HPr- Dqroi^ en b"ps {À''tc' rnoe àslsslzot,+ Exercice t (3ottn lrraxlrynu- ) Le référentiel fr, considéré comme l ^ galiléen, est rapporté au repère -+ -+ -) (O, x, Y, z) ' On considère un fil inextensible et sans masse, fixé en O et passant en A sur une poulie de très petites dimensions. On fixe sur ce fil une masse mt au point M distant de a du point O, de sorte que le triangle OAM soit isocèle, et une masse m2 à l'extrémité tr/ du fiI. Voir figure ci-contre. -+ -+ -> m2 -+ On note OA=ax et g--gy I'accélération de [a pesanteur. La position du point -+ On note dans le { M estrepérée grâce à l'angle 0 définidans le plan iOl par 0 -(O x,OM) . -+ l'action du fil sur [a masse m, dans le brin lofvf] et T, l'action du fil sur la masse rnr brin lMAl. Le système est à l'équilibre, de sorte que 1- Exprimer dans fr Exprimer dans fr l'action - 3 - Appliquer le théorème i est constant. l'actio, Ë A. la pesanteur sur la masse 2,. ,2 dans m de 0 -+ T2 mr, 0 en fonction de et g. de la résultante dynamique à la masse mr.En déduire l'expression en fonction de ffi1, t712, 0 et g. dans fr le moment 4 - Exprimer 5 - 6 - Exprimer dans fr ,irfï> Déterminer l'expression du moment le momert de l'action ù"fi> rtr1ir1 Ë uu point de l'action de l'action i, i O enfonction de m, a et 0 . au point O. au point O enfonction de ffi2, a et0, 7_ Appliquer le théorème du moment dynamique au point O à \a masse mr. En déduire une condition entre fii1, t?12 et 0 pour qu'une position d'équilibre existe. 8_ En dédui1e, quand il existe, l'angle d'équilibre 0, en fonction de m, et mr. Eqt,|}n. a- (,th3o) L'attention des candidats e§t attirée sur xe fait que la notation prendra compte du soin, de Ia clartd et de la rigueur de la rédaction. tr-es candidats sônt priéu o'u..àràer une importance particulière aux applications numériques demandées. sn veillant à i'unité et aux chiffres *'iriirârlfs du résulrar. Formulaire - Pour tout nombre réer -r : cos.r= l-zsinr{ ; cos, x?2 I+cos2x ; cos, r= 3 cos.r + cos 3.r PROBLEM§ B: UNE BALANCOIRE []n enfant faisant de la balançoire $igure 2] est modélisé pâr rne masse ponctuelle rc située en M et o par une tige rigide, de masss négtigeable et de longue"r l. r*ïrrr*p de pesanteur § , de norme g, est supposé uniforme. L'angle que fait la tige de suspension avec la verticale est noté É {figure 3}. læs vecteurs unitaires fr,, ü0 et û^=ü, hur,telsqu. aefinis surlafigure 3, ddfinissent un trièdre orthonormd direct lié à la balançoire. suspendue en Figure2: enfantassis sur sâ balançoire Figure 3 : schématisation de la balançoire et repère mobile associé 81'A quelle condition' §ur la durée de I'expdrienceo le référentiel terrestre peut*il être considdrd comme gariléen ? on donnera un ordre de grandeur. cette condition serâ §upposée être vérifiée dans toute Ia suife du problème. 82- Dans cette question, tout frottement de Ia tige sur son axe de rotation et tout frottement dû à Ia resistance de tr'air sont négligés. B2'1'Etablir I'dquation différentielle du mouvement vérifiée par 82.1.1- en appliquant le principe fondamentar de la dynamique 82.1.2- en appliquant Ie théorème de r'énergie cinétique 0{t}en utilisant 6.ois méthodes : ; ; 82.1.3' en appliquant Ie théorème du moment cinétique. 82.2,- En déduire que Ie mouvement est plan. Dans toute la suite du problème, les mouvements de Ia balançoire et de l'enfant seront étudiés dans le plan vertical de la figure 3. Bl3- A quelle conaition l'enfant assis sur Ia balançoire sera-t-il un oscillateur harmonique ? Donner I'expression littérale de ra pulsatiûn propr§ 6i0 correspondante. Apnli'p+tio-tr numéri'qqg: l'enfant part d'un aggle numédques suivantes ; I = 2,5 *, g lû âa- 30o sans vitesse initiale. Avec les yaleurs r.s, r"i"rler Ia période ro de I,oscillateur harnroniqueo ainsi que ra vitesse màximare r,6s ^za d€ r,enfant. = *.r-'ît i'= B3- L'approximation de I'oscillateur harmonique est ici examinée er considérant les effets non linéaires. L'enfant part d'un angle Éo posirif sans vitesse initiale. B3.l- En partant du théorème de l'énergie cinétique, dtudié à la question (82.1.2), donner I'expression de d.{ en fonction de 0, 0o et des paramètres caractéristiques du système. En déduire dt I'expression de Ia période T(0o) sous forme d'une intégrale en fonction de 0, 0o et des paramètres caractéristiques du système. On précisera soigneusement les bornes d'intégration. On ne demande pas de calculer cette intégrale. Retrouver le résultat de la question 823 dans le cas des petites oscillation,s. Une intégration numérique permet de dessiner la courbe représentative de la fonction f(dç) cidessous (figure 4). Commenter cette courbe. r(s) ? 6 § 4 3 Éo (rad) Figure 4 : période en fonction de l'angle de départ B3.Z- posant sin 0= 0 - 03l6,que d,evienr l'équation différentielle du mouv,ement vérifiée par 0(t) 1 83,3. On cherche, pour l'équation différentielle approchée écrite en 83.2, une solution elle-même approchée de la forme : 0= flocos dJI + €âocos 83,3.1- En se limitant au premier ordre en fondamentale alainsi que le terme r, 3ar où a<< l' exprimer en fonction de c{b et 0o la pulsation €'. 833.2- par rapport au mouvement harmonique, la courbe â(r) relative âu mouvement réel a-t-elle une plus grande ou une plus petite période 83J.3- euelle BlJ.4- Êst ? la pulsation du premier harmonique après le Ïondamental ? premier ordre, Dans le cas général où on ne se limiterait pas à des développements au quelle serait l'allure dü spectre de la solution É(r) obtenu pâr analyse spectrale 84- Au point o s,exercent rapport à O) est égal à - des forces de frotternent sur C#il. ? la tige. t,e moment de ces forces (par où C est une çon§taate positive et ü. =fr, *fre . 84.1- Quelle est la dimen:sion de Ia constante C ? 0(t). B4.Z-Etablir l'équation différentietle à laquelle doit maintenant obéir inégalité doit satisfaire c pour 84.3- En supposant que l,angle É reste suffisamment petit, à quetle mouvement oscillatoire dont un comme que [e mouvemgnt àe l'eniant puisse être considéié ? l'amplitude décrôït avec le temps (mour"ment pseudo-périodique) ici la pseudo-période Application nur$érique : considérant cette condition satisfaite, on approxime initiale' on u*:,vitesse 8o= Ir à la période To de la question 82.3. L'enfant part d'un anglg 1T oscillations. Calculer la observe que l,amplitude du mouvement est réduite de moitié après 20 82. valeur de la constante C avec les yaleurs numériques données à la question B5- L*s frottements (question B4) ont pour conséquence d'amortir le balancement de l'enfant et un deuxième enfant vient donc aider le premier enfant qui se balancç à maintenir une ûmplitwde constante en le poussant (figure 5) avec une force horizontale périodique non harmonique dont le module F(r) est représenté à la figure 6. F{t} Ëo Figure 5 : enfa;rt sur sa balançoire po,ussé par un autre enfant N.B. : il Figure 6 : profil de laforce appliquée à l'enfant sur sa balançoire en fonction du temps pour répondre aux n'est pas nécessaire d'effectuer une analyse en série de Fourier de F(t) questions 85.1, 85.2 et 85.3. sa poussée sur 85.1- A quel moment et à quelle fréquence I'enfant pousseur doit-il appliquer possible-]. plus efficace Qu" vaut donc la l,enfant de la balançoire pour qu* ron action soit la possible ? (on plus efficace la période I de la force f(r) pour que l'action de I'enfant pousseur soit *uppor*ra les frottements faibles dans cette question et dans les suivantes)' 6 et l'angle 0(t)' BS.2- Représenter sur un même graphe [a fonction F(r) de ta figure de C, o la BS.l- Déterminer la puissance moyenne dissipée par les frottement§ en fonction par I'enfant fourni le travail pulsation du mouv"*rnt et 0ol'amplitude du mouvement. En déduire différents des (les valeurs numériques pousseur après 20 oscillations de l'enfant se balançant pararnètresiont toujours ceux donnés'à la question B2). B6- L'enfant se balançant décide de monter sur une âutre balançoire, pour laquelle les frottements sont considérés ro**à toüalement négligeables. Alors que l'enfant se balance, il décide de monter de plus en plus haut. Pour cela, il effectue les mouvements suivants au cours des phases oscillatoires successives, 1,2, ...n : (de A à B) ; - lorsque la balançoire passe par la position verticale,l'enfant accroupi se relève - de B à G-r,l'enfant re§te debout ; - lorsque la balançoire atteint dn-r, son amplitude d'oscillation maximale, lnenfant s'accroupit (de Cn-r à Dn-r) i - de Dn-1 à A,l'enfant reste accroupi ; . (de A à n); - lorsque la balançoire repasse par la position verticale,l'enfant accroupi se relève - de B à G, I'enfant reste debout ; - lorsque la balançoire atteint în,sa nouvelle amplifude d'oscillation maximalo, I'enfant s'accroupit à nouveau (de Cr à D") ; - de Dn à A,l'enfant reste accrouPi. gravité de I'enfant dans Sur la figure T sûnt tracées la tràjectoire et quelques positions du centre de et réciproquement à debout position accroupie la de passages Les le référentiel galiléen lié au sol. 86.1- Descriptioq,qualiatve. - 36.1.1- Dans un repère lié à la balançoire (c'est-à{ire un repêre lié à la tige de suepension et au siège de la balançoire), identifier les forces extérieures au sysême. 8,6'1'2- calculer forces de Coriolis. sur la portion ABC,D*A Ie trarrail du poids, de la tenaion de la corde et des wnwtifrwtw dépan accroupi l'rnfant sÊ relève l'enfrnt s'aeeroupit o ig* , I I t C*l l.B 4-' Figure 7 : mouvements de l,enffifi sü sa balançoire B'6'1'3- on admet que le travail des forces internes à l"enfant est positif lorsqu,il se relève et et que cette propriété reste waie a*u uo-"rrung"ment de référentjel. I*:Lofft En tiéduire que le trava.il de la force **riiog" * t*urif. ce travait a pour expression , _ y" oarà2, _ oezeX\. Montrer qu,il ra donc pe.nnertre à la balançoùe de s'élever iUr^toB, â" plr..r, plus haut. : o;\; 852. Modélisation simplifiée de la balançoire et de l,enfant. on schématise ra barançoirc et.t'e*art p"raue_de à un fil de longueur variable aep"rra_, ""ir","î" a" lu po.i iL 862'1- carculer masse fictive (consrante) angufaire de repg ""ge re moment cinélique, Ç , du padule au point o r, accrochee : I = l(O). dans le référendel galiléen rié au sol. w2'2' Eû appriquqt Ie thôrème du moment cinétique dans re rdférentier galiléen lié au sor, donner I'équation vérifiée par Ç. B6'23' En ûohnt 4 les éronmtions successives maximales (figo-re 7), montr.r la reradon : Ju-,t'@)t'ntae = fiLiJ]]î"plier o chacun des membres de r'équation donnée à râ qûêsrior B62i par la 8.6.2.4- On note l(d) -;aa oor, Ln_t {.0 < 0 et I(d) :L pour 0 < 0 < 0,. trlontrer que les positions angula-ires extréma.res successives 0n_1 et gn,obéissent à,une re.ration de récurence faisant interveni, .i"(?) et sitr(?). trf$,*: déduire les valeurs des positions angulaires extémales d, aneinres pa. l,eRfanr sur sa 86.2.6- Si I'enfant démarre sene ütao"o ;hi ^r^ -.--t, itxrjffi l,"tr#,T,,ffi ;ïitriî,H: j'ï"il".;iI ji:i#L';:#î:iïi#J Prrlotàc s C2h ) Quelques aspects de la physique des milieux granulaires Un solide gramrlaire esü un matériau composé de particules soiides discrètes de taiiie typique conr.prise entre 100 et 3 000 Stm, el qui restent le plus souvent en contact les unes avec ies autres" Cette classe de matériaux cornprend les ciments, les sables, les graviers, les granulaüs, les cérôales... On s'intéresse dans ce problème à quelques aspects, statiques et dyrramiques, de la pirysique de ces systèmes qui reste encore assez mal comprise. Formulaire -+ N L'action du solide B sur le solide .4 en contact se décompose en une composatte normale If, et une composante tangentieile f vérifiant : p* et [16 tlftt S p-ll§ll en l'absence de glissement entre llfll : pail/ÿll lorsqu'il y a glissement de  sur B A et B sünt appelés coefficients de frotternent respectivernent statique et dynamique et vêrilient I'inêgalitê:1t4Spr. Première partie Hystérêsis de frottement IJne des difficultês conceptuelles trajeures pour la description d'un système comportant clu frr-ittement solidc est l'irnpossibitrité de prêvoir les positions d'êquilibre et le bilan des forces à moins de connaître de façon détaillée l'histoire de la mise en êquilibre. Le but de cette partie est rf illustrer ce phénomène (rtit rl'hystêrésis) suï un exemple simple. avec une paroi solicle inclinêe d'uu angle Ë par rapport au pian horizontal et est reliêe à un ressort de raideur k (figure 1). Soit ;l, le coefficient de frottement statique; on supposerâ, pour sirnplifier que le coefficient de frottement d5'namique p;r est nul et qu'un frottement rri.squeux permet l'arrêt du mouvernent. On note r la cléf'ormaüion du ressort (* * ü correspond au ressorü détenrlu). On cherche à déterminer cette llne brique parallêlêpipêdique de poids P est en contact rlêformation :r à l'êquilibre en fonction de l'angle â. Figure L. I)onner les plages de valeurs possibles de et 0: I r à l'équilibre dans les deux cas extrêmes : 0 : 0 'r12. 2. La paroi est supposée horizontale et le ressort détendu (*o - CI). On incline progressivenrent la paroi, I'angle t variant de û à x l2; on rtote alors 0+ les angles d'inclinaison croissants. On rlésigne par n{ Ia sêrie cles dêformations du ressort dans les positions successives de nonglissement de la brique. a) Déterminer l'angle d'inclinaison gf pour déterminer la nouvelle rraleur d'êquilibre - b) rf lequel 1e glissement apparalt. Pour cet angle, en fonction de 0{, P et, Ic. Ou augmente l'angle d'inclinaison ; un nouveau glissement apparaît pour l'angle enüre 0l , üT et pr. 0rF Iitublir la relation c) Montrer que pour chaque cf, il existe un intervalle l0{,0T*r[ de non glissement; on établira la relation de rêcurrence liant di et 0[r. \brs quelle valeur ]irnite tend Ia diffirence â11 -sI? 3. On effectue maintenant le parcours iuverse en ?artant de la vertica.le, On note et les positions d'équilibre correspondantes. 9o et r.o les angles successifs de glissement Etudier comme à la question précêdente la succession des valeurs d'arrêt rr4. Représenter sur un même graphe du plan t0r*) les paliers d'arrêt successifs *f à inclinaison r; à inclinaison décroissante; on pourra utiliser Ie fait que les points (Êr*,rr*), (Êr-,rr ), (0&r,*f) et (âi*1 ,r;) se situent sur des courbes simples. On prendra Plk: 0, 1 m et p, * ûr3. Commenter le résutrtat. croissante puis Deuxième partie Principe de dilatance de Reynolds En 18?5, Reynolds a énoncé Ie principe suivant : « un matériau granulaire fortement compacté, placé dans une enveloppe flexible, voit invariablement son volrrme augmenter lorsque cette enveloppe est dêformêe. Si cette enveloppe est inextensible, aucune déformation n'est possible jusqu'à ce que les forces appliquées brisent I'enveloppe ou fractionnent }e milieu granulaire >>. Ce comportement est totalement diffêrent de celui d'un solide classique qui voit son volume diminuer sous l'effet d'une compression. Pour illustrer ce principe et ses limites? oïr considère la dêformation d.'un cornposant élêmentaire d'un matériau granulaire bidimensionnel, simplifiê à l'extrême, constituê de quatre disques de rayon R placés comme indiqué sur la figure 2. Leur poids n'a pas à être pris en compte dans toute cette deuxième partie. Ftgure 2 1. sous l'action de forces de compression verticales indiquées par les flèches sur la figure 2, on 6éforme Ie losange élêmentaire reliant le centre des quatre disques qui derneurent toujours en contact. a) Soielt ,Sr l'aire totale occupêe par l'objet et L, et ^L6 les longueurs re§psctives diagonales verticale et horizontale du losange. Calculer ,5t .t, fonction de .R, Lo et Ln. des b) N{ontrer.. que Ia partie variable de }taire ASiü- couverüe définie par 4,91 - St - SrRz s,écrit : rr^O\re c) Préciser bornes physiques de I'intervalle de variation de -tyr. Ttacer le graphe de la -ies fonction L&|4R2 en fonction de la variable réduite L6IZR. d) Montrer que l'on peut distinguer sur ce graphe deux rêgimes de réBonse à une nrodification des forces de compression : un « régime de Reynolds >> où le matêriau suit le principe de dilatance de Reynolds et un << rêgime solide >> où il a Ie comportement d'un solide classique. Donner la vaieur de L6lLï correspondant à la transition entre ces deux rêgimes. 2. Soit /, l'intensitê de la force de compression verticale exercée sur chacun des deux disques de l'axe vertical du losange a,u cours de la dêformation. L'équilibre est maintenant a^ssurê par I'existence de deux parois verticales fixes déformables en contact av€c chacun des deux disques de l'axe horizontal (figure 2). On suppose dans cette^question que le «rntact entre disques est sans frottement. a) Montrer que les deux disques de I'axe horizontal exercent sur chacune des parois une force horizontale d'intensitê fi, vérifiant ; fn : K l, où .[( esü appelé coefficient de redirection rJes contraiutes. Exprimer b) Donner la valeur dantàÉ*60'. K en fonction numérique de de l'angle B (figure 2). K pour un empilement üriangulaire cûmpact correspCIl- 3. On suppose maintenant qu'il existe entre les disques un frottement caractérisé par coefficient statique le pr.r. Partant d'une situation sans contrainte, on exerce de façon symétrique les forces de compression d'intensitê /r. Soit 0 l'angle obtenu. Le système étant en êquilibre dans une configuration caractérisée par l'angle 0,on supprime les fôrces de compression verticales (,fr:0). Les parois verticaies déformées exercent toujours deux forces horizontales opposées, d'intensi#t fn. a) A quelle condition sur 0 le système reste-t-il « bloqué lihre >> dans cette configuration d'équi- ? b) Préciser numériquement cette condition pour p.s : 0,9. On dit qu'un matêriau granulaire est « compacté >> Iorsque les particules solides qui le constituent exercent les unes sur les autres des forces de compression et lorsque les forces de frottement internes maintiennent bioquées ces particules.
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