î 25- Année. - Pi» 3383 3eudl GRAND Téléphone : 3.21 -10.37 ABONNEMENTS : TROISJKO.S, NancY—• • • • • • Mear*tlie-et-MoseUe, Meuse, Vosges Antres départements franger I On peut s'abonner sans frais dans tous CHRONIQUE DES LETTRES \jQ Brésil SIMOIS 4 50 5 » 6 » 7 » | les bureaux 9 » 10 » 12 '» 14 » de postes 7™ ~U 18 » 20 » 24 » 28 » « « « « j" T B*™ C« I ■ ^B^ JOURNAL Ïrfjucr/Off rTLtfJJVZSriMriOW : . i 1 t i . . i " £ ». 2 - « £ ï. j i, si ^ l rt J } » * ZZ ! C. N A. M P V _ R ^IB' j WASMwï parlient aux hommes qui se lèvent tôt ». Il raisonnait juste ; commencer sa vie de bonne heure, sa journée de grand matin, c'est une force. » L'oncle me paraît résumer, en vingt lignes, toute la psychologie de celui qui veut tenter la fortune, aussi bien au Brésil qu'ailleurs. Profonde maxime, sous sa forme bourrue, que ce conseil : « On est dislancé si l'on s'arrête : si l'on va trop vite, on s'essouffle et l'on C'est mercredi matin, à 7 heures, que s'est c! champ de bataille, alors qu'est-ce qui crève ... » Combien, partis à la pour- :réuni le Conseil de guerre du 20" corps ij vous v troublera 1 suite de la fortune, se sont laissés dis- ' d'armée pour juger les cinq militaires inChaux. — Rien. de refus d'obéissance dans la jourtancer faute d'avoir confiance en eux ; culpés ! M. le président. — Si vous vous trounée des manifestations militaires de Domb combien d'autres, aussi, « claquèrent» : blez parce que vos camarades criaient de n pas mettre la baïonnette... pour avoir été trop ambitieux et trop :martin-les-Toul, le 18 mai dernier ; les ne prévenus appartiennent tous au 169* d'inM. le président indique cependant que pressés !... • i'anterie, ce sont les nommés : Geoges Itié- le 1< sergent charaux a vu l'accusé mettre la M. Adrien Delpech n'est- pas seule- gert, ; né à Paris, tourneur sur métaux, sol- n à sa baïonnette comme pour la timent un économiste aux sages conseils : dat de 1" classe ; Chapon Alphonse-Lucien, rmain rer et regarder à droite et à gauche ce il est aussi le poète qui sent et sait no- 22 ans, commis architecte ; Enols Albert- que q ses camarades faisaient. Mais à ce n ter la mystérieuse ambiance des choses. Gustave, typogaphe ; Chaux Jules-Etien- moment il fut arrêté. ne, garçon boucher et Charles Félix, tourVoyez plutôt cette nocturne par laquelle Charles a été, lui aussi, émotionné d'àneur sur métaux, à Paris. v je terminerai mes citations : voir vu les manifestants au cours de la Le Conseil de guerre est composé de M. p « ...Seul dans sa chambre, Henri s'ap- le lieutenant-colonel Grange, du 69' d'in- ppremière patrouille. Il reconnaît qu'au commandement il hésita à exécu« proche de la fenêtre, pour jouir un fanterie, président, commandant Moineau, premier t « moment de la douceur de la nuit. Les du 37e, capitaine Lambert, du 8a d'artil- cter l'ordre donné. Au deuxième, il allait cependant s'y conformer, quand le ser« collines en amphithéâtre illuminées lerie, capitaine Lœillier, du 37e, du lieu- ggent-major le fit sortir des rangs. de leur base jusquà la ligne sombre tenant Tricote t, du 37', du sous-lieu11 prétend qu'il n'a pas entendu l'autre du 37" et de l'adjudant ccommandement. « des bois, l'onde et le reflet miroitant tenant Vendecker, e également. Boulï, du 37 M. le président. — Loin d'avoir l'air af« des étoiles, leur nombre troublant, Malgré l'heure matinale, il fait une cha- ffolés, un témoin a remarqué que les hom« dans le ciel où elles brillent sous la leur accablante dans la salle exiguë du Con- mes r qui n'avaient pas obéi avaient la tête « royauté de la Vénus païenne et de la seil de guerre. * tbase et l'attitude gênée. « Croix du Sud, les îles dans une brusEn outre des représentants des journaux M. le président lui demande s'il n'avait « que transition d'ombre et de clarté locaux, des envoyés spéciaux des journaux r. pas écrit à sa famille qu'il s'apprêtait à « lunaire, la masse des monts lointains, parisiens garnissent les bancs peu confor- rmanifester contre les trois ans. « l'aspect tragique des écueils et des tables réservés à. la presse. . — Non. M. le commandant Burguet occupe le siè« pics solitaires, les phosphorescences — Comment se fait-il que votre beauf vous ait écrit une lettre dans la« subites des eaux, tout cela, parmi les ge du commissaire du gouvernement et M" 1i frère et Boidin sont aux bancs de la dé- j quelle c il vous conseille de rester tranquille « senteurs de terre, mariées aux brises Lairé fense. Au début de l'audience, il y a peu de € « salines, dans l'apaisement de la nuit monde dans la partie de la salle réservée ren- disant qu'il avait su que vous alliez « tropicale, tiède, molle, voluptueuse, au public, mais vers neuf heures, plus une manifester ? On passe à l'interrogatoire du soldat « constitue un spectacle indicible, d'où seule place ne sera disponible. * ' Chapon. Après l'interrogatoire d'identité des ac« monte un hymne de gloire à la nature — J'avais déjà été de garde La nuit, j'é« perverse, qui cache au sein de cette cuses, M. le capitaine rapporteur Thiéry 1tais très fatigué et comme hébété. J'ai été i surexcité de voir qu'on noua faisait en« région fortunée, les miasmes produc- donne lecture de l'acte d'accusation. ** core partir en patrouille une deuxième « leurs de fièvre... » J'ai eu die l'hésitation à tirer ma Le 18 mai, les cinq accusés faisaient fois. j « Région fortunée aux miasmes de baïonmette, surtout en voyant l'exemple fièvre »... n'est-ce point là le anguis in partie de la compagnie de piquet à la ca- de mes camarades. » du Châtelet. On sait que ce jour-là, herba qui caractérise le Brésil — ou plu- serne L'accusé affirme qu'il allait obéir au continuant les manifestations de la veille, tôt le caractérisait, car l'auteur lui-mê- de nombreux soldats de la garnison de dernier commandement et il avait déjà ' me nous montre les profondes modifica- Toul manifestèrent contre la loi de trois ébauché le geste de tirer sa baïonnette | quand on, le fit sortir du rang. tions apportées à l'hygiène publique, ans. — Si j'avais été comme d'habitude et Une première fois, sous les ordres du heureuses améliorations qui ont complètement fait disparaître de ce magni- sergent Charaux, les cinq accusés d'au- 'si j'avais su les conséquences de mon acte, fique pavs le fléau qui l'assombrissait.. jourd'hui, avec 20 autres soldats de leur j'aurais agi autrement. 1 ?A 0 i MEMO! L'Agence Huva», *, jAtce *>*?J*wn»,<àïP*if et MM. Jofan P. Jones et O, :>f fenb«org ■ Memtmartre,.«à Paris, sont seuls cto'ges'de'TiseevtAr la puiilicité-extra-!oca!(ydu jonmat. Alsace-tOTraln^et Ltnembourç, >>'«^«scr «*SB*«w»«s»id^r!$fc • épilogue des incidents de 1 oui La vieille Europe, toujours un peu ' s0us la suggestion des contrées du so| ? jj — où les étincelante et chauds I ravons semblent de l'or fluide — voit le j Brésil dans un mirage comme le pays I des subites fortunes, où les goûts aventureux doivent se donner libre cours, Ù la vie se fait facile pour l'homme har0 di entreprenant, et point trop manchot. Pour d'aucuns, le Brésil est resté un pays neuf, et combien sont presque tentas de se le représenter comme au temps de la conquête, où les Portugais devaient défendre la colonie naissante contre les attaques des corsaires hollandais et français. A tous je recommanderai donc la lecture d'un livre fort intéressant et instructif, sous sa forme de roman, Petropolis, de notre confrère Adrien Delpech, directeur des « Annales brésiliennes », et qui, par cela même semble tout autorisé à nous m6i | dire la vérité. Petropolis n'est pas seulement de là documentation sèche et revèche. L'auteur a su, par une psychologie fine et très avertie d'une étude de caractères personnels, donner à son œuvre la tournure littéraire qu'il convenait d'y ajouter. Mais je laisserai néanmoins de côté cette histoire d'amour pour m'en tenir à la mise au point de la vie brésilienne moderne. D'abord à vous signaler un joli tableau de Rio-de-Janeiro, se présentant à la vue du voyageur : « ...A mesure que le navire s'avan« çait vers la bouée d'ancrage, la ville « multicolore venait au-devant des «voyageurs, descendait des monts et « des collines, comme une théorie an« tique, parée de couleurs polychromes, « courant à la rencontre d'un vain« queur. Ele agitait sur les sommets, « dans un hosanna de lumière, les ii branches triomphantes des palmiers, i Ses rtuances dansaient au rythme de peloton, étaient sortis en patrouille. Ils « la brise, dans la joyeuse clarté de la PAUL CHAUMET. ne se montrèrent pas très disciplinés, car «jeune matinée. Elle"chantai! la beau- ! ! tous les hommes de cette patrouille refua té des midis rayonnants, et la gloire ! ! sèrent à un moment de prendre le p{is «féconde et dévorante du soleil ». de gymnastique, ainsi que l'avait ordonLe tableau est peint de main de maîné le sergent, ils ne suivirent pas la ditre, qu'en pensez-vous ?... rection qu'il leur indiquait et enfin, sans avoir reçu d'ordre, ils remirent au fourMais continuons par l'amusant conreau — en apercevant un groupe de matraste de la ville : nifestants — la baïonnette qu'ils avaient « ...Sur le quai du débarquement, en au canon de leur fusil. Comme ils veI « face du vieux marché souillé par le naient de rentrer à la caserne et de forNuances 1 « trafic matinal, Henri s'intéressait au mer les faisceaux, le capitaine adjudantI « va-et-vient des chalands, à l'amoncelLa vie parlementaire est pleine de nuan- \ major Royer, averti de l'importance que I « lement de fruits des tropiques, aux ces, pleine de groupes, de sous-groupes, prenaient les manifestations, ordonna au I « interpellations prononcées dans une de commissions, de sous-commissions et de sergent-major Uriot de prendre le commandement de la patrouille et de sortir I « langue âpre et nasale. rapporteurs. Ce que j'y admire le plus, pour appuyer une autre patrouille com« Toute une population bigarrée s'agi- c'est la rapidité avec laquelle on détermine posée ae quelques cavaliers du 12° dra1 « tait sur la place encombrée de vic- les nuances à l'infini. gons. 1 « tuailles : nègres aux tignasses pousNous avons les conservateurs, les progresLe sergent-major Uriot rassembla les I « siéreuses ; mulâtres au teint brouil- sistes, les libéraux, les royalistes, les bona- hommes de sa patrouille, les mit au 1 « lé ; charretiers portugais bombant partistes, les plébiscitaires. Nous avons les « garde à vous » et leur commanda baïonI « leur torse sous la chemise en flanelle centre -gauche, nous avons les républicains, nette au canon. Sur les 25, quelques-uns obéirent 1 « de couleur. Des ruelles s'ouvraient les radicaux, les radicaux de gouvernement, seulement — Comment, vous refusez d'obéir ! s'éI « entre les maisons basses, aux tuiles les radicaux-socialistes. Nous avons les so- cria le sergent-major. I « roussies sur les toits arqués par les cialistes, les socialistes républicains, les réLe capitaine Royer, qui, de loin, ne se I « ans, et donnaient l'idée d'une cité bâ- publicains socialistes, les socialistes unifiés, rendait pas compte de ce qui se passait, I « tie à une époque très lointaine, par les socialistes révolutionnaires, les jauressis- s'impatientait de tant de lenteur. Le ser1 « des gens peu soucieux du confort ; tes, les guesdistes, les allemanistes, les com- gent-major, afin de couper court à toutes I « puis, sur une voie plus large, des res- munistes. Et nous avons aussi les sauvages. négociations avec les soldats, les forma Il y en a pour tous les goûts. Mais alors en colonne par quatre et commanda en 1 « laurants, des cafés, des boutiques de « avant marche », après avoir fait remet| » changeurs, des entrepôts aux profon- qu'il est si difficile de donner un nom précis tre la baïonnette au fourreau aux quelI « deurs obscures, annonçaient un quar- aux mélanges de couleurs, il semble qu'il: ques soldats qui avaient obéi. I " fer commerçant ; les femmes y étaient soit moins malin de définir en un mot simUne fois en marche, il commanda de 1 « rares, les hommes marchaient vite, ple ou double les nuances politiques. On: nouveau « baïonnette au canon ». 1 — On ne la mettra pas, cria une voix. 1 en s'épongeant sous la forte chaleur. fait cela comme on met une petite étiquette — Non, non, répondirent d'autres sol1 t "'•l! ans l'entrebâillement d'une por- aux variétés de roses dans les jardins pu- dats. I , • , apercevait une grande salle, où blics. Le capitaine Royer, qui arrivait près de Les méchantes langues ont désigné certains: I la lumière d'un vasistas tombait, en la patrouille, s'étonna de voir que queldéputés sous le nom de t j'm'enfichâtes ». I se tamisant, à travers un rideau de ques hommes seulement avaient la baïon1 toile écrue, sur une longue table de Mais c'est un groupe qui n'existe pas offi- nette au canon. Après le sergeni^major, I sapin. Des échantillons de café s'y ciellement. il renouvela le commandement et fit sorJean DURBAN. tir du rang et conduire aux locaux disciI étalaient à la file sur des carrés de plinaires les quelques soldats qu'il remar1 » F Pler bleu> 011 dans des boîtes de ES £23 ES! qua — parmi les autres — comme n'exé1 ter-blanc dont l'étiquette portait le cutant pas l'ordre donné. Un nid ^m du destinataire et du navire Les autres hommes, effrayés, mirent la s de la de conspirateurs; baïonnette au canon et la patrouille alla■ 1 « HU s cargaison. Trois indiviI « - examinaient les fèves, les flaiChefkl bey qui vient d'être arrêté à Cons-. remplir sa mission. comme meurtrier du grand vizir, 1 « pn Pluie ' les hissaient tomber de haut' tantinople Les interrogatoires et Perte! bey, qtii passe pour être l'instigabatlante et es I i nar i l classaienti teur du complot vivaient, jusqu'à la guerre, Les cinq accusés ont une bonne attituI i fep ^alités et par nuances, d'aprèsj dans un hôtel du quartier latin, à Paris, oùî de devant le conseil de guerre et ils cherI ' s numéros et les tvpes officiels des jeunes et vieux turcs, hamidistes et même; client à atténuer leur responsabilité en es-, socialistes — l'un d'eux se paraît de cettes sayant de convaincre le conseil de leur I ( courses de New-York et du Havre.' opinion . sur sa carte de visite — se couu 1 ne ne odeur vanillée s'exhalait des grai-■ dovaient fraternellement et rien ne faisait" bonne volonté. Riegert prétend qu'il n'a entendu qu'un 1 J s dans la torpeur d'étuya du hall. supposer que ce fussent de dangereux cons-' seul commandement. Chefki, figure d'enfant circassien, 1 , < emPloyés, en manches de chemi-' pirateurs. Une discussion s'engage à ce sujet en-. imberbe et joufflu, ne faisait que rire et[ élivrés du 1 » ch H faux-col et des man-• chanter tandis que Pertef, couché jusqu'ài tre lui e,t le président qui lui rappellei 1 i ta t ur ' iflteffompaient â chaque ins-- cinq heures de l'après-midi, se nourrissantt tous les commandements faits par le ser-. l » « travail pour s'éponger et de cigarettes et de café, ne se levait queÎ gent-major. Riegert dit qu'il a été troubléi la blanchisseuse lui rapportait son1 1 » ,°u"lef. Oh ! cette moite chaleur des' lorsque pantalon, dont il faisait, chaque jour, "mar- par la précipitation du commandement; " de mettre la baïonnette au canon et par. 1 , £°piques 1... Dans les recoins du bu- quer le pli. Leur voisin le capitaine Cherefl qui fail- la vue des manifestants. 1 « sa assombr i par des stores, nu, tué aux côtés de Mahmoud Chefket, M. le président — Les témoins ont dit\ 1 < enh ^Pis, sans tenture' des araignées lit Être prenait que rarement part aux discus-! cependant qu'il y avait peu de monde à 1 t «« xevetraient paisiblement leurs ré-■' ne sions. Ardent patriote, il estimait que soni la grille de la caserne, et il était impossi-L 1» > ^ndis que l'oncle, les sourcils; pays avait plus besoin de savants que. de dis-- ble que vous aperceviez des manifes-.. coureurs, et pendant deux ans, il travailla s 1 < ti^nc^criait ' *'a*r r0&ue' recevait les cour-" dans une usine de Paris comme mécanicien,* tants. 11 iu ^ des ordres, et interpellaitt puis comme ingénieur et de ce temps il ne| Riegert. — J'ai été surtout impressionné5 1 fV Pianotier. » mit jamais les pieds à la « Closerie desl par le fait que je ne voyais personne auRI LE c est le li'é R ? > ' vieux lutteur, large> Lilas », où la colonie turque voisine avec lal tour de moi mettre la baïonnette au caD U cour du prince des poètes. non. _ bourru m 1 %r» t?' t ais acharné à la beM. le président. — Alors c'est la vue des3 I «ite. Ecoutez sa profession de foi : Un drame camarades qui n'obéissaient pas qui vous; 11 jjj ••■ — Vois-tu, mon cher, mets-toii è vingt mille acteurs a engagé à en faire autant ? 1 la 1016 rc qu'on ne réussit guèRiegert. — Je m'apprêtais cependant à Herr Gerhart Hauptmann, dramaturge d'ou-i- mettre la baïonnette au canon près de lai 1(^ Par le travail et l'esprit de suitre-Rhin a écrit à l'occasion du centenairee grille de la caserne, quand on m'a faiti 11 y a 1 < firm e nt des exceptions, elles con-" de l'indépendance prussienne, une épopée t 11 S'J? . la règle. Certains audacieuxi « kolossale » qui sera représentée cet été (Lp sortir des rangs. M. le président. — En effet, quelques té-~ 11 m^nrichissent én un tour de main •; Breslau et pour laquelle 20,000 figurants sontJ moins ont vu que vous aviez commencé àj, . 11 f.Pour un qui a cette chance, qua-. engagés. De cette étrange épopée Napoléon est ja tirer la baïonnette, li cat^ngt-dix-neuf font une mauvaise; principale figure. L'auteur le représente à% *w* 10le |i Sr/ et se cassent les reins. D'au-- l'âge de douze ans dans une .'oaU; révolution-iLe soldat Chaux dit, lui aussi, qu'il a |i u7 souples d'échine, triomphent parr- nair'e comme empereur «au milieu de sess été troublé pair la précipitation des comet finalement sous les traite de li Le,av°ir-faire. C'est le petit nombre.• maréchaux Jupiter lançant des éclairs daiis i* nuit oùeù mandements. Au début, il allait obéir, aulre quand il vit que tout le monde remettait Ii te Paid s gravissent lentement la cô-- s'agite TEurope. t L'organisation des jeux de lainlèrs, dans la baïonnette, il en fit autant. Près de la li 6Î , e et rocailleuse. On est distancé^ i n ce drame, est la chose la plus curieuse qui i grille, il fut émotionné, dit-il, par les cris |i Q- '° s'arrête ; si l'on va trop vite,' soit L'Amirauté allemande a prêté n la di-;. poussés dans la rue. s |i aupf ?SsoufUe et on crève. Je ne sais3 rection 3i projecteurs de m.troo pour coniM. le président — Vous regardiez S I ^uei éducateur disait : « Le monde au-- triïmcr à l'illumination de l'arene. -droite et à gauche au lieu d'obéir. Sur la Juin '1913* PUBIJGITÉ : Annonces (4» page)... 30 c. laSgne Réclames (3»'page)^.. 60 — Faits divers „„. 90 — Chronique locale 1 50 — Pour la publlcIWele Heorthe-et-Moselle, Keuse, Vasges, AU CONSEIL DE GUERRE BU 20e CORPS * 1 a e. s- BnœctEBir*: BEMÉ l LvnUù ' QUOTIDIEN %S • Chartes. — J'obéirai p!oa vit» S fajwaSr ■aux ordres die mes chefs. Chapon. — J'étais affotA. Je Bf«4 pWI ^compris tes commanderreents. Enoès. — Je suis victime d'une naéîpTÎse. Je mettais la baïonnette au canon «rnand ■le capitaine m'a arrêté, croyant que c'était moi qui avait crié. Le conseil se retire ensuit* à 10 beaM et demie dans 'lia salle des délibération». Il en revient à 11 heures, avec un vemîJlcf de culpabilité contre tous les accusés, pro^ n nonçant les condamnations suivantes : Chapon, Charles et Encès, chacun deux a ans de prison, à l'uinanimité. Par 3 voix c „contre 4 ayant prononcé diverses peines plus fortes, Riegert est condamné à un an. Chaux, par 5 voix contre 2, est également c condamné à un an de prison. a avant et invitant les soldats à es révolter o contre le coup d'Etat du gouvernement qui di devait avoir pour conséquence de les faire n rester un an de plus à la caserne. Le mouvement de Toul avait été préparé à l'avance. On voulait jeter les brandons à d discorde dans cette garnison de Toul, de d dans ces troupes si disciplinées du 20* 0 corps, de façon à mieux impressionner touALBERT MANGEOT. ( t la France. Des lettres circulèrent dans te h les casernes, disant que pour donner une » 1( leçon au gouvernement, il serait bon que H soldats fassent entendre leur voix et si- J les 8 gnifient leur volonté de ne faire que deux a ans. C'est alors que le samedi' 17 mai, plusieurs centaines dé soldats allèrent maniJfester devant le cercle des officiers et chan? tèrent l'Internationale, cherchant ainsi à F jeter le déshonneur sur la garnison de Toul ( Est-ce par hasard, qu'à Nancy — ville existent une Faculté de droit, des ju?et donnant, si près de l'étranger, le plus où j li lamentable spectacle. ,risconsultes nombreux,des administrations Le lendemain 18, les manifestations re- {publiques éclairées et vigilantes, des so?commencèrent avec plus de vigueur et M. ]ciétés de protection et de moralisation de notamment — on ignorerait le commandant Burguet expose dans quel- l'enfance, ] *les conditions une patrouille du 169« régi- 5l'existence d'un livre intitulé le Code péou celle, dans ce livre, de deux dispoment, composée de un sergent, 2 caporaux nal, , yet 25 hommes, fut chargée d'aller contri- sitions ainsi conçues : « Article 475. — Seront punis d'amende, buer à rétablir» l'ordre. Cette patrouille pari *tit fort mal. A un moment, elle croisa un depuis six francs jusqu'à dix francs inl groupe de manifestants, c'est .alors que des clusivement : c ,soldats la composant crièrent : « Remettez la baïonnette », ce qui fut fait sans qu'il , 5° Ceux qui auront établi ou tenu dans rues, chemins, places-ou lieux publics, y i ait eu d'ordre par le sergent Charaux. les 1 :M. le commandant Burguet estime que lei des jeux de loterie ou d'autres jeux de ha: »s-ergent a manqué d'énergie dans le com- sard. » mandement de cotte patrouille ; il a d'ail« Article 477. — Seront saisis et confisleurs été puni pour cette mollesse. qués : 1° les tables, instruments, appareils 1 j Passant ensuite aux faits qui amènent. !des jeux ou des loteries établis dans les ,les cinq prévenus devant le conseil de guer-' rues, chemins et voies publiques ainsi que re, il montre qu'il y a bien eu de leur part les enjeux, les fonds, denrées, objets ou t refus d'obéissance. Ils avaient entendu l'or-' lots proposés aux joueurs... » c dre que leur donna le sergent-major à trois'. 11 faut ajouter qu'une jurisprudence , ( reprises. Us ne l'ont pas exécuté. On pour-[ constante de la cour de cassation fait une ra [ ergoter, dit-il, prétendre qu'ils avaienti application rigoureuse de ces dispositions; ,Intention de mettre la baïonnette au ca-! 'elle les applique, sans distinction à toutes non, du fusil, qu'il y a eu seulement non-. les loteries établies dans des lieux publics, c chalance de leur port ; une chose est cer-. et quelle que soit l'importance de létablist taine : « Ils n'avaient pas exécuté l'or-. sèment, quelle que soit et si minime que (dre ». , puisse être la valeur des lots ou celle des , Le commissaire du gouvernement rap-. enjeux. De même, la cour de cassation pelle que le code militaire ordonne « d'exé. frappe les loteries quel qu'en soit le moyen, *** ( Le soldat Noël, lui aussi, était affolé. ,cuter littéralement, sans hésitation ni mur-. roues, tourniquets, boules, etc. — Le premier commandement m'a paru muras les ordres de leurs supérieurs »'. Ajoutons que, puisqu'il s'agit d'une intrès brusque et je m'étonnai -qu'en ren- \ Si les ordres donnés pouvaient être discu-. terdiction légale, il n'y a pas de puissance serait la fin de la discipline, on ne; ce, pas d'autorisation qui puisse mettre fcrant de patrouille on nous fit encore met- tés, , tre la baïonnette au canon. C'est le'capi- 'pourrait plus rien obtenir de l'armée. Oni obstacle à cette interdiction. Sans doute, taine Royer qui m'a fait arrêter en di- a , dit que ces soldats, qui refusèrent de mar-- aux termes de la loi du 21 mai 1836, peusant : « Cet homme-là vient de crier de ne \cher contre l'émeute, marcheraient volon-. vent être autorisées les loteries ayant un à l'ennemi. Il veut bien le croire. Mais,, but d'intérêt général ou de bienfaisance. pas mettre la baïonnette au canon. » Jo tiers < dit-il, de tels actes d'indiscipline ne sauMais les loteries sur la voie publique j protestai:, car je n'avais rien dit, mais raient être tolérés en France et surtout ài sont prohibées par la volonté supérieure et .le capitaine m'envoya aux locaux discipli- j la frontière. Ces cinq accusés d'aujourn aires. » , - absolue de la loi. Les témoins ,d'hui se sont fait les complices de ceux quii Eh bien ! franchement, on ne s'en secqnseilaient « de recourir à la force et à On entend tout d'abord le sergent-major :l'illégalité pour secouer l'odieux esclava-t rait pas douté, depuis trois semaines, et - même depuis quelques années, en se proUriot ; il explique qu'à ses commande- ge i » ; ils ont manifesté à leur façon en rements très peu d'hommes obéirent. Il re- fusant d'obéir ; ils ont contribué à nous- menant sur la Foire de Nancy, Le mal, relatif au début, a pris cette foie connaît qu'au moment où il fit sortir des rendre la risée de ceux qui sont nos enne-s rangs le soldat Rieger, celui-ci avait tiré mis. En conséquence, M. le commandant- les proportions d'une épidémie. Il en est, sa baïonnette comme pour obéir. » t d'ailleurs, toujours ainsi, en plus ou moins 1 Burgnet demande une sévère sanction. III de temps, aussi souvent que des toléranIl précise qu'il n'y avait pas de rnand- espere que les membres du conseil de guertestants à la grille, on n'entendait aucun re feront leur devoir comme il vient de fai-- ces se substituent à la sage prévoyance de .- la loi. cri, en somme rien ne pouvait troubler les re le sien. hommes. De la place Carnot sur le terre-plein de Lee plaidoiries laquelle elle commençait, la loterie s'étenM. le capitaine Royer dit ensuite qu'ayant M» Boidin présente la défense de Charreçu l'ordre, vers deux heures et demie, de les Chapon et Enoès. Il s'étonne des rigou-'- dait, à peu près sans interruption, sur faire évacuer la place de la République, il reuses sanctions que vient de requérir M- tout le long du mur de l'allée latérale, fit appel à la patrouille du 169° pour ap- le commissaire du gouvernement. • côté du tramway. Et sur ce grand parpuyer quelques dragons. Ce ne sont pas les manifestants ni les cours, sous toutes les formes, jusqu'à celle Il remarqua de loin que le sergent-major meneurs de Toul que le conseil a devants du poisson rouge, en passant par le can'avait pas sa section en main et il expose lui. On ne verra aucun de ceux-ci en con-•t nard, le pigeon, la poule, le Champagne, dans quelles circonstances il fit envoyer seil de guerre. L'autorité militaire ne lesi- les tableaux, la bijoutçrie, la quincaillerie, quelques hommes aux locaux disciplinaires connaît pas, ou a fait bénéficier ceux qu'el-s la porcelaine ébréchée, le faux bronze, elle pour n'avoir pas mis baïonnette au canon, le connaît de sa mansuétude. I- étalait l'appât du gain dû aux risques du malgré l'ordre formel qu'il donna lui-même sort, l'appât du jeu "et du hasard, plus On a seulement mis en prévention de et les sommations qu'il fit. conseil de guerre 15 hommes- de la pa-o tentant et plus puissant que la camelote Il n'a pas remarqué qu'aucun des accu- trouille. • convoitée. sés ait ébauché un geste d'obéissance, sans Aux annonces et aux appels de voix enPuis, on a rendu un non lieu en faveurr quoi il ne l'aurait pas fait arrêter. rouées, s'entassaient devant la roue de la d* dix d'entre eux. On avait demandé la a L'adjudant Houdet entendit une voix au même mesure à l'égard de deux autres Fortune, un carton ou une planchette à la milieu de la patrouille crier : on ne mettra mais on a pensé sans doute qu'il n'en resS main, bourgeois et ouvriers, militaires et pas la baïonnette. D'autres voix répondi- terait plus assez pour expier les forfaits de =" civils, grandes personnes et enfants. rent : « Non, (non ». ,e la garnison de Toul. Fa.ut-il se demander la valeur morale et Les soldats n'avaient pas l'air affolé et M» Boidin fait valoir les bons renseigne- l'intérêt de ces appétits, et si le législale sergent-major était très calme. teur a hien ou mal fait de proscrire et de ments donnés sur tous les accusés 'qui II Il a remarqué que le caporal Rolland frapper les établissements qui les éveiln ont jamais subi de punition au régiment qui faisait partie de la patrouille, n'avait 114 n'ont aucunement eu l'intention de mar lent ? Convient-il que, comme on pouvait l pas encore mis la baïonnette au canon mê- nifester. Mais ils étaient surmenés, étant" le constater par un tour à la Foire le sa11 me après que les cinq accusés d'aujour- de garde depuis la veille, ayant déjà marmedi soir, la semaine et la paye de l'oud'hui venaient d'être arrêtés. r che une fois en patrouille. Us estimaient" vrier, le sou du troupier, suivent le cheLe sergent Charaux dit qu'au cours de la que ce n'était plus à eux de sortir encore'l min en pente du hasard, bien plutôt attipremière sortie les hommes avaient déjà puisque d'ailleurs une autre patrouillé h rés par les émotions des risques du sort i0 montré leur mauvaise volonté, notamment était prête. w et du jeu que par la valeur ou l'utilité d'oben refusant de prendre le pas de gymnas-\ , jets, pour la presque totalité, sans intérêt Il demande donc au conseil de guerre do tique. Le sergent fut, du reste, puni pour. les acquitter, car s'ile ont fait preuve de et sans prix ? avoir manqué d'énergie en cette circons- négligence à exécuter l'ordre qui leur était g Et les enfants ? Quand nous étions petance. donné, ils n'ont pas manifesté formellement } tits, Geneviève de Brabant, Saint-Antoine, Un soldat, Rigodon, entendu ensuite, le refus d'obéir. les soldats de plomb, un pain d'épioe ou avoué qu'il a été troublé non par les mani-; M" Maxime Lairé se lève pour Riegert et .. un sucre d'orge, sans oublier les chevaux testants, mais parce qu'il y avait des dames, Chaux. 11 plaide également qu'il n'y a pas ^ de bois, étaient pour nous la Foire. Auà la grille de la caserne. Il a tout de même, eu a proprement parler refus d'obéissance jourd'hui, la Foire sera essentiellement obéi. La venté, c est que les chefs comme les' pour eux les longues et énervantes sta— La vue des dames ne vous a pas empê- soldats étaient un peu affolés. Les ordres „ tions devant la loterie. Qui osera soutenir ché de faire votre devoir, se suivaient précipitamment et tes soldats L la convenance d'éveiller publiquement, e ri Loridant Albert, soldat au 169 , dit, que,. 'y comprenaient plus rien. C'est re qui jj dans l'esprit de l'enfant, enfant du peuple faisant partie de la patrouille au premier dé- explique leur indécision, qui a ét* prise ou de- la bourgeoisie, il n'importe, le goût 5e part, le sergent Charaux commanda le « pas pour de la mauvaise volonté. 3 du hasard et du jeu, et de l'exercer à ses de gymnastique ». Le soldat Loridant avoue' Il s'appuie surtout sur les conclusions tentations et à son ivresse ? ls ingénument : « Nous avons tous traîné des prises par le capitaine rapporteur, deman-_ La loi a eu raison de tenir les loteries a pieds. » Il ajoute ensuite « que tous criè- dant un non lieu en faveur de ses deux , pour chose malsaine et dangereuse. rent qu'il ne fallait pas mettre la baïon- clients qui, au moment de leur arrestationx Aujourd'hui, leurs tenanciers — assurea nette ». Il fait ensuite le récit des incidents, allaient mettre la baïonnette au canon' \ rait-on qu'ils étaient tous Français ? — a qui se produisirent au 2' départ de la pa-' Leur geste indique donc qu'ils avaient l'inni emballent et s'en vont. Il convenait, peuttrouille. tention d obéir et on ne saurait leur infli(i_ être, d'attendre, pour cette fois, leur dé— A la première patrouille, pourquoi ger une condamnation pour un retard im fi, part avant de juger leur industrie et de avez-vous traîné les pieds ? putable à leur état d'affolement. M» Lairé ré convier les pouvoirs publics à lui appli— Je ne sais pas 1 estime qu'on a voulu traduire ces militaires quei\la loi faite pour elle. Il a entendu le sergent Charaux dire à1 devant le conseil pour bien montrer le neu )U A tout événement, un geste pour assuses hommes qu'ils s'exposaient à compa- do gravité de leur faute. rer le respect de la loi, serait un enseignem Queiquies jours après les incidents de raître devant le conseil de guerre, en refu3e ment utile et bon à répéter, sant de prendre le pas de gymnastique. - Toul, M. le général Pau n'envovait-il nas is II faut donc espérer-que lia loterie aura Ilognaud Nicolas, soldat de 1" classe, et une dépêche qui fut reproduite par les iourr- vécu à la Foire de Nancy. Quelques ciPierrot, soldat de 2e classe, font un récit naux et dans laquelle il disait qu'il n'v 'y toyens convaincus de sa portée sociale fuidentique à celui des précédents témoins,t avait pas eu d'antimilitarisme à Tout et it neste, ont formé le projet, si elle reparaisPierrot ajoute qu'il était cependant lui-• que les hommes étaient très disciplinés En tout cas, conclut M* Lairé, il n'y a sait l'an prochain, de faire, par eux-mêmôme un peu ému à l'idée qu'il faudrait■ a mes, appel aux moyens légaux. U est à esl pas d'antimilitaristes devant le conseil de rentrer à coups de baïonnette dans les âie pérer que leur intervention sera superflue, 3 'guerre. Il n'y a que des maahoureux, des bonshommes qui manifestaient. » es Mais il faut que l'on sache que *la con,poirr lesquels il espère un ac— Vous n'avez cependant pas hésité à± maladroite quittement .c- cession à une loterie, d'un emplacement obéir, comme un bon soldat que vous êtes. M. le commandant Burguet répond sim- à la foire, la perception sur elle des droits n- de place et redevances, sont, au même deLe réquisitoire plement qu'il maintient ses conclusions LS. gré que la loterie elle-même, une méconAprès une courte réplique de M« Boidin' M. Buxgnet, commissaire du gouvernen, naissance flagrante des articles 475 et 477 >. M. le président du conseil de guerre de^ le- du Code pénal. ment, dit qu'-il ne veut pas rechercher quelss mande aux accusés s'ils ont quelque cho^e sont les individus qui ont provoqué les ma-. J à ajouter'pour leur défense, se Si la loterie a des partisans, qu'ils tânii estât ions-de Toul. Il espère que-la-justice I e j Riegert. — Si je n'avais-pas été troublé, chent de faire modifier la loi, comme pour saura les atteindre et les tribunaux les pu-L- I j aurais obéi. !é, l'ouverture de la pêche, mais, cette foi* I Chaux. — Je regrette d'avoir ner'du mon aussi, il serait bon, au maximum, de n* II rappelle le manifeste- lancé 24 heures s sang-froiefc 5nJ laisser tendre qu'un jour durant, l'haia*. con du jeu «t des caprices du sort i j Les Loteries à la Foire !S: ^çg^aMMt^i^uiU-i^»»!»"™^^ 1 La Crise Ottomane "CHAMBRE LA LOI DE TROIS ANS JM L'attentat devant la Cour martiale 18 juin.— La. cour martiale rendra demain, dans la soirée, son t jugement dans l'affaire do l'attentat conttre Mahmoud Chefkct pacha. La ville est calme, la circulation est permise pendant toute la nuit. 18 juin. — La séance de co niaSin est ouverte à 9 heures 15, sous la présidence de M. LEBRUN. PARIS, M. Jaurès continue son discours déclare que co n'est pas seulement â une attaque brusquée, mais h nue attaque en masse que l'état-major allemand songe pour une tentative d m•vasion en incorporant ses deux plus jeunés classes de réserve dans les enectits de casernes mobilisés. L'Allemagne pourra ainsi disposer contre nous de 1,400,000 à 1,500,000 hommes. Tous les tacticiens allemands précisent les intentions de l'état-major allemand et .prévoient la présence de 1,300,000 hommes pour la première grande bataille. M. JAURÈS constate qu'il n'y a pas une. ■seule manœuvre allemande où il n'y ait des exercices de marche de réservistes. La loi militaire allemande instruit réellement 60,000 hommes de plus Chaque année pour disposer de 500.000 hommes iristraits. D'ici quelques année», ces gros enactiiS mobilisés dès la première heure doivent pouvoir tourner la frontière de 1 Est par Trêves et le Luxembourg. Si l'on ne veut pas être déborde, ce n'est pas seulement notre armée- de première ligrue et les quatre danses i*** fdiis* jeunes ouï! faut opposer à i'itwaMon, ma;* la tonalité des tarât* combattanta» qu'il-fant se | préparer à mettre en ligne dès la premiers || heure. (Applaudissements à l'extrême 5a.11che et sur une partie des bancs de la i gauche.) Il ne faut pas, comme Napoléon Itl, jmer jj dans la gueule du kiup des armées dissémi- I nées, mais garder notre sang-froid pour augmenter la concentration de nos forces. (Applaudissements à l'extrême fauehey M. JAURÈS déclare que c'est une légende née d'un discours de Sf. Joseph Reinach, qui lui a prêté l'intention de vouloir concentrer nos troupes dans le triangle MtoretFontainebieau-Momterewu en abandonnant -le reste de la France. ! i ' ML JAURÈS rappelle la parole de Borrrbalà à Canrabert, le soir de Saint-Prirat : « La France a perdu sa meilleure année. » L'orateur reproche au gouvemememt de négliger le renforcement de la réservé et céiui des forteresses. L'orateur dit que pour résister à l'avalanche de 600-000 Allemands, le gouvernement se borne, par son projet de loti n accroître notre couverture de 50.000 hommes seulement. (Vifs applaudissements à l'extrême gauche.) M.1 JAURÈS explique que son contres-projet a pour but de réduire progressivement l'armée des casernes, pour augmenter la force de la nation armée. La suite dé la discussion est renvoyée à demain après-midi. La séance est levée à 11 h. 15. — Haras. •■ M. JAURÈS SÉANCE OE L'APRÈS-MIDI PARIS, 18 juin. — La séance est ouverte à 2 heures, sous la présidence de M. PUÉCH, vice-président. Les lois scolaires On continue la discussion des projets - de lot tendant à assurer la fréquentation régulière dans les écoles publiques ou privées et la défense de l'école laïque. M. BARTHOU prend Sa parole. Quand j'ai dit « que les instituteurs n'avaient pas' à' envisager les devoirs envers Lieu, M, Groussau a fait observer que cette déclaration était très grave, et M. Piou a ajouté que c'était la première fois que ces paroles étaient prononcées à la tribune. Or, mon prédécesseur a fait la même déclaration, qui avait été accueillie de la même façon par MM. Groussau et PioU. . Ma loyauté m'oblige à faire cette constatation. Comme M. GROUSSAU insiste, M. te président du conseil dit qu'il n'a rien il ajouter h ses déclarations sur la politique laïque dû gouvernement. M. FERDINAND BUISSON. — « Comme SOU, prédécesseur, M. le président du conseil a dit qu'il s'agissait d'un devoir d'ordre •moral, d© respect dai sentiraéht religieux. A aitEim moment, il ne peut être question de minimum d'enseignement laïque par la République. » M. GROUSSAU dit qu'il ne "croit pas pouf «a part à la neutralité, qui est un danger, non seulement pour l'école laïque, mais encore pour le pays, (interruptions à eaiichë.) Mi BARTHOU répond : « L'école laïque est la sécurité pour le pars. » (Applaudissements.) M. VIVIANI dit qu'on en vent à l'école laïque parce qu'elle est symbole de la République. C'est une raison de plus titre tous les républicains s'unissent polir Voter le texte dp défense laïque soumis à la Chambre. (Vifs applaudissements.) Après intervention de MM. AYNARD et. de VILLEBOIS-MAREUIL, M. BARTHOU déclare que la religion doit KC pratiquer à l'église et que la porte de l'école laïque doit être fermée aux croyances religieuses. L'orateur a, le sentiment de rester fidêl© -à la pensée de Jules Ferry et de tous §08 successeurs. Finalement, l'incident est clos. M. Cou "TANT monte à la tribune pour développer un contre-projet tendant au maintien des commissions scolaires que I la coirtni-isslon veut supprimer et modifiant leurs attributions et leur composition. Le contre-projet est repoussé par 332 -voix contre 205 M. DESSOYE combat la. proposition Gouttant. M. LSROI.LE expose ensuite «fi oanttttpfojet analogue à celui de M. Coûtant et M renvoi de la discussion- est ordonné•1 mercredi. La séante est levée à six heures trois; quarts, «w P. G. LA LOI MILITAIRE - On sait que la Chambra a sept contreprojets à examiner avant d'aborder là discussion, du -fojet de loi sur les trois ans. Elle doit achever lé débat sur le contreprojet de M. Jaurès, puis elle examinera' ceux de MM. Briquet, Augagiieur, Painlevé, Massimy, Paul-Boncour, Treignier et Ahdré Hesi*.\ Il n'y a plus que deux séances cette semaine pour la continuation des débats! militaires. L'examen des contre-projets sera reporté à la semaine prochaine, durant laquelle il occupera encore une ou deux séantes ) Haras. ; ET PUSSES — Un Chinois étant mort soudain dans la rue devant une colonie< rnsew, une grande quantité de- gens no• rassemblèrent et, accusant les Russes de> la mort du Chinois, se mirent à Attaquer> ta colonie. Pour la protéger, des torpilleurs sont, arrivés et une section de ohasleurs, ainsi qu'une compagnie de soldats rhinnis du Nord ont été consignés. CHINOIS KANE-KROU. : LA COUPS MraMtUH 18 juin. — L'aviateur Cay«li«r, Continuant M tentative pour la 'coupe, J kichelin. a effectué son dix-huitièma tour. . U a ainsi couvert «n total do 1.968 kilo-mètres. Il a dû atterrir à son retour ài rury, par suite de la rupture d'un© • astta. v» ïïmm\ ETAMPKS, j Expulsions en masse 18 juin. — Le gouvernement militaire a expulsé, à destination de n Simothée, quatre cent cinquante personnés reconnues susceptibles de troubler l'orri dro d public. Le nouveau cabinet Le nouveau cabinet s'est rendu cet aprèsnmidi an palais de Ildiz, pour prêter serrment au sultan. Le désaccord dans le partage de la conquête BUDAPEST, 18 juin. —D'après des informations reçues de Vienne par le « Pester' Lloyd », le gouvernement Bulgare est d'avis que, la question serbo-bulgare doit être v séparée de la question gréco-bulgare ; que la Bulgarie et la Grèce doivent d'abord J occuper en commun les territoires revendiqués par la Bulgarie ; que l'on doit en* ■suite essayer de négocier directement au sujet du partage, et que si cette tentative J féchoue, la Bulgarie devra accepter l'arbittrage collectif des six grandes puissances, CONSTANTINOPLÊ, s * 18 juin. — Au congrès de la navigation intérieure, dans sa séance de ce matin, M. Laflltte, secrétairo général do la Chambre do commerce de Nancy, parle en faveur du canal du Nord-Est, dont il fait ressortir l'Importance, non s dément au point de vue de la région de Meurthe< et-Moselle, mais au point do vue national, comme devant être le trait d'union entre ;l'Est et les grands ports de l'Ouest et devant procurer à ces ports des frets de sortie. — Havas. NANTRS, _ ft&NFÛRCIËIVIËNT DE LA FLOTTE RUSSE LE COWÎBAT^DE KSIBA LE JUBILE DE . — : ■ ~ 1 ■■— i _ anglais SANS-GENE ALLEMAND^ I 18 iuin '— rn c-^' E GRENOBLE la , «te les fenê » ^ ** * te j t I /j I [ J I I y Chuta mortelle d'un sapeur •ËTAMPËS, 1B juin. — Ce soir, vers 7 heurres, le sapeur aviaiour Dewèver, epii venait ssur un biplan d'effectuer un VA au-derius d la ville d'Etampes, atterri .ut h laorode ddrome militaire, quand, *, une Luiteur de 5 m.,on vit le pilote lever les bras pour une 50 c cause inconnue, et son appareil truler, é écrasant l'aviateur, qui était mort quand on arriva auprès de lui. 0 I PARIS, I I I! I i j I! j Le soldat Dezerviîle, du résimMit d'infanterie, sa baignait isolément r!*** lajS et s'est noyé a «s: envSlhfdJ eomp cie Bois-l'Erâquc, où son régiment est actuellement. « Une dépêche de Ceuta dit que le viliago de Samsa, situé â trois kilomètres de I aux récentes agressions, a été toiaieménl réduit en, çondres par les troupes espagno- I I K & ? $ < i * 3 w 3 J j H1 2 J totiL, 18 juin. — Une trombe d'eau s'esi abattue sur les villages de Lagney et de Lucey. Avec une rapidité inouïe une ci- ï J ! j Jï " ^ i ■ f Accident à Ton! i Toui., 18 juin. — M. Muliibaler, 4g Ck, camionneur, était occupé cet après-midi, à Toul, à décharger des caisses cr-vorit 1 iui toSsurS j iractuta " INBIîSTRiELLE = : ' rÂtTcnr*—;cst de Brfey Nombreux sont ceux qui, faute de cartes ou plans appropriés, ne peuvent se rendra compte du "développement commercial qu'à pris, en quelques années, l'arrondissement de Briey. Les richesses de son soui-sol, et sa rapide transformation industrielle ont donné naissance à des cités entièrement nouvelles qu'il est utiie de connaître. C'est pour combler cette lacune qn* 1' « Ëdt Républicain » vient d'éditer un» magnifique carte muvalo de l'arrondissement de Bri*y (format 0,63 sur 0,81) à I i'échelie de 1/100.000°, établie^ d'après lea ! documents les plus précis et lés plus rsceuts. 1 Nous avons également fait tirer cêdt | carte sur papier parcheminé, pliée en f* chelte sous couverture, de façon à en re* drô la Consultation plus facile, Les signes conventionnels des différentes catégories do mines et usines sont tre» clairs et se détachent nettement à leur (place géographique. ' L"ôs concessions ! mines sont indiquées par un numéro d'orI dre so rapportant à. une légende très conj! ploie faisant connaître les noms des cô* cessions et leur superficie, les usines méialivrpique3 et leur production jôùfttàlisH dè 'fonte, la nomenclului'ô des industries I diverses, èt'è. j j J j j I I I I NANCY' ; Jeudi 1 r 19 juin. 170' jour de Vannée irrto nvi^ô teéhni- ' De son côté, le parquet df> Reims, aussitôt avisé, a ouvert uno inf ai .nation à là | .ô V . . , ' w.'* piflf> Carnot • suite de laquele le planton, le soid/it Si- | blot, qui avait abandonné la garde de ]r> La TEiïlPÛRATlSRfc chefferic. sur l'invitation d'un ©mpk/vé de;; partis * ce, l««H m environ. *, De- i H»isi nain. cette cheffefié, lo ndmmo Juiie-n-Heetor Bplfort 70 ». Dimtiorquo m, pre^ M. Mallez accepta, et, après lui avoir l -J 5. uuifwitic Ouc.-t auropo. Thierry, a été arrêté. Th-iêky, dont l'attitude a paru stspecte, fait signer un contrat, le capitaine l'ina égal-eroont été écroué à la maison d'arrêt ■ forma qu'il aurait à \erser uii cautionne- > f t 1R A NANCY '•E 1 , ment de 50,000 francs. après avoir subi un a?ecz long ire.erro^û-—— -——■ ~H,,Mr 15 toire. L'entrepreneur versa le cautionnement, M% Hrures I TllWffll* «â»m Ttmpspi-OB^ mais entre les mains du receveur municipal qui le pritr^ ■ \ "> ~* ' ! " il * , : G h. ni.\ -j- 17 7t9 | DEPUTE VSCTÎME D'UN ACCEDENT I J1 .. Midi .. +23 7i8 i!1 Vent varjVMPARIS, 19 juin. — M. Louis Brunei, dé- ' , . , '„ M.i. Temps n . s 4 n. S.. -{-27 «4/ Quelques ;; puté de lar Seine, passait vers i0 heures | I .j ic Min...\ -j- 15 — u «Ji-agouf-» que son taxi entra en collision avec une3 I I 1 devait vct,s<!r ua Max 30 ™ , ,„ fttiuionnement de autre voiture automobile. i 60,000 francs, mais, cette fois, entre ses Le choc fut très violent. I mains à lui, Philippe, et il fixa un ren- 'MF (WHWUWlii Je M. lidlieni.) 1 M. Brunei, blessé par des é-iats de vi-- doz-vous à M. Maiiez à la gare de Lille, A tres, dut aller faire pansera l'hôoiHl1 la date d'hier. voisin. — Havas. Entra temps. M. Mallez trouvant belles les conditions qu'on lui faisait vin L'AVIATEUR BRSHDEiiONO j formait et »ppreno.it lo à col mmi j trot signé clait anocrvphs et que le second SAIST-PÉTERSBOURG, 19 juin. — L'aviateur r était égaîtiuctif. faux. ' Brtndejom; des Moulinai* a «fccpti la pro- \ position de l'Aéro»Club d'or?:misai-, sa'mcj Lever di, une journée d'aviation, av»« le cônemus I éi huit aviateurs russes. L'Aêro-Club a WMBSéUBs vn-ement à J; i..i7, il. V* '/ Brindejonc de tenter Se raie Saint-PétélUbourg-Ilelsuigfors-Siockhclm» VU féa dlttl» I cultes d attcriir,siure. mais lavlateur fian-' V1 T' - * çais persiste daaa sm teWjfton. — Havas i. [La Rochelle. —■ HaVaa * 1 • - I ,p. S M --\ + - ' 9 se trot) Bfe (| * jI I s CÂRTiîi EGARE I l* » soliveaux (lesasii'os dans le Tonlois Les souscriptions reçues par lé soaspréfet de Toul pour les ir.ondé3 S'élèvent à ce jour à la somme totale de 6.953 fr. 80, dont 4.492 fr. 70 recueillis par la sOuscria. tion publique Ouverte dans la ville èa . Toul. De nombreuses colonnes espagnoles par!' courant la région sans rencontrer d'enne- I 1 i I » 1 Il nlnip Pftt nrniP Viiinnt «v fa li giêie. mX'o Toute la pluie est ■.mue s ajouta la région est dans une désolation pf* 19 juin. — On mande de Madrid ! dernier, ce qui prouve quo lis Marocains, RENNES, 18 juin. — Un accident s'est pro I d duit au camp de Coëv/piidan, Où le 50° d'ar- 1 [ui relèvent toujours leurs morts, sont abttillerie effectue en ce moment ses tirs de solument terrorisés. « La situation s'est beucoup améliorée gguerre. Lé capitaine Angot, du 50e d'artillerie éfi grâce â 1-intervention îfiju-cc et é-nergique surtout parcs eue ccompagnie d'un adjudant et de trois hom- de l'Espagne, mais n mes de sa batterie se trouvaient ensemble malgré tes conseils do Raisouli huit ti i'bué commencèrent lo mouvement tro & sous un sapin. tôt, ce qui le lit plus facilement avorUn obus "vint éclater au-dessus de l'ar• •. » 1 bre. Tous les cinq furent atteints par lë; é éclats. Une jolie bande d'escrocs L'ambulance militaire les a ramenés, ce gsoir, à l'hôpital militaire de Rennes. Kl opéraient chez lM pariemeîùaires et Le capitaine est blessé à la tête ; deux t chez Ses prètrss artilleurs sont blessés l'un à une jambe eet l'autre à une cuisse. Les deux autres ne PARIS, 18 juin. — Quatre individus, dieux s sont atteints que légèrement. nommes et deux femmes, qui étaient depuis près d'un an dans un, quartier aristocratique de Paris, profitaient de bômvs TOMBES D'UN ECHAFAUDAGE •ouvres .imaginatres dont ils se faisaient LENS, 18 juin. — Un échafaudage por.es quêteurs à domicile. t tant quatre ouvriers s'est rompu. Ces escrocs se présentaient, munis de L'un d'eux a pu se raccrocher à l'échel- iettros faussement signées do sénateurs, de 1le au cours do sa chute. Les autres ont députés, de vicaires généraux, de l'archetété tués. vêque de Paris, des chanoines Lei'ebvro'et Thomas, etc. Ils avaient réussi à imiter le cachet du I LE FEU DANS UNE USINS DE BENZENE cardinal-archevêque et s'en servaient pour apostiller leurs lettres. BRUXELLES, 18 juin. — Un incendie a déAprès une enquête de M. VaJië chef de lâ truit une fabrique de benzine située à j brigade mobile,' ils ont été arrêtés aujour'Lvcre. près de Bruxoilles. d'hui, à leur domicile, rue de Maistrc." Les dégâts sont considérables. , Ce sont les nommés Roux de Lusignan, 175.000 litres de benzine ont été brûlés, Pierre Lamy, Emilie Cheffandou et Sa "an et une quinzaine de maisons ouvrières { Roth. 'brûlent actuellement. Une perquisition opérée dans leur laceIl n'y a heureusement aucune victime. ment a amené la découverte d'un grand nombre de lettres et de carnets à souche remplis de noms d© souscripteurs. VOS. DANS UNS CHEFFERtE „f^mm<>ntant de l'escroquerie atteindrait REIMS, 18 juin. — Un cambriolage comloO.OOO irancs. —- Havas. imis clans des circonstances restées assez 1mystérieuse, a eu lieu la. nuit dernière à i cheffore militaire du génie. la Le cabinet du directeur a été fracturô.Le L'ESCRGO AU CAUTIONNEPflEHT <coffre-fort a été ouvert «t un coffret renLILLE, 19 juin. — Au coitfs du mois de fermant plusi-eur» c-s-nlftfcïés de francs a i été fracturé et dévalisé de fon contenu. Lés autorités nuiii.Jrcs ont aufsiôt ouvert une etipiète dans la ffut de recheroher r :si certaines pièces confidentielles n'ent pas' j "capitaine du l* génie, et disant se norti. > I mer Philinpe, attaché à la faction • Z iëlllli^ LE DERNIER COMBAT des Espagnols au Maroc Chuta grave du lieutenant Personne D ^.irtlî'S/lf nu tîAVP 5Î Tfliil MvJiual vw a i UOI 7 avocats, 8 journalistes, quelqiieTproiel\seurs, des petits commerçants et des ou' vriers, dont 150 sont musulmans et ?9 professent d'autres croyance:-*. Enfin, il y a deux généraux de brigade, ) un colonel et dix officiers SUD alterne 3. — ] Havas. LES DRAMES DE L'AIR N > i - UN CBJS ,îs S jubilé de SipSur !ih di députés attachés au parti radical et radici cal-socialiste. M. Thalama3 et M. Franklin-Bouillon oi pris la parole. Ils ont proposé l'excluont si sion du parti des députés qui ont adhéré à à ce nouveau groupe! Finalement, il a été décidé de renvoyer If question au prochain congrès du parti. lS Un débat s'est engagé ensuite sur la poy litique générale du gouvernement Lo comité exécutif a émis à ce sujet les $ deux vœux suivants : « 1° Le comité exécutif émet le voeu que les députés adhérents au parti s'opposent éi à la clôture de la session nénergiquement tant que la Chambre n'aura pas décidé que y les nouvelles dépenses militaires seront , s supportées par la fortune acquise. « 2," Le comité constatant que le gouverCONSTANTINOPLÊ, 18 juin. — L'ambassade n nement actuel continue à S'appuyer sur cde France dément formellement qu'il v ait « c une majorité composée de tous les élé- des réfugiés à bord du « Jules-Ferry ». n ments de droite, sans exception, blâment i nouveau, formellement, ceux des minisLes déportations en masse à . t tres du parti radical qui, au mépris do CONSTANTINOPLÊ, 18 juin. -- Le gouver, leurs engagements, ont accepté d'entrer |neur militaire de Constantinoplê fait puS dans le ministère Barthou-Tliierry, et qui {blier la liste des personnages déportés à " [persistent à s'associer à une politique net- j ' tem'ent réactionnaire. » — Havas. 1 un danger pour la capitale. —_ «»e i» ■ CHAROI.LES, 18 juin. — Le Uéut&iout Personne, du centre d'aviation d'EpiaïI, est , tombé ce matin à rHôpftal-le-Merpcier, par suite, croit-on, d'une panne de motîur. Le lieutenant Personne, grièvement blessé, a été transporté dans uno ferme veisine, où un médecin de Paray-le-éMoaiai iui * 8 donné des a soins. L» I une personne à Saint-Pétersbourg, avec I FIN DE LA DÊIiNlÊIlE HEVja ordre de n'y rester que cinq jours dans l'expectative. « «#-»-♦ j- Ce délai écoulé, si la Serbie ne se conformait pas à la demande bulgare, au trL CHUTS D'AViATEURS MILITAJR^ L buttai d'arbitrage, la situation' deviendrait \ critique. ^ ! ayan™ScommeUpassagei,euner?eilt Va*<îH» parti sur un monoplan du camp ni f!Nt | Les assassins Ions pour lo camp de Sissonne. ^" de Mahmoud-Chevket Las aviateurs, enveloppés pà i h r e ro ROME, 10 juin. — Une dépêche de la | lard, aux environs de siran^co'ivi J he «" Tribuna » dit t\u& les quatre individus i égarés et ont voulu atterrir. ' ^ | soupçonnés d'avoir participé à l'assassinat L'appareil a capoté et s'est bris* t ' I ,' du grand-vizir, se sont embarqués à bord aviateurs en oht été ho.reu-eiWt' 1 1Ète du ^ 1 'i « Serina » et qu'ils auraient débarqué, au j pour de légères contusions. Pirée, d'où ils &e ser aient rendus en Cliy-1 £ 11 LE SORT^D^^LA^CAMONNIERB . Ce sont les trois fils de Kiarnii-Pacha, et j lo beau-fils d'Essad-Bey. M.umiD 18 juin — On annonce ffl. I Ils ont protesté v Usinent à bord duJ ciellement de Méhlla mi une enquôù0 » (( Serbia » contre cts eoupçons. établi quq les mitrailleuses, les cu^s les munitions de la canonnière « Général _ Coucha » ont ete inondées ou rendues irm, j a notamment les affûts et les I avait annoncé crue Hussein-Pacha, rocher- ï tlllsables, c chô par la police, s'était réfugié à bord du ! iîî!1^: , «« Jules-Ferry ». mal l! l ' W°^f?SWIffBnM M llll llMWMlIf i'lillilllw'iïOniiiM „ Un communiqué officiel ottoman dément r qu'un réfugié politique soit à bord du « Jui les-FeTry ». 11 dément aussi que l'on recherche Huas sein-Pacha. 19 juin. — Le comité exéçulif du parti radical et radical-socialiste s'est réuni ni hier soir. Une longue et vive discussion s'est engag* à propos de la constitution à la Chamgée bi bre du nouveau groupe intitulé « Groupe d' d'entente démocratique et sociale ». (Il s' s'agit du groupe parlementaire dont la pl plupart des députés républicains de l'Est h font partie et a l'occasiort de la constituti tion duquel M. Maginot a prononcé un di discours que nous avons reproduit hier.) PARIS, De noire correspondant ptrticulier. | ï — j lu Conseil général de la Seir^e ; la Bulgarie ÉDITION SIXIÈME La Guerre des Groupes ! Le désaccord Balkanique I m. Protestation - / décision de la Bulgarie à ■ Les députés radicaux-socialistes Une L ** l propos de l'arbitrage, qui res- ' r''Slaciï ouvert qui ont formé le nouveau groupe semble fort à un ultimatum. « d'entente démocratique » se LE CINQUIEME ACTE font exclure par leur ancien VIENNE, 19 juin. — Une dépêche do Sofia idu grand drame politiaue groupe. ri que la Bulgarie aurait décidé d'envoyer dit LONDRES, 18 juin. — Le rideau va se lei ver, à Westminster, sur le cinquième acte (du grand drame politique qui a bouleverj sé les esprits en Angleterre depuis pluisieurs mois. Si la motion Cave, défendue ]par les conservateurs, est adoptée jeudi isoir, c'est la mort politique de M. LloydlGeorge, qui entraînerait avec lui dans sa <chute le cabinet Asquith et le parti libé irai, ce qui rendrait inévitable la formation d'un cabinet tory, disposé à rendre A Cor.stantinople aux lords, d'une façon indirecte, leur anPARIS, 18 juin. — Le bruit s'étant ré, cienne puissance, et à détruire le Honiepandu quo le prince Sahah Eddine, neveu j Rule et les grandes réformes qu'est sur le ,du sultan, as serait trouvé parmi ceux qui ! ,point d'accomplir définitivement le cabiont organisé le complot devant so termij ^ libéral. La motion Cave est bien suaner par le meurtre de Chevke-t pacha, le net ■ ve en apparence, dans le but de rallier les prince Sabah Eddine aurait donné le déjmenti le plus formel à cette assertion. indécis à une solution qui reconnaît impli] citement que les accusations calomnieuses contre les ministres se sont écroulées cornUN TELEGRAMME me un château de cartes, mais qui expriDE DE mtlIKM AU SULTAN ] me le « regret » de les avoir vus manquer PARIS, 18 juin. — M. de Pressensé a téide tact. Ce mot « regrets » n'a l'air de 1légraphlé au sultan do Constantinoplê et rien, : et c'est tout. Nous verrons bien si <au grand vizir, faisant appel à leur esprit i les . démocrates de la Chambre tomberont < justice et les priant de ne pas procéder >dans le piège. de à. i des arrestations en niasse, do ne pas Rappelons les principales phases du draEûèttré de suspects à la torture et de ne me. " 1faire exécuter des accusés en dehors des PROLOGUE. ~ L'année dernière, on fit |garanties que doit avoir la défense. courir le brait que le ministre des pos•-!®-»8HJl» tes, M. Herbert-Samuel, avait été poussé par des influences occultes et corruptrices à accorder le contrat du projet irnpé| rial de radiographie à la Compagnie Marconl, dont un des directeurs était M. GodLe nouveau président fiey Isaac, frère du ministre dé la jusPARIS, 18 juin. — Le conseil général tice, et que plusieurs membres du gouverde la Sein© a élu président, au second nement avaient profité de la circonstance tour, M. Maurice Quentin, iilicral, par 47 pour spéculer avec les actions de l'heureuvoix contre il à M. Roussel, radical-so- se Compagnie et réaliser des fortunes facialiste. buleuses. En môme temps, la presse réacVoici quelques détails sur l'élection : tionnaire d'Angleterre et presque tous les Au premier tour de scrutin, la majorité journaux de 1 étranger criaient au scanabsolue étant de 50 voix, M. Maurice dale. La Chambre, eniUé, accorda, sur la Quentin, libéral, a obtenu -18 voix contre demande du gouvernement, la nomination 30 à M. Roussel, radrcal-tocioliste ; 20 à d'une Commission parlementaire, compoM. Landrin, socialiste unifie. sée de six conservateurs, six libéraux, deux Au moment où l'assemblée^ se dispose âu nationalistes et un iabouriste, pour éclairsecond tour de scrutin, M. Landrin monte cir les faits. Observons que les acte?, dans à la tribune pour faire un© déclaration. ce drame, représentent des Faits, et que lî remercie ses collègues qui lui avaient les entr'actes ne nous Offrent que des ruaccordé leurs suffrages et il ajoute qu'il meurs, des insihuationfe, des montagnes voyait dans co vote uns manifestation qui, à la lueur des débats publics, finiscontre la loi de trois ans. sent par accoucher de souris. M. Delanney, préfet de la Seine, a alors PREMIER ACTE.— Procès du « Matin de protesté êr.e-rgiquernent. Paris, qui avait lancé eonlre deux minis« Si on dovait —- dit-il — parler de la tres des accusations cal umiii-uses. Le loi de trois ans, je poserais treS nettement journal du boulevard Poissonnière tait des la question préalable, n excuses, retire ses accusai «M, et n'en e*t Lextrèmc-gau'cho proteste. pas moins condamné h. pava les frais du M. lé préfet dit : « Mon devoir est de procès, qui sont considérables faire respecter les lois et je n'y faillirai PREMIER ENTR'ACTE—Les lébats de ce propas. cès ont révélé que-le chancelier de 1 EchiM. Henri Roussel monte à la tribune et quier, qui n'a paÇ te droit d'invertir ses déclare : capitaux ou ses économies, en possède, « Il s'agit de défense nationale. Nous en des valeurs anglaises, avait acheté, parsommés tous Unanimes, do l'extrême droite mi d'autres valeurs étrange)!*<<!», des acà i'éxtrême gauche, pour assurer cette dé- tions de la Société Américaine rie Marcofense, et, fidèles a la tradition de notre ni, laquelle est absolument indapenJante parti et à la loi de 1905, je déclare être de' la Compagnie anglaise du némé nom, contre la loi de trois ans, qui n'est pas et qui n'a, ni directement ni ifidirecteinént, faite pour assurer la défense nationale. i> le moindre intérêt financier dans le conLe second tour de scrutin a lieu ensuite trat en question. On crie au voleur, et au milieu de violentes protestations éma- l'on affirme, en même temps, que la Comnant de la gauche de l'assemblée. pagnio rndiographique Pôulsen avait offert des conditions bien meilleures au gouvarnSment que la Compagnie Marc-mi. On ordonne la création d'un comité d experta, chargée de faire un rapport sur :ette* nouPARIS, 18 juin. — La conmiission des velle affaire. mines, rétinié âous la présidence de M. DEUXIÈME ACTE.— Le rapport du comité Dron, a- examiné la proposition de M. d'experts électriciens, si ciair et si doO'!Basly et de ses collègues sur le minimum monté qiie personne n'a osé en attaquer d© salaires dans lès mines. Elle a décidé les conclusions, démontre que le système de nommer un rapporteur à la prochaine Marconi était non seulement le meilleur, séance. —- Haras. mais le seul capable de réaliser le plan élaboré par le comité de la Défense nationale. DEUXIÈME ESTR'ACTE.— Le ministre de la Justice et celui des Portes étant juifs, ainh si que lé directeur dé la Société anglais© Marconi, M. Godfrey Isaacs, frère du miSOFIA, 18 juin. — Le gouvernement bulnistre de la Justice, les vaticanistés angare a chargé son représentant à Athènes glais, alliés des torys, commencent une viode protester à nouveau dans les formes les lente campagne antisémite, que mènent les plus énergiques auprès du gouvernement écrivains cléricaux Cecil Chesterton et Hihellénique contre rarrestatioh des Bulga- laire Belloc, dans le « New-Witness », et res dans la. région de la Macédoine ocOn- le socialiste catholique John Scurr dans le pées par les troupes grecques. — Havas. « Daily Herald », Godfrey Isaacs traîne Cecil Chesterton devant les tribunaux. Un télégramme du tsar TROISIÈME ACTE. — Apr ès bien des détours Chesterton est fereé de retirer ses accusaSOFIA, 18 juin. — L'empereur de Russie a énvdyé an roi un télégramme dans le- tions de corruption contre les ministres. quel il déclare qu'il prend vivement part L© jury le condamne à payer un© amende aux malheurs causés à la Bulgarie par le d© cent livres sterling et aux frais du protremblement de. terre de Tirnovo. C© télé- 'cès, qui atteignent dix mille livres stevgramme est conçu en termes particulière- ling (250.000 fr.). TROISIÈME EXTR'ACTS. — Les feuilles réacment chaleureux. — Havas. tionnaires s'abstiennent de parier du résultat de l'affaire Chesterton, mais changent de tactique. Elles déclarent qu'il n'est plus question d'actes illégaux ou de corruption officielle, mais que certains milustres ont manqué de tact, et qu'il faut en dire autant de lord Murray, ancien SAINT-PJÏTBRSBOURG, 18 Juâa. — La Doudu ma d'empire a tenu hier une séanee ptj- trésorier de l'organisation centrale bliquo dans laquelle elle a voté d'urgence parti libéral, qui, lui aussi, fit des opérale projet de loi concernant les Crédits de- ' tions, d'ailleurs désastreuses, avec des actiens américaines de Marconi. mandés en 1913 pour do nouveaux vais- i QUATRIÈME ACTE. -- Rapport du comité seaux de guerre ; elle a approuvé les orojets relatifs à la reconstruction de la flotte, ' parlementaire. Tous, enriservateu-ts, libératix, nationalistes et le kibonrriste, sont I à son armement et à l'érection des chanI d'accord pour reconnaître qu'il n'y a eu tiers maritimes de l'Etat. — Havas. ni corruption ni l'ombre d'une illégalité. Mais tandis que le rapport de la minorité, signé par les six commissaires tov-s, reproche- à deux ministres et à lord Murray d'avoir manqué de tact, le rapport de la Les morts ■— Les blessés majorité, signé par tous les .autres com- j missaires, sauf le président, affirma qu'il PARIS, 18 juin. * Voici la première liste des tués et blessés au combat de Ksiba : &'y a eu ni corruption ni indélicatesse, ni Tués : le lieutenant Variengien, du 7* un manque dê taet. QUATRIÈME ENTR'ACTE. — Discussions des tirailleur ; le lieutenant de réserve Gilles, rules soldats Cabirant, Brender, Pencourt, différents rapports dans la presse, Srnignot et Mangté, de la 15° compagnie meurs, bruits de démissions, annonce d© du S* zouaves, et 20 tirailleurs sénégalais. révélations sensationnelles qui seront faiBlessés : le capitaine Sautel, du 7° ba- tes à Westminster, au cours des débats taillon de marche d'infanterie coloniale ; le cinquième -acte. Attendons. — T. M. le lieutenant Deschanips, des sénégalais. Blessés légèrement : le capitaine Fu^9 ■■■■ mey, des troupes marocaines ; lé capitaine Mondieilli, du 3° zouaves ; le lietitcAU CONGRÈS FORESTIER nant Truffer et le sous-lieutenant DouPARIS, 18 juin. — Au Congrès forestier, meng, dôs sénégalais. international, la deuxième section A adopBlessé trè* légèrement : le . lieutenant té un vceu de M. de Niçois y, sur la créa- | Cousire, du IP zouaves. — Havas. tion d'un office forestier international â Paris. ' Sur la communication de M. Cuif, tendant au développement de la station de, QU5LLAUSV1E SI recherches de Nancv. appuyée par M. Guyot, M. Delahaye" fait remarquer que1 cette station est en fait uniquement réBERUN, 18 juin. — Hier soir, à huit heures, 1 empereur et l'impéiatrice ont offert gionale et qu'un organe directeur devra • un grand dtn*r au château royal. Les être plus central. princes OÛtifédérés", 1* chancelier de l'empue les président et vice-préfidents du AU REISHSTAQ Parlement, les membres des délégation* BERUN, 18 juin. — Lo Rcichstag a re, reçues par l'eujpcvcui- y assistaient ~» Havaa» * P.! jeté la motion socialiste proposant'te ser-• % vice d'un an. — Havas. l Le salaire mini™ dans les mines . '.. •= j i ; | | !^ç^^ Congrès ôe la navigation I intérieure à Nantes - iIntervention de M. Louis Lafntte CONSTAVTINOI'I.E, a '^^ * &n3 "~ ^ Npl^l \ ; h , 'Pour l'aviation militaire * La mort de M, Nicolas Diot: ' 2* catégorie, de 1 litre jusque 2 litres , Institut chimique 'exclus, de cylindrée totale, • -*,,. i Les pensions municipales i 3« catégorie, de 2 litres inclus à 3 litres L'Association amicale des anciens eis-. ! exclus, de cylindrée totale. ... La ville de'Nancy vient de perdre tel >es a tenu son assemblée générale an-, 46 catégorie, do 3 litres inclus à 4 litres,! nuelie à l'Institut chimique, sous la pro- ; doyen de ses pensionnés en la personne, exclus, de cylindrée totale de M. Nicoias Diot, ancien receveur muni-; ' sidence d'honneur de M. Guntzj 5° catégorie, de 4 litres inclus à 5 litres*., En l'absence du président, M. Michel,^ ci pal. « DIMANCHE 20 JUILLET 1013 exclus, de cylindrée totale. M. Diot-était né le 3 avril: 1828 et ton- j! le vice-président, M. Grégoire de Bolle6° catégorie, do 5 litres inclus et au-des- ; mont prend le premier la parolo. U préchait une confortable pensions-dé 6.4^1 sus. francs, depuis le 14 mars 1881. sente les excuses de M. le doyen Floquetj Une tolérance de un centième, soit un et de M. Ifuller qui pour la première fois-J M. Diot — qui avait conservé très tard Course organisée par Y REPUBLICAIN centilitre par litre, sera admise pour la I manque : tout le monde sait la fidèle sym--| une verte vieillesse — était un excellent classification, c'est-à-dire que les voitures j pathie , sous r/ES KKÛIJEMKNTS »œ homme, de caractère amène et un parfait qu'il porte, aux chimistes nan-^ fonctionnaire. de la 1™ catégorie pourront avoir 1,01 de De vifs remerciements sont On-4 cylindrée totale, celles de la 2e catégorie ; céiens. Il figure lo troisième sur la^liste des L'AUTOMOBILE-CLUB LORRAIN suite adressés à M. Vogt, à M. Guntz et à • 2,0g, etc. ■pensions munie i pales. tous les dévoués professeurs présents à La première personne qui y est inscrite . Avec le concours du journal l'AERO et de Y AUTOMOBILE-CLUB LORRAIN N. B. -- Les chauffeurs qui ne vou**' ] draient pas s'astreindre à calculer la cy- I réunion. est Mme Pierron, née Marie-Anne liarthélindrée totale pourront trouver ce rensei- ! Le vice-président constate la prospérité., Jenry, et qui touche 150 francs, comme gnement à l'A. C. L-, où les calculs sont , toujours croissante de la société, félicite veuve d'un ancien, sergent de ville, depuis Nous avons, il y a qxïclque icmpst annonDéparts effectués pour la plupart des types de mo- ! les sections régionales de leur grande acle 31 décombre 1868. Mme Pierron est née cé la préparation d'une course automobile, •^Vive'la République !!! le 7 mars 1829. Art. VI. — Les départs seront donnés teurs, et se rendre compte de la catégorie tivité et termine par un appel chaleureux , yive l'armée 1!!!!!! entre les villes de Toul et de Nancy, sur d'après l'ordre d'inscription dans chaque dans laquelle serait placée leur voiture, j en faveur des sentiments de camaraderie La seconde plus ancienne pensionnée"',„une distance d'environ vingt kilomètres. • flous rappelons que les souscriptions] et de confraternité qui sont la base même catégorie. est Mme Gérolt, nés Camille-Marie Antoi" Montant des inscriptions Les autorisations administratives sont Lont toujours reçues : Liiez M. Pignot, pré- ne, veuve-d'un ancien professeur de chant de l'Association. Le départ pourra être refusé h toute j sent de la Commission des finances, 57, dans les écoles de garçon», qui reçoit une nécessaires ; mais les assurances qui nous voiture ne se "présentant pas à la ligne M. Simon Didier, secrétaire, donne enArt. XVII. — Le montant des inscripJ-QJ Saint-Dizier, et clicz M. Brun, tiésoont été données en haut lieu que la réalisa- do départ à l'appel de son numéro. suite un compte rendu précis des travail* i tions par voiture est de : • -pension de 666 francs, depuis le 16 seption âe ce projet ne rencontrerait aucune fjier 27> rue ^es t'armes à Nancy. du comité pendant l'année écoulée, il rapGroupe A : 20 francs tembre 1878. insurmontable difficulté, permettent aupelle les deuils, puis les succès et les disClassement Groupe B : 50 francs La ville ne délivre plus de pensions tinctions honorifiques. Son allocution, d* Il n'y a pas de forfait. A BOIS L'ÉVÊQUE aussi considérables que celle de M. Diot. jourd'hui la publication du règlement ciArt. VIII. — Dans chaque catégorie et .forme très littéraire, n'a rien de l'aridité C'est ainsi que M. Roussel, le secrétaire dessous. dans chaque course, les voitures et moto-' Six semaines nous séparent de la date •*Le 36* d'infanterie est, comme nous l'a- j en chef honoraire de la mairie, n'a que habituelle de ce genre d'exposé, et de plus Motoàycletles cyclettes seront classées d'après le temps ! Wons annoncé, depuis dimanche à Bois-l'E- 4.000 francs de elle est toute empreinte de franche cordiapension, le maximum, du 20 juillet, c'est dire que les concur- absolu mis à faire le parcours. fyêque. La première journée au camp a été I croyons-nous. rents devront employer leur temps auwi "* Art. XVIIT. — Les concurrents seront lité.Lorsqu'un seul coureur dans une caté' aussi bien que les organisateurs afin de wmsacrée aux différents travaux d'installa- j M. Ferry, le dévoué trésorier, met en regorie se présente au départ, une limite de ji divisés en deux groupes : faire aboutir une aussi vaste entreprise. itfon, entre autres à la fabrication de claies j peut lui être imposée par le jury j 1° GROUPE A (Amateurs). — Dans | lief la situation des plus prospères, aussi Nos rébus destinées à ta (literie. Presque toutes les régions de France sont temps pour faire le parcours. ! cette classe, pourront seuls courir les i est-il particulièrement applaudi. Tous les jours, le régiment est réveillé ! Une erreur s'est glissée dans la rédac-'. chaque année le théâtre d'épreuves deveM. Guntz, en quelques mots bienveil-1 , amateurs, touristes, propriétaires de leur ! tion de notre rébus de ce jour : Sous le Récompenses nues classiques, meeting du Mans, circuit tpar la musique. Lundi et mardi, nos troulants, remercie l'Association et fait des motocyclette depuis un mois au moins au j Ejers ont effectué des tirs préparatoires, j rat, c'est : « sur la sœur du père de l'ar- ] de Dieppe, côte du Limonest, côte du YenArt. VIII. — Il sera distribué dans cha- I moment de la course. Chaque concurrent j souhaits pour son développement et poujr ijmidi et vendredi, l'emploi du temps pres- chitecte » qu'il faut lire. toux, etc. I que catégorie : l'extension de son influence et de ses crit le combat par section et par campa- I La Lorraine a vu jusqu'à présent se dis- I Au premier, une médaille, plaquette de jj devra présenter sur demande le récépissé j moyens d'action. On procède ensuite au -nie. Enfin, samedi, manœuvre du régi- I Grand-Hôtel d'Angleterre Excelsior-Hôtel ! puter fort peu de ces épreuves sensation- vermeil ou œuvre d'art, au second, uno |j de déclaration de sa machine. vote pour le renouvellement partiel cft» 2° GROUPE B. Professionnels, cons- membres du comité. •Jnani <rTéc cartouches à bitfles. Le bruit de la vente de leur hôtel à la nelles ; la coupe Rosscl, l'ascension du médaille en argent. | tructeurs, agents, coureurs, propriétaires Le 26° reviendra donc dimanche à Nan- Société Dans le cas où les engagements dans j MM. Ferry, Grégoire de Bollemont, Mta des Wagons-Lits ayant rencontré Ballon d'Alsace fut la principale manifesjy, après avoir campé sous ta tonte pen- un certain une catégorie seraient supérieurs à 6, il ou non de leur motocyclette. chel et Dillon sont élus. crédit dans lo public, MM. Mau- tation du sport automobile dans l'Est. II. Le droit d'entrée pour chaque groudant huit jours. Il se fait bien à ce nouveau joun père et fils informent leur clientèle Les courses du 4 juillet 1909 (kilomètre serait décerné une troisième médaille. Ainsi que le veut la tradition, l'expédi-»* I pe est fixé à : «renre de vie, si différent de la caserne, et leurs amis qu'il n'en est rien, qu'au de côte à Nancy-Boufflers, départ arrêté tion des affaires sérieuses est suivie d'une Prix divers Groupe, A : 5 francs tfialgré l'Insuffisance d,'eau qui est pour- contraire, ils augmenteront encore d'ici et kilomètre lancé entre Essey et Scifête où la plus franche gaieté ne cessa de Groupe B : 20 francs tant pénible en ces temps de canicule. champs) ; la course de côte à Nancy-BoufArt IX. — Les prix qui seront offerts | régner. Ce sont d'abord des jeux variés peu l'importance de leur affaire et qu'ils en resteront seuls propriétaires et direc- flers,le 14 juillet 1911, avaient cependant aux organisateurs postérieurement à la ; III. Il y aura pour chaque groupe 3 ca- où se donne libre cours la joie débordante brillé d'un éclat dont l'Automobile-Club i tégories. publication du présent règlement, seront i te urs. des jeunes ; puis c'est « V lan ! » la revue Brevet Elémentaire attribués par les affectations spéciales de j! lr" catégorie : motocyclettes dont la cy- en deux actes, « mordancée et caustifiée Lorrain pouvait être justement fier, ! Ont été admis : il importe que Toul-Nancy automobile leurs donateurs ou par une décision de la ! lindrée est inférieure à 350 centimètres sans réserves avec laminage et mattage Chez les Vosgïens de Nancy commission. j cubes. MM. BalAand, Barbier, Bastion; Beirvelot, des caractères », dont la verve endiablée, Le comité de la Société mutuelle vosIl faut que notre pays si riche favorise Art. X. — Le jury sera seul juge de la &ic, Bolus, Boubel, Cailler, Charbonnier, 2e catégorie : Motocyclettes dont la cy-' les spirituelles allusions et les vives réClaudel, Collin, Cuette, Démange, Drouhin, gienne de Nancy,, s'est réuni samedi soir, le développement des affaires dont la pros- qualification des voitures ; il pourra dis- j! lindrée est inférieure à 400 centimètres ; parties déchaînent dans l'assistance uç Sttfour, Feltin, Franck, Georges, Giiersch, 14 juin, à la Brasserie de la Poste, rue périté se rattache par des liens intimes d qualifier tout véhicule qui ne sera pas j cubes. rire ininterrompu. dans les conditions requises. pilaire, Hubert, Janot, Lacour, Lapointe, des Dominicains, sous la présidence de sa propre fortune. 3" catégorie : Motocyclettes dont la cy-Les bières les plus réputées, offertes M. Gaspar, son nouveau et si actif présiIl faut que les progrès mécaniques, les ijjeclei', Lehmann, Lerbier, Lorrain, MarLes décisions du jury seront sans ap-. | lindrée est inférieure ou égale à 500 cen- gracieusement par les brasseries de Tandent. pel. formes audacieuses et variées de l'activité chai, Mathieu, Maugras, Maute, Maveur, I timètres cubes. tonville, de MàXéville, de Champigneul--i Des échanges de vues ont été faites au industrielle viennent ici montrer leur, ma(OudeviHe, Paquy, Philippot, Pierre, Billot, i La jury /les et de Vézelise, coulent d'ailleurs à flot». Pour le comité d'organisation : poutot, Rodron, Rousselle, Royer, Sirno- I sujet du meilleur mode de réassurance en gnifique épanouissement. ACHILLE LIÉGEOIS. , ;'et ne contribuent pas peu à entretenir la•■ Art. XI. — Le jury sera composé par Si la science joue un rôle considérable tain, Thouvenin, Tressel, Véron, Vincent, I cas de décès. gaieté et à assurer le légitime succès de> iVoil-liot. Etant donné te nombre toujours crois- dans la création et le perfectionnement des les soins de l'ACL et recruté parmi les ! . f♦ ♦ ♦ ♦ ♦ »:ML*S la fête. Quatre-vingt-treize candidats s'étaient sant des nouveaux membres admis, il a marques nouvelles de construction, il faut présidents des automobiles-clubs présents Le soir, un banquet servi à' l'hôtel Amé--j présentés aux examens. été décidé de procéder à une refonte com- qu'une autre concurrence mette aux pri- a la course ou leurs délégués, ou parmi ; FRABCHEUR EXQUISE ricain réunit les sociétaires et les prof es- j plète des statuts de 1* Société, afin qu'ils ses les qualités des pilotes et nous espé- les membres de l'A. C. L. ' seurs. M. Grignard, lauréat du prix N<Hfl Le jury sera seul juge de toutes les consoient plus en hainmonie avec le but hu- rons qu'à ce double point de vue, la France bel, préside ces agapes fraternelles. Union républicaine testations qui pourraient s'élever entre au CÎNÉ «PALACE manitaire poursuivi par le comité. remportera ici de splendides victoires. A l'heure des toasts, M. Grégoire de BoM les concurrents. L'U. R. rappelle à ses nombreux adhéC'est ainsi qu'au sujet de la mutualité Pour atteindre ce but patriotique, nous lemont, en quelques mots émus, dit à Mjj Toute réclamation devra être faite par fosits que la conférence de M. Justin Go- maternelle le comité se propose de mettre adressons un appel à toutes les bonnes voGrignard quel plaisir et quel honneur iln jjdart, député de Lyon, aura lieu jeudi soir ! à la disposition de la mère tout le trous- lontés, à toutes les intelligences, à lous~ écrit sitôt la course finie, et, pour être Ma:l5gs éprouve à saluer en lui un 6avant qufcî examinée, elle devra être accompagnée de 19 courant, à huit heures et demie, à la seau nécessaire à l'accouchement, et cela, les dévouements. ' "Grande Taverne, rue Saint-Didier. la somme de 100 francs qui sera rendue I On vient de célébrer à Nancy le mariage vient de remporter un succès si éclatant,. sans préjudice de l'allocation d'usage de Cette conférence sera présidée par M. trente. finança au réclamant si la réclamation est recon- |I de M. François Christiany, sous-lieutenant et dont la notoriété est aujourd'hui uni-^ Règlement de la -Course nue I au 12° régiment de dragons, avec Mlle Ge- I verselle. fondée. £chertzer, conseiller général, premier adAlors que de tous côtés des plaintes s'é! neviève Détrie. M. Grignard répond en remerciant fAM joint de la ville de Nancy. Les concurrents s'engagent à accepter lèvent sur la dépopulation, les Vosgïens Article premier. — L' « Est républiI Le général Pau, cousin de la mariée, sociation qui lui a fait l'honneur de sa ta vérification de leur déclaration d'engaLes républicains des divers groupements ne pouvaient rester indifférents à cette cain » organise, avec le concours de I retenu à la Chambre par la discussion do y sont également invités. question toute d'actualité ; aussi ont-ils. 1' « Aéro », une course d'automobiles et gement et (pour les groupes A) devront, ! la loi de trois ans, n'avait pu, comme il fête, et s'excuse, lui, homme de laboratoipensé qu'il serait logique et humain que de motocyclettes sur route, départ arrêté, au moment de la course, être porteurs du I l'espérait, servir de témoin a Mlle Gene- re, de présider un banquet de chimiste» industriels ; toutefois, dit-il, « de solidesPour les colonies scolaires la mère et l'enfant se trouvent dans de sous les règlements de l'Automobile-Ciub récépissé de déclaration de leur véhicule viève Détrie. études générales sont l'indispensable con(carte grise) ou, pour les étrangers, du cerUn don anonyme de dix mille francs bonnes conditions d'hygiène. . Lorrain. • Les témoins étaient : pour le marié, M. dition d'applications fructueuses ». UN tificat international de route. Svient d'être remis à M le maire de Nancy Beaucoup d'autres améliorations ont été 1 Date docteur Franck, médecin-ma.jor de l " proclame aussi fort éloquemment l'union»?, Les déclarations reconnues fausses en- ! le ipour -l'Œuvre des colonies scolaires de va- envisagées, le champ d'activité des sociéclasse, chevalier de la Légion d'honneur, nécessaire de la théorie et de la pratique^ Art. II. — L'épreuve aura lieu le dicances. traîneraient la disqualification. té de secours mutuels n'ayant pas de lison oncle, et M. Alexis Christiany, son frèmanche 20 juillet, à 14 heures et demie. Les alésages des diverses catégories■ I re ; pour la mariée, M. Cardot, inspecteur ; pour le plus grand bien de l'une et i5«l mites. peuvent être vérifiés après la course. Les i des forêts, à Lunéville, et M. le docteur, l'autre. M. le recteur Adam, dans une imIl fut ensuite procédé à l'admission de Courses de Nancy provisation toute amicale, pleine dira-1 nouveaux membres. Depuis la dernière Art. III. — Le parcours adopté est la conducteurs s'engagent à accorder toutes tI Paul André, professeur agrégé à la Fa- mour et de verve, applaudit, lui aussi, aia^ t Les courses de Nancy auront lieu sur réunion, du 31 mai, 21 membres actifs et route nationale, dans la partie comprise facilités à ce sujet. culté de médecine, ses oncles. . triomphe de M. Grignard et rappelle en* «'hippodrome de Jarville les dimanche 13 26 membres honoraires sont venus grossir entre Toul et Nancy (lieu dit les QuatreAccidents Le service d'honneur était fait par M. le ; souriant qu'à côté du prix Nobel et de la let 20 juillet. les rangs de la Vosgienne Vents), en ligne droite, avec un seul viraArt. XII. — L' « Est républicain » dé- I lieutenant Thouvenin et Mlle Gilberte Dé- croix de la Légion d'honneur, d'autre», Première journée. — lre course : Prix Membres honoraires : MM. Dreyer, Au- ge à angle très obtus à Gondreville. cime 'toute responsabilité en cas d'acci-] | trio, M. Jean Détrie et Mlle Anna Jacques. distinctions... non moins élogieuses, lui"' Me l'Agriculture, au trot monté, 800 fr. do bert, Cartior-Bresson, Martin., Mougeot, dents, de quelque nature qu'ils soient. Engagements i ont été décernées. |>rix ; 2e et 3e courses : Prix de Jarville, Liénaind, Legrand fils, Noirot, George, Les responsabilités civiles et pénales | U regrette profondément l'absence de WL Art. IV. — Les engagements à droit steeple-chase, sous-o/ficitrs "; 4° course : Roppcneck frères, Dreyfus, Pignot, BesBonne nouvelle resteront à la charge des concurrents à Haller, à qui cette fête aurait pu rappelert Prix de la Société des Steeple-Chascs de sand, Bigorne, Flayelle, Lôvy, Dreyfus, simple seront reçus jusqu'au 8 juillet in- qui elles incombent j Dès lundi 16 juin, réouverture du ciné- | et consacrer en sa chère Lorraine, lesd France, officiers ; 5" course : course de Démange), Michel, Gonet, Thiriet, Culot, clus. Ils doivent être accompagnés : Par le seul fait de leur inscription, les; |i ma à la Brasserie Vagner (Terminus Blan- ovations chaleureuses qui lui ont été fai-* 1" Du montant du droit d'inscription du Vannier, Bailly, Cahaies de la Société sportive d'encourage- Godard, Léviste, concurrents sont censés avoir pris con- :: dan), dont l'agrandissement de la salle est tes récemment à Paris. i véhicule. ment, 1.000 francs de prix ; 6° course : gan. naissance du présent règlement. terminé. Fraîcheur délicieuse. Jardin omEnfin, M. Grégoire de Bollemont, dans» Membres participants : MM. Duvoid, | 2° D'une description sommaire du véhiPrix de la Société d'Encouragement, 4° Il est rappelé aux concurrents qui vou-. !j bragé. Jeu de boules. un nouveau toast adressé à MM. les ine ! cule comprenant la déclaration formelle série, 2.000 fr. de prix ; 7 course : Prix de Passetemps, Hauswirt, Egly, Brice, Mardront essayer le parcours avant la course j dustriels, associe fort heureusement dans Rosières, au trot monté, 1.000 fr. de prix. telin, Rouleau, Noël, Deckert, Marx, Ali- | de l'alésage du cylindre et de la course sous leur propre responsabilité, qu'ils se- ; la ! ses vœux la science et l'industrie franDeuxième journée. — lro course : Prix I son, Kienne, Blanchard, Gérard, Leyval, jj du piston, et du nombre des cylindres. : JAMET, BTJFFEKEATJ et C 1 çaises ; il boit aux industriels lorrains ét Passé le 8 juillet, et jusqu'au 15 juillet ront absolument tenus de se conformer ; de Nancy, trot monté, 1.000 fr. de prix ; j Humbert, Cronel, Demya, Tous travaux comptables : en particulierr à MM. Daum, Amos et .T. seulement, les engagements seront reçus aux règlements de police en vigueur. Mmes Guyot, Hauswirt, Duvoid. 2* et 3» courses : Prix du 20° corps d'arArt. XIII. — Les concurrents s'engagent; I 20, Faubourg St-Ieàn, NANCY. — Tél. 12.55 ! Kronberg, qui ont toujours témoigné loi Ce qui porte l'effectif de la société à à droit double. mée, sous-ofAciers ; 4° course : Epreuve i plus bienveillant' Intérêt à l'Association../. Tous les engagements devront parvenir à ne porter aucun litige relatif à la cour- I ■de circonscription de la Société sportive 141 membres honoraires et 267 membres se devant les tribunaux et à admettre laL i Et c'est tardivement que l'on se quitte,directement îx l'Est républicain, Nancy. Grande Brasserie-Restaurant et Hôtel participants. a encouragement pour chevaux autres que décision définitive de l'A. CL. | sur l'agréable impression de . chansons « Majestic » Le comité adresse un chaleureux appel i de pur sang ; 5° course : deuxième prix de Observations générales Art. XIV. — Si, pour une cause quelconj joyeuses et humoristiques lancées avec tn« la. Société des Steeple-Chases de France, ! à ses compatriotes de Nancy et des com- I Art. V. — Les voitures et les voituret- que, les courses ne pouvaient avoir lieu, Etablissement complètement réorganisé, | train par les jeunes sonétaires, aux vifs officiers ; 6" course : Prix spécial de la I munes limitaophes pour qu'ils viennent tes feront leur départ arrêté ; les motocy- 1' « Est républicain » ne serait tenu qu'au' avec tout le confort et Je luxe moderne. I applaudissements de tous. Société (sportive d'encouragement et de i collaïorer à l'œuvre de solidarité entre- I clettes pourront être poussées au départ. remboursement du droit d'inscription. Rendez-vous samedi 21 courant, à « Mala Société des courses, lro catégorie, 1.000 prise par la Mutuel le vosgienne. i I jeetic ». Consommations de grand choix, Art. XV. — Le chronométrage sera fait ! La situation financière de la Société est j Les voitures de la catégorie touristes (A) 'francs de prix ; 7° course : Prix des Hatempérature délicieusement fraîche de 8AVO N du QONGO vv;ST ^ excellente puisqu'elle possède en réserve auront quatre places occupées ; celles de par les chronométreurs de l'A. C F. s ras, trot monté, 1.000 fr. de prix. l'Etablissement. la première catégorie pourront . n'avoir une somme de 6.0CO francs environ (titres Dégustation des bières brune et blonde que deux places occupées, de même que Voilures dc> mentes, compte courant), déposés à la de la Grande Brasserie Greff et Fils, léObjets trouvés Une conférence ménagère les grosses voitures fermées, limousinos Caisse des dépôts et consignations. Catégories gères et digestives. ou landaulets. Mercredi après midi, M. Brocart, profesSi l'état des finances de cette société, Un réticule, par M. Biétrix,51, rue SaintArt. XVI, — 11 y aura deux groupes ; Déjeuner : 3 francs ; dîner : 3 fr. 50, et !i Nicolas. Les voitures de la catégorie vitesse (B) seur d'économie politique à la Faculté, a fondée en 1006, est prospère, il faut en at'I à la carte. fait une fort intéressante conférence sur tribuer le mérite à ses pionniers de la pre- pourront n'avoir que deux places occu- distincts : — Une broche bijou lorrain, par M. Y aller, c'est y retourner. 1° Groupe A : Touriste. i économie du ménage. mière heure, à la têts desquels se place pées. j Christoianh, 26, rue de P Abbé-Grégoire, Chaque concurrent aura le droit de 2° Groupe B : Vitesse. . Ce cours est fait spécialement pour les M. Courroy, ancien président, nommé de— une' médaille avec photo de femme, | La BSIÈltE GREFF tp&i demandée jeunes filles qui fréquentent l'école ména- puis peu, président d'honneur fondateur. I pourvoir au remplacement de chaque perLes chauffeurs désirant s'engager dans • par M.. Droulat, 22, rue de l'Abbé-Grégoigère, fondée par notre Chambre de ComM. Courroy qui demeure actuellement à sonne manquante par un sac de lest de U groupe A devront être propriétaires deî I re. Nécrologie merce. Chelles (Seine-et-Marne), & dû se démet- 70 kilogr. leur véhicule depuis un mois minimum. Les voitures du groupe touristes (A) à Et il y avait là, pour entenden d'excel- tre de ses fonctions à cause de son éloiIls pourront faire conduire leur voiture ! Nous apprenons là mort, à Onville, de 2 ou à 4 places devront être équipées en par un membre de leur famille ou par un1 Mme Peitier, née Naudin, mère de Broutilles «rits conseils, non seulement des jeunes gnement de la société. 1 Ules du peuple, et de la bourgeoisie, mais Sons la direction aussi active qu'intel- tourisme, c'est-à-dire avoir une carrosse- ' mécanicien habituellement à leur ser- M. Auguste Peitier, industriel, conseiller Mercredi après-midi, Mme Elisa B..., âg£« ' municipal, auquel nous offrons l'expression des dames du plus grand monde, qjui ont ligente de son nouveau président, M. Gas- rie complète, confortable, avec ailes, mar- I vice. .de 43 ans, rempailleuse de chaises, 17, rue de nos bien vives condoléances. che-pieds, coussins, garnitures et lanterPu en tirer le meilleur profit pour la con- par, la Société mutuelle vosgienne de NanDans le groupe B, courront les profesMa.rtimprey, est tombée malade rue de duite ou la surveillance de leur maison. cy ne fait que commencer son mouvement nes. sionnels, agents, constructeurs et couToul. Les voitures de tourisme à deux places reurs. ascensionnel. Elle comptera bientôt parmi Elle a reçu des soins dans une phannsir les sociétés les plus prospères de la région .devront remplacer chaque personne manLa classification des voitures dans cha,cie. LA BEAUTÉ DU TEINT Pour arriver à ce résultat, il faut que les - quanta par 70 kilos de lest. que groupe sera faite â la cylindrée' totale — Procès-verbal a été dressé contre M. Le jury aura le droit de refuser toute (total des volumes des Cylindrées pour les Vosgïens ne restent point sourds au cha5 s'obtient par le fonctionnement normal Paul G,.., âgé de 27 ans, tailleur d'habi'ti, leureux appel qui leur est fait et viennent carrosserie insuffisante. moteurs à plusieurs cylindres) et comdemeurant 6, rue de Serre, pour avoir bride l'appareil digestif. Un GRAIN de VALS Dans la catégorie vitesse (B), la carros- prendra dans chacun des groupes A et Bse grouper sous la bannière de la mutuasé un carreau de la porte de la salle à 1M»MËI|TE U R A PERI TIF 1 serie pourra être aussi légère que possi> tous les .deux ou trois jours, avant ou lité pour leur petite patrie. les catégories ci-dessous : manger de Mme V..., demeurant mèma ble et être réduite au minimum. pendant'le repas du soir, tel est le lre catégorie, jusqu'à 1 litre. maison. secret de toutes les beiles. " " -uajumumn-m» ■ mu Le -Comité des .Amis-de l'Aviation, sou-' teeux-de meuer'ù.îbonnefin par les voles «9'raPi*!ft''1',<Buvre pntriotiquo à la»nielH>' il'-s^s*1 attactuè, c'est-à-dire la cons08 Snietiii»^ hangars militaires d'aviation Q jps oeuvres annexes-telles que l'Institut mif ue si utile Srodyaa l ' P0"*' aider nos ™:ura.genx aviateurs dans Jeurs explorarjvna aériennes"et protéger leurs Jours si CrtfoieiiX *àda patrie, adresse un pressant r°Çu des carnets %nel à mus ceux (Iu1 3» 'souscription. A l'heure actuelle, 150 communes ont ré. ond,j par une manifestation touchante. ™ keOmité demande aux 450 autres de lui (retourner les listes de souscription, ainsi mue sommes recueillies avant le îll Maillet ce sera du bon travail pour la rW FEUILLETON do L'EST REPUBLICAIN — N" 18 — JBANNB K ÉG AME Y* Jewine parents K-lein se confondaient en prévenances, alignant sur la table du saAiï;les meilleures bouteilles de leur cave. a 't>e»rt, civilisé un peu par quelques mois "f vie strasbourgeoise, avait l'air morns "'«is et commençait à placer dans la con'«fsation quelques phrases point mala"joites. Mais Alice, malgré la recherche Y? ?a toilette, paraissait bien petite fille à r£e de son amie. Ses façons timides, ses ir1? baissés et sa voix de souris qu'elle Salait assourdir encore, contrastaient 1 wa,ngcment ftvec Ja trntKjnii]e assurance, • l?J«a«ice et l'air de reine souriante de GeEt Geneviève, près de cette ^'gnn'iante compagne, semblait plus «ne e.t plus assurée'encore, avec un rien 0J F ïdescendance et de proie-tion que ^ inspirait — à son insu peut-être — ce 'nwu 8i Peu digne d'elle et si parfaite1 inaccoutumé. ; ^ nouveau, Jean se demandait, son- ^rtoe diable cette belle demoiselle vient ^**air» i<d» et pourquoi cette amitié su- bite pour une camarade de pension qu'elle \ ne voyait jamais auparavant ? Mais ses réflexions récentes lui inspiraient une prudente réserve. Se tenant sur la défensive, il sentait en lui ce fond de séculaire méfiance que lui avaient légué, d'un lointain passé, ses aïeux paysans. , Ai Du reste, une évolution singulière s accomplit sous ses yeux. Lorsque les deux jeunes gens firent leur entrée dans le salon, Geneviève fut tout sourires et tout amabilité pour Jean, lo traitant en vieille connaissance, avec une nuance de camaraderie charmante, et, reprenant la plaisanterie de l'autre jour, elle lui dit avec malice : — Bonjour, monsieur le tilleul ! Comment se portent vos racines ? — De mieux en mieux, mademoiselle, répondit-il d'un air dégagé ; elles s'enfoncent tous les jours plus profondément dans le sol. Et, présentant son ami, il continua sur le même ton, gaiement, avec un dédain plaisant : . — Un déracine, celui-là ! un Alsacien ,de Paris ! — Vraiment ? Et les beaux yeux do Geneviève se portèrent avec une'curiosité sympathique sur Gaston. . , . Mais il me semble, monsieur, avoir déià vu de vos œuvres, dit-elle. N'aviezvous pas un portrait de femme à l'exposition de Strasbourg, l'an dernier ? —- En effet, mademoiselle, répondit Gaston,' visiblement flatté qu'elle eût si bonne mémoire. — Etes-vous parents des grands brasseurs Wernert, do Kœnigshoffen ? — C'est mon père et mon oncle, mademoiselle. ■"• Toul-Nancy Automobile i EST — Oh ! mais alors, vous devez connaître... Et Geneviève, ramenant sa longue jupe de drap clair, fit place à Gaston tout à côté de son fauteuil, sur une chaise, dans le coin du salon où elle s'était installée. Aussitôt, ce fut entre eux une conversation, vivo et animée, de gens qui se découvrent des amis communs et s'aperçoivent tout à coup qu'ils appartiennent au même monde, qu'ils sont du « même bateau ». Leurs affinités de mondains se rencontraient et se complaisaiont ensemble. Les noms, les anecdotes, les allusions à des personnes inconnues des autres assistants, les isolaient tous deux comme derrière une invisible barrière, et ils semblaient décidés à prolonger indéfiniment ce thème fermé au reste de la société, sans s'inquiéter ni des Klein, ni de Jean lui-même. La sérénité de leurs hôtes n'en fut.d'ailleurs, nullement troublée. Tandis que M. Klein, fatigué d'une journée de travail, s'endormit discrètement selon l'usage, Alice, au piano, jouait quelques morceaux brillants dont elle perlait les gammes avec un soin d'élève consciencieuse, et son frère Albert exécutait bien en mesure deux ou trois mélodies sur le violon. L'hypocrite souci de ne point faire de bruit pendant la musique fournit alors à Geneviève et à Gaston un excellent prétexte pour baisser la voix, et bientôt il n'y eut plus dans leur coin qu'un chuchotement coupé de petits rires étouffés. Dans l'esprit de Jean, pondant que, silencieux, à côté de Mme Klein, il paraissait écouter la musique avec une attention profonde, tout un travail s'opérait, — un travail d'éclaircissement. Il est toujours blessant de se voir mis i« côté avec autant de désinvolture. at»rès avoir été distingué, ne fût-ce qu'un instant. Jean n'eût été ni homme, ni jeune homme, ni Alsacien, s'il n'eût Senti une tumultueuse indignation bouillonner en lui, si le dépit et la colère n'avaient un moment rougi son front. Ce fut le raidissement même de son amour-propre, la volonté de ne point laisser voir son mécontentement, l'orgueil de paraître indifférent qui le fit tout d'abord se maîtriser, d'un puissant effort. Très calme en apparence, il alla s'asseoir près de Mme KÏein. Un interminable morceau, qu'Alice venait d'attaquer, lui permit do garder quelque temps le silence. La colère, chez lui, violente et sanguine, n'était jamais de longue durée. Toujours une réaction la suivait, une détente où la situation lui apparaissait sous un angle différent. Bientôt, en effet, à mesure que s'apaisait l'orage intérieur, Mercky se sentait regagné par la défiance dont il s'était cuirassé au moment de revoir Geneviève tout à l'heure. Les réflexions faites précédemment lui revenaient plus nettes, plus affirmatives ; il les résumait avec la claire lucidité d'un esprit subitement dégrisé, et la scène actuelle lui apparaissait comme la lumineuse sanction de ses craintes. Aussi une impression d'allégement lé gagnaitelle, la satisfaction d'avoir échappé à un grand danger, la joie d'avoir sauvegardé sa liberté, de n'avoir point engagé son cœur plus avant dans une aventure qui l'eût douloureusement meurtri. Il avait la sensation vague d'avoir côtoyé un précipice, d'avoir eu un instant de vertige, et de se retrouver en lieu sûr d'une façon définitive. Maintenant, c'est d'un œil narquois qu'il suivait le manège de Geneviève, et les deux musiciens.' sans doute au bout de leur répertoire, ayant quitté lo piano, Jean, dans la conversation qui suivit, se montra plein de verve et d'entrain, d'une gaieté allègre et jeune que les Klein ne lui connaissaient guère Môme, dans un besoin d'expansion et d'exubérance, il offrit lui-même de chanter, et, de sa belle voix dô baryton, dit avec chaleur « les Sapins » de Pierre Dupont, puis une enthousiaste chanson en dialecte, des frères Matthis : « Min Elsass (Mon Alsace). Geneviève, étonnée, gagnée par cette voix émouvante, par cette réelle science de diction, avait interrompu sa causerie, et, muette, écoutait. — Vous avez donc tous les talents, monsieur ? fit-elle gracieusement, quand il eut fini. Je n'avais jamais entendu chanter ainsi « les Sapins ». Il s'inclina, souriant : — C'est peut-être, mademoiselle, que je suis un frère cadet et très infime de Pierre Dupont. Encore un enraciné comme moi, voyez-vous, ce qui ne l'a pas empêché de faire de belles choses. Geneviève comprit-elle la transformation qui venait de s'opérer chez Jeun ? Devina-t-elle que ■ cet épouseur un instant convoité lui échappait déliinitivement ? Eut-elle alors un peu de regret de l'avoir sacrifié avec autant de désinvolture et vou- écarter ainsi dans leur propre maisoij, furent mêlés tant bien que mal à l'entretien. Et Jean, avec sa liberté d'esprit et d-5 cœur reconquise, se montra ce soir-là d'une verve étourdissante, d'une gaieté frondeuse te de bon aloi qui gagna par son entrain le reste de la société. On se sépara très tard, chacun enchanté des autres et surtout'de soi-même, — ce qui est en somme le dernier mot de i'arnusement mondain. . XXII — Ah 1 l'admirable créature ! Ils étaient à peine sur la petite. rout«^ la porte de la maison Klein refermée der] rière eux, que cette exclamation échappait à Gaston. — Oui, fit Jean gaiement, j'ai cru. remarj quer qu'elle ne te déplaisait pas. — Mais mon cher, une femme commi j celle-là, on voudrait passer sa vie à la peindre ! i j — Tu es plutôt platonique ! répliqua Jean. — Dis-moi, ce docteur Beyer, quel homme est-ce ? — Un homme aimable qui ressemble à Napoléon III et qui collectionne les vieux meubles alsaciens. — Riche ? — On 'lassure, et sa maison en m ftA* der la porte ouverte de son côté ? Peut* être aussi eut-elle quelque remords de lui parenoe, —- Mon père doit le connaître... Je vais .avoir si visiblement préféré son ami, ou encore quelque dépit de le voir si peu lui écrire. Sais-tu si l'on a des part», I sensible à ce coup, et le désir de le piquer en vue ? — Je l'ignore absolument par des coquetteries nouvelles. — Au fait, mon cher Jean, si je tn'enph, Quoi qu'il en soit, elft; décida tout à ais dans cette voie... je ne marchera» 'coup de l'admettre en tiers dans sa causerie avec Gaston, et le flirt fut dès lors en pas sur tes brisées, au moins ? Mercky répondit avec élan : partie double. Il le resta même lorsque les Klein, que l'on ne pouvait décemment. * ' (4 «a* ■ 1~~B~BP1MII«IIMIII.MIW~™~^~«—1 ETAT Spectacles & Concerts BONNE NOUVELLE, C'est le vendredi 20 juin qu'aura lieu la réouvertare du Cinéma-Théâtre de la salle Deglin, avec un programme sensationnel et hora-de pair, parmi lequel figureront «Le fabuleux combat Bombardier-Wells-Ca s-pemtier », qui vient d'avoir lieu H l'Exposition. de G and et célébré par la, presse de tous les pays comme le plus émouvant de l'histoire sportive. « Le Baiser rouge », l'action la plus dramatique, tirée de la guerre turco-bulgare, etc., etc. . Malgré les sacrifices consentis pour le film Carpentier le prix des places ne sera pas augmenté. . . Vendredi 20, soirée ; samedi 21, soirée ; dimanche 22, matinée et soirée. UNE CINÉ-PALACE. - Programme du 17 au 10 juin : L'Automne d'une Frmm<\ grand drame ; d'autres drames, et des comiques et des voyages comme on n'en voit qu'au CINE-PALACE. Frairheur exquise au CINE-PALACE. , Tous les soirs, de 8 h. 3/4 à. 11 h. |, dans le jardin du Café de la Rotonde, en plein air.Dégustation des bières de Champigneulles. Entrée gratuite. CINEMA ROTONDE. CASINO. Tournée Kartal. — Le succès de la mort d'He-rlock-Sholmès est tel que l'imprésario Kartal d'accord avec la direction du Casino, a décidé de donner quatre représentations supplémentaires avant son départ pour BruxeUés. Irrévocablement jeudi, vendredi, samedi et dimanche en matinée et soirée, cinq demie■tes représentations. BRASSERIE WAGNER. Cinéma gratuit tous les jours en matinée. Samedi et dimanche, matinée et soirée. Bie M1CMAUT. — Cinéma avec orchestre. Goûter aux enfants. " Décès j j | i j j Marianne VariUUard, 78 ans, religieuse, rue u Montef, 87. — Loois-Fr»n<;ois.Tachet, u-i j a ns, rentier d Monthureux-sur-.Saone (vos- i >' . \ _ j epi, Cnlire, 57 ans, journaliei, ont.es 0S fc Un du Crosne, SI. - François-Eugène Coulh i 59 ans sans profession, rue des Quatre- , j •alises, 56. — Chrétien Bollinger, '8 ans, jouraller, rue Foller, 1. — Lucie-Marguerite Darien, 3 mois 20 jours, rue de ) Equitation, 1D. - - Catherine Colin, 73 ans, sans profession, pouse Simon, h Orquevaux (Haute-Marne). e - Jeanne Erard, 22 ans, ménagère, épouse j 'runiaux, à Tomblaine (M.-et-M.). — Maner .ouise-ï.ucia Beninger, 1 an 11 mois,faubourg j Saint-Georges. 92. - Cellna Petit -66 ans, cult ivatricc, épouse Cucnin, à Wiileroncouit | Meuse).' , 1 mort-ne. ■ & leuii immédiat ™H™ ÎHagasks Réunis 1 , AVIS MORTUAIRE Les personnes qui par erreur ou omission l'auraient pas reçu de billet de faire-part ont priées do considérer le présent avis omme une invitation. Vous êtes prié d'assister aux convoi funè| n e, service et cnterremeiii, oc * J Madame Veuve Adrien BARBE Née CHAMPEIL, c lécédée, munie des sacrements de l'Eglise, 1 e 16 juin 1913. dans sa 5-4° année.en son doi nicile, à Saint-Cyr-l'Eeole (Seiife-et-Oise) ; Oui se feront le vehdredi 20 courant, à ( uize heures très précises, en l'église Saint^éon, de Nancy. ( 3n se réunira à la gare à-dix Heures trois quarts. De Profundas ! De la part du docteur René BOURGUIGNON, médecin aide-major de première : lasse à l'Ecole spéciale militaire de Saint^yr, et de Madame René BOURGUIGNON, : ses enfants ; De Monsieur et Madame- Paul DESSIRIER, à Vierzon (Cher), ses'beau-frère et sœur ; De Madame veuve Jules ALGAN et Madane veuve Armand LE COZ, ses belles3UH,rs ; Bte ilonsieiar et Madame VICIER, ses on, :1e et tante ; De Monsieuiet Madame Paul RINTELEN et leur fille ; Monsieur Jean LE COZ, ses neveux et nièces ; De Monsieur et Madame Laurent TRON'"HE. et leurs enfants ; Mesdemoiselles Marie et Louise VICIER, ses cousins, cousinés, petits-cousins et petites-cousines ; Oes familles CUNY, DEMANG6, LAPREVOTE. L'inhumation aura lieu au cimetière de \ PrévUle. J E ©EN-THEATRE, CINÉMATOGRAPHE PATHÉ. — La salle de la rue Bénit a suhi des transformations, des embellissements qui flatteront certainement le goût du public nancéien. Le peintre Rame! a tait œuvre d'artiste en décorant avec un rare talent l'Eden-Théàtre. La réouverture de rétablissement aura lieu vendredi prochain avec un programme" où figurent de sensationnelles créations. Notons la « Calomnie », une étude sociale en deux pa rties, qui produira sur les ftVJâ MORTUAIRE spectateurs une irrésistible impression. j Une autre scène, dramatique, « Rosa Bell Les personnes qui, par erreur ou omisla détective », ajoute un film très curieux sion, n'auraient pas reçu rie lettre de faireà la collection des romans policiers. Mais les vues comiques plairont beau- part du décès do coup, à cause du choix judicieux qu'en a Mon s ici r Nicoias-Hugène DîOT su faire la direction de l'Eden-Théâtie : Ancien rccereur municipal de la ville Bôireau, danseur de corde, l'Attaque de de Nancg, l'Auto 61 M, les Maçons s'amusent, Pénard escamoteur, le Cottage hanté, etc...., décédé à Nancy, le .17 juin 1913, dans sa sont autant de pièces qui obtiendront un 86e année, muni des sacremertîs de l'Eglivif succès. se, sont priées d'excuser la ramille et de Pour les voyageurs... en chambre, c'est considérer le présent avis comme une inviune excellente occasion de visiter Troû- tation à assister aux convoi funèbre, .serville, de se promener en imagination sur vice et enterrement, qui-.auront lieu -le venla-célèbre plage de Normandie, et de par- ! dredi 20 courant, à dix heures du matin, en tir-ensihte pour la Suède, ce pays si ri- I la basilique Saint-Epvre, sa>paroisse, et de ch'e en curiosités naturelles. là au cimetière de Prôville,'où se fera l'in.Ce-serv, dans un cadre de charme et de hmnation. fraîcheur, un spectacle digne des réou- On se réunira à Végjise, où le corps sera vertures les plus sensationnelles. déposé. j REPRESENTATIONS. — Vendredi, sa- ____ ^. j |||ta|||||| medi et dimanche en soirée (matinée le dimanche). REMERCIEMENTS j Musique Militaire Madame LAUGEL et sa famille remerPARC SAINTE-MARIE. — Musique du cient bien sincèrement toutes les person37° régiment d'infanterie (chef : M. Fran- nes qui leur ont témoigné de la sympabry). — Programme du concert du jeudi thie à l'occasion du décès de 19 juin, de 20 heures 15 à 21 heures 30 : Monsieur Georges LAUGEL 1. Jubilé impérial, marche (Mathvs). — | 2. Burchart de Gommes, fantaisie" (G-uil- I lemeint). — 3. Symphonie fantastique, Un REMERCIEMENTS bal (Berlioz). — 4. La chanson des nids, pouTi deux clarinettes (Buot). — ST. La Les familles LEFEVRE, MEYER, BREMarche héroïque (Saint-Saëns). — 6. F*è- TON, HEUBY, ÂRNOULD, GOUVENOT, res joyeux, valse (Vallstedt). VIELLE, MATHIEU et JACQUEMIN remercient bien sincèrement les personnes —, 0 ^—« qui leur ont témoigné de la sympathie à l'occasion du décès de i ras CPORTS CYCLISME Le concours de cyclisme militaire organisé par la maison des Pneumatiques Wolber, a fait dimanche dernier ses heureux débuts dans les Ardennes. Comme une épreuve analogue doit avoir lieu à Nancy le dimanche Zl juillet prochain, nous avons jugé utile un compterendu de cette première épreuve doni le succès, hàtons-nous de le dire, futTdes plus vifs. Le concours d'estafettes militaires (Ardennes) a été disputé dans la région de Charleville. Le tir au stand de Montcv-Saint-Pierre n'élimina que huit concurrents sur 36. (Le minimum de balles à mettre en cible était de deux seulement). Puis les estafettes, munies de cartes d'état-major, se rendirent à Fumay en passant par trois contrôles situés dans les localités désignées par des plis. Sur-28 partants, 26 terminèrent dans les délais réglementaires. La course cycliste eut lieu ensuite. Itinéraire : Fumay-Charleville, par RocrOy. Les-26 concurrents, cette fois, se classèrent. MM. Lelong, chef délégué sportif de l'U. V.^F. et Le Guillou, représentant la maison Wolber, Sudre, chef consul, Deaux, sous-délégué, suivirent et contrôlèrent la' course. Les deux première arrivèrent à Charleville (entrée du boulevard Gambetta), où ils descendirent de machine pour terminer à*pied le parcours, soit 1.500 mètres en.viron, en poussant à la main leur bicyclette. '■fPlusieura centaines de personnes acclamèrent les vainqueurs de cette épreuve. iVoici les résultats ; 1er Scheit ; 2° Borca, à trois mètres. ^Classement (tir) : 1er Borca, 24 points ; 2"%Pierrard, ,24 points ; 3* Mouze, Jean, 22* points ,;, (cyclisme)- : 1er Scheit, sur pneus WolbeT.;>ii2*wBorca, sur pneus Wolber ; » 5 QufnarcL ^Classement général M™ Borca. iPanni les officiels, on nota la présence de» MM. Pesron, directeur de la grande noarque» WoblerS; Lelong, Le Guillou, rejmséïfâtrtant pour l'Est des établissements SSoIber, etc. ■yNous..sommes certain que ce succès sera dépassé?;-à^Nançy, Jer27-*juillet dans notre Madame Emélie LEFÈVRE NÉS ARNOULD GROUPES et SOCIETES Société de géographie de l'Est. - La Société de géographie de Barcelone organise un congrès de géographie qui s'ouvrira le 10 novembre prochain. Les personnes désireuses d'assister aux séances de cette session et aux excursions qui seront organisées à son occasion, pourront trouver tous les renseignements utiles au secrétariat-de la Société de géographie de Nancy. Club Alpin Français. -- Excursion du dimanche 22 juin. — Rendez-vous à la gare de Nancy, à 6 heures du matin ; départ a 6 h. 22 pour Raon-sur-Plaine ; à pied au Donon et au lac de La Maix • retour à Nancy à 22 h. 03. Groupe esnerantiste. — Vendredi 20 juin, à 8 heures 1/2 du soir, réunion de quinzaine, Chambre de commerce, 40, rue Gambetta. Anciens élèves de l:Ecole supérieure. — Une réunion des anciens élèves de l'Ecole supérieure aura lieu au café de la Bourse (salle réservée), vendredi 20 juin, à huit heures twns quarts du soir, pour arrêter définitivement l'itinéraire du voyage qui doit avoir lieu cette année, du samedi p» au jeudi soir 17 juillet. Deux itinéraires sont proposés : Premier itinéraire. — 1. Nancy départ a 4 heures 19 : Zurich. — II. Zurich — Coure — Thusis, — La Via Mala — SaintMoritz. — m. Sa.Lnt-Moritz-.~- Pontresina — Glacier du-Mortcrasch —- Saint-Moritz — IV. Saint-Moritz -- Bernina — Alpe *Grunn. — Tirano — Bellaggio — Luguno — V. Lugamo — Luino —■ Pallanza — lies Borromées — Stresa. — V. Stresa départ..à 7 heures. — Brigue, Berne, arrivée a 12 heures, départ-à 3 heures. — DelleBelfort — Nancy, arrivée à 22 heures 48. . Deuxième itinéraire. — I. Nancy, départ a-&heures 22 — Baden-Baden il Carlsmhe — Haidelberg. — m. Francfort. — IV. Mayeuce— Voyage sur le Rhin — BusseMorf1—"V. Dûsseldorf -- Cologne — a VI. Coiogn».-- Trêves — Nancy. Prière ^instante aux camarades excursionnistes de se faire inscrire sans plus de-délai pour vendredi soir, 20 juin. Les adhésâons%ont- reçues par" M. Petit directeur de l'Ecole supérieure, et Richalet, trésorier-de l'Association, 97, rue de Mon-Déser* Violon. — Mercredi matin, à 8 heures et» n demie, les agents Vicq et Guérard ont dé«Je no me rappelle de-risn,» posé au violon municipafl un nommé Cotixn U habitait en dernier à Nancy , LT ïsaac, 63 ans, journalier, de passage à di de prison, B fr, d amende -' «J jouf, Pont-à-Mousson, qui, éla.nt en état, d'ivre-J „ T,^ /°LET Henri' né à LunéviUe ^ <n se et la ligure couverte de suie, rassem- a a quitte ses parents pour il frn blait les passants sur la place Duroc. fc * fois et est venu se faire arrêter^mns^ U est difficile, en matière de vandalisme, ' v Un peu de repos lui fera sans doute du gabondage. g I Cet enfant à déjà *d'étayer une incrimination solide, surtout COîn d devant le même tribunaL Pam lorsqueT'on ne possède aucun témoignage. bien. PAGMY-SUR MOSELLE M* Guilion défenseur. D'un autre côté, il est non moins pénible /MONDtSSfMEfIT DE NANCY Plantations in«eru!ices. — Un incendie Ce tribunal lui donne-1 mnu J do se voir dans l'obligation de réfuter d dont la, cause est inconnue s'est déclarée s< son. **—"s oa uHAMPIGNCUÏ-LES une \ accusation si elle vient intempestiveJ Ooups et blessures.— Mardi, à 8 lreures, ,ment vous imputer un délit que vous n'a- doua des plantations de sapins, situées ii ifinsnaissEMEKT. OE.anrÈmiE au lieu dit «datPriullée ». Vingt ares apvez pas commis , . . p partenant à M. Alfred Brichèn et qua(J Incriminer est très facile ; prouver, c est £ Mort au café.—*Un.»ou rante ares appartenant à Mme veuve Thiéune autre affaire. h M. Léon Doucin, STans? né^L^^H * ■ Le "garde y vit le nommé Coster Auguste, I ' SAINT-tilCQLAS ! baut ont été ravagés. 11 Le préjudice causé est évalué à 450 fr. mort âgé de 30 ans, demeurant à Chanipigneul- j l'autre soir, en prenantW^ es* a Libéralité. — A l'occasion du mariage ^ a les, lequel frappait brutalement à coups de sa fille, avec M. Robert Deybach, doc- Mme Thiébaut seule est assurée. 1< avec ses camarades,.,an^fé vGjnuWVeri« d'Alsace. »uuot, NOMENY à j pied et de poing le nommé Dell Pierre, j de g( ans, demeurant également à Champi- teur en droit, avoué près le tribunal civil Vandalisme. — Des inconnus ont frac- > 32 de Saint-Dié, Mme veuve Jules Duval a ^ ti.u'é la porte de la prise d'eau alimentant » Le garde consiaia que Dell portait au remis à M. le maire de Saint-Nicolas, pour j, la ville de Norn-ny. Déjà en hiver cette " le bureau de bienfaisance, la somme de ' porte avait été brisée et la pompe déte* cent francs. ,. riorée. | Procès-verbal, a été dressé ii Coster AuFROUARD ffuste pour coups et blessures. ÀIWOtWiSSEtJIENT DE TOUL B Vandalisme. — Dams la nuit, les lavoirs Grande Liqueur Je Cogna* FROUARD publics ont été abîmés par des individus TOUL 1 Créée a la Cour de François Pour l'aviation. — Une-quête faite par(pie l'on croit être les mêmes qui ont arA propos d'un accident. — M. Vannier E mi la population de notre ville par un n it i U n M SAI? r nous écrit : | raché les boîtes aux lettres. a agent de police, a produit-la jolie somme " TJ L'enquête concernant les boites aux let» M. Vannier employé^ l'entrepôt de la "il \UITY n é"oc"â" t r'"" ' de d 236 francs. tres se poursuit, et, qui sait, elle pourra ïbrasserie la Champenoise, conduisait une Si l'on se rappelle que le conseil munici- foire d'une pici re deux coups. vvoiture attelée d'un cheval se dirigeant V e pal, sous ta présidence de son sympathi! DIEULOUARD ^vers Mont-le-Vignoble, lorsque -lo cheval • Vol d'échalas.- Mme Lhommé wl Ste que maire, M. RoILin, dans une de ses journalière à Crévic, s'apercevait n » s'arrêta, refusant d'avancer. ' Accident.— M. Souly Constant, camion- I y séances, a voté une somme de 100 francs, ^ quinzaine do jours, qu'on bu * M. Vannier descendit de son- siège pour 1 une : neur à l'usine Gouvy, a fait une chute et , la commune met à la disposition du com ile faire avancer, celui-ci envoya une rua- j enlevé quatre tas de 50 « paisseamT» ^ té t nommé à cet effet la somme de 336 s'est cassé la jambe ; il a été aussitôt di- de. Atteint à la jambe gauciie, Vannier 1 *cun, qui étaient rassemblés dans sa „• rigé sur l'hôpital de Nancy. j francs. f 1 au lieu dit le Haut-du-Mont, à troisb kf?' Arrestation. — Mercredi matin, les <ren- *fut transporté sur sa voiture par un cy- mètres La population, toute patriotique, ne reste 1 do Crévic. ^tocliste, M. Petit, de Toul, qui passait à ce darmes François et David, de la brigade do , donc pas en arrière des autres commu' moment. Le docteur Dupont fut appelé et , C'est le deuxième vol semblable A Pont-à-Mousson, ont conduit au parquet do nes. nnt 0t constata une fracture compliquée. *Mme Lhomme est victime depuis trois »n Fête patronale. — Dimanche prochain ' Nancy un nommé Hoermann Eugène, 26 1 M. Vannier adresse à M. Petit ses meilUn individu, Ch. 0_ qu'elle soup^oS* , 22 juin, aura lieu la fête patronale durant ans, ouvrier d'usine à Dieulouard, qui s'est leurs c reinerciements pour les premiers oppose des dénégations formelles. Vïonn6» opposé à l'arrestation d'un pupille de l'as- | jtrois jours et le 29 suivant le relève-selle. sistance publique qu'ils avaient mission de soins qu'il a bien voulu lui donner. » B 0 NTj Elle promet d'être brillante à en juger par j nombre toujours croissant de deman- ramener à Nancy. Tribunal correctionnel. — Audience du , Le chien et la casserole.— M Félrl T le vaux, brigadier des douanes en retraite Hoermann a outragé les gendarmes, puis r mercredi 18 juin 1913. Président 4 M. Max, des qui parviennent à M. Bidu, premier < ,un chien auquel, probablement, on .î t importantes fonc- s'est élancé sur eux et leur a porté des tin. jadjoint, chargé des puisque l'autre jour on lui attaché coups de poing et do pied. Il a mordu égaleVeta Joseph, 40 ans, né à Strasbourg, veut, , "Itions d'organisateur. Par son intelligence et sa haute com- ment à la main le garde champêtre Drau, «sans domicile, manœuvre, est rentré en june casserole au bout de la queue et n» France, malgré un arrêté d'expulsion pris le frappait au passage à coups de bâton I 1pétence dans ces sortes d'affaires, la fête qui accompagnait les gendarmes. £ Il 6'est vanté qu'il passerait la frontière contre lui le 26 juilet 1912. — 2 mois de > Furieux et craignant que son chien nv, ' promet de surpasser eelle des années pré1 prison. trape la rage ave epareil traitement M après les avoir frappés. I *cédentes. PONT-A-MOUSSON — Saffrey Lucien, né à Paris en 1896, Lavaux a déclanché le ressort judiciaire Il est secondé, du reste par les agents ' Plainte. —Mardi, M. Maury, marchand «est un jeune rôdeur, qui s'est l'ait arrêter à DAMELEVIÉRCC de ville, qui font respecter les règlements \I Coups et blessures. — Les nommés Emik do journaux et débitant rue Victor-Hugo, 'Toul ■ pour vagabondage. Il est,.sans.,-paet les ordres ireçus. 1 Durupt, 34 ans, charpentier, et Aucust» Si le beau temps-s'en mêle, il y aura est allé porter plainte contre le nommé Pa- rents et sans domicile. Welsch, 28 ans, manœuvre, vivent à la mê risot Constant, âgé de 27 ans, ouvrier d'u<( Je ne me plais nule palrt ». lieu d'être satisfait. -sine, demeurant place du Paradis, 12, quiM8 Guillaume, défenseur. — 1 mois de mo cantine Steyert, à Damelevières Le premier était endormi, dans la'nuit . Les attelages do chiens. — L'agent de venait de le frapper do plusieurs coups de 1prison. police B... a dressé procès-verbal à un poing dans la figure, alors qu'il distribuait — Bajolet et Saffrey, déjà cités plus \du 13 au 14, quand, soudain, il se réveil] i couple de nomades qui conduisait line ses journaux rue de la Poterne. ) haut et condamnés pour vagabondage, 1sous les coups que lui portait le second 'charrette à laquelle étaient attelés deux M. Maury avait l'oeil poché et portait une •comparaissent 1 pour s'être totroduitJS dans avec un instrument contondant. Welsch chiens. La compagnie du triste individu, légère blessure au-dessus de l'œil. iun bateau. Dans la cabine, ces jeunes vo- s'enfuit alors. Plainte a été déposée a là insulta la police qui dressa procès-verbal Procès-verbal a été dressé. 1leurs prirent des vêtements, un rasoir et gendarmerie eontre lui. pour ce dernier motif et pour infraction Vol. — Vendredi dernier, Mlle Lucie <divers objets. Ils brisèrent la -porte pour I à un récent arrêté préfectoral interdi- Fuchs, 18 ans, bonne chez M. Simon, café- entrer. < MMC" Guillaume et Guilion, défenFAITES EXPEDIER A VOS AMIS sant l'attelage des chiens. 11 serait à sou- ticr, place Duroc, constatait la disparition ;seurs. — 8 mois de prison. haiter que tous' les agents fassent respec- d'une somme de 13 francs placée dans un le Posta! des Délices Lorraines — Schneider Eugène, né en 1887, à' Toul; ter l'arrêté en question. franco dans tonte la Francs contre mandat de 9,7s porte-monnaie qu'elle avait laissé dans sa Braulotte Victor, né" en avril 1886 ; BrauROSI ÉRES-AUX-SALI NES chambre. Dimanche, Mlle Simon constatait lotte ■ Charles ; Gougelin Léon-Louis, né en Procès-verbal. — La chaleur était suf- à son tour la disparition de son porte-mon- novembre '■ 1894, à Toul, tous quatre habi: focante, la femme Lemarquis, une bonne n aie, contenant 3 fr. 50, sans pouvoir pré- tant Toul, ont été surpris le 29 mai par le ,26, Ftu& Saint"Georges, 26 —KANGf igendarme Klein en flagrant délit de pêche Igrosse « rougeotte », et le nommé Lagar- ciser quel jour il lui avait été pris. 1 1de, tous deux domestiques à la ferme de En rapprochant ces deux vols, M. Simon dans MARCHE AUX VEAUX la Moselle. Ils péchaient à deux heula Crayère, écart de Rosières, avaient bu a porté ses soupçons sur un jeune homme res du matin. Gougelin faisait le guet. Us La Villette, mardi 17 juin. plus que do raison, ils allèrent cuver leur qui, vendredi dernier, était occupé cnez lui sont ' de plus poursuivis pour pêche avec Veaux amenés, 196 ; vendus, 160. engin prohibé. :vin sur le chemin de Saint-Urbain, mais à remplacer un compteur électrique. Vente difficUe, mêmes prix. Ses soupçons étaient justifiés, car en Braulotte Charles fait défaut. Les veaux do choix de Seine-et-Marne, .la femme Lemarquis avait oublié toute notion do pudeur, elle exhiba ce que la dé- ayant fait part à M. Marin, commissaire Les prévenus nient énergiquement les do l'Eure, de Seine-ct-Oise, d'Eure-et-Loir cense défend de montrer. Quant à Lagar- de police, celui-ci a fait procéder à une en- faits qui leur sont reprochés.Ils ont déjà été se sont vendus de 1,10 à 1,15 ; les chamde, il ne voyait rien, car il dormait à quête, de laquele il résulte que le voleur est condamnés plusieurs fois. Le tribunal con- penois, de 1 fr. à 1,10 ; les manceaux, de bien l'ouvrier en question, un nommé Fras- damne : Schneider, 400 fr. d'amende ; 90 c. à 1,05 ; les gournayeux, de 85 c. à poings fermés . Des passants charitables vinrent préve- netti Clément, âgé de 18 ans, demeurant à Braulotte Victor, 400 fr. d'amende ; Gouge- 1 f r. ; les caennais, de 85 à 95 o. nir l'agent Vautier, et nous ignorons s'il Pagny-sur-Mose.lle. lin, 50 fr. d'amende ; Braulotte Charles, 4-00 Frasnetti, qui a été arrêté par l'inspec- fr. d'amende. lit comme les enfants de Noé, car ceux-ci — Cher Siméon, né le 4 août 1874; Kirsch se voilèrent la face en pareille circonstan- teur Polet, à^a gare, au moment où il se disposait à prendre le traiin de 6 h. 33 pour Louise-Hélène, née à Chamanilley, près LA REINE 3SES BIERES L'agcnt réveilla l'ivrognesse et lui ex- aler chez lui, a, en effet, été trouvé en pos- Wassy, habitant Foug, sont poursuivis mm—mm Qualité incomparable ■■■ „ pliqua que vu l'état dans lequel elle se session du porte-monnaie- de Mlle Simon, pour adultère. — 16 fr. d'amende. MALT D'ORGE et HOUBLON exctusiosmsitt, — Condolf. journalier, demeurant à trouvait, il lui dressait procès-verbal pour ainsi que de quelques petits objets- contenus garantie sur facture Ecrouves. Le 25 mai, Condolf a frappé viooutrages aux bonnes mœurs et un autre j dans lo porte-monnaie. l'eruieiitutioii uvee levure |>are Procès-verbal a été dressé. ïs lemment la femme Raison, aubergiste, et pour ivresse Quant à son compagnon," il 1 récolta un simple procès-verbal pour ivresArrestation. — Mardi, vers 6 heures du s'est servi d'une chaise pour frapper. se. « J'ai seulement donné un coup do pied soir, l'agent Vicq a arrêté, rue VictorL'orage. — Dans l'après-midi de mardi, Hugo, un individu, sujet allemand, qui à la femme Raison, parce qu'elle m'avait vers trois heures, un violent orage a écla- lui semblait être en état de vagabondage. donné un gifle. » La discussion prit naissance au tir foté sur Rosières et les environs. Les déchar- L'ayant emmené au commissariat, il a Par,ls, le 17 juin 1913. ges électriques furent formidables ; bien- été constaté qu'il s'agissait d'un nommé rain. La séance d'aujourd'hui est encore mau* Ms Guillaume, défenseur. Le prévenu a tôt une pluie abondante et bienfaisante se Schneider Jean, 27 ans, originaire de vaise. De nouvelles réalisations ont pesé mit à tomber. U y eut très peu de gréions. Lemberg (Lorraine allemande), condam- déjà été condamné. sur les cours, les places étrangères étant 30 francs d'amende. La foudre est tombée plusieurs fois sans né récemment par le tribunal correction— Gosse Eugène, marinier de passage, •également faibles. toutefois occasionner de dégâts, ni d'acci- nel de Briey à un mois de prison pour Le 3 % finit à 83,95. dents. U serait à souhaiter pour,nos ver- vagabondage et expulsé du territoire fran- né à Bouillon, eu 1879. Le 16 juin dernier, Rentes russes s'alourdissent encore : 5 gers que la pluie continuât à tomber pen- çais par arrêté de M. le préfet de Meur- près Foug, il heurta le bateau de M. 1906 101,90 4 1/2 % 1909, 98,55 ; Consolidé, dant 21 heures. the-et-Moselle. Schneider a déjà été plu- Haxion, puis, sur une observation, prit un 90,10 ; 3 % 1891, 72,40. revolver et tira dans la direction de FROLOIS i sieurs fois condamné à Metz et à Sarre- Haxion ; ce fut le charretier de Gosse qui Le Serbe- perd 1/2 point à 80 francs, et le Toujours les vandale s.— Nous avons re- bruck pour mendicité et violation de do- fut atteint à la main. — 20 jours de prison Turc 0,35 à 85. micile. laté la semaine dernière qu'un individu L'Argentin se tasse à 95,30 ; l'Extérieur» M. Marin, commissaire de police, a. fait avec sursis, 25 fr. d'amende. stupide et bien malfaisant on en convien— Tallemet, journalier à Gondreville, est est relativement bien tenue à 89,10. conduire cet individu à la gendarmerie, dra, avait sectionné à environ cinquante Banques et Etablissements de Crédit poursuivi pour ivresse, tapage injurieux et centimètres du sol, trente arbustes que chargée de son transfert au parquet de1 outrages au garde Oudot, de Gondreville. continuent à rétrograder : Banque de PaNancy. M. Camille Abraham, propriétaire à FroLe prévenu fait défaut. — (5 jours de pri- ris, 1698 ; Gi-édit Lyonnais, 1618. Plainte. — Mardi soir, Mme Sarrazin, son, 11 fr. et 5 fr. d'amende. lois, avait placés en pépinière, à l'extréI Chemins Français faibles : Lyon, 1250 ; demeurant au Haut-dc-Rieupt, est allée■ mité de son jardin. — Eugénie Larcher, femme Albert Geof- Nord, 1665. Enhardi par ce premier exploit, le van- porter plainte contre la femme Cornette-, froy, née à Trondes, et Albert Geofi'rov, né Chemins Espagnols également mal disdale qui doit être, entre parenthèses, un née Nourricier, qu'elle a surprise diman-• à Gironville, demeurant tous deux à Bôucq, poses : Nord-Espagne, 469 ; Saragosse, redoutable rancunier, trama dons son cer- che cueillant de la salade dans sa vigne. ont été surpris, près de Lagney, par les 400. Valeurs de traction et d'électricité alourveau un nouveau moyen de nuire à M. Lui ayant fait une observation à ce sujet,, gendarmas Kicin et Gérard colportant des elle s'est vu injurier et frapper par cettei vessies contenant de l'eau-dc-vie. M0 Ha- dies par des dégagements de positions : Abraham. Sans grand effort de méninges, l'indivi- femme. bert se présente pour Ies^contributions indi- Métropolitain, 608 ; Parisienne de DistriProcès-verbal a été dressé. bution, 625. rectes. du arriva à ses fins. Profitant de la fraîle Suez est stationnaire à, 5350. cheur d'un beau matin, il se dirigea vers Albert Geoffroy et sa femme, chacun 500 Suicide. — Décidément, la série noire, Valeurs cuprifères améliorées en clôtules pâtis et là, avec une ardeur qu'il n'au- continue à Pont-à-Mousson. Mercredi ma-. d'amende chacun, le mari 6 mois de prirait certes pas eue si on lui avait com- tin, vers 5 heures, le nommé Becker Jean-. son, aux doubles droits la jeune femme 5 re : Rio, 1797, Boléo, 760 ; Tharsis,' 177. Valeurs industrielles Russes perdent enmander de le faire, l'homme arracha, sur• Pierre, âgé de 45 ans, charretier, au ser-. jours de prison. une surface d'environ cinq ares, toutes lesi vice de M. Petitjean, marchand de bois, — M. Aimé Bonnet, à Foug, a assigné core d'importantes fractions : Briartsk, tiges d'un champ de pommes de terre. a été trouvé pendu dans le grenier du lo-. en dommages-intérêts pour diffamation, 521 ; Sosnowicc, 1138 ; Prowonik, 575 ; Informé de ce nouvel acte de vandalis- gement qu'il occupe rue du Quai, 15. la nommée Marie Grosdidier, femme Fa- Maltzoff, 1079. Mines d'or et diamantifères alourdies : me, M. Abraham avisa téléphoniquement M. Marin, commissaire de police, ac-. gard, née à Boucq et demeurant à Foug. la gendarmerie, qui accourut. Elle procéda, compagné de M. le docteur Barthélémy, MM" Grillon et Guillaume, défenseurs. Rand Mines, 164 ; Enst Rand, 67,50 ; De à l'interrogatoire de l'auteur soupçonné dei s'est rendu sur les lieux pour procéder'. -M fr. d'amende, 25 fr. de dommages-in- Beers, 525. Caoutchoutières en baisse,: Financière, térêts. ces méfaits répétés. Le propriétaire lésé■ aux constatations légales. est en effet en délicatesse de rapports avec: M. Becker était malade depuis un cer— Potier Jean, né en Alsace-Lorraine 12,3,50 ; Malacca, 163. un de ses anciens locataires ; aussi voit- tain temps et on suppose qu'il a mis fin, en 1871, était en état d'ivresse à Saintil en lui le coupable. Mais ce ne sont là, à ses jours pour échapper à ses souiïran-. Mansuy, quand l'agent Aubry intervint que des présomptions qui jusqu'à présent; cesPotier frappa l'agent et lui fît des menaces 1 LA OÊESSE BES BSÈBES n'ont pas trouvé-l'occasion de s'affirmer. II laisse une femme et cinq enfants. de mort. Il y a de plus délit d'outrages. Les faits se sont passés le 14 juin derSavoureuse, Saine et Oiqestive 0llJ^QlH^UrS Ravmond-Ferdinand-Jean-13apti»tc I.imourue du Ruisseau, 85. — Blanche-Louise s in, lillon, rue Boulay-de-la-Mcurthe, 4. — Henri( harles Tschinscliang, rue* Mac-Main», Zp. — , ucIe-Marie Jaumont, nié de Saverne, 1. —'ierre-Marcel-Jean Pique, rue Foller, 6. — inile-.Piles L'nulÎHer, rue des Qtoatre-Egllses, g 5, _ pjerre-Henri Vidémont, rue'de 1 Atrie, t. , THÉÂTRE MUNICIPAL. Tournée Brasseur. — Mardi 24 juin, d y aura fonte au théâtre, poer applaudir Brasseur dœns»La Part'du Feu. Spectacles : | Naissances Théâtres NOUVEAU CIBQUC PLÈGE. — Grand succès pour le ballet aérien des Sylphides ; les Sylvios acrobates d'un nouveau genre, lesnoueurs de cerceaux, les Chinois Inode, lesîkeyclistes Tourbillon, les écuyors et les éeuyères et des clowns Tonitoff et Seniert. Jeudi 19 juin, à trois heures, avant-dernière matinée. CIVIL 1 ^O^âï^^û^lO'HXâsls M E U RT HE-&-M0SELLE ; J 1 I IILA I FRANÇOISE)1 1 &.I J Louis DIXNEUF 8ière de Champigneulles B0LLETINJ1NAKCIER Bière Saisit-Il isolas 1 *•— ■ . .. . . iiiM^wi *xn*cile de l-'ayonue des Ternes, déclare que le ttBbteaanA, a refusé de le suivre et qu'il lui a rerrrtB une note dans laquelle il spécifiait ùro'i refun ait de «e rendre à T«u» Tribunaux «Ii Le lieutenant Mantrant a été condamné ài un an de prison, pour absence illégale. 1Il a été acquitté sur les autres chefs ci'ac< I! s'est pourvu en cassation. ' ' i î <**4 . ' I ■ 1 3 I | I j I I I I 1 I I I 1 si l si Pourquoi vous obstiner à porter un handage qui laisse glisser et grossir la hernie? Au début, elle était imperceptible, puis sous votre bandage défectueux, elle a pris des proportions inquiétantes. Un mauvais bandage aggrave votre mal. Vous vous eu êtes rendu compte et redoutant l'étranglement fatal, vous en avez acheté un autre. Vous espères un soulagement et vous n'avez éprouvé qu'une déception nouvelle. Dès lors vous n'avoz plus confiance et c'est logique-. A quoi bon faire en vain de nouvelles dépenses !... [SÉRIE B K 4 I ! Rébus n° DEiMTAIRE CABINET Su! il ai la boaclis ei des dents - Tramai II tsns QltM EXTRACTION SANS DOULEUR Appareils vulcanite, or, métal platine |f PRIX MODÉRÉS l|^Lf\ i * s ^ K S! | Ees acr-ia-wtj ot-iU^ttca qrfon fflboss vs oun fc;T Hfon:-..io û reporte, tîa lafOftaaUon 0!J du ï'ftf?iT!-c-^i Sii'iVio'.ols qr.o : ttâzrtdrra»ï(ii!tîJFî'.'feralt.! >îcR .«ei»t.-*N Ë'hi Eafig, bouBéetidd cHaleurâ, VéfllgSs, CWU&d-J|"", ««««ta, paipitatioas', angoissas, gaâtraigiôa, ûya»w r. > ■MMtteSi constipatioâs UoalôarsOt tuîtfalRidâ âi>M-,HV^TSCSÎ ainsi qiia les Variodà, ïi5JB0rreïd98 sm Ifihlébitos, sont prôveflliâ OU gttoriS CM ï'MiS&S'â mco Virgjnio*5ïv"lâhl* On n'a tju'ii ÛSmxpwm Bcittoor.noac6( W> ) ot l'cdrêssôr a : gfcc'.uit9|| KKyrdahL 20, rws de JUt liôchtfouecuht, é'uritM mpimvrecevoir franco la Mc-ci-tua esiiUeatlv» «agi-. ■ ¥.\m pages» ainsi qu'an petlttfÊhttfltiUonrecloH Ml sjOisièmo, qui parmottra cl'appnjciêï lù gôûtùo|î ■cloux du prodnlt. 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Sort de l'Aisne, se jette dans la Marne. refusé de repartir, explique le tfàtea*, parce que mes nombreuses plain. Z'R n'avaient pas encore reçu satisfaction. C'asî le mal de dos rjui à lui seul peut indiquer la ruine des reins. Sfi_ d'siileurs, dwpuis quelques mois, mon Le mal de dos, en réalité mal des reans «o-dètue refus d'obéissance... g p-;r.quoi aunaÎB-ja été à Toulon où j (vulg. rognons) est toujours un fâcheux ait „*tt0Bd «n conseil d'enquête qui, sans i présage. Les rhumatisants, goutteux ou at*|fW J noM*.**, ffaranUe, m'eût fait mettre i béants de graveile, qui ont lo sang ernpoiBIP j sonné par l'acide trique, diront tous en k'réforme , , je voulais le conseil de guerre afin d'é- j avoir souilèrt. Il peut seul indiquer la ruine progressive irier au grand jour les crimes du colonel j des reins, c'est-à-dire la marche du mortel rfîstria, . . « parce ftie je risque, jugez de la eiocé- j mal de Bright ou albuminurie chronique et La retourna. tfté di ma conviction. Je pose à l'autorité ij doitt le gohfl-emant du dessous des yeux,des Kiitairé cette simple question : Démon trez- ' chevilles est- déjà une période bien grave. Que tous ceux qui souffrent du mal de dos fao; que ce que je dis est faux ; je m'inclincH Mais l autorité redoute surtout cette agissent vite et avec persévérance : c'est le seul moyen de conjurer tout danger. wjsssante logique qui est en moi ! » Les Pilules Poster pour les Reins guéLe ofésident du conseil de guerre définit lien le caractère du lieutenant Montrant en rissent le mal de dos parce quelles toni- j Tient les reins et la vessie ; eWes dissolvent fui disant : a « feni' sur la i _ Vous n'acceptez jamais un ordre que et chassent l'acide urïque, dissi-pent Jets en- OT J^liîrrnŒaB-jgl ro femme du frère | jons bénéfice d'examen. Pourquoi donc flures et ont urne action resnarquabte sur ^^imËiiZjF^^ de l'architecte i tous les troubles urtn-aircs (mcom-tocrace, avez-vous préféré les armes à la toge ? e SI SI SI ^ Stamslas. envies fréquentes, etc...). HP Ducos de la H ai le, qui assiste le préVoici du reste un fait qui en rM plus long 1 venu, entracte alors la suite dos débats dans que toutes les théories : lg maquis de la procédure... Six prix seront tirés au sort parmi les ! Nancy, 35, avenue Marcel, M. L Piffert, puis ce fut le défilé êtes témoins. D'abord personnes qui auront envoyé le plus de | tm docteurs Gilbert Ballet, Vallon et Ray- nous dit : « Je souffrais beaucoup des rems solutions justes.Voici ces siï prix des qua- j <nd concilient tous à l'entière res- depuis de longues années. Les Pilules Pos- tro rébus de la série E. K. «BgfAiMté du lies mant. D'après eux, s'il ter (Nancy : pharmacie Menai frères) m'ont V prix : Un piastron d'cser lm». a fcs «pparern-es fen persécuté, Ces nnpa- rapidement guéri. » 2" prix : Un bibelot (fantaisie). Toutes pharmaeies (3 fr. 50 la boite, six lenoes ne suffisent pas h le Taire considérer 3* prix. : Un volume. i comme irresponsable. Son intelligence est J boites pour 19 fr.) ou franco par poste : 4e, 5*, 6° prix : Deux cartes artistique*. Spécialités Foster, H. Biiiac, pharmacien, en effet très lucide. Cependant, il est d'une (Chaque gagnant de deux cartes postaili ' 25, rue Saint- Fer'disaseewifeitité extrême et a tendance à tout les, n'aura qu'à nous adresser les noms ramener à soi. Mais il estjà juger et non à qu'il désire voir figurer sur ses cartes. ^s«g^lL dez bien et exigez les Celles-ci, dues à uns main artiste, constitrsAir. véritables Pilules Fos- tueront donc autant d'œuvres onginaias.) Le gênerai Gérard rapporte que le préveter; refusez ou faitesnu |J a dit : « Je suis prêt à reprendre mon ^*'tejFSï<^k vous rembourser tout service, mat,'-, seulement après que mes ré* Ont deviné le dernier rébus : £iytt___ auront abouti. » Flair d'artilleur — Deux petites sreurs — ie généra! Gautier explique qu'après un Sherlock Holmes — Kesfumoff. — Champau- j) (jtfîmer refus du n révenu de rejoindre son Notre brochure, édition médicale, sur les bert, — Gustave M — L'Écho lié de Cr.ampi- i rit-rraent, il a préféré, nnr bîenveiMaftcé lui j gneulles — Les deux manilleurs du Grand I! îdliger trente jours d'arrêts, plutôt crue do j! Reins et la Vessie, ainsi que les affections Jus — Le loufûuue du Bar — Gosié Secoue qui s'y rattachent, est envoyée gratis et traduire devaftrt le conseil de guerre. V. R. M. — J3 O Q P — La petite paresj franco à toute personne se recommandant — seuse — Le beulau de Milan — Les types du I de ce journal. Mans — Coro — Mage et Stick —- Poire de i ptonarge a auei oneren-ca iO prévenu a «on ] „ ._ ,r_ I ysûpsoî] Dépôt cm La iOQIITt LORRAINE d'ASSURANCES j — Je suisa SUR LA VIE, assujettie au contrôle de i ,sans reseources, et l'aul'Etat, demande : teur de MaInspecteur général pour diriger ses non. agences ; (vacance). Inspecteurs-producteurs, au courant des assurances sur la vie (emplois nouveaux). Chefs de service, pour dirigea' travail de bureau (emplois nouveaux). Tous ces emplois sont bien rétribués. Cautionnement ou apport exigé. A&roaser les demandes à M. MERCIER, administrateur-directeur, 21, rue SaintbiL ^..J^ancy- ~ Téléph. 1-27. , iaiMMlMMlMfcÉfc 300 Fauteuils à Bascule s s J AVIS *r*r j —iui m mâmâmm, MUlery — Comme te veux (c'était : plaida ifc^BatfrMf la cause, et non : la question) — Le père, T la mère, et les enfants — K K O lit — B. 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Depuis de. années en ç^fet U WfjMrr i to_» tes ministres qui se sent n» RnJm-nomfeùqus d-o p-a:..-;.;1 ; Sir/iettt apostiliees. w. sneaienant Montrant fut mis en non-. ijv'ité pour rai-sons de santé. Mais comme aiœ Partait foJt h'-n'on dut le rappeler au Lrv-k«e. ' Mallieu-i-eusemient ce fut dsns le i_i_W_* *° M- Lokmna d'Istria, devenu ^^jc<tf*-«oloiiol, que lo lieutenant fut ré; n etaît - 3 faâlt u r le pi-jt** ' P* " P° - , ^u_^^ "»'"™'mTO.i____B Nous nous permettons de vous dorrneir un conseil. Ceci ne vous engage à rien. Allez essayer gratuitement l'Appareil de M. Gîaser, le spécialiste bien connu. Vous pourrez ainsi vous convaincre facilement que ce tappareil sans ressorts, sans sous cuisse et sans caoutchouc peut se porter nuit et jour sans aucune gêne — qu'il immobilise instantanément les hernies les plus volumineuses et les plus rebelles. U vous sera démontré qu'une hernie radicalement maintenue disparaît en peu de temps. 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II. - Nomination d'un ou de plusieurs commissaires chargés de faire un rapport, à la deuxième Assemblée générale sur .les apports en natare faits a ift Société et les avantages particuliers stipu- ttX 1 x-L Le VENDREDI ÎS) JUIN 1913, à 2. heures du soir, Salle à manger vieux cnéne, lits acajou, noyer et fer, Ht pliâfit, Jitefiê, ftrrrioireê et buffets anciens, boite à horlotte, table ronde, ftble demi-luné, table Lorraine, coffret ancien, buffet êtWre, porte-habit dé Vestibule, écran, paravênt, table dé nuit,. toilette, fauteuil, cariapé, chaises, erédence, f^r S^SE. aS^Mf» «. J. THOMAS 4 "ffîliK, » SES?; ÉiS: prévient sa nombreuse ciien- dettes «OT'SK Salnt^ln^nt. - J W ^^'lS en mll'étude t Stosà K WLffiî „>tm C JN Tprt'^ïrt h 1 L. ^ ,r Les îreW^fafis pour r'irveInire à «a vente ••t.vabfca en sus du prix. î -~m-~. _______ * t anre S?S ™ ,i Q 12S / ft VOYAOE B PERDU r*^»*«A' saSS 1 »>^ %M«rP!^ ^.S" ^: -SSaSS nnMfâS — Mmn X ""»-»» , - -, LA AIÔR 'N, ^ "Faub " ■ »-~ I 1^ Vfllttl-lt EtÉlStl I|MI!È1B8 C'OOCSSiOO HOUILLE. che^^és^tfRo^îr rT^uT0fe« "4L ________ 197 !! 153.. 1 403 .. ■■ «.. Ï» •• wasu.. 102 2M5 •• ni '•• "âèo !• T O» 23 ? :: Aantles avec références par lettre aa bureau du îoùriuav initiales S 6 "1948- i r'Wr_____lt__nB_Btl_-i nous avons pratiqué les sports !... l'aviron, | seconde dans la ligne de tir et s'immobili. Mi, risqué, là tentative de toi exécutée \ tlllag-e complot de cambrioleur sur le fu-1 l'escrime, le tir... nous aussi, nous serions sait devant l'oail menaçante. , \ avec une audace inouïe, un toupet sons 1 vard, à portée de la main, et commença à ancien et démodé le fit sourire. capables de nous défendre... — Je tiendrais encore mon homme en égal, mais sans appareil terrifiant — Dons votre intérêt, lui dit-il, veuille»*! étudier le coffra-for. avant de l'attaquer. 11 songea alors à la lin tragique de d'Ory r- spect, dit-il, content de lui. vous débarrasser au plus vite de cet épott-i/; L'homme était seul. Il était très jeune, Le banquier se dit : et ne put s'empêcher do i'riâsoner. Il murvantail ou je me fâcherais sérieusement Il achevait à peine cette réflexion qu'il imberbe. A n'en pas douter, C'était ce Plan1 — Je vais faira un détour, gagr.er le saj mura '. eut la sensation positivé d'avoir entendu tin de la Butte-aux-Cailles, cet évadé du Ion, prévenir l'insp-Cteor, grâce au signal j Je n'aime pas le bruit. Je déteste les corn-, 1 D'Ory était un tireur hors ligne... une porte s'ouvrir dans l'appartement. Cherche-Midi dont les prouesses défrayaient convenu, puis je viendrai surprendre mon ] plicatiens inutiles. Votre arme est bonne. Lui seul parvenait à nous battre, d'Ermont Il sursauta. tout au plus pour épouvanter les moiv les journaux depuis plusieurs semaines. homme en flagrant-délit et je le tiendrai en et moi. Nous placions nos cartons de pro— Si Mme Mériel était ici, pensa-t-il, Le banquier s'étonna de n'éprouver au- respect sous ie douple canon do mes pisto- j fil !... Oh ! c'est étrange comme le senti- je jurerais que c'est elle qui rentre. Elle Urbain Mériel n'était pas aguerri concun frisson de crainte, d'angoisso, aucune Jpi* jusqu'à l'arrivée des renforts. ment de la sécurité s'infiltre en nous et et moi nous sommes en effet les seuls à tre l'eiéa des surprises sérieuses, il était émotion capable de l'influencer lorsqu'il Dans ce dessein, il se glissa par un cou1 nous ppusse à vivre, à cire-ster, & voyager prsséder la clef de l'appartement et c'est la Par Félix HAULNOI jugerait Opportun d'intervenir. C'est à pei- loir circulaire jusqu'aux cuisines d~où U ga- mal préparé aux rencontres armées, aux ! sous la protection des lois sans défense et porte d'entrée que l'on vient d'ouvrir. luttes ou les- escarmouches précèdent dèn ne si son cœur battait un pe-u plus vite que gna le vestibule. sans armes. Je suis sûr que lo soir où d'Ory quelques secondes à peine les corps à-, Une seconde porte trahit le passage fa- de coutume. Il essaya vainement d'attirer l'attention ! fut tué, il n'avait pas songé un seul instant milier d'un habitué de la maison passant corps et les attaques mortelles. Le calme U essaya ses pistolets, une dernière fols, j de l'agent distrait par sa surveilanlee mêiS^tait venu avec l'idée arrêtée d'établir j que. sa vie put être menacée, à moins qu'il d'une pièce dans une autre. 16 et fut surpris d:e son calme. Sa main était ma, et noua son mouchoir à l'appui de la la tranquillité de cet apache qui agissait.bilan fin. Jr«"J,jW, ;-.],-.. b avec un cynisme inouï, sous des traita.;, Le banquier frissonna. Un pressenti- plus sûre,plus ferme encore qu'aux premiers fenêtre . s ?<.'Ufilc '« pour fa rue dt ust .1.0 es dê I II en arriva à terminer ses réflexions par n -, ÇUU^iiuciJu.i.u\-_ ment lui donna la chaire de poule-. Les mis essais. — Dés qu'il lèvera les yeux, pensa-t-_, il d'enfant, l'impressionneront plus que des ' „*« , J1 prit dans un tiroir une. chemise cotte question pratique : aiguisés par une attention que décupLa„t la — Si je le veux, pensa-t-il, cet impru- est impossible qu'il ne vôlo pas à mon se- j menaces. Il n. sut que dire. Les mots s'édL «nnlonwl 1*^ le- ut df-v!«! pf iou l'Otl— Moi-même, si j'étais attaqué, .com- volonté de savoir, il essaya de percevoir le d'ont est un homme mort ! VritCarton * " Jiarno -»ti (ontonam -\i»-cours. Alions em-oêcher notre cambrioleur tranglèrent dans sa gorge. Son brus cevlJ Inoni (onV ént, la pensée obseaan.c «e j ment me défendrais-je '?... je n'ai pas d. bruit des pas, de los reconnaître, mais répendant était resté tendu, son arme braIl se pencha encore pour le revoir, l'ob- de dégrader mon'matériel. 8 toit t 1 "° '»nposa do nouveau à son es- revolver... je n'ai plus d'armes à feu !... quée. tro qui circulait chez lui évoluait avec des server, et na put se défendre d'une sorte S Cotte précaution prise, il se dirigea vers j <n . % 'a.mémo réllcxion pratique et juste Il corrigea cette erreur. semelles de lisière ou de caoutchouc. L' « Enfant » jugea cette indécision des ■ d'étonnement dntéressé, de surprl&e où se son cabinet de travail sans dlscNimuJcr le Mais si 1... Je dois avoir mes pistolets ^ _c a cette pensée. . .,, . Avec uno hâte fébrile, il fit basouter le mêlait presque do l'admiration. bruit de ses p;is et en ouvrit la porte toute plus favorables Son « Browning » était ft de tir, ces armes de précision que d'Ory canon de sas armes de précision, s'assura Détail surprenant, inouï, témoignant chea grande. aligne sur la table, a un mètre cinquante . *^_» Pierro*8 -f.P1!.3,' J~ ! T que chacun do ses pis-tolots était armé.puiis ce misérable d'une souplesse d'imagination Urbain Mériel était tellement persuadé a peine de sa main à la suite de ses 01Ï*-*cPablc8 de sV- déîen l'H- (- écarter"un danlevant te cbion jusqu'au deuxième crari, le unique, d'une adaptation géniale aux diffé- que l'inspecteur de service allait venir à rô Tlbri0lCUr H reC0UrS à & <lo tenir téte it des ''malfaiteurs acbar- I Aussitôt, sa mémoire complaisante lui doigt sur la gâchette, il attendit, ' ^ ^ rents milieux dans lesquels 11 opérait '. ce son secours dans quelques secondes à tim'dation rappela le coin secret où ces armes dor^fdaignent l'app.ti de la police ils Maintenant, c'était la porte, de son, cabiPlantin était sanglé dans l'uniforme bleu — Vous ne m'avez pas entendu ? fit-il peine qu'il borna son intervention à l'intiBel1 ItOBw , l'apporter à leur cou t âge maient oubliées dans leur éc-rin de velours. net qu'on ouvrait, et son cabinet de travail j de., roi des garçons de recette de la banque midation élémentaire do l'arme braquée d'une voix brève. Veuillez reposer votre em Il ouvrit le tiroir désigné, en retira la n'était séparé de la pièce où il se trouvait Mériel, il portait en bandoulière la sacoche NfvS V 's alités défensives et çomarme ?... Oui ?... Non ?... . p MD& ,'Tl °ur qui donc prennent-ils leurs lourde boite de cuir et les crosse, d'ébène, que par une porte de sapin et une tenture de cuir au chiffre de la maison, et bien en sur le délinquant avec sommation de ne Comme le banquier différait sa tépomq pas faire le moindre mouvement. cs! hrspr." ' certain qu'ils viennent de tra- les canons d'acier, les chiens relevés do fi- Il souleva la tàpi&serie de laine et appliqua t vue comme une décoration la plaque de cui— No bougez pas, ou vous êtes un hom- se, il bondit vers la table, étendit la maiti, ïoan-f unc Période dangereuse. Ils n'ont eu l'franes d'or, lui firent revivre quelques son «oit au trou de la serrure. vre de service. 1 saisit par la crosse son revolver à ballca me mort, cria-t-il. m» jUIÎCf; Qu'en eux-mômes, écartant, wn- imnressi ons'oubliées de sa jeunesse mili— Je ne m'étonne pas qu'un tel homme Le spectacle auquel il assista le -rassura Plantin essayait de découvrir la COTnbl- 1 blindées, ■ apau es I1S . ' effr.(.i-? ' i >" sculcmont d'un appui I tante." presque. Apre* Usé aventures -traïur** et ait pu se glisser jusqu'ici, murmura le bande la serrure à secret avant d'uiA .:>;;,-, ,) mZ, ' roais éneoro do conseils, tous les I Quelques cartouches aux doum.es de cui- sanglantes auxquelles les gens de son c-n- quier. Le cMicierge, sachant, que j'étais là, nalson H^PParlcnant aux générations T-féoé- vre verdegrisées étaient encore rangées au tourage s'étaient trouvés en butté, M s'é- n'aura même pas retourné la tête. Quant à ser des moyens violents. Comme s'il eût été persuadé à l'avnncs de l'inutilité do la tait attendu ù voir pénétrer chez' lui un l'agent, pour malin qu'il soit, la vue de ru^e, il tenait dans sa main gauche une n^jj^ss. les épaules et se leva, pris d'u- mal'ês deux pistolets et, les braquant sur apachô à la mine patibulaire, ou ou plu- l'uniforme l'aura rassuré prince-monseigneur dont il comptait so S____è_«ai___^ tà!!^ nerveuse, d'un btfiom de des ennemis imaginaires, s'amusa à viser sieurs bandits t^-nnanés, aux allures sua» { Pianiin avait posé sa sacoche et son bi-1 gervif Pa^is ta"d"r dans des directions différentes. L'arme, pectee, hfiql ; i éten tes. corne sur le bureau. Après avoir Jeté un H leva sur is banquier des yeux calmes. - .«aïs nous aussi, lit-il à mî--voa, [bien en main, se campait en moins d'une Rien de tout cola. No», c'était Patteitat < coup d'œil du côté de ïa rue, il étala un ou- i ! La vue du pistolet qu'il crut inoffensif, «OILLETON. DE L'EST REPUBLICAIN Ml__y ^^rps^fiat^t^;.^^ j S S isî 1 N v'* _l '. ". - •• " ••• •• _S S : "^ ■g? :- TTAm J:: l'amoiip rédempteur jjjjj 1 *' ,V^- st- —- R( dune ^ ^ EUNE FILLE, ayant br, "p| A m m UIATAQ 37, rue St-Georeés, O vets et ayant travaillé est demandé, avec oU .«ans. P, VANLARECK ^ JL*JLi^xJ.iH T fflblUn coin de la rue 1 dans bureau, demande place, j voiture. 10. rue- Généraï-Chevert, 10 63, rno des Quatre-Êgliscs Julien, près le Casino, Nancy. I S'adresser au journal, 2072. j S'adre6ser au journal, 1337. PHitlttirt appartements i louer ceu fond 4e la cour n„ur ifi.>®!fof prochain, somta boulangerie, à Bney. 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