1 - Kiosque Lorrain

2i '
21
VOSGES
Conseil général
lu
Séance du
septembre
La séance est ouverte à quatre heures
quart sous la présidence, de M.. Armand Le«erlin assisté de M. Afoei Ferry
ry comme secrétaire.
Il est tout d'abord procédé à l'élection du
président.
M. Lederlin est nommé président
d< ni au premier tour do scrutin avec 27 voix.
Sont nommés vice-présidents
ts : MM. Eury
et Durand.
Secrétaires : M. Desbleumortiers et Porterai.
M. le président remercie ses collègues du
grand honneur qu'ils ont bien voulu lui renouveler cette année.
<i Je suis touché, dit-il, de ce témoignage
de confiance et d'honneur que vous me
donnez. Je m'efforcerai d'en être digne. »
M. le président salue la mémoire de M.
Detieux, décédé depuis la dernière session,
©t adresse, au nom dû' conseil général', à
«a famille, l'expression de ses sentiments
de profonde sympathie. Il souhaite ensuite
la bienvenue à M. le docteur Contai qui
succède à M. Détieux.
M. le président prononce ensuite l'alloeution suivante :
« Messieurs,
« Notre pays traverse en ce moment une
crise dont l'issue peut ne pas être prochaioe. S'il est un coin de la France où les négociations actuelles sont suivies avec intérêt, c'est bien dans notre région frontière.
J'ai l'orgueil d'être l'interprète de tous mes
collègues pour admirer le calme et le sangfroid avec lesquels toute la France en attend le résultat. Si nous sommes amis de
la paix, nous proclamons bien haut que
nous ne la voulons que si elle ne nous enlève pas une parcelle du prestige et de l'indépendance de notre grand pays. » (Applaudissements.)
La séance est levée et renvoyée au lendemain, à trois heures.
j
*•
r-LCMBEuHES
Vol.— Le nommé Albert Colin, cocher
] à l'hôtel Deschaseaux, a porté plainte conI tre
ire un voleur inconnu qui s'est
s est introduit
cl.ois c
dans
sa
a chambre pour lui voler sa monde
montre
estimée 1)5 fraiies.
LES PROPOS
PR0P0
litlM
Uliciçttte
semaine, des correspondants
VII
nous
adressent des réclamations au sujet
nous ad
de petites correspondances auxquetles il
n'aurai! pas été répondu. Rappelons qu'il
est répondu ëans le journal d toutes les petites correspondances. Mais la L'. V. ne parait van à jour fixe. C'est d nos correspondons a lier ciiuq<ie jour l'Est républicain ci
a q chercher la réponse d leur demande.
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i-ont sans doute
n Féquant et M:
i Petites OilipillI
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R. — Votre i'iis neje pourrait pas.
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1911.
Quoi qu'on dise, il y aura pouw
ant
D. - Doit-on dhe Xhemand ou Prussien (que chose de changé dans i autant
SAINT-BÎÉ
1U&1.
W&l.
a «uode
moff
o
Bribeur. — Le nommé Grelot Joseph,
en parlant des habitants des Etats conit
ver, bien qu'au premier coup d'oeil !i,Cet biâgé de 38 ans, cultivateur à Netivillersse
dérés de l'Allemagne V
ble vouloir rester au très étroit
JDR — On doit dire Allemands pour les
sur-Fave, trouva qu'il était plus facile,
D'abord les corsages kimonos
pour prendre du poisson, de pêcher dans
'onos v • ettt
habitants des autresj.ays que la 1 russe.
fin de leur règne. Les manches;
manches <
'nt la
le lot réservé, sur le pont de FrapeUe.
D
Alsacien*Lorrain qu'on envoie les corsages que les
sêrom' ^
Comme il venait de prendre une belle truies blouses, serotT^
D — Ayant oublié de faire viser mon lite, survint le garde-champêtre. Grélot préfaire son service militaire en Prusse, est-il tées dans 1 entournure tout comme •
vret militaire depuis quelques années et Allemand ou Prussien ?
tendit avoir pris la truité dans un autre
.
elles seront, étroites et fort longues
'•
m
appartenant à la classe 1888, je no sais, en
(endroit non prohibé, et qu'il s'amusait à
R. _ Un vrai Français ne quahlieia ja- poignets
descendant fort avant sur'^11^
]
cas de guerre où me présenter pour faire
regarder les poissons du dessus du pont.
mais de Prussien un annexé.
Les corsages seront drapés, très B11mon devoir comme tout autre Y a-t-il
Procès-verbal lui a été dressé.
***
soit avec revers, soit avec des dran/^11'8!
moyen
de
rendre
service
à
ma
patrie
en
D. — Comment faut-il faire pour retrouGERBÉPAL
m
cas de guerre sans risquer la prison en cas ver un frère qui est parti de chez moi à l'orme de fichus ou des berthes sout^
Un suicide. —. Thierry. Théophile, .cull§Uées
de
rouleaux
de
fourrure.
'
de paix.
tivateur à Gerbépal, s'enivrait journellel'âge de 16 ans, alors que maintenant il en
R.— Adressez-vous à la gendarmerie.
La passementerie en général, les fr
ment. Dégoûté de la vie, il annonça son
a près de vingt ?
Mieux
vaut
encourir
les
risques
d'une
peiintention d'en finir. Il quitta son domitrès longues, orneront les manteaux
R. — Adressez-vous à la prélecture.
ne
qui
sera
légère,
étant
donnés,
vos
sentoilettes du soir.
"%
cile et on ne le revit plus. Sa femme pré**
timents . patriotiques, que de rosier uans
:
vint le gai'de-ehampêtre,qui fit des recherD. —' X... terrassier, blessé le 1er septemTous
les
tissus
se
font
cet
hiver
àd
une position irrégulière.
ches sans résultat.
bre, au 15 septembre ? Dois-je, du mo- face, que ce soit de la laine ou de ta^
: "Le nommé Cuny Jules découvrit le malment que cet homme touche son demi-sa- du velours ou du brocart.
D.— J'ai 23 ans. Si* la guerre éclate, je
heureux pendu , au lieu dit « le Mauvaisvoudrais suivre un régiment. N'ayant tait laire par les soins de l'assurance, lui apOn peut donc prévoir Deaucoup de v
Pré ». Se rappelant sans doute la célèbre
aucune étude d'infirmière, quelles sont les poser des timbres correspondant à ce de- té dans les costumes, mais aussi f ^
chanson, son premier soin fut de courir
nii-sriîaire
V
formalités à remplir ï
craindre, comme en tout du reste n
prévenir l'autorité. Lorsqu'il revint sur les
R. — Nous le pensons.
R.-- 11 n'y à pas d'infirmières qui suilieux accompagné du garde-champêtre, il
mauvais goût n'ait sa part dans'la
'e
vent les régiments ; elles sont réparties
8 10
coupa la corde, mais le pendu avait, cessé
blage d'applications de teintes vives * *
D.
--Jeune
ménage
avec
un
enfant,
de
dans des hôpitaux de campagne. Pour
6ur
do vivre.
. 6UT
être infirmière agréée, il faut avoir le bre- nationalité suisse, habite la France. Le fond vert, violet ou noir-suie.
.
•* ® <t»
■
mari
prend
des
habitudes
d'intempérance
Les costumes de drap se contenteront A
vet de la Société de secours aux blessés
et maltraite sa femme. Celle-ci va être for- garnitures plates ; ceux de soie, coiamp •
(Croix-Rouge française). Cette société pos■sède un dispensaire-modèle à Nancy, rue cés de demander le divorce. Quelle est la l'ai déjà indiqué antérieurement,
, 1<3
au
Saint-Fiacre, où vous pourrez avoir tous marche à suivre dans son cas ?
des volants nombreux, des ruchettes
R. — Avant de voir un magistrat, Ja
les renseignements désirables.
femme doit s'adresser à un avocat ou a un bouillomiés, tandis que lee toilettes de
lours, de damas, de peluche, seront ornéT
D.— Etant libéré de mon service mili- avoué qui feront le nécessaire.
d'applications et de découpages. La fou?
*"„
taire il va v avoir deux ans à la classe, je
Los ressources fourragères
D. — Un propriétaire a-t-il le divi: de rure sera le complément de toutes les s,'
voudrais rengager. Le puis-je encore, jusvanner sur le bord de sa porte et envoyait niturcs ; on en mettra au bas des jupes,
que quand et à qui dois-je m'adresser .'
Le remède existe toujours auprès du
Il _ Adressez-vous au bureau de recru- sa menue paille et poussier sui la v<j\4 pu- autour des berthes, sur les chapeaux, aux;
mal : ce proverbe trouvera cette année une
blique, et qui voltige à plus de 3 mètris de bien qu'on la mélangera aux tulles et aui
nouvelle application dans la question de la
tement.
hauteur, et elle voltige à plus de 30 mètres gazes des robes de bal.
disette do fourrages.Nous n'avons que trop
D — Né en Alsace-Lorraine en 1854, j'ai ' de chez lui, ce qui porte préjudice à tout
peu de fourrage, mais nous allons avoir
Les longues redingotes de damas double*
quitté le pavs en 1872 et y suis retourné j le quartier V
une belle vendange.
face seront garnies de larges bandes de
R.
—
Personne
n'a
le
droit
de
portei
préen
1875,
après
avoir
fait
mon
service
en
j
Mon intention n'est pas do donner le vin
France. En 1877, j'ai été appelé pour pas- | judice à ses voisins Vous pouvez, par con- fourrure ; le corps intérieur et les manLe rôle de la session.— Six affaires sont à nos animaux encore que les chevaux de
ser le conseil de révision en Allemagne, j séquent, porter plainte à la gendarmerie. ches seront doublés de fourrure souple •
inscrites au rôle de la. session qui s'ouvri- courses trouvent souvent dans son emploi
le pelit-gris et le chinchilla de même quê
**
Ayant été reconnu bon pour le service, je ,
grande vigueur, mais bien d'attirer
ra le lundi 25 septembre, à neuf heures une
t
D. — Pouvez-vous m'indiquer dans vos l'hermine authentique ou fausse serviront
suis revenu en France. Je suis donc dé- '
du matin, sous la présidence de M. Tardu, 1l'attention de la culture sur une ressource
serteur allemand. J'ai 58 ans aujourd'hui, : prochaines Petites correspondances les à cet effet.
conseiller à la cour d'appel de Nancy. En ttrop peu connue dans notre pays : les
puis-jo retourner librement en Alsace-Lor- maladies que l'on soigne spécialement à
Après avoir eu l'an passé les grands
voici le détail :
ifeuilles de vigne et les marcs de raisins.
raine sans craindre les représailles du l'Institut chimique, 53, rue Blanche, à manteaux de mousseline de soie, on ç . j
La feuille de vigne constitue un aliment
Lundi 25.— Première affaire : Attentat
as
Paris ?
gouvernement allemand ?
à la pudeur. — Accusé : Edouard Char- de
t premier ordre.grandemont utilisé en Alsera cet hiver aux chaudes redingotes d'il
R
.—
Nous
vous
donnons
le
conseil
de
(En
1908,
dirigé
par
le
docteur
Hogérie
ou.
les
ressources
fourragères
sont
ton, 65 ans, retraité à Chantraine. — Mi- i
y a un siècle.
vous entourer de tous les renseignements meyer.)
nistêre public : M. Coucliepin, procureur irares en général. Après la vendange, au
On m'assure que les manchons plats ont
possibles,
notamment
près
des
autorités
R.
— Veuillez écrire à cette adresse, ce
an
ois
d'octobre,
.en
fait
passer
les
troude la République. — Défenseur : M" Tous- J
vécu.
On revient aux très grands manchons
allemandes
qui
ne
badinent
pas
en
pareille
qui>
vous
sera
aussi
facile
qu'à
no
us-même.
dans les .vignes, Us mangent les
saint, du barreau d'Epinal. — 8 témoins. peaux
1
ronds et doublés de satin ou de brocart.
et les sarments encore mous.
•*v
matière.
Deuxième affaire (2 heures soir) : Atten- feuilles
1
Le manchon-tambour remplacera lemanJe sais bien que le mildiou, depuis bien
**
D. — N'ayant pas encore passé le contat à la pudeur. — Aceusé : Lucien-ElioD.— Je suis à la campagne, dans une , seil de revision, ai-je le droit de choisir chon-chancelière.
dore Géant, 35 ans, manœuvre à Lame.- <des années consommait à.lui. seul tout le
ferme champêtre ; mes occupations ne me mon régiment en devançant l'appel ?
Quelques grandes maisons lancent des
rey. — Ministère public : M. Grandjean, 1feuillage de nos vignes, mais cette année il
permettent pas de nie déplacer volontiers ;
R. — Il faut d'abord être accepté par le
substitut du procureur de la République. :a bien voulu les respecter et nous permetcorsages à taille très longue avec jupe à
(comment pourrais-je m'y prendre, sans [régiment et être reconnu bon.
d'en faire usage, c'est à nous d'en pro— Défenseur. : M" Coudré,
du barreau tre
1
petits paniers. Cette mode prendra-t-elle ?
me déranger, pour essayer d'obtenir le
fiter.
- \
;', '..
;
d'Epinal. — 5 témoins.
i
Au seizième siècle naquirent en Francs
brevet
d'aptitude
militaire.
L'instituteur
,
Je
n'indique
pas
cette
ressource
pour
la
D.
—
Faisant
partie
de
la
classe
1910,
et
Mardi 26.— Troisième affaire (9 h. male vertugadin et le corset. Le premier noua
de
ma
commune
ne
.pourrait-il
pas
se
grande,
culture,
certes,
mais.le
petit
cultidevant
rejoindre
mon
régiment
le
5
octotin) : Infanticide. — Accusée : .Marie-Eu-: j
charger de cette besogne au cours d'adul- bre, je vous serais obligé de me faire sa- venait d'Espagne : c'était une sorte de crigénie Georges, 24 ans, domestique à Cor- vateur, le plus éprouvé en général, trouvetes pendant l'hiver.Ensuite veuilloz îîi'énu
là une ressource appréciable et pourra
voir si j'ai le droit de séjourner en Alsace- noline, consistant en une ceinture de groscieux. — Ministère public : M. Grandjean. ra
i
mérer les conditions à remplir pour l'obte- Lorraine du 1er au 4 octobre. Jc suis né à se toile à laquelle tenait un cercle de 111 de
mettre ses petits animaux dans la yi— Défenseur : M0 Lardier, du barreau de soit
'
gne
même, soit pratiquer la taille d'automnir ?
Nancy.
fer qui relevait les jupes autour des reins,
Saint-Dié. — 4 témoins.
!
R.— Il nous semble fort difficile que
taillasser comme on dit dans le Midi,
R. — Evidemment, puisque vous n'êtes
Quatrième affaire (2 h. soir) : Incendie ne,
■
pour faire valoir la finesse de la taille. Los
vous puissiez obtenir le brevet d'aptitupas encore soldat et que vous ne devez jupes de dessous étaient très amidonnées,
volontaire. — Accusé : Joseph Liégeois, rentrer les sarments encore chargés de
de militaire, sans passer par une école rien à l'Allemagne au point de vue mili57 ans, manœuvre à Saint-Baslemoni — :feuilles, Les faire sécher à l'ombre, les conet garnies de cercles de fer, de baleines ou
d'instruction. Ce brevet permet de choisir taire.
Ministère public : M. Grandjean.— Défen- server à l'abri et les donner aux animaux
même de bois.
son régiment et d'être promu caporal ou
pendant l'hiver.
* *
seur : M0 Coudré.— 6 témoins.
Au dix-huitième siècle, il reparut sous le
brigadier après quatre mois de services ;
Cette taille d'automne de la vigne n'est
D. — Quel est le montant total à Nancy
Mercredi 27.— Cinquième affaire (9 heuJe ne vous parlerai pas du rôti, vous il exige un sérieux travail.
nom de « paniers », qui atteignirent des
connue en Lorraine bien qu'elle médos contributions sur un loyer de £00 fr..
res matin) : Meurtre. — Accusé : Jean- guère
.
Â.-,1?; ■
Baptiste-Emile Lecomte, 41 ans, canton- ritât de l'être davantage ; elle consiste à aurez le choix, entre une volaille, un filet
l'intéressé n'étant soumis a aucune pa- proportions ridicules sous le règne de
nier à Saint-Etienne. — Ministère public : couper le sarment à deux yeux au-dessus de bœuf ou un gigot, mais nous nous ocLouis XV.
D. — Prière de me dire s'il n'y a pas un tente '!
M. Couchepin. — .Défenseur : M8 Husson, de celui qu'on veut conserver dans la taille cuperons de l'entremets. Vous commenceR. —- Vous devez payer dans les 90 fr.
moyen pour empêcher les glaces de se taNous avons eu, il y a une trentaine d'andéfinitive.
En
autre
avantage,
elle
permet
du barreau d'Epinal. — 4 témoins.
cher à la campagne dans une maison 1er-. .
rez par préparer 125 grammes de riz au
;—-———
♦a
nées, la tournure, et de minuscules panière
tes
travaux
dans
les
vignes
pendant
tout
Sixième et dernière affaire • (2 heures
lait bien sucré et vanillé à souhait, lors- mée pendant tout l'iiiver. Faudrait-il lés
que l'on connut surtout sous le nom de
soir) : Assassinat.— Accusé : Henri Che- l'hiver QB laissant au vigneron la faculté qu'il sera cuit vous, le dresserez dans une décrocher V
relevages.
de.
faire
la
taille
définitive-,
aussi-tard
•
qu'il
valine, 46 ans, tailleur de meules au ClerR. — C'est en effet lé plus simple.
coupe
profonde
et
le
mettrez
à
refroiaii
La nouvelle REINE des bières (Marque déposée)
Attendons pour voir ce que nous résef-.
w*
jus. — Ministère public ; M. Couchepin. — le veut, d'éviter ainsi, dans .une certaine
*
sur glace si possible.
est fabriquée avec du malt d ORGE et du vera la mode cet hiver.
Défenseur : M° Viatte, du barreau d'Epi- mesure la gelée au printemps.
i D. — Peut-on choisir son. régiment ?
Lorsqu'il est bien pris, dressez par des- i R. — On peut choisir son régiment si on HOUBLON exclusivement
La feuille de vigne sèche est même un
Le tissu le plus pratique est, en ce nie»
nal.— 15 témoins.,
j La BRASSERIE ne fabrique pas de pe- înent, la ratine double face, à envers écosfourrage riche, contenant 12 % de matière sus 6 moitiés de. poires Duchesse ou d'aupossède le brevet d'aptitude militaire, mais
ARRONDISSEMENT DE REMIRE MO NT
tite bière ou bière de MÉNAGE, ni auazotée, quand le foin n'en contient ordinai- tre quaLi'iérfondante, que vous aurez épluon ne le peut faire dans d'autres cas, lés
sais. On en fait aussi bien des robes que
REMIREMONT rement que 8 à 9.
chées et mises à cuire dans un sirop lé- affectations de faveur ayant été radicale- tres du même genre.
des manteaux, et la solidité en est inconLe sulfate de cuivre employé dans les ger.
Auto contre auto.— Mardi soir, vers 5
...
ment supprimées.
,
testable.
ceures, deux autos se sont heurtées à la bouillies contre le miMiou,pourrait causer
:
Décorez de fruits confits, saucez d'un
**
Pour les gros froids, on prépare des laicroisée du faubourg de Gérardmer et du quelque crainte, mais une expérience lon- cordon de sirop d'abricots, et servez
D. — Etant, né en Belgique, mais fils de
nages épais et très souples, de couleurs
boulevard Thiers, par suite de l'excès de gue montre qu'il n'offre aucun danger. Il
parents français, où dois-je faire mon serchaudes. Comme tous les autres de la saivitesse de la voiture appartenant à un faudrait cependant se garder d'employer glacé.
Extrait de l'état civil de Metz
Un bon fromage et de beaux fruits com- vice militaire ?
propriétaire de Flavigny (Meurthe-et-Mo- des feuilles de sarments sur lesquelles on
son, ils seront aussi à double face.
R.
— La loi
française
vous
considère
pléteront votre, dessert, et vous aurez, je
Naisances. — Georges-Richard Burkert.
selle). L'autre voiture ' appartient à un aurait répandu des bouillies arsenicales.
On garnira peu avec des galons ; ce secomme
Français.
Les marcs de vendanges sont en généc^l crois, un dîner parfait dont on vous com— Marie-Françoise Pesé. —- Jeanne-Louise ront surtout les dispositions des couleurs
raarchand de cycles de Pouxeux. Les deux
S*
voitures sont assez gravement détériorées jetés au fumier ou même dans nombre de plimentera longtemps.
D. — J'habite une maison depuis trois Krause. — Louise Beck. — Augustine qui feront l'originalité des ornements.
et il n'y a eu heureusement aucun acci- villages forment des tas très désagréablemois
; la maison est habile par des mon- Wagner. — Auguste Dick. — CatherineLes petits corsages directoires se feront
ment odorants. C'est pourtant une ressourdent de personnes.
daines,
lesquelles, par leurs allées et ve- Marie Bourger. — Charles-Frédéric Barg.
Nous allons terminer par un petit conen velours, et se garniront de beaucoup de
Une aubade.— A l'occasion de la Saint- ce précieuse que le vigneron perd de gaîté
—
Louis-Auguste
Biîlotte.
—
Louis-Philipnues et leurs chants et musique nous troupassementerie on les portera aussi bien
seil qui fera plaisir aux coquettes qui se
Gustave, la musique municipale est venue de cœur.
blent notre sommeil, attendu que, nous pe Matt. -- Osvvald-Jean Dewendcr. — An- avec des jupes de lainage, de drap, que de
Frais
ou
distillé,
le
marc
est
accepté
plaignent
d'avoir
la
peau
luisante
et
grasdonner un concert sous les' fenêtres de son
ne-Catherine
Kuhne.
—
Wilhelmine'
Nies.
sommes d'honnêtes travailleurs et avons
chef, M. Gustave Simard, a.uquel il a été par tous les animaux, mais c'est surtout se. Le traitement très simple que je vais
— Gabrielle-Emilio-Louise Heinfling. — taffetas.
aux moutons, pour les vaches qu'il con- vous indiquer vous donnera un résultat une petite fille en bas-âge qui, elle aussi, Anne Hilt. — Léonce-Marie Kaikinger. —
offert un magnifique bouquet.
Ls jupes resteront courtes pour la mara
besoin
de
repos.
M. Simard, très touché de cette délicate vient Le mieux.
Paul-Marcel Bazin. — Frédéric Lindner.— che, on portera plus de bottines que de souexcellent ;
Veuillez
nous
dire
s'il
y
a
lieu
à
résiliaSa composition est telle que 100 kilos de
pensée, a remercié affectueusement les
1° Lavez-vous Le visage le matin et le tion de bail, et avons-nous droit aux dom- Fricda-Agathe Schmitt.
liers. Les guêtres noires, soit en daim ou
musiciens, dont la parfaite exécution des marcs égouttés et contenant encore 70 %
Mariages. — Pierre Muîler, relieur, et en drap, seront le complément indispensasoir
avec de l'eau tiède additionnée d'uno mages-intérêts '.'
d'eau correspondent à 50 kilos de bon foin
divers morceaux fut très applaudie.
Marie-Adélaïde Chéry. — Edmond-André
R. — Vous pouvez obtenir la résiliation,
pincée de bi-borax, essuyez-vous.
Pour le pot-au-feu des écoles.— A l'occa- sec.
Kellner, ingénieur a Montigny, et Marie- ble de la toilette do nos élégantes. ,
2° Lavez après avec du lait dans lequel mais il faut plaider devant le tribunal.
Pour les enfants, la mode aussi essai»
La conservation est facile.Quand on veut
i-ion do la courageuse entrée dans la cage
Félicie Palseur, à Novéant. — Bernard
*v
- aux lions de la ménagerie Camillius de M. conserver du 'marc frais, on n'a qu'à le on a exprimé Le jus d'un quart de citron
Friob, paveur, et Léonie Kremer.néo Noél. du nouveau.
D. — 1' a-t-il à Nancy une société colom- — Eugène Martin, coiffeur, et Marguerite
Les garçonnets porteront le pantalon
!3éjin négociant à Remiremont, une quête serrer dans les bouges à fermentation et à (pour une tasse à café de lait). Laissez sébophile s'occupant de rapatrier un pigeon- Lang. — Jean Schall, chef machiniste, et long, et les fillettes, m'assure-t-on, 1*1*
faite au profit du pot-au-feu des écoles, a le couvrir de terre, la petite quantité de cher, puis poudrez largement et essuyez.
produit une somme de 15 fr. 75 qui a été sucre qu'il contient encore fermente et sufCaroline Martin. — Eugène Welsch, pê- pes longues, sorte de réédition des cosi
Très facile, comme vous le voyez, mais voyageur ?
fit à le conserver ; quand il a été Lessivé ne perdez pas votre formule et inscrivezlemise à la mairie.
R. — Les Eclaireurs de Nancy, les Vol- cheur, et Germaine Ostermann. — Julien mes « Kate Greenaway ».
VAGNEY pour fabriquer des piquettes ou distillé, il
Godot, charcutier, et. Marie Barbier,
tigeurs de l'Est, à Nancy.
Avec les longs paletots dont je VaT't
Le feu. — Le fou s'est déclaré dans une faut le comprimer dans un bouge, une ci- la sur vos tablettes de recettes pratiques,
à Château-Salins. — Jules Kress, sculpdernièrement,
nos mignonnes seront a
ferme appartenant à M. Emile Robert, eul- terne munie à sa partie inférieure d'un pour la retrouver en cas de besoin, mes
D. —■ Locataire depuis quatre ans, la teur à Longeville, et Marie Muller. —
- *.
Svateur à Chôvreroche. En raison du trou par où s'écoule l'excès d'eau, le saler à chères étourdies.
serrure de l'appartement ne fonctionne Jeaji Grosse, conducteur à Montigny, et cieusement vieillottes.
L'essentiel est que nos enfants aient D
Tante ROSALIE.
manque d'eau, le fléau ne put être sérieu- eha.que couche et le couvrir de terre. De
plus régulièrement. Est-ce au locataire ou Régine Eichborn. — Augustin Pauline,
sement combattu et l'immeuble a été dé- nombreuses expériences ont montré que les
chaud, surtout si l'hiver doit être aussi
■
1"^——"
^^--^^-«f^^———— Il I II III I I I- ■■!
au propriétaire qu'incombe la réparation ? ouvrier, et Aline Charton.
truit. Les pertes sont dé 9,000 francs, dont sulfatages ne donnaient au marc aucune
Décès. — Elisabeth Thomas, née Meiss- goureux que l'été a été chaud.
R. — Au locataire.
(
ort e
>,Ô00 francs pour le mobilier et les récol- propriété nuisible. Il faut cependant faire
ner, 27 a.na. — Veuve1 Marie-Josèphe Herdé,
s*
11 va sans dire que les fillettes P
^.
la même i-éserve que pour les feuilles au
tes, qui ne sont pas assurés.
D. — Seriez-vous assez complaisant pour née Kœnig, 63 ans. — Elisabeth Gorins, de jolies petites capotes, tandis que lesc A^,
ELOYES sujet de l'arsenic.
m'indiquer, dans les Petites correspondan- née Detemple, 34 ans. — Eugène Duteil, çons, abandonnant le béret, portercn
Les rations qu'on peut donner aux bœufs
Abus de' confiance. — Un individu qui
ces, l'adresse d'aviateurs connus pour mes ouvrier, 53 ans. — Philippe Histing, me- casquettes, et, sur toute le ligne, la P ^
s'est fait héberger à l'hôtel Ravon en se sont de 20 à 25 kilos par jour ; aux mounuisier, 52 ans. — Antonio Juliajii, oucollections. d'autographes '!
, ^
taisant inscrire sous le nom de Pierre Per- tons, de 5 kilos de marcs frais ou de préféR. —- Vous avez perdu une belle occasion vrier, 49 ans. — Marguerite Fritz.serveuse rine vosgienne à capuchon niopi
u!e
ro, 28 ans/ représentant de commerce à rence distillés ; aux porcs, de 5 à 10 kilos.
chaude
et
si
pratique
par
la
P»
de
brasserie,
23
ans.
—
Veuve
Marie-Thépuisque tout récemment des aviateurs céNancy,, a disparu avec une bicyclette qu'il Toutes ces rations doivent être complétées
lèbres étaient réunis aux manœuvres des rèse Malye, née Willigens, 70 ans. — Jus- nieige.
Tïi
avait louée pour une course à M. Màtt- par l'adjonction de sons, de tourteaux ou
Comtesse BEW^
7" et 8° corps, mais .vous pouvez encor" tine-Léon ie Schneider, religieuse, 82 ans.—
mann, marchand de cycles. L'escroc est de grains moulus.
, vous adresser à Verdun, où vos demandes Michel Muller, infirmier, 23 ans.
L. T.
recherché.
Cour d'assises
ARRONDISSEMENT DE SAINT-DIc
Veioutinc aux marions. — Croquette
Saint-Hubert.
Veau sauté à la
R (-«naine. — Poires impératrices.— Entretien de l'épidorme, etc.
Une de mes nièces, une des plus ancienmême, me prie de. lui confectionner
le menu d'un bon petit dîner d'amis, mais
un dîner, soigné, gourmand même.
Comme beaucoup d'autres
pourront
glaner quelques recettes dans ce menu, je
m'exécute .avec plaisir.
Commençons par le potage. Les marrons ayaiif fait .Leur' apparition, nous allons en profiter pour confectionner une
délicieuse veloutine que vos convives apprécieront, croyez-le.
Epluchez complètement 25 beaux marrons, et mettez-les à cuire avec un litre et
demi d'eau, 20 grammes de beurre et une
branche de céleri, une pincée de sel et
une pincée de sucre.
Lorsqu'ils sent cuits, égouttez, réservez
la cuisson et passez au tamis fin les marrons. Vous délayez la purée avec la cuisson en ajoutant, si c'est nécessaire, un
peu de lait, et vous terminez en incorporant 2 ou 3 cuillerées de crème et un morceau de 'beurre frais.
-Servez avec des croûtons frits, au beurre.
**
Comme relevé de potage, puisque nous
sommes en pleine saison' de chasse, nous
servirons des croquettes Saint-Hubert.
Pour G personnes, prenez 250 grammes de
chair de gibier, perdrix, faisan, ou lièvre,
que vous taillez en petits morceaux, ajoutez 250 grammes de champignons, haciicz
et Liez le tout avec une épaisse sauce brune dans laquelle vous aurez mis un jus de
gibier préalablement rôti, si vous en avez.
Vous laissez refroidir et au moment de
servir vous faites avec cette sorte de pâtée
des boulettes allongées que vous trempez
dans de l'œuf 'battu et que vous roulez ensuite dans de la mie de pain émiettée. On
fait frire à friture chaude et on sert en
pyramide avec quartiers de citrons.
Occupons-nous maintenant d'une entrée
friande. Je vous propose le veau sauté à
la romaine. Prenez un beau morceau de
'veau dans la noix, taillez de beaux petits
carrés assez épais et Longs de 5 centimètres environ, mettez-les à cuire dans un
sautoir avec 50 grammes. de bon beurre,
veillez à la cuisson, qu'elle s'opère bien
et que les morceaux soient dorés et de.
belie mine. Au moment de servir, vous
dressez en gradin au milieu du plat et
vous entourez de petites carottes cuites à
Teau et glacée au beurre, ainsi que de petits fonds d'artichauts préparés de la même façon. Enfin, vous déglacez avec un
verre de vrn
vin blanc sec, fait
faites réduire,vous
| ajoutez 3 décilitres de crème
crèm double et un
peu de jus de viande. Laissez bouillir 5
minutes en plein feu, passez à la fine passoire et versez sur le veau.
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Téntase jffi ire
ne Green-ParR
Par Arnould GALOPIN
Tandis que nous épiloguions là-bas, M.
Crawford et moi, sur les probabilités d'un
vol, il faisait des bamboches à la santé de
son patron avec l'argent dérobé au mort
Il n'avait pas encore vendu de titres, mais
il devait avoir les souverains, les vrais,
ceux qui étaient marqués d'une étoile...
Cependant jetais arrivé à Broad-West.
Il faisait nuit.
— A cette heure, me disais-je, assez inquiet. Slang est do retour pour recevoir
6on maître ou bien il ne rentrera plus.
Je procédai rapidement dans le petit
bois que l'on connaît, à ma rapide transformation en « lad », je me- passai encore
eur le visage une couche de mon vilain
enduit, puis je m'acheminai vers la villa
; Crawford.
Aucune lumière ne brillait aux fenêtres
du cottage... seule une imperceptible clarté, parei'He à un faible reflet de lune, filtrait a travers les bow-windo\V3 de la gaéerie du premier étage,
• J'atteignis la grille'latérale qui donnait
une secrète sympathie pour le robuste
chauffeur...
Elle m'ouvrit la grille en disant :
— Allons, entrez... je ne puis pourtant
pas vous laisser dans la rue... mais c'est
égal... Slang anuse vraiment... Montez
vite vous coucher... et surtout si M. Crawford appelait, ne répondez pas... eachezvôus au besoin... Que penserait-il s'il savait qu'on a introduit un homme ici pendant son absence 1
Je remerciai Betzy et gagnai rapidement la chambre de Slang.
Aussitôt monté, j'avais allumé un bout
de bougie, qui traînait avec quelques autres sur la table de nuit de mon pseudocousin, et muni de ce lumignon vacillant,
je m'étais dirigé vers la rangée de chaussures.
Il y avait, ai-je dit, au nombre de ces
chaussures, une paire de boots caoutchoutés ; celle-ci était à éliminer.
Je retournai vivement les autres : deux
paires de brodequins à lacets... Aucune
n'avait été ressemelée.
Il était donc do toute évidence que les
bottines qf.i avaient laissé leur empreinte
dans le jardin du crime étaient bien celles que le misérable avait aujourd'hui à
ses pieds.
Je fis, par habitude professionnelle, un
rapide inventaire des
objets contenus
dans la chambre de Slang ; je ne découvris rien d'intéressant.
Je songeais déjà à m'en aller, mais
après réflexion, je résolus d'attendre encore, espérant toujours que mon assassin
reviendrait.
Je m'assis donc sur le lit et me mis à
réfléchir, .roulant dans ma tête mille projets plus absurdes les uns que les autres,
quand soudain le grippement d'une porte
me rappela à la réalité.
C'était Slang qui rentrait... ivre comme
un nègre, ainsi que le disait Betzy... ivre
comme une tribu de nègres...
Dans l'escalier, il tituba et je l'entendis
pousser un juiron formidable.
J'éteignis la bougie.
Bientôt, il pénétra dans sa chambre,
chercha son lit à tâtons et.s'y abattit comme une masse.
Alors une idée me traversa l'esprit :
A la faveur de ce beau désarroi physique et mental, ne pourrais-je pas tirer des
aveux de cet inconscient ?
Je m'approchai donc de l'ivrogne et prononçai d'une voix caverneuse - :
— Slang ! tout est découvert... il faut
sauver les amis... ceux qui ont pris les
autres titres... dis-moi leurs noms que je
courre les prévenir...
Slang fit un mouvement et bégaya en se
laissant rouler sur le parquet :
— 'Les titres !... les titres !... Ah ! c'est
le petit blond de la banque qui a parlé...
Je ne suis pas un voleur... non... non, je
vous le jure... pardon... le voilà, le titre...
Ah ! malheur !... ils l'ont conservé... mais
je le ren... draâ... je vous le... pro... mets..
Et il se mit à pousser des hurlements
épouvantables.
— Voyons, parleras-tu ? repris-je dans
l'obscurité... Où t'es-tu procuré ces titres ?
C'est toi qui as tué M. Chaneer ?
— M. Chaneer !... M. Chaneer ! répétait
la brute d'une voix pâteuse...
A ce moment, Betzy, un bougeoir à la
main, entrait, attirée par ce tapage.
— Donnez-moi uswoup de main, lui disje, pour m'aider à coucher ce pauvre
John... qui est un peu pris de boisson.
— Ah 1 oui... vous pouvez le dire... maugréa la maîd.
Néanmoins, elle me «nt en aide. Nous
allongeâmes Slang sur le lit et rapidement je lui enlevai ses bottines.
Le chauffeur prononçait maintenant des
paroles inintelligibles et Betzy s'occupait
de le border tout habillé dans ses couvertures.
Comme elle me tournait le dos, j'en profitai pour "lisser une des chaussures dans
la poche intérieure de mon avercoat.
— Il n'a plus conscience de rien, soupira
Betzy... peut-on se mettre dans des états
pareils !
— C'est triste, en effet, opinai-je d'un
air désolé, mais bah ! demain matin il n'y
paraîtra plus... Je ne coucherai pas ici
cette nuit, il vaut mieux que ce pauvre
John reste seul...
— Ah ! oui... je vous comprends, dit la
maid, en jetant sur l'ivrogne qui hoquetait '
d'une façon inquiétante un long regard
de dégoût.
— 11 sera mieux et moi aussi, repris-je :
il me l'esté quelque argent, je vais louer
une chambre à l'auberge.
Betzy m'approuva d'un signe de tête.
Elle descendit avec moi, m'ouvrit la
grille, la referma soigneusement et je l'entendis qui s'éloignait en bougonnant,
'Mon voleur était dans la souricière ; il
s'agissait maintenant de ne plus le laisser
fuir.
Tout en essuyant tant bien nue mal avec
mon mouchoir l'affreux enduit qui me barbouillait le visage, je courus aussitôt chez
Mac Pherson qui demeurait à High Street,
dan s-une petite villa située au fond d'un
jardin.
Quand j'arrivai, le brave agent allait se
mettre au lit et il avait déjà noué autour
de sa tête un grand foulard rouge oui lui
donnait l'apparence d'un bandit calabrais.
— Qu'y a-t-il. monsieur ? interroem le
sous-ordre de Bailey en me fixant de ses
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du côté des communs et tirai le cordon de
sonnette.
— Slang 1 lançai-je en même temps
d'une voix nasillarde... Slang ! êtes-vous
là ?
Comme je n'obtenais aucune réponse, je
sonnai de nouveau, mais avec plus d'énergie.
Enfin, des pas craquèrent sur le sable
et une petite lanterne scintilla dans une
allée...
— C'est vous, Slang ? demanda une voix
de femme.
Je reconnus le tablier blanc de Betsy.
— Oui... répondis-je... ouvrez-moi, je
vous prie.
La rhaid eut un mouvement de recul en
me dévisageant, à la lueur de sa lanterne.
— Mais non... balbutia-t-elle.
— Pardon... protestai-je... pardon, miss
Betzy, je suis Ralph Slang le cousin do
John...
La fille me reconnut aussitôt.
— Ah ! oui, je comprends, dit-elle, vous
êtes allés fêter ensemble votre rencontre...
et Slang est, à cette heure, ivre-mort dans
quelque coin de Broad-West.
■— Comment ! fis-je... il n'est pas encore
rentré ?
— Non... bien sûr... rous n'étiez donc
pas avec lui ?
— Pas le moins du monde... moi, j'ai
cherché tout le jour une place dans les
maisons bourgeoises des environs.
Betzy était de fort méchante humeur,
non contre moi, je pense, mais contre
l'indiscret chauffeur qui abusait cyniquement de sa complaisance.
— Il reviendra encore ivre comme un
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nègre... murmura-t-elle..'. et M. Crawford
qui va rentrer... pourvu qu'il ne le ren
contre pas, au moins !
On sentait, malgré tout, que Betzy avait
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- J'accepte,., mais c'est bien V°m
faire plaisir, monsieur Dikson.
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— Bon... habillez-vous vite... P"? i0%itre revolver et allez vous postei < f
mité de la villa Crawford surVous c0
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— Oui... ce gros garçon
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à boire à tous ceux qu'il
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- C'est cela même... Eh bien de le surveiller et, au besoin, de 1
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- Mais... le motif »... je ne ),,U1" 1
pas arrêter les gens comme ça •
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- J'ai dans ma poche vin ^ , *
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mener contre lui... mentis-l» aN%e„iem^,
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Les journaux français
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g frontière allemande, mais, d'une façon
et égale, sur toute les régions de
jgénérale
la: frontière belge.
21 septembre. — VEcho de Paris
que, dans la soirée, on donnait à eneécrit
ttendre aue MM. de Kiderlen et Cambon
re
de constitua un ««'étaient rencontres et qu'un terrain 4'enA la Bourse
0M P
à
de ttente était virtuellement tracé.
BERLIN,
20
septembre.
— D'après les
sel- ^ A 5 heures du soir, M. Cailiaux déclarait h
du soir, les banques avaient reà une personnalité que la dernière entre- çjournaux
avant l'ouverture de la Bourse, une
»-aiaont du conseil, ministre de
v
vue
permettait d'entrevoir une solution fa- çu,
aavalanche
d'ordres de vente.
U pre
vorable.
"
f fait »wir au préfet de poi
En présence de cette situation, les reA minuit et demi, un personnage officiel pprésentants des grandes banques se soni
nous confirmait que l'on pouvait s'atten- rrendus à l'office des affaires étrangères,
dre, pour demain, à apprendre qu'un com- uo'i M. Zimmermaim, sous-secrétaire il Ppromis satisfaisaM était arrêté entre la tat,
t
leur a dit « que la. question du Maroc
H»«r 20 septembre. - Il résulte do 1 en]France et l'Allemagne, sur les grosses a
reçu une solution favorable dan»
• 1ouverte sur l'accident survenu a la
<questions restées en suspens, et que l'on aurait
d
q
deux ou trois jours ».
a Hectriquo du croiseur'- eu ira ss* Jean,pouvait tabler snr un accord de principe.
Il aurait autorisé en même temps les
' Mrt«»'a ne ^ pas d>wl 8040 * 3ab0"
Le renvoi de la classe
ïreprésentants de la haute finance a faiie
te
A propos du renvoi de la classe, un per- de
ï cette déclaration tout Pasage q«i le-r
fa roue dentée, en roulant près du sol,
1
officiel a déclaré au même jour- semblerait bon.
a pris un rivet épars au milieu de beau- sonnage
qu'il fallait qu'un arrangement sérieux (. Cette déclaration du sous-iseorétaire d'E_ toup d'autres.
I \nal
a empêché une baisse considérable de
1
définitif fût intervenu à Berlin pour tat
plusieurs dents de l'engrenage ont été et
sse produire,
1
laissât partir la classe.
cassées et le fonctionnement de la grue a j qu'on
Une autre version atténuée
M. Cambon a, du reste, pleins pouvoirs
été,, par là même, interrompu.
pour traiter, dans les limitée du mémoBERLUS', 20 septembre. — L'information
Saboteur
acquitté
x
c
randum qui lui fut donné à Paris au mo- de
divers joamaux concernant la conver»
PABIS, 20 septembre. — Pour la premiè:ment de son dernier départ peur Berlin.
sation qui a eu lieu entre les représenr« fois,'aujourd'hui, la cour d'assises de
tants de la haute finanee et le sous-secrébit répercussion financière en France
la Seine avait à juger une affaire de sa(
taire
d'Etat aux affaires étrangères est
iufage sur les voies ferrées,
On Ht dans le Matin : — « De divers cô- inexacte,
i
ou du moins exagéïée.
g y le ferblantier Gustave Mannes était ac- I tés, mais surtout à l'étranger, on prétenïl n'y a pas eu d'entretien de cette nagsé de <( rupture volontaire de Mis télé- I dait ces jo*«s derniers que la situation du 1ture. Suivant des renseignements puisés
— càphiques et téléphoniques ef d'entrave à I marché financier de Paris n'était pas sans ià la meilleure source, il a été simplement
|marche d'un train », ce qui pouvait en- J présenter quelque inquiétude.
répondu à une question dans laquelle cersvo
—
traîner la peine des travaux forcés à per- |
« Ces affirmations sont contraires à la taines
1
personnes annonçaient une agita(ftuité.
I vérité. S'il y a eu tout récemment une cer- tien probable de la Bourse que l'état de
U s'agit d'un attentat commis à la gare J tain resserrement des disponibilités d'ar- la
] question marocaine ne justifiait aucufc Choisy-le-Roy.
gent, il faut évidemment l'attribuer à i'in- nement cette agitation, et qu'il ne justiManhès nie toute participation aux ac- l certitwjde créée par fa marche des négocia- fiait, pas notamment une panique finante de sabotage qui lui sont reprochés.
I tions franco-allemandes.
icière.
il se défend également de s'occuper d'à- I « Mais la situation financière est rede« Les négociations, fut-il ajouté, sont en
isichisme ou de syndicalisme, comme fe: vernie aoi-malc. Il n'y a aucune raison bonne voie. On a toutes raisons d'espérer
prétend l'acte d'accusation.
pour que cette situation se modifie.
une solution satisfaisante' avant peu de
\
-On se trompe, explique-t-il au prèsi- I
« D'ailleurs, M. Cailiaux, comme ancien temps ».
tel; j'ai des opinions arwmeées, certes, I ministre des finances, et M. Klotz, minlsH convient do remarquer que la phrase
m\e ne suis pas anarchiste et surtout, tre des ïkiances, ont pu se rendre compte, suivant laquelle la question marocaine
j'unis pas militant. Je répète que Je:
après une rapide enquête, que le taux des aurait reçu une solution favorable d'ici
jfiT wrtok.icent.
reporte pour la liquidation prochaine se- deux à trois jours, n'aurait pas été pro-Cependant, des agent* vous ont dé- rait moins élevé que lors do la liquidation noncée.
MMt, endormi, non loin du lieu de Vert- I de la dernière quinzaine, et la place de
BERLIN, jeudi 2t septembre. — Les jourMat, et on a trouvé, à côté, un revolver Paris ai*ra, à la fin du mois, à sa disposi- . naux de ce matin s'occupent à peine du
S»* tkufé de six balles et une cisaille ayant tion, tons les capitaux dont elle aura be- Maroc.
—- «Yi à couper des fils télégraphiques. Elle:
soin. »
Ija Gazette de Voss et le Courrier de la
de cuivre I
jhon( portait, en effet, des traces
Bourse restent confiants dans l'issue
sa
wgeLes journaux allemands
finale des négociations.
- Ni le revolver ni tes cisailles ne m'ap- I
Les autres grands journaux s'abstionLes
deux
sons
de
cloche
prtiennent.
!i. ut de commentaires.
BERfcîN, SO septembre. — Ce soir, la pluM 18 rés
leiSi ' P Went termine son interroga- I part des journaux berlinois sont optimis— Selon un télégramme de Berlin à la
481 te en indiauant que cinquante-quatre; I tes.
Gazette de Cologne, aussi bien dans la
'. j3 ils ont été coupés.
Seuls, les organes conservateurs sont un note officieuse française que dans la note
. 40 Manhès répète qu'il est innocent.
peu
plus réservés dans leurs apprécia- officieuse allemande, l'expression de « di•
J* iury rapporte un verdict négatif et;
vergences de principo » n'a pas été justetions.
. » accusé est acquitté.
La Post désire la rupture des négocia- ment interprétée.
11 est compréhensible qu'au dernier motions sur les bases actuelle, rupture qui,
Les troubles d'Espagne
à ses yeux, constituerait un succès pour ment chaque gouvernement cherche à renllectrioij
vers la détente
dre la conversation aussi favorable que
l'Allemagne.
P
m
se tel
jfs2 I '
P ubre. — L'ambassadeur
— La Gazette de l'Allemagne du Nord possible, de telle façon que la note franEspagne à Paris a reçu, dans la soirée, dit, au sujet des mesures prises en Belgi- çaiso ne doit pas exercer de pression.
Aussi, eût-il été préférable que la presse
'-S
"«gramme suivant :
que au sujet des fortifications, qu'il ne
ls
u'iem
"Madrid. — Etat normal à Barcelone, s'agit là que de mesures qui reviennent s'abstint de publier cette note.
Dans la question des protégés et des ca«ragosse, Valence et autres capitales,| périodiquement et régulièrement dans l'adpitulations, toutes les difficultés sont d'ailcWtt «a qu.à Madrid même, où ce matin la[
ministration des forteresses.
écartées. Les négociations suivent
«son du peuple a été fermée.
Les autres mesures militaires n'ont pas leurs
un cours calme et progressant. — Havas.
' iku 5,tuation s'améliore partout, même
Irfe
' où les événements ont été exaPAIHS,
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Pitaine général pense que les trou„uM nxfort Pourront être renvoyées.
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générale de Bilbao continue,
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'0uvriers ont repris le tra-
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la commission du budget
20 septembre. — La commission
du budget S'est rènnio ont niniftni iiiTffîj owi»o
la présidence de M. G. Cochery.
M. Raiberti exposa à la commission un
plan général de réorganisation de nos
troupes coloniales mii.ikiwi*, txo,-s-iicilijâs
[ ae 1 organisation actuelle en permettant
de tirer des troupes coloniales une réserve
extraordinaire.
Les propositions de M. Raiberti ont vivement intéressé la commission du budget,
qui a décidé d'entendre à ce sujet le ministre de la guerre, tout en réservant, d'accord avec le rapporteur lui-mêmo, le droit
d'examen de la commission de l'armée.
La rentrée
La commission du budget espère terminer l'examen des dépenses cette semaine,
à l'exception de la guérie, de la marine et
de l'instruction publique.
Elle se séparera probablement samedi
prochain jusqu'au 9 octobre. A cette dernière date, elle rentrera pour achever
son œuvre, qu'elle compte avoir terminée à
temps pour que la Chambre soit saisie de
tous les rapports dès la reprise de la session. Celle-ci aura lieu soit le 17, soit le 24
octobre, et plus probablement à cette dernière date.
Au congrès radical-socialiste
PARIS, 20 septembre. — Lo comité exécutif du parti radical et radical-socialiste
s'est réuni aujourd'hui. Il a voté une
adresse souhaitant le prompt rétablissemont do son président, M. Emile Combes.
Le comité s'est occupé ensuite du prochain congrès du parti, qui s'ouvrira à
Nîmes, dans les premiers jours d'octobre.
Il a décidé d'ajouter aux questions à l'ordre du jour du congrès, celles de la défense de l'école laïque, du contrat du travail,
de la vie chère, etc. — Havas.
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PARIS,
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LA POLITIQUE
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UNE AFFAIRE
DE
PARIS, 20 septembre.
TABLEAUX
DANS L'ARMÉE
s„,„ ,.-...<>..uni»
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Ifperxiière Heure
i'agitation FÉïoïutionnalre I
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promus lieutenants
Les sous-lieutenants ci-après sont nommés au grade de lieutenant pour prendre
rang du 1" octobre 1911 et mainic»"- J'-rargé, '37° rég. ; Raoult, 2e bat. ch. ;
Humbert, 10« bat. chas. ; Resnion, 29° bat.
chas. ; Compagnon, 19e bat. chas. ; d'Amedor de Monnas, 2° bat. chas. ; Lefebvre,
9° bat. chas. ; Châtel, 4e bat. chas. ; Petel,
19 bat. chas. ; Goursan d'Herlin, 19" bat.
chas. ; Raoul, 17° bat. chas. ; Ronyer, 29r
bat. chas. ; Burdin de Saint-Martin, 18'
bat. ch. ; d'Alivré, 9° bat. ; Lancelie, 161 ;
Maillot, 146e ; Auriné, 18e bat. chas. ; Gérard, 155° ; GérarcUn, 149° ; Vaudon, 149e ;
Bouché, 153" ; Bouvart, 145° ; Bergez, 20°
rég. inf. ; Coutisson, 146° ; Marlier, 161e ;
Beaulieux, 152e ; Beau, 160" ; Bouyadé,
160° ; Billioud, 151e ; Gugnak, U6e ; Arnoult, 162e ; Nicora, 160e ; Alba, 29" bat.
ch. ; Kunstkler, 18° bat. chas. ; Thomac,
161e ; Braun, 94e ; Chaffaut, 94e ; Duchêne,
140° ; Bonnal, 94° ; Wurtz, 153e ; Ory, 156°;
Leclancher, 162e ; Burtaire, 09" ; Brière,
37e ; Donnât, 145* ; Cornet, 146e. — Havas.
LE CRIME DE TOURS
L'interrogatoire de Houssard
TOURS, 20 septembre. — Houssard,
le
châtelain du Prieuré et l'assassin de son
cousin. Guillotin, dont il aimait la femme,
a été longuement interrogé aujourd'hui
par le juge d'instruction, M. Cador.
Gomme il l'a fait jusqu'ici, il s'est borné
à répondre qufil ne se rappelait rien de la
soirée du drame.
En présence de ce mutisme, le juge d'instruction a jugé utile de se rendre sur ïêB
lieux du crime pour en faire la reconstitu-■
tion.
— M. Chênebenoit,
juge d'instruction, a repris aujourd'hui
Houssard a été conduit dans la maisoni
l'affaire dite de fauxta bleaux, à laquelle menottes aux mains, entre deux gendarsont mêlés l'encadreur Flavin, l'ex-capi- mes.
taine Marix et Adolphe Mayence, dit ElA la maison du crime, Houssard a perlina.
sisté dans son système.
Flavion avait en novembre dernier, —
Il ne se rappelle rien du crime. II snit
on s'en souvient, — déposé une plainte simplement que Guillotin le rencontrant
contre l'ex-capitaine Marix. Il prétendait dans les rues de Tours, l'aborda en lui ta-;
que celui-ci avait a«tuellemcnt, par l'in: pant sur l'épauleterniédiaine d'Ellina, un certain nombre
U reconnaît aussi s'être rendu, après leS
de toiles qui ne lui furent pas payées,
crime, à Ruillé, auprès de sa cousine, Mme>
Ellina a affirmé que les tableaux en Guillotin.
question étaient sa propriété et qu'ils
— Je ne sais plus ce que j'ai dit à ma
avaient été simplement déposés chez l'en- cousine, se borne-t-il à répondre au juge.
cadreur Flavin.
De retour au palais, Houssard a déclaré>
La « Joconde »
au juge d'instruction :
" En terminant, Ellina a déclaré au Juge
« Si j'ai tué Guillotin, c'est parce qu©
que la Joconde était toujours au Louvre, j'aifriais sa femme, ma cousine et qu'il nousi
51
et il a désigné même la personne qui, d'a- gênait. » nrês lui, la détiendrait. — Havas.
=1
Gra¥e a GG ï aent sur la "Gloire"
Une g a r gousse éclate pendant le tir
Plusieurs morts et blessés
20 septembre. — Lo croiseur
epcuirassé , Gloire
avait appareillé ce matin
TOULON
tirs i) est revenu à une heure et
qpour ses
quart
sur rade. Il avait son pavillon en
b
berne.
Un accident s'est produit au mon
ment do l'introduction d'une gargousse
^dans une pièce de la tourelle bâbord avant.
L'accident a fait plusieurs victimes.
PARIS, 20 septembre. — Au ministère
dde la marine ,on confirme l'accident, qui
ss'est produit ce matin à dix heures, au
ccours d'un tir d'honneur dans une tourelle
dde 16. L'accident aurait été causé par un
r
retour
do flarrrme. Treizo personnes ont été
aatteintes. On compte un mort et do«ze
b
blessés,
dont un officier.
M. Delcassé, ministre de la marine, a
t
immédiatement
à l'amiral Aubert,
q commande laadressé
qui
3e escadre, dont la Gloire
f
fait partie, le^télégramme suivant :
« Ministre marine à amiral.
« A bord du Saint-Louis.
« Je vous prie d'exprimer aux blessés
?ma profonde sympathie et mes vœux arf
dents
pour leur prompt rétablissement,
\
Veuillez
aussi, dès que vous le pourrez,
/
m'informer
des causes de l'accident.
DELCASSÉ. »
Comment s'est produit l'accident
TpuLON,
21 septembre. — Voici dans
,
,quelles circonstances un accident de tir
s'est produit à bord du cuirassé Gloire :
, « *>ans une casemate de 195, se trouvait
>réunie une équipe de fusiliers et de canon,niers, sous te commandement de 1 enseigne
de vaisseau Kermeneur.
« Les pièces furent mises en batterie, et
(
,e tir se poursuivait sans encombre. Prèsque tous les coups'"atteignaient le but.
« Le coup tiré, le culassier procédait,
comme d'habitude, à l'ouverture de la pièce, et les pourvoyeurs, placés derrière lui,
tenaient clans les bras les gargousses de
rechange;.
« Soudain, à peine le canon avait-il été
ouvert, que, par suite d'un retour de flamme, la gargousse qu'un matelot tenait à
proximité de la pièce s'enflamma et communiqua le feu à une seconde gargousse
se trouvant sur le parquet <le la casemate.
« Celle-ci fut entouré d'un éclair gigantesque, tandis qu'une fumée acre, asphyxiante, en raison de sa composition,
«mpttssait tout te compartiment.
ce Tous les hommes tombèrent inanimés,
asphyxiés et brûlés par les gaz délétères
et la poudre.
« On entendit leurs cris de douleur, mais
il fut impossible d'aller leur portai- immédiatement secours, car c'eût été exposer
d'autres hommes à courir des risques mortels.
" On ventila donc aussitôt que possible la
cabine et lorsque l'opération fut jugée suffisante, on y pénétra
« Un spectacle horrible s'offrit à la vue
des sauveteurs.
« Sur le parquet gisaient étendus les
hommes, les vêtements en lambeaux, le visage en sang-, se tordant dans d'horribles
souffrances.
» Plusieurs avaient perdu connaissance, ce qui fit croire tout d'abord que l'événement avait causé plusieurs morte.
« On releva les victimes et l'on constata
que seul, le matelot fusilier Savina avait
succombé.
« Les autres portaient des brûlures sur
tout le corps, mais surtout au vl«w»
Vinq morts
„i^,0^0N'
21
septembre. — Quatre des ma-
Un premier maître canonnier et deux
officiers qui se trouvaient près de la casemate ont été également blessés. Ils sont
soignés à l'infirmerie du bord. — Havas.
FIN DE LA DERNIERE HEURE
La situation
en Espagne
Les arrestations, - Les désordres.
MADRID, 20 septembre. — On télégraphie
ici que la tranquillité règne à Barcelone,
Bilbao, Séville, Valence, Saragosse. Les
arrestations continuent partout.
A Barcelone, 158 personnes sont détenues depuis samedi. L'Ecole moderne de
Valence est fermée. A Huelva, la grève
rencontre l'hostilité d'une partie de la population ouvrière. Rien n'est encore décidé.
VITTORIA.— Des désordres ont éclaté dans
la province ; l'inquiétude règne parmi la
population à la suite du départ de la garde
civile pour Bilbao.
MURCIE. — Le grève générale a été proclamée pour deux jours à Jativa comme à
Carcagente, près de Valenco, la situation
a pris le même caractère qu'à Aroia. La
populace détruit les édifices publics et coupe les voies ferrées.
Les troupes envoyées de Valence seraient
entrées à Carcagente et marcheraient sur
Jativa.
MADRID, 20 septembre. — Le bruit court
que la grève générale annoncée pour aujourd'hui, serait différée jusqu'à demain,
— Havas.
AU MAROC
Les opérations du général Dalbiez
FEZ, 17 septembre. — Le général Dalbiez,
en présence de la recrudescence de l'agitatiomehez les Aït-Youssi, est parti avec une
colonne vers le Sud ; il a rencontré les rebelles qu'il a dispersés et poursuivis jusqu'à la casba Masdouh, qu'il a détruite.
Le chef Sidi-Lhassen, un des instigateurs
de la révolte, a été tué Nous avons eu
deux auxiliaires marocains et deux sénégalais blessés.
Le général Dalbiez, après une poursuite
d'une dizaine de kilomètres, est rentré a
Sefrou,
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30 c. la ligne
L'Agence Havas, 8, place de la Bourse, â Paris
Réclames (> page)...
60
ef MM. John F. Jones et Cl», 31 bit, faubourg
Faits divers.
90
Montmartre, à Paris, sont seuls chargés de recevoir la
Chronique locale
150
publicité extra-locale du journal.
Pour la publicité de Meurthe-et-Moselle, Meuse, Vosges, Alsace-lorraine et Luxembourg, s adresser auj; bureaux de l'Est.
Annonces (4e page)...
dans les pays qui ont produii une culture
propre, opposée parfois à l'idéal français.
La culturo française, la plus vieille de
toutes, fut jadis la culture européenne.Elle
a gardé encore de nos jours une incomparable supériorité, que l'élite intellectuelle
d toutes les nations est unanime à reconde
n
naître. Ceux-là même qui défendent chez
e
eux
une autre l'orme du développement intellectuel,
s'opposeraient à une diminu™
tion
de la prestigieuse culture française :
^
c'
ce
serait consentir à un recul de la civilisation européenne.
Aussi le congrès de Mons étudiera-l-ll,
e
en
dehors de tout étroit esprit de parti ou
^de race et de toute attache officielle, les
n
moyens de contribuer au maintien de t'in^
fluence
morale, artistique, sociale de la
*France dans le monde. La défense dc l'ùmo
*]
française
en France, de la culture français
se en Alsace, en Flandre, en Portugal, en
*Pologne, en Suisse, en Angleterre, dans le
8grand-duché de Luxembourg, tel est le su1' de quelques-uns des rapports qui y
jet
s
seront
présentés et discutés. Il ne faut donc
F
point
s'étonner que les représentants les
P
plus célèbres des lettres françaises, les
*Barrés, les Claretie, les Loti, les Maeter1
linck,
les Régnier, les Rostand, sans comp1
ter les sommités du journalisme et du mon« politique, aient tenu à seconder un zèle
de
g
si
actif et si généreux en se faisant inscrire
c
dans le comité de patronage. Ils ont donné
c
ainsi le bon exemple à tous ceux, Français
c
de
France ou Français du dehors, qui vouc
draient pour quelques heures inoubliaDles,
c
communier dans un même élan d'enthoujsiasme pour une noble cause.
Les Amitiés
\[
Françaises j
~
Le grand congrès auquel l'Association
b
belge
des « Amitiés Françaises » a convié
*«
tous
les amis de TS culture française! et qui
a lieu à Mons, du 21 au 24 septembre, promet de devenir une imposante manifestat
tion.
On sait quel est le but que poursuiv
vent
les adeptes des a Amitiés Français ». Avant la création de la ligue nouses
v
velle, il existait déjà en Belgique des asso^dations qui travaillaient à la propagat
tion
de la langue et des lettres françaises.
îMais toutes ces sociétés de propagande :
\
la
. Ligue wallonne, la Ligue pour la liberté des langues, l'Association flamande
ï
pour
la vulgarisation de la langue franççaise, la Fédération internationale pour
j
l'extension et la culture de la langue française,
se cantonnaient sur le terrain lin'
iguistique. La nouvelle association — son
rnom seul l'indique — fait un pas de plus.
]
Elle se propose de réunir en un faisceau
toutes les sympathies, tous les enthoasias1
mes, tous les dévouements spontanés que
1 Fiance, en dehors de ses frontières, peut
la
j
inspirer et susciter.
Ces sympathies peuvent être d'origine
bien
diverse. Il y a d'abord celles qui sont
!
<de nature politique et se fondent sur la re(
connaissance
de tant de pays étrangers
]pour la part que prit la France à la forjmation des nationalités et pour le respect
indiscutable qu'elle leur témoigne. Ap1plaudir à la grandeur de la France et en
!souhaiter la prospérité, c'est pour un Belj
ge,
un Luxembourgeois et tant d'autres,
(céder à un élan du plus pur patriotisme,
1puisqu'à une époque où se déchaînent tant
1
de
convoitises, la France, fidèle à ses trai
ditions de générosité chevaleresque, est là
pour garantir leur indépendance. On parle
tant de nos jours de pangermanisme et de
panslavisme. Pourquoi personne encore ne
s'est-il avisé de forger le mot de pangalliame ? C'est que le mot ne saurait être
créé tant que la chose n'existe pas. La
France exerce son empire séducteur non
pour asservir ses amis, mais pour les affranchir et les émanciper.
Envisagée à *ce point de vue, la Sête
inaugurale du monument commémoratif
de ta tjatanie cie jemmapes, qui fait partie
du programme, prendra la portée d'un
symbole. N'e«t-ii pas sigiuficatii que o*
soient des Belges, des étrangers, qui ont
pris l'initiative d'une fête qui commémore
un des moments les plus glorieux de l'histoire française ? C'est qu'ils ont gardé le
souvenir reconnaissant de ce que la France a fait pour eux. Dans la journée de
Jemmapes, le drapeau de la France est
devenu celui du genre humain, celui de la
délivrance universelle.
C'était l'heure à jamais mémorable où,
un élan irrésistible entraînait tous les peuples vers la France, où la Convention, selon Michelet, était assiégée d'hommes de
toutes nations qui venaient briguer l'honneur de devenir Français. « Leur passé
do sciviiude, ils brûleur pesait, leur
nseril de l'anéantir, et de ne vivre plus;
qu'en cette France aimée, où ils ne;
voyaient plus une nation, mais une idée1
saejïP'^i.iiMlAfe jt&^YiQu^s VWttftel» tronc
se joindre celles qui sont d'ordre moral et
•
intellectuel. Hantée par son idéal de vérité:
et de justice, la France entraîne sans cesse vers les idées nouvelles et généreuses.
La langue française a toujours été le véhi-■
cule des idées de progrès et d'humanité.
Chose singulière, les trois partis qui àl'heure actuelle se partagent en tout pays;
les esprits, se sentent également attiréss
par la France.
Le parti catholique, à vrai dire, ne cesse.
de gémir sur la politique anticléricale dui
gouvernement français. Mais ses représen-.
tants éclairés gardent toujours une secrè-.
te tendresse pour la « fille aînée de l'Egli-.
se », pour la nation qui, à l'heure actuellej
encore, fournit au catholicisme les ora-.
teurs et les champions les plus fervents. Unx
catholique lettré qui voudra corroborer saL
foi, trouvera dans les lettres françaises duj
17e siècle et du 19e siècle plus de réconfort►
moral que dans la littérature allemande,
toute saturée de protestantisme.
Pour le parti démocratique, la France,
est devenue depuis longtemps le foyer'
même de la démocratie ; il salue en ellel
l'émancipation et la conductrice du peupie. Il était assez naturel, il y a quarante
ans, que le parti libéral, dans certainsS
pays, eût invoqué l'Allemagne protestante
et rationaliste, l'Allemagne de Bismarck*■
et du Kulturkampf.
Mais aujourd'hui que l'alliance du Cen-.
tre et du protestantisme conservateur a1
fait dc l'Allemagne le suprême retranchement de la réaction en Europe, c'est vers
s
la France que se'tournent tous ceux quii
travaillent à affranchir les esprits.
Viennent enfin les « amitiés » de naturee
littéraire, et artistique. Elles ne sont pas
les moins ardentes. Les disciples de la culture française, c'est-à-dire tous ceux qui,;
dans les œuvres littéraires et artistiques,f>'
mettent par-dessus tout les qualités dc fiinesse et de clarté, de mesure et d'harmo-)nie, se comptent par milliers non seule-,.
ment dans les pays bilingues, pour lesJ
quels ia culture française est le plus sou-"
tvent la culture maternelle, mais encoree
Jos.
—
HANSEN.
»a»
L'ALSACE
j Congrès réaliste de
au
Bourges
A Bourges vient, comme on le sait, de se
tenir un grand congrès régionalisto. Toutes les opinions y étaient représentées. Aux
côtés des députés radicaux-socialistes du
Cher,
on pouvait y voir, en effet, un dépu.
té conservateur du .Morbihan, lo marquis
de l'Estourbeillon, en costume breton.
Ses organisateurs avaient eu l'heureuse
idée de convier au congrès de Bourges
l'ancien gardien du musée «lo'""» * ''exposition rie i-tancy, M. Roth, et sa lille,
Mme Brocard.
Leurs pittoresques costumes nationaux
(
ont
été l'objet de la plus vive émotion. N'évoquaient-ils pas dans la cité de Jacques
(
Cœur la chère province lointaine à laquelle
l'âme de tout Français est attachée !
On sait que M. Roth est un gendarme
retraité. Décoré de la Médaille militaire,
ce vieil Alsacien a la calme mais énergique allure des gens de là-bas.
Il semble un personnage d'ErckmannChatrian et on se le représente volontiers
buvant gaiement la bière sous une tonnelle
fleurie à Zutzendorff, riche en belles filles.
M. Roth et Mme Brocard ont été très fêtés à Bourges ; on leur a remis une magnifique gerbe de Heurs aux couleurs berrichonnes, et ils ont eu la touchante pensée
d'aller la déposer devant la statue de Jeanne, la bonne Lorraine.
En eux, on a voulu honorer le peuple
d'Alsace, les laboureurs comme les soldats,
protecteurs des frontiè&è= cnTàque famille
Française : des Normands, des Aquitains.
P était venu des lettrés de l'ancienne
Gaule Belgique et encore des Celtes aux
yeux bleus, nés « près de la mer hérissée de rochers, toujours battue par les orages ».
Ils firent une large place à ces Alsaciens,
qui, malgré le sort adverse des combats,
restent toujours des frères aimés, d'autant
plus aimés qu'ils sont plus malheureux.
Le congrès régionaliste de Bourges a
tenu à affirmer que l'Alsace n'avait jamais
cessé d'appartenir à la culture française ;
elle est toujours imprégnée de l'esprit latin
fait de clarté et de lumineuse précision ;
ses artistes, comme Zislin et Hansi, sont
bien nôtres par leur souci d'observation
minutieuse et leur spirituelle ironie.
C'est cette culture française, cette communion intellectuelle entre la France d'aujourd'hui et ce qui appartînt à la France
d'hier, qu'il ne faut pas cesser d'entretenir
On l'a proclamé hautement au congrès ré~
gionaliste de Bourges et on a bien fait. —
L. P.
LE UKCEfflEHT DO " COIJRQEÏ "
Les ouvriers repoussent la grève
20 septembre. —■ Les ouvriers
de l'arsenal, réunis à la Bourse du trav ail,
après avoir entendu plusieurs discours de
protestation contre le ministre de la .Marine, ont refusé de ratifier une demande
faite par le comité central de faire grève
le jour du lancement du « Courbet ». —
Havas.
LORIENT,
DU « JEAN-BART »
20 septembre. - M. Delcassé, ministre de la marine, quittera Paris demain
matin à huit heures pour se rendre à
Brest, où il va assister au lancement du
Jean-Part. — Havas.
LE
LANCEMENT
PARIS,
LA
COURSE
D'AUTOMOBILES
PLTëRSBQURG PÉBASTOPOL
SAINT-PÉTERSBOURG, 20 septembre — Le
départ de la course d'automobiles SaintPétersbourg-Sébastopoi a été donné ce matin. Plus de soixantes voitures y prennent
part. Presque tous les Etats de l'Europe et
de L'A: lérique du iNord sont représentés. —
Havas.
Les jeunes soldats qui doivent être diiï.• sur les bataillons d'Afrique seront
tous mis en route le 1" octobre.
Les régiments d'infanterie coloniale, «n
P
France, recevront environ 1,400 conscrits
qui seront répartis entre les 1er et 5" régi,i
ments à Cherbourg, les 2° et 0e £1 Brest,
les 3' et r* à Rocheîort. Ic 22e à Hyères, le
le
24e à Perpignan, les 21e et 23e à Paris. Les
*
jeunes gens affectés à l'artillerie coloniale
•<,
seront, au nombre de 425.
iRtftfîfi in R^pSflfiiïilîl I ^
LU ml m
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Uuliyol II Ulîl
Le u° 2.428 série SO nague l/« mïUSoa»
Le U' Î4.838 - 23
- 200.000 f.
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S
— 100.000 f
Les n" f 5,1236 série 71 et #«.£78 série 84
gagnent chacun SO.OOO i.
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Les réunions à la sous préfecture
Les résultats obtenus
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M. Cayotte, président du *, .
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sa douloureuse sympathie K,» fi8n«r touu
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à notre souscription.
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BAWT-PÉïBRSBOUiUi, 20 septembre.-- L'auÊ
tonsie du corps de M. Htolypine a démon1
mercredi 20 septembre.
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Si
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tré quïl avait succombe à une paralysie
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pariions un peu de cette question
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L'avenir nous démontrera sans
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d'application (divison technique du
du cœur, trop fatigué. M. Stolymnc a exde brûlante actualité : la, vie chère dans
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_
,<
♦}*!©
cela
se
peut
parfaitement
».
a
génie), ajoutons le nom de notre concij*
mimé
le
vœu
d'être
enterre
à
Kiew.
Des
rara-ondisseiaent
de Briey.
«
1
toyen, M. le lieutenant Bollin, du 1" régimômiments
seront élevés à M. Stolypine
On
réclame
des
marchés
P
16 926 25
7.553 47
3.185 88
t<
D'abord, je vous dirai que, comme le
ment,
20° bataillon, à Toul (maintenu).
et à Saint-Pétersbourg par
des
7 780 18
8.693 57
655 5a
n
Dans un précédent
article,
consacré
savent nos lecteurs,
lo
sous-préfet
de
J
è
8.295 22
15.931 91
2.105 ^2
souscriptions qui sont deja ouvertes.
Nomination dans la réserve
comme
celui-ci
à
la
«
cherté
dc
la
vie
dans
Briey s'est tout de suite préoccupé
de
,
s
c
l'arrondissement », nous écrivions que les
cette question si intéressante. Vous savez
p
Au grade de chef de bataàllon. — Rég.
o
La soir^ de I- „ .nimcub.. „
La famille de l'aseaNin, - Son procès.
3057
10-142 47
13.390 60
.
meilleurs
moyens de lutter contre la vie
les heureux résultats produits par sa vid'infanterie de Toul-Nanc'y-A. — M. Unb
n
4704 18
8-558 29
11.854 63
o
La betfJS soirée de bienfaisance ,
*
Le
Père
de
Bogrolï
a
été
arrêté
;
la
fachère
étaient
:
,
gesehiekt, chef de bataillon en
retraite
ssite à Longw,y.
c
13.698 72
15-312 59
|dans la 6» région.
par notre confrère du bâtiment T?8»'**
lo De développer
la
production
du
M. MontreuP n'étant pas homme à se
rmille de l'assassin a envoyé un télégramme
s','„ Seu.
contenter d'un premier et heureux succès,
Les cent numéros suivants gagnent chaau cabinet blâmant l'acte de leur lits, qui We et la Construction, poui
P
p
Sortie des eaux et forêts cr
Pi
9
chaln, à la salle Pouel, e pré
a convoqué les maires des centres indus% 'D& créer des marchés d'approvision«
«At
- dit-elle - un dément. Le procès de
«
cun 1,000 francs :
s
s
nonce sous les meilleurs auspic^i
'&*Sont nommés au grade de sous-lieu tet
triels
et miniers du bassin pour étudier r
6.607 80
4.312 80
17.181 2
nement.
1BogrotT
a été fixé au 25 septembre.
1
Notre
confrère
a
rencontre
n-u'i
riant
de réserve et affectés aux corps ciOst
avec
plaisir
que
nous
apprenons
avec
eux
la
question
de
la
vie
chêne
et
10.510
1
5.045 67
10.019 86
,
;
ut
r
c'
cueil
le plus sympathique ©♦ ikï
«après
pour y accomplir leur deuxième an,
Tentatives de troubles
rechercher,
avec leur intelligente collaboque cette dernière idée a été particulière10 972 55
4.147 13
13.20a
1
,
c
m
gracieux concours, tant du côté
4e
jmont bien accueillie dans beaucoup
de
5 160 99
4.260 23
U.9S3 47
,née de service actif, les élèves sortant de ]ration, tes mesures les plus propres à enKIEW. — Plusieurs tentatives Je désor^
a
tes, de M. Mafféo et sa troupe a?, %
l.<
-#»yer une hausse possible des denrées ccommunes do notre arrondissement.
6.141 22
13.380 59
2.851 97
,l'Ecole nationale des eaux et forêts ;
dres ayant un caractère autijuil se sont H
107» rég. d'infanterie. — M. Vidal.
■aHmentaircs
monie des usines Lang, que du A.11^
qui
semblent
cependant
On nous écrit, par exemple, de Longla<
15.683 95
5.280 14
13.526 rf»
produites, mais les troupes ont disperse
40° rég. ^infanterie. — M. Varia d'Ain;avoir atteint leur prix maximum.
lf
la villo, de la compagnie d'éleetri^T1 ^
^ville :
]
10,947 38
8.148 66
»
d
diverses imprimeries, du personnel
i ies
Convoqués en deux séries, les maires
« Monsieur le rédacteur.
1les manifestants.
12 373 34
14.765 30
7.905 30
-velle.
61
employés du théâtre, etc.
$
lflr bataillon de chasseurs. — M. Labas.
<s'empressèrent
d'accepter
l'invitation
« Je vous félicite bien sincèrement de
3.888 68
6.778 16
La succession de M. Stolypine
Tout le monde, dans un élan
2' bataillon de chasseurs. — M. Cane.
,çsous-préfectorale, les conviant à faire œu«, votre article sur la vie chère et des idées
16 609 53
4.157 60
16.135 £i
On pense que M. Kokovtsof acceptera le
p
4« bataillon de chasseurs. — M. Ordiond.
vre
d» bons administrateurs.
pitié
et de touchante solidarité J?ï* *
11699 71
11-932 11
4,061 97
«, exposées par vous.
a
poste do premier ministre. M. Tonschine,
p
6* bataillon de chasseurs. — M- Gueit.
Répondirent à la convocation qm te*r
porter
sou obole à ces veuves à
P*
« Ainsi, ici, à Longlavilte, nous éprou15514 15
10.384 93
15.230 12
e
7 bataillon de chasseurs. — M. Durand.
vvres orphelins d'ouvriers tués
avait été adressée, les maires de ïœnf,
P*"I
«, vans les plus grandes difficultés pour
;directeur de la Banque d'Etat, lui succé2 303
2
8.070 62
12.896 11
8« bataillon de chasseurs. — M. Chenu.
Awfcoué, Homécourt, Valleroy,
Moittiers,
,« nous approvisionner.
derait au ministère des finances.
c
11028 73
6 487 40
5.756 93
chantier.
Ajoutons que l'interprétât'
12» bataitkm de chasseurs, — M. BouMoiaeville, Briey, Tucquegnieux, Trieux,
36
15 548 87
889 40
Ckemineau, le magnifique drama „
*i
« Nous sommes quelques-uns qui penVaste complot politique
,
langer,
Joodïeville, Bettamvillers, Pienne, Lan,« sons que la création d'un grand marché
actes
de Jean Richenin, sera hor! Iû (h
15 065 72
12.398 49
9.419 52
e
13 bataillon de chasseurs. — M. Rivé.
dros, Mairy, vinrent où se firent remplaL'enquête au sujet de la mort de M. Sto19
9-3J0 58
3.50J 15
», à la criée, à Longwy-Bas,
serait un
16e bataillon de chasseurs. — M. Tous- cer par leurs adjoints.
,u puissant moyen d'attirer des produits
lypine a révélé un vaste complot politique
|
ia
saint.
Au cour» des deux réunions qui eurent
contre le cabinet. Cette enquête a égale«, alimentaires dans notre région.
23" bataillon de chasseurs. — M. Deloulieu, M. ie sous-préfet et las chefs des mu>
tl 531 72
11-904 85
« Nos ménagères, ainsi que celles de
ment abouti à ta mise en accusation de
6 956 48
17.278 51
che.
nicipalités échangèrent des vues très inM. Kourloff, adjoint de M. Stolypine, et
«, Mont-Saint-Martin, Herserange, Rehon,
26e bataillon de chasseurs- — M. Oudin.
|
1-616 100
7.911 65
téressantes. I! fut constaté, grâce à une
TROISIÈME LISTE
« etc., pourraient aller s'y approvisionner
chef de la police politique russe, qui a
27* bataillon de chasseurs. — M. Lonenquête sur le prix des denrées préalable« dans de bonnes conditions.
fait preuve d'une négligence extrême dans
champt.
ment faite par M. Montreu.il, que d'une
« N'est-il pas étrange qu'une ville située,
l'organisation de la protection de M, Stoly(
29e bataillon de chasseurs. — M. Bourcommune à l'autre tes prix des produits
« comme Longwy-Bas, au milieu de puaSpine à Kiew. — Havas.
1Le personnel de l'entreprise Ber'. ^ *
don nay du Clésio.
les plus indispensables à l'alimentation
<( sautes agglomérations, n'ait pas de marnanoso
et Lommée,
du café
30' bataillon de chasseurs. — Edouard.
de l'homme subissaient des écarts de prix
Thiers
.„
« ché, car on ne peut donner ce nom à la
BRUIT
DE
CANDIDATURE
DÉMENTI
,
très grands et absolument, injustifiés.
La lance aux cavaliers
» réunion des quelques marchands ayant
Les plâtriers et sculpteurs de'ia
A l'unanimité, les maires présents à ces
VALENCE (Drôme).-—L'information publiée
« actuellement lieu sur la place de l'InA la suite des essais pratiqués en vue
maison Beau, au café Thiers.
i
? 7l1 89
H-6C3 94
13.615
6
réunions décidèrent :
par certains journaux et suivant laquelle 1Anonyme
,.,
"' J *
« dustrie,
de généraliser l'emploi de la lance dans
8 886 36
13-545 99
11.175 58
1° De demander
la suppression
du
M. Loubet serait candidat au Sénat dans lA.
<t Seulement, qui osera prendre cette
7 »
la cavalerie, le ministre de la guerre vient
«ilm ÏQ
9 380 73
9.034 81
droit de 6 fr. sur les légumes frais en prola Drôme, est absolument inexact. — HajMme Leclaire .... — ,,
de décider que tous les régiments de dra"
î »
« initiative ?
48
1L97* 40
15,377 53
%
venance du pays annexé et du droit de
i
gons des divisions de cavalerie indépente Ne craindra-t-on pas de mécontenter vas.
G.
L
\
2
fr.
sur
les
pommes
de
terre.
dantes seront armés de la lance. Celle-ci
« les commerçants de Longwy-Bas et en- ' ■
Potitcollot,
inspecteur de la Nor"
, .
1
14 6
12
' ïf«
158
175
217
321
360
2° De faire des démarches auprès des
sera d'un nouveau modèle, à tube métalliwich-Union
«
« virons ?
boulangers
pour
que
le
prix
du
pain
ne
487
661
818
829
861
que à la fois aussi solide et plus léger que
« Agréez, etc. »
Les membres patrons du conseû
"
897
904
977
1.052
1.118
1.178 le fût actuel.
dépasse pas 0 h\ 35 le kilo.
Disons tout de suite que nous ne somdes prud'hommes
50 J
i
Dans les communes où ces oommer1212
1 237
1.249
1.293
1,298
1.318
mes pas d'accord avec notre corresponA. Grillon
'
"
çants
refuseraient
de
vendre
le
pain
à
ce
1 350
V02
486
1.509
1.659
1.753
ARRESTATION DE RICORDEAU
dant ' occasionnel sur la dernière phrase
Collecte faite au café du Débarprix, les maires useraient du droit que de sa lettre. Nous pensons au contraire
1 842
1 459
2.060
2,064
2.074
2,291
L'agitateur Rioordeau a été arrêté à Sècadère
JO „
leur
confère
la
loi,
de
le
taxer
eux-mêmes
;
l-.ll
2
2,698
2 897
2.913
3.006
que les intérêts des vendeurs et des conIverlet, commissaire de police
5 „
vres comme insoumis et conduit à Vermais
il
est
évident
que
nos
boulangers
ne
3 324
3.335
3.406
3.415
3,421
3.568
sommateurs sont identiques, et nous somsailles où il a été écroué.
L© syndicat des entrepreneurs d»
voudront pas forcer les .municipalités à mes certain q»e les commerçants de LongS 652
3.659
3.676
3.704
|705
3.773
Meurthe-et-Moselle
^ s
I
On connaît le rôle joué par ce syndicarecourir à ce moyen.
3.801
3.804
3.896
3,911
3.937
4.018
wy-Bas accueilleraient avec
plaisir
la
■Jeudi 21 septembre. — 264° jour,
liste turbulent dans les grèves de Draveil,
César Pain, architecte
5 „
1
En outre, les boulangers seront invités nouvelle officielle de la, création du mar4 182
4,187
4.357
4.378
4.405
4,434
de
l'année.
de Villeneuve-Saint-Georges et en général
, à ne livrer que des pains pesant exacte4 632
4.740
4.776
4.871
4.913;
ché
réclamé
par
la
lettre
ci-dessus.
'
dans tous les mouvements organisés par
Total de la 3* liste
44^50
AUJOURD'HUI :
DEMAIN :
ment le poids indiqué par leur forme. Cette'
5 006
5.070
5.108
5.162
5.222
5,237
Sans être grand clerc, on peut prévoir
le syndicat des terrassiers.
Report des listes précédentes,., 233 »
Saint MATHIEU
|
Sain* MAURICE
décision étant .seulement applicable aux
5 281
5 212
5.296
5.372
5.387
5.567
que le marché amènerait, chaque semaine,
I pains pesant plus de 3 kilos.
Ephémèrides lorraines : En 1684, nais5 583
5 670
5.685
5.694
5.705
5.775
de nombreux acheteurs à Longwy, et qui
Total à ce jour —
6i4 50
3° Le lait ne devrait pas être vendu
sance à Nouillonpont, dans la Meuse, du
5 805
5.917
5.989
5.992
6.011
6.018
—
donc est plus Intéressé que le commerce>
phis de 25 centimes le litre et, tes fraudes
>
célèbre
mécanicien
Philippe
Vayringe.
6 053
6.076
6.097
6.183
6,271
6.438
local à ce que beaucoup de monde circule
Dans la journée de mercredi, une somseront sévèrement surveillées.
A cinq heures. — Théâtre de la Passion :
6 541
6.550
6.591
6.687
6.710
6.740
dans une ville ?
me de 46 fr. 40 a été recueillie dans tes
A
ce
propos,
qu'il
nous
soit
permis
de
La Divine Tragédie.
6'826
6.847
6.877
6.902
6.915
6.950
Par contre, nous sommes absolumenti
dire que les médecins que nous avons inA huit heures un quart. — Musique mi- troncs placés sur les lieux de la catastro7 027
7.083
7.145
7.150
7.397
7.433
d'accord avec notre correspondant pour
phe de la rue Exelmans.
terrogés sur les nombreux cas de mortalité
litaire à la Pépinière et au parc Sainte7454
7.481
7.483
7.492
7.571
7.573
'
réclamer la création d'un grand marchéi
infantile qui se sont produits cet été ont; à Longwy-Bas, où il rendrait de signalésj
7 597
7.667
7.680
7.696
7.751
7.778
Marie.
été à peu près unanimes à nous déclatrer
7.805
7.905
7.971
8.027
8.136
8.192
services à, la population de la ville et ài
que le nombre élevé des décès d'enfants
8.205
8.24(1
8.250
8.403
8.413
8.454
' celle des très importantes communes voiétait
moins
le
fait
de
la
chaleur
que
du
Nous avons reçu une nouvelle lettre que
8 527
8.563
8.788
8.883
9.044
9.074
sines.
LE TEMPS QU'IL FAIT
mauvais lait.
nous reproduisons à l'exception de quel9 098
9.441
9.511
9.514
9.580
9.594
Nous soumettons cette idée à M- le maire1
Au cours de ces deux réunions, on s'est
Cherbourg 753, Lyon 764. Profonde déques lignes que nous estimons « ininséra9 643
9.762
9.831
9.848
9.861
9.934
Ce qu'ils sent dévenus
' ée Longwy, à M. le sous-préfet de Briey,
encore préoccupé de la cherté, que beaupression Nord-Ouest Europe,
bies ; »
9 950
9.979
9.989 10.023 10.039 10.062
persuadé
qu'ils
voudront* étudier
les5
',
La gaïté française ne perdant jamais'
coup estiment injustifiée, de la mande.
Lo 2© A NANCY
Le 21
« Monsieur le directeur,
10.080 10.109 10.167 10.178 10.241 10.162
moyens de la réaliser aussi promptememtt
',
ses droits, l'Indépendant, de
Lunéville,1
Comme nos lecteurs peuvent s'en rendre
Mis err cause par M. Bernardon Maurice,
10.324 1.668 10.697 10.802 10.862 10.903
;
qrre*
possible.
'
nous révèle le « triste sort » des fameuxt compte, si on ne manifeste pas dans le1
Heures Tharm. Barora.
.
nullement secrétaire de l'Union des syndl
10 907 11.059 11.061 11.280 11.320 11.3251
Et nous espérons bien que- le marché de3
Tmpi probable
uhlans de la forêt de Parroy.
'bassiu de Briey, ion examine la question,
cats, je vous prie d'insérer en ce qui mt
:
Longwy-Bas,
une
fois
créé,
les
adminis11.422 11.477 11.454 11.462 11.476 11.485!
« Les malheureux — dit notre confrè-- on l'étedie sous toutes ses faoes, ee qm1
traitons compétentes sauront lui conserverr 6 h. m . + 10
concerne les lignes suivante :
11.519 11.520 11.531 11.577 11.755 11.842'
745 d'eillre Sud et Ouest.
re — égarés depuis la veille dans la forêtt vaut beaucoup mieux.
sa vitalité.
« Comme l'un des membres organisateurs
11.866 11.975 12.009 2.144 12.123 12.164 de Parroy et n'ayant rien à se mettre sous3
Midi .. + 24
74S
Pluie.
Nous croyons nous faire ici les inter'
Car il est. bon de dire que dans l'arrondu meeting de dimanche, je certifie qu'il
12.312 12.245 12.257 12.277 12.368 12.370
la dent, avaient mangé des champignons.
prètes de la population si laborieuse d*
9
Jh.s..
+22
741
Tempérât,
normale.
dissement il existe sur le papier quelques
n'est paru aucune note, distribué ~-imw
12 381 12.436 12.459 12.582 12.594 12.658;
Et les champignons français avaient faitt notre arrondissement en remerciawt VnA"
marchés qui, en fait, sont disparus depuiss
manifeste plaçant sous l'égide de l'Unioi
12 723 12.849 12.891 12.922 12.895 13.034|
Max.. +25
- .
ienr devoir, tou* leur devoir, ils avaientt ministration
de
l'excellente
initiative
S
H
'
longtemps.
13.139 iô.î.09 19 9Q0 13.331 13.373 13.409
des syndicats ledit meeting.
empoisonné les vingt-cinq uhlans.
qu'elle vient de prendre dans notre kitéLever 5 h. 46.
Il n« suffit pas de créer un marché, ilj Mm... + 9
13.417 13.4123 13.444 Î3.52b io.S7R 13.640
Comme ladite note n'émane pas des syn|
« Bientôt, l'un de ceux-ci succombait ett r>êt à tous et de la féliciter des
faut encore savoir y attirer producteurss
13.720 13.795 13.967 13.970 14.050 U.m®
(ÛtisorvitiMs ie M. Betliéui.)
Coucher 6 h. 01.
dicats organisés et qu'il est de bon ton eu
all>is j'a.3s»iot,ai3 tôinoiix m\x-ofc et vériditJUO
et acheteurs.
14.089 14.105 14.106 14.203 14.295 14.410'
Premiers résultats obtenus
toutes choses d'avertir tout au moins ceuxà ce macabre spectacle.
Le temps qu'il fait
Il est d'ailleurs juste de reconnaître que
14.426 14.552 14,753 14.792 14.867 14.903?
ci, 1© citoyen Bernardon a outrepassé des
« Avec leurs grands sabres, les vingtPrécédemment, nous avons fait connaiLe
vent
qui
soufflait
par
à-coups,
mersi certains marchés fléchissent de plus en
14.915 14.923 14.946 15.007 15.039 15.325J
droits dont il aura à rendre compte M
quatre survivants creusèrent une tombe3 tre les résultats obtenus à Longwy à la
credi,
avait
comme
un
avant-goût
de
pluie.
Plus,
15.341 15.394 15.435 15.573 15.581 15.592'
sein même de l'Union des syndicats.
sous la feuillée et y enterrèrent leur « ka-r suite de la visite de M. le sous-préfet ett
Celle-ci est venue, en effet, jeudi, avant^
15.629 15.630 15.688 15.735 15.741 15.7611
Le meeting organisé par la Ligue i»
marade ». Deux minutes après, c'était le3
sur les instances de M. le maire,
« O'est la faute à la douane »
l'aube, autour de quatre heures du matin.
k
15.779 15.866 15.867 15.917 15.960 15.968J tour d'un autre qui succombait lui aussii
consommateurs (en formation), a eu l'apA Moutiers aussi, après intervention de
Elle s'est mise à tomber en averses copieuEn
veut-on
un
exemple
?
A
Mont-Saint16.028 16.053 16.155 16.159 16.228 16.248>
pui entier du journal le Travailleur, comaux effets du poison.
M. Reblé, maire, les boulangers ont dé£ ses, qm auront fait le plus grand bien àt
18 271 16.321 16.340 16.364 16.531 16:587f
me ses communiqués ont eu aussi les hon(i Les vingt-trois survivants prirent de3 cidé de vendre le pain à 0 fr. 35 le kilo, Martin, a lieu chaque mardi un marché• la terre assoiffée,
qui pourrait être très largement approvi16.606 16.619 16.645 16.689 16.741 16.761l
neurs d'insertion de la presse locale, a
nouveau leurs grands sabres et creusèrentt
pour les pains de 3 kilos et au-dessus.
sionné par des produits apportés par des
s
*^
16-763 16.873 16.977 16.987 17.188 17.320)
dont il faut la féliciter, n'en déplaise à M,
Au-dessous de 3 kilos, les pains consi-.
un nouveau trou où ils déposèrent leurc
lAu
congrès
des
entrepreneurs
du
Nord-Est
producteurs et vendeurs venant (de la BelDans cette liste, six numéros ayant anté-;
'
Bernardon.
malheureux frère d'armes.
dérés comme pains de luxe seront vendus5
gique.
rieurment bénéficié d'un lot, il est procédé1
Nous avons appris,
avec grand plaisirD'autres meetings ont été organisés ausd Trois minutes après décédait un troi-- à la pièce.
Eh bien ! ce marché est presque nul et
à un tirage complémentaire :
st
que notre sympathique concitoyen, M..
A Haucourt,
des
récriminations s'ésième uhlan. Pour la troisième fois, less
si dans le département et à Longwy, à | t
cela tout simplement parce que l'adminis1- Cayotte, venait d'être élu, au congrèsi Toul par exemple, l'action de quelques „
vingt-.deux survivants prirent encore leurs3 talent élevées concernant aussi lo prix duj
Numéros cér.
Numéros Sér.
Numéros Sér..
tration des douanes, appliquant les règle!- d'Auxerre, président de l'important syndi-pain, que la population jugeait trop élevé.
grands sabres et comme pour les deuxi
camarades a produit des résultats.
4 3.516
7 6.166
10 1.549
1E 15.033,
ments avec un zèle dont on ne peut que la
a cat des entrepreneurs du Nord-Est.
Le maire, M. Gilardin, fit, auprès desj
premiers firent un grand trou où ils enCeci pour démontrer que le zèle <H|n : s
40
8.624
77
9.265
féliciter,
quelque
regrettable
qu'il
soit,
boulangers venant des localités voisines,
>,
Au banquet qui a clôturé le congrès, M..
Bernardon ne suffirait pas à remplacer fi- a
fouirent le troisième empoisonné.
Ces six numéros gagnent chacun trentecrée mille difficultés à nos voisins qui, de
approvisionner la commune, des démar-!
e
Cayotte a remercié ses collègues dans les3
nitiative d'un groupement ou d'un certain : %
« Quatre minutes après... je crois qu'il1
cinq francs.
guerre lasse, préfèrent rester chez eux.
ches couronnées de succès,
excellents termes suivants :
nombre de militants qui tout comme M
1
est inutile de continuer. Vous devinez la1
j
Ajoutons
encore
que
le
bureau
de
douaLe gagnant du lot d'un million
II obtint d'eux que le pain soit vendu
t<( Messieurs,
ont intérêt à payer moins cher les vivres
suite. Vingt-quatre uhlans en bourgeroni
s
nes de Mont^Saint-Martin ouvre beaucoup
1 fr. les 3 kilos.
moururent ainsi l'un après l'autre dans la1
P
Vous m'avez fait tout à l'heure le grand1
pour leur famille et pour eux. S'il devait
MARSEIILE, 20 septembre. — Le
numéro,
trop tard pour le marché, ce qui contriEncore
une
3
en
être
autrement,
j'attendrais
de
ce
nou1
•*
forêt
et
furent
enterrés
successivement
par
j
ihonneur
de
m'appeler
à
un
poste
auquel
je
r
2,429, de la série 50, gagnant le lot d'un
bue à en éloigner les vendeurs. Là encoree
les survivants.
veau sauveur, incarnant Je vrai, le ta$ | 1
ne me sens pas encore suffisamment prô-million de la loterie des œuvres de bien1
Bonne
nouvelle
la douane est dans son rôle qui consiste
« Le vingt-cinquième, celui en bleu, qui
et le juste, qu'il tranche seul les questions
,j
■e paré aujourd'hui.
faisance, a été mis en vente à Marseille,
Précédemment, nous avons reprouuiv.en
3
!"
remplissait justement dans le civil
les
J
d'ordre social qui agitent de plus en plus»
J'ai cependant accepté cette importante3
par la succursale centrale du Crédit lyontrioes
airconinS
^t
^
td^^'
nous
y
associant,
les
doléances
do
notre
r
fonctions de fossoyeur, qui venait d'enfouir
n
for,o*ir,
pnnr in raison qua mon prédéCCS-tronaux.
monde entier.
"
I s
nais.
n
a, confrère Le Longovlcien, exprimant son1
le dernier de ses camarades, sentant la
seur a indiquée tout à l'heure et qui était;
En priant le citoyen Bernardon, sous-* | j
fait etfûnkj«%,du billet ne s'est pas encore
.
Mais
nous
pensons
qu'il
serait
possible
étonnement
de
ne
pas
voir
Longwy
figue
mort prochaine et ne pouvant s'enterrer
r
de placer le siège de la Fédération dans;
crétaire, .de tourner sa langue plu*™* |J
Afin de simplifier les opération»
3 rece.
de donner des instructions à certains buvoir êtes'porcs de Hollande.
"
gré ses douleurs d'entrailles jusqu'à l'éune grande ville de l'Est, et au centre des;
fois avant de s'occuper dc ma persoawW
| t
rage des 30,000 lots de 35 francs, il a été exaîM^qJ'ÇL.une
celui
de
Mont-Saint-Martin,
Grâce aux démarches de notre député,
j
tang de Parroy où il se précipita du hautt
syndicats adhérents à la Fédération.
vous prie d'agréer mes meilleures s*
! f
trait les 300 numéros suivants, qui sont
l'approvisionnement d'un pays.
' •
- )>1
M. Lebrun, cet oubli, car il ne s'agissait,'
de la digue, après avoir pris la précaution
signé.
"
x
«
tions.
: ;
remboursables indistinctement dans toutes
paraît-il, que d'un oubli, est maintenant
de s'attacher une énorme pierre au cou.
Le Nancéien aura à cœur de mériter lai
Membre et aeiegue » 1
—
Oe que pensa un maire
les séries émises :
réparé.
« Ainsi périrent les vingt-cinq uhlans dee
Syndicats. »
confiance que vous témoignez à sa belle3
Pour terminer, je vous soumettrai les
a,
Des porcs de Hollande entreront à Longl'Eclair de l'Est, morts pour le journal la
cité qui donne en ce moment même un beli
Main broyée
réflexions suivantes relatives à l'augmenPairie. (Dernières dépêches, dernières nou-. wy connue dans les autres villes frontiè^
exemple de patriotisme réfléchi. En effet,
tation du coût de la vie, faites dernièreres.
Mercredi,
vers
cinq heures du soir, j _
velles.)
, nous traversons une période critique, et le3
nient par le maire d'un des chefs-lieux de
e
Nicolas Vautrin, âgé de 36 ans, ou«*
<_
Espérons que les consommateuirs en bé-,.
« Mais les chevaux, direz-vous, que sontcalme
des
Nancéiens
qui,
pourtant,
se
samenuisier, demeurant à MalzévillA "
nôficieront. Espérons aussi que les 00m- i canton de l'arrondissement de Briey :
ils devenus ? Ils ne se sont pourtant pass
vent sacrifiés, ©st d'un bel exemple de so« Jusqu'à la fin de l'an dernier, disait
it
"
vaillant chez M. Wendler, entreprend
roerçants de Longwy seront moins âpres' :
La répartition de la prochaine classe
enterrés eux aussi l'un l'autre.
lidarité
nationale.
oe magistrat, le lait était vendu 4 souss
rue de Solignac, a eu la main droite pi laitiers
qui
viennent|
« C'est juste et vous avez raison, maiss au gain que les
Les Nancéiens placent au-dessus de tout1
Le ministre de ta guerre vient d'arrêter
chez nous, et les producteurs gagnaient
d'augmenter
lt
dans une toupilleuse.
, »„,.(*
ceci est une grave, accusation et je ne del'intérêt de la France. La confiance que
les prescriptions relatives à l'incorporade l'argent. A la fin de 1910, il fut aug'
M. Vautrin, qui a eu deux doigts.^".
vrais pas le taire.
.
leur
donne
notre
4»
arme
leur
font
envisation du prochain contingent.qui comprend
Le prix du lait à Briey
menté de 0,05 par litre, sans que cette mat
•
ment contusionnés, s'est rendu à 1 »op11 '
« Lorsque M. Tetiin (automobiliste) dans
j ger de sang-froid la solution de la crise acles hommes de la classe 1910 et les ajourjoration soit, justifiée autrement qu© par
un
dernier
voyage,
accompagné
de
M.NouCar maintenant le litre de lait se paie0
nés de la classe 1909.
tuelle quelle qu'elle soit.
un© sensible augmentation de la populaLes contraventions
t.
ry (du Journal de Lunéville) à la poursui-- 6 sous au chef-lieu d'arrondissement,
Comme on le sait, les affectations se.s
Par votre vote, c'est cette ville, qui est si
tion. Certains de trouver à écouler leurs
;
te
des
uhlans
arrivèrent
sur
les
lieux,
les
s
Briery peut se vanter d'être, sans doute,'■,
La police a dressé procès-verbal conW
ront établies d'après Tordre alphabétique,
marchandises, les laitiers s'étaient dit .:
digne de votre sympathie, que vous veneaft}
16 chevaux do l'auto qui avaient fait 300J
la seule ville de France où ce produit si1
'
un débitant de la rue de Mon DeS,e"lijg.
par subdivisions, en commençant par la>
d'honorer.
<( A quoi bon se gêner ? »
,
kilomètres
dans
la
journée
étaient
complèutile atteint un tel prix. C'est un recordi
pour avoir laissé danser dans son et*
lettre G. Les commandants de recrutement
Certes, ce prix de 0,25 se comprendrait
it
_ Je lève mon verre en l'honneur des pré-.
tement fourbus et 'ne voulaient plus rieni
évidemment, mars dont les Briotins nee
sdement ; contre M. L.*., rue Carnot, v
désigneront donc pour les corps les plus,
cette année, mais maintenant il est quesj.
cidents des syndicats adhérents à la Fédé-,
savoir
pour
avancer.
soat pas fiers,
éleignés les premiers de la liste, c'est-àexcès de vitesse en automobile, et co >
tion de nous le mettre à 6 sous. Ca, par
,r
ration du Nord-Est et en l'honneur de monj
« Alors, comme M. Terlin n'avait pluss
En vendant notre lait cinq sous, nouss
dire les jeunes gens dont le nom com-'_
quatre jeunes gens pour tapage noew
exemple, c'est exagéré, et nous ne nous
eminent prédécesseur.
»
(Applaudisse-,.
s
d'autre ressource pour ramener à Lunévil.y
perdons,
disent
non
sans
quelquee
mence par un G. Les appelés dont l'inilaisserons pas faire.
ments.)
le le rédacteur trempé du Journal de Lu-aplomb le» laitiers producteurs,
tiale est F seront envoyés dans les garniPour les œufs, c'est absolument la môNous donnons à titre de curiosité le ^ 1
néville, il prit les 25 chevaux des uhlanss
Oomment se fait-il alors que certainss
sons les plus rapprochées. En cas de sime chose ; « nous souffrons surtout du
u
RHUMATISME
et les fourra dans son moteur.
d'un énigmatique télégramme trouve
cultivateurs
des
environs
de
Longwy,presmilitude de nom, c'est l'initiale du premanque de concurrence ».
Beaucoup de cas désespérés de rhuma« Ainsi finit cette mémorable randon-,sentis pour le cas où une laiterie coopéranotre boîte aux lettres :
mier prénom qui déterminera l'ordre de'
tismes ont été soulagés par
le Baume*
C'est sur ce mot que nous termineronss
_
née.
tive serait créée dans cette ville, ont pro-« Est républicain,
classement et, en cas de prénoms identi- :
cet article, un peu décousu peut-être, mais
Oméga.
Il
est
rapidement
absorbé
par
la
a
mis de livrer le lait à 19 centimes le litree
**
« Annoncez à vos aimables t!,cfn^«art I
ques, les plus âgés seront classés les pre- 1
:A peau, accélère la circulation du sang ett
écrit d'après des renseignements puisés à
..
à cette institution ?
« grande maison de Nouveautés P'|0cs |
« Quand vous irez dans la forêt de Parmiers. En ce qui concerne les noms comdes sources autorisées,
élimine le mal. Flacon d'essai, 50 c. .•
Gomment se fait-il encore que la laiterie
roy, à l'angle de la tranchée du « Haut« vente très prochaine d'un éf-or MQttft I
posés, la lettre initiale du premier nom1
élimine 'e mal. Flacon d'essai. 50 cent.'
s
L. D.
« de lingerie, blanc, toile,
tissus ■ c(l
porté sur l'acte de naissance, abstraction1
des-Faîtes », vous verrez un monticule quii ! coopérative de Jœuf n'ait pas augmenté
ses prix ? Ses fournisseurs, cultivateurss
« échappé à une inondation. T°ulJLes 1
s'élève près du fossé.
faite, le cas échéant, de la particule, sera1
Facultés
des
sciences
et
des
lettres
voisins de ceux de Briey, perdent-ils de3
seule retenue.
;
« marchandises fraîches seront venu ^
« Pensez alors à la terrible scène quii
l'argent ?
Les examens de la session d'octobre-no-« des prix dérisoires qui feront cou
Les dispensés de l'article 23 de la loi du1
s'est déroulée on cet endroit et espérezz
A Jœuf, le lait se vend 25 centimes le
vembre 1911 sont fixés aux dates suivan15 juillet 1889 rappelés à l'activité, serontt
qu'un jour un monument érigé sur ce ter« tes les dames.
ï
BAR-LE-DUC, 20 septembre. —
Le jeunet
<f
tes :
litre, et- à la fin d© l'année, les clients re
« Détails dans prochain numéro. ^
affectés suivant la règle ci-dessus. Ceux1
tre rappellera, aux populations lorraines,,
Hubert André, 8 ans, demeurant rue Er;
çoivent une « ristourne » qui ramène ie
'1° Baccalauréat. — Lundi 16 octobre. —
qui, après avoir bénéficié d'un sursis d'in-qu'en septembre 1911, la « Bonne Presse »|J
«
nest-Bradfer, 45,
avait conduit
une
e
prix de vente à 21 centimes, maximum.
Les inscriptions seront reçues au secrétacorporation, prévu par la circulaire du 12l
sauva une fois de plus la Patrie. »
Satisfaction est donnée à notre
brouette à son père, chauffeur à la BrasQue dites-vous de cela, Briotins ?
riat du 25 septembre au 7 octobre inclus.
décembre 1889, n'auront pas obtenu.avant
lieux correspondant. Il ne nous r.
„ à |
série
d©
la
Meuse.
Ce
dernier
lui
dit
alors
s
e
En
tout
temps,
vos
voisins
de
Jœuf
[
Les
poursuites
judiciaires
2°
Licence
ès-sciences.
—
Mardi
24
oc'tole 1« décembre prochain, le titre ou le diqu'à attendre l'explication de 1 en b fâCéî
^ s amuser un peu ©n attendant qu'il ait
paient
le
lait
4
centimes
meilleur
marché
't bra — Licence ès-lettres : Vendredi 3 no-"
plôme donnant droit à la dispense définiM. Tortat, juge d'instruction, a interro;
termine son travail,
moins que nous soyons victimes
^
que vous, actuellement la différence est
vembre.
tive de leur deuxième année de service,,
gé, en présence de son défenseur, M. Léon"
lies d'un nouveau Le Mice-iei
[
A
6
heures
h,
M.
Hubert
fut
fort
étonné
de
9
centimes
en
plus,
à
votre
désavanseront mis en route Le 15 décembre
e
Les inscriptions seront, reçues au secréCouchot, gérant de la. Patrie, inculpé d'inDonc, à demain.
de ne pas trouver son fils aux abords de la
: tage.
En raison de la nécessité où se trouve>
atariat du 5 au 10 octobre inclus,
fraction à l'article 27 de la loi du 29 juillet
Brasserie,
mais
il
pensa
que
l'enfant
était
Bonne
idée
la section de secrétaires d'état-major de;
1881. On sait que les poursuites sont mod
3° Certificat de P.C.-N. — Mercredi 25S
retourne seul au domicile paternel,
Mais les laitiers forunissant les com-_
Paris de pourvoir à certains services spé-tivées par la publicité donnée par la Paoctobre. — Les inscriptions seront reçuess
Car et voiture
^ ^
«entre chez lui il ne trouva pas le gamin
munes environnantes auraient peut-êtreî
ciaux les jeunes gens à affecter à ceito>
n
trie au prétendu incident de Lunéville.
au secrétariat du 5 au 10 octobre.
tort,
de
suivre
le
mauvais
exemple
donné
■M^'credi,
la
voiture
de
M^Sfta,'
à f,
S
m
qu
6t
M
Hubort
TOvint
section seront choisis parmi ceux qui auM. Couchot a invoqué sa bonne foi : la
5
i
'
auxK
par leurs collègues de Briey.
priétaire, en passant rue Gamu
w
aooicts de la Brasserie et, accompagné d'aront satisfait à l'examen spécial
prévu1
uV
nouvelle, connue par lui le matin, n'a pas
tCOFFRES-FORTS FICHET
hauteur de la rue des Micihotte-.
&
Nous pouvons, en effet, 'annoncer que5 w*i ll.exPl0ra 10 canal des Usines où il
par une circulaire ministérielle
du
18!
été publiée dans la première édition de la;
9
incombustibles et blindés d'acier, imperfcrabte
un car électrique. La lanterne ei
lors des deux réunions qui, ainsi que nous, eut la douleur de découvrir le corps de son1
août 1908.
Patrie, mais seulement après confirmation.
8, nue Saint-Georges. NANCY
l'écrivons ci-ctessus, eurent lieu dernière-- <,nfant- n°ye en aval du pont de cetten
lies hommes affectés aux corps de cavacrotte ont été brisés.
îSitôt que le .démenti officiel lui parvint,■
usine.
ment à la sous-préfecture, certains maires3
lerie seront mis en route le 2 octobre ;;
notre confrère publia une édition spéciale;
La mor
déclarèrent que si le lait était augmentéj
ceux des autres armes partiront les 7, 91
pour le faire connaître,
.
t paraît accidentelle. Le jeun© Hui.
Malade sur la voie publique
c!l
dan
e
s leur commune, ils s'adresseraient à1
,êr &
et 10 octobre, par fractions a -peu près égav • en t sa
Le juge insiste alors sur la différence,
i ura sans doute glissé en jouant surr
Mme Millïon-Moyaux PW »
7 oçWf'
Un
terrassier,
Hector Pierre, âgé de U
des cultivateurs de la Meuse qui, eux se
u
les.
j qui existait entre le ton affirmatif de la'
.
les bords du canal et sera tombé' à l'eau où
i
tôle qu'elle sera à Nancy du t a
jcu|.
Les soutins de famille seront appelés; manchette et le texte dubitatif publié dans; raient enchantés d'écouler leurs produitss il a péri sans avoir pu appeler à l'aide. Î ans, -demeurant à Blainviile, est" tombé, prochain et qu'elle recela tous lcs j m
1
malade ©n passant place Stanislas. Tl a
' a un prix raisonnable,
le corps du journal.
.V 10 octobre.
m if docteur Chardin a procédé H.Yï été, conduit à l'hôpital par la vodtuiie d'am-. de deux heures a sept heuies.
4
En lisant ces lignes, nos laitiers voRtt
constatations d'usage.
Beux-IIéinispiieres,
bulance.
DE «DIRE CORRESPONDANT PARTICULIER
Génie
Les 20 numéros suivants gagnent chacun 10,000 francs :
•
Numéros Scr.
Numéros Sér.
Numéros Sét.
BRIEY,
Cf
î K
f
J
11
gj
?S»S
fl
SSl
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î*-§» â
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ils 1
*S I
Hotre souscription pour les vietan
do la catastrophe de la rueExelni^
11 i 11 I -I !
11 I 1 1 ?: I 1
•1 1 -88 si SS 1
m/i. :
c
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1
NANCY
,11
LA JOURNÉE
tua
Régionale
La vie chère
L'histoire des uhlans
j
J
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DANS ^L'ARMEE
j
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Enfant noyé à Bar-!e-Duc
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j
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i
lll mil
' pandant un bruit,
(F,
tre correspondant
*^TAT CIVIL
20jeptembre
Du
,u*L«*len
11
<?u — Léon-Victor-Denis
12.Maxrla V t'ieviot, "'vi..1.,use, t» ace Saintrue
rice-vlc,t — M'u 1 . Ha,adel> »'«»* de Vilï- WàîieSStoiïi Richard,rue
ÉSftU» ' ' s ïrois-Maisons,
Pl S fauDoUi'K. ,Vi)ucIUnul 2.
ve
1L
f
D^&î^llffl^GUM*
(ftr
©'ses,
P**"
as.
.../PU cuisinière céhic Karci «nntifontatn©,
2. — Jean
,
de
s- ,;., ,veiI1. à Vandœuvra
n e ;ll,
SE^ ni, 50
V _ Albert. L*vy,41 ans,
1(
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,.1 RlEHiMANHi indus, ,.Si.ur Edouard »
MANN ;
E1EHL
poFtitte
v
,«ir ôe^uiiPHLMANN ; Monsieur
^ rtéopli'le BIMIUHA
Monsieur ot
«"fcfi»e Marim KLMl r
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J*M BIEHLHMIII
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iils, neveu et cousin
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(Suisse), .
Délit
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■ t aWister au* convoi fuaç-;
» vous P^lffi auront lieu le _ jeudi
irfie» eoterremeu^
l'après-midi, en
de
U courant- a W» ^ e( Je
tiere
là au cime
^
riumr«àCêgUte.
0nfi
..,.« envoyé «le Ictli'cs
U ,„. «cru I » ,e .,ré«eiit t»vl«« en
,le faire
*•
»
'^I'ÏS'MO^^
j^ieur et Madame Henric SCHLOSSBR
t^et Madame Chrétien
"iSr^ef Madame
"Ertïïrt Madame
KARCHER
Emile KLEIN et
Georges KARCHER
X'I'uï
et Madame Charles KLEIN et
leur fiHei
Ont la douleur de vous faire part do Ja
P^rle cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la
personne de
1
I
Nemoiseiie Sophie KAROHER
I
1
I
1
1
1
I
I
1
leur bien aimée sieur, belle-sœur et tante
décédée i Nancy, le 19 septembre 1911
dans sa 47* année, après une courte maladie.
Et vous prient d'assister aux service et
enterrement qui auront lieu le jeudi 21 couraat, â 3 heures du soir, au Temple proies
bot, et de là au cimetière de Préville où se
las, l'Inhumation.
î
0)1 se réunira au Temple protestant
(place Saint-Jean).
i
l'uur moi Christ est ma vie
et la mort m'est un gain,
Puilipp. I, 21.
' I
ttne sera gum envoyé «lo leiti'c*
(claire part, le présent nvl* e..
iaidrs» lieu.
jI
I
■s
t\mm^^m^mmibeiaseBmmÊBtmt
[I
* ïiï^ï8iSCCIB5M!CXT!S
I
p
Monsieur G l'IsNOT et sa famille remercient H
j|
Msarcèrcmont loutf s les personnes qui leur
«MUmoigné de la sympathie à l'occasion du
I
f I
\ Madame GESNOT
I
Née Marouerile ROSIEB
jj
Ij
: ÏRlBuMJËLiyûE
A propos des uhlans
Monsieur le rédacteur,
I 'a' lu les articles de votre confrère l'E"
I Wr sur la pseudo-promenade des uhlans3
|H notre territoire,
l.tas.son numéro de mardi soir, l'Eclairr
I «t si préoccupé de cette aventure qu'unes
f formation d agence a été publiée sous ce
5
|*6: « L'Allemagne est trop gourI -«te. » Votre malheureux confrère en1
6
hacht d0 la
I
»'
Pallie,
1 ir? M"w««siWs
d'une tournée eommercia-comluit
I» '
à ISarrebruck, le jour mê1 «L? Parai*sait on France cette extraor-■
1
mystification.
>'i- I
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et
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***
1 4MUKV0US dire (ïtMi la nouvelle affichée
1 V P*"n«au-réclame d'une banque lo-3I Js' oiume font à Nancy la plupartt
1 àer, Srsales
d'établissements finan-dos ré
It.iul^ m
I * s'am'
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fie*«ons plutôt désoblifaçon générale,b
naïveté et de notre»
s
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I *» d'une
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THE A TRES
ri THEATRE DE NANCY. — Tournée Baret.
L'imprésario Baret termine sa sain
son par un coup de maître.
1
si I vient de sTassureï le privilège exclusu du plus grand succès actuel de la Con
médle-Française
: Les Marionnettes, qui
tj
<jtiennent L'afflebe depuis le commencement
de la saison.
p Pour ta distribution, Baret a traité avec
plusieurs artistes de marque.
SPECTACLES
g CASINO. — Tous les soirs La Revue, en
2 actes et un prologue de Joullot ; Duguest
compère,
Dangel comère, Ratcôe, Les
r
iBrightons Girls, etc., etc. Dimanche, matinée à 2 heures avec La Revue.
Chronique Départementale
S,
j!
1
MEURTHE-&-M0SELLE
ARRONDISSEMENT DE NANCY
SAINT-MAX
( Libéralité. — A l'occasion de l'installation
de ses établissements à Saint-Max,
«
(,Mlle Mangin, présidente de la Société progtectrice des animaux, a fait don au bureau
de bienfaisance de cette commune d'une
s
somme
de cent francs.
FROUARD
Enfant noyé. — Le petit Namy, âgé de
6 ans, trompant la surveillance de sa mè1
re, se baignait dans le canal de la Marne1
au Rhin vers 5 heures du soir, lorsque
tout à coup disparut.
Aux cris poussés par ses petits camaraides, un marinier se jeta à l'eau et put
iretirer l'enfant.
Un médecin appelé en toute hâte accoui
rut,
mais il ne pouvait constater que le dé\ces.
Tous soins furent inutiles. Le désespoir
<des parents est indescriptible.
l
dénomination de la partie supérieure de
la rue de Noufchàteau, qui prendra désormais le nom de l'un des glorieux enfants
«de la cité, celui du « Capitaiiie-Caiilon ».
JJa rue du « Capitaine-Caillon » s'étendra depuis l'intersection des rues de Toul
©t
du Géiiéral-Thiry, jusqu'au nouveau
*
chemin
à créer pour relier la. gare de Chaj
ligny. La partie inférieure de la rue, jus,qu'au pont du canal, conservera l'ancienne appellation de rue de Neuf château.
Le numérotage pourra être fait par les
;
soins
des propriétaires, à condition que
les chiffres soient bien apparents.
j
.
._
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,
- . -
THIAUCOURT-JAULNY
Les fêtes du 24 septembre. — Sur le désir exprimé par la famille Clinchant, en
raison do la maladie d'un dc ses membres,
l'inauguration du buste du général Clinchant à Thiaucourt, diïrioitcTié prochain
'24, est remise à une dal ultérieure.
La fête patriotique du Souvenir Français
et des Vétérans et linaugiiration de la
plaque du général Curôly, auront lieu suivant le programme précédemment indiqué et que nous rappelons ci-après : La célénionie do Thiaucourt sera présidée par
M. Albert Denis, député ; celle do l'inauguration de la plaque du général Curôty
par M. le général Cuny.
Programme : Réception à La gare de
Thiaucourt, 9 h. 11 ; messe de requiem du
Souvenir Français, 9 h. 40 ; formation du
cortège à l'hôtel de ville, 10 h. 30 ; visite
au monument des enfants de Thiaucourt
morts pour la patrie, 11 h. ; banquet des
Vétérans et du Souvenir Français, midi.
Départ pour Jaulny, 2 h. 15 ; formation
du cortège à la garé de Jaulny, 2 h. 45 ;
inauguration de la plaque commémorative
du Souvenir Français en l'honneur du général Curêly, 3 h. ; vin d'honneur au château de Jaulny, 4 h. ; bal public à Thiaucourt sur les promenades, 5 h. ; à l'hôte?
de ville, 9 h.
DOMBASLE
Bal des conscrits. — Les conscrits de la
iclasse 1911 ont offert un bal samedi soir,
c
p EDEN THÉATRE - CINÉMATOGRAPHE
dans
la magnifique salle de M. Bezombes,
PATHÉ. — Le programme abonde cette
;à leurs camarades de la classe 1910, à l'oc—
semaine
en
curiosités.
Outre
les
actualités
|casion de leur prochain départ pour le
.
du Palhé-Journal, nous devons noter le
I
'■,
régiment.
pathétisme — sans calembour — qui règne
Dès l'ouverture, Mlles Marchand, Geof1
dans les drames comme lo Grand-Père de
froy, .Rospert et François, au bras de leur
Jules Mary, œuvre pleine d'une attendrisi
cavalier,
font une entrée solennelle au son
de la « Marseillaise ». Ce sont les quêteuCYCLISME |sante émotion ; la Duchesse de Braceiano
tuée avec son amant, la Jalousie du CowFLAVIGN Y-SUR-MOSELLE ses et les marchandes de petites fleurs.
Club-Cyclo-Touriste-Nancéien. — La co- fboy se déroulant au Mexique dont les taLe bal commence et les gracieux couples,
ARRONDISSEMENT DE LUNÉVILLE
Aventure d'un voleur. — Urbain Nicolas
mité départemental de l'Union vélocipédi- jbleaux reflètent les paysages et les meenrs; i
employé comme marcaire chez M. tous rayonnant de gaieté, commencent à
cque de France, avec le concours du Club- la Bonté de Jacques V qui est un des plus était
]
BIONVILLt
f
Eugène Nicolas, agriculteur à Flavigny- tourbilonner aux sons d'un orchestre des
Cyclo-Touriste-Nancéien, organise pour le touchants épisodes de l'histeire écossaise..: tsur-Moselle depuis trois mois environ.
mieux choisis.
Grivèlerie. — M. Ernest Salivey, hôteer
Les
scènes
comiques
ont
pour
interprètes
dimanche 1 octobre prochain, une course
La plus franche cordialité n'a cessé de lier, a porté plainte contre Alfred Biaii Une de ces dernières nuits, M. Nicolas régner pendant toute la durée du bal.
de 50 kilomètres réservée aux indépendants ides artistes de talent, Mme Mistingùett, rentrait
se, ramoneur de cheminée, qui s'est fait
de
Nancy.
Après
avoir
dételé
ses
<
ï département de Meurthe-et-Moselle.
du
,M, Cazalis, etc.. Léocadie veut se faire chevaux,
C'est la première fois à Doinbasie que servir à manger et qui a pris la fuite.
il se lava les mains à la fontaii
Cette course aura lieu sur l'itinéraire sui- |mannequin, Jobard amoureux timide ob- ne
située dans la cour de sa ferme. Pour les jeunes conscrits offrent un bal à leurs
entre autres, un succès de folle (
i
FLAINVAL
]vaut : Départ à Tomblaine, Bosserville, tiendront,
ce
faire, il retira d'un doigt une bague aînés.
hilarité.
Los
Melons
balladeurs
exposent
(
Art-sur-Meurthe, Varangéville-Haute Dom- ,
Arrestation. — La gendarmerie a mis en
Un chasseur volé. — Des chasseurs de
d'une valeur de 300 francs qu'il déposa
un
paysan
à
d'inénarrables
équipées
au
f
basle. Virage à l'entrée de Lunéville, retour ,
sur l'auge.
état d'arrestation le nommé Gallait LéonDombasle étaient venus se livrer à leur
par
la même route, arrivée à Tomblaine.
jretour du marché ; VAffa.rc ,rfu CHèonc
sport favori dans les environs. L'un d'eux
Quelques instants plus tard, au moment Auguste-Elie, 18 ans, manœuvre, sans doï
hôtel
et
le
Vol
d'une
nouvelle
Jpcnntle
ré<
L'engagement est de 2 francs.
avait eu la chance de tirer un beau liède) remettre sa bague, M. Nicolas constata micile fixe, en vertu d'un extrait de jugedans la poMce une subtilité dort iqu'elle
De très beaux prix seront affectés à cette vêlent
,
avait disparu. Ses soupçons se ment du tribunal correctionnel de Nancy
vre qui allait tomber à une assez longue
seul Nie Winter est capable.
]
course.
portèrent
aussitôt sur son marcaire, qu'il le condamnant à quinze jours de prison distance. Tous nos chasseurs le cher, Pour distraire enfin les spectateurs, vei- iavait vu rôder autour de la fontaine. Il le pour vol.
chaient en vain, lorsque deux gamins le
, M. Henry, 14, boulevard de la Pépinière,
1 appeler dans la cuisine des garçons. Là
Vol. — Des ouvriers étaient occupés lunreçoit dès à présent les engagements et ci
. les expériences populaires d'électricité, fit
trouvèrent et se dirigèrent vers les chasil
convient
d'ajouter
la
fubricaj
(donnera tous renseignements utiles au su- auxquelles
di
dernier
au
déchargement
d'un
bateau
M. Nicolas lui fit part du vol dont il vej
seurs pour le leur remettre. A environ
|
fion
des
masques
comiques,
H ne (xcurs.on
i
de houille dans le port Solvay. L'un d'eux,
nait d'être l'objet.
jet de cette course.
deux cents mètres de ceux-ci sortirent de
(en Nouvelle-Zélande, l'Ecole les &amiv— Selon moi, ajouta l'agriculteur, le vo- George Victor, avait accroché son gilet derrière une haie deux inconnus, que l'on
*
raïs,
la
pêche
à la morue, etc.
1
leur c'est vous.
. contenant un porte-monnaie renfermant suppose être des marchands d'allumettes
Le bal du Club-Cyclo-Touriste nancéien
Représentations : vendredi 22, soirée ;
une somme de 24 francs. Quand il voulut de Blainville. Ils déclarèrent aux gamins
aura lieu cette année le samedi 2 décem- ,
1 Comme le marcaire niait, le jeune Lepartir, son travail terminé, le gilet avait
bre à l'Eldorado.
,samedi t'i, soirée ; dimanche 24, matinée vin fut chargé d'aller visiter sa couchette.
que le lièvre leur appartenait, sans autre
Comme ses précédents, le bal de ta sai- ■et soirée. Pendant ces trois jours, la loca- iCelui-ci découvrit, sous la couverture, une été soulagé du porte-monnaie et bien en- préambule ils s'en saisirent, enfourchèrent
tion
est
ouverte,
sans
interruption,
de
10
1
tendu
de
son
contenu.
boîte
d'allumettes.
Cela
lui
parut
étrange.
son 1911 ne laissera rien à désirer comme
leurs bicyclettes et pédalèrent dans la diheures du matin à 6 heures cta soir.
Il l'ouvrit et trouva la bague.
George s'en fu tporter plainte à la gen- rection opposée aux chasseurs.
organisation et comme entrain.
En présence de ces preuves accablantes, darmerie, qui a ouvert une enquête. On
Nous en reparlerons.
On juge de la fureur de ces derniers.
ELDORADO-SKATING RINK, — Séance
Urbain Nicolas n'essaya plus de nier. Il soupçonne un jeune gamin de 12 ans.
de patinage tous les mercredis soir.
A VIA TIOH
ARRONDISSEMENT DE BRIEY
Entre voisins. — Mme Dalo a porté
reconnut avoir volé la bague : « C'était
plainte à l'agent de police contre Mlle
OCH CERTS pour vous la redonner, ajouta-t-il. »
Le Circuit italien d'aviation. — Le CirJŒUF
Quelques instants pins tard le voleur Mol Marcelle, sa voisine qui l'avait grati;cuit italien d'aviation Bologne-Venise-Ricoups.— Au moment où le cantonnier
SOSIÉTÉ DES ANCIENS MUSICIENS était
\
fiée
des
insultes
les
plus
désagréables.
cueilli
par
le
gardo-champêtre
et
mini-Bologne a pris fin mercredi. Les offi- IMILITAIRES.— L'orchestre de cette soBauce et l'entrepreneur Jean-Pierre Lufourré au violon municipal.
Le représentant de la loi a ouvert une cius, 56 ans, entraient au café Mansard,
ciers aviateurs italiens Rossi, Gavotti et ciété
i
donnera son deuxième concert de te
enquête
et
dressé
procès-verbal.
Lo
lendemain,
dès
la.
première
heure,
la
rue de Franchepré, un sieur Marchai dePiazza et les aviateurs français Frey et saiso-a,
i
le mardi 26 septembre prochain, à
XEUILLEY meurant rue de l'IIôtel-de-Ville, les interGaubert, qui étaient arrivés mardi à Ri- huit heures et demie du soir, au kiosque \gendarmerie de Neuves-Maisons était avisée par télégramme du vol et de l'arrestaEntre voisines. — La demoiselle Ger- pella :
rhini, ont effectué la dernière étape de Pé- de
j
la Pépinière.
tion du voleur. Bile se transporta sur les maine Labourey a déclaré à la gendarme« Paies-tu une chope », demanda-t-il à
preuve : Rimini-Bologne, mer«redi.
Au programme figurent des œuvres conTous sont arrivés à Bologne. Lee résul- nues toujours goûtées du public,à ncéer le ,lieux et procéda à l'enquête. Entre temps, rie de Neuves-Maisons, qu'une voisine, la Luciue, qui refusa.
au
coura
Les deux hommes s'assirent devant une
tats de la course ne sont pas encore pro- Fremersberg, grande scène instrumental»» .efte demanda qu'un sommaire repas fut dame Boban, lui avait jeté,
mulgués, mais la victoire semble revenir à imitative, qui n'a plus été exécutée à Nan- servi à Plneulpé, afin de lui donner des d'une récente discussion, une pierre à la table à laquelle Mansard vint lui aussi'
tête.
prendre place ; Lucius et Bauce causaient
Frey, que Gaubert doit suivre de très près cy depuis près de vingt ans. Du reste jambes pour gagner la caserne de gendarmerie.
Interrogée, la dame Boban déclara à tranquillement, quand
tout à coup leur
dans le classement
nous ferons connaître le programme déLo cantonnier Maucourt fut requis pour son tour que Mlle Lahourey exagérait voisin de table se leva et dit au premier r
taillé ultérieurement.
confectionner
la
«
popotte
a
du
malanquelque peu l'incident : « Je ne lui ai pas « Paie-moi ce que tu me dois, N.. de D...,
■—
MUSIQUE DU GROUPE BARA. — La drin. V s'acquitta scrupuleusement de sa lancé de pierre à la tête, insinua-t-elle gra- ou sinon, tu vas voir »,
M. Lucius, qui prétend ne rien devoir à
musique du « Groupe Bara », donnera im mission. A midi tapant, la soupe cuite à vement, la pierre avec laquelle j'ai frappé
point, fut portée dans la geôle
n'est pas sortie de mon poing ».
Marchai, allait répondre, quand son interconcert sur la place Saint-Julien, le samedi
Urbain Nicolas fit beaucoup d'honneur
locuteur lui appliqua sur l'œil gauche un
Procès-verbal a été dressé
30 septembre, à 8 heures 3/4 du soir,
au « potage ». U manifesta le désir de
Drame en perspective. — Nos lecteurs si violent coup de poing qu'il tomba sur le
Le programme se*a publié ultérieurel'Est républicaini
manger ensuite, faute de mieux, un talon de Xeuilley nous sauront gré de les avoir sol, assommé, perdant le sang en abonment.
de pain sec.
préparés aux émotions d'un drame d'a- dance.
MUSIQUES MILITAIRES
— Vous seriez bien aimable, ajouta-t-il mour qui ne tardera pas à se dérouler
M. Lucius se releva et regagna son doeneare, de me donner un peu d'air. On dans leur localité, si l'on prend pour sin- micile, rue Carnot, où sa famille poussa
PÉPINIÈRE.— Musique du 79° d'infan- étouffe là-dedans.
cères les sentiments exprimés dans une îles hauts cris en le voyant couvert de
terie (chef : M. Laehet). — Programme
Touché jusqu'au plus profond de son lettre qui fait le tour du village et adres- sang.
Le renvoi du Gircuit de Nancy a déran- du jeudi 21 septembre 1944, de 8 heures eoeur, le geôliler occasionnel laissa de
sée par une jeune personne de 46 ans à
gé quelques projets. Le Ier octobre est, en 1/4 à 9 heures 1/2 du soir :
HOMÉCOURT
Tn.it, beaucoup trop d'air à son prisonL Salut à la Lorraine ÇKieffer).— f. Fê- ! nier. Il laissa, grande ouverte, la porte de son jeune et tendre ami.
eïiet, la date de la finale du Trophée de,
; Gaieté intempestive. — A l'occasion de
France, courue à Paris.
te aux Flambeaux (Wettge).—3. La G au- .plein bois et ferma seulement sur lui la
ROSIÈRES-AUX-SALINES Ja fête de Jœuf, Angelo Finardi, 19 ans
,
Une rancune qui finit mal. — Il y a manuvre, rue Pasteur, rentra chez lui
Mais d'autres teams,-et non des- moin-i krise (Ganne). — 4. Ballet â'Hamlel (A. ■eWture
lattée.
dreSi seront en ligne.
.
Thomas). *• 5. Sélection sur Lahmé (Léo iI Puis, confiant, il s'en alla chercher du quelques jours, M. Laurent Louis expul- 2 heures et demie du matin.
I
Content de l'emploi de sa soirée, il chan'; C'est la première fois qu'en
Lorraine, Delibes).— 6. Grisaille, valse (Lachetj.
'pain,
mais par d'abord, manger sa soupe. sait de la gare de Rosières, où il est emline commission sportive
organise uné
Lorsque vers une heure, de l'après-midi ployé, Dartoy Charles. Ce dernier en con- tait à pleine voix et, en guise de refrain,
PARC SAINTE-MARIE. — Musique d»
Course de ce genre : trois étapes à cou-'
le cantonnier Maucourt revint avec son çut une vive rancune, et, en compagnie de imitait les cris de tous les animaux de la
vrir dans ha même jo»mée, avec classe- 69e. — Programme du jeudi 21 septembre, pain votr son hôte, les bras lui tombè- son frère, il rencontra Laurent sur la fête eréation.
ment général obtenu par
addition de' de 8 h. 15 à 9 h. 30 du soir :
Les gendarmes l'ayant rencontré, comrent, en arrivant, si bas vers terre qu'il de Rosières. U saisit Laurent au collet et
points.
f. Meurthe-et-Moselle, allegro militaire j
tous deux le frappèrent brutalement. Il mencèrent par le faire taire, puis lui dresTaiUrt s© baisser pour les ramasser.
Les intinéraires représentent une distan- (J. Condamin). — 2. Les Saltimbanques,
La porte lattée n'avait plus de serrure, allait passer un ma,uvais quart d'heure, sèrent procès-verbal pour tapage nocturne.
fantaisie (L. Ganne). — 3. Les Echos dt
ce totale d'environ 160 kilomètres.
lorsqu'il réussit à s'échapper et à fuir.
Comme, tout en répondant à leurs quesla cage était vide, Foiseau s'était envolé.
La plupart des coureurs groupés sous( Marnes-la-Coquette (Ch. Colin). Soliste : j Les gendarmes arrivèrent en cet instant Plainte a été portée à la gendarmerie de tions, Finardi s'efforçait de dissimuler un
E. Zeuschner. — 4. Scaramouehe (Messaobjet dans un poche de son veston, ils le
les couleurs des sociétés locales se sont decritique pour prendre livraison de leur Dombasle, qui a dressé procès-verbal.
puis longtemps familiarisés avec les rou-. ger). — 5. Les Bébés, polka (V. Buot).
Arrestation. — L'agent de police Pous- prièrent de montrer le contenu de ladite
voyageur (sic).
poche.
sardin a arrêté, en flagrant-délit de voi
tes sur lesquelles ils se disputeront dans1
♦ 9 »
il, Maucourt fut aceablé de reproches.
Non sans hésitation, Finardi sortit un
douze jours l'honneur de briller parmi lesi
Objets trouvés
Plus mort que vif, la bouche chargée d'a- et ivresse, le cnemineau Martin Gabriel,
vainqueurs.
âgé de 20 ans, sans domicile fixe, se disant couteau à cran d'arrêt, long d'un quart de
mertume,
la
conscience
torturée
par
le
mètre.
Un livret de caisse d'épargne n° 195,234
Presque tous les brevets militaires, les
remords, il se demanda longuement s'il terrassier sans travail.
Cela lui valut un second procès-verbal
cross cyclistes, les courses offertes par les, au nom de Guemaire, par Mme Jeanbille, n'allait pas suppléer le coupable et figurer
PONT-A-MOUSSON
constructeurs,
les
championnats
del 39, rue de l'Equitation.
Police des chemins de fer. — La police pour port d'arme prohibée.
entre
les
gendarmes.
— Un porte-monnaie contenant 1 fr. 65
Tapageurs, — Depuis cinq minutes les
i'U.S.C.N.E. et de l'U.V.F ont ordinairePendant une heure on le laissa dans cet- municipale a mis en état d'arrestation le
ment lieu dans les secteure où évoluerontî par Mlle Retz, 41, rue Clodion.
nommé Libry Henri, 39 ans, sans domicile habitants de la rue Pasteur étaient réte
pénible
incertitude.
— Un porte-monnaie renfermant 9 fr. 10
veillés par les cris, hurlements et chants
les concurrents di* Circuit de Nancy.
Un large sourire éclaira son visage fixe, né à Vézeliae, qui voyageait sans bilque poussaient plusieurs individus quelque
Le « palier », les « côtes », les parti- par M. Cosson, 20, rue de l'Etang.
let de Frouard à Pont-à-Mousson.
quand
les
gendarmes
lui
apprirent
qu'ils
peu pris de boisson.
— Une canne, par M. Leroy, 31, Grandecularités de la route, passages à niveau,
Libry n'est pas contumier du fait, il a
dressaient
seulement
procès-verbal...
de
Les gendarmes étant apparus, les chantraversée des villages, virages brusques etî Rua
déjà encouru 12 condamnations pour le
l'incident.
— Un sac à main contenant 53 fr. 66 par
teurs s'enfuirent à toutes jambes, mais
tournants peu ou prou difficiles sont trop
De son côté Nicolas Urbain devait aus- même motif et à Pont-à-Mousson c'est la
deux d'entre eux furent rejoints et graticoniHM pour que nous jugions utile de M. Poirson, 24, chemm de la Foucotte.
troisième foie qu'il se fait arrêter.
— Use montre en argent par Mme Choi- si Pavoir... le sourire. — C. B.
les signaler.
U a repris la route Pant-à-Mousson-Nan- fiés d'un procès-verbal. C'étaient Finard
CHALIGNY
et Gudseppe Cirelli, 23 ans, manœuvre.
— Je les connais comme ma poche, nous, nier, 42, rue de Mulhouse,
VoJ. — H y a quelque temps, M. Philip- cy, — voie ferrée, bien entendu — mais
— Un sac à main renfermant W fr. 60
Pauvres chiens, — Parce que leurs
disait hier un jeune coureur... J'ai fait icij
avec
un
billet
que
les
gendarmes,
auxe
pe Maillard, âgé de 80 ans, sortait de chez
mes débuts. Rien n'a changé... Je n'auraiJ par M. Georges Multi»», soldat an 79 d# bai après avoir laissé par oubli la clef sur quels il a été remis, ont eu soin de lui chiens se sont promenés sans collier, ou
avec un collier non pourvu de plaque, les
pas même besoin de m'cntralner... Mes= ligne.
payer au guichet de la gare.
— Un parapluie par M. Renaud, 1%, ru* la porte de sou logement.
personnes
les noms suivent ont fait
» temps » sont bons et, si je n'ai point la,
Sans doute la cherté des vivres l'oblige l'objet d'undont
Se souvenaat que son locataire n'était
procès-verbal.
prétention de les battre, il me suffira de. Saint-Lambert.
à
quitter
les
endroits
où
H
a
peine
à
vipas
précisément
d'une
probité
exemplaire
— Une petite broche par Mlle B t onner,
M. Emile Hussbert, 31 ans, manœuvre ;
les maintenir pour décrocher la timbale.
et qni'M n'hésiterait peut-être pas à visiter vre. Rue Gharles-III il vivra tranquille, M. Paul Fafet.surveillant à la Petite-Fin ;
' 77, rae Saint-Nicolas.
— Alors, vous partirez ?
loin des manifestations.
*.
inopinément
son
domicile,
M.
Maillard
SibUia, mineur ; Pierre Kœnig,
— Et comment ! Avec confiance... Les3
**
Les désespérés. — Mardi après-tmidi, Joseph
revint chez lui pour réparer son oublL
contremaître.
camarades me suivront... 11 y aura des saM. Lévy Charles, rue Stanislas, 16, a
vers
trois
heures
et
demie,
un
rassembloU* porte-monnaie, contenant 5 francs,
tisfactions, du succès pour tout le mon-- trouvé u» porte-monnaie contenant une1
AUBOUÉ
ment se formait sous les arcades, devant
Rixe— Auguste Wilezinzki, 23 ans, et
de... Je souhaite que le nombre, la beautéi certaine somme qu'il tient à la disposition resté sur la table, était intact. Rassuré, la maison de M. Brajou, marchand de
ie vieillard s'en alla après
avoir cette
Jean Kowatsch, 29 ans, manoeuvres, 'e
et la valeur des prix soient en rapportt de la personne qui l'a perdu.
meubles.
fois, emporté sa clef.
premier Polonais russe, le second Poloavec la quantité et la qualité des engage
Un
homme
poussant
de
véritables
hurleGes jours derniers, M. Mjaillard recenais autrichien, logent ensemble au n° 109
mente...
mante,
se
roulait
sur
le
trottoir.
, v ait en paiement de mirabelles vendues,
des cités de Géranneaux.
Comme cette question des prix préoccupe
M. le docteur Barthélémy, averti, recon«ne certaine somme qn'il se disposait à
Dans la chambre commune, vers 4 heuà juste titre les jeunes athlètes, nous pu-3
pfeteer dans le pétrin contenant sa bourse. nut que le malade était empoisonné. Il lui res et demie du soir, ils eurent une léCOMMUNIQUÉS
blions une première liste qui permettral
administra un vomitif.
Sa stupéfaction fut grande. Son portegère discussion suivie d'un échange de
d'apprécier l'Intérêt que I'U.C.N et l'Est
L'homme, un nommé Jules Néger, ouSyndicat des ouvriers coiffeurs de Meur- monnaie avait été soulagé de sept pièces vrier aux forges, âgé de 26 ans, habitant coups de poing, puis l'un' d'eux alla raconrépublicain apportent au Circuit de Nan-*
ter l'affaire aux gendarmes.
the-et-Moselle. — On nous prie d'insérer de 20 francs. M. Maillard se souvint du
cy.
36, rue des Mines, avait acheté à la pharI'av4i6 suivant :
coup de IA clef et se rémémora la curioOmission.— Mlle Sophie Leclaire, 23
1° Une bicyclette Alcyon,
macie Arcille, 60 grammes de cresyl qu'il
<( C'est aujourd'hui jeudi 21, qu'a lieu, »rté de son locataire. Persuadé, il porta
ans, sans profession, cités de Coinville,
2° Une paire de roues avec boyaux,
avait
absorbé.
salle de l'Agriculture, rue Chanay-, ta p+ainte contre lui.
est une Allemande qui ne put présenter
3» Un moyeu course à deux pignons,
Il été transporté à l'hôpital. Son état
grande réunion corporative entre patronsi
de récépissé de déclaration d'étrangère à
Au cours de l'enquôt», la gendarmerie ne semble pas désespéré.
4° Une paire de roues .
et ouvriers, sur l'ordre du jour suivant :
un gendarme curieux.
apprit que Jaequemie Joseph, âgé de 67
5° Une paire de boyaux.
PAGNY-SUR-MOSELLE
Fermeture des salons dé coiffure, ton* ans, avait échangé une pièce de 2fl francs,
Procès-verbal lui fut dresse.
6° Une paire de boyaux,
Election. — M. Bouctot, ancien chef de
les jou#e de la semaine, à huit heures, invité à indiquer
provenance de cette
7° Un boyau.
mercredi et samedi exceptés, et le dknan- pièce d'or, Jacquemin prétendit l'avoir re- manœuvres à la gare de Pagny-sur-Mosel8° Un boyau.
çue de Mate Boisset, bouenère, qui l'avait le, conseiller municipal, a été nommé adUN DUR A CUIRE
9» et 10» Une enveloppe et une chambre9 r che A 4 heures.
Nous espérons que MM. les patrons et chargé, disait-il, d'aller faire de la mou- joint au maire de la localité par 12 voix
à air.
La guerre ? Va-issier la connaît î
sur
16
votants,
1
abstention
et
3
bulletins
ouvriers eoiffeurs assisteront nombreux à Baie. C'était un adibi qu'il s'agissait de
11° et 12° Une chambre,
Voilà quarante ans qu'il la fait
blancs.
Une nouvelle qui sera très favorablementt cette réunion, pour trancher définitivo- contrôler. Mme Boisset édifia complète
Contre les Congés contrefaits.
ment
ces
modestes
revendications
et
élaARRONDISSEMENT
DE
TOUL
ment
les
gendarmes.
accueillie dans tous les milieux sportifsg
Un de plus à vaincre ? U est prêt.
Aurait-elle eu besoin de monnaie que
nous est communiquée, en outre, par M. borer un contrat de travail.
TOUL L. B., au créateur de l'incomparable savon
,
Nota.
—
En
cas
d'oubli
dans
l'envoi
des
, jamais elle n'aurait voulu confier MO fr.
Beugnot, l'actif agent de la marque Alcyon
Accident. — Mardi soir, l'ordonnance
convocations, considérer le présent avis à Jacquemin.
à Nancy :
Jastet Alfred, soldat au 155° d'infanterie,
t
comme
en
tenant
lieu.
—
Le
secrétaire
du
— Parmi les coureurs qui se classeront
En dépit de -ce témoignage accablant
4e bataillon, casernô au fort d'Ecrouves, se
dans le Circuit, beaucoup n'auront jamaiss syndicat des ouvriers coiffeurs de Meur- Jacquemin persista à nier le vol dont il rendait à la sellerie, quand il tomba et
obtenu une place dans les dix premierss the-et-Moselle, ROGER. »
se trouve accusé. Cela ne l'empêchera pas dans sa chute se fractura la jambe gauche.
d'être poursuivi.
aux épreuves où ils prirent part.
M. le médecin en chef Buy a donné à ce
ARRONDISSEMENT DE BAR LE DUC
Eh bien ! nous a dit M. Beugnot, c'est à
NEUVES-MAISONS soldat tous les soins désirables.
Si Fallièr' m'avait donné
ces jeunes gens que nous désirons offrirr
M0NDREC0UR-.
MENILLOT
Rixe.
—
L'autre
matin,
vers
3
heures,
Paris ou Fontainebleau,
les plus précieux encouragements...
Laa
Plainte. — Mm© Bernard Jeanne, ménale machiniste Charles Dombrot et Jean
Et qu'il me fallût quitter
Vers
deux
heures
et
demie
de l'aprèsmaison Alcyon accordera les
avantagess
Borunevie, lamineur, se prenaient de que- gère à Ménillot, a porté plainte contre midi, un violent incendie s'est déclaré au
Huguet et les Bains Marceau,
d'un excellent contrat à celui d'entre euxx
M. Renard, demeurant dans la même lorelle
sur
leur
chantier,
au
sujet
du
traJe dirais à M'sieu Fallières
qui sera le mieux placé dans le classementt
vail.
calité. Klie prétend que M. Renard pénétra domicile de M. Gustave Gervaise, maire
de la commune. Le feu, qui avait pris
Reprenez la Ville-Lumière,
général du Circuit.
A <bout d'arguments, oe dernier lança chez elle vers dix heures du soir et profé- naissance sur le grenier, prit tout de suite
J'aime mieux mes bains
—- Quelle que soit cette place ?
ra
des
menaces
contre
son
mari
;
puis
retout à coup dans la direction de Dombrot
de grandes proportions, gagnant les trois
HUGUET.
— Absolument.
un crochet servant à retourner les lingots vint une seconde fois armé d'un fusil. M. immeubles voisins. Les quatre maisons,
J'aime mieux mes bains ! ! !
Ainsi les champions que l'en a coutumee
d'acier. Le machiniste riposta en jetant Renard aurait mis en joue la plaignante ainsi que tout ce qu'elles contenaient, plus
d'acclamer et qui remportent souvent less
♦•-<►
en disant : « Je te tue. » Mme Renard insur son agresseur le banc sur lequel il
une vache et un porc, furent bientôt la
plus hautes récompenses, ne pourront pqr, était assis. Les deux ouvriers échangèrent tervint alors et emmena son mari.
proie des flammes, en dépit des sécours
ter préjudice aux débutants, dont leur vicUne nouvelle scène eut lieu ces jours
encore quelques propos aigres-doux, puis
organisés à la hâte par les pompiers et la
toire semble diminuer les qualités d endu-itout se calma.
derniers, qui décida Mme Bernard à porter
rance, d'énergie et d'entraînement,
plainte. Vers neuf heures du soir, elle se population de la commune, auxquels vinOn
croyait
l'incident
clos,
quand,
une
CHAMPIGNEULLES
rent bientôt se joindre les subdivisions de
Un bon contrat avec une maison commee
heure plus tard, Bonnevie crut devoir trouvait devant son habitation, quand M.
d'Issoncourt, Rignaucourt et
Contrebandier arrêté. — François-Jo-■ faire éclater sa rancune. U s'élança sur Renard sortit de chez lui et tira deux coups pompiers
Alcyon, n'est-ce pas là pour ces débutantss
manoeuvre, sans1 Dombrot qui allait chercher un seau d'eau, de feu dans la direction de la plaignante. Heippes. Mais tous les efforts durent se
la réalisation du joli rêve qu'ils caressent ?l seph Marchai, 45 ans,
Nous rappelons que les engagements, ac-!- domicile fixe, a été arrêté à Champigneul- et le fit tomber sur des plaques de fonte M. Noirel Marius reçut des plombs dans borner à préserver la mairie, qui fut cecompagnés d'une somme de 2^ francs, sontt les, où il eorportAit des allumettes de fa- incandescente où il se brûla profondé- son chapeau. Telles sont du moins les pré- pendant quelque peu dégradée.
Les pertes sont évaluées approximativereçus dans les bureaux de l'Est rêpuoli-i- brication frauduleuse.
tentions de Mme Bernard, qui les appuie ment à la somme de 80,000 francs, se rément sur diverses parties du corps.
Violences. — Koda Mohamed, manœucafn.
La gendarmerie vient d'ouvrir une en- de déclarations de plusieurs témoins. Quant partissant entre MM. Gustave Gervaise ;
vre, étaxit entré au débit Anncepel, fut. quête. M. Bonnevie, qui habite les cités à M. Renard, il nie énergiquement les faits
PIERRE QUI ROULE.
Pierre, quincaillier ; veuve Tollard-Quenpris à partie par tes frères Alphonse ett de Chaligny. a été l'objet d'un procès-ver- qui lui sont reprochés.
m m »■
•
tin ; Léon Quentin ; Acide-Jean-Baptiste.
- Eugène Poulmatre, qui le frappèrent à, bal.
AVRAIN VILLE Quentin ; Léon Géminé!, cultivateurs, et
QUE BOIRB ATT OAFB T
coups de poing.
La rue du Capitaine-Calllon. — La muProcès-verbal. — Procès-verbal a été
Une scène s'ensuivit au cours de laquelle> nicipalité vient ie soumettre à l'homologa- dressé à Aimé Galland, cultivateur à Louis Vautrin, instituteur. Il y a assurance.
des verres furent brisés.
tion préfectorale Ja décision prise par Avrainville, pour défaut de guides à son
La cause de cet incendie parait être acLa gendarmerie a ouvert ans enquête.
l'ancien conseil relativement à la nouvelle atteloge.
APXIRITIF OU BiaM^V
' ddentelle.
Gi)Foi)iqiie_
,tiel
fwALÏER'
vrai ou faux, dont noindique les conséquences ». Est-ce bien le rô!» d'un jéurnal VIM,ment français ?
Qu'un organe sérieux comme prétend
l'être l'Eclair de l'Est, aiTirmc à Nanles,
liordeaux ou Marseille, par exemple, que
Jl
la
k peste vient d'éclater sur un navire, et
vous
me direz comment les commerçants
v
« les ouvriers d'un de ces ports ainsi meet
■nacés d'uhe funeste quarantaine, traitent
1
l'auteur de la nouvelle : le boycottage s'accompa^uerait sûrement de violences.
»
Or, un journal a pu, dans les pays voisi us dp la frontière, propager une" terribble inquiétude, sans exciter'les colères ni
8sYittirer la leçon de sévères représailles.
C
Cela
prouve dans nos populations un su|prême dédain pour les « canards » do
I Eclair ! Je m'étonne qu'il persiste dans
une attitude qui lui attirera plus de désagréments que de félicitations, plus de blâi > « » — qoe d'éloges, plus de sifflets que d'encouragemonts.
Veuillez agréer...
UN COURTIER DE COMMERCE.
i
Le Circuit de Nancy
avec le concours de
Quelques prix
Un bon contrat
♦
GROUPES
et SOCIETES
,
MEUSE
^
DANS LA BANLIEUE
Le quart
VICHY-OÉLE8TIN8
L^ '
2
'
la
laisser
souffrir ceux qui accomplissent certaineinent leurs dernières minutes. Dans
beaucoup de pays, au Japon, par exemple,
on a coutume d'abréger ces douleurs suprômes, et l'opinion se répand de plus en
plu* en Amérique qu'achever le patient
„vr, JuKQ ET SA FEMM1 dans
<J;
un pareil cas est une simple preuve
.«.W^SÎ GKSÈVB. ■ - On manda d'humanité.
»
d
l
^ >^f qu'au moment ou le
On sait qu'un romancier anglais, M.
^mon-'^^t
i' commandeur de a Hugh
Benson, dans un roman qui décrit
n
Jl
n
k^t> ?' demeurant avenue de ta
ts lui du monde, a imaginé tout un service
d'hoBWÏÏ'ni ly-sur-Seine, s'embar- publie
.
dont les employés seraient consacrés
p
-?e", 7, à A « sur le bateau « Uu- |
à ci l'euthanasie »,c'est-à-dire' à l'adoucissAfeI1
iwnAJ s» as "n0 qui avait rte uéRh- nient
de la mort. Ils arriveraient, appeflfc
n:
s*" la P f Àda V colonel el Mme par
.
le téléphone et portant u. s DOIMJS ue
p
^^tlauslc lac et disparurent j
stupéfiants, qu'il suffirait do faire respirer
%
aux malades. Leurs services seraient par! if
Bonnon.le. batelier Moi in le ticuliùroniejit appréciés dans les grandes
1
cur
ti
' h*uii
qncien secrétaire d L- Cl
catastrophes, accidents de chemins de fer,
^Tniê Kr organisèrent les chutes d'aéroplanes, etc. Ils feraient cescj
ser très rapidement les scènes pénibles qui
suivent ces événements. Il ne semble pas
^^nftt rJiille francs,
toutefois que ces méhodes expéditives doivent jamais s'introduire dans lu, vieille
*i,UL SA1,
, C^TTE — Une grotto Europe.
E
paits-Divers s
'S^!
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„, nrte de Crémieu (Isère),
rU> ^
;.re de pierre mise récem^
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galerie suit une
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> fen e^plo'^^rniors cent cinquanbri^^aù noxd-est. C'est la part e
* lires vo"1 au "«
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« franchement vers le sud!
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fre » ^ „ connue un véritable lac
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- ^Zruant vers l'est, au
ont
«i*N
fofmXbles et encre me-
f rù
LES
COURSES A LA MORT EN AMÉRIQUE. —
£LUn cablogrammo de New-York informe que
pendant
une course d'automobiles qui se
§
disputait samedi, une voiture concurr
rente
est tombée au milieu des specta,
Jbeurs à la suite d'un dérapage Le nombre
des morts s'élève, paraît-il, à huit. On
■
l|
ignore celui dos blessés.
Des catastrophes de ce genre sont inévicourses d'automobiles
ttables quand des
s
=sont organisées bien plus comme des
« spectacles » à sensation que comme des
épreuves sportives. C'est le cas en Amérique,
à de rares exceptions près, et le terriJ
ble
accident de samedi n'étonnera aucun
ï
jde
ceux qui connaissent la mentalité des
c
organisateurs de ces « courses à la mort »
et savent comment elles sont réglementées.
, On se fera une idée de cette mentalité en
lisant l'annonce ci-dessous que reprodui;sait récemment notre confrère l'Auto, et
qui, paraît-il, fut affichée aux fenêtres du
,
grand
bar de Los-Angelès, où étaient indiqués heure par heure les résultats d'une
course d'automobiles. Voici le texte de cette annnonce :
Bulletin des accidents de la « 24 heures
auto race. »
La course ne finit que demain samedi
à quatre heures du soir
Une émotion d chaque seconde
6 h. 40 :
La voiture 4 est entrée en collision
avec la voiture 21
Deux hommes grièvement blessés !
Venez voir le dcgdl ! ! !
En ce qui concerne l'organisation même
(
de ce genre d'épreuves, il suffira, pour en
<démontrer la valeur, de citer l'opinion du
coureur Barney Oldfield, qui fut une des
;célébrités du volant en Amérique, et qui
pour des raisons qu'il nous importe peu
'de connaître brûle ce qu'il a si longtemps
adoré.
Parlant des coureurs d'automobiles dont
il fut, Barney Oldfield s'exprime ainsi :
« C'est une troupe qui voyage, dit Barney Oldfield, à la façon des cirques. Les
machines, pour la plupart, sont de vieux
« tacots » à énormes moteurs canonnant et
ferraillant. Tout terrain est bon à la cupidité des organisateurs. Ne me parlez pas
de virages relevés ! Plus l'hippodrome est
petit et défoncé, plus c'est « spectacular » !
On se presse, on se ruePar les dimanches
d'été, sous l'ardent soleil, la poussière soulevée par les « racors » est une chose
monstrueuse, un mur véritable qui oblige
tous les conducteurs, sans exception, à
mened à l'aveuglette. C'est alors que se produisent les collisions, les barrières enfoncées, les incendies de voitures et aussi le
tragique « capotage ». J'ai entendu des
bruits d'os broyés et ai vu mourir en affreuse agonie six de mes camarades, dans
la poussière, leur pauvre visage couvert
de terre et d'huile. Il y a eu 29 accidents
mortels sur les pistes automobiles en 1910,
dans les Etats-Unis, et 18 cette année jusqu'ici. Depuis 1004, plu» de dieux cents conducteurs et mécaniciens sont morts en
piste.
« Je ne fus fameux, continue-t-il, que du
jour où je tuai deux spectateurs, à SaintLouis. Alors, les « directeurs » so poussaient les uns les autres, devant la porte,
de ma cabine, pour m'offrir les plus brillants engagements, n
On voudrait pouvoir accueillir avec scepticisme de telles déclarations, même venant d'un homme tel Barney Oldfield,
qui doit s'y connaître. Les nombreux acci-'
dents dont ont été victimes concurrents et;
spectateurs de ces courses folles ne permet-.
tent malheureusement pas de mettre ent
doute leur véracité.
Vema
{
fc P
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f.
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i a été visitée, sans qu'on ait
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Le baron Aymar de Vernas,
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la grotte se trouve,
^^i°relntrodui?e^s la grotte.
Si
« 7rr*js^Dans un Î grande
A LA GAR^.^Keue de Capctowa on peut
Jna de la banbeue m
U(mg
onf ils défendent l'entrée
iés aux poncb u
JE rôdeurs.
priétai;e, les terripr0
U
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rondes et nul bruit
K dis
Slohappe à ^y^garde de sa propriété
Avant de confier la s
j propriétaire
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^ \ TJmfnmhve de chiens de
employait un grami u .
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A]ors se
?e Toi» ont ett < ^cetto particularité
ppelant que w J
aliments suspects,
[a
éviter de touent,
fauves.
tiliscr ces
h fcl
riénce a complètement réussi. Per,
Plus escalader les clôtures des
f
PsiK'ons sont redoutables pour les vo-
ils se montrent très doux a 1 égard
Eabitants de la ferme, et se laissent ca|Lr comme de petits caniches.
l ouai dommage, dit la fermière, que je
L puisse pas faire coucher ces bonnes bê! :, sur mon lit !
I
'
3
is
ie
,
I LA VIE CHÈRE. — On prépare dans l'Inde
t cérémonie d'un durbar.Tout ce que l'Anlîcterre compte de bien né se prépare donc
I*rendre à Delhi.
Ile départ de Marseille aura heu le 14
loTembre. Une véritable ville temporaire
Isevra les visiteurs. La vie dans cette vilJsseraun peu chère. 11 fallait s'y attendre.
fcCurzon-House le prix de pension est de
cents francs par jour, vin non comE Le Cecil-Hôtel ne demande que cent
ï^qiiante francs ; aussi, presque toutes
|ichambres sont-elles déjà retenues. Le
iiînon Bachelor's camp prend cinq livres,
lig-à-dire cent vingt-cinq francs. Tout le
fesoto a profité du bon marché et ce camp
plein.
IliKudsic Garden est encore moins cher,
Lpion n'est que de cent douze francs
jtïpite par jour : toutes les places y
ni frises depuis longtemps.
Ilairsonnes qui habitent l'Inde seront
InUnient traitées avec faveur. Elles
p
Mnfri£v}—* à Nicholson cainp pour oin.
Ipiite¥ux francs cinquante. Les domes°- |tw indispensables dans l'Inde seront
=■
payés à des prix qui ne sont point
ie Isœibks aux humbles ménagères : un
n- fcWde chambre anglais vaudra cinquante
pues par jour ; on pourra avoir à moinpprix les boys indigènes.
« I Outre celle de garnir soigneusement son
. jptefeuille, quelques recommandations
jatfaites aux illustres visiteurs qui vienfctprendre part à cette magnifique par* (fie plaisir. Ils devront emporter leur
;rs fjïdding draps", couvertures et oreillers,
pue c'est l'usage ; ils devront aussi se
•at
te cachets de quinine, d'aspirine,dei
de paacétine, de chlorodvne. Ils rmrnnt m-w
n mmbouteille d'eau-de-vle, une bouteille
de r*onelle contre les nin-r
Le lieutenant Hennequin sera décor?. —une bouteille à conserver l'ecu chau- ï^e lieutenant aviateur Hennequin, qui fitt
|j. une bouteille vide, un verre et une pai- il y a quelques mois la chute que l'on sait,,
«• fie lunettes teintées.
et est depuis en traitement à l'hôpital1
d"Hyères, vient d'être informé télégraphi-ou
foin MHÉGEB. — Pour la première fois,, queinent qu'à l'issue des grandes manœu;a- I* qu'il y a des Shakers, deux d'entre> vl'es de l'Est il sera compris dans la pro-..
1^ ,le Frère Gillette et la Sœur Sears ontt motion 4e la Légion d'honneur,
ue [?tmPrisonnés. Ils vont passer devant lat.
_____
l.f» suprême de l'Etat de Floride, sons5
Un
don
de
400.000
francs. — L'Union des
ion
on
d'homicide. Le*
, fait Femmes de France vient d'être instituée3i
m
. \<m bruit en AmPv'T - "s avaient soi-t■ légataire
universelle de Mme Doller, née
'T
i Ué dévouement la Sœur• Gossehn, decédée
nt
à Passy, lemplf &r. ',;:f
p4»Mr,
^
.
du
petit
village
de
KissiJ
S 6s S6m
m
■ a la cond tion feS1 «^«HTO, que tes3
| Wv| t ,
aines de tortures, celle-. rA,.„_
*SSS oiens devront être employés,
a donner des soins et à distribuer des se,,. Plais=i»S a abréger
ooultranccs. Ilsi cours aux jeunes gens pauvres, sortant in6t
" mCÂ^^ mirent la mourantei firmes, estropiés ou convalescents du ser■™ Paît dan» P?6- Elle Passa donc dou-■ vice militaire et incapables de travailler.
rô mondû Le frère Gil
' tV Petbt Wao
'
"
Si l'Union des Femmes de France refur«ailsrtnnila Sears retournèrent
à leur' sait le legs universel de Mme Dollar de
Cl
. maxime de la secte : « Dieu Gosselin, ce legs serait recueilli par des>
01il
ir*«ibn,,; î travail P°ur les mains. »' tiers qui délivreraient 150.000 fr. à la So-s
. ciété de secours aux blessés militaires,
des
<fc
te
tî'/ "4pt
?.avec beaucoup de curio- 100.000 fr. à l'Association dos Dames fran-,
r e a u
ièle- D^mm 4\r„ J
n médecin légistei çaises et 150.000 fr. à l'Académie française.
Enfin, si les Croix-Rouges ne pouvaient
l
erffiqucment Prononcé acepter
1 c «n
ït
les conditions du legs, c'est à l'Ae
cadémie française que seraient versés les
400.000 fr., à charge d'en distribuer une
J
IS¥
ift
I, J ?4
;
BMMBag_tlH III II ilM 11
Balle armoire ancienne
S'adresser à M, Baraban, impasse de la Garenne, 14.
Ouvriers Tailleurs
qui cherchez du travail, inscri-
mm NI
Bon voyageur en vins
Ja Tonnellerie PRUHIMSHOLZ
pl^^itaire _feïr55
^ faubourg Saint- Georges, a
„" {' embaucherait de bons
tonneliers, menuiSi
«s et des manœuvres.
IV^S'aa^rïnt
c
°.m.
IÈ^2H_*
OnS demande
t
G
"P1»"
««rieuse
Geor
étant
îsCheZ
î*' Belfort.
6<«. néfoj«u, ie,
rue de
' ,i,
a
Jine apprentis modiste
Z^^Jfcdes Parisiens.
607 '
ielif kn\«u}H,9\c\k,ssi!l double,
ob
bière eiclusi«m»nt fibriqoêe tue dei
MALT ET HOUBLONS DE 1" CHOIX. Très sain» et digesiive.
,
'
VAXELAIRE
" PIGMOT
de Nancy, Epinal et Besançon.
?
BULLETIN FINANCIER
!
NOS RÉBUS
§j
^ra^^^^^^^^^^^
chand d'olives
ATA. Grande étendue d'eau
entourée de terre.
DELA. Deit
dangereux de
rester derrière
1
Je suis l'auteur
de La Mascotte, M.
SAIDU.
— Moi, j'ai écrit
Phèdre, M. EXEL.
de mouton
Paris, 19 septembre.
La continuation des ventes plus ou
moins volontaires eh vue de la prochaine
liquidation ne trouvant pas de contre-partie suffisante, la journée a été mauvaise
du commencement à la fin.
Le compartiment des fonds d'Etat n'est
pas le moins atteint. Notre 3 % s'en tire
avec 0 fr. 20 de perte à 93 52. Au groupe
étranger, les Russes abandonnent jusqu'à
un point. Le Serbe perd 1 fr. 05 à 88 20 et
le Turc, qui détachait son coupon, recule
;à 90 80. L'Extérieure, tout d'abord fort maltraitée à 91 15, finit moins mal à 91 65 contre 91 87 hier ; Portugais, 66.
Faiblesse des établissements de crédit.
Au comptant, notons la bonne tenue de
l'Industrielle Foncière à 546.
Parmi les sociétés étrangères, la Banque
Ottomane et la Nationale du Mexique reperdent quelques fractions.
Grands chemins français relativement
soutenus ; par contre, les lignes espagnoles s'inscrivent en réaction sensible.
Le groupe de la traction se ressent éga)
lement
des mauvaises dispositions généra]
les.
Et parmi les industrielles russes, c'est
i
encore la Sosnowice la plus éprouvée à
I
1402.
Le Rio a fait une chute de
35
points à
1550.
En banque, seules les mines d'or témoignent de résistance. Les métallurgiques
russes reperdent de nouvelles fractions.
Caoutchoutières faibles.
PHILOUZE
20,
^^jj^j^^^
ET
WADDINGTON
rue Le Peletier.
AUX VEAUX
La Villette, mardi 19 septembre.
^^r
photographie.
Veaux amenés, 220 vendus, 208.
Vente assez facile et prix bien tenus.
Six prix seront tirés au sort parmi les
Los veaux de choix de Seine-et-Marne,
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2* prix : Un bibelot (fantaisie).
Le demi-kilo net.
S* prix : Un volume.
4'. 5*, 6' prix : Deux cartes artistique».
BIBLIOGRAPHIE
(Chaque gagnant de deux sartes postales n'aura qu'à nous adresser les nom*
■
qu'il désirera voir figurer sur ses cartes.
REVUE BLEUE, paraissant te samedi, fonCelles-ci, dues à une main artiste, consti- dée en 18G3, H bis, rue de Chfttcaudun ; directueront donc autant d'oeuvres originales.) teur : Paul Fiat.
Sommaire du 16 septembre 1911 : Emile FatA
guet, de l'Académie française : L'Idée de Dieu,
Ont deviné le dernier rébus :
— Paul Fia* : La Formation d'un grand homLe Yoa à sa Yine — Paul y Gone d'Ugc-' me : La Jeunesse de Richard Wagner. - Pélanie — G. Maboire — Le grincheux de Ta<■ dan : Du Louvre et de sa garde, — Fernand
chambre 7 — Le loustic de Titine — Sel-- Catissy : Voltaire politique de clocher. — René
rach — S. Piègle — S. ça ? — Tirez les ri-- Morax : L'Ombre (conte). — Yv. de Romain : Le
deaux — Latnoc —• La Glu — Jéricho Mun-- mouvement littéraire dans la Suisse française.
fou — Le baron X... — A. dit Dillon — Jo-. — Lucien Maury : Les Lettres : Œuvres et idées.
conde — Un baoué de la Seille — Lutocar. — Les Mémoires de Casanova. — Jacques Lux :
— Le père de Zér^ette — Môme Cack — Bo- Chronique des Livres. — La Vie politique dans
Deux Mondes,
triocéphale — Sir Kuler — Sir Odgom —r lesPrix
du numéro : 00 centimes.
Sir Oko — Ma petite sœur — Seth et moi1
A
— De Saint-Gami — Le sous-préfet de La1
IA VIE HEUREUSE. — Chacune des chronillouzule — Fftnphonse V — C. d'Allain —- ques de M. Flament est une page de notre hisG. Gagné — Parangon — Le père NO (hô-- toife anecdotique et morale. C'est assurément
tel Bardol) — L'invalide de Bains-les-Bains.. uni des plus curieuses qu'on trouvera dans la
Vie heureuse du K septembre sur la Vie de
A
CMteau jadis et aujourd'hui. Il faut voir les déVoici quelle était la solution :
Ue — faux sou — é, t — KEU lit Verne — liceux dessins du jeune maître Brissaud qui la
sous A, PAZ oscille,-i O*1, **
'^^SCH[ commentent. D'autres articles, d'autres pages
illustrées raccompagnent qui font de ce numéUi faut souhaiter que l'hiver ne soit pas, ro une sélection de l'actualité la plus originale,
aussi long et froid, qu'est chaud et longî M. Dubois, le renommé maître d'escrime de
cet été).
' «0r_w 'ï'niaue, y expose aux femmes l'Art de
se détendre, avùir mit£^D i. v^Fr^i. Os - <_H
*\
les péripéties du voyage de Mme Vassal, qui
Résultat du tirage de la dernière série :: vient de passer trois ans en Annam. En assislor prix. — Une carnassière : Le loustic: tant à la Vie des milliardaires américains à Bar
de Titine.
Harbor, leur plage préférée, on y découvre ui<
2" prix. — Un bibelot (fantaisie) : Lo côté nouveau de ce peuple étonnant.
Et ce sent encore deo merveilleuses composisou s-préfet de La Bouzule.
tions signées Simont, Bené Vincent, des pages
3* prix. — Un volume : Lutocar.
littéraires de Ch. Louis Philippe, Emile Hinzee
4 , 5", t> prix. — Doux cartes artistiques :
lin, une interview de Jean Bertheroy, des chroJéricho Munfou, Latnoc, G. Maboire.
niques d'Henry Bidou. Sibyl de Lancey, etc....
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D'un exploit du ministère de M* DURANT, huissier î Nanev,
en date du 19 septemore 1911, enregistré.
Il appert :
Que Madame Marie-Jeanne MERYELAY, épouse du sieur CharlesAlbert CHIFFLET, sculpteur, avec lequel «Ue demeure à Nancy,
rue de Belfort, 27,
A formé contre son mari s* demande en séparation de biens.
Ei que M« LAMBERT, avoué, a été constitué à l'effet d'occuper
pour elle sur ladite demande.
Pour extrait :
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viteli
Kokostsof, est âgé de soixante ans.
1
a11 débuta dans la carrière administrative
au ministère de la justice, où il prit une
ppart
importante à la réforme du Code pénnal, U
y travailla aux côtés du conseiller
tHtm et leur œuvre fut l'amélioration relatitive du sort des condamnés. En 1877 M.
R
entrait au cabinet du secrétaire
dKokovtsof
d'Etat
Grot, le fondateur bien connu des
éétablissements philanthropiques do l'impérratrice Marie-Feodorovna. En 1878, M. Kolkovtsof
<
partait en mission pour étudier les
p
prisons
européennes. En 1879, Alexandre II
P
l'attachait
à la direction des prisons, poste
cqu'il occupa pendant de longues années et
ooù il fit dans le sens de l'humanité d'imFportantes réformes.
Sa carrière financière commence en 1890,
ddate à laquelle il entre au cabinet du seccrétaire d'Etat aux finances. Trois ans
r
plus
tard il devient lui-même secrétaire
<jd'Etat de département économique. Le mir
nistre
des finances Witte le remarqua et en
1
1896
l'appela près de lui. Pendant les siï
sannées qu'il demeura aux côtés de M. Witte
iil fut la main droite du ministre des finan<
ces.
Il s'occupa avec une activité particu1
lière
du commerce et de l'industrie, des
iimpôts directs, des fonds d'Etat et du moi
nopole
de l'alcool. Toutes les mesures qui
c
ont
été prises dans ces divers domaines
\
viennent
de son initiative.
C'est en 1903, lors de la retraite de M.
Pleske, que M. Kokovtsof reçut enfin le
portefeuille des finances.
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