; E'H! o SamotSi 11 Jauvlai* 191$ Té^phona : 3.21 -10.37 - Imprimerie 3.O0 m** ABONNEMENTS-. jnncy .... Menrihe-et Moselle, Meuse, Vosges Antres départements Etranger On peut s'abonner sans frais dans tous GRAND •«•ois »I 4 50 S » 5 » 10 » 6 12 7 » 14 » * les bureaux de postes » l 48 • SO I 24 28 » * m** 1_ m i m au maiîh 2S Ann&s JOURNAL QUOTIDIEN RÉDACTION ET ADMINISTRATION : C» m Ol, ■ rue ____» Saint-Dizîer, NANCY " SI • T~— M— C« L ■ B %#T LA RÉINTÉGRATION Le nouveau point noir DE M. DU PATY DE CLAM à l'horizon balkanique L'émotion et les responsabilités L'ATTITUDE BELLIQUEUSE DE LA ROUMANIE . /» PARIS, H janvier.— La situation extéJieure, déjà très compliquée, paraît s'être j encore un peu aggravée depuis 24 heures, du fait des préparatifs militaires de la Roumanie. On ne peut encore se prononcer sur la portée exacte de l'acte du gouvernement de Bucarest. Il n'en est pas moins vrai qu'un nouveau point noir se lève à l'horizon. La Roumanie entend avoir la Silistrie. La Bulgarie accepterait une rectification de frontière de la Dobroudja, mais elle veut conserver la Silistrie (district situé au nord-est de la Bulgarie, .sur le Danube). De part et d'autre, l'opinion publique | appuie le gouvernement et l'on signale une certaine agitation, qui peut avoir sa répercussion en Autriche et en Russie. On remaque toutefois que M. Take-Jpnescu, ministre roumain à Londres, n'a pas encore quitté cette ville. Ses pourparlers avec le premier ministre bulgare, M. Danef, se poursuivent donc, et l'on doit encore espérer qu'ils aboutiront. BELGRADE, 10 janvier.—On mande de Sofia : « L'attitude de la Roumanie continue à préoccuper vivement, à Sofia, les milieux politiques et l'opinion publique. D'après des bruits dont l'origine est incontrôlable, mais qui trouvent aussitôt crédit, qui ont couru toute la journée, les troupes roumaines auraient même déjà pénétré au delà de la frontière et l'on parle do l'occupation de la Silistrie. PARIS, 11 janvier. — De Berlin au « Figaro » : — » On mande de Sofia au « BerMner-Tagblatt » : « La Bulgarie refuse de céder Kavarna, et l'on ne eroit pas de la part de la Roumanie à une action dépourvue de noMesse, ni à une entrée immédiate en campagne. » BELGRADE, 10 janvier. — Le président du Ôonseil, qui est rentré hier à Belgrade, de retour du Sud, où il a passé les fêtes de Moël et où il a dû avoir des conversations avec le généralissime Poutnifc, s'est ren«ontrê à Nisch, au cours de son voyage avec M. Téodorof, ministre des finances de Bulgarie, avec lequel il a eu un entre- ' tien qui a porté, croit-on, sur le conflit roumano-bulgare. J La Note collective des puissances à la Porte CONSTANTINOPLE, 10 janvier. — Les ambassadeurs s'attendent à recevoir d'un moment à l'autre des instructions pour la démarche qu'ils ont à faire auprès de la Porte. Le bruit court que cet*e démarche consistera essentiellement à attirer l'attention de la Porte sur les dangers auxquels une reprise des hostilités exposerait la Turquie, et à dégager la responsabilité de l'Europe. VIENNE, 10 janvier.— On mande de Constantinople qu'à la réunion d'hier, les arabasadeurs ont rédigé un projet de Note eollective, qui sera remise à la Porte. Elle eonseillera la conclusion de la paix. Le texte proposé par sir Edward Grey a été considérablement adouci, notamment concernant Andrinople. Le projet rédigé n'est pas encore considéré comme définitif et l'on ne sait pas «ncore quand la Note sera remise. PARIS, 11 janvier. — De Vienne à >< Ex«ehior » : « Selon un télégramme de Constantinople. les ambassadeurs se rendirent en .«orps, avant-hier soir, à l'ambassade d'Autriche,' où ils tinrent une conférence au cours de laquelle ils décidèrent de faire, samedi, auprès de la Porte, une démarche amicale. « S'ils se heurtent à une opposition irréductible, les puissances procéderont à une intervention officielle, lundi. PARIS, 11 janvier. — De Rome à « Excelsior » : « L'officieuse « Tribuna » prétend pouvoir affirmer que la conférence des ambassadeurs à Londres, aurait résolu la question des îles de l'Archipel, en acceptant la thèse de la Triplice. « Les îlea devant les Dardanelles et celles commandant la côte asiatique seraient laissées à la Turquie, l*8 autres passeraient à la Grèce. « Il n'y a aucune confirmation, jusqu'à présent, de l'information de te. « Tribuna ». A l'entrevue de Tchataldja 10 janvier. — A propos de l'entrevue de Tchataldja, Y « Ikdam » apprend que Nazim-Pacha et Norodounghien; les deux délégués turcs, ont exposé le point de vue de la Turquie au général Savof, représentant de la Bulgarie. Ils lui est dit que la Porte serait prête à donner, au lieu d'Andrinople, une compensation à la Bulgarie sur un point de la côte de la mer Egée. Le général Savof a promis de soumettre l'affaire au roi Ferdinand. CONSTANTINOPLE, En Ëpire 5AI.ONI0.IJE, 10 janvier. — La première division grecque a reçu l'ordre de se préparer à partir pour l'Epire. Quelques à-côtés Les mines dans la mer de Marmara 10 janvier. — Le ministère des affaires étrangères informe les navigateurs que la mer de Marmara et tout le littoral occupé par les Bulgares, ont été couverts de mines. LONDRES, Une escadre allemande en Méditerranée VIENNE, 10 janvier. — La « Military Correspondenz » apprend de source autorisée qu'une information de presse d'après laquelle une escadre allemande qui croise en Méditerranée, se mettrait, le cas échéant, à la disposition de l'amirauté autrichienne est dénuée jde tout fondement. — Bavas. Préparatifs allemands en Pologne 11 janvier. — On mande de Vienne à 1' « Echo de Paris » : « On télégraphie de Posen que la ville regorge de soldats. « Le bruit court que l'Allemagne appellerait sous les drapeaux deux classes. « On remarque que l'Allemagne continue à prendre des mesures militaires importantes à ses frontières de l'Est et de l'Ouest, teut en observant plus de discrétion que l'Autriche. » PARIS, L'espionnage en aéroplane 12 janvier. — De Berlin au « Journal » : « Un aéroplane muni de puissants réflecteurs a volé, hier soir et cette nuit, au-dessus de la ville de Hurz, en Hongrie. « Il disparut dans la directioné d'Okern»zo. « On croit qu'il s'agit d'un espion russe opérant une reconnaissance à la frontière. » — Havas. PARIS, LE DERNIER CÛIBâï ; US REC3RD ALLEiâMD DEMET I0GÂDQR BATTU PAR MOGADOR, 9 janvier (dépêche retardée «ans sa iransnrssion). — La colonne Kuefl, composée de 7 compagnies e-t d'un escadron et demi do spahis sénégalais, est partie hier, avec le eénéral Brulard pour aller camper à Si-Abderrame et faire sa jonction, aujourd'hui, avec la colonne ^ueycEon, qui devait camper hier soir, à fletta des Hanchan. ,L? 7Janvier, la colonne Gueydon a été attaqué© par un ennemi nombreux qu'elle *«™^p?rs^ après Plusieurs heures d'un combat violent. Notre colonne a eu sept tués et 32 bles«e®- — Havas. ~— MÂSSÉNA" L'enquête 10 janvier. — Le représentant du ministre de la marine, le vice-amiral de Jonquieres, inspecteur général du matériel, est arrivé. 11 s'est rendu successivement sur le cuirassé « Massôna » et à l'hôpital SaintMandrier. — Havas. TOULON, ON DEMANDE DES ADJUDANTS AUX TIRAILLEURS 10 janvier. — La « France mili» annonce quon demande des adjudants au 3e tirailleurs algériens. Les adjudants d'infanterie métropoli««ne désireux de passer, par permutation v«nTevau * tirailleurs algériens, peurJ«™pi és/enter de suite lenr demande, ac«™pagnée d'un état signalétique, d'fti re0 et d'un certificat médical «aptitude. — Havas. PARIS, gwe Ce due dit un officier 11 janvier. — « Excelsior » publie une lettre qu'il a reçue, dit-il, d'un officier au sujet de la catastrophe du cuirassé «i Masséna ». Il ressort de cette lettre « qu'il est inexact que le tuyautage fut récemment LES mis à neuf. Il était, au contraire, très CONFÉPFN^FS DE L'ABBÉ mauvais. « Il fallait une surveillance assidue, «jk"?8» 1° janvier. — Ce soir, d'ans la minutieuse, des officiers pour éviter un tfu Théâtre français, devant une as- accident que tout le monde prévoyait, sure nor exercices du mois der«no nhreu«e, l'abbé Wéterlé a fail tout après les J « contérence sur 1 « âme de l'Alsace ». nier. j>0Jr. Publie a salué d'une longue ovation « Ce qui dépasse les bornes, c'est ttue fecKwi <!Ui a re?u lvi président de la I les ingénieurs veulent renvoyer le « Masûue'tû géographie de Tours une plâ- I séna » à Bizerte dans l'état où H est, €n s<xrveriir tras de son passage. — Ha- alors qu'il est néessaire de la mettre en réserve pour examiner sérieusement le tuyautage. »■ — Havas. PARIS, Swu g™*"* »» e ** journal «l'Est républicain* ... es* en vente « Paris, '«s principaux: kiosques, ain*»î qu'aux jç«»re« de chemins «le ter» ET LA BERLIN, 11 janvier. — Le général russe Ts^aWteehefl est arrivé à Berlin. 11 «sero reçu pan- l'empereur et assistera, dimineba, à la fête anniversaire du couronnemmt du premier s»i die spiraeae. ÇA Une note du ministre de la guerre « L'affectation du lieutenant-colonel du Paty de Clam aux services des étapes est une mesure d'administration, intérieure prise par le ministre de la guerre. « Au moment de l'affaire d'Agadir, M. du Paty de Clam, lieutenant-colonel en retraite, avait demandé un emploi de son grade dams la territoriale. « Le ministre de la guerre avait accepté, en principe, d'adhérer au désir exprimé. Toutefois, comme M. du Paty de Clam avait, à cette époque, engagé une action en faux contre le conseil d'Etat, à l'occasion du Tejet du pourvoi qu'il avait formé contre la décision du ministre de la guerre le mettant à la retraite, le ministre loi fit savoir à l'époque que sa demande d'affectation ne pouvait être examinée tant que serait maintenue son accusation injurieuse pour le ministre de la guerre et pour un grand corps constitué de l'Etat. « Spontanément, M. du Paty de Clam retira sa plainte. « La promesse du ministre auraat été tc-nue depuis longtemps et une affectation aurait été donnée à M. du Paty de Clam, si une difficulté juridique n'avait surgi. «M. du Paty de Clam pouvait-il encore Tivevoir une affectation dans la 'territoriale, plus de cinq ans après avoir été mis à la retraité ? « Le comité du contentieux, que M. Millerand avait saisi de la question, ayant émis, le mois dernier, un avis favorable à la demande de M. du Paty de Clana, la promesse faite en 1911 a été tenue. » L'affectation donnée à M. du Paty de Clam n'a donc nullement le caractère qu'on lui attribue et il est absolument inexact, contrairement à ce qu'on prétendait tout d'abord, que le conseil des ministres ait eu à en délibérer. Ajoutons que si une demande d'interpellation était déposée, la discussion pourrait venir difficilement devant la Chambre avant l'élection du président de la République Le 14 janvier, en effet, la Chambre.dont ce sera la séance de rentrée, devra procéder à la constitution die son bureau. Le 15 et le 16, doit aveir lieu, au Sénat, la réunion des groupes de gauche on vue de l'élection présidentielle, et, le 17, l'Assemblée nafconale se 'réunira à Versailles. Ji est donc probable qnie la Chambré ne voudra pas ouvrir un débat public quelconque avant le 18 ou le 20 jianviier. A travers les journaux 11 janvier. — Divers journaux disent, ce matin, que M. Pomeare n'a eu connaissance que par P « Officiel » de la réintégnation de M. du Paty de Clam. Et c'est dans l'après-midi seulement que le ministre de la guerre fournit au président du conseil to.ites les expli cations nécessaires sur la mesure qu'il avait décidée. î L»3S journaux ajoutent que, d'a.illerrs, M. Millerand revendique hautement la responsabilité de cette mesure, qu'il qualifie « d'affaire courante et d'oeuvre pure ment intérieure ». ■— A ce propos, 1' « Action » publie le dialogue suivant,- entre l'un de s«s rédacteurs et M. M'ilLerand : « — Voulez-vous, monsieur le ministre, «te permettre une question ? Vous n'y ré: pondrez pas, si vous Ha jugez indiscrète.' Est-ce de votre propre initiit.ive que *6«ut M. Messimy publie aussi une note avez réintégré le lieutenant-colonel du PARIS, 11 janvier. — M. Messimy, anPaty de Clàm dans l'année ? cien ministre de la guerre, a communiqué « Et M. Millerand de répliquer spontanéde son côté la Note suivante : ment : Bien entendu, comme toujours. » « Il est parfaitement exact qu'au lende— L' « Action » ajoute que le Conseil demain du coup d'Agadir, M. du Paty de des ministres délibérera, -ce matin, sameClam avait obtenu la certitude qu'en ces di,- à l'Elysée, sur cette question. de guerre il serait fait appel à ses serL' « Action » reproduit en outre l'inforvices. mation suivante : « Par contre, M. Messimy avait cru né« Le bruit de la démission de M. Millecessaire, pour bien préciser la position rand a couru dans la soirée. de la question, de déclarer qu'après la fin « Cette rumeur n'est pas confirmée. » de la période de tension internationale — La « Petite République » dit que le (juillet-août 1911) il lui était apparu comministre de la guerre répond à la Note me n'étant ni opportun ni politique de communiquée par M. Messimy, que, non donner suite à la demande du lieutenantseulement M. Messimy avait accepté en colonel du Paty de Clam, ni même de la principe d'adhérer au désir exprimé par soumettre au conseil des ministres. » M. Du Paty de Clam, mais que cette acceptation il la fit connaître à son succesAu Palais-Bourfeon seur, M. Millerand, quand il lui passa les PARIS, 11 janvier. — Une oertaine agitaservices, le 12 janvier 1912. tion s'est manifestée, hwr, dans les cou— Du « Journal » : — « Au ministère de loirs de la Chambre, au sujet 'de la réin- la guerre, on répond à la Note de M. Mestégration du lieutenant-colonel du Paty simy de la façon suivante : de Clam. i « Lo dossier de l'affaire du Paty de Les députés radicaux présents se sont Clam contient une Note dans laquelle M. livrés à de nombreux commenatia-es et Messimy indique que le ministre de la certains d'entre eux même exprimaient le guerre avait accepté, en principe, d'adhédésir de soulever un débat à c© nrop- s a rer au désir exprimé par M. du Paty de l'une des prochaines séances de la Clam- Clam, br?. « Cette Note est écrite et signée nar M. Vers la fin de l'après-midi, cette agita- Messimy. tion s'est toutefois nm peu calmée, lors« D'autre part, quand, le 12 janvier qu'on a va, pair la r ote manis-térielle, que 1912, lors de la constitution du cabinet la mesure prise par le ministre de la Poincaré, M. Millerand arriva rue Saintguerre était nne s4njjpie mesure d'admi- Dominique, son prédécesseur, en lui pasnistration intérieure, résultat d'une prosant les services du ministère, lui a parlé messe faite .antérieurement «w un prédé- dans un sens favorable de la requête de cesseur de M. "Millerand. du Paty de Clam. » PARIS, r LES NOS AVIONS VERSAILLES, 10 janvier. — Le record du monde de hauteur avec 3 et 4 passagers et le pilote, qui était détenu par l'Allemagne, avec une altitude de 1.120 mètres, a été battu par Chevillard, cet après-midi, sur un biplan du type militaire, qui s'est élevé facilement, malgré la charge et en moins d'une demi-heure, à 1.500 mètres.Chevillard a battu ainsi de 380 mètres le record allemand. — Havas. L'ACCIDENT DU PARIS, 11 janvier. — L'affectation donnée dams le service des étapes de la territoriale (gouvernement militaire de Paris) à M. le lieutenant-colonel en retraite du Paty de Clam, mêlé de la façon que l'on sait à la fameuse affaire Dreyfus, ayant sucité certains commentaires, M. Millerand, ministre de la guerre, communique la note suivante : CAKD DATS DE LA I L! PRESIDENCE mmt PARISJ 11 janvier. — Le « Matin » s' gnale, a titre d'information, les candidatures mises en avant poux la présidence de la Chambre, dans les conversiti^ns entre députés. Ce sont celles de MM. Barthou, rai'.laux, CJémentel, Reynaud et Renoult. — Havas. LES INCIDENTS DE KIBERLEN ET LE JOURNAL D'ALSACE LORRAINE STRASBOURG, 11 janvier. — Dans un article publié par le « Journal d'Alsace-Lorraine » du 4 janvier dernier et qui avait été écrit en vue d'amener des relations meilleures entre la France et l'Allemagne, une personnalité française,qui s'exprimait vis-à-vis de ce journal, déclarait en substance : « Ce qui nous indigne, nous autres, c'est « de voir la façon tendancieuse et men« songère avec laauell ecertains journaux (( rapportent les faits ; comment ils les dé« Battirent et comment il les faussent. » Il était clair que cet article, ajouto aujourd'hui le « Journal d'Alsace-Lorraine », devait être également mal interprété, dénaturé et faussé. La « Deutsche Tagcs-Zeitung », dont les relations avec M. de Kiderîcn-Weechter étaient bien connues (le secrétaire d'Etat à l'office impérial des affaires étrangères recevait fréquemment certains de ses rédacteurs), prétend que l'article en question ne peut provenir que de M. Cambon, ambassadeur de France à Berlin, et demande que le gouvernement allemand exige de ce dernier des explications. Le « Journal d'Alsnce-Lorraine » oppose un démenti formel à ces prétendues confidences de M. Cambon. — Havas. New-York, 11 janvier. — L'explorateui ShacUleton a déclaré qu'il avait 'l'intention d'organiser un© nouvelle expédition , dans les régions antarctiques et de traverser les -régions polaires, couvrant ain« ores de 2.300 milles. — Ha va» - 9220. K« m L'ASSASSINAT D'UN DOUANIER AU MiROC . Dm ECTEUR : RENÉ MERCIER PUBLICITÉ: Annonces (A« pageL .7 30c.hligne Réclames (8e page).., 60 — Faits divers 90 — Chronique locale..... 1 50 — Peiir la publicité de Meurthe^t-ltoselle, ïeuse, ïosges, L'Agence Havas, 8, place de ,e la ri,wse à Pans et MM. John F. Jones et C , 3l bis, fauliouKg Montmartre, à Paris, sont seuls chargés de recevoir la jrablicilé exlra-Iocale du journal. Alsace Lorraine et Loxemtourg, s'arfr^ss^r aw^c tMj-^ait.r tff l'Est. M. Raymond Poincaré. Seul de tous le? candidats il a su conserver l'estime de tous les partis. Républicain, il a mis son temps précieux et son immense talent au service de la République. Mais de pensée généreuse et d d'esprit cordi.il il n'a pourtant jamais blessé v< volontairement ses adversaires. Il a même ré réservé leurs droits parfois contre ses propres ai amis et contre ses propres intéiêts. Il a v< voulu toujours la justice, estimant que la ji justice est l'arme la plus puissante entre les m mains de la démocratie. M. Poincaré n'a point connu les passions A partis, même dans les luttes les plus des ai ardentes. Il est par tous considéré dès mainte tenant comme un arbitre des intérêts franç; çais. Et les difficultés présentes l'ont élevé b: bien plus haut encore, puisque toute l'Europe h hier écoutait sa voix, et aujourd'hui s'en f< félicite, puisque ses conseils ont calmé les c< colères grondantes des peuples armés, puisqque sa parole a apaisé la menace des canons et et adouci l'éclair des baïonnettes. M. Raymond Poincaré combat depuis 1( longtemps entre les partis pour donner à cl chacun la juste part d'influence qui lui rt revient. Il a, par sa haute autorité, obtenu la p paix entre les nations. Qui mieux que lui a servi la France? Ç Qui aussi bien que lui la représentera? Des Candidats g Un Ç ______ Jamais on n'a vu à la fois tant de candidats à la Présidence de la République. Les uns sont candidats par tradition, les autres par ambition personnelle, d'autres pour servir leur parti, et d'autres encore pour gêner des adversaires. Sauf M. Poincaré, il ne semble pas que les concurrents représentent exacterrfent le vœu de la nation. Tous ont du mérite. Aucun ne s'impose, M. Ribot est un homme d'une noblesse sonore. Les vibrations profondes de son éloquence. ont bouleversé bien des cœurs sans modifier les votes. Mais sa vie politique n'est pas d'une clarté limpide. Ses alliances ne furent pas toujours heureuses, ni républicaines. Lorsque la troupe démocratique marchait au combat sur la grande route, il a été de ceux qui se reposaient au bord des fossés et décourageaient les vaillants. M. Ribot n'a guère eu d'accents entraînants que pour exhorter la République à revenir en arrière. Ce n'est peut-être pas un titre à la Présidence de cette République. M. Antonin Dubost a été nommé par la confiance de ses pairs président du Sénat. C'est un homme excellent, qui ne scintille pas à une grande distance, et dont l'éclat n'est pas fait pour éblouir les foules. En bon père de famille, il continuerait volontiers la tradition des Grévy, des Loubet, des Faliières, et apparaîtrait aux yeux du monde comme un très digne gardien chargé de veil1er tranquillement sur le sommeil de la Constitution, et veillant sans plus. Son ambition n'est pas démesurée, ni ses moyens. Il semble désigné pour la présidence d'une Assemblée de tout repos, mais non point pour la plus haute fonction de la République. Il vaut donc mieux qu'il reste ce qu'il est où il est. M. Paul Desehanel est d'une merveilleuse élégance. Il a une jeunesse éternelle, comme le désirait Thaïs, un sourire idéal sur les lèvres, un admirable cuisinier en son hôtel, et au pantalon un pli immuable. Ce ne sont point toutes ses qualités. Ce sont les plus apparentes. Après tout il n'est point nécessaire qu'on soit mal habillé pour avoir de l'esprit, ni grincheux pour posséder du caractère. Mais pour être Président de la République il ne faut point avoir évité de propos délibéré toutes les responsabilités du pouvoir. Il est bon qu'on puisse totaliser à une certaine époque de la vie un ensemble de services rendus. Or, M. Desehanel n'a guère rendu de services qu'à lui-même. Par une inconcevable coïncidence tous les sacrifices qu'il a faits à une cause se sont soldés en honneurs de toutes sortes. Cet homme charmant a été comblé de tous les dons de la nature et de la société. Tant de bonheur, si soigneusement entretenu, doit on le couronner encore par la magistrature suprême? Ce serait presque de l'injustice. Le petit père Combes est aussi sur les rangs. Il est l'antithèse même de Desehanel. Rageur et sectaire, agrippé des ongles et des dents à ses conceptions, l'esprit volontairement fermé à toute inspiration trop élevée, homme d'une heure et d'une besogngj ayant un chemin tracé définitivement, il apparaît comme un chef de parti agissant contre d'autres, mais non point comme un juge impartial. Il a eu beaucoup de courage. 11 aurait infiniment trop de courage. Il a rendu des services. Il en rendrait peut-être plus qu'il n'en faut rendre, si le Congrès de Versailles le portait au-dessus des factions. M. Combes se perd par un excès de bonne volonté. Il est de ceux qui, suivant le mot de Clémenceau, n'aiment pas quelqu'un pour lui-même mais l'aiment contre un autie. C'est trop dangereux. On avait au début pensé à M. Delcassé. On ne sait pas exactement pourquoi le député-ministre après avoir été favori, est aujourd'hui mis à l'écart. Il n'est plus guère parlé de lui maintenant qu'en souvenir des jours où il avait des chances. La poudre B? Fachoda? L'allure un peu accentuée de sa politique étrangère d'autrefois? On ne sait. Le fait est qu'on l'indique actuellement comme candidat mais comme candidat impossible. AIX-EN-PROVENCE.— Cinq Arabes, originaires d'Algérie, comparaissent ac'uellement devant la cour criminelle des Echelles du Levant, siégeant à Aix-en-Provence. Ils sont accusés d'avoir assassiné le brigadier des douanes Meyer. i Us se nomment Si Ahmed ben Mokh'ar, 1 25 ans ; Si Mokhtar ben Abdelmouncn, 74 I ans ; Almed ben Abd el Kader, 32 ans ;| J Mohamed ben Amed, 32 ans ; Moulay i Amar ben Ali Bedri, 62 ans. Pendant la nuit du 20 au 21 octobre > 1911, à El Heimer (Maroc), le brigadier des douanes Mieyer, chargé de la perception des droits de douane pour le compteJ du Trésor chérifien, était assassiné dansj les bâtiments affectés à son bureau et àI son logement. Un coffre-fort d'un poids de 200 kilos environ et contenant une somEt voici encore un homme qui n'est pas me importante d'argent, appartenant aui fulgurant, M. Jean Dupuy. Il est ministre, Trésor chérifien, avait été enlevé. il est vrai. Mais avant tout il est directeur Le douanier Mohîirted ben Mokhtar ayant quitté son poste après l'assassinat' d'un grand journal parisien. C'est, dit-on, et le vol, fut soupçonné immédi«teme3itj: à cause de ce second titre qu'il a plusieurs d'avoir commis ces deux forfaits, ainsii fois obtenu le premier, que eon (frère Ahmed qui, la veille, étaitt Assurément l'ascension de M. Jean Dupuy. en sa compagnie, son père Si Mokhtar j à la Présidence de la République serait pour ben AbdelmOvnen et ses parents Ahmed ben Abd el Kader, Mohammed ben Ahmedj le journalisme et pour les journalistes une et Mo»l ly Amar ben Ali. LÎS deux frères sorte d'apothéose. Songez donc à la gloire ( Makhtar, arr'tés sur la zone espagnole,5, qui en rejaillirait SUÏ toute la corporation. firent l'aveu de l'assassinat à des émissaires qui avaient été «mis *x leur peur-- Malgré cette considération qui devrait ensuite traîner tous les serviteurs et guides de l'opiDe leur côté, Ahmed ben Abd el Kader, nion publique, je ne crois pas indispensable et Mohammed ben Ahmed ont reconnu,, que M. Jean Dupuy s'assoie à la place de au cours de l'information à Oudjda, *m'jls avaient aidé les deux Mokhtar a transpor-5 M. Fallières. La presse a bien trop à faire ter et à défoncer la^-tfoffre-fort dont ils: pour occuper des fauteuils. Elle est plutôt avaient ensuite reçu une part du contenu. une magistrature debout qu'assise. Mais ils ont soutenu qu'ils n'avaient pris; M. Jean Dunny a pris la charge des aucune part à l'assassinat. Ou'U n'y Le verdict a été rendu vendredi soir : . destinées du Petit Parisien. Ahmed ben Mokhtar est condamné aux* ajoute pas celle des des;Liées de 'a France.' travaux forcés à perpétuités. Ce serait d'un pemicnaix exemple pour 1rs Ahmed ben Abd-Kl-Knder et Mokhtarr journalistes des temps futurs, dent le nrtri ben Adl>ehnounen à 12 Tins de travaux forcés et 10 ans d'interdiction de séjour.* cipal défaut ne sera p>s un farouche mo Les deux autres accusés sont acquittés. destie. La partie civile obtient 15,000 francs det Un seul tu mime est véritablement désigné dommages-intérêts, — Havas. pour la prCsidsuce de ta République ; c'est RENÉ MERCIER. m m m i— i Amour de Félection Présidentielle t Le mouvement de l'opinion publique française en faveur de la candidature de * jM. Raymond Poincaré à la présidence de la République ne cesse de s'affirmer. Cependant, certains députés radicaux s socialist°JS continuent leur campagne conttre le président du conseil, mais on a rer marqué qu'ils sont moins véhéments dans 1 leurs attaques dans les groupes. D'autre Ipart, l'opinion publique qui se manifeste c chaque jour avec plus de force en faveur du président du conseil n'est pas sans les ' paraJyser. L'observateur impartial est frappé de (ce fait que les adversaires de M. Poincaré sse recrutent surtout parmi les esprits mé< diocres qui semblent avoir contre le pré* sident du conseil une sorte d'aversion. Un député radical de PIle-de-France, excellent républicain, homme très honnê* te, médecin de campagne très populaire dans son arrondissement, a déclaré : « — Non, non, je ne voterai pas pour M. Poincaré ; il a des idées personnelles ; ; il ne nous faut pas un président qui im;pescra.it la dictature morale par la manière dont il dominerait les ministère;;. U nous faut un président qui signe les décrets et reçoive les souverains. » ' Plusieurs parlementaires n'attachent qu'un© importance secondaire à la réunion, préparatoire pour l'élection du président de la République et ils rappell-ml qu'au moment de l'élection de Sali Carnet une réunion préparatoire eut lieu au théâtre des Variétés de Versailles, réunion à laquelle assistaient les républicains de la Chambre et du Sénat ; au premier tour de scrutin d'essai, sur 552 votes, M. Jutes Ferry obtint 200 voix, M. d« Preycinet 292 M. Brisen 81 et Sadi Carnet, 60. Au deuxième tour de scrutin, M. Ferrj eut 216 voix, de Freycinet 196, Brisson ~â et Sadi Cairnot 61. On se sépara là-dessiM et à la réunion du congrès ce fut Sadi Oarnot qui fut élu pair 616 voix conta 188. Les députés « pointeurs », après quel* ques jours d'étude, se croient en mesurt de pouvoir citer, par prévision, les chiffres du premier tour de scrutin Voici la liste que l'on fait courir dans les coulok'i de la Chambre : Poincaré, 230 voix ; Dubost, 2t0 ;.Pa«is< 150 ; Desehanel, 150 ; Vaillant, 75 ; vota égarées, 15 Les Bandits tragiques = DEMAIN = - | l'^st Républicain COMMENCERA * ■a EN FEUILLETON ........ f| L'HISTOIRE | DES I \ BANDITS TRAGIQUES ' |j I | j i qui comparaîtront devant la COUR D'ASSISES DE LA SEINE à la date du 3 Février prochain i j J I J J ■on—a g *Jg'W!i!?!Jll!l!J'I!!?l."!."."'"T1 1 __. 1 I1 "«ininiw.™- n . . _ «IIMIII ni IIIP.I i».,. i _ —MII—un—■■" ' ■ '"R" ______ un iiMunmin ht\jmj_»}m»^ilj,i!mmaammamËÊéÊltlBÊÉlàllt4Ê&m'^'9 L'EST REPUBLICAIN l??j??lj?!E?t^^lll,^,^^l^lll^^^^^^^^^^^^^^^ HUn enfant sous les roues Les affaires HLes combats du tramway de Ponpj au Maroc balkaniques Ch#¥alier de la Légion d'Honneur MAximiE, 10 janvier. — Un lamentable accident s'est déroulé à Maxéville, . Çdains l'après-midi de vendredi, vers une Effervescence en Roumanie heftre et demie. ' BUCAREST, 10 janvier. — L'effervescence Le tramway de la ligne suburbaine PI aest vive dans les milieux militaires ; elle ce-Carnot-Pompey a pris en écharne le 5 est due à la lenteur des négociations engaijeune Julien Antoine, âgé de trois ans, degées avec la Bulgarie. On s'attend à ce que 1 meurant chez ses parents dans une maila mobilisation soit ordonnée si d'ici à £ son voisine. quarante-huit heures une réponse satisOn ignore les causes exactes de cet ac.faisante n'est pas arrivée de Sofia. 1cident, Une enquête est faite. Mais on fait observer que, malgré le sang-froid et * L 'impression à Londres les efforts, du wattman, les freins ont mal ' fonctionné et qu'il y aura lieu de modifier LONDRES, 10 janvier. — Du corresponle système actuellement en vigueur sur dant d' « Havas » : « La séance des am] ligne de Pompey. bassadeurs, hier, avait été plutôt bonne Enormes pertes marocaines la MOGADOR, 8 janvier* — Un rekkas partiLes voitures, très lourdes, lancées à pour la cause de la paix, car elle avait arrivé à l'instant même annonce îtoute vitesse sur les parties de la voie oui adopté le principe d'une démonstration, culier < i aux mécaniciens une confiance aussi prompte (lue possible, pour exercer <que la colonne est arrivée a la casbah de inspirent iloubban à 20 kilométrée de Mogatlor. parfois ] exagérée, ne peuvent s'arrêter une pression collective sur la Porte.U restilt seulement à trouver la forme de cette 'Dans le sombat d'hier les Marocains ont 1que sur une assez longue distanoe ; des M. Brisson a assumé de la façon la plus des pertes énormes, environ 4 à 500 tamponnements : assez nombreux et d'audémonstration. Les gouvernements étaient subi ' Nous avons eu 12 tués et 00 blessés. très 1 accidents se sont déjà produits ; heureuse la direction d'un service lourdeunanimes a travailler ainsi pour la paix. tués. 1 smais celui dont vient d'être victime le ment, chargé dans notre département fironMais, ce matin, un certain pessimisme — Havas. jeune Antoine est assez grave pour cjue tière. Accueillant au public, la main vose répand de tous côtés, par suite de l'atle public exige une puissance supérieure Jlointiers ouverte, nul ne lui a adressé on titude de la Roumanie quon juge très gra- I dans les freins et une plus prompte ma- vain une 'réclamation justifiée. ve et qui provoquera— croit-on — une ' ... Dirons-mous encore que M. Brisson noeuvre. nouvelle résistance du gouvernement ottoPendant que l'autorité procédait h un est très aimé ..le son personnel ; il 's'iatéman. commencement d'enquête, la population resse à ses œuvres de prévoyance, de muArrestations à Florenoe L'impression en Bulgarie de Maxéville, en proie à une légitime kialité. Les modestes receveurs, les couémotion, protesta violemment. Le person- rageux facteurs, .ont constamment trouvé ROME, 10 janvier. — Le « Messagero » SOFIA, 10 janvier. — Dans les milieux lui un conseiller averti et dévoué ©t nel de la compagnie reçut un accueil dé- en ' une dépêche. de Florence disant bulgares on considère que l'attitude de la publie i parfois un autorisé défenseur. nué de sympathie. ' Roumanie est exagérée par la presse en ique la police a .arrêté deux jeunes femmes *\ M. Edmond Gérard, maire de Ma.xéville, général et on affirme que les négociations ifrançaises : Laure Touquet et Anne Pont M. Brisson est aussi un « lettré », sans bulgare-roumaines ne sont nullement (ce sont du moins les noms qu'elles ont arriva sur ces entrefaites. Il prit immé- facile jeu de mots ; il se mêle volontiers automohile le donnés à la pension où elles étaient des- diatement à bord de son rompues, mais qu'elles continuent. à la vie nancéienne et il affectionne le Toutefois, l'optimisme de ces derniers cendues) ; elles ont déclaré venir de l'A- petit Antoine qu'il conduisit à l'hônital gracieux décor de la place Stanislas. jours au sujet d'une prompte solution est mérique du "Sud ; on a également arrêté, civil de Nancy où son état inspire de séNous nous joignons volontiers à ses diminué considérablement. dans la même pension, les amis des deux rieuses inquiétudes. nombreux amis pour le félieifer. L'enfant porte un enfoncement de la femmes, Innocent Vad, originaire Les conversations reprises à Londres jieunes de Toulon, et Antoine Luoiani, originaire boîte crânienne et, au moment 'de mettre La neige sous presse, nous apprenons qu'on, désesOn apprend que les conversations entre de Marseille. Los rues étaient toutes blanches, samedi père de le sauver. la Roumanie et la Bulgarie ont été reCes arrestations faites sur mandats du ■matin. La couche de-neige n'était sans prises hier. parquet de Turin seraient relatives au vol doute pas très épaisse, mais le froid de la Le ministre de Roumanie, M. Misu, a commis clans le tombeau de la duchessenuit et la bise aigre du Nord avaient cmconféré hier avec M. Daneff, qui a télé- de Gênes. — Havas. péché les flocons de fondre au contact du graphié ensuite à Sofia. M. Jonescu, inLa duchesse de Gênes était la mère de sol. terviewé a déclaré qu'il no, pouvait don- la reine douairière d'Italie Marguerite do BAR-IJÙ-DIÎC, 10 janvier. — On vient de Ne nous plaignons pas de l'hiver.Il nous ner de détails sur ces conversations. Savoie. découvrir, à Mauvages, le cadavre d'une arrive fort tard, et, comme on dit, c'est auLes pourparlers actuellement en cours femme qui aurait été assassinée jeudi soir, tant de pris sur l'ennemi. imposent en effet la plus grande discréLES AVIATEURS A LA FRONTIÈRE vers six heures, par un Espagnol. On aution., u Le drapeau du 69° RUSSE rait aperçu le meurtrier vers 7 heures du . Vendredi, le rolonel Duchênc .a présenté SAINT-PÉTERSBOURG, 9 janvier. — On soir, se dirigeant sur Gondrecourt. Les L'évacuation des ports de l'Adriatique publie aujourd'hui une décision dii_ con- inspecteurs de la brigade mobile do Nancy le drapeau aux jeunes soldats du 69". VIENNB, 10 janvier. — La « Neue freie Rappelons que les batailles qui y sont seil des ministres qui interdit aux "avia- sont partis en automobile à la poursuite Press » dit que les cercles diplomatiques teurs étrangers de voler au-delà de la du meurtrier présumé qui aurait dérobé 200 inscrites sont Castiglionc, Abouki*, Elconsidèrent que l'évacuation des ports de er francs à s« victime. . chingen et Friedland. frontière de l'Ouest, à partir du 1 (14 la -mer Adriatique par les troupes serbes janvier). «» a> aura un effet favorable sur la situation en Les clercs de notaire et la Mutualité Au ôas où Ton n'atterrirait pas sur le général. Une conférence sur la .mutualité dans signal fait, on prendrait contre eux des mesures énergiques qui pourraient aller Sont transformées en médailles d'argent la chhicatiure notariale a été faite à Nanl'Albanie jusqu'à diriger un feu violent contre leur' des postes et des télégraphes, les médaillés cy, eal-le de rAgricultua.o sous les auspiIls croient cependant que la question machine. de bronze antérieurement décernées, sa- ces de lia chaflBbre des notaiires rie l'a-rromdissomen*, par M/Titoant, principal clerc de l'Albanie demandera encore plusieurs voir : adminisfinasemaines de discussions, car l'autorité deM. Antoine Buffet, ouvrier monteur à de notaire à Saint-Querrtki, mande que Scutari, Prinzrend et Janina INCENDIE D'UN HANGAR D'AVIATION Saint-Dié ; 35 ans de services administra- tenr de la Société mutuelle die secours et A WIESBAOEN soient incorporés dans la nouvelle Alba-: tifs, 5 ans de services militaires. Titulaire, de retraites pour les clercs de notaires. En l'absence de M. le président de la nie. WiES.iBDEN, 10 janvier. — Le hangar des1 de la médaille de bronze depuis le 18 mars, chambre, M. Larmoyer, lequel avait exi 1907. aéroplanes sur le terrain d'exercice a été Le mont Lovcen M. Joseph Peigney, courrier auxiliairej primé piair lettre ses "regrets de «ne poudétruit par un incendie. On présume que1 ROUE, 10 janvier. — Le « Messagero »! rincendie a été occasionné par des vaga- à Mirecourt ; 33 ans de services adminis-, voir assister à cette intéressante réunion, publie une information suivant laquelle• bonds qui avaient passé la nuit près du[ tratifs, 6 ans 1/2 de services militaires. Ti-. la conférence a été présidée par M6 Bourl'Autriche aurait renoncé au mont Lov-| hangar. tulaire de la médaille de bronze depuis le, -uor, notaire à Nancy, assisté de quelquescen ; elle aurait demandé cependant au uns de ses confréries de Naoaey, MM Cha29 décembre 1904. * Monténégro une autre hauteur non forti. La médaille de bronze des postes et té- ty, Aerts, (Lais&y. A TSARKOË-3ELO fiée, mai» dominant également les bou-'. Un certain mom'bire .de clercs de Nancy légraphes est décernée, savoir : ches dt Cattaro Le roi Nicolas aurait reMeurthe-et-Moselle.— M. Antoine Knab, et des environs étaient venus. MalheureuSAINT-PÉTERSBOURG, 9 janvier. — Les réfusé catégoriquement. ceptions du Nouvel-An auront lieu comme> courrier auxiliaire à Nancy ; 29 ans 1/2 de[ sèment il en ntanquait beaucoup trop I services administratifs,. 2 ans de servicesJ Uais aussi comment résister aux plaisirs de coutume à Tsarkoë-Selo. Toujours Andrinople de la promenade de la chasse, etc., par Le tsar recevra également le corps di-. militaires. CoNSTASTiNortE, 10 janvier. — Les jour-M. Isidore Verdin, courrier auxiliaire àt une si belle après-midi ? plomatique. naux turcs sont unanimes à dire qu'AnAprès lavoir souhaité la bienvenue en Les bruits qui ont couru d'une attaque5 Longwy-Bas ; 18 ans de services adminisdrînopîe doit rester au pouvoir de la Tur-• d'apoplexie, qui aurait frappé la tsarinej tratifs, 32 ans de services dans les doua-. quelques mots aimables an conférencier quie ; ils déclarent que les Turcs serontt douairière et d'une grave rechute du grandI nés. et avoir dit tout l'intérêt que présente la ebligéa de recommencer, sans perdre deB duc héritier, sont dénués de fondements.— M. Auguste Virriat, facteur-receveur àt mutualité, M» Boursier a donné la parole temps, les hostilités si la démarche dess Havas. Maxéville ; 24 ans de services adnjinistra-» à M. Titrant. puissantes a- pour but la cession d'AndriCelui-ci, débutant par un aperçu sur tifs, 4 ans 1/2 de services militaires. nople. ' M. Eugène Watier, facteur de ville ài T historique -n- iOrigine de la société de Pont-à-Mousso» ; 31 ans de services admi-. secours et de retraites pour les clercs de notaires,, a iretr-acé son organisation, son nistratifs, 2 ans de services militaires. ^ Met*se. — M. Emile Périn, facteur rural1 expansion, son tout et sas avantages, les f à Damvillers ; 31 ans de services adminis-. encourageiments qui lui ont «té donnés et s tratifs. qiui lui ont permis de réunir un" effectif de Se seine du gouvernement français M. Léon Thomas, facteur rural à Deman-. 2,815 membres participants et honoraires —, —(8 (8 — ™ PARUS, 10 janvier. —- Le gouvernement ge-aux-Eaux ; 30 ans de services adminis-. et un capital de près de un million, il a français' a été avisé par le colonel Foutratifs, 4 ans de services militaires. terminé par une dissertation sur les delon, •omniandant la gendarmerie interM. François Thuot, facteur rural à Ghar-, voire de3 clercs .de motaires. nationale à Salonique, do la situation lany-sur-Meuse ; 32 ans de services adminisIl insiste tout particulièrement sur la mentait» des réfugiés turcs dans cette tratifs. nécessité qu'il y a pour tous les travaiivilla. Us sont environ trente mille qui se Vosges. — M. Marie Flayeux, courrierr leurs et noiammc-nt pour les «lèves de notrouvent dans la plus grande détresse et >t °— auxiliaire à Raon-l'Etape ; 30 ans de ser-i taires, .de giarantir teui's vieux jours. 11 sont menacés de mourir de faim et de vices administratifs, 5 ans de services mi-. fait comprendre a sens camarades que 6 Etain — Raon-l''Etape — Vézelîse froid. litaires, .-iI c'est un «©voir pour eux de se prémunir La gouvernement a décidé. d'envoyerr NANCY, 10 janvier. — C'est naturellement non seulement contre re dénuement, mais 10.000 Iran es pour parer aux premiers be). avec grand plaisir qu'Etain, P.aon-l'Etaaussi contre le risque d'être plus tard une soin». pe et Vézelise ont appris qu'elles allaient charge pour les autres, sans aveir fait - - —recevoir chacune un bataillon de chastout ce epi est possiOle'pour J'éwaer. _ seurs. S'-adressant laai-x notaires et faisant une Ces bataillons h-aient rejoindre leurs comparaison entre leur situation et celle H nouvelles garnisons dans six mois. Ils y de leurs «lercs, il leur explique tout l'inapporteront, non seulement un élément térêt qu'ils ont à encourager ©t secourir PARIS, 10 janvier. —- M. Millerand, mii- d'animation et de vie, mais encore, étant une œuvre aussi moralisatrice que la muniet*e d» la guerre, s'est rendu ce matin, }, à effectif» renforcés, une source appréciatuelle de leurs collaborateurs. tSamedi 11 janvier. 11° jour de Vannée inopinément a la caserne de Reuilly où il il ble de revenus. M. Titrant s'empresse du ireste de déclaAUJOURD'HUI : DÊMAIH : a passé l'inspection des 16° et 89* d'infan1Depuis longtemps déjà, Rtain, Raonrer que la société n'a reçu que <lei encou£ Sainte IlORTENSE \ Saint AKCADE terie. Après sa visite — qui a duré une ie l'Etape et Vézelise. réclamaient des baragements dans le. notariat ,au fur et à hear* — M. Millerand a réuni les offi1- taillons de chasseurs. Ephémcrides lorraines : En 1774, aux mesure qju'elle a été connue et il émet ciers d* la brigade à la salle d'honneur Bf Evidemment le séjour n'y sera pas aussi ji n° 22 de la petite nue Saint-Thiébaiit,. à à l'espoir qu'elle .obtiendra mon seulement du 89* pour leur témoigner sa satisfaction n agréable qu'à Amiens, Lille et Vincennes,-,t Nancy, naissance d'Antoine Drouiot, le e l'appui, moral, niais aussi le concours péet l«w faire part de ses observations. — - où se trouvent, à l'heure actuelle, les b°,» /futur général de Napoléon, le Sage de la a cuniaire de tom les 'notaires de Nancy et Havae > Grande-Armée. Devant la propriété où il 16° et 26e bataillons, mais il équivaut lard de la région. gement à celui de Saint-Nico"las-de-Port, mourut, rue Saint-Léom, en vient d'érigerr Enfin il .atteste le ferai- uniquement phi.s son feu^te en brona», œuvre du sculpteur Baccarat ou Rambervillers, garnisons des •r lanthropiiue de la société qui n'est pas, e Huel. 4 , 20' et 17 bataillons de chasseurs. ■comme on a pu le craindre d'ans une parEtain est, on le sait, une coquette petitee A 7 heures. — Hôtel Américain : Bant- tie dm notariat, «une associa tien profes». quet de la Mutuelle des agents des trains.i. sionnelle ou syndàcaie. cité meusienne à proximité du camp retraché de Verdun, qui possède , déjà un AS heures h : Assemblée générale dee La oonfénenco terminée, M" Boursier fén bataillon de chasseurs, l'Amicale de Boudonville. licite et ■remercie le conférencier, il ensra' SAIINT-ÉTIENNE, 10 janvier. — M. Lafont, t; Raon-l'Etape n'est nullement dédaigna1A 8 lie u nes J. — S*lle Poirei : Soirée e gie vivement les clercs présents à adhérer' maire d« Firrniny. a fait dresser hier et el ble, admirablement située dans un magni- théâtrale : « Princesses Dollar ». eux-mêmes et à faire adhérer leurs canmavant-hier, quarante-six nouveaux pro°: lique décor de forêts. A 8 heures J. — Bourse du commerce :: vade3 à la société do retraites dont M. Ti-• cès-verbaux contre des cafetiers qui ■ p Fête de la » Mutuelle Oberlin ». V Quant à Vézelise, on-'n'en saurait trop trant a démontré les bienfaits d'une fa-• avaient maintenu des rideaux opaques à p célébrer le charme, profond et doux. C'est jt A neuf heures. — Salle de la Renais;çon ai convaincante et il les assure que leurs devantures. — Havas. > sance : Bal des typographes. la vraie ville lorraine aux grands souve2. l'appui et le concours de la chambre desi nirs d'autrefois, avec ses halles pittores3. A 9 heures. — Brasserie des Dom... : : notaires de l'arrondissement de.Nancy nes ÇA ET LA p Réunion du Groupe Sidi-Brahim. ques et ses petites rues étroites, aux vieilleur forent pas défaut, DniixBU.se, 9 janvier. — Les journaux ix les enseigne?, A 9 heures — Hôtel de ville : Bal dee A l'issue- de cotte conférence, l'un des1 -rapportant qu'au cours de travaux à l'ann*** l'Alliance (française. clercs présents, M. Vivien, principal clerc cien hôtel d'Alcantarn, à Gand, des maaAinsi tous nos chasseurs à pied vont dé5. A 9 heures. — Eldorado : Bal des agents ;s de M» Boursier, a été délégué pour repréçons cfui perçaient un mur ont mis à jour des trains. rr sonnais monter la garde d'honneur à la a senter la société mutuelle de isecours et de, un coffre-fort contenant 2.400,000 francs es .frontière. retraites auprès do se* camarades ot des, en or ot en billets belges. Vézeli.sc comme Rcmiremont, Etain com1Kaiima TEMPÉRATURE notaires de Nancy et de la région. SHOUHmGKEss, 9 janvier. — Cet après:s- me Baccarat, Raon-l'Etape comme RamNous sommes convaincus que, à la suitej midi, un accident s'est produit au cours Oiessant 756, Belfort 766, dépression n rs borvillers .retentiront du refrain de laa ssfKde cette conférence, les clercs de la région, d'expériences d'un canon de fort calibree. <( Sidi-Brahkn ». ; ï Irlande, Gascogne. de l'Est s'efforceront de développer dans, Un sergent a été tué. Le capitaine et et Ba'aillons d'élite, dignes héritiers des >S J I" Le 10 A NANCY Le 11 leur .intéressante corporation l'idée de mudeurt sergents ont été grièvement blesschasseurs d'Orléans, représentant pleineet * s ■ I" tualité et qu'ils y seront aidés efficacesés. —- Havas. ment la grâce, l'allure, la « furia ifranceme.rat.par MM. les notaires. l î Heures Therm. Barom _ . . , se », nos vitriers connaîtront toutes les i» • ^ » _ _ _ Temps probable: v routes, tous les sentiers qu'ils auront à déUne singulière annonce fendre. 6 h. m. - 3 748 Un de nos confrères, nancéiens publie v TK«W« < m.,m* * Vent d entre Leur place n'était pas loin de l'entraîla singulière annonce suivante : 1Midi .. G 748 Est et Sud ld Prom. «oim Oorn. conra 3™ nemeut intensif de nos garnisons de l'Est. « Je soussigné déclare n'avoir fait aulOjanv. lOjanv, 4 h. S.. — 1 747 Nuageux Leur glorieux drapeau devait flotter au oune invention ayant «pour objeit la desmanlo 3 OiQ 89 30 89 S» 2» milieu même de ses soldats, dans notre -e l» Min... — 4 — Tenipér.normale. e. tTOction des armées européennes et n'enj Actions Lyon MAtiopoliiain é'V? W6 .. " Lorraine où il semble que l'âme de la papas /revendiquer la paternité. Donc ceux4 • • trie vibre plus fort qu'ailleurs. aioTinto... 1879 .. 187G '.' qui auront vendu ou fait vendre ces in'Sosnowieo 14.0 .. 1530 ventions en auront la responsabilité. » fistérirure 4 0]0 91 G2 91 &7 (Suit la signature). I I 1 ! Ruxsa consolidé 4 0i0 92 30 92 05 ►De Beum (ord.) , 548 .. 545 Les généraux Dupemmîer et Taufflieb Raiid Mines 175 yô 174 ! ! Le général de division Dupommier, pré-. SAINT-DIK, 10 janvier. — Albert-Charles Briansk (ord.) 487 .. 482 • • >S 7 h. 44 ^^^rX J sident du comité technique du génie, a reCoucher /#/^C74 >i^ <M\ Turc 8(i 50 m 40 F oUey, âgé do 32 agis, était, il y a quelques ÎS çu rang de commandant de corps d ar-. Banque ottamaae 642 .. 012 l°m's. employé comme charretier chez M. mée. Serbe §2 50 82 05 [g Bredm,entrepreneur de transports à Paris, S Italien 97 67 37 4 bis, passage des Mousquetaires. — Le général de brigade Taufflieb,( ' LU NI: m\ • 1 membre du comité d'état-major, est nom-. Son patron lui remit une somme de 80 francs, avec, mission de conduire aux Limé au comn-iandement de la 6» briga la de Télégramme commercial i9h.s9m cuirassiers, à Saint-Germain-en-Laye. las une voiture de sacs de chaux, et de ( tlouivs du commerce ) '■e Coucher % \>A „ . /// ^1 Rappelons que le général Dupommier a1 31illïïo.s fournis par la maison Iloger BollaclietGif charger au retour, à la gare du Nord, un n 8h.2-js. envoi de sac de ciment : l'argent devait lui été gouverneur do Toul et que le général1 Paris, 10 j.-mv. 13 h 32. o servir à payer l'octroi. En possession de Taufflieb — un Strasbosrgeois — a com-COURANT 4 PflKMiaftA voirai ftaokil.) 21 85 21 55 mandé le 5° hussards à Nancy. Ja somme, il abandonna son chariot et DQlelff Blés (M!) Isil | 28 05 27 05 prit la fuite. C'est dans ces conditions qu 'I FariiiK» \\m lui.) 37 25 3(i00 Nécrologie venait échouer au bureau de police de .9 Lin . 58 75 57 .. Saint-Dié, pour y demander un billet de Nous apprenons avec regret, la mort de! Hiiils(i'll) kil.| 67 25 64 75 La Pharmacie Centrale de Nancy, 12,>, M. Marchai, ancien chef de bureau à la logement. Comme on lui posait trop Se00 .Ucool (t'iiectol.J 39 75 " 42 .. ' questions embarrassantes,îl préféra avouer me de la Visitation, nous informe qu'elle'e mairie de Nancy, „ ^ OOOBAÎJT 4 ORTOBltB ;B son obus de confiance ; le logement fift* contintiera, samedi 11 toute la journée, la a Le défunt était un excellent homme, ai•- j tlis.tr.ibuUan de son superho AUnnn illustréé mé do tous. Nous présentons à sa famille, . trouve immédiatement. « Nancy-Pitlc-rt-y.e «. 1 nos bieh sincères condoléances. Dépêches de notre précédente édition 8 janvier, 5 heures soir (re^tardée dans la transmission.) — La situation reste séîieuse, malgré la dure leçon j, infligée hier par la colonne Gueydon-Vives a aux contingents Haha qui s'opposaient à s sa marche. Le général Franchet d'Espérey déclare n que l'objectif des opérations de la colonne ( Gueydon était de dégager la casbah du caïd fioubban resté fidèle et d'assurer le des abords de la ville, ainsi \dégagement que son ravitaillement en bétail et en r moyens do transports. j MOCSADOR, J■ LES VOLS DAIS LE TOMBEAU DE LA DUCHESSE DE GERES Un crime à Mauvages La mzùmt postas Situation lamentable à Salonique Régionale t t Les nouveaux bataillons de chasseurs dans l'Estt LES «E0T1ÛIS DE RI. MILLERANDD * NANCY 1 LA JOURNEE CONTRE LES RIDEAUX OPAQUES DES CAFÉS - 1 ? JI . -,T \ |f I .. ■ Arrestation à Sainî-Oié /fAsS^ïS SSÊjp J \eWvr J W^l y M j ———————————>v>~«- L'EXPOSITION »e jflnvier. — M. Brisson, direc*teur oes p-b»-<* de Meurtlie-et-Moselle, est nommé «hevatle*- de la Légion d'honneur. n Voîm un rulKin ronge qui sera particulièrement bien accueilli dans notre ville, où M. Brisson a depuis longtemps déjà 0 acquis droit de cité. 3 Le directeur des postes die Meurthe-et-Moselle, .après de très sérieuses études, a été attaché au ministère du commerce. Il est entré ensuite dans l'administration c des postes, où il n'a. pas tardé à se faire c remarquer. T Appelé au poste si important de Nancy, 1il y a donné la mesure d'une intelligence 1à ia fois très vive et très souple. Car M. Brisson n'a rien du fonoHonnaire ancien modèle, empêtré dans les ri' goureuses formules, jalousement retrant 1 ché derrière les dossiers d'un rébarbatif 'bureau. -i ■ rm POUR L'AVI Al ION MILITAIRE M. BRÏSSON NANC*, —r |j _ . . n-_a__ 1 ETAT CIVIL Du 10 Janvier Naissances Paul-Camille-Désiré Nicolas, rue <j<? r Se 4.— Ïtenôe-Luclenne-Emélie Bru-lum-nn de la Liberté, 8.— Madcleme-CuUipri'ho nr,l< set, place iSaint-Epvrc, ('■a)u-jeiil,.j,-"11~*1. Bellâtre, rue des Oualiv-Eglises, ÔG — ne-Georgettc-Josépliine Ginsz, rue 'dow7'8* tre-Eglises, 56.— Je'an-René-llernard U M^ Wua» de Nabécor, 15 bis.— Marie-Louise Neilio itu' U^K^ rue Maréchal-Exelmans, 27. 1 Publications de mariages Nicolas-Louis Charles, charron, rue Vi nie-Mauvais, 24, et Laure-Lueio Doua & 1 1 turière à Liffol-lc firand (Vosges).-. frVnc°<t 0 Joseph Gœury, chapelier, rue Juies-i-Yr,./ .'* et JanH, chapeliére, rue u., r' S | llose-Elise hlaine, 55.— René-Marcel l.injrelser „;,'°* "l'Est républicain"! i .Envoi de M. Mossêr. - Aquarelles : M. L. Gentil, — M.-A. Pierson. — Paysages lorrains : Le village de Marcel Pouret i Les Meu/es de A. Vierling. — Un maître coloriste : Pierre Waidmann. — Ml. Kind offre : des « Violettes » ; Mlle Tribout : Lièvre et perdrix. I xvre, rue du Pont-Mouja, 2, et \'ii*toriI>O<AU" I ç. gustine Klein, lingëre, rue .'Sai 11 t-'l'l 1 iébau* o1' 1 — Paul-André Moudin, ouvrier d'usine à D I Nous avons encore beaucoup à glaner fgny-sur-Meuso, el Marie-Pélagie Roton 1 t .parmi les œuvres des peintres. Un aqua- mestique, rue des Dominicains, 57. — Goor» I r , relliste de première force, M. L. Gentil, IEugène Werguct, tourneur sur métaux 1 1 1 (élève du maître Renaudin, a fait don à ville, et Céline Laharotle, brodeuse, villa v * 1.— Gustave ■Henri Berné, pâtissier , I l'Est d'une Porte de TJverdun dont on ne dler, j 1 19 c 113, et Marie-Emilie-Martho Hr! [ saurait trop louer, et l'exactitude dans la Saint-Dizier, j 011 pin, sans profession à Vie (Lorraine) _ f', [ jperspective et la technique triomphante. { Gérard, journalier, ruo des Quatrs-rj)KqiS£l5^{i I Par les .réserves adroites, si difficiles à et ( Emélie Noël, casquettiere, ruo des inint ■ \ , réaliser, de ce genre de peinture, M. Cen- 1 46, de fait, de droit à Tonîbbin" \ W1 ^til a dressé, en contre-jour, cette vieille Eglises, (Meurthe-et-Moselle). °e | ( .porte de la petite cité du moyen-âge. Mais Décès ' contraste à la note sombre, le mur enGuillaume Chastel, 73 ans, instituteur en .soleillé du parapet de la haute terrasse, la Jretraite, ruo de la Ravinelle, 71.— Anri« » Jrue toute blanche qui fuit derrière la porte Charles Breitenreieher, 2 mois ot 5 jours n ( Gambetta, 35.— Jean-Pierre Gabriel, 10 trîv c se composent en un décor naturel, non , Jpoint pour quelque drame romantique, et 21 jours, rue do l'Etang, 187.— Charleuj? seph Chabeaux, 52 ans, journalier à I'sçp» f jmais pour le passage paisible d'une pay- les-Nancy 1 (Meurthe-et-Moselle).— Marie-Léni , sainne en hâlette. JUne Barbier, 39 ans, ménagère, épouse liT rue Saint-Mihel, 4.— Cloilde-Fernande J«' La ville, mieux : la capitale, n'est pas tin, j ,loin de l'humble bourgade... sur un pan- lin, 20 ans, ouvrière d'usine, célibataire i (Meurthe-et-Moselle). — Borimpî neau d'exposition. M. A. Pierson, ne à Tomblaine jRomens, 58 ans, sans profession, rue du i£„ , Nancy, et dont le talent se fit consacrer au bourg-des-Trois-Maisons, 78.— Marcel I>HIM t <Salon des Artistes français, a fort alerte- ; Jment « lavé » ce coin du Boulevard des Ita- 3I ans et 11 mois à Ileillecourt (Meurthonï Moselle). — Clotilde Beauguillaurne, 64 an« , célibataire, rue de Villers 20 liens qu'il nous envoie. La fine atmosphère propriétaire, j de Paris donne de la distinction à tout ce ' JMarie-Clotilde Kinsinger, 20 ans, domesti»» ' ^ qu'elle enveloppe : aux formes féminines, célibataire, rue do Mon-Désert, 78. . au profil des monuments, aux teintes elles\ mêmes du sol et de la verdure des arbres. ; ]La pimpante aquarelle du jeune maître .attira plus d'un regard, à toss points de îvue... intéressé I AVIS MORTUAIRE Et,' pour bien montrer que nous n'éta] blissons ici aucune hiérarchie surannée, ,nous terminerons aujourd'hui notre exa- ; Vous êtes prié d'assister .aux coavoi fu. nèbre et enterrement de rnen par la peinture à l'huile. . Que M. Mosser soit remercié de nous | avoir envoyé La Bergère, une copie qui est Propriétaire ]loin d'être'méprisable. Copie de qui ? Les 1 tons du tableau feraient assez songer à décédée 1 à Nancy, le 9 janvier 1913, Feyen-Perrin. . isa 64* année, an un le des sacrements d« Ceux que séduit, principalement en pein- l'Eglise, qui auront lieu le samedi 11 coujture, un gracieux sujet, aimeront la svelte rant, à une heure et demie du soir. De l'église du Sacré-Cœur on se rendra, ; ;jeune fille qui garde ses moutons dans une solitude alpestre. au cimetière de Préville, où aura lieu Lorraine, que tes charmes sont donc l'inhumation. puissants, et qu'ils sont divers pour que tu Maison mortuaire : Rue do Villers, 39. puisses, aussi souvent, aussi heureuseIl ne sera pas envoyé de lettres de faire ■ ment inspirer les peintres ! Voici Le village de M. Marcel Pouret, part, le présent avis en tenant lieu. De la part de : Mlles RODET, à Paris • d'une puissante saveur agreste. Pas un détail qui ne soit à sa. place, et scrupuleu- Mme veuve DUMONT, à Nancy ; MM* sement observé. La rue montante est bor- BEAUGUILLAUME, à Nancy '; M. Maudée de maisons aux grands toits recou- rice KDEIN, à Nancy, ses neveux el nièvrant les granges profondes. Un cheval de ces, et de ses nombreux amis. labour est encore tout harnaché. Une fem- 1 me passe, tirant à elle un »>etit enfant ~ui AVIS MORTUAIRE trottine. Le clocher do l'église, à la toiture aiguë, est là, sur la droite. Et un ciel Les personnes qui par erreur ou omie ... bleu pâle, et du soleil qui met do ta îoie sion n'auraient pas reçu de lettre do faijusque sur le. fumier où les poules pico- re-part du décès de rent ! Simple, claire et reposante symphonie champêtre I Les Meules de M. Vierling sont à flanc Ancien chef de bureau à la mairie ëe de coteau, luisantes et dorées, au premier Nancy, déceré de la Médulte des plan. Le plan intermédiaire est occupé aneiens cembattanis de 187-0 par un bouquet d'arbres sombres. Et T arrière-plan, est la ligne violacée de la colli- décédé à Saint-Max, le 10 janvier 1912, ne, de l'autre côté de la vallée. Ce paysage dans sa 68* année est connu comme un visage ami. Il fait songer à des vers de Tonnelier, à des des- sont priées do vouloir bien axeuser la faconsidérer le présont avis criptions d'Emile Hinzelin ou de Moselly. mille et de Voyageons un peu. Nous sommes en comme une invitation à assister aux coapleines Vosges. M. P. Waidmann, socié- voi funèbre et enterrement, qui auront taire et membre du jury de la Société na- lieu le dimanche 12 courant, à 3 heurej de l'après-midi. tionale, nous y conduit. Cette ferme des On se rendra au cimetière de la comenvirons de Remiremont (ville où naouit mune. l'auteur' en 1860) est une notation charmante de couleur, sur un ciel baigné de Maison morlûaire : rose au crépuscule. Ajoutez à la prairie, Rue Centrale,' Saint-Maxdoucement éclairée, derrière la maison, De la part de Mm» Félix Marchai, et de une fumée chaaspêtre qui, devant elle, s'é- ses enfants ; des familles MARCHAL, lève bleuâtre, et vous ;a'aui>e* qu'une faible HOGARD, IMBERT, LENEZ, de Boulfty, idée du charme très grand du tableau. BAGARD, THOMASSIN et PETECH. Ecoutez plutôt M. Roger Milès qui écrit : 1—1 M Mil I I I 111 II ■ I IJ i I I .. rjg^.- 1 ^ « La Nature apparaît toujours en décor à REMERSIEMENTS Pierre Waidmann j>. Il se pourrait que ce fût la pratique de l'eau-forte en couleurs, M. et Mme Jules CHEDEVITXE et k«u» où M. Pierre Waidmann est également un enfants ; M. et Mme Eajile PFEIFFER, maître, qui le conduisit à ces recherches née CHEDEVILLE .et leurs &»fà.nts, re | délicieuses de la couleur, à ces effets dia- mercient bien siBeèiiament toutes le* perprés chers à Taulow. L'amateur d'art ~ue sonnes qui leur ont ^émaisné de la sympale sort favorisera en lui ppocaraiHt l'œu- thie à l'occasion du décès de leur très revre de Waidmann emportera, je l'affirme, grettée grand'iBere une véritable petite merveille. Quelques personnes s'étonnaient de ne point voir le nom de M. Kind à cette ExNÉE GERMAIN position. Qu'elles so .rassurent. Pressé par le temps, réminent peintre de fleurs envoie — joli geste, bien printanier — un Bon pour un bouquet de violettes. Eh ! N'en sentez-vous point déjà l'odeur ? Les tableaux de fleurs ornent d'ordinaire les salons. Mais las salles à manger, Fédération lorrains el'eserime. — Dans plus positives, accueillent volontiers Tes un but d® défense et de propagation de natures mortes. En voici une aux tons cha- l'escrime dans notre région, un gre«p* leureux : Lièvre et perdrix, de Mlle M. Tri- d'escrimeurs s'est réuni il y a quelques bout. Et c'est là encore une toile attachan- semaines à l'occasion, d'une épreuve d'éte, en son genre comestible et cynégéti- pée et a fondé la Fédération lorraine qje. d'escrime. Elle nous permettra de dire : de même La première assemblée générale qui eut que pour faire un civet, il faut un lièvre, lieu le dimanche 5 janvier, composa l« de mémo pour mener à bien cette superbe bureau de la façen suivante : Exposition où nous avons passé tant d'heuPrésident, M. Bachelard ; vice-présires agréables, il fallut des œuvres... Ai-je dents, Dr Gille et P. Elbel ; secrétaire*. réussi à prouver que grâce au talent et à E. Velin et A. Rohmer ; trésoriers, Marla générosité des artistes lorrains, elles villet et Toubin. furent nombreuses, et toutes désirables ? Le premier acte do cette société sera de Jo le souhaite de grand cœur. . faire tirer en février une poule de maî7 janvier 1913tres d'armes dotés de prix importants. AVION I. Elle fondera ensuite dans lo courant de . «-... ' .«a 1913 une épreuve trimestriele d'amateurs. Grande fête enfantine Les membres de la Fédération lorraine C'est hier jeudi que le Ciné-P.a.lace donriait la grande fête enfaaitine dont nous d'escrime espèrent que tous les fervents avons parlé. Plus de douze cents moutards du noble sport lui prêteront leur précieux appui et tiendront à soutenir ses effort» l'ont honorée de leur présence. Comblés de gâteaux,et de jouets, ils se et à y participer en adhérant à la Fédération. sont déclarés satisfaits) I I DEBIL IMBDIAr^" Magasins RjonU I Mademoiselle Clotilde BEÂUGUiLUURE Monsieur Félix-Etienne iSRCUIL 1 m Madame veuve Eugène CKEDIÏtUE êl)Foi)iqûejpoFtiïi Bal «es typographes C'est aujourd'hui, samedi, à neuf heures, salle de la Renaissance, que la Chambre syndicale typographique donne son bal annuel au profit de sa caisse de secours de chômage et do maladie. Prix d'entrée : 50 centimes, donnant droit à deux billets de tombola. Malade êms la rue Dans la matinée d» vendredi, M. Alphonse Gaertner, âgé de 42 ans, demeurant à Saint-Nicolas, paskint rue de Strasbourg, est tombé subitement malade près de la porte Saint-Nicolas. Les agents du bureau de police de la rue, de la Prairie furent prévenus et à l'aide, d'un brancard transportèrent M. Gaertner• à l'hôpital, où son état a été reconnu assez grave. Broutilles Vendredi à 7 heures \ du soir, un feu do cheminée s'est déclaré chez M. Pierre, cordonnier, 21, rue Clodion. Les pompiers appelés, ont fait le nécessaire. OMS LA Bmuwêt JARVILtï Chute de quatre mètres. — Vendredi n* tin, vers dix heures, un ouvrier maçon, travaillant à la construction d'un b*»' ment aux hauts-fourneaux, était m°nte sur un mur récemment élevé. La maçonnerie céda, cet ouvrier tomb» sur * sol d'une hauteur de quatre mètre* Dans sa chute, il s'est fait de sérieuse» contusions. 1 CHAMPIGNEULLÉS Aeoideni mortel.— Vendredi après m'ioj» M. Georges Schœffer, âgé de 21 ans, crocheur à la compagnie de l'Est, detiicu rant à Champigneulles, était occupé su les voies de triage, lorsqu'il fut surpr1 par une rame de wagons qui le renvoi'3^ Uno partie des wagons lui passa sur corps, lui broyant tout le côté gauche. M. Sdireffer fut transporté aussitôt » l'hônital de Nancy, où il expirait Ve après son arrivée. rf Coups. — M. Augusto Troësler ,sWC%'f^ Nom rappelons à NOS ABONNÉS que toute lant aux usines de Pompey, a déclaré 0liv ',]n demande de CHANGEMENT D'ADRESSE doit la gendarmerie que Jules Rosier aux hauts-fourneaux, l'avait frappé du tire accompagnée de la dernière bande inr coup de poing à la suite d'une obseiv primée et de CINQUANTE CENTIMES {en tim- tion qu'il lui avait faite. Cet ouvrier » bres-poste ou en mandat postal), pour jàéft vu il é. ..dément ïucnaçé d'un „«o.uj> <mm de réimpression de bandes. ■poing, ■ y ...w.-....j.-.-.L.^r.:i. DU 20 CORPS Désertion. Que les choies , , ^■^xtjtpÊtWÊâ _tt__HM__jVii'iwitSlitiiài, jjjntana», fiai, ,iiag»w<fcrty .. «^3ae>^jrtfc La soiréejiu CasinoI tLE DÉSERTEUR. — UN PETIT SÉGUIN f.2ï Hiriîlsr sont donc Quand le « Déserteur » fut joué au Carcgri . i a généralement que çettfl pièce dispagût si tôt do 1 affiche. Elle est i -venue hier. Nouvelle troupe et pui'lif iic , nouveau. Seul, l'accueil n'a pas ch-ingé. Delpieiie a interprété le rôle de PratScn avec autant de bonheur que M. Villari — un -lc3 auteurs du « Déserteur » — N venu exprès à Nancy, il y a trois mois, { pour ceite création. ( Sans inutile déclamation, sans forfanterie clbauvine, Del pierre a campé un {pi i s'innage dont le tangage patriotique „transporta d'enthousiasme les loges et le « poulailler ». M. Mu raie v fut un capitaine Baguirel t cciriecl, indulg'ent, guidé pa1 la discipline et la conscience impérieuse du devoir ; le ous-ofifkâeœ nd Pontoc eut un retentir Siincere ; Mme Lydia Berthy déploya im cyn.isme tel qu'à maint> reprise ,te .salle prêtes!» oont»« les perfides îgissefoeritt de cette coquàne a.u service de ! iespioiHJagie étranger. ■i Le Peiit Bégiwn » est aussi une repri(se. Au tliéàlio comme en couture, les bon~ 'jnes reprises font tenir souvent les bonnes pièce*. C'est le ca«s. Ratcée, en camelot éclioué par liiasard dans le lit d'une demi(ii«w,t,i.ii«, obtint de longues ovations. Dos ;autres rôles mirent en valeur M. 'Moraiii ;, 'Mmr>s Darlez et Darty. Signalions le succès remporté par GnrnéOT dont 'es finalités de comique idiot ; ,exercent, à coups de grimaces ot de facéties, unie irrésistible influence ; les n.pplaudiwemenle qui saluèrent les si jolies romances de Mme Lydia Berthy. , Les Hinsler sont une « attraction » dans 1toute l'acception du terme : le lancement des oarceartix, le ch'-essage du fox-terrier, ! les exercices de jongleurs, la présentation ' amusante do ce « numéri », ont contrij bué nu triomphe d'un programme absolument parfait. — L. .„ «e-*»-»-— ™ t oo, on <erti> "iies> )■ i tiS0i re^1^-,' uopuis . .. . ; , je mois U octoore uei- ^!!n omis. Jl lut arrête u Paris pur la sùJeté le a decemnre. uCi naru prétend tju u s'est laissé » montOT le cou ». UJI lui aurait fait et uiie qu il pouvait prendre trois mois .j,. vac-nin-cs avant d'être porté déseiieur et que sûrement, dès *sa rentrée au réginu m, on l'enverrait dans l'infanterie. Déjii au'moment de son incorporation il avait leur âH*ré cavalier. 11 se plaint que son brigadier l'accafclait de corvées. Bernard a passé une partie de sa jeunesse dans une maison de coi rectum. Qu'aviez-vous fait ? lui demande M. le président. — J'a\ats été entraîné dans une tèo* talive de vol. . — Alors vous subissez l'influence de tout le monde ! jf« Raymond Hubert présente la défense de* l'accusé. Le vrai motif de la désertion de Bernard serait, dit-il, l'amour, le bel amoiir ! Bernard connaissait à Parts mie jeune couturière « aux yeux de reine ». Elle ne cessait de pleurer. Bernard voulut aller essuyer Site larmes. Cette noble occupation le retint peut-être trop longtemps. M" Hubert, qui débute à la barre, demande au conseil, dans une belle et éloquente plaidoirie, de se montrer indulgent peur l'accusé, malgré ses mauvais antécédenta. — Un an de prison. Rébellion. — Les soirées sont mornes à le caserne. Etienne-Alphonse Layat. cavalier au 18" chasseurs, à Lunéviiie, aime la danse. Un bal voisin du quartier a ses .préférences. Malheureusement des permissions sont très rarement accordées à bayât. Sa conduite laisse à désirer. Aussi enjambe-t-il parfois la consigne et,., le Mur de la easerne. Le 8 décembre, vers minuit, Layat se rendait au bal, après escalade, quand sa tenue incorrecte attira la vigilance d'une patrouille. De son côté, Layat ayant entendu un bruit de bottes, cherchait à se dissimuler. « Arrêtez-moi cet homme en bourgeron », commanda le brigadier Verment, du 31p dragons, chef de patrouille. Les pieds chaussés de sabots, Layat ne put s'enfuir assez rapidement. Appréhendé par le cavalier Broé, Layat résista et lui porta un coup de poing en pleine figure. Il en profita pour s'esquiver. Ayant dû abandonner ses sabots dans la course, il en fut très affècté. 11 revint sur ses pas et cria : « Je me rends ». Mais dès qu'il fut remis en possession de ses sabots, il prenait la fuite une nouvelle fois. Mais comme on avait fait contre-appel au 18e chasseurs, sa fugue était découverte. Layat est un engagé volontaire de 5 ans. Il compte jusqu'à présent 2 ans de service et 174 jours de punitions. Entendu comme témoin, le cavalier Broé vient déclarer qu'il a été très vexé de recevoir un coup de poing du cavalier Layat. Celui-ci nie le geste et prétend qu'il a simplement bousculé la patrouille. M» Lérô. sollicite l'indulgence du conseil. — 2 mois de prison. ______— .«>-■# ♦ 1 GROUPES et SOCIETES Anciens élèves de l'Ecolo supérieure. — La réunion mensuelle des anciens élèves, sertis de l'Ecole supérieure au cours de m dernières années, aura lieu à l'Ecole, 64 Grande-Rue (salle III), le dimanche î£ janvier, à 2 heures et demie de l'aprèsasldi. Ordre du jour : Causerie et conoert organisés par plusieurs camarades. Cercle des employés de Nancy. — Grâce à ituitlillOB d'employés dévoilés à cette «suwe, une réunion a été tenue mercredi 8 janvier, dans l'un des salons de la brasstrie Majestic. ¥ assistaient une cinquantaine de personnes, dames et. hommes.apparienant an personnel des différentes maisons de la ville. L'idée de fonder un cercle pour les employés était une innovation pour Nancy. Lie but louahle de cette association est de pPooujoT à ses adhérents -un siège social où se trouvant cher, eux, toute politique exclue, ils entretiendront et narrer mot les liens de fraternité et de bonne camaraderie qui doivent les animer. Des soirées récréative», organisées régulièrement, viendront apporter un divertissement au labeur continu. Pour les renseignements et les adhésions, s'adresser au secrétaire délégiué du bureau provisoire, M. René Petitdidier. 37, rue Pasteur, à Nancy. Société d'études psychiques de Nancy. — La prochaine conférence ao-ra lieu le etimonebe 12 janvier, à quatre heures et demie, salle de l'Agriculture. M. Julien. Cordier, avocat, ancien député, continuant la série de ses si instructives étude», a pris pour sujet : « La chute1 originelle- d'après la doctrine ésotériW* »• La France prévoyante. — Les sociétaires sont informés que la recette et le paiement des pensions aura lieu le dimanche 12 janvier, de dix heures à onze heures, à l'hôtel de ville, salle des Pas-Perdus. Association des anciens élèves de l'Ecole supérieure. — La réunion mensuelle des membres de l'association amicale des anciens élèves de l'Ecole supérieure aura lieu le samedi 11 janvier, à partir de huit heures et demie du soir au café de la Bourse, place Dombasle (salle réservée). Le bulletin de l'association est à l'impression. Prière aux camarades qui auraient change de domicile au cours de l'année, de vouloir bien en aviser M. Dôme, professeur à l'Ecole supérieure, secré-. taire de l'association. Société industrielle de l'Est. — Une conférence avec projections sur Nancy et la, Question du Plan d'extension des' Villes, faisant suite à celle du 23 décembre, sera faite lundi prochain 13 janvier, à cinqI heures, dans la grande salle de la Société ■industrielle, 40, rue Gambetta, Nancy. Lesi dames sont invitées. Club-alpin français. — Promenade du 12! janvier 1913. — Départ le dimanche 12! janvier, de la place Carnpt, pour Pom-■ par le tramway de 13 heures. Par lai «orêt de l'Avant-Garde, à pied à Liver*an. Retour à Nancv en chemin do fer ài « heures 13. Photo-phtfo nancéien, — Dans sa séan-ce du 5 janvier dernier, le conseil d'admi-nistration du « Photo-Club nancéien » aÏ •renouvelé son bureau pour 1913 commei suit : Président d'honneur : M. le docteurr Henry Sogniôs ; président : M- Gastoni smivuer ; vice-présidents, MM. Paul .Ta»-TM », Georges Biaise ; secrétaire genê-usné Bril M H le ; secrétaire-adjoint,, maïm anAi > trésorier, M. André Jac-.rtTi r ' bibliothécaire-archiviste, M. Mar-'cel Jourdant ; Chef de laboratoire, M.. erre Volck ; membres du comité, MM. T r.Bertrand, Gaiffe, Hekking, G. Jardia,L ■«Mscau, p. Mathieu, Pourcines, Roquîn. • - n "*'on des commerçants de Nancy, à, "fins sa dernière réunion, la commis-i:i 3 fÔtCS de 1q FCN a déci<iô C ue la Uia ~ ' 1 ..an,nueiie de ce groupement, aurait lieui . dimanche 26 janvier prochain, à l'issuee Irm800 assemblée générale et dans les sa-,rest aurant Walter. sou- J comPortera un dîner suivi d'uneo ansarite n ^Hon) - (° cause même d'un co-i- pey, »V C£tieUs. reviendrons prochainement surr e don * l'organisation so poursuitt irnent fet qui sera certainement dess *ct\Miil ™$ >wliantes. 4_5«23_«S5^iîï"'~ GRANDE TAVERNE. — Vendredi 10 jan- • A roccasion d 'udépart de M. Pa.pclier, vier, débuts du nouveau programme : Bov, i le poney universel, présenté par Mlle G au- bloe 1 lui vole une adresse de sympathie. li'ier, et ses chats, chiens et perroquets Une disoussâon s'engage ait sujet d'un dressés ; Mario et Zoraïde, acrobates mon- projet i de loi, visant les .manœuvres et les dains ; Les Dufour, duettistes de l'Alham- exercices t Inilitadres opérés autour des vilfra ; Lem-Put, phénomène vocal ; Mlle Va- les 1 de garnison par les troupes ou porlenza, virtuose sur harpe ; Mlle Tarral, tions t de 'troupes. Les propriétés privées chanteuse de genre ; Prison sur le Gouffre, isouffriront beaucoup de ce projet et les 1 Ciné Gaumont. indemnités .allouées seront paraît-il minimes. L'évaluation des dégâts sera faite un officier ayant pris part, à la nnaCINEMA-THEATRE. - SALLE DECLIN. par 1 Samedi 11, soirée ; dimanche 12, matinée 1nmuvre. Le comité émet on vœu à l'una1 rejetant ce projet de loi et s'assoet soirée. Programme sensationnel qui nimité aux vœux du comice de Verdun et de fera coorir tout Nancy à la salle Déglin. cie J la M Hérodki.'le », grande tragédie en trois ' Société centrale d'agriculture. La commission des finances est renouparties ; « La Dentellière », Lu » Loi de M. Ch. Mosson de Toul ; Génin, de la guerre », « Le Venin », grands drames velée. J Mootirot ; Fontaine, de Pagney ; Marquis, émouvants. <( Tire aux flanc* », d'après la célèbre 'de Toul, et Dev.out.in, de Mont-l'Elroit. La commission de publicité est aussi recomédie militaire de M. Sylvane, inter: MiM. Vincent, Guyot, Baret, prété par les créateurs Plus de deux mille nouvelée j représentations à Paris de ce record du 'René Den is ot Fisson. rire. M. Bla.ison, d'Ecrouves, a.ppe-lle l'-atten« Le Voyageur 'grincheux », film par- tion du comice sur la production fruitière. M. Herrgott .en prend bonne note et excilant. Grand succès. fera, les sociétés scolaines à cette produoAU CINÉ-PALACE. — Le programme ttion, notamment sur la mirabelle. II siéra du 10 au 13 janvier inclus comprend des créé < des prix pour l'établissement de verfilms sensationnels : des comiques, des tgers. j voyages et des drames comme <c Pour la Une désespérée. — Une jeune fille de Pairie », q-ui nous retrace un épisode de Foug, ' Gabrielle Butti, dite Grosjean, rel'épopée révol'itioi-nuire ; « L'enfant dm cherchée < par le parquet de Toul pour comCambrioleur », pathétique, et surtout le îplicité de vol d'effets militaires avec des » Mystère de la B.anqjUe d'F.IU-City ».Suite .soldats f du 160e et aetuellement sous le des aventures toujouM si impressionnan- coup < d'un manda* d'arrêt, s'est jetée tes d'A-rizona-Bill. ' < dans le canal do la Marne au Rhin, entre Une fois de plus, la j-olie salle sera trop les 1 écluses 15 et 14 et s'est noyée. San petite. icorps a été retiré jeudi dans l'après-midi. '■■■■■■■'■''■'■■•"'■^^ . Cette jeune fille, âgée de 22 ans, était très mal motée et était de mœurs douteuses. Théâtre. — Rappelons à nos lecteurs que c'est lundi prochain 13 janvier.qu'aura lieu au théâtre municipal la représentation des « Saltimbanques ». Tout fait augurer un très brillant succès, l'œuvre charmante de Louis Ganne et de Maurice Ordonneau étant, à juste titre, une des plus populaires parmi le répertoire d'opérette. Chronique ; départementale ! MEDRTHE-&-MOSELLE ' ARRONDtSSEMENT DE NANCY BELLEVILLE Cambriolage. — M. Bentz, architecte à Nancy, possède à Boflevitle une charmante villa que les cambrioleurs ont visités la nuit dernière. Avec une audace et une agilité remaïquables ils pénétrèrent dans l'immeuble par une fenêtre du premier étage après avoir brisé un carreau. Ils se retirèrent en emportant une bicyclette et une canne à fden. Une enquête a été immédiatement ouverte par la gendarmerie de Pompey. il semble qu'une bande de malfaiteurs s'est installée dans cette région, où l'on signale de fréquents cambriolages. THEA TRES THEATRE MUNISîPAL 'Cil NAMSY. — Samedi 11 janvier, création à Nancy, de ;l'énorme succès mondial : « Princesses Dol;lar », opérette en 3 actes et 4 tableaux, de MM. A.-M. Willner et Gréinbaum, adaptation française de W'illy et Raphy, musieiue (do Léo Fall. Au 2« acte : Ballei-Dar.se des Cosaques. Bureaux : 8 heures. — Rideau : 8 h :ufîs à * ** Dimanche 12 janvier en soirée deuxième de : « Princesses Bollar ». La location ouvrira vendredi matin. R03IÊRES-AUX-SAÎNES Vol. — Un inconnu a pénétré dans une propriété située au lieudit « Les Plantes », appartenant à M. Joseph Morcel, et a dérobé dans la loge deux pinces en fer d'une valeur de 15 francs. La gendarmerie a ouvert une enquête. Suicide. — M. Gaillard, aubergiste, étant intrigué de ne pas voir 'son voisin, M. Mark Walter, vaquer comme d'habitude à ses occupations, pénétra»chez ce dernier et ne trouvant personne, pas même au lit, en sortant il vit le coros de Mark Walter qui se balançait à une corde derrière la porte. M. Gaillard coupa la corde mais la mort avait fait son œuvre. M. le docteur Sprauel fut appelé,mais tous les soins furent inutiles, Mark Walter souffrait d'une maladie d'estomac, et c'est à la suite sans doute d'une crise aiguë qu'il mit, fin à ses souffrances en se donnant la mort .Mar Waletr était veuf, et seul chez lui. C'est un Vétéran de 1870 | qui disparaît et honnête ouvrier. H était âgé de 63 ans. La future direction du théâtre. — Nous avons donné récemment la liste des directeurs ou artistes candidats à la direction du théâtre pour l'an prochain. Nous avons dit aussi que la commission théâtrale avait élaboré un nouveau cahier des charges armant très complètement la municipalité contre le directeur éventuel. Ce cahier tles charges a été envoyé par la municipalité à ceux des candidats dont les noms paraissaient pouvoir être désignés au choix de M. le maire. Or, il nous revient que deux candidats sérieux auraient, après avoir pris connaissance du nouveau cahier des ebareres. déclaré retirer leur candidature, estimant qu'il serait imprudent pour un directeur scrupuleux de signer une convention qu'ils pensent — à tort ou à raison — être impossible à respecter salle Poirel. Nous avions annoncé aussi une nouvelle candidature, présentée par une haute personnalité théâtrale ayant dans notre' ville les plus honorables attaches de famille, et qui va être appelée à diriger prochainement un nouveau théâtre parisien particulièrement considérable. Nous appre nons que cette candidature, dans l'état actuel, de la situation, ne sera pas po: sée. Ajoutons, enfin-j que M. le maire compte, dans quelques jours, nommer le nouveau directeur, après avoir de nouveau réuni la commission théâtrale. ARRONDISSEMENT DE TOUL TOUL La foire de janvier. — La foire de janvier s'est tenue comme les années précédentes sur le cours Alsace-Lorraine, vendredi 10 janvier et a été fort peu fréquentée. En raison de la fièvre aphteuse aui recommence ses ravages dans l'arrondissement, l'espèce bovine .et porcine n'était pas représentée. Une vingtaine de chevaux, bêtes de i»édiorre qualité ont été l'objet de fort peu de transactions. Prix des bestiaux : Moutons, 1 à 1,10 ; veaux, 60 à 65 ; vaches, 65 à 80 ; taureaux, 05 à 75 ; bœufs, 80 à 85 ; cochons, 70. La revue des déeoratïons- — Les musiques du 146e, du 153e, du 156e d'infanterie, prendront part à la remise des décoralions qui aura lieu samedi à 2 heures, sur la place de la République. 'Bous les détachements des troupes de la garnison, un bataillon par brigade, batterie, peloton, seront commandés par le major de la garnison, le colonel Bouchon. Tous les drapeaux et étendards seront présents. Voici la liste des décorés : Légion d'honneur, commandeur, M.. Germoin, colonel au 1er spahis en retraite à Saint-Urbain (Haute-Marne). — Officiers, colonel Wirbel, commandant la 77e brigade ; lieutenant-colonel Klein, du 156e ; chevalirs, eommandant Etienne, chef d'état-major ; capitaines Biaise, 69e, 3* bataillon; Luchini 150e ; Gigout,6" d'artillerie; Sergeot, 39° d'artillerie ; lieutenant de réserve Schmidt, régiment de Neufehâteau ; M. Charroy, officier d'administration de 1" classe du parre d'artillerie. Médaille militaire. — MM. Maincent, adjudant au 153' ; Munier, chef armurier e au 156 ; Laurent, maréchal des logis au 39e d'artillerie. Comice agricole. — Le Comice agricole ele l'arrondissement de Toul s'est réuni vendredi 10 janvier, à 10 heures et demie du matin, dans la salle ordinaire de ses séances, à la mairie de Toul. M. Grpjean, do Villey-Saint-F.tienne, présidait. Sont admis comme membres : MM. de Gonneville, inspecteu fd'assurances ; Thomas Armand, de Saizerais ; Collotte Auguste, de Dolcourt ; Maige Charles, Morlet^Edmond, Rousselle Auguste, Btmllond, de Gondreville, Merry Louis, de Bicqueley. Le syndicat d'élevage des chevaux de trait a renouvelé son bureau : Président, MM. Petitdant, renommé pour la troisième fois ; vice-présidents, Henrion et Parisot ; secrétaire-trésorier, Fischer. Vendredi 24 janvier, à 10 heures du'■ matin, sur le cours Alsace-Lorraine aura lieu la visite des étalons recommandés par lo syndicat. — Le syndicat ibovin, sous la présidence de M. Armand, de Saulxures, décide qu'en raison, de la fièvre aphteuse de ne\ faire aucune importa tion, en en laisant le soin aux propriétaires. Toutes les indi-; cations nécessaires leur seront données. . ; Sont présentés : MM. Jules Billon, de Thiaucourl ; Thiriet Maximin, de Ménil-, j lot ; Hanzeau Georges, .à Toul ; Ernest' ; Malet, de 'Martincourt ; Petit, de Xam-\ : mes ; Renauîd Paul, de Fécocourt ; Lho-_ mond Gustave, Gué nord Maxime, de Pan- j nés ; Leprince Louis, Rouyer Auguste, Mcrlet Auguste, Lalorrain Albert, d'Èssey-' et-Maizcrais. M. Hcrrgott, sous-préfet, assiste à' lal CONCERTS LA FÊTE DE NANûY-CHORAL. — C'est le samedi 25 janvier, dans la grande salle des fêles de la Brasserie Michaut, cpi'aura lieu te fête aimueJlft de Nancy-Choral, qui comprend un concert suivi de bal, et qui obtient toujours un si gnand succès auprès1 du public nancéien. Cette année, la jeunei et variante société a composé pour le con cert un programme de choix. On y retrouve avec plaisir les fameux Minstrels parisiens qu'on n'a pas entendus à Nancy depuis quelques années. Le prix de la carte' d'entrée pour le concert et le bal est de cinquante centimes, donnant droit à eleux• billets de tombola. Une bonne soirée on1 perspective. Nous en reparlerons. SPECTACLES; ■ CASINO. -- « Le Déserteur » a retrouvé• son succès. « Dclpierre » nous a fait plaisir dans le rôle de Pradon, dit Nick, Ya-• rel a été très bon dans « Ilenrickz », l'offi-■ cier allemand, et Muralley a rendu mer-• veilleusement le rôle du capitaine Bâche-rel. Nos félicitations à Mme Lydia Ber-• thy (Sarah), Lntr-eil, toujours le même> dans le rôle d'Oskoff, Gibert M, qui a très! bien rendu (Roland de Pontac), et Garnier (Walter). C'est une véritable joio de retrouver: Ratcée dans « Un Petit Béguin », rôle de! Lafouine. Cette pièce est également enlovée avec maestria par tous les interorè-tss Les débuts des « Hinsler », les maniou-latcurs de cerceaux, ont été on ne peutt plus intéressants. clie). L'ZÎT nS^UELîîi"1 IN jj Spctsoles-Goncerts EDEN-TK'EATRE. GINEMATOGRAPHE: PATHÉ. — En raison de la vogue légitimes obtenue par ses pièces-classiques, la mai-. son Pathé a monté avec un luxe exception-. nel la tragédie de Racine. : Brilanvicus, interprêtée par les artistes de l'Odéon,' MM. Joubé, Signoret et Hervé, Mmes3 Grumbach et Sylvie. Une funeste ambition dévore Joakim1 Gœthal, qui, pour conquérir une femme, s'apprête à livrer le secret de fabricationj de l'acier chromé. Les auteurs américainss ont solidement construit sur ce sujet una drame qui passionnera les Nancôiens. Dee même t' « Attaque des Indiens » fait revi-. vre les moeurs dos peuples nomades tou-i. jours en guerre avec leurs voisins, Parmi les scènes comirmes, notons less désagréments de Pénard, chef d'une tropp nombreuse famille, les tours que joue « unn iRobinet récalcitrant l'enlèvement en-, hydroaéroplane où Max Linder met toute 6 sa verve, les ennuis éprouvés par Rigadin n quand il fait mal ses commissions, etc.. ,t Un numéro d'acrobatie du trio Noel's et les divertissements des marins américains8 ,s sur le « Connecticut », accompagnent les . actualités si captivantes du Pathé-Jourf nal. . Entre autres événements, citons le drax i mo du Perreux, Sarah Bernhardt à Chi• cago, l'explosion du « Masséna », la Croix' Rouge en Turquie, la Fête de la Vierge L du Corail en Italie, un essai de paruehute, le grand-duc de Mecklembourg chasse le faisan, une terrible catastrophe de chemin de fer en Italie, etc.... 3_ REPRESENTATIONS : Vendredi, samedi et dimanche, soirées (matinée- le diman- j ' 1 réunion. Le ministre de l'agriculture signale lesj fraudes qui se commettent dans la vente, des plants de vigne américains et met en[ garde les viticulteurs même contre les gref-. fons. Le comice demande le maintien du droitt do douane de 7 fr. sur l'entrée des blés. étrangers. ARRONDISSEMENT DE LUNt VILLE LUNEVILLE Revue. — Le général Lescot passera lundi, à deux heures, sur le Champ-de-Mars, la revue de la garnison. Au cours de cette revue, il remettra les décorations décernées à l'occasion du 1" janvier, notamment la croix d'officier de la Légion d'honneur au général de Contades-Gizeux. ARRONDISSEMENT DE BRIEY i Bcrlhelot, ] le lieutenant-colonel Carlhian.et t; ut à ceflo cérémonie, qui a été très imtoutes les notabilités de la ville. Pour ce pressionnante. Iqui est des toilettes, qui rivalisèrent à l'enlx> commandant Gothié va quitter Bruyè1 vi de goût et d'éclat, on pardonnera de res pour aller prendre le commandement in'en rien dire à notre incompétence éblouie 1 du bataillon de Saint-Cyr. <et charmée. jj ARRONDISSEMENT DE MIREC0URT ARRONDISSEMENT DE COMME II CY SAINT-MIHIEL Etat eivil. — Mois do janvier. — Nais;sances. — Jean-harles-Aimé Chamont. — Madeleine-Melanie Henry. Publications de mariages. — Alfred-EuIgène Demandre, électricien, et Marie-Jo1séphine Karcher, cuisinière. — André Canoine, cuisinier, et Anne Walsdorf. — Jacques Schmltt, sous-llentenant au 40* ' Charlotte-Thérèse Gom!d'artillerie, et 1bault. Décès- — Augustin© Marie, 46 ans, sans 1profession, épouse Rusé." — Charles-François-Joseph Desor, 52 ans, premier com' 1 mis au bureau des hypothèques, célibatai're. — Henri-Auguste llichaume, 3 semai1 nes, c— Marie Parmentier, 75 ans, sans profession, veuve de Victor Pienon. — 1 Armantine-Dés-irée Hondet, 81 ans, sans jprofession, veuve de Hubert-Joseph Pou!lain. ARRONDISSEMENT DE MONT M zû Y MOHTMÉDY En appel. — Jeudi après-midi est venue , devant la cour d'appel d© Nancy. l'affaire (de Mmes Flacoft, BeHing et LapresJe, demeurant ensemble à Breux, poursuivies pour reconstitution de congrégation non autorisée. Il s'agissait en l'espèce d'une maison mixte d'hospitalisation et d'ensei'gnement. , 1 En 1904, la maison fut fermée en bloc par arrêté global, à titre d'établissement d'enseignement, sans qu'il fût fait réserve de l'hospitalisation, «(ai pouvait légalement continuer. Le tribunal de Montmédy, devant cette décision sujette à rescision, crut devoir surseoir jusqu'à (interprétation par le conseil d'Etat de cet acte administratif. Le ministère public fait appel du jugement de Montmédy, comme ayant éludé une question de fait, seule en cause, à savoir si la congrégation était anciennement, comme actuellement mixte, et réduite depuis 1904, au caractère purementhospitalier. M" Terraux plaida pour les prévenues, et par de nombreuses attestations du conseil municipal et des habitants de Breux, il montre qu'elles m'ont jamais fait que soigner les malades. La cour d'appel réformant la jugement du tribunal de Montmédy, a prononcé l'acquittement des trois prévenues. MIRECOURT Tribunal correctionnel. — Audience du 8 janvier 1913. — Chalon Célcstin-Elie, 32 ans, chiffonnier à Gruey-les-Suiances,colportage d'allumettes de fraude, 5U0 fr. d'amende, par défaut. — Coutret Eugène-Alfred, 36 ans, manœuvre à Châtenois, colportage d'allumettes de fraude, 300 fr. d'amende. — Delpratot Emile, 23 ans, luthier à Mirecourt, bris de clôture, 30 fr. d'amende. — Fondrich Joseph, 28 ans, fileur à Micourt, bris de clôture, 20 fr. d'amende. — Bastien Camille, 29 ans, domestique, sons domicile, coups, 25 fr. d'amende. — Olivier Gaston-Léon, 33 ans, marinier à Armentières, outrages, 30 fr. d'amende, défaut. — Bonlaron Léon, 29 ans, boulanger à Zainvillers, banqueroute simple, 5(1 fr. d amende (sursis). — Mathieu Nicolas-Cyrille, 51 ans, cultivateur à Gugnev-aux-Aulx, 'infractiom à la loi du 1er août 1905, 25 fr. d'amende. — Sayer Charles, 35 ans, ouvrier d'usine, sans domicile connu, vol, deux mois de prison. — Luchetta ierre, 30 ans, maçon à Vittel, violences, six jours de prison, défaut: Pedroni Alexandre, 23 ans, maçon à Vite!, violences, sixi jours de prison, il faut. —- Pierrot Joseph-Paul, 43 ans, sans profession ni domicile connus, vagabondage et mendicité, six jours de prison. — Laurent Auguste, 60 ans, sans profession ni domicile connus, vagabondage, dix jours de prison. — Jeanpierre Jules, 67 ans, sans profession ni domicile connus, vagabondage, dix. jours de prison. CONTREXÉVILLË La contrebande, — Les employés de larégie de Vittel, en tournée à Contrexéville, ont surpris des colporteurs d'allumettes de contrebande, dont un d'entre eux, le nommé Contref, habitant Châtenois, a été arrêté. Ses deux camarades, détalant à la quatrième vitesse, n'ont pu être rejoints. L'indivi.ldi arrêté, après avoir reçu l'hospitalité à la chambre de sûreté de Cointrexéville, a été dirigé sur Mirecourt, ARRONDISSEMENT DE REMIRE Ml NT LE VAL D'AJOL STENAY Une farce. — Ce n'est assurément pas Suicide. — M. Rivart, le minotier bien autre chose qu'ont voulu faire, l'autre connu de Stenay, s'est tiré un coup de re- soir, à dix heures, quatre jeunes gens volver dans la région du cœur. On a dé- qui, revenant du Girmont, prirent chacun couvert, le lendemain, son cadavre étendu une bûche de hêtre dans un rôle de bois le long d'un étang, derrière son habitation. déposé sur le bord du chemin. Au moM. Rivart était une personnalité politi- ment où ils cheminaient, portant leur léque et industrielle de Stenay. ger fardeau, sur une épaule, deux genConseiller d'arrondissement du canton, darmes apparurent, qui mirent en fuite membre du conseil municipal dont il avait les quatre jeunes gens. L'un d'eux fut reété élu le premier aux élections de mai joint et expliqua « la chose ». Le proprié1912, il était propriétaire des Grands-Mou- taire exigea, seulement que le bois fut relins qu'il exploitait depuis plusieurs an- mis en place. nées. RUAUX |i'Ali*UETE7 ni MONTRES, ni BIJOUX Il avait fait procéder sur le territoire de Les vols. — Charles Wœlfclf 5(i ans H HUnC I Ci. t! ORFEVRERIE Halles à des recherches de mine*ai de fer, fossoyeur à, Ruaux, et sa concubine, la sans consulter les Tarifa envoyés Franco, des FABRIQUES TRIBAUDEAU/l BESANÇON pour lesquelles il avait sollicité une con- femme Eugénie-Aline Remy, 42 ans, bro1mPrixl22Mêdaille$d'Qr Concours Ok;«-iiUirtdiJiui|il. cession. deuse, ont été arrêtés en vertu d'un man—— as-sj-o dat d'amener du juge d'instruction. Tous M. Rivart était âgé de 55 ans. Des souffrances physiques et des revers deux sont inculpés de vols et de complifinanciers ont dû peser sur la fatale déter- cité. mination qu'il a prise. SAINT-ETiEk'ME Bagarre. — Procès-verbal pour coups Ses obsèques ont été célébrées à Stenay. réciproques a été dressé contre Eugène Ligne de Montmédy à Commercy. — Weinaclit, le provocateur d'une bagarre Liste des jurés Nous apprenons que le ballastage, la pose qui eut lieu entre lui et les époux R. -, des traverses et la mise en place des rails ainsi que contre dsux autres individus. Jurés ordinaires. — MM. Gérard-Célestin sont terminés de Verdun à Commercy. — ■■ 1— cultivateur à Béney ; Lesuisse FrançoisLes entrepreneurs vont attaquer la* ligne Emile, marchand de bois à Haudiomont ; Verdun-Montmédy en partant de Vaux-deLefranc Octave-Arsène, peintre à Montfauvant-Damloup, à l'origine des deux lignes. con ; Grandjean Alfred-Sébastien, cultivaM. Ludmart, conducteur des ponts et valeur à Vigneulles ; Houzelot Emile, proMULHOUSE chaussées, va s'installer à Remoiville d'ici priétaire et maire à Chauvoncourt ; Douil- quelque temps pour surveiller les travaux Société mulhousienne de la paix. — lot François-Eloy, cultivateur à Badonvil- de ballastage, Dans le but de travailler à l'éducation paliers ; Biaise Henri-Louis-Marie, meunier SENON cifiste et de répandre l'idée de la paix par à Froidos ; Mehl Nicolas, rentier à Bar-leTentative de meurtre. — M. Charpentier le droit, sur le principe de ta liberté des Duc ; Férée Nicolas-Gustave, négociant à Eugène, domestique chez M. Berquevaux peuples de disposer d'eux-mêmes, la « SoBezonvanx ; Malard Lucien, cultivateur k Aimé, a été attacfué, alors qu'il se trouvait ciété mulhousienne de la paix »' vient d'êGérauvilliers ; Martin Joseph-Nicolas, jar- en voiture sur la route, par deux indivi- tre constituée. Ses membres sont de toudinier à Saint-Julien ; Muel Nicolas-Aimé, dus. tes nationalités ou religions. propriétaire à Chennevières ; Marnier Cette société est donc internationale et Ces derniers sont montés sur la voiture Georges-Pierre-Joseph, marchand de bois pour le frapper. L'un d'eux lui a envoyé un indépendante. à Mangiennes ; Dabtt Joseph, maire à coup de tête à la suite duquel il a perdu > METZ* Douaumont ; Durant Charles-Auguste, cul- connaissance. Un de ses adversaires a reAu conseil de guerre. — ïx 14 janvier, tivateur à Blercourt ; Frémy Mathieu-Hen- çu un coup de fouet à la figure -ui a dû le sergent-major sous-chef Wolk et le conducteur des équipages militaires Maak ri, propriétaire à Sommedieue ; Ticher laisser trace. Louis-Albert, sous-ingénieur à Ancemont ; Lorsqu'il revint à lui, M. Charpentier se compairaîtronit devant le censeil supérieur*: Lepezel Nicolas-Victor, cultivateur à Mor- rendit chez son beau-frère, auquel il conta de gmerr© pour ne pas avoir' révélé â gemouh'n ; Robin Charles-Adolphe, cultiva- son agression, leurs supéi'iksiRS les agissements de Tfcwiteur à Ourch.es ; Pilon Charles, plafonneur M. Charpentier ressent de fortes douleur^ etaelin et consorts dans l'affa*re d'esuio 1à Souilly ; Lejeune Léon, imprimeur à-■ au creux de l'estomac ; vers le soir, il per- uage que l'on sait. En première instance* Verdhm ; Fagot Eugène-Ernest, charcutier dit de nouveau connaissance. Son état est ils avalent été acquittés. Le commissaire du gouvernement a interjeté appel de ce au Neufour ; Baillet Henry, négociant à plutôt grave. j'iigoment. Etain ; Tassot André, retraité à Avocourt; Ls deux individus sont arrêtés. Arrestation sensationnelle. —i Une Nieolas-Cinna-Auguste, meunier à Bar-le■restation qui a causé en ville un grand Duc ; Gérin Léon-Joseph, cultivateur à émoi est celle du directeur Charles Muiicr Hautecourt ; Leclerc Georges, notaire à de la Société Générale (succursale dé' Saint-Mihiel ; Grégoire Auguste-Emile,culSchlestadt). Qn télégraphie à la u Strassb. tivateur à Triaucourt ; Julien Pierre-Victor, ARRONDISSEMENT D'ÉPI NAL Neue Ztg » qu'à la suite de l'inspection cultivateur à Cunel ; Desquiens ThéodoreAlbert, ouvrier peintre à Verdun ; Hutin ARCHETTES des livres de la succursale pa r le di l ecEugène-Nicolas, cultivateur aux Paroehes; Fièvre aphteuse. — Un cas de fièvre teur général, M. Millier fut mandé au Bidaut François-Joseph, entrepreneur à aphteuse «'étant déclaré sur un bœuf ap- •parquet et gardé à la disposition de la Bar-le-Duc ; Charles Emile-Charles, culti- partenant à M. .Pierre Martin, cultiva- justice. L'inspection aurait amené la. découver-1 vateur aux Paroehes ; Briot Jules-Ernest- teur à Airchettes, le territoire de cette comte de détournements s'éievant à 80.000 Marcel, propriétaire à Broussey-en-Blois: mune vient d'être déclaré infecté. Potier Louis, cultivateur à Remoiville ; Un arrêté préfectoral en date du 7 jan- mark. Des spéculations malheureuses ont Henry Gabriel, boulanger à Dugny. vier 1913 met en vigueur les prescriptions poussé Millier à commettre ces actes déJurés supplémentaires. — Douvier Al- réglementâmes en pareil cas et place le lictueux. phonse-Joseph-Lucien, quincaillier ; Hen- territoire de la commune sous la surveilSAVERÎ:S rion Adolphe-Ferdinand, blanchisseur; Du- lance de M. Honryot, vétérinaire sanitaire L'augmentation de la garnison, A la vergé Paul, armurier ; Charzat Georges- à Epinal. 3 suite de l'acceptation par le conse.3! muFrançois, professeur, tous quatre à SaintBRUYÈRES nicipal des propositions faites par les Mihiel. Décoration du commandant Gothié. — autorités militaires concernant l'augmenVoici le rôle complet des affaires à ju- Sur la place Stanislas, ©n présence de tation de .la garnison, cette dernière pager : toutes les troupes de la garnison, le lieu- rut définitive. Or, on -apprend de source Mardi 14 janvier, à 2 heures un quart. — tenant-colonel Beyraud-Renaud a remis, autorisée qu'elle n'aura pas lieu : le déta-" Meurtre. — Morroy Charles-Adolphe, de avec le cérémonial habituel, la décoration chôment d'a/rtillerie de campagne epii était Amermont. — M. P. M. Franck, substitut ; de la Légion d'honneur au commandant destiné à Saverne ira à Strasbo-uirg. Dr M» Daupleix, 8 témoins. Gothié, du 44e die ligne. La réponse' du conseil municipal n'auMercredi 15, à 8 heures et demie. — Le nouveau chevalier a été chaudement rait pas pleinement satisfait les autorités Coups mSrtels. — Lepoix Maurice-Aimé, de félicité. Toute la population civile assis- militaires'. Saint-Jean-les-Buzy. — M. P. M. Laroche, procureur de la République; Dr Me Vautrin, avoué à Verdun ; 4 témoins. Mercredi 15, à 2 heures. — Homicide volontaire. — Grosjean Jean-Nicolas, de BonL — Suivant, délibération raine, agence de Nancy. Au- « achats, ventes ou échangea zée. — M. P. M. Franck, substitut ; D"' M" du 16 septembre 1912 dont une dit acte est demeurée annexée « de fonds commerce et droits Mathieu ; 5 témoins. copie est annexée à l'acte de une pièce certifiée contenant « sociaux quelconques. » Jeudi 16, à 8 heures et demie. — Avorte- déclaration de souscription et les noms, prénoms, qualités et Enfin l'assemblée a transfé, ment. — X. et X. — M. P. M. Laroche, de versement ci-après énon- domiciles des souscripteurs ré le siège social à Nancy, rue e cé, l'assemblée générale extraaux 120 actions nouvelles et Saint-Léon, n° 4. procureur de la République. Défenseur, M ordinaire des Actionnaires de l'état des versements effecExnédition de ta délibéra Ferrette, avocat à Bar-le-Duc ; f, témoins. p " de jfj^emblée "énéralê Jeudi 16, à 2 heures. — Meurtre. — Heyse la Société Anonyme dite Se- tués par chacun d'eux. tion ciétô Lorraine des Kondoirs et _ suivant délibération du 16 septembre 1912, de l'acte Joseph-Théophile, de Courcelles-sur-AÏre. m ayant. décembre 1912 dont une do déclaration de souscription — M. P. M. Franck, substitut ; défenseur, bavonmries K.eunis, du 16 siège a Maxeviue, a ueroe copie a été déposée aux minu- et de versement du 25 novemX. ; 8 témoins. HATRIZE Vol. — Pendant la nuit de mercredi à jeudi des malfaiteurs inconnus se sont introduits dans le poulailler et clapier de M. Mongert, cultivateur, après avoir forcé la porte. Au matin, M. Mongert a constaté la disparition de G8 poules et 6 lapins. GORCY Démission. — M Hippolyte Cardinct a donné sa démission de conseiller municipal de la commune de Gorcy. ê 1 MEUSE Cour d'assises LORRAINS ET ALSACI VOSGES INSERTION__LEOALfi AlîiiëNBlSSEMENT DE BAR-LE-DUC BAR-LE-DUO que le capital cte la 1* tes de Mo HOUOT, suivant qui était alors aç oW.oou ir. acte reçu par lui et M" ANma > ^i^SS %ÊS SLSi DRE, le 24 décembre 1912, l'as^Jwïî^SS!ij~£ÎÏ semblée générale extraoreîide 500 francs chacune et que des actionnaires de la- tJ Mariage.— Le mariage de Mlle Gabrielle porté a 400 000 fSncs La Faucher, fille de notre très sympathique assemblée^ donné toiil concitoyen, M. Henri FauGher avec M. An- K T 'aÏÏ dré Husson, garde général des eaux et fo- : riistration pour faire la dérèts, a été célébré en l'église Saint-Jean. claratlon de souscription et Les témoins de la mariée étaient M de versement. . Louis Faucher, son frère, et M. Marcel GéIL - Suivant acte reçu par M<* HOUOT et ANDRE, notaigoût, substitut du procureur général, à Nancy, son beau-frère ; ceux du marié, M. j res à Nancy, le 25 novembre tous ici membres compoRobert Husson, ingénieur des arts et ma- 1912 sant le Tonspil rt'nrimini^trn nufacture à Pont-à-Mousson, son frère, t tion ce U^ ^AdË M. Henri Simonnet, avocat à la cour d'apclaré que les 120 actions de pel de Nancy, son beau-frère. 500 francs chacune représen. Dans le cortège, nous avons notamment tant raugmenlauon <îe cap" remarqué : M. George, premier président tal de 60000 fr avaient été enttèWinentsoMcrites en mi de la cour de Nancy, et Madame ; M. le par douze nersmu es docteur Moulin, maire de Bar-le-Duc ; MM. mtirnire et nue eliaaur «u Forgei, conservateur des forêts, et Léger, avait"versé une «mf inspecteur à Bar-le-Duc ; M. et Mme Paul au monta, t du^ quaTdos"^ S «S ^SS ^I.'S S ^ Vv^ \ É> [ lf%f lliï^lfW^F & 120 actl0ns Ubérèes du " î * rePrcsentant l'augmenta" ,l0n de, ,caPital (ll'citlee Par « l'assemblée générale extra" SES"*1™ du 16 décembre "' ^f' " lions par lui souscrites, soil ..L'Assemblée a ajouté a Parpour l'ensemble des souscrip- ticle «0 des statuts le parateurs une somme de 15.000 fr. %™P.he cuvant qui sera le déposée dans les caisses dè dixième paragraphe : la Banque d'Alsace et do LOF. « U (le Conseil) décide tous S Varin-Bernier ; M. ot Mine René Varin-Bernier ; M. le commandant Pougin, etc. _ Aperçu également, au défilé de la sacristie : MM. le préfet de la Meuse, le colonel natre ™e Société a reconnu après vérification la sincérité de la ermuon et citTe elle î n)°mé < ni rar' sùitede llauementa ion dem parUcfe 1" des? statuts" était supprimé et remplacé par le suivant. . ArH„,n 7 ,„ „D u„, S0 ' a Cial est xe a «oïïffi " 400.000 francs e m act on s " i , " ^ .francs chacune dont 680 " euHerT,ent gérées repré- bre 1912 de la délibération de l'assemblée du 16 décembre suivant et de l'acte de dépôt ont été déposés le 10 janvier 1913 : greffe du Tribunal de Au commerce de Nancy ; Aux greffes dos justices d. paix ! •„Nord même ville ; gref£es du Tl ibunal H car ,ons el Ouest de la Aux ' «- Mi £j£L?^ ^S», £l8^ T1 fonctions de Hibmial de Commerce, et au greffe ele la ? ' Se). En outre expédition des statuts de la société, de l'acte V déclaration do souscription el de versement du- capital originaire, et de la liste y annexée des délibérations ele l'assemblée générale constitotive des actionnaires et dj pacte de dépôt a été déposé! e }, » janvier 1913 au groffi du. Tribunal de la Justice ét paix du canton Ouest ùi Nancy, Pour extrait et mention : HOUOT, ,U UOe de paiX de Void (Meu MS TOP0BiIaîlC6S'[ ©. — Je suis locataire de l'éloge d'une maison à Toul suivant couventioin verbale et l'année de location expire aujourd'hui. Ayant été muté pour Marseille par decision ministérielle du 24 dernier, >'.ai prévenu ma propriétaire le 28 suivant. 1° Un locataire .nouveau (prenant iaomé(Biateanent et sans tmterrupwom ma succèsBien dans le mémo logement, dois-je a ta propriétaire les taois mois d''indemnité d rusa go ? 2° En admettant qu'aucun locataire ne prenne ma suite et quo jt me quitte le legement quo le 10 janvier; dois-je les trois mois plus neuf jours de location ? R. io Nous estimons quo non, quaique la question soit discutablo . 2° Oui. i " ** D. — Uno de vos lectrices vous demande si on a droit à la moitié du ménage, vivant avec un homme voilà 12 ans.ayant •u un enfant avec, mais à l'époque i« n'étais pas encore veuve ? R. — Vous ne pouvez forcer votre concubin à vous donner la moitié du ménage. A D. — Des parents s'étant donné l'usatruit de leurs propriétés, ces immeubles étant loués à ferme, l'un vient à mourir, oelui qui reste fait le partage de ces dits Immeubles à ses enfants, un do ces der«tera ayant été saisi de son partage et ms terres ont été vendues devant le trifermai en ïftiî. Aujourd'hui on réclame les contribulions de ces dites terres vendues. Qui doit lés payer ? R. — Votre question n'est pas très claire. Le payement des contributions est dû par le propriétaire, sauf son recours contre celui qui avait la jouissance des tersains. i-** D. — 1» N'ayant pas été prévenu et ayant quatre enfants, ma mère a-t-elle le droit de me faire faire une opposition sur mon salaire ? 2° Quelle démarche pourrasis-je faire centre la personne qui me fait cette ©pposition ? R. — 1° Oui, si eîle a une créance contee vous. g» Vous avez le droit de donner une invitation en mainlevée devant le juge de paix. *** D. — 1° Je suie mariée, sans enfant, mon mari m'abandonne sans aucun motff plausible, je ne trouve aucun travail. ^-je le droit de me faire donner une pension alimentaire ? Ai-je le droit de vendre les meubles «ee j'ai apportés en mariage, aucun contrat ne nous lie. i° A qui dois-je m'adresser pour faire constater l'abandon, mon mari ne rentre phis au logis conjugal, et au bout de combien de temps d'absence pourrais'-je obtenir te divorce ? R. — 1° Oui. 2» Oui. 3° Il fajut vous procurer des témoins et demander l'assistance judiciaire pour intenter un procès en divorce. Il n'y a pas de délai. li suffit crue vous fassiez la prouve, par tous moyens, de l'abandon de votera mari. 2° *** D. — J'ai affaire à un homme d'affaires auquel j'ai déjà beaucoup versé d'argent pour un de mes créanciers comme il me compte rente SUT rente, voudriez-vous me dire à qui je pourrais m'adresser pour faire vérifier ce compte-là ? 2° Un marchand de vins me réclame une certaine sofhmo pour mon père, qui est msrt depuis, 1901. Peut-il me forcer à payer n'ayant rien hérité de men père ? R.— 1° Adressez-vous à un expert eomptable. Au greffe du tribunal de commerce ou du tribunal civil on vous indiquera des noms. 35° Si votre père devait, si vous n'awez pas renoncé à la succession, vous êtes teBU des dettes. * <■ D. — -J'habite un appartement depuis trois mois, je reconnais que les chambres à coucher sont humides, car la moisissure est sur les murs. Je paye 25 francs par mois. J'ai fait venir l'hygiène, qui a jjreeonnu que le logement était malsain. 1° Ai-je le droit de résilier le bail ? B° Ai-je le droit d'avoir trois mois d'indemnité, car quand j'ai loué l'appartement il m'était garanti sans humidité ¥ R. — 1« Oui, en faisant un procès en résiliation. Le tribunal vous accordera des dommages-intérêts de résiliation. *** D. — Quelle disposition ai-je à prendre pour avoir l'assistance judiciaire ? R. — Adressez une demande au procuerar de la République, en joignant t*n «rtificat. d'indigence et un certificat de son-imposition. *** P. — Un commerçant est déclaré en Utilité, le concordat lui est accordé et prosaet do rembourser cent pour cent. Le Sl'ndic de la faillite nommé par le tribunal a-t-il le droit de retenir des honoraires <tux créanciers ? R. —. Le syndic a droit à des honoraires. sont taxés par le tribunal et qui sont Bris comme frais de faillite. C'est, une fois! les frais payés, que le partage de l'actif. a lieu entre les créanciers. Les frais sont çrélevés sur l'actif de la faillite. 2° 1 ©. — 1° J'ai un locataire qui habite ma «saison depuis neuf ans, qui a un bail qui jpsend fin le 23 avril prochain. Je viens, 'irons demander à quelle époque je dois le! «ré-venir de quitter m.a maison et par quelJ «îoyen je dois le prévenir ? Il paye 120, francs par an de loyer, il a un jardin dans, lequel u v a des arbres fruitiers qui doi-. vent être "taillés avant la fin do son bail. Pois-je entrer en possession de mon jardin avant cette époque, vu qu'il n'y a plusj Ve récolte à enlever , car au 23 avril il, est trop tard pour le cultiver ? . R. — Si votre locataire a un bail écritt tfont le ferme expire le 23 avril prochain, vous n'avez pas à le nrévenir. Le bail ex-' iro de plein droit a la date fixée pour son urne. Vous avez le droit de faire dans lee Jardin la culture nécessaire. £ ** P. — Etant locataire, j'ai un propriétaire qui, sans me prévenir, fait faire divers travaux, notamment un escalier près' 4e ma porte et une porte au-dessus de lai~ mienne, m'obligeant à fermer tout chez* ttroi, les décombwis obstrurant le caniveau* sui est à air libre, je ne peux plus vider tfeau sur ma pierre à eau, en plus de cela le propriétaire a-t-il le droit de me priver*r «te grenier étant entré avec eave et gre-( Ssfer dans la maison. Peut-il me faire vi-*l iéer mon grenier ou le réduire de moitiéc" ■sans mon consentement ? R. — Votre propriétaire a tort et vous3 pouvez lui faire un procès devant M. le e fugo de paix. *** . £). — Je travaille à la maison X... de>puis près de deux mois. La plupart des ns employés sont payés à tant par semaine, comme moi d'ailleurs, etc.? R. — Vous critiquez amèrement la maiiis son dans laquelle vous travaillez. Vous i«jetfez en ûa-use sa nationalité. C'est évi18 demment votre droit. Nous vous ferons i. «impleaient remarquer que vous étiez li§. îsro de n'y pas entrer et que les considén rations que'vous faites valoir n'ont rien \ voir avec la question nue vonft nous po>»z. Pour en .revenir à cette question li. il. L'ACl U ALITÉ AGRICOLE ment en droit de ne pas vous paver les ] j;ours fériés pendant lesquels on n'a pas ■travaillé. Le jeudi n'étant pourtant pas j « r. it • un jour férié légal, vous pouvez soutenir I I «pie, payé à la semaine, vous étiez prftt LdCS J CHASSEUn RENVERSÉ PAR UN CHEVREUIL. lVlOlîlCctUX ^ à travailler ce jour-là ot, vous pouvez saiLe lieutenant-colonel Boulangé, do la malsir le conseil des prud'hommes do votre si son militaire du président do la Républi,r( que, qui assistait, avec lo lieutenant-coloA i>el Guise, à la dernière chasse donnée «n D. — J '-ad vendu ma mstison tout en me' forêt de Rambouillet", a été victime dès iréservant mon logement ma vie dulT( Une des nombreuses légendes agricoles les premières battues, d'un accident tout rante, etc. ? r; et l'une des plus tenaces veut que les mat- ■à fait bizarre et dont, au surplus, les suie1 R. — U n'y a pas de délais. ,•neatix frie comporteront heureusement aun rendent plus de services ans cuiti- tes ■ * ** v< valeurs qu'ils ne lui causent de dommages. ceune gravité. D. — Je suis propriétaire d'un café Grâce H s'est en effet trouvé qu'un chevreuil G à elle, dans bien des contrées, ônoù l'on s'amusait en dansant, vu un arrê- bl 0 à se défendre contre ces oiseaux et 1«enaat à déboucher sur la ligne des raJ,té municipal m'hiterdisant formellement hésite p parfois même on les protège. *batteurs aperçut dans un layon le colonel ce droit, je sais décidé d'établir un bal ™ Certes, déclare-t-on, ils font aux champs Guise et pour l'éviter fit un bond rem'de. 0 ( c pour une société. Quelles sont les forma- V Mai®, dans son brusque élan, l'animal de véritables ravages, «'attaquant aussi & jj fités à remplir ? bien aux semences qu'aux germes et qu'aux on'aperçut pas le colonel Boulangé, qui se b R. — Vous avez le droit de louer votre grains _ mûrs, aussi bien aux pelouses *trouvait à quelques mètres de là, et vint ssalle à une société, mois il faut alors qu'il qu'aux ï arbwes fruitiers. Mais, par contre, es'ahattre sur lui. ss'agisse d'un bal absolument privé, et au- A Ot, U colonel, atteint au visage et en Us détruisent une masse coneidésabla d'jfiq q MembreS dC la S0 pleine poitrine, chancela sous le choc, exsectes nuisihles aux plantes. f mé ^ura^ïvHés* ' * c Rien n'est plus exagéré et dos enquêtes tt»4moment violent, et roula à terre sans * ** si sérieuses en ont fourni le. preuve et dé» oeofmaissasice. Lo colonel Guise et, deux D. — 1» Etant propriétaire d'une mal- ffi s'empressèrent alors ««près de hrf montré en outre que les meàwwuM étoî- sjardes f s son, plus deux mètres ée terrain sur le gnent les oiseaux S Payant relevé l»î donnèrent les soins insectivores. Kéeeintnant. * côté, les deux mètres en prolonge sur la |j c réclamait son état, tl n'avait reçu ceencore, le ministre de i'agrkultare a port tpm q p maison veéerfie, je voudrais y construire à ^ toutes les chambres et associations agri- ppendant, en dépit de la violence du choc, «an hangar en planches adossé à ce mur, col es la question survante : « Le moineau a9«wie blessure, et le colonel a repris dès yy mettre des poteaux pour supporter la est-il utile c*i nuisible à l'agriouftere 1 * hte lendemain même ses occupations. charpente de ce hangar, maie le proprié- tLes réponses ont été presque toutes fwre t taire s'y oppose. Que faut-il faire V En ai- srralées DÊvojit PAR DES eaiENS. — Dans l'arrona dans ce dernier sens. J'en eiteseé j le droit 7 je une, elle est caractéristique : <*diseement de Roanne, an hameau de Viott Mon second voisin a mis des poteaux « De septembre en avril, le aaotneau ne l*lay, un bébé de trois ans, Johannes1 Vig ras de ces deux mètre», garnis de gril- ^ au a eu une mort atroce ; il a été dépont pas manger d'insectes paiwpr'ii n'y gnon, i ilage de ftl de fer, puis des ronces de fil de ï en a pas pendant ces huit mois de f**»- vvorë par trois chiens. Ces animaux se f fer, cela me gêne le passage, souvent je née. g Aucun moineau n'est alors aux bai* e«ont jetés sur le malheureux petit garçon vni|y accroche «* line déchire les vête> au momeïkt où il mangeait une tartiwe ou anix champs, tous sont flom tee villes « merrts. En a^t-tl le droit ? ^ r et lès villages, dévorant conscieneieusG- «"4mt$ un jardin situé derrière la rpaason R. — i» Voue ne pouvez adosser un hanle blé, ftevoine et le maïs, éasns tes de d ses parents. gar contre le mur de vo*r« voisin fu'en ment s greniers, écuries et étables, où ils laissent Le serps de Johannes Vignon fut mis iachetant à celui-ci la mitoyenneté do son | en lambeaux. en échange leur guano — mince compens T mur. « , u, satkrn — salissant les fourrages et les 2° Le voisin peut se clôturer avec des abreuvoirs. 58 autopsies ont fourni des LES ACTIONNAIRES DU SYNDICAT MINIER. — ffils de fer ronce à condition que cette clé- estomacs contenant en abondance des Un grand nombre d'actionnaires du Syntture soit placée complètement chez lui. grains de blé et d'avoine. «dieat minier, une des sociétés fondées ** Rechette, ont tenu une réunion à Pa« U est donc bien établi que pendant ces par F p. — jtton voisin ayant installé dans ^ huit mois le moineau est bien granivore. *ris, place de la Bastille, sur la convocassa cour «n poWe avec «homdnée en bri- Dès ^ du comité qui s'est constitué pour la lors, reste à savoir la quantité de tion S c que», cotte dernière donne à 1 m. êO de la Mé de leurs intérêts. L'assemblée a détruite. Pour cela, il suffit de nour- défense c h ifenêtre du premier étage et qui par sa Trir le moineau en cage. On, découvre ainsi décidé de déposer une plainte en faux, c position incommode par sa fumée les ha- <r«'il „ j mange 11 grammes de blé par jour. J•seroq.uerie et abus de confiance contre bitants do la maism et pe»t occasionner Supposons g r maintenant qu'il y ait autant Stes membres du conseil d'administration l'incendie. Qu* faut-fl fs»e pour emnê- de e î Syndicat minier. d moineaux que d'habitants, soit, dans la du ccher cet état de choses ? gSeine-Inférieure, 837 876 moineaxa. Us déII. Fernand Brun, avocat à la cour R. — Faire un procès en justiee de paàx. vorent v ensemble 9.236 kilos 676 de grains sd'appel, député An Cantal, a été chargé par jour, soit pour 8 mois 2.2TL000 kilos de « déposer la plainte, qui porte les signaP D. — J'ai eu un enfant areec un sous-of- de § blé, représentant une valeur de près de ttures des membres du bureau du groupe ficier rengagé et qui l'a reconnu. Voudriez- 600.000 g i frarcs. » de « défense, et d'engager le procès. ivous m'incîiquer ht marche à suivre pour Si, supposant que les moineaux ne se 1lui faire payer les 25 francs de nourrice nnourrissent pas exclusivement d* blé, nous CAPTURE DE LA BANDE DU « MANCHOT ». — 1 ipar mois qu'il e'obstino à ne pas vou- estimons tentative de cambriolage était comque celui-ci représente la moitié Une e krfr 1 payer '/ dde leur nourriture cela fait encore une rmise, vers cinq heures du soir, à Paris, R. — U faut lui faire un procès devant perte d'au moins 300.000 franc* pour un *rue Jean-Robert, 7. Elle fut déjouée par p » Ile tribunal eisri-l. d'un locataire de l'immeuseul département et pour une période de l'intervention * <■» m » qui par ses cris attira dos gardiens 8 mois. Pour la période mai à août, les hte * pillages sont encore pires et ©n peut y *d» la paix. Ceux-ei donnèrent la chasse ajouter les dégâts de soutes sortes causés *aux voleurs ; sur quatre, trois purent 8 par les moineaux. s'échapper. L'individu arrêté déclarasse Au printemps, en effet, ils font leur régal *aommer Lucien Fauvel, âgé de vingtdes primeurs, des petits pois et des ceri- *trois ans. Il refusa d'indiquer les noms ses, qu'ils endommagent autan* qu'ils en de ses. complices, mais par eontre se vann mangent. • d'avoir subi déjà six condamnations. ta En juillet, ils disparaissent presque des H « était porteur d'un browning chargé, Poulet-surprise. — Ofneîeits soufflée au gnanges pour aller maa-auder dans les *d'un poignard, d'une pince-monseigneur, citron. — Nettoyage des peignes champs de blé où ils cassent des ravages. *otc. d'ecaiile. — Lait de violettes En août, c'est te tour des épis de mais LV>nquête ouverte par M. Masseaux, pour entretenir le dont ils découvrent le sommet de la rafle commissaire « de police, permit d'identifier teim frais peur y chereher, dit-on, des vers : ils sont rapidement * les trois autres cambrioleurs, G'est une recette un peu longue et minu- cause, en tout cas, de ee que l'épi se trout c trois bandits du quartier de la Chapelle, lieuse que celte du poulet-surprise, mais ve ainsi exposé directement au soleil et à <] ui, Sous la direction d'un dangereux inv une maîtresse de maison n'est pas fâchée la t pluie et par conséquent endommagé. * ividu, George Delan, âgé de vingt-cinq 1 ( d'avoir de temps en temps un plat soigné cC'est au point que, dans certaines contrées ans, * dit te « Manchot », avaient constitué 'à offrir à ses invités. Prenez donc un beau où a les terres sont légères et se prêtent mé- 1la « bande du Maneliot de la Chapelle ». poulet bien tendre, enlevez tête et pattes, <j 1 diocrement à la cul-tune du blé, on s'abs- Georges ( Delan, q«i avait dû subir l'am1et sans déformer l'animal, désosses la poittient généralement de cultiver cette céréa- putation d'un bras, ayant été blessé d'un trrne et bourrez le corps de la façon sui- |te, calculant que la pauvreté du sol et la ccoup de fusil au cours d'un cambriolage, ' vante : foie de poulet, lard maigre coupé voracité des moineaux laisseraient une était 4 connu comme l'auteur d'un meurOn dés revenu au beurre avec échalottes, trop t, * maigre récolte. *IN commis le 18 décembre dernier, à Aupersil, épices, champignons, veau, porc 1 11 impote donc de se débarrasser dans; fc«r«lliere, sur un jeune ouvrier de quinze maigre 1 et gras de porc, te tout par parties vune certaine mesure de ces oiseaux «t dei ans « 1, Camille Artaz. On l'avait recherché égales. Lorsque tous ces ingrédients sont < combattre ce que leur reproduction a d'ex-: <en vain. c bien hachés, vous assaisonnez, vous ajou- cessif. c Ils font, en effet, deux ou trois niHier matin, d«s inspecteurs de la sû1tee, si vous le voulez, un peu de truffes et cchées par an et même davantage si les raté ' ayant appris que Fauvel rendait un verre à Bordeaux de madère. Introdui- jpremières ni .liées ont été détruites. f fréquemment visite à des amis habitant sez cette farce dans le corps du poulet de Mais comment s'en préserver ou les dé- passage I Duhesme, y allèrent et apprirent manière à ee qu'il soit bien rempli, eousez traire t ? Je vais indiquer quelques moyens : «qwe le « Manchot » habitait dans un hôtel ' l'ouverture. Vous aurez quelques heures On a préconisé l'emploi de substances situé i au n° 20 de ce passage, en comnad'avance préparé une benne p9te pour cdiverses enduisant les graines, telles que 1gnie d'un nommé Léon Buiron,- âgé de croûte de pâté. Etendez c*tte pftte à un de- {par leur odeur ou leur saveur elles éloi- 1vingt-quatre ans, et d'une amie de ce dermi-centimètre d'épaisseur et de dimension gnent g las granivores. Le «mède est resté nier, i Clémentine Paquet. assez grande pour envelopper le poulet, esouvent inefficace. M. Vendeten prétend Les inspecteurs pénétrèrent aussitôt Posez-le au milieu de cette abaisse et ra- cependant t qu'on peut réussir en entourant <dans l'hôtel et trouvèrent dans la chambattez la pâte de façon à ce qu'il soit bien iles semences d'un enduit de mdnkrm rouge bre I du « Manchot » quatre hommes et recouvert. Simulez une sortie de tête et Dans ] un sac, on introduit 1 kilo de minium «ne ' femme. Après «ne lutte qui fut vive, d« côté de la qoeue redressez la pâte et et e 20 kilos de graines. On agite le sac en mais i courte, les bandits et leur compaamincissez-là en lui donnant le mieux pos- tous j sens de façon que chaque graine en- igne, solidement enchaînés, furent consible la forme d'une qoeue, «vec les doigts traîne | du minium et finisse par être bien duits i au commissariat de la Goutte-d'Or et un couteau simulez également les ailes eoiorée s en rouge. Il «'y a plus qu'à se Toas avouèrent leur complicité dans la et faites sur le dessus de l'animal un trou mer. i tentative de cambriolage commise, la pour laisser échapper la vapeur.. Dorez le M. Wendelen affirme que non seulement veille, rue Jean-Robert. Georges Delan, tout à Tceuf battu. La cuisson est la chose les 1 oiseau» ne déwreat plus tes graines « Manchot », fut interrogé sur l'assasprincipale, un four de bo«l«nger est excel- tainsi protégées, mois qu'encore ils s'éloi- te sinat du jeune Artaz, dont il se reconnut lent, mais on peut le réussir dans un bon gnent j des semis ; on n'en verrait plus sur l'auteur. four de ménage très chaud pour que la les 1 pelouses où l'on vient de semer le gaM. Masseaux, commissaire de police a pâte soit 'saisie tout de suite et ne puisse zera. i envoyé toute la bande au dépôt. retomber. Modérez ensuite la chaleur et Pour les semences de légumes, petits couvrez le poulet de papier huilé pour que pois, etc., on se sert aussi de la naphtaL'iNft.uENCE DES NOMS. - Voici une suite la pâte ne «e colore pas trop. U faut à peu line j cristallisée, qui écarte les granivores de particularités curieuses, relatives au près «ne heure et demie de cuisson. On iet môme les mulots, très amateure de ces coûteux financier Pochette, dont te, police s'assure de oette cuisson comme pour les jgeaines au printemps. La méthode est ,en s'est décidée enfin à publier le signalepâtes en enfonçant une aiguille à tricoter tout t cas, bien faeile à mettre en pratique. : ment : dans le mifteu, on la retire après quelques Si vous ne voulez-pas enduire vos grai_« Les parents de Rechette, dit f « Opisecondes pour la presser sur la langue ; nes, tendez sur les places ensemencées des », avaient l'habitude de l'appeler tout si on a une sensation de chaleur, la pièce « fils blancs » enchevêtrés et reliés par des nion simplement : petit. est cuite. piquets ; les oiseaux ne se poseront plus Cela ne l'empêcha pas de grandir • il Ce poulet se sert selon les goûts, chaud sur vos semailles. Une pelote ordinaire de se« maria. Mme Rochctte était une de-moiou froid. coton blanc peut garantir plus de 30 mè- «elle Petit. Chaud, c'est une belle entrée qui s'ac- tres carrés. Les fils ne doivent pas toucher Loasque vinrent les heures difficiles compagne d'une sauce madère ; froid, on ta terre. Le réseau n'a pas besoin d'être le «financier parut à Rouen devant le jugé sert ce poulet avec une salade russe bien serré : il peut y avoir des vides de 2 à 3 dlœstruction qui s'appelait M. Petit,' et relevée. mètres. Enteurer les bordures de quelques ç-rand le tribunal de la Seine prononça * ** fils dont te plus bas rasera le sol. la séparation de biens des époux, l'affaire L'omelette soufflée est une vieille frianOu bien encore, plantez au milieu de la fut jugée par le président Petit. dise bien connue,%iais qui est vite faite et surface qu'on veut protéger ou à l'entrée « Ainsi ce nom domine toute la vie du qui fait toujours plaisir. de votre grenier un poteau terminé par Pour huit personnes, cassez 6 œufs, sé- une ba-rre transversale formant T. A cha- f-iancSer de son Influence fatidique. Si parez les blancs et battez-les en neige très que extrémité de cette barre vous n'aurez Roehette est superstitieux, il n'apprendra ferme. Battez bien les jaunes avec 125 ensuite qu'à suspendre au moyen d'une p*s sans terreur qu'un policier est lancé grammes de sucre en poudre et un zeste ficelle une plaque de fer-blanc neuf que te à sa poursuite avec un mandat d'amener sa poche. Ce détective s'appelle : M. de citron râpé et une pincée de 6&1, ainsi moindre vent fera, tourner et qui projet- teas MB, » qu'une demi-cuillerée de fécule. Faites fon- tera des rayons lumineux qui maintien— Mois, répondra peut-être Roehette, dre dans un plat à soufflé, 5 feu doux, 00 dront à distance les moineaux effrayés. grammes de beurre bien frais. Mêlez rapiUn excellent moyen est aussi de répan- le magot , que j'ai prélevé sur l'épargne et la simplicité des gogos, êtesdément et exactement les blancs et les dre de la chaux en poudre sur les semis, franchise jaunes, versez dans le beurre fondu et bien les moineaux n'y toucheront plus. Ce pw- ■ veus sûr qu'il soit... petit ? chaud sans être roux ; mettez cuire au cédé a l'avantage d'éloigner aussi hs liLES CANONS DE MAHOMET II. — L'artillerie four très chaud. Cinq minutes suffisent maces. Par les temps pluvieux, l'opér-ition qui si mal servi tes Turcs dans la de*' pour la cuisson. On reconnaît que l'ome- doit être répétée plusieurs fois, jusqu'à la aseraa guerre, les avait fait entrer à Conslette soufflée est cuite à point lorsqu'elle complète levée, en ayant soin de bien blan- totinople en 1453. Dès l'année précédente, est bien montée. Saupoudrez de sucre en chir les semis à chaque fois. •çJR M. Schlumberger dans la « Revue poudre, servez en courant. Voici peur vous-pnéserver des moi.n>-,a2x pendomadaire », un Hongrois nommé Oren les privant de grains et en le^B forçant ** ban était venu s'offrir à l'empereur ConsLes peignes d'écaillé se ternissent sou- ainsi à rechercher des insectes. Mais si tantin comme le plus habile fondeur oui vent sous l'influence des matières grasses vous tenez absolument à vous en débar- eût encore paru ; mécontent des condide la chevelure. rasser, je vous signale une formule aisée 166B3 que. lui faisait le prince, il s'enfuit Pour leur rendre tout leur brillant, on que j'ai employée avec succès : ««près de Mahomet II qui, pour mettre.. On établit, aux endroits que tes pillards; ses talents à 1 épreuve lui demanda les frotte avec du son sec, en ayant soin de fonfréquentent, des traînées de balles de cé-■ dre un canon gigantesque. La fabrication de le faire bien pénétrer entre les dents. S'il s'agit d'autres objets, on les frotte réales sur lesquelles on répand du grain de cette p e appelée la « Basilique », ieC avec du eharbon de bois pulvérisé fine- que l'on a fait tremper pendant deux heument et délayé dans un peu d'eau. On les res dans de l'eau-de-vie eu Grée. Le moi-■ e^est-à-dire 1 impériale, dura plus de trois humecte ensuite d'eau vinaigrée et on ter- neau est fort ivrogne, c'est là son moin-■ Le jour qu'on l'essaya dans Andrinople mine le polissage avec du blanc de Mcu- dre défaut. Il s'abat avec joie sur ce graini teSuWan prévint le peuple pour éviter don tamisé. tentateur, il s'enivre à souhait et te voiléi effrayer les femmes grosses, et il fit bien titubant sur ses petites pattes, incapable; car la détonation s'entendit à treize milles ** • -.Savez-vous, mes chères nièces, que lesi de s'envoler. Le cultivateur passe de temps # Z01^ ?our **tfW« la « Basilique » violettes bouillies dans du lait constituent en temps avec un panier à cotjvercle "ett! n U fallut atteler quarante paires de bœufs pour le visage un merveilleux cosmétiquei enferme, dans cet « in-pace" », les moi-- deux cents hommes marchaient à ses côqui rafraîchit et tonifie la peau Voicii neaux qu'on ramasse à la main, Vous en. faites ensuite ce que bon vous tes afin de la soutenir ; deux cents terrascomment il faut procéder : Mettez dansi une casserole de terre ou de porcelaine uni semble même un salmis, si vous voulez i Bière allaient devant pour aplanir la route i et cinquante charpentiers pour établir des LONDINIERES, verre de lait que vous ferez bouillir. Penponts. Cest dans cet équipage qu'elle tradant la période d'ébullltion, jetez une pleiProfesseur d'agriculture. versa la llirace et arriva devant Constanne poignée de violettes et laissez bouillir tMioplo ou elle fit merveille, envoyant à à nouveau pendant quelques instante, reun mille des boulets en granit de quatre-; HATEZ-VOUS 'DE COMMANDER tirez du four et laissez reposer pendantt wlkinq centimètres de diamètre. Mahodeux bonnes heures. Ce lait ne se consermet II, Sultan vraiment moderne avait ve pas, il faut en préparer tous les deifx ««mené avec lui une troupe d'ingénieurs. jours du frais et à défaut de violettes on L 1 fon(lra ?ur place d'autres pièces dej peut employer de la poudre d'iris. Alorss Ei vous voulez l'avoir pour Pâques ** réunit ainsi deux cents canons ou il faut laisser bouillir plus longtemps et I bombardes. La « Bosilique » tirait huit1 filtrer. i 10^, par jour des boulets d-e dou7.o cents Dans tous les cas, c'est un produit inoff An'cî f non pruVrd'V «nantit nt fceiuro sa Liera exclusivement fabriquée afêe des N dans le» fOSSffi Flic avait #£tanAkku£ v : " Tan: c ROSALIE. MALT Eï HOUBLONS DIS i<* CHOIX, lies ssino cl feeUÎM Faits-Divers ! ï et F Agriculture \ J 2° J LES PROPOS • OS TA\TÏ< ROSALIE j J S 1 1 j voira éclata tuant, son ingénieur ; mais un au- i • tro Hongrois la refondit et elle acheva de ,B D JiLlTîl\T FTï\T /» v\ipTn^ détruire la fameuse tour Baktatinea. Les Gi':cs passaient les nuits à réparer les brèParis,i 9 ^ ianniei* ta i<j t n ches à l'aide de solives et do sacs remplis Ce n'est qu'au début do la séanc <de laine ; mais, après cinquante-quatre jjours de bombardement continu, ces murs rant quelques instants seulement6 6t ^ « c quo, depuis des siècles, on croyait impre- rrecul du cuivre à New-York a exerce « 19 i nables, n'étaient plus qu'un monceau do 1que influence sur le niveau do la « Notre rente prend une fraction à ita' ruines i ; Mahomet II put commander l'aset s saut. « termine au plus haut. Parmi les t ^ m -. -.é étrangers, si le Turc demeure rai ^ L'HÉRITIER DE MÉNÉLIK. — On va couron886 55, le Serbe par contre s'adju^o ae19 à ner le prince Lijd Jeassou, petit-fils du né- ttimes, l'Extérieure 05, l'Italien 50 « ^ i gus Ménélik. Ce sera le plus jeune souve- note r quelques plus-values sur les % M i et 1909. "usses, i-ain du monde : à peine a-t-il dix-sept consolidé c i ans. '< Nos grands établissements de cré/m Le prince Lijd Jeassou porte le costu- rrelèvent rapidement. " ' so me blanc traditionnel que recouvre l'amr Le Rio-Tinto, malgré la baisse du ple burnous de soie noire. Il marche, la vre V à Londres, reproduit son cours dp CU'" l plupart du temps, pieds nus. Rien no le ccédento clôture après avoir perdu n r ddistingue des adolescents de son Age.sauf Norvégienne de l'Azote soutenue i/oa» 1une croix d'argent enrichie de pierreries Les chemins français et étrangers ^ qu'il porte sur la poitrine et une courte laissés h par la spéculation, sont ° ra'i q soutenus. ^3 épée. damasquinée qui pend à ses côtés, mais n é e enveloppée dans un fourreau de maroVive reprise des valeurs d'élcctrioiu> j qusii rouge. q Meilleures tendances des indusi>;„n r celles Ménélik et, le régent Teseama s'employè- russes. rrent k donner au futur Empereur une insEn. banque, les mines d'or ûccentn h 1truction en rapport avec la situation qu'il leurs progrès. Aux diamantifères de UEER n„ n'' ' 3 devait occuper. L'Allemagne s'employa Es'améliore à 551 50. d a activement pour que le soin d'ouvrir aux Industrielles russes en ébullition. idées occidentatee le cerveau de l'impé* Caoutchoutières soutenues. Pétrolifi» rial enfant fût confié à un professeur gor- demor d dées. Les cuprifères se montrent i ' v si ! n manique. Mjaàs te ras Tessama sut proté- sistantes et ne varient point. ger Lijd Jea.'Bou de toute influence teug PHTLOUZE ET WADDINGTON 'i *tonne. Très épris d'idées françaises, il fit 20, rue Le Peletier. ' ' donner d à son pupille une éducation fran■ ■ ^> «-o _ j Ççaise : un prêtre copte fut chargé de lui g a apprendre notre langue, que le futur né- ■Marché gus parle aujourd'hui assez bien. Il parle g Du 9 janvier 1913 a aussi l'anglais et a quelques notions d'ita , 1-lien. « S PRI)TDlTl^n?: I — « Je voudrais bien, disait-il, il y a 1BESTIAUX § I -z: ;——S^ïïbd > S >■ viauilc nette Poids vif • quelques semaines à un Français de passsage à Addis-Ababa, aller voir Paris : i'en T 1.487 1.392 0.74 à 0.8G (uTTîu!! r rapporterais de jolies poupées à ma ne- Bœufs y 543 517 0.7-i à 0.8 . 0,3(5 à ttite femme, vous savez, la princesse Ro- xVaches ; Taureaux.... J60 15a 0.85 à 0.75 0.33 à S' n mainowork... » v Vtaux 1.303 1.9U& 0.90 è 1.3.. O.f/Jàn S •! En effet, le futur négus est depuis deux Moutons...'.. M 11.787 11.000 0.95àl.3ô 0 4-iàn'fi a ans te mari d'une charmante petite Abys- P Porcs 4.172 4.172 0.91 à O.tf, 0.63 à0,1 4 s sine dont le nom poétique signifie « Fleur Boeufs. — Vente calme, mêmes prix àde Grenadier d'Or ». La future souveraine d'Abys3inie est o On cote : limousins et similaires 0 87 à 0 90 ; bourbonnais, de 0 82 à Ô 86 S âgée à peine de douze ans. n normands, de 0 76 à 0 84 ; bœufs blancs' — ■ ■ —M*^^-^| lCÏ" de 0 80 à 0 87 ; manceaux, de 0 76 à 0 65 '• : choletais, de 0 72 à 0 82. Le demi-kilo ! net. Veaux- — Vente plus facile et hausse de Chacun doit craindre le vol. Quiconque 5 c. par demi-kilo. s s'absente, même momentanément, en suOn cote : choix de Brie, de Beauce du t la préoccupation. bit G Gâtinais, de 1 30 à 1 40 ; champenois, de L'Union offre à tous la sécurité, moyen- 11 15 à 1 30 ; manceaux, de 1 10 à 1 20 • ÏÏ nant «ne prime modique et elle nous ga- a caennais, de 0 90 à 1 10, le demi-kilo net' r rantit contre des méfaits toujours croisMoutons. — Vente assez facile et pns s sants, b: bien tenus. L'Union-Vol a la môme administration On cote : petits moutons du Centre, de c que l'Unton-Incendie (1828) et que l'Union- 11 25 à 1 35 ; métis, de 1 10 à 1 15 ; d'Au^ Vie (1939). vvergue, de 1 10 à 1 25; du Midi, de 1 05 7 S'adresser à MM. Faivre d'Arcier et fils, àà 1 20. Le demi-kilo net. 7, rue de la Ravinelle, Nancy ; Rodrigue, Porcs. — Vente meilleure et hausse de, à Xivry-Circourt ; Paul Spire, à Lunéviiie; 11 cent, par demi-kilo vif. 1à ; Samson, à Bar-le-Duc ; On cote : bons porcs de l'Ouest, de 65 1Trévis, à Toul Thouvenin, Commercy ; Dominé, à Dun- à à 68 c. et ceux du Centre, de 66 à 67 c. le ssur-Meuse ; àOdia, Verdun ; Léonard, à demi-kilo d vif. £Epina-1 ; George, à àMirecourt à ■ rNeufchâteau ; Jourdan et fils,; Sauvage, à Remirer mont ; Tisserant, à Saint-Dié. SLElÉiT-iMABDjj [ Brasserie de lâaatcjr j 1 aux bestiaux de la Viifetlo 1 r PROTÉGEZ VOTRE FORTUNE " JW!s le " Noir " Dans certaines provinces, oh* emploie cette expression « j'avais le noir » pour d désigner un état maladif caractérisé" par uun ennui profond, un dégoût de la vie, cconséquences des souffrances que le mar • 1: lade endure journellement. Les anémiques, les affaiblis, les neuras- , t; théniques, tous ceux qui souffrent, non Ppas de maladies aiguës, mais de ces lon%gues maladies, de langueur, ont û « noir ». BIBLIOGRAPHIE LES MARCHES DE L'EST Revue bi-mensuelle illustrée, d'art, de littérature et d'histoire 84, rue de Vaugirard, Paris Numéro du 25 décembre 1912 C'est une touchante et noble idée qu'ont 'eue les « Marches de l'Est » de consacrer 1 leur numéro de Noël à la ville de Metz, ( qui vient d'assister au 42e anniversaire de !sa capitulation. Le Splendide numéro, il1 lustré de vingt-cina reproductions et com]prenant près de 150 pages, est un hommage j de respect et de pitié à la belle cité française, ancienne capitale de l'Austra1 sie. Deux vieux noëîs lorrains, ornés d'une ( composition inédite du peintre original Georges Cornélius ouvrent le numéro. ' Tous les articles sont à citer : des docu1 ments curieux du capitaine Rossel et du commandant Cremer racontent les angois! ses des habitants pendant le siège ; un bel article de Georges Ducrocq nous dit com1ment les Messins furent trahis ; Jean Longnon cite les éloges dont Metz, fut l'objet dans le cours des siècles ; Gabriel Dauchot et René Van Lande offrent au lecteur les impressions de voyage des Français à Metz et dans le pays Messin. Une chronique abondante et »>ariêe termine ce magnifique numéro, dont te prix n'est que de 1 fr. 50. ANNUAIRE i BÉf —IIIIHiiiiiiHv ^^^^^ ASTR0M3MIQUE ET MÉTÉOROLOGIQUE POUR L'ANNÉE 1913 Par Camille FLAMMARION Un volume in-lo jésus, illustré de 135 figures, cartes et diagrammes ; broché : 1 fr. 50. — Ernest Flammarion, éditeur, C'est la 49° année de cette publication qui a reçu, chaque année, des perfection. nements lui donnant.une valeur incomparable, et qui rend tant de services aux amateurs de sciences et aux observateurs. On trouvé tout dans cet Annuaire : Les articles généraux du calendrier, levers et couchers du soleil, de la lune et des planètes, ainsi que leurs passages au méridien, phases de la lune, levers et couchers du soleil pour tous les pays, tes marées, etc.; Les observations à faire au Ciel tous les jours de l'année ; Les cartes des positions des étoiles pour chaque mois et la marche des planètes ; Les détails et figures des éclipses de soleil et de lune '; les principales occultations do planètes et d'étoiles par la lune, avec les figures ; Les observations à faire sur le soleil, la lune et les planètes ; Les positions des satellites de Jupiter et do l'anneau de Saturne ; Les positions des étoiles fondamentales ; Les dessins des planètes ; Les étoiles doubles ; les étoiles variables; les mouvements propres ; Les tableaux et données, numériques de l'Astronomie planétaire et sidérale et de la cosmographie terrestre ; Les douze mouvements de la Terre ; Le magnétisme terrestre depuis l'an lo41 ; Les méthodes pour s'orienter ; Les positions géographiques et l'heure dans tous les pays du globe ; La nouvelle heure de la France et les méridiens ; Une instruction sur les instruments ; Les observations météorologiques, températures annuelles, mensuelles et quotidiennes, hauteurs de pluie, etc.; depuis deux cents ans ; Un calendrier perpétuel ; en un'mot toutes les données d'un Annuaire 'scientifique aussi complet que possible. Et, de plus, une revue générale des derniers progrès de l'Astronomie et de la Météorologie illustrée de nombreuses figures. Ce volume-ci.s'est encore enrichi cette année de nombreux documents nouveaux, tant astronomiques que météorologiques. Il présente un intérêt tout spécial, entre autres : la description méthodique et eomplète de la curieuse éclipse du 17 avril dernier, avec photographies, la description et la figure du nouveau continent entarctiqne^découvert par Amundsen, une carte, céleste des principales étoiles visibles è{ l'oeil nu, la manière de recevoir à domicile, res; signaux de la Tour Eiffel. j > 1■ ;1 ilïISll ■ jiiilliliiiiiiiiOij ^^^^^^^ Mme Lécha pt, demeurant à Bellej , (Ain), 69, Grande-llue, nous a écrit qu'elle' avait le « noir » par suite d'une anémie < qui la minait depuis longtemps. Ajoutons <qu'ayant eu la bonne inspiration de pren<dre les « Pilules Pink », Mme Lechapt in'a plus eu le « noir ». « J'ai le plaisir de vous inhormer que ; j'ai été très bien guérie par vos Pilules :Pink de mon affreuse anémie. Depuis <quatre ans que je souffrais de cette mala<die, je me trouvais si anéantie que j'en « avais le noir o>. Songez que j'étais de venue si faible que je ne pouvais pi'-»5 'travailler, ni me livrer même à une petit* , occupation de ménage. U me semblait que je n'avais plus de sang dans les v«inos et mes jambes ne pouvaient plus nie porter. Je sentais que je m'en allais tous ; tes jours un peu, d'où mon état de tristesse. Ajoutez à cela quô j'avais très souvent la migraine, des palpitations é" cœur, des éblouissemenls et que, faible comme je l'étais, la moindre contrariété m'énervait outre mesure. « J'ai été cependant entourée de fous les soins voulus- J'ai pris dos fortifiants, des jus de viande et quantité de remèdes, tout cela sans succès, mon état restait toujours aussi déplorable. On m'a, enfin, fait prendre les Pilules Pink, et du ioar*f où j'ai eu commencé ce bienfaisant traijtl tement, ma santé a été remarquablement, améliorée. J'ai eu bientôt de nouveau des forces, des couleurs, et j'ai pu, guérie,, forte, bien, portante, reprendre mes occupations. » • ' »I Les Pilules Pink donnent du sang * I che et pur, elles augmentent le nombre des globules rouges du sang et favorisent ainsi l'absorption de l'oxygène dudisoeBsable à la vie. Elles ferment les portes &(§ la maladie. Les Pilules Pink remonte» les organismes affaiblis et donnent o65 résultats excellents contre l'anémie, chlorose, la faiblesse générale, les mai"! d'estomac, l'épuisement nerveux. On trouve les Pilules Pink dans tdu1**^ les pharmacies et au dépôt, Pharnra**,! Gablin, 23, rue Bajlu, Paris ; 3 fr. 50 f § boîte, 17 fr. 50 les 6 boîtes franco. du fia©2 Pmii " I La faveur avec laquelle le public a «c' cueilli la merveilleuse découverte 11 . Thermogène, l'essor considérable ou pris la vente de ce produit si actif et ci d emploi si propre et si facile devaient exc ter fatalement la cupidité de conU'olay^ tours sans scrupules, toujours prëfe ;* profiter des inventions et des socriu^ des autres — et l'on va jusqu'à de;;'-' sous le nom de Ouate Thcrmogèno —J j,, produits n'ayant rien de commun avêC.-?MB THERMOGE'NE véritable. Les gens avisés se défeudrorî coft'; • les tentatives intéressées dont ils '-cl\^ l'objet et leur réponse sera toujours s> ,« pie et nette << luutilo d'insister. M jil le i ; i i. .-.lui .J:,i\ r., lu (■■ î'V-iroi* crachant lo feu ». " . . J,._. ..».• .i.-,» g ■Ma.WSn nes : Usines de la Providence, à Rehon ; j | Société Senelle-Maubeuge, à Longwy-Bas. 1 C'esl due qu'il s'agit d'un placement rte j ACTIONS tout premier ordre qui s'adresse aux plus Banque Renauld et Cie <non libérée). tfonata tout on faisant un placement avanniodeste.3 capitalistes. Et bl. H. Miellé et Cie (Chaluns). La Banque Bcnauid et Cie reçoit les tageux et sûr. Etnbl. Goulet-'I urpin (Reims). souscriptions. Brasseries de Maxéville. Voici encore quelques chiffres d'extracCompagnie Générale Electrique (Nanc?^ MATÉRIAUX DE CONSTRUCTIONS, tion par minée : Construction» Electriques-Nancy. 1911 1012 Eaux, de Vittel. CARRIÈRES. t. t Station Electrique de Millery (M. VilPienne , 975.996 1.090.959 Société Naneéle»n>e du Béton Armé. — grain). Tucquegnieux 846.445. 1.011.634 L'assemblée du 20 Uécembre A ratifié les Mines de la Houve. Jœuf 600.355 706.280 propositions du Conseil relativement à la Houillères de Ronchamp. Joudreville 562.090 721.301 venta avec un bénéfice très appréciable Forges de Frondes et Vraincourt, des terrains de la Société, Andorny 83.087 257.000 Papeteries de ("lairefontaine. Sancy 539.718 584.363 U ne s'agit pas, pour celle-ci, de dispaPapeterie du Souche. raître, ni d» transporter ailleurs ses pénaLnndVes 851.763 955.972 Marchéville, Daguin et Cie. tes. Dn effet, devenus simple entrepreneur Am&rmont-Dommary. 506.091 916.129 1/27" Saint-Gobain. de travaux en béton, où elle s'est acquis Saint-Pierremont .... 298.354 483.612 Saline de Sainte-Valdrée. une notoriété de bon aloi, la Société n'a Valleroy 75.207 162.158 Saline de Sommerviller. plus besoin, pour l'exploitation de cet obFilature de Cheniménil. jet, que d'un espace restreint. Or, l'aonuéPAPETERIE, IMPRIMERIE, JOURNAUX Tanneries et Corroieries Réunies. i'eur de son terrain lui rétrocède à bail la portion qui lui est nécessaire- Bonne OBLIGATIONS La Chambre syndicale des maîtres-imopération par conséquent. primeurs de l'Est vient de lancer une cir- • Morcau et Cie (Vézelise) 4 1/2 %", Energie Electrique de Meuse et Mara» culaire annonçant une première augmenMÉTALLURGIE. 4 i %"• tation de ses prix variant de 10 à 15 °/r. Souscriptions à titre réductible : 28,019 France. — Le prix moyen des fontes anAnnuités de J'Arve 4 1/2 %". actions. j glaises, qui est l'une des bases des prix suivant les articles. Miche ville 4 %". Les résultats médiocres — en face de la Celles-ci ont été ramenées à 2,718, soit de , coke à échelle, ressort pour le quaCotonnière Russo-Française 5 %". un pourcentage inférieur à 10 %.Ce franc trième trimestre 1912 à 00.1.17 au lieu de prospérité générale — des grandes imprimeries justifient, en effet, pareille mesuccès obtenu, malgré la coïncidence de 54.5.64 1 pour le trimestre précédent et sure. la souscription avec le moment le plus# 47.4.6 , pour le trimestre correspondant de aigu de la crise internationale, atteste" 1911. Dans ces conditions, le prix des *** ACTIONS quo la C. G. E. a ses fidèles. cokes pour lo premier trimestre 1913 paFabrique de papier de la Basse-Alsace Epiciers Réunis (Nancy). Reposant sur un fond solide et possé- raît devoir subir une hausse de 1 fr. m (Schweighausem). — L'exercice au 30 juin Etabl. Goulet-Turpin (Reimg). dant de nombreux éléments de rende- et s'établir par conséquent aux environs enregistre une nouvelle perte de 85.689 EtaW. B. Miellé et Cie (ChàlonsJ ment, la Société offre, en effet, à ses ac- de 26 ir. 25 au lieu de 21 fr. 437 pour le mark, portant à 181.058 mk. la perte toEtabl. Pigal-Benoist (ChàlonsL tionnaires la perspective de recueillir, premier trimestre 1912, tale à amortir. Glacières de l'Est (Nancy). d'une façon plus large, sous forme d'un Malheureusement rien ne fait prévoir Brasserie de Champigiieiilles. *"* dividende progressif, le fruit d'une ges- pour l'instant le retour à une situation Brasseries de Charmes. tion sage et compétente appuyée par leur plus normale. Il faut attendre que les Dans leur réunion du 17 décembre, les BoulonnerTes de Bogny-Braux. légitime confiance et inspirée par le sou- métallurgistes trouvent dans leurs parti- différents groupements de la papeterie ont Forges de Commercy. ci do l'avenir. cipations charbonnières un contre-poids ratifié une .hausse des prix, variant de 5 Gantois et Cie (Saint-Dié). Compagnie Electrique de Franche-Comté à la hausse du charbon. à 10 %, sufvant les sortes. Cette industrie Pompey. (J. Bossert et Cie). — Telle est la nouBelgique. — La situation rappelle les subit la loi du renchérissement général. Imprimeries-Réunies (Nancy).velle dénomination de la Compagnie périodes les plus brillantes dont se souKali Sainte-Thérèse. SEL, SOUDE, PRODUITS CHIMIQUES. Electrique du Moulin de Pré {Bossert, vienne le marché belge. La Textiloae (Rethel). Rufenacht et Cie), modification survenue La comparaison des prix à un an d'inTonnellerie Ad. Fruhiosholz (Nancyf. Hausse des nitrates et du sulfate d'amà la suite du décès de l'un des deux gé- tervalle est à cet égard éloquento : moniaque. Cie Générale d'Assurances Rémoises. rants, M. E. Rufenacht. M. J. Bossert 1912 1913 OI3LIQA 1 iONti reste seul gérant. TEXTILES, BLANCHISSERIE* Gaz Franco-Belge (Robert Le sage et Etabl. Brudhon et Cie 4 1/2 %". Fonte Thomas 69 90 Cie). — L'assemblée extraordinaire du 6 Produite Elee.tro-Chim. et Mât. des PyTEINTURERIES. Lingots d'acier 100 119.50 janvier a décidé l'élévation du capital à rénées 5 %'. Acier marchand inSituation s'ans changement en France. 4.825.000 fr. par la (u^éatior de 750 actions Hauts-Fourneaux de Maxéviîle 4 %**. térieur 137.50 170 ;nouvelles. Ces ressources sont destinées — En Angleterre, l'industrie cotonnière De Wendel et Cie (Hayange) 4 1/.2 %**. Acier marchand exconnaît des jours heureux. à couvrir les apports faits à la Société Pont-à-Mousson 4 %'. portation 5.3.6 6.2 des affaires de Pontarlier (Doubs), Pon— Signalons la fin dans la filature laiMines d'Amermont-Dommary 4 %". 6. tivy et Auray (Morbihan), apports qui , Rails exportation .. 5.2.6 nière alsacienne d'une longue période de Blanchisseries de Thsoa il/2%. Tôles exportation .. 0.2 0.16 malaise ouvrier. , comprennent les monopoles du ga.z et de Filature de Rambervillera 4 fyf %*** l'électricité. Le marché des fontes paraît susceptible — La soie, industrie de luxe, souffre Ffteture de fcohlestad* 4 i %**. .encore d'une certaine hausse. naturellement des inquiétudes politiques. ViBe de Naney 3 Sft %■ FORCES HYDRAULIQUES. Allemagne. — La production de fonte A y 1 1 II |i 11 n llli IMIM'fWILMlMΗIlilJMMM-Ll (Allemagne et Le public commence à s'intéresser aux de l'Union douanière valeurs d'aluminium. On nous rendra cet- Luxembourg) ressort pour 1912 à 17,852,571 te justice quo nous n'avons pas attendu la t., contre 15,557.030 t. en 1911. C'est une Filature tissage de coton de Giromagny hausse pour conseiller les achats. Il n'y augmentation de 2,295,541 t., soft 14,77 % Le délai imparti aux anciens actionnaiIl y a 10 ans, en 1902, cfte était de aurait pas grand mérite à venir au seres pour exercer leur droit de préemption 8,402j000 t., c'est-à-dire qu'elle a plus au* cours de la victoire. étant expiré, les souscriptions des noudoublé pendant cette période. *"* me Si-Georges, NANCY A titra de comparaison, la production veaux venus sont reçues jusqu'à concurForce3 Motrices de la Vallée de la (près le Point-Central) Blenne. — Les recettes de l'exercice ont française qui en 1902, s'élevait à 2,427,000 rence des titres restés disponibles. Rappelons qu'il s'agit d'entrer aux conatteint près do 100,000 fr., mais les béné- t. peut être évaluée à 4,800,000 t. nour ROHïRËiJs DAME fices influencés par une marche à la va- 1912, c'est-à-dire qu'elle a doublé égale- ditions d'origine dans une affaire menés peur beaucoup trop considérable, en rai- ment. On peut d'ailleurs faire cette re- vigoureusement, bien amortie et qui n'a double botte argent son de la sécheresse, se chiffrent à 17,869 marque que la production mondiale des jamais donné moins de 5 % nets à ses actionnaires. Elle constitue le noyau d'un fr. 70. Ils ont été passés aux amortisse- principaux métaux a doublé pendant la groupement très important ; les souscripments, la Société ayant encore à payer dernière décade d'années. — Comme c'était à prévoir, le renché- teurs se trouveront portés dans la grande des installations complémentaires. industrie. rissement monétaire fait sentir principaHOUILLÈRES ET MINES DIVERSES. .a Banque Renauld et Cie reçoit les lement son effet sur les pn-odnits marsouscriptions. Elle reçoit également les dans la construction Pour le marché européen des charboas, chands employés aucun doute relativement au maintien des De récentes adjudications ont fait ressor- souscriptions aux obligation» 4 | % nets hypothécaires de cette soeiêté qui eonetiprix actuels pendant toute l'année 1913, tir des prix inférieues aux pw* offieieta. Los autres produite restent fermes. Si- tuent an placement de tswt premier oret grande probabilité de hausse aux regnalons toutefois uns mairas-value dans dre par ses garanties. nouvellements do mars. remboursement. A — L'avenir du bassin houiller da Lim- me expéditions du sy»#e&t de te. machine. Bseringer, Guth et Gis. — Assemblée Autriche. — Les affaires sont détestabourg Néerlandais ne doit pas nous laisGrand choix fie CADEAUX pour ser indifférents. Sa production en 1911 a bles dans toutes les branches. La monar- convoquée pour le 18 janvier. A l'ordre du jour : Reddition du compte des liquichie dualiste expie cruellement sa mégaété de 1.477.000 t. et ee n'est qu'un comdateurs et quitus aux gérants et aux limencement. Les mine» fiscales qui ont lomanie. Angleterre.— Les stocks de fonte à Mid- quidateurs. produit 246.000 t. prévoient en effet, pour On sait que la Société a été reprise en 1915, une production de 600.000 t. et pour dlesbrough sont tombés é un niveau très 1930 une extraction do 3.500.000 t, Or, la bas, et l'on ne prévoit pas un retour Bro- octobre par la Société d'Impression des Vosges, pour un prix global de 4.680.000 Meuse peut nous apporter ce3 charbon» cha, in du marché à la normale. — La construction navals travaille à £r., représentant 6.500 fr. par action Bosdans des conditions intéressantes. plein collier. ringer, Guth, d'u» nominal de 5.000 fr. Russie. — La disette de cembustible Etablissements Paul Larin (Senonss). — — Les prix du fer blanc sont en baisse s'atténue, les chemins de fer ayant à peu — Les résultats présentés A l'assemblés du en Angleterre. C'est que les débouchés près complété leurs stocks. L'Hygiène et la Mode commencent à faire défaut. L'Allemagme 29 décembre ont permis d© porter le divi•* vous • - scriv- • ■ ï Après avoir prononcé le rejet de trois n'est plus preneur, et les Etats-Unis IMWI dende de 3 % à 4 %, soit 20 fr. par action, demandes en concession des mines de fer seulement n'achètent plus, mais font coss- payable net au 'nominatif et par 18.75 en Normandie — beaucoup do candidats currenco au Canada et en Extrême-Orient. au porteur ; coupon n° 3. Société d'impression dea Vosges et de Pour les 11 premiers mois de 1912, les et peu d'élus — le gouvernement vient d'accorder trois nouvelles concessions de exportation» totales anglaises ont été de Normandie (Anciens Etablis sèment* Bœmines métalliques, deux concessions de 452,110 t., égales à celles de 1910, et les ringer, Guth et Cie d'Epinal et Indisnneplomb argentifère dans le Gard et dans exportations pour les Etats-Unis et le Ca- •ries françaises de Bolbec). Telle sera la dénomination complétée le Rhône et une concession d'arsenic en nada n'ont été que de 8,345 t., conte» 97,398 t. en 1910. de l'ensemble de ces deux établissements, Corse. BYGlftUÛOES après que l'assemblée extraordinaire du •Ces attributions sont faites comme les *** 1/ ' ^s&x ■ > . 13 janvier aura approuvé leur fusion. précédentes à titre onéreux et moyennant Au point de vue électro-sidérurgie, Pan- Ayant fait connaître dans notre numéro du versement à It'Etat d'une part dans les bénée 1912 a été en Franco une année de re- 14 décembre 1912 les conditions do cette néfices variant de 15 à 20 %. 1 f / Docteur Nous no discuterons pas le Mes. fondé cueillement. U ne paraît pas devoir en fusion, nous n'y revenons pas. * do cette participation de l'Etat, n'étant être de même de 1913. TRANSPORTS. Nous avons annoncé la combinaison pas, on le sait, gens de parti pris ;; mais nous tenons à relever le sophisme; Firminy-Rioupéroux. Voici qu'on parle Alpes Bsrnoiees (B. L. S.|. — Les traen vertu duquel on pourrait tirer argu-; d'une entente ontre le Creusot et Allevard. vaux du tunnel de Granges soat active] Ëa tflirte â&as ta r iTrnlfTii ment de cette « contribution volontaire »1 /vBSfc ' TYTleMTi fie ot^pa fflbk En Suède on s'est attelé à deux pro- ment poussés. Au 31 décembre, la lonpour imposer une pareille servitude aax; blêmes : l'electro-métallurgie du zinc et gueur de la galerie du côté sud était de concessions de houille à instituer e«1 la production de la fonte au haut-foar- 1.253 m. et celle du côté nord était de Meurthe-et-Moselle. I -"■ I M Saiirt-Bto®. neau électrique. 1.022 m. Au 20 décembre, la perforation C'est qu'il ne s'agit pas ici d'une affaire> mécanique a été inaugurée dans la galeProchainement les Annexes des Mvn.ts ordinaire. publieront le rapport de M. Nicou sur est- rie nord, alors que l'on continue la perQu'on se souvienne en effet dans quel-■ te dernière question à la suite d'un voyage foration à la main dans la galesie sud. les conditions ont été entreprises les re-■ d'études en Suède. Venues d'eau toujours insignifiantes, six cherches de houille e» Meurthe-et-MoOn peut être certain d'y trouver la. do- litres à la seconde pour les deux côtés. ? C'EST LA VIE selle. C'est pendant une période d'extrêChemins de "fer et Minières du Prince ■ cumentation la plus complète, M. Nicoa me disette de combustible que sociétés ' ayant l'habitude d'épuiser les questions Henri. -— Les recettes de 1012 ont atteint industrielles et gros capitalistes ent ris-• qu'il traite. 8.760.768 fr., en augmentation de 1.290.000 qué plusieurs millions pour élucider le fr. sur l'année précédente. A problème de la houille en Lorraine. La houille existe, mais dans quellesi Le 7 jianvier a été mis on vente à A«VALEURS DIVERSES. conditions défavorables I Des capitaux[ vers un rot de 350 t. de cuivre du Kataménormes seront nécessaires pour en assu-. ga. U a trouvé preneur au prix moyen du Voici, comparés à ceux de 1912, les rer l'extraction. cuivre des autres provenances. prix auxquels le syndicat allemand des L'Etat, gardien de la richesse natioopticiens, Nancy, 44, rue Saint-Jean La production de cuivre dti Kntanga a propriétaires de moteurs, livre actuellenale, devrait être le premier è en prova-. atteint en 191.2 bien près de 2.000 t. ment ta benzine à ses membres : MAISON RECSiRMBÉE POUR U LUNETTERIE OE P CHOIX quer une mise en valeur dont U est tnu— Le syndicat allemand du plomb esf Mk Bxéenlion rapide des «rdonnanees it RM. les Docteurs ctslistu jours le principal bénéficiaire. An lieu de> dissous depuis le 31 décembre, mais les Benzine pour automobiles 44 (28 75) Se méfier des colporteurs qui se font cela, on l'a vu pendant 8 ans berner des3 gros producteurs et négociants ont con» 1 pour moteurs... 4*0 (24 75) passer pour un des frères Maurùte. actionnaires, trop confiants. Et aujour-. servé le contact. » II » ... 35 (21 75) d'hui, renversant les rôles, il réclame; — La haussa de l'étain assure le succès — Le syndicat allemand des fabricants une part dans des bénéfices hélas ! très3 ' de la feuille d'aluminium qui le remproblématiques sans proposer aucune3 place avantageusement pour les omballa- do chaussures a décidé une nouvelle hausse des prix et a déclaré vouloir soutenir participation aux risques. Le seul argw-. ges. les commerçants dans leur campagne ment qu'il puisse invoquer, est celui du1 pour obtenir des conditions plus rémunéA fabuliste : « Quia nommer Léo ». ratrices. Burbach, Eich, Dudelange. — C'est cette Aussi un correspondant pinse-sans-. cstilosr dor — Les produits de plantation commenrire de la Revue InduMmcCb* de t Esf, Société et nen Gelsenkirehon qui est en proposc-t-il à l'Etat de prendre à sa char-[ pourparlers pour l'absorption cl'Eschwsi- cent à compter sur la marché du caoutchouc. U en a été importé à Anvers en ge les dépenses d'installation du siège ài ïercréer, de rembourser leur mise aux acMontataire. — Les cours ne se sont «as 1912, 1,402.000 kil., contre 070,000 kil. en tionnaires des Charbonnages Réunis ett ressentis jusqu'ici de la crise sardinière 1911. C'est là qu'il faut chercher, croyonsde leur attribuer sur ses bénéfice* ht partt qui ralentit évidemment la consommation nous, la cause de la grande régularité des prix du caoutchouc en 1912, alors oue qu'il prétendait auparavant prélever. des tôles de boîtes à conserve. 13, rne Gambettu, .NANCY Nul doute que les actionnaire des Char-1 Vireux.MoInairi. — La Société vient de la consommation ne fait que se dévelopbonnages Réunis n'adoptant par acclama-„ s inscrire au. nombre des impétrants pour per considérablement. Tous les jours CONSULTATIONS *** tion une telle proposition. Mais on ne la la concession de Villers-la-Montagne. Bile S h. à midi el de i A, tiS à 6 h. t fera pas ! «e trouve en bonne compagnie. Etafelissomasîla Ccanet, — Viennent do » *** perdre leur fondateur. Inclinons-nous resMINES DE FER, Nous avons signalé dans notre Ritméro} pectueusement devant la dépouille de ce du 9 novembre 1918 te» intéressants esvieux Nancéien plein de considération, W renseignements reçus nous permstsais entrepris à Hamru, à la m*se de MM. S&lrwpi-teflsle dont l'ingéniosité et la méthode amenè• tent d'établir appreximativement la prode Wendel pour la fahrk.atkfca de l'acide rent les établissements au seuil ds l'am- Diplôme d'honneur — Deux médailles d*e* s duction du Bassin de Brtey en 1912. azotique d'après le procédé Hausser, qui pleur que leur a donnée aujourd'hui M. N ' — 5Î, r iê • - NA >81 Rappelons les chiffres précédents : constituent une utilisation fort intéres-' Adrien Coanet, fils et continuateur d« re Cari3iiStations de 0 bevree à 5 heures sante des excédents de g«e de four» ài gretté disparu. Production coke, et ajoutent une neuvetts page àt en tonnsÉ. A sa veuve et à son file, nous offrons l'histoire si passionnants de l'utilisation1 nos plus sympathiques et no3 plus dou1904 1.647.01» do l'atmosphère comme maMère première. L'I 3T loure>#ses condoléances. 11105... 2.354,000 Ces essais viennent d'aboutir à la consGlficlèrea de l'Est. — Traitées à 579. est en venta 1906 3.084.M titution d'une société anonyme, ara capi1 Tamîsrïes et Corroieriez Réunies, — A PARIS,— Passage dea Prinoos, «T, M» 1907 4.126.7» tal de 1,000,000 de mk en vue d* l'exploiNégociées à 575 comme précédemment. 1908 A de Richelieu, 5 bis Iwulevaed dos lté» tation des brevets. Le Foyer Lorrain. — L'assemblé* du 1909 6.310.65» liens. A 29 décembre a décidé l'élévation du capi- A METZ.— Schiller, 21, rue ries Carloven» 1910...... 8.470.008 tal de 800,000 à 1,100.000 fr. Elle a on ou1911 10.427.006 giens, et dans tous les kiosques de Mets, tre tiré au sort las numéros pour les cons- A àTîiAsaouRG. — Chez M. A&IMBL. S, 1912... r. 12.500,000 tructions à entreprendre en 1913, wtr on place de la Gare. La progression annuelle ss mftjnttnmt fait q»ietie pour entrer. A LUXEMBOURG.— A la Bibliofhftrrue * donc au chiffre de 2 milliona, ee trouvant Les obligations émise» par cette Société Affaire très sagement menée par un la gare et chez M. Kraus, libraire, % s un frein que dans la rareté ds la mainont la garantie solidstos des firmes ci-• d œuvre. apôtre dos œuvres sociales. Elle doit donru'e du Génie, près de la poste. après : ner des grandes satisfactions aux ciOn nous rendra cette justice que nous _ Aciéries de Longvvy- à Mont-Soint-Martoyens dévoués qui lui vouent leur as■ n'avons pas été trop optimistes en prétin ; Société P. de Sain lignes si Cie à J. CHA1LLY, gérant. sistance en travail et en argent. Le prin1 voyant pour 191â,jo»e extraction ds 15 Longwy ; Société M. .Rat» et Çfe, à Sauîcipal obstacle à son essor, c'est la leVIs• J i pillions de tonne» gai justlfissa, les calj*;r.4ti'Kii, *>i fMSMHïitt, \*m ^i;»'^! , latlon qui n'est pas suffisamment SOUDI* -• flous avons acheteurs: DE LA O^klPIT^IL, : VINGT MILLIONS |jê service de cette Revue est fait gracieusement sur demandé, V^laEUR IDE PbKCEMENT à rémission Nous avons vendeurs: OBLIGATIONS UNION GAZIÈRE & ÉLECTRIQUE Rapportant 4 i/2 aw^/s Prix d'émission : 490 francs, plus intérêts courus Jouissance 1er Janvier 1913 Lour sécurité ne faisant pas question, elles supportent la comparaison avec les lilres les plus avantageux el nous n'hésiloas pas à les recommander;comme valeur <Je placement. La Banque Itcnauld et Cie tient des notices à la disposition des intéressés. Un appel digne d'être entendu parce que son but est éminemment national, consistant à publier les beautés naturelles et artistiques de la Patrie Française, t'est l'appel du Touring Club de France. Avec ses 140.000 sociétaires actuels, le T. C. F. constitue une puissance, mais qui ne s'exerce que pour exalter ra France dans le trésor de ses parures, trésor fait de leur diversité autant que de leur richesse. , Il n'est pas de compartiment où le T. C. F. ne manifeste son action dans le champ du tourisme, depuis les détails les plus humbles et auxquels échapperaient seuls les purs esprits que nous ne sommes pas, jusqu'aux vues les plus hautes et les plus élargies qui ne nous échappent point parce que nous sommes des esprits quand même avides d'idéal. Aménagement et construatHon de routes, de pistes et de sentiers, d'hôtels et de refuges ; reboisement ; marche pédestre ; cyclisme et automobilisme, yachting et aviation, tous les sports ; créer des courants toujours dans le sens national et les ap payer par des subventions : voilà la vocation du T. C. F., stimulant tour à tour les Pouvoiis publics et le Privé pour ouvrir hier la route de la Corniche dans l'Esterel, aujourd'hui la route des Alpes, demain ia route des Pyrénées, à ne parler que des grandes entreprises. Dans la puissance de cette association résultant moins encore du chiffre des ressources que du nombre des affiliés, nous trouvons un réconfort complémentaire moral. Cet autre réconfort, nous le situons non plus dans le but de l'association, mais dans ses moyens, dans le fait que 140.000 Français, en dépit de l'individualisme qu'on (leur prête, ont réussi à se grouper et font la pelote de neige pour faire prévaloir leurs vues et les imposer à l'opinion. Alors nous nous disons que si l'esprit d'association en France rencontre plus qu'ailleurs des difficultés de réalisation, ces difficultés sont toujours aplanies ou vaincues quand elles ont trouvé un apôtre, une unité qui s'eo fait le champion. Cela dans tous les domaines de l'activité, l'activité économique comme l'intellectuelle. Et tpa'en coûte-t-il pour devenir l'associé du Touring-Club de France, oeuvre à ia fois patriotique et salutaire à l'hygiène du corps et de l'âme ? Cent sous par an et qu'on retrouve d'ailleurs dans la publication mensuelle de l'association qui vous est adressée gratuitement. On y trouve, en effet, en une langue toujours pure, pure comme l'air des sommets, des récils de voyages, de randonnées et d'excursions, qui remplacent la réalité chez les uns, en renouvellent la sensation chez les autres et chez tous déterminent les projets. Or, les projets, c'est le meilleur de la vie, s'il est vrai que le jour du bonheur, c'est la veille. Les Français sont donc aptes à s'asso> cier. t tion de capital national que la mère-patrie iréclame. Alors, montrez-vous larges vis-à-vis de vos r prêteurs. Et nous nous adressons ici plus part ticulièrement aux industries naissantes qui a auront à rendre leurs appels très attrayants | parce qu'ils seront importants et répétés. La fermeté des fonds internationaux est persistante. Tr, répétons que, dans un conflit politique, leur cote peut être invoquée au même titre que l'on consulte le baromètre '■ pour la pression atmosphérique ou la girouette pour la direction des vents. La cote de ces fonds a'est-elle pas la résultante d'appréciations très intéressées, émanant de gens généralement bien informés et auxquels de fausses déductions coûteraient fort cher. C'est donc l'indice le moins sujet à erreur, parce que c'est l'acuité de-vue de l'intérêt. BANQUES, Banque de France. — Le dividende pour 1le deuxième semestre 4« 1912, est fixé à 85 francs, ce qui porte à 100 fr. le dividende 1 total de l'exercice, au lieu d© 140 fr. nré1cédemmont. , Crédit Foncier d'Al9aBO«Lcrralno. — AH 31 décembre, cette Société avait en circu: lation 181.580.000 mk d'obligations hvnothécaires et 10.290.000 mk d'obligations 1communales. Les prêts hypothécaires s'élevaient à 186.430.000 mk et les prêts aux communes à 11.280.000 mk. BRASSERIE ET MALTEEIE. Brasserie de Besançon (La Mouillèrei — Le bilan au 31 octobre 1912 fait ressortir un bénéfice de 16.649 fr. pour un capital de 500.000 fr. Il n'est naturellement ras question de dividende. Brasserie de Ciiamftignewilss. — L'action traitée à 1.600. .Nous disposons encore de quelques titres, mais à 1.650. Brasserie et Maiterïe de Courlancy .— Le bilan au 30 septembre faisait ressortir un bénéfice de 23.130 fr. qoi a été totalement employé aux amortissements. Lia Société a procédé on cours d'exercice à l'installation de nouvelles machines . Brasserie de Sainî-Avoid. — Bénéfice brut 151.661 mk. Après S2.024 mk. d'amortissements, le dividende a été fixé à 4 %, soit 40 mtc par action. CONSTRUCTIONS MÉC ARfôDES, MÉTALLIQUES ÉLECTRIQUES & AUTOMOBILES. Fabrique d'outils de Mutz;g-Framont. — Le dividende ost fixé à 5 %, sert 80 mk pour l'exercice au 30 juin 1012. Société alsacienne de constructions mécaniques, — L'assemblée est convoquée on vue de la transformation projetée qni doit, on le sait, conférer l'autonomie à chacune des divisions alsacienne et française de la Société. ÉCLAIRAGE ET DISTRIBUTION Union Sazièro et Electrique L'obligation 4 i % de cette Société constitue un placement qui se recommandei aux capitalistes les plus timorés. Voici les conditions de l'émission : Titres de 500 francs, rapportant 4 J % nets des impôts actuels ; coupons semes-■ triels aux lor mars et 1" septembre ; remboursement au pair en trente ans, à par-■ tir de 1917. Prix d'émission : 490 francs, plus intéDans l'œuvre de régénération ou de comer plément de notre outillage national, il faut rêts courus depuis le 1 janvier 10Î3, avec un coupon intercalaire de doux mois a« donc que l'emprunteur fasse de bonnes conl" mars 1913. ditions au capitaliste, à peine de le voir acIl s'agit donc de 4 J % bien nets et corder la préférence à des sollicitations plus émis au-dessous du pair, taux qui tient; ; avantageuses. U y a dans cet ordre d'idées compte des conditions monétaires actuelune éducation à faire. les et que l'on ne trouverait pas facileEn effet,!'emprunteur français exagère un ment à conditions égales de sécurité. Peu son crédit. A cet égard, il n'aide point Si les affaires qui sont en Comptoir ofsuffisamment à ceux qui, se faisant ses frent aux prêteurs un supplément de gachampions, ont déjà à lutter contre le déni- rantie, il faut reconnaître qu'ici l'emprunfrement national, cher à la généralité des teur rentre dans cette catégorie, au moins; français, et contre les appels des sirènes pour la portion principale de ses entre-' prises jqui se trouve en Meurthe-et-Moétrangères. \ Çes sirènes ont tant de thèmes pour mo- selle. La Société n'y est, en effet, entourée que do riverains avec lesquels ont été Onler leurs appels ! C'est d'abord et toupratiquées des ententes quand e* ne sont jours l'imbécile dénigrement national q»i pas des alliance», alliances sanctionnées' • ««r sert de trame, d'accompagnement, d'or- par des échanges d'administrateurs, c'est-: enestration. Quant au chant lui-même, H est à-dire par une pénétration réciproque. Il en résulte que la progression quaeir~ opportuniste, empruntant ses accents, seK» les circonstances, tantôt aux dangers — mathémotique que l'on constate dans les , «"manques aujourd'hui — qu'un gouverne- recettes des affaires de gas et d'électricité| ne risque pas de s'égarer dans une lutte radical-socialiste fait courir aux cado concurrence *^aux, tantôt â la sécurité qu'offrent les neutres bel quand la sirène est suisse ou La Banque Rcnauld «i de sera reconge. ou bien encore à une distribution naissante au lecteur de lui réserver ea ^^P'uque des placements pour en répar- souscription éventuelle. Les souscriptions sont également reçues co S£.lentlf'quement les risques par l'action ^moinée du chaud et du froid qui aboutit chez nos correspondante : MM. Chapuis au et Cie, banquiers à Reims. tempéré... Hormis les cas où la vie nationale est «n jeu, on n'a pas encore trouvé, pour retenir l'argent, d'autre moyen que l'intérêt. C'est l'intérêt qui décide ; rarement le sentiment. Quand le sentiment fait pencher la balance, on peut être sûr que l'intérêt avait déjà égalisé les plateaux, ou à peu près. ment jj mp Unteurs ran ais nous nous ^aif / f Ç > sommes vos SU .samment les apologistes de toutes re ?Ua.'ité8 d'ordre, de méthode, de mesu> Oe labeur, d'ingéniosité et d'épargne, te et norcr ai'cune de ces qualités de hauj> durable garantie. Mais, croyez-nous, 6 s'an puient • ° ^° ces déments moraux, s'ils ne r ^ sur des avantages matériels cores Sliï ,,*nts ne suffiront pas. pour disputer ' x sollicitations étrangères la légitime uor-.. îf Compagnie Générale d'Electricité. — L'assemblée extraordinaire du 6 janvier, tenue sons la présidence de M. Douraer, a ratifié l'élévation du eauila* a 35 millions. Des documents produite résultent les chiffres suivants qui ont leur éloquence : Nombre do titres à souscrire : 14,000. Nombre de souscripteur» : 1,276. Souscriptions n titre irréductible : 11,282 actions. 1 ERNEST B0IGE0L & C* Horlogerie-Bijouterie Jules PREVOT 4, ETRENNES (ta souvenir est offert à tout acheteur ÊÊjm Vêlements PHP f [ L y RASDREL ITATO p JJ rffiBffi]S1 BjjLBelle &i Â. SASCUEL, denttsti Léon LE PAYEN BÉPUBLIGAm .3m.m Asseciation Coopérative Zêêlandaise de Carbonisation ~- .' ■La™JL.J-i!t'l»T gggHgHBgBgg^"M*"^"^"'*^^ 0 RgPita; |M|MM—■ '■'l:iM.'IliIiJ! « " i«^«Bgg"B" , gegggggggg^^^"- U Oauinet J. LQE3 la Compagnie SIKGER i Êncien i Cabinet PBÎÏE |P.COLLIGND ^ ne vend pus en France de machines d'origine ou de fabrication allemande. Eviter les contrefaçons. BelSe Maison VMgg» A nmmm DE PÂMTSOFLES Rue Je Saverne, • demande des monteuses pour l'escarpin. 7H'l'j EPICERIE-FRUITERIE 90 fr. par jour. Prix : 3.500 fr. S'adresser 7342 DIÎVTD 83 bls- me Saint. nUl Lit Georges, Nancy. P Antiquités M. Tb. 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Après une assez longue hésitation, il dédaigna la « Basse » et le « Baryton », eortis à petite allure avec leur plus vieille «uto pour s'attacher aux pas de la « Grosee Caisse ». , Le policier ne tarda pas à s'en repentir. La « Grosse Caisse », en effet, m rendait à la gare Sainl-Lazare. Claudet le -vit «e démener eomme un beau diable pour faire enregistrer un lot encombrant de colis démesures puis monter dans le jraoide de Brest. en BOITES ET DE Nombreux Immeubles PORTANT LE NOM EN NATURE DE TERRES, PRES, VERGERS ET CHENEV IERES Il sera procédé le JEUDI 23 JANVIER PJ13, à treize heures, âu café Mtfnconrt, à Ourdies et le VENDREDI 24 JANVIER 1913, à treize heures, au café Thomas, à Void, par le ministère de M" COBUS, ' notaire à Void, à la vente de Epiceries et ronds meublés Demandez à votre boulanger le *""' fGRUÂU m LORRAINE j ONDËM/NDE Vs o^vS MECANICIEN avant été employé dans l'industrie des I automobiles, machines à coudre IMI machines a écrire, désirant se créer un emploi stable. Bonnes références sont exigées. Ecrire aux initiales II. 2, au journal. An Planteur de Caïffa t, nlnco Suint .Ipnn nrfM'u-"t: '-'•' ' U^iuiM-JL < AUX écriture», ei un petit j, «ne | homme pour apprendre le commerce. En petits sacs pour la cuisine fine. 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Le bellâtre paraissait en bien piteux état. — Il n'était que temps, lui dit Claudet.. Qu'en pensez-vous '?... J'arrive à propos, non seulement pour vous sauver, vous délivrer, mais encore pour vous aider à prendre sur vos bourreaux une revanche éclatante. Joseph jeta sur son sauveur un regard effaré. L'intervention de Claudet, à pareille heure, en pareil lieu, surtout dans les circonstances actuelles, lui parut une calamité plus grande que la mort par strangulation. D'une mentalité trop simple pour suivre plusieurs combinaisons à la fois, le bellâtre songea, d'abord à réparer de son mieux le désordre de sa toilette, continuant à se plaindre d'une façon vague pour n'avoir pas à répondre trop vite, préoccupé avant tout de quitter au plus vite le théâtre de son supplice. Quand il fut à peu près rajusté il se dirigea vers la porte en trébuchant. Maintenant que la peur horrible de ...•rf-^'.-ï.: • . . I ^^*^-.-J^-<â^:^<*S_' '''"• '\ i^/^^-^^^i^^^/^^'^^. ri * J : I t*. I ! A l'."i,r di -'i. nu, elle eut line lùùcflUn L" de poitrine. V.n 10IHS, nt'-énii/'i. , >s •^^^^^^^^^^^^ >j. miiiue > Mais comme son état ne s améliorait pin,clic alla,en novïnîl?»" consulter un autre médecin qui lui néclnrti qu elle ovnlt«quclqticclioitM au poumon et lui prescrivit de la suralimentation et de l'huile île loi,..', morue pendant tout l'hiver 1910-1911. Malgré cela,Mme BKHHA1U)UV((|, des qiuiites de louxdeplus en jilus proloiâén,expectorait riin.juo jc,'Ul. descracliats épais souvent mêlés de llleUde sang, transpirait pail'oiji» nuit, dormait mal, maigrissait el avait de la lièvre. En janvier l'Jll.snscn. tant extrêmement lasse,souffrant de points dontoitnn ud peu partout" surtout au poumon gauche et son médecin lui ordonnant lerepos.ellcdu! cesser toul travail. Quand elle vint à ma consultation le 22 avril 1911 i» constatai la présence probable rte tubercules crus dans la moitié suiie. rieurcgiiiicheen arriére, lequaii supérieur gauche elle quart supérieuj droit en avant. En juin, des raies crépitants, signes de lésions lulicrculeuses du 8"degré,occupaient les deux tiers supérieurs du poumon gmieln le tiers supérieur du poumon droifenarriéi e et la base gauche sous l'nis* selle. Lc9 tinnspirations nocturnes cessèrent graduellement, les torces revinrent lentement, mais Mme HKltltAHf) ne se trouva vraiment mieux qu'eu septembre 1911. Le 15 décembre de la thème année, elle était guérù et uvait repris li kilos grâce A mon traitemcnl à base d'Elixir ijupey. roux. Elle m'a permis de publier son cas afin d'être utile à ses sem, blahtes. 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H 1 -1—— I,cs malades qui souffrent do h»la B _S „M, ^QMJ_9w i-'/fa^sjHL 2 _'i&, _9 W j* K_ (H 1 | \,__w *\ y ^^SBBbJ j ~-^ilBgB!<r^ ES ji Eiiget u portrait i B I >ws intérieures, Suites de entiches, H Pertes blanches, Melritfs, Fibrômes, H ' u l'.imenrs, la M| ^nériaon «-u emnloyaiit la Jotiv>-»><-<> HH «le l'i\l>l><* Koin y. lîET n lt * ^ ' ïljj W'ÂfiB doîvenl "éu: Ja ve.- ■ l'ure .Ici; ï -Il B <-e «le S'Aîthé Kotsi-y pour aider ^ 1* sang à se bien placer, et éviter let Eft - La J«»«iv«-tice «!•• l'A I>IM"' S«niry {Notice contenant renseignements grq^is) ^ BIJOUTERIE-ORFÈVRERIE Ancienne Mnlson HOUDEt OT Henri CHEVASSUS, Sr fil Elùve de Besançon ^§ak P 1v§ m 15 33 K ï_Vyj_ 'J ^Ç T&^SÊ* ' 7 et 9 rue la Grand choix > Faïencerie NANCY pr Cadeaux et Etronnes A I.I.I\NC.PS OU,'depuis 8 fr. CAnil.l.ONS WLSTMINSTEIt, d p 75 fr.,«lc 0 Quantité d'Objets oendus en Solde IIOlILOijUlilE.Ota-EVREHlE, 01,1 OUI'KHI R, de. 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Répond 0 tous. 5 : . mourir avait disparu, il se trouvait plus humilié que vexé des procédés rigoureux dont on avait usé a son égard. Ces grossiers représentants do la « Maîtrise » ne savaient pas l'apprécier ! Il se regardait comme une victime incomprise. En entendant du bruit, il venait de se figurer que les apaehes étaient enfin de rètow-. Peinstuadé qu'ils n'en voulaient pas à sa vie, il avait voulu les apitoyer par ses plaintes. En fait, brisé de fatigue, après de terribles épouvantes dans l'ombre, il s'était tmftn assoupi ; or, pour avoir fermé les yeux pendant quelques secondes, îl avait perdu l'équilibre et s'é*ait éveillé en sursaut à demi étranglé. Le nœud coulant qui enserrait son cou ne se relâchait plus. Alors, congestionné, #fes membres rompus, les poignets et les genoux meurtris par les cordes que ses efforts resserraient, il avait perdu la tête, s'étatt cru à ta dernière heure. De là ses plaintes et ses rAies d'agonie. Claudet l'avait du reste secouru presque aussitôt. Le policier maintenant le guidait à travers des rues inconnues le tenant par le bras et le malheureux se demandait avec une angoisse grandissante, s'il agissait ainal, dans l'intention de le soutenir ou pour le garder plus sûrement prisonnier. Et, c'était l'énervante perspective de qiie.si.ions et d'interrogatoires sans fia. Oh ! ses bourreaux pouvaient être bien tranquilles, il ne les trahirait pas I 11 se tairait. Le mutisme systématique était la M>!trl« d6fem«e à sa portée. Quelles que fustsent les questions qu'on lui poserait, la réponse serait invariable : Il ne savait rien !... H n'avait rien entendu, rien vu, rien compris, H était étranger à toute intrigue !. Y — 1 îie i| n'en r ilsnn desniieial i ! <■ s'u?^ «*'' »«••"••• nace inln' renuï -,, ,„ „. IfSMunelIc ne farderait lK àdéve mr poitrinaire. lVnilam l'été 1010 •oiitchaiiKCinentdc Icrnp, lalnrejj '"^^SB^^^KMt:^é:. •■^Hl|Ss ' MS£ÈW&S&!?>^ '''''' EUNE COMMERÇANT alsacien, 26 ans, expérimenté, eonifaissant passablement li la langue française, cherche emploi dans un bureau. S'ad. |X» P. S. 500, Strasbourg, poste £R A Â\ tH restante. Références à Nancy. \/ï -'i A CEBEÊ A NANCY i • II — g_ suite de décès de l" cl. delà Faculté de Mont- j pellier. Consultations de î à 4 h. Prend pension. A. GAUTHAN 14. rup d i Tift-r. h ..< V-I V i i ** maladies les plus dangereuses. se vend 3 fr. 50 le j_j tlaeon dans toules les Pharmacies, 4 fr. 10 franco gare. — [Sj mes, pour la vente d'articles nouveaux breveté de grande E9 Les 3 flacons franco conire mandat poste 10 fr. Gt) adressé utilité dans chaque méjiage. _■ Pharmacie Mag. DUMONTIER, à Rouen. 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De quelle nature était donc le bruit singulier qu'il percevait Y Ce n'étaient pas les plaintes confuses mà'lées de ronflements d'un dormeur hanté de cauchemars. C'étaient comme des lamentations étouffées, des cris étranglés, des râles douloureux. Claudet se dit : « Si c'est l'un des apaehes, pour le faire taire je n'ai qu'à manifester ma présence, à faire du bruit. En m'entendant il se taira. Par contre, si c'est quelque victime, les plaintes redoubleront, les gémissements deviendront des cris «. Alors, résolument, il frappa la porte de son poing fermé. Les lamentations redoublèrent aussitôt, On distinguait, comme des appels sourds, des supplications mai articulées, oii l'accent désespéré euppléait aux mots. Claudet avait toujours sur lui un trousseau do fausses clefs. La serrure, grossière, était dea plus simples. Il lit ■ à oéder en ce moment à des conditions particulièrement avantageuses. 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Il se hâta de le pousser. — Vous traitez de mauvaise plaisanterie un crime prévu par la loi 1 Vous en avez de bien bonnes ! Vous avez été enchaîné, séquestré contre votre gré.Quand j'ai ouvert la porte, vous râliez. Sans moi vous seriez mort étranglé 1 Joseph, maintenant hors de danger, nia. —■ Vous êtes dans l'erreur. Si ces messieurs avaient voulu se défaire de moi, ils ne se seraient pas donné tant de mal pour m'âttacher. Claudet souligna l'étrangeté de cette explication. — Ma parole, vous les défendez ! Vous êtes une bien complaisante victime, sans fiel et sans rancune. Avouez, cependant, que ces « Messieurs », comme vous les appelez, ont la plaisanterie plutôt macabre ! « Mais la question n'est pas là. Ne nous égarons pas. « Pour que ces misérables se soient décidés à VOHS réduire ainsi à l'impuissance, ils devaient avoir des raisons. Quelles sont ces raisons, oes motifs ? Répondez,. R - —,-MSS ll| — Je n'en sais rien. Je les ignore. PÇ>m moi, ils s'amusaient. Ils voulaient rire— Peut-être craignaient-ils d'Être ■? compagnés, suivis par vous, dans quelque audacieuse entreprise ? Us redoutaient quelque maladresse ou quelque indiscrétion de votre part î Leurs intentions secrètes n'ont pu vous échapper.Enfin, comment le fait s'est-il passé ? A 0UEL propos ? . — Nous étions eortis ensemble. L»}' trait d'une promenade en auto m'avai séduit. J'ai consenti à accompagner >g chauffeurs. On devait faire une grana» randonnée, aller loin... très loin !••• — Aller où ? — Je n'en eais rien. — On vous dit peu malin, en effeî,'''1^5 en ce moment vous dépassez les borne» — Non, je ne les dépasse pas. Vou avez vu à quoi s'est réduite mon excutsion... ' — Ne nous égarons pas, encore "n fois1. Nous en sommes au moment où 1°' vous a fait violence. ; — Eh bien, ils se sont emparés de m0' r- Qui, ils ? — Ces messieurs. .— Combien étaient-ils ? . — D'abord quatre, puis trois, puis uVu*' puis aucun 1 — Vous vous moquez de moi. Pr«w garde. , . — Je vous affirme qu'ils so sont renart'S maîtres de ma personne. Ils m'ont in d.-ms l'état où vous m'avez vu ■•• J]a riaient. Ils avaient l'air de trouver * plaisanterie dea plus drôles. Quo v0U/n, vous quo je vous dise ?..■ S'ils avaiÇ. fait en ma présence lo même coup à . qu'un d'autre, j'aurais peut-être ri auss» Claudet maugréa ; (4 sttfiirAJ . ! '■ ;
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