2i ' 21 VOSGES Conseil général lu Séance du septembre La séance est ouverte à quatre heures quart sous la présidence, de M.. Armand Le«erlin assisté de M. Afoei Ferry ry comme secrétaire. Il est tout d'abord procédé à l'élection du président. M. Lederlin est nommé président d< ni au premier tour do scrutin avec 27 voix. Sont nommés vice-présidents ts : MM. Eury et Durand. Secrétaires : M. Desbleumortiers et Porterai. M. le président remercie ses collègues du grand honneur qu'ils ont bien voulu lui renouveler cette année. <i Je suis touché, dit-il, de ce témoignage de confiance et d'honneur que vous me donnez. Je m'efforcerai d'en être digne. » M. le président salue la mémoire de M. Detieux, décédé depuis la dernière session, ©t adresse, au nom dû' conseil général', à «a famille, l'expression de ses sentiments de profonde sympathie. Il souhaite ensuite la bienvenue à M. le docteur Contai qui succède à M. Détieux. M. le président prononce ensuite l'alloeution suivante : « Messieurs, « Notre pays traverse en ce moment une crise dont l'issue peut ne pas être prochaioe. S'il est un coin de la France où les négociations actuelles sont suivies avec intérêt, c'est bien dans notre région frontière. J'ai l'orgueil d'être l'interprète de tous mes collègues pour admirer le calme et le sangfroid avec lesquels toute la France en attend le résultat. Si nous sommes amis de la paix, nous proclamons bien haut que nous ne la voulons que si elle ne nous enlève pas une parcelle du prestige et de l'indépendance de notre grand pays. » (Applaudissements.) La séance est levée et renvoyée au lendemain, à trois heures. j *• r-LCMBEuHES Vol.— Le nommé Albert Colin, cocher ] à l'hôtel Deschaseaux, a porté plainte conI tre ire un voleur inconnu qui s'est s est introduit cl.ois c dans sa a chambre pour lui voler sa monde montre estimée 1)5 fraiies. LES PROPOS PR0P0 litlM Uliciçttte semaine, des correspondants VII nous adressent des réclamations au sujet nous ad de petites correspondances auxquetles il n'aurai! pas été répondu. Rappelons qu'il est répondu ëans le journal d toutes les petites correspondances. Mais la L'. V. ne parait van à jour fixe. C'est d nos correspondons a lier ciiuq<ie jour l'Est républicain ci a q chercher la réponse d leur demande. mm k I i-ont sans doute n Féquant et M: i Petites OilipillI - 9 _ ît au niprun u B,U jD. ._ j c, veut et j ai lait un J X — J c uis : V à unique et majeui, etc. CLc. . à mon mon fils fj [-ait pas e R. — Votre i'iis neje pourrait pas. > Va «*> « «membre 'lembrt l9ll 1911. Quoi qu'on dise, il y aura pouw ant D. - Doit-on dhe Xhemand ou Prussien (que chose de changé dans i autant SAINT-BÎÉ 1U&1. W&l. a «uode moff o Bribeur. — Le nommé Grelot Joseph, en parlant des habitants des Etats conit ver, bien qu'au premier coup d'oeil !i,Cet biâgé de 38 ans, cultivateur à Netivillersse dérés de l'Allemagne V ble vouloir rester au très étroit JDR — On doit dire Allemands pour les sur-Fave, trouva qu'il était plus facile, D'abord les corsages kimonos pour prendre du poisson, de pêcher dans 'onos v • ettt habitants des autresj.ays que la 1 russe. fin de leur règne. Les manches; manches < 'nt la le lot réservé, sur le pont de FrapeUe. D Alsacien*Lorrain qu'on envoie les corsages que les sêrom' ^ Comme il venait de prendre une belle truies blouses, serotT^ D — Ayant oublié de faire viser mon lite, survint le garde-champêtre. Grélot préfaire son service militaire en Prusse, est-il tées dans 1 entournure tout comme • vret militaire depuis quelques années et Allemand ou Prussien ? tendit avoir pris la truité dans un autre . elles seront, étroites et fort longues '• m appartenant à la classe 1888, je no sais, en (endroit non prohibé, et qu'il s'amusait à R. _ Un vrai Français ne quahlieia ja- poignets descendant fort avant sur'^11^ ] cas de guerre où me présenter pour faire regarder les poissons du dessus du pont. mais de Prussien un annexé. Les corsages seront drapés, très B11mon devoir comme tout autre Y a-t-il Procès-verbal lui a été dressé. *** soit avec revers, soit avec des dran/^11'8! moyen de rendre service à ma patrie en D. — Comment faut-il faire pour retrouGERBÉPAL m cas de guerre sans risquer la prison en cas ver un frère qui est parti de chez moi à l'orme de fichus ou des berthes sout^ Un suicide. —. Thierry. Théophile, .cull§Uées de rouleaux de fourrure. ' de paix. tivateur à Gerbépal, s'enivrait journellel'âge de 16 ans, alors que maintenant il en R.— Adressez-vous à la gendarmerie. La passementerie en général, les fr ment. Dégoûté de la vie, il annonça son a près de vingt ? Mieux vaut encourir les risques d'une peiintention d'en finir. Il quitta son domitrès longues, orneront les manteaux R. — Adressez-vous à la prélecture. ne qui sera légère, étant donnés, vos sentoilettes du soir. "% cile et on ne le revit plus. Sa femme pré** timents . patriotiques, que de rosier uans : vint le gai'de-ehampêtre,qui fit des recherD. —' X... terrassier, blessé le 1er septemTous les tissus se font cet hiver àd une position irrégulière. ches sans résultat. bre, au 15 septembre ? Dois-je, du mo- face, que ce soit de la laine ou de ta^ : "Le nommé Cuny Jules découvrit le malment que cet homme touche son demi-sa- du velours ou du brocart. D.— J'ai 23 ans. Si* la guerre éclate, je heureux pendu , au lieu dit « le Mauvaisvoudrais suivre un régiment. N'ayant tait laire par les soins de l'assurance, lui apOn peut donc prévoir Deaucoup de v Pré ». Se rappelant sans doute la célèbre aucune étude d'infirmière, quelles sont les poser des timbres correspondant à ce de- té dans les costumes, mais aussi f ^ chanson, son premier soin fut de courir nii-sriîaire V formalités à remplir ï craindre, comme en tout du reste n prévenir l'autorité. Lorsqu'il revint sur les R. — Nous le pensons. R.-- 11 n'y à pas d'infirmières qui suilieux accompagné du garde-champêtre, il mauvais goût n'ait sa part dans'la 'e vent les régiments ; elles sont réparties 8 10 coupa la corde, mais le pendu avait, cessé blage d'applications de teintes vives * * D. --Jeune ménage avec un enfant, de dans des hôpitaux de campagne. Pour 6ur do vivre. . 6UT être infirmière agréée, il faut avoir le bre- nationalité suisse, habite la France. Le fond vert, violet ou noir-suie. . •* ® <t» ■ mari prend des habitudes d'intempérance Les costumes de drap se contenteront A vet de la Société de secours aux blessés et maltraite sa femme. Celle-ci va être for- garnitures plates ; ceux de soie, coiamp • (Croix-Rouge française). Cette société pos■sède un dispensaire-modèle à Nancy, rue cés de demander le divorce. Quelle est la l'ai déjà indiqué antérieurement, , 1<3 au Saint-Fiacre, où vous pourrez avoir tous marche à suivre dans son cas ? des volants nombreux, des ruchettes R. — Avant de voir un magistrat, Ja les renseignements désirables. femme doit s'adresser à un avocat ou a un bouillomiés, tandis que lee toilettes de lours, de damas, de peluche, seront ornéT D.— Etant libéré de mon service mili- avoué qui feront le nécessaire. d'applications et de découpages. La fou? *"„ taire il va v avoir deux ans à la classe, je Los ressources fourragères D. — Un propriétaire a-t-il le divi: de rure sera le complément de toutes les s,' voudrais rengager. Le puis-je encore, jusvanner sur le bord de sa porte et envoyait niturcs ; on en mettra au bas des jupes, que quand et à qui dois-je m'adresser .' Le remède existe toujours auprès du Il _ Adressez-vous au bureau de recru- sa menue paille et poussier sui la v<j\4 pu- autour des berthes, sur les chapeaux, aux; mal : ce proverbe trouvera cette année une blique, et qui voltige à plus de 3 mètris de bien qu'on la mélangera aux tulles et aui nouvelle application dans la question de la tement. hauteur, et elle voltige à plus de 30 mètres gazes des robes de bal. disette do fourrages.Nous n'avons que trop D — Né en Alsace-Lorraine en 1854, j'ai ' de chez lui, ce qui porte préjudice à tout peu de fourrage, mais nous allons avoir Les longues redingotes de damas double* quitté le pavs en 1872 et y suis retourné j le quartier V une belle vendange. face seront garnies de larges bandes de R. — Personne n'a le droit de portei préen 1875, après avoir fait mon service en j Mon intention n'est pas do donner le vin France. En 1877, j'ai été appelé pour pas- | judice à ses voisins Vous pouvez, par con- fourrure ; le corps intérieur et les manLe rôle de la session.— Six affaires sont à nos animaux encore que les chevaux de ser le conseil de révision en Allemagne, j séquent, porter plainte à la gendarmerie. ches seront doublés de fourrure souple • inscrites au rôle de la. session qui s'ouvri- courses trouvent souvent dans son emploi le pelit-gris et le chinchilla de même quê ** Ayant été reconnu bon pour le service, je , grande vigueur, mais bien d'attirer ra le lundi 25 septembre, à neuf heures une t D. — Pouvez-vous m'indiquer dans vos l'hermine authentique ou fausse serviront suis revenu en France. Je suis donc dé- ' du matin, sous la présidence de M. Tardu, 1l'attention de la culture sur une ressource serteur allemand. J'ai 58 ans aujourd'hui, : prochaines Petites correspondances les à cet effet. conseiller à la cour d'appel de Nancy. En ttrop peu connue dans notre pays : les puis-jo retourner librement en Alsace-Lor- maladies que l'on soigne spécialement à Après avoir eu l'an passé les grands voici le détail : ifeuilles de vigne et les marcs de raisins. raine sans craindre les représailles du l'Institut chimique, 53, rue Blanche, à manteaux de mousseline de soie, on ç . j La feuille de vigne constitue un aliment Lundi 25.— Première affaire : Attentat as Paris ? gouvernement allemand ? à la pudeur. — Accusé : Edouard Char- de t premier ordre.grandemont utilisé en Alsera cet hiver aux chaudes redingotes d'il R .— Nous vous donnons le conseil de (En 1908, dirigé par le docteur Hogérie ou. les ressources fourragères sont ton, 65 ans, retraité à Chantraine. — Mi- i y a un siècle. vous entourer de tous les renseignements meyer.) nistêre public : M. Coucliepin, procureur irares en général. Après la vendange, au On m'assure que les manchons plats ont possibles, notamment près des autorités R. — Veuillez écrire à cette adresse, ce an ois d'octobre, .en fait passer les troude la République. — Défenseur : M" Tous- J vécu. On revient aux très grands manchons allemandes qui ne badinent pas en pareille qui> vous sera aussi facile qu'à no us-même. dans les .vignes, Us mangent les saint, du barreau d'Epinal. — 8 témoins. peaux 1 ronds et doublés de satin ou de brocart. et les sarments encore mous. •*v matière. Deuxième affaire (2 heures soir) : Atten- feuilles 1 Le manchon-tambour remplacera lemanJe sais bien que le mildiou, depuis bien ** D. — N'ayant pas encore passé le contat à la pudeur. — Aceusé : Lucien-ElioD.— Je suis à la campagne, dans une , seil de revision, ai-je le droit de choisir chon-chancelière. dore Géant, 35 ans, manœuvre à Lame.- <des années consommait à.lui. seul tout le ferme champêtre ; mes occupations ne me mon régiment en devançant l'appel ? Quelques grandes maisons lancent des rey. — Ministère public : M. Grandjean, 1feuillage de nos vignes, mais cette année il permettent pas de nie déplacer volontiers ; R. — Il faut d'abord être accepté par le substitut du procureur de la République. :a bien voulu les respecter et nous permetcorsages à taille très longue avec jupe à (comment pourrais-je m'y prendre, sans [régiment et être reconnu bon. d'en faire usage, c'est à nous d'en pro— Défenseur. : M" Coudré, du barreau tre 1 petits paniers. Cette mode prendra-t-elle ? me déranger, pour essayer d'obtenir le fiter. - \ ;', '.. ; d'Epinal. — 5 témoins. i Au seizième siècle naquirent en Francs brevet d'aptitude militaire. L'instituteur , Je n'indique pas cette ressource pour la D. — Faisant partie de la classe 1910, et Mardi 26.— Troisième affaire (9 h. male vertugadin et le corset. Le premier noua de ma commune ne .pourrait-il pas se grande, culture, certes, mais.le petit cultidevant rejoindre mon régiment le 5 octotin) : Infanticide. — Accusée : .Marie-Eu-: j charger de cette besogne au cours d'adul- bre, je vous serais obligé de me faire sa- venait d'Espagne : c'était une sorte de crigénie Georges, 24 ans, domestique à Cor- vateur, le plus éprouvé en général, trouvetes pendant l'hiver.Ensuite veuilloz îîi'énu là une ressource appréciable et pourra voir si j'ai le droit de séjourner en Alsace- noline, consistant en une ceinture de groscieux. — Ministère public : M. Grandjean. ra i mérer les conditions à remplir pour l'obte- Lorraine du 1er au 4 octobre. Jc suis né à se toile à laquelle tenait un cercle de 111 de mettre ses petits animaux dans la yi— Défenseur : M0 Lardier, du barreau de soit ' gne même, soit pratiquer la taille d'automnir ? Nancy. fer qui relevait les jupes autour des reins, Saint-Dié. — 4 témoins. ! R.— Il nous semble fort difficile que taillasser comme on dit dans le Midi, R. — Evidemment, puisque vous n'êtes Quatrième affaire (2 h. soir) : Incendie ne, ■ pour faire valoir la finesse de la taille. Los vous puissiez obtenir le brevet d'aptitupas encore soldat et que vous ne devez jupes de dessous étaient très amidonnées, volontaire. — Accusé : Joseph Liégeois, rentrer les sarments encore chargés de de militaire, sans passer par une école rien à l'Allemagne au point de vue mili57 ans, manœuvre à Saint-Baslemoni — :feuilles, Les faire sécher à l'ombre, les conet garnies de cercles de fer, de baleines ou d'instruction. Ce brevet permet de choisir taire. Ministère public : M. Grandjean.— Défen- server à l'abri et les donner aux animaux même de bois. son régiment et d'être promu caporal ou pendant l'hiver. * * seur : M0 Coudré.— 6 témoins. Au dix-huitième siècle, il reparut sous le brigadier après quatre mois de services ; Cette taille d'automne de la vigne n'est D. — Quel est le montant total à Nancy Mercredi 27.— Cinquième affaire (9 heuJe ne vous parlerai pas du rôti, vous il exige un sérieux travail. nom de « paniers », qui atteignirent des connue en Lorraine bien qu'elle médos contributions sur un loyer de £00 fr.. res matin) : Meurtre. — Accusé : Jean- guère . Â.-,1?; ■ Baptiste-Emile Lecomte, 41 ans, canton- ritât de l'être davantage ; elle consiste à aurez le choix, entre une volaille, un filet l'intéressé n'étant soumis a aucune pa- proportions ridicules sous le règne de nier à Saint-Etienne. — Ministère public : couper le sarment à deux yeux au-dessus de bœuf ou un gigot, mais nous nous ocLouis XV. D. — Prière de me dire s'il n'y a pas un tente '! M. Couchepin. — .Défenseur : M8 Husson, de celui qu'on veut conserver dans la taille cuperons de l'entremets. Vous commenceR. —- Vous devez payer dans les 90 fr. moyen pour empêcher les glaces de se taNous avons eu, il y a une trentaine d'andéfinitive. En autre avantage, elle permet du barreau d'Epinal. — 4 témoins. cher à la campagne dans une maison 1er-. . rez par préparer 125 grammes de riz au ;—-——— ♦a nées, la tournure, et de minuscules panière tes travaux dans les vignes pendant tout Sixième et dernière affaire • (2 heures lait bien sucré et vanillé à souhait, lors- mée pendant tout l'iiiver. Faudrait-il lés que l'on connut surtout sous le nom de soir) : Assassinat.— Accusé : Henri Che- l'hiver QB laissant au vigneron la faculté qu'il sera cuit vous, le dresserez dans une décrocher V relevages. de. faire la taille définitive-, aussi-tard • qu'il valine, 46 ans, tailleur de meules au ClerR. — C'est en effet lé plus simple. coupe profonde et le mettrez à refroiaii La nouvelle REINE des bières (Marque déposée) Attendons pour voir ce que nous résef-. w* jus. — Ministère public ; M. Couchepin. — le veut, d'éviter ainsi, dans .une certaine * sur glace si possible. est fabriquée avec du malt d ORGE et du vera la mode cet hiver. Défenseur : M° Viatte, du barreau d'Epi- mesure la gelée au printemps. i D. — Peut-on choisir son. régiment ? Lorsqu'il est bien pris, dressez par des- i R. — On peut choisir son régiment si on HOUBLON exclusivement La feuille de vigne sèche est même un Le tissu le plus pratique est, en ce nie» nal.— 15 témoins., j La BRASSERIE ne fabrique pas de pe- înent, la ratine double face, à envers écosfourrage riche, contenant 12 % de matière sus 6 moitiés de. poires Duchesse ou d'aupossède le brevet d'aptitude militaire, mais ARRONDISSEMENT DE REMIRE MO NT tite bière ou bière de MÉNAGE, ni auazotée, quand le foin n'en contient ordinai- tre quaLi'iérfondante, que vous aurez épluon ne le peut faire dans d'autres cas, lés sais. On en fait aussi bien des robes que REMIREMONT rement que 8 à 9. chées et mises à cuire dans un sirop lé- affectations de faveur ayant été radicale- tres du même genre. des manteaux, et la solidité en est inconLe sulfate de cuivre employé dans les ger. Auto contre auto.— Mardi soir, vers 5 ... ment supprimées. , testable. ceures, deux autos se sont heurtées à la bouillies contre le miMiou,pourrait causer : Décorez de fruits confits, saucez d'un ** Pour les gros froids, on prépare des laicroisée du faubourg de Gérardmer et du quelque crainte, mais une expérience lon- cordon de sirop d'abricots, et servez D. — Etant, né en Belgique, mais fils de nages épais et très souples, de couleurs boulevard Thiers, par suite de l'excès de gue montre qu'il n'offre aucun danger. Il parents français, où dois-je faire mon serchaudes. Comme tous les autres de la saivitesse de la voiture appartenant à un faudrait cependant se garder d'employer glacé. Extrait de l'état civil de Metz Un bon fromage et de beaux fruits com- vice militaire ? propriétaire de Flavigny (Meurthe-et-Mo- des feuilles de sarments sur lesquelles on son, ils seront aussi à double face. R. — La loi française vous considère pléteront votre, dessert, et vous aurez, je Naisances. — Georges-Richard Burkert. selle). L'autre voiture ' appartient à un aurait répandu des bouillies arsenicales. On garnira peu avec des galons ; ce secomme Français. Les marcs de vendanges sont en généc^l crois, un dîner parfait dont on vous com— Marie-Françoise Pesé. —- Jeanne-Louise ront surtout les dispositions des couleurs raarchand de cycles de Pouxeux. Les deux S* voitures sont assez gravement détériorées jetés au fumier ou même dans nombre de plimentera longtemps. D. — J'habite une maison depuis trois Krause. — Louise Beck. — Augustine qui feront l'originalité des ornements. et il n'y a eu heureusement aucun acci- villages forment des tas très désagréablemois ; la maison est habile par des mon- Wagner. — Auguste Dick. — CatherineLes petits corsages directoires se feront ment odorants. C'est pourtant une ressourdent de personnes. daines, lesquelles, par leurs allées et ve- Marie Bourger. — Charles-Frédéric Barg. Nous allons terminer par un petit conen velours, et se garniront de beaucoup de Une aubade.— A l'occasion de la Saint- ce précieuse que le vigneron perd de gaîté — Louis-Auguste Biîlotte. — Louis-Philipnues et leurs chants et musique nous troupassementerie on les portera aussi bien seil qui fera plaisir aux coquettes qui se Gustave, la musique municipale est venue de cœur. blent notre sommeil, attendu que, nous pe Matt. -- Osvvald-Jean Dewendcr. — An- avec des jupes de lainage, de drap, que de Frais ou distillé, le marc est accepté plaignent d'avoir la peau luisante et grasdonner un concert sous les' fenêtres de son ne-Catherine Kuhne. — Wilhelmine' Nies. sommes d'honnêtes travailleurs et avons chef, M. Gustave Simard, a.uquel il a été par tous les animaux, mais c'est surtout se. Le traitement très simple que je vais — Gabrielle-Emilio-Louise Heinfling. — taffetas. aux moutons, pour les vaches qu'il con- vous indiquer vous donnera un résultat une petite fille en bas-âge qui, elle aussi, Anne Hilt. — Léonce-Marie Kaikinger. — offert un magnifique bouquet. Ls jupes resteront courtes pour la mara besoin de repos. M. Simard, très touché de cette délicate vient Le mieux. Paul-Marcel Bazin. — Frédéric Lindner.— che, on portera plus de bottines que de souexcellent ; Veuillez nous dire s'il y a lieu à résiliaSa composition est telle que 100 kilos de pensée, a remercié affectueusement les 1° Lavez-vous Le visage le matin et le tion de bail, et avons-nous droit aux dom- Fricda-Agathe Schmitt. liers. Les guêtres noires, soit en daim ou musiciens, dont la parfaite exécution des marcs égouttés et contenant encore 70 % Mariages. — Pierre Muîler, relieur, et en drap, seront le complément indispensasoir avec de l'eau tiède additionnée d'uno mages-intérêts '.' d'eau correspondent à 50 kilos de bon foin divers morceaux fut très applaudie. Marie-Adélaïde Chéry. — Edmond-André R. — Vous pouvez obtenir la résiliation, pincée de bi-borax, essuyez-vous. Pour le pot-au-feu des écoles.— A l'occa- sec. Kellner, ingénieur a Montigny, et Marie- ble de la toilette do nos élégantes. , 2° Lavez après avec du lait dans lequel mais il faut plaider devant le tribunal. Pour les enfants, la mode aussi essai» La conservation est facile.Quand on veut i-ion do la courageuse entrée dans la cage Félicie Palseur, à Novéant. — Bernard *v - aux lions de la ménagerie Camillius de M. conserver du 'marc frais, on n'a qu'à le on a exprimé Le jus d'un quart de citron Friob, paveur, et Léonie Kremer.néo Noél. du nouveau. D. — 1' a-t-il à Nancy une société colom- — Eugène Martin, coiffeur, et Marguerite Les garçonnets porteront le pantalon !3éjin négociant à Remiremont, une quête serrer dans les bouges à fermentation et à (pour une tasse à café de lait). Laissez sébophile s'occupant de rapatrier un pigeon- Lang. — Jean Schall, chef machiniste, et long, et les fillettes, m'assure-t-on, 1*1* faite au profit du pot-au-feu des écoles, a le couvrir de terre, la petite quantité de cher, puis poudrez largement et essuyez. produit une somme de 15 fr. 75 qui a été sucre qu'il contient encore fermente et sufCaroline Martin. — Eugène Welsch, pê- pes longues, sorte de réédition des cosi Très facile, comme vous le voyez, mais voyageur ? fit à le conserver ; quand il a été Lessivé ne perdez pas votre formule et inscrivezlemise à la mairie. R. — Les Eclaireurs de Nancy, les Vol- cheur, et Germaine Ostermann. — Julien mes « Kate Greenaway ». VAGNEY pour fabriquer des piquettes ou distillé, il Godot, charcutier, et. Marie Barbier, tigeurs de l'Est, à Nancy. Avec les longs paletots dont je VaT't Le feu. — Le fou s'est déclaré dans une faut le comprimer dans un bouge, une ci- la sur vos tablettes de recettes pratiques, à Château-Salins. — Jules Kress, sculpdernièrement, nos mignonnes seront a ferme appartenant à M. Emile Robert, eul- terne munie à sa partie inférieure d'un pour la retrouver en cas de besoin, mes D. —■ Locataire depuis quatre ans, la teur à Longeville, et Marie Muller. — - *. Svateur à Chôvreroche. En raison du trou par où s'écoule l'excès d'eau, le saler à chères étourdies. serrure de l'appartement ne fonctionne Jeaji Grosse, conducteur à Montigny, et cieusement vieillottes. L'essentiel est que nos enfants aient D Tante ROSALIE. manque d'eau, le fléau ne put être sérieu- eha.que couche et le couvrir de terre. De plus régulièrement. Est-ce au locataire ou Régine Eichborn. — Augustin Pauline, sement combattu et l'immeuble a été dé- nombreuses expériences ont montré que les chaud, surtout si l'hiver doit être aussi ■ 1"^——" ^^--^^-«f^^———— Il I II III I I I- ■■! au propriétaire qu'incombe la réparation ? ouvrier, et Aline Charton. truit. Les pertes sont dé 9,000 francs, dont sulfatages ne donnaient au marc aucune Décès. — Elisabeth Thomas, née Meiss- goureux que l'été a été chaud. R. — Au locataire. ( ort e >,Ô00 francs pour le mobilier et les récol- propriété nuisible. Il faut cependant faire ner, 27 a.na. — Veuve1 Marie-Josèphe Herdé, s* 11 va sans dire que les fillettes P ^. la même i-éserve que pour les feuilles au tes, qui ne sont pas assurés. D. — Seriez-vous assez complaisant pour née Kœnig, 63 ans. — Elisabeth Gorins, de jolies petites capotes, tandis que lesc A^, ELOYES sujet de l'arsenic. m'indiquer, dans les Petites correspondan- née Detemple, 34 ans. — Eugène Duteil, çons, abandonnant le béret, portercn Les rations qu'on peut donner aux bœufs Abus de' confiance. — Un individu qui ces, l'adresse d'aviateurs connus pour mes ouvrier, 53 ans. — Philippe Histing, me- casquettes, et, sur toute le ligne, la P ^ s'est fait héberger à l'hôtel Ravon en se sont de 20 à 25 kilos par jour ; aux mounuisier, 52 ans. — Antonio Juliajii, oucollections. d'autographes '! , ^ taisant inscrire sous le nom de Pierre Per- tons, de 5 kilos de marcs frais ou de préféR. —- Vous avez perdu une belle occasion vrier, 49 ans. — Marguerite Fritz.serveuse rine vosgienne à capuchon niopi u!e ro, 28 ans/ représentant de commerce à rence distillés ; aux porcs, de 5 à 10 kilos. chaude et si pratique par la P» de brasserie, 23 ans. — Veuve Marie-Thépuisque tout récemment des aviateurs céNancy,, a disparu avec une bicyclette qu'il Toutes ces rations doivent être complétées lèbres étaient réunis aux manœuvres des rèse Malye, née Willigens, 70 ans. — Jus- nieige. Tïi avait louée pour une course à M. Màtt- par l'adjonction de sons, de tourteaux ou Comtesse BEW^ 7" et 8° corps, mais .vous pouvez encor" tine-Léon ie Schneider, religieuse, 82 ans.— mann, marchand de cycles. L'escroc est de grains moulus. , vous adresser à Verdun, où vos demandes Michel Muller, infirmier, 23 ans. L. T. recherché. Cour d'assises ARRONDISSEMENT DE SAINT-DIc Veioutinc aux marions. — Croquette Saint-Hubert. Veau sauté à la R (-«naine. — Poires impératrices.— Entretien de l'épidorme, etc. Une de mes nièces, une des plus ancienmême, me prie de. lui confectionner le menu d'un bon petit dîner d'amis, mais un dîner, soigné, gourmand même. Comme beaucoup d'autres pourront glaner quelques recettes dans ce menu, je m'exécute .avec plaisir. Commençons par le potage. Les marrons ayaiif fait .Leur' apparition, nous allons en profiter pour confectionner une délicieuse veloutine que vos convives apprécieront, croyez-le. Epluchez complètement 25 beaux marrons, et mettez-les à cuire avec un litre et demi d'eau, 20 grammes de beurre et une branche de céleri, une pincée de sel et une pincée de sucre. Lorsqu'ils sent cuits, égouttez, réservez la cuisson et passez au tamis fin les marrons. Vous délayez la purée avec la cuisson en ajoutant, si c'est nécessaire, un peu de lait, et vous terminez en incorporant 2 ou 3 cuillerées de crème et un morceau de 'beurre frais. -Servez avec des croûtons frits, au beurre. ** Comme relevé de potage, puisque nous sommes en pleine saison' de chasse, nous servirons des croquettes Saint-Hubert. Pour G personnes, prenez 250 grammes de chair de gibier, perdrix, faisan, ou lièvre, que vous taillez en petits morceaux, ajoutez 250 grammes de champignons, haciicz et Liez le tout avec une épaisse sauce brune dans laquelle vous aurez mis un jus de gibier préalablement rôti, si vous en avez. Vous laissez refroidir et au moment de servir vous faites avec cette sorte de pâtée des boulettes allongées que vous trempez dans de l'œuf 'battu et que vous roulez ensuite dans de la mie de pain émiettée. On fait frire à friture chaude et on sert en pyramide avec quartiers de citrons. Occupons-nous maintenant d'une entrée friande. Je vous propose le veau sauté à la romaine. Prenez un beau morceau de 'veau dans la noix, taillez de beaux petits carrés assez épais et Longs de 5 centimètres environ, mettez-les à cuire dans un sautoir avec 50 grammes. de bon beurre, veillez à la cuisson, qu'elle s'opère bien et que les morceaux soient dorés et de. belie mine. Au moment de servir, vous dressez en gradin au milieu du plat et vous entourez de petites carottes cuites à Teau et glacée au beurre, ainsi que de petits fonds d'artichauts préparés de la même façon. Enfin, vous déglacez avec un verre de vrn vin blanc sec, fait faites réduire,vous | ajoutez 3 décilitres de crème crèm double et un peu de jus de viande. Laissez bouillir 5 minutes en plein feu, passez à la fine passoire et versez sur le veau. nes ulletin ayr j _ un La Téntase jffi ire ne Green-ParR Par Arnould GALOPIN Tandis que nous épiloguions là-bas, M. Crawford et moi, sur les probabilités d'un vol, il faisait des bamboches à la santé de son patron avec l'argent dérobé au mort Il n'avait pas encore vendu de titres, mais il devait avoir les souverains, les vrais, ceux qui étaient marqués d'une étoile... Cependant jetais arrivé à Broad-West. Il faisait nuit. — A cette heure, me disais-je, assez inquiet. Slang est do retour pour recevoir 6on maître ou bien il ne rentrera plus. Je procédai rapidement dans le petit bois que l'on connaît, à ma rapide transformation en « lad », je me- passai encore eur le visage une couche de mon vilain enduit, puis je m'acheminai vers la villa ; Crawford. Aucune lumière ne brillait aux fenêtres du cottage... seule une imperceptible clarté, parei'He à un faible reflet de lune, filtrait a travers les bow-windo\V3 de la gaéerie du premier étage, • J'atteignis la grille'latérale qui donnait une secrète sympathie pour le robuste chauffeur... Elle m'ouvrit la grille en disant : — Allons, entrez... je ne puis pourtant pas vous laisser dans la rue... mais c'est égal... Slang anuse vraiment... Montez vite vous coucher... et surtout si M. Crawford appelait, ne répondez pas... eachezvôus au besoin... Que penserait-il s'il savait qu'on a introduit un homme ici pendant son absence 1 Je remerciai Betzy et gagnai rapidement la chambre de Slang. Aussitôt monté, j'avais allumé un bout de bougie, qui traînait avec quelques autres sur la table de nuit de mon pseudocousin, et muni de ce lumignon vacillant, je m'étais dirigé vers la rangée de chaussures. Il y avait, ai-je dit, au nombre de ces chaussures, une paire de boots caoutchoutés ; celle-ci était à éliminer. Je retournai vivement les autres : deux paires de brodequins à lacets... Aucune n'avait été ressemelée. Il était donc do toute évidence que les bottines qf.i avaient laissé leur empreinte dans le jardin du crime étaient bien celles que le misérable avait aujourd'hui à ses pieds. Je fis, par habitude professionnelle, un rapide inventaire des objets contenus dans la chambre de Slang ; je ne découvris rien d'intéressant. Je songeais déjà à m'en aller, mais après réflexion, je résolus d'attendre encore, espérant toujours que mon assassin reviendrait. Je m'assis donc sur le lit et me mis à réfléchir, .roulant dans ma tête mille projets plus absurdes les uns que les autres, quand soudain le grippement d'une porte me rappela à la réalité. C'était Slang qui rentrait... ivre comme un nègre, ainsi que le disait Betzy... ivre comme une tribu de nègres... Dans l'escalier, il tituba et je l'entendis pousser un juiron formidable. J'éteignis la bougie. Bientôt, il pénétra dans sa chambre, chercha son lit à tâtons et.s'y abattit comme une masse. Alors une idée me traversa l'esprit : A la faveur de ce beau désarroi physique et mental, ne pourrais-je pas tirer des aveux de cet inconscient ? Je m'approchai donc de l'ivrogne et prononçai d'une voix caverneuse - : — Slang ! tout est découvert... il faut sauver les amis... ceux qui ont pris les autres titres... dis-moi leurs noms que je courre les prévenir... Slang fit un mouvement et bégaya en se laissant rouler sur le parquet : — 'Les titres !... les titres !... Ah ! c'est le petit blond de la banque qui a parlé... Je ne suis pas un voleur... non... non, je vous le jure... pardon... le voilà, le titre... Ah ! malheur !... ils l'ont conservé... mais je le ren... draâ... je vous le... pro... mets.. Et il se mit à pousser des hurlements épouvantables. — Voyons, parleras-tu ? repris-je dans l'obscurité... Où t'es-tu procuré ces titres ? C'est toi qui as tué M. Chaneer ? — M. Chaneer !... M. Chaneer ! répétait la brute d'une voix pâteuse... A ce moment, Betzy, un bougeoir à la main, entrait, attirée par ce tapage. — Donnez-moi uswoup de main, lui disje, pour m'aider à coucher ce pauvre John... qui est un peu pris de boisson. — Ah 1 oui... vous pouvez le dire... maugréa la maîd. Néanmoins, elle me «nt en aide. Nous allongeâmes Slang sur le lit et rapidement je lui enlevai ses bottines. Le chauffeur prononçait maintenant des paroles inintelligibles et Betzy s'occupait de le border tout habillé dans ses couvertures. Comme elle me tournait le dos, j'en profitai pour "lisser une des chaussures dans la poche intérieure de mon avercoat. — Il n'a plus conscience de rien, soupira Betzy... peut-on se mettre dans des états pareils ! — C'est triste, en effet, opinai-je d'un air désolé, mais bah ! demain matin il n'y paraîtra plus... Je ne coucherai pas ici cette nuit, il vaut mieux que ce pauvre John reste seul... — Ah ! oui... je vous comprends, dit la maid, en jetant sur l'ivrogne qui hoquetait ' d'une façon inquiétante un long regard de dégoût. — 11 sera mieux et moi aussi, repris-je : il me l'esté quelque argent, je vais louer une chambre à l'auberge. Betzy m'approuva d'un signe de tête. Elle descendit avec moi, m'ouvrit la grille, la referma soigneusement et je l'entendis qui s'éloignait en bougonnant, 'Mon voleur était dans la souricière ; il s'agissait maintenant de ne plus le laisser fuir. Tout en essuyant tant bien nue mal avec mon mouchoir l'affreux enduit qui me barbouillait le visage, je courus aussitôt chez Mac Pherson qui demeurait à High Street, dan s-une petite villa située au fond d'un jardin. Quand j'arrivai, le brave agent allait se mettre au lit et il avait déjà noué autour de sa tête un grand foulard rouge oui lui donnait l'apparence d'un bandit calabrais. — Qu'y a-t-il. monsieur ? interroem le sous-ordre de Bailey en me fixant de ses 1 JCJOS yeux ronds. > l lit .aient ' Vu t2 •>Sna 1, ,l M"...ie sue «rot1 eu» to^Su faire »»" 1nV«l "r4?! tronÇ°", I ^It vont en 51'^d'éboulif W^L C'est d S le fond, 1 portable. 1 ^domaine faire «itic A U GAME DES Wie'de la bar Sr, depuis que s aux portes ans rôdeurs. La nuit, affln fauves for m n'échappe a ter Avant de conf jnx deux « roH employait un | police. Tous or appelant que {éviter de tout k fermier a i'ttçérience a s/m* fi'ose Plu' f-ORRAIHBJBT ALSACB du côté des communs et tirai le cordon de sonnette. — Slang 1 lançai-je en même temps d'une voix nasillarde... Slang ! êtes-vous là ? Comme je n'obtenais aucune réponse, je sonnai de nouveau, mais avec plus d'énergie. Enfin, des pas craquèrent sur le sable et une petite lanterne scintilla dans une allée... — C'est vous, Slang ? demanda une voix de femme. Je reconnus le tablier blanc de Betsy. — Oui... répondis-je... ouvrez-moi, je vous prie. La rhaid eut un mouvement de recul en me dévisageant, à la lueur de sa lanterne. — Mais non... balbutia-t-elle. — Pardon... protestai-je... pardon, miss Betzy, je suis Ralph Slang le cousin do John... La fille me reconnut aussitôt. — Ah ! oui, je comprends, dit-elle, vous êtes allés fêter ensemble votre rencontre... et Slang est, à cette heure, ivre-mort dans quelque coin de Broad-West. ■— Comment ! fis-je... il n'est pas encore rentré ? — Non... bien sûr... rous n'étiez donc pas avec lui ? — Pas le moins du monde... moi, j'ai cherché tout le jour une place dans les maisons bourgeoises des environs. Betzy était de fort méchante humeur, non contre moi, je pense, mais contre l'indiscret chauffeur qui abusait cyniquement de sa complaisance. — Il reviendra encore ivre comme un > nègre... murmura-t-elle..'. et M. Crawford qui va rentrer... pourvu qu'il ne le ren contre pas, au moins ! On sentait, malgré tout, que Betzy avait » . fe fe T.1 Bière de Champigneulies Feuilleton de l'EST UÊrUBLlCAIN N° 15 7 &.îrtd> Si tes lions so leurs, Us se mo jes habitants de resser comme d _ Quel domm ne puisse pas fa us sur mon lit LA VIE CHÈRE. la cérémonie d'u [leterre compte i i se rendre à D Le départ de avembre. Une scevra les visite s sera un peu cl i Curzon-House ta cents franc p Le Cecil-H( Équante franci te chambres so taon Bacbelor i'est-à-dire cent iMde a profité • si plein. Le Kudsic Gan kpsion n'est «patte par j «il prises depu Us personnes «Mement ti im( «çwàs à pjWeux frai" &p indispens; IH payés à di aessibles aux 'Aide chambre tacs par jour R prix les boys Outre celle de («tefeurlte, qu «t faites aux i bit prendre pa Ne plaisir. I 'Wding „} râj rame c'est Fus »'* do cachet; fcénacétine, de c J» une bouteille « citronelle con *, une bouteil «'fe bouteille si« lunettes te a .P°ra ABRÉGÉE. ¥is qu'il y a S .ta Frère Gil «emprisonnés. « suprême d Hation d'b d S bruit en pt «. j, M Wée Menant, m ;r? des s s r hIorofOT !S 13 Ctfc Cl ' '! Bp VJ? . le Jr «ut de «4 ? à Ne \2 s'est ht *' «ne br, ut a — Il y a, Mac Pherson, qu'il f^ ^ne lument que vous exerciez cette n it surveillance... — Impossible, monsieur DlcKs,.";,„ p;u5 — Je suis très fatigué... je ne tien» debout. „„ Mac vous — Il y a deux livres pour vou-. Person. . , „ pw* n petit un eu ft Sa figure se rasséréna : il el . _p..^rit ,nierit et rire qui ressemblait à urit glousse répondit en balançant la tête : ous. v - J'accepte,., mais c'est bien V°m faire plaisir, monsieur Dikson. eZ — Bon... habillez-vous vite... P"? i0%itre revolver et allez vous postei < f mité de la villa Crawford surVous c0 Hnroute qui contourne le bois... , 9 naissez le chauffeur de de M. M. Crawforu Crawic Crawio 1 paJêe — Oui... ce gros garçon garçon roux roux Hq" ^ qu'il rencom rencontre-t ■ s'a»! à boire à tous ceux qu'il rençon»*:, £ gi - C'est cela même... Eh bien de le surveiller et, au besoin, de 1 . » C£ T la main au collet s'il tentait de nuit. . „ _.,]« noiu" - Mais... le motif »... je ne ),,U1" 1 pas arrêter les gens comme ça • ,at d» - J'ai dans ma poche vin ^ , * a))I :I mener contre lui... mentis-l» aN%e„iem^, - En ce cas, c'est parfa"v^ver,*^ permettez-moi de vous faire o«. d a d^t sieur Dikson, que la villa Ci£ e m issues, sans parler des m"^ ^ veut f« pas très élevés... Si votre homm cela lui sera facile... suivre,, ( A. k^ ru 1 es à js [ r mbt *^*^ 10U * Edition du matin S{ . _ * " 23« Année. ~ 8783.' L L'EST RÉPUBLICAIN 1037 ^^- 1 8309 "^ "^ T GRAND JOURNAL QUOTIDIEN DIRECTEUR : RENÉ MERCIER ==SS ^ TROISJ«0IS AB ° , MeuS 'vosws r'Wuse ' fV ^rt-Mos*- déparlements ° M AN ""~ ' ~~ 4 50 9~» 18» ^ C. tt 5 » 6» 10 » 12» 20 » 24» |^ ^ 7b 14)> 'VVflSonner sans frais dans tons les bureaux de postes On pet»' „ £ÏÏer. •• UN MX MOIS '. 8 _1 H If H *" f " /^^criOiVfrADMXffJSrjMriOiV; <3X «i ' 3 „„,ie " « • ♦ -i-»- Saint-Dwxer, » _ ■=, SX ICi ir% „ NANCY 2 MLLIN I . 2 septembre. - Le président du 21 seV . varrte : la note sui g cen»nunw annoncées à nia ^ rtfmanene prochain, aux tin* (éventualité de la fc pr ,nntre la vie chère. , et contre ^ ^ manifesta- |J l Le Différend Franco-Allemand -La solution serait imminente tJn compromis serait arrêté PARIS, «S ir « &"Tr-S Ri, «gSfquî la vW publique, ha sortie aurontVu dans diverses Les journaux français é été prise*, .a}oute-t-elle, spécialement sur la g frontière allemande, mais, d'une façon et égale, sur toute les régions de jgénérale la: frontière belge. 21 septembre. — VEcho de Paris que, dans la soirée, on donnait à eneécrit ttendre aue MM. de Kiderlen et Cambon re de constitua un ««'étaient rencontres et qu'un terrain 4'enA la Bourse 0M P à de ttente était virtuellement tracé. BERLIN, 20 septembre. — D'après les sel- ^ A 5 heures du soir, M. Cailiaux déclarait h du soir, les banques avaient reà une personnalité que la dernière entre- çjournaux avant l'ouverture de la Bourse, une »-aiaont du conseil, ministre de v vue permettait d'entrevoir une solution fa- çu, aavalanche d'ordres de vente. U pre vorable. " f fait »wir au préfet de poi En présence de cette situation, les reA minuit et demi, un personnage officiel pprésentants des grandes banques se soni nous confirmait que l'on pouvait s'atten- rrendus à l'office des affaires étrangères, dre, pour demain, à apprendre qu'un com- uo'i M. Zimmermaim, sous-secrétaire il Ppromis satisfaisaM était arrêté entre la tat, t leur a dit « que la. question du Maroc H»«r 20 septembre. - Il résulte do 1 en]France et l'Allemagne, sur les grosses a reçu une solution favorable dan» • 1ouverte sur l'accident survenu a la <questions restées en suspens, et que l'on aurait d q deux ou trois jours ». a Hectriquo du croiseur'- eu ira ss* Jean,pouvait tabler snr un accord de principe. Il aurait autorisé en même temps les ' Mrt«»'a ne ^ pas d>wl 8040 * 3ab0" Le renvoi de la classe ïreprésentants de la haute finance a faiie te A propos du renvoi de la classe, un per- de ï cette déclaration tout Pasage q«i le-r fa roue dentée, en roulant près du sol, 1 officiel a déclaré au même jour- semblerait bon. a pris un rivet épars au milieu de beau- sonnage qu'il fallait qu'un arrangement sérieux (. Cette déclaration du sous-iseorétaire d'E_ toup d'autres. I \nal a empêché une baisse considérable de 1 définitif fût intervenu à Berlin pour tat plusieurs dents de l'engrenage ont été et sse produire, 1 laissât partir la classe. cassées et le fonctionnement de la grue a j qu'on Une autre version atténuée M. Cambon a, du reste, pleins pouvoirs été,, par là même, interrompu. pour traiter, dans les limitée du mémoBERLUS', 20 septembre. — L'information Saboteur acquitté x c randum qui lui fut donné à Paris au mo- de divers joamaux concernant la conver» PABIS, 20 septembre. — Pour la premiè:ment de son dernier départ peur Berlin. sation qui a eu lieu entre les représenr« fois,'aujourd'hui, la cour d'assises de tants de la haute finanee et le sous-secrébit répercussion financière en France la Seine avait à juger une affaire de sa( taire d'Etat aux affaires étrangères est iufage sur les voies ferrées, On Ht dans le Matin : — « De divers cô- inexacte, i ou du moins exagéïée. g y le ferblantier Gustave Mannes était ac- I tés, mais surtout à l'étranger, on prétenïl n'y a pas eu d'entretien de cette nagsé de <( rupture volontaire de Mis télé- I dait ces jo*«s derniers que la situation du 1ture. Suivant des renseignements puisés — càphiques et téléphoniques ef d'entrave à I marché financier de Paris n'était pas sans ià la meilleure source, il a été simplement |marche d'un train », ce qui pouvait en- J présenter quelque inquiétude. répondu à une question dans laquelle cersvo — traîner la peine des travaux forcés à per- | « Ces affirmations sont contraires à la taines 1 personnes annonçaient une agita(ftuité. I vérité. S'il y a eu tout récemment une cer- tien probable de la Bourse que l'état de U s'agit d'un attentat commis à la gare J tain resserrement des disponibilités d'ar- la ] question marocaine ne justifiait aucufc Choisy-le-Roy. gent, il faut évidemment l'attribuer à i'in- nement cette agitation, et qu'il ne justiManhès nie toute participation aux ac- l certitwjde créée par fa marche des négocia- fiait, pas notamment une panique finante de sabotage qui lui sont reprochés. I tions franco-allemandes. icière. il se défend également de s'occuper d'à- I « Mais la situation financière est rede« Les négociations, fut-il ajouté, sont en isichisme ou de syndicalisme, comme fe: vernie aoi-malc. Il n'y a aucune raison bonne voie. On a toutes raisons d'espérer prétend l'acte d'accusation. pour que cette situation se modifie. une solution satisfaisante' avant peu de \ -On se trompe, explique-t-il au prèsi- I « D'ailleurs, M. Cailiaux, comme ancien temps ». tel; j'ai des opinions arwmeées, certes, I ministre des finances, et M. Klotz, minlsH convient do remarquer que la phrase m\e ne suis pas anarchiste et surtout, tre des ïkiances, ont pu se rendre compte, suivant laquelle la question marocaine j'unis pas militant. Je répète que Je: après une rapide enquête, que le taux des aurait reçu une solution favorable d'ici jfiT wrtok.icent. reporte pour la liquidation prochaine se- deux à trois jours, n'aurait pas été pro-Cependant, des agent* vous ont dé- rait moins élevé que lors do la liquidation noncée. MMt, endormi, non loin du lieu de Vert- I de la dernière quinzaine, et la place de BERLIN, jeudi 2t septembre. — Les jourMat, et on a trouvé, à côté, un revolver Paris ai*ra, à la fin du mois, à sa disposi- . naux de ce matin s'occupent à peine du S»* tkufé de six balles et une cisaille ayant tion, tons les capitaux dont elle aura be- Maroc. —- «Yi à couper des fils télégraphiques. Elle: soin. » Ija Gazette de Voss et le Courrier de la de cuivre I jhon( portait, en effet, des traces Bourse restent confiants dans l'issue sa wgeLes journaux allemands finale des négociations. - Ni le revolver ni tes cisailles ne m'ap- I Les autres grands journaux s'abstionLes deux sons de cloche prtiennent. !i. ut de commentaires. BERfcîN, SO septembre. — Ce soir, la pluM 18 rés leiSi ' P Went termine son interroga- I part des journaux berlinois sont optimis— Selon un télégramme de Berlin à la 481 te en indiauant que cinquante-quatre; I tes. Gazette de Cologne, aussi bien dans la '. j3 ils ont été coupés. Seuls, les organes conservateurs sont un note officieuse française que dans la note . 40 Manhès répète qu'il est innocent. peu plus réservés dans leurs apprécia- officieuse allemande, l'expression de « di• J* iury rapporte un verdict négatif et; vergences de principo » n'a pas été justetions. . » accusé est acquitté. La Post désire la rupture des négocia- ment interprétée. 11 est compréhensible qu'au dernier motions sur les bases actuelle, rupture qui, Les troubles d'Espagne à ses yeux, constituerait un succès pour ment chaque gouvernement cherche à renllectrioij vers la détente dre la conversation aussi favorable que l'Allemagne. P m se tel jfs2 I ' P ubre. — L'ambassadeur — La Gazette de l'Allemagne du Nord possible, de telle façon que la note franEspagne à Paris a reçu, dans la soirée, dit, au sujet des mesures prises en Belgi- çaiso ne doit pas exercer de pression. Aussi, eût-il été préférable que la presse '-S "«gramme suivant : que au sujet des fortifications, qu'il ne ls u'iem "Madrid. — Etat normal à Barcelone, s'agit là que de mesures qui reviennent s'abstint de publier cette note. Dans la question des protégés et des ca«ragosse, Valence et autres capitales,| périodiquement et régulièrement dans l'adpitulations, toutes les difficultés sont d'ailcWtt «a qu.à Madrid même, où ce matin la[ ministration des forteresses. écartées. Les négociations suivent «son du peuple a été fermée. Les autres mesures militaires n'ont pas leurs un cours calme et progressant. — Havas. ' iku 5,tuation s'améliore partout, même Irfe ' où les événements ont été exaPAIHS, i f jg 1 ca Pitaine général pense que les trou„uM nxfort Pourront être renvoyées. 6 «fet? que générale de Bilbao continue, soi '4 ÏÏl 6 d rordre t doublé. Un cerMl. ', '0uvriers ont repris le tra- TC I ** \ 1 mt U 0} CtJ Incidents à Madrid w 5ti4u"p^3^* >' * p r e s- m i d i, à la Mai- : W taiDnrt . Quelques H nants groupes d'ailleurs . stationnaient devant l'édi- os& de se dispcrseï par la. police, ils S eSt pi oduit dc ! \e \*'t ' ' égers délô «r**A ^iste^?'^' conseiller municipal Q,11 ld J o a été arrêté. Drov,n ,'VÎ^,,a PtPmbre «»e de 1 f TnI Valenco groupes qui sont enfuis, deopposer de résistan- la,W4Stt iL*" ^ t*ltu P rovin - ce so s ;ns 11 1 ^^\\ ' " A ZHa la a,de civi< e a ce a4tfeaDs ri6 p errcs ' 8 ar lcs l" v m » # t' P ré volu0 i nt été bkssés ou ^J^^éfflia ^Car ' té & m%t Pourront bl l tot cagente. Les »f^Cn 2î,,a c,rcula, ^ replrtir pour 8 ?dra anwiSt i«n des trains Cfv ^Îi^-'fflfi^eacommis eetji QnpUrt terroriste JJSïoi t On mande y pine J?^°rtsme ^-iÀ - fut 16 ri Premier minots irl andais r W^S destl,iation î^' -tis d : i » e «of *^ «n ais r 0 à trois <m cfaTnt* —une grève ,'4fV2" ^Leeds -5 |fef "ft, ^ " t>t^£^ nglais r r a n ,U P*r ,{ j ^<S HU1 la commission du budget 20 septembre. — La commission du budget S'est rènnio ont niniftni iiiTffîj owi»o la présidence de M. G. Cochery. M. Raiberti exposa à la commission un plan général de réorganisation de nos troupes coloniales mii.ikiwi*, txo,-s-iicilijâs [ ae 1 organisation actuelle en permettant de tirer des troupes coloniales une réserve extraordinaire. Les propositions de M. Raiberti ont vivement intéressé la commission du budget, qui a décidé d'entendre à ce sujet le ministre de la guerre, tout en réservant, d'accord avec le rapporteur lui-mêmo, le droit d'examen de la commission de l'armée. La rentrée La commission du budget espère terminer l'examen des dépenses cette semaine, à l'exception de la guérie, de la marine et de l'instruction publique. Elle se séparera probablement samedi prochain jusqu'au 9 octobre. A cette dernière date, elle rentrera pour achever son œuvre, qu'elle compte avoir terminée à temps pour que la Chambre soit saisie de tous les rapports dès la reprise de la session. Celle-ci aura lieu soit le 17, soit le 24 octobre, et plus probablement à cette dernière date. Au congrès radical-socialiste PARIS, 20 septembre. — Lo comité exécutif du parti radical et radical-socialiste s'est réuni aujourd'hui. Il a voté une adresse souhaitant le prompt rétablissemont do son président, M. Emile Combes. Le comité s'est occupé ensuite du prochain congrès du parti, qui s'ouvrira à Nîmes, dans les premiers jours d'octobre. Il a décidé d'ajouter aux questions à l'ordre du jour du congrès, celles de la défense de l'école laïque, du contrat du travail, de la vie chère, etc. — Havas. A PARIS, ~7AUX au- « sud. ^S^. îic ««C p LA POLITIQUE «° Vie, ' dirCCteUï -| O"t été disperontt chargé aimés UNE AFFAIRE DE PARIS, 20 septembre. TABLEAUX DANS L'ARMÉE s„,„ ,.-...<>..uni» " —- Ifperxiière Heure i'agitation FÉïoïutionnalre I U p promus lieutenants Les sous-lieutenants ci-après sont nommés au grade de lieutenant pour prendre rang du 1" octobre 1911 et mainic»"- J'-rargé, '37° rég. ; Raoult, 2e bat. ch. ; Humbert, 10« bat. chas. ; Resnion, 29° bat. chas. ; Compagnon, 19e bat. chas. ; d'Amedor de Monnas, 2° bat. chas. ; Lefebvre, 9° bat. chas. ; Châtel, 4e bat. chas. ; Petel, 19 bat. chas. ; Goursan d'Herlin, 19" bat. chas. ; Raoul, 17° bat. chas. ; Ronyer, 29r bat. chas. ; Burdin de Saint-Martin, 18' bat. ch. ; d'Alivré, 9° bat. ; Lancelie, 161 ; Maillot, 146e ; Auriné, 18e bat. chas. ; Gérard, 155° ; GérarcUn, 149° ; Vaudon, 149e ; Bouché, 153" ; Bouvart, 145° ; Bergez, 20° rég. inf. ; Coutisson, 146° ; Marlier, 161e ; Beaulieux, 152e ; Beau, 160" ; Bouyadé, 160° ; Billioud, 151e ; Gugnak, U6e ; Arnoult, 162e ; Nicora, 160e ; Alba, 29" bat. ch. ; Kunstkler, 18° bat. chas. ; Thomac, 161e ; Braun, 94e ; Chaffaut, 94e ; Duchêne, 140° ; Bonnal, 94° ; Wurtz, 153e ; Ory, 156°; Leclancher, 162e ; Burtaire, 09" ; Brière, 37e ; Donnât, 145* ; Cornet, 146e. — Havas. LE CRIME DE TOURS L'interrogatoire de Houssard TOURS, 20 septembre. — Houssard, le châtelain du Prieuré et l'assassin de son cousin. Guillotin, dont il aimait la femme, a été longuement interrogé aujourd'hui par le juge d'instruction, M. Cador. Gomme il l'a fait jusqu'ici, il s'est borné à répondre qufil ne se rappelait rien de la soirée du drame. En présence de ce mutisme, le juge d'instruction a jugé utile de se rendre sur ïêB lieux du crime pour en faire la reconstitu-■ tion. — M. Chênebenoit, juge d'instruction, a repris aujourd'hui Houssard a été conduit dans la maisoni l'affaire dite de fauxta bleaux, à laquelle menottes aux mains, entre deux gendarsont mêlés l'encadreur Flavin, l'ex-capi- mes. taine Marix et Adolphe Mayence, dit ElA la maison du crime, Houssard a perlina. sisté dans son système. Flavion avait en novembre dernier, — Il ne se rappelle rien du crime. II snit on s'en souvient, — déposé une plainte simplement que Guillotin le rencontrant contre l'ex-capitaine Marix. Il prétendait dans les rues de Tours, l'aborda en lui ta-; que celui-ci avait a«tuellemcnt, par l'in: pant sur l'épauleterniédiaine d'Ellina, un certain nombre U reconnaît aussi s'être rendu, après leS de toiles qui ne lui furent pas payées, crime, à Ruillé, auprès de sa cousine, Mme> Ellina a affirmé que les tableaux en Guillotin. question étaient sa propriété et qu'ils — Je ne sais plus ce que j'ai dit à ma avaient été simplement déposés chez l'en- cousine, se borne-t-il à répondre au juge. cadreur Flavin. De retour au palais, Houssard a déclaré> La « Joconde » au juge d'instruction : " En terminant, Ellina a déclaré au Juge « Si j'ai tué Guillotin, c'est parce qu© que la Joconde était toujours au Louvre, j'aifriais sa femme, ma cousine et qu'il nousi 51 et il a désigné même la personne qui, d'a- gênait. » nrês lui, la détiendrait. — Havas. =1 Gra¥e a GG ï aent sur la "Gloire" Une g a r gousse éclate pendant le tir Plusieurs morts et blessés 20 septembre. — Lo croiseur epcuirassé , Gloire avait appareillé ce matin TOULON tirs i) est revenu à une heure et qpour ses quart sur rade. Il avait son pavillon en b berne. Un accident s'est produit au mon ment do l'introduction d'une gargousse ^dans une pièce de la tourelle bâbord avant. L'accident a fait plusieurs victimes. PARIS, 20 septembre. — Au ministère dde la marine ,on confirme l'accident, qui ss'est produit ce matin à dix heures, au ccours d'un tir d'honneur dans une tourelle dde 16. L'accident aurait été causé par un r retour do flarrrme. Treizo personnes ont été aatteintes. On compte un mort et do«ze b blessés, dont un officier. M. Delcassé, ministre de la marine, a t immédiatement à l'amiral Aubert, q commande laadressé qui 3e escadre, dont la Gloire f fait partie, le^télégramme suivant : « Ministre marine à amiral. « A bord du Saint-Louis. « Je vous prie d'exprimer aux blessés ?ma profonde sympathie et mes vœux arf dents pour leur prompt rétablissement, \ Veuillez aussi, dès que vous le pourrez, / m'informer des causes de l'accident. DELCASSÉ. » Comment s'est produit l'accident TpuLON, 21 septembre. — Voici dans , ,quelles circonstances un accident de tir s'est produit à bord du cuirassé Gloire : , « *>ans une casemate de 195, se trouvait >réunie une équipe de fusiliers et de canon,niers, sous te commandement de 1 enseigne de vaisseau Kermeneur. « Les pièces furent mises en batterie, et ( ,e tir se poursuivait sans encombre. Prèsque tous les coups'"atteignaient le but. « Le coup tiré, le culassier procédait, comme d'habitude, à l'ouverture de la pièce, et les pourvoyeurs, placés derrière lui, tenaient clans les bras les gargousses de rechange;. « Soudain, à peine le canon avait-il été ouvert, que, par suite d'un retour de flamme, la gargousse qu'un matelot tenait à proximité de la pièce s'enflamma et communiqua le feu à une seconde gargousse se trouvant sur le parquet <le la casemate. « Celle-ci fut entouré d'un éclair gigantesque, tandis qu'une fumée acre, asphyxiante, en raison de sa composition, «mpttssait tout te compartiment. ce Tous les hommes tombèrent inanimés, asphyxiés et brûlés par les gaz délétères et la poudre. « On entendit leurs cris de douleur, mais il fut impossible d'aller leur portai- immédiatement secours, car c'eût été exposer d'autres hommes à courir des risques mortels. " On ventila donc aussitôt que possible la cabine et lorsque l'opération fut jugée suffisante, on y pénétra « Un spectacle horrible s'offrit à la vue des sauveteurs. « Sur le parquet gisaient étendus les hommes, les vêtements en lambeaux, le visage en sang-, se tordant dans d'horribles souffrances. » Plusieurs avaient perdu connaissance, ce qui fit croire tout d'abord que l'événement avait causé plusieurs morte. « On releva les victimes et l'on constata que seul, le matelot fusilier Savina avait succombé. « Les autres portaient des brûlures sur tout le corps, mais surtout au vl«w» Vinq morts „i^,0^0N' 21 septembre. — Quatre des ma- Un premier maître canonnier et deux officiers qui se trouvaient près de la casemate ont été également blessés. Ils sont soignés à l'infirmerie du bord. — Havas. FIN DE LA DERNIERE HEURE La situation en Espagne Les arrestations, - Les désordres. MADRID, 20 septembre. — On télégraphie ici que la tranquillité règne à Barcelone, Bilbao, Séville, Valence, Saragosse. Les arrestations continuent partout. A Barcelone, 158 personnes sont détenues depuis samedi. L'Ecole moderne de Valence est fermée. A Huelva, la grève rencontre l'hostilité d'une partie de la population ouvrière. Rien n'est encore décidé. VITTORIA.— Des désordres ont éclaté dans la province ; l'inquiétude règne parmi la population à la suite du départ de la garde civile pour Bilbao. MURCIE. — Le grève générale a été proclamée pour deux jours à Jativa comme à Carcagente, près de Valenco, la situation a pris le même caractère qu'à Aroia. La populace détruit les édifices publics et coupe les voies ferrées. Les troupes envoyées de Valence seraient entrées à Carcagente et marcheraient sur Jativa. MADRID, 20 septembre. — Le bruit court que la grève générale annoncée pour aujourd'hui, serait différée jusqu'à demain, — Havas. AU MAROC Les opérations du général Dalbiez FEZ, 17 septembre. — Le général Dalbiez, en présence de la recrudescence de l'agitatiomehez les Aït-Youssi, est parti avec une colonne vers le Sud ; il a rencontré les rebelles qu'il a dispersés et poursuivis jusqu'à la casba Masdouh, qu'il a détruite. Le chef Sidi-Lhassen, un des instigateurs de la révolte, a été tué Nous avons eu deux auxiliaires marocains et deux sénégalais blessés. Le général Dalbiez, après une poursuite d'une dizaine de kilomètres, est rentré a Sefrou, PUBLICITÉ: 30 c. la ligne L'Agence Havas, 8, place de la Bourse, â Paris Réclames (> page)... 60 ef MM. John F. Jones et Cl», 31 bit, faubourg Faits divers. 90 Montmartre, à Paris, sont seuls chargés de recevoir la Chronique locale 150 publicité extra-locale du journal. Pour la publicité de Meurthe-et-Moselle, Meuse, Vosges, Alsace-lorraine et Luxembourg, s adresser auj; bureaux de l'Est. Annonces (4e page)... dans les pays qui ont produii une culture propre, opposée parfois à l'idéal français. La culturo française, la plus vieille de toutes, fut jadis la culture européenne.Elle a gardé encore de nos jours une incomparable supériorité, que l'élite intellectuelle d toutes les nations est unanime à reconde n naître. Ceux-là même qui défendent chez e eux une autre l'orme du développement intellectuel, s'opposeraient à une diminu™ tion de la prestigieuse culture française : ^ c' ce serait consentir à un recul de la civilisation européenne. Aussi le congrès de Mons étudiera-l-ll, e en dehors de tout étroit esprit de parti ou ^de race et de toute attache officielle, les n moyens de contribuer au maintien de t'in^ fluence morale, artistique, sociale de la *France dans le monde. La défense dc l'ùmo *] française en France, de la culture français se en Alsace, en Flandre, en Portugal, en *Pologne, en Suisse, en Angleterre, dans le 8grand-duché de Luxembourg, tel est le su1' de quelques-uns des rapports qui y jet s seront présentés et discutés. Il ne faut donc F point s'étonner que les représentants les P plus célèbres des lettres françaises, les *Barrés, les Claretie, les Loti, les Maeter1 linck, les Régnier, les Rostand, sans comp1 ter les sommités du journalisme et du mon« politique, aient tenu à seconder un zèle de g si actif et si généreux en se faisant inscrire c dans le comité de patronage. Ils ont donné c ainsi le bon exemple à tous ceux, Français c de France ou Français du dehors, qui vouc draient pour quelques heures inoubliaDles, c communier dans un même élan d'enthoujsiasme pour une noble cause. Les Amitiés \[ Françaises j ~ Le grand congrès auquel l'Association b belge des « Amitiés Françaises » a convié *« tous les amis de TS culture française! et qui a lieu à Mons, du 21 au 24 septembre, promet de devenir une imposante manifestat tion. On sait quel est le but que poursuiv vent les adeptes des a Amitiés Français ». Avant la création de la ligue nouses v velle, il existait déjà en Belgique des asso^dations qui travaillaient à la propagat tion de la langue et des lettres françaises. îMais toutes ces sociétés de propagande : \ la . Ligue wallonne, la Ligue pour la liberté des langues, l'Association flamande ï pour la vulgarisation de la langue franççaise, la Fédération internationale pour j l'extension et la culture de la langue française, se cantonnaient sur le terrain lin' iguistique. La nouvelle association — son rnom seul l'indique — fait un pas de plus. ] Elle se propose de réunir en un faisceau toutes les sympathies, tous les enthoasias1 mes, tous les dévouements spontanés que 1 Fiance, en dehors de ses frontières, peut la j inspirer et susciter. Ces sympathies peuvent être d'origine bien diverse. Il y a d'abord celles qui sont ! <de nature politique et se fondent sur la re( connaissance de tant de pays étrangers ]pour la part que prit la France à la forjmation des nationalités et pour le respect indiscutable qu'elle leur témoigne. Ap1plaudir à la grandeur de la France et en !souhaiter la prospérité, c'est pour un Belj ge, un Luxembourgeois et tant d'autres, (céder à un élan du plus pur patriotisme, 1puisqu'à une époque où se déchaînent tant 1 de convoitises, la France, fidèle à ses trai ditions de générosité chevaleresque, est là pour garantir leur indépendance. On parle tant de nos jours de pangermanisme et de panslavisme. Pourquoi personne encore ne s'est-il avisé de forger le mot de pangalliame ? C'est que le mot ne saurait être créé tant que la chose n'existe pas. La France exerce son empire séducteur non pour asservir ses amis, mais pour les affranchir et les émanciper. Envisagée à *ce point de vue, la Sête inaugurale du monument commémoratif de ta tjatanie cie jemmapes, qui fait partie du programme, prendra la portée d'un symbole. N'e«t-ii pas sigiuficatii que o* soient des Belges, des étrangers, qui ont pris l'initiative d'une fête qui commémore un des moments les plus glorieux de l'histoire française ? C'est qu'ils ont gardé le souvenir reconnaissant de ce que la France a fait pour eux. Dans la journée de Jemmapes, le drapeau de la France est devenu celui du genre humain, celui de la délivrance universelle. C'était l'heure à jamais mémorable où, un élan irrésistible entraînait tous les peuples vers la France, où la Convention, selon Michelet, était assiégée d'hommes de toutes nations qui venaient briguer l'honneur de devenir Français. « Leur passé do sciviiude, ils brûleur pesait, leur nseril de l'anéantir, et de ne vivre plus; qu'en cette France aimée, où ils ne; voyaient plus une nation, mais une idée1 saejïP'^i.iiMlAfe jt&^YiQu^s VWttftel» tronc se joindre celles qui sont d'ordre moral et • intellectuel. Hantée par son idéal de vérité: et de justice, la France entraîne sans cesse vers les idées nouvelles et généreuses. La langue française a toujours été le véhi-■ cule des idées de progrès et d'humanité. Chose singulière, les trois partis qui àl'heure actuelle se partagent en tout pays; les esprits, se sentent également attiréss par la France. Le parti catholique, à vrai dire, ne cesse. de gémir sur la politique anticléricale dui gouvernement français. Mais ses représen-. tants éclairés gardent toujours une secrè-. te tendresse pour la « fille aînée de l'Egli-. se », pour la nation qui, à l'heure actuellej encore, fournit au catholicisme les ora-. teurs et les champions les plus fervents. Unx catholique lettré qui voudra corroborer saL foi, trouvera dans les lettres françaises duj 17e siècle et du 19e siècle plus de réconfort► moral que dans la littérature allemande, toute saturée de protestantisme. Pour le parti démocratique, la France, est devenue depuis longtemps le foyer' même de la démocratie ; il salue en ellel l'émancipation et la conductrice du peupie. Il était assez naturel, il y a quarante ans, que le parti libéral, dans certainsS pays, eût invoqué l'Allemagne protestante et rationaliste, l'Allemagne de Bismarck*■ et du Kulturkampf. Mais aujourd'hui que l'alliance du Cen-. tre et du protestantisme conservateur a1 fait dc l'Allemagne le suprême retranchement de la réaction en Europe, c'est vers s la France que se'tournent tous ceux quii travaillent à affranchir les esprits. Viennent enfin les « amitiés » de naturee littéraire, et artistique. Elles ne sont pas les moins ardentes. Les disciples de la culture française, c'est-à-dire tous ceux qui,; dans les œuvres littéraires et artistiques,f>' mettent par-dessus tout les qualités dc fiinesse et de clarté, de mesure et d'harmo-)nie, se comptent par milliers non seule-,. ment dans les pays bilingues, pour lesJ quels ia culture française est le plus sou-" tvent la culture maternelle, mais encoree Jos. — HANSEN. »a» L'ALSACE j Congrès réaliste de au Bourges A Bourges vient, comme on le sait, de se tenir un grand congrès régionalisto. Toutes les opinions y étaient représentées. Aux côtés des députés radicaux-socialistes du Cher, on pouvait y voir, en effet, un dépu. té conservateur du .Morbihan, lo marquis de l'Estourbeillon, en costume breton. Ses organisateurs avaient eu l'heureuse idée de convier au congrès de Bourges l'ancien gardien du musée «lo'""» * ''exposition rie i-tancy, M. Roth, et sa lille, Mme Brocard. Leurs pittoresques costumes nationaux ( ont été l'objet de la plus vive émotion. N'évoquaient-ils pas dans la cité de Jacques ( Cœur la chère province lointaine à laquelle l'âme de tout Français est attachée ! On sait que M. Roth est un gendarme retraité. Décoré de la Médaille militaire, ce vieil Alsacien a la calme mais énergique allure des gens de là-bas. Il semble un personnage d'ErckmannChatrian et on se le représente volontiers buvant gaiement la bière sous une tonnelle fleurie à Zutzendorff, riche en belles filles. M. Roth et Mme Brocard ont été très fêtés à Bourges ; on leur a remis une magnifique gerbe de Heurs aux couleurs berrichonnes, et ils ont eu la touchante pensée d'aller la déposer devant la statue de Jeanne, la bonne Lorraine. En eux, on a voulu honorer le peuple d'Alsace, les laboureurs comme les soldats, protecteurs des frontiè&è= cnTàque famille Française : des Normands, des Aquitains. P était venu des lettrés de l'ancienne Gaule Belgique et encore des Celtes aux yeux bleus, nés « près de la mer hérissée de rochers, toujours battue par les orages ». Ils firent une large place à ces Alsaciens, qui, malgré le sort adverse des combats, restent toujours des frères aimés, d'autant plus aimés qu'ils sont plus malheureux. Le congrès régionaliste de Bourges a tenu à affirmer que l'Alsace n'avait jamais cessé d'appartenir à la culture française ; elle est toujours imprégnée de l'esprit latin fait de clarté et de lumineuse précision ; ses artistes, comme Zislin et Hansi, sont bien nôtres par leur souci d'observation minutieuse et leur spirituelle ironie. C'est cette culture française, cette communion intellectuelle entre la France d'aujourd'hui et ce qui appartînt à la France d'hier, qu'il ne faut pas cesser d'entretenir On l'a proclamé hautement au congrès ré~ gionaliste de Bourges et on a bien fait. — L. P. LE UKCEfflEHT DO " COIJRQEÏ " Les ouvriers repoussent la grève 20 septembre. —■ Les ouvriers de l'arsenal, réunis à la Bourse du trav ail, après avoir entendu plusieurs discours de protestation contre le ministre de la .Marine, ont refusé de ratifier une demande faite par le comité central de faire grève le jour du lancement du « Courbet ». — Havas. LORIENT, DU « JEAN-BART » 20 septembre. - M. Delcassé, ministre de la marine, quittera Paris demain matin à huit heures pour se rendre à Brest, où il va assister au lancement du Jean-Part. — Havas. LE LANCEMENT PARIS, LA COURSE D'AUTOMOBILES PLTëRSBQURG PÉBASTOPOL SAINT-PÉTERSBOURG, 20 septembre — Le départ de la course d'automobiles SaintPétersbourg-Sébastopoi a été donné ce matin. Plus de soixantes voitures y prennent part. Presque tous les Etats de l'Europe et de L'A: lérique du iNord sont représentés. — Havas. Les jeunes soldats qui doivent être diiï.• sur les bataillons d'Afrique seront tous mis en route le 1" octobre. Les régiments d'infanterie coloniale, «n P France, recevront environ 1,400 conscrits qui seront répartis entre les 1er et 5" régi,i ments à Cherbourg, les 2° et 0e £1 Brest, les 3' et r* à Rocheîort. Ic 22e à Hyères, le le 24e à Perpignan, les 21e et 23e à Paris. Les * jeunes gens affectés à l'artillerie coloniale •<, seront, au nombre de 425. iRtftfîfi in R^pSflfiiïilîl I ^ LU ml m uu Uuliyol II Ulîl Le u° 2.428 série SO nague l/« mïUSoa» Le U' Î4.838 - 23 - 200.000 f. Leifff.984 — S — 100.000 f Les n" f 5,1236 série 71 et #«.£78 série 84 gagnent chacun SO.OOO i. GoRtre la vie m ^rarronaissBroent de Brieg m P Il V la Les réunions à la sous préfecture Les résultats obtenus Postas ■ ■ 1 on sontemforé annonce la fflc..l £ »JSŒ5 des postes de l;0 conversion en • ' * facteur re3 classe des établiweflgnftJ^Xdles TSÎOLYPSKE U MORT DE L'autopsie sans doute hausser les épaule* et dire si comme l'un d'eux, que cela « ne se peut L CATASTROPHE LA 1 te la rue_ tolmans ' M. Cayotte, président du *, . entrepreneurs de Meuiahe-et-M/"(,J,ic<n d,. té de plusieurs membres de °' as^T Con pris part ces jours derniers T »tté t | d'Auxerre, tenu par ia Féd^.-i" ^s'rii trepr r urs du Nord-Est, dont 11n ' tr tre élu président. vient d»*" C'est ce qui explique que ces . n aient pu assister aux obsèqu, -"Î^Uh d esi mes de la catastrophe cjo la ruoV - Via? $ Mais iç syndicat désirant Im?, sa douloureuse sympathie K,» fi8n«r touu « victimes, ., remis 100 Ir^'ca Xs , '"«nilles Z . à notre souscription. W^JAj 1 r C c ri BAWT-PÉïBRSBOUiUi, 20 septembre.-- L'auÊ tonsie du corps de M. Htolypine a démon1 mercredi 20 septembre. — Si A la liste des officiers du génie, sortis do tré quïl avait succombe à une paralysie P nous» pariions un peu de cette question P ï 11 L'avenir nous démontrera sans doute t_ r l'Ecole d'application (divison technique du du cœur, trop fatigué. M. Stolymnc a exde brûlante actualité : la, vie chère dans * _ ,< ♦}*!© cela se peut parfaitement ». a génie), ajoutons le nom de notre concij* mimé le vœu d'être enterre à Kiew. Des rara-ondisseiaent de Briey. « 1 toyen, M. le lieutenant Bollin, du 1" régimômiments seront élevés à M. Stolypine On réclame des marchés P 16 926 25 7.553 47 3.185 88 t< D'abord, je vous dirai que, comme le ment, 20° bataillon, à Toul (maintenu). et à Saint-Pétersbourg par des 7 780 18 8.693 57 655 5a n Dans un précédent article, consacré savent nos lecteurs, lo sous-préfet de J è 8.295 22 15.931 91 2.105 ^2 souscriptions qui sont deja ouvertes. Nomination dans la réserve comme celui-ci à la « cherté dc la vie dans Briey s'est tout de suite préoccupé de , s c l'arrondissement », nous écrivions que les cette question si intéressante. Vous savez p Au grade de chef de bataàllon. — Rég. o La soir^ de I- „ .nimcub.. „ La famille de l'aseaNin, - Son procès. 3057 10-142 47 13.390 60 . meilleurs moyens de lutter contre la vie les heureux résultats produits par sa vid'infanterie de Toul-Nanc'y-A. — M. Unb n 4704 18 8-558 29 11.854 63 o La betfJS soirée de bienfaisance , * Le Père de Bogrolï a été arrêté ; la fachère étaient : , gesehiekt, chef de bataillon en retraite ssite à Longw,y. c 13.698 72 15-312 59 |dans la 6» région. par notre confrère du bâtiment T?8»'** lo De développer la production du M. MontreuP n'étant pas homme à se rmille de l'assassin a envoyé un télégramme s','„ Seu. contenter d'un premier et heureux succès, Les cent numéros suivants gagnent chaau cabinet blâmant l'acte de leur lits, qui We et la Construction, poui P p Sortie des eaux et forêts cr Pi 9 chaln, à la salle Pouel, e pré a convoqué les maires des centres indus% 'D& créer des marchés d'approvision« «At - dit-elle - un dément. Le procès de « cun 1,000 francs : s s nonce sous les meilleurs auspic^i '&*Sont nommés au grade de sous-lieu tet triels et miniers du bassin pour étudier r 6.607 80 4.312 80 17.181 2 nement. 1BogrotT a été fixé au 25 septembre. 1 Notre confrère a rencontre n-u'i riant de réserve et affectés aux corps ciOst avec plaisir que nous apprenons avec eux la question de la vie chêne et 10.510 1 5.045 67 10.019 86 , ; ut r c' cueil le plus sympathique ©♦ ikï «après pour y accomplir leur deuxième an, Tentatives de troubles rechercher, avec leur intelligente collaboque cette dernière idée a été particulière10 972 55 4.147 13 13.20a 1 , c m gracieux concours, tant du côté 4e jmont bien accueillie dans beaucoup de 5 160 99 4.260 23 U.9S3 47 ,née de service actif, les élèves sortant de ]ration, tes mesures les plus propres à enKIEW. — Plusieurs tentatives Je désor^ a tes, de M. Mafféo et sa troupe a?, % l.< -#»yer une hausse possible des denrées ccommunes do notre arrondissement. 6.141 22 13.380 59 2.851 97 ,l'Ecole nationale des eaux et forêts ; dres ayant un caractère autijuil se sont H 107» rég. d'infanterie. — M. Vidal. ■aHmentaircs monie des usines Lang, que du A.11^ qui semblent cependant On nous écrit, par exemple, de Longla< 15.683 95 5.280 14 13.526 rf» produites, mais les troupes ont disperse 40° rég. ^infanterie. — M. Varia d'Ain;avoir atteint leur prix maximum. lf la villo, de la compagnie d'éleetri^T1 ^ ^ville : ] 10,947 38 8.148 66 » d diverses imprimeries, du personnel i ies Convoqués en deux séries, les maires « Monsieur le rédacteur. 1les manifestants. 12 373 34 14.765 30 7.905 30 -velle. 61 employés du théâtre, etc. $ lflr bataillon de chasseurs. — M. Labas. <s'empressèrent d'accepter l'invitation « Je vous félicite bien sincèrement de 3.888 68 6.778 16 La succession de M. Stolypine Tout le monde, dans un élan 2' bataillon de chasseurs. — M. Cane. ,çsous-préfectorale, les conviant à faire œu«, votre article sur la vie chère et des idées 16 609 53 4.157 60 16.135 £i On pense que M. Kokovtsof acceptera le p 4« bataillon de chasseurs. — M. Ordiond. vre d» bons administrateurs. pitié et de touchante solidarité J?ï* * 11699 71 11-932 11 4,061 97 «, exposées par vous. a poste do premier ministre. M. Tonschine, p 6* bataillon de chasseurs. — M- Gueit. Répondirent à la convocation qm te*r porter sou obole à ces veuves à P* « Ainsi, ici, à Longlavilte, nous éprou15514 15 10.384 93 15.230 12 e 7 bataillon de chasseurs. — M. Durand. vvres orphelins d'ouvriers tués avait été adressée, les maires de ïœnf, P*"I «, vans les plus grandes difficultés pour ;directeur de la Banque d'Etat, lui succé2 303 2 8.070 62 12.896 11 8« bataillon de chasseurs. — M. Chenu. Awfcoué, Homécourt, Valleroy, Moittiers, ,« nous approvisionner. derait au ministère des finances. c 11028 73 6 487 40 5.756 93 chantier. Ajoutons que l'interprétât' 12» bataitkm de chasseurs, — M. BouMoiaeville, Briey, Tucquegnieux, Trieux, 36 15 548 87 889 40 Ckemineau, le magnifique drama „ *i « Nous sommes quelques-uns qui penVaste complot politique , langer, Joodïeville, Bettamvillers, Pienne, Lan,« sons que la création d'un grand marché actes de Jean Richenin, sera hor! Iû (h 15 065 72 12.398 49 9.419 52 e 13 bataillon de chasseurs. — M. Rivé. dros, Mairy, vinrent où se firent remplaL'enquête au sujet de la mort de M. Sto19 9-3J0 58 3.50J 15 », à la criée, à Longwy-Bas, serait un 16e bataillon de chasseurs. — M. Tous- cer par leurs adjoints. ,u puissant moyen d'attirer des produits lypine a révélé un vaste complot politique | ia saint. Au cour» des deux réunions qui eurent contre le cabinet. Cette enquête a égale«, alimentaires dans notre région. 23" bataillon de chasseurs. — M. Deloulieu, M. ie sous-préfet et las chefs des mu> tl 531 72 11-904 85 « Nos ménagères, ainsi que celles de ment abouti à ta mise en accusation de 6 956 48 17.278 51 che. nicipalités échangèrent des vues très inM. Kourloff, adjoint de M. Stolypine, et «, Mont-Saint-Martin, Herserange, Rehon, 26e bataillon de chasseurs- — M. Oudin. | 1-616 100 7.911 65 téressantes. I! fut constaté, grâce à une TROISIÈME LISTE « etc., pourraient aller s'y approvisionner chef de la police politique russe, qui a 27* bataillon de chasseurs. — M. Lonenquête sur le prix des denrées préalable« dans de bonnes conditions. fait preuve d'une négligence extrême dans champt. ment faite par M. Montreu.il, que d'une « N'est-il pas étrange qu'une ville située, l'organisation de la protection de M, Stoly( 29e bataillon de chasseurs. — M. Bourcommune à l'autre tes prix des produits « comme Longwy-Bas, au milieu de puaSpine à Kiew. — Havas. 1Le personnel de l'entreprise Ber'. ^ * don nay du Clésio. les plus indispensables à l'alimentation <( sautes agglomérations, n'ait pas de marnanoso et Lommée, du café 30' bataillon de chasseurs. — Edouard. de l'homme subissaient des écarts de prix Thiers .„ « ché, car on ne peut donner ce nom à la BRUIT DE CANDIDATURE DÉMENTI , très grands et absolument, injustifiés. La lance aux cavaliers » réunion des quelques marchands ayant Les plâtriers et sculpteurs de'ia A l'unanimité, les maires présents à ces VALENCE (Drôme).-—L'information publiée « actuellement lieu sur la place de l'InA la suite des essais pratiqués en vue maison Beau, au café Thiers. i ? 7l1 89 H-6C3 94 13.615 6 réunions décidèrent : par certains journaux et suivant laquelle 1Anonyme ,., "' J * « dustrie, de généraliser l'emploi de la lance dans 8 886 36 13-545 99 11.175 58 1° De demander la suppression du M. Loubet serait candidat au Sénat dans lA. <t Seulement, qui osera prendre cette 7 » la cavalerie, le ministre de la guerre vient «ilm ÏQ 9 380 73 9.034 81 droit de 6 fr. sur les légumes frais en prola Drôme, est absolument inexact. — HajMme Leclaire .... — ,, de décider que tous les régiments de dra" î » « initiative ? 48 1L97* 40 15,377 53 % venance du pays annexé et du droit de i gons des divisions de cavalerie indépente Ne craindra-t-on pas de mécontenter vas. G. L \ 2 fr. sur les pommes de terre. dantes seront armés de la lance. Celle-ci « les commerçants de Longwy-Bas et en- ' ■ Potitcollot, inspecteur de la Nor" , . 1 14 6 12 ' ïf« 158 175 217 321 360 2° De faire des démarches auprès des sera d'un nouveau modèle, à tube métalliwich-Union « « virons ? boulangers pour que le prix du pain ne 487 661 818 829 861 que à la fois aussi solide et plus léger que « Agréez, etc. » Les membres patrons du conseû " 897 904 977 1.052 1.118 1.178 le fût actuel. dépasse pas 0 h\ 35 le kilo. Disons tout de suite que nous ne somdes prud'hommes 50 J i Dans les communes où ces oommer1212 1 237 1.249 1.293 1,298 1.318 mes pas d'accord avec notre corresponA. Grillon ' " çants refuseraient de vendre le pain à ce 1 350 V02 486 1.509 1.659 1.753 ARRESTATION DE RICORDEAU dant ' occasionnel sur la dernière phrase Collecte faite au café du Débarprix, les maires useraient du droit que de sa lettre. Nous pensons au contraire 1 842 1 459 2.060 2,064 2.074 2,291 L'agitateur Rioordeau a été arrêté à Sècadère JO „ leur confère la loi, de le taxer eux-mêmes ; l-.ll 2 2,698 2 897 2.913 3.006 que les intérêts des vendeurs et des conIverlet, commissaire de police 5 „ vres comme insoumis et conduit à Vermais il est évident que nos boulangers ne 3 324 3.335 3.406 3.415 3,421 3.568 sommateurs sont identiques, et nous somsailles où il a été écroué. L© syndicat des entrepreneurs d» voudront pas forcer les .municipalités à mes certain q»e les commerçants de LongS 652 3.659 3.676 3.704 |705 3.773 Meurthe-et-Moselle ^ s I On connaît le rôle joué par ce syndicarecourir à ce moyen. 3.801 3.804 3.896 3,911 3.937 4.018 wy-Bas accueilleraient avec plaisir la ■Jeudi 21 septembre. — 264° jour, liste turbulent dans les grèves de Draveil, César Pain, architecte 5 „ 1 En outre, les boulangers seront invités nouvelle officielle de la, création du mar4 182 4,187 4.357 4.378 4.405 4,434 de l'année. de Villeneuve-Saint-Georges et en général , à ne livrer que des pains pesant exacte4 632 4.740 4.776 4.871 4.913; ché réclamé par la lettre ci-dessus. ' dans tous les mouvements organisés par Total de la 3* liste 44^50 AUJOURD'HUI : DEMAIN : ment le poids indiqué par leur forme. Cette' 5 006 5.070 5.108 5.162 5.222 5,237 Sans être grand clerc, on peut prévoir le syndicat des terrassiers. Report des listes précédentes,., 233 » Saint MATHIEU | Sain* MAURICE décision étant .seulement applicable aux 5 281 5 212 5.296 5.372 5.387 5.567 que le marché amènerait, chaque semaine, I pains pesant plus de 3 kilos. Ephémèrides lorraines : En 1684, nais5 583 5 670 5.685 5.694 5.705 5.775 de nombreux acheteurs à Longwy, et qui Total à ce jour — 6i4 50 3° Le lait ne devrait pas être vendu sance à Nouillonpont, dans la Meuse, du 5 805 5.917 5.989 5.992 6.011 6.018 — donc est plus Intéressé que le commerce> phis de 25 centimes le litre et, tes fraudes > célèbre mécanicien Philippe Vayringe. 6 053 6.076 6.097 6.183 6,271 6.438 local à ce que beaucoup de monde circule Dans la journée de mercredi, une somseront sévèrement surveillées. A cinq heures. — Théâtre de la Passion : 6 541 6.550 6.591 6.687 6.710 6.740 dans une ville ? me de 46 fr. 40 a été recueillie dans tes A ce propos, qu'il nous soit permis de La Divine Tragédie. 6'826 6.847 6.877 6.902 6.915 6.950 Par contre, nous sommes absolumenti dire que les médecins que nous avons inA huit heures un quart. — Musique mi- troncs placés sur les lieux de la catastro7 027 7.083 7.145 7.150 7.397 7.433 d'accord avec notre correspondant pour phe de la rue Exelmans. terrogés sur les nombreux cas de mortalité litaire à la Pépinière et au parc Sainte7454 7.481 7.483 7.492 7.571 7.573 ' réclamer la création d'un grand marchéi infantile qui se sont produits cet été ont; à Longwy-Bas, où il rendrait de signalésj 7 597 7.667 7.680 7.696 7.751 7.778 Marie. été à peu près unanimes à nous déclatrer 7.805 7.905 7.971 8.027 8.136 8.192 services à, la population de la ville et ài que le nombre élevé des décès d'enfants 8.205 8.24(1 8.250 8.403 8.413 8.454 ' celle des très importantes communes voiétait moins le fait de la chaleur que du Nous avons reçu une nouvelle lettre que 8 527 8.563 8.788 8.883 9.044 9.074 sines. LE TEMPS QU'IL FAIT mauvais lait. nous reproduisons à l'exception de quel9 098 9.441 9.511 9.514 9.580 9.594 Nous soumettons cette idée à M- le maire1 Au cours de ces deux réunions, on s'est Cherbourg 753, Lyon 764. Profonde déques lignes que nous estimons « ininséra9 643 9.762 9.831 9.848 9.861 9.934 Ce qu'ils sent dévenus ' ée Longwy, à M. le sous-préfet de Briey, encore préoccupé de la cherté, que beaupression Nord-Ouest Europe, bies ; » 9 950 9.979 9.989 10.023 10.039 10.062 persuadé qu'ils voudront* étudier les5 ', La gaïté française ne perdant jamais' coup estiment injustifiée, de la mande. Lo 2© A NANCY Le 21 « Monsieur le directeur, 10.080 10.109 10.167 10.178 10.241 10.162 moyens de la réaliser aussi promptememtt ', ses droits, l'Indépendant, de Lunéville,1 Comme nos lecteurs peuvent s'en rendre Mis err cause par M. Bernardon Maurice, 10.324 1.668 10.697 10.802 10.862 10.903 ; qrre* possible. ' nous révèle le « triste sort » des fameuxt compte, si on ne manifeste pas dans le1 Heures Tharm. Barora. . nullement secrétaire de l'Union des syndl 10 907 11.059 11.061 11.280 11.320 11.3251 Et nous espérons bien que- le marché de3 Tmpi probable uhlans de la forêt de Parroy. 'bassiu de Briey, ion examine la question, cats, je vous prie d'insérer en ce qui mt : Longwy-Bas, une fois créé, les adminis11.422 11.477 11.454 11.462 11.476 11.485! « Les malheureux — dit notre confrè-- on l'étedie sous toutes ses faoes, ee qm1 traitons compétentes sauront lui conserverr 6 h. m . + 10 concerne les lignes suivante : 11.519 11.520 11.531 11.577 11.755 11.842' 745 d'eillre Sud et Ouest. re — égarés depuis la veille dans la forêtt vaut beaucoup mieux. sa vitalité. « Comme l'un des membres organisateurs 11.866 11.975 12.009 2.144 12.123 12.164 de Parroy et n'ayant rien à se mettre sous3 Midi .. + 24 74S Pluie. Nous croyons nous faire ici les inter' Car il est. bon de dire que dans l'arrondu meeting de dimanche, je certifie qu'il 12.312 12.245 12.257 12.277 12.368 12.370 la dent, avaient mangé des champignons. prètes de la population si laborieuse d* 9 Jh.s.. +22 741 Tempérât, normale. dissement il existe sur le papier quelques n'est paru aucune note, distribué ~-imw 12 381 12.436 12.459 12.582 12.594 12.658; Et les champignons français avaient faitt notre arrondissement en remerciawt VnA" marchés qui, en fait, sont disparus depuiss manifeste plaçant sous l'égide de l'Unioi 12 723 12.849 12.891 12.922 12.895 13.034| Max.. +25 - . ienr devoir, tou* leur devoir, ils avaientt ministration de l'excellente initiative S H ' longtemps. 13.139 iô.î.09 19 9Q0 13.331 13.373 13.409 des syndicats ledit meeting. empoisonné les vingt-cinq uhlans. qu'elle vient de prendre dans notre kitéLever 5 h. 46. Il n« suffit pas de créer un marché, ilj Mm... + 9 13.417 13.4123 13.444 Î3.52b io.S7R 13.640 Comme ladite note n'émane pas des syn| « Bientôt, l'un de ceux-ci succombait ett r>êt à tous et de la féliciter des faut encore savoir y attirer producteurss 13.720 13.795 13.967 13.970 14.050 U.m® (ÛtisorvitiMs ie M. Betliéui.) Coucher 6 h. 01. dicats organisés et qu'il est de bon ton eu all>is j'a.3s»iot,ai3 tôinoiix m\x-ofc et vériditJUO et acheteurs. 14.089 14.105 14.106 14.203 14.295 14.410' Premiers résultats obtenus toutes choses d'avertir tout au moins ceuxà ce macabre spectacle. Le temps qu'il fait Il est d'ailleurs juste de reconnaître que 14.426 14.552 14,753 14.792 14.867 14.903? ci, 1© citoyen Bernardon a outrepassé des « Avec leurs grands sabres, les vingtPrécédemment, nous avons fait connaiLe vent qui soufflait par à-coups, mersi certains marchés fléchissent de plus en 14.915 14.923 14.946 15.007 15.039 15.325J droits dont il aura à rendre compte M quatre survivants creusèrent une tombe3 tre les résultats obtenus à Longwy à la credi, avait comme un avant-goût de pluie. Plus, 15.341 15.394 15.435 15.573 15.581 15.592' sein même de l'Union des syndicats. sous la feuillée et y enterrèrent leur « ka-r suite de la visite de M. le sous-préfet ett Celle-ci est venue, en effet, jeudi, avant^ 15.629 15.630 15.688 15.735 15.741 15.7611 Le meeting organisé par la Ligue i» marade ». Deux minutes après, c'était le3 sur les instances de M. le maire, « O'est la faute à la douane » l'aube, autour de quatre heures du matin. k 15.779 15.866 15.867 15.917 15.960 15.968J tour d'un autre qui succombait lui aussii consommateurs (en formation), a eu l'apA Moutiers aussi, après intervention de Elle s'est mise à tomber en averses copieuEn veut-on un exemple ? A Mont-Saint16.028 16.053 16.155 16.159 16.228 16.248> pui entier du journal le Travailleur, comaux effets du poison. M. Reblé, maire, les boulangers ont dé£ ses, qm auront fait le plus grand bien àt 18 271 16.321 16.340 16.364 16.531 16:587f me ses communiqués ont eu aussi les hon(i Les vingt-trois survivants prirent de3 cidé de vendre le pain à 0 fr. 35 le kilo, Martin, a lieu chaque mardi un marché• la terre assoiffée, qui pourrait être très largement approvi16.606 16.619 16.645 16.689 16.741 16.761l neurs d'insertion de la presse locale, a nouveau leurs grands sabres et creusèrentt pour les pains de 3 kilos et au-dessus. sionné par des produits apportés par des s *^ 16-763 16.873 16.977 16.987 17.188 17.320) dont il faut la féliciter, n'en déplaise à M, Au-dessous de 3 kilos, les pains consi-. un nouveau trou où ils déposèrent leurc lAu congrès des entrepreneurs du Nord-Est producteurs et vendeurs venant (de la BelDans cette liste, six numéros ayant anté-; ' Bernardon. malheureux frère d'armes. dérés comme pains de luxe seront vendus5 gique. rieurment bénéficié d'un lot, il est procédé1 Nous avons appris, avec grand plaisirD'autres meetings ont été organisés ausd Trois minutes après décédait un troi-- à la pièce. Eh bien ! ce marché est presque nul et à un tirage complémentaire : st que notre sympathique concitoyen, M.. A Haucourt, des récriminations s'ésième uhlan. Pour la troisième fois, less si dans le département et à Longwy, à | t cela tout simplement parce que l'adminis1- Cayotte, venait d'être élu, au congrèsi Toul par exemple, l'action de quelques „ vingt-.deux survivants prirent encore leurs3 talent élevées concernant aussi lo prix duj Numéros cér. Numéros Sér. Numéros Sér.. tration des douanes, appliquant les règle!- d'Auxerre, président de l'important syndi-pain, que la population jugeait trop élevé. grands sabres et comme pour les deuxi camarades a produit des résultats. 4 3.516 7 6.166 10 1.549 1E 15.033, ments avec un zèle dont on ne peut que la a cat des entrepreneurs du Nord-Est. Le maire, M. Gilardin, fit, auprès desj premiers firent un grand trou où ils enCeci pour démontrer que le zèle <H|n : s 40 8.624 77 9.265 féliciter, quelque regrettable qu'il soit, boulangers venant des localités voisines, >, Au banquet qui a clôturé le congrès, M.. Bernardon ne suffirait pas à remplacer fi- a fouirent le troisième empoisonné. Ces six numéros gagnent chacun trentecrée mille difficultés à nos voisins qui, de approvisionner la commune, des démar-! e Cayotte a remercié ses collègues dans les3 nitiative d'un groupement ou d'un certain : % « Quatre minutes après... je crois qu'il1 cinq francs. guerre lasse, préfèrent rester chez eux. ches couronnées de succès, excellents termes suivants : nombre de militants qui tout comme M 1 est inutile de continuer. Vous devinez la1 j Ajoutons encore que le bureau de douaLe gagnant du lot d'un million II obtint d'eux que le pain soit vendu t<( Messieurs, ont intérêt à payer moins cher les vivres suite. Vingt-quatre uhlans en bourgeroni s nes de Mont^Saint-Martin ouvre beaucoup 1 fr. les 3 kilos. moururent ainsi l'un après l'autre dans la1 P Vous m'avez fait tout à l'heure le grand1 pour leur famille et pour eux. S'il devait MARSEIILE, 20 septembre. — Le numéro, trop tard pour le marché, ce qui contriEncore une 3 en être autrement, j'attendrais de ce nou1 •* forêt et furent enterrés successivement par j ihonneur de m'appeler à un poste auquel je r 2,429, de la série 50, gagnant le lot d'un bue à en éloigner les vendeurs. Là encoree les survivants. veau sauveur, incarnant Je vrai, le ta$ | 1 ne me sens pas encore suffisamment prô-million de la loterie des œuvres de bien1 Bonne nouvelle la douane est dans son rôle qui consiste « Le vingt-cinquième, celui en bleu, qui et le juste, qu'il tranche seul les questions ,j ■e paré aujourd'hui. faisance, a été mis en vente à Marseille, Précédemment, nous avons reprouuiv.en 3 !" remplissait justement dans le civil les J d'ordre social qui agitent de plus en plus» J'ai cependant accepté cette importante3 par la succursale centrale du Crédit lyontrioes airconinS ^t ^ td^^' nous y associant, les doléances do notre r fonctions de fossoyeur, qui venait d'enfouir n for,o*ir, pnnr in raison qua mon prédéCCS-tronaux. monde entier. " I s nais. n a, confrère Le Longovlcien, exprimant son1 le dernier de ses camarades, sentant la seur a indiquée tout à l'heure et qui était; En priant le citoyen Bernardon, sous-* | j fait etfûnkj«%,du billet ne s'est pas encore . Mais nous pensons qu'il serait possible étonnement de ne pas voir Longwy figue mort prochaine et ne pouvant s'enterrer r de placer le siège de la Fédération dans; crétaire, .de tourner sa langue plu*™* |J Afin de simplifier les opération» 3 rece. de donner des instructions à certains buvoir êtes'porcs de Hollande. " gré ses douleurs d'entrailles jusqu'à l'éune grande ville de l'Est, et au centre des; fois avant de s'occuper dc ma persoawW | t rage des 30,000 lots de 35 francs, il a été exaîM^qJ'ÇL.une celui de Mont-Saint-Martin, Grâce aux démarches de notre député, j tang de Parroy où il se précipita du hautt syndicats adhérents à la Fédération. vous prie d'agréer mes meilleures s* ! f trait les 300 numéros suivants, qui sont l'approvisionnement d'un pays. ' • - )>1 M. Lebrun, cet oubli, car il ne s'agissait,' de la digue, après avoir pris la précaution signé. " x « tions. : ; remboursables indistinctement dans toutes paraît-il, que d'un oubli, est maintenant de s'attacher une énorme pierre au cou. Le Nancéien aura à cœur de mériter lai Membre et aeiegue » 1 — Oe que pensa un maire les séries émises : réparé. « Ainsi périrent les vingt-cinq uhlans dee Syndicats. » confiance que vous témoignez à sa belle3 Pour terminer, je vous soumettrai les a, Des porcs de Hollande entreront à Longl'Eclair de l'Est, morts pour le journal la cité qui donne en ce moment même un beli Main broyée réflexions suivantes relatives à l'augmenPairie. (Dernières dépêches, dernières nou-. wy connue dans les autres villes frontiè^ exemple de patriotisme réfléchi. En effet, tation du coût de la vie, faites dernièreres. Mercredi, vers cinq heures du soir, j _ velles.) , nous traversons une période critique, et le3 nient par le maire d'un des chefs-lieux de e Nicolas Vautrin, âgé de 36 ans, ou«* <_ Espérons que les consommateuirs en bé-,. « Mais les chevaux, direz-vous, que sontcalme des Nancéiens qui, pourtant, se samenuisier, demeurant à MalzévillA " nôficieront. Espérons aussi que les 00m- i canton de l'arrondissement de Briey : ils devenus ? Ils ne se sont pourtant pass vent sacrifiés, ©st d'un bel exemple de so« Jusqu'à la fin de l'an dernier, disait it " vaillant chez M. Wendler, entreprend roerçants de Longwy seront moins âpres' : La répartition de la prochaine classe enterrés eux aussi l'un l'autre. lidarité nationale. oe magistrat, le lait était vendu 4 souss rue de Solignac, a eu la main droite pi laitiers qui viennent| « C'est juste et vous avez raison, maiss au gain que les Les Nancéiens placent au-dessus de tout1 Le ministre de ta guerre vient d'arrêter chez nous, et les producteurs gagnaient d'augmenter lt dans une toupilleuse. , »„,.(* ceci est une grave, accusation et je ne del'intérêt de la France. La confiance que les prescriptions relatives à l'incorporade l'argent. A la fin de 1910, il fut aug' M. Vautrin, qui a eu deux doigts.^". vrais pas le taire. . leur donne notre 4» arme leur font envisation du prochain contingent.qui comprend Le prix du lait à Briey menté de 0,05 par litre, sans que cette mat • ment contusionnés, s'est rendu à 1 »op11 ' « Lorsque M. Tetiin (automobiliste) dans j ger de sang-froid la solution de la crise acles hommes de la classe 1910 et les ajourjoration soit, justifiée autrement qu© par un dernier voyage, accompagné de M.NouCar maintenant le litre de lait se paie0 nés de la classe 1909. tuelle quelle qu'elle soit. un© sensible augmentation de la populaLes contraventions t. ry (du Journal de Lunéville) à la poursui-- 6 sous au chef-lieu d'arrondissement, Comme on le sait, les affectations se.s Par votre vote, c'est cette ville, qui est si tion. Certains de trouver à écouler leurs ; te des uhlans arrivèrent sur les lieux, les s Briery peut se vanter d'être, sans doute,'■, La police a dressé procès-verbal conW ront établies d'après Tordre alphabétique, marchandises, les laitiers s'étaient dit .: digne de votre sympathie, que vous veneaft} 16 chevaux do l'auto qui avaient fait 300J la seule ville de France où ce produit si1 ' un débitant de la rue de Mon DeS,e"lijg. par subdivisions, en commençant par la> d'honorer. <( A quoi bon se gêner ? » , kilomètres dans la journée étaient complèutile atteint un tel prix. C'est un recordi pour avoir laissé danser dans son et* lettre G. Les commandants de recrutement Certes, ce prix de 0,25 se comprendrait it _ Je lève mon verre en l'honneur des pré-. tement fourbus et 'ne voulaient plus rieni évidemment, mars dont les Briotins nee sdement ; contre M. L.*., rue Carnot, v désigneront donc pour les corps les plus, cette année, mais maintenant il est quesj. cidents des syndicats adhérents à la Fédé-, savoir pour avancer. soat pas fiers, éleignés les premiers de la liste, c'est-àexcès de vitesse en automobile, et co > tion de nous le mettre à 6 sous. Ca, par ,r ration du Nord-Est et en l'honneur de monj « Alors, comme M. Terlin n'avait pluss En vendant notre lait cinq sous, nouss dire les jeunes gens dont le nom com-'_ quatre jeunes gens pour tapage noew exemple, c'est exagéré, et nous ne nous eminent prédécesseur. » (Applaudisse-,. s d'autre ressource pour ramener à Lunévil.y perdons, disent non sans quelquee mence par un G. Les appelés dont l'inilaisserons pas faire. ments.) le le rédacteur trempé du Journal de Lu-aplomb le» laitiers producteurs, tiale est F seront envoyés dans les garniPour les œufs, c'est absolument la môNous donnons à titre de curiosité le ^ 1 néville, il prit les 25 chevaux des uhlanss Oomment se fait-il alors que certainss sons les plus rapprochées. En cas de sime chose ; « nous souffrons surtout du u RHUMATISME et les fourra dans son moteur. d'un énigmatique télégramme trouve cultivateurs des environs de Longwy,presmilitude de nom, c'est l'initiale du premanque de concurrence ». Beaucoup de cas désespérés de rhuma« Ainsi finit cette mémorable randon-,sentis pour le cas où une laiterie coopéranotre boîte aux lettres : mier prénom qui déterminera l'ordre de' tismes ont été soulagés par le Baume* C'est sur ce mot que nous termineronss _ née. tive serait créée dans cette ville, ont pro-« Est républicain, classement et, en cas de prénoms identi- : cet article, un peu décousu peut-être, mais Oméga. Il est rapidement absorbé par la a mis de livrer le lait à 19 centimes le litree ** « Annoncez à vos aimables t!,cfn^«art I ques, les plus âgés seront classés les pre- 1 :A peau, accélère la circulation du sang ett écrit d'après des renseignements puisés à .. à cette institution ? « grande maison de Nouveautés P'|0cs | « Quand vous irez dans la forêt de Parmiers. En ce qui concerne les noms comdes sources autorisées, élimine le mal. Flacon d'essai, 50 c. .• Gomment se fait-il encore que la laiterie roy, à l'angle de la tranchée du « Haut« vente très prochaine d'un éf-or MQttft I posés, la lettre initiale du premier nom1 élimine 'e mal. Flacon d'essai. 50 cent.' s L. D. « de lingerie, blanc, toile, tissus ■ c(l porté sur l'acte de naissance, abstraction1 des-Faîtes », vous verrez un monticule quii ! coopérative de Jœuf n'ait pas augmenté ses prix ? Ses fournisseurs, cultivateurss « échappé à une inondation. T°ulJLes 1 s'élève près du fossé. faite, le cas échéant, de la particule, sera1 Facultés des sciences et des lettres voisins de ceux de Briey, perdent-ils de3 seule retenue. ; « marchandises fraîches seront venu ^ « Pensez alors à la terrible scène quii l'argent ? Les examens de la session d'octobre-no-« des prix dérisoires qui feront cou Les dispensés de l'article 23 de la loi du1 s'est déroulée on cet endroit et espérezz A Jœuf, le lait se vend 25 centimes le vembre 1911 sont fixés aux dates suivan15 juillet 1889 rappelés à l'activité, serontt qu'un jour un monument érigé sur ce ter« tes les dames. ï BAR-LE-DUC, 20 septembre. — Le jeunet <f tes : litre, et- à la fin d© l'année, les clients re « Détails dans prochain numéro. ^ affectés suivant la règle ci-dessus. Ceux1 tre rappellera, aux populations lorraines,, Hubert André, 8 ans, demeurant rue Er; çoivent une « ristourne » qui ramène ie '1° Baccalauréat. — Lundi 16 octobre. — qui, après avoir bénéficié d'un sursis d'in-qu'en septembre 1911, la « Bonne Presse »|J « nest-Bradfer, 45, avait conduit une e prix de vente à 21 centimes, maximum. Les inscriptions seront reçues au secrétacorporation, prévu par la circulaire du 12l sauva une fois de plus la Patrie. » Satisfaction est donnée à notre brouette à son père, chauffeur à la BrasQue dites-vous de cela, Briotins ? riat du 25 septembre au 7 octobre inclus. décembre 1889, n'auront pas obtenu.avant lieux correspondant. Il ne nous r. „ à | série d© la Meuse. Ce dernier lui dit alors s e En tout temps, vos voisins de Jœuf [ Les poursuites judiciaires 2° Licence ès-sciences. — Mardi 24 oc'tole 1« décembre prochain, le titre ou le diqu'à attendre l'explication de 1 en b fâCéî ^ s amuser un peu ©n attendant qu'il ait paient le lait 4 centimes meilleur marché 't bra — Licence ès-lettres : Vendredi 3 no-" plôme donnant droit à la dispense définiM. Tortat, juge d'instruction, a interro; termine son travail, moins que nous soyons victimes ^ que vous, actuellement la différence est vembre. tive de leur deuxième année de service,, gé, en présence de son défenseur, M. Léon" lies d'un nouveau Le Mice-iei [ A 6 heures h, M. Hubert fut fort étonné de 9 centimes en plus, à votre désavanseront mis en route Le 15 décembre e Les inscriptions seront, reçues au secréCouchot, gérant de la. Patrie, inculpé d'inDonc, à demain. de ne pas trouver son fils aux abords de la : tage. En raison de la nécessité où se trouve> atariat du 5 au 10 octobre inclus, fraction à l'article 27 de la loi du 29 juillet Brasserie, mais il pensa que l'enfant était Bonne idée la section de secrétaires d'état-major de; 1881. On sait que les poursuites sont mod 3° Certificat de P.C.-N. — Mercredi 25S retourne seul au domicile paternel, Mais les laitiers forunissant les com-_ Paris de pourvoir à certains services spé-tivées par la publicité donnée par la Paoctobre. — Les inscriptions seront reçuess Car et voiture ^ ^ «entre chez lui il ne trouva pas le gamin munes environnantes auraient peut-êtreî ciaux les jeunes gens à affecter à ceito> n trie au prétendu incident de Lunéville. au secrétariat du 5 au 10 octobre. tort, de suivre le mauvais exemple donné ■M^'credi, la voiture de M^Sfta,' à f, S m qu 6t M Hubort TOvint section seront choisis parmi ceux qui auM. Couchot a invoqué sa bonne foi : la 5 i ' auxK par leurs collègues de Briey. priétaire, en passant rue Gamu w aooicts de la Brasserie et, accompagné d'aront satisfait à l'examen spécial prévu1 uV nouvelle, connue par lui le matin, n'a pas tCOFFRES-FORTS FICHET hauteur de la rue des Micihotte-. & Nous pouvons, en effet, 'annoncer que5 w*i ll.exPl0ra 10 canal des Usines où il par une circulaire ministérielle du 18! été publiée dans la première édition de la; 9 incombustibles et blindés d'acier, imperfcrabte un car électrique. La lanterne ei lors des deux réunions qui, ainsi que nous, eut la douleur de découvrir le corps de son1 août 1908. Patrie, mais seulement après confirmation. 8, nue Saint-Georges. NANCY l'écrivons ci-ctessus, eurent lieu dernière-- <,nfant- n°ye en aval du pont de cetten lies hommes affectés aux corps de cavacrotte ont été brisés. îSitôt que le .démenti officiel lui parvint,■ usine. ment à la sous-préfecture, certains maires3 lerie seront mis en route le 2 octobre ;; notre confrère publia une édition spéciale; La mor déclarèrent que si le lait était augmentéj ceux des autres armes partiront les 7, 91 pour le faire connaître, . t paraît accidentelle. Le jeun© Hui. Malade sur la voie publique c!l dan e s leur commune, ils s'adresseraient à1 ,êr & et 10 octobre, par fractions a -peu près égav • en t sa Le juge insiste alors sur la différence, i ura sans doute glissé en jouant surr Mme Millïon-Moyaux PW » 7 oçWf' Un terrassier, Hector Pierre, âgé de U des cultivateurs de la Meuse qui, eux se u les. j qui existait entre le ton affirmatif de la' . les bords du canal et sera tombé' à l'eau où i tôle qu'elle sera à Nancy du t a jcu|. Les soutins de famille seront appelés; manchette et le texte dubitatif publié dans; raient enchantés d'écouler leurs produitss il a péri sans avoir pu appeler à l'aide. Î ans, -demeurant à Blainviile, est" tombé, prochain et qu'elle recela tous lcs j m 1 malade ©n passant place Stanislas. Tl a ' a un prix raisonnable, le corps du journal. .V 10 octobre. m if docteur Chardin a procédé H.Yï été, conduit à l'hôpital par la vodtuiie d'am-. de deux heures a sept heuies. 4 En lisant ces lignes, nos laitiers voRtt constatations d'usage. Beux-IIéinispiieres, bulance. DE «DIRE CORRESPONDANT PARTICULIER Génie Les 20 numéros suivants gagnent chacun 10,000 francs : • Numéros Scr. Numéros Sér. Numéros Sét. BRIEY, Cf î K f J 11 gj ?S»S fl SSl àfi 1 î*-§» â &f8 ils 1 *S I Hotre souscription pour les vietan do la catastrophe de la rueExelni^ 11 i 11 I -I ! 11 I 1 1 ?: I 1 •1 1 -88 si SS 1 m/i. : c US 1 NANCY ,11 LA JOURNÉE tua Régionale La vie chère L'histoire des uhlans j J à ^r DANS ^L'ARMEE j I Enfant noyé à Bar-!e-Duc !Li2 j , i ' i lll mil ' pandant un bruit, (F, tre correspondant *^TAT CIVIL 20jeptembre Du ,u*L«*len 11 <?u — Léon-Victor-Denis 12.Maxrla V t'ieviot, "'vi..1.,use, t» ace Saintrue rice-vlc,t — M'u 1 . Ha,adel> »'«»* de Vilï- WàîieSStoiïi Richard,rue ÉSftU» ' ' s ïrois-Maisons, Pl S fauDoUi'K. ,Vi)ucIUnul 2. ve 1L f D^&î^llffl^GUM* (ftr ©'ses, P**" as. .../PU cuisinière céhic Karci «nntifontatn©, 2. — Jean , de s- ,;., ,veiI1. à Vandœuvra n e ;ll, SE^ ni, 50 V _ Albert. L*vy,41 ans, 1( , ,.1 RlEHiMANHi indus, ,.Si.ur Edouard » MANN ; E1EHL poFtitte v ,«ir ôe^uiiPHLMANN ; Monsieur ^ rtéopli'le BIMIUHA Monsieur ot «"fcfi»e Marim KLMl r de|uoiseUe y [aire part delà J*M BIEHLHMIII ■ iils, neveu et cousin ' (Suisse), . Délit re P leurS^f ' s li ■ t aWister au* convoi fuaç-; » vous P^lffi auront lieu le _ jeudi irfie» eoterremeu^ l'après-midi, en de U courant- a W» ^ e( Je tiere là au cime ^ riumr«àCêgUte. 0nfi ..,.« envoyé «le Ictli'cs U ,„. «cru I » ,e .,ré«eiit t»vl«« en ,le faire *• » '^I'ÏS'MO^^ j^ieur et Madame Henric SCHLOSSBR t^et Madame Chrétien "iSr^ef Madame "Ertïïrt Madame KARCHER Emile KLEIN et Georges KARCHER X'I'uï et Madame Charles KLEIN et leur fiHei Ont la douleur de vous faire part do Ja P^rle cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la personne de 1 I Nemoiseiie Sophie KAROHER I 1 I 1 1 1 I I 1 leur bien aimée sieur, belle-sœur et tante décédée i Nancy, le 19 septembre 1911 dans sa 47* année, après une courte maladie. Et vous prient d'assister aux service et enterrement qui auront lieu le jeudi 21 couraat, â 3 heures du soir, au Temple proies bot, et de là au cimetière de Préville où se las, l'Inhumation. î 0)1 se réunira au Temple protestant (place Saint-Jean). i l'uur moi Christ est ma vie et la mort m'est un gain, Puilipp. I, 21. ' I ttne sera gum envoyé «lo leiti'c* (claire part, le présent nvl* e.. iaidrs» lieu. jI I ■s t\mm^^m^mmibeiaseBmmÊBtmt [I * ïiï^ï8iSCCIB5M!CXT!S I p Monsieur G l'IsNOT et sa famille remercient H j| Msarcèrcmont loutf s les personnes qui leur «MUmoigné de la sympathie à l'occasion du I f I \ Madame GESNOT I Née Marouerile ROSIEB jj Ij : ÏRlBuMJËLiyûE A propos des uhlans Monsieur le rédacteur, I 'a' lu les articles de votre confrère l'E" I Wr sur la pseudo-promenade des uhlans3 |H notre territoire, l.tas.son numéro de mardi soir, l'Eclairr I «t si préoccupé de cette aventure qu'unes f formation d agence a été publiée sous ce 5 |*6: « L'Allemagne est trop gourI -«te. » Votre malheureux confrère en1 6 hacht d0 la I »' Pallie, 1 ir? M"w««siWs d'une tournée eommercia-comluit I» ' à ISarrebruck, le jour mê1 «L? Parai*sait on France cette extraor-■ 1 mystification. >'i- I , I i et ' uj «t u«i ns jj ers e i, f i *** 1 4MUKV0US dire (ïtMi la nouvelle affichée 1 V P*"n«au-réclame d'une banque lo-3I Js' oiume font à Nancy la plupartt 1 àer, Srsales d'établissements finan-dos ré It.iul^ m I * s'am' I . fie*«ons plutôt désoblifaçon générale,b naïveté et de notre» s 11 I *» d'une UU5ait do notre ; rou9 *' Se 111 î m •r il ir isè te1 1 ^s'alS I i ! e - ? Pr iresiens de Sarrebruck,, proie à une frousse, ài S fcté en ^\fnîu I **aes ^ I % 4, I .Sav II ^aSi„ : intei,ses Une vin ta S ine de cavaliers-fan-.Lunéville, disaient-r 6 sous les ai mes et un ^îf ' esca-? cartouches et des sabres ef-:u tûu Naw* , te une forêt à la frontièree 1 DS"^-quatre heures... I 1 que ,j a,bltanaru ts constataient sirnple-if '-'ue'llA ^ rovo P qtte existe en AllemaNM ÎJ> <ll'« les faillites, les cri-ir 68 et te retra I 1hni ,les caisses it de fonds im-iI ^|amanL d'épargne, laa. t I h "'que trouble chez nous les caser1.,%! 1V.A |*i,,Slwi^ter invraisemblancee I ^«gtter : raisonneurs se bornaient ,t ' g ar nison de I ,» I? o ,li*S ai" île h OS e 1 Hne : ou bien un ï ItftfftL* S ^ ' " n s* |<^^tort a « ? ' ïns K^HunS B faitt le pari de s'appro->K ans ce a \^m*? ?réus-i;V I^VB1 9résultl rtJ ouubl«n cette incur-> ^.hallucination colI; ;w e cas quel raai- U IÇ^ danf^i io* e is ont couverts s I frere nou 1 nfe? 8um^I 5»t dans l'Eclair dete ll fc^S Périart ' Sordoillet! «é Pi Iffle^' Pour v"° troublée s, ■ I>^ ^ t L f ! vacances, l^te' visite dee r 6n S6 119 à 1 P rê aCé Paul de aS plutôt r 6S hébaide où la né i It»-fnt di au tt b""* iUn affe a Ù^en ^ationn ' f S -ou >«k ?ran^~ dont il faillit qu'iî II té i"' •f* *. ^ffl t d re l'Eeiair ^formations, je soit * empresséé l,l>n,l0 lt ,u!fT'°? f * i,.îïfeï^tir, SS 'ant le retards, e IwÇiS RKg> "S 6 l Pourri r i1iW^^q&^^^cai-l- r [ PM *** * ' L ^" W.*vUI., mien,fe entière, en y ré- t \J V v THE A TRES ri THEATRE DE NANCY. — Tournée Baret. L'imprésario Baret termine sa sain son par un coup de maître. 1 si I vient de sTassureï le privilège exclusu du plus grand succès actuel de la Con médle-Française : Les Marionnettes, qui tj <jtiennent L'afflebe depuis le commencement de la saison. p Pour ta distribution, Baret a traité avec plusieurs artistes de marque. SPECTACLES g CASINO. — Tous les soirs La Revue, en 2 actes et un prologue de Joullot ; Duguest compère, Dangel comère, Ratcôe, Les r iBrightons Girls, etc., etc. Dimanche, matinée à 2 heures avec La Revue. Chronique Départementale S, j! 1 MEURTHE-&-M0SELLE ARRONDISSEMENT DE NANCY SAINT-MAX ( Libéralité. — A l'occasion de l'installation de ses établissements à Saint-Max, « (,Mlle Mangin, présidente de la Société progtectrice des animaux, a fait don au bureau de bienfaisance de cette commune d'une s somme de cent francs. FROUARD Enfant noyé. — Le petit Namy, âgé de 6 ans, trompant la surveillance de sa mè1 re, se baignait dans le canal de la Marne1 au Rhin vers 5 heures du soir, lorsque tout à coup disparut. Aux cris poussés par ses petits camaraides, un marinier se jeta à l'eau et put iretirer l'enfant. Un médecin appelé en toute hâte accoui rut, mais il ne pouvait constater que le dé\ces. Tous soins furent inutiles. Le désespoir <des parents est indescriptible. l dénomination de la partie supérieure de la rue de Noufchàteau, qui prendra désormais le nom de l'un des glorieux enfants «de la cité, celui du « Capitaiiie-Caiilon ». JJa rue du « Capitaine-Caillon » s'étendra depuis l'intersection des rues de Toul ©t du Géiiéral-Thiry, jusqu'au nouveau * chemin à créer pour relier la. gare de Chaj ligny. La partie inférieure de la rue, jus,qu'au pont du canal, conservera l'ancienne appellation de rue de Neuf château. Le numérotage pourra être fait par les ; soins des propriétaires, à condition que les chiffres soient bien apparents. j . ._ ! ...q 3 , - . - THIAUCOURT-JAULNY Les fêtes du 24 septembre. — Sur le désir exprimé par la famille Clinchant, en raison do la maladie d'un dc ses membres, l'inauguration du buste du général Clinchant à Thiaucourt, diïrioitcTié prochain '24, est remise à une dal ultérieure. La fête patriotique du Souvenir Français et des Vétérans et linaugiiration de la plaque du général Curôly, auront lieu suivant le programme précédemment indiqué et que nous rappelons ci-après : La célénionie do Thiaucourt sera présidée par M. Albert Denis, député ; celle do l'inauguration de la plaque du général Curôty par M. le général Cuny. Programme : Réception à La gare de Thiaucourt, 9 h. 11 ; messe de requiem du Souvenir Français, 9 h. 40 ; formation du cortège à l'hôtel de ville, 10 h. 30 ; visite au monument des enfants de Thiaucourt morts pour la patrie, 11 h. ; banquet des Vétérans et du Souvenir Français, midi. Départ pour Jaulny, 2 h. 15 ; formation du cortège à la garé de Jaulny, 2 h. 45 ; inauguration de la plaque commémorative du Souvenir Français en l'honneur du général Curêly, 3 h. ; vin d'honneur au château de Jaulny, 4 h. ; bal public à Thiaucourt sur les promenades, 5 h. ; à l'hôte? de ville, 9 h. DOMBASLE Bal des conscrits. — Les conscrits de la iclasse 1911 ont offert un bal samedi soir, c p EDEN THÉATRE - CINÉMATOGRAPHE dans la magnifique salle de M. Bezombes, PATHÉ. — Le programme abonde cette ;à leurs camarades de la classe 1910, à l'oc— semaine en curiosités. Outre les actualités |casion de leur prochain départ pour le . du Palhé-Journal, nous devons noter le I '■, régiment. pathétisme — sans calembour — qui règne Dès l'ouverture, Mlles Marchand, Geof1 dans les drames comme lo Grand-Père de froy, .Rospert et François, au bras de leur Jules Mary, œuvre pleine d'une attendrisi cavalier, font une entrée solennelle au son de la « Marseillaise ». Ce sont les quêteuCYCLISME |sante émotion ; la Duchesse de Braceiano tuée avec son amant, la Jalousie du CowFLAVIGN Y-SUR-MOSELLE ses et les marchandes de petites fleurs. Club-Cyclo-Touriste-Nancéien. — La co- fboy se déroulant au Mexique dont les taLe bal commence et les gracieux couples, ARRONDISSEMENT DE LUNÉVILLE Aventure d'un voleur. — Urbain Nicolas mité départemental de l'Union vélocipédi- jbleaux reflètent les paysages et les meenrs; i employé comme marcaire chez M. tous rayonnant de gaieté, commencent à cque de France, avec le concours du Club- la Bonté de Jacques V qui est un des plus était ] BIONVILLt f Eugène Nicolas, agriculteur à Flavigny- tourbilonner aux sons d'un orchestre des Cyclo-Touriste-Nancéien, organise pour le touchants épisodes de l'histeire écossaise..: tsur-Moselle depuis trois mois environ. mieux choisis. Grivèlerie. — M. Ernest Salivey, hôteer Les scènes comiques ont pour interprètes dimanche 1 octobre prochain, une course La plus franche cordialité n'a cessé de lier, a porté plainte contre Alfred Biaii Une de ces dernières nuits, M. Nicolas régner pendant toute la durée du bal. de 50 kilomètres réservée aux indépendants ides artistes de talent, Mme Mistingùett, rentrait se, ramoneur de cheminée, qui s'est fait de Nancy. Après avoir dételé ses < ï département de Meurthe-et-Moselle. du ,M, Cazalis, etc.. Léocadie veut se faire chevaux, C'est la première fois à Doinbasie que servir à manger et qui a pris la fuite. il se lava les mains à la fontaii Cette course aura lieu sur l'itinéraire sui- |mannequin, Jobard amoureux timide ob- ne située dans la cour de sa ferme. Pour les jeunes conscrits offrent un bal à leurs entre autres, un succès de folle ( i FLAINVAL ]vaut : Départ à Tomblaine, Bosserville, tiendront, ce faire, il retira d'un doigt une bague aînés. hilarité. Los Melons balladeurs exposent ( Art-sur-Meurthe, Varangéville-Haute Dom- , Arrestation. — La gendarmerie a mis en Un chasseur volé. — Des chasseurs de d'une valeur de 300 francs qu'il déposa un paysan à d'inénarrables équipées au f basle. Virage à l'entrée de Lunéville, retour , sur l'auge. état d'arrestation le nommé Gallait LéonDombasle étaient venus se livrer à leur par la même route, arrivée à Tomblaine. jretour du marché ; VAffa.rc ,rfu CHèonc sport favori dans les environs. L'un d'eux Quelques instants plus tard, au moment Auguste-Elie, 18 ans, manœuvre, sans doï hôtel et le Vol d'une nouvelle Jpcnntle ré< L'engagement est de 2 francs. avait eu la chance de tirer un beau liède) remettre sa bague, M. Nicolas constata micile fixe, en vertu d'un extrait de jugedans la poMce une subtilité dort iqu'elle De très beaux prix seront affectés à cette vêlent , avait disparu. Ses soupçons se ment du tribunal correctionnel de Nancy vre qui allait tomber à une assez longue seul Nie Winter est capable. ] course. portèrent aussitôt sur son marcaire, qu'il le condamnant à quinze jours de prison distance. Tous nos chasseurs le cher, Pour distraire enfin les spectateurs, vei- iavait vu rôder autour de la fontaine. Il le pour vol. chaient en vain, lorsque deux gamins le , M. Henry, 14, boulevard de la Pépinière, 1 appeler dans la cuisine des garçons. Là Vol. — Des ouvriers étaient occupés lunreçoit dès à présent les engagements et ci . les expériences populaires d'électricité, fit trouvèrent et se dirigèrent vers les chasil convient d'ajouter la fubricaj (donnera tous renseignements utiles au su- auxquelles di dernier au déchargement d'un bateau M. Nicolas lui fit part du vol dont il vej seurs pour le leur remettre. A environ | fion des masques comiques, H ne (xcurs.on i de houille dans le port Solvay. L'un d'eux, nait d'être l'objet. jet de cette course. deux cents mètres de ceux-ci sortirent de (en Nouvelle-Zélande, l'Ecole les &amiv— Selon moi, ajouta l'agriculteur, le vo- George Victor, avait accroché son gilet derrière une haie deux inconnus, que l'on * raïs, la pêche à la morue, etc. 1 leur c'est vous. . contenant un porte-monnaie renfermant suppose être des marchands d'allumettes Le bal du Club-Cyclo-Touriste nancéien Représentations : vendredi 22, soirée ; une somme de 24 francs. Quand il voulut de Blainville. Ils déclarèrent aux gamins aura lieu cette année le samedi 2 décem- , 1 Comme le marcaire niait, le jeune Lepartir, son travail terminé, le gilet avait bre à l'Eldorado. ,samedi t'i, soirée ; dimanche 24, matinée vin fut chargé d'aller visiter sa couchette. que le lièvre leur appartenait, sans autre Comme ses précédents, le bal de ta sai- ■et soirée. Pendant ces trois jours, la loca- iCelui-ci découvrit, sous la couverture, une été soulagé du porte-monnaie et bien en- préambule ils s'en saisirent, enfourchèrent tion est ouverte, sans interruption, de 10 1 tendu de son contenu. boîte d'allumettes. Cela lui parut étrange. son 1911 ne laissera rien à désirer comme leurs bicyclettes et pédalèrent dans la diheures du matin à 6 heures cta soir. Il l'ouvrit et trouva la bague. George s'en fu tporter plainte à la gen- rection opposée aux chasseurs. organisation et comme entrain. En présence de ces preuves accablantes, darmerie, qui a ouvert une enquête. On Nous en reparlerons. On juge de la fureur de ces derniers. ELDORADO-SKATING RINK, — Séance Urbain Nicolas n'essaya plus de nier. Il soupçonne un jeune gamin de 12 ans. de patinage tous les mercredis soir. A VIA TIOH ARRONDISSEMENT DE BRIEY Entre voisins. — Mme Dalo a porté reconnut avoir volé la bague : « C'était plainte à l'agent de police contre Mlle OCH CERTS pour vous la redonner, ajouta-t-il. » Le Circuit italien d'aviation. — Le CirJŒUF Quelques instants pins tard le voleur Mol Marcelle, sa voisine qui l'avait grati;cuit italien d'aviation Bologne-Venise-Ricoups.— Au moment où le cantonnier SOSIÉTÉ DES ANCIENS MUSICIENS était \ fiée des insultes les plus désagréables. cueilli par le gardo-champêtre et mini-Bologne a pris fin mercredi. Les offi- IMILITAIRES.— L'orchestre de cette soBauce et l'entrepreneur Jean-Pierre Lufourré au violon municipal. Le représentant de la loi a ouvert une cius, 56 ans, entraient au café Mansard, ciers aviateurs italiens Rossi, Gavotti et ciété i donnera son deuxième concert de te enquête et dressé procès-verbal. Lo lendemain, dès la. première heure, la rue de Franchepré, un sieur Marchai dePiazza et les aviateurs français Frey et saiso-a, i le mardi 26 septembre prochain, à XEUILLEY meurant rue de l'IIôtel-de-Ville, les interGaubert, qui étaient arrivés mardi à Ri- huit heures et demie du soir, au kiosque \gendarmerie de Neuves-Maisons était avisée par télégramme du vol et de l'arrestaEntre voisines. — La demoiselle Ger- pella : rhini, ont effectué la dernière étape de Pé- de j la Pépinière. tion du voleur. Bile se transporta sur les maine Labourey a déclaré à la gendarme« Paies-tu une chope », demanda-t-il à preuve : Rimini-Bologne, mer«redi. Au programme figurent des œuvres conTous sont arrivés à Bologne. Lee résul- nues toujours goûtées du public,à ncéer le ,lieux et procéda à l'enquête. Entre temps, rie de Neuves-Maisons, qu'une voisine, la Luciue, qui refusa. au coura Les deux hommes s'assirent devant une tats de la course ne sont pas encore pro- Fremersberg, grande scène instrumental»» .efte demanda qu'un sommaire repas fut dame Boban, lui avait jeté, mulgués, mais la victoire semble revenir à imitative, qui n'a plus été exécutée à Nan- servi à Plneulpé, afin de lui donner des d'une récente discussion, une pierre à la table à laquelle Mansard vint lui aussi' tête. prendre place ; Lucius et Bauce causaient Frey, que Gaubert doit suivre de très près cy depuis près de vingt ans. Du reste jambes pour gagner la caserne de gendarmerie. Interrogée, la dame Boban déclara à tranquillement, quand tout à coup leur dans le classement nous ferons connaître le programme déLo cantonnier Maucourt fut requis pour son tour que Mlle Lahourey exagérait voisin de table se leva et dit au premier r taillé ultérieurement. confectionner la « popotte a du malanquelque peu l'incident : « Je ne lui ai pas « Paie-moi ce que tu me dois, N.. de D..., ■— MUSIQUE DU GROUPE BARA. — La drin. V s'acquitta scrupuleusement de sa lancé de pierre à la tête, insinua-t-elle gra- ou sinon, tu vas voir », M. Lucius, qui prétend ne rien devoir à musique du « Groupe Bara », donnera im mission. A midi tapant, la soupe cuite à vement, la pierre avec laquelle j'ai frappé point, fut portée dans la geôle n'est pas sortie de mon poing ». Marchai, allait répondre, quand son interconcert sur la place Saint-Julien, le samedi Urbain Nicolas fit beaucoup d'honneur locuteur lui appliqua sur l'œil gauche un Procès-verbal a été dressé 30 septembre, à 8 heures 3/4 du soir, au « potage ». U manifesta le désir de Drame en perspective. — Nos lecteurs si violent coup de poing qu'il tomba sur le Le programme se*a publié ultérieurel'Est républicaini manger ensuite, faute de mieux, un talon de Xeuilley nous sauront gré de les avoir sol, assommé, perdant le sang en abonment. de pain sec. préparés aux émotions d'un drame d'a- dance. MUSIQUES MILITAIRES — Vous seriez bien aimable, ajouta-t-il mour qui ne tardera pas à se dérouler M. Lucius se releva et regagna son doeneare, de me donner un peu d'air. On dans leur localité, si l'on prend pour sin- micile, rue Carnot, où sa famille poussa PÉPINIÈRE.— Musique du 79° d'infan- étouffe là-dedans. cères les sentiments exprimés dans une îles hauts cris en le voyant couvert de terie (chef : M. Laehet). — Programme Touché jusqu'au plus profond de son lettre qui fait le tour du village et adres- sang. Le renvoi du Gircuit de Nancy a déran- du jeudi 21 septembre 1944, de 8 heures eoeur, le geôliler occasionnel laissa de sée par une jeune personne de 46 ans à gé quelques projets. Le Ier octobre est, en 1/4 à 9 heures 1/2 du soir : HOMÉCOURT Tn.it, beaucoup trop d'air à son prisonL Salut à la Lorraine ÇKieffer).— f. Fê- ! nier. Il laissa, grande ouverte, la porte de son jeune et tendre ami. eïiet, la date de la finale du Trophée de, ; Gaieté intempestive. — A l'occasion de France, courue à Paris. te aux Flambeaux (Wettge).—3. La G au- .plein bois et ferma seulement sur lui la ROSIÈRES-AUX-SALINES Ja fête de Jœuf, Angelo Finardi, 19 ans , Une rancune qui finit mal. — Il y a manuvre, rue Pasteur, rentra chez lui Mais d'autres teams,-et non des- moin-i krise (Ganne). — 4. Ballet â'Hamlel (A. ■eWture lattée. dreSi seront en ligne. . Thomas). *• 5. Sélection sur Lahmé (Léo iI Puis, confiant, il s'en alla chercher du quelques jours, M. Laurent Louis expul- 2 heures et demie du matin. I Content de l'emploi de sa soirée, il chan'; C'est la première fois qu'en Lorraine, Delibes).— 6. Grisaille, valse (Lachetj. 'pain, mais par d'abord, manger sa soupe. sait de la gare de Rosières, où il est emline commission sportive organise uné Lorsque vers une heure, de l'après-midi ployé, Dartoy Charles. Ce dernier en con- tait à pleine voix et, en guise de refrain, PARC SAINTE-MARIE. — Musique d» Course de ce genre : trois étapes à cou-' le cantonnier Maucourt revint avec son çut une vive rancune, et, en compagnie de imitait les cris de tous les animaux de la vrir dans ha même jo»mée, avec classe- 69e. — Programme du jeudi 21 septembre, pain votr son hôte, les bras lui tombè- son frère, il rencontra Laurent sur la fête eréation. ment général obtenu par addition de' de 8 h. 15 à 9 h. 30 du soir : Les gendarmes l'ayant rencontré, comrent, en arrivant, si bas vers terre qu'il de Rosières. U saisit Laurent au collet et points. f. Meurthe-et-Moselle, allegro militaire j tous deux le frappèrent brutalement. Il mencèrent par le faire taire, puis lui dresTaiUrt s© baisser pour les ramasser. Les intinéraires représentent une distan- (J. Condamin). — 2. Les Saltimbanques, La porte lattée n'avait plus de serrure, allait passer un ma,uvais quart d'heure, sèrent procès-verbal pour tapage nocturne. fantaisie (L. Ganne). — 3. Les Echos dt ce totale d'environ 160 kilomètres. lorsqu'il réussit à s'échapper et à fuir. Comme, tout en répondant à leurs quesla cage était vide, Foiseau s'était envolé. La plupart des coureurs groupés sous( Marnes-la-Coquette (Ch. Colin). Soliste : j Les gendarmes arrivèrent en cet instant Plainte a été portée à la gendarmerie de tions, Finardi s'efforçait de dissimuler un E. Zeuschner. — 4. Scaramouehe (Messaobjet dans un poche de son veston, ils le les couleurs des sociétés locales se sont decritique pour prendre livraison de leur Dombasle, qui a dressé procès-verbal. puis longtemps familiarisés avec les rou-. ger). — 5. Les Bébés, polka (V. Buot). Arrestation. — L'agent de police Pous- prièrent de montrer le contenu de ladite voyageur (sic). poche. sardin a arrêté, en flagrant-délit de voi tes sur lesquelles ils se disputeront dans1 ♦ 9 » il, Maucourt fut aceablé de reproches. Non sans hésitation, Finardi sortit un douze jours l'honneur de briller parmi lesi Objets trouvés Plus mort que vif, la bouche chargée d'a- et ivresse, le cnemineau Martin Gabriel, vainqueurs. âgé de 20 ans, sans domicile fixe, se disant couteau à cran d'arrêt, long d'un quart de mertume, la conscience torturée par le mètre. Un livret de caisse d'épargne n° 195,234 Presque tous les brevets militaires, les remords, il se demanda longuement s'il terrassier sans travail. Cela lui valut un second procès-verbal cross cyclistes, les courses offertes par les, au nom de Guemaire, par Mme Jeanbille, n'allait pas suppléer le coupable et figurer PONT-A-MOUSSON constructeurs, les championnats del 39, rue de l'Equitation. Police des chemins de fer. — La police pour port d'arme prohibée. entre les gendarmes. — Un porte-monnaie contenant 1 fr. 65 Tapageurs, — Depuis cinq minutes les i'U.S.C.N.E. et de l'U.V.F ont ordinairePendant une heure on le laissa dans cet- municipale a mis en état d'arrestation le ment lieu dans les secteure où évoluerontî par Mlle Retz, 41, rue Clodion. nommé Libry Henri, 39 ans, sans domicile habitants de la rue Pasteur étaient réte pénible incertitude. — Un porte-monnaie renfermant 9 fr. 10 veillés par les cris, hurlements et chants les concurrents di* Circuit de Nancy. Un large sourire éclaira son visage fixe, né à Vézeliae, qui voyageait sans bilque poussaient plusieurs individus quelque Le « palier », les « côtes », les parti- par M. Cosson, 20, rue de l'Etang. let de Frouard à Pont-à-Mousson. quand les gendarmes lui apprirent qu'ils peu pris de boisson. — Une canne, par M. Leroy, 31, Grandecularités de la route, passages à niveau, Libry n'est pas contumier du fait, il a dressaient seulement procès-verbal... de Les gendarmes étant apparus, les chantraversée des villages, virages brusques etî Rua déjà encouru 12 condamnations pour le l'incident. — Un sac à main contenant 53 fr. 66 par teurs s'enfuirent à toutes jambes, mais tournants peu ou prou difficiles sont trop De son côté Nicolas Urbain devait aus- même motif et à Pont-à-Mousson c'est la deux d'entre eux furent rejoints et graticoniHM pour que nous jugions utile de M. Poirson, 24, chemm de la Foucotte. troisième foie qu'il se fait arrêter. — Use montre en argent par Mme Choi- si Pavoir... le sourire. — C. B. les signaler. U a repris la route Pant-à-Mousson-Nan- fiés d'un procès-verbal. C'étaient Finard CHALIGNY et Gudseppe Cirelli, 23 ans, manœuvre. — Je les connais comme ma poche, nous, nier, 42, rue de Mulhouse, VoJ. — H y a quelque temps, M. Philip- cy, — voie ferrée, bien entendu — mais — Un sac à main renfermant W fr. 60 Pauvres chiens, — Parce que leurs disait hier un jeune coureur... J'ai fait icij avec un billet que les gendarmes, auxe pe Maillard, âgé de 80 ans, sortait de chez mes débuts. Rien n'a changé... Je n'auraiJ par M. Georges Multi»», soldat an 79 d# bai après avoir laissé par oubli la clef sur quels il a été remis, ont eu soin de lui chiens se sont promenés sans collier, ou avec un collier non pourvu de plaque, les pas même besoin de m'cntralner... Mes= ligne. payer au guichet de la gare. — Un parapluie par M. Renaud, 1%, ru* la porte de sou logement. personnes les noms suivent ont fait » temps » sont bons et, si je n'ai point la, Sans doute la cherté des vivres l'oblige l'objet d'undont Se souvenaat que son locataire n'était procès-verbal. prétention de les battre, il me suffira de. Saint-Lambert. à quitter les endroits où H a peine à vipas précisément d'une probité exemplaire — Une petite broche par Mlle B t onner, M. Emile Hussbert, 31 ans, manœuvre ; les maintenir pour décrocher la timbale. et qni'M n'hésiterait peut-être pas à visiter vre. Rue Gharles-III il vivra tranquille, M. Paul Fafet.surveillant à la Petite-Fin ; ' 77, rae Saint-Nicolas. — Alors, vous partirez ? loin des manifestations. *. inopinément son domicile, M. Maillard SibUia, mineur ; Pierre Kœnig, — Et comment ! Avec confiance... Les3 ** Les désespérés. — Mardi après-tmidi, Joseph revint chez lui pour réparer son oublL contremaître. camarades me suivront... 11 y aura des saM. Lévy Charles, rue Stanislas, 16, a vers trois heures et demie, un rassembloU* porte-monnaie, contenant 5 francs, tisfactions, du succès pour tout le mon-- trouvé u» porte-monnaie contenant une1 AUBOUÉ ment se formait sous les arcades, devant Rixe— Auguste Wilezinzki, 23 ans, et de... Je souhaite que le nombre, la beautéi certaine somme qu'il tient à la disposition resté sur la table, était intact. Rassuré, la maison de M. Brajou, marchand de ie vieillard s'en alla après avoir cette Jean Kowatsch, 29 ans, manoeuvres, 'e et la valeur des prix soient en rapportt de la personne qui l'a perdu. meubles. fois, emporté sa clef. premier Polonais russe, le second Poloavec la quantité et la qualité des engage Un homme poussant de véritables hurleGes jours derniers, M. Mjaillard recenais autrichien, logent ensemble au n° 109 mente... mante, se roulait sur le trottoir. , v ait en paiement de mirabelles vendues, des cités de Géranneaux. Comme cette question des prix préoccupe M. le docteur Barthélémy, averti, recon«ne certaine somme qn'il se disposait à Dans la chambre commune, vers 4 heuà juste titre les jeunes athlètes, nous pu-3 pfeteer dans le pétrin contenant sa bourse. nut que le malade était empoisonné. Il lui res et demie du soir, ils eurent une léCOMMUNIQUÉS blions une première liste qui permettral administra un vomitif. Sa stupéfaction fut grande. Son portegère discussion suivie d'un échange de d'apprécier l'Intérêt que I'U.C.N et l'Est L'homme, un nommé Jules Néger, ouSyndicat des ouvriers coiffeurs de Meur- monnaie avait été soulagé de sept pièces vrier aux forges, âgé de 26 ans, habitant coups de poing, puis l'un' d'eux alla raconrépublicain apportent au Circuit de Nan-* ter l'affaire aux gendarmes. the-et-Moselle. — On nous prie d'insérer de 20 francs. M. Maillard se souvint du cy. 36, rue des Mines, avait acheté à la pharI'av4i6 suivant : coup de IA clef et se rémémora la curioOmission.— Mlle Sophie Leclaire, 23 1° Une bicyclette Alcyon, macie Arcille, 60 grammes de cresyl qu'il <( C'est aujourd'hui jeudi 21, qu'a lieu, »rté de son locataire. Persuadé, il porta ans, sans profession, cités de Coinville, 2° Une paire de roues avec boyaux, avait absorbé. salle de l'Agriculture, rue Chanay-, ta p+ainte contre lui. est une Allemande qui ne put présenter 3» Un moyeu course à deux pignons, Il été transporté à l'hôpital. Son état grande réunion corporative entre patronsi de récépissé de déclaration d'étrangère à Au cours de l'enquôt», la gendarmerie ne semble pas désespéré. 4° Une paire de roues . et ouvriers, sur l'ordre du jour suivant : un gendarme curieux. apprit que Jaequemie Joseph, âgé de 67 5° Une paire de boyaux. PAGNY-SUR-MOSELLE Fermeture des salons dé coiffure, ton* ans, avait échangé une pièce de 2fl francs, Procès-verbal lui fut dresse. 6° Une paire de boyaux, Election. — M. Bouctot, ancien chef de les jou#e de la semaine, à huit heures, invité à indiquer provenance de cette 7° Un boyau. mercredi et samedi exceptés, et le dknan- pièce d'or, Jacquemin prétendit l'avoir re- manœuvres à la gare de Pagny-sur-Mosel8° Un boyau. çue de Mate Boisset, bouenère, qui l'avait le, conseiller municipal, a été nommé adUN DUR A CUIRE 9» et 10» Une enveloppe et une chambre9 r che A 4 heures. Nous espérons que MM. les patrons et chargé, disait-il, d'aller faire de la mou- joint au maire de la localité par 12 voix à air. La guerre ? Va-issier la connaît î sur 16 votants, 1 abstention et 3 bulletins ouvriers eoiffeurs assisteront nombreux à Baie. C'était un adibi qu'il s'agissait de 11° et 12° Une chambre, Voilà quarante ans qu'il la fait blancs. Une nouvelle qui sera très favorablementt cette réunion, pour trancher définitivo- contrôler. Mme Boisset édifia complète Contre les Congés contrefaits. ment ces modestes revendications et élaARRONDISSEMENT DE TOUL ment les gendarmes. accueillie dans tous les milieux sportifsg Un de plus à vaincre ? U est prêt. Aurait-elle eu besoin de monnaie que nous est communiquée, en outre, par M. borer un contrat de travail. TOUL L. B., au créateur de l'incomparable savon , Nota. — En cas d'oubli dans l'envoi des , jamais elle n'aurait voulu confier MO fr. Beugnot, l'actif agent de la marque Alcyon Accident. — Mardi soir, l'ordonnance convocations, considérer le présent avis à Jacquemin. à Nancy : Jastet Alfred, soldat au 155° d'infanterie, t comme en tenant lieu. — Le secrétaire du — Parmi les coureurs qui se classeront En dépit de -ce témoignage accablant 4e bataillon, casernô au fort d'Ecrouves, se dans le Circuit, beaucoup n'auront jamaiss syndicat des ouvriers coiffeurs de Meur- Jacquemin persista à nier le vol dont il rendait à la sellerie, quand il tomba et obtenu une place dans les dix premierss the-et-Moselle, ROGER. » se trouve accusé. Cela ne l'empêchera pas dans sa chute se fractura la jambe gauche. d'être poursuivi. aux épreuves où ils prirent part. M. le médecin en chef Buy a donné à ce ARRONDISSEMENT DE BAR LE DUC Eh bien ! nous a dit M. Beugnot, c'est à NEUVES-MAISONS soldat tous les soins désirables. Si Fallièr' m'avait donné ces jeunes gens que nous désirons offrirr M0NDREC0UR-. MENILLOT Rixe. — L'autre matin, vers 3 heures, Paris ou Fontainebleau, les plus précieux encouragements... Laa Plainte. — Mm© Bernard Jeanne, ménale machiniste Charles Dombrot et Jean Et qu'il me fallût quitter Vers deux heures et demie de l'aprèsmaison Alcyon accordera les avantagess Borunevie, lamineur, se prenaient de que- gère à Ménillot, a porté plainte contre midi, un violent incendie s'est déclaré au Huguet et les Bains Marceau, d'un excellent contrat à celui d'entre euxx M. Renard, demeurant dans la même lorelle sur leur chantier, au sujet du traJe dirais à M'sieu Fallières qui sera le mieux placé dans le classementt vail. calité. Klie prétend que M. Renard pénétra domicile de M. Gustave Gervaise, maire de la commune. Le feu, qui avait pris Reprenez la Ville-Lumière, général du Circuit. A <bout d'arguments, oe dernier lança chez elle vers dix heures du soir et profé- naissance sur le grenier, prit tout de suite J'aime mieux mes bains —- Quelle que soit cette place ? ra des menaces contre son mari ; puis retout à coup dans la direction de Dombrot de grandes proportions, gagnant les trois HUGUET. — Absolument. un crochet servant à retourner les lingots vint une seconde fois armé d'un fusil. M. immeubles voisins. Les quatre maisons, J'aime mieux mes bains ! ! ! Ainsi les champions que l'en a coutumee d'acier. Le machiniste riposta en jetant Renard aurait mis en joue la plaignante ainsi que tout ce qu'elles contenaient, plus d'acclamer et qui remportent souvent less ♦•-<► en disant : « Je te tue. » Mme Renard insur son agresseur le banc sur lequel il une vache et un porc, furent bientôt la plus hautes récompenses, ne pourront pqr, était assis. Les deux ouvriers échangèrent tervint alors et emmena son mari. proie des flammes, en dépit des sécours ter préjudice aux débutants, dont leur vicUne nouvelle scène eut lieu ces jours encore quelques propos aigres-doux, puis organisés à la hâte par les pompiers et la toire semble diminuer les qualités d endu-itout se calma. derniers, qui décida Mme Bernard à porter rance, d'énergie et d'entraînement, plainte. Vers neuf heures du soir, elle se population de la commune, auxquels vinOn croyait l'incident clos, quand, une CHAMPIGNEULLES rent bientôt se joindre les subdivisions de Un bon contrat avec une maison commee heure plus tard, Bonnevie crut devoir trouvait devant son habitation, quand M. d'Issoncourt, Rignaucourt et Contrebandier arrêté. — François-Jo-■ faire éclater sa rancune. U s'élança sur Renard sortit de chez lui et tira deux coups pompiers Alcyon, n'est-ce pas là pour ces débutantss manoeuvre, sans1 Dombrot qui allait chercher un seau d'eau, de feu dans la direction de la plaignante. Heippes. Mais tous les efforts durent se la réalisation du joli rêve qu'ils caressent ?l seph Marchai, 45 ans, Nous rappelons que les engagements, ac-!- domicile fixe, a été arrêté à Champigneul- et le fit tomber sur des plaques de fonte M. Noirel Marius reçut des plombs dans borner à préserver la mairie, qui fut cecompagnés d'une somme de 2^ francs, sontt les, où il eorportAit des allumettes de fa- incandescente où il se brûla profondé- son chapeau. Telles sont du moins les pré- pendant quelque peu dégradée. Les pertes sont évaluées approximativereçus dans les bureaux de l'Est rêpuoli-i- brication frauduleuse. tentions de Mme Bernard, qui les appuie ment à la somme de 80,000 francs, se rément sur diverses parties du corps. Violences. — Koda Mohamed, manœucafn. La gendarmerie vient d'ouvrir une en- de déclarations de plusieurs témoins. Quant partissant entre MM. Gustave Gervaise ; vre, étaxit entré au débit Anncepel, fut. quête. M. Bonnevie, qui habite les cités à M. Renard, il nie énergiquement les faits PIERRE QUI ROULE. Pierre, quincaillier ; veuve Tollard-Quenpris à partie par tes frères Alphonse ett de Chaligny. a été l'objet d'un procès-ver- qui lui sont reprochés. m m »■ • tin ; Léon Quentin ; Acide-Jean-Baptiste. - Eugène Poulmatre, qui le frappèrent à, bal. AVRAIN VILLE Quentin ; Léon Géminé!, cultivateurs, et QUE BOIRB ATT OAFB T coups de poing. La rue du Capitaine-Calllon. — La muProcès-verbal. — Procès-verbal a été Une scène s'ensuivit au cours de laquelle> nicipalité vient ie soumettre à l'homologa- dressé à Aimé Galland, cultivateur à Louis Vautrin, instituteur. Il y a assurance. des verres furent brisés. tion préfectorale Ja décision prise par Avrainville, pour défaut de guides à son La cause de cet incendie parait être acLa gendarmerie a ouvert ans enquête. l'ancien conseil relativement à la nouvelle atteloge. APXIRITIF OU BiaM^V ' ddentelle. Gi)Foi)iqiie_ ,tiel fwALÏER' vrai ou faux, dont noindique les conséquences ». Est-ce bien le rô!» d'un jéurnal VIM,ment français ? Qu'un organe sérieux comme prétend l'être l'Eclair de l'Est, aiTirmc à Nanles, liordeaux ou Marseille, par exemple, que Jl la k peste vient d'éclater sur un navire, et vous me direz comment les commerçants v « les ouvriers d'un de ces ports ainsi meet ■nacés d'uhe funeste quarantaine, traitent 1 l'auteur de la nouvelle : le boycottage s'accompa^uerait sûrement de violences. » Or, un journal a pu, dans les pays voisi us dp la frontière, propager une" terribble inquiétude, sans exciter'les colères ni 8sYittirer la leçon de sévères représailles. C Cela prouve dans nos populations un su|prême dédain pour les « canards » do I Eclair ! Je m'étonne qu'il persiste dans une attitude qui lui attirera plus de désagréments que de félicitations, plus de blâi > « » — qoe d'éloges, plus de sifflets que d'encouragemonts. Veuillez agréer... UN COURTIER DE COMMERCE. i Le Circuit de Nancy avec le concours de Quelques prix Un bon contrat ♦ GROUPES et SOCIETES , MEUSE ^ DANS LA BANLIEUE Le quart VICHY-OÉLE8TIN8 L^ ' 2 ' la laisser souffrir ceux qui accomplissent certaineinent leurs dernières minutes. Dans beaucoup de pays, au Japon, par exemple, on a coutume d'abréger ces douleurs suprômes, et l'opinion se répand de plus en plu* en Amérique qu'achever le patient „vr, JuKQ ET SA FEMM1 dans <J; un pareil cas est une simple preuve .«.W^SÎ GKSÈVB. ■ - On manda d'humanité. » d l ^ >^f qu'au moment ou le On sait qu'un romancier anglais, M. ^mon-'^^t i' commandeur de a Hugh Benson, dans un roman qui décrit n Jl n k^t> ?' demeurant avenue de ta ts lui du monde, a imaginé tout un service d'hoBWÏÏ'ni ly-sur-Seine, s'embar- publie . dont les employés seraient consacrés p -?e", 7, à A « sur le bateau « Uu- | à ci l'euthanasie »,c'est-à-dire' à l'adoucissAfeI1 iwnAJ s» as "n0 qui avait rte uéRh- nient de la mort. Ils arriveraient, appeflfc n: s*" la P f Àda V colonel el Mme par . le téléphone et portant u. s DOIMJS ue p ^^tlauslc lac et disparurent j stupéfiants, qu'il suffirait do faire respirer % aux malades. Leurs services seraient par! if Bonnon.le. batelier Moi in le ticuliùroniejit appréciés dans les grandes 1 cur ti ' h*uii qncien secrétaire d L- Cl catastrophes, accidents de chemins de fer, ^Tniê Kr organisèrent les chutes d'aéroplanes, etc. Ils feraient cescj ser très rapidement les scènes pénibles qui suivent ces événements. Il ne semble pas ^^nftt rJiille francs, toutefois que ces méhodes expéditives doivent jamais s'introduire dans lu, vieille *i,UL SA1, , C^TTE — Une grotto Europe. E paits-Divers s 'S^! rS j beaU P „, nrte de Crémieu (Isère), rU> ^ ;.re de pierre mise récem^ 'S galerie suit une c6 > fen e^plo'^^rniors cent cinquanbri^^aù noxd-est. C'est la part e * lires vo"1 au "« de t t n ayant ^ff «Bft Les cent autres aU f ,7 W « franchement vers le sud! cli e fre » ^ „ connue un véritable lac s 'ft P"' 'y aven;urer .terraiD et rante mètres qui aiia u *_î bât«» - ^Zruant vers l'est, au ont «i*N fofmXbles et encre me- f rù LES COURSES A LA MORT EN AMÉRIQUE. — £LUn cablogrammo de New-York informe que pendant une course d'automobiles qui se § disputait samedi, une voiture concurr rente est tombée au milieu des specta, Jbeurs à la suite d'un dérapage Le nombre des morts s'élève, paraît-il, à huit. On ■ l| ignore celui dos blessés. Des catastrophes de ce genre sont inévicourses d'automobiles ttables quand des s =sont organisées bien plus comme des « spectacles » à sensation que comme des épreuves sportives. C'est le cas en Amérique, à de rares exceptions près, et le terriJ ble accident de samedi n'étonnera aucun ï jde ceux qui connaissent la mentalité des c organisateurs de ces « courses à la mort » et savent comment elles sont réglementées. , On se fera une idée de cette mentalité en lisant l'annonce ci-dessous que reprodui;sait récemment notre confrère l'Auto, et qui, paraît-il, fut affichée aux fenêtres du , grand bar de Los-Angelès, où étaient indiqués heure par heure les résultats d'une course d'automobiles. Voici le texte de cette annnonce : Bulletin des accidents de la « 24 heures auto race. » La course ne finit que demain samedi à quatre heures du soir Une émotion d chaque seconde 6 h. 40 : La voiture 4 est entrée en collision avec la voiture 21 Deux hommes grièvement blessés ! Venez voir le dcgdl ! ! ! En ce qui concerne l'organisation même ( de ce genre d'épreuves, il suffira, pour en <démontrer la valeur, de citer l'opinion du coureur Barney Oldfield, qui fut une des ;célébrités du volant en Amérique, et qui pour des raisons qu'il nous importe peu 'de connaître brûle ce qu'il a si longtemps adoré. Parlant des coureurs d'automobiles dont il fut, Barney Oldfield s'exprime ainsi : « C'est une troupe qui voyage, dit Barney Oldfield, à la façon des cirques. Les machines, pour la plupart, sont de vieux « tacots » à énormes moteurs canonnant et ferraillant. Tout terrain est bon à la cupidité des organisateurs. Ne me parlez pas de virages relevés ! Plus l'hippodrome est petit et défoncé, plus c'est « spectacular » ! On se presse, on se ruePar les dimanches d'été, sous l'ardent soleil, la poussière soulevée par les « racors » est une chose monstrueuse, un mur véritable qui oblige tous les conducteurs, sans exception, à mened à l'aveuglette. C'est alors que se produisent les collisions, les barrières enfoncées, les incendies de voitures et aussi le tragique « capotage ». J'ai entendu des bruits d'os broyés et ai vu mourir en affreuse agonie six de mes camarades, dans la poussière, leur pauvre visage couvert de terre et d'huile. Il y a eu 29 accidents mortels sur les pistes automobiles en 1910, dans les Etats-Unis, et 18 cette année jusqu'ici. Depuis 1004, plu» de dieux cents conducteurs et mécaniciens sont morts en piste. « Je ne fus fameux, continue-t-il, que du jour où je tuai deux spectateurs, à SaintLouis. Alors, les « directeurs » so poussaient les uns les autres, devant la porte, de ma cabine, pour m'offrir les plus brillants engagements, n On voudrait pouvoir accueillir avec scepticisme de telles déclarations, même venant d'un homme tel Barney Oldfield, qui doit s'y connaître. Les nombreux acci-' dents dont ont été victimes concurrents et; spectateurs de ces courses folles ne permet-. tent malheureusement pas de mettre ent doute leur véracité. Vema { fc P S fSrf t f. J S** i a été visitée, sans qu'on ait s qu Str« - i de L ia Mais pour S le fond la arotte. gro ^ alte tS 18 oe Le baron Aymar de Vernas, «fne de la grotte se trouve, ^^i°relntrodui?e^s la grotte. Si « 7rr*js^Dans un Î grande A LA GAR^.^Keue de Capctowa on peut Jna de la banbeue m U(mg onf ils défendent l'entrée iés aux poncb u JE rôdeurs. priétai;e, les terripr0 U ■ fauv«> rondes et nul bruit K dis Slohappe à ^y^garde de sa propriété Avant de confier la s j propriétaire à&n u ^ \ TJmfnmhve de chiens de employait un grami u . é A]ors se ?e Toi» ont ett < ^cetto particularité ppelant que w J aliments suspects, [a éviter de touent, fauves. tiliscr ces h fcl riénce a complètement réussi. Per, Plus escalader les clôtures des f PsiK'ons sont redoutables pour les vo- ils se montrent très doux a 1 égard Eabitants de la ferme, et se laissent ca|Lr comme de petits caniches. l ouai dommage, dit la fermière, que je L puisse pas faire coucher ces bonnes bê! :, sur mon lit ! I ' 3 is ie , I LA VIE CHÈRE. — On prépare dans l'Inde t cérémonie d'un durbar.Tout ce que l'Anlîcterre compte de bien né se prépare donc I*rendre à Delhi. Ile départ de Marseille aura heu le 14 loTembre. Une véritable ville temporaire Isevra les visiteurs. La vie dans cette vilJsseraun peu chère. 11 fallait s'y attendre. fcCurzon-House le prix de pension est de cents francs par jour, vin non comE Le Cecil-Hôtel ne demande que cent ï^qiiante francs ; aussi, presque toutes |ichambres sont-elles déjà retenues. Le iiînon Bachelor's camp prend cinq livres, lig-à-dire cent vingt-cinq francs. Tout le fesoto a profité du bon marché et ce camp plein. IliKudsic Garden est encore moins cher, Lpion n'est que de cent douze francs jtïpite par jour : toutes les places y ni frises depuis longtemps. Ilairsonnes qui habitent l'Inde seront InUnient traitées avec faveur. Elles p Mnfri£v}—* à Nicholson cainp pour oin. Ipiite¥ux francs cinquante. Les domes°- |tw indispensables dans l'Inde seront =■ payés à des prix qui ne sont point ie Isœibks aux humbles ménagères : un n- fcWde chambre anglais vaudra cinquante pues par jour ; on pourra avoir à moinpprix les boys indigènes. « I Outre celle de garnir soigneusement son . jptefeuille, quelques recommandations jatfaites aux illustres visiteurs qui vienfctprendre part à cette magnifique par* (fie plaisir. Ils devront emporter leur ;rs fjïdding draps", couvertures et oreillers, pue c'est l'usage ; ils devront aussi se •at te cachets de quinine, d'aspirine,dei de paacétine, de chlorodvne. Ils rmrnnt m-w n mmbouteille d'eau-de-vle, une bouteille de r*onelle contre les nin-r Le lieutenant Hennequin sera décor?. —une bouteille à conserver l'ecu chau- ï^e lieutenant aviateur Hennequin, qui fitt |j. une bouteille vide, un verre et une pai- il y a quelques mois la chute que l'on sait,, «• fie lunettes teintées. et est depuis en traitement à l'hôpital1 d"Hyères, vient d'être informé télégraphi-ou foin MHÉGEB. — Pour la première fois,, queinent qu'à l'issue des grandes manœu;a- I* qu'il y a des Shakers, deux d'entre> vl'es de l'Est il sera compris dans la pro-.. 1^ ,le Frère Gillette et la Sœur Sears ontt motion 4e la Légion d'honneur, ue [?tmPrisonnés. Ils vont passer devant lat. _____ l.f» suprême de l'Etat de Floride, sons5 Un don de 400.000 francs. — L'Union des ion on d'homicide. Le* , fait Femmes de France vient d'être instituée3i m . \<m bruit en AmPv'T - "s avaient soi-t■ légataire universelle de Mme Doller, née 'T i Ué dévouement la Sœur• Gossehn, decédée nt à Passy, lemplf &r. ',;:f p4»Mr, ^ . du petit village de KissiJ S 6s S6m m ■ a la cond tion feS1 «^«HTO, que tes3 | Wv| t , aines de tortures, celle-. rA,.„_ *SSS oiens devront être employés, a donner des soins et à distribuer des se,,. Plais=i»S a abréger ooultranccs. Ilsi cours aux jeunes gens pauvres, sortant in6t " mCÂ^^ mirent la mourantei firmes, estropiés ou convalescents du ser■™ Paît dan» P?6- Elle Passa donc dou-■ vice militaire et incapables de travailler. rô mondû Le frère Gil ' tV Petbt Wao ' " Si l'Union des Femmes de France refur«ailsrtnnila Sears retournèrent à leur' sait le legs universel de Mme Dollar de Cl . maxime de la secte : « Dieu Gosselin, ce legs serait recueilli par des> 01il ir*«ibn,,; î travail P°ur les mains. »' tiers qui délivreraient 150.000 fr. à la So-s . ciété de secours aux blessés militaires, des <fc te tî'/ "4pt ?.avec beaucoup de curio- 100.000 fr. à l'Association dos Dames fran-, r e a u ièle- D^mm 4\r„ J n médecin légistei çaises et 150.000 fr. à l'Académie française. Enfin, si les Croix-Rouges ne pouvaient l erffiqucment Prononcé acepter 1 c «n ït les conditions du legs, c'est à l'Ae cadémie française que seraient versés les 400.000 fr., à charge d'en distribuer une J IS¥ ift I, J ?4 ; BMMBag_tlH III II ilM 11 Balle armoire ancienne S'adresser à M, Baraban, impasse de la Garenne, 14. Ouvriers Tailleurs qui cherchez du travail, inscri- mm NI Bon voyageur en vins Ja Tonnellerie PRUHIMSHOLZ pl^^itaire _feïr55 ^ faubourg Saint- Georges, a „" {' embaucherait de bons tonneliers, menuiSi «s et des manœuvres. IV^S'aa^rïnt c °.m. IÈ^2H_* OnS demande t G "P1»" ««rieuse Geor étant îsCheZ î*' Belfort. 6<«. néfoj«u, ie, rue de ' ,i, a Jine apprentis modiste Z^^Jfcdes Parisiens. 607 ' ielif kn\«u}H,9\c\k,ssi!l double, ob bière eiclusi«m»nt fibriqoêe tue dei MALT ET HOUBLONS DE 1" CHOIX. Très sain» et digesiive. , ' VAXELAIRE " PIGMOT de Nancy, Epinal et Besançon. ? BULLETIN FINANCIER ! NOS RÉBUS §j ^ra^^^^^^^^^^^ chand d'olives ATA. Grande étendue d'eau entourée de terre. DELA. Deit dangereux de rester derrière 1 Je suis l'auteur de La Mascotte, M. SAIDU. — Moi, j'ai écrit Phèdre, M. EXEL. de mouton Paris, 19 septembre. La continuation des ventes plus ou moins volontaires eh vue de la prochaine liquidation ne trouvant pas de contre-partie suffisante, la journée a été mauvaise du commencement à la fin. Le compartiment des fonds d'Etat n'est pas le moins atteint. Notre 3 % s'en tire avec 0 fr. 20 de perte à 93 52. Au groupe étranger, les Russes abandonnent jusqu'à un point. Le Serbe perd 1 fr. 05 à 88 20 et le Turc, qui détachait son coupon, recule ;à 90 80. L'Extérieure, tout d'abord fort maltraitée à 91 15, finit moins mal à 91 65 contre 91 87 hier ; Portugais, 66. Faiblesse des établissements de crédit. Au comptant, notons la bonne tenue de l'Industrielle Foncière à 546. Parmi les sociétés étrangères, la Banque Ottomane et la Nationale du Mexique reperdent quelques fractions. Grands chemins français relativement soutenus ; par contre, les lignes espagnoles s'inscrivent en réaction sensible. Le groupe de la traction se ressent éga) lement des mauvaises dispositions généra] les. Et parmi les industrielles russes, c'est i encore la Sosnowice la plus éprouvée à I 1402. Le Rio a fait une chute de 35 points à 1550. En banque, seules les mines d'or témoignent de résistance. Les métallurgiques russes reperdent de nouvelles fractions. Caoutchoutières faibles. PHILOUZE 20, ^^jj^j^^^ ET WADDINGTON rue Le Peletier. AUX VEAUX La Villette, mardi 19 septembre. ^^r photographie. Veaux amenés, 220 vendus, 208. Vente assez facile et prix bien tenus. Six prix seront tirés au sort parmi les Los veaux de choix de Seine-et-Marne, personnes qui auront envoyé le plus de de l'Eure, de Seine-et-Oise, d'Eure-et-Loir, solutions justes. Voici ces six prix des du Loiret se sont vendus de 1 15 à 1 20, les quatre rébus de la série D. L. champenois de 1 10 à 1 20, les manceaux 1er prix : Un presse-papier artistique de 1 05 à 1 15, les gournayeux, de 1 fr. à (mai bre). i ie, lac caennais de 0 90 à 1 tr. 2* prix : Un bibelot (fantaisie). Le demi-kilo net. S* prix : Un volume. 4'. 5*, 6' prix : Deux cartes artistique». BIBLIOGRAPHIE (Chaque gagnant de deux sartes postales n'aura qu'à nous adresser les nom* ■ qu'il désirera voir figurer sur ses cartes. REVUE BLEUE, paraissant te samedi, fonCelles-ci, dues à une main artiste, consti- dée en 18G3, H bis, rue de Chfttcaudun ; directueront donc autant d'oeuvres originales.) teur : Paul Fiat. Sommaire du 16 septembre 1911 : Emile FatA guet, de l'Académie française : L'Idée de Dieu, Ont deviné le dernier rébus : — Paul Fia* : La Formation d'un grand homLe Yoa à sa Yine — Paul y Gone d'Ugc-' me : La Jeunesse de Richard Wagner. - Pélanie — G. Maboire — Le grincheux de Ta<■ dan : Du Louvre et de sa garde, — Fernand chambre 7 — Le loustic de Titine — Sel-- Catissy : Voltaire politique de clocher. — René rach — S. Piègle — S. ça ? — Tirez les ri-- Morax : L'Ombre (conte). — Yv. de Romain : Le deaux — Latnoc —• La Glu — Jéricho Mun-- mouvement littéraire dans la Suisse française. fou — Le baron X... — A. dit Dillon — Jo-. — Lucien Maury : Les Lettres : Œuvres et idées. conde — Un baoué de la Seille — Lutocar. — Les Mémoires de Casanova. — Jacques Lux : — Le père de Zér^ette — Môme Cack — Bo- Chronique des Livres. — La Vie politique dans Deux Mondes, triocéphale — Sir Kuler — Sir Odgom —r lesPrix du numéro : 00 centimes. Sir Oko — Ma petite sœur — Seth et moi1 A — De Saint-Gami — Le sous-préfet de La1 IA VIE HEUREUSE. — Chacune des chronillouzule — Fftnphonse V — C. d'Allain —- ques de M. Flament est une page de notre hisG. Gagné — Parangon — Le père NO (hô-- toife anecdotique et morale. C'est assurément tel Bardol) — L'invalide de Bains-les-Bains.. uni des plus curieuses qu'on trouvera dans la Vie heureuse du K septembre sur la Vie de A CMteau jadis et aujourd'hui. Il faut voir les déVoici quelle était la solution : Ue — faux sou — é, t — KEU lit Verne — liceux dessins du jeune maître Brissaud qui la sous A, PAZ oscille,-i O*1, ** '^^SCH[ commentent. D'autres articles, d'autres pages illustrées raccompagnent qui font de ce numéUi faut souhaiter que l'hiver ne soit pas, ro une sélection de l'actualité la plus originale, aussi long et froid, qu'est chaud et longî M. Dubois, le renommé maître d'escrime de cet été). ' «0r_w 'ï'niaue, y expose aux femmes l'Art de se détendre, avùir mit£^D i. v^Fr^i. Os - <_H *\ les péripéties du voyage de Mme Vassal, qui Résultat du tirage de la dernière série :: vient de passer trois ans en Annam. En assislor prix. — Une carnassière : Le loustic: tant à la Vie des milliardaires américains à Bar de Titine. Harbor, leur plage préférée, on y découvre ui< 2" prix. — Un bibelot (fantaisie) : Lo côté nouveau de ce peuple étonnant. Et ce sent encore deo merveilleuses composisou s-préfet de La Bouzule. tions signées Simont, Bené Vincent, des pages 3* prix. — Un volume : Lutocar. littéraires de Ch. Louis Philippe, Emile Hinzee 4 , 5", t> prix. — Doux cartes artistiques : lin, une interview de Jean Bertheroy, des chroJéricho Munfou, Latnoc, G. Maboire. niques d'Henry Bidou. Sibyl de Lancey, etc.... MARCHÉ Rébus mmmn DES HERNIES CIDRE DE WPiDIE Garanti naturel et de provenance MtMBSC 00 JttltY ut H0KS CONCOURS ■ANQAQEt SANS RESSORTS 28 fr. l'hecto en feuillette 25 fr. - en pièce et M-miï Hernleux Si vous portez un bandage, fut-il avec ou sans ressort, qui vous fait souftrior ou qui laisse échapper votre hernie, «vjmplaFUTS PRÊTÉS cez-le sans retard., car votre existence est menacée. 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JUDICIAIRE Décision 4u 4 juillet 1911 D'un exploit du ministère de M* DURANT, huissier î Nanev, en date du 19 septemore 1911, enregistré. Il appert : Que Madame Marie-Jeanne MERYELAY, épouse du sieur CharlesAlbert CHIFFLET, sculpteur, avec lequel «Ue demeure à Nancy, rue de Belfort, 27, A formé contre son mari s* demande en séparation de biens. Ei que M« LAMBERT, avoué, a été constitué à l'effet d'occuper pour elle sur ladite demande. Pour extrait : L. LAMBERT. J. GHAILLY, gérant. Impr, d* l'Est, 51, me Sl l'iiiw, Nitfï Comptable norable famille, muni de sérieuses références, demande emploi sûr et stable. Ecrire R. 6., su bureau du journal. On demande ïœS sachant bien coudre. S'adresser le matin, 68 bis, faub. Stanislas. l AI! CD Grand grenier AS'adresser LUUCll et mansarde. 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Kolkovtsof < partait en mission pour étudier les p prisons européennes. En 1879, Alexandre II P l'attachait à la direction des prisons, poste cqu'il occupa pendant de longues années et ooù il fit dans le sens de l'humanité d'imFportantes réformes. Sa carrière financière commence en 1890, ddate à laquelle il entre au cabinet du seccrétaire d'Etat aux finances. Trois ans r plus tard il devient lui-même secrétaire <jd'Etat de département économique. Le mir nistre des finances Witte le remarqua et en 1 1896 l'appela près de lui. Pendant les siï sannées qu'il demeura aux côtés de M. Witte iil fut la main droite du ministre des finan< ces. Il s'occupa avec une activité particu1 lière du commerce et de l'industrie, des iimpôts directs, des fonds d'Etat et du moi nopole de l'alcool. Toutes les mesures qui c ont été prises dans ces divers domaines \ viennent de son initiative. C'est en 1903, lors de la retraite de M. Pleske, que M. Kokovtsof reçut enfin le portefeuille des finances. "T -* 'IITmWaTimniiBi^MMMg^jjjjjgj^^ pour avril 1912, à Tliorey, 56 hectares dont 10 en pré. S'adresser à M* BEGUE, notaire à Vézelise ; à M. COI.IN, à Thorey; à M. LYAUTEY, 10, rue dyfflé, à Lunéville. vez vous chez M. Galllé, 83, rue Saint-Dizier. |^-^Jj«n^ I p I dpartie à des familles chargées d'enfants et, tiq autre part, de faciliter/ par la répartilion du capital restant, « les frais d'études d (jdéjeunes gens intelligents et laborieux qufil serait intéressant d'aider ». à AMars-la-Tour, vendre audecentre suite de la localité, MAISON avec commerce d'Epicerie - Merceri» bien achalandée. Jardin et dépendances. S'adresser i Mm» Veuvt Lesire Berlin. s. signât, à tous, dep. 3OrO. I »-<IRemb.l0ans.Riend avance PAILLARD, 39, rue Monge, Paris. DDCT OH DEMANDE Tol^t électriciens. 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