Samedi, 80* Année: — N* 4 866. JOURNAL FRflNQAIS-BRETON CAtes-du-Nord, M orbihan, Autres Départem ents . . . C o lo nies et É tr a n g e r ...................... .... 4*ért$.*t t 0 ft\ SO du W dê Ils réveilleront, Je n ’en t« u r> li douter, l'étbo le nias r.baleuiéux d a m mon pays, di'Ji ntttirht è la Pranoe pur des H tm »1 étroits d’ufflalié Intellectuelle et de sincère amitié. C e s! en forment les v aux les p ’us sincères pour l'avenir de cette Rrat.de et glorleuno cailon et pour votra bonbenr personnel que le lève mon ve-re, pour boire fc votre santé, Monsieur le pré sident et é la prospérité de la Pranoe, amie du Portugal. J*udi, le roi de Portugal (jùiffait Paris pour rentrer à LUbonne, où il est arriud samedi. Start eo hor o'halon ont» hor c'hrola l i a starloc h ar lîroaz unn hor Uroizl... CE QUI_SE PASSE Le S in tt s Mrmintf la discustion gé néra le sur les r e tr a it® » s u v r lè r e s et a pa**é à la discussion de» «raclej. L'artiul» 1" dont on commence (a dis cussion Ml ainsi eoftçu ? L*« u la r lé * d e s 'd m m w dé l'In in itrle , da commerce, des c r o ta n lo li libérales et de l'amiculinre, et les eervllenrs I gnitee, auront droit, dans Ire coniiltlou» déle'mluéee par la présent* loi, 4 »n* retraite de v H llleiie oo n itllale par le« verifm vn ti obligatoire* et facaltallta de* tutéres■4e et par dea mtJoraUuns de l'E tat. lia recevront en outre, nne allocation vtaxèré annuelle oonttltuée par dea contribution! d e i employeur! et par une eabvenllen complémentaire de l'Etat. «L e* salarie* dont la rémunération annuelle d é p a u « l.DOO fraaca ne eeront pas sonm li aux o b llia tlo n i de la prêtante loi. Ceux dont 1« rfiusDération annuelle atteindra I ooo fiuuci cesieront dé (air* partie de la liste des assurés, mais Ils conséiveront leurs droits acquis. «*s Lundi, MM. D u iu o n et Alexandn 9lf.no ont vâm6tn#ni d é m u n it à U Ch*mhr* laréintigrat’on de M . N è g r » , I n s t i t u t e u r r é v o q u é , v o i l à d t j à trois a n » , p o u r ie s o p i n i o n s s y n d i o a l i s l i s réo lulionmircs. M. Briand s'y Ml opposé formellement Le droit d'accorder des réintégrations a-f-il ioutenu, appartient au gouverne ment ol non au Parlement. Et puis lui, l'anotan tynlioalisie révo lutionnaire, au jo urd 'hu i assagi, n'a pas caché qu'il verrait d 'u n très mauvais ctil u n syndicaliste révolutionnaire re prendre rang parmi les fonctionnaires. Cn que c'en que l'ussgs du pouvoir I • * * L a Chambre des députés discute le b u d g e t d e » fin a n c e s . Tout le monde réclame dei économies. L» m in iilr e promet (ouf ce que l’on veut pour que l'on vote, au plus vit*» son budget. Mais promettro et tenir tout deux cho»te différentes. * v L » r é d u c t io n d e s g r o s t r a i t e m e n t s « t , comme la suppression des mus-préfeli, una de ces question« dont on pari* toujours, pour ne jim a i» la résoudre. Cett« *nnrfe ta commission du budget, en épluchant les comptes, a cru devoir faire remarquer que les traitem ania fabuleux des trésoriers-rayeurs généraux et des receveur! des finances pouvaient lire rognés de quelques billets de m ille. On pourrait ainsi réaliser annuelle m ent un» économie de 150.000 /Varies. Dans u n budget de plusitursm ildardt cette somma oit une goutte d ’eau. Otaz-là, l u pauvres contribuables n'en seront pas moins subm ergts tout le flot de* contributions. i4u l û u de riali»er des écono mies de bouts de chandelle, nos dêputds devraient suture te conseil do je n» sa>s plus quel ministre dos finances. « Faites, dit-il, de ta bonne politique et je vous ferai de bonnes finance». » * ¥¥ Quatre milliards 374.485 000 francs, tel est le neûi du rachat des c h e m in s d e fo r d e l'O u e s t, d'après le rapport d'un * commission sur la convention si gnée U 20 octobre 1908, entre le mini*Ire de» Irauaux p u b lia d’alors. M. Bar* thou «I le prdsiaent du commit d 'ad m i nistration de la Compagnie de l’Ouest. Le rapporteur critique la légèreté aueo U qu é’le H. B art hou traita ia ffù rr. Mai» il /allait aller vite et former u n gago aux socialistes q u i »étient, on le tdit, l'otntisationde toutes (•* industries. Nos politiciens se soucient en général _rt peu des conséquences ru.niuses de t° jm r v o te et pr»nn<nt pour deviso celle Itti de Louis A T : Après nous le déluge I w • a Dopui» oamndi lo jeune r o i d u P o r t u g a l , Manuel I I , «si k Paci», /ti/ant pour te fàir» aimer 1« don si apprécié des Parisien», la jeunesse, il rtcoit par tout u n aoeufli! sympathique. Dis ban« nefs offioieh lui sont offerts ; une chasse Rambouillet, le c h itia u présidentiel a été oraaniide pour lui. ï Le roi de ï'n tu g k l a visité, en outre, Je cKttéaU dé Versailles, le» monuments, muiég» de Pari», mat» toujours sout I’œII du protocole. Voici les toasts qui furent échangé» e«(r« lu i et le Président du la République a u ' cours d 'u n banquet. felie, lui dit lé président, o’est aveci u n vil olaUtr q«é Je souhaite la bienvenue * Votre Mal es té, dans ce palais où mon éminent préitétesteur a t a l'honaeur, 11 J a quelques atmie». de 'r'ce v ôlr'v o tre lié s regretté'pére', S» l t roi Dea C t r lo t t l votre noble mère Sa Majiaté la ré la t Amélie. Je sala h taie ax de pouvoir vous assurer, aulonrd'hul, dé aea u n t lm t a t i d t cordiale sympa thie pour votre, ptreonaé et votré beau pays, en vous exprlmani lea v aux très slucéres que le loriue po«r votre bo cbiur. Je norte la san té de V o trt ü tje s té , de Sa HaJtsté ta r tla » , votre mér* et la la a tllé royale. Je hols é la « f ta d tu r t l k la proapérIU da P ortu fal, am i 4é la Fr< La r q l* ripondu i io n S * a * u ! U^ioaehê dei psrolas •VtetueaaM «as voai vanta de m’adrener «t tiét t n i i a i dé voai exprimer ma rooonnalitenot >|e ebarmaat accatti dont je sale ¡’objet Ici . où atoa pére hlea ataaé et aaa mère, la obi été tl aimablement re«ue par vffo^aa«é»^\ympaiblès, *>nt fai été, titrée en Praace et let senti^ h toa ré d e p ila « o a *a< ΫfSRiotloB« S lS * a t que *oa» avta bled vo*:« attaW ma obère paule ne remplissant dei * ♦* L e s r o is s 'a m u s e n t. — Pataud est. on le sait, to roi u t l'eleUricité et fait la nuit et le j >ur suivant son bon plaisir Lundi soir, il a renouveld ses exploits, L* jeune roi de Portugal, en ce moment à Paris, avait annonce pour le soir sa visite à ¡'Opéra. Pataud, quelque temps avant son arri vie fait appeler les directeurs et les me nace de supprim er l’ticlaireflsdu thtAtra s'ils ne s’enqagtnt pas à la minute à aug menter de 2i continus lis électriciens du théâtre. Le roi de Portugal allait arriuer l ’instant. Quel esclandre s’il trouve le théâtre plongé dar-s l’i/bfourité r E l les directeurs durent s'incliner et nc^ipter les conditions propoiées par le citoyen Pataud. C'est que Pataud ne badine pas «t tfe mârfia q u'il coupa u n joür l ’électricité pendant u n grand bal, de mâme il n'au rait pas Hésité à priver le roi du Portu gal d u spectacle si on avait refusé de céder &son injonction. Mail ses procédas d ’exterquer par con trainte de» «i\ff*Qements, ne sont pat (unan) -1 ADMINISTRATION ET RÉDACTION 3 b Les abonnements partent chaque ino!* et se payent fi a t a r e L*e c.blo aux tirs et avait et4 quelque fieu maltraité par les canons de l’escadre de la Méditerranée. Aussi avait-on ordonné son remorquage au port où les voies d'eau auraient été bouchées. Mais, mer credi m atin, comme on le remorquait des Salins d ’Hijères k Toulon, une vicrlente tempite s'éleva et t’Iéna coula par dix mètres de profondeur. Il n'y avait heureusement personne à bord, f i jera tris difficils dé le renflouer. n ¥« L a q u e stlo m m a r o c a in s nous mena plusieurs foi» k deux ilo.gts de la guerre avec l'Allemagne. Let Français viennent d'avoir la surprise d ’eniendre l'empereur allem and lui-même, affirmer mardi, dans le discours du trône ouvrant la sejiion du Parlement, que cette question, loin d ’Sire désormais un casus-belli, peut être une omise de déteinte. Les journaux allemands ajoutent que l ’em pereur a voulu témo/gner à la France de ses sentiments amicaux. Le lion peut rentrer ses griffas, mais on doit toujours s’en méfier. t ¥¥ La Chambre des Lords anglais se trouve <m complet désacàord avec la Chambre des Communes pour lo vote du b u d g e t a n g la is . La Chambre das Communes, issue du Enn-dro d’ar Skol La poudre B, de s in iitr * mémoire, Les journ au x technique» en appellent U rfUittat d i leutiiravaU i « uiii'décûUvirta sénsstionnéMe. » Nou i nàus en féliciton» pour nos m arin« cano nnieri. t Décidément U o u lr a s s é l é n a jo u e d * m alheur. I l «eroait en ce moment de M a n u s c r its Ma Icarluc'b e vljo. Perak zoken na ratae'h-hu ket d’ar ikollou oker im iniplij eut al SK0I10U kiislea Kl isiea oeer p n j cuz ai levrion irvrio koudaonei; gant .bon Xrklbien, ruz ar rt zze hebken? Nauze, maiteze ar gerent a ra i rate ho zriuj da gas. h » bugàle e’bo akoilonakolloi o'bonl, pa ne o'helllt ket ho leunia a-hentatl. , . .... Ha prirak c’bosz. enn hano bo liberti to, ne gasfac'ti ket an ingpectourieu pt> J polltiei da welout peienrt levriou a (aita, an tadoii hag nr maortmou etra daouarn ho', bngalfe er gearT Ne ve tamtarwauoCh eged ar pez a rit dljji e-kenver ar skol.lou libr (?), ont tout inori hag heveloc’h a vi t*q'h ou ilei, ber (li, k v s » î s î»n ar ptení da c'hedal kas ho ienn dldan ar gillottln n h n tn s é ré s no • - R éclam es, en 4» page Dernière rolonne de la 3* page. BREST h J 'ït lt t 4 bi^ue PUÉLICITÉ Annonces diverses 4 — R u e du C h â te a u — 4 4 suffrage universel, avait proposé pour bouc lut le budget la création de n o u veaux impôts qui frapperaient surtout les grands propriétaires terriens et ur bains. La Chambre des Lords, qui compte beaucoup de eu propriétaire», refusa son tris recommanaabtes. approbation à la création de ces nou veaux im pits et par suite ne vota point A Paris, une viue campagne i la tête le budget. de laquelle se trouvent les catholiques Unae ses membres, lord Lansdown» sociaux, tit menée pour obtenir la sup demanda k ce qu'on ne le votât qu’après pression du travail de nuit dos u n i consultation du pays par voie de ré boulangers. Ceux-ji vivent, à cause de férendum. ce iraoati de nuit, dans des conditions Le gouvernement anglais d'accord anormale» qui let mettent pour ainsi avec la Chambre des CcmmuntS combat dire en marge de la société. tit vivement cette motion qui, néanmoins Amette, archiv&que de Paris, a été votia mardi soir, à la Chambre des vient d'apporter à la campagne 1« puis Lords, par 350 voix contre 75. sant appui de ton autorité. L ’iminent A in ii, te conflit entre les deux Chimprélat adresse une lettro diocésaine aux bret est flagrant ; it d'aucuns vont jus fidèles pour les prier de renoncer à cer qu'à diru q u i la Constitution anglaise, taines habitudes qui obligent les patrons pourtant si Iradilionmlinte, pourrait en à exiger de leurs ouvrier* le travail de être ébranlée. nu it. Pour bien des journiux, ce geste En atiena'anf, jeudi, à la Chambre des deiarchivêquedeParisaparuinatte-idu. communes, l » lord chancelier A iquith, Il est vrai q u ’ils ignorent l ’histoire de chifdui/ouve-rnoment, l'est livré à utte l'Eglise qui a toujours fourni les cham- critique acerbe de l ’attitude des lords, p iota les plus désimérsssés rfo la causa qui « en une semaine antianlisseni mt du peuple, lorsque cette cause était juste. travail consciencieux auquel la Chambra H d u communes consacra six mois, en vue ¥¥ M. Augagneur, gouverneur d« de faira face aux lourdes dépenses addttionncllis cx!gie» par les réformes so Madagascar, est eu France. i4oant ciales et par (a déftnse nationale. » de partir, il avait supprimé u n journal Pour la première fois, dans l'histoire local, parce que, suivant ses propres de l'Angleterre, des crédits ouverts pour paroles t il reprochait à ce journal le service de l'année courante, des cré d ’atioir présenté le conflit des éoé'jues ditsouverts par la Chambre des com et des instituteurs en France, en termes munes, i\la demanda de la Couronne, qui n» lui agréaient pas. » ont été interceptés, frappés de nullité Que dites-vous do cette désinvolte )ar u n corps qui, de l ’avou de tous, n ’a formule qui n ’est qu’un (Cho du fameux : e pouvoir ni d'augmenter, n i de d im i Tel est m on bon plaisir ? Avgsgneur sa nuer UTto tax» quelconque, ni da la rem sent pousser des oroille* de satrape. Que de radicaux siraietit heureux de pou placer pur une autre. « La Chimbre des communes serait voir supprimer la liberté de la presse en France, comme Augigneur la supprime indigne do son passé et de ses traditions, si elld laissait s écouler une seule journée à Madagascar I sans dire nettement qu'elle n'entend ¡pa» ¥¥ subir le plus grave dus affronts et la plus Dimanche, u n Algérien du nom <i» arrogante des usurpations auxquels un R,.bin EudéUia tire deux coups de re lui ait jamais demandé de se soumettre volver sur le général Vérant, adjeint depuis pius de deux siècles. » au commandant supérieur du la difense Lord Asquilh termine en proposant à de Paris. iAssemblée la d is s o lu t io n du ParleCet Algérien, qui fut secrétaire civil m «nt. Cette proposition oht votée par d’un bureau militaire arabe aurait eu à S49 voix contré 134, se plaindre des offi-.iers qui dirigeaient Les nouvelles élections auront lieu le bureau. D'après lui, les officiers l’au vers la mi-janvier, raient volé eti faisant tu r son traitement des retenues il'égales. Et dipuit, Jîebin, q u i parait ne pa* jouir de ses facultés, brûlait de se venger des injustices com m is « , sur (a personne môme du minis tre de la guerre. Il vint k Pari» avec l ’intention de le IV tuer, m ai s ce fut la général Vdrant qui Potred al liberte fut la cible. Le général Virant a reçu u n e balle à TVompillou ar hrezel a gendalc'b da drela nuque. Sa blessure ne met pas sa vie geini gwasoc’h-wsia e mesk bourrevlen al en danger. liberte. Ho o'hatetennon a zo leun a c'hourdrou¥¥ zoi; aia k k Finistère Kemper betek kazeIl y a quelques jours, un individu s» tenn ar Cbloarec ba c'boultelilgoa Mondisant »out-offioier italien se présentait à troulez, eup eur dremen die blet Halleguen la place de Nice et annonçait qu’il avait’ ha Riou ar G'üaatellia ; hag ar vtnlstred ne la preuve de la t r a h is o n d ’officiers o'hcllont m.'ii eu em welout bep klaak cur frankit ail.kennak.ila lamct digant ar eatofrançai». Il raconta qu’il avait pu dérober k likcd, — b lar.*hl goalskoude haèi a zeblaot keu souetet ne fellffiket d'hon Eskibien ho ¡Rome, u n oertam nombre de documents lezel da ampo.-zouni dldra’oas ene bor livrds à l'Italie par di>s offl'iiirs français bucali con. de l'état-major de la Guerre et de la Ma Ar bokfd, etouez an oli Rrosm^lerlcn-ze rine. On le conduisit h Paris pour q u'il aivblant l>tza beteg-hen, ú¿ eur « J.ickou > y fût interrogé par la sûreté. cm Slzuu, a zlaka'ge dlsadorn be zae'had Mais lo pstudo sous-offiiner italien himor ekfietetino'bouitelliÂOTi Mootrouicz. Ar c’houaj'namant, cme-z-han, a c'hour. refutade parler. Devant cette altituie, on »e demsnda si l'on n ’était pas en face c'itemenuo ma ne vezo «<;i deaket er skolion librncmed ar c'htn'elloahaj; al lc^ilou d'un etcroo voulant faire chanter legou • «rit akolioB ar gommini. varnement françù». Ô n l'a rril* et l'on mftrket Mul a traïeklz, mul a hidtor saotel nag fit bim . Car, de l'e nqul !e aussitôt ouverte a jmixéor David I... > on apprit que cet individu était u n «snroo Ah I potr, kavet eo gan-ez avad eun con.tamnà à d <iffirentes reprisas pour ta»; m al , tentative d» chantage »oui de»'nom» dif An dru-te a zesko d'om? beza dloieret maur a dra ovlt sovel eun hotmizou nonférents. Mail il faut admettre que de tell »soroot unaù uko 11ou el ieac'b n i c’betljemp kaunt doivent être doué» d'une grande im agi d'bor h a t'ai è «ar gfiw-nnséuruz krlsten, ont-no e «ko'ton ar (ornam i' nation pour im aginer des histoire» in- dlnac’het pnet gouitlcoada gànt hon arc'hant lvez I vnisimUables. Ne onlamp ket petra oa al liberte : * c'houi, Jt.ckoa, ha diskouezo d'omp evel ** ■ dont la désompoiititn spontanée causa la catastrophé de l’Iéna, <Stait depui», l'objit d'une élude attentive de la part dei eWmisfes et savants du miniitire'de la ouérre. On assure que eetix-oi ont réussi à1 r m d ré la poutre B »table, o'M-k-dire à écarter tout danger de qombuittons spon tané en y mêlant u n, produit chimique. PARAISSANT L c SAM ED I, Jb G - Z . ABONNEM ENTS Flnlstèrt, 4 Décembre 1909- — *»b Ila U tm o ) O fr .„ O O — 40 50 t J t i f te tro tnont peut le» tn itr tlM l r W t t t t s o n t p as re n d u s H a bet<*k kett-iô eo e karfec h m oût, J msïou ? 0 2 1 mar p’.ij, lavarlt d'omp ho meoDoz peun-da-taBQ, ma ooexlmp, pennda-bctiD tire*, pegen kaer eo ho liberte, ba ma prlentrlmp e poent ha* amter ar peí or b :ro red e v ltd ifè n n e m d bon bini ; — rak, J ic k o u , a n c'bredl a reot martexe : »oad »walc’b a joum dldan hon iviuou «vit eellout Uvarout ii’ex afemp ket d ar c’blferez evel denvetfijoo. Awalc’b ta r ar poent-te, evit ar wecb-ma. * * * Re ail. bep mont kcit-ze, a lavar ez eo evit le u d a ar skoüou kiistcn hebken co b komz an Eskibien a enep al levnou ta ? ar c’aenteilou fall a faver c darn tu z skolion ar c’honarmrmaat Diyarez talr, rak ma ’z eo lenn avra’c’h ar skollou krlsten a b îo n e n u z ev.z nn-.bo. Dre ze, m ienounfd, arabal kr<di al lavariou-xe. A n Eskibien n ’o doa nr.iried eur zonj bcbken o sïclva ho lizer : D.gkulila aa danjet a g>.v ar Turala kiisten c skolioa ar c'iiouarnamaiit, «uz a betî. eue datn Irvrloü ha mistrl p» mestrczrd ha Ro’j lf n n ma reno e oli skoliou ar c’honarnatnaot an doaj»cs a zo dleet da goustlaas ha da telz ar vugale, — evel ma c'houleune lvex disal audibatsr Polncare, bat m iois’.r. o la v a rc u t: « À.rskol pub.ik ne d,e b.-xa n a f evit naïf a-eaep rellllon ebed ; ar vraia dùujani e tie dougeu d aD oli gredi*DCon, h»u arabad d’etbl noazout e glz ib=d da goiistiaas ar túgale a xarempred autzh:. > An E ikibicn o decz graet Ce dever, — dever poanluz, ab^lamour a oulect peee ment e vef'r.t tamallet hag- e pegeo brat trubulll e lakfent kalz kerent knsten. Uer graet o deux evelato, abalambur ma ne o'hellf>ut ket tevel, lezel aa traon da vont peiioc'h. D'omp-nl h:ema da ober hon dever lvez. Sslaouat e veiimp, ma karomp keriet a■nan — ba rar traou evel-se eo eaz en em glèVOUt. « la, a lavare, er itzun-ma, eur mestr«kol eur. Brest da eur vamm grlstsn eet d b iî usout; — la, o hlnienaou eus hon levriou-skol e t eut traon kontrol d'ar wirion- z ha d.A teizar gati.iikei. Prtra a tell dh»,',’n çoulskoüde ? Ne c'nellnmo ket evolato cbench levrioa evlt plijoat d ’hcc’h hebken. Bvteg-heu u ’ez e\is bet nemedhoe’b o kietem. Ra zeulo ar re all lvez a vandeen, h* neuze ne c'üoulennimp ket gwe.I eged kesaer ievriou ail. » Sata aze eur ¡fentei bsg a dalv he tooez a ivour. I . o.l da glemoi ouz ar vlstri ha mestrete J a la ïa lerriou kon U'inet etre oaona^n ar vuçale, pe a zibua dVzlio kentclloa kontrol d h o f ï i z ; has o borr am¿er, an oli t&oliou ha mistrl pa raestrezed a zeuio da veza ar pez a dlcvfrat ct>oi;ra, herves al l«z;nn 2 0 kcn : leun azoa)a;i8 evit telz ar vugalc. Corkntin. ir Briaail a §oli lie « 1 E V E Z O U T-H A N Po„ le» Annonces extra-regîonAlen, s'adreeeer 4 r.lffrDcc IIuva*, Plico d«“'I» Bourse, 8 , a Patte doui var ar g a o u ; h s g evel eur peDnok k ouD artt da veza eboum et berr vàr he grog, e klasko eu em veeji te n to c ’h eged a n ta o he fasi. Dre ze, dig ^ecer, er Gampr, e reaz gourdrouiou ttag a zeree gwelloc'h euz eur C homb bennak. Gwelomp petra eo. * ¥» A rC b alo ci Gayraud en doa diskuillet ha kondaonet, eur wech muioc'h, al lezennou o deuz dispartiet ar relijiuzed ha laeret ar c'houentchou, — diskuillet ha kondaonet ivez dislealded an deputeed ne fellaz ket d'ezhò ober eur rell hebken euz ar goulecnou o doa pedet superiored an u n io u relijiuzed ha leaneze'i da <>ber, evit be;a leret da veva o’boai er stid a vuez m ’o doa dibabet, — (ir B ail, ar C hloarec ha Dubuisson a zo c u i an depuie<jd-ze). Goude xe e kom^az euz lezecn an dis parii, e deuz lik ee t ken braz aaiten e Frans ; hag e pouexaz dreist-oll var he defaot brasa: gra ft eo bet hep emgieo gant ar Pab, a dreuz hag a-enep gwin o u ha reizou an Iliz. Ar Pab eo raeiàtr an Iiix den ne c lie ll hen n a c b ; dre ze, ar c’Iiouarnamanchou hag a teli d ezbo reiza he stad enn ho broiou a die en em glevout ganthan evel ma reont ga&t eur c’houarDaroant all pa o deuz eun affer bennak da zirouestla g^nt-bao, A dra zur. ar Pab n’eh deuz ket srraeou, evel ar c’houarnamauchou ordinai. N'euz iors, gouarnamant ebed ne gont kement a aujidi, na test, ha m'en deuz-bea a vogale doujuz. Setu pérak ne zisplij ket d ar c’bouarnamanebou all. zoken protestant evel bini ar Stadou-Uaaaet euz an Amerik, eu em glevout gmt-han pa o deuz ezomm d'hen ober, egiz ma reazNapoleon he-unàn. Pc ra k n e fell ket d boc'Ù ober evél-d-ho f Respont a rit ne c'hellit ket piega dirag ar Pab. Ezomm ebod da bl<?ga dira-z-lnn, muioc’h e»>cd ne rraz Napoleon pe Prczidant ar Staiou-Unanet, pe c'hoaz Prezidant ar Bresil. Ha pa o peuz eun dra bennag da zibuna etre ar Frans hag eur rouantelez all, ne lavarit ket: « Ne c'hellomp ket klask en em glevout gant ar rouautelez-ze, kement-se a ve piega dira-z-U. » Nan, ne lavarit ket evel-se. Lavarout a rit : « Ni a gaoieo, ni a zivizo, hag en em ^levo. » Evel-se ivez e tleac'h beza graet ekenver an Iliz, ma kredac’h o poa eun dra bennak da Jench or reiz koz. Ha padal o peuz kavet gwelloc'h lsmet madou ho ilizou digant katolikcd ar F ra n i, hep faot ebed euz ho ferz ; ha var ar marc'had e karfac'h ho gwelout o piega da eul lezenn kontrol-beo da reoienn an Iliz. Ne c'hellomp ket ben ober, dre eno e teufemp da vezs chi3inatiked. Ac'hano an anken a welit er vro, hag a bado keit ha ma ne zistrooc'h ket enn hent eeun, oc'h en em glevout gant ar Pab, an bini hebken en deuz da welout ha da lavarout peur e c'hellomp heuilla reizou graet evit an Iliz gant gou3rnamanchou ar bed. Salo e sonfe pelloc’h an heur-xe ! i start enn be zivestter. ma r»t.u tiot eun ite enep he çouca**. A iitroooi. aa taro a ta illa i v *ï so tato ''éo>-ti * fifosz var h« vestr ha? ar wech maa d; le hen lazet, panefe m i teoat s d ir e a C Di. » Seta %ta eur c hi baft^i vav'tsar. te a he vestr daon tevez (ttoc htu cuz r e ik Cbas evcl-se a dalv bo maga. K .? ïr. Ar vraa a vev kor, ' ljA t, hervet a lavare ", tulinbo urer dobareut V ^e-n.r-kîchft n Maoriac. en decz laiet unan b;.K c doa t.X) vlonz... marexe. E kr^ir eur v is te a n d iik tn a e t \sr he barïad ed en doateucot ; l a pa la s to r n « an bini en doa ;liet. e wclax eur c helo ¡ iu eaa-dro d&e ;rof.d ; hag va.- ..r e hefe big-ze e ieunt>». kemem ma : . l e n . Chartrts année 17S9. » M a r o e n n e n r c 'tio a r x tu . —- E';a ttroun egz B irm in ib ìiu Bro-Z.oz, a aa , , t aa wcl>.-t d is p ltg i cur p.-z-c boati U r * u ¿ eun dra b-»nn*g evel « B iii &i l.iardou > tm icbans TEoo, unan euz ar c noarie.ien a ‘“'•'are hag a rae traou ken drot, m . ne c helle an itroun cbu»tztn he ÿoualcu. H» goulukoude e c'toariaz keu.ent ma oe-hi mouget l H a c h o n n t o p e n z d a v e > a kor. ? — It neuze da |oum ita L ipe, ru- rarreziic vi5n eut d-nartamaut Luir-, Var an 270 den a zo eno. 7 o 1;nz o.!?¡)eni 80 vioaz, ta g 11 all r.uspecn 70. Ha kavet e va kement ad er Finis!er et a eur batrez ker bian ? .M c k a u lk e r c n n t r a i n d ib o n u o t — Ar mekanUer Gandemer, o vii ina eun traia o vont euz Roxzonn da Ba-is, k i a plgoet var karr a-- ¡fiaou da rl-av an tammou pella to ito ^’h d'avi t.>u. X 'ta 'l re zonjaz ket e ìoa enr pont da drenien. B j's ar Dout ze a f ikaz d’er.han he li?rn. 1 An tommer a skol'az rak'al an traiu. ba korf he gatnaiad a oe kaset da c hovte da Gourvill, ar gar dosta, e departamaiit Eareet-t.oirc. A tlip o « » * o m ie rle n sotid-.inied. — K .r brii?»di“r sut an eizvt*i r -llait. ; ded. e’.'z Verdun, en d>>tiz k!asi;e- aoipocsouni eun escadron a her. o te ulir eur puezonn e baizar zotibea : bogee, rr ea di>a lakaet. b« caffialaded, gant ar c hoaci, «raok tanva ho xoiiV’ n. à fnì&z, e tu e b*za eun d-a b?nn:l: f iti eut-ai. aledisined a oc gatvet ba^ h :,skieri..i e ì m € cya'iure de pat-.miuui « er ? u t'ju . Ma ne v je ket bet tao|..t por-tou i a\v¿:o'a enn-bl *’vit roi c hinez d'czhi, s^tu ma \efe bei arnpoeiouuft SO dea eno. Ar bilRadler tamallet a zo b c tp uoaiiie". l,a«arour a rrer crear, antaol i« it . a .:ut vet.ji ouz uuan cu: be g-nnlade l. — E il letanant euz an A utric i, bauvet !ïofricbt*’r. eu deoz k asktr, am pucicuui dekkabiten tratjt tir m-me.s p,>e¿oun-zo. e kear l.inz. Uuan aneibo a varj:.z ic ie o . Hen-man a reaz he d.i;ted. evie d>a;r; evit gel'out pi "ra t hunloc i o lavarout ; vero ezomm kabiteued all me a vezj b,mvet ecz ar re genta. Ha padal ema er prltoup. ha? evit peli amrer, ma ne vez ket fuzUlet zoken. M a d o u a a I l iz o u h.n jj a r o h o n soiilo u ti- k e u r. — k JusciiR tfcq'rsny uepartainaut Mauch, a oa bet galvet g in t ar p r fet da zis'ilerla petra e fello d'or^aa obi r gaat m alou an l'ic parr-a. A : c h-mseil a lavaraz ne c'b Jtileune. ket ba ne Vror. le uuj morse tualoa lam^t gant ar re h i c'htnnig d;gaut uo gwir f¿r.' becn. Komseiiiou Cbatiilon ha N.drval, d pirtamaut Ardenn o deuz eraet kement su. « A r madou-xe a giQiiiget d omp, cme-?t o d ar prclct, ue d-int r a d'hoc’b, ua d’omo ui. Lszlt anezbo gant fo ferc'Uenn. N'or bi-uz ezomm ebed snezUo. i> Gwall-gaset a gleiz, gaat be vignouned koz, pa lavar c karfe digas ar peoc’h er vro, ha kemeut all Kant darn eux ar gatolikcd, ar m iniati’ Briaud a zehlant koll he benn. D ie ze o k ro d i e klaskfe va j ar Ileliiion ; Napoléon kenta ken nebeu 1 ue oa ket nemeur douget evit-bi. Mogen, enn üespet d’ai liamuiou e lezaz gant-hi Ita d’ar re c lakoaz d’ezhi da c’houde, N a Ar Briand a respontaz o venli he poléon a roaz d'ezhi galloud d'en era lezenn hag o klask r t i da gredi, evel ievel e Frana euz ar stad reu?.eudik ma nía c'hoarvez be wech ma i o rz aue 2 hi, ca-lti kouezet e anizer ar Revolution e oscile an Iliz plega brao d'eíhi. vrax ; hag ar C honcordat a reaz a dia E n n e ur echui, c reaz ar reket-ma, a zur muloc’h a enor d'ezhan eg:d he oli guz eur guut’orouz m i l l i g t t : A r C ’h » f d a B r e s ta vrezeliou : n'eut nemod an neneudiU tud « E u u he ur a zono, eme-z-han d ’au Gaelet a reomp die ama e klnnigar d'af hag e ve ho llijadur neunvi er goad liag a notr. G ayrau d, m:i klevoc h bo koustians Ch>;f muioc'h a arc'haut epct na r. bougarfe lavarout ar o’bontrol. a Fransisien o c'holoi lio koustians a lenuer digar,than. Dre ze b m deuz bet Ar Briand, m ’oarvad, a glaske hevegatoliked. > leac'h da g!aakperng»ve.z kiunlget kement, lep enor. llogen, eun lient dishevel e ha dlspigoet ken n fb 'ut. Da lavarout eo, eraichana, ne varkemeraz. Ma c'hell ati dud klnnig a-c'bant d ar c’hato ket ar Briand evit dougen lezenNapoléon en deyoe furnez aw alc’h nou gwasoc’h c'hoaz eged re ar bloave- G hef. ez eo dre ma c'hounczont braolk ; evit kompren ne c’helle reizaervad stad ziou diveza-raa e.vit hor c harga a cha- greun ha cb-atal a ver,-ont mad. Perai? « teuont d ar 0 hef elliac'h œoat da (tatui, au ar ll-lijion er vro hep en em glevout dennou ma ne fell ket d'omp en em 2 is- noter? Abalamonr ma oazoat petra ra «c gaut he mestr, gant ar Pah : ar Briand partia diouz ar Pab ? C h e f gant ho aie bant, bug an notar no bug he seurt o doa re a ourgouill, po re Neuze, ar clialoni G ivraud a zavaz lavarte k e t; paea rafe aa interest dezl'o, a aoun da zisplijout d’ho miguouned adarre he vouez, nerzusoc'h eged bis- n ttra k e n , hadre-ze den na c'hell sui vei.lt di>akr, evit ober evel-d-hau. he dammik d a iv e t da c'houzout d» be koaz, evit lavavout: Ha cetra a zo c'hoarvezet ? Evçl ma leac he za. Ferag ne lakeont k e te rC ’Qali’se i Nan, aotr. Briand, an heur-ze ne oant aianaoudek e-kenver lezennou aa d’épargue ? Abalamonr bo livret a zo leuu. zono ket, lizians am beuz. E i eur g ir, lUiauz o dtuz er fi htf. Uix, ho lezebn, goude beza laer, a ?.o • Fiziaus am beux ue vezimp biken Brema, perag neo ket goest ar chef da koütrol-beo da re au Iliz, er poentchou kpndaonet da zibab etre senti ouz eul b-esta da vuloc h a dud VN’eo ket mauk da zoken ma sonje d'ezho marteze beza en lezonn euz eur bro pe dizenti ouz ar velet tud ezommeV. Peli ac'ba.o. Mes tu<l cm ziskoueiet al laoska. Pab divar-benn ar Relijion. zo da geuta i o cri dont ket dont da o'bouDro xe, ar Fab a dleaz diskleria » Ma tou goulskoude an beur ze, n'lior lenn : ma ne c'houlennit ket, n ’o p z j ket. d'ezho : Ha d’an eli, tud zo hag a c'boulcn, iu ìs et» sponto ket. Hon tadou koz a anavezaz « Madou an douar o deux nebeud a digas gatttno bini da veza kred evitilo ; eun amzer evel-se, ba gouzout a rit bouez evit a n lliz katolik : anaout a ra bogen, ar C hef a rauk kaout eur o'brert pegón statt e cboumjont enn lio lexenn »barz («resta aro’bant. Pcrait ne gavor ket ai* baourentez, n ’e deuz aoun ebed enn despet da olí griader an tiranted. kred?D aou dr.i zo kaoz: 1» nu dud ti lut rao-z-hî. B iïe n avad ne roio lie aotre » Gaut eras Doue, ni ivex, doujct ket kristen beteg etrad ho c’Daloun, ùa da lezennou hag a ra (ae var ar galloud evel-d-ho d al lezennou n intket kontrol dre ze ne dizont ket siiou r bo c<.¿a kemert roct gant hor Zalver d’ar Pab lia d'an d ’hor c’houstians, ni a ouezo herzel ouz ha ma c'UeIJent ; ne ouz- nt ket. t o le? u ..c Kskibien unanet g.ittt-han var an dud ar re a glasliíe boa dougen da nac’h eun garanter, bvasa lezen hor rc'ljioa ; 2- no (Idei a zo flzlet ena-ho. » ouzoDt ket Rouslo'h p 'g î'n ni.baut e ilsartikl bennas euz hor íeiz, — ar zentiIla g e leae'h an ouor a c’hortoze >-uz d ig e zd ’ar Pab e kement a zcll ouz ar kiont pa zlnont evit ho ues.t : da rene.k-u a bor/, lezenn an disparti, ar Briand ne Relijion a zo unan anezho, — ba gou- ar C hef eo desM d'ar gsuseurted m,c'.t.-r ar c'hred. dr“ j omn oe dre s’<rl 1 : ¿uel.oo' i glev nemed goaperez c u i kostez lie zauv arm aro keuioc'h eged plega. aa d i i n o (lesero taui » ir vignouneddiza 'r', ha rebechou c houero » E-kecver politil? hor bro, ar Pab a sklerljonact, b. az aon. euz kostez ar gatoliked en deuz enkre¿et, lez gan-omp peb frankiz da zonj al evel Erliu, pa finn ige r d'ar C h t m u ìoc a hep digares n..g ezomm ebed. ma karom p; mes evit a r p e ; a z-;ll ouz eget ua c to ile n n e v , a r C ü i f hag h t., a la', Napoléon en cm ziskouezaz, e gwi- ar R eliiion hag an Iliz, hen eo hor rauk refuz beprrd? Nap. D¡gcmeret.»c’h¿ 1 rionez, iu o c ’h potr eget-han. m estr; hag ac'ban e c’hellau lavarout kouis lavaiet h'rs pegemeut, var bou«/, * daou dra. D a genU, ar Ü beta c heli lakad, d'ezhan en devezo ato, a katoliked ar ¥¥ var he livret Ga’sss d'Epa'gac beteg Marteze eoonjeue oa ketkatoliked ar' F r á n , bugale doujuz ha kalo u n e k ! > patreek mil lur: da v^ur a b:at e remo * Frana stag mad ouz ar Pab ? Marteze e ¥¥ servlch evolse. D'ait eli, ar Cfief a c'hell krède ne zcllfe¿p Uct neuieur evit en Impllja aro’hant o sevel tiez e«lt an dervrA r Briand ne gavaz seurt da respont em zispartia diout-han, evit bova hervez zo u le n , mlcher<'urlt!i', etc. ; ho guerza, pe d’ar c’homxou didroidoll-ze. f.trml pe haot ir- e-mi, haater-vorrà eu hor c'hix, dom dost egiz ar brotestanted ? Mes n ’e ket rae co a gredfe e rafe evit euri ’heulen fOuel-mlkeal htiroc’h rg .t na A nhlstor, p j ne (Thelle ket béxa he 8« he zonj da veza lealdoc’h, da glaBk d a la n tl fà o t konditlon ma vezo ar fa:foi*, a dlee lavarout d'exban o rae eur rapari he fa ;tou. monv perc'hen abenn eur 15, 20 25 b oa* fazi, eur fazi bi'az. E vit kement-se. Bezomp aoun kentoc’h ne glaskfe ober benag; ar C hef a c’hell kemeret donar, ezomm ebed da goll arazer o lenn peli re all grevusoc’h c'hoaz; ha dalc’homp patkeler, foemieler b1h»ù, hap o rei evei n’en doa : eun taol lagad var arazer ar sonj eux he c’hourdrouz a zigwener.evit an tiez GOlr eb, t veto pipstou a bep brotestnnted kenta a veto bet awalc'h seutt d ober, hag aotreo i da gaout : traou kaout muloc’h a norz da cnebi ouz he evit hen dlfarla.- Enn deapet d'al lezen- genseurted abenn votadek miz mae dleasoc'ù zo bet great. noii laoikoc’h klnniget d’ar Fransislcn 6 . Trvm . kenta. gant. Calvin ha Luther, hon,tad(?u,koz a i C O B K N T IN . randenn a zalc’haz stard d’ar Pab : eun Mo a s p re v e n o a n uos le o id u ra , ao n» l ’a b o n n e m e n t e x p ire le 1 « D E C E M nebeud hebken, tud ha ne oant katollked B R E , que d a n s Quehraes jo u r s n o b » nemed a hano, en cm lezaz da veza le u r forons p r é s e n te r , p a r le fa c te u r , touellet gant ar falz-ebeatcl-ze. .*4 t< ane q u itta n c e de r é a b o n n e m e n t do h wVi. , ¿14 ■ ■i. ......... • Petiaoz, a c’houlenuoc’h-üu, penaoz e 3 rranoR à la q u e lle n o u s les p r io n s R I h a t a r o . — A u aotr. LafTorff, 60 c’hell c’ho.az ar Briand beva enn he fazi r é s e rv e r bon s o e a e ll. vloaz, Ubourar douar e Saiguelt, departagoudebezagw elet au.oll Eakibien hag C eux q u i préféreraient r é g le r d ir e c mant G e n , eu doa eur c u l lia g euu taro. an cil veleicnotiskregl diou ^o ll danves te m e n t le a r a b o n n e m e n t d e v r o n t n ou s H ;u man a o» droug ; hogon, be vaitr ua an ilizou kentûo'h eged dlgemerout he (elle ket d'ezhan he werxa, ¿balamom' ma lezenn r oa eul loau brao ba ma c'üouauze d’ezhan Me a gred e oar e faziaz, peli 'zo. arc'habt mad. n d a tl Hogeny evel1m ’en deux oürgouill, kalz Eun dez, ettu an taro ha Milla var üafforgv d u journal.* mutoe’n egsd a lealded, e talc’ao da Raktal ar c’hl a zlredat hag a grogaz ken | T o ute d e m a n d e de c h a n K « n ie n t d»a- achaim ar Ia&aankiz K E L iB IE R en d re s s e — fa lte à iute a n t r e épo qu e a e l'é e h é a n c e d e l ’a b o n n e m e n t o it ê tr e a e e o m p a r a é e d e l ’n n e dee d e r n iè r e » b a n d e e d u j o u r n a l e t de 3 0 c e n tim e s e n tim b re s - p e s té . 3 Pourquoi od combat llcole laïque! Vous ce le lavei pas, chers lecteura? Je vais vous le dire, en m'appuyant sur quslques-uoes des révélations trouvées ntt)« un Journal looal, organe de la Science Universelle. Il n aime pas la méthode »colisiMiiquo ; I' prend la p-lne d'en préfenir ses lecteurs; Il curait pu s'en dispenser. Ne la cherohez doue pus au oours de ses réflexions. « En principe, dlt-ll (c'eut ainsi qu'il commence), l‘>'duca.Hon de l’individu est homogino et proportionnelle à l’état do l’tspèoe »... Vous no saisissez pas bien? Mol non plus. Mais panions, l'auteur s’échauffera peu A peu.' • L’ùducntion... c’est la concentration dam l Ame du jeune homme des rayons qui partent do tous les points de la collec tivité. » Pauvre Joano homma I Js comprends mieux désormais que les nouveaux progintumeu ucolaires aient prévu on q ja it a'tioure de récréation entro 8 heures et ousie tteuics, ainsi qu’a trolo heures. Com ment, sans cette précaution, 1flme du Jeune homioo aurUt-elio pu résister à pareille concentration ? « Jl eut rfuicinnt. continue l'auteur, que i'iMiiculion occlést'nitliijufl n’a pas prrfcudmont pour but do remplir ce programme. » Non, non I c'est entendu, t t merol de le dlro. , « L’Eglise, par exmpla, ne se mele pas du t'avait manuel. Fi ! C’ost bon pour le îisupie grossier façonné par (a laïque. * Votre par exemple est une trouvaille. FI I donc, a votre tour. NI Jésus, ni Marie, ni Joseph, ne bs sont Jamais mélés du tra vail manuel I L'histoire avait affirmé le contraire Jusqu’Ici j ma's Je soupçonne fort l'hlatolre de h« rapproober beaucoup de la philosophie (celle dont vous parlez) : « La philosophie, partout où elle se montre, est le mouvement, nous ne titrons pas anti religieux, mais extra-religieux de l'esprit, » Quelle gymnastique de mots I Ainsi on est-il également sans doute de l'histoire Y Ou ne nous l'a pas encore dit : ce sera pour une prochaine fols. E q attendant, ou se csntentn d’écarter du pied tout c i qui, en histoire, n'a pan été au moins extra-reilgltux. Arrière donc les religieux qui auralont poussé l'inconvenance Jusqu’à sa mêler du travail manuel. , v „ Arrière, llo s'l tut des frères de Plcërmel, •tout l'un d’es membres, le tiù e Abel, : ’ une réputation méritée par sa comoétenoo <»“ • >•« <taeitloaa culture. Arrié e, l'école des i « * Homut, dirigée récemment p .. a,eV,w.|| des li ¡oles chrétiennes ¡ arrière, le».?-*» sr.mout de Salut-Joseph k Nautes ; arrière, l'nteiler de mécaniciens toaotionpaiit a l'Ecole libre de la rue l.annouron, a Bre»t¡ arrière. l’Ecole libre de Kerlnon, aveu son c.onrs do mécaniciens; arrière, ,1 «noten Likòs (li Qulmper, préparant ft la fols a l’écol» dus mécaniciens, & l’agrloulture, au commeroe. . Arriè-e les écoles d’agriculture de notre riîcion. dirigées l'une p*r l’abbé Plauté, à Ilerr'CDont; l’autre par un autre pi ótre, k Saint [V»o (COtes-du-Nori). Voli» po'tr notre région. S H a'agi»«a:t de donner une simple énu mérail-m des écoles professionnellesdues aux Frères,nousu’aurlons pas liai: IEcole d'agricolture de Longsyon (Heurthe-etM oieiio ¡ le» cours d'agncultare des Pen sionnats de Bézlers ; de la lloohe-sur-Yon et de üismur, avec sa ferme école ; locoie d'horticulture d’Igoy («00 prix à divers coucour») ; UüStltut agricole placé flous le patronage de la Société de* Agriculteurs de France ot courounée à l'exposition de 1900 par une médaille d or. Vocm voyox «’tí quo déviant votre par exemple : « L’Eglise, par exemple, ne se mille pas du travail manuel, * Je vous al prouvé, J« c ois, un peu la contraire par des exemples. Ko Je n’ul parlé que de t'enstigatm -utprufauslonnoi agricole. Les l'ières avalent aussi des é ab'.lssomcnts kpiclnux cnil réalisaient la pié.iaratlon aux c«r'lères comm'sicl tics «neo les trois degrés de l'on geignement, — primaire, secondaire, siipî ................... .... rieur. I s ,ivalent enfin (1rs écoles industrielles A Sulnt-Cüamond. A Roanne, a Salnt-Omer, a ruva de Ciler. à Gummentry, 4 Fourcham bault... où encore? Aussi le Dictionnaire de Pédagogie de M. Boisson ( Isez bltn, M. Lin»), de M. Buisaoa dit a soa tour : « VotIA bion, oommont ne pus le confesser, le point de départ de l enseignement primaire supérieur et le premier dessein de l’enseignement secon daire spécial. » E". M. Oistave L ì lion directeur de la Bibliothèque de Philosophie scientifique (an titre qui vous ira, colui-iA), écrit & son tour: • Les Fràres onl montré (ouf le parft nue l'on peut tirer desprogrammes [ ie i Etai] et justifié une de mes assertions fondamen tales. à sauoirque ce ne soni pus les pro grammes, mais les professeurs qu’il fau drait pouvoir changer. • Je dédie ces quelques mots A M. Lina, auteur de l’artlcie queje cite, s'il est dans l'enseignement; sluon, J'Inviterais M. Donmergue, ministre de l'instruction publique, a les méditer * loisir. Jamais il n'a été si o n c'u an t pour ses programmas scalaires de 1902. De plus, ces Igaorantlns sont des êtres lnoompréaeasinleii Au lieu de puiser à pleines malus dius le budget de l'Btat, Us ont la fantaisie de le mô'er du travail manuel, sans réclamer un céntimo au bud get al bien équilibré de leur p*y* : volU le cléricalisme ea action, volU ta philosophie de l'Egllie I Aussi, il n'y a qu’une réponse à cette question po iéj p u l'auteur de l'artlole que Je parcours : Qu’a fait l'EjtHte en phüoiophie ? — « Rien •, évidemment, et 11 l'enregistre asm hésiter. « La scolastique, ajoute-t il, si fameuse U'grel l'armure, en elTdt, devait être de bonue trempe, pulfqae maniée l'autre Jour encore à la tribune par M. l'abbé Oayraud, elle a remporté an détriment du aéputé Uerteaux une victoire de p'us I • L'Ejlite a toujours combattu, p«r*é«uM la science... » Les p euves abondent; ami licteur, on vous les énumérera .. plus tard. En atten dant, pour ue citar qu un nom, l'illustre inventeur de la télégraphie sans fil, le pro fesseur Uranly continuera de Jouir. A l'Iostltut catholique de Paris, de W blenvellitnce et do festlme des représentants de cette E dise, persénntrloe de la soline». • En ce qui concerne les arts, la répu gnance de t’Eglise est plu» forte encore .. Ella n toujours t>u dans la peintura et la statuaire des auxiliaires du drfmon. » OU I oui, vouez-vous la face, contempo rains d’une époque connue sous le nom de siieie de Léon X ! Oelui-ol fut pape, ami t t promoteur datons le« ai^s. Tout le monde te sait ; mais qu Importe ? Présenter 1Eglise comme ennemie des arts ¡ « c'est bou pour iè peuple grossier fiÇ’JDOé par la laïque. > Cette science est de uatureA le dégrossir I Qu’Importe quedeiadvtrittreide.l Eglise, „ 8< IUcomme Snlomon Raloach, par exemple, enregistre des a<reux comme ceux ol t * La société du moyen Age doit beaucoup l VEiilse. Le mer, c'est taire un mlraole de SA dU'é '1 ,, D J i JUlen proposait ses ouvres charl* Vab> 3» eu exemple aux païens. i t h iu i . irf S É N AT U N D IS C O U R S D E M , F O R T IN Ainsi que nous l’avons aunoncé la semaine lem lèro, M. Fortin, sénatiur du Finlutèro a prononcé au Sénat un discours sur la question des retraites ouvrières. Nous en donnons aujourd’hui le texto in-extenso. Nos lecteurs le liront avec iutétêt, car l'honorable sénateur a pris pour base de son argumentation, une étude attentive des conditions économiques de notre région. M. Portiu, comme trop de scs collègues, n'est pas de ceux qui veulent iégllé. er pour le royaume 4cb nuages... Meaitours, oomme to u i loa orateurs qui m’ont précédé a oette tribune, Je suis un partlm n absolu dos retraite« ouvrière». Mon oplofuu n ’u fumai» varié m r oe point '; elle a persisté surtout d la aullo d'une oonveraatjon que J'eus 11 y a vingt ans avoo tin ouvrier typographe do lu ? !!!: ■!; tlreit et qui ae termina par un mot qui me Irappn étrangement et que je vbus demandé lu permis sion de vous répéter. Quelques «mis et m ol venions de fonder une looieié unonyuio puur l'exploitation d'une petite Industrie dans lu ville de Uroet. Lors de lu ditousslon des statuts, j'eus l'heureux avantage do falto déoldor par les uollonuatros, qu'ttno fols los tr<i|s généraux p ijé s , uno (ils la réserve lé gale dotéo ol 10 capital social rémunéré do lagon lu e , A raison do 6 p. 100, le surplus, ni surplus 11 j avait, soralt considéré commu benedoe net et purtaRé, moitié uux actionnaires, moitié aux om ploves ot ouvriers. C’était la participation des ouvriers aux béné fices. Commo blon voui pensez, ontte Innovation fut du goét de» ouvriers, ot l’uu d'eux vint mo trou ver pour me remorolpr nu nom da tous. A p'ès les remeroloments d ’uiaga, ont ouvrier ma d it : « La participation aux bé n in :«*, c’ost cboio évidemment morvellicuse, m alselle rettora, pour ainsi dire, cbo<e «xuoiillonnolle ponr nous ; aussi ledola vptis dire que, d ms le monde ouvrier, oe que nous voulons p.r-dersus tout, ce quo nous entendons ob.enlr nuis! vile que possible, o'est la consllteilon le s rolrultes ouvrlé es qu’on nous promet depuis de nombreuses uunéei et q ui ne viennent Jaeijls. Il ajoutait : Je suis marié, pére de olnq enfants ; la vie matérielle a n.-est est très chè:o ; los loyers sont également tr£>< obers ot, bien quo j'np.iarilonue A une oorporalton cû les salaires sont relativement plutôt elevés, u’esitout juste i l J’arrlva é nouer les doux bouts de l’eouOe. Mos enfants g ra nd lio nt; lia se marieront ; Us t u ront, eux au.'si des charges de famille et Ils soront duus lu mémo situation que mal-méme, c'estA-dlre qu’ils parviendront «usai dlfildloment que mol a subvenir A leurs besoin», SI bleu que, lorsque ('arriverai A la vieillesse, Je ne ppurral pas . orapter sur le concours do mes enfants et que Je snrul ob lgé de travailler jusqu'e mon dernlor loufllo envers et contre tous. Je suis, ajoutaitIl — o'e»t borilble quand J'; ponse, un ooudamné aux travaux forcés i porpeiuUé I » Vollft, messieurs, le mot quo Je voulais vous taire ooonultre. Jih bien, nous allons tous voter une loi grâce A laquelle, déiormals, aucuu ouvrlor ne pourra plus tenir un pareil langage. Mais II nn suffit pan de vpler une loi, Il faut enooie ««'elle suit iccepinble, qu'elle sqlt accep tée par fe monde ouvrier ; faute de quoi, peu Imo' le que voue mettiez en U s du prog'amm e ob Igatlon ou la liberté des versements. — si l ’ouvrier n'y trouve pas nn avantage réel et cer tain, oette loi deviendra Infailliblement lettre morte. l/ponom ble M. Llptllljao n#us « dit que, pen dant aat éU . Il *valt parcouru les oem plgne» de sa région et qu« l»s ouvriers agricoles consldéranent comme uue retraite suflliaute la modeste somme de 3(i0 Ir, proposé* p»r noire commission. L'honorable M. Rlbot, en oe qui oonoerne les ouvriers des villes, s’est montre, lut, beaucoup moins afllrmullf; 11 a m is en doute que la somme proposée oomme retraite ouvrière rat su disante, et li vous u parlé du chlfTie désirable de 305 fr. par an. Mais quelle est doue l'opinion de l'ouvrier des villes en la matière — ear Jusqu'lot je ne eache pas qu'aucun de nos ootlègues soit venu apporter a la irlbuns l'opinion des ouvriers consultés sur U question. OrAjs, messieurs, t la blenvelllanoe de l'honorablo M.Pessard, bienveillance appréciée de nous tous, J'avais pu, dès le principe, obtenir la solu tion du pioblème, telle qu'elle était proposée par la commission des retraites ouvrières. J'eus l'idée de réunir à Diest euvlron (00 ouvriers, et Je leur ex posai, dans un* causerie tl As si m pie, les grandes lianes du projst qui allutt vealr en disousslon. T ou t d'abord, je leur parlai de la retraite A soixante-cinq ans leur disant que la nécessité de leouter la letralte t cet égo était basée sur les nécessités financières ; et l'un d'eux da me ré pondre ! s A solxnnte-olaq ans, nous serons tous morts I » Je lui fia obierver que, d’après nos etatlstlques 10 pour 100 des ouvifers survivent enoore A soi xante olnq ans, soit un ouvrier sur o liq , *t qu'il y avait malgré tout. Intérêt à eocopter U discus sion de la loi des retraitas ouvrières, mêmes d în a oes oondlilons. Puis, Je U ur expliquai an quoi oonalatalt la triple versement : v*rs*m*nt da l'ouvrlar, 0 fr. l'an, ver sement patronal, 9 fr. l'an, et e n fh , majoration ar l'Btat des sommes produites, à concurrence a «o tr. au maximum. Gomma Je voulais leur faire touoher du doigt la résultat m im a da l'opération et que J'avais l’heureuse fortune de posséder dans la salle un tableau nour. Je Se sur oe tableau le oaluul des sommés produites par oe tripla versement. Bt J'arrivai au résultat exposé par la commisstQo, au chiffra ds W fr. pour 1« retraite o n n u ü ls , 8 ...A l'époque où i» société se divisait en eûtes, oh il y avait des nobles, des vilains ..il AU P autrefois et ai oubliés, est sortie tout armée des livres d'Ariatote. • lt\l.|! et des serfi, elle maintint le principe de l'égalité des nommes devant Dley. L'Eglise fut le refuge des capacités. > '(ReluucU : Oipheus, p. 319).,. TV* Talne, Llttré, tant d'autrsi, ne parlent pas autrement, bien qu'ils n'appartiennent guère, que le sache, * oes gens suffoqués par • la méthode de mortification et d'oralson », obère aux cléricaux. » Oe Reluach ne connaît rien &<l’é lucatlon eocléilastlque. » Vite, réparons en lui cette lacune. Et le professeur d’écrire : « Elle a pour objet : i* l’enseignement du culte... • Pardon, répliquera le dernier venu, aux cours d’instruction religieuse, préparatoire A la première communion ; le catéchisme qu'on mo fait apprendre est ainsi divisé : 1* la doctrine ; 2° la morale ; 3° le culte. Mais noire théologien en redingote ne s’arrête pas pour si peu ; Il continue : « L’éducation ecclésiastique a pow objet : 2“ L’accommodation à l’esprit de l’Egtiso des études profanes. • Pardon, B'écrle de nouveau l’enfant : la géométrie dont Je me sers est celle qu'ont entre les mains les élèves de l'école pu blique de ma commune. » SatltUit de sa démonstration, le mrltre conclut:. « Et UOiU pourquoi les dudques, aidés de leurs ourâi, se font u n p iu partout les persé cuteurs de l'enseignement iafquo » Hein ? que pensez-voui de cette argu mentation philosophique ? N’est-ce pas que la ac ilaatlque est éreintée dans les grands prix ? Eh I bien, pas complètument encore : il lui reste un dernier souffle. Mais attendez ; cetto fols, c'est 1« lutte finale... Il icbtü un dernier pavé... Mais oui : l’HIstolre du Père Lorlqaet I « Quand on a connu l Histoire <iu Père Loriquet l'indignation do nos cliric&ux prête à lira. » Oui, et la vôtre pifite k... pleurer, comme dirait Beaumarchais. Uelcsulte, écrit Louis Madelin, vers la date du 27 novembre 19( 9. aurait Imprimé en Juillet 1814 que le «marquis de Buocaputo, UeutmiHnt général des armées du roi Louis X V III, » avait pour son compte gagné quelques batailles. Le 8 mai 1814, A la Ohambre dea Pairs, répondant à M. Passy, Montalembert dé clara que « cette falslti nation stupide de l’histoire n‘a Jamais exUté. » Le J mrnataes Débats m t 30.000 francs A la dltpr sillon de la première personne qui rapporterait un exemplaire do la fameuse ILstolre (Il y on avau 100 000 en circula tion) : personne ne se piéseuia. M. Ularetle, en 1904, aboutit aux mêmes conclusions, Je préviens Paul Lina, qui a signé l’ar ticle que Je commente, de p"nser aux 30 000 francs. Cotte fols les rieurs seront de son cûté ot la fortune aussi I Par la même occision, il voudra bien nous souffler a l’oreille ie nom de « l’éciivatn catholique » dont 11 donne le pro gramme A la lin de son étude. Beralt ce Voltairo ? U q peu de lumière, ail vous pltit, ou garo A l'ombre do l<'lorian, A La Lanterno... magique I A. CarniU sk . ‘fl SJl . - Ce fut, dans tonte la sallo, un rire prolongé ; le nord du Finistère où la pêche:ne se tait pss de du vapeur anglais Congress, allant de Caret, quund Je voulue m ’en expliquer la nuturo, Jn M. le député remercie l’auembiée dea la même façon. diff A Brest. m ’aperçus qu’il était Iroulquo et moaueur. lit marques de sympathie qu’elle lui témoigne J'a i dit (ju'll n’y avait IA que deux ou trole Immédiatement un ouvrier l a me dira: « Monsieur, Suivant ce marin, le capitaine et les et déclaie la séance ouverte. hommes par bateau. Ile se livrent A la pêche à la vous êtes venu Ici pour nous parler des retraites quinze nommes de l’équipage auraient péri ligne pendant 1hiver ; pendant l'été, lie font la La parole est ensuite donnée à IL Carrai ouvrières ; oe que vous proposes ae n ’est pas la pendant la tempête. f™fhe an oasler, c’est-à-dire qu'ils péekent la qui d une voix sonore et en termes he are u retraite : qui dit retraite d it possibilité de vlvr* langouste et le homard. Des navires se rendant de Pont-l'Abbé développe le thème de circonstance : aans travailler A un moment donné ; or, ce n'est J al, dans ma commune, un port de pêche où II en Angleterre ont dû relâcher à Lcer.udy. p u aveo 240 fr. psr an que nous pourrons rester L’Ecoie. le Oi oit et le Devoir des Parents. 1 “ “ y'ron cinquante ou eolxonle bateaux. Le canot Marguerite, patron Jean Tréeans travailler. SI sous devons être obligés do M. Vitllers, après un éloge mérité an . P .?*î en ,ac® d'O ueisant, dans des parages tout bern. de Loctudy, qui rentrait de la pêche, jaune conférencier breton, expose briève travailler jusqu'au dernier Jour, noue ne voulons A fait dangereux, où les bateaux ne peuvent sortir pas de votre fol ? » chavira. Les t'ois Hommes qui le montait que rurement entre deux graine, entre deux temment l'importance capitale qu'ont les Alors, Je leur parlai des versements facultatifs, auraient péri sads l’arrivée du canot Saint- pères et les mères de f smllie de se grouper t.âles, notamment p e n d a it l’hiver. Les hommes grt-ie auxquels ils pourraient majorer leur pen Antoine, qui s’éiait aussitôt porté a leur pour la sauvegarde de ce qu’ils ont de p;u* ■misent par gagner, dans cee oondltlone, 400 fr. sion ; et l'on me répondit : < Voae savez que, secours. toucher* maximum de ce qu'ils peuvent cher au monde : l'îme de leurs enfants. dans notre pays, l'ouvrier ne conserve pas d’& ritnt entro ses mains al facilement qao cola, qu'il ne Il donne eusoi.e, avec commentaires, . <*e.> Pêcheurs dont le salaire annuel varie consentira Jamale A ajouter un versement facul lecture des statuts qui suscitent quelque de 150 tr. a 4C0 fr., et qel se constituent tous les tatif A un premier versement obligatoire. Il fant discussion et, finalement, reçoivent i appro w i i . P* £ ,? V A ■* marine, une retrait* que uous nous en tenions au versement certalu et bation géi.érale. q u ll* touchent A lAga de clnquaate ans, avec réel. C'est dono au moysn du seul versement o bli vingt-cinq ans l e servlcee. Ils veraint annualleL’assemblée élit le conseil d’admlDlstragatoire qae nous pourrons constituer notre reB R E S T ment 9 fr. A la caisse des Invalide» et 4 fr. 60 A la tlon qui choisit comme président M. D om i trslte. » calsie de prévoyance, au total. 13 fr. 60 pour l’ob. L e S ac ré - C œ u r de J é s n s de Q n lm p e r nique Le Bot, et constltae te s bure»n. J'a lla i enoore plus loin dans mes explications, t ont Ion de le u r retraite. O r, q i a n d u d hom m e n u l désireux de faire revonlr mes auditeurs sur leur La séance, qui avait commencé k 2 heures, Deux requêtes étaient soumises samedi, gagne 400 fr., peut tou» le« eus arriver a f„iro mauvaise Impression première et Je leur dis se te r m in a i 4 heures, a p è s avoir atteint sou versement d* 13 fr, 50 — et la marine ne au conseil d'Etat, par la congrégation « Voyons, en quarante-cinq ans, vous aurez | objet qu elle sepropoiait : constituer pour citera pas de cas où le voreement n’aat pas effecautorisée des filles de la retraite, dite du versé, A S francs par an, 170 fr. Or, considérée .,1 “ .Pourquoi voulaz-vous qae l ’ouvrlar des le canton de Daoulas. une association décla Sacré-Cœur de Jésus, de a jim o e r. contre dono l'avantage énorme que vous aurez, maigre vil es ot dos csmpaane», qui gagne davantaga — rée de pères de familles en vue de m»lntout, puisque, dès la première année de votre un arrêté en date du 18 Juid 1907 par p a i r i e nos Journaliers, je vous le déclare, uateulr dans 1 écol*, la neutralité religieuse, retraite, vous toucherez 240 ou 260 fr., c’est-Aleqael le ministre de ilu lé rle u r prononça gneni 2 fr. par jour et travaillent environ trois dire le muntant mémo de vos versements. » le culte du patriotisme, le respect des ins la fermeture des établissements de la lte cents Jours, ce qal fait 600 fr. par an —■no pulsae Ils ne voulurent rien entendre et so réunirent titutions et traditions nationales. pas ver»er 12 fr. par nn 7 congrégation, sis a Brest et à Lesueveu. en dlITerents groupes pour y discuter de lourM. Euoknb L ik tilh a c . Le prix moyen dae »aLes deux requêtes, étant formulées par Wo,f,a-— La conférence donnée à Daovlts lutéréts. Je m appt ochai do ces groupes et pars lalre» agricole» duna le centre est de 450 fr. oar la même congrégation contre un même par M. Carret va être publiée en broehure tout ce fut le môme refrain : « Nous ne voulons an, nourriture non comprise. arrête, ont été fondues eu une aeuie par le pas de votre loi comprise de cetto lagon, parce Les personnes qui voudraient la rep&ndre. M . FoivriN. Aujourd hul, vous ue trouverez pao conseil d 'Ita t qui a annulé, pour excès de qu'elle ue noue donno pua la possibilité de vivre sont priées d en aviser sms retard le. Courun domestique da ferme d’une réelle valeur qal, sans rien faire ; nous voilons, à soixante-cinq ans, pouvoir, l’arrêté ministériel en tant qu’il a Mer ou FinWtèr«, en indiquant le nombre avoir au m inim um los 365 fr. qui nous sont néces vaut bleu 1*0 1°* Pa‘ 5° ' fr' S ï ,o u rrU “ re prononcé la fcrm iture totale des établisse d exemplaires i leur retenir. saires pour vivre. » ments de Brest et l e Ltsueven. M. EcoftNn L in t ilba c . C ’est ce que Je dis. Et tou|ours Ils terminaient ces conversations G o lp a v a s M . F o r t i n . Q u a n t a ux ouvrier* a g ric o le ! n on Les établissements, véritables maisons par cet éternel r*frnln : « N o u i ne serons contente Un fauss&lra. — ]_,0 ulounal correctionnel n o u r r it c h i z B o u t, lia touchen t certainem e nt S ir. de retraite pour les habitants des villes et que quand vous nous proposerez 305 fr., c'est-Aae tiresi, aa derulè.e audience, a Jugé p a r Jour et so foot environ 000 tr. p a r a n . campagnes voisines, ont le csraclère m;x*.e dlre 1 fr. par Jour, o l’affaire aulvarite : m . DR L i m a r k b l l g . Les J o u r o a lltr i ? et ne tombent pas soui le coup de la loi du Messieurs, devous-nous faire nos efforts pour Cioulven Lo Verge, 44 ana, garçon da fsrmo à M. FORTIN. Lee journalière gagnent % fr. par lonuer satisfaction 4 ces ouvilsrs, dons la mosure 7 Juillet 4904. Ka louau, a.aii trouvé un truc vraiment IngéJour, dani» tout le nord du Finistère. qui vient de vaas éire Indiquée par oux-mômes ? Dans im p lic a tio n de la loi contre les “ *u.z P"ar J® procurer de l'argent. Lorsqu'il M . L b R a p p o r t i u r . M a li pas dana le M o rbihan . Je dis que nous devons faire tout notro possible était embauché par un patron, sous un prélîxto congrégations, on procéda avec une bâte M . F o r t i n . Je «u ^ p lln 4ouc la com m ission de pour arriver A leur donner co m inim um q u ’ils quelconque, U Maalt «npoaer i» Mgnatnre de « revenir sur le cklffre ie 6 fr. q u ’elle a a do pté et injurieuse, en commettant d'énoimes d*inis entendent obtonlr et qui leur est incontestable de le porter Im m é diatem e nt à i l ir. J e aep p lle i l . ,ur V? ,PaP er-f “'» Le Vorge rempllassit de justice. Les v ljilm es protestaient, m ils ment nécessaire pour vivre dans leurs vieux jours la feuille qu il libellait ainsi ■ le m in istre de trav a il d ’Iaterveolr et ie reprendre les liquidateurs qui s'étalent jetés sur leurs sans se livrer a aucun travail. a Je reconnaisi devoir A mon garçon la somma son chiffre prlasltlf, q u i é ta it de 12 tr. L e S én a t o* jvies comme des oiseaux ûe proie, n'en Co chiffre, noua pouvons l'attelndr* ; seulement, fera a in s i umo loi q u i sera acceptée p a r le m onde entrée ** P“1168 cbel mul lo Jour de son: Il est nécessaire do blon établir un premier point, tendaient que le bruit de l’or dont Ils rem d u trav a il, parce q ie celui-ci verra que U letralte o'ost qu'il n’est pas posslblo deréolamer au patron Bien entendu, lorsque Le Verge présentai« plissaient leur* poches et celles des r"inf a o n la i p*opos* art suffîinn te. Q c « voua accepplus que ne demande actuellement le projet sou liez I obligation ou la liberté, aoyaz blon convolnoîilfi t®C0DD“1,l**n,c», Il T avait contestation ; oo plioes. Comme l'a dit Coubes lul-mêae, mis A notre examun, soit 9 fr. pur an ot par allait devait le Juge de paix, qui ne pouvait fl “ * ‘’ouvrier qui verra une retraite l'appllcatioj de la loi devint une ceuvie de ouvrier. C * chiffre, pour lu petite Industrie, n'aura qu engager le Bl^Di.talre à acquitter sa dat* « Le de 400 fr A toutner A solxante-cltq ans sera le banditisme. pas uno Influence bien considérable ; m a li, dans premier A faire ans ver»ements. o ï«.a tU o,: lt deux Y 9: U Waiiioux, CnlUVAteurà L'ariêt du conseil d’Etafqne nous citons la grande lndustrln, au contraire, où le même Gulpavaa, paya alDsI 70 francs qu’Une devait SI ce principe ost admis, Je sols oonvalnau que est un des rares arrêis qui ait tempéré patron peut employer plusieurs centaines d'ou pas et M. o .b r W . à Pl«umof uer, *7 fr e) A la la discussion de la loi se fera très p r o m p te a n t ; vriers, lu chargo sora relativement assez Impor l’audace de ceux qui ont été voués au m i trois èai« leata'lve, l'escroque, M. Qulstlnlc d* chacun doi articles ne donnera pas lien A de tante. pris public par celui qol déclara une guerre «e fâ'-ha ef porta ¿l.Tnt» .a .b u’, U grosses discussions, et lorsque nous arriverons Eu oe qui conoerne la participation de l'Etat, 11 blanc-selog. Le Verge, qui a déJA subi trois connu dernier article, lorienie nous aurons voté coite acharnée aux congrégations. est évident que nous no pouvons pas la majorer loi attendue du monde ouvrier, nous aurons cons moUrdo 'pris onî aU“‘P'’ U“9 <'aatrl*“ « * davantage. Nous savons, par les explications qui cience d'avoir accompli notre dovolr ot nous nous out été fournies, quo lu subvention de l'Etat R f ll lg la n a e * p o a r s a lv la e pourrons dire que nous aurons fait csuvre de saL and erseai aux caisses dos retrultre ouvrières variera entre Ainsi que nous l'avons dit, dans notre dernier gessa et de Jaatlce sociale. (A p p ls u ils ie m e n ls 100 et 130 millions, nt H . le ministre des flonncei T amponn*m*nt. - M ocanU len tué. i numéro, sept roilRleuses du Salnl-Bs^-rlt, du sur u n grand nomftro de bancs.; n'ignore pas les difficultés avec lesquelles 11 est Gonquet, et trois rellgleises de la Bsgesse, de Ï! 10 ‘un train Il faut croire que le lansa^e si sensé du déjà aux prises lorsqu’il s’agit d’obtenir que les Balnt-Plerre-Qullblgaon, étalent poursuivies de dêL“ ea’ e , ° Péralt UD8 “ ■ « * " « « « £ 80 millions néceualres i l'equlllbro du budget sénateur Fortin a produit Impression sur le vant le tribunal correctionnel. solont vo'és sous forme d'InuOts quelconques. „ ^ “ 2* “ ornent arrivait |uslo l'expr«ss de NanU» ministre du Travail, qal a compris enfin Le Jugsment a été rendu vendredi dernier La La contribution de l'Etat devant rsster flxéo au qu’une retraite de 2(i» fr., même de 340 fr. place uous marque pour l’Iiuerllou in extenso mont éUiMnévlUble1 TOte' Ua maximum de G0 ir. par nn, Il ne reste donc plus du Jogsment avue tous ses considérants. Les 1 an, était et ne poavalt ê*re qu’une retraite Lo qu'A se retourner du cô-.é do l’ouvrier. attendus essaient do justifier la légalité qui irli 1 I n c ì s i » vi au a “ d® marchandls9s com,de famine. Il vient ea rtfet de déposer un prit Le rapport de la commission fixe la cotisation erî« », » • íon cbl*nffour de «autor i terre < nouveau projet gra:e auquel, tout en main Interdit aujourd'hui le dévouement ei la ch arlll ouvrière a ti fr. par an. Eit-co 1A un'ch iffre s u f * lul obélt- L ui, kérofauemsat lorsque co dévouemm t et cette charité s'entre tenant le versement annuel de l'ouvrier i UraJ.nnwPa 4 80U poste nour âfHuvAr nar un« fisant 1 tiennent A la flamme de la fol. nluvrIa Ç??1? pour e,85Je’r par ànë’ mâ■I l’on veut obtenir une route de 3C5 fr., Il est 9 fr. t t le versemont patronal ¡t 9 fr., il d A ’ lt,'r an ma.heur. Hais, taaéts Oo eatlme «an» doute qae ce» vertns sont a u Indispensable d’augmenter lu quotité de ce ver arrive, en capitalisait ces deux sem o*s et jourd’hui m onnaie»! coui^nte, q a ’ll est temps de f,1 “ achln" tD arriéra, la locomotlva de sement. l «xr>, es» 1 enleva de sa plate-forme «t i* prol*ta. rebuter ceux ou celle» qui les pratlaient. »an» en renonçant à la répartition aanualle du Contre dss wsgons. J I! eut, au roste, Mtperflu quo je mo llvro A cet versempnt patronal, à donner A l’ouvrier 1autorisation du gouverLiment. Ls pauvre mécanicien lut broyé. égard 0 un oulcul spécial ; 11 me nnfllra dn me Le» religieuse» de 8»lnt-Plerre Qullblgno»- ont a?é de 65 ans, une retraite de 414 fr. 23, de teporter au rapport dn l’honorable M. Ctivlnot, Lb heurt du tamponneaaani avait affilé Vm telle go,te q u i l’ouvrier qal aura versé élé condamnée» pour avoir tenu une g a r d '.i» d’i n . voyageurs qui descendirent précipitamment ds premlèr* partie, p ig e 92, pour résoudre la ques u u . au m é .rls dé la loi », dit le ’jugement pendant 45 ans 9 fr., soit une somme glo fs U tion que nous uvons A trancher. Notro honorabl* Jjnr*.wagons. L« train des voyagtura n'arriva à »* loi qui fait asssnlr se b-nc dis prévenuea rapportenr donn» trois oxemplea ; le troisième bale de 405 fr., touchera dès la première Brest qu » 2 h. S0 du matin. Pendant ce temps on seul peut ie rapprocher du dislr exprl&è par les ,ôi* lD*r"1 d> recuslilalt les débris sanglanto d* la vlctltna t e aanée de retraite une somme supérieure & îîn n .r i l, ‘t. ’ ,D * le* a‘ ire * puissent devoir pour les transporter à l'hospice. ouvrlor», puisqu’il ou résulte quo, pour un w s e tous ses versemfnts. ? r ,be,08,le el »sgner quoiqu’argent ment de 11 tr., la pension acquise sora de 220 fr. 50 Lo mèoanlclen s’appelait Jullaa La Bail. Il qui aug aap te le (a ln dn aaarl, cett« lut mérita par la capitalisation, somme é laquelle 11 y a lieu était né ü Lauderne.m, le J Janvier 18S9 T. lalsis blan le a mépris s dont parait s’offutqt.er le réd ’a|onter, avec lu majoration de l’Btat de 60 lr., Sactaur du Jugement, lequel : SMnt'Br'ieuc Un* nUeU* d* D**f l’allocation viagère provenant d«a versements ■isjoint l’affaire en co gui concerne la «lame patronaux, soit 120 fr., si bien que le chiffre global Lanildat Lévaèr ; donne défaut contré Ilo o k ; condaano de la pension vlngè-o atteint 400 fr. cetto dernière A 10j franes i ’aïuende ; Marie PléE le ctlo a Taliaôo. — 1j 9 comseil de préC ’est ch chiffre qu ll faut absolument nttelndre. menr ot J .n n Kernéla A 18 frnnca d’amende, ces iecture, dans sa séancc; d» 19 covemb e, a En bien I Je vous demunde s’il serait ex g-'ré, N o m in a t io n d a n s lo C l e r g é deux dernlara avac application do 1s loi de aur.ls; r^Jrté la protestation lormuiée par MM. dans ce but, de fixer 1 12 fr. la contribution de les condamne solldalremantaux dépens, et Sxe au l’ouvrlor ? Vincent Le Port Ita a c contre l’élection da minimum de la durée de la contrainte par csrps. Par décision de Mgr l’Evêque a été A mon sens. Il n ’eu est rlea. Q ui l i t 12 francs docteur Le Cietiü. Bu conséquence, le doc Aux religieuses du Conquet l'accusation ropronom m é. par an, dit 1 franc par mois — 20 tous par iuoIs teur Le U e c h est ém conseiller municipal Çhalt: 1« do no point a’élre dispersées malgré — pour purlor le langage ouvrier. Directeur au Grand 8*mlnalr», M. Michel Léon, de Lanildut^ I arrêié du 1* ju in 1IW7; a* d’avoir en 1W7 et en O.-. comme on peut tabler sur vlnt-clnq Jours d* llctaclé «n droit canonlqu* do Hustltut catho ÎOOS ouvert ot dlrlgéun établlsssment cougreKaLe R e lc c q - K e rh a o n travail daDS un mois, le p'é'èvement sur lo sa lique d* fails, 1 nlrle. " laire est lnMilt-ur A un sou par jour pour acqué A n t ic lé r ic a u x lu t o lé r a a t a . — Nq» Elies ont été eondamnéas : Urnes Uonorlaa rir une retraite de francs J v a iiu c ts amis, les demosrates corét'ens du Simon, Mûrie «onfort, Ann* Henrlo, A ^n a La E l ce qui conoorn» loa ouvriers de la campsgc*, nelecq K frbuon tenaient, dimanche der «ris, Ann* •ulff-.nt, Maila Kerjean A 1« francs Je * u l i «ncore mieux documanté, parce qu'étant d’amendo aveo sursis et la supérieure genVale, nier. une réunion publique et contradictoire nsslre d'un chef-lieu de cauton rural, Je nuls en «m e Mathurlno Régnier, par dalaut, ¿ 1(0 Irauc» aa conrs de laquelle l’abbé Madec m ontra La première s n illr n des Assises du rapports constants, pour rlnsl dire, avec tous les d'amcado sans sursis. C’aat la fameuse « deteme a que l’Eglise, apréa avoir conqois la liberté travailleurs de la région. Js connais dos plqueuri Fitistère pour l’année 1910, s'ouvrira A annoncte. oe conscience, a su la conserver au m o nde. d» plorre, dos m*(pns, des charpentier», dés m e Qulnauer le lu n ll 3JanvI*r a midi, sous la nuisiers. dos couvreurs :t'ous ces ouvriers gairnent Le discours tièa fortement documenté tJe présidence de U. Frétsud, conseillera la U n b a n q u e t o r ig in a l • n réulltg de 3 frauc: A 3 fr. 2!) par jour. Enint l’orateur souleva, à plusieurs reprises. les G )irr ds Rennes, aysnt comma *SBC3 seurs L,tu eourd-muei» de Brest, au nomhre de donné qV* la oaiep^g-B, un t?l selalre équivaut applauiisorments chaleureux des 500 per U. D jfo u r, jug,t su tribunt.1 de Q ilmper et vingt-cinq, se sont réunia dim ancut 28 no sonne? qui l’écoutai-nt n u is aussi m it en A un la is l'é do 5 franc» en ville, ces travailleurs Le Scour, juge snpp éant, «u máme triferont très aisément I'é3onomlojourn»iiè-e néces vembre, pour fêter le 197' anniversaire de mtu7ais« posture les anticléricaux du banal saire d'uu sou pour se eonitltuor cetto reirslto i ç la naissance de l'abbé de i Epée. Reiecq, qui avouèrer t leur défaite ea reeou• 400 francs qu'ils ambitionnent par dessu» tuut. Après une messe dite d . i s la matinée, rant » une obstiuction stupide. A <û'é dus ouvrlo'» noui irou*on* losjournallors un banquet a tu lieu , midi au coui.i du Nos amis en ont appelé a la jurj'ice de du la u impsijae, Eu tj.'fltngn* ¡1 la inalu-d’ou*re quel des discours out été prononcés... par leurs compst'-iotes en d is tr ib u e r à Dlun’est cp.peudûnt lias t 'è i chu è. ces Journalier» signes et aussi par la bouche. «out payés du 2 francs 4 2 f 1. 35 par Jour. Or, sieurs centaines d'exem plaire, i’e t râCf La fête s’est terminée à la matinée du mémo avoc ce'le somme, l ’s arriveront, j'on al la réunion^"’ reprodult U P ^ I ^ a o m le de la Souscription pour élever une tombe au Casino, où les sourds-muete se sont rendus ferme conviction, A économise’ , oux aussi, les 12 francs par nn que nous leur demandons. fAfouregretté Rédacteur en Chef du Courtier du ponr « M ite r à la matluée cinématoKraAUX CITOYENS LUjRES uomems itlvtrs.) pbique. Finistère : témoignage de la sympathie de Citoyens, M. HuoÈ.fK LltyTlMlAG. Le Chili a de 2 fr. 00 ses Confrires et de la. reconnaissance des M. l’abbé «le l’Epée fonda,au dix-huitième La groupe d-« aD.'jsIérlcatix relacquols s'est comprend u'i'St co p i», le enlul’o nn nature ? Catholiques du Finistère. siècle, la premiù;e inbtitutlon dea eouruadéshonoré devant ’. opinion. M. I-'OUtin Je parh du aalalro un argent. muet*. Il n ’eut poui- soutenir sou œuvre Il a donné, nu Cours de la réunion de dimanche M. E uohnh U ntim iaq . Salaire on nature oom6* E T D E R N I È R E L I S T E a lm lia b e qoe sou dévouement et ses mo dernier, le spectacle d^ la p us spu^age Intolé prls ; ces Journaliers n’ont cirtalnem eat pas rance et de la plua larnentakle falbleeso. MM. Graü, vicaire â Plouguerneau. 6 fr. destes ressources D autres vinrent ensuite 700 franos do salaire annuel, plus leur oouirlluro. Quand M. Vallaux a fait sa conférence aur la (.Von ! H un ! A droilt.) S o a ê ire .rro 'e u ri St-8 *uvi:ur. 2 al perfectionnèrent sa méthode et ai j iurM. Fortin. Il fa it, dlsal»-|s, compter de 2 francs L.LÆlt par^ t!on’ nott8 ,,av0B8 écoulé, nou». Cone, vicaire à S l- S »u v :u r... 2 'hui, on est parvenu * rendre, pouralusi pendant une heure, dans un sll«nce respectueux A 2 fr. 25 par jour, pour los Journnllers do la usm Biauqnet, recteur du R;lecqdire, la parole à qielqucs sourds-muets, ™ , uw foi« nous ne ÏOLvm imerromvu pagne, de même qu'il faut évaluer a 3 frauc» ou Kern n on ......................... ............ 5 très Impaifaltemenc encore, il est vrai, Dlm.incht* M. Vaiiaux. plus ae vingt raie a 3 fr. 25 le salaire des mnçons ; mais 11 nppartlont D»ux Lampaolais..................... ...... 4 mais ce résultat est déjà beau. coupé la parole A l'orateur catholique 9 A tous ces travailleur» de so nourrir avec les sa Kfl.-audren.reot. deU uim illau. S A chaque Instant, des rangs de ses a'nla par» E : naturellement, pour les anticléricaux laires quo Je viens (('Indiquer. talmt des Interruptions d'ailleurs Laurent, vicaire à Plougonven. 3 1 Eglise a toujours été l’ennemie du peuple, Je soutien» encoro, m eilleur», quT » arriveront IV estemenirelevse». A fulro des économies aullltantes pour verser leurs Particulier de l’école Saintcette Eüilse dont furent prê.res ik* S .ln t N’a-l-ou pas vu nn assesseur 12 francs ; je vais vous eo doannr uno preuve Im Blalse, Douarnenez................... 1 Vincent de Paul ei les abbes de 1Epee et chargé, par sa fonction même, d’s.fivjîî'r10/ ^ médiate par un fait qui s'ost passé a la mairie de Le Recteur de Landeleau___ ___ 3 tant d'autres bieefiiteurs de l'humanité. pect de liberté de parole, tro u bler.'i'0;(j P# M «_ Ploudalmézeau, au mois d'août dernier. Le Vicaire ds L a n d e le a u .,... 2 Ivrant a diverses manllostatl ,n « aaugrenu*s t Une malheureuse laveuse, Agée de solxanfo-dlx Suiffnard.à lierhoa, LandeU-au 5 ¡Tourner 1* do» A 1orateur et bureau est u n ans, demandait A bénéQ:l»r de l'isslstaqce aux Le poste de pellce Ud ami de K e rg lo ff................ 5 b*l exemple de polli«»ae. M. Gourlaouea 1 ) vlulllard». Elle avait été laveuse toute sa vin, ot de R e c o u v r a n o e a t t a q u é Moal, recteur de Hauvec....... ...... 5 La preuve e»t faite que nos adversaire» n’o * commo Je lui demandais de quelles ressources pas Ifs mœ îrs de la liberté. Mardi, vers m inuit et demi, des a g e a » elle disposait A ce moment, olle uoub répondit : Kergoat, vicai-e a U ac v e c ... 5 arrêtaient, rue de la Fontaine, un marin qui i J * n'ai absolument rlnn, si ce n ’est un livret de “l 1? P ' " " “ r-‘<«, CI,UI qal essayant d’ilt>» vicaires d E ilia n t............... o toaffer sou» des cr,e lnartlei'léb une conviction venait de frapper un élè?e de l'école ue* oalsie d'épargno. La somaae qal s'y trouve Inscrite Jeanne Çirajson, à C ollorrc.. 2 dlguo do lespect , mo servira en oas de maladie ; o'est pour cela mécaniciens ; mal# ses camaïades, au nom Hervé Collobert, A Co: o re c.. 1 qu* jo l’ai mise de côté, mais, J* vous en aupplte nnî,r '» y t!!aa')L ï.* S. e®t, P"S coctonté d'interrompre bre d’une vingtaine, suivirent les agen'.s et Comte Albert de Mnn, député. 10 noire ami A to, t et A travers. Il a provoqué, Il e n ’y touchez pas. » leur attitude était si menaçaute que les mené le vacarme. * Le C o ï,cu ré de P ie y b e n .,,,,, 5 Nous n'avlon» p is A tenir compte du livret de agents sortirent leurs reve verB et leurs Sévellec, vjeaire à pieyhSr, , , 2 cnlsee d’épurgno pour l'application de la loi, et l a .Vtt' P ,n daat quelque» minutes, ne peubaïonnettes. Luttant et sedefenda"t contre î . assis, arpenter d'nn pas fisvrrux la# noüs Allons tenus d'aocorder le bénéflie de l usRozec. recteur de Plouévezleurs agresseurs, les agents ar/ivèrent au »bords de la tribune ; pal», d'un élan fur îeax «litsnco aux vieillards, A laquello cette pauvre du- F a u u ................................. 3 bondir »ur l’estrade pour demander qu*. c mtralfemme avait druli. ÉO«teet réussirent j fai e reotier l«'p; Colin, vicaire à Plouguerneau. 2 romi-nt t tout dralt et A tonte lovanté, on • . t i r s t i . Savez-vous quelle était la somme Inscrite A son prisonnier. Presbytère de Salnt-Mathleu parole A l ’orateur catholique. livret de eals«e d'épaogne 1 500 et quelques francs. A ce moment, une baude d'une dout aine de Morlaix............................. in . H'\ r l'énergique n f u » d* notre camarade Or. voici quels avaient été exactement los salaires qe matelots revenant du Graad-Pont, se Letrlonnalre, pré>ldeot, l i . V allaü » rT.rH.nt Le Chat, vicaire â IJ; Joseph qu'elle avait touobés pendant ses cluquaute an Joignant i la première et les marins for tout* d i g n i t é / , , mit A trépigner, a ’ d £ ï ï ? " * du P ilie r- R o ug e..:......... . 2 nées de travail : «Ile avait commencé, mo disaitmèrent le projet de prendre le pog-.e dasbattra du pied 1 estrade qu* u > a p ouvait mal»’ et elle, par reoevolr 50 centimes pÜr Jour sans être Un a m i....................................... 5 •aut. A pousser dea cris do ra^« vli» c/ ,u reris par les nourrie et, dans les derniers Jours de son exis Le Pape, vicaire à Salnt-Louls tence, elle touchait 1 fr. 25 par Jour. L'attaoue commença et fut formidable, P ' h i ï u 2“ ln J ,ÇD1‘ « ' i a ‘‘“d ' I ' Ue pendant que de Brest................................. 3 1abbé Madec p a rfa is a ie n t ca a » ,, 1„ bras erolColto malheureuse fomme avait donc reçu, bon les agents durent s'adosser â la por.e du De Kerdsnct, maire de Trésés souriant au spictaole de 1» fureur grote»qa* an mal un, un salaire moyon de 80 ccnllmee par poste, la baïonnette en avant, pour ieponsg a r a n t e c ., , . , . . . , ........... 5 jour ; ollo avait cependant économisé 100 irancs, d a luraulte ,0 ° * 4’ ,r s * lr*. atlenualt la fin ger les énergumènes qui se précipitaient Ii p.unven, recteur de Pencran. 3 somme A peu près <qu|vnlanlf> aux quarante ver sur eux. Dans la rue, tous les hib itam a a tti Plus de cinq mln-jt*» s’éconléreat daas n n sements annuels de i? (rance qa'tl 1UI am-alt aufll A-biutret, négo .'lant 4 Lauderrés par les cris sauvages que poussaient le» vaoarme iRÎescrlptltole, H . T allaux ne cassait d'effectuer A l| caisse dps retraites ouvi lères pour . uean....................................... o d agiter hraa et jambes, avac an désespoir assaillants, se mettaient a Iturg feLê’.res et obtenir, A snlzapte-olnq ans, qps pegilqn de Jean Hall, à P loum oguer.___ 1 comlqua, netra ami constatant que l'audltolra 400 francs, g i l e t t laq ae le elle n ’aurait pàe été avalent l’impression d une véritable bataille Donval, adjoint-maire de Sio m r t .¡e la ttlt'id o laquai!a.ible des anticléricaux! obligée d* recourir A l'assistance. rangée dans laq/elle les agents allaient Marc........................................ 2 avait perdu le calmn Indispensable aux dtscas»M, E o o è n b L i n t i u i a o . Oal, mais elle n'aurait avoir le dessous lorsque le poste du Tanneau, directeur dos Ardoi alons fructueuses, s’avança au h ird de l'estrada pas pu verser 12 fr. pur a» dès le début I deuxième dépêt, prévenu à temps, arriva et, d une voix qui r*tenut Jusqu’au fond da U sières L. de Kerjégu, tfalntM. F o u r n it. Ajoutez qu’elle n'a pas été malade. sous la conduite d’un quariiei-maître. A sali*, s écria: a u n e fols de plus, les au tlcltrl, M. F o u ïin . E-lo ou ail pu être malade, cela est Q o a te c ......... ................. 5 cette vue, les assaillants s'enfuirent de tous eaux relacquols ont prouva leur Intolérance. Ja lacoatesubt*; tflulp l'nl vqalu donner su Sénat uq Rappel des listes précé lentes. . . . 644 demaude qne la atauce »oit levae I > cOtés. eiomplo slwpj». Le» catholique» quittent la eatle en ckantan tla Le chef de la bande s’était par trop m ani Q uant aux ûômestlquos A gages, Je ne sais pas Total................. 765 fr. JfarsejlUfaa, tandis que, kors d ’aile-méme, la festement distingué pour que l’on ne se m it ce qu'il on est dans d'autres réglons, mais on petite troupe de M. Vaiiaux kurle Vin «m atio rial* Bretagne, Il n'y a pas do domestique attaché A la A insi que nous l'avions annoncé dçns pas immédiatement à sa recherche, et en i T, ‘ ,îî !, non 1 ,l’ a * i ralernstf(onale.’ Oüantez. personne, soit A la ville, soit è la campagne, qui notre dernier num iio, nous arrêtons Ik effet un quart d'heure ap: è i, il était trouvé la ifai-aelllalse » clame M. V aiiaux sappllant EC ne possède un livret do oalsie d'épargne sur lequel dan» un débit de la rue Borda, où, après notre souscription, en remerciant sincè I °P vit le pauvre président de l'Association d* a Il effaotue', chaque année, un versement supérfsur 8oi-dl*ant défenseurs de l’école 1er lue, transfont 2 rement tous les amis, connus ou non, une résistance acharnée, il a pu être ari été. aux U fr. nécessaires, selon nona, pour la consti eu ckel d orcke.tre. battra la masure, sa ee» k C’était un marin du r.om de Chaumier. tution de leur retraite. qui y ont prit part. quelle d'une m alu et aa canne de l'autre. A u surplas, je val» voue donner, à l ’appui da Et maintensnt, après cet hommage de M. Vaiiaux voudra faire croira que n oua i ’aro a» mon ayatème, uu aatre exemple, »1 convaincant, D r a m a t iq u e » u le ld e em^éuhé de preadre la parole. Ii ,'a dit dans i m reconruissano* rendu à la mémoire d’un i l lrappai,t; que voue aertz obligé» d* resonnuhr* ? 1 No,Dl •‘ “ “ ■‘ear. lul a lépll Mardi m atin, vers n e tf heures, les cuqae le versement annuel de 19 Ir. eat acceptable. vaillant champion des libertés catho 1abbé Ma lac; dus.é-|o raater loi Jusqu'A m l u î i t Je ne connut» pa» dn »Ituatlon pins modeste — liques, que tes lecteurs du Courrier n’ou vrurs de i'aisenal, q»i travaillaient aux vous parlerez e tjo vous é ;o u tira i eu s'.ienr» .5 J’allais dire pin» difBclle — que celle dn malslot blient pas, dans leurs prières, celui qui environs de la grande grne surplombant la je vous répondrai .Mal» l'organlre l» r é u n iO jT j.^ plolieur. Je parle de oe matelot pécheur embar I enteld. aperçarent un de leurs camarades, la parole, j ’ai la droit do continuer um n dis -nni. . consacra à leur Cause les dernières François qué A bord d uu bateau de p êik* le long des cotes Bideau, qui grimpait au sommet Le Préaident de aéauco a plusieurs !0. E' r ^ L * bretonnes du cdté de Dousraounz, de CoucarnesJ, années d ’une vie trop courte, hélas ! ue la ,</ue. éie> é« ae trente ruèties au des va le la mémo dsclaratlon. K ïld e rnra a o V M V al^ d'Audlerno; Il y a alx A huit hommes par batoau; L ’exécution de la tombe a été confiée à sus de la PeiifelJ. On vit l'euvrier s'age laux dovali reuoncer é l'espolr de reintérTÀr Ile sont au contraire, dane lu nard du Flnlsièro * soa don,l.lln. Mais que dlabla, m onU W r, M M . Pichon, marbrier à pieyben. Jl y nouiller. regarder un lnstaut et, se préci qun j'tnblto, et oA la pêche est tout A fait diffé entra dans la lu ne 11 faut accapter tea condirlo“ rente, deux ou trois hommes seulement A b jrd . mettra toute son habileté el foui son bon piter drins le vUe. de la lutto et souo-r qualquefol» un peu tard Le patron, évidemment, touche la plus forte Le docteur Lallement. médecin de mat ine, goût. Vollà la» lai.*. L § »out piua éloqaenir auo to t» somma... ne put que constater une mart Instantanée, le* uommi-nialres et 6oo témolns sont r r i u l » M. L b P bovost su L aonat . Le matelot dont le o&Qt ayant été fracturé. ultestei l'exactttude. rre u 4 vous parlez eat insurlt maritime : o'est tout d<fféBi reau était âgé de 51 ans. Il était né il L'opinion pnbllque a déJA formule son ----reut I meni : elle a flotti la aauvage Intalérauce ^ S Plou Janlel et habitait rue Vularet-Jojeuse. M. F ort in . J'y arrlvo; permettez.mo! seulement mauvbts répubilcatns, dea laux l l h r , * - M M * .^ i i l é ait marié, sgus e n fa u ts , et uepuls de continuer. La tempâte fait encore rage sur nos quelque temps ne paraissait pas Jouir de la Il s'agit dono de savoir ce que g a in * o it homme. 'jiùxe "0U ‘t'‘ 8ulvaur* «sdavea d e M y S eûtes. A la suite les événements récents et fort tristes A Brest, elle a obligé le cuirassé Charles ■ pienilude de ses facultés. Le Group« dea Bémotritet c h fd H e iu qel s* sont déroulés A Douarnene; et A Concar Martel à stationner au large d’Ouessaut du Heltcq-K&rhuon neau — M. 1* ministre du travail sait A q io l j* D a a n la a tout l'apris diuer de mercredi et touto la fala allusion, puisqu'il s’est re n d ! eur las lu u x — N. 8. — I . y a saus d ii* q .a ni la» Kroasttree nuit du mercredi au Jeudi. Le commandant I qus les Journaux de Parla ont parlé de la sltuavloiince», m la déloyaaté do nos n d w s a lv a s * * A s s o c ia tio n de p é re a de fa m ille . — tlbn de nos Matelots pécheur» breton» et tous uous empé baroni da oontluner notr* orotw aand» n’osait pas s’engager dans le gculet a cause A i appel de quslques pères de f amibe des voua ont fait, I peu de ehoae près, le décompte dau* le paya. Btan a * br|M n ootre oouraaei M ala du personnel réduit dont il disposait. Ce diverses commune» du cantoD, un grand de ce qu'on bateau rapportait par an *t da o* nou* prandroos désormats la preeaetlon d* r «., n'est que Jeudi matin que le Chai (es Martel nombre de parent» se lo t't réunis, lundi qu'un homme a bord de ce bataeu, o ù Ils pont six com m anétr M. Vaiiaux . u bona aolus de raoréprofitant d’une éclaircie rentrait ru rade. dernier. A D^oulss, en vue de la fondation u huit, pouvait gagner dans le mém* temps. Ou a sentanl de la force pub'.lqna. M. le g a r d e - d X r * P «ns la Manche, ou a recut-i.il j >udl aolr d’une sssociatlou de pères ne fainilte. lé tre lul apprendra la toiarence. ^ comtate a s'il gagnait environ, chaque aunéu, d* un marin de nationall'é suisse qol, pen à su« fr. su maximum. — L 'r«, daiis le proohatn num éro de oditi*, La préslueuce de la léuLloa a èie offerte dant dix heures, avait flotté sur des débris par acclamation k M. YUiteri. ¿ t Situation set, |s «rois, un pet* meilleure dans r ia m o * .“ ' " ’“ d « t» à a t « s to Arrondissement de Brest Y. ver" hour“ CHRONIQUE LOCALE LES PROCHAINES ASSISES A la mémoire d'Hervé Diraison Î L A T E JIP Ê T E 800 Li. •? •a m U n M l « 4 a j M t l e a . — O n M it avec « e l l e vigueur iea redacteara de la ÇuinM>n< • u r r t ir » o a t m e n t campagne jo u r obtenir une «ga<« répartition d M « in ve n tion* budgétaire« entre lea enfanta qui fré quentant Te« école» libre» et ceux qui vont «ox étabUaaemeata de IB ta t. U ne revendication fondée «ur la Ja«tlce fi it to u jju i» par tilJU 'ib e r. pour peu qu'on apporte à la io u tc n lr de courage et de ténacité. Lea démocrate« chrétien» dn Relecq ont eu, dimanche dernier, la ]oi» d'apprendre que le Conaell m unicipal a» .lt (ait droit à la réclamation (ormn ée par M. J Le Goff. P ar M volt r o jtr e i. Il a décidé qu'cne aemme de 120 fraaca aérait lnacrlte au budget m u n ic ip a l en vue' d’a itu re r de» (ouraltarea gratuites aux élève» lé c e u lte m da l'éoa e libre. l i convient de recounaî ire qu’an cour» de la brève dlacuialoa qui • précédé le vote de cette décIMon. M. M »l»iln, maire, a haatem ent alll 'tué le bien fundè du p'inclpe »ur Itquel M. Le ü o f h a i< lt aa récla mation : égalité devant I t i charger égaillé devant lea aecout a ' Le Conaell municipal du Relecq-Kerhuon a>*t (r*»nd*T«eiit b o*o ré eo dectan » — •• premier ou Fiuicero. a uowe »•«•.ce — qa'un* to m t)* »«»a p élevé', uni» i>. s lentem ent i n r l e i f o u d i d i B n u n d * H.en(alaaace, mal» sur le»r'*»o»>c»« au k J f t municipal pour t>e."meltre d ic .o r u e r »ux e ( in t id e l'é o le libr» le* avantage» do»t béoétl Jnieot, a«put» qielque» »i.nCe», lt» élève» d^s rcoiea 1-Iq«e». L* B a rfa "1 1* B'e f '#»rc», to m l« d ’ s*\i dernier, »«».t üeja vo-é aa p * lii i* h l n d l i ' i t » Je i’ét b '.M im e u t chretteo, la m odique»ubv entioi da 80 f an.’ » Ce retait q ra r e a'itrôae L** oathollqie* rekcqaol» reveo 'lq j.l» n t uu dr»it que ia muni« ripaillé a reconnu et coDiacré^ar »ou vote de dimanche Tous v i x > no» c ) opatriot*» qui o it le i « m d • lt. J a itiJ u hjI «n le to u t reconnalaaanta. L cao e v cn 4 5 an s conaeUler m u n lo lp al mètre« sur la chaoaaée, et, avec u n brait (ormldable, vint s’abattre contre la bordure d a trottoir, an tac* l’octroi da I r a i t aa brisant an mlettea. U premier m om ent 4e ( t n e t t r p a n é , on acoourut an aaaeu n de« bleaaéa qn’on retira u n k un avec beaucoup de difficulté, car p’nilenra d’eatre aux étalent pria a »oui le i décembre!. A part de ex ou trol«. tente« le« personne« dn tras.w»y ont été p ln i ou molus grièvement blessées. Le condnetenr dn car, M. Pierre Taxler, était atteint k ia figure ; le receveur, kl. Louis Gauache. par un hasard extraordlaalre. n'avait rien. Par cootre, deux personne« étalent grlèvemert bleiséei : Urne Ouégantoa, demeurant 1 4, rue de B reit, k Balnt-Plerre, atteinte k la figure et k la tête, et Mme Orangy. femme d'un cantlnler du 2*eoloalal,^ui a p lo n e n ri oêtei enfonc黫. Parmi le i antrei blessé« le t o tt 'tr .i U. G lilei, llsutenanl au 6« cci.j iai r. >lures k la figure et k la tète; M. G -arcj cantlnler an 2* colonial, blesia;ra a .» .ét- ; M. Pense', 37, rue Maaslllon, s i te m r * ei «es deux ei.fants, blessures i ‘v H^nr« causées par des IcJats de vitres l ’ • mate lot de la Jtunn* d’Ar» et u n ^ 'y p-ur d» commerce d'une mal «on du m in . qui om ic fm é Je f J i c connaître leur nntn, vu.t été pat s** da»s tir* phannacle. Le Jcu oi I e iu u r , 13ans, portait <1»? b'essares k la figure; M. F rarç U l.al é de menrant rue de la Vierge, a I a i bézel.ec «a femme «t ses estants, sont b le ttis ¿ux bras «> aex J»ma*s. M. E gène D * illle i, cbsud'o nnlfr nie I/m is Pastenr 98 est blessé k la li ;ure et sur diverses f in ie s du cerps. 0 * ne pent nue regretter q ’e les tra m way» q -1 ont k desesnire des cites rapH.*s, ne soient pas vitiMs de frelni asie t ^uitl&nts pour 1. s n u i m e r. — A üem ânde* M M* R jb ln r*mercla et, p'écédé de la muaique muulclp» e, le conaell *e rendit au bouquet organisé » l’occasion de cette f r e adinlnlstra'.ive. Ty»»W. monologue», chat»on» P in is tè r r  r r o n d is s e m e n t_ d e mat»u, ¿»-le B ii.n t. do C'u.i»-ar-Hiun. devenue bile i la «utte de là vente de ia malion et de l'i l bleni, «é»t lacéré le» b-a» avoc trol» faucille« qa'en a trouvée» da,!» le Ht c o i, où elle i était «ferm ée n ja r fcccainpllr »on de» «eln. H>l<* avait aveo eilâ «es tr^U eLfanti, qo on lot * trrâc b 6 « i t:m^>. O i Ignore *' »e» horrible» piale» xueueui »a vie en danger. P lo u in o t r u e r C a r b n ix C ro co n Ba v a * das élactlou» lé g lalativaa. — C 'a it a « * c la p .a i g n a l lu c e k i qa a M. C barlaa D ao ialo n , la « j n p a i a l q i a r j i i i l i a » aux prochaines e ia c .lo a i lé f iilit lT a a , p a u n a l t la aSrla da aaa r*D°ma'e.EÎMaiaîar, aaos avoaa sa la plal.-lr ds l'ai.piaullr > C m i m ok U a lait lalia eamb.a. L i reaulon é ait pifeldSa par H. Balooa, coaaelilar 4 'airua1iuanant et maire da Croion. ai• lu * da iea adjoints at «a p. Biliari M o iillliri mnalolnaai. A i . i l avoir fait eoanalUs la »*• oUloa uri»« a» caaaikJ i l CbAlaïu.ln a* lavaar «a M. D inil'oa, M/Ia «air» aa Ciosjb praaants l'o aie» at iul ionna la paio!». d *Lei c^l* n» retrouvèrent la tr*ce, ^ * ? . i l e fiai) et M attel M »té *o.eut lo MOKller D î u x coupi de ( .n i) partent. La b i tic a t hiAxiAo cet elle ra\cntlt § 0 0 allore. 1 io ». eiln continue » mener 'e bon train. a a pou v iu i loin, elle einum un trolilètne >jO«P Se ln»ll de kl. Q uém éneur. Lo iai*gl»er, harcelé par le» cnlen», »« Jette d*0* rlvlè e de Poui-»’U®t>ltai,iù li » en llia d a n » cultivateur de Rericbatel en Ploù*'»né, arrive et donne le coop de g’ ft ;e » u »olltaire en lui a lié n a n t un coup de “ j ï b i t a p l u i t 118 k llo i o t l i t vendue à HroiJt lundi dernier. U oe que»t.ion ie po«e. A qui «n «r tle ut I* bête? B '» ‘-ce ice ux qui i’o . t laiiCÎe ou A ceux qal I out captorérï l' e.B« . A ^ n uni l'out lancée et, aeion eux, b k ilé e , « a teitv'nt en effet & M. Bllcot 1e dr«l» de l ’avoK’ vendee. S a in t- M a r c K lo o tlo u s m u u lo lp a le » . — Dimanche proch.ln aoroat -leu les é ^ illo t 11 mm.Mp»ie» complémentaire». Au premiri to tr trol» H*tp» étaient eu vréience . a ü a l e pio-rie*8 ls»B I» H «te rartica e et la lllte 10 c'aliaie. C i» denx d truiè rt» o r te u la m ino rité. Oo »ait qi>'en deQoi» <l(» période* électorale», » o u rl- t'H et »ultent à q »1 mieux mieux. M a u ce» colère« i e taU ent .or»que i lutôiôt le commande. E i cette circonstance, lo c la llltn i ^t raolchut *e sont «m b rai» 6 i ailû d évlnoer, si possible, au deuxièm ettur, lt* t rola csn* d l a « . « 0t*ïa8 !dVicipUn« du parti dit m.lllé. Mal» comme dit l'autre, Il <it avec le nartt'de» accommodement«. Cette a'Ilanue montre bien que le* radicaux et leu »ocla- listes «ont p>u« ou molu« «oildaire» lea ura de« autrei. Cette conltatatlon r eut dor ner M «! » dei commentaire! qui au. out un jour ieur opportunité. S a i n t P i f p r c - Q n llh lf n o n U n t r a m w a y e m b allé Dimanche ■oir. ver« 4 h. 1/2, 1» tramway f 2 veuaut de Saint-Pierre et se dirigeant iu r B eit, « ’apprêtait, en lace du clmetlè e de Ricouvrance, a deacendre la côte ra p id e d e . Onatre-Moullo«, lorsque, toat i cosp, 1« Wtettmaa s’ap îrçut q ;e, bien q io je « fusient bloiuéi, 11 notait p'ui n.altre de ia voiture, qui. en vertu de 1a vite»!« acqulie, lie mit fc descendre la oéteA ane allure ve rtlalacaie. Au mlMeu d 1 ' la dejcanle. le tramway fallait l’t lîet d’un véritable bo.lde ; le« crli uei voyageori qui l'y trouvaient au u o m b .e d'uue vingtaine, ■» m *,*o ««»lent 4 ce;S dei paisaati qui, épouvanté«, le g«« iV o t daa deux côté* de la route. Au b u de là côte, <4 tramway dérailla, Ht quelqn«« P ia llu to n au t ie n r r la r d a T ln la tè re K e a r h a H le a z io u — « K ateillk paoar 1 N eubeut « ' talc'Q ^a var gement-man, sloué« I... Me io !*DVme*éU i eul liner evldoo’h 1 » eme #nr o nn a l A tfAOQ M diri» I . a ÀP faetòn u n » '!... Arfsctopl » it d i w o liti mar p^ljt K it# ilik l • dliio, i l i liw f tu he ~KePk*nt d* p% , u I Lena I O w e llt’ta petra eo an draemexhl d’oe meitres laonank. finn m io a tlrog ar glotenn ralital, bsg, v a ? a r W « e n o l i d a itlm é t a b a n , e ibnn kement-man : • Kurskao, ao 23 a vU <envar 19.. , v a m lg a on e ^ke r, > R itu n e llllt ’ *o n'am eut b«t di.'U* ho kfi’ ou^ip en an i « la ’r vue* «anhoo’n dre an amxer I6u-man ? D « am a«, au Boll io mad, ha fltlau* am ause m ao u’h eveidomp a dra“ “ D r tT b r a d an amrer, emaomp e « vakanaou » aun net b'su't io. **• ur vuazed a labour er c’nardl da gempenn ar benSlou ha* « rele.ou tlegex ; bogen, « i r ^ e a n dnut an no* m a n tro ar... ohlstr h a f i f o’honouettnoti i • * p a tra ’la v a «!«; d'boc'h goudeandcam uri ? N s tra do A i d s m euz h ^ i t d ho »a vota e kredan a o i t a h«nn foar Bask ì . n » « lira s u t o t ktl.<n« d’ho kwelet 2 < M J it S k X M D îa lt lo u l l t q a 'l l e a lv a a u a a lo a rd k a l t C ro to a n o a r p ra o Ira to a la a » a v ic a la c t ia n at ia latra ot>naillra.ünlalroa»ara.al'ial»-a-ll.|pi»t-»tra blia Un# chaaao an «a n g lle r. - r e a *™*1 dernier. .*■ LiU-cih l y i r i ^ o n . de P*oum 'C J*r. aop'fuant q j n u ¡.an<ller venait d’#'ta a i*îrcu d io * uo * g\reiine de a.er‘ vrouan p*it »ou fct pa.'.lt à «a pourau?te avec «e« chien», avlaant aur «ou p m a g e quelque« cnaneuri de la préience M C h â te a u lin Vul à la gare. — D *ni la nuit de di manche k ¡nudi, dei voi^vri le «ont Introdalti dans le bureau de ta gare de la petite vlteiae. 1 1 f.>r< è ent lei tlroln, m ali n'y trouvèrent que deax sons: I l partirent sprès avoir prit qoe'.qaes marchandises deposeei soa» 1.s hallea c.Otu- tè ro Jt j» bicqui t. P lo a 4 a la » é < c ftu ( P o r t a a ll) Une f»m m * q u i ae m u tile . — Samedi i* i « C o u r r i e r Finistère » «Uns touu*^ le,» Bibliothèques des G *re s dv l’ocrailon Uq là* aonlverialre de ic n t.é e de y . Roblo. entrep-eneur, an conaell muaiclpai, M. O ity é . maire de Leaneven, lui a remis au nom d i la ville une médaille «ommémoratlve, au coûta d# la lé a a c e d e Dovfmbje^^ ^ i’#|r(re de M Robin éloge qui la t t è* applaudi par 1j puDllc de la ■. Danléloa l’estime aussi quallâé q»» ■. Boit poar raprétaolar le pays. A oe moment de aa répliqua aa eataod dans la »alla lea mol» : a fia a aine I a k l*adreaae da candidat Bot». Aa æelralm, raeelataaee (ait ane véritable ovatloa k H. DanMIea al e’aat aa mlllaa da l'a», tboaitaaoa «itérai qae la eésaoe est lavée. La prochaine réan Ion punll que da M. Danléloa aara m a k PlajbefL la dlmaaohe 11 décembre. i? « w » • P*da M *“ - a u d » e lin x de v arJr c o m a ilt r a a a b o nia ia com m a I l lU H * « o e D <onv la p a r io a n a llM aat i j m p a lh l • qu a a beaucoup, t « a I n a lila a ’aat p u a o s p i a i locoDt.ua, d ii l'o a la a r ; «»aa s U u x a aa t orlgtn a tre i de Lor.rouaa et oioa r è 'a a é t» lo D K tw p a m nlra de 0 m u ru a a e t. J a is la m o l- m k n a , coaisll* 1er m u n ic ip a l da L o c ro a a » . V o n i a v a td n a a de v an t t o n i , n o a u u P a r lile a coaiaia la d u a a t « e s a<v e r ia tre i. m a li u » c o m p u - lo ta , n e B re to» c o rn u e « o a i c o n n a li a u l t o i W n o tn i at tout dé»oué S t o i t m é r t t i. ¡ * M im b altr» ! d 'a llle u r i, non t u r le » •rra ln p e n o nel, m a li hl> « i u r celui d e i Idée». » « Denx r n n n p rlu . I p . i ; c o m m u e l'orate ar, d o m in e n t te u U un e v l». ('.'m i m on a m o u r p o a r m a p » l I*, «t .'e I m oa « m o u r pour la Hépab ll u u i » >-t d . D m lé lu u d é e tlo p p a é lo q a e m m a n t ce, deu« p o ir.li d» t o n dl- c o uri. |i de,'K'io le» meaéea d» I Aillallilirlinna et Un électeur. Lanvéoe B a e c é » . — U . Adulpbe Jam anlt vient de iontenir avec nazét aa tbtae de doctorat ea droll devant Ja faculté de Renne». Non» la l ad'AMons r o i ilncéres félicitations. P o a lla o n e n U n o d le o x a t t e n t a t . — On vient de proceicr k la r r r it a 'ijn d'an Lcmmé Lo xacb. domeiitiq le k Poullaoueu, qui ae «erstt r e n iu oo. psbia d'on attentat k l'é<ii 1 1 a' s. i-1 ' n» • ü le M i.it d i sotr» a i d a i i A r r o n d is s e m e n t je Q id m p e r R u « K e ré o n , 24 V C U IP E H «as Vétéran» La téte annuelle du dripsai de la Mi' lecllon i l . C o im é lilt ne i Traflunoa. de» Vétéraut dei arméei de terre et de «er, a T e lg r o c été célébrée, dimanche, à Qolmpar. A cette oc casion la lociete nailonMe an Souvenir francala Daaoanta d» juatice. — Merwadl, la parquet Inaugurait an cimetière S itnt-Marc, mr rossastre de Ubtle»u ln » >il Ira.^porlé é Tel^rue, a 1’, Set qu'elle s créé daai le carré affecté anx restes di proc»4*r » u je esquéie de» lalta roprochéa mortili dea militaire», an superbe meanmant. aux epnex X.. d» Leinoc, qaoa accusa da laluer La iocIi sn plerrai J l taille est surmonté d'une au enfir.t d'un moli lans te Inc ni noorrllnr*. •latue m foata broute. r»prei»nUnt an marin, tinant »n main an fusil, ,'iall an guet, dans la position dn « Qui vivo T » tu pied da socle, recouvert par das girbss de Heurs eldes palmes, •e iroav» le c*v»aii où, depuli quelques année», le Soaveafr franfals, de Qulmper, par une délleat» attention, a inhnmé las dépouilles mortdlu M OKUL1 1 du mllltalr« morts au larvlce. C é r a m o n l» p a t e lo t lq a a Sur la divani dn monumeal le trouvent gravé» CM ilmpl»», mil! il éloquiBt» moti : Pro Patria ’ Dim n 'h t , ÎJ a o iim b ra , * ♦ hearai u n q u ir t du Bar II côté droit, se lit catle Inscription : JS»numalin. I r .g 'i.e d i S itul- M ilhleu. »ou» lei ta»menl élan» par 1« Souvenir français, l»0P. nl 'a i du coo.i‘. ^ ■orlalaiam da la Société tra«çal»e A g»u<Jie, una piena commemorative rappelle aa »acouii a u b e > iu mllltalr»» dei armée» de l'icte bérciqa» de c» brigadier d’artlllsrls colo u r r à et da m a', a été célébré ua larvlce »olenael niale, le jeun» Thoumelln. dost le pére, brave puer le r-*r*e da lUme d u lo ld iU de» armeai de «almpérois, vit encore et fait parile dea Vétérans irrre et da mer mort» pour la patrie el ipéclalem in t p j« r le. quatre storie-.» J viet a » * de la de France. A * heures trois quarti., c'ait d'abord, dans la c a U lU o th l da i l ’ l«eable Ripubhqut. cosr da l’HAtel de Ville, la remise de décorations Deu, la ■.»! de l'eKlIia était éd.11. un ip eadlda è plusieurs membres du Souvenir Franr.ils et d.s CjUf,lq«a. Une foale coo»lder»b »» lilall * la Vétirans. puis départ pour la gare, eu arrivent ni u n qMt > f.l é dite pir 11. l’abbé Ha». Un» par les diluenti traina d» 10 b., 1» h. U »t «nude qi.iatlv» da d-a» I ée .» lircx.Rouç» I» lé h. 25, l*a délégatloni. pru»aluit au'.oar d» U pié»li-nt», Im a Dulong Ap'éi a'olr longé l'avenue de la Gare, 1» bou 0 » Roaaav, <tam l'eapace réaervé è catte loclété. levard de l'Odet, traversé la place T.ru su I)uc. On remarquait parai le» notabilité» qal aiila1 » cortèg» ae rend au clmctlèr» de 8alnt-Marc. taleet é la oérémonle, MM. Cb. Ldabn», Bar loal 1» parcoars, 1m ma sons fout pavoliéei maire d» Morlalx; doctanr Bodroa, vlc*oréalSt 1» pnbll» e»t nombreux. danl dee Vétéran» d» 1170^1 ; capital»» F .dal. D«vant la itatae, lei clairons de >a«uimp^rois» ooamaBdant d'arma», Oné«an, B., pré»ldant dei ■onnint 1» . gard» è vont » ; pula commtnc» la combattasi» ¿1 1170 71 ; d» Oirmlnj, vie» présérls des dlscoara. C'ut d’abord M. le colonel •Ident d» 8 e»Tsnlr Prsnijali ; Coq.l», pré»l«l»»i Roudiére, prlilleit le la îsv section, qal prend da» médaillée mllltalrea (eecUon d» Morlalx) ; bon 1» parole, m. I» maire L» Hari lai inccèle, et nombre d» ioni-o«cl»ri «d de loldaU : MM. V i • s l a ua vétéran, M. Vaillant. Cea discoure sont rant, iacl»a itolalre : Vellhan, Ingénieur ; I . chalearasiemint applauJli. PnlODg da Ro»n»T. D»abord»», n»urj, notaire. L» cortège »e réforme et le rend sur la place Paracaa, Rolland, Traon, Harrj, dé Leléa, etc. La Tour-d’Auvergne, au plel du monument. Li, eie. Pendast tonte la cérémonl», M. Rloa, 1ex M. Rondile lait l'appel du Vétérans ^ulmpéroli, cellent profeaiaur de mnilque, accompagné da ■al ae sont plus qu en nombre d» doux». l'orsne, e charmé lai aailitanla, e» ¡oaant lea L» meilqa» mllltalr» |oae la MtrsellIilM, et I» malllanr» morc»aux de ion répertoire. eortéga i» rend é 1» cathidrale, où. devant une L'abioale i élé donnée par Mgr Dnloag da aombreuee aulitane«. M. la chanoine Coat, curé Roana;, prélat de la malioa d* Pape, ayant a sai «a aalnt-Corentln, oflcle. célés comme i.RIclaile, M. I »bhé d» Roqntlenlll». Mgr Duparc, évêque d» Qulmpsr, prend la pa st M. l'»bbé Corvet. role, Avec l'éloquenctal vibrante d» patriotisme Une qaéti f actueaie ea prott de l’aavre s élé qu’os lal conaaft, 11 dit qu» I» drapeau ns pouvait fait* par Msie T. de Pancan, accompagné» par être «a melllenru m»lns qa'tn celles du Vété il. DeibordaJi, al Mm» Romain des Foiiéi, ran!. accomprgnée par M. J. Véraat, solaire. Une qslte faits peadaat l'office par Mlle Le Poauln, qae ncondalt «n membre dn Soavsnlr ▲ e e ld e nt de v a lto r a IroBç.l», M. I-e Corre, a été très Irvetavuss. Ml Haon, boucher, ras Ange da GnerSA midi, un banquet de» mieux eervli réanlssalt, aalla Rleax, ru» du P»nt-Plrmln, vétérans et n lia c , descendait en voltare cette vola lavllés. A e» bsnquet, dM toute ont été protiè» étraite An marnent de dépM ier le aoacés par la colanel Rondlér», 1» député Hécbaval q ta .'.ondalsalt k la commission de moa, 1» président de la V section de» vétéraas de i acconta U . Fra» poli Careff, da ié r o g n a n ■rast, MM. La Prlaca et Vaillant, vétérans, le •a P.oavora, la béU fil un a-'.art et la b-sn ■résident da Souveslr Irerçali de BrMt, M. de cari da la vettura de U. Huon alla a'en Laiguara, 1» colossi Barrata, du Iti', st M. Is foncer dans la c a liia d ra ite dn cheval de W Préfet du Flalitèr». A l’Issa» du bsasuet, a «u lieu 1» londulte dn GarofT. I a l-ê'e qui va'alt 1.20» fcuncs e it dra»»a« an domicile du président de 1» 3Sjmorte. lecllon, rv» Bourg-lés-Boarg, la uaaelqss mili ___________ taire ea téle. D é e a a v e rta «l’a n c a d a v r e 'tierM atoIraa » la l. b ir t» « t r»nie- ¿If la rtp' h q e » »on vrai rôle q I doit lira le ff,inve^r.e'ne» t du pnuple par la ptui.l(l. t M I>n.l.Mcu eiqilne alon lei iraadH Ilgnis de eoo pi. gr^oin.« qil comprend Le'’¡ X O T à a U n l i » parlement.ire k n « t mille frur ci ; . . ^ BiAM. Le «crnilu do llitn avee r»préiia »llO« proper tlonnnlle De eetle I Ç'ia le» minorile» isronl repreientin, e.er II n'»»t f» 1 l»!'».,,'0* “ * ®*!* exlete ue-.etilten.e jt, <|*» dix mili» éUcteurs pies un (âi.e iI f. I.‘l A dl.\mille molai aa. Uaa rélo ma dicale 9«t auifl aiceeiilra l i a na» lea l»|ôU lolint ikaartle il «ne f ^ n plus equitable eul. a le» eoatrfbaiblee L'oruteur sil psrtlian d^lae p Hllq la d ecoiiamlia et advaoalr» risola d» t«“1 41 nouveau, l e s coatnbuab'ea élanl dé|à iurçkar«M. Dea ipi>l«uilneme»ti aenrrls aeoaellleat la belle peioralion de oe «lticouii. , M. Antoine null demande epialte la paroi« pour déclarer que, lui aaiil, ait capdldat aa» pioohaïuei eiecilom ii¿lslattvee. Lo eiiniou de C ozon a’a encore lamals aa da repvéa»».|ant i la Chambre, tandis que les csatons du Kiou, Pnjbtn et d» CMUaalla ont ÍU tour k tour repréionlit. Or o aet mol, dit U. Doltr out luis aialilé potu devenir ce rjpréientent. Tant oe qie U. Hailégasa apa faire pour flroioa, o'eat d'obtenir « b 1»« »n boat dn mòla da ìiorgat, dont on fall lïpéortir les IrtU k la commune C’«.t une Bi»aval»e ptalseaterie pplsqne l Kla> leeorde tonsuri ^ l s «ralnlUmeat. I ait vint q' e »I *■ Banlélo» devleat depute .ormali la abara ixicromin q» nuns aaroni aéiormals pbara ce da Locroaaji ^ji la bal« d» Doparaeaei et éeirplllaalnera toute U n 4a Margal. •era le beo de gn que a* la momeat da M. Boit uloaiei qve _T rest pss . .... développer ion programw, ç# qa'llfera an l»mps T0M.*'Danl*lnu Ini répoaí, ava« beaneoap d'à* propos, qa'll prêt* e avoir deux adversaire» plutôt qu'a» leni. C o M » Il a daax polrjgi, trouvera alaal le morea U les «UlUer ton» les diax poar lamber sea öeMurraat», nbon da g a i d’hoo’h,' den* he bert, he Q’bourc'hemounoa a vlavei mad : ic ta greet I r.p*,,T i Yec’h e i mad d’an boll bepred. • Bkilvlt d'la keata tro e e helloc’h k»out an tu. • Ho mlgnonec da vlken, a U ako UAMT. a « Ah ben 1ema Katelllk, o walet n'e doa ko; h i meatre* c’boant da bsouei gant aj liter, petra ’ lavar Qaldlk d hoc h i yak dloutbt eo, m eu* aoun 1 » .... ... , — . Dell 1 Katelllk I leun anethan I %Kerkent taolet gartbl ear sell var,.*l„llM r,ar vateilk a xav he fenn en enr c’boartin ! , t All 1 ah I Lena 1 an Aotrou Bone, me ' Bred, a glev ao’hanhoc n I Hein I o houea vad xo ’ vout da tevql, ’m ea* aoun I (Jwell a xe : ne rafjo’h ket m e i au ell d eglle, iu r a ^ i ' j p Jtra llvlrlt? Ne walan k 'e tl» ' eriii Lena, en eur rtxla betelc be dlou «kouarn. — i Ne wellt ket, merc’h paonr I A h ben.l gwall berwelet e ranklt bexa evlt chom h e n .. intent I... Mad eo an tra o u l... ha da o’lfortDis ne rlt ket goad (all drelst m n ip l ; le tit ar bed da tfliilal, ha Done da labou............... r ny i At i » II ïn m e n e t eo «r foanv k r li hag he amier*Bun h e o ^kloiar a glnnlg he vannou mad o b ir u i d ar meaalo» h»8 », d’« ih * , dlvar bol* an oabl fia » en m » kla*tout 'ftret : D lhunlt I hoU draou v*oi O Nator I D iaun lt I. an NeT M 'ilQ E if I BthUDltl B M tm «vit Hda ml» U . • I » B t ïïf a d lli MOU-, evel dlskredlk on«' k o » » o l k m to t « I t a . w boaetlk nrute, prant àoun d « o em im }*, kroaadurlon au Nfttui ft le n t C U U U 'W * a v s i Ä Ä Ä “|. *• F ê ta ^rrondi3S3menl_ de Morlaii Mardi m »tm , M. Kermorvan, Jardinier cbet M. Caxln d'Honlnctbua, découvrit U p.slavre d nne femme dont l'identité (at établie le lendemain. C'étsl* celui de Mm» Annette L'Hostie, I f i c de St aos, de Gulmsëc. La maldenreuae ne loalssslt pas de 1» tienltadr de «et (ic u lté i. L’m quète a con clu k une mort »ccldentelle. P lo a é u a a U n a o y é . — M Alain G tb'nc’h, bourre lier a G. .as-ar VliUn, a éie tio,.V î uoyi d anl la Pensé. Le corps a été découvert piè» du pont qui sépare Plouénau de Penzé M. Gabloc’h avait travaillé dat a la m atirer ; l'a p ièi midl, il l ’était rendu k Penié, cù il avait comoiamé. Une petite ülle a entendu Gab'ao’b tomber dans t eau et crier ; il était cinq heures du soir. Pen de temps sprè», la constattt'.iou du décè» était faite. P lo n v o r n In o e n d le . — Le f n a p .ii accilentel e ment au Moulln-en Toui, d a m l’aire qui contenait de la paille, k quatre mètre» de la m alion d'habitation de M. Paul Portier. Il (allut bientôt l ’efToroar de protéger la malson »eul?m»nt, et »»crifier le (oin et le fourrage ilt ü é ito u t piès da la paille et qui flambèrent bientôt. 4 000 kilo» de f -m, 2 .50 O kilo» de carottei(ourr»gère» furent la proie d» l'Incandl*. Le» dégèt» »'é évent k ülK fa n e » et sont couvert» p»r une aim rance. S a la k - P o l- J e - U a » T e n ta tiv e *la a u lo id e . — Dans rae crlae de l o m i t h M » , J alT* . (j. r,t| homme de lettres, demeurant k Gréaolian éré, eu 8 alat-Pel-de-Léon, »'e n Uré an con* de revolver d a m la région da cœ ir, La balle, aprÿ» avo|r glissé »ur le i rûtei e it allée le loger d a m l* i rein». M. G »rat nul avait l'hapltud* d’abiorber de l'èiner, avait com em m é tjn (Jsml-Utre de c» ilifuld« avant ds longer k te dètraire. S a la t- S e r v a la U n d é s e s p é ré — Ma faisant ia tournée le earde onasie Mleicec aperont, d a m un enamp proche de la (èïme de ’penvern, en Salut Sarvali, un corpi la ip e n d a k une branche anse* baise, de l m. 5* environ au-de»»ni 7a an1. c'était an vieillard de i l a m , ayant l'apparence d'un mendiant por tant uu b lu a c in r l e i h a lllo ai. Il n y av.l» PSI de tracei de lutte ou de violence. D in i «ne de le ip o e h p i on trouva an apte de UilpiftQCô nu nom é t GvlUsutxio Blilen, Dé à Piouoévppter, en 1*4*» Oonféranoa agriaola. — La dlmanebi * dé esmbr», é trol» ttenre» d» l’ipré» midi, M. U Loapp, profaisaar d'agrloultora k Morlalx, faia lo«k da w «l«t e«a dell«* g«nU . Darn to ken, lêroc’k, a éaol « rm a a t ear vleinwenDlk, «■ e n sl«pak lirai« en ear e’hoarsl« ............. on» «t«roden« a* del«. O vrelet ar burtudou-man, an eoned d ho tro « > lle* ar o’hou«lfed. D o »t a reont da «aludr a n « l ie n , »r Tvleunven genta, har enn ho henör, e taolont varca an oabl glas, an d'idloia tonlou den» ho o’bAa. ...Dlndau baunoa an heol klouar, a-hed á n h e n t braxi koitexet a brajeler don», a Uorilou koant, dloa blao’h laouank e ia ’n ear savarnt. Ho 41on evefe r o e td ’eiho c’hneaek pe xeïïek vloa, ha kemeret e ve(ent evlt o'ho»re«e#, ma taoir«! eves hebken enn ho bleó gell, ec’h anaveier (oannt dlndau an dlonaikell e a i ho c’hodTea gvren. Hogen, unan «per,ho, raip e n n ma 'x e* huelec'k (ged tb»D, a io .c ho a i g w liket gant eun neubeudlk « klask », petra bsnnak n’emahl k i t enn eun doare dlrels, Bor chadennik aro’hant, laolet dreUt he (¡oik, e tea an daou beim a te ib l d en em gavout var he (enltrln, evlt delc’her eun horolach-godel a ilvàner kueet enn he bruched. , . ,1» I Katellik I va daoalagad ne »kulxfent m orie o «eilet o ut enn daa enn keo kaftr, ken dudlnt. Qwellt an avaleoned-xe B-at ho « lagadou » ,reud, var boaex ta n a o W e « ^ ! fta « !>r Prajeler a-hont goloet « je o t (ounut na g i» ï, kemme»Ke» g«nt «r q'boantabokedou-UOXl na p «g e n > » 6 r «« an boli draou;ze t H * du-bo&t î stUonLt I N» Ä k i t « e o i l i U w o W M .h e .g t o ü . dalveioot, e kreii cbalorl m ouikan an holl eoned 1 » h l pegen doui eo bera bepted etous» eur p e le îl ken dydln» I » ' T . / t a l C e n ai k»nim v r « f t eu« «tre . hon buet-nl h»g J M ar c’fionerladrd I... Den» enr c’hoite*, e«r vad, p«oc h, (rank'*, Ä if c W iA ir Ä X P e n m a r c 'h - R e r lf y T o i a n d a c le u x . — Ut iem ali e dernière le j 'U li la fv-mlle Doucen. du village de Loc-ar-NarnHou. s'était mise au lit entre t b 1/2 et 9 heures da l 'ir. Vers 10 heures le si-ur Doucen crut entendre dn bruit dans sod écnrie. Tout d’abord, 11 r ’y fit pas atten tion, a is li peu après il eDtendit dn bruit su rex-de-chaussée de sa m .lson. Doucen se leva aussitôt et allumant une bougie, il jn t voir en descendant, uu nomme qal se sauvait au plu* vite. Comme la porte de 'V m o ire était ouverte Il l i l’io vantai r# de ce qu'elle contenait et constata la dispaillio i de trois portemoaneie en cclr noir contenant nne gomme de 1,600 francs envi-o >. Le voleur est entré rar la porte de l’é curie qui don»e n ir un petit chemin et qui était maintenue ferirée par un morceau de bois englué d;»n» le mur. P e n m e r lt A c c id e n t. — La nommô Gorculî. de Hallaouen, se r r n ia lt i bicyc'tttek Peu m irlt, qaand arrivé à ¿n kilomètre environ da bourg. 11 ctolsa dfux cyclistes qui arri valeat en sens inverse. L'un de ceux ci. qui m ir .h tle n l k pasebe, ne put é\it Gorpsff et ylnt d o m er en plein dans la bi cyclette. Les deux cyclistes furent projeté» vielsmm ent k terre : Corei (T portait une a iic t grave blsssnre k la téte ; qnsnt l’autre cycliste, qui a nom Le Pspe, et tut d» Penmerlt, 11 u ’vut qu» des contunioi s très légère». La bicyclette de GorculT a été lé riia ie m s n t endommagée. PlO YH« A e o ld e n t. — Le nommé Le R mx, culti vateur k i,e»nolec, était monté, d a m le courant de l'aprèi-mldl, sur le toit en chaume de sa grange pqor y faire quelques réparation!, quand soudain 11 vint k perdre l'équilibre et tomba sur le sol d’une hau teur de quatre mètres, flilevé presqu'aua•Itflt, Le Roux, qui était sans ceanalssance, (at conduit à la (erme, o* on ml prodiera le i m ellleuri soins, en attendant l’arrivé; d u m îd e c ln , Ge dernier constata que Le Roux avait revu tro ll graves blessures der rière la tète et l'était cassé deux cQte». Sa vie p'eat point en danger, mais un long repos lal sera nécessaire. P o n t- l'A k k ô G r a v e a e o ld e n t. — La semaine der nière, dans U matinée de 'vendredi, plu sicuri employé! de l’uilne électrique de P çnM ’A bhé, travalllateat é l’essai d'une noavelle dynamo, torique tout k coup, par lutte d'an accident causé aa volant de la maohlne, une explosion «e produisit. D îux — J ill IH M l Jl'lLUBLJBilBae evel al labouilgo«>xe, breman o tlsk&na ken drant var begou ar gwe. Neuze, me Ivct, a # ie noz-delt, va c'halon leun a Joaüsted : irlo am eu« kollet va lô n lk 1 » — « Ha me I ne oëa ket ? » — « Oa c'hul? Bepred o taolßt er m eat kanaouennoa dullusoc'h an eil eged eben I Me reipcan t ’xo eet mear a hlnl n'ho zro, etre Qaldlk Kerekao h\ c’bul I • — « A h I (el la v»d 1 A h I llvlrlt 'ta ? sbenn pemtek delsac'han e vo tost da veza dre aman I » — « la I hag ar pez 'zo ewelloc’h ne veio ket he unan : Im dor e teuio lvez m ’oarval ? » — < Katelllk 1 p:rak kemer an ton-ze: den n'en denz lav&ret... • — « A r p»t n’en deuz den lavaret c’hoaz, ma hen lavato breman Ha neuie c’hul oar : « A'I m »■ Jlmuloa » A m i*T»t dr» K»noh«anou I... » — < Pe.oo’h I Katelllk 1n'eo nemed huvreou kement e. llvlrlt I » — < Ah be«! peoc’h e rin nenze, pa (ell d’boc’b I . . K im te m p bremnn, mar kirlt, deuz al leué pemp pao, dent deac'h e Koataskorn I » M a rk a rlt! hogen, ne zavarlmp mui birr am jer a got tez, le tu Pipi K erlab o m o tont a-benn fo m p t évlt mont bubanoc'h d'ar gear nl ' la 'n he wetnr i • III Deut eo ( larB igk... Neubeud ha nebeui, marc’hallac’h Kernltra en em garg*lt> 6 n e 1 , relxet var an dacbenn. hervez ar ouenn h*g an o«d K rezho, an ergruSz a d u i, dççt ejtear, o d m * po< nokaout hent da dremen , ■on hostalerlou, u r b r .z zo ken braz... dr« xe, Katelllk bag ne meetrez o denz labour aw»lc’b o lalifti var ar * c’hontouer » goulenu kement den o teu enn îy. Seto, d’an t«ol a unek heur, o tont ebarr., fér- V rai, tlek K erikao, gant Marc’h a ilt 6 ,% ,^r * • -,■»*•» des employés, les nommé« Pierre Le Molgn et Cnriou, furent atteint« et asset griève ment blessés. Tn leur é ta t,tin dut aussitôt les transporter k l’tép ltal des S a u rs A u gustin es de Pont l'Abbé. Les blessures reçues par Le Molgne et Cariou sont très rraves ; on ne déaeipire pas cependant i t e i sauver. L'explosion a été t i forte qu’elle a été entendue a quatre kilomètres de Pont* l'Abbé. U n n a u fr a g e . — On e*t sans nouvelle« de la barque ae pêche l'Eipéranc» de Dieu, patron Le Gsll, partie le matin da 18 no vembre pour la pèche. On craint qu'elle n'ait sombré. T r é fr n c n n e c A c c id e n t. — Dimanche, dans l'aprèsmidi. an hameau de Siint-Vlo, en ïréguennec. plusieurs personnes s'amusaient k Jouer lu x cartts sous un hacsar, lorsque tout k coop une aile du toit s'affaissa. Trois des personnes qui s y tioavatent forent prite« sous les décombres. Deux d entre eox. Le Roux et Calvei, n'eurent que quelques fgraugnures sans danger. Il n’en fat pas de m è n e du troi sième, un nommé Sénéchal, de Piomeur, qui fat asset grièvement blessé à la tête et aux reins. On s’empressa de le retirer da milieu des décombres ; comme 11 ne bougeaittplas. on crut tout d'abord qa'ii était mort, on ne tarda pas cependm t à s'aper cevoir qu'il respirait; c n iu l prodigua alors les meilleurs soins et on le reconduisit k son domicile. Son état s’est beaucoup amé lioré depuis. ■ - >... i * Âlmanak ar Breizad Î Jareau-Annexe et Dépôt Centrai du Courrier du Finistère raolenr. — M. C q\. I* . a:.laar P ojiliotej p' ndant |i u.l n;i ftba.ei- »r. .1* »Ja a Stdnt-P,auçeli lie « w lilt, eanj »a »3* annl». da l'Anarchla qui, aveo l u J u èj el l u Her»*, n.échent U disertien at lniuilea» la d.ipium natloael Il I» ‘Urlare pariliau d une arin»e bUn orffuuUea et f«'t» d’auià« cet k^hk» latin blea contiti : • S. vl» paceir, para Ba.lua» ». • 81 ta vaux \ a uréinre I* • Pal*, M- OëiiUiou dit qa*ll a hAMté 4m trtdl lions ré] »bllwtlne* di» *on père qui était «n 16 »ub lc.-ln dan» t»»ulo »’accepilo» du mot. Actufl'-ra'nt. noa^ ne »oromo* P*» in Rlptoli« que, mais* eu F, inc-Maçonnerle. C'e*t la Franc, y.ctnuerlo qui a uturpé U pouvoir ot oe*t élis nul tfoimrtu- C'est elle ^«l a lait totar la lépa» ntloa fÏK ) Kf «»«•« d« l’Ktat, InuccepUbls poar Hs cn'h »l‘«i o“-Crtt^ loi doit êire ratlaô«, dacO'ifi avec Hcbai da i'BijllM. « ■»nu u Bimalu on au.è^êra uni p^rso d* fanll’4 lt direction de Uu r* entant«, tn totant lamonopole de l'K'atan iu.itlè"e d'enielgnement. Il (autrédglr S b'mV c . . M «onlérenc» sar rasraranea-bélall st las sagrala potasilfua. T rM anénsn M ort da aotra a a o l » n c t i s r . — La J» aovambrs est décédé dans sa famille, k Roscoff, Rolland, aedan recteur d» Tre&aoaénas. Né é RosoolT sn tlto, M. Rolland fat sacsasslvtmant vicaire k Balnt-Tbarlen »t à Croies, où U pasi» 1» am. — recteur d» 8»lnt- Hotrop» et ansult» da Trvllaouésas Cnovimbre i m s die»mbre 1*07). •• i A r r o n d is s e m e n t de L A lm a n a k z a d p a r a îtr a a r la B r e i s e m a in e p r o h a in e . Les com m andes s e r v ie s le u r du “ seront l ’o r d r e r é c e p t io n m e r ie F dans de à I'I m C p r i- o u r r ie r du in is t è r e 7 f r . le c e n t , le p o r t e n sus. P r iè r e m ode d 'in d iq u e r le d 'e x p é d it io n , s 'il y a l i e u , la g a r e e t. des tin a ta ir e . Q u im p e r lé Q U IM P E R L t In c e n d ie Le 1« aécem^re, vers 10 heures du matin, on incendie s'est déclaré dans la rue SaintT ?es cbez la veuve l<e Coi, ip é de J3 an». Cette aerniè.e qcl est en erfarce, avait approché sa lumière trop piè* de la pail lasse et y mit le feu. Sans 1arrivée d i deux voisin», MM. Louis Maréchal et Pierre C lrls 'ie n , la pauvre femme était asphyxiée et son lmtneub u, a ijs i que les maisons voisine», étalent ’a proie de» flammes. U e lg rv c n V o l. — Pendant la nuit du î ' au 28 no vembre dernier, des voleurs ont pénétré d.*’’-« la csva de Mms Rioual, débitante A la Trinité, en Me'gven, et ont enlevé, d'un sa" contenant du linge mouillé, divers effets et notamment des draps de lit et des chemUe». U n pala to lr de zô livres que les voleurs ont trouvé k leur conveuancc, a également été emporté. Mme Rioual estime son p cjudloe k ICO f.ancs environ. X lz o n S u ic id e . — La semaine dernière, mer credi matin, Jei>n-Louls Le Breton, journa lier et com m itçant à l’Enfer, en Nixon, se rendit au champ pour extirper le» mauvaise» heibes et y conduisit sa vache. Ver» ü heure» de l’après-mldl, pa femme ne le voyant p a i dans le champ se m it k l'appeler. Ne recevant aucune réponse, elle (at prise d irquiétude et se mi-', k sa recherche. Eue Huit par le découvrir, pendu k une co de, dans une c « r i ère abandonnée. Epouvantée, elle revint en cou-ant k la maiaon ét prévint ses enfant*. En toute b it? , le li s îln é de Le Breton. Sgé de 25 ans, se rendit k la carrière et s’empressa de couper la corde ; mais le malt eurer'X »valt déjk ce»»é de vivre, i t il fat impos»iLle de ¡e ranimer. Le Breton relevait d’une longue m a laile , au cours de laqoelle 11 avait eu le cerveau nn pea d étn qué. Il avait dep iis quelque temps des idees sombres, mais n'avait ja mais parlé d'attenter k s^s jours. Il laisse une veuve et claq enfants. N év e x C h a t in c e n d ia ir e . — La semaine der nière. jeudi, vers 6 Heures du m atin, Mme Gostiou , de Ktrdruc, ayant en b ’ roln de monter au grenier poar prendre de la paille, p'aç i sa lampe sur une nierre, au ¡ri«d de l'échelle. Effrayé, un chat, qui somnolait d^n* le grenier, descendit p ’-e-lpltamment l’éche'le et renversa la la np» qui rou'a sons le lit des époux Gostiou, o'>. as trou vaient encore le mari et nn de ses cnf.tuts, et commuiiiqaa le feu i la paillasse. M. Costlou se leva anssliôt, et, avec l aide de p uaieuis voisins açcQurcs i\ses cri«, réus sit. au bout de deux heures dVITorts, à enrayer ce commencement d'icceo'tte. La porte, de 300 f r?.nçs envlion, e tt rouverte par une asamance, Q o e r r le n D.-umatlque auiclit«. — Morcreli, l’Iarro Be'lheiot, s.iooil.r uu bou-g, s'est rulcldé en se porlunl un torrlble eoup do rnsolr i ln gorge. De.lhe ot esall sonfftant depuis quelque temps : et c'est pendant quo ra lernme l'avait laissé seuj p iur prendre son repas au rex-de-chaussée, quo le dé'eepéré se trancha la gorgo. li ûtatt otlglualre de Bannalec, Agé de UÎ aus et I è e de 7 rci intr. ru " " " . . -i___ ?.. T ...... .. ""a LA H E R N IE e t le a d é p la c e m e n t s d e s o r p s u c s L e » a p p a r e il * p e r f e c t io n n e s d e A. C L A V E R 1 E , d e P a r is sont le « « c a ls u n iv e r s e lle m e n t a d o p té s Cbacun connsît aujourd'hui la renom mée universelle de M. A. G L A V E H tE , le grand spécialiste de Paris, le seul praticien qu i. en di hors des vspu's promess. s des guérisseur, assure i lo i« d une façon c«r* u in e une contention parfaite et douce de* herrle» 1. s plu* volumineuses et les plus rebellts, tans gêne, sans souffrance et sans interruption de travail. H e ttiu p e tU u dlnslster sur les hautes qualités de ce profeislonrel de premier ur.ire dort la personnalité «st blea connue de nos lecteure, ni sur les »vintages sans précédents de se» merveilleux appareils brevetés. Le chiil're énorme de 950 000 donné par une st&tMIque déjk ancienne des person nes q a il a aéllvrées de cette lntirmité dan* R e r e u s e , prouve mieux que le» plus bril lante» promesses l elticacité souveraine des appaielis C L A V K H IK . Aussi rct-ce «vcc piaLir que nos lectfu rs et nos lectrices atteints de h e r n ie » , e ffo rts , d e s c e n te s , etc., apprendront la préienc« dan» notre département, de 1 éminent spécialiste qui en (a't l'application. M. A . C L A V E R 1 E recevra 4e 9 h i 5 h. : A B R E S T , dimanche 12 déesmbre, h ô t e l C o n t in e n t a l. A L A A D E R N E A U , lundi 13, h O tc l d o l'U n lv e r s . A S T - t»O L D E LEO.\, mardi 14, h ô t e l de France. A M O K L A 1 X mercred 15, h ô t e l d o l'E n r o p e A C H A T E A U L IN , Jeudi 16, h ô t e l d o la G r a n d 'M u ls o n . A (JU iW P E IIL E , vcLdrec i 17, h ô t e l d u L io n d 'O r. A (>U1M PER, samedi IS, h ô t e l d o l'E p e e . Tons cov lecteurs en écrivant à M. GLAV E R IE , 234, frtDbonri Saint-Martlu, à Pa ria. recevront gratuitement son magistral T r a it é d e la h e r u lc . 852* C U IG O R K Jj E X T R A - A N T IN IÈ R ë . B L A C K »■t 1* môUloure. d u» ^h td n rù o a L* ptu» important» i'a in iq u » dt fr a n « « VEOX OîlKSSl i '>R{iif<s-OUe-loi-42*irjuraii .Xo.üi v de CONFIANCE M oo NR T?tiv%;i.isux/x . ptNOULtss’ucliitontauxrabt'^THIBAUDEAU^^'vil do BEBANÇON. - Tarifa encoyfa Franco . ! ^ 0 C l l**» Prix Coucours Obitrvatulr« d* Daiaoçon. VÎÎLÎXÎ P A R A P L U IE REV EL 3.l)a, 15.90, 7.í>0, 1 0 .5 0 ,.^ 10.50 SUPÉRIEURS A L’USACli t Dépositaire à St-Pil de Léon L E M O R V A N , m e d u C o lo m b ie r M a l a d ie » d 'E s t o m a c e l H e n r e o i e s C h e z L ’H O M M E o t c h e z l a F E M M E Maladies de Matrice HERNIES Le Docteur G E K A R D , le »péclaltste bien connu de Paris, 76, rue de Maubcuge, l'auteur de la M 6 t h o d o O r t h o H p l i i i i c h u l q u o , la seule qui assure U .-tire radiçsle dé 1» Hernie sans opdr«^.on et la guérlsob en quelque« /CUrt et «ans médicaments in fe m *;, des mnUd.iti: di mafrice, des hialadie* d« r»»fomac et de» nerfs même les plu» ancienne» et le» plu» rebelles k tout traitement et régime, don nera »e» consultations k i M O K L A 1 X , dimanche 19 décemb e h o tr.l d e l'E u r o p e . I E S N E V E N , lundi 20 décembre, h ô t e l de F rance. B R E S T , maral 21 décembre, h O te l C o n t in e n t a l. NOTA. — Le Docteur revient tou* If» deux mois environ. Notice franco. 8536 bag Izidor I... Lena, petra bennak ema-bl var c'bortoz anezno, e la eun taol en he c’balon I . , — « De mad I » emezbo... « Penaoz la r vue ganboc'h abaoue miz eost dlveza r » eme (Jaldlk. — « Mad-kenan emaoun ; mar n em gavlt vac’h hoc'h unan ? » — « Dre c'hr38 Done, denz ar gwclla emaoitp boll, tvei a w ellt I • eme Per. Heg karz etrezbo evel a vez otre n Igno ti* d k' z. .. Peciet da veren'a, e chomont ker laoit :n ha tin. Dcnt arc’tioulz da ' o . t K ult,Indor, er eur dr. ni^o e kl 'tienu L>r ;i e ii<var d’eibl .-un ora boiiu^k enn be ekdiaru : an In sti/., i la.'nan^c c teu da ru-ia evel rur ■". l.zenn liao, bag a reppm nt stouet he fsut : ■ K. n u lt ouz va zud I > L. Da ? » — « Neuze ’ c’hellan »onjal eonhoch, Hep liltet ger, ar plac’b laouank ec’h astenn he dorn etrezek he amez-k gwecball ; bag hen, oe’b hen starda gant nerz : « 9 h I mil bennoz I Lena! Mil b 'nno z ba mil drugarel Abenn cur bloa goude ralt gwengo.o e teuan o’ar gear evlt mad : me onezo breman v a u u peleach ttlua va c'ham m fjoul « Hag hen, difrf ilt varlerc’b be gcrent, en cur gas eun tsoi legad diveza d’ar plac'U koant. he veitrez hlvlziken I « ...A h b en i Lena 1 breman n'eux »man nemed-omphon diou: ra k b o c ’ho a rh a gh o tnou vreur a zo konsket mad enn tu all, hag ho tud enn « tbéatr » 'xo d'ar c'boulx louexet o welet ar p'il o tont en yCr, hag ar v éro trol en krampoi't I .. C’han I C han I atra io ’ neve ganboc’h birlo ? Gwall leder oe’h, ’m ont aoun T » — • O ’) I va Doue I neubeudlk a dra ’vad, KateHU I Me n'ouezan ket va ucan i rak «e, c'hul wel I » — « A zo mad I eme Katelllk etre he E GRANDE S O U R C E Ì VITTEL Bouteilles - Demie si- Quarts. rts. I LE NOUVEAU GUIDE ENAFFAIRES OU L'AVOCAT DE SOI-MÊME Contenant tonte» les notions Oe c'roltet to ui le» modèle! Pactes dont on a b soln pour (jérer »es affaire» »oit en matière ci vile. soit en matièr* commerciale, par D u rand de Nancy. — Njuvelie édl*ion consi dérablement augmentée et mise au courant de la législation et de la Jurisprudence les pin« réccotfs, cortenant les nouvelles Loi» «ur les lalllltc». le recrutement de l’ar mée. etc. I f>rt vol. in-18 de (.72 pages, broché 4 fr. 50 ; franco 5 francs. l,e même vol. belle reliure en toile rouge, 5 fr. ; Iranco 5 fr. 50 dent, c'bul fell d’hoe’h knrat nnzln ar wl* no-cz I.. D.zale ni la da welet I » Ila g bi krenv : « Lena ! n’o peur, ket sorj denz cur zonile koant a gânec h gwecha1!, a lez, allez I » — « Pthit 1 ’(ill d'Doc’b lavaret 't » — « An bini zo kaoz ennhi e ue ar Pill]» hag ar Melonek I Ob I me gav hounez eur zc.lIR koant, sellct !... P^ncvcit b j siu iza , ho pedfen d ho c’fcftna I » — « Ob I lezlt da vont I Me n’eun ket re skulz : evit beu dUkuez d hoc h c stagas gantbt ! » Hag ar jö n lk o etvel lirzin, dlvar muzellou aour ar plac'b laonank. ...Honitì ar post diveza o nijai llouiik, dlvar tc o i Leca. « Setu aze 'vad enl labons hag a drec’h gouenn i mont da glask pár var ar mea* T P»bex sonj i... (îw ir e » ! Penaoz e fell d’hoc'h e chomfe be tklant vad gant eoe flllp, enr paour kez labousik hep spercd An dud io a zetk nn trolou d'al labouslgoa ke* ! setu neaze I .. Eveisj, gweilt 1 Em anaoudeget cz cut eur plac'h laouauk, hag a zun] ober abnrz pell amzer e g li nr fPip : mont da glask par var ar meaz I... Ah ! ben I n ’e pouz ket an ear d’am c'hredi : gwlr eo konfzkonde I 111 ken g x lr evcl ma 'xeo bet Izidor dloux ho koulenn birlo 11 • — «III» — * N'eo ket ar boan d’ho;'b lezell ho tloujod da ruzla evel k ip le m ar c 'b lllo gt Ne lavaran ket gaou. 'k it ta ? * — N. n 1 ne llvlrlt ket gaou m&rtcre. ho« gen muloc'h etred ar wlrtoncx xo (*.eut ga nboc'h Ivex. Komzet en deux ouzln, evlt gulr ; d’am zud n'en deux kfat c’hoaz toullet eur gomz. > (Da “gendelc’her J U A V Ô M à O Ô M O Ô ^ ê r ïV v Z S ^ Î BIMETIH CORIERCIAI. Dalle« do Purl» ¿¡oim a COURU du Sii n jv. du 1 dôo. .W Ir . 15 Parine» L'uu¡so Marque» 3dir.no i Mi, I Kì|étO»<■ a !# » A.V0M*, » .....I» ... « • 4 » .*t. * « • • * . 23 1« 19 ? • • a» V* * l_pr-.? i!e Brotnor-ti* ' '< jtiu i» (»»oliadijl.COilctûU. 119 H w i M I t )»> ■ r.o 75 75 23 10 25 17 70 ? 75 75 to 113 i*’»«- •> d». a die. i.e»n«uun. —- VuiuUt- un "9 nov. •». tfsyi moût, lo» w kll., I V r. O igu la, i.a&. Barratiti, 8.00. Avnlno, Id., 8.76. Pomma» do torra, le» 60 . 11., 4 US. tìourrn »alò, lo kllo, 1.00. Pourra mm« fot, Id., a oo. (.Bui», la doniam o, 1.36. ifoM-l AUbA. •.are»* »ivi 2 décembre —> l?co®olit, 11.00 Bolgln, 8 ,oo. Orga, 8 .60 . U li «oli, (1 Oj. Avola«. 8.76. Ponuana do tirro, s 60. Pola, 'ii,Oo. lo* too VU. .?ílllo, 36.05. <ßu*Ä, p.'tx w o»*«, 1 60 U iW uialn». Baurro, t.3ä I» l / i V". liutinpov. -• Mari.fti du 37 uov. ■" P io " " « ! ; 12,tiu Ini ¡00 kll.; anille, 17.0c. lili Mit 1910; »-.vit-e. 19.00; oigo. 17.00 : iioioraii» d t >orro, f* 5)1 lOlM, 48.00; pnlllo, 18.00 ; l a i ir.'», 1” unti. >3 001 i* riu i. »• qniil. so.oo «pn '4.f.,'¡ «rois, lu dou- lalno, 1.9’' ; cidro, ln barrique, 85 1. .; iiomuiea A oidio. 00 fr. tos 1,000 kll. sinitr.yúfl«. — ï n vue* d» SG nov. ■ *- v**" A a lu ta a s a a s x v iiH M ïÈ ii li I ■ K IM M * C fc D U .. V a c h is i. ffi T u m o . V o - n x .. U u u lu n x V e r o * ... A n tiu Tm î h ...... — —~ — - i.J O O i.S U 633 tlllt tint) i.O lO 1 3 .A I I 0 li0 .3 t i3 (147 ma 6 . «sa o * W . la »¡1., 0 ir. 65, UttiUll ,CI J)0 « 6i.crla, 0 tu 70 ; vaobMt d i boucüsf! o fr. cu ; ftjwsio do lra»Mi . oídla. ; ttoavitions, o í le.; «<;,•!)«* to-, 30ú ; .reales«, J00 fr. ; ofcnvuux, élevé ; v » m , 0 Sí. 85 ; laoatoO.«; î tr. 65 w j . ; , o sr. 95 ; ¡JroiUJD'., Ibí loo Kilt», 31 U. 75 ; srlfílo, 10‘.t. 60; ■ni», 17 ir. )! in m u t o ) l# Ir. M> ;avoÌMi), 17 lt,(0 ; ¡mmL'iOü do 'ivo, 6 Ir. oo , Sani'rfr, I« «ilo., 2 (r.a^ ; filili, la dov.’.'/URL 1 ir. 30 , (ovii, io* Mo kilo;. 65 Ir. oo , palli», l«t 500 .lito.i, 26 Ir. 00 ; «oa ' >» S » R ii;». 1« Ir. oo ; tarla», i- « i l i » , t t a . 76 ; c a lm o Ici ld bonne o u i d io » .8 :3 It i lift,. Iftu r tth é a lit P ijj| ! it il tisi J ù ó p u r f t jh s o » * ohfltsauttn. - H »robé tì>, « i nov. « . , l»i; .a i u t . In» 100 kU.IO.&O; nvolnn,10.00 ; iplple, 1S.M1; or*«. 16.50 ; »arruilu.lfl.00; botirre, Io Allo, ».JO. « n l i . Ih du u l. 1.3», puuiuKU do l., 6.60 lm- iQokil. a. Cldro, 1» burrlqae, so A 86 Ir. t i n t it i!» . — Unteti* du 1" d io •» IV moni, t u SO kit., 13.00 j or*o, «.60 ; M im lr ,. 1.76 : avolne, 0.Ó0 : »ou, n.60 ; ji. du torni, lo» t>o k ll., ».60 ; poro trai», 1.10 ; liourri; « « li. 9.10 bourre «nu» »si, 1.00 ; wula, la doui., 1.70 L in d tu lv ia u . “ > M archi «Hi ih oet. ■ . wout, I«» 100 kll.. 11.60 ; m in iti, ltt.05 ; iU. 14 .S6 ; «iirrailn, io ! «voluti, lo.oo : orno, itì.oD : I). de t e r « , 0.00 : canili, la don»... 0 OJ. '• . «II1A, SII ir, 00 Ponimos A cidro, o Ir. 00 la bnrrlquo do tan kll. 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UAUD, lituilen de M> Louln A L L A IN , »vewé.tlcencié ii BreKt, îu o <ln n\ouô près lo tribuunl civil de Clifttcatj, i “ 21 et, de M* DIS tìalnt-Walo ;2» M* LA V A I,O U , HODELLECI D U POH/K1. no notaire h Snlnt-Pol do Léon taire A Salnt-Reuan (Finistère), U'’llllBtÔIO). l ’L'IU'I'ï,’’ dc hlenu de minent s, v Ij.s I ti sur baisse cio mise h on la commune ce S a in t- P o i ^ L e " Jeudi W.’l d C c c in lu v î 1909, d o L A o u , Rrrondlaucmcnt de A uno nouvo et dcmlo de l'après* _________ Morlalx. midi Adjudication, lo v e n d r e d i 17 En l’étuJo de M* do Hotleltcc d é c e m b r e 1909, it doux du P o u le , totalro à Saint-Hebeures de l’upròs-midl. aan. EnT âtndo et par le ministère Promior lot do M* I avalou, notaire A En la commune do .Ito liar». 8alnt-Pol de Léon. et, par extenslou en ceil» de ,o Pi èr la ville, au lteudlt BolL a in lt é z e llc c , à cinq kilo lenua-La Clmse , mètres de Brest, Une Malson d'habitation comprenant rer - oc - chinisi éo, étngo et grenier, Inrdlnet c'oa de mute, cabinets d'alsaitce et bitcher. i,o tout est loué : Cadastre, section C, numOio «5ti. do deux arca envi'm i. Mise A prix : 4 ,OUO tr. 2» A u nord du précédent et y Joignant, Deux soues à porcs établo et écurie, maison aorvant do locemont à M .;Hiuon, grange, le tout construit en in»çouneilo et couvrrt en ardolai:«, cour, airo ft battre, cadastré tioatlon C, numéro 85G, contenant s a nie«. Falusut tu lle il l’aire \ liattrn. l)n' champ de terre labourable d it Parc-al-Leur, porté au cadas tre section C, numéro 855, conte nan t trente-huit arts dix-iiutt centlarea, ayant ses touiiés au cerne. i Wlso ù prix 1.4,OOO.tr. Puculté de réunion pour ces doux lots. 3° A u terroir de Kornonfluy, Un champ do terre labourable d it Pure.-Ketnônguy-HruH, ca dastré section O, nmnoro 898, pour uno contenance de soixaiuesept area vlnut-olnq conU a^s, ayant sesfoaiésau cerne,saut sur le numéro 891), ctuiprls dans le quati lènto lot. M I rm il prix : 4 ,0 0 0 fr. 4° A u sud du précédent, r ii [i Un champ de torre labourable d it Parc - Besquclicc, cadam ie acctlon C, numero 899, pour tien confenauce de quarante - neuf area soixante centiares. A faut du auméro K9 », Autro champ dit Parc-Uluan-K«ruuuhiiy, cadaiilré soctlon C, num éro 900, pour une contenance de trente ot un aroii tionte-sept centiares. tien cUampc ont leurs lou&é» au corno, Buut à tv.st. ¿MIko A prix : tt,0 0 0 fr. I " Quartier du Vdtaudan, Une Un champ, Parc-an-Faros Deux PR A IR IE Un petit triangle ADJUDICATIONÄ : La coupo actuollo do doux taillis Un pr6 et un champ v a r h e s la it iè r e s . £ ? & « « , - ¡ t ò l t a /o u s, — é le v a g e , — r e p r o d u c tio n . Le. lail et tes produits, p a r L a r b a lé tr ie r , i 7 0 lu d it; a u b u r e a u , 2 ir . ; fr a n c o , 2 I r . 18. HAUANT! KMUHlit. R O U G E ü6 tr. BLANO i*- _ lu |)|ècs U* lift l l lit s . » lìm o (I^iillnnlitlro. fât coimirltl, U N E P WMl<.i UtiUM Fera V, M A IS O N .U M I1 M C 4 T M R S 1? » D ’une Wi IS O N K irivin, en •»t dipeir.'.'' CfB, G n lp a v a o . ; , ho to at loué A l’année du 2'1 septembre, A uuo veuve Fioch, 70 tr. i’a». oc(U Voir les afltcUes. 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Lu clnqnlOffie partie renferme 1» recueil des lois, d ic r tls et arrêts, concernant l'oxorclce de la médecine et do luphorm acle ; la prolecllon do la pantii publique,l’esilstanc» publique, les aocldent» do travail, la ropros.-lon des fraudes, *tc. Un cha pitre est ràsoivé à t’exposé de» »«rvlces médto n publics. L'. h sotlltôj d’asslrlsnca profepslonnelt», «u- Hen-man eo, etouez al louzeier a ginnigor d’eoe’h, an hini a atank e berva amzer ar paz. Mad tre evit an Influenza, Bron chites, a Bhumou negliged. Eur voutaillad hebken a ra burzudou. , B gwerz partout : Goulennit | mad S I R O P C E L T I Q U E deuft ti Ö 3 E U L , e Landeme. Un champ, Ponlzeugues UNE «tfMMé. l'AIhum Z lluitré d« M o n t r a . niju.'xW tcuûm im , VISITE d it P«rc-iilt.an-ar-Vllln. cadas tré Btcilo't Cl, cutiéio836, conte n a n t viugt areu vlugt-hult cen tiares. Mine d prix i l,U O O ir. ‘J ° Prés le obamp de la Iìive, A Poulfanc-Bras. 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Une parcelle Partiellement en'ouié d^ mura, Mire a prix ; iiu O fr. planté d’arbre» detmenccB di(umhüî c fcaanBaBMBBa wawsii do de M" WKFKROT, notaire 9° lot. — 1° A ’i terroir de Poolvernes. loupry ou Kerinorgunt, Vue BUPorbo au)' la valléo. Mise A prix : » .0 0 0 fr. Un charnp N. B. — Les l,r et 2» lotu pour séuaré en deux ; 14 ( lé c e m lir e 19*9. A dou:. Tont-’s'ios tnabdles dont souffre la femme proviennent de 1» ront 6t''o réunis après «oiudl a2" Au terroir do K-irmorgant, hem es de t après-midi. otauoa's :■ ■ . circulation du aang. Quand le sang circule biea. tout t.lons partielles en un so i lot, et daou iMéiou-Mes éaoil, M- Geff oy, n, taire, iirocé r.ri >a bien lea nerfs l’estomac, le cœur, les reins, la tête n étant rends en vente sur le total des e n so n é tu i'e , A la vente puoliUne parcelle 1ooint c, ■ngeationnés, ne font point souffrir. Pour maintenir mines A prix ou des prix et’adju que et volontaire. ^.e.ie b.inne-, harmonie dans tout l’organisme, il eut nécessaire Mise a,a nx ; ii.a o o tr dtcatlon. Eu la commune de'LaubonaP•¡e l'ai: e usage A intervalles régulier», d'un remkde qui » r î s s h En la commune de P lo u a r z e l o i an. TroisMmo lot | : \la fot:i au.- io m aaff. i ’e u t o m a c et les n e r f# , e» seule la Un la coramuno du l.a ia lté lu* lot. ■ — A u terroir do Ké La belle fœrmo /.e llo i:, A Pont-ar-SnoM, > éam ln, Du lieu ilo Porslmon Un champ de terre labourablo - ¿kí£ d it Paro-liran-ar-Renen-Dun, ca Le l ü i l c c c j . b i O liO 1), A uno dastré Diction D , numéro 47, pour uno contenance de cln- heure. quarto-otun arcs quatre-viuRtü i* centiared. en L n n u b ls , occupe par al. Bre Un cham p Mine t\prix : 4,t(U0 fr. ton. 85 J9 G'OSBras-Moî.uu- Mau7“ A u terroir de Coi-Vilin, Mtoe A prix : l,S O O fr. Htudo de M ' QU EN ’I EL, notaire Eo la cou mime do l ’i o ’. ir l a A Lanuilis d it Pai'c-ur-Villn, cadastré sec 14« lot. — A Stréat-ar-uroiavolontaire, tion G, numéro 828, eontenaut l î <n l'ét ida. «ant, quarante - trois areu soixante t.e inniM ll 14 ilé c c m h r e seize coutlarcï. 1909, A une lu uro. iviso a prix : I ,.tO<’ fr. Mise à p rix : îi,V'Ot' fr. En l.n n d firtu 15" tôt — E n la commune de 8“ Au nerd du précédent lot P lo n S fiiïti, 1S al coloniale fait l’objot de deux ebapttres. Lo» rM.'U! glens-dentliteo, sages-femme», d'fitudlanU trouvent leur p lico dans cet -\ u V; , r Et a d is de M” I I. LE ÜALLOGH, uvoué-llccncie il urest, rue de la 'Mairie, 21 et de M* D E B 0 ‘ D ELLEU D U P O liZ ld , notaire a Sal&t-Reuan. srrivnrv l>av licitation Jodiclaire, l ü i i l i l l i en I étude e t par le mli.iijtè.c de M’ de Rodelloc du Porxic, notaire à S',îlot Renan. Le M .im cdl 1 1 d é c e m b r e 1909, A ut,a titure d e l’aptèa-midi. D E SIG N A T IO N : Kit la commune de J U iu Ild u t l ,r lot. — A u lieu do Ruinervau, do terrain, contenant environ 4 Un champ dit Parc-Uttuii-ar«Reie/i, catlau- ares. Mlsn A prix : 10 0 fr. tré saotlon I), numéro 4(1, conte Eutréo ou jouissance im m é nant trento eluq ares. \yimt fosbéH a l’eat ot tu r le diat.«. (Voir les atllches). 8531 chemin otpurtlo sud. M l 60 A prix : » , ¿ 0 0 te. Etude do M* O U EN T EL, notaire C° A l'ouest du précédent, A Lannills Un champ de terre labourable l’é c o le Cornino toul co qui concerno la mfdoclno no doli, pas laltsor nos le,;t(‘urs IndllTél'onts, nous orovons devoti' parler lei de l’index Módicos, quo M. Ronzami, Hdinlnlstrulsai' géiui.t du Progris mildicat • Parti, vlollt de falli p>.iattre. do volume do plus do l,c(i p iges, grand lu-8 ralitn supeibemont rollò, eont,cij Ioni io.< rm. tolsiiomenls qui peu.oot fi re útiles sur. dlutdasts et «u.\ niò.'.ocliis. l,a cltnique cs palloni do l Ii>ilex dai.u sou numi ro «In i j courji.t du : « c'esl un vtjrilublo, uotlln medical.» 15a cir;l l l d i x coallsiit lout co qui ptul òli o utile aux ótodlai/u; debuts comlnuatloii et lln d'Otudes n.£dlautos. L'iustlgnemonl de la inOJeclue, nilUiaUc, uuvliIc j k LICITATION « ¡ ” Stu«j m «i de lîa nppolant li dniv ipprltas, l'attention de» callioilqneH tur le» « daugern don ico'e.i officiel* les » ppur le» enfants, N N . a s . ics Evêqurs ont dénoicO la lulto, qui 10 priienro oontro t’cntolga6mont ebrOtton. Les caihollquaa souilend ont d'autant plus laolliiinont cette bstallli, qu'll,'< con naîtront mieux l’erfnnt, dont on , o dlsputo l’Oma, C'osl pour 108 assister dans Isur Ifloho et pour tour donner une «upôrlorllO sui le lorrain (le l’é ducation, qu'uu comllO, composé do personnages Éminents, a prie l’iulllatlve do publier sous ie tttio En/atiCd ul Jcuucise une séi le de petit» volum. s, où dos sptuluildtos lompètorils iralti nl la quostlon de t’^dueatlon sous tou* scs ufpccts : pOd.igoglquo, psycholof lque, historique cl s'oc cupent des d.veises carrlferes, que les icunes tus soni suecoptlblea d'embiutssor, à la «orile JI8 ont 01 dOI' paru 8u coltÔKC. Plusieurs volumi» , » pai " ' . Po proiesseur à t'écoto Mcssllton. Ilo 1’ « Iulllntton il,» la Jeunesse .1 la line t>\» par l'abbO Goauvln, dlreeteur de l'iScol ) Mui-slUon. V « Enlunt dans l’anttqullò, a pur A. Daudrlllarl, agregò de l'italversilo. I/ « Educallou oo l’ei.Iance, par Mgr Lobbedej, évfl,|iie de ìklouiln», eie., ole. Nous uo (tuntous ptis qui? colte coltoci loti uo trouvo lo melllfur ae utlt auprii» de nos leoteurs, qui no peuiont plus te déslulOrn.'ser do cotto passionnanlc questlun. Prlx dola brochure, Iranco 0 l'r. 70. Los douz« pnruoi tinnco 8 Ir. 7t. S'aoresser Ealanco-Jeunosie, H>, me da MAztòres, Pari». i.-. / i i A u to u r r* « L« Jeune Louis BOURG EOIS» <jüô r o g présenta U photaKrsruro ci-conlrç, est ¿3 nô en 1004 et habitent c h c t te é ^ « « 1^ ^ , placo 'Gambotta, à Beauraont-flurOlso (Setnfr-M-Oiie). Ho UKfl, Jl «n t a H roureole, puis uno bronchopneumof»!« < ¿3 et eafln la coqueluche. Depuis, 11 sut o, bronchites iufbKonchttes et, au lieu do I ^ sc reraâttre, 11 a llait dp raal en pis. . f l í Q unnd sa mère Taraeni á n lt censultdlion, le ip a rrll iqo®* H « a qua*re 7 branchttes coup sur coup- U toussait, crachait, transpirait la n u it, t r a i t nne ~CC IMrre eontlnn«, s’exaoerW nt lo soir. était très afTatssé, ne Jouait p lu s 0 1 ^ ^ pouvait à peine sa tenir dshouf. Jo lu i ü« . IrouTal da la bronchite' tuberculeuse ¿ ^ généralisée. Tors la Un de 1008. rrâce à m on traitem ent à hase d ’i L l X i n r w D U P E Y R O U X , il allait m ieux, mais 11 aut la grippa en Janrlor 1009 ot fit ■ H *jj une rechute «rave. Ce no fut que le ay août 1909 que Ja pus constater la guériRon c»)iui>lèle du Jeune Hounreols. Ses parenta m o n t permis ae ^ 0 publier soaous dans le b u t d’étre utile à leurs semblable^. ' Docteur Eugène DUFEYH ODZ» «f » wt u« Metsine, Parla» V M B, s<(u*iv square da M enine. Parla. P ,.S . — Si la tuberculose fait ta n t do rlctim as, c’est parce que les mè- 35 ieclna ne mivont pa» la soigner. A ux hafheuBes c alom niai do nt » H o n o r e n t I :erlnin 9 dV nlroeux, Jo répond* par des faits précis et des ^m rulnblos. Quo ces insulteurs m ontrant donc de pareils rè s n ltâtil L’B u x ir .W D upe vroui. t». base de créosote rraie de nôtre, iode, tan in, gl/oèropnea* fUw pùate de chaux, guérit les lésion! tuberculeuses en »ré v o q u an t U forma* t » p lion d ’autlloxlnes dans le sérum sanguin. — Consultations rra tu lt^ s to u s v o ica Jours, excepté les Jeudis et les Jours de flte, de 1 benre à 3 hoarfÿnlana mon cabinet d u 5, square da Messme, Paria.— C on sulU U on l gtmtoltee par :orrcspomlauco. — J ’envoie gratis et fn n o o le# n euf ouvrage* contenant mes travaux de thérapeutique et dliyglêa&e_et un_qufaUQMQjU p. » * *4 petit flacon do f. fr. 50 et le moyen flacon sont envoyés franco à «Vaatefle centre On demandeou hé« NA ny oc niiia te dem. pi'ur vondro A la c a m p a n e des produits vétérln. deM . Bouyor, pharm., indisp‘ ns. aux culiiv. et é ev.; Í5 A 20 f. p. J. A gagn t. l'année. In u t.d ’é:r. sin sD .réf S’ad.AMM. GhaUveau-Dixneut et üis, d ip . Ala Séguinlére.près Gholet (M -et-L.). Une A nglaise, a besoin d’uae <«>aBeH8B»»gBg g a Hg «W B B e sa a bonne domestique, pour son pe ,'rn»nñi'r.-{« tf* U> Preses libérais roa do '.'»A to ai!, 4, a r c a i tit ménage, dépense de voysge. Ecrive« M'* Kat-ley, Horiabridge, prè3 de Piymouth, An?n g.eterre. ‘ ' ?5W 'T t» U tca.ir 1 hemme grand pour anprenire service intérieur cbfttoau, Finistère ; Dourrls, logés, éclaires, blanchi. Gages 5C0 Ir. t « année ; 700 fr. 2« aunée. S’adresser bureau du Journal. A P P A R E IL S DE CHAUFFAGE T »U S C lic m in ó e 1 2 3 , ru P a r ia h » ru B a g « * n i H0R0LACH0U — BRAOIGOÜ r— IUNEQQ0 Ail dud a zired anozho ho-unan d’âii>H-*t*flxi*nt, o e'hou.• souci enn-hi eun dibab brtz a vs,ro'hadmret a fa lit« vtd. M O »Ê LE S lu x e “ IjE R É jV E ” L E J O N C Q U R , 45, rue Traverse, BREST tS u s p e n s io n s a u g a z- p é tro le H L E O T R I O I T Ï3 L E J O N C O U R , 45, rue Traverse, BREST COMPTOIR GÉNÉRAL DE L’AMEOBLEïEfiT ■ A IS O N K E B ilB I O U FONDÊB EN 1S76 Bkbht -t- Ru* Í9 Paris, 97-9&-ÍOÍ — Bsesv ÍÉT K E R L E R O U - P O U Ll d e B d (swp l ’E g lis e f i l i n i D! B i l i mi L » p ln f p u l «taotx Ú9 M obiliar« w m p la M S P É C IA L IT É ( .’ V1>, DE M EU B LES »I I, - PO UR LA . ■■ fiiiif C 1 IP A 6 IK T ud an H a * « r b n u s in k 80» A n n é e s N M .86W ,1 1 D écem bre 1 9 0 9 | j- ^ ^ f JOURNAL FRANÇAIS-BRETON 3 A utres D é p a r te m e n ts ........................... C olo nies et É tr a n g e r ........................... 4 6 — — Les abonnements phrtont du t** de chaque molK ol no payent d'avanno faiseurs d» lu Faculté et surtout contre M. Lyon-Caen, doym de (a Faculté de droit. . .. L* motif tu le prétexte de ces manifes tations est la réélection de M. Lyon-Caen, comme doytn. M. Lyon-Caon n ’aurait .obtenu que 19 voix contre 21 bullefm* blanc«. Cette réélection montre que M. |Lyon-Caen n'a pas la faveur de tout ses .collègues. , , . Les étudiants ont donné un * certaine .................... .. ■ J “ ----line ' Htiirt eo hor o'halon enn hor o’hrolz j acuità h cet incident de discipline inti•nie lla »tartoe'h ar Groaz onn hor Broizl... Ì rieure en conspuant deputi, le mameureux doyen. L a politique s’en est naturellement mêlne et M. Lyon-Catn a désormais pour défenseurs les étudiants républtcaïm , tindit c[U0 les cstuetois du Koy lo Le Sénat poursuit la dùcussion de la hu«nt à qui mieux mieux. Quelques bagarres assez sêneuses ont lot sur les r o t r a lt o s o u v r iè r e s . Apre , les débats des deux séances, v n c i oc mis aux prises les deux camps. Hjpérons que cette exubérance ss aWtst devenu le texte du premier article sur amendement d ’u n certain nombre celmora pour le plus grand bien dee étudhs des JtuJisntt. E n attendant, les de Sénateurs, aont M. Fortin. cours de la Fatuité de droit ont été sus < Les salariés des deux sexes do l industrie du commerce, des profusions libé pendus. « 4 rales et de l’agriculture, les serviteurs à L» j'u r n a t l'O u e s t- B c la lr , son direc a t a u et tous autre* salariés qui ne jouisu n e retraita ou n o*U <»uown teur, AI. Deaurees du LtU, w a » in»««»» trateur, M. l'abbé T rodiu, droit A la Titrait« iu r le* fonds de l'Etaj, d u départements ot des communes, bé- diffamés par une brochure de M .A lben Monniot, rédacteur A la Llbro Parole, n<ifloi«ron>, dan» le* condition* déterm ttée, dans la pré.tn ie loi, d ’u no re- avaient intenté u n procès en dxfftmanon à M. Monniot et M it. llouitte de la ¿r»ite de vieille***-.» . . . . A la séanat de m a ri» , M. Do M a cte- Clnsnais et de Calan, président et vteem »nd*que Von classât parm i oei « sala vrésiientdo l’Aotlon KraDçaiBo Ciection riés », les métayers et les fermiers et M. d ’Iile-et-Vilaine). Ceux-ci étaient pour suivis pour avoir coopéré a la diflasion Faure ajoutait petit* propriétaire». de la brochure. , i e m i n i i t r « M. V M a n ia répondu que En première instance, lo-tribunal voter des extensions du ia loi, serait la avait condamné M. Monniot : r A trois compromette. Au mrplus ou frouuar amendes de 500 francs pour chacun des Isa ressources *u(tis*ntc8 your ***ur0r trois délits de diffamation relevés contre una refra'fe uti pou à fout ie tnondô ? A s ô n e v is u n fermier, un métayer et lui ; 2° à li 000 francs de dommag»s-intérflls envers l'Ouest-Eclalr ; 3* à 3.000 fr. surù'iut u n petit propriétaire »ont pluldt des employeurs, et, en cette qualité, ne de dommages-intérâls envers Ai. Dasgrées d u Loû ; 4* à 3.000 francs de don," peuvent av»ir droit A une retraite des- maaos-intérôts envers M. I abbé Trochu, fin ïe 'a u x employés, en prenant ces mots G* à 30 insertions dans (as journaux. U aona économique. . D'autre part, MM. H ^ il t e du la Les fermiers, métayers, petits proprt(Scon¡«irus peuvent se constituer une P«M® d m n & ii et de Calan, avateni M i t e en entrant dans les sociétés de damnés comme compltces de M. M nraot, fciaour* m utuel* et d assurance q u il est ^ Ï Ï u W t u a l î o n oit parfois a s m préc a ir i pour qu’ils songent A o e tte p n caution, puisque l'IStat leur refuse le bé néfice de la loi sur tes retraites. t a Chambre vUnt d<* votor, m ent d u S lm p lo n dans les ^Ipes. Le Vu«,.nl nue io n va construire va détour ner au profit des chemim de far français ïm * « artie du trafic commorcia de la y<eÎJoue et de l'Angleterre, à deslimlion Ü ^ U Suisse et de I t a l ie , uwqu'ioi par le lunnelde Saint-Goth&rd, au profit des lignes allemandes. A nnonces diverses . . . . . R éclam es, en 4» page . . . Dernière co lo nn e.de la 3* page. 4 — Rue du Château — 4 B R E S T Ckanqtmtnt é'aëte.ise : 0 f r . 3 0 avec la d e tn li'« b aui« Quelque* jours, *on chahut journalier organisé contré l ’un ou l'autre dee pro- P U B L IC IT É ADMINISTRATION ET RÉDACTION ABON NEM ENTS FlnTstftre, Cfites-çlu-Nord, Morbihan, (un on) au Mont-ie Piété de Paris. On les estime e nviron 1.200 000 francs. Lundi, on de vait procéder à la vente, mais la vente a été retardée d ’un mois, à la demande de l'am busadtur A Paris du sultan régnant Moulay Ila fii, qui se prétend le pro p riétaire de ces bijoux, parce qu’il a baliu Ab l-El-Aziz. M ais i l y a pou d » chances pour qu« les tribunaux français acceptent un e telle prétention et les bi jo u x sans doute seront bientôt dispersés A l'encan. Après avoir été presqu’emptreur et en Krt aujourd'hui réduit Ane pouvoir em pêcher cette vsnte, quelle décadence I * ¥ ¥ L e P r é s id e n t de l a R é p u b liq u e d eit E t a t s - U n i s , M . T a i t a fait con naître son m essaje annuel. M. Taft y annonce u n « notable dim inution des dépenses publiques. A quand le jour trois fois beni o ù les conft ibuables français entenlront pa reille nouvelle ? «*1« D a m le grand a r s e n a l a l l e m a n d d e AlIOï, oes m alversations avateuT éïë dé Seta en* an a m e r a garte, ar velelen diw.a enn dro. > N'0 »n ket ken enr hapr ar Finistère e c'hoanUje ar velelen digas enn dro an a a ie r * 0 1 . Lakaomp e *ija gwlr, ha gwelomp nem e, c ücarlk geat : Pa la m a n bnnnak da c'boulenn labour enn ho tl, m ’oarfad e l a w l t d'ezhâD ha cetra en d«»e*o da otvn-, ha pefement bem íen pe hep m it o paeoe'ö ancEhan. Ma kaT an den dereai ar marc’bad e chouMO, ms ae gav ket • la da g iaik gwelloc’h. S itu d*m-d0 8 t petra a dremeaaz ctre konaell Cuotevlll hag ar »kolaer Vaußear. H^n-mao a gavai inad ar marc’h a i kinnlfret d’ezha«, hag hen disemeraz. Me, bag a gred goulskoude eo l « m awalc'h va la*ad, ne wclan uetra estlarnm »r e kement-se. H a c’hoal, lennerle»?... M« a lavaro c’hoaz e plijfe gwellec’h d In an doare-r.e d en era gletout eged ar rcol»nn ma rank ml*trl-skol hon amzer piega dezùl. Ma ne vlje ket plljet d’etban beza kaaer haklocaar, ti» Ire ze goanit nau dra b in nak muloc’b, Va^íear en defe gellet mont da leac h all da g ' i s i our c’bonHcll hag e» def < ben dlakar je t eut an ell mlcber-ze. H a t bino ? . . , litri«, ar tiikrl ha meBtrezed-akol a zo kaaet ba uigaset, h tp goulenn bo all. A h ! n’ez euz ket *»enck evit-ho da c houlean m out il'ar p a rie ziid a b lljli ar gvrella •I-CIUU« l/n »VMW« ‘ .'l.“ ko^t m out li* choam, p» klask cui vicber couvertes. D» nombreux fonctionnaires furent poursuivis et leur procès, qui se neHaZiors e pn leac'h en em gavont, eur poursuivit un mois, vient de se terminer rei* a houez yar n-ho, eur reiz hag a zlfeni out-ho oil beza *a ìeiien e tn lllz . pur un acquittement général. an dlon rcol«:CD e*n eur genver, Les gaspillages étaient, paraît-u, im haLukaomp iava.li. d in. Finistiro, pahlnl anezho a putables à la m auvaise gestion de la bu lez ar br»sa tranklz gant ar vletr -idol t reaucratie, qui a aujourd’hui uns mau G ant an klnl tor., ar viitrt a bllje d ezho vaise presse en Allemagne. an dra, a c'holle beza krnerieu ha kloc heP renons po ur un e fois le méchant rlen enn lliz ; m t ne telle ket « ezho, e choument libr da lavar nut nan, p“. da Tiona p la is ir de constater que tout n'est pas da vont da eur b; rrez-all, p e g w lr gant parfait chez nos am is lot A lle m an ds. Le procès a eu des échos * la Chambre konseil ar gomtnt'n pe hint an lllz eo e h a n ïe t ba paet. des députés de Berlin, où l'on ne s’est oaut tìsn t ar re»,ena a vrema, an oil vis .ri o pa« fait faute de critiquer violemment la deuz ditrnn-krenn da gana enn lliz pe ia bureaucratie, tan Us que le service d'Etat zcnl an ograou ; dittnn-k'enn d a « oil, la, de la marine s’tfforçait de couvrir ses zoken d’ar re a garte gounlt ère ze enn dra bennag muioc'h evit 3cvel uaioc h h o la m lii. fautes, t Barnit, Finistère. M’oarvad e rankocb *¥ L ’I t a l i e vient de se donner un nou anzao e loa muioc'h a liberte gant al lezenn veau ministère. Une crue budgétaire a ^ Ha ka^r o devezo C hoult^l-Bras ye renversé l’ancien. De plus en plus, les C'hooltel-Blan dont d’ho sikour, labour états ont besoin d’argmt et bon gré mal llva iie'-iero pszo i-barz rei da gredi d a r gri il faut créer des impôts nouveaux iforejau eean ez eo ken r is t hon Eskiblen eonjomtorrunt et solidairement pour ce dont on ne se débarrassa point avec, des h a t Ü91-gouarnonrleu a hlrlo. B “ Corbntin. nui concernait les dommaw-rnt.érô.s crises ministérielles o u parlementaires. alloués aux plaignants, sans préjudice * ¥4 de trois amendes d e 100 francs payables En Angleterre, la Chambre des dé par chucun d’eux. n r,'$ffxir» fut éuoquéfl devant la cour putés a commencé résolument sa cam A l L a l i o u r D o n a r e r U d ’appel qui, mercredi, a confirmé le juge- pagne contre U C h a m b r e d e s L o r d s mont d* première instance, sauf sur (es C'est la lutte de ta dém ocratie contre D ilu n e tigo raz, er G am pr, an dtviz l'sncienn* aristocratie. Celle-ci est à l ’a deux points suiuants : . divar-benn an dispignou da o ber, ar vance battue, car, en Angleterre, Ile peu 1* Le chiffre des demm»ges-intérèls bloaz a zeu, enn n ano a r c’houarna' alloués à l'OuesW Sclair a été ramené de ple est de rK'ir avec la Chambre des m an t, evit m ad a l labo ure rien douar. députés. Nous avons dit à diffirentes /, 000 A i .6/00 franos, les magistrats E ve l bep bloaz, e koinzim p a m a n euz n'ayant pas considéré q u il fut prouvé reprises los motif.\ de ce grave conflit. an traou talv o ud ok a a vezo bet lavaret Nous croyons inutile d» les rappeler. que la société d u jo u rn a l jv a it éprouvé, epad an diviz-ze. d u fait de la brochure diffamatoire, un A r c’h e n ta prezeger, an A otr. P t o sonnier, a roaz eun nebeud allou fur «réjurfica supérituï ; . m ad da h e u illa enn hor c’horn-douar. 2* AiM. llouitte de la Chtsnua et d» E nn-dro d ’a r S k o l Poni* les annonces extra-réfçlenalen, s’adresnor & t’A|f«*nco Il avait, Place do la JUourse, 8, & Par!» n 1. Petra a dalv an teil-ze? Nebeud ne vent ket pareet, guclloc’h e ve da Zone dont da gerc'hst an eallk paour zo. » aw alc’h, rak m a ne joum ket an dour N'euzi forz. ar vam a brometaz m ont hanvoez d’ben drusaat ; an dour hanvoez a red knit, a ia da eoli, oc’h ampoe- adarre d’ar Folgoat hag a lavaran : * Ac Vero'bez a rank parea va bugel ». Abaoue zouni an ear enn-dro d ar bodad tiez ha an delz-se n'eo mni kouezet, pare oa ha kreier. are eo chommet. NI on deuz soii]et ne oa Perak ne ve ket, e peb ke^r, kleuzet et a leac'h da ober eun navet goad* miz kaaoliou biaD, graet gant ciment ha mai; pa ’z eo gulr ar bngel a oa pare. Doue :òloet, pe lakaet enn douar korzennou ne gavaz ket mad guelet Molzez o skei diou vech var ar roc li evlt kaout dour en a gas an dour druz-ze euz ar marchodcseit evit ar bobl a Isrfél, p ao a lavatet siou ha kreier da eun toull braz kleuzet d’ezban rei eun taol hebken ; kementse a eur pennadik diouz an ti, — eun toull verke an d iS ilin z . la , ar c’hrouadura oa graet e ciment ivez ? pare abern üq miz m ie , baie a rea, ar pez Eno e ve Deuze al leac'h da ober teil, n ’endoa ket great c'hoaz; drebl a rea ive teil druz ; hag enn-dro d’an ti ar porz a evel ar vagale all deuz be oad, ba koulg» •oumfe neat, bag an ear iac'husoc’h. Ha goude beteg neuze n’en doa ket drebet, a Var ar marc’hacT, lavare he vam, talvoudegez eur bara a . t poull an teil a ve eun veaDek. tenzor evlt peb tiek. Er hloaz varlerc’h, epad miz mee, da llervsz PlisBonnier, o lezel an dour c’houel aa Ascension, ar vam hag he mab hanvoez d’en em skuilla e peb leac’h, a deuaz da drogarekad ar Verc’nez Vari ; labourerien douar ar Frans a lez da ba deuz ar gador e'oue embannet ar c’Uras vont da goll 1 m illiard hanter bep bloaz ! ka6r-ze, ar mirakl. « En bo touez ez euz Lcnnit mad : 1 m illiard hanter bep eur c’hrouadur bet pareet gant an I*:onbloaz a lezit da vont da goll, dre ho V atlae miz r .ii diveia. Vai lene ez oa eaa leziregez pe hini ho perc’henn, hag ivez druez he volet ; birlo Joseph AbWla a zo dre ma n ’ez euz ket betdesket d'hoc’h eur paotrik ruz he benn, iac’h mad ba krenv evel ar vugale all deuz he oad ; an impli] gwella da ober euz an dour leveromp eun' dizenez : evlt trugarekad hanvoez hag euz an teli druz a c'heller I tron-Varia ar Folgoat. • kaout gant-han. Hirlo e man er skol ha den ne lavarle e ve Ar mercurien a responto ne c’hellont hot klanv ; ha bep bloaz c teu da drugare- S an t à F i a g a f c’i i T n o i ì Ò u 'a r ^ to ll! hanvoez eñn-han. Nan, a dra zu r; ar perc’henn eo a dlevfe ober al labourouze, a rofe brasoc’h talvoudegez d’ho douarou. D ’ezhan da gompren i n zever var ar poent-ze, ha d‘ar merour d hen alia ha d’he zikour. * * * D ’ar frouez brema. Kaout a reer enn hor broik tachennadou braz a zouar goaskedet a bep tu, troet ouz an heol, ha gouest da zougen frouez a bep seurt. Perak neuie lezel ar broiou all d’en em binvidiUaat divar hor c'houst, o tigas var-n-omp ho Irouez, pa chellfem p kaout koulz pe welloc’h hon-upan ? Ah ! an darn vuia euz al labourerien douar n'emaint ket e chal da gaout frouez, abalamour ma ne c’h^unesfent ket eant-ho. H a peratc «e c’hounezer ket gant-ho ? Abalamour m a ne oue:er nag ho gwerza, nag ho miret, ha nebeutoc h c'boaz ho chench o likurlou pe coniìturiou. Ne ouezer ket lio g ^Terza, nemed tro-var-dro d’ar c'heariou braz e ve. Eul labourer douar euz ar c'hreisteiz, a lavare Plissocnier, en doa kaset 420 liur prun da werza da Barin. H a pegement en devoe evit-ho ? Ne zillnfac'h morse ; ha rakse eo gwelloc’h lavarout d’hoc’h dioc’htu ne resevaz evit he boa* hag he brun nemed eiz real nemed eur gwennek. O h ! keroo’h e oent gwerzet. Ar pez l?aer pa goustaz d'ezhan an henthouarn 3G lur, hag ar c’hommissionner e Paris 8 lur ha 2 weunek ! Eun all en doa kaset, da Baris ivez, 480 liur avajou-pechez. An heni-houarn a gemeraz adarre 40 lur ha 1Gkwennek, hag ar o'hommisslonner 9 lur ha 16 kwennek. Gant ar perc’henn ne Jouraaz nemed 1i lur ha 3 gwennek, Ne ouezer ket gwelloc’h miret ar frouez ; ba petra 'c’hoarvez neuze ? Red eo pe ho roi a hanter-bri’., pe o lezel da vreina. Nebeutoc’h c’h o ^ e ouezer ober gantho lifeuriou pe confituriou. H a petra • ’hoarvez adarr» ? Broiou ali, ev«l BrO’ Zaoz, a zeu da gerc’hat frouez ha sukr e Frans hag a zigas anezho d’omp enn dro, chenchet e confituriou, o werza ker d’omp, evel just, al labour e devoe gant-ho, koulz hag ar mizou kas ha H ivia ik e n , ar F ra n s a eost g w in iz a w a lc ’h evit m a g a he fobl ; ezom m ebed età da sigerl ho n doriou d'an ed estren L e s a g e n t s de p o lie * de P a r is , A r vlstri-skol a gendalc'h da gas hnohe evel m a c’houlenn kalz. sentent passer sur leur ttte comme un rlen d'an Eiklblen, evlt ho gelter d en em E -kenver traou a ll e choum om p vont d’indiscipline et de fronde. C est gaout gant-ho dlrag ar Justie, abalamour berr avad, h a kalz. Chamhro.des députés «tait appelée à se qu'ils se plaignent dusurmen.gs auqufll d’ho Uzer a-tnep al letrtoa hag ar chenD re ze, er bloavez 1907, ar t r a n s a nrouoncer sur cette convention. selon m x, on les contraint. lUltU I qui teiiou éizakr a roer d’ar rugale e skollou brenaz d ig a n t ar b rolo« a ll, m u io c h » zo; « e t h-.teg-ben a’eoz bet barnedigez VI Jaurès, q u i vota la rachat, attaqua ait aujourd'/iui content de son sor^■' eged ne gavaz d a w e rza d ezho : evit U convention, q u i est cependant u n peu Vous voyez d'ici une grève d agents. ebed. Mail ez euz da weloùt petra a lataro 4? m illio u n han te r a anevaled beo ; — . . . Mui¡re et oetle de ses amis. Cambrioleurs assassins et a1 u !ra* evit 684 m illio u * a g ig b a g a grec h in ; ^ or« petra 'c’boarteto, an Bnklbi'n -*■ Uillerand, ministre des Travaux vidui du même acabit « «n donneraient — evit 44 m illio u n a bessed ; — e v u a zalc'bo «tart d'bo dever, a zo di ;a» eo.;j fendit en disant que lle d ar gerent kristen ne e hallont ket, hep 23G m illio u n a irouez h a g had ; — evit alors A cH»ur joie. i»*t>a*taieu«e pour IBtat. L ’éventualité d'une pareille grève heu nac'h ho Doiie, lezel rot d ba bugale eur 11G m illio u n a goad ordinal. reusement, «st encore lointaine Néan eelennad'arez kontral d’ho teli. [vivra verra I P o a e tit ar c’hontchou-ze, h a m a rte z e 12 kalz leac'hiou, aa tadou a tamill a. zo moins le gouvernement s est préoccupé e lavaroc’h gan-en : bet o kaout ar vlstrl ; darn bo selaouazmad du mouvement do reveniioations qui P a ’z om p deuet a b f ^ n da eosti ed r e p r é s e n t a t io n p r o p o r tlo n u cauchemar d'.a radicaux. s’est produit parmi les gardiens de la MA “afca< ¿ìern l « U r Crre-ma. It da ziaklerla a w a lc 'h evit hor c’henvroU , b rem a, hep 5 * . 'Vf, «n disent, cette question ^À f. ilna nd , dimanche dans une réu hoc'h auken d ar v litrt ha d’ar vestrezed a distrei v a r hor c’niz var a r poent-ze, e ra skol gant levrlon difannet pe a ro kenve m ad d'om p sevel m u io c ’h a chatal ?l„sa0iq^ Î J v e et que lespréoecup* e t cc'es ainsi ^ radical nion qui comptait prè* de 'i 000 agents telloa divallo d ar vu*ale ; mes ^omzlt kcm. h a g a voo'h evit rpa ne ran k o ke t ar très de police, a commenté en termes *ràn »ennlfc ato, bep gourdronzo», loia peseu.t F ràn s m ont da g las k loened na k lg d ’ar les alfem er a vezo graet d'hoc’h. flitt*urs, le refrain bien connu broiou a ll. UhourQlt dofead biprcd, ha start cvelaoents sont de braves gins. » P etra c’h o a z ? K ve m ad b eu (lla ar rak af ffwir, tutnr al K zcno zoiioQ m Los sergots en ont redressé leurs mous son^décUrés % p o U s à 9la°réforme Ce zo a du gab hoc’h heS d l« k o u « * t or heuZ c'he ntclio u a oe displeget a m a ken brao tache.'! de contentement. Mais — m cauda a m i, a i B*kihien i?ez hen dlskOueraz enn gant va c’ham alad Leon, e v ith o c ’h a lia venenum, — à la fin de son discours, H ü& h a d a gw ez enn douarou h a no c hel leur u laissé entendre qu» tout« tenta ll°Ma Utrar d hoc’h ar vistri ne c’heliont ket ler ket ho la b o u ra t ervad. p ro c h a in s élections, une, grand« tive d'insubordination s,irait sévèrement kemer al levrlou a gartent, respontlt d gibo D arn a responto, m arteze : evit sevel •partie de l'opinion aujourd hui gagn liardli, — ar w lr W e z e o: « Ktoueis al m uioc'h a cha ta l e rankfem p la k a a t braa ta idées proportionnalistes. H j S o u p jej moustaches sont refom- levrlou ma ’z oe’h aotreet, da zlhab ez euz aoc'h tachenn didan boed loaned, h a * islelz ha n* gaver droug ebeJ enu-ho ; * * neuze en em gavfem p berr adarre gant bAot, Des facétieux disent que les agents nerak né gemerfac’h ket e at ar re ze t » t . ministre de la justice vient de faire hon ed. , , Martfze, aa aotMuned hag Itrouai z i'1-zo •naraitre le troisième rapport au prési chargés du service d’ordre n n o m pas a glaajco dlgaretiou all, o lararout: « b il t A n dra-ze n ’eo ket g ^ou penn-da-benn ; dent de tsK ^publique, sur les opératioiw tu à intervenir k la sortie. » hogeo, PlisBonhier a lavare e c’hellfac h ebeneh levrlou e vezo mlzQU. » D'ailleurs, les réwluuonnaires de U la ka a t eaz a w a lc 'h ho touarou da zouQespoutlt rdarre : « D re h o ta o tc o ; ha C G. T. ont demandé au gouvernement ffoulikouie ni a b*eo al levrlou nevez, ren eost p u illo c h. A n devez-arat a ro l’autorisation d ’assurer l’ordre dans les gant ma ne vezo enu-ho notra uoazuz evit n r t m ô e s Ce rapport nonuerne l ji " n 'je jre m a , an eli dro egile, 9 he cto litrad réunion* professionnelles des agents en L iz pe koustlan# hor bugale,.. » füOS^Le*ministres des Finances e de là ed ; hervez P lisso n n ie r, ne ve ket diez * l’assurant qu'on cas (le besoin, ils sau hen la k a a t da roi 25 litra d m uioc'h. Justice, qui ont signé ce document, P ¥» raient rendre au centuple lo» coups de G w as' a zo, evit kement-se e ve ed d a l E.ir respoht brema da gazetenn ar poings que leur ostroybrent de temps en labourerien douar antiout gw ello c'h ho p r Î!*Uosent faire u n reproche au* oonG iiloarec hFa c’bouitelllgou Montroalez. nrfflationsde s'itre défendues et a OTOir, douarou h a ^ a u trem p cia roi d e 2 ho. H a DUadorh e k'jmze c u i eun H istoua aa temps les « flics. » Frane« akfW etgaat ar beleg Vandepltte. pad al er akoliou no gom zer nem eur Sar des procès justi/Ws, écorné Ha goude b iz a keoieret eun nébsad arr meuz an traou-ze d ’ar vugale. i m illia r d des congrégations ’’• Suivant 0 5 c o n t r e 1 ,0 0 0 . - Dernièrement, dou anezui, dlvar-bena a i Revolution A n d a rn v u ia euz a r vistri zoken ne sux, lorsque le voleur entre chez vous, le c a p i t a i n e Prévôt qui n ’avait que 6b ti dreist-oli, G houltel- B as a lavar : * Gwelet aoavozont ho *unan aeurt d ivar hQ ne voua défendes pas contra l u v m »is railleurs sous ses ordres, a attaqué dans a rlt petra à jàrte an Eaklblenhag ar ve fóuez. P é ra k ne ve ket lezet e kear iaifes-vou» son oioerone complaisant afin le Ifaut-SénégaJ, une bande de 1.000 lelen de»k( d ar voglie. » ar viatri ganet e ke ar, h a var ar meaz t/u'U n'oublie Hem dan» sa k. . { Guuitad, G’uonltel. ............. Arabes m araudeur* et pirates. Les ar re a zo ganet e «z f m i l l o u a IabouAn Iiik lb lèÈ ' hag ar vnliln o laBaat o Oageons que oeux q u i •« Arabes furent battus et laissèrent sur• U reriea douar, ctoI m a c tioulonneQ am an Ame -téDOuilles des con0 ré(jations refus* [<t(ì claoaot d’h.'v ol?er. turrain plusieurs cadavres. Ce fu t d.'Bkl an Ilistpire-fit et skollou kriaten, n i â t K m d\suivre cet éiranffe conseil. er ¿loaveziou trem enet ? d ’armes fait l» plus grand honneur aux rak, b*z' ez eo uuan eaz ar »troilad leVnou H a reiza ouspenn a r «koliou hervpz kondaoaet gaut a n , ln«pectourl«n, evlt troupes colonial«*. ar viig ale a la re m p re d anozUo. b»za re rust e-^onver ar chanfarted a liouidafeUM des congrégations Gáínt ar c’hlz divaio o deuz hor gouarwiakaz pobl 'Praié V a o g bjm 'Umaw. * » g t r i l i u m f d X u l O n en a O n a renoncé a renflouer l 'I é n a ^u lé , nourien d a ren peb tra dre bevar c’horn mwkIo h e ve rol dlgar d'an Histotre-ze «uu ain»i g ««n o u * l avons dit, en Méditerar vro eu» P arís, h a g h e r v e n ta r ía , ar «ur «k«l grletea evlt ma teufe ho mlgaonranéa. Il sera vendu nomma maille fer v ug a le a #av ar tnemes denkadurez n«d, - tud a Uberto, var ho mc^o, - da raille aux démolisseurs et les difficultés kear' h a v a r a r m eaz, — pa n ’ez euz arra ar naol-r-o que ceux-ci r«noontreront pour an ar ra Hag eur wech c'hoez e kemerln an har- goulskoude kem m ebed etre stad bugale dier le» moroe»ux n encourageront point dlzlegez da c'houlenu aigau-hoc’it : kear h a g ar re a zo var ar meaz. P* ne teli ket d’hor gouaraoatlen leiel les surenchérisseurs. P ao u s t h a ne velo ket deread h a t a l dcikl, e »koltoi ha ue gotì»toht gwenneg ^rotnttdM » r i t n m e : la même jour Ainsi finit u n cuirassé, dont le nom v o u iu z lezel ar g a rg da v e rka a r c henJ u r a i t à Lyon* l'abbé Darquebot, rappellera un* des plut affreuses catas ebad d’ezho, kentallo* ha ne ganont kot teliou dfl, rol ep sko\io:i\g ^nt, ^ r o bonmeuleuil awale'h, d ho «eurt, p e rage z 0 « Æ » i i P»Wie des otages extraits de la trophes maritime», seillou jé n e fá l, h a beteg eur poent a zo lnt-bl »ouezet ha ken koutaret e tenie hon ÎT lire conduit* conduits rua rue Ilaxo. I '.MtiZ nour Itre Haxo. zoken g a n t a r c’h o n ie lllo u tl-kear ? Kaklblen da glaak mlroat e ve ro»t dar *** d«UX fédéré* proposèrent A i ^HÎÎÜIln datwc à K laòustre e ve neuze cl^achet nebeu vagale kristen kenteilou kontrol d ho tei* )n (ihsmin, aufourd'hui aujo urd’h u i archiarcheM t f r F u lb e r t - P a t lt , a r o h e T ô q u e e akollou ar c’houarnamant, paet gant ho top’h euz b ug ale a l labourerien douar d e B e s a n ç o n , « t mort «otr, à ^ !n t iextrime *»>" da vont d a glask paourentez e kear ? vflqua, dont I fM rim ^jeûnai»«n#lesw«Ufcit w ,u| o’herent? Cslan sont mis hor* d? cause, Notts a von« dit, la semaine dernière le nrix d^ r a c h a t d e s c h e m in s de fe r d * l ’O u e s t, d'après ta convention paast'« •»une l'Etat et la Compagnie. \tndredi, la à ¥* 44 m & g t£ X S ïïS £ ii" frappe», ‘ .J 1E d i t i o n d ltre suivi de « '.« f u ir q u à lA C o n a m o accopZ n T iV Ä V «™ . .n- W t ' u t d « souvenirs historiqua* qu» ilf c r Ä A Ä ; ¿ m i t point d• o u scrupules . V -'h V . I t q ü f t r t lo r L a t i n de Pari* a, depuis t òga da 78 ans. C'était u n prélat actif et entreprenant et que préoccupaient tou» lai grands problèmes de son époque. Lorsque fut votée la loi d» la Répara tion. Mgr Fulberl-Petit proposa k la pr«m ièrî assemblée des évfques, un pre* Jet d'aisojiation» oanpntqua* légales. Mais lorsque le Pape eut prononcé «on «o» p o S Œ * il *• soumit sans hésiter tt travailla A réorganiser sur d autres Pan* le culta dan* son diocèse. Finistère Kemper lvex e doa he ger da ^ Q h 'lp o 'l ez eaz d’her c'hla»k, betek departamant 0i»e hag at hioavez Iq ïl. K parrei Gontevlll. ar c’houneH e> do» kemeret et. hioaz-ze da ve»tr-»koi «*n aotr. Mlkeal Ta»«eur, a asante beza, er m»m»« erar (Tdouttel : W SÈ S e la o u lt b rem a. K a l« pennadou-akrid, la k a e t a m a gan-en, n a g a n t re a ll e . T a c he n n a f Taouanfel*, a gomze euz ar fan k a gavec re allez enû-dro da diez a l labourerien dou&r, 0 O / y r f f décrolstant pour lea Insertion» ré p itit» Le«« M anuscrits non Innrtr«'«?! no sont pas rendus Les bijoux do l’a n c i e n s u l t a n d u M a r o c , A b d - E l- A z lz , sent déposés (la llfçne) — — ar fank-ze, p itr a eo peurvuia? dour haavoez. K E L E IE R K v l t p e l l o n t e n e m z iz o b e r o u z c-ur Ig ro a z. — E kear Sens, ar framasouned a *r pez a garont, an elektourlen o veza dib.-bst eun cebeud anezho da gonseillerien. Dre ze, ar c hroaziou a oa e kear a w al an olí a zo b tt dlskaret an eil goude eben. Uuan hebken a jncme, cur groaz houarn, cavet er bloaz 1'87, e kreiz eur pcnt.braz, a zioc’h ar ster Toan. Keariz a zalc’he evit doare d’ar proaz-ze; mea Itanl^rted an ti-kear o deuz kavet an tu ú’en em zizober out-ht hep lakaat krosmol. A r pont a oa re goz, var ho m o n o ; red oa Kevei unan nevez enn be leao’h. Ha setu graet.'an ta o l; freuzet ar pont koz ha savet unan nevez; marteze ne ¿al» ket egile, mes ar groaz a zo b ;t disfcaret, bag eun d*a evel-ee n ’eo morse paet re ger, evlt fud a zc... pa u’ez eo ket ena ho lalc’h ha unan eo e kemeroat ar. arc’cant. E u r m u n t r e r d ib e n n e t. — Ar muntrer Riboulet a io bet dibennet e kear Montorlson, departamant Lolre, d’ar c’henta eus ar miz. Kan co 8 ve*, ma oa eet da c'bouifena lojtis pnn eun tl var ar mear,, e iíz a z an ozac’h hag ar c hreg, a dennou. tuzll, evit gellout laerez kement o doa. Riboulet a oa eun dib&ter ha ne ouis seurt dlvar-bonn ar Ilelijton. Goude he gondacnaston, e k’askaz meur a wech ea em laza enu he brizouu, A r beleg b ;ignol a c’hellaz gou'skoude beza digemeret gant-han. Raktal e poaniaz d’he geletm e-kenver Done hag fce ene; hag an eurvad en deuz bet da deneraat d’ezban he galoun. A n dez zoken araok ma tlee beza dibeanet, ar m um rer a goveaaaz hag a ?ommuniaz; hag e hed au bent etre he brlzoaa hag ar giilottin e responte da bedenr.ou ar beleg. Piou car ha ne vefe ket bet hea nez eon den honest ma en devije anavezet ar Retí]¡on eca he iaouankiz ? Ha c’hoaz hor gonarnourien a laka ho brasa, a d’he mouga enn hon touez. Tud éail I Hogen, piou a zo kaoz, Demed ar griste*icn agaskannaded digoustlans (1’arGampr ha « ar Seaat da voti BwalMezennou ? L a h o u s e d k e r . — E kear Londres ez ecz bet eun txp'jsiílon laboused, digaset euz pa^ar c'born ar bed. Ar c’benta priziou a zo e tt gant daou « labous ar baradoz ». Evlt ar c’lu n ta , ar perc'henn a c’houlecn “te38' • .u . H a penaoz sevel muioc h a arc hant 37.000 lur, evit an eil 25 000 lur. E n n te n z o r e on c u r v o g e r. — O euz ar frouez ? trenza unan eoz an tt-z a oa bet oaDter-zisDisadorn kentae welimp. karet gant ar c’hren douar, e Balón, er C o b b n t in Provence. mansounerien o deuz kavet er voger enr b ;m psttou aour, euz amzer Louls X I I I ha Louie X IV . Talvoudegez 20 000 lur e loa anezho. M llllo n n o n F e r r e r . — Ferrer, ar revoluUouüer-i,e, bet fuzillet er Spagn, a ca mllliouner, evel ma ouezlt. Ar c’bouarDnn'”"r « e n deuz lavaret e kemero he olí zaavez evit paea ar c’boll a reaz P a r o b u r z u d n z 1901 c Barcelon an taol dispac’h tamallet d’ez Joseph-Mari Abivin a zo ganet e! Plahan. bennec, ar bevarzeka vlz guengolo 1899. A Heritourien Ferrer a lavar n ’ez euz lezeon veae'h en doa eur miz pa deuaz he vam da ebed bag a n.ie g w k d’ar c'houaruamant veli-t e koueze varnezhan barrou poan da ober kement-se, ha prosez a vezo. akrijuz hag a rea d’ezhan rnüla hag en em E u r v a r n e d lp e z h ls lc lz . — l^ez-varn zifreta en he gavel blan. Er penn kenta ar G’hassation e deuz uouget eur varnehe vam ne veze ket goall drubilllet digez ha ne ralo ket, a dra zur, oemeur a . Krm-tit-man a dretneno, ar >oigale vian > enor d’ezhl. 8 etu ama petra eo, deuz aliez meur a gaouat evelie ». Mes, Kpad eur gentel kateki» enn lliz, eur stovaz! heman ne b ree ket, koueza a rea beleg euz 8 r Berrv en doa komzet d’ar en drouk saut (épilepsie) ; stankad co a rea vugale euz ar brezeíilou santel e reaz gwear barrou bag ar bugel ne rea roud tbet. cball Bro-C’hall d'an Turked evlt ditenn A r raedisin a oue galvet, au Aot. Gueguen, enn ho enep an Douar Santel. Ar brezeldeuz Plabennec ; na c’hellaz ober vad i bet llou-ze a vez h a n v e t« Ctoisades. » d'ar bugel. Koueza a rea peurvuia peder Raktal, ar o’helou a ieaz beteg procurenr guech var an deiz ha diou vcch epad an ar Republlk, ha proíez a oe graet d’ar nOfc. o lavarou’c bn doa roet eur gentel D i Bask 1900, ar bugelik a oa toc hor, skol o k o m i euz ar brezelli i Eantet, hag hag ar vam, pa nlielle ket ar raertlstu P»r5a ha wah a fflnKk PTlGllOû’h. MOPŸ T *. ra e pele- e tlee dre ze beza graet arj- g eur gou lenn da zigerl eur skoi 1 kenta, ha var n i lerc’h re % arA*r varoerien G’hour d’appel • euz Bou , o devoe glëvaz embaun «u lntanBionou a ycz pedet lealded awalc’h evlt dlsklerla ne ioa gwir evitho bep *ul epad miz maê, evit foulen abeg ebed da gondaonl. gfatou pe evit trugarekaé an Itron-Varia Hogen, ar procureur a gasaz an affer aherz ar pelerlned, e teuaz ive da c’boulen d'ar < G hour d* G'hassation », hag eno, ma vije pedet evlt be inab. Bep eul ar barnedlgez RourJ a zo bettorret. bugel en do» «ta perz er pedennou, ha d’ar Ean torfed eo, evlt doare, komz euz an zuif dlveza a v!* m a i, ar beleg a lavaraz - hlator, nemed er skol e ve. an Itron-Taria da beur-barea « Ptdomp ! Ha ne gav ket d'hoe'b o defe ar varnerien eur huge!sí htau ; kalz guelloc'h eo ahaoue AR FOLGOAT ma pedom» evlthan bep »ul. < Ar bugel a oa bet digaset d ar Folgoat, hag ar re o deuz guelet anezhan « lava: i « Eun druez oa guelet ar paour keaz blan, krlzet, drebet koulz lavaret gant he gtenved z, doare ar boan varnezhan, ken dl diinkrljuz, 11vet, ken digterlkhag eqr bugel daou viz Ar mamou a ouele, ken t:Ut oa doare ar c’hrouadur, ha gant truezouz he vam. Daouzek dervez goude miz ma6, mam ar bugel a deua* da rel kelou divar he benn. Ar narrou a oa ebanet pemzek dervez a oa, ar ohroqadur a oa pare abaoue miz mae. Eun naved pedennou a oue great c’boaz kouligoude, ba trl dervez goud« ar bugel a goiiciaz adarre dlou pe telr guech, goasoc’b eget hlikeaz, he zent nevez dent d’ezhan, a cbokaz he d«od, ttue*u* oa da velet. Ar v an koulagoude ne gollaz taca d fu j jje lizlanz, daou»t ma k li-;«z uuac pel gtvelloc'h labour da ober? (fu i &evr nevez K ontader.nou, llv e t h a renket g a n t a n Aotron Jazagou Kontadennou a zo eul levr leuh a hlrtorlouegism a kountet, gaecball, en amzer *01. Kontadtnnou a vo digemeret deuz ar guella. D an oll e plljo: an htstorion, evel madlgou, a zo koulz d’ar re goz ba d’ar vugattgou, Kaad ar -¿oanv an noz zo bir. N« der ket d» ffouiket dloc’h-tu ma ve paket koan. Oboma rer eur ptnaadik e »Mrn an daol p« e klchen an Uu. Guechall, oa neuie, ar mare guell« : konntet t vlj« hlitorion. !tr c r i» w iiH f Brema pephlnl o’taoa» a gount be gaos; Mes ne ve ket pell an abade». Ne den* muí kounterlen evel en amier b o u tacna« hlatorlou pep unan ne deo muí braa. A balamour da ie, kentadennou an Aotrou Jezegoa a ie lo tro peb ti. Au boU • o'hello ne breña. N eo ket ker pemp real ebken. Hag an olí gantb»n aevexo pltjadur lels ho chov. E gnert e ma e ti an olí maro hadourien levrlou. Prochainement. 1«<COUR KIER PU FINISTERE » sera Imprimé sur presse Rotative et des caractères entière ment neufs. En mêmetempsi le format sera considéra blement agrandi. La Congrès de [Action Libérale L’Action Liberóle Populaire « tenu un congrès JmoojWnt la lemalnç dernière. Oe congrí* prit, jusqu'au dernier jour, plutôt le oàractère d’un eongies d’action ■ocíale, que le caraotère d un congrèa d ac tion politique. . . Cottes, 1Aotlon l.lbérale accorde toujours l'importanon qu'elles méritent aux ques tions politiquee, mais 11 semble qu'elle ait évolue pour abandonner lo oonservatlsra« Boulai ou voulaient la ilger oerta ne» per sonnalités qui la boudent aujourd bul. llspproclunt, d'ailleurs, les vceux émis au congrès du geste de Mgr Amette eu faveur de* boulaugors do Parle, les Jour naux radicaux, anticléricaux ou simplement opportunistes comme lo Ttmp», ont conclu à la formation « d'une démagogie ciérloale ». Cette épltbète Injuríeme a dessein, mon tre cependant que dans les milieux anti cléricaux l’on »Inquiète dee tendance* de« catholique«, qui de plu« w plu; se rappro chent du peuple. dette luqaletudo.est de hon augure et ne pout qu'encourager le« catho lique« &»ulvre la même vole. Voici quelques-uns de« vœux émis par le« congressistes. Non» ne pouvon» nous étendre *ur le« discussions qui précédèrent leur vote. mhlS l'énonoé d"« voeox Indique too URUUIUIUS lonctlounalrsa ns p a llia n t 6ira Soartis que pour indlgulté ; qoo la U blaau d'svsnoorae'H drossé par uue commission oompoiéo as uiu|aura partió do fonctionnaire», soit obligatoirement m lv l pur le m lul'tra et qu'auint;« palne diloIpUaalro ne pulrao Aire prononcée pour m snlfesutlon hora service, d'opinions politiquea on rallglsuses. 1* Lo congrè» do l'Aotlon libérale populaire ulllr. mnnt In néoeaalté et la poialbIHtA de la rspréiettUtlon p ro f‘»»lounelle ém «t la v a u q u ’an atteniluut qurt la représentation de» professions Usns le» graude» asiem bl es du psya pulai« êtrn éta blie, 11 >olt oonitllué «as représentation générale deo professions ém anant d'uno organliattoa preleiflotinelln analogue 4 oello proposée par im groupe da députés de l'A . L, P ., la t juillet 1&o*, et que dès h présent lea assoolstlons profii.loaliciten exlatuntea lolent obligatoirement cum ul tíos tu r toutca lea q u e itlo m luMreisunt le* pro lesiloos. 3* tlur la question du sululr« rfss ouvrières i l'itlgulile 1 rtotuloile, voici lo v a u étal* par la constó» : « Considérant que al les dlvera moyen» d'Iul tlatlve privé* pour remédier 4 ntuum<t>ooe dea «alalrea doivent être eaeourugéi de toutes façon« ; i n e s’ili août utllea en puttlouller pour préparer l'upltilon pnbliquo i Paucsptutlou d ’une Intervendos l<'g'ile, lia n ’en demeurent m u molna d ’une réadautlou lointain« et « ’use eitloaolt» ln ru 111«ante : „ Coti»ldé:aut quo ln nâco ulté de 1« roneurreno* et l ’obligation de l ’unanim ité en pareil ou* tuetInnt aonvrnt obituolo aux plu» g tu tr e u ie i Inlllaîlves de l’notlon patronale, llntervonlloa légale devient tiôa lora néoeiaulroa ; » CoutldArnnt en outre que dans pluMaur« nallo u l 6tretigèrea, le m inim um logal de auUIra fonctionne u il4 . ou quo dea propoaltlona en oa aun» ont 4til <W* dúpuaúea ! . . . .. . » Cnnaldérunt que la loi ea flxa.nl dea oomlléa profoailonuela cburgAa de déterminer lea tnlt,|tpa de aalalrea déaormala obligatoire», appoituralt ne loulnuem eut dtalrable au sort de* travailleur! A (locololia ; » Emet le îa iu : qu'une propoalllon de loi aur r e iablluem e nt de aalalroi ailnlm a pour le« truvallleura 4 dom icile, aolt dlJcutie aan i retard un Parlomeut «I voM q pur lui. » „ 4 * § n r la propoaltlon de M. de Hun, députrt du l'Inlatèra, vlce-préaldent da l'Autlon' Libéralo, les congreaalatea ont voté par aoolamatlon le n tv u n t. . 6* Le o o n g iti d ' l'A . L. P. enraie aux ouvrit»» boulangera q u i ptotuateiit «>ntr« ln Iravt.ll tio nuit aea plua nrdeutoa ajtapntltlaa et «ca louhîtlta pour le auccéa de leura revendication« pur la vote d'une loi q ui le« aauotlonuo. l M. Kerreat, matelot dei dounnea (témoignage officiel do «ttilaluotlon) : s'es! port* nu aeconrS d'un onfant on dàngar üe se noyer daus Te port de Qulm psr, le 17 septembre. M. Morvnn. matelot Inscrit t Conoorneau (té molgnage offlclel dn antle(uctlon) : a aecouru ans bulgnsuse qui »e noyait dans la bal« de Concarnta a , 1s 2« soût. A la m ûre ¿'Herví Diraison Après clôture de notre dernière lista de souscription, nous avons encore reçu 3 du R. P. Güulvon Ttébaol. du iia;a UalicB, et 3 francs de M. Qulllévéré, rec teur d'Argol. A Q o iQ c o uu r m iù in n fl 1," uisioa n« loio Voici les nums des jurés désignés par le sort pour siéger au cours de cette session, qui s'ouvrlra à Qalinper le lundi 3 janvier prochalu, bous la présidence de M. le con seiller Frétant), ajunt comme usseusrurs MM. Dufour, Juge et Le So^nr, jugo sup pléant au tribunal de Qulmper. Jurés fllulalrea MM. G uillaum e Q ulalou, cultivateur é Plosré. Michel Borgn», propriétaire S Lennon. Jean Le D s, cordonnier à Btleô. ' René Perron, cultivateur A Pioegsanou. Alexuudre Poullqueu, peintre a Salut-Roann. ioaepli Reverchou, propriétaire a Plouvipu. ■erv* Prlol, méouutélen a Cnmaret. Nûél Ouénec, cultlt.tteur é Pouiuerlt. Uabrlel Huutoti, cultlvuteur S Tsulé. I^nuue rsunclteo, proprletulrd a l’ Ioutgnenu. ï ’rsiço is Dlgiiurd, couvreur 4 Cb&toauMn. Jean vlUyader, boulhnxer A Hiuzec-Conq. liOBlréïuuy, charcutier S Douuraeuei. Auguste Carol, Indualrlel a Ploudalm izenu. (iulilaum e Le lit un, cultivateur n Pouldcrgut. Jacques Ln O j IIIc, propriétaire û Querrlou. Em m anuel Hlou, commerçant a Balut-Renun. Loula VolHBt, propriétaire 4 Ploareur. Prunoota Le Putter, tnr.lre de Lannôanou. Jean Fioclt retraité de U niailne a P luutlu. Henri Le Callo. h, avoaé S Breat: Jncg je» B leunv.n, négociant 4 Plouvuerneuu. Jeuu Kethoa», ouvrier loigoi'on uu Feoa. Yves Mutliurlu, cultivateur a Pleyb„n. YVe» V aillent, coi'donnier 4 PlouvUn. Prangols Ka'jeuu, cnpltulio Su cabotage an re traite a Ploudulroéieuu. Jeun l'ûrtj ju , oulttvutiur 4 A 'g o l. Paul Quaruliiion, culilvutour 4 SalntThégonnec. Louis Le Marié, Ingéniénr civil 4 Concarneau. Uhnrlo» Jsuq. cultlvatsur 4 S lblrll. Le Btls-Dureat, proprlstalre 4 Pont-Croix. Jean Puvé, prupnélalie k Kernllls. Y voi Le Btu-, oultlosteur s Salnt-Cadon S iïu n. Kmlle Tüillet, négoolant en vint 4 Lumbizeiluc. Jean Thoman, bouclier nu Pontbota. Joun Ilélou, foigorou 4 Plouénau. Jurés tu ^p lda n la Blotances. » Le i^qdlcat « arme do guerre >. tel qae le conçoit M .L q Bail, peut momontyuément aider a la solution d'un coi.fltt mais qui peut it nouveau éclater, puisque les causes eu uemeureut latentes. Mloux vaudrait tut remède Rréventlt qqi supprimerait cis causes et par 1« mêaue H- Le y »11. Cémme remèdes préventifs, nrécQpWe « 1encouragement. A la péché ds arge, l'enièlgnemeut nautique ùuifiô, l’attrlbstlon do diplômes de' patiotm-pAcheurp et «urtout l'orgaotsatlon du crédit mari time ». . . Par le crédit maritime, les pécheurs pour raient. en organisant des coopératives de. vente et d'actiat, ét happer a la lourd» tatelio de quelque* Intermédiaires qui, comnso dans la vente de la rogue, par «xemplD, les pt'oSSutent scandaleusement. Tulle a été la conclusion de M. Lo Bail. Certes lé crédit mtlHthnè échrteralc p r it âcre quelques càutes 'de conflit, mais les pécheurs surdimers èn apprécierai-nt-llu .lin blepfslt«? Uûe campagne préalable s'impose pour combattre leur routine r-t leur Imptévoyante tradltlonoelloS, nilu qd’dne org«nlsatidu du crédit maritime leur soit pc«fltabtt}. Cette tftcie sera lourde ét làgrate, mtls s’impose. ' " ' Comme l’éctit M. Jadé, dan« VAjonc. « utie éducation morale >o1ldé ést néces saire 4 la bsso de loutmouveme&t qui veût M- L»my, député du Morbihan, qui suc cède à M. Le Bail, envisage suqs un hufre point ds vue W problème. Il «outieot que u s fabricants ont été éprouvés depüls quel ques années puf 1« oohoülrreilde; f' 1' La rédfte dè là sardine étant liée «a dé. veloppémeftt de la fabrication, toute crise dont souffrent les fabrlcabts aura sa répetoüsslon sur la situation dés pécheurs. , péotiei. M. Hémou, député de Qulmper, le troi sième orateur, demanda que r’on fit appel a ilh itla tlfe s t 4 l'énergie de» population« cûtlères en leur rappelant la vlelrift maxime': a;Atde-toi et le clef t’aidera. » d u a tw 'Ja 'Otra, a« sobatltast jam ais votre rs*^ p onao bllltéà la Isur, 1 / ■ ■■ • »■- U‘ ^»«4. M. Monot, novice, Imsrll t Qulmper (timolgnati offlolèT de satrsfsotlon) : a «soourn nn 'eflMnt qu ■e noyait dans le port dn OalIVtneo, la 'SI isp' tembre IM S. . ,, ■• Noutt pvoji* tenu nés lecteurs au cesrant dr» iu,.ldent« qui uiatquè'Ant tes graves cQtilllt* de lu crise mralnièrt», Noù* tn avorm indiqué lis c.hiscm, tracé la ffttièse. Aussi croyons-nous Inutile C.v. nous répéter 4 propos dt) l'IbtOtpeilaMon eu:' la crise sardiulèro poitti.i le Viidrcdi 3 décembre, 4 ia tt'lbuuo de la Chanshro, par nu certain nombre do députés de la t ête bretéune, particulièrement éprouvée par la misu. Ce fut M. Le I3ail, député da Finistère, qal lit d'abord l'historique du oonfl.t qui latérc«*;, dit-il, • 23,000 marins sam ccirroter les ouvriers des usine*. » uet historique, non lecteurs le con naissent. M. Le Util n’est pas tendre pour les lnduitrlel* et uaValt i£Ur attribuer en parti* la reipons&bl.lté du coifllt. Aussi conselllu-t 11 aux pêoheurs de prendre une a'tltude défenilve en s» syn diquant « pour triompher de certaines ré- ^ • ¿ « ^ í r m t o ^ é S í 'v S su« liia 'a W 'd a recatfolr’laur a p p u i s! da le tu • MM. Le'MoIgn, ex-oaarln (médaille de brome) Corbé, employé ; Darnloot, poudrier ; Colllot, •oua-agent dea poudres et aalpltrea. et Palllari (témoignage offlclel de aatlafactlon) : ont anuvé deux baigneurs en danger da périr dans la r i ............. vlére de Pïllarn, le 4 août t90B. M. Lorjou, secrétaire de mairie (médaille de brome) : a annvé un aoldat duus le port de Lan» dernoau, le 17 acSt 1*0#. _ . . , M. Le Pora, da Lonnllla (témoignage offlclel ds lallafnctlon) : s’eat porté au aecoura 4« troll peraonnea moutnnt une embarontlon, qui n chaviré dan* is rlvlèie ds l'ABerwracb, lé > oetobre. M. Hlon. tnatltutear (témoignage officiel de sa tlalttcllon l i a porte isoours a u n entant, dans l’an«« de Pouldavld, le 17iullle». " . M, Qalnquls, mareyeur (témoignage offlclel da sallafaotlon) : a seoonru un autant tombé dans le port de p o im e u r, le >s éo|t. , M. Héveno, arépélé da» douanes (témoignage offloM ds satiifacllon) f a porté lecoars à un enfant « a danger da se noysr dans la port da Roamaur, le S I èspjembro. M. Gbnldea, matelot Inscrit i Douarnenrz (té. molgnage officiel de »atlifaollon et grutlfl iitlo n de to lr.|; Arovor, matelot tniorlt à D ouarntnazî L « lierre, Pelbnec et III*».. matelots laaorlts à Douarnenei (tétnolgnngea officiels de aattilaotlon) t pnt porté aé«ours S quatre énfsnts q « l montaient anè bsrqae « a détreiae, dana la bala de Deusraenir, la S ootobre. An pays J e la S a in e écroulés i,u preüler (fhoh? veua se l'avstpu pana« et voua « v u eu rulion. r D a m leJ élection» qui npprochint voit» app .in a ru i votra Habituel Saprlt do condlilutlou. Voua ln i prendre aur le obamp de bataille vrttf* » .ato da nombat, aana (amula ravendlquer’un >01» auoédeur â vos foioea, Vous n« l.trntat qu’aa d'iVo» T a-m taet n'n»ph«> paa * la direction'daa op«ra Ion» général««. Dea parda (ujtoment Ji.lntu i» Récompenses pour faits de sauvetage MM. Partlaana obatlné* de l'usina, voua l'aver voalte alnctre, voua l'av«« ebérohae partout art «11« était P'HMlble. L'ai.loti ralIgleuaa d ’alMi'di RU« a’ia t iulied'oile métne, aana.aHort, par le a«ul «laa daa douvlotlous cotntanuea. Chaque loi» qu'il a'rg|t de revendiquer a n droit d« l'BglIs« «t d« àila n d h i Ut.e de sea llbettéaT II d 'J a paa on d t noua q tl na a'einpraoaa dn ré|ionar« * rappel de eaux qtal ont qualité pour le lu i adreia«r. Aux 1our» du rudr« uaisuta, voua «té, voua saiea toujoarn aur la b'ùohti et aux premiara rauga. L ’union électorale auaulte. Peraonnane l'a pra tiquée aveu plua de ooriaçllan, plu» d« lartjpul« que voua. Quoi eat le oaudfdat pnrtagaaUt vot ari yancaa dont Votre atllln d« Bit obtnproral» la* obancea 1 Combien aont-'la 1*1 «SVéVaalr«a da vu ro p o lltlq ie à q ui l«Ur q aalltédt'oaibo flq aesa itsturft volt» plua dévoué ounûoura I A qui aV4tvoua demando un tenlameot ou liauo ié uaaKnnoa? A qui uwi-voua propoié un* alliance dont lea i-nudttluna euaaent lté amoindrissantes poiïr sa dlffOltô ? 1 ^ * ' ** .*•'.* Ku revanche, Il a it an« autrs nulon que voua n 'a v lt Bi«nperé<, n n s a t le . e’est l ’union p a n i que ; oelle-1* anppoie la lualon da toas le í partía eu un aanl. Et von* oooaatisax tro p llitato lre de votre paya pour tla paa aaVWr q v e ll» eat un« cttlmér«. A de 1«ut d'sne anlott loyal« «t aol Ma. fallait-il eraayar qatrqaa o o n b la a lio n v aw a, qal y CHRONIQUE LOCALE Vlolor Plottl, patron tapissier 4 Qulmper. Paul Prometit, directeur de la bauque do France 4 Qulmper. Churle» Aulfruy, Im p e ctlu r de l ’eureglatromoal 4 Qulmper. Victor Uu'rlnaatt, bljonlier 4 Qulm per. I l 'murai t lo prooramme e o c la l do l'A.. L. 1' M Hon. rrésldant, pour ciOtuiei- lit purtlo soflîtln du congrèf», ru^piia Ic a prin cipaux pointu du programme qui «ont : rotruit^fi o.tvrlèrt'B. orBUtilaatlou prefaoslonncllo, droit de propriété reconnu aux ayadlc.tU, légls’fttlou du travail. M. do ¡'EitourbelHou. députt1, roppnla q a n la déceutiTllHatlon fuit nasHl carlin du programma de l'A. L. P. toi nuil i éaulte des vœux éuilB par les prâréi '&ts coiikiôi. Uno »saoclatlon comme l’A. U P. ho p uivalt no d^Blntéresaut' do la qj6«tlon r-.UKlt 'jsi Lym'ongretmlutea après avoir étudié la situation (alte ti 1Kiilbü par la BépatatU)’>, ont i xprlmé 1« désir que le gouverneinoLt repretine le« relation* aveo Home, pour ttrrfi'or un «tatut légal. Car comme le dili'lt M d« Mnn, « Il n'e«t nus d'organisa tion de l'ISgllie poaarblo en Krunce, en debor* de l'entent« avec le Pape ». Le programme politique de l'A. L. P. est connu. Toutelola tn talion du* circons tance* actuelle*, le* CQngre8si<tes en ont ptéoiaé q V'!qu^w i'0"'*'*' C est ainsi que les congressistes ont dé cldé qne les candidats de l A. !.. P. Ipscrlrout «aps leur progr#mmsi la Représenta tion pioportloiriièlle et la promusse d') ré clamer dab'i les école« publlqùei lit respi et do la liberté retlaleuse, dont le principo est ln s c lt dà’n* la 161. i;'Action l.lbérale Populaire c'Atqralt son congrès dlnuuohu'par un banqüet. A rtssuo du banquet, M. Prou pronorça un discours. Comment doit se fulre l’union des cutho> llq tes aux élection«? üe st ane question qui provoque de* controverse« ardentes 'er, der déclaration» contradlo.Oire* M. Plou «>kt exprimé ainsi sur oette biûlante ques tion : • M. Plou a terminé par l’exposition du programme antl-seotalre de l’A. L. P. après •voir passé en revtifl les réformes que ré clams le monde ouvrier st que fAotion Libérale doit Soutenlf. . ,v.. jf r V. uo su» d a « La populatlou, dit-II, est voué« * une existence précaire ut tourmentée. Bile a besoin des secours de l'Btat. Cette solution n’est pas sans dangnr, elle est humiliante et, à la longue, elle pourrait cdndnlre h la démoralisation de la population. » La pgche à la Sftrdlne. conclut M. Hémon. ne peut nourrir les'pêïhêtirs; Que ceux-ci fassent d'autres pêches. Il est vrai que TO :éau se dépf.np'.e, m»is des savants etndUnt le peupKm nt artifi ciel. Du Jour où leurs études auront abouti à des résultat* pra'iqjes et iéconds, « le pêcheur, termine M. Hémon, pourra so libérer de ia dépendance tyrannique do l’usine qol le trahit 4 chaque Instant. » Mais ce Jour, hélas I paraît encore bien lointain. Ku vérité, le problème est b1 com plexe que nul, semble-t-il, n’en pourra trouver la solution. M. GuiUowaux, député du Morbihan, pour prévenir le tetonr de la crise, demande, comme M. I.e Bail, i. l'Etat d’orgaulsor le Crédit marltrmB. ' , ' Puis. M. Cùéron, sous-secrétaire d’Ktat i la Marine dans nu discours, dont nous donnons lo résumé analytique, vlut dire 4 la tribune les intentions dont le gouverne ment était animé. Lss po pslatlo nj bn.tonnsi que l'at vues de ré», dit-il, dans dsa momenta difficiles, aont Ignés de toute la bienveillance dn la Chambre. (Applaudlsasmenta répété«). Comme l a moütrii M. Le Bail, des olrconetancss «conomlqaes as sont sjoutSss itu* osuaei naturelle» pour aggra ver la orlie. Noua avoûi eu longtemps le mono pôle de 1* conserve de sardlnss. Actuellement, nos Industriel» aablsaeut la concurrence de leurs rivaux de l'E ipsg ne st du Portugal, où la cam pagne de pfehe ne dur« pas seulement quatre mol» comme chec notu, m ais tout« l’année. ’ » astre »art, 1« prix ds la rogue s augmenté sndattt qaS cslul du poliaon dim inuait par s ilt« « la' cônettHenss. ■Divers»! aslutloss ont été propoiéss en et qui tonnhs la regus. . . . La question ds l’achat direct ds la rogue ssra résolus par l'otganlantton du Crédit mnrltlme. D'allleur«, ln rogue (le morue, appAt artmeltl.. peut étr« remplacé par S’autre» ap»Ati. Je lais étudier la q u w tlo » de la iabrltiallon 4 j,b a i pflx de e n rognr» artilt>lelle». Il faut obaerver que le pola»on reate un aliment de luxe dana la plaa grande partie du territoire, 4 cuutn do» Intermédiaire» trot, noabreux. Le poliaon, gui a det qualltsa nutritive» étfaloa 4 celles ds la viande, vulatt is r nos câta» o Ir. 40 le kilo, alor» «ue la viande te vendait 1 fr. S<> ou 1 fr. 80, o's»t »-dlrs gastre tüls plus chsr. (Tré» bien I Très blsn I) Il taut donc, pour le bien des pécheurs at des consommais«™, aupprlmer 1*» ob»taclea pur la oréatlo» da coepératlvi» maritime» et par d’autre» meiurea «a s le gouvernement ne manquera pa» do prendre. ITroi bien I T iè i bien !) Ke oü'.re, Il faut donner aux marina pécheur» l’aritenl et l'inatructlon profeeilnnnell«. Il» l'ob tiendront p»r l'orgaulastlon d » Crédit^maMtlmn, S S ¿sôléâ tlè péch e.' Be» décrets ds 4 novembre t% 9 organisent le Crédit maritime. Dans le courant de ce mois, un projat de lot complétera celte orgunlistlon. (Très bien I Très bien I) Le crédit msrltlms ost calqué sur le crédit agrl colo. Sur le littoral, des écoles de pâcbe vont être lnatallées. Lus me»ure» Indiquées par d'autres orateur» »ont 4 l'étude. Ou peat compter «ut lo coucou.» du noii-»ecrét»lre d'Etat pour guo cette étude soit p d u iié s activement. Je reads hommage, continua M. Chéros, 4 la solidarité de» >erlni-pêchaur». I l leur lera fa cile de leur appiaudre 4 ae grouper, A a'orgaal. aer et à tirer meilleur parti d'uSs rlcheue L at» relie. |Tré» bleu I) Js me léllclle d'avoir pu «puiser de» conSIts redoutables en prarignunt la politique du gou vernement et d’avoir raffermi alual la ro n S .u c « dea travailleurs dans ls République. (A,.p'audlssemonts répété»). La Chambre vote ensuite nn ordre du Jour adoptant. c«b déî'arat'ons, mais re pou^ue l’l^ati;ution d un« commission satis fecit. Comme on l'a vu, M. Chéron s’accorde un brevet ae satlsf;cit un peu prématuré ment peut-être. Nom nommes 1rs premiers à rendre hommage a ku bonne volonté à son activité, mais que l'on nous permette de no point croire à tous k s miracles que la renommée lui attr.bueUn* crise éclaté au Nord, au Midi, i l'Bst, ¿t l'Ouest, M. Chêrou apparaît tout rendre dans l'ordre. Des populations allaient se Jeter contre l'autre ; sou» 1cell de M Cheron eues s'embrassent. M. Chéron arrive en Rretagne, voici qx’aussltôt, Indnsl rlels et pêcheur e, patrons et iouleurs qui s’éteient vooé une haine quaiti mortelle, «uliilent lrur* querellen a'antan et verre en m«in scellent leur réconciliation. Où Cherou pasae, r.e germent plus le* aenénees de la dlicord«. Telle pourrait être «a devise, disent se* »mis et admira, t'ea -a. Héiaa 1 Ci-rtaUs nyjup.flni's fort craindre que Mv Qï Aron ne se. suit ilutté troj) tOt d'avoir apaiaé le conflit. Le feu couve tou jours sous la cend.e, et les événements ne tarderont peut-être paa ^ montrer qne la baguette • de la fée barbue norman se » n’est pas toute pulssaate. (i. L. A G R IC U L T U R E U o r la lx C e n e o n r e d 'é ta lo n it de t r a i t . — Voici lea réantuit» dn concours pour 10« atalun» de trait Agé» de trois an« et au-ite»sui. susceptible» de re cevoir la primo d'approbation dépurtemeutale. Sur 40 présenté« : 1" prime, 400 Ir., Hirodo, M. Cuell, dn Plougur ; 9', 3tO fr., Girafe, au m é no ; 3', S60 fr., Bros, M. Poullgven, dn Gulclan ; 4-, 100 fr., Gam in, Q ulllou, d» U otao iilil ; t ', MO fr., Oeor>;aa, U. Ilélard, de Plonuéve/.-Lochrlat ; 8’, tso .rr., Henri, M. Croguenuac, de PlouuéourMén»2 ; 7', 110 fr,, Charlal, Si. Dohollou. de Bot■orhol ; *•, 150 fr., H u m ain, M. Goaoo, de Lapdlv lila u ; s-, ICO /fermé». M. K()rlvlu, de flouvorn ; 10', lte fr., Libéral. M. Caér, de Plouénun ; 11', 110 lr„ J/ara», M. Lo Hunn, de Plourlo ; la-, ISO |fr., f/hlan, H. Y . «avéré, de Saint-Pot-doLéon. Suppléants : Karaul, M. Fers, doPlougourvest ; Varcheur, M. Ménez, de LandlvlsU u ; Gobefout, si. Bérou, da PloUuourvost ; Cirent10, U. HéneIT, de Batnt-Vougny. Ont été approuvés hors concours avec uno Indemnité de 400 francs : Mou lait, M. Dos, de Plonlgnlian : Uontblinc, H . Pers, de Plouguurvest : Pom pier, U . Lo Bann, ds SalatThégonueo : itusllgue. M. ü u lllo a , da Morlulx ; ««m atU fi, M. C u tg , de Plougar ; ViUltnlif, U. Kerdllés, de Plejhsr-Chrlst. Contra l’Abandon des Campagnes UW C O N C O U R S L« Boalété Fronçait« d’Umulatiyn Agri cole coatrc l’Absalon d«» Campagne*, dont le slèga social est * ParJ», J, rt({ Balliy, vleni d’«uvilr un coicsura qui con siste à déterminer le modèle d'habitation pqur un tyiéotiga d’otivrler agricole «tt dt petit propriétaire r«r4I. Cette habitation devra coavénir A an mé nage av»c enfanta d«« deux «exes, et bou prix de restant ne doit pas excéder 3.000 fr. Ledit ooncouia eat doté- da trole prix en espèce« ; «avoir : une prime de OH frsnf* an projet c lw é 1" ! one prima de 150 franc» au projet classé 2« ; nne prime de 100 f, anca sa projet elàssé 3«, ainsi («e de'nomnrauseu SkédalileÉ. ^ Dea diplômes, constatant les récompen se« obteaues, Seront remis aux lauréats en même temp» qaa-lea prix. Le ceaceura aat ouvert dès maintenant et «ira clos >• 1" avril 1910. Tons les renseignements cerc^rnant le concdar»parilt'rûnt d:tnsl’Hmui«lfort Agricolt, bolietln offlclel de la société, aarvl gratnltement A toua aea membres. ((Botlsattbn : i fraaea par an). ■■^.1». a— ....... ■ ■ i^ l^ i , De l’utilité et de l’inconvénient DE IKOg TALUS levée de terrea dlvlnftnt nos ferstea an psrcell«s Bouveat de c*nt*nance m in la u : il s* demande qaelle jsèut êtro l*ar utilité 1 II* nou* roadent den services màltlples : fonrnltare de aotre b tl« de ohaafage, *iroage de natte bétail, délimitation de nés propriété««;^ -,ff -9 . B US ont leur utilité, ils ont aussi leurs Inconvénients : lia empêchent lo dévelop pement de l outlllsg« moderne de travail ngrlco!« etaous eccasionne uno perts con sidérable de terrain, surtout dana lia réglons où le chêne cat lu bols dominant. L’ouvrier agricole se faisant de plus en plus rare, il n’est pas besoin d’être grand prophète poar prévoir que c’est ana néceaslté poar neus d'organiser 1« travail d'une façon plus rationnelle «t d’augmenter de la aorte le rendement de l’ouvrier, ee qui nous permettra d’améliorer son sort et ae l’attacner A nousBeaucoup d* nos fermiers n* se rendent pa* encore compte qie le etêne qae leur produit le talus est pour eux nou une source de bénéfices mal* u ie perte réelle. Examlnoas ensemble, si nous le voulons, qae peut être le revanu not d'uno coup?, de chûne de talus, en prenant pour base le talus de 100 mètre*. L’4ge moyen du chêne pour une coupe de bon nols est d* 15 ans : le. rendement moyen est de 410 fagots qui, tei,dus ¡i raison de 14 fraaes, rapptrte brut 56 francs. La larteur de nos talus est d’environ 3 mètres et la pirte d- chsque cOté est éga lement d'environ 3 mètres, ce qui ports la largeur de terrain perdu Ot 9 mètre* : la •urface perdue pour la culture sera donc do 9 ares qui, pour la période de 15 nn*, repré»entera une perte totalo de 9xi5 soit 1 h. 35; en admettant le prix dé location à 50 francs l’hectare, le loyer monterait à 50x1,35 soit 67 fr. 50- Il y aura de plus 4 entretenir le talus, A couper et A fagoter le bols, Aemtnelonner les fagots et A les transporter 4 la ville, divers travaux qui lui coûteront 25 fr. La recette est donc ae 5C francs, alors qu« les dépenses montent A 92 fr. 50 : c’est du Joli travâll, comme vous le voyez. De plus, tonte plante poar vivra et pros pérer a bestsln d'air, d* lumière, de chaleur. Or, les talus boisé« ernpdchbnt toute plante qua vous oultlvei dans do petites parcelle», de Jouir da ces trais priaoipes aécesaaires ; aussi voyez le coatrasta en An da Juillet, après an* période d* mauvais t«mps, encra an petit champ de céréale« entouré de b«la et «ne grande parcelle bien aérée. Dans la petit champ la pailla, molle faate d* prlsclpea fortifiants, n'a pa résister aax Intempéries, «st verséa partie A droite, partie A gauche, les épis par endroits réu nis en faisceaux, sa tr mvent dass des con ditions déplerablea poar atlrir ; dans la grande parcelle au contraire, ia paille aura plus de résistance et la maturitlon se lera dans de mellleares conditions. L’txcèa des talus est donc funeste et U y aurait avantage A les réduire A la strict« nécessité. Nous avona malheureasament certalas propriétaires qal, par Ignorance, s’oppo sent systémstlqicment A la démolition des à’àvîs '«nselirnéii Us chanteraient bre t'e commerce, prcsseaU par uu con frère local, otgaue du pattl radical, « est déclaré disposé, si les comités de gauche le désignent, A être le candidat dea répu blicains de gaaehe. Telles sont en ce moment les candida tures officielles et officieuses pour les élections législatives. Nous nous garderons encore de cous prononcer entre les petuonues, attendaut que leB programmes paraissent et précisent les Idées directrices qal les mèneront a ia ___________ bataille. les convie à la bataille qui s’engage a«tetlk iu c u t f n ‘re i ’BgiUe tfc st s »dverwiftss. Cette belle instruction produisit ane pro fonde impression sur l’auditoire. L’olfico se poursuivit ensuite tt, à 11 h. 1/2, le clergé quitte processioüoeHement le cnoaui* tat di* q u ' la muaiqne fslgalt résonner le# vt at< » »ac 0 « uu sortie. Dans la rue <i»» la 1 1 ■ j«.y-» r-> iM c nddisrut a son p^utio-u^t A 3 heures, les vêjte* furent chant黫, sutvieB du s ilu t »o ennel, puis ta fouie s’é coula lentement'e» chantaut : Reçois nos v o m , nos hommages O bon Péie, d 8 du t Hobarduo, Bleetlons a a trib u n a l de com merce O toi « n i m r ces rivage». Dimanche, les électeurs consulaires de Do la Pol vins porter Te don. l’arrondissement de Brest avaient été con La muviqu? Siinte-Cécile doana ensuite, voqués pour élire un président, nn Juge pour clore la fête, un concert devant le titulaire et un Juge suppléant au tribunal preiby’ ère. R. A. de commerce. A n t r i b u n a l c e r.- e o tlo n ne l. — Lo trlbaoal Dans les cantons, les bureaux de vote ne prrent être constitués. A B.est meme le correctionnel d« Bro.-t îa u - ■„ dernléro soance « condamné a trois mois de prl .on, pour supumsbureau t,e put être formé. d'enfant, Jeannn Simon, 31 aus, domiciliée, Et naturellement, partout les électeurs alou à Peant.ro*, en L and'rteau . ont brillé par leur absence. Il faudra dot,c A la même séance, o " a Jug4 l’afTalre «uivautr. : procéder a un deuxième tour de vote. Lo i9 mal dernier, Vincent Q rull, 17 eus, et A f ulmper, â Morlalx tes électeurs ont Pierre Uarchalant, ib ans, tous deux »ans proieslio n ni domi ne, out att.q u r m Lan^^rneau 'i. tdofait grève. Il est regrettable de voir le« commer f'Izur, et après i'av ,lr 1-uppr. et menacé d’u j cou çants se désintéresser d’élections qui out teau lui eiilovèreut «on portemonnale. Lea deux IncuIpM jouls»ent de la plus détestable po»r eux uae grosse importance. réputailoo et passent 4 |usto titre pour des Indi N est-il pas de leur intérêt que. les Jugea vidus extrêmement dangereux. D u reste Or 1:1 h da tribunal de commerce qui referont d< j4 subi 17 condaotnallens, et llnrchalant. S, leurs litiges soient des hommes Intègres et dont plaslnurs g/avos et fu t les rendent tou» deux passibles de la rélégation. dignes de confiance ? Ils le sont en général, Le tribunal a condamné les deux Inculpés 4 six mais cependant A la faveur de l’IndliTérence deS électeurs, parfois peut-être pourraient moi» dn prison et ordonté qu'ils riro n t relégués à l'expiration de leur peine. être élus des hommes dont on n’anralt pas voula, si toat le monde avait voté. Lopcrhct L a fièvre typho ïde à l a caserne d u C h âte au Une épidémie de lièvre typhoïde sévit a la caserne du CbAteau. Trente typbique* provenant de cette caserne sont actuelle ment soignés A l’M piial maritime. Dtux morts sont A déplorer : celle ou uol dat Drapier, du 19*, originaire d’Asnières, et celle du soldat Yves LeTurquals. 22sns, soldat secrétaire d’état-msjor, originaire du Mans. Ce.lui-el était une proie toute désignée à l’éptdémto. Ea effet quoique malingre, souf frant d’une maladie de cœur, la commission de la révision l’avait cependant déclaré b-ja pour la service. Mais le comble est que lo malheureux soldat avait aussi un piea bot. L’acceptation de Turqusis avait été très commentée au Mans eu l’on s'iodlgna de la légèreté avic laquelle avait procédé la con»' m illion de révision. M o rt s u s p e c te d 'u n enfant. — Ven dredi matin, décédait coez aa mère, au vil lage de Mézargos, un enfant de onze sob, Yves Gaugé. Le médecin de l'état c.fll, appelé pour constater le déi’ès, trouva q ie le corps était couvert de marque* pvaisaant être laites a coups de sabot et refusa le permis « ’inhumer. La gendarmerie, aussitôt prévenue, ou vrit une ei. quête de laquelle II résulta que, le 21 novemnre dernier, le Jeune Gaugé s’é>alt banu avec un de ses petits camarades, Yves Rlou, domestique de ferme, âgé d ; 12 ans. L ’enfant s’était p'alnt en rentrant, néanmoins it retourna 4 l’école le lende main, mais deux 'ours aurès il fat obligé te s’aliter. Le (loueur Maheo, médecin iégiate, a pratiqué l'aulop-ie du cadavre et a con clu à uue mort v.otenve uue A une Iractare da cr&ae. Plabenaec Sapeurs-Pomplora. — Le conseil m u nicipal vient de décider la création d’un L a f r a u d e d u la-t* groupe de sapeurs-pompiers de l ï hommes ; So présence des nombreuses saisies de le matériel de.JA exlstar.t sera remis en état • autres, qoe la rapacité entrstae au-delA lait qui ont Heu en ver ta de ta loi sur la et complété, afin de donner * ceux qui en de ce qne l’equlté devrait leur inspirer, se répression des fraudes et en rsiton dtg seront chargés tous les m ^jtüa a apporter prévalent de leurs droits de propriétaire et contestation* qui sc font Jour devant les leur concours rapide et efficace dans tous revendiquent les souches d j démelition ; tribunaux compétents,la Société d’norticjl- les sinistres qal leur seront signalés. leur droit est incontestable : mai» a ceux-là J’opposursi mou expérience dedémo’lsseur : ell.iS na rsppertent pas c* que cottent la démolition et le* travaux da premier tabour. Je fais appel à leur propre intérêt pour qu’ils ne s’opposent pas, par de paréils procédés, an développement de l'agricul ture et A l'amélioration de leurs propriétés. F. T. tare de l’art oadlssemeut de Brest a émi* le vœu que lors de la saisie d ua lait sup posé suspect, il soit fait, 4 l'étab’e du ven deur une épreuve A la même heure de traite que pour le luit saisi, et autant que possible 24 heures après l’aff juragemeat des vaches devant rester le mime. L 'a f f a i r e d a « T r a v a i l l e u r » P lo n d u Iiu C z e a a V o la de b re b la . — Deux brebis ayant disparu des établis des cultivateurs Wirnel et Le Her, ceux-cr t n avisèrent ia gendar merie qui arrêta un ancien berger d< * cul tivateur*, berger qui est fortement s&apçonné de ces vols. Salnt-DIvy Le tribunal murlllaie conaerclal u'eit rival N é c r o l o g i e . — l/i p o p u la tio n c n r é tK s tn e mardi, pour juger le capitaine au cabelago Louis Stéphau, Axe de to ana, originaire de l’île d'Oue»- de SaLit-Divy, acc^u»pa*ualt ruüdl derhier, au cimetière paroissial, le corps de Jeanaant, lnacrlt au Conquet. Le 18 julu dernier, lu Compagnie des Vapeurs Marle Luguern, père du vioalre de Camaret. hrastol« avait organiié une exoursloj à l’I.o de On serait tenté de dire que Luguern a été ®a la preav® (suite). — Bt ïteta au Sein, 4 lsqntlle prirent part uno soixantaine de surpris par la mort ; mais le mot surprendre thentique (suite). — Dans les doux précé paaaager». ue s'applique pas au bon chrétien, toujour« Le capitaine Stéphau ne connal»sunt qu’impar dentes eauserles 11a été exasatné ce qa’étalt prêt 4 paraître devant D ie« d’autant olus un acte authentique. Oa a vu aussi qu’un faitement le» puruge» de lire de Belu qui, on le que U. Luguern est un de ceux qui jnt le acte authentique nul pour défaut de forme anlt>ont fort dangereux, la Compugnla lui donna mieux profilé de la misslau donnée 11 y a de prendre un pilote, q»l devait rentier et pouvait an général et * la conaltlon d'avoir l’ordre un m o u à Saint-Divy. sortir lo navire. L’ordre fut ponctuellement exé été signé des parties servir de preuve de la cuté. Le pilote Coulllandre prit le bateau au L<-s lils du défunt conduisaient ledeall ; a à n e fafan qu'un acte »su* signature pri largo pour 1« faire rentrer 4 1lie, où 11 arriva M. Derrien, recteur de Kersaiot-Plakennec, vée at avec la même valeur. Sapposant aana Incident» i onze houroa du matin. a fait la levée du coipa, M. Herry a chanté A 4 heuros, le navire r» dlaposslt A partir pour la mesBe. M. Gioar.ec, ancien principal du maintenant qne l'acte notarié dont 11 s’agit a été entièrement rédigé confarmément A rentrer a Breat. Le temps était beau ot la mer collège de Lfsneve.n, a dit k s dcinlèies très calme. Confiants dans la sécurité que pa la loi, nous allons neas poser les questions offrir la trave-sée, lo capitaine et le ¡tr'ères sur la tombe suivantes : qu’est ce que peut prouver raissait Relevé dans lassiiitance : MM. les rec pllotn avalent un peu trop lâlé leur rencontre, et exactement un act* viUtf'ntiqie et. J rtqu’A d’aprb» tous le» ttmolguagos des passager», se teurs do Landédn, de Tréfiévénea, uo la qoel polat pant-ll 1m prouver ? trouvaient en état voisin de l'ivres-e au moment Forêt ; M. Le Yssseur, profeasenr A Lesne» I. peut y avoir dvsu un aeti! aatheatiqao du départ. ven où l’abbé Luguern a laisse le meillenr A environ un mille de l lle, alors qae l’on ee souvenir commue surveillant, aept ou b u it de«x sorv*s d’énoMclatlons : les unes prove nant du noUire, iaa autre* pru»e»,*ui des trouvait oti'V^re dans des pascagos dangereux, lo auttea prêtres, et nombre de maires da pilote voulut descendre dans son batnau pour canton. personnes entrolesquelles l’acteaétépatsé regagner l'ite ; le capitaine quitta la barr.* pour Parlons d’ab*rd dee premières : un notaire Nous adressons A M. Luguern et A sa faire les adieux A son compaguon. A ce moment rappoitj dans un aete au;h«ntiqae que le navire talonna et vint »’échouer sur une rochs. famille nos sincères condoléances. Tiarre as Jecqa«« se sont présentés devaul Il y eut un moment d’affoiemect. Les passagers S u in t- M a r c lai et ont passe te'la convention tel Jo*r. se précipitèrent dans les canots du herd qan l’on mit à la mer, et ce ne fat que grâce à quelques E le c tio n s m u n ic ip a le s . — Malg-é la L’acte notarié fera plaine fol d* ce fuit. Supposoaa qaa pias tard Pierre veaille at- ofll.deri de marine gui se trouvaient parmi les coalition des radicaux et des soclat<sies, la tsqaar cet acte, et prétendre par «temple pa».ingor» que la pantgao fut enrayée. Le capi liste pi ogreseiate a remporté la victoire. avoua lui-méme A l'audience qu’il avait Ea effet, voici les résultats de l’élection qae ce n t r pas 1» convention inscrite dans taine perdu la této et quo l’ordre do « machine en 1 aeta qu'il a passée avec Jt-«ques. mais une avant » qu'il donna 4 ce moment était absolu- complémentaire muoiclpale qui a eu lieu aatre cosventio» toift i fait différente. dimanche, A Saint-Marc, pour les trois aaeat contraire 4 lu manouvre gu’ll y avait lieu lièges vacants. Sera-t-il autarlsé A le prouver T Sera-t -Il d’aHactuer. Le tribunal a condamDé le capitaine au cabo Liste progressist» : MM. René Dambreantorlsé A démontrer par exemple, qu’il s est présenté d«,vant an aotalre ^our con tage Biépbsn, S 8 moU de prison avec sursis et 4 vllle. 333 voix, élu ; Jean Rémoad. 331 voix, S mois de auspenilon de commundeiaunl. sentir un bail A Jacques et qae le notaire é?u ; Etienne K e ré té m , 331 voix, élu. aa lie« d'nti bail a fait une vente. Sai Liste ridicale-sncialiste : MM. Krneat Double noyade Picard, 315 voix; Louia Madec, 302 voix; Plerra st-a aatorist A falr# cette preuve, i Benoît G uttln, Ï04 voix. sera autorisé A démontrer que le notaire u Jeudi matin, on a relevé du 3- bassin du Cette élection est de mauvais augure lait an faux, ntal* Pierre sera pour cela port de commerce, lv-s oaüavrts de Mme pout- le parti socialiste qui, on le sait, obligé d emnloyar une procédu»-« upéotale Julien Crenn, 39 ane, anciennement dornaffrontera A nouveau la lutte électorale A mlaucleuuetuont réglée par la loi et qu'au clllée 19. rue Postreln-Néves et de son lils appelle l'insoriptUn d» faux. Cette procé- Joseph, âge de do u n ans et demi. Brtst. L ’alliance des socialistes et des dnra e*t extrésassaent dlflcile A mener à Celle-ci étslt sortie avec son fila, le 2 dé radicaux tolérée est un futur argum ent k bien. S i 11 en résuite qu’il est malaisé de cembre au eotr, pour aller seneter des deux tranchants contre les deux partis, prouver qae ce qui dans nu acte s’eat passé bouglen. La tempête lalsr.lt rage et l’on qui pour *muser la galerie S'invectivent düMuit la aotalre lal-mêsae a été inüdèlecroit qu une rafale l’aurajetée avec uon lils sur certains tréteaux, alors qne dsrs les s&enl rapporta par celui-ci. La loi accorda coulisseB, ils s’entendent oomm* .larron« A la mer, alors qu’elle passait sur le quai. en foire. nue tiis grande confiance A ce qae le note.ire lal-aêaac a constaté et t apporté. La Salnt-PI«rre-t'diIbIgraont D ir ln o n notaire est lorsqa It écrit un acie nn témoin Parents dénaturés. — Le parquet de P rl« «u r la fa it. — La semaine dern.ère, tout A tait privilégié. Cela tient A de*x canBt». D'sbord n’est pas notaire qal v»ut. Il M. J.-L. Vével, cultivateur a Dtriuon, en Brest est sulsl d’une pi- inte du maire de faut poar «tn» soatmé aotslra remplir cer tendant da brait autour de sa maigou, se St-Pierre-Qullbignon contre les époax taines conditions préalables, et la iol a pris leva poar aller voir ce qui se passais et Haet dont le mari est ouvrier A l'arsenal, et des garanties poar assurer le boa recrute. aperçut un ludlvtdu qui prenait la fuite en sont accusés d’avo'r odieusement brutalisé meDt des notaires. Ensuite 11 serait ex'ré- sortant du poulailler. M. Mével et ;tes do leur enfant, Agé de V ans. On a constaté h a jm e n t dangereux poar un notaire do faire mestique* se mirent S la poursuivi dn l’école dor t ee petit garçon suit lea cours, fayard qu'iia rejoignirent 5*0 mètres plu* qu’il avait le« yeux tuméfiés et que sur cer un faux. 81 ce faux était prouvé le notaire loin. Le voleur était muni d-un «ac dan* taines parties du corps, il était couvert do perdrait sa charge et serait condamné Aun* leqacl 11 avait enfermé cinq poules qu’il bleus provenant de coups de bâton. peine très sévère. La iemme a été arrêtée. venait de dérober. Cet indluda, qui a été Mais en dehors des énoncUtion» qui dans un acte notarié émanent dq notaire k-1- conduit an Parquet, de Brest, se nomme même, Il p^ut y en avoir d’autres qui éma Tves Croron, a ié de 53 ans, terrassier, demandes le * tloamer d« sans domicile fixe, originaire Ci Saintnent seulement des partie*. Les parties Coalltz. Finistère » dans wmtôs (es contractantes peuvent d’nn commun accord G n lle ra déclarer an notaire certaines choses que le Bibliothèque* des Garsa da notaire n’a pas pa coastuter psr lui-même. A ttrlbatloia d e s biens de l ’églW«. — L'existence réelle de cee chus««, le fait que L’èce des attributions a’ouvre pour le dio Finistèrecette déaiaration des parti«« est alnc&e, cèse de Qulmper. Le 14 du mois dernier, lé notaire ne peut pas en répondre, fit alors les commissions administratives de i'hoson poarra attafaer la alncérlté de cette dé» pioe et du bureau de bienfaisance ont été claratioa aana recaurir A l'inscription d« mises en deaæure de ae prononcer aa sujet faax. Cn sera autorisé A faire toat «Imp!»- de l’attribation de» Meus de i’égllsc de SOAVUAUU A mant l» oreave contraire \nous verrons Guilers. A ¡’unanimité elles ont énergique d'ailleurs, pttts tard qne cette preuve con ment repoussé toute attribution. Les suites d'ox a c c l io n t traire no peut être faite par témoins. Leur décision * été, également A i’uuatjlIl y a quelque» jour«, Tves Bréllvtt Agé Bd résnmé on ne peut nier ce que le no mlté, approuvée par le Conseil municipal da iiO environ, couvreur, rue Notretaire a co**taté par lai-même sans recourir Beau geste qui sera sans doute Imité. Dame, A Ch&teaulU, voulait franchir Une A l'inscription de faax, mais oa peut faire passerelle reliant ion habitation A la Mon Landerneau tout slmplesacnt, en prodnlsant un autre tagne du OttAtean, lorsqu'il tomba dan« le Lo P ard o n . — C’e»t ma.l’aènreusement écrit, la preuve contraire de 1« fausseté de vide, d une hauteur de 12 A 15 mètre*. ce que le notoire a simplement rapporté par une froide et pluvieuse Journée qae les Relevé par des personnes accourue* g Landernéen* ont fêté, dimanche dernier, sans l’avoir constaté par tal-mêtne. ses cris, on constata qu’il avait uae Jambe le pardon de leur paroisie Salnt-Houaido». J. D. landl* que du ctocher ajonré le grand ea- fracturée. De plus, 11 «e pUignaitde douleurs rlllon se iawait entendre, la musique Mainte- Internes. Transporté A l’bûpltal, A Qulmper, BréllCécile traversait la ville, au pas d’une mar che bien rythmée, entraînant A sa suite la vet y est décédé dimanche, des suites da ses blessures. L’Infortuné était célibataire. foale qui se rendait au pardon. L’autel avait revêtu sa parure de grands BREST Argal jours, et entouré d’un nombreux clergé, M. En vue des éleotlons législative« N o y é , — Alain Joln, 4« an», passant près da l'abbé Goret, cnrë-dojén de Huel^oat, asLe mand.it de député de Brest sera, dit- slsté de MM. Flocb, aumônier de l’nôpl- ruUsçau do Lescout, aperçut uu corps eu oblleue on, disputé cette a*ioée par de nombreux tal, et Blzien, de Landerneau, chantait la dans lo ruisseau, 1a têts presque Immergé». H retira le cadavre st le déposa sur la be/ge et csndldats. D i ceux-ci, uu seul o a conna grand'meise. prévint le» autorltéa. Le cadavre lut reconnu oflicielliment. C'est M. Charles Bos, ancien A ['Evangile, M. I’abbé Henry, recteur de poar ètro celui du nommé Jecqnea Gourmelon, député qui, dans une réanion tenue mardi Saint-Pierre QullblgDon, — une figure bien 4t an», cultivateur i Argol. Cet homme avait été soir, A Brest, a exposé son programma connue et bleu sympathique aux Lander- vu la veille Ivre, et c’e»t sans doute trompé par devant une centaine d électeurs. néens — monte eu chaire et, avec une cba- l’obscurité qu’U eat tombé dana le ruUssau. M. Charlea Bos s’est déclaré surtout an- lenr apostolique, prononce une magnifique Carhalx tlcollectlvlste. C'était aussi l'éplthète de allocation, c Soyeï fort* devant votre Foi », Un e n fan t brûle . — Lundi matin, Mme M. Blétry et U semble que M. Otiarle* De* telles sont ses premières paroles. Il rappelle Gueguen, habitant rue de Callac, était des recherche le patronage des personnalité« la fête du Jour, la fête de Salnt-Houardou, cendue daua «a cav» pour prendre dn qui soutinrent la candidature de son prédé qui, comme beaucoup d’uutres saints, lilas bots, laissant son petit garçon, Roger cesseur. tuèrent notrepay* de1leurs Virtus. Rappe Guéguea, Agé de 14 moi«, assli dan« le M. Ooade, I* concurrent de M. Blé'ry lant la beauté naturelle, mais «ut toat la foyer. aux dernières élections, quolqa'il- n ’ait pas beauté religieuse de la Bretagne la vail Uq coup de vent, en fermant ln port« de encore pris contact avec les électeurs lance et le dévouement de sç« enfants qui la cave, augmenta tout A coup ie« flamme« tirestpis. P°s*ra certainement *s candldaM tp fs marin*, ses «u foyer, «1 bien que lea atteignirent les tare socialiste A laquelle Ifrpartf ùnfflé pr«. ion peu- vêtements dn reniait, A s,-a criaadchlraatSL tera son concours. • &. pi# le plus Mêle, avec klal’EgiJee, fîcilltlL______ facilité d’éidca- «a mère csssya d’accourir, n a is «lia était Oh assuré — mais de c*cl oa n’a encore Mon qu on lui connaît, l’orateur montre lés auçune confirmation offbielle — que M. a m u t* qu’A l'heure présente Satan livre A renfermée (Uni lauav*. Hr«reniement «t>è ■es voislui sont acanurus « t ont sauvé fergnlaud, adjoint au malrô'de Brest, re- l’Eglue et A notre Fol. 1enfant d’one mort affresse. B est ce présentera le parti- progressiste aux éleo* Dans une superbe envolée, M, Henry ter pendant brûié A uae main et à la culis« e t Mous législatives. .tr . mine par «n vigoureux appol a la bonne oa espère que ce« brûlures n’auront pas d* »»lin, M. Rolland, président de la Gtam- TOisnté de tops les chrétleiia et, pour Dieu, conséquence graves. CAUSERIE JUIUOIQUE ArroDdissement_i« Cllteaalia Arrondissement de M Cror.ua M ortella Im prudence d'e n fan t». — Mme Le Hoy, da Fret, »’étant absentée an instant pour «lier aux prüvUlon», *ut l inopradeño« de 1»1ma[ «culi U U miliQtt IM doux e n fiati. Ij»1q6, ft,«o 4« dcqx bui tf demi, l'approcha da foyer et l'am ai» 1 repiaer lei cendrei. En an Im U nt, toni ■ei vêtemeuts furent en tcu Aux orli du pauvrep’-tlt u i volila, M. I,r Pur, accourut, et, non l»n» ie biûler »ux inaia», parvint, A l'»Me d’nn seau d’nau, * éteindre tei ilammsi II ^ a lt maheureuiomeot trop tard. L'e* tant avait tout le ventre of rbonlie, et 11 ii'coonibslt eu boat dune beute d'atroce» »ouiI.^Lceu. Coray V o l Im p o rtan t. — Alain U.irré, fermier au villa** ri* KoTorét avait cher lui un<i lonime de 700 trinci, composée do 7 bllitota de 100 f nuoti, iVuu t'IU'.’t de 50 francar d i deux pièce» 'ie 20 traucs. C-.t urgent prove nait u’utir veuie Un bié effùctuéo k R,iporden et d'un puro, vendu à Coray, le 25 novembre. Lo 2 dicembre, quand Darre, all» à gnu armoire 11 constata que la somme entière avait olspuru. P lo n é te x - P o ria y Incendio p a r la foudre. — An cour« d'un violent orage, la foudre est Wwbéo au village do Keniannlellet, en Plouévi'zPorzay, sur un bûtlment servant de crficb* et d'écurie. lie bft'lmeut a Atô en partie détruit par lei flammes. M. i.ouboutin. propriétaire de l’Immcuble, esMmn ae* certes & environ 500 tranci, couvertes par une assurance. Q aém ônévcn de Luzeoc'h, en Teigmc, n été irritée pour mauvali traitement« iu r «au enfant, âgé de un moli. tloaéaaa T . *pl'afi<Ueit"Urmlaé ; Il l'iliv e iraoleax à c ò li de l'anolm couvent dea nellgleuiea, devina, i notre plus vit regret, proprietà c o m m in a li. Malntenent, * qo«'>ü la b iu id lo llo a de c« superbe bAtlment ) Q a u u l y plaoera-l-on aa oruoldx don« lei o lane r, releclolrei et dortoir» i JLlora, peul-itre I m a li «lor< leulem eut, n p m autrei, p ir e i chrétleni, noua pourrlona n o ai dielder i v conduire n o i enfant». Cetto b inid lo tlo n , que notre oo'uolenoe et celle de noa eufanti reclament, n'aura p a i lloa ; noua »erlo'ia bien uatti de l i iupi>oier. I l v aura b ltn , n o m pouvoni l'aanoncer d a v u a -.o l'o coatialre ier»!t i,normal), Il j aura bien, un lour quelooaqae, nue cérémonie u îq a e l Pae oet nWor : le i routei »ont trop mauvaluei, m a lt au prlutem pi prochain, au m oli de mal, par exemple. A lu n n o ui verrona dibarquer la ■oua-prilet, q «l aalt 7 peut-être le p r it lt l«la tu » . uveo D u b u liio n , L ancila «1 q u elq »«l péiagoK U ii. Il* banquatteroal : pourvu que ce ne »oit pua i n o i trais M _ . , , Le préfet, ou aon repréientant cfflolsl, sssslsra ea des phraie» oreuiei, de taira liloge de 1éco e lai jus I Le Per« La Pipe (taoa I)i»a I noui le p,lom di< uulouri'Sul de ne paii se msttre trop •n peine: Il lors to»lo»ri aai'l iloqaent a » 4 a Cbambie I) L# Pire la Pipe teaerolera le dliaoureur an teraie» tri» lo«cb«nU: quelques oonislllsri municipaux, attlrii per 1« coup de Kusulston, applaudiront A outraaee «t quelqa an kicalere : « vl.fvl, vl^e «» Aetrou DI-»lklaaoua I a, •usuile oe aera un« vlilte au *k» ir au palala scolaire oA Isi pimlouuolrei orl;ro»t la Jiarielfluise II Un point, r.'eat tout. Ce lera la aeu e binidlotlon, »oje»-en id."i, qoe rsoayia ls aouveau palali q»l a ooftie la paille bufateli! de 40 i lO.OiO franc» III , r n jreupe te c«nlrl»u«Hf». P S . — Bl. contrairement U n o i p r iv lilo j» . c irim o n ie lulque que d o u i venoa» de devait avoir lie* aam trop larder, i k klen l u o ^ . • m u n a ra e ltro u i de prl«r H . le raiilre d lb*li<-.r H O K U lI X teon I IV K o a n ’ z o d e b r e t e u n t a m m lk ; i o . B on« d ’a n d a o l . a u t la d *o b o d e t - a n ta d a SLR tua ty.braxHeajt.anN aou ed «v lt ir o le r s neve-m»n. Hep dalo ta, neo ket la ^ rv e ^ ^ tU c ô im ld tg e tW . p n r e n t L* r a p p e la r à f » vie. Santao X t l a b o it a a a x U ttv a a ? — S i c «al to sje ar. h iu a t« ... « a l ? - Qaol ? - Uala la b a tti s » Uttre«, do ué I L ’autre |oar, « a pia» fait da 1» tè a pile, d « «ri» plalnUU a lllr ir ta t aaoa alU atlcn : e’it i l e a l .la». l i i « à m i o n » d* cette psavr« hotl» «'liai k:as l em i »r Glhloarek. soalsl a rean zar, ar c tiei 'a 'e >•*« n’oant ket d *iz ar ras » bMJ u'muup m. G h o ii. Aotcou Mear, a xo ssuaut -c’. > ar te*M„m,M fldandoiieu I au dauv /' Si t eo andaivoz wella I Dero’bul et» ar ruban kenta, ‘»ta,;» d a r mear » ir a i ben ractal da '»tas« rab^a glaz var he v.-ui'.V..;t. lia seti axç, va xail^ »iüaos en deiz ket mear Loc i r prit kfckjta ,»coa< e i>u traau È ththv. „ , . . Ar o'hstsft te» a loa eno a »’H a » o velet oher kement ait, ba pa dreme^r potted ar rbbanon, Sur a^ostaâ'n e ion]ent ei.n-ao ho«nan : « B ètl axa «un den h a r en deux gwercet he vlfcnOrnlàch d ar ü kloarek a' it Fixlais « w « U t , P»ollna lane* d i t e , na dalve»!* ket kemer poan. Man xur I m - a ^l^V f^i-'glaiklet ket I... ff«- fla ik fra ket l M’fio ket va aliou ha va eaasdlioi o deis é » s o u i» t ver u t i l i ? 1 ! {iblec’k vU«-te bet p»n»vert d'ln-me r D» non», età blljet kement : • krils ar la ik hag ar , r _ ' « Awalc'h a gaoxlou, FaoltaA-, fre e t omp evtt rei allou an eli d'eglle : n eo ket red en *m ta n n a dlvw bouei »raou kwa diiter »velato l » ... .. - a »*e m »o in ket o ta ti Jien oBer; t o t ■enbeid ! nemed keaieat ha' dlaklerla ar " r io n e * I - A b 1 J . l l i i f n ’a a p e *» k ^ » o » J deus a» dlip'ac'h a W U aow-WfT®m«tp, • i r wach brudet é tllisessp Cerdou»tbn ? A h I A k I A h I... Ken’ » r a n k » i c hoaràta I Pa tonjan : va tad, aqi’aetro» Per»»ud, ha me n'oussan dare p lo i an il r io m p I Ak I m e » W rfe hb gWe! '' W I - '- - “p* klrio, k» dr»l»t holl . vaso ar c.:i • .a- wei* ueves f r im a i l f 1-Ï». P 0' iñ s ls w s r s s " ......... •vit 'n « a g a lla gaa| ar o'bÓii«« I H 0*»n, « ... A xo, h » f a v» krenv I H e i lftret a reén d i i , ra gUskfn lakftt ar wlrionex en a i bein 1 eti r ta 11% nag eo b it »tardar c'hrood l Ped P«nnàd leiva n'am.eus-me ket'itHet, itík ifa ó iít i-bein éiouitdl - . V a i a i PaolinaI Me Ivex e « boa c’hoantpeTl ris.' ne eependant . «11«, de» l e a i » ssilUeara ; de* vUiteare. «t a» » •e s aioladr««, veaalenl qdottdl«na«aeat a u aaln«r «t o o aap tut «ar aaa dlaaritl«» i toxU ie r iuve, a'héaltalect aa» i a « «oatar leura plv* aeeraa ; l'haaae mrstlgubl« i la bloit« Ηraads isna etdekl ta * cecârde trlcaiora ara« 1« Itapl. la k itia r, — l«Uctea»«aa«»t d««x fol» 1« ]u« <lharttl am ballé. — Lundi, veis sept heures du matin, le cheval attelé de M Rolland, conseiller municipal, den»«rant au Théven, l'embaii» et prit la direction dé la m»if»n. M.' Jean Tven, forgeron, latita i la tête de 1« bête et fut assez heu rerx pour la maîtriser. H t r le a n b r fllu r i. — Le Jeune Claude Tfvrifi, 4ge de 18 mole, a été séaleuseraent brtl'é ft la hsnche pendant qa'll louait avec sa sœur prèa d l foyer. G u liu llla a aoafiremoa agrloala. — Dlmaacke, à 9 h. I» de l’ap, ii-mldl, M. Le Loapp, profe.rrtr d'airlciltur» i Morlalx, 1er» au« conferentt» lur : Le «riillt ifrlools «t le» eegraU potunl^M f L o c - lü g ila e r Mort da ooaaaatloa. — M. Je»a Klli«, culllvatour » KÜÈOU, eb Bilat-Bauvear, a die tioavi moit duas «n Toix» sa bourg de I^c-Bsulne» S'.lôi avull apporte la veille uae ckurstts de bol' B ureau-Annexe a un iakoller du bourg. Un miaacla, appelé, a «onolu i un« cosgwtlon oecaalonnie-]iar 1« frol» et Dépôt Central et l'alcool. Loc-E fpitaer>SM t-T he& ouaek dû flowm#? du Finistère A r r e r lt —• K j It, a dnd ne ornent ket R u « K tré o n , S i pebeuz pinsennad ïez»k kaer a loa a i em QU 1M PER navet er zlzun ail e L»c evlt ^r verk. — Blicoaz en eur buirklk dliter <m l b»»ck Ls foudre Loc ne oa k :t great kement a Icll hag en /tu cours d’un» violeat* te m p it» qt'i s’est d»lz-ze... déchakaée daus la nuit du 2 au 3 sar QulmIwin despat da r.e, paotred ar c boqarnapsr et les environs, la toudre eut tombée mant, panslonct pèmzek m il luv er k o»j, a s ir la maison sltaée 50, rae d» Pont-Flroa deuet lva, hanet deoe'k, uuan ben»g m ln, appartenant k M. 'l'komas, organiste. anezo. Ar Chloarek, pa flev a m QbaÇjl Aptéa avoir aéaa«U la cheminée dç l’bada vnlet «n t i benag ae ket <vit taahkait klla tlu t, le tonnerre a aalavé m e plkachn d'en em xiscuez en ho z»ier : ebo • ve* do l’a p^arte nan t situé au-deasis da la hardlssoc'h eget er GasUr da 'av«.e.} e»r «1 ambre e cahoter de Mme VhoMas. Getra goas kenag .. M»z, ev»l ma n a <>v w a »r pfnhotiR «st v e uie » l i i l i e s'abattra sar 1« lust ae isurt kess » M etre ruv c'buncoar ,it üe Msae Tkosws, mais m w sju l ;caaser h ig ar verk, e l»kn atao. d'ai av aitir, air asoan H al. ■ iib a n benag h» c’h»a»l. Mear L o i a laa var «vw evlt ditusla he Clohare-reaensaat vUnoun : ra< tremeni hsg oker ar yerk oa S a r d a a tk a q id . — Une de ces n ilts kouls m»rka n u i Aiaoadek eo d'eaz ka* dernières le K.>-rde de QÜeS'ontalnei, U. a dnau. H Paris ea deai griat h» stadl 1 iyiiohemtn a été attaqué nu cours d’une h#g «no, daoist m'a« deuz ankoiaac'k^at tournée par cinq ou sfc Individus qui le d «un h* vre«auu»k, en d e it desket roaèient de ocup» «t lui portèrent on conp a-oaiKC u evlt rel da geumpren de coateau à la m ais. , i^nu dopuvj ^ ( j.’vez ket,roet a rsbanou b r #«rde réneelt I sa dégager et rentra — a An ér» s i i *eulo ér» o'hra» Doue. D a c’hortos. p’eguir »un d » it a ^ e n i d l 0 houîo u t ar P « a e'boantaec’kr k u w oailfl, deomo da gemer lec’hed hon lln u rlo u , mar Jtlrlt, Lena?^om p, K>t#1,lk , « u n dra eo 1 P»oc’h ' vexo v»c ar ohoari, penn da Ë oombrout la ^o e. Le c ur de l’noiptréi q*» commence liste eo taoa, a été abrita |ur une longueur de cinq mètrci environ, par la masse éctoulée. U u bec de gaz e|t resté * peu près lidemno. Il .■ >y a pas étf d’aç-1 - . client de ptrsoni e._______ K e a r h a M e a z io ü h%f r û v V ° a U e a « d * , d re nk a,.«Irai Mad Plougoalaa M o r t a a k l t i . — Dimancne, M. T oirc'h, mai lu en rutri,lte, débitant & Prat-Goulm, allait i Salnt-Pol-de-Léon en se proposant da preuuio p«rt i i éUctio.i i^our le tribunal (le cornu.erce. Il vec u a car ^ ¡i.l ,uvib l'aptèsi dl et se coae.ba, 1« soir, sans malaise, ucdl m »'la, on l a troavé mort, dans son Ut. M. Voarc’h ôtait la sobriété même. Ge n est donc pas i un abus de consommai Ion d’alcout qu 11 tant attribuer non ilétèi. S a ln t- P o lr é e - L io s A. la M alsoa Earoalaa — Par 4b.Uu» 4pla«opal», U. Saloaaan, -Iculre A IjlrUn Croix d,) QuJaaperli, oyt Loaarni e«ÿirUnr <le 1« raalloa Kiioulas, * lalal-l’i.-do-Leo». (Cvtle nomination a' i t i agre*! par U> Coniali acadéal^tio, & la date du I» dicembre.) D a n s m i r t i i i b l t a i . — Loriqa’elle allr., vtndradi mutin, préseiter du poisson A eun m .tire , la b o v i e d# t’bè<«l de F.v.nc» .o m ta ti qd«‘ cslui-ci, M. A h *« f l i p p e , ¿(ait » o . t.. M. Philippe, qui soul'.ait d'une maladie de epos, jpal» d*nt l’état de santé n’était dépits quoique temps fort amélioré, n ’était âgé "ine de i l ans. — Tendredi lOir, à Ü heures, M. Jicque:* M àzéai, retraité da part, âgé de 60 ans, n été s iftlte m e it frappé d'une attaque d'apo pleile d a n la w w nkre qu'il occupait ches: 4 Le Bihap, coidonnler. rue G irr». Ta»» le i soin» qui lsi furent donnés pa> M. Le Ulban et par M. Ajchard, ferblantier veaatt m« diehaigir d u lecrete qae je recilulu dana aaoa »au ; et depaL», hila» 1 |e giat» ! L'adcalalalrailca fiait I aar mal, «t poartaat J> a'avili-pai ds rival« 1 Oh I la «raelle qa’alle «ni, U u» a i r a i n » s’éaroala ail« se bouche les oretilu et aie laliaa crlir I » A la suite des p lu k i torrentielle* de ces Trilment, é admlalitratlon de» P. T. T., a'j a-t-t! deruler» jouri, le msr d» loutènement Ua pal de qaol voua dmoavolr ; et qa« taat-11 da la propriété db M. O n -,uel, saur haut de plae poar «tleadrlr vos sntrslllae ? — U» ordr» huit mèlrei, l'est e ;i ou é sur le chçmin de da alnlltr« T— Mali, qa« ae le dlilez-voua depuu Gloii-ï’ret'er. lhonplce. Quinze tnèt'vs de murai.le en-: !M|{t«mp> 1 g] Faulliesou du Caarrlir dn Flaiitéra - ' . ‘ Tïug’a r . d'hoe'h, a grelï t a l .n , t a m lin o n e t I S^tu porak e c’tioulennan ar m ô « 'h t Isldor en deuj c'hoa* eur Woa haní» r ria okeri mx Vffe bradet Keiwntr e oueiit atnlek h tiiô , an dud, o lire t peb bini Le leudl de la auoiaine dernière, aussitôt après le passage du train 7 des chemins de fer é»onoiulqien an rare de Plougonven-Plourln, le iiolr, à 8 h. 10, on r»levalt lu r 1» vole un corpi borriblem eit mutilé : le i deux Jambes étalent d étichéM d i corpi et an bras était complètement broyé. Le malheureux a reçu immédiatement t o n le i lo lm passibles, rca'» 4 10 h. 35 il expirait s a m avoir pu doi ner le moindre renseignement sur l’ac cident dont il était victime. Son nom est M L e H é n a ». On suppose que M. Le HénaV. c u lti vateur i Plougonven, ftgé de 40 ans, a ;ei té de nmuter d a m le train en marche et 'Il a glissé ions le i roies. L a queation du f u n iia la lr a On l'intéreise beaucoup en M a a v a iia m èra. — La temme Uoa-ài A i ^ h« I/DAl.aa nD i î S 'kkverzHi .e r x a . L - n a l... u O'hul c'hémer: evlt e\ eur MIJg to ul'ta ? Dlnec’h »c’h ssa.m ero'h kc* '; mud e chossln ev»i helTlt beia. F losgiivea Tanspoaaé par ua t r a in . — H d e ro lo g li •Au commencement de aatte.<a«n»iM f i t déqédé à Morlalx, >A. Des Ja ri de lié.-: rauroué. M. de K4raa(ot)é avait combattu dam les ruags des zouavei pontlflcuux et i a vaillance lui valut l« i décoratloni de Meitana, Pie IX et le n e Merentl. Longte m n secrétaire de U ioclé*d d'agtioaltiita tlo furroadiiaetqeat de M i u U . , U dut, l’année dernière, po*r came dé laaté, donier ►» démission.. L# société, roconnaitaïUnte de* services qa’ll lnl avaitU renlni. te pessena »oct*tat;e honoraire. Il al,i«eult une fouille mensuelle, le latin dm syncttcatu ifrtcoles dt liretagnr, c*v 11 fttttt •l’unx trèj grande compêtenco enlagrlçulture. Rappi Ionique ^.(dei^éum -, roüé ent pour com psaon uu onvrler de ta rue 'leu Vlgnei, oai «'enrôla aussi soui le drapeau de Pie JX et y trouva la mort. ballai, Psna-ar-Prat et Trivlly , — Ksrdunlel, par P»1U< et lerouaio h ; — i Peurll •sr Kerdern et Le tlei'guer ; — enla * Qulnonreo par Ooascaillen, HaInt ■ Thu dea, Q W “i vm, Kerfera st Kerlsdlenll Uitemenl, a*, le prifet, leralt oblisi d'avouer qua l'ouvei turo de cheaaln» vlolaaux alsiiioaatt à •(>¿»«1 blen pini que Is couatruutlon d'uu palali aeolalrs qus nul contrikuablo, lalaii libre, n'auralt voli si doni on l'tv a li nul besolu II Coutrlbuablei, noi amie, n u t- o i pai qua aoui dlsous vral ? le i fra c k^uliko nâo tm eu* c’ûoa» d * lâT^r^t 5 diouaUit da wersa ac’h a ih o n , na d »m xud, Iaaaadla. — Un Inoeadle a c a u s a i îe.ooe Mloa da pailla, l.oc» kilo» d’avolaeeonlena»duna aaa hache et an hangar, chae M. Qairi, de Kerh»el, en Plouinsn. Lee bttlaeat» oat p i être pr*e»rvéi. taniissEmerà de Iorlaii moment, dam le monde commercial de Morlalx, A la qiestloi du failculnire éi toai'psrtrtj.irièrement aux combinaisons qui permettraient n o achèvement et nu mise en activité. Les uas racontent que MM. Fabre et Oballuiseau, entrep'aaeura et concriulounnlres da la ligne oépsrtçmeutsla de. Mor lalx a Plrstln-lei-Urèvdé, taraient dlepMés à entrer e« converixtloa avec ln S jcU té du tunlculelri pour acheter & calla-cl tau» ses M o rt d* froid. — M. Y re» Trellu, (M o i, ouldroits, le» Immeuble* et lo i travaux d*}a tlvsuur a Keijekel, en Q'i*m*n4»en, en •« readant à 1« ine»« nu bout« trouva Inanimi au* la exécutes rontt, Liuuli Tmi'noat, laotommoJeur do. para Leur valeur serait payée p if (|ei ae.tlom pluies, luna dumUlla. de la tuture so lété d'exploitatloa dé U Ce mulü.iuiuu* a i'ft auocomber * «ne congésllgfie Monaix-Pleatln lM-Urèvai. tlo* oooiialonnAo pur le Irold al l'alouul. La des npire^aaa ».iraient c» U'Ieu par veilla, Il avait ¿10 vu cou -hl d-na us* Uoqvo, ta i état d’ivreaiie. ’ 1 k tout le ponde avec setf|faut)o>u ■ Il tant s|outer fat à l a s a it« t mit., i Id.^t S p éce t aurait imposé le fanlculatre aux couctssloiualres dei ctam lni de ter dépaiteA o o H e n t m a r t a l . — M i l e Françoise Fléjou, de Kroaa-Heitangoff, recevait la ntenteux, la H k h ,lf! Muclstx à Pleiïm-lei(iiè^ea ne poivatt #tr - *»|ioliee normalundi 21) novembre, au loir, uue dcpêctie l,-..ur ut e»m le fnnicolare'. 1*1 annonçant ia m iri tB *o i u url it’.r*e Les actlannalres i^-.vraleit de* titres n ie , par accld~r«t * Né'«|r (Ofue) Fléjou, dru chemlnm de f»r d. partemsntaüx rap< &/é awi'tomflut la 37 au», U U U six oi.Uo'a po ta.it 50/1, ï», av:l* p '.r r lia t.e a échange en b i» a * a : l'a im a l i ans, le plur¡¿vue, d •« leun action» ; o i vn même liisqu'à dira deux o» trel i m il» 1 que tes aoiiovAhiri-'s, ssécontenti de cette Le corpi d’< ia vletluii' ae ié transporte axproarlatlan. rér.U'oi \t une lndemnif^ de Nécy a Spézet, eu iinhumatt» 1 a eu ileu a»e l 'l u t et le <*6p;tr' ment {c'eut A-dire samedi matin. f ue leua le» oonfrteunk va sama wotpHon) Aoolden* g ra v e . — Jaièpho Qu|lllec, luytr. du Goiliu, »geo de 10 ans, est une épt'ep- V f81t ce qui oiécèd» est exact, cette nou tlaue. Mardi, 30 novembre, seule a la ç.alvelle coiuiuiiation eatialaerait une. aug 10 a avéc «ou petit Irè' e, elle tomba dans mentation de dépeça?! finvUpnîQD.Maft.,. le ten- La figure et ln oou «ont presque auo le üoasell généifl, M êle k bel prin entièrement brtié». La pauvre enfant q*i cipes d’économie, et va l’état lamentanli fait pitié a voir, est. menacée de perar» des IluaroM da département, » i peui ap l'ssll gauoh» ; Il y a m *«n à cralodre qu'elle prouver ; ce tait entr; lierait w» prai un ne puisse survivre a se» horribles kiûiures. nouveau re’ ard de plm ionriainéerpopr 1# N o m in a t i« - M. Taro, préco lemmoot ■,,tc d* la o< aitrut.ilon U cbensln de ter de employé * la g«ro d;.- tlourln. v iiut dé'.re Marlsix à Piounwur-Ca W atule et 9elIornumm i «bot de fave 4 Üpô»*t, ea rempla lalx à G ie rluq uln , reUrd qui causerait in cement de Urne Jamot. nommée i Garni et. préjudice coaiidérabl» A notre région. Qoiclaalon : dépenses exagérées d’une ▲a Heu da routes, un p a la li. — Oa part, retard préjaaïolabie de 1autre. noas écrit U lettre suivante : Laquelle des deox ve ston■est la vrai» i Nos» eaatroni q'ie noua n» serons paa taxis C'est ce q i'il importe de connaître. de aalomnlateur» en lilaunt qat notre «runde ooœiaiin» «auque complètement de routes I G est 1A un luit t'i» litsa connu de tuut le canton 4s Certielx... D»pula dea uaniea et des nnn*es noua n'avons oaasi de riolauier dea rouira, paa oarroiaablea, noa, malt doa ro’itea tout alipplemat Dlua ou moina pralloalilM »n «n mot, d u rnatsa aut notti permelteot de taire nos obetrola. N“** Mlllona, parolt-ll, voir sutn d s i Juatei reireudlostlona eeouiem, quand de pulaaantoa vol* ont ■stenti S la prilanlur« : MM. lui tnitltutaun rielamnlent «niialslall Cornino qeux-ol aont le» aulaota Riti» du jour, H. 1« Prilat l i.mpreua de luire droit i laur demande, ««ni «a demandar m i doute, al olle était Jmtltle. lin Islsant la lourd« o-ellu, il l«iuv<lt »e compromettra dinlnlre i M. Urland II Üe aerali dono, lt. 1» Profit «'il uuralt leipoat, d’oBie, la conitruotlon d'un palali aoolalre uhoi noui : au molai tout le cur rubini nç dal ket d»ou wenncg 1 Hor perc'hcnn-ni.pa garo hor gwerta, ea do e in d o ita d tnad a vounix. » d l” g X f i f a H J U *-1 r f i R a T i w n f o o l V o a S f K ó ’k e t g a i t a r S i 1A n i .'! ! ? W S ! » Æ i m i î o W d I... I » n l'a I S e llld u * i n t eux a n l p ; m n tM i jfe tr tu a ik i s u 'd » # ' t e r r a . — M aintenant que la campagne des p»mmcs de terre est terminée, si on la compare k celle de tfO I, 11 apparaît «u’il a été exporté en Angleterre an 1911, 17.SM tonnes de cette denrée a i prix moyen de 5 fr. les 110 kilos, ce qui représente la sommé de *75 MO francs ; en 1SM, u an a été expédié 15.20# to n ie s au prix moyen de 6 fr. fé l 100 kilos, soit prmr m ftéO T râic». II est à noter qu'en 19H, 90 navires dont 50 vspeurs anr'als ont »'té utlllsi s pour ces ixpprtatlons. B i 1908, U y a eu M Charcéments, dont 29 vapeur« seulement, d'où Il rélsort que cette année 11 a été employé 21 vapeurs de plus que l'année dernière et 1 «! l'etoptot d»e vapeurs tend à supplanter éflnitlvem»nt celui de» voilier», reconnu! motp» aptes i transporter pce marchandise périggsblu comme la poium j de t«rre. D ’autre part, malgré la grande différence des exportations (i 311 tonnes le plus en 19f9 qu'en 1941), le pays n’a reçu en plus des Anglais que la bagatelle dv 83.000 fr., de sorte ^u<f l’ancétj d’ibèadance n ’est g vire p oütabU aux caltivatears de 1« régioni,.a mé .'cnte Ve îetiry p /o lu its provient d ut) né ec ce que la ctùtuic de* pommes de terre, qui est la plus grande, sinon l'u nique ressource d is travailleurs de la terre, a btriolÿ d’être pstfectiounéfc II i onvlentfra de s'attacher à ootenirdèr. iliO des résultats meilleurs qui permcttiont de concurrencer les récoltants du nord du Flntntère ; ces derniers, tu ' tff«t, produisant plus tôt, vendent leurs marchandises à un prix beau coup plus rémunérateur. Nul ne doit Ignorer que la ser^encs de mande k être changée tous Us aas et qu'il e»t nécessaire d'employer lncontlneat les engrais chimiques, qui Jusqa'U.1 ent été totalement délaissés. Ta la qualité «le la terr» et la doacear du climat, l«s résultats n» se taro-it pas at tendre. D ’i * autre côté, si les qc»|iî s itie ls , qvl a,.nt c ia ip è u w e n t 1» sufliaant-e, valaient a être praïongis en «wu pretonde cesasae Ils dolveat l'être poar 1910, Il est i, préaasaer u t l'ou reca . r tit a L o c tily d -mvapeirs l i n plus fort tonnage qal ne sciaient plus •xposéB. alaiii qae cela a est encore vu cette as,»ée, & s4'oxrner » q**l 3 o i i J o ir i après leur cha> gem ett par sulto da m an que d’e a i. Au surplis l t navin.» lo n t arri vés à la tois p a ir prend: « lov cuargamant. P ils fa 'll n'y a actueUetuent p'ac» k quM que pour 3 ou 4, les aatres pirdent aa U n p s considérable, c» q«l est ti&s préju diciable aux latérgis de la région ; II im porte d'y remédier au plus têt. Le port de Laotady, grdC'i il se.P dlsposltlona »«turcUc», c»V ücaUud b uh tiès grand développement. Il n ’est même pas doateux tu e <iès l'actèvementda nouveau quai, Loctady deviendra I* »a*t a’attacVe d ua certain nombre de chalutiers k vapeur k condition que le part soit relié i Pont l’Abbé par m e vole ferrée ; cctta ligne «st d é ji projetée. f lo n e u r In c e n d ia .— Ces Jours iernlars, un lnccidlu s'eat déclaré au vlllig e de Kerfloas, dans une meule de paille app&rtenait k U. Bahiaume Morvao, ciitivataar. Cette meule, ainsi qu'une meola de foin eo.,,iec.ë, devinrent la proie ;lrs flammes ava;.t q<>e toot tecourti pêt être organisé. Les pertes s'élèvent a ‘J M francs et sont couvertes par une assurance. Quoique les causes de ce sinistre ne soient pas nettement établies, on sippose qu’ane étincelle, s échappant du foyer avolslnant les mauhk-s, aura commaalqaé le feu à «es dernières. P le u b ln e c Im eendle. — Dans la nuit de vendredi i »amedl, à 11 h. 30, un Incendie B’e it déclaré d a u i la malson de M. Jacques Cubllllc, ma rin pêcheur, demeurant au village dq Kervrazee. en Plonhlnec. Malgré les secours apportés, par in poppUtion de ce village, alliez liflpnftan’ , on n'a pu (te rendre a s ltte da feu, qui était activé par le vent seuitlant en tempête. Maison et mobilier ont été la proie des gammes. Les dégtltJ s’élèvp.at k X.M0 franca eavlron. couverts par une assu rance. Tréogat c^éh itli * re-lnt av»o un rtVolVer puùr eKrayer le» même» Individu» qui enlevaient d«a MOUsaea d« c b ita lp tle r., M ail uu coup violent porté sur son bras lui lit Mfcbbi' non revolver qui fut pris par n i msraadeur. Fonem ant D é a e a v a r ta * ' a a c a d a v r e — L « 3 courant, a a « ve»«« Le l i e a , a e u a g ir « i R in a z I3ils troavalt d a a » a n cheaals cruax I» o d a v re d« J«a»' W M i s œ æfe:mw K .t h»»atél du taies, car le midectn e»p aia«rco s«la i mae mert ooeailoaaie par «aelraclwre d a «ries, L o c ta g y iS prôa la aaaapagaw dis p»aaas«s di iM H H M S B a a s a itw s ia N iH c » ! j ’o deus k e i holl an hevxlep xoul : goulcn*lt;M_dlMRt L»jpa 11» — a L e u » i»m da i W ke ie . j evel ar n i ili, p» n ’e i k*t di i?tfBt^p: Brf»pren* "fa, emlckaa* a-kenn »re»»« e ranker, er beé-ssan, troi o n tu ar c'haunl<l|»S, è li 1 ltiTLana arato he sonj, ka p’e*air al laboar a gtask, ahtrt anaenr a v»t» r»d lordai da «laik plfr dTt*kl... Petra Uvlrlt, plac’blk 1 » i— t Netr» I* aiamm 1 nemed' e Mfran ar parkeler m ilec'k eged blskesx '... N'ised » r ekulzan » Crelz trous ha dlspac'k ar c’hearì»u kreln I » r — «,PlM'htk.ptaar.l m'a pV» racket laboirat var ar measl»», »v»l am eus great, n i vijsr ket cuomet ho c'hdant enaho TOlftlI J ' : »’*>•• l1 « ' — HarnmI oad awale'h es» hoapagle faVJaaYd’ir o W n e a r e tlintì^aii, ar ìarisoiia uYTaif òatTa > r e i f tlàntV l' an n e r c h lil » i irrondissement h Huimperll M e tta a Iaeeadla. — Dlaaathe lelr, en lanadle aa dalaanlt chu Un« viave Rohto, i Kergrots. L* t«a »rit dans aa aaigaal» da naercerl« «t a« fat iUlnt qa’i oazl h«ar«i. Le» d iftt» i«at «aiaz laportaat» pilstia’oa l u ivalue & pria de l».»eo Irane». •ÏÏS S S S T iT 'T în rp T ü la e s e iT ^ p h a rm * . 21, rue de G ram m oit, Parla, et voua rece v r a franco avec un almanach gratis, ane boite de Pilule* Baisses, le meilleur ren a e d e c o n tre . Im i c o A B ttp a tlo a . m a a v d > * f m n » n et ____ ________ A U G H K W T A T ïO m D U R E V E N U Toute p e rio n n l âgée désirant »siurer le repol de sa vieillesse, peut se constituer de gros revenus par la Rente Viagère. Elle aura, en traitant avec L K P H E n I X (en treprise privée, assujettie au contrôle de l’w a t), Sx. r ie Lathyette, Paris, la certi tude de vivre de aes rentes, aam aléai ni formalités pour leur paiement. Cette Com pagnie présente à cet ég ird une sécurité absolue. Aùéuhe ne peufoffrir plus d'ivantages, plus de facilités, plus de garanties à ses rentlçrs. S’adresser a son slege sociel ou à ses agents généraux. 7(11 rax-ttn e oa, er begad douar. Kalz zoken, o dite c’buexet d'hoc’k ’n ho skouarn, e oa D is io lle r framasoun. AOtrou persoun ïre v e ltre a grede '»l•banz « c’nelie ar c’helou-xe beca gw irlo* : r ik , pa ouexaa e l»a an traou k»n mad •treshan ha Jullan, e teaaz dloustu da vrelet hen-man. Dlgemeret oe gant douJins, hogen, pa reas da arjiout, an digar» deis he valeaaenn ne «a mul sllaoiet. — < * v lr eo I aotreu la r v a i, Dussoller na rén ke t e ir vue krlsten ; hogen, e rc ’hemmwers nan euz ket da evestM nag oux r»UJlon, nag ous • polltlk a i ar skfant-prenet e lavar a’omp ex eus tud v id ha tud fall enn dfou gostesenn I asspenn-ze, skoazell • ra d’ln p’am eu* ezomm : ne welan ket perak 'ta e-keoierfen drouk o uth a nl a Setu a rankas an actrou per»oun klla he p seta greet netta. Ualoo'h eged blskoaz et», DussalUr ha J u lla i a Joma* u ia n e t. A n aotrou Cbastlng»assóller, choraet intanv abaoue maro he vrotjt, en doa tri a vagale: diou verc'h laouanklk c'hoas, bag «ar m»b, oajet a btm p bloa var 'n ug»nt. ...a Oh I la 'Vad l aotrou DussoIUr, a i tra o d e la mad-kenafl. R e a labour am euz Koues sn ameseien neves, greet gant Jullan e Kernltra, ar gwella, Ijep mar e oe an »otrou Chastins'-DuSsoller. Deu* ar re — < Í ? a laboar ï — .7 » l- p «r*k I entae oa bet o tare»»pr»d hostalefl Jullan, ha breman, petra bennate e rea hen-man ne gemerai két eur «ekretetir l > « io n je t 'm c u i hen ober lv»z : hngen eur 6’hemm-'««t dem-henvel d’he bini, — Oftnet ba'Sarcter »’hemm -vrers, an aotrou Jferuand Daiioller en dos eun anaoudegex vra? o u M r , W ¥ è ent» he *i$jM}n, Juitan et en n «mtì D M io llir , oajet a kemp blea hag hanterIcant, d'ar m i n J t re d an danev»U-aan, • oa un an deus plnvlalka bourc'hftlen Ker-“ ■ '‘■'H e haùo en doa.brud vrax, n ’eo k»t LAImanak ar Breizad pour 1910, avec sept ma gnifiques gravures repré sentant la Vierge couronnée de Kernitron, H. Diraison, notre regretté rédacteur en chef, des aéroplanes, etc. Le texte très compact comprend la revue de l’an née, la lettre des Evêques au sujet des écoles, un ar ticle très documenté eu vue des élections prochai nes; d’autres articles ins tructifs sur les pôles, les comètes, etc. Et pour égayer le tout, des devinettes et une lé gende touchante autant qu’attrayante. 7 fr. le cent, le port en plus. Lm expéditions, com mencées cette semaine, so continueront dans l’ordre de réception des comman des à l'imprimerie du Courritr du Finistère. Prière d’indiquer le mode d’«nvoi et, s'il y a lieu, la gare destinataire. 3 • r a v i a a c ld a n t da v o liu r e . — Le jeudi de la semaine dernière, ver» & heures du soir, Guiilou, de Malars, et Le Roux, de Tréogat, regagnaient en char k banc» leur demeure après la foire de Pont-l’Abbé. Arrivé près de Tréogat, Gulllon voulut dé poser Le Roux, mais celui cl se ttoavalt sur le côté droit de la route, Guiilou au lieu de ae porter k gauche voulut déposer Le Roux par la droite, m a l! la place mauqaalt et le voiture Ua Gailiou vint donner dans le rossé et ensuite contre le mur. Par ls violence du choc, Guiilou qui se trouvait être seul dam sa voiture, fût pïoj-v.é dîna un champ. O i sa p ir’.a ar usltOt k sou secours. Il avait plusieurs côtes brisées et unu blessure i la tête. Les blessures rr*ues par Gulllon étalent assez grave, sans Inspirer d'inquiétudes- n ’ensveaan den ebed a gement 'c’hellfen Br.iout ennhan eur garg ken Krevux. a ' «ss* a M'tLnavezex den barrek awale'h evit ar stad-aa !... Soitox I... P ia n 'c'hellfe ober i n taolT... R io » ?... ijW ll k a v q t’m e u z a n dea 1 Y uan mad tu r ! ■leal evel our c’hi : heneat'agtz «ur sil I fian thsu ec'h belli b iza dlnee'b 1 u r r à da zaoulagad, hakoUEku Vrir da sto* s m a t i I à .— '« lu x a belec’k eo, mar pllj ? a — a Ah teli n'ep kut euz ar v ,o: nze 'man he tos'hed't...'Ha neaseI teoar, me gaoze d’ids hogen, atabal eo koulikoude e H E R N IE V IE N T R E P A R A IT R E ♦ V ARieE8.CHÜfE3d.HATHÏ5SS DÉPLACEMENTS tu ORGANES Let Appartll» Edouard (de P*rlt) sont lot plus modernes. — lovpm et fnrltltles, lit tont let tiuk pouvant assurer la gtirlson. T o u t t é t4 d i t s u r l a h e r n i e : le s p r o m o M M I f i p l « « r o n n a i t e s s o n t p t f b l i c e ' *r. n*» ! n)6(a feu offllgé» d« ¿«Ue D ’t o t t f t f e n t p lu a le o f c o n f T if t c » c iu û x»j.' A . » d o u a r d le • ! rn pn tfe s^écialiite-fierD iairc d « » a r i a , d o n t lo i éloges no son t plus ft foire Xia d U p u r lt lo s i de l a b a r n t e est m a in t e n a it à Ui portée de to u s , (frfice ft l'tn c o m p r.r u b !e m ^ t b o d « S d o n m d d ô llu itlv e m e n t im p la n té e p a rto u t et q u i laisse bien lo in derrière elle. I.-s ancien s ban dages chaq ue Jour p rôn és 6 g ra n d s re nforts do réclam e. A ussi est-ce un de voir p o u r n o u s d 'an n on co r 6 tous lea intéressés le a o u v o a n p â » < a | é d in e ü o tfa corttfée de HT A . B f lo n a r d , cé c é lè b r e e t d e v o u t p ru tteien.etfrflcommandafltafoxiûtéi'oRfcésrtiomfrreB, fem m es et en fa n ts, d ’a lie r pro fite r do bcj ••dbaIIs è e la lv M A- Morlalx. le samedi 1 " Janvier, hôtel Bozellec. PIoUi>astel-Daoalas, le dimanche 2, hôtel des Voyageurs. Rrest, le lundi 3, hôtel du Cheval-Blanc. Pour renseignements : Ecrir» k M. Edouard, 140, boulevard Richard Lenoir. Paris, 11*. 8546 G U E R IS O N D E S IN F IR M E S runs appareils, sans opérations Salt-on quelle erreur on commet i lors qu'on enferme un malheureux coxalglque, Un entant surtout, un boiteux atteint de tumeur blanche du genou oa da Pied, dans un appareil immobillsateur, une Jeune fille au dos dévié dans Un corset de fer ou de pl&tre : lorsqu'on opère des piadi-bots ou qu’on les enterme d a m dei chaussure* dites orthopédique», lo rsùi on applique d e i appareils d’acier A un enfant paralysé des Jambe* et des pieds ? Ce sont la des procé dés barbares etiautllee, souvent nuisibles, a abandonner. GiSlce t. une méthode nouvelle et ration nelle, sans corset, al appareil», ni opéra tion, le ftocteur BALMON, directeur d» 1 I m t i t i t Orthopédique de Caiteleu-Lille (Nord), se signale k l’attention 4e to is ceux qui souffrait de déviation» du dos et des membres, maladie de Llttle (raideur des bras et des jambes), boiterie», coxalgie#, paralysie?, pleds-kot», rhumatismes chro niques, etc.jpar.se» aolns, l'in firmité dlspa- LA H E R N IE Le hemieux qui souffre toute l’année des Inconvénients de son tnlirnoité nsalencontiease ne connaît réellement qu’en hiver toate l'éten l ue de soa mal. r>a tenx le isoïoqae, le courbe en deux, foi ç«\nt la kernic à s'échapper Jour et nuit, malgré la pression violente des ressorts les plus rigides. G’eat dire que, plu* que Jamais, il est de l’intérêt de ceux qui «ouffreit de taire ap pel sa m retard ¡aux a p p a r e il « s a n s r c i■ ort p e r f e c t io n n e * inventés par M . A . C L A V E R IE , le grand spécialiste de Parti, dont la reaommée est répandue d a m le monde entier et dont le nom est particu lièrem ent cornu dsrs notre région pour les nombreuses gnéilsons que ce Rrand praticien a su y obtenir. .......... Seuls en effet, les appareils C L A V E R IE asspre une cocteuHon I l li m i t é e mais dot’ae et facilement supportée. fl’est pourquoi, nous ce isurlons trop recommander à ceus de nos lecteur# qui souffrent de h e r n ie » , e f f o r t i , descen tes. m a l a d ie » (la r e n t r e , de proiiter de la trop rare présence parmi nou» de M . A . CLAVË1UE, et des conseils désin téressé» que ce savant spécialiste prodipue gratuitement à tous ceux qu, viennent se coniier à sec soins éclairés. M. A . C L A V E R IE , recevra de 9 h. à i h. : A B R E S T , dimanche !2 décembre, hat e l C o n t in e n t a l A IiA n O lîR P Ilü A U , lundi 13, h f lt e l de r iÎ B lr ^ r e A S^T-VOL !>E L E O N , mardi 14, h ô t e l <j<» F e n n e c . A M O IU A I.Y acïPered 15 h ô t e l d e l ’iia r o p e . A C H A T E A O L IN , jeudi 16, hôtt-1 d e l a G r a n l ’M a ta o n . A Q U IM P E R L E , vendredi 17, h ô t e l da L io n d ’O r. A Q U 1M P E K , samedi 18, h ô t e l d e l ’E p e e . appareil« perfautionnés 11 CLAVER IB ” pour le traitem ent des m aladie* du ventre, déviations des organe», varlcep, eto. . S5f>5 C H ïtiÜ '^ E S . XTRA CANTINIÈRE BLACK »Et it. m iille'iiue £*« Cti'.aore«? L» pive ««perlant» Fsbrfqu» dt Fys.~j» sanx c ïw e s ’ a, aia b ite - O U e - lc iz - fla a b ra l tKrra' oe CONFIANCE RS°orfevreIm*U psnbulco s'achètent aax Fab^TRIBAUDEAU | i « B E S A N Ç O N . - T arif"s e n a o y é s F r a r n o o S l P r l K Coaconra Obiartâtoire d* B*«ançon. P A R A P L U IE REV EL T 3 .9 0, U .» » , 7 ^ 0 , 1 0 .5 0 , “i 1650 8U PÎRIÏÜ RS A L’USAGE___ ses reprennent force et vigueur. Le doefr ur Salmon comultera à BRBST, hôtel Cottinental, le samedi 18 décem bre 1909. 8556 J bui fi'ium a ^ ÎMIUil r* bum lUuatré d» Koatr«., ■ ’l’y.-;;*?*»??.1**« O l..rcrl0 tf» O« « «J Oitisle1Oiitr ttClrt M M e i iEiioms et ï m m C U ez L ’H O M M E e t cher, l a F E M M E Maladies dt Matrice HERNIES Le Docteur G E R A R D , le flpéc'.allsw bien connu de Paris, 76, rue de ifaubeuge, l’auteur de la M é t h o d e O r t h o s p l t n e U n l q u e , la seule qui assire la cure radiale de la Hernie uns opit&tion et la guérison en quelques jour» et sans midictiments internes, des maladies de matrice, des nutîjuiie* de l'estomte et des nerfs même les plus anciennes et les plus rebelles à tout traitement et régime, don nera ses consultations à : M O R L A IX . dimanche 19 décembre, h b te l d e l ’E u r o p e . L E S K E V E N , landl 20 décembre, h ô t e l de F rance. , B R E S T , mardi 21 décembre, h d t e i C o n t ln e a t a l. ' NOTA. — Le Docteur revient tous les deux mois environ. Notice tranco. »M» fil l> P ro d u it n a tu re l "des Vins récoltés etdistiltés dans la Région de Cognac. BULLETIN COMMERCIAL H alle» dn F a r l i coür» eoüm d* 1 ite. i* » me. ?3uU.£à Dooxe «¿arques 30tr.75 "•i‘ *. ....... 23 50 a :‘.i¡fit1.* ■, lé i l .' 11 "0 75 ijjpreadcB reiagneviai) J ■ W (coiti /»nlliHal finnrrvr’fsi •«"ali de i ,0oo œ a îi j 113 » 30tr. II. 23 16 IS 112 K z r e k i i » ta ▼lUett* (Vxr ») as » dio. ■ tiMMeei I Tì-'it» *' — ^ } V» ’ Xtó ■ rÀi»kMi fa Ve*(i rti; lie»*4: - ‘ 1.460, t 4Vî! ibocca 74'!bes.î >3l| 713. Id 271 Ifl ta n e u .; tsoi 1 137 ld VMIIX..J 1.2SS 1 . 11«. Id «»suib * ;h 400iia.""' mauvaise '-i>rol...| G 6871 6. 0<86 t 1' 0 st 1 t 0 72 i 1 1 04 1 1 10 i 3 0 80 f t ss 5& 31 74 1S H Béposftalra ì St-Pil de Liso EN S O % ?OUK& LE. MOR M J VAN, M J Lrue J L da Colombier IMJ.E1I COULEURS. NEUSASTHfNIE 1HLUelrns BLAKCHES. euBVAU5CEIICE| Brait : d*p. : gr. pb. r6g. uour., r. Louis Pistour l'Onliapor.pli. *ér«,. ra» dtlat-Fraacil! __ l j m i J L U - j j j sonjfez era betu c’ùoaiit d’he welet en da dy, kentoc’h eged eun all I Evldhoud eo 1 rak-ie... • — a P» llvlrit e» « den *, me ho kr«d I Uetek hen am euz bet telz enn ho Itomzou, hep kaout digare da geuzia goude ; re lap ket da Jeach birlo I mad eo an den-ze evldbon I > — « N'az po ket d’en em glemm I ganin n e co bet epsd daou vlo», hag hirroc’h e vlje ebomet c'hoaz, psnevert e teuaz va mab d’ar gear, echu ganthan he dro Franz, a — a Trugare d'toc’h I aotrou Dussolier... a — « Aotrou Duüsolier I... Awale’h ?• aotroned evelse I knmz o u iln eVel ouz da vreur I Lavar d in Fem and enn-tan I » — « Trugare 'ta I aptrou... Fernand I Trusrare 'vit an holl bosn »pered e kemerit evldhon I » — « I t r e mlgnoned hag çraezeien, traou ’vel»e o ’eo netra I lv u r e z oun, en enep, 0 klask rei plljadur oa eun den eveldbood 1 rak te da vihana a inter.t eun dra henna* : n'oud ket dallet gant »orc’bennou bcleiea I » — « • h i n»n evadi K riite n oun, ha kredi 'ran ; hogen, n» lavaran ket a vete an holl draou mad ouz va zu : an diou go»tezeD nodi;u?hololennvad b agh ob ln i fall I a ' — « Bravo I evelse diete komz peb den, hag ar peoc'h a renfo dre boli I— Setu ase i .. varc’hoa/. dioustn eekrlvln d’an den laouank e komzan dlvar he boeez. Ankoueet a sa eus da rel d i i dn c'hruxout e chom e Parlz, hag eo hanvet Jut tìergatf. Me a skrlvo d’i.zhan ’ta, bag araok an els de a veso ea da dy. Stcler eo, ec’h te B l rei d'eznan ar franklz d io m ti, mar ne bllj két d’id I... N 'eiz ket a varo’had greet, te o»r l a — « Fernand l a jre ls k a lo i e trugarekia ac'hanhOTid 1... S ili t.kem er breman tu r banplk a in e • evlt stella ar pez zo b*t etrw om p I •' ...D'ar zaiorn goude kreiz-dc, e .tigonezaz J u l Bergas. v* * a a • Dussoller kag he vab hen bleinaz betelc ty, he veatr nevez. B«r paotr llpet braceo Ju l, evlt dor-e : na vele ket kredet, dlouz he welet, lA-et anezhan eur mevel, na *ok»n enr sekre tour ! G w iikct eo ’vel eurbourc’hlx, hedln« dan rlbl he dck * m *’oa » e aaavizer, dra ar gwel deuz ar pleg, bleo daou-hanteret-i ledet con daou du. Var lie rireiti, daouta^ad glaz luc’hat'uaÿ gant eur »onstach gclf iu?. e ra d’eih an euu digemer diUan tji ter. — « Ah bén 1 rte gred ne v eii ket droub* laouen ouz '•a rekrctour? * eme Dusso«lec goude ar a' c’hlnnlgoa a kuatum. — « Oíi I e t enep a vezo acwtoc’h , e k re dan I Ao aotrou Bergaa en deuz eun dlgemer a ?.oar;ì : he benu ‘so »eder, ho tagad ‘x6 lanini, iizianz am euz e w tm p labour tàlvoudaz ha tiege* vad hon daou I » — « Trugare ’vit h» kòmzofl midalezuz,’ ic veuleudiuz evidhon I An digemer ken kalonek a gavan enn ho ty. azalek a¡» taol tenta, e ra d in lenn enn amser da zent, aa dudiusa emgleo etreromp I » — . Re evuruz da vezettrert hoc'h anaoudegez, aotreu Bergin l Breman. p egulr eo tremerei enn hanter deu* er, deli, deoma da goùe r bep a vanne kafe, a'ettr gaoienl» opiò eun dam ili deut al iodeaa »11 !... D euit u , aotrou BergasI A llo ! deult ’t a aotroned l a ______________ (Jf* it n M if h t r .) * O A V O W iiQ g N Q O B/esUnno» a •«»s* K iflféiài rWiHwwi Ci'.. 1 f••1 l m ''( ¡ m m m 'm y m m m t H E U R E U S E N O U V E L L E T O U R L E S B R E S T O IS U P a r ïs - T a îllç iii“ s ’in s ta lle â B r e s t 3 9 bis, ru e M onge (près la rue de Siam ) 2 2 » » )) )) 50 50 7 3 )) )) 29 “ ’, rus Monge (près la rue de Siam), B R EST t R a is o n tr è s im p o r t a n t e §e n n e s, a 8 , ru e Tandon dû * I o • M* A« B A U D , __________ M* . Louis A L L A I!1?, Etude M m V rH IT D 'T ar adjudication publlnotaire A ¿alnt-Pol de Léon taire k Balnt-Renan il-’lnlstôre). V u ll 1 Ci quo et volontaire. jFinlstèro). , _ _ n tudo do U* Pouliquen, irKiivrrp.de biens de mineurs, V P i l i l l l *«)' kaisso mxsr * nutulrc ft Landlvlslaum n r n « íe s . L e T e n d r e d ll7 d éce m b re i , i» commune 1,6 £lL e l e a d l US d fic e m b r o 1!)09, 1«09, a dix heures du .natln d o Í í ? O i frrondlM em ent de k une heure et demie do l oprosA u lieu de Kerdévy, en P io n B ar. JAorlalx' • _______ ^ midi. En l’étude do M* do Rodellec UNE FER M E A djudication, le v c n d rC '- 1 1» d é c e m b r e ; 1909, .d0IlX du Porzlc, notaire ô '8 »ln t*R e ' ctnNistant eu logcmer.tu en bon état, terrfs chaudes et frolden. heures de 1 après-midi. Premier lot i.onée aux époux Gulvarc’h, En.Vótndo et'prvr le ttlnw tèM E n la commune de J lo h a r » . jusqu’au 59 septembre 1914. pour de M* Lavalou, notaire A et par extension en celle de 300 francs l’an et l’acquit drs lmSalnt-Pol de Léon. L a m b é r .o llc c . à cluq kilo iiOtu I» Près la vlllo, an llendlt DelCette ferme a uue contenance mètres de Brest, leüu«-La Cllalso, ie 3 h. 59 a. 90 s. La'M inoterie Une Mal$on d’habitation On traiterait avant l'adjudica du Ponchou tion, en cas d’oïrefl ari(S»antes. rtt ■ « - chaussée, S’adresser, pour visiter sur les étage euçreiiier, jardinet Clos de montée i cyllr.dre pour 100 quin lieux et pour toos rctsettfncm urs, oablnets d alsanoe et taux de blé p«-r Joù", grande ments et pour t r r l’.er à M* Ga cher. , . chute d’eau, mucülne’ ù k m pau briel Poullquen, potaire. m î» Ko tout est loué s vre ù i oheveaux, neuve. Cadastre, section 0 , numéro M A lS O n d’habitation, b âti Etude do M' K E K N E I8 , avoué 856. de doux aies environ. ment d ’e x p lo it a t io n , vécurle«, re à Morlalx Mise A prix : * ,0 0 0 fr. mises, jardins, parc, bols, seires, 2® Au’rord du précédent et y pialrles, lavoir couvert. Joignant, D ’uue superllcle de i hectares bilière delô e’E R M K d n IlO U R Deux soues à porcs 20 &rcfl> G E S , en S a ln tT lié flr o n iie c , Cette minoterie ebt "n e des nuDODc^e pour le lO d f ic ç o ib r o étuble et écurie, malson servant do logement à M.iBaron, grange, plus fortes de la région* possède 1909, à l’auilicnce des criées du le tout construit en maçonnerie féclalrage electrlque est en tribunal civil de Morlalx, n’anra et couvert en ardoises, codr, plelno activité et .était exploitée pas lien. «<ro A battre, cadastré soutlou p a rM , Monot, propriétaire. L’avoué poursuivant, Facilités de transport è proxi l i ul'm ûro 856, contenant six V. K E RN ÏU S m ité de deux Rares. Mise à prix : 7 0 .0 0 0 fr. ' “ F a is a it suite A l’aire à battre, Etude do M* B A R JO U , notaire E t in fim e nu- dei»8on« d e fi LesntvuU lin chamo ¿5 terra labourable c e tto m ls o à p r ix . N B. — Le matériel d exploi ï. , D .« fi corté au cadas. dit, or.r rnntC' tation pourra êtro pris par Tactro section G .ftum éro « » j > e m ai-ili un (ló.-.rinbre 1901, quércur k dire d’expert. » a n * tre a te - W t « e s a»* . ^ a uue heure de t'après-mldl. ceutiares,. ayant se», lo s u s au Ptuxiim« lot Lot milqvie Kn la commune de i.2 5 »b * ’ En la commune, do l ’io n ld e r , f eMls‘e à prix j' 4 ,0 0 0 Ir. zellec, au Heu de Kerlé- il ftundven, J'acuité do .réunion„pour ces guer, fl^ XA u Bterrolr de IKirnsnput/, «n champ de .terre 'labourable d it Parc-Kornonsuy-Iîfa#, ca dastré section 6 , numéro 898, titu r unecontenancedo salíante, •o p t ares vingt-cinq centiares, î y l n t sestosiésau cerne,saut sur le numéro 899, ctm prls. dans le quatrième lot. Mise A prix : 4 ,0 0 0 lr. 4» A 3 sud du précédent Un champ t» terre labourable d it Parc cadastiê Section 0 , n im é ro S & pour une contenance de quarante ■neuf ares soixante centiares. A l'est du numéro 899, ¡Autre Champ dit Paro-Blhan-Kernenguy cadastré section G, numéro 900, ares. S t T n m s Î r 0^ » ? ^ ! Ces champs ont leurs fossés au cerne, saut M 'e st. Mlso à prix : 8,000 fr. 5« Quartier du V éiaudan, Un champ j , . parc-Bean-ar-Rezen, cadas tré section D , numéro 46, conte n an t trente-cinq ares. A yant /ossé* A l’est et sur le chemin et p».rVle sncI. Mise * prix l a ^ O O tr. 6« A l’ouest dn précédent, Un champ de terre labourable scinquante-sept a » « ? « Mj j M s æ “* *"• * Mise à prix : M v , J « • 851*____________ A . 1e salle de dan. de Gui- r , Le d lm a ta c h e 1 9 d é c e m b r e 1909, A 2 benrei. E n U commune de (¿ n ie la n la ferme et le moulin de Kergoi contenant e hectares 12 ares 03 C0L o u é i, « u l consorta Mlngam , 100 francs l’an , plu* ïa c q u lt de« mm et Fils Etude de M* A N T HONY, a’/eué 4 Brest, rue d'AlRUiil.in, 18 ir n iliT lJ judiciaire, en l’étude de i t i l l l l ü M" Lamarqae, notaire u Un bv, rue de Siam, n* 26. Le J e u d i 2 3 d é c e m b r e 1909, iid e u x h tu rc s de 1après-midi. A lle c o u v r a u c e , en lnça'e sur leo rues Ijiru re n t Le Gendre et Lars, où II porte le n-13, UN T E R R A I N I Propre a bâtir Etude do M* QU EN TEL, notaire Contenance : 330 mètres carK Lannilis rés Mise & prix : 8 ,0 0 0 fr. Pour tousrenselgntm cnts, s’a Lv 1 2 det-c<i>b-e IliOS, il une dresser il U* Lnmarque, notaire, heure. h. M* Anthony, avoué poursui vant et A M* Sorgnlard, avouécollcltant. *-549 L a n u llls , occupe par M. Bre ton. 853y ADJUDICATION  | : Du lieu de Porsimon Etude de M* QUENTKL, notaire A Lannilis |OrlUe«, C roix . E n to u ra g e s KM TSn BT RN Ï0NTII PAIX H O 0 fe 'R K S llü l lilfflill ^ j B w a i p i U J 1 0 ,8 0 0 fr. rrsntwiv.utnwitî' C h e m in a d e f*-r d e l ’E ta t JOUVENCE de l’abbâ SOURY JOUVENCE de l’abbé Soury ïm«r m p.nr»n on to u tj confiance, car elle gu4.lt tou» le . Jours des milliers de désespérées. i r La J O U V E N C E se trouvent dans toutes les pharmacieB. Le flacon 3 fr. 5 0 ; franco gare, 4 tr. 10. Le3 3 flacons contre mandat-poste 10 fr. » 0 , adressé pharm. M ag. Dumontier, Rouen. fNotice et renseignements confidentiels gratis/ BépôtB b B r e s t : Phar. Lebigot, Verger, Phar. Rétaie Andrôs, A Lambé* liée, phar. Féret. ____ Chareteur. __________ — _______ .. . PB sjior.a: er, pharm. Ladouce. — A ilorlaix, pharm. CœU. —A A St-Pol de L*on, pharm. Blaudln. — A Crozon, pharm Hous 3 e. — A Landiwsiaw, phann. Donaile. — A Landerneau, iiüarm. Kerbrat. — A St-Pierre, ph?rr.. David. — A Pont~ l'Abbé, pharm. Grall. — A Lesneven, pharm. Roudaut. 8527 «M F De 10 lots d' inclus, avant quatrs heuras du 8548 T *U * C h e m in é « M O »ÉLE S u x x e e “ “ lu <1© S E R IE U X demandés pour vente A c édit de valeurs A lots, contrats con formes A la loi. Fortes remises et gratllioatlons. S’adresser A la De la. terme de Crbaspren Caisse Economtqne Nationale, louée A M. Le Mnstre,,pour 3. 6 ■33 -.16., boulsvard du Temple on 9 ans, pour 105 fr. l'an. 8541 »»arts (M* année). R Ê V E ! Suspensions aa "¿¡¿-pétrole t B L B O T R I O I T El LEJO N C O U R , 45, ru» Traverse, BREST G O lP T O IR ’ S Ë H É R i L D E L ’A M ü B L E M B lîT . . ' ' .. V E N D R E de snâ a gué En S ain t- P ie rre Q u llb lg u o n près la Penfeld j | |l . ; j ' , ' ' K ie n v e jo u a n Ü a o u i d c ^ d A r m e d ia la H o u it a rr LA FERME DE LANGOULOUARN Brest. 6t, rue A lyuulor. > 18 bectares 13 ar -i 9' Ccunare», louée Jusqu’en 191?, moyennant 1,300 francs, l’aeqolt des impôts et une commission de 1 025 fr. {Kunlioi »tr* i k. bi 4 t. [«„: „ u i i Armedltln a oar fcrezoune*, hzç -1 chelUiijB. *r. dud c (ieui eiom <ia ; lumen he¡j(chenevttnunorenlion i A i i r n de su te, une MAIL v t t U SOU DE CO M lm p rimerie de U Presse libérala M ERCE e t F O R G E , a«, bourg rxiti d a C h & te a«, * . S>räj4 de C a lle ra . P ouî' visiter et traiter, s’adres g ufi n* se' audit lieu. 8534 A ¡.<£ô.£.\œtiu9\4tX L A JtA A l K E R L E R O U - P O U L I Q U E 1 2 2 , r u P a r is h a ru B u g e a u d H0R0LACH0Ü — BRAOIGOU — LUNE50U Andud n zi rad anezho ho-unan d’an ti-ze a. fizians, 0 c'hou1 tond enn-hi eun dibab braz a varc’h&douroz a aulit' rad I I T»D» I I I M I in r h ii^ à ?Oü vos ) Programmes Prospectos C O M M A JV D ES , Circulaires d'imprimés t AdililitratliiR SPÉCIALITÉ ABKSSSE7.-YOU8 RELUIRE »B CARTES DE VISITE * L ’I M P R I M E R I E fourrier da Finistère BREST, rue du OhJlteaa, 4 FOHDÉK KN 1876 B rm t — But de Paru, 97^- iO' — 1# * Ä nmn.H)imjnj5miutnranmjpwuiji)()>HjsWijiBnirtiuiutiiUiiini-.t(iiu : A B kzbt Ciruti I uickN I b fiica l’Bflllse Sam -Wartii* Lettre* f t . I i l m s c n lu (U d é c e m b re , & l 'heure. Eq P lo o g u e m o a u et Gnlssény, ' A l’occasion des tite s de Noël et du Nouvel Au. la durée de va lidité des billets d'aller e t retour pris l’Octroi, BRES1 ordinaires (grmdea ligne»), déli vrés pur toutes ta^es du réseau, de l’Etat, a partir du 23 décembre Etude ds M* FORGEOT, notaire 1909, sera prolongée exceptnnà Brest, 25, rue de la Mairie ncllemeut Jusqu’au dernier tra in du 6 janvier 1910. i m p r e s s i o n s L E LE LEJO N CO U R) 45, roe Tram*«, BREST Etude de M* QUENTKL, notaire soir. (i Lannilis 1 A G E N T S 1000-1310 Prolongstion de !a durée de vali dité des billets d’iller et retour APPAREILS DE CHAUFFAGE I. LE CROISEUR " LE TAGE " ||, L’EX-TflRPILLEUR N5 7 F„i I a n d é d a Fêtes de Noël et du Nouvel An SLouîou evit an dokec. ar velia remed evit ar vugalc. gvrers evel guochall sr 2R» I n f i r m a c i C o r b é A4S, rn o da V aria, ” ne b le a e 'h ne wei-zer k e n m a r c 'h r d M D I C A T M r .10, » : IJ.-B. Q R U I E C ADJUDICATION ’. ï « ? .; S A IN T IVKNAN le Proibytère) -nW— J uniquement composée de plante» Inoffensives Jouissant de pro priété» spéciales qui ont été étudiées et expérimentées pen dant de longues années. La J O U V E N C E est faite i les maladies de la femme. débarrasse l’intérieur de tous L ________ circuler le sang, décongestionne les organes, en même temps I j ju ’elle les cicatrise. La J O U V E N C E ne peut jamais être nul-, slble, et toute personne qui souffre d’une’ mauvaise circulation du sang, soit v a r ic e » , p h lé b it e s , h é m o r r o ïd e s , soit de 1e s t o m a c ou des n e r f » , c h a le n r » , v a p e u r s , 6 to n lT o m » n ta , sol malaises Uu K E T O l] K D’A G E doit employer la D O M A IN ES loués b MM. L'hoatls, de K-éra. L^s Koumibslcis doivent 6tre 11iiîs è à prix s 3,(-00 fr.____8521 moml ; Hou7.1c et llen é Le üuen. de Suinte-Margnerlte. 8540 déposé« du 13 an 15 décembre (an /aco «j- . - o ti Toute femme qui souffre d’un trouble quelconque d e là menstruation , règles itriaulièrcs ou douloureuses,: en avance ou en 'etard, pertes blanches, muUdies intérieures, métrites, flbrôme, snlpingyle, ovarite, suites de couches, guérira sOrement, sans qu’il soit besoin de recourir à une opération, rien qu’en faisant usage de la Il sera procédé le m a r d i 21 d é c e m b re 1909, a nue heure, aa bureau des Domaines, 40, rue (¿g m ç f i ü 1.4 d é c e m b r e du Château, à la vante sur sou U n e p e tite F E R M E missions cachetées, de : consister;*' t u n\»!»on, c è ç h e et 1909,’à une heure.* SCULPTUaE * MARBRERIE SH TOUS ÜKNIIKI Jü » . 1 'N ig POUR LA FEMME \ T E N D R E volontaire,* cn’l’éî CKÎrargien-OeDlIsts UNE MAISON BLÉS ^>2 sotit envoyés fraucv) A dam ile contre timbres ou mandat-*. Etuds deM* M A N IE R E , notaire il Q .Imper Ba vira Marchand ¿range, couverte» t iî »rOoUtS, et terres labourables, cou U nau t environ 1 hectare 39 arcs 70 cen- ^ H Dnclcur Bvgèar DUPRYnOUX, m la cninm uie de Ile o v le , oorn 6, square ne Messine, Paris, posée de sus edlli'.ts et terres et -tny, i- 51 la hiber«i«loie Oiit tant de rictlines, c'est parce q«e les niécontenant 11 U. 31 a. 80 c. a^cins no auvent pas la soigner. Aux ha (notiseli caiemnles dont m lio n o re n t dV ulrr e u t, je réponds par dea ftiits précis et des preuves irr4Le tout affermé 4 Rsné Prl- nïà•tains ablei. <‘>iw cc* ln«ultonrs montrent donc, de pareils résultat«! L’ElixIi* gent, Ju»qu’i‘u29 septewbrel9U, l)bpp e jr o u i, h Ixiir de créosote vraie de hêtre, Iode, tnnio, (clycérophosmoyennant un fermage annuel ;»fc«te «le tImiiit, jçncri leu let<ioas lub ci’culeuses en provoquant ki formad antiioxines dans ls aéruia M iipuin. — C onsultations gratuites teue de 1,150 tr , l’acquit des couti i- lee Jours, excepté les jeudis et les jours de fTte, de i h e u if à‘3 heures, daim bntions et une commission de i»4)ii cabinet du S, square de Messine, Paria. — Consultation« «rntuites par c^rreapondaar«. — J ’euruie gratis et H awoo les neuf ouvrOi'.es contenant 600 fr, travaux de Iberaiieutique et é'hvffléne rt an «iMe^tiiinnaif^, — I^e Mlso 4 prix : 2 8 ,0 0 0 fr. 85D3 irrrs petit flacon de 1 fr. 6 0 et I«* moyen (façon 2 fr. 00 d ’Kllxir Dnpeyroux, tlvllst li 1» ««nl'ids HUmIm il ?»rii, f>rm i/taHon« tous le* Jour* ‘ d* B h. \5 h. j ¿•«n/ ><• »Hineiti et le d im a n d i* !} Tir* l.-t dont* «*n* duultUr , il o, uose dei d(mll«ri »rHflcIol«; B VAUI.V t « "a«Tow En la commune de L o g o n n a D a o u la n , au Heu de Mengieux, A VENDRE f il’ELlXlR DUPETROUX, il alla aUeux I.e ^ .....l atoe a r ?npp6til. " 7_______1 mrnrn à-..... níue^rr „.e-t. com i fe‘>01 io©¡>, il i lait Kinipleteiiient grtiérl tst mai permis ptrn»! do ^ablirr son le eut d'étru nliJe a ses semblabl«*» UNE FER M E A VENDUE E » ... KEnVENDRE ia mairie [ ^telt Ir^s futiffué et i«c4pnblo de teut i tm re ll. 11 était oppressé, m anquait d ’ap- ««aj ; pétit et sotifrratl de doalours inUjreog- ^QC taies. Sa voix ètoll earouée. U » «aédacin t ^ du |>nys l’ftrftlt déciavé 1perdu. A »rta anatra raois de m on traitement à hase a . La coupe actuelle de deux taillis UNE FER M E a * a .« \ , M. Jonoph DOURFUNCIiU, oo» r». g i nré§*»le 1« phoVe^ravoro ei-conir©, «et ^ ■é & (AIpâco) e» iW(J et habite 3 • n?, «Timuo dr Paris à la Flalne-St-Deivi# D”« (Seine). l e i5 Juillet iço8, lour eù 11 vint , a inn consultation, Je lulUrôUTfti dee léi sions tuboreuletisce <Ib a* def ré oceupaat O. é I© poumon droit tout entier et le q»M't I . i »upérlour du ponnaoa gaucho, il toau»«lW . 2C t crncliait benticon», tranBpirolt la nuit. Deux champs etportlon de champs à D E S IG N A T IO N : Lot unique RÉPA RATIO N S Guérison de M. Voerflinper atteint do XU BERCBlOSa PÜ LM O IÎA IR S far lu hmitvimt à it t t tCEltàr Di^tyrtvm De la ferme du grand Kergestln l l franco et tous renseignements sur demande Cmpaple TITANIA, Rayin 33, ni Cariai, 46, PARÍS. vudt,“ iu u r tl 10 j a n v i e r 19:0, à 2 beurc.s après-n,ldi. dits Trtbldon-Blhan oti Trebl. A u b o u rï de l 'io m e l l n , sur la contenant environ 1 hectare 12 dou-Braa, contenant ensemble place de l'Egilse, ares 23 oectlarça. 99 a. 70 o. P a r tie lle m e n t e n to u r é do m u r s , E n la commune de T r é f lc z , a U N F. M A I S O N planté d ’a r b r e s d ’e s s e n c c s di Stréat-l.edan, dite « M 'iso'i Le Bris », avec verses. , tontes (lépeadar.cc*. Vue superbo sur la vallée. Mise * prix : 3 ,0 0 0 fr. dits A r Q u io z et Ar Gtiloz-ban, Mise & prix : 15,000 fr. S'adresser audit M* Manière. N. B. — Les l ,r ot 2* lots pour contenant ensemble 1 h .’, 78 ». ront être réunis après adjudica 90 c. Etude de M* D A V ID , notaire tions partielles e« «u seal U t et Mise ô p rix : « ,0 0 0 fr. à Ploudiry icm ls en veate s»r le total des S'adresser audit M* Bsrjo*. mises a prix ou des prix d adju EtuSo d e M 'B O R liN IA R D .a v o n é A T E N D R E volontaire. dication. docteur e» droit, rue Voltaire; a u bourg du T r f b o a XYoijidmo lot n» 13. à Brest. Par le m ltis iè re de M* Da')ld Eu la communo do L n tnb é- IT1WWF' judiciaire, en l’étndo Le m a r d i 28 d é c e m b r e z e llc c , d Pont-ar-Saouf, I li 11 I L de M* Dauguy des Dé- 1909, à.une heure. sei ts, notaire A Daouias. U N E P R A IR IE Le m a r d i A J a n v i e r 1910, contenant envlronj 33 «res 60 ft^é» dr 18 et '.T ans, contenant une heure et demie du soir. centlmeH. . E n la communo d’l r * I I l a c , au cnacun 4 hectares 50 *res envi alise &prix : a ,0 0 0 Ir. QuiklfUtn« Inf ljçn de ‘Qréaclimensrnv Ct ron. OlCuéo i K crgu«^ on L o T r ¿ dépendancea, En la communo de L n m b é lio u . z o llc c , ou bordure de al Pour visiter, s'adresser aux routo de Bohars à Brest, d’une contenance d environ 18 consorts Quldelleur, au Kergoat. hectares 10 ares 17 centiares. Un petit triangle Louée ii Jean-Tves Mazéas, de terrain, contenant environ .4 jusqu'au 29 septembre 1911, 720 ares« lrancs l’an et charges. M is e è p rix : 1 0 0 fr. Steuc’hlgner Pitchpin ; da verzit Mise * prix : 2 0 ,0 0 0 fr. Entrée en Jouissance lmraéS’adresser il M," des Déserts, Oo*t Cormier da ober dent pe dlato. ■ • -• „ . . i (Voir les a(Uchcs).________ 8531 notaire à Dfloulas, a M» Trao- dent great. noufcz. notaire au Faou tk à M* Etudo de M ' LK C0RRI5, notaire Sorgnlard et Robert, avonéii * Urttl & Lesneven Brest. , A V E N D R E publique et volond it Paro-Bras-ar-Reien-Dun. c a dastré section D , numéro 47, U 1L è e m a r d l ° ' a i dC-cembre pour uno contenance de cin 1909, une heure et demie. quante et un arcs quatre-vingtKn lu communo do S a l u t dix centiares. F r 6 « a n t , au Penhoaf, Mise à prix ! 4 ,« 0 0 fr. 7» A u terroir de Coi-Vihn, un *hamp de terre labourable consistant en A llllccs, t, rre» la bourables et prairie«, contenant 4 hectares 25 aro* 74 c -ntlaivs. Tcnuo par (îulllnumo Caraes. ïa A ita . »i»»«- lasqu’au 29 septembre 11113, 381 « e lie centiares. francs l'an. Mise k prix : 2,K00 fr. Mise & p 'Ix : 0 .0 0 0 fr. 8» A a nord du précédent lot, ^ adresser & M* La Gorro, no^ Un champ de terre labourable taireS it piro-lilhan-ur-VllIn cadas tré section 0 , numéro 836, conte- Etudes de M“ LE COR R E et lia n t ving t ares vlngt-bult cenS O U B lü O U , notulrti» ù Les neven. tlares. . i «OO tr. adjudication “ p r è s ie c h a m p d e là Iîive, vc lontal. e, un l'é ou m * L i üorro, ne tairc^ Un champ da terre labourable tude Le m e r c r e d i 1 tt d é c e m b r e . i* n « rc.oreo-aD-Ant, cadastré ^ n u m é r o 178, pour une 1909, d une heuio et demie. E n IM o n d a n le l, au P e n lra t u l'essai de 9125 » Etude de M* L O Z tG H , iiot.aiie ASaiot-Pol de Léua rivrj’j ' pj.r adludlcation voiou-i m I 1j tilre , ie l o n d l MO dftc e m b r o i9 ^l, i 2 heures de i’après-nildl. En l'étude et par le ministère de M» Lozach, retaire è SalntPol do Léon. Il sera procédé k la vente par adjudication, en un seul lot, E ty RtOU r e JAM AIS SÉPARATEUR T. 50 ll'res. lt^Ofr. 70 » 128 D EU X CHAM PS UN T E R R A IN o Livraison Aucune corn plication dit Paic-MAucs, scctlou A, L"a méro4H), eontenaut environ U ores 70 «enti*ieu. Mise A pi lx : KOO fr. (Voir les affiches,. 851ï ADJUDICATION S T Ä M GARANTIE 2 ans Un champ de terre labourable LA V E N T E ffimSi e iouverie >'n cbaim'-, c-ecne ea ruines, soue à uorcp, couvert eu chaume, courtil o u Liore-arG uiot, droits lodi is dans les is sues, frai.ctiiseï, loütalce et la» voir du village de Mengleuz. Jouissance car main» ds 29 septembre 1910. Mise à piix : Six cents francs, c’, « 0 0 tr. E t même au-dessous. La vente de ces lmr1ie"b!cs a été oïdonuée suivant jugem ent du tribunal clvii de Bre»t. du 8 décembre 1909, enregistré, rei du à ia rrqnfte d ' ; t* M. Hervé Dréau. gendavme i Trévièrea (Calvados) ; Jac ques D, é^u, martn d i l’Etat Jeuiesraut k D a l l a s ; 3e M iiie . A o n e D éau et M. FrarçrVs iverveiK, «oc. mai 1 qui l assiste et autorise, cultivateur i Llngoual. en Lopeihet ; Mlle Anne D éôu.m aj ui », au MniiRiciii ea Lo -oi:d* - D»< lilas ; 5» Jifl •i le— Aucu Guermeu. , veuve en ¡.rex lc r carlag e ¿e ü . Reunoot e t !4. A lain Guiilou, son 2» mari qui < lassiste r t sutor se t t en outre r,u sa qualité de subrogé-tuliur du m ineur Dré»u. cultivateur au: M .n K le n z;6 " Vme. Ma^ie Jo'.èph*-IIeur.ft e D îha: é. ménagère a B-est. m e du la F ,n u in c , 2S, veu-e de M Jeun ■Cort-. tin à Dréau. en sa qualité de tutrice^ légale d : J e ïii -Joae^a • P urre Dréau, son lila m inrur, lisu^ de; sonâlt mar)a?e ; 1° M. Jean Le Stir, cVrc d avoné, demecr-rv à B-eBt-Kç-couvrsnce. rve Ar»; ori* lu e , 18, en sa q ia i'.é de tuoregé-nt‘:ur ad hoc dudit mii\<*ur D iéau. Tors les susnommé* ayant M L ™ ™ ooar avoué M» Soriruiard, L’adiudica ion aura Üeu en la T IT A N IA L. C . manière accoutumée, en IMt'ide et par le m laistèpì de M» des Déu n t i, notaire où se trou vi dé Etude de M* MO AL, notslre posé le câbler des charges, par ties présentes ou elles dûment, s 8alnt-Pol de Léon IT H IT I' volontaire pii l’érude appelées. l u l l l ü i le m e r c r e d i 1 ;» d é Fait et rédigé corforméraent S, c e m b r e 1908 à 2 beurre. la loi par l’avoué soussigné En )a ville de S a ln t- P o l d e Brest, le décembre 1909. LC on, rue Batr,, S O R G N IA R D , avoué. U N E M AISON à deux étages, cou»- et hangar, S adresser, pser renseigne tenue partie par Mme veuve Da- ments, à M* D aüguy des D é nieiou et loué pour le 'urp lu s à serts, notaire à DdOUias et à M» divers. S orgnlarl,avo sé pouisuivant. D ’un revo j u total de 360 tr. M'»“ u prix : 6 ,0 0 0 tr. .jü traiterait avant l'adjudica tion. 8525 à ’, amiabis de semence il ven En la èammune de M lllz a c , d re: R O H O E A IJ X . au lieu de Penarpont I A'V EU S Alt LE de B O R D E A U X et J A C H E T . Deux petites Ferm es i’rls a la terme, ou gare de l’une louée * M. Joseph Jao ue u, Brest : 25 ir. les 100 kil. ; — 27 tr. jusqu'au 29 septembre 1912, passé au trieur : logé.l f r. de plus. moyennant 180 francs l’an, im M Quentel. Lambér.ellec. 8482 pôts en sus. L ’autre, louée à M. René Le A C C O H D E O N S Stra Gall, jusqu’au 29 septembre pro d in a Italien, sonorité chain. moyennant 115 francs grandiose, nouv. cata l’an et les impôts. logne g ra tis .D e d e n ls , S’adresser, pour renseigne* à Brive (Corrèie). ments. à M* Gheml-jant, notaire a Saint Renan. ^ FACILITÉ OE NETTOYAGE Eludes de M* P. 'C O L IN , avoué ‘ licencié i Brest, 4 »la, rue Volimrs et ae i t ” T ito ^ lE U R , uot»lre à L»«neveu, l / m iT P P*r HcHatlon, en l’ô! fcll I B) lüde et par le m inis tère de M' Tromemr, notaire * Lesnevon. Le m a r d i 14 d é c e m b r e IS09, S ur e heure et dt-.iuie de l'a"rèn-m!di. Sa la comtauiiô do T r fio in o u é v.an au terroir üi: Kordudiiar lirait, ds i n loi simple et dômontabl N a t io n a le Si. 3ês O U V RIER S c L A M E IL L E U R E DE TOUTE* _ » )) 2 0 u A n U l m i n u c i n e e o a l lo u z o u g w ir io n e v it p a r e a a n D O K E N . A l lo u z e ie r a il a g ip m g e r d ’e o e ’h a z u d e u e t v a r le r c ’h , d a e s à a t , t r e c ’h o a n t , o b e r c o n c u r r e n c e d ’a n U l m i n u c i n e . A lla z , re z iv e z a t in t s a v e t e v it re i la m n i d a h e n -m a . L g ive rz, o p e b a p o t ik e r e z . G o u le n n it ai& d a n b a n o M O R E U L , g a n t a o u n d a 'X tij/ ie t. U l m i n u c i n e , lo u z o u n e r z u s , d a v ir e t n e g o u e z o e ’h p e u lt r in e r ; d a g r e n v a a t a r m è r c ’h e d ia o u a n k . A l lit r a d , d a o u s k o e d ; l/ 2 1 it r a d , p e v a rz e k r e a l ; a r v o u t a illa d , n a o r e a l. 50 0/0 M EILLEU R M ARCHÉ Q U E PA R TO UT A ILLEU R S _____ 19 fr. 29 49 29 i n A i' g w e lla louzo u » v it ober g o a d , «v it k re n v aat a r go ad, e v it p u r ifia a r goad. K erkouls d ’a r r* v ia n h a a a r r* vras. Vento sndciftlo et continuelle do laissés poùr compte de grands Tailleurs de Taris, Vente oxcluBivo de modMes. Vous y trouverez toujours à v o u é ’/ e m i SE — PE LERIN E ° — rien. Des occasions surprenantes eu riche et belle confection. CHEMISE. PELER H . PARDESSUS. ■ 1 UN PETIT APERÇU DE QUELQUES P R IX : PARDESSUS ANGLAIS, pure laine, imperméable, valeiu’, 35 fr., &. ________ J, pure PARDESSUS TAILLEUR, pure laine, valeur, 48 fr.» J- • , • PARDESSUS doublés soie, grand tailleur, valeur, 95 tr., a. . *■COMPLETS, grande modo, tout laine, valeur, 49 fr., ai . . . 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M ’i Ä i i t i C L » p la s KTaad « h o la « • H ebU lcr* « o a p ls ta Ä yí.* ¿UJ a n S îïS a S 0 IB H Í I l Marlign J M i l lic it, M . uvm<«s SPÉCIALITÉ DE IEDBLES POOR U ÇMP&6IE Tud an II a o«r T & A T A IL « wii ttiI ra|»Uetni*t ■i î i BROCHURES •I Pablieatiaaa APFIOHES PRIX MODÉRÉS ft m; «• ■ ,«.• v.i/ 3 » n n roaiun •m noir ' • t a a coml««r» wm>-*X¥iaí 'it » o ' » « « • : = N 'i: s 6 3 í I‘«^ÎIIWÔW« ■ rA--»y.'W/VíitkxwvJí 4 ^3 'o - '" J O U R N A L F R A N Ç A IS -O R E T O N P ftR ft!S S & N T SAM ED I £><?_.... ABONNEMENTS ADMINISTRATION ET REDACTION PUBLICITÉ FlnlslSre, Cfitea-du-Nord, M orbihan, Autres D é p a r te m e n ts ........................... C o lo nies ot É tr a n g o r ........................... (u n an) .... _. i*uniimint d’adnm i 0 fr. 30 <wo M tnM Leu nlHmnrmonts partent du t*' do chaque mois et se payent d'avmtro Start eo hor o'Imlon ont) hor c’hrola lia «tarloo'h ar Groar, unn lior Brolzl... CE QUI SE PASSE La discussion des articles do la loi sur les retraites ouvrlèros sa poursuit au S^ntu A coups a'amendements. M ai* le gouvernement paraît décidé à maintenir ton texte et M. Viviani, m i nistre du travail, repouiae catéguriqmment tout amendement susceptible d'avoir des conséquences financières im prévu ft. Ces jourt-ci, on examine l'article 2 qui vise lu fixation et la répartition dis coti sation* ouvrières et patronales. Lt t commission sénatoriale propose do fixer k six francs la cotisation ouvrière »t k neuf frines la cotisation patronale, aven reduotion de moitié pour (os assu jetti t n'ayant pas alttint lé ans. Le gouvernemtnt, au contraire, de mande une cotisation de neuf francs Aussi bien pour les ouvriers quo pour les patrons et sans ré.tuotion pour les salariés de moins de 18 ans. Il est encore prématuré de porter un jugemont sur une loi qui s'ébauche &peine. * * * Vendredi dernier s'est livrée k la Chambre la dernière bataille autour de la convention du raohat d e s chemins de fer de l’Ouest. Il résulte de l'impression des débats, que pour l'Eiat ce fut une mauvaise affaire financière. Mais comme dit le iroverbe, lorsque lo vin est tiré, il faut e boire. M. Jaurès vouhnt profiter de cette improssion proposa carrément la confis cation sans indomnité, n i paiement A la Compagnie. Il était d'ailleurs logique aveo les théories 'u collectivisme dont il est, on lo ta it, l’un dos apôtres les plus Î chauds. M ait & cotte ¿vocation d u spectre col lectiviste, hs radicaux r n i eu peur et ont approuvé à une grandemajorité, le gou vernement qui par la bouoho de MM. Millerand ot Briand demandait « au nom do la probité » da tenir lus engagements pris envers lesaollonnsires et petits porteurs d'actions do la Compa gnie de l ’Outst au moment des pourpar lers d ’achat. Cts scrupules do pn bité parlent d ’un bon sentiment, mais on aim erait quo le gouvernement Its a ffieh.Tt aussi, lorsqu'il semé!« do politique religieuse et s’oocuve pur exemple des congrégations, de l Eglise dont la spolia tion st poursuit encore. * Dimanche ont ¥¥ eu lieu deux é le c tions législatives. A Besançon, M. Méiin, redir&l-iocian§tv, a obf'nu 366 uai.ic, Ai. Bouvard, progressiste, 2.311 ; Ai. Dourmey, liberal, 2 .7 fi. Il g a ballottage. Il s'agissait, de remplacer M. Janet, radical, décédé. \/l P tm itrs (Aiège) les électeurs ont chosti comme député le général Pedoj/a, radical - socialiste, par 10.632 voix. M. D*ni*u, répuMioain liberal, n'obtt■nxitt qve 3.147 voix. I l »’agissait de remuUcoi M. 'I’ournw r, rarfieal, dri.aid^. Oie» nUtt-vous <i u n g^iéral qui prend s'épiiliète de radiaal-soaialiste tt qui par M te Un d u n e m ain aux socialistes et celleciivisfes antipftriotes ? « » • Le m im e jour avaient lieu i.** élec tions municipales de Toulon. JÇ-'an cien conseil municipal socialiste divisé, comme celui do Brait, du t démissionner faute dt poutioir travailler idneusemeiit. Six Ust«s pr^iantoiant des candidats dont let deux plus importantes étaient une liste anti-colleotivxste et une liste socialiste unifiée, celle-ci ayant à sa tâte le députa Ferrera. Les 9.007 voix dos uo/ants sur 21.169 inscrits s'éparpillèrent on chiffres iné gaux sur las candidats don six listes, mais donnèrent une ttyèro majorité au x candidat* anti-colleolimstes. Il est à craindra, si le* soeialistes qui présen taient trois listes, taisent leur.i anciennes querelles, que lu mairie de Toulon n ’ap partienne A nouveau aux socialistes. A iiofer h ch'ffr* rrv’sW rablii d ’absttntionv : plus Uo io vuU. Si ces 10.000 élec teurs allaient à l ’urne, la fcataille c/ian> gérait ptut-Stre de face, il y a fort à parier qu'ils na bougeront pas. Ils seront peut 8fro let premiers A geindre lorsque les sosialistos pren dront leur ville pour un champ d ’expé rience révolutionnaire. Ils méritent cependant do pâlir u n peu do lour indifférent» . Or ¥ ¥ Le svcdlo&t des chemins de ior, affilié à la Confédération O .nhulu du Travail, * tenu, samedi et dimanche, ton congrèt annuel, k Paris. A u sein do ce syndicat, réformistes et_ révolutionnui rts tt disputent la direction du mou vement «t tout leur est prétexte à sa dis créditer les uns et les autres. Au congrès, il no fut presque pus ques tion de revendications professionnelles, mais de querelles de personnes, quo l on ,"'4« apro* forco injures lancées surtout '• ’ «• révolutionnaires contre les réfor« .» « , se rassurant do no. Tm'i?* ■ouvrière ils teniiont diviseront l'aotion „ uvr ! * / ’ ‘ï pourront jo u ir de leur» rentei aa„. paix égoïste. . i 3 fr. 4 fr. B fr. 4 — R u e d u C h â te a u — 4 B triomphait, grâ:e au ¡ang généreuse ment versé par les enfants de la France. * ¥ ¥ M . de B e t h m a n , le c h a n c e lie r de l ’e m p ir e a lle m a n d , q u i a remplacé M. ite Bulow a parle à la Iribuno du Rtisohtag du Maroc et de l'Alsace-Lorruine. Dans ses déclarations sur la question marocaine, il s’est félicité de la « détente » qui s'est produite dans les relations franco-allemandes. Mais parlant des fêtes d'inauguration des monuments de la guerre de 1810 4rM.'.<s cet été an Alxace-Lorraine pour commémorer le souvenir des soldais français et allemands tués, il a critiqué l ’attitude des Alsaciens qui ont profité do ces fêtes pour afficher leurs opinions anliallemsnles. A l'une de ces fêles, on chanta la Marseillaise. ¥¥ Non sans regret, il constate que la Le conseil de guerre maritime a con germanisation de la province annexée damné, morcro.ti, le l ie u t e n a n t de n ’est pas encoro achevée. v a is s e a u L a l r à 18 mois cte prison et Sous le sédiment allemand dont l’in à la destitution dit son grade, pour vol vasion recouvrit laterre Lorraine, se re de la caitso du bord. Lair se trouvait en trouve l’âme Lorraine qui n ’a rien service à Brest, lorsqu’on septembre, il oublié. Los paroles du chancelier de fut embarqué sur le Claymoro à Toulon. l’empire vont ouvrir une ère de persécu Profitant de l’absenco au commandant, tion contre ceux qui attendent l'heure il prit dans la caisse, dont il avait la qui lits détachera d’un pays qu’ils n ’ai garde, une somme de 1.380 francs et mant pas. s'enfuit. Et sans plus tarder, on s’est mi* <n U fut retrouvé ot arrSté à Drives. besogna. C'est ainsi que M l'nbhé We>Durant toute sa carrière, Lair avait terlé, député, ¡¡irecteur au Nouvelliste été mal noté. Il buvait beaucoup et était d’AlHacc-Lorraino de Colrnar, a reçu nu devenu alcoolique. Sa passion lo jeta sur procureur impérial de Leipzig Vardre le banc d'infamie du conseil de guerre. de rejoindre la prison où il doit purger Encore une existent giï.'Mo par et la condamnation à deux mois de réclu terrible fliau de l'alcoolisme I sion qu'il a encouru*. L'abbé Wetterlé s'est aussitôt constitué prisonnier. La France a créd le b a llo n d ir ig e a ' Il avait été condamné vour avoir re b le , mais commo toujours, l'invention produit dans le Nouvelliste d’Alsacopassa la frontière et. les étrangers nous Lorraino des critiques dirigées contre le ont rapidement distancés. Cest ainsi directeur du lycée do Colmar, l’un dos que l’armée allemanda dispose déjà militants les plus ardents dn ia germa a'uno quinzaine de ballons dirigeables nisation dos territoires annexés. montés par des (îquipas tntratnées, K ¥H tandis quo l'armée française, depuis l'ac L ’assemblée fédérale de la Suisse, a cident de la République, n'en a plus un ■ttul. Cotte situation inquiétante a été élu p r é s id e n t de l a C o n f é d é r a t io n soumise au ministre de la guerre par h e lv é tiq u e pour 1010, M. Comtesse, un certain nombre de députés patriotes. vu-.K-presidcnt sortant. Entré au Conseil fédéral en 1000. M. Le minist'e s promis de la faire cessar Comtosio 6ti.il depuis longtetrips chef le plus lût possible. incontesté du gouvernemtnt radical du canton de Noufchâtel. L ’h is t o ir e lo c a lo k l ’é c o le . — A si Lu constitution éminemment déinognaler une heureuse initiative qui Vient craftquc de lu Suisse ne prévoit qu'une d ’être priso pur la ville de Pontivy. Lors année da présidence, afin que la dicta dt la remise en adjudication dus fourni- ture n'ait poinl lo temps do se fortifier tures nécessaire s uuxélèvesd’écoleu publi si U président avait des visées a mbv ques, uno clause ■Muvslle fut introduite tieusei. Bandctwauo» au cahier des charges : l'adjudicataire devra s'engager à publier, ù la quatrième pago de la couverture des cahiers, six notices sur Pontivy et ses monuments. Combien de B reti ns connaissant l’his toire de leur pays ? Alors quo dans les écoles on ne laisse rUn ignorer de la vie légendaire dei Pharamond, dont les figures s'e/ficenl dans la vuit des temps, on na souffle nwt, par exemple, du gènio militaire d'un N orninei, ou de l ’action religieuse et populaire de nos saints bretons, fondateurs de la Nation Bre tonne, à laquelle Napoléon I I I a dreisait le toast célèbre de Saintc-Anned'Aurty. Au sortir de l'école primaire, bien peu, mftmt) parmi lis intellec tuels complètent leur instruction sur l'histoire do Brviagno, histoire émi nemment passionnaitto et intéressante cependant. * ¥¥ L ’industrie du c h a lu t a g o h v a p e u r L o r le n t a ls qui connut une ère de grande prospérité subit m ce moment une crise par suite d'une gièv h des chavff'Urs iJet chalutiers. Les chauffeurs pioibuhnl coniro le surmenage qu'on leur im/icee et réclament la présence de deux chauffeurs à bord au lieu d'un seul comme maintenant. Lis compagnies se refusent il donner satisfaction aux grévistes. Le conflit jusqu'ici n'a été marqué que par des incidents sans importance. n V¥ Le vieux r o i de B e lg iq u e Léop o ld ost dangorousomera malade et les journaux donnent des bulletins quo tidiens de sa ssntt). Il a dû subir une opération qui a pro du it uno légère amélioration, mais le grand tge du roi fait néanmoins craincre une issue fatale. Le roi Léopold no fut nas précisément au cours de sa vie lo moaèle dos pèro3 ni des époux, k tel point quo ses enfants se séparèrent de lui. 8es filles demandent m aintenant k l'approcher, mais le père n 'a pas encore v o u l u lus voir. Sous les lambris dorés des palais, plus que sous les toits de chaumt, éclatent souvent des drames do famille poignants dont 1rs victimes sont traînées sur la claie du mondo par un« pretto avide do scandales. C ’est aujourd’hui la rançon dus hon neurs officiels que l'on accorde aux familles royales et princiôres. E n E s p a g n e , le s é le c t io n s m u n i c ip a le s generales ont donne dimanche un peu partout la majorité aux républi cains ot aux adversaires des conserva teurs quedo quo fût leur épithète. Par tout — qu'on lo déplore ou non — le flot de la démocratie monto et scs va guet troubles quelquefois battent en brèche les plus puissantes citadelles. * * ’# Le 30 novembre tes tirailleurs algé riens livraient u n v io le n t c o m b a t d a n s le S u d - A lg é r ie n contr» une bande d'Arabes qui se dirigeaient vert l’Afrique centrale pour piller et so livrer &dos razzias d’esclaves. Nous avons ou U tués dont le capitaine Orosdemange et dix tirailleurs, 20 ftlessds dont lasser-* ponts Rostiot et Dovillate et 24 tirailleurs, Mais la marche des Arabes a <M arrê- A ilS M S h f c llB t t | tout t u pen () t■ ' »-t». «SMv r iir u Penaoz serel muioe’h a arc’hant euz ar frouea ? It ila ober e.un dro da BlougasíelDaoulas hag e tcskoc’h. Kno i'i euü etngleo ctre potred ar «ivi ha frouei a l l ; epad ar pre* braz, e íermoat listrl da ^as h0 marc'hadourez da Vro-Zaoz. E mareou all. ho c’nar co nt orti train da vont, da u e ll; hag o París koulz hap; e Bro-Zaoz o den/, tud leal ha gwizielr d& werza evit-bo, pa uo K»*ont «et sok*ri e »» ntsbeud bennak «ibabot rnn he touez. R a g e n o al labourerien douar cuz ar FiniBter var lio roudou, ha gant aa aruzer e teutnt da ve¿a ken pinvidik ha Plougaslelliz. Ar c'lieuta tra da obor eo an emgloo, Revel eur « c’hoopératWe » da lavarout eo, ma karit, eur seurt syndioat karget da breña ha da weiv.a evit ar re olí en etn lakaio enn-han. Aoe*. panuoz fermi listri pe traioiou? l i p» ieac'u orna an tiek hag a c’helife karga gant he varo’hadouroz he-uuan pe eul lestr, pe eim train ? Hen-nez n ’eraa ket er vro-ma, n ’e ket ’ta ? Hog«m, leas a boíl a daramou H an ne dalv k e t : gwelet e peuz üiéado' ' petra c’koarVezaz gant potred ar prun hag ar peche? a gomze anezho Plissonnier. Meur a bini all enn ho leao’h o defe gouezet raarteze kaout an henthouarn evit nebeutor.’h ; ra k , an hentchouhouarn o deuz raour a briz, ha. potred ar gariou ne hentchont ket ato evit ar gwella, an dud o deuz att'er out-ho. Re aliez o leíont anezlio d'en etn zisluga ho-unan, ha m a paeit ar priz huela, gw as’ a ze evid-hoc'ü ? E uu enigleo, eur « c’hoopdrative », a c'hell karga unan pe zaou cuz he zud da »tudia aa traou-'/e, reolennou au hent-houarn, hag aliez o c'houncuo aro’hant brao var ar pez a baefe eun all. • ¥¥ Empleo a zo red ota evit gellout kas da bell ar Irouez — hap: an ed — e ve re amezh* er rro. Emgleo a zo r e í c’hoaz evit ho miret da c’hedal ar gw ella raare d’ho gworza. H rit gw ir, evit kement so e rnnlíer liaout staliou tiag a gouatfo re gerevit unan bebken. Peb parrez, ha dreist-oll pob kanton, a o’belí avad sevel unan pe zlou euz ar staliou-ze, da'c’hot ien pa vez re domm aa amzer, ha tomra pa vez e ien an amzer. Kement all a c'heller lavarout euz krignoliou brazha reuket mad da zastum au ed da c’hedal m a vezo ena he huela ar priz. Emgleo adarre evit sevol staliou ha irena mekanlkou da obor conllturiou pe ikurlou gant avalou ha frouez ail. Ar ro m aa a c’hellfe be/.a savet e-Uiebenu ar ro genta — e-klohenn ar sta liou da virot ar frouez. Eyel-se e ve nebeuíoc'h a vizou. Evcl-se c’hoaz al labourerien douar o dote nebeutoc’h a dregas, nebeutoc’h a arazer Ivez da goll o redek ar m arc’haou. E ur wech dastumet ho frouez pe eostet an ed, n ’o defe neraed ho c'has d’ar stal po d ar c'hrignol, ha mont da gerc’hat bo aro’hant dre ma veüt gwerzet. Au dud kargpt cus ar slal «%ar c’hrigaol 9 0 a wersfe, evit ar gweUa. ¿Jjj E S T (la ligna) — — i il/ décroissant pour ttt Initrtlom répétées Los Mnnuaorlts non Inuórós ne sont pna ro n d u j eI naïfs, ils avaient oru, depuis les ma ni festalions anticléricales dont la mort do Ferrer fut lo prétexte, quo la rue appartenait à tout le monde et que si dus milliers de manifestants y pou voient à longueur de demi-journée crier; à bas la calotte! un millier d'entplmjês do chemins de fer y pour raient aussi crier quelques-unes de Iturs revendications. Erreur ! Le gouvernement n'autorisa point la manifestation. Il autorisa seule ment trois paquets de 200 congressistes k se rendre auprès des administrations des grandes compagnies des chemins d« for. Quant à lturt camarades, la police lot boucla à la Bourse du Travail. Le gouvernement fut conspué par ceux-là ot il le méritait bien, car en leur interdisant ce qu’il avait permis aux autres, il commettait uno injustice. U Cette initiative mériterait d’être suivie par d ’autres v ile s do Bretagne. R A nnonces diverses . . . . . R éclam es, en 4« page . . . . Dernière colonne de la 3 " page. Darn a c’houlenno l í a da c’hedal ar werz, o pe leao’h kaout arc’hant da baea ar GreuelM ikeal? E pe leac’h pe krignol, a dra zur. Evit gw ir, eaz vo d ’an empleo kaout arc'hant etro /ie daouaro ; ha b» wech n a 'z afe eun tiek da ^as ed po traou all, e c’hellfet roi d’ezhan dioc’htu «ul lodenn rraz euz ho zalvouaeue-. Setu ! Perak zoken ne ve ket eur vilin e-lcichenn ar c’brignol evit cliench eul lodenn cuz an ed e bleud ? E r c’hiz-*e, oil gounedigez ho labour hag ho foan ajo uiufo g a tt allabourerioü douar. Daoust ha ne gavfac’h ket an dra-ze brao braz V Ha ne deuit ket da lavarout ne ouesfac’ít ket en em zisluga mad awalc b e»it kas kement a draou da beun. Eo, rnignouned, üeskadurez o peuz, t” d a benn a ?.o enn ho touez : bolont^z Vu. ’ a muioc’h a garantez etre-z-hoc'h ne fftot ken. Gwelit pegen brao e kerz an assuransou o peuz savet etre-?.-hoc’b. A r staliou all-ze no veot tamn dicsoc.’h da ren, goude eur pennad. En em lakít e stad da zevel aatfcbo, evit gw eilaat ho stad hoc’h-u)>¿tn lia dre eno gwellaat stad ho servicherien, ne c’belloat ket ato, kalz auezho, gouriit aw alc’h evit beva ervad er stad a briedelez. Nebeutoc’h a w arizi etre-z-lioc’h, muloc'h a emgb o hag a garantez, hag c vezoo h euruüoc'h e peb giz ! C O H E N T IN . K rab an al L a e r Astennet eo bet, pn kentoo'h sarret co bfct f.vit mui var rnádou ilizou 33 pam-z cuz «r Fmiuti-r, dre eur j eiv. d .uget gant ar miuisti' B iiand ü ’aa i euz ar miz, hag embaaaet d’an 9 er Journal Of/lciel. Sota aman ar pa-.rtv.iou-ze, tire re u n í hsrvez ma z eo b tt lakaet a. madou U.met digant an ilizou pe da vui'fco au aluzenuo», p6 ü au hospital, pe d'ar gommnn Plleac'fl ne ioa na bureou aluzennou nag hoRpital. — Madou aa lUz a zo bat latiaet eta : D i vureo an altuemtou, e B?rtcz, KonkK cína, Kosk-Lieon, D^ouías, Pouesnant, G>iiuavao, Enez-Tady, Lo!;g'j.onole, l.ogouna •Rim'.-ro'U, S<ut Coulitz ha Sibiril; i Van hospital, e üoahicn hag er Faou ; D a r gom m nn evit ran na al lev;» acezno d’au dud c-zoiumek: Avgol, Bay«', E no iet, Drenur-b, GouesBac’n, Gueugat, Yenrr.’h, Keifeunteui!, Lanueanou, Lopre, Nizon Pioncas, PloobíiKk, üwitevedt;, Pont tou 8aCt*I<in-Trotluion, Sant-Maik Sant-Tiurían, Sant Sügál h an Tr. hon. — Hon taddu koz o dea »oc t ar nia-unZ8 d iio ilizou evit ma v?te eaßoe’n t1'h( biigAio po kercBt pcurvel da ezomtnoa ai K d jiü u var ho lere’h, pe c’hoaz evit k^r.u pedfünou gonde ho maro : L 'Zi nt'OU «¡Izair, votet g s n ta rC ’bloarec. Duljul'iüon ha¡< ar B rü , ha Kam. lla>l< ,-ui‘u JUetji -ut ha m ’ea tieuz g. lii>t. p. deu d ho diframma oh dlgaut ar Rell]lon. ha a ’lio )8lc!i;‘.í aa dud ha n'o doa inorila ho gen len ii ir , H a da c’hovide, ar c'ha/if,irted o íe u z gourc’hemennet al laeronsl sakrilsch-ze a tnvsro d'ar beorieu: « Gw<*lit pegtmvut a vad or bi'uz grset evld'hou l) » A ■bcorieu honest » respanto d'cz' o m'oíirvad: « H o poa e’lio in t da ober .a i fv !J o¡np « vef« b,;t <Ureatt d'boc’h t>-¿; «ber gant hoc’h arc'hant hoc'h>unan, )>• e c , drclüt-oH pa o peaz kraakot ho pao <v,í daou vil gKoed ar ö'ohz. N •>•■beuz avi <)> í ouz aa aluzennoa a g innigit d’ou'p... ga-,t arc’bant laaret, r&k, gwir e choum b p e l e ia ato bleutl an dlaoal da vi tn u . » Hagabavz kredi or bero muioc'l?, i. i a c’hortozo ken or iit-zo gweltít, rak peli 'za e ouezomp ptgen bras lodenn euz an alureiinou promettet d’omp s joum en a ‘icut pa rankont tremen dre zaouaru an dud e korg. » Ounosnu-ie, nag a liregaa, nag a viloniou zoktn da ohouzanv »harz kaout nfctra. Red co, da genta m ont da 8 houleeu d'au H kear, komz flourik ouz meav ha kouiieiller, ha goudo-ze ober aliez diou iia telr leo evit saout da gerc'hat eun n^beudik garenueicu. « Gant ar madou ze o p ;a z dlframmet digant ar Relijion, ar veleien » oule b ao dont d’hor sikour, hep enklaak, üep oner u i“Z d’omp, kouiz hag hep direnkamaus i ak ma 'z eo d'hon tl zokeu eo « tigatieut penrvuia ho alnzeunou. » Ne bonezln ket h in o e ’h h i’ io var p.n traou ankeniuz-ze : pell 'zo hu meur ;; wecü am be-'Z lavnret petra e sot j in ha petra e tie; son jal anezho. N beud, a dra zur, eu7 mearlou pe konseiileiien au 33 banez-ze. a o’houiennaz ma veto lakaet madou ho liiz etre ho dat.ua lu. A n taol a zo bet graet enn despst d'au darn vuia anezho. Gant ar.un da veac’hla ho c’l.'ouati&n3, e ve mad d’tzlio mont hei> dale da c’jboulenn kuz.nl ho fiTbown, a zlepicgo d’ezho, m ’o deuz ho ankounao’haet, ar reolenn merket evit-ho gAns îlo n Aotrou ’n Eskob, d'an 20 a veut» ha d ar 7 a wengolo diveza. H a d’ar heoilen a gredo k'ask ho led ouz an aluzenuou laerut-ze, e. la v a iin : O peí so»] da tla n a da b»dl evit A saoun ar gilstenlen vsd a roaz an douezonou-ze C’ho luzou evit kaout pedennou digant an liiz goade ho m aio. A r chouarnam ant a nas'ii >.i dio takr-ze ; d’hoe'h-hu d ho faoa, ma kemerlt ho lod euz an arc haut, pa o velou'h ken laer hag hen. COnBNTIN. PIOU Ä ZO PAB ? Goulenn souezuz, n'o ket ’ta ? Piou ne oar ket ez eo ar Pab a vrema hanvet Sarto ouz he hano latn iil? Piou ne oar k e te oa kardinal o Vonis pa oe dihabet evit ber,a sturier an liiz warlerc’h Leon X III, hag o kemeraz an hano a B i X o pignat var kador Saut P er? Kent-zo, n’c ket, hano ar Pab eo a c’houlenn ar faU-duktored a skriv er c'hazetennou difelz ; an neuz a reont da gredi, eur penna ! ’to, n ’o ket an bini a zouR an hano eo a c’houarn an liiz. E ur c’h ii koz eo, euz a berz ar re e tisplij d’ezho kelennadurcz Vlkel JezuzKr 1st ; eur c’hlz lia ne wella tamm avad evit kosaat. Heuillot eo bet, e amzer Leon X III, O fr. 2 a O 40 Q KO Pou/ les annonces extra-ré^lonales, s’adresser a 1A g en ce U avax, Place do la Bourse, 8 , 4 Part» gant. kalz rea gatolik'-d euz ar Frans, ha ne c’hellent ket psrdounid’ezhan da veza digasetda zouj n'ez euz ezomru ebed da veza rouelistevitbezs katolik, hag ol eo dever ar galoüked douja d’ho c'houariiamant, fors pe h«no cn deu<., e kem tnt lia n ’eo ket kontrol da lezenn Doue, evel ma ’z eo ho dever ensbi ouz aa oli lezennou fallakr, fors gant piou e vene bet douget. Nebeud anezho a grede en era zevel a-enep ar Pab he-nnan. Neure, var he sekretour, ar c’hardinal Ram polla, eo e tai'lent ho himor fall, o lavarout, e oa hen eo a c'ùouro'liemenne e leac’h Leon X III. Gouzout areeet e lavarent gaou ; hag ar re anezho a gemere ar boan da vont beteg ar Pab gwirion a wele, dre z-ho ho-unan, ec’h anaver.e g w tlloc’h alTei iou ar Frans tged an darn vuia anezho. Ìlirio ar zor* e deuz kavet kaaerien all, etouez mignouaed ar B iiand. Ilenmsn ne c’hell ket pardeuni da Bi X da veza kondaonet ar reiz trubard en doa fardet evit an Iiiz, goudo nao’h die ar Frans enn ne c hen ver. Hakazetonnou arB rian d da lavarout, evel armor.archisted aheurtet gwechall « N'c ket Pi X eo a c houarn aD Iliz ; ar c hardinal Spaglici Merry del Val eo a c’bo u ic’bemenn enn he leac’h. » Gaou divergont : arabad he gredi ! A l lizeri o deuz kondaonet rekou ar Briand, koulz hag ar re a lavarazd om breman ez euz 17 vloaz: « R-dt hoc’d asant d’ar R epublik, reketet gant ar bobl ha diazezet mad enn ho pro, ha poaniit hebken d'en em zirober ouz al lezennou fall hag ouzar c’hanuaded a vot anezho » — an oli lizeri-zc a oa sinet gant ar Pab he-unan : ha kant c’hoaut oa fazia e ranker kaout evit sonjal hebken e c'hellfe traou ken grevuz beza digaset beteg enn-omp, didan hano ar Pab, hep n ’en defe li > gwelet hag ho gourc'bemennet he-u':an. I la n ’eo ket aw alc’h zoken d’ar Pabed skriva ho c’hemennadurcz, he neve, i a reont goude a c’heni.u, he weoh ma welont dira-z-ho eur bodad beunag euz ar gatoliked galvet d’he reseo. Marteze ar Briand hag he seurt lavaro ivez ez eo ar C'nardinal Mery del V al eo a gonite dre c hen >u Pi X ¡ a gondaono udarre, dirag rseur a gant euz hor c'heuvroiz cct d’be weicut d he vouel ctivera, lia reùou Irubard ar K iiand hag ar skoliou h g l.s k mou„d ar feiz e k ilo u n ar vugaleV... Lavarit ’ta, BriMi'i, ma n'c peur. ken mot ebeil !... Evid-omp, mignonned, selaouomp ar Pab gant doujsns, ha senio .up, zoken pa garfe:np klevout gourc’heme m u u dishevel euz he bers. Arabad, a dra zur, la k ia t muioc’U egod ne lavar: k tm ent ha ma lavar ,o aw alc’h. Araba-J L k a a t nebeutoc’h ivez avad netra muioc’h, netranebeutoc’h ; awalc’h eo, ha re n ’eo ket. Evit boa lin a enn he genver, an dud difeiz a lavar ez ee eua divroad ? Evit-ho, marteze; evit ar gatoliked n'e'• ket n a ne c’hell ket be?,Li pa ’z eo lio Zad Situici, mesir ai-fanali v iaz euz an Iliz. O ojucntjn . ELb ’J U 'ilI Ì JBJ JriHLador a r g o uarno nr. — A >gc«Benr, b»; :»<•«»’ •■ . l.yo «to trit V.o gOvarnourc S»a>tii'«t8ear. Kao i i. -v --r. ' 0 ioni'., b-t;c kaov.t tur g?dor lü-r, evr « c’lia.iapé » hag a goust kero^a eg«d meur a iron Dre ze. t-./H n m rl p *. kempe^n 8vg*dorze, »!> aotro t a »l»"«r en ‘at v, o 3 500 '« r Q* b '-vn z 19 (J, 4 500 tur cr binavcz 1907, 5 500 lu»' et b o vez 1908, bas; 8 ä(!01er '. .v h ' a/.-u:a I m .i ouesje *r í í a !cached bivzcuack, e íofea a;i ü'ftziio da breña d’no guuainour tu r gndor hoaarn. Aiieaoch e iTftikíe da c boude po.Bselia be vragez ¡ men g w U o c ’b mxre'bad c’noviz e kon’s tfi o ’ezho, ùag e rankfeat preca d’Mh&n ta r brag, z cevez bemdez. P io u a g a r f o ? — N ’e keí me co a garfe be/.a sboiarr didao ar c'hoiiítrnatuant enn nutzerBt-mler. kou;a la ^ r u n t o deuz da sibr.» etre en; bí ouz ho c’ü ->;-3Írbs pe digiil'Jout C ío mlnlr! Ha seiu ma Uavout brema bugaiß hag eu em ziskoutz rnstoc h c’eeaz tn*i ho c'tenV. r rged an in::p“. ¡touilen hag ar p/títv, J. Evit gwir, aa 8 piac’hlg a jouiae er akol dibatereuz eur barrez vian euz an lodre etLoire a soe n em iaka‘;t e Rréve D 'f llit pi>rag'í A talam our m i ves bo mestrez <.nu offerenn I A r merc’hed-ze a vezo merc’Ued br.'.o emlcbanw pa v¿zint aeuut da biached iaonank : ba ne gav ket d’boc’h ? L a z e t o s a v e t c l h e b e u m o e ’h •— Eul lsb.mrc-r douar e.;z B>„cé, lt.; rtam ant Doubs hag bauveí. Jouglet, o titrcl euz ar f >ar, gant eur penmoc’n, en doa can h*'nt* ¡íouarn da dreuzi. Ar, snovai en . m iakaaz da c’to a ri he Bonn fail eno, bag eun train a oa o tont. O klaak her chacha kuit, an den fceaz a j /t'.nia'i he-uBan re ïlvo.zat var h tn t an train, a díetatnaz var-n han. M o u ifc t e n ti e n ti to H fl l a p i n . — Emil M aim a oa eur poti' s&out, eu-; Sastjia rthi, dt pjrtam aiit Hérault. D ilun e wclas eur e’honlkl o redek d'he doull ; baa' ben en em fo u n a var he leic’b bete« he zargreiz A lla s! he vragez a lugaz ono ear bod dero: ba1 (jw^soch c'bo z, oc’h en cm zifretta enn toaü, o reaz d'ar c’bieu/. di;ac’ha vav-n-ban, hag evel-se s oe mo^^et. 13 vloaz en doa. A n d u d a u l j . — D'ar c’henta a viz kemt, Lathsma reaz adarre euu idjadenn gaer « camp Gliâ'ocs. Enn dcspet d’ac avel ba d'ar sdao, t- ava>. bi.teg tun huelder a 475 pa 500 metr. Nijer all ebjd uc zivaz ken huel betegben. — Euu all, ntb'uti o’h anavezet, Antonio Fernandez, a oa o • ij t < ■Nis d •' G (»«/. u* ml2, pa g'>?*zîz cvz 15 mr.tr h.cUwr didaa he gaii :U.J. Lazrt ; , ■ . — An nljerlen biudeta, pavezont p >det da lelua hlvhlken gaat, eur mtgoo.ni becuak, n’ez «ont mui da trîaak au train ; piguat a reont enn bo c'barr-nij. ha.vareenn ntuze d’ai leac’h market. Evel-iie a reaz dlgwcner Moris Farmau, breur d’au nl|er all a c’bounezaz ar prisiou kentae Betbeny. -------L-J V a, ' ^ ve' a ^ az elln ear euz a gicbenn Ver sali), ha 53 m m ut dlver.atoc n e tiskenne etouez be vignouned e Gbartr, goude besa graet 17 leo aanter var nij. - Hor c’henvroad Burrlct, an bini a dreuzaz ar c’henta ar Pa-j-de-G i ,r„ a o? * .3,>l dii'ul e Go;;siantiuoyi, pa oe kaset he garr-i! J gant, avcl var toenn eun ti : ac. haro Blerlot a gouezaz d’an d'.uar, " a c o e ra k ta i bsn d o u v a d'au hospiUU Evelafo n’ez eu» ket riski evit he vuez. T o r f c j o » h e a z u z . -- An aotr. Verrier, labourer douir ■ : Ju |y, dtpjirtamKnt bot:' ?aoui g in iiiK euz w Buia, o^jet unac a 15 Woa7, egiip ^ ig V D a za-r n o 2 , d aa 10 eii”. a f ir i -. an d oa la k e p o ta e h a lv ^ z «n-zbtr. euz ar p c » da .'oni, gaut-Uo da weiuut euu «-:ro. Ù" a la n v , vai bo m eno. ’ Ve!d«r bo e'ùrtdaz ; mes lakt&l m’ec .• i gavaz er c nraou, al l xkisien a laz.iz anez« tian gant eun tenn ¿evolver. Ile c’hi-fcg, diredet o k le io a t a n ie n » . e - a lazet he unan et- mem s doare, n.ivr.- ha lerc h daou vevel hag ar vaie.;, flon-c , e oe onspenn hsnter- .ro. c’h r * ’• ?.hi "• ? gouzoug. ha etiapet da e'boude er nutki. E ^ m e v e l all laoua ke cb, la m b e r t '-e ba.,o, a oe rabezet ivtz. t a teze tvic Ifi: o var an dacnecn, pa i>e oa üeme«i.gwu*> cbloazet. Neure an daou. lakt z . en etn larasz <a S i ’ t 'í‘t ta n dra benr; k in..d da zamma. iÍ íb au ainezaien ne zalc«jont ket d en 6ie gtout, hb./ £l lampcncd a rat’kaz tee hat, da guz^t er e hoajou. Antrouoz. enaserlen a rv .’o „ rfdaz d'ho c h la s k ; hag unan acezbo, hanvet Lt-. ht«nei', o veza bo c’üavet, a r«az c ’tz o /erzct dirá ¿-bao. br.tci: ti-kear San -M nncm er, .o ttle ’b tr be uzil ecunet var-a-ho. ‘ Diou revolver ka.got a oa gant-ho ; na tr« spontuz e\at tu n o *d ken ten¿r “ a zisko itz o n t neuz tbsd d’uo zarfed. —• E Marseill, t r m tmes nosvez an hofítiz AiexiH er a reaz kem ent a'“ pe gwasoc h e boaz. '0 E : n h * n :e r barrikennad gwin o v^za redet er«; c’hap, d¿n ne o a j hostiza icaz e ¿ou ar, Uag a^drouc’haz he gonz'.ag d b e v a m u , oajet a 7U vícaz. (iOudc, c resz ktmeD.t ail da una euz ce e c*j6ín Saüt* eun teun S ! . « » ?2a a reaz c i'.oaz he zaou bo*r, unan pem¡) h o a z ha u.ran c hooec'ii vloaz. O klaek sav tei d ’ezho b " tu w , bo man ía oe lazrt irTz"1*0 eca ícatt tevolTCr>hag a .h^kiUi7' "’ ‘ a n e a a «e m u id e n beodira-z-han, tena. “ cm Iazai be‘ uaaa eua L:olchan¡: endoa koiiethe benn, a n rzco kMfd^r6 Cn e diskouez heveiep íK u r n io n s ie a , — Ha sonj t o p¡.uz, len■ P^gemet t a ijin a zisk./ue/. k ..¡7. ¿-.-2 in d.; d oinater a e’b !abouz ar gtvasa var fta Iiiz da ober enn. ho c’blz ai“ pëa a ra-hl ne-unan Y Go\it:-nt í v y en deuz ivantet ena he m on'z* 6Ur vad,!!iant t a S tu n eated tnarSetu ma fell brema da hinlennoa euz mearlou ar P y é n é is O rlentaks k i ’. u í kleier d ezno ho-unan, d* n-ol evit an dud a c hoantao b ’zA ka<¡et d’ar v .e ud bcp pater na b jlep evel eur c bi. Sevel a rsint var an t i k r .r, e mizou ar p in m u n , ez-m a ^.bed d'hen lavarout. eun tour, oa iaka»tana bo.c’ach ba kielcr '»atr ar c üleler-man eo a vezo soüst cvic lia c acnseucted. p » zim ezirt pe pa varviut,. A r oboati a z j konman&út d.:ja e R v.>. salf. ' ' Gonde kement ail, mear ar gommnn-ma ne zaleo ket, m'oarvad, da v«.za b a r . t t deputei --------- -- *C*—---------- ---^ Korf Bernaíoít Soubirous ps guelloc'h ar Sœur Marie Bernard H )« !« .'».erien, n ’o rt.ecz s o .i m a j «s e ' "a ez euz hano <is 'at&t ar Sœav Marie lU r M td o >cuk ao dud tO tz. ü. ,oi*.u « ; j b it dib&bet gant Aotrou ’n E i&op N< *cre var »Bâtit Hou Tad Sa: tel ar Pub ->i X evit i'b;r eua f'.irians ; reseret 0 deuz t c j- n i au Aotrow Brtrad». f « n den bag eu deus «navizet m a i Bfrcadetr en amzer an appajivionou, ha sk îvetbebuoz; reu-Vcco d ; z b> , Aba.1ie bu kalz tud ,«a. Eu dervezlou uiveza cas mi/, guensoio b z gertieberrz 1 -oun Varia ^aard a 0 "è h»s 9? e bo t a zo b d Uavct k:.ee <b breinatlure? ebit. S ttu atua .ar gemeatî se lavarou eun te: t, eveî m'bo le n n ït er zizun t.'om :net er güzetfn l.a Croix, « N.i c’hell. t ket aaaoat n; ,b dibtn ta brei'iadurcz var ar pez a c' * 3 a da w ip t cb*d * Beruadett’ pa oue -oOret an ar- » Kig ar cho-f a ioa b.iuk, mntaket 0 veze k'-n eaz ha »i.-; eun dea beo ; a.- b u a vouit c b -eae h pe kof-gar ar e borf ££:•.'■e, a zauke eba-z dioc htu ; mes k .ik e n t ha ^ ar,ljiz k '\ lr-an tonil a veze het g re a ta d e v e da Bta-ica. Kotî ar w . rc’üez jaonank a zo asteanrt .n arched. ne udouarn a zo kro: zlet var he le a lu ia . Sevel d th . f» rktukcnt 111 rn’no laohket e loc’beat .1to ocrhtu adarre, , i ,ÜJ 11 iS’ eYel ara°k, aaezo ho-uuan. un ri r f m 11 w °» e a z eo g a e ie t an d rit oll. Eut la^ id eboumet eb beza serret ma<! diochtu gouda an tremeuvau. a zo digor at.ni ; çuelet a reer eaz n u b al K.gad eb bnez A l lagad all a î o cüoamet fco rca K ioz. » A r goazied, nendapnet sklear va- kil an diiou irn, a zo ken esz da studia ua poa. :ied eun den beo. Y vlro a an tr J d ha« an d «ouata a ZO choumet evel pa 0 ,. Beraadett o tremen. -**»unu A ! ieanez yaouank 0 doa enn Le ec.r •ur goull : tra sou zuz l ar gouli i v a ?o ¿ b«iaz diftor. E jr medir a en det.z sunket «.k eiâi'!n- 1 8a ssi'orn, mes au .skorn, d locji ma 'avar a zo c'hoaz stard. t.a gonlskonde Soa«- « a ie l í irnard a w à k;an» he estera ftubirculose des os), en he ¡doavezioB divez*. * Ar e botf a zo bet diaicheoet bx Iakeat en «un «rooed all, eun arened uovez lu x n ’p . m e s k o .f le a n e z a 10 c iio u m e t < n e bc-z, eb e u r m e r k euz a u d is te r r a breinad urt*» e n ^ b Ie ac ’b . epad m ’ù e d e n n e t e u z an arched kenta d’he Iakât var an daol, hag ac’bano en e!t arched. A r gulsk!m!\nt. a zo gonlskonde tezet o! ha var n^z raa»t e >ndà. » Le « fififiiard » des Congrégations m Z t7 J ? SSr,0n8 aat!cl*:l raies en faisant miroiter le f'tn en x «m illiard des Gonsrigattocs » où l’on puiserait à pleine» mains vrtère Ber aU peupIc 138 retrait«8 o«. coup de slfQet, sans doute pour appeler un em elgnem ent qui contredise l’ensei d'autres camarades. Le factionnaire Invita gnement familial. la bande à déguerpir, mal» le» six lndlvldas Or, c'est ce qui «e pratique dan» un trop granu nombre d'école» officielles, hélas 1 se précipitèrent sur lui, enayèroat de le bâillonner, et comme 11 ce débattait avee Décrétée» neutres en matière religieuse, violence, l'un d’entre eux »ortlt »on couteau beaucoup de ces écoles n ’ont pas tardé à et voulut frapper Charles Bonhorre, qui ne devenir des éeole» »an» D ieu, et même des fut »as atteint. Il cria au »ecours et le« écoles contre Dieu. malfaiteurs s’enfuirent. Mais que leB parents prennent garde : si — La môme nuit, à la poudrière de Kéliles enfants désapprennent leurs devoirs verzan, vers six heures da matin, deux envers Dieu, Ils auront tôt fait d’oublier sentinelles aperçurent des Individus qui aussi leurs devoirs envers leurs père et avaient franchi le treillage en fll de fer qui mère ; c*r qui ne veut pas de D ieu ne veut délimite le terrain de la poudrière et qui se pas davantage de maîtres, et ne reconnaît trouvaient prè» du paratonnerre. bientôt plus d'autorité ni mfcne de patrie. Un des soldats tira un coup de revol fer Triaor. Parents catholiques, vos enfants catho Main Ica .'ongrépinllouH voulurent sauver dans la direction de» rôdeurs, pendant que liques devaient aller tou» à l’école catho <i le mu'S m ix te s de lenr» blennet conllanteB l'autre sentinelle allait prévenir le poste. lique. Malheureusement les écoles catho Mes ar gwella moyen a 7.0 tout da vlret » ucore en l i Justice do leur paya — Mon Celui-ci accourut, fit des battues, mais sans liques, trop peu nombreuses, n ’ont plus de euz ar peli eo kavet kestennadou krên. Ar ____________ nu'oa It-u euo mises Uors la loi — protesréBultat. place pour le» rec-volr. Nous pourrions en reman, evel eur vro poblet mad, o deuz lù m n t devant los tribunaux contre Us nRiscoDStrolr s d'autres ; mais le môme gouver kal» soudardet hag a vtr ouz an cnebourien T errible chuta semoutH Illégaux «’t souvent déllotuitux den nement qui a tourné l'enseignement offi da zonet drelst e frontlerou ; er c'hontrol, Mardi aprèe-midl vers 4 heure», un ou liquidateurs. ciel contre notre foi a dispersé nos maîties mar d’eo sempl. e c'hoarveso gant’bi ar vrier couvreur, Jeau Le Saout, &^é de O .nx cl avec une l ft'.e «enr tluleuso -- tels Lo Journal officiel u promulgué la loi chrétiens ou les a condamnés à l'exil. pez a lavare Gauthier de Clagoy n'eur. ket d is v im lu u u qui se Jettent sur un cadavre 64 a. s, qui travaillait daus l lmmenble por sur le paiement des salaires des ouvriers E t alors, nous Kvêques, aprèt avoir pel ebars er Gamp, a c’hoarvezo eb dale lultant le n* 2« ue la rue Moage, est tombé — «'étalent Installés on uuU rcs dans les réfléchi pendant sept ou huit mois sur le et employés, votéo délialtlvement la seant ar I<'raas, mar gontunu fcentellou Mais il n ’en est pas m o ins vrai qu’une couvents et en dispersaient à l’enoau les »ur le pavé, de la nauteur du troisième rr**ède à apporter a cette triste situation, malue dernière par le Sénat. laltbus da ober o hent. eau qui lo co ntie nt est m auvaise. S * pré étage. L’ouvrier qui a les deux Jambes bious, les iloheSBCB, ou souvenir» artlstlnous vous avons d it: Quand vous '.e Ko volet le texte : Koulskoude, en despet da gement a sence sig o llio que cette eau est lnfeeîée brisées, fut transporté à l’bOpltal civil dans; pouvez faire autrement, nous tolérons que rafet, a c’hel ar peli douet, hag ar pez a Artlolo t ” . - L ot lalulro» de» o u v r ir a et ompar des m atières féeales. un état très grave et mourut dans la soirée. i|lU’e»t ulnni qu’aujourd’hui les malsons vos enfants allient à l’école neutre. so ar goassa, ar peli Jeneral. E ur veach ess plovôi doivent itre p »jé » eu raonunle métallique D e plus, il y a lieu do bc dem snder »1, Juives d’.tntlquités ont leurs rayons bondés Remarquez bleu que nous n'approuvons ou tliluclalre ayant cour* ldgal, nonobitant tout* beuz er gwelet ; en dervez ze na moa ket kais dans ces eaux contam inées par le baeterlum L a fièvre typhoïde stipulation ooutralro, à peine do nullltô. de croix ciselée» avec amour par 1orfèvre pas le principe : nous sommes les ennemis a c ’ho a n td a c’üosrzin. E oan eno etoues coll. noue trouverait pas le bacille d Ë o ertb, Art. a. — Le» salaire« do» ouvrier« du com du mojen-fUo, do olittases, nue n piété dos de la neutralité, parce que c’est un mal. B' ma gwenan gant eur mosreder eb»rs em Uu troisième décès dû à l’épidémie de m icrobe de la fièvre typhoïde q u l l est merce et do l'indu itrl* dolvimt «lr» p i j i s nu populations avait enrlohlos de pierres préd'ailleurs, un homm e complet ne peut ¡;aB typüoïde qui règne à ia caserne du Château dorn o tenler moget maya ma c’haiien evlt puvfoie f u t dlflkllrt de deceler daus l'ea*. moins doux fol» par m o li, A aolzu Jours au plus être neutre : 1 1 est pour ou contre la R e li ClcUBQH. eassa calati anezo, evel eur roue c touez e s'est produit hier. La victime, Albert StelCortslcs auteurs ont niôm s été p'.us lo in. d'iutorvnllo : ooux do» employés doivent être J)(s piocôs b’ci'Rhïô ont entre les llnulgion. sujudl ravoltet ; üa me bromet deoc h na c'ael, à^é de 22 ans, est originaire de Paris. Leu rc ïs tm b la n c e s du bucterlum e*U avec payés au moin» une lot» pur mol». «atours et tes congrégations ou leuts débi Mais enfin, du moment que la nrutralité Pour tout travail aux plioe» dont lexâoutlon oant ket goal dener eu derveï-ze em 10 bacille u’Eberth sont telles rçuon a été Saisies d* la it teurs. li» partie n otait point égal« c ir lea doit duror pluB d'une nulnislno, le» dates do pale, bous a étéprom isi. qu’elle est inscrite dan.i audret, ha meur da dol klcze em boa resejusqu'4 en fa lM une variété de ce dernlsr, mout pouvont étro flji-'OS do gi'é 8 gré, mal» l'ou llquldateu » qui, pour supportor les frais la loi, nous demandons an gouvernement : vet ebarsem c'hroc’hen; ha na p am bije Le burenu de la 8ucl*U d'agriculture de l ’eret de lo croire cupable. dau » certaines co n vrier doit recevoir des aoomptos chnquo quinzaine du piocôs recevaient des avances du roudlsssinuut de Brest, en présence des njm tenez votre promesse, appliqu-z votre loi. bet gallout Josue, na rai]* k»t great ditions. de subir des transform ations qui ol élro Intégrulemont p a jô dans la tiulm alno qui bieuics saisies do lait qsl ont lieu en vertu de ia T risor, 6 aient a s iu ré i do no rien perdre ; Car elle est outrageusement violée, cftte evelVhan, er c'hontrol eo o klask gwelet l'ideutifleraleut avec lui. Cette U eutilisuit la llvralion de l’ouvruge. _ , , loi Bur la represaluu des fraudes — regrette que leuia p o u : suivants agissaient ù leurs ilsloi. dau» certaines ecoles, où l’on a Intro an aol vonet ar c henta ar gwella dindan cation par transfo rm atio n n ’a pus été, ju s Art. 3. — L » p&tomout 11« peut itre effoctuis uu k s producteurs Je bonne loljoe puissent lnvoeeer duit des manuels nette,nout hostiles 4 skeud an douar a o»u; monet 4 reas <bars lour où l’ouvrier ou l'employé a droit nu ropo», q u ’ici, réalisée par aucun expérim entateur. de règle »xe qui leur permettrait de se détendre ® U*eeÙe 6qüo fut la légitim ité des réclal’Egiise, A ses enseignements divins,comme ar t u ; mes pegement a gorfou maro 11a soit en vertu d# la loi, »oit en vertu do la con Q u oiq u'il en soit, u ne eau co nte nant le devant les trlou.i.iux correctionnels. mation» - légitim ité qui parfois orevalt vention. Il ne peut avoir lieu dau» los ¡débits do aussi a la vérité bittonque. oa ki)t ebomet eno var an dachen I Le li lt rst eu efet Dn p -o tu't complexe ¡'rósenbaeterlum coli, le m icrobe de la p u tré bolsaous ou muKMlns do veuto, saut pour los per Îch veux — le» liquidateurs s'enfoncaient Bo uotre devoir est 0 en avertir le3 pa tsut dei dlSsrenccs con.i lé rtb lfs ians sa com El fit an draman, ar gwella zo da ober eo faction et quelques antres, est «n e eau eonuc» qui j so.it ocoupéos. position : Il n ’y n pus un loi:, 11 t a do« laits, toujours dans le maquis de la procédure. rents, et d« leur dire : surveillez l’école de sari dorlou ar c’hosteuuou evlt na c dello souillée et u u liib le a la santé publique. Soa Art. 4. — Ba 00 qui concerne lo commerce ot (üncleux). Quelques notfS do frais présentées au vo* enfants. La chose est f Acile. ket ouspen dlou wenanen sortial asamblea, Ingestion m e t celui qui la consom m e en l'industrie, los Inspecteur» du travail sont ohariiés, La cum^jotlll;n moyenne da lait u t blea* trfsor par ces llqullateurs tombèrent Vos eufauts ont des livres : voyez ce mogodi pe arosi gant dour. état d’infériorité et le reud plus apte à conourremraont aveo le» util lier» d 3 police judllisu = *7 .»•/•• sous le» yeux de cléputé» et »éoateur» qu'ils contieua«nt ; Ils ont des cahiers, A n Gw knansb. olalro, d’. ssmor l'exéoutloa 4a la présente loi. contracter les m aladies. Extrait sec — 1» t •/,. dn l’oDnoalilon. Lour exagération, leur» examinez-les. Il* reçoivent des leçon» ora Le» contravention» à 1a présente loi sont cons L ’eau peut renferm er, en «titre, acciden Mais les lindo* rarleiluas observées sont : c a l c u l s Çautalslstos, lear obscurité los Iraptatées dan» le» conditions Indlq ttea par 1 article les : vus eufante peuvent vou* les rappor »1 » »0 •/. «a». tellem ent, d'uutres m icrobe«, m icrobes ter. Ce n ’e it pas là de la délation ni même ................ î»,',d* l» loi du 3 novim br* l i a i . 1* t 10 •/. «xtralt see. vraim ent spécifiques ceux là, c’est-4-dlre, ben» Hans préjudlco préjudice de la responsabilité « elvlle, m ie , tout» lout ^M.^IUou, sénateur du Morbihan, réelama de l’indiscrétion : l'école est publique, tout La densité da lait natarel « uae '.«m a irs in rn capables d'engendrer à eux seuls, une m a oontravoutlon a»x prescriptions do» articles l , . de ti* varie vgelenent 4e I0.SS a 1 « le monde a le droit de savoir ce qui s y avec lénaolté, ténacité qui fut récompensée et S de la préieat* fol, »era jo rtée devant le Juki ladie to«]oura la m ôm e, la fièvre ty p h o lie K .ftn, lu quantité de natté e '¿ratre va>le tel do Duecèa 1« communication des dossiers de paix Jugeant on elmple »olloe et «era P « » « ^ 1« passe, et les parents en ont le devoir. pour lo bacille d ü o e rth , lo cQoléra pour le D e l a p r o u v e d es ob lig a tio n « (suite). lement qu II a est pas posslbl». 4 « ta b !l, ar. limites Si le livre e lt condamné par 1Eglise ou des llauldatlons en coût» de 1année ISO”. d'ano amende de cinq a qalnao frano» (» a l l fr.). baclllo virgule. exactes comme pour la de».,lté „ fa<t tU M . — Nous avons vu dans leu dernières cause contient quelque chose de contraire à la Uombes lul-même demanda cette comL’artlole 483 du G o ia rénal »ora applicable, L ’u rU Iu e h y d r lq ie d » choléra fu t étab'.lo sur la rlckewe moyenne dee ».,iu de 1* regina a ries ce (ÿi'étalt ua acte authentique, ce que Religion, vous ne pouvez permettre à votra A rt. ». — L » présent# loi est applicable a la Dation cooaldtré«. en 1849, par deux amteurs an glais, J o h n l’on pouvait prouver par un acte authen “ unecom mlislon sénatoriale lut nommée. enfant d’en apprendre une ligne, vous ne S u o w t t W illia m Rndd. Le eholéra peut Be tique et Jusqu'à quel point ou pouvait le ^T. r, la rappelle également pouvaz même pas le laisser entre sesmi-ins Kilo vit dès le premier examen dos dossiers * ^ k r f F — La présonle loi »era applicable, six tra n s m e tu e de différentes m anières. M»ls îîîJ » l* ‘ prélè*em «nu doivent proaver. Nous avons constaté que l'on pou ...... mola après »a promulgation. n i le garder pour vous-mêmes q u e la liquidation d é s a g ré g a tio n s n’était t u » r Mk ¡ i * * l , «at au dMrat d’admlalutral'agent le plus «rd lna lre de sa diffusion est vait prouver par un acte authentique pre Ht si les cahiers ou les rapports concor n m w .i i ’ t 0 11 Juillet 1*0», Inséré a j o u r n a i l’eau V ienne u n cholérique dans u n paya, mièrement, ce qui s’étalt passé d ;vant le dants de vos enfants vous apportent l’asi^ 11 engage donc lee cu.tlva'''lJo a uc c up ^e liquidateur» s’étalent con '''lJoauccup^e consi scs d éj*c llo n » arriv e nt à infecter un notaire et deuxièmement ce que les parties Police du Roulage ° aller ^et arrêté (.qills troareront au surance que le M iltre ou la mUtres^e i.nltii pUlaut les^conduits on véritable» bandit» bandits P »1«»* !®5L®9î; pnlla, u n cours d ’ean, une canalisatio n avalent rapporté aa notaire, mais que le »l*ge ue Soclôié) afln de »olr si le tnode d » donnent un enseignement qui ue respecte cations 'rut no pontfticnt 86 détendre d’eau, les h ab ite nt» q ti se serviront de La chambre orlmlnelle do la cour do onssatlon notaire u’uveit pu constater par lul-même. P-1*« n’échantlllon est st-li;eiueat obiervé. I l pas les convictions ,Je votre ftme, vous cffljaoomei'' contre eux et l’Btat è qui Ils a tondu un arrêt qui vloat groislr uuo Jurispru estte eau co ntractèrent en pins ou m oins • ‘ PP'.Ue neanuiolùs que lluobiervatlsa d’un» L’acte i.otarlé ne peut être combattu qua devez les rappeler à leur devoir. ne remboursaient point le» avances. Il y dence déjà très abondaat» et que tous conductours io ii u i iu e u ’e m n l je pas nécessairement la nalIltA grand nom bre la m aladie, qal peut ainsi par la vole très périlleuse et très difficile à Le père n ’osera pat toujours faire cettu eut an moment d'émoi dan» les m î le » da procés-verbal, donc qu'il n'en résalte pas u s e do véhiculas »orout «»aiilmos A déploror. gagner toute une ag g lo m ératio n, u n v il m iner X bien de l'inscription de faux en oe démarche : l’hom m : est brave dans le Il s'aghsslt d'en procècverbal d ro n é 4 un cy atteinte aax droits de la defease. Ceax-cl sont nnlitlauea parlementaire» i on craignit des lage, an bourg, s'il s ’ag it d’un p u lls , uae qui concerne Iss choses qua le notaire a pu ■e avogardes dés l'instant ( s 'il n'est pas douteux danger et sur le c h im p de bataille; mai» Févélations car nombre de parlementaires cliste pour défaut d'éclairage A sa « « c h in e A huit ville s’I l s ’agli d ’une canalisatio n d'eau. constater par lul-même. \u contraire, en heure» qunrinte du soir. A une date (JO mal) où f4 *e les eckantlllons dé lait prélevés ont été Immé devant un devoir moral à rem»l',r 11 e*t avaient prété leur complicité morale aux Il en est de m êm e do la lièvre ty p ho lie , ce qui concerne les choses que le notaire diatement places sous scellés et soat b l,n ceux le oouohor du soleil avait lieu A «spt heuro» cluplutôt peureux et hésitant A'.or», u ia n t de Kogardons Jt ce propos co qui se passo n'a pas pu constater par lul-mêne et qu’il qui oat été soumis a l'examen des expert*. V Aialsprudemment le gouvernement i.flu <,ULo lu'g* de police avait ludloleuiement pronoucé io n autorité, 11 comma> 4era à la m ère: Remarqua. — L ’ialéressé (commerçant oa ealdans nos cam pagnes. rapporte simplement sur les dires des par Tai-y, toi, le» f e m ^ cg ont plu» de langue d'im iter ces révélations Joua 1Indignation relaxo ea déclsruat que le Jour visible no to «^ tlvatéar) devra spielalement veiller a ee qua 1« U .t m em bre f u n o fam ille c o n tra e tî, Ici ties. on peut prouver quo cr» choses ne et plus de baii'iegie. Va donc trouver le bail eu Unnis nermal, étant donné le ll»u da la contréleur remue lé liquide avec une longae cuil e t «e revêtant d’un manteau de probité ou l i , la flèvr« typhoï le. A u c u n s précaution sont pas vraies par ua antre écrit et saas oonlravcriilon, qu'uue haur* aprèsil* coucUsr du lère de bas en baut et de h aat en bas ou lo traaas maître, \ -A maîtresse, et dli-l*ur, sam S éjî men troué, n'eut pa. de m a . . » » « n'est prise : les m atière* fécales sost Jetée» recourir à 1 inscription de faux. soleil et qu'au fuit, * • i«ur et A 1h*ur* Indiqués, vaser dans un autre réclpleat bien propre. I l sst én ergiques pour flétrir les liquidateurs aa^.Hionte q t ’il* blessent nos oonvictloui sur uu fum ier, volsla d 'a n palts m al coas Nous allons exasalnar m aintenant la se« l'état Un olel était beau et q u ll laleelt eaooie essraUel, en effet, de mélanger toutes lee conchos Intime», et prle-lt« de l ’abstealr de cei trait, délabré. Il a ’en faut pas p la» pour conle des principale» pr uve» par tZ nt, du lait à examiner. Le lait b lia roma» doit i.r o attaques contre notre sainte Religion. » jn üet’“ DaUeitide habile Otait tout prétexte 1° ï! a " n ”nr‘ »P c>asllé l co Jugement en déoldnnt quo, co ntam ine r to u t le village do nt la plup art versé dans des bouteilles d’un deml-lltre, préala c'est-à-dire l'acte sou» slgn*1^ . privée. d’iutc-pellatloj dangereuse pour bsaucoup Ht »’1110 rencontre des chefs de faullle tes hab itants p aie nt «uocesslvem ent un blem ent reconnues vides et blsn propres. Lee houon mntlô.o pénale, le temps de nuit était rouNon» al Ion» voir oe <»■ ’ ' C'egt' qu’un acte qui auraient à craindre, en défendait direc teUles soat rea p lles complètement pour éviter >4 (utnié d m » les limites préolses et cor t» nos et trib u t plus ou m o in s lourd & la redoutable sous signature j^ v é e , comment 11 doit être nu'll oompronalt lntégrulement 1 Intervalle qui ballottement, <[ul amènerait lo barattage. 0 « tement rame de le u ri enfant», d’encourir t * n’en allèrent pas mieux ainsi maladl.','. tait (» ce qu» l’on peut proaver par son ferme aveo dea bouekoos de beans qualité et de» dlsgrftces, »’11» »ont rattaché» à l’adrnloui le con»tate une série do rapport,i do s'ôeoulo du couchor uu levor du seloll, s.ma uôLa tuberculose, elle-même, peut avoir moyen. après avoir placé sur le bouckon a te banda im des période» çrépuioululre». « titratio n par un lien quelconque, qu’Ui C sroctlon de» l'Inauces snr le» opéra duotlou pour c«u»e U k u o rn tlo u d'eau contam inée, Gala fait, nos» ferons une comparaison 1 )6 | A , a u su|ot do l In te rpré tatio n d u déoret du papier, Indiquent la nom et lé domicile d a véal'enrôlent d a m le i aasoclatloni ue pères et t i o n » des liquidait urs, rapport* ^dronsés ü h u n te m e is e et W id a l o n t, en effet, d é deur, la date dn Jour, 1'lndleaUon de la traite loa 10 u n d l relatif A 1» polloe d u rou la g e .et entre l'acte autkentlque ot l’aote sous seing mères chrétiens, dont le bureau le chargera ce» josri derniers au président de la Jlé- dont IVirtlcIo 16 p esorlt de m u n ir d u n e lanterne m ontré que le bacille de K o cb , le mlorobe signatures de l’opérateur, d«s témoins (s'îi en m privé. Noas verrons qu*ls sont tes avan d e i démarches nécessaires, et les fera en été requis), du vendeur. de lu tuuerouloue, pouvait rester vivant ullu m o n Ion voitures c ircu lan t pe nd an t 1» n u it, la tages et les inconvénients de chacan d'eux. toute compétence, et avec d’autant plus Ou Scelle et on cachette. ‘"'Au '1'iTdoiBlcra, 24 p'étalent à dlv.rses c lium bro c ilu ilu illo tiV. lt I f j j ! 1! nov um b iti lBOO, plus de 7U jo u rs dan* l’eau distillée. L’acte soas seing prlvéi autrement dit Les «eatro échantillons doivent lir a p ré io v ti d ’autorité qu’il représentera un plu* grand 3 lAvrlOi' IB iil, Ot 30 marn laos rondu des aJ ‘ fll* La dysscntfi'lc, elle aussi, Be transm et cri iquei. sous signature privée, est celui qu'une ou A t,in " , ’ a nt m m ém o ¡urlsprutleuco « t déorétaut et cachous dans d w conditions •.deaUque», oa 11 nombre. sonvent par nue euu Infectée. OuolleB sont ces critiques/ plusieurs persouues dressent pour leur î* »... », / ’• ‘-'«r dovultOtro coualiléré« comm® est utile d ajouter 4 c b 'q a o éf k in tlllon an demi« Ce devoir de contrôle Incomberait au (¿îant au paludisme, l’it fluence de l’eau in.i],ort connu du public ne les InJlpropre compte, en leur qua'.ité de simples groniSQ do k lc h r o v s ii as pjta»se ou a y u n u fe ù a l hVura astro n o m iq ue d . eoucU tr du gouvernement, et un gouvernement digne mu ua contagion a été démontrée depulü ua iiuo poB. . x> gouttüs de formol, de faç®r. «u« ]§ x^it Q*arrlvo particuliers. ae ce nom aurait à iseur de l'exercer ; et N’auralt-on pas voulu par un oupué- “ 'lloureusoment quo dan» lu P'ajtauo te* ngenla pas caillé aa lahoratelnt. demi siècle. Quelle» sont les forme» aaxqaelles est d sprèi quelques-uns il a paru y venir e n rnlai io administrai it adoucir 1expression vorballsat-urB tlounont pou uompte.idos prtsoirlp Com m e on le volt. l’Infi iSBoe de l'eau sur SM ujettlun acte sous signature pdvée pour dont lnate»au «»Sage le enlllvatear, tem pi derniers, en disant aux Instituteurs : dont le lait ^ ûté .mlsl, a envoyer — à titre coulions aussi étroites; malB, çepoudantle» cvolls «», lu santé est prépondéraute. A ussi voyonsd’une Idée Mcheuso I être valable ? J ’attire d'une fafon toute par < Ne donnez p is à votre enseignement un Üo rapport nouB apprend cependant lo» atilomobllUtn» ot d’une ngon ginéralo les con nous les m u nicip alités rivaliser de ïè le et f^h !?riL ~ la l, i * eu 11 possession, au ticulière l'attention de mes lecteurs sar les laborat^,ré départer,¡Sntai de Qulmpor. caractère de polémique, n ’ouvrez pas v o l « «rue lo (tarde dcsncoaux u dû prendre des duettur» do véhicules, quoi» qu’lTs »olent. agi on pourvoir d’eaux pure» leurs ad m inistrés. considérations qui vont suivre. Il peut le^r I ', bateau, tout en luslstant poar «ce l'anaWso iivoo nrudonca ot on ullum ant Joui inn écoles aux discussioi'3 de la rue. * montres rigoureuses eontro trol» liquidaAux individus de com pléter l'œ uvre de arriver d'avoir à rédiger eux-mêmes des chimique, conformément é l'arrété du '.8 Jaavler “ern. dé. que I* >ol*ll aura disparu du BrmaCes païoles étalent tro.j peu claires pour cura élus en lie cnnstruitiaat de bons puits acte» sou» signature privée et 11 est bon 1U07, du lait saisi dans los formes légales colt nous inspirer oonliauee; et elles ne pouvaient _______ tUCe« trois liquidateur» avaient «an» doute ment. bien abrités i l « lu iiu re té s . toujours faite do la f.ço n la p lo t rlruoiouse e t qu’ils sachent quelles sont les formalités manquer d'être ainsi interprétées : « pas dépassé le» bornes ds la raallioniiêteté. D r Q u in t in (de Plouescat). pour quo le chlmlsto du laboratoire admis t pro» abïO ument cécctsslr^.n pour que l’acte d histoires, mats n o u j comptons sur vous cédor l ’exam en de l'echautllion soit toujours apOuat d on s ' fiit voleur, il faut connaître qu’ils peuvent &*oir à dresser coit valable. •mrnmg e m sismmiÊmiÊËmiamiimÊSs m pour nous aider â éteiudre les lumières du polé á soutenir ses conclusions devant lo tribunal, sou métier et avoir en dépouillant sa vic Les paroies (ou l'auteur do l'acte s'il est b-riet le vœu, ciel, » ce qui veut dire, sans doute, extirper time un cortalne élégance do geste, sans Beu ) sont libres d'fmployer telles fjrm es Que lors de la saisie d’un lait supposé suspect. des «couis la croyance eu Dieu. nuol l’on n’est, qu’un vil goujat. Le» Mois et de se servir de te,lea txp.essiona qu'elles Il doit toujours «ire lait, * l’etable da v e n d W E t au lieu de s occuper de maintenir soa llquldatoura trappéa n’auront pan eu cetio voudront. PI 1 général, voici la forme usuelle Prochainement, le « C O U R un« épreuve a la ^6010 heure détm llo que v>oiir llrcst enseignement dans les limites de la loi, le «loganco Je KCMtc qui réserve à <1autres pour uu contrat qui n ’engng« qu'une sjule le lait saisi et autant quo possible vlnirt-qaa'tr« gouvernement n ’a d’autre souci que d’en collègues non moins voleurs, nuls plus R I E R D U F I N I S T E R E » « e r a Concours d'étalons. — Samedi a eu paitle : houres après — l ’affouragement des vaches oevant rester le n:6œe. Iwbiu a, rindulgaace Rouvernementale. lieu, sur les Glacis, lu concours aumiel d é« Je, soussigné, Jean-Murie X .., domi traver le nôtre. imprimé sur presse * .otatlve Ne nous a-t-il pas lancé cette menace : Eotre lt s m «lns de ces algrelluB le ml talons de trait de trois ans au m ins Ce cilie i tel endroit, prend par le prisent Bt nous ajouteront que la meilleure m a « Nous Irons dans vos écoles I » l i n ’y vient ilutd « eut fondu, évanoui. C'est à peine si organisé par la Société hippique acteienyagement de... • niere de ne pas s’attirer d histoires est de et des caractères entière eeucour», déii. que tro,i> ; il y i-sp'O e les cahiers, et l’Ktat a PH rénllseï' un actif atteignant de Lcsueven, avsit réuni 51 é'.atons. 6 il s «gît, au contraire, d'un acte des lné vendre toujours du lait po<\ Sur ce point pro*ciit les livres qui lui déplaisent. C'est V7 minions 200,483. «4 de la vente des biens En voici les résultats : ment neufs. En môme temps, à ll*r deux ou plusieurs parties, on e m nous cioyur.s qae q^-eiques o a ltiv a te u r « ainsi que i l vous allies demander daus une cMKrôitauiiJ'os. Nous Hommta loin du ploiera le plus souvent la for mal- suivante : pourraieuî laire uu petit t x a m e a de con»Etalons Asrnoi'vts ethinsionnés par i.*s haiuu école chrétienne ou i'nis otre de l'abbé l e format sera considéra m lllW d . « Ulen mal ncqulfi no prollto Ja ck-uce. •1 Entre les soussignés, L»u\l X... domi Romulut, M. liai»ü .. d', l’ Iouzdno, kM lr. Courval, ou l’nistoire de 1 abbé Gagnoi, ou mais » dit, la Bagesso des peuples. Ç.ot cilié i tel endroit, et Pierr» Ÿ..., domicilié pur itu ; S«(ril U rli»ln, K. Q ui Iminsn L:iv;,naot, blement agrandi. celle de l’abbé V andepltte.il vous serait adago trouvo une nouvelle confirmation ,10 SHlnt-Dlvy. ',00 lr. par uu ; Ziplilr, V. Yves à tel autre, d'une p a r t ; etjran Z- ■ . domi tépoadu : • Nous n’avons plus le droit Lampaul-Plour.rzel li,r,u , de rioutdar, 400 f,'. pur an : (loujird, M. cilié ici ni iîaul T..„ domicilié là, d ’au tro d’employer cea livres et une trentaine J i.in-Mnrle lloullu, d’Hstivec, 400 lr. p*r au ; D o u a n ie r s a tt a q a O » . — Le trlbunai 6' MiVudlsftnt M M. Barthou et üocliç.ry dans p a rt, il a été coiioimu ce qui suit : .. • Arthur, M. y , os Uel.tU, d» Womsué, ni)0 lr, d antres. » correclionut;! Oe SrtSA a jugé 10» agreg-, pn rapport olllolnl, si lf» llq u dations des Mais, encore uoe (ois, ces formules n'ont par an ; Hrfrut, M. Jean-Marlo Pailler, do PlouKt pourquoi? K it .ce q i ’ou y prê .'^erait seurs q^i, le 17 octobre dans la soirée, conpréRatioos n’ont produit qu uno somme absolu meut rien d’obligatoire. La perso ace vleu, 400 lr, pur un. l’anarchie, la révolte ? Holnt di> ‘t00t, Muis attaquèrent le sous-brig^dler Guaries Lo minime en regard de celle que I on escomp ou le» personnes q ü veulent faire un acte ils »ont imprégné* d'eiD-^ chrétien. Ht eu Mcitlour et le prépose Tüél»*ut, tou* deux Eïai.ohs ra ia é s i u soNeounS tait. la faute en est surtout aux congregasons siKUttiare privée sont absolument N o m in a t io n ! * ] d a n s lo O l en service a La.ripaul-Piouariel. outre oa leur r.o n ^ 'u e de ne pas parlar en Ifesdln, M. J,i»n-Miirlo Ksrbsul, de Plouédern, ttons ot A leurs ami» qui ont entravé le» libres d'en employer d'autres Au contraire, 400 francs ; P arfu«, M. Puul Lsgadec, de PlabenA u c o m s d r I en^tête, quatre pêchcari terme» as*“- flatteurs de quelques persoaopération» par tous les moyen». les form ilitésque nous allons étudier m ain Par décision de Mgr l’Bvéque ont ét» use, «7» lr. ; fa r a u d , M. Palllor, do PlouvUn, furent ariôtéü, ujw* seu», le gabarrter Oe reproche est naît ; car il oat bien rare ^ * ^ ' « 1 du la Révolution. tenant sont drg formalités substantielles, 310 fr. ; Afotffll/, M. J«an-Prançols Kerkuall, de nomméa • Jacques Jonequeur. ï» anK,, 4 e Pl«uatv»l a ou’oi; se laisse dépouiller de ses biens aveo B)lt, disons-nous a'ors au gouverne Leur absence rend l'acte nul Nous divLsntilll», 350 fr. ; Vnrue, M. Joseph Lannniel, de Vlcalro é P lo u ja in o u , U . Boussard, vloalro 4 été coudamno à « m-f« do prison, le« bonne tfrftoe ot les exécuteurs do la loi m ent: nous n'emploierons p a l cei manue's rons ces fo .m ilie u eu de»’ oatéff0<Te» Plouilu, Hat 1^. ; tig tril, M. Fr»PÇ'>l» Vli<ouroiix, l'R U é - O ib é r lo ; , autres ont été acquitté». eontro les congrégations ne devaient po nt dars n o i écoles. Mais, puisque v o u b ne lo Dlilnon, aa» lr. ; L»m|/. U . Y Bergot, de cedes qui som oéci*®*' ireH ^ ^oug [eg acte» Vloelro é Ergaé-Onbérlo, M. Madoo (Thêopbllol, Jouqueur était a c c ^ e d ’avoir porté ua compter aur nno collaboration détouôa de» vloulre U Plougasnou. vouiez pas que nous critiquions certain» Plouvlen, 100 lr. ; Giron, M. François A.bf?rall, de sou* siu;ii"L are privée, et celles qui ne Bout coup de coute.au uu Ç/réposé ïk é b a u t. Ploumoguor, 800 lr. : RuHnsen, M. Josn François aeteB de la Révolution et vos idée», de quel nécessaires qu'* certains actes. J . D . Korboull, de Lannllls, 1176 fr. : «iflelo, M. Tfos C°BUes*avalent le devoir d'essayer de sau droit permetteZ'Vous à vos nultres et msi Laoderaeaa Uergot, de Plouvlen, 1176 lr. ; Eh bttn / M. l i k i i K Jno B r o c h u r e ver dans le naufrago sinon leur» bien» tout tresse» de donner à nos enfants un ensei M a rc h é .« — Les Marchés de» ZS décem lien Calvsn, de KernUls, üio fr. ; f i s u i i î , M. Yves gnement qal blessa toute» no» eonvicau moin» la notion de propriété, base de la Rtou, d* Ploulder, as* lr. ; flluoli, le. Paul t a g a . bre 1W et 1" Janvier i t l l ctJkeldant avec tlons?... ASSOCIATIONS DE FAMILLESJ dso, société actuelle. .... , do Plabennee, 316 lr. d-» l'ours d(- fêtes auroae lleti les 24 et SI Oü 1 pas d’illusion ; nou» n'obtlendron» 81 — par malheur — les socialistes an* d^oembre lit / P n tu is s»rn*«usNTAi*ss pas satisfaction du premier coup ; l’attento valent au pouvoir, U» pourront »e »ouven r La contérence bretonne fuite i Da oulas, B It E SI? Oarfon, N.' Auguste t a ls t u , de flouxsné ; »era longue, car les mouvements d'idée» du précédent dangereux oréé par les radi le S» nouembro 1909, en vue de la fondalton Lasrlvearé Robin, M. FanifÇols Lanntuel, ds Ploarln ; P om »oat lent*. Les maîtres de bonne volonté, caux, poar le» spollor à leur tour de leurs Icrasé par an trala. — (jt ssmalce d'une Association des Familles du canton, p ie r!//, U . Jeuu-Murle K eibaul, de P lo ué dtrn; — 11 y en a — n ’oseront pas changer tout bien» et de leurs fortunes , , dernière, !e Jeudi au soir, i C t . 30, an Voltaire, N. Jtau-U arle Uoatln, d 'B ja v c o ; lléplAu nom de quel droit protesteraient le» paratlvu ce* jour»-ci en brochure. de suite les livre» condamnés, craignant moment nè le train dépar'.omental allant de Elle est suivit des statuts et ti'uno longue que, M. oebrlel Ilolloré, de P lo u ia ié ; Garde feu, radicaux t Lo droit de propriété Ua l’on foulé liste lo» tracasse, les de toute !a Liérarchic qu’ils vt. P» il Lasadeo, ds Plabonnsc ; Lami, U . Yves Brest à Porteall «ntral*. en garo de Lanrld'ouvrages scolaires pernicieux. j,u ï pied» lia ne pourraient Invoquer ont au-dessus d'eux : Inspecteur!, acadé S ïla ü i. do P lo uian é ; » I/o u, U. Joan-Pranfols voaré, le méounlcleD IJtmauda sentit une Le tout forme une brochure de la papes, Abgrall, de PlouosoKUsr. pour leur défen»e que de» lntéiêt» per»onmie, ministre, gouvernement, Parlement. certaine reslBtur.ee sur L » rail» et crut que Les primes ne seront payées qu'après la monts Mais le mouvement le produira lelaillluol» ? On leur répondra qu 11» doivent on cidée; ù 5 francs le cenl d'exemplaires, l’on avait placé défi gravier» ; aussitôt »on Une grande Mission française sa pour blement si nous y metton* notre ténacité do 1*1*, lois du concours do poulinières ds Lesfaire le »acrlllce sur l'autel de la Défense p»rt e‘n *t>s. train arré é, il vf:rm» ce qui avait occasuit en ce moment à Brest et dans le» nevsn, au mois de septsnabrs ISIS. sociale, comme Jadl» Ils exigeaient le d» Bretoas ; et un moment arrivera ofe les »ionné cette resl»tanee et trouva lo cadavre paroisse» environnante». Bile est prêché», électeuri »e diront: Puiique le mal vient Bactlilce de» droit» le» plu» sacré» »ur d’un homme q u i venait d étre complète dan» les quatre paroisse» de Brest tout am d’on haut, du Parlement, d o u i cbangeroas l'autel de la Défense républicaine. ment écrasé par la machine. Le médecia moini, par des Pères Rédemptorlstes. le» élu» du Parlement, ot p»r là mftme le Drumont, dan» uu article è l’allure promajor Lorlu, qui »e rendait t PloudalméCette UUslo* française a été précédé« gouvernement, le» ministre», et aussi la pl étique, annonce que cette heure est leau et qui se trouvait dana lo train, ne Noua avons encore reçu catto semaine, d'uno Mission bretonne de huit jour», qui désastreuse direction doanée à l'enseigne put que con»w tor le décè» qui avait été Ar gwenss a «• aoelalUtot, moa pour lo monument Diraison, 13 francs de eut an succès da« plus consolants. Nul P Quoiqu'il en soit on ne vlolo pas Imnunéim m édiat. n'lut; k et korvolatot. — A r Poil quatre personnes qui désirent no point se n’ignore en efet que la population cosmo ment. Q io l qu’il en «oit, votre devoir, parent* rao tt « cetto Justice lmmauente » dont par. Le cadavre était celai d’an «oanné Je a n polite de Brest compte des m illion de Bre- chrétiens, est de vous montrer vigilant» et fairs connaître. , Bu our gomparl eur gestennat gwenan iiiit un Jour Uambetta. . Vailland, domestique de terme, llgé do 45 S’il nous reato une certaine somme après gaut eur gouarnamaat, e c'kaileur lavaret tou» accouru» de» campagnes à la recher de ne reculer devant aucun sacrifice pour Tout se pale icl-ba» ou dans 1autre é S0 ans, au »ervlce de M. Raguénès, culti avoir soldé la tombe ot la concession, nous che d'un emploi. Un trop grand nombre, ez lnt soctallutet, rag tout a labouront ovlt inonde. Dieu aura son heure. héla» I de ce» Breton», chrétien» excellent» »auvegarder 1Innocence et la fol de» vateur au village de Lanvsnne», en Lanrlcroirons répondre aux Intentions des sous at »ocíete, hug hlnl ebitevlt hl e c'baaan. U. li* enfant» que le bon Dieu vou» a confié», voaré. chez eux, négligent laurs devoirs religieux crip te u r en commandant qu e lq u e prière» Hag envol euz pennou bras ar sociallstet, pour an taire de» être» dlgae» du bonheur Cet, homm e était descendu du train «ol pour le repos (lo l’ílme do M.. Diraison, a a zo 0 klask aon«.t da gomaudl cbars er qaand il» arrivent en ville. Mal», la fol da Ciel, f i vous manquez à ce devoir, arrive de Portuall S ( b. i pour «e diriger n'eat pas morte dans leur ccasr ; et c'est rocjaslo.'i do l’unnlversalro do su mort. Fracs, e ve'er lve en lio toucs eur rum vous vous rendrez Indignes, devant Dieu, vers Brest ; Il »e troavait en état d’IvreMe : kofou teo, l u pennou bras, ha nu reont avec un empressement admirable qu'il» se de l’absolutlou du piètre. la receveuse de la gare, Ulle Floch, le pressaient autour de la obalre sacrée pour uemet bragal pa vcz brao an amzcr, hag Ht ne dltei pas que voqs voui faltei forti ENSEIGNEMENT PRIMAIRE ober cher vad dlvar goast labour ar re al -, écouter la parole de Bleu, que leur distri de détruire dans l’esprit de vol estants les prit par le bras et le co nd n ldt en deher« de la gsre en lui Indiquant son chemin. Q buaient de» prêtre» de choix dan» la langue Idées perverses q i ’Ils pourraient roctvoir ar rum-ze a zo hanvet gorertted. Pa« do convocations de rôservlstos est probable qu i ce moment l’homaia * Mes, ma 'z co ar gwenan »oclallstet, ne de lears aïeux. Lo flânât vient de voter une proposition dans certaine* école». L’ftme a été comparée — Le« Béftnooa da oonsell do voulu revenir sur »es pa», e»t rentré de Si la M illion bretonne fut coaiolante, la d’ii.t ket avad hervelstet ; Herve hag e ii»de loi fixant it douzo ans révolus, au lieu df à un va»» : ai vou» commenoez par y dépo rovialon fieront retard ée s. nouveau en gare et a été pris en écharp# M illion franyaiio dépsiie toute» los espé klblen u lavar teulcr an drapo ebjus en onzo, r a je de» candidats au owtillcat l i r de la loue, ne serait ce qa’une pincée, en traversant la vole par le train qui venaii Bien qu'aucune décision n'ait été prlao d’études primaires. Exception est faite tou tell, dlBkara an armeou hag ar frontlerou ; rances. Le loir lurtout lei égiiioo ne suf vous aarer, beau y verser ensuite par-dessus en sens contraire. en ce qui concomo la date exacte dos éleo- tefois ou favour de» enfaut» candidat» A lavaret a reont m’o d#u» bro *bat. Ar gwo- fisent aai, malgré le» vaste» proportion» de» lo t» d’eau claire, le fond réitéra tou tionn t'énérales pour lo renouvellement de l’inscription maritime pour lesquels 1 ftgo nau n’int ket tam ebet deuz avl» ar re-ze ; do quofouei-une», k contenir la foule avi la Plabenaec lu (ibambre, le gouvernement se préoccupe d'entendre le» belle» Instruction« de» Père» jours trouble. ha malhtar d’an hlnl a ve hardlz awalac’h Be même les Impression» reçue» par I n a u g u r a t io n d a P a tr o n a g e . — A {’oc copondaut do la question, notammont en co resto lixé ft onze ans. Missionnaires. da a*ten e irelt drelst frontlerou eur rouancasion ae la bénédiction de la mao”ùiftqae n ui conct rno Îch convocation» doB résorHt qu'on ne croie pas que cet au S tolro l’enfaut demeurent gravées à tout jamais telez al, r«c euo e kavo euu arme relzot dans son esprit, salle pa-olsulale, le* Jeunen gem> donneront vlstca ot territoriaux, ot le» »éanccu du con ■e compoie exclusivement de femmes. Les mad ha »antlncllou aketu» da zloual 0 bro. Et le saint Mgr de Ségur disait qu’il lui uno eéance recréative du plu» tiaat Intérêt, seil de révision. , . . . . . . , Piou na nous ket gwelet, en eur evesaat, hommes, des ouvriers pour la plupart, tien avait fallu des c fo rts de plua de vingt à l Issue des vêpres, i 3 beuyes préd»e». On sait qu’eu temps dn pfirlodo électoralo nent é honneur de remplir une bonne moi out tu r gestenuat gweran, dlou, telr, années pour extirper de son coeur des pré Au programme : uoe comédie bretonne. lea convocations des résorvlutos et torrltopeder pavez red, krog en unan al, 0 skleja tié des églises, et leur tenue est des plus jugés voltslrlens qu’il avait reçu» de ses L E au et la santâ publique xlunx Bontsospondues do droit hUnved ar Medalenriou, et ane oomédloanezl er meaa. iod dre e askellou, lod dre édldantes : le bon Dieu les en récompensera. m«ltre» au collège. boufft*, agré»aenteeii de monologue». Aucune date n'a été llxée, mais 11 est — Ba grandeur Mgr Duparc a bien voulu e uclt.peblblnl el leao’h mae'hol krogl ? Ha L'eau Joue un grand rOie au point de vue Retenez cet exemple, parents chrétien». La mémo séance se renouvellera avir cependant é pou prés oettalu que lo çlrMx na vezo ket dllezet ken e deveso rontet he venir paner la semaine à Brest et présider Soyez vigilant», soyez courageux et tenace». de la aauté publique, et létat »anltalre mêmes heures, le dimane’u a 2«. La aéauce une cérémonie dans chaeune de* paroisses. «n portora cur doux dimanches de mal. Kn d'une agglomération, village ou ville, dé buanaden dlveza. Kement man a vez gwelet Inutile do dire qa'à cette occasion la foule C it e que coite, sauvez vos chers en du 19 eût plus particulièrement réservée 1808, leu éloctlows ont eu lieu le» 8 et 2 aile», hag ar gwenanerlen nadaolont ket fant» : Dieu vou» aidera I... pend en très grande partie de la qualité de aux paroissiens de Piahennec. était encore plus eompacte. mal : on 1902, leo 27 avril et 11 mBl ; et, en kal» a gout c kementse. — Ce discour» fut religieusement écouté. Mousolgncur en profita pour parler à ses îliOfj! le» ü et 20 mal. Suivant toute» proba reau comommée. Ar pez aviid a ra disesper ar gwenanerP lo u g n e r a e a « N ul doute qu'il n ’ait dé] 1 produit de salu L'eau la plu» puro n'est pas Indemne da bilités, les élection» auront lieu comrao on rlen eo ar peli. K pelec'h e man ar gwena- ouailles du devoir le plu» prenant de taire» résolution», et que ce p&le résumé Découvert« d’un cadavre. — Lundi raloro-organiami!». L'eau en contient un l'heure aotuolle, l'éducation de» entants. 181)8, cW-A-dire les dimanohes il et ¿2 mal. ner kos, ha 1 1 a neus ket bet great anaouplu» ou moins grand nombre suivant »on ' lettre do n'en produise bien d'aatrcs parmi nos soir, vers deux Heure», la je u o * f in . GaCommentant pratiquement la leti Cotte année le 1« mal tombant un diman degez gant ».r peli ? roue» lnt ar re no deu» brieiie Guéguen en cherchant iJ i'c o o a U » nombreux lecteur» l C. Bplscopat »ur les écoles, 11 rapuellle aux che, le premier àlmanoùo da mal ne pouvait degré de pureté. Tandis que l'eau de pluie ket bat gnelet dlstruja dez’ho, 0 nebeutoe’h lages sur la grève de 1 Ue déSun'en renferme que 4 & 8 par centimètre Ctre cbolil. La Période électorale »'ouvrant, iarent» qu’en portant leur» enfant» aux evlt eun anter-dervez avechou, eur ges vrit un cadavro rejeté f f « . cube, on en trouvera, au contraire, de» ont» baptismaux, Us en firent faire de» S o n tln o lle a a tt a q u é e s aux terme» de la loi, au moins vingt jours davre était ri un« < Ift mor« L l • • tennat gwenan I Hnoavad a veleur lasero». vonet bag o tonet a heller gouzout d'eu» a beseurt keiten eo ar re a zo 0 pelllad ; ma na neus nemet eur geitennad 0 pelllad, ar gwella so da ober, eo lakAt an hlnl a meur 0 nelllat e plaa a i hlnl a zo 0 pelllad anezl. Mes alie» a vez dlou. telr gestennat oe’h on em ilcour da belllat una« ; neuze oo dleisoc’h ; ma na n'eo ket goal avanset ar peli, en eur deuler var ar pont eur lian glebet gant petrol, hag en eur vlanad an nor, a heller c'hoas douet a ben d'e aretl ; mes mar d'eo goal avanset, ar gwella zo da ober eo dastum aneti, mar dal c'hoaz ar bean, etoues eur serpleren hsg e c’has evel-se e* eur c’bao, pe en eur gampr kioz ha tanvai, hag e lezer eno da neseuta tout peder heur varnagent. L a richesse d’u ne eau quelconque en mlcro-orgaulsm e» n ’e»t pa» constante. L a tem pérature est p lu» ou m o ins favorable a la m u ltip lica tio n de» germ e». D é p lu » , plu» on puise de l’eau dans u n p uits, et plus e lt co n tin u cet épuisem ent, et p l ia »’abaisse la proportion de« m icro-organism es de ce putt». D a n » u n ré»srvolr n a tu re l ou dan» u n puits, le» germ e» «e m u ltip lie n t, m al» to m b in t pour la plu» grande partie dan» la vase du fond o ù ils se conservent vivants. Il b' cu faut que tous les micro-organismes contenus dans l’eau salev dangereux pour la santé publique. La pi lart d’entre eux sont indifférents et no» pouvons leB in gérer sans en le ss e n tlr » cun m alaise. Mais, i. cOté de ccux-c il en est d'autres, néfastes p ,ur notre santé, et qui dénotent nue souillure de l’eau. P arm i eux, Il y a lieu de faire une m e ntio n spéciale du bacterlum coii. O lu l- c l » st un h a b ita n t no rm al de nos voies digestives o ù nous lu i donnons asile sans, le plus souvent, être Incom m odés par les convocation» de» réservistes et territo riaux. Aussi, nous recommandons à ceux qui voudraient bénéllcler des dlsposltUms nouvelle» qui leur permettent d'émettre un avl» »ur la date de leur convocation, de ne pa» choisir cette période. Il y aura, en outre. 4 modlier la date de la leuslon de» conseil» de revlalon. Depuis plusieurs années, l'usage s’eat établi de suspendro los opérations pendant la période électoiale. Régulièrement, les commissions de révi sion terminent a la lin de mal (le 27 mal eu ltKKi), dette année, la clôture sera reportée A lu lin de Juin, si, comme tout le fait pré voir, les élections out Heu les dimanches _____ 8 ot 22 mal. Aprèi «voir ml« U dernière main * 1« loi couvre lei Gongrégatlont, 11 dltparut de » scèuo politique poar lalasor à Combe» le »olo de l'appliquer, üombe» dans aa lutte contre lea Congrégation» fut sans pitié ; U prenait môme comme une Joie latanlquo a Insulter lea vlotimc» do» odleuie» expultiioiii dont les catholique* ont gardé le bou< venir douloureux. P.ila commencèrent les opérations do la liquidation. L’iiuttaum épri» do tout droit s'emparait deH biens des congrégations dispersées et chargeait des hommes dp loi, los liquidateurs de les vendre an proilt du Le paiement des Salaires' des Ouvriers et Employés S CAUSERIE JURIDIQUE AGRICULTURE CHRONIQUE Arrondissement de Brest M l. A la mémoire d M Diraison DE M E DE Eun toi lagad varar Gwenan¿rez Leu dates des Elections générales Causerie du Docteur 1 avant le premier tour de «orutln, commen cerait dono le mardi 18 avril. Bu réalité, elle s'oavrlra plu» tôt, car elle commence légar lcmcjit à dater de 1a publication pu Journal officiel dn décret convoquant le» éleotpur«, vraisemblablement le 19 avril, pour dqrer lusqu'au 21 mal. 0 « t dono pendant près d'un mol» et demi fa « «eronl wipendues 'M nrm •i itmmCTTtnmtmrnronmTTw III 111! quantité» énorme» dan» oertalne» eaux ¡fouillée». « 5,000 au voi»!nage d’une ujlne, jusqu'à SI million» dan» une eau d'érott. Lo» oaux de »ource» et le» eaux de pnlt» «ont pauvre» en bactérie». L'eau «oitcrralne alimentant un pult» u’en contient pa», 4 condition qu'elle provlènne d'une cer tain« dlatance de celul-cl. y Ar gwenan an em gounaret, e« em l u an ell ebon, hit re ar 0 hestennou al a ga» gaat’ho (out ar pez a zo ebar» er gesten e maini 0 pelllat.| Ar peu a zo cuu dia die» da zlorbenn, ar gwella a zo da ober eo gwolét pore a zp 0 pelllat ; en eur doler bleut var ar re a so o Îchrétien» po«r toujours, ét pour tout le» Initant», pour toutes les eircomtanoe» do la vie, lis no »auraient d^nc admettre qu’après tu pilR WIU U 14UDI m ivui o uuviw avoir pria O soin d IUUU inculquer & leurs cnera lauta les première» vérité» religieuses, entants créatures rencontrent ÿ l’éeol» •e»1 bibles ‘ uia Dimanche »«lr, ver» 8 heure» 1/2. Charles Bonhorre, 31 an», torpilleur breveté du 2* dépôt de» équipage» de la fl >t>«, qui se trouvait de faction, rue Pierre Oi^an*1 ' fsce d® la prison de Poutanlo" • ®n cher d a lu l six indi**'«— -, vlt aPPf°' L ’on d’ov- * vêtuB en civil«. » na moment donné, lança on 9m S ¡ W * ' 41 ààamfùÊÊÊm ■G® uOlt' être oalal d’aa m ari« péri a* coure de» dernière» t m p A t n soufflé sur ia cdte. Plounéonr-Trcx qui ont > S ap e u rs - p o »ap le rs . — Le conseil m in i• m 'c o m m is e ' m clpal dan* M dernière réunion, a voté U création d’une aubdlvlalon de Mpeurt* pompier». P U B «V M -<U FaO » T r l| l t B O V Sanyeteura. — Le SO notemkWt le pa tron Le GoK, du biteau Jiarte, et «on matelet Quéré univalent dan» 1an»e de Loc■ujean Tanguy, patron dn bateau ■al avait ohavlré. languy ne »avaltpa» Baser et aurait péri »an» leur Intervention, Le 1 décembre, le bateau Mari* se trou »'est re id u au village de Lunven, en Plenévet-du-Faou, peur procéder à une en quête nu i ' j ï t de la ieqae»tratlon, psr a femme Valette et son w n d re <Bravée,de la ■eenr de ce dernier, âgée de 34 an». Ce» misérable» tenaient renfermée dan» un réduit malpropre cette malheureuse et la privait de tout ; 11» ont été ml» en état ar restation et é o ro u é »- ____________________ _ vait dan» le» mime» paragt», lorsqu une forte rafale chavira non loin de lui le ba teau i ’icaut monté par Jean Blzlon et »on Ul» Antoine. Le tioff et Tanguy » 0 portè rent Immédiatement t leur» »ecourietiauaèrent d'une mort certaine le» naufragé» qui le »outonalent avcc polne sur leau, ______ cramponné» aux aviron». NHOKJi'JlEX L e c h e m in d . fer - • ¿ f ^ 5 „ . Qp6Te- Le oomit* d’Inltlatlve et de défense pour Le» populatlona Int.lrejaéea «oat ImpaUmtea et plu» micontente» encorn de comtater■«jiie le» travaux qal devraient èlre U cette heure en or.tida partie tr*e uvaiicôa, et anr plu» e»r» pointa terminée, ne commencent ni d un bout ni Ärrondissement_Jl6 ¡Meaulin P l C J l) « l» Bn Tue dee éleotlon» législative». — D’.whd :»i dernier, lu joli bum* <io 1 „ o iiliu e d’ordlnalre, prABontu't un* uu1mo»l.>n extraordinaire, tout oom»» on* loure de l«tee « ‘¿ "’Ä D»ul*lo», conseiller mu»lcl(i»l île v « K O » V v .lt »uuoaoi P o .r ce jour-ls. «ne »«x prook» ne« de» foud» départementaux ne c a c h a i. t pu« quelqaa »peonlatlon... Rtpifoia qu II n ta ej>t rjeu. * VM d Ä 7 q«e leur attente u’. p u Ita \oei oti, on 68t tooiilé* •* •« «* aux d llliu lté » aulvante», qui nivnt daa travaux 4 au» data ln4M la» »1 ‘■ara ^ ' r i n n l o n a eu lie» *o»» *n vaete banijer m u M ta e e a t à H. Hollaad, et mis i r « o l.u .e « .n l p a r lâ t * *» d lip o iltlo n dss 0 i B»»T»»le«r» de I« . . . . „«.¿iro n s dan» oette «»Ile en pW o Qu i J i d » » « • i onnaat .« r Ü > nhampa ^ ’ ’ i . V î . r d l n » I« («aie y »si déjà oosa,iaüte ; mi mîiler J'audlte aie environ a’j Pre H *u‘ ; LM un m inier u ■ . bano» rangée devant 'u dVnfrei? n 'w a n t pu y trouver plaoe, de* bateaux /rm a et Il ne laat paa com ptai e*r aon xi,ta av„»t le C0 «“ ri n4 o î u ” “p i r 11 * * * a t ; retard d» »lac à doux» “ v ip p r o b a t l o n da C oowtl 4 ' * . t : qualqaaa K ^ ° UCe*«»l 1er. qu.tre b( ana» aaa*aa eatre le r a mier el le <‘ e r n ( . r d * * 4 t Sr4,ld.ntl. at na . . . » ! € ,S u r . . r t po; t conl,; . . w i t ^ cnaw lller Co>lté * * 4^ Jur U ooal*teneler. , . : 'i X i« t.m na M p tfM - o o w a a n l e d ’a m M\ avoo | (j# C t l T a |r # il» k titre d’éièeIl »ata heareax comme »u]*t : A.a»»raace bétail. flilm llta » f t î î : "'aïs *•• s r s s - » »»,“ “• s r s it tu p ‘S Ï ! “ u ™ u l m i . ,r » lr e . d o u ie r *u lioû w n b è je « P-'rïï'Vi'BhÏÏSi par celle P»role ekauie iu t û iu O iq > 1 %|nMB « 'tiiu le r o a i p M rtpro- et «e betu dleoenri q«l dulre le» .'«manvou-a.iai 4» r* * * * * î ua »aooé» ^ , „ « 1^.,. «al oat le »1»» frappé qu«H«a»-un» * •' ^,01ul• • . la» aaalitanta. itohii ««'il '•t Îretoa Je Aprt» avoir bl». nir(,|tBi cemiae ù*. *.(rt honne race et non » iqUtl voalraUnt le 1». aei adveraalre» pollv f . Ti( 4 , jon aajet. •rolre. l’orateur entre iioauomiueat ee <»'11 Il expllqae et oommeuv® VikArté. entend par le» mol» l i ''îi .enemont, a parler de Gela 1amène *eut n nuadMlt „ diolare; ■on programmo polltlqui '• “ , llb e rt4 4 , «onaolenca tout d’abord, part .an d ' " , Uol ; toue pour toui 'e* #lley«n*, ,nHUii,,»t*r librement doivent avoir le droit t e |nqUm*a, leur» opinion», aan» r ', ludrulu utvl<>i«a de» Partlian de IA)îallt4 de» notorme ilectoollojani, li Juge 10 lUio avec Riprûrale ooiaporiunt le »or«Hn . m,tira tn u«x santatlon proportionnelle. G m 0 | .a repr*q»erelle» de olooher et nous . luj tu(md»nta. K i sentant» vraiment libre» et . vlno,H«a o»t une outre, la repriientalton its» ■. . 1, * h W l n i l » p e a * » h l a d a M Me d«AnjOoratlaj tit 1* regretté déKint u» darder lernoi iroaae public de ajmpatbie, ce psndan» îu'iin aaeea fort groupe de parolBSlen» prouvaient, par leur preeence, le respect et l’a f ctlon qa'll avait su » y concilier. u Talabardo«, curé de Plouguerneau, 11 chanté le service ; M. BUanven, recteur do P*anpritn frère ¿n défiDt, * entntt la ZUmmm itiiité d« U. FlOC’fc, ¿0 Ploigmerneau, et de M. •oanès, vicaire de Plouirasnou. M L» Bar», orateur «borde •oialle1 la » ,1U|„. principe d’un ImrAi »1^hi.iTuVvV'arga» do 1But au# oliucun doit u m t lbu»i au* v „ . j eoncep. ¿au» la mai»ie daod4 u’«po»»*de. f “ on Galllaux a.t porte i^reiploun«!»,«!^ ïi^rù'dè^vtmonopoje L ■ « ' e n r i « l » t r e m e n l e t M « U a n , a » o o n t r jv i ' ^ llburte. L e P »re d e lamllla a |a , 4 • flro ' Grand Séminaire, la . ^ - In a ir * v .. a donné '* UAdeu. recteur de Ir é iîV é n e * et Bt. je i ialnt-Tûégonnec, . ont C h e m in » de fe r de l ’B t a t . - Le décret suivant a paiu à l'Offlciel: , t sfc70rffflnci» s rpmbour«ahle ^ i Eeu qulnz® n ..r. i,M. doîiu ¡1 lougtfnai* »»«,‘WT»!?: s ts & fà ix s œ « n e retraite et »ne aug s i t j4 0\,,re >'b *o- n,ia,a““u 1<W .mentalre a •', J ï ln r 'l!’orar*ènr'’'»*trlt Ife meoA«u 4o Patriote ard<ïn‘ > U erll»tionml«me I ■« t liau tlm llltanam e e. « V l L t l par n o a û 4 ««u t, 11 m trllaaa d’une artnift . y iTir m * ,, 1« rmtauw o lia ita laréorgantaatton « ( approuve 1» i,«\ton 4e nolra m arin* r4 lo'vma 4e l’arllllerle. voua a u f » , dit a L* 1" mal proohal» » « * 1,r“lr i.|r m ir e de»x ......... ^ ^ u i kV.nant A. D an W lo». * « ,K ,r ‘O SASES.1SJWSMAA de la bénédiction. u i* Oette cérémonie vient d avoir lie*. M. ch moine «aélunec, curé-doyen de t*u.e, délégué par l'évêque de Qulmper, y a pro°éPour la grande oloohe, ta « m i « » « « g * î s » ^ • * « ÿ?AT«.V“pK¡“^ T îBss: ...w w ä a s ^ v Ä S S r “ *'î*Je “ ¡s i’ ‘m serai "aon'porte-dripeau. • ‘ •. "o'.npkor. • i , voïïê ehalelres e q»e vo»a‘ h rStaSVo«P’* P»r ........... d*Port hesreu.eeeent, le» perte» «ont cou verte» par une a « « « » ^ A efcM * • o k e v * w . - U . Ber»lha*d' de où fo urnisse ur nous cm km -pM i le # » e r v o n s d a n s l ’o r d r e d e le u r in s c r ip t io n à l ’i m p r i ¿.fM nXtx d e 0 Î 5 0 m e r ie d u “ C o u r r ie r n u F i n i s t è r e . ” C ’e s t a i n s i q u e t o u t e s le s c o m m a n d e s çues a v a n t le 8 < a €ovte V b pie- n ic GRANDfF 1 SO U R C E sans sim ilaire à V IT TEL a u r a p a s u n 2 e tir a g e , n o tre t r a n s f o r m a t io n n é c e s s it a n t le d é m o n t a g e de tr o is de B U L L E T IN J O I H M E R C I A L n o s presses. t.A | U ? | F Mostaganes» (Algéde), J« dy g î Pilules 8*lsses m ’ont r* é r' *® *e. toma«, mauvaise« d l| e .t o*«, é o * r ilis e menta. i ’«n prend» «epul» lo n iw m p » ïe*r eosìflel m » fai» toufoir» d* bien. Gulllemaln. { S ii“ - SCOR H a lle « d a P a rta c o u fta co r« a du S dis. do 10 die. i arine» Uoute Marque» 3utr.80 3 ltr ljJ ................ 23 60 ïi "0 XTR A Ä CANTINIÈRE BLACK tuiesdeôretagneü»-" J 90 • < .k tic ia « x m»»axi» | ^ K M I f S1 SU B L* L A C O N S T IT U T IO N D'U N C A P IT A L est chose difficile : l’épargne vous le don nera en 21, 26 ou 30 ans ; 1 a e e n r a n c e uwr 1® le constitue tout de suite, car ses combinaisons répondent à toutes les situation», s’accordent avec tou» 1«» bud«uts Mais, pour piaser un tel contrat, qui peut durer toute une vie, adre«»ez-vou» à une Compagnie sérieuse et dont le» eneagements ne laissant rien d indéterminé. A a c n a e S o c ié t é n e d o M e pta® d.* s é c u r it é q a e l a CoastraffiUe Lü. P H E N lj t (entreprise privée »»»ulettle s* con trôle de m a t ) 4*1 d e p u is « o lx a a te - c la q a a » . , 8'adreestr *u siège social d t la Compa gnie Le Phénix, 33, rue Laiayeu ou k »es agent* généraux. 7t)W 16 « 0 l ’u s a g e L E MORVAN. n i * de _ Léon du C o lo m b ie r H Ë B N IE . VARICES,CnüTESd.MATRICE8 DÉPLACEMENTSi»ORGANES Les iouarells Edouard (de Par/s) sont Ica plut modernes. — Souples et Invisibles, Ils sont lie seuls pouvant assurer la gutrlson. Tout a itii dit sur I» k«r»to! les promesses les plus ronflantes sont publiée» sons cesse ! niais las affliges da catto cruelle Inflrmlt» n'acoordont piua leur conllance qu k MA. BJoaard la »1 réputiï spéctalista-uerniaiK do Paru, dont les «logos ne sont plus 6 faire. t.q dlnnarltlon do la b^rnio est maintenant t le portéo da tous, grUce û l'inoomparubl. mùtbodo Edouard déllnltlvamenl Implaatôe partout et qui laisse bien loin derrière elle. Ica anriens bandsfrp» chaque jour prîmes a grand« renforts do réclame. Aussi est-ço un devoir pour nous d aüuoacer û tous les intéressés lo Konreàn possaxe dans notre contréo de M 1 ». 39d*uard, ce oiloore e> ,i*vouv prutte;ea.eu recomwaodaBla u». intéresses: burnuiea, tomme* «i *n'&als, daller profiter de ae» Moialts fcrta.trta b : Morlalx, le n*m dl 1«’ Janvier, bStel uozellec. Piougastel'Daoula', le dimanche 2, DOtel deBrestï,!'lceiur* il 3, tfltel du Cheval-Blanc Pour renseignements : Bc.rire à w Edouard. ISO, boulevard Richard Lcnoir, Paris, U*. 8548 Au.:-ci.o. UN MONSIEUR Nas mauvaise a» ld td 0*77 Û 76 0 67 dlOicl Id calm e 1 98 0 99 0 92 36 at 64 9* 3* ü e p m r .eaaeaf -.iiitetaltn. — «»relu . iv. ' d6a F-o. .aat. In» <00 Ul.tO.tO; avotns, 16.00 -, ^I«ii., 16 b» ; oriie. .ti.îiO . aaiTaxln, lt.OO; beur-i, kilo, a.10. uU. la doui. 1 30. pom issi de »., 6 50 11» la o k iî. — Cidre, la barrique, SO i 85 tr. a n n u ii. — murena 4« 14 déc ~ Cro ient, le» w> XU., U.6Q , erg*, S/.t. ; aurrarln,, 1 10 ; aToIno, 9.S0 ; »on, S.S0 ; p. de terre, les '-O Ml., 'i.oo ; porc trala, t.10 ; beurre aali. ? ?0; -surre aana «si, Î M ; osnia, la doux., 1.7a. VcrUU. - Uarctit du 11 déc. — Bl*. ife; * '.v W 52 ' o - seigle, 14.00 ; « a r m i* , 17 0 . »vo’.îie, 18 0) ; créé, is.to ; folo. le» ICO : l a liu ,uo. a n i» , ia doux., t . 63. Cidre la barrique, 16 à 4 î lr. Pommes à eld.-e, les 1,000 kl)., Où tr. tesneweii. — Marco» du 13 déc -- ->«« ORtn. le» M U l., 10.'6 Orge la . /.S5. M«1 rr.i.',«. 8 00. a vola», ld., 8.7b. Pomme» (*e lerro, ici ,ii. 4 35. Courre ealû, le kilo, 1.63. Baarr* -u.5* -»1,‘ ld., 2 oo. CIîuls, la douzaine, 1 35 « H ii- W W w o a arcn» da 16 décembre — ’ voœent 11.00 B i'gia. 8 .00 . Ors*-. 8 6 '_ > 'j » .i., »-frto» s 75 » i » s w M ttr.-i, s <». ' r^., ■io' 45 00, '*» W» Ml. P*tlle, « • - . TtUsi. > t t ->K^, 1 45 la dour*ln». Bsurr», 1 85 ra 1/» »•). Oulllipet — Viaiv.04 flo '1 déc.-“ p O" ~<t « .6 » le* t « . kn.; M igie, 6 6 j ; b i 4 Bair. 19 0 ; .volne, 1 ¡1.50 ; orge, 17.00 ; pomme» de terre, t"!n, 48 00; paille, 18 00 ; fartau '*> (tuai., »i *N>; -He*, 1' ¡usi 30,0). ^oa. ^.ofl ; œuts, la iloui»lne,l 6 ' ; cidre, la barrique, 35 ir.; pomm - Si cldie, oo fr. les 1,000 Ul. « S r.o « rie . - du 10 fo ; basât* 0 -r 70 • » n i* » * de 'jon.iti«rla 0 t». travail, ordì». '. uooviuihw . «J tSoo ; :ttA it^o. Sou K. .; cuev^ux, 0 *T 80 r TOXlQBt, O V . SB , ■ n - ;e xil.. 0 ‘t :r^ca.bûi, rsa -g, n fr. ,^ i,n t at. de faire connaître à tous ceux qui sont at teints d'une maladie de la peau, da; très, ec/émas, boutons, démangeaisons bron chites chroniques, maladies de la Po't!1“ ® de l'estomac et de la vessie, de iburna^ tismes, un moyen infaillible de se Su^r*r promptement, tira i qu'il 1a été radicale« e n t lui-même, après avoir souffert et es sayé en vain lous les remèdes préconisés. Cette oiïie, dont on appréciera le but h u manitaire, est la conséquence d un vœa. Ucrire par lert'e o» earte peatale a «a. ▼incect, *, place. Victor Rugo, 1 Grenoble, qui répondra gr atis et hanco par courrier et enverra les indications demandes. 7805 > VU “i t 1 376 1.570 74.2 9 0 260 2 9 1.167 \ i’ OtlttX .. fautons 17 701 11 CM 5 715 S.bOl Sasi» .. F a c is i. l u t i l i .. $ .9 0 , T U O , 1 0 . 5 0 , S U P Ô R Is r R S A 9> Prix moyeo 1 u « « . tu tu : P A R A P L U IE REV EL O é p o s ita lr i à S t- P il 2 118 M a n k i i t te ▼Ut»«»* (**»» ■> 4e 1Cd4c. S ii* !* * T S : 8i X ul*(o o il*d et,U O U o eut») t l 2 <L 3 aInt«-OllP-lf'E-0 a m b ral (Mord» S .D 0 , i <>ort»Moomma garintlo •• 0*viia : TOUJOURS A MICU1. re d écem bre b i e n d e se p r e s s e r , c a r i l n ’y V É R I T Ë a /d a /id in e i. it/> v u ù e ô c o m m a n d e s à ,1a f o is , n o u s L8Dans°un but bumanltalre cette magnlfique brochure illustrée eut adressée giatultem ent à tous »os lecte«r». Les personnes q d B0 t>ff ent doivent donc en laite la d. m ind'- a u j o n r a n n l m ê m e à M . A . C L A V E R IE , 234, aubourg Salnt-Mariln, à Paris, qui la leur adressera par la poste, avec tout« la d s crétion dé»lr»bls. * a*6 X e n dH1» t o l t e #- ? « p o ^ r sans néi r r i t é à s»« flléle» leur présence ù le» « « d e s « Se M ite extr» ordinaires, au mom e Æ t . m v x « g e . u comme ceux d’une récolté ou d’u*e motsso*. n ’aiii.-iirs travailler cfst prier. Bt cest » , . « _ O u vient d’Uhw aer le corp» de u n * retraité d« la matlne, t&é de 78 ans. Bon corp» avait été trouvé «*r une grève de Goulven. Le M i y monte rite et le vieillard aura auis doute été swpris p ir lui alor» qu’il se pron»e**lt le »olr »*r plage__________ _ : ♦ilM • \MiBUX-FaÊaE» viennent d t com bler cette lacune et vous p o u v e i désormais obtenir de votre, é t i o n s d e f o u r n i r t o u t e s le s Tous ceux qui sout atteint» de hernies, efforts.descfn'.es,maladies du ve’. ;tre, etc., o n t lu t é r S t avant do se soigner et de se nrocurer un appareli c a p a b le de li s soufager et de les guérir, à lire très attentive, ment un remarquable ouvrage i ^ t M pakm et 200 gravure», e “ T l U I l E û t l a H E MN I h (o^r a . V B R lb ^ \ dan» 1« quel la “ V é r it é s u r 1« n c i n . c . «a^uiu « aile m10 l'on accuse si P*PourTâ • J l a l ü aon .entarl.me .on ‘‘ ’' « “ ‘J f A .b i, dieat’eit pa» «ne r4p»bliq»«. « « ni liei»»ll9aaant i tatar«, ct’le q«e nou» »ublaio <ur I|a ^jinolpea a lim en t recom m andé p«' i«» Médecin». cadavre. “ sun g 11 g » p e ig n e | | » §Q Kiu “fê luae de paix i* Taulé faisait valoir de teues aSwlo». pouvaient . ’ouvrir pendant les vi^aaee», cest-à-dlre *. l ép ri» la moisson et de la résous. riiirllse a le souci des 4mes aile ne veut P lo a é a a a i— s d ’u n L A de M. le juge de paix de Taulé, si la cour de cassation lui avait prêtU apçu Mile M. de Gratavlll», » » e de 1ancien xnaUe d» la com m une; 1» R W « in . » • Le ■u». aaeien tré»erler de la »b rique . S a r d in e s g a r a n t i e s â l ' h u i l e , d 'o liv e p u r e , s'abstenaient de cet a u ta n t e s t l a m o U la a re de« C hleor6eb La plu» im portant» fa b riqua dt Fraru. e«:nx usina» décembre dernier, la gendatmerle était prévenue que le cadavre d un nommé André A ilie r , #4 ans, demeurant à B 'c-Lar.de• Rtec? venait d'être d é c c u v e r t i a n s u n e fosse, au village de Loçtady, en lt eç. Cette fosse est située * 10« mètres environ du village et remplie d’eau. Quand on retira le cadavre, on remarqua q ie le» nariues étalent pleines de vase, ce qui f*U suppoier que le corps a d* séjourner !°'lra d»ns l’eau. Le docteur Le Lui ét, de PoutAven, a»n*lé povr pr»c*d.-r aux conktatatlons a ’uaitge u ’» relevé aucune trace de violence et a conclu à une mort p ir immer sion. •°} Æ 1 xfgiifi Ü u t t de po u v o ir te p r o c u re r 4 prix m o d iq u e d e » petite» boite» de lé f r . le c e n t , le p o r t e n l ’i m p o s s i b i l i t é ltle e - » * r - B 6 1 » a D é c o u v e rte •ourquo'l les date» de« tüulours i de« époque» a« chômage relatit i la «ampagne, époques qui ne colacldent Jamais avec le« vacances sieialre». “ r a s » .* m». » 'u a e s a îs • (Vault e « • J '’o ïtloke w P rater alté m o t, la ta D fa m e n t » , vau du produit dea surtaxes looaies ei«»..« si«ntêm u du cloches. — 0»i otale» Bmleld». — Dans une crise de dése pol dont la cause est Inconnue, Mme veuve Brlec, Igée de #5 ans, s est pendue è son domicile. '2 Biveau n i» de la ligne de Morlalx 4 Roscott. une et H o * » u it « l- S a ln t - G e r « » a U * “ ’^ ^ ‘ er autoltr*duf prétre 1 « npei#ner a utrui dea to u t, p lu s . N o u s r a p p e lo n s q u e d a n s abM.*8téphat?, socialiste. 1.198 voix (élnj. # a t ensuite ob’enu : M U . Gnyadei, socia liste, 1.069 ; Q jicqg ls. républi;aln libéral, 652 ; Le Ronye, r^p’j b lc i l n 11b. jü 5W , Gitïo, républlciln, 457 i UarBcae:, 4Ï&. I l v a ballottaje pour oes derniers. Le scrutin de hallettage aura lieu dlmaache prochain. P * Î Ç S l A e d a n s l e . S « qui*cu?deD * n < m ilk e u * « c n ic c u * c p * le d e v in e tte s le s m a in e . L e s r e t a r d a t a ir e s f e r o n t parentajur de c t m tlo»a adopté la thèse du bon sens eontre la pseudo-Jurlsprudeuce Imprudemment et maladroitement Instaurée par le juge de paix de Ifujé. n -tains magli.trats en mal dautlclérlO 'i:. ■«nssl... d'avancement — M. le callsme ei -- r ,4 _iegt 8, lg doute pas degeeuxPlè - p ô le s , a u r o n t é t é s e r v ie s c e t t e se ^^.'îe^'Sanoine Q^éleaec ¿5 ce iugm snt è la cour de caséation «al 1*1 donna raison en adoptant ' ^ . “ ^ ' “ ment de son avocat, M. de Ramel. ^«J**emen de Taulé » été annulé, la cour ayant estimé «uo M. fjélnnec n’avait exeroé aucune contrainte sur les enfants, mais ru 11^s étalt contenté d’inviter le» parente *.con duireleurs enfaats a*x exercice» de la Mission. Les enfants n ^ ®°“k,him5S e« librement so*s la responsabilité e Iïcmvlc a r t ic le s in s le s m Tiols listes étalent en présence. Voici «lJa» Annuur.réi aux eïi^ats 1 ôcuie puDiiquc d-Hi garçon» an particulier, fut à peu piès légou, dirigé le chant. ; M U . de KerRemar^ués dans le Ou. -a g jm in a lre ; véoaoaèl, professeur au (»raun 'n|gt ; M. Gulllou. recteur <>e P le y b e r^ M. Le ü ih a n , recteur de L a m p n u l, M. uo rnlleur reateur de Silnt-ïvarEec 1 M. * fiffot rocteur de Lothey - Landrem e. ; M. ’B*rré, aumônier de talnt-Jacques oe L4iér»rlen. sur c o m è te s , e tc . E t pour égayer 7 T o u t e s le s r e e h e r o h e s f a i t e * p o u r le ree u v e r s o n t d e m e u r é e s la f is c t u e u s e a . P*ri0 «-aoDmvalt s ir l’article 3* de la loUde Séparation (4u » uwcmuic décembre WW)_quMnterKàparatiou \ 4u s i-- ~ . — “™ Îv ”H s r s : ' «■ »-*»„• •!* en vacanUi, doat l unt par la démission du T a n lé Ii1o h lis a t le a s e e la lre e t 1m •*?*'* aloes r e lia i« * * - — décembre i9M le Jig e de paix de Hamlé condamnait r Æ o t a e W » « , çsré doyen de Taulé 4 un ¿ a n « d amenda pour avoir, a » ■rèe i« jugement, 4éto«r»é le» eafants de ? * ^ 1» en le* a p p e lâ t * fculvre Us «x»r*io.e» d'une mleelo» q»l se donnslt dans la d'uvo r âs’ous PAV'îndldat , » «ItollMi l*»lila- • ï s q u ’A o w f i heur» 8 s u r la ar d o c u m e n té gende to u c h a n te q u ’a t t r a y a n t e . '* * S ï ! * 8 :78« ; votants. 2.119 : majorité 4 Bul,ü,ko1 trè s tr u c tifs N o y é an m e r . — Le b a t e a u 512, d u q u a r tler de U o n c a r n t a u , patron B a p t l s j e 1/ Scsér, se trouvait, samedi m a t i n , ve.s 9 heure», aux e n v i r o n s d t C o r v e n , i t r o is milles et demi du p*>rt, par f.osi.e bnse d . _ . a t and levant se» casiers à crevettes. Ii venaltplèln v«Rt arrière. Lamlsslne attrapa le jeune La S c i ^ r , I g é de qulnee a r a , ti.s da D a t r o n , et le jeta à la mer. Après dix minutes d’efforts poar le i a t traper, l’intortsné coula. MiTéridelle. IU ut Evêques v u e d e s é le c t io n s p r o c h a i C oae arn e aa t com pact des n e s ; d ’a u t r e s “ U lid e u tT a n g u y , reeu le» soins de U . le doctemr Ssrvet. Lear état, toatefols, était grave. « • a f é r a a a a . - M. La Loupp, p r o to ia iir d'a» «rlaultar» a Morlalx, fera une conférence dl- miaohè "• déewbre. » » tic le A u d le r a o ▼ol» — L o trib u n a l correctionnel de Q u lm p e r a cond am né, m a rd i dornler, 4 a an» do prison le m arin-pécheur L .g a d ln , «4 ans, et sa fem m e L e u r 41s H ervé a été cond am né 4 six m ois. Le trio de puis p lu sla u r» années, av ait organisé v éritable e n liep rla e de plllpge de» volsl»a. grève de K «M t. lia is e t L’o t.lt plus qu’um B o ta o rh * d it T lM * l’a b b é Q o a ig u e n réclam e l’in aortlon de aa lettre et u n franc 4e dom m ages et Intérêts. M p rocu reu r de la R é p u b liq u e a reconnu le d é lit L a ja g em e o t aera r t u i u n u r d l p ro ch a in . dl! î a * n t 'a i aalheareux patren m iala n t blan ambarraaae» al oa leur trè s a u s u j e t d e s é c o le s , u n H le e t ie m s m n a l o l p a l e s . — D im a n c h e o n t e u li e u , 4 D o u a r u t a e x , d e s é le c tlO D » m u n i c i p a l e s c o m p l é m e n t a i r e » , d e u x p la c e s d e c o n s e i lle r s a s n l c l p a u x *e ^ m vsnt i l lie f u t ^ro u ^ 6 te x te n é e , l a le ttr e Lè, U» trouvèrent le» deux la n g u y qui. cemVètement gelé», » • crampennalent désespérémeit * leur bateau naufragé. Le sauvetage de René Taagay l» t de» p lis O ièv ie et Trègaatrt.__________ _ » l mTeeiSie 4«. f j U ' m u i ï ' Le c o m p r e n d l a r e v u e d e l ’a n D on arncaaz Si M S S S ? r k l4 « U . M r . . 1* , * «n t . . » Il *T0<**,l}, i î n i a ane dlaalne d 'an iie a, ea tr a te n m ' I l B r e » t . jr 4a d o m m agoa at Intérêt» ù pro p o s d « n a rticle In titu lé « le» a v atar» » de M . M o ue h o t. Celui-ci faisait d é fa ut et n ’é ta it pa» re p ré ie n té . Le trib u n a l l ’a p a r »ulte d é b o u lé de son action. L ’a utre procès de pressa était Intenté p a r M . l’a b b é Q o a u n a u , vicaire è B alnt- C orentln de Q u lm p e r, a u Je u raa l le F i n i s t è r e , p o u r refua d ’Insertion 4’u n » lettre de réponse 4 » u a rtic le le rendirent en b*'e sur lea Ueax du slalitre. d4m .n(fal't q u e l tem pe l? ur4 VleaUn-laï-’ ra tio n d » chem in de fer de M o rla lx a P lee lln iee , ottyi n |r d’ene H. *6!unte avait Intenté un procès a u /¡o aré ê d u FlnitUr§, de Qulmper, et lu i demandult 2.000■ fr. enr la cêie, apsnçat le bateau qui semblait couler. A ses cris, dM pèc^eurs de Mougué'lec accou>»r*mt. aUsl qie léqsipag» **** À io p t lo » p » r la n o av e lle c k a m k ». — A^tèi laa élection» de m a l, celle-ci ae r4u»t>a poar la v ir lt c a llo n dee pou v oir« et le vote 4u bu, »gai. *,,'S ? i a 8 »o S ? e u n ' a i p w t d e e rp l « r p t t t o r e i m e » * v m tou* ce» caltlvatoar» au chapeaux aoli» et Dams aon .« d le n c e 4 a m a rd i 14 d ie e m b re . ta t r lb e i a l correctionnel de Q u lm p e r » « t oceapn . . . . d'atfalrea 4e preaae. H . U o u c b o t, ancien directeur de 1» D etno crauü n t iM t n # e k * * r e » p r è « , ma c m ltlta te n r n o m m i B e lle c , q u i r a m a u a i t dm g o è o io ii " v ^ À d ïp t le a par le C .ouell g ia é r I 1» la no\iva'le ooncepllo». - Ce vota ae pour.» éirn 4n>l» q«'* la »*Mloa d'avril et pa«t-4ire a a»lle d a c i t HERNIES Le Docteur G E R A R D , le spécialiste bien connu de Paris, 76, rue de Maubeugc, l’auteur de la M é t h o d e O r t h o n p l a n c h a l q n e , la seule qui assure la cure radicale de la Hernie «ans opération et la guérison en quelques jours et sans médicaments internes, des maladie» da matrice, des maladies de l'estomac et de* ,i*rfs même les plus anciennes et les plus .-cbellee à tout traitement et régime, aonuera ses consultations à : M O K L A 1 X , dimanche 19 rfécpmb e H ô te l d e l'E u r o p e . L E S N E V E N , luudi 20 décembre, h ô t e l d e F ra n c is . _ , B R E S T mardi 21 décembre, h d te t C o n t in e n t a l. NOTA. — ut Docteur revient tous les deux mois environ. Notice franco. 8536 pour 1910, avec sept ma gnifiques gravures repré sentant la Vierge couronnée d« Kernitron, Diraison, notre regretté rédacteur en chef, des aéroplanes, etc. A f f a ir e » d e p re a a e S llilr ll N a afrase . — Lundi matin, vers « heurei et deoil*. ie bateau de pèche Samt-.rotppH avant 4 son bord le patron Gabriol Beganton 30 an», et le« matelots ïl»né l*ng»T et Yves Tanguy, sortait de M o .| u érl^ pour relever Ir t palangres à detti BiUe« d,G ^ t ' r . ‘edVmd.n d T :i une p.reUle .„r.uctat-ee C h e z L 'H O M M E e t c h e z l a F E M M E Q Ü IM P E R 0 fr. « . C hus les c o iffeurs. - Dans une réunion tenue lu*di dinuirr. ¡es c o iïîu r s de 8»lnt Pul-ie-l^on ent décidé d’élever d" 8 fr. lü ii 0 fc. 15 le prix d* la c*upe d* et de ü tr. 15 à 0 fr. 20 celui de la coupe de chcveux. Iis ont en outre décldi d» fermer lears salons le lundi, et de ne plus &e ren dre a domicile, sauf en cas de Maladie. C O N F IA N C E ïa M ti dUstomc et lertsitts M a la d ie s de M a tric e R u * K « r é o » i 21 * P rix dea placea : prem ière», • lr . M ; «econde», jBo 'e « U m n vraiment qn’ll eat argent do ter dea explications sur une iltuatlo u si « ra n g e . Ku .rrul, tous les «en» aenai» fout d afeord pour reoonaaltre qu'il mit *té P'u* 'v,®.l„q ®,n® laisser conamencerles travaux votis et do aolllol.er ouiulla Ica I klloniMrea 4e pro onganiant. • a n’Igoore poa que ca retard c o t '^ a tort 1cher aux cootrlbuahlee et que l’indem nlli i payer aux oouceaalonaalre reprt«ei.te actuell»in»»l la prix de rc*iouu«»a’achèteut aux Feb«»*T B IB A U D E À U f > ^1 de B E SA N ÇO N . - Tarifa envoyés F r a n c o . t g r l«s> f r is C*ocoor« Obaarvatolr« da Baainçoo. ^ • V IE N T D E P A R A IT R E du C o u rrie r d u F in is tè re PHOBBAMU* C/ianleple, drame en I acte*, d* Botrel. Motr'acie» : Paaleurelle ; Trlpea i la mode da Oten ; Le loup el l’ajneau ; Buveur carrlj* ; de fer départementaux du Finistère nous adresse la communication «ulvant» : » Bureau-Annexe et Dépôt Central S ia u a e e r é o r é a t l v » . — L e eerel» cathollgu e de Saint-Pol-de-Léon do nnera u » e »éanoe récriaUve aam e dl proohaln, 18 décem bre, à » heurea du »olr, p o u r la v ille ; dim a n che p re o n e l», à I » . 1/» po u r I» e .m p a g n * . le raccordement de MorUlz aux cUfcülus r o Arrondissement io Qaimper S a ln t- D e r r le n U n v e a u p h é n o m è n e . — Chez H . Maublan, de Kéralvei, on peut voir un veau d’un molB, qui porte sur la téte une boBse, d’eii sort une eapèce de queue de cinq cen timètres de long. Le veau mange bien et sa constitution ne paratt nullement affaiblie par cette ano malie. SalM t-Pol-de-Léoa Arrondissement de l o t o l>emaû>Ut U «Lourifierd» Finistère » dans toute# ieb Bibliothèque» de» Gaw- d» Finistère f e «ïin p atM q »» candidat Koscoff, vient de se rendre acquéreur de sept beaux chevaux, dont six ont été ache tés aax prix aulvant» : l.K O fr., l.lBO ft., 1.176 fr., l-20t tr., 1.8N fr., 1Æ#0 f r , à M U . Loul» Le Blhan, Gélestln Mével, Franeol» Sévère, Hamon lâoal, Jacques Moal et J ean ■ lhM , tous de la circonscription hippique de l»lnt-Pol-de-Léon. L» ié»nce u t donc levée et ohacun n relire, emportant de oette lournée,1 jiî, * favorable. *n <<«0,*ur- r a d îc »• • ae DoECfc50 : h « ’ . U é:eve, -. 0 ^r. jï ; allo», ' l *r 50 ssige^. t6 ïi 2>; ' : ssri-Ritn 'O lr ^0 . i " r.ir.r 17 i ^ o ; vocine? do »ro, 6 ïr 0 , , Voutts, tuk.lo., 2 tr ^3^ ceU le '.ouxaf^u 1 ü ’ 0 icla « W». ».i1 a, se ir w -palli». <n 80«. *Uoj. 25 i i . w ; nos "-s ite kLus, L. 25 ; fa r.* ,, f ' r.,« u,». I l ?-.t.0 ; V ». ,1114 59 ", 02. Pommea à cidre. 0 lr. 00 la barrlqu« de 1 » ku. Si Poi ac I {<.1%.'- a..roliu au 4 d': fit , «.-• «liai, laa >00 > il. SO.Ov ; (atiUc, T 28 50 ; ü,-« j i « i t l i . ’ 5 ; avoîu*, t . b , b it aoir 1S.H0 ;o .> k , 17 tO • loin. 30.00 ; ertloUnuU, 8 'r. le.' i !c>; ito-- -fleurs, 3 « la doui.: mes ¿e erre-. 5-, im ‘ oo tu .: *«<■ la doux., t 70 ; beurre, ' L ,.p > im erio do U ?rw « ubrt-)- • <in C h u te a - n , 4 , B r e s t Le gérant if. (* E O i* — < Uad eo I... Ha bienisiK: perak dont tr a 'v ii* greet d’he vare : B e g a s a rea ear »ekretour oispt ! An aolro-.tifd D ussc'^r da zi»!ar -t ac timbón úiraS. aubü . f- dam golola véxl... dúo laiftt da chouiout e ha£ hen a oe mlgnoned braz bepred. A b j. bJ Í .aotroued »M *oll«r, Im b II m o u r da ze n e oe ket ^ 1 h o c > a '<t ,r i o lavaren eur K»oa I » . la ta r b o ir e m T * . d e e k t a e g e d a verzrt oc h i b.-.r eur c h o a r la « e n n gartou ga: t — « Perak ht-mer troiou neu?e?... O huí 7j r iTiiintrT *" n tnrri*r in irHt>" t> re — « B i b i m i io « ■ » ■ aot^ot. hoc’h ucan a teskut d’iü em bjgalcacn e Jullau. E'.re Dutsolier nag an hostie, ar vipn.>. m « oa gwelloc’h morvei, eged... » , ,h — a Penn fa 'l! .. deBket ’m enz d’boc h niach’ oa kreskît ivez B p.ed, Kn-a ,t).l 5 S ± .“ K . Ä “. i Ä ^ f e 4 ou»e«n aueah« l » ^ ^ Q t e c ' h , * l* n * lvet e kredan e tle ar vugale »entHtae* ba ’ oa gauihau tie gai.;n v»r he "o- a f¿vjt d bjiiiz d’hozud I .. LUt da vont l... N •“ c 1| Julian: prest da lo^enui pa zw•*v.. ket c hoax dlmi iet, plac h brau 1... nvlt re1 d r o , laout-n o kemer oa vije eiomiu... Ü vn ’ oa souuet Kornltrsït, 0 welet emgleo Ken be koass n’ho pea», ket goulennet va asant, -»An An a d e e vv ee s« -- a. f« evr # giniterv gVn' t er v • O*ç e ka 0111 k ktff- lud esiren an eil d'eeile. evlt eureojl e rat.'c’k, m’hen respountl... “ r i i l e f * « m ees'h e « a n a r c’h a o r e r a n k . Kau devez, l-'ernand Bassoller, p r i t t 'a ho tío, pennege» ? > varntm i. e tffuaz da gaoot Julian : — « ...Hex, te i vez. Julián I... Ne gomw ä r t « dw rnlaVd * « • »“ * ^ V ù i d . c ’h o r t « . « « ¡ S ß S f S « Mljîoon feer! taat d'omp * -^.urik prennan ket pe^Cü diskimt out I Prt8t d ne 1 D V n i t>U g o n ie M t Picon » I. ■ Lak soeto» » karrt » te ra r: r,zell da vo^t ía Geifkaol... rsag oul h a t hi» * B V 'Si* * * • ’'« 1 “ : <ie«c ke*r. barr-speredet I N-. weici ket. giuaouLk ma rak eun dra a dalvondegez am r;it* d t rei S Ä ‘Ä » W n , W l t va* sl'aou 7 * / A »^ek va bustaleack ht— 'ab M«d ìsò I mad-kena I .. Ml a welo x euz ac’banoud, au dlzhenora skuiiltí var- d ld^ouzout ! A bioaepailz) eo eotet l iiv uomp eun taol eve'se I Ah I neuze vad e b àia ar vertuzlou a urz ha« a labeur, da neute ta, ha beslt sur n ’omp ket droukc’heille an dud konchennl 1 Neuze val o euzverc’h l Kak se nevesi ketti: iteiet, pa Tue? Ä Ä Ä ««««W , e“ V S * Ü w k l e’kul later íoug jnrA oiil laouen dlouz ho koulenn I Ba enep, evuruz lavaran e pritsn aneshi dreist:-: k-Caan f Ac vele klevct en peb korn deuz Treveltre: omp, 0 welet eun den laouank a zoare, pez a gavl mutoe'b... burzudut ec H heltea < Re Gerdousten a glask diga» ho bógale evel Iridor, o prista hor a e r c ’h I » var av meaz: keuz o deuz da veza eet en foret eo, pa oueil eo touellet va mab gau« pija gwel it ha kl«ve, deuet#r iekretuur, Istdor. .öoutout e n j Bpad an dlviz ze, an daou c'boantuz, eun ^ d, l0 »t ; kear I » N’az peuz ket sonjet enn dra-ze, tb ll Hen dlskierlet. en deoz rl’ln oe.*ch »kulllet cant ar bleunieu dudiut tam mlk a rostez, rue evel »Ivi dare, a rulli tout 6 tel l««t, ®o ..¿Knc'h : ken gwedrocim a ’zo ud l... A h í va D-uel pfcile ütveza. eant pedean d b»r rei d’td da c'hou-^ ho zclleu ro* an e l l i ’eglle, var ho c hercnt. zout: setu greet I » hocen , 8 ^®U|00« lnî 2 ,olf faro avad, gant oa e waskenu va muzellou, cu eur gas d’an am pctnt 0 vare'hata, e prizla anezho ?... let al ta I ®ur J J ° îr. xtet d’an nec’h, — . Pcnaoz, aotroul... penaoz Fernand, d’ld taollou lagad : ella* 1 te ’gerze bepred, »» oo uu»i .ta tachou c h o u ielltro i e U t r onM n t e t, t , s^ »- t)?nn lK, B n o 'h u l • Lena I Lena I... Deult var la e l... Ho ’vel cur marc h spountet, en eurjftret bra- ec h bellte beza guir eun taol k < . soucmam m a c’houlenn ec'hanoc’h I a c’halon ka vs h»P0 ? » ___ _ A hí HvKlt *a !... w *ui oar, “ ^ meM soc’b soton i an ell gwech eged t ben I Blrvi zuz ? .. Kun dimcii etre mab au aatrou — * Dlou»tu, Katelllk I » «eaheudlk souexet drc eur foulenn a reen, sell I .- Ah ben I ne lavarez netra Dussolier, plnvldlka marc'hadeut- enz Ker..s A h b e n i plac’h braol laouen ho c h breman ? Anzao ’ rez ’ta, ez oud kebluz l... ultra, ba merc'h Jalian Äwonchian, eur deus ho taol ket, ’ta ? Trolou kaô,- e rit aour kes deskalour a gem-werz I Oh t Neuze, dieoall hlvlzlken, do gaout teod re d’emp’m eu» aoun I » ement ze ’n heil ke beta gwlrion I • bra* : rak anaouit e r a n a r * t -„iato reí zlitagellet I-.. Mlr da c’blnou »arret pa vo _ a Pebez taollou, mamm ?» — < Ken gwir hag e lavaran d id l... Da S A ï g . ï i f ' Î . I  s ^ red, pe m’heh prenno d’ld l » dp taee ur réípeunt i k l Ä u s t u . O ve.a^e _ a Me rlt ket er glnaouegez I Bag hen genta, cveld houd, em tuz ’n em ztskuezet dl ten t r e « • “ S “ ù h a ï eo hanvet, ma m n’emaoc’h ket kloa hanter ’to bremalk. enn dlskredlk oui komzou ve mab ; bogen, ken kaVomp Lena laouank|k c y ■? D « n ïo eu* i* . Bernas. Kun hano feixfen- í h t 'w , a enrél 1 ’ VU k et etresomp, bwtek-hen, ■»«»•* <»»« anaoudeges den* mennozlou Isldor en splann, ken »kler. e tisplega* d’ta s»ad he j m i »onj mad ! ., î «f-iu l » Bepred, etre Julian hag he zekretour, an galon, ma ranklz a em rei d ar winonet T I S t , . , ! . * Hasr ken co deread oui eur dimes! I Be» W , koultXoude... » 'tn t, a wîaitTh a ïo ’h e n '"1 Sihac'k. Ì .^ ù c 'U , K a te lU k l; ««n n bano en Ketelllk ♦»c«n M» deuz ar gwellá. Bon eur gemz, Statfh laouank 1er, ku*a traou evel«? d ie « Félix a gar Lena, ha* he youl ar brasa vite r « P é t r a f e ll “ °,0 ‘ ¿ S ( »v e c’h o s * r a ma»tr » soare, e«r maro’kelc llw j, — • Cvrelloc'h a te le «m ä u S S K J t i a ra peb tra : preña, pab», kemer, ka» an donar, eo ober he tö'UBted l » W ¿ o r . N ’ea deus k e ta n ivar l » ■o« r o e t i ' » t h * h , , n * J h « g è r e n t ’t a Mablie w j ! ? red e o .U ta O j.J Í - „ 1, . ^ na« koule« (Du gendeló’herty v i i a u e x it Mkret < , ° . a o D t> s ia * . M e u te « r - « Mamm, te gredan ket bMa peç'ked k°*vel en doa lavaret Das»oller oa dlgoue 'im a t o k a b lu i a « M , ‘ ^ t *l«|et d re i» « kement-se n’pe enep ; na c helllt ket lava- xet’ jullan ec’h heUe sarre he zsou iagad S r , l d ie u t h a n , k ’e t ' T a rd a t e ? 1 1 T1 1 N « ret am eut hen darempredet, p egnlr en em ha kouska var he zlou ikouarn 1 Bepred, ¡ de u s, a x o n ja n , « « « i« « “ «’no»’» .■ u « « ri m . . . . 0« m b tu d lk l Ru lotc ho t Jom en kear : »etu neuse... welemp a boan dlou weeh ar bloa, ha mores j? l e vije ’n he labour d’an heur, ato pçb { B A V O t i t i Ù O N à O viorom V A IM I« * cbom en Neukenitk « Ni> “ Dbe 0»un*o\i4 evit e _ , u a i in a ia m i... c h o M ja t hon-unan I • k è?rt » em íÍLepa0 tön* errai. i U l .’ ï i i  Π. V “ f t p r é a a ite . ■ kichern er « Spontaner» M d e w j ^ e l e t Tur «kendenn f i í r , eur «keudena « w k e t «r poltred aneakl en he «pered. abaoue Wave ilom hlrr I... Klevet en de»« sur vouee da «las. eur vouet, a to U ’so e fle ta n e B « - * * ^ K e a r h a jd e a z io u : É i § ® s ^ » ü ä s s s aa» ä - rfuu taol lagad iemm ha k a ltt diout he mastim, e r a d esbi auaout 0 deus bet teod re hlrr : stout ra he tenu dindaa nr zell-te, en eur rusia betek he dlouskouarn. — « A h la I rwe'lec’h e b’IJ d-hoc h ar measiou: mad eoi Mjuze, Per, a l zavaro dlveiatoe’h var ar poént-man t petra, I... p t a a u en »per«! ar re laouauk, lesossp «antao ar trankls I » , _ < 8*tu »ae I... D ffasitd In n e u ti Itê.ou, mar plü, pa v u o n ho ioi/j dlmezi ho merc'b, ha ni ’a em plevo sur : rak Lena a bili d’ln kemect ha d am m c ! Bur wech dlmeset, »c’h hellint obom du man da c’korto* G outl Mikaél. Nem e e kemcrlnt ar IVoc’k-Traz : ve iad-ka*r, deut oajet m#d, f* v»*o evurus e tllesell an cihl gant I » .rîV .‘iS Ä ?; Ä . T 1 W ; iftí r » ? ? ™ ® ; » » *su"s»s.c-a » i ^ i s i r Ä ' Ä s “' » ' j a w i ¿ » » a s S Ä ß S if i S S i.i* 1 i is r w >* B W f l là i s t « n » i * ‘ “ " “ “ mm lilillll I h i lìr 11 :| ] i:ì ! HI Iili Ii Il1liliì l l l1 i!! lI l t;l I ! : l!l Mil'!!:! N'HESITEZ PAS! DEMANDEZ V Ht un nUtuJÏJÔTu««au Mihhüfû Hontru a» «nw^ir*iAHUOo*OIU%’UmM£NT.^i fm f //« eonhifintnt h riv» Ouu Çtiol* (fTlorloiirlt <JHMifiai .dÉTi il ^ tnllêr »I toni »o• \ KTHUNNUH IIA C H K IT K Ln librairie H ae hette et O1’, dont les publications littéraires et artiBtiquea sont si estimées, fait paraître pour les étrennes de 1910 use aérlo d'ouvrages nouveaux qui ne le cèdent «n rien fc ceux dea années piécédentea. *1 L’Ingénieux Hidalgo Mon Quichotte dt la Manche, Illustré par Daniel Vierge (4 vo lumes 400 fr.) ; Raphaël, I cenvro du Maître (reilé toile, 10 lr.; relié amateur, 12 fr. 60) ; Le Songe d’une n u l! eTM, par W llltam SUakeipeaie, Illustré par Arthur Ruckham (rel. tollo, 25 fr.) ; Vittore Carpacio, sa vlû et son couvre, par U. Ludwig et Pompco Moimeutl (br. 40 fr ; rel. 50 fr.) ; GrandeBretagne et Islande (histoire générale de l’art>, pur air Walter Armstrong (rel. tollo, 7 ffl&O) ; L6 m t i m 'SaWt-XnOè,pat B. Hodobanaohl br., 20 fr.; rel. toll«*, 30 fr ) ; La Route de l’air, par A. Berget (br., 15 if.; rel toile 20 ft.; ¿et. amateur, 22 fr,) ; Au ccour dt iAntarctique, par sir B. JK. 8haokleton (br. 25 fr.; rel. toile 30 fr.; rel. ama< tcur, 32 fr.) ; Le Paseago du Nord-Ouest, par le capitaine Roald Amundsen (broché, f2|r.; relié *9.iï.) : La Thibet iivoilé, mu' Sy*n Hédin (br. 15 fr.; cart, toile, 20 Ir. ; reliure amateur 32 f«* ) ; L’Egypte d’hier et d'aujourd'hui, par 'Walter Tyuaate (broché 20 lr.; curt, tollo 25 fr.: reliure umatuur 27 fr.) ; L'Empire du Soloil, par le barou et la baronne U. do Meyendoiff (br,, 15 ir.; rel. 22 fr); ■' ' ‘ ,|,v 1 A oea belles éditions s’ajoutent le« pérlo. dlques Illustrés ! Le Tour du Monde (br. 25 fr.; rel. 32 fr. 60) : le Journul dt U Jeu nette (br. 20 fr.; oart 20 fr.) ; Mon Jturnal (br. 8 fr.; cart. 10 fr.). Les /.cc lu m pour Tous, la célébré Rc< vue universelle populaire Illustré» (l'au née cart., V fr.). Chaque livraison mensuelle do 90 paROH, 100 gritvuréâ inédit.!*), 50 ceut. — Abonnements : Parla, fi fr.; depart., 7 fr.; étranger, 9 fr. La Mode Pratique, le mieux conlprls'Jés Journaux de modo (le n» 25 cent.). Ahonnements i Parla, 12fr.; départ., 14 fr.; Union postale, 17 fr ; La Corbeille à (tuvrage, le plus pratique des journaux de broderie. — Abonnements : Fraace, 6 fr. ; Union pos tale, 8 fr. ; avec dessins décalquablea, ffranoe, 9 fr., Union postale, 10 fr. La Vie Heureuse, revue universelle Il lustrée (te n* de 32 pages et 70 gravures, 5D cent. — Abonuements : Parlti et départ., 7 fr.; étranger, 9 fr. Tou* les abonnements à la Vie Heureuse, à la Mode Pratique ot à la Corbeille à Ouvragé, sont remDoursés par une inagnllique prime. La Vis à la Campagne, revue bimen« snelle, pratique avant tout (le n » 1 fr. ; étrangor, 1 tr. 25). Abonnements : France, 20 fr.; étranger, 28 lr.). 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E gwerz partout : Goulennit mad S I R O P C E L T I Q U E dea*. ti O R E U L , e Landem e, P R ÏZ : «I7 R SS.OKI' ¿ e S 3 a 3 Id n V d * X fl3 À 3tUC7ïVA..A«r»WUl0J *fJT4 jL ALIMENTATION COMPLÈTE ÏT EÏSORAISSEMR.NT d u Envol gr&tult de la. notice e x plicative. Pour achats et demandes de re présentation, s'adresser à Ai. L. Darrets quai de la Douane. 32. i DRE-T. p lic a tio n ^ " ! JA M A IS Etude do M* LAVOLIî, notaire à Plabennec R É P A ■ R A | T i O ^ S ........ — n mm r „ - I I ® Tarifs franco et tous renseignements sur demande C8fflj)agnlB TITANIA, Rayon 33, rue Curial, 48, PARIS. — T I T A N I A ' L .' c , ÂDJl'DICATIOIV mudl' Le Miarril i t J a n v ie r 1910, b une heure. Premier lot À CEDER S S 't ó w l i V «issant la petite ferme, de, Ke‘>duphil, ec E 'io u r î» . pioncla.!m e ze au — Sadr.-gser i. 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Pour renseignements, »’adres ser au notaire. »568 Louïon evlt an doken. ar fewella remed evlt ar vugale. E gwerr, evel guecball er F li a r m H c t C o r b i> <4a, rue de P arili, t4 fi prés (’Octroi, BREST S :i ... .................... V:i T OU S O ie m in é e MOftftLBB vii L E J O N C O U R , 45, rue Traverse, BREST (Suspensions an gaz-pétrole ___ J H J I j H O T R I Q I T É 45, rue Travers«, BREST y HO, rue de la Rampe, Brest dUUXrR DUPBYBOUX, la » ftiuJ0 comnirneail à nllar nltuKl 1« -3 a* uoftt IOC®, allo «T*lt repria da 14 kllaa et Wall MvpUtWKiit raéH«! -3 M--liant» m’a painla da raUlar «an aaa dana 1» »»14’Atro ulti* h. i « 3 ^ samUablaa. Doetanr Ruftea »UMYRObE ^ 2 ». r<t»aro da Masatao, Parla, « ¿ 5 — Si la tuberaulosa h tt tant de Tlctluiaa, a’aal pare« (|uo las m is S AitlelcN ilo |>16ió, _ Kuuvo* , nlr cl» MIm«Io ii . » CONDITIONS SPIÎCIALKH POUU PATHONAOES ET ltCOLliS L1UHKS, D O M A IN E S Il sera procédé au bureau des Domaines. 40, ruo du Château, le U4 d o c e m b re 1909, k dix heures du matlu, ft lu vente aux enchères, du : 4.2011 kll. de gruaux, 9.200 kll do son, 160 kll. do criblure do blé, irovenant du lu Mauutentloa mlitalro. Prix payable Immédiatement »pros la votte, aveo 5 0/0 «n sus. COMPTOIR fljjjfjRAL DBL’AIEDBLBMEWT HAIS0N KERBIBI0U Fondò* in 1875 Ibuv — Rue da Paris, 97-99-m — Bbmx S8T Sn faea l’Eglls» Sajn£-M«rt!ta 8567 0teuo'hl«ner Pltohpln ; du vorxat Ooat Cormier da ober dent pe dont great. E ty UlOU ABALAH U Flit um biistiifôaaf'Nf ü îî cl© 'lu x e “ ' L E I I Ê V K ' ” t LEJO M C O U R , flrnnil ulinlx <lo .loi?RTS pour urliru du Nuël ot lilreu- d esu te, uneM A Ï- tiV liL Ie S0iV eoa- M KK«;K e t F O itG E , aa bourg de G u lle r s . Pour visiter et traiter, s’adres se" audit liru. 3531 ... 1I«M. I A3;r i i K.» plut r u t «haut S P É C IA L IT É DE Mobiliar« «osviata S EOBLES ______________T w d » w t l ■ e a r POOB U C A IP A G R E b rtx o n a k J O U Ï E H C E d s l’a b b é S O U B Y 80* Année PARAISSANT LE SAM EDI ____________ r _ _ 3 C _ _ . ______________ Finistère, Cfltos-du-Nord, M orbihan, Autres D é p a r te m e n ts ........................... C o lo nies et É tr a n g e r ........................... (un an) — - PUBLICITÉ ADMINISTRATION ET RÉDACTION ABONNEMENTS A nno nces d iv e r s e s ......................(la lig n e ) R éclam es, en 4» page . . . — Dernlòro colonne de la S* page. — 4 — Rue du Château — 4 3 fr. 4 fr. 5 fr. BREST lo r lf décroissant ptur les fnsertltnt répétée* Ci«n qim cut d ' a l r t l l i : 0 f r . 80 «o«o h i t i r n l l t Sa Le« abonnements partent du !•» do chaque mol« et «o payent d'avance Start eo hor c’halon onn hor o’hreia Ma startoi; h ar tiro»* onn hot Brous!... CE QU! SE PASSE Pou.* les annonce« extra-régionales, s'adresser à l’A g en co H a v a a , Placo do la Bourse, 8, à Paris Leo M a n u s c r its n o n In s é r é s no s o n t p a s r o n d u s zigkouez pegen trubard eo al leaenn e venn dougen hep dale, pa lavar e o’hello an tadou a fam illou, pa ziaplijo d’ezho kenteltou po levriou ar skol, kas ho c’hlemmou d’an inspectour ha zoken d’ar ministr. Kas aw alo’h ; selaouet avad ne vezint morse ; respontet o vezo d’ezho : « O a»t hor «pered a framasouned hag a brotestanted ne welomp el levriou po kenteliou-xe netru fall. » Dalc’hom)) son] ! O fr .2 5 O 40 O 50 Eno e c’houlenne d’al labourericii douar asambleou da zifenn ho mad e-kenver ar c’houarnamant, evel m ’o deuz ar c’hemm-werzerien. A r re-ma, he r gouzout a rit, • deuz, e peb arrondisamant koulz lavarout, ar pez a hanver « Kam pr a gemra-werz >, da lavarout eo eun nebeudik tud gwiziek, dibabet dre votadek gant-ho hounan, hag evit ho c’helenn, hag evit beza ho alvokaded dirag ar c’h o u ana ma*t. Dre ze, er Fininter ez euz t*ir Gampr a gemm-werz : unaa e Brest, eun ail e Montroulez, eun deirved e K e a p e r ; ha disul diyeza e ioa votadek evit-ho e peb kanto«. Pell ’zo e reketer hevelep asambleou evit al labour douar ivez : meB al lezenn a joum da stleja, evel kal* a re a il; al labourerien douar a zibabfe en* ho zouez eun nebeudik tud gwiziek var ho micher hag e-kenver ho ezommou, hag hep mar ebed ar c’hannaded nevez-ze a rate d’ezho eur vad hep muzul. Da c’hedal, ra zeuint d’en em voda stankoe’h-stanka enn ho syndicajou ha kefiou-asurans. P a vezint unanet. etrez-ho, ho mouez a vezo krenvoe’h, ha dre ze e vezint selaouet gwelloc’h ha buanoe’h gant ?.r c’houarnamant, a zo bouzard-kloo’h e-kenver ar goulennou mad a gaaer beteg enn-han. K E L E IE R Da genta, o veza m a ioa neDeu.oc n c’hoaz a emglco cnn amzer-ze etre al labourerien douar, marcTiadourien heb- Prochainement, le «COUR R IE R DU F IN IS T E R E > sera imprimé sur presse Rotative et de» caractères entière ment neufs. E n même temps, le format sera considéra blement agrandi. An h an tw k e n ta j»u z prOTegenn an W Les Arnffldissementiers I * politique allon ohsgue Jour le vocabuiatre français d« j >t«n vilains __ mots. L'épHhète d'Arronriissementler vient d’tore créée par la campagne de faveur de la représentation proportionnelle. Ce mot paniu à Ta finale Marque, vous a l’aUare pelante u un nomme qui patauge dans Uù»i inare, peut é're colle que d4c.'l> ■vit «il bien M. Brland, A Pérlgseux. Les arrouaiaaemontlers sont — U eut à palno 51 lin de :<j mre -, les défenseurs du sorutin d'arrondissement. 1*» compaguo do* t\rô‘rfs <!e la H P. les Irqulète. Ayant épwsé toute» les réser ves, us o it M t donner la \leille garde lundi rolr, A Paris Ue n'est p»H dans uu meeting public qui est en quelque soi tu uu champ de bataille — '"■que, que cette vlallle g-.rde attaqua servie. M. üombei. ancien président du conseil, présidait le banquet. Il était entouré de ilÿ députés, pnrmi lesquels MM. Le Dali, Dnbulsson, ûloareo, Le 1/Otiôdec, Halléguon et de 43 sénateurs. Dfeputs sa chute. M. Combes n'avait p< int prononcé de discours politique. Aussi attendalt-on avec une certaine cu riosité ce qu'il allait dire. Pendant, plus d'uue heure, M. Combe« récita — car II apprend par cœur ses dis cours — une violente diatribe contre la liepréientatlon propoitlonuoli*. Ah 1 maudite proportionnelle, que de crimes l'on va commettre en ton nom I Tu troubles l’appétit des blocards qui se sontrnt cependant un estomao assez solide pour manger encore gloutonnement aux ratollors bien garnis do la politique. Tu vas Jeter la discorde dans le camp du bloc et compromettre alusl son Influence et peutêtre libérer le pays a d'une domination Objecte I > Ü’est sous l'impression do ces sentiments que U. Uombos lit une charge A fond con tre les proportlonnallstes qu'il appelait p.vcc une nuincn de dédain de la voix « les missionnaires de la R. P. » Et les ventres de nos radicaux attables rebondissaient de contentement A chaque passage rageur et violent. Les grenouilles de 1» mare de Urlond croissaient de Joie en retrouvant leur maître. Puis M. Uombos voulut effacer l'imnresslon de l'image flétrissante de M. Bciâud. Uo passage eut a citer, 11 est cu rieux : C'est, dlt-on, A dot mania itoRnahtcî que a’atlmente uotre eornlln uninominal. On omet de dlto que d« c m prétendues muroi atagnnntea tl a Aohappe autant de couri d'eau, aux qusli m an que sana douta A l'orlffln« l’aipeot plus grandiose d'un« rivière, mnla qnl rénnli dei dlveriea par tira île Iw r lto n , forment enieuibla nu fleuve au* porbo, où aont venues l'u g lo u tlr d o p iti trente nna, où vlennont l'ougloutlr enoore chaque |our les balayures dos rAalmea paaaé», tan lla que ses eaux, périodiquement acoruaa par tea pluies bleu* taisante! des rrnouvollomonts législatifs, arrosent et féoondont lea terres nouvelles et de plus en plus émergentei de la démocratie, Ouf! dire* vous I Quelle pénible accamuiatlon d'images et comme io n sent bien que celui qui a forge cette phrase est gêné aans ses entournures. C’est que vous n'avez pas de goût, car les assistants ont, parait 11, b.ittu trois ou quatre bans A ce pasaaee. Prenant le ton de l'homélie — car M. Combes se souvient touloui n de son édu cation c'érlcale — l'orateur gémit sur le sort des BncJa'lstes aujourd'hui »ortls du bercail du Blou. Qu'Ils y reviennent donc et M. Combes promet de les mener sous sa boulette aux gras pfl.tu<ages. Tout & coup l'enthousiasme de I’usbIstar.ee rs refroidit. M. Combes parlait tout comme un vulgatoe proportlounallste « d i réforino administrative, de décentralisation et — hovrosco r«f«rtns — de scrutin de liste. » Les li'ocords ne veulent pasdd léfonnen. mais pas du tout, lis ont les plcdn nu feu et ne sont pilota alïaméB. Us no so soudent nullement de livrer leurs precleuses personnes aux vicissitudes dss réformes quelles qu’elles soient. Ce passage de son discours dit un Journal officieux parut surprendre l'auditoire. M. Combes ne s’y méprit pus et s'em pressa de faire les casulste — quel cléri cal que en Coin lien — entre la thèse et la pratique au sujet du scrutin do listo. Mais Il eut vite reconquis son auditoire en com mentant A la Un do sou discoure la lettre des évêques A propos des manuels pri maires Quelle rapport pest avoir cette lettre avt.c la représentation proportionnelle ? Uu rapport nous échappé, mal« cette let tre iourufsualt une merveilleuse dlsgreeslon et bien dans la note combisto. Combes ne connut qu’un programme qui so résuma toujours dans les cri« de : A bas la oalottu I Heureux d’entendre ce cri dé suet et vieillot, 1*s radicaux «e crurent ra lentis de plusieurs anneea et revenus su boa tempi où le peuple, duné et trompé, se cont ntnlt do mf.tgreg os de l'antlulérlcailsme qu'on lui Jetait dédaigneusement de la table du banquet. Pendant que nos arrondlssementters, montraient le poioguux proportionnalités, ; ceux-ci, le mCme luur. dans deux meetings réunissant, A Parla, plnstcurüinllllersd'uudlteur», faisaient acclamer la représen tation proportion nulle. LeH radicaux veulent soutenir la folle ga geure de marina parlant de conduire leur barque contre vents et imiréc. Aveuglés par le dépit, la colère, Us ne volent point le oanuor. Souhaitons que leur fol enthousiasme ne les abandonne point et lea mbue jusqu'à l’écu'.ll contre lsquel se brisera leur barquo. G. L. M LM La première de le i filles la princesse tea elTorli de ceux qsl travaillent A la grandeur Louis lise, née en IBM, épousa un prince de da la patrie et qui d a m l'esprit da concorda et d’avancement aocial, «lkvent le nlvnan moral ot :e, qu’elle abandonna pour épouser un Intellectuel de la nation, développent l ’éducation ornai« ioler hongrois. Bon père en oonçut un et l'instruction et asaurent aux nasses un plug grand chagrin. La princesse Louise qui graad bien-être. dépensait follement, se trouva acculée A rs. La mine partane mes sonJ'aime raoa pays. L a rela» ible fidélité A la ruine. Elle istenaç* d'intenter un procès tlmants d’inaltérable ‘ la Belgique. Ncvs enfants et nous évaillona chct A son père, pour lui réolamer la part de en pénétroui nos em 'eux lu voix de l’omour du lo i natal, l’amour cto succession de sa mère. Les bijoux de la famille, l ’am osr du travi li, l’umour du bien. reine défunte fuient u cette occasion expo la Us aont r.qa vertua qui rendant la nation forlu, sés pour être m il en vente, m ali le scandale Messieurs, l'aocueil qui m'est fuit me touche d'une pareille vente n’éclata pas, grftce A . rotondément. J ’y vols la preuve d'une confiance l'intervention de hauts personnages, Le qui m'honore autant qu’elfe me soutient. Je m ’nttoroernl de la mériter. En prAtant le sarment père se détacha de la princesse Louise. conatltuttonnel, je prendu devant mol-mAme et La deuxième Ulle, la princesse Stéphanie, mon paya rengagement do remplir terunée en 1864, mariée un 1881 à l’archlduc devant pulauaement mon dovolr, et do consacrer tous Rodolphe, prince Impérial u'AutrIche. Ce mea eltorta et toute ma vie au service de la patrlo. lui-ci fut, alt-oa, tue dans uno rixe de ca Ce discours p produit une bonne impres baret. Mais la cour d'Autriche, pour des raisons que l’on comprend, Ht toujours sion même dn is les mlilenx socl&llsfcs belges. Il dénote chez le souverain de nobles planer le mystère sur sa Un. La princesse Stéphanie épousa, en 1909. préoccupations ot la ferma volonté de réa liser ueu promisses. un noble Hongrois, le comte Longay, Léopold ‘ne voalut Jamais consentir A ce co mariago qu’il considérait lé comme uuo mésalilanoc et se refusa de la recevoir. La prlaoesse Clémeutlue, la plus Jtunc de ses filles eut son amour sacrlUé A des ralious politiques. Le prince Victor Napo Nominations dans lo Clergé léon, descendant do Bonaparte, lai de manda sa main. La princesse Clémentine Par décision de Mgr l’Evêque ont été l'aimait, mais le roi s'opposa \une union qui aurait peut-fltre gravement troublé les nommés : Chanoine lltulalro de la cathédrale, M. Qunlnrelations politiques de la Belgique avec ohunolne honoraire, ourê-dnyen de Taulé ; la Pranoe républicaine. Car le prince Victor nec, Garé-doyen do Taule. M. Lo Uull, roctour du u u pas reiouci A l'espoir du remonter sur Polgodt ; le trône de ses ancêtres eu F/ance. Recteur du Polgodt, M. Breton, profassour do Léopold ¿tait beau-frère de Maximlllen. l'Inatltutlon Hnlat-Vluoent-de-Paul, a Qulmper. fusille av Mexique en Juin 1*67. A la nuit'! de cotte Bn tragique d uu rêve enconrage iar Napoléon III, *i\icsur Charlotte devint L ’ O R D IN A T IO N olle. Elle vit. toujours et la miilheuretiso L ’ordination du samedi 18 décembre Ignore encore la mort do »ou royal frère. Comme on le volt les malheurs prlvéu comprenait 1 minoré, 3 sous-diacres, 12 n'ont p«s été épargnés A Léopold. diacres et 9 prêtre«, dont 8 du diocèse de Il faut ^jouter qao sa vie privée ne fut Qulmper 1 1 1 du diocène do Tours. Voici les noms deu nouveaux prêtres : pas exempte dp tout reproch*. Il non» p'uslonrn Intrigues et Pa;in ne MM. Arzel, François, de Ploudalmézeau ; connut pas de boulevardler plus endlab’6 Arzel. Herve, de Lanrlvoaré : que loi. Cir II aimait. Paris et y venait très Herrlet. Clct, de Uléden-Cap-Sizun ; Corre, Léon, de Lampaul-Gulmlliau ; »onvçrt. Il avait ci'ai'leurs ue l'opinion (ionldec, H enri, de Douarnenez ; publique et du qu'en dira-t-on, le plus par Cueilec, Joseph, de Peumerlt ; fait mépris. Pollé, Henri, de ÏYlmelin ; C'est a Paris qu'il rencontra en 1900 une Talahardon, A lain, de Roscoff ; eune Ulle d’ane arande beauté, Caroline Apamon, Yves, du diocèse de Tour», Jelacrolx, née le 10 mars 1*83 Une llals'ui originaire de Lanclllv. tut vlto coutractéc et depuis cette époque, Caroline Delacroix, que le roi avait laite baronne do Vaugüan, vivait A ses cOtés. Elle assista même A ses derniers momeutn. De cette nnlon deux enfants sent. m!o »5 C o n tre les E v êq u e s auraient infime pu prôteudre au tiOue de Belgique si rualon qui unissait Léopold à la oaium e Vaugha.n, avait été régula Il paraîtrait que le bureau de la Solidarité, par la lot civile. Mais i> desaein, porr société de défense du personnel enseignant éviter de» oomollcation» politiques, le rcl du Finistère, »e aérait réuul ces jours der de Belgique n’avait contracté qu’une union niers A Qulmper, pour examiner la situa rellgleu««. tion créée par la lettre collective Ces Toutefois l’on asssre qu’il » pria touteu évêques concernant l’école. ses précautions pour laitier k celle qui Sur 12 membre u préaentn. 9 se »oral*nt charma se» derniers jours d*î sa giftce prononcés pour q’une action, judiciaire sait als»»nte, une grosse lortnue. C'est alusl intentée aux évêque», et notamment A iiitr que par testameut, il lui aurait do.ond Duparc, évfiquc de ftu m p tr et de Léon ; près de 81 million*, alors qu'il ne laisse A — 2 votèrent contre le prtncipo des pourscs filles, les trois princesses royales, lulte» ; Il y avait en outre un bulletin b'.àuc. qu’une fortune évaluée seulement â qslnze Cependant, mvant do ponasw pins loin, millions le bureau de la Solidarité sursit décidé d* Anasl sa succession sera-t-elle un nid A consulter les sociétsireB par vole de réfé procès et Jusque par delA la tombi so ré- rendum Il leur a donc adressé nn« circu perenterout tes ichos douloureux des laire les invitant A répondre par oui ou par conflits qui séparèrent le père de ses lilles. 7ien A la qneition suivante : « Doil-vn lit l’on critique la vie privée deLêouold, poursuivre >es évêque»? » on s’attache A ml reconnaître de giundog La circulaire ajouto qae les sociétaires qualités politiques. Le peuple bolge, dit- qui ne répondront par. seront cousidé is on. ne l’aimait pas, mais l’estlmalt parce comme favorables aux poursuites : C’-st qu’il avait beaucoup travaillé A la prospé une trouvaille I rité et A la grandeur de la Belgique. Le dépouillement du vote aura lien A Il fr*t d’abord un roi vratmeai constitu Qulmper, dimanche prochain 26 décembre. tionnel et n’empiéta Jamais sur les droits Le résultat ne nous semble pas douteux ; des Parlement«, Ou lui eu est reconnais mais, en admettant — ce qui est moins sant aujourd’hui. certain -- que ces mesnieurs pnrvlenncar, à Bon diplomate, il tlut la balance é/nle se faire ectioyer quelque» bons billets pour outie le parti catholique, et le parti radiosi un préjudice qu’ils n ’ont pus subi : crotentqui ho disputent !c pouvoir en Belgique ilsque c*’>x-l» siratcî’* ensuite davantage seiÎJiçaut rt’écnrter les décisions d’une dans le bon droit qui continueraient à vio Intratibigeance trop sévftre et déménager ler, en même torupn que la loi do neutralité, aux deux partis dea rerrulna d’entent*. I» liberté de coasctenoo des f at nie» créa CHRONIQUE LOCALE Î Î Les Instituteurs du Finistère H.u’ son Initiative d ’éuorines travaux publics fuient oj.t. ontia pour i'embellis**m eutdt: Bruxelles r.t l a(traB,liste«if.n:, du port d'AnverB, qui est, devenu l'un des p 'u i grands povls du rnond;. Vais l’une des idées r l'ri'OSfB de sa vie, fut l’œuvre coloni.,,o. Lea Belges ne *e souciaient, n'ns d’avoir dea colonies. Il réuaalt a le» Interesuer A sou Idée d’expansion coloniale et aujour d’hui la Belgique possède lu Cougo beige, une dns colonies les plus prospères et i«s plus vastes. Les Uelges bo félicitent maintenant de l’obstination qno mit Léopold A leur mon trer da«* ie Congo un vaste champ d’acti vité d oit i's tirent de grandes richesses. lies oosèques du roi ont eu lieu mer credi A Bruxelles. Dans son testamiint le toi iwa U expteSHéiueuï recomiaanùé que ses funérailles eussent lo c a ra te rò le pi va simple. Une messe bssü'' A *eptb«ur<.'» du tia tln en piéi.eru’.e nu personne' etn chlltnau de liuskeo, puis l'inhumation sans cortège ofüotol dans len caveaax de légMie do Linolton- Mais le geuverneaseut a jagé qu'il e nveuait, üo faire au toi des Belge« des il f La formalité d’une déclaration nouvelle n ’est maintenue qu’A l’égard : 1“ Des contribuables dont le revenu ca dastral aura été modifié A raison d’acqui sitions d’immeubles, d’aliénation d’im meubles, etc., et qui, malgré ces modifi cations se trouveront encore dans les con ditions voulues pour obtenir un dégrè vement ; 2° Des contribuables auxquels it n ’a pas été accordé de dégrèvement en 1909 mais qui y auront uroit en 1910. La déclr.iation du ces contribuables va ôtre faite dans le délai d'un mois, à partir de la publication du dernier rôle foneier ou personnel mobilier Intéressant le contribuable. S U R T A X E S D’O C T R O I Sont autorisés Jusqu’au 31 décembre 1914 inclusivement, lea prorogations de aortaxe par hectolitre dVlcuol pur contenu dan* les eaux-de-vie, euprits, liqueurs, fruit» A l’eaude-vie, absinthe et autre» liquide» alcooli ques non dénommés : A l’octroi de Ploudalmézeau d’une surtaxe de dix lrancs dont le produit 3era affecté au payement dc-a ciépouseï» énumérées dans la délibération municipale du 14 février 1909. A l’octroi de Ploaré uue ;iurt.*xe de trois francs indépendante du droit de 15 franco établi â titre de taxe principale. Le produit de la surtaxe est spécialement affecte au remboursement de l’emprunt de. 4.754 francs contracté en 1907 en vue de la conatruction d un chemin vicinal et de dé penses scolaires. A l’octroi de Piogastel-Saint-Germain une surtaxe de 14 francs indépendante du droit de 15 francs établi A titre de taxe principale. Le produit de la «urtaxe est spécialement affecté au remboursement de 1emprunt do 30.000 franc», contracté en 1893 en vue de la reconstruction de l'église. A l’octroi de Lecunoié d’une «urtaxe de cinq francs indépendante du droit de 15 fr. établi k titre de t.-xe principale. Le produit de la surtaxe e»t «pécialement aïecté au remboursement de l’emprunt de 1.8G0 franc» d isticé A pourvoir aux frais d'agrandlinement de l’école des garçons. " â c tiW l t ü h ë De i’arganisaiion proitssiom illi A u congrès de l'A. L. P. tenu à Paris dans les premier* Jours de ce mois, M. Plou, député, fallait rewortlr la nécessité de 1’orgnnisatlon profesilonnelle. Cette question est pour ieo cultivaUurs d’une actualité reelie. De toute# parts nous voyons surgir des organisations lo it ouvrière« liolt tie fonc tionnaires qui, à cor et A cri», réclament pour leur» membre;» : amélioration de leur «ort et bien-être. Loin de moi la pensée de vouloir m ’oppo ser A l'amélioration du sort des fonction naire»,. mai* 11 ne faudrait pas qae le bonheur d'une partie de la population fut conutituée par 1« mUère de l'autre. Celui qui sn.lt, depul* «uelqu»« années la dlacu»»lon ite notre budget, n* peut vol? »an» Inquiétude la rapide augmentation de» dépense* ; elles montent estte aasée au chiffre fabuleux de quatre milliards. (Il faudrait 05 wagons chargés A 100.00 kilos pour les transporter en louis d’or). U ne autre raison pour nous alarmer, c’est de constater la légèreté avec laquelle nos bonorablss Jonpïest avec nos mllitCD*: arrivistes politiciens ou enchérisseurs éiectoraux, tels un troupeau de chacal» snr le corps d’une victime, c'eit A «ut emportera le plu» gro» morceau. La fortune de la France et le bien-être da contribuable, ne comptent point pour eux ; si quelque sage parle d ’économie, il est nûr d i no pouvoir se frire ¿coûter. Cettr voix du sage 11 faut loi trouver un tures qui leur oont conlieea? écho pour qu’elle sol* mieux entendue : les So ligureut-llu d'*uwe part, qu’i'.a vont doléance* des contribuables présentée» avec fermeté seraient cet echo. faire hésiter lea E tèq ata pour si -,»a ? ,,.e Aujourd'hui pour être écouté le bon nôtre, nu particulier, a démontré m n la tïi droit «eut ne suliic paa, il faut encore ,* fois qu'il ne criiitt ni ¡cet tribunaux, r.i 'es condamnation», qiand il s’r gît d’nit d*roir force. A remplir, d’nu droit A 'léfendre. L 'org a nisatio n p ro lessio nacllo . en l ’e s Et c'>i sottes pourauttes le feront, simple pèce les syndicats agricoles, psr le nom bre ment aimer davantage de tons ceux que la des m em bres, d o nne rait A nos vœ i.x cette force qui leur eat nécessaire. haine anticléricale n'a pas encore aveuglé». Le syndicat agricole n ’eat, pas. ce que beaucoup pensent, uno association com merciale quelconque, c'eut surtout un organe d'etude* et de propagande, de défense et de réformes sociales. Monseigneur Dnparc vient d’adregaov A Il ré u n it lea cultivateurs pour défendre M. Nieol, directeur d'un journal pédagogi les h u ô rë ts com m uns de la profession soit que, récemment fondé, sou» le patronage m atériels zoit m oraux, en restant *'n dehors üe 1inspecteur diocésain, lu lettre suivante : de toute ingérence p olitiq u e, m ais tout en Le Breton à l'Êcole Cher Monsieur Nlool, J ’ai lu avec Intérét les premiers num iros de votre B kvuo pédngORlque. Cet effort pour elever encore le niveau lulollectuel de nus jeunes mnl'res ne sera pu» moins apprécia des la n llle t qua d« nou Acides chrétlenuat. Un rappelant aux (Idèlci qu’ils doivent neus couder lonrs enfsnt» pair# que l’école nnns Dlau aérait pour eux mauvaise, uoae devons pouvoir leur dira qu'ils aont assurés d« remontrer dana noa Instituteurs et nos Instltutrlcaa libres, avec un dévouement qua rien n’nr'flte, une Instruction, une cxparlent«, uno cbiupétoni.e de plus on plus étOQlIllDU. Je vous tèdoltt) d ’avoir procuré i vos jounes collègues l'instrument rt’ftude dont lia avalent busoin pour sb tw lr tn h j ’.plno et to roattra uu courant des travaux qui pouvant (autlltcr leur ouvra qactldlanno. Vaus ave?, réservé aux devolra d'instruction rellglenit) la plaça Importaata A laquelle Ils ont droit dana un programma catholique : c’est pour nos mattras uno obligation plua airlcte que jatnala d t présenter A luura élévas lu doctrine chrétienne dans toute sa précision. Leurs «asspositions aaront ravuaa par un prêtre A l'esprit tré» sAr. Ils expo seront ensuite la vérité avec plua d'am onté, et lia y Battront an pan de chaleur apostolique pour ioraser aux «niants uue ninntalUA rallgluusa, ré fléchie at prolande. J'alaaerals à vous voir compléter Ira matières de voo devoirs de quinzaine par uno petite page de kreton. Vos maîtres doivent s'eu servir, q u a n j Ils 1« peuvent, pour bien enseigner la IrM çals. Vas Aaollara anx-mémee doivent arriver A connaître d’an« façon plus gramaautlnale leur langue maternelle. Voua pourriez consacrer une deml-coloune da chaqns numéro A »u « courte leçon d« gr«mnsslre tout« AlAmentaire, et une antre deml-colonne A «n récit da notre histoire bratonne. C«tt« Idée aaralt sans doute besoin d'Atr« mArle avant d'«atr«r dana la pra tlq ie , ]a vona la aoumet pour qna vons y réléchls.tlvz avac vus exaellants collabora teurs. Qae Dion bénisse le Sentier d'acrot où vons Invitez e l'avancer avoo vous tons las tions servi teurs de l'euselgniaent libre, et qn 11 voua facilite la rrnte tAche que vous eccompllsr^r. al bien itama mon 'llocése. Veuillez agrier, eker Koualeur NIcol, l'sssnrance d« mon pntarael et ra ipactueux dévouement. -1- AI01.PKB, Evoque de ♦ ulm per et de Ldon. funérailles olUclsllts et solennelUa. « Sauf A men neveu Albcit et aux membrou de ma Uiaiaon dit textuellement ;e roi, dan» son testament, Je défends A tous do »ulvte mes (nuérallles. » Le gouverneasent belge passa outre A se» volontés et tes obsèques ont été gran dioses. lie corps enfeiMé dans un cercueil orne menté, fat descendu du ctateau de Laiken ut hissé sur un ebur tunèbre A 9 heures du matin. L« cardinal archevêque do Mallnes, le clergé de Bruxelles, précédèrent a i» levée du’eorpa. Put» le cortège se forma lentement «e dirigeant vers m catéJrale métropolitaine de Brunelle». Derrière vonaiont le prtnee Albert, succesaeur au tiâne, les princes étrangers, les grande dignitaires de la Cour, tvute» les autorités marquantes oifllcs et, militaires de B'iflquo, les délé gations étrangères. Ce cortè;?# ovnlt près do 4 kilomètres de long. Sur le parcours s’écrasait une toule énorme. Dana notre dernier numéro, noua avons■ A la cathédrale, la cérémonlo se pro dit que Léonold II, roi de Belgique, était! longea près d'uno heuro. iravement ssalad* et. que son grand titre — i Puis le cartège ne reforma pour se ren e roi eat né le !) avril 1835 — faisait cralndro I dre A Lacket. dont, l’église renferme la ure Issue fatale. Uue petite opération tumlie de lu relue Marie Hanrlette. A l'avait, soulagé on peu, mais daua la nuit 1 2 h. 1/2, le cercueil royal étMt placé dans du vendredi 17 décembre, »'.ors que l’on une crypte. croyait, tout danger passe, le roi mourait Mata le Roi est mort, vivo le Roi l A 2 h. 1l'i du matin dans sou palali do, Albert 1« qui vu succéder A léopold II, Uxeoken, situé à 3 kilomètres au nord do •st »ou neveu. Il est né A Bruxelles, lo Bruxelles. I avril 1875 et est donc ftgé de 35 uns. Des religieuses le veillaient lorsqu'elles1 Il est marié A la princesse Elliubsth de le virent s'agiter. Elles crièrent : « lo roi Bavière et a trois enfants. se trouve mal • et s'approchèrent. Ii u beaucoup voyagé et s’ost beaucoup Toui ceux qnl aimant lu langue bretonne, Le baron Oofttnet et le docteur Thlrlar oecané da p'oirè» social et économique et parce qu’en olle vibre l'Urne bretonne, »e accoururent. lia furent les témoins d'un «»éclatement de l amélioratlon du »ort des réjouiront des conueil» que donne Monialspectaole terrible. classes ouvrière». gnear pour propager l'enseignement de la Le vieux roi, l’esll hagard, taisait des Oa la dit très Intelligent, très bon, trop lingue dei ancêtres. efforts désespérés pour se dresser et lps bou même, écrivent quelques journaux. Momolgneur manifeste également le mains crispées A 1« gorge. Il rAla, plutôt La viude travati ut d 'études qu’il u menée désir que l’on mette A la portée des enfanta qu U n'artlcnla cea mot« : « J'étoufre, doc Jusqu’ici lui u conqals les »ympathiew d’un l'htatofre do la Bretagne. Ce déair répond teur... étouffe. » Ce fur. toutpeuple, qui fut liés souvent f olsoé pur les aux vceux de tous les bretonnants qui, il lies bran retombèroi.t, m grand corps so Inoldents pénible» qui marquèrent la vie taut l’espérer, aideront les écoles libres A détendit. Il étau 2 h. 37. de Léopold .II. le réaliser. l<e docteur tenta nue plifftre de ûatéTne, Le nouveau roi Albert 1" a prêté ser mais ep vain. Lé"pold II était mort. ment, de icopecter la GotiNittution. jeudi iiMimt avait,reç«i la veille, en .pleine con- mutin, au Parlement de Brtixelles. Dea acRemise sur ies cotes foncières nslssflnct. l'absomtio'j et le sacrement du oiamatluiia entli'Oialuatt« Siuuèreut «ou ar l'extreme-onctlon. La loi du 19 juillet 1909 dispose que le rivée daim la salle, convrant les voix des Dès l'aube la nouvelle était connu» a . socialistes qui criaient : « Vive la Répa- dégrèvement des petites cotes foncières Bruxelles dont .tou« les édifices publics (cotes foncière« des propriétés non bfttiea bllquel » arborèrent le draoeau national voilé do , Après la formalité du nerment,, le nou liai dépassant pas au total, pour la part de ortpe.' wi'iM.t 11.»;.,' ",J veau roi prononça un discours où 11 passa l'ita t et poar le même contribuable, la an revtte l’œuvre de son prédécesseur, puis somme de 25 te.), ordonné par la loi du 1ÎP's1 t0DDftet 10S>M*onnu Atout** 21 Juillet 1897, sera de nouveau effectué II termina alm i : «n 1918. i H f t inant le roi béopold appartient 4 M eilleurs, J’ai la vliton netta ds m a charge. La Les propriétaires qnl ont obtenu le dé , devoir dei pi Iacea e it dloté A leur consolane« par grèvement en 1909 obtiendront d'office et l’Ame d i i peuplai, car i l le trôna, a sea préroga •ans nouvelle diclAïMiim en M O la mime tives, Il a surtout aea responsabilité!. Il faut qua remise d ’tmpOi qu'en 1389, pourvu que : j le souverain sa tienne uveo uuo entière loyauté Bourbon-Orléans, Ulle de Louis-Philippe, nu-dslsoa dea parila. 11 taut qu'il veilla au mala1* La contribution personnelle mobilière roi de France. llen d ai foroaa vivai Su la nation. Il taut que, 4 laquelle Ils sont-assujettis pour 1910 dans •una cs«aa nlteailt A la voix du pays et panoM lear» diverses résidences ne dépasse pas avno aulltottuda sur la sort des humblan, le iouveraln soU le'iéfV inw r d u droit, le aoutlen de ta l au total, 20 fr, (part de l’Btat) ; nette, qui mourut eu 110! après avoir m il 2* Le chiffre du revenu càduitral indiqué paix aooiala. an monde troia filtra et un fili. Celrii-ol sor leurs avertissements de 1910 soit le Qua Dieu m’aida A remplir aatte mlaalon I mourut * l’Age de dis ani. même qu’en 1WS. Q uant a mol, |S asti tonjaura prêt A aeoonder Mort Roule BelgiQue » itp fittiS T S ii ô ta n t nu organo de c o m m u n ic atio n entre ia corporation et leur» représentants éiac, qui leu co nsulteraient c fru it lors de 1élaboration ue, nouvelles lors agricole». Le syndicat serait également le noyau naturel sur lequel pourrait se greffer diverses o»uvres mutuelles et lociales telle s que: Mutuelle-Incendie, Mutuelle-Bétail, Mutuelle accidents, Caisse rurale, coopé rative# diverses, œ urresqul depuisquelque» années fteurissent avec tant de succès dans plusieurs communes du département. C’est uu devoir social pour ren cultiva teurs qui, dans leur récloa, joui*sent d'une certaine influence de prendre l’initialive de rocgacmitioQ professionnelle : ie mal est déjà gra*e, il est grand temps de l‘(’nrny»r. F. T. Q n lm fe r lfi C o n co urs d ’a n lm sin x g r a s et raprod n c to n r s . — Jeudi a eu lieu a Quimperlé, le concours d'animaux de boucherie et d'an Imamx reproducteurs organisé par l'as sociation du Suti-Finistère. Voici la liste dss lanreats : A n lm a u ï do boucherlo. — Eipèoa bovin». 1” classe. — Jeunes ba-ufs do toutes races u’uyaat pas plus de 5 uns en bouche. — 1- prix, 80 fr., François l'Arez, Kerancollleo, Bannnlec ; 2 -, 18 fr., J. Bleuzen, Balut-Yvl ; »•, 60 fr , J. Tallec, à Kornabat, Uannuleo; 4-, 40 fr., Penblanc, A Locinarzln, B annalec; a-, io lr., reporté ù la s- catégorie de la 3' classe. 3' classa. — Race pur« 4e Cornouallles. — Boula marquant moins d« six ans en hiuche. — 1'- catégorl*. — Paire 4e bssufa. — 1- p rix , un* médaille d’argent offerta par M. le Ministre » • l’Agrieupure «t 100 fr., J . BUrateu,, Salnt-Yvl S ; 2-, 70 ir., nené Perni»; Plonéls. 2- catégorie. — Braufs Isolé». — 1” prix, SO Ir., J . Bleuzen, de ■atrn- Yvl ; 3’, flé fr., R. Pernez, de Plonéls ; J ’, 20 Ir., F. Pérez, de Karancolllec, B annalac; 4-, 31 fr., J. T ollie, de Kornahat, Banualac. 3- catégorie. — Bande de quatr« bmufa. — 1“ prix, «ne médaille d« vormell uffarte uar M. le ministre de l’agriculture et SI Ir., J. Tallec, de Karnabat, Bannalec , 2-, ano médaille d'argent offerte par M. le ministre de l'agrlcultur« et 4» fr., J . Bleuzen, de Balat-Yvi. Bapèce porcin«. — S- classe. — Porcs et truies. — 1“ prix, 60 fr., J.-M. Callu, * Trognnvel, «a Bannalec ; 3 , 40 fr., Corolter, A Punitane, Qulasnerlt ; 8', 30 fr., Tanguy, a Kerdarld, T.J4vo«x ; 4', 35 fr,, Ixniln P tron, u Coatsnvé, Moélaa ; 5-, 30 fr.. Cadlo, L » Vlllanenvo, Tréméven. Anim aux repruduuteurs. — 1- cUoae. — Rese pure de Cornoualltas. — 1” catégorie. — T a u reaux n'ayant en bouche aucune*-!ont de remplaplacement, — 1“ prix, »0 fr., I,nul> Fonutenn, à Ergué-Armer ; 1', »0 lr., René Feuntenu, a SalntYvl ; 8-, 40 fr,, René i-cruòs, é Uémz-Brae en Plonels ; 4 , l o ir ,, Jean Dnnlon, ù Kermunteun ; 8‘, 30 Ir., Peroès péro, A Méncr-Bra» >ra PlonAls; 6‘, la fr., Lauan, h Kem ouarn. Quimperlé ; 7-, supplémentaire, 10 fr., Melo, a Arzauo. Menllon honorable : René Parnés, de Plonéls. 3- catégorie. — Taureaux de plua de doux nus, n ’ayant pas plus de quatr« donts du remplace ment. — 1” prix, uu« médaille d’argent otTurte par la ministre de l'Agrlculture at 00 fr., René l'eunteun, a Saint-Yvl ; 3-, bo fr., René Pernez, A Ménez-Bras, A Plonéls ; 3-, 40 fr., Hervé Feunlaun A ICrgué-Armel ; 4-, »0 lr., Le Craur, a Psnharo. 3classe. — Raca Durharn at Crolsenenta divers. — Taureaux Agés de moina de 4 ana. — 1" prix, 60 fr,, Avan, a Peucruu, an Plomodlarn : *V 60 fr., G uillaume Pérez, A Keraalao, «a IBaanalao ; a-, 30 fr., L » Tallee, Rosoasqnin, «n Qalosparlé ; 4 , 30 fr., Mlalou, St-Tknrlan. 3> classi. — Race pure de Cornoualllm . — t 'a catégorie. — Pim eli«« n ’ayant an bouche attenne d m t d r remplacement. — 1» prix, une médaille d« bronze offerte par M. le ministre d* l’egrloultur# et *0 fr,, R. Pernez, A Plonéls ; 3’, 30 fr., R. Fennteun, Saint-Yvl ; 3 -, 30 fr., L . Feuntenu, Hrgaé-Armel ; 4«, 1« Ir., J . Danton, Kerfeuntenn, min............ ... i l S i í i í i l l í I I i í ’l ! J* catégorie. » Femelles pleines on à lait n’ayant pus plus de 4 dents de remplacement. — 1*> prix, nne médollle de bronze offerte par M. le Ministre 4« l’agrlcnllure et 40 fr., L . Fennteun, Brgué-Armel: S-, 30 lr., Fauuteun, Balat-Yvl ; 3-, 20 fr., L a Cssur, A Panhars ; 4-, lo fr., J . Da nton, Karfeantaun. Mention honerabl» : J . Péron, â Locqultoc, «n Baye. 3* calégorl«. — Femelle? pleine» ou A lall iaéea de 4 ans et un-dessus. — 1-’ prix, G0 fr., R. l'euntoun ; 3-, 60 fr„ R . P arniz ; 3’, 40 fr., J . Danion ; 4-, 30 fr., Y . Garf-rm, i Kellac ; 6', 20 fr., L. Feuntcun, A Ergué-Armol ; 6', 10 fr., L. Marlr-n, de Baye. Montlon honorable : Pernez père. 4- Clause. — Race Durham e i races diverses. — Femellos âgées de moins de 0 nns. — 1-' prl*, 60 Ir., François Pérez ; 2 -, sa fr., v«uve Lancleu, an Trévoux ; 3-, 25 fr„ Ladau, a K em ouarn, eu Q ultuptrlé. 6- Classe. — Ver>3ts da 0 A lr» mol». — 1 " piix, 40 fr., Json Laudreln, à Kerloler, en Trévoux ; 2', >0 fr., Malhle» Le Clac, a K/!r!«:ls, en Mollau ; 3-, 20 fr., Joseph Tallec, í Bannalec. Prix d’ensemble df.cernrs aux exposants p'”ir le plus bol ensemMe d’anim aux reproducteurs. — 1 " prix, une médirllle de Tcrmell cITtito par lo ministre de l ’Agrlculture : René Fcucteuu; 2-, une médaille d’argent ollerie par le ministre do l’Agrlculture : René Pîrncz fils ; 3'. une médaille de btonze offerte par le ministre do l’Agrlculture t Louis l'eunteun ; 4-, une médaille de br o m a otlo rte p a rle ministre de l’Agrlculturo ; Jean Dinlon. Anim aux de basse-cour. — 1 " prix, 1 médaille d’argent, Maurice Habría!, de Quimperlé ; 2-ei 3-, 1 médaille d’argent, Jndlc, de Q ulœ prr ; 4 , une médaille de bronzs, Morcrotte, de Quimperlé ; 6-, nue médaille, nou décerné. Concours annexas. — Beurres. — 1 " prix, 12 fr., Le ü a ll, Kernous, en Quim perlé ; 2-, 10 fr., Guyomar, Héder, en Clohars-Carnoét ; 3-, 8 fr., Péron, Iîoalls, eu Q uim perlé; ' i , « f r ., Péron, Korvlguennou. en Nelluc ; 5', 4 ir., Da-nnd, Keranxquor, eu Quimperlé. WS s*?; CAUSERIE JUüDipij V r Do la preuva (suite). — Nous en »ommes à étudier comment 0 ?. acte sous signature privée doit être rédigé pour être valable. Nous avons donné dans la dernière cause rie les formule» tea pin» ordinaires que I on emploie pour rédiger ce» sorte* a actes, mai» nous avons fait remarquer que ces formules n ’avaient absolument rien d’obiigatoire et que lea partie* pouvaient les remplacer par telles autres qui leur aembioralent bonn«s. Au contraire lc-s forma lités que ncu* avons 4 examiner m ainte nant aont substantielle». Leur omisaion entraîne la nnllité de l'acte. Ces formalités peuvent être divisées en deux catégorie*: celle» qui sont nécessaires â toas lee actes et cclies qui ue sent neceasaire» qu aux actes de certaines catégories. Nous ohona ensuite quelques mots de deux formalités fiscales, le timbre et l’enregistrement ; notw verrans à ce moment l’importance tonte psrticulière do la formalité rte l’enrej’iatrement. A. Formalités nécessaires i. tous les ac tes sou» tijnature privée. Les formalités nécessaires a tous ies aetts sou* signatnre privée sont au nombre de dtux : la signa ture et la date. La signature de ¡a partie qui s'engage *1 elle est seule, et la slgnatare de tonte* les pa-ties qui s’engagent s’il y en a plusieurs, «ont absolument indis pensables pour que l’acte lo it valable et puisse lervlr de preuve. Ceia est évident. C’eat de 1s slgcatnre qne l’acte prend s* valeur. Notons A ce propos qn’une personne qui ns sait pas aipe.er ne pert pas faire constater lea con-entic.i* qu’e l.î prBse par acte so^.s signature privée. Eüe Oevra donc s’adrer^er tenjon-!’ A nn notaire, sauf peut-être dana les très rares cas. où la preuve peut dire faite par témoins. Et •lucore faut-il ajouter que la preuve uar témolus est toojour» dangereuse. Les témoins peuvent mourU, se trompes-, mentir. I l ne caflirait pas peur signer un acte sons seing-privé u’y faire mu croix. Mais il n ’est paa nécessaire non ptus que la signature «oit la reproduction exacte des nom* et prénoms de la personne qui sisrne. Il suffit que ce volt la forme ordinaire, ¡a /arme ha.bitue.lle. dont eita se sert pour *e niguer. Mes, lect-.urrs le savent r.nssi bi-n que m o i: les trois qnar*» -Jes signai.'.:es nont illisibles. Sen'.ement elles» o n t en généra! difficiles à imiter. A v e c ’a siersture il faut que l'acte sous sigas-ture privée porte sa dots. Cette for malité xtVst théoriquement exigée pa- ia loi qne dan* quelque» cas, me.is en pratique elle est. toujours nécessaire et >1 ne faut jamais l’omtittre. Elle sert, ¡>.autres eiiuses ai .es parties qui contr-cteut avaies: la espteité requise po«r contracter a l ’époque où l ’acte a été pansé, si à cette un me époipie te vpndeur par exemple était pro priétaire du bien qa’li a vendu, etc,, etc... VoilA donc les deux élémears qu’il ne faut pas oublier lorsque l’on, rédige on acte sioua-signature privee, quelle que soit s* nature. L ’acte doit être sigue. I» il ne .-.’était pas, il serait railcalem ent nul, et ue pourrait, en rien servir de preuve -1celai, qui !e présenterait. De plus il doit être uaté. La date n ’est pan généralement requise â peine de nnllité, maïs si. elle m an quait cela exposerait le pros Bouvent le* parties a de graves déssgrémeuts. J. D. Arrondissement ile t e i BRESTT Dévolution <Jes biens de l ’ISn-line Lundi soir, le conseil municipal de Brent entendait la lecture d’un rapport de M Gargam, sur l’attribution faite par î’Etat A la vfile. de biens provenant de la le fabrique d* Salnt-Vartin. t-Vartln. Ce* biens sont : 1* Cinquante france de rente *nr l’Etat, Série 2, h* 517.001 ; 2° Cent Iran»» de rente *ur l’Ktat, «érie 2, n» 583.523 ; 3» Promes*e de renta de 0 fr. 571, n» 48 404 ; '<• Meubles r.t objets awbil'ors g-m irsant l’église. Le rapporteur conclut à la réunion de la comml»sion administrative du bureau du blenfaiaance et de ia commission adm inis trative de l’hoiplce pour décider lu façon dont se fera la répartition de* titre« dn rente entre ces étabiiaseraent». Quant aux mobiliers garninsant l’église, il demandait qu'il» fum ent dUtralts de l’attribution. Après la lecture du rapport de 8i. Gar gam, M. Trlcq donna lecture de la protes tation suivante : « Notre coniclance réprouve un* mesure qui Aéponllia Injnstement l’KglIse de ses biens et noue protestons énergiquement contre la dévolu tion prop«sé«. Nons puons M. le maire do lalro Insérer notre protestation au procès-verbal. » Slené : Trlcq, Glezlou, Pérlu. M. RolIand: l*r a i j o i 't 0 0 maire, qri pré sidait la séance en l’abience du maire, répondit en ee» termes : J« ne peux p u laisser p a s u r la protastntlsn qui vleut de vons Atre lue sans répondre quelque« mot», « n voue dit que l’on a dépouillé l’F.f it« : ce n ’aai paa tout A fait exact. L ’BglIse n ’a paa cru pouvoir accepter las assoslattons cultuallea : Cont son droit, mais les klaus appartenant aux I-ib'tqaas ?« t-uu -:iot xanr » » lir e , retournaient lorcauient a l ’Ktat. O r peut penser que la loi qnl a remis aux communes lea Agllsas ui lo mobilier las garnissant, avec affeotuilon nu service du cuit», aurait pu s i montrer plut krgrj tel, llve. osent surtout nu paiement der dettes des fabri ques, qui peuvent n’Au-e pas totalement pavées, al la liquidation d 's bl-rns des menace n>i donnent pR* les résulta's que l’ou prévoit, or r on comprend difficilement une attrlbutlo» de blans «en» qu« lea délits soient entièrement payées. O n aurait pn égm«menl assurer le s«rvlc« d«s tondatlona. mala ra situation actuelle provient du défaut d’uccaptatlon des cultuelle», «t je ne crois pas exact de dire que l’Etat déponlllo t’ICgUso. M. Qliitou. — Je domnnde qn’on mette aux voix la proposition da M. Trlcq. M. Rolland. — Je ne vola pas très bien le moyen de donner latlsfactlon a notre collègue. Nous n o u i tronvoaa «n ce momant eu présenc« d'une prot»at«Uon d«nt on dtm ande l’lns«rtton un procèt-v«rbal. Cela aéra fait. Hl d ’antres asambres de l'assemblée veulent signer la pro testation, lia «n aont libres. Mala actuellement noua «vons almp]«m«nt A «dopt«r ou A rejeter l«a conclusions du rapportanr. On met anx voix les conclusions du rap port de M. Gargam, lel conclusions furent adoptées A l’unanimité moins trois voix. A la snlte de ce vote, M. Billant, cnré de Salnt-Msrtin, a écrit à U . Rolland la lettre suivante : Konslen.* 1« matre. J'a i l'honneur do proiseter auprès d» c t"s e li municipal centre deux allégation» qui ont Ati formuléoe dans In eéenco d« 30 dAcernbre. Las fscdatlonfc de l’égllfo Saint Msj-tl» ».n ,s*»t pas libérées de leurs «berge». L ’obligntlen de taire dire les messes protulsea aux auleurf, de ce» fondation.; demeure cuUùro. Vous r -'tz paru crolt'i qur> l’égllae t a par été dépouillée dn eee biens. Eli« était oonrt?«t pro priétaire legtdme. 8on droit était ,-oconcu p ar l ’Etat lul-n-émo. Ello tenait ses modet-ta-, re»sourcen «Je la générosité de» catholiques- Les ca tholiques n’avalent {anal» on vue l’tiosplc.' oa le buroou 4c blonlaleance, nrals la parole»«. Or, on enlève à la paroisse ce qu’ello possédait. NV>«t-ce pa* dépouiller l’EglIae 1 Eu rejetant le» associations qui aont central.’ « A sa coneiitutlon et A ses lois. r’Egll»? n’a paa erv tendu renouoei- a ia prov'IAté. Kn l’eu prt\A»t, on ia d.-pouill*. Injustement. Parce qu’un propriétaire se raisserait vorer plutût que de commettre un acte contr.-lro A sa cousclanco, en ««ralt-ll ruoluarésliemerit toIA '! C ’est le cas de l’E rlIar : la p a roisse vit encore. Rien n ’était plue ü c lle que d » lui li,laser se» titre» et aes droits. Lo tslt d» los lui enlever eat une grave et aucrtlègc fujoullce. Les colbollq<i"B l'on! compris. Il est h rcaKalter qne MM. ies membres do conseil municipal le comprennent tous et s'associent A nu acte de ré probation qui répond A leurs sentiment» comme A ceux du pays. J ’.-il l’honneur '■'être, monsieur le maire avec le plus profond respect, votre très barobte ser viteur. F.-M. Uir.LANT, Chanofr.e honorafre, curi de Suint-Murlln. On ne saurait plus énergiquement dé fendre les droits de I Egliou. E le c tio n s a u t r ib u n a l d e c o m m e rc e Vvici ies résultats des élections au tribu nal de commerce pour l ’anondissem ent de Brest : DRUXIKVH TOUR DE SCRUTIN 1-' Canlon de Brect Ioicrlts, 690 ; votants, 113. — MM. Henri Steff, président, ‘J9 vols ; Léon Thlllet, juge, ¡13 ; Ram ce, jugé suppléant, 18. 2* Gtnton Inscrits. 441 ; votant*, 38. — MM . Btîff, S i vo!x Tklllot, so ; Ram ée 37. J- Canlon IoscrlU, 314 ; votante, 10. — .'.¡M. Staff, * vo% : Thlllet, t> ; Iî« c a * . 7. Nombre total 4« voix. — U?7. Stéff, 1W vol« : Thlllet, 1Î 6 ; Ramoe, 133. Ioscrlta Valants 2 b8 « B aouloa............................. L aaaerar.aa...................... 444 gj L a nn tü o ............................. Isa lit Leonevcn.......................... 24a 'e O u e s s a n t......................... 17 7 Plabencec......................... 138 20 P lo u d a 'm é z e a u ............... 176 15 Ploudlry............................. 70 0 Sslnt-Rennn...................... 366 Boit en tout, y compris Bre»t, 3.1*1 inscîlt*. et 344 volanU. Ont obtenu : M. Henri 8teiT(nr'Atldev:!).317roix; M. Léonce Thli'at (juge), 208 voix ; ii. linm io (juge suppléant), 206 voix. Toua trois sont éiua. Football Dlm snclij, i Salnt-Brleuc, l ’Arm orfcaine (1), da Brest, « battu 1 U. 8 . Beauregard, de Laval, par alx bute - un. Des bœufs qui E’órliaspent La semaine dentiere au moment c i I'ca procédait m débarquement d’rc -vr.^rn da b a ri» , ver» 7 heure» du noir. A ¡p. ¿are de l'Ëtat, trois basala » échappèrent. L ’un, après avoir traverie en courent la place de 1a lib e rté et la rue de Pr.r.'t, vint s’engager ù lu s U ras Vlct«r-Hugo. ¿.’»gent Lakous, du i- arrcudisiement, ae p'aça de vant l’anim al et voalut l ,u, é(er, ma!« ce dernier, tête baissée, se lança sur l agsnt et le projeta A quelques mèt-es pins loin. Le tureador Improvise -n’eut aaens m al, ies cornes n ’ayant heu feulem ent pénétré que dans ses vêtemeats. Quant A l'animal, il continua sa c-iarse vagabonde vtrs la camj agao. Deux autres bœ uft longèrent la voie fer rée. L ’un ('.’eux, vendredi ma in, voyar', arri ver l’express près de K e rtro n , *e Je'>» sur ls locomotive qui le broya. L ’autro bœul avait f«dt un bor,d sur le talus et aiia tomber aur ls ciiemin du >’ievx Sa'.nt-fiiarc, faisant une caute de vingt m ètics et se b'isent les quatre p»ttea. On dut le tuer sur place. Cet: deux bwaie aupavtenaient i M. Nicol, boucher .y. Brest. A qu i la vache ? Une vache se trouve A l ’abattoir de B rait, depuis quelques jour» ; elle y a suivi un troupeau d ’animaux : le propriétaire peut l ’y réclamt-r aiata avec renseignements précis. D aoulas A s s o c ia tio n d es H a m llle s. — Le Jour nal Officiel publie la déclaration suivante s « 2 ueceraore 1909. Déclaration de l’A s sociation des Famille» au canton de Daoulas (Finistère). Assurer la neutralité reli gieuse A t école. » La conférence de M. Carret, Pan! : L'école, le droit et le devoir des parents, est en venta chei! l’auteur, A Piougastei-Dion’as, et A l'imprimerie du Courrier du Finistère, 4, rue du Château, A B re s t.. La brochure 0 fr. 05. Franco, • fr. I l \par quantité, 0 fr. 05 l’exemplaire, port ea p its. A a lp a v a a A s eoneoars «(«a étalo ns 4e Sratt. -i Nous »vont. Sonné »amedt lea réamltat» du cnncaurs d’étalons de trait, qui sut lie» A Br«*t, le 11 décem ir». Une «rreur s'était glissé daas ¡es féatfltats. C'est ainsi qoe !e palmarès portait que l ’étalon Saint-Urbain qui v a u t A son pro priétaire une primé de 400 francs, appa-teu a ii a M. Guillaume Lavanant, d* Srint* Divy. En réalité, cet étalon appartenait à M. Guillaume Lrvanant, de Kerlixic, en Guipava*. K c r s a îB t- P 'Ia b c D n e e A b a rd a e z la d - c ’h o a r l. — Da c’hoaeiiou Nedelec, goude *r gouü; crou, <Sa lavaret eo, disado'-n ha dizui. d’a * taol a 3 h., e tlgo-n « m nbadenmc C’hoarl e Boarg Kerzent. Displeget e ve?.o tro lottarn Biel «{ liardov. a reaz ar mrro Dthan evit anaout »antlmanchou he nlzien en he genver araoc ober he destamant. Be.t e vexo ou:ip*n eun histof ac eur ganouen bsnac. L a n tle r n c a n 331«ctlotîs légrt*;ativea. — V. v i’iiersj députe, nous aa.-eiwc ta lettre sulvaste : Parla, le 23 Déejr-^re. M osstsün t.K DmiîCHKCR, J» me yermets de voua dnmi.ad«r rh c t^ lla llté de» colonnes du Cuurritr d u Ftniafère p*m* <14mentir, dès maintenant, Je brnlt qnr »e : repaga avea une certaine InteniltA, paratt-tl, < v is la région uue je représente, • n « firm e , en effet, qao j'aurais manifesté l'intention le ae paa (olllclter la renouv»:i«iaaat du mandat législatif que les électeurs ae 1« ï-alrconncrlptlon de Bre«t m ’ont confié, Il y * dljA da longue» annéea. C ent IA un canard anqnel II convient d'orea et déjà de couper lea n lla i. Je n'al jamais 1 nterlaé personerj a déclarer qne je ronoirçais t 1« yle politique, et le n’al Jamal» tenu le limgafre qn'on me prête. J ’ai toujours déclaré, « n contrafr», mie je resu l» >nr la brèche et que le reatals candidat aux élection» de 19t0. J'ajoute qn'avec ie con cours dt» ami» fidèles et devouAa qui, jtttqu'A ce Jour, no m’ont Jamais marchandé leur appui, j'eapèro de nouveau triompher. Agréez, Monsieur le Directeur, l'assnranci da mea sentiments les plua distinguée. Emile Vll.MBBS. A c c id e n t. — Il y a quelque» jonrs, nn acciécnt. dû à l'encombrement de terre gléine, déposée sur le» quais, est arrivé Jt M. Jeau Kéromsès, patron du sloop de commerce Efotle. À elx heures du »olr, lorsqu’il se dlaposatt A descendre A »on batr-au par l’échelle qui le reliait au quai, il Rllssa o urla terre glaise et tomba dans son bateaa d'une hauteur de trois mètres. Dans «a chute, il a eu la tête abîmée, le braa droit et la cuisse fracturés. L a it n llls M a t c h d a f o o t b a ll. — La» équtpleri i» l a Luire sont prlèa ae venir aana fauta anx réanloaa d’antralnamant, «a n i 0 du prochain match avao la i a n e lllz . U n » b r a t a . — Vincent Jacob, i l t > ar Q«n< qu»r » mnrin-ptchear, fa lla it appal, mercralL devant la cour de Rennoa de trola jugements da tribunal de Breat. ÎÆ i^O Ü R îaE R 'D ÏÏiF lN IS T M L n d'eux atx mol» d» pr-„--f l '" 1 li'aan O eux V» 1 a oon4«ra»* ouihkium t« an niv» »» ....u u .la * « A ll« » il* iilftJ n U M A 1*ÜH< ponr avoir port* de« coup« dt u lti Aj * ® «bat, do Lannllt« «««ond («a»— |o«««m *»I >• °°BW H«I| uv INHUUia l; un **« HW1IH fc damna * quatta mol», pour onupi i ta w r». a i» quelle Il laogu una plorra qal la bU*»a Mfiaa■e<nent. . . Rafla ineob »'oit entandn luHIger ••L“ «'» <*• prison pour vol. 11 a éérubé au dttH »telai, à Lannlll*, dota boMallloj ds cognao, <14 ■i0rr# an coutim». , „ L'ipp«l«nt est un violent et un «l 'oollquo. Il ■limande a la Uour i\e prononcer I* coniuilon den triilü paleen. Après délibération, * Cour prononce oattn eonfuilou. Dim anche dernier 1116 î»en#ôa m é » e de aon couteau. Heureulôm ent son frère T vej vint au Becour» de i» ®èro et reusilt a éviter un grand malhotir., Maio le lundi matin. Jaoqua rentrait cher, ua mère et y btlia tout. On releva dan» la maUon des pierres de 17 kilo». La maison après ion départ avait 1 air d «voir subi un véritable siège contre de» ennemis. Salut-U»rc B n rt& j.s a n r l ’&loool. — UOffictil pu blie Uuo loi dont la teneur Huit : L e isn cve “ A r r e s t a t i o n m o uve m e n té e . — Allaln Made,«, 29 »ni», ouvrier {toulangeiALesnevcü , ayant tenu un débit a© doIh^ ao’j* , u été «menò &R e a t. E ta n t, dimanche d.erulor, 1 zMdl, e ü é t«t a'W rrsw placo du Cbfctoau, à Lewioven, le b d g a lte r do gen darmerie tonta da l'appréhender. D e i cou pu ■de pied furent a» ».aula roponiie. Le «arde champêtre fu. égalem ent frappé, ainsi que l>i «pud r j o ?iaoi<*t, qui l u t mordu à la m ain. T.O|gonni»-l)»»oul<»s ArKolo i» . - K it autorisée Jaatra’aa « dé cembre 1014, Inotuilvement, ln percapllon ilo c t r o d» Balnt-Maro 4'une .u rta re da tin g i Irano» (ao lr-l par baotolltre d'aloool p a r contenu da m le« aaaxde-vle, euprlt». llqunur», ira it« i l'eau-de-vl», abdntaee et autros liquide» alcoollqnos non ü*- U n d e u il c o m m u n a l. — l<o 1Í décembre dans n u it aorabraiv au large des Sablea d Oiuttnu, le bateau îîloi!« <1« la Mer, comrnr.udé pur un Jenuï capitalo» ai. oabotage Louls-Olllvier Le üaon, d'à Ulnéy. Tout l'équipage oérlt. Deux cadavre» ont été rf'vio.i'/ûK, celui .lu capitaine et de Jcuu-Mnrie 1.« 0»P’j , de K e u io t 6t. L:; «oclia du novice Jean-M arc Camus, âgé de i l un», ite Rumonguy, n a pas été retrouvé 1 1« mer «ora «on tombai u. Ce si’ .Istro a Jeté la coMMfufction dan* notre paisible oommuue où «es Jeune« et solides marins, Jouissaient de les„lm e Bén-inlo. lia ¡ais iwit uoe ulM-.e vide nua «eulemeut au toyüf et à de.';eu,a tomUlea mal« au cimetière où dorment leurs ancêtre«. . (lue reste-ll A ces m uvre» ven' e» de ce« UW, leur unique soutlou, qu elle» almalen tant et qui le k i r rendaient .)len r de» lettre» ooiit«» la veille du nuarra je «p eues oo x trempée» de. lyrmes. b l l «ut ime chose qui pulsso adouelr la ■doulou d a m laquelle sout plongées le» familles Le Cann et üvt \ u ». es «ont a«»urém ont le» ______lu »r»• témolgnaget _ . t A r«'- »'.'ite I¡■.-.w . ■/ jetdaffecat ilo b qui leur ont i'tè y io iilg u i» et cettfl o/nictiou point« *ur T«« vlsanen qui dmalt Aicquenuiu ¿ i ju x prière» do Clnuuche ■raoli* part qvl UUUIIu |IWI v ma» i"* * '¡eux M -» les eonnaUsent , j * «a nrt)nn<'ivt i* l’U'.cousolftule deuil «oat ellos “ ï/aiaila liitrntlo n lodale 1er« tenaa d« lustm jir, ohagun «uaéo, au préfet, de l emploi dei cei pro. dult dent un cempte fiénérul, ta»t eu reoette qu'oa dôueuao. dotru ôiro fourni à 1 cxplrallon uu dâlal flxo pur la présent* loi. ,a n t frin .p 6 e s . n0(üoftH* «urtoxo eit ladipondaulo du droit de 16 frAtics Atnbll h titre de tn*o prlaelpslc. Ari. s. - Le produit de 1«' «ürt«xe «atorliée pat l'aitlolo précédent eut «p6cl£»m «n‘ «trei.té t u rombonrinmont do l'em prunt de 64.000 iranc« coatructé en 1»0I et de o*lul ¿ V 1' ? , ! . « ïn tarifé p«r arrête préltoloral du J J,ulîî,.,* van de l’exécullon i o dlver« travaux d utilité oora- Ilo a c o ff A b r i d * m a r in . — Dimanche, en une cérémonie toute Intime, a été inauguré l’Abrl du Matin de Roscofî, élevé çrice à la générosité d’une femme de grand cœur, M m eK em éls. .. .. , . • Én mémoire de mon fils bien aimé, Edouard Kernéls », explique une lnscrlp: tlon C'eat l’amour maternel, craellement éprouvé par 1» dispari ion prématurée d un fils unique, excellent Jeune homme dévoué &touteB les œuvres, qui a noblement Ins piré cette fondation. La bienfaitrice était présente à la béné diction de 1' » Abri », donnée par un jeune piètre do lu f ^ l u c . A ccident. — Samedi soir, vers 11 heure», Mlle Eugénie Hoary, bonne ft l'hôtel Talabardon, voulut fermer la persIenne d une fenêtre qui doone suc la cour dû l notei. Elle perdit l'équilibre et tomba sur une pierre de taille dont l’angle lut lenmt le crttne. M. le docteur Stéphan, aussitôt.ap pelé, Ut un pansement sommaire, eu aticn* daht l’arrivée de M. le docteur Prouff, de Morlalx. qui pratiqua dimanche matln iopeaatlon du trépan, tid» ïeusci.. | Arrondissement Odlanac «traaalon. — Dana «a *V diouc«, lo trlbuual do Uroit a jugé l atf*lro î b i T l ' 50 novembre an soir, deux jouroaller» tra- valllant ohe« la œ«™» l’^,r““’ J.'Vi . l i tSuahJr I»iuo Le Houx, 87 ans, qui »«J'en t d« tOuoh«r U U B Ï Ï S « f w tedivi«« « x t r ê m . . « t d a n g ^ roux et II u déjà »ubi pluilear» «rsToe ccindamnatlon. pour « t m u e nocturnei; «u»el la tr lb u n « !, anrta l’avoir condamné a doux aoa de prlion. ordonna <(*'!! «era rûlégaé à I expiration do sa peine. d e m a n d e * »Imanoho 1v v't-' Ti ui b '( <iu‘ilaoe**j, F’iü is t è ü '« »' 11# W reelro^ B ib lio th è q w o B i » >o ::k C U t í du HrK», « « t l ml» » o u le vaoa*!« du ont a d’Arn. V lujl«urs do» n « t r * j orl|lnalrei i!i I j jinroUia prenaient part a la o M ra o n e qua iir tild a lt « d iltx u A d o «o n »a lg n m n , In divoui' « u u in e u r dn grn'jd «ém lnnlra, ao".t »vn«nA du i. 1 . ... * ____ a . ,... . . . . . . i l i . f i A a n l n i I a i l . ' n l t dlaUnauA profuw aui dloadsalü do droit Canon. A "•. uruLd’DQi^o obniUôe par r .tau u*»«*1< uwii.i.vr ;■ M ■* It - rcoteur MU. 1«! d ’HmivIo, an'nfliIltrilAnt «n'aa»l«talent MU. 1«» flcnlre^ »lonlre1; d« Xaulé «t de L anlldut. * . le r«ot«ur dh ►'Ils l u ! t. i dJimit le «ero on d« elrc#r»tunci«. l,*lo g e d« dn jn varoio ju róla ciuiro claire 01 et forte \uno n'eit « w t plu« i" » \ ^ i»«««». f «Ire. * .. ... . llût 11A i 1 « a l ' l'« « É« «.« l A« f*nl«, lllll. ii« l TiCO A um 1* g*rnanni d prone.nlon e’n it reudu« h la iu lle ♦ Mn|r, d a i . laqu«lla »'oidR.iéront 1.500 pnrol.sleiie. A v ia t a’«ua*proaitf« le» prl*ro» llturKlqu«o d'a,'«g« «t en remerciant d illo n ti'«e n t tou.» ceux i « l ont eontrlbuù 4 l'édlli-.utlou de en v a .l« «l beau louai, M U HupMIoui' t «dro.nA un fort bea» é l.c o a ri au «uperbe audltolr« attentif o u .a ïa d » é «oa lé-'rA. ilUant que ’.ett» m «g n ll^u n b « tl..e , dont Piabenn«o a le droit d’étra (1er, itevi « être non m i neuloroent un r« t» fn d’agr*abl« p«a»«-tomp», m al« avant tout lîî ooutro de toute, le» aittvrei parolnlulea, «oiaia« une .'joondu «g ll.a l ù la lo’, d e l « population »'« vI u t « de plu« «o plu« ; uu aou v aau fojer d« vl« oliréllenn» plu» m ien»« ao»r tou», et no. It«u >'dr o(l ln C(»«r de 1« |euneMe eeru Hguorrl peur 1». combat quotldlea contre lei lédunllim ii d u «Ifrol« at ion «»prit ml» «u gardo oontr« to,at« d o à r ln « d»»*ar#u.o... arrondissement — Lo dlmaueue 12 * e'.è oûnits l'éoole cea garç.oni qui seri dlriKÛPj par MM. Morvi.r, vlcalrr, et Caroli, préfjre-lnstltutenr, ^ Kerrasltat, ptè» U c.dape'.lo Notre-Damo du Scapulaire, Le» pères i?t. mère» de fnmliieii, en foule compiiate, 'ont w 's nart la pr:n:eatiion, en tôtu du .a'iueUe i l . Yvea Saioa, '.'habile pa tron du bateau do «auvetage, marchait porlaut la o w .d ü croix. a M e a z i o lorlÉ, Conaoll des prud'hommes Votoi tes résultats des élections ou con» il des; :v.d’hom m îs qui ont pris fin dlmuncas. O nt o btenu: . .. . U1I Pa ik 'HM, l » catégorie (votants 14). MM. L irrt.r Yvea, conaeüler sortant, tonnelier, 1i vo'x, élu ; Pierre Croc, peintre, 14 voix, élit: \'ex.uidre Mavson, peintre, 14 voix, ^O u v rie rs, l r> catégorie (votants 149) : M. L'iou Piusquellec, ébinl«tre. 148 voix, ¿lu. O u " r 'e V 2* catégorie (votants 67) : MM. (iuatsva Hourch, bijoutier, conseiller sort ut, 37 voix, <ilu ; ,Te»n Larvor, tailleur d'bablts, 29. u — « Oh I emu Julian ennhan he-unan, an «otrou Mllx a gar va marc h : p»bei buriu3, ha r»b ft mir-vad evldomp I « Han hen kr»nv: Mtie. aotrou I''«rnand I biken an dud ne gredlnt an dra te I • — « l o l tnafokitr I kredt e ralnt abred pe «tvezat: da vinaua pa veilut uuc an D«olZantell > — a Oh I enn Ills o nureujo PAllx a (talon v adf » — « Pebez gouleim t Me’ »¡red zur e tol® d’an Ills I... To oar, Julian, nl n’omp ket tud hop kredonu I Ansae e reomp ct euteun Done, hep kradl avad kement kom* a tlslounk ur veieten I... Hogen, letomp ar c’hamlou-r.e a joatez evtt b rm »n ba dttroomn d’hon denved... Hlrlo eman ar iwener, net 'ta I... ah ben I abeon dlsul d'ait nor. e kred mont va mab da c'honlenn doru an deaiesell Lena, <la verc’h. Ooude, ma la peb tra 'n ear ■turn deread, an cured no lftleo k e t.» — a Oh I ha b ra ’ c'hellfe bora 'vaise?— Penaot ho trug»rel<ftt 'vlt ho madeles, •otrou Duasoller? N’eo ket Het awalc'h d’hoo h 4« c’telonn c’te ’.aun var sVlautnhom sklautchou »r ar o’hem v/er«, -et», kiakkct kiatket ’ peui d'ln, d ouspenn, eur mevel tur ba feni. ha breman, ho mab, •v lt kurunl eul labour k«m iuad booic’het, e teu da Uunlava c'halon a levener, en eur lnnlft he h»no d'ara moro’b I Mil beanw a n il trifares d’koe’h ho taoa I a — « Neui ket eiotam kerent a veuleudlou etretomp, Juila» ; nl 'n e « an»vet evlt tud, hag on em gAr »bMattvnv da te I Greet am eus ar ((''Mat : setua o I Bkarsomp hon gw*r b*fm*n, h»?, gertoi acuanomp dlsul g u’dta a w I a,., k len.a i.iivCiii. S| F•'.t.uoUtr tu C ourrlor (lw Ifln la tè ra h 300 elle J i m riu n l» aallo Jeanno «l'Aro, r<S,0 luB « d tla n d 't loa droit» i a i pères de famille sur l’éducatlt n do Hurs enfanta, damnnilrnt comme le ■ ellltur raoven de faire c«s»« r le conflit »colalre, ot de »nn<«g«rder la liberté de toute« le» con«clences la «eparatlon d e l’é o o lje td « 1 hta t ot i «gale réputlltioa ae« fond» du bndgnt do lln itru o u o n punlique («ntro toutes 1©î> écoles, au prorata ao M. OUivier S sr.et, Juae sortant a été rtiilu. Les éitcteurt comme toujours ont la it preuv? d’une indifférence contraire a TTn n i* In d ig n o . — La «entUrmerle de Saint • Uenan vient de faire uno enquête sur tes agissements d’uu Journalier, Jacques Lis Jeune, ftgé d* 20 an». Celui-ci, lorsqu'il est. stoni — oe qui ml arrivo trop souveit, — oaaae tout chea «a mère, une pauvre veuvo qui gagne péniblement sa vie. r d it ' YoioU’ordvc du Jour qui a été voté par acclama'Ion à l'issue de la conférence : a tt .r iu jiT ï'I o n * it n f t a I l a p r ^ c u c i ’u u io ü £»Uuwv.i u>.s Election autrlbunul de oom«»6rce Av» o’hnruster uoz. — G’oat ainsi q»e la population appelait un brava homme J<‘ romc Tbépaut qui vient ue mourl'.’ > i ftge rt<- K'.l a u » . I l devait eu c le t Ôtce le doyen «le» eutaut» ue euiear, qui «out en generai 0« petit» fars . lu face poupine et e»plègln. Touü les dlmjn.ches, Il servait la m^sso A ! i eba^nlie de la Trinité en P lo tm u é . Il arri vait tnnjour» la cDapsUe »ne deml-Ueure Hvtmt la metiae, aliu »u ’U ramplaçat au iiBwin 'e bedeun al celui-ci pout une raison ou pour une autre oubliait do mettre la ■■'or.hi ou branle pour 1s deuxième son. I l 'V «-«irvalt, avec une piété ji -ji wimi, la me»«e nvtu kuw r ,vlu touchante et Otaalt «outent que le Jour, ou il ne viendrult /dus, il «or< nlen malade. En o iï’ t i-*. mort seul'j u privé le prêtre du sortant modèle qu'il était. e le a « ...*ur vêt l... la I eur v«x eo an taol-*e La parte du dundeo « Andrée » l,c ♦rlir.nal maritime commercial spé cial do Brest, s'e*t réuul, lundi aprè»onldl, nour iUK«r le capitaine au cabotage PranC dn Ca'inu, inscrit h Morlalx, Inculpé d’a voir perdu son bâtim ent, le dundee Andréa, p :r ".ntUsonce ou lmpérltle. Le eai'lthlne » été acquitté. Aocldnn* Le cheval conduit par le charretier do M. Rlvonl, maître tonnelier ru e d a Port»meur, descendait lundi, ver» 4 b. 1/2, la rue Gnmbctta. Il Ht soudain un écart. Lo conducteur,.un nommé Jean-Marle Tanguy, ftïé de W ans, hit reuvereé. Une roue de lu voiture lui passa sur une cul««o et qur le oOié du bassin, » n le releva et on le transport« c hc ï lui. M. le docteur Sau^uot, appelé, lut donna les soins que nécessitait «on état. A f f a ir a d a p r « « « e Le t r lb .in l correctionnel de Qnlmpoi; « rendu mardi, son jngoraont dans 1 nflalro Intentée «« DlrooUur-Gérant du tournai La Flnlsfôro, pour«alvl » la rHnfito 1,8 l'abh* floatgaan, vicaire i. la cntbéir: 1e de Qulmpar. po»r rela» d Insert bn , 11 a it condsmn* * S« d’am»«de, ot 1 franc de domraeges-lnUrêtii «nvor« M. Goaigcen et ù 1 Inser tion d» la Vépaneo 4« ce dernier <!'■'■* l« Jo u ...a . _____________ Le iTinfst*Ve. entré Te» équipe» p rîn lè re » de l'Etotle ip o rllv , »«Int-Vlocent et le S ta io Qulmpéioi». Pur ault« de» plûtes récenio», le ternln était réoUemeet défaclaeex «t cette lito ajortlvo n a ■as élé au»sl l.téremitr.te que I ".. n at'.nndalt. Malgré tout un aombra«x punllc a etnlt raadu «u vélodr.mo, La8t«doQ»lmpérol« B.sa» B®r ’ ^ » é l. A la première mi-temps, Richard, d i Slrda, uu promlsr but eur ua sboot, sulyl Je t.’i u tiM. es, 4a irsnd dôsetjiolr du goal do l E. 8. V « .i ¿’.e pout qua voir pnrsor le fca-loc. À. 16 deuxième rol-Umps, le lladc marque oncor« aucoeoalvement trol» buts fu r da. renierfiua. bloe drlbbllmta de (Jl«uim »nn, Avant une 1a:fbltr. n’« u aim* la «a de la uartle. I F.. 8. V .. qu. vrai ment »'«taltp a « b a b ltié « do pareille» deiail«., r é u u l l à m«iquar Jiren,:t'r »¡.it. Disons p o m larmlner que l’E S. V . n i pu, an cour» de ca mateb, g l i e i la dutsctuoillé du ter rain, tlrnr p ir ll drs beltes n/albf.» de,loueur» dont habtluelleinrni elle f.-'t p'O'v-e. Inoendlo Vendredi Boiv. entre s pt heures et sept heures et demie, un mcendle s est déclaré dau* la rue Ntnve au numéro 59 (Buvette du Transvaal), don! M. Pulllandre est lo propriétaire. L’Incendie cam n uaiq é :■ 1» suite d u n feu de chuntnfie qwl «’était déclaré chez un voisin, M. P. Cornlc, chs'cutler, gagna rapldem intl’appartemenioc. npé au deuxiè me étags de l'immeuble poi .»nt le aumérp 59 de la rme par l i fe uille i3ejeants, fabri cant do f ie * « at tilîc'.sl' ! narme, aussi tôt donnée,, le» voisins acc urnrent, ainsi au nout troue a « m < - u i u > « ** i. vl*é des nomulc.r», le # ‘ ar. qui menaç»it l'immeuble entier etatc circonscrit. Une compairnio du 118* ne tarda pas à arriver sur les lieux pour renforcer le aervlce T o r r lb la r u a d o D tux journaliers terrassiers conduisaient lundi «olr, vers sept heures, une bande de cbevaux pour le compte de M. Le ïloux, à Pioudlry. Ils revenaient des environs de Trégultr, un des chevaux envoya à son conducteur une terrible ruade sur la face, i 1» hauteur de 1» bouche et du ne». On transporta le h!es*4 A l'bosplco cd 11 fut admis d’urgence. C'est un nommé Vincent Dulgnet, Journalier, âgé de 31 ans, natif de Tréfrnt«r, evldboc’k: mala1ran païonlanhoc hmerc h d’lu l Penao?, I an »otraunea-xe dont aman evlt «un tamrn pennegee eveli'hoc’h. ha c’bul kaout an tu da rei d’erto ken lall dlfjemar i Hogen, enr week o‘ho»x, llvlrlt d’ln petra «onjlil... Petra zocjlt, e c’houlennun 'I a — « Va mamm 1 n»tra, nemsd n’«M etz ket c’hoant da tlmesl c'hoas. a — « Oh 1 la I la 1 Bell 1 hegasi 'm eu7, dionshoc’h. Run den evel an aitrou Félix, arc'nant u'«?.hau da vazula hag ob»r faè varnhan la 11 — « fiwlr «», Lena, »un drolouzavatc'h o peui greet d’omp 1 N'hoc'h nemed eur penn fall : ho mamm e dent kant dlgare da yudal varnboc'hl Betek hen omp bet re vad ovldoc’h : hivlilken e vezoc'h kelzat 1 Pa tell d’hoc’h klask trouz e kavfet : taol evlt, taol I... Me gnrfe gouzout perak e peux rcspountet da Kéllx ne gredoc'h ket dlmetl c’hoaz : breman er, euz eun neubeud zuuvezlou n’e poa ket an hevelep kaoz : abalamour dabetraT « ...... 1 — « Tad l gwir eo n'em b!Je Içet greet tur rCHoonnt henvel. d'eur goulenn deut euz a c bluou lildor : n’eo ket souezuz 1 Itldor to pinot ba maget em c’ktehenn, Félix n'oticr.aii a bolee h ¿o I Mab ^erBHao en douz bepred bevet en g-wlr grlstpn : ouz hano Dussolier eman stag krud an hollalzurzlou I Iztdor, enn eur gomz, flzlanz am ouz, e rafo eur pried a galon, eur ponn-tleget dtrebech ; Félix, eu» epcp, mar klask iireman eur plao'h laoaank, n’eo nemed evlt dlikulz* dtouz enr vue rtlgomtyet ha distnr I N*u I üzlout en tud ‘velse ne-tfbW-1 1er »et I Nan l rak abénn eur bloa martreze, goudo beta cur«ujet gaqthan, e tetjfen da vera evel ear o’hoz-tra mad A daoler a Bostez : «keudenn eur verc'bodnra hanterzralllet etre daouarn eur c’hrouadur I a — « Oh I eh I merc'h I kaozeal brao e rit. ’m eut aoun I An aotrou Karval ne oar ket relza prexegennou ken brao ha c bul. Fazlet G r a v e a c c id e n t de c a r r iè r e . — Jeudi, vfM'i quatre et dftinle dt aolr, un^ carrière is’eet éboulée entre lea Villages <Ao Péméarch et de Porsloubous. pour la défense do la neutralité scolaire. gn char de éloqueuco Ut grande impres- Bame, marin de ?^ C am briola b # Proü.c..it ne l’absfcjve de K . François Derrie», ouvrier à l’usine Ga tt .lier, q«i était allé comme d’habitude A s u travail, des cambrioleurs pénétrèrent Jaas sa chambre en D rlstn tu n des carre a ix de la fenêtre. Ils se régalèrent d’abovd de c?t'é et d’eau-de-vie, puis 3’emparôreiit le divtra effet* de femme et d’uu drap de, il 1,8 commissaire de poiiea ouvrl ■nna î?quête et découvrit le«ob)itt» volé! au domielle dp» énonx Le Dceinge. L'-, femme Le D w irg e nia *out d'abord, puis finit par faire des aveux. BU* a été écroui A p r è * un o o x p u l» lo n Ou ae rappelle que quelques religieuses' réfiffiées dans uno maison privée de la rue TnierB avaient été expulsées, m a n u mili**càr on no se contente nas de voler les des rollçleïx »t re-lglcn-cs ; on l.-v dclend même de » abriter son» un toit ami. afin sans doute qu’ils ressemblent A leur Maître, qui n’avait même pas une pierre ou reooser sa tête. , . , U se ancienne dame pensionnaire ré voltée d’une telle ioiqait/;. écrivit au pro cureur de la République ’¿ ne lettre eu elle commentait l'expulsion en termes un peu ™Comme nos Juges ont aujourd’hui l’épid«rm* sene'b'e, le tribunal prit prétexte de cette ¡ettre pour poursuivre, l’ancienne dame pensionnaire, Mlle Brazierpour « outrages à îaiinaiïistrature. » Le trlhvnaU’a cemdamnéeftl mots deprt»ua nvec sursis. ...K nnhc c’ha œ ïr, Lena, azezetckichenn he RWftle, a labour ver eor p<-z a«àt£ll... Var he zrem koant, ar glaçhar bag nr vclkonl o deuz Kkrlvet deun tmti-.hgez he b’tialonl Ho em lezell e»ra da vont <w sonlou. Roadeetln harlu hlrr. em*hl adftrr var ar meaz, ei leo’mou biunltjet aaiv.mpredet gwechall I Bmahi a nevo» etouez ar glazur nag ar bokedou, o v liia c hoas an eurssted, o sllaou gant dudiuz a n e v n c d i g o u k o a n t I Hvel ul labouoed munud, en em lakads gana I All»z I he mouez a jom raoulet, enn he gou /o u., Htàtket dre an huanadou, hag adarre, an daëlon a red pulii var he dloujod 1 ...Neubeud ha neubend koultkoude, ar neoe’h en em ra ennbi : rak an esperauz, — kaêra blêunvenn hadet gant Doue enn -en, — n ’eo ket maro en he chrelr. i Enr mouzc’boarzlk tener • tcu var be muzellou, he zftl glítu ken tenval b remai s c sklcrl, hc daouiagad, hanter » e w U zaëlou, a viîrv, he gluon a zigor ... Emani o kana, gant our voueztk molkonluz ba , DÉPLACEMENTS , 0 R i f ANES le s Ippurellt Edouard (de P v M to n t motltrnes. — Souple* et Invisibles, l ‘ ‘ ont eeu/s pouvant assurer la guérison. P o u rc tu o l h é s it e r e n c o re ? Pourquoi se désespérer et conserver une telle inflrmitélorsqu » est prouvé depuis longtemps q u e a herme « t grand h u m a n i t a i r e , t i n n i v » r » e l l e m e o t connut dont la réputation n e f , . J i J ï S » üi nln% faire, crâce au nombre ¡ncaiCUiiviW V* auérlsons au'il a obtenues, sera a ioouveaii: ^ h<C o “ ■?, notre centré.T ena n t . f a r * g » « » les intéressés intéresses ue !,, , fts de sa «a r„c, ■ il ne neul «'Mro souvent parmi nous, étant reclain« de toSrcéli». Aussi noire devoir nous mipose-t-U de recommander i toutes les personnes d ^ deu* s^res jeunes ou vieilles, de ne plus attendre ci d " " ' r j f “ire appel aux conseils uniqueSique cc r é p u t é p r a t ic ie n sera à même de leur prodigu« _ . « TînJ dans les villes suivintcs. Morlalx, le samedi 1 " Janvier, hôtel I3o Zepîoug.istel-Daoulas, le dimanche 2, hôtel dCBrcst IeCîundi 3, hôtel du Cheval-Blanc. Pour ’ ; enseignements • E crire A M . Edouard, 140, boulevard Richard Leçon1. __________ b Paris, 11*. Dom CotTUiuF.lt Sainte Bathiide, reine des Francs Histoire polltlaue et religletiee. Un' Wlu>n« fc-8% Prix : 3 Ir. *0. — Librairie P. Téqul, 82, m® B.maprrte, Parls-6-. Lu dynastie mérovingienne a dans l’hlstolra de notre pays antantper ees rein«* qua par ses rois : Clovis et D aK O b.'rtnosont pa* plus cé'ébrc! que Clotllde, lirunebf.ut et FrédéB°8alnte oathildo, épouic de Olovl* I L elôt l a e6rle de* reines uiéroviiiglonnes. Le motae a t m im # q ui a écrit «a vie la e m p a r e , à bon drol: au“ *r!<nte* GlotUCo et iUdcgoude ; volonller aussi, l'ûlstorlen la m e1 avec B n nebaut qu’elle égale psr !a graM enr des vues poil- (iuea et qo'eilo surp.'5ae par 1honnCtoie d is moyp. J f employer pour la réaliser. n L ’arno • de Clovts I I fit une reine de Bathildo esclave e! étrangère. On ne sait rien ae son ori gine, ni f’.e non eniance, smon ,qu ''l,l e rA t®1^ ëoxonue et qu'elle fut vendue à Ercblnoald, n'ait® du paloi Neustrle. Avec elle, le lecteur pénôtte dans la «oeléti gallo-lranqoe ; Il en étudie Irjslltutlo -f, la vie domesHq.je les ^ b l .u d e * i n j e i»s œœurs : Il la suit d é u p e es étape ae iu ts lo K*"«cée d’Ercblnoald lu s q u a u palais (la Panda'-, le régr.o paolflque do ce prince, la*Fellses ii-i Neustrle nt do Bourgogne tinrent -âi Obûion-s ir-8aôno un C u n c llio ù «e reflète, w i « » * dan* un nirolr, l’état du clergé et du peu, le à C*D*ue»''<Urégentc, Bathildo a’toplre dos c ^ de eo Concile pour combattre la e,mo“ 'e e, L ' * traflo de, esclaves. D’autre P“ l > ^y *°4 nriœ e f t s tre, le Kalre du palat* Ebrom, elle réprlire iw empléteTnente des fonctionnaires royaux, elle ra formlt 1' .itorlté royale et réussit pour la pr m lèrefo- , à maintenir, pendant plusieurs W ne^s, to t l’empir» franc sous 1 autorité d u n roi u fiu u e , Clolalro I I I , alors que le ,1®UX rovlcgiej réclamait le partage do la monarchie entre les '.rois dis da Clovl» II. réala Bathiide se fit aussi la Propagatrice <le a ^ bénédlcili-e par les Immunités qu elle a“ ord» a » t roonaste:--.» dociles u f*- luvlla ioas et p, r donation-,|u elle y joignit. ,. , fa,i La Io u j j Ion de l’abbaye de I?T_ assister ' a naissance d u n de ces grands bllssotne-'t» religieux où *e trouvent réunit, PO1^d in tlo f ’ ven-Age. des hospices, de» écoles et jusqu'à des aie,lors moo6Ulr| S. ^ , Enfin .100 révolution du palais thldn du trôpe et la jette dans le cloltro «Je ChM les où elle achève de se sanctlfler et meart en eSO. L'auteur ù qui nous devons ce travail a su laire revivre *-à un relief aolslssant cette alm ab a et fleure Le grand mérite de ce llvro est d avoir re mis en n elne lumière celte période mér°yiDB!*aS? m eare p e i connue et pourtant si captivante da n . e vie nationale. Les lecteurs onrfeux da ren cherches historiques trouveront profit k l etude da co lWre, comme aussi ie3 âmes chrétiennes na la cjûualsstinco qu’el!03 y ieroD^ c}I® gr;.aaei salnvea le Frouca au septième siècle. f y fr T d l k ô ¿ M Û 5'* ! . . . . ftdfrt tffíTl'9 sont êr» ..^kPh v i n t i ' darti SjondC mtílson d/filimcfllatlon à n a r M À £ Q % p ÿ îî tique de l’éleveur, com pienant: l« le i som» à donner aux prame* ,2-> la desC)rip tion des principales laces vtE espèces nov vine, ovine et porcine, les su 1ns q n i i e « conviennent ; 3° une table de la corr. JO^ si iou chimique de tous les P o u r r a ' r o u v r ir te la^ai’. 1v o lu m e a u bureau. 3 fc. 50 ; 0 VIENT D E P A R A IT R E d y s p e p s ie * , cram pes d e w to m a c , p’ Ì ’ irùeriroQt mûrement p»r l ^ew PIfuie» Snlsses. remèâe ellicaee et ;opulairo. A U G M E N T A T IO N 1)0 R E V E N U La C o m p a g n ie L E P IIE W IX jentre orise »rive ; arsujettie su contro e de i » taü ett, fréquemment déaignee psr le« J ' bunaux et Cour d’appel pour la con»titv lion r’es rentes viagère.*. L a COBipafif»»' L E P H E N IX paie chaque année, plu» ce 15 millions à plus de dix-neuf mille ren tiers. Rensiiguements erat'M.s et cjnlt denMels aualège «ocial. 33. rue Lafayett , t’ w U c t c h « tous 1.3 a£efttájíC í¿r.'ux ALMANACH HACHETTE i fr. ü i 1 fr. 1Î9 PO U R l» iO le l iv r e fine chacun doit a' olr sur ra iable, oarce qu il condcnce tous its .eiiseiinem ^ v ,s indispensables à la vl«' , o chaq i tour, y ¿ r a n d » e t m e o n r n , i i p w C es - l # W vcar üBtiñicr^ « w£ñJ»- •t INPAILUBL» jH H R m fRÂLES COULEUR*. NEJRASTHÉtMEl I !-'LUEt¡!B|UüCH:r..f OHVALESCc:¡CEj W f s x ' C C 'Î r / d l ^ æ Brest : dép. : sr. ph. rég. nonv. f**""1": - ^ â i ^ b ^ - rue'ifi"t"t-PranQOta « Hag ar bourréeil ;pogen dlgalou n'eo ket eman W U d’hen delc’her da verzerla veis« - A lisal m »m ¿ bragoul P»tr» ’fell í h o c ’h s a)1 eostlk 'zo klanv da vervel Km hi a gred en l e ct.i : c bul en hoc h h in t1 sstennet o klcbenn lie baret, he benn K , ggriier-’b ‘i« “ or- m a n nr ^ 'z el* blhan kuzet en ha b.ti I..- A l iabousic ^on f be « 1 Ha c’boas e 'X- .r(_r naour!.. Qt'ut l...G o u le ùn ’rkdl^orBi-tuiat, Ar ouen a denn, ___, -o K u ïJ J L m ’r L-auklz, Pc n ’eu» aeined *r Dlvar laou no ton ket o aouenn i maro cvtthan : a- maro dre ar rann-galon 111 « A h ben ’ta, Lena I küntt eur wt’chiE » M antro?, eo belato I Lens. Ser l --pct^ : c’hoaz mar p’ ij, ar rônlk-ze ken. -net, h * keram Atre he stad. hag bmt an eostlk. bn o kou-zkonde, e kancc ti pa plgûen souezuz eo ! Nag e dlefe beia glac h<wj.1t, va** laë I * poude Itacft enr zonik ken mantruz 1... (Dn. qtndtlcrhtrrr'i Deomp d’be frealzl, ar vignonez vad I * « Pion 'zo sze ? » — , Me, Len:\ I Dlgorlt, mar plij 1 » ■ Paoor kez Lena! nag ex doc h trab u l l l e t 1Oh 1ne vouëltt ken 1 R rit peoe b : arabad koll üzianz morse! Izldor n e o krvf. dlmczet c'hoas, hag ouspenu, ho kortoz e ralo m'oarvad ! Ha r.eoze bo tud mlchatiz, a lezo a postes ho zonj da<*er n pned I-’elix Dnisolier !... Kemerit. htlan-, petra ! Eh I c’iml oar me m eaz kievet ar rônlk gi»c'haruz e kanee’h brem aik: euz a belec’h e peuz dinelzet hounez ? * ? — « Va c’hlovet e penz o kiVoâ, Katelllk < * r a a f p t a a » * * ? * £ kfl.na i... Gwcllaen a zo en h t fltad cun A h ia I uaoa en enr vouëia, nai; gouc a en ta m ra ,’i* cuz aonn? breman ^z eur gana, setu ar pez e rao broman enn heur abosn, evooëlc dourck I... W boll 1 PPtra felt d ’hnc’ti e rafee ken ?... A n a z e ! rak eur plac’h m ad,eo, m h e n rea urz roet d’ir, gant va m sm m a zo we kc-n pount I... Pec ned rei d ezhl dlgarez a did ruez : dimeni gant Dossolter ¡ — A h ben I d'hoc’n hen lavaran. Katein» . c’hlac’h a rl... » Petra ’gan ?... Enn eostlkerprizoun ... blken Feltx ne vezo va fried I biken I Aonpc er c'haoued, henvel eo !... SUaouomp ■••• toc'h é c'bouzanv f .« ar maro I » Ar paourkez evnik kaluzet e wel ar mça■ > Me lavare-» íd lio c ti, L o ta l bag ynct iinuirlaz dlrak he zaoulagad? uweiet ra ho lec’h, # rafen eglz a rlt, r a t i m lalîaftgant hevleunlou, üag al Ubousod, Snell’ «o karaatez lelz au doro Kg«d n’eo raalou Icau ar fern I » he f(envreud*ur, o nilal a skour da skour eS enr « in a I... Hep 1... teo’het eo an eostlk — « Hea displeget ’m enz d’am mamm dfoux he brizout^r.. eman adarre o vouz- deac'h-dlve;a c'boaz, dlrak va zad ; hogen, kana ctouei an dftliou glas l... J3 ^ I »an pe felle d’czbl silson netra: re gounar«-t huvreal eo a r»a »1 labous p«our. ®t°ket ’ oal... O h 1 mar pije gwelet I Va zad ivez rn rtcuz he benn enz ncud-hoijal ne p oa drouk awalc'h ennbau ; hogen kenc'haoued 111... Nag eo rcuzeudlk breman, toc’h e teu bepred da. welet ar wlrionez : eur weoh tremenet he tüvre ken dous .... V A R IC E S .C H U T E S d. M A T R I C E S ♦ P r a ir ie s e t é le v a g e d u b é t a i l , D lis r a in e , K e rnéve l d A huit heures quinze, tout danger était écarté et les décombres noyé*. De ce frit, le propriétaire, M. Pulllandre subit plunleurs raiilltrs de francs de dé gâts, couverts p«r une assuranco. Malheu reusement, 11 n'en est pas de m è n e des locataires »t particulièrement des familles Beleante et Le Percheé, qni ont eu leur U ne é c n rlo q u i » ’effondre — C»s jour» meblller respectif complètement détérioré i derniers, vers 5 h. <Ju so!-, le jeune Llupéry par la grande quantité d’eau déversée sur était allé prendre du foin dans 1écurie d» i Immeuble qu’elles occupaient. S'.u père, quant tout à coup il aontit des elerres et du mortier qal lui tombaient sur D ou n rn cn e r. L nuque ; il releva -.Pssltôt ln ' ête. et vit 1s toiture q il commerçait k s’efl'oedre ; vite B le o tlo n a m u n ic ip a le s . — C’est encore 11Iftcua son foin et s'empressa au désuorpir. un sociallst* qui * été élu dlmancite. Bien lui en prit, car i peins i. a i i il scîvi M. I<e Guyader, socialiste, a etc élu que la toiture tombait. conseiller municipal p»r 1.047 voix contra ü lo ë la n 859, i M. Pl»rre tu ln q u ls , libéral. S » présence de ces succè», le parti so Ineend!® . — Revenant mercredi du vilcialiste a, dlt-»n, l’intention d opposer un lo ,»e de Kerhuite*, Pierre Le Porz, culti candidat A M. Le Bail aux prochaines é.ecvateur et marin-pêcheur à Kerjcseph, apertlon» légl»latlves. On* ar garrtk a r«lo lur I H E R N IE pour 8910, avec sept ma gnifiques gravures repré sentant la Vierge couronnée de Kernitron, H. Diraison, notre regretté rédacteur en chef, des aéroplanes, etc. Le texte très compact comprend la revue de l’an née, la lettre des Evêques au sujet des écoles, un ar ticle très documenté en vue des élections prochai nes; d’autres articles ins tructifs sur les pôles, les comètes, etc. Et pour égayer le tout, des devinettes et une lé gende touchante autant qu’attrayante. 7 fr. le cent, le port en plus. Toutes les commandes enregistrées avant le 2.°>dé cembre auront été servies cette semaine. Les retardataires feront bien de se presser, car il ne nous reste plus que trois milliers d’exemplaires de m l’Almanach, et il n’en sera pas fait d’autre tirage, notre transformation nécessitant le démontage de trois de nos presses. Prière d’indiquer le mode d’envoi et, s’il y a lieu, la irare destinataire. C rlB e ra u n lo lp a îo ..— Depuis déjft quelque temps des dissentiments s’étalent élevés tu t,-« M. K e rtuitc, maire de Kernével, et ü«eiques-nna du ses conseillers. il. Kersutec, avec 14 de ses conseillers, vUnt de donner se. démission. M e lla c A » nep na zent Ket ovz ar etur, »eux nsuvMl * S »iáaíe-O U e-I«t-O aM ií»ral («<-'*“ ) L’Âlmanak 1 ar Breizad Arrondissement k teperlé hec'h ver ho mtcher : alvokadez e tllcch beza bet l... Nemed c savarlt ovel eun di«klantez : hag an«t eo tem e nte rebechU d’an «otrou Dussolier iaotmnlt í... Ha pa vete zoken : pelcc'h eptan ar vourchlzlen, fur evel lient, epnd arlaouankla?... An dra^ se ne wir ket e reont prlejon mad gou« deze 1 » — « Mnrtrete, mamna ! Hogen, ne gredan ket e vefe »n»d eun den evelse gamn-me : an hint, a r» ke galon a-bez, a c’fcoulenn enn dltro e*r galon all, ha nan eur Bilzénnkd heblten I tìetu va zonj ha va c’hre-i denn la — « Son) dlvalo, kredenn dtsktant I ün »n ail a vevo bremsïk er btnvldlgez hag enn e»ru«ted en eur diugarekat açha-! nhoc’h diouz b» ,sotonl I Ilag epad an amzer'ze, martrete, c’hul a g'asko stantia al lec’hiOu goullo e zavo en lioc’h yalc h, en eur « denna dlouz aman, da lakftt aze I » — « Ne lavaran ket nan, mamm !... E-doug ar vues, her gouzout a ran, ez eu7, avrechou heuriou tenn da dremen, bec mou ponner da zougenn 1 Hogcn, pa gerzer unanet, kalon ouz kalon, an amzerlou a drlstidlgcz a zeblant berroe'h, ar zammou »kanvoc h. An eürusted, gwech ha gwech ali, ec’h beil beza martreze, gwall-gaset ha dlikwrec, epad ar barrajen trubultluz, hogen, evlt adsevel skedusoen eged blikoaz, — «keudenn an heol o tispak séder deuz a-drenv arc’houmoul du, — rak he magadurez hag he buex eo an unvanlez hag ar garante-/. T a................. — « Oh I Oh I n’euz ken ?... Mad I mad I flunhoc'l), evel Jist emanradarra ar wlrionez: g»utho tad ha ganen me, »r gaoul Mad eo i Qonzoute ran breman piou boc h : o’hul xenko lvez «naout ae'hanon I Araoki dlmezl ei e’houlennoc’h va asnnt 1 Evel o lavar Katellik: o»* I» melUewe dee Gklef r*? * w, plus im porta«!« Fabriqu« ds Fr a n ^ Í4 EN VENTE PARTOUT Les deux ecfantn Prlol et ont bile ^ormant surpris par l’éboulement f r o n t ense velis et sont morts. En outre, une veuve Le l'Ioch ît un autre enfant Nonwant, atteints aussi m leboulemer.it, ont reçu de al graves blesstves que l’on désespère de les sauve ?. Un tro i sième enfent Normant s’en ett tire a- ec quelques légères blesnures aux jinibes. l io n l l a n U n c a d a v r e d a n s u n t a illis . ■ — Ven dredi dernier, vers 3 h. 1/2 de 1’» p ès-midi, la femme Por*, née Joscpho /¡ordonnée, ménagère à Tréboul, a découvert dans le taillis de Uot-Speine, «n P.oull tu, étendu dans un fossé, le cadavre da nommé JesnLouls Corr.ec. 78 ans, marin-Ju A tu r a Kerieuy, en Tréboul. l-a mort t! . i à une conrei .ion oecïslonnée par le ft'-.d avait (léii f«it sou ceuvie et tons ¡es ç )!•■» Pjpdtonés la victime turent, inntilec. A côté du cadavreso trouvaittm pe íií iago' d /Igulhes de pin, que Cornee avait ramassé. Aucune trace de blessure n’a pu être rel ivpa sur le corps, et un docteur appelé a coi<; u a u >e mort naturelle. En présence ao -e • censw*tüitions. le permit) d'inP.nmer ù 5U- délivre par le maire de la localité. q u i m p f .r CANTINIÈRE BO CK Pont-Aven P lo g o ff Conférenee de M- l’abbô Lemarescal U. l’abbé Le*ireso*l a donuô, samedi «olr, i la nalle Jeaane d’Aie, uue conlérence »ur U question »chaire. SA CHICOREE EXTRA, U ne b r u te . — Dann sa dernière audience, le tribunal correctloar.el de Quimperic a jugé l’affaire suivante : . commerce à Poat-Aven a oroféré des menaess de mort à 1adresse de sa mère, aprè« avoir brisé les clôtures de son domicile. Puis, continuant son accès de furie, a porté des coups de pied a Yvonne Mestrlc, sa nièce et à Louise Louedee, sa cousine. (Mlle Louise Louédec est la l 1’ demoiselle d’bcaneur le S M . fraaçolse Madec, la reine des Fleuri d 3 ]oucs de Pont-Aven). , , . Barzic comparaissait sou3 la quadruple inculpation de m *nacesde mort, bris de clôture, coups et ivresse. I l a été condamné à 3 mois de prison e* 5 an» d’interdiction c e sélour. P°D inuache m itin n ût íju le sombreu assistait à m-.» ob.èques. Ineandle. - Jac<vea L i Flccï, dom?ntiqnr che», la veuve Yaouanç, se trouvât dau» uae grande, vit sortk dua tas •aille de la fum«îe et des ll»mmes. L donuh au*»ltOt 1»larme et. avso lalde dr.» vol»lu», «e rendi, maître des n*m™e*. Le tas da palile fot néanmoins brftlé. La propriétaire, la veuve Yaouanc, épreuve un Football préludlce de 150 francs environ. Bile e»t A d»ux Uaur«» et demie, dlneacho, n été donné »««unie. Le» causrs du sinistre sont In- la coup d’i«vo l pour 1« a jatc h d e b o tbal (r»''»*i aul s'wt disputé, su Vélodrouno do 1Odot, conuues. B a t o a u cto SRUvatagro. — Darnlèrem e n t, l’équipage a ôté appelé i l’impro^l»te a faire une sorti« d’entraloem ent, la quelle a brillam ment ré u tfl. K Elle était mosts.r, par !s patron Le Gai et Bli hoDjmesduGuUvirie.:. On Juge, de rangolus» des familles qui, malgré tout, gardaient u*-« lueur d espsr."'ice. H^'as 111 faut se rendre i ojourd aul à L dnuloui eusu évidcccô d'un » aufrage. Ko '.o bate-" '1" rê-ht; Amour du Dr.-ipsau. é m ' ’ d • tîuilvv .ec, a rscueilli dr.r.s sor cha’ut, ? 15 m ires des lies G'énâ'is, ï è ' ’«irtvru du mousse de l’Espérn v c art Dieu. l)f>-rrt-.«>i*ri'’ Quéméuer, â*é de 15 ans. Le corp3 éta’t d decom ■ Juges suppléants, MW. Georgss Courtln, 47 voix et Alain Le Berre, 47. H o n é v e ;> in - F tto u Plondal»CK«»n o h r ô tlo n n o . «les Naufrage de M o a l 52. < 'U >w r-tî*»* ô x to n te s Aoimpsr Le second tour de scrutin pour le canton de Qulmper a donné le* résultats sulvarii.8. Inscrit!', 665 ; votant*. 59. Ont obtenu : président, M. JostP» Alavolne, 56 voix ; jupo» titulaires, M5 . Octave Carnier, 49 voix ; Gabriel Le Hrrondissemeni j e Otèteaulin Le dlmnnohe sn, A s hewreu, M fl«« «éanr.e récréative. L a i audltaurn «nront euoore nom breux anne douta ; le» ivolaln« «ont lnvltéa. Arriver tous * rnoure Irèa pr*ol»<>. d 'é c o le ' , çut, en arrivant che* lui, le leu dan» une meule de paille située dans son aire à battre, à 15 mètres * peine de sa malson d’habitation. I l se Joignit aussitôt aux quelques voisina accourus, qui 8 ®D}‘ ployaient déjà ft combattre l’lncendle ; maU tous leurs efiorts furent Inutiles et, en moins d'une demi-heure, la meule de pâme fut entièrement consumée. , M. Le Pors, q’il estime son préjudice à 280 francs environ, n'est aBSuré que pour la somme de 100 francs. , . L’incendie serait Cû à l’imprudence du jeuue tu fa nt de Le Porz, âgé de 5 aes, qui seri-.lt ailé jc je r avec un tlBon enflammé auprès de là Beule de paille. I.c G u ü v ln e c 1’ « Espérance on D în a ». — Depuis le 10 no^cmbie, on était sans nouvelles de la chaloupe de pêche, Btnirance »n Dieu, partie k la pêche. Elections consulaire» K t n if t t 't 'e . A i'l-/»ue dai vèpre», »ona 1« regard kl«nv«llluiit <jn leu,.' '>r^'flïer t>rotii««ar, ootaellameni vlci.iro « Vlo«Kae,n«au, «ou. b«ur«ux de voir r« 6oatluu«r «an» dégénérer l'on» doa «uvr«. do»t Il « été le pèi», Ü3. loui'«» gene p'olo « de dénuévent ont Interprété avno beaucoup «le talent loi eomédlea a Klenved >ir Medalennou » ^ul e»t un» •orltlquo tré. »plrUuelle de I» «ott» « ™anle ou boat de rubnu » et do. mamn polltleue.i de B'n.o«rd», et 1« « FUncé dl.trnlt », agréeantô»« dn olitola «t dn monologue» qui ont »nulevé a dlvorao» reprl ou le fou tiro ot l«:i bravoa do 1'aaalatano« éraervellli'o, B é a é d lo tlo u 1J dj'tu9 . Le dernier rapport annuel que vou» mavez transmis n montré, en oftet, l'inullllté do oe torpil leur en balo de DouHrienez après le 1“ octobre, confl mnnt ainsi les rappc.to des années precedsn tüi. , _ .. . D ’Ici le 1" mal IStO, le 130 restera alTecté ft l'écolo de chauffe de la 1” flottille, «ou» réserve que le» réparation» létjàreis dont ca torpilleur aurait besoin, et «on curéuago, sot nt fali» uu temps utllo pour lut permettra do zulare sa dnstlnailon à lu. diste fixée et d« ne pas fltro, alitant qta poeslblo, dlBtrslt de sa mission. q u im p e r sa tomme« qui, depnlt quelque tempi, aval , quitto 1* domiciles cotjugtl. OiwuliM v. eu lieu, * Plubtnnao, U b*n4il ollon .«lolxauella rt» pnlrouRRo. L'Adlflea, m on contredit 1010. R u e K e réon , 24 S »înt- ?lcrre- Q ullklr*on Suicido. - Wd ouvrier de l'arsen»l, Jo«eph Collet, haültaut b»lnvPloire*QuUbltrnou, i ? 1! do ans, »’est »ulcldé, mer credi vu« l<a l>’ontalua, nu domicile de »n môr' on en tirant un coup de revolver dan» la tempe droite. L» mort a été Instantanée. -Collet, qui était marliS «t »ère de de 'X en fants, avait ôté très «ffecté par le départ de . Monalour lo vlee-«mlral, »ou* bordereau, en dato du 5 novembre 1900, vous »'av e z rendu compta de 1» chame aux marsouin» pondant 1» mois d’octobre dernier et de la mise en réeerve du torpilleur 130. Je vou» Informe que, «nul avl» contraire, le h o armera du 1" mal eu t " <club 6 1910 pour être nfleotê à la chn«»e eux inaranuln» en baie do DouarneneK, pendant la saison do peeno ao I Ote d u O o u t t m t d u F in is tè r e ? lM b e u * « c B in é d lo tlo » du ja tro n a jt» . - maritime : Bureau-Annexe et Dépôt Central lour l'ttT«. i 5K»KUttlt Hur dom icili é Baio» Kn c itv iln , uluco do ln Llb*rl6, Le Roux, sachant qu« io n compagnon avait ôgl lui délit sa colnturo ot, à l’uldo do la bottait» as »«lia un violant coup «ur la télo da Donilo, pnl» r M v ie u x m a r i n . à l a chas«e a n s m arBonlns. - Le mlnlstre de la marine a adressé la dépêche suivante au vlce-amtral de Marolles, préfet Produit naturel d e s V ins r é c o lté s e t d is t i l lé s 1 ' d a n s la R é g io n d e C o è t t a c . P A R A P L U IE T 3.0;), !î.!)0, 7 ,5 0 , 1 0 . 8 0 , ^ t e KO SUPÉRIEURS A L’USAGE. _ le Dépositaire à St-Pil *- téwi MORVAW , ra» «ln (’.plombier V e I b N T I A N C E M°0 i)Ft VRil UfcUXJ pendules s’achètent auxFob^TrtXB AUDEAUfÿ^ dp BESANÇON. - Tarir» erwoyto Franco.yfa 1*" Prix Concoam Ob«arvitolr® do Be«*oçon. s a v o n o o o n q o » » ssrx asssa n M T C tnaM B R * M ï rHNifirttfìg JOM», rural et Droit usuel M oomatatalro) «t droit uiuel, ar Mil, II. Watrio, docteur en droit, avoue ............ >OlAcitof de rioitruotlon publique ot fc-BouiIlr. proKsitur à I» faottlté'do Droit do l'Unlvenlté da Lyon. Prtfao« da M. Ub. II«^ « .P N m lw p rtild a u l honoraire do U Cour 4? °**î*flon (*' *dHlon). Ouvrage lionori da IbaiMlplIoin de M. 1* mlnlitN d» l'agrloulture. Un fort volume ln.8 d« xii-m page«. UrooUâ : *? f* tt.’ : ,4.!r' ” Kdllsur» : L. Lutoso •I L. Tanin (reouall do Slray «t Journal du l‘alati), U, ruo Houfllgl, parla. Votai jm llw « dont laa daux premières éditions « n i été favorablement soouolllles du publlo, A co joint qu’une aoniella édIUon Nt devenue bientôt BéOMMlff, d R **• “ «•>"»> «V«« «* «rende nuto- eaux, polloe rurale, attribution des maires, eto. (!' partie). Expropriation publique, eto., louage de services, responsabilité olvite, nooldeuU du travail, asilstanoo, soolttéu et assoolatlMs, habi tations A bon mnrohû, bien de lamllle, syndicats, warrants, presso, oltasse, Impôts, régies munici pales, usages looaux (3* purtla). L» livra e'adresse ainsi non seulement aux hommes do loi, et aux administrateurs, maie onooro au publlo en général, aux propriétaires ot aux lermlors, A quiconque enfin a le souol de la gostlon d'un patrimoine quolconquo. Il trouvo également sa pince dnnB los bibllotbéqnes sco laires, et particulièrement dans celles des mairies rurales. Hofln parmi les llvros qu'on peut offrir comme étrennes utiles, aux Jeunes gons sortant ou prêta A sortir des écoles, Il n’en existe peut-être pas boauooup de plus Indiqués. pleusement Illustré d’une oentalno d'illustrations et A la lectuiû duquel tous trouveront leur profit. Que d heures passeront vite lo soir, i la veillée, ■oit A leullloter les amusantes caricatures de Gervèse, eolt A chanter les gaio rolralns do Tati, lovent. L Almanach du Martn Ureton est. sans contredit, lo plus vivant, le plus Intéressant et lo moins cher do tous los almanachs qui llourlssent depuis quoique» iiomalnes nos Ubralrlos. a COUHh C'Ht» Çn répété 1** Rrancli Reouelle et les llaW i» de liflilullon, de jurisprudence et d'udmlnutratlon « une aorte d'enoiélopédle do Iîk IsIu« f f ™rvJe\rdv.7roTtV.Sv e 1 .T Dt de droit usuel. > "',f" ~ W8" ltt ko présentait iM)4 sas début» las 81 rouvrifte iMja A ses qualités raaltrosses d’un b>>» livre, «lors qu'il n'était que l’œutr* d« M. Watrln, anolnu avocat • t avoué, OMBblen ast-U plue vrai encore do los attribuer i oette ! ' édition Alaquelle oit vonu col laborer «n second auteur, M. K. Bouvier, profes seur k la faoulté de droit de l'UnlversIlé de Lyon, déjà avantageusement oonnu pour sa aulenco |urldlque et sas nombreuses publloatlons Lee deux aulours, aillant une pratiqua des nflalrea Judlololrea de I* années A une soleuoe Juri dique consommée, ont réalisé cette lois lo degré de perteotiou que peut atteindre un travail aussi complue «t aussi oliaraé do matériaux ---—--‘ "nUAqi ' oxposés --- ' aveo ré Oa y trouve, sotentiAquemeut férences________. aux lois etaux« aux arrêts mis « la portée de tout V» a monde, “ -*- les 1--auleta 1— les ■---plus ---divers --- : Notions de droit olvll (t" partie). Toxta du Code raral aveo ses 11 lois et leur commentaire, mrtlole par artlole : voirie, vaine pAture, lounse dee choses (maisons et termes), empliytéoso, nulmaux domestiques, police sanltalro, vices ródilifcltolTM) aervltudes, régime (erestler, réglmo des du 1« déo. fcwoL-ni...................... On sait qu'olle salubre OHmnngne a été entroprlno, volol uno doulnlne d'années, pur U. do Thér.ao. Il vaudrait guérir la Ilretagne du ohunoro horrible da l'alcoolisme qui la dévora et la ronge chuqua Jour davautago. Kl, pour cela, Il u construit dnns la plupart dn nos porte bretons des Akrls du Marin, sortes de cabarets modèles ot do corelos populaires où los marlns-péobours trouvent en uboudance des Joux pour se dtstralro ot des livres pour s'instruira, on même temps qu'on leur sert gratuitement A pleines boléos do la blenlalsanto tisane d'eucalyptus. liais M. do Thézao u uuo nuira nrmo do com bat contre l'alcoolisme : c'est cet oxoollent Alma nach du marin Breton si Intéressant, si amusant ou sont condensés sous uno forme agréable non seulement des ronsolgnements de toutes sortes pour les pécheurs : calendrier de marée, oartos murlnos, mtruotlon de pilotage, malu do salu taires et utllos articles d'byglène, de médeclno, d'économie domestique. Très dlscrètoment, l’ousolguoment antialcoolique se déguise sous mille fermes variées: caricatures, chnnsons monologue» compsés par les poètes préférés des marins Talllevont et Botrol et aussi par des murlns ouxmémes. , . Tout nos leoteurs voudront pour la ipodlquo somme de ï l oenllmos aolioter c* Joli volume co- dn SSdéc. 31 Ir.10 23 16 $7 . ïl *? ° so 18 k Alenili- ffiSîtti* (coli«riAS.îwtf caaís ) » 90 112 *K isv ï ,iJIo«4ti lfi BO* " « i1.1. S3.Î* : avol=e, 18. 60; blé noir, 18.60 ; orge, 16,0# f loin, ao.00 ; arUcii at*, 8(1 fr. les 100 kUor «•Inl- lto nan. — Marci i dn 18 déc. — Prajsro t, l u ftokll., 11.56 ; orge, 8.00 ; «arratin, Id., 2i? ' i î ! ° i l , 9,*° » 1,01000es de terre, les ne Sfff. » y ’.p a ln .b l« q c ,_ tonift fleur, le kll., o.rG; pajB bit, 0M ; butuls. le Ml., n.oe ■-.«„»:»! i K P “ " W , 1 . 6 0 ; rexu. J.oc jaouion, 2.4. , poro ? *bourre <alé, le i a . 2.20 ; beurre sam a do.“ 5.160f 500 kUJ6*0f5 pallie, *4.0 : ion le«-100 kli.,/0lQ»le* 8.00 ; farine, i» »rntai * la cttlafie, 36.00 ; tarine» !• «juailté, 83.bp. 2 a inVOn fl* de terre, le* d 25n P . ,a la .lé»douzaine, le Wio* 3*°°* Beum» éani •al, M ld., •2 3 30.KGSr'j, 1.70. de su te, » 108 îîJ as 58 dio. lS n Î » « V ^ du.9 1 ° O M P T O m * 1« Prix moyen 1 dftBelforti BESANÇON(hebt) Mdd. d Or. Cor.ctunO/tlctnOt**rv*tç!r*<ttDttençtn190Í 3 » i i « . . i î.jy o 1.370, tuo 762, Pactn». Tnimi., t(i5t calme Id Id aca, ____ , mauvalso V d o o i.. i 1.09'/ 1.167; ou. facile P oro»... 6.792 t . ios mauvalso lS.Oiaitî 0*84 0 84 0 70 LE W0UVE1U GUIDE en affaires - Ila rc h t du ai dèe. 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TANGUY. £¡tude de M* Henry OROUAN, notaire à Coray (Finistère) ; par adjudication .il T EilllIlU i volontaire. Le d im a n c h e 16 J a n v ie r 1910, è deux heures do l'aprèsmidi. En l’étude et par lo ministère de M* Grouan, Premier lot Au lleudtt Le Oouaillou, en la commune de Goray, Une belle FERME Joute Jusqu'au vingt-neuf sep tembre 1910, moyennant 1,600 fr. l'an. Contenance : 19 hectares envi ron dont 4 hectares sous prai ries, baignées par l’Odet. Mise f prix : 80,000 ir. Deuxième lot Femmes qui souffrez morruirloH, HnitoH de couclicM, ovaritüH, tumcurti, portcH l>luuckcM, etc car 11 existe un remède incomparable qui a sauvé des m il liers do malheureuses condamnüosii ua martyr perpétuel,un remède simple et facile qui voua guérira »flremcnt, sans poisonti n i operations, c'est la JOUVENCE de lfabbé SOURY FEMMES (JUI SOUFFllEZ, auriez-vous essayé tous les traitements sans résultat, que vous n’avez pas lo droit de désespérer, et vous devez, i,aus plus tarder, faire une cure avec la JOUVENCE de l'abbé SOUIVY. La .lOIJVEUCE c'eut le na lut du la feinino. FEM M ES qui SOÜFFRUZ de r<V ffies lrr6fr«U6ro8, accompagnées de douleurs dans le ventre et lea reins ; de migraines, do maux d'estomac, de cons tipation, uerliijBS, étourdissements, va rice«, Mmorroicies, etc. ,, , Vous qui craignez la coa^cH tiou, les chaieorH, vapeurs et touu Ica accidents du IIETOIJK d’AGE, faites usage de la 100.000 francs 60.000 francs 10.000 francs CT 632 LOTS DE 1.060 A 26.000 FR. loute Jasqn'au vingt neuf sep tembre 19Î6; moyennant «no fr. l ’an. L b bail est résiliable au 29 septembre 1910, Les bfttlments sont neufs. Gontenanoe totale : 9 hectares, dont 2 hectares sous prairies, M lM iV prU : iH.OOOfr. Troisième lot An lieu de Karequtl, en la commune de L c a tia n , L E J O N C O U R , 45, rue H UN E FER M E I située ii Kéraziou, commune de iM abc in e c , d'une contenance de 7 hectares 93 ares 35 cen|tiares. Louéu i M. Jean Le Bars, jus qu’au 29 septembre 1913, 500 fr. l'an, plus Impôts et charge«. 1 Mise à prix : 1 2 ,01 )0 fr. Deuxième lot UNE FER M E ÎCKelouzerne, commune de Piouv ie n , d’une contenance d’envi ron 6 hectares 75 ares. Louée à M. Toussaint Berder, 300 jfr. l’an, plus les impdts et une commission de 250 fr. Mise i prix: 0,0 00 fr. IVoir lea alliches). Pour renseignements, s’adres|scr au notaire. 8508 |Etude de M* J . SENIE, avoué' licencié, 25, rue Laënnec, à Quimper. I W M I V Par sn**;e converi n l i l ü i slon de saisie-immobi lière, devant le tribunal civil de S,’?nmi)erï i f J ° n d l 6 ja n v ie r 1910, à midi. DESIGNATION : En la commune de H e ila r s , canton île Poat-GroU (Finistère) au lieu »Je PennesqulE-Vra8. Une E X P L O IT A T IO N ra* raie, fonds et droits réunis, comprenant : bâtiments d’habitation ! et d exploitation, terres chaudes, Itérres froides, prés, pâture, landes, taillis, avec ses efreonsItances et dépendances, d’une contenance d’environ 11 hec tares 23 arcs 90 centiares. Mise A prix : Quatre mille cinq francs, ci, 4 ,«0 0 fr. E R Ê V E ; ” 1 |cents (Voir les affiches). i or o. L’avoué poursuivant, Traverse, BREST L8581 J. SENIE. S u s p e n s io n s a u E L H O T L E J O N C O U R , R I O 45, K I T rue ® L 11 r , T O B I j i ia Rampe, Brest , — ~ r.ru .tl clmlx Traverse, BREST Une belle et bonne PROPRIÉTÉ d'une éxploltatlon facile, louée Jusqu'au vingt-neuf septembre 1914, moyennant 2,200 francs et 1400 francs pour les quatre der nières années. Contenance totale : 31 hec tarera) ares. Mise * prix s 80.000 tr. Pour toun renseignements, s’adresser k M* Grouan, déposi taire des titres de propriété Etude de M« MANIERE, notaire A Quimper A VENDUE tude, le lu n d i 10 ja n v ie r 1910, & 2 heures après-midi. Au bourg de P lo in o lln , sur la plaoe de l'Egllse, J.-B. K ERBO U L Chlrargleo-Oentlstn WflM é tli lutlU ^i IU k îii 4« J»rii Contultations tous les jours de 9 h. k 5 h. Sauf I« «arriseti et le dimunohe , Tire tei dents » n t doulaur oio dei et pòi .... dentteri irUfictili Etude de M* ÉARJO U no. tajre k Lesneven m m im t w *»AV fi.tr **!• ’ *r»i r i R BLEUNVEN EX PE RT APLOUDALM ÉZKAU rappelle k fïb üombrenx clients et amis qu’il est toujours a gent de la Coauagnie daeaurancos a primes lises l 'Urbaine incen die. vie et accidents — de ta Réunion Française coir.nat-nie a assurances contre le vol dont le diiecteur p " est K. Vaumousi e de ia Rouxetière. r.1 3 rn« Mairie. . Brest. S48Î Etudi de H* D A N G U Y DE8 D ESERT S, notai;e a Daou- en L o p c r h e t 191Jl°a^n ^nsc*u aa 29 septembre Wise à prix : 38,000 fr, 22 JANVIER, 1" ET26 FÉVRIER 1910 R ï LOTS VILLE de PARIS M H PPlfHB B Etudes de M* VICHOT, avoué' licencié h, Brest, 24. rue de Siam et de M- IZENIG, no taire i Landerneau. I/PWTF Par licitation Judiciaire, i L l l 1 L en l’étude et par le mi nistère de M* Izenlc, notaire à Landerneau. Le s a m e d i 8 Ja n v ie r 1910, à une heure et demie de l'aprèsmidi. Etude le Al- SOH'iNI ARJD, avoué docteur en dioit, rue Volt .ire, D‘ 13. à Breit . °H ACCEPTE LES ORDRES CONTRE REMBOURSEMENT (SFR. 80) A a r a ie lorjmax mont d v m a n d ô a Ktude de M* LE NINIVIN »voué.lijtncié, 20, rue Vis, i tâQuimper. à l’audience des criéeB m n du tribunal civil de , , ----aiaiper, ymm»er. SCULPTURE a< MARBRERIE* BS TOCS «inniis J.-B . G R U I E C SAINT- RENAI* (en /ace le Presbytère) h m?dl d * 30 dfice,nll>*'e 1909, En cinq lots séparés. H o t- ' GriU«a, Croix, Entourage« *K PKR ET Hï rOKTK Des cinq Maisons Lanirin i i » .-«n- f'r'K s j» on gâ r . de Bresi ; ¿ i u. tes lui) k ii. ; — 27 fr, p a_^ frie: rtlogé.l fr. déplus, U üuentei. f/amh^iellec 84X2 41co.propriétéMl'u participe auxprochainatirage® on! S Í O de semerce í 8536 I® v t S L V . . dre : «O R M E A U X . S î L E d e B O R ü fc A I’X » Judiciaire, en l ’étude _ de M* Danguy des Dé serts, notaire- à üaouias. 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FLEUR Y, no notaire à Daoslas, A M* Traoaux dépendances du vlllagel francs 1,000 fr., et 3,000 fr taire â Morlaix. nouez, notaire au Faou et i. )>!•• de Lesmoualah-Bras, Pour plus, amples renseigne V E W n n r Par adjudication Sorguiard et Robert, avonés A ments, s’adresser i M* Le Nli Brest. 85i8 l Ë l l J l l t L volontaire,eu l’é Deux champs de terre labourab e vin ou à U» Le Scour, avoués tude. situés au couchant du chemin Quimper ou A M» Mauduit, no Le lu n d i 17 ja n v ie r 1910, i de Botcaérel, A Kerestric, dits taire à Pont-l’Abbé. deux heures. Parc-ICerestrlc-Tosta, ayant P. LE NINIVIN, fossés levant et couchant, sec- 8587 En la cimmune de G n iclan , avoué poursuivant. Non B n- 079, contenant 51 ares près la route nationale de 10 centiares Parie à B: est. Porc - Korestric - Pella, ayant ALIMENTATION COMPLÈTE ¡Louzo'.» ev!i a-: dokec. ar fossé au couchant seulement, en reí)» remetí evit ar vugale ET KKOIUISSEMENT L a ferm e du Planten l'endroit d'une prairie i M. 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VICHOT, LA B O U L A N G E R IE S'adresser au Courrier. 8579 A r m e d is iu D o m t a r t 8583 avoué-licencié Les boulangers de l’arrondis ßrc.il, 64, rue Aiguillon Etudes de ü * H . LU CALbOGH, sement de Brest ont l’hoeneur pvoué-iicencie ¡»Brest, rue oe D O M AIN E S d’informer le public que les frulliti «m 1 t. h 4 k. h r * ¿i ni Ar medietn a oar brazaur.ck, h& g la Mai.-ie, 2i et de M- D E R0étrennoBen nature et espèces, Il sera procédé le 27 décent sent supprimés dans l’arrondis•' tc'helltojsi a n d u d o deux ciom ds. D E LL E C D U POH/CIC, notai,e ioriienhealchen evit eunootra' !on à liaint-Rinats. b re 1909, k 10 heures, à Brest, uement. 8584 iTfrn par licitation Judiciaire, 40, rue du Château, à la vente aux enchères de : eur baissf- ae mise 1 prix. 1» 300 kll. crlblure de blé En l’étude et par le ministère 15.500 kil. farine basse, de M* de Rodellec du Portic, no15.000 kll. son, tairé à Saint Benan. provenant des Subsistances de Le »a m c d l 22 ja n v ie r 1910, la marine. à une üeure de l'après -midi. Au comptant, 5 0/0 en sus. Et 2* k la vente des os, débris DÉSIGNATION: de pain, eaux crisses, etc..., pro Premier lot venant des hôpitaux de la ma En la commune de L a n ild n t rine pendant les années 1910, (à Laber-Tldut), 1911, 1912. Voir le cahier des charges au Une petite M AISO N bureau des Domaines, 40, roe du Mise à prix : 1 ,2 0 0 fr. L A C T I I Í s u i s s e GhSteau. <••• 8582 Et même aa-dessous de cette a l im e n t Co m p l e t p o u r v e a u x & p o r c e l e t s mise a prix. DÉSIGNATION : A Ê ! an yau ■fA Í, ...... i'inverti Ite /'an* {'j îO ^ n . lJJ^(Á0r¡,flXPn'i.,l,nì, l ’nivtrsetlr Ltèur i'M)6 Steuc'hlguer Pitchpin ; da versât dont Cormier da ober dent pe dent great. ADiMnr MùtaC hirpnmt.or Inlerna/wnale x'tau 19( 4 ORANOE ÉCONOMIE SUR L6 LAIT NATUREL. - 23 ANS DL SUCCÈS FSAJfÇOrS BRUNKI H, Fabricant LVCX D U u m r ' i . ■tìsliw*le«rliiB<j : Pl.-.™<rr Uiàrpoiu.cs. « DIMANB5 o tc o a iT A m ta p c u r CANTON« NON CONCtOte & v. E ty RIOU ABALAH et FHt jjg w s s l i w ooxisalter Icb aiiicbet». LA BELLE FERME DE KERDRÉON Syndicat en participation FRANCS (5 ai'») POUR Vertement initial On reçoit 1G0 Numéros après tira*«, Sécurilé ab,«lot. Tllrei i la libre Vérlicatlon dej Inlcrcuil Da m Marc'bamad .„ L e ip a r d l SIS d é c e m b re U N E M A IS O N 1909, à doux heures dè l'aprèsdite « Malson Le Bris », avec midi. * m i a . P A I l t * &■ DR IT O U toutes dépendances. » « . r u e M a irie . %*. 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'4 â J b » » .'î; « ïï',K OE WHfiOÜLÜÜARN , A C C O R D E O N S 8traUN E FER M E ïou-Kerr!ou, Lanbalès, An-Aot, ,l? à r e s f ' ■■ 1 f della Italien^ sonorité QaéUrec, loués à Morvan et Ber* située au bord de 1» mor. l& lj^ip ô y è n u a n t grandiose; nouv. cataJouliaanue au 29 septembre :leaatUches). 19«. 8576 l l p 63 ür.luliei |à une heure. Premier lot APPAREILS DE CHAUFFAGE TOUS MODÈLES DIX PROPRIETES URBAINES en itre st et ><sml(ézfllec Dç^.ndaBt de !a succession de M-Nicol. Et, susceptibles d'un rapport r.nnuel aporoxlmatif (lr dix pr-ur celit. -------- volontaire. Pour recevoir les 1») Numéros franco d o m ic ^ i Bufllufciivover un Iionda ° i mandat-posto do D fr. à Monsieur le Directeur d» la Ranqoe Mobilière de Crié». 5, roe de Chantilly, Pari» 19'). 11 JOUVENCE de Tabbé Soury d e lu x e “ L adj l e lu n d i »7 ja n v ie r 1910 à une heure et demie En l’étude. Tirages par an 2---2 O naque envoi ss trouvera remboursé de sa valeur rcm boursubla intégralem ent ài 5 fr, par tlr«Vè*6 tirage (6 U™Kei°p:ir t oursubla intégralcmcnt s”lr““pâr IWliDlCATIffl S '0SSK: Le m a r d i ja n v ie r 1910, qui vous guérira sûrement. La JOUVENCE se trouvent dans toutes les pharmacies. Leflacou 3 fr. tfO ; franco gare, 4 tr. 10. Les 3 flacons contre mandat-poste 10 fr. »0, adreusé pbarm. Mag. Dumontlor, Rouen. f Notice «f renneignem«uii confidentiels gra.tU) BépOta à Brest: Phar. l.ebigut. Verger, Ghiireteur, Phar. Koglonale Andrés — A LsmMxatlee, phar. Féret. — A Quimnar, pharm. Ladouco. — A MorUix, pharm. GœH. — A Sl-Pol de Laon, phaçm. Biautiin. -- A Crozon, pharra. Housse, — A L&ndivitiw, pharm.PontiM ’ . — A Landerneau, pharm. K irbrat. — A St-Pierre, pnarm. Uavld. — l . PcntVAbbi, pharm. Urall. — A lesneven, pharm. Roudaut. 8527 C h e m in é e o- mile t on i f f l I K l , >ai vo'ODfñire. eo i’é* iu ie du ijoialre oes m e rc re d i 3 et m a r d i i 8 J a n v ie r 19VI ¿ v it o te * g o a d , w n Aytorliés par les lois du aa Juillet 189*’, 10/aa Juillet 1&94, 6 Janvier 189*. 26 Juin j xo avril 1901 e* garantis par la Ville de Haï is4 Lots de 200.000 francs Prochains Tirages : |Etude do M» tAVOLK, notaire à Plabennec REPRENEZ COURAGE Audit lieu Le Oouailiou, Une autre FERME VILLE de PARIS — •oit un total de 4 millions 346.000 f. de Lots do mulndlcH Intérieures. m ltrlteB , flhrOmo, h£-~ M* VAIi/L-ft KT la tje i par adjudicatio» ZSZSSSZZZ) S io u z o a L a F O R T U N E e s t a v e u g l e , out le monde peut re cevoir sa bienfaisante visite 2 0 ON DEM ANDE des V EN D EU R S, des O U V RIERS & O U V R IÈR ES E I las. Raison très importante à (Rennes, 8, rue Rationale r V fi E O P .'i K f, f <w i 1 29blsf rue Monga (près la rue de Siam)f BREST stade de M* A. TANGUY, huis»1er A Brest,’..8 , tue du (M teau. ________ 'r :n 1 krmvaat ar goad, tvit pvrifa v goad Ksrkouh d'ar m vicn bo nar ra An ülmlnuclne eo al louzou gwirion evit parea an DOKEN. Al louzeier all & ginmger d’eoe’h a ko deuet varlerc’h, da esaat, tre c’hoant, ober concurrence d’an Ulmlnucine. Allaz, re zivezat ini; savet evit rei lamm da hen-ma. E gwerz e peb apotikerez, (ionienmi mad an hano ^C?REUL, {?anr aoun da veza iaziet. Ulmlnuclne, lo.tzou nerzus, da viret ne gouezoe’h peultriner ; d» ^renvaaf nr merc’hed iaouank. Al litrad, daou ,koed; l/21itrad, pcw.r zek real : ar voutrülad, nao real. (près la ru e de Siam ) 2 4 2 2 j i&c&ù Ulminucin P a r i s - T a î l l e u r s ’in s t a lle à B r e s t UN PETIT APERÇU DE QUELQUES P R IX : PARDESSUS ANGLAIS, pure laine, imperméable, valeur, 35 fr., à. PARDESSUS TAILLEUR, pure laine, valeur, 48 fr., ................................ PARDESSUS doublés soie, grand tailleur, valeur, 95 fr., à ........................... 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Le secrétaire ginéral de i’UBion des Viticulteurs ae iîaiuc-et-Loire, Le héraut m JQ U fo lio w tap e *«. » ta:;ae da 17 <6c ¥; . •"¿% o ? îrb,i,BSt «e Iwwtwr»*, 1 . « ! ? ’ S b,a ï * bol’otJ')rl"’ l> m ; »««i* «J» cfdra,’ OOfr! I^'Î/ m S r 61 b° ^ g F O I R E A U X VIUS ou (fol a» Union des Viticulteurs Maine-et-Loire EN VENTE AU “ COURRIER” •of ; Pl;tün i i j do lorre, e.5o; ’ ,?.rs<7 FOKGE- NATIONAL.* rS m . M,“ *'?34 iB 18 U6C ~ JIW W * îïn i» . «o i i I1,; *3lÿ10i 16 6*:. Ju‘v, 19.00; « oûc MAI- s e f a u d i t ^ reU raite r’ s’ad8 rf?; Demandezgratis et bues. ^1 Album XUuatré de Montrv*. UHoux. Pendules bUarohi dO lfi dArnmhrA » 1/ OÛ"ïitVilnc, vHnr0 8.75.1 0 ooDliJfi ’ 8*00-ürK '».rifr8.60 11.00. d« tM S B Ht ifi Ptmt-VAbbê. 45 00 1M MO tu. Pallie, v t â & R 146 'r. donTi’ina. àsuir», f.36 ta sfi, W C A D E V I I âl0DtACHETEUR. v » » » l I Mautoai H HES!TEZ PAS* DEMAWDF7 la. do'11' ' Pommes de (erre 6 .60, lat '.M U t; aula la douz., 1.70 ; beurre, 1.Î0. C ü tIK Ô ÎJJines Dotue Marques SOir. 80 . 14.«-'0 f'iTiAi: i leÎivüOa k ltf oolr.*’ “ 4 * ° fr’ i>ommes 4 Vinillo« de ParU S fe 32.00 J icigitt oauîî*’ i67«? ur?°’ila dom.. ’ iü,t' nuie. ,00, ’fflufï. 1.601<u WK' C O M M E R C IA L L’Almanach des Marins Bretons pour 19.10 WarU’ » d0“ lu®u, lu “ M «d*, 1« préoiilon et la "ûent, les 60 kll.. 11.56 ; orge. 7.60 ’ sarraztn 2iî i 8-7s • "on>8-60 i P. de terre, les ai *11., 4.00 ; poro frais, l.so ; bourra *alé, s 50 * ueurre .ans sel, a.Mj «ufs,' 1. doui., 1 7 ®! * tandiuisfau. —. Marché du aa _ sm, ■ami, le* loo au.. Sl.SiTméteU. le.wj TJ5u u .itj »«rrasla, 10 ; uvolne, I 8.00 : orgo, 16.30 : 0. da terre, S.00 ; coufs, la doui., lf,S6, <l0 18 déc - BU , lus 1M Lambémlltc-Breil Etude de M* KERNEIS, avoué k Moríais , .W1VTV Par licitation judiciaire, Tuli lu en l'étude, et parle mi nistère -de M* Pouliquen, no. taire à. Landivislau- , L e m a r d i 4 J a n v ie r 1910, k 10 heures du matin. Commune d e ,.( in ic ia n , au Heu de Tymen.Kerdéiaqd, Un corps d» forme M a . ?8re“ ,nW n ’ fL M ise » p rix : IK.OOOfr. ' ui m COyPTOIR 6BHBRAL DE LA1EDBLEIKHT MAISON KËRBIRIOU r I • I? B bkst — IT T •* f ' FONDÉ! EN 1876 Paru , 97-B^-H) — ln faca l’Egllss Saioi^Mairttía Ito de filimi n i i i i ï i ï ï ï nos seises r ** *, u * efcol* d t Mobilier« aouplat« WÉCIAUTÉ BE I E OBLES P0UB Li CilPABRE m rt'.'flftft«»1* 3 jk s t¡ y >r*rr|î» I I tu*, Deuxième lot En la commune ae L aad an vez, terroir de Méitou-Kerbec, UN CH A M P Parc-Bertheié. Misa à prix : 1 ,7 0 0 fr. Bt mëmi au-lessous de cette mise Aprix. Troisième lot En la commune de P Jo n rin , terroir de Stréat-ar-Orolssaot, rois garennes et une pâtura Mise a prix : 1,300 lr. Bt infime au-dessous de cette mise k prixS’adresser, pour tous rensei gnements, k M* de Rodellec du ^orilc, notaire chargé de la veste, à M* H. Le Callooh, avoué poursuivant à M* Borgnlard, avoué collcltant t t k M* Queu tai, notaire k Porspoder. H. LE CALLOCH, avoué-licencié. (Voir les affiches). 8588
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