25" Année. - N" 9353. Edition du mafe TéîSpaoae : 3.21 -10,37 GRAND TfiOtS mots AV>rkKTWE<iur-c<iMl.e . ABONNEMENTS : _ 4 50 SIX MOIS j g „ Y .~ dérarlemente ...... 6 » 12 » £[*n„ r 7 » 14 » C On peu/ «'atonaer sanj /rais dans /oiis les bureaux de postes UN AN C. I F™ .1 24 » 28 » %0 NANCY W 1 Mercredi 14 QUOTIDIEN , . . ._„.. . REDACTION ET ADMINISTRATION : \ -je „ JOURNAL ' - - DIRECTEUR : RENÉ MERCIER pn , , pape>... PUBLiICITÉ : „ , .. „ „ , , , „ . „ fc c. la ligue 30 L'Agence Havas, X, place tic la lioarse. P WT' n G, Annonces m Faite divers 90 — Hopi martre, a Pans sont, seuls chargés de recevoir, k Chronique locale 1 50 — publicité extra-locale du journal Pour la publicité de Meurthe-et-Moselle, Meuse, Vosges, Alsace-Lorraine ci Luxembourg, s'aiiretsrr ov >■ bn mu r ,/,* S ^ M' Le Budget au Sénat; / , Berne ' De notre correspondant parlementaire itï Les opératior^g de la colonr^ i | ( ^ Paris, 13 mai 1913. M. l'abbé Delsor, qui a le tempéraEn raison, de la réunion des bureaux, la ! mont oratoire, écrivait hier que le con- ! séance ALUEU. 13 mai. f .„ du Sénat s'ouvre seulement à trois j s 1)13 r.ai. — Le gêné- ^ M'SOBJT, 18 grès de Berne, où 114 parlementaires ji heures. 1 LA DEFENSE NATIONALE LE PRIX DE LA GUERRE | LA GRÈVE DES MITRON? j j une reconnais.*** Alix vient d'effectuer i M. Antonin Dubost, président, prononce ! " M daus ,e bu( do français doivent joindre 34 membres du j l'émplae ^ ' 'lél'M-rui, ' un éloge funèbre de M. Tillaye, questeur, ner " J r- ^P*«ent du poste qui va être étaReichstag, hii fait peur, parce que » ja- I! qui c recueille une approbation unanime. | bli près 1 \jà f* '* casbah sur le bord de l'Oued j,mais la guerre n'est plus imminente j A l'unanimité est adoptée la proposition | M'SoU « ,, '^e général Alix veut engagér des | de foi rendant les dispositions de la loi de ! Jpo , J ^fp>!.rlers efficaces avec les tribus rraque quand le pacifisme célèbre ses aga- 1906 : applicables à toutes les conser'ves ! «ces irréductibles. pes ». D'autres renchérissent, que cher- 1étrangères de poissons entrant en Franc^ î( \ D'autre part, l'important déploiement de pM1,s, 14 mai. - La commission de | 1 Discours du rapporteur ;i jtroupes effectué aux alentours de la cascher en ce moment le terrain « d'un SOFIA, 13 mai. — D'après les constataPARIS, 14 mai. — M. VoiKn, conseiller jtfWée ? nonne un. avis favorable à 1 en- i tu tions officielles, les pertes des Bulgares gé général socialiste de Puteaux, vient d'à- 1rapprochement franco-allemand », est Puis la discussion générale du |\ûdteet de tbah impressionne vivement ses adversaires àejnt>V.ï du projei de loi portant autorisa- dans d< la guerre turco-balkanique sont : di ignorent les intentions du général Alix dresser au comité de grève des boulan- (un lourd manque de tact, et « le plus 1913, dont le Sénat doit pour^j^ p „ qui , exa 330 officiers et 29.711 soldats tués. g< gers une lettre dans laquelle il demande au mon sans aucune interru',(|j0n s'ouvre ,et se concertent avant de prendre une dé4e francs en vue d'accélérer les travaux piétinement des souvenirs Iran- j avec , 950 officiers et 52.550 soldats blessés. sy syndièat de bien vouloir autoriser un cer- grossier t un grand discours de M; Aimond, cision. Il y a en outre 3.195 disparus. ta tain nombre de grévistes à descendre a.u <çais ». _ ■ j h rapporteur gênerai de fa commission des , Quelques coups de fusil soûl tirés sur le — M. Henry Paté, chargé par la comcamp pendant la nuit, mais sans causer d« fournil pour alimenter la commune par le ; finances. : ÎÎ, ;.!x ?" mission de l'armée du rapport sur le proA quoi, M. d'Estournelles de Constant I dommages. moyen de la-Coopérative socialiste. M. Aimond juge, ique sévérité la CEITIGNÉ, 13 mai. — - Le . gouvernement M de loi relatif à la prolongation de la qU(e Le général Alix a pris toutes ses précauM. Voilin dit, en effet, que le préfet l'a répond i aujourd'hui que « nous serons I! politique tman^èreavec m suivie en ces derniè- | in a remis aujourd'hui aux a, /, >u seVvice militaire vient de te-- monténéfe. avisé qu'il ne continuera pas a lui accor- beaucoup ] res années. lions pour repousser toute agression. La plus forts" quand nous aurons nejirésfintariits des grandes nuissonces la ^. ffjfe .1 v_ ré&t*HÎot/*d* -ce docirre^rt • * K dev le secours des troupes pour le fonc-l Il msist'i sur ia nécessité impérieuse de colonne campera à la casbah de M'Soun réponse à la dernière Note* desdites pïïîs-""j.j, !, ■ rapport sera donc déposé dès demain 1( 1 hautement la preuve de notre es- j renonc«ir tionnement de sa coopérative que si fin- fait St à de très fâcheux errements. Il ' 'jusqu'à ce que les travaux de défense 1 i mercredi* sur lé bureau de la Chambre. Et j sances dustrie privée bénéficie de ces concours. jprit de conciliation », et que « la con- | faut 4iie le budget cesse d'être considéré soient suffisamment avancés pour permetCette réponse est identique à celle rej! pourra: être distribué mardi prochain i Le comité de grève s'est réuni d urgen- j de repouser toutes les attaques. — Hamise par le gouvernement d'Athènes, de Cf férence peut rendre aux Gouverne- | coimne le rendez-vous de tous les intérêts tre vas. • ce pour examiner la question, mais la maI xicaux et corporatifs et d'autre paît 00m.^ofin et de Belgrade. j - D-.ns cet conditions, la discussion s'en- '•* C jorité di\ comité parait peu décidée à sa- ments.grand service », car elle est « un ;; me l'instrument réformateur de toutes nos Les délégués monténégrins à la conféer, vraisemblablement le lundi 86. Les opérations de la colonne Mangin tisfaire à cette demande. m YF J lois. A cette double condition il pourra à germe de grand avenir ». rence de la paix sont les mêmes que ceux PARIS, 14 mai. —. La grève des ouvriers ^-®-#-wr- q Pavenir être voté en temps utile, c'est-àTANGER, 13 mai. — Dans la région des qui ont pris part aux premières négocia- 5, Ces appréciations paraissent égaleboulangers poursuit son cours eans incidire avant le 31 décembre. (Vive approba- Tadlat, le colonel Mangin a reçu à la casj tions de Londres. ^, LA COLONNE ALIX l dent.' ment excessives. Sans doute, il importe tion). bah des Tadla la visite d'un caïd qui est 1 Les statistiques syndicales accusent 150 peu que M. Jaurès y reprenne contact incidents se multiplient Le budget de 1913 se monte à 4.665 mil- venu lui apporter la soumission de tribus ATTAQUEE Les 1 a 1 adhésions de plus qu'hier, alors que les lions en recettes et à 4.664 millions en dé- belligérantes comprenant 5.000 tentes 9t Nouveau combat gréco-buigare cl chiffres de la chambre syndicale des pa- avec ceux qu'il exhorta jadis à Bàle, pensas. Mais si on y ajoute les crédits 25.000 combattants. — Havas. &/. ^J;, ■ LONDRES, 14 mai. — Une dépêche de Saloti trons boulangers et ceux "de la préfecture dans une église, du haut d'une chaire. supplémentaires et un certain nombre de attcqwâs. la nuit dernier, , par un grou- n nique au « Central News » annonce qu'au de <* police indiquent, une diminution sensiAssassinat à Tétuan c< A la différence de Guillaume II et de1 budgets annexes qu'on n'a pas l'habitai de n» do d'sfi'J.f.rJî.. L ennemi a été re nom'-é cours d'un combat entre Grama et Serès, b! ble des chômeurs. d'y faire rentrer, on aboutit à un total TANGER, 13 mai, TETUAN, 12 mai. — Ua :i\r' fie; certes sérieuses. De notre cMé ''- Bulgares turent battus par les Grecs les — A propos de l'attitude dans cette grève M. Raoul Gunzbourg, qui reçoivent di-• de 5 milliards. ouvrier espagnol a été tué hier soir, à un et durent hisser le drapeau blanc après de d M. Voilin, député socialiste unifié et rectement leur inspiration de Dieu, M. L'équilibre entre les recettes et les dé- kilomètre des portes de la ville par un ina Ai-C-n, 14 ]f.tI, - Dans l'attaque de nos avoir eu 400 tués ou blessés. ne maire de Puteaux, le « Temps » écrit : penses n'est obtenu que par dçs movens j| digène. Un antre ouvrier a pu s'échapo.v-ant-posî.rf' du ca' m de M'Soitn J"2? Les pertes des Grecs sont peu élevées. « La question sociale est résolue. Il y a Jaurès est son propre Dieu. Il n'a que' de 'trésorerie. per. L'inquiétude augmente. Des patrouilFrançaH ont ou un servent tué et un ti- I SOFIA, 13 mai. — Le gouvernement a quelque 5 temps» que nous attendions ce le temps de prophétiser l'avenir, et l'ex-. ;j Certains chiffres portés en recettes sont les circulent dans la. ville. — Havàs. i jMCLir indigène également, tué,nu oîlicter ^' chargé le ministre de Bulgarie à Athènes bonheur. b Nous le devons à M. Voilin, déi'Ur»uient fictifs, et, en ce qui concerne les périence, passée ou présente, ne comp- 1 et-dor.- m,tra'*Ie'urs blessé» d > protester contre l'attitude des troupes P puté socialiste unifié et maire de Pudépenses, on a réduit en apparence le to5 h hellènes, de demander une enquête et la tf te pas pour lui. teaux. Ce farouche révolutionr-n .-? vir^t tal au moyen de la création de comptes —o-*-^-———— p Commission de l'armée vote les 300 millions ]Les Bulgares ont perdu ]près de 100,000 hommes LONDRES, 14 niai. — Les journaux an?"icc.it qu'une grande revue navale aura Ii»u à SpUhead, à l'occasion de la visita '\-t',,^v'de IV,, „dre britannique, la -'o.ftiita Aiinv-drc: Iranç.-<i-o du Xord, diqui ■•euwr.rf«er, >-. guident fie la ROpnbliune </?em- :-.v,, d,--.-,...,{ (ie , o.-<rbourg,pren div. t>:.n à eette revue. *\Km>, H mai. — Di-, errburiunîs _ woi«nt savoir que le séjour de M Poin caré à Londres ne durera uue deux iours poncé tout d'abord". "" ' " ^s»^> H raai — j_,c cor^e^nondant R«teteior » à Oran a interviewé à * io bourgmestre d'1'i-dorn, engagé au |",au 16 « I On craint que.les Î.000 soldats monténégiins se mutiitènt quand ils l'appren( I ' nHtief mntT?lM treu-^-nter^Uon"* I i.v» ! O D ] R /ï £7 irxiiviîlt Les contribuables refusent de payer l<\s impôts, sou-s prétexte qu'ils ne reconnais- ! ; | ! ■I . de l'(§si Républicain , Les notables albanais de Va llona ont enîiBRLiN, li mai. — Un combat a eu lieu voyé des délégués1 à TepeMn pour deman,,VT ftU ■i? '' nouveau Cameroun, près du der aux Grecs de les délivrer du gouvernevillage d'Akoga, au sud de la Guinée esiment de Vallona. pagnole, entre les troupes coloniales alleDans certains milieux on paraît croire m&tys et les indigènes. à une intrigue ourdie entre l'Autriche et Les Allemands ont eu un sous-officier• Essad-Pacha. « un soldat tués ; les indigènes ont eu 30I La propagande autrichienne fait de morts. — Havas. grande progrès dans toute l'Albanie. La démobilisation autrichienne LES CANDIDATS A SAÎNT-MAUXENT PARIS, 14 mai. — On mande de Vienne à AR,? ) 14 mai. — La « Fiance militaire »> F a Echo de Paris n : 3?0nc" ^e les résultats des examens; « Les milieux bien informés déclarent Sa *vf'^COle muitaire d'infanterie de: irmnineiït Je rappel des réservistes austro-' • iiH-.Maixent seront connus vers le 25 dei boiigrois envoyés à la- frontière serbo-bos«! mois. — -Havas. niaque. Le conseil des ministres dualiste doit^ prendre des mesures définitives à ce suNOS AVIATEURS - jet aujourd'hui 14 mai. U ÇROTOY, 13 mai. — M. Paul Bignon, Le lieutenant alternant! Wagner ^-put*, a fait aujourd'hui piloté par René BERLIN, 14 mai. — Le lieutenant alle•'audron, un Vol en biplan sur la baie de 3 la Somme. mand. Wagner, fait prisonnier à Andrtnople et gardé à Philippopoli, a réussi à L'npnareil s'est élevé à 600 mètre« i s'échapper. Il a gagné Constantinople oùt 1 DUNKERQLE. 13 mai. — Ce matin, ont at- il s'est mis à la disposition du ministre de terri sur ]-> nlaee de Dunl-eraue se succé - la guerre. dant à peu d'intervalle, cinq Aïonoplans " oO g^ires venant de Maubeuge, d'où ils LES BONNCT ALLEMANDS Les pilotes avaient, couvert 160 kilomèWIESBADEN, 13 mai.— Un cambrioleur env;>.'.S: !'s esGnlc c» une heure et quart enj; Ce sont le capitaine Yence, les lieu- fermé dans la cave d'une maison, a ré-j .-.tants Lalaine et Radisson, les sergents" pondu à la police à coups de revolver. Il a blessé mortellement plusieurs personnes, ^rdier et Didier. oV|'AL*IS) V} n!ai. — Une escadrille de cinq puis il s'est suicidé lorsque les pompiers3 tat„ 8 militaires, commandée par le capi-' ont inondé la cave. — Havas. uv, hpà.C. > Suivie de quatre monoplans e?! ln AUX CORTES ei**, "'îtés chacun par un lieutenantt , '.n .?apeur, est arrivée à 7 heures, ve-1MADRID , 13 mai.— Le conseil des minis1 de Dunkerque. tres, réuni ce soir, a décidé que la réouverture de la Chambre aurait lieu le 26g mal. LES ACCIDENTS A l'issue du conseil, le comte Romanocours niftn^V01*' ^ ma'- — d'une pro1nés a déclaré absolument sans fondement c:n raer' une e'nbarcation montée Diu» e des bruits concernant une crise ministéHtre Pers,°nDCS a chaviré contre un rue) n rielle. « 11 n'y a pas, et il n'y aura pas de cri, -c pere et '.es deux enfants ont disparu.1. se », a-t-i) déclaré. erc s es )iaJ?' ' * aocrfjrhée à. la quille de la chl?116 '"^ 0 ^ reWieillie par des pêt DÉCORATION ESPAGNOLE rs .j," "ne heure après l'accident. BORDEAUX, 14 mai. — Le roi d'Espagne ; e 'aii.orsK, 13 nif<i. _ t n bœuf que, l'on n vient d élever à la dignité de grand-croix .°nduisait à l'abattoir s'est échappé danss de l'ordre du Mérite militaire le généralx A de«y . ? sent personnes, i ont it Oudard, ancien commandant du 18e corps s Va«dans un état désespère. — Ha»- d'armée. ATTENTAT CONTRE UN ATTACHÉ MILITAIRE PRUSSIEN BERLIN, 13 mai.— L'attaché militaire de p,,tf u, î ' 13 mai..— Ce soir, à huit heures, Prusse à Munich, le général de Lewinski, i» ^»»'cte justice sont partis par la garé a été tué aujourd'hui, dut'- ta n e, à coups _1 -Aord,' nom'' DoiMiL où .iiira. lieu, deS- tde revolver par un inUividu qui blessa i , . > »JW " ,'' • I i>•j c ' ^aC ur ,L) iii (W*ilV,^1 tTt'i1 fit' ÎC-PliU I •-ariw-oi^ éon-damilé à mort pour assas-1 s- ] OD ignore les motifs de 1 attentat. L au16 «i^L'i^?de 10 ans qu'il av£y,tj iiy tour a été arrêté, mais on n'a pu établie < ***5-(W*-<J» \k.i..-r. sm * *^Won- identité. EXECUTION CAPITALE î I Nous sommes heureux de pouvoir offrir à nos lecteurs une intéressante brochure duc à M. RENÉ LAURET sur M. Raymond POÏNCARÉ • Nous la ferons parvenir franco à tous les lecteurs de /'Est Républicain gui nous enverront o fr. 50 tn timbres-poste. Tous les Lorrains qui ont applaudi à l'élection du nouveau Président voudront posséder cette élude. . Nulle part n'a encore paru une étude d'ensemble, à la fois précise et complète, pénétrante et accessible au grand public, M. RENÉ LAURET a heureusement résumé dans ces pages tout ce qu'il y a d'essentiel dans le passé, le caractère et les idées de l'éminent homme d'Etat, de l'excellent Lorrain et du grand Français que tout désignait comme le chef nécessaire o notre pays. La brochure, coquettement impru mêe, avec un joli portrait de M. Raymond POÏNCARÉ, est éditée par la' maison Albin MICHEL, au prix de o fr. 75. Ce prix a été réduit à o fr. 50 pour les lecteurs de £'Est Républicain. ! I Petite chronique d'Angletem L'affaire Liâderâale. — Vingt am après. — Ceux qui disparaissent. Cherchez la femme. j De notre correspondant pvttetrTfÀ , 1.3 mai.— Un jeune et riche fi* nancier, M. William Liddordale, était sic le point d'épouser miss Bessie Chaosan mais il disparaissait deux jours avant la date fixée pour la cérémonie. Quelques serrâmes plus tard,*les joùrnadx amionca-i»n1 que le banquier était mort des suites d'un accident à bord du yacht l'oresiqht oropiiétô de miss Vining. Or, cette miss Vir.ing était une ardente créole, jéuuc, jolie ei •immensément riche qui avait uu faible LONDRES I j I i 1 I ! !j quiei-, ainsi que le montant d'une assuranI ce sur la vie pour 50.000 francs, lorsque i 1 Ils verront que si désirable soit-il pour l'affermissement de - laa paix européenne, un rapprochement deC lu France ei de '.'Allemagne, ne peut, avoir pour origine une manifestationil politique, c'est-à-dire sentimentale. Pour y parvunir par là, il faudrait1 plus que le boa vouloir des cercles di1i_ rigeant^. Il est indispensable que l'opinion publique des deux pays en fassee son affaire sous l'impulsion instinctivee . d'une communauté de culture ou de langage, d'institutions libérales ou de ralce. Nous l'avons sentie, hier lorsquec nous nous sommes alliés à la Russiee et à l'Angleterre. Nous l'éprouvons auljourd'hui devant l'Espagne, ù qui nous allons demander tantôt de mettre sa a main dans la nôtre. , i cent par ces mois : Toujours fidèle. Lee ; i trentaine de millions dans le déficit actuel. ' j! D'ailleurs, ces dépenses ne sont certaineiI ment pas regrettées" par la clientèle du i L'augmentation pour eux sera d'environ ;1 le maintien -cl Le ministre donnera également aux sous- i ! I c C IJ droit. 1 En Albanie I On espère que la future augmentation ROME, 14 mai. — Le journal « Ei .\tntti- 1 . pourra partir du 1" janvier lui! 1 no » publie une dépêche de Brindisi dwant * que, s.uivant certa ines inf ormât ions le goù- ' 1 • i vernement provisoire de Vajtona n'a plus 1 ra j I m' 14 mai. — De Scutari à « Excel- fi « rut -n f Jes • îîi*ii»^rf lrc • f a VIC clvlte> a"t"1'1 dit' v** VA : -(ienl;s politiques, je résolus do me ^ j^ refaire twie situation à la légion.» i CAMEROUN PARIS, tari par les troupes internationales ne soit t ! précédé | de scènes sanglantes. On dit que Le bourgmestre lui a déclaré s'être ensage en toute connaissance de cause et. ne pas avoir l'intention^ de quitter fa légion, COMBAT DANS LE en effet de faire appel à la main d'œuvre hors budget, alimentés par l'emprunt. pour nourrir la popiLaïUon ue sa 1 ' Mais il n'est pas indifférent que des> Il faut prévoir trois cents millions de bonne ville affamée par les boulangers en personnalités comme MM. Herriot, Ri-. dépenses devant s'ajouter à celles déjà S grève. Comme il convient de sauver les vet, Buisson, de Kerguézec, H. Béren- inscrites au budget, et par conséquent, principes — au moins partiellement -— M. Ç craindre que l'exercice 1913 ne se solde par Voilin a, il est vrai, mal reçu les malheu- ger, Schmidf, et Deloncle, entr'autres,, un déficit considérable. C'est à 360 milr reux soldats envoyés pour maintenir l'or- se mêlent à leurs collègues du Reichs-. Lions, au bas mot, que doivent être estid dre dans sa commune, il les a fait coucher mées les ressources nouvelles à créer. (Vis sur la terre battue, tandis que les militai- tag représentant les libéraux et le cen-■ ve sensation.) r res transformés en boulangers ont récolté, tre catholique. On comprend plus de3 Si les difficultés budgétaires sont des e eux, des couronnes civiques de la part des choses, on aperçoit mieux les nuances, j! plus délicates à résoudre, la situation n'en1 a autoritéss et les sourires des Putéoliens.» I » • est pas différente dans les pays voisina,dans une brève conversation, que dans3 I par exemple, en Allemagne. " "O 9 'O*" 1 toutes les éludes livresques du monde. I Chez nous l'opposition rend lesponsa1 LE RELEVEMENT Kl combien de projets s'écroulent dès, 1 ble le part iradical de la marée montante DES LDES que l'on se trouve en face de ceux que, | des dépenses. Cependant elle n'a pas re-' î | jeté les crédits demandés pour la défenPARIS, li mai.— A propos de la solde des 1 1 } se nationale et ce sont l«s plus imnorofficiers, le » Matin » croit pouvoir annori- !j l'on rêvait d'avoir comme partenaires ! Il1 tante : elle n'a pas repoussé les dépensesj cer que le relèvement, de celle des offi- Iest vraisemblable qu'au retour de leurr I sociales. * cciers de l'armée de terre ne s'éloignera i voyage, nos compatriotes auront au1 I des p-tr'?tNsDE Vnx^INE' — Nous sommes j: pas des chilûres qui ont été indiquas;C'està-dire que la soldé,ne sera pas 1 eaueonp fond de soi-même le sentiment d'avoir | ses demandées pour l'armée,. mais non" fait une démaVchc, non pas inutile,, pas les retraites ouvrières. . A DROITE.— Et le rachat de l'Ouest l'at vons-nous voté ? <qui forment la majorité du corps de nos n militaire b nécessaire, etTdeïfandJf réparltioT^ A Scutarï LE MAIRE ALLEMAND PAR':-, 61 punition des coupables. Il réclame en outre que les mesures néccessaires soient prises pour prévenir le r retour de' semblables incidents. . Incident austro-serbe BERLIN, 14 mai. — Une dépêche de Belgrade au « Beiiiner-Tagblatt » annonce f. qu'un navire serbe en passant dimanche <J dans le voisinage de la ville de Semendia, Jfut bombardé par les canons de la côte hongroise, un passager fut blessé. .. Ces journaux serbes engagent le gou- 3EVUE NAVALE F%A"3CO-BrtlTANNIQUE me L Coopératives réclament Les des boulangers militaires [ ; réseau acheté, II n'y a qu'une catégorie de dépenses dans le développement de laquelle la droïte n'ait aucune responsabilité : ce sont les dépenses scolaires. Mais de celles-là, nous,, : ' républicains, nous sommes liers, loin de : les regretter. (Vifs applaudissements.) i L'œuvre de la République, dans tous les5 1 domaines, a été admirable, | Au peuple qui a fait cela, on peut luii j dire la vérité, lui demander de se prépa-| rer au sacrifice nécessaire. Il est convainI eu qu'U s'agit aujourd'hui de son existen-ce ; qu'il faut non seulement une armée I solide, mais un crédit inattaquable., Noj tre crédit, c'est notre poudre sèche, il neî I faut pas y toucher. Le Parlement fera, tout son devoir pourr servir à la fois les intérêts de la Réoubli" que et de la Patrie. (Vifs applaudisse" ments.) I ' r.evanl : i les tribunaux.".Mais du banquier, I] « Le banquier est probablement mort, a dit j le magistrat aux plaignants, mais une seule personne pourrait, en fournir la prouve : I <> Cherchez miss Vining... ». L'affaire du millionnaire yankec M. W. Martin n'a pas encore été éctaîrcic. Ou ci'oit 1 qu'il sc trouve en Suisse avec une saisis- sante Brésilienne, mais ou n'en sait trop rien. Cherchez la Brésilienne .. 11 parait maintenant, que la seule personne qui pourrait éclaircir le mystère eos| I mopolite de de Herr Ritter, uu Allemand | qui résidait habituellement à Londres et vient de mourir tragiquement à Toulon, ist une belle Italienne, mariée, qui reste introuvable. Cli-«rchez la signera. Enfin, le jeune avocr.t, M. Brigg, qui ** disparaître mystérieusement» Un sénateur de droite, M. LI-ERCTON, vient de vient apporter ensuite à la tribune les dia-> était, paraît-il, fort épris d'une beau!;'' j eu tribes habituelles à son parti contre la Ré- farouche. Cherchez la femme, vous dis-je«. " — T. M. publique. M. DKBIKP.RK parle en sens contraire, et insiste sur la nécessité d'un contrôle plus ■ s efficace des dépenses publiques. La discussion continuera demain mer- I credi. La séance est levée à 6 heures. — NoGALÈs (Arizona), 13 mai. — Il y a eu R G ' près de cinq cents tués dans un combat qui a eu lieu la semaine dernière dans , l'Etat de Sonera et a duré trois jours. Un S train chargé d'huile et de. bois a élé envoyé sur le terrain de la lutte pour qu'en PARIS, 13 mai. — Les ministres et sous-' puisse incinérer les cadavres. — Havas. secrétaires d'Etat se sont réunis ce matina î> en conseil à l'Elysée, sous la présidence de e Si. Poincaré. MARIAGE DE LA FILLE i Entre l'Allemagne et nous ces élé5... ments communs'font défaut. Et surtout, en Allemagne, il n'y a pas d'opi1_ nion publique sur l'évolution de qui on n puisse compter un jour. Elle manifes3 " te les désirs et les émois que lui dicteC son gouvernement par l'entremise d'un n personnel militaire, universitaire et adI ministratif qui suit aveuglément les ordres temporels et les directions spirituelles reçus. Les troubles du Mexique ï- CONSEIL DES MINISTRES Quand on pense à un rapprochement II franco-allemand, si on peut1 Mter en n France l'opinion, de l'autre côté il ne faut songer qu'à la mentalité des chefs. s Elle nous est trop connue, hélas ! pour IX que nous ayons besoin d'information nouvelle. Nous connaissons les conditions de « rudesse » auxquelles ils contsentiraient à être nos amis. Ce ne peuvent être les nôtres. LE Le relèvement de ia solde des officierss Le conseil a autorisé les ministres de la A guerre, de la marine, et des finances à étu,~ dier le relèvement de la solde des officiers. La situation financière 1 ' Le ministre des finances a entretenu li9 conseil de la situation financière et lui a fait connaître le sens des déclarations qu'il fera devant le Sénat. — Havas. DE GUILLAUME R BERLIN, 13 mai. — La » Gazette berlinoise de midi » annonce que l'empereur de Russie restera, deux jours à. Berlin pour le mariage de la princesse Victoria-Louise ; il en repartira, le 24. Les souveiaius aa» glais lesteront jusqu'au 27. — Havas. ———— — LA GREVE DES BOULANGERS Si un jour une détente doit se proI duire dans les rapports franco-allec_ , «*-»-«. ET DES MARAICHERS mands, c'est du côté des accords écoL Si aa; on Me: Iqmj' nomiques, PARIS, 13 mai. — La grève des boulandes concessions douanières •s" gers n'a donné lieu cette nuit à aucun inréciproques qu'il faudra la chercher, en >n — De notre correspondant particulier. cident sérieux. D'après les renseignement* espérant (oujours mieux du temps. ' de' la préfecture de police, le nombre des NEW-YORK. 13 mai. — Le correspondantt Bulgares contre Grecs ' g.évistes, qui élait hier soir pour Paris de de « Los Angelès Times » à Juare^ télégraMais cela c'est l'avenir lointain. Nous 1S SÉRÈS, 13 mai. — Depuis quelque temps, 5, M 3, était, ce matin de 7/3. Pour la bauphie que la révolution politique 'du Nord, jg les escarmouches entre Bulgares et Grecs que dirige Yennsfiano Carrunza. est main-'> pourrons y songer quand nous aurons ., dans la région de Sérès avaient cessé, tenant plus puissante que lorsqu'elle élaitI \ assuré noire présonl. Comme le disail Jl \i j Eu ce, qui concerne la grève des niaraîtnrigée par le licencia Vasouez-Gomaz ett hier M. Léon Bourgeois en se. déclarant lorsque le 9 au matin, les Bulgares, avec lt de 1 infanterie, de l'artillerie et de la car- normalement dans la matinée. —- Havas. le général Pascual Orozco. Ces 'troupes duL ,s valerie, ont attaqué les Grecs sur toute la a >mr, dictateur catholique Huertn commandéesJ partisan de la loi de trois ans : « Soyons 1 par le, général Trucy-Aubert, ont été bat- pacifiques et soyons forts. El sachons ligne. Les Bulgares auraient incendié pluj " M. DE JAGOW A VÏENNE *S i sieurs villages grecs dans le pays de m En Orient Draina. j j II *^'ï'• U faut espérer que, ceux des parlee\ ^ . ■ c'C/iii^n'iG d, une ^ruitcio partiee- -menhures français qui hésitaient encore ve I g. i* à faire leur devoir, auront sai^i exuetc| 1 \. ..y UJ ujut.. v^"1'' «1 > i-iîH '1t. M-Oï'tîfO?, il 1 ment à Be'riie les données' du problème I tst toujours dominé- nar Jt* ciiâl tir IA r*p.vn - franco-allemand. Ces' le profil du CotltiI lrtion agicairc, Emiliano Zaffta, ei par sw II 1 I grès ciuc le pays doil se soiihuilor. A • •acaucs. Cordier. . Troubles à Smyrne ; 13 mai. — Le croiseur GloI cette? a/èlé appelé d'urgence à Salonique, SALONIQJ>T:, j f Berlin. 13 mai. • M. de Jngow, secrétaire d'Etat aux affaires étrangères, partira ce soir pour Vienne, où il compte pejb s or quelques jours. — Ha.vas. des,^roubles se sont produits. ACCIDENT DE CHEMIN DS FER SAboxi(ji'E, 13 mai. — Le nort do Cavalla i est interdit aux navires dé nonimerce. il ; se confirme qu'à Eleuthéra il > a ou des morts et des biessés des deux ct/ié». — - ' qwuwntaine do blessés. L.: îoeomotivé &r. ! Ha>a.-i j train, a été légèrement détériorée. I fi Les Aviateurs ôtran^rs; Bxpositjeu i '; SfCY "pI Ciilinair" (Colonies scolaires de vacances [ de Lyoii La Coup^ Le Comité do l'Œuvre a tenu récemment * son assemblée générale, sons la. présidence d nt xous lisons dans io « Lyon Républi- cde M. Le Meunier, président. urtclers de ewûyttra tê 4 H°> \ URNEE Au coupa de cette réunion, le trésorier I -nonir» . Les suiwiii ; ech, .., cm H m'ai 1013 : unt été cites au « Bui'-nu tu- j et le secrétaire ont donné lecture tte leurs j frtmsl » du ministère de la guejl», au titre I « Nous avons dit, dans notre compte- jrapports sur l'exercice 1912, qui ont été <k* écoles d'instruction,à la smte dos cour^ ; rendu rapide, combien nous avons été approuvés. , DIMANCHE MAI ! ( de l'installation si bien comda Wll-lôiË : '■, .... i-J , , |$j J.-B. <lo la SALLE Jémerveillés D Rapport îmancier . ; 1 |-'.'j;.<. du st-'iid des l'induits Alimentairesi j Place de Nancy-, M-\î. DlWlsilc; llbu* j f: mi, ... En 1170, mort. ; j présenté par M. Cab.'tn Bernard, trésorier j , tejfïant de t4eer\*e au 3Tr ; Beaudouin, sons- j HECETIES La Doyenne des Marque* ; . du'dt ,ut reej»a ^ itns sur Kl lieutenant de réserve au 37* ; Vibra c, sous- : di Solde de l'exercice. 1911....: 2.961 75 i j la Lorj.-o i (Slainieu, auprès de ^ A la -, lièi iiiinul -, ies Section nancéienne do la ligue de ,. ! 'lieutenant de réserve au 4° balaillen de }*? ,i .,. ',.,|Jll1on6*4l 60 » 11 chasseurs ; Geny, lumfcep&tit 'rte féserve au \ M cohue élégante qui 96 presse, ra\ie, au eu j l'Enseignement IPÊBA'VUP* j san» ; DoudouK, rïffbsiel' n'administrât ion fie Restaurants économiques ■ 500 » n nous a jitah' . i «i„> „,, . ','"'!lt (jn* 1 quet saTon de dégustation. Un lunenc, on ; Association des anciennes Elèves a' Matin.» , / iii t * aval i : clôl ire o. !; ^ .i'^'/'Wloi» '*** •<* I 11™ classe terî'i'toriale du génie (20* région); | ' papule ; c'est un petit coin vivant, c. Al. . i du Lycée Jeanne-d'Arc s M( , 759 Delleille, lalbie i| Ôi 3.500 » qui ni am i lieu dan-, deux i;un-sL *s'J®€ill*Bî I Létaudy, directeur général des Etablisse- ^Concert donné par Mmo Valcutin.. vi'it.i, îiiedecin-major de 1" ctittse fèwt-T ^ î;)i 50 I )ne v France. 1 n,.i,ts KNORR, à Nancy, qui nous reçoit Biil ) toriale du 30° corps d'année ; Gauhy, offp j donné, le 24 mars, par M"0 , 11 a t *~— -rtoisie charmante, doil être, sa a jmrtir'duns h^uouïe^eitf * VaJentirt ■ 262 20 autorisés ., cier d'administration de S* classe ime:;cL> i 1 I NANCY L« 14 ' i avec, sa cv»., -htenu par son exposi1 produit d'une quête fuite à la ragenrent des Cycles Clément et d!^ ce (bureaux) ; LoTtgçhani)t, lieutenant >\o " KxEWt.K .\ s!» -La commune d'ïsenux, ! t 1 i tisfait du succès V! - »^ls |PS siifïramatinée Sonnée, par M"" StC'U I r> républicain, mèniie les anciems dans risère, a cinq de sês enfants au Mu- 1 réserve au ;•«"' ; MouWSTW*, Heidettant tte JE l" li a. d'emblée conqdts w-» '•'VOBB de là Mar, à la salle Poi.rel, le u■ 1 i eu lalifiés indépendants i wom Temusprobable: ■; tion. ^o*. réserve au OS.* ; Hocxlllèr. cap-faine au. 43f | £ 1 roc. Ces braves petits Français, au prix 21 janvfer TT. 70 » ges, d'abord parce que les Produits t>t.. Vojiâ une décisioii oer*e • Il _ ge «Phéroïaues fatigues et bravant tous les | j'icrrifxn-ia.l (gattte de vole>- de efnmniHieu* i j f 1 P ut * pu- M. Heyde, pour reliet sont exquis, qu'ils sont la Providence de t . coiiséipience, dimanche procha^n' '!^ ° omich organise par i ■danger*, couse::!, «ri beau morceau de 1er- j (ion) : JMMK» Itetieii'atP de réserve au È" ; »: - . 8tVlfc I ht la maîtresse de maison et que la facilité*et Veio,. . s , ■d'artillerie ; Collin, eapiiaiiH; de réserve , susensiblement le peloton coinlv,,., 0 i Vent des régions quat «Ta ucaine a ia Bras ritoire. a- notre brillant empiré africain.S „-'/' . 18 ; i;..t ' !| la la rapidité avec lesquelles ils peuvent être l L'nion repitu,^ io » N. jeum s gi n.s auxquels cette énreni.'. f d* lia municipalité d'P-.eaux a voté, à l'una- )(services spéciaux du territoire) ; Mannoi- • « kliia , P* préparés, en impose absolument l'eulploi j sTie Vaguer >„ moni 4 h S., t 2 17 Température j de un effort dont ils -ont tout aton, médecin aide-major oh: ~° classe do j » nimité, une somme de 50 francs, qfti sera par M. Chantielaire «w u"fe étape de 130 kilomètres s^n | à a toute ménagère ordonnée et soucieuse i Versé \ réserve au af> ; G*te, chef é't.-cadiou ; a M j f fi jl normale égalpiae.'it répartie entré eux. tant d'une collecte au certîm.. 40 » d de ses intérêts. d« ia sortie de Bayon n'4t '..'.''^J.*' Modeste obole, mais combien encoure* j *•dVrtillérie territoriale (s'eirvice des chemins B- r Ma*.. +21 | - j i,| UîrP1> Si les ootages et entremets divers ren- f d'études Quête faite au punch offert, par • I ble, tant s en faut — ressembla ,( S géante ! E^e leur dit que là-bas, au villa- de J fer et des étapes, SB» région) ; Rodel- l ,i 1 dent dans tous les ménages d'inappréciaune «t sortie ». !' ' "'PH 4 JJ] tes 7" et 8° sections, aux maire . i ge^r la petite patrie, - op suit des veux i lphe, eons-nitendanL,mllit*it'c de M" classe, ||P (Ohlr.itf.ilj il SI, B*(ti«H{.)!l bles services, il est une autre série de pro et conseillers municipaux 78 » Los commissaires sportifs dési<«rii« « leurs nobles et com-ag'éux efforts ; qu'on j „20" région j mm, SapilaittC de réserve au duits qui est la ressource des mamans, ^Association des anciens Elèves de jla a Coupe c^î"ent sont MM. Ba^^ff s'en enorgueillit, .et que les délibérations ,3H" d'artilieri;- ; M'erctianil, sous-Ueuteuant ! ; l'Ecole primaire supérieure 100 » A j'en appelle à leur témoignage. Combien ■communales cir çtîytç*font l'ineffaçable te- de réfîcr.c au '.'• la:, ill-m de clia.-.seuiâ ; I Ferry et L. Ma.fhe, notre chro ^ j Lorraine des Œuvres auxi1 de difficultés et d'embarras n'ont-elles pas Union l lliqi moiguage. Bt boires de l'Ecole laajue W » éprouvés lorsefu'il s'agit de l'alimentation m0 Toutes tes nrmieip Aj i t'-s^J'e France, qui ; Le moment nous paraît venu de. citer lei de'jeunes êtres chéris '? Que leur donner *Bal donné par M Valentin, on déoht^des enfants an Mà*0c, .devraient- , *fit'Miie (l'aHlHei'ië ' '. i .ici : ûe IscEviee* des ' cembre 206 5° s* services rendus par la maison Cléim»^ d'assimilable, de parfaitement digestible i Amicale laïque Didion 50 » la la cause du sport cycliste. eues pas imiter la innnleifa.lité-d'izeaux .' ; £chemins dé' fer et dès étapes, à)" région) ; I * pour leurs jeunes estomacs '? La série des jUnion syndicale des Employés de Lecomte, lieup;iMe: colonel die r&erve au I A quoi bon vanter les mérites deœtt* : crèmes et farines de légumes KNORR est commerce > 40 » - LA SCIENCX PRANCJdSrK .n«ÉïaAX6Sfl. - j$im \ <jt'y d'ai-iil!erie a r- d i Ailiould,, Rtiitcnaut nl marque toujours sans rivale ? Le Coq-11 faite à la fête de l'Union j toute indiquée. Il n'existe pas un seul ali- Quête ( tïftvitation de ITnivareKa; de Londres, Jj£ | cde lierre au W di'dafOrts i Dru-un, lieutement a chanté bien des victoires. Son hit Lorraine des Œuvres auxiliatj rnent aussi qualifié pour un régime d'aliPaul-Frédéric Girard, le savant j.fôfe'f- Ljnant de réservé au' «»•• ; Michels, pbartna< OnVfs. ^i^l TÊ^I m n'est qu'une longue suite do sucrés, res de t'Ecole laïque 50 » toire «I mentation rationnelle de l'enfance. Rien . cien térrabrttfl ml 20" corps ; Lionne, chef ' seur de la Faculté dt droit pArls, vient | ' Amical laïque des Cordeliers.... 10 » qi qui ont proclamé la haute .supériorité ife 1 n'est comparable, pour les personnes dé- Amicale ', i ii. tua. \ ' ^vj&r J^C$ J r' laïque de Boudonville— 5 » la tte' faire à Lo:i<ii'*3- s^r tn. tôt (les Douze i 'de bataillon de réserve a?rt' 35» ; Boidin, atla fabrication française. e licates, au Cacao à l'avoine KNORR, au* \ taché djutr-ndanee de. '?' classe de la 30 Produitn et de la tombola 1.878 » Tables»» <Jeu& coiîierene.e* présidées par j * Soit qu'il s'agisse des légères machine, Crèmes de Blé vert et aux Farines de lés r Souscriptions individuelles 1.981 50 ^ \ les professeurs Clark et Goudv, des uni- I région ;'"Gotl(l, chef de balaiskai de léserde coalise destinées aux chaumions • £Z gumes KNORR et à la Crème d'orge i Intérêts en banque 75 90 ve d'iniaiitc^ie' (service des chemin» de (er j \ versités ue Canibridge et d'Oxford. que le tourisme réclame une bieveiette d» KNORR. Pour les enfants, la Fleur d'aNotre compatriote a remporté le phi3 ! çet dos étapes, ^ll° région). tout repos pour les longues randonnées10.623 115 tc voine KNORR constitue, de l'avis unaKcole d'm*-truélson de Verdun ''infantes< vif succès. L'assistance comprenait, en desoit que la, sportwoman veuille comttiétp* DÉPENSES un.— ni nime des sommités médicales, des Sociérrie). —- MM. Jearidedieu, capitaine de réboxs des étudiants, les plus hauts magis- | Union Lorraine des Œuvres auxis< son élégance par le « chic, d'un inodèla e ; Geoffroy, capitaine au 44° ,<5 tés savantes et des Facultés, l'aliment le Itposition de la Cité moderne serve au 151 nalè.d'Angleterre, beaucoup de membres j * liaires de l'Ecole laïque 10 » e1 étudié avec som ; sou ipi'è 1 ouvrier dési plus complet, le plus fortifiant, en même -,Trousseaux pl 525 90 re n poui- l'exercioe, plus commode de'sa du barreau, et un grand nombre de pro j 1territorial. — Artillerie. ~* >iM. Medard Clôture la samedi 17 mai te temps qu'un régal dont Bébé ne veut plus j e Dépenses de la Colonie scolaire.. 6.6,>7 3D p lieutenants de réserve au 5" îeïiseurs. Le conseil de, l'Université a déci- et, Laurent, profession ou pour ses eléplacements ÛA se passer, et la preuve flagrante, indiscuFrais l généraux 36 (55 c Rappelons qu'en raison du succès de M Q| dé de, publier ces aeux' conférences. i d'artillerie. oessaires une bicyclette lui donnant tout de la valeur des Produits, c'est l'exposition de la Cité moderne, de l'inté- ' table « Ecole d'instruction d'Lpinal. MJ.I. l'< les garanties de" solidité, de souplesse et 7 .229 90 J| ] rpi'actuellement, un demi million de bé- ( sous-lieutc-nant de réserve au lèt r< qu'il y a à favoriser le mieux possible 'l " LÀ wissKj> aç Gmoxcot'ttT. — L'explora- Vogelweith, j de régularité — la marque Clément rt créditeur 3.393 45 * 1 sont nourris à la Fleur d'avoine Solde la diffusion des notions qui s'en dégagent, bés S! mur de Giioncourt (notre compatriot • | fw* d'artillerie ; Cottiau, lieutenant au 43e la — p pond également à tous les besoins à to» 1 KNORR, et aucun ne souffre de l'entérite, territorial. c-| ( t pour répondre au véMj qui leur a été exK nàitféien) vient de déposer à. P Académie , 10.623 35 les le caprices mêmes, et s'offre en toutes ci? : ce fléau infantile, ni de la dysenterie, si — ■■»!—-^^f -■ » j 1 rimé, les organisateurs ont décidé de dit- Ç< des inscriptions et belles-lettres l'imporRapport moral co.^tances comme la plus sure des réféS( ; souvent mortelle. lérer la clôture jusqu'au 17 niai. Sahte collection des 812 inscriptions qu'il u présenté par M. Renaud, secrétaire p rences en matière de construction de cy- I U COMÈTE SCHAL'MASSE A tous les points de vue, les Produits a'recueillies au Niger et dans l'Adrar. | L exercice 1912 a fait, une fois de plu*, c. cies. KNORR offrent des ressources infinies et Un premier examen de ces matériaux, j ressortir tout 1 intérêt que conserve m«« De notre corrr«pcnc3snt particulier. Depuis longtemps, la doyenne des fir. I des garanties Incomparables, issus de céeffectué par le savant épigraphiste Van ! tigu-o de l'Enseignement ^ Œuvre comme la nôtre. , n mes avait renonce -à ïïKjtrc fn ligne icj ; LONDRES, 13 mai. — La comète Schauréales rigoureusement sélectionnés, et obBerchcm, a fait apparaître pour l'ép'gr.i- ; Bien que, pour cette année 1912, la nou- ci coureurs réputés, que Ton paie largement, Le comilé a obtenu de M. le maire l'au- tenus te par des procédés scientifiques, leur phie arabe du Niger des dates telles que | F«aésèj la première découverte celle année, I velle Municipalité ait créé pour les vacan- que q l'on entretient, que l'on ^oyre de y», d'urganiser le jeudi. 15 mai, à p. U préparation est donc mathématiquement ïlll. démontrant la présence au moyen |'_ era assez bien placée pour l'observation à ! torisation ces la Garderie du plein air de Gentil!/, tits ti soins et d'attentions délicates — pôoof pnlir d'aujourd'hui 13 mai. cuire 11 heu' parfaite et leur conservation indéfinie. SgP, au Soudan, d'infiltrations musulroa- j pour laquelle elle a sollicité également ie q qu'ils triomphent de leurs concurraaa, ,res du soir et 3 heures du matin, près de 1° Aux cbattofcâs (sous la direction de La conclusion est que ce Produit idéal nés fort antérieures à l'invasion marocai- 4 concours pécuniaire de nos concitoyens, T Toutefoie, les lauriers qu'elle a reuijw MM. «les vétérinaires) ; a a sa place marcpiée dans tous les ménane citée par les livres. | la J constellation du Dauphin. Voici, à i'a- ' M nous avons pu néanmoins maintenir le tés, ti le Bol d'Or, le Grand Prix de Paris, 2° A l'asile de nuit (sous la conduite de ges. g. Nous invitons toutes les dames à ve..Ces documents présentent un intérêt ! dresse des amateur.*, quelle sera alors la I contingent hnbituel des jeunes écoliers en- B Bordeaux-Paris, les principaux champion, M. le directeur). § exacte de l'astre chevelu : Mardi j ^ nir à l'Exposition d'alimentation, dégus$tt$dérahlc pour l'histoire de l'Afrique position l n ds France et du monde, sont préaeîita te les divers Produits qui sont au stand voyés pene'ant tout un mois à Celles-sur- nats intérieure qu'ils éclairent d'un jour entiè- | l13, à 11 heures du soir, ascension dloiie : j1 v Rende*-vous le jour dit, au passage à ni- ter Plàine. à toutes les mémoires. de la Maison KNORR. rement nouveau. ! 20 , b. 32 m. 45 s., d-clinaison nord, 15 h. veati du faubourg Saint-Georges, à i heu- a Nous n'hésitons pas à dire que c'est ave:, Qui ne no souvient aussi des champion-1 43 ni. . r< Les Produits Alimentaire» KNORR sont un grand plaisir que nous avons vu la nats n mAu 'TÉLÉPHONE. — L'administration de, France indépendants oCr Hn^enA deux heures du matin, du mercre^ 1 i, des ' français, fabriqués à Nancy, rue du Moncréation detette garderie de plein air et tobler h se couvait de gloire ? Puis ce ùma» ffifètiss de Berlin, a engagé un procès con- i •ascension droite, 20 h. 32 m. 21 s. ; tf ciite!, pai" un personnel français, sous une Nos gymnastes à Vichy jjDirection française. Us sont représentés à nous hésitons encore moins à ajouter que Piani F premier dans les petits S;x 'ourX (ia trVun avoué berlinois qui avait traité les I rnaison nord. 15 h. SO m, Hier, un peu après les deux organisations sont des plus né- li Nous relevons dans le palmaires du con- L demoiselles du téléphone de « chameaux ». 1 1minuit, elle sc trouvait fort près de l'étoile Lyon par M. MONTAGNE, agent général, c< cessaires et doivent continuer à fonction- versa v ires dans le championnat de Paris, An-cours du procès, l'accusé révéla qu'a €de quatrièaa- grandeur delta du Dahphin. cours fédéral de gynniastjjne dr Vichy les r< rûe Godefroy, 31 ». ner parallèlement. 1Piani battant Tournié, chainpioil de Franc8 ""bureau téléphonique le précédent ms- i Nous sommes tris heureux de constater Toutefois, l'une d'elles, la nôtre, doit, c ce, dans le Grand-Prix de Limoges ; paie Militaires. — Classement individuel : 10. c pecteur avait eu des relations avec vingt'.-•• rgcttf QtaSjter, 2* liataillon de cha?<sears. ce' franc succès de la grande firme nan- continuer à s'intéresser tout particulière- cce furent encore ks succès do Gandiol ds cmq téléphonistes et qu'on avait dû le dé- | céienne (Réel.). ment aux enfants débiles, chétifs et ma- la li FAS, dans le Grand Prix de Puteaux, Par délégar on : 4. 2e bataillon de ebasplacer et l'envoyer à Strasbourg II a menlingres — sans pour cela fade œuvre de dans d le Grand-Prix des Transports de tionné aussi comme distraction favorite | J sanatorium — et ne s'adresser qu'à des lFrance, dans le Grand-Prix des Corporade ces demoiselles, lorsqu'il était demandé i Bagarre au Palais enfants de familles nombreuses, conformé- tions, t dans le Grand-Prix eyePstn S* p un nom très commun, comme Dupont on ! Mardi dans l'après-midi, les frères Léo- ment au but qu'elle s'est tracé à la pre- Société £ à es " ,. , , • .. e ,•• • Durand, de mettre ci! communication 8, chdSkvejll à 1 14 5 cl d'ariiBer^^Fled. ' p puld et Pierre D.. étaient ^convoqués de- mière heure dè sa fondation, qui ne re- d'autre; n \a. • ,.i«, I.L . avec tous les Dupont ou Durand de l'anUne désespérée 1 ie bureau d'assistance judiciaire monte pas moins, aujourd'hui, à dix an- 1llnyot, f i si. Scolaires. — Prix d'excellence : 6. Lycée vant * nuaire, de façon à ahurir celui qui de(J t pour un litige se rapportant à une mai- nées.: •Capoulax . • de Nancy ; 12. Ecole normale, de Nancy ; P BAR-LE-DCC, 13 mai. — Mme Vacbet, née mandait tel ou tel Dupont, i 1 a son dont chacun revendique la propriété. Nos précédents comptes rendus ont dit ssi merve- •" . , -t ' ■ * Ecole normale de St'rêoôurt. Délicieux passe-temps ! j jGilberte Maquart, âgée de 21 ans, dont le j 15. Le bureau venait de statuer, lorsque tout le bien physique que les 1.115 fillettes les 1 qualii -s de la h'icyV, -i, fument quUl'| Production spéciale avec engins. — Ex mari est garçon boulanger à Longeville, s'approcha de son frère et le et garçons cpii ont été envoyés jusqu à rmont ai en' -L'ECOLIER DE VENDÔME. — Les Amis de : Ecok- profeRS'immelk.- de Xancy ; Léopold *■ a tenté de se suicider en se jetant par la j cellenee « frappa, d'un coup de poing à ia tète. Un maintenant faire cette Cure d'air des VosBalzac ont inauguré, dimanche, au lycée ; portière I première catégorie : Solvav, de Bombas- {) du wagon qu'elle occupait dans le i f coup de canne tut la réponse du cadet. Les ges en ont recueilli ; nous n'insisterons 1 fiance dont .jouii partout la marque à W f C de>fclendoate, où le grand romancier' fut ; 1train de 7 h. Il (le Neufchâteau à Bisr-le- ! le. deux frères allaient continuer à se frap- pas, et revient rons encore moins sur l'at- cquelle l'Est républicain est heureuS de prêeaifeirmé, un médaillon, qui y rappelle sa ' Due, 1 Boxe. -- Classement spéédal, — Prix d au moment où celui-ci passait a j présence. On aurait, pu montrer aux as- j ttoute vitesse en face le Champ-de-Mars. j d'exceilenoc : Ecole professionnelle de Pper, lorsque l'agent Grégoire, de service trait et les e>cellentes leçons de choses tter son concours pour la belle épreuve dt dhnAncfae prochain. c aau Palais, intervint, sépara les combat- qu'ils ont pu en retirer. eœt^inls cette note écrite par le principal Cette femme a été relevée par les cm- ! *Nancy. t tants et dressa à chacun d'eux procèsNous n'oublierons pas cependant de du collège, sur uu volume relié en pair» ployés I de la gare qui avaient été- préve- ! PIERRE-CjUi-ROELE. v verbal, remercier bien sincèrement, une fois de ebemin que les archives municipales con- ; >nus par des voyageurs. a Institution des jeuites aveugles plus, nos généreux et habituels donateurs, servent sans doute encore. Dans sa chute, cette dame s'est fraetu- j *■*-'. l'hospitalière population de Celles ; partiN6 '460. —• Honoré Balzac, âgé de huit j irée le pied droit et blessée à la tète. Elle Jeudi 15 mai, à deux heures, et diman1 Cimetière du Sud culièrement Mlle Jabot, directrice de l'écoConcours national de cyclisme .îwiîlealt*, ans, cinq mois. A eu la petite vérole sans a < été transportée à l'hospice. Les causes ! cche 18 mai, à trois heures, les élèves de , tafirmités. Caractère sanguin. S'échauffant j «de cette tentative de suicide sont des cha- | *l'Institution des jeunets aveugles donneront Le maire de la ville rie Nancy a l'hon- le de Boudonville ; MM. Duheille et Ch. -— Sous le titre de « Grand Prix de i'ïanca tacileïnsnt et sujet à ciuelques flèvnes de ■ jgrins intimes e éclaireurs cyclistes », aura lieu un i 8aux bienfaiteurs et amis de l'œuvre une 11neur de rappeler a ses administrés que Julet, qui ont assume la responsabilité et des 1 ebaleuir. Entré au pensionnat le 22 juin — s séance musicale et récréative. 1'les emplacements non concédés du cime- la surveillance des 121 enfants ayant for- econcours ouvert à tous les cycliste! 1809, sorti le 22 août 1813. — S'adresser à i t tière du Sud, qui ont servi aux inhuma- mé la caravane de 1912 et M. lé docteur 1n'ayant pas fait leur service militaire.' Sapeurs-pompiers M. de. BaHac, son père, à Tours. Une' éûminaioire est prévue pour chètions faites du 20 novembre 1001 au 25 Chaudron qui, tous les ans, avec un soin «' Caractère sanguin, s'échauffant facile- j ' département. Elle comporte une épreuavril lt>02 (section J), seront affectés pro- jaloux et désintéressé, veille sur son état que dans le corpe des sa1 achainement à de nouvelles sépultures. ment, sujet à quelques fièvres... » Cette peurs-pompiers , Ont été nommés sanitaire et n'a eu à intervenir que pour ve de tir, uu exercice de reconnaissimcs : ripte, tracée d'une plume indifférente, nous ; <et une course cycliste, mais le coruttiissai" Les personnes qui désireraient procéder de petits bobos insignifiants. : l'exhumation des restes mortels de leurs montre un Balzac déjà ressemblant dans cet | j Meuse. — MM. Bausset Joseph, sous- 'm&fcs*edï 14, Jeudi 1B, Shaîing à Nous terminerons ce court exposé de re i général aura la. facilité d'en interverti! de 2 heures à minuit. lieutenant à Brixey-aux-Cbanoiues ; Mou« écolier de Vendôme, toujours surpris son- I , i dans le cas où il serait imposable, parents sont priées de vouloir bien se pré- notre campagne de 1912 en demandant l'ordre ; rey Charles, capitaine à Commercy ; Nigéant,'à 'a fois enfiévré, ardent et lointain, ! ( • ———-—« s senter au bureau des actes de la mairie ' bien haut qu'à l'heure où l'on se plaint de 1pour une raison quelconque d'effectuer !• ! col Camille, sous -lieutenânt à Couvertpuis; dévoré d'une soif de lecture inextinguible | j l'insuffisance de' la natalité tn France, 1tir le matin. Réconpenses au» reboiseura ^(à l'entresol), avant le 10 juin 1913, pour nombreuses soient les bonnes volontés qui et dont la jeune peusée, nourrie en atten- !j tHaidric Adolphe, sous-lieuteuaut à Hàt- \ La date de l'éliminatoire pour Meurthey remplir les formalités nécessaires. 1 A l'occasion do sou assemblée générale riant mieux, du suc des livres, t'ait éclater !i jtonchàtei ; Lay Joseph, sous-lieutenant à < viennent nous aider, pour la. prochaine et-Moselle est fixée au dimanche^? juillet | Horville ; Dupuis Alphonse, sous-lieute- |t du c 15 mai prochain, la Société forestière h» "morail'es du vieux collège. campagne, à enrayer, sinon la mortalité iprochain. i naut à Lamorvillc ; Kemy Adrien, sous- j llorraine des Amis des arbres décernera les\ Classement des chevaux infantile, du moins la faiblesse de trop de i ] Le droit d'engagement est d'un franc. : lieutenant à Longchamp ; Miblot Paulin, j; iécoinpenses i suivantes : Les prix attribués à la partie cyclirt* Par arrêté municipal, les propriétaires nos jeunes concitoyens, qu'il est agréable j sous-lieutenant a Montigny-les-Vaucou- j Travaux forestiers (plantation*, amclio1 mulets et mules de voir revenir à plus de santé et de viri- consistent en une bicvclette de m'orqu^ cde chevaux, juments, | leurs ; Gérard Auguste, lieutenant à Mor- ! râlions, surveillance, etc.) une paire de roues jantes bois et dicilsi» susceptibles d'être requis pour le service lité dans, l'intérêt général. TERME I| -jley; Pierquin Camille, sous-lieut. à Nou- I Prix de Mme Armand Lcderlin : M. De- [ Conserver à la nation ses enfants, est tube, une paire de tubes Wolber, eit— ■ ; Cûlson Aimé, sous-lieutenant à I: rmetz, professeur honoraire à -Pexonne! de l'armée, en cas de mobilisation, doivent Btn.cêKiPwm. «» sard : une pratique du patriotisme du meilleur Ceux qui sont destinés à la catégorie» Tprésenter leurs animaux à la commission ; Varncrot Eugè- !I ((Meurthe-et-Moselle). 12 moi 18 Œsi •' Hup-devant-Saint-Mihiel ' { comprennent : une carabine de précisioii» de classement, aux jours, heures et lieux aloi. 1 sous-lieutenant- à Saiut-Agnant ; Brux ] Rente 3 % §3 22 S5 12 ne, Médaille d'argent offerte, par la SociétéJ ci-après un appareil photographique, une g^ff" indiqués : Actions Lyon 1300 .. ji Jean, • A lieutenant à Sivry-sur-Meuse ; Colin j cd'encouragement pour ('industrie natio- t ture de cheminée, etc. Canton de Nancy-Ouest : les 16 et 17 Métropolitain 612 .. 687 .. .Alcide, sous-lieutenant à Sivry-sur-Meuse; r j Les 87 vainqueurs des éliminatoires de; Rio Tinto 1977 .. 2010, .. ]Didier Adolphe, lieutenant à Vouthon-Bas; nale : Le comité, en suite des conclusions de mai 1913, à 7 heures du matin, et à 1 heure Sosnowice 1*60 .. iilô .. , Millard Juhen, lieutenant à Xivry-Marvoi- [ M. Drouot Emile, garde paiiiculier au1 (et demie de l'après-midi, boulevard Char ces rapports, a décidé de reprendre son partementales seront réunis à Paris le » l'uits-de-Haie, par Offroicourt (Vosges). ] Extérieure 4 % 80 80 90 55 ; ,sin. action en vue des prochaines grandes vales-V. 1 er fausse consolidé 4 % 90 60 Canton de Nancy-Est : les 26 et 27 niai cances, et a décidé l'organisation de la un itinéraire' consUtumit °ûne ""épreuve i Vosges. -M.\I. Bei tiieiniii Marie, sousDé Beers (ord.) 526 .. 551 .. |. j MM. Renaud, brigadier des eaux et foj tombola annuelle. d'endurance Le premier prix sera : 1" 1 ' 1913, à 6 heures du matin, et à 1 heure de. r Rand Mines 177 .. 187 50 !i lieutenant à Brechinville ; Aubertin Léon, i rets, à la Maison forestière de la Menelle, j il a également procédé à l'élection de 1,000 francs (ou un objet d'art de niéina boulevard Lobau (vers le n> Briansk (ord.) 514 .. 588 .. |! !sous-lieutenant à Coussey ; Mangip Emile, [ t\n% Pierre-Percée (Méfirthë-et-Moselle). ' l'après-midi, j son bureau pour 19lâ, qui est composé valeur) et une médaille d'or ; 2° 'OeW Turc 86 50 fil ., ii sous-lieutenant ; lit). à Halluinville ; Divoux !; Doxin, garde particulier à Th il lu admis5 | u Banque ottomane 656 .. 665 .. !: Auguste, , francs et une médaille de vermeil ï !| , Canton de Nancy-Nord : le 29 mai 1913, comme suit : t sous-lieutenant à Mortagne ; 'i■ (Meuse). t Berbe S3 25 83 05 ij Thirion MM. Le Monuier, président ; doctear à 6 heures du matin, et à 1 heure de î'âHenri, lieutenant à la NeuvevillePlaque! te en bronze : . ar 1 Italien '• ••]] Weiller et Boulanger, directeur d'école, vi- 4° de 200 francs et une médaillé eu " . tj près-midi, boulevard Lobau (vers le n | les-Raon ; Feys René, sous-lieutenant à la j MM. .(éol, garde communal des eaux et j ' ce-présidents ; Catien Bernard, trésorier : ! 114). i Neuveville-les-Ruon ; Thuiet Louis, lieu- j jforêts à Ménil-anx-llois (Meuse). Au total, 30 prix pour la partie cydjW i Canton de Nancy-Sud : le i juin 191:.!, à P.'"Bachelard, trésorier-adjoint ; Aimé Retenant à Saint-Ami : Thiriat \'icolas,sous- I Zagney Emiie, ouvrier planteur à Ménil- j! 1 heure \ de l'après-midi, et le 5 juin, à. fi\ naud, secrétaire, et E. Le'muitre, secrétai- 20 prix pour le tir, 2,550 francs en e-P*T lieutenant à Saint-Etienne ; Febvet Nico- !i faux-Bois (Meuse). 1 ces pour la finale. C'est là ce qu'on p<® i las, lieutenant à Sapois. i iheures du matin et, à 1 heure de l'après- re-adjoint. Arboriculture fruitière , appeler un royal cadeau 1 Le secrétaire, midi, boulevard Lobau (vers le n° lit). Ouvrage offert par M. le ministre de l'a- j La maison dés pneumatiques Wolber, » A. RENAUD. Eaux et forets I Pondant la durée des opérations de clas' griculture : , organisant le concours national de cycl* | sèment des chevaux, juments, mulets et j| Jmules, la circulation sera interdite, sauf ! Est admis à faire valoir ses droits à la j " Mme veuve Martin, à Toul. me militaire, se propose rte récompense» Nombreux sont ceux qui, faute de cartes ProteciiOii et défense des arbres Eugène-Auguste, i les meilleurs systèmes d'éducation et l» I aux piétons, sur les tronçons du boule- j Dnplans appropries, ne peuvent se rendre ; retraites M. Duchaine brigadier domanial des eaux et forêts,hors I champions qui ont tiré de cette éducatK» vard Cbarles-V et du boulevard Lobau af- ! compte du développement commercial qu'à ! |classe et médaillé, au poste non logé i Du 13 mai MM. Habert, avoué à Toul, et Goubgauxs I| fectés , même un parti exceHèntr ~à ces opérations, savoir : pris,, en quelques années, l'arrondissement j ' d'Hautcourt (M.-et-M.), brigade n" 2 du i G., < avoué ii la cour de Xancy. «xtrcsres Une idée aussi patriotique no peut, da* I — Boulevard Charles-V. — Les lfi et. j Cours communiqués par le Syndicat ÏWx WftJÈrtey. Les richesses de son sous-sol, et,■ cantonnement de Longuyon. a Exploitations forestières le voisinage de la frontière, qu'exciter da* do ta Boucherie : IU. ti!" ja,,rapide transformation industrielle ont ; 17 mai 1913, à partir de 7 heures du maM. Paul Charles-Louis, garde domanial Plaquette en argent : jtin.' les milieux sportifs la plus noble et la Plul ionné naissanco à des cités entièrement j Bœufs (viande nette de) o.9o à 0.98 des eaux et forêts, de 2-; classe au poste ' M. Liégeois Camille, employé dans le e ^ aouvelles qu'il est utile de connaître. II. — BOIIICN ard Lobau. Les 26, 27 et 0,82 n 0.95' généreuse émulation. " •29 mai et 4 juin 1013, à partir de 6 heuresi Vaches Nous v applaudissons de tout cceUT. C'est pour combler cette lacune que non logé ^ de Montigny-les-Vaucouleur., Icommerce des bois ù Sampigny (Meuse). i Taureaux 0.78 ?ï 0:8;',! Moutons rasons !.;;,, ;'i j.io) P. Q. R. P « Est Républicain » vient d'iditer une i du matin. Voleurs de bicyclettes Î.ÎOit i.i:. nagnifique carte murale de l'arrondisse- j Le 4 juin 1913, à partir de 1 heure i de, i Moutons africains ' | Brebis 1.25 â CMi Il *** *' ' tient de Briey (humât 0.0;> sur 0,81) à I j A la suite d'une minutieuse enquête, less l'anrès-midi. j Pores. 0.85 a 0.54 l'échelle de 1/100.000*, établie d'après les ! i inipéçteiirs de la brigade mobile ont arLes animaux présentés à la commission L'écrasement d'un chien. Le tji]»jW iocuments les pius précis CL les plus re- !;! eaux et forêts de t' classe, nommé, par ar- i! ;rété Gaston Arachard et Alfred Lejït»,:, :, qui opérera boulevard Cbarles-V entres ,t ? de paix de Bot:!n-:ne-sur-Mer'Vie-'nrv!.' J. rèté du H mars 1013, au poste non logé de ! qui. ces temps derniers, ont dérobé plu- j' fents. cei i| Vont sur le boulevard par l'extrémité Nord I j dre un jugement fort intéressant a Vcal,x ^Nous avons également fait tirer cette j Vouthon-Bas (Meuse), triage n" 2 du" eau- ,!1 sieurs bic.vcletles à Nancy. Deux des tvi;;- j , laempairKiààae nette ' Î'É ! tajrtë sur papier parcheminé, pliée en po- I tennement de Goridiecourt, et non encore chines dérobées avalent été vendues pourr j Trois-Maisons), passeront devant la'Vom- i f Autres provenances 1.20 a i ;io» "lin automobiliste qui tient sa àvoj^ fcbette sous couverture, de façon à. en îen- j installé, est appelé, avec son grade et Sa : , Veaux de pays l.oj u 1.27 s | mission, et sortiront par la place Désillos. j classe, au poste non logé d? Montigviv-les- j ' qui écrase un chien n'est pas resP0?8^ ire Ta consultation plus tapile. Les animaux présentés ù la commission 1 I ■ M car c'est au propriétaire du chien fc slV Les signes conventionnels ces différen,- j> Vaueouleurs, même dépai teinem, ' triage! j qui opérera boulevard Lobau entreront j iv 1 du cantonnement de Commère;.-Est, M-iller l'anima!. •' »' tes catégories de mines et usines sent très , Broutilles t i sur le boulevard par l'a rue Mansuy-GauMais, an contraire, une -auto /1 l.J- .'qui tl&lrto et se délachem. net'.omcnt à leur l'■ en remplacement de M. Paul, mis en dis- iI L'a nommée Louise Vincent, (igée de 24 '4 !; vain, passeront devant la commission, et I gauche (le la route sans nécessite *VJS| place géographique. Les concessions de ji nonibilHé M. Larue BwtWiBd-Jean^rlft^lsfe, garde !| ans, demeurant rue des Carmes, 25. a étéé | sortiront par la place Lobau. vient à écraser un chien, est resp0111"'«»., piïies sont indiquées par un numéro d'or- j ! arrêtée pour outrages et voies de fait à I En se tenant à gauche, le chauffai lie se rapportant ù une légende très corn- \j démaillai des" eaux et forêts-de V" classe , une plètè faisant connaître las noms des con- au poste non logé de Belrupt (Meuse), tria- \ ;•:••» grave infraction aux regie 9 fessions et leur superficie, les usines métal- | j • CÏCUSME a| tegiques et leur production journalière \! est nommé brigadier domanial des eaux ! : précautions, mômfà l'égard des^Ja» Guidon nancéien. — Par un temps ma le' fonte^ ta nomenclature des industries |j et forêts de S' chuse à la maison fores- ' Primatiale, a été arrêté pour menaces à • BftB^crod! 14, Jguiffi 15, Skatiny tière de Ravigny, ctHiinitine de Souilly, '■ ihàîïi armée envers le patron du café de i tfe s ftoHfaa â minuit. f gnifique, la course de? 50 kilomètres, i! ^^^^-^^ri liverses. etc. , I tribunaux ont ugéoue la roule n est > ^ 'En' résumé, notre carte met en relief même département, brigade n" 1 du can- la Rotonde, place Stanislas. toùt'Çe que la science comtemporaine, mise tonnement de Verdun-Ouest, en remnlaceune basse-cour 'parait-il Quant J Herborisation tn service des ingénieurs, a su réalisé! ment de M. Maginot, décédé. Kermesce de ia Pépinière Le départ a été donné par Te stà-rtéi*r I = droite » ou a la » gaucho ». , .Lffeul* MM.-Bruntz et Hollande, professeurs à l'é, pour l'essor prodigieux de rarrondtsseM. Gaugenot Joseph-Ernest, garde do- j Hou port à 2 heures 30. 15 coureurs étaientt des voituriers, bicyclistes et .p^.Ltin»' t, j' Les vendeurs et vendeuses de program! maniai des eaux et forêts'de 1» classe au '; cole sii|)érieure de pharmacie, conduiront, i- 1 en ligne et se crevaient déià "vainque;-"'"s |' <<>ul brauillés avec cette subtilo^1^ tient de Briey. 1 ; le mercredi ti mai, une herborisation puii mes, insignes, lampions, dont le* noms et it de ladite course. Le virage était assuré naiv 1 on et, l'on a pu voir qu'à l pntI!v meW* Cette carte est en vente dans nos bureaux ;I poste non logé de Tiercelet (Mturthe-et•- ! adresses ont été notés an bureau de distrii- MM. Balizo Raim et Nagel. ' j de la Pépinière, on avait eu som a0 u tt chez les principaux libraires et dépo- ! Moselle), triage n° 7 du cantonnement de : blique dans les environs de Touh M. Sari- ij bution 5 la Pépinière, et qui n'om pas puî i à a rrivée : litaires de journaux. -•- Prix 1 fr. 25. — ;: Longuyon, est appelé, avec son gracie et \i t.iry, professeur, déterminera les champi^^ J' , Ho"PPMt, Cumazi. 5 gauche les guichets d'entrée. jAaM v t s 1°'. Karthelemv, sur Armer CcyBtln«ntaIl, 1 ajouter 0 &r. 10 ponr recevoir franco par I\ sa classe, an poste non logé de Saizerate, ji gnons trouvés. Ce n'est pas fait pour redresser^ # d. Ii acMit instamment priés- de vouloir bien ré-i- en 1 h. 35 ; 2", Parm^nticr eu l'îi "50 • V Départ pour 'foui par le train de 13 li. |â poste. — Bien indiquer si l'on désire i même déprtement, triage n" 7 du canton-. ji w ij g 1er à la Permanence de la Kermesse, ruee ' Eisbaeli, à 1 roue ; 4%BUJ- ,V ; 5%'Jacob" ' î t on faussée des pfétons qui a f^^H' lecevcrar ^ Qarte murale ou îa Carte po- , nement de Toul, en remplacement de M. 10. Rendez-vous à la p*e un quart d'heure -, j quelques leçons pour appreiiui'e * £ i ic, ete. j invant r heure. . J1 t**.*. DemtoMMins, 5. ^.Flamant, démi»sionne4l«., i 1 ei er dans la rue a.. 13 mari. — L'avialr ., i^irc. mcii ce matin, à 4 heures de. fyèrni . ,: >t .ti ù Sien à 6 heumes lî)j après avoir traversé tes Alpes ber^ofees. Bidèr |iarais*aU pattaJtwnewt diepœ taira qu'il n H ^ sbi;iwtft du froid. JoHANMsiiiAi. (près Berlin), Ki mai. — Les doux aviateurs Dewnal 'et limiter sont partis ce matin à 3 heures 3Q pour Amstewiam. Ils se proposent d'atterrir en coure de route à Hanovre. —• Hnvas. *" . *4* -•• ■ ' BBRU», Ecoles d'instfiîctton 'encourageme Clément j 18 IS ig S 4\ Echos de partout J l I i 1 Régionale GRANDE TAVERNE < »a» BOURSE DE PARIS j I CARTE L\DU8TIÏIELLE j iie l'arrondissement «le Briey ; Rarelrà m \m\\m 1S3 Rsuui] ;I » j î î j- '| cr^j J GRANDE TAVERNE . Èl ï iu nf" j ^jj j Chronique Départementale j elle Le rencontra hier dans le corridor de L< VERDUN Il s'agit de dresser un statut financier I et m m*toen et la il la >' • •-'•' comme plàtna. Procès-verbal. — Procès-verbal a été | des d< fonctionnaires municipaux et de leur 1 M Jeanne a porté plainte. dresafl à François Petit, 52 ans, charre- I p< permettre de passer de classe en classe Les accidents.- - l, nr "ii Juste, 40;s.ans, tier de bateau, pour abandon d'attelage. jusqu'à \% l'obtention du traitement maxiBWS-r-*l.*Cï. Allât voir \à prodemenrant a Serrouvilie, poussait une tôle : CHVILLE m mum. ' «p^uiine «to-cSAtU*», nut.nd LM M rendra, sur un wagonnet, lorsqu'arriva une Les palmes. — Par arrêté ministériel du j M. Gauche. --Exigeons un travail se1 placée pl ■ ' Jni&oric **ia i» guarre de sécession . Don| qui heurta la tôle. Celle-ci Ey> Le tramway suburbain n'a cessé de dé- i 3 imai courant, M. Dion, receveur des pos- rieux, ri puisque nous augmentons les em- [ locomotive lo jUyu- grand t)ruine pathétique, ei des ac- | X [1 cula et tomba sur Lamson qui eut le tjbia v verser une foule de visiteurs, à la grande i tes tes et télégraphes à Onville, a été nommé pi ptovés. Je ne veux pas revenir sur ce que ci Qualités, des corne i«a H de-, -voyage.-, comfracturé. Incapacité de travail.: ———— s satisfaction des commerçants et forains I offlrter oft d'Académie. j'ai" j'i dit en commission, mais il faut que |i gauche g£ me M » 011 v"''- -d1' B Ciné-Palace. t 1 mois. MmmuhSMiÊm* DE NAMCY q qui ont fait de belles recettes. les employés soient surveillés et contrô* 'URONOISSEMENT DE BRIEY 1 AVIS, - te C.né-Palace informe son ~~ Classe Paul, 37 ans, chef monteur» le MALZEVIli-E , La salle du Magasin a été très fréqueu- ! MANCIEULLE3 ' léê. •fidèle puMk qu'il bwm te M mai, ù-ioc- . poussait, un tory, lorsqu'il tomba et eut le tée par les amateurs de danses. Le projet est. adopté. 1 P* Siandafouse affaire. Depuis plttsicurs Coups. Il s'agit d'une liquidation de oasiou de la rqu'e de Nancy. La réouver- i j pouce droit écrasé par une des roues. Inmois, une* fillette, âgée de 13 ans, demeu- , Cependant, il est permis de regretter co communauté. Gabriel Mosetto, 31 ans, •|  M. Flick demande au maire ce qu'il j■ capacité tare tJJjrS lieu-quinze jours a arcs le ven- ' n de travail : 1 mois, peut-être, ipc.ê la présence de baraques foraines où l'on sait des casernes. ! rant rue d'Euimont, était la victime de la m manœuvre à Droitauniont, prétend que j i( firmité. 4redi W mal, a l'heure habituelle. « l'exhibition de la bande à ^ M. le maire répond qu'il ne sait à ce lubricité d'un voisin, Louis Bultez, âgé de promettait F son Fernande Pierson, 19 ans, | m , ex-amie, sujet rien d'officiel ; il sait qu'on veut j Le ventre de Villerupt. — U a été a>a*35 ans, ouvrier chaudronnier. Cet indivi- Bonnot, l'exécution do ses complices ». Ce m ménagère, l'a vifainemeut plaqué, en em- ;I C( sont là des spectacles malsains qu'il ne , construire mie caserne pour le logement , tr tn, pendant le mois d'avril : du, qui esl marie, attirait Ja nuit la nif n Hinr^SD OIVIL portant une somme de 38 fr appartenant J $ : d'un bataillon et il attend la visite que lui i j S, fîteufs, 28 ; taureaux. 6 ; vaches, 70 ; Jette dans le cotitoir de la. maison ou dans faudrait pas tolérer. son amant. 'I aa promis le commandant du génie. M. le . v( MONOEL-SUR-SEILLE à Mlle veaux, 338 ; moutons, 21 ; porcs, 63 ; ch#. Pierson était occupée à promener Du U mal i uun sentier voisin et là commettait divers I ir maire promet de s'occuper de te questiop val, . La tempête. Moncel a été très éprou»- ur aattouchements obscènes. H aurait égale1. v un fer sur le linge de Mme Dohin, débi- : avec , a sollicitude. vé )>ar la tempête. Des arbres ont été. cas- *a Naissances I ment n REHON abusé de l'enfant. tante, quand Mosetto vint la. réclamer et Ctysfl^rf-Mauri ce -H» v, i CaaAy, rue Qodion, M. -Cante demande on en est le tout à sés, des ménagères qui avaient oublié de i j„ Un peu vif. — M. Prosper Lan, diree» A ta suite d'une plainte tics parents de ? lui réclama ses 3^ fr. Elle lui en donna p, ! l'égout. .- yârgiierite-Panlioe Peïaùnav.rue Saint- j,la victime, Bultez a été arrêté lundi soir fermer leurs fenêtres ont eu la. désagréa.- Qv te teur du Familistère, ayant eu une _dis!' quihze. ÇBKrrîes, 53.— Lucien-Adolphe Moreau, rue " M. le maire repond qu il ne Mut pas ble surprise de les voir brisées, des clô| qgsion avec un sien parent, M. Victor ; *j >îon-.ci, m.- Merjç-Clotildo-Henrier.e Di- eet,. conduit mardi matin au parquet de tures faire maire lier plue vite l'autorité supé- André A de jardin furent renversées, des tui- m Mécontent, le manœuvre gratifia la de I f. Nancy. , ,de Cutry, l'a expulsé si vivemeo* éi&. rue Se la Co-line. 29. N nmiselle de quelques coups de poing pour | ^ ! rieure. q, Publications de mariage qu'il lui a cassé une jambe . Cet individu a reconnu en partie les Sles cassées, des poussins tués ; seul, le vi. «faire a la différence, dit-il. M- Gauche demande où en sont les écoProspei -Hippolyt* Aubenin, boucher à U faits qui lui sont reprochés ; il a été écroué trier moncellois était radieux. Territorial et insoumis, ,i les |, ? Où en sont les constructions votées ? <j, M. Lan a promis de payer les frais et d* Sa1tit-lJié. avant a Nancy, et Marie-Joséphine aà Sa maison d'arrêt. . Retard de train. • ■ Dimanche, le train i , Arrestation. j désintéresser André. Léon Charleg,36 ans, bûcheron et étameur, ! VinceaL coiffeuse, à Sai&t-Dlê, avant h Go13.32, qui ckiit partir de Moncel à 15 h. Cl, <*( M. le maire fait la même réponse en reranimer. dans les rues de Mancieulles, I' grettant «. JARViLLE aa subi un retard de deux heures environ déambulait les lenteurs administratives. LONQUYOU (ïl Décès quand les gendarmes l'arrêtèrent en vertu I * M. le maire demande de voter un créVoleur arrêté. Barthélémy Dessambré, ppar suite d'un défaut dans l'aiguillage. J. i Départ de M, Ligot. — M. Ligot, son»> Charles-Auguste Rivet, 7?, ans, sans proies- & d'un signalement a* 1. $ de. 3.100 francs pour les fêtes du 25 âgé de 36 ans, manœuvre, sujet italien, :| dit «en. rue Devillo. 90.~ Gabrielle-Marguerite- a a dérobé une montre à un marcaire oc- | La machim: V 625 avait ses dix roues ' chef c] de dépôt à Longuyon, vient d'être Charleg, qui se trouvait en Italie au a dans le sable. I avril 1912. n, Camille ueorge. 5 ans et i mois, rue Moîi- -ctipé dans la ferme où il travaillait. H a m nommé par avancement à Amaguè. moment où une convocation lui fut udresIl fallut demander ptachine et, wagon de Q ,or, 11 Alfred (tossuûhet, :)b ans. mano<u- ie Adopté a runaininitè sans discussion. A l'occasion du départ de leur chef, le» asecours à Nancy. Uns heure après environ 1: sée pour accomplir une période d'exerci- I; Le copseil décide de créer un poste S» rue d* la Hache, TOI.— Joseph Vigneron, été arrêté par la gendarmerie. manœuvres, ouvriers, chauffeurs et mécaFROUÀRD le i secours arrivait. ces, a vie conduit à la prison de Chàlons. !l dd'instituteur adjoint à Lopwy-Bas comme w 3g ans, p*rçon de café, rue Gnerrîer-de-Duniciens avaient organisé une soirée au café n ma >t. 4. Bagarre. — Une sérieuse bagarre s'est LONGWY || i( Grâce à l'outillage pealectionné du déle demande l'Académie A, Centre, chez M. Camille Nitriot, A l'exr Du 12 mai Pproduite au café X..., à propos de la pôt de Nancy : vérins, cales, etc., furent ic Conseil municipal.— Séance du 10 mai I M. Gauche demande de créer une corn- du C( ception de ceux retenus par leur service; 1913. ! bonne du eafé. En peu de temps, tous les descendus c n Naissances en un clin d'œil et nos braves ! mission qui recherchera les loca.ux provi^ tous sont venus honorer de leur présefitoe (" s'étalent mêlés à la lutte ajusteurs, £ paufettç-Marie-i.ouisf Punlvé, rue de la consommateurs sons la survaillance d'un sous- n, La séance est. ouverte à 2 heures et de- i ^soires pour la rwîtrée des classes et em- Cl cete petite mais touchante manifestation devint, générale. cchef de dépôt et du contrernaiti-e se mi- mie, sous la présidence de M- Pérignon, «pêcher le* enfants de^courir ies rues. Hache. 114.—- François-André Jacquet, rue qui q ^ ni vayt*hge, 75 ans. maire. de reconnaissance. Un superbe cadeau (une La bonne, 17 printemps; de petite taille, rrent courageitsement à l'ouvrage. L'ordre du jour étant épuisé à 5 heures n Décès nmais vive et alerte, a entretenu un peu garniture de cheminée achetée Absents : MM. Dubois, Lahure. |et les conseillers prenant les uns après magnifique L <iastoti-Emile Hameau, S? ans. soldat au titrop longtemps conversation avec certains e La machine fut bientôt remise sur rails la bijouterie Duc, à Longuyon) a été ofet le train partit, avec une heure qua- A, M. Zante, secrétaire, lit le procès-verbal ]les autres la clef des champs, la séance est à^ ( régiment d'infanterie, hôpital militaire.— . ferte à M. Ligot par M. Leriche, mécanii, d'autres ont proféré des rante-huit i de retard. "de la dernière séance. Il est adopté sans levée Catherine Barthélémy, 219 ans, tiijseuse. épou- convoittmaleurs, . à 5 heures 1/4. . c & Schmitt. rue saint-Nicolas, 97.— Arthur- Pplaintes, d'où discussion puis lutte. Il n'y eut aucun accident de personne, observations. Mordu. — Dimanche matin, un jeune cien, qui prononça l'allocution suivante V « Monsieur Ligot, je suis heureux de veLe conseil donne un avis favorable aux iI <,garçon de 10 ans, fils de notre confrère, Antoine Maire, SU ans. coiffeur, rue SaintCette, fois encore, aucune plainte à la 1les dégâts matériels sont insignifiants. — rt nir vous présenter, au nom de tous mes pizie.r, 118.— Odette Picard, 3 aus et, 3 mois, ppolice n'a été portée, l'affaire ayant été R. comptes et budgets des établissements de 1M. Dahli, 1 H. g correspondant de l'Etoile de ni* Victor, 32.— Marthe Petit, ao «ris. dômes- aarrangée en famille. ]<l'Est, et m VImpartial de l'Est, a été mor- ^ collègues présents et absents, les regrets Pour la légion. — Lundi, Joseph Neu- bienfaisance. tifli'vC, célibataire, rte de Mou-Désert, 79. le personnel du dépôt de Longuyon^ Le conseil adopte les comptes et budgets 4 Accident nauséabond, — Un agent a rer mann. originaire de la Prusse, âgé de 19 , ï mort-ne. .( I du main par un gros chien apparte- i que ' général, d du collège. -MMà la en de votre départ. tiré d'un fossé profond et large bordant le ; ans, s'est présenté au commissariat spéà Mine Catherine Jacat, à Belle- I Venu, il yéprouve Du 13 mai a. quelques années, parmi noVfS c canal près de la gare de Frouard, un indi- ! (cial d* la gare en demandant à contracter u Le conseil adopte le compte administra- vvue. I Naissances vvidu qui y était tombé accidentellement, i 'if de 1912 et le budget supplémentaire de en qualité de mécanicien, ce fut une joie dans la légion. 11 serait bon quand on a des chiens fé- £pour Matgoefite Simon, rue du Faubourg-des- cCet individu était méconnaissable tant il unIl engagement la ville pour 1913. nous lorsque nous dûmes vous rea été fait selon son dé«ir. i rroces de les surveiller. f Trois-MAiSons, Jcnny-Cécile-l'anny An- avait „ connaître, après votre nomination, pouf 0 de vase noire sur tout le corps. I) a Ce jeune homme s'était engagé à dix-sept *; L'octroi a rapporté 239.202 francs 07 cenMauvaise pièce. — M. Théodore Berger, dré. boulevard t"»odcfrov.de-BouiUon,l'».— Ho- falln r alors que l'an dernier il n'avait rap- ayant chef. Mais les habitudes priser aa le laver à grands coups d'un seau ans i a dans la. légion et avait déjà fait quatre times, À payé au bar X... ses consomma- notre j •feen.-'ean Bréand, rue du Pont-Mouja, 14. — 0. porté que 175,000 francs, soit un excédent :j ♦lions début ne se sont jamais perdues, et, lorsI Rajf «rond-Lucien Tarie, rue du Ruisseau, I d'eau pour le déborrasser de cette mar- mois de service, lorsqu'il fut réclamé par S. avec un billet, reçut comme monnaie de 6â,000 fr. pour 1913. ujb.'. - Odeste-Marie-Gabrieile Kosaa, rue de chandise. c sses parents. j 6de mauvaises pièces.Qque l'on parlait, de vous entre agents sgg {ïraffigay, 29.— Pierre-Marie. Bots, rue Lei 11machines, il n'était pas question de M. LiL'accident de la laitière. Vers trois A propos d'engagement dans la légion je *,'Le conseil approuve le compte adminisil a porté plainte. j moinô, —- Georges schwarU, rue de la Col- yheures après-midi, Mme X..., laitière, fai- ' tratif de M. ie maire et lui vote à l'una- | Arrêté. -— Auguste Hahn, 25 ans, aile- I got, non. ce n'était pas le terme employé, : 8 line, 48.— Robert-Jean Stem, rue de Mftlzé- *sant sa distribution de lait, se trouvait de- vais vous narrer cette histoire véridique" : nimité des félicitations que tout le inonde i| ,inand et expulsé, a été orrêté par les !' mais 11 plutôt le « père Ligot » ; ce qui vous Il y a peu de temps, un jeune homme ' vjîi*, 8— Suzanne-Marie-Augnstine Baptis- " t ji gendarmes. , prouve que par votre bonhomie, votre -festfivant le celé François, avenue de la Gare, 1. du ' pays annexé arrivait pedibus cum trouvera très justifiées. P te quai MOlitor, "24.—Paul-Charles Mithouard, i-, e Le conseil adopte les plans et devis de tne do tous vos subordonnés, nous voua n fut accrochée par le tramway jambis I à Moncel. rue'Girardet. 12. — André Jacquat, rue de i lorsqu'elle I construction du chemin de Longwy-Bas à i cce.Ça lui apprendra à revenir en Fran- considérions c plutôt pour un père de Avj^cHit»t.if>:i. 81.— Pierre-Emile Polir, rue de eet roulée-sur la chaussée, entraînant avec 11 raconta qu'ayant fait un faux, il ne ï' Longlaville, qui sera classé, selon la déla Molhe. Kl.— Paul-Auguste Clans, rue de eelle un broehon plein de lait qui s'est ré- 'voulait pas encourir la colère de son père 7.1 11 ril il le que pour un chef. Déserteurs. — Lundi soir, deux désercision la commission départementale, 1 tteurs allemands venant de Trêves et apl1Br,nltation, 67.—- -RavuioncleCilberte Déjar- rpandu à terre. Aussi, soyez persuade, monsieur Ligot, Iet demandait à aller dans la légion. 2commedechemin dir, -Tue Hcnner. 18. vicinal ordinaire. I . les regrets que vous laissez au dépôt Relevée aussitôt, on a. constaté qu'elle On l'envoya à Nancy passer la visite, i «partenant au 161* et au Gy d'infanterie, se que <\ y Décès M. Schmitt, entrepreneur, demande à re! rportait une blessure à la jambe, d'où les ! mais il fut -reconnu impropre au service, i: ' j.sont présentés en uniforme à la douanê I 0de Longuyon sont sincères et que vous parMichal SMger, 30 ans, journalier, rue de f tirer son cautionnement. Le conseil vote c sont décollées. Conduite chez elle, Le désespoir dans l'âme, il repartit. de Louglaville. Les douaniers les condui- i tes t av ec l'estime de tous et de chacun, fûtSttashourg, 112.-- Eugénic-Mathilde-Thérèse chairs ; il employé, manœuvre, ouvrier, chauffeur, ssirent à la gendarmerie Schilling. 29 ans, sans profession, épouse eelle sera obligée de garder le lit quelques AtTivé à Chambrey (lorraine annexée), ce retrait. de Mont-SaintI M. le maire donne lecture d'une lettre »Martin et les deux Allemands furent en- ïmécanicien. Poutieu, rue. de la Commandcrie, +7.— Fran- jjours. il raconta avec force détails qu'allant, à ... concernant la couverture de î rf£is 6u«*«, 78 ans, ferblantier, décoré de la Monsieur Ligot, nous sommes heureux LU ORES Nancy il avait monté dans un comparti- ministérielle i. interrogés par M.le commissaire spémédaille militaire, rue de Paris, 46.— Jeanla Chiers, par laquelle l'autorité supérieu- j! suite J Un cheval sous une auto.Un accident, aujourd'hui de pouvoir remercier notre ment et qu'un monsieur lui avait fait fu" j cial de la gare. Ils déclarènent qu ils « Œdeuard ThinceUn, 18 ans, manœuvre, bon- j crpii aurait pu avoir les plus graves condes Travaux publics semble protester ( bienveillant, notre père de famille, en mer des cigarettes qui l'avaient saoûlé, re avaient déserté à cause des mauvais trai- !| chef c }«wrd de la Pépinière, 7(5.— Mario Le.mmel, i c contre cette couverture. Le maire a réJ 47 an*, ménagère, épouse Settimini, à N>u- 8séquences, s'est produit, vers huit heures puis lui avait fait contracter son ensaoe- «pondu à ce sujet à M. le préfet une lettre j tements qu'on leur avait lait subir. Ils j vvous priant d'accepter ce souvenir qui re'-' P tajoutèrent qu'ils n'avalent nullement Pinves-Maisoiis f Meuillie-ef-Moselle;. — Joseph- ttrente du matin, sur la route de Nancy à ment. fprésente la reconnaissance du dépôt .de le conseil approuve. q VjncurtpVictûv Caron, (iâ ans, employé, che- ?Mirecourt, en bas de la côte dite du Mau- , ... Et voilà comment on écrit l'histoire ! que ttentiou de venir en France, mais qu'ils ILonguvon, souvenir qui n'est rien en comM. le maire demande au conseil de dé, min Blanc, ;S.— Augnste-Naviêr Bossât, 34 ^vais-Lieu. Une automobile venant de la Chevaux emballés. ■— Les chevaux de A aller on Belgique, mais ils se {paraison de celui que vous laissez dans no* un emplacement fixe pour le mar- ^voulaient aj».- Bïaaeeuvre, Grande-Rue, 96.— Juliette- cdirection de Nancy a tamponné et traîné M. Ernest Vaiinbois, ne voulant sans don- signer « trompèrent de route. On remit à ces deux eesprits et dans nos cœurs. Rârguerite Wirtz, 1 an 3 mois, à Pompey SUT c ché aux bestiaux et propose la place det un parcours d'environ quinze mètres te pas travailler pendant les fêtes de la v un costume civil et on les conMe faisant l'interprète de tous les came(Meunh "et-Moselle'.— Robert-Félicien-Victor l'abattoir, ce qui semble tout indiqué I militaires ,duisit ensuite Pentecôte, s'emballent dans la rue. M. vaut I. l'un à la frontière belge et rades r du dépôt de Longuyon, cher monsieur Klntz, 7 jours, rue Braconnot, 21.— Alexani ,un cheval que la femme d'un marinier, j 1pour un tel marché. p 1 Mme François Frass, du bateau « Anna », Vaimbois se jeta hardimeui à la tête de àw-Einiic Jobron, 23 ans, soldat au 69 (hôp!- i l'autre à la frontière luxembourgeoise, Ligot, 1 je vous dis, non pas adieu, mais au M. Gauche, adjoint, demande avec raison | 8 ; tal militaire}.-— Joseph Fels, 58 ans, pharma- ! av ait, abandonné sur le pont du canal,pen- 1 attelage, qu'il maîtrisa au bout de cin- n I ainsi qu'ils l'avaient demandé. L'arrivée revoir. 1 Je lève mon verre à votre bonjj», que les animaux ne passent pas par la 1 J den «je première classe, rue Saint-Georges, | cda.nt qu'elle passait, au moyen de la pou- qtiante mètres. ! s ainsi qu'à celle de Mme Ligot. ville, mais puissent aller du quai de dé- 1 de j ces deux soldats en tenue à Mont-Saint- sauté, 69.— Charles Klotz, 11 ans 11 mois, à Igney 1lie système, la corde de traction d'un côté Vive M. Ligot ! Vive le dépôt de LonXEUILLEY kbarquement au marché pour éviter tout 1i JMartin avaient donné Heu à différents (Vosgesi.— Marguerite Bidon, sans profes- à> l'autre des deux parapets. ;Lcommentaires plus ou moins erronés et |guyon !» Conducteurs, attention ! — M. Alarcel danger. d , . . . . don. épouse Bidon, à Matrlin ■'Haute-Marne). . quelques personnes parlaient déjà d'un h> M. Fizaine, mécanicien, a aussi adresse, 2 mort-nés. , Quand le chauffeur stoppa, la pauvre Peignior, coquetier à Haanmeville, néglige Le conseil adopte en principe remplace- || <rident ! bête avait les deux membres postérieurs d éclairer, une fois la nuit venue son nment de frontière. Comme on le voit, les î à M. Ligot des parole.., très touchantes en proposé par le maire. 1 (faits sont des plus simples. brisés. On a dû l'alialtre à coups de re- véhicule. lui remettant une superbe canne, avec poiM M. le maire est autorisé à régulariser les I volver. Voltige imprévue. — Samedi soir, lei rgnée en argent. Les gendarmes rencontnent M. Peignier \mmèM ;ï;;" a actes d'échange à intervenir entre la vil( C'est le chauffeur de M. Corbin, de. la près du pont de Frolois et lui dressent pro- le cheval du capitaine adjudant-major Guuli, M. Ligot, très ému, a répondu par des de saintignon, place de l'indus- lemard, j 1 du 9" chasseurs, effrayé par une1 remerciements 1 maison des Magasins-Ftéunis, qui, venant ces-verbal. On appelle cela faire des éco- *■trieetetM.rue et a souhaité à ses subordes Tanneries. AVIS MORTUAIRE jI \à passer peu auprès avec sa voilure, nomies de. bouts de chandelles s'est emballé, a bondi par des-■ donnés santé et prospérité. c M. le maire propose d'installer un mar- sus !automobile, j s'en chargea. l'auto et aurait désarçonné et tué son ARRONDISSEMENT DE TOUL <■ Jusqu'à une heure très avancée de la ché à Longwy-Bas, sur la place de l'indus\ Monsieur Henri PONTHIÉU et ses eu- I L'auto, qui appartient à M. Helnireich, cavalier sans l'adresse de ce dernier qui■ 1nuit, les détonations de bouteilles de ChamTOUL trie. t Ce marché est réclamé par l'opinion j .fants ; Monsieur et Madame. Jean SCHIL- II électricien, f rue Saint-Jean, à Nancy, se Ivresse. — Constant Odile, 68 ans, jour- ppublique à. Longwy-Bas. Pour ne pas gê- ! heureusement n'a eu aucun mal. pagne accompagnaient un orchestre improju LING, propriétaires à Malzéville, et leurs |> dirigeait < sur Vittel. Elle a. pu continuer 1nalier, et Auguste Basile,40 ans, ja.rdinier, {)ner les marchés de Longwy-Haut, les mar- \ . Imbéciles !! — Edmond Joffrin, Ernest'• 'visé, composé de trois virtuoses. enfants, j\ sa î route. Une enquête est ouverte pour éta- se sont vu dresser procès-ver bal pour achés de Longwy-Bas se tiendraient le jeu- .et Auguste Weber se sont querellés dans Un bataillon de chaseurs à Longuyon.— ivre-sse publique. ^ et le dimanche. Ont la douleur de vous faire part de la j| 1blir les responsabilités, un café du quartier Saint-Louis parce[ di i II est officiel qu'un bataillon de chasseurs perle cruelle cruelle qu'ils viennent d'é- j Le marinier estime le préjudice oui lui qu'un de ces aimables jeunes gens — ils : Vagabondage. -- Célestin Beaucard. 67 M. Leitienne proteste. Il voit là un ac' à' pied tiendra garnison à Longuyon à est causé à 750 fr. 22 ans — avait déclaré qu'il ne vouprouver en la personne de < ans, originaire d'Hagéville (M.-et-M.),sans ccaparement de Longwy-Bas au déficit de ont , lait pas boire avec des., imbéciles. *compter du mois d'octobre prochain. I DOMBASLEJl domicile fixe, a été arrêté par la police Longvvy-llaut. , ■ Le bataillon comprendra 13 ménages Madame Henri PONTHIEU i Jeune voleur.— Le jeune Jean Clément, en flagrant délit de vagabondage. Pour lui, le marché de Longwy-Haut est1 j 1 11 s'en est suivi une scène de pugilat que' (d'officiers et 33 ménages de sous-officiers i âgé de 16 ans, demeurant à Blainvillo-surIvresse. — La police a verbalisé contre une y . Née Lugénie-Mathilde-Thérèse question vitale pour le commerce de ij la police a interrompue. Rat de chambre. —• Henri Champenois, 1mariés. ! l'Eau, avait loué une bicyclette chez un Arthur-Eugène Gruet, 39 ans, journalier, Longwy-Haut. l Est-ce que les ménagères ne * SCHILLING Les propriétaires de maisons sont invités 17 ans, garçon boulanger chez M. Weiss,' ! i négociant de cette commune. Il enfourcha pour ivresse manifeste. rpeuvent pas monter à Longwy-Haut. ' à'• faire leurs offres de logements en mairie * décédée à Nancy, le 12 mai 1913 1 machine et vint à Dombasle où il la la visite les chambres des autres garçons, REMENAUVILLE M. le maire demande qu'il y ait un mar' dans le délai d'une semaine afin de pôudans sa 30° année |! 'vendit. ' Procès-verbaux. - - La gendarmerie de ché ç un jour par semaine à Longwy-Bas. y prélève de l'argent et force les malles.; voir assurer l'installation de ces ménagea,: . munie des sacrements de l'Eglise Le propriétaire avant porté plainte à la Tiiiaucourf. en tournée, a verbalise con- On C'est ainsi qu'il a pillé le logis et la malle C verra s'il prend ou non. A défaut de bonne volonté ou d'impùssi- Et vous prient d'assister aux convoi fu- Ij ;gendarmerie, le téléphone fonctionna et tre MM. Joseph Mulot, propricuire, et M. Block reproche à M. le maire d'a- de Georges Etienne. wèbr» et enterrement qui auront lieu le ;j 1Clément fut arrêté et amené au parquet Paul Téta.rd, domestique à Reineneuville, vvoir incité les marchands forains à venir■ Champenois fera connaissance avec les.3 1blUte actuelle, ou dans un délai déterminé, 1 1d'assurer le logement de ces ménages, l'auNancy. fmsrcredi 1 i comani, à' 3 heures de. l'a- !; de et Eugène Guichard, de Lahayvillc, pour tau marché de Longwy-Bas qu'il voulait y. juges briotins. Trois brutes veulent étrangler un rece-. torité militaire prendrait des mesures néigj'ès-mirii, en l'église Saint-Léon. De là au î Etat civil. Mois d'avril 1913. — Naissan- avoir laissé divaguer leurs ' chiens en iinstaller. cessaires pour y suppléer, en assurant CM 'cimetière de Préville, où aura lieu l'inhu- | ces. — Lafarge Antoine-Hippolvte-Paul. — piaiiie, M. le maire nie énergiquement les pro- veur des tramways. — Dimanche, à S heu- logements dans les baraquements approi Keller Louis-Ernile.— Peiffert Jëanne-Renéeres, M. H..., chef monteur à l'usine de X..., 'mation. VA NDELÉ VILLE t pos qu'on lui prête. • | : Christine.— Pierson Marie-Pauline. — Huile î priés à cet effet. Contravention, — Procès-verbal a été Maison mortuaire : M. Gaucho répond qu'il faut, s'occuper. montait avec deux Allemands dans le , Madeleine-Marie-Louise-Elisabeth. — Rous47, rue de la Commanderie. ii sel Alfred-Georges.-- Gaztn André.— Balle dressé par la. gendarmerie à M. BoTot, <des intérêts de toute la ville, qu'il faut en 1I tramway de Mont-Saint-Martin à LongEn pleine rue. -— M Antoine Emile, 35 ans, marbrier, descendait jeudi soir la rue H ne sera pas envoyé de lettres de faire j Lucienne.— Charpentier Emile-André.— Gttil- peintre, qui circulait, à bicyclette itou mu- cconséquence se préoccuper du développe- vvy. nie des deux plaques de contrôle et d'tdeni , Le jeune receveur, M. Marcel Renaud, j laume Jeanne— Laurent Ravmonde-Yvonne. ment de Longwy-Bas, il faut y attirer des ■• de Metz, quand un nommé Grandjcan lut. part, ie> présent avis en tenant lieu. j — Dyme Marcei-Albert-Henri.— Nivard Mar- tité. fournisseurs, parce que c'est le seul moyen. leur remit à chacun un ticket et attendit1 sauta à la gorge et essaya de le stranguI ceau-Jules-Eloi.— Helmer Fernande. — Ar. le paiement. GONBREVILLEi de < faire baisser le coût de la vie dont Télé- j «.VIS MORTUAIRE ler en lui reprochant d'avoir fait du mal nold Lucien-Nicolas. — Contai Georgettc. — La Mutuelle ouvrière. — Le bureau de vation v — « Nous avons les billels, dit M. X...,> à sa femme. à Longwy-Bas dépasse toute proSpeich Michel-Georges.— Gautier MargueriteEmélle-Léa.— Pierre Sirnone-Georgette-Marie. la Mutuelle ouvrière de Gondreville s'est; )portion. Il demande que le marché ait lieut II nous ne paierons pas. » Madame Joseph FELS ; M. Emile Antoine se dégagea des mains réuni dimanche pour percevoir les cotisa-■ 1le dimanche et soit terminé à 10 heures dut I Lo receveur crut à une plaisanterie et» de cet énergumène et vint porter plainte Mer-demoiselles Marie, Andaré et Suzanne — Dcblock Félicien-Henri. Publications de mariages.— Damas Cèles- tiôns et a décidé de faire une demande de1 matin i et qu'il ait lieu aussi le dimanche. Il1 1 distribua des tickets à d'autres voyageurs. à la gendarmerie, PEUS ; tin-Jules, ouvrier d'usine, et Lahausse Valé- subvention au conseil municipal ; il rap-■ rejette 'la* data du vendredi, parce que | Arrivés aux « Religieuses », les troisf Madame veuve FELS, à Turckherm ; Les rues sont sûres !! rie, ouvrière de filature— Richy Joseph-Ju- pelle aux personnes désireuses d'entrer ( • c'est le jour du marché de Villerupt. Les3 !i voyageurs voulurent descendre sans payer. Les Familles MARTIN, KAYSER, lien .chaudronnier, et Rospert Julia-Augusta, dans la société que la visite et le certiii< . I M. Renaud essaya de se faire solder, mais ■ deux se feraient une concurrence fàeheus PIERREPCNT iSDHERB, lingère— Juif Paul-Joseph, mouleur, et Adi ! n'y parvenant pas, il n'hésita pas, il arra! Ont la douleur de vous faire part de la mant Léontine-Rose.— Mathieu Gustave-Léon, Cat nécessaires à l'admission sont faitsI se. Escroc. — Léopoid Fontaine, 40 ans, gratuitement par M. le docteur Brullard. M. de Saintignon demande qu'il n'y aitt ij cha la casquette d'un de ces trois iudivipente cruelle qu'elles viennent d'éprouver employé, et Lotte Marie-Joséphine. — Gare ; garçon laitier, a. encaissé 16 fr. 80 au nom Eugène, ouvrier d'usine, et Laboure Louise, Au nom du bureau, le président renier-■ pas ] de marché le dimanche, parce que lea ! dus. «r la iïerscmne de lingère.— Boulay Paul-Jules-Ernest, ouvrier cie sincèrement ceux qui, s'intéressant à ; "~'~J'"i'r Alors, pris d'une rage folle, ces troiss de M. Pingard, BOB patron. du dimanche est nécessaire, que lesi II i d'usine, et Pétryr Marie-Philomène, sans pro- la société, ont bien voulu se faire inscriret repos . !! Ceci fait, il est allé respirer l'air pur du' i Msnsieur Joseph FELS t | brutes se ruèrent sur le jeune receveur, i députés en ont reconnu la nécessité et ! fession— Royér Charles-Eugène, ouvrier ■ >f»M i ne faut pas imposer aux villageoises5 le saisirent à la gorge et le rouèrent deô jj grand-duché Pharmacien de première classe, d'usine, et Traxel Marie-Mélanie, cuisinière. comme membres honoraires, et leur donnes qu'il i Peut-être est-il allé à la ffoeëmMB i aux ménagères la perte dé leur mati-- coups. — Moreau Lucien-Léon, salinier, et )acquêt l'assurance que rien ne sera négligé ett et leor épesux, père, fils et parent, décédé à Albertine-Augustine, sans profession. — Ma- qu'il veut rester digne de la confiance quii née le dimanche. Et cette scène écœurante dura 10 minu-. Ij d'EChtornach li .ïfency, le 1S mai 1913. dans sa 59» année, thieu Auguste-Alphonse, ouvrier d'usine, et lui a été témoignée ; néanmoins, il expriM. le docteur Créange soutient là né- tes. 'nniTiri des sacrements de l'Eglise ; Lemoine Angélina-Valentine, brodeuse. l'espoit que leur nombre s'accroîtra1 1cessité d'un marché à Longwy-Bas et de-s ARRONDISSEMENT DE LUHËVILLE Ils auraient fait un mauvais parti à M.I. Décès.— Mangin Marie-Anne. 70 ans, veuve me Et vous prient d'assister aux service fuencore. mande aussi qu'on y installe une criée pu-- j1 Renaud si le wattman Vût n'était venu à , Schmitt, Georges.— Tinslin Catherine-Joséphinèbre et enterrenK it, qui aumnl Heu le ne, veuve Augustin Masson, 67 ans.— Mutiler * LUNEVILLS Dans le but d'organiser une fête au pro-. hlique qui contribuerait à faire baisser le ] aveu d'autres voyageurs, jeudi 15 courant, à dix heures du matin, Elizabetb, veuve Grandjean, 80 ans.— Ismert fit de la caisse de la société, le bureau dé-. prix de la vie. Il déclare qu'en défendantet ;1 sonOnsecours Noyé. — Lundi, on a retiré de l'eau, aux. dut descendre de force M. H... et lessâ m l'égliie Cal i drale et de la au cime- Jean Pierre, 34 ans, célibataire.*- Jausas Ma- cide de se réunir prochainement pourf le marché de Longwy-Bas il défend nonI |j deux Allemands, qui hurlaient : « -Nous is Turbines, le cadavre d'un nommé BodolW^'e du 'Sud, ou . ■ fïsra l'inhumation. ria, (5 mois— Laurent Raymonde-Yvonoe, 3 nommer un comité qui en aura, la. charge. une section plus qu'une autre, mais la eau-- 1 aurons sa peau, il nous la faut. » I pha Biron, sujet bavarois, qui avait l'ait ! jours.— Lccv Alfred -Eugène. 46 uns. Maison mortuaire : THIAUCOURTr se des ouvriers. Et sans l'intervention de M. Erard, con-- :j la campagne du Maroc à la légion étrap- . VARANGEVILLE ..Grivèlerie. — Charles-Jules Galtier, 51[ Mi Thomas demande qu'on fasse un es-s* | trôleur, ces trois énergumènes allaient es-- 1j gère. "j'J, rue Saint-Geoiges. Grave accident. — Dimanche aprèsBiron travaillait a 1 usine des wagons. Las darnes sont priées de se rendre di- ; midi, à quatre heures trente, le tramway ans, domestique, sans domicile fixe, ori-, sai loyal, c'est-à-dire qu'il y ait un marchéé : calader le car pour recommencer leurr ; d'Heudicourt (Meu«e),s'est fait ser- une fois par semaine à Longwy-Bas pourr scène de brutalité d'autant plus répugnante ,e , C'était nu bon ouvrier, sobre et régulier eactement a l'église. suburbain venait de quitter Varangévillé, ginaire via- une bouteille de vin chez M. Eugène» qu'on puisse étudier ce qu'il vaut et cee que le receveur Réàiaud est un jeune homm dans son travail. On présume qu'il* .•?«*■•. i se dirigeant sur Dombasle ; it était bondé Grochat, caféte. La bouteille vide, Gal-. qu'il fait. '- tombé à l'eau accidentellement. me de 17 ans, très doux, très sérieux et îarde voyageurs. Le receveur Charles Lebège, tier en demanda, une autre, mais le débiM. Petitier se rallie à la motion do M. Départ d'un ballon. — Dimanche- m*, âgé de 31 ans, se tenait sur le marchepied tant exigea d'abord le paiement de laI Thomas et accepte n'importe quel jour,'■- sant très bien son service. RSMenoifMfKTi '> Nous espérons que M. H... et les deuxx tin, eut lieu le lancement du ballon -sphé»-». i d'une baladeuse pour percevoir le prix première. jeudi ou dimanche. ît rique monté par MM. G... et Terlin, hégo-Allemands paieront cher cette brutalité et M. le maire met aux voix la motion dee cette perturbation de la tranquillité publi-Madame veuve. Charles LE Y, ses enfants |I des places, lorsque-, arrivé près des cités1 C'est alors que Galtier déclara être sanss i- ciant en automobile, et piloté par M. ' j Maugras, il ne prit sans doute pas assez MM. Gauche et Créhange demandant qu'ilII que. : argent et n'avoir aucun travail. * loule la famille remercient bien sincè- j Bayard de Mendoza, des établissementsj ! de précautions pour passer auprès des traLa gendarmerie prévenue l'a, arrêtég y ait un marché le jeudi et le dimanche ^htent les personnes qui leur ont témoigné I . Surcoût. s Etat civil. — 2" semaine de mai. — Nais' vaux qu'exécute la société Solvay, qui j pour le double délit de vagabondage et| avec une criée publique à Longwy-Bas. de 14 sympathie à l'occasion du décès de i" Le gonflement au gaz d'éclairage fourni place une conduite d'eau souterraine lon- grivèlerie. Cette motion est repoussée par li voixv ! sanees. — Linda-Cécile Quaghietti.—- Paul^_ par l'usine à gaz commença dans la nuit , Maurice Pierre. — Yvonne Zigrand. — geant la voie du tramway. Une chèvre1 Monsieur Charles UE> MANONROURT-EN-WOEVRgs contre 5 et une abstention. « j| précédente. A Jean-Baptiste Mertz. — Robert Guillaume. munie de poulies destinée à descendre les M. le maire met aux voix une motion j • Disparu. — Un garçon de quinze ans, Ancien Eatrcpi cneur de serrurerie .Ij Durant toute la matinée, une grande aîà -- Marie-Louise Probo. — Eugene-André ! tuyaux dans la tranchée s'élève à moins' disant venir de Maxéville et se nommerr demandant l'installation d'un marché à fluence assista aux préparatifs de 'départ Bodwing. — j d'un mètre du tramway. C'est cette chèvres Maurice Claude, est venu le S mai d*>man-,. Longwy-Bas le jeudi. , Le lancement de ballonnets sondes avait' Publications de mariages. -• Louis-Aulors du passage frappa à l'épaule le• der du travail à M. Littener, cultivateur, Cette" motion est adoptée, GROUPES et SOCIETES !; qui « démontré qu'il y avait de grands risques i_ j guste Demailly, militaire, au 9° chasseurs, receveur Lebègue qui fut violemment pro-■ qui consentit à l'employer ; le 10, dans laâ M. Zante demande qu'un arrêt du mai^ d'atterrissage en Allemagne Mais cette ,-s jI et Marie-Joséphine Lucas. — Abel-Julesjeté sur le sol où il lit plusieurs tours sur matinée, Claude a disparu en emportantt re interdise ia vente en ville, à l'heure des 'j* perspective n'était pas de nature à détourSecours ouvrier de Nancy, -- Le tirageÎ i lui-même. Le tramway stoppa, on s'em-■ une paire de brodequins que M. Littenert marchés. i René Chariot, peintre décorateur, et Loui* ner les aéronautes de leur idée. de la tomboia, autorisée par arrêté pré- 1 pressa auprès du blessé qui fut relevé le5 lui avait, remise en place, de sabots. se-Séraphine Gery, couturière — Léon M. le maire expôse que l'Est, républicain n ■_ Aussi, à 11 beures j, le toujours impres' Tribolet, contremaître, et Marie-Alice Pui'ectoral es; irrévocablement fixé au di-- i genou droit luxé et portant de multiplesi a M. Littener a porté plainte à ta gendar- demande une subvention en faveur de la ,.* j stonttant « Lâchez tout » fut prononcé par Wènchê 13 juillet prochain. seur.— Lucien-Fernand Flocon, ingénieur, j contusions sur le corps et en particulier à1 rnerie. course qu'il organise sous ie nom de. Cir2 | M. Bayard de Mendoza. Le comité de cette œuvre éminemmentt it la tète. .s et Clémence-Joséphine-Suzanne Bomy. — SAINT-BAUSSANTr cuit lorrain. Une Subvention de 25 francs Le ballon s'éleva majestueusement, au ^nfaiïante, dont le but est de secourirr | Le malheureux fut transporté à la pharJean-Pierre Loutsch, boucher, et MarieVandalisme. — Dans la nuit du 8 maiti est votée à l'unanimité, *?imédi.atement les ouvriers et employéss j; macie Cornerin, à Dombasle, où MM. les5 on s'est introduit par eecalade dans lee Christine Wcyler. — Eugène-Joseph Gou-* ! milieu des acclamations d'une foule synv., Le conseil vote l'achat d'une bouche ie pathique qui ne ménagea pas a,ux aéroS*CèssitôuK ou malades, a déjà réuni,, j docteurs Feltgen et Rayel vinrent lui don-• jardin de M. Georges Hôequiard, rataré-i» d'incendie pour l'exercice des sapeursjon, imprimeur, et Marie Kloc. 9. Sttce a. de généreux donateurs, près dee i ner leurs soins. Après un pansement faitt chal-ferrant et on y a sêmé par afelveibI- pompiers : coût : 185 francs. Décès*. — Jules Guérens, 36 ans, à Gou- nautes ses souhaits de bon voyage. "* Le ballon prit tout de suite la direction *" Iota, dont l'exposition est faite auxx i à la. tête, Lebègue dut être chloroformé2 lance de mauvaises graines dans une cou-1M. Geoffroy demande qu'il y ait des raincourt. — Lucien-Auguste Renaudon,' de l'est. Un moment, il sembla planer, .aû-j. Ijigasias de la compagnie Singer, ruee | pour la réduction de la luxation du genou.. che de terreau, empoisonnant ainsi la ter-t« bouches d'incendie en nombre suffisant et »'+ I 36 ans, hôpital civil. — André-Gustave Go~* dessus du terrain de manœuvres. Mais le *^nt-.lea.n, M rue de Mon Désert. : Le blessé a été reconduit à son domicile ki ré pour plusieurs années, JU dé, soldat au 9" chasseurs, 21 ans. —• qu'on nomme une commission pour trai„_ ! vent l'emporta bientôt vers l'Alsace, où il H espère ruâeiix faire, encore, tfy adresse,t, Nancy. Sun rtlablissement, demanderat j Maxime Desmarets, soldat au 9° chasseurs M. Hocquard estime à 60 n . |« préjudicea ter de cette question de haute importance, e j i atterrit à Ahresehvviller, près Sarrebourg^^notn de> inalh^urem;, !>• plus vibrant1 • plus d'un tti'-t m | 21 ans. — Jean Robert, manœuvre, 26 ans, qui lui a été causé. Il en est ainsi décidé et la commission 1* | après avoir tenu les airs durant prés" de" -V|MJA aux pem>iwite« sattickèea, n'ayajftil La gendarineiie- Sah'tt-Nicol&â pro j hôpital civil. —1 Amélin Qnagliani, 2! ans, H a indiqué à la gemiarnietie la »er-. se réunira mardi, jeudi et. vendredi, etvisb 7 ! quatre heures. "mûm encore répondu en les priant de fairee cède à une enquélc. ÎP . hôpital civil. — Ida Desmarchetti, 23 aiï$, aûft.ne qu'il soupçonne de ceè acte th' mal1- iera lefe trois seet'ione pour y décider de t' La plus haute altitude fut de 1.500 mèWTvsejiii- i,... t,r(,s au siégé -ueial ,i. i'teu-iSAINT-NICOLAS> ve,i lance. ' hôpital civil. — Xavier François, 28 ans, s i'iii'sia Dation des bouches d'incendie. ' j très. À cette haOtonr, le ballon fut al«»rdi Les fêtes de Pentecôte, — Elles ont été■ [Se Chain tare de cooïtttet?ee, W, rue Gam-i» i manœuvre. BERNECOURT lbe4tâ. T M. le maire propose d'augmenter cerpar les neiges. ;i particulièrement animées cette année. Less L 1 Mort-né, 1. Vagabondage. — .!„, •.eji.|.,„unerie a art*- ; taiu-s employés 'municipaux et de régler de j A l'atterrissage, les aéronautes furent,, . tn Al* ultérieur publie d^us»les jour-- forains étaient très nombreux. Les carrou-• rèté en flagrant délit de vagabondage Vf, VILLERUPT ■fi façon fixe raugmentartion du traitement très, bien accueillis par la population,. «W ■t i, #ets;*te« aéroplane», les automobiles, tirs,, Pierre Jolief, 61 an*, se disent niaçou.sa.iis BaH»-. locaux fer* connaître h lieu et <ê de tous tas employés municipaux au lieu m • L'amour frappeur. — Jeanne M al gras, s, vite et militaire. "««"«il la. tombala Jêra tirée. ' iwifleeries, arû^éès, *•''- -xiya4i«a&nt .fl*uïf donne i le, Ijxe, originaire de Montluçon (Al1- j! de les augmenter sous forme d* gratificaa- ' 25 ans, avait quitté son ami Angelo Riva a ; A l'hôpital. — Coinme conséquence d» Le comité. • • : r<*r la .fijif titète. lieïl I tions. : et espérait bien ne plu* te revoir. Héf-aa I1 l'augmentation tfi fèït -1 if d* la garnrsOWg Spectacles k Concerts I MEURTHE-&-MOSELLE g j 1 J Béai! Magasins Réunis I ' J M — Un mois de prison par défaut au nomûon préfectorale iwiir atteler son ohlen. ti« mé François Roger (3 condamnations), qui •. 'iitwiiution de cent liu-> u l'hôpital (en- Los L» bras lui en sont tombés et une contea- m déroba au préjudice de son patron, M. v..on « % «u fetieetii) el la création d'une v< veiitkwi avec. dt négociant à Rambervillers, un paDAMELEVIÉRES Bloch, H s.,,Ue d'opôraUuns aménagée et outillée Contravention. — Après unie journée quet qi de 15 peaux de lapin. a après l*s daniUtes' modernes de la bien remplie, M. Eugène Thomas, entre— Trois mois de prison par défaut à JosMJ fi» bi selin François qui déroba au préjudice de preneur dte transports, rentrait à son. do- se "" La visite récente de U. le médecin ins- « assis dans sa voiture, attelée de M .Charles Rochery, cultivateur à Bains, porteur Schneider et de la commission ad- mioile, m vareuse et un pantalon estimés 40 fr. chevaux attelés eh nie. Fâcheusement une ui isiimistrative des hospices, représentée par dieux aie il n'avait pas de guides, les gendarmes di— Le charretier Pierrot Joseph, à EpiMM Mttjorelle, Ribaud, Guerln, Colmay, n avec raison que dans oet état le con- nal, ni livrait des marchandises à Saint-Lauavait pour objet de s'assurer si des saUes sent se n'est pas maître de son attelage, re rent et faisait en même temps les encaisli lires, dans les bâtiments existants, pour- duicteutr <u samfents des lettres de voitures. H avait d'où procès-verbal, se raient être cédées à l'armée. BACCARAT ai ainsi, dans le cours de sa tournée, recueilli Sans la négative, de rechercher les emMendicité. — I^e vannier ambulant Ott, une ui somme de 265 francs que, pour plus de placements ou pourraient être édifiés les âgé de 40 ans, n'est pas intéressant par st sûreté, il déposa dans le petit coffre spéPu Uni en ts reconnus indispensables a la jM hii-mêrne ; il l'est plutôt à cause de sa ci cial de son camion. Un des collègues de garnison. . nombre use famille qui comprend onze en- • p Pierrot, le nommé Emile Perrin, profita C'est à cette solution qu'on paraît s être « fants. d'un d' moment d'absence de Pierrot qui vearrêté. Installé ces jours-ci sur la route d'Aze- hait hi d'entrer dans une maison pour frac1. emplacement choisi d'un commun acrailles il attendait la pitance quotidienne, turer ti: la porte du coffre et se saisir de la cord, pour les constructions nouvelles, se- » moins de son travail que* de la somme se de 265 fr. y contenue. Malgré ses rail, en bordure de la rue Abbé-Renard, beaucoup ' d< dénégations, Perrin est condamné à un an distant de «lus de 60 mètres du pavillon rentrée des gosses. des femmes, dont il serait séparé par des ^ Les gendarmes ayant surpris le manège et un jour de prison. des gannns,en ramenèrent quelques-uns à — Mme Auguste Brice, qui habite Giremassifs de fleurs et d'arbustes. Sf ce îiion, est en instance de dili reste à envisager la question des de- la roulotte ; en même temps, ils relevèrent court-sur-Dui contre le paternol le délit de vagabondage y< vorce. "Son mari, Charles-Auguste Brice, penses qui seront fort élevées, puisque, en «j m manœuvre, l'ayant aperçue alors qu'elle plus de l'aménagement de 100 lits, il fau- et mendicité. On ne s'ennuiera pas si tout ce monde ét était grimpée sur une fenêtre, la pqursuidra pourvoir à l'installation d'une salle à l'audience correctionnelle. vi vit, la frappa, si bien que Mme Brice se moderne d'opérations, forcément très cou- comparaît ' Vagabondage, racolage. — Le garde bl blessa. Pour ces violences, Brice est conteuse. r\ champêtre Magniette vient de mettre lin, di damné à huit jours de prison. Personne, assurément, ne s élèvera con- m momentané ment du moins, à l'odyssée de — Un enfant de quinze ans, le nommé tre des dépenses, si élevées soient-elles.des- ^ deux malheureuses filles, Marguerite Htvs- A André Holry, de Hadol, complètement artiriées à soulager des malades et des bles- ^ son, 14 ans, Juliette Dieterling, 16 ans, r j riéré, est inculpé d'attentat à la pudeur ses Mais en raison de leur caractère na- ^ échappées de l'Assistance publique à Epi- Ssur j une fillette de quatre ans. Un rapport tional, puisque les « hospitalisés ■ » seront n, nal.' di M. le docteur Lacour déclare que Olry de des militaires venus de tous les coins de Depuis le 1" mai, ces malheureuses ont est complètement irresponsable. Mais pour e? Frange, qui, tous, recevront les mêmes erré ffl ça et là, vivant de ce qu'on leur don- s( soustraire Olry à l'influence néfaste qu'il soins dévoués, la commission administra- „ nait et surtout de la prostitution. Ces sl subit d'un membre de sa famille ,1e tributive des hospices a songé avec raison — jjours c derniers, elles avalent élu domicile n nal, tout en l'acquittant, le confie à l'assiset tous nos concitoyens leur en sauront clans ^ une meule de paille au lieu dit « Les t£ tance publique. (gré — à faire appel à des ressources au- F Fleurtentes Haies », à cent mètres du 20" Concerts à l'occasion du Concours cen«1res que les ressources indigènes. 5. bataillon de chasseurs. Glissons sur les ti tral agricole et hippique. — La musique A cet effet, elle pense s'adresser à nos scènes ^ de plein air ! C'est là que, sur les ddu 149* régiment d'infanterie donnera des dévoués représentants dans les deux indications ^ du garde., les genldarmes les C( concerts dans l'enceinte du Concours les Chambres et à la commission de l'armée : ont QJ arrêtées. j{ jeudi 22, vendredi 23, samedi 24, de 16 h. 30 «VI. de Langenhagen, sénateur, et M. MéIl serait vraiment à souhaiter qu'une ^ à 17 h. 30, et le dimanche 25 dans la mati■quiliet député, par la haute intervention a ceuTvre do relèvement moral vint au se- n née, à une heure et en un lieu qui seront desquels elle espère obtenir des alloca- cours n de ces malheureuses, cirez lesquelles u ultérieurement fixés. «tiens, soit du budget, soit du pari mutuel, tout n bon sentiment n'est pas à jamais Les concerts habituels prévus pour le Etat olvïl du 1" au 7 mai 1913.— Naissan- éteinl él en raison de leur jeunesse. u jeudi 22 et le dimanche 25, au cours, n'auces.™ Louls-Edmond-Iean-Adolphe Petit. — Si châtier est bien,, relever est mieux. r( ront donc pas ljeu. Madeleine-Paulette. Hantz.— Mathilde-GeorContravention. — M. Joseph Adam, culLa fanfare du 4e régiment de chasseurs gette Delaigle.— Andrée-Anne Chevalier. — y tivateur, qui conduisait une voiture attei( Francoise-Gabrielle-Jeanne-Marie Renie. — jouera au château le dimanche 25 mai à Hélèhè-Pauline-Jeanpe Wéber.—■ Madeleine- Ke • d'un cheval, eut le tort, la nuit venue, l'heure habituelle. die ne pas éclairer son véhicule ; les genMarie-Louise Crempt.— Thérèse-Louise Mer- « Postes et télégraphes. — Avertissement cy._ Pierre Marie-Victor Velu.— Yvonne-Ma- darmes, ai qui voient tout, lui ont dressé ^ d'enquête. — L'administration des télégrane Delavolaine. ci contavention pour cette négligence. p phes va faire procéder à l'établissement de Publications de mariages.— Charles-Franli çois-Pierre-Fourrier Renaudin, journalière, n Société mixte de tir et de préparation mi- lignes électriques à Epinal. et Catherine Pété, sans profession.— Joseph- ulltaire da Baccarat— Ont obtenu les résulUn tracé de cette ligne indiquant les Emile Vigneron, menuisier, et Marie-Victo- tats suivants à la séance de tir du 20 avril : propriétés privées où il doit être placé des rine Claude, aubergiste.— Charles Holtz, va- , Tir régulier, majeurs.— Maline, E., 6 bal- s" f8 points. — Frcyt.ag et Zfmmermann, 6 supports, restera pendant trois jours conlet de chambre, et Adélaïde Besse, cuisiniè- les b 17 p.— Lemoine, 6-16.— Studer, Parisot, a sécutifs, à partir du 15 mai 1913, déposé re, tous deux à Paris. — Léon Perrut, télé- b. p graphiste, et Bertha Constant cuisinière. — pProcureur P.. Colas A., et Krouch, 6-15. — à à la mairie de la commune d'Epinal où les H., Wurtz, J.-P., Froment L., Voi- h Henri Fischer, journalier, et Henriette-Victo- Homassel pourront en prendre connaisr Ch., Hellé E., et Vouaux C, 6-14.— Cuny intéressés _ rine Walter, sans profession. — Abraham rin ^ sance et présenter leurs observations ou A. Brunau F., Grosse P. et Rubin L., 6-13 — Herrmann, représentant de commerce, et « r réclamations. Fahny Lévy, sans profession.— Albert Gul- Santer Ch. et Bournique H., 6-12. HOUSSERAS ly, journalier, et Augustine-GabrieUe Bru- D Tir facultatif, majeurs.— Freytag 12 b. 34 Maline E., 12-33.— Fohr, 12-32.— ProcuBraconnier surpris. — Joseph Thomas, lhard, sans profession.— François-Léon Gou- p.— t, à baux, jardinier, et Marie-Valérie Vuillaume, reur P., 12-31.— Rubin et Zimmermann, 12-30. âgé de 51 ans, manœuvre, a été surpris sans profession. — Joseph-Marie Enel, em- — » Studer, Colas A. et Bartin L., 12-28. — n par les gendarmes en action de chasse Marchai H., Bruneau F., Voirin Ch. et VilîJ ployé au chemin de fer, et Catherine-Sophie S a dnas la forêt. Il prit la fuite en abandonP., 12-26.— Lemoine et Froment L. Stoltz, employée de commerce à Mont-sur- laume * 12-25. ' n nant son fusil et ses sabots. Il put être arMeurthe. • Mariages— Louis-Charles Binda, maçon, < Tir régulier, pupilles— Humbert CL, 6 b. rrêté le même jour. p. — Parmentier J. et Sonrier, 6-13.— Duet Marie Wurtz. brodeuse.— Charles Lan- 16 {four A., Bramani P., Jeanjean L. et ARRONDISSEMENT DE M/RECOURT Tousghiisc'h, journalier, et Marie Duhand, brodeu- „ se.— Adolphe Frey, journalier.et Marie Gœts- saint H., 6-12. MAZIROT chel, fileuse— Jean' Lienhart, journalier, et 2 Tir facultatif, pupilles.— Humbert C, 12 b. Acariâtre belle-mère. — La veuve ThoMarguerite-Adélaïde Romang, journalière. — 29 p.— Cuny Aimé, 12-28.— Broucker, 12-27. mas, r qui habite Paris, a pour gendre M. Jean-Charles-Louis Martin, employé, et Ma- j Tir à la carabine, dames— Mme Chanal, LJ 10 b. 97 p.— Mlle Campion, 10-93.— Mme Ma- Charles Richard, garde champêtre. rie-Eugénie Petitnicolas. 1line, 10-87. Etant venue à Mazirot, Mme Thomas Décès.— Marie-Antoinette Gérardin, 51 ans, Séance du 27 avril — Tir régulier, majeurs, rencontra r sa fille, à laquelle elle fit une épousa Genay.— Charles Bachelaire, 58 ans, Colas A., 6 b. 17 p.— Voirin, Freytag, Tho- scène s journalier.— Edmond-Jespli Viry, 2 ans.— — violente à propos d'un buste de Vicr I^emoine et Krouch, 6-16. — Finance t Marie-Lucie Sterbé, 48 ans, gantière, épouse mas, t Mme Richard, effrayée, alla se Villaume, Parisot, Thomassin, tor-Hugo. Schaal — Joseph-Auguste Démon et, 66 ans, Regnard, , r réfugier chez elle ; sa mère la suivit et à Laxenaire et Ranulant, 6-15.— Ambroise E cantonnier en retraite.— Marie-Rose Renan- / c de pierres et de bâton brisa pludin, 58 ans.— Céline-Louise Schott, 2ô ans, Colotte A., Cael, Wurtz et Rournique, 6-li. coups s Schumacher Ch., Rubin, Vigneron L., Mar- sieurs carreaux des fenêtres. La gendarrepasseuse, épouse Rauffer.— Constant Man- — f r suy, 54 ans, paveur. — Jacques-Frédéric-Al- ïchai H. et Philippe P., 6-13.— Schumacher G., merie lui a dressé procès-verbal. Maline E., Colin Ch. et. Miot R., 6-12. he'rt Pfeilfer, 6 semaines. PORTIEUX Tir facultatif, majeurs. — Frevtag, 12 b MON0EL-LES-LUNE VILLE S35 p.— Marchai, 12-33.— Voirin Ch., 12-32.— „ Les braconniers. — A la suite d'une enContravention. — Les gendarmes en Homassel f ouverte par la gendarmerie, procèsH., Studer R. et Colas A., 12-31— quête ■ tournée dans la commune ont verbalisé 1Villaume P., 12-30.— Colotte Ad., Cael Charles ^verbal a été dressé contre Charles Thor contre M. Louis Baehler, de son état \et Finance, 12-29.— Fohr et Regnard, 12-28.— mas, 18 ans ; Henri Zaff, 28 ans, et IEdouard Gueury, 22 ans, terrassiers a boueur, qui laissait divaguer son chien Schumacher G. et Wurtz, 12-27. régulier, pupilles. — Humbert Ch., 6 Portieux, I sans plaque d'identité. 1b. Tir qui ont reconnu avoir capture 16 p. — Froment L., 6-16 .— Massel et, Prti- , Mme Henri François, ménagère à Mon- dhomm'e, c un chevreuil pris dans un collet tendu 6-14.— Chevillot, Broucker, Vouaux c cel, est dans le même cas ; même contra- (et Claude, 6-13.— Husson A., 6-12. dans la forêt de Damas-aux-Bois. Tir facultatif, pupilles.— Froment L., 12 h. vention. SAV1GNY c Achetez des grelots. — M. Julien Girolt, \25 p.— Massel, 11-25.— Vouaux, 12-21.— VUVandalisme. — Un inconnu a brisé dix lermin, 12-24. âl ans, chez ses parents, roulait à vélo, jeunes peupliers plantés sur le chemin de Tir régulier rappel, majeurs.— Rancelant ' •sur la foute. Passant à hauteur des gen-- ,1J., 6 b. 16 p.— Schumacher Ch. et Regnard ïgrande communication n° 5, à environ îdarmes, ceux-ci le firent descendre de ma- F,, 1 6-15.— Euriat, Laxenaire et Thomas, 6-13. deux kilomètres de Savigny. chine pour l'inspecter. O guigne ! il venait — " Job F., 6-12. ARRONDISSEMENT Dt NEUFCHA TE AU de perdre son grelot. ' , Tir régulier rappel, pupilles.— Durand P., CIRCOURT-SUR-MOUZON M. Paul Rolîin, 20 ans, journalier, 20, 6] b. 13 p.— Grosse G., Helmer, Michel A. et Prudhomrne H., 6-12. Suicide. — M. Alexandre Thiriot, âgé de1 (rue Traversière, passant quelques instants Tir à la carabine, dames.— Mme Chanal " ans, profitant qu'il était seul à la mai-■ 70 «.près, subit le môme sort. 10 b. 98 p.— Mlle Campion, 10-92.— Mme Ma- son, s a mis fin à ses jours en se pendant Même cause, mêmes effets. 1 line, 10-87— Mlle Louis, 10-81.— Mlle Hellé, à i l'arbre de transmission de la machine a; ' , ARRAGOURT 10-63. Le défunt souffrait depuis longContravention, — M. Georges Picht, pa- , Rappel du 20 avril, carabine dames.— Mlle battre. 1 temps d'une maladie d'estomac et avait; veur, circulait à bicyclette dans les rues Louis, 10 b. 81 p.— Mlle Hellé, 10-78. 1 du village, quand il fit la rencontre des , La troisième séance de tir aura lieu diman- manifesté à diverses reprises l'intention1 che prochain 18 mai. Les résultats complets < gendarmes qu; après avoir jeté un coup 1des séances des 20 et 27 avril seront affichési de se suicider. SOULOSSEi d'œil sur la bicyclette constatèrent qu'elle iau champ de tir. Les. inscriptions seront égaVagabond arrêté. — La gendarmerie ai 1lement reçues au champ de tir. était dépourvue de grelot. Le président, E. HOMASSEL. iarrêté François-Eugène Aubertin, âgé dei BADONVILLER 53 ans, en flagrant délit de vagabondage.. Ivresse — M. Constant Perrin, maARRONDISSEMENT DE BRIEY OOUSSËY' nœuvre à Saint-Sauveur, malgré ses 75 Arrestation. — Le jeune Eugène Gérard,, LONGWY ans bien sonnés, prend sa cuite chaque En pleine rue. — M. Antoine Emile, 35 ■ i âgé de 18 ans, garçon boucher, a été ar-'fois que ses ressources le lui permettent. ; : Ce fut le cas dimanche, et comme il fai- ,ans, marbrier, descendait jeudi soir la rue. rêté en vertu d'un mandat d'arrêt comme; de Metz, quand un nommé Grandjean lui 1l'auteur du vol de tabac commis pendantt sait du tapage sur le quai de la gare, il se1 t i nuit à l'entrepôt de Neufchâteau. fît expulser. Bien entendu, il a été l'objet :sauta à la gorge et essaya de le strangu-. la • 1er en lui reprochant d'avoir fait du mal d'une contravention pour ivresse. à sa femme. ARRONDISSEMENT DE REMIREMQNT BLAMONT M. Emile Antoine se dégagea des mains Contravention, — M. Christophe Recei REMIREMONTp cet énergumène et vint porter plainte veur, cultivateur à rKanèvre-sur-Vezoufie,■ de i Les chablis. — La vente des chablis des, à la gendarmerie. revenait à son domicile avec urne voiture deux inspections aura lieu le samedi 7l ' Les rues sont sûres !! chargée de tuiles attelée de deux chevaux. juin, à 8 h. J du matin. Elle comprend : MOUTIERS Il eut le tort de monter sur son siège, Inspection de Remiremont-Nord : forêts; Vof. — Un petit vol a été commis auî n'ayant pas de guides poutr diriger ses;! 1 domaniales, 18 articles cubant en bloc' chevaux, surtout qu'il se trouvait sur la préjudice de M. Pierre Braver, 20 an»,» 5,478 m. c. ; forêts communales, 40 articles s en pension-chez M. "Escalier, ciroute nationale, où passent un grand nom->•■ manœvre - cubant en bloc 9,180 m. c. tes de Metz. bre ff-auitomobUes. Cette négligence lui a Inspection de Remiremont-Sud : forêts 8 Pendant que cet homme était au travabi un. procès-verbal pour défaut de gui-t - domaniales, 22 articles cubant en bloc des. Qu'cm: nous permette cette réflexion :; vail, un autre pensionnaire de la maison1 5,418 m. c. ; forêts communales, 40 arti-K " pour uni automobiliste imprudent, on trou-• partait avec trois serviettes et une paire9 cles cubant en bloc 7,678 m. c. • de bandes molletières lui appartenant ve dix enarretiers. , BUSSANG * BADONVILLER1 50.M.c. Braver éprouve un préjudice de 3 fr. Les vols. — Un malfaiteur demeuré in..Bris de clôture. — Datas la nuit, des inconnu s'est introduit la nuit dans les caves s ignore ta direction prise par l'auteurr dividus restés inconnus ont pénétré dans;» duOn d'une cité du Pitat et a fracturé cinq porméfait. lim, bâtiment appartenant au patronage tes. Il n'a pu dérober qu'un lapin et quelDéfaut de timbres. — Des procès-Ver• oongréganiste, et ont détruit ce qui leurjj " ques litres de vin, au préjudice de MM. est tombé sons la main : jeux de cartes, baux ont ete relevés à rencontre de plu-7 Lambolez et Chouavel. ' ^^commerçants qui avaient apposée accessoires de théâtre, décors, etc. KR ESSE-SUR-MOSELLE^ Si on se rappelle que tout récemment dans des établissements publics des carViolences. — Le nommé Charles Lambo•> tes reclames non t.imbré"es utn vicaire de la paroisse, fut injurié parr . ' "' lez, qui était domestique chez M. Jules3 des individus qui n'échappèrent à des Laheurte, cultivateur au Frenot, s'est livréé poursuites judiciaires qu'en faisant des à des voies de fait sur ce dernier, qu'il a a excuses, on en peut conduire- que l'acte stu-1 en outre menacé de mort, ainsi que Mllee VOSGES pide et lâche qui a consisté à détruire dess »" Laheurtej sœur de son patron.- L'inculpéé effets mobiliers serait le résultat d'une ARRONDISSEMENT D'ÊPINAL a agi étant ivre. Il a dù reste reconnu touss vengeance. Une enquête est ouverte pare V ses torts envers son ancien maître, qui l'a le. gendarmerie. a „ EPINAL ™ renvoyé. Tribunal correctionnel. — Présidence dee MONCEL\_ RUAUX X Vol de volailles. — Un vol de volailles aa M. Le jeune. — Les frères Perry Henril Vols. — Une forge portative et une en1été cornjnis la nuit à la ferme de Mondon. Jean et Perry Anatole se sont pris de que-!" a Certains soupçons laissent à penser queg relie avec M. Quintard, cocher. On en est" clume avaient été dérobées la nuit dans la maison inhabitée que possède au Haut-du1les auteurs ont leur point de départ àg venu aux mains et Quintard a reçu diversj* s 1Luniéville. Souhaitons que l'enquête our- coups qui ont entraîné une incapacité dee Pré M. Hubert Poirot, cultivateur. Ces obe verte fasse connaître les voleurs et les re-y travail de six jours. En raison de leurs8 jets ont été découverts par la gendarmerie cachés dans une remise attenante à la celeurs. a bons antécédents et des bons renseigné! " maison du cultivateur Henri Hocquard, i, ments fournis sur les inculpés, ils ne sont VITRIMONT r d qui s'est reconnu l'auteur de ce vol. Cet >t Découverte d'un cadavre. —- Le cadavre que peu condamnés, savoir : Henri Perry, e '< individu est réputé faible d'esprit, par ir d'un inconnu a été découvert dans là to- 8 jours de prison ; Anatole, 50 fr. d'al " conséquent irresponsable. mende. •yrèl H s'agit d'un, miséreux âgé d'une cint. i^fuamtaMe d*ansnées, qui, découragé, las — Les nommées Charlotte Bauer, Jean» ,, ARRONDISSE ME N 7 DE SAINT-OIE s f»m lutter, a fini par demander à ' l'atu- ne Bauer, Rose Levrey et le nommé Ma1SAINT-DIÉ É ■■detà une tranquillité qu'il ne connut ja-. thias Lequeux sont inculpés d'avoir volé t e Agression nocturne. — Dimanche soir, r, «nais ici-bas. ou recelé divers objets mobiliers appartet" M. Eugène Felden, 22 ans, chauffeur chez ÎZ En l'absence dm docteur J.ob, c'est le nant a une dame Efzimof, avec laquelle ils ls . M. Ramspacher, à Schiltigheim (Alsace), ), î,^ctensrt Biehat qui a examiné le corps.3e. exploitaient d'un commun accord, à Ram l- qui avai tamené son patron à Saint-Dié, é, •ÎLe suicide rernoaiiterait à environ trois sey. bervillers, un café dont la tenue n'était it se déambulait rue de la Prairie, cherchant, it pas, paraît-il, irréprochable. L'instruction, Njtanoes. li des lieux de plaisir, lorsqu'il rencontra 'a ANCERVILLER R à l'audience, établit la culpabilité des préé- un chasseur du 10" bataillon, accompagné îé | < Chien attelé. — M. Alphonse Paresky, f venus, qui ont en réalité soustrait de nom1- d'un civil, à qui il demanda des renseignee*Jhireur daaas un établissement qui a la a breux objets à leur ancienne associée. En n ments ; ceux-ci, très obligeants, se charrlicorÉaune de porter ses produite jusque ne conséquence, les filles Bauer sont coudama- gèrent de le conduire et l'amenèrent dans is Htams les haœeanx les plus reculés, avait it nées à trois mois de prison, la fille Levrey •y une ruelle obscure. Là, le chasseur saisit lit Sera PingèjDierase idSàe de se faire aider pari/f. à vingt jours de prison, Lequeux à trois is le chauffeur à la gorge, tandis que le civil •il ,n. ^inois. {Nom chien. La pauvre bête montrait son, m lui vidait les poches. Ils dérobèrent un watta^taement à son maître e» tirant à plein» n* — Le nommé Thiéry Jean, inculpé de ie porte-monnaie contenant 70 mark en or. |eoIIàÇp\ Tsei aàteit donc pour le mieux, K, : vol d^n sac au préjudice, de Mme Efzimof, i, Une rapide enquête fait croire que le lœ^aid te- gendarmerie s'avisa de demanÎ- t à Rambervillers, est condamné à six jours rs chasseur est un nommé Roy, très mauvais ,is mik''W1tf?Saaeeiky s'ib-awaiit tau» autorisafcVCde prison. ^ , -sisrijet, et le civil, un nommé Strebil, d'auss- i autorité militaire demande à la ville une Et peut-être aujourd'hui, apeè, T si bonne moralité. TOUS deux sont en fuite / w 1 si C( années do provisoire écoulée tJi«V*,,tt et on les recherche. et voudra t on ici, terminer enfin fe nuT^1*» "perdu. — La Jeune cycliste déodatienne, du maître Rodin, et, là-bas aux L l°^e4 qui avait organisé dimanche une course chantées de la claire Moselle, consJv8 ^ g Saint-Dié-Baccarat, a perdu son fanion l'art, à l'histoire, à la patrie, la trè-Ck* I entre Baccarat et Bertrichamp. Voici son ble chaumière où naquit.à l'a.uibe du j signalement : fanion vert et rouge, porl'un des plus merveilleux , Ç?^'M La maison natale de Claude Gellée, à siècle, si* » tant les armes de la ville de Saint-Dié avec ^ av du monde, le roi des paysagiste , ^tsi Chama^rne, est à vendre. les initiales J. C. D. Ou plutôt le propriétaire actuel cherche E - BADEi. Chronique sportive. — Foot-ball asso- à à la céder, pour un prix modeste, à quel—»» • e» , ciation. — Dimanche, au Parc des Sports, que qi fervent d'histoire et d'art, qui en feci un rait une sorte de petit sanctuaire artisti0 match a été disputé entre l'équipe pre- n mière de la Société sportive Wogesia, de qi que, un musée d'un genre tout spécial en J n LES CONTESLORRAINS Strasbourg, et l'équipe première du Strade l'honneur 1') du grand peintre de la nature S et du soleil. déodatien. Ce dernier est sorti victorieux et d Cette acquisition serait plus facile et \ avec 12 buts contre zéro. a plus heureuse, à coup sûr, que ridée d'éI Course cycliste. — Une course de clas- pi sèment était organisée dimanche à deux riger ri une nouvelle statue du « Lorrain » ^ si la jolie bourgade de Charmes-surheures par la Jeunesse cycliste déodatien- dans d; h Moselle. ne, parcours Saint-Dié-Baccarat et retour. M n * v Voici le classement : Nous possédons en Lorraine pnie autre 1" Dorvillers, en 1 h. 25. Maison nationale, sanctuaire de foi et de f 2" Barillot, en 1 h. 30. W patriotisme : c'est la Maison do Jeanne L,< 3" David, d'une longueur. P Le Gris, premier pointeur JeBortap ^ ar d'Arc à Domrémy, qui appartient légale4n Litique, d'une longueur. d ment au département des Vosges. 5" Ruhlmaun, 1 h. 40. n I Le Souvenir Français a reçu en dépôt — , En 1842, habitait dans le petit vil]aït Une course de 100 kilomètres sera cou1 dc . V... M... ou il s était retiré après le lirT | rrue très prochainement. -à.; la suite d'une souscription publique - de clément de l'armée de la Loire un a • La Pentecôte. — Bien que les fêtes de la la. fameuse Maison des Dernières Cartou- eu ches, à l'entrée de Bazeilles, au-dessus de vc I F volontaire tic 1792, ayant fait presque t*'* ; — Mirecourt montre Itou jours la les le: campagnes de la Képublioue'e!- ri« n,Uta ei ce, et malgré un temps plutôt maussade, Sedan , h trains arrivant et partant à. Saint-Dié i demeure où est né Pierre Fourier, et l'on pi pire. i les sait comment de généreux efforts ont perj éétaient combles. De nombreux trains sup- ^ récemment de conserver la Maison de . C'était un homme encore robuste ppiémentaires ont été formés dans les di- mis ^ Corneille à Bouen et celle du bon La Fon- sec, osseux, aux yeux vifs et durs, o'mbr!^ rrections de Nancy et Epinal. d'épais sourcils. $i taine, à Château-Thierry. Le garage Lung avait immobilisé toutes Il s'était remis au travail cle la terre I ses s autos, qui furent prises d'assaut, pour ^ Nancy possède de nombreuses maisons célèbre quoique q<devenu paysan, il conservait h» j SSà a les ou Sainte-Marie-nux-Mines. Le historiques, mais aucune assez D ce b coup de l'allure militaire dans sa tiiùw** temps s'est maintenu à peu près au beau pour en faire une relique nationale. e ppendant les journées de dimanche et de ^ Quand on aura cité l'hôtel Marqueisz, di dans sa démarche. * li 11 n'était guère causeur. lundi. và la Ville-Vieille, avec son pavé de 1477, l'hôtel des Deux-Sirènes, d'où s'échappèDon._ — Une somme de 50 francs a été ri le 1er avril 1635, Nicolas de Vaudé- j Cependant, il ne vivait' pas en sauvai rremise" à la mairie par un anonyme pour rent, n et sa jeune épousée Claude de Lor- lorsqu'il se trouvait en société et nue êêtre versée à l'Extinction de la mendicité. mont cc r s'orientait sur les guerres raine ; quand on aura montré aux tou.ris- conversation Vaccination et revaccination obligatoi- (,, e tes la maison dite de Callot, les hôtels de 'les baitailles auxquelles il avait nani • r res. — Le maire de la ville de Saint-Dié a Custiine, Q d'Haussonville, de Bassompierre pendant p< si longtemps, il lui arrivait parto» Y l'honneur d'informer ses concitoyens que et e de Ludre... on aura à peu près tout vu d< ddes séances publiques et gratuites de vac- <j de prendre la parole et de raconter quelques éi ccination et revaccination obligatoires au- des demeures historiques de Nancy. épisodes des événements auxquels il s'ét t Pour en revenir à la Maison natale de fr r ront lieu à l'hôtel de ville : cClaude mêlé et dans lesquels il avait jon Gellée, à Chamagne, il faut en éta- trouvé m rôle actif. un * 1° Pour la première circonscription blir b son authenticité et rappeler comment, ( (rive droite), les 15 et 16 mai courant, à il j] y a vingt ans, elle fut rachetée par la _ Il aimait particulièrement à rappeler le« 22 heures | du soir, et la révision le 21 mai, 1 circonstances qui lui avaient valu le quajj Lorraine-Artiste (puis, les souscriptions ^ à la même heure. à r rendues) par le dévoué directeur de cette n< ficatif qui se trouve au titre de cette hi> 2° Pour la deuxième circonscription bbelle revue d'art qui n'a pas encore été toire. te ( (rive gauche), les 19 et 20 mai, à 2 heures remplacée r chez nous . c C'était pendant la campagne d'Italie. du soir, révision le 26. *** g< général Bonaparte avait réussi à couper es Les séances sont ouvertes à toute personA quatre kilomètres environ de Char- Jji r deux tronçons l'armée autrichienne. ne, même non assujettie à la revaccina- n mes, sur la rive droite de la Moselle, se ttion ou vaccination. ttrouve l'humble village de Chamagne, au , Après .avoir anéanti, ou à peu près, l'une Etat civil du 2 au 9 mai — Naissances. — ccachet bien lorrain, notamment dans là rue des moitiés de cette armée, il s'était mis » /Albini Joseph-François-Ernile.— Spitz Henri- d la . la poursuite de l'autre moitié, avec quelCGeorges-Camille.— Biegel René-Robert—Gué- de Claude Gellée. Chamagne est la patrie de deux illustra- q' ques-unes de ses demi-brigades les plus r* 1héneuc de Boishue Régis-Marie-Joseph-Léon. * lorraines de tout pranier ordre, p pides. j— Georges Simone.— Pierrat René-Léon. — tions f jSimon Jeanne-Marie-Rose. — Ackermann Ro- rClaude Gellée, dit le Lorrain, le peintre inimitable de la nature et du soleil, et le c] Cette dernière moitié de l'armée autribert. , Publications de mariages.— Jeandin Gusta- valeureux V capitaine Malhortye, l'un des chienne avait cependant pu réussir à « ^ ve-Sébastien, peintre, et Mougin Marie-Eugé- héros 1 de la guerre de René II contre Char- mettre à l'abri derrière une large rivièt» rnie-Estel.— Evard Maurice, négociant, et 1 avait traversée. Les Autrichieai les le Téméraire, le sauveur de la place qu'elle ™ Bloch Claire. j 1 a avaient ensuite fait sauter tous les ponts qui Décès.— Antoine Marie-Louise, 78 ans, sans forte de Rosières en 147(5. On cherche vainement les statues ou mê- avaient a' favorisé leur passage. profession, veuve Thiriet Isidore.— Mangeon| r me les bustes des illustres enfants de Chaîean Henri, 47 ans, tisserand.— Gaire EméLes Français arrivés sur la rive n'avaient 1 lie-Marie-Thérèse, 16 ans, sans profession. — magne * ; leur nom n'est même pas donné p trouver de gué ; les eaux étaient haute», <Chelebach André, 74 ans, tisseur.— Evrat Ma- £aux rues du petit village. Rien, absolu- pu j4 rivière large, le courant rapide. rie-Anne-Joséphine, 72 ans, épouse Barre rment rien ne décèlerait l'origine de Claude la ] Jean-Joseph— Lhôte Charles, 74 ans, sans' (Gellée, si ce n'est, à un tournant, une raoLe général en chef avait donné l'ordia , j profession.— Joinard Laurence-Marie-Made- . d'établir un pont de bateaux et les pontonjleine, 24 ans, épouse Georges-Emile Spitz. — Vdeste plaque serpentine, fixée au-dessus n c la fenêtre de l'humble maisonnette où niers s'étaient mis à l'œuvre. jFerquel Jeanne-Henriette, 18 ans, ouvrière de 1 le Lorrain. d'uslne.— Renouard Louise, 20 ans, tisseran- naquit Les travaux de construction du pont as , de.— Villemin Georges-Alfred-Ferdinand, 24 Cette plaque, ainsi conçue, a été posée poursuivaient p avec une très grande activité. jans, employé de banque: jpar les soins de la Société d'Emulation des Mais les Autrichiens avaient pu établir Vosges : « Ici est né en 1600, Claude Gel- sl sur une sorte de plate-forme en bois quellée, dit le Lorrain, mort à Rome, le 23 no- q ques pièces de canon dont les boulets bavembre 1682. » j. en partie la rivière et démoUissaient Humble maison villageoise, s'il en fut, layaient ' le pont de bateaux ù mesure qu'il était établi des Compagnies départementales f que cette demeure, précédée d'une large " les Françaçis. anvent, et, qu iful achetée, il y a vingt ans, par P des Greffiers de Paix J pour 6.000 francs à peine. Bonaparte observait cela et marchait féLe propriétaire n'en demanderait guère brilement h et de Taclion disciplinaire sur la rive. . davantage aujourd'hui, sinon le rembourTout à coup il se tourne vers le commansement des frais de contrat et d'entretien. j dant de la demi-brigade la plus rapproché* La pétition des greffiers de paix, ayant Qu'est-ce donc que cinq ou six mille 1pour but d'obtenir du Parlement urne loi jfrancs pour sauver de la ruine et conser- et lui dit : « Il me faudrait un bon poin^ 1modifiant le régime disciplinaire auquel , teur, pouvez-vous m'en donner un ? » ver à la Lorraine la. maison authentique t( i ils sont assujettis, a rencontré un accueil où ( naquit Claude Gellée en l'année 1600. Le commandant, se tournant vers ses ca< 1 des plus sympathiques aussi bien de la Et quand oai revient de Chamagne, pat n nonniers, lance alors cet appel : 1 Le Gris, part 1 des sénateurs et députés, que du ] la route où souffle le vent des Vosges, on aavance ici ! • . • 1 côté de la presse et du public. , se dit : tout de même que ce furent d'exLaissons parler notre héros : Ce dernier, surtout, a paru surpris d'ap- cellents \ Lorrains, que ces deux enfants 1prendre que les officiers ministériels, en de ( Chamagne du 15" et du 17e siècle, l'un „ « — Je sors du rang et je m'avance. La général, avaient obtenu la légitime sa- ,délivrant sa patrie d'un audacieux et ter- 5général me regarde et me dit : « Peux-tl I tisfaction de voir les poursuites discipli- rible ennemi ; l'autre, surprenant les se- C;démolir cette batterie avec ta pièce ? » révocation expirer crets , ]naires en matière de ,« Je lui réponds : Oui, mon général, ma du soleil et de la nature, et tous deux devant les tribunaux, alors qu'urne excepjustement honorés dans le Panthéon de Fpièce porte plus loin que les canons autrition avait été faite pour les seuls greffiers ] nos gloires locales . c chiens. Eh bien, dépêche-toi. de paix, auxquels on persistait à imposer Ajoutons que la municipalité die Rosiè•cette loi du 28 floréal an X, grâce à la• Je fais charger ma pièce ave; soin, je res a donné récemment le nom glorieux de ] i la pointe... et du premier coup j'envoie leur quelle Bonaparte-Napoléon put tenir sous r .son talon de fer les officiers ministériels. ,Malhortye à l'une de ses rues, et que Rome baraque au .diable. conservé précieusement le tombeau de Et le bon public se demande comment Claude le Lorrain à la Trinité du Mont, « Alors les pontonniers n'étant plus* gêradministration actuelle de la justice: rév par l'artillerie ennemie eurent bientôt avec un monument à Saint-Louis des nés publicaine n'a encore rien fait pour modi- Français. ifait de terminer le pont. Nous y passâmes fier un état de choses aussi contraire aux * eet donnâmes la chasse aux Autrichiens qui idées modernes de justice qu'en opposii** t1 bientôt tous tués, blessés ou prisonDonc, il y a vingt ans — je crois même furent tion avec les principes de la Déclaration niers. 22 ans — un comité se forma à Nancy pour 1 des Droits de l'homme et du citoyen. Et il recherche em vain les raisons sur lesquel- acheter la maison natale de Claude Gellée « Après la bataille, le général revient ttrouver le commandant de ma demi-brigade les le ministère s'appuie pour refuser d'é- à Chamagne. De nombreux auteurs avaient fait naître tudier une réforme qui permettrait aux {et lui donne l'ordre de me faire venir devant greffiers de discuter au grand jour de le grand peintre au château de Chanta- (eux. l'audience et devant des juges indépen- gne. Il y avait bien autrefois un châteaue « — Voilà un garçon qui nous a rendu dants et non prévenus des accusations fort, datant du 13 siècle et appartenant souvent aussi injustifiées que tendancieu- en 1600 à la famille du maréchal die Bas- 'un fameux service,, dit-il, il mérite de l'asornpierre ; mais il est absolument inexact 1vancement, il faut lui en donner tout <is ses. i Qu'on ne nous objecte pas surtout que que l'auteur de tant de merveilleux chefs- suite. la mesure sollicitée par les greffiers de d'œuvre y soit né. « — Impossible, répondit le commandant, L'authenticité de la maison natale de jil ne sait ni lire ni écrire, c'est un bon paix aérait contraire à une discipline bien comprise, car nous pourrions opposer le Claude Gellée a été reconnue en 1837 par ,soldat mais impossible de lui donner un régime adopté pour l'Algérie et qui don- la Société d'Emulation des Vosges, après grade. une enquête approfondie, enquête qui; s'est ' ne entière satisfaction aux intéressés. « Le général avait l'air embêté, i! me En effet, par tin décret en date du 27 appuyée, non seulement sur des traditions juin 1901 (modifié par un autre décret du locales séculaires, niais encore et surtout regardait et on voyait qu'il aurait bien 25 septembre 1906) « une commission dis- sur des titres de propriété conservés chez 'voulu faire quelque chose pour moi. ciplinaire a été instituée pour les officiers les membres de la famille Gellée et dans les « Enfin, il me dit brusquement : « M00 . ministériels d'Algérie (y compris les gref- archives des tabellions de Charmes. garçon, c'est dommage que tu n'aies pas été En 1891, Gaston Save, qui était un fçr- : fiers). Cette commission est renouvelable à l'école, mais je veux tout de même te vent de Claude Gellée, écrivait ces li- [ tous les ans et est composée de *: donner un grade : Je te nomme le premier 1° Un conseiller du gouvernement gé- gnes : « L'humble maison de Chamagne, où la pointeur de Bonaparte. » néral de l'Algérie, président ; « Et j'ai toujours conservé ce grade-lli 2° Un conseiller à la cour d'appel, mein- tradition, appuyée de titres,' a placé le berceau de Claude, doit être conservée pré- j'ai bien souvent pointé pour Bonaparte et bre i 3° Un membre dn parquet général,mtem- cieusement et, pour cela, il faudrait l'ac-* pour Napoléon sur tous les champs de. baquérir par souscription et lui rendre son tailles de l'Europe. bre ; 4° Enfin, un. officier ministériel de la caractère que de récents travaux ont granN'empêche que si j'avais eu un peu d insmême catégorie que celui contre lequel dement dénaturé, truction, j'aurais pu, comme bien d'autres, « Il serait facile d'y installer un petit des poursuites sont exercées. Cet officieri est choisi, de préférence, comme rappor- musée contenant des portraits du célèbre; devenir colonel ou général, même maréchal 3 Lorrain, des gravures ou copies cle sesj • de France et même encore plus. Et ça Ï teur, par la commission, Le Parquet général instruit l'affaire, pro- principaux tableaux et les souvenirs qui[ rait peut-être mieux valu pour moi, nia» voque les explications écrites de l'officier. restent de lui... » vaut mieux ne pas y penser. 1 \ ' I Les vœux de l'ardent lotharingiste fa.ilministériel et adresse un rapport motivé, Et Le Gris bourrait alors sa vieille pipe' en transmettant le dossier au gouverne-'. lirent se réaliser. Une Qouscription fut ou-- l'allumait et paraissait se consoler, en '* verte, qui ne produisit pas suffisamment, ment général de l'Algérie, ' fumant, d'avoir manqué l'occasion de cevc" Si des poursuites sont ordonnées, le, malgré une généreuse subvention du conprocureur général convoque les membres; sedl général de la Meurthe, qui vota 1.500j nir un grand personnage, par 'a fauté <»* son ignorance. de la, commission disciplinaire « signe unl francs. Mon père, de qui je tiens ce récit et f|ul Un acte de venté fut passé en l'étude de5 arrêté de désignation de l'officier ministériel » adjoint à la commission et invitej Me Carnet, à Charmes ; le propriétaire de-- l'avait entendu dé la propre bouche de se*1 l'officier ministériel objet des poursuites- mandait 5.500 firancs do la maison histo-- héros me disait qu'une sorte de transfigw'T à comparaître devant lia commission pourr rique, que la Lorraine-Artiste ambition-- tion s'opérait dans les traits et dans 1 artl' s'expliquer « personnélément et arale-. naît d'offrir aux trois départements lor-" tude du vieux soldat à mesure -qu'il narra) rains. ment ». 3 En présence de l'indifférence des uns, des ses aventures. Il les racontait dans le P . .1 a L'officier ministéniel poursuivi, enten* du village et il fallait voir son geste quana . critiques des autres, le projet dut prendre du. après communication de tout le dossier, la commission disciplinaire formule> une autre forme : les souscriptions furentt lançait cette phrase : « Do premé co, je i0 un avis et le transmet avec le dossier auî rendues, même la forte subvention du con teu zo barrèque au diable. » . Parquet général. Le procureur généralI seil générai de Nancy, et le directeur deï Et cette autre : . Le Gris, je te non"^ adresse alors ce dossier, avec son aviss la Lorraine-Artiste demeura seul locatai-- le premier pointeur de Bonaparque. » ^ personnel et celui du premier président, ■re, puis propriétaire de l'humble maison au gouverneur général, qui décide par unJ de Chamagne, qu'il importe de sauver deï ainsi qu'il prononçait Bonaparte. * un Vosgien. arrêté, dont le procureur général assuree la ruine et de l'oubli. * l'exécution ». ** 1 Les greffiers d'Algérie sont donc mieuxx Nancy, à la même époque, avait inau<nipartagés disciplinai renient que leurs col-lègues de la métropole, lesquels sont frap-- ré en grande solennité, en présence du1 L'EST REPUBLICAIN pés dans le .silence et l'ombre du cabinet président de la République, Sa di Carnot •tune statue de Claude Gellée à la Pépiest en vente , rta sans avoir pu présenter une défense utile, r !. nière, oeuvre fort discutée de Rodim A ARLON. — Chez M. KEYENBERGH, *> n'ayant communication que de pièces inLéopold. ^ li ,o£êtait ^ lun,cli cte !a Pentecôte, 5 juinT, complètes et ignorant, le pins souveat, ce que contient le fameux dossier secret quee 1892 .par un soleil radieux, devant une as-.- A LUXEMBOURG.— A la Bibliothèque e sortance d'élite, sans que l'artiste ait nu1 tout officier ministériel a au ministère de la gare et chez M. Kraus, libraire, e .même terminer son piédestal si vivant et la jsuttee. t rue du Génie, près de la posteles moulurations du socle supportant W, Espérons que oet état de choses cessera " A METZ.— Scnuler, 21. rue des c,arK» a. mage de bronze de celui qui cherche à saddans un avenir très prochain et qu'on 2 giens, et dans tous les kiosques de n «ar les. premiers feux du jour, au-dessus de donnera satisfaction à la demande si patr- c s i rTv^ Graissants qui entraînent let A STRASBOURG. — Chez M. AM*!S^ faitement légitime des greffiers de paix. '" char de 1 Aurore aux doists de rose 4 plaça de ia Gare. LLa Maison natale » de Claude (îellée | Un Vieux deja Vieille DE LA RECONNAISSANCE ' l ^CAUSERIE MEDICALE MI tni mi il i il mu il mi LU amwwj ^rar'-'J.'.1.? ..■.jivtTgygîit"■ '.«n «it* c i i»'.")gj m i ii ni niiiinM I Petites oiraprtiees' /érysipèle Faits-Divers Travaillent dans une usine, n'ayantl pas de cafte de retraite ouvrière, le patres I a-t:il le droit rie nie. retenir comme à ceux ' qui ont une carte ? r 2" N'ayant toujours pas de carte, en cas', do départ ai je le droit de ira: faire rembour-. ,. jpèl« est ime fièvre éruptive, épi- | ser Me vareemaot effectués '! . ' 1 n£ nïio et contagieuse, qui pénètre dans R. — 1° Le panée, n'est eu droit de retenir i qu'à reux de ses ouvriers qui lui présentent ^.iiian-ie à la laveur d'une fissura quel' ne de la i*11" a des muqueuse». Pris- leur carte de retraite, niais il a toujours le. voinisseniente et embarras gastriques droit de reluser d'employer les ouvriers qui ! la scène : puis, apparaît un point ne sont pas en règle aie,, la loi. 2" Non, ces versements étant versés au ^ 1 et engourdi, avec engorgement des fonds de réserve, peuvent seulement être ret^1 ijt>ns voisins. La poau devient rouge, portés a votre compte, sur votre demande, le i?nf L;e brûlante et douloureuse : le dé- jour où vous vous déciderez à vous fatre ins^ iieia'ciit de 1'épidewne s'opère du T au crire, ou le jour ou la loi sera rendue obliFrJr II n'est pas rare teutefois do voir gatoire, ce qui ne tardera sans doute pas. Dans votre intérêt, il serait préférable de ?-&te gagner de proche en proche vous faire inscrire immédiatement. »v0^i l'indique son appellation etymolo*e fais partie do la retraité ouvrière «Zl_ et ramper, pour ainsi dire, suce* gfiant d'un point à 1 autre de la -peau, depuis le :'.0 décembre 1912 comme assuré 1 facultatif. Ne pourrais-je pas être dans les &to souvent par le nez ou la gorge, [■ obligatoires, puisque je suis chantre salarié '■ ^eflvaliir ensuit© la face ot le cuir che- à l'église de mon village avec uu traitement P° .n respecte lo menton et tuméfie oon- annuel de 80 francs î ^YAblemont les paunières. Chez le nouR. — Oui. Si la commission municipale de né l'érysipèle affecte souvent un ca- votre commune le juge ainsi. Faites alors ffSa^des plus malins, avec point de dé- modifier votre inscription sur les listes des assurés de votre commune. qur la plaie du cordon ombilical Tout dépend de votre situation particuliè'A l'inverse des autres fièvres ênuptives, re, les commissions municipales ont été inspremière atteinte d'érysipèle, loin de tituées pour statuer sur les cas particuliers. Krtftfrer l'immunité ultérieure, prédispose, Eu cas de contestation, vous pouvez soumetiTcentrairo, à des décharges morbides ta- tre le cas à M. le Préfet qui trancliera la ïïlmittontes, récidivant sous 1 action de la question. Le réclamant a eu cette dette de sa mère SSidre écorctiur© : ce qu on observe prnv Ayant habité quatre ans chez la même pro- comme dot en mariage en 188-4. Cette dette élément chez, tes enfante lymphatiques, priétaire, voilà cinq ans que j'en suis sorti, était inconnue des enfants et aurais plus de ^^Igses lèvres fissurées. Empressons-nous mais je n'ai pas quitté le quartier. Aujour- trente ans. Sommes-nous encore responsa7 j-Souter que l'érysipèle à répétition, est, d'hui elle mo réclame cinquante-six francs. bles R.— Si la dette a plus do trente ans, il y a Ljitaire, de moins en moins grave : En a-t-elle lo droit ï prescription, à moins qu'il n'y ait des actes R.— Les loyers se prescrivent par cinq ans. S-t dû, évidemment, à la persistance viSi donc il y a plus de cinq ans que vous interruptifs de prescription. tante des miorobes dans les vaisseaux êtes sorti, on ne peut rien vous réclamer. lo suis ouvrier, étant payé à la quinzaine. îminhatiques (microbisme latent, facàlitant J'ai un locataire chez moi qui veut louer Je rapporte ma paie intégralement chaque i^réinocuLations). L'agent provocateur do fois à ma femme, qui travaille aussi de son des chambres garnies sans mon consenteEfrvsipèle est, aujourd'hui, d'ailleurs, bien ment. En a-t-il le droit î coté. Ma femme a-t-elle le droit, étant marié sous le régime de la communauté, de dispo«MM : c'est le stroptocoque, dont la prêR.— Non. ser entièrement de cette somme ou plutôt du développe, dans le tissu cellulaire, 1° Une personne dont le mari est mort près- jj surplus qu'il reste après les dépenses d'enet congestion. qiKd subitement au bout de trois mois de !< tretien, de location, etc..,,, car, travaillant èm€ Le mal ne disparait que lorsque le sujet mariage, attendu qu'elle a emporté la plus tous les deux, nous ne dépensons pas tout éi, vacoiné, en quelque, sorte, pair ï,impré- grande partie du mobilier ainsi que certai- ce que nous gagnons et chaque quinzaine il mation virulente. L'action préventive de nes économies se trouvant dans le ménage, reste une certaine somme. Cette somme que ? la levure de bièie peut être utilisée avec etc.... ma femme met de côté après avoir payé |* ,2° A-t-elle le droit de s'emparer de la tout, peut-elle en disposer sans en me rensuccès contre ces récidives montre du défunt ? dre compte, ou devons-nous la partager, c'est Pour empêcher le développement de l'éR.— C'est le tribunal qui apprécie les ques- j rysipèle, il f^it avoir soin des plaies les tions de pension alimentaire en tenant comp- i de l'argent gagné en commun et économisé t même ï Jus minuscules et cicatriser toujours, par- te des ressources de ceux qui la doivent et j deComment pourrais-je l'empêcher de mettre Lnlièrement chez les enfants, les gerçures des besoins de ceux qui la réclament. } toutes les économies à son nom sur un li2° Non. rte la face, les croûtes du nez, l'herpès des vret de caisse d'épargne. Quel est mon droit lèvres l'eczéma du conduit auditif, les 1° Les locataires d'une maison dont le rez- j, dans ce cas-là ? R.— Votre femme n'a le droit de mettre de adénoïdes de la gorge ; ainsi l'on ferme de-chaussée est occupé par un boulanger ontEs portes à l'exanthème. C'est par ranti- fis le droit de secouer des tapis dans la cour ': côté à son nom que les économies qu'elle fait son propre salaire. Vous avez le droit vgpsie et par Pasepsie opératoire que Pé- qui sert de passage pour transporter pain et sur de fa ire prononcer par le tribu nal le retrait 'frëi-pèle a été expulsé des services chirur- pâtisserie, ce qui fait une grande poussière ; du droit donné à la femme de placer ses Boaux. On sait aujourd'hui que la fièvre qui retombe sur la marchandise destinée à jt économies. Vous pouvez même citer votre ? puerpérale reconnaît le même agent cau- l'alimentation 2° Peut-on contraindre le propriétaire à i femme en référé devant le tribunal. Il faut sal que l'érysipèle : on redoublera donc de agir contre ces faits ? j démontrer que votre femme abuse do son hrécautions pour mettre la femme an couR.— Il est bien diificile d'empêcher des ;s droit. ches à l'abri de la contagion du streptoco- locataires de secouer des torchons ou des ta- I Ma femme est établie repasseuse. Elle a pis par la fenêtre d'une cour. Ils doivent ce- signé, à mon insu, un engagement envers Bue. On protégera du même coup le nouj pendant no pas troubler leurs colocataires, Ij l'ancien propriétaire d'une de ses ouvrières veau-né. II y a là des nécessités de voisinage qu'il est i Le signe caractéristique de l'érysipèle est assez difficile de concilier autrement que par j"• de retenir à celle-ci 6 francs par mois jusI qu'au paiement de ce qu'elle lui doit. Ce bil^ne tu/néfaction .rouge foncé et douloureu- j de lu bonne volonté réciproque. j let esMl valable, quoiqu'il ne soit pas muni se, limitée par des bords formant un relief Mon voisin loue une remise, son locataire ;î de mon autorisation ? Ifnsibte à la vue et au toucher. R.— L'engagement est valable, si l'ouvrière j y a mis des chevaux qui ne nous laissent j Dès que le mal est constaté, il faut adV pas dormir. Que dois-je faire î y a consenti. Binistrer un purgatif salin, suivi de caR.— C'est au voisin a prendre les précauAu mois d'août 1910, j'eus des relations avec chets de quinine et d'antipyrine, afin de tions nécessaires (contre mur, par exemple) ! une personne, en octobre je m'aperçus qu'elle pour que les chevaux, en remuant et en donI Combattre l'embarras gastrique et d'atté! en voyait d'autres ; je voulus m'en rendre nuer le mal de tête, souvent atroce dans I nant des coups de sabot contre le mur, ne ji compte, niais j'avais fort à faire. Peu après I troublent pas votre sommeil. En cas de re! i elle me dit qu'elle était enceinte, etc.. ? œrtains cas. Il faut aussi soutenir les forfus, vous pouvez faire uu procès. Voyez pour |1 R.— Comment voulez-vous que nous puisces par le lait, le boidllon, le Champagne, cela un avocat. I sions vous dire d'avance « quel sera l'avis du te potions à extraits de quinquina." LocaJe loue une maison où j'exploite un com- j tribunal si on vous fait un procès ». C'est lement, on enduira, deux fois par jour, la i nierce d'épicerie, je paie 2-10 francs par an 1• une affaire à plaider. Mais d'après les expliplaque érysipélateuse avec la vaseline sa- I en deux termes ; mon bail expire le 23 avril I cations abondantes que vous nous fournisfolée, que" l'on poudrera d'un mélange de | 1011. Lorsque j'ai payé mon propriétaire le sez, il semble bien que vous aurez du mal talc et d'oxyde de zinc. 23 du mois dernier, il ne m'a parlé de rien i1 d'échapper à la responsabilité de l'enfant. Les pulvérisations d'éther camphré, ad- ni moi non plus. Est-ce à moi ou au propTié1° Un marchand du marché a-t-il le droit itionDé de 1 % do sublimé sur le bourre- ! taire à' prévenir et combien de temps avant de percer des trous dans la terre pour enfonl'expiration du bail î cer des piquets î let qui entoure l'érysipèle, semblent avoir R.— C'est à vous a prévenir au moins trois j• 2° Ayant eu ma semelle de chaussure nrfWaotage d'empêcher l'inflam.ma.tion de mois à l'avance, si vous ne voulez pas rester I raehée en butant dans un de ces trous, qui franchir ses liinîtès. .Te les préfère, de dans la maison. ! donc est responsable î j beaucoup; dans ma pratique, aux injecR.— La question ainsi posée est peut-être quelle distance d'ime clôture mitoyenne II tais sous-cutanées d'acide phonique ou de I enA toile métallique doivent être plantes des i un peu générale. Il semble que les marsérum antistrepto-coccique ; s'il existe de framboisiers qui envahissent la propriété , chands, qui ont le droit d'édifier leur boutij que, peuvent faire des trous en terre. Mais l'albuinine dans les urines, on exigera la voisine ? iète lactée absolue, afin de .favoriser la R.— A 50 centimètres. De plus, ils doi- ifs doivent le faire en prenant les précau[■ortie immédiate des toxines dangereuses. vent être taillés au droit de la limite sépara- i tions nécessaires. Il faudrait donc savoir si j; il y a eu une absence certaine de précautions L Ea cas d'érysipèle très douloureux, les tive. | de .la part du marchand. J'ai signé et accepté il y aura bientôt un j compressas d'eau chaude additionnée d'un |i Etant comptable dans une usine, je donne an, un bail qui m'interdit d'avoir un chien ipeu d'eau oxvgénée, donnent d'excellents dans mon appartement. Depuis j'en ai un |j mon mois le matin, le soir même je préviens j résultats. parce que deux locataires de la maison, ,i mon directeur que je prendrai deux heures En cas de délire, de fièvre grave d'ady- l'un arrivé avant moi et l'autre après en ont J par jour pour me chercher un autre emploi. aamie profonde, les bains à 28°, répétés aussi. Aujourd'hui mon proprétare invoque i 1» Ai-je droit à deux heures par jour lors'Beux fois par jour, représentent le meilleur le bail et demande que je me débarrasse du ij que j'ai dénoncé mon contrat de travail ? j 2° Puisque l'on me renvoie, suis-je en droit boitement général à conseiller. chien. Puis-je exiger et suis-je dans mon droit en j d'exiger un mois d'indemnité 7 Lérysipèie possède parfois une heureuse 3° Une instance devant ie conseil des prutoïluence sur certaines maladies ulcéreu- demandant qu'il en soit de même pour les d'hommes entraîne-t-elle à des frais et quelle ses, graves et rebelles, de la peau, où îl autres locataires î est la marche à suivre pour poursuivre 7 R.— Non, sauf si les autres chiens constis'est montré supérieur, à coup sûr, aux R — 1° Oui. tuent une gène sérieuse. Médications les plus éprouvées : c'est ce 2° Oui. 1° Ayant construit un mur de clôture mi3° Il n'y a pas de, frais. Adressez-vous au se«ait, assez souvent constaté, qui donnerait toyen avec mon voisin, celui-ci a-t-il le droit crétaire du conseil des prud'hommes. peut-être un certain avenir aux cultures de de surcharger ce mur sur la moitié à lui î Par écrit sous seing-privé et enregistré, une streptocoques considérées comme méthode 2° Doit-il payer une surcharge ? personne s'est engagée à l'obligation suivante traitement, Le streptocoque, d'ailleurs, 3° Ce mur étant prolongé de û m. 50, a-t-il fiest pas seulement coupable de causer l'é- le droit de le. couper pour faciliter le passa- te : Conduite des portions de bois affouagères dont je suis possesseur par voie de tirage rysipèle et la fièvre puerpérale : certaines ge d'entrée chez lui ? ta nc 4° Ayant construit un mur de clôture non au sort chaque année (écrit valable pour six '° bo-pneumonies, angines, péritonites, années consécutives). Par le mot conduite, méningites même, sont d'origine strepto- mitoyen, le voisin peut-il s'appuyer contre j'estime que cette personne doit : ce mur ? tocci/me reconnue. 1» Charger sur les voitures le bois pris 5U A quelle distance de ce mur doit-il mon- sur le terrain de coupe. D* E. MONIN. ter le sien ? 2° Le transporter à mon domicile. R.—- 1° et 2° Le voisin a le droit de sur— ■»-«■»■ 3° Placer le bois près de ma demeure, c'estcharger le mur sur toute son épaisseur, mais à-dire décharger les voitures. il doit payer l'hidemnité de surcharge. En résumé, comme cette conduite doit se 3° Nous ne comprenons pas bien votre faire sans aucun salaire, toutes les obligaouestion. énumérées ci-dessus sont à la. charge «S, rue St-DIzlBt* (en face le Marché) 4° Non, à moins d'acquérir la mitoyenneté. tions 5° H doit construire sur son terrain. Il n'y de cette personne. Quel est votre avis ? R.— Nous partageons votre avis. a pas do distance. Un commerçant qui donne un reçu de 10 A-t-on le droit d'afficher une pancarte (Liquidation pour cause de décès) sans faire de francs doit-U mettre un tmbre ? R.— Non. Le timbre n'est obligatoire que j déclaration à la mairie et quand bien même ■ on rachète de la marchaiidse et qu'on n'a pas pour les sommes supérieures à 10 francs. Intention de quitter son commerce ? Prochainement je dois acheter un cheval R.— On n'en a absolument pas le droit. et une voiture pour vendre de la mercerie, i II s'agit d'une dette que l'on nous réclame parfumerie, etc.. i onze mois après la mort de notre mère derEst-ce que je tombe sous le coup de îa i nier vivant des parents, loi de 1912 ? i _ I i j R.— Oui. Vous devez faire une déclaration à la préfecture qui vous délivrera un récépissé. Y a-t-il à Nancy une agence d'expatriation 7 R.— Nous ne connaissons pas d'agence de cette sorte à Nancy. Etant réformé numéro 2 pour maladte contractée au régiment. Pourrais-je rengager quand ma classe sera revenue ? R.— Vous ne pouvez pas rengager en temps de paix, mais en temps de guerre vous pourriez vous engagêr pour la durée de la guerre. Pour conduire une motocyclette faut-il un brevet de, chauffeur 7 R.- Oui. Un domestique do ferme rentrant à une heure btdue (c'est-à-dire entre onze heures et quatre heures du matin) par les écuries dont il avait eu soin de laisser une porte ouverte, est trouvé tué dans la fjrange par suite d'une chute, en voulant aller coucher sur le fenil et ce à l'insu du patron qui l'emploie. 1° Le patron est-il responsable civilement et en ce cas des poursuites peuvent-elles être intentées contre lui 7 2° Est-il obligé de faire les funérailles et ce qui s'ensuit, garde-du corps mort chez lui, ete..., ou bien est-ce la commune qui doit en prendre la charge en admettant que le patron refuse ? R. — Le patron ne nous parait nullement responsable civilement. Rien ne peut non plus le forcer à s'occuper des funérailles. Néanmoins, comme il est probable qu'il devalt des gages au garçon de ferme, il pourrait toujours se faire compensation entre ses débours et ce qu'il doit. J'ai un locataire qui quitte un logement, que sa femme a contaminé, étant atteinte de, tubcrculose : 1° A qui incombe la désinfection 7 2" A qui dois-je m'adresser pour faire faire cette opération ? 3° Quelles seraient les resnonsabilités qui m'incomberaient si je relouais sans faire la désinfection 7 i° Quel én serait le prix 7 ôu Une personne ayant pris deux parts à la » Mutuelle de France et des colonies » il y a six mois, peut-elle se retirer volontairement sans verser l'année entière, quoique la police l'oblige par ses conditions générales ? Quelle est'la valeur de la société, a-t-elle des réserves sûres 7 R.— 1° Au locataire. 2° Il existe à Nancy des maisons de désinfection. Henseignez-vous à la mairie, au bureau d'hygiène. 3° H est assez difficile de ta préciser. Vous pourriez encourir une responsabilité civile a l'égard de celui qui pourrait, démontrer que l'appartement a été pour lui un élément de contagion. 4° Nous l'ignorons. 5° Nous ne pouvons répondre à des questions de ce genre. Voyez un avocat. ! j MK LIONS DE FAÏENCE Occasions exceptionnelles 3DHS FINANClk7\E| JuJk. SEIS^LA-INE; Paris, le 10 mai 1913. !;HM mouvements assez désordonnés de une que nous relevions la semaine dertoun * P'ace a une situation beauplus stabilisée. La majeure partie f^seances de cette semaine ont été satisÈtrTr s' La tendance aurait même pu te» Deaùcoup meilleure si New-York n'atodte S contiaué a manifester de l'toquié- % a peut-être te rf.y.f1'6"'!' de la Cote qui a éprouvé le plus fosanv J11** à se raffermir. Il a fléchi fie»' pour se relever en dernier a o;),;fe. totent*i'n*0n Publique a été désagréable'impressionné* par le rapport sur le Jg^y1 général présenté par M. Aimond, j^u■, ressortir un déficit de 775 millions, fc*^ ,s «olonii-wrx ont reflété la lourtrqbi °e 1» rente. L'Algérien, 3 % 1902 a tout ~p «sseiuernt sensible dû sans doute rmJZtls1t;1iues commerciales qui ont été 1 elïet aétfevrSv,^ ' > Par slJ'ite cte to T&xMe tUe d Nfenr* « l'année dernière, les ex^tions de rrusent un mouFanl lm "'déTieiM. kÊao>r? ^"«ors. . . .. lisS?6 «urs cours antérieurs. Pend a^©w* Premier* mois de cette année, k tou^Values d6 recettes se sont LWii • compartimente du budget. ÉUunte!? Françaises. — Le 3 V par lu visite du Pa- ma)J 'r*^ rwouvrcme.nts du Trésor a pu, faire constater qu'il existe sur oe fonds d'importantes positions à la baisse. Le gouvernement Italien a conclu récemment avec l'Espagne un accord relatif au Maroc et à la Lybie. Les fonds Balkaniques ne se sont pas sensiblement éoartés de leurs cours précédents. Le » Temps » a annoncé que dans la note rédigée par les grandes puissances pour arrêter le programme de la Conférence internationale qui doit se réunir à Paris prochainement, il a été admis que les alliés pourront présenter tenus réclamations pécuniaires. Le Turc a continué de se fa-ire remarquer par une grande fermeté. 11 est d'ores et déjà admis que l'indemnité de guerre l si elle est acordée aux alliés, leur 'sera payée par annuité sur les excédents de recettes revenant au gouvernement Ottoman. Lié Serbe, qui avait manifesté uh peu de faiblesse, s'est relevé à la nouvelle de la, conclusion de l'accord Serbo-Bulgare qui prévoit l'arbitrage de la Russie dans tous les malentendus éventuels entre les deux gouvernements au sujet de l'attribution j des territoires conquis. I Les fonds Bulgares ont fait preuve d'une S très belle tenue. On estime généralement j qu© c'est la Bulgarie qui est le mieux pla1 cée pour profiter de la recrudesoetnee d'activité qui va s'emparer des Etats Balkaj niques aussitôt après la signature «te la paix. I L'Argentin avait manifesté un peu de j fiottenieut sur l'annonce^ qu'on préparait • Pendent le mois d'avril écoulé acen<W fomentation de 15.483.000 pesetas nouvelle a été démentie. Banques et Etstblîsssme^ia de Sràdit. LÔ d av"T 1912L'action de la Banque de France a été ^^^^fait toujours très botyne oernte""HftefBâs ia dnrnàèts ë^rodœlion . l'objet d'une harasse assez vive. Du 36 dé-, S^ cembre 1912 au 2 mai 1913, les bénéfices ont dépassé de 10.380.000 francs ceux de la même période de l'exercice précédent. On peut donc prévoir une certaine augmentation du prochain coupesm La Banque do Paris et des Pays-Bac a détaché un coupon de 55 francs dont elle a regagné la plus grand© partie. A la suite du paiement de ce coupon, les 50.000 actions nouvelles ont été complètement assimilées aux anciennes. L'action de la Société Centrale des Banques de Province n'a pas sensiblement varié aux environs de 633. Elle est intéressante à mettre en portefeuille dans ces conditions, car elle se capitalise à un taux relativement élevé. Cette Société émet actuellement 23.500 obligations de 500 francs 5 % net de la Société Pyrénéenne d'énergie électrique à 4-87,50. La Société Pyrénéenne a été constituée en 1907 et, depuis cette époque, elle a su donner à ses installations et à son réseau un' développement considérable. A noter : l'avance de l'action Crédit Foncier d'Orient qui est passée de 486 à 495. Nous croyons avoir déjà dirt. que cet établissement qui n'a pas eu à souffrir de la crise balkanique puisqu'il n'a opéré jusqu'à présent qu'en Egypte, est en excellente situation et qu'il" participera largement à l'activité que vont déployer les pays de l'Orient Européen. Le Banco El Hogar' Argentin o dont, les obligations 4 i et 5 % figurent sur la Cote officielle des Agents de change continuent à obtenir des résultats qui sont en progression très rapide. Pour le premier semestre de l'exercice qui a commencé le l" septembre dernier, tes bénéfices se sont élevés à 8.123.000 francs, en plus-value de 1.600.000 francs sur le chiffre correspondanl de l'exercice précédent. Transports. — Lès assemblées générales des grandes coaiïpagaies de chemins de fer qui ont eu lieu récemment, ont montré que l'exercice 1912 s'est caractérisé par une progression de recettes nrarortiante. Par LES ORACas. -— A Maurice (Cantal), au coûts d'un orage, la foudre est tombée «tans le parc de M. Romain Serre, fermier* Verlhae, alors que celui-ci était en train de traire avec ses domestiques. En de ces derniers, un garçon de 1-i ans, fut projeté par le fluide à environ trente mètres. On lo releva sans connaissance et pendant plus de deux houres il eut un côté paralysé ; la foudre a, en outre, tué deux vaches i du nure. Aux environs de Nogent-sur Marne s'est formé un cyclone qui a suivi la Vallée do la Seine sur une longueur de 4 â 5 kilomètres et pris la direction do boni ni osons et Vitry-le-Françoia, s'est abattu sur le sud du département de la Marne, «t a causé d'énormes dégâts, qui se chiffrent par plusieurs millions. L'aviateur Fabre, qui exécutait un vol entre Reims et lo camp de Chàlons, a capoté et a été légèrement contusionné. Un lieutenant aviateur, pris par le tour-1 hillon do vent, est également tombé, et a i été assez sérieusement contusionné. Un© dizaine de communes du Sud du dé- ] parlement ont été dévastées. Les vignes, j les arbres fruitiers, les céréales, les ja.r- | dms potagers, ont été hachés. Les communes où le" cyclone a passé ont été absolument ravagées. La couche de grêlons recouvra rat le sol avait une épaisseur de 40 à 50 centimètres. On ne so souvient pas, dans les villages sinistrés, d'une pareille calamité. Les pertes sont énormes. A Villeneuve-Saint-Vistre, an cultivateur, • M. Bailly, travaillant dans les champs, a été attteint par des grêlons, de véritables morceaux do glace, qui Font blessé au vi- j se go. A Sulnt-Quentin-le-Verger, un domestique de culture a été blessé à la tête par la. I grêle. A Gave, vingt-quatre heures après l'orage, on pouvait encore ramasser des grêlons à la pelle. Les popidations de cette région sont consternées. Dans les communes de l'arrondissement de Sainte-Menehould et dans le Sud de l'arrondissement de Reims, les céréales et les vignes ont également souffert. Les dégâts sont considérables. Dans le canton de Semur-eu-Brioimais (Saône-et-Lohe), un violent orage a éclaté. La foudre a causé des dégâts, biisant notamment des lits télégraphiques et téléphoniques. La grêle a fait son apparition sur tes hauteurs. Les torrents ayant grossi, des élwulements se sont produits La température s'est abaissée. ! ; I ; : I j I J i ! i Goodrich^ ' ■ I ! ^^gf'sp.çm, ramiss * »m k k Ml . : ! LE ROI, LES DELX VELFS ET LES COCHOXS. — Le feu roi Georges de Grèce a laissé pour les chroniqueurs d'excellentes anecdotes à ' glaner dans les journaux de son pays. L'une des plus savoureuses nous est con- ■ : tée par la l'aruassos : 11 y a de cela une bonne trentaine d'an- t nées, le roi Georges était allé rendre visite à un bourg de campagne. La contrée* était pittoresque, fertile. D'innombrables ' '„ SUPÉRIEUR I au I MEILLEUR i BBUGNOT Fils |?r i Costumes w Dames |"~ Faits par TaMcsti*» TînaB très scijnp. — Priï des plus llMrfc. * . *-' ,.r_. paK ^ pi j i Pneu ■ ^^p^ i m assuré par le - - . I V^yr - 1» «9 * «cer bl - li'iiTtîptlaa.wîeMwsê» "* B j J | H 4- '-'••' Bîîior, â, r. ï;-.'..:».-. BALXCV Jg- : / T*xeS»ire et Piçnot, r. St-Kd*r. r|| ■ ïim mi ?ios des DOCKS Saint-Ssorge* : u PORT SAIHT-CEQRGES (débarquement) ! Arrivages continuels de vins de toutes proV9»(.-'n; nances, de 8, 9, 10 et 11 degrés, vendus moyen-- nant faible commission, avantages en prenant"1""au débarquement. Vente comptent, on prêt») les ttrts. Dégustation à 3 h. 1/2. M. CHAMBAY, f •: rue des Jardiniers, 63, reçoit les commander»'»"'» et remet ks échantillons. û% Oidra Harmaisrfia Grand fôausssai ' SOCIÉTÉ LORRAINE Le maire présenta ses hommages au d'assurances mutuelles sur la vie, assujetti —- -' souverain, puis se tut, attendant d'être lie au contrôle de l'Etat, demande Agent** 1 questionné. Le jeune Georges ne savait | généraux, susceptibles de gérer canton*^, trop que dire, il chercha un moment, re- arrondissement et département. garda autour de lui, et : Opérations faciles n'exigeant aucune,;. . — Vous avez beaucoup de cochons par connaissance spéciale. Portefauille .impor-l ici ? tant à se créer. — Commissions sur lea^,^ — Faites excusa, Majesté, il n'y a que le encaissements. — Pas de cautionnement,..popa et. moi dans tout le village. — Honorabilité parfaite exigée. Stupeur. Tout s'expliqua bientôt : il y Agents particuliers sont demandés dans avait erreur sur la personne. En grec mo- toutes les communes de l'arrondissement*'"' LES MÉMOIRES CE LADY derne, « cochon » et « veuf » s'écrivent ré- de Nancy. < NEV/BCROb'CH ciproquement « choiras » et « chéros », Adresser les demandes à M. MERCIER, 5 Ce livre, publi pour la première fois en ' mais se prononcent de même, « chiros », administrateur-directeur, 21, rue Saint- -. 1830 et poursuivi aussitôt avec une rigueur et lo brave maire de campagne n'avait pu Dizier, Nancy. | que n'expliqueraient pas ses troublantes .s'imaginer qu'une tête couronnée pût s'aallégations si elles étaient toutes vaines, j baissar jusqu'à faire mention de l'ami de n'a, qu'à do fort rares exemplaires, échap- j saint Antoine. pé à la poursuite sans merci que lui livra-, depuis, la famille d'Orléans, L'auteur n'a- j v ait-il pas eu l'audace de s'autoriser d'un j POUR SAUVER SON ESTANT, UNS MÈRE EST jugement rendu par le tribunal épiscopal ! ÉCRASÉE. — Mme Duport, 29 ans gardedo Faenza pour prouver que Lady New- ; barrière entre las gares de Pierre-Bénite borough, prétendue fille d'un sbire de Mo- et d'Isigny (Loire), recevant l'annonce digléana, était réellement née de Philippe ! d'un train, déposa sur le seuil de sa maid'Orléans ? Celui-ci, désirant un fils pour i sonnette son enfant, âgé de trois ans, et recueillir l'héritage à temps le fort liéri- j traversa la voie pour fermer tes barrières tagei des Bourbon-<Penthiëvr,s (djofaf son' • Le passage clos, elle attendait le train, épouse était issue, aurait substitue à sa selon les règlements, lorsqu'elle vit son enfille légitimement née dans ce petit bourg fant sc mettre en route pour traverser la de Toscane, en 1773, le pronre fils de Lo- voie. renzo Chiappini, dont les événements feAu même instant, le train surgissait. U SOXT BOXS raient plus tard Louis-Philippe, roi des n'était qu'à quelques mètres lorsque, n'éFrançais. Quelle autorité faut-il accorder coutant que son cœur de mère, Mme Du- En vente dans toutes les Epiceries de choùfc ■ à ces curieux Mémoires, où Lady New- port bondit sur la voie au devant de son bojftug raconta Finooncevabï'»', aventure. enfant.«On entendit un cri, et la malheude sa vie, d'une plune si française et si reuse disparut sous la lourde machine, souple qu'elle semble échappée au feutre tandis que son petit, qu'elle avait arraché Nous rbppclons i NOS ABONNÉS que tout%< de quelque Mousquetaire dont, vers cette à la mort, était lancé à quelques mètres demande de CHANGEMENT D'ADRESSE doit4'' " même époque Alexandre Dumas écrivait en avant. être accompagnée de la dernière bande MWJO les étonnantes équipées ? Telle est ia raiLes témoins de l'accident se précipitèson de paraître à ce, livre, le premier d'une rent sur la voie, où le train, avait laissé primée et de CINQUANTE CENTIMES (en tint* Bibliothèque des « Enigmes de l'Histoire » derrière lui. une traînée do chairs déchi- bres-poste ou en mandat postal), pour frai^'.j^'j,' que M. Boyer d'Âgen inaugure à la Re- quetées. Les !VT:S recueillirent les restes de de réimpression de bandes. ;;,: , ,',„-; naissance du Livre1 (Ed. .Mignot, éditeur, la victime, qu'ils déposèrent dans sa mai78, boulevard Saiot-M-fcshfeî, à Paris.) , sonnette ; les autres se portèrent vers l'enMdfepM J. CKAÎLLY, aérant , Un volume in-ÎG broché, avec gravures ] fant, qu'ils relevèrent. Le pauvre petit a 5 hors texte : 3 tr. 50. t »^ Imp. de l'Est Réjnibncahff été assez sérieusement blessé. Bibliographe e LES PÔTAGES"KNORR * | j j ] j J 1 I j ACTUELLEMENT Grande VENTS-RÉCLAME - " S tée K REVUE ^^k ^^^phis long kilornéti-a I I S i Changements d'adresses contre, l'accroissement des dépensas d'ex- .Conseil d'Administration proposera à rasploitation et des charges financières a été { semblée la distribution d'un dividende de f tel, que l'augmentation) du produit net n'a 8 francs par action. pas été aussi sensible qu'on pouvait l'espéMines diverses, chErfeonnages et naphte. rer. Il faut tenir compte que l'année 1912 — les valeurs cuprifères ont bénéficié a été partioulièrement favorable et mie dans une certaine mesure de l'amélioration par conséquent une année normale laisse- du marché du cuivre, il est probable que rait un© marge bénéficiaire encore plus si la bourse de New-York s'était montrée réduite. plus forme, les cours de ce compartiment Les recettes des Chemins de fer Espa- auraient été encore plus satisfaisants. gnols accusent également un progrès sur Les sections de charbonnages français celles de 1912. IT faut faire cependant une ont été rapidement traitées, par sympathie exception pour les Audalous dont les pro- avec la Bourse do Lille où une hausse duits d'exploitation sont en moins-value. d'ensemble a porté la plupart des cours à. L'assemblée du Norlft de l'Espoge s'est un niveau supérieur à celui enregistré il réunie le 4 courant et a, flvé le dividende y a une semaine. Le prix du charbon se à 24 pesetas brut pour 1912 contre 21 pese- maintient toujours plus élevé et la grève tas poux l'exercice précédent. des mineurs dxi pays de Galles a contribué Les recettes de la Compagnie générale à rafferinir les cours. Française de Tramways continuent leur Les prix du naphte an Russie et du péprogression. trole brut en P.ouman'e sont en forte plusL'assemblée du Métropolitain a eu lieu value, ce qui exerça une influence sur les le 5 courant Le dividende a été fixé à frs : cours des valeurs naphtifères. Métallurgie. — La baisse qui a eu lieu 21,50 par action. La compagnie poursuit octuelteinent auprès des pouvoirs publics sur tous les produits allemands a exercé les démarches pour l'émission d'une deu- une influence défavorable sur les marchés xième tranche de 25 millions de francs métallurgiques. Les usines qui recherchent d'obligations, a. valoir sur le nouvel em- les ventes à l'exportation se trouvent mises prunt de 75 millions de francs décidé par e néchee par la concurrence allemande. Cependant, les usines de la Loire et du l'assemblée générale ordinaire du 9 mai 1910. Outre continuent à travailler activement. Les comptes de l'exercice 1912 des forLa Thomson Houston a repris son mouvement en avant. L'assemblée générale ges et chantiers de la Méditerranée qui qtd devait se tenir le 10 courant a. dû être ont été soumis à l'assemblée du, 29 avril remise au 29, faute de quorum. La Société accusent un bénéfice de 1.045.000 francs. procède actuellement au placement de Le dividende a été maintenu à .40 francs. Parmi les valeurs industrielles Eusses, 30.0C0 obligations 4 % nouvelles de 500 fr chacune à 455 fr., jouissance du 1" jan- las gelions de la Société de Brians'k ont franchi une importante étape de hausse vier 1913. Les Omnibus de Paris sont également mieux ternus. L'assemblée a dii être remise tatîon. Les bénéfices nets permettent, en | du 8 mai au 4 juin, le nombre d'actions effet, in répartition de 8 P.b. par action oMrtM o m précédent. déposées n'étant suffisant. Valrura diverses. — Les Borts de Panama Les actionnaires do la Compagnie Bébé- j raie Tr-aa^i.tîantique sont convoqués en ont bais.'é à la suite de la publication du assemblée générale pour le 29 cour.tr.t. tableau d'amortissement qui sera appliqué Les bénéfices de l'oseicloe 1912 sont infé- y partir du 16 août 1913. 11 ne sera plus ! rieurs à cpnx de l'exercice précédent Le | pour reserctee que 2.200.000 frMics par an au lieu d«^ 3.380.000 francs. L'assemblée des Forces motrices du Rhô- r ' ne aura lieu le 4 juin prochain. Les béné-1 • lices nets se sont élevés en 1912 à 2.937.000 f ■ " ■ francs contre 2.825.000 francs en 1911. Le'! ' Conseil d'Administration proposera la ré- t partition aux actions d'un dividende de 28 fr. contre fr. : 27,50 l'année dernière. " ' '* Les actionnaires de l'Industriel Foncier, réunis en assemblée générale le 7 courant,"""' ont approuvé les comptes de 1912 et voté Uf-y-yf. distribution d'un dividende de 20 fr coratiné 20 fr. contre 19 fr. pour l'exercice précédent. «SSTS On annonce qu'une Assemblée extraor*^-' ' dinaire de la Dynamite Russe se tiendrai prochainement pour délibérer sur l'aug-y» inentation de capital nécessite© par les" 1 projets d'extension de la Société. La. Prdwodnik convoque ses actionnaires en assemblée extraordinaire pour le apNrepfi courant en vue d'augmenter son capital."""* Le marché dis Mines d'or a été bien in"fliiencê par la publication des rendements miniers d'avril qui accusent une augmen»"" tatioit sensible. Les actions cle mines di amentifères ont ♦* été également'très en faveur et on prévoit i te» ■ que teur hausse va s'accentuer. U est in-., discutable que la production des principa- les d'e.ntte elles est en progression sensi- ." : bie. D'autre part, lo Goi.vèrncnient Aile-..-mand projetterait, -il, l'établissoment .. du monopole de la tailie du diamant ef*>w « Allemagne. Enfin, on annonce qu'un projet de fusion sériait à l étude entre la de Beerg et la ;-rontein. Les voleurs dû caoutchouc ont également'*"'" fait preuve de très bonnes dispositions ma sur te raffer;,:if.sem<?nt du prix de la tna-^^tière pncui'.'re. D'autre part, on a. annoncé'"' <rw» It d»v:d-.-ade do la Société Finauraèca. «*u des Crwrtrtchoues serait porté de 7.50 à Mu*,, fr., ce qui a déterminé des rachats dm*"-* découvert et par suite une hausse dM tfîrsss. ,'i _ L ETÏ-A-O, paraît ,ïarW M.Gangloff ï a Stoppe SINGER àJENDRB à 1 1 CP0B3E rit PBflFS tlSI; 6t(.LBHtb «Joints ■ ciiuune fc+ts« mab.on particulière et „,..,,.,,..,'„., très iolis BIPHIR? ; USsRBBs*: » t ^IL* HILUULiLU , , .. ^^'Sl^n. , aoyJ c^lcL^ carrelées, modèle riche, table 3 allonges 0 chaises cuir. Bi GAZ «H '¥\¥'*y J^-S^BJEI &r ^^'^p/fM^KsWl ■^MSSpgtfS ■i^î&Kf, . M. 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' ' - 111 «' ^-e^^^V^ ment 4 janvier 1883 T. 1510 WARIN, Rose, veuve Lallemand Charles, 20 novembre 1879, 49 ans, 15 mai 1830, Saint-Gibien, sans profession, EsseyiJL Màizerals. remboursement 8 janvier 1883 Assemblée générale T. 1762 STELLY, Marie-Catherine 11 février 1881, ordinaire 32 ans, 17 février 1849, Clemery. dômesMessieurs les Actionnaires tique, Lannes, remboursement 8 novem- à """"'"aaicres S M£d; ;ravai1 ' rue ^gngg^ nient „ (Société Anonyme) x Siège' social : COUILLET (Belgique) 6 R u u ^S|T. m sA^A^oo^m-» " 1 «d : ' ^tt'îiWl£ilîki-^ "u ^ ^' ^ ÏJl Qiïb ' . °S ORDRE DU JOUR ««^«irSntS I T. 2159 GllERA&.^phta.:-4 janvier ^c/;^ seignements inconnus, mineure. VieviUeen-Haye, versement 4 janvier 1883 14N 1 te trésorier : H. Noa. : 1'Rapports du Consfil■ d'ad-1 sont! mlnisaration et du Collège! ^OUVRIERES 4 W83, 21 ans. 8 mars 1862. Vesnis. cuiS^ PontA^oteson, versement 5 déT. 1343 GuTc^^iés-Léon;Vavrii iaTti;8'aas; , USIIIÊS Met31 lUFQ1S KI;-,^..,)^,^:«„ fZ^ mS la Pépinière. 0U IN Bn BONNES. %. «I "sSS û" SEL i, » KSŒKîŒ «> ^ON A COMMERÇAI LLERIE . £ ' 2 .. . ARTICLES de MENAGE Sltu l ^ Villerupt (M.-et-M.). ...^adresser QuincaUlerie LEL0UP a Villerupt, da «I ep confecremboursement 1s roa*; ni . \ rr rTX'VvV,: 14096 DELATTL, Charles-Nicolas, 7 avril I881 '^s, «janvier 1874. Saint-Benoist.mineur. Rosieres-en-Haye. remboursement s ^^y^y-éi^^ ans, 3 septembre 1875, L™ménilf''n,i ?eur. LesménUs. remboursement 9 ^^L^'W-; I06II GEORGES. Victor-Louis, 7 décembre Wt, 6 ans. 1« mars 1876. Pont-à-Mousson 011 remboUi,be ^i seotlml «W lM, l?Lùi'ièèi!'9 aai; ' 18 mai 1874. Ars-sur-Mosclle, mineur BOURGEOISE 16 à 18 ans, 3t« 15609 K,- dS" «^"^1. sachant 39 1 mr'r? ^^ohr^V «janvier 1881. 16 ans', 14097 DELATTE^ ■ M&^Jtë ^ commi louer, Proximité du ttam. à Bon air Tranquillité. S'adresser au journal, 863. 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Plantin, que le passage à tabac semblait avoir fourbu, a retrouvé des ailes dès qu'il a vu luire entre les branches les falots de la ! roulante. Quelle décision ! Quelle rapidité ERAKS RORftS DRAMAIIQUE dans le mouvement ! Il passe comme une flèche, jette à peine un coup d'oeil à l'intéPar Félix HAULNOI ' rieur pour constater que la cage était vide, et hop ! il démarre ! C'est un bond, une envolée, une détente d'arme à feu et — Il ne s'est pas échappé. On l'a relâ- la fuite !... Heureusement que la « Grosse ché. Ah 1 danae ! on fait ce qu'on peut ! Caisse » est vite comme un champion de Tu seras le premier à nous féliciter de rugby. Il est arrivé juste à temps sur la notre conduite-. Mous ne disposons que voiture qu'il a prise en croupe. Le « Cod'une nuit à la fois, n'est-ce pas ? Lue cher r> et moi nous hurlions pour donner nuit c'est court. L'hiver, elles ont beau le change. Ne te fais pas de bile ! Le poisêtre plus longues, le jour finit tout de mô- son est ferré ! Viens vite. Le « Cocher » me par arriver et Reunes n'est pas à une t'attend. Les autres sont peut-être déjà là. portée de Browning. Donc, 1' « Enfant », — Je voudrais passer par la loge. après avoir reçu du » Cocher » une pile Le « Baryton » eut une expression naqui mériterait d'être racontée dans les vrée en pensant à son pauvre camarade journaux, 1' « Enfant », dis-je, nous a fait breton, mais il songea que le « Ténor » alcomprendre aussi clairement que deux et lait certainement s'attarder et vouloir prodeux font quatre, la nécessité absolue où diguer d'inutiles secours au malheureux. nous nous trouvions de trar.-j*icr ses — Non, fit-il, suis-moi, ça te ferait perdre trop de temps. liens. Richard se frappa le front. — Je voudrais prévenir Goffic. L'habile tireur prit Richard par le bras — Il vous a parlé de sa prisonnière ?,.. Il vous a dit qu'il gardait Mine Oblin com- et l'entraîna. — Viens donc ! Goffic se passera de toi, me otage ? — Juste. Qaand il a appris que ses trois comme de nous. Il est inutile que tu ailles 'acolytes venaient d'être tués raides par le voir maintenant. Nous n'en sortirons Bîbi, il a ricané de joie et il ne s'est pas plus si nous faisons tant de crochets S Le Sait faute de nous informer qu'il se trou travail d'abord, les amis ensuite. Le « Baryton », quoique d'une fidélité ù kart seul à connaître la retraite écartée où B tient sous clef la « Veuve en noir ». j toute épreuve, était fataliste conune un oriental. Dur pour lui-même comme pour *T G.arder.-moi, tlisait-G, et la recluse meurt t U ife' faim u. Le boniment avait du bon. La les autres, la vie seule l'intéressait. fenï^raence annoncée neus -a semblé lim- avait pour principe de ne s'occuper des L'amour rédempteur morts qu'après la bataille. Ce n'était pas — Allons, on t'écoute. défaut de sensibilité, c'était le pli d'une — C'est un coup qui tient du prodige. discipline de fer. Le « Cocher » et le « Baryton » ont assisIl fut suffisamment persuasif pour en- té h notre départ. Ils peuvent dire si l'atraîner son maître. Richard et son guide morce était réussie ! Le plus difficile était sautèrent donc le mur et vinrent trouver fait ! Mon rôle était simple. Il consistait le « Cocher » sous un bouquet d'arbres. à faire le mort jusqu'au démarrage. Après, Ce dernier leur dit : je pouvais me donner un peu d'air sans — Encore rien, mais nous ne serons pas risquer de me faire pincer, sans trahir ma longtemps sans nouvelles. Regardez au présence. Je m'agenouille et je risque un loin sur la route. Je crois reconnaître les cuil. L' « Enfant » tenait son volant a deux phares de notre auto... mains et conduisait comme feu Théry. Pas — En effet, dit le comte. de cahots, toute l'avance, on faisait le Le « Baryton », qui possédait les meil- maxi. Les deux faubourgs sont franchis leurs yeux de la bande, observa : en coup de vent. On passe la Juine en trois — La vitesse est plutôt moyenne. B yv.a ou quatre secousses sur le pavé du pont quelque chose qui ne va pas. et puis c'est la campagne dans l'ombre. On constata qu'il disait vrai et ce fut La route se révèle devant les phares qui comme un mauvais présage qui glaça les semblent en avaler le ruban. Une côte à cœurs. pic est escaladée en soufflant, puis c'est la Le train, en effet, n'était pas excessif. Le bosse du haut et dans le noir l'autre verchauffeur se contentait d'un modeste qua- sant qui se montre. C'est ici qu'a lieu le rante de moyenne. phénomène. L' « Enfant » se méfiait-il de Quelques secondes mortelles s'écoulèrent quelque supercherie ? A la réflexion avaitil trouvé quelque chose de louche à cet encore. On vit alors la (f Basse » au volant de arrangement qui s'était prêté si complaidirection. Il paraissait être seul. Il cria samment à sa fuite ? Je n'en sais rien. Toujours est-il que je surprends dans sa de loin : \ — Rassurez-vous !!.. rien n'est perdu !...' silhouette des signes d'inquiétude. C'est Cette assurance, cette précaution mirent très court, une demi-seconde à peine. Un tous les. esprits à l'envers. La déception léger coup de frein ralentit de moitié. s'accrut lorsqu'il vit la « Basse », les mains D'Un bond par côté 1' « Enfant » a sauté et le visage ensanglantés, incapable de ca- de la voiture sur le tertre. Je le vois qui cher sa propre consternation. se retient à un arbre pour ne pas tomber, puis il saute une haie. Une deuxième omOn le pressa. — Qu'as-tu fait des autres ?... Où sont bre semble se glisser sur la même piste. les autres ? Je n'ai pas lo temps de vérifier. Je suis entraîné à une vitesse qui s'accélère. Plus 11 s'embarrassa d'explications : — Laissez-moi le temps de parler snns personne au volant. La côte dévale en liquoi vous ne comprendrez rien à ce qui gne droite, heureusement pour moi. Un ! c oup de coude dans la glace qui vole en nou3 arrive. éclats et je me penche. J'atteincls le volant — Tu es blessé ? juste ponr tourner. Une embardée dans — Non. Quelques égratignurea. I utin ce virage trop court me fait labourer la peau du ventre par des éclats de verre. Je saigne un peu de partout, qu'importe ! Je sauve la chute trois fois de suite, mais cette 'pente n'en finit plus. Il faut que je me décide. Je passe. Heureusement que ma capote a cassé les couteaux de verre au ras du châssis. J'ai pu m'asseoir, freiner, descendre. Mon premier souci une fois à terre a été de voir si la « Grosse » était encore là. Personne à l'arrière. J'avais bien vu. L'ombre qui s'était glissée derrière V « Enfant » et que j'avais à peine .entrevue au haut de la colline c'était la « Grosse » qui prenait la suite, la « Grosse » qui filait le fugitif. Voyons, franchement, n'ai-je pas bien fait de vous rassurer ? « La « Grosse » ne le lâchera pas !... La « Grosse » le tient... La « Grosse » va nous le ramener ? Il répétait ses affirmations avec un tremblement de doute ou de colère. Il y avait des larmes de rage dans sa voix. Richard d'Ermont avait momentanément retrouvé les éminentes qualités combatives du « Ténor » d'autrefois. — Gardons notre sang-froid, fit-il, tout est pour le mieux. Ne nous attardons pas à nous lamenter sur ce qui aurait pu être. Agissons d'après ce qui est. « Où sont les morts ? — A cent chiquante ou deux cents mètres l'un de l'autre dans la plaine qui s'étend vers la Beauce. — Que l'un de vous aille me chercher ^f GofllCT Et comme les trois se taisaient : — Qu'y a-t-il donc ?... Qu'est-il arrivé au Breton ? Le « Cocher » intervint : — Le « Baryton » ne t'a pas prévenu 9 — Non. Il m'a détourné au contra'ifè d'aller le trouver, d'uller le voir. I — C'était inutile, en effet. Pla tué. — Goffic est mort ? ïis DeT] — Il n'est malheureusement Pa&.'VaS> 1 d'en douter. C'est la « Basse » ff" ^ couru. Son cœur avait cessé a* , $ Alors, on l'a laissé, où il était, yu'onn'y se lamenterait pendant des heu,r.r;'un W peut rien, n'est-ce pas ? C'était camarade. Nous le regrettons tout>. Un silence attristé suivit. Richard reprocha : dam — Vous ne l'avez pas tïanspj^y ft la loge ?... Vous ne l'avez pas coir . v Vous auriez peut-être pu le rapP6 vie. „mara** Le « Cocher », comme ses ca"^sUrei avait des idées arrêtées sur ses j» j cCJ Il formula une fols de plus lopu" i mune. .mVi — Il n'y a rien: à faire pour «M u coup sur le crâne. Ou l'on est ,,ei^ coup, ou l'on en réchappe eu • jours. „ ; | Le comte demanda à la « Basse — De quel côté F « Enfant . évadé ?... près de quel village ■ — Un peu, avant Mesnil, à sep1 kilomètres d'Etampes. _ . , me«Ç' — A pied, la « Grosse plus d'une heure pour reveiwr-- jt revenons peut-être pas deil»* ,eS pis* rendiT© à ce malheureux Corne devoirs qu'on doit aux mortsraiif* Richard se dirigea alors 0& 00 bile et dit à ta « Basse », c "^ ra»«5 Cinq minutes après Tauto se contre la grille et. R-vhard. te ^ le front penché, pénétrait t*™*8' rrrillc entrouverte. I
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