
......
i'inverti Ite /'an* {'j îO
^ n . lJJ^(Á0r¡,flXPn'i.,l,nì, l ’nivtrsetlr Ltèur i'M)6
Steuc'hlguer Pitchpin ; da versât
dont Cormier da ober dent pe
dent great.
ADiMnr MùtaC
hirpnmt.or Inlerna/wnale x'tau 19( 4
ORANOE ÉCONOMIE SUR L6 LAIT NATUREL. - 23 ANS DL SUCCÈS
FSAJfÇOrS BRUNKI H, Fabricant
LVCX
D U u m r ' i . ■tìsliw*le«rliiB<j : Pl.-.™<rr Uiàrpoiu.cs.
«
DIMANB5 o tc o a iT A m ta p c u r CANTON« NON CONCtOte
& v. E ty RIOU ABALAH et FHt
jjg w s s
l i w
ooxisalter Icb aiiicbet».
LA BELLE FERME DE KERDRÉON
Syndicat en
participation
FRANCS
(5 ai'») POUR
Vertement initial
On reçoit 1G0 Numéros
après tira*«, Sécurilé ab,«lot. Tllrei i la libre Vérlicatlon dej Inlcrcuil
Da m Marc'bamad
.„ L e ip a r d l SIS d é c e m b re
U N E
M A IS O N
1909, à doux heures dè l'aprèsdite « Malson Le Bris », avec
midi.
*
m
i
a
. P A I l t * &■ DR IT O U
toutes dépendances.
» « . r u e M a irie . %*. B R E S T En la commune de P lo n id e r
Mise
à
prix
:
8,0
0
0
fr.
M* QUENTEL, docteur
S'adresser audit M* Manière.
UNE FERM E
notaire a Porsnoder
volontal ro, Etude de M* Ch. LOJRIN, no Etude de M« FORGEOT, notaire sise au lieu de Kéréolé, batl
ments d'habitation et'ü’exploitaen l'Atndp
ii Brest, 25, rue de la Mairie
taire A Oulpavas
tlon, terres chaudes et ¡froides.
a e c e m b re ibiiô
1W9. ’>
à
prairieB, ’
•
A . V
e n d r e
A V E N D R E
Louée 460 francs ifsin et les
terroir de
n
B
OHÉ
A
OBÈ
A L'AHUSLS
contributions.
“ “ 115
Bd la oommune de Landun- En S a in t- P ie rre ^Q ulibiirno n I Mise k prix : 10,000 fr.
, Très la Penteld
v e i . près K erM int-Plou>
8 adresser audit M*,B»rJou.
d n im é z e a a .
'4 â J b » » .'î; « ïï',K
OE
WHfiOÜLÜÜARN
, A C C O R D E O N S 8traUN E FER M E
ïou-Kerr!ou, Lanbalès, An-Aot,
,l? à r e s f ' ■■
1
f della Italien^ sonorité
QaéUrec, loués à Morvan et Ber* située au bord de 1» mor.
l& lj^ip ô y è n u a n t
grandiose; nouv. cataJouliaanue au 29 septembre
:leaatUches).
19«.
8576
l l p
63 ür.luliei
|à une heure.
Premier lot
APPAREILS DE CHAUFFAGE
TOUS MODÈLES
DIX PROPRIETES URBAINES
en itre st et ><sml(ézfllec
Dç^.ndaBt de !a succession de
M-Nicol.
Et, susceptibles d'un rapport
r.nnuel aporoxlmatif (lr dix pr-ur
celit.
-------- volontaire.
Pour recevoir les 1») Numéros franco d o m ic ^ i Bufllufciivover un Iionda
° i mandat-posto do D fr. à Monsieur le Directeur d» la Ranqoe
Mobilière de Crié». 5, roe de Chantilly, Pari» 19').
11
JOUVENCE de Tabbé Soury
d e lu x e “ L
adj
l e lu n d i »7 ja n v ie r 1910 à
une heure et demie
En l’étude.
Tirages
par an
2---2
O naque envoi ss trouvera remboursé de sa valeur
rcm boursubla
intégralem ent ài 5
fr, par tlr«Vè*6
tirage (6 U™Kei°p:ir
t
oursubla intégralcmcnt
s”lr““pâr
IWliDlCATIffl
S '0SSK:
Le m a r d i
ja n v ie r 1910,
qui vous guérira sûrement.
La JOUVENCE se trouvent dans toutes les pharmacies.
Leflacou 3 fr. tfO ; franco gare, 4 tr. 10. Les 3 flacons contre
mandat-poste 10 fr. »0, adreusé pbarm. Mag. Dumontlor,
Rouen.
f Notice «f renneignem«uii confidentiels gra.tU)
BépOta à Brest: Phar. l.ebigut. Verger, Ghiireteur,
Phar. Koglonale Andrés — A LsmMxatlee, phar. Féret.
— A Quimnar, pharm. Ladouco. — A MorUix, pharm. GœH.
— A Sl-Pol de Laon, phaçm. Biautiin. -- A Crozon, pharra.
Housse, — A L&ndivitiw, pharm.PontiM ’ . — A Landerneau,
pharm. K irbrat. — A St-Pierre, pnarm. Uavld. — l . PcntVAbbi, pharm. Urall. — A lesneven, pharm. Roudaut. 8527
C h e m in é e
o-
mile t on
i f f l I K l , >ai
vo'ODfñire. eo i’é*
iu ie du ijoialre
oes m e rc re d i 3 et m a r d i
i 8 J a n v ie r 19VI
¿ v it o te * g o a d , w n
Aytorliés par les lois du aa Juillet 189*’, 10/aa Juillet 1&94, 6 Janvier 189*. 26 Juin j
xo avril 1901 e* garantis par la Ville de Haï is4 Lots de 200.000 francs
Prochains Tirages :
|Etude do M» tAVOLK, notaire
à Plabennec
REPRENEZ COURAGE
Audit lieu Le Oouailiou,
Une autre FERME
VILLE de
PARIS
—
•oit un total de
4 millions 346.000 f. de Lots
do mulndlcH Intérieures. m ltrlteB , flhrOmo, h£-~
M* VAIi/L-ft KT
la tje i
par adjudicatio»
ZSZSSSZZZ)
S
io u z o a
L a F O R T U N E e s t a v e u g l e , out le monde peut re­
cevoir sa bienfaisante visite
2 0
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las.
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fi E O P .'i K f, f <w
i
1
29blsf rue Monga (près la rue de Siam)f BREST
stade de M* A. TANGUY, huis»1er A Brest,’..8 , tue du (M teau.
________
'r :n 1
krmvaat ar goad, tvit pvrifa v goad
Ksrkouh d'ar m vicn bo nar ra
An ülmlnuclne eo al louzou gwirion
evit parea an DOKEN. Al louzeier all &
ginmger d’eoe’h a ko deuet varlerc’h, da
esaat, tre c’hoant, ober concurrence d’an
Ulmlnucine. Allaz, re zivezat ini; savet
evit rei lamm da hen-ma.
E gwerz e peb apotikerez, (ionienmi
mad an hano ^C?REUL, {?anr aoun da
veza iaziet.
Ulmlnuclne, lo.tzou nerzus, da viret ne
gouezoe’h peultriner ; d» ^renvaaf nr
merc’hed iaouank.
Al litrad, daou ,koed; l/21itrad, pcw.r
zek real : ar voutrülad, nao real.
(près la ru e de Siam )
2
4
2
2
j i&c&ù
Ulminucin
P a r i s - T a î l l e u r s ’in s t a lle à B r e s t
UN PETIT APERÇU DE QUELQUES P R IX :
PARDESSUS ANGLAIS, pure laine, imperméable, valeur, 35 fr., à.
PARDESSUS TAILLEUR, pure laine, valeur, 48 fr.,
................................
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COMPLETS, grande mode, tout laine, valeur, 49 fr., à ................................
COMPLETS, grande mode pour jeunes gens, valeur, 35 fr., à. . . . ,
PANTALONS velours inusables, valeur,* 12 fr., i l ...........................................
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VETEMENTS caoutchoutés, première qualité, valeur, 39 fr., à .....................
Quatre séries Importantes chemises flanelle, la première valeur, I fr. 95, à.
K.
m
DME
29 bis , ru e M onge
v in g
4 A cjou <le la récolte 1909 aura
lieu è Angers, su chSle“ (ta
Ckamp de -éars, les 8 , 9 . 1° et 11
janvier 1910.
A cette reire, les exposants
P^ont r -éteniv ég«ien-.em
des vius des* récoltes antérieures
rais spécialement en bouteilles
pour 1» veste
Angrr», le 1C décembre 1909.
Le secrétaire ginéral de i’UBion des Viticulteurs ae
iîaiuc-et-Loire,
Le héraut
m
JQ U
fo lio
w tap e *«. » ta:;ae da 17 <6c
¥; .
•"¿% o ? îrb,i,BSt «e Iwwtwr»*,
1 . « ! ? ’ S b,a ï * bol’otJ')rl"’ l> m ; »««i* «J»
cfdra,’ OOfr! I^'Î/ m S
r 61
b° ^ g
F O I R E A U X VIUS
ou
(fol
a»
Union des Viticulteurs
Maine-et-Loire
EN VENTE AU “ COURRIER”
•of ; Pl;tün i i j do lorre, e.5o;
’ ,?.rs<7
FOKGE-
NATIONAL.*
rS m .
M,“ *'?34 iB 18 U6C ~ JIW W *
îïn i» . «o i i I1,; *3lÿ10i 16 6*:.
Ju‘v, 19.00;
«
oûc MAI-
s e f a u d i t ^ reU raite r’ s’ad8
rf?;
Demandezgratis et bues.
^1 Album XUuatré de Montrv*. UHoux. Pendules
bUarohi dO lfi dArnmhrA »
1/
OÛ"ïitVilnc,
vHnr0 8.75.1
0 ooDliJfi
’ 8*00-ürK
'».rifr8.60
11.00.
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S B Ht ifi
Ptmt-VAbbê.
45 00 1M MO tu. Pallie, v t â & R
146 'r. donTi’ina. àsuir», f.36 ta
sfi,
W
C A D E V I I âl0DtACHETEUR.
v » » » l I
Mautoai
H HES!TEZ PAS* DEMAWDF7
la. do'11' ' Pommes de (erre 6 .60,
lat '.M U t; aula la douz., 1.70 ; beurre, 1.Î0.
C ü tIK Ô
ÎJJines Dotue Marques SOir. 80
.
14.«-'0 f'iTiAi: i
leÎivüOa k ltf oolr.*’ “ 4 * ° fr’ i>ommes 4
Vinillo« de ParU
S fe
32.00 J icigitt
oauîî*’ i67«?
ur?°’ila dom..
’ iü,t'
nuie.
,00, ’fflufï.
1.601<u WK'
C O M M E R C IA L
L’Almanach des Marins Bretons pour 19.10
WarU’ » d0“ lu®u, lu “ M «d*, 1« préoiilon et la
"ûent, les 60 kll.. 11.56 ; orge. 7.60 ’ sarraztn
2iî i
8-7s • "on>8-60 i P. de terre, les ai
*11., 4.00 ; poro frais, l.so ; bourra *alé, s 50 *
ueurre .ans sel, a.Mj «ufs,' 1. doui., 1 7 ®!
*
tandiuisfau. —. Marché du aa
_ sm,
■ami, le* loo au.. Sl.SiTméteU. le.wj TJ5u
u .itj »«rrasla, 10 ; uvolne, I 8.00 : orgo, 16.30 :
0. da terre, S.00 ; coufs, la doui., lf,S6,
<l0 18 déc - BU , lus 1M
Lambémlltc-Breil
Etude de M* KERNEIS, avoué
k Moríais
, .W1VTV Par licitation judiciaire,
Tuli lu en l'étude, et parle mi­
nistère -de M* Pouliquen, no.
taire à. Landivislau- ,
L e m a r d i 4 J a n v ie r 1910, k
10 heures du matin.
Commune d e ,.( in ic ia n , au
Heu de Tymen.Kerdéiaqd,
Un corps d» forme
M a . ?8re“ ,nW n ’
fL
M ise » p rix : IK.OOOfr. '
ui m
COyPTOIR 6BHBRAL DE LA1EDBLEIKHT
MAISON KËRBIRIOU
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I • I?
B bkst —
IT T •* f
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FONDÉ! EN 1876
Paru , 97-B^-H) —
ln faca l’Egllss Saioi^Mairttía
Ito
de
filimi n i i i i ï i ï ï ï nos seises
r **
*, u * efcol* d t Mobilier« aouplat«
WÉCIAUTÉ BE I E OBLES P0UB Li CilPABRE
m
rt'.'flftft«»1*
3 jk s t¡
y >r*rr|î» I
I tu*,
Deuxième lot
En la commune ae L aad an vez, terroir de Méitou-Kerbec,
UN CH A M P
Parc-Bertheié.
Misa à prix : 1 ,7 0 0 fr.
Bt mëmi au-lessous de cette
mise Aprix.
Troisième lot
En la commune de P Jo n rin ,
terroir de Stréat-ar-Orolssaot,
rois garennes et une pâtura
Mise a prix : 1,300 lr.
Bt infime au-dessous de cette
mise k prixS’adresser, pour tous rensei­
gnements, k M* de Rodellec du
^orilc, notaire chargé de la
veste, à M* H. Le Callooh, avoué
poursuivant à M* Borgnlard,
avoué collcltant t t k M* Queu­
tai, notaire k Porspoder.
H. LE CALLOCH,
avoué-licencié.
(Voir les affiches).
8588