^26^Anrtée. - fô° 9627. _ Lundi 16 Février 1914. JOURNAL RÉGIONAL QUOTIDIEN Téléphone: 3.21 -10.37 . Directeur : René MERCIER r AnriMMC-^'^MXS T ÎOIS MOIS ABUKnt-waiM» " «^U-MoïeUë, Me Meu.ë. Vosgi» " " " "■■'.!■ ln»rtements Antres département ÉtraoMi* • On peut s abonner sans jrais dans tous SIX MOIS UN AN ~ 4 5o l > B ■ » 10 » 6 » « » . , g g 9 i*i T les bunaux de pùslc 20 24 » * 36 , Direction et Administration Bureaux de Paris t. %JF Faubowg Saint-Jean et Boulevard Mazagran NANCY M R„ RiJ, t , a, Q i li j .te Rue Racneeeo. et 5 fc», Boulevard de» I.aW c ^ L'OCCUPATION ^ALLEMANDE EN LORRAINE LXIT1 . . Passage des Princes, 97. _ _[ .. -^fs^. La bienfaisance publique et privée eut de j s'exercer en Lorraine pendant la période ^de guerre, car les misères et les infortunes à soulager lurent innombrables, «t il nous faut mentionner l'admirable activité et le dévouement déployés par un «ralîd nombre de conseils municipaux et M groupements confessionnels ou autres dans l'œuvre d'assistance aux malheug'êst d'abord aux municipalités qu'incombe inévitablement, en surcroit des contributions et réquisitions do. toute nature nui les accablaient, la lourde charge de venir en aide au* indigents qui pullulérent rapidement et aux ouvriers sans travail dont le nombre tut très considérable, au moins. pendant les premiers mois de l'invasion. . 1 Dès les premiers jours de 1 occupation, a [ Naucv c'est-à-dire a partir du 12 août 1870, l'administration municipale lit procéder â des distributions périodiques de pain aux nécessiteux ': des cartes dormant droit à ces I distributions étaient délivrées par des eomI missions spéciales aux habitants reconnus comme étânt dépourvus de tout moyen d'existence. Toutes les sociétés de bienfai\ sance rivalisèrent de zèle pour subvenir aux besoins des malheureux qui.rte tardèrent pas à constituer pour elles une clientèle ordinaire. La société des conférences de Saint-Vincent-de-Paul £ut bientôt réduite, faute de ressources, à ne plus pouvoir donI ner-à ses pauvres, les secours habituels, mais dès Te début d'octobre, le conseil de la société fut à même de distribuer des.faf g'ots de 'bois, et,.l'établissement d'un fourneau économique où l'on distribuait des lé!• gumes cuits, permit de ne pas supprimer complètement le service de l'assistance alimentaire. A Lunéville, le bureau de bienfaisance n'ayant pas tardé à ne plus pouvoir procéder à ses distributions de soupe, le conj seil municipal lui vota une subvention de j 7.000 francs (7 novembre), et il autorisa le I receveur des hospices à prélever une. somI me de 5.000 francs sur les fonds de secours I et les souscriptions dont il était comptable I (17 novembre}. I A Epinal, la municipalité lit dresser une | liste des indigents de la ville et organisa des visites domiciliaires pour leur porter des secours ; elle installa un fourneau économique débitant, depuis le (i janvier 1871, I des aliments à prix réduits sur ia,..pr<5sântuUcn de bons délivres par elle ; le 20 novembre, le maire avait été autorisé à distribuer des bons de pommes de terré, pain, viande, yin, aux familles peu aisées pour qui était trop lourde ^obligation de nourrir les soldats de passage. A Chaumont, 1)0.022 francs furent dépenses en bons de pain et de viande pendant tes mois .de novembre et décembre 1870 et \ janvier. 1871 ;.au mois de janvier, la ville ! créa deux boulangeries où le pain était r vendu à prix, coûtant, et elle installa une boucherie sur les mêmes bases. . Les plus petites communes s'imposèrent \ les plus lourds sacrifices pour la nourriture desuriséreux : à Jarville, 877 francs furent consacrés à des distributions dt pain, du 23 août au 8 novembre, à la suite des grands passages de troupes. Pour donner du,travail aux ouvriers qui chômaient au nombre de plus de 1.500, Le maire de Nancy organisa des chantiers muI Dicipaux .Le 14 septembre, il informait M. Vokneran^e, ingénieur en çtief du canal la mairie allait s'entendre avec lé cou «■il d'administration de la Compagnie du ' Çhemm de 1er de Vézeiise, à l'effet de faire , commencer les travaux sur cette ligne poui son raccordement avec le chemin de fer a. 'fcst entre ie canal et la voie ferrée à Bon., Secours. Des ouvriers de tous métiers lurent employés à des travaux de terrassement pour combler la morte du Pont-Cassé, per ï cet-deux rues au faubourg Saint-Jean, amé| nager des rampes destinées â mettre la prof menade de la Pépinière en communication '■' u ni - étions encore existants de la cit! ,"e> améliorer le passage alors difficile an i | gereux sous les voûtes Notre-Dame ' à ci' ■ *n'e' C'est aux travaux entrepris cette époque que se rattache également : ' "* constl'uction d'un escalier assurant une Blc tio $ if■ fi * n entre la rue de la Craffe et ."-namp-d'Asiie, sur l'emplacement duquel messe.aujourd'hui ie bâtiment de la Fatu pi «e des sciences. I J \ <m éviUe * 7 i • LE COIN DES POÈTES Nocturne Mon Dieu ! qu'elle brille, 3 Z. étoile, la belle I Le poisson rebelle Au filet eommè elle Scintille. Et puis elle semble A qui désespère, Pour tomber trop fière, Ulic larme claire Qui tremble. ù I i .ûoo * lifrV^.^ours à nos malheureux prison*t«ônS ' ' exS ^ à h» rigoureux, dans des waportés » au cœur d un hiver ment it Liaient 7i 4 ioie, souvent à découvert, qui €S ar s ? dem ?, « ' grelottant de froid 10rts d >s dé ' inanition ? Nous les griales dans i sfe« ci une de nos précéqUe b^di 6°d2 ?: A -Nancy' pai' ex'emple, s Û c *f ™Kr , jour où le tTiermomè- S* î™* l :0 * h* $ *blL SU» 2 0 au dessou feM vofr i,V s de zéro, on la populatlf h voieVrv er e pou m ^ presser le long W J^ ' r jeter à ces lamenta- 1* I ÉCHOS un vrkr-= ' certain nombre d'outnés f e frétïuentant plus les ateliers ferlubVit re,nt employés au service de la saarapn Epinal, la municipalité faisait J* les «,i*r des chemins forestiers ; dans de re l'aigu sineux de la banlieue, elle 3 ? chanff procécter à l'extraction de bois de m ge pour Rani.v subvenir aux besoins de la votés i "Vf des niafheureux. Aux 2.000 fr. 1 % vrier* i ^Ptembre pour salarier les ouchan 1J ajouta i tiers municipaux, la ville sesi&c janvier 1871, o.502 francs sur '^sources disponibles. A recourt plii * .! > où ies patrons rie pouvaient s r • 'ellièw» Ï" 05 ouvriers luthiers et les denm îrt faire >inicipalité imagina de leur ^oiiis ril ?-vance do fonds, suivant les be! ifi K*r d'irr -nt u" dWai dmois, sans exit'réalahi ' ut contre un nantissement de W f, marchandises (24 octobre) : fc I» "ir al cs lurer't empruntes par la ville , lrer tonne ';" . le fonctionnement de cette fcptemhr ,riale de ' assistance. Dès le 1S 5»riiandvt municipalité de Raon-l'Etape au •or Kstç % Préfet français encore à son !,1Il:i1 •o». Hooô f,; » l'ouverture d'un crédit de pour dormer du iKj %'rters i °f travail aux e e s à la mis ,3i lmage ère par suite du fS une femme a jeté son châle à un officier tremblant de froid, avec un petit billet sur lequel elle avait écrit avec son adresse : « Je n'en ai pas d'autre, vous me le rapporterez quand vous repasserez par Nancy. » Internés dans ies forteresses prussiennes jusque sur les confins de la Pologne et sur les bords de la Baltique, nos prisonniers reçurent de la Lorraine des dons de toute \ sorte. En décembre 1870, une « Œuvre des prisonniers de guerre » avait été fondée à ; Nancy, sous le haut patronage do l'évêque Foulon et la présidence de l'abbé Jambois, I vicaire général. Du 20 décembre 1870 à la fin du mois de mars 1871, le comité de L'œuvre rassembla une somme de 30.121 fr. 15, dont une partie fut distribuée par les soins des sœurs de la Congrégation de SaintCharles, qui firent trois voyages en Ailemagne, visitant les camps et les ambulances pour remettre à nos prisonniers de petites sommes d'argent, des vêtements et du linge : le reste de la somme fut employé à des achats destinés aux prisonniers ou à des secours'en faveur d'eeuvres ayant pour ■ But de venir en aide aux victimes de la I guerre. Les sœurs de Saint-Charles possédaient plusieurs maisons en Allemagne, dirigeaient un hôpital à Berlin, et trouvaient un appui précieux à la cour de Prusse auprès de la reine Augusta. Pour faciliter à ces femmes intrépides leur pénible mission, le comité de Nancy 'obtint pour elles, du gouverneur de Lorraine, une autorisation spéciale. Dans la lettre recommandation rédigée le 10 janvier 1871 par îe colonel Berger, chef d'état-major, pour être remise à deux d'entre elles au nom du général von Bonin, on lit les prescriptions suivantes : « Toutes les autorités civiles et militaires sont humblement requises, d'après cette autorisation, de laisser les sœurs passer et repasser librement. Les honorables autorités des chemins de fer sont humblement priées d'avoir toutes les considérations possibles pour ies deux sœurs, à l'égard du transport pour elles et pour leurs dons de charité, et leur accorder le transport gratuit. » Ricnes ou pauvres, les municipalités et diverses institutions de bienfaisance ne furent pas seules à pourvoir au soulagement •des misères résultant de la guerre et de l'occupation étrangère. Les malheureux reçurent des secours même de l'étranger. A ce propos, nous ne devons jamais oublier que nos voisins les Suisses,qui recueillirent, et hospitalisèrent avec un dévouement admirable les débris de notre armée de l'Est en déroute, ne restèrent pa.s insensibles à rinfortune des populations rurales de la Lorraine envahie. Le 22 février 1871, le maire de Nancy recevait une lettre datée de Berne, 18 fëvrir. signée du ministre de France Château-Renard, et ainsi conçue dans sa touchante simplicité : « Veuillez avoir l'obligeance de me faire parvenir, ie plus tôt possible, une liste des communes de votre département que la guerre a ravagées, avec le relevé approximatif des dommages éprouvés pour leurs populations rurales et leurs besoins en semences. Cet état approximatif doit servir de base à la répartition des dons en nature que ie comité central de secours suisse est en voie de recueillir dans les divers cantons de la Confédération suisse, je vous prie, M. le maire, de communiquer la présente circulaire à MM. les maires des autres communes intéressées de vôtre département. Tous ces menus souvenirs que nous rappelons, à titre d'exemples, attestent que les populations de 'a Lorraine si rudement éprouvées matériellement et moralement par l'occupation de leur territoire, n'ont pas seulement subi en frémissant le joug du vainqueur : ie spectacle des misères sans nombre s'étalant parmi elles, leur imposait dos devoirs de bienfaisance et d'assistance auxquels ni ies municipalités ni les sociétés charitables, ni les particuliers ne se sont dérobés, en dépit du régime du fer et de l'exploitation abusive qui les ruinaient. EMILE CHANTRIOT. » _ Sfe s ■S 3°uvripr tJi .^1 to A ei Pour i°l l - ZT -, ; ses vêtements. « un a vu souliers et ses chausà un so,dat f ]i ranimrt^f P était lappoite le professeur Lacroix; • Et puis à mon âme Sa clarté rappelle Ta grâce mortelle, Limpide prunelle Sans flamme ! Voici le flot sombre Qui gronde; le pont Profond lui répond; De Veau tourne au fond De l'ombre. La puî-îîcîtê ea reçue à l'AgenceiH™, 8, place de la Bourse, a l'Agence John F. Jona», 314», faubourg Montmirtre, «IB bereaus de 1 Eut Tiépublicain, passage de* Prince», à Paris, dans toutes les Agences, et à l'£j! Tlépublkain, à Nancy, Z/l * ^_ __________ ______„ a < a répondu celle-ci, « chicaneuse » dans ■l'âme. — La curiosité d'un niinTeu que j'ignorais, — a répondu celle-là dont la vocation ne me paraît pas très ardente d'ailleurs, car r elle ajoute : — Mais je trouve qu'on y parle trop ! D'autres expliquent ; — Le désir d'assurer ma vie matérielle et de rester indépendante. — Un instinctif besoin de m'employer en faveur des malheureux . — Le spectacle de toutes les passions hu1maines. Et la dernière enfin : ; — Simple question de vestiaire... Le plaisir d'endosser la toge qui me sied à ravir, j l'espoir d'être ainsi photographiée dans les j journaux.... Et ce n'est pas la moins sincère de beauccoup. DEUX MAÎTRES DE LOT^AWE ! ; Les oeuvres de bienfaisance , _ J PUBLICITÉ C _ E < j " prf M. Femand PAYEN, avocat à la Cour d'appel de Paris, fait paraître une Anthologie des avocats français contemporains, dédiée à M. Raymond POINC4RE, œuvre plus qu'intéressante, — passionnante, — où il a recueilli quelques plaidoiries des maîtres du carreau. Il nous est agréable d'extraire de XAnthologie les notices que M. Femand PAYEN consacre à M" Raymond PÔINCARÉ et à M' Henri MENGIN. C'est un juste hommage qu'apprécièrent tous ceux qui admirent et aiment deux de nos plus grands et de nos plus sympathiques avocats de Lorraine, dont l'un a été investi par la confiance nationale de la plus haute magistrature de la République. rjVT Poincaré j Lorsqu'il avait vingt-trois ans — il y a vingt-neuf ans de cela — Rnvmond Poincaré, premier Secrétaire de la Conférence Des « enveloppeurs » diversement nuandes Avocats, dut prononcer devant, ses con( cés, appropriés â la robe, c'est bien. frères assemblés l'éloge d'un » ancien ». Il j Mais encore faut-il que la perruque et l'étoffe elle-même s'harmonisent avec les choisit pour modèle Duiaure, en son vivant ifonds, — ou tout l'effet sera perdu, contramembre fie l'Académie française, bâtonnier ,rié. de l'Ordre, et premier ministre. Admirons Pour quoi le directeur d'un hôtel colossal ce sûr instinct. <qui se construit, en plein New-York dispose- ( La politique pourtant ne le séduisait t-il dans' chaque salle à manger, tentures, }\ i 1meubles et tapis, de manière que les fem- jJ pas : du moins il le disait. Il l'a souvent jmes y trouvent un cadre seyant selon la i ré.pété depuis, et - pas seulement au Pacouleur dè leur chevelure et de leurs iftoin- i\ iais^ Mais comment l'en croire ? Il s'est (dres atours... 1 doimé à lui-même un s,i éclatant démenti .' Il y aura des cabinets rouges, bleus, verts, j ;jaunes, gris, roses, violets, — allant des tons ! Admettons si l'on veut qu'il aime le barreau comme certains maris aiment leur i les plùs criards aux plus tendres. f/minie : ils la trompent tout le temps mais Il y en aura trois cents. Une belle dame qui voudra les avoir ij là désirent et la regrettent aussi souvent « fait » tous devra donc posséder un nombre ij qu'ils la trompent. 1 égal de toilettes... Et quelle belle "dame ne If C'est d'ailleurs une question assez vaine voudra ! ' L * '\• de savoir si M8 Poincaré préfère la politiSans compter qu'un peu de daltonisme rti- | que au barreau ou le barreau k la politi, nt...da ; que. Ce qui est sùr et qui seul importe c'est Plaignons les maris. qu'il est parfait dans les deux rôles. Ce sont, au surplus, deux rôles écrits pour les mêmes voix. Il y a longtemps que la poudre du greffe n'engendre plus de poètes, mais il s'y développe, comme on sait, des quantités de parlementaires : le Palais de Justice est deDans la high-life.—Les scandales londoniens, venu le Conservatoire do ce Grand Opéra qu'est le Palais-Bourboii. La princesse et le maître-chanteur. L'acpustique n'est pe/at-être pas la mêDe notre correspondant particulier. me dans les deux bâtiments, mais il faut, pour réussir dans l'une ou dans l'autre, LONDRES, 11 février. — De temps en s'être exercé au mèm/e solfège. Inutile de temps les revues mondaines nous parlent, , s'indigner ; il en sera'ainsi de plus en plus, en termes plus ou moins voilés, du relâpuisque le droit et )JX politique, chaque chement des mœurs dans la haute société jour plus éloignés des froids sommets de londonienne et des orgies dont quelques la théorie, se rencontrent et fraternisent à clubs fashionables sont le théâtre. En géchaque pas sur ce légendaire « terrain des néral ,on ne donne pas de noms. Mais le affaires », où tout fin,..t, en France, par des scandale éclate au grand jour lorsqu'on procès et des projets de loisne parvient pas â éviter que l'affaire vienLa multiplicité des. dossiers n'effraie pas ne devant la Cour des divorces ou simpleMe Poincaré. Il a une souplesse d'esprit et ment devant une Cour criminelle. Paû-mi une puissance de ti-avail prodigieuses. Et ces dernières, la plus sensationnelle est c'est par là, qu'à la Chambre tout d'abord, celle où toute une altesse, la jeune et il se fit remarquer. Jl y entra, à vingt-six belle princesse de Thum et Taxis, femme uns, sans cesseiv. puisqu'il jio-faut pas lâdu cousin d'un prince régnant, poursuit cher la proie pour J:ombre, de travailler au un gentleman nommé Henry Maur pour Palais comme secriMaire de M0 du Buit. tentative de chantage, dans des circonsIl s'occupa surtovit des questions financiètances qui jettent taie vive lumière sur res : simple coque/.terie. Ne sont-ce pas les les allures par trop dégagées de quelquesquestions les plus ardues et les moins conunes de ces grandes dames du smart set nues ? Ah! ce ne Ont pas long ! Au bout d'un londonien, dont la princesse, qui occupe an ou deux, Raymond Poincaré les conavec son mari une somptueuse résidence naissait jusque îlans leurs moindres dédu West-End,. est un des plus beaux ortails, il discutait comme un vieux routier nementsl'ouverture et l'ajanulation des crédits, l'inVoici les faits en quelques mots : la corporation des liudgets extraordinaires et princesse fit, il y a quelques semaines,l'unité du budge/., les règles de la comptadans un club à la mode, la connaissance bilité publique ht quelques autres séduid'un gentleman distingué, bel homme, santes questions du même genre. Bientôt grand ami des dames, nommé Henry les spécialistes lies plus qualifiés furent deMaur, et consentit à le recevoir ichez elle vant lui comme' s'ils n'étaient pas. 11 critiet à l'accompagner fréquemment aux quait (déjà !) frj. Camille Pelletan. Il « colthéâtres, aux music-halls, . aux restaulait » à tout coup M. de Soubeyran. Il rérants, voire même dans sa garçonnière, torquait, en s/} jouant, les plus savantes car il possède une confortable garçonnièobjections de M. Léon Say.. M. Rouvier, re, ce joyeux Henry Maur, et il n'a pas lui-même n'eu revenait pas. Quant à la l'air d'y perdre son temps. Le jour même Chambre, elle l'accueillait pour ses débuts où on alla l'arrêter chez lui, il était en par une « double salve d'applaudissetrain de dîner en tête à tête avec' une ments » et deis « bravos prolongés sur un jeune milady, mariée cela va sans dire. grand nombre de bancs ». Décidément, c'est un tic. A trente-tidis ans, il est ministre et se Mais voilà où les choses se complirésigne aiorr,, alors seulement, à ne plus quent : un beau jour la princesse reçoit préparer de ifcoéfciers pour M6 du Buit. une lettre signée Ernest Everitt, un pré« Ministre ?' Ce n'est pas une position tendu détective privé, lui apprenant qu'il pour un jeurHi homme », disait sa prudente a été chargé de surveiller ses mouvements mère. Majs elle le méconnaissait. et lui donnant sur ses faits et gestes des Il avait modestement refusé le portefeuildétails tellement précis, que Son Altesse le des finances, trop lourd pour ses jeunes n'a pu s'empêcher de s'écrier : « Ce no épaules : c'était encore une coquetterie. A peut être que Maur lui-même. » Or, la peine fut-il installé à l'Instruction publilettre' se terminait par la demande d'une que, on vit bien que le budget n'était forte somme en échange du silence. qu'une des C ordes de son arc et de sa lyre. La princesse, qui n'a pas Fair de crainLe voilà qui banquette, qui préside, qui dre beaucoup son époux et qui semble être inaugure ejt qui discourt sans relâche, sous plus disposée à affronter le scandale qu'à toutes les formes, sur tous les sujet. Le 12 délier les cordons dè sa bourse, prévint la juin 1893, sur l'œuvre d'Arago ; le 18 juin, police et envoya une lettre sans argent à à Château-Thierry, sur La Fontaine ; le l'adresse et au nom indiqués, poste res29, à l'Ecclè normale supérieure, sur Fustante, où la police put arrêter l'individu tel de Coïjlanges ; ïe Ier juillet (toujours en qui se présenta au guichet pour réclamer 1893), au Salon des Artistes français sur la missive. Cet individu prétend que c'est l'art et li liberté ; le 17,,sur l'éducation des Henry Maur qui le chargea d'aller réclajeunes Biffes ; le 29, sur les arts décoratifs ; mer la lettre. Mais Henry Maur, de son le 31, à .'la distribution des prix du Concôté, jure qu'il n'en est rien, et que l'incours gériéral, sur l'enseignement classique dividu en question, dont le nom est Briss, et le patriotisme ; le 4 août, aiîïConservadoit avoir agi pour son compte. toire, sur la musique et la déclamation... Les choses ep sont là. Les débats ont sans préjudice naturellement de quelques été ajournés. Ce qui est hors do doute, discussions par-ci par-là à la Chambre et c'est que le Smart-set de notre merveilau Sénqit. leuse métropole est un champ fécond pour Cette 'fécondité est peut-être un attribut les maîtres-chanteurs, beaucoup de ces de la fonction, quelque chose comme une dames préférant s'exécuter que de courir grâce d'Etat que tout ministre emporte de les risques de détruire leur foyer domestique et de ruiner leur réputation. La l'Elysée avec l'investiture présidentielle... Mais il! faut lire les discours de ce ministreprincesse de Thurn et Taxis a été elleci. Toujours et partout — voilà le fin, voilà même la victime d'une tentative de chanle rare- — il parle sans « pathos » et sans tage, un crime que les lois anglaises châbanalités, avec à-propos, avec intelligence, tient avec une excessive rigueur, plusieurs années de servitude pénale — et il est avec compétence. Eh ! oui... avec une véritable compétenclair que lé sieur Ernest Evaritt, privatece ! Pourquoi pas ? Ce serait peu de dire détective qui a signé les lettres, est un qu'il a des clartés de tout. Sa pensée est un faux détective qui s'est livré à un genre phare puissant, qu'il peut projeter sans fad'opération dont il est probablement cou! tigue fur les objets les plus divers. Chacun tumier . Mais quel est ce maître-chanteur, Brims | d'eux tour à tour en est illuminé sur touou Maur ? Les lettres incriminées étant j tes s>es faces, dans^ tous ses coins et reentre les mains des fins limiers de Scot- j coins et jusqu'en sa profondeur. Chromatisme j Lettre de Londres Îand-Yard, ceux-ci pourront sans doute Tout ce qui peut s'apprendre avec la mééclaircir le mystère, et dans ce cas nous moire et se comprendre avec la raison est saurons à quoi nous en tenir après la rede son domaine. Il comprend tout, tout de nri'Se des débats, la semaine prochaine. de suite, et il retient tout. ^En attendant, l'on potine ferme dans les D<Jà, après cela, vous auriez deviné, élégants salons de Mayfair, où beaucoup si wous ne le saviez, que cet homme si inMais dans l'ombre immense, de ces belles miladys ont l'habitude de telligent n'aime point, en politique, les Sur l'eau qui palpite, mordre sans pitié celles de leurs amies systèmes absolus. Je vois la petite qVi osent commettre au grand jour et. La politique est pour lui une science exavouer^en p'ublic des indiscrétions qu'elEtoile maudite périmentale. Elle doit procéder prudemles onr*commises cent fois elles-mêmes, Qui danse ! ra,:int, par tâtonnements, par expériences mais sans avoir la malechance d'être pinsuccessives: Elle est l'hygiène et, au becées. GEORGE VILLE, soin, la médecine des peuples. Et la vie des es ca C3 peuples, comme celle des individus, n'est ^ TARRIDA DEL MARMOL. iiiiin iiiMinfin i mu u IIIIIIIIWIIIII «imi min" i i j u laite que de détails, d'habitudes, de préLe choix d'une carrière jugés, d'incidents accumulés ; il faut tenir compte de tout cela. M" Poincaré en tient Il y a présentement trente avocates insVOIR PAGE 2 crites au barreau de Paris. / compte. Il a dit de lui-même : « Je ne vois Cn de nos confrères est allé leur deman| pas ies choses du point de vue de Sirius. » der quelle raison les attira vers le palais. ■ I Non ! Il n'oublie jamais ni le temps, ni les — L'amour des situations embrouillées, — j lieux, ni les hommes, ni les circonstances, m DERNIÈRE HEURE ni, les répercussions probables, ni les chocs en retour possibles. C'est un grand praticien très minutieux. Au Palais, son succès vient des mêmes causes. Tout comprendre et tout expliquer, ce sont les deux qualités professionnelles de l'avocat. N'en déplaise à Boileau, il n'est pas sûr qu'elles n'en fassent qu'une, mais M0 Poincaré, du moins les a toutes les deux. il est incomparable pour démêler ce qu'il y a toujours de' vrai dans le faux et de faux dans le vrai. Les objections tombent dans son cerveau comme dans une cornue : elles sont dissociées, analysées et recomposées — en forme d'arguments, C'est un beau spectacle que vous verrez au Palais quand il vous plaira : M8 Poincaré écoute un adversaire. J'allais dire : il l'écoute « d'un regard attentif », tant il est impossible, quand on pense à lui, d'évoquer totit d'abord autre chose que son vaste -front et ses yeux, ses extraordinaires yeux gris, à la fois si mobiles et si étrangement fixes, quand — rarement — ils se posent Un instant. Il écoute donc avec une attention vraiment absorbante » etenipème temps qu'il écoute, il écrit d'un trait la réfutation. Notez qu'il pourrait ne rien écrire du tout et composer mentalement sa réplique. Mais ç,e travail matériel ne lui coûte nul effort, ça n'a pas l'air du tout de l'ennuyer ni de le fatiguer. Il écrit, pour ainsi dire machinalement et il écrit tout : ordonnance, arguments, style, épithètes,|parenthèses, ponctuation, "rien n'y manque et il pourrait telles quelles livrer à l'imprimeur ces notes d'audience. , •Le voilà maintenant qui se lève, court, trapu, le regard plus mobile que jamais, et ie voilà qui parle d'un voix haute et. sèche... Ah*! comme il est difficile de définir son éloquence, à moins qu'on ne '.la définisse encore et toujours par sa souplesse et sa variété ! Elle est exactement dans chaque cas ce qu'il faut qu'elle soit pour arracher un « c'est vraiment très bien » aux auditeurs les plus difficiles. Toujours claire, bien entendu : ce réaliste parie d'abord et avant tout pour se faire comprendre. Toujours correcte aussi :.un esprit aussi lucide ne pouvait s'exprimer qu'en français et en j très bon français: Mais pour le surplus... mon Dieu, je le répète, cela dépend des (Circonstances. Son accent est toujours au diapason de son auditoire et ses métaphores de la couleur de son sujet. Il traite les grandes questions avec l'ampleur d'un philosophe et les petites avec la minutie précise d'un commis. Il aura des accents indignés pour « libérer sa conscience » lors de l'affaire Dreyfus, et il discutera avec un inégalable sang-froid les questions budgétaires. Pendant trois audiences il disséquera savamment des textes à propos cî'une faillite. Mais quand il plaide pour l'Académie Concourt, son style fleurit de lui-même. "Il fleurit... entendons-nous bien. Il ne s'agit point d'amplifications oratoires ni d'une recherche raffinée du mot oo de l'image. Je difais que M" Poincaré est un « attique », sfj l'atticisme n'était fait que de modération et de mesure. Sa pensée ne reste point à l'état de squelette : il la couvre de chair, elle est animée, elle est colorée, elle est vivante, mais il ne la drape point dans de somptueux vêtements qui, peu ou pr/ou, la cacheraient. Quelques sobres ornements par-ci par-là : rien de plus. Et à vrai dire, plutôt des bijoux que des fleurs. instantanément, j Tel est l'homme que se disputent la politique et le Barreau. C'est sa puissance et sa rapidité de travail qui me paraissent être, décidément, la caractéristique principale de son talent. La rapidité surtout. Lès journées n'ayant, en effet, que vingtquatre heures, dont quinze sont indisponibles pour raisons diverses, l'intelligence la plus puissante et la plus vaste mémoire ne suffiraient point à emmagasiner tant et tant de choses si elles ne fonctionnaient rapidement. Celles-ci fonctionnent vertigineusement. Il ne faudrait à M" Poincaré que deux heures de préparation pour se mettre en état de disserter^une heure durant sur la politique étrangère, la physique, la médecine, la stratégie, la peinture ou l'histoire, et cette énumération, comme on dit au Palais, n'est pas limitative. Il lui faudra beaucoup moins de temps, bien entendu, s'agit d'une question qu'il a étudiée ou d'une science qui lui est familière. déjà s'il j Des gens grincheux crieront que cette culture extensive est sans doute bien superficielle. Peut-être. Des spécialistes, en tous cas, pourraient seuls en décider. Et en deux matières, au'moins, n'est-il pas lui-même un spécialiste ? Et puis qu'importe ? Qu'importe, par exemple, aux auditeurs qui applaudissaient il y à quelques années dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne le discours do M8 Poincaré sur Berthelot ? Qu'importe à tous ceux qui l'ont lu ? Par ce discours, l'œuVre d'un grand savant leur fut révélée- 11 n'est pas sùr que beaucoup d'entre eux auraient été capables de lire les livres de ce savant ou de suivre ses cours. Et qu'importe surtout a notre orateur ? Il a de tous les dons reçu le plus précieux ; en ce siècle d'értidits et de spécialistes, il réalise ce rêve de pouvoir parcourir à son gré tout le double champ des connaissances et de l'activité humaines. ' Oui, quel rêve ! Il faut aujourd'hui, dans ces champs trop vastes, « choisir sa voie », une seule voie. Il faut se résoudre à do cruels renoncements, à beaucoup de petits suicides partiels. Il faut être homme d'action ou homme de pensée, il faut être ingénieur ou juriste, artiste ou savant... et ces mots mêmes sont ridicules. Ce ne sont plus que des noms de famille , que nul ira lo droit de porter sans les restreindre et les spécialiser. Il n'y a plus de Science aujourd'hui, il n'y a que des sciences et chaque science est une maîtresse exigeante qui veut son homme tout entier... Mp Poincaré butine les fleurs et s'assimila leur suc saris en être épuisé. C'est un homme heureux. M° Mengin "" M8 Henri Mengin est, sans contestation possible, l'avocat le plus réputé de touta Sa région de l'Est ; dans le barreau de Nancy, si riche en talents, il jouit d'ùne situation et d'une autorité sahs égales. L'une et l'autre d'ailleurs lui sont venues très tôt ; il n'avait pas dépassé |a trentaine que déjà les plus gros dossiers affluaient à sôn cabinet de tous les coins de ce pays de Lorraine dont le prodigieux développement économique était dès'cette époque une surprise et un réconfort. C'est que M° Henri Mengin est le tvpe même "de l'avocat. Avocat. U l est physiquement de là .tête pieds : favoris blancs encadrant un visage expressif, les yeux mobiles derrière le lorgnon, le-geste vif et, nerveux. Fils et petit-fils d'homme de robe, 'M' Mengin est avocat par hérédité comme par vocation. Et il a toujours tenu à le rester exclusivement. Certes, les tentations ne lui ont paa manqué et à plusieurs reprises d'illustres confrères, qui étaient en même temps de grands hommes d'Etat, ont insisté auprès de lui pour qu'il apportât à leur parti le concours de sou intelligence et de sà parole... 11 est demeuré iuébranlabiement fidèle à sa robe et à sa ville. Si bien que, le prestige qui l'environne, M8 Mengin le doit tout entier à sa. haute honorabilité, à un désintéressement verbial... et à son très grand talent. aux jfto- Sa grande facilité d'improvisation,' l'abondance -de ses lectures, un long entraînement et le soin avec lequel il étudie ses dossiers lui permettent d'aborder la barre avec des notes très sèches et très sommaires. Sa plaidoirie ne ressemble pas à ses notes : c'est l'exposé le plus complet et la plus lumineux, c'est la plus véhémente ou la plus spirituelle, toujours la plus pressante et la plus irrésistible - démonstration... Mais il est malaisé de se faire une idée de ce talent très personnel quand on n'a pas vu à l'audience même ce petit homme si fin, si pétillant, tour à tour ironique et passionné, gracieux et puissant, plein de verve et plein de bon sens, quanti on n'a pas entendu les mots parfois cinglants dont il meurtrit son adversaire, les apostrophes dont il l'accable, les raisonnements surtout, dans lesquels i! l'enserre. Oui, les raisonnements surtout... M" Mengin est un argumentateur de premier ordre. Il s'est de bonne heure familiarisé avec la dialectique, ce squelette de l'éloquence. Il en connaît tout le mécanisme, tous les leviers, tous les ressorts... C'est là sa force. C'est celle de tous les grands avocats. Dans toute plaidoirie en effet — sans que le public s'en doute et sans que certains avocats paraissent non plus s'en douter — la partie démonstrative est la plus importante. Et je n'en excepte même pas les plaidoiries de correctionnelle qui sa prêtent le mieux, parfois, à la fantaisie, même pas les plaidoiries d'assises qui sa prêtent le mieux, toujours, au pathétique.,. Avant de s'indigner contre le criminel, l'auditeur veut qu'on lui montre avec certitude où est le criminel et s'il est haïssable. Avant de donner des larmes-au malheur il veut être assuré qu'il y a un malheureux et qu'il ne mérite pas son sort. • B°'leau s'est beaucoup hasardé en assimilant le beau et lo vrai. Je djrais plus volontiers : « Rien n'est puissant que la vrai ». Tous les mouvements oratoires,toua les traditionnels moyens d'intéresser, d€ piaire ou d'émouvoir ne sont sur l'âme humaine que d'impuissants leviers s'ils n'ont point l'appui de faits incontestables. Par là seulement l'éloquence se distingue da la déclamation. C'est donc à la raison des auditeurs qu'il est prudent de s'adresser d'abord si l'on veut atteindre ensuite leur esprit ou leur cœur. L'art suprême — et l'extrême difficulté — serait d'ailleurs de répudier cette artificielle gradation et de ne point cesser d'agir sur l'âme tout en raisonnant, sur la raison tout en plaisant ou en émouvant Il faut, disaient — ou à peu près — les Anciens, que le raisonnement soit plein de chaleur et le pathétique plein, de bon sens. Ainsi les dé*ux moyens se pénètrent l'un l'autre et ne forment, comme la chair et la sang dans le corps humain, qu'un tout vivant et, solide. Les plaidoiries de M8 Mengin répondent assez bien à cette difficile formule. Leur rigueur logique est parée des traits les plus touchants ou les plus délicats. ElΣs rappellent la jolie ville de Nancy que M' Mengin aime tant : elles en ont la structure géométrique et les ornements d'un art gracieux, la tenue à la fois classique et singulièrement animée et vivante. Comme tous les improvisateurs, M8 Mengin, est meilleur encore dans la répliqua que dans la plaidoirie. Avec uije souplesse et une vivacité qui déconcertent, il profite du plus léger incident... Malheur à l'avocat qui, plaidant contre lui, laisse échapper un mot maladroit ou un argument douteux ! La verve de son impitoya,-. ble adversaire va là-dessus se donner libre carrière — jusqu'à ce que l'imprudent, ou le public pour lui", se sente l'envie de crier : « Grâce ! » M8 Mengin a plaidé dans tous les grandes affaires qui se sont déroulées clans l'Est de la France durant ces trente dernières années. Nous citerons, entre autres, les poursuites correctionnelles intentées contre les ingénieurs des ponts cl chaussées à la suite de l'écroulement de la ditrne dç Bonze? (Vosges) qui avait entraîné la ruine de nombreux villages et la mort de leurs habitants. M0 Mengin plaida dans cette affaire à côté de,-M. le bâtonnier Ployer et de M. Raymond Poincaré. C'est lui que le ministère de la guerrt cônfta, il y a cinq ans, le soin de défano'r* les intérêts de l'armée contre de nombreuj fournisseurs militaires accusés de fraude i La Situation sanitaire à Spinal VUICARISATIOS SC1EHT1FIOUE A PROPOS D'EAU Déclarations de M. Abel Ferry 15 février. — M. Abel terru puic a tpuiat, a Jait les tieciuraticn ^ EI'INAL, S SIXIÈME 3Î.PITI0'N L'affaire des eaux de Lunéville — encore . u % vantes : mal éclarcie à l'heure où nous éci-lvons ces — Je suis profondément ému par Un lignes — offre, de toute manière, une imsite d'hier a 1 hôpital fcumt-iviaurioe7t vi> portance considérable, étant donné que la m , • i n- a rappelé de pénibles souvenirs ne ^ santé de toute une ville se trouve aépen- ! 4 « C'est cela que MM. Barthou et Briand „ nels. J ai vu a l'hopitui militaire ue dante de cette chose inappréciable que l'on »e pouvaient pas dire. C'est ce que le peu- i aalors que j étais soiuat, mourir à appelle l'eau potable. De mut temps l'étude j 1 moi aes camaraoes iors u une ^ pie républicain se dira. » I n des eaux potables a attiré l'attention des j / De 1 « Aurore » : | aanalogue, qui motiva d'ailleurs umtT""*8 hygiénistes, et ils ont insisté pour que l'on , l « Les républicains, trop longtemps con- | p nedation de M. Clemenceau au Renier* s'en préoccupât- Jussieu écrivait déjà en j Sré. k^aïAn. : lants, se souviennent de ce que furent a 1736 : « La bonne qualité des eaux étant ! autrefois ces hommes que se présentaient i C'est une affreuse situation qùe *' Nous croyons être patriotes clairvoyants en nous " Noars ne voulons pas que, pour capter les suffrages, , i eux. une des choses qui contribuent le plus à [ d d'un jeune soldat, malade, loin uês i^P* la santé des citoyens d'une ville, il n'y a efforçant de préparer dans la paix, l'Union qui, au « Venus de l'anarchie ou du parti de seul entre des lits oU d'autres souju•PM,, l'on dose au compte-goutle ce qui est nécessaire a lù & rien que les magistrats aient plus d'intérêt 1 e M. Méline, ils ont roulé d'aventure en meurent, et je su.s sùr que ce n7st ^ n à entretenir que la salubrité de celles qui nmoment du péril, sera notre sécurité " We de la France ______ aventure, jusqu'à la conjonction actuelle. ssans diminuer sa force de résistance servent à la boisson et à remédier aux ac- I « Ce ne sont pas des paroles, ce ne sont Depuis le 1er janvier, ii est montra déclare M. BAHTHOU ^'icrie M. BRIAND cidents par lesquels ces eaux pourraient i paa des discours qui pourront nous ras- pitai p d'Epinal 2* soldats, j'étais étru altérées ». surer. aanxieux ue savoir si cette liste f,,J Les découvertes bactériologiques ont « Il faudrait des actes, et c'est précisé- aavait été provoquée par l'incorporât " montré en toute évidence comnien, en efment ce à quoi ils sont impuissants- » | 20 g ans. Or, Sur les 24 morts, 10 sont ri^* inutile des Révolutionnaires fet, la bonne qualité de l'eau, son inno— Du « Radical » : c classe 1913, 12 appartiennent à la „, « cuité était, non pas utile, mais indispen- , « L'impression des milieux politiques du 1912 1 et 2 à la classe nui. Le qui t>& sable. U est certain qu'aucune agglomé-j Havre n'est pas favorable aux orateurs, qui j àa prouver que la malauie a fiapné 1 ^ ration civilisée ne peut s'établir sur un « M. Barthou a eu l'honneur d'attacher se sont fait entendre successivement hier. I nment l une et i autre classes rwaiwi^ point où l'eau est suspecte sans prendre, ; LE HAVRE, 15 février. — Bien avant pi pé, ie désaveu dune loi de sécurité son ^"«eiitu, « On attendait un programme, et l'on ccorporées. tout aussitôt, des mesures «de préservation ' l'heure de l'arrivée du train qui devait nationale, , imposée par des armements se nom à cette reiorme grave et unpor- estime que MM. Briand, Barthou et leurs | peut-être même a-t-elle exercé ses à n, tante de la nouvelle', loi nuiitaire. et d'assainissement préalables : souvent, amener MM. Briand, Barthou et Chéron, extérieurs '! 11 faudra, pourtant, que N « Je déplore que tous n'aient pas com- amis n'ont pas fait assez en se contentant j gges plus violemment sur les hounnés àf ej si ces mesures ne sont pas spontanément la place de la Gare avait été déblayée. Sur j Cf cette équivoque cesse. La France pris la nécessité de la loi votée par le 1 ar- d'une défense, sans arguments, de la loi de j ans a que sur les hommes de 20. J'ai™ I concertées, ehes sont imposées au nom de ^le boulevard de Strasbourg se tiennent a a le droit de savoir si l'on veut qu'elle se p: 3 ans. » j ssur les livres Ce l'tiotutal que depuis tTiV't iernent pour la défense nationale. » ■ l'hygiène et de la solidarité : et tout le I d'importantes ^ défende. On ne rjjse'pas avec la vie même te M. Briand a confiance dans le cf anforces d? gendarmerie. A d ' *février, sur 11© entrées, & malades u H monde sera d'accord pour approuver cette j11 heures, un peloton de gendarmes por- du d oavs. » Journaux favorables. — De T « Ac-< iment, c'est-à-dire moins cm tiers éis' I bon bi sens des citoyens pour que la camobligation. L'on Juge donc de l'émotion ^tant le nouveau casque vient se poster ' pagne annoncée contre la loi de trots ans tion » : odes hommes de 20 ans. La question fiscale p que peut susciter la découverte de frau- sur la place. A 11 h. 10, le train entre en Ce sont éviuemmeiJt les deux DOBVSWI ne soit pas mortelle pour le pays. « Le contact que nos orateurs ont pris des contre l'hygiène de cet élément bien- | gare. „ M. Louis Barthou rappelle que la ques™ Il n'a pas encore stoppé que déjà, M. Briand fait, en termes saisissants, classes de recrues que la maladie a «n i J frappées. faisant. . au g dehors, les sifflets commençent à ino- tion fiscale, habilement exploitée, a sarvi le récit des luttes engagées pour faire vo- avec le peuple n est pas seulement une le- 1tout t J'y vois pour ma pan S' çon pour certains. C'est un exemple pour Quelles sont, d'ailleurs, d'une façon gé- i ^duler leurs sons un peu aigus. Sur le ad'instrument d'opposition à ses adversai- ter r g la loi de trois ans, dont 1 aboutissesieurs raisons. ! Ê les autres. nérale, les qualités caractéristiques d'une l quai „ « d'arrivée, MM. Briand, Barthou et rres. OU sont donc, dit-il, ies projets et les ment fut une cause d'admiration dans JÔ Une mauvaise acclimatation. U np« k La France républicaine sait maintenant eau potable, c'est-à-dire propre aux usa- ^Chéron sont reçus par la municipalité. On méthodes dont ils faisaient bruyamment ° monde. ' ' ,. que nos idées sociales, nos doctrines natio- |pas ouolier qu'il y a eu à Epiiial de S i ges domestiques ? j. acclame chaleureusement, mais quand pnparade V les « Tout le bénéfice moral, diplomatique, nafes, nos principes de gouvernement, ré- iles froids pendant quelques jours r I Elle doit être fraîche et limpide, ino- les j « L'emprunt qui, avec M. Dumont, était que nous- en avons retiré, tout cela serait anciens ministres sortent de la gare, sonnent ët retentissent dans le suffrage uni- 1noté les pays a origine des malhen^S dore, agréable au goût, bien aérée, ce qui lés j, coups de sifflets redoublent Les cris une menace, devient avec M. Caiiiaux une ; 1 piétiné, réduit à rien f » *ont succombé. Aucun n'est originaire g est une condition nécessaire pour la diges- ; cde « Hou ! hou ! » se mêlent aux applau- uppromesse. Ce que sous le ministère pr. m ' « Nous verrions un parti d'extrême gau- versel. Vosges, sauf un, qui es$ du Rouàer, «t «S • — De la « France » : tibilité. Pour être imputrescible, elle ne ^dissements et aux vivats. dent on dénonçait comme un mal, se transd s succombé a la tubereulote, et non àlil che disant tous les mois, toutes les semai« La Fédération des gauches, représen- a doit reniermer aucun germe pathogène : | Quant les voitures s'engagent sur le forme f en bien avec le ministère auquel pré- *r nes s « Retour à la loi de deux ans »s et tée par MM. Briand, Barthou et Chéron, a Ipidômie. la quantité de matières organiques qu'elle j boulevard ■ de Strasbourg, les barrages sside le sourire optimiste de M. Doumergue. S le gouvernement défendre misérablement reçu de la population havraise l'accueil Frappé de cette constatation, j'ai dress* I contient ne doit pas dépasser vingt milli- I sont Où sont les incorporations autrefois exigées sa vie par des marchandages ? >« rompus. La foule des manifestants ç £ la liste de tous les malades entiés dermî![ le plus sympathique. ' grammes par litre : un chimiste quelcon- j £se dirige, sans cesser de siffler, vers l'hôtel dans or la loi de finances de l'impôt sur le c —. Ah ! non ; nous ne verrons par cela 1 «• En dehors des révojutionnnaires qui le ! l février à l'hôpital militaire. ÏMÏr que, ou un pharmacien peuvent s'assurer i jModerne, à quelques mètres duquel les capital et de l'impôt sur le revenu ? Le gou- (Tonnerre d'applaudissements.) Éseulement sont \osgiens sur Hij. gâT! c étaient allés quôter les pièces de cent sous très aisément que cette condition est rem- gendarmes à cheval et les gardiens de la vernement engage-t-ii, pour aboutir, cette 5 A ce moment, on entend au loin les cris doute, il doit se trouver d'autres Vosges! v d'un affameur du peuple, l'unanimilé de la M plie. j de confiance dont ses amis me hostiles . paix établissent en toute hâte un bar- question c poussés, au. dehors par les mani- ville tînt à protester contre des procédés | 'dans les infirmeries et peut-être un certaii L'eau potanle, ne renfermant ni hydro- rage. j pressaient si souvent de faire usage ? Sfestants. p abominables et c'est à la confusion de leurs j 1nombre ont-iis été envoyés en couvai gène sulfure, ni aucuns nitrates, ni suî-, « Que pense M.Malvy dans son intransiOn fait évacuer les trottoirs. Des bousL'ancien président d» conseil poursuit adversaires que s'est terminée la réunion 'cence dans leur lamille. U apparaît ce. Jures, ne peut pas acquérir une odeur culades geance austère du Comité Mascuraud ? ., se produisent. On doit faire apg ( l'historique du vote de la loi de trois ans, pendant que mieux adaptés au climat, M désagréable après avoir séjourné pendant pel à des renforts de police, qui refoulent « Quand, devant ce Comité, je défendais *pour établir qu'à la Chambre et au Sé- organisée par les chefs des républicains '1ont davantage résisté aux étremtes de i'J « quelque temps dans un vase ouvert ou les j manifestants. Au moment où la voi- ile commerce et l'industrie contre des mo- Pnat, les radicaux socialistes furent pres- de gauche. » pidémie que leurs camarades veujj àa fermé : en lui ajoutant un peu de sucre ture ^ — De la « République française » : de M. Briand s'engage sur le boule- dalités redoutables pour le secret de leurs 11que unanimes à la soutenir. c autres parties de la France. blanc en poudre dans une bouteille claire vard ; « 3,000 personnes ont acclamé les para' de Strasbourg, une grêle de pierres affaires, M. Malvy m'accusait presque de i £ « MM- Clemenceau et Léon Bourgeois les de MM. Barthou et Briand. De tous les renseignements que j'ai N où on l'a prélevée, on ne doit voir s'y s'abat. , | Personne, heureusement n'est at- trahison. ( Aujourd'hui M. Mascuraud par- la . votèrent, dit-il, M. Combes s'abstint, recueillir, il ressort que les soldats ont |L 1 former aucune végétation parasitaire^ au- teint. } « II faudrait que 300,000 personnes les j , le 1 comme moi. Est-il donc un traître et mais, depuis, il en reconnut la nécessicuns « fungus ». entendissent répeter. ! trop serrés les uns sur les autres danscèr. Le cortège arrive à la salle du banquet, \va-t-on les mettre, ses amis et lui, hors de î1 taines chambrées. Ils se sont intoxiqua Elle doit être limpide en principe. Ce- ]lequel est présidé par le docteur Vignier, la u. MM. Briand et Barthou viennent de ] République ? L'exclusivisme sectaire té. ■ M.» Briand constate enfinéque le gouVous savez qu'il est rare, pendant, quelques eaux potables, soit adjoint , au maire du Havre. H comprend qui c paraît triompher ira-t-il jusqu'à e vernement actuel promit loyalement d'ap- constater qu'on pouvait les faire enten- mutuellement. compagnie descend à la m* v d'une façon permanente, soit par inter- •160 couverts. Après 18 banquet le cortège sacrifice s dre au milieu de 1 atmosphère la plus fié- | lorsqu'une ? nœuvre, qu'il ne reste pas un ou deiu la loi de 3 ans. mitteneés, en raison des variations du ré- repart, J toujours au milieu des sifflets, « Quant à nous, résolus à soutenir une £pliquter "Les'socialistes furent déçus, dit-il, par- vreuse» hommes par chambrée. gime des eaux dans une région, peuvent pour . réforme qui établisse l'égalité de l'impôt, la conférence. i « Puisse cette expérience les convaincre ce qu'ils comptaient sur la Loi dè, 3 ans qu avec ie froid noir du d» c contenir un peu de limon, ou d'argile, ce J ■ J'imagine 1mais qui ne heurte pas des traditions res- pour faire leur campagne électorale, puis- que, dès maintenant et jusqu'à i'issue de ] hors, Ls n'ont pas aéré, maigre tuutes la La conférence qui ne rend pas leur consommation dan- | pectables et des intérêts légitimes, nous ï la lutte* leur place n'est plus dans les i , avaient abandonné la rélarme éleç- I e.oulaks où se nouent les intrigues mort- recommandations. D'autant qu'il smblt gejeuse. Mais il convient alors de proc.é- ti A une heure un quart, la foule' nom- inous refusons à subir les dogmes d'une qu'ils J i non pas dans tous les régiments u » der à la décantation, puis à la filtration. breuse qui attend l'ouverture des portes iprétendue orthodoxie fiscale dont les va- totale. * nées, mais sur le champ de bataille où se bien, dans toutes ies compagnies, niais dam M. Briand expose dans iéloquents dé- jouent La fraîcheur de l'eau est une qualité est autorisée à pénétrer a 1 intérieur du nations et les contradictions suffisent à les destinées nationales. » i cei tains cas, que les enambres aient eu qui doit ètr: recherchée. Elle dépend gc- 'cercle Franklin, où a lieu la conférence. i démontrer la iragiluié. 5veloppements, les vues de ses amis sur la — De la « Libre Parole » : < ! très mal et trop peu chauffées. C'est évi défense nationale, la réforme électorale i:ér:îlement de l'état thermique de l'air ou 1 L'immense salle s'emplit rapidement, et « Avec le ministère Doumergue, nous j et, Pas de réconciliation t administrative, pour donner plus d'air aiions (avoir de beaux jours ! Toute dis- |[ oemment à l'entassement excessif daa du terrain da^s lequel elle circule. Les à 2 heures et demie, toutes ies chaises de ! certaines casernes, beaucoup plus qui au pays. . eaux de rivière éprouvent d'assez fortes parterre et de balcons sont occupées. est interdite. d'absLication ! l'incorporation à 20 ans, qu'il faut attoi « Nous ferons tout pour que les républi- cussiou variations : quant à celles qui proviennent « Elle. e6t interdite au Parlement où le De nombreux auditeurs doivent rester j buer la subite morbidité ue ia garnison! aillent à la bataille sans qu'il y ait ( des profondeurs du sol et qui se trouvent j| debout. Beaucoup de personnes fument, , « On ncus traite die conservateurs, et l'on cains président du conseil se refuse à laisser ]| J'ai constate, par exemple, que sur les A ainsi à l'abri des influences atmosphéri- || ce qui provoque un léger brouillard, qui espère qu'il suffira àe cette épithète pour }rien dirréparable entre eux. se développer normalement le débat ins- 1| ma'iades fournis à l'hôpital par le 170" d'iM l'énergie de notre action. C'est ques, leur température est volontiers cons- ! flotte au-dessus des tètes et- intercepte un (décourager j titué sur l'état sanitaire de l'armée. Nécessité de l'Union j fanterie, lequel occupe 19 iorts et ouvra tante et se tient entre il et 11° centigrades; 'i peu la lumière, déjà rare malgré les 12 le- ,mal nous connaître. Nous avons le senti« Elle est interdite dans ie pays piir la la moyenne de 10e, lorsqu'elle se main- I; nêtres de la salle et ies becs de gaz inten- „ment do nous trouver d'accord avec l'âme « La réformé fiscale ne pourrait se faire toute puissance des sifflets â roulettes, 1 ges, autour u Epinal, b seulement tenaiai et la volonté de la Fiance, lasse des que- dans tient d'une façon régulière, est une excel- : un pays divisé. Il faut que le pays j que distribuent ies partisans du ministère. ) garnison dans les torts, tous les autre! j sifs. |relies où sa force sYspuise. Les injures, (, j appartenaient aux casernes Contades A lente indication. soit apaisé. Il y a des heures où ies trouTout s'estompe dans cette vapeur. « Voilà qui nous promet mie période bchneider. les calomnies et les menaces ne servent Comme condition finale, non pas seule- ' peaux, à quelque catégorie qu'appartien- électorale mouvementée. » Sur l'estrade, face au public, une cen- qu'à [ nous mieux rnolitrer notre devoir. j Par contre, je dois constater que la méat de salubrité, mais encore d'emploi taine de personnes sont assises. *nent les brebis, ont besoin de se resserrer — De 1' « Autorité » : NOUS ne sommes pas M>i premiers qu'elles |; pour faire face au péril. | nouveaux casernements ont fourni un trej pratique, une eau potable doit cuire les 1 « Les discours que MM. Briand et Bari atteignent. Elles n'ont ménagé ni Gam- j « Nous voulons qu'à cette heure le resserlaiole contuig-eiit a la maladie. Lô 17* d'iï-i légumes et pouvoir être utilisée pour le M. Chéron betta, ni Jules Ferry, malgré l'éclat de rement puisse se faire très, vite, sous la con- thon viennent, non sans courage, sinon ji fanterie, a ooloey, n'accuse que ill entre» savonnage : il est, cela va sans dire, fort LE HAVRE, 15 février. — M. Chéron, disj avec l'espoir d'un profi^ prochain, de pro- ; a 1 hôpital depuis le V" lévrier. i\oa leurs services.. Nous iious réclamons ie aisé de s'assurer de ces deux possibilicourant, s'est réjoui des critiques violen- leurs traditions, de leurs doctrines, ie ,duite du sentiment patriotique. (Applaudis- noncer au Havre, sont deux réquisitoires !■ avions oeaucoup redouté l'installation na tés. sements.) cruels contre ia politique suivie par MM. ij troupes aans les casernes trop neuves, ici, Lorsque l'on projette de s'installer quel- tes dont la Fédération des gauches a été leurs méthodes. Nous oqh voulons pas.com- ' Doumergue et Caiîlaux. La pression officielle j il faut reconnaître que ie génie a fait cet que part et si l'on veut s'assurer de la !; l'objet dès sa -naissance et même de la me on nous en accuse, sacrifier les pro« L'accueil qui a été fait à cette déclara- vre saine. qualité de l'eau dont on* dispose, ii est fa- j manifestatien organisée aujourd'hui con grès acquis ou les rétîi rmes promises a « On parle, poux faire triompher les doc. .Mais combien l'organisation du servkt cile et peu coûteux de faire faire par un I tre elle. M. Chéron expose ensuite ie pro- une réconciliation d'abdication. Nous peu- trines mesquines de, nos adversaires d'un tion fut tout autre que ne ie souhaitaient | laboratoire de chimie l'analyse de cette j; gramme social de la Fédération, qui ie sons, au contraire, que le maintien oe usage nouveau de la pression oîficielle,pour apparemment MM. Doumergue et Caillaux I de santé est oéploraoïe. Le 170° d'infanteI prêche pas la haine des classes, mais veut l'ordre public et l'union des' forces vives . et leurs distributeurs de sifflets, eau. rie, qui compte 3,800 hommes, n'a qu'un liépublique fortifiée par une poliii- du pays sont la garantie indispensable faire marcher les fonctionnaires et les élee« Le pays doit être mipatient à son tour aide-major, et ce régiment est dispersé Il n'est pas indiqué, d'ailleurs, de dé- Ij une .teurs. que de travail et de concorde. d'une action sérieusemâ-at réformatrice. ranger un chimiste pour venir prendre | M. Chéron termine en ces termes : « Ce serait donc sous le fouet de la can- de se prononcer avec éclat. C'est pour fin pour moitié dans les lorts autour u'iipil'échantillon à analyser : cela entrait»mit j - Nous vouions que la pohf.que républi- Nous disons qu'une poS'tique nationale, didature officielle que notre belle France une question de vie ou de mort, a — Ha- nal. Lh seul médecin pour 3,»UU hommes, I vas. inspirée par le souci prédominant des in• dans la plupart des cas à- des ira,.- . >;■■•■ •-• répartis sur un périmètre de 10 et U b fe soit Srdemment démocratique et que térêts généraux et substituée de plus ni républicaine irait au grand soleil du scruknneu'es, c.est vraiment inimaginable. 6ifs. On fait soi-même lo piise (tféetïantil,- j tin ? — Non. » (Vifs applaudissements.) i !;;. sQhdarité sociaie, ennemie a la fois de plus à une politique de cal)antèie accroîtra Ion de la façon suivante. L'eau est recueilSans doute, et c'est l'avis unanime da « Nous irons devant les électeurs. Nous tous ceux que j'ai interroges : lesmedecma lie, autant que possible, dans rie grandes iJ j'égoïsme et de la surenchère, s'y traduise la force, l'autorité moraU et le rayonne- parlerons. Nous exposerons notre programment de la République. de tous grades ont témoigné un aevou* bouteilles en verre de deux litres & eapa- }i par des réalisations. « Avec Gambetta, nous voulons que ii . me républicain d'union.Nous ie ferons pour cité que l'on trouve chez les fournisseurs i' « Nous ne prêchons point la haine des ment aomiraole. Mais pourquoi ne ieui la défense de la patrie, pour le mieux-être ! classes. Nous ne cherchonspas à précipiRépublique accueille ceiu; qui viennent . îles a-t-on pas donné un hôpital militaire i de verrerie pour les laboratoires. Ces bou- j de la République. » ! ter les uns contre les autres ouvriers et paloyalement à elle pourvu *çtue les converPourquoi cet hôpital, reconnu nécessaire, teilles sont munies d'un bouchon de verre, i trons. Mais nous voulons appeler chaque sions, sincères et désintéressées, aient L'ordre du jour est-il a peine eu construction à Goibe)r i ou de liège paraffiné. Deux bouteilles, soit CONSTANTI.NOPLE, 15 février. — La réponse jour davantage, à la fois par i'éducation pour origine te sentiment -dia la justice et quatre litres, sont nécessaires pour que le De longs applaudissements accueillent de la Porte à la Note des puissances au Pour une garnison oe près ue 14,00(1 Mp chimiste puisse procéder à son analyse des esprits et par le bienfait de la loi, tous pour but le service de tous. «• .Nous croyons cette péroraison, lancée d'une façon vi- sujet des îles de la mer Egée, a été re- mes, n'aurait-on pas où prévoir un Hôpices hommes qui produisent, qui contriagir comme des patriotes Qtàirvoyants en brante et émue. et la contrôler. mise au doyen du corps diplomatique, tal suffisant ? Ees infirmeries sont engorPour prélever l'échantillon dans une buent ensemble à la prospérité publique, & nous efforçants de prépare); dans la paix l'ambassadeur d'Autriche-Hongrie, à 6 h. gées et le zele des meueems, si grand î" L'ordre du jour, mis aux voix par le docsource, une rivière, ou un réservoir, on y régler leurs rapports de façon toujours plus l'union qui serait, au mcjmofit, d'un péril teur Vigne, « flétrit la tentative de mani- A du soir. soit, ne peut suppléer à tout plus équitable et plus humaine. extérieur, la condition suprfane de notre festation organisée avec plus de frais que — ht votre conclusion, Monsieur ic w plonge la bouteille elle-même dans tous cordiale, Le gouvernement impérial y constate « Nous vouions que la République fortisécurité. lés cas où l'on a la profondeur d'eau néavec regret 'que les grandes puissances puté ? ,i de succès par l'alliance singulière d'élé<i C'est au pays que nou^ nous adrescessaire : autrement, "on recueille le liqui- fiée par une politique de travail et de con— Ma conclusion est que sur ce Ç ments ploutocratiques et révolutionnaires n'ont pas pris en considération les becorde, vivifiée par le sens toujours plus arsons. C'est delà libre discuîj'tion que nous de avèc un vase intermédiaire et on remsoins vitaux de l'Empire ottoman et que comme sur tous ies autres, il faut oig unis d'intérêts »; plit la bouteille peu à peu : mais alors ie dent du bien public, continue hardiment attendons l'adhésion du suffrage univerIl constate « que ies fibres acclamations la solution prise n'est pas de nature à ser ia loi de trois ans. nffll sel. Et rien ne lassera notre propagande, sa lutte contre la misère et la suffrance. vase intermédiaire doit être rincé à fond. éviter les difficultés graves. La faute qu'on a commise est de « S'il nous plaît ainsi de faire le bien et qui se confond pour nous avec un devoir. de la population républicaine ont couvert Lorsqu'il s'agit de prendre un échantil•avoir pas suiusamment préparé 'es n>vJ Pourtant, le gouvernement impérial.décette tentative ; lon au moyen d'une pompe ou d'un robi- si vous pensez mieux servir de cette façon Nous porterons notre organisation, notre « Déclare approuver pleinement la poli- sireux de voir régner la paix, prend acte d'exécution. Le crime serait main te net, on laisse tout d'abord bien couler la patrie qu'en la livrant à des querelles parole partout où elles seront nécessaires. tique définie par les orateurs et engage les de la décision des puissances concernant de ia remettre en question, dea g Ce n'est pas nous qui avons prononcé des l'eau avant de recevoir le jet directement déprimantes, venez avec nous et aidezîles de Embros, Ténedos et Castellor- l'application et d'en fausser les nwj paroles de division. Ce n'est pâs de nous électeurs à assurer le triomphe définitif des les dans la*bouteille... et Ion s'assure que le nous ! n rizo. J'ai la plus grande confiance oaii»^ intérêts généraux du pays et de la République sont venues les sentences d'excommu- que. » conduit ne contient pas, comme à Lunésous-secrétaire d'Etat de la guerro, Il cherchera à assurer la réalisation nication. Mais si l'on nous provoque à U> ville, un désinfectant placé là en vue de ami Maginot, dont je connais les gra Cet ordre du jour est adopté par des ac- juste et légitime de ses desiderata. bataille, nous n'en redoutons ni les consurprendre la bonne foi de l'enquêteur. qualités de travail et d'intelligence- n clamations unanimes. ♦ «» ni l'issue. Bsns tous les cas, on remplit, en prearait que pour des ministères adn?" st M. Louis Barthou, parlant ensuite, dît ditions, u Tout pour la France et la République Le dépari mier lieu, complètement la bouteille avec d'abord que la stabilité est indispensable à tifs, comme le sous-secrétariat de lf «u a.vec les républicains. C'était la devise de l'eau, on la vide, on la rince une ou deux l'action gouvernementale. re, la Chambre perde 1 habitude de MM. Briand, Barthou et Chéron deGambetta. Nous la ferons nôtre. Elle sera fois avec cette eau, on la remplit enfin ger les titulaires tous les ^^'J-gHBï mandent à traverser tout le long de la celle du pays. » jusque près du bouchon : elle est alors L'équivoque parlementaire PARIS, 16 février. — « Excelsior » fait salle pour sortir par la grande porte du fermée so'idement et ficelée. Elle ne decours de la République Lorsqu'ils quit- remarquer que la promotion d'avril sera, << La République où ies divergences entre vra plus être ouverte que par le chimiste tent l'estrade, les 3,000 auditeurs se pres- pour le haut commandement, une des" chargé de l'analyse et dans son labora- les programmes s'aggravent des divisions sent sur leur passage et leur font cortège. plus importantes de l'année. Bagarres sansl«»teS toire : il sera bon de prendre la tempéra- entre les personnes, souffre d'un mal proM. Briikid prend à son tour la. parole. Elle comportera notamment la nominaLes manifestants, qui étaient restés defond. Tandis qu'ailleurs, dans les pays où à llomécoiU'i ture de l'eau k la source, au moment du vant le Cercle Francklinf sur la chaus- tion des successeurs des généraux Chômer prélèvement, et de joindre ce renseigne- le régime parlementaire fonctionne selon L'origine patriotique et Galliéni au conseil supérieur de la sée et les trottoirs, et auxquels s'étaient ses vrais principes et ses règles tutélaires, Un garde blesse un ,la en ment à eaux que fournira l'analyse. du nouveau parti mêlés de nombreux curieux, s'évertuent, guerre, qui seront probablement les géS'il s'agit d'un puits, on fera bien do la durée d'une législature est assurée au HoMÉcotiRT, 15 février. — Dan^ \& jJ « Nous avons voulu, dit-il, moiitrer que sans y parvenir, à couvrir par des sifflets néraux Lanrezac, du 11° corps, de Nandéterminer par soi-même et en se rensei- cabinet responsable, en France, l'incertide samedi à dimanche, à l'usine/a tes, et Valabrègue, du 3" corps, de Rouen les cris de : « Vive Briand ; Vive Bargnant auprès de gens de bonne foi, la na- j tude du lendemain frappe de stérUilé les nous n'avions pas peur des coups- ni des thou Le corps d'armée des troupes coloniales rine, à Homécourt, une querella * M ! Vive Chéron ! Vive la Républiintentions des gouvernements et les rend menaces. ture du sol et du sous-sol d'où l'eau jailentre les gardes particuliers ci disC.ji| u Quand on a préconisé des réformes que ! Vive les 3 ons ! » qui se font enten- sera vraisemblablement attribué au lit : on notera la profondeur et le diamè- incapables d'un effort réfléchi et soutenu. néral de Trentirùan, actuellement à la 7a vriers italiens ,pris de boisson. £ ^ gii dre de tous côtés. et fait voter des lois, il importe de ne pas « Il est une autre cause de faiblesse et tre du puits, sa distance des puisards voision dégénéra bientôt en bagarr»ji Les trois orateurs montent en voiture division, à Paris. sins, des draons et des autres sources qui presque de discrédit, dont souffre, tel qu'il se laisser étouffer par des adversaires La division de Tunisie sera donnée soit, de particulier Masson tira.des w r^» au milieu de nouvelles acclamations, et acharnés. s'exerce en France, Te régime parlementaipourraient la souiller. au gênerai Bolgert, de la 10* division, soit revolver sur les Italiens, dont, u ^ottil « Nous n'avons pas la prétention de rentrent à leur hôtel. Si l'échantillon provient d'une rivière, re. On y voit trop souvent des oppositions, dresser au gênerai Bernard, commandant l'artil- teint par un projectile. Il Pa, ' uVert* I dans ce pays un parti nouveau. Ils sont repartis pour Paris à 6 h. 54 on indiquera la distance de la rivière au avides de conquérir le pouvoir, exiger du Nous sommes des républicains. S'il fallait du- soir. lerie de Lyon. lement blessé. Une enquête est point ou l'eau a été prise : on notera les gouvernement des attitudes que, responsa- nous mettre d'accord sur les détails d'un po,on « Excelsior » ajoute que la promotion Ils avaient été précédés à la gare par* bles à leur tour, elles s'empressent de répuRixe sanglante entre *^ rf| causes d'altération qu'elle a pu subir enie , programme politique nous n'aboutirions des groupés nombreux de membres du des divisionnaires du 20 mars sera' la dier. Le mal est réparable quand il s'agit Une discussion a éclaté entre P^*1 tre ces deux points et la nature géologiplus importante qu'on ait vues deouis do comité de l'Union des gauches qui les ont : pas. de questions secondaires. Mais de quel nom 1 que des terrains traversés, lesquels peuouvriers polonais au café jgé ' longues années. /« Mais une idée commune nous rassero- vivement acclamés. vent parfois jouer un rôle de filtration qui qualifier l'attitude des partis ou des hom-• ble, court. A la sortie, Pierre *°l";„aUàS Non seulement il faudra remcelle de la France, la sauvegarde Je Des coups de sifflet se sont de nouveau mes qui fotit des fois dç défense nationale de u n'est point à dédaigner sans que cepenans, a porté un coup ^° \„e i€, sa grandeur. fait entendre devant ia gare, pendant placer plusieurs généraux déjà en dis- 24 dant "on puisse entièrement se fier à lui l'enjeu de leurs ambitions politiques ? m ponibilité, mais il sera créé quinze em* de ses compatriotes, Petractes, g i « C'est pourquoi nous nous sommes réuque, sur les quais, MM. Barthou, Briand « Comment admettre que la loi de trois £uu en raison des variations inévitables du ans. Le meurtrier prit ia VarBiesv , nis, poursuivant un même but, un même plois de généraux inspecteurs des formaet Chéron s'entretiennent avec leurs amis ans, par exemple, soit dénoncée par eux, « plan d'eau souterrain ». arrêté à Montais, par les ge»u tions de réserve. politiques. H est nécessaire, avant de procéder à dans leurs congrès d'opposition comme unes idéal. lernands. — P. « Des idées communes nous rqpproL 'avancement des cadrés supérieurs va, Les manifestants ont continué à siffler l'analyse chimique d'une eau, d'en étudie»-■ mesure dangereuse, qu'il faut abroger par -.*> m <c ' — après le départ du train, puis ils se sont do ce fait, recevoir u«e accélération nocertains caractères physiques et organo-. i étapes, et que, dès le lendemain, parvenus; chaient. table. — Havas. « Si une question ne dominait toutes les disperses sans que les agents ou les Kenleptiques. Il convient de noter les matièresi j au pouvoir par un coup de surpris*, ils ent Distinctions honorinQ"^ -3M&-<» en suspension, de déterminer leur origine> i affirment la nécessité et en promettent» autres, et ne nous dominait nous-mêmes, darmes aient eu à intervenir. M. le ministre de l'intérieur t^fy t, peut-être ne nous serions-nous pas rapvégétale ou animale, d'en étudier le dé-. I l'application loyale ? Et quel déconcertant des médailles de bronze pour stu _ ON SE BAT pôt. Pour cela, les laboratoires disposentt paradoxe de les voir au même moment uiet-. prochés. Mais le problème qui se posà est ! dus à l'assistance publique a • d'ex» du microscope qui fournit de précieusesi | tre toute la force administrative, mobilisée, une question de vie ou de mort pour ia itte AUX POETES DE MEXICO1 Mme veuve Cherrier, 48 anL.fer»' ; indications. La couleur de l'eau examinée> ' pour un sabotage électoral, au service de5 patrie. ! cice de la profession de sa»c s€S so»i <i Nous ne voulons pas que cette qaesPARIS, lundi 16 février, -s- Tous les I par comparaison avec de l'eau distillée,, iours amis, alliés du socialisme révolutioni Moyen ; a donné gratuitement ou avec de l'eau certainement potable,, : noire, afin d'arracher au suffrage univer-. tion soit traînée sur la claie électorale et journaux commentent, ce matin, la maniLEZES, 16 février. — Des dépèches da1 ; à de nmbreuses indigentes. ^,,s de * fournit une indication à recueillir : soui sel, désorienté, découucerté et trom-. que, pour capter des suffrages, on dose au festation faite hier au Havre, par la Fé- ! Mexico assurent que le gouvernement des M. le docteur Biaise ; 21 an^.'jeeiBj compte-goutte ce qui est nécessaire à la odeur est à percevoiJ aussi ; pour cela, dération des gauches et les discours qui Etats-Unis, étant donnée la gravité des' : voués services en qualité de ^ ' vie de la Irance. on en chauffe une petite quantité, peny ont été prononcés. — Journaux hos- événements récents, a l'intention d'onvover | l'assistance médicale rratu'te pj-otecv dant quelques minutes, dans un ballonî | dents que peut occasionner une eau des tiles : à Vera-Cruz trois cuirassés supplémentai-■ j cin inspecteur du service de', j ;,illot >. Les trois ans de verre, au baic-marie, à 40° centigra-- ! mauvaise qualité, et aux responsabilitésl res. <■■■. premier âge du c»n:->u au jj »r>*^ « Nous axons hésité longtemps devanl De la » Lanterne » : | qui en résultent, on n'aura, en aucune' cette nécessité d'imposer au pays une prodes, et on la flaire. Les dépèches ajoutent que les révoluré gratuitement pendan» ,'oSpi(# • « Ni l'esprit de M. Barthou, ai ] A voix Telles sont, sommairement, les opéra-- i circonstance, d'hésitation à les pratiquer,• longation de la durée du service miutionnaires ont envahi les faubourgs de u, d'airain de M. Briand, ni le ge «tf large K JlCiU tions par lesquelles on pourra s'assurerr plutôt qu'à se fier à des traditions d'im- taire. ; Buss-m :' ' * . <H J de M Ciicron ne chasseront de* esprits qu'une eau est convenable pour la con-- munité locales qui ne sont <pie trop soug docteur Reynders - „donne on* eu lieu entre les troupes réguiièivs et t M, le ns s°* 1 « Nous avons consulté tous ceux que J ; I la vision funèbre de nos soldat--, saèrltu sommation. F Des ne sont ni coûteuse», nii 1 vent démentie* par la réalité des faits. préoccupé cette grave question. Nos bési- f«fiés, parce qu'une administration aveugle tes bc.ndes révolutionnaires aux alentoursi dix-sept années ses soins g'^'^a* I - ' SCIENTIA. bien compliquées ; «i l'on songe a as de Mexico. — Havas. j digents du canton de New*-*— tatioîs» n'ont pa» duré. >-Jes a livrés à la mort par les 3 ans a ê . ■ ' ■ " t. à ■ ' , T M» MM. Briand, Barthou et Chéron au Havre | ' QM^< Obstruction JJ Le* règlement des de l'Egée M. L, Barthou La Promotion de Pâques M. Briand " J Les Journaux j r i N'ANCYl JJA I J0X1KNEE t—/U 16 février. — 0* jour de Tannée 'bui : Saint.Faustm - Demain : A°Jou cajnt Firrom de Verdun Ephéméridcs lorraines : En 1688j le duc Ttonoîd rétablit l'important banhage de SonU-Mousson. _ . , A g heures et demie : Palais de Justice : JWture de la session des Assises da Meurtne-et-McselIe. y mm» l^HAIWBAfflP j. ' Hôpital mil!ta:re consigné AVIS MORTUAIRE dos Bur^ws. Spectacies Les personnes qui, par erreur ou omis- | sion, n'auraient pas reçu de lettre de faire- f Par ordre du général commandant le S 20° corps, l'hôpital militaire Sédillot, de ! Nancy, î est consigné pour les visiteurs rmilitaires, en raison des maladies conta, gieuses j qui s'y traitent f République, avait comme bonne, depuis peu de temps, une femme disant se nomnier Tanneur, demeurant en garni, rue (des Tanneurs. Les pensionnaires de M. Voisset s'étant plaints de la disparition d'effets leur appa.rtenant, la police prévenue fit une perquisition chez * la femme Tanneur ; on y retrouva un chapeau d'homme, des mouchoirs, serviettes, etc., que la femme reconnut avoir dérobés dans les chambres 1des pensionnaires. La fémma Vanneur a été arrêtée, ainsi que le sieur Tanneur — son mari ou cen1cubin — comme complice. LAY-8AÎNT-REMY Suicide. ~ Le 13 février, on a décou• vert, pendu à un sapin, dans un bois si1 tué près du village," le corps de Alfred ,Janct, 41 ans, originaire d'Alsace-Lor1raine. Le decteur Schneider a constaté le défcès et conclu au suicide. Janot, qui laisse une femme et plusieurs enfants, avait servi dans la légion étrangère et v avait contracté des fièvres. C'est sans douce dans un accès de fièvre qu'il c'est donné 1mort. ECROOTES Tapage, ~ Une des nuits dernières, jplusieurs jeunes gens de la localité ont fait du tapag© nocturne au hameau du ' Grand-Ménil et y ont brisé le tuyau de ' déversement dune fontaine publique, ua igendarmerie a ouvert une enquête. FOUQ Plainte.— Mme Clément, née Defranoux, I brodeuse, a porté plainte contre AiméLucien Dast ouvrier d'usine, qui, der1 nièrement, l'aurait, sans provocation, : frappéé de coups de pied et de coups ■'e 1poing. Dast n'a pu encore être interrogé, se 'trouvant en traitement à l'hôpital de Nancy. — line enquête est ouverte par la gen1 darmerie de Toui sur une plainte de M. ■Cavaliier, directeur de la fonderie, pour un vol d'une certaine quantité de pièces 1 de bronze. L'auteur de ce voi a dû s'intro1duire la nuit, par effraction, dans le magasin. t Ce n'ist pas cela du tout, dit-il. Pour ' sauver son frère et son cousin, François s'accuse de faits dont il n'est pas l'auteur. J'ai été assailli par les trois. J'ai reçu trois coups de couteau, ils m'en ont porté j chacun un. De cela je suis absolument certain. Louis Berger et Michel protestèrent mol; lement contre les dires du blessé, qui est complètement guéri. Quant à François Berger, il se mit presque en colère. Du moitié*t qu'il affirme que c'est lui ie principal coupable, ij n'admet pas que sa pa1 role soit mise en doute. Cependant M. lé juge d'instruction ça semble pas disposé a admettre les ext-'ications de François Berger sans contrôle lin vilain monsieur. — M. Rester, juge d'instruction intérimaire, en a eu rapi| dement fini avec le sieur Louis Rossatto, manœuvre à Jœuî, arrêté pour attentai j aux mœurs sas . une fillette de S ou 9 GRANDE TAVERNE, — 7 attractions | extraordinaires composant actuellement j Conseiller de Préfecture honoraire, ! le programme, citons" en première ligue i Chevalier de Ut Légion d'honneur, ; ies « Itanions Caris », travail inédit. « » <?s j j Vônézia », les 3 Powels, etc. Diinan^ne, décédé à Nancy, ie 14 février 1813, dans sa :. deux matinées. Jeudi, matinée à 3 h. îjjl ' 66" aimée, muni- des sacrements de l'Eglii à demi tarif. Dimanche et Mardi-Gras, . ; bont priées d'excuser la famille et dexcon- j Suicide à VilSers ; grand bai paré et masqué à 8 h. 1/2 avoc Sidérer le présent avis comme une invita» 1 ; primes en, argent. M. Henri Grand'Eury, âgé de S8 ans, tion à assister aux convoi funèbre, service I profession, habitant avec sa mère, Le temps qu'il a tell «sans et enterrement, qui auront lieu le mardi ' CASEMO. — Succès des nouveUes scè- I 17 courant, à dix heures et demie du matin, 85, nie de Vtliers, territoire de cette comTemps brumeux dimanche, mais la tem- rmune, s'est suicidé en se tirant un coup ■*« ; nés dans ia Revue Où qu' te vas ? A Ut go- j en l'église Saint-Vincent-Samt-Flacre, et de re ««rature continue a être douce. irevolver à la -tempe droite. ' ! de M- Albert René. ià au cimetière de Préville, où se fera i'în- j Nouvelles poses d'Art idéal par le pro- j humatioii. Depuis quelques jours, le défunt, qui avait été dans l'aisance, racontait aux ; fesseur : Phidias et sa troupa. La Paix uni- j voisins que Se voyant ruiné il mettrait , 'verselle, Les épingles à chapeau, La rc- i On se réunira à Véglise, oil le corps Naturellement Rossatto ne ''veut rien \ cherche de îa paternité, Les perruques de : fin à ses jours. i i savoir. Il ne comprend pas pourquoi on Sàmedi.dans l'après-midi.profitant de ^e 1 ! 1couleur, La femme soldat La Jocor.de, Les i I l'accuse de faits révoltants dont il est Inque ea vieille mère était sortie pour faire i isources, etc. | nocent Ayant entendu les témoins de la 1 à 9 heuune course dans le voisinage, il tuait son j l ; La Revue commence exactement Ls bal d'enfants costumés à l'hôte! do M. Emile HELVIG, entrepreneur do ca- 1 scène qui se déroula dans le couloir do couché au pied de son lit, puis •' j res. ; tàm a eu cette armée un succès considéra- chien mionnage ; Mme HELVIG, née ROY : la maison occupée par Rossatto et les se tirait un coup do revolver a la tempo. wa Le comité et M. Antoine avaient de- La • M. Emile HELVIG, parents de la victime, le magistrat insmort fut instantanée. Xsè toute leur ingéniosité et leur arEDEN-THEATRE. 0INEIMUVATHE, rue j Ont la douleur de vous faire part de la tructeur a clos son Information. était bien connu à Nancy. Vr' entraînante pour l'organisation de { ,Il Grand'Eury y a quelques années, il avait été loueur ji :Bénit — Jeudi 19. matinée et soirée. A j perte douloureuse qu'ils viennent d'éprouCes témoins, qui sont outre la fillette S*e fête des Petits. On n'a eue des louan- de * voitures, rue des Carmes. Il était ori- | •la matinée du jeudi, demi placse pour les 1 ver en la personne de victime du satyre, deux enfants qui h leur distribuer, comme en n'a que ginaire de Château-Salins, où son pèro !I enfants 1 et toute' grande personne accom- ! jouaient avec elle ont été a.ffirmatifs. jB félicitations à adresser aux mamans *avait été notaire. Monsieur Chartes HELVIG JI 1pagnant un enfant Comme 11 est certain que Rossatto s'a aï ont montré ie goût le pire exquis. ■ A l'Eden, il n'y a que des films ininfait que se livrer but l'enfant à certains ANCIJM REPEÉSEJTTAXT Les enfants s'en sont donné à cœur-joie, ' flammables. attouchements obscènes, cet Individu est leur père, beau-pèia et grand-père, dér» vraiment, le respect qu'ils portaient aux Du 13 si es 19 iëwE^iss3 renvoyé devant le tribunal correctionnel, cédé à Nancy, le 14 février 1914, dans sa £tumes des siècles passés, — eu a venir, sous l'inculpation d'outrage public a la ALCAZAR. — Tous les jours, matinée 74e année, muni des sacrements do I'En'a rien enlevé à leur turbulence cou- ' pudeur. et soirée. — Le Gendarme, grand drame glise. sentimental. VILLERUPT tU Et vous prient d'assister aux convoi fuL»s"rfamilles ont réussi de fort jolies Vo! de bols, — Les ci-après, demeurant nèbre et enterrement, qui auront lieu à Coaceii:s trouvailles. Au hasard du carnet de notes tous à Candbonne, sont poursuivis, sur Nancy le lundi 16 courant, à trois heures ia cite "les déguisements ies plus origiplainte de M. Barthélémy', marchand de CHORALE DE L'EST. — Mercredi 18 fé- de l'après-midi, en ,1'église Saint-Joseph, naux et vous allez voir comme ils étaient bois à Aadernv, oour vol de bois à son vrier 1914, à buit heures et demie précises, sa paroisse, et de là au cimetière de Prenombreux, sans compter, ou en comptant, IMMENSE SUCCES préjudice : grand concert artistique, offert à ses mem- villa, où aura lieu l'inhumation. ceux que j'oublie involontairement. Casagrande Maria, femme Gnisati ; Anbres honoraires par la Société Chorale de Doux Annamites passent, accompagnés Maison mortuaire : 10, rue de Beîîort. WAltzlra attaqué toniazi Euriça, veuve Ra.vagr.i ; Ravagni l'Est, avec le concours de : M. Gaston Laid'une exquise Japonaise. Une belle squaw Joseph ; Giavarini Abondio ; Joly Augus.I! ne sera paa em*oî?é de Settrcs de fairu Le soldat Petitp;is, du 69» d'infanterie, né, baryton des Folies-Dramatiques ; Mlle «eau-rouge prend le bras de Julius Cœtine, femme Perney ; Perney Henri ; qui reçut, il y à quelque temps, une balle Suzanne Gystel, chanteuse-diction de la part, le présent avss ssr tenant lieu. Sr, imperator couronné de laurier d'or. de ' Gansen Catherine, femme Limbeck ; Wust Tieux amours blancs précieux suivent un ' revolver dans le dos, dans les circons- Pie-qui-Chante ; M. Napo, comique de PaEmile ; Minot Marie, veuve Pierson ; Roïîmystérieuses que nous avons ra- risiana ; The Standford, fantaisistes musine'it lapin blanc qui mangs des carottes. tances ■ IRRONOISSEMENI OE LUWettlU seau Marie-Joséphine ; Ferrari Jean ; Géà nos lecteurs, vient de sprtir de caux du Casino de Paris ; M. Jean Chêne, Fgt Voici des marquis, des Folies avec contées \ Hctelia LUNEVILLE rardin Anne, femme ïîotelin ; directeur de l'Association des Soirées artise-elots silencieux, deux Firmaments tout 1l'hônital, entièrement guéri. Fête et bai de la Légion étrangère. -- Paul-Joseoh ; Hansen Anne, femme RçPètitpas a refusé encore de donner des tiques, et d'un groupe d'artistes de l'ort'eus sous la gaze desquels s'allument détails sur son agression et le nom de son Cette solennité, qui a ou lieu samedi soir, nauld ; Renaud Maurice Joseph ; Barbai chestre du Conservatoire. des étoiles électriques des Pierrots, des agresseur. loin de décroître, ne fait qu'obtenir de Ernest ; Pcraiîion Catherine, femme SéProgramme : PiTrettes, un grave Espagnol au mannégal ; Sénégal Victorine ; Joyeux Joséplus en plus de succès. Première partie. — 1. Ouverture des Mas- i teau rouge, une belle Persane, une gitaElle s'est ouverte par une partie de con- phine, femme Barbas ; RavagnfJeau-Bapques (Pedrotti), par l'Orchestre. — 2. Le na un marin aux ancres d'or, une canALG&ZAR, 54, rue de Mon-Bësert 1 cert donnée en face du salon des Halles. 1 tiste. uaière de zouaves, un turco, im cosaGrand bal de nuit {faré et masqué, Di- Roi des Mondes (Dard-Janin), par la ChoUne perquisition opérée au domicile de par l'excellente fanfare du 2* bataillon, qnS du Don, et aussi un Turc, et encore imanche et Mardi-Gras. Matinée : 0 fr. 50 ; rale. — a a) Le Chant de nos Cloches (Coqui a exécuté la « Marseillaise » à l'arri- chacun des inculpés, par la police munidini) ; b) Cœur de pierre (Gabaroche), par marchand de cacaouettes. isoirée : 1 fr. par personne. vée du générai de Courtaoes-Gizeux, dési- cipale, a amené la découverte d'une cerM. Laine. — 4. Mile Suzanne Gystel, dans ARRONDISSEttfMi DE fiAiïCt ] Un Breton pas plus haut que ça donno gné par je général Lescot pour présider taine quantité de bois dérobé. son répertoire. — 5. M. Napo, dans son réîa main à une Bretonne encore plus peArme. —- Argentini Domeaico, âgé de POMÏ-SAÎI4T-VIMCENT ile vin d'honneur, lui-même assistant à la Renversé pas" isn car pertoire. — 6. The Standfortd, fantaisistes rte ' L'Aiglon danse avec Opbclie. Hamïet Conseil munielpat, — Compte reuuu oe !soirée donnée chez le général Foch, corn- ' 22 ans, demeurant à Viilerupt, a été trouDimanche,vers S heures et quart du soir, musicaux. — 7. Grand-Papa et Grand'Maà un visage rose exempt de tous cha- } la uertuere se<iuoe : vé, par les ageats de police, porteur d'an mandant lo 20* corps d'armée«rins : Boceace sourit à îa fée Printemps, Mme Merlin, ménagère, demeurant 29, maa (Danger), par i'0.rchestï«. — 8. CasLe coukod vote les crédits ou les comLe général de Courtaclos, entouré de revolver chargé ; il sera poursuivi peur rue d'Alsace, à Jarviile, traversait la socs du Sucre (Alfred Fourtior), sketch-reenguirlandée de bleuets, de coquelicots, chaussés, rue de. Strasbourg, lorsqu'elle vue interprétée par Mile Gystel et M. Jean pléments ue crédits suivants : 4U0 ir. pour très nombreux officiers, dont le général port d'arme prohibée. de boutons d'or et de pâquerettes. Vo!. — La femme Dureîli Alesandrî, «6a ■ construction a une logeue au cimetiejae ; Varin ,a été reçu au bas da l'escalier fut renversée par un car de tramway. Chêne. Un diable noir et un scarabée presen- ' SA) ir. pour acquisition de ceux laoloirs ; 1d'honneur par le président do l'Œuvre de Brani, logeuse à Viilerupt, a porté plainRelevée aussitôt elle fut transportée à Dix minutes d'entr'aete. tant leur? respects à Mme Muguet Un , I lâO fr. pour enueuen des écoies ; tao ir. la légion, M- Ricklin. te au commissariat contre soc pensionl'hôpital civil où l'interne de garde consDeuxième partie. — 1. Fartfaisle sur les pour les agents enarges a appliquer :a turco" Interpellé un. boy-scout La piupart des fonctionnaires et des naire, Baesel Nicolas, 23 ans, qui s'est tata* qu'elle n'avait heureusement que de Un DiaMrûs prend le bras à un petit Cloches de Corneviîle (Plancraette),par l'Or- 101 sur 10s retraites ouvrières et paysan- personnalités de LunéviUe étaient pré- enfui sans la payor, et vêtu d'eîfets apchestre. — 2. Le Retour des* Exilés (Mones- nes. maréchal' du premier Empire- Ils vont légères blessures à la tête. partenant à son fils. Si elie n'a que dès tier), par la Chorale. — 3. a) Les Chouans ensuite vers les Alsaciennes' au large ru— Il est entendu que M. Joly, entreM. Ricklin a, dans son discours, remer- pensionnaires comme celui-là, elle ne s'enDemandes KOLA SPORT5VE (Eugène Rosi) ; b) Chanson de Laboureur ban. preneur oes cabentes uu fort, versera à. cié tous ceux qui s'intéressaient à l'œuvre richira pas dans ies affaires. (Marcel Legay), par M. Laine. — 4. Mlle ia caisse mumcipaiis une somme propor- des anciens légionnaires et a terminé par Et puis des costumes qui réveillent les Arrestation. — Pradério Gluseppe. âgé Suzanne Gystel, dans son répertoire, — 5. tionnée au uecouvea existant aans sa oal- des paroles enflammées et enthousiastes de 23 ans, mineur à Viilerupt, a été arrête époques disparues en ajoutant à la grâce dès. souvenirs le charme de l'enfance. à l'adresse de l'Alsacû-Lorraine, qui a par les agents do police, pour in fraction M. îverlet, commissaire de police du 1°» M. Napo, dans son répertoire. — 6. Entr'ac- I laisuere (3b0 fr. par are). Mirai de la Vie de Bohème a reneen- arrondissement a ouvert une enquête au te du 3" acte de Carmen (Biset), par l'Or- ! — Un repu de deux mois est demandé toujours l'espoir de voir la France penser à «a arrêté d'expulsion- Il a été conduit trs Alfred de Musset tout blond. Une jsujet d'un vol d'une somme de 70 fr. com- chestra : flûte : M. Krauss, professeur au pour versement à ta compagnie des tram- ■ à elle. à l'Hôtel des Promenades, à. Briey. ; harpe : Mlle "Poulain, pro- ways suburbains duue subvention de IJ M. le générai de Couitades a répendu, petite Manon hésite entre doux des Griaux, mis , Vol. — Le sieur Parachird Angelo, 57 au préjudice de M. Godfrin, pharma- Conservatoire fesseur au Conservatoire. — 1, VEternel 2.o0u fr. l'on qui est encore chevalier, et l'autre ,cien, 13, rue Gambetta. en disant, qu'il savait ce que valent les ans, poseur à Viilerupt, a été trouvé porRoman, opérette en un acte de M. Eugène qui est déjà abbé à petit collet Pierre — Le bail du terrain loué par M.- Jao* Alsaciens-Lorrains à la légion, les ayant teur d'un tranchet par M. le commissaire Lemercier, musique de Dihan, interprétée quiert, à Sam t-Jean, sera continué par vus à la besogne en Algérie, salué son de^ police, il récolte de ce fait un procès Gringoire ne quitte pas Louis XV, dont par Mile Gystel et M. Lainé. Abattoir eie Hâssoy le capuchon est entouré de médaillés. ;VL Rousaet moyennant 3 ïr. par an. pour port d'arme prohibée et un second drapeau, ses victoires et ses espérances. Une mignouae grand'mère à luneite-s Lc piano, de la maisofl Dupont-Metzner, ~ MM. Thoaiassîn, Muiiier. GrandiM. Reinicr, sous-préfet, dit'que retracer pour s'être approprié cette arme autreAnimaux abattus du 9 au 14 février : \ et à crinoline fait des compliments ba- 137 bœufs, 55 vaches, 13 taureaux, 418 sera tenu par-Mlle Poulain. dier, Benoit et Simon feront partie de ia l'historique de la Légion, c'est faire revi- ment que par les moyens licites ; son .ami commission chargée de statuer sur les ré- vre les "épreuves douloureuses ou tragi- X5ettéo*Francesco, 23 ans, est poursuivi dins à une minuscule contemooraine de veaux, SGI moutons, 2 boucs, 702 porcs, clamations relatives à la taxe des cabinets ques, aussi les jours de gloire par lesquel- pour camplicitë. 1830. ' 2: porcelets, 40 chevaux. j d'aisances. . Un alguazil plus. Espagnol quo tous les Coupa de ©euteau (suite). — Icicrini Anles la France a passé, c'est entretenir le — Mmes Leclaire Auguste et Guyot feu sacré du patriotisme qui bat avec tant gelo, 18 ans. plâtrier à Hussigny, est veautres Espagnols réunis, adresse à un Roppâssisiiaii&st S<SÎ7S arJ*8t, tottè veuve seront inscrites sur la liste d'assii.- d'ardeur à la frontière. clown et a un mousquetaire qui dansent nu se promener à Viilerupt, il rencontra l'Os JoW*i do 3 h. à minutî I tance gratuite. des observations sans amertume certair i M. Méquillet, député, salue également au café Gedda, côte d'Audun, FJorzio Giu— Le conseil rejette une demande d'ins- la Légion qui incarne îa bravoure é't ,1e fjeppe ,22 ans, maçon à Viilerupt Les «amant Ua Calabrais demanda à Roméo LrA _. _. cription sur ia liste des vieillards incu- i sang-froid et a donné des exemples de deux hommes ne tardèrent pas, pour un des nouvelles de Juliette.' 1| rables, et en ajourne une autre. Une petite fille que j'ai priï>e pour une 8e CONCERT DU CONSERVATOIRE I| courage véritablement admirables." Il ea motif futile, à se prendre de querelle. On Représentation théâtrale. — Mardi 17 1 est des légionnaires, comme de notre bel- les mit à la perte du café, Seiariai en proréduction, de la Lorraine de^Bussières,' et Le 8" concert do l'abonnement était doncourant, à huit'heures et demie, salle le France ; ies connaître c'est les admirer, fita pour se jeter sur son antagoniste Porqui, œ'a-t-én depuis assuré, pofrte un Perrin, « J'ai puni ie colon », vaudeville les aimer. costudt! de Quaker Girl, se promène avec né au profit de ia Caisse da secours dos zio et lui porta, sans plus de façon quatre musiciens de l'orchestre. C'est dire que militaire, et concert œ» Persanne, une Cauchoise et une poM. de Turckhcim, maire, remercie le 1 coups de couteau, dont l'un au bas-ventr« le programme était composé do façon à atVol. — En voulant reprendre sa bicy- président de la Légion d'avoir voulu as- j parût assez grave, très gravie. Examiné eteess de Bouiogne-sur-Mer auréolée du | clette qu'il avait appuyée contre la de^ !] socior la ville à îa. fête annuelle. Il évo- par le docteur Cazin, lo praticien diagnosborjvjs charmant. I tirer Ci foule. Quand il s'agit de faire re" Citmi Fila ftàt'teâlqw «t d's&ksfâé vanture du café Perrin où U était entré 'I que ces jeunes Alsaciens-Lorrains qui, ne tiqua une blessure sans gravité, aucun Un marié en trac donne le bras d'un [ cette, M. Goy Ropartz n'hésite pas à fiâtair important à son inaniment jeune ter les préiérenccs du public, dut-il même - IMMENSE SUCCÈS - se rafraîchir, M. Camille Berbain, ou- ;j pouvant se faire à l'idée de servir un dra- organe n'ayant été atteint Un repos d» vrler d'usine à, Thélod, constatait, il y a peau qui. n'est pas le leur, quittent tout 15 jours suffira au blessé pour se remeteponsa La Violette, à côté, lui soumet I1 sacrifier un peu les siennes propres. Cette i dernière remarqua ne vise pas, au suripieique temps, avec une stupéfaction pé- pour s*'enrolcr sous les plis du drapeau tre d'aplomb. Le commissaire de police a évidemment des conseils de modestie. nible, que la" lanterne qui l'éclairait avait j de la France, et, léur temps achevé, re- ouvert uno enquête et recherche l'inculpé •Voici encore une très grande dame en !I plus, leprogramme de dimanche, qui réotout mignon, qui a bien îa moitié d'un ; nissait ies noms de M. Vincent d'Indy, de Coîîres-forts BAUCHE (f^Sê) disparu. viennent près de la frontière, pour être qui a pris la fuite. 17, ■• ne d'Amer oui, f/ÂiïCY — fchte£C<> Srassî M. Berbain désespérait de revoir jamais I| pïuS pies de leur famille. sèire de hauteur, et dont la superbe robe I César Franck et os Richard Wagner. Les Vol. — Le nommé Pagliarfccio Gnerrîson falot et d en avait déjà fait son deuil 1I M. le capitaine Colin, président de la no, 25 ans, cordonnier à. Viilerupt, a été ttage et décolletée s'entoure d'un volant deux premiers sont les « auteurs de chequand ces jours derniers une circonstan:© I société mixte de tir, porte le toast au nom arrêté et conduit au parquet, par la povet » de M. Guy Roparta. Et quant à Wa* «rite noir. Elle est exquise. AVIS m&P.ru&m& toute fortuite le remit en présence de son j| des sociétés militaires locales qui ont en- lice municipale, pour avoir -soustrait ls «sis si le temps passé a éveillé nos sou- ! gner, ii le dirige trop bien pour ne «pas i'aiet de son voleur. wairs, et le temps présent nos sourires, mer. Je sais bien qu'autrefois, il avait démobilier appartenant au sieur Braun, corj tre elles une solide cohésion. Vous êtes prié d'assister aux convoi fu- bien Ce dernier, un nommé Louis Wacher, te temps à venir ne eoni pas oubliés. Un crété de ne jamais interpréter au concert nèbre, service et enterrement de La « Marseillaise » retentit à nouveau i donnier. Pagliariccio Guerrino, 19 ans, de lîaminteville, a reconnu les faits et res- et le président effectif, M. Kœnig, fait re- frère du premier, sera poursuivi pour oe nos plus grands artiste? lorrains 3 des- des œuvres du théâtre. Mais il n'est pas gaê pour &as entants cinq merveilleux de résolutions — f ussent-elles des plus jus- Monsieur Eugène bON.^ETTE titué le fruit de ton larcin. mettre par des tîilettes costumées en Al- complicité. Il sera p sursuivi. «ys-jjxaes <je la Cite future. Et voyez corn- il tifiabies en principe — qui ne soient fersaciennes de superbes bouquets aux oraTmOQUSQNICUX Ancien Industriel, 2e les cfeoses vont. Ces costumes d'une 'I cées de fléchir devant les désira on'Utlmcs NEUVES-MAISONS teurs, ainsi qu'à M. Castara. Arrestation. — Chassé des crassiers de Ancien -Juge eu Tribunal de Commerce, «suisur précieuse sont 'inspirés oar la du public Et puis, les exceptions on! tauUn bal costumé et travesti a suivi le Taxe tii&s chiens, — Par décret présiP&Gfi des draperies antiques. , jour- etnfirmé la règle, »t certains; d'en- Ancien Membre de ta Chambra de Gemmer* dentiel, sur le rapport du ministre ie vin d'honneur. Les déguisements étaient Lcngwv, dont il avait fait son hôtel de prédilection, Frédéric VVeîsch, 19 ans, né de Nancy, i.^ l'intérieur, vu la délibération du 6 jusl- très nombreux et du meilleur goût La à ifi â ^aB:"' toas ces arrangements un tre elles — comme 1 interprétation Neumîiirchen (Allemagne), sans domi!Kjrj[ joyeux vers une pensée intimement Guercœur ou de VEtranger, pour n'en citer décédé à Nancy le 14 février 1914, dans sa ; lot 1913, l'avis du conseil généra] et celui fouie était si dense qu'on n'a guère pu cile fixe, gagnait Nancy à petites jours.iiSjo, et !e souci coquettement orgueil- que deux — n'ont ras dû paraître trop pé- 89e année, oui auront lieu le 17 courant, à de M. le préfet, la taxe municipale à per- danser que vers une heure du matin. nées en mendiant dans les communes «eux ces mères qui veulent leurs enfanta nibles à M—Guy Ropartà cevoir sur ies chiens dans îa commune de Au petit jour, on dansait encore. dix bénites du matin. qu'il traversait «nijours pVjs beaux et plu* heureux On ne peut donc q7:e le féliciter et le reDe l'église Samt-Léon, on se rendra au Neuves-Maisons est fixée ainsi qu'il suit : Il resta trop longtemps à Tocqaégftieus préfet a GERBEVILLER mercier de la reprise d'un acte presque Dix francs pour les chiens de-luxe et «JLI? voulu donner à cette fête cimetière de Préville-, où aura lieu l'inhuMalentendu ? — M. Louis Brisson, S8 et attira l'attention de" M. Dûment com&«tm« un témoignage de sa sympa- entier de îa Walkyrie qui, une "fois de mation. de chasse, compris dans ia première cade police, qui, s'étaiit rendu S^ D est resté longtemps à admirer le plus, malgré l'élévation du prix des platégorie, deux francs pour les chiens de ans, journalier à Gerbéviller, est venu missairequ'il Maison mortuaire : était sans moyens d'existenSm '^Jent dos étoffes et le plaisir des ces, avait attiré une très belle salle. Le garde et autres compris dans la dernière contre M. Pels, restaurateur et peintre compte 7, rue Mazagran. de ce que M. Pels, restaurateur et peintre ce, le mit en état d'arresta'tion et i'expéjwuis démons adorés qui danseraient encatégorie. public a marqué très nettement d'ailleurs I! ns sera pas envoyé ea tuw«« ^ ujre CJIA fil l&Û . • . Î-W„ . ° Parents ne les avaient amenés sa satisfaction, en ovationnant tout soécia- part, Se présent avis m tiendra lieu. Liste d'assistance médïeaîe. — La liste à. Lunéville, au sujet du non-paiement dia à Briey en qualité de vagabond. LONGUYON «gret vers la repos bien gagné. lement M. Guy Rcpartz qui avait eu Ta mod'assistance médicale arrêtée par le con- j d'un épervier de 25 francs qu'il lui avait De la part de : 0118 M. Cochon à Lénguyoa. — On nous afn»s «p - comit^> les dames, les jeu- destie de ne pas se joindre aux interprètes Monsieur et Madame Alfred BONNET- geU municipal est déposée au secrétariat commandé. ni,s J Il semble plutôt qu'il y ait malentendu firme que l'illustre président du syndicat i ? ÎT ' on', organit-6 cette délicieuse du chant pour répondre aux rappels unani- TE ; Mme C- JUVENET ; Monsieur E. de mairie, où tout habitant ou contriaor C :i iv n^, I des locataires parisiens, M. Cochon, vien* suite ae K '' ■ ' — donnons tout do mes des auditeurs. BARRAILLIER ; Monsieur et Madame Ca- buable do la commune peut jusqu'au 22 que mauvaise foi. uou rrur... , '"'oanx espoirs, — des lende\ dra à Longuyon vers le 23 avril, afin de courant inclus la consulter et réclamer Donc Mlle Hatto et M. Savetta ont été -KARAINVILLER mille FEBVREL ; Monsieur et Madame mains charmants. chaleureusement accueillis. Ce n'est pas Adrien BOUE, ses fils, filles, gendres et les inscriptions eu les radiations qu'il ju- I Le roulage. — L'ne contravention pour procéder au déménagement de plusieurs gérait ailles. 3. D. que ce dernier soit précisément le ténor belle-fille ; avoir laissé stationner sur la voie publi- emoloyés ayant reçu congé de leur pro» priétaire et n'ayant pu trouver de logewagnérien rêvé. L'organe est agréable et ! Monsieur Pierre JUVENET ; Messieurs PIERRSVILLS ' que son attelage, tandis qu'il était, au ca- ment pour la raison majeure qu'il n'y ea l'oecLrt^1*^ de •Ia *tombola organisée à timbré, l'articulation très suffisante, mais Alfred et François BONNETTE ; Mesdefé Piétra, a été dressée à M. Jean Ë La lièvre aphteuse. — L'arrêté pris a pas un seul de libre. , Je style est très éloigné de celui qu'on s'at moiselles Marcelle et Simone BONNETTE, par M. le préfet, lors de l'apparition lo | négociant à Ogéviller. Ces employés ont, paraît-il, constitué j tend à rencontrer chez te rude descendant ses petits-enfants ; Certa ns ia fièvre àphteuse dans las étabîes de M. BROI8MARE une « cagnotte » pour organiser un démé( Sconvtotents cousWelsungen. M. Sayetta transforme en Monsieur Alphonse BONNETTE, son frè- Nicollo, cultivateur à Pierreville, vksat ! Le roulage. — Un nommé Joseph Ker- nagement « cl.ic », un déménagement e» ît (i *aa nermer, le comité a décidé que des romances trop jolies les phrases caracté- re ; d'être rapporté.aucun cas nouveau n'ayant ber, domestique dans une ferme des envi- musique, avec un grand homme par de?--' «araS**00,1* toœbc3a se forait dans le ristiques de son rôle. C'est un Siegmund Les Familles BONNETTE, RAMSPA- été signalé. , | rons, a été l'objet d'un procès-verbal pour sus le marché. A cette occasion, une fitSr de la semaine prochain^. UQ e note ultérieure en fixera la date. pommadé et Fériée qu'il arrache au cœur PACHER, COSSERAT MATUOTTE, ANI défaut de plaque à sa voiture et d'éclai- i liale du « Raffut de Saint-Polycarpe » PONT-A.MCUSSOH du frêne est un sabre de bois. Mlle Hat- DRE, CERTAIN et LEJEUNE. rage. (qui s'appellera ici le « Raffut de SaVntto, sans avoir peut-être l'articulation ausSauvetage. — Dimanche, à deux heures On se réunira à l'église Saint-Léon. kes retraités Georges »), la fanfare célèbre est en forARFiOflWSSEVEtn DE BRIE Y si nette que son. camarade, a du moins du matin, les passants attardés qui traNi fleurs ni couronnes. , matièn à Longuyon. versaient le pont, entendaient un nomme 1 «le îa geïîâariaeri© l'accent, le tempérament et r autorité voJ On demande encore quelques exécuc R LCT ¥ Au our îes cale de son personnage. tombé dans la. Moselle, près du bateauAVIS MÎPRTUASRE fé« A* ^ ® ^ P militaires retrai- j tants. Les répétitions commenceront proîavoir,1 appeler au secours. Quant à l'orchestre, jamais il ne nous ■ rot js''4. gendarmerie aura lieu à Paris, La fsmiîîe Berger. — M. Schwartz a eu chainement. c DÔiel Uu courageux citoyen, M. Michel, dea paru si sonore et si coloré. Jamais les Les personnes qui par erreur ou omisdu ■>? 7< » ■ des Sociétés Savantes, ' oiusieurs entretiens avec les frères Berger Ivresse. — Trouvé ivre ,sur îa voie pu£ J 3 mbr n'aurfiient pas reçu de lettre de faire- meurant 6, rue du Quai, courut aussitôt François et Louis, ainsi qu'avec leur cou- 1 bllque, Wti ' rou ô inclus. M. Piat, « thèmes n qui, pendant toute la scène pre- sion à Longuyon, le nommé Léon Chedu part du décès dé sur la berge et réussit en se penchant à mière, s'épanouissent comme des fleurs sin, Jean-Bapt'ite Miched. arrête pour quot. 23 ans ,ouvrier d'usine, demeurant à ' fSti! ? P Vosges de la maintenir l'homme en danger au -dessus embaumées, n'ont été « sortis », mis en i Kenrtôtïi . nationale des retraités de la avoir, un soir, dans une rue de Viilerupt, Beuville, a été conduit an violon municiMonsieur Raoul FEURSTEÏN de l'eau, sans pouvoir cependant ie reti- vigoureusement ï v ane' a été désigné par ie groupe' 'i valeur avec un tel accent Le pupitre des passé à tabac et frappé pal. En sortant de là, Choquet a été gratirer de sa périlleuse position. ^ ~* y assister. violoncelles, en particulier, a fait merde trois coups de couteau le sieur Roland, 1 fié d'un procès. Licencié ès-lettres. veille Heureusement, les appels avaient été le 25 janvier. Bachelier en droit, | Distinction. — Parmi les nouveaux offiJu enrseîiî entendus da M. Collignon fus, employé a Et je n'ai pas besoin de vous dire que * U trihi f ïn'teressant Tout d'abord le trio a fait choix de dôCanonnier à l'artillerie de la s* division de la préfecture de Nancy, qui, décrochant fenseurs-'en la personne de Mm Mayeux | ciers de l'instruction publique, nous re!* . .'l'admirable Symphonie de Franck a été, m pî p$Iice d Tou3 a cavalerie, No un inîr«^^ mt f. ? l ' vons avec plaisir le nom de M. Mignion, une barque, s'approcha et réussit à arri- et Doley. — G. B. u'£i0Q des dfhi ?tnL t f,re*Bant la corpo-[ elie aussi, acclamée. | le distingué chef de l'Harmonie municidécédé à Lunévîlle, le 14 février 1914, à l'â- ver à temps pour sauver le malheureux, —,—^..^M®,^—^— i ,w Les frères Berger et Michel ne se font ; pale de Longuvon et do l'Harmonie dt ge_de 20 ans ; un nomme André Lahure, âgé de 40 ans. : pas prier pour reconnaître qu'ils ont fraoSans l'intervention de MM. Michel et |j pé à grands coups de poing Roland, pour Viilerupt. Sont priées de vouloir bien excuser là faW& un Par arrêtf naunîSaL mille et de considérer le présent avis com- Collignon, Lahure se serait infaillible- 1 un motif qu'on ne voit guère, si une vieil- 1 En décernant îa rosette â M. Mignion. %lé f Pourvoi en cassation for' \é gouvernement a tenu à récompense! me une une invitation à assister à ses ob- i ment noyé. „ .^Urtpe^t v^.&^Dàia,at fif? «imitants de le haine ne les divisait il» sont cependant sèques, qui auront lien à Nancy le mardi j Nous adressons aux deux sauveteurs i\ unanimes à déclarer que le blessé fut le un musicien de talent qui a beaucoup faii pour le développement de l'art musical nos stncères félicitations. 17 courant, à dix heures du matin. î&donn*? v *a deîolor ressort II vienti ! provocateur. En vérité, le contraire eut , dans notre région. Théâtres ig VAMOIÈRES |; été surprenant. * JXtti M i la î««aeture dudit établisseDe la part de : Nos félicitations à M. Mignicn. îe THEATRE MUNICIPAL fc'AMCV.— Défaut d'éclairage. — M. Félix T" éry, !I En ce qui concerne les coups de cou- J â Ifr- Pam^^^SF ■ contrevenant ài Monsieur Eugène NICOLAS, avocat à LONGW1 ir de 1 «de et dommages-• Mardi 17 février 1914, deuxième rsprésen-- la Cour d'appel ; Mme Eugène NICOLAS, propriétaire à Vilcey-sur-Trey, s'étar.t -it- I teau, François Berger les revendioue pou" Da^s ls; garnison. -- Un de nos contré . tation de l'immense succès : La Présidente,, et de toute la Famille. tardé à Poat-à-Mousson, regagnait nui- ! sa part C'est moi seul, dii-tï, qui ai fait res publie ce qui suit, relativement fe n \ comédie en trois actes. — Bureaux, 8 h. ji sa localité, avec sa voiture atte- i usage de mon fiurin. Naturellement, les situation sanitaire dans la garnison 01 On se réunira à la maison mortuaire, 8»'.', i tamment léo, sans être munie d'une lanterne. • rideau, 8 h. et demie. ! deux^autres disent comme lui, n'ayant nul rue Saint-Georges, à Nancy, pour se rendre v s û 1& u!!e », "fce. Pnur un fait aaaC Jeudi 19 : Lci P'tiVs Michn, opérette.• au Temple protestant, et de b\ an cimetière 1 Malheureusement pour lu!, à la sortie ij intért-t à le contrarier, bien au contraire. En 'auotre jours de temps, trois mil! 1 Samedi 21 : Les Contes d HoJjmann. j de Vandières, il rencontra les Étendarrnfw | Désireux d'élucider ce détail importent. tatrp-î sont décédé» h l'hôpital^ rte ^ Long de Prôvilîe," où se fera l'Inhumation. ■ ' de Pagny, qui lui dressèrent procès-ver- j . i mi ni «i >nw^i»iii»«gMJi«a»^^j«BB««mgaMMBM» 1 «f!??^ I« cambrioleur de la THEATRE OE L«/N£V?U>E. — Lundii Le* lecteurs et abonnés TEst réotsABtt0nai$$tS!£81 DE tûifc " J placée : La Mascotte, ouéretta eu 3 actes,, j bttcsi» qtsi st rendent à A'fe, Iretwerot:*.■ j TOUt ! i â'Audrso. — tiursas : S kuivum. — Rideau :: j netrt jottrtati passage Gicfireio, m* 4, i <, B:,^J^,ten0|:u, d ac tes^o eu 104*, de Lonpwy, décédé mer s i Voleuse arrêtàe, — M. P&uî Vois-et, U-• !| exagérait quand il disait que tyi s;ul »v * prtcAtettt" !! <S bev/î* 41 .'rfes j B&cvler du « Grand Sérieux », rttô dé it j tait servi ue son couteau. ! ' OÏ-ÎS-'IUsii <• ' Vari&,rt ajrrooJtaWBCirt Krd j Le Bal d enfants costumés } à l'Hôtel-de-Ville L ' X Lu LuflliyClu CIKÈ-PALACE Luylull ■m Chronique i' départemental ! MEURTHS^-HOSELLE | al Chronique musicale a I CINE - PAbACE x Palais &iïF-î? ? i t : Spectacles â Concerts SwW- ^Sl. j <iit & DORRAHBJT ALSACB Mariages. — Georges-Henri Questiaux, Albert-Jean-Baptiste Civrot, 22 ans, soldat tus pendant la semaine du 7 ra 13 féemployé de commerce, avec Georgette- au 3* groupe (aéronautique). — Camille| vrier : eaEmilienne ColardeUe, modiste. — Charles- Charles-Eugène Thévenard, 21 ans, 5 taureaux, 4 bœufs, 21 vaches,27 veaux, j | nonnier au 62* d'artillerie. — ConstantCHATEAU-SALINS Henri-Octave Appourchaux, maréchal dos Quand les corbeaux no aant «ÙI*». i 38 moutons, 45 porcs, 1 chevaL logis au 5* d'artillerie à pied, avec Marie- j Henri Gand, 22 ans, soldat au 149° régides masses informes affaiseéesl^** ta 1 VOID ment d'infanterie. — Albert-Marie Gourj Agression.- Le nommé ^^A ^ poids au fond du nid, Us u ^ fig L'autobus Menawcurt-Void. — Nos lec- Louise Simon, s. p. — Nicolas-Adam Min- riot, 20 ans, soldat au 62* d'artillerie. — 32 ans, maçon à Château-Salins, ofi ! den, menuisier, avec Hortense Lambottin, & teurs apprendront certainement avec novembre, frappa d'un coup de couteau un inoindre intérêt lis savent jnst j Pierre-Lucien Gauvin, 21 ans, saldat au s. p. — Georges-AlbertrEmiie Vercheval, leur vaste entonnoir et engouffrer è j plaisir que M. Henri Garnier, conseiller préposé des douanes, avec Eugéaiie-LoiLise 6e* d'artillerie. —- Michel Bigot, 79 ans. M. Didrat Emile, facteur des .^stes, a été fracas tout ce que l'on y jette. I J? 8f4i général du canton de Void, a avisé les tailleur d'habits. — Jean-Baptiste Soumer, condamné à un an de prison, o<o francs ao est une science fort peu D rouet, s. p. ! maires des communes intéressées que ie Décès. — Robert-Augustin ICréplet, G 56 ans, capitaine do recr utement, rue En- dommages-intérêts et aux dépens. leur est profitable. Tout dMwjS*Wt concessionnaire ferait partir lundi proAjoutons que, contrairement a ce qui Tout facilité. "««iajj ^ mois. — Louis-Philémon Meurice, 21 ans, : tre-les-deux-Portes. — Paul-Louis-Ernest chaine une voiture pour ce service. avait été dit, M. Didrat n'était pas allé Jacquemin, 20 ans, soldat au 149* régicélibataire, soldat au 3* génie. — Eugènej Roulées dans leur gaine, les n«_^ 11 v a donc lieu de supposer que ce serment d'infanterie. — Jean-François Berbè- chercher un sapin avec l'accusé, mais ce,,ll vice "fonctionnera dès mardi et ce, aux Louis Lefèvre, 20 ans, célibataire, soldat re 22 ans, soldat au 170* d'infanterie. — lui-ci, a.u contraire, l'avait attire dans un plumes apparaissent et se dévfti ^t au 4* hussards. — Emile-Paul-Lucien Chopeu à pou. Los yeux, d'un CTi, ^ heures primitivement indiquées. Paul-Alphonse Belbenoit, 21 ans, soldat au pin, 20 ans, célibataire,soldat au 151* d'inguet-apens. STRASBOURG passent au noir, où brille une r>AtuVa8tti ARRONBlSàEMtHt DE VERDUN fanterie — Anno-Léonie Pezel, 78 ans, 149» d'infanterie. — Henri-Louis Charinet, me intelligente. Quand les corbeau» ^ 21 ans, soldat au 170* d'infanterie. — AlLes œuvre» de Stoskopf. — On affirme, cent e nàge, et effielnt leurs f rm 4V4&VERDUN rentière, veuve de Beyer. — Jeanne-Ma- bert-Joseph-Auguste Morlot, 21 ans, sol0 dans certains miliuex, que M. Stoskopf, rie-Louis Thore, 2 ans et demi. — Antoine commencent à devenir vraiment ^ il» L'audience correctioniîcîis. —i Jean Nicolas, 48 ans, divorcé de Blanchet — dat au 149* d'infanterie. — Adèle-Palmy- l'auteur dramatique en dialecte alsacien, ses. ctx^ Chaudeur, sans domicile fixe, ne s© con- Lucien-Jean-Adrien Gridelet, 2 mois. — re Roure, 62 ans, veuve Maton, 14, rue de a été prié de revoir ses œuvres et d y taire Chez moi, les corbeaux prennent t naît guère d'autre profession que celle de Jules-Emile Prévost, 22 ans, célibataire, ia Préfecture. — Nicole-Henriette Stadons, certaines coupures opportunes. pas avec les habitants de la bassî'a,*< concurrencer la régie dans la vente des al- soldat au 162* d'infanterie. — Edouard- 3 mois, 15, ruo Entre-les-dcux-Ponts. Il serait intéressant de savoir si ce bruit Les volailles picorent avidemen't0'0*. lumettes. Seulement, il Ip déclare avec fier- François Lurin, 20 ans, célibataire, solrepose sur quelque fondement et si M. beau saisit délicatement un graïj, , «t* ■ ■■ — ti» ' "——' ARRiNDI EMEUT ÈE M/RECOUR1 té, co sont des aîluinettes qui prennent feu ! dat au 165* d'infanterie. — Eugène GlauStoskopf va châtrer ses œuvres de leurs craquer à son bec. Le même l?^-9 MIREOOURT traits les plus caractéristiques. Cette concurrence illégafe fui vaut une net, 66 ans, célibataire, maçon. — Ernestdouolement convoité. Le coq ne .7° » amende de 600 francs. Un rien. BISEL rien céder au petit audacieux qui Jean-Georgqs Chupin, 22 ans, célibataire, Mérite agricole. — Dans la promotion *t t — Henri Lebas, dit Schmitt, avait été soldat au 166* d'infanterie. — Georges de l'ordre national du mérite agricole, 09 Coutumes de romanis. — Un» aïeule de côté, prétend au même droit et P Us* condamné il y a quelque temps déjà à un Christen, 60 ans, boucher, époux de Tho- nous trouvons M. Geny, horticulteur à ARRONDISSEMENT DE BAR-LE-DUC 85 ans appartenant à une troupe de roma- démontrer, rebrousse ses plumes ri °l ' k BAR-LEDUC an de prison pour vol d'une bicyclette ap- mas. — Charies-Pierre, 1 mois. Mirecourt, et M. Henry Jules, jardinier nichels était morte il y a quelques jours. grincheuse. Soudain, le. coq, son~T aW partenant à un M. Dambraine. Cette peine à Mirecourt. A nos deux concitoyens nous ARftÛNÙISSEMENi DE MONlMtDY Etat clwïï. — Du 6 au 13 février 1914. — avait été prononcée par défaut. Lorsqu'elle Les membres de la troupe ont traîné hors temps perdu, abandonne advertS' 10 Naissances. — Maurice-Damase, fils de lui fut signifiée, elle ne lo fit sourire qu'à MONTMEDY adressons nos félicitations. du village la roulotte dans laquelle 1 aïeu- graine. Le corbeau se redresse vvt • ec;; Vol de lapins. — Dans la nuit, le claLes poules se rassasient. Le eorhe Sophie-Louis Georget, journalier, rue de moitié. Un an à l'ombre, c'est bien long, se L'élection législative. — Parmi les canle avait rendu l'âme. Ils avaient eu soin Couchot, 56. — Julien-Lucien, fils de dit-il, voilà justement les beaux jours qui didats possibles au sièg ede M. Lefébure, pier de M. Thirion, receveur d'octroi à la d'y laisser tous les objets qu'elle renfer- ses provisions. En des cachettes car, Emile-Paul Simonet, mouleur en fonte, approchent ; si je faisais appel, peut-être on cite M. Paul Humbert, ancien préfet gare, a été visité par un amateur do gi- mait ; puis, ils y mirent le feu après 1 a- lui seul, il transporte et transno^T4 < jours. Quand vient la faim, il côurt i^ 1 cité Durenne. — André-Aifred-Léoii, fils de aurais-je la chance d'une réduction. Et il de Meurthe-et-Moselle, originaire, com- belotte. En effet, le plus beau de ses pen- voir inondée de pétrole. sionnaires a disparu. C'est la troisième garde-manger. * « Soi i Alfred Georges Oudy, ' caissier de la caisse fit appei. Aujourd'hui, il s'en frotte les me on lo sait, de la région. fois que M. Thirion est mis à contribudépartementale des retraites ouvrières, mains, car le tribunal a réduit la condamA son avis, les poulets sont trnn I # tt 9* * "" *** p breux, trop gloutons. «<«J ! rue du Four, 10. — Pierre-Emile-Jean, fils nation précédente de moitié. Nous lisons d'autre part dans le « Jour- tion par inconnu. Procès-verbal. — Procès-verbal pour de Léon-EugèneiThéodule Coilinet, noyauLe corbeau les tire par la queue, i * — Frank Hahillot, sujet italien, n'a pas nal de Montmédy » : teur, rue de Grimonbois, 1. — Jean, lils do fait la déclaration d'étranger prescrite par « En 1906 et en 1910, un congrès répu- violences a été dressé contre Emile Delcoue. Il déblaie la place, u esTr-r 88 ra mato, 25 ans, luthier à Mirecourt Il s'avance crânement. dieui < Jules-Léon Collignon, manœuvre, cité Du- la loi, ce qui lui vaut 25 francs d'amende. blicain désigna le candidat unique du renne. — Roger, lils de Marcel Chartier, ARRSNStSSEMENT SE NEUFCHATEAO Il no remplit pas uniquement s». ' Son compatriote Pietro Velani, maçon, parti. En 1914, il en sera de même : prochaimouleur en fonte, place de la Fontaine, 3. chettes avec du pain, des grain? " ! oursuivi pour ie même motif, est moins NEUFCHATEAU — Marie-Henriette-Jeanne-Monique, fille fruits. I lsaisit volontiers et e'raw "l' eureux, puisqu'il devra payer 50 francs nement un congrès, réunissant les mêmes de Pierre Sandrier, lieutenant au 94" ré- d'amende. Cela" l'apprendra' à ne pas ré- conditions et garanties, so tiendra à MontLa situation électorale. — Nous avons corbeilles à ouvrage abandonnées OUMI il î médy, sous la présidence — croyons-nous d'excellentes nouvelles de la situation élecgiment d'infanterie, quai Victor-Hugo. — pondre aux citations à comparaître. au pillage, en faisant disparaître Vit ^1 ea — d'un sénateur de la Meuse, pour prenJean-René, fils de René Mansard, sergent torale de M. Camille Picard, député de dés, épingles, aiguilles, coton M,' — La jeune Fernande Crépin était emdre connaissance des diverses candidaturengagé au 94' régiment d'infanterie, rue ployée à la fabrique de lingerie de Mme Neufchâteau. La candidature qui lui est Choux-fleurs à l'italienne.. — Sauce toUn de mes corbeaux s'enfuit avpp i de la Couronne, 4o tion. Il tient en bec mon encrier TM* 1 mate, — Pudding aux marrons. — Gras-Roger, rue des Minimes. Un beau jour res qui pourraient lui être soumises, en- opposée est de plus en plus considérée comPublications de mariages. — Jules-Al- il lui prit la fantaisie de s'emparer de dif- tendre l'exposé des programmes et faire lo me purement fantaisiste. Crème au kirsoh. reprends en riant. Quel regret" de L , !i !' AUTREVILLE fred Humbert, facteur des postes, domici- férents objets. Son larcin fut découvert. Sa choix de celui qui portera le drapeau réravir ce bien, malgré tant de résisté?1! ' Parmi les légumes d'hiver, le chou-fleur lié à Cousances-aux-Forges (Meuse), et patronne porta plainte et aujourd'hui la publicain aux élections législatives. Je iui offre une cuillerée do thé il IUI Nécrologie. — Nous venons d'apprendre Notre opinion personnelle — partagée le décès de M. Jules Fournier, adjoint est un de ceux qui tiennent une des plus précie, mais il aimerait mieux ia cuilWÎ c Jeanne Pingat, domestique, domiciliée à jeune voleuse s'entend condamner à un par beaucoup d'électeurs qui nous ont d'Autreville. Cette nouvelle nous a pro- larges places, il est abondant et en géné- argent. Et de toutes ses ïorecs, fi W. Bar-le-Duc, résidant à la Houpette, écart mois de prison. de Supt-aux-Nonains (Meuse). — ErnestW^II — Le 9 janvier dernier, une discussion déjà entretenu de la question — est que fondément émus. Nous présentons à la fa- ral peu coûteux. Do plus, il existe maintes me l'arracher des mains. Léon Janot, ajusteur, domicilié au Bou- éclata entre Jean Cayard et les frères Du- le meilleur moment pour réunir le con- mille du défunt nos plus sincères condo- manières de le préparer. Des insectes, des souils.des poussin. .Jl chon (Meuse),et Marie-Rose-Angèle Pierre, baux Pierre-Emile et Jean-Edmond, tous grès serait entre le lô et le 29 mars (un léances, et nous nous associons aux re- En voici une entr'autres qui est excellente mentent le butin des corbeaux, n », jMt couturière, domiciliée à Bar-le-Duc. — trois habitant la commune de Brocourt. dimanche). grets éprouvés par M. Maurice Contai, et facile. eux de la prévoyance et probablement anïl L'arrondissement de Montmédy jouit, conseiller général des Vosges et maire Vous prenez deux choux-fleurs moyens le désir d'amonceler des trésors Caul-Jules Chapelain, sergent au 94* d'in- La discussion dégénéra rapidement en depuis huit années, du repos politique et que voua divisez en petits bonquets, que fanterie, et Georgette-Suzanne Chobert, gi- rixe et les coups plurent drus comme de la d'Autreville, qui avait pour son adjoint la Pour devenir cachette, un simple taft l'on fait blanchir à l'eau bouifiante et sa- suffit. L'objet précieux y est introduit «c letière, domiciliés à Bar-le-Duc. —- Gaston- grêle. Battus et pas contents, les trois ad- de la pacification des esprits les plus com- plus vive sympathie. plets. Jules-Emile Girardot, employé de bureau, versaires portèrent plainte comme un seul SARTES lée ; lorsqu'on peut les écraser sous la pres- la terre, des cailloux, une toquée d'heifr Plus tard on l'arrachera à cet apaisesion des doigts, on les égoutte. D'autre domicilié - Vesaignes-sous-Lafauche (Hte- homme, chacun accusant l'autre. Ils récolv Nécrologie. — Nous apprenons avec re- part mélangez ensemble 20 grammes de arrachée à grands efforts en masque hS ment, mieux cela vaudra, quand bien uî), Marne), résidant à Bar-le-Duc, et Marie- tent aujourd'hui ce qu'ils ont semé : une îicc. ~ gret la mort de M. Léon Margaine, conmême l'élection législative de 1914 deVictorine-Emilienne Aubry, couturière, condamnation. Elle sera de 25 ir. d'amenparmesan et 30 grammes de gruyère râpé. Vient l'heure du bain. Otf pion™ on ic domiciliée à Bar-le-Duc.— Louis-Paul Pin- de pour Cayard qui, paraît-il, cogna le vrait se passer — ainsi que tout nous le seiller municipal de Sartes, président des Avec ce mélange do fromage, saupoudrez plonge. Les pattes, la queue, ies0aâessl mutuelles-bétail et incendie, qu'il avait tat, bûcheron, domicilié à Villiers-aux-Bois plus fort, et de 16 fr. seulement pour cha- fait prévoir — avec le plus grand calme la partie intérieure d'un plat à gratin gitent, l'eau éclabousse les alentours Ur fondées dans cette commune, avec lo (Haute-Marne), et Louise-Laurentine Bour- cun des deux frères Dubaux. Que ne se et sans la moindre agitation. beurré, ainsi que les bouquets de chouxconcours du distingué instituteur, M. Mel- fleurs que l'on y range par couches. Sur la plongeon encore et le corbeau, perché sÊT1 guignon, repasseuse, domiciliée à Bar-ie- sont-ils arrangés à l'amiable ? une pierre, attend un rayon dé soleil Ti cion. Duc. superficie de la dernière couche, saupou— Ernest Schwab est un peu honnête Sur ces oiseaux au noir pulmaf a, iô" nof * M. Léon Margaine était un excellent ré- drez le restant du fromago râpé et déposez Mariages. -— Jacques-Pierre-Joseph Ri- individu qui s'est emparé d'un ballot d'efpublicain. C'était un brave homme dans 40 grammes de beurre divisé en petits mor- produit une singulière impression Un tÊt1 card, employé au chemin do fer de l'Etat, fets d'habillement appartenant à M. Grostoute l'acception du terme, et il meurt au ceaux. Faites gratiner au four, arrosez avec pier, un linge noir agité, et voilà d'internK garçon, 24 ans, et Adrienne-Elodie Pic- lambert, demeurant à Belleviiie. Une fois nables croassements. Qu'un animal ncH^ moment même où il allait recevoir du gou- une sauce tomate bien relevée. quart, sans profession, fiUe, 25 ans. -~ en possession des effets, objets de ses déARRONDISSEMENT i'ÉPINAL mort, leur soit présenté, ils accourent Alexandre Delattre, gardien de prison, sirs, Schwab s'est empressé de prendre le EPINAL vernement de la République la juste reQuant à ia sauce tomate, voici la maniè- quiets, ils l'entourent, croassent gravem?t n compense des services qu'il avait rendus re do la préparer avec des tomates fraîgarçon, 27 ans, et Madeleine-Clotilde Dié- large, se souciant peu de voir son fournisCours des fécules. — Fécule première à l'agriculture. sans arrêt, le contournent, se courbera- f bold, sans profession, fille, 21 ans. — Lu- seur d'occasion réclamer ce qui lui apparches : des Vosges. — Disponible : 36,50 à 36 fr. se relèvent à intervalles réguliers. En t*T Nous nous inclinons devant sa dépouille cien-Charles Maurin, chauffeur d'automo- tient, assisté de deux gendarmes. Le triFaites cuire un kilo de tomates avec un mortelle et nous adressons à sa iamillo peu d'oignons et bouquet garni ; puis pas- te sincérité, ils paraissent vraiment chai " bile, garçon, 32 ans, et Yvonne-Amélie Lor- bunal l'inscrit aux registres des pension- Gares de féculeries. Etat civil. — Du 8 au 14 février.— Nais- éplorée l'assurance do nos plus vives conter une oraison funèbre. La cérémonie ta 1! mier, femmo de chambre, fille, 20 ans. — naires de l'hôtel de la rue de Rû pour un sez au tamis les tomates et les oignons. minée, tout rentre dans ie calme. Chaci }■ sances. — Jacqueline-Marie Husson, fillo doléances. Alfred-Jules Wehrlé, soldat au 155* régi- séjour de un mois. D'autre part, faites un petit roux avec retourne à ses occupations. Je dis à s t ment d'infanterie, garçon, 22 ans, et Noc- • Aeeident du travail. — M. Paul Renaud- de Georges-Victor, employé de commerce, beurre et farine, et laissez un peu colorer, occupations, car lo corbeau ne reste pas a... ARRONDISSEMENT DE REMIREMONT mie-Victoire-Lucienne Hérault, corsetière, Buzy, âgé de 33 ans, entrepreneur de me- rue de Chantraine. — Andrée-Valentineajoutez la purée de tomate et un peu do fille, 2 2ans. —- Jacques-Louis Mock, pein- nuiserie, ruo Saint-Sauveur, 4, a eu la Aline Hieille, fille de Joseph-Albin, horloREMIREMONT bouUlon, si c'est nécessaire. Laissez alora instant inactif. Il déplace constainmfi ftout ce qu'U est de force à trainer. II v xi tre en bâtiments, garçon, 23 ans, et Ber- main gauche engagée dans une raboteuse ger, rue du Magasin. — Maximc-Paul-EuLa revision. — Les opérations du con- cuire encore cette sauce bien assaisonnée vient, volète et s'intéresse vivement à toi ^ the-Marguerite Muiler, corsetière, fille, 15 et trois doigts furent de ce fait sectionnés. gène Nicot, fils de Henri-Delphin, gardien pendant une petite heure à petit feu ; puis d« prison, avenue de la Loge-Blanche. — seil de revision dans l'arrondissement auIl semble toujours guetter un moment pi ji ans. M. le docteur Poirel soigne le blessé. passez de nouvau au travers d'une étamine, pice à quelque mauvais tour. Marie-Louiso Thiébaut, fille de Elie-Jo- ront lieu : Décès. — Maria Wuiilaume, blanchisDécouverte archéologique. — Des ou- seph, manœuvre, place de la Bourse. — beurrez et ajoutez un peu de sucre pour A Plombières, le mardi 3 mars, à deux Par le temps de pluie, la loquacité i U, seuse, rue Saint-François, épouse de Ju- vriers, occupés à des travaux de terrasseôter l'acidité. corbeaux devient excessive. L'un d'eus ri lien Tourette, 41 ans. — Marie Rouyer, ment dans les sous-sols du magasin d'ha- Michel-Charles-François Guerling, fils de heures et demie du soir. Si vous employez de la purée de tomate perche au haut d'une branche, baisse, a A Remiremont, le mercredi 4 mars, à dix journalière, à l'asile Henriot-Ducoudray, billement a Aux Gobelins », rue Mazel, ont Michel, manœuvre, au Camp-dù-Pin. —en conserve, opérez de In même façon.c'est- tête et fait, échapper une sorte de vocalj veuve de Alphonse Evrard, 70 ans. — Gus- mis à jour une superbe tête de chapiteau Genevièye-Maiie-Anno Valentin, fille , de heures trois quarts du matin. A Sauixures, le jeudi 5 mars,_à neuf heu- à-dire en faisant le roux et en mouillant grave, mystérieuse. Le bec se relève, i a tave Zillig, visiteur à la Compagnie de qui daterait du douzième siècle, aux dires Joseph-Urbain, charpentier.' — Simonne avec du bouillon, comme û est dit plus sons prennent des inflexions légères, ai 'A l'Est, avenue du Château, 2, époux, 48 des archéologues qui ont été appelés à Jacquot, fille de Paul-Henri, manœuvre, res et demie du matin. Au Thiilot, le vendredi 6 mars, à nral haut. rue Derrière-lc-Château. — Marcel Lambocieuses, presque expressives. A terre, l'n ans. — Henri-Marcel Diétricht, tailleur l'examiner . + « +* lez, fils de Eugène, électricien, rue d'Alsa- heures un quart du matin. tre écoute attentivement et semhle «a d d'habits, Voie Romaine, 27, garçon, 23 ans. Cette jolie pierre ira sans doute enrichir ce. — Jean-Louis-Augustin Lombard, fils Comme, je suis toujours très heureuse prendre. Etat-civil du 7 au 14 février 1914. — 3lp — Jean-Baptiste Jacquinet, sans profes- les collections de notre musée. de vous gâter, jo recueille à votre intende Louis-Henri-Joseph, employé d'octroi, Naissances. — André Berguer. — Robt-rt Le soir venu, volailles et corbeaux, sa ti sion, rue Sainte-Marguerite, 2, veuf, 89 Mercuriaîes de la semaine. — Céréales, 1, rue de la Tabagerie. — Léon-Eugène- Lafontaine. — Reconnaissance de Chartes tion les recettes de toutes les gourmandidistinction d'origine, regagnent le| p* 1< ans. — Lucien-Charles-Fernand Steinmann prix moyen. — Blé, l'hectolitre 19 50, le ses que j'ai l'occasion do déguster et dont choir, oubliant les milîo petits incideEl j< place, de la Halle, 16, garçon, 2 mois. — quintal. 26 ; seigle, 12 25. et 17 50 ; orge, Alexandre Bertrand., fils, de Georges-J ules- Franck par son père. —~ Colette Deher. l'exécution me paraît simple et pratique. du jour. Tous s'endorment en bonne i (f Claude Evrat, peintre en* bâtiments, rue 12 25 et 18 ; avoine, 9 et 19 ; farines 1™ Charies, teinturier, rue Rualménil. — Antoine Ruez. — Cécile Claude. Le pudding aux marrons est tout à Publications. —; Camille Richard, coutetelligence, mais non en bons amis. f) de Véel, 126, veuf, 55 ans. — Nicolas Jean- qualité 36 50, 2* 33 50 . 3* 30 50 ; foin, le Yvonne Defranoux, fille de Nicolas Rofait dans co cas et vous l'apprécierez .'ûrev main, ouvrier d'usine à la Quarante-Se- lier, et Eugénie Mazurier, sans profession, nin, sans profession, quai Victor-Hugo, quintal, 7 ; paille, le quintal, 5. MARCELLE TRIB0DT.. ( maine. — Simonne-Marcelle Frenot, fille tous deux à Remiremont. — Henri Meyer, inent 26, veuf, 83 ans. — Eugène-Auguste Royer, Taxe du pain. — Pain blanc, fantaisie, Vous commencez par vous procurer des soldat au 154* régiment d'infanterie a'L.é- le kilo non taxé, pain blanc percé 0 40, de Paul-Emile, épicier, faubourg d'Am- dessinateur au génie, à Remiremont,--et débris de marrons glacés, cela se vend Marie Hans, couturière à EpinaL n rouville, garçon, 23 ans (Transcription).— pain blanc non percé 0 375, pain bis 1" brail. Mariages. — Kenri-Hippolyte Pommard, Décès. — Edmond Roussel, 48 ans,ancien très bon marché dans les grandes épiMarie-Pélagie Henrion, sans profession, qualité 0 35, pain bis 2* 0 325. ceries ou chez les confiseurs. Vous en garçon, coiffeur, et Louise-Marie Petitclerc de notaire, divorcé. — Emile Antoine, —_____ n place Exelmans, 13, veuve de Bernard-HipEtat civi! du 6 au 13 février. — Naisfaites, en les écrasant et en les mêlant à m polyte Chrétiennot, 69 ans (Transcription). sances. — Maria, de Manuel Atienz, ma- jean, brodeuse, tous deux à Epinai. — 30 ans.voiturier, domicilié à Raon-aux-Bois. un peu do crème, une purée un peu liquiLes résultats obtenus en assurances, £ Ê — Adolphe Lejeune, mouleur à Bar-le- nœuvre, et de Inès Garcia, s. p. — Lu- Jean-Georges Dickelmann, employé de bu- — Charles François, 64 ans, ancien entre- de, d'autre part vous préparez également cours de l'exercice 1913, classent, une foi,,* Duc, époux, 47 ans (Transcription). — cien-Charles-Victor, de Luclea-Emile, con- reau à Saint-Dié, et Ernestine Romac, em- preneur, veuf de Marie Mansuy. — Jean une compote de pommes. Garnissez un do plus, la Nationale-Vie (entreprise D » f( Pierre-Emile Noël, épicier, rue du Jard, tremaître de menuiserie, et de Suzanne- ployée de commerce à Epinal. — Charles- François, 88 ans, menuisier,domicilié à Va- moule à oreilles lisse de biscuits à la cuilvée, assujettie au contrôle de l'État) a t a Christian-François Tourèy, avocat à Epigney. 1, époux, 49 ans. Marie Leudier, s. p. — Marie-Simone ie nai, et Adèle Latruffe, à Paris. — HenriQERBAMONT ler rassis bien secs, en ayant soin de tête de toutes les compagnies française n Syllas, de Léon-Hénon, jardinier, et de Jacques Sandère, cordonnier à Epinal, et ARRHiiOISSEMENT OE COMMERCY Disparue et., retrouvée ! — C'est de la garnir le fond et les parois sans laisser avec une production de 118 millions, s« ]{ Marie-Joséphine André, s. p. — MadeGOMMERCY leine-Camille, fille naturelle. — Louis-Ca- Maria-Joséphine Neyrat, à Neuvic (Corrè- femme Joseph Claudel, 26 ans, cultivatrice, aucun vide, versez jusqu'à mi-hauteur la périeure do seize millions et demi à cw-gj ze). — Marcel-Léon Chézières, comptable née Marie Cunin, que nous voulons parler. compote de pommes, couvrez d'une cou- de la compagnie venant au second raaj a Etat civil du 7 au 13 février. — Nais- simir, de Georges-Gustave Decourcelle, au xchemins do fer, et Andrée-Hélène Disparue depuis le 29 décembre dernier, et che de biscuits coupés à mi-épaisseur et De plus, la Nationale a constitue, « | sances. — Auguste André, de Pierre-Char- gazier, et de Fernande-Valentine Liédisposés à plat imbibez-les légèrement les Rouyer, chaussonnier, et de Marie-Eu- nard. — Pierre-Auguste-Henri, de Augus- Nauers, tous deux à Epinal. — Henri- dans l'impossibilité de la retrouver, le par- de gelée de groseilles diluée dans un pau 1913, 2 millions 851.926 £r. de rentes ui ... ff génie Brisson, son épouse. — Naissance te-Henri Talfournier, négociant, et de Ma- Alexandre-Pierre Mayer, dessinateur au quet fit appel à un inspecteur de la brigade de kirsch et finissez de remplir le moule gères. Malgré les inquiétudes et les diincmw génie à Remiremont, et Marie-Clémentine de Nancy. Vingt personnes, sous sa direcd'un enfant naturel du sexe masculin. — rie-Louise-Adrierme Heymont, s. p. — avec la purée do marrons, laissez imbiber qui ont marqué le dernier eserciM,. - a Marguerite-Georgette, de Emile Thabou- Colette-Paulette, de Gustave Magisson, Hans, couturière à EpinaL — Célestin tion, procédèrent aux recherches, et M. de dix-huit à vingt-quatre heures, démou- confiance des assurés et d«s rentiers s °? a ret, maçon, et de Juliette-Marguerite Hut- électricien, et de Marie-Jeanne Depaux, Rossé, cafetier, et Emma Gross, couturiè- Jeangeorges .négociant, fit la macabre dé- lez une heure avant de servir. tache donc chaque jour davantage M el re, tous deux à Epinal. — Emile Colin, couverte du cadavre de la malheureuse jeumacher, son épouse. — Marie-Joseph-An- sans profession. ** Nationale-Vie, dont la situation fc-* la garçon coiffeur à Châtel, avant à Epinal, ne femme qui était étendue à plat ventre dré-Robert, de André-Charles Voivret, noPublications de mariages. — Achille Comme entremets faede, voici encore cière défie, en effet, toute comparais» ei et Jeanne-Marie-Noémie Charroyer, oudans le ruisseau. Des ajoncs recouvraient le taire, et de Marie-Maxime-Eugênie Urion, Claudin, sous-officier au 61» d'artillerie, a une crème au kirsch qui est généralement Envoi gratuit do tarifs et .rais*» b son épouse. Verdun, et Marie-Alice Jacquot, femmo vrière d'usine à Châtel. — Ernest-Louis corps qui émergeait en partie. fort appréciée : ments. S'adresser au sic;;o social, -, < a Ferry, manœuvre, et Amélie Généraux, Le parquet et le docteur Kînsbourg, méPublications de mariages. — Louis-Gas- de chambre à Eix. — Joseph-Xavier VisVous prenez un œuf par convive, vous Pillet-WiU, chez les agents généra»; « les ton Percevault, soldat au 155* d'infanterie, uelle, militaire à Verdun, et Marie-Hen- brodeuse, tous deux à EpinaL — Georges decin légiste, se transportèrent sur séparez les blancs des jaunes, vous dédomicile à Commercy, et avant à Paris, riette-Blanche-Marcelle Harent, s. p. à Antoine, épicier, et Marié-Ida Held, sans lieux. La mort de la femme Claudel est due layez les jaunes avec une cuillerée à bou- province, et notamment à MM..^^v 8 68, rue Stanislas, a Nancy, et S-gt*" * â l'asphyxie par submersion, accident ou rue Lecuirot, 9, et Marie-Ernestine Ham- Etouy. — Paul-Louis Leplat, soldat au 5* profession, tous deux à Epinal. cha de sucre en poudre par œuf et une à TouL £ Décès. — Célina-Marie Gros, 38 ans, suicide. bron, infirmière, domiciliée à Paris, rue d'artillerie à pied à Verdun, et Germainecuillerée de kirsch également par œuf. Lecuirot, 9. Elise Demailly, mécanicienne à Lille. — couturière. — Henrion n-Laure Ravel, 14 Battez le tout jusqu'à ce que ce mélange Décès. — Sébastien Rôlot, 73 ans, céli- Jules-Adolphe Descamps, soldat au 15" ans. — Louis-Harmand Méjot, 20 ans, Nous rappelons à NOS ABONNÉS J« ' ^ devienne assez épais, battez les blancs en bataire. — Raymond-Marcel-Charles d'infanterie à Verdun, et Rochelle-Estelle soldat au 149* régiment d'infanterie. — Migraines, Douleurs, Rhumatisme, Goutte neige et mélangez le tout Servez dans demande de CHANGEMENT D'ADSESSK ^ ^ sont soulagés et guéris par la Tisane du e Brunneval, 21 ans, soldat au 155 d'infan- Hantute, cultivatrice à Herly. — Augustin- Paul Richard, 20 ans, soldat au 170°. — Frère Antoine. Boite 1 fr. Dépôts : Phar- des coupes à champagno avec assiette do être accompagnée de la dernier; b#w- i\, terie, célibataire. — Marie-Louise Levre- Alexandre Lafeuillade, sergentfourrier Georges-Albert Laiilet, 3 ans i, rue des petits fours secs. primés et de CIKQUAKTS CENTIMES ga chon, 78 ans, veuve de Florentin Garnier. d'infanterie coloniale à Orléansville, et Juifs. — Augustine Noël, veuve Victor macies Simon, à Nancy, 12, rue de la ViPas banal et très boa. bre-posîe ou en mandat-poste), P"'1 U!: sitation ; Demangeoa, à Lunéville, et Ar» — Un enfant sans vie du sexe féminin. Louise-Eugénie Pierson, couturière à Ver- Franoux, 79 ans, rue Haute. — MarcelTante ROSALIE. de réimpression de bandes. Georges Brun, 21 ans, soldat an 149*. — cille à Poat-â-Mousfion. Abattoirs municipaux. — Animaux abat- dun. 6 et on chasseur du 9* de Longwy, mort jeudi, Lucien-Eugène Laurent, 21 ans, domicitié à Beuveille, près de Longuyon. Le premier a succombé d'une brochopneumonie ; cela tient sans doute à la température et à la fièvre scarlatine. n y a en outre, à l'heure actuelle, de nombreux soldats malades de scarlatine et de pneumonie. Joyeuses agapes. — Les membres de I* « Association de la Jeunesse de Longwy-Bas » se sont réunis samedi soir, autour des tables, fort bien servies, de l'hôte du Commerce, en un banquet qui réunit un nombre important de gais lurons. Peu de discours mais beaucoup de gaieté et de cordialité, comme il convient entre jeunes gens auxquels l'avenir apparait radieux. Excellente idée qu'ont eue les jeunes longoviciens d'en bas de se réunir ainsi en de fraternelles agapes. Corbea ux apprivoi^ MEUSE Les Propos de 1 ante Rosalie S VOSGES â? La Nationale-Vie en 1913 gBMBMa8BHWaMMlBgM5>MMBBiWgnBaMBBI^gBBaHWMBBIMLIIIIIIill nff" FEUILLETON DE L'EST REPUBLICAIN — N- 60 — La Fiancée ■ - du Chevalier ROMAN LORRAIN pas- JACQUES NERVAL Sans qu'il s'en aperçût, le baron obtempérait aux secrets désirs de Michel,croyant toujours agir de sa propre initiative, et ?e serviteur s'en réjouissait intérieurement car, tant qu'il retardait l'heure de la vengeance, sa place était assurée au château Rouge, et il n'avait pas à redouter les misères du froid et de la faim. Quand le baron lui enjoignit de partir pour Nancy et de ramener Marcabrus sans tarder, il n'essaya pas de deviner les intentions de son maître et il ne lui demanda pas non plus la moindre explication à ce sujet car il préférait rester étranger à ce nouveau complot et sauvegarder ainsi sa responsabdité. Il gagna rapidement Cbamp-le-Duc, où il trouva un cheval, et il reprit le chemin de la capitale en maugréant ; car, n'ayant jamais été spécialement initié â l'art do l'équitation, il était fort mauvais éc' et un voyage aussi long lui causait toujours de justes appréhensions. Mais U gavait ee faire uns raison : jU i appartenait à cette catégorie cTindividus passé ; S serait inutile de revenir là-dcequi, forcés de subir la nécessité, l'acceptent sus. — Pour cela, oui I philosophiquement au lieu de soupirer et — Comme j'ai reconnu en vous un homde se lamenter inutilement Laissons donc Michel accomplir sa mis- me précieux, je vous ai fart venir pour une occasion assez délicate. sion et revenons au baron de Hautpré. — Michel m'a mîs au courant Quand son serviteur eut quitté le châ— Je vous en reparlerai demain. Pour le teau, il descendit dans son laboratoire et avec la détermination dun homme habitué moment, vous devez être fatigué... Vous à ces choses, il chercha plusieurs fioles, les avez peut-être faim ? — Dame ! vida dans un creuset qu'il déposa sur un — On va vous apporter da qcoi vons rélarge four de pierre ; puis, iî alluma du feu et la flamme pétillante illumina ses conforter. » Le baron, qui voulait à tout prix éviter traits farouches. Avec une attention minutieuse, U examina l'effet que la chaleur des questions auxquelles il aurait été fort produisait sur le mélange qu'd retira du embarrassé de répondre, recommanda son four et qu'il laissa refroidir.il se livra alors hôte aux soins de Michel et se retira. Le lendemain seulement, vers le milieu à diverses expériences et, vers le soir seu| de la journée, il se présenta dans la chamlement, il sortit Pendant les quelques jours que dora f ab- bre de Marcabrus. <x Ah ! s'écria celui-ci,, vous venez me causence de son serviteur, il travailla avec ardeur et, grâce à sa persévérance et à ser de votre affaire ?. — Précisément. l'habileté incontestable qu'il avait acquise par la fréquentation de Michel, il réussit — Eh ! bien, je vous serais reconnaissant à composer lui-même ce fameux poison de m'exposer cela ailleurs que dans cette dont là préparation si complexe avait exi- maison, où je crois sans cesse étouffer. gé tant de soins et de patience. a Nous serons plus à l'aise dehors. — Je ne demande pas mieux... mais ie Le baron de Hautpré était an_Uw_. Il avait peur que Marcabrus refusât cTae- vous préviens que l'air est vif. — Depuis longtemps, j'ai perdu rhacompagner Michel. « Oh I devrais-jo aller moi-même Farra- bitude d'être sensible au froid. — Alors, partons. » char de son réduit, pensait-il, je saurai Marcabrus, au fond, était moins rassubien l'amener au château Rouge. ré qu'il n'eût voulu le paraître sur les desMichel revint avec le roî des truands. seins du baron à son égard et il ne voulait <i Enfin, s'écria le baron, je vous revois I Savez-vous que vous m'avez causé une pas courir Inutilement le risque d'être fait prisonnier dans cette vieille forteresse. amère déception î Le baron appela Michel. — Je lo sais ! « Tu nous accompagneras », et ■— Mais, je veux oublier eeSfe... négligensans que Marcabrus ait vu son geste, il j_ ce. — Vo«s êtes trop bon, en vérité. glissa dans La main une petite fiole. L'au— Et nuis, ù'aiîli?;,^-, ce qui est paîgÉa&ij tre répondit par un ciigiâanciii d'yetrx gj* gniîicatîî et tous trois sa mirent ea marcha Le ciel était gris, la neige couvrait les montagnes et un vent glacé soufflait sur ce paysage morne où régnait un calme silence. Ir© baron causait peu. Marcabrus répondait invariablement par des monosyllabes ; il semblait que la température hivernale eût paralysé leurs membres comme leurs esprits ! Michel se mêla insensiblement à la conversation languissante et, tout en s'adressant au chef des truands, il fit en sorte que le baron pût comprendre nettement ce dont il s'agissait, puisque — on le sait — celui-ci n'avait même pas pris la peino d'inventer une histoire quelconque et qu'il s'en était complètement remis à la sagacité, la finesse et l'imagination de Michel. Et d'ailleurs, ce dernier s'en était tiré fort habilement : par son éloquence persuasive, ses promesses alléchantes, il avait dissipé la crainte de Marcabros et triomphé de ses résistances. Ajoutons qu'il était arrivé à ses fins sans avoir eu besoin de retirer un seul écu de la bourse de son maître, que, en toute justice, il s'était attribuée de plein droit comme une récompense que, certainement, il avait bien méritée. Ils marchèrent ainsi pendant plus d'une heure. Ils se trouvaient maintenant sur les flancs d'une montagne et Us longeaient l'étroit sentier qui côtoyait un précipice abrupt C'était le Trou de l'Enfer, déjà tristement célèbre par les accidents nombreux qu'U avait causés et sur les bords duquel Albert et Gérard avalent passé en quittant le château de Rougimont Peu à peu, le jour baissait et les objets caramengateat â srenvelopper d'un brouil- mg\ . lard.. La neige tombait sans bruit et le vent du soir soulevait les flocons qui se pressaient en voltigeant et qui ressemblaient à un blanc tissu vaporeux. Les trois hommes marchaient toujours. Une vague inquiétude s'était emparée de Marcabrus. Le baron, préoccupé et nerveux, avait laissé causer Michel sans donner la moindre explication, sans émettre la moindre opinion sur cette affaire qui.cependant, paraissait d'abord exiger tant de discussions et d'éclaircissements ! Avec précaution, ils s'avançaient le long du sentier perdu dans la neige. Le silenci du baron, sa gravité sévère avaient quelque chose de menaçant Tout à coup U s'arrêta et, fixant sur Marcabrus son regard aussi pénétrant qu'un poignard, il s'écria d'une voix vibrante : « Misérable ! » Le chef des truands se recula instinctivement ' Mais le baron l'avait rejoint et, do sa main puissante, il l'avait jeté à ses pieds. L'attaque avait été soudaine, terrible. Marcabrus, interdit, essaya vainement de secouer l'étreinte : les muscles du baron étaient de fer et ils ne lâchaient jamais leur proie. Il s'avoua vaincu et, comprenant quo tous ses efforts seraient inutUes, il se tint immobile. « Ah ! dit le baron, tu croyais donc pouvoir te moquer de moi impunément ? Tu croyais donc que je supporterais ta trahison sans murmurer et qtie jo me laisserais bafouer indignement sans me venger ?• » Marcabrus ne répondit pas ; ce calme exaspéra davantage encore ie baron, qui s'écria, au comble de la fureur : % Cesi en toi que j'espérais, c'est toi qui seul devais me livrer mon comptais sur ta force et sur ton trépide, et tu m'as odieusement «^,1 ! Eh ! bien, sache donc, tnuUOnÔ,!d?l~! re, que le baron do Hautpré ne L .J PI jamais et qu'U châtie les offenses m™ blement !» £ "^MII oclie Il fit signe à Michel d'arpJ" ;' j30j.KI tenait la fiole qui renfermait *n m « Vois-tu ce breuvage, c,e;l-u.m]i«!!ï va déchirer tes entrailles et en..» ^nm veines, il va te brûler lentement cun de ses gouttes sera comme u- $lfm le rouge qui dévorera ton corps so m deuses morsures ! » „ ,ic1 de<f d Marcabrus so débattit ; U s épuiM veau... ,.■( fdaa Alors le baron, qui le &:un,Z uMm ment, ordonna à Michel ue U-J 0 ^ ( fiole. . ïi Le serviteur obéit.. .„,a ove-5: Mais, à ce moment, Mareabru-. ^ m promptitude increvable, une a,' ^ <ji ordinaire, se dégagea brusqueras sr^ t formidabie coup de poing, J1 »m agresseur rouler à dix pas de J*^ f . Lo baron avait compté sur sa * a % digieuse, mais le roi des tru^u j{ ^ usé do souplesse et de ruse, au doutaÇ ter confie un adversaire aussi de'« La fiole avait échappé des m-*"t chel... , ets«J *4 ivre de rage, te baron se reiev<* uB W*( sur Marcabrus, mais celui--} ''U. t# de v en arrière et réussit à éviter w lgoD a quo son ennemi, entraîne P9f élan, aveuglé par lo sang, Pff dans I»riei. tement sur la neige et tomba i cipice... ^_t os Pr1} Les deux hommes c-^drrf^^lfm cri qui se perdit dans les T?T°:fXo. 1 tores et qui n'éveilla pas un S et guérir la plupart des angines infantiles. Or, n'oublions pas ce qu'a dit Trousseau : toute angine peut diphtériser. Il faut savoir aussi que les grosses amygdales disposent à la toux quinteuse, aux ronflements nocturnes, à la voix nasonnée PÉRILLEUSE ÉVASION D'UN ESPION. — On et rendent les enfants plus vulnérables au signale de Vienne qu'un jeune homme du croup, à I'érysipèle. On a donc bien tort nom de Milorad Paschitsch, qîii avait été , . angines occupent les organes situés ■ de négliger le traitement de cette affection à dix ans de prison pour esSuche et les fosses nasales ; elles qui court les rues, sous le fallacieux pré- | condamné Il ne j pionnage, s'est évadé dans des conditions l"tre J outes ce caractère commun de pro- texte que Penfant ne souffre pas. particulièrement périlleuses. Ayant réussi w-V douIOUrou«e ditticultô de la souffre pas ! Regardez ses fchairs molles a s'échapper de la forteresse de Belgra»°-u-e^inn et de la déglutition. Le pha- et pâles, son état d'anémie, de débilité, do de, U gagna le Danube, qui forme la fron^ Pt les amygdales sont souvent pris détérioration permanente dû à une respi- tière entre la Hongrie et la Serbie ; le F'1 u^ément, et leur état inflammatoire i ration insuffisante, à une hématose incomfleuve charriait des glaçons en grande sitnUi1, lieu à des symptômes assez analo- plète, à une nutrition troublée, à une am- quantité. L'évadé réussit à le traverser r,r e pliation défectueuse de la cage thoracique! * ' sécheresse et douleur à la gorge, en sautant d'un glaçon sur un autre. Chatfî nour avaler, parler et respirer, toux Le pronostic est aussi sombre, hélas ! que que fois qu'il se levait pour se lancer sur le diagnostic est clair. Ces enfants ont les RfnfSô salivation visqueuse, "haleine fele bloc de glace le plus rapproché, IÔB SHl Z«leurs dans l'oreille, embarras gas- plus grandes chances de se tuberculiser, 1 soldats lances à sa poursuite faisaient ie si une médication active ne s'avise pas do % ' ? concomitant. La souffrance à la défeu sur lui de la berge du fleuve, mais 's m fnn est très violente dans l'amygda- troubler le silence de leur état chronique, ne purent l'atteindre. toujours insidieux et plein d'embûches, ÏF ff«ë avec cette particularité que les Paschitsch arriva sain st sauf sur l'au'■'M itioïis successives deviennent de plus bien que sans douleur apparente. tre rive ; il s'est placé sous la protection Les ulcérations des amygdales se cicaà® faciles/le volume de l'amygdale dides autorités hongroises à Semiin. Bnuant à'chaque compression, par une trisent par l'action des topiques au menthol camphré, au formol, au chlorure de LES TROIS ENTANTS BROYÉES PAR UN TRAIN. ^-^rtaines angines arthritiques sont le zinc ; en dehors de la diphtérie, ces ulcé- —- Trois fillettes, ainsi que nous l'avons ■ nhe de la médecine : elles disparais- rations, de tendances plus ou ^moins gan- annoncé, ont trouvé la mort sur la voie tJ,i T'rnmme. par enchantement, pour peu greneuses, sont causées par les* fièvres gra- ferrée de Paris à Belfort, au passage a ^/obtiefine du sujet quelques mouve- ves, par la tuberculose, la scrofule et par- niveau de la rue de Paris, à Troyes. Ce ^ L d - déglutition avec un bol alimen- fois la syphilis. sont les jeunes -Laurence Picardat. dix Docteur ERNEST MONIN. îtSl un^peu copieux et dur. ans, Marguerite Cours, dix ans, et Yvonne i «ai/vation abondante et la grande Gaujard, six ans. Jficulté d'ouvrir la bouche signalent l'aToutes trois attendaient le passage du Kxdalite suppurante. En traitant, de bontrain de Chàlons-sur-Marne pour traverËrLnre par les gargarismes et les cataser les voies et se diriger ensuite vers l'é??-*mësbien chauds, cette forme phlegcole du groupe Jules-Ferry. Dès que ia în^ense des angines, on arrive fort bien dernière voiture eut franchi le passage a fi: faire avorter, niveau, elles s'élancèrent côte à côte. J'ai intenté trois procès que j'ai gagnés : r-mvgdaiite aiguë est extrêmement fréElles n'avaient pas aperçu une machine nnte'de cinq à quinze ans » elle affec- deux au tribunal de commerce et un au tri- haut-le-pied qui circulait en sens inverse, bunal correctionnel. Les intéressés ont été ?nnne certains sujets, certaines familles, rentrant au dépôt de Preize. condamnés à me payer oe qu'ils me deTec prédilection et les atteint, de préfé- vaient et ie dernier à tous les frais du prteLes trois enfants furent littéralement «nre au printemps et à l'automne, entre- cès. fauchées. Laurence et Yvonne, tuées sur Sut'humides et froids des saisons. Des 1° Puis-je réclamer mes frais de voyage ? le coup, avaient été horriblement muti2° Dois-le payer mon avocat ? * tassons, un peu de fièvre, du mal de tète, lées. La petite Marguerite, projetée à cin6 Non. H— f ' Se la perte d'appétit, une tendance à avaquante mètres, avait le crâne fracturé : 2° Oui. I B fréquemment, par suite de salivation, elle succomba quelques instants après. X Précèdent l'amygdalite, presque toujours Etant rentré dans mon année depuis le 1« octobre, le propriétaire peut-il me forcer * inilaù&rale, ou, du moins, plus prononcée LA VARIOLE NOIRE. — Il y a quelques se8r Km eM que de l'autre. Le mal évolue en à me faire signer ma sortie pour le l mars ? maines, deux habitants de Saint-Hilaire.R--- Non. * i,irC s$maine environ et se termine par du-Bois (Vendée) succombaient, atteints La nouvelle loi militaire de 1913 indique-tI f ouverture naturelle de l'abcès, à moins de la variole noire. C'étaient le père d'un î ' u€ rart ne soit forcé d'intervenir, ce qui elle une limite de taille pour l'incorpora- soldat revenu récemment du Maroc, et '"e tion î e j jVège avantageusement la durée de l'acuré de la cctmmune, qui était venu le R.— Il n'y a plus de taille minimum fixée. mvKdalite et diminue son intensité. Le voir. Le vicaire fut lui-même gravement 1° Pour donner congé à un locataire qui a bistouri est loin, •d'aillcurs.d'être toujours malade. plus de vingt ans dans la maison (il est vrai 1 nécessaire : un simple vomitif remplit voAujourd'hui c'est à Gétigné (Loire-Inféque le propriétaire actuel a acheté la mai! < jn^tiers, méeaniquement, l'office évacua- son il y a à peine deux ans), une lettre re- rieure), commune proche de Saint-Hilaire, s teur. Comme "gargarismes, les meilleurs commandée suffit-elle ? Ne faut-il pas que que le mal vient de faire son apparition. toit ceux avec la tisane de gaïac salicylée ce soit par huissier ? Trois personnes, un homme et deux ou avec l'infusion de feuilles de coca phé2° Habitant une petite maison derrière, femmes, M. Terrieu, ©t Mmes veuve Duuimiée et boratée. A l'intérieur, on se trou- dans une cour, j'y ai fait devant chez moi rand et veuve Pineau, sont atteintes deune véranda. Puis-je l'enlever ? Si non, le vera bien d'administrer, en cachets, le sapuis cinq jours. Tous trois sont employés M propriétaire doit-il me payer les dépenses loi et la quinine (10 à SO centigrammes de a la filature Paland. que j'ai faites, car c'est avec son consente, chaque par jour). Le docteur Mabit, qui leur donne ses ment que j'ai construit cette véranda ? r Chez un entant normal, les amygdales soins, n'a pu se méprendre sur la nature R.— 1° La lettre suffit, si le locataire ne E ne doivent guère déborder les piliers du de leur maladie, et M. Péquin, conseiller la refuse pas. 9 voile du palais : lorsqu'elles sortent de 2° Vous pouvez l'enlever. Si le propriétaire général, maire de Gétigné, a pris imméH leur loge et cherchent à se mettre en con- veut la conserver, il doit vous payer vos dé- diatement les mesures préservatrices népenses. ftact (ne laissant pour le passage de l'air cessaires avec le concours du préfet, mis LÛ; 11 des aliments qu'une fente rétrécie), on au courant de la situation. Les malades J'ai un locataire qui vient de quitter son 4pn alors que les amygdales sont hyper- appartement. Etant entré dans son année, ai- ont été isolés. Des gendarmes gardent leur 1 tropuiées. Outre la gêne qu'elles occasionje le droit de lui faire réparer de suite les maison pour empêcher toute communicae nent, de semblables amygdales comprodégradations do son logement, vu qu'il l'a tin avec l'extérieur. De plus tous les haeu neuf il y a un an ? Au cas où U s'y oppo- mettent l'état général des enfants et nuibitants de la commune ont été invités à £ serait, à qui dois-je m'adresser ? ;' sent à leur avenir auditif. On ne guillose faire vacciner à la mairie, où un méR.— Vous le pouvez. H ïiae plus guère, aujourd'hui, ces glandes, Adressez-vous au juge de paix, qui nom- cin est installé en permanence. tfi avec l'ingénieux amygdalotome : on les mera un expert. Le docteur Dorain, médecin des épidé!- morcelle plutôt, au moyen d'une pince ernmies de la Loire-Inférieure, est sur les 1° Je suis locataire et seul dans la maison. t£ porte-pièce, on les déchire avec un petit lieux pour faire une enquête et veiller à Le voisin avait une remise qu'il a transs crochet mousse (dicision) ; on les réduit la stricte application des mesures prises. formée en écurie, ses chevaux sont attachés surtout par lés pointes de feu répétées au ■ —■ i ' — <»^^fr-0»i ..—— après le mur mitoyen, ce qui occasionne VgaJvanocautère. Mais ces méthodes chi- du bruit qui m'empêche de dormir après ie J rargicales peuvent être, assez souvent, évi- une heure du matin. Je voudrais savoir s'il tées, si l'on n'attend pas que le tissu soit est dans son droit d'attacher ses chevaux °| devenu lardacé et anormal : le massage après le mur mitoyen ? Si non, quelles M fréquent avec la poudre, de borate de sou- sov;t les formalité à -faire î 2° Et combien de temps dois-je prévenir Ide mentholée, les douches pharyngiennes mon propriétaire pour sortir ? Wsùlfurèuses, les badigeortnage» de glycéU.—- 1° Le voisin est dans son tort. Il peut !|Vine résorcinée, les atïoucfcem-mts avec un être condamné à faire un contre-mur ou à si mélange de teinturè d'iode et de teinture prendre les précautions nécessaires pour CARRIERES OE ÛAHES éviter le bruit. ûj ie noix de galle, nous ont permis, dans Dams employée dans ies servioes cen2° Trois mois avant la fin de votre année. H ïatre pratique, d'obtenir, mâiicalemeût, trairx des Chemins de fer do l'Etat. — Date a*' tes guérisons radicales. Possédant un louis d'or Napoléon Ier, daofficielle : 14, '15, 16 mai 1914. — Délai '» Les scrofuleux et arthritique*, sont nré- tant de 1815. Cette pièce a-t-ellc de la va- d'inscription : 1er avril 1914. — Age : 18 à leur ? :t» disposés aux angines chroniques ; de" là, R.— Cette pièce n'a que sa valeur nomi- 28 ans.. — Traitement : 1-200 à 2.200 fr. — nécessité indispensable d'instituer un bon (Indemnités de résidence : 600 francs à. sa traitement général. Il faut aassd surveiller nale. Paris), Aucun diplôme n'est exigé. Ayant fait trois ans de service et obtenu D* les fonction», nasales et emnèctoer les suDame stérto-dastyiographe auxiliaire ai jets de respirer la bouche oWette ; à cbâ- le grade de brigadier, y a-t-il un examen dans les bureaux des ingénieurs des Ponts lii que inspiration, un courant d'air sec et à passer pour entrer dans la gendarmerie et Chaussées et des Mines. — Date offifroid, chargé de poussières et dje microbes, à cheval directement comme brigadier ? R.— Vous ne pouvez entrer dans la gendar- cielle : 28 mai 1914. — Délai d'inscription : T vient brutalement frapper le rlb/rrynx et ' marie que comme gendarme et non comme 14 avril 1914. — Age : 18 à 30 ans. — Trailes_amygdales et entretient ainsi une irri- brigadier. m tement : 1.200 à 2.400 francs. — Concours talion permanente de leurs tissus et éîéFaut-il un cercueil plombe pour transpor- ouvert pour 50 places. — Aucun diplôme 1 rnents glandulaires. ter un corps ? n'est exigé. L'obligation de rétablir la perméabilité R-— Les transports de corns doivent être Darne sténo-dactylographe à la préfecnasale s'impose à tout médecin soucieux faits dans des cercueils plombés ■ si la disde libeller autre chose qu'une ordonnance tance est supérieure à plus de 200 kilomè- ture de la Seine. — Date officielle : 2 avril 1914. — Délai d'inscription 4 mars 1914. ^muà et vouée d'avance à l*ineffica- tres. — Age maximum : 30 ans. — Traitement cite. Il faut aussi, par ta diseifion., de préNou3 sommes trois à faira une partit; de 1.600 à 3.000 francs. — Concours ouvert £> I^eoce- guérir l'amygdalite lacunaire ca- piquet. Je donne, j'ai, en main une quinte saeose, caractérisée par l'accurauiation de au vaiet par 6 cartes. Le point est bon. "Peut- pour 15 places. Aucun diplôme n'est exigé. CARRIÈRES DE JEUNES GENS on compter 90 si l'un des joueurs 'compte 3 ~Z 7J >mm& Wanehétre. corf'crêté et lét'/de, dans as ? . •ail ,_5yP*«s de la glar.de : ceïhi-ci devient, Surnuméraire des Contributions indirec2" A moi de jouer. Est-il possible de '.t T":- ™ véritable foyer infectieux de micompter 60 à 15 points, si les deux adversai- tes, -rr Date officielle : 28 mai 1914. — Dév?™,Sffi« latent, où se réveilte volontiers res n'ont rien compté î lai d'inscription : 15 mars 1914. — Age : ■ iiMaramation mal éteinte. 19 à 25 ans. — Traitement : 1.500 à 3.600 P..— 1° Vous comptez 90. ll eil ur ffw ? ]* «arga-risme préventif des an2° Vous ne pouvez compter 60 qu'à partir francs. — Accès aux emplois supérieurs. ittj %LJ a.repeutîon est le suivant : un verre de vingt. Aucun diplôme n'est exigé. > ^ ,]S'™ oh:lUi-c de thé vert* additionnée inspecteur de l'Exploitation commerciale Ma mers eyanl fuit une demanda pour obun s'a» i «Itron bien mûr; En veillant tenir l'allocation de soutien de famille, qtd des Chemins de fer. — Date officielle : 9 i ii t\Z Alternent fort simple, euatin et soir, lui a été accordée. A qui doit-elle s'adresser novembre 1914. — Délai d'inscription : 9 s-* ïa anf,aïifs prédisposés, nous fermons pour- avoir l'argent 1 septembre 1914. R.— Votre mère sera prévenue par la - *Jrmc,Paie des partes d'efitrée aux miMaitrs-o'jvrïer tailleur. — Date officielD mairie. s or anI( ues fte« , ? l ; nous organisons la déle : 2 tpars 1914. 1° A quelle date se tiendra la première fiH.èfen Protection de lliîconomie. Ce Commis Expéditionnaire à l'administraia h™ S.a^ unc formule antiseptique que session ordinaire du conseil général pour tion centrale du Ministère des Colonies. — l'année 1914 1 P co lsons »< »,v-,v r ?. > bien que* nous en conDate officielle : 20 avril 1914. — Délai d'insR.— Au mois d'avril. ta l t e^'lents : c'Éji?t ce mélange cription : 19 mars 1914. — Age maximum : , imaî ; Un commerçant faîi une facture à un de Sfs et $. ,?* « vita! ri,é des muaueu30 ans. — Aucun diplôme n'est exigé. ses clients. Lequel des deux doit payer le nemon» » , ^m^grité 6e leur fonctionExpéditionnaire au service de la Voie à timbre de quittance î évitsnt le fro aux té Et- r ^ P'eds, les la Compagnie des Chemins de fer de l'Est. R.— Le client doit payer le timbre. i«i iffee'wL ur' ''''timidité «, en parant aux — Date probable : juin 1914. — Age : 17 | J'habite depuis quatre ans dans une com| mune près Nancy, un appartement de 450 à 29 ans. — Traitement : 1-450 à 3.800 fr. !t 4i-estif M « iï eact c l " ! " purgeant le tube i francs, etc.... ? — Avantages divers. — Aucun diplôme ,f n , StoC J giflant l'elnsembie de l'or- ' R.— Si vous trouvez que vous êtes trop n'est exigé. 06 ? îsas .9° d «e faut jamais omettre imposé, faites une réclamation à M. le préContrôleur civil au Maroc. — Date offid pratique, nous pouvons prévenir fet. cielle : 15 juin 1914. — Age : 25 à 30 ans. ''CAUSERIE MÉDICALE Faits-Divers L'Amygdalite mut ni Petites GorrespondaccBs Pour lis candidats aux fonctions publiques 1 J* l >-«4%T?étT'.d0Kt ,a or ï'?1 "fil" ."innill tt il * DE EuILLETON L'ESlr REPUBLICAIN p ar Pierre IHXOCRCEL-Lâ les-" -n h que l'avenir vous le doive, et à l'aventure, sans voui-'^C^p^dfvantage, certain que l°» s'^ mèn1rt£îue, iîî fi q éi l | ,^elW V "ri'* décid/T i nfluence „ 18 La Cadière. l'amour, il ^ travail, au Uaj3l6ra ent ' honorable, une nou- tSiLhf vM vie f â demaDder qv 1>avait - f ¥ au^arî . ™ * oment : pas r »K^ $yLjS à r Ur et rt P ™ Pépita il d'hésitation. horribles souffran- mme ^ de Tai a des bras, lrouve Îtfa2* obstrï^ f Partout les i pe^ oostruâes de lutteurs pour l'exise s^fl^ J 0% rouleau, fl avait songé au ^ Mystères eflroyah.es de fa mi- III IIMUIIl il «mu La folie de sa passion pour Myriame lui avait fait oublier la détresse dans laquelle il devrait vivre. L'amour que la jeune fille avait pour lui serait-il assez puissant pour lui faire accepter de partager cette misère et même si, en ce moment, aveuglée par sa tendresse, ainsi que le disait Pépita, elle l'acceptait, est-ce que plus tard les regrets qui viendraient peut-être l'assaillir ne seraient pas pour lui un implacable et intolérable remords i — Voyons, mon ami, reprit Pepita,après avoir laissé pendant un moment le jeune homme plongé dans ses réflexions, jouons cartes sur table... Je veux, et puisque vous i'aunez, vous voulez aussi que Myriame soit heureuse... — Si je le veux !... balbutia-t-il... Dites que c'est le plus ardent, le seul de mes désirs... — Eh bien ! songez-y, mon ami, est-ce le bonheur que vous lui donnerez en i'épou» ^^2^ Q UI N î?: !n m fî PHARMACIE PHI 110!PÂLE T^ c\ *ï? 13. DELSDORÎ, pharmacien de f » cl.. Directeur-propptétstp» BIBLIOGRAPHIE Spectacles de la Semaine sant ? Ce ménage où le mari n'a pour toutes ressources que de monter des chevaux et de tuer des pigeons, est-ce possible ? — Je travaillerai, vous dis-je ! — C'est vrai. Je l'avais oublié. Et si vous avez de ia chance ou des protections, vous pouvez espérer deux ou trois mille francs par an d'appointements !... Mais, mon pauvre Georges, vous ne voyez donc pas qu'à la beauté de Myriame le luxe est indispensable ; que non pas seulement cette pauvreté que vous lui offrez, mais que la médiocrité même lui serait mortelle. Regardez-la. U lui faut nécessairement les splendeurs de la toilette, les raffinements de l'élégance, la vie déharrassée de tous les vils tracas d'argent. Oui, c'est évident, elle vous aime et elle fera certainement aujourd'hui la folie de vous écouter et vous suivre... Avez-vous songé où cela la conduirait... demain, dans un mois, dans un an peut-être ? Affolée, exaspérée, efle vous fuirait, vous haïssant, écoutant le premier venu qui l'arracherait de vos bras et de là, de chute en chute, jusqu'où descendra-t-elle La Cadiére sentit un frisson glacer tout son être. Cet avenir possible, probable même, n'était-ce pas celui qui, quelques instants pfus tôt, apparaissait à son esprit épouvanté ?.. — Enfin !... demanda-t-il d'une voix brève, que voulez-vous ? — La seule solution possible !... murmura Pépita. — Qu'elle appartienne à Lingot-d'Or, jamais !... s'écria le jeune homme avec colère, tandis qu'une expression de dégoût apparaissait sur son visage. — Pardon, mon cher ami. reprit énergiquement la courtisane, mais je vous ferai A PARIS PEUT-ON APPRENDRE . A PARLER EN PUBLIC ? Jusqu'à présent cet art avait été considéré comme le privilège de quelques-uns. Or, eu réalité, il est loin de présenter les difficultés qu'on s'imagine. Encore faut-il, bien entendu, un peu d'apprentissage et une bonne méthode. La Méthode Amet, qui vient d'atteindre son 25e mille, est un livre unique en son genre. A tous ceux qui la connaissent, elle a procuré les plus hautes et les plus pures jouissances intellectuelles qu'il soit possible à un homme d'ambitionner. C'est un véritable réservoir d'idées. Chacun pourra donc enrichir sa mémoire d'un stock considérable de locutions de choix, de phrases-types donnant naturellement naissance, par le simple jeu cérébral, à une foule d'autres expressions personnelles, variées, traduisant les nuances les plus subtiles de l'esprit. La Méthode Amet apprend, en outre, à rédiger un rapport, un discours, un article de journal. Elle rend l'esprit souple et facile et permet de devenir un causer agréable et écouté. Ce livre est, par excellence, un merveilleux outil de la pensée, une suggestion permanente des Idées par les mots. A notre époque de démocratie, il est indispensable à un très grand nombre de citoyens, même à l'homme de talent qui risque de n'être qu'un zéro dans une réunion s'il ne sait pas aligner quelques phrases en public. — Un beau volume in8 cartonné de 664 pages, chez Jouve et Cie, éditeurs, 15, rue Racine, Paris.— 10 francs. THEATRES toper». Hindi, vendredi : Parsifal. — Mer* credi : Rigoletto ; Philotis. Théâtre Français. — Lundi, mercredi, La Marche nuptiale. — Mardi, jeudi : l'Amiral ; Bérénice. — Jeudi (mat.) : Le Dépit amoureux ; Gringoire ; Andromaque. — Vendredi : En visite ; Le Goût du vice. O(."ira-Comique. — Lundi : Les Contes d'Honmann. — Mardi : Manon. — Mercredi : Werther ; Cavalleria Rusticana. — Jeudi (matinée) : Le mariage de Télémaque ; (soi-, rée) : Carmen. Odéon. — Lundi, mardi, mercredi, vendredi : Le Bourgeois aux champs ; Le Seul rêve. — Samedi (matinée) : Bruno le fileur ; Faute de s'entendre. — Jeudi (matinée) : Il ne faut jurer de rien ; (soirée) : L'Arlésienne. Gai lé-Lyrique. — Lundi, mardi, mercredi, jeudi (matinées et soirées) : Le Voyage en Chine. — Vendredi : Orphée. Gymnass, 9 1/4. — Les Cinq Messieurs de Francfort. Vaudeville, 8 h. 3/4, La Belle Aventure. Variétés, 8 h. 3/4.— Les Merveilleuses. Reinaissancs, 8 h. 3/4. — Le Minaret. Th. Réjane, S h. J.— Crime passionnel ; Mon Bébé. Th. Antoine, 8 h J. — Anatole ; Un Grand Bourgeois. Châteiet, 8 h. J. — Le Diable à quatre. Palais-Royal, 9 h - Les Deux Canards. Athénée.— Triplepatte. i Eouftas-Parisiennes. — Le Renseignement \ la Pèlerine écossaise. Th. Apoiio, 8 p. 3/4.— La Veuve joyeuse ; la Mascotte. Paris-la-Chapelîe, 14 février. Gîany S h. 4. — Les Carabistouilles du fa»Petit marché. Vente active. Prix, soute tassin Gaspard nus. Environ 80 voitures. Théâtre des Arts.— La Mère Michel ; Lola. P&im >le ule . . 22à 25 Cigale.— Merci pour la Langouste. Paille de seîgiai ..,.....„„„. 18 20 Moulin-Rouge.— Fais voir !... dis. Paiik d'avoirie ................ 20 a3 Magic-Clt>/. — Attractions, bal, skating. Luiia Park. - Ouverture dimanche et f£tee Luzerne • 43 5S avec ses attractions. Rcgdin 50 52 Totsr Eiffel. — De 10 h. à ia nuit, lw éîaga, restaurant Le tuul rendu : , - Paris au nuaiicil» SPECTACLES-CONCERTS de l'acheteur, frais de camionnage et rofîes-Bergère. — La Revue de l'Amour. droits d'entrée compris par 100 bottes L'Epatant.— Le Rat — Académies-Scies. 5 kilos, savoir : 6 fr. poui les foins et Scaia.— The Toréador. fourrages secs, 2 fr. 50 pour paille. Fourrages sn earo. — On cote les J2" kUoi PattM «e B!ê 17 â 20 Pd'Ue de seigle 20 22 Paille d'avûin« 17 18 Foin 30 40 Lu.-.erne , 30' 33 BUUtlINJINiNIÎIRB Paris, le 13 février 1914. Le marché a fait preuve de plus de résistance que précédemment ; ce sont surtout les places étrangères qui ont déterminé ia reprise. Le 3 % ferme à 87,20. Rentes Russes en reprise : 5 % 1906 103,30 ; 4 i % 1909 97,60 ; Consolidé' 91,30 ; 3 % 1891 76,70. Serbe et Turc gagnent aussi du terrain à 81,90 et 86,45. Extérieure stationnaire à 90,15. Banques Mexicaines en nouvelle plusvalue : Banque nationale 516 ; Londres et Mexico 278. Banques Russes progressent notablement : Azoff Don 1619 ; Russo-Asiatique 770. Chemins Français toujours très calmes : Lyon 1300. Chemins Espagnols se tassent encore : Nord Espagne 452 ; Saragosse 451 ; Andaious 318. Valeurs de-traction et d'électricité améliorées : Métropolitain 549 ; Thomson 722 ; Omnibus 600 ; Parisienne de distribution 555. Cuprifères raffermies : Rio 1334 ; Boléo 755 ; Chino 228 ; Cape 110 ; Spassky 80,25 ; Tharsis 179. Valeurs industrielles Russes reprennent sensiblement : Briansii 49L ; Sosnowice 1536 ; Prowodnik 578 ; Napïïte 710 ; Maltzof 802 ; Hartmann 639 ; Toula 1070 ; Lianosoî'f 661. Mines d'or et diamantifères recherchées : Rand Mines 165,50 ; East Rand 52 ; Goldiields 05,50 ; Crown Mines 163 ; Do Beers I 489 ; Jagersfontein 136. Caoutêhoutières en nouveau progrès : Financière 114,50 ; Malacca 147. Feins presses en Ëalics. — On cou su» wagon par 100 kilos Foin de prtaaei choix 9 .. 6 9 25 Foin de premier* Qualité .... 8 .. a 8 50 Pour les marchandises en gur«, les ifët» de déchargement, d'octroi et de cimiotinane sont ii la charge ae l'acheteur. Pttwt ai PiscHiouutet ■ dfi 'i^â^^fe^™ > -.v . , .... : ^v i ^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^ - ' |j| S».» PL 15 3 EX£UI3 -rf.^ IM PLUS PUISSANT Sempagnis s; Rayigaiian Sud-âtian'iqys remarquer que c'est vous qui, le premier, m'avez proposé l'affaire. Cela était vrai ! Le gentilhomme sentit son visage s'empourprer de honte, comme si un soufflet avait frappé sa joue. Pépita était trop habile pour laisser 'e temps à la colère de gonfler le coeur du malheureux. Elie poursuivit aussitôt et sa voix eut, alors des accents touchants et doux, et pleins d'une discrète émotion : — Eh ! mon cher ami, qui pourrait nous blâmer ? Ce n'est point à une existence de désordre et de vice, dont la pensée, ainsi que je vous l'exprimais au début de cet en-' tretien, me remplit d'horreur, que nous songeons pour Myriame. C'est son bonheur, son bonheur assuré, resplendissant, inouï, éternel que nous préparons ! Vous me direz que ce n'est pas la fortune qui l'assure en ce monde... Mais vous êtes convaincu comme moi que c'est encore moins ia pauvreté.. Songez que c'est Lingot-d'Or à qui nous la confions ! La passion qu'elle lui a inspirée est un de ces sentiments que rien ne peut briser. C'est le mariage, moins quelque vaine cérémonie ! Et qui peut dire, si un jour il devenait veuf, s'il ne l'épouserait pas ? La mort même de son bienfaiteur ne serait pas un désastre pour elle, car il ne manquerait pas de la laisser dans une position royale... Elle ne l'aime pas ? Peut-être ?... Elle a cependant pour lui une réelle sympathie, qu'elle m'a avouée maintes fois. Il est vieux ! Mais ne se conclut-il pas tous les jours dans le monde des mariages bien plus disproportionnés encore et cependant, au fond, fort heureux !... Ah ! je sais, mon pauvre ami, que votre cœur doit être brisé par la triste" cruauté de mes paroles ! Pleurez ! pleurez ! Ne nie cachez pas ces larmes que vous versez ! Mais soyez courageux, soyez bon, soyez — Marché aux fourrages ^77!' ^•~>.- C'est jusqu'au 17 février que les anciens actionnaires de la Compagnie de Navigation Sud-Atlantique doivent exercer le droit de préférence qui leur a été accordé â raison de : une action nouvelle pour 6 anciennes dans l'augmentation de capital de 5 millions qui s'effectue actuellement par émission de 20.000 actions de priorité 5 % de 250 fr., offertes à 262 fr. 50. Indépendamment de ce droit de préférence, toute personne peut souscrire en versant 75 francs immédiatement et le solde de 187 fr. 50 le 14 mars au plus tard. Les actions de priorité 5 % actuellement offertes ont droit pour les exercices 1914, 1915 et 1916, à un intérêt intercalaire de 5 % nets d'impôts français existant au 81 décembre 1913. Le Gouvernement français a accordé à la Compagnie des subventions qui peuvent atteindre 3.747.000 fr. l'an. Cette somme est de beaucoup supérieure à l'intérêt à 5 % des capitaux actuellement engagés dans la Société. On peut souscrire, dès à présent, aux actions de priorité, à Paris, au Crédit Français, 52 et 54, rue de Châteaudun ; à la Banque Française pour le Commerce et l'Industrie, 9, rue Boudreau ; à la Banque Transatlantique, 10, rue de Mogador, à la Société Centrale des Banques de Province, 20 bis, rue Lafayette, et à la Société Marseillaise, 4, rue Auber, à Bordeaux, au Crédit du Sud-Ouest, aux guichets des Etablissements de Crédit de la place et aux bancjues faisant partie de la Société Centrale des Banques de Province et en France, et chez tous les agents de change et banquiers. 4 Service distinct (entièrement sépare), — Produits les plus pur* Exécution irréprochable des ordonnances pÛr un personnel expérimenté Téléphone 8.57 UVRAISSKS RAPIDES A DOMICILE Téléphone i.bl | =r J«EXI.2.EtTR MâÊOHÉ QUE 5PARTOTJT AILLEVBS == ' . Lisez tous le PECHEUR, revue fci-measueîle ffl* année), organe officia! des pêcheurs à la ligne et de leurs sociétés, JO rue des Beaux-Arts, Paris. — Abonnements;. France, 6 francs; é!ran£*r, 7 ir. par as. — Envoyer mandat-poste; des FSeconsUtuar.ta i ALTTSENT IDÉAL ■00 fefj des Anémiés, des Corm», teicsnts, des Surmenés, des Vieillards et de tau* ceux qvA souffrent c'a l'estomttswqui digèrent vÊk Jf BÊf mm MB Mm OÊ lk BK¥©ï GRATUIT M m. d'âne Boîte d'essai M NUMERO ibonn' 10 fr. T V pBr EXCEPTJOMPàEL. en. LÔ JJ° f àPÏÎAl*2-50, ■ U Numéro spécimen s<Tr demanda joarajl est en-vente ta teas les œsrcbaads de )tvnm généreux !... Et puisque vous aimez tant Myriame, ayez la force de vous sacrifier pour elle !... La Cadière avait caché son visage entre ses mains, et, pendant un long moment, U resta muet. Pépita respectait son silence et même elle essayait de taire perler une larme dans ss yeux noirs. Il leva la tête enfin, et d'une voix brisée d'émotion : — Ne plus la revoir ! Jamais ! jamais ! — Plus votre sacrifice 'sera grand, plus vous lui prouverez votre amour ! — Laissez-moi au moins lui dire adieu ? — Pourquoi amollir votre courage ? Et puis, que lui diriez-vous pour expliquer votre renonciation V U eut un sanglot. Mais le réprimant avec énergie : — Vous avez raison, Pépita, je ne reverrai plus Myriame. Mais, malgré l'empire qu'il tâchait d'exercer sur ses nerfs, deux grosses larmes coulèrent le long des joues de ce railleur, de ce Parisien endurci. — Merci ! dit simplement Pépita, comme si l'émotion l'empêchait de prononcer une autre parole. La Cadière s'était levé chancelant, se disposfiant à sortir. — Mon ami, reprit-elle, croyez-le bien, j'apprécie comme il le mérite "le sacrifice sublime que vous accomplissez et mon cœur de mère est pénétré de la plus profonde reconnaissance. Mais, pour oue votre dévouement soit complet, ii me reste encore quelque chose à vous demander. — Que voulez-vous ? Parlez !... Je suis tellement en veine de sacrifices, fit-il, avec un triste sourire, qu'un de plus ou de moins ue me coûtera guère 1 i»> Magnifique emplacement et situation pour ia création d'une boucherie. S'adr. A. C, rus des Jardiniers, 63, "^Sâ»—^i^- PONTQIBAUD SENE I. L.E-M AUSEUGE ÉLECTRICITÉ ET CAS DU MORD JAGERSFONTEIN JEtMttONT MINE8 D'OR OU CHATELET ATC-KISON — TQPf.KA ||j Avis à la Boucherie FINANCES RUSSES MESSAGERIES ftSARITÎRSES BRAZ1L RAJL.WAYS MIN£S DE hATCHKAR I Administration 1 iW® r«M8K«ia 11 I.!.VA:-(.!. ilIHBTSlTTSS si rilNtMh 6, rae Monsirsy, Paris DmrcrroR : Jula» HKflQUIIU i»nHi!c 'înns son numéro Ou »S j?*wr»»rtantdan M .tournai ijuo dans ROO suopl*fueei ûeslitude: financières très documentée» sur : La SITUATION de nos ÊlNÀNOES x-*^ .i ■ sère. Il avait vu l'emplové sans place, errant à travers Paris, affamé et minable, à la recherche d'un labeur quelconque : clercs de notaire, professeurs, bacheliers, avocats sans causes, médecins sans clientèle, hommes de lettres inconnus, savants incompris, tous prêts à accepter n'importe quelle tâche pour un morceau de pain. Il avait rencontré des marquis hommes d'équipe dans les chemins de fer, des licencés ès-lettres cochers de fiacre, un ancien député courtier d'assurances, un mu'sicien dont les romances étaient célèbres placier en vins L.. En vérité, avait-il le droit d'entraîner avec lui dans cet inconnu une jeune fille habituée depuis son enfance, sinon au luxe de Pépita Vasquez, du moins à un bienêtre réel '? ■ —> Traitement 7.000 francs à 18.000 fr — Concours ouvert pour six places. — Avantages divers. — Aucun diplôme n'est exigé. Rédacteur stagiaire à îa Caisse des Dépôts et Consignations. — Date offick-Ile : ! première quinzaine de mai 1914. — Délai d'inscription : 21 mars 1914. — Age : 22 à 30 ans. — Traitement : 1.500 à 5.000 fr: — Accès aux emplois supérieurs. — Baccalauréat exigéUn concours pour l'admission au Sumumérariat des Postes et Télégraphes aura lieu, les jeudi 16 et vendredi 17 avril 1914 au chef-lieu de chaque département, le nombre maximum des admissions est fixé à 800. Peuvent y prendre part les jeunes gens sans infirmités, ayant une taille de 1 m. 54 au minimum, âgés de 18 ans au môins et de 25 ans au plus au 16 avril 1914 c'est-à-dire ayant cet âge le 15 avril avant minuit). Les postulants actuellement sous les drapeaux ne seront admis à concourir que s'ils sont libérables au plus tard le lar novembre 1914. Il sera fait une application stricte des indications ci-dessus et aucune demande de dispense quelle qu'elle soit ne sera prise en considération. La liste d'inscription sera close le 21 mars 1914 au soir. Les lecteurs qui ont besoin de renseignements au sujet d'un des emplois indiqués ci-dessus ou d'une carrière administrative quelconque peuvent s'adresser de notre part à MM. les directeurs de l'Ecole du Fonctionnaire, 40, avenue Daumesnil, Paris. Joindre 0 fr. 10 et ne pas oublier de mentionner sa qualité de lecteur de l'Est républicain. Les directeurs de l'Ecol* du Fonctionnaire ont bien voulu également s'engager à adresser à tous ceux de nos lecteurs qui en feront la demande accompagnée de 1 fr. 50 en timbres-poste ou mandat pour tous frais, l'Annuaire Carus (livre des candidats et candidates aux emplois administratifs), un fort volume contenant 840 pages de texte compact et donnant tous les renseignements utiles sur toutes les fonctions publiques, conditions d'admission, concciurs, traitement, avenir, etc.. --^fe^ «a!^ ^>-- *^^-^S& ,, '*55*^° i«S»' -,^3Si---e*S8e3 n k DO lia H 1 H r \ Jt/X» Il I LIJJU t s0 Uipus ' «Wwoaas, rou Bedrs deifl peau,gué r'itradlcalementparU traitement de L, lins, pharmacien i Maney.Pasdedépôt. S'adresser direcleuieui S I ^^*«??,-'^>e»^»^^^ -<&-''Ç J ^-îàSr--*®* CHMLI V imp de 168! gérant, repuOUcaii» — Assurément, en ce moment, Myriajsy vous aime. A son âge, on croit à fêterait» des sentiments que l'on éprouve et mêéie si vous n'êtes plus là, elfe repoussera san doute toute proposition qui pourrait lu sembler une infidélité aux serments qu'ell vous a faits . — Ma chère Myriame !... — Sous peine de rendre votre héroïsrr* inutile, il vous faut faire un effort de plus Pour l'obiiger en quelque sorte à renonça aux espérances insensées et funestes qu'ell avait conçues, pour qu'elle devienne heu reuse pour toujours, ii faut que la ruptun vienne de vous !... — Quoi ! vous vouiez ajouter à toutes me douleurs le désespoir de savoir qu'elle rn> croit infidèle '.' — Il le faut, mon ami, pour Qu'elle von oublie ! Oui, certes, l'épreuve est doulos reuse. Mais le véritable amour, l'amou que vous avez pour Myriame met au-dej sus de toutes les préoccupations personnel les et égoïstes le bonheur de la femme «J mée I — Mais, que faut-il donc faire ? s'écri le malheureux, désespéré. — Lui faire savoir vous-même votre dl termination... par une lettre ! Une letti qui la détache de vous à jamais L» — Vous voulez que je lui écrive que je n l'aime plus, que j'en aime une autre !.. Jamais je n'aurai la force de commetti ce mensonge impie ! Mon cœur est à elh rien qu'à elle et pour jamais ! [A suivre,) CHOCOLAT LORRAIN I La Compagnie SINGER LES Ci LIBRES MCHIISE5 A COUDRE Pour la Famille Pour la Confection Celui qui ne Jtjl ! ces en nécessi- ~ fait pas de pu- w>\ | tant le mini- blicité aban- /))// j donne le mar- Hra _, cké à tous ceux U\y, mu m de temps ))))) et d'argent. §§. M M © §9 ra» l±= §! H c7«i ==j en /enf. ^ | =3=- ||) HH ^j$||ppy t! nMnbliBUEOEMCiN OÊStRf.73 §|ÉÉÉjjr' lit , ■§! 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Obligée de me déplacer dans le département de la Loire, à Sury-le-Comtal, j'ai fait la connaissance d'une personne qui, voyant ma mauvaise mine, m'a conseillé de prendre vos Pilules Pink, car, disait-elle, elle avai£ été dans un aussi mauvais état de santé que moimême, et les Pilules Pink l'avaient guérie. J'ai pris vos Pilules Pink, et ces bonnes pilules ont eu le don de me rétablir comme, par enchantement. J'ai retrouvé une santé parfaite. J'ai repris toutes mes forces, j'ai très bonne mine, et on ne dirait pas que j'ai passé par celte longue période de souffrances. » Mlle Yvonne Bichon, employée à l'épicerie Thibault, à Oiron (Deux-Sèvres), écrit : « Je -vous remercie pour les bons résultats que j'ai obtenus grâce à vos Pilules Pink. Depuis plusieurs mois, ma santé déclinait. J'étais devenue toute pâle et j'étais très faible. Je mangeais très peu et digérais très mal. Après avoir pris les Pilules Pink pendant quelque temps, je me suis sentie beaucoup mieux. 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La pauvre anémique souffrira inévitablement d'une foule de maux, et sa yie sera un véritable martyre ; la vie n'aura pour elle aucun attrait, chaque jour lui apportant une nouvelle souffrance. Croyez-vous qu'elle aura du goût à vivre, cette pauvre femme continuellement accablée par une lassitude étrange, cette pauvre fille qui est fatiguée outre mesure par le moindre travail, et qui se sent toujours à bout de forces ? Ne voyez-vous pas que l'altération de ses traits indique son exténuement, que sa démarche pénible, son port fatigué, tout prouve un état de santé misérable? Les femmes, malheureusement, ne veulent pas prêter attention aux premiers symptômes de faiblesse. Elles se soigneront plus tard et elles escomptent trop facilement que les forces reviendront toutes seules. Ah! la grave erreur! Plus le mal est lent à venir, plus il sera long à partir, et, entre temps, la faiblesse aura fait dans le délicat organisme féminin des ravages qui auront entamé fortement les constitutions les plus solides. U faut agir de suite. Dès que la femme constate que ses forces périclitent quelque peu, elle doit se soumettre au traitement des Pilules Pink P^^l empêcheront que son sang s'appauvrisse davantage. Les Pilules Pink donnent du sang avec chaque dose, et donnent ^L aux organes affaiblis tout ce qui leur est nécessaire pour retrouver i l'énergie des meilleurs jours. Les Pilules Pink sont le meilleur tonique IV des organismes féminins. Elles donnent de l'appétit, elles donnent des forces, elles réconfortent l'estomac, procurent de bonnes digestions ; ^^^P pf§!: elles répandent dans tout le corps une grande énergie et donnent cet **—• air de bien-être qui fait dire : « Elle respire la santé ! » Que de troubles, que de malaises ont été évités par les Pilules Pink. prises au bon moment ! \^ |||f V $ Clé | de la Santé ka. Il apporte îe suc- J H3 1I \> I Fvltûr les contrefaçonm* nu Tritl'll15' Le sre«^^^ei t9ur EXCELLENT fj( ICabiiiet d'aûfl toua sunerbe maison bourgeoise (cour, jardin, verger, le tout clos de murs), située à Vitrey (Haute-Saône), sur la grande ligne de Paris a Belfort, à une heure de Vesoul, dans un pays de chasse et de pêche, très sain. S'adresser au journal, 5153 I laissant ( 1^0 ^gl J e I .______B-*1| J u-M-mè. 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