Cinquième Année Numero 297 L Samedi 5 Août 1911 NUMÉRO 5 CENTIMES - H E Journal TARIF DES Règionaliste ABONNEMENTS Morlaix, UN AN ' 3 fp. 5 0 Finistère, Côtes-du-Nord et Morbihan 4 »» Autres Départements 4 50 Frais de recouvrement par la Poste 0 f r . 4 0 par abonnement U N I O N CATHOLIQU M. Goyen vient de publier dans le Progrès du Finistère un article dans lequel il reprend la thèse que nous avons déjà émise il y a quelque temps ici, à savoir que pour le moment du moins les querelles politiques devraient être considérées comme secondaires, et qu'une seule chose importe aux catholiques, se grou per tous sans distinction de parti pour défendre la religion et ses droits. Nous avons dit maintes et maintes t'ois que telle était notre manière de voir, et que tant que cette union ne serait pas faite, nous continuerons d'être à la merci et sous la domination des francs-maçons, des juifs et des métèques. Mais cette union qui nous parait nécessaire, indispensable, comment la faire ? Voilà le hic. Depuis des années déjà bien d'autres que nous l'ont préconisée, mais toutes les tentatives pour la réaliser ont échoué jusqu'ici. Pourquoi ? C'est ce qu'il serait peut être important desavoir. Pour nous, nous croyons qu'une des principales causes d'échec fut et est tou • jours, que l'on ne sait pas mettre à l'aise les consciences, et que l'on veut faire cette union de telle sorte qu'elle paraît à beaucoup devoir nécessiter des reniements. 11 faut bien l'avouer, les directions mal comprises de Léon X I I I et ma! exécutées avec souvent une rigueur et une maladresse intolérable ont divisé profondément les catholiques entre eux. Il n'y a pas besoin de sortir beaucoup de ce pays pour se rendre compte du mal qui a été fait ainsi. Mais aujourd'hui, après les explications très nettes venues d'en haut, il est bien clair que le Saint-Siège ne demande à personne de renier ses affections traditionnelles, et qu'encore moins i l oblige personne à se déclarer officiellement républicain. La seule chose requise est que comme catholique tout homme s'affirmant tel, ne fasse pas à un gouvernement quelconque une opposition de politique pure et ne prétende pas solidariser avec le catholicisme telle ou forme de gouvernement. Il est absolument certain maintenant, que le Saint-Siège repousserait également celui qui prétendrait qu'on ne peut être à la fois bon catholique et républicain ou catholique et royaliste, comme celui qui dirait que pour être catholique il faut être actuellement républicain ou au contraire royaliste. L'Eglise est en dehors et au-dessus des querelles politiques et elle s'accomode partout des diverses formes de gouvernement. Par conséquent une union catholique ne doit épouser spécialement la défense d'aucune forme spéciale de gouvernement, elle ne doit écarter personne parce qu'il a des attaches à tel ou tel parti. De môme nul de ceux qui entreront dans cette union, ne doit avoir le désir secret de s'en servir pour le bien de son parti, ni vouloir exclure qui que ce soit sous prétexte de divergences d'opinion politique. A ces conditions et seulement à ces conditions, il sera possible de faire une œuvre viable, surtout si l'on a soin d'écarter de la direction les hommes ayant un passé politique trop saillant, et qui pourraient porter de l'ombrage à d'autres. Tout motif de rester à i écart sera ainsi supprimé, et puisqu'il n'y aura plus de prétexte de ne pas entrer dans l'union, celui qui n'en fera pas partie se mettra ainsi en dehors du catholicisme. Comment et par qui doit-être dirigée l'union des catholiques, nous croyons que la question n'ollre aucune difficulté. Les évèques et les évêques seuls ont l'autorité nécessaire pour grouper autour d'eux les catholiques, c'est à eux de prendre l'initiative, à eux de jeter les bases des groupements de tracer un plan de conduite, et de revendications. Nous pensons cependant que la question de réalisation pratique doit revenir sous leur direction générale,ordinairement aux laïques, et cela pour éviter que les prêtres ne soient mêlés parfois à des luîtes qui absorberaient trop du temps qu'ils peuvent employer plus utilement ailleurs. D'ailleurs, nous n'avons pas qualité pour juger celte affaire, et nous croyons que les évèques ont là dessus des lumières spéciales qui leur permettront de décider au mieux. Tout ce que nous voulons dire en somme est ceci : Les catholiques qui grûce à Dieu sont encore la majorité en France sont traités en parias, parce qu'ils n'ont pas sû se défendre et parce qu'ils étaient divisés ; maintenant qu'il appert bien clairement que la seule lutte après tout est la lutte religieuse et que nous risquons si nous ne nous défendons pas de voir supprimer toute liberté de conscience et ruiner la religion, il y a un devoir instant pour nous de surseoir à nos querelles politiques et de nous unir. L'exemple de nos adversaires est là d'ailleurs pour nous instruire. Il n'y a qu'à étudier la manière dont ils procèdent. Sans aller bien loin, nous n'avons qu'à ouvrir les yeux et regarder autour de nous. Nous sommes certain que si tel journaliste prétendu catholique voulait se rendre compte de l'habileté avec laquelle Cloarec et ses amis du Léon profitent des thèses plus ou moins bizarres dont i l remplit depuis des années grâce à des complicités malheureuses, les cervelles léonardes, pour établir peu à peu leur domination, il serait épouvanté du mal qu'il a fait inconsciemment. Malheureusement il est probable que lui et ceux qui le soutiennent s'en rendront compte trop lard. Le Léon nous parait mûr pour des changements politiques et religieux semblables à ceux qui se produisirent en 1898 dans une circonscription de St-Brieuc réputée jusque là comme une forteresse invincible de la religion et des conservateurs. Le réveil fut subit et douloureux nous craignons bien qu'il en soit de même dans plusieurs contrées Léonardes. Quelque jour sans doute nous reviendrons sur ce sujet. A. LAJAT. TRAOU HA TRAOU ALL Kl ha Kaz Evel a oar hon lennerien, trouz a zo savet etre ar Frans hag an Alamagn divarbenn ar Marok. Ar Fransizion a zo bel roet d'ezo ar gevridi vrao da zelc'her an urz er vro c'houez-ze. Mes paotr an Alamagn a deu da zirenka paotr ar Frans a ro e vuez, duliont dindan heol loin an Afrik, evit ar blijadur da zanka — awechou re galet, a dennou fuzuilh — mennoziou sevenadurez (civilisation) e pennou ar Marokaniz. Evit lezel paotr Franz e peoc'h d'ober e geusteuren er Marok, hini an Alamagn a c'houlenn eur bastel vrao a zouar en Afrik — rak e stomok a zo digor — da lakaat etre e zent. Eul loden vad eus ar C'hongo, na muioe'h na nebeutoe'h. Ar Frans, hag a guv tenn lezel eun tam ken teo da vont — hep kalz digarez — gant an Alamagn, a ra breman gant he I/O'i oiièmc'i lu / PENN KL Paraissant indépendant. DIRECTEUR Rédaction & : A. LAJAT Administration : JVIOFtL-AIX. — 31, Flue ties F o n t a i n e s — amezegez, menaj ki a kaz. Daou ugent vloaz ' zo an traou a zot stign etre an diou vro, ha bep an amzer ar zellou a deu da veza duoe'h hag an den da veza diskrougnetoe'h, mes hirió an traou a zo gwaseat kalz. Ha ne ouezer dare ha ne vo ket red eur brezel evit kontanti an eil hag egile — A viskoaz ltaoz ar c'hrenva a zo bel ar wella. Coude eun nebeut isperanz da velet an al'er eehuet hep marviou tud, difisianz a zo deut adarre er sperejou ha nec'hcl oar var finvez ar gaozeaden savet etre an .aot. Cambon, en hano Frans, hag an aot. Kiderlcn en hano Alamagn. Mestr an Arme Ar Fransizien o deus sonjel pegen diez evijestad o arme er brezel hep penn braz ebet d'he c'houm.?ndi. Ouz ar jeneral Goiran, neuze ministr an Arme, e oa goulennel, da genta, petra zonje eus ar incnnoz-se. Goiran a responlas ne wele den gouestoe'h da veza " jeneralissim " eget Armand Fallières, eujen lard an Elize. An deputeed, o klevet eur respont ken zod, a ziskredas war skiant vad ministr an Arme hag a roas da c'houzout d'ezan ne oa mui en e blas. Goiran kouezet, Messimy a zavas. Hag eur " generalissim " d'eomp a zo ganet, da lavaret eo eur jeneral uheloc'h eget e genvreudeur hag en dije ar goumandamant vraz var an holl, er brezel. En Arme ne oa douelanz ebet var dibab ar jeneral meur. Ar jeneral Pau a oa anavezet gant an holl evit beza ar gouesla. Galvet e oe gant ar ministr. Mes Pau en deus nac'het an enor kinniget d'ezan, abalamour ar ministr republikan Messimy a lakea d'ezan hualou, hualou hag a dije harzet anezan da vale e giz ma karje. Var e lerc'h, ar jeneral Joffrc, disteroe'h a lavar lod, a zo bed souploc'h hag en deus digemeret ar pías gant, e hualou. Ha kaout a ra d'eoc'h, en derc'hent eur brezel posubl, ema ar c'houlz da lakaat bizier e divesker an hini a gaso hon arme d'an tan ? E goustianz ha grevusted e garg a vije awalc'h da viret outan d'ober diboellerez... Mes daoust ha minislred diboell ha digoustianz a c'hall kompren ze ? Bretoned divroet La Croix des Coles-du-Nord a verke, en deiziou-man, penaos kalz Bretoned eat da eosti d'ar Bos n'o deus ket kavet labour er vro-ze, ar mekanikou o veza kemeret leac'h an tud evit an eost, c meur a diegez... « Guelloc'h eo ar Garonn pe ar Bos, eget ar broiou estren, a lavar hon c'henvreur. Mes guelloc'h eo Breiz eguel ar Bos hag ar Garonn. Peralc ne jomer ket en hor broig ? Kemenl a zouarou a jom c'hoaz dilabour aman. Mez hor c'henvrois, ¿ leac'h laboural o douarou, a gav gwelloc'h monc da labourai douarou re ail, da Greiz pe Greizteiz ar Franz. » Gwir a lavar hon c'henvreur mad. Ni anvez merourien, dre aman, liane gavont ket, er bloaz-man, eosterien evit arc'hant lia ne c'hallint, gant ze, ober o eost nemet gant mil boan ; hag epad an dra-ze ez euz bretoned ebarz er Bos hag er Garonn o tua gant an naon, hep arc'hant na labour. Kenvroiz, setu pelra eo an divroerez. Yan BREZAL. AR SEC'HOR Ni on deuz treuzet, en derveziou tre- uc? M O R L A E le Samedi TARIF DES INSERTIONS Annonces judiciaires ou diverses (la ligne) Réclames (en 3e page) (la ligne) id. (en 2" page) (la ligne) Pour les annonces répétées on traite à forfait Ofl*. 2 0 0 30 0 40 ! pèrenl que devant l'opposition du patroÍ nat, des ouvriers, des syndicats et des sociétés de secours mutuels, tous enneLA NOUVELLE T E N U E AUX mis et da principe même et des modalités GRANDES MANŒUVRES de la loi, cette loi va être défaite et les Une expérience intéressante va être retraites ouvrières renvoyées aux calent-, faite aux prochaines grandes manœuvres. des grecques. Il n'y a à montrer quelque. Deux bataillons du 106« d'infanterie, empressement que ceux qui bénéficieront deux escadrons du 12° chasseurs à cheval du régime transitoire, les ouvriers et et 2 batteries du 25° d'artillerie y figure- paysans âgés qui, sans presque rien verront sous la tenue réséda que M. Ber- ser, toucheront une petite retraite. teaux avait mise à l'essai. L'horreur que nous avons pour le gouUn des balaibons de ligne recevra un vernement actuel, pour vive qu'elle soit, équipement en cuir fauve, tandis que ne nous entraînera cependant pas à l'inpour l'autre, les courroies, ceintures, bre- justice. Nous aurions du scrupule à entelles et cartouchières seront d'un vert gager contre la République des hostilités sombre qui ne Irancherafpas sur les vê- dont les ouvriers et les pauvres gens tements. Tous les hommes seront coiffés seraient les premières victimes. Et c'est d'un casque. pourquoi, quoique la loi d'avril 1911 ne nous semble pas sans imperfection, quoiLES ÉLECTEURS DE que des simplifications s'imposent, nous SIX-FOURS SONT T Ê T U S ne pouvons qu'engager tous nos amis i Pour la quatrième fois, les électeurs profiter des avantages d'une loi qui est de la commune de Six-Fours, près de juste dans son principe, que les catholiToulon, élaienl convoqués pour élire, diques ont toujours réclamée et qui, même manche, leur Conseil Municipal, démisavec ses déficits, constitue un progrès sionnaire par protestation contre le fisc, très grand. qui veut lui imposer des contributions La question des retraites ouvrières est pour une garnison coloniale que cette posée dans le monde entier. Elle doit commune n'a pas demandée. être résolue dans notre pays comme dans Pour la quatrième fois, les électeurs les autres Aucun des systèmes n est paront répondu par une abstention générale fait ; le meilleur nous semble-t-il, est enà l'appel qui leur élail adressé. core celui auquel se range notre loi franLa grève des électeurs, voilà encore le çaise. , meilleur moyen de venir à boul du Gou De fait, il n'y a que deux systèmes en vernement. présence, et deux modes aussi d'organiE x t r a i t de l ' i t i n é r a i r e des com- ser les retraites ouvrières, Ou ces retraimissions d'achats d'étalons en 1911. tes seront obligatoires, ou elles seront fa— Les Commissions chargées de procé- cultatives, ou elles seront prélevées sur dei, en France, à l'achat des éla'ons de l'impôt, ou elles seront constituées par pur sang, de demi-sang el de trait pour des versements faits à des caisses qui la remonte des Dépôts de l'Etat, en 1911, percevront ces fonds, les feront valoir at se réuniront aux dates et lieu ci-après : paieront leur retraite aux assurés. Les 3 et 4 octobre, à Landemeau, sur 11 n'est plus aujourd'hui de discussioa le champ de foire, à 8 heures du malin possible sur le principe même de l'obli(étalons de demi-sang ; étalons de Irait galion à la retraite. Ce système partout á de race bretonne). triomphé. Tout ouvrier aura sa retraite : MM. les éleveurs qui désireraient pré- c'est comme un droit social qui lui est senter des étalons aux réunions de Lan- aujourd'hui universellement reconnu. La derneau sont invitas à adresser, dix jours Belgique elle même, qui est le pays libéavant les opérations des Commissions aux ral par excellence, incline de plus en plus Directeurs des Dépôts d'étalons des cir- vers le principe de l'obligation. Son sysconscriptions intéressées, les noms, les tème de la « liberté subsidiée » n'est origines, les signalements complets et les avantageux qu'aux ouvriers d'élite. Les performances, s'il y a lieu, des animaux autres ne versant rien. Arrivés à la vieilqu'ils comptent soumettre à l'examen lesse, ce ne sont plus que des mendiants des commissions. qui touchent un secours et n<w des hommes libres qui se sont constitués une reGrand Concours de Sténo- Dactylographie ;ï Nantes traite. Le chancelier de l'échiquier anglais Un grand concours de sténographie et Lloyd Georges, dans la loi qu'il vient da de dactylographie organisée par l'Associa- présenter au Parlement, ne demande da tion amicale des sténographes et dactylo- versement ni aux ouvriers ni aux patrons. graphes nantais et sous le patronage de C'est l'impôt qui fournira les sommes néhautes personnalités industrielles, com- cessaires aux retraites ouvrières. C'est la merciales, adminislralives et journalistes, système que la C. G. T. tente de faire aura lieu à Nantes le Dimanche 10 Sep- prévaloir dans notre pays. Malgré ses complications en quelque tembre prochain. 400.000 de prix en espèces, médailles et sorte infinies - et comment ne le seraientelles pas, étant donné les multiples catédiplômes seront décernés. Nous engageons vivement les sténo-dac- gories d'assurées créées par la loi ? — tylographes à prendre part à ce grand notre système qui n'est autre que le système allemand, nous paraît beaucoup concours. Demander le règlement général à M. plus équitable et plus social. Les retraites Roussilhe 35, Bue Grande Biesse, Nantes constituées par des prélèvements faits eu y joignant un timbre pour la réponse. sur les salaires, pai les contributions patronales et par l'apport de l'Etat nous semble plus sûres. C'est le principe même de l'assurance qui entre en jeu. Il donna au mécanisme de celte loi un caractère L'application de la loi sur les retraites scientifique et augmente, i l est vrai, les ouvrières et paysannes rencontre des dif- minuties administratives et financières, i ficullés sérieuses. Nombre d'ouvriers n'en mais aussi, les retraites sont beaucoup veulent pas. Ils font des feux de joie des mieux garanties que si elles dépendaient chaque année des fantaisies mobiles da Ar sizun a zeu e velomp adarre ar pez feuilles qu'ils devaient remplir. Beau\ coup de patrons sont systématiquement ¡ la Chambre des Députés ou des disponi* a vez red da ober epad ar sec'hor. ; hostiles à loulcs les lois sociales ; ils es- ' bilités de l'impôt, Eur BREIZAD. Í menel, ar pez a c'heller da c'halvar eur gwagen a domder spontuz. An thermoinelr a zo bel penfollel peguir e cerlain leac'hou eo bel eal betek 50° en heol hag 40° en disheol. An domder-ze kazi henvel ouz ann hini e vez kavel er Senegal en deuz mirel ober labour er parkeier. Red e oa cliom eb labourat, epad an heuriou a domder vraz, a zindan ar boan da velel lud hag anevaled o paka eun laot heol. Mez ar c'houer, e Franz, en deuz enhan teír euz ar guelia verluziou euz ar bobl : an nerz, ar c'houraj, an dalc'li mad. En eur gemer var e gousk, en eur labourad abred, araog sao heol, hag en eur labourad betek ma sao arslered, eo deuel a benn da ingali ar c'holl arr.zer forced dre an domder. Red oa ober kementze, er poent bloaz ma dre olí, ma vez kement a labouriou o tout an eil varlerc'h eguile : ar foen, an eost. Dindan an domder euz miz gouere, an douar en deuz kollel kalz euz an liumidile en doa lakeal ennhi epad ar goanv. Ar c'hollou-ze en em ra deuz daou seurt: dre an douar lommet re an olí ; dre ar pez a gemer an adou, an daou zra-ze an deuz ar memez bul : ar zec'hor. Petra eo brema, pelra a c'hell beza divezaloc'h, ar gonzequanz euz an domder hag euz ar zec'hor-ze ? Guclet en deuz penaoz an eost a vefe falloc'h abalamour e oa skaotet e cerlain broiou. Evit ar boued chai al : panez, betterabez, avalou douar, e velo mp en deuz dija an lraou-zc senled an effet euz an domder. Kalz a blanlennou avalou douar a zo devet ganl an eol, lod hall a zo lagel gant ar prenved guen, ganet dre an domder. Dre-ze e c'heller lavarad c vezo diminuet an eost. Ar betterabez doared mad e cerlain leac'hou, on deuz diminuet o labour a greskadurez, hag dre-ze e vczinl falloc'h, ma ne deu kel a c'hlao aw*lc'h evit rei dezho eun narz nevez. Elouesk an traou all, ar c'haroltez, ar c'haol o deuz bed kalz a boan epad ar pemzek dervez diveza. Cerlain eo e vezo koll aze var ar pez a konter evil beva ar chatal epad ar goanv. Ar foen euz e gostez a zo bed hanler mad. Neuz kemed sellel ouz ar foenneier lizec'hed hag deved gant an heol, evit en em renta kont penaoz memez t u r glao puill, m'an teufe, ne vefe kel sul'fiz evil rei eun eil trouc'h mad awalc'h evit peurechui ar pez a zo necesser. Ar pez a veler dre-ze, a zigass ac'hanon da glask ar pez a c'hell mirel ouz kement-ze. Eun tam arne zo bet du-mandu-ont, o laoler var an douar, eun dour braz bennag, re vuhan eved gant an douar. Evit glepia ar l'onz euz an douar. e ve red kaoul kalz a c'hlao. Bed eo cía evil on adou, kaout er mad bennag euz kementze. Ar guella nioycn evit kaout gounideguez eo dale'har an douaiTampr, evil eassad an henl da bep berad dour. (An dra-ma evit an traou a vez e'houenned). Passeal an hoged, setu eun dra distingue!.. Labour mad ¡vez : rag eassad a ra evil an douar, eva an dour. Er bloavez-ma, e vezo mad-lre, goude an eost, dishei an douar er parkeier e pere a vezo bed eost ; hag al labour-ze a dlco beza great gant an alar. Mez dre olí, d'an diskar amzer e vezo red sikour an douar da gaout an dour necesser. D'an diskar amzer, hag er goanv, e kouez ar muia dour. Dre-ze an douar a zalc'h an humidi'e necesser evit an nevez amzer hag an hanv. Dre ma icio don an dour, dre-ze e. pado muioc'h an humidile. INFORMATIONS L'ECHO . « Ces mesures si simples sont efficaces i Sans vouloir étendre cet article qui ne 'ait qu'effleurer un sujet si vaste et si contro toutes les maladies du tube digescompliqué, ce que nous venons de dire tif et notamment coutre le choléra ». M. Metchnikotr l'a lui-même constaté il suffira à persuader lep maires des communes de faciliter à leurs subordonnés Saint-Pétersbourg, au cours do l'épidél'accomplissement des formalités néces- mie cholérique de 1909 : saires à la constitution de leurs retraites. Nous avons vus, dit-il, que les gens, Il suffira aussi, nous l'espérons, à con- même parmi les moins fortunés, évitaient vaincre les ouvriers que leur intérêt est 10 choléra rien qu'en buvant de l'eau d'accepter cette loi, pour imparfaite en- bouillie. Dans la garnison de Saint-Pécore qu'elle soit, quitte à en poursuivre tersbourg et dans la marine do Cronstadt, graduellement l'amélioration. le choléra a pu être conjuré par l'observation rigoureuse de celle règle. A. LEMARESCAL. REVUE DE PRESSE Laleçon des socialistes étrangers De la Libre Parole : Le retour de M. Yvetot, fdant avant que la police berlinoise ait eu même le temps de lui signifier son arrêté d'expulsion, manque assurément de prestige. Comme son homonyme le roi d'Yvetot, le citoyen ¡délégué de la C. G. T. dort fort bien sans gloire. Son voyage cependant, n'aurait point été tout à fait inutile s'il rapportait aux compagnons français une leçon de calme et de modération. Le pacifisme violent, l'antimilitarismo belliqueux de nos Cégétistes a paru tellement enfantin et ridicule aux socialistes allemands, qu'ils ont refusé de leur donner la moindre réplique. • . Négociations franco-Allemandes De YAurore : Tout en souhaitant autant que quiconque qu'une solution favorable intervienne il ne faut pas oublier que nous ne sommes pas seuls à causer et surtout à régler le différend. Les doux discours de MM. Lloyd George et Asquith ont été la dessus très formels. Le gouvernement anglais rejette d'avance touto solution qui serait de nature à troubler ce qu'il appelle l'équilibre africain. Toutes les compensations ten dant à accroître l'influence allemande sur les côtes de l'atlantique et à augmen ter considérablement son domaine colo niai sont de nature à troubler le dit èqui libre. La Grande-Rretagne a-t-elle changé de politique depuis les déclarations faites aux Communes ? Il n'en a pas été question. De la Pelile République : A l a vérité, aucune précision n'a encore été formulée ou, si elle l'a été, on ne nous le dit pas. On discute môme peutêtre encore sur l'étendue du sacrifice demandé. Sera-ce tout le Gabon jusques et y compris Libreville, ou le nord seulement du Gabon, moins l'hinterland ? Fera-t-on disparaître le fâcheux bec do canard par quoi se termine la colonie allemande du Cameroun ? Nous donnerat-on le Togo ? Aulant de mystères qu'il serait vain de vouloir pénétrer pour le moment, puisque les négociateurs no sont d'accord que sur des généralités. Pour se garder du choléra Les conseils judicieux du professeur Metchnikoff Comment peut-on se préserver du choléra et que faut-il faire s'il se déclare, nous écrit-on de tous côtés ? Nous avons été, hier, à l'Institut Pasteur, demander à l'éminent professeur Metchnikofl de nous éclairer à ce sujet. — Mais il ne faut pas, on ne doit pas attraper le choléra, s'est-il crié, et pour cela rien de plus efficace que les règles d'une hygiène facile à imposer à soimême et aux siens. « Les mesures de préservation collectives sont du ressort des pouvoirs publies mais sans attendre le secours de l'Etat, il est indispensable de se préserver individuellement. « Pour cela, il suffit d'empêcher le microbe pathogène de pénétrer dans notre économie. Or, cette pénétration seVaisanl toujours, pour le choléra, comme pour la fièvre typhoïde, par les voies digestives, il faut prendre, dans l'un et l'autre cas, <les précautions identiques, qui peuvent «e résumer simplement de la manière suivante : « A chaque repas, composé île mets portés à une chaleur suffisante pour détruire les microbes pathogènes, une lampe à alcool ou « gaz à une certaine quantité d'eau bouillante assureront la stérilisation des couverts et des assiettes, i'eau de boisson n'étant bue qu'après ébulUtion préalable. « En d'autres termes, ne mangez que des aliments bien cuits, ne vous servez que d'ustensiles et de vaiselle soigneuso,ment'flambés ou échaudée et faites bouil- Jjr votre eau. « J'ai appliqué à moi-même et aux miens celte méthode, ajoute M. MelchnikolT, dans les circonstances que voici : «J'avais chez moi up domestique qui avait eu la fièvre typhoïde et qui était encore en convalescence. Je ne voulais pas m'en séparer, et pourtant il constituait un véritable « porteur de bacciles ». Grûee aux précautions que je viens d'indiquer, 11 ne s'est produit aucune infection dans la maison pendant tout le temps que cet homme m i l à se débarrasser définitivement de ses bacciles ». — Mais, demandons-nous encore, n'y al-il pas un moyen préventif, la vaccination anti-cholérique, utile à appliquer en cas de menace d'épidémie ? M. Metchnikoff ne croit pas à l'effica cité do celte vaccination. 11 a fait, à ce sujet, de nombreuses expériences, avec ses collaborateurs, MM. Besredka et Choukevilch. — Dans le choléra asiatique, dit-il, il s'agit d'une intoxication venant du tube digestif el provoquée par des produits vi brioniens contre lesquels l'inoculation sous-cutanée d'un vaccin ne peut avoir aucune prise. Ce n'est pas la même chose dans la fièvre typhoïde, où l'on a affaire ù une véritable infection. Le microbe, quoique développé d'abord dans l'inles tin grêle, se généralisme clans l'eslomae et dont les injections vaccinales sous la peau ne devraient pas manquer de protéger l'organisme contre l'infection typhique... « Quoi qu'il en soit, conclut M. Metch nikoff. il est de toute importance de propager le plus possible les mesures hygié niques contre les maladies infectieuses en général et contre les infections intestinales en particulier, en dehors de tout essai de vaccination. Ce n'est que dans les cas exceptionnels, tels que les mar ches forcées en temps de guerre — quand les mesures hygiéniques deviennent i m possibles, qu'on pourra recourir à la vac filiation, même si on ne peut en escompter qu'un elfet incertain. SA.LAGPiAC. (.Journal). LA SITUATION AU MAROC L'Espagne recommencerait L'attitude de l'Espagne au Maroc est de moins en noms compréhensible. Elle nous fait des excuses, signe un « rnodus vivendi » el reprend ensuite Ses agissements malhonnêtes. C'est ainsi qu'on apprend que les autorités espagnoles ont embarqué à Larache pour Coula el Mellila, 106 déserteurs de l'armée marocaine campé» près d'ElKsar. Etant donné que le fait s'est passé le jour même où les termes du « modus vivendi » ont été arrêté«, sur ce sujet, entre la France et l'Espagne., l'incident cause un élonnement profond. On apprend également que malgré les clauses contenues dans le « modus vivendi », les Maures onl emporté leurs armes et leur équipement complet. Il est probable que des explications seront demandées aux autorités espagnoles. A Tanger, le ministre plénipolenciaire espagnol a notifié au ministre plénipolenciaire allemand le « modus vivendi » espagnol. L'ORDINATIONDU 24 JUILLET Nous donnons ci-dessous les noms des ordinands promus aux ordres majeurs : Sous-diaconat. — M. Roudaul YvesFrançois-Marie, de Plouguerneau ; Abgervé-Guéguen Jean-Baptiste, de Lampaul-Guimilliau; Bratiellee Yves, de Trémaouézan ; Christicn Thomas, de Querrien ; Conseil Vincent, de Cléder ; Grill Corcnlin, de Langolven ; Lannuzel Michel, do Lannildut ; Le Ster François, de Trégourez ; Abivcn Jean-Pierre, de Plabenncc ; Batany Auguste, de Douarnenez ; Riliant François, de Saint-Urbain ; Bothorel Yves, de Lennon ; Boulc'h François, de Mespaul ; Boulic Pierre-Marie, de Saint-Marc ; ïiroust René de SaintYvi ; Caer Jean-Auguste de Lanvéoc ; DU Cozic François-Louis, de Saint-Goazec ; CuetT Charles, de Plougoulm, Férec, p ierre, de Ploiùodiern ; Guéguen Gustave de Chftteauneul'-du-Faou i Le Foll Henri, de Coray ; Le Saux Jean-Pierre d'Edern ; Vlilin Charles, de Mespaul ; Suignard François, de Pleybcn. FINISTERE qui se dépense sans compter pour faire de nos compatriotes des catholiques et des Bretons toujours. Diffener BBEIZ Plouénan. — Coups et blessures. — Le nommé Le Gall J., à Plouénan, est condamné à 8 jours de prison et par corps aux frais de la procédure. Ange de Guernisac, 66. — Henri Bozellec négociant en vins, et Marie-Madeleine Simon, s. p. rue Gambetta, 64. —Jean-Ernest-Marie Croissant, représentant de commerce à Saint-Brieuc et Marie-Lydie Miorcec, s. p. rue des Bouchers. DÉCÈS Saint-Pol-de-Léon. — Coups et blessures. — Meurzec Jean-Marie, âgé de 21 ans, marin pêcheur et Kerleron Claude, Diaconat. — MM. Hanras Auguste, de 33 ans, journalier à Pempoul, en SaintMarie-Françoise Bourhis, épouse de Douarnenez ; Bilian Pierre-Marie, de Pol-de-Léon sont poursuivis pour avoir Charles-Marie Tourmen, 46 ans 2 mois, Scaër ; Biaise Jean-René, de Briec ; Boconjointement à Saint-Pol-de-Léon, vo- rue Villeneuve, 34. — Marie-Renée CasLa situation est toujours sérieuse. On lontairement porté des coups et fait des zec Jean-Marie de Gouézec ; Cadiou Jotel, veuve de Pierre L'Hostis, 83 ans 2 seph-Claude de Plouescal ; Conseil Jean- verra plus loin la note qu'a publiée le blessures à un de leurs camarades. mois, quartier du Château. —Jean-Marie Times, lille indique avec netteté qu'une Marie, de Cléder ; Floc'h Jean-Marie, de Ils sont condamnés tous les deux à 1 Prigent, 7 ans 6 mois quartier du ChâSaint-Thégonnec ; Laot Joseph, do Lan- détente s'élail produite, el que la situa- mois de prison avec sursis. teau. tion devait être soudain envisagée avec nilis ; Le Gall, Louis Joseph, de SaintHenvic. — Délits de navigation. — Le optimisme. Sauveur de. Brest ; Midy François, de Roux Claude, 69 ans, marin-pêcheur à Nous pouvons dire que le gouverne- Caracoùl en Henvic, a navigué sansavoirà Poullan ; Nicolas Joseph-Marie, dfc Henment fiançais considère, à l'heure ac- bord son rôle d'équipage, condamné a 16 vic ; Picarl Yves-Marie de Guielan ; CARANTEC Pouliquen François, de Comanna ; Tan- tuelle, que les prétentions de l'Allemagne francs d'amende et par corps aux frais de Saint-Joseph d u B e l - A i r guy Jean-Louis, de Plougourvesl ; Thoc r demeurent exorbitantes et inacceptables. la procédure. Kermesse. — La Kermesse de la CoSans doute, l'Allemagne a diminué ses François, de Plounéour-Trez. Guimaëc. — Guivarch Pierre, patron lonie de Vacances, à Carantec aura lieu exigences. Elle ne demande plus, comme Prêtrise. — MM. Bescond Jean-Pierre, pêcheur ; Grall Pierre, marin pêcheur, et le Dimanche 13 août, dans le Parc de de Lampaul-Plouarzel ; llerry Alain, de elle l'avait tout d'abord demandé — nous Marzin François, également marin pêMadame la Vicomtesse Joseph de Kerpouvons le dire aujourd'hui avec certiPlougoulm ; Grall Charles-François, de cheur, tous domiciliés à PJoërmel, en grist. Espérons que le beau temps se mettude — que la France lui cède loul le Plougasnou, sont prévenus d'avoir péSaint-Thégonnec ; Bodénès Jean-Louis, tra de la partie, car la fêle promet d'être de Plougaslel-Daoulas ; Croq Henri, de Congo français, de la cóle de Sangha ; ché au chalut à moins d'un mille de disréussie. On t'y prépare déjà activement. mais elle demande encore beaucoup trop. Douarnenez ; Floc'h Edouard-Marie, de tance de la eôte de Bec-an-Fry en GuiLes comptoirs se montent, les gymnastes Enfin, M. Jules Carobon, notre ambasLandunvez ; Jacolot. Jean • François, de maëc. Guivarch est condamné â 25 francs s'exercent, les musiciens- répètent leurs Guipavas ; Kerbiriou Louis de Saint-Pol- sadeur à Berlin, avait causé à Kissingen d'amende. Grall et Marzin, 16 fr. d'aplus beaux morceaux, les artistes du de-Léon ; Kennanach Jean-Michel, de avec M. de Kiderlen-Waechter, cl la con- mende chacun. Tous bénéficient du sur« Music-hall » repassent soigneusement versation avait pris un tour si favorable, Port-Launay ; Laucien René-Victor, de sis. leurs rôles. Tout promet de marcher à Plouézoc'h ; Lareur Jean-Louis, de Plou- que notre ambassadeur était revenu renHenvic. — Quéguiner Eugène, 28 ans, merveille. L'Echo du Finistère publiera zané ; Le Bol François, de Loperhet ; Le j dre compte de son entretien au gouver patron pêcheur au vieux passage, en Henla semaine prochaine le programme dénement. Dix jours après éclalait le coup Golï Yves-Marie, de Guimiliau ; Lo Roux vic, esl prévenu d'avoir navigué sans taillé de la fête. d'Agadir. Visiblement, c'était la querelle Jean-François, de Cléder : Mingam Heravoir à bord son équipage au complet. 16 SAINT-POL-DE-LEON vé, de Bodilis : Palinec Jean-Pierre, de cherchée à la manière brutale qu'on re- fr. d'amende avec sursis. trouve dans les traditions de la politique V o l . — Jeudi matin les gendarmes ont Plouider ; Hays Ambroise, de la CongréMorlaix. — Ivresse. — Mailleau Yves, couduit à Morlaix les femmes Miorcec et gation de SS. Cœurs de Jésus el de Ma- étrangère allemande. 34 ans sabolier à Morlaix, poursuivi pour Le Biban, deux sœurs, accusées d'avoir Le gouvernement français est ferme- ivresse récidive fait défaut. Deux mois rie. volé une certaine somme d'argent au prément résolu à ne se laisser influencer ni de prison. judice de M. Jean-Marie Cosléou, demeurant rue du Pont-Neuf. par la manœuvre d'Agadir, ni par la diSaint-Pol-de-Léon. — Ivresse. — StéLa femme Miorcec aurait profité d'un minution des prétentions premières de phan Louis, 26 ans, domestique à Saintmoment où elle se trouvait auprès de Mme l ' A l l e m a g n e , d i m i n u t i o n q u ' i l peisisle à Pol-de-Léon fait aussi défaut Six jours Cosléou, atteinte de paralysie, et lorsque Attention, mesdames, la femme à barbe celle-ci avait le dos tourné, pour s'empajuger insuffisante. de prison. ne sera bcinlôl plus une exception pour rer d'une bourse contenant 35 francs, L'Allemagne l'aurait-elle enfin compris Sainl-Pol de Léon. — Ivresse. — Bihan qu'elle partagea ensuite avec sa sœur. baraques ou spectacles forains. et se déciderait-elle à engager les négoYves, 47 ans, journalier, fait défaut PLOURIN M. Brandi, savant danois, vient de déciations dans une autre voie où le gou comme ses camarades, poursuivis pour montrer dans un travail bourré de docuAccident mortel. — En chargeant vernement français, qui ne veut pas le même délit. I l est condamné à deux ments que la barbe humaine serait de du sable, jeudi 27 juillet, M. Yves Jézése départir de l'esprit de conciliation dont mois de prison, à 50 fr. d'amende, par quel, 36 ans, adjoint au maire de Plourin, formation récente, résultant d'un effort de il n'a cessé de faire preuve, pourrait la corps aux frais de la procédure et le déreçut une ruade dans la région du cœur. la vie animale pour se parer et pour s'arsuivre ? Nous avons des raisons de le clare incapable d'exercer ses droits politiIl succomba dimanche, vers midi, après mer. Quoique celle effort se manifeste de croire, mais il n'en faut pas moins de ques. avoir enduré les plus altroces souffrances. façon moindre, dans le sexe faible les femmeurer sur une réserve absolue. M a r i a g e . — M. Charles Le Febvre, Il laisse une veuve avec trois enfants. mes à barbe doivent êlre regardées commaire, a procédé lundi matin, à onze L'inhumation a eu lieu à Plourin lundi, me des précurseurs, comme des types lu heures, au mariage civil de M. Henri Bo- à 4 h. du soir. lurs. Bientôt en effet, sous le rapport des zellec, négociant à Saint-Pol de Léon, moustaches el des favoris, la femme n'auUne foule considérable assistait aux fils du président de la section des Vété- obsèques. ra plus rien à envier à l'homme dont ( MORLAIX rans de cette localité, avec Mlle Marie elle esl presque l'égale... en politique. ROSCOFF Anciens sous-officiers de M o r l a i x . Simon. Les témoins étaient : pour le D'après M. Brandi, dix pour cent au Régates de Roscoff. — Les régates moins des jeunes femmes possèdent un — Les camarades de la section des anciens marié, MM. René el Alexandre Bozellec, de, Roscoff auront lieu le Dimanche 20 soupçon de moustaches, courlcduvetéc, Sous-officiers de Morlaix se sont réunis, négociants; pour la mariée, MM. Albert Août 1911, à une heure précise. peu apparente, mais dont les poils colo- samedi soir, 29 juillet à la mairie, à l'effet Simon, clerc de notaire, son frère, et Programme. — Première course. Pierre Le Coulm, négociant à Morlaix. Yachts de 6 m. 50 de la série nationale. rés sont arrachés à l'aide de la pince à d'offrir il M. Aud'hui récemment nommé Chevalier du Mérite Agricole, l'insigne de La cérémonie religieuse a été célébrée, épi 1er. — Premier prix, 30 fr. et une médaille au milieu d'une~"hombreuse aflluence, en de vermeil offerts par le Yacht-Club, de Toutefois, le savant danois concède que cet Ordre. M. Bertrand, le Irès dévoué président l'église Saint-Martin. le nombre de femmes barbues n'augmenFrance. — 2- prix, 15 fç. et une médaille de la Section, se faisant l'interprète de te que lentement et que le cas des femmes M u s i q u e m u n i c i p a l e . — Programme de bronze offerts par le Yacht-Club de tous les camarades de la section, a viveà moustaches ne doit pas êtré envisagé du Jeudi 10 Août 1911, à 8 h. 1/2 du soir France. ment félicité M. Aud'hui delà distinction ayant deux siècles. Le Triomphal, allegro, Ch. Cruchon. Deuxième course. — Yachts de 6 m. Qui sait, peut-être à cette époque sera- que vient de lui accorder M. le ministre de Ouverture de Concours, Michel. (jauge internationale) et Yachts de 0 à 1 ce la grande mode ! El 'enez, précisé- l'agriculture pour tous les services qu'i Raphaëlle, valse, R. Massard. tonneau (jauge de 1899). — Premier ment, les hommes se rasent plus .que ja- a déjà rendus à l'agriculture brelonnedans La Norma, fantaisie, Felliniprix, 30 fr. et une médaille d'argent mais ; il es donc tout naturel que les l'em«- la branche si spéciale de l'élevage du che Cendnne(le, mazurka, A. Chauvin. olïerte par le Yacht-Club de France. — val, mes par esprit de contradiction... Le Sous-Chef de Musique, 2- prix, 15 fr. et une médaille de bronze Très touché des sentiments exprimés 0 . L E JEUNE. offerte par le Cercle de la Voile de Paris. par M. Bertrand, M. Aud'hui a remercié , Troisième course. — Yachts de 8 m. M o u v e m e n t de la population. — ses camarades de leur geste si plein de ur (jauge internationale) et Yachts d e l à 2 Du 26 juillet au l Août 1911. la bonne el franche camaraderie qui unit tonneaux 1 /2 (jauge de 1899). — Premier NAISSANCES Le grand pardon des Bretons a été par- môme dans la vie civile et en toute cirYvonne-Jeanne Colcanap, fille de Vic- prix, 40 fr. et une médaille de vermeil ticulièrement brillant celle année. Une constance les anciens sous officiers des offerte par le Ministre de la Marine. — 2* tor-Louis et de Joséphine-Marie-Yvonne foule nombreuse et recueillie a suivi les armées de terre et de mer. prix, 20 fr. et une médaille de bronze Kerguidutl', rue de Ploujean, 32. — Annedivers exercices qui onl eu lieu le venUn punch a naturellement clôluré cette Madeleine-Marie Cosquer, fille de Louis offerte par la Ligue Maritime française. dredi soir à l'église Si-Augustin el le sa- pelile cérémonie toute d'intimité. Quatrième course. — Yachts de 10 m. et de Marguerite Marie-Léa Chèdeville, medi et le dimanche à l'église SI FranPour donner la plus grande satisfaction place Thiers, 24. — Y'ves-Marie Serru- (jauge internationale) et Yachts de 2 1/2 çois. à ceux de nos Confrères qui n'ont pas été à 5 tonneaux (jauge de 1899). — Premier Les sermons en français c l en breton avertis de l'invitation au banquet de rier, fils de Charles-Marie et de Lucy-Maprix, 40 fr., dont 15 fr. offerts par le furent donnés par M. l'abbé Thomas, ujur î'av/ation qui a eu lieu le Dimanche '23 rie Gamblin, rue de Brest, 48. — Louis¡Juillet à l'Hôtel Bozellec, M. Aud'hui Yacht-Club de France, et une jumelle monier du lycée de Brest, qui dans u» nous prie de l'aire connaître que, s'étîjnl Marie Tanguy, fils de Eugène-Marie et de offerte par le Ministre de la Marine. — langage vibrant et parfois poétique, parla lui-même chargé de prévenir certains Marie-Jeanne-François^Boga, rue Haute, 32. — Rrosper Querné, fils de Proper- 2- prix, 20 fr. et une médaille d'argent éloquemment de la dévotion à Sle-Anne confrères, il a négligé de le faire. offerte par la Ligue Maritime française. Il réclame dono, pour lui seul, la res- Jean et de Françoise Le Lous, rue de mère de la patrie bretonne, reine incons- ponsabilité de cet oubli. Cinquième course. — Yachts de 8 m 50. Brest, 81, — Paul-Louis-André-Marie teslée du pays breton. Eu termes touRespect aux arbres. — « Ce n'a pas Paugam, fils de Henri-François et de Premier prix, 40 fr., offerts par le chants, il évoqua le cher pelil coin de été sans une certaine émotion que la po- Anaïs-Marie Françoise Dantec, Avenue Yacht-Club de France, et un baromètre terre où les aieux reposent à l'ombre du pulation morlaisienne a lu le compte de Kernéguès. — Jeanne-Marie-Yvonne anéroïde, offert par le Ministre de la clocher à jour cl exhorta nos compatriorendu de la dernière séance du conseil Guillou, litle de Yves-Marie et de Cathe- Marine. — 2- prix, 20 fr. et une médaille tes ¿i réaliser encore el toujours la noble municipal en date du 12 juillet courant ; rine Kéroullé, rue du Porsmeur, 16 de bronze, offerte par le Ministre de la devise des ancêtres « Polius mori q uam le conseil avait à slaluer, d'une façon dé- François-Marie-Eugène Le Roux, fils de Marine. l'œdaris ». finitive celle fois, sur le sort qu'on allait Jean-Marie el de Jeanne-Marie Le Balch, Sixième course. — Bateaux de plaiLe pardon se termina par la grande l'aire aux vieux ormes centenaires du rue Basse, 35. sance, 5 mètres maximum. — Premier procession de Sle-Anne qui fil, précédée cours Beaumonl qui, depuis un siècle, prix, 20 fr. et une médaille d'argent PUBLICATIONS DE MABIAGES par le drapeau hcr#}iué a la croix de ont abrités les premiers pas de tant de Jean-Louis-Marie Martin, économe de offerte par le Ministre de la Marine. — Saint-André de Sinople, trois fois l'intéMorlaisiens. Lo morlcje ces beaux arbres l'hospice, et Anna-Marie-Pauline Le Bars, 2-fprix, 15 fr. et une médaille. — 3: pr. v rieur de l'église. Après la bénédiction du a été décidée. On ne peut que regretter s. p., à La Loupe,(Eure-el-Loir).— Jean 15 fr. — 4- prix, 10 fr. T. S. Sacrement donnée par M. l'abbé une telle décision, qui enlève à Morlaix Pierre-Marie Cozanet, voyageur de com Septième course. — Bateaux de plaiMallard et le chant de Chrislenien da une de ces parures les plus précieuses. sance, 7 m. 50 maximum. — Premier merce, rue des Brebis, et Marie-Louise viken, l'on se «¿para heureux d'avoir prix, 25 fr. et une médaille de vermeil, T r i b u n a l c o r r e c t i o n n e l . — Le tri- Olive Rivoalen, faclrice, me des Bou affirmé sa foi bretonne en honorant Ste offerte par le C. V. P. — 2- prix, 20 fr. el Anwe putronne de la Bretagne. Nous avons bunal dans son audience du 28 juillet, a chers, 17. une médaille. — 3- prix, 15 fr. — 4- pr., MARIAGES remarqués avec plaisir que les coiffes prononcé les condamnations suivantes ; 1 Péli* Keromnès, boulanger rue du Mm , 10 fr. Plouescal. — Outrages. - - plaude Le étaient plus nombreuses,que (Ja .coutume Huitième course. — Bateaux à misaine, et que le costume breton devenait piua Duff, à Plouescal, poursuivi pour oui ra- 23, et Marie-Françoise Pirou, blanchis5 m. 50 maximum. — Premier prix, 15 f. en honneur, c'est le fruit des manjsfesta- ges au* gendarmes de Ploqescqt est con- seuse, rue Basse, 16. — Pierre-François et un objet d'art offert par les grands Bernard Hémonjn, instituteur à Ploujean tions bretonnes de ces trois dernières an- damné à H jours de prison avec sursis magasins Aux Dames de France, à Brest, et Cécile-Claudine-Pauline Derrien, rue nées et le dévouement de l'abbé Nicolas et à 5 francs d'amende pour ivresse, LE DIFFÉREND FRANCO-ALLEMAND ARRONDISSEMENT DE MORLAIX La F e m m e à b a r b e Le Havre L'ECHO au gagnant dos bateaux affectés à Roscoff ou à l'Ile de Batz. — 2- prix, 10 fr. - 3 prix, 5 fr. — 4- prix, 5 fr. Neuvième course. — Bateaux de pôche de 6 mètres maximum. — Premier prix, 30 fr. — 2- prix, 20 fr. — 3- prix, 15 f r . pnx, 10 fr. Dixième course. — Bateaux de pôche, pilotage ou bornage de 7 ni 50 maximum. Premier prix, 40 fr. — 2- prix, 25 fr. — 3- prix, 15 fr. - 4- prix, 10 fr. Onzième course. — Bateaux de pêche, pilotage ou bornage de 7 m. 50 à 9 m. — Premier prix, 50 fr. — 2' prix, 30 fr. — 3- prix, 15 fr. — 4- prix, 10 fr. écussons, aux armes de Mgr Duparc et de S. S. le Pape Pie X. Une foule im> menso emplissait l'église, aussi bien à la grand'messe qu'aux vêpres. M. le curé do Douarnenez a chanté la grand'messe. Durant les offices religieux, la musique indépendante de Carhaix, dirigée en la circonstance, par M. l'abbé Le Treul recteur de Plouguer, a joué les meilleurs morceaux de son répertoire. La procession fut superbe. Les reliques de Saint Pierre, patron de la paroisse, étaient portées par quatre notables de la commune. La bénédiction du T. Saint-Sacrement Douzième course. — Premier prix, a clôturé celle belle fêle religieuse, qu* 200 fr., (100 fr. offerts par les chemins de laissera certes la meilleure et la plus safer de l'Ouest-Etat, et 100 fr. et une lutaire impression dans l'âme des cathocoupe oflerts par M de Korvvin, proprié- liques plouguéristes. taire à Roseoff. — 2 prix, 80 fr. — 3- pr. GOUEZEC 60 fr. — 4- prix, 40 fr. Tué ù coups de bâton. - - Au villaTreizième course.— Gabarres, bateaux ge des Trois-Fontaines, en Gouézec, hade maërl et d'engrais. — Premier prix, bitent deux cultivateurs qui vivent en très 40 fr. — 2- prix, 20 fr. — 3- prix, 15 fr.— mauvaise intelligence, depuis quelques 4- prix, 10 fr. temps, François Baraër, Agé de 36 ans, Courses à l'aviron. — Première course. et François Le Floc'h ûgé de 31 ans. — Bateaux avec avirons à couples, armés Or les chevaux de Baraër ayant pénépar des mousses au-dessous do 16 ans. — tré dans un champ de froment appartePremier prix, 5 fr. — 2- prix, 3 fr. — 3- nant à Le Floc'h, celui-ci chassa les aniprix, 2 fr. maux et porta plusieurs coups de bâion Deuxième course. — A la godille pour sur la tête de leur propriétaire. Celui-ci des mousses au-dessous de 16 ans. — eût le crâne fracturé et ne tarda pas à exPremier prix, 5 fr. — 2- prix, 3 fr. — 3- pirer. Baraër prétend avoir été frappé prix, 2 fr. le premier et affirme qu'il était en cas de Troisième course. — Bateaux de pôche légitime défense. Mais néammoins, il a à 4 avirons, armés par des hommes. — éié arrêté. Le parquet de Châteaulin s'est Premier prix, 30 fr. — 2- prix, 20 fr. — transporté sur les lieux. 3* prix, 15 fr. Quatrième course. — Course de berthons avec obstacles réservée aux marins de l'Etat. — Premier prix, 10 fr.— 2- p., 5 fr. CYCLISME Cinquième course.— Bateaux de senne T o u r de France. — Nous allons à 4 avirons, armés par des hommes. — retrouver les derniers rescapés de la 1 - prix, 50 fr. — 2- prix, 30 fr. — â . pr., course organisée par l'Auto dans les deux 20 fr., offerts par M. de Korvvin. dernières étapes du Tour de France. Sixième course. — Bateaux de senne à C'est d'abord l'arrivée au Hâvre puis à la godille, pour des hommes. — 1" prix, Paris où ils sont allés recevoir des 30 fr. — 2- prix, 20 fr., offerts par M. de applaudissements bien mérités. Korwin. —o— Courses de natation. — Jeunes Gens Quatorzième étape. — Cherbourgde 16 à 20 ans, habitant Roscoli.— I " p., Le Hâvre (361 k.) — C'est le vendredi 5 fr. — 2- prix, 4 fr. — 3- prix, 2 fr. 28 juillet que les 29 coureurs restant Enfants de 12 à 16 ans, habitant Ros- encore en ligne prirent le départ pour la coff. — 1" prix, 4 fr. — 2- prix, 3 fr. — 14e étape. Jusqu'à Caen (143 k.) le pelo3- prix, 2 fr. ton reste assez compact quoique le train La Musiqne Municipale de Morlaix, fut assez sévère. Mais Garrigou crève. sous la direction de M. Kerhoas, prêtera Duboc en profite pour accélérer l'allure. son concours àlafôte et donnera un con- Georget, Cruchon et Cruppelandt sautent cert sur la place de l'Eglise, de 10 h. 30 à sur sa roue et lâchent successivement 11 h. 15. tous les autres. Georget seul s'accroLe soir, danses publiques, illumina- chera à la roue du vainqueur et succomtions et un brillant Feu d'Artifice, offert bera à remballage par 1/2 longueur. par M de Korwin, sera tiré de l'Ile Cruppelandt est troisième, Cruchon 4°, Verte. Garrigou 5", puis dans l'ordre : Godivier> Lambot, Devroye, Pratesi, E. Paul, lleusghem, Cornet, etc. Chronique Sportive ARRONDISSEMENT DE CHATEA« —o — CARHAIX Quinzième et dernière étape. — Un déralllemenl d'un train de marchandises. — Mercredi matin, le train de marchandises qui part de Carhaix à 7 h. 40 pour se rendre à Morlaix, a déraillé entre les gares de Poullaouën et Huelgoat-Locmaria, à environ 14 kilomètres de Carhaix. Le train marchait, parait-il, à une vitesse exagérée au moment où le déraillement s'est produit. Trois wagons et le fourgon sont sortis des rails. Les deux chefs de train, MM. Trévidic et Litilrand, tous deux domiciliés à Carhaix, furent violemment projetés hors du fourgon et traînés sur une longueur d'une vingtaine de mètres le long de la tranchée. M. Trévidic réussit au bout de quelques instants à se remettre sur pied, mais son collègue Litilrand gisait inanimé & côté de la voie. Des cultivateurs, travaillant à Iproximité du lieu du déraillement accoururent et aidèrent Trévidic à donner les premiers soins à son collègue. Du Huelgoat, un médecin, mandé par téléphone, accourut. L'état du chef de train, Litilrand, sans être désespéré, est très grave. Quant à Trévidic ses blesssures sont plutôt superficielles, et l'on espère que quelques jours de repos suffiront pour lui permettre de se remettre et de ses blessures et de la légitime émotion ressentie. La voie reste obstruée et le service des trains de Carhaix à Morlaix doit se faire par transbordement en deçà et au-delà du lieu du déraillement. L'ingénieur, prévenu téléphoniquement, s'est rendu sur les lieux. PIOUQUER L e Pardon. — Le pardon de Plouguer a été célébré dimanche. L'égise avait été ornée avec gortt pour celte l'ète. Partout des guirlandes et des fleurs et des trophées de drapeaux tricolores, avec des Le Hâvre-Parls (317 k.) — Elle fut courue dimanche dernier. Jusqu'à Fécamp 53 k.), le peloton de tèle comprend encore 20 coureurs. Mais peu à près Godivier, Georget et Duboc s'échappent. Garrigou el ses suiveurs se livrent à une chasse fantastique. Mais c'est peine perdue. Les 3 fugitifs ne font qu'augmenter leur avance. Un peu avant Dieppe (127k.) Georget crève et est lâché. Avant Versailles (30-1 k.) Duboc subit le môme sort et Godivier termine seul au Parc des Princes, ayant couvert les 317 kilm. en 10 h. 49' soit une moyenne de 29 k. 306 à l'heure. DU FINISTERE Brest. Le vaillant petit coureur s'est défendu vaillamment et s'il a succombé, il ne faut pas se hâter de croireqne sonhèureux rival lui est nettement supérieur, non, Pouchard a élé victime du manque de sportivité de la foule brestoise qui l'a trop resserré, lni otant ainsi une partie de ses moyens pour défendre sa chance. Augès également membre de l'E. S M. s'est classé troisième. Un joli succès à l'actif de la jeune société cycliste. Brizec du Vélo-Sport a terminé premier de la catégorie des Vétérans, devant Guillou de Brest et J. Mallégol de Morlaix. C'est là une belle performance du Sporman bien connu et apprécié. Nous sommes heureux de l'en féliciter sincèrement. Nous avons appris que c'est la dernière épreuve à laquelle i l a pris part. Il veut laisser la place aux jeunes, après avoir été sur la brèche pendant près de 15 ans. I l serait à souhaiter qu'ils fussent bien plus nombreux ceux qui peuvent en dire autant. Avec un semblable passé on a le droit d'aspirer au repos. Mais nous sommes sûr que notre ami Brizec n'y pense môme pas et qu'il continuera à être la véritable cheville ouvrière de toutes les manifestations sportives de la région. Catégorie des militaires, nous trouvons aux places d'honneur un aulre morlaisien, le quartier-maître L. Duhamel qui s'est classé 4e après avoir fourni une très belle course. —o — Parc des Princes. — A l'occasion de l'arrivée des Tours de France, la direction du Parc avait élaboré un programme de circonslance. Perraud s'est adjugé la finale du Handicap international devant Coslet et Germain. Le prix Zimmerman avec tandems pour faire le pas, qui opposait les stayers aux sprinters s'est terminé par la victoire de ces derniers. La finale mettait aux prises Ellegaard et Dupré. Elle se termina par la victoire du sympathique Danois. La finale de la course de tandems réunissait les trois meilleures équipes actuelles. Elle donna les résultats suivants : Ellegaard-Moretti devant Dupré-Dcerflinger et Fournous-Martin. —o — Circuit Français. — A peine en avons-nous fini avec le Tour de France, que notro attention est retenue par la grande épreuve organisée par la maison Peugeot. Aujourd'hui en effet près de •100 indépendants se sont alignés pour prendre le départ de la première étape Paris-Nancy ('289 km.) Nous rappelons à nos lecteurs que le Circuit Français se dispute en 15 étapes du 4 août au 3 septembre. I l comprend un parcours total de 4.250 km. Nous aurons le plaisir de les voir passer à Morlaix le 1" septembre, au matin, au cours de l'étape Brest-Laval. Parmi la longue liste des engagés, nous avons relevé les noms de nos régionaux avec leur numéros : 27, Le Stourn, de Ponlivy ; 283, Guéguen, de Lambézellec ; 315, Cotten Guy, de Rosporden ; 335, Lecoq, de Guingamp ; 339, Boublen, de Lorienl. Bonne chance à nos compatriotes ! NATATION La Traversée de Paris à la nage réservée aux amateurs a groupé dimanche 31 partants. La distance était de 7 kilomètres. La lutte fut assez vive, mais le Hollandais Ooms, faisant une fois de plus preuve de sa supériorité, s'est classé premier effeutuanl le parcours en 1 h. 58'. Maas (Belge) se classe second, puis Bonzon (Bordeaux), Juliette Curé, une fillette de 12 ans qui fit une course superbe, Ewraerts, Bangaler, etc., terminèrent dans l'ordre. Duboc est second, puis Garrigou, Cruchon, Deloffre, Dupont, Cornet, Cruppelandt, E. Paul, Devroye, E. Georget, Maitron, etc., reçoivent à leur tour les applaudissements du public massé autour des balustrades du Parc. —o — Voici le classement des 28 coureurs ayant eflectué le 9" Tour de France. 1" Garrigou, 43 points. Marche du Stade-Morlaisien. — Ì 2- Duboc, 61 p. Ainsi que nous l'avons annoncé, c'est di3 E. Georget, 84 p. manche prochain que le S. M. fera dispu4- Cruppelandt, 119 p. 5- Heusghein ; 6- Godivier ; 7- Cru- ter son championnat de marche annuel. chon ; 8- Ernest Paul ; 9- Dupont ; 10- (4° année), Celte fois les organisateurs ont délaissé Devroye ; 11- Lambot ; 12- Cornet; 13Deman ; 14- Maîtron ; 15- Deloll're ; 16- leur itinéraire classique Morlaix-Primel Paulmicr ; 17- Pratesi ; 18-Faure; 19- pour prendre un parcours non moins intéDhulst ; 20- Pothier ; 21- Léonard ; 22- ressant el qui n'est pas non plus exempl Pardon ; 23- Ménager, 24- Colsaët ; 25- de difficultés. Nous voulons parler de la Villetle ; 26- Ricaud ; 27- Ghislotli ; 28- route qui unit Morlaix à Caranlec en passant par Henvic.soitun total de 18kil. 900. Roquebcrt. ' Le départ sera donné aux coureurs à —o — Course des 100 kil. de la J. S. B. 8 h. 30 du malin aux écluses. Les cou— La course de dimanche dernier a élé reurs auront à suivre la jolio roule, trop un véritable succès pour nos jeunes cou- plate peut être de Morlaix à Locquénolé. reurs Morlaisiens. Dans la catégorie des Puis ce sera la fameuse côte du Pont de Indépendants Pouchard do l'E. S. M. Lannuguy, dur calvaire si la chaleur s'est classé second derrière Banalant, de donne. Et ce sera les roules accidentées SPORTS ATHLÉTIQUES compte de la baisse de 5 francs par 100 riel et de la Traction, 44 rue de Rom«, kilos que subit , aujourd'hui la farine, Paris. Les constructeurs français qui désirebaisse qui ne peut que s'accentuer el qui raient prendre part à ces fournitures depermettra à un patron, produisant une vront adresser leurs propositions, pour moyenne de 2.000 kilos de pain par jour la première, avant le 15 octobre l 9 t l , pour la seconde, avant le 17 Août 1911 de réaliser un nouveau bénéfice de deux au Chef du Service du Matériel et de la à trois cents francs par semaine et cela Traction. en occupant un maximum de cinq ouCONSEIL PRATIQUE vriers Quelle que soit la cause de l'étouffeVeuillez agréer, Monsieurle Maire, etc. ment, qu'il provienne d'une crue d'asLe. Comité de grève. thme, d'un catarrhe, d'une bronchite chronique, de suites de pleurésie ou d'influenza, on est, soulagé instantanément GRÈVE DES BOULANGERS en faisant usage de la Poudre Louis Le bureau de l'Union Syndicale de L'egras, ce merveilleux remède qui a obtenu la plus haule récompense à l'Expo» M o r l a i x , r é u n i l e m e r c r e d i 2 a o û t 1911, silion Universelle de 1900. Une boîte est après l'exposé des revendications très lé- expédiée contre mandat de 2 fr. 10 adressé gitimes des ouvriers boulangers, a voté à Louis Legras, 139, Bd Magenta, à Paris. •MTOWCTWWMM I M«! HI • — — — | l'ordre du jour suivant : « Le bureau de l'Union Syndicale proLibrairie DURANCE, Nantes teste énergiquement contre l'emploi de LE L É G E N D A I R E la main-d'œuvre militaire dans les boulangeries de Morlaix, alors que le besoin 5 Vf ït I ne s'en fait nullement sentir el invite la Par E T I E N N E D U P O N T municipalité à opérer le retrait des bou(1 volume in-8° de X L V I I I + 176 pages) langers militaires qui ne peuvent que Prix : 5 francs, franco : 3 fr. 10 retarder une solution favorable entre paEdition sur papier couché trons et ouvriers ; tirage restreint[ : 5 fr. franco : 5 fr. 25 « Engage les camarades boulangers à Les 15 légendes qui forment cet oucontinuer la lutte jusqu'à complète salis- vrage sonl caractéristiques, chacune d'un mifaction et décide de soutenir les grévistes siècle ou d'une époque de l'histoire chelienne. Le Loup converti (8e s.)et Bain moralement el pécuniairement » l'Enfantclet (8e) dévoilent les origines Le bureau de l'Union syndicale. mystérieuses du Mont Tumbe. Le Serpent d'Irlande (10°) est le premier épisode des pèlerinage d'Oulre-Mer au sanctuaire de l'Ar.liante. La Vision de l'Evêque Norgot Chemins de 1er de l'Etat et Société Générale (11ee), le Châtiment du Sacristain Drogon des Chemins de Fer Economiques (12 ) el la Clameur des Moines (même siècle) sonl extraits du Cartulaire de l'Abbaye el des recueils des Bénédictins. Les Archives Nationales ont fourni Les Tribulations de Jean Douville, anecdote auTrains spéciaux entre thentique de l'occupation anglaise (15*), Carhaix et Châteaulin-Orléans tandis que la tradition orale produit un guerrier valeureux dans La Légende de LE 6 AOUT 1911 Tombelaine et un moine plein de scrumatin soir pules dans La Feuille de Lierre (11* et Carhaix. . . . dép.8 h. 20 12' s.) Les Petits Pastoureaux nous transPort-de-Carhaix. . . 8 31 porte^ h l'époque des migrations belges SI Ilernin-Cléden. . . 8 43 et allemandes (14° et 15e) et Péril fait évoSpézet - Landeleau. . 8 56 quer le souvenir de la fameuse Croix des Plonévez -du-Faou. . 9 13 Grèves. Le Soufflet du Prieur Claustral et Châteauneuf- du-Faou. 9 33 Jehan Courlils ressuscitent les guerres de V) 43 Langalet religion (16°). Dans le récit intitulé Le 9 56 Lennon Manuscrit de Dom Estienne Jobart (17*) 10 10 éclatent les démêlés des religieux avec PLEYBEN. ?"'• dép. 10 31 5 h. 30 les gouverneurs; c'est la lutte entre l'AbSaint -Ségal. . . . 10 49 5 45 baye el la Citadelle, jusque là si intime10 58 5 55 ment liéea. Enfin Le Cœur de Cuivre est Port-Launay. 11 4 6 3 un épisode des Inventaires, faits en 1791 Châleaulin-ville. 12 par les syndics révolutionnaires. 11 12 6 | Châteaulin-Orléans. soir malin Le volume est précédé d'une Etude cri• Châteaulin-Orléans. dép 11 h. 45 7 h. 5 tique sur les sources du Légendaire, maChâleaulin-Ville. . . 11 52 7 11 12 1 7 18 nuscrils, ouvrages imprimés, traditions Porl Launay. Saint-Ségal. . . . 12 16 7 28 populaires, etc.; c'est un chapitre de 40 l'histoire littéraire du Mont Saint-Michel, 12 28 7 | PLEYBEN. 7 48 surnommé, au Moyen Age, la Cité des 59 Livres. / î Lennon 7 8 | Langalet 8 18 • Châteauneu f-du-Faou. 8 35 j Plonévez-du-Faou. Les quelques tentatives d'amélioration 8 46 i Spézet-Landeleau. . constatées au cours de la semaine sont 58 8 St Hernin- Cléden. . 10 restées infructueuses et le niveau des 9 ! Port-de-Carhaix. . . 9 25 cours s'établit sensiblement au dessous de ; Carhaix •; Avis Important. — Les heures de celui de la huitaine précédente. Cette i départ el d'arrivée sonl approximatives, lourdeur est due surtout à la situation de et la Société ne garantit pas les corres- place bien plus qu'aux différents de la politique extérieure. On craint générale• pondances. ment que la liquidation ne soit assez péi Les Chemins de fer de l'Etal se propo- nible, mais d'aucuns prétendent que le ! sent de faire l'acquisition de 100 voitures laux des reports sera normal, de nomî automotrices électriques, (parties éleclri- breux litres devant être levés. La renie française est hésitante comme i ques non comprises), et de 1800 wagons d'ailleurs lous les autres fonds d'Etats. ; à marchandises de divers types. J S'adresser pour tous renseignements Les plus atteints sont ceux naturellement ï sur ces commandes au Service du Malé- qui sonl directement intéressés aux évè- d'Henvic, aux côtes courtes mais assez dures. Ils devront conserver pendant tout le pacours l'allure au pas. Un contrôleur à bicyclette sera spécialement affecté à chaque coureur et devra veiller sérieusement à l'allure de son poulain. Liste des engagés : Mével, champion de Morlaix, en 1908, 1909 et 1910 ; les stadistes Henry, Dénès, Ricou, Le Guen, Ody, Mingam, Alexandre, Lelchat ; les Brestois Lotte et Parchantour, et Ribemon, champion du Gard 1907-1908, soL dat au 19e de ligne. Rappelons que l'allu -e de Mével, gagnant de l'année dernière fut sur 18 kil., de 10 kil. 20 à l'heure. GYMNASTIQUE La F.G.S.P.F. a fait disputer dimanche, à Nancy, son grand concours annuel. Plus de 8000 gymnastes avaient répondu à l'appel des Organisateurs. Ce fut un immense succès, autant au point de vue concours qu'au point de vue fête. Voilà certes qui donne à réfléchir à nos dirigeants acluels qui ne purent grouper à Rouen que '2000,gymnastes, lors de leur grande fôle présidée par M. Fallières en personne, el qui firent tout ce qui était en leur pouvoir pour empêcher nos jeunes des patronages à y assister. La peur du parallèle. GUYD'ON. TRIBUNE LIBRE Communiqué à litre de renseignement : Le Syndicatdesouvriers boulangers à Monsieur ie Maire de Morlaix Morlaix, le 2 août 1911. Monsieur Le Maire, Nous proteslons énergiqueinenl contre la réquisition des boulangers militaires pour nous remplacer pendant le conflit survenu entre nos patrons el nous. Nous avons f'ail tout notre possible pour éviter la grève. Après une réponse évasive du syndicat patronal, nous avons écrit h chaque patron, individuellement, sollicitant une entrevue et une entente avec eux. Nos patrons ont refusé tout entretien. Comptant sur la neutralité de la municipalité noas vous demandons Monsieur le Maire le retrait des ouvriers militaires dont le travail n'est pas indispensable dans la circonstance, comme vous le démentreront les indications ci-dessous. Voici un minimum de la fabrication de pain qui peut être faite à Morlaix sans notre concours et sans le concours des militaires. Les maison-; suivantes peuvent fournir les quantités ci-après : La Ménagère 2.400 kilog. 500 » Tanguy, quai de Léon Quéguiner, rue au Fil 550 (Jodec, rue de Paris 500 Le Lay, Grand Monarque 500 Bellec, rue du Mur 500 Creïs, rue Haute 200 fiuyomard, rue de Paris 500 Rams, St-Malhieu 300 Vve Tanguy, St-Mathieu 200 Creignou, Traoulen 150 Riiellou, rue des Vignes 300 Laviec, rue au Fil 400 i Gravot, rue Gambelta 5( 0 Vve Castel, Barrière de Bresl 300 Total 7.800 kilog. Voilà 7.800 kilos de pain fabriqués ou pouvant être fabriqués à Morlaix par les patrons qui travaillent eux-mêmes et par la Coopérative sans aucun secours élranger. Attendu que la consommation est bien moindre dans celte saison, où beaucoup de consommateurs sonl en villégiature, 7.800 kilos de pain doivent suffire à l'alimentation de Morlaix. Le travail des soldats est donc inutile el ne sert qu'à permettre aux maîtres boulangers de servir leurs clients de la campagne. Nous sommes persuadés, Monsieur le Maire, que le retrait des ouvriers militaires faciliterait une entente avec nos patrons et nous espérons que vous nous donnerez satisfaction sur ce point afin j que la lutte garde son entière neutralité. Nos revendications sonl justifiées el nous ne pouvons croire que vous continuerez à assurer les intérêts patronaux au détriment des intérêts ouvriers. ) Nous vous faisons également remarî quer Monsieur le Maire que l'augmenla' lion de 2 à Irois francs par semaine cjue j nous demandons ne peut en aucune façon influer sur le prix du pain et par conséquent sur le prix de la consommation étant donné que, même en accordant entière satisfaction à notre modeste rej vendicalion, cela ne se chiffrerait que par • moins de un inillime par kilo. Nous ne i faisons donc aucun tort aux cousonima1 teurs et très peu, pour ne pas dire aucun, j à nos patrons, surtout si l'on tient SMVIfCHEL BOON DE FLEYBEN lieviie Financière .ACHINES / A COUDRE de la Compagnie 11 est universellement reconnu que les Machines à coudre " SINGER " SONT LES MEILLEURES SEULE MAISON DE VENTE, A M O R L A I X 13, place Emile-Souvestre, 13 Cyclistes... NE PAYEZ PAS UNE ENVELOPPE VÉLO QUELCONQUE DE 14 A 20 FRANCS QUAND L'ENVELOPPE A TRINGLES MICHELIN SE TROUVE CHEZ TOUS LES BONS AGENTS E T N E SE V E N D Q U E DIX FRANCS MICHELIN NE FABRIQUE QU'UNE SEULE QUALITÉ L'ECHO DU FINISTERE ¿tions de la Caisse hypothécaire Argétatîae à 516.50 et sur les obligations 4 1/2 0/0 à 467.50. Lei Chemins de fer français, conformant leur attitude sur l'ensemble de la coteentabandonné une partie des avances récémiÉent acquises. Les lignes secondaires n'ont eu qu'un marché très étroit et le* variations sont de minime importance. 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G Mercredi 3 h. soir. i 13 Mercredi 6 h. soir. 20 Mercredi 2 h. 30 scir. 27 Mercredi 7 h. mal in. Lo ehargamenl sera c'os une heure fivant. ics< départs ci -dessus annoncés. 3Pri7T d i o p a s s a g e du HAVRE ' à Morlaix ot vice-veraê.- — 1" Classe, | 25 fr. ; Classe, 15 fr. ; sur le Pont 10 fr. ' 11 est délivré dos billots do t - Classe au ¡na dti 4û ir. Aller et Retour. Dami-piacft pour militaires et marins au servic3. Les hommes sont seuls admis comme Passagers sur le Pont. E ' RESTAURANT A BORD S'adresser : AU H A V R E , aux Bureaux de la ? Compagnie, boulevard de Strasbourg, 117. | A M O R L A I X , à M. A. 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À VENDRE En G U I C L A N , bordant la route nationale de Paris à Brest, au Village de Kerlavlou. cle P E R T H prampt aeulagemant, gairlaaa rapldo par L.C Vt^lTAHLI I S V Etude de M» Jean VEBANT, notaire à Morlaix Immédiatement t-.« 1 HEMORROÏDES du 27 juillet 1911 3 0/0 ' «» 40 3 0/0. am '.>7 45 ANGLAIS, 2 1/2 «1 00 BRESIL, 89 91 70 ITALIEN, y 0/0 103 40 RUSSE 1901 95 55 RUSSE. 5 0/0 1900 100 00 RUSSE 4 1/2 1909 101 30 TURC uni lié 92 70 JAPON, S 0:0 1907 104 25 sot S U E Z . . . , 5415 OU Rio ort! 1715 00 SOSNOWiCE 1448 00 de BEERS ord 470 00 THAH8IS <40 10 Cap* P.OPPfcP. 160 00 LOUER A I . Ja... uo: o n Capital Social : D I X - S E P T M I L L I O N S CINQ C E N T M I L L E F R A N C S libérô du quart PHILOUZE ET WADDINGTON A LOUER C Prix da ameom : S trunca. Vincent " ->aoit |J FIRE and LIFE Le Gérant : II. POCIION. Ai^groupe étranger, les V chemins Espateur Le Febvre, . U N MA O N de 4 AU OUOUJWl 'v.- un . E1 .mprlin . I S.ilnvnul r i «1UUUO V. i . non 1 m^/'nu r»nvn ni lyi'nmni gnols se présentent en tendance un peu pièces, cuve et grenier, jardin devant, plus soutenue que l'extérieur ; les Loms - a d r e s s e r à M . L e Bars, 12, place 1 bards sont résistants, Topeka . ou a . M. , ,Manach, . J f e r m e . L ' a c t i o n Québecl'Atchison Railway cote 32d, | Corme, ii Morlaix, l'obligation 471, Brazil Railway, 267 et < , imprimeur à Saint-Pol-de-Léon. \ 501 selon le titre. in.» M*mn Les valeurs de traction sont irrégulières ; le Nord-Sud s'est vu ramener Ji 265, le Métropolitain s'est maintenu vers 635. On fait quelques affaires en Tramways de MORLAIX Mexico i 629. Les recettes du mois de Demander un litre à titre Juin se sont élevées à 1.274.611. contre d'échantillon 1.189.172 en 1910. Pour le premier semestre, l'augmentation des recettes nettes BORDEAUX V I E U X . . 0.70 le lit. s'élève à 410.932 francs. ! BORDEAUX BLANCS 0.75 le lit. Valeurs d'électricité délaissées comme j 1 Vins et étiquettes d'origine aussi les valeurs gazières. L'américan j Téléphone demeure ù 740. i Cidres et Liqueurs Malgré l'amélioration de la matière ) DEBITS A LOUER première, les caoutchoutières sont lour- j des. A noter cependant la résistance de > Bureau des commandes : 56, Place de j la Mercantile et de la Para Marajo à 16 et j la Cathédrale, Nancy. F Voir) «ouffro* du ( S MAL DE DENTS / fr. ir. 7 I s /¡urca (¡ut oos dintt sont (mito Le maintient des prix du naphtc entre B ^ w y ^ y a t y 23 èt 24 kopecks contribue dans une large mesure à soutenir les valeurs de pé- , Y ï C ^ - ^ ^ ^ ^ ^ ^ s ^ r i T.innn«oH'se wA ^ ^ ë ^ M W ' & V S W V * ^ .- : M'OUBLIEZ M frôle. L'action naphte Lianosotf se traite traite !! que le régùlièrement vers 412 ; Franco \Vyo- j • mmg, 38 fr. En valeurs d'assurances, 1 ac- \ Bureau des commandes: 56, Place de ; FLOCODOrà tion Prévoyance constitue au cours do : j.( Cathédrale, Nancy. S Introduit dans ta dont 8Q0 fr., un excellent placement. Parmi g a é r i t Instantanément ¡¿valeursdiverses, les actions do pré- j 1« pins v i o l e n t férence Drecoll Ltd sont actives ii 138 ; « l'action ordinaire de la Worsted Cy est -ê > ferme, le Pathé Concert s'avance à 128. En valeurs métallurgiques, les Aciéries CHXRURGJEN - D E N T I S T Ì B Piombino se présentent en bonne tendanSi'^Bî -li It Fí'.ü/tí 'io Svisiti: í» ?«» ces à 150 fr. Valeurs de Charbonnages soutenus : sels gemmes en progrès à 278. ! « «on: JACOS. ¿ *V!£T4>t 1 ¿•ífiít ttniM ton: ßaniultsttüsx lus jour: nez f&ièa Les mines d'or sont toujours indécises 8 Äi»B>Mer ¿«i Snteaücim « h« -A I au groupe californien, de nombreuses wnmmty.TKvmtBt*-'*' •***" w DE 9 HEURES A S HEURES tiansactions portent l'action Juniper à 15 Dépôt à Morlaix : Pharmacie A. PASfr. Les travaux de déplacement des ma- . 15, plma MORLAIX Thxre COET ; à Roscotf : Pharmacie PICOT. chines et du grand compresseur d'air seront'vraisemblablement terminés le mois prochain. i! ACCIDENT Cours d u B e u r r e — Samedi 22 juillet 280 francs 100 ledos. Mardi 25 juillet 280 fr. tes :100 kg. Un bon Remède pour la Gorge Importante Société de Capitalisation Dementa du Maroc. Bonne tenue des Bons de Sao-Paulo à 506. Fondée en 1888 La marché des gì ands établissements de crédits subit nnfluence de lu lourdeur .générale ; la Banque do Paris Accepterait, sans aucun cautionnement Yieatrtvient à 1695, le Lyonnais à 1480, bons agents producteurs dans le déparlel'ifoion Parisienne à 1154. Le Crédit foncier d'Algérie et de Tunisie ne varie ment du Finistère. guère les Banques étrangèAdresser offres Société Mutuelle FranI _à 657. Parmi All^^nAMA Ar< I ,«/l Ani ira o çaise, 77, rue no PHôlel-de-Ville à Lyon. ima iiiiirrninniTirT-m"!» iNrwt.*£wrí->«»< 98» 1* U47SOI W&JSttftAt Cinquième Année Numero 298 L HEK Journal TARIF DES R E N N Règionaliste ABONNEMENTS indépendant, DIRECTEUR : A. Morlaix, UN AN 3 fr. B0 Finistère, Côtes-du-Norcl et Morbihan 4 »» Autres Départements . 4 50 Frais de recouvrement par la Poste 0 f r . 4 0 par abonnement amedi 12 Août 1011 NUMÉRO 5 CENTIMES Paraissant Samedi TARIF LAJAT Rédaction & Administration : M O R L A I X le -31, R u e des Fontaines — M O R I i A I X DES INSERTION8 Annonces judiciaires ou diverses (la ligne) Réclames (en 3° page) (la ligne) id. (en 2e page) (la ligne) Pour les annonces répétées on traite à forfait Ofr.20 0 0 30 40 D M L'APffllïï M IÎO « Quand j'entends parler de liberté, je tâte mon cou », disait sous la Terreur un citoyen que l'usage immodéré de la guillotine avait rendu méfiant. Quand, sous le régime jacobinmaçonnique que la France subit, nous entendons parler d'apaisement, notre premier mouvement, et c'est toujours le bon, nous pousse à nous demander qu'elle corde nouvelle de soie ou de chanvre nos gouvernants sont en train de tisser pour achever d'étrangler ce qui peut rester des libertés publiques. C'est ainsi que ces jours derniers M. Buisson et M. Poincaré, qui sont des personnages importants et influents, prenaient des airs doucereux et des tons patelins, vantant les charmes Vv IVO IIIV fctrtrnlité scolaire, et invitant tous les Français à accorder leur confiance et donner leur concours à l'école laïque, respectueuse de toutes les croyances et tolérante pour toutes les opinions. C'est sous l'égide des J. Ferry et des Paul Bert, qui voulaient s'emparer de l'école pour changer la mentalité chrétienne du pays, c'est avec la garantie des vénérables maçons, pour qui l'école laïque est un moyen d'extirper le vieux fond catholique de l'âme française, c'est sous cette égide et avec cette garantie que ces deux bons apôtres de la pacification et de l'apaisement invitent les pères de famille à se concilier avec l'école athée et affirment que ses maîtres antireligieux, antisociaux, antipatriotes, se montreront dignes de leur mission éducatrice. A condition que les familles ne protestent pas contre les calomnies historiques et la morale athée d'un enseignement sans vérité et sans loyauté, pétri de mensonges et de blasphèmes, la pacification sera proclamée et l'apaisement réalisé. De qui se moquent MM. Buisson et Poincaré ! Croient-ils les catholiques et les patriotes assez crédules pour se fier, assez aveulis pour se résigner ? el supposent-ils, parce qu'ils auront supprimé tout enseignement laïque et fermé foutes les éooles chrétiennes, qu'on abdiquera le devoir de se défendre, et qu'on capitulera devant la férule des pédagogues qui professentlahaine elle dédain des institutions et des croyances que quarante générations de Français et de chrétiens ont appris à honorer et à adorer. Ils ont, ces sectaires, tout attaqué et tout blasphémé ; ils ont, ces intolérants, tout, démoli et tout dispersé ; ils ont, ces républicains jacobins, ces maçons athées, tout détruit, tout pris et ils parlent, ironiques et goguenards, d'apaisement aux victimes et de pacification aux proscrits. Un César romain, ayant lui aussi réduit le peuple â la serviInde et imposé, par sa force, silence à ses adversaires, ses courtisans et ses affranchis s'en allèrent, criant dans le silence des ruines : « On n'entend plus ni plaintes, ni protestations, le calme règne et tout est apaisé. » Et Tacite, qui n'était ni une âme servile, ni un esprit obtus, jugeait ainsi l'œuvre pacificatrice ties tyrans : « Ubi solUudinem fecerunt pacem appellant. » Où ils ont fait la solitude ils se glorifient d'avoir établi la paix. INFORMATIONS AVANT DE MOURIR LES PARLEMENTAIRES SE REPENTENT En quelques mois, voici trois réparations publiques, trois confessions édifiantes. Avant de mourir, M. Constant Dulau, ancien député de» Laudes, reconnu loyalement les erreurs qu'il avait commises au cours de sa vie politique et parlementaire. 11 y a quelques jours, M. Levet, ancien député de la première circonscription de Montbrison, sentant approcher l'heure suprême, regrettait dans une lettre le mal qu'il avait pu causer par son vote sur la Séparation des Eglises et de l'Etat et il terminait par cette profession de foi religieuse : « Je ne suis ni libre-penseur, ni francmaçon. J'appartien» à la religion catholique. » Aujourd'hui encore, nous avons à enregistrer line rétractation aussi loyale, aussi formelle. M. Obissier St-Martin, sénateur de la Gironde, après avoir élé, soit au Sé nat, soit à la Chambre, l'adversaire des croyances religieuses est mort chrétiennement. A son lit de mort, il s'est réconcilié avec l'Eglise et il l'a fait en pleine indépendance et en pleine possession de toutes ses facultés. MÈRE CRIMINELLE Elle a tué à coups de revolver ses deux petits garçons puis à plusieurs reprises, a tenté de se faire justice. Lin effroyable drame s'est déroulé dans un logement, au cinquième étage d'une maison de la rue Orfila, fi Paris. Une mère de famille, Hélène Cabirou, née Frézal, lingère, 30ans, a tué i» coups de revolver ses deux enfants, Roger et Raymond, Ages de quatre et trois ans, puis a tenté de se suicider en se tirant deux balles de revolver dans la poitrine et en se tranchant la gorge d'un coup de rasoir. On pense se trouver en présence d'un drame de la folie.' CONTRIBUABLES SOYEZ HEUREUX ? Le budget total des dépenses pour 1912 se soldera par un excédent de 175.455.172 francs sur celui de 1911. . Le budget du Travail comporte nolamj ment une augmentation de 51 millions l 501.245 francs pour les retraites ouvrières. Faut-il tout de môme que la France soit riche pour se payer le luxe de pareilles dépenses ! SUCCÈS LIBÉRAL A l'élection du Conseil Général qui a eu lieu dimanche Oaoût dans le canton de Daoulas (Finistère), M. Villiers, député libéral, a é'é élu par2.148 voix contre 560 à M. Legall, socialiste unifié. UN INSTITUTEUR PATRIOTE Il y en a encore beaucoup, nous en sommes convaincus, mais, hélas ! combien y en a-l-il à oser l'avouer franchement el publiquement, comme M. Th. Legrand, directeur de l'Ecole Normale de la rue du Général Foy, à Paris, qui vient d'adresser les conseils suivants à ses instituteurs : « Consacrons-nous exclusivement à notre beau métier ; croyons entièrement en nos jeunes élèves ; rétablissons dans l'école les traditions d'ordre, de travail, de discipline et de tolérance ; faisons-en non un centre de propagande pour tel ou tel pari i, mais un foyer d'union, de concorde ou tous les enfants de France, sans dislinclion de classe ni de religion pourront venir apprendre à aimer et à servir leur mère commune : la Patrie ! » Si tous les instituteurs voulaient entendre e! suivre ces conseils, il n'y aurait pas besoins de défendre l'école laïque à coups de menaces, d'amende et de prison. Mais, voilà, tous les institeurs ne parlent malheureusement pas comme M. Legrand. LA MÉDAILLE DE 1 8 7 0 Les ayants-droit à la médaille de 1870 vont être obligés d'attendre. On s'est aperçu que le Sénat, lorsqu'il procéda à l'examen de la loi, a volé par inadvertance un lexie non conforme à celui de la Chambre. On avait espéré qu'un moyen plus ou moins ingénieux pourrait être trouvé pour arranger les choses et ne pas relarder la promulgation de la loi, mais on a dû y renoncer. Avant que cette promulgation ail lieu, il faudra que le Sénat répare son erreur et que les deux Cham bres se mellent d'accord. EMPÊCHEUR DE DANSER EN ROND On connaît l'aventure. M. Bertrand, maire socialiste unifié de Varages (Var), avait fait dresser 150 procès-verbaux contre 150 jeunes gens el jeunes filles qui, le jour de la fêle locale s'étaient refusés à danser devant le cercle municipal. Danseurs et danseuses viennent d'être acquittés par le juge de paix de Baijols, le maire n'ayant pas le droit d'empêcher de danser où l'on veut le jour d'une fête locale, dès que l'ordre n'est pas troublé. Les 150 jeunes gens et jeunes filles ont promis de fêler le jugement les acquittant en organisant autour du maire, un beau dimanche, une farandole effrénée. TRAOU HA TRAOU ALL Var ar c'honjeou eost Junius en eur Billet skrivet gantan eun nebeut dei/.iou a zo evil an Echo (le Paris, en em zave — (var zigarez eul li/.er kaset gant eun depute da vinistr ar brezel) — eneb ar gwir a anavczer d'ar Brel'cded da rei o ali var ar c'honjeou eost goulennet gant o c'herent evil ar zoudarded labou- rerien donar pe vibien da labourerien douar. Junius, evel ma 'z eo e guslum, a gomze ganl. furnez o kondaoni ar c'hiz fall-ze, hag e rezoniou a zo eus ar gvvella. Pcnaos e c'hall ar prefed rei e ali, e koustianz, var eur goulenn mont da eosli savet gant lud enn den vaouank ha n'int anavezet tani ebet ganlan ? Da be'eac'h cz a da glask kehnnadurez divar o fenn, nemed d'o farrez, diganl ar mear. mar cltio dalc'hcl an li kenr gant eur « ruz », pe diganl ar mevel flaler mouchard) mar o deus tud ar barrez-ze an dallentez da fizioul en eur gwenn, enebour da Varianna-fri-louz, ar garg da c'houarn o madou komun ? reuse des négociations entre les deux pays. Un nouvel entrelien aura lieu incessamment entre M, Jules Cambon, notre ambassadeur à Berlin el M Kiderlen-Wiechter chancelier de l'empire allemand. Au cours de cet entretien, M. Cambon soumettra l'offre modifiée du gouvernement fiançais et ie chancelier la demande également modifiée du 'gouvernement allemand. On s'attend à ce que cet entretien fasse disparaître ou diminue considérablement l'écart qui reste encore entre l'offre française et la demande allemande. Il se peut toutefois que cet écart ne soil pas entièrement comblé encore. Peut être est-ce pour cette raison que, dit un de nos grands confrères parisiens, dans les milieux officiels on déclare ne pas croire à la publication, celle semaine d'un communiqué, comme cela avait élé d'abord annoncé par une feuille gouvernementale allemande. Cependant, dans ces mêmes cercles, on déclare qu'il ne serait pas impossible que le chancelier de l'empire fit déjà, dès avant la fin de cette semaine, son rapport à l'empereur. Dans le monde^parlementaire, on se réjouit de l'heureuse tournure que semblent prendre les négociations. Par contre, en Allemagne, l'opinion se montre assez excitée contre l'intervention de l'Angleterre. L'atlilude de l'Espagne laisse toujours à désirer. Un officier, qui arrive du Maroc, dit qu'en cas de guerre européenne, les Espagnols, qui renforcent constamment leurs efl'ectil's, prendraient possession de la Chaouia el de Fez et ils courraient aussitôt sur Taza. Les incidents espagnols n'auraient qu'un but : fournira l'Espagne le prétexte pour une expédition. Une concentration mystérieuse des forces espagnoles s'opérerait en ce moment au sud de Melilla. les circonstances où il ne se croit pas obligé de faire flamboyer son épée pour flatter l'esprit de son armée et tenir en haleine le patriotisme de son peuple ; il vient aussi à l'appui des efforts bien connus auxquels s'est livré l'empereur d'Allemagne en maintes circonstances pour amener un rapprochement entre aoà'péfyn el la France. Et s'il tient à ce quelefrconversations actuellement engagées entre Paris el Berlin aboutissent le pluspromplement possible, c'est qu'il lui déplairait fort de voir l'Angleterre s'y mêler. Non seulement il redoute tout ce qui pourrait troubler la paix de l'Europe, mais encore il désire que la paix soit consolidée par une entente sérieuse et durable de la République française et de l'empire germanique. Goulenn ali eur flaler kuz (mouchard anonyme) ? Penaos eur seurl sonj a c'hall dont en ho penn ? Peseurt mennoz fallakr età a vagii eneb gouarnamant verluzus ar Republik ? Ar gouarnamant a glask kelennadurez fiaterien ? Ah ! nan, ar gouarnamant hag A r c'helou deuet euz Berlin a laka e boli skoazellerien n'o do nemel eur muioe'h a fisianz ennomp hag espevouez evit respont d'eoc'h : « Ze 'zo eur rout e c'heller, penaoz, ar vech ma gaou : ne anavezomp flaler ebet. Ar c'hoaz, an Allemanted a vezo bet evit ouenn-ze a zo maro peli 'zo ? » o arc'hant, bag a renko mont var Mes e peleac'h età c kavit ho kelennaadrenv dirag kounar ar Bed oil. dureziou ? Brema, peguir eo dija tranquilleat ar E peleac'h '?... Abarz ar fin e tsuit da sperojou, greomp eun tam supposiveza gwatl girius ? Daoust hag an dra-ze tion : supposomp en defe ann Allea zeli ouzoc'h ? . . . inogli commencet er Maroc, pe en eur Respont gaer ! . . . ha n'eo ket evit rei leac'h ail bennag, eur vrezel dre guir teul da zen da gendelc'her d'ober goulennou... Marianna a oar an doare d'en em diplomatik pe dre interest evit e zizober eus ar giriuzien ? douarou erc'holoniou ; c'hoant e mefe Doareou hor gouarnamant hag ebrefegoud m an defe kemeret ar Franç eun ded a zo anavezet ken mad gant an holl, ear ken fier hag ken emgannuz e kenma 'z eo eur ranerez o adlavaret. ver e amezok ? C'hoant e mefe goud Mes ar bobl. gant e holl c'halloud a ma vefe bet permetted deomp reclami rouc, na oar ket penaoz en em gemer en draik bennag ? Ivredabl braz e vefe evit lakaat eun termen d'ar falloniou-ze bed kalz a iouc'hadennou hag eur hag a gondaon en dòn e galon vouzc'hoarz a druez en Allemagn hag Ar bilhed voi a zo etre e zaouarn, a lae vefemp bed pedet da soursial euz on varat marleze. Ar bilhed voi ? Ar bobl Quoi qu'il en soil, l'agitation continue, j afferiou. hor roue, a anavez lalvoudegez an lam au Maroc même, chez les Doukaïa. Rag-ze an Allemagn eo a glask atao Voici, enfin, quelques appréciations de paper-ze, ha ne laUa ket nemeur, ha mad affair ouzomp. An histor en diskouez la presse allemande : , a ra, e fisianz ennan. Le Beiclisbole, conservateur, contient mad awalc'h. Abaoue m'omp bet Eurvouesl leun a vilhejou votnac'hcll ket rei da anaoul mennoziou ar voterien. .un des plus intéressants articles de toule Ircc'hed c 1870-1871, a vez evit ar Ha n'eo ket c'hoaz eur ranerez lavaret o la presse. Il se réjouit tic ce que le Ma- Franç evel al laer var an hentehou deus Marianna hag he mignoned kavet roc, « celte pomme de discorde de l'Eu- braz o c'hortoz unan bennag en eur an doare da jench liou d'ar bilhejou vot, rope », cessera enfin bientôt de préoccu- c'horn tro bennag. Da genta er bloalakeat er vouesl, ha n'inl ket livet d'o per le monde. 11 déclare en même temps vez 1S7Ï>.. D'ar poent-ze ar Franz c'hoant, kenkoulz hag an divinerezed a sa joie de voir ainsi les Français longc'hoaz blonset gant an taoliou spounred hor foariou hag hon asambleou ?... temps occupés au dehors de l'Europe. luz en devoa resevet, a glaske en em Ar bobl dic'halloud a jom da ze Ilei, ouz Le Berliner Tageblall, radical avancé, an holl draou ze, ha ¡?ant an amzer, deut rapportant cet article, raille impitoyable- sevel. D'an 9 a viz Ebrei, ar journal d'en em guslumi. e galon na heug mui ment la Deutsche Tageszeitung de sa Post, euz Berlin, a skrive en artici e zoken. brusque volte-face. La National Zeitnng, pehini e ziskoueze eoanecesser miret Sonjal a ra : « Petra zervich d'eoc'h, ar national libéral, a également trouvé son ouz ar Franç en em sevel. Goestadik gouarrvamanl a ra gwelloc'h evit e. vigno- chemin de Damas. ann Armée euz ann Allemagn a en ned. Hag abeg a zo da gaout ennan ? » Le Courrier de la Bourse, comme les em brepare d'ar vrezel. Red e oe d'an Ya, betek ar poenl ze omp ermel, ma journaux précédemment cités, s'élève A. Thiers kaozeal d'ar prinz Orloff, kaver mad pep falloni aberz hor gouar- e n t r e le langage si violent de la presse red o oe ann difenn euz Alexandre I I nourion, ha ma ne glasker nemet br/.a pangermuiiste à l'égard du gouverneimpalaer ar Russi, evit miret ouz keeus o mignoned evil kaoni madelezou. ment et déclare, de son côté, que pendam menlze evit arreti breach Bismark, — « Perak goulenn eur sertifilmi evil toute la durée des pourparlers, il ne saupehini a save dija e c'hleze ruziet an eosl ? a lavar ar zoudard hag a "o e rait être question de la eonvocalion du c'hoaz ganl goad ar lac'herez diveza. gerent o elioni en eur gomun renel gant Reichstag. Quelques rares journaux eur mear kristen, pe klouar e kenver hor essayent encore — on se demande pour Alexandre 11 a gomprene ar brazder gouarnamant. Ar mear n'ali morse kaoul quoi d'ailleurs — d'employer le langage euz an ober loet dezan gant an Europ, abalamour de garacter hag da nerz e seurt diganl ar prefed. Perak ? Abala- fort. mour ma 'z eo eur chouant. » D'un autre côté, l'opinion de la presse Rouantelez ; hag ne fellaz ket dezhan Hag ar paolr a zonj ennan e unan, française peut se résumer dans ces quel- guelel touch ouz ar Franç. Ne lava(ma n'hcll lavar ket zoken a vouez uhel) ques lignes de l'Action, sous la signature raz ket c lenchc e c'hleze evidomp « Pebez gwalleur, evelato, kaout eur de. M. de Lanessan, député et ancien mi- niez rei a reaz da gomprenn e vefe a mear er giz-ze ?... » eneb an adversour. Totn oa bet an nistre de la marine : Yan BREZAL Guill mine I I accusé de trahir l'Allema- traou. Neuze, evel hirio, ar Franç a zo gne par dos journalistes allemands c'est, à bet diouallet abalamour da eur puiscoup sûr, un l'ait nullement banal; et sanç pehini ne oa ket c'hoaz or mic'est un fait bien propre à mériter l'atten- gnon euz Crondsladt. Ar gentel a Malgré les divergences de vues qui tion des gens raisonnables dans tous les servichaz d'an Allemagn. existent encore entre l'Allemagne et la pays d'Europe. Mez Bismark a veve hag gantan e France aucune inquiétude ne semble plus Il confirme les sentiments pacifiques • permise en ce qui concerne l'issue heu- exprimés par Guillaume I I dans toutes I oe dalc'het ar gassoni spontuz a ene^ U MAROC Evel al laer e korn an heiit L'ECHO ar Franz. Daouzek vloaz a basseaz. Setu ni d'an 22 Ebrei 1887. En cm ! gaout a ra an affair Schnœbelé. D'ar poent-ze e oa e Franz ar gostezcn Boulanger. An dra-ze oa adarre eur strapen var on hent. Ar c'hommissair polie euz Pagny-sur-Moselle a ioa bel pedet gant ar c'hommissair allemand Gautch da zont ganthan d'ar frontier evit kaozeal divar benn eur poto pehini a veze pilet aliez, hag evit gouzout peleac'h ellakaatjuslawalc'h. An A. Schnœbelé, kustumet da ober an affair a ieaz heb difìsianz. Hogcn, araok beza kuiteat douar Franz e oc attaket, skoed gant daou polie deguizet e labourerien. Arre-man, en despet de nerz braz, a deuaz a benn anezhan, a gassaz anezhan en tu ail euz ar frontier, c liammaz, hag a lakeaz anezhan e prizon Metz evel espion. An dra-zc a ioa e guirionez klask affair. Ar journaliou allemand a c'houlenne ar vrezel. An arrestation euz Schnœbelé a ie erlin da servicha da eun digarrez evit ober brezel, rag e kear Berlin, an dud a lavare penaoz ar gouarnamant euz ar Franz ne abandonnfe ket unan euz e vevelien lakeat er prizoun euz eur fessoun ker lacb. Tom e oe an traou e Pariz. Konsideri a rearar vrezel evel forced, rag ann Allemauled n'o doa arreted an A. Schnœbelé nemed dre urz deuet euz ha huel. Eur vech c'hoaz, ar vrezel ne deuaz ket ; mez red e oe kozeal epad pemzek dervez evi! arrangi ann affair. Ar guir hag ar justiz on doa bet ar victor, var an Allcmanted pere a zaillaz adarre evit procez Leipzig e pehini e oe lakeat er prizoun an Alzacian Kœchlin. Epad an amzer-ze Pariz a verve. Ar piec allemant Lohengrin, c'hoariet en Eden, a ioa rentet impossubl. Beindcz emgannou, iouc'hadennou. Krial a rear : 12n traon ann Allemagn ! en despet d'ar policcd. Aman, tost da Vrest, e oe ar memez Ira d'ar 25 Eost. Pa oe enterret ar prinz W i t t genstein, e Iverléon, kichen Kerhuon, an dud a grie : « Bevet an Alzac ! » dirag an A. de Hohenlohe, gouverneur, pehini arenkaz fila kuit, diouallet gant ar soudardet. Erlin, an affairiou euz 1905-1908 hag hini hirio (n'eo ket acliu) a zcblant kaout evit kaoz affair ar Maroc. Mez n'eo ket ze eo. Sentout a rear c'hoant an Alleinanted : c'hoant kaout brezel, eur bobl prepared, soudardet desket ken koulz evit an exercic eguet evit ar vrezel. Amezeien ken dizagreabl a dlel'e rei da zonjal d'ar Franç ober sacrifiçou evit en em zifenn. Guelloc'h a ve da Falliòrcs lia de gonsorted, laoskar ar rçlijion Iranquill hag soursial euz ar Vro. Ar soudardet, eur vech c'hoaz a zo gicat evit difenn ar vro, ha nan evit mont da daga ar c'houcntchou. Bezomp atao prest, ha neuze pa velimp ac'lianomp nerzuz hag o tiskouez on dent, paotred an Allemagn a renko piega. Mes brema ar gouarnamant a lavar : « Republik da genta ; ar Vro, ni ra foutre anezhi. » Eur Breizad. La Fièvre aphteuse observées. Le vétérinaire départemental J et le vétérinaire local seront présents aux \ foires et marchés et exigeront la production du certifient d'origine ; les propriétaires d'animaux s'imposeront donc un dérangement inutile s'ils ne se munissent pas du certificat en question. Le Pré/et : .1. CHALEIL. L A C L A S S E l 8S 4 Le banquet annuel des conscrits du Finistère de la classe 1881 aura lieu à Lannilis Ilôtel Lagadec le 20 août prochain, jour des Régales de Labervrach. Dès maintenant, les adhésions peuvent être adressées à M. Corre Louis, propriétaire à Lannilis, vice président et trésorier du comité. Le Comité. UN LORIENTAIS VENGÉ Ses deux assassins ont été fusillés à Toulon Le meurtre avait été commis à Ajaccio el voici dans quelles circonstances : Le matelot l'usillier Carrel, d • nl le père, journalier, habite à Korentrech, 47, rue du Ponl, était embarqué à bord du torpilleur 217 qui l'ait partie de la défense mobile d'Ajaccio. Le 12 janvier au soir, Carrel se laissa entraîner par deux camarades, le mécanicien Uué-iuen et le chauffeur Le Maréchal à une escapade qui devait avoir pour lui de trafiques conséquences. En lenue.de travail,Guéguenet tiaréchal notés comme de mauvais sujets, avaient sauté la grille du quartier pour aller « faire la bombe » au bar Gasparmi, où Carrel cul le tort d'aller les rejoindre. Les trois matelots tirèrent une bordée complète, et après de, nombreuses libations dans divers cafés et débits, arrivèrent vers onze heures du soir au café Terminus. Une querelle éclata alors entre eux, et Carrel fut frappé d'un coup de poing, mais un agent intervint el la bataille ne continua pas. Les trois matelots quittèrent le café el se dirigèrent vers le quartier de la défense mobile, dans 'intention d'y rentrer comme ils en étaient sortis : en franchissant les grilles. Guéguen el Maréchal avaient-ils prémédité leurs crimes ? Les deux Conseils de guerre qui curent à les juger, le premier jugement ayant élé cassé répondirent affirmativement car Maréchal avait passé des aveux en ce sens cl déclaré qu'au café Terminus, Guéguen lui avait dit : « Faudra serrer Carrel à la sortie. » Carrel surpris parcelle terrible attaque tomba en criant : « Grâce ! au secours! » mais ce fut alors Maréchal qui s'empara du couteau el le frappa à coups redoublés sans pitié, jusqu'à ce qu'il ne donna plus signe de vie. Et quand le malheureux matelot, inondé de sang, acheva de râler et demeura immobile, ses assassins le prirent par les bras cl les jambes pour le transporter près d'un ruisseau voisin. Il avait lu ligure hachée par les coups de couteau, el les blessures au cou étaient telles que la tète ne tenait plus au corps que par la colonne vertébrale el quelques lambeaux de chair. Sans s'émouvoir, les assassins dépouillèrenl leur victime, puis rentrèrent au quartier. Peu après on découvrit le cadavre ; une enquête étant immédiatement ouverte el elle aboutit sans retard à l'arrestation des meurtriers dont les vêlements étaient encore lâchés de sang. Pierre Carrel, en effet venait de sortir de l'infirmerie el devait avoir en poche un certain décompte. Or, aucun argent ne fut trouvé dans les vêlements du cadavre. Mesures sanitaires L'exécution L'arrêté préfectoral du 12 juin 1911 relatif aux mesures sanitaires conlre la fièvre aphteuse — arrêté qui a été publié et affiché dans les communes du département — prescrit dans son article 4, que les animaux des espèces bovine, ovine, caprine et porcine ne pourront circuler dans le département du Finistère que s'ils sont accompagnésd'un certificat d'origine délivré par le maire de la commune el attestant que, depuis au moins quinze jours, il n'existe aucun cas de fièvre aphteuse dans ladite localité. Ce certificat d'origine doit être présenté au vétérinaire inspecteur avant l'exposition des animaux en foire. L s deux meurtriers Guéguen et Le Maréchal ont élé extraits à 4 h. 10 de la prison militaire cl conduits à la chapelle, où ils ont entendu la messe. Ils ont ensuite mangé un peu de pain, bu du vin cl fumé uno cigarette. Sous bonne escorte, tous deux ont élé embarqués dans des chaloupes, qui les ont conduits au polygone du Mourillon, où ils devaient être fusillés. Le Maréchal s'appuyait sur le bras de l'aumônier, mais paraissait impassible. Il n'en était pas de même de Guéguen, qui flageolait sur ses jambes el criait : « O ma mère ! O mes frères ! C'esl la boisson qui me conduit ici ! » Un incident pénible se produisit à l'arrivée des chaloupes. En effet, toutes les troupes n'avaient pas encore pris leurs positions snr le polygone du Mourillon. Force fut donc aux condamnés et à leur cortège de s'arrêter. A l'occasion de nombreux cas de lièvre aphteuse qui viennent d'être constatés dans la commune de Trégunc, le préfet du Finistère rappelle aux intéressés lcsdites prescriptions réglementaires et insiste pour qu'elles soient rigoureusement DI) FINISTERE Première journée — Dimanche 6 août Guéguen el Le Maréchal purent, ainsi ! cessité. Pour la même raison on ne doit I - série. — Pas de concurrents. voir passer le peloton qui, dans un ins- pas jeter les matières fécales sur les fu2- série. — Yachts de 8 m. de jauge et lant, allait leur tirer douze balles dans miers, mais les enfouir en terre avec une poig.iée de chaux vive, loin des habita- de 1 à 1 tonneau 1/2 de la jauge de 1899. la poitrine. Ce fut un instant terrible. Les douze tions ; on ne doit pas non plus les jeter — 1" prix, Lotus, à M. Bouguen, à Locquénolé. marins fusiliers, commandés pour le pe- dans le„s cours d'eau ou à la mer. 3' série. — Yachts de 10 m. de jauge Il ne faut pas s'imaginer, comme on le loton d'exécution, détournèrent la lète, et de 2 1/2 à 5 tonneaux. — 1", Frimouspendant que Guéguen tremblait, pleurait faisait jadis, que l'alcool protège conlre et criait de plus en plus: «O ma mère !» le choléra ; il est bien reconnu que les al- se, à M. Fauché, de Brest. 4 série. — Yachts de 6 m. 50, série El. il fallut attendre la fin de cet inter- cooliques sont les premiers et les plus , nationale. — 1", Tibia, à M. E. Hcrr, à minable et angoissant délité de 3000 hom- gravement pris: vous verrez les médecins, mes venant prendre position pour le dé- dans une certaine période de la maladie, I Morlaix ; 2-, Cokik, à M. E. Raillard, à donner de l'alcool, mais vous remarque- Caranlec. lité obligatoire. série. — Série spéciale. — Yachts Enfin, Guéguen el Le Maréchal sonl rez que ce n'est qu'à titre transitoire el conduits au poteau d'exécution. Derrière p o u r obtenir un effet de réaction passa- de 8 m. 50. — 1", Fleur d'Ajonc, à M. Baron, à Morlaix. eux deux cercueils, devant douze marins, gère. 6- série. — Canots automobiles. — 1", Et, à propos de médecins, n'hésitez pas l'arme au pied. File-ton-Nœud, à M. Ilomor. Ch., à L'aumônier les embrasse el leur fait à vous faire soigner dès la première appabaiser un crucifix. rition d'une diarrhée, même en apparen- Caranlec. 7- série. — Canots à voiles. —- 5 m. au Un bref commandement retentit : « En ce insignifiante. maximum. — l " , Microbe, à M. Poilleu, joue ! » Si par malheur le lléau venait à nous Le sinistre commandement est exécuté. atteindre, ne vous allolez pas : la peur à Caranlec ; 2-, Ibis, à M. Croissant, à « Fou ! » el les balles vont trouer la l'ail au moins autant de victimes que la Plougasnou ; 3-, Ivélao, à M. Hcrr, à poitrine des deux assassins. maladie seule par la dépression inorale et Morlaix ; 4-, Insaisissable, à M. Ropert, à Locquénolé. Ceux-ci tombent. physique qu'elle occasionne. j 8- série. — Canots à voiles. —• 7 m. 50 Justice est faite. Il est exactement Des mesures d'ordre général el admi\ maximum. — 1", Elven, à M. Rumen, à 5 h. 10. nistratif seront prises s'il y a lieu : isole1 Caranlec ; 2-.. Brizeïs, à M. Prigenl, à El les milliers de spectateurs, qui se ' ment des malades, désinfection des lopressaient sur les côleaux du Mourillon caux. des meubles, des objets de literie, | Morlaix ; 3-, Yannik, à M. Collel, à Locpour voir cette Iragique exécution, se des linges (.les linges ne doivent jamais > qucineau. retirèrent eu la commentant de façon di- cire donnés à laver sans avoir élé désin- * 9- série. — Canots à misaine. — Dérive fectés) ; loin d'être hostiles à ces mesures | admise de 4 m. 50 au maximum. — 1", verse. de protection sociale, sollicitez-les el j. Walkyrie, à M. Cohannec, au Dourduff; rendez la lâche aisée aux hommes coura- | 2-, Explorateur, à M. Juxcau, au Dourgeux et énervés qui combattront le bon | dufï ; 3-, Andhorina, à M. Miorcec, à j Morlaix. MALADIE ÈVITASLE combat pour le salut de. tous. Moyennant les précautions que je viens ? 10- série. — Bateaux de pêche. — s 7 m. el au-dessous (mesure de l'acte de Les travaux de Pasteur el de ses élèves de vous indiquer, bi«-n comprises et intelligemment appliquées, vous verrez que le ; francisation). — 1", Anita, à M. Mézières, n o u s ont appris que les maladies' conta( à Caranlec ; 2-, Berceau-du-Pêcheur à gieuses se transmettaient par des infiui- litre de « Choléra, maladie evitable », que j'ai mis en téle de cet article, est parfai- ; M. Simon, à Caranlec ; 3-, Chûlet-duments petits nommés « microbes ». \ Cycle, à M. Le Golf, à Ploujean. C'est contre ces microbes qu'il s'agit tement justifié. Nota. — En plus des prix ci-dessus, un Août 1911. Docteur Ch. COLIN, de nous protéger, el c'est possible. prix de 20 fr. esl offert par Mme la comInspecteur départemental Je ne m'occuperai aujourd'hui que de tesse Cosla de Beauivgard au premier (de l'Hygiène Finistère). la protection contr • le microbe du choarrivé des bateaux du Dourduff. Ce prix léra le bacille-virgule. a élé gagné par Sainte-Catherine, à M. Le. choléra, en effet, venant de 1 Inde, i Rivoallan, au Dourduff. marche vers la France ayant touché suc11- série. — Bateaux de pêche de 7 à cessivement eu Europe la Russie, l'Eu8 mètres. — 1", Saint-Joseph, à M. BerF R A N S H A G A L A M AG N rope centrale, la Hollande, l'Italie. nard, à Caranlec ; 2 , Brise-Lame, à M. An traou o deus an ear da vont eun tarn Je ne m'arrêterai pas aux précautions Simon, à Caranlec ; 3-, Baronne, à M. gwelloc'h. Daoust hag c peoc'h e vo rengénérales ¡irises sur nos frontières de Merret, à Carantec. terre et de mer, locaux d'isolement des ket an aferou ? Ar c'hazctcnnou a lavar 12- série. — Bateaux de pêche, de pigares, lazarets, visites sanitaires. Ces awechou ija, awcchou nan, awec'hou all lote el de chalut, de 8 m. et au-dessus. — précautions, excellentes en elles-mêmes int nec'het. 1 - , Saint-Joseph, à M. Le Corre, à PriArabad deomp diskouez hon levenez, ne sonl pas toujours suffisantes, car qui mel ; 2', Saint-Jean, à M. Jégu, de Térépeut assurer qu'on empêchera d'entrer re abred, rak e krog emaornp gant ar nès ; 3-, Marie-Françoise, à M. Thomas, chez nous des « porteurs de germes », Prusian, hag a zo eur paotr Irubard. 4-, Saint-Thomas, à M. Le Corre, à Pric'est-à-dire des gens qui, tout en élanl en EUR C'HASTIZ MEZUS mel. bonne santé, transportent la bacille dans E kear Nancy (Lorrén) ez eus bet eur 13- série. — Bateaux de rnaërl de Locleur tube digestif ? ; c'honkour jiminastik. Soudarded en em quénolé el de Taulé avec leur voilure orJe m'attacherai uniquement aux mesu- ! gavas da vont da zellet, ha ne c'haller ket dinaire. — 1", Marie-Françoise, à M. res de protection individuelle, eu faisant I kaout lietra da lavaret evit an dra-ze. Bellec, à Locquénolé ; 2-, Goéland, à M. remarquer tout d'abord que les pays les J Koulskoude chefou ar rejimant o deus Jourdren, à Locquénolé ; 3-, Sainte-Anne, plus frappés sonl ceux où l'hygiène est la l bel goulenn diganl ar prefed da gastiza à M. Néa, à Locquénolé. plus méconnue. i ar zoudarded cn em gave var al ieac'h. 14- série. — Bateaux de maërl de CaLes dérangements de corps prédispo- i Ofiscrien aonik a /o belkavet da heuil- ranlec et d'Henvic, avec leur voilure orsent à l'invasion du bacille : i! faut donc ' ha goulenn pabor an deparlamant. Eur dinaire. — 1", Reine-des-Mers, à M. les éviter en ne mangeant que des fruits ! zoudard hag en doa roet eur c'hrog-dorn Broudic, à Caranlec ; 2-, Marie-Jean, mûrs el en quanlilé raisonnable, que des :• <ia vignoned anavezet ganlan etouez en- à M. Prigenl, à Henvic. viandes, poissons, crustacés, charcuterie I grouez ar jiminasted, a zo bei kaslizet. Une foule très nombreuse suivait les frais, en absorbant pas exagérément des j Trogoni devez prizon en deus bet. diverses courses avec grand intérêt. Le boissons froides, en évitant tout refroidis- i Eur c'hasliz mezus eo an dra-ze... ha temps était très beau ; une bonne brise sement du ventre. Ü n'eo ket evil kreski ar garantez evit an du N.-O. soufflait modérément. Si vous n'êtes pas très siïrs de votre arme e leac'h ma weler seurl dijusliz. Deuxième journée — Lundi 7 août eau de boisson, laites-la bouillir : en Coupe Marie. — Yachts de 6 m. 50. — AR GORSEZ temps d'épidémie ce doit être une règle 1 - , Cokik, à M. Raillard, à Caranlec; Ar varzed en em vodo e gorsez dilun générale, même pour les eaux considérées 2-, Tibia, à M. Ilerr, à Morlaix. var dosen Sant Wellaz, parrez Karnoet comme les plus saines. Coupe de Coatilès. — 1", Microbe, à Il f a u t vous défendre conlre les mou- (Kostez-an-Nord). Ar Gorsez kuz a vo M. Poilleu, à Carantec ; 2-, Kétao, à M. ches, si abondantes dans celle saison. great en dcrc'henl c Kcraez. Ilerr, à Morlaix. Gorsez Rarzed Gourenez Breiz-Izel a Les mouches se posent un peu partout, Troisième course. — Yachts de 8 m. 50 même sur les excréments, si ceux ci con- zo eur vreuriez, var skouer gorsezou Bro1 - , Fleur d'Ajonc, à M. Baron, à Morlaix. tiennent des bacilles, les mouches les Gcumri, savet elre Bretoncd evil difenn Comme la veille, le temps était splenfixent sur leurs pattes, les absorbent clans ha skoazelli Breiz. Ile diazezerien Berdide. La bonne brise qui soufflait a rendu leur tube digestif et vont les semer lliou, Lajat, Taldir, Abhervé, hag ail, a les courses très intéressantes. ensuite sur nos aliments : il vous faudra zo bel broadelerien an heur genta. O donc envelopper le pain, les crêpes dans ober, daonst d'ezan da veza laget eun une serviette, mettre le lail, le beurre, la lam a bep tu hag evit pepseurt rezomou, viande, le poisson, etc., clans des garde- a joni ato plom en e zav hag bep bloaz Nominations. — Par décision épisconiver ezeli ar Gorsez a ya var gresk. manger, ou sous des cloches de toile palc du 4 Août, ont été nommés ; KELEIER &LL métallique à mailles serrées, un aliment Vicaire à Mespaul, M. Jaouen, auxisur lequel les mouches se seront posées — Semaine Sociale Sanl-Stephan a zo liaire dans la même paroisse ; devra être jeté ou recuit. a paouez echui. Vicaire à Pleyben, cn remplacement de Les fruits, salades, légumes destinés à — Goueliou a zo bel e Ars en enor M. Sévéllec, qui entre dans une Congréêtre mangés crus doivent être soigneuse- d'an Aotrou Vianney, an den etirus, bel gation religieuse, M. Pengam (Joseph), ment lavés, unité par unité, feuille par person eno, ha ken brudet e liano. m a î t r e d'éludé à l'Institution Saint-Vinfeuille, dans de l'eau bouillie. — Ar chimi'noed (labourerien an hencent do Paul. La propreté, celle vertu de tous les chou liouarn) o deo belek an deiziou cl — i M. Salomon, sous inspecteur diocéjours, doit c'ire encore exagérée : il faut veza-man eur « Syndicat National » (sinsain, est autorisé à porter la mosette des se laver les mains avant, chaque repas dikad broadus). An dizunvaniez a zo en avec de l'eau et du savon ; si vous avez cm lakeat ennan ; hag eo eat d'an traon. Doyens. eu à soigner Iles malades, vous devez en « Pep kear trocl cnep d'ezi he-unan a outre, après ce lavage, passer vos mains yelo d'an traon. » Yan BREZAL. dans une solution antiseptique, sulfate de cuivre, par exemple, 30 grammes par liMORLAIX tre d'eau. Mariage. — Nous avions annoncé les Les cabinets d'aisance doivent être tefiançailles de Mademoiselle Louise Kernus très propres et désinfectés avec do Pour yachts ballant pavillon français, néis, fille de M. Ivernéis avoué, avec Monfortes projections dans les fosses, les lisieur Jean Véranl notaire. Nous apprenelles, les vases de nuit, de chlorure de sous le patronage du Yacht-Club de nons que le mariage est officiellement chaux, de crésyl, etc. : ce que j'ai dit des France, avec la jauge et le règlement infixé au lundi 28 août. mouches en explique suffisamment la né- ternationaux, LE CHOLÉRA K EL EI EK NOUVELLES RELIGIEUSES CHRONIQUE LOCALE Les Régales de Morlaix Nous offrons à M1" Kernéis el à M. Vérant, nos félicitations les plus sincères et nos meilleurs vœux de bonheur. Paroisse Saint-Mathieu Dimanche dernier, Monsieur le chanoine Le Duc, curé archiprêtre de Morlaix a fait à la grand'messe ses adieux à ses paroissiens. En termes émus, qui ont profondément touché les assistants, i l a rappelé qu'il avait passé vingt années à la tête de celle paroisse, qu'il avait vécu avec ses ouailles des heures de joie et aussi des heures douloureuses qui ont créé entre eux des liens d'affection impossibles à rendre. Il avait espéré mourir dans cette paroisse, mais Dieu en a disposé autrement et l'Evêque l'a appelé à Quimper, il lui a fallu obéir le cœur déchiré. Il part en emportant le souvenir impérissable de tous ceux qu'il a eu le bonheur de diriger dans la vie chrétienne. Les paroles de M. Le Duc ont produit une grande impression sur son auditoire, et c'est au milieu des larmes de tous qu'il est descendu de la chaire. Ce témoignage d'affection est plus éloquent que toutes les paroles et dit assez les regrets de tous. Nous n'ajoutons aucun commentaire, et en nous associant au regret universel, nous formons pour M. le Chanoine Le Duc les meilleurs vœux de bonheur dans la nouvelle position qu'il va occuper^ A. L. Syndicat d u bâtiment. — Samedi soir 12 Aoûl de 8 heures à 10 heures du soir, salle du Calvaire, le trésorier se tiendra à la disposition des camarades pour percevoir les cotisations. Chasseurs gare à vos chiens. — Dans peu de jours la chasse sera ouverte. Est-ce l'approche de celte ouvertiire ? Ou est-ce une simple coïncidence? Dans tous les cas on signale aujourd'hui de plusieurs points à la fois la disparition de nombreux chiens de chasse. Chez M. Petigars rue de Brest à Morlaix un chien blanc et jaune à disparu depuis samedi. Le lendemain ceux de M. Pluvié, château Coalshéro ont disparu également ; aujourd'hui M. le Vicomte de Langle au château de Pennelé en SaintMartin des Champs a fait rechercher deux autres bassets sans savoir quel chemin ils ont pris. Chasseurs ! Gare à vos chiens. Examen. — Nous apprenons avec plaisir que notre compatriote et ami, M. Julien Guiomard, vient de passer avec succès les derniers examens pour l'obtention du diplôme de Chirurgien-Dentiste devant la Faculté de Médécine de Paris. Toutes nos félicitations. Pour les Régates de Roscoff. — La musique municipale de Morlaix, qui doit se rendre, le 20 août, aux régates de Roscoff, a obtenu la réduction de 66 0/0 sur le parcours en chemin de fer. — Les membres honoraires qui désireraient profiter de cette réduction, sont priés de te faire inscrire à la mairie (salle des conféférences) les 16, 17 et 18 août, de onze heures à midi. Commencement d'incendie. — Un commencement d'incendie s'est produit lundi, vers 10 heures 1/2 du matin, dans les appartements occupés au rez-dechaussée, par M. Masson, sabotier, Grande-Venelle, 7. Le feu avait pris dans un tas de pail'e déposé non loin du foyer. Une étincelle a dû probablement tomber sur la paille et provoquer l'incendie. Heureusement on s'aperçut vite du leu par la fumée épaisse qui s'échappa du logement. On put éteindre l'incendie avant qu'il eut pris de plus grandes proportions. Les dégâts sont peu importants. Rafle. — Dans la nuit de dimanche à lundi, la police a procédé à une rafle de filles étrangères à la ville, de mœurs douteuses, qui s'étaient abattues sur Morlaix depuis quelques jours et y exerçaient leur vilain métier. D'autres sont surveillées. Une somnambule tombe du second étage et se tue. — Une jeune anglaise, originaire de Towtnes-Devonshire (Angleterre), Miss Mary Kelloch, arrivée samedi soir à 9 heures à Motlaix, était descendue avec sa famille à l'hôtel de l'Europe. Vers 11 heures, dans un accès de somnambulisme, elle pencha trop en avant à la fenêtre de sa chambre, située au 2° étage, et tomba sur le balcon du premier. Trois heures après ce terrible accident, elle succombait malgré les soins qui lui avaient été prodigués immédiatement. Graves brûlures. — Le jeune Kérillio, âgé de 17 ans, ouvrier chez M. Menou, plombier-zingueur, rue de Paris, travaillait à la soudure d'un tuyau du ra« L'ECHO 1>ÏJ FINISTERE SSS5H «VAMMI Anne-Marie Martin, route de Callac. — Jeanne, enfant naturelle. — Jean-François-Auguste-Alphonse Lesacher, fils de Ernest-Alphonse et de Augustine-MartheMarie Lebrelon, rue Villeneuve, 75. — Louise-Yvonne Goarnisson,fille de HervéMarie et do Françoise - Yvonne - Marie Guéguen, à Plounéour-Ménez. — Pierre Lezach, fils de. Guillaume-Marie et de Jeaimc-Désirée-Henrietle Le Jeune, rue du Mur, 36. — Germaine Boléat, fille de Jean-Marie et de Françoise Caroff, à la Bergerie, 14. — Marie Le Roy, fille de Jean-Baptiste et de Yvonne-Marie Le Lagadec, rue du Porsmeur, 40. — Francis Tudal, fils de Olivier-Marie etdeCaroSauvetage. — Le jeune Charles Jonline-Marie Touboulic, place du Dossen, 7. court, âgé de 12 ans, rue de la Villeneuve, PUBLICATION DE MARIAGE était allé prendre un bain avec plusieurs François-Marie Postic, cordonnier, vecamarades, non loin du couvent de Saintnelle des Archers, 1, et Marie-Yvonne François, sur la route du Bas de la RiColcanap, cuisinière, place du Marc'halvière. I l commit l'imprudence de pénétrer trop avant dans le chenal et tomba lac'h, 7. MARIAGES dans un trou rempli de vase. Charles-Louis Cosquer, peintre en bâSes camarades appelèrent immédiatement au secours et essayèrent aussitôt de timents, Grande-Rue, 13, et Margueritel'arracher de cette situation. Leurs efforts Marie Hamon, s. p., à Ploujean. — Dérestèrent sans résultat. Il allait infailli- siré-Louis Chevalier, quartier-maître torblement se noyer quand M. le docteur pilleur, place au Lait, 3, et Anna Le rue Basse, 33. Fohanno, passant par là à bicyclette, i Bayec, couturière, DECES sauta à l'eau tout habillé et pu ramoner Marie-Jeanne Ilamon, veuve de Franinanimé le malheureux enfant sur la çois-Marie André, 61 ans, 6 mois, à Traonberge. ar-Velin. — Désiré-François Marie Javré, Il fallut à M. le docteur Fohanno tous 6 ans 2 mois, rue des Vieilles-Murailles. les secrets de l'art pour empêcher le pau- — Anne-Charlotte-Suzanne Le Gall, 1 vre garçon de passer de vie à trépas. mois, rue Ange-de-Gucrnisac, 15. — MauToutes nos félicitations h M. le docteur rice Pouliquen, époux de Catherine SléFohanno pour ce bel acte de courage. phan, 47 ans, quartier du Chûleau. — Michel Berthévas, 16 ans 3 mois, Parcau-Duc. — Madeleine Prouff, 23 jours, rue île Paris, 44. Marie Larcher 1 an 2 mois, rue de'Brest, 68 - - Mary Frances Les Actionnaires du Comptoir d'Es- Kellock, 12 ans 9 mois, rue d'Aiguillon. compte de Morlaix sont convoqués en — Laurent-Marie Derrien, veuf de MarieAssemblée Générale annuelle Ordinaire, Anne Berlhclcvé, 39 ans 5 mois, quartier au Siège Social (12, Quai de Tréguier) du Chûteau. — Léontiiie Dantec, 4 mois, pour le Lundi 28 Août courant, à rue Villeneuve, 38. — François Le Gall, 1 heure 1/2 de l'après-midi. 18 ans 7 mois, quartier du Château. diateur d'une automobile déposée dans le garage de M. Clech, carrossier, rue do Paris. I l avait eu l'imprudence de déposer un bidon d'essence à côté de lui. Poussée par le courant d'air, la flamme de la lampe à souder dont il se servait mit le feu au bidon de pétrole et le (it éclater. Voulant éteindre le feu, le malheureux ouvrier fut très grièvement brûlé à la main et au côté de la joue. M. le Docteur Autîray lui donna les soins que nécessitait son état. I l faudra au moins un mois avant la complète guérison du blessé. AVIS Vandalisme. — Cinq jeunes arbres, i situés sur la roule de Morlaix à Carhaix, i près du Fumé, ont été mutilés à coups de ! faucille. On recherche les coupables. j ARRONDISSEMENT DE MORLAIX CARANTEC encore du sein des familles chrétiennes de Plouézoc'h de sainles vocations. Fêtes. — Le comité des fêtes de Plouézoc'h donnera, le dimanche 13 août, sa réunion annuelle dans le cours de l'aprèsmidi. Une épreuve cantonale pour cyclistes est inscrite au programme de cette fête. Des jeux divers auront aussi vraisemblablement lieu. PLOUNÉOUR-MÉNEZ L e Pardon de N.-D. du Relecq. — Le grand pardon de N.-D. du Relecq aura lieu le 15 août prochain. De plus en plus nombreux y accourent les pèlerins du Léon, de la Cornouaille et de Tréguier. On sait que le sanctuaire de N.-D. du Relecq remonte aux premiers temps du christianisme dans notre pays. Fondée par saint Tanguy, disciple de saint Pol de Léon, la première chapelle fut détruite par les Normands. Elle fut reconstruite au XII 0 siècle sur un plan tout nouveau. C'est un superbe monument que les restaurations de M. l'abbé Jouve et de M. l'abbé Manchec, recteur actuel de Plounéour-Ménez, ont encore embelli en le rajeunissant et en le dégageant des bâtiments en ruines qui le masquaient. La dévotion à N.-D. du Relecq, qui attire continuellement des pèlerins,ne ces? e de croître d'année en année et donne lieu le 15 août, à une superbe manifestation de foi. Les fêles seront particulièrement belles celte année. En voici le programme : Dès la veille, 14, à 4 heures, premières vêpres suivies du feu de joie. On confessera ensuite loule la soirée. Le lendemain, première messe à quatre heures et deuxième messe à six heures. A dix heures, messe solennelle,, au cours de laquelle la Musique Indépendante de Morlaix se fera entendre. A 2 li. 30, réunion à la chapelle des pèlerinages venus du Léon, de la Cornouaille et du Tréguier. A trois heures, vêpres et grande procession autour des étangs à laquelle prendront part, avec leurs enseignes, les processions des paroisses environnantes. Saint-Joseph d u B e l - A i r . — Voici PLOUEIMAN le programme de la Kermesse organisée marche organisée annuellement par le Fêtes. — Les fêtes de Plouénan, qui S. M. s'est disputée dimanche sur les par la Colonie de Vacances, au Parc du ont eu lieu dimanche, avaient attiré une 19 kilomètres de parcours terriblement Rohou (gracieusement offert par Madame foule nombreuse. Toutes les notabilités accidenté de Morlaix, Penzé, Ilenvic, Ca- la Vicomtesse do Kergrist) et qui aura des environs y assistaient. Remarqué : rantec. Cette originale et très dure lieu dans l'après-midi du Dimanche 13 MM. de Guébriant, conseiller général et épreuve a été gagnée parle marsouin Par- . A o û t 1911. maire de Saint-Pol de Léon ; de Gué1- — A 1 h. 30. — Défilé des Gymnas- briant lils, de Kerdrel, Sévère, Séité, Le chantour, du 6° colonial, battant Mével ; de 10 mètres à l'emballage. Les derniers : tes et de la Fanfare. Bras, de Guiclan, les frères Rozec, de 2'— A 2 heures. — Ouverture du Parc. Mespaul ; René Ollivier, Kerdilès, Bléas, 100 mètres se faisant à allure libre. Lotte ! du 6» colonial, ai gaiement fait une très jolie Exercices de Gymnastique et d'Acrobatie, etc. Voici les résultats : performance en se classant bon troisième. attractions diverses. Cirque, Ferme BreConcours de poulains de deux ans. — Le 6e colonial possède en Lotte et Par- tonne, Crêperie, Coslunies du Pays, 1-- prix, 60 fr. et une médaille, MM. chantour deux hommes excessivement Bardes, Chanteurs Bretons, Charrette à Rouel, de Kériel ; 2-, 40 fr., M. Grall, de courageux etendurants. Parchantour s'est Ane, Buffet, Bazars, Tombola, etc. Kerlic ; 3-, 20 fr., M. Saoûl, de Kérasfel ; 3- — A 5 heures. — A Saint-Joseph du 4-, 15 fr., M. Aulret, du bourg de Plouéprésenté au départ bien entraîné et en : bonne condition. Mével dont la réputation Bel - Air Représentation Artistique et nan ; 5-, 5 fr., M. Creignou, de Kerdrede courage n'est plus à faire, s'est dépen- , Théâtrale, Opéréltes, Monologues, etc. bez ; 6-, 5 fr., M. Moal, du bourg de sé à fond, faisant l'impossible pour lâcher j 4- — A 6 heures 1 /?. — Défilé-retraite. ! Plouénan ; 7 ,5 fr., le môme propriétaire. son rival, il succombe de 10 mètres. Le Prix des caries pour la représentation : ; Flots de rubans : MM. Jaouen, tle Kéripublic nombreux qui se pressait à l'arri- , 1 - , 0 fr. 75 ; 2-, 0 fr. 50 ; 3-, 0 fr. 25. Ces nès ; Prigent, «le Pont-Eon ; Cadiou, de vée à Carantec, a fait preuve d'un esprit cartes, seules, donnent droit d'entrée au Pen-ar-Stang. très sportif, en réunissant dans la même ; parc du Rohou. Concours de poulains de un an. —- 1" ovation vainqueurs et vaincus. Les con- J Les enfants au-dessous de 12 ans, prix, 60 fr., M. Tanguy, tle Carpont ; 2-, currents de la marche Morlaix-Carantec j paient demi-place. 40 fr., M. Boulouiller, de Kerasten ; 3-, ont émerveillé les populations de Penzé, i Est-ce un v o l ? — M. Bled François- 20 fr., M. Saoût de Lanvaden ; 4-, 15 fr., d'Henvic et de Carantec, par leur énergie ) Joseph, architecte à Coulommiers (Seine- M. Saoftt, de Kérasfel ; 5-, 5 fr., M. Paubien franche, par leur courage au-dessus et-Marne), étant venu en villiégiature à gain, de Ruplouénan ; 6', 5 fr., M. Chode tout éloge. Ils ont fait montre égale- | Carantec, a porté plainte au sujet de la quer, tle Pen-ar-Forest ; 7-, 5 fr., M. Pém e n t _ ce qui ne gûte rien — d'une bondisparition de deux édredons de duvet ron, de Cosquer-Kerbalanec. Flols de ne humeur charmante et d'une correction perdus ou volés pendant le déménage- rubans : MM. Péron, du Cosquer-Kerbaparfaite. ment de son mobilier. lanec ; Caër, de Kérivoas ; Caër de Kerr Ces deux é Iredons disparus ont une menguen. Le classement de l'épréuve : l" , Par- j 9 valeur de 60 (r. chacun. Courses de bicyclettes : chantour, du 6 colonial, les 19 kilomèUne enquête est ouverte. Communale. — 1" prix, 15 fr., Jeantres en 1 h. 52* ; 2« Mével, du S. M., à 10 ; mètres ; 3» Lotte, du 6" colonial, en I h. j Marie Paul ; 2 - , 10 fr., Jean MarieQuiviPLOUEZOC'H ger ; 3-, 5 fr., Jean Guéguen ; 4-, 2 fr., 59' ; 4» Dénès, du S. M., en2 h. ; 5» Le ) Premières messes. — Les dimanGuen, du S. M., en 2 h. 3' ; 6« Ricou, du j ches 30 juillet cl 6 aoûl, deux enfants de Jean-Marie Péron. Cantonale. — 1" prix, 5 l'r., Breton, S. M., en 2 h. 3' 50" ; 7' F. Henri du S. : la paroisse, le Père Pérou, oblat de Made Saint-Pol de Léon ; 2*, 3 l'r., Jacq, de M., en 2 h. 6' ; 8" Mingam, du S. M., en l rie et M. l'abbé Lancien chantaient leur 1 2 h. 8' ;9" L'Helchat, Morlaix en 2 h. 8' 5" ; j première grand'messe au milieu d'un Mespaul ; 3 , 2 fr., Quiviger, de Ploué10« Camus, Brest, en 2 h. 10' 10" ; 11° Bi- concours nombreux de parents et d'amis. nan ; 4 \ 1 fr., Mingam, de Mespaul. Départementale. — 1" prix, 20 l'r., chémont, Brest, en 2 h. 14'. Du presbytère à l'église s'est déroulée la Vérification des poids et mesures. procession traditionnelle au chant de Alfred Le Bars, do Morlaix ; 2-, 15 fr., Balanant, de Brest ; 3 , 5 fr., Francis Le — Les commerçants sont infonnés que M. Veni Creator. L'humble église, bien dé. Bars, de Morlaix ; 4 \ 5 l'r., Breton, de Huitric, vérificateur des poids et mesu- corée pour la circonstance, semblait i Saint-Pol de Léon. res se tiendra provisoirement à l'hôtel de aussi se réjouir du bonheur de ses Course d'honneur. — l " Alfred Le ville, à l'entrée de la bibliolèque, tous les enfants qu'elle avait régénérés dans i samedis, de neuf heures à midi, à partir les eaux du baptême et oit, pour la i Bars, de Morlaix ; 2 \ Balanant, de Brest. Course d'enfants. — 1- Vincent Bai on ; première fois, ils avaient reçus le pain des | du 19 courant. ' 2-, Pierre Guéguen ; 3-, Jacq Grall ; 4-, Mouvement de la population. — forts. Après l'Evangile, tous ont été heu- ! Yves Cueff ; 5-, Jean-Marie Béchu. reux d'entendre parler du prêtre, de ses Du 2 au 8 août 1911. — luttes, de ses tristesses et de ses joies. NAISSANCES Bonnes journées pour les parents et Madeleine - Marie - Simone Daniellou, lille de François-Marie-Ignace et de Ma- amis i t aussi pour le pasteur qui voit se CARHAIX rie Le Tous, rue Guillaume Le Jean. — lever le bon grain. Nécrologie. — Dimanche, à 4 heures Puissent leurs prières et les prières à Emile-Jean-Pierre Dutartre, fils de Guydu soir ont été célébrées en l'église paMarie-Barnabas et de Marguerite-Marie tous être une source do bénédiction pour roissiale de Carhaix, les obsèques de M. Cavarec, rue Sainte-Marthe, 28. — Ger- eux et leur famille, et veuille Dieu, malsaine Auffret, fille de Jean-Marie et de gr6 les difficultés sans nombre, susciter Jean Le Troadec, greffier de paix à Cal- Stade morlaislen. — L'épreuve de ' ARRONDISSEMENT DE C11ATEA1M i 3- — Billets d'excursion au Mont Stlac (Côtes-du-Nord) décédé la veille chez ses parents, rue de l'église à Carhaix, à Mieliel ; 4- — Billets d'excursion de Paris et de la suite d'une longue et douloureuse maRouen au Ilâvre, avec trajet en bateau ladie, très chrétiennement suporlée par entre Rouen el Le Hâvre ; notre jeune ami. 5* — Billets d'excursion à Huelgoat. Une foule nombreuse et choisie de En outre, les billets d'aller eL retour Carhaix et Callac suivait le convoi. La levée du corps a été fait :- par M. l'abbé Pé- ordinaires, délivrés par les gares du ron, recteur de Kerfeuntun, entouré des réseau de ¡'Etal (ancien réseau de l'Ouest), membres du clergé de Carhaix et Plou- pour lr.s gares des réseaux de l'Etat (anguer, et de plusieurs aulrcs prêtres, amis cien) et d'Orléans, ou réciproquement, de la famille Le Troadec. L'absoute a été auront leur duré de validité prolongée dans les mêmes conditions que les billets donnée également par M. l'abbé Péron. Les cordons du poêle étaient tenus par indiqués ci-dessus. MM. Guivarch fils, Coignat et le Hénalf Armand commissaire de la marine. Le deuilétait conduitpar M.Le Troadec père, ancien conducteur principal des Pojil-etA toutes les personnes atteintes d'aschaussées, M. Ch. Le Saout ancien gref- thme, de catarrhe, d'oppression, de toux fier de paix beau-frère du défunt, MM. grasse el opiniâtre (suites de bronchites) nous conseillons la Poudre Louis Legras. Monl'ort, Le Trévoux, Le Clech fils, Le Elle calme toujours instantanément l'opBec, Louis Le Troadec et les autres pression, les crises d'asthme, la suffocamembres des familles Le Troadec, Tré- tion et l'essoufflement, des emphysémateux. Le soulagement est obtenu en voux et Monforl. moins d'une minute el la guérison vient L'inhumation a été faile dans une con- progressivement. Une boite est expédiée contre mandat de 2 fr. 10 adressé à Louis cession appartenant à la famille. Legras, 139, boulevard Magenta, à Paris. M. Jean Le Troadec n'était âgé que de 'jj»'aipfjj!|jw''1'"'"JflL' ' 26 ans. Nous prions M. et Miie Le Troa1 offl c ' gratuitement de i dec et toute la famille de vouloir bien iïv\T WÎVK irïTÏ> tdft m u w u l î i U ï i faire connaître à tous ; agréer en celle douloureuse circonstance, ceux tjiii sont atteints d'une maladie de ; la peau, darlivs, e ïzémas, boulons, dé- J nos vives et bien sincères condoléances. Les noctambules. — Depuis plu- maugeaisops, bronchites chroniques, maladifs de la poitrine, tle l'eslomac et de la • sieurs semaines tous ies dimanches sou' vessie, tle rhumatismes, un moyen infaildes bandes de noctambules parcourent lible tle se guérir promptement, ainsi qu'il l'a été ra licalement lui-même, après nos rues, crient it lue-tête jusqu'à minuit avoir souffert et essayé en vain tous les et même une heure du malin. Le repos remèdes préconisés. Celle offre, dont on public est ainsi troublé sans que jus- appréciera le but humanitaire, est la conséquence d'un vœu. Ecrire par lettre ou qu'ici la police ait l'air de s'en soucier carte postale à M. VINCENT, 8, Place nullement. Pourquoi ? Le public se plaint Victor Hugo, à Grenoble, qui répondra gratis et franco par courrier et enverra el il a raison. les indications demandées. Une audience, eu simple police. . - A BT aier — C'était mercredi. M. le juge de paix S o m m a i r e du n u m é r o de préside. M. Rohou, de Pollaouën, occupe le siège du ministère public. LA REVUE HEBDOMADAIRE Les contrevenants sonl nombreux. Mes. du 12 AoiH sieurs René ; Jean ; Jacqu-is ; Pierre et Envoi sur demande, 8, rue Garancière, Gustave, sont des poivrots. Ayanl trop fêParis, d'un numéro spécimen et du cater la dive bouteille, ils ont eu l'étrange talogue des primes tle librairie, 26, francs de livres par an). idée de se trouver litulant, sur le passade des gendarmes.Coû à chacun de ces Partie L i t t é r a i r e disciples de Bacchus : Un franc d'amende. Henri Welschinger,. de l'Académie des — Marie Jeanne, Jacqueline el Augus- sciences morales el politiques, La Jeutine, Lizelle el Pélronille débitantes ont nesse du duc d'Auinate. Lacordaire, Lettres inédites, publiées tenu leurs cafés ouverts jusqu'à minuit par II.-Joseph Bézy. par extraordinaire, ces dames avaient des Comte de Montbel, Sur les routes 'le clienls à des heures indues. Surprises, l'Exil : Vienne (II). (Souvenirs publiés procès-verbal a « é drossé coMro iosdé- j " i i ï W & S & g ! p Î Ï Ï » . bilantes el les clients. (VI, (finj. Tous écopenl du franc d'amende traC10 de Caix de S'-Aymour, « Belgicisditionnel. Vraiernent, nous disaient les mes ». Fernand Laudel, Un disciple de Péguy clients et les débitantes en sortant, il n'y La Vie mondaine. — La Vie médicale a que les braves gens et les consommaet pratique. — La Vie musicale. — Chroniques agricole, sportive et finanteurs tranquilles, à écoper ! ! C'est peutcière. être vrai, mais pourquoi, ...être tranquilBaiaBg^^TmnwfrtwtwaucaisB les aussi ? ? M. et >*:r.e X. . sont cités par ministère d'huissier. Il y a des témoins, la contravention ayant été refusée à l'audience Les dispositions générales du marché restent toujours influencées par les inforprécédente. Les témoins, prouvent que mations tantôt optimistes, tantôt pessiMessieurs les gendarmes oui outre-passé mistes concernant la situation marocaine. leurs droits. M. el Mme X... sonl acquit- Aussi conslate-t-on dans le courant tle la tés. La caisse publique paiera... la casse ! semaine des différences de cours assez importantes. Ces variations sont dues X... Conseil Hebdomadaire Revue Financière surtout à la position de place qui n'est pas encore tout à fait dégagée. La liquidation de fin de mois s'est effectuée toutefois sans incidents et les taux de reports ont été moins élevés qu'on ne le prévoyait. Sauf événement imprévu, il est à croire que le marché a atteint son maximum de baisse, mais on ne peut guère escompter une reprise tant que l'horizon politique international ne se sera pas complètement éolairci. Le 29 Juillet, la commission extra-parlementaire constituée pour étudier la réferme bancaire, s'est réunie pour la première fois au ministère des finances. Parmi les projets soumis aux membres de la commission, il convient de citer celui de M. Bernardin. Pour procurer au moyen commerce et à la moyenne industrie les capitaux nécessaires, M. Bernardin préconise la création d'une banque qui commanditera ces entreprises et entraînera vers elles la confiance du public. Cet établissement sera aussi un intermédiaire qui permettra à la moyenne industrie et au moyen commerce d'obtenir les facilités de crédit qui leur manque en créant des Banques spéciales. Il organisera par exemple des Banques d'exportation qui achèteront les traîtres documentaires, feront des avances sur des factures à longue échéance, consentiront des prêts sur stocks, etc. Fonds d'Elats. — C'est ce groupe qui a été naturellement le plus agité cette semaine. Notre 3 0/o s'est montré cependant résistant en clôture à 94.57 après 94.30 au plus bas. A noter la fermeté des Bons de Sao-Paulo à 507.50. Banques. — Les Etablissements de Crédit n'ont pas échappé au mouvement rétrograde, ils ne terminent pas cependant à leurs plus bas cours. Le Crédit Foncier d'Algérie et de Tunisie est bien tenu à 655 ; Banque Franco-Américaine, 520. Ou sait que le versement d u ^ 1 " quart soit 125 fr. sur les 20.000 actions nouvelles devra être effectué du 6 au 15 septembre prochain, l'Industrielle foncière se traite activement vers 540. Au groupe étranger; les actions delà Caisse hypothécaire argentine sont demandées à 5lb. les obligations 4 1/20/o sont recherchées à 467.50. Transports. — Les actions de nos Cie< de chemins de fer ont bien résisté au mouvement général. Parmi les lignes secondaires, on a constaté quelques échanges en actions Basses-Pyrénées à 267 de même qu'en Société Auxiliaire de ' transports i. 14o et 196. Au groupe étranger, l'Atchison Topeka se tient à 586, Brazil Railway côte 264, l'ordinaire et 504 la privilégiée. Québec Railway ferme à 310 l'ae.lion et 469 l'obligation. Dans le compartiment de la traction, le Nord-Sud est faible à 258, Métro 631. Bonne tenue des Tramways de Mexico à 620. Valeurs diverses — Les valeurs d'électricité sonl calmesjl'Américan Téléphone s'inscrit à 725. Le groupe caoutchoulier fait preuve de faiblesse ; Para Marajo, 6.50. Les valeurs de pétrole ont une tenue satisfaisante ; l'action Naphte Lianosoff s'avance à 405. La Franco-Wyoming cote 36.50. Les actions Ch. Drecoll Ltd se maintiennent aisément à 139. I l y a lieu de remarquer que le dividente a toujours été très régulièrement fixé à 12 fr. depuis l'origine de la société. En valeurs d'assurance, la Prévoyance s'avance à 805. La Usisled States VVorsted est ferme à 169. Pal hé Concert, 125 fr. Métallurgie. — Ce compartiment ne s'est pas départi de sa fermeté. L'action Piombino est en bonnes tendances à 146. Mines. — Quelques réalisations ont pesé sur les cours des mines d'or sud-afrieaines. En mines Californiennes, La Jumper Californien est bien traitée à 14.25. L'action Gold Riefs of Barima voit de bonnes demandes aux environs de 30 fr. PHILOUZE ET WADDINGTON 20, rue Le Pelletier Maua Greffe de Justice de Paix à céder immédiatement, suite de décès, à Callac (Côtes-du-Nord). S'adresser à M. Jean-Marie Le Troadec, propriétaire, à Carhaix. AC HINES A COUDRE de Ja Compagnie CLEDEIVI-POHER Le pardon. —• Le grand Pardon de Notre-Dame de Cléden aura lieu mardi prochain, 15 aoûl. Les messes commenceront à 4 heures du malin et se succéderont sans interruption jusqu'à la grand'messe qui sera chantée à 10 heures. A l'issue des vêpres, la slalue vénérée sera portée processionncllcment autour du bourg. CHEMINS DE FER DE L'ETAT Fète de F Assomption ! Augmentation de la durée de validité ! des billets à prix réduits A l'occasion de la Fêle de l'Assomption, les coupons de retour des billets à prix réduits, désignés ci-après, délivrés à partir du 10 Août, par toutes les gares du réseau de l'Etat (ancien réseau de l'Ouest), à destination de ce réseau et dont la valiÌ dité normale expirerait avant le 21 du même mois, seront exceptionnellement valables jusqu'au dernier train du Lundi 21 Août. !• — Billets de bains de mer (valablt s normalement 3 el 4 jours) ; 2- — Billets d'aller cl retour ordinaires (grandes lignes) ; ». Ifem M y m IL est universellement reconnu que les Machines à coudre " SINGER " SONT S E U L E LES M A i S O N D E MEILLEURES V E N T E , A MORLAIX 18, place Emile-Sotrveslre, 13 Cyclistes... NE PAYEZ PAS UNE ENVELOPPE VÉLO QUELCONQUE DE 14 A 2 0 FRANCS Q.UAND L'ENVELOPPE A TRINGLES MICHELIN SE TROUVE CHEZ TOUS LES BONS AGENTS E T NE SE V E N D Q U E DIX FRANCS MICHELIN NE FABRIQUE QU'UNE SEULE QUALITÉ L'ECHO Compagnie des Paquebots à Vapeur impôts et charges, contenant 19 hectares, 77 ares, 33 centiares DI) FINISTERE Un bon Remède pour la Gorge Cours du B e u r r e — Sr.medi 22 ACCIDENT Pour guérir a'apidement les granula- juillet 280 francs le-; 100 k lo-. Mardi '25 DU FINI8TÈRE MISE A PRIX : 25 000 Francs tions, l'enrouement, la fatigue de la voix, juillet 281) fr. io» 100 kg. FIRE and LIFE les angines, les picotements de la gorge, gprnxywyy^ w y—y itvwrm mnynmmumwn'mm /u/.tn Pour visiter, s'adresser aux fermiers la toux sèche d'irritation, faites usage Le Gérant : IL POCIION. C o n d e P E R T H . E c o s s e ) ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ORDINAIRE et pour renseignements il M" FLEURY. des tablettes du docteur Vatel. — Une boîte do tablettes du docteur Valel est Capital Social : D I X - S E P T M I L L I O N S CINQ C E N T M I L L E F R A N C S «Cl H I I I » ||||«WIWHIII iiaiiiMMu IIWIIWI m igiraBraria'*'« expédiée franco contre mandat-poste do libéré du quart Les Actionnaires de la Compagnie 1 fr. 35 adressé ii H. BERTIIIOT, rue L'uucosmopLlqui de» frérei Stlntdes Paquebots à Vapejr du Einstère Uueph est li mojrea It plui piumini I des Lions, 14, h Paris. ; pour cmtervar «t riUbllr la »uij | sont invités à assister ou h se faire DIRECTION POUR LA FRANCE : 8, r u e M é n a r s , à P A R I S Fondée en 1888 I tortiller let jeu et lei paaplire». représenter à l'Assemblée Générale orPrix da Caoom : B A - u n . 1 i». dinaire, qni aura lieu au Siège Social, î> » ASSURANCES DE TOUTE NATURE 1 Accepterait, sans aucun cautionnement ; J BOUSSt U t. 117, Boulevard de Strasbourg, au Hal ï l ^ n à i vre, le Mercredi 3 0 Août 1 9 1 1 , bons agents producteurs dans le départedu 27 juillet 1911 prampt loulsgemtnt, aatrlna rapid» par 1 C O N T R E j ment du Finistère. à 2 heures 1\2 de /'après-midi. 90 40 ïl 0/0. à Ì LC V«t-<1TA«CK Adresser offres Société Mutuelle Fran3 0/0. !>m y7 45 ORDRE DU JOUR : ANGLAIS, 2 1/2 -81 00. çaise, 77, rue ne l'Hôtel-de-Vil^e à Lyon. 1. — Rapport du Conseil d'AdminisBftESll , 8 9 91 70 tyiat yiu 4e cent tontee d'axJiUoce.eit un remède j ntKMirMav MIT ir ila p*V It (airiMii de toatee let piai ti, pan». tration ; ITALIlilN, 3 3/4 0/0 103 40 Hi, fWwHlu, tntnraa, iltiiurn it ttutti tipica. 2. — Rapport du Commissaire aux RUSSE 1901 95 55 ASSURANCES CONTRE LES Ce toptqae eieelleot t une «fficiclM Incomptrtblt I Mur It (uirteeo det inniurt, latrtuitncti itikêir, \ Comptes ; RUSSE, 5 0/0 1906 106 00 (Lois de 1898 et 1906) 1*9 diti ti ' et II tin/rint. 3. — Approbation des Comptes el RUSSE 4 1/2 1909 10130 h.au. roui.» r«Au 29 septembre prochain, rue du Docffcr». W M.Blèr. d.l' e m Répartition des Bénéfices ; Sous le Contrôle et la Surveillance de l'Etat TUKC uniti* 92 70 plorar. fwr l'iiolr véri Mkl«, H (»1 «llff.r e» teur Le Febvrc, U N E M A I S O N de 4 4. — Fixation du Dividende ; 104 25 JAPON, 5 0/0 1907. OSIMIM nilMi port* It •Cyaal.r« 4-oontr*. ————— 5. — Nomination do trois Adminis 5415 00 act SUEZ pièces, cave et grenier, jardin devant. MIX M MSUAO : A M . — N U N rein I 9 N . M . , trateurs ; 1715 00 Rio nrd VÉRITÉ. Phtrmtde.lO.Rutdt Tnrcnnt, Pirla. On demande des sous-agents pour la région S'adresser à M. Le Bars, 12, place 6. — Autorisation aux Administra1448 00 SOSNOWtCE teurs de passer des marchés ou trai- Cornic, ù Morlaix, ou à M. Manach, 470 00 da BEERS ord tés avec la Compagnie ; 140 00 THARSIS....'. imprimeur il Saint-Pol-de-Léon. Compagnie des Paquebots à Vapeur 7. — Nomination du Commissaire Cape COPPER 1(50 00 aux Comptes. du Finistère Les Directeurs de la Compagnie, ODINET et BELI.EFONTAINE, Directeurs Vincent LARIIEll G. ODINET el C». H â v r e - JVK o r l a i x MORLAIX ASSURANCE Importante Société de Capitalisation HÉMORROÏDES ONGDEST CMMRARD l'INCENDIE et les ACCIDENTS ACCIDENTS DU TRAVAIL A LOUER V E N T E PAR L I C I T A T I O N Bureau îles commandes : 56, Place de la Cathédrale, Nancy. MftBHM JUDICIAIRE Sur baisse de mise à prix Par le ministère de M" FLEURY, notaire à Morlaix r A 2 h. de l'après-midi •ioulYio* du " 1 MAL DE DENTS i fùrcn Que oo* itoti torti Crcu6.1i I wr PILLI CSKESFUSB , C ' Ï S * i Bureau des commandes: 56, Place de \ la Cathédrale, Nancy. 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Journal Régionaliste AR P EN N BED Paraissant indépendant, le Samedi ÉB TARIF DES ABONNEMENTS NÎorlaix, UN AN 3 fr. 5 0 Finistère, Côtes-du-Nord et Morbihan..., 4 »» Autres Départements 4 50 Frais de recouvrement par la Poste 0 f r . 4 0 par abonnement M. Combes et M. Caillaux M, Combes a prononcé un discours à Poitiers, son discours ne serait rien, s'il n'en avait été remercié par M. Caillaux. Il devient ainsi quelque chose comme un discours ministériel. Or, M. Combes a gouverné la France. Et le gouvernement qu'il lança a un nom : celui de régime abject, à moins qu'on ne préfère celui de gouvernement du péril national. Il les tient l'un et l'autre de deux radicaux dont on ne peut nier la compétence en matière d'appréciation des gouvernements. De plus, il a une histoire, celle des fiches, qui désorganisa l'armée au point que M. Rouvier,successeur de M. Combes, s'excusa ainsi dans les couloirs du PalaisBourbon d'avoir subi l'humilia tion de sacrifier son ministre des affaires étrangères aux exigences de l'Allemagne : — Alors, que fallaitil faire ? — Au besoin la guerre. — La guerre !... est-ce que nous avons une armée ? Est-ce que Combesne l'a pas désorganisée ? Dieu merci, le mal est réparé aujourd'hui. Elle est forte et vaillante. Mais le mal n'en a pas moins existé. Et au moment où l'on en avait un besoin urgent, « i l n'y en avait pas », grâce à Combes. M. Combes ne devrait plus compter comme homme de gouvernement. Le plus qu'on pût faire pour son honneur serait d'oublier son passage à la présidence du Conseil. Cependant, il ne veut pas être oublié, et i l parle encore. Son discours, quelque long qu'il soit, est petit, mesquin et misérable. Aucune envolée, aucune flamme ; rien que de la rancune et du venin. Ainsi, il parle contre la représentation proportionnelle. Croyezvous qu'il critique son esprit de justice ! Croyez-vous qu'il prenne souci de l'intérêt du pays ? Nullement, son discours est un discours de mathématicien eu recherche de donner à son parti aux élections une majorité qu'il n'a pas dans le pays. Le scrutin d'arrondissement était le scrutin de la fraude. Il cherche un scrutin qui soit au même degré le scrutin de la fraude. Eh bien ! c'est de [ce discours que le président du Conseil, M. Caillaux, félicite et remercie M. Combes dans la dépêche suivante envoyée de Dinard à Pons : « Vous prie accepter, mon cher président, expression ma plus vive gratitude pour appui que, dans votre fort beau discours avec la haute autorité qui vous appartient, vous voulez bien apporter à mon gouvernement. » Vous avez mille fois raison de penser qu'il entend gouverner pour la France et la République avec le seul concours de la majorité dont vous avez si exactement et si heureusement fixé les limites. » CAILLAUX »». Pour le renom de Caillaux, i l est infiniment regrettable que le télégraphe, expert en sabotages des dépêches de journaux, n'ait pas saboté la dépêche de M. Caillaux, comme il a saboté notamment les dépêches du Gaulois et de Y Eclair. Non seulement il loue le discours de M. Combes, mais il le fait sien ; et il prend des mains de M. Cornbes la « délimitation de sa majorité ». . Mais ne se rappelle-t-il pas quelle fut la majorité de M. Coiubes ? Klle allait de M. Jaurès inclusivement jusqu'à M. Ri bot exclusivement. M. Caillaux veut-il gouverner comme gouverna M. Combes avec M. Jaurès et ses amis et contre M. Ribot et ses partisans ? Alors, qu'il le dise. Et ce ne sera pas long. INFORMATIONS Le brevet d'aptitude militaire M. le Ministre de la Guerre a décidé qu'une session supplémentaire d'examens en vue de l'obtention du Brevet d'aptitude militaire aura lieu exceptionnellement cette année du 25 août au 5 septembre. Tous les jeunes gens pourront se présenter à cette seconde session, môme ceux ayant déjè pris part sans succès aux examens du mois de juillet dernier. Les candidats n'auront qu'à adresser, sans retard, leur demande au commandant de recrutement dont ils dépendent. DIRECTEUR : A. LAJAT Rédaotion & Administration : MORLAIX - 31, Rue des Fontaines — MORLAIX Le premier jour de la maladie, la co- • cinq journées. lombe, à l'heure accoutumée, trouva la Le Souvenir Français fenêtre fermée. Elle battit de l'aile et A l'occasion du quarantième annivergratta du bec, jusqu'à ce que le Pape l'asaire des batailles autour de Metz, des perçut. cérémonies commémoralives, messes, Il ordonna alors à Pio Centra, qui se visite de cimetières, etc., ont eu lieu à trouvait à ses côtés, d'ouvrir la croisée et Metz, et aux environs. A l'assemblée géde quérir un peu de pain. nérale du Souvenir français, le députéMais en vain la main du camérier ten- académicien Maurice Barrés a prononcé dit-elle cérémonieusement à l'oiseau le un littéraire et patriotique discours dont repas quotidien. La colombe vola d'un le passage le plus caractéristique est le trait vers le lit du Saint-Père et s'y posa, suivant : rengorgée et soupirante. « Vous savez qu'en France,, sur tous Le vieillard allongea la main et longles sujets, nous sommes profondément temps, le regard perdu dans les perspecdivisés ; c'est notre vieux défaut national, tives funèbres où lout parait à son plan c'est une maladie dont nous avons touet à son prix, il caressa la bestiole fidèle. jours souffert mais dont nous nous sommes toujours guéris. Quand il y falPaix ou guerre ? lut un miracle une jeune paysanne de Il est impossible de prévoir ce qui sorLorraine s'en chargea. Vive la Lorraine ! tira des pourparlers engagés entre la C'est toujours elle qui rétablit l'unité France et l'Allemagne au sujet du Maroc. française. S'il s'agit de vous, il n'y a plus L'Allemagne continue à montrer des exiqu'un senlimen', une seule voix, un seul gences que rien ne justifie, et parait, peuple. A chaque fois que vous êtes on pour le moment, vouloir limiter sa politicause, nos partis ne disputent plus que que à temporiser... Pourquoi ?... Qu'atpour savoir lequel d'entre eux vous aime tend elle du mystérieux lendemain ? .. le mieux. Monarchistes, progressistes, Son attitude est d'ailleurs blâmée par nationalistes et radicaux ont dans leur toutes les nations signataires de la contradition politique d'être bons alsaciensvention d'Algésiras, sauf l'Autriche-Honlorrains et leurs jeunesses s'en vont chagrie, chez qui le souci de sauvegarder la que année, à l'exemple de la Ligue des Triple-Alliance l'emporte sur tout le resPatriotes, dans une émouvante proceste. Quant à l'Angleterre, elle paraît tenir sion, depuis le quartier Latin, porter des fortement en suspicion les intentions de fleurs à la statue de Strasbourg et à la des disposil'Allemagne et prend statue de notre sainte compatriote Jeanne tions de guerre qui sont très commentées d'Arc. Enfin nos socialistes eux-mêmes en Europe. savent trouver pour vous le mot juste et Sonneries de cloches l'accent vrai et, l'autre jour, j'ai applaudi avec toute la Chambre et de bien bon Le tribunal de Laon vient de rendre un cœur, Jaurès qui, voulant exprimer la jugement fort intéressant sur cette question de la sonnerie des cloches, source de force invincible des liens (pie la nature a conllils sans fin entre l'administration créés entre nous, s'écriait : « L'Alsace et la Lorraine sont comme ces arbres qu'on municipale et les curés de la paroisse. Le maire de Fargniers (Aisne) prenait peut séparer, par une muraille, de la en 1907 un arrêté réglementant les sonne- forêt mais qui, par les racines profondes, ries des cloches. En novembre 1909, un vont rejoindre, sous la muraille de l'endimanche, M. Lorquin, curé, estimant clos, les racines de la lorêt primitive. » que l'arrêté en question portait atteinte au libre exercice du culte, dépassa de plusieurs minutes la sonnerie permise. Poursuivi, le curé fut acquitté par le juge de paix de la Fère, celui-ci admettant que le maire avait outrepassé ses droits. La décision du magistral fut cassée par la Cour suprême et l'affaire renvoyée devant le tribunal de Laon, qui a condamné M. Lorquin à 3'fr. d'amende et aux dépens. Les retraites ouvrières Le patron qui veut remplir les obligations que lui impose la loi a-t-il le droit de faire, contre la volonté de l'ouvrier, une retenue sur son salaire ? Cette question a été examinée au récent Congrès des maîtres-imprimeurs et résolue par la négative, M. Louis Dubois, député et imprimeur, ayant démontré que le patron, en prélevant une retenue quelconque sur le salaire d'un ouvrier qui s'y oppose, commettrait, à moins qu'il ne Autour de la maladie de Pie X soit autorisé par un jugement, une vériLa maladie du Pape Pie X rappelle une table illégalité. anecdoclc touchante qui circulait à Rome l i n jugement du Conseil des Prud'lors de la maladie de son prédécesseur hommes de Marseille vient de confirmer Léon X I I I . cette Ihèse. Il avait à examiner le cas de On sait que le vieux Pontife, sembla- l'ouvrier Crœse, employé à l'huilerie Roble aux saints qui vivaient au désert, berty, qui avait refusé de toucher son saaimait et nourrissait un peuple familier laire de cinq jours parce que son patron de biches et de colombes. lui retenait 15 centimes, représentant sa Tous les jours, à la mémo heure, une p a r t de contribution à la caisse des recolombe venait, comme jadis vers l'arche traites. d'alliance, vers la fenêtre ouverte de la Le jugement spécifie que Roberty ne chambre pontificale, et Léon X I I I suspen- peut légalement retenir la contribution do dant, un instant, les destinées chrétiennes, Croise puisque celui-ci s'y refuse, et il a, de cette main qui bénit et qui tient les en conséquence, condamné Roberty à paclefs émiettait un peu de pain. yer à son ouvrier le salaire intégral de ses La responsabilité des villes dans les émeutes. Les procès qui sont restés longtemps pendants devant le Tribunal de St-Malo au sujet de la responsabilité de la Ville de St-Scrvan dans les dégâts causés à des particuliers au cours de la grève des dockers, reviennent naturellement à la pensée lorsqu'on lit le compte-rendu du procès qui vient de se dénouer à Beauvais. Le maire de cette ville, ayant, un soir d'élections, laissé assaillir et cambrioler le Cercle Jeanne Hachette par une bande d'électeurs du candidat du Bloc, a été appelé en justice pour réparation des dégflts causés. La Ville de Beauvais a eu beau essayer de se justifier, elle a été condamnée à payer au Cercle Jeanne Hachette 137 fr. 75, et, en outre, à supporter les frais du procès. Député fou M. Théron, qui vienf de mourir, fut pendant de longues années, député de l'Aude, dit la Liberté qui ajoute : « Huit années durant, les huit dernières, il ne parut pas à la Chambre, et pour cause : il était enfermé dans une maison de fous, où, assurent ses amis, i l ne se trouvait pas dépaysé le moins du monde. » Il avait l'habitude du milieu. Lui, au moins, avait été mis dans l'impossibilité de nuire, tandis que les autres... » M. Ruau, l'ex-ministre est devenu fou, lui aussi, dans la fréqentation des parlementaires. C'est une épidémie. TARIF DES INSERTIONS Annonces judiciaires ou diverses (la ligne) Réclames (en 3e page) (la ligne) id. (en 2e page) (la ligne) Pour les annonces répétées on traite à forfait Les émeutes de Champagne La cour d'assises du Nord a' terminé lundi soir le long procès des trente-quatre vignerons de l'Aube. Six d'entre eux seulement ont été condamnés à des peines variant de un mois à quatre ans de prison. Les autres et parmi eux le vigneron Lecacheur que l'accusation représentait comme le principal instigateur des troubles, ont été acquittés après de vigoureuses plaidoiries les représentants comme non coupables et soutenant que les vrais criminels n'ont pas été poursuivis. AFFAIR NiNCY Guelet o peuz kredabl ar pez a zo en em bassed e Nancy. Soudardet a zo bet punisset euz 30dcrvcz prizoun evit beza lavaret bonjour da baotred ar Gymnastik. Kaourentin, er C'hourrier, a gav an dra-ze euzuz. Eur gouarnamant pehini a bermett kementze, emezhan, a zo eur c'houarnamant fall. Pell zo ell lavaran deoe'h, Kaour ; beteg-ent e oa klozet o taoulagad, mez brema, martreze, e ligorint da sklerijenn ar virionez. Guelomp brema penaoz e ma an traou. An A. commandant Driant, député euz Nancy, en deuz skrivet da Présidant ar C'honseil al lizer-ma : « Pixéricourt, S Eost 1911. « Aotrou Prezidant ar C'honseil, « Pc guir minislr ar Vrezel a zalc'li er prizoun evit 30 dervez, caporalcd hag soudarded, pere no deuz great torfed ebed, nemed starda an dornda gymnasted katolik, eb kemer peurz en o excrcisou. Bez em euz an lienor doe'h avertissa penaoz c c'houlennin kont deoe'h euz kunduit ar* prefet, pehini, en eur poueza var ideou an officciien, a zo bet kaoz euz an traou euzuz-man. C'houi a expliko iyezdirak ar Gampr penaoz, eiz dervez goude an urziou reud dre bere oa difennet da soudarded Nancy pourmenn gant gymnasted ar Palronachou Katolik, penaoz ela e zeuz gellet lenn e rapport eur regimant deuz ar memez kcar, hag kountrolamant d'an instruelionou roet araok. ar zoudardet a ioa roel dezo aotrealion da vont da gonkour ar Palronachou laïk euz Blamont d'an 13 Eost. Panaoz, officerien, unan anezlio evel rapportour, en deuz gellet kemer peurz d'ar c'hongrez euz ar laouankiz laïk euz Verdun d'ar 6 Eost ; penaoz traou difennet a c'hcll en cm arangi gant ar preskriptionou euz an 8 c'bouevreur 1899 (vol. 31 paj. 79), 27 kerzu 1899 (1). M. n- 68), 3 c'bouevreur 1903 (D. M. n- 1762) hag 23 eost 1910 (H. O. p. 1643) perc a zifen d'ar zoudardet kemer peurz er manil'estationou politik. 0 fr* 2 0 030 040 « 1- A r c'haporal euz ar 23* section euz al labourerien an administration, arreted r u ar Constitution, goude beza lavaret bonjour d'à eur c'hamarad. « 2- A r musicianed Remy a Pèrrin euz ar 37- Infanteri, punised evit beza kaozed gant chef eur société. « 3- Daou sarjant euz ar memez irejimant evit n'on paz beza signaled ar zoudarded. « 4- Ai zoudard Antoine euz ar e 6 compagnunez euz ar 79* regimant. « 5- A r c'haporal infirmier euz ar 109-, e Chaumont. » 6- A r zoudard Frey, euz an 11* compagnunez euz ar 26- regimant. « Ini ebed euz ar zoudarded-ze n'en deuz kemeret peurz d'ar goueliou. Selu aze ar virionez. » Mez red eo tostaat daou zra ; D'ar 1 eost diveza, da lavarad eo an deiz varlerc'h an traou passeed e Nancy, an urz ma a ioa lennet en oïl c'hazerniou euz an 20- kor d'armee : « Én occasion traou passeed, evit pere soudarded a zo bet punis ral a ro da zonj d'ar zc naoz eo difennet dezho kemer peurz d'ar manifestationou politik. » C hec h dervez goude, 7 août, er rapport euz ar 26- Infanteri, e Nancy, e lenner an dra-ma : « Concours gymnastik euz Blamont, 13 eost : Kontrolamant d'an instruc ionou roet beteg-en, hag ispicial evit concours Blamont, ar c'habitened a zo aotrèat, da lakaat var o rapport hanoioa âr zoudardet pere a c'hoantefe koumer peurz er c'honcour. » Ilogen, ar c'honcour a ioa great gant Paolret Laïk an departamalit. Rag-ze ar zoudarded pere e Nancy ne c'hellient ket lavarad bonjour da eur gymnast katolik eb riskl a r prizoun, a zo pedet da vont da goncour Blamont. A r c'hommandant Driant a zo vont da gass dirag ar Gampr ann enkleo euz an traou euzuz-ze. Ann deputeed a zelaouo hag a approuvo ar ministr, pehini a klasko eun bent distro benn ag. A r gentel da echui : ar c'hatoliked euz ar Franz a vezo evel diagen, grea, dezho evel d'an torfetourien. Eur B R E I Z A D . AU MAROC Une nouvelle entrevue a eu lieu à Berlin entre M. Jules Cambon et de Kidérlen-Waechter, mais, comme l'indique la brève note officieuse, suivante, elle n'a aucunement avancé les choses : « Au cours d'un nouvel entretien qui a eu lieu, MM. Jules Cambon et de Kiderlen-Waechter ont continué à rechercher les bases de la négociation. » C'houi a blijo ganeoe'h lavarad d'ar Puisqu'on en est encore à rechercher V r o , pehini ne gomprenn ket, ar les « bases », on est, semble-t-il, loin de c'hem a rid cire ar Societcou, m'ar lafindes pourparlers. Une nouvelle note, communiquée, n'a d'eo evelsc c gonl ar Republik entent al liberté euz ar c'hredcnnou hag éga- fait que confirmer la première. Elle dit : « La note de l'agence Havas sur l'enlité arcitoyenned ilirag al lezenn. tretien entre M. Jules Cambon et M. de « D R I A N T , députe ». Kiderlen-Waechter a provoqué dans lei Ar journal L'EJair de l'Est, en milieux politiques quelque surprise. On eur respont d'annoten euz arministr, considérait généralement que les pourpara lavar : « Ne c'hellomp ket accepti lers franco-allemands étaient plus avanar pez a lavar ar minislr. Rag, eur cés que la note semble l'indiquer. | « Beaucoup croyaient que l'ambasca* vech c'hoaz ni on deuz hanvet : V ( L'ECHO DU FINISTERE .M Ä- deur de France et M. de Kiderlen-Waechter recherchaient maintenant les modalités de l'accord, le principe étant absolument acquis. Or, la note révèle que les bases de la négociation ne sont pas encore définies et restent à trouver. « Les conversations engagées depuis plusieurs semaines n'auraient donc pas de progrès absolument sérieux. On n'a, en raison de la réserve absolue observée au quai d'Orsay, aucune indication sur les divérgencet, qui ont pu se manifester entre les représentants des deux pays, mais il faut vraisemblablement les attribuer à l'insuffisance des compensations accordées par l'Allemagne en face des sacrifices considérables que pourrait consentir la France au Congo. « On espère toujours que l'accord se fera mais cet accord n'est peut-être pas aussi imminent qu'on se plaisait à l'espérer. » Une note de Londres dit également que les conversations seront vraisembla blement longues. Un certain mécontentement se manifeste en plusieurs journaux allemands lassés du mystère dans lequel demeurent les négociations el de leur longueur sans qu'aucun résultat paraisse en vue d'être obtenu. Le correspondant du Temps, ù Berlin dit à ce propos : « On n'en saurait douter, l'opinion pu blique allemande est surexcitée, non pas à cause du Maroc dont elle ne se soucia jamais beaucoup ni coutre la France qui n'est pas responsable de la situation actuelle ; elle esl surexcitée surtout de voir que les espérances qu'on lui faisait concevoir h 1" juillet ne se réalisent pas. Elle estime que tant de bruit n'était pas nécessaire pour annoncer l'ouverture d'un marchandage colonial. « La grande majorité du public comprend aujourd'hui que la seule issue est un accord avec la France, mais elle voit aussi qu'on lui a fait des promesses fallacieuses et qu'on l'a laissée pendant cinq semaines dans cette illusion, en alléguant qu'un strict silence était nécessaire il la bonne conduite des négociations. « Qu'on ne s'y trompe donc pas, le mécontentement grandissant du peuple allemand ne se manifestera pas par un désir de guerre ; il ne menace que ceux quujfiSleyrs encouragements excessifs, l'ont conduit à la déception. » Deux discours : MM. (lombes el Meline A peine la presse avait-elle annoncé que M. Briand allait rentrer sur la scène politique par un prochain discours aux jeunes députés, que M. Combes, pour le devancer, prononçait à Poitiers, le dimanche 13 août, devant le comité radical socialiste de la Vienne un discours véhément contre la politique d'apaisement. Pour Combes, le cléricalisme est toujours l'ennemi, même depuis que le bloc a dépouillé tous les cléricaux... Il pousse une charge à fond de train contre les anciens partisans de la R. P. mais conseille à ses amis de sacrifier, puisqu'il n'est pas possible de faire autrement, le scrutin d'arrondissement. A l'occasion de la fête annuelle du Comice agricole de Thillot, près Rcmiremont, M. Méline a prononcé un discours agricole. Les consommateurs, dit-il se pl.lignent du renchérissement des denrées et surtout de la viande, mais les agriculteurs n'en sont pas responsables, car ils en souffrent autant que les consommateurs. La cause primordiale de la cherté de la viande est l'augmentation de sa consommation, cur il est impossible à la production de marcher d'un pas aussi rapide que In consommation. Il en résulte une crise inévitable. Comme, remède on propose la suppression des droits de douane, mais c'est là une erreur que M. Méline démontre à l'aide des statistiques. Le remède à apporter à la cherté de la viande est d'augmenter la production par l'accroissement de l'élevage. TRAOU Hft TRflOU ALL Var an divroerez » lennet var an divvoerez, ar gouli-ze • ar gcar vraz, a beli, Epad e zervicli 011 deus bel lavarci I a grign hor gouenn. meura dro : « Trist, trist co rankout Abc^ou an divroerez ? Nivcrus ini... Boet i n i bel lioll peli 'zo : en o zouez louecli e karlierou ovclse !... Nag eo ar c'henteliou divrezonek cr skol ; al kaeroc'h va l'arre/, ekreiz armeaziou... lizcri tentus skrivet da garnaradezed Prim fin va daou vloaz ma tizroin ganl Breiziz ha Breizadezed divroet ; di 1... ». hag ar c'hazcrn... Ha breman e kouez c-uiian en loulVar an daou abeg kenln e lavarin lou loucd ha trist-ze ! E galon a zerr ; an ciac lou a zav nebeut a dra. Testeniet mad hag alics co bel pe- d'e zaoulagad... Yan B R E Z A L . scurl sikour d'au divroerien a ro ar vistri-skol divrezonek. 0 c'henteliou dislir a zo mad hepkend'ober luci <lic'hrizicnnet. Evit staga kalon cur bugel ouz donar e gavel, kcntcliou « divar c'horrc » desket cu eun hisloirc Generale bennak a zo distcr. LEURS AVEUX Le « fléchissement de l'esprit républicain » Avant de quitter définitivement la terre Hag al lizeri ? Dre al lizeri e ve ferme pour voguer vers l'Amérique on il va découvrir la grosse galeite, Jaurès a chachct ar muia tud o meaz-bro. tenu lui aussi à constater que, s'il décamEun divroet kouezek mad a skriv e pait, « l'esprit républicain » était bien chanz d'eur c'hcnvroad hag a g m n i g près d'en faire autant. d'ezan kaouteur plas evitati. An afer Voici ce que l'on pouvait lire dans la a vez kasct buhan : ar Brelon, lizius dernière note qu'il adressait de Lisbonne var gcar vraz c leac'h a zo 00 dichanz Y Humanité : var 100 o c'hedal c zianaoudegoz cus « Il y a dans tonte notre vie française un fléchisscménl de l'esprit républicain, traou ar bccl. Breman e loti Irò ar c'hazcrn. un scepticisme inepte el lourd. La llamme Nouzon dare ho dleet co d'in e zou- n'est pas éteinte : mais elle est comme gcn evcl cuti abeg vraz d'an divroerez. couverto «Je cendres. Et si la chaleur qui rayonna jadis du foyer français n'avait Gwir eo, ar voazatnanl da fencartli pas élé si intense que les ellWs en subsisa gaver eno. Concie an inouamant c tent encore, c'est une impression glaciale kreiz l'eneantiz ar c'hazcrn, cui laborii que la France ferait aujourd'hui sur le rer donar bennak, marteze, a guv tenn monde ». kaoni emell eus labouriou pouner eun Les journaux radicaux pourront ajoutiegez. ter cet aveu à la collection des constataMes ar skoueriou a c'hcllfer rei tions ipj'iis nous mtv,lient ces jours-ci evolse a zo lano. d'ani zonj kalz sou- pour nous montrer, à travers l'Europe, le darded a ve klevct o lavarci : « Prim, recul des idées républicaines? -~-~r.fr>.ma 'z in d a r gcar da gregi adarre en alar hag en Irench !... » Eurustcd an duci a c h e l i komz cvelsc ani eus bel gwelcl avict gant Nominations. — Par décision épiscore ali bel ankounac'heal rei d'ezo, palc onl été nommés : Chanoine titulaire de la cathédrale, en gant ar vuez, madou an donar. remplacement de M. Guillard, décédé, M. (Fellout a ra d in lavarci penaos cr Le Roy, curô-archiprêlre de ChAleaulin : pennad-man ne goinzan nemet cus ar Directeur au Grand Séminaire,'M. Le mevelien liek, dizosk var al lenti hag Grand (Corentin), docteur en théologie ; ar skriva, ar peurvuia. E v i l bugalo Vicaire.à Lanrivoaré, M. Gonidoc, surkoucriadcn eno eaz, eun lam scrii/i- veillant h l'Institution Saint-Vincent de kal, pc ouspen, d'ezo, hag a c'Iiall Paul, à Quimper ; cvelsc tuoi o zeli var eur buroo bennak Vicaire à Esquibien, eu remplacement en eur gcar, ar vicher labourer donar da M. Capitaine, démissionnaire, M. Sanc zo re c'hroz, ze 'zo eun dra ententet. quer, surveillant à l'Institution N.-D. du N'eo kel ar " berniou luil-zc " e sel- Creisker, à Saint-Pol de Léon ; Vicaire à Goulien, M. Thépaut, surveillali ottlo, mes ar mevelien liek, an dud lant à l'école chrétienne de Plabennec ; keiz-ze ha n'int kel alo kablus cus o Vicaire à Plonéis, M. Le Iîars, surveilgwalleur pa z coni e kear). lant ti l'Ecole N.-D. de Bon-Secours à N'eo ket koantiri ar c'hcariou a Brest ; c'hall trolla daoulagad otir micheVicaire au Faou, M. Kcrmanac'h jeune rour : an licz kran n'int k e l g r e a l evi- prêtre de Port-Launay ; tali. Micherour c kear, c lojciz ne Vicaire ii Guilligomarc'h M. Le Pemp, c'hallo beza ìieniet en unan eus an surveillant à l'Institution N.-D. du Creisloullou liez-ze, al locliennou-ze eus ar ker à Sl-Pol de Léon. fobourkou hag eo bot rukanet, sur awalc'h, e galon g a n l a r gvvel anezo. Var ar vogeriou etna c'houez ar vizer. NOUVELLES RELIGIEUSES ASSISES N'eo ket, eur awalc'h, cur scuri Oi! FINISTÈRE La quatrième session des Assises du Finislère s'ouvrira h Quimper, le lundi 23 octobre prochain, à midi, sous la présidence de M. Frétaud, conseiller à la Cour d'appel de Rennes, ayant comme assesseurs M. Frclaud-Ducours, président du Tribunal civil do Quimper, et M. Jarno, juge suppléant au môme siège. taolen a c'hallfe clialmi e galon. Ha koulskoudc ez a e kear... Au abeg ? A zo trist da Invaici. Abalamour eur nievel liek a zo demdost red d'ezan elioni paoli- yaouank-koz. Ar goiimaiiaiit a zo mad awalcli — mes hag hi eo ar pez a zo red evit beva grcg ha bugalo ? A l labourcr-mcvel a gav alies n'eo ket awalc'h... ha ze zo eun abeg ma LE GORSEDD DES B.\RDES lavar kenavo d'an douar. Mes ouspcnn 'zo. A l lojciz Dimezct, co red d'ezan klask cuti li d'eri cui loja ha ze na ve kavet gwall alies ncmed er bourkou, hag ar bourk na ve ket bepred hetirch ouz li a r ' i n c s l r . Skuiz goudc eun diveziad labour leun, 2 pc 3 gilomelr a zo kalz cvilari da vont da gouskel d ar gear. Ila c'hoaz an li, meur a wech, no dalv kel nemeur a voniz en tu ali da lochennou ar labourkou. Ear l'resk en deus hepken muioc'h egei loullou liez ar viclierouricn kear. Mes ar micherour ria gav kel an ear l'resk ha yac'hus cui liam stari awalc'h da joni cr vro. — « Da zul c vo kavel am/.cr da vale ar meaziou a lavar-hen d'e hanler-ilicgcz, hag c raiinp pourvizion ear l'resk evit ar resi cus ar ziziin... Hag ouspen muioc'h a voniz a /.¡gasili cvidol hag ar re vihan... » "Nag a bennadou-evit an darn vrasa Daou pc dri dovez goudc an Douar en deus da ouela eim liegez a-bez. ikiantek ho skiantet — n'am eus ket A r penn-tiegez a anavez l'abourk M B H IX & CâRNOET L'Association des druides, bardes el ovales de Bretagne avail choisi celte année l'anlique cité centrale de Carhaix pour tenir son banquet annuel et sa réu. nion privée, cl le lieu historique de SlGildas de Carnoël pour sa réunion plénière publique el ses Jeux lloraux (Cour d'Arthur). I Ces fêles, parfaitement organisées, se sont déroulées avec ordre et onl laissé le meilleur souvenir. A Carhaix, le banquet des bardes avail été servi à l'hêlel de la Tour d'Auvergne. Des toasts Onl élé prononcés par MM. Jos Parker, Jalî'rcnnou, Charles Bcllenger et Lœiz lterrien. A quatre heures, le Gorsedd Kuz s'est assemblé à la salle des l'êtes delà mairie, gracieusement mise à sa disposition par M. Lancien, maire de la ville, auquel des remerciements s rit. volés. Le (îorsedd a examiné les demandes d'investiture pour celte année, qui, nous a-l-on déclaré, sonl au nombre de onze, le plus haut chiffre qui ail été atteint encore. Le collège bardiquo se recrute surtout parmi les lettrés. Toutefois, il oll're aussi un libre accès aux laboureurs, aux ouvriers qui s'intéressent à la Bretagne et sa langue, el plusieurs travailleurs manuels en font partie actuellement. On exige des candidats certaines conditions, parmi lesquelles figure la connaissance parfaite du breton. Lundi matin le petit bourg de Carnoël, perché sur le haut des collines d'Arrhée, était en fêle. Plusieurs maisons sonl, pavoisées. Le« bardes arrivent vers 8 heures du malin el sonl reçus par M. le secrétaire de mairie. A 8 h. 30 binious en tête, on se dirige vers la ferme de Quénéquille, où les bardes vonl revêtir leurs robes et monter leurs quatre bannières, qui seront portées par d'honorables paysans de la commune. Puis le cortège se forme et parles sentiers se dirige vers la butte historique de Sainl-Gildas, d'où l'œil embrasse un panorama splendide, que le soleil du malin éclaire de mille feux. C'est féerique, splendide. La l'ouïe est d-jà très dense et s'augmente à tout instant de nouveaux j arrivants. Toutes les communes voisines ; sont représentées. Il y a là 2.000 specta; leurs,/qu'un soleil de plomb ne va pas 1 décourager. Les photographes braquent leurs appareils, la maiso Pallié preu I des films pour cinéma. Le Grand Druide ouvre la cérémonie parla prière ancienne des druides, puis les cérémonies se dé; roulent devant une foule attentive, symi palliique, parfois émoiionnée. i Les discours bretons surtout soulèvent j l'enthousiasme. L s Bretons, qui n'ont • dans leur langue que les sermons du di( manche, sont heureux d'enlendre ces 3 hommes leur causer en breton des choses nouvelles pour eux. Berlhou fait passer devant leurs yeux la Bretagne ancienne Jaiïrennou leur explique avec force détails l'historique de leur commune'et les événements qui se sonl passés autour d'eux, dans les siècles écoulés. Le Berre, Even, Esnaull, professeur agrégé au lycée de Nantes, causent tour A tour el sonl applaudis. Le public esl gagné : les clianleurs achèvent de conquérir le cœur des assistants par leurs sônes. D'une voix de stentor, le barde porte-glaive de la Guichardière entonne le Salud da Vreiz : lour à lour Daniel Ctocq, Le Rumeur, etc., débitent leurs œuvres. A dix heures, on investit les nouveaux adhérents : Ovale : M. Tillenon, de Lannilis, aidepharmacien à Ronfleur ; bardes : MM. Louis Dujardin, de Saint-Renan, exlerne des hôpitaux : Daniel Bernard (Pôt a C'hap), employé des Postes à Quimper : Louis Gourlet (Bodspern), instituteur libre Landerneau ; disciple : M. Pierre Guédès, cultivateur à ChAleaulin ; liotiorariat : MM. Charles Guennou (Talhouarn), auteur breton à Vilry ; Charles Bcllenger, fondateur de l'Amicale des Bretons du Havre : Louis Escol, propriétaire à Escoullant ; G. Couillec, maire de Carnoët ; Mme Yves Berlhou. l'activité de l'As-ociation des Druides de Bretagne. A V I S Un office gratuit de placement rattaché à la société de secours mutuels entre appelés ou engagés pour la durée normale du service militaire fonctionne au 6e régiment du génie à Angers. Les personnes qui désirent trouver des employés parmi les militaires libérables du 6" régiment du génie peuvent s'adresser au colonel commandant le dit régiment à Angers. Il est désirable que les fofl'res soient très explicites ( références du demandeur conditions el nature de l'emploi, durée de l'engagement à souscrire, époque delà vacance, etc...) Les demandeurs recevront par les soins du président du comité de l'office de placement la liste des gradés el sapeurs qui désirent entrer en relations avec eux ; une lettre de (présentation remise par le comité à ces militaires leur servira de références. STUD-BOOK de la RACE P O S T I È R E N O R F O L K B R E T O N N E A l'occasion des concours de Septembre prochain, le Comité du Slud-Book de la race postière Norfolk Bretonne a l'honneur de rappeler à MM. les propriétaires el éleveurs intéressés, les dispositions suivantes extraites des statuts de l'Association. Admission des Animaux Article 3. — Sont admissibles à l'inscription au Stud Book de la race postière les animaux pourvus de l'origine postière : Sont réputés pourvus de l'origine postière les animaux issus à la fois : 1° Du côté paternel : d'un étalon de l'Etal ou approuvé ou autorisé ; soit de race Norfolk pure ; soit de race postière Norfolk bretonne ; soit de trait léger indigène (mais, dans ce dernier cas, la mère devra être fille ou petile-fille de Hackney pur). être l'animal, l'inscription ne pouna être faite si son signalement ne concorde pas absolument avec celui figurant sur son certificat d'origine. Cette clause est de rigueur. Article 15. — L'inscription des animaux ayant des droits acquis à l'inscription, en raison des dispositions de l'article 4 ci-dessus, se fera sur demande adressée par le propriétaire de l'animal au secrétaire-général du Stud-Book, à Saint-Pol-de-Léon, par lettre recommandée, le comité n'entendant prendre aucune responsabilité pour les envois qui ne lui parviendraient pas. 11 devra joindre à cette demande . I • Le certificat d'origine de l'animal, régulièrement délivré par l'administration des haras ; 2- La pièce justificative de son droit d'inscription avec la mention de la parfaite concordance du signalement ; 3- Enfin, un mandat postal de 5 fr. 35 s'appliquant : pour 5 fr. aux frais de l'inscription exigible pour chaque animal et pour 0 fr. 35 aux frais de retour, sous pli recommandé, du certificat d'origine et du certificat d'inscription au StudBook. II ne sera fait droit à aucune demande d'inscription qui ne serait pas conforme aux prescriptions ci-dessus ¿tablies. Article 6. — A l'exception des animauu ayant des droits acquis à l'inscription, t o u l sujet en faveur duquel l'inscription au Stud Book sera demandée, devra être soumis au jury d'un concours de demisang des circonscriptions de Lamballe ou d'Hennebont. sous la condition que ce concours soit subventionné par l'Etat ou le déparlement. A cel efïet, huit jours au moins avant le concours, le propriétaire de l'animal ou des animaux à présenter devra faire parvenir au Secrétaire général du StudBook de la race postière en la mairie de Saint-Pol-de-Léon la demande suivante : « Je demande à présenter au jury du « concours hippique de (indiquer le lieu « du concours), qui se tiendra le (indi« quer la date), la bête (ou les bêtes) dont « la carte (ou les cartes) est (ou sonD ci« jointe en vue d'obtenir son (ou leurs) « inscription au Stud-Book de la race « postière ». Article 7. — En fait, deux cas peuvent se présenter : Un animal peut être inscrit simultanément pour prendre part au concours local et pour la présentation au Stud2° Du côté maternel : Book, ou bien il peut n'être inscrit que de juments postières ou trait léger, pour la présentation au Stud-Book. primées ou mentionnées dans les Dans le premier cas, le jury décidera à concours des circonscriptions de la fois du classement de !a bête dans ce Lamballe et d'Hennebont subven- concours et de son admission au Studtionnées par l'Etat ou le départe- Book, étant entendu, comme il a été dit ment ; ci-dessus, que les animaux primés ou de mère inscrite au Stud-Book. mentionnés dans les concours du FinisEn outre, exceptionnellement, et jus- tère (paragraphe B de l'article IV ci-desqu'en 1913 seulement, sera réputé pourvu sus) sont admis de droit. de l'origine postière et susceptible d'insDans le deuxième cas, les bêtes seront cription au Stud-Book, l'animal qui : examinées à la suite du concours local né d'un étalon de l'une des catégories par le jury de ce concours qui prononcera ci-dessus indiquées et d'une jument pos- ou rejettera l'admission dans les formes tière, comme ci-dessus, qui n'aurait élé indiquées à l'aiticle XVI ci-après, à la ni prinée ni mentionnée dans les con- majorité des voix, la voix du Président Voici les résultats des concours littécours spécifiés, ni enfin inscrite au Stud- étant prépondérante en cas de partage. raires de 1911 : Book, Article 16. — En vue de l'inscription Chansons. — 1er prix, 10 fr., M. J.-M. aura élé lui-même primé ou mentionné des animaux, dont l'admission au StudLéon, de Pont -Trillen, en Spézel : 2U 5 dans les concours de postiers du Finis- Book est subordonnée à l'examen d'un fr,, M. Yves Daniel, mécanicien à Guintère, subventionnés par l'Etat ou le dé- jury, selon les dispositions des articles gamp ; 3U, 5 fr., M. Louis Le Floch, de partement. IV, V I et V I I ci-dessus, le Secrétaire ArBodilis. Article 4. — Sonl inscrits : 1° De droit : chiviste se transportera dans les localités Lexiques de mois de métiers. — M. Le A . — Les étalons postiers apparte- intéressées et, muni des demandes d'insCam, de Quislinic f.Morbihan/ une ménant ou ayant appartenu aux effectifs des cription et des feuilles d'origine, les soudaille ; M. Jean Cholean, de Vitré, une circonscriptions d'Hennebont ou de Lam- mettra au jury au fur et à mesure des médaille ; M. Louis Le Floc'h, une menballe, comme reproducteurs approuvés présentations. tion. A cel effet, il se tiendra pendant le conou autorisés. Poèmes. — 1" prix, 30 fr., M. Yves Le B. — Les animaux pourvus de l'origine cours à portée du jury, l'avertira au pasBec, cultivateur à Poullaouën ; 2-, 20 fr., postière, ci-dessus définie, qui depuis le sage des animaux pour lesquels l'inscripM. Pierre Guédès, cultivateur à ChAleau- I - janvier 1905 ont été primés ou men- tion est demandée, portera sur un procèslin ; 3', 15 fr., M. Yves Quérou-, cultiva- tionnés dans les concours de postiers du verbal préparé à l'avance les décisions teur ii Plougonver ; 4-, 5 fr., M.Yves Finistère, subventionnés par l'Etat ou le des juges et le leur fera signer en fin Daniel, de Guingamp. déparlement et ceux qui le seront par la d'opération. Ce procès-verbal constatera la parfaite M. Mathews, délégué des Gallois an- suite clans les concours de celle nature concordance entre le signalement de C. — Les animaux issus de père et de nonce que le Gorsedd de Galles offre 100 l'animal et celui porté au certificat d'orifrancs, pour aider au concours de 1912. mère déjà inscrits au Stud Book. Toutefois, l'animal issu de l'étalon gine. Conservé par la suite aux archives M. le marquis de Kerotiarlz, conseiller 1 hackney pur cl cl'une jument ayant, à cha- du secrétariat, ce document y restera général du can on de Callao, annonce par télégramme qu'il donné 50 francs. Des cun des 1•• el 2 degrés, un courant de comme le contrôle et la garantie des sang hackney pur, n'aura droit à l'ad- inscriptions portées aux livres. remerciements leur sonl, volés. Le Secrétaire Archiviste percevra sur mission (]uc si l'ascendant maternel de La cérémonie s'achève à onze heures place, des mains des propriétaires des celle jument au 2~ degré n'est pas luiDans l'après-midi ont eu lieu des jeux chevaux admis : populaires, organisés sous le patronage même un hackney pur. 1- Le droit de 5 francs, par animal, 2Sous condition de l'examen par un de la municipalité et des concours de représentant les frais d'inscription et de lecture brelonno et. de chant entre gar- jury. çonnets et fillettes, qui ont obtenu un Les animaux pourvus de l'origine pos- délivrance du certificat, plus les frais de succès extraordinaire. tière, mais qui n'auraient élé ni primés retour des pièces sous pli recommandé ; 2- (En dehors de la circonscription hipLe lendemain, mardi, des concours de ni mentionnés dans les conditions indipique de Saint-Pol-de-Léon), leur part danses el de chansons onl eu lieu encore quées ci-dessus. des frais de déplacement du secrétaire au p irdondu Pénity. Formalités des inscriptions du Stud-Book (frais qui seront répartis En résumé, l'êtes populaires splendides d'animaux entre eux au prorata du nombre d'ani« et très suivies, qui montrent la vitalité et Article 14, — Si qualifié que puisse •Cf.:- L'ECHO DI) FINISTERE 11 maux appartenant à chacun, les frais à couvrir ainsi ne pouvant excéder les dépenses de voyage aller et retour du secrétaire et une indemnité journalière de 8 francs). Le Secrétaire Archiviste délivrera aux intéressés un reçu provisoire détaché d'un carnet à souches. Il leur l'era parvenir les joursjsuivanls le certificat officiel signé du Secrétaire Général et du Trésorier et versera aux mains du Trésorier le montant de la perception l'aito par lui. Article 8. — Dans les circonscriptions où il n'existe de concours que pour les animaux d'un seul sexe, les animaux du sexe opposé pourront être inscrits pour être examinés, après le concours local, par le jury de ce concours, l'admission et l'inscription se faisant comme il est dit d'autre part. Avis Important En conséquence de ce qui précède, les propriétaires qui désirent, à l'occasion des concours de septembre prochain, obtenir l'inscription d'animaux au StudBook de la race postière doivent se souvenir de ce qui suil : 1• Si les animaux, élant dans l'une des catégories désignées à l'art. IV, ont droit h l'inscription, leurs propriétaires doivent adresser au Secrétaire du Stud-Book à Saint-Pol-de-Léon la demande indiquée à l'art. XV, en y joignant les caries d'origine, un mandat de 5 fr. 35 par animal et si la preuve que l'animal a été primé ou mentionné doit être fournie, une attestation en ce sens, fournie par le Président du concours où la prime ou meni ion a été obtenue. 2• Si les animaux sont dans la catégorie de ceux qui ne peuvent être inscrits, sans passer devant un Jury, les propriétaires auront soin d'envoyer au Secrétaire du Stud Book, à Samt-Pol-de-Léon, au moins huit jours avant le concours, la demande spécifiée à l'art. VI. avec les caries d'origine. Les animaux seront ensuite conduits et présentés au concours, comme il est dit à l'art. VII. Ce concours doit être celui de la circonscription hippique du propriétaire, ou à défaut, au concoui's le plus voisin de sa résidence. Extrait de ta « Bretagne Hippique ». CHRONIQUE LOCALE MORLAIX Arrivée de M. le Curé. — M. le chanoine Kérisil, professeur du grand séminaire, nommé curé-archiprêtre de Morlaix nous est arrivé mercredi matin à 10 heures. Presque tout le clergé,beaucoup de fidèles, un certain nombre de jeunes gens du patronage Saint Joseph attendaient à la gare le vénéré pasteur qui s'est rendu immédiatement à l'église, où étaient déjà rassemblés un nombre considérable de fidèles. M. le curé, après une belle allocution quia fait une excellente impression sur l'auditoire, a donné la bénédiction du T. S. Sacrement. L'installation définitive aura lieu le di manche 27 août, Mgr Duparc, évêque de Quimper, présidera celte louchante cérémonie. l.'Echo du Finistère présenle à l'occasion de son entrée à Morlaix, ses meilleurs souhaits de bienvenue à M. le curé. Un suicide qui n'en est pas un. — Le nommé Le Noan Pierre-Marie, 45 ans, né dans la commune de Plouigneau, est ouvrier cordier. Il habitait Nantes depuis Le Noan, on effet, a quitté l'hospice lundi, à 2 heures. Voilà à quoi se réduit un prétendu suicide. Tribunal correctionnel — Voici les jugements prononcés par le tribunal au cour» de sa dernière audience : Yves-Marie Ménez, 27 ans, inaréchal-l'errant a cassé, élant ivre, les vitres d'un débit: huit jours de prison avec sursis, et cinq francs d'amende ; — La femme Miorsec, ménagère à Saint-Pol-de-Léon, a soustrait à M"1" Cosléou, commerçante, une bourse de toile contenant 35IV., elle donna 10fr. à sa sœur, Mme Le Bihan. La L-mme Miorsec est condamnée à deux mois de prison et sa sœur à deux mois de la môme peine mais avec sursis ; Divers commerçants de Plonévez-Lochrist et. do Lanliouarneau ont été condamnés à 10 IV. d'amende pour détention de faux poids ; — Tanguy Tous, surpris dans les jardins de l'évêché de Saint-Pol-de-Léon, se livrait à des faits contraires aux bonnes mœurs, est condamné à six mois de prison, avec sursis ; Louis Goualcli, 20 ans, de Brest, a outragé les gendarmes : huit jours de prison, avec sursis ; — Etant ivre, Quéguiner, 58 ans, marin pécheur, lira sur sa femme qui lie fut heureusement pas atteinte. Quéguiner est condamné à un mois de prison. Syndical de l'Ameublement. — Sa medi i9 août, à 8 h. du soir, salle du Calvaire, paiement des cotisations. Syndicat du bâtiment. — Les camarades qui n'onl pas encore versé leur cotisation sont prévenus que le trésorier se tiendra à leur disposition, au Calvaire, samedi 19 août prochain, de 8 heures à 10 heures du soir. Mouvement de la population du 9 au 10 Août 1911. NAISSANCES.— Prosper Sannier, fils de Jean-Marie et de Marie-Françoise Madec, rue Longue, 51. — Rose Le Noan, tille de Claude-Charles et de Marie Françoise Paugam, rue Angc-de-Guernizac, 83. — Marie-Thérèse Hélary, fille de Yves et de Alberline-Marie-Désirée Yesques, rue Armand Rousseau, 14. — Louise-Marie Hèlène Belfcc, fille de Jean François et de Marie-Françoise Yvonne Coalarinanai.li, rue du Porsmeur, 9. — Jean Le Jeune, lils de Guillaume-Marie et de Marie-Louise Bizien, rue du Porsmeur, 10. — Jeanne Salou, fille de Jean-François et de Marie-Yvonne Levier, rue Basse, 31. — Jtan-François-Marie Larher, fils de Jean-François et de Marie-Perrinc Ollivier, rue de Brest. — Jean-Joseph-Marie Laurent, fils de Joseph-Charles-Marie et de Jeanne-Marie Plusquellec, rue Basse, 10. PUBLICATIONS DE MARIAGES. Jean Guslave Vérant, notaire, rue de Paris, 7, et Louise-Adeline-Marie Kernéis, s. pi\, rue des Br< bis, 20. — François-Marie Poslic, sabotier, 8, rue des Bouchers, et Marie-Perrine Paul, cuisinière, à Ploujean. MARIAGES. — François-Marie Postic, cordonnier, venelle des Archers, 1, et Marie-Yvonne Coleanap, cuisinière, place du Marhallac'h, 7. — François-Louis-Célestin Laviec, boulanger, rue au Fil, 18, et Jeanne-Pcrrine Kérébel, repasseuse, rue de Callac. DÉCftS. — Marcel Nicolas, 10 mois, rue du Mur. — Joseph-Julien-Marie Labbé du Bourquctdo la Lande Boudan, à Saint-Maurice, Seine, 29 juillet 1911 — Marie Benée Le Gars, 4 mois, rue Longue, 45. — Jeanne-Marie Augustine Le Coz, veuve en 2" noces de Jean-François Le Garree, 73 ans 5 mois, rue des Bouchers, 4. — John Keller, '20 ans, quai de Léon. — Jeanne llamón, 4 mois, rue Longue, 32. — Françoise-Yvonne Thépaul, 1 an 10 mois, impasse Perrot, 38. ~ Emile-Jean-Pierrc Dutartrc, 14 jours, quartier, du Chûleau. — Jean-Marie Résonnet, au Roudour-Huella —Jean-François Prigent, époux de Marie-Perrine Minihy, 31 ans 3 mois, rue de do Paris, 41. MOMISSE» DE MORLAX I 18%. Dimanche, il revint à Morlaix et devait rentrer lundi, comme ouvrier dans une corderie do la Madeleine. Pour fêter son retour, il but oulre mesure avec ses anciens camarades. Aussi élail-il de bonne heure complètement ivre. Dans l'après-midi, il se coucha dans un terrain vague situé à coté du pont de la Madeleine, sur la voie ferrée de Brest à Paris, à 1 kilomètre environ de la gare Pendant son sommeil, il roula sur le bord du talus, haut à cet endroit de 6 mètres environ, et tomba dans le fossé longeant la ligne. SAINT-POL-DE LEON L a Phalange du « K r e l s k e r ». — La grande fêle de gymnastique qu'organise en ce moment la « Phalange de N.D. du Kreisker » et qui se donnera le 27 août dans le magnifique parc de Kerné vez, en Saint-Poi d- Léon, s'annonce très bien. Six sociétés ont déjà promis leurs concours : Les Gas de Morlaix. La Taulésienne. L'Avenir de Brest. Les Gas d'Arvor. Le Stade Lannionnais. La SaintPierre de Plouescat, ce qui fait déjà, en comptant la Phalange de N'-D. du Kreisker, un total de 500 gymnastes. Nul doute que cette fête ne soit des On le releva portant des blessures à la plus réussies. * tète et se plaignait également de vives Nous donnerons dans quelques jours de douleurs aux jambes. Le chef do gare, plus amples renseignements sur cette prévenu, se transporta sur les lieux avec fête. le chef de district et ordonna le transport du blessé à l'hospice, où il fut admis d'urConcours fédéral de t i r . — La pregence. mière séance du concours fédéral des soQuand, le médecin procéda à un exa- ciétés de tir du Finistère a eu lieu dimanmen minutieux des blessures, il constata | che, au champ de tir de la Saint-Poliqu'elles ne présentaient aucune gravité « laine, au bois de l'Ile de >Sieck. A 9 h. 40 et, après un léger pansement, signa la du matin, arrivent nombreuses en gare sortie immédiate du blessé. I de Saint-Pol do Léon, les délégations : la Bresloise, les sapeurs-pompiers de Brest, la Démocrate, les Francs-Tireurs de Recouvrance, les Dernières Cartouches, de Carhuix ; la Morlaisienne, elc. Ces sociétés sont reçues à leur arrivée par le comité de la Saint-Politaine : MM. LeMorvan, président ; Chevalier, directeur du concours ; Pascal Creignou, sous-directeur ; A. Citeff et Sévère, commissaires ; Camus, secrétaire général de la Saint-Politaine et Ménez, trésorier. La musique de la Société, sous la direction de son apprécié sous-chef, M. le Saoul, se place en tôle du cortège, qui défile au milieu d'une foule nombreuse, curieusement intéressée et visiblement sympathique, sur la place du Parvis. Une automobile, mise gracieusement à la disposition du comité par M. Hartvau lils, et des véhicules de tous genres emportent le plus rapidement possible les tireurs vers l'Ile de Sieck. Grftce au précieux concours do MM. Santa-Maria, sous-direcleur du concours et Thébault, membre du jury, tous deux très versés dans ces sortes de choses et dont la diligence et le dévouement sont unanimement loués, tout est prêt pour 1 s recevoir. Immédiatement le tir commence et jusqu'à midi se poursuit avec acharnement. On déjeune ensuite rapidement, mais copieusement à deux pas du champ de tir, sous les sapins, en faec môme de la iner. Le site, vraiment ravissant et le déjeuner très bien servi par Mine Roualcc, aidant, la satisfaction de chacun est complète. Au dessert M. Yves Le Morvan, président de la SaintPolitaine, remercie les tireurs d'êlre venus aussi nombreux Puis le commandant Aymé, président de la Brestoise, prononce un discours patriotique La série des toasts est close par l'aimable et distingué président, de la Fédération, M. de Lé/.eleuc qui, en quelques mois se déclare enchanté des progrès faits par les membres de la Fédération. Voici les résultats de celte première journée. journalière, lorsqu'il s'affaissa tout à coup. Des soins énergiques lui furent i prodigués, mais ils demeurèrent vains, le malheureux avait succombé à une congestion occasionné par la chaleur. CARANTEC relations avec l'Etat, avec les gros conv merçants, etc. M. de Boisanger cite ici quelques faits lécenlsqui témoignent que l'Union des Syndicats agricoles du Finistère est déjà une force avec laquelle on compte. Une Sociélé coopérative d'achat et de vente a été également constituée pour promouvoir les intérêts matériels des syndiqués : achat à bon compte d'engrais, d'huile, de machines agricoles, elc. ; vente de produits de l'agriculture. Iei, encore, M. de Boisanger donne quelques chiffres qui attestent la prospérité de celle Sociélé coopérative tant au point de vuefinancie1" qu'au point de vue des avantages qu'elle procure aux membres des syndicats. Kermesse. — La kermesse donnée dans le beau parc du Roliou au bénéfice de la colonie des vacances de SaintJoseph-du-Bel-Air obtint dimanche le plus éclatant succès. Un temps splendide favorisa la belle installation des bazars, fermes, des comptoirs, des jeux, des cabarets, des théâtres qui tous firent d'excellentes affaires. Les chanteurs, les musiques égayèrent et amusèrent le public nombreux et choisi « Enfin, tout récemment, il a élé fondé qui se pressait dans le parc. Inutile d'ajouter que la recolle fut par- à Landerncau, dans un immeuble acquis ticulièrement fructueuse. Tant mieux par l'Union des Syndicats agricoles du pour les jeunes colons. Ils profileront en département, un bureau central appelé plus grand nombre des avantages que Office centrale des Syndicats agricoles procurent aux jeunes morlaisiens la colo- du Finistère. C'est à cel Office central nie déjà si suivie et si prospère de Saint- que les cultivateurs adresseront leurs réclamations, demandes de renseigneJoseph-du-Bel-Air. Nos plus sincères félicitations aux or- ments, elc... D'autre pari, ce bureau central, représentant l'ensemble des ganisateurs. Syndicats agricoles du Finistère, pourra Accident. — A la sortie et au retour donne;- à l'action commune de ces Syndide la kermesse, la voilure de M. du cats une efficacité plus grande. C'est par Plessis, château de Quéleuec, en Saintlui que les cultivateurs pourront s'adresThégonnec, accrocha un char-à-banc. La ser aux pouvoirs publies et leur présensecousse l'ut si forte que les deux branter les vœux ayant pour objet l'amélioracard de la voiture anglaise de M. du tion de leur sort el la défense de leurs Plessis furent, brisés. intérêts. Il va sans dire que ces Associa Les quatre voyageurs qu'elle contenait tions et groupement doivent se compléfurent projetés à terre mais se relevèrent ter par la création de Mutuclles-bélail, sans avoir la moindre égralignure. Mutuelles-incendie, mutualités qui exisLes dégâls furent simplement matériels tent déjà à Plouézoc'h et qui devront et peu considérables. s'annexer bientôt une caisse de crédit La foudre. — Au cours de l'orage qui agricole. éclata pendant la nuit dedimancheà lundi, « Ces Syndicats s'occupanl exclusivela foudre tomba sur trois villas voisines à ment des intérêts professionnels des culCarantec : La villa Ker-Ody, appartenant tivateurs, les questions politiques en à M. Ody., la villa de M. de la Ferlé et sont rigoureusement exc'ues. En s'apsur celle d'un négociant de Brest. pliquant. à améliorer le sort des travailLa commotion électrique fut vivement leurs, les Syndicats agricoles développant ressentie par plusieurs, mais aucun des chez leurs membres l'esprit de solidarité habitants de ces villas ne fut atlcinl di- el leur font saisir la nécessité de se grourectement. par le fluide. per, de se soutenir les uns les autres l.e matin on constata simplement des pour pouvoir efficacement mener avec dégilts matériels assez importants : che- succès leurs affaires. L'amélioration du minées et plafonds démolis, murs et .clô- sort, des agriculteurs comme ceux de tous tures détériorés. les travailleurs, doit se faire non par la lutte, comme le veulent les socialistes, ROSCOFF Une femme noyée. — Une jeune mais par l'union, l'union des cultivateurs femme de 24 ans, Mme Bertrand, habi- et des propriétaires, de tous ceux enfin tant Paris, en villégiature à Hoscoll', s'est qu'intéressent à quelque degré les questions agricolco. . , noyée en prenant un bain sur la plage. l — — f — e s — tin, un orage d'une violence inouïe a éclaté sur Dirinonet les environs. Pendant plus d'une heure le tonnerre et les éclairs firent rage, tandis que la pluie avait grand'peine à tomber. A Landëmeau, par contre, ce fut pendant deux heures un véritable déluge. II est à craindre que de nouveaux orages surviennent car la température reste très élevée. AVIS U T I L E La gêne respiratoire, l'oppression, l'essoufflement, la touxopiniâtrequi persistent après une bronchite ou une pleurésie disparaissent rapidement en employant la poudre Louis Legras, ce remède imcomparable qui a obtenu la plus haute récompense à l'Exposition Universelle de 1900. Le soulagement est instantané, les complications sont évitées et la guérison définitive survient rapidement. Une boite est expédiée contre mandat de 2 fr. 10 adressé à Louis Legras, Bd Magenta, 139, à Paris. ÏIW M f t M C i r i ï D o f f r e gratuitement de Urt I U U l l o l L U n faire connaître à tous ceux qui sont atteints d'une maladie de la peau, dartres, eczémas, boutons, démangeaisons, bronchites chroniques, maladies de la poitrine, de l'estomac et de la /essie, de rhumatismes, un moyen infaillible, de se guérir promptement, ainsi qu'il l'a élé radicalement lui-même, après avoir souffert et essayé en vain tous les remèdes préconisés. Cette offre, dont on appréciera le but humanitaire, est la conséquence d'un vœu. Ecrire par lettre ou • arte postale à M. VINCENT, 8, Place Victor Hugo, à Grenoble, qui répondra gratis et franco par courrier et enverra les indications demandées. ilcvue Financière Les tendances générales du marché ont été plus satisfaisantes celte semaine. Il ne faut pas perdre de vue cependant que l'amélioration de la cote nest due généralement qu'à des rachats au découvert, provoqués par les meilleurs avis concernant la politique extérieure. I l y a lieu par conséquent de se tenir toujours sur la réserve tant que ne sera pas définitivement réglée la question marocaine. Les mouvements du marché d'ici là ne Concours d'honneur (fusil), au fusil pourront avoir actuellement qu'un caractère purement spéculatif. 1880, série de quatre balles, distance '200 Notre 3 0/0 termine à 94.80 après mètres, classement sur la meilleure sé94.90 au plus haut. Les Fonds d'Etats rie. — MM. Quéran, 30 points ; de Champétrangers, très fermes au début de la semaine, abandonnent une partie de leur savin, 35 ; de Lé/.eleuc, 33 ; Huitric, 31. avance mais n'en clôturent pas moins en Poules d'honneur (fusil), dislance 200 plus values pour la huitaine. Les Bons mèlres, série de quatre balles, classement de Sao-Paulo sont l'objet d'échanges intéressants aux environs de 506. sur les deux meilleures séries. — MM. Meilleure tenue des Etablissements Callarcc, 73 poinls ; Buors, 72 ; Yvenat, de Crédit, la Banque de Paris reprend à 70 ; de Lézeleuc, 70 ; Tanguy, 68-; Ma1740, l'Union Parisienne à 1179. Le Crédit Lyonnais dépasse le cours de 1.500 ; nach, 07 ; Azou, 07 ; de Champsavin, 06. le Crédit Mobilier est ferme à 675 ; la Concours populaire (fusil), distance banque Franco-Américaine se maintient 200 mètres, trois balles, classement sur Telle est résumée dans ses lignes géné- aisément à 520 ; le Crédit Foncier d'AlLe corps a été transporté à Paris. gérie et de Tunisie s'inscrit à 655. l'ensemble des deux meilleures séries. — rales la conférence de M. de Boisanger. Signalons, parmi les valeurs foncières PLOUEZOC'H MM. de Champsavin, 53 poinls ; Buors, M. de Kersauzon remercie en quelques la bonne tenue des obligations 4 1/2 0/0 52 ; Hallé, 52 ; Le Goas, 52 ; Cyrille, 52 ; Intéressante eonférence sur le mots celui qui s'est fait l'apôtre de l'idée de la Caisse hypothécaire Argentine à commandant Ayme, 50. syndiert agricole. — Dimanche 13 syndicale dans les milieux agricoles de 468. Les obligations 4 0/0 Industrielle Foncière se traitent activement au compConcours d'honneur (révolver modèle août, à huit heures du matin, M. de Boinotre région. Ces remerciements, tous tant du marché officiel à 455 fr. L'action 1892), série de quatre balles, distance 20 sanger a donné, dans la salle de la mairie les hommes réunis dans la salle les rati- se négocie vers 545 fr. Les titres de nos grandes Compagnies mètres. — MM. Leizour, 27 points ; Cal- de Plouézoc'h, une conférence sur les fient de leurs applaudissements. Ils com- de chemins de fer ont esquissé un bon larec, 20. syndicats agricoles, M. de Kersauzon, mentent avec sympathie les faits et ren- mouvement de reprise. Lyon 1172; Nord, Poule d'honneur (révolver), distance 20 maire de la commune a présenté le con- seignements cités par le conférencier. La 1600, Orléans, 1230. Parmi les lignes mètres, séries illimitées de quatre balles, férencier aux hommes, relativement nom- conclusion qui en ressort naturellement secondaires, les actions Basses-Pyrénées et Pays Basques demeurent à 257, les classement sur l'ensemble des deux meil- breux. qui étaient venus, malgré les fati- est la fondation désirée depuis longtemps obligations à 179. Auxiliaire de transleures séries, barrage pour les suivantes. gues de la moisson, témoigner par leur d'ailleurs, d'un Syndicat agricole dans la ports, 147 fr. Dans le groupe étranger, les Trazil Railways se tiennent toujours, — MM. Callarec, 67 poinls ; Parriel, 03 ; présence de l'intérêt qu'ils portent aux commune de Plouézoc'h. l'action ordinaire à 264, la privilégiée à Leizour, 57. questions si vitales de la mutualité. Il in503. L'action Quebec Railway est moins bien tenue à 295 de même que l'obligaHôteliers, attention ! — Un indi- dique en même temps le but de la confétion à 459. vidu, se disant officier en congé, fré- rence : expliquer aux cultivateurs ce Valeurs de traction soutenues. Bien quente actuellement les plages de la réinfluencés par la progression des recettes gion ; il descend dans les hôtels les mieux qu'est un syndicat agricole, montrer les ? les T-amways de Mexico s'inscrivent à DIRINON renommés, et, après s'y être fait héberger avantages qu'une telle association pré630 en gain d'une dizaine de points. quelques jours et avoir inspiré confiance, senle pour la défense des intérêts de Nécrologie. — Lundi ont eu lieu, à Valeurs d'Electricité soutenues ; Améil se fait remettre à titre de prèl des l'agriculture. Après cette présentation de sommes d'argent variant entre 10 et 25 cinq heures du soir, en l'église de Diri- ricain Telephone 715. M. le Maire, M. de Boisanger a aussitôt non, les obsèques de M. Morvan, instituEn valeurs sîazières, signalons la' ferfrancs, et disparaît. meté de la Philadelphia C" à 292. commencé sa conférenc . teur el secrétaire de la mairie. Après une L°. marché des valeurs de caoutchouc PLOUNÉVEZ-LOCHRIST « Le syndicat, a-l-il dit, n'est autre longue maladie, il est mort samedi malin « élé assez agilé cette semaine, mais les Sauvetage. — Dimanche, vers 4 h., chose qu'une union ou association de cul après avoir reçu en pleine connaissance dispositions paraissent meilleures en clôPierre Coulm, 14 ans, fils 'le M. Goulm, ture, la Para Marajo reprend légèrement entrepreneur, se baignait sur la plage du tivaleurs fondée en vue de défendre les les secours de la religion. à 6 50 ce qui laisse croire que les ventes Kernic, quand une lame de fond lui fit intérêts de leur profession. » Un discours a élé prononcé par M. sont actuellement terminées. perdre pied. Emporté par le courant très Les valeurs pétrolil'ères font bonne M. de Boisanger, indique alors la fa Déjé, inspecteur primaire. t'orl en cet endroit, et ne sachant pas nacontenance, l'action Naphte LianoroQ ger, il se serait infailliblement noyé sans çon de le fonder, puis, pour donner une M. Morvan élail âgé de 46ans. Origi- s'inscrit à 400 fr. L'action ordinaire l'intervention de M. Martin, sergent du idée concrète et bien facile à saisir de ce naire de La Feuillée, son corps y a été Franco-Wvoming se montre résistante à génie, et L. Martin, mousse à bord du qu'est un syndical, il développe en ter34 50. transporté et l'inhumation y a ou lieu. Magellan. Ces derniers, bons nageurs, se Fermeté à 135 des actions de préféportèrent à son secours et furent, assez mes nets el précis, ce qui a été l'ail jusNous offrons à Mine Morvan nos sincè- rence Drecoil Ltd. Bonne tenue de la heureux pour le ramener sain i I. sauf sur qu'ici dans le Finistère, les résultats qui ì Uni led States Worsted à 469. Les négores condoléances. lo rivage. Toutes nos félicitations. ! dations sont encore très suivies en actions ont été obtenus. L'idée syndicale n'a péL ' o r a l e . - - Après une journée tropi- Prévoyance à 7v)8 Pallié Concert rechernétré que lar iwiin ni dan-, les milieux LOCQ'JÎREO cale. le li mps s'est couvert lundi soir, ché à 125. agricoles du Finistère el particulièrement Le compartiment métallurgique esten Sauvetage. - Samedi dernier, à 3 h. faisant prévoir une nuit orageuse. En reprise. L action Piombino cote 147 cours dans cette partie du département, cù elle de l'après midi, les trois sœurs Le Déan, Agées de 13, 11 et 0 ans, s'amusaibnt sur est, sinon totalement ignorée, du moins effet, entre minuit el une heure du ma- qui, capitalise le litre à 6 0 '0 environ. la grève du Varcli, lorsque, surprises par insuffisamment comprise. Pourtant, dela fnarée montante, elles voulurent regagner le rivage. En traversant la rivière, puis quelques années, cette idée a fait du dont le courant était assez fort, elles per- progrès et, à l'heure qu'il est., on compte dirent pied et se seraient infailliblement 21 syndicats agricoles groupant environ noyées sans la prompte intervention du jeune François Rumeur, 10 ans, qui, en 2.500 cultivateurs. C'est peu encore, , NE PAYEZ PAS entendant appeler au secours, monta étant donné le chiffre de la population UNE ENVELOPPE VÉLO QUELCONQUE dans un canot avec un touriste et arriva du département, mais, en somme, c'est à temps pour sauver les trois baigneuses. DE 14 A 20 FRANCS Les nombreuses personnes qui ont as- un bon début qui fait beaucoup espérer Q.UAND sisté à ce sauvetage ont vivement félicité de l'avenir. Les cultivateurs comprennent le jeune Rumeur et son compagnon. L'ENVELOPPE A TRINGLES de plus en plus l'appui qu'ils peuvent trouver dans les syndicats pour la défense PLEY8ER-CHRIST SE TROUVE CHEZ TOUS LES BONS AGENTS de leurs intérêts. Ceux-ci sont de deux V i c t i m e de l a chaleur. — M. GuilET NE SE VEND QUE sortes : il en est de matériel et il en est laume Gallen, 05 ans, demeurant au de généraux. C'est l'union ou le groupebourg de Pleyber-Christ, travaillait dans ment de tous les syndicats qui a pour MICHELIN N E F A B R I Q U E Q U ' U N E S E U L E Q U A L I T É un champ do blé, près du village de Roobjet la défense des intérêts généraux : sabelec, en compagnie de Mme Cornély, air ÎJÏSSEHMT DE BREST Cydistes... MICHELIN DIX FRANCS L'ECHO Pour guérir rapidement les granulations, l'enrouement, la fatigue de la voix, les angines, les picotements de la gorge, la toux sèche d'irritation, faites usage des tablettes du docteur Vatel. — Une boîle de taLlelles du docteur Vatel est expédiée franco contre mandat-poste de 1 fr. 35 adressé à II. BERTIIIOT, rue des Lions, 14, à Paris. MISE A PRIX : 25 000 Francs DEUXIÈME LOT Les Deux Corps de Ferme Loués à Messieurs Messager et Kerléo, 1.000 francs l'an, plus l'acquit des •impôts et charges, contenant 19 hectares, 77 ares, 33 centiares PHILOUZE ET WAOOINGTON 20, rue Le Pelletier SS Pour visiter, s'adresser aux fermiers et pour renseignements il M0 FLEURY. • • • M W M P M M M i l l l.!H REVUE HEBDOMADAIRE du 12 Août A LOUER Envoi sur demande, 8, rue Garancière, Paris, d'un numéro spécimen et du catalogue des primes de librairie, 26, francs de livres par an). Au 29 septembre prochain, rue du Docteur Le Fobvre, U N E M A I S O N de 4 pièces, cave et grenier, jardin devant. Partie Littéraire S'adresser à M. Le Bars, 12, place Cornic, ii Morlaix, ou à M. Manach, imprimeur il Sainl-Pol-de-Léon. Henri Welschinger, de l'Académie des sciences morales et politiques, La Jeunesse du duc d'Aumale. Lacordaire, Lettres inédites, publiées par H.-Joseph Bézy. Comte de Montbel, Sur les roules de l'Exil : Vienne (II). (Souvenirs publiés par son petit-fils M. Guy de Montbel.) André Lichtenberger, Petite Madame (VI) (fin). C u de Caix de S'-Aymour, « Belgicismes ». Fernand Laudet, Un disciple de Péguy Vincent 1 Etudes de M" DOUGUET, avoué, suc- t cesseur de M" BARAZER DE LAN- , IflMJV LAHUS OGKEftC-USt? , C Î.S* NURI EN, sise à Morlaix, 11, place e Thiers, et de M FLEURY, notaire ! N ffMMi m DIVMK! « w à Morlaix. i Bureau des commandes: 56, Place de Sur baisse de nuse à prix j $ , Par le ministèreàde M» FLEURY, notaire j ç Morlaix H Ï R U ^ t t J l & LARIIER DE DE! 1 r 6 0 llitii : Dij uM it Is Fiesltí dì S é t o êt Pini Bn l'école des garçons de Carantec ÇczidtaUiûâ LE LUNDI 28 AOUT 1911 Iss jcars DE 9 HEURES A 5 HEURES A 2 h. de l'après-midi 15, píaos Thiers — MORLAIX 8tatlon balnéaire de Carantec i « Nul]: JAOO». * rVETÇT \ f/é/rtt tMiila acn /¿riés b ¿M bujutions V.w ¡»«.-finir J Dépôt à Morlaix : Pharmacie A. 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Langoueznou lui érigea en 1360 sur le bord de la mer une chapelle qui fut détruite pendant les guerres religieuses el rebâtie en 1645. Nous donnons in extenso (voir le lexte original en note) la traduction des deux passages que D. Noël Mars a consacré à ces faits : « Salaiin ou Salomon, bien qu'il n'aie pas été moine profès, doit être compté parmi les alumni de Landevennec. Né dans le pays de Léon, il mena dans la forêt de Lampigou près de Landevennec une vie dure et presque semblable à celle d'un fou. Quand la faim le pressait, il mendiait son pain aux paysans du voisinage, et quand on le lui avait donné, il le trempait dans l'eau limpide. Jamais il n'interrompit cette manière de vivre, il s'adonnait continuellement à l'oraison, supportant pareillement les rigueurs du froid et de la pluie. Ainsi passant pour fou, il mourut vers l'an 1360 dans celte même forêl auprès de la fontaine et de l'arbre courbé près duquel il demeurait. Les miracles qu'il opéra firent qu'on lui érigea (en ce lieu) une chapelle en l'honneur de la Sainte Vierge ». En intitulant ainsi les lignes «pu suivent, nous n'avons nullement l'intention de jeter le discrédit sur un vénérable pèlerinage qu'on peut dire j sans exagération être national pour j les Bretons, mais d'étudier un point j d'histoire qui mérite d'être éclairci. I Tout le monde connaît la légende i de Salaiin ar Foll, le fou du bois, ou i prétendu tel, qui après avoir mené 1 une vie obscure et méprisée fut glori- ! fié après sa mort par la Très Sainte Vierge, car selon Albert Le Grand : « Dieu fil naistre sur sa fosse un Lys blanc, beau par excellence, lequel répandait de toutes parts une forte agréable odeur ; et ce qui est plus admirable, c'est que dans les feuilles de ce Lys esloient écrites en caractères d'or ces paroles : Ave Maria. Noua ne contestons nullement la réalité du fait, mais, où s'est-il passé ? Albert Le Grand et à sa suite tous les historiens qui se sont occupés du Folgoat n'hésitent pas un instant et répondent : « Dans la paroisse de Guic Elleaw, près Lesneven ». De fait ils ont pour eux à défaut d'autres arguments l'existence dans cette paroisse de la merveilleuse église au Folgoët. Albert Le Grand Ailleurs Dom Noël Mars ajoute : nous dit : Celle histoire esl prise de René Benoist en sa légende, laquelle Jean I I I de Lantgouesnou construisit il a tiré d'un extrait authentique tiré la chapelle de Ste-Marie du Folcoat du manuscrit original, à luy envoyé dans la forêt voisine du monastère et par feu Rolland de Neuf ville, evesque il y déposa le corps de Salaiin en de Léon et Abbé de Aient fort partie l'année 1360(1). Le bois de Lampigou nommé ainsi aussi des mémoires manuscrits de dans un acte de procédure de 1477 Messire Yves Le Grand, chanoine de est celui qui porte aujourd'hui le nom Si-Paul de Léon, Aumosnier et Conseiller du duc François II te tout de Follcoat entre A r g o l et Landévennec. La chapelle mentionnée par Dom rendu conforme aux Annales de BreNoël Mars, se trouve dans ce bois, tagne. dans la partie qui appartient à LanLe manuscrit original dont parle Aldévennec. bert Le Grand n'est autre que l'histoire Nous avouons pour notre part qu'en du B. Salaiin écrite en latin par Jean présence d'un texte aussi précis, écrit de Langoueznou abbé de Landévenpar un homme aussi sérieux que D. nec et dont M. de Kerdanet publie Noël Mars (2) qui avait à sa disposiune paraphrase française. L'original était en latin et est mal- tion pour se renseigner tous les titres heureusement perdu. — D'après la authentiques conservés à l'abbaye de paraphrase, Salaiin « allait mendiant Landévennec, il ne nous paraît pas de porte en porte par les villaiges de possible d'hésiter. On doit tenir historiquement pour Lesneven » et tenait sa résidence hacertain que Salaiin vécut et mourut bituelle auprès d'une fontaine éloignée dans le bois de Lampigou près Lande la ville de Lesneven d'un quart de dévennec. lieue. I l y serait mort et y aurait été Mais comment alors dira-t-on, le enterré. pèlerinage s'est il établi à Lesneven? Ainsi donc d'après cette paraA cela on peut répondre qu'il n'y a phrase, aucun doute sur ie lieu de la rien d'extraordinaire puisque Salaiin mort et de la sépulture du B. Salaiin. Malheureusement ce n'est qu'une pa- ! de l'aveu même du P. Mars était oriraphrase et comme par ailleurs aussi i ginaire du pays de Léon. I l e.-.t probabien qu'elle, le reste de la légende at- ' ble que ses parents qui l'avaient suitribuée à René Benoist fourmille d'er- ! vaut la tradition méprisé et chassé comme fou, lorsqu'ils apprirent la reurs, en ce qui concerne notamment manière dont la Vierge avait glorifié la fondation de l'église, il s'ensuit son lombeau, voulurent réparer leur qu'elle ne saurait obliger à une créance faute, et honorer Salaùn d'une layon absolue. particulière. N'est-il pas extraordinaire d'ailLesneven n'est pas le seul pays qui leurs, que le prélat qui vient constater ait élevé des monuments en de pareilofficiellement le miracle n'est pas comme cela eut dù être naturellement d'après les lois ecclésiastiques, l'ordi(li Salatìn rei Salomon, etsi monaslicus naire du lieu, en la circonstance, niinlime prolessus, I.andevenecensibus tal'évêque de Léon, mais le supérieur men aluninis accensiri debet. ls, in Leod'un monastère assez éloigné Dom riensi tractu natus, in l.ampigovensi sylva I.andeveneco proxima asperain et prope Jean de Langouesnou abbé de Landé- modo amenti similis vitam egit. Cam urvennec ? Or, il existe une autre tradi- lerei. laines panein a vicinioribus rusticis tion, ou plutôt il a existé une aulre crude postulabat, acceptumque aqufl limtradition, car à l'heure actuelle elle pida integebat. Quaiu vivendi consuetuilinem nunquain interniisit, orationi semest bien oubliée et a été omise par pcr vaca bai, frigoria et imbrumi œque tous les historiens récents, c'est celle patiens. Sic prò fatuo l'unctus in cadem [ui fait vivre el mourir Salaiin dans sylva prone fontem et iutlexam arborem e ressort de la juridiction de Jean cui assidebat mortuus circiter anno 1360, niiracuìisque rcs erigendo in honorem de Langouesnou, aux environs même Deiparae Sacello occasione™ prœbuit de Lanclévennec. » Sncellum 15. Marito de Follcoato in sylva Comme nous l'avons dit plus haut inonasterio vicina construxit Johannes III nous n'avons plus le texte original de de Lantgouesnou, ibique Salaunis corpus Jean de Langouesnou, et il n'y aurait deposuit sub anno 13G0. » (2) I). Noci Mars, religieux bénédictin, rien d'impossible que dans la parade Marnimi lier, passa su vie eu Bretagne, phrase qu'on a faite de son œuvre on où il organisa la congrégation de Bretay ait introduit, de bonne foi peut-être, gne, fondue depuis dans celle de Sl-Maur.. au prieuré ieut-être aussi pour les besoins do Il mourut en odeur de sainteté 0 a cause, des précisions topographi- de Lehon, près Dinan (XVII siècle). (Su vie se trouve dans le recueil des Vies dos ques qui ne s'y trouvaient pas et se- Saints de Bretagne de D0111 Lobincau et raient en réalité inexactes. dans la réédition de l'abbé Tresvaux). ? { DIRECTEUR Rédaction & M O R L A I X - Samedi 26 Août i Oli NUMÉRO 5 CENTIMES HEKLEO ABONNEMENTS LE VÉRITABLE FOLGOÀT ? L aura 31, R u e : A. AI Paraissant LAJAT Administration : des F o n t a i n e s — MQFtX,A.I25: les circonstances. Une preuve qui milite encore en faveur de Landévennec est l'incertitude qui règne à Guic Elleaw sur le lieu de sépulture du bienheureux ; les uns le voient si Lannuzien sur l'emplacement de l'ancienne église d'Élleslrec, les autres ailleurs. Dans le récit de D. Noël Mars, concorde, il n'en est pas de même du récit d'Albert Le Grand qui est pris plusieurs l'ois'en flagrant délit d'erreur. j En somme, tout milite en faveur de co que dit la P. Mars, la tradition du 1 pays, la topographie et même la dis- j cipline ecclésiastique. Nous croyons i donc que sans nuire au pèlerinage du i Folgoat i l faut rendre à la Cornouaille ; une gloire que le Léon a peut êlre j un peu trop accaparée à son profit. Si i Salaiin fut Léonard, il vécut et mourut en Cornouaille et selon toutes probabilités, il serait facile d'y retrouver son tombeau. A. L A J A T . Ar bobl a zo eia tromplet. Kredi a ra gouzout eun dra bennag, ha ne c'hoar nelra. Goud a ra ebken, penaoz ar Vro a zo en dat'jcr ha penaoz miüistred lnig ambassadeur a c'hoari ga.nl an danjeiv Epad e ma ar minislred euz ar Republik en eur gampr du prennet gant teir zro aie houez, an allemanted a lavnrdcomn nr pez a sonj ganlho. Lod a zo fier •jttword-Rtisso Aliemanl, hag a laV'ir penaoz kemenlze a reio eun dra bennag var ar pez a reio gouarnamant ami Alìemagn evii ar Maroc. Lod ali, a gar fall ann accord-ze. Lavarad eo, eoredela kemer deuz koste/. ar Frari5 ar pez a zo bel kollet deuz koslez ar Russi. Oli goulseoude a zo laouenii, enn eur gemer croc'hen a ouvz. Ni eo, an ourz. Goude ina ve dispazed ar Republik da gufi c'hoaz, ne c'hell ket rei ar pez a c'houtannei- digahlhi. An affair-ze, conduci ken l'ali, pelimi a lavarer lost da veza arranjel hag pehini n'eo ket c'hoaz kommancet ; pehini a seblante seilet ouz Agadi, hag a deu da gemer ar vuez eur eul lodenn vraz euz ar bed ; a laka an Europ nec'het. Buez ar FratiQ a zo vont da veza decidet, hag e kavermad lavarad dezhi evit e tranquillad : Nelra da lavarad » Eur BREIZAD. NETRA DA L A V A R A D An A. Jules Cambon, ambassadour ar Franç e Berlin, a zo dizroet deae'h da Bariz, evit profita euz arc'honje accordet dezhan gant gouarnamant ann A'lemagn ; rag, e guirionez, ar gouarnamant euz Berlin en deuz roet dezhan da entent en devoa ezom en tam repoz evit e iec'hel, an dra-ze a ioa eur fessomi da rei konje dezhan. Gouarnamant Pariz en deuz sillet ar bermission, hag ouspen-ze e felle dezhan kaozeal gant adversour an A. de Kiderlen-Walcher, hag klevet ar inarvaillou. Pa vela/, en dro dezhan an oll gaselenerien, an ambassadour a chôma/, peoc'h. Ne responlaz nemed eun dra : « Ne meuz nelra da lavarad ». Ilogen, petra en deche lavared, peguir ar c'houarnamant ne fell ket dezhan kaozeal ? Beza sioul ! Selu aze kenta dey er eun ambassadour pehini en deuz desket e vicher. Er memez amzer, sonjal a ra penaoz beza sioul a zo eur verluz vraz. Rag-ze chomet eo peoc'h, senlet. en deuz. Er c'honlrol, ar bobl a gommanç beza skuiz en eur velet ar c'houarnamant o c'hoari da guz. Coulkoude, minislred ar Republik, o deuz lavared meur a vech, penaoz ganl ar c'houarnamant on deuz, an traou oli a veze great a vel d'an oli, n'oa netra kuzet, hag ne c'heller kuzat nelra. Hogen, hirioo velomparc'honlrol. Ar bobl a selaou a zeli, à c'hortoz. Ne glev neita, ne vel nelra, 11e gompren ne Ira Cornmanç a ra comprenn e rear goap anezhan. Lavared oa bed d'ar Bobl, penaoz an traou a ie mad, hag, eun dervez bennag gou le, e lavarier dezhan, penaoz an traou 11'a oanl kel commande!. Etouesk an dud ne greder netra, ne c'heller kredi netra jsje c'heller ket comprenn penaoz daou zen, karget da arrangi an affair, hag egomet epad daou miz hanter en eur /.all. no deuz ket gellet kaozeal. Ar c'henta tra da ober oa gouzout var pelra lisput ? N'<> deuz ket er great Eur gazetenii a lavar : I o Penaoz ec'li anavi zo aun Alìemagn guiriou ar Frane er Maroc ? 2° Petra roio ar Frani;? E pe/.a Bro e vezo cheinchet an douarou ? Ar meniez journal a lavar penaoz n'euz bet ger ebed var kemenlze, e Berlin. Neuze petra zo bet lavarci ? Var bel,ra o deuz kaozeal epad keit amzer ? Kredabl o deuz bel kaozeal divar benu ar Maroc, kredabl ? An A. Cambon ne lavar nelra, hag ne c'hell lavarad nelra, peguir dre urz, eo bet klozet e c'hinou d'ezhan. Ar minislred a ra an affairiou. Galoupad a reont gant o Yoituriou dre dan ; a lavar d'ar journalislcd e ve/.int slard, me/, agreabl ! Inútil goulenn muioc'h ; na livirint netra. Oil Broiou an Europ, a c'hoar pelra a sonj ar minislred. Ar Franç, na c'hoar netra. Ooulscoude ar Republicaned o doa lavared penaoz ar Bepublik a ioa gouarnamant ar Bobl. Ar Bobl a vez laosket e kichen an dor. * Ar minister a laka kana meuleudi dezhan gant conseillerien an deparlamantchou. Evelze en deuz 1111 ear da guout skoazel ar Bobl. Me/., goude ma ve guir keinentze, ar pez a lavar ar Bobl n'eo nelra, pe guir tie oar netra ha peguir minislred hag ambassadour a zo accord evit lavarad netra dezhan. Setu eta approu' ved eur politili dalc'het kuzet, er moment memez ma lavarer n'euz bet kaozeal euz , netra e Berlin, hag 11e c'hellier decidout 1 netra, peguir n'euz bet disputet var netra. LA CROIX ROUGE AU MAROC Une équipe de douze infirmières de l'Union dos femmes de France, composée de Mmes Beau l'égard, infirmière-major, Galliano, Marlin, Mlles Azemar, Bals. Bonnard, Dublin, Daligny, Houssaye, de Joanni-, Pinard el Serres est partie de Marseille, lundi malin sur le Vinh-Long pour aller remplacer à Casablanca b pre mière équipe dirigée par Mme Jacques Feuillet qui, depuis quatre mois, prodigue des soins à nos soldats. Ces dou/.es Françaises emportent avec elles soixante dix caisses contenant du lait, du labac, des vêtements chauds, des chemises des vins réconfortants, des jeux, des livres, etc. Les comités de Lille, Angers, et Caen participent à ces envois pour une valeur de cinq mille deux cents francs. RETRAITES OUVRIÈRES Le tribunal civil de Limoges vienl de décider qu'un instituteur en fonctions, lorsqu'il était en môme temps secrétaire de Mairie, devail être considéré comme un salarié de la commune el inscrit en celte qualité sur la liste des assurés obligatoires du lieu de sa résidence. Cejiigenie.nl. a élé rendu ¿1 la requête de M. le Préfet de la Haute-Vienne interjetant appel de la décision d'un juge de paix tl>- ce département qui avait statué dans le sens île la négative. CASTlGATEUR ORTHOIWATIQUE Les Américains sont gens pratiques. Ils viennent, paraîl-il d'inventer un merveilleux instrument desliné à corriger les enfants terribles. L'appareil s'appelle le « casligaleur orIhornulique. » Voici sa descript ion exacte : « Le casligaleur orlhoinalique se compose d'une, chaise qui agrippe le délinquant dès qu'un l'y l'ail a s oi-'; un svsleiri" de coulisse e panneaux délimite exactement la poriion de son « aunlouiie » sur laquelle on doit opérer, et un mécanisme très précis règle, le nombre et l'intensité des coups que lui administre un rotin de la plus grande souplesse ; en même temps, un phonographe Edison lui dévide des maximes morales, reproches, exhortations, etc., le tout à un diapason assez aigu pour couvrir les cris du coupable. .. ou du patient. » Le traitement esl efficace, dit-on. Une mère a écrit ù l'inventeur que depuis qu'elle a confié le postérieur de ses enfants au merveilleux appareil, sou home est devenu 1111 petit paradis Est-ce qu'on 11e pourrait pas doter le Palais-Bourbon d'un « casligaleur orlhomaliquc » ? La RÉPARTITION des CLASSES La classe 1010 devant êlre appelée sous les drapeaux du l " au 10 octobre prochain, le ministre de la guerre vient d'arrêter comme suit la répartition des classes : Armée active : classes 1910 et 190'.). Béserve de l'année active : classes 1908, 1907, 1906, 1905, 1904, 1903, 1902, 1901, 1900, 1899, 1898. | Armée territoriale : classes 1897, 18%, • 1895, 1894, 1893, 1892. Béserve de l'arrive territoriale : classes 1891, 1890, 1889, 1888, 1887, 1886; î En conséquence, à partir du !•• octo- le Samedi TARIF DES INSERTIONS Annonces judiciaires ou diverses (la ligne).... Réclames (en 3e page) (la ligne) id. (en 2e page) (la ligne) Pour les annonces répétées on traite à forfait bre prochain, tous les hommes de la classe 1885. c'esl-à-dire nés du 1" janvier au 31 décembre 1865, ou marchant avec la ..-lasse 1885, seront dégagés de toute obligation militaire el délinitivement rayés des contrôles. LBS ÂBBOISfeS M USIIE Un conflit s'est élevé récemment entre les exploitants des ardoisières de Bretagne et le service des mines dont les contrôleurs, après la catastrophe de Guernanic, en Gourin (Morbihan), durent, dans l'intérêt de la sécurité des ouvriers, supprimer toute tolérance dans l'application des décrets el arrêtés préfectoraux réglementant ces»exploitations. Un certain nombre de procès-verbaux furent dressés et quelques exploitants envisageaient la nécessité d'abandonner leurs carrières pour échapper à la ruine. Or, l'industrie ardoisière fait vivre plus de 800 ouvriers, y compris les tendeurs, dans les cantons de ChAlcauneuf, Iluelgoal, Pleyben, Carhaix (Finistère), Gourin, Malestroit, Ploërmel (Morbihan), Maël-Carhaix (C.-du-N.) La situation était donc critique ; pour, y remédier dans la mesure du possible, M. Augagneur a élaboré un projet dont voici les dispositions essentielles ; Les préfets, sur la demande des exploitants et sur le rapport des ingénieurs* des mines, auraient la faculté de dispenser les exploitants de tout ou partie des prescriptions des arrêtés réglementaires dans le cas où i l serail reconnu que cette dispense ne peut avoir d'inconvénient. Les exploitants pourraient constituer sur des bases analogues à celles des propriétaires d'appareils vapeur, avec l'agrément des préfets, des commissions locales qui coopéreraient avec le service des mines cl les délégués ouvriers à la surveillance des carrières des circonscriptions. Des délégués à la sécurité des ouvriers mineurs seraient créés dans celles des ardoisières qui, à raison de leur nature ou de la manière dont l'exploitation y est conduite, présente de véritables causes de dangers. Le projet vient d'être communiqué aux exploitants d'ardoisières. Ofr.20 0 30 0 40 La note confirme en même temps cerlains des bruits qui avaient été lancés, tels que celui présentant l'Allemagne comme réclamant une étendue considérable du Congo et n'offrant, en échange, que des déclarations vagues en ce qui concerne le Maroc. Abaissera-t-elle ses prétentions au Contso ? Accordef-a-t-elle des précisions au Maroc ? Y aura-t-il. autrement dit, possibilité d'un traité honorable pour les deux parties ? C'est le secret de 1 avenir, mais, si l'Allemagne n'a pas d'idée de derrière la lèle, on peut assurément espérer qu'il en sera ainsi, puisque le terrain des négociations esl, en fait, délimité. Eu attendant, des manileslations socialistes ont eu lieu à Berlin et à Santander (Espagne) pour protester contre toute idée d'un confit armé au sujet du Maroc. On continue néanmoins, tant en France qu'en Allemagne, à prendre ou à préparer toutes mesures utiles de précaution. Un entretien, qui n'a pas duré moins de trois heures, a eu lieu à Paris entre MM. Caillaux, président du Conseil, de Selves, ministre des Affaires étrangères Messimy, ministre de la Guerre, Delcassé, ministre de la Marine, Cruppi, ministre de la Justice, qui fit, pendant quelque temps, l'intérim des Affaires étrangères ; à cet entrelien ont pris part MM. Jules Cambon, ambassadeur à Berlin, Paul Cambon, ambassadeur à Londres, et Barrère, ambassadeur à Rome. Le secret le plus absolu a été gardé. Du Maroc, le Morning Post signale que que la situation serait sérieusement troublée dans l'hintërlànd (TAgedir, notamment à Taroudant. Plusieurs points de cette ville auraient été occupés par des centaines de Haouara après de vifs combats avec la garnison marocaine et au cours desquels il y aurait eu 46 tués. Les quelques européens se seraient réfugiés dans la casbah du gouverneur. Dans la région des Zaers, une avantgarde de troupes du général Moinier a eu un vif engagement avec des rebelles qui ont élé mis en déroute, mais le goum algérien du capitaine Fournier, qui a soulenu le principal ellort du combat, a eu 4 tués el 5 blessés. UN VOL AU MUSEE DU LOUVRE Un des tableaux les plus célèbres du monde entier, la Joconde. qui est considéré comme le chef-d'œuvre de Léonard de Vinci, a disparu du Louvre. On s'est aperçu avec stupeur mardi malin, en ouvrant les portes du salon carré que ce tableau précieux qui avait été encadré il y a quelques années dans un admirable bois scuplé, n'occupait plus la place d'honneur où il trônait précédemment dans le panneau central, M. Dujardin-Beaumetz,sous secrétaire d'Etat aux Beaux-Arts, qui était dans le Midi, a élé aussitôt avisé par télégramme, a pris de suite le train pour PaOn a enfin une clarté sur la situation ris. D'autre part loute la Sûreté généexacte des pourparlers cnlre la France et rale a été mise en mouvement pour rel'Allemagne. Celle clarté est donnée par trouver le tableau qui est peint sur bois la note Havas suivante qui, pour la pre- et mesure 90 centimètres de hauteur sur mière fois, expose officieusement, en ses ; 70 de largeur. Mais jusqu'à présent les agrandes lignes tout au moins, la silua- ! gents de M. Lépine m ceux de M. Hamard lion. ¡ fi.uni trouvé une piste sérieuse, malgré « M. Jules Cambon regagnera son poste ' les recherches minutieuses effectuées ¡1 Berlin veis la liu du moi-«, pr buble- 1 dans tout le musée pendant que soixante 111 nt vers le 28 août. D'ici .à, il aura plu- inspecteurs de la Sûreté veillaient sur les sieurs conférences avec le président du toits. On ne sail même pas au juste quand Conseil, le ministre des Affaires étrangè- le tableau a été enlevé, sinon que c'est res et le ministre des Colonies, au sujet dans la journée de lundi, pendant laquelle des pourparlers en cours avec l'Allema- le musée est fermé au public, ou dans la ,r nuit de lundi à mardi. Le ministre de la nc. ° « Sans pouvoir préjuge!" du résultat <h Justice, le procureur général, etc., se ces conférences, et des résolutions aux- sont rendus sur les lieux, et une enquête quelles s'arrêtera finalement le gouver- est ouverte par le parquet où le sous-senement, on a cependant, dans les mi- crélaire d'Etat aux Beaux-Arts a déposé lieux politiques, l'impression assez nette une plainte contre inconnu. On n'a trouque la conversation engagée entre M. vé jusqu'à présent, abandonné au pied du Jules Cambon efM. de Ividerlen1 Waech- grand escalier, près de la Victoire de Sater est appelée, en dépit des difficultés molhrace, quelecadredu tableau disparu. Ajoutons que la « Joconde » est le porprésentes, à recevoir une solution satisfaisante. Celle solution, il est vrai, dé- trait de Mona Lisa, femme d'un citoyen pend d'une double condition : d'une part, de Florence qui vivait au commencement que les droits de la France au Maroc, du 17. siècle. Léonard de Vinci y travailla soient nettement reconnus par 1 Allema- dit-on, pendant quatre ans. Mona Lisa est gne, cl que la situation soit à ce point de réprésenlée de 3/4, assise dans un i'auvue définitivement réglée, de laçon a évi- • leuil, les deux mains croisées l'une sur ter toute complication nouvelle dans i l'autre ; un voile léger, retenu par un fit l'avenir ; et que, d'autre pari, l Allema- de soie, passe sur le front, recouvre le gne réduise ses prétentions en ce qui derrière de la tête et tombe sur les épauconcerne l'étendue de territoire qu elle les par dessus les cheveux bouclés. Ce a été acquis de l'artiste par Franréclame au Congo, prétentions qui parais- tableau çois l or , au prix de 120.000 livres. sent encore manifestement exagerees ». Cette note, comme on le voit, ne cache pas les « difficultés présentes » ; elle ind i q u e nettement la double condition qui peut permettre d'arriver à une solution Des difficultés persistent pour la satisfaisante, mais elle émet l'espoir que, malgré les « difficultés » 011 arrivera a reprise du travail sur les voies fercelle « solution ». AU MAROC Les Grèves Anglaises L'ECHO DI) l'hôtel do ville, vin d'honneur oiTert par ; neurs des environs de Paris, tierce oppola municipalité; à huit heures : ouverture sition a été formé contre lui : la cause des approvisionneurs sera donc exposée, solennelle du congrès salle Léosl. La Pro- à son tour, devant le haut tribunal. Mais il était urgent que les approvisipagande Bretonne, eonférenee par M. onneurs (le Bretagne s'associassent à René Roy, contrôleur général de l'armée ceux des environs de Paris. II fallait en retraite. Les Mages d'occident, poème qu'une solide organisation leur permît de par M. de la Guichardière (Telen Aour), le fallait. Il a donc été décidé à Saint-Pol-deChomomp bepred Bretoned, conférence Léon qu'un Syndicat seiait immédiatebretonne par M. A. de Carné (Barz an ment constitué entre ceux dont les intérêts personnels et l'existence môme sont Arvor). Concert breton. mis en jeu par l'arrêt du 7 juillet, c'est à Dimanche 10 septembre. — A 9 h. 30 dire, entre les approvisionneurs bretons du matin : ouverture de l'Exposition des patentés. Les adgérents en ont formé imBeaux-Arts et de l'industrie régionale. A médiatement le bureau. Le siège social a été fixé à Saint- Pol-de-Léon. 2 h. 30 du soir : grande représentation bretonne donnée par la troupe de Brélès : PLOUGASNOU Krisiof ar C'hrenv, mgster kristen en eun arvesl; An aotrou Flammik, c'hoariadeg farsus e daou arvesl, de M. de Carné. Concert breton. Le dimanche 13 août, une belle Lundi 11 septembre. — A neuf heures fête religieuse avait lieu à Plougasdu matin : séance de travail, fixation de l'ordre du jour. Travaux de la section nou, au j o l i port de Térénez. Le cad'histotre. A 2 h.30 du soir : séance de dre de la fôte était des plus ravistravail : travaux de la section de langue sants, des dunes aux petites douces, cl de littérature bretonne. A 8 h. 30 ; con- abritant un lac ouvert au nord pour cert breton. laisser voir l'Océan, gardé par le Mardi 12 septembre. — A 8 h. 30 du château du Taureau ; en face, Rosmalin : séance de travail ; travaux de ta coff, Saint-Pol-de-Léon, Carantec. section économique. A une heure du soir : A 4 heures 1/2, la procession desexcursion facultative à Lanrivoiré, aux cend de Pen-ar-Christ vers la mer, châteaux de Kergroadès, Trémazan et à soiv«. la présidence de Mgr de GuéPorsall. briant, évêque de Kien-Tchang, en Mercredi 13 septembre. — A 8 h. 30du Asie, et frère du distingué maire de malin : séance do travail : travaux de la Saint-Pol-de-Léon, assisfé de son v i e fer pour sa nourriture çt son indus- section économique (suite). A 10 h. 30 : caire généial el accompagné d'une trie. Les conséquences de cette grève concours de chansons bretonnes. A deux a ajouté le ministre, pouvaient être h e u r e s du soir : séance de travail : tra- quinzaine de prêtres et des notabilifatales si la grève complète avait duré vaux de la section des Beaux Arts. Rap- tés de Plougasnou, avec le digne une semaine. Aucun blocus de Hotte ports sur les divers concours. Proclamamaire de Saint-Pol, M. de Guébriant ennemie n'aurait produit un désastre tion des lauréats. A quatre heures : Elece l l e vaillant député bréton, M. de pareil à celui-là. En quinze jours, tion et renouvellement triennal du bureau c'eût été la famine. Nous avons pris Mun. les mesures exceptionnelles que la loi de l'U. B. B. et des sections Réunion du Elle est belle, cette longue théorie autorisait pour empêcher le pays de nouveau bureau. A huit heures, banquel de solides marins, portant sur les tomber dans l'abîme. » M. Lloyd George, chancelier de et clôture du congrès. épaules un superbe navire pavoisé, et Jeudi 14 septembre. — Excursion à Lesl'Echiquier, a déclaré de son côté de jeunes filles, élégamment coiffées qu'il est absolument faux que le gou neven, Saint-Vougay el Kerjean. Départ de l'antique cornette, ailes au vent. vernement ait pris parti pour le capi de Saint-Renan par chemin de fer à sept talisme contre les ouvriers. Il s'est Elle est belle surtout, cette double seulement efforcé d'empêcher la l'a- heures du matin, arrivée à Lesneven à haie humaine se prosternant religieumine et que justice soit taite entre 10 h. 1">. Départ pour Saint-Vougay en les deux partis en présence. voilure vers 10 h. 30. A midi 30, déjeuner sement pour recevoir la bénédiction A la suite de ces déclarations, l'or- à Saint-Vougay. A 1 h. 30 : Grande re- de l'évêque missionnaire. dre du jour de blâme déposé par le présentation bretonne et /été solennelle Les étrangers qui, chaque année, socialiste Keir Hardie a été repoussé des Bleuniou Bruk, organisée par M. viennent nous demander un coin de par 93 voix contre 18, et la Chambre des Communes est partie en vacances l'abbé Perrot, directeur des Paotred noire littoral si charmant, sont aujusqu'au 24 octobre. Sanl-iXouga. Vsrs 5 h. 30: reloui à Les- jourd'hui comme des noires, et leur neven, fin du congrès. attitude est très digue. Comité local d'organisation à SaintMonté sur une estrade toute rustiRenan : président d'honneur, M. ChemiUne communication officielle fait que, aux quatre coins de laquelle flotnant, maire; président du comité des savoir que, par suite notamment du tent des drapeaux tricolores, Mgr de fêles, M. Jaouen, conseiller municipal; manque d'eau, les manœuvres d'ar- secrétaire général, M. Joseph Riou. con- Guébriant, de sa voix claire et si symmée anglaises n'auront pas lieu cette seiller municipal ; membres du comité, pathique, explique à la foule le sens année. MM. Troadec, Delagarde et Pierre Lucas, profond el les motifs de celle céréEn Allemagne, au contraire, les conseillers municipaux. monie de l'Eglise. grandes manœuvres impériales, pré « La bénédiction de la mer, (lit l'éAvis concernant l'Exposition. — Les cédées de revues solennelles les 26 personnes qui doivent envoyer des objets vêque missionnaire, est un acte de à l'Exposition, sont instamment priées foi à la toute puissance créatrice de août, 29 août et 1" septembre, à A l tona, à Berlin, à Stettin, et auxquelles d'en aviser M. Joseph Riou, secrétaire Dieu qui, dès le commencement du er assisteront des rois, des reines, des du comité local, avant le 1 septembre. monde, a jeté dans l'immensité des L'exposition des objets est gratuite, seuls princes, commenceront le 15 septem Ilots cette variété el cette multitude les frais d'envoi et de retour sont à la bre. LeS manœuvres de la //otte qui de poissons et mille autres richesses. charge des exposants. rassembleront trois escadres cuiras I l est des heures oii le marin, quelles sées, des groupes d'éclaireurs et six que soient ses croyances c l sa conflotilles de torpilleurs commenceront duite, sent son impuissance et son vendredi. néant devant la fureur des Ilots et du « Les approvisionneurs du Finistère » vent, malgré tous les progrès et tous En France, le bruit a couru que les Sur l'initiative de M. le comte de Mun, les perfectionnements modernes, et manœuvres du l " coxps seraient supdéputé du Finistère et sous sa présidence 1 primées et que, seul, le 6 corps, qui les approvisionneurs de Roscoff et de après toutes les précautions prises, ni est celui de la frontière de l'Est, ma- Saint-Pol-de-L6on (on désigne sous ce le frôle esquif, ni le majestueux navire nom les marchands qui vendent euxnœuvrerait, mis complètement sur le mêmes sur le carreau des Halles centra- ne se trouvent entièrement garantis pien de guerre avec ses réservistes les ii Paris les denrées achetées aux cul- contre le naufrage. Qui ne connaît tivateurs) se sont réunis à la mairie de et territoriaux. Au ministère de la Saint-Pol pour se concerter sur la défen- les surprises c l les trahisons de la guerre, on affirme que cette nouvelle se de leurs droits cl de leurs intérêts gra- mer ? vement menacés par l'arrêt du 7 juillet Aoun am eu/, o tromen ar Raz est, au moins, prématurée, et, qu'en 1911 rendu parla section du contentieux tout cas, la suppression ou la modi- du Conseil d'Etat « Défendre le droit Rag va bag a zo bilian hag ar mor a zo braz « O marins, pour que voire acte de fication des manœuvres ne sera dé- des approvisionneurs à vendre sur le carrea des Halles, tel qu'il résulte clairement cidée qu'au dernier moment selon ce de la loi de 1890, et, du môme coup, l'a- foi soit vrai et complet, pour que la gricu ture du Léon, tel fut l'objet de la prière do l'Eglise soit efficace, obserqui en sera de la fièvre aphteuse. réunion de Saint-Pol, » suivant la forvez bien la loi chrétienne. Gardezmule de M. de Mun. Dans une lettre adressée à un journal vous de faire comme ces chrétiens de Brest, M. de Mun définit ainsi la ques- ingrats qui, recevant d'une main les tion : « Comment la section du contenEn attendant les manœuvres d'en- tieux du Conseil d'Elat a-t elle pu, mal- libéralités do leur Créateur el Sausemble qui vont commencer le 5 sep- gré l'avis contraire formellement exprimé veur, se servent de l'autre pour détembre, les 3 escadres concentrées à par M. lo ministre de l'Iinlérieur et par chirer sa loi sainte. Respectez le diM. le piélet de police, rendre l'arrêt du 7 Toulon, exécutent chaque jour des juillet 1911, qui, par une inlerprètralion manche : c'est le j o u r du repos, c'est manœuvres et des exercices séparés inattendue de loi du 11 juin 1896, après le jour du Seigneur ; le travail du diplus de vingt ans de possession légale, parés, à titre préparatoire. exclut les approvisionnements du carreau manche attirerait sur vous la maléLes préparatifs pour la revue pré- des Halles ? Simplement parce qq'elle n'a diction divine. » attendu que leurs adversaires. » sidentielle du 4 septembre se pourCe discours, dont nous ne donnons Les vrais adversaires des approvisionsuivent activement. A remarquer neurs sont les « commissionnaires ». « Si qu'un pâle, aperçu, fut écouté avec un qu'elle aura lieu la veille du jour où leurs prétentions, déclare M. de Mun, ve- religieux silence et produisit visiblenaient à triompher, je n'hésite pas à le l'empereur d'Allemagne passera en dire, ce serait un désastre pour la popu- ment sur les 3.000 auditeurs une émorevue, à Kiel, la flotte allemande après lation parisienne, comme pour les agri- tion qui ne pouvait se contenir, et culteurs français, réduits à subir le moles manœuvres de cette dernière. nopole de MM. les « commissionnaires. » l'on pouvait voir des larmes perler Mais ils n'ont pas enoore triomphé. Le gouvernement a promis qu'aucune suite aux yeux de plusieurs vieux loups de ne serait donnée, jusqu'à nouvel avis, à mer. l'arrêt de la section du contentieux du Alors commence la bénédiction proVoici le programme du congrès de Conseil d'Elat. Des délais étant ainsi garantis aux ap- prement dite de la mer, cérémonie Saint-Renan (9-14 septembre 1911) : provisionneurs on en profile pour obte- bien impressionnante. Samedi 9 septembre. — A cinq heures nir le redresesment de l'arrêt du 7 juillet. La musique du patronage de Ploudu soir; réception des congressistes à Au nom du Syndicats des approvision- rées anglaises. Elles proviennent de ce que les cheminots estiment que les réintégrations ne se font pas aussi rapidement qu'ils l'avaient escompté, que les emplois sont changés, que certains mécaniciens, par exemple, ne trouvent d'emploi que comme laveurs de wagons, etc. Aussi la grève a-t-elle repris sur quelques points, maisiusqu à présent ces conflits restent locaux, et il y a lieu d'espérer qu'ils seront réglés par la commission spéciale dont la nomination a mis fin au conflit général. I l était temps d'ailleurs car, profitant du désarroi, des émeutiers ont causé, dans les derniers jours de la grève, des désordres graves, notamment à Llanelly, dans le sud du Pays de Galles, où une gare a été incendiée, des trains arrêtés, les troupes attaquées, et où des munitions ou des fûts de pétrole faisant explosion ont tué ou blessé plusieurs personnes. Des désordres ont eu Heu également à Cardiff et à Swansea, où persiste une certaine agitation. L'interpellatiou inévitable sur ces grèves a été discutée à la Chambre des Communes. Répondant aux intertHaleurs socialistes, le ministre de ^ ntérieur, M. Winston Churchill, a déclaré que le gouvernement s'est trouvé, pour la première ibis, en Grande Bretagne, en présence d'une grève « qui devait, dans les 24 heures, arrêter toute la circulation des voies ferrées, si essentielles pour un pays manufacturier comme l'Angleterre, ui dépend entièrement des chemins BÉNÉDICTION DE LA MER 3 Las Manœuvres d'armées européennes Contre l'arrêt k 7 juillet »11 Les Manœuvres navales françaises FINISTERE gasnou, qui prête un concours si total : 2.200 fr. Poulinières de trait. — Une prime de suivi et si apprécié à la fête, entremêle ses harmonies aux mélodies des 400 fr., une de 350 fr., une de 300 fr., une de 200 fr., deux de 150 fr., deux de chants liturgiques. 100 fr., une de 50 fr. Au total : 2.00 fr. Rien de plus ravissant que cette Les concurrents devront se faire insprocession d'une vingtaine de bacrire à la sous-préfecture du 1" septemteaux pavoisés évoluant dans la baie. bre avant 10 heures au matin. Pour tous Remarqué surtout le bateau qui por- autres renseignements, s'adresser à la tait les seize jeunes filles de la pro- sous-préfeclure de Morlaix. cession, si gracieuses dans leur cosSyndicat de l'ameublement. — Satume blanc. Le bateau de sauvetage medi 26 août, de 8 h. à 10 h. et dimanche Amiral-Comme portail le cortège re- matin de 8 h. à 11 h., le Trésorier se tienligieux et quelques personnages de dra à la disposition de ceux qui n'auraient marques entre autres : MM. de Mun pas encore versé leur cotisation. Musique Municipale. — Programet de Guébriant que le sympathique M. Croissant était venu prendre à me du jeudi 31 Août 1911 à 8 h. 1/2 du l'embarcadère, non sans avoir aupa- soir. — Le Ménestrel, (Allegro) A. tiuéravant fait offrir par une charmante tron ; Pendant la Fêle, (Ouverture) André; Menuet-Chantittg, Kersen; Roméo nièce un magnifique bouquet de el Juliette, (Fantaisie) Gounod ; Au Moufleurs à Mgr de Guébriant. lin, (Polka imitalive) F. Petit. A u retour, ¿ne sérénade de remerLe Chef de Musique, ciements est donnée par la musique C. KERHOAS. ' au vaillant et aimable évêque qui se Mariage. — Mardi soir, à six heures, repose de ses labeurs apostoliques de M. Ch. Le Febvre, maire de Morlaix, a Chine, en faisant du ministère parmi procédé au mariage civil de M. Marzin, économe de l'hospice, avec Mlle Le Bars. les Bretons, ses compatriotes. Après avoir béni la mer, Mgr de Les témoins étaient : pour le marié, MM. Guébriant bénit les marins et la foule, Hervé Herry, chef de section à la manufacture des tabacs, et Emile Grandjean, et en particulier les petits enfants que soldat au 48" de ligne ; pour la mariée, les mères] viennent lui présenter. Et, Mmes Guillerm, née Louise Le Bars, et à son départ, tous le saluent en criant: Le Bihan, née Amélie Le Bars. La céré« Vive Monseigneur ! » monie religieuse a élé célébrée mercredi Une autre sérénade patriotique est matin, au milieu d'une al'fluence nomdonnée à celui qui a s i bien fait les breuse en l'église Saint-Martin. honneurs du bateau de sauvetage, M o u v e m e n t de la population du 17 au 22 Août 1911. avec tant d'amabilité, au si bon et si NAISSANCES. — Marie-Renée-Hendévoué M. Croissant. riette Kérien, fille de Pierre-Louis el de La fête est terminée et tous se retiEugénie-Marie-Françoise Bohic, à la rent enchantés de la belle cérémonie Fonlaine-au-Lait. — Prosper-Gaston qui s'est déroulée devant leurs yeux. Costard, fils de Prosper-Isidore et de Un Ami de la Mer el des Marins. Jeanne-Anna Bouchet, chemin de l'Hospice, 7. — Yyes Bizien, fils de Yves et de Catherine-Marie Masson, au Pont-Rouge MORLAIX Sauvage agression. — Lundi soir, vers 6 heures, le nommé Kergrist JulienJean-Marie, âgé de 43 ans, journalier, sans domicile fixe, à Morlaix, fut victime dans la venelle de la Roche, sous une des arcades du viaduc, d'une sauvage agression de la part d'un nommé Gosson Yves, 25 ans, maçon, employé à l'entreprise Wiste, de la ligne en construction de Morlaix à Plestin-les-Grèves. On releva le malheureux Kergrist couvert de sang avec de nombreuses et profondes blessures à la léte et à la figure. Conduit d'abord au poste de police, il y reçut des soins préliminaires en attendant son transport à l'hospice où il fut admis d'urgence. Gosson, interrogé, a déclaré avoir agi sous l'influence de la boisson. Il a été laissé en liberté provisoire à la disposiiion de la justice, en atlendant les poursuites correctionnelles qui seront exercées contre lui. Les blessures de Kergrist nécessiteront des soins pendant une douzaine de jours environ, sauf complications. Ils voyageaient sans billet. — Lundi soir, trois individus ont été arrêtés en gare de Morlaix, venant de Brest, pour contravention à la police des chemins de fer. Ayant pris à Brest un billet pour Landerneau, ils continuèrent leur trajet sur Paris d'où ils sont tous les trois originaires. Ce sont les nommés Dugage Maurice, débardeur, 29 ans, Paul Seplier, 32 ans, terrassier, et Alphonse Rodien, 17 ans, terrassier. La gendarmerie les a conduit au parquet. Accident. — Vers six heures lundi soir, le camionneur Michel François, rue des Vignes, employé chez MM. Miorcec frères, place de Viarmes, fut victime d'un accident dans la rue du Porlsmeur. Une des roues du char qu'il conduisait lui passa sur le pied et le lui écrasa presque. On emporta Michel avec une voiture à son domicile. Vingt jours de repos lui seront nécessaires avant son complet rétablissement. Concours de poulinières. — Un concours de poulinières se tiendra le vendredi 1" septembre, à 1 h. 30 du soir, sur la place du Pouliet, sur les auspices de la Société Hippique de Morlaix. Les éleveurs des cantons de Morlaix, Lanmeur, Plouigneau, Taulé, SaintThégonnec, Sizun et Landivisiau sont appelés à y concourir. Les prix seront répartis de la manière suivante : Poulinières de demi-sang. — Une prime de 400 fr., une de 350 fr., une de 300 fr., une de 250 fr., une de 200 fr., deux de 150 fr., trois de 100 fr., deux de 50 fr. Au PUBLICATIONS DE MARIAGES. — Louis-Joseph Yvinec, journalier, à SaintUrbain et Louise-Hélène Le Jeune, cuisinière, rue de Brest, 45. MARIAGES. - Jean-Pierre Marie Co 7.anet, voyageur de commerce, rue des Brebis et Marie-Louise-Olive Rivoalen employée de commerce, ruedes Bouchers, 17.- Jean-Louis-Mai ie Marzin, économe de l'Hospice, Grande-Venelle, 9 et Anna Marie-Pauline Le Bars, à la Loupe (Eure et-Loire). DÉCÈS. — Marie-Françoise Le Roux, 70 ans 2 mois, quartier du Château. — Guillaume Rams, époux de MaKie Scornet, 69 ans 2 mois, au Hent-Coz. Yvonne Prigenl, 3 mois, rue Villeneuve. — François-Marie-Eugène Le Roux, 18 jours, rue Basse, 35. — Marguerite Pérennou, 31 ans, quartier du Château. — Françoise Le Lous, épouse de ProsperJean Querné, 29 ans 6 mois, rue de Brest, 81. — Marie Mel, veuve de François Postic, 87 ans 7 mois, au Launay. — CharlesMarie Le Bourhis, 1 mois, au Créou. — Auguste Rousvoal, 11 mois, quartier du Château. — Augustine Marie-Perrine de Coataudon Tromanoir, veuve de Théo dore-Alexandre Lozach, rue des Brebis, 23. — Francine-Yvonne Fouquat, 3 ans 11 jours, rue Longue, 42. — Marie Yvonne Bourhis, épouse de FrançoisPierre Delaporte, 35 ans, quartier du Château. — Anna-Françoise Breton, 28 ans 7 mois, quartier du Château. ARRONDISSE» DE MORLAIX GUIMAEC Pendu. — Sa femme, après une absence momentanée d'une heure environ, a trouvé pendu à une poutre du grenier, Paris Jean-Marie, 33 ans, forgeron, à Runorven, près du bourg de Guimaëc Les voisins croient qu'étant complètement dénué de ressources el ne pouvant faire honneur à ses affaires, la misère a déterminé Paris à mettre fin à ses jours. PLOUGOULM Incendie. — Vendredi on battait la moisson à la ferme de Kergavan, en PIougoulm, chez M. Moal el Pleybert, lorsque la machine à vapeur communiqua le feu à la paille. En un clin d'œil la récolte devenait la proie des flammes. S Al NT' POL-DE-LEON Accident. - M . Kéramoal Yves, cultivateur à Crèach-Quézou, en Saint-Pol, occupé à la moisson chez son beau-frère a été victime d'un grave accident ; il a reçu un coup de pied de cheval qui lui a occasionné une fracture de la cuisse. M. Kéramoal est marié et père de famille. Fête de Gymnastique. — Voici le programme de la grande fôte degymnastique du 27 août organisée par la Pha lange de N.-D. du Kreiker, sous la présidence de Mgr de Guébriant et de M. le comte de Mun : Ordre du défilé. — 1« colonne : chef M. 5 éron, moniteur des Gâs de Morlaix, 1. es Gâs de Morlaix, 2. la Taulésienne, 3. 'Avenir de Brest, 4. les Gâs d'Arvor. 2e colonne : chef, M. Guerc'h, moniteur général de la fête ; 1. le Stade Lannionnais, 2. la Saint-Pierre, de Plouescat ; 3. la Phalange de N.-D. du Kreisker. Programme. — Matin : 9 1/2 réception des sociétés à la gare ; défilé par la rue Cadiou, la Grand'Rue, la Grand'Place ; 10 heures., grand'messe en musique ; 11., répétitions des mouvements à Kernévez ; 12 heures., déjeuner. Soir : 1 h. 1/2, rassemblement place de l'Evêché ; 2 h., vêpres ; 2 h. 1/2. grand défilé. Fête au magnifique parc de Kernévez. Programme de la fête ; 1. Défilé ; 2. présentations des drapeaux ; 3. boxe (toutes les sociétés) ; 4. exercice libre (Phalange de N.-D. du Kreisker) ; 5. pyramides (Avenir, Gâs d'Arvor, la Saint-Pierre) ; 6. exercices plastiques (Stade Lannionnais) ; 7. Acrobatie (Gâs de Morlaix) ; . ensemble avec arcs (pupilles) en musique ; 9. exercice libre (Gâs d'Arvor) ; 10. ballet (Gâs de Morlaix) ; 11. exercice libre (Avenir) ; 12. pyramides (Phalange de N. I). du Kreisker. Gâs de Morlaix, Stade Lannionnais) ; 13. agrès ; 14. ensembles en musidue ; 15. charge ; 16. discours du président. A 5 h. 1 /2, grand défilé ; salut au drapeau sur la Grand'Place. Prix des places ; premières, 1 franc ; secondes, 0 fr. 50 ; troisièmes, 0 lr. 25. Accident. — M. Kéramoal Yves, cultivateur à Créach-Quézou, en Samt-Pol, occupé à la moisson chez son beau frère a été victime d'un grave accident ; I l a reçu un coup de pied de cheval qui lui a occasionné une fracture de la cuisse. M. Kéramoal est marié et père de famille. M o r t de M m 0 Macé. — Les obsèques de M1"" Joseph Mecé née Guillou, femme du conseiller municipal ont eu lieu lundi. Pendant la cérémonie un triste accident s'est produit. La petite fille de M. Grall, entrepreneur de peinture à Brest, a eu la jambe fracturée par la chute d'une dalle du cimetière. CLEDER Incendie. — Un incendie s'étant déclaré soudain dans une meule de paille sans que depuis on ait pu en découvrir les causes, détruisit d'abord ce tas, puis se communica à un tas voisin Une grange, contigue prit feu à son tour. Tous les objets mobiliers qu'elle contenait furent réduits en cendres en peu de temps. Les dégâts s'élèvent à 850 francs environ et sont couverts par une assurance. Les marchandises, le mobilier et l'immeuble appartiennent à M. Jean-Marie Creff, cultivateur à Pont-an-Erréol, commune de Clédér. PLOUGOULM Incendie. — Le feu a pris dans une des plus grandes fermes du canton de Saint-Pol-de Léon, Kergaven-Vras, en Plougoulm, exploitée par les familles Moal et Jean Pleybert. On suppose qu'une étincelle, sortie de la machine à battre, a été cause de cet incendie, le feu ayant pris dans une meule de paille située non loin delà machine. Le produit de dix hectares de blé, avoine, seigle et orge, ainsi que sept charretées de lin, évaluées à 1200 francs, ont été la proie des flammes. De plus, un hangar consU-uit sur piliers a élé complètement détruit. Les pertes, évaluées à 10.000 francs, ne sont qu'en partie couvertes par une assurrance. M. Pleybert a été légèrement brûlé en combattant l'incendie. 8 A I N T - SAUVEUR Plainte. •— Les deux frères Alain et Gilles Nicolas, cultivateurs au village de Kerbunçon, en Saint-Sauveur, ont porté plainte à la gendarmerie au sujet de blessures et coups qui leur auraient été portés par un de leurs voisins, soldat au 35e régiment d'artillerie, à Vannes, en permission de huit jours. Procès-verbal a été dressé mais la preuve n'est pas faite que les violences dont se plaignent les frères Nicolas aient été exercées. PLOUVORN Incendie. — Un incendie dont oir ignore les causes a détruit, au village de Penvern, en Plouvorn, une grange appartenant à M. Berlhevas, propriétaire, et dont M. Le Roux Pacques est locataire. Dans cette grange, outre des fourrages, étaient renfermés une charrette, deux LECHO • 1 • " — » m m m m m m m — • — — — • DU FIMSTER — ou moins long. Billington, l'imbattable prunt Argentin 4 1/2 0/0 1911 & 99.50, soloquo humaine. Pour cette fois encore le dinaires, peuvent prétendre à la première triton anglais, s'est, classé premier, cou- lidement garanti par un pays dont la prosrimaire ignorant plusieurs fois blak- place. Et ma loi, puisque l'Auto a orgavranl dans l'heure 20 k. 850devant Chré- périté se développe de jour en jour. Les oulé, aux examens du brevet élémen- nisé un concours de pronostics, nous allons en risquer un, aujourd'hui. tien, 19 k. 575, M. Lavogade, Couvry elc. Bons de Sao-Paulo valent actuellement taire n'a pas trouvé... sa voie II Incapable fr. 75. de faire au journalisme, il est non moins Dans la liste ci-dessus, nous choisirons Epreuves Pédestres. — Dimanche 505Les Etablissements de-Crédit sont en incapable, de devenir un conférencier. comme les plus endurants E. Georget, prochain, l'Auto fera disputer pour la 6" Qu'il nous permette puisqu'il semblait si Wanhouwaërl, Faber, E. Paul et Cru- fois, l'épreuve annuelle du Tour de Paris bonnes dispositions. Le Crédit Foncier certain, des vers de Victor Hugo, de lui chon Ce sont des hommes de train qui qui vit. l'îinnée dernière la superbe course d'Algérie, et, de Tunisie est & 664. On rappeler el de le prier de méditer sérieu- ne seront pas gênés par 1.200 kilomètres el la révélation du jeune Moulin, talon- négocie aux environs de 178, les actions sement ce qui suit que nous extrayons à l'aire d'une traite. A ceux-là il convient nant Bouchard et battant Orphée, Labry, Banco de la República du Chili admises nous aussi des œuvres de maître : Il d'ajouter le team italien qui va se trouver Macs etc.. Celte année, la lutte sera encore depuis le commencement du mois à la Quand on ne croit à rien, on est prêt à à son aise par ce temps de canicule. très sévère, sur les 37 k. du parcours, cote officielle du Parquet. L'obligation Et c'est à cause de ce temps chaud que tout faire, écrivait un jour Victor Hugo enlre Siret, gagnant en 1906.1907 et 1908 4 1 /2 O/o de la Caisse hypothécaire Argenet dans un discours prononcé en 1818 ii nous écarterons de notre sélection les Moulin, second de 1910. Robert, second tine esl demandée à 468 fr. Les obligations 5 0/0 or de la Banque hypothécaire la Chambre des Députés, voici ce qui; hommes lourds qui vont peut être se troude Paris Dijon, Loupol, Dudin, etc. et agricole de l'Etat d'Espirilo-Santo se disait encore Victor Hugo au sujel de ver en difficulté. Paris Roubaix Omnium. — L'Auto négocient au marché officiel au comptant Nous allons donc fixer noire choix sur l'enseignemenl religieux et de l'éducation organise pour les 1" 2 el3 septembre une et à terme au cours de 478. Chrétienne (le primaire Paul a profilé E. Georget, qui, à moins d'accidents, épreuve originale dans laquelle Cyclistes, Parmi les valeurs foncières, les obligad'ailleurs, et qu'il combat si slupidement nous paraît devoir fournir le gagnant de cavaliers et. pédestrians vont se trouver tions 4 O/o Industrielle Foncière sont Paris-Brest 1911. aujourd'hui). aux prises sur le parcours classique Pa- intéressantes aux environs de 455. Il sera sérieusement talonné par VanLoin que je veuille proscrire l'enseiris Roubaix. La course se fera en 2 étaBonne tenue du compartiment des Chegnenieut religieux, disait-il, je le crois houwaërt, qui est, paralt-il, dans une plus nécessaire que jamais aujourd'hui. forme splendide et par E. Paul, un des pes • Paris Amiens el Amiens Roubaix mins de fer où de bons achats sont signa(128 k.) Un handicap élail. de rigueur. lés. Parmi les lignes secondaires, l'action Plus l'homme grandit, plus il doiL meilleurs sur la distance. Quanta Faber, Aussi les pédestrians partironl-ils 3 lieu- Basses-Pyrénées se traite à 257 ; l'oblinous ne le croyons pas encore bien remis croire. Il y a un malheur dans noire HUELGOAT avant les cavaliers et 8 h. 30 avant, les gation, en légère avance à 481. Société de l'indisposition qui lui fit lâcher le Tour cyclistes dans la première élape et 3 h. 30 Auxiliaire de transports, 145. Passage des troupes. — Le 19° d'in- temps, je dirai presque il n'y a qu'un de France. Les Régates. — Rarement les régates fanterie, se rendant aux manœuvre, can- malheur : c'est une certaine tendance à et. 10 h. 15 dans la seconde étape. Sim^on Les valeurs de traction sont très calmes Dans la catégorie des routiers, le choix de la petite Nice bretonne, comme on se tonnera à Iluelgoat, le vendredi l" r sep- tout mettre en cette vie. Wachoru, Robert, Maince, elc sont déjà comme aussi le compartiment de l'élecest des plus difficiles, sinon impossible. En donnant ù l'homme pour fin et pour ptait à appeler RoscolT, eurent un succès tembre prochain. Les effectifs à loger seengagés comme pédestrians.^ tricilè. Les pétrolifères se sont légèresemblable à celui de dimanche. Une tem- ront : 40 officiers, 1.300 hommes de trou- but la vie terrestre, la vie matérielle, on Nous nous contenterons de citer les noms À samedi prochain de plus amples dé- ment tassées ; l'action Naphte Lianosoff de nos régionaux : Oudin, de Saintaggrave toutes les misères par la négapérature idéale, une brise suffisante et pes, 50 chevaux et 18 voitures. s'inscrit à 3%. L'action ordinaire Francotion qui esl au bout ; on ajoute à l'acca- Brieuc, Laurent, de Bresl, el Omnès, de tails. des courses fort intéressantes ont contriGUY D ON CARHAIX Wyoming demeure à 34.75. Landivisiau, engagés dans la catégorie. blement des malheureux le poids insupbué également à rendre cette journée déDemandesjrégulières en actions United Une réunion socialiste.—Un éphè- portable du néant ; et de ce qui n'est que Nous leur souhaitons bon courage, et licieuse. Tout s'est passé dans un ordre States Worsted à 469. Tenue très satisleur assurons qu'à leur passage en noire la souffrance, c'est-à-dire une loi de Dieu be, professeur de vertus laïques. — parfait. Dès 10 h. 30 du matin, les fêtes L e s M a l a d i e s faisante des actions de préférence C. Dreville, les applaudissements 11e leur mandébutent par un excellent concert, donné Depuis de longs mois, les Cnrnaisiens on fait le désespoir coll à 135 et des Palhé Concert à 120 fr. queront pas. Combien s'amoindrissent les misères n'avaient ouï causer de socialisme. Il pa sur la place de l'Eglise, pur la Musique Les caoutchoutières sont faibles. La Le départ ayant eu lieu aujourd'hui Municipale de Morlaix, qui s'est fait en- rail que depuis quelques jours, cepen- bornées, limitées, finies après tout, quand Para Marajo seule est demandée & 6.25. vendredi à midi 1/2, l'horaire tracé par il s'y mêle une espérance infinie... dant.... l'idée... socialiste... Eh ! laisseztendre pendant toute la réunion. C'est en chez l'HOMME ot chez la FEMME Les valeurs métallurgiques conservent VAulo, prévoit leur passage à Morlaix à Dieu se trouve à la fin de tout. f>résence d'une foule nombreuse qu'a nous rire, avait l'ait, dans l'ombre toute leur fermeté malgré le petit nom10 h. 10 . Mais sans crainte d'être mauNe l'oublions pas et enseignons-le à quelques progrès. Un groupe (... 0I1 pas ieu à une heure de l'après-midi le départ bre des transactions. Au groupe étranger, des premiers bateaux. Remarqué : MM. nombreux) de soi-disant jeunes Carhai- tous ; il n'y aurait aucune dignité à vivre vais prophète, nous croyons devoir préles Aciéries de Piombino s'avancent à 149. DC Jérôme balaun, président des régales ; siens, avaient profité de fonder ici un et cela n'en vaudrait pas la peine si nous venir ceux de nos lecteurs qui voudraient Parmi les différentes mines, Mianci assister au passage des premiers, de ne devions mourir tout entiers. cercle dit de la jeunesse socialiste laïque ! le comte de Guébriant, conseiller généCopper est ferme à 118, St-Yves consoliMessieurs, qu »nt à moi, je crois pro- pas trop se lier à cet horaire. Ilsera proral ; le comte de Mun, député du Hnis- Titre pompeux, 11'est-ce pas ? dâtes, 55 et 57 fr. (Sur le papier) le cercle, dit-on, existe. fondément à ce monde meilleur et je le bablement devancé. tôre ; Daniélou, mairo de Roscoff ; Le Les mines d'or Sud-Africaines sont —0 — Febvre. maire de Morlaix ; Albert Che- A la première réunion, il y eût vingt déciare ici, c'est la suprême certitude de Le Docteur GÉRARD, le Spécialisé lourdes en général ; dans le groupe Calima raison, comme la suprême joie de mon adhérents.... A la deuxième, douze seulevalier, Yves Le Morvan, Ch. Lahalle, PiLe contrôle sera installé au café de la bien connu de Paris, 76, Rue de Maubeuge, fornien, la Jumper Califorman se mainchon, le docteur Bagot, Séjat, le vicomte ment ! C'est le revers de la médaille. Ame. Je veux donc sincèrement, jedis plus Terrase, par les soins de M. Haineury, l ' a u t e u r d e l a M É T H O D E O R T K O S P L A N C H - tient à 13 50. Tarantula Omega ¿ 11 fr. d'Herbais, des Cognets, Victorien Servet, Pour peu qu'il y eut encore deux ou trois je veux ardemment l'enseign ment reli- président du Vélo-Sport Morlaisien. 11 NIÇUE, la seule qui assure la cure radicale La Gold Reefs of Barima est très ferme Papin, Larher, Fichoux, A. Le Mat, réunions semblables, clans un beuglant gieux, mais l'enseignement religieux de nous prie, d'avertir à cet effet, les mem- de ia EIEFSÎTTLE sans opération et la guérison à 30 fr. en quelques jours et sans médicaments l'Eglise quelconque de la localité, les adhérents... Quément, Cozic, Corre, Kerenfors. Deux PHILOUZE ET WADDINGTON Voilà les déclarations nettes de l'homme, bres de la société morlaisienne, qui vou- internes, des Maladies de Matrice, des torpilleurs sont mouillés à la pointe de hélas ce n'eût plus été... qu'un rêve !!! draient assumer la tAche de contrôleur, Maladies de l'Estomac et des Nerfs, 20, rue Le Pelletier dont un imbécile voulait se servir, saLe danger se faisant sentir, le nouveau Kersauzon. Le bateau de sauvetage, qu'ils auront à se faire inscrire chez lui, môme les plus anciennes et les plus rebelles a a B M B — commandé par le patron Le Mat, fait l'ad- comité eût recours aux moyens extrêmes. medi soir, à Carhaix, pour attaquer l'idée 4, place Thiers. à tout traitement et régime, donnera ses 0 miration de tous. Un feu d'artifice, offert Vite un conférencier, clamait le jeune fat, religieuse. consultations à : Etudes de M P. COLIN, avoué-licen- o— Monsieur le Professeur des vertus laïpar M. de Korwin, el un bal champêtre qui avait élé proclamé président du cercié, à Brest, 4 bis, rue Voltaire C H A T E A U L I N , Jeudi 14 SeptemLes huit jours d'Alcyon. — Les bre, Hôtel Grand'Maisoe. cle en fondation,où noussommes...fichus. ques, retournez en classe, el méditez la ont clôturé joyeusement cette journée. (Successeur de M9 J. PENER) et Samedi malin donc, à leur réveil, les maxime latine qu'un jour il y a quelques champions de la marque bleu-ciel ont Voici les résultats des répales : de M' DAVID, notaire à Ploudiry. LANDIVISIAU, Vendredi 15 Sep1 - course. — Yachts de 6 m. 50 de la Carhaisiens pouvaient voir sur les murs semaines à peine 1111 de nos amis voulu terminé leur circuit dimanche dernier au tembre, Hôtel Dubois série nationale. — Prix, 30 fr. et une des affiches multicolores, sur lesquelles bien vous communiquer : « Quos vult vélodrome Buffalo. M O R L A I X , Samedi 16 Septembre, La course comportait huit étapes qui médaille de vermeil, Tibia, à M. Herr, de 011 annonçait une grande réunion publi- perdere Jupiter dementat ». Hôtel d'Europe. Traduction libre, consultez donc un furent disputées en huit jours. La lutte que et contradictoire pour le môme jour Morlaix. C A R H A I X , Mercredi 20 Septembre, 2- course. — Yachls de 8 m. (jauge m- à huit heures du soir. L'organe officiel spécialiste jeune homme, car votre men- pour la première place l'ut très dure entre de France. Hôtel Par Licitation talité nous semble vraiment élrange et Salmon et Loisel. Ils terminèrent avec 38 ternationale)etyachtsdelà2 tonneaux 1/2 des socios breslois surenchérissait el anNOTA. — Le Docteur revient lous points chacun. Salmon ne doit sa prenous craignons sérieusement pour voire En l'étude et par le Ministère de (jauge de 1899). — Prix, 40 fr. et une nonçait que le camarade Paul (Yves poulles deux mois environ. mière classe du classement général, qu'en médaille de vermeil, Lotus, à M. Bou- ies demoiselles), ferait ses débuis à la tri- réputation à l'avenir. Notice et renseignements franco. raison de son nombre de place de preUn Catholique. bune. Malgré toute la réclame l'aile, à M" DAVID, notaire à Ploudiry guen, de Morlaix. peine une centaine d'auditeurs s'étaient 3- course. — Série spéciale (course exPardon de Sainte-Anne-la-Paluo miers, supérieur à celui de Loisel. Coomans est 3° avec 51 points, puis Le Jeudi 14 Septembre 1911 tra réglementaire), yachts de 8 m 50. — rendus à la mairie, vers neuf heures du Le grand pardon de Sainte-Anne- dans l'ordre : Motliat, Lejeune, Wirlz, soir. Les membres du bureau sont élus Prix 40 fr. et un baromètre anéroïde. à une heure et demie de l'après-midi Les personnes atteintes de bronchites sans protestation. MM. les socios, on le la-Palue a lieu dimanche prochain Bettini, Constantin, Morin, Fusier, etc. Fleur d'ajonc, à M. Baron, de Morlaix. invétérées qui toussent et crachent sans —0— 27 août. Avec Rumengol et le Folsent, ont tout préparé d'avance el... lo 4- course. — Bateaux de plaisance, cesse, été comme hiver, peuvent guérir ;oët, c'est le pardon aimé des popu5 m. maximum. — 1 - prix, 20 Ir. et une public s'en soucie peu ! L'ex-candidat au Circuit Français. — Les coureuis en employant la Poudre Louis Legras. Désignation des Biens à Vendre conseil municipal, deux fois blackboulé ations linistériennes. Cornouaillais, médaille d'argent ; 2-, 15 fr. et une méPeugeot 0111 entrepris la seconde branCe remède merveilleux, qui a obtenu la PREMIER LOT ar les électeurs carhaisiens, le dénommé Léonards et Trégorrois y accourent che du formidable X qu'ils décrivent en daille ; 3-, 12 fr. ; 4-, 10 fr. - 1 - prix, plus haute récompense à l'Exposition Le Cokik, à M. Raillard, de Morlaix ; 2-, volontiers pour la prière ardente ou ce moment au travers de la France. Après Universelle de 1900, calme instantané- En la Commune de Loc-Eguiner ostollec (Pierre-Jacques pour les dames, Microbe, à M. Poilleu de Morlaix ; 2-, Ibis, l'action de grâces émue, qui 11e ces- avoir touché aux Vosges, traversé le Jura ment et guérit l'asthme, le catarrhe, l'opdit-on), se voit appeler à la présidence et à M. Croissant, de Morlaix ; 4-, Insaisiselle Massif central, pris contact avec l'OCanton de Ploudiry pression, l'essoufflement et la toux des s'empresse de s affaler sur une chaise sent pas pendant deux jours. La dé- céan à Bayonne, puis longé les Pyrénées sable, à M. Ropers, de Morlaix. votion à la sainte Patrone de la Bievieilles bronchites. Une boîte est expé5- course. — Bateaux de plaisance, placée au milieu de la tribune. Il trône là tagne s'y montre aussi vivante, et la Méditerranée, ils ont abandonné les diée contre mandat de '2 fr. 10 adressé à 7 m. 50 maximum. — 1 " prix, 25 fr. et tel un rat dans 1111 fromage... La mairie... l'hommage des Bretons s'y affirme Alpes pour rejoindre Bresl en traversant Louis Legras, 139, Bd Magenta, à Paris. semble-t-il dire, celte lois, j'en suis...le... les Monls de l'Auvergne. une médaille de vermeil ; 2-, 20 fr. et mallre.... Minus Habens va H! Contraireaussi éclatant qu'autour de la basiliune médaille. — 1" prix, Yannik, à M. C'est une tAche excessivement dure, un mentnommé à la loi assesseur. ensuite, un sieur Kerlirzin Ce Monsieur n'a j que élevée dans le champ du Bocenno effort constant, que doivent fournir les Collet, de Lannion ; 2-, Briséis, à M. Pri- esl comprenant bâtiments d'habitation et m A mepas nasl'Age l'Aired'être d'être électeur électeur. I Jj Sainte-Anne-d'Auray. même rent, de Lannion. indépendants du Circuit Peugeot. d'exploitation, terres chaudes et froiLa semaine, écoulée par le « pont du 15 des, prairies, issues, circonstances et De la conférence du sieur Marcel Ca- i Après ies résullèls de la 10" étape, le 6- course. — Bateaux à misaine, 5 m. 50 Voici le programme des fêtes soAoût » n'a guère apporté de modifications dépendances, figurant au cadastre, sous classement général donne le première maximum, sans allégeance. — 1" prix, chin nous ne dirons rien. Courtoisement, lennelles : dans l'ensemble de la cole. La liquidation les numéros 199, 200 et 205, de la la il développa ses idées. C'est toujours 15 fr. et un objet d'art, au gagnant des Le samedi 26, la première messe à place au belge Tliys avec 50 points, dede quinzaine s'est passée normalement, le se -tion A, et sous les numéros 473, bateaux affectés à Roscoff ou à l'Ile de même rengaine. Le socialisme fera le 5 heures; les autres messes succè- vant Figuet, 52 points, Wallolton, 72 p. taux des reporls restant enlre 1 3/4 et 475, 476, 477, 481 p, 484 p, 484 bis, bonheur des ouvriers ; il faut supprimer el Kippert, 75. Balz ; 2-, 10 fr. ; 3-, 5 fr. — 1 - prix, HiLeur passage à Morlaix aura lieu ven- 2 1/4. Il y a bien eu des réalisations en- 485, 486, 487, 488, 489, 490, 491, rondelle, de Moguériec ; 2 \ La Brise, de les capitalistes, elc., etc. La plupart des dent jusqu'à 10 heures. A 10 heures, er core surtout dans les groupes des mines 495, 615, 617, 618, 619 et 652 de la Roscoff; 3-, Berceau du Marin, de Ros- auditeurs haussent les épaules, cepen- la grànd'messe. Le soir, à 4 heures, dredi prochain 1 septembre au cours de Sud-Africaines et des caouchoutières, section B, pour une contenance totale dant qu'une demi-douzaine d'écervelés, vêpres solennelles, sermon, proces- l'étape Brest-Laval. coff. 1 mais elles s'expliquent par la lourdeur de de 16 hectares, 09 ares, 43 centiares. Agés de 15 à 18 ans, crient : « Vive la sion des « Miracles ». 7- course. — Bateaux dépêché de6m. Londres où l'on s'inquiète des conséquenmaximum, gréés en côtres. — 1" prix, Sociale'! » Elle est tenue en ferme par Jean Le dimanche 27, la première messe Mais voici le tour du sieur (Paul Yves) à 2 heures ; les autres messes de rèSaint-Hubert, à M. Masson, de Roscoff, Résultats divers. — A Copenhague, ces des grèves. La question marocaine Jézégou, jusqu'au vingt-neuf septemincile toujours la spéculation à se tenir bre 1912, moyennant un fermage an30 fr. ; 2-, Togo, à M. Corre, de Roscoff, cel éplièbe commence par (nous réciter, gle à 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9 heures. le grand prix de cette ville dlspulé en sur la réserve el de fait, si la solution pa- nuel de 600 'francs, et par le mfime, tel un élève des écoles primaires) 1 1 1 1 20 fr. ; 3-, Jeanne-Marie, a M. Le Guen, A 10 heures et demie, grànd'messe deux manches, se termina par la victoire rait devoir être pacifique, il est à craindre pour 3 ans, à compter du vingt-neuf de Pempoul, 15 fr. ; 4-, Fleur de Lys, à laïus, appris par cœur. Les mots de cadu danois Ellegaard, devant Hourlier et qu'elle se fasse attendre longtemps en- septembre 1912, moyennant un fermarades, prolétaires victimes des requins et sermon. M. Poisson, de Pempoul, 10 fr. Jacquelin. core. On peut donc prévoir avant une re- mage annuel de 700 francs, plus l'ac2 heures et demie, vêpres, proA capitalistes, sorlent à tout instant. C'est 8* course. — Bateaux de pèche, piloA Rouen, la course de 3 heures à l'aprise sérieuse quelques alternatives de quit des impôts. du dernier comique, de voir ce frais cession, bénédiction du Vrès-Saint tage ou bornage de 7 m. 50 maximum, à méricaine fut gagnée par l'équipe Dubochausse ou de baisse, mouvements de émoulu des bancs de l'école, causer de Sacrement. un ou plusieurs mûts. — 1" prix, Berceau faible envergure toutefois niais qu'il est Dupré, couvrant 114 k., devant Appelsocialisme, d'amélioration du sort des MISE A PRIX, Quinze Mille Le mardi 29 août, i l y a des messes du Pêcheur, à M. Simon, 40 fr. ; 2 \ Cliûdifficile de devancer. hans-Charror el Martin M ¡chaud. travailleurs. let-du-Cycle, à M. Le Goff, 25 fr. ; 3-, à Sainte-Anne-la-Palue, depuis 6 h., Dans la salle on se tord I ! Sages sonl ceux qui profilent du mo- Francs, ci . 15.000 Francs Les Deux-Sœurs, à M. Jourdren, 15 fr. ; A Dusseldorf, le Grand Derby Cyjusqu'à 10 heures. Le dénommé Paul prend cependant ment de réaction pour meltre en porte4-, Henriette, à M. Colteau, 10 fr. A 10 heures, grànd'messe suivie de clisle d'Allemagne, fut gagné par GunDEUXIÈME LOT 9- course. — Bateaux de pêche, pilo- son rôle au sérieux el veut s'ériger en la procession et de la bénédiction du ther, couvrant les 100 k. en 1.24'3" devant j feuille les bonnes valeurs, les valeurs sérieuses qui ont subi l'influence ambiante En la Commune de Saint-8erval» tage ou bornage, de 7 m. 50 à 9 m. — professeur... de verlu II! Linart, Demke et Vandersluyft. Lui et ses amis, déclare, le Don Qui- Très-Saint Sacrement pour clore les sans avoir élé directement atteintes. J'en 1 - , Anita, à M. Bellec, de Morlaix, 50fr. ; connais qui, par prudence, ont réparti 2-, Brise-Lame, à M. Simon, de Carantec, chotte, nouveau genre, vont fonder à exercices. AUX DÉPENDANCES DU VERN Le samedi, toute la journée, penCarhaix un cercle uela jeunesse socialiste Les séries du Grand Prix de France deleurs chances sur de nombreux Etals. 30 fr. D'autres, qui n'osenl pas être complète-, U n Champ 10- course. — Bateaux de pêche, pilo- laïque qui sera un cercle de vertu, tandis dant toute la nuit du samedi au di- demi-fond disputées il y a quelques jours ment optimistes ont calculé que si, par tage ou bornage, de 10 à 25 tonneaux. — que. les patronages catholiques, sonl des manche, le dimanche jusqu'à midi, ont qualifié pour la finale : Parent, Sérès, impossible, il arrivait un « coup de chien », dit Liors-Prat-ar-Vern ; d'une conteLe 1" prix consiste en 200 fr. en espèces lieux de vice II. Dans ces patronages, les le mnidi jusqu'à la grànd'messe, des Pétard et Lavalade. . adhérents lisent le Pèlerin, la Croix et La finale s'est disputée hier soir à Bufles Sociétés fabriquant du matériel de nance approximative de 25 ares, tenu <100fr., offerts par les chemins de fer confesseurs se tiendront à la disposiguerre ou «le la poudre, ou les Sociétés verbalement par Alain Abgrall, moyenfalo sur 100 k de l'Ouest-Etal et 100 fr. et une jolie autres feuilles déclare notre jeune l'Ai et tion des pèlerins. l'on interdit la lecture du Supplément, du d'alimentation chargées du ravitaillement nant 25 francs l'an. Vienne-Berîin, la course classique coupe en argent offerts par M J. Korwin, de la Fédération allemande l'ut dispuslée j ne pourraient qu'en profiter. L'idée esl propriétaire à Roscoff). En raison de l'im- Cri du Peuple et de l'Humanité ! Pauvre MISE A PRIX, Quatre Cents dimanche. Elle fut gagnée par Hartmann, ; bonne puisque les titres qu'ils ont acheportance du 1" prix, la course est sérieu- gAs 11 Naturellement, les paroles du soidisant conférencier, Paul soulève cl'éner par suite des tentés étaient revenus, qui couvre les 598 lui. en 26 h. 46111. de- > sement disputée, mais au premier tour, Francs, ci . . 400 Francs vani Huebner, Puri, Su lier, Willig, elc. i dances générales, à des cours très rémule Saint-Joseph abandonne, et la lutte se giques protestations dans la salle. Mesnérateurs. La vente de ces immeubles a été circonscrit, intéressante quand môme, sieurs Le Ronx et Louis Coïc, tour à - o j CYCLISME On ne conslale que peu de change- ordonnée par jugement, contradictoire, entre les deux Reder-Mor. Finalement, la tour stigmatisent ainsi qu'il le. mérite le Toute la semaine est au sport cycliste. A l'occasion de l'arrivée des Paris-Brest ments clans les cours des Fonds d'Etats ; enregistré, rendu par le Tribunal Civictoire appartient à Reder-Mor I I I , qui jeune pnmaire ignoranl qui à la rechereffectue le parcours en 1 h. 57' 11", bat- che d'une position sociale, après avoir Tandis que les professionnels se prépa- le vélodrome du Parc des Princes annonce ; Nate 3 0/0 est très ferme à 94 87. Au vil de Bresl, le vingt-huit Juin mil groupe étranger, on s'intéresse à l'Em- neuf cent onze. tant son aîné de 4 minutes 28" ; 2-, Reder- voulu tour û tour se faire agréer par les rent à nous donner une nouvelle leçon un programme de circonstance. A l'affiMor I I , à M. Guyader, de Roscoff, 80 fr. bardes bretons et tenter du journalisme, d'énergie dans la fameuse course décen- che : Un match France Italie à bicyclet11 course. — Gabarres, bateaux de vient aujourd'hui injurier publiquement, nale Paris-Brest el retour, les indépen- tes el à tandems. Les couleurs de l'Italie maerl et d'engrais. — 1" prix, Reine des les partisans des patronages catholiques. dants de toutes catégories sillonnent nos seront défendues par Gardellin, Verri, Le conférencier nouveau genre, re- routes dans le Circuit Français el les Morrelti Stefani ; et. celle de la France par Mers, à M. Broudic, 40 fr. ; 2-, Marie et Hourlier, Dupuy, Pouchois el Comès. monte à la tribune et veut tenter de s'ex- huit fours d'Alcyon. Jean, à M. Prigent, 20 fr. Paris-Brest et retour. — C'est Courses à l'aviron. — I " course : petits pliquer à tort et à travers, i l veut citer AVIRON bateaux avec avirons à couples, armés les maîtres écrivains du 20" siècle, Musset ; aujourd'hui vendredi qu'a été donné le NE PAYEZ PAS f a r des mousses au-dessous de 16 ans.— Victcr Hugo et baser sa nouvelle orien- départ de celle fameuse course illustrée C'est dimanche prochain que se dispu•• prix, Craignou, 5 f r . ; 21, Le Guen, tation sur les... études... qu'il a faites III par les Terront, Jiel-Laval, Garin, Lesna, tera la fameux match annuel d'avirons : UNE ENVELOPPE VÉLO QUELCONQUE 3 fr. — 2- course : course à la godille pour C'est alors un toile général. Le président Rivierre, etc. Paris-Francfort. L'équipe française sera DE 14 A 20 FRANCS Cette année, l'épreuve est disputée par une équipe mixte composée des meilleurs .des mousses au-dessous de 16 ans. — veut lenler, une diversion en faveur de QUAND deux catégories de coureurs, les coureurs ses amis les socios : Aussi nul, que l'ora1 - prix. Rohou, 5 fr. ; 2-, Dirou, 3 fr. ; rameurs, des Clubs du Rowing et de la Le Guen, 2 fr. — 3- course : bateaux de leur Paul, i l se fait conspuer, avec ce de vitesse et les touristes-rouliers. Basse-Seine. L'ENVELOPPE A TRINGLES Dans la catégorie vitesse, qui compêche à 4 avirons, armés par des hom- dernier, ce pénitent que M. Lo Roux, publiciste expose nettement aux applauprend : Lapize, E. Georget, Vanhouwaêrl, NATATION _ 1 - prix, Marie, à M. Viclor, 30 rae8. fr. ; 2 , Théodora, à M. Cuell, 20 fr. ; 3-, dissements de toute la salle les raisons do Cruchon (leam La Française), Faber, E. Dimanche dernier, l'Aulo faisait dispuSE TROUVE CHEZ TOUS LES BONS AGENTS Saint-Joseph, à M. Poisson, 15 fr. — sa méfiance, au sujet des théories sura- Paul, Biaise, Trousselier (Alcgon) Cor- ter à Joinville-le-Pont, une des plus intéE T N E SE V E N D Q U E nées du socialisme. net, Lambot, Devroye, Dupont [Le Globe) 4' course : course de berthons, avec obsLe jeune fAt, Paul, en la circonstance Ganna, Albini, Agostini (Atlala), Lafour- ressantes épreuves de natation, la Course tacle», réservée aux marins de l'Etat. — des 6 heures. 1 - prix, n 283, 10 fr. ; 2-, n- 336, 5 fr. — se tait, les maximes, 11e sortent plus, !a cade, Brocco (Monleil), la lutle sera très - 21 nageurs prirent le départ, mais pluouverte. MICHELIN NE FABRIQUE QU'UNE SEULE QUALITÉ .5- course : bateaux de senne à 4 avirons, leçon péniblemenl apprise, ne sort pas Plusieurs de ces hommes, connus pour ' sieurs trouvèrent la tAche trop lourde et .armés par des hommes. — 1 - prix, Reder- davantage. Lo conférencier qui s'attendurent abandonner après un effort plus Jdor, 50 fr. ; 2', Poupoule, 30 fr. ; 3-, dait à un triomphe, n'est plus qu'une leur endurance et leur courage extraorcharrues et divers outils agricoles. Tout est devenue la proie des flammes. Les pertes supportées par le fermier j sont évaluées à 400 francs environ. Celles , du propriétaire sont estimées à 150 fr. LOCQUÉNOLÉ M a r s o u i n échoué. — Un marsouin de forte taille ayant été blessé en nur est venu dans le courant do la semaine dernière échouer dans la rivière de Morlaix. où i l a élé définitivement capturé. Dimanche dernier, i l était déposé sur la grève du Brûly. Il répandait une si forte odeur cadavérique qu'on a élé obligé de l'enfouir. PLOUÉNAN Pendu. — Le nommé Le Gac Guillaume, cultivateur à Lopreden, en Plouénan, a été trouvé pendu dans le grenier de sa maison, à l'un des chevrons de la toiture. On ignore les causes qui ont pousse le malheureux à se suicider. R08C0FF Saint-Joseph, 20 fr. —6- course : bateaux de senne, à la godille, pour des hommes. - I - prix, MM. Gauthier, 30 fr. ; 2', Craignou, 20 fr. ; 3-, Pi flic. Nous tenons, en terminant, il remercier cordialement »Y. M. Jérôme Salaun, président des régates ; Daniélou, maire de Roscoff; Larher, A. Le Mat et J. Kerenfors, pour l'nmabililé avec laquelle ils se mis ù notre disposition pour tous les renseignements qui nous étaient nécessaires. Chien écrasé. — Le chien de Mme Bouygues, née Le Coz Alice, 41 ans, cultivatrice si Gardaléas, en RoscolT, ayant été écrasé et tué net par une automobile de passage portant le numéro 724 L 4, Mmo Bouygues a porlé plainte contre le propriétaire de l'automobile, qui a précipité sa vitesse aussitôt l'accident survenu. La gendarmerie a dressé procés-vcrbal. E ulu DE 0 ESTOMAC ETNEBE MATR VENTE Médecine Pratique P f AU LIEU DU MANOIR Une Ferme Revue Financière Chronique Sportive Cyclistes... MICHELIN DIX FRANCS L'ECHO DI) FINISTERE SÄ En la Ville de Morlaix, rue de Un bon Remède pour la Gorge ENTRE : Brest, numéros 55 et 57, avec sortie sur la rue Gambetta. 1° Monsieur Yves Jézégou, époux de Dame Jacquette Biou, cultivateur, de1" Vastes Magasins, Entre-Sols, meurant à Pénarven, en la Commune Cour vitrée, avec, puits, bureaux, etc., de Saint-Servais ; 2° Madame Marie Jézégou, épouse assistée et autorisée do pouvant convenir îi tous genres de Monsieur Alain Le Bras, tous deux commerce ou industrie. 2° Appartement au premier étage, cultivateurs, demeurant au Letty, en la Commune de Plounéventor ; 3°comprenant 4 chambres à coucher, Monsieur Louis Jézégou, professeur salle h manger, cuisine, W.-G., gred'école libre à Lambézellec, près Brest ; nier, cave et jardin. 4° Monsieur Jean-Marie Jézégou, di3° Autre Appartement de 5 pièrecteur d'école libre à Oucssant (Fi- ces et W.-C., décharge, cuve et jarnistère) ; 5° Mademoiselle Jézégou, Ca- din. therine, en religion Sœur Sainte-AnasPour tous renseignements, s'adresser tasie, religieuse Ursulines à Montignies (Belgique) ; 6° Monsieur Jean Jézégou, iv M» VERANT, notaire. époux d'Olive Chapalain, cultivateur, demeurant au Manoir, en la Commune de Loc-Eguiner ; 7° Madame Josèphe & L O U E R Riou, épouse de Monsieur Jean-FranAu 29 septembre prochain, rue du Doc- j çois Donval, son mari, qui l'assiste et l'autorise, tous deux cultivateurs, de- leur Le Febvre, U N E M A I S O N de 4 j meurant à Rosnivinen, en la commune pièces, cave et grenier, jardin devant. j de Loc-Eguiner. ET: L'«*ueoiiuoptlque4ôifrôr«tStlnt-1 [Joseph Mt le n»jea I« plu» pulsitnt m pour eooienrtr *t rtUbllr 1» rue ; y tortifler I«* ;«ox *t Ui p»apl*re». /»rix éa ûmoom ; S frmno*. LARIIER Î reo rctui V I S BILLAUDEAU. TJdersf"ei t I VENTE PAR DOTATION JUDICIAIRE Sur baisse de mise à prix Par le ministère de M" FLEURY, notaire à Morlaix En l'école des garçons de Carantec \ LE LUNDI 28 AOUT 1911 A 2 h. de l'après-midi ^ ï , sans quoi il se verrait dans Fobigation faC|Urei' les bouteilles détériorées. Pour Ions les Métiers ! et pour les deux Sexes ! Bureau de ? I 8tation balnéaire de Carantec OOXÍTRE 1 l a c e d.U. l > o s s e n et les ACCIDENTS | ASSURANCES CONTRE LES âCCSDEK ITS DU TRAVAIL (Lois de 1898 et 1906) Sous le Contrôle ot la Surveillance de l'Etat On demande des sous-agents pour la région CONSTRUCTEUR MÉCANICIEN D'ié;P,rîJRTS cJ.vi Barrière de Brest — près de MORLAIX — Finistère H A V R E AOUT ïiO Samcii 9 h. 30 matin. 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S'adresser : au H a v r e , au fcuraau devant le bateau (heagar F), M à M o r l a i x , au bureau sur k quai (tante do la { Cte). i de 1>heure - PRIX MODÉRÉS EV10 DISERRI KO KILON 5-OU LE NN ST EN H9LL HOSTALERIOU eur C ' H O U E R O - B O U R D E L G r e a t g a n t Q u i n q u i n a l i aO w i n k o z Le Meilleur des Apéritifs, à base de Vin vieux Lee passagers ne sont admis à bord que ; sur a- présentatic présentation ds leurs billets et devront ; S^f0SUi4rpréaìableraeut GARANTIS ! A ni er Bordeaux Quinquina Droit de Pé:.go perçu par la Chambre • Albert KOPKE-DEMOY, Montmoreau (Charente) de commerce de Ûorlaix, 0 i r . 50 par passager. j BAGAGES. — H est accordé une frau- •j A g e n t r é g i o n a l : F . P O U L I Q U E N , à Morlaix chioo de 50 kii. par passager. 4 ; i F INCENDIE x v rllV,' Etudes de M» DOUGUET, avoué, suc cesseur de M u BARAZER DE LAN- ? &SSUFIA«CES DE TCUVE ftiâTURE P A R I S " Edouard- Corbière " et " Finistère " (Trajet en 16 heures) 1911 Limonade Gazeuse, à Coat-Auioui*, en Ploujeaii AU HAVRE, aux Bureaux de la , . . . Compagnie, boulevard de Strasboin-g, 117. ) o r l a i x ) a l i i o i i n c u r de prévenu* s a I l O l î l - ] A KflORLAiX, à M. A. VACHER, : , (près MMorlaix) ï Agoni. \ j breuse clientèle, de bien vouloir conserver les MfIS I couvercles en porcelaine de ses bouteilles en Los billets passage devront être pris, j compris 8, rue Ménars, à : C A S T E L FRANÇOIS, FILS S'adresser : Enregistré à Brest, le dix-sept août j i l , folio 5, case 10. Reçu un franc j . 1911 fatre - vingt - huit centimes décimes ( p r è s qu'atr LA FRANCE H a v r e - iVÏ o r l a i x PAH LES VAPEURS RAPIDES Monsieur Yves R A R O l\ , Fahi ieant de P. COLIN, avoué-licencié. POUR j V L i A D « i? <! i W- i . j prompt uwlaaemtBt, glirln» rnpldt pur LK V C ^ I T A V L B du v2i août i t t l l 8 0/0 03 40 3 0/0. «m W 45 ï ajrut 0u i* eent «nnéei d'exitUBec.tit na remide ANGLAIS, 2 i ¡2 NI 00 j wiTtrtli mr U «uérUon de lontei le* plani, panaBRESIL, 89 91 70 : rii, farmiIti, anAra«, Huturii it Itultt tipie». 95 55 Ce teplqie excellent • une efficacité Incompartbl« ITALIEN, â ii/i 0/0 103 40 Mur It gairlMO dee ltimiurt,t*trtiiitntii dtehtir, I tuo 00 RUSSE 1901 íesChHu atti i etli etrouit«« le /enfriliu ttH§ri»t. , m101 30 tara« U Miier* «I« l'«m RUSSE, S 0/0 1906.. pJ jT«c. Four l'«T0lr T«rl92 70 RUSSE A \ 12 1909.. nkU, Il «ilral|«r«m 104 25 «1iM|«« mvImb porto U TULG umiie • d f a t l i n M'coBtr*. 5415 00 MUX M MOUUD : a n u - NUXM r«era : ara.ao. «JAPON, 5 0/0 1807.. 1715 00 VÉRITÉ, Phirmtde.lO.Hn» de Tarano*, Ferla. acfc SUEZ .1448 00 Rio ord MO 00 SOâNOWIGE . : . . . LIO (¡0 /.le BEER S ord Compagnie des Paquebols à Vapeur Cape COPPER 166 00 THARSIS. (iu Finistère ODINET et BliLLEFONTAINE, Directeurs Vincent . DIRECTION HÉMORROÏDES n -ô 1° Monsieur Gabriel Riou, veuf _ d'Annelte Jézégou, cultivateur, pris j MORLAIX tant en privé au besoin, qu'en sa ualité de tuteur naturel et légal de : j Demander un litro à titre 0 Allain, 2° Yves, 3° Froncine, 4° i d'échantillon Jeanne-Louise et 3° Marie Riou, en- I BORDEAUX VIEUX .. 0.70 le lit. fants mineurs, issus de son dit ma- ; riage, demeurant et domiciliés à Ca- • BORDEAUX BLANCS 0.75 le lit. nardic, en la commune de Bodilis ; 2° ; Vins et étiquettes d'origine Monsieur Jean-Marie Riou, célibataire, Cidres et. Liqueurs majeur, artilleur de forteresse, en garnison ù Camaret-sur-Mer, domicilié à D E B I T S A LO:UER Canardic, en la commune de Bodilis. Bureau des commandes: 50, Placode Défendeurs, ayant pour avoué. M" la Cathédrale, Nancy. Vous lioatTrcx «lu BORIES, avec élection de domicile en ï MAL OE DEMT& son élude, sise 3, rue Amiral Réveilyu» 003riantstant trotiJo-' L lère, à Brest. j * Piy-'i ocrtí.iEMsp , eis T Le Cahier des Charges, dressé par ^ D S * « ^ 4D«I MI WFIWWRA. W. WÍSR Í M* DAVID, notaire h Ploudirv, demeure déposé en son étude, oi'i l'on Bureau des commandes: 50, Place de peut en prendre connaissance. ¡ la Cathédrale, Nancy. L'adjudication aura lieu aux jour Introduit dans la dent .• V Ht •••• >'•-> VA-,.« • "!."> .'M'«/,'.'. heure et lieu sus-indiqués, en deux ! KWW«. gu6rlt Instanunémesî lots, et sur les mises à prix ci-dessus i I« plus violent w fixées, en l'étude de M* DAVID, 110I w t W w ^«D!7 T taire à Ploudiry, en présence de Mon- [ M U « H ^ ïi sieur Jean-Marie Riou, célibataire, ma- \ DE P i ; , majeur, artilleur de forteresse, en garCFL' 'V'P.OIEÎ' .l - DEHT.TSTE nison, à Camaret-sur-Mer, domicilié de fV-ïlli r W „ fír.;-;»« df !;.i' :«••.•• i\ ÂKîiûPtfà Canardic, en la commune de Bodilis, ~ T'tv< et ¡Sun: J/5.Ö03, * VVCTO'Ï S pris en sa qualité de subrogé-tuteur ; $easstìt&iMs ¿ss jms wn f&th !i Oipiî (tut-ft I de : 1° Allain, 2» Yves, 3° Francine. 4" £ i< ir.rt«. v!« Lt.'Jt'iw t , ï Jeanne-Louise et 5° Marie Biou, enQK 3 HEURES A 5 h'ELŒS •'fcciM/ '.'íw^w''î"«»s ^™»'" «vf «* " fants mineurs, issus du mariage de j Dépôt h Morlaix : Pharmacie A. PAS Monsieur Gabriel Riou, avec Dame j 1Ù, ¿.'J-C ' f{ M0l:LÂU' COET; à Roscoff : Pharmacie PICOT. Annette Jézégou, décédée ; ou lui dû- : ment appelé. \ mm—•IWIWHI M U • • M S'adresser pour tous renseignements j à M ' DAVID, notaire à Ploudiry, à Me COLIN, avoué poursuivant, et à ¿» /n .'-«^•«j; M» BORIES, avoué co-licitant. } Fait et rédigé conformément à la j loi par l'avoué poursuivant soussigné, j . O011 . d e JREflRTJEi . E c o s s e ) | Capital Social : D I X - S H P T M I L L I O N S CINQ C E N T M I L L E F R A N C S f libéi-e du quart ONGUENT CÂNET-GIRARD S'adresser i> M. Le Bars, 12, place \ Cornic, à Morlaix, ou à M. Manacli, ! imprimeur à Saint-Pol-de-Léon. i Demandeurs, ayant M* P. COLIN, pour avoué, avec élection de domicile en son étude, sise h Brest, rue Voltaire, numéro 4 bis. FIRE and LIFE Le Gérant : H. POGIION. X'.«»anwn,<t.ii«ívi ««wwuurMTí laKvetaOMaKummuvr^ lÎJÏRt RÊ I h ' ÉîM.tïi i , ACCIDENT Cours d u Beurre. — Samedi 19 août 280 francs Ir-.-, 100 le.los. Mardi 22 août 280 ¡V. ics 100 kg. 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