Mardi 13 Janvier GIMQ 19C3 CENTIMES ^ ^^^^y^ RÉDACTION et ADMINISTRATION, 5!, RUE SAINT-OIZIER Troisième Edition — 4891 ^ ^ ^ ^ ^^^^ ^ SALLE D E |j Rédacteur en chef: LÉON ~BJF~ On estime qu'il ne devra pas attaquer les ESI RÉtllfillCiUM & ÎMI'IIIMEUIE COOPÉRATIVE DE L'EST rebelles, qui occupent des positions avantare Téléphone 331 La présence du prétendant est si___________ geuses. Ëc gnalée à trente milles au sud de Fez, avec une petite escorte. S Ul On croit qu'il a en vue d'amener le sultan à l'attaquer. Une mission a été envoyée dans le Ritï ZâJMiî°m£LLS af afin d'y chercher des renforts, mais son , : si succès est douteux. Il est inexact que les consuls étrangers Paris, 13 janvier, 4 h. '50 matin. aient quitté Fez. — Havas. M. COMBES ET LES C0NSRÉ6ftTI0NS LE CHEMIN DE FER DE DJIBOUTI Le Figaro prétend que M. Combes, pré- — ~Â~ADDIS-ABABA ; sident du conseil, ministre de l'intérieur et " se voir encadré dans les « Bulletins » de sul sociétés —«MM—mm 1 M. Berleaux cnumère ces cinq réformes que l'on connaît, et il conclut: I fêl qui s'édilenl continuellement, — ce» fêle „n somme* n'Iront pas aux jourmv DÉPÉCHES IMIWII Le Bureau de la Chambre « ou dans les « Programmes » de 0 ' ^ ™' cLLITdlla Vifil GOULETTE / Chronique de l'Est i « Le déficit se trouvait, malgré tout, de co 60 millions de francs. ILes délégués des groupes des gauches L'œuvre de la Commission a consisté à co ce déficit. Elle y est parvenue par n« naux. Elles sont d'ores et déjà portées avancées de la Chambre ont pris la décision combler que nous avions fait prévoir en ce qui con- des de économies et une revision attentive des en tjU dépense à son budget de réclame. cer cerne le renouvellement du bureau de la pr LE TEMPS QU'IL FAIT prévisions de receltes qui ne peut laisser Chambre. pf place a aucun mécompte. Le mauvais temps a persisté toute la Les délégués ont décidé qu'il y avait lieu Le plus grand effort a été fait par la com- je journée de lundi. Bien que les flocons m fSouvenles fois, même, ce négociant de aidée de ses rapporteurs, pour réa- se W maintenir le bureau tel qu'il était com- mission, soient demeurés lents et clairsemés, leur posé lors de la précédente session, sauf le lis User toutes les économies qui n'étaient pas tapis ta blanc a réussi à adhérer, çà et là, au voudra oblenir des journaux dont il est siè vo sièa'e de vice-président, devenu vacant par de de nature a entraver ou à gêner le fonction- se sol. Le thermomètre marquait seulement e suite de l'élection de M. Maurice Faure au ne nement des services publics, ni à diminuer 11° à midi. le client régulier, que ses annonces ||j Sénat, lequel serait attribué au groupe so- en en rien les forces du pays. Tous les minisDans la soirée de lundi, le temps s;est des cultes, en recevant hier la supérieure Le Journal se dit en mesure de confirmer soient soi aussi nombreuses, quoiqu'il les cia cialisle. Le groupe ayant déjà choisi M. tè tères ont, suivant l'importance des crédits éclairci é< et un froid relativement vif s'est d'une congrégation, lui aurait déclare que qv que Ménôlick assistera, sur le territoire' a Jaurès pour le représenter, la liste de la de dont ils disposent et la faculté de com près- îs paie moins cher. Il nous dira : ^ fait sentir dans la nuit. 11, dans deux ans, il était encore au pou- ffrançais, à l'inauguration du chemin de fer r majorité pour l'élection aux diverses fonc- sion si< de ces crédits, apporté leur part à Mardi, à quatre heures du malin, le thervoir, il ne resterait plus en France une seule q qui «Que voulez-vous? Je. ne puis payer tions uo V va de Djibouti à Addis-Ababa, sa capidu bureau sera la suivante : l'é l'économie totale réalisée qui n'a pas été in- m momètre étaildescenduà 4°1 p2 au dessous de congrégation, autorisée ou non. ta tale. , .'QU Président : M. Léon Bourgeois; vice-préfé ferieure à 37 millions 1[2 de francs, y comz( que tant. J'ai déjà fait d'autres frais de zéro, place Carnot, et à 4° sur la place du Il convient de remarquer, ajoute le FiLe négus viendra en grand apparat, fin i * sidents : MM. Eugône-Etienne-Edouard Loc- pris pr 4 millions de réduction sur les garan- Marché. M Sur le quai de la gare des voyaqàro, que suivant une autre information, ffévrier <s ou au commencement de mars. Il,pu publicité... On est sollicité de tous côtés... kn kroy, Jaurès et G-uillain ; questeurs : MM. ti< lies d'intérêt. geurs, il marquait —2% mais on sait qu'à on n'ignorerait pas dans les milieux luen se sera escorté par 6,000 hommes de troupes.1 pQ Gustave Rivet, Herbet et Pajol ; secrétaiPositivement. On est venu me demander gj La revision des chiffres inscrits par le cet et endroit le thermomètre est abrité. informés, que le président du conseil ne M. Doumergue, ministre des colonies, i res: MM. Surcouf, Couyba, Rouland, Fer- m ministre des finances aux recettes prévisionUn vent du Nord a souillé avec violence lient pas à conserver le pouvoir. On corn- d< doit, à bref délai, demander des crédits spé- de mellre quelque chose dans le « Bul- nm nîttd David, Dcvèze, Isnard et Cbambon. nc nelles de 1903 a donné un résultat appré- ti tsule la nut. mencerait môme à chuchoter qu'il a fixé la ciaux i pour les fêtes de Djibouti. Une force , , c ci; e Il a été reconnu que l'application yl11 a été, de plus, entendu que le premier ciabte. 14 janvier. — Lever, 7 h. 52; coucher date de sa disparition. ni navale, commandée par un contre-amiral, j lelin ornilhologique ». Je suis en affaires siège de vice-président qui deviendra vacant nc normale du nouveau régime fiscal des suc- 44 h. 27. Dernier quartier le 20. Ses intimes laisseraient entendre qu il n a y sera envoyée de Toulon. — Havas. i! avec av ces messieurs. Je n'ai pas pu refu- sera sei attribué au groupe radical socialiste, cessions ce à une année entière devait produiaccepte le pouvoir que pour régler la quesDépêche météorologique e" vertu du roulement établi. re une plus-value de recettes, par rapport à re NOUVELLES DIVERSES\' se scr. Faites-moi une concession. Vous en tion des congrégations et qu'il s'en ira A ce propos, on lit dans le Journal des ce 765 Brest, 717 Nice. Forte pression nordcelles de la pénultième année, de 16 milquand cette question aura été réglée. — HaM. Conslans, ambassadeur de France en 'faisiez fai passer mon annonce, une fois par Débats Dt : lie ouest Europe. Dépression Italie. lions de francs. Les résultats constatés en 01 vas. T Turquie, est reparti hier pour Constanli- ge l'J Probable : Vent modéré, nuageux, quelconfirment, d'ailleurs, et dépassent semaine, à cent sous, soit deux cent ^» Le bloc s'est préoccupé de l'élection du 1902 nople. ... bureau de la Chambre. Il s'agissait sim- celle ce averses de neige, temps froid, O-N-Q prévision que l'on peut porter au bud- (ques 1 FFA'R-: H:;;'W — Les électeurs de la 1" circonscription en cinquante francs pour l'année. Je ne plement, pic v entre frères et amis, de se parla- gc violent puy de Dôme. get en toute assurance. Le macliinatcur «le l'allalre di Valence (Drômc) sont appelés à élire, le de De même, le calcul des recettes des pospuis plus vous en offrir que deux cents...» ger un certain nombre de places. Mais le | UEclio de Paris prétend que l'instruc- 8 février, un député en remplacement de,1 . Les colis postaux partage soulevait, celle fois, deux difficul- te tes et télégraphes et des amendes de conM. Maurice Faure, élu sénateur. El il tient le même raisonnement à tés tion de l'affaire Humbert va prendre une M lés. Tout le monde était d'accord pour damnations d.' Plusieurs chambres de commerce ont donnait des résultats supérieurs, — M. Mascart a été élu hier membre du > ^ orientation nouvelle. On espère, dit-il, ar31 maintenir en fonctions le bureau sortant, reà l'administration des postes des respectivement de 2 millions et 1 million, à adressé conseil supérieur de l'instruction publique, ji deux ou Irois journaux, s'efforçanUd'ob- niais il a une lacune. Le siège de vice-prési- ce river à établir que toute l'affaire a été mon- ci réclamations concernant la suppression des ceux inscrits au budget : les recettes faites [' Mâcon. — Uu employé ambulant des pos- te tenir un rabais qui couvre les annonces de fée par l'ex-garde des sceaux, M. Gustave D dent, vacant depuis l'entrée de M. Maurice ai de sûreté avec inscriptions appliau litre des pensions civiles doivent, dans bandes nommé Rupin, a été arrêté pour dé- in Humbert. Sohfils, Frédéric Humberl, et sa tes, te Faure au Sénat, restait à attribuer. En vertu les le mêmes conditions, produire un demi- cquées aux colis postaux. Le sous-secrétariat l I insérées dans les publications spéciales. ^ belle-fille Thérèse n'auraient été que les tournements te de lettres, mandats et bons de de conventions arrêtées entre les groupes m million de plus. d des postes et télégraphes s'est ému de ces exécuteurs de la machination inventée par pi r En sorte que non seulement les jour- mi ministériels, les socialistes avaient droit de POStC T " ■ 1 I et a adressé à toutes les comD'autre part, le gouvernement a proposé, réclamations lui. Bourg (Ain). — A Saint-Maurice, M. vi!-îna préemption sur l'héritage de M. Maurice p; pagnies des instructions destinées à mettre par un projet de loi spécial, la création d'une P naux voient tomber en d'aulrcs mains |? De cette façon, les inculpés d'aujourd'hui landier, \s âgé de 81 ans. ancien maire, a été Faure. Et les socialistes avaient, depuis monnaie m de nickel, qui a été acceptée par uun terme aux difficultés qui se produisent passeraient au rang de comparses à peu assassiné a: a coups de bâton, pendant qu'il une Ul partie des sommes consacrées à la. loi longtemps, fait connaître leur candidat, qui vi entre le public et les compagnies. votre commission. La frappe en donnera un e près irresponsables. p: prenait son repas, hier soir. — Havas. ^ autre que M. Jaurès. pi n< Les indications fournies sont fort préciproduit net de 3 millions de francs environ publicité, mais encore on lés harcèle n'est s « Malheureusement M. Jaurès s'est livré, qi li'cx-iiiteml a ut Paraypo : elles admettent l'emploi des bandes qui sera une ressource exceptionnelle de ses FIN DE LA DERNIÈRE HEURE _{ pour qu'ils allouent la même place, dans au commencement de l'automne, à des ma- l'i M. Parayre, l'homme de confiance de la l'exercice 1903. ssans annotation comme licite, mais consifamille Humbert, a été amené de nouveau Z Le déficit de GO millions, en présence du- ddèrent que celle faculté ne saurait être prise leurs quatrième cl troisième pages,à plus nifeslalions internationalistes qui ont paru difficiles à approuver, même pour beaucoup qi dans le cabinet de M. Leydet, juge d'ins- B pour une mesure de garantie absolue, car, quel se trouvait la commission, a donc été P bas prix. do radicaux. La lettre aux socialistes ita- comblé de ci truclion. Il a assisté au triage des docula fermeture avec plombs ou cachets par elle, à l'aide des mesures qui seule, ? a NANCY, lundi 12janvier 1902. liens, où il célébrait les avantages de la Tri- v ments dans lesquels il était question de lui à la cire est réglementaire, et que la soliviennent d'être indiquées. » Et, par dessus le marché, — répétons- plice, ji considérée par lui comme un hevreux p bu qui paraissaient être signés de sa main. En terminant, M. Berteaux dit que les re- 'dité des bandes de paçier est insuffisante « contrepoids aux fantaisies franco russes », L'inculpé a tenu à protester une fois de le, car chacun a le droit de défendre son m p pour répondre à la durée et aux risques du a paru par trop compromettante. M. Jaurès, ,cettes sont calculées assez prudemment et transport. plus de son innocence. Il a affirmé que jasauil T-• ce sont les mêmes journaux qui après p lQ crédits ouverls assez larges pour que, avoir essayé vainement do la dômen- les a mais il n'était intervenu dans les procès de Quant aux bandes annotées, le régime à tir ou de l'atténuer, a été forcé d'en avouer- Si sans emprunt, la France puisse voir clore, aappliquer est celui des colis postaux affranMme Humbert et qu'il n'avait jamais signé lancent bénévolement les publications W la paternité et d'en reconnaître les termes, ci aucune des pièces suspectes. en 1903, la période du déficit : « Il suffit que cchis à prix réduits. Les annotations manuséphémères ou périodiques dont les édic « Malgré la sévère discipline qui règne les le Chambres et le gouvernement le veuil- crites ou obtenues à l'aide du timbre huLes Crawford liberté tteurs d dans le bloc, quelques-uns ont laissé voir i( couvrent les frais en tout ou en ? e .Emile Daurignac a été aussi entendu de lent résolument et agissent en consé- mide, du composteur ou autre procédé si.. , ali alors une velléité do regimber. Ce sont des quence.» ^ nailaire doivent être interdites, parce qu'el— nouveau. 11 s'agissait surtout d'élucider cerpartie au moyen d annonces. ■ n c p[ nouveaux convertis qui n'ont pas encore pu les ne peuvent être employées sous cette tains points de la première instruction, qui s ! f à pratiquer la soumission du forme que dans des cas déterminés et préC'est nous qui favorisons ces « Bulle- s'habituer tendaient à établir que le frère de Romain perimle ac cadarer qu'ils ont si souvent I sentant pour le destinataire l'intérêt direct Daurignac avait joué longtemps le rôle d'un tins », ces « Programmes », ces numéros reproché -e aux Jésuites. Pour leur donner le I iiui caractérise la correspondance privée. des frères Crawford. [temps d'oublier les fâcheuses déclarai ions Sous certaines conditions les annotations «exceptionnels », « spéciaux » et qui.l^ L'écriture d'Emile Daurignac aurait été de M. Jaurès et d'enlerrer leurs derniers DE NOTRE PRÉCÉDENTE ÉDITION !imprimées peuvent être employées. Il est reconnue dans la signature d'une des propar noire concours, encourageons sans S c ps scrupules, on a sursis durant un trimestre indispensable qu'elles aient, quant au fond, curations des frères Crawford, faite à1 Paris, 12 janvier, 3 h. soir. à un caractère de recommandation générale cesse à co qu'il s'en édite d'autres. ^ l'élection du vice-président manquant c Bayonne, par devant M* Dupuy, notaire. M. Jaurès tout seul était trop voyant. AuCe dernier a reconnu la photographie dei LÉGION D'HONNEUR ss'appliquant à la collectivité des clients et Co sacrifice permanent accompli par la jourd'hui,on 3 le dissimulera dans la fournée, qu'elles ne contiennent rien d'injurieux Romain Daurignac comme celle d'un des (Voir YEsl répiMicain du 10 janvier.) p] A l'Officiel du 13 janvier paraîtront 'les rpour les transporteurs. signataires de ladite procuration, mais il a presse, et dont on la récompense par un et ^ les dirigeants du bloc espèrent qu'il paset nominations suivantes dans sera ainsi'presque inaperçu, Ge qui est pour, promotions P Les colis doivent être présentés clos au émis des doutes en ce qui Concerne celle; Dans un précédent article, nous avons le toast dans les banquets, ce sacrifice sc m la Légion d'honneur, faites snr la proposi- départ, ( lui la plus sûre manière de passer. les compagnies ne pouvant être ted'Emile Daurignac. Dans ces conditions, il1 tion du minisle de l'intérieur, et dont la montré l'évolution accomplio par la pu- chiffre cl nues de se prêter a une vérification contrar Sera confronté avec l'inculpé. annuellement par des milliers do, j « Toutefois, il reste encore une difficulté, fj , plupart ont été déjà annoncées : ,' Les radicaux socialistes n'auront pas dans ' , dictoire quand le conditionnement extérieur Emile Daurignac a nié êlro jamais allé à blicilé \ et nous avons exposé le méca-• francs fr pour une ville comme Nancy—ol, lé le bureau ainsi composé de vice-président , Est nommé commandeur : M. Frédéric* cest en bon étal : elles ne sont pas non plus Bayonne. Il a affirmé énergiquement qu'il 1 ; Passy, membre de l'Institut. 1 pris dans leur sein. C'est là un malheur des primes lancées par les jour-• ci cobligées de reconnaître le poids exact desn'avait jamais joué le rôle des Crawford, nisme comme nous sommes en relations d'affai-. fil Sont nommés oP'-ciers : MM. Pissard. ins- <colis postaux ordinaires. dont le pays ne sera peut-être pas Irès afajoutant que si quelque chose tend à prou-- inaux. ri resavec toutes les villes de la région, où » fecté, mais dont la seule éventualité rem-. Specteur général des services ordinaires au ver le contraire, c'est qu'il est victime d'une de l'intérieur ; Pouillard, sous dif ,'rtllfVit aux sangliers Nous allons voir aujourd'hui que si les U m tchination. les mêmes fails se produisent dans une. plit R les intéressés d'une légitime émotion. ministère 1 honoraire; Ghapsal, maître des re' Il a fallu, à défaut d'un fauteuil, donner aux, recleur Le juge d'instruction a désigné deux nou-■ journaux i L'association des chasseurs au bois de usent de la liberté du com-■ mesure n au conseil d'Etat ; le docteur Uu- jMeurtlie-et-Moselle vient de présenter à M. relative, on juge de l'importancei radicaux-socialistes r| une contre-marque. Dès: quêtes ') veaux experts pour procéder à une contre (. membre de l'Académie de médecine; ile préfet le vœu suivant relatif à Fallût aux maintesant, il est entendu qu'on leur rôser-. chard, expertise de la signature de la procuration{ merce, tous les citoyens profilent -do la. d des sommes qui nous échappent. ™ président de sociétés de se- «sangliers : vera la première vice-présidence La majo-. Audoynaud, \ de Bayonne. — Havas. ;liberté de la publicité, qui découle du c mutuels. Encore un coup, nous ne nous en niai-■ rite ri compte sur leur abnégation pour ne pas; cours « Monsieur le préfet. L'AFFAIRE SYKDON Sont nommés Ghevalions : MM. Paul Deautre chose quant à présstit. Leur'. - même principe. g L'association des chasseurs au bois de gnons pas, et nous aurions tort do nous, réclamer y 1 La cour de cassation examinera à la fin ' esprit de sacrifice bien connu, quoiqu'il ait nis, conseiller général du canton de Gerbô- iMeurthe-et-Moselle a l'honneur d'appeler ■:; Donc, la publicité affecte maintenant, en ei plaindre. L'action, le mouvement,, raremen n ; Iléli-Devals, préfet du Lot: Bellandi, votre , de la semaine le pourvoi du peintre Syndon,. t l'occasion de s'exercer, les décide- vlller * bienveillante attention et celle du îe meurtrier de M. David, à Etretat. 1les formes les plus variées. Il serait im-• sont ra, si créateurs d'action et de mouvement. H pense-t-on, à voter pour M. Jaurès, qui! Fpréfet de l'Ardcche; de Fillot, sous-chef do (conseil général sur le braconnage effréné ; .Marini, sous-préfet de Sartène qui D'après le Journal, il y aurait trois neieur plaît pourtant qu'à moitié et qui leur. bureau , ( a élô la conséquence de l'arrêté préfecE terminant notre premier article, nous; d< | moyens de cassation. Le plus sérieux serait\ ïpossible d'enrayer son essor, commo il. En dérobe une place qui leur plaisait tout à! t'Corse) ; Moerdès, commissaire spécial à toral réglementant l'affût aux sangliers. 1 B est. basé sur ce fait que le président des assisess sserait impossible de parquer do nouveau, écrivions fait. éi Get arrêté a été, en effet, interprété comque les journaux, par leurs aurait refusé la parole au défenseur de Parmi les nouveaux chevaliers, citons ime étant une autorisation pour tous d'aller « Telles sont « les misères et les granoi occasions-primes, développent le besoin de encore MM. Pozzi, adjoint au maire de à • l'affût, à la seule condition d'en faire une Syndon, qui voulait déposer des conclusionsj cchaque commerce dans un cadre fixe. deurs de la servitude » ministérielle. » et aurait déclaré, sans les avoir entendues,, Reims ; Parent, adjoint, au maire de Sedan, (déclaration au maire, alors que les propriéA ce propos, on nous permettra de: di de consommer et servent dans une me*** fet Deshaic, capitaine des pompiers de Bel- |taires, possesseurs ou fermiers, ou leurs qne ces conclusions étaient irrecevables.— ( constater au passage que certains com-. sure si appréciable les intérêts généraux Havas. On dit que les groupes de la minorité> fort. (délégués oui seuls le droit d'alTùtcr sur ( LES TABLEAUX D'AVANCEMENT[ rmerçanls n'ayant rien de commun avec d porteraient M. Renault-Morlière, président ■ — L'Officiel du 13 janvier publie aussi les ileurs terres et non ailleurs. P : du commerce. di groupe républicain progressiste, contre^ décorations des cultes. Sont nommés cbedu L'Officiel du 13 janvierpublieles tableaux4 j Il en est résulté que des gens ne possél'imprimerie, affichent des échantillons Par application du même principe, M MM. l'abbé Salomô, curé d'Haze- (dant pas un mètre de terre ont fait une déM. Jaurès à la vice-présidence de la Cham-; valiers: , d'avancement pour les diverses armes. brouek : Decoppet, pasteur à Paris ; Drey1)1 J (claration d'affût, et que la chasse de nuit, Isont proposés pour le grade de colonel : tde caries de visite. Eh bien, nous, jour-. nous D reconnaissons sans hésiter que la bre. fuss, "grand rabbin à Paris. j interdite en principe par la loi, est actuelleMM. Joppé, du 79" d'infanterie; Voisin, du . * nalisles-imprimeurs, songeons-nous à P e publicité appelle la publicilé, que lanl de LA CRÉATION D'ÉCOLES PR1SI&1RES ment pratiquée en grand; que, pendant 30* d'artillerie ; de l'Espée, du 9 dragons ; ; , rapport e Morionnel, de la 20 légion de gendarmerie.' Iprotester contre cette concurrence inat-. publications toutes les nuits, de nombieux coups de fusil P diverses, où se voient des PUBLIQUES :sont entendus aux environs des forêts et Le médecin principal Février, de l'hôpi- i a Le rapport général de M. Berleaux sur le annonces, incitent, forcent les relarda- . I lal militaire de Nancy, est proposé pour la£ tendue 'i Jamais de la vie. sont tirés, cela est certain, sur tous les gim budget sera distribué aujourd'hui même à i M. Chaumtê, ministre de l'instruction pu- biers j 1™ classe. passant à la portée des affûteurs. Mais nous avons le devoir de consla-. l£ taires à venir à l'annonce, à la réclame, jtv lu. Chambre. 'blique, a institué une commission pourétuSont proposéspour le gradede lieutenant- , 11 est facile de comprendre que la surveile c e , dier les modifications à apporter au décret | l 1er un fait beaucoup plus important et l et que si notre administration perd quelVoici les deux principaux passages de colonel: MM. Worms, du 156 ; Arnold, du lance des gardes est à peu près impossible, < ( des motifs. 'd'avril 1887 déterminant les règles pour la car 153°; Durand de Grossouvre, du 69e: Loin-.- Itrop souvent inaperçu. l'affûteur,k moins d'être surpris un lièvre Q que chose sur les clients anciens,elle fait ll'exposé r e création et l'installation des écoles primaires , bard, du 39 d'artillerie; Warin, du 37 d'arLe rapporteur général déplore que l'on1 . à la main, déclarera toujours avoir tiré sur publiques. Qu'est-ce qu'un journal ? d des clients nouveaux, et même qu'il i tillerie ; de Carrnaret, sous-directeur de l'arun sanglier. ■ a ait été contraint, de recourir à deux douzièLa commission s'occupera des moyens 11 tillerie à Toul; Delmas, du 18e chasseurs à La défense des récoltes est digne de proà Une « maison de publicité ». Ce n'est[ nous en revient d'anciens, qui avaient m mes provisoires et il émet l'espoir qu'oni d'abréger c les formalités de construction \ cheval. tection, Iesintérèts des chasseurs qui paient c n n'ira pas au-delà. c d'office de certaines écoles. 1 pas nous qui le disons le premier. Aut cru pouvoir réduire leur publicité, à1 Le pharmacien major de l™ classe Karà l'Etat et aux communes des locations très rM. Berteaux expose ensuite l'état du bue*»> Les communes peuvent.en effet, soulever \élevées, doivent aussi être pris en considôcher, de l'hôpital de Nancy, est proposé6 dix-septième i siècle, Théophrasle Renau. l'instar 1' de M. Menier, le grand chocola< ( • get, la façon dont on l'a équilibré : des oppositions qui retardent parfois la■ ration. g pour le grade de pharmacien principal de 2le , ' dot, fondateur de la Gazette de France, lier U construction d'une dizaine d'années. — lui-même, dont nous avons narré le* classe. « Ce n'est pas sans peine, en effet, que cet\ Havas. ] C'est pourquoi l'association des chasseurs ; è M. Félix, chef du génie à Toul, et M. De- ientendait bel et bien créer un organe de3 cas c équilibre avait été réalisé, incomplètement au bois vient vous demander de réglemenl'an Ire-jour... ; COMMISSION DE CLASSEMENT il;, chef du génie à Remiremont, sont prod'ailleurs, dans le budget présenté par le ter d'une façon plus sévère l'affût aux sanh nouvelles et publicité. Nous soumettons avec confiance aui gouvernement. g posés pour le grade de lieutenant-colonel.— La commission de classement des lieule-'. <gliers, afin de permettre aux gardes depouHavas. Or, si l'on parlait de ce principe, que3 public F i ces observations et réflexions sur ^ En comparant les dépenses inscrites aui nants d'infanterie et de cavalerie proposés. voir utilement surveiller les affûteurs. Elle pense qu'il est indispensable d'exiger de l'exercice 1902 aux recettes queÎ ]pour le grade de capitaine, s'est réunie cet ÉCOLE DE MÉDECINE DE REIMS 5 chaque commerce doit se tenir dans des3 1'le rôle de la publicilé ol des journauxt budget u les réalisations obtenues en 1901 permet-- a! près-midi au ministère de la guerre. —^ que les affûteurs soient porteurs du récépisL'Officiel du 13 janvier publie un arrêté ti _é bornes strictes, la publicité par an-. ddans le mouvement commercial. taient de prévoir, suivant la règle de la pé-- Havas. 1 sé de la déclaration d'affût faite au maire, ministériel aux termes duquel un concours n Huitième année, on constatait une diffé, comme cela a lieu notamment dans le dé« ,rence considérable. s'ouvrira le 16 février 1903 devant la Faculté\ nonces devrait ëlre réservée absoluNOTRE NOUVEL AMBASSADEUR EN SUISSE r L« première cause eni ————' : parlement des Ardennes. Le récépissé conde médecine de l'Université de Nancy, pour ô était dans le non-équilibre du budget votéj * ment aux journaux. C'est lem* niarM. Raiudre, notre nouvel ambassadeur• tiendrait l'indication des époques de sa vauu emploi de suppléant à la chaire d'anato1 Le voyage de M. Loubet en Tunisie est officield p pour l'exercice 1902, où il n'avait été faitt en Suisse, a présenté ce matin ses lettres; lidité dans les termes suivants: d m'e et de physiologie de l'école préparatoirec cliandlsc propre. Personne ne l'i-- désormais. Il y séjournera, croil-on, cinq jours ;; fi face aux dépenses qu'à l'aide de l'essourcess 1de créance au président de la confédération('• 1 \ Valable du au do médecine et de pharmacie de Reims. — 1 avec tonte l'escadre, il ira de Bùne à Tunis, passe-- d d'emprunt, jusqu'à concurrence de 64 mil-. helvétique, guore : un journal coûte plus d'un sou. ? à Berne. — Havas. Il indiquerait en outre les terres dans lesHavas. ra une nuit à terre et visitera Sousse, Sfax, Bizerli ■- lions de francs. quelles l'affût pourrait avoir lieu. De cette BUREAUX TÉLÉPHONIQUES Sans l'annonce, sans la réclame insérée3 vte, en voyageant la nuit et en passant une journéeo La majoration excessive des recettes pré-. !CONGRÈS INTERNATIONAL façon, les affûteurs ne pourraient arguer V de ce même budget ne pouvait1 ~ dans ses colonnes, il ne pourrait couvrir_ ^dans chacune de ces villes. Mais les programmess visionnelles D'AGRICULTURE. — M. MÉLINE■ de'leur bonne foi, et les gardes verbaliseLa création de bureaux téléphoniques est faits si longtemps d'avance, vous savez, il ne faut p a pas, non plus, être rafcintenue eu 1903, souss : raient contre ceux qui ne seraient pas porautorisée dans les communes suivantes : ses frais. ppeine de préparer un nouveau déficit. Elle rpas trop s'y fier. Rome.—Un congrès international d'a-- teurs du récépissé ou qui se trouveraient e Azelot, Boucq, Bouxières-aux-Dames, creusait encore un trou de 7G millions dee jgriculture doit se réunir à Rome, du 19 aui sur des terres autres que celles désignées. » Cependant, voit-on les journaux préBrin, Champcnoux,Crantenoy. Herbéviller, II. Barthou, ancien ministre, député des Bassesf 23 avril prochain. Ï- francs. Heville-Lixières. Serrouville. Ménil-Latonr. [■[ tendre à l'exclusivité de co « produit » ?? Pyrénées, i fera à Bordeaux, le 81 janvier, sous les Souvenir français m À ces deux sommes, il y avait lieu d'ajouh 1 M. Meline, ancien président du conseil Mpuacourt, Neuves-Maisons, Pulligny, Sorr- Pas du tout. auspices du Cercle Voltaire, une conférence sur la a tter, d'abord 25 millions de receltes perdues D'accord avec la municipalité de Nancy, s de France et ancien ministre de l'agriculnéville, Valleroy et Millery. — Havas. politique générale. ppar le fait, des dispositions prises dans la ture, a informé le président du congrèss la Société nationale du Souvenir français a a 1 A tout inslanl, ou périodiquement, les g M. Barthou parlera des principales questions acEMPLOIS RÉSERVÉS AUX SOUS-OFFICIERSs > cconférence de Bruxelles sur le régime dess qu'il se rendrait à Rome pour assister auxc décidé de faire graver sur le monument dy. 1tuclles et notamment des congrégations. 1travaux du congrès. — Havas. s sucres et du dégrèvement de la taxe intéji diverses sociétés éditent des publicacimetière de Préville les noms des enfants M. Thiercelin, adjudant au 153% à Toul. — rricurc qui en était la conséquence obligée; de Nancy, décédés pendant la guerre de est nommé commis de 5" classe à la tréso> lions, dos bullelins, des programmes oùïl Un peu avant d'avoir atteint la limite d'ùge, lee p puis plus de 30 millions d'augmentationsi I 1870-1871. rerie d'Alger.—- Havas. . général Audren de Kerdren a été remplacé dans lee inévitables 1 des dépenses de l'exercice 19033 ILn situation «lui sultan s'aggrave Elle fait appel aux personnes qui pourune, deux, Irois pages sont réservées à l • commandement de la 1" brigade de cuirassiers, à p PARENTS INDIGNES par rapport à celui de 1902, augmentationss raient la renseigner sur les noms des vicMadrid. — Le préfet espagnol de Médina 7 des annonces commerciales. C'est ani _ Tours, et mis en disponibilité. r 1 résultant, pour la plupart, de lois antérieu- . Troyes. — La cour d'assises de l'Aube aa limes de la guerre ayant droit à cette dismande à son gouvernement que la pluss linction. Elles sont priées de vouloir bien Né à Vannes en 1810, Roger-C.asimir-Marie Au-- rement r votées. condamné le nommé Chailley, cordonnier à à tant de inoins pour les jourd grande indiscipline règne dans l'armée du 1 adresser à M. Marc, président, demeurant dren de Kerdrcl était de la promotion du Céleste-- | îSCela faisait, ensemble, un déficit de près ; Troyes; à cinq ans de travaux forcés, et sa i à Saint-Cyr. dde 200 millions de francs, qui apparaissent, sullan. ' femme à six ans de réclusion, La femme* naux. Ceux-ci ne se plaignent pas. Aut Empire 20, rue Saint-Dizier, ou à l'un des membres Les soldats livrent leurs armes et leurs5 du comité nancéien du Souvenir français, Mwilley favorisait les relations incestueu— aa priori. i- contraire, ils insèrent obligeamment uni1 M. Emile DesckAnel, père de M. Paul DcschatMais la conversion de la rente 3 lj2 0[0,t munitions au prétendant. Les tribus kaby-" les renseignements nécessaires: « Noms, ses de son mari avec sa propre fille, âfrée des environs de Fez se sont unies égaj| compte rendu élogieux do ces publica-- 11nel, a repris son cours au collège de France, quiii 1"réalisée au mois de juin dernier, entraînait; les • , de moins de 13 ans. Celle-ci est actuelle" position militaire, grade, date de naissance | .lement au prétendant. La situation du sul=■ ment enceinte et sur le point d'accoucher. * et de décès, lieu de décès, » i-. lions éphémères, ils les signalent, ilssi \avait été interrompu depuis l'attentat de Veraa Uune économie permanente, pour le budget tan Mouley-Abdul-Aziz est des plus critiGelo, c'est-à-dire prés de deux années. d — Havas. de l'Etat, de près de 32 millions et une écoLa Société du Sou«enir français espère ques. — Havas. contribuent à les faire vendre, acheter,f De très nombreux auditeurs assistaient à la ree nomie n accidentelle, en 1903, de 26 millions, que les Naucéiens s'associeront a elle pour LES TROUBLES DU MAROC (suite) dd'un demi-coupon de la rente convertie; 1prise du cours. Télégramme commercial celte œuvre de souvenir et de reconnais"1 et cependant, répétons-le, leur intérêt ena Les dames étaient en grande majorité. Une salS l- soit, en. tout, 58 millions de réductions, Un avis du ministre des postes informe sance en lui fournissant les documents qui (Bourse du commerce) -'■ *ve d'applaudissements a accueilli le professeur à Pour faire face à l'excédent des dépenses, le public que les objets recommandés '? à souffre : lui sont nécessaires. » Chiffres fournis par la maison E. Bollack aîné a s son entrée. q qui était encore de 140 millions de francs ' animation de Fez et de Mequinez ne sont il Supposons, en effet, qu'un négociantt . — e chiffres ronds, le ministre des financess : Plus acceptés. en Paris, 13 janvier, 1 h. 38 soir. ^iieinGiit eoïimi"! Ce sont des hâbleurs, des vantards, disait-on p COURANT 4 DIS MAI n proposait, avec la suppression de l'amor; MadriQ- — M. de Cogordan, ministre àj consacre mille francs par an à la publi- en—parlant } Mercredi 14 janvier, à huit heures et dede certains méridionaux. 16 35 16 75 tissement de la rente 3 0[0 perpétuelle, ins- Avoine IlOOkll.J ■tanger. télégraphia qu'un certain émoi rèà- cité. 22 25 22 65•2 mie du soir, rue de Serre, M. Chantriot ; — Mais non, messieurs, dit l'ami Cadet, ce sont c it crite dans la loi du 30 décembre 1900 et fi-" Blés (100 kil.) gne dans cette ville. •■ l'avines (100 lit!.) 29 15 29 70Q « La colonisation et le peuplement français simplement des maih-urenx qui ont tant, t, jgurant au budget de 1902 pour 22 millions,i. Huiles (100 UU.) Eh bien, les cinquante, les cent francs, tout J Fez. — Une nouvelle expédition du sultan 2 en Tunisie. » Conférence publique avec 53 50 '55 62 n1 ' tant de mémoire, qu'ils .'iviennent de choses f s un ensemble de mesures destinées à pro•si partie dans la soirée, i- Alcools (rtieclol.) 43 87 45 ..7 projections. 1 les deux cents francs qu'il donnera pour ç ne sont jamais arrivées. r qui 'C duiro 83 millions de francs. » [ Sacres ,. 25 59 20 62 21 Jeudi 15 janvier, à huit heures el demie DERNIERE HEURE à *% ï *j J vi '"7;:rr ' j g j lie t 1 Ll PMffi ; La : du commerce eî la liberté de l'snnoiîce. L'annonce est la c marchandiss » attitrée du jonrna! eî, cependant, tout le monde vend aujourd'hui \\ de S'annonce. — Loin de protester, les « journaux prêtent leurs colonnes iiénévûlernent pour faciliter cette concur- < rence. * H j J Le g général du budget - _ £ST RÉPUBLICAIN Mardi 13 Janvier 1903 ctofrgpi uni iii7aw___nrmTjtnwBMiiii"~f~^ i flu soir, rue de Serre, M. Aucrbach : « L'IndoChtr.e. » Conférence publique avec projections . Lundi 19 Janvier, à cinq heures, Faculté de droit, M. Beauchet : Economie colouiale. ' Faculté «le Droit Cours publics de doctoral Mardi 13, à 4 heures. — Cours de droit constitutionnel. — M. Carré de Malberg : Caractère de l'ancien représentant aux Etats généraux. . Mardi 13. à 5 heures. — Cours de science sociale. - M. Méltn: La famille suivant la conception philosophique ou dogmatique. Mercredi 14, à 2 heures li4. — Cours de législation et économie industrielles. — M. Bourcart : Le contrat de travail (suite). Mercredi 14, à 4 heures. — Cours de droit nature!.— M. Gavel : La notion du droit naturel au dix-neuvième siècle. Mercredi 14, à 4 licures. — Cours de droit international public. — M-. Chrétien : Le decret de Milan. Les idées de Napoléon en matière de neutralité maritime. Projet de déclaration générale, 1814. Mercredi 14, à 3 heures 1 [4. - Cours d'histoire des doctrines économiques. — M. Liégeois : Evolution du principe de liberté du travail et de l'industrie dans les faits et dans la doctrine (suite). et et un u bébé était attendu prochainement. Cette parfaite quiétude fut malheureuseu mei ment : troublée lundi vers midi. Waller qui avait obtenu son congé revenait à Nancy et aval sc présentait à sa femme. Voyant, que collep e ci1 était dans une position intéressante, il p lui 1fit des reproches amers sur son inconduile. Jaeger, qui était présent, entra dans une viol violente colère et, emporté parla fureur, hnS brisa à coups de poing les vitres de la fenôtre. „ . nêli .Eu -E portant ces coups, les éclats lui firent ] de blessures aux poignets, dont (ie profondes ies vaisseaux sanguins furent coupes. les TJ Une forte hémorragie s'était déclarée, le Çîej blessé dut. être conduit, par des voisins, à nie l'hôpital où il à élé admis d'urgence. Certificat «l'aptitude aux toaactions «le bibliothécaire Une session d'examen pour l'obtention du certificat d'aptitude aux fonctions de bibliothécaire, dans les bibliothèques des Universités, aura lieu prochainement. Un registre pour l'inscription des candidats sera ouvert du 20 janvier au 18 avril 1903. Amicale Saint-Pierre On nous écrit : « Jeudi 8 janvier à 8 heures et demie du soir, 98 anciens élèves.réunis à l'école SaintPierre, ont adopté les statuts d'une associalion amicale et ont procédé à l'élection d'un comité composé de MM. Guérard, directeur de l'école ; E. Simon, publicisle, V. Karotsch, professeur de dessin ; C'u. Soleil, entrepreneur de peinture; 11. Colin, cafetier; G. Gombaut, coiffeur ; E. Wohlguemuth, épicier; D. Guérard, F. Ma haut, instituteurs ; E. Parfait, sculpteur ; L. Parfait, coupeur en chaussures ; L. Kalisv entrepreneur; L. Aron, représentant de commerce ; E. Chenet, employé à la mairie ; L. Fort, comptable; Ch. Villain, artiste peintre. Les anciens élèves de l'école Saint-Pierre, qui n'ont pas reçu de convocation, sont priés de vouloir bien faire connaîlre leur adresse à M. Guérard.» Employés d© commerce et comptables L'assemblée mensuelle de l'Union syndicale des employés de commerce et comptables de Nancy aura lieu le mercredi 14 jan-■ vier 1903, à 9 heures précises du soir, au siège social, 41, rue Saint-Jean. La cérémonie de Fontenoy {suite)1 On nous prie d'insérer: « Le dimanche 25 janvier courant, le 32". anniversaire de la destruction du pont dei Fonleiioy-sur-Moselle, par une poignée de braves, alors que la ligne ferrée était au, pouvoir et gardée par l'ennemi, sera celé-'. br'é à Fonlenoy-sur-Moselle. Réunion à la gare de celte localité, à 9 heures du matin. Un banquet suivra la cérémonie : coût :: 3 fr. Ceux des camarades de la 24' section quii désireraient se joindre à la délégation dui comité, qui assistera à cette fête patrioli-■ <iue, sont instamment, priés de se faire in s-• crire au siège de la Société, 14, rue desTanneries, ou auprès de MM. Busselot, 96, rues Saint-Dizier, et Mienville, 6, rue de l'Ora-■ toire, d'ici au 19 courant, dernier délai. Départ de Nancy à 8 h. 40. » Les escrocs «le la rue ISénit C'est le 22 janvier prochain que viendra ^ crevant le tribunal correctionnel de Nancy J^Y de Delmas et do sa concubine, plus ll'affaire ai; connus à Nancy sous le nom des époux De«ni frêne.'les si adroits escrocs de la rue BéWf : nit. ni| f *Rappelons comment opéraient, ces habiles filous. Ayant loué au commencement de dénlo cembre 1900 un appartement rue Bénit, ils cen annoncèrent par la voie de la réclame qu'ils ani achetaient au comptant à des commerçants acl: obérés des marchandises de première fraî°}K cl leur et de qualité irréprochable, qu'ils clic ViU voulaient revendre, pour ainsi dire, à des prix absolument dérisoires, dans un but de réc réclame et pour préparer de nouvelles operat rations commerciales. ILes Dcfrêne, parlant beau et de manières ca< enveloppantes, achetèrent à crédit toutes les marchandises qu'ils purent. l revendaient au comptant immédiateUs me ment, tout était donc bénéfice pour eux, puisqu'ils ne payaient pas le vendeur. 1 La réputalion des escrocs s'était si bien ( établie dans moins de quinze jours,soit 5r? 1"" auque du 20 décembre 1900, ils réussirent à se procurer 20,000 francs de marchan2? dises. j Le 20 décembre 1900, le magasin fut. fermé& et un avis mortuaire, placardé à la porte, annonçait que les négociants allaient enter. rer un parent à Marseille ! , Do cette dernière ville, en effet, des let. 1res furent expédiées par les filous à M. , s Spilt, charcutier, rue Saint Jean, propriêg. taire de l'immeuble. , ■Cet honorable commerçant-attendit quelJ? ques { . jours, mais comme il restait sans nouvclles, il requit un huissier. ] La porte fui ouverte. Le magasin ne contenait que des boîtes garnies de copeaux. ë' .:Le pot aux roses était découvert et les plaintes affluèrent à la police. Voici les j£ personnes lésées : MM. Bernel, menuisier, qui fil pour 400 fr. de réparations au magasii ; Lancelevée, 700 fr. de lingerie; Charsin ro; et Spens, chaussures 1,400 fr.: Sauleroy ra rau, employé au Bon-Marché, 500 f r ; Bargi> ghon, couturier, 400 fr. de toilettes pour Mi Mme Dcfrêne, etc., etc. Longtemps le couple resta introuvable. En ^' juin 1902 il fut arrêté à Grenoble et rami mené à Nancy. L'instruction, poursuivie fort activement, a 1révélé des détails fort curieux. a Nous reviendrons au long sur cette afA]: lorsqu'elle sera appelée devant la \faire U justice. 3 Les étrennes du boueur Un brave boueuv préposé à l'enlèvement de immondices de la partie de la ville si-' des tu tuée aux alentours de Pré ville apprenait, ce ces jours derniers, qu'une femme s'était' pr présentée chez les habitants de ce faubourg; et et avait sollicité, comme étant sa femme, • le: étrennes réservées à lui, boueur. les Lorsque le « préposé à la salubrité » se pr présentait pour loucher les quelques sous! qv, qu'on a l'habitude de lui donner de si bon co cœur, il était ôconduit naturellement. Bis! rt repetita non placent. Furieux de ce contre-lemps, le boueur Société «l'étuule» psychiques o;ouvrit une enquête, qui lui permit de dé«1«> IVaney c0 couvrir l'escroc. Il est allô déposer une[ Séance du 11 janvier ' à la police. M. le secrétaire a présenté le compte ren-. plainte P1 du des travaux de 1902. La Société a entenVandalisme du treize conférenciers qui oui présenté des5 ï)eux enfants, âgés d'une dizaine d'an-■ travaux d'une incontestable valeur, elle a1 nées, ne n'ont rien trouvé de plus intelligent,. assisté à quatre séances expérimentales. Lei pc pour se divertir, que de détériorer une fou-■ nombre des sociétaires est en accroissementt laine ta de la rue des Chaligny. constant. La bibliothèque renferme plus de5 D'ailleurs, depuis quelque temps, ces acdeux cents volumes spéciaux. Le Bulletin1 tes te de vandalisme se multiplient comme à 1 de. la Société (dont les articles de fond ontt plaisir. pl Nous avons signalé la mutilation1 été reproduits par la grande presse) a vuI de dont, vient encore d'être victime un des> ses abonnés et la vente chez les librairess gi groupes d'enfants de la place Carrière. Ill augmenter sensiblement. in importe qu'une condamnation sévère vienne' Puis M: Thomas a continué ses intéres-• guérir gv de leurs amusements odieux tous les» saules et instructives causeîics sur la forceï gt garnements coupables. magnétique humaine en étudiant son appliMenus faits cation à la guérison des maladies. La police a dressé procès-verbal à M. Jean1 M. le docteur A. Haas a commencé une3 élude sur le spiriLisme, d'après le compte3 M..., 37 ans, propriétaire d'un chien mal18 faisant, qui a mordu un passant. rendu du congrès spirilualiste de 1900. La séance s'est terminée par quelquess . — Emile Masson, 37 ans,manœuvre, sans> domicile fixe, surpris mendiant à domicile,, expériences de lucidité somnambulique. rue de Strasbourg, a été écroué. Cercle du Travail — Eugène Karu, 55 ans, sans professiont Ce soir, mardi, à 8 h. Ir2, réouverture duil m ni domicile, qui, lundi soir, cours Léopold,, cours de comptabilité par M. Emile Moret.•• 0 1 obsédait les passants en sollicitant l'aumô-Demain, mercredi, de 9 à 10 heures du u a été déféré au parquet. n ne, soir, cours pratique de cuisine par M. Wé— Dans la nuit de lundi â mardi, la police2 ber, chef à l'hôtel de France. a déposé au violon, sous l'inculpation de a 3 vagabondage, Joseph Schérer. 60 ans, sanss La Ruche nancéienne r profession ni domicile, trouve couché surr Une soirée musicale est organisée par Pi 3 voie publique. s- Ila celle société au profit de sa caisse de secours aux malades, le samedi 24 janvier Echo «le la correctionnelle 1903, à neuf heures du soir, salle Poirel. . Dans le dernier compte rendu du tribunal Inspection du travail ci correctionnel, nous avons dit que Julie Nous apprenons que M. Louis Ghéry,ins!' p Pfcrzel avait été condamnée, pour vol au! pecteur départemental du travail dans Fin1- p; préjudice de son-patron, M. Lucien Humt. a ri duslrie à Nancy, vient d'être élevé à la hert, architecte. La domestique voleuse, ( deuxième- classe de son emploi. q était en service depuis trois ans, s'ap£ qui pelait en réalité Catherine Hurst. Elle a été Mariage . r e 3. 01 condamnée à huit mois de prison. Lundi matin, a eu lieu en l'église paroissiale de Vczelise, le mariage de M. J. HamIM»rclié «le iVancy «lu 13 Janvier mer, le distingué ingénieur-administrateur .1' 149 bœufs, de 71 à 78 ; 27 vaches, de 58 à 75 ; X- i* 18 taureaux, de 67 à 70 ; 135 veaux, de 5i à 07 :; délégué de la Compagnie générale électri,r 2 245 que, avec Mlle A. Deleau, fille de M. Victor - moutons, de 100 à 115; 320 porcs, de 74 à 80. ' Deleau, notaire. Avis aux cultivateur* De nombreux amis des deux familles ss MM. Yilgrain, Simon et Cie payen'î ies ;S avaient tenu à présenter aux jeunes époux b x bons blés vieux ou nouveaux 20 fr. 25 les leurs vœux de bonheur auxquels nous is Ij100 kilos rendus aux Grands-Moulins. joignons très volontiers les noires. f Malzévilïe Don La maison des Magasins-Réunis a fait II don d'un deuxième versement de 100 fr. rà l'œuvre des Soupes populaires, à l'occa1_ sion de la nouvelle année. Le drame de !a rue de la Pépinière (suite) Lundi matin, Braquit, extrait de la maiison d'arrêt, a été interrogé de nouveau par ir M. Sloffel, juge d'instruction. Devant le "magistrat, son attitude a été té des plus satisfaisantes. Il a renouvelé ses ;s aveux, déclarant, qu'au cours d'une discusssion avec sa femme, il avait poussé celle-ci ci qui se trouvant au haut de l'escalier, roula 'a la tête la première jusqu'au lias des marches. s. L'ayant appelée, comme elle ne répondait a* pas, il alla la chercher, la releva et la transsporta sur son lit où elle expira quelques îs minutes après. Braquit, qui semble comprendre mainteenant toute la gravité de l'acte qu'il a comB* mis, eu a manifesté au juge de profonds » regrets, déclarant qu'il ne pouvait supposer sr que la poussée qu'il a donnéeà sa femme la la fît tomber assez malheureusement pour oclC_ casionner sa mort, . Braquit, après son interrogatoire, a été ; e ' reconduit à la prison. *** Les obsèques de la femme Braquit ont eu eu jt.. lieu lundi, à trois heures, en l'église SaintEpvrc. De nombreuses personnes du quartier cl. (je avaient tenu à assister à Fenlerrement de la malheureuse. Le retour «lu légionnaire Depuis quelque temps, Arnold Jaeger, titireur de sable, domicilié au restaurant mt Schneider, prairie de Tomblaine, vivait en en concubinage avec la femme Waller, née iôe jEmélle Brandterfer, dont le mari s'était en;ngagé à la légion étrangère. £c ménage vivait parfaitement heureux, îx, Suivant une pieuse coutume, les conscrils j la classe 1902 sont allés dimanche porters ;v $ dos couronnes sur la tombe de deux de (<leurs camarades, les jeunes Royer et Haag.e ç. Sur la tombe du jeune Royèr, M. Louiss Leroy a dit avec émotion une poésie fort rt bien tournée, sur la tombe du jeune Haag, f, B mort il y a très peu de temps, M. Buscaut it a prononcé une touchante allocution. En fort bon ordre, les conscrits ont fait il eensuite le tour de la localité. Ajoutons quee ssamedi prochain Ils donneront, dans la la s salle des Fêles, un bal qui promet d'être 0 tbrillant. Doinbasle Nous avons rapporté, dans notre précéêA dente édition, qu'un sieur Couillard, mari■ir nier, de passage à Dombasle, avait déclaré •é à la gendarmerie que sa femme, née Léonà ;ittjne Mellet, lui avait soustrait 500 fr. et pris is 1la fuite avec un domestique et qu'il les supprposait à Paris. Cette femme, qui n'a pas is (quitté Dombasle, ayant, appris l'accusation m 1 portée contre elle par son mari, est allée à à fson tour déclarer à la gendarmerie que, si si <elle avait quitté son mari, c'est parce que ie (celui-ci la maltraitait quand il avait bu et, il, (qu'en parlant, elle n'avait pas emporté 500 00 j fr., mais 60 fr., pour pouvoir louer une ic ( chambre garnie et vivre quelque temps. s. Elle travaille à la filature de Blainville. i L'auteur du vol serait Louis Richier, qui ui a ; pris la fuite, et serait probablement à 'Paris chez sa mère. . M. Couillard,qui n'avait pas encore quitté tô Dombasle, a reconnu que sa femme disait j lit la 1 vérité. — Dimanche soir, il y avait réception 3U chez M. Ostermann, rue du Moulin, 1, où DÛ les nommés Soleil, Rahuel, Calochino ct et d'autres individus, femmes' et hommes, ÎS, chantaient et buvaient.' Un nommé Adolphe he Bayard, qui avait aussi fêlé la dive bouiuteille, voulut faire faire partie de la joyeuse se compagnie. MaUui cn-prit, ear il aurait été ité reçu à coups de poing et de canne et c'est >st cde { en qu'il est allé raconter son avenen pleurant 1 inre à la gendarmerie qui, après enquête, a tnr dressé procès-verbal. dre Pavières pj Des malfaiteurs inconnus ont pénétré la j dans la ca>e de M. Constant Vaillant, nuit BU ^gé âgé de 52 ans, cafetier, à qui ils ont derobô rob huit bouteilles de vin vieux estimées 1(i 16 jfr. — M. Auborlin, boulanger, en entrant - son magasin, constata que le tiroirdans ._«, caisse avait, été enlevé ainsi qu'une somme ^" de 30 fr. qu'il contenait. Une heure après, un ouvrier maçon. M. Grégoire, venait aver» tir que le tiroir se trouvait dans un verger. "» situé à environ cent mètres de la com=" m mune. , £ Ce vol a été commis la veille entre huit n.e, heures et demie et neuf heures du soir, par des individus parfaitement au courant des des habitudes de la maison, qui ont profité de hal l'ai l'absence du fils de M. Aubertin, pour entre trer dans le magasin en passant par les écuries. La gendarmerie a ouvert une enquête. rie Lu né ville -j Une conférence ouvrière a eu lieu dimanche à 2 h. Ip?, à Luné ville, au salon des cb( y a Halles. j y avait environ 120 personnes. Le buIl , a été ainsi composé : M. Lacaille, sereau re crélaire de la Fédération des syndicats de cvi Meurthe-et-Moselle, a été nommé président. JJ Il avait, comme assesseurs MM. Richard et jjj Mison, de Lunéville. ] La conférence a été faite par M. Coupât, ^ délégué parisien,- aucun incident. Serres JUne partie des chevrons delà toiture d'un réduit a porcs situé derrière la maison de rei Mme veuve Gérardin a été sciée. Par suite Mi de cette malveillance, la toiture s'est en partie effondrée. Les dégâts occasionnés pa sont estimés à 100 fr. so Malgré les recherches faites par la gendarmerie. les auteurs de celle dégradation da n'ont pu être découverts. IM gj Suicide à Jceuf Aî. Henri Line, dit Nicolas, 4t5 ans, garde de la cantine des usines de YVendel, à Jœuf, était très malade depuis quelque temps. On ôti ne lui donnait même plus qu'une huitaine de jours à vivre. Poussé à bout par les terribtes souffrances qu'il endurait, le malheuril reux, qui était dans son lit au rez-de-chausre sée, trouva la force de gravir les escaliers sé ct se précipita par la fenêtre du troisième ç» étage. Line s'abîma sur le sol. La mort a ét: été eti 'instantanée. * Natalité et mortalité à Longwy L'étude de l'état civil de Longwy montre que qr l'année 1902 a été prospère pour la population de la ville. On a enregistré 233 pr. naissances contre 139 décès. Il reste un vit excédent définitif cie 114 personnes. Ce réex sultai est dû à une double cause : augmensu tation do la natalité et diminution de la ta mortalité, m Pendant que dans toute la France le nombre bi dos naissances reste stationnaire et se maintient aunuellement à 21 pour mille ham bltants, il y a à Longwy une progression bi régulière. re La population qui était de 8,207 habitants au ai recensement de 1896, atteignait le chiffre de de 9,235 à celui de 1901. Le nombre des naissances de l'année 1897, 196, par rapport à .■ la population probable calculée en répari tissant régulièrement sur les années inler" médiaires l'accroissement obtenu entre les J deux derniers recensements, donne pour cette année une natalité de 23 0[0. En 1898, les 199 naissances correspondent également à 23 0#. ™ En 1899, il y a 250 naissances, la natalité. est ■ I|I f de 28 0(0. En 1900, 218 naissances, 24 0[0 En 1901. 248 — 26 0(0 En 1902: 253 — 36 0(0 -j La ville de Longwy a eu, en 1902, 45 nais-i sances de plus qu'elle n'en aurait eues si sa1 S 'natalité avait été la natalité moyenne fran' çaise. Ce chiffre (45) est encore inférieur à ! j£ la réalité, car dans le nombre des habitants5 (j, de Longwy, on compte les troupes de la' g; garnison. La part qui revient aux 1,500 mil»' fa (aires de la place dans la lolalilé des naissances Sj de la ville doit êtro bien faible pari n rapport à leur nombre. Celte forte natalité est due k la propor|( lion considérable de la population ouvrière. E Elle provient aussi de co que Longwy, com-' ra me toutes les villes dont, l'accroissement est', rt rapide, attire à elle, du dehors, surtout des, él éléments jeunes, qui vont fonder une fa'1 nj mille ou viennent d'en fonder une. A j ETAT CIVIL PB XAXCY Du H janvier 1003 Naissances. — Andrée-Alice Nicolas, rueB j Jeannot, 11. — Anne-Eugénie Ghevrier, rue» ( d de la Hache, 118. Décès. — Marie-Rosalie Bourbon, 55 ans,, s; sans profession, épouse Mlillcr, ruede Melz, yj — Nicolas Jacquemin, 81 ans, retraitéé 72. d chemins de fer, rue Isabey, 49 bis. — des fr Marguerite-Lucienne Antoine, 4 mois et 211 jjours, rue de la Croix-de-Bourgogne, 1. —( Ë Barbe Krieger, 59 ans, cuisinière, céliba-ji t; taire, rue des Ponts, 66.— Louis-Emile-Au-.g gusfe Tallement, 9 jours, boulevard d'Alsa-,c L— Virginie André, 57 ans, journaliè-1ce. re, veuve Nilaire, rue Gharles-ÏII, 6. — \ Auguste-Félix Greffin, 69 ans, chanoine, rue e c) de Strasbourg, 163. Du 12 janvier 1903 Naissances. —- Augustine-Yvonne-Hélènee |Rom, rue de laSalle, 4.—Pierre-Henry- Maria a k. Karrenbauer, ruePichon, 8. — Léon-Albert 't |Higel, boul. de la Pépinière, 10. — GeorgesïEmile Pariset. rue de l'Etang, 135. — Char> les-Alphonse Chrétien, boulevard de la Pé3pinière, 4. — André-Joseph Simon, rue de e J k Strasbourg, 64. — Marie-Louise Olivier, '', 1rue des Qualre-Eglises, 56. — Adeline-Emiilie Broquet, rue du Téméraire, 18. — Alber''i. tine-Eugénie Barrière, rue des Qualre-Egli«ses, 56. ^ Décès. — Elisa Leba, 51 ans, journalière, 3) veuve Carré, rue de la Gendarmerie, 19. — _ 1 mois 15 15 j jours, rue de Nabécor, 13 bis. — Elisa-Eroéé1 lie-Julie Royer, 07 ans. rentière, veuve Patcquet, rue de Malzéville, 17. — Françoise :Q I Picard, 73 ans, sans profession, célibataire, ^ 1 rue de Strasbourg, 194. — Edouard-Philippe ,e ( Cougy, 18 ans, tailleur d'habits, rue des »s (Orphelines, L — René-Victor Perrin, 2 mois iS A 4 jours, rue du Bastion, 39. — Marie Louise ;e ï Sonntag, 3 mois et 24 jours, rue Clodion, , t64. — 1 mort-né. Transcription : Jeau-Bapliste Chmilelin, * a E52 ans, colonel commanttent le 116erégiment n ( d'infanterie, officier de la Légion d'honneur, r, < décédé à Toul le 10 décembre 1902. Publications de mariages. — Ambroise ■;e :Fauquel, voyageur de commerce à Beuvil111ers (M.-et-M.), avant à Nancy, rue SaintJI Georges, 26, et Horlense-Géclle Caillot, tailileuse, boulevard Lobau, 14. — Henri-Emile 'Vieprecht, rnililaire retraité, décoré de la ia :médaille militaire, et Augustine Clemenlz, Z) 1chapcliôre, tous deux rue de la Source, 11. I. ■— Charles-Edmond Dugour, employé de commerce, rue du Montet, 40, et Elise-Jeanne Jacquol, employée de commerce, rue ;Saint-Julien, 88. — Jules-Ernest Midon, comptable, ruedu Haut-Bourgeois, 35,époux divorcé de Marie-Joséphine Poirol, et Jean6ne-Elise-Eugénie Wiliien, sans profession à k Lunéville. - Hubert-André Brossard, emnployé au chemin de fer à Tasdon (CharenleeInférieure) et avant à Glairefoutaine (Seineeet Oise), et Maria Primon, cuisinière, rue je de la Commanderie, 28. — Paul-JosephnBiaise Balay, garçon boulanger, rue Kléeber, 39, et Mathilde-Victorine Poupart, couu " turière, rue de Villers, 22 bis. — Jacques es Yiuigmami, adjudant au 1"' régiment de de zouaves, en garnison à Alger, et Marie-Eu.ugénie-Marguerite Parmentier, sans profesÎSsion, place de la Carrière, 3. Isidore-Paul Boniface, rue des Ponts, 11, II, et Vicloire-Maile-Joseph Quémard, cuisisinlère, rue des Carmes, 36. — Ange-Pierre ;re Cornu de la Fontaine, capitaine d'artillerie, ie, stagiaire à l'état-major du 20' corps d'ai mée. (Camille-Désiré-Guslave Royer, rue Grand ville, 22, et Nicole-Marie-C émonru Une tin Geisler, sans profession a Etival (VosKes). _ Charles-Georges Saumier, menulge fier, rue Bailly, 19, et Marie-JoséphineLauslc rencon, employée de commerce, rue Ober™' J89 bis. — Jacques Reymann, sculpteur lin sur bois, rue de l'Etang, 50, et Joséphine î£ Weil, cuisinière, rue Saint-Dizier. 23. — ^ Antoine Bernard, cordonnier, rue Clodion, n 49 époux divorcé de Marie-Louise Vosgin, et' t' Marie-Adèle Legrand, journalière, rue e Clodion, 49. — Jean-Maurice André, clerc ci< (j dee notaire, rue de la Constitution, 5, et Euffônie-Marie-Madeleine Pein.sans profession gé \ Paris, boulevard Saint-Michel, 71. — Ama ij broise-Joseph Payeur, docteur en médecine r à Lemberg (Lorraine), et, Marie-Lucie-Caroline Cura, sans profession, rue de Strasro! bour", 29. D0 Edouard-Edmond Caron. photograveur, u rue Lionnois, 19, et Maria-Céline Guyot, V sans profession à Saint Nicolas-du-Port. — sa ci Charles Arlis, maçon, rue Molitor, 25, et M; Maria-Amélie Deschevaux, ouvrière d usine \x >Saint-Max, avant à Rambervillers (Vosà ges). _ Edouard Fontaine, menuisier a ge Laxou. près Nancy, et Marie Hervé, perLî leuse, rue du Sergcnl-Blandan, 71 — Jeanlei Joseph-Ghislain Guilmin, comptable a NanJo cy veuf de Môlanie Lemoine, et Marie Cacy Ihèrine-Jeanne-Marguerite Bertrand, sans th profession à Nancy,veuve de Louis Guilmin. pr - Cluu-les Emile Geimer, restaurateur, rue — Saint-Nicolas, 50,et Marie-Jeanne Démange, Ss sans profession à Maxéville. — Emile Persa ton, chapelier, chemin de Remicourt, et Malo ric-Emélie Nicole, bonnetière à Malzéville. rit Joseph-Constant Cuny, bûcheron à Raonles Leau (Meurthe-et-Moselle), et Marie-Pauy line Grimont, femme de chambre, rue Stan nislas, 49. —Fridolin-Georges-Lôon Gigleux, ni manœuvre à Neuves-Maisons, ct frlaricm Louise Bosmans, sans profession à Neuves^ Maisons. — Georges Lorenlz, .cultivateur à QJ Climbach (Alsace), et Wilhelmine-Mariej ( Louise Wolk, cuisinière, chemin Blanc. — p, Prosper Welsch, représentant de commerce,, rue de l'Etang, 58, et Marie-Clotilde BerCt nard, tailleuse, rue Charles-III, 78.— Pierre ru Franz, couvreur, rue de la Commanderie, <« 49, et Louise-Ernestine Legay, femme de j chambre, c rue de la Commanderie, 71.— LuM cicn-Louis Rousseau, employé des ponls et cl chaussées à Dieulouard, et Barbe Glodt, cui» s siniére, rue Lcpois, 17, de fait, de droit à jj Dalheim (grand-duché de Luxembourg). — «j Charles-Victor Thiriori, serrurier, rue A Drouin, et Augusline-Chrisline Port, sans ... profession à Saint-Max. 1 ♦ Cie d'Assurances Générales sur la Vie Itciile* vlaR-prc», — mixtes — dotales y Simon, 3S, rue Gambetta, Henseig. gratuits M. ♦ n T«5 MUNICIPAL. — Mardi 13 janvier 1903, à 8 heures, avec le concours de Mlle Wilhem. — Le Maître de forges, drame en 5 actes, de M. Georges Oh net. Le Lu„ thier de Crémone, comédie en 1 acte, de F FrançoisGoppée. | HI;A.TIIE QuA-ruon HEKKING.—Très agréable séance d du quatuor Hekking, dimanche, au salon Q Carré Je dis « quatuor » pour respecter la , _tradilion, car, en vérité, le Quatuor n'était représenté que par celui en ré mineur de p Fr. Schubert, sur l'inlerprélalion duquel il est ! préférable de glisser. J'ai trop de fois rendu hommage au talent et aux efforts de », M. Louis Hekking et de ses collaborateurs pour ne pas leur dire, en toute sincérité, J.que leur exécution était celte fois cahotée, ;!rocailleuse, exemple des qualités de sou? plesse et de moelleux dont témoigne ordif nairement le quatuor. C'est une revanche à prendre. ^ M. Gérard Hekking revenait parmi nous 'avec un programme intéressant, compre%nant la Sonate eu fa majeur, de Richard Strauss, l'Aria, 'do Bach, et la Pavane, de £ '~Saiht-Saëns, subrepticement glissée à la place de l'Air de Pcrgolèse. C'est incontes, tablement — en dépit du bis qui a accueilli ,' la '' Pavane — dans l'Aria, du trrand Bach, que Gérard Hekking a procuré aux musi' ciens lo plaisir le plus pur. Ses larges qualités de solidité, de son, de style sont émi-. nomment adéquates k la musique du vieux maître. Il en rend la noble architecture avec' : !,une sobriété d'efforts et une intensité d'expression extraordinaires. Il est y aussi peu; * « exécutant » que possible — vous voyez "( dans quel sens j'entends l'expression. Et il| 1mérite des louanges sans réserves. On a fort apprécié aussi Mlle Cahun, c chanteuse adroite, trop adroite. Elle a déli-(cieusement chanté le Secret de Fauré, mais! ses s habiletés d'interprète conviennent moins> à I là simplicité classique et notamment à\ l'air de Suzanne des Noces de Figaro. Dans 'les Adieux de l'Hôtesse arabe de Bizet,''1 <elle a triomphé.— G. B. . Au THÉÂTRE. — L'engouement du public; pour 1 le théâtre continue. Il augmente. Di-' manche, au Voyage en Chine, en matinée,, 1la salle craquait de monde du haut en bas. <On se disputait les slrapoulins... et les pla<ces debout. Et quel excellent public, chaudj <et enthousiaste ! Le soir, salle comble pourj. ille Dindon ct les Dragons de Villars, pro-. gramme abondamment copieux. . On parle d'agrandir la salle de théâtre.... 'et la caisse directoriale. «*. Le succès de La Belle au Bois dormantt ;allant en grandissant à chaque représenta.lion, pour satisfaire aux nombreuses de;mandes qui lui ont. clé adressées, la direc-; tion donnera, jeudi prochain 15 janvier, :la 7e représentation de cet ouvrage. » La location pour cette soirée sera ouverte dès aujourd'hui. * *** Le succès des pièces déjà représentées n empêche pas M. Mirai de songer aux nout veautés. La troupe d'opéra travaille actuellement Louise qui passera en février. Les s principaux sujets savent déjà leur rôle. On n répète activement Sapho, de Massenet, t, dont la reprise, particulièrement soignée, s, est annoncée pour le premier jour. Après is Sapho viendra une reprise du Pré-aux:Clercs (M. Mirai alterne intelligemment it 1 ancien et le nouveau répertoire) et enfin la a première des Saltimbanques, opérette nou1velle. La troupe de comédie ne reste pas is inactive. Elle travaille actuellement le Bon n Juge, le joyeux vaudeville de Bisson, le le Vertige qui sera une première sensation1"elle, et enfin Zaza, dont la reprise est pro> chaine. Voilà de belles soirées en perspec> -1—— i^,ro,,-r c-Afint livrés à des courses folies, ch cle troc altérés ils pourraient boire, sei, <]ans les ou bassins des poissonniers, qui sont installes bas a n v vac ,.„ i« inpn on onvelauiuau ucs i<ne .,. fl ren abondamment lier ga gar pnis lorsauePhœbôépandrait ses rayons r nocturnes enveloppant graduellement no110c h^ mimTvu^ olanôte de son voile sombre Ire ^MaÏÏSKtérK on descendrait les et t cavïe i onXeuses et poulains fougueux, cav qui n'auraient pu être vendus, dans les caqui ves doigts de roses L (voir l'Iliade), ouvrant les portes de \ Est, v0 l pas pas celles du journal, mais de l'Oricn , înc iauera qu'il est l'heure d'ouvrir celles du que Marché, la cavalerie sera remontée de la Ma cave dans un étal de fraîcheur. cav Daignez agréer, monsieur, etc. L Un maquignon de luxe. ?JW Sfiî fÏÏSffî*ph rSolVms ^^gS^&'SS, ^A^S^ uJm* ♦ —— Meuse j MM. F. Buisson, Paul Guieysse ol Francis cig de Pressensé, députés, membres du co-, mité central de la Ligue des Droits de l'Homme, viennent d'adresser à M. le mi1 f nistre de la justice la lettre suivante : "is « Monsieur le ministre, \Vous savez quelles circonstances ont amené la fin tragique du malheureux Gobillot, ne accusé d'avoir assassiné Mme veuve MitoUr, acc jyr. et Mlle Huraull, et même, semble-l-il, M. jyj M._ Robert et sa'dame de compagnie. -\ Vous savez qu'un berger du nom de Le(e clerc, arrêté en Suisse, est poursuivi pour C ces ces mêmes crimes, et qu'il doit passer aux assises de la Meuse, à Saint-Mihiel, dans la ass session qui s'ouvrira le 19 courant. ses i11 est trop clair que, en ce qui touche Go^jj billot, la justice a manqué de discernement, et et surtout de diligences. (C'est pourquoi l'instruction de l'affaire L Leclcrc a été retirée à M. le juge Martin qui G avait suivi l'affaire au regard et à rencontre1 avi (j de e Gobillot. (Cette mesure, qui était nécessaire pour la1 dignité même do la justice, en commande1 ~ autre de même ordre. une un < Qui doit requérir? Est-ce M. le procureur' de delà République de Saint-Mihiel? 1Il ne s'agit pas ici de jeter sur sapersonne'u des j r-'splcioos. M;"' les faits sont les faits. Et, de loute évidence, la condamnation de' Le Leclcrc pour les crimes au sujet desquels il' est poursuivi, sera, par ricochet, la cou-■ damnation des fautes commises dans Fins-■ traction première. Nc serait-il pas convenable que, dans ces> co conditions, M. le procureur de la Répu-■ ijjj blique de Saint-Mihiel ou son substitut^ „f( n'eussent pas à intervenir dans l'affaire Lejf c clerc? Et plus précisément, ne serait-il pas convenable que l'affaire Leclerc fût portée deve va vaut une autre cour d'assises où les orga^ nos de la justice seraient moins obsédés5 par pa le souci des fautes antérieurement comra mises? En un mot, n'eslimez-vous pas qu'il y a yLl une cause de suspicion légitime qui} là î p permet, qui commande même le renvoi de e |-n l'affaire Leclerc devant une autre cour* d'assises ? Ce serait une satisfaction nécessaire aux préoccupations légitimes de l'opinion publipr que et une satisfaction aussi à la dignité de8~ jla . a justice. Veuillez agréer, monsieurle minisire, etc.; " F. BUISSON , Paul GUIKYSSE, Francis DE PRESSENSÉ.» * Tout, on rendant hommage aux sentimentss e élevés qui peuvent inspirer la Ligue dess i Droits de l'homme, il est permis de se deDi ;. m mander en quoi les signataires de la lettre 0 qu'on vient do lire peuvent trouver des eau" ses de suspicion légitime dans les faits qu'ils se j s signalent. La suspicion légitime s'adresse à ceux qui sc sont chargés de juger et non pas à ceux qui sont chargés de requérir. se Or en quoi le jury de la Meuse, chargé dec ju juger Leclerc et dont la composition n'est. !1 . m même pas encore connue, peut-il être mêlé e et en quoi que ce soit aux nombreux incidents •s , de la procédure Gobillot-Leclerc? On a retiré l'instruction à M. le juge Marttin " et on Fa confiée à M. le juge Rollin. ». Nous n'avons pas à apprécier celle me.. si sure qui donnait satisfaction à un certain : ci courant de l'opinion publique, mais nous ne J saïutc /iiiiu-, » muni (ju a i';ii"niv T' aan est kl 1 est certain, c'est-que les conseillers ne 1verront, pas loirs la solution de la UeW lion tion des eaux. Les élections viondroni que l'on n'ait découvert une source iVil|>t ctanle, avant qu'on nc l'ail, canalisép ï,Jo1« etc. La solution proposée plus haut e'C' btei bien "1^1 accueillie du public. Tous les m ^1 ou itous les soirs, l'eau sciail v6hiril,a1 ou domicile, cl, tel le lait, livrée dans dons don fermés et stérilisés, pas à l'acide 5' nique autant que possible. Une grosso ^ plqi che annoncerait le passage 5if jrJii. d'es d'eau, comme les sonnelles aui.'urd'hiii '■l noncent celui du lailicr. A nioiii< ,-rJr i^^P non ne préfère recourir à (les ânes pour en 9*' vice, comme en Orient. A Neufchâleaii8*' n'e, n'en manque pas. NaH j Roncenx.— La gendarmerie a arm. j en en flagrant délit do colporla^'e d'allumpti' de ,contrebande, la femme Colm, née Aiïïs de Q Girot, âgée de 5G ans. '"cll« IV v Val-U'Ajol. — Pour des queslionsflH jiJS lerêt, ^ les familles Guslin cl I'.apcnne. CM vatrices à la Croiselte, et demeurant vol* nés sont divisées. Le fils italienne a la «' ncs, putation de sc livrera la boisson, el chann, fois qu'il est ivre, il cherche chicane a!î Guslin. C'est ainsi que, l'autre soir, \\ enlré chez eux et, sans mol dire, il SA la fille Guslin et. la traîna sur le plancherai la ttirant parles cheveux. Outré d'une n, reil reille conduite le père de la jeune flllo m dér dénoncé Rapenne comme s'élant livré vei| la '.Toussaint, et ce à diverses reprise?! à 1 chasse aux petits oiseaux sans permis ÇKi avec cl v 0 engins prohibés. h Bien entendu, l'inculpé a protesté a» éne énergie contre ces diverses accusations. ljonireiMy-la-H*Mcelle. — La flèvn _« aphteuse a été constatée dans quatre étabw de uo la commune. T Les dispositions ordinaires ont été priSes * aussitôt, pour empêcher la propagations cette maladie contagieuse. ou g g 1 Fresse-sur-Moselle. — Emile Bas I se> sex, journalier à Fresse-sur-Moselle, a été condamné, le 24 décembre dernier, par (e coi tribunal tri correctionnel de Remiremont, j qui quatre mois de prison pour vol d'effets. ] Raon-l'Ktape. — A battoir.—11 bceufi 23 23 vaches, 1 génisse, 60 veaux, 12 moulons 133 porcs el 1 chèvre ont élé abattus pej. dai dant le mois de décembre. j Marchés. — 378 porcs ont été amenés an marché pendant le même mois. ma ( Grains : 41 sacs de froment, 11 de seigle, 20( hectolitres d'avoine el 42 hectolitres de 200 po pommes de terre ont été vendus pendant le mois de décembre. mc — Le conseil municipal a volé des gratis, i calions aux personnes chargées des coun ca d'adultes. d-r ]11 a approuvé les décomptes des Ira vain (j de e reconstruction des trottoirs, rue Jules. p> Ferry et de construction d'un branchement 't d'égout au faubourg Badonvrller. d (Cette assemblée a voté une souscription de vingt francs au monument du sergent de n Hotr. ( («éi*s»r«Imcr. — Sur la proposition de M M. l'inspecteur adjoint, Jauffret, l'admtni;. , tralion forestière vient de faire don à la soJî ciété des pêcheurs à la ligne de Gêrardmer d de dix mille œufs d'ombre venant du lac de ™, Thonon. Ces œufs ont été aussitôt déposés da dans les bassins d'incubation de la société, en vue du repeuplement du lac de Gérardmer, un des buts essentiels qu'elle pour' suit, . — L'administration des postes est oectt pée actuellement à l'aménagement du nou\,e veau local du bureau situé 12, rue de 1> , G Gare, dans un immeuble entièrement neuf, ,' de , bel aspect, édifié sur les plans de l'ardutecte M. Laurent, par MM. Garnier-Th» ba baut, industriels bien connus. L'aménagement intérieur sera en rapport avec le développement de la station est! ' vale ; au dessus du toit, les monteurs di l'a l'administration installent une tourelle ej fer fe forgé surmontée d'un paratonnerre,! c l'effet de recevoir les isolateurs. Cettetol] r9 relie, d'un modèle nouveau et gracieux,'» dique d'une façon apparente l'emplaccmal ffi des bureaux. v « 2 LORRAISB HT ALSAC1 pi pouvons pas nous empêcher de faire remarl'_ * quer que le premier acte de M. le juge Rol1f. lin, en prenant possession du dossier, a élé V Lé de * te « régler », c'est-à-dire de renvoyer ;r 1' l'affaire devant la chambre des mises en accci cusalion et par conséquent devant la cour ir d d'assises, IS „• On peut se demander dans ces conditions ,s'il était de l'intérêt, soilde l'accusé, soit de le J£ la justice en général, de procéder in extreemis à un chaugement du juge, puisque le P Si xsecond juge n'a eu qu'à mettre une signati [g ture à la dernière pièce du dossier préparé p par son prédécesseur. Ceci soit dit sans aucun esprit de cri tlli" q que personnelle el dans le but uniquement :i t d de faire remarquer qu'il serait regrettable lo d de voir continuer dans celle affaire des mcc ' s sures exceptionnelles qui ne nous parais;jf s sent pas d'une utilité absolue et qui ne fec" r raient que retarder sans Intérêt pour per** s sonne une solution impatiemment attendue, .c. « Vosges Téléphone— Une cabine téléphonique ne rpublique installée au bureau de poste de de |j un peu de statistique ii Le nombre total des naissances enregistrèes en 1902 à l'état civil à Metz a été de 1 1,017. Il y a eu 1,574 enfants nés viables el ii 43 mort-nés, 1,317 enfants légitimes el 300 il illégitimes, 831 du sexe masculin, 786 ii sexe féminin et 19 couples de jumeaux. se Le chiffre des décès, à l'exclusion des enfants mort-nés, a été de 1,088, dont 572per\£ sonnes du sexe masculin et 516 du sexe fé^ minin; 293 décédés n'avaient pas atteint y. l'âge d'un an. En 1901, le nombre total des naissances ei enregistrées à Metz avait été de 1,573 ; ilï a avait eu 1,512 enfants nés viables et 61 n: morts-nés, 1,247 enfants légitimes et 326UJ' légitimes, 835 du sexe masculin et 738(1» s< sexe féminin. En dehors des mort-nés, uJ aavait eu 1,144 décès à enregistrer, dont© , p personnes du sexe masculin et 522 du sexe f( féminin ; 293 décêdés n'avalent pas atteint ï l'âge d'un an. En 1902, l'excédent des naissances sur les décès a été à Metz de 486, tandis h c cet ' excédent s'élevait à 368 l'année prece* dente. " Il y a ou en 1902 550 mariages, contrefi i> l'année précédente. Il a été fait 1,251 c cations de mariages contre 1,125 l'année fW ccédente. Extrait «ïe l'état civil «le Met* 11 1 J Naissances. — Berthe Martin. — A '? ' nette-Jean ne-Claire Schwarz. — Agi*' r Louise-Emilienne Salingré. — Auguste-^ s seph Wolf. — Anne Bohr. — Jea»*»1! A Adler. - Lucien Valzer. — Camille 0Pe, — René et Gaston Rueff, j umeaux.-Ai# Salm. — HortenseMarie Fuss. — AW» Saloi. Tt Publications de mariages. — Emile 1 ttenuit, menuisier à Melz, et Marie Colrïj'j àà Rickingen. — Mathis Baron, serrm'iei' J Marie Punneî, à Melz. — Joseph ï>el& J 1 restaurateur, et Berthe Gohrin, à Me» j i Achille Adam, commis, et Marie jMelz. - Jean Kasner, facteur à Me «j, 1 Marie Jung, àQueuleu. — Henri KeuL 1manœuvre, et Catherine Simon, a 1 mond. ,gi Décès. — Jules-Guillaume-Avin ScP449 ans. — Guillemetle Klein, 72 ans.-z* s sabelh Rœsner, 59 ans. — Alexandre y , ççois Franck, 59 ans. — Jean Moyen, J\U -— Louis Weil, 66 ans. — Pierre MaiW ,j 1lo, 36 ans. — Anne-Marguerite Glotnn' . All 1 ans. — Guillemelte Faust. 54 ans. -\ „, £gusle-Didier Hermann, 78'ans.—Hei^ 1 Ernest Kowalewski, 61 ans. — u 1 François, 80 ans. - Joseph Diélricn, -— André Gross, 90 ans. . ^ >Vicherey est ouverte au service depuis le le 1 janvier courant. 10 Les taxes applicables aux conversations ns £seront les suivantes : 0 fr. 25 avec Chàtenois.Gironcourt, Houéléccourt, Neufchâleau el Rcmoville ; 0 fr. 40 avec les autres localités des Vos>sges, la Meurthe-et-Moselle, la Haute-Saônee :; 0 fr. 50 avec la Côlcd'Or, le Doubs, la la 1 Meuse et la Haute-Marne : 1 fr. 25 pour la région de Paris. Rappelons à celte occasion que les avis às < d'appel permettent, dans toutes lescommum1nés pourvues d'un service de distribution on SCAPIN. Itéléphonique, de convoquer à la cabine lélé♦ legraphique une personne non abonnée. Le Le prix de ces avis est do 0 fr. 25 entre localiiliGRAND CAFÉ-BRASSERIE DE LA ROTONDE 1 tes faisant partie du même canton ou rere. Plat du jour : O.THZ lices par des lignes de moins de 25 kilomèè 1 Hardi 13 janvier : Déjeuner, Cites de porc purée de pommes I ' " Suicide «l'un officier alle»' ^ n ies très ; do 0 f r. 30 pour les astres réseaux du Diuer, Smlé de chevreuil chasseur. 1département ct do 0 fr. 40 dans les autres . La Metzer Zeitung signale le ,sui«" (# t eî ( e cas. > chef d'escadron Capitlin, du 5 regm^> (chevau-légers à Sarreguemiues. ^tt * Courrier «ïe PCeulVIaîïteî,,,. _ jj ne ne les motifs du suicide. bonne nouvelle. - 11 paraît qu'un de nos l s ? , Thionvillc concitoyens, en présence du peu de succès :es 1 Une foule nombreuse a assiste aux des réclamations verbales et écrites au suBoutade sur le marché aux chevaux îu- 'railles de Mme Félix Schneider, »ùf.\^ jet des eaux, a pris une résolution vraiment „ Nancy, le 12 janvier 1903. »» Tout ce qui reste du vieux Thionviue■ „| géniale. Tous les jours, plusieurs véhicules i Monsieur le rédacteur, «es a l'église : il y a trente ans, l'assisU»11se rendront, à Sainte-Amie et amèneront \ î L idée de créer un marché aux chevaux à , a Neuf château des milliers de litres de wie celteà dédouble. ei Nancy est des plus heureuses, il n'y a qu'à Ue , La famille Péan a élé une des WRLw» a eau pure el limpide. en féliciter les auteurs, d'autant plus que milles delà ville; le père de la clWuelll el ie L'eau sera vendue aux enchères; l'endroit celle grandiose innovation ne coûtera pas oit de membre du conseil d'arrondisse^ $ as de la ville où se passera cette vente orM. une obole à la ville. gi- 'maire de Thionvillc pendant de longVlP xl n nale n est point encore désigné. Ilestàsou, . 'y a, en effet, qu'à consacrer la coulju- :nées. La famille Schneider est aPP;1 c0» .11 haitcr que notre concitoyen trouve vile cl^ A du Marché-Couvert, toujours déserte mainles ^ de a' plusieurs familles honorables ^L A tenant, grâce au dernier règlement, pour ny imitateurs; de ce fait, en vertu de la loi de troc; quelques-unes ont émigré d1»^ y la concurrence, les prix de l'eau, amenée installer le marché aux chevaux demandé iee avec honneur à Pont-à-Mousson et -f WeV par les pétitionnaires. enMme Schneider était d'une po 'e join Dans cette immense cour, les chevaux se. quise et d'une dignité peu comnian*^ M ;eFaisons des vœux, au début de l'année raient fort bien ; on pourrait les y laisser te er pour que cette idée soit reprise nar?A . a une simplicité charmante ; Iemn, réP^S en liberté, il n'y aurait qu'à fermer les porîp conseil municipal. La ville, en effet non le - et. de lad, elle marquait, même a rjs^ tes, donnant sur la rue Saint-Dizier, et ils ut- ou Thionville était au complet, el lett5e ï pourraient y gambader tout à leur aise. its rail très b en passer un contrat avec ln I société de transport qui, chaque malin u.e d« l'csUmc universelle. Bonne. Lorsque, libres de toutes entraves, les Leslvrerut a Neuf château'de l'eau, pu sée »•à charitable, elle laisse uae mêai011* - » ré*. 1 TRÏBÛ5ËJÛKJQTO ,„ i* i ! j : I > ! i EST REPUBLICAIN IOLUTIMSRICÛLE f *ttat des récoltes El I,a âteiation des récoltes en terre est res• êe laûsfaisanle. Les blés ont toujours une belle apparence, mais, dans certains endroits on commençait à se plaindre de l'envahissement des mauvaises herbes et des ravages opérés par la vermine. Aussi at-on vu lundi avec plaisir le temps devenir enfin plus conforme a la saison. L'aspect de la récolte, dans son ensemble, n a rien d anormal et tout dépend maintenant, pour son succès de la température qui écherra en février et rnars. Si en Lorraine nous avons été assez favorisés, il n'en est pas de même: partout et dans des centres de production il s'est trouvé que les premières gelées ont été funestes aux emblavures, qui sont cousidérées comme perdues. < ; On devra les remplacer par des bles de, mars ou des blés bleus au printemps ; on doit cependant constater que la poussée n'aL pas été aussi vigoureuse qu'elle eut puL l'être avant l'hiver. Est-ce cette constata-■ tion ou le besoin de regarnir leurs greniers| qui pousse les meuniers à faire aujourd'hui[ des achats? La vente fait prime et l'on peut^ obtenir à l'heure actuelle 20 fr. 50 des bons blés ; ces prix se maintiendront-ils? C'est à[ espérer. En tout cas, ceux qui ont à ven-. dre n'ont pas à se presser, la baisse n'estt pas prête de se produire et lors même que3 la récolte prochaine se présenterait sous les5 plus brillants auspices, le blé ne descendraJ pas au-dessous du prix actuel. Les autres? céréales, avoines et orges, ne varient pas l; leur prix reste à un cours normal. En culture, on commencerait, si la température3 actuelle devait continuer, à labourer les3 friches, lete vieilles luzernes, afin d'ameu-blir le sol, pour recevoir les avoines de Briei précoces. Le cultivateur qui a, en effet, terminé ses* battages, demeure inactif, car il ne peut conduire les engrais. Il lui faut occuper son temps à conduire des pierres sur les chemins, faucarder les ruisseaux et faire desj drainages là où c'est besoin. Les conduites de bois sont suspendues eni raison du mauvais état des chemins, des sorte que chacun à la ferme doit changer[' son rôle. A part les marcaires dont les soinss doivent se porter vers le bétail dont l'engraissement d'hiver est en bonne voie, toutl le travail des autres ouvriers de la ferme3 porte suc les réparations aux instrumentss aratoires, au triage des denrées ef légumess secs. Les vignerons ne restent pas inactifs ; il1 y a toujours du travail pour celui qui veut1 s'occuper. La fabrication des échalas, lee triage de la paille, le relèvement des éboutis dans les vignes situées en coteaux, sontT autant de besognes qu'il est nécessaire dee faire et dont le vigneron peut se débarrasser pendant la morte saison. Déjà les quel-quesjours de soleil de cette semaine lui ontt fait délaisser les travaux d'intérieur pourr pommencer la taille, et l'on «peut voir, serpette ou sécateur en main, le vigneron qui coupe, rogne et nettoie le cep que mal-" heureusement pour nos contrées on laissee beaucoup trop vieillir. On commence à en-p fouir quelques « provins » dans les vigness plantées sur des terrains argileux. Le tempss pluvieux qui avait été la caractéristique dee la semaine précédente n'a pas élé très goû-l" té de nos viticulteurs qui préféreraient dee beaucoup un temps sec et froid qui rendrait les vignes plus abordables et permet-!" trait de continuer les travaux de la saison,i et aiderait également aux vins qui ont encore besoin de parfaire leur dépouillement.. Les premiers soutirages effectués jussqu'alors permettent de constater que les lS vins de 1902 sont généralement de beauf" -coup supérieurs à ceux de la récolte anté^ rieure ; leur goût est plus net et ils n'ont pas la même tendance a casser. 1Les transactions sont actuellement calmes. La majeure partie de la récolle see trouve entre les mains du commerce et les is propriétaires nombreux qui ont encore dee fa marchandise disponible ne sont aucuneîment disposés à s'en défaire en ce moment. lis escomptent une hausse nouvelle qui, *' d'après eux, se produirait, en février et mars. 3 Souhaitons qu'ils ne soient point trompésS dans leurs espérances. [.Bélier.) A. JACQUES. i Houblons m Alost. — Les transactions en houblon d'Alost 1902, n'ont présenté que peu d'actiivité depuis huit jours, mais les prix sont ît néanmoins restés très soutenus, et ils contiinuent de varier pour la marchandise en balles comprimées de 83 fr. à 85(86 par 50 )U kilos, selon les termes de livraison. _ Il se présente par continuation des achee JJ. teurs pour les balles originaires, do premier xchoix et de belle couleur, destinées à l'exportation ; mais les prix de fr. 90|92 par ir 50 kilos, offerts ces jours derniers sur notre re place, n'ont pu être acceptés, par suite de le l'épuisement de la récolte en premières 3S mains. Les marchés étrangers sont, pour la plupart d'une fermeté remarquable, résultant a en grande partie de la réduction successive /e des stocks en houblons de la dernière réécolte, ce qui devra provoquer une demande ie plus active en houblon belge et un relèveement dans les cours, lorsque la brasserie te de notre pays se mettra résolument aux lx achals. Haguenau.— 100 balles, qualité moyenne, P vendues à 115 mk. les 59 kilos, premier er coût, à une maison de Bavière, situation m très ferme. . A noter que le prix moyen d'un bon houUblon d'Alsace était au début de la récolte te 57Jmk ij2. Munich (Bavière). — Voici les prix ix fftoyens de notre marché du 31 décembre(5 :: Houblons de la haute et basse Bavière, es!Spèces moyennes Km. sortes préfé'érées de Holledau campagne Rm. 300,.. ; de le la Franconie centrale: qualités moyennes es Rm. environs de Spall et Kiir^ n" ding Rm. 336,80. Spall ville el Moosbach îh Rm. ....... Autres houblons allemands: 3 : l Bade, Rm. ....... Wurtemberg Rm. ....... Bohême district de Saazville el environs Rm. 367,30; Auscha Rm. 350...; autres provenances de Bohême Rm. 320,.., houblons de Slyrie Rm. ....... Arrivages de la semaine: KO....; ventes : 10,564 kil. 5 ; stock au L" janvier, 130,011 kil. .., ^ {Bulletin des Halles.) 4 Ecbo$ la de , ï Juûde { j Marguerite ROLLAZÏ». « Mais non, ce n'eslpas Danto qui erre sous mes fenêtres... lo souffle qui effleure mon front, mes mains, tandis que ma rêverie s'accoude à la lable, ce n'est pas le vent du Slyx... c'est le soupir de mon amoureux qui transit de respect dans sa yole, sous ma frigide indifférence. « J'entends par instant le cri des orfraies; il ne me fait plus peur... « La lavandière a disparu... son chant dure toujours. On dirait unevoix d'oulrotombo dominée par le clapotement do l'invisible rame — est-co celle de Caron ? — qui semble m'appeler plus proche, toujours plus proche, pour quoique promenade de rêve... « Il faut rentrer. « Vous avez assez vu ma manche blanche — ô bel officier — traîner comme l'aile d'une colombe amoureuse, au bord do la cage tentatrice. L'oiselle, èncagée par vertu, veut bien entendre, derrière les barreaux, la jolie chanson des lavandières — voire même celle do vos soupirs ; — elle respire l'amour comme une bello-de-nuH qui exhalerait on son honneur ses baumes, épuiserait ses casso- donc» commerciale. Concurrence deloj-ale. Res- j dci ponsabilité des agences de renseignements. Le M'mplolerez-vous . droit d'accroissement dans les sociétés civiles. — j EC Economie commerciale et industrielle : La sténo- j raé inécanogrophic. La machine à sténographier. L'indu dustrie de la chaussure aux Etats-Unis. JRenseignements commerciaux : Sociétés, adjudical cations, foires et marchés, faillites el liquidations, renseignements utiles. — Nouvelles diverses de la 2' région : Chambres de commerce, les bouilleurs de .j les tramways d'Epinal, bloc-notes des affaires cru, cl commerciales. COi ]Les derniers numéros ont consacré de longues et int intéressantes monographies à la Brasserie de Tantonville, et à la Verrerie Daum, de Nancy. toi « B panière qualité? jp d'après la science, à toutes les personnes leur estomac oblige à la sobriété de terHuile de foie de morue pure que ^ miner toujours leurs repas par un gobelclnaturelle, importée directement de Bergen mesure de Vin Bravais. Ils contrebalance!| (Norvège). Prix avantageux. Pharm.-Dro- ro ront ainsi avec avantage les effets dépresJfiguérie Monal frères, 6, ra« des Dominicains, Nancj. sifs sil et débilitants de leur régime abslème. IU( BULLETIN FINANCIER " 0. ï HUNZ1KER, cirBFpa-Wste Successeur «le W. Ilol>ert Nancy, 41 ter, rue Saint-Jean Ceusiiïtalicns de 8 fo. à midi et de 1 H2 â 512 !a Banque Renault! 8- Gie, à Nancy Capital 4 millions La hausse de la Rente française est le se seul fait méritant d'êlre signalé. Indo-Chinois 3 0\0 1902. — La question °J g 1 CULTIVATEURS I 1 | B 1 B Les personnes qui, par erreur ou omission n'auraient pas reçu de lettre de faire-part du 8 Madame mu Jules PAQUET * 1 j g S I I 1 Î 5 TRIBUNAUX premier rang parmi les tiuires publications simi-" laires. Il constitue un témoignage éloquent des progrèss ilicessants accomplis dans le domaine de la publicité et donne, en outre, une idée de la remarL'ATTENTAT CONTRE LE ROI LËOPOLD. -— quable organisation de la société éditrice. I C'est donc dans quelques jours que Ru- Mentionnons aussi que ce catalogue sort de laI 1bino, qui tenta d'assassiner le roi des Bel-- ;propre imprimerie de la maison Haasenstein et j ges, comparaîtra devant la cour d'assi-. Vogter; cela a son importance. La Daily Mai!, de Londres, croit savoir que leE président Kruger a réduit dans de3 proportionss !; considérables ses dépenses à Menton. Il s'est séi- '! paré des trois secrétaires qui travaillaient sous saa ■ direction depuis son arrivée en Europe. jses de Brabant. Des mesures d'ordre3 Selon le même journal, M. Kruger aurait vendu uh i Revue de Commerce et de Comptabilité toutes ses propriétés au Transvaal et aurait envoyé | jtrès sévères ont été prises à l'occasion. Voici le sommaire du 4" numéro de la Bévue ré-• de ce procès ; seuls, les avocats on. gionale 40,000 livres sterling (un million) aus familles des de Commerce et de Comptabilité: robe seront admis dans l'enceinte réser- 1 Chroniques commerciales : La vénatitu des offiBurghers ruinés par la guerre, véo. ces. Les chemins de fer français. La houille dans' ' — j. Les journalistes devront produire une^J le monde. Les colis postaux. — Gomptabililé : Des L'état de santé du roi Georges de Saxe s'est telmodes d'amortissements, par Emile Moret. lement amélioré que les médecins ne donneront ' i carte spéciale, délivrée par le président,> !divers — Assurances : Considérations générales sur l'as-:'. t plus de bulletin quotidien. M. Jamar. Aucune carte de faveur no3 ;surance sur la vie, par E. Walther. — Jurispru-.- I i ] France le premier rang. Elle guérit si sûreiment rhumes, bronchites, affections de la <gorge et des poumons que, pour ces mala(dies ou les maladies des enfants, rien ne i peut lui être comparé : l'Emulsion Scott est \ remède, les autres choses sont de simun iples préparations. Des milliers et des milliers de gens sont des preuves vivantes à i l'appui de cetle vérité, car ils n'ont obtenu j leur guôrison que parce qu'ils prirent da \ l'Emulsion Scott, le meilleur reconstituant < France, et qu'ils ne se laissèrent pas inde <duire à accepter une imitation de l'Emulsion < Scott. 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L'HUlLLiER, bâiiâagïste-tierniaire-specialisft S terrible maladie, indique .gratuitement à sa ceux qui soutient de nsutastMoie, maladies nerïeuseien Rue StDizier, 141, à NANCY {pr. parle Sl-Kicola« 1 core do les éparpiller dans lo vide, dans soins, do discrets se firent assidus, et l'oubli. dos paroles commencèrent l'enjôlement. Lo geste était joli, pour qui l'eût vu : Pour débuter, il usa d'une feinto clascetle femme penchée sur Pèle du jardin sique : il pria Mlle Bloizel de lui «donner fleuri, le buste hors les croisillons do leçons » ; au besoin, il partagerait celles fer forgés et qui, lis noir aux yeux de de Laura. pervenche, regardait un rêve s'évaporer Ce garçon vif el joyeux, toujours en Juliette referma sa fenêtre. dans du ciel bleu... mouvement, toujours en dépense d'actiElle avait bu la nuit, le silence, non lo Par une singulière sensation, Juliette vité, devenait langoureux comme une calme. senlait peser, sur ses moindres mouve- Andalouse lorsqu'il entendait de la muDans son sommeil, elle vil rôder au- ments, un regard d'homme. Oui, dans sique ou des vers. Co fond do mélancotour do sa couche la gondole et le gon-1 l'ombre, toujours quelqu'un était là, pré- lie, ce goût inné des poèmes ol. des lédolier. sent. Un désir rôdeur pénétrait chez elle, gendes sont bien la caractéristique du C'est la réalité, celle fois, qui se fai- çorle close, d'autant plus éloquent qu'il peuple suédois, dont la gaieté la plus sait songe. était sans parole. La grando solitude de folle s'exhale dans les chants patriotiElle n'était plus seule dans la soli- la jeune Française s'en trouvait comme ques, comme elle s'éteint en rêverie tude. assistée, secourue. Célait un peu d'ado- dans les brumeuses el nostalgiques chanration versée dans son atmosphère de- sons, do Franzen. VII puis la nuit lumineuse. Sa lâche quotiEntre sa tentation et ses devoirs de dienne perdait do son ingratitude; ses châtelaiu, Abcl Borgh avait placé la pruCes feuillets épars sur sa table la sur- facultés féminines s'entretenaient, s'ai- dence. Elle no le maintint pas longtemps prirent fort le lendemain. guisaient maintenant dans l'exercice de en équilibre. L'atlrail de la Française deElail-ce vraiment une lettre pour Pier- leur grâce jjour l'éventualité de quelque vint tel, un beau jour, quo la raison de rette, ces ôlucubralions poétiques mono- suprême séduction. l'officier chavira. loguées en journal de dotnoiselle? JuLe trouble de cet état, par son charme Un premier billet fut glissé dans le caliette eut un impitoyable haussement même, offrait son danger Mais Juliette hier, un second suivit, puis un troid'épaule. Elle prit dans son tiroir une s'en riait. Aboi Borgh n'était qu'un fanto- sième. collection de vues Scandinaves, tron- che ; l'adoration plus quo l'adorateur la Au dixième, Juliette mil une note gronçonna sa missive en autant de caries, touchait. deuse; mais le galant n'ignorait pas brouilla le tout comme un jeu de patience, L'imprudente se leurra jusqu'à glisser qu'une fureur féminino s'use à répondre : et mil l'adresse des Ilarneuves. Ensuite, dans «une condescendance dont les cir- il insista. elle revint aux feuillets de la veillo, les constances s'empressèrent do faire une Au bout d'un mois, soupirant et profesdéchira, les jeta vers lo lac ; mais lente- obligation. seur correspondaient. A vrai dire, Aboi ment, mollement.La multitude des petits Il advint que le bel officier, las sans avait trouve le joint. Il s'était confessé. papiers s'envola dans le soleil du malin doute de ses contemplations do trouba- Sa vie dissipée lui faisait horreur : le vocomme autant de blancs papillons. Déjà dour sous la lune, voulut goûler passe- lage voulait se rangor. ils avaient disparu, les doigts souples, temps plus doux auprès do colle tentante Dès lors qu'elle sermonne, la femme d'un ballemont répété, continuaient en- [belle habillée on institutrice; car ses1 ne discute plus son zôlo. Soit qu'elle crût Maison de confiance fondée en 1812 général, dyspepsie, vertige, fatigue cérébrale, palpitations da cœur, ™ IVouveau bandage à clef à pression faculu un . moyen simple, de résultat surprenant. tative. Nouveau bandage hjdropneumatique li Ecr. à Mme Eliza C. de S., Aix-en-Provence. Indégonflable srns ressorts ni sous-cuisses, dernier |j Maison MAURICE Frères.uNaaej Opticiens-Spécialistes, 4ri, rue St-Jean Instruments ait nietiurer la vue ÇgTî^ LUETTES PINCE NEZ depuis l fr.50 # Jg&f tfSïsgçr^ ^^BflBr perfectionnement. Nouvelles ceintures ventrière» et hypogastriques pour les descentes de mairie» b. 8. g. d. g. Membres artificiels et appareils orthopédiques perfectionnés. Instruments de chirurgie). Seul dépositaire d'oxygène pur de la Compagnie française l'Oxigène. La Maison n'a pas do suceur sale. TÉLÉPHONE S90. — Arrêt du tramway Charlos Ht pr poste «fr. «O Indiquer l'âge ■ ^^^^^S y^"" A. 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Marque de ïh^^ ILES DE LOFODEN (Norvège), 1902' Messieurs. Depuis de nombreuse» années je pêche pour vous les meilleures morues qui nagent dans les eaux glar cées de nos îles et ces morues de Lofoden sont le* plus belles du monde. De ces morues que je prends à l'aide d'hameçons fixés à une longue Ugne, je réserve pour votre usage le premier choix seulement. Durant tout le temps que j'ai travaillé pour vous je ne vous ai jamais rapporté un poisson de catégorie inférieure. C'est pour cette raison que la merveilleuse huile curative obtenue pour vous des foies de ces morues a toujours été de lapremière qualité produite en Norvège ct, par conséqquent, la meilleure du monde entier. Si les braves ggens de France désirent employer des choses de q qualité supérieure et non des choses de deuxièm» =choix, ils n'ont qu'à se procurer l'Emulsion Scott, 'dont l'enveloppe porte ie dessin ci-dessus repréasentant une grosse morue ùe Lofoden et Votre pêcheur. Messieurs Dclouche et Cie, Paris. i sce vùLi wéii j M monétaire, qui ne lardera pas à être tran- I cliée, ne doit pas, semble-t-il, éloigner les 1 capitaux de celte valeur exemple d'impôts ■ et. qui donne à 449 un rendement net de Tout le monde est Intrigué et se demande 33 35 0[O. ce comment il se fait que la Seavuline purgaObligations câbles télégraphiques. — tif t il laxatif n'a pas mauvais goût. Jusqu'à ce L La combinaison des deux obligations Câble jo jour les purgatifs avaient ungoùtdéteslable, U transatlantique 4 0}0 et Câbles télêgra- ùi une odeur écœurante. La Seavuline est de phiques 3 li2 O3O, donne un rendement net ce P composition végétale, aussi est-elle très di de 4 60 0[0, avec une belle prime d'amortis- douce dt et convient-elle aux enfants comme s< sèment de 36 0[0. ai aux grandes personnes. Les enfants auxMétropolitain. — Jusqu'au 15 janvier, quels q\ on est obligé de masquer de différenversement du troisième quart sur les ac- tes te façons le goût détestable de l'huile de rit lions non libérées de la deuxième émis- j ci cin qu'ils vomissent souvent, apprécient fort ; sion, avec faculté de libération complète. la s la Seavuline qu'ils avalent comme un bonVille de Tourcoing. — Emission d'obli- b( bon. Les papas et les mamans qui ont beg gâtions de 500 fr. 3,30 0[0 au prix de 495 fr. se soin de sortir pour leurs affaires tiennent à Emprunt 3 OiO de la commune de pi prendre la Seavuline qui ne les oblige pas Laehen-lcs-Bruxelles (Résidence royale a à rester à la maison et à changer leur régiL belge). — Emission de 17,485 obligations de m me el leurs habitudes. La Seavuline guérit 500 fr., remboursables au pair par tirages la constipation et les attaques de bile. en 90 ans, rapportant un intérêt de 15 fr. Lettre de M. Henriol Emile, à Lassus payable en deux coupons les 2 janvier et l,r (\ (Vosges) : |juillet ( et inconvertibles pendant 20 ans. « Je souffrais depuis longtemps d'une Prix d'émission 95 lp2 0[0 plus intérêts m maladie d'estomac qui m'empêchait de & courus. u travailler. Je ne pouvais presqtie plus Ville de Poil (Russie) 5 0}0. — Valeur manger n< et chaque matin je vomissais u dd'appoint susceptible d'entrer dans les por- une bile verte. J'ai pris la Seavuline et tf feuilles pour en relever le niveau moyen, j, te j'ai été immédiatement soulagé. Depuis Obligations de 100, 500 et-1,000 roubles je je n'ai plus rien ressenti. » avec coupons aux 13 janvier et 13 juillet Ou trouve laScavuune chez Gablin et Cie, r< remboursables au pair par tirages. Cours p] pharmacien, rue Ballu, Paris. Prix: deux , a actuel, 257 fr. 50 par coupure de 100 rou- fr la boîte pour nombreuses purgations. bbles, soit su-dessous du pair, jouissance 13 francs E En vente à Nancy dans les pharmacies j; janvier. . si suivantes : . L'erreira. —- Le 13 janvier, paiement Pharmacie-droguerie centrale de Nancy, d'un dividende de 20 sh. contre le coupon A. A Rosfelder, pharmacien de 1" classe, 12, d 11 n°41. ri de la Visitation ; pharmacie Lorraine, rue C Pagcl, docleur en pharmacie, 10, , La Banque Renauld et Cie se charge Camille de ces différentes opérations. n rue Raugraff. Vente en gros, maison A. G Cheminant, droguiste à Nancy, —m ! Paris a Francfort 81,35-40. j I ^ pas —■ Les interviewera sont parfois indiscret»... Hélas las 1 c'est le métier qui veut cela!... Un d'eux s'étai adressé un jour à Ghallemel-Lacour et tout en tait m interrogeant le célèbre sénateur, il faisaU consoie ciencieusement l'inventaire de la chambre à coucher dans laquelle on l'avait introduit. eh ,JM. Challemel-Lacour, qui s'était aperçu du manège j°£ du journaliste, mais n'avait pas .sourcillé, se contenta pour toute critique au moment où celuici prenait congé de lui, de l'amener vers un certti petit meuble intime, et de l'ouvrir en lui dittin L'optimisme et la joie de vivre disparaissant : ge chez le buveur d'eau, qui devient triste, SJU sent S— « Vous avez oublié ceci:.. » in' impressionnableetsansentraiu. Conseillons, « d,. Si la salle à manger est d'un autre côté de j ■ sont priées de vouloir bien excuser la famille l'appartement, une table sera aménagée 1 3N DU CONGO j| et do considérer le présent avis comme une H dans un coin du salon, dans le même ordre H invitation à assister aux convoi, service et en- s 1 que plus haut. L'ÉVASION DE BOULAINE. — L'affaire de H lerremeot qui auront lieu le mercredi 14 jan- H Les jeunes filles et les jeunes femmes, l'évasion [• fier 1903, à dix heures du matin, en l'église ■ do Boulaine vient d'être close B 1B Sairtt-Vinetnt-Saint-Fiacre, et de là au cime- H ! adroites aux travaux à l'aiguille, peuvent, p : par une ordonnance de non-lieu, dont béJ S --Kère de Préville où se fera l'inhumation. g ià peu de frais, se faire de jolies nappes, napn ' néficienl lotîtes les personnes qui, direc- 1 jperons et serviettes à thé. Maison .mortuaire : i( tement ou indirectement, avaient favo- I 17, rue de Malzéville. g On achète de la toile de Mulhouse à car-■ | rrisô la fuite du banquier. , H Prière de n'envoyer ni fleurs, ni B reaux de couleur, on y fait un ourlet à jour ' '1 Les agents Jceggèr et Cher-fils, qui IH couronne». tout autour, et l'on brode au point de croix ' a I ^avaient été frappés de révocation, sont P une guirlande, ou un semi d'araignées, en1,' vréintégrés. coton assorti à la couleur des carreaux. } mOLIOGHAPHIE C'est du plus heureux effet. MARIAGE « IN EXTREMIS ». — Une dépêLa Chanson de France Pour les serviettes à thé, on peut, au lieut !! cche de New-York au Daily Mail, do LonLe numéro 3 du journal la Chanson de France 1 1vient de paraître. Voici le sommaire : de l'ourlet à jour, en tirant des fils, faire d ^dres, annonce la mort clo M. William Echos et correspondances. — Panthéon historiune petite frange, de deux ou trois centime-- ;; ïBradley, le « roi du bois », à Mihvanheo. analytique, artistique et humoristique de la q Ires, selon la taille de la petite serviette.• j IM. Bradley, qui laisse une fortune dei cque, chanson. — Les cafés-concerts sous l'empire, — 1 Les araignées ou la guirlande s'y reprodui-• ■i g200 millions de francs, était gravement Nos portraits. — L'art d'interpréter romances et sent de môme. rmalade depuis quelque temps et savait cchansons. — Vieux et bons souvenirs. Nos reproductions musicales : Berceuse, de Pour ces sortes de réceptions, les jeunes5 : que ç sa fin était proche. Suoék( inédit); Mon habit, de Iiéranger ; le tableau filles s'habillent un peu, c'est-à-dire queÏ j Sur son lit do mort, il fil appeler miss1 cd'une soirée de Paris, de Désaugiers;Si te vin couleur toilette de ville est relevée d'unei IMary Moyer, jeune fille qui était son se- 1lait dans la Seine... Ce numéro artistique et très intéressant en en. blouse claire, qui tranche sur la robe som-■ ccrélaire particulier depuis plusieurs anvente partout. Prix: Ofr. 50. bre. •. inées et qu'il avait promis d'épouser. La maîtresse de maison revêt une robeÎ Un pasteur fut mandé immédiatement, d'intérieur qui unit l'aisance à l'élégance.. <et sur la demande du moribond il célébra• i Parmi les publications périodiques qui paraist sent au commencement de chaque année, nous siCes robes se font généralement de « style .' le 1 mariage. s gnalons à nos lecteurs la 37" édition du CatalogueEmpire », c'est-à-dire peu ajustées. Le choix£1' M. Bradley rendit le denier soupir, Agenda, édité pour 1903 par l'Agence de Publicité : Haasenslein et Vogier, domiciliée à Genève et de l'étoffe dépend du prix qu'on peut yî cquelques instants après. Il n'a pas laissé , dans toutes les principales villes de la Suisse, des mettre. Il y en a de vaporeuses en mousse-- (de testament et on annonce déjà que lat' tl'Italie, de l'Espagne, de l'Autriche-Hongrie, etc., 1 line de soie plissée accordéon avec incrusta-- ifamille a l'iulenlion d'aller en justice elI etc. Nous nous faisons un plaisir de recommander guide sûr et pratique en matière do publicité. lions de dentelles ; d'autres se font en ve-!- <de faire tout son possible pour prendre^J ce ' Ge nouveau recueil, relié comme toujours avec lours, en soie, en lainage ; toute la gammes jpossession dos millions. 1art et élégance, a conservé la distribution et l'ardes tissus enfin, laissant aux femmes la fa-, rangement intérieurs des éditions précédentes. cililé d'y mettre une note personnelle d'oriPar l'abondance et l'exactitude des renscigneraente qu'il renferme, cet ouvrage est sans contredit aui ginalitô el de goût. Feuilleton de YEST RÉPUBLICAIN lettes, et que le jour devra bientôt clore; N" G. mais elle dovine l'arbalète du chasseur cachée derrière la rame du naulomer... et elle se dérobe... « Bonsoir !... » par t LES TRAGEDIES DES CANCANS. — A la su suite de l'incondio de sa ferme, siluée à M< Montceaux (Ain), dont les causes sont en encore inconnues, mais dont la rumeur publique l'accusa d'être l'auteur, le fermier, M. Meunier a noyé son enfant dans la Calonne et s'est suicidé ensuite en se " ne >endanl à une poutre de son hangar, le endemain du jour où les potins du vilNous parlerons aujourd'hui, si vous le je: motivèrent chez lui une descente de voulez, mesdames, des jours de réception, lage lai v justice. i ou jours fixes, dont la coutume s'est imju 0 * A la suite de col horrible drame, la ruplantée chez nous.On est loin des ennuyanp meur publique ayant accusé la mallieutes visites officielles d'anlan, où, le mari m t( vouvo d'avoir à la fois tué son mari e| et la femme, dans leurs plus beaux atours, reuse re f faisaient une tournée de visites, une ou et son bébé, le parquet do Trévoux s'est »«■ do nouveau sur les lieux el a prore ddeux fois l'an, et rentraient fatigués el nié- rendu cédé à une minutieuse enquête qui a fait contents de cetle corvée obligatoire. ce ci ressortir l'innocence de la De nos jours, les réceptions hebdomadai- pleinement pi pauvre femme. res ou bi mensuelles sont devenues des réup£ ri Les constatations médicales ont prouvé nions où les amis communs se retrouvent n en effet que la mort do Meunier avait d dans les différents salons, et reprennent, er bien élé provoqué par la pendaison ol pour ainsi dire, la causerie interrompue la bi f v veille. Il y souffle un vent d'intimité char- 'les le empreintes de ses pas ont été suivies mante ; et tandis qu'au dehors le vent et la ju jusqu'à la rivière, ou a élé noyé l'enu pluie font rage, il est délicieux de se trou- fant, fa p vver dans l'atmosphère llôde d'un salon gaieMais on doit garder la malheureuse ment arrangé, d'y deviser des nouvelles du veuve V( à vue, pour l'empêcher de se suin <( jour, du dernier livre paru. Parmi ces der- ci cider. Elle a fait, avec des sanglots, le n niers, l'on prise beaucoup actuellement : La rt récit navrant qu'on va lire : .Fie, recueil exquis de poèmes consolateurs « Je m'étais levée à 5 heures du matin, ' e et j'avais habillé mon enfant. J'étais ocet profonds, de Ch. Fùster, et Pages d'an- e! cupée à allumer le feu, quand Meunier goisses et d'amour, roman de grande beau- ci g té se entraînant l'enfant Je sortis aussit dans sa simplicité, où l'attachement pur, sortit hla passion sainement belle et vibrante finis- te* tôt et lo voyant s'éloigner, je lui criai : — Où vas-tu ? . sent par triompher du mauvais sort. L'au— Je ne vais pas loin, répondil-il, et il leur,Emile t Eberstein,est un dès plus remarcontinua son chemin. quables écrivains modernes. c< ' Après avoir allumé mon feu, prise d'un Le salon le plus simplement meublé peut pressentiment, je sorlis à mon S( Fprendre, ces jours-là, un petit air de fête. sombre me mis à leur recherche, et, quelte ILes sièges, savamment groupés, invitent tour, minutes plus tard, j'aperçus mon a aux conversations intimes ; dans les vases ques q <] mari et mon fils dans la rivière. Je m'y des fleurs, de la verdure; là, un nœud de ru- K vban coquet enjolive une corbeille, ravive le jf jetai résolument pour essayer de sauver ; mais mes efforts furent vains et col d'une coupe ; quelques coussins aux l'enfant \' je le vis disparaître sous mes yeux. couleurs claires et chatoyantes jettent leur jt J'exhalai alors toute ma douleur el mon 1 note gaie. Et, quand le jour tombe, beaucontre mon mari, qui avait coup de lampes, petites ou grandes, dont la indignation Ù c la berge ej qui s'éloignait vivelumière est tamisée par des écrans, des regagné r< 1 ment. Jo m'élançaPsur ses traces, mais 8 abal-jour de différentes couleurs, font un [r fi se perdit dans le brouillard. eeffet charmant et transforment le salon il Après avoir visité plusieurs mares où raide x el froid de nos aïeux, en un joli fl« Temple de l'amitié ». je j( croyais le trouver, je l'ai découvert dans une grange abandonnée. Le five o'cloch tea est devenu indispen- pendu P Frappée de terreur à la vue de ce specssable ; dès cinq heures, l'on voit la ou les lac-le, je pris ma course à travers champs jeunes filles de la maison, aidées de leurs t* j e j'errais pendant Irois heures, la gorge i amies, offrir qui le thé, qui les petits fours, et iaux personnes plus sérieuses ; car ils sont si serrée, no pouvant ni crier ni prévenir |bannis les domestiques à gants blancs aux les 1£ voisins. » ,gestes d'automates. Les rires frais de la La jeune femme nie toute participation ■ au crime de son mari. Lo parquet est jeunesse sont préférables et tout prend un a 1 tour plus intime, et partant ptus exquis. Ci convaincu de son innocence, et jusqu'à plus ample informé elle ne sera pas inDans les appartements où la salle à man- P ger touche au salon, la table à thé est pré- quiétée, q. se tenant toutefois à là dispok \parée dans celle première pièce, dont la ! s; silion de la justice au cas où un fait nouj interviendrait. porte reste ouverte. La table est précieuse- veau v , ment arrangée : une nappe à thé, à borduOu a voulu aussi incriminer un voisin. j res de couleur, la recouvre, de pelites ser- mais son innocence a été également revielles à Ihé sont disposées sous les tasses, connue. c1 Ce drame est pourtant assez horrible au milieu de la table lo plateau garni, re(couvert, lui aussi, d'un napperon assorti à par lui-même pour qu'on ne s'acharne P pas à y cherchor des circonstances plus la 1 nappe. Puis, autour, les assiettes, les P ]plats de gâteaux d'usage. horribles encore ! « ' MarcHe 6e Participes sera délivrée. De nombreux gendarmes en tenue et d'autres en bourgeois occuperont la salle des audiences. FAITSJIVERS y< Mardi i3 Janvier 1003 a Bj !,» BolT» m 10 Tiw : F»«IIM ■ kParl», Pharmacie DESERHÈEES, 26. Rue do Fonr. |H B V«»raiMfiaoi:(l*<*CI',.'helM.CHEMINANT,l.rr,E,.i«I- a , Diplôme d'honneur, deux médailles A'orj NANCY — 47, rue Gambetta — NANCV Consultations de 9 à 5 heures. CABINET DENTAIRE P. BAHTBELEMT g'sr^ ËJ£î; JOLI PETIT CAFÉ tenu par dame veuve, très bien situé, à • céder dans de bonnes conditions. Ï ?1*GSSC S'adresser à M. G. HUSSOÏV, 2f, rue Saint-Dizier, à Nancy. BON FABRICANT D'ECHALAS ~ MARCHÉ AUX VINS demande de l'ouvrage assuré, princ'« 1 «ES DOCKS SAIfVT-GEOKGES paiement dans les Vosges. — S'adr. quai du Canal, Nancy au bureau du journal. 44 M. OHAMIt AY procède à la dègusla, tion et à la remise d'échantillons gratuits,1 Nancy. — Imprimerie coopérative de l'Est tous les jours, de 2 à 5 heures. Vente au1 ' 51, rue Saint-Dizier. «comptant. ON PRETE DES FUTS AUX ACIIETEUBS. (On reçoit les commandes rue Raugraff, 4, e t rue de Strasbourg, 4 5 Alfred GAIE, gérant. à la cure merveilleuse, soit qu'elle ju— Vous ne travaillez pas... Vous êtes geât utile d'y croire pour y atteindre, ici pour m'aimer un peu... Et puis, Abel JuliolLe ne ménagea point son grimoire. n'a pas de fortune, mon frère Christian C'était pour une conversion!... Ce rôle, non plus... moi non plus I... au reste, avait quelque chose d auloiïlaiJuliette la contemplait, tendrement inro et de londremont hautain qui seyait à crédule. ses penchants do coquette, à sa grâco lé— Enfant !... vous ne savez rien t gèrement cravachante, dont ce grand — Pardon!... je ne suis plus une endiable sans énergie adorait l'aiguillon, fant... je saisi... comme une volupté neuve. — Alors, si vous n'êtes pas riche par Cependant Laura furetait autour de votre mère, vous le serez par votre cette passionnetle. Loin do négliger son père ; le baron Borgh est assez fortuné élève, Juliette gardait contre soi la naï- pour... ve et douce enfant, bouclier à double sé— Oh I... le baron Borgh, comme v/ms curité qui espaçait le danger sans l'é- dites... assurément! Il estlibrode disviter. poser do ses biens entre ses enfants comLaura se montrait ravie do sa compa- me il l'enlend. Il n'y a pas de loi en Suène. Jamais elle n'avait été si choyée, si de, comme en France, ajouta Laura d'un orlotée, si heureuse. AATOC Judilh, moi- petit lon doctoral qui tranchait avec ses tié nonne, moitié sphinx, comment se dé- façons enfantines. Une parole de moa penser en effusions ? Avec Mlle Bloizet, père, un simple paraphe do lui peuvent, c'était aulro chose; on pouvait tout lui a son gré, nous faire riches ou pauvres... dire; son aimable sourire répondait tou- et même les uns au détriment des aujours. Oh! oui, elle l'aimait bien, sa chè- tres... Vous voyez, personne n'en premï re institutrice, la petite Laura Borgh ; souci !... C'est comme ça !.., elle l'aimail tant que, dans la jeune cerConfiance admirable do la prime jeuvelle, un projet germa. nesse!... Laura, croyant avoir vaincu — Si vous deveniez ma belle-sœur !... les dernières résistances de sa grande Ce serait si gentil!... amie, se mit à danser sur l'herbelléf, Ses yeux puérils et sa voix câlinaient, sa robe pincée dans chaque main. sa tempe s'appuyait au bras de sa suave — ïra, la, la, la, lala, la.„ Youou.... compagne, vers qui montait la douce Elle s'aballit, toute rieuse, dans, les juchaleur do co souhait. pes de Juliette, qui l'embrassa longue— Ceux qut ont de la fortune, mi- ment, gnonne, no veulent pas d'une femme — Ma petite Laura l qui travaille. Il ne faut pas penser à cola... Vous entendez?... il no feulpas... {A stn'VJ'tf.) ; L'enfant défendit sa chère idée. > f 1^03 Mardi 13 Janvier EST RÉPUBLICAIN _____ freuillelon de VJBST REPUBLICAIN Elle n'aimail pas qu'on la troublât, elle N°81 _____ défendait qu'on détruisît sa paix et elle imaginait d'infimes songeries d'existence factice. Un de ces soirs d'isolement, elle vit venir vers elle un de ses doux chevaliers-gardes ainsi qu'elle les appelait en riant, mais elle en fut irritée et le reçut avec impatience. — Madame, dit Raoul, en fléchissant un genou, daignerez-vous ce soir venir PREMIÈRE PARTIE dîner. Déjà trois fois la cloche a vibré et vous cherche. . Huic cedo nemini aller je — Je n'ai rien entendu et j'aimerais assez qu'on ne me cherchât pas. — Nous étions inquiets, le capitaine du Yvana passait des heures seule au yacht est venu prendre des ordres pour fond ombré du vieux jardin. le voyage de demain. Elle aimait celle paix, cetle solitude, — J'ai dit à Michel de les transmettre. son activité gaie s'imprégnait de songe A — Le brouillard mont© des prairies, sous l'influence du milieu calme et doux. Si loin de la représentation mondaine entendez les grenouilles et les courlis, qu'elle élaitobligée d'admettre à Arélow, ce n'est pas sain de rester si tard. Votre loin même de la toujours impression- robe est déjà humide. nante présence d'Alexis, elle s'enlisait Ce disant, il avait pris le bord de jupe de béatitude tranquille. d'Yvana, il y mettait longuement ses lèQuand le soir baissait, que les derniers vres, comme un dévot devant une idolo. — Allez-vous-en, monsieur, j'irai quand rayons rouges du couchant se coulaient sous les branches, elle se croyait reve- il me plaira. nue très loiii en arrière au milieu du Le ton était impératif, le jeune homme passé, à des époques où son âme volti- se releva, parfit lentement, lo front geait sans doute hors des entraves de courbé, déçu de celte froideur, et il Fincarnation. tomba soudain sur une bien autre épine. Des sites jamais vus se précisaient, A l'opposé de la haie, appuyée sur la des choses jamais entendues revenaient selle de sa bicyclette, Anne le regardait comme des rappels. Un rien, un vol d'oi- venir, un rire amer aux lèvres. seau, un son de cloche, un chant de ber— Huit jours à peine avant ; notre mager jetaient un charme ancien sur le riage ! exclama-t-elle. présent oublié. — Ah ! vous êtes absurde, Anne, ré- Aigle ^Colombe mMrn^ a I CIE SINGER rez-de chaussée, 3étages, second corps' de logis. Louée : 5.300 fr. Belle consÎ truction avec balcons. Grand passage. Eau,-gaz, cour, buanderie. Prix : |, 82.000 fr. Facilité de paiement. S'adr. h à M. Loëh, r. St-Georges, 21,Nancy. m ™ Consultations de 9 à 11 h. et de 2 à 5 heures. Spécialités pour maladies.1 .—; 1 1 NANCY Exposition universelle PARIS 1900 LE GRAND v!enS pSs seroil COMPTOIR COMMERCIAL' I ! DE LA MÉTALLURGIE 1 ' i^2H2^23 INSERTION LEGALE SSSr: A 28, rue de Malzéville, XAXCIY A FONDS PERDUS i ~ A céder après fortuite - A TOUL Bien achalandé. — Immeuble important S S'adresser àMe GRANDJEAN, notaire - A VENDRE î,îffi h - „n,î£ bf. 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(26), ) M A LOUER ûFsUITE ; Fonds de garantie-. 713 Millions, entièrement réalisé; BEL APPARTEMENT MME REMOND Le samedi :tf janvier 10O3, à 10 heures i 1 matin, en la maison commune d'Ormes, il serapWCP 255 ià l'adjudication de 20° Vingt-deux ares au Goret, sur la mise à prix de vingt-cinq francs, ci 21° Dix ares au Pôrillon, sur la mise à prix de soixante-quinze francs, ci • 75 22° Six ares au Prés le-Quartier, sur la mise à prix de cent vingt-cinq francs, ci 125 23(I Quatorze ares au Pré la-Praye, sur la mise à 0 prise de cent cinquante francs, ci 150 Total des mises à prix : Six mille huit cent quarante-cinq francs, ci 6.845 Les enchères seront ouvertes sur les mises à prix ci-5 dessus fixées, indépendamment des frais ordinaires deivente payables par les futurs adjudicataires en sus de leur prix et au prorata des mises à prix dont le chiffre sera annoncé publiquement avant l'ouverture des enchc«. res et, en outre, sous les clauses et conditions du cahier ^ des charges, dressé par M» Ch. VIGQ, avoué à Briey, et ' déposé au greffe du tribunal civil de Briey, où les amarue du teurs peuvent en prendre communication sans frais. de femmes de ménage. 115, Crand«-Rn. Monlct, 29. (2) S'adresser, pour de plus amples renseignements, à M* . Ch. VIGQ, liquidateur judiciaire de l'union des créanciers •s du sieur Bertin, et avoué poursuivant, Dressé par l'avoué poursuivant, à Briey, le dix 1ian► vier 1903. Ch. VIGQ. î Enregistré à Briey le 10 janvier 1903, folio 30, case 23. compris. Histoire. Naturelle faite sur un pian absolument nouveau m ► Reçu un franc S8 centimes, décimes Signé : BEHTHOT. Sous LA DIRECTION DE CHARLES S. CORJV1S1I Préface par Edmond PERRIER, de l'Académie des Sciences, Directeur du Muséum d'Histoire naturelle M = DIVERSES PIÈCES DE TERRE» 5 "T. INMÀM eî G0 LED FONDÉ m 1859 On demande ^ŒS* S'emploie pour tout usagee p succursales. S'adresser, 15, rue Bra-i eonnot, Etablissements économiques. ï. 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An comptant et 5 Q|Q en sus En vertu d'un jugement rendu sur requête par le tri- — 1 Edmond IIULrVÉ, SO, rue du Pont-Mouja, XASCY )Unal civil de première instance de Briey,le 11 décembre INSERJÏÔN" LEGALE BL 1902, enregistré ; LIVRAISON RAPIDE — 77?^ VA1L SOIGNÉ — PRIX MODÉRÉS R Elude de M' VICQ, avoué à Briey • Il sera, aux requête, poursuites et diligences de M' (Meurthe-et-Moselle). Charles VIGQ, avoué, demeurant à Briey, agissant en jualité de liquidateur judiciaire de l'union des créanciers lu sieur Joseph-Eugène Bertin, boulanger, domicilié a Norroy-le-Sec et résidant actuellement au Foulon, par Pagny-sur-Moscllc ; Et de mondit sieur Joseph-Eugène Berlin, actuellement ■ décernée à een liquidation judiciaire; Ledit sieur Bertin ayant Me VIGQ pour avoué, et ce Sises g, village ct territoire de CHA%ïSîiEK dernier occupant pour lui-même ; Dépendant de la faillite du sieur Pierre-Emile Procédé, le vendredi 30 janvier *î»0:i, à deux VAUGIN, boulanger, demeurant à Chambley heures trois quarts du soir, par-devant M. COLLAS, juge (Récompense la plus haute décernée aux apéritifs exposés) ccommis à cet effet par lo jugement susénoncé, en la salle L'adjudication aura lieu le 30 JANVIER tOftS.i ordinaire des criées du tribunal civil de Bricy, au palais 1 des criées du tribunal civil de première inj de justice de ladite ville, à la vente par adjudication, aux l'audience tance de Briey, à deux heures et demie du soir. §■ enchères publiques, au plus offrant et dernier enchéris-13 seur, des immeubles dont suivent les désignation el miEn vertu d'un jugement rendu sur requête par lelftses à prix : La Pureté de la PEPT0NE CHAPOTEAUT bunal civil de première instance de Briey, le 27 novcmtîi DESIGNATION ^ ]902 61.1'Cft'islré, l'a fait adopter par et mises à prix tlett iftimcciStles à vendre ll'sera. aux requête, poursuites et. diligences de ï'ISTSTITUT PASTEUR Charles VICQ, avoué, demeurant à Briey, agissant a VILLAGE DE NORROY-LE-SEC p de syndic définitif. de l'union des créanciers il 1° Une Maison, située à Norroy-le-Sec, avec jardin 'qualité <j! sieur Pierre-Emile Vaugin, boulanger, demeurant I' derrière, aisances et dépendances, sur la mise à prix ùci^ , Chambley, ledit Me VICQ. avoué, occupant pour 1* cinq mille francs, ci 5.000;^ :mcme, procédé, le VENDREDI 30 janvier 1903, a tiens heures et demie du soir, par devant M. Collas, juge, coffl Ban dMiioux nmis à cet effet, par le jugement sus-énoncé, en la salle Saison de GerDes-en-Champ ordinaire des criées du tribunal civil de Briey, au palais 0 2° Dix-sept ares 50 centiares,au bout du village, a, justice de ladite ville, à la vente par adjudication, au de sur la mise k prix de cent cinquante francs, ci... 150 enchères publiques, au plus offrant et dernier enchérisC1 3° Dix-neuf ares 30 centiares, au Dcssous-duseur, des IMMEUBLES dont suivent les désignation S( ^WijJ Recommandé dans les maladies d'esto.-jRouaut, sur la mise à prix de quatre-vingt-dix eti mises à prix. e mac, digestions difficiles et insuffisance de francs, ci 90| 4° Vingt-un ares soixante-neuf centiares, lieu l'alimentation. On nourrit avec lui les dit, sur la Chènevièrc-de-H<mré, sur la mise à prix Anémiques, les Convalescents, les Phtisiques, ^ soixante-quinze francs, ci Village de Chambley de : 75 les Vieillards et tous ceux privés d'appétit, 5° Sept ares, à Crimoié, sur la mise à prix de . PTJne MAISON avec jardin derrière y attenant, rua du Poinl-du-Jour, entre la rue au midi, la ruelle des (quinze francs, ci 15, j* fil! dégoûtés des aliments ou ne pouvant les Chevaux à l'est et les héritiers Mahuet à l'ouest, sur 1» ^ : 0° Vingt-un ares, sur le chemin de Noge, sur la **»mz£j0? supporter. , mise à prix de quinze cents francs, ci 1.8* mise à prix de soixante-quinze francs, ci 75i n Biut de Cliainblcy Saison de Saint-Saumon XDépôta toutC3 les Pharmacies. Saison du Chemin de Saulcy 7° Vingt-un ares, à Sourochamp, sur la mise à 2° 57 ares 30 centiares, à la Côte-Pompey, entre prix de cent francs, ci 100, Cunche et héritiers Bélin, sur la mise à prix de 8a Vingt-un ares sur le Haut-de-Robouande, {: * TUE-WIOSNEÂUX 0 cent cinquante francs, ci t£ J -;.r i- - ti F sans feu, ni bruit, Di fumée ïsur la mise à prix de quarante francs, ci 40) deux ! I W IfcS U W& - fe C S i 30 mètres ri bftUCi et petits plomhs. Armes nouvelles ; Armes à air comprimé. . 9" Dix-sept ares 50 centiares au Champ-Dû, sur U Tue-Gi(>ier pe.-ioet de tirer pl»sicar« coups pour abattre successivement troî^—^ ] la mise à prix de quatre-vingt-dix francs, cl 90) . Total des mises à prix dix-sept cent cinquante (ailre oijeaax d'un* même votée posée « terre ou sur les cimcaax il'tin poste à feu. .„ . 1 ™ rrtx 4- fr.; mitre 6 fr. ; plus fort, I2.SO. Fourtrovatl. 18.60 et 22.60. 10° Quinze ares 21 centiares sur Robouandc, sur 'francs, ci Catalogue franco aratis. G. Renam, incénieBr-farbric., fi, rue S'.-SaUin, Pari*. la mise à prix de quinze francs, ci. 155 . Les enchères seront ouvertes sur les mises à prix Çl11° Douze ares36centiares au Haut-dc-SertelIes, ■ "dessus fixées, indépendamment des frais ordinaires* v payables par les futurs adjudicataires en sus* sur la mise à prix de cinq francs, ci 55 ,vente, leur prix et au prorata des mises a prix, dont le chijffl 12° Trente-deux ares 70 centiares, lieu dit Dersera annoncé publiquement avant l'ouverture des cwsu* rière-la-Ghapelle, sur la mise à prix de quatre cent cinquante francs, ci 450) vres et en outre sous les clauses et conditions du can* ûdes charges dressé par Me Ch. VICQ, ovoué à Briey.« 13° Dix ares 29 centiares au Fond-de-Multat, , sur la mise à prix de quinze francs, ci 155 déposé au greffe du tribunal civil de Briey, où les a** 1 leurs peuvent en prendre communication sans frais- . 14° Dix-sept ares 50 centiares entre les DeuxFondée en 1819. — PARIS, 87, rue de Richelieu S'adresser, pour de plus amples renseignements,' La plui ancienne des Compagnies trançaisea Bouleaux, sur la mise à prix de soixante-quinze syndic définitif de l'union des créanciers«■ ..... 753 M-VICQ, * 1francs, ci ASSURANCES RENTES VIAGERES s sieur Vaugin et avoué poursuivant. 15° Dix ares 50 centiares à la Bonne-Fontaine, Vie 6iitière — Mixte» L'assurance sur la vie Immédiates : sur la mise à prix dé dix francs, ci 103 Dressé par l'avoué poursuivant à Briey, le Terme tixe et dotales, s'adresse aux deux plus Wflérées — De survis. Signé: Ch. VICQ16" Dix-sept ares 50 centiares dans la grande puissants ressorts de notre 1 Enregistre a Briey, le 10 janvier 1903. Reçu un Wl longueur du Bouleau, sur la mise à prix de ! 5 *3quatre-vingt-huit centimes décimes compris. 803 MILLIONS nature - à nos intérêts et à 38 MILLIONS soixante-quinze francs, ci . 75 Signé : BSRTBOT.^ de Capitaux nosafiectxpns. Rue convoi de Rentes 17° Quinze ares 52 centiares aux Quênes, sur la à u — " «ssurés en cours. »? « U* classes dt la à 8grTir annu™emBll. 'mise à prix de quinze francs, ci 155 1■ soniti sans 18° Quinze ares 2 centiares au Haut-d'Endevin, Eludes de M' FROGIER, notaire à Haroue, I ; Nombre de sontrats : ^ceptxon. Nombre de coatrX !sur la mise à prix de cent francs, ci 1000 et de M» VIAL, avoué à Nancy, 35, Grande-Rue» 63.138 44.428. ' 19° Vingt et un ares, une pièce à la Prêles (ban (successeur de M" GLOXIN et BEAU.) de MancieuIIes), sur la mise à prix de soixantequinze francs, ci 75 f Pnrtofotiiilo de représentation à I OlieTeUnie céder dans ville importante de l'Est. Pour renseignements, s'adresser à M. L«oëb, 21, rue Saint-Georges, à Nancy. ■ l P Vendredi 46 janvier «993, \ une heure et demie après midi, sur la r>i&ceSaint-Georges, aNancy, vente \ux enchères de 5 chevaux du a* hussards et 1 du 69e d'infanterie. ! COMSSAIRES-PRISEURS DE NANCY g CHEVAUX RÉFORMES " par suite de liquidation judiciaire (M. Bloch, liquidateur) Au comptant plus 5 0[0. Maison FROSSARD-MARCHAL, rue Msî-lim, HÀHCY 3 M CHEVREAU RUSSE 1 VES^TE DE CHAUSSURES g Médaille d'Or Il 1 1 1 il p^r continuation el fin de la VENTS Exposition Culinaire de Nancy l Avis aux Laitiers ET JEUD114 ET 15 JANVIER, A DEUX HEURES ^F^T" .1 tous sur signature dt-puis 3 o/o, remboursable en 10 ans. .SoluIW ■ tionSjours. Rica d'avance. 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N r nL MmeSAIRE^rio^fll PRIX f &I p mmë, la nouvelle Machine de la <«£» O, ruo St-Jean, -^4 O f _ Après le dîner, dit-elle à Raoul, vous cyclelles roulaient à une alliira pondit-il violent, agacé lui aussi, comme l réelle, êtes-vous génie, êles-vous reine ? irez reconduire votre fiancée, et prévien- rée encore, par l'influence dolw^l a si en ce jardin imprégné des douces éma- Etes-vous de la terre ou du ciel? à 1? villa des Sapins de voire absen- nerveuse qui gagnait les rûmT uet — Oh 1 de la terre, hélas ! Assez pour drez nations des plantes, un souffle d'irritation nocturnes. >etisJ| comprendre, assez pour aiiror. Uno haie ce nour deux jours. Nous vous prendrons avait passé sur tous. Ils arrivèrent, malgré l'humidité sépare, Anne, elle est semée d'é- vers huit heures, demain,, en passant et brûlanls.etfinirent la soirée aveô Sflt — Absurde ! quand je vous vois aux nous pines, mais au bout s'ouvre un passage, avec l'automobile, Anne, c'est bien en- parents, en devisant des choses i^k pieds de cette impardonnable coquelte. venez m'y donner le baiser do paix. te du mariage. Raoul d'un bond sauta la haie : ï aucune fille accepta avec enthousias— Vous êtes adorable, fil la jeune fille, me elle éprouvait grande joie à revoir XLVIX — Taisez-vous, folle, si vous parlez subjuguée. ainsi, je vous jette hors de Lancrel, à Tous trois rentrèrent. Ulric d'Yls, en les siens Sa môro surtout, car elle no La'pluie tombait lente, calme, ré&n. à son mariage,f*g™W l'instant. petite tenue de marin, causait avec Mire, interminable, c'était le débui dfL sa faible sanlé, et par sa chel de Garlalz et la comtesse ïïoroff te— Ma foi non, je ne me tairai pas, vombre, los chrysanthèmes de la ^ l'autre jour c'élait le lieulenant qui était nait le bébé sur ses genoux. Yvana prit immobilisée par son inguérissable dou- d'honneur à Lancrel baissaient leu/.0^ leur, et incapable, elle aussi, d assister a son fils dont ses bras se tendaient vers à ses genoux. Ah ! bien je vais, je vous lourdo sous l'averse cinglante; et cette fêle de famille. . assure, raconter tout cela au capitaine Déplus, elle se réjouissait du pelen- feuilles des marronniers roux tombv 55 — Alors soyez prêt à neuf heures deAlexis. des choses mortes, toutes droit* Raoul éclata de rire : — Ah ! ma chère main malin, capitaine, je veux aller à nage vers sa patronne et, peu a pou, une comme fois encore, sa colère jalouse se calma aballuos sous uu dernier lourde valse1 Sainle-Anne-d'Auray. ce sera bien amusant. — Nous ne pourrons pas rentrer le sous l'influence sereine des yeux purs et l'air. — Vous êtes odieux, s'écria Anne Il ne faisait pas un souffle au deW lumineux d'Yvana. ; . .,, . soir même, Madame. scandalisée. En pédalant dans 1 ombre a cote de au dedans, les feux d'énormes lron«If' — Nous coucherons à bord. Yvana, de l'autre côlé de la haie sui— Madame, dit Anne, Kerlof est à Raoul, deux heures plus fard, elle disait : chêne flambaient dans les grandes k vait l'allée, elle dit : — Ici, tout est changé, brouillé, éclai- minées. — Ma pauvre petite Anne, gardez vos quelques" kilomètres de Sainte-Anne, ré, atténué, transformé, vous, moi, l'aveLo polit Princo trottait on riant dv j colères pour d'autres occasions, si vous venez-y. — Oui, j'irai Anne, et jo vous emmené nir, etjo m'en vais vers lui, à travers pièce dans l'autre, suivi do ses gomv?l le méritiez mieux je vous ferais une conautant de brumes que nous en avons à nanles et do son caniche gris. Il S^C| fidence, mais ne serait-il pasjusle et bien avec votre fiancé. Viendras-tu Spéra ? cello heure sur ce chemin, je ne vois lait quand même, no pouvant soriirTË — Moi? N'aimes-tu pas mieux que je de votre part de croire deux cœurs sinrien en avant ni à côlé, et si je roule au grand air. Dans sa chambre sa nièrA" reste ici avec bébé. cères sans conditions. Spéra causaient. — Si. Alors, comptez seulement sur fossé, je ne devine pas lequel. — Raoul vous aime, madame, et c'est — Nous y roulerons ensemble, Anne, — Tu pars d'un pareil temps ? nous trois, capitaine. moi qu'il épouse. — Tout do même. 11 pleut, mais il Jm — J'ai reçu ordre de croiser dans cinq enlacés, avant huit jours, ma chère fian— Il vous aime, mon enfant, comme on aime à son âge, et moi je suis pour lui jours au même degré que la dernière cée. Le fond sera de mousse el les églan- a pas de vagues, à bord nous en tiers et les clématites s'uniront au-dessus quittes pour rester en bas. l'idée, le symbole, l'incarnation d'un fois, madame. — Attends à demain. — Oui, je sais, les manœuvres lou- de nous en berceau. rêve, n'obscurcissez pas votre âme el Soyez donc heureuse, ma chérie, ce — Non. Alexis rentre dans qualrejounJ quand vous reverrez, avant peu, mon chent à leur fin. Bonsoir capitaine. Elle rentra et fit mettre son fils dans n'est pas à vos pieds que je veux être, j'irai au-devant de lui la veille, tu SB mari, allez, je vous en prie, lui conter que je n'ai pas lo choix des jours. »9 vos douleurs, il vous rassurera. sa haute chaise, entre elle et la comtesse mais près de votre cœur. A suivre) — Ici, tout est étrange. Etes-vous Horoff. I | Par chance, il faisait très nuit, et les, uns wn^tsom située a Pont-Saint-Vincent angle do la rue Nationale et de la rue du B» Mise à prix: 10,000 fr. Ur eilsei ncmenls I MME * |k B S e \i h.2 - îî' S > s'adresser, à M FROGf^'d^ na TO e Q rw™ . u , rédacteur ct dépositaire du cawe1 t, 1 b a M V AL avouô tov i- r ° i Poursuivant, dem^ ce : uA£S& H' Grail<le-Ruc ; et à M« BARABÀN, "citant, demeurant à Nancy, 18, place de la Carrier0 1 L'avoué: VIAL. ^> 1 ARGENT à tous négociants eHn ALEXANDRINS dustriels ayant référeŒ^Tbanâie On demande ^S ^! Rue des Quatre-Egllses, 7, au !" Rien d'avance. BENJAMIN, K levard Beaumarchais, Parisjg») (g 6 de Blanc. Housseaux, 12) r y. Dominicains. -—^/« Bon MàÛHër^ 7c^rV On demande "pliuêr^fl: tous les jours de 9 heures du matin à 7 h. du soir a vendre ct pots de grép pour enn n langues V»l,4 servahon œufs. S'ad. au journal, 393." soigner un cheval el c°. "f jardinage. S'adresser au jouiri I
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