IV; 40 (28 e année)
Jeudi 3 Octobre 1 9 3 5
f.e numéro 2 5 centimes
n
A l'Imprimerie du " Citoyen
7, rue Eîiie-Fréron (ancienne rue Royale)
— QUIKPER on exécute tous les genres
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¡Steásfc -'i-ii • .'i
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de Défense
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PARAISSANT
le JEUDI
B U R E A U X e t IMPRIMERIE, 7, R u e E l i e - r r é r o n — Q U 2 M P E R
1 8 f r . p a r an.
1 5
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A d r e s s e r t o u t e s l e s c o m m u n i c a t i o n s à M. Pierre GUÉGUEN, I m p r i m e u r - G é r a n t .
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L'HYMNE
NATIONAL
« Marseillaise »
de
Le Président Albert Lebrun, qui
a suivi avec beaucoup d'attention les
grandes manœuvres, s'y est révélé
A
L ' É C O L E
tacticien
fort intelligent, cavalier d'uAu mili u d'un été passé entiè- Justice seule peut assurer une Paix
ne extrême endurance... et conteur
rement pami m e s amis bigoudens durable, et accepteront-ils délibéréLe 23 avril 1892, la petite ville de en une nuit du patriotisme ardent d'un
d'histoires
!
et rempli p a r la lutte contre des ment une amputation de territoires,
Choisy-le-Roy
était en fête. On y célé- soldat-poète ? 11 faut qu'il y ait u n
A la table du général Prételat,
Il reste deux partis dans le Finisdifficultés économiques, j'ai été passer qui permettrait aux Hongrois, séparés
brait.
le
centenaire
de la Marseillaise, jour de la « Marseillaise », à l'école :
de leur pays, de rentrer dans son tère, le parti des gauches et le parti notamment, il a r a r r é quelques hishuit jours en Europe centrale.
et,
M.
Goblet,
ministre
de l'Instruc- faisons en sorte qu'il reste fortement
toires
sur
les
chasses
présidentielles
des démocrates
populaires.
C'est là que le pouls de l'Europe sein ?
tion
publique,
présidait
la
cérémonie. gravé dans le souvenir de nos élèves /
de
Rambouillet
qui
mirent
en
joie
Les gauches combattent Dorgères
bat en un rythme fiévreux. Au milieu
Telle est la question qui se pose,
11 prit deux fois la parole, l'aprèsQuelle admirable matière
d'éducatous
les
convives.
Celle-ci
entre
auà
outrance.
de l'enchevêtrement des races, des compliquée souvent par l'enchevêtremidi, devant le monument, et, le soir, tion civique et patriotique 1 L'appel
tres
:
Les
démocrates
populaires
renient
religions et des langues se forment et ment des races. Elle contient, en
Le président Jules Grévy était un au banquet populaire. Dans son toast aux armes est un impératif qui déters'entretiennent d e s colères et d e s fferme, la paix ou la guerre, le destin cet agitateur.
mine l'obligation du devoir
militaire
Y aurait-il dans le dépa-tement un très bon fusil et il avait grand plaisir il rappela ce souvenir.
haines, qui se gontlent lentement et de l'Europe de demain.
pour
le
citoyen.
Le
jour
du
départ
aux
« Permettez-moi, dit-il, de vous
à chasser à Rambouillet. C'éta t un
troisième parti ?
dont l'explosion a déjà enflammé le
armées
doit
être
un
«
jour
de
gloire
».
rappeler
qu'un
jour
j'ai
eu
à
défendre
de ses amis jurassiens, un vieil ami
Il s'est suicidé.
monde.
Commentez
ces
paroles
jetées
en
mela
Marseillaise.
C'était
au
Sénat,
en
Plus de royalistes... puisqu'ils ne d'enfance nommé Mesquitte, qui avait
Ajouterai-je un mot ?
Nous étions une dizaine de parlefont
jamais figure dans les élections mission d'organiser les parties. Un 188(>, dans la discussion de la loi sur nace aux ennemis de la patrie : Tout
mentaires, appartenant à toutes les
L'inlluence de la France reste làjour, avait été invité un nouveau ri- l'instruction primaire. Un membre de est soldat pour vous combattre — S'ils
nuances politiques de la Chambre, bas considérable. « La France fait ce et qu'ils votent pour les démocrates.
Plus de conservateurs libéraux du che, richissime, M. D... Au bout de la droite s'étonnait qu'un inspecteur tombent, nos jeunes héros — La terre
uniquement soucieux d'étudier des qu'elle veut » rous dit-on. Elle peut
peu d'instants, chacun s'aperçut que primaire eût adressé aux instituteurs en produit de nouveaux — Centre
problèmes dont la répercussion peut seule nous faire rendre justice, si elle parti Inizan qui ne font qu'un au fond
ce D... était l'hôte le plus dangereux une circulaire par laquelle il les invi- vous, tout prêt à se battre »(4° strophe)
avec
les
démocrates
populaires.
être fatale à la cause de la France et le veut. Notre langue est parlée parqu'on put avoir. Et, en effet, au mi- tait à enseigner aux enfants la Mar- — Le « couplet des enfants » est un
Alors,
j
e
ne
comprends
plus.
à la cause de la Paix.
tout. Nos livres sont lus et appréciés.
lieu de la matinée, l'accident redouté seillaise, mais en leur recommandant engagement
d'honneur
que forment
Ce n'est certes pas en lisant les
Pays ess'ntiellement rural, la Hon- Dorgères est suivi délibérément par se produisit. Comme un faisan s'envo- de ne la chanter « qu'avec les marques les petits de prendre « exemple sur
des
seigneurs
impopulaires,
p
a
r
de
journaux français, serviteurs dévôts grie subit actuellement la crise éco
lait lourdement devant lui, Ü... tira extérieures d'un respect grave et reli- les vertus » de leurs ainés.
des consignes du Quai-d'Orsay, que nomique la plus effroyable qui soit. faux bonshommes hypocrites et revan- en fermant les yeux. Et le plomb gieux, debout, la tête découverte. »
les députés peuvent se faire une idée Beaucoup de terres restent en friches, chards et par des gogos auxquels aliase loger dans les mollets de Mes- Interpellé, je répondis : c'est ainsi
on fait prendre des vessies pour des
réelle de la situation internationale.
surtout dans les grandes propriétés,
Bien avant l'initiative pris p a r M.
quitte lui-même, qui en fut d'ailleurs que les membres du Gouvernement
lanternes.
Pourtant, ils doivent en être infor- le salaire pourtant misérable des ouMaurice
Faure, la Marseillaise avait
quitte pour huit ou dix jours de lit. l'écoutent. Et comme tout en approumés, car c'est d'eux que la décision vriers agricoles dépassant encore la
sa
place dans l'enseignement
conquis
Mais très drôle fut le mot que dit, le vant l'excellente inspiration qui avait
dépend.
valeur des produits récoltés.
des
écoles.
Nos poilus avaient appris,
soir, à l'office, le deuxième garde-chas- dicté cette circulaire, j e ne pouvais
ce
chant qu'ils devaient r é à
l'école,
admettre
qu'un
inspecteur
primaire
Dans la puzta hongroise errent
se qui portait le fusil de M. Mesquitpéter
plus
tard
dans la tranchée ou
en
prit
l'initiative
:
c'est
moi,
dis-je,
te, aux camarades qui l'interrogeaient
l'ai retrouvé la Hongrie, telle que toujours d'immenses troupeaux de
dans
la
bataille
pour entretenir l a
qui
la
ferai.
»
sur
les
circonstances
de
l'accident.
je l'avais laissée il y a cinq ans, lors chevaux, constamment régénérés parflamme
de
leur
patriotisme
ou pour
le
sang
de
magnifiques
étalons
arabes,
Le ministre ajouta qu'on n'avait pas
d'un séjour que j e fis à l'occasion
— Quand j'ai vu que M. D... visait
Au moment où le gouvernement fait
l'exalter.
et
c'est
un
admirable
spectacle
que
de ces scrupules en 1792 et 1793. 11
d'un congrès de l'Association littéentrer dans une phase décisive l'œuvre dans notre direction, j e me suis dit :
En relisant les couplets de l'hymne
rappela un passage des mémoires du
raire et artistique internationale, — celui de ces masses compactes de bêtes
«
Ah
!
mon
pauvre
maître
!
il
est
fid'assainissement financier et de redressacré
on so ige aux vers de Victor de
splendides,
parcourant
au
galop
l'imgénéral de Marbot où l'héroïque solanimée des mêmes regrets et des
sement budgétaire, où il prend de nou- chu ! » et j e me suis vivement abri- dat évoque u n souvenir de sa j e u - Laprade.
mense
plaine,
escortées
par
des
garmêmes espérances.
velles mesures pour réduire le chô- té derrière lui !
aspirant au travers
Le traité de Versailles a séparé de diens à cheval aux pittoresques cosI1I1I1I I1I1I1I I I l i l i l í I I I i I I I llillllil I lili I I I nesse. Son père l'avait placé à l'âge La moelle du lion qu'on suce dans les
mage,
où
il
se
dispose
à
compléter
les
de 11 ans dans l'ancien collège de
la Hongrie les peuples slaves et latins tumes.
*
dispositions déjà adoptées pour venir
[vers.
* *
Sorèze que la Révolution avait resqui vivaient sous sa domination et les
en aide aux agriculteurs, où il entreQuel
jour
d'intense
émotion
que
pecté et où les Bénédictins contia rattachés à leurs frères de race et
Il était nécessaire d'étudier égale- prend enfin, sur le plan international
au
sujet
des
Importations
frauduleuses
d'Iode
celui
où,
après
44
années
d'attente,
nuaient. à enseigner sous l'habit laïque.
de langue, à la Tchécoslovaquie, à ment la situation autrichienne.
une ac'ion de nature à rendre possible
« Le soir, écrit-il, le repas finit comme la Marseillaise reparut dans l'Alsace
la Yougoslavie, à la Roumanie.
Toute la politique française tend une reprise des échanges commerciaux
M.
Albert
Le
Bail,
député,
a
déposé
il avait commencé par un chant pâ- qui fut son berceau et où elle f u t
Mais, si les injustices préexistantes depuis la guerre à empêcher ÏAnscluss,
entre les peuples, les adversaires du sur le Bureau de la Chambre des ti iotique. On se mit à genoux au chantée p a r les écoliers d e l a terre
ont été réparées, d'autres injustices c'est-à-dire le rattachement de l'Aurégime ne consentent point à désarmer Députas une demande d'interpella- couplet de la Marseillaise qui com- reconquise !
ont été commises, car plus de trois triche à l'Allemagne. J'ai eu la joie
el pour continuer à combattre les ius- tion concernant les mesures que le mence par ces mots : Amour sacré de
Il faut reproduire, sans en supprimillions de purs Hongrois ont été rat- de constater que, si la propagande
titutions républicaines qu'ils exècrent Gouvernementcompte prendre : Io pour la Patrie..., puis on défila comme on mer une ligne, l'article qui parut dans
tachés à ces pays.
des nazis n'a pas diminué d'intensite, ne craignent point d'essayer de faire
empêcher les importations fraudu- était venu au son du tambour ; enfin, le « Bulletin des Armées de la RépuLa Hongrie réclame ces frères perdus leur iniluence est en déclin.
échec à l'œuvre de redressement na- leuses d'iode en provenance de l'étran- on gagna les dortoirs. »
blique » du 5 décembre 1914 :
comme nous avons réclamé l'Alsace
La misère dépasse pourtant à Vienne tional.
ger, qui vont causer la ruine de 3.000
« Le ministre de la Guerre s'est rendu
et la Lorraine et se tourne vers les tout ce qu'on peut concevoir. A chaque
N'a-t-on point vu cette semaine des familles du littoral breton ;
récemment
en Alsace. Le premier,
pays qui demandent la révision des pas on est abordé p a r des hommes
organisations politiques, qui préten2° Pour assainir le marché intérieur
depuis
l'Année
terrible, il visitait, en
A
la
date
du
23
février
1911,
M.
clauses du Traité de Versailles.
vêtus de loques, qui vous demandent dent soutenir les intérêts des agricul- de l'iode afin de permettre une reprise
tant
que
membre
d u Gouvernement,
Maurice
Faure,
ministre
de
l'InstrucAinsi s'explique son amitié avec quelques centimes pour ne pas mouteurs, prescrire à ceux-ci de surseoir des cours, descendus à un niveau tion publique, adressa aux Inspecteurs la province perdue. Ce n'est pas sans
l'Italie, lorsque celle-ci était révision- rir de faim.
jusqu'à nouvel ordre au paiement de catastrophique.
d'Académie une circulaire relative à émotion que le 27 novembre 1914,
niste et le rapprochement de son dicEt 1 on est d'autant plus ému, que ieurs impôts !
I1111IIII1IIIIIIIIIIIIII1IIIIIIIIIIlllllll l'enseignement de la Marseillaise dans vers 9 heures d u matin, après avoir
tateur Gomboôs et d'Hitler.
Vienne fut jadis une des v lies les plus
Singuliers partisans de l'ordre, sininspecté, en compagnie d u gouverles écoles publiques.
Ce rapprochement est certain, p a - prospères et les plus gaies de l'Europe.
guliers défenseursdescultivateurs,ceux
« Je vous adresse sous ce pli,neur de Belfort, quelques-uns d e s
tent, mais, quel que soit le désir unaMalgré tout, la situation s'est amé- qui s'efforcent ainsi de désorganiser
écrivait-il, un certain nombre d'exem- ouvrages de la forteresse, le ministre
nime de» Hongrois de voir les traités liorée depuisquelquetemps. L'Autriche
les finances publiques et de créer des
plaires de la Marseillaise, paroles et de la guerre franchit, entre Fousserévisés, il est loin d'être accepté par bientôt pourra vivre, ce qui pouvait
difficultés qui seraient d'ailleurs aussi
musique,
d'après la version que j'ai magne et Chavannes-sur-l'Eta g, l a
l'ensemble de la population.
sembler paradoxal, lorsqu'on exami- préjudiciables au< agriculteurs qu'à
fait
établir
à l'usage des écoles publi- ligne qui, pendant u n demi-siècle,
Le 32° Congrès du parti radical et
Traditionnellement, la Hongrie a été nait cet étrange état, fait d'une ville
toutes les autres catégories de citoyens. radical-socialiste se tiendra, à Paris, ques. Elle est précédée d'une courte marqua l'ancienne frontière.
l'amie et l'alliée de la France, au immense, entourée de territoires ruPeu importe à ces ennemis de la les 2 i , 25, 2(5 et 27 octobre courant, notice explicative rappelant l'historiBien qu'on fût en campagne, dans
Cours de son histoire, luttant contre raux nettement insuffisants pour la
République que leurs mots d'ordre, s'ils salle Wagram.
la
grande rue de Montreux-Vieux, des
que
de
ce
chant
dont
la
R'publique
a
l'hégémonie austro-allemande. Elle fut faire vivre.
étaient suivis, puissent compromettre
troupes,
immobiles comme à l a - p a fait
notre
hymne
national.
Voici l'ordre du jour des travaux
l'alliée de Louis XIV. Elle protesUne partie croissante de la popula- une part des résultats obtenus par legou
rade,
rendaient
les honneurs ; leurs
«
J'estime
que
cet
hymne,
qui
est
du
Congrès
:
ta énergiquement en 1871 contre l'an- tion veut rester libre, surtout depuis
vernement et soient exactement conclairons
sonnaient
aux champs.
non
seulement,
le
plus
célèbre
de
tous
Jeudi
"24.
—
A
9
h.
30,
Organisation
hexion de l'Alsace-Lorraine par l'Al- que les • criminelles méthodes des
traires à l'intérêt général. En travaillant des Commissions du Congrès ; à 11 heu- par les souvenirs qu'il consacre, mais
Le
gouverneur
de
Belfort guida l e
lemagne.
nazis ont montré l'Allemagne hitlé- utilement pour le bien public le gouministre
vers
la
salle
d'école. A leur
encore
le
plus
beau
par
la
flamme
res,
conférence
des
présidents
et
secréEn 1914 même, son premier minis- rienne sous son véritable jour.
vernement fait une éclatante démons- taires généraux des fédérations dépar- patriotique qui l ' a n i m e , doit être entrée, une centaine d'enfants de tout
tre, Tisza, fit tout pour éviter le déSeule, la misère pourrait jeter tration des avantages et des bienfaits tementales ; à 14 heures, discours de M. appris et chanté dans toutes les éco- âge se levèrent d'un môme élan, e t
clanchement de la guerre.
l'Autrichedansles bras del'Allemagnc. du régime. Voilà ce qui est, pour nos le président de la fédération de la Seine les oit le chant est compris parmi d'une même voix ils entonnèrent l a
.
.*
..
»
* •
apprentis fascistes, proprement intolé- et de M. Herriot, président du parti ; les matières obligatoires de l ' e n - Marseillaise.
* *
rable et voilà pourquoi nous les voyous divers rapports sur l'agriculture dont seignement.
Debout devant la chaire, leur maîNous avons eu des entretiens avec
J'ai vu, au cours de mon rapide s'eflorcer de géuer l'action de nos
tre,
un caporal d'infanterie, les sur« Vous remarquerez que la version
les chefs de tous les partis politiques
un par M. Albert Le Bail, député du
voyage, les chefs d'Etat, les ministres, dirigeants.
veillait
et donnait la cadence. Au fond,
ci-jointe
ne
comporte
l'adaptation
des
hongrois depuis la droite (qui réclame
Finistère, sur le crédit et la mutualité
les agriculteurs et les commerçants.
Nul,
dans
nos
campagnes,
n
e
sera
dans
les
couloirs, sur les marches de
paroles
à
la
musique
que
pour
trois
le retour des Habsbourg sur le trône
agricoles.
Ma
connaissance
de
l'allemand
m
'
a
dupe
d'une
telle
manœuvre.
On
y
est
la
porte
et jusque dans l a rue, les
couplets
qui
sont
les
parties
les
plus
de Hongrie) jusqu'aux socialistes.
Vendredi 25. — A 9 heures, rapports
permis d'entrer en contact avec le trop averti, trop clairvoyant, trop attavieux,
qui
n'avaient pas oublié, a c populaires
d
e
notre
chant
national.
sur le commerce et l'industrie, sur la
Partout j'ai trouvé cette même
peuple. Celui-ci souffre et espère. La ché aux institutions républicaines pour
compaguaient
les enfants.
Quant
aux
autres
strophes,
il
suffira
protection de l'enfance et sur les tracrainte de l a puissance allemande,
mauvaise herbe des dictatures a ger- ne point reconnaître dans l'appel que
Une
émotion
indicible étreignait
qu'elles
soient
lues
et
commentées.
vaux du groupe parlementaire ; à
Cette même frayeur de ï'Anschluss,
mé et poussé sur le sol de misère viennent, de lancer ces organisations
l'assistance,
et
les
larmes lentement
«
Je
vous
invite
à
faire
insérer
la
14 heures, politique extérieure, anciens
qui ferait de la Hongrie la voisine et
qu'est l'Europe Centrale, Là-bas, la la marque habituelle des procédés
coulaient
sur
les
joues
fraîches comme
version
officielle
de
la
Marseillaise
combattants et défense nationale.
jia vassale d'un immense pays.
liberté est morte.
antidémocratiques.
dans
les
barbes
grises.
« Aux armes,
dans
le
prochain
numéro
du
Bulletin
. J'ai eu la joie de constater que c'é»
Samedi Vf}. —• Matin et soir, l'actiLes
agriculteurs
savent
tous
que
citoyens
!
»
reprenaient
les voix enL'effroyable
guerre,
qui
a
ensan»
départemental,
»
talent les partis de gauche qui étaient
vité du groupe parlementaire et la polileurs
intérêts
particuliers
sont
étroi*
fantines,
et,
tandis
que
le chant de
le
monde
entre
1914
et
1918,
glanté
« »
les plus francophiles. Le journal du
tique générale, rapporteurs MM. Camtement
liés
à
l'intérêt
général
et
que
nos,
pères
franchissant
l
e
s murs de
est
née
là-bas.
parti libéral (qui correspond à notre
pinchi et 2ay, députés.
Avant la publication de cette cir- la salle roulait sur la campagne, chacelui-ci
exige
avant
tout
l'équilibre
Craignons
que
les
injustices
comparti radical) prône sans cesse le rap*
Dimanche 27. — A 9 heures, élec- culaire, M, Goblot, professeur à la
cun du fond de son cœur adressait u n
prochement avec la France et la mises et les misères, qui en sont nées, budgétaire qu'on les invite à rompre tion du bureau ; vœux et règlement,
Faculté
des
Lettres
de
Lyon,
avait
aujourd'hui.
Ils
savent
ce
que
le
gouhommage de gratitude émue aux vailne nous préparent quelque nouveau
défiance à l'égard de l'Allemagne.
propagande ; désignation du lieu du demandé que l'étude de la Marseilvernement
a
déjà
fait
pour
remédier
à
lants
qui dorment à Uffoltz, & Cernay,
désastre pour demain.
prochain Congrès ; lecture de la dé- laise f u t rendue obligatoire dans
Le vieux chef du parti socialiste
leUr situation et qu'il consacre tous ses
à Aspach, à Dornach, à Flachslanden,
Albert LË BA]L.
claration du Parti. — A midi, banquet toutes les écoles....
ilciUs a dit en nous recevant au siège
soins à l'améliorer encore. Ils n'enten 1
à Zillisheim et là, tout près, à
de clôture du Congrès.
de son parti i « Nous n'avons jamais
Dans un bel article d u Volume, M. Montreux-Vieux, car c'est leur sacrident point faire les frais d'une opération
11 • I • 111 II I•ì11111••1111111HI II 11111111•11
été ici» ni germanophiles, ni italopliiSévrtjol, instituteur, rappelle l'initia- fice qui permettait l a joie d e cette
qui n ' a d'autre objectif que de comleSf toujours du côté de la France*
tive de M. Goblot et s'associe en ces inoubliable scène.
battre le régime républicain.
L'Heure
Normale
pays traditionnel de la Démocratie »,
termes qui méritent d'être reproduits,
Dans le profond silence qui succéda
« fte pourrait-on pas en ces heures
Mais pour séparer la Hongrie de
aux fortes paroles du Ministre, M. à l'hymne national, le Ministre d e la
L'heure normale sera rétablie dans
P A S S E E
V O T R E
l'Allemagne) il serait nécessaire de graves et troublées> où tant de dangers
Maurice Faure :
Guerre, vainquant avec peine son
la
nuit du 5 ait 0 octobre.
faire des rectifications de frontières s'accumulent) désarmer et déposer pro'Nous qui portons tant
d'attention émotion, exprima, en quelques paroles
Samedi soir n'oublies donc pas de aux. gestes héroïques de notre histoire,
qui léseraient nos fidèles amis de la ViHoirement les passions intérieures gui
sobres, les tristesses dout souffrirent les
reculer
d'une heure vos montres et pourquoi ne pas consacrer
déchirent noire pays ? »
Petite Entente.
quelques cœurs français pendant ces quaranteA VOS AMSS
pendules 1
heures à cette -fleur merveilleuse, éçlose quatre dernières années et aussi 1»
. Ceux-ci comprendront-ils que la
GftRCSTTE
Dorgères... et sa suite !
.**
Les meaées aatirépublieaiaes
« Imi japan »
Une iDlerpellaiîOD de M. Albert Le Bail
Journal le Citoyen
LE
fierté qu'éprouve aujourd'hui la France
en songeant à la libération prochaine
et totale de la vieille Alsace. Il dit
aux petits de cette province le iidèle
souvenir des enfants de France.
Lorsqu'il quitta Montreux, il emportait l'impérissable souvenir d'une première leçon de français, heureuse et
symbolique contre-partie du conte de
Daudet.
De la Marseillaise on peut dire :
« C'est l'hymne qui sait donner le
lait aux enfants et le pain aux forts. »
(A suivre).
Georges LE BAIL
Election Législative
CITOYEN
les l a u r é a t s de ce m a g n i f i q u e c o n On menu appétissant ne l'ao 1858félicita
cours. A un m o m e n t , alors qu'il parlait de
Loiret
Nous v i v o n s u n e é p o q u e t r è s t o u r m e n t é e .
Au scrutin de ballottage qui a eu Nous ne savons q u e l s s e r o n t les g o û t s de
lieu dimanche dernier dans la circons- la g é n é r a t i o n qui n o u s suivra.
cription de Pithiviers, M. Cabanis,
Voici un m e n u possible de l'an 1950 :
rad.-soc., a été élu député par 5.864
Potages
L a n g u e de s e r p e n t . — Cochon effrayé
voix contre 5.855 à M. Lagarde, rép.
Poisson
agraire.
Pieuvre
sauce v e n d r e d i
U s'agissait de pourvoir au remEntrées
placement de M. Chevrier, rad.-soc.,
Côtelettes do veau à la pleine Lune
décédé.
Rôtis
illlllllllllllllllllllllllllllllllllillllll
Poulets au Chat noir
J a m b o n sauce diablotin
Mouton sauce c o r b e a u
Bœuf sauce fer à cheval
Entremets
Mois des g r a n d s l a b o u r s , do la récolte
P o u d i n g au s p e c t r e . — C r a p a u d s gelés
des p o m m e s de t e r r e , d e s c a r o t t e s et des
betteraves, o c t o b r e réclame, lui aussi, du Meringues à l'échell«. — C o m p o t e sorcière
boau temps. Et puis ce sont les v e n d a n g e s !
C'est p o u r q u o i les dictons de ce mois laiss e n t p r é s a g e r de l ' a b o n d a n c e si le t e m p s
se maintient au sec :
Viennent de paraître :
Octobre en b r u i n e
Zia D i « » o R o u g e , par G e o r g e s LamousHiver en r u i n e .
se, un vol. de 128 pages, 8 f r . En vente
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A la S a i n t - S i m o n (le 28)
La Déesse Bouge est un d r a m e m o d e r n e
Une m o u c h e v a u t u n m o u t o n .
en deux spectacles, e x t r ê m e m e n t curieux
A la Saint-Luc, la pluie du vallon (le 18)
par l'idée et pur l'intrigue : A r t h u r , qui
t'ait do la neige s u r le m o n t .
est
noble, e«t. fiancé à Marie, j e u n e lille
Les dictons s ' a c c o r d e n t aussi s u r co point
q u ' e n o c t o b r e il f a u t s e m e r de b o n n e h e u r e . é g a l e m e n t noble ; mais celle-ci p r é f è r e
é p o u s e r J e a n , simple poète qui l'aime éperS e m é à la Saint François (le 4)
d u m e n t . D'où la haine d ' A r t h u r qui, p o u r
Ton grain a u r a d u poids.
mieux se venger, se fait l'ami de J e a n . 11
A la Saint-Denis (le 9)
lui fait croire q u e son a m o u r a tué son
La b o n n e s è m e r i e .
talent.
Dite pur le mois l'octobre
Loterie Nationale
A l'occasion du tirage à Lyon de la
dixième tranche de la Loterie Nationale
1935, il n'est pas sans intérêt de souligner la faveur sontenue que le public a réservée à ces émissions, môme
pendant la période des vacances, et la
très vive impulsion nouvelle que leur
a procurée la rentrée. Le fait s'explique par les qualités de simplicité, de
clarté et de sécurité qui sont propres
à la Loterie Nationale française, par
le nombre et le pourcentage élevés des
lots qu'elle distribue et aussi par la
destination des profits qu'elle réalise
. et qui sont, comme on le sait, affectés
au service de la retraite du combattant.
—HJJ
la crise actuelle, il dit q u e la s u r p r o d u c tion en t o u t était la cause de cette situation.
Aussitôt — selon le mot d ' o r d r e d o n n é
d e p u i s q u e l q u e t e m p s par certains c h â t e lains fascistes — M. Lancien fut i n t e r r o m p u p a r q u e l q u e s convives qui n'ont
rien des travailleurs de la t e r r e .
Cela ne dura pas car les p e r t u r b a t e u r s
f u r e n t r e m i s à leur place, g r â c e au s a n g froid de l ' o r a t e u r , par de n o m b r e u x vrais
a g r i c u l t e u r s présents.
M. P e r r a u l t , d i r e c t e u r des Services
agricoles du d é p a r t e m e n t , en q u e l q u e s
phrases, complimenta aussi les l a u r é a t s de
la j o u r n é e , rappela les p r o g r è s accomplis
g r â c e au service du contrôle laitier, et leva
son v e r r e ù l'union pacifique de tous les
travailleurs de la t e r r e .
BïBLge&ftjkPHïB
La fête prit fin non sans q u e le plus
g r a n d n o m b r e des convives ne 11 :trissât
la conduite des « c h a h u t e u r s ».
Nous s e r i o n s jolis, disait un brave cultiv a t e u r en s o r t a n t , si ces « fascistes » d e v e naient les maîtres...
Combien est vrai cela I
V a a o l d a l aa tua a n aa jetant d a n a
l ' O d e t — Tard d a n s la soirée de j e u d i , le
soldat A n d r é Plassais, de la C. M. 1 du
137» R. I., désertait les locaux disciplinaires de la caserne de l'ancien séminaire,
et r e n c o n t r a s u r les q u a i s un s e i g e n t q u i
lui intima l ' o r d r e de r e n t r e r à la caserne.
I.o soldat, voulant f u i r et p r o b a b l e m e n t
t r a v e r s e r la rivière, se jeta d a n s l'Odet et
se fracassa le crâne, l'eau é t a n t t r è s basse.
Des passants, soldats et civils, r e t i r è r e n t
le c o r p s du m a l h e u r e u x et le t r a n s p o r t è r e n t au café Perriès, au C a p - H o r n , où il
ne t a r d a pas à s u c c o m b e r .
Le soldat Plassais, â g é de 21 a n s , était
marié e t p è r e d'un e n f a n t . La famille
habite Nantes.
Tout laisse prévoir une « campagne
d'hiver » extrêmement active, et analogue à celle de l'an dernier, pendant
laquelle, on s'en souvient, la fortune
était appelée à se prononcer presque
La Radiodiffusion
Zia B é n é d i c t i o n du T r a v a i l , par Charleschaque quinzaine. Dès maintenant
Philippe Forestier, un vol. de 160 pages,
Le décret-loi du 21 s e p t e m b r e 1935 a
nous pouvons annoncer que le tirage
12 fr. En vente aux Editions René Desuivant la cérémonie de Lyon aura lieu modifié les conditions de perception de la
bresse, 38, r u e de l'Université, à Paris.
Ce livre de p o è m e s est un chant à la
à Paris au cours du mois d'octobre p r e m i è r e r e d e v a n c e , p o u r droit d'usage,
C h e z l e s C o l o n i a u x . — L'Amicale des
s u r les postes r é c e p t e u r s de radiodiffusion. gloire do la b e a u t é d a n s le travail. Eu des
courant.
coloniaux et anciens coloniaux tiendra sa
D o r é n a v a n t les f a c t e u r s en c o u r s de
JULieiies
de 1«
Semaine
— Un train militaire chinois est
tombé dans un ravin. Deux cents soldats auraient été tués sur le coup et
plusieurs centaines d'autres blessés
grièvement.
— L'éboulement d'une galerie de
mine a fait 37 victimes au lapon.
— La crise ministérielle est terminée en Espagne Le nouveau Cabinet
est présidé par M. Chapapricta, ministre démissionnaire, radical.
— La Commission des finances de
la Chambre a commencé l'examen du
budget. Elle a tenu à procéder aussitôt à l'audition d'un important exposé
de son rapporteur général, M. Baréty,
qui a déclaré que, seule, une reprise
économique permettra
d'atteindre
l'équilibre définitif des finances publiques.
La Commission entendra, le 8 octobre, le Président du Conseil et le
Ministre des Finances.
— Le nouveau paquebot « Ville
d'Alger », effectuant jeudi la première
traversée Alg-r-Marseille, a battu le
record de la traversée de la Méditerranée à la moyenne générale de 22
nœuds 5.
— Au cours d'un typhon, deux na
vires de guerre japonais sont entrés
en collision. Une cinquantaine de marins sont manquants. La tempête a,
d'autre part, ravagé toute une région
non loin de Tokio, où l'on compte
230 morts et près de 200 disparus.
— L'unité syndicale est rétablie.
Cette réunification a été scellée au
cours d'une réunion commune tenue,
à Paris, par les Congrès de la C. G. T.
et de la C. G. T. U.
— Un formidable incendie a anéanti
de très importants magasins de chaussures à Roubaix. Les dégâts s'élèvent
à trois millions.
— Le feu a également détruit un
grand entrepôt à Londres : 7;> millions
de francs de dégâts.
• — Le croiseur « Gloire », de 7.700
tonnes, a été lancé à Bordeaux. Cette
nouvelle et belle unité, dont la vitesse dépassera 32 neuds, sera armée de
9 pièces de 152.
— Le Gouvernement britannique
vient de répondre à la question qui lui
était posée par le Gouvernement français sur l'attitude qu'il adopterait en
cas d'une agression non provoquée, se
perpétrant en Europe.
L'Angleterre, est-il écrit dans cotte
note, défend avec la Société des Nations « le maintien collectif du pacte
dans son intégrité et particulièrement
la résistance ferme et collective à tous
actes d'agression non provoquée »,
« Ces mots, a ajouté le Gouvernement anglais, ont l'approbation massive du peuple britannique »,
— Eu Ethiopie, les menaces de
guerre s'accumulent. Les renforts italiens continuent à affluer, cependant
que le Négus informe la S. D. N. de
•on intention de décréter la mobilisation générale.
U M B
«t
Faite»
t o u r n é e p o u r r o n t recevoir les déclarations
des u s a g e r s . Le p a i e m e n t de la r e d e v a n c e
d o n n e r a lieu à la remise d ' u n e vignette
q u e l ' u s a g e r devra a p p o s e r s u r son a p p a r e i l
récepteur.
A titre transitoire, un délai d'un mois, se
t e r m i n a n t le 22 o c t o b r e au soir, est a c c o r d é
aux d é t e n t e u r s d'appareils r é c e p t e u r s non
oncore déclarés, p o u r leur p e r m e t t r e de
r é g u l a r i s e r leur situation.
Passé ce délai, le p a i e m e n t de la double
taxe sera r e q u i s d'oUice p o u r t o u t e infraction c o n s t a t é e .
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Date : 25 o c t o b r e 1935. Délai d'inscription :
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Le F a o u , d o m . à La F o r é t - F o u e s n a n t ;
Corentin P a l u d , surveillant à l'Asile d é p a r temental, dora. à P e n h a r s , et Marie Bolzer,
d o m . à Q u i m p e r ; J e a n Briand, tôlier, et
Marie-Josèphe Le R h u n , d o m . à Q u i m p e r ;
Paul S o r e t , c l e r c - l i q u i d a t e u r , d o m . à
Q u i m p e r , et Angèle M a u r i c e , d o m . à
Penhars.
Décès: J o s e p h Boulben,46 ans, maréchal
f e r r a n t , r u e de l'Hospice ; Marie-Louise
Le Floch, é p o u s e Bureller, 66 ans, r u e
du Chanoine Moreuu ; René Bertholom,
é p o u x Le Guen, 62 ans, c o m m e r ç a n t , 19,
rue du Sallé; Anne-Marie Forner, épouse
Guiriec, 56 a n s , Moulin-des-CouIeurs ;
Marie Le Bras, é p o u s e P e r r o t , 58 ans, 53,
r u e E l i e - F r é r o n ; A n n e - M a r i e Le Bosser,
veuve Canévet, 78 ans, r u e de l'Hospice ;
A n d r é Plassais, é p o u x T h e i g n c u r , 21 ans,
soldat au 137« R. I., q u a i de l'Odet ; J o s e p h
L a u r e n t , 24 ans, r u e Rouzaut ; A n d r é
Conan, veuf Golhen, 76 ans, r u e de
l'Hospice.
Rentrée
IÂRGUSSE
Etat-Civil du S 4 an 3 0 septembre
193B.
Naissances : Maryse Le Dù, 17,
r u e G o a r e m - D r o ; Anna Aminot. r u e F r o i d e
p r o l o n g é e ; René T a n g u y , 8, r u e de D o u a r
n e n e z ; E u g è n e L o u a r n , r u e de l ' A b a t t o i r ;
A n d r é Le Mao, 1, venelle de Kergos ; Paule
G o u l e t q u e r , r u e de la P r o v i d e n c e .
o a i t u r o d a l ' A r r o n d i s s e m e n t . — Le COQ*
cours annuel organisé lundi dernier dans
les établissements CoigneC, rue des Douves, par la Société d'Agriculture de l'arrondissement de Quimper, pour les f a c e s
bovines pie-noire et armoricaine« a obtenu
le plus grand succès tant par le nombre
que par la valeur des bêtes exposées»
Les opérations du Jury ne se terminèrent que vers 13 h. 30. Sitôt après eut lieu
le banquet qui réunissait plus de c e n t
cinquante convives.
I t a a F ê t e » d a l a S a i n l - M i o b a l . — Le
Maire de D o u a r n e n e z a l ' h o n n e u r d ' i n f o r m e r ses a d m i n i s t r é s q u e , s u r sa d e m a n d e ,
M. le P r é f e t du Finistère a a u t o r i s é les c o m m e r ç a n t s de la ville à g a r d e r leurs établiss e m e n t s o u v e r t s au public, à l'occasion des
fêtes de la Saint-Michel, à D o u a r n e n e z :
d a n s la nuit du 5 au 6 o c t o b r e , j u s q u ' à 2
h e u r e s : t o u t e la nuit du 6 au 7 o c t o b r e ;
d a n s la nuit du 7 au 8 o c t o b r e , j u s q u ' à 1
h e u r e ; d a n s la n u i t du 8 au 9 o c t o b r e ,
jusqu'à 1 heure.
Oa • retrouvé lac Cambrioleur*. —
Le coffre-fort de MM. Cornée et Le B r u s q ,
de la rue du Môle, qu'on avait volé dans la
nuit du 22 au 23 septembre, a été retrouvé
vendredi soir, non loin du bourg de Plo»
gonnec, près de la route de Quimper.
L'argent avait évidemment disparu, mais
les papiers et registres comptables avaient
été laissés à l'intérieur.
Ge sdnt des romanichels qui ont fait lo
coup ; après de nombreuses recherches de
la gendarmerie, les voleurs, les frères Maillé, ont été arrétés à Vannes, alors qu'ils se
trouvaient dans leur roulotte-automobile.
Ou n'a rien r e i r o u t é che* les c a m b r i o l e u r s , qui ont été t r a n s f é r é s à la prisotl
de Q u i m p e r ,
Audierne
ChirurgUn-Denliste T, L * Mohelle*,
Au café, après la lecture du palmarès
faite par M . Lancien, président du Conseil 6, place de la Liberté, A u d i e r n e i Tous tes
général, qui présidait le repas, le sénateur Jouri (jeudi txceptt/,
Plogastel-St-Germaln
El pourtant les père et mère de ces enfants ont été élevés à l'école laïque et celle
Xta g r a n d auooèa d a l a K e r m a a a e éducation leur a réussi. Ce sont des modèles
l a ï q u e . — Grâce à Dieu, la k e r m e s s e a du genre.
o b t e n u à Plogastel un é n o r m e succès.
Le p è r e est u n bon travailleur, u n
Dieu est r o u g e !
h o m m e de bien. Il c o n d u i t d a n s la p e r f e c T a n d i s q u e les c u r é s d é b l a t é r a i e n t contre tion les travaux des c h a m p s et il se m o n la k e r m e s s e et le bal q u i la clôture, le bon t r e s e c o u r a b l e aux m a l h e u r e u x .
Dieu, du h a u t d u ciel, a collaboré à ces
Ce p r o d u i t a u t h e n t i q u e d e l'école laïque
r é j o u i s s a n c e s laïques, en l e u r d i s t r i b u a n t f r é q u e n t e l'Eglise et d o n n e sa voix a u
le bienfait d ' u n e t e m p é r a t u r e d o u c e et clé- c a n d i d a t d u c u r é , le j o u r de l'élection. E t
m e n t e , traversée p a r des r a y o n s de soleil cela ne suffit p a s à la c u r e ? Elle o b t i e n t
qui embellissaient les ê t r e s et le paysage tout de ce b r a v e h o m m e et elle v e u t en
lointain s e r v a n t de décor au t h é â t r e de la tirer e n c o r e q u e l q u e chose de plus I
fête.
e *
Un défilé e x t r a o r d i n a i r e de j e u n e s gons.
L'école
des
g
a
r
ç
o
n s va s'ouvrir avec
qui s o u s un d é g u i s e m e n t symbolique, m e s u r a i e n t trois m è t r e s de h a u t e u r I Deux q u a t r e j e u n e s p r ê t r e s p o u r e n s e i g n e r . Et
g e n d a r m e s p o u r rire ont s u r t o u t o b t e n u on p l e u r e s u r le m a l h e u r d e s t e m p s ! On
un succès colossal. Dans le défilé on notait dit q u e le r e c r u t e m e n t d u clergé ne se
des j e u n e s g e n s et des j e u n e s filles p a r é s fait plus I
Que va t-il r e n t r e r d'élèves à la p a u v r e
du c o s t u m e b i g o u d e n au plastron et aux
école
p u b l i q u e qui était dirigée p a r M.
m a n c h e s b r o d é s d'un or étincelant.
La m u s i q u e e n t r a î n a n t e de D o u a r n e n e z Bideau, un m a î t r e excellent ? Les p a r e n t s
é t a i e n t ravis. Les élèves faisaient s o u s sa
précédait et animait ce défilé.
j e u n e direction d e s p r o g r è s rapides.
*
• »
S u b i t e m e n t on est venu d i r e à ces g o s s e s
Nous voici s u r le terrain de la k e r m e s s e . q u e l'écoie laïque ne valait pas un clou et
Les r é j o u i s s a n c e s les plus diverses a t t e n - q u e l'école f r é q u e n t é e p a r eux était l'école
daient les s p e c t a t e u r s a c c o u r u s eu masse. du diable. L ' e n f a n t n'a pas d e d r o i t s I Les
Les loteries ont fait de b o n n e s recettes. p a r e n t s non plus ne s o n t pas libres.
D e s . l a p i n s et des poulets sans n o m b r e ,
Ils doivent o b é i r au d o i g t et à l'œil à
p r o v e n a n t des d o n s g é n é r e u x d e s cultiva- L a n d u d e c , etailleurs, aux o r d r e s d u château
trices de la c o m m u n e , remplissaient des et d u p r e s b y t è r e .
caisses qui se s o n t vidées au profit d e s
P a u v r e s e n f a n t s ! Ils p l e u r e n t en q u i t gagnants très nombreux.
t a n t leur école où ils. o n t a p p r i s à p a r l e r
S u r les r o u t e s , au r e t o u r , on ne voyait f r a n ç a i s et où leur j*.une m é m o i r e s'est
q u e g e n s p o r t e u r s de bouteilles de vin, de enrichie des é l é m e n t s d u savoir.
p a q u e t s de biscuits, de sacs de b o n b o n s
Allons, gosse, sèche tes l a r m e s et c o m ot d ' a n i m a u x de f e r m e .
p r i m e les b a t t e m e n t s d o u l o u r e u x de t o n
Un g r o u p e c h a r m a n t n o u s dit avec u n petit c œ u r . D e m i - t o u r à d r o i t e , et, en a v a n t
r y t h m e e n t r a î n a n t des c h a n s o n s improvi- p o u r l'école privée. Il y va du salut d e ton
sées p o u r la circonstance : Tous ù la Ker- â m e qui deviendrait, d a n s ce lieu malsain,
messe ! Le Chant des Marins-Pécheurs
! Le la proie de l'impiété.
défi à la Purée ! Versez ! Versez !
Ce q u i se passe en B r e t a g n e est à p e i n e
Et t o u t le m o n d e r é p é t é le r e f r a i n .
croyable. Le r e s t e de la F r a n c e est heuMais voici u n train en m a r c h e et t o u t le r e u s e m e n t à l'abri de ces m œ u r s q u i r a p m o n d e se précipite p o u r voir.
pellent la servitude a n c i e n n e d a t a n t de
Le clou de la féte a été l ' i n a u g u r a t i o n l ' é p o q u e où le paysan était livré au j o u g
de la g a r e de Kerluen faisant suite à la du s e i g n e u r f é o d a l .
g a r e de
ille-de-Sein.
» *
T o u s les p e r s o n n a g e s officiels étaient là !
C o m m e p a r e n c h a n t e m e n t l'école p u b l i le maire et le chef de g a r e de Kerluen I
q u e de g a r ç o n s va se vider au profit de
Le ministre l u i - m ê m e avait d a i g n é venir l'école privée.
de P a r i s p o u r i n a u g u r e r cette
gare
II r e s t e e n c o r e à cette école 20 à 25
exemplaire p o u r v u e d'installations n o u - élèves s u r cent c i n q u a n t e au d é b u t d e 1935.
velles et de t o u t le c o n f o r t m o d e r n e .
Ces 25 élèves s o n t e s p i o n n é s p a r d e s
Seul, M. l ' I n g é n i e u r en chef des P o n t s
g e n s qui p r e n n e n t l e u r s n o m s p o u r i n t e r e t - C h a u s s é e s n'était pas là. On s'est m o n - venir p r è s des p a r e n t s .
t r é inconsolable de son a b s e n c e . Chacun
Décidément le Front populaire
n'a p a s
y est allé de son discours... le maire, le t o r t d'inscrire d a n s son p r o g r a m m e c e s
chef de g a r e , le ministre.
trois m o t s : l a Xiibarté, la Paix et le P a i n .
Une foule considérable a envahi le
Le
Vengeur.
terrain de la Kermesse. On y a vécu des
h e u r e s d'un e n t r a i n endiablé. Il y avait du
s a l p ê t r e d a n s l'air. On en a assez des b r i l » e » b a l s . — On nous communique : Au
mades des curés et des s e i g n e u r s . A L a n - mois d ' a o û t , u n bal avait été o r g a n i s é à
d u d e c , c o m m u n e voisine de P l o g a s t e l - P l o b 8 n n a l e c au profit d u B u r e a u de b i e n Saint-Germain, on a t r o u v é le moyen d'or- faisance.
ganiser u n e a u t r e fête à la m ê m e d a t e
Il s'agissait d ' a m u s e r u n peu la j e u n e s s e
p o u r sauver les b o n s paroissiens de la c o n d u pays et de c o l l a b o r e r à u n e b o n n e
tagion d e l à k e r m e s s e laïque toute p r o c h e .
œ u v r e , p u i s q u e le m o n t a n t d u b é n é f i c e
En chaire, le d i m a n c h e 29 s e p t e m b r e , était destiné à s o u l a g e r les misères, h é l a s ,
un p r ê t r e avait t o n n é c o n t r e le bal de la si n o m b r e u s e s d a n s n o t r e r é g i o n .
soirée.
C e p e n d a n t , on t o n n a en chaire c o n t r e c e
Il f a u t bien t o u t de m ê m e , Monsieur le bal, p r o v o q u a n t ainsi l'abstention d ' u n e
Curé, laisser à la j e u n e s s e du b o u r g et de partie de la p o p u l a t i o n , s o u c i e u s e de s e
la c a m p a g n e un peu plus de liberté q u ' a u x g a r a n t i r des f o u d r e s cléricales.
n o n n e s et q u ' a u x s é m i n a r i s t e s .
Cela n ' e m p ê c h a d u r e s t e p a s u n bénéfice
On craint q u ' à la sortie, à minuit, les de 500 f r a n c s , q u i f u t versé au Bureau de
j e u n e s minois se chiffonnent ! I
bienfaisance.
Mais le m ê m e accident, qui est u n e r a r e t é
Ces t e m p s d e r n i e r s , u n e k e r m e s s e f u t
et u n e exception, p e u t se p r o d u i r e , à la o r g a n i s é e à la colonie de vacances r o y a sortie du patronage clérical, sous la pâle liste, disent certains, en t o u t cas, cléricale,
clarté du ciel lointain p e u p l é d'étoiles. du c h â t e a u .
Soyez t o l é r a n t , Monsieur le c u r é , c o m m e
Un bal suivit la k e r m e s s e .
l'était le divin Maître. Mais si vous étiez
Mais, cette fois, la chaire r e s t a m u e t t e .
t o l é r a n t , vous ne seriez pas revêtu de la
P o u r avoir le d r o i t de d a n s e r , il f a u t
dignité de la p r ê t r i s e et vous danseriez ê t r e royaliste à P i o b a n n a l e c .
c o m m e t o u t le m o n d e la valse et le j a b a d a o .
•
Piobannalec
• •
Il faut féliciter p l e i n e m e n t la m u n i c i p a lité et les o r g a n i s a t e u r s de la fête. Ils o n t
t r i o m p h é de c e n t é ï m cultés et se s o n t
surpassés.
Nous ne citerons p a s de n o m s d a n s la
crainte d'en oublier de m é r i t a n t s . Le
succès de leur œ u v r e les consolera du
travail à la fois laborieux et ingénieux
a u q u e l ils ont c o n s a c r é le meilleur d ' e u x mêmes.
Et vive la laïque, mille tonnerres I
Un vieux de la vieille.
Landudec
Pionéour-Lanvern
X/état d a a r o u t e s «t l a o b A u g e . —
M. Albert Le Bail, député, a reçu de M. h
Préfet du Finistère la lettre suivante :
Monsieur le Député,
Vous avez bien voulu appeler mon
attention sur la réfection des chemins d e
grande communication n " 56 et 57 reliant
Pionéour-Lanvern à Q îiraper et à P l o g s s tel-St-Germain, réfection qui s'impose et
qui permettrait de procurer du travail aux
chômeurs de la région.
J'ai l'honneur de vous faire connaître
que le programme établi par MM. l e i
Ingénieurs du service vicinal prévoit :
1 ' La remise en état du chemin de grande communication n° 56 dans le courant
de l'année 1936 ;
2° L'aménagement, sur 3 km., du c h e min de grande communication n° 57 en
1936 et l'achèvement des travaux de r é fection en 1937.
Les crédits nécessaires devant figurer
au budget de 1936 ne seront disponibles
qu'au premier janvier prochain et les travaux ne pourront pas être entrepris avant
cette époque. Toutefois, les reliquats d «
l'exercice en cours seront employés d è s
que possible pour des travaux exigaant
uniquement de la main d'oeuvre.
Xi'SooIe l a ï q u e d é v o r é e p a r l ' S o o l a
p r i v é e . — Liberté I Liberté chérie /... La r e n t r é e d e s écoles vient d'avoir lieu.
Deux écoles libres, au lieu d ' u n e seule,
v o n t c o n c u r r e n c e r d é s o r m a i s nos écoles
publiques.
Lutte du pot de terre contre le pot de
fer.
M. Foy et le p r e s b y t è r e a d m i n i s t r e n t
cette c o m m u n e où le t e m p o r e l et le spirituel m a r c h e n t b r a s d e s s u s b r a s dessous.
M. Foy est t o m b é à L a n d u d e c c o m m e
un a é r o l i t h e v e n a n t d u ciel en d r o i t e
ligne.
M. Foy est peut-être le fruit d'une école
laïque. On ne sait rien sur lui, sinon qu'il
était ingénieur des mines.
A l'école de filles, il reste cinq ¿lèves,
N a u f r a g e s . — par suite d'une forte
C'est un péché mortel de laisser son en- brume, un vapeur anglais, avec q u i n t »
fant à l'école sans Dieu, disait-on, quand hommes d'équipage, s'est jeté la semain0
la concurrence est née dans cette com* dernière sur les rochers des f o u r c h e s a a
mune, il y a deux ans.
large de Guilvinec.
Or, les enfants vont à l'école pour apTout l'équipage a été sauvé. Ce t&pettf
prendre, et, à l'Eglise, pour prier. Mais venait de Bilbao (Espagne) et se rendait fe
les Messieurs prêtres veulent mettre les Middlesborough (Angleterre), avec tin
écoles et la Mairie dans l'Eglise et dans le chargement de 2.300 tonnes de minerai de
presbytère. Ils veulent tout conduire et fer.
tout régenter ne laissant au peuple que
On se Croît pas qu'on puisse tenilouèf
le droit de dire ÀMen, Malheur à qui fait le navire.
4
de la rouspétance I
• 4
tin fermier est menficé de recevoir son
Deux thoniers se sont également échoiiéfi
congé s'il laisse son enfant à l'Ecole laïque. dans les parages de Penmarc'h. Ce sont !
Un commerçant voit sa boutique mise A le bateau n" 2190, de Concarneatl, qui est
l'indexi
Considéré comme perdu,- et le bateau a"
L'homme dit indépendant tl'aurfl pas là 2053, également de Coucarneau, qui a pti
vie tenable dans son quartier s'il n'obéit être remorqué par un sardinier.
pas au eufé. Ses voisins lui difont qu'il est
du pnrti du diable et qu'il sent le roussi.
A sa mort il deviendra la proie de l'enfer, F a i t e s v s > P n b l i o i t é a d a n a I « '
Quelle vie I Quel tableau I
«
Guilvineo
iiiiiiiiiiliijgfiiiiiiiiliiliiiiiiaaiiiiiiiianttiflBi'
»»
Joumai l e C i t o y e n
LE
CITOYEN
Douarnenez, et qu'ordre avait été donné
de refuser l'entrée à tous autres journaMénagères
Vous ne trouverez pas le Citoyen
listes.
chez tons le» dépositaires de journaux Avez-vous
essayé les clia bons de la Ne vonlant pas créer d'incident, notre
Poste Oucretet 1 9 3 ^ , état
rédacteur se letirn sans iusister.
d t département, mais vous le trouverez
neuf,
à v e n d r e moitié prix.
Maison I*E H E U N ?
Mais une remarque s'impose.
Mademoiselle X«E F L O C B
S'adresser au j o u r n a l .
Sa bonne et rapide renommée prouve la
sûrement chez vous en vous abonnant.
« Le Citoyen » n'a qu'un correspondant
sportif, et il n'y en a aucun autre il Douar- D M n e B M M n M B Q l i M H M H a n H
OUSEÎPER
1 9 , H u e XZoréon éc S 3 , R a e S a i n t - F r a o « o l a — Q U I M P E R
( \ oir bulletin d'abonne ment en pat,'e) qualité de ses livraisons.
nenez. La mesure prise par le Comité de
Un essai vous
convaincra.
Perruches ondulées, à venl'U. S. D. P. n'a atteint que notre journal.
Penmarch
Q u i m p e r , 78, quni do i'Odet. Téléph. 2.80. Pourquoi ?
d r e : Vertes, l e couple, 2 5 f r . ;
G r a v a a a o i d a n t d * m o l e . — M. Guil- P o n t - l ' A b b é , rue Arnoult. T-léph. 28.
Serait-ce par vengeance, à cause de bleues, 3 3 f r . , etc...
lerm, 22 ans, ingénieur des Arts et Métiers,
l'article sincère et nécessaire relatant les
S'adresser, 23, r u e d e Rosmadec,
y
de Brest, portiiit dimanche à m o t o ' y incidents de l'année dernière ? Ce serait
Quimper.
(Connaissances
technique
et professionnelle indispensables
bien
mesquin,
car
un
journaliste
se
doit
clette, avec un ami, voir un camarade à
d'écrire selon sa conscience, et notre
Penmarch. Alors qu'ils se rendaient l'aprèsp o u r l a parfaite mise a u point des modèles)
rédacteur n'a fait q u e dire, ce jour là, ce
midi à Saint-Pierre-Penmarch, par suite
A L O U E B , à A udiente, rue
qui était juste et nécessaire. D'ailleurs, la
d'une distraction du conducteur la moto
belle tenue actuelle du public douarneniste du Marché, Maison d'habitation
et FOURRURES
— S o u s - V ê t e m e n t s Indémaillables
se dressa soudain et alla se projeter contre
est due à une réaction contre les indési- Magasin, convenant, pour vins en gros,
un pyloue, près de Poulgalec.
rables qui, à cette époque, étaient en train bière-limonade, <>u c h a r b o n .
de déshonorer le sport en cette ville et
M.' Guillerm fut tué sur le coup ; M.
S'adresser à P . Kersual, Audierne.
qu'on n'osait pas fustiger de la façon
Hugucn, 27 ans, grièvement blessé, f u t
FootballAssociation
qu'elle
méritait.
«
Le
Ciloyon
»
a
eu
la
faute
transporté à l'hôpital de Pont-l'Abbé où il
d'avoir dit à cette occasion ce qu'il fallait
Championnat d e l'Ouest
s'est éteint, après 36 heures de souffrances.
dire... A moins que certains dirigeants ont ' A L O U S R , i m m é d i a t e m e n t , le
A DouarnencU. S. D. P. bal S. Q. par 2ù0 d'autres motifs à en vouloir à notre moulin de Kerandraon-Gourret,
F a b r i c a n t d» Meubla»
Rosporden
Avant tout, disons que cette victoire des organe ?
e n X i a n d u d e c , composé d e bâti1, R u e René-Madee, 1 - Q U I M P E R
M o r t aobita. — Dimanche après-midi, sardiniers était bien méritée.
Nous espérons qu'à l'avenir M. le Président ments tout neufs, d ' u n matériel m o Leur équipe, très homogène et très a r - de l'U. S. D. P. donnera des instructions derne également neuf avec moteur,
M. Yves Monnier, âgé de 70 ans, domicilié
au Bouluuard, en Rosporden, taisait une dente, a mené la lutte de bout en bout et pour que le correspoudantsportif du « Cito- cylindres et outillage. Le renable doit
partie de boules dans la cour du café Jolu, toujours sus attaques étaient dangereuses. yen » soit logé à la môme enseigne
être pris e n charge p a r l e fermier
Le demi-centre, André Le Grand, jouant que les confrères des autres journaux.
rue Nationnale.
entrant.
En lançant une boule, M. Monnior tré- enfin à sa véritable place, a fait u n très
Pour tous renseignements, s'adresgros
travail
et
surtout
efficace.
Que
ne
bucha et s'allongea sur le sol, la face conser
à M0 Le Bihan, notaire à Plogasl'a-t-on
essayé
depuis
plus
longtemps,
tre terre. Ses compagnons de jeu s'emtel-Saint-Gerrr.ain.
pressèrent autour de lui ; on appela un lorsqu'il était junior au S. Q. et que
docteur, mais lorsqu'il arriva, la mort j'avais bataillé ferme pour lui donner cette
P o a r le ohauffage oeatral, rien n'eat
place.
avait fait son œuvre.
aussi propre, aussi simple, ausai praA L O U E R , au centre de
En arrière, Bouleau m'a fait une belle tique, quo le G A Z .
Quimper,
deux magasins avec
Concarneau
impression ; calme, sûr, correct et toujours
Etudes et devis gratuit« par la Soa p p a r t e m e n t s , cours e t dépendances.
oi¿t¿
L
E
B
O
H
A
C*.
bien
placé.
Il
a
été
le
pilier
d>!
la
défense.
A o a i d a a i d'auto. — Dimanche vers
S'adresser au bureau du j o u r n a l .
En résumé, l'équipe est bonne et doit
18 heures, sur la route de Coucarneau à
Melgven, au lieu dit Kermanchec, une faire parler d'elle. I! faut signaler la corRecettes de cuisine
GARAGE A LOUSR
camionnette automobile conduite par u n rection de ses joueurs, et, si certain public,
s'était
dérangé
pour
voir
la
«
bagarre
»,
il
commerçant en primeurs de Concarneau,
S'adresser, 29, rue Salonique, Quimper.
Pâté de foie
est allée, par suite d'un dérapage, se jeter a dû être désillusionné car les divers petits
incidents
qui
ont
eu
lieu
sont
monnaie
Prenez l e foie du porc et d é b a i r a s sur une route en réparations et s'est rencourante de championnat.
C A B I N E T
D E N T A I R E
sez-le de t o u t e s l e s m e m b r a n e s d u r e s q u i
versée dans le fossé.
Chois: de tous M E U B L E S i n c o m p a r a b l e s
Ajoutons aussi que M. Clément, l'arbitre, s e t r o u v e n t à l'intérieur. Pour 1 kilo 1/2
Le conducteur f u t légèrement blessé,
aux Meilleurs P r i s
mais les voyageurs qui avaient pris place y a été pour beaucoup. Il est parti, j e de foie meltez 1 kilo de lard de poidans la voiture furent beaucoup plus at- crois, do eu principe qu'il vaut mieux pré- trine e t 500 g r a m m e s d e p a n n e .
18, rue du Chapeau-Rouge
venir que guérir et il arrêtait le jeu, non
teints.
et 1, rue de la Providence
seulement pour les fautes flagrantes, mais Hachez l e tout très m e n u avec l e haLanriec
aussi et surtout pour les tentatives de choir. Ajoutez-y deux cuillerées à Q U I M P E R (Téléphone : 8-15)
bouche d e farine, deux œufs entiers
N o y é * . - Vendredi dernier, des pécheurs brutalité.
de coquillages ont trouvé à Pors-Gwinn,
Si tous les arbitres en faisaient autant, battus, d u sel, du poivre et de la pougrâce a u x tarifs réduits de
le cadavre de la veuve Rigous, née Marie le foot-ball y gagnerait beaucoup et serait dre des quatre épices, de façon à ce
Barzic, 55 ans, du bourg de Trégunc.
bien plus attirant.
que le tout soit très relevé.
On ne sait si la mort est accidentelle ou
J'ai dit que M. Clément a été pour une
Couvrez le fond d e votre terrine à
En Hordure de la R. N- ne Quimper à cnâîsaulin
s'il s'agit d'un suicide.
part, l'artisan de la correction de la par- pilté avec u n morceau d e crépinette,
tie, mais je serais impardonnable d'oublier étalez dessus u n e couche d e farce,
Sable lavé :
Langolen
le public.
puis quelques lardons, bien assaison- 5 et 10 francs le m 3 pris à la carrière
ESSAIS
GRATUITS
O a g r a n d m a r i a g e . — Le 25 septembre
Si l'année dernière il a eu sa part dans
nés
de
sel
et
d
e
poivre.
Puis
placez
dernier avait lieu le mariage de Mlle les incidents que l'on connaît, il faut dire
Gravier 1 0 / 3 5 :
Jeanne Bleuzcn, petite-fille de M. Jean que dimanche dernier il fut d'une sagesse une seconde couche de farce et d e lar- 37 f r . 50 l e m 3 pris à l a carrière.
Bleuzen, ancien maire, avec M. Jean Le exemplaire et je crois pouvoir ajouter que dons et ainsi d e suite j u s q u ' à ce q u e
Livraison p a r f e r e t camions
Pour vos T i m b r e s e n oaoutEtudes de M rs CROUAN etQUÉINNEC,
Gall, fils de M. Charles Le Gall, conseiller depuis bien longtemps j e n'avais vu un tout soit employé et en terminant p a r
e
e
h
o u e e t e n e n i v r e , adressez-vous
— S'adresser à la carrière —
avoués à Quimper, et de M COTTEN,
public aussi sportif et aussi impartial. une couche de farce.
municipal.
¿
/
'
I
m p r i m e r i e Bretonne d u « Citoyen ».
Une foule de parents et d'amis était venu Exception doit être faite naturellement de
Posez s u r le dessus des bandes de
Téléphone 1 5 - Quéménêven
notaire à Rosporden.
peu
nombreux
braillards
qui
ont
d'ailleurs
Travail
exécuté rapidement
et à des
de tous les environs apportar à ces deux
lard et des feuilles de laurier. Couvrez
nrix
modérés.
honorables familles leur témoignage de passé inaperçus.
avec le couvercle dont vous boucherez
Suivant acte reçu p a r M* B10U,
Pour mieux montrer l'impression que le tour avec un p e u de pilte pour q u e
sympathie, et rarement l'on vit dans notre
petit bourg une aflluence aussi considé- j'ai ressenti à Douarnenez, j e dirai q u e le p â t é g a r d e tout son f u m e t en cui- notaire à Pont-Croix, le 21 s e p t e m b r e
Sur Conversion de
Saisie-Immobilière
j'aimerai voir le public quimpérois être à
rable.
1935, enregistré à Pont-Croix le 27
sant
à
l'étouffé.
En l'Etude et p a r le ministère d e
400 personnes prirent part aux repas de la hauteur du public douarneuiste.
f^WiiPM
HUILE
coup AUTOS
Faites-le cuire au four p e n d a n t du m ô m e mois, folio 27, case 217,
0
Oft ÌTA*USSMM**n
Et l'équipe quimpéroise ? Elle a été
• .OLAZUa.
noces servis au Croissant, dans la vaste
M
COTTEN, notaire à Rosporden.
Mme
veuve
Guillaume
Peuziat,
n
é
e
DE
SMARA
IS FRÉRIS
1 h e u r e e t demie à 2 heures.
ta moins chèra dm
salle de M. Le Dû. où, malgré le grand battue Pourquoi ?
LE
JEUDI
10
OCTOBRE
1935
Marie-Lorette
Gloaguen,
commerçante
Attendez qu'il soit entièrement froid
Il y a une excuse tout de suite servie :
nombre des convives, le service se fit
à Trébeuzec, en Plouhinec. e t autres
(à 2 heures de l'après-midi)
pour le consommer.
d'une façon parfaite au milieu de la plus il manquait Le Houx et Corvest.
consorts Peuziat, ont attribué, à titre
Il
est
à
peu
près
certain
que
si
ces
deux
franche galté.
de p a r t a g e anticipé, à Mme AnneEn la commune de Tourch, a u lieu Etudes de M° LUCAS, avoué, 6, r u e
Le soir, une nombreuse et ravissante joueurs avaient pu jouer, le gain du match
R
e
n
s
e
i
g
n
e
m
e
n
t
s
utiles
Vis, à Q u i m p e r ; M8 MANIERE,
Marie
Peuziat,
épouse
d
e
M.
François
de Quillien-Névez.
jeunesse dansa avec entrain jusqu'à une était assuré.
notaire à Quimper ; M* MAHE,
Chavry, domiciliée audit lieu,
Mais pouvait-on en leur absence penser
heure très avancée de la nuit.
l o r lot : Une parcelle de terre sous
Sur la conservation des fruits
au
gain
de
la
partie?
commissaire-priseur à Q u i m p e r .
Un
fonds
d
e
commerce
d'épicerie
Tous DOS compliments aux familles Le
La sciure de bois, môme bien sèche, et débit de boissons avec les éléments labour, d'une contenance de 1 h a . 26 a.
Je crois que oui.
Gall et Bleuzen et aux jeunes époux nos
11 aurait sutli pour cela de laisser sur ne possède p a s les propriétés d e la corporels et incorporels, exploité p a r 60 ca., n o m m é e « Parc-ar-Groas-Rhu.
meilleurs vœux de bonheur.
Mise à prix : 4.500
francs.
la touche les joueurs fatigués et de faire p o u d r e de liège, qui joue le rôle d'iso- les consorts Peuziat audit lieu d e
Leuhan
2 e lot : Une parcelle de terre sous
quelques modifications en essayant de met- lant, par son inconductibilité, s o n i m p u sur baisse de mise à prix
Trébeuzec.
FA ta p a t r o n a l * . — La fête patronale tre chaque joueur ù sa place. On a cru trescibilité e t son imperméabilité. De
labour, d ' u n e contenance de 1 ha. 5 2 a . , En l'étude d e M* Manière e t p a r l e
Les oppositions, s'il y a lieu, seront
bien faire en gardant la môme équipe en plus, elle est inodore, ce qui n'est p a s
de Leuhan aura lieu les 6 et 7 octobre.
ministère d e M° Manière, notaire à
reçues
dans l e s dix j o u r s d e l a se- n o m m é e « Parc-ar-Melchen-Rhu ».
Au programme : Dimanche 6, course de remplaçant un joueur par un autre. C'est toujours observé avec la sciure d e bois ;
Mise à prix : 4.500
francs.
Quimper, et M e Mahé, commissaireconde
insertion,
en
l'Etude
d
e
M*
très
défendable,
mais
il
mon
avis
insuffibicyclettes, course d'hommes et nombreux
selon
sa
provenance,
celle-ci
est
plus
3°
lot
:
Une
propriété
rurale
c
o
m
priseur
à Quimper.
Riou, notaire, où domicile e?t é l u .
sant, et, c'est aussi l'avis de connaisseurs.
jeux.
ou
moins
astringente,
riche
en
tanin
p
r
e
n
a
n
t
maison
à
usage
d'habitation
;
Pour première insertion :
X«e L u n d i 7 O c t o b r e 1 9 3 S
Lundi 7, course de chevaux, course à Espérons q u e cette nouvelle leçon sera
et absorbe assez facilement l'humidité
petit h a n g a r , étable, droit au puits,
pied, course de bicyclettes, course d'eu- mieux comprise et quo pour aller à Angers
Signé
:
BIOU.
à 14 heures
:
dimanche prochain on aura une meilleure a m b a n t e . Enfin, si fines qu'en soient
jardin potager ; aire à battre e t d i fants, gavotte d'honneur, grand bal.
équipe.
les particules, elles ne le sont p a s au
verses parcelles de terre d'une conteDésignation d e s biens à vendre :
Carhaix
Tribunal de Commerce
Analysons rapidement le jeu de chaque m ê m e degré q u e cel es d e l a p o u d r e
nance de 8 ha. 57 a. 45 ca.
U n fonds de commeroe d e
de Quimper
de liège, lesquelles sont e x t r ê m e m e n t
A o o l d a a t «nortal. — Jeudi soir une a u - ligne :
Mise à prix : 35.000
francs.
c
a
f é , exploité à Q u i m p e r , 86, quai
Le
goal
Levaufre
a
fait
une
belle
partie,
to conduite par M. Pierre Martin, âgé de
ténues — on dit aussi poussière d e '
Pour tous renseignements, s'adres- de l'Odet, p a r Mme Renée Cochin e t
30 ans. voyageur de commerce à Auray, mais fut blessé par un énergumène, p r o - liège — e t p a r l à m ê m e elles s'opPar j u g e m e n t d u 20 s e p t e m b r e
e
a été tamponné par un train, à un passage bablement ivre, venu de la foule pour lui posent bien mieux q u e l a sciure d e 1935, M. Max Drillien, maroquinerie, ser à M Cotten, notaire à Rosporden, M. Elie Lory, son mari, d e m e u r a n t
flanquer un coup de pied dans les reins.
ensemble, 86, quai d e l'Odet, à Quim6 niveau, non loin de Maêl-Carhaix.
bois à la pénétration de l'air s u r l e s boulevard de Kerguélen, à Q u i m p e r , et à M' Le 13ihan, notaire à Coray.
per,
et le matériel e n d é p e n d a n t .
L'automobile f u t traînée sur une lon- Des deux buts aucun ne lui est imputable. fruits à conserver p a r ce procédé.
a été déclaré en liquidation judiciaire,
Les arriéres, surlout Philippe, empêgueur de 40 mètres,
Sur
la
mise à prix abaissé à 18.750 f r .
luge commissaire, M. Derrien ; liquiEtude d e M0 JAOUEN, notaire
Dans le choc, M. Martin f u t sérieuse- chèrent un désastre, surtout en predateur, M" Crouan, avoué.
Nota. — La marchandise sera prise
mière mi-temps.
ment blessé 6 la téte.
à Quimper.
p
a
r l ' a c q u é r e u r à dire d'expert, suiLes demis, quoique faibles, jouèrent
Transporté dans le coma 6 l'hôpital de
vant
l a valeur d e cette m a r c h a n d i s e
mieux
qu'au
match
précédent,
mais
la
e
Carhaix il y est mort dans la soirée.
Etudes de M * CROUAN et LENINIVIN,
l'orme manque, si ce n'est le vétéran Lili
au
j
o
u
r d e la prise d e possession par
tsO cours du blé libre
avoués à Quimper, et de Mc COTTEN,
Le Grand, toujours bel athlète et donnant
l'acquéreur.
Au mois de juillet, l e blé libre se
notaire à Hosporden.
aux jeunes un bol exemple.
PAR ADIlîDiCATlON VOLONTAIRE
A LUC \ S , avoué licencié.
b * a i l * k l ' a a a d a « D u n k e r q u e ». —
La ligne d'avants fut la plus mal montée, négociait aux environs d e 60 f r . le
I«e
Zjundi
8
1
Octobre
1
9
3
5
La cérémonie de la mise à l'eau du croi- avec Stéphnn au centre, Dréau inter et Le quintal. Actuellement, le blé libre se
à 14 heures
Etudes d e M " CROUAN e t LUCAS,
seur-cuirassé « Dunkerque » a eu lieu hier Bail aile. Il n'y eut, en première mi-temps, cote, rendu Paris, aux environs de 86 fr.
Au
m
a
r
c
h
é
de
Moulins,
on
a
traité
à
En
l'Etude
d
e
M
®
ROSPABÉ,
que
deux
Joueurs
en
action,
Hémon
et
avoués
à Quimper, et de M'QUÉINNEC,
mercredi, sous la présidence du Préfet
Sur Conversion de
Saisie-Immobilière
Biger. Celte ligne ne pouvait et ne put raison de 80 à 82 fr. en culture, la p i i notaire à Pont-l'Abbé.
maritime.
notaire à Plozévet, et en quatre lots
En l'Elude et p a r le ministère d e
ine de mouture, les frais de courtage,
C'est également le vice-amiral, comman- marquer.
En deux èine mi-temps, lorsque Dréau les transports étant payés p a r l'acqué- M" COTTEN, notaire à Rosporden.
Commune et b o u r g d e Ï P l o z é v e t
dant en chef, qui a fait, à la nouvelle
passa
au centre et que Stéphau reprit sa reur. Le cours d u blé entraîne celui
école navale, la visite de rentrée.
LE JEUDI 10 OCTOBRE 19.15
Route de Pont-l'Abbé
A u T h é â t r e m u n i c i p a l . — La tournée place d'inter, les descentes furent plus des céréales secondaires. L'Association.
En l ' E t u d e et p a r le ministère d e
U n grand jardin, clos de murs,
(à
2
heures
d
e
l'après-midi)
d» la «Revue du Concert Mayol •> sera au nombreuses, mais, ù ce moment, l'aile Générale d e s Producteurs de Blé, dans
p
r
o
p
r
e
à
la
construction
et
bien
situé
M®
QUÉINNEC, notaire à Pont-l'Abbé.
thé&tre municipal de Breit du vendredi 4 gauche était fatiguée et ce fut encore une une lettre adressée au Ministre de l'Apour
tout
commerce,
ayant
q
u
a
r
a
n
t
e
En
l
a
c
o
m
m
u
n
e
d
e
Tourch,
au
ligne boiteuse qui ne put m a ï q u e r .
LE MERCREDI
10 OCTOBRE 1935
griculture, insiste s u r l a nécessité d e
au mardi 8 octobre Inclus.
mètres de façade s u r la route précitée
village
d
e
Quillien-Névez.
Et
co
manque
d'équilibre
dans
In
ligne
(à
2
h
e
u
r
e
s
de
l'api ès-midi)
la
collaboration
de
toutes
les
profesTous les soirs représentations à 20 h. 45;
d'avants est en très grande partie respon- sions intéressées, pour résoudre l e
l° r lot : L a moitié, côté du levant, avec accès au midi s u r le chemin d e
dimanche 6 octobre, matiuée à 14 h. 4ô.
sable de la défaite.
-jie i a parcelle nommée « G o a r e m - a i - Kermao; d'une contenance de 31 arcs
En l a ville d e Pont-l'Abbé, place
problème du blé.
Le 8 Q. perd donc 2 points, mais rien
Pont », sous labour, d'une contenance 57 centiares.
de !a République, Une Propriété comn'est perdu si ceux qui ont la lourde
Faculté de modifier les lots.
p r e n a n t maison de commerce et d'habiLsa plantations arbustives de 1 h a . 50 a.
charge do ses destinées arrivent a tenir
Pour
tous renseignements s'adresser tation, ayant au rez-de-chaussée m a Mise
d
prix
:
S
000
francs.
Organe Hebdomadaire
compte du l'expérience acquise et à tirer
En octobre, époque favorable à l a
à l'étude d e M" Rospabé, notaire à gasin servant d e débit ; 2 salles à
dé Défense laïque et d'Action républicaine parti dos ressources en joueurs q u ' i l
2° lot ; La moitié, côté d u levant,
plantation
d e s arbustes à feuilles p e r paraissant le Jeadi
Plozévet.
m a n g e r , cuisine e t petit b u r e a u ; à
possède.
sistantes, p o u r l'ornementation d u jar« de l a parcelle n o m m é e « Goarem-arI m m m «1 « « p r i m a r i * i
Kervahut.
l'étage salle d e r e p a s ; 2 grande«
din, il convient d e p r é p a r e r les trous Pont », sous labour, d ' u n e contenance
7, Rut Elit-Frit-on - QUIMPER (Flnisttrc)
c h a m b r e s et grenier au-dessus ; cour,
de plantation, a p p o r t e r f u m i e r décom- de 1 h a . 50 a.
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cette cour : boxe, g r a n d hangar,
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pnbliquo, tjue les correspondants de j o u r 12 fr. »» naux ont, non seulement) un droit d'entrée
Kbitbt département«. , .
15 »» de faveur, mais que très souvent il leùr
est réservé Un emplacement spécial.
Anxeaoea )
Il étàitdOiinéauxdlriguanlsdel'L'. 8. D. P.
Judiciaires dtt autroa
la ligne, 2 fr. de manr(uer à cotte tradition.
Lorsque notre correspondant sportif se
Les anoondefl doivent Atf" adressées an
présenta à la porte d'entrée du terrain do
pins tard le mardi après-midi
1
9te«CroiX, où so jouait le match Si Q ( Pour tout renseignements, joindre un timbre ! U. S. D. P., il lui fut répondu qu'il y avait
tous lus corruepouUuutB de journaux à
ptur lu ripunti.
Ak«UMMll I
F i d i l e « ) et départements lituitfophes..•>,..<•<••»•«
la t e r r e u n e partie de sulfate d'ammo*
niaque, une partie de sulfate de potasse
et trois parties d e s u p r p h o s p h a t e d e
chaux, environ 2 kilos d u m é l a n g e p a r
Wètre cube de terre j étaler les racines
sur la terre m e u b l e et de manière qufl
les racines supérieures affleurent p r e s que la suface d u sol, ensuite, piétiner
la terre fortement, mais avec p r é c a u tion,
3 e lot ; Une propriété r u r a l e com»
p r e n a n t maison d'habitatitin | étable
et écurie j puits mitoyen i aire à
battre et diverses parcelles d e terre
d'une contenance de 8 ha. (il a. 4(1 ca.
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francs.
Pour tous renseignements, s'adresser à M" Cotten, notaire à Rosporden,
et à M" Le Bihan, notaire à Coray.
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LIGNE DE QUIMPBR A DOUARNBNBZ
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LIGNB DB ROSPORDEN A CONCARNBAU
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Rospordau
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« P»raholf » », poème» philoaophiqaas »,
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« L'Esp onne Miqaill'-e », r>man,
1 f ' . ; m P .nrElle», poômeoint mes, 15fr. ; « 9 a n a a u d « r g r a t a l t m n a a t
u A p»ys ce mes ancêtres », 15 fr., étades
0 p é < d a s a i et Natle« :
M1MW1 MU S1HKUMN CYKUtf nfr-ACnoMumnucum • i contes sur B;est et le Léon, a v e cinq
riors >e>xte, ate... — « Hortensias ». poèmns,
4 f . ^BQ ê n
P A Q S 8 (7°)
« Fieurs Caltiqaes », id., « PôUs », id.,
a
g r a n d i
4a CloUlda Bangaion-Carioa ; « La Chanen
luttant
son d ' E m e r s a l e », da Ragène Herpiu ;
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« Le livre couleur du tsmps » , de AnneMarie Herpin, etc...
l'union
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assurés d e trouver à l ' I m p r i m e r i e du St-Briauc
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Lescommuniquésetannoncesdoivent parvenir au journal/e mardi au plus tard
CLOCHE
les républicains et les libéraux, qui est désavoué formellement. Voici le
L'HYMNE NATIONAL
tomberaient involontairement ou par texte de ce communiqué :
surprise, dans les embuscades de ces
« Le Comité exécutif du parti agraire,
M pièges à loup.
attaché à la démocratie et à une
République rénovée dans l'honnêteté
et la justice ;
A Plogastel-Saint-Grermain,
par M. Charles Daniélou (1)
(« Confirme sa volonté de voir le
comme nous l'avons dit., la recette de Parti agraire rester strictement luila kermesse a été bonne.
même, c'est-à-dire attaché aux principes
M. Charles Daniélou fut à plusieurs Et c'est cette époque de sa vie qui l'a
.Mais le bal a obtenu un s u c c è s acceptés comme base de son action
Sous le règne des Bourbons, M" départ ; bientôt toutes les voix sélèvent
reprises le collaborateur de Briand, campé définitivement devant l'histoire. formidable. La vaste salle Le Pape- dans tous ses Congrès et, en particuCrémieux eut à défendre, des jeunes de concert pour en répéter le refrain.
dans les ministères qu'il forma.
Quiniou était pleine à craquer. Jamais, lier, celui de Clermont-Ferrand de gens accusés d'avoir chanté la Mar- On passe ensuite à d'autres hymnes de
Il fut également sou ami, ce qui ne
de mémoire d'homme, on ne vit une 1935;
seillaise.
liberté : qu'ils paraissent nobles, éleA une époque où le destin de la telle al'IIuence.
va pas toujours de pair, et, admis
« Proteste, en outre, avec énergie
vés, sublimes ! Le patriotisme s'éLa
chanter,
disait
l'avocat
du
roi,
comme tel dans son intimité, a su France se joue, où la Paix est dureL'opposition de la cure à l'école contre l'interprétation de ses intentions c'est vouloir la chute des Bourbons, chauffe, le cœur s'anime et se pasécouter et retenir ses propos sérieux ment menacée, le livre de M. Daniélou laïque respectueuse de toutes les quant au non-paiement des impôts et
rappelle la motion votée à l'unanimité de ce roi philosophe qui a doté notre sionne, l'âme s'élève, rien ne trouble
et ses boutades, photographier men- vient à point.
libertés, les manœuvres employées en
le
*2i mars 1935, à Clcrmont-Ferrand, pays de la charte constitutionnelle, cet enthousiasme. Toutes ces voix
talement ses aptitudes et ses gestes
Il permet de comparer ceux qui chaire, et, à Landudcc, Tanathène jeté
familiers.
nous guidaient jadis, et, ceux qui sur la danse pour le profit indirect du à savoir : « Nous entendons nous placer ancre inébranlable assurant dans le fortes et viriles, ce silence, ces lieux,
exclusivement sur le plan de la légalité. port le vaisseau de l'Etat si souvent cette liberté vantée, exaltée, cette
M. Daniélou remplit aujourd'hui un nous mènent aujourd'hui.
cinéma clérical, tout cela avait indis- Nous considérons la propagande qui battu par les plus affreuses tempêtes; présence des trois couleurs, tous ces
Briand était l'homme de la Société posé les braves gens du crû, jeunes pourrait être faite en laveur du refus
devoir envers son ancien « patron »
c'est vouloir la chute de ce monarque hommes dont la foi déborde, dont la
et aussi peut-être envers l'histoire en des Nations, la voix la plus écoutée et vieux, femmes et hommes.
concerté de l'impôt comme ayant un vénéré qui, selon l'expression d'un conviction accentue la parole et rend
livrant au public un grand nombre à Genève.
Aussi, cette pleine réussite du bal caractère révolutionnaire que les cir- orateur célèbre, offre au ciel toutes les vœux si fermes et si vibrants, tout
d'anecdotes qui doivent, selon lui,
Certes, il nous manque singulière- a été obtenue par pure réaction contre constances actuelles ne justifient en
ses vertus, en expiation de toutes nos cela forme une solennité touchante,
faire connaître « le vrai visage d'Aris- ment aujourd'hui.
aucune façon. Les paysans entendent,
l'intolérance cléricale.
une espèce de fête où l'espérance
erreurs I
tide Briand ».
La France ne peut être grande et
Il y avait, comme l'a dit déjà le pour faire triompher leurs revendica« Quoi, s'écriat-il, la Marseillaise, dresse l'autel, un culte où chacun
tions, se servir exclusivement de l'arme
11 arrive souvent que les historiens belle que si elle représente l'Idéalisme Citoyen, du salpêtre dans l'air.
apporte son corps pour sacrifice ! C'est
que le bulletin de vote leur fournit un chant séditieux !
*
ou anecdotiers se croient obligés de et la lustice. Nous n'avons plus, aux
beau
! C'est grand ! Puis vient la Pa«
La
Marseillaise
!
ce
chant
immortel,
périodiquement. »
•
corser la relation des événements aux- bords du Lac Léman, une grande voix
risienne,
dont on supprime quelques
au
bruit
duquel
nos
armées
républi« Toute autre version de la doctrine
Nous vivons à l'époque de la grande
quels ils ont assisté par l'éclat artifi- qui puisse exprimer notre ;\me et la
vers;
puis
la Marseillaise... Tout cela
caines
s'élancèrent
intrépides
au
deagraire
à
ce
sujet
constituerait
une
pénitence.
ciel du style ou par les détails vivants faire aimer et respecter du monde.
se chante gravement, du fond de l'âme,
manœuvre
politique
de
loyauté
contre
vant
de
la
mort,
de
la
gloire
;
qui,
l i e s chefs de la chouannerie
qu'ils inventent.
Nous retrouverons le souvenir du
dominant le bruit terrible de la mi- et tout le monde est à genoux. Quand
rurale,
marquis, comtes et vicomtes, le Parti agraire. »
Rien de pareil dans le véridique disparu dans les pages attrayantes et
traille, portait la terreur dans les l'hymne est fini, le porte-drapeau fait
procès-verbal que M. Daniélou a de lecture facile que la fidélité à ses ne manquent pas de tirer parti des
rangs ennemis ! La Marseillaise, der- le tour du cercle, chacun baise les
souffrances paysannes dans un but
dressé des faits et gestes de son amitiés a fait écrire à M. Daniélou.
nier cri du soldat français succombant trois couleurs, puis on se relève, le
purement politique.
illustre ami.
drapeau est reconduit avec la même
Albert. LE BAIL.
dans la noble lutte.
Pour troubler l'eau, afin de faire
C'est une rapsodie de récits généPour que le gibier ne le reconnaisse
« Le mot tyrannie, le mot roi ne cérémonie... »
bonne pêche le jour du vote, ils mul- pas. — C'est le caricaturiste IL P.
ralement brefs, contés avec simplicité.
Tous les assistants devaient, en effet,
tiplient et exagèrent les prétextes à Gassier qui la raconte sur la Cannebière s'adresse qu'à l'étranger, qu'aux rois
PASSEZ
VOTRE
La longue suite en pourrait sembler
coalisés contre la France. »
s'agenouiller
au moment voulu.
protestations.
monotone, n'était le vif intérêt que
à l'heure de l'apéritif :
Et,
comme
l'orateur
lit
et
commente
«
Geôliers,
porte-clefs, employés,
Ils conseillent franchement ou jésuisuscitent toujours les personnages qui
Marius fait l'ouverture, il va partir
les
strophes
de
la
Marseillaise,
le
directeur,
femmes
et enfants de directiquement
de
ne
pas
payer
les
impôts,
tout équipé ; mais en disant adieu à sa
ont joué un grand rôle, alors môme
A VOS AMIS
Président
lui
reproche
de
renouveler
teur
et
d'employés,
tout ce monde qui
en
soutenant
que
les
pauvres
paysans
femme, il s'écrie :
que leur peintre les saisit dans une
;
en
le
délit
poursuivi
par
l'accusation
nous
garde,
dit
Raspail,
se tient à la
sont
réduits
à
quia
et
n'en
peuvent
— l'ai oublié mes lunettes noires !
attitude familière.
dépit
de
cette
observation,
il
contigrille
avec
respect...
Les
inspecteurs
mais...
L
a
Politique
— Tes lunettes ? Pourquoi faire ?
Nul ne sera déçu en lisant cet ougénéraux ont m i s avec nous c h a p e a u
nue sa lecture.
Pourquoi,
dès
lors,
ne
pas
les
Marius,
regardant
avec
pitié
sa
vrage, même si espérant y trouver de
lin arrivant à la dernière strophe : bas et genoux à terre à ce verset :
alléger de la charge de l'école privée compagne, daigne expliquer :
|i 11
l'histoire, il y trouve des histoires.
Amour sacré de la Patrie
— Té ! pour que le gibier ne me
Amour sacré à la patrie
payante.
JSîUJJ
Clio ne déteste pas les histoires, à la
le
défenseur
mesure et adoucit le réreconnaisse
pas
!
Conduis, soutiens nos bras vengeurs !
C'est,
à
la
campagne,
une
économie
lumière desquelles son véritable relief
citatif qui prend dans sa bouche une
le
Finistère
d
a
n
s
de
6
francs
par
mois
et
par
enfant,
Ils
auraient eu l'air d'être là pour
apparaît parfois mieux.
sans compter les fournitures scolaires.
espionner s'ils n'avaient pas fait comLa bonne arme. — C'est sans doute intonation religieuse et grave.
Puis, soulevé de terre et transfiguré me tout le monde ».
Il n'y a pas de petites économies la présence des braconniers un peu
A u banquet quimpérois du
la flamme intérieure, M0 Crémieux
par
par
le
temps
qui
court.
partout
dans
les
chasses
de
France
qui
Cette foule de patriotes, enfermés
concours
de
l
a
race
pie-noire,
Bien décevant, du reste, est le médans les murs sombres d'une prison,
le Marquis de Fiers, maire de Lan- Les nobles el les cléricaux répon- explique la facilité avec laquelle on termine ainsi :
tier de l'historien.
peut errer toute une journée, fusil en
« Oui, Messieurs, oui, vous le sen- groupés religieusement autour du draUn philosophe a dit que l'individu drévarzee, a monté le chahut qui a dront que l'enseignement privé a pour main, carnier sur le dos, sans apercetez,
vous le comprenez comme moi, peau tricolore et clamant leur foi dans
objet
de
sauver
l'âme
des
enfants.
avait trois personnalités différentes : interrompu M. le président Lancien
voir
ni
plume,
ni
poil.
ce
cri
d'un cœur entraîné par une une ère de liberté, devait certainement
Quelle
blague,
pourraient
répondre
Celle qu'il montrait, celle qu'il croyait dans son discours. Ce dernier a ré— Par exemple ! s'étonnait une brûlante inspiration : Aux armes pour impressionner le personnel qui était
les
parents
des
enfants,
j'ai
passé
par
pondu
avec
beaucoup
de
présence
avoir et celle qu'il avait réellement.
jeune femme voyant partir son mari,
d'esprit et de sang-froid aux interrup- l'école laïque et je sens que je suis en un matin de septembre, tu vas à la la patrie ! Aux armes pour la liberté obligé, par ordre, d'assister à la céréCette dernière est bien difficile à
chérie ! Et voilà l'hymne que l'on monie. Il y avait aussi d'autres auditions et aux agaceries de la petite règle avec le bon Dieu et que mon es- chasse sans fusil maintenant ?
dégager et le chartiste pâlira vaineprohibe
comme excitant à la sédition ! teurs plus bénévoles et plus ardents.
bande qui l'entourait : les Divanach, prit est calme et apaisé, et mon cœur
— Je tue b'-aucoup plus de gibier
nement sur les textes les plus authen?
de Penhars, Poulhazan de Tréouzon, sain et ouvert à a compassion.
Et
ceux
qui, dans un repas qu'ani- C'étai nt, continue Raspail, « les petits
avec mon portefeuille ! expliqua le
tiques, s'il ne peut faire jaillir de son
Si mon fils était instruit à l'école mari, en souriaut.
Bigot, de l'office de Landerneau. etc...
mait la gaieté, mêlant à leur joie des mômes, que nous avons eu de la peine
cerveau l'étincelle divine de l'intuition.
»
souvenirs patriotiques, ont dit à l'écho à faire monter dans leurs dortoirs,
M. de Guébriant n'était pas là, mais laïque il serait ce que je suis moi» *
L'esprit de synthèse vaut mieux ici
même. Mon sang ne peut mentir.
de la salle où ils s'étaient réunis cette crainte de les compromettre avec
de
ses
lieutenants
s'y
trouvait.
un
*
Frais de chasse. — Yves Mirande,
que l'esprit d'analyse. Chaque pierre
leurs cerbères. Savez-vous où nous les
un jour qu'un ami se plaignait devant Marseillaise que vous connaissez main- retrouvons ? Aux premières loges,
de l'édifice peut être d'une matière et Dans la matinée, M. de Guébriant
tenant, ils sont coupables, ils ont méd'une taille parfaites, sans que pour avait visité le concours. Il n'était pas
Mes bons amis, si le curé veut con- lui des frais considérables occasionnés
perchés aux barreaux de leurs larges
rité les peines de la loi l
dans
la
salle
à
l'heure
des
toasts,
mais
une
saison
de
chasse
:
par
fisquer l'âme de vos enfants c'est par
cela l'ensemble soit d'un grand effet.
arceaux,
assis sur les épaules les uns
« Messieurs, vous direz avec moi :
sa pensée y était, en plein accord ambition et dans le but de conduire
— Permis... munitions... chiens...
On « bâtit » de môme la personnades
autres,
les bras et les jambes pasNon,
non,
plus
de
proscription
contre
avec celle des manifestants
plus tard vos enfants par le bout du tailleur... cordonnier... auberges... la
lité d'un homme. Celui qui a le talent
au
dehors...
Et les voix de ces
sant
ce
chant
immortel
!
Berçons,
berçons
chasse finit par être ruineuse.
M. de Guébriant pôre n'aurait ja- nez.
le plus grand, bâtit la personnalité
petits
croyants
se
joignaient
aux nôtres,
nos
enfants
avec
la
Marseillaise
;
—
Et
tu
ne
parles
pas,
fit
doucement
mais donné dans ce travers. 11 avait
Que les curés soient les maîtres au
la plus vraisemblable. Parce qu'elle
avec
autant
d'ensemble
que
si leurs
Mirande,
tu
ne
parles
pas
de
l'argent
apprenons
leur
ainsi
l'horreur
de
conservé les grandes traditions de sa presbytère et à l'église, rien de mieux.
plait à notre esprit, faut-il conclure à
cœurs
nous
comprenaient
déjà...
»
que tu laisses chez le marchand de l'étranger envahissant notre territoire,
maison.
Mais ils veulent commander à la gibier.
sa réalité ?
la bravoure indomptable contre l'enneLes murs de la prison n'arrivaient
M. de Guébriant, son fils, est un mairie.
*
• *
mi,
l'amour
sacré
de
la
patrie,
le
culte
pas
à étouffer les échos des chants répur chouan, intime de Dorgères et
L'Evêque, devenu l'égal du Préfet,
saint
de
la
liberté.
»
Dans la destinée de Clemenceau, ami de la Royauté.
volutionnaires
; ils se répercutaient
dirigerait le département, et le Pape
Le )ury déclara non coupables et jusqu'au dehors, et tous les républiCOtnme dans celle de Briand, les plus
11 a organisé un Office Central qui lui-même ferait de la République
les trois prévenus *furent acquittés.
grandes heures sont les dernières.
cains de Paris, qui le savaient, s'emest une véritable toile d'araignée française l'humble servante de l'Eglise
Nobles et Vilains
pressaient d'accourir chaque soir rue
L'un et l'autre peuvent être facile- étendue comme un filet sur tout le romaine.
de la Clef pour entendre le chant proment et durement discutés dans l'acti- Finistère avec emprise contagieuse
Autrefois, la noblesse dans les EtatsVous voulez être maître chez-vous.
En 1793, ou entendait chaque soir à hibé. Aussi la police s'ingénia-t-elle à
Généraux
forçait
le
Tiers-Etat
à
parler
vité politique qui marqua leur jeunesse sur les départements voisins.
C'est pour cela qu'a été inventé le
la Conciergerie des romances et des faire dégénérer la Prière du soir en
et leur âge mûr. On peut reprocher
Tous les leviers de commande sont proverbe : « Faites entrer dans votre à genoux.
airs patriotiques, ce qu'on appelait une cérémonie séditieuse, qu'elle aurait
Richelieu écrivait alors :
au premier sabrutalité souvent injuste, centralisés entre ses mains. Pour faire maison le plus de religion possible et
faire l'office, et cet office était l'office eu toute facilité pour interdire.
« Si les peuples étaient trop à leur
au second, sa souplesse trop habile illusion au public, il a admis dans le moins possible de religieux (de
des
morts.
aise, il serait impossible de les contenir
et son scepticisme. A l'heure de la son comité directeur trois républi- curés).
La police tenta par tous les moyens,
Chez
nous, dit Raspail, dans ses
dans les règles de leur devoir... Il faut
vieillesse, ils furent incontestablement cains empruntés aux arrondissements
même
en utilisant des moutons qui
Comme pères de famille, vous devez
Lettres sur les prisons ' de Paris, cela
très grands, le premier dans la Guerre, de Morlaix, Châteaulin et Quimperlé. seul décider de l'avenir de vos enfants. les comparer aux mulets, qui, étant
chantaient d'autres airs révolutionaccoutumés à la charge, se gâtent par s'appelait la Prière du soir. En 1831,
le second dans la Paix.
Comme citoyens, vous devez écarter un long repos plus que par le travail », les enfants moralement abandonnés naires, à enrayer ce mouvement, sans
Ils ne pèsent pas plus que trois
toutefois y réussir, et les républicains
de votre cou le collier de cuir et la
Deux phrases les résument. l'étais clous de girofle dans le pot-au-feu.
étaient enfermés, au nombre de 250
*
chaîne d'acier dont voudrait l'encerentassés à Sainte-Pélagie purent alors
à la Chambre, permissionnaire du
environ à Sainte-Pélagie et les prison• »
cler le presbytère.
continuer comme par le passé la Prière
front, lorsque Clemenceau, résumant
niers avaient entrepris de les éduquer.
Il est temps que la cléricaillc domidu soir.
sa politique, dit son fameux « Je fais
M. de Guébriant est piqué de la
Dès qu'ils avaient gagné le dortoir,
la guerre t »
tarentule politique. On l'a bien vu natrice et insolente rentre dans ^TK
Il y avait parmi eux : Blanqui et
Es-tu contrarié d'être mal bà i, la cérémonie commençait et elle préAux obsèques d'Aristide Briand, je récemment à Landerneau, quand il la poussière.
laisse-toi attraper... — et tu seras re- cédait immédiatement l'heure de ver- Raspail (1).
fait.
marchais, mêlé à la foule des anciens faisait, lors d'une manifestation laïque,
rous.
*
combattants républicains, derrière une des cours neutres de l'Office un im* *
Le 13 octobre 1868 vers minuit et
« L'usage de la prière du soir,
pancarte, où était inscrite la phrase mense parc destiné à recevoir les
Le charme, — dans tous les mondes raconte Armand Marrast, s'introduisit demi, une vingtaine de jeunes gens
orgueilleuse et sublime du disparu : camions des émeutiers de droite.
attire.
à Sainte-Pélagie aussitôt après la Révo- parmi lesquels quelques femmes, des« Tant que je serai là, il n'y aura plus
M. de Fiers qui nourrit des ambitions
Le charme, quand on l'émonde, lution de juillet. A la tombée du jour, cendaient la rue des Trois-Colonnes en
de guerre< »
repousse.
politiques est un des affidés de M. de
les prolétaires détachent respectueu- chantant la Marseillaise. Des sergents
Aux dernières années de sa vie, Guébriant,
44
sement le drapeau tricolore, l'accom» de ville surviennent et leur font obserflriand, si peu mystique jusque là,
A noter une fois de plus que ceux
Le Président du Tribunal. — Mada- pagnent dans la cour et se placent en ver qu'ils aient à cesser leur chant et
Sentit renaître en lui l'idéalisme pro- qui prêchent la révolte aux paysans
me êtes-vous mariée 7
cercle autour de lui. Tous les républi- à ne pas continuer à troubler ainsi le
contre la Crève des Contribuâmes
fond de sa race celtique^
La dame (avec hésitation). — Oui, cains descendent, réunis par la religion repos public. Le chant cesse aussitôt,
qui triment et peinent dans le sillon,
Monsieur.
Devant l'horreur des égorgements sont des aristocrates aux mains blande l'égalité et venant avec joie lui mais il est bientôt repris.
On ne saurait attacher trop d'imUne voix; — Non.
filturs, il cria ; « Arrière les canons> les ches et aux ongles roses. Leur cou, de portance au communiqué que fait
rendre hommage, tous placés au haCette fois, injonction de la part des
Le Président à la dame. — Il faut sard, s'animant au souvenir d'un autre
la blancheur du lait, n'a jamais connu publier le Parti agraire» 11 justifie
fusils l n
agents et menace d'arrêter les contre11 fut l'apôtre passionné de la Paix. le hâle ni les rides du travail asser- toutes les campagnes que nous avons s'entendre j est^-ce oui ou non ?
temps et répétant en chœur, les inspi- venants, ce à quoi le prévenu Chas«
Un défenseur officieux. — Madame
vissant.
menées Ici contre les agitateurs pour
rations de nos poètes révolutionnaires.
Ceux-là so déshonoreraient, parmi la vraie paysannerie. M. Dorgères y s'en rapporte à la sagesse du Tribunal. Un des assistants entonne le Chant du
(1) Un vol., Figuière : 12 fr.
(1) Le Tempt du 21 juillet 1915,
" LE veti VISAGE DA
' RISTIDE EMANI)
*
*
La c( Marseillaise »
•
à Sainte-Pélagie et devant les Tribunaux
*
journal le Citoyen
•
*
»
AU TEMPS JADIS
*
*
Drôleries
*
M. Dorgères
On Important ordre du jour
»
LE
CITOYEN
saing répond que les agents ne connaissent pas leur service, que la Marseillaise se vend deux sous dans tontes
les rues et qu'il y a le droit de la
chanter. Sur cette réponse les agents
se mettent en devoir d'arrêter les plus
récalcitrants, niais ils sont aussitôt
entourés par une bande compacte dans
laquelle se trouvaient les prévenus,
et qui, sans frapper les agents, cherchaient à leur arracher les prisonniers
qu'ils voulaient conduire au poste.
M. l'avocat impérial Aulois, après
avoir requis l'application de la loi
contre les prévenus sur les deux chefs
de rébellion et d'outrage aux agents,
arrivant au délit de cris séditieux, a
ajouté :
« La Marseillaise
est tantôt un
chant patriotique, tantôt un chant révolutionnaire ; Elle a été chantée
dans des occasions sublimes, elle peut
l'être dans des occasions ridicules ou
hostiles à la paix publique. le laisse
au Tribunal à apprécier dans quelles
circontances ce chant s'est fait entendre dans la rue des Trois-Colonnes
pendant la nuit du 13 octobre, et sur
cette appréciation j e m'en rapporte
entièrement à sa prudence. »
Le tribunal a décidé que, attendu
qu'il n'est pas établi que, dans les circonstances où il s'est produit, le chant
de la Marseillaise eût un caractère séditieux, a renvoyé tous les prévenus
sur ce chel ; et sur les autres en a
condamné cinq à des peines variant
de un mois à quinze jours de prison.
(A suivre).
Georges LE BAIL
POUR VOS IMPRIMuS
par la C. G. T. ? le ne crois pas me
Personnellement, j e crois à la néRÉPUSLZ0AZNS !
tromper en disant que ce plan n'existe cessité d'une réforme monétaire hardie,
adressez-vous à
Vous ne trouverez
pas le Citoyen
pas encore.
le pense que la crise prendra fin le
t
'
X
m
n
r
i
n
c
rio d « « OMny«* »
journvix
M. Albert Le Bail, député, a reçu la chez tous les dépositaire-! de
Dans des entretiens qui ont eu lieu jour où les moyens de paiement seront
7, B a i Elis-FiiroB, Qnlapsr
lettre suivante do M. le Ministre de la du département, mais vous le trouverez
entre représentants des partis de gau- portés au niveau des moye-s de proMarine Marchande :
lûrement chez vous en vous abonnant.
che, les communistes se sont montrés; duction. En attendant cette réforme
fVoirbuJloUn d'abotinemcut en icT>a.re1
Monsieur le Député et cher Collègue,
particulièrement fermes sur un point : d'ensemble, j e suis partisan d'un type
Vous avez bien voulu, à différentes r e ils veulent que le Front Populaire suit d'emprunt nouveau, de Bons de la
A l'Airodromsda Qnimper-PIagnffan.
le gardien intraitable du franc ; il re- Défense Economique à faible intérêt, prises, appeler mon attention sur l'intérêt
— La Fédération aéronautique de France
qu'il
y
aurait
à
ce
q
u
e
la
consommation
poussent, avec autant de véhémence ayant valeur libératoire. Mais mon
organise à nouveau celte année un tour
des conserves de poissons soit développée
que M. Germain-Martin lui-môme, la avis personnel a, en l'espèce, peu
de France des avions prototypes 1935, afin
dans les différentes collectivités publiques.
dévaluai ion, l'alignement des mon- d'inféré'. Ce «pi importe, c'est que
d e : 1* soutenir 1 aviation dans toutes les
J'ai la satisfaction de vous faire connaîConseil Général
naies et ce qu'ils appellent les « mani- les techniciens de franche se mettent tre q u e M. le Ministre de la Guerre vient,
régions où elle a commencé à se développer
Le Conseil général du Finistère se r é u pulations monétaires ». Mais, cela dit., d'accord sur un moyen quelconque — de m'inl'ormer q u e son département a
grâce à d'heureuses et fécondes initiatives ;
nira en session extraordinaire lundi p r o 2° m a r q u e r aux collectivités et aux autorique proposent-ils ? De combler le dé- orthodoxe ou non, — capable d'assu- procédé, en 1935, à l'achat do 5.450 qx. m.
chain 14 octobre, à 14 h. 30. à l'hôtel de la
ficit budgétaire en faisant payer les rer, pendant un an, les fins de mois' de conserves françaises de sardines. Par Préfecture, à Quimper, pour l'importante tés locales l'étendue et l'importance de
riches et de lancer en même temps un et de financer les grands travaux.
ailleurs, M. Jean Fahry m'a signalé qu'il question de la réorganisation des nouveaux leur devoir à l'égard de ces mêmes collecvenait de rendre obligatoire la consomma- transports en commun dans le départe- tivités ; 3° intéresser le grand public aux
grand emprunt de restauration éconoConclusion pratique ?
dernières nouveautés de la technique.
mique.
Le Comité de rassemblement du 14- tion de conserves de sardines, à raison de ment.
Le tour de cette année a une importance
0 kg. 350 par homme et par mois.
Les deux idées sont excellentes, Juillet s'est saisi de la question du
unique en raison de la participation des
Cotte décision aura pour conséquence
Use rô'e des Assises
mais sont-elles il la mesure des circons- programme financier des Gauches. Il d'entraîner des achats très supérieurs à
appareils les plus variés et les plus défireprend
bravement
la
tâche
que
quelVoici
le rôle de la 4" session des assises nitifs.
tances présentes ? Il est malheureuseceux pratiqués au cours des années pasques uns d'entre nous avaient tentée sées. Elle aura donc une répercussion du Finistère, s'ouvraut à Quimper, lundi
ment permis d'en douter.
La Fédération aéronautique de France,
pour appuyer de son mieux l'effort de
Supposons qu'un gouvernement de et n'avaient pu mener à bien. Notre heureuso sur la situation de l'industrie prochain 14 octobre, à 13 heures.
Lundi 14 octobre : Jean-François Mazé, propagande q u e l'Aéro-Club de Quimper
Front Populaire arrive au pouvoir. Il devoir à tous e*t de le seconder de française do la conserve de poissons.
cultivateur
à Plouider, incendie volon- et de Cornouaille n'a cessé de faire dans
abroge les derniers décrets-lois. Il lui notre mieux. Car il rie s'agit pas, à
taire
;
5
témoins
; ministère public, M. sa zone d'action, a pris ses dispositions
faut donc trouver tout de suite quatre l'heure présente, de parler d'une
Magnan de Bornier, subtitut ; défenseur, pour q u e le tour des avions prototypes
refonte générale de ¡a société, chose
milliards de ressources nouvelles.
M0 Le Gali, de Quimper.
séjourne le plus longtemps possible en
Ce n'est pas tout. L'équilibre actuel facile. Il s'agit d'apporter les moyens
Mardi 15 : Marie-Jeanne Bilien, femme notre ville.
MM. Albert Le Bail, Perrot, Cadoret, Vigouroux, cultivatrice à Tréoifat, infann'est pas un équilibre réel, puisqu'il d ' a s s u r e r les paieim nls d e l'Etat p e n Le tour arrivera à Quimper le samedi 19
est constamment menacé par les moins- dant un an et do financer, pour une Pouchus et Mazé, députés, ont reçu de ticide et suppression d'enfant ; 3 témoins ; octobre, à 16 heures.
valurs dans le rendement des impôts, période de trois ou cinq ans, des tra- M. le Ministre de l'Agriculture la lettre ministère public, M. Jacq, substitut ; d é Un banquet par f-ouscription sera o r g a fenseur, Me Jadé, de Quimper.
moins-values qui vont s'aggraver par vaux assez importants pour ranimer suivaute :
er
nisé
par la Chambre de Commerce en
Paris, le 1 octobre 1935.
Mardi 15 : Joseph Vigouroux, ouvrier I honneur de tous les participants à la
l'effet même des décrets. Autre som- l'économie.
Monsieur le Député et cher Collègue,
agricole à Poullan, attentat à la pudeur ; caravane.
me à trouver.
Faire une réponse technique à ces
Vous avez bien voulu intervenir de ma- 3 témoins ; ministère public, M. Jacq,
La visite des appareils aura li'!u à l'aéroCe n'est pas tout encore. Un gouver- problèmes techniques, voilà la vraie nière très pr'-ssan.te auprès de moi pour
c
nement de Front Populaire devra sans façon de lutter ronlre le fascisme et que la quantité rie blé allouée par p e r - substitut; défenseur, M Jadé, de Quimper. drome de Quimper-Pluguflan, le dimanche
sonne et par an au bénéfice rit; l'exonéraMercredi 16 : Jean Calvez. docker à matin de 9 heures à 12 heures.
aucun retard, donner des secours, en de souterir la démocratie. Mais l'heure tion rie la taxe à la production pour la
Brest, attentat à la pudeur ; 7 témoins ;
L'entrée est gratuite.
vue de l'hiver, aux familles des chô- presse. Nous avons fait, serment de consommation familiale soit portée de 2 à ministère public, M. Magnan de Bornier,
Un parc à autos avec stationnement
3
quintaux
dans
votre
département.
meurs et prévoir des crédits importants rester unis : le peuple qui souffre
J'ai l'honneur de vous faire connaître substitut ; défenseur, M" Le Louet, de obligatoire fonctionnera.
pour soutenir le cours du blé. Autre attend impatiemment qu'à cette gran- qu'à
la suite d'une intervention de ma part, Brest.
Un vin d'honneur sera offert à midi,
somme à trouver.
de parole succèdent de grands actes M. Marcel Régnier a bien voulu procéder
Jeudi 17 : Jean Madec, cultivateur à sous les auspices de la Chambre de Comil un examen rie la question, et contresi- Commana. assassinat ; 13 témoins ; miAlbert BAY ET.
C'est être modéré que d'évaluer la
merce et de l'Aéro-Club de Quimper, aux
gner. d'accorri avec moi, le, décret du
M. Jacq. substitut ; défen- autorités et aux aviateurs.
somme totale à six ou sept milliards.
3 septembre 1935 dont le dispositif donne nistère public,
seur, Me Latouche, de Morlaix.
et l e
satisfaction il votre demande.
Le départ des prototypes pour VannesSuffira-t-il, pour se les procurer, de
Vendredi 18 et samedi 19 octobre : Henri La Baule aura lieu dimanche 20 octobre, à
faire payer les riches ? Le plan qu'il
Le Gali, ancien employé de Préfecture, à 14 heures.
m'a été donné de connaître prévoit un
Quimper, assassinat; 25 témoins ; minisSans aucun doute le public se rendra
prélèvement immédiat sur les béni fit r e public, M. Chauvin, procureur de la très nombreux à cette grande et unique
A
Le sort en est jet . La guerre a
ces des trusts, la suppression de la
République ; d é f e n s e u r , Me J a d é , de manifestation, et nous avons la conviction
Viennent de paraître :
A quelle condition le parti radical fraude par l'institution du carnet de éclaté en Ethiopie. Les hostilités ont Aa O a l e d (Le Foyer), 4" trimestre 1935. le Quimper.
que le nouvel aérodrome de Quimpertentera-t-il la grande expérience d'un coupons, et une aggravation de l'impôt commencé. Elles ont été ouvertes par
numéro 7 fr. 50. L'abounement pour 1936
Pluguffan sortira tout à son honneur de
sur le revenu pour les revenus supé- les Maliens qui sont entrés en terrigouvernement de front populaire ?
(prix : i.'8 francs) devra être sousciit
M.
Dorgéres
ehex
nous.
l'épreuve nouvelle q u i lui est réservée.
toire éthiopien à l'ouest de la mon
avant le 1 er novembre. Pour tous renseiLa réponse tient en un mot : à la rieurs à quatre-vingt mille francs.
M. Dorgères, l'agitateur bien connu de
S o o i é t * d ' H o r t i o u l t n r a mt dm S y l v i gnements,
s'adresser à M. Juflrennou
tagne
de
Moussa-Ali
qui
se
trouve
à
condition que les militants lui indil'approuve, est-il besoin d« le dire,
la chouannerie, vient de faire des réunions c u l t u r e .
La Société d'Horticulture se
(barde Tuldir) à Carhaix (.Finistère).
proximité
des
frontières
dcl'E'hiopie,
quent le moyen de faire face aux toutes ces mesures, et je ne doute pas
dans le Sud-Finistère, le samedi soir 5 oc- réunira dimanche 13 octobre, à 10 heures
tobre. dans le< établissements de l'Office précises, à Oiet-Palace.
échéances de tins de mois.
que le parti radical ne les approuve de l'Eryîhrée et de la Somalie française. Soutenues par d"s tai ks et de Xnoompàtanco o n T r a h i s o n ? P.ir Gcor- Agricole de Saint-Julien, à Quimper ;
Sur tout le reste, pas de difficulté. unanimement.
Il est rappelé que toutes les séances de la
gps Hebière (Editions René D bresse, dans la journée de dimanche : à 8 heures,
Il y a des trusts, ou groupements nombreux avions, les troupes italienLes radicaux sont résolus à désarmer
Société sont pnb : ique8 et qu'il n'est pas
:-8, r u e de l'Université). En librairie :
à Cléden-Cap-Sizun ; à 10 heures, à Poul- nécessaire d'être membre adhérent pour
les ligues factieuses. Ils sont résolus à d'intérêts, tels les Assurances et nes ont rapidement progressé et s>1 vol., 5 francs.
lan ; à 14 heures, à Landrévarzec ; à y assister.
sont,
emparées
vendredi
de
la
ville
C'est,
un
ouvrage
impartial
qui
se
borne
briser la souveraineté usurpée des l'Electricité, qui regorgent d'argent
h étudier les événements en laissant au 17 heures, à Rosporden.
Ordre du j o u r : Rapport s u r l'exposition
« deux cents familles » dénoncées par au point de pouvoir « arroser » la d'Adigrat.
On ne sig iale aucun incident sérieux.
de la Société d'Horticulture de Lorient ;
Les Ethiopiens qui, ju-que là, n'a- lecteur le soin de conclure.
Daladier. Ils sont résolus à mettre fin grande presse et subventionner les
r >*±innnnrf ivr r - n m m m : m ,
Causerie de M. Damalix, secrétaire: « Com• »
au scandaleux privilège de la Banque ligues factieuses : il est normal que vaient guère opposé qu'une légère
ment sont soignés les arbres fruitiers aux
Xio
D
i
e
u
.
Roman
d'aujourd'hui,
par
Raoul
de France. Mais avant de se lancer la Nation leur reprenne les sommes résistance aux agresseurs, se sont par
R'ihour. Un volume, de 256 pages. Prix :
Etats-Unis » ; film : « Production des
dans l'action, ils veulent être sûrs de qu'ils affectent à des entreprises de la suite défendus avec acharnement
12 francs. En vente chez tous les libraipommes au Canada ; tombola.
et ce n'est qu'après uu sanglant compouvoir, quand viendra le 30 du mois, corruption ou de guerre civile.
res et chez l'éditeur : R> né Debresse,
remplace avantageusement
A l a « Q u i m p é r o i s a ». — La réunion
38, r u e de 1 Université à Paris.
De même, la fraude des « gros » bat que les Italiens ont pu, dans la
assurer les paiements de l'Etat
le Charbon ou l'Anthracite
Un
amour
légal
serait-il
parfois,
après
du
comité de la société de gymnastique la
D'autres, qui n'ont pas exercé le pou- est un scandale particulièrement into- journée de dimanche, prendre la ville
et convient à tous les appareils
onze ans d'étreintes, plus fort que l'amour
« Quimpi^roise » se tiendra ce soir, jeudi
d'Adoua.
voir, sentent peut-être moins vivement lérable à l'heure où l'impôt pèse de
f if al, l'amour-péché ? Voilà la question
10 octobre, à 20 h. 30, à la Mairie.
EMPLOYEZ
La bataille n'a d'ailleurs fait gnè e posée par Raoul Bebour, lauréat du Miniscette nécessité. 11 est, dans nos partis tout son poids sur les salariés, les
que
commencer
et
on
peut
prévoir
A n T h ô â t r » . — Tournées Ch. Barel. —
tère de l'Education Nationale, chevalier
de gauche, des gens, d'ailleurs fort bien petits commerçants, les fonctionnaires,
de
la
Légion
d'honneur,
l'auteur
apprécié
C'est
samedi prochain 12octobre, à 20h. 30,
qu'une
résistance
de
plus
en
plus
intentionnés, qui disent: « Qu'on preune les petits agriculteurs. Le carnet de
des Cloches Païennes, de Farandole des
au
Théâtre
municipal, q u e les Tournées
énergique
sera
opposée
aux
Italiens
d'abord le pouvoir ! Ensuite, on se dé- coupons est donc une mesure de
Soirs Dorés, du Chant des Nations.
Ch. Baret viendront donner « La Belle
dans
les
régions
montagneuses
bien
brouillera ». le suis, pour ma part, stricte équité, et si les voleurs tentent
et vous réaliserez de sérieuses économies Bordelaise » ou « Troches et Cie de Borirréductiblement hostile à cette con- d'y répondre par l'émigration des aménagées pour la défense par les
deaux • , la fameuse pièce de M. Rullier,
(au moins 3 0 %)
ception, et je ne crois pas me tromper capitaux, un gouvernement un peu troupes du Négus.
qu'un procès c-'lèbre avait empéché plus
Adressez
vos
commandes
et
renseiP
u
U
H
q
u
s
i
La tension anglo-ilalienne semble
en disant que cette hostilité est com- énergique peut facilement mettre fin
tôt de représenter.
gnez-vous à l'Usine ou aux Bureaux
e
n
t
r e - t e m p s plutôt s'apaiser. D'un
à
cette
œuvre
de
trahison.
mune à tous les chefs radicaux.
C'est un éclat de rire q u i a duré six
ie
— Agent de poursuites. — Concours ouEnfin il est certainement plus nor- côté comme de l'autre, on hésite à vert en novembre 1935. Age : 25 à 30 ans de la Société LEBON & G à :
D'où viennent, en effet, les échecs
mois au Théâtre de la Renaissance e t l'auQuimper (tél. 0-79).
teur, M. Gaston Rullier, jouait sa pièce
du parti radical dans le passé proche ? mal d'aggraver les impôts des Français prendre la responsabilité de l'atroce au 1" janvier 1935. Traitement de début :
Pont-l'Abbé (tél. 0-15).
comme un grand acteur q u e l'on compara
qui gagnent plus de cent mille francs chose qni ferait dégénérer ce malheu- 11.500 trancs plus indemnités. Aucun diDe n'avoir p a s eu un plan financier.
Rosporden (tél. 0-61).
à Raimu ; les artistes q u i l'accompagnent
En 1924, le peuple a porté Herriot que de faire supporter le poids de la reux conflit, colonial en une vaste et plôme exigé.
f u r e n t les personnages eux-mêmes !
Elève Météorologiste à l'Olïice NatioQuimperlé (tél. 1-53).
au pouvoir, parce que les folies et les crise à ceux qui gagnent moins de terrible conll igration européenne,
Elle peut être vue par tous et tous vienAudierne (tél. 61).
A Genève on continue toujours nal Météorologique. — Date : 4 décembre
gaspillages du Bloc National dégoû- quinze mille francs.
1935. Délai d'inscription : 4 novembre 1935.
dront
s'y amuser.
Gonoarneau (tél. 24).
C'est dire que tous les radicaux cependant à se montrer très préoc- Avoir satisfait loi recrutement. Age : 21 à
taient la France. Herriot a eu, dès le
er
Douarnencz
(tél.
1-71).
M a a t i n g publio. — Demain, vendredi
premier jour, la claire et ferme volon- approuveront sans difficulté les me- cupé de la tournure que pourraient 30 ans au 1 janvier 1935. Traitement de
II octobre, à 20 h. 30, au Gymnase munité d'en finir avec les gabegies et de sures destinées à « faire payer les prendre les événements. L'assemblée début 11.500 francs plus indemnités. Baccipal, grand meeting public contre la
mettre de l'ordre dans les finances. riches ». Mais ces mesures suffiront- de la Société des Natious se Irouve calauréat ou diplôme équivalent exigé.
Guerre, organisé par le comité local de
Rédacteur
et
rédactrice
ù
l'Adminisactuellement
réunie.
Mais aucun plan n'était prêt, et, les elles à combler le déficit ? C'est une
tration générale de l'Assistance publique
Quimper du Front populaire.
Que
va-t-il
sortir
de
ses
délibéraévénements allant plus vite que les autre affaire.
à Paris. — Date : 19 février 1936. Délai
Outre que la plupart d'entre elles tions ?
études de M. Clémentel et de ses serd'inscription : 8 février. Candidats mascuO U * » « O r f a t - P a l a o a (Direction L. Le
lins : avoir satisfait loi recrutement. Age :
vices, on est allé droit à la crise de ne produiront d'effet qu'au bout d'un
Bourhis).
— De ce j o u r au lundi 14 octo20
à
30
ans,
plus
services
militaires
actifs.
an, rien, absolument rien, ne permet
1926.
Traitement de début : 14.000 francs plus
bre : actualités parlantes et sonores, un o u
M
.
Q
I
i
A
S
B
R
.
44,
Bd
Sébaslopol,
En 1932, même aventure, la valse des d'assurer qu'elles rapporteraient six
indemnités. Licence ou diplôme équivalent
deux films intéressants et le grand film :
— PARIS —
milliards de Chéron, sous la direction à sept milliards ; des techniciens de
exigé.
« Le Cooite Obligado ».
Fournisseur
des
Assurances
Sociales
P o n r la c h a u f f a g e o s a t r a l , rlon n'osi
de M. Tardieu, a assuré le triomphe des gauche parlent d'une somme allant
— Chefs de Travaux dans les Ecoles
des Sociétés de Secours Mutuels
•
n
a s i p r o p r e , a n s a i s i n t p l s , a u s a i p r a - pratiques de Commerce et d'Industrie. —
d'un
milliard
et
demi
à
deux
milliards.
gauches. Mais, quand Herriot, puis
des Grandes Administrations
tiqua, q u a la G A Z .
Z<e d o o t a n r MAX<Z<OXSBI< a repris
Date : 23 novembre 1935. Délai d'inscripBoncour, puis Daladier ont pris le Autant dire que le problème budgéJ
E
S U S GL'ÊHI. — C'est rarnrnutlon de
E t u d e s e t d e v i s g r a t u i t a p a r l a S o - tion : 1 " novembre. Ago : 25 à 35 ans plus
ses consultations.
toutes les personnes atteintes de bernles qui
pouvoir, ils se sont trouvés nez à nez taire n'est pas résolu.
olAtA L E B O N A C - .
ont porté le nouvel appareil sans ressort de
services antérieurs admissibles pour la
l'ajouterai, s'il m'est permis d'exavec des caisses vides et des échéanM
fil
ACCD
Uiand S p é c i a l i s t e d retraite. Limite a b s o l u e ; 40 ans. Traite„ • ULHoCn PARIS. 4 4 . Bd SÊBASTOPOL
B t a t - o i v l l d u !•«- a n 9 O o t o b r a 1 « M ,
ment de base : 16 000 francs plus indemnices chargées. Que faire ? On a bien, primer une opinion personnelle, qu'il
En adoptant cea nouveaux upparells, dont
l'action bienfaisante se réalise sans gSne,
tés. Conditions exigées : 5 ans de pratique
—
Naissances : Françoise Guirriec, r u e d u
alors, proposé des mesures qui, à lon- ne pourra être résolu aussi longtemps
sans «oui traaeea ni Interruption de travail,
industrielle pour les ouvrier» et contreles karmlca les plus volumineuse* et l«s
Moulin-aux-Couleurs ; Monique Signor,
gue échéance, auraient peut-être rap- que durera la crise : car le déficit
plus r e b e l l e s diminuent Instantanément d«
maîtres, et 3 ans pour les anciens élèves
1 bis, place Locronan ; Marcel Le Gac, 45,
volume et disparaissent p e u à p e u c o m n l è porté de l'argent. Mais c'était sur le budgétaire n'est qu'un effet du marasIentent.
des
Arts
et
Métiers.
M. Albert Le Rail, député, a reçu de M.
rue de la Providence ; Louise Lavarec, 60,
.
Devant
de
tels
résultats
garantis
toujourspar
champ, c'était dans les quinze jours me des aflaires.
— Administrateur de 1 " classe de l'Insécrit, tous c e u t atteints de bernie doivent s'alo Ministre des Travaux publics la lettre
rue de la Providence.
dresser sans retard à M G L A S E R oui leurfera
qu'il fallait se procurer les sommes
— lustement, nousdit-on,les grands suivante :
cription maritime. — Date : 15 novembre
vratultement l'essai de ses appareils di 9 à 41. à
Publications de mariages : Jean Quintin,
1935. — Délai d'inscription : 30 octobre.
nécessaires au paiement des rentiers, travaux permettront de mettre fin à
plâtrier,
dom. à Quimper, et Marie T o u l Paris, le 28 septembre 1935.
Pont-l'Abbé,
10
octobre,
hôtel
des
Ago minimum : 35 ans au 31 décembre
des fournisseurs et des fonctionnaires. ce marasme.
hoat,
dom.
è Briec ; Jean Le Gall, mécaVoyageurs.
1935.
Traitement
de
début
:
26.000
francs
Monsieur le Député et cher Collèguo,
La mort dans l'âme, mais pressés par
Je suis un partisan passionné des
Concarneau, 11 octobre, hôtel Le
nicien, et Marie Guirriec, dom. à Q u i m p e r ;
plus
indemnités.
Concours
ouvert
aux
lieuVous avez bien voulu me transmettre,
Clainche.
la nécessité, les ministres radicaux ont grands travaux, parce que, n'y eût-il
Jules Bellec, cordonnier, d o m . à E r g u é tenants de vaisseau, commissaires do 1 "
en la signalant à mon attention, une r e Hosporden,
jeudi 17 octobre, hôtel
classe do la marine marchande, capitaine
dû s'adresser aux banques : du coup, pas de crise, je trouve horrible que
Armel, et Yvonne Huon, dora, à Quimper ;
quête par laquelle le Syndicat national
Flatrès.
Jean Strullu, agent des P. T . T., et Marie
leur volonté réformatrice, si sincère des êtres humains vivent et meurent des Maîtres et Gardiens de Phares deman- au long cours et chefs de section de l'InsChdteaulin, 18 octobre, hôtel Grand'
cription maritime.
Le Lay, employée des P. T . T., d o m . &
fût-elle, s'est trouvée brisée.
dans des taudis, à l'heure où il est de le rappel intégral, à partir du 1" avril
Maison.
— Rédacteur des Services civils de
Quimper.
C'est parce qu'ils ont gardé le cruel possible de faire des villes propre» et 1931, des sommes dues aux marins des
Quimper, 19 octobre, hôtel de l'Epée.
l'Indo-Chine. — Deux concours : 1 " : le
Décès : Jean Cudennec, veuf Cariou, 58
Crozon, 20 octobre, de 9 heures à
souvenir de ces jours que les ministres claires, que des agriculteurs soient équippgos des feux-flottant«, aux états- 23 mars 1936. Délai d'inscription : 23 j a n ans, manœuvre, r u e de l'Hospice ; Cathe2 heures, hôtel Moderne.
radicaux se refusent à reprendre le privés d'eau en un temps où les adduc- majors et aux équipages des bateaux- vier 1936. 2" : 3 novembre 1936. Clôture des
Brest, 21 octobre, hôtel Continental,
rine Cotten, veuve Le Berre, 44 ans, r u e
pouvoir ai on ne leur dit pas clairement tions sont la chose la plus simple du baliseurs et assimilés, en exécution des inscriptions : 3 septembre 1936. Avoir satis22, r u e Emile-Zola.
de l'Hospice ; Marie Guéguen, épouse Le
loi
recrutement.
Ago
:
20
à
30
ans.
fait
ce qu'on attend d'eux pour assurer les monde. l'approuve donc le plan de la dispositions do la loi rie Finance» du
O h u i c s M a t r i o a *t t o n * o r g a n a a .
Pape, 62 ans, r u e de l'Hospice ; François
Traitement de début : 2.657 piastres 20,
paiements publics. )e ne puis person- C. G, T., lorsqu'il préconise un nouvel 31 mars 1931 portant relèvement de» c r é - plus indemnités. Licence ou diplôme équiVarioa*. — Orthopàdia.
Gentric, époux Le Bellec, 42 ans« cordon-'
dits
effectués
au
paiement
des
indemnités
nellement que leur donner raison, équipement de la France, Mais, pour
valent exigé.
PARiS
(1LASER, 44, Bd Sébaslopol,
nler 4 43, r u e Jean^Jaurès ; Jean J o u r d f t d «
Quelle que soit notre juste impatience financer ces travaux, j e ne crois pas pour vivres de mer et pour tournées en
13 ans, 49, r u e Elie-Fréron ; Yves Cabillic,
Renseignements
fournis
p
a
r
1'«
Orienta
de voir l'Union des Gauches reprendre qu'il suffise de dire : « Nationalisons mer.
veuf Midy, 60 ans t chiffonnier, r u e d e
tion Professionnelle », revu« mcnauello,
J'ai l'honneur de vous faire connaître
le pouvoir, conformément au vœu du les Banques I » le pense qu*il faut
Ménagères
l'Hospice ; Jean Guillou, époux Merdy, 00
'»bonneriiout : 15 francs par â n .
que j e viens de soumettre au contre-seing
pays, nous ne pouvons pas nous dissi- dire — et savoir — comment les
Les personnes q n i désirent dos ronBoi Atlei-Vous essayé les cha bons de la ans, 30, r u e du F r o u t ; Joseph Darsy, 53
de mon collèguo des Finances un nou*
ans, cimentier, r u e de l'Hospice ; J e a n n e
gnorflentB tmr l'tiu dea emplois oo concours
muler qu'une expérience qui se brise- Banques, nationalisées ou contrôlées, veau projet de décret ù cet effet*
Maison L B
H E U N ?
ci-'tessns
ou
oar
a
n
examen
quolccnque,
Hémery, 73 ans ( rue de l'Hospice,
rait sur l a question budgétaire serait se procureront de l'argent.
Je me plais ù ospérer q u e le pefsdnflel pouvont s'adresser de notro part A M. Hou
Sa bonne et rapide renommée prouve la
pour nous la pire défaite et risquerait
Si l'on me répond qu'on s'en procu- Intéressé recevra satisfaction dans un délai cieville, difoctour-gërant de <• L'Orioutation qualité de ses livraisons.
POUR AUTOS
d'ouvrir la voie au fascisme.
Professionnelle », 108, r u e Erlanger, Parurera par les moyens classiques, par prochain,
Un essai vous convaincra,
(16*), qni leur répondra 6 titre a b s o l û m e s
Ceci dit, exute-t-il, à l'heure un emprunt de type ordinaire, j e me
O o i m p o r , 19, quai de l'Odet. Téléph. 2.80.
içracionx.
Actuelle, u n plan qui permette à un permets d'être sceptique : car c'est
onM'Abbó, r u e Arnoult. Téléph. 28.
L ' H u n e oe
Z » l x 9 s ©î F a i t « » l i r a 1»
Joindra nn timbre de 0 f r . U) et «e pnigouvernement de gauche de faire face précisément la résorve méfiante des
MARQUE LA
oublier de (ueiilionnir : en analité de l i e
MOINS CHERE
Aux échéances normales et de financer épargnants qui est aujourd'hui u n e
itior <J« » fîitijyet i <. 7, ran Elin-Fréron, t>
p ^ H A R A . s
r q f i m i
J#» f r i n d « travaux justement réclamés des causes principales de la orise,
|
Qvimpvr,
Four les F S á e u r s Sardiniers
CLV IMPER
NOUVELLES DÉPARTEMENTALES
Pour la Consommation familiale du Blé
LIS RADICAUX
r
La B o r n e l l a i o - E l i p i i i s
BïBï,$eSRÀPH$$5
LE COKE
L i O U I (il/,
lOQGOurs m Fondions
HERNIE
g e Central a n Gaz
Four les Gardiens k F l a r e s
Journal l e
Citoyen».
BEUGiEVSE
i r M ' J í
LE
Penhars
M a r i « ? « . — Lundi d e r n i e r 7 o c t o b r e a
eu lieu ft PeDhars le mariago d e M. Albert
Le Flao, sous-oflicior d ' i n f a n t e r i e coloniale, avec Mlle F r a n c i n e liildô, employée
d e s postes, fille de Mmo et M. F.ildé,
a g e n t - v o y e r principal en r e t r a i t e , ancien
adjoint-maire de Peohars.
Nous a d r e s s o n s n o s c o m p l i m e n t s a u x
d e u x familles et n o s v œ ix de b o u h e u r a u x
n o u v e a u x ¿poux.
couples joyeux ; on y r e m a r q u a i t les
belles demoiselles avec leurs jolis c o s t u m e s d e ces deux c o m m u n e s , si différents
e n t r e e u x . On connaît le vieux dicton :
cent c o m m u n e s , cent c o s t u m e s .
Nous a d r e s s o n s aux nouveaux époux n o s
meilleurs souhaits de b o n h e u r .
Audierne
Chirurgien-Dentiste
F. L u R o h o l l o c ,
6, place de la Liberté, A u d i e r n e . Tous les
jours (jeudi
excepté).
Pont-l'Abbé
Plogoff
B u a o è a a o o l a i r a a . — Nous relevons
d a n s la liste d e s c a n d i d a t s définitivement
r e ç u s a u b r e v e t é l é m e n t a i r e (session d ' o c t o b r e ) les n o m s d e s 4 élèves suivants de
l'Ecole P r i m a i r e S u p é r i e u r e do Pont-l'Abbé :
Calvez Michel, d e P e n r a a r c h ; Gourlaouen
J o s e p h , de Plozôvet ; L a r v o r Henri, de
Plozévet ; T h é p a u t Alain, d e P l œ u c
(C. d . N.).
Ces q u a t r e b r e v e t s viennent s ' a j o u t e r
aux 16 de la session d e juillet, ce q u i p o r t e
à 20 le n o m b r e d e s élèves r c ç i s p o u r
l ' a n n é e scolaire 1934-35. Ce chiffre se passe
de commentaires.
Nos félicitations a u x l a u r é a t s et ù leur6
dévoués professeurs.
P ô t o C o m m u n a l e . — La f ' t e c o m m u nale de Plogoff a u r a lieu dimanche p r o chain 14 o c t o b r e .
Au p r o g r a m m e : Matin, A 8 h. 30, toux
de salve, c o u r s e s au cerceau e t à pied,
c o n c o u r s d e boules.
A p r è s - m i d i . 2 h. 30, m a t d e cocagne,
c o n c o u r s d e ficelle, c o u r s e en sac, j e u x
divers, c o u r s e s cyclistes e t cyclo-pédestre.
S i b l i o t h i q u a p o p u l a i r e . — La bibliot h è q u e p o p u l a i r e s'ouvrira d i m a n c h e p r o chain 13 o c t o b r e , do 10 h . 30 à 11 h . 30.
M o r t a a b i t a . — M. P i e r r e Le Brun,
58 a n s , c u l t i v a t e u r , h a b i t a n t r o u t e de
Q u i m p e r , devait m a r i e r an (ille lundi. Alors
qu'il se t r o u v a i t r u e V i c t o r - H u g o , vers
9 h e u r e s , il s'affaissa. Un médecin, appelé
d ' u r g e n c e , no put q>ie c o n s t a t e r le décès.
Guilvinec
G o n s a l i M a a l o l p a l . — Voici le compter e n d u succinct de la d e r n i è r e r é u n i o u d u
Conseil municipal de Guilvinec :
— Le prix d u pain e s t livé c o m m e suit :
pain d e 0 k . 500,0 f r . 75 ; 1 k , 1 f r . 45 ;
1 k. 500, 2 f r . 15 ; 2 k., 2 f r . 85 ; 2 k. 500,
3 f r . 50.
— L'installation d ' u n c o m p t e u r électriq u e d a n s le l o g e m e n t d e Mlle Baudry, institutrice, est acceptée a u prix de 315 f r .
— U n e subvention d e t r o u s s e a u de
100 f r . e s t votée en f a v e u r de M. Louis
Dilosquer, p o u r l'année 1935 (liisà l'E. P . S.
d e Pont-l'Abbé).
— S o n t désignés p o u r d r e s s e r les listes
d e s é l e c t e u r s consulaires de la c o m m u n o :
MM. E u g è n e Cariou et E u g è n e Camus,
adjoints-maire.
— Le Conseil s'associe à la p r o t e s t a t i o n
de la C h a m b r e d e Couimorco d e Q u i m p e r
c o n c e r n a n t les c a m i o n s - m a g a s i n s et décide
d ' i n t e r d i r e le droit de vente en d e h o r s d e s
foires e t m a r c h é s (tous les mardis).
L'emploi d e s h a u t s - p a r l e u r s est r i g o u r e u sement interdit.
— La mise en é t a t de la Venelle d e s Cout u r i è r e s e s t s o u m i s e à la Commission d e s
t r a v a u x p o u r é t u d e et e n t e n t e avec riverains.
— Le Conseil municipal — a p r è s lecture
d u dossier c o n c e r n a n t la d e m a n d e de c o n cession définitive d ' u n terrain m a r i t i m e de
190 m2 07 fait p a r M. Jean Lavalou,
p h a r m a c i e n à Guilvinee, terrain situé dans
l ' a r r i è r e - p o r t do Guilvinec, en b o r d u r e d e
pon j a r d i n — é m e t u n avis d é f a v o r a b l e
à la d e m a n d e d e M. Lavalou.
— Le m o n t a n t d u loyer d u p r e s b y t è r e
r e s t e fixé, p o u r 1936, à 2.300, f r a n c s conform é m e n t à la délibération d u 30 juin 1935,
q u i n'a pu ê t r e a p p l i q u é e p o u r 1935.
— Le Conseil municipal, a p r è s avoir pris
c o n n a i s s a n c e d e la l e t t r e p r é f e c t o r a l e en
d a t e d u 17 s e p t e m b r e 1935, r e f u s a n t d ' a b a i s s e r le taux de la taxe d e p é a g e s u r le
poisson do 2 à 1, 50 °/°< d e m a n d é p a r le
Conseil d a n s sa séance d u 30 j u i n d e r n i e r ,
décide d e m a i n t e n i r sa p r e m i è r e d e m a n d e ,
c ' e s t - à - d i r e , l'abaissement du taux do la
taxe à 1,50 ° / , q u i est justifié p a r lo m a n q u e
à g a g n e r actuel d e s m a r i n s - p é c h e u r s .
— E m e t son avis s u r les diverses d e m a n d e s d'assistance et allocations militaires.
Pouldreuzic
T r a v a n » — M. Albert Le Bail a reçu
de M. le P r t f e t d u Finistère la l e t t r e s u i vante :
Monsieur le D é p u t é ,
Vous avez bien voulu a p p e l e r m o n attention s u r divers travaux & e l l e c t u e r a u p o r t
de P e n h o r s . en P o u l d r e u z i c .
J'ai l ' h o n n e u r d e vous faire c o n n a î t r e
q u e le service d e s P o n t s - e t - C h a u s s é e s
vient de m e t t r e ces t r a v a u x à l'étude.
Plozévet
*
a t a t ' O i v l l d a a a p t a a a b r a . — Naissances : Rosine J e a n n i c , à P o u l h a n ; Marcel
Y o u i n o u , au b o u r g ; Michel Coïc, à P o u l h a n ; R o g e r Héuaff. à Pellan ; C h r i s t o p h e
S t é p h a n , à S c a n t o u r o c ; Yvonne Penven, à
Kerguivic ; S i m o n e Sinou, à K é r o n g a r d N a b a d è s ; J e a n - M a r i e Kerveillant, à PaludPellan.
Décès : Alain Le Guellcc, 63 ans, célibataire, à L e s p l o z é v e t ; J e a n Rolland, 10 a n s ,
à L e s p l o z é v e t ; Mélanie K é r o u r é d a n , épouse Dodin, 25 ans, à P o u l b r é h e n ; Louis Le
Go(T, é p o u s e K é r o u r é d a n , 28 a n s , à L e s plozévet.
Mariages : Alain Le GolT, b o u l a n g e r , et
Valentine Kerveillant, c o u t u r i è r e j J e a n Marie K é r o u r é d a n , 2" m a î t r e mécanicien,
e t Mélanie T r é p o s , cultivatrice ; Henri Le
Gouill, e t Marguerite Burel. cultivateurs ;
Corentin Le Bars, m a r i n - p ê c h e u r , e t AnneMarie Nicolas, cultivatrice.
CITOYEN
lin ; René N 'zet, b o u l a n g e r à Châteaulin,
et M a r i e - J e a n n e D a g o r n , b o u l a n g è r e à
Chûteaulin.
Décès: Eutr^nio Pimr-ncli-\ 7 9 a n s , veuve
de Joseph T h o u i n , place d u Champ-de-B.'itaille ; Corentin T a n g u y , cultivateur, 57
ans, époux d e Marie-Jeanne Nédolec, P e n n a p o n t ; Cécile Guillou. 54 ans, célibataire,
r u e d,u G a r r e c ; J e a n n e Korbourcli, 89 a n s ,
veuve do Jean Cariou, r o u t e de Pleyben.
Crozon
M a r i a g e . — Lundi p r o c h a i n , a u r a lieu
le m a r i a g e d e M. F r a n ç o i s Carth, fils de M.
et Mme Carth, do T r é b é r o n , avec Mlle
Kermarec.
Nos c o m p l i m e n t s a u x deux familles et
n o s meilleurs vœux aux f u t u r s époux.
BREST
Zj* M i n i s t r e d a l a M a r i n a à B r e s t . —
M. Piétri, ministre de la Marine, est arrivé
samedi matin à Brest, où il a inspecté et
salué, ù b o r d d u c r o i s e u r - é c o l e d'application « J e a n n e - d ' A r c », les a s p i r a n t s d e
X / A r m e m e n t M a r i t i m e . — M. J. P e r - m a r i n e q u i sont partis l'après-midi p o u r
r o t . d é p u t é , a reçu la lettre ci-après do M. leur croisière annuelle.
Avant cette inspection, le Ministre a reçu
le Ministre do la Marine Marchande ; il en
des
délégations ouvrières, et s'est r e n d u il
résulte q u e les bateaux q u i f o n t la pèche
1
do la l a n g o u s t e verte en Mauritanie p o u r - l'école d e s Pupilles , à la Villeneuve.
A
l'issue
d
e
l'inspection
à bord de la
r o n t d é s o r m a i s bénéficier d e s p r i m e s ins« J e a n n e - d ' A r c », M. Piétri a exposé, en
tituées p a r la loi d u 12 juillet 1934 :
u n discours, le p r o b ' è m e naval et la sécuParis, le 27 s e p t e m b r e 1935.
rité française.
Monsieur le Député et ch^r Collègue,
Le Ministre de la Marine est r e p a r t i p o u r
Vous avez bien voulu a t t i r e r mon a t t e n - Paris p a r le rapide de 15 h . 30.
tion s u r l'intérêt qu'il y aurait, p o u r la
g r a n d e pèche, il modifier les articles ?8 et
29 d u d é c r e t du 6 n o v e m b r e 1934 s ' i r l'application de la loi du 12 juillet 1934 s u r
l'aide il l ' a r m e m e n t m a r i t i m e .
J'ai l ' h o n n e u r de vous f a i m e o n n a l t r e
q u e cette modification n été faite p a r d é cret d u 3 s e p t e m b r e 193b et q u e la d e m a n d e
q u e vous aviez faite a ainsi reçu satisfaction.
Douarnenez
L e s V o l e u r a d u o o l l r e - f o r t e n {uito.
— Alors q u ' o n conduisait les f r è r e s Maillé,
de V a n n e s ù la prison d e Q u i m p e r , les
romanichels, voleurs d u coffre-fort do
MM. Brusq et Cornée, o n t pris la fuite
avant d ' a r r i v e r à la gi.re.
Jusqu'il présent ils n'ont pas e n c o r e été
r e t r o u v é s m a l g r é les r e c h e r c h a s de h
gendarmerie.
Pouldavid
A o o l d e a t m o r t e l . — M. Yves Cshillic,
60 a u s , chiffonnier à Pouldavid, grièvem e n t blessé d a n s un accident, f u t t r a n s porté à'l'hôpital de Q u i m p e r . Le ma'lieureux y est décédé samedi après-midi.
Plogonnec
I n o o n d i e . — Dimanche malin le f e u a
d é t r u i t u n tas de foin, un tas de paille, u n e
f a u c h e u s e e t divers i n s t r u m e n t s a r a t o i r e s
a p p a r t e n a n t ù M. J e a n - R e n é Kermoal, cultivateur il Korgréac'h, en P l o g o n n e c .
Les dégôts sont couverts p a r u n e assurance.
Rosporden
Chez lea Anoiens Combattants. —
Les anciens c o m b a t t a is do R o s p o r d e n
s o n t invités il assister à la réunion q u i
a u r a lieu salle René Le Gail, r u o Lo Bas,
ce soir, j e u d i 10 o c t o b r e , à 20 li 30, en
vue de la formation d ' u n e section locale
de 1' « Union B r e t o n n e d e s C o m b a t t a n t s »
La présence d u p r é s i t e n t Burin, d e
Q u i m p e r , est a s s u r é e .
BeuzeoConq
E t a t - C i v i l . — Naissances : Liliane lïuu,
a v e n u e de la Gare ; Yves C a r a d e c . a u Zins :
J e a n n i n o Thiec, r u e Adigard ; Marie Le
Floc'h, a u Lochou ; Rosalie r . n y o m a r c ' h , il
Kériolet ; Henri Mairec. r u e d u Lin :
Monique Philippon, a v e n u e Thiers, 49 ;
Lo F l o c ' h , à la Mi>i«ou-Clancha ; J e a n
G r a t a l o u p , r u e Neuve.
Publications
île mariages : Jean Marie
Hervé e t Morie-Théi è*e Flatrès, cultivat e u r s à Beuzec-Conq ; Louis Guillon, cultivateur à Melgven. et Mari» Dnvail,
cultivatrice à Beuzec-Conq ; Alain T o ' e z ,
c o r d o n n i e r à Beuzec-Conq, e t Marie-Kuphrasie P é r o n , s. p. à Melgven ; Alfred Le
Noac'h et Anna L e N o a c l i c u l t i v a t e u r s à
Beuzec-Conq ; Marcel Gloux, f o i g e r o n à
Lanriec. e t G e r m a i n e D e r r i e n , s. p. il
Beuzec-Conq ; J e a n - M a r i e Lallaizon, tailleur d'habits à Beuzec-Conq, et S u z a n n e
Brisson, c o u t u r i è r e à C o n c a r n e a u ; Maurico Quitté, mécanicien à C o n c a r n e a u , et
Marie Lo Brigant, o u v r i è r e d'usine à B e u zec-Conq ; P i e r r e Herlédant, b o u l a n g e r ,
et Marie Raoul, s. p. à Beuzec-Conq ;
Louis S t é p h a n t , v a n n i e r il Beuzec-Conq,
et Denise L i j o u r , c o u t u r i è r e ù T r é g u n c .
Décès : J o s è p h e Ravallec, 34 a n s . cultivatrice, é p o u s e de P i e r r e Le Dez. h Kérotilin ; Marie-Josèphe Le Tollec. 74 ans, cultivatrice, veuve de J e a n - M a n « Le N o i e ' " ,
t) Korsaby ; Jean Hémon, 74 aus, m a r i n ,
époux d e Marie Le Coz, a v e n u e Tbi>:rs ;
Henri Le Rliun, 60 a m , r e t r a i t é d e s Haras,
époux de Mario Kéradennec. il la MaisonB l a n c h e ; J e a n n e Jacq. 09 an«, m a r c h a n d e
do poissons, veuve de F r a n ç o i s Guiffant,
impasse d e s Alouettes.
Riec-sur-Béion
Mahalon
B a l d a l ' A r b r e d a l i c ô l . — Le bal
a n n u e l au profit de i'Aibre d e NuOl de
l'école d e s filles aura lieu dimane.he p r o chain 13 o c t o b r e , salle Emile Huou, s o u s
la p r é s i d e n c e d ' h o n n e u r de M Cadoret,
député-maire.
Nous s o m m e s p e r s u a d é s q u o ce bal attir e r a , c o m m e d'ordinaire, t o u t e la j e u n e s s e
des environs et tous les »mis de l'école
qui ne v o u d r o n t p a s priver l'enfance, m a l g r é la crise, d ' u n e d e s plus g r a n d e s joies
de la vie.
Matinée ii 15 h e u r e s ; f o i r é e à 20 t r u r ^ s i
A minuit : tombola g r a t u i t e (un seul g r o s
lot).
Matiatffl.
Le lundi 1 o c t o b r e , M. ' 0
Maire do Mahalon a p r o c é d é ûti m a r i a g e
de M. Corentin Vigouroux, c o m m e r ç a n t ,
& Plozévet, si s y m p a t h i q u e à tous, et q u i
é p o u s a i t Mlle Marie-Anne B o s s i r , do K e r Vaden, en Mahalon.
Le j e u n e c o u p l e et ses invités ont fait un
brillant r e t o a r à Plozévet où le r e p a s do
n o c e s était servi.
On a d a n s é maintes g a v o t t e s s u r la place
au s o n d u biniou et d e la b o m b a r d e , t a n çtU q u e , le soir, u n b a l aélcct r â u n i a w i t des
B t a t d v l l d a a e p t s t n b r e . — XaLsn/t*
ces : J o a n n i n e Cariou, P r a t - G u i v a r c h ;
R o b e r t GraiiatiO) r u e d e s Écoles ; Yvonne
Blaiïe, r u e Fontaine do la Vierge ; A n d r é
LéndZ, G r a n d ' r u o ; P i e r r e K e r f r i d e n ,
Grand'rue.
Mariages : A n d r é Trcllu, q u a r t i e r - m a î t r e ,
b Saint-Coulitz, et Marie-Louise Le Gars,
il Châteaulin ; G e o r g e s Piriou, é t u d i a n t à
Châteaulin, et Anna Le Jollcc, à Cbûtoau-
CHATEACLÎN
Football-Association
A u S t a d e Quimp&rois
P a r suite d u d é p a r t de la p r e m i è r e p o u r
A n g e r s , les j u n i o r s et la 1 b o c c u p è r e n t
d i m a n c h e te Stade K<>rhuel.
Les j e u n e s , où se t r o u v e n t d e s j o u e u r s
qui p r o m e t t e n t , vinrent assez facilement à
bout de B r é h o u l o u , mais leur é q u i p e est
loin do valoir celle d e leurs aînés.
Ils o n t a p p r i s à j o u e r do bric et de broc,
sans d i s c e r n e m e n t . Il f a u t qu'ils s'habit u e n t à considérer q u e le foot-ball e s t non
s e u l e m e n t un j e u c o r p o r e l , mais a u t a n t u n
j e u intellectuel, sans oublier l ' e n t r a î n e ment de la volonté.
Ne p a s oublier qu'il doit être en môme
t e m p s u n e école d e correction e t d e c a m a r a d e r i e . Ceci e s t dit p a r acquit de
conscience ; à ce p o i n t d e v u e il n'y a
a u c u n e critique il leur faire.
E x a m i n o n s l'équipe :
En d é f e n s e , il y a d u mieux. La ligne d e
demis a un excellent pivot q u i doit a p p r e n d r e à d i r i g e r ses p a r t e n a i r e s , q u i d e v r o n t lui obéir.
En avant, m a n q u e do décision dans les
a t t a q u e s . Le j e u d e fignolage n'est j a m a i s
à r e c o m m a n d e r , mais e n c o r e moins chez
les j e u n e s . Qu'ils essayent de réveiller
l'ancienne • rafale q u i m p é r o i s e » q u i avait
du bon. C'est là un bon point d e d é p a r t ,
et, les a m é l i o r a t i o n s v i e n d r o n t ensuite.
Simplifions la t e c h n i q u e p o u r qu'elle soit
plus vite a p p r i s e et qu'aussitôt l'équipe
devienne h o m o g è n e .
Les j e u n e s e n t r e n t en c h a m p i o n n a t d i m a n c h e p r o c h a i n . E s p é r o n s q u e le public,
c o m m e les a n n é e s passées, v o u d r a bien
s'intéresser à eux et viendra les e n c o u r a g e r .
Deuxième équipe
Le d e u x i è m e é q u i p e a battu les Dernières C a r t o u c h e s d e Carhaix, p a r 3 à 1.
Score h o n o r a b l e p o u r u n e é q u i p e q u i
n'est p a s e n c o r e au point mais d o n t les
lignes semblent, se s o u d e r , et, dont G o u r din semble l ' a n i m a t e u r .
A côté d e s Calloch. T o l o r Calvez, Chevalier, Lo B r i i ' q . le j ' u du j e u n e Le Bris a
été r e m a r q u é . Il rappelle un p e u celui d e
P i t o n , de Robin. C'est n a t u r e l , ayant eu
le môme p r o f e s s e u r . L. Guillou a fait un
joli e n t r a î n e m e n t c o m m e a v a n t - c e n t r e . Il
a fait deux buts, ce qui n'est p a s d û à lui
seul n a t u r e l l e m e n t , mais q u i m o n t r e q u e
la classe revient. Il sera bientôt prêt à r e p r e n d r e sa place on p r e m i è r e où l'usure
se fait sentir plus vite q u e n e vient la
forme.
Avec Corvest, q u i n'a p u e n c o r e venir
s ' e n t r a î n e r , la 1 " é q u i p e p o u r r a passer le
cap do la mise en train q u i est t o u j o u r s
t r è s difficile.
Premère
équipe
C'est avec u n e g r a n d e joie q u e les Quimpérois o n t a p p r i s d i m a n c h e soir le succès
de leur é q u i p e p r é f é r é e , p a r 2 à 1, s u r lo
S. C. O. il A n g e r s .
C'est la p r e m i è r e fois d e p u i s uno dizaine
d ' a n n é e s q u e ce succès a é t é o b t e n u .
Si l'on a j o u t e q u e Lili Lo Grand, blessé
d a n s les p r e m i è r e s m i n u t e s du j e u , f u t
p r e s q u e mis h o r s de course, on c o n s t a t e r a
q u e le S. Q. a j o u é t o u t e la p a r t i e à 10,
m e t t o n s à 10 1/2.
Car ne croyez, pas quo Lili Le Grand, bien
q u e ne pouvant m a r c h e r q u e s u r une patte,
f u t t o u t à fait inutile. C o m p l è t e m e n t d é laissé p a r les a d v e r s a i r e s , ù l'aile droite, il
r e ç u t , on s e r r a n t les lèvres e t en crispant
les poings, u n o passe d u d e m i - c e n t r e S t é p h a n , et en sonflVant a t r o c e m e n t , b ' o q u a .
fit la passe à Le Roux en c r i a n t : « tu l'as I
tu l'as I » et Lo Roux m a r q u a le b u t .
Quel bel exemple p o u r les jounos q u ' u n
b o b o a b a t , q u ' u n e critique m é c o n t e n t e
et q u i se croient « t a b o u s » parce q u e
q u e l q u e f o i s ils m o n t r e n t d e s dispositions
p o u r le foot-ball. Bravo Lili I
No croyez p o u r t a n t p a s q u e t o u t e la
gloire soit p o u r lui II en reste asscK p o u r
les a u t r e s q u i ont voulu g a g n e r e t q u i o n t
g a g n é i chacun y est allé de t o u t c œ u r , e t
la critique faite au d é b u t d e saison, q u e
l e j o u a u S. Q< était t r o p lent, e u t été
tléfaste si les j o u e u r s l'avaient, écoutée, c a r
la t e c h n i q u e étant p r e s q u e è point l'accélération d u j e u est v e n u e a u t o m a t i q u e m e n t , et
à A n g e r s le jeu f u t d ' u n e telle rapidité q u o
les a d v e r s a i r e s f u r e n t s u r les boulots il la
2' m i - t e m p s .
Tels s o n t les r e n s e i g n e m e n t s q u e j a i pu
g l a n e r d e p u i s le r o t o u r de l'équipe, et q u i ,
j e suis certain, f e r o n t a u t a n t de plaisir aux
s u p p o r t e r s stadistes qu'ils m ' o a t fait à
moi-môme.
Korvahut.
Recettes de cuisine
Pâté de lièvre
Voici un plat froid facile à préparer :
Prenez le foie du lièvre, les poumons
Mademoiselle L E FLOCH
et le sang, ajoutez-y 500 grammes de
veau, 150 grammes de jambon fumé, O U I M P C R — 1 9 , R a o K u r ó o n tìt S 3 , R a e S a i n t - F r a n ç o i s — Q U I M P E R
250 grammes de lard frais m a i g r e ,
une cervelle de veau, (50 grammes de
H O B E S
ri
M A N T E A U X
;
mie de pain et 4 œufs.
—
S p o r t ,
Ville,
Cérémonie
—
Passez la mie de pain au tamis, battez les œufs, versez-ies sur la mie de
(Connaissances technique et professionnelle indispensables
pain et laissez trempez. Après y avoir
pour la parfaite mise au point des modèles)
ajouté du sel, du poivre, une pincée
de poudre des quatre épices et le sang
— Sous*Vêtements Indémaillables
FOURRURES
du lièvre. Hach' z le veau, le jambon,
le lard, le foie, les poumons e t l a c e i velle de veau.
Mêlez le tout, versez dans un moule
entouré de papier graissé ou huilé.
Mettez au four assez chaud. Faites
F a b r l o a a t d * Sflanblas
cuire une heure au moins.
B E R N E S
-
C H E N A D E C
1, Hue Reaé-Madec, t
- QUIMPER
Renseignements utiles
Pour éviter les ampoules aux pieds
Les chasseurs éviteront d'attraper
des ampoules aux pieds s'ils ne portent pas de chaussures trop grandes
ou trop petites, s'ils entretiennent leurs
brodequins dans un parfait état de souplesse avec de la vaseline ou de la
lanoline, s'ils portent des chaussettes,
de laine de préférence, qui ne font
pas de plis.
Questions Agricoles
Cent quintaux de blé
à l'hectare
Sous ce titre, M. G. Ray, dans Je
« Journal d'Agriculture pratique »,
signale que « l'obtention, en de nombreux points , de rendments en blé,
compris entre 70 et 80 quintaux à
l'hectare, conduit à penser que le record fabuleux de 100 quintaux sera
peut-être battu un jour prochain. »
Ces rendements de 70 à 80 quintaux
viennent, en eil'ct, d'être atteints en
Italie. Ce ne sont pas des expériences,
ni du jardinage, mais des cultures en
pleins champs qui ont donné ces résultats. 11 ne s'agit, bien entendu, que
d'exploitations très bien conduites,
dans des régions d'Italie, les plus f a vorables à l'application des méthodes
récentes de culture perfectionnée du
blé.
Ces méthodes, dans le détail desquelles il n'est pas possible d'entrer
sans dépasser les limites d'un article
ordinaire, se ramènent au fond à l'application, par des cultivateurs d'une
remarquable habileté professionnelle,
des points suivants :
1° limploi d'un très petit nombre de
variétés d'élite, capables de supporter
les fumures massives (« Damiano
Chiesa », « Mentana », » Villa Glori »).
En 1935, comme en 1934, le « Damiano
Chiesa » domine partout au point
d'être, en bien des points, l'unique
variété de blé cultivée.
2° Application, sur un sol ayant subi
un travail profond, et parfaitement
égoutté, d'une très forte fumure, précédant les semailles, par exemple, à
l'hectare : 150 kilos de sulfate d'ammoniaque ou de cyanamide, 200 kilos
de sulfate de potasse, et 1.200 kilos
de superphosphate.
3° Semis en lignes, tardif (dernière
semaine d'octobre), et épais (200 à 2 iO
kilos de semence à l'hectare), assurant
une densité très élevée, sans tallage
(500 à 600 épis au mètre carré).
4° Fumure complémentaire azotée,
appliquée par fractions de décembre
à mars (200 à 400 kilos de nitrate à
l'hectare).
Le maximum récolté jusqu'ici, en
grande, moyenne ou petite culture, et
en très bonne année, a légèrement
dépassé 80 quintaux (82 quintaux à
Parme en 1934).
Ces résultats montrent que la culture intensive de terres bien choisies
peut donner plus de bénéfices que la
culture de grandes surfaces de terres
médiocres.
Sans prétendre atteindre de tels rendements, chacun peut s'inspirer de la
méthode et chercher, dans la mesure
de ses moyens, à réunir le plus possible de conditions favorables au blé.
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à l'etude do M' Rospabé, notaire à
Plozévet.
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et 1, rue de la Providence
(Téléphone : 8-15)
Commune de Plozévet
AYiS D'ADJUDICATION
Le 31 octobre courant, à la Mairie
de Plozévet, M. le Sénateur-Maire
procédera à l'adjudication de travaux
à exécuter aux bâtiments de l'ancienne école de filles en vue du transfert, dans ces bfttiments, de la Mairie
et de la Recette des P. T. T.
Le dossier est déposé au Secrétariat
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VINS DU MED0C
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bien ralatîsnné aaivan* faarnir réf4>-«naea ç»wmiar erdw».
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Détuher ti bulUtln ti l'Unum
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du » Oitoyen », 7, rus EUt-Fréron,
QuiMptf
Imprimaría apéeialt da k Dtoyen », 7, ra* BUe-Fréren Certifié par la Gérant aoassigné.
L o u i s
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Quim»r,
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Qaimpei
Va pear la légalisation de I« Signatare ot-coa.r«
Mains it Qutmfer, it
Q U I H P H
Q>
N° 42 (28e année)
Jeudi 17 Octobre 1935
Le nliniero 2 5 cenlimes
CITOYEW
Organe Hebdomadaire
ABONNEMENTS
Finistère et départements limitrophes
Autres départements
Colonies
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d e D é f e n s e Laïque et d'Action Républicaine,
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Adresser toutes les communications à M. Pierre GUÉGUEN, lmprimeur-G6rant.
Les manuscrits ne sont pas rendus.
11
Citoyen
»
7, r u e Elie-Fréron (ancienne rue Royale)
— QUIBIPER
on
exécute
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tous l e s genres
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Librairie de Bureau el Classique
P A R A I S S A N T le JEUDI
B U R E A U X et IMPRIMERIE, 9, Rue Elie-FVéron — QU'IMPER
1 8 f r . par an.
15
—
80
—
A l'Imprimerie du
ANNONCES
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Lescommuniquésetannoncesdoivent parvenirau journal le mardi an plus tard
L'HYMNE NATIONAL
d'une assiduité conquérante à l'égard de
la belle Mme de V... Le lendemain, le
général entre à cheval dans la cour du
quartier, un officier s'avance pour le
saluer et, tout en flattant l'encolure
du cheval, prononce discrètement :
D E
Q U 1 M P E R
— Charmante soirée hier, mon géle-Roy, en l'honneur d e Rouget d e
*
néral, et que Mme de V... était donc
* «
Lisle.
en beauté...
Le parti radical n'est pas mort dans lutteur républicain, l'union de toutes
« La Fédération
radicale-socialiste
Depuis, pendant la guerre, en 1915,
A quoi le général, de sa meilleure
le département du Finistère. 11 se les forces de gauche contre la coalition du Finistère proclame son horreur de
Lamartine
formait
le
vœu
que
ses
cendres ont été transportées aux
voix de commandement, répond :
porte même très bien et les paysans factieuse des partis de droite.
la guerre ; elle invite .le Congrès de
notre
hymne
national
ne
soit
p
a
s
Invalides.
n'ont pas déserté la cause du bon Le président donne lecture de quel- Paris à réclamer le maintien de la — Oui, oui, bonne bête... Mais tou- profané dans les occasions vulgaires,
Toute l'œuvre de Rouget d e Lisle
sens ni répudié leur fidélité à la Répu- ques ordres du jour votés par des paix dans le cadre rigide de la Société jours un peu dure au montoir...
mais gardé comme une arme extrême tient dans la Marseillaise.
blique pour emboîter le p a s à un fédérations ainsi que de celui pro- des Nations. Elle estime, <l'autre part,
pour les grandes nécessités de la
Le génie l'a un moment touché d e
Dorgères, ce valet de chambre de la posé à la Fédération du Finistère.
que la vraie sauvegarde de la Paix
patrie.
son
aile et lui a communiqué l'étinroyauté.
Une très ardente et courtoise dis- dans la période critique où nous vivons,
Il est pénible de constater qu'on en celle de la divine inspiration.
Dorgères et ses affidés, les de Gué- cussion s'engage au sujet de cet ordre et, en plein réveil des Impérialismes,
A vouloir ne mécontenter
personne, a fait un abus criant et qu'on en a Le reste de ses travaux n e compte
briant, de Fiers, du Chiltelier, Bel- du jour, à laquelle prennent part repose sur la constitution d'une armée
aboli le charme et la vertu en l'exé- pas.
béoch, et, autres Seigneurs, se paient les camarades Cadoret, député, Crois- pourvue d'un moral civique élevé et on finit par s'aliéner tout le monde.
cutant en toute occasion et en le
Auguste Barbier a connu aussi plus
la tète d e s paysaus et s'imaginent sant, conseiller général ; Mazé, dépu- dotée de puissants moyens matériels
mêlant aux circonstances les plus vul- tard la célébrité pour ses ïambes. Sa
qu'ils vont comme au temps jadis leur té ; Savina, adjoint-maire de Quim- commandés par l'évolution de la guerre
gaires de la vie locale ou domestique. verve bouillante ne connut pas d e
emboiter le pas et donner dans leurs per ; Albert Le Bail, député ; Tanguy, et par la nouvelle tactique des armes. »
Bémy de Gourmont l'a fait un jour lendemain. Il s'épuisa en vain en des
sornettes et leurs contes il dormir sénateur ; A. Bergot, président du
justement
remarquer dans u n article productions nouvelles assez médiocres
Un cer'ain Convert, folliculaire à
comité de Brest ; Pouchus, député ;
debout.
du
journal
La France : « Si cet hymne qui n'ajoutèrent rien à sa gloire.
lie Repas es commun
gages qui avait attaqué dans son jourLes paysans sont devenus aujour- Boscher et Le HénatF, du comité de
a
encore
quelque
valeur d'entraîneMais pendant quelques moments d e
nal le général Lyautey, rencontre ced'hui los égaux des féodaux devant Brest, ainsi que le Président.
ment, c'est à condition qu'on en abuse leur vie ces êtres inspirés ont vécu en
Après
la
réunion
un
repas,
plein
de
lui-ci
qui
se
promenait
à
cheval
et
le
L'ordre du jour, ci-après, est ensuite
lesquels ils faisaient autrefois des
pas. Autrement, il devient une ren- intime communion avec l'infini.
courbettes à la siamoise. L'école leur adopté à l'unanimité des délégués camaraderie, et auquel assistaient une salue avec une plate déférence.
gaine
et, vraiment,, on l'a tant proEt leur œuvre, se jouant des injures
Alors, le général :
a émancipé l'esprit et communiqué présents, moins deux voix et unesoixantaine de convives, fut servi dans
digué,
qu'il donne plutôt l'envie de se du temps et des critiques des envieux,
des
vieilles
hailcs.
un
restaurant
près
«
Bonjour,
monsieur...
monsieur...
la notion do l'égalité entre tous les abstention.
Cette journée fut une éclatante mani- Excusez-moi, je me rappelle bien la réfugier chez soi que de courir à sa durera dans l'éternité des siècles.
hommes.
L'Ordre du jour
Avec le poëte de Rome ils peuvent
festation républicaine et pleine de pro- première syllabe de votre nom, mais suite. La Marseillaise sert à tout, à
Ils s'éclairent au pétrole et même
accomplir
les
festins
officiels,
à
ouvrir
dire
avec orgueil.
messes pour notre grand parti dans j'oublie toujours la couleur... »
à l'électricité et ils ne sont plus à
*
les
concours
de
veaux,
à
inaugurer
les
Exegi
monumentum œre perennius.
« La Fédération
radicale-socialiste le département.
cette époque déjà lointaine où, à la
» •
bustes
des
célébrités
départementales
campagne, on en était réduit à mou- du Finistère :
Au début de la guerre de 1914, Ga- et à un tas de choses aussi incompri« le l'ai achevé ce monument plus
cher l a chandelle de résine ou de « Préconise le maintien de l'unité
P A S S E Z VOTRE
vroche voit passer un corbillard.
ses et pour lesquelles elle n'a pas été
du parti et répudie à la fois toutes
durable que l'airain, plus haut que
auif avec les doigts.
« Eh bien ! mon vieux, s'écrie-t-il, faite. Elle y perd toute signification.
compétitions entre ses chefs et toutes
les pyramides des rois et que n e
t'en
aller dans un moment pareil ! tu Comme on entend mentalement les
divisions intestines qui ne pourraient
pourront
détruire ni la pluie qui ronge
paroles à mesure que va la musique,
n'es vraiment pas curieux ! »
A VOS AMIS
Oui, le parti radical-socialiste, com- que l'affaiblir et tourner à la ruine de
tout,
ni
les fureurs de l'aquilon, n i
on se demande ce que veut dire :
Charles
Régismanset.
posé on majorité de paysans, est bien sa vie à la fois idéaliste et positive.
le
cours
sans
cesse renouvelé des ans,
Le jour de gloire est arrivé, quand il
*
vivant dans le Finistère.
ni
la
fuite
des
âges ». (2)
Lia
situation
agricole
s'agit de planter u n flot de rubans
• »
Les délégués de ses sections locales,
(Fin).
Georges LE BAIL.
sur
l'échiné
d'un
bœuf
?
Aux
armes,
« Elle proclame son attachement au
accourus très nombreux, le dimanche
citoyens,
quand
il
s'agit
d'attaquer
le
Front populaire, seul capable d'assurer
13 octobre, au Congrès de la Fédérad e 1»
veau froid aux cornichons ? Cela prête
la Défense républicaine contre les enL i a n •< Faite« lira to
tion départementale, étaient réuDis au
à rire ».
treprises de plus ni plus menaçantes
Entendu
l'autre
jour
au
café,
dans
nombre d'une centaine, et, le banquet,
du fascisme dont les formations para- une commune d u canton de Pont.... Gustave Téry écrivait, de son
qui a suivi la séance, a groupé une
militaires ont été multipliées et conso- l'Abbé, un dialogue intéressant entre
côté,
en 1915 : « Il a fallu le grand
soixantaine de congressistes.
— L'Alhambra d'Alger, l'une des
lidées sur tout l'ensemble du territoire. un partisan de Dorgères et du sousfrisson de la patrie en danger, pour
•
plus belles salles de spectacle de la
*
.
« Les forces populaires, partout en Dorgères du Chiltelier, et, un paysan
nous faire découvrir dans la musique
ville, a été détruit p a r un formidable
et dans les paroles de notre hymne
Jamais le nombre de ses délé- éveil et réagissantes, constituent l'uni- sain de corps et d'esprit.
incendie. Il y a plus de 3 millions de
national tout ce qu'y avaient mis nos
gués n'a été si imposant et jamais que moyen actuel de paralyser l'action
— Ce cochon de Gouvernement et
Chantre. — Faut-il, pour beugler
dégâts.
du
fascisme
que
les
forces
de
police,
pères, tout ce qu'exprime le bas-relief ainsi, qu'il soit convaincu que Dieu est
encore une plus grande cordialité n'a
les déput- s ne font rien pour le paysan.
— Les élections générales à la de l'Arc-de-Triomphe.
régné entre les camarades accourus réduites à elles-mêmes, seraient im— Et son interlocuteur de lui r é sourd à ses prières.
Diète
de Mémel ont donné une nette
puissantes à contenir.
de partout.
« Maintenant, nous n'avons qu'une
pondre que, dans la crise agricole qui
Chapelet. —• Dévotion à faux pois.
victoire au parti allemand qui a 24
*
crainte : c'est qu'on ne recommence à
sévit sur le monde, la France est
» • •
Charrue.
— L'accoucheusedelaterre.
élus contre 5 au parti lithuanien.
• .
en abuser. A cette heure, il n'y a
encore
la
moins
maltraitée.
Les
dépuLe Congrès a, à l'unanimité moins
« La Fédération est prête,
d'autre
— Une maison de 18 étages s'est plus de concert, plus de spectacle qui
deux voix et une abstention, approuvé part, à poursuivre en plein accord tés radicaux du Finistère sont inter- écroulée à Moscou. Il y a 18 morts.
La Trêve
ne se termine par une exécution de la
avec un élan général la formation du avec les autres partis de gauche, une venus à tout moment dans les ques— La Monurchie a été proclamée Marseillaise. Dans les meilleurs théâtions
agricoles
et
la
situation
s'est
déjà
Front populaire.
politique résolue ¿'action républicaine,
en Grèce. Sommé par quatre officiers tres, on voit une belle fille, qui a
Les délégués ont entendu manifester économique et financière, faite à la un peu améliorée.
généraux d'abandonner le pouvoir, le souvent une belle voix, se draper dans
Le
veau
se
vend
5
fr.
le
kilo
au
lieu
de
ainsi leur volonté de se ranger du côté fois d'audace, de justice fiscale et de
Gouvernement a démissionné. Il a été
2 f r . 50 il y a uu mois ; Le porc 4 f r . immédiatement remplacé par un mi- un drapeau tricolore et chanter ou
du peuple. Les chefs ont indiqué qu'ils prudence.
le kilo au lieu de 2 fr. 50 ; le beurre nistère formé par le général monar- déclamer l'hymne national avec des
entendaient s'allier à tous les vrais
« Elle est ennemie des moyens ré9 fr. le kilo au lieu de 7 fr. ; les vaches chiste Condylis qui a été invesi des gestes dramatiques....
partis de gauche p o i r combattre les volutionnaires
et désireuse d'assurer,
... « Le théâtre, c'est charmant,
fascistes et déjouer leurs conspirations dans l'intervalle, et, avant toute ins- ont bénéficié d'une augmentation de fonctions de régent par l'assemblée
mais la Marseillaise, c'est sacré. 11 y
200
f
r
.
à
300
f
r
.
par
tête
depuis
un
nationale.
ourdies contre le réatisme des intérêts tauration
« Les circonstances sont graves,
de l'ordre
nouveau, la
a des manières de s'en servir qui
nationaux et contre l'idéal républicain. continuité de la vie publique de la mois ; la pomme de terre est, il est — Un cyclone a causé près de
nous dit-on. Arrangez-vous et opporessemblent
à
des
sacrilèges
».
(1)
vrai, en recul de 2 fr. par quintal.
500.000 francs de dégâts dans la réIls marcheront droit leur chemin nation.
sez le front national français a u x
**
— Le partisan de Dorgères n'a pas gion du Nord.
sans faire attention aux cris des corennemis du dehors. »
insisté. Il a dû se rendre à l'évidence
beaux ni aux sifflements des vipères
—•
Le
Parlement
britannique
est
« Elle invite le Congrès de Paris à
C'est vrai. Mais il faut être deux
des chiffres.
qu'ils rencontreront sur leur route.
convoqué officiellement pour le 22
soutenir une politique outrancière de
pour s'arranger et il est impossible
Ils tiendront tête à tous leurs ennemis défense paysanne caractérisée
surtout IEBI!lKIIII>Klllil!llflliai!i;illl!l1!lilil!lilIl!lllilillllll!lll octobre.
Rouget de Lisle s'était retiré rue de donner la main à qui vous tient en
et résisteront aux organisations fas- par la revalorisation
des produits
— De graves incidents se sont pro- des Vertus, à Choisy-le-Roy, aux por- joue, prêt à tirer.
Pensée de Roi
cistes, commé aux gros malins qui agricoles, par la réduction et l'aménaduits à la frontière soviéto-inandchoue. tes de Paris. Il y menait une vie
Autrefois, quand on parlait d e
cajolent le peuple et qui représentent gement des charges de l'agriculture et
Réponse a u x Fascistes
Dessoldats mandchous, commandés par simple, ignorée de tous, frugale, voi- l'abolition d e la peine de mort, Alla coalition hypocrite de la sacristie par l'organisation
de la profession
des officiers japonais, ont attaqué des sine de la misère. En le voyant par- phonse Ivarr répondait : « Que Meset du château.
« La Belgique a deux pôles de gardes soviétiques qui ont rispoté. 11 courir les rues de la ville, appuyé sur sieurs les assassins commencent ! »
agricole.
Vous avez engagé la danse, riches
« Elle réclame une vaste entreprise sécurité : Londres et Paris. Il ne peut y a des morts de part et d'autre.
une canne, on se disait de l'un à
égoïstes et conservateurs roublards I
de travaux publics en vue d'assurer, être question pour nous de choisir : il
— Le célèbre chanteur populaire l'autre : regarde, c'est celui de la
Eh bien, on dansera, on vous fera par le recul et la cessation
graduelle n'y a et il ne peut y avoir que Londres Dranem, qui était le pseudonyme Marseillaise.
Nous savions déjà, depuis les toursauter, et... vous paierez les violons. du chômage, la subsistance des travail- et Paris. »
Albert /or.
nées
du général de Castelnau, q u e
d'Armand Ménard, est mort à Paris,
En 1835, il dut s'aliter. Le mal
Pierre Lerouge.
leurs de la mer, des villes et des i Biiiia IIIIIII a u i u i n i n a i n i i i u i i a iii i u i à l'âge de 66 ans.
les
prêtres
du Courrier du Finistère
avait l'ait de rapides progrès et, se
champs.
peuvent
en
24 heures mobiliser d e
— L'oilensive italienne en Ethiopie sentant perdu, il eut uu mot navrant :
POINTES
SÈCHES
15
à
60.000
hommes
dans le Finistère.
» «
a subi un temps d'arrêt ces jours der- « Voilà, dit-il tristement, j ' a i fait
Et
voici
que
les
croix
de feu s'orgauElleréclame larévision des Décretsniers. Mais, après avoir consolidé les chanter le monde, et maintenant j e
A un journaliste
clérical.
nisent
dans
l'ombre
propice
aux maupositions
conquises,
les
troupes
italois et la suppression
d'injustices
vais mourir ».
Une Centaine de délégués, repré- criantes qui atteignent les petits et les
On ne peut réfuter les morsures de liennes ont, repris leur mouvement en
vais
desseins.
Le samedi 25 mai, l'agonie comsentant presque tous les comités du modestes, tandis que les magnats de vipères, ni les coups de pied de cheval avant et ont occupé, lundi, Axoum, la
Et voici que seigneurs et châtelains,
mença. C'était un dimanche. Soudain,
département, se sont réunis dimanche l'Industrie, les sociétés anonymes viiis- ou d'Ane.
ville sainte, sans que d'ailleurs un par la fenêtre entrouverte, il entendit qui ont repris d u poil de l a bête,
*
seul coup de fusil ait été tiré.
matin, au Gymnase municipal de santés et les hauts bénéficiaires du
les voix fraîches des conscrits chanter prêchent ou imposent aux manants l a
Un homme /
Le grand événement de ces jours
Quimper, en assemblée extraordi- cumul, témoignent
par leur silence
à distance les strophes de l'hymne grève de l'impôt. Quand rien n'ira
On est bedeau, on est notaire, on passés est la trahison du gendre du sacré :
naire en vue du Congrès national du qu'ils ne sont pas atteints jusqu'au vif
plus, ils fonderont leur puissance s u r
Parti qui doit se t e n i ' à Paris à la fin par les décisions gouvernementales des est charcutier, le tout très aisément. Négus qui a fait sa soumission aux
les ruines qu'ils auront créées euxLiberté, liberté chérie,
Italiens, leur livrant 12.000 fusils et
N'est pas homme qui veut.
du moisi
mêmes.
Décrets-lois.
160 mitrailleuses.
Combats avec tes défenseurs.
M. Georges Le Bail, sénateur, préNos bons français proclament que
* *
,.•!
— A Genève, la Société des Nations
Ceux qui le veillaient furent saisis les gauches sont la cause du m a l p a y side la réunion ; il est assisté de MM.
« Elle préconise la défense intégrale de
a décidé d'appliquer à l'Italie des d'étonnement. Rouget de Lisle eut un
Tanguy, sénateur ; Maaé, député ;
san. Et ces bougres à poils se gardent
l'École
laïque
en
butte,
plies
que
jamais,
sanctions
économiques et financières. geste lent et presque insensible, comfliou et Boscher, vice-présidents de la
bien de proclamer que les Chambre»
à la faveur de l'Union nationale, aux
La décision a été prise à l'unanimité, me s'il avait compris.... Soudain, les
Fédération,
(gauche et droite unies dans les m ê m e s
La colère, la vengeance, la haine moins la voix de l'Italie et l'abstention
attaques ouvertes ou hypocrites, et,
voix se rapprochèrent et il entendit scrutins) ont voté les mêmes lois dan»
MM. Cadoret, Pouchus, Albert Le
dux représailles locales des factions sont si aveugles qu'elles saisissent de l'Autriche et de la Hongrie.
peut-être retentir l'appcil aux armes : le b u t d'apporter un soulagement aux
Bàil, députés, assistent également à
toujours leurs poignards par la lame.
hostiles à l'Enseignement
national.
Ces sanctions, prises par un comité
Aux armes ! citoyens,
*
la réunion.
souffrances de nos campagnes.
*
de 16 membres et approuvées p a r
*
Formez
vos bataillons.
*
4
* *
Après avoir excusé quelques per*
l'ensemble des membres de la S. D. N.,
*
»
Fantaiio raconte, au sujet du géSOnnes empêchées, le président in« Elle réclame la refonte du prose bornent jusqu'à présent à la mise
On
invite
les
partis
d e gauche &
dique le b u t de la réunion et trace un gramme de l'enseignement primaire et néral Lyautey, qui était un peu... dur
Un monument a été érigé, à Choisyde l'embargo sur les armes destinées
donner
aux
droitiers,
leurs frères,
tableau saisissant do clarté et d'objec- sa trant formation dans un sens utili- d'oreille, l'anecdote suivante :
à l'Italie et à la levée de l'embargo sur
le
baiser
Lamourette,
alors que 1a
Après une réception au Corps d'armée celles qui sout destinées à l'Ethiopie.
tivité d e la situation actuelle et pré- taire el professionnel bien adapté aux
(1) L'OEuvre, 6 mars 1915.
meute
féodale
traque
¿«-banquet
es
conise, avec toute sa foi de vieux conditions de la vie moderne ou locale. de Rennes, le général avait témoigné
(2) Traduction de Fallex.
UNE
ÉCLATANTE
LI
MANIFESTATION
RADICAL-SOCIALISTE
« L'orientation professionnelle lui
parait le seul moyen d'enrayer les
aspirations trop généralisées des générations nouvelles vers la haute culture,
et qui risquent de ne pas trouver dans
la société l'emploi de leur noble savoir
et de leur jeune activité.
La (( Marseillaise »
Réflexion sur les malins en poillip
Contradictions
joumai l e C i t o y e n
Au calé I flans do centre HlgouaeD M i e t t e s
Semaine
Jour m7/ l e C i t o y e n
Moonaire M j a f l é m i p
tac ! (¡ne les geis
Roque et it Dorgères
f
.«
ie< Rouget de Msle
La Réunion
Glanes
^
Pertes
banquet les représentants du peuple
breton les plus honorables et les plus
travailleurs.
Et tout cela dans un misérable bat
politique, pour tromper et exploiter
un pays électoral qui n'a pas voulu
d'eux, par crainte de revenir à son
vomissement de 1789.
N'oubliez pas, électeurs, que tandis
que l'Europe se coalisait contre la
France pour étouller dans son germe
la
Révolution
française
qui a pro-
clamé les Droits de l'Homme et du
Citoyen et vous a libérés de la servitude ancienne, la Vendée soulevée
par les prêtres, plantait à la France
son poignard dans le dos.
Embrassez-vous, disent les bourgeois à l'âme veule ou défaillante.
Et j e réponds aux hommes noirs,
aux hommes du Juste-Milieu et aux
beaux messieurs de Bois-doré :
« Ouvrons l'œil, et le bon, et, ne
donnons pas dans le piège de la
concorde où le mauvais berger se propose d'étrangler les pauvres moutons ».
Vlan.
"Mon Jardin
r *
^
R e v u e *• Jardlnag*
Jardina«'
THOUARS (0«u«-»ewM|
u t Ii | i l d t pratlqn
à » «matiurr
faut 4* 3 mil»
eonlrt 2 fr. tu tlmbni-p*i1*
s ä t ö riiiois : 2 f r a n c s
rryMHHHflMHllIMHlllIllJ
HERNIE
M . O L A S E R , 44, Bd
Sébaslopol,
— PARIS —
F o u r n i s s e u r d e s A s s u r a n c e s Sociales
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pltu r e b e l l e s diminuent lnsuntanément de
volume et disparussent peu à peu c o m p U . Devant de tel« résultat» tarantistoujourspar
écrit, tous ceux atteints de Hernie doivent s'adressersans retard à M OLASER qui leurfera
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Okttos Matrioa «I Ions organes.
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congressistes.
La salle d u b a n q u e t avait é t é s u p e r b e m e n t d é c o r é e p a r les soins d e M. Gouriou,
c h e f - r a d i o au p a r c d e balisage, l'on a d m i Le C o n g r è s national a n n u e l d u syndicat rait d e u x p h a r e s m i n i a t u r e s et u n g r a n d
des Gardiens do P h a r e s et d u P e r s o n n e l p h a r e lançant à intervalles r é g u l i e r s s o n
des b a t e a u x - b a l i s e u r s do F r a n c o et d e s feu blanc.
Colonies s'est tenu à Brest, du 10 a u 12
D u r a n t l'excellent r e p a s q u i fait lo plus
o c t o b r e c o u r a n t , salle do la Bresfoise.
grand h o n n e u r au p r o p r i é t a i r e du RestauJ a m a i s les Congressistes ne f u r e n t si r a n t d u Contre, la plus g r a n d e cordialité
n o m b r e u x , il y avait d e s d é l é g u é s v e n u s n'a cessé d e r é g n e r .
de tous les coins do la Franco.
Au c h a m p a g n o de n o m b r e u x discours
La p r e m i è r e j o u r n é e f u t consacrée à la f u r e n t prononcés.
Société de s e c o u r s m u t u e l s , dont la r é u M. Chaussées, secrétaire général du s y n nion se tint s o u s la présidence d u cama- dicat, a p r è s avoir excusé q u e l q u e s personr a d e Beaufils, d u Ilavre, assisté d e MM. nes e m p ê c h é e s d o n t M. G e o r g e s Lo Bail,
Corion, do D u n k e r q u e , secrétaire, et H o u - s e n a t e u r , r e m e r c i e les a u t o r i t é s présentes
chouas, do P e n m a r c h , trésorier.
et d e m a n d e a u x P a r l e m e n t a i r e s de vouloir
F o n d é o en 1930, g r â c e à ses d é v o u é s bien s o u t e n i r p r è s d e s Pouvoirs publics
dirigeants, q u i n'ont m é n a g é ni leur t e m p s les vœux q u i o n t é t é adoptés a u c o u r s d u
ni leur peine, celte mutuelle, m a l g r é les c o n g r è s .
s e c o u r s do t o u t e s sortes, e s t à la tête d ' u n
11 r e m e r c i e p a r t i c u l i è r e m e n t le sénateuravoir actuol do plus de cent mille f r a n c s . maire ot la population brestoise p o u r leur
Les séances d e s 11 et 12 o c t o b r e f u r e n t bienveillant accueil, ainsi q u e les d é l é g u é s
les j o u r n é e s d u syndicat où les c o n g r e s - des g r o u p e m e n t s c o r p o r a t i f s et les m e n sistes e x a m i n è r e n t de n o m b r e u s e s q u e s - b r e s do la presse.
tions p r o p o s é o s p a r le b u r e a u , les délégués,
Avant do s'asseoir, le secrétaire g é n é la question créée p a r les décrets-lois e t ral lève son verro en l ' h o n n e u r do t o u s
le r a p p o r t moral et financier.
ses c a m a r a d e s du syndicat.
Ces r é u n i o n s étaient présidées p a r M.
Ai. Huguen, secrétaire d e la Fédération
Chaussées, secrétaire g é n é r a l du syndicat, des Fonctionnaires, a p r è s avoir r e m e r c i é
assisté des c a m a r a d e s H o u c h o u a s et Marzin. le Bureau d e s g a r d i e n s de p h a r e s de s o n
L'avoir d u syndicat a u 1 e r juillet d e r n i e r aimable invitation, c o m p l i m e n t e les c o n était de neuf mille francs. Des félicitations gressistes de la belle t e n u e d e leurs r é sont votées au dévoué trésorier, M. H o u - unions et. prie les P a r l e m e n t a i r e s d ' i n t e r chouas, p o u r sa b o n n e gestion.
venir e n f a v e u r d ' u n militant brestois
Au c o u r s do ces r é u n i o n s les congressistes f r a p p é t r o p d u r e m e n t à la suite d e s t r o u ont également e n t e n d u MM. Croûton, in- bles d e Brest.
g é n i e u r dos T r a v a u x publics ; Pet ton,
En t e r m i n a n t , M. Huffuen lève s o n v e r i n g é n i e u r , délégué de la F é d é r a t i o n d e s r e à la p r o s p é r i t é d u syndicat d e s g a r T r a v a u x publics, e t H u g u e n , s e c r é t a i r e do diens do p h a r e s .
la F é d é r a t i o n d é p a r t e m e n t a l e d e s F o n c M. Pcllon, d é l é g u é d e la F é d é r a t i o n d e s
tionnaires, à Brest.
Travaux publics, excuse le secrétaire fédélies
Vœux
Voici q u e l q u e s - u n s dos vœux q u i f u r e n t
adoptés au congrès :
— Que les a n n é e s do navigation faites
par les g a r d i e n s de p h a r e s ex-inscrits maritimes ne soient p a s t o t a l e m e n t p e r d u e s et
puissent c o m p t e r c o m m e a n n u i t é s d ' a c croissement à la pension d'ancienneté, tel
q u o cela se p r a t i q u e d a n s les fonctions
suivantes : g a r d e - p ê c h e , g a r d e - m a r i t i m e ,
marin d e s directions d e s ports, g u e t t e u r
s é m a p h o r i q u e et d o u a n i e r .
— Que les P o u v o i r s Publics envisagent
la possibilité de m a j o r e r p o u r l'obtention
de la r e t r a i t e , lo t e m p s passé p a r les g a r dions d a n s les p h a r e s on m e r .
— Quo les emplois d e chef gardien
soient mis a u c o n c o u r s p a r région et q u o
les m a î t r e s de p h a r e s soient r e c r u t é s exclusivement d a n s lo c a d r e d e s g a r d i e n s .
— Q u ' ° u a u g m e n t e les vivres de m e r
p o u r les g a r d i e n s de p h a r e s en m e r .
— Que lo t r a i t e m e n t d e s m o i t i é s de
p h a r e s soit assimilé à celui de mécanicien d e s b a t e a u x - b a l i s e u r s .
— Que les a n n é e s passées d a n s les p h a .
res isolés en m e r c o m p t e n t d o u b l e p o u r
la r e t r a i t e .
— Qu'en cas de g u e r r o , les g a r d i e n s
de p h a r e s mobilisés à leur poste soient
considérés c o m m e militaires, afin q u ' e n
cas d e blessures occasionnées p a r fait de
g u e r r o ils soient considérés c o m m e blessés de g u e r r e et q u ' e n cas de m o r t , la
veuve ait u n e pension qui serait s u p é r i e u r e
à u n e pension régie p a r la loi civile.
— Les g a r d i e n s d e p h a r e s en m e r sollicitent q u o soit généralisée la liaison avec
la t e r r e p a r téléphonie sans fil.
— Le p e r s o n n e l d e s b a t e a u x baliseurs
d e m a n d e q u e les h e u r e s s u p p l é m e n t a i r e s
soient payées a u 1/8« de la solde j o u r n a Le p r o f o n d malaise c r é é p a r m i les g r a
lière.
dés de r é s e r v e p a r la c o o p é r a t i o n d e c e r — Le p e r s o n n e l d e s b a t e a u x - b a l i s e u r s
tains d'entre eux a u x m o u v e m e n t s factieux
d e m a n d e q u e lo personnel anxiliaire soit
du d é b u t d e 1934 est loin d ' ê t r e apaisé.
titularisé aussitôt la vacance déclarée.
11 s e m b l e q u ' a u c o n t r a i r e , la p r o p a g a n — Les olficiers d e s bateaux baliseurs
d e c o n t r e les institutions r é p u b l i c a i n e s , le
d e m a n d o n t q u e leur situation soit rovisée
r é g i m e d é m o c r a t i q u e c o n t i n u e à s'exercer,
et mise en c o n c o r d a n c e avec celle d e s
d e m a n i è r e à e n g a g e r plus n e t t e m e n t e n l i e u t e n a n t s de p o r t .
c o r e les g r o u p e m e n t s d e g r a d é s d e r é s e r v e
— Lo p e r s o n n e l d e s b a t e a u x baliseurs
d a n s u n e action p a r t i s a n e i n c o m p a t i b l e
d e m a n d e n t q u e le c a r é n a g e soit considéré
a v e c la stricte n e u t r a l i t é q u i doit c a r a c t é c o m m e un travail pénible e t soit r é m u n é r i s e r c e s associations.
ré.
C o n t r e cette a t t i t u d e , t e n d a n t à laisser
— D e m a n d e q u e le d é c r e t p o r t a n t r é l è c r o i r e a u P a y s q u e la totalité d e s g r a d é s
v e m e n t d e s i n d e m n i t é s d e s vivres p o u r
d e réserve s e r a i e n t ralliés au fascisme, i o u s
sortie en mer soit modifié et qu'il ne soit
sommes résolus à réagir.
plus exigé 24 h e u r e s consécutives de m e r
N o u s f e r o n s savoir à l'opinion a b u s é e q u e
p
o u r percevoir l'indemnité.
n o n s e u l e m e n t les Ofllciers, mais les S o u s »
Officiers d e r é s e r v e d e m e u r e n t , d a n s leur
4 «
i m m e n s e m a j o r i t é , décidés à d é f e n d r e à
Le syndicat a voté u n e s o m m e de mille
t o u t prix le r é g i m e d é m o c r a t i q u e et les f r a n c s p o u r les familles d e s victimes d e s
l i b e r t é s p o u r lesquelles tant do n o s aînés t r o u b l e s d u mois d ' a o û t d e r n i e r d a n s les
sont tombés.
ports de Brest et de T o u l o n .
«
N o u s s a u r o n s e m p ê c h e r q u e le sacrifice
» •
d e t o u s a u q u e l o n t p a r t i c i p é a u moins
Le 11, a u matin, les Membres d u B u r e a u ,
a u t a n t q u e d ' a u t r e s les g r a d é s républicains a c c o m p a g n é s do la p l u p a r t d e s c o n g r e s n e soit m o n o p o l i s é p a r les professionnels sistes, so s o n t r e n d u s en c o r t è g e place
du patriotisme.
A n a t o l e - F r a n c e , et o n t d é p o s é u n e m a g n i C'eut a u n o m d e ce sacrifice q u e n o u s fique g e r b e de fleurs au piod d u m o n u m e n t
e n t e n d o n s d é f e n d r e n o s libertés, et p a r là aux Morts p o u r la P a t r i e .
m ê m e d é f e n d r e la paix, si g r a v e m e n t
!•• Bureau
a t t e i n t e en ce m o m e n t .
La composition d u b u r e a u p o u r l'année
P o u r b a r r e r la r o u t e au fascisme et à la
g n e r r e qu'il e n g e n d r e , s'est d r e s s é e « la 1936 est la suivante :
F r a n c e r é p u b l i c a i n e » qui, a p r è s avoir rasSecrétaire général : M. Chaussées, du
s e m b l é les Officiers de r é s e r v e et p r o v o q u é phare d'Ailly (Seino-lnférieure) ; Trésorier
chez e u x un m a g n i f i q u e élan, fait m a i n - général: M. Houchouas, du phare de P e n t e n a n t a p p e l a u x Sous-Ofticiors
march (Finistère) ; Secrétaire-adjoint:
M.
C a m a r a d e s Sous-Officiers d e réserve, q u i Boaufils, des phares du Havre (Seine-Infép a r t a g e z n o t r e idéal d e liberté, d e j u s t i c e rieure) ; Trésorier-adjoint:
M. Marzin, du
et de f r a t e r n i t é h u m a i n e , ce m ê m e idéal phare de Granville (Manche) ; Membres :
qui anima les a r m é e s Immortelles de 1792, MM. Corion, Kervarec, Le Berre, Le Courvenez avec nous. Rejoignez a u j o u r d ' h u i tès, Dury, Couteau, Gidde, Loussouarn,
i la Fédération des Sous-Officiers d e Camoreyt, Le Louôt, Le Bras, Cloarec.
réserve républicains ».
S a n q u a t 4« olétnfé
Elle aera pour vous un lien précieux,
Le
congrès
s'est terminé samedi soir par
fraternel, un prolongement de l'esprit de
un
banquet
servi
par M. Chevance, 6, rue
camaraderie et de solidarité ) elle vous
donnera la force et la cohésion nécessaires Mongei
Plus de cinquante convives assistaient à
pour montrer mémo, publiquement, que,
ce
repas. Près du Secrétaire général d u
c o r n u e Sous-Offlcier de réserve, vous ne
syndicat
on remarquait MM. Le Gorgeu,
séparez pas l'idée de la République de celle
sénateur-maire de Brest ; Albert Le Bail,
de la Patrie.
*f •
député ; Croûton et Petton, ingénieurs des
Travaux publics ; Huguen, secrétaire de la
La Fédération invite instamment tous les
Sous-Offlciers de réserve républicains à Fédération d e s Fonctionnaires ; P. Guédemander, d è s à présent, des statutB et des guen, gérant du « Bulletin du Syndicat
bulletin* d'adhésion au siège de la « Fédé- National dos Gardiens de Phares et d u
ration dea Sous-Officiers de réserve répu- Personnel des Bateaux-Ballseurs de France
jbltoaini », 7, rue de Trétaigna, Paria (18*).
Ho Appel m Spps-Olliclers de réserve
ral de n'avoir p u venir à Brest. Il assure
le personnel d e s p h a r e s et balises de t o u t
le c o n c o u r s des dirigeants de la Fédération
p o u r la défense de leurs droits.
M. Croûton, i n g é n i e u r d e s T r a v a u x p u blics, a u n o m d e ce service, a p p o r t e à son
t o u r le salut, au personnel si dévoué d e s
g a r d i e n s d e p h a r e s et bateaux-baliseurs.
A p r è s a v o i r adressé, eu lermesexcellents,
tous ses r e i n ' T c i e m e n t s a u x bienfaiteurs
ot amis des œ u v r e s des g a r d i e n s de phares,
il rappelle q n e l q u e s s o u v e n i r s d ' é v é n e m e n t s
d o u l o u r e u x d o n t o n t été victimes plusieurs
h o m m e s de la c o r p o r a t i o n , il t e r m i n e en
levant son v e r r e en l ' h o n n e u r d e s c o n gressistes et de leurs familles et adresse
à t o u s sa plus g r a n d e sympathie.
!
Vout ne trouverez
chez tout
les dépositaires
pas le Citoyen
de
journaux
mais vous le
trouverez
Conseil Général
LE COKE
Adressez vos commandes et renseignez-vous à l'Usine ou aux Bureaux
de la Société LEBON & G" à :
Q u i m p e r (tél. 0-79).
P o n t - l ' A b b é (tél. 0-15).
L'HUILE oe
MARQUE LA
MOINS CHBM
C ^ s m a e a . S
m
e
a
BïBï.ïO€rRÀPHïB
Vient de paraître
et des Colonies » ; quelque» dame» ; le« élogieui« préface,
Aosporden (tél. 0-61).
Quimperlé (tél. 1-53).
Audiern« (tél. 61).
Oonoaraeau (tél. 24).
Douarnenea (tél. 1-71).
:
I s a C « d a é « l o c a t a i r e fttfjK, par M'
Pierre de Félice f avocat à la Cour d'appal de Paris. Les éditions pratiques, 30,
rue St-Augustin, prix 5 francs.
Voilà un ouvrage condensé, précis, utile.
Tous les textes (lois et décrets^lois)
actuellement en vigueur concernant les
baux commerciaux, les baux d'habitalion,
les baux ruraux, sont rassemblés dans ce
livre q u e M. Abel Gardey ancien ministre
de la Justice, vient d'honorer d'une trè»
Ménagères
— A g e n t d e p o u r s u i t e s . — C o n c o u r s ouvert en n o v e m b r e 1935. A g e : 25 à 30 a n s
au 1 er j a n v i e r 1935. T r a i t e m e n t d e d é b u t :
sûrement
chez vous en vous
abonnant. 11.500 f r a n c s plus indemnités. Aucun d i I Voir bulletin d'abonnement, en ¿"pasreï. p l ô m e exigé.
Elève Météorologiste à l'Office National Météorologique. — Date : 4 d é c e m b r e
1935. Délai d'inscription : 4 n o v e m b r e 1935.
Avoir satisfait loi r e c r u t e m e n t . A g e : 21 à
30 a n s au 1 e r j a n v i e r 1935. T r a i t e m e n t d e
Le Conseil g é n é r a l d u F i n i s t è r e s'est d é b u t 11.500 f r a n c s plus indemnités. B a c r é u n i lundi, on session e x t r a o r d i n a i r e , p o u r c a l a u r é a t ou diplôme é q u i v a l e n t exigé.
— R é d a c t e u r et rédactrice à l'Adminisdiscuter du maintien o u de la s u p p r e s s i o n
tration g é n é r a l e de l'Assistance p u b l i q u e
des voies f e r r é e s d é p a r t e m e n t a l e s .
à Paris. — Date : 19 février 1936. Délai
M. Lancien présidait, assisté d e M. Le
d'inscription : 8 février. Candidats m a s c u Dilasser, secrétaire. M. le P r é f e t assistait lins : avoir satisfait loi r e c r u t e m e n t . A g e :
à la séance. P r e s q u e Ions les conseillers 20 à 30 ans, plus services militaires actifs.
g é n é r a u x étaient p r é s e n t s .
T r a i t e m e n t d e d é b u t : 14.000 f r a n c s plus
M. L a r q u e t d o n n a lecture d ' u n e lettre indemnités. Licence o u diplôme équivalent
du Comité t e c h n i q u e d é p a r t e m e n t a l , lettre exigé.
— Chefs de T r a v a u x d a n s les Ecoles
par laquelle ce Comité fait c o n n a î t r e le
pratiques de Commerce et d'Industrie. —
plan qu'il a a r r ê t é .
n o v e m b r e 1935. Délai d'inscripLa discussion s ' e n g a g e a aussitôt à ce s u j e t . Date : 23
er
Elle f u t limitée p a r l'intervention de M. tion : 1 n o v e m b r e . Age : 25 à 35 a n s plus
services a n t é r i e u r s admissibles p o u r la
Lancien q u i d é c l a r a q u e les d é b a t s devaient
r e t r a i t e . Limite absolue ; 40 ans. T r a i t e être limités à ces deux q u e s t i o n s : Quelles ment d e base : 16 000 f r a n c s plus i n d e m n i lignes d e v o n s - n o u s c o n s e r v e r ? S o u s quelles tés. Conditions exigées : 5 a n s d e p r a t i q u e
f o r m e s ces lignes seront-elles concédées ? industrielle p o u r les ouvriers e t c o n t r e Le Comité t e c h n i q u e n'aura q u ' à e n r e - maîtres, e t 3 a n s p o u r les anciens élèves
gistrer la décision prise et à p r e n d r e d e s des Arts e t Métiers.
m e s u r e s en c o n s é q u e n c e .
— A d m i n i s t r a t e u r d e 1 " classe d e l'InsM. P e r r o t , d é p u t é et conseiller g é n é r a l cription m a r i t i m e . — Date : 15 n o v e m b r e
du Cap, déposa alors u n e motion d e m a n - 1935. — Délai d'inscription : 30 o c t o b r e .
d a n t le maintien des q u a t r e lignes suivantes : Age m i n i m u m : 35 a n s a u 31 d é c e m b r e
1935. T r a i t e m e n t d e d é b u t : 26.000 f r a n c s
Douarnenez-Audierne, Pont-l'Abbé-Saintplus indemnités. C o n c o u r s o u v e r t aux lieuGuénolé, P l o u e s c a t - S t - P o l - d e - L é o n , Brest- t e n a n t s d e vaisseau, commissaires d e 1 "
Portsall-Kersaint.
classe d e la m a r i n e m a r c h a n d e , capitaine
Dans u n e séance p u b l i q u e t e n u e m a r d i au l o n g c o u r s et chefs d e section d e l'Insmatin et a p r è s de n o m b r e u s e s interventions, cription m a r i t i m e .
— R é d a c t e u r d e s Services civils d e
l'assemblée d é p a r t e m e n t a l e a voté, p a r
er
21 voix c o n t r e 17, la s u p p r e s s i o n c o m p l è t e l'Indo-Chine. — Deux c o n c o u r s : 1 : le
du réseau d e s chemins de f e r d é p a r t e - 23 m a r s 1936. Délai d'inscription : 23 j a n vier 1936. 2« : 3 n o v e m b r e 1936. Clôture d e s
mentaux.
inscriptions : 3 s e p t e m b r e 1936. Avoir satisM. Mazé, d é p u t é et conseiller g é n é r a l d e
fait loi r e c r u t e m e n t . A g e : 20 à 30 a n s .
Sizun, avait déposé, avec plusieurs d e ses T r a i t e m e n t d e d é b u t : 2.657 piastres 20,
collègues, u n a m e n d e m e n t ainsi conçu : plus indemnités. Licence o u diplôme équi« Le Conseil général décide la s u p p r e s - valent exigé.
« sion complète du réseau d é p a r t e m e n t a l
R e n s e i g n e m e n t s f o u r n i s p a r I'« Orienta
« de voies f e r r é e s d a n s les r é g i o n s où il lion Professionnelle », r e v u e mensuelle,
« existe encore.
a b o n n e m e n t : 15 f r a n c s p a r a n .
« 11 p r e n d r a en m ê m e t e m p s toutes d i s Les p e r s o n n e s q u i d é s i r e n t d e s rensei« positions p o u r a s s u r e r p a r la r o u t e , g n e m e n t s s u r l ' a n d e s emplois o u c o n c o u r s
« d a n s ces r é g i o n s , le trafic q u i se fait .î-dessus ou s a r u n examen q u e l c o n q u e ,
« a c t u e l l e m e n t p a r voies f e r r é e s et p o u r peuvent s ' a d r e s s e r d e n o t r e p a r t à M. Hou« d o n n e r p a r t o u s les m o y e n s r é p a r a t i o n s ioville, d i r e c t e u r - g é r a n t d e « L'Orientation
Professionnelle », 108, r u e E r l a n g e r , P a r i s
« a u x a g e n t s de la c o m p a g n i e , d o n t la
16*), q u i leur r é p o n d r a & t i t r e a b s o l u m e n t
i fonction a u r a été s u p p r i m é e ».
gracieux.
Voici le vote de nos Conseillers g é n é r a u x :
J o i n d r e u n t i m b r e d e 0 f r . 50 e t n e p a s
Vingt et un Conseillers o n t voté p o u r la oublier d e m e n t i o n n e r : e n qualité d e l e c
suppression.
«or d u • Citoyen », 7, r u e E l i e - F r é r o n , è
Ce s o n t : MM. Le G o r g e u , Guéguin, '•nimnor
Croissant, L e G u e r n , Bourhis, K e r g o u r l a y ,
de C o a t p o n t , Boucher, Yvonnou, Le Dilasser, Lanniizel, B o u r g o t , Monnier, F e u n t e u n , de Kerdrel, K e r a n g u y a d e r , Dangny
des Déserts, Larvol, Mazé, Fichou, P o u liquen.
Dix-sepl Conseillers
o n t voté p o u r le
maintien.
Ce s o n t : MM. de L'Hôpital, Quéinnec,
Julien, Perrot, d u Frétay, de G u é b r i a n t ,
Lo Meur, MocaCr, Le Gali, C a d o r e t , B e r t h é l é m é , Lancien, J a o u e n , T r é m i n t i n , d e
Taisnes, HénalT, Le C o r r e .
Au n o m d e la Commission d e s T r a v a u x
Nous priona laa personnes susceptipublics, M. de Taisnes p r o p o s e le m a i n bles da publier dans L E C I T O Y E N
tien en service d e t o u t e s les lignes d ' a u t o s
daa Insortions on das communications
ayant un c o n t r a t avec le d é p a r t e m e n t .
MM. Julien et P r i g e n t d e m a n d e n t la
la mardi après-midi an pins tard.
mise eu régie. Cet a m e n d e m e n t est r e j e t é
P a s s ò oa délai il nons ast impossià une forte majorité.
ble de faire la publication dans le
Le Conseil g é n é r a l décide q u e le r é s e a u
nnmiro de la semaine.
du rail sera r e m p l a c é p a r d e s lignes d ' a u tocars mises en a d j u d i c a t i o n e n u n c e r Mutuelle Antituberoulense
tain n o m b r e de lots, e t décide d ' a j o u t e r
les d e s i d e r a t a d u p e r s o n n e l q u e déjà M.
Primaire
Mazé avait fait c o n n a î t r e , soit :
L'assemblée g é n é r a l e d e la Mutuelle
« Le Conseil p r e n d r a t o u t e s dispositions a n t i t u b e r c u l e u s e d u Finistère se t i e n d r a
« p o u r d o n n e r , p a r t o u s les moyens, r é - d a n s u n e d e s classes de l'école J u l e s F e r r y ,
« paration aux a g e n t s de la C o m p a g n i e , en à Q u i m p e r , le j e u d i 24 o c t o b r e , à 11 h e u r e s
« s'inspirant d e s considérations suivantes :
O r d r e d u j o u r : C o m p t e - r e n d u moral ;
« L ' e m b a u c h e , p a r les services d é p a r t e - c o m p t e - r e n d u financier ; élection d e cinq
« mentaux, ponts e t c h a u s s é e s e t service m e m b r e s a u Conseil d ' a d m i n i s t r a t i o n ;
« vicinal, d u p e r s o n n e l dont l'emploi serait affiliation au « Soutien Mutuel » ; ratifica« supprimé ;
tion d ' a d h é s i o n s nouvelles ; commission
« La mise à la r e t r a i t e , avec j o u i s s a n c e d ' a p u r e m e n t ; affaires diverses.
« immédiate, p o u r le p e r s o n n e l â g é d e 55
Vu l ' i m p o r t a n c e d e cette r é u n i o n , les
• a n s d u service s é d e n t a i r e e t à 50 a n s institutrices et i n s t i t u t e u r s sont i n s t a m m e n t
« p o u r le p e r s o n n e l r o u l a n t ;
priés do vouloir bien y assister.
» L'attribution, a u x a g e n t s mis à la r e • »
traite d'office o u d o n t l'emploi est s u p Réunion
d
u
Conseil
d'administration, à
p r i m é d ' u n e i n d e m n i t é de d é p a r t p r o p o r tionnelle a u n o m b r e d ' a n n é e s d e service. > 14 h e u r e s .
O r d r e d u j o u r : Election d'un T r é s o r i e r ;
élection d ' u n S e c r é t a i r e ; mensualités e t
s e c o u r s ; affaires diverses.
du département,
Al. Corion, ancien secrétaire général d u
Syndicat et s e c r é t a i r e a c t u c l de la Mutuelle,
rappelle avec é l o q u e n c e lo d é v o u e m e n t
de son a m i Beaufils, p r é s i d e n t - f o n d a t e u r
de la Mutuelle.
Au n o m d e la g r a n d e famille d e s p h a r i s t e s e t baliseurs, M. Corion remet, à Mme
Beaufils u n e magnifique g e r b e de fleurs et
à son s y m p a t h i q u e é p o u x u n s u p e r b e objet
d'art.
Puis aux a p p l a u d i s s e m e n t s d e l'assistance, le Secrétaire de la Mutuelle d o n n e
l'accolade a u f o n d a t e u r d e la société de
s e c o u r s mutuels do la c o r p o r a t i o n .
M. Beau/ils, p r é s i d e n t d e la Mutuelle
très é m u , r e m e r c i e ses c a m a r a d e s d e cette
m a r q u e de sympathie, il d i t n'avoir fait
p o u r ses c a m a r a d e s q u e s o n devoir de
mutualiste e t qu'il caresse e n c o r e u n rêve :
la création d ' u n e maison de r e t r a i t e p o u r
les c h e r s c a m a r a d e s d é s V r i t ' s .
M. Beaufils renouvelle ses r e m e r c i e m e n t s
à t o u s et assure à n o u v e a u ses amis de son
entier d é v o u e m e n t .
AI. Albert Le Bail, d é p u t é , en t e r m e s q u i
vont d r o i t a u c œ u r d e s congressistes,
exprime toute la joie qu'il é p r o u v e d e se
t r o u v e r p a r m i les g a r d i e n s de p h a r e s .
Il les a s s u r e d e son c o n c o u r s le plus
absolu, p o u r la réalisatisn de l e u r s j u s t e s
revendications eu é g a r d à leur beau mais
pénible métier.
A p r è s avoir r a p p e l é les qualités d e c œ u r
qui a n i m e n t tous les g a r d i e n s de p h a r e s e t
le p e r s o n n e l d e s b a t e a u x baliseurs, le
s y m p a t h i q u e d é p u t é souhaite à tous b o n n e
chance et p r o s p é r i t é dans les t e m p s à
venir.
Al. Le Gorgeu, s é n a t e u r - m a i r e de Brest,
en t e r m e s é l o q u e n t s lui aussi, assure les
m o d e s t e s et c o u r a g e u x f o n c t i o n n a i r e s d e s
p h a r e s e t balises d e t o u t s o n d é v o u e m e n t .
Ils p e u v e n t c o m p t e r s u r lui p o u r s o u t e n i r
f e r m e m e n t les j u s t e s revendications émises
au c o u r s de ce c o n g r è s .
Le s é n a t e u r - m a i r e , en t e r m i n a n t , lève
son v e r r e à la p r o s p é r i t é de l'association
des g a r d i e n s do p h a r e s .
remplaça avantageusement
T o u s ces d i s c o u r s o n t é t é l'objet d e t r è s
le Charbon ou l'Anthracite
vifs a p p l a u d i s s e m e n t s .
et
convient à tous les appareils
Avant d e se séparer MM. Le Gorgeu et
EMPLOYEZ
Albert Le Bail r e m e t t e n t a u x c a m a r a d e s
Beaufils e t Corion la médaille do la Mutualité.
Un b a n est b a t t u en leur h o n n e u r .
Le lendemain les congressistes o n t r e p r i s
et vous réaliserez
de sérieuses
économies
la direction de leurs p h a r e s p o u r r e p r e n d r e
(au
moins
3
0
%
)
leur d u r l a b e u r .
POUR AUTOS
Concours am M o u s Piifilips
mforwmcimmmtt
FOURNIER-DEMARS
S Î - A M A N D (Cher)
Ä V I S
Goaoours-Spreuves
d'Etalons
Des c o n c o u r s - é p r e u v e s a d j o i n t s a u x
séances d e la commission sanitaire a u r o n t
lieu a p r è s c h a c u n e d e s trois p r e m i è r e s
séances de m a r q u e . Les d a t e s s e r o n t les
suivantes :
Quimperlé : m a r d i 12 n o v e m b r e , a p r è s
la m a r q u e q u i a u r a lieu à. 13 h . 30, place
de la S o u s - P r é f e c t u r e ;
Q u i m p e r : m e r c r e d i 13 n o v e m b r e , a p r è s
la m a r q u e q u i a u r a lieu à 8 h e u r e s , s u r le
Champ-de-Foire ;
Carhaix : vendredi 15 n o v e m b r e , à 8 h. 30,
au Champ-de-Bataille ;
Châteaulin : s a m e d i 16 n o v e m b r e , a p r è s
la m a r q u e q u i a u r a lieu à 8 h e u r e s , s u r la
vieille r o u t e d e P l e y b e n .
taes foire« de la semaine
Lundi 21 octobre.
Ploudalméïeau,
Collorec, Guimiliau.
Mardi 22. — St-Pierre-QuilbigHon<
Jeudi 24. — Plouiévédé, Quefrieû.
Vendredi 25. — Gouesnou.
Samedi 26. — Le Faou, Plourorn.
HASIIXH-VOU«
A
2«, ru»tfuPar«, « I M H m
Avez-vous
essayé
les cha>bons
Maison L E
de
la
REUN?
Sa b o n n e e t r a p i d e r e n o m m é e p r o u v e la
qualité d e ses livraisons.
Un essai vous
convaincra.
Qnimper, 78, q u a i d e l'Odet. T é l é p h . 2.80.
Pont-1'Abbó, r u e A r n o u l t . T é l é p h . 28.
QCIMPER
An Comité radioal. — Le Comité r a d i cal-socialiste se r é u n i r a , v e n d r e d i , à 20 h e u res, d a n s l'une d e s salles d u Gymnase Municipal.
Avis à t o u s les a d h é r e n t s 1
A l'Aérodrome de Quimpar-Plugnfian. — N o u s r a p p e l o n s q u e les avions prototypes, p r e n a n t part a u T o u r d e F r a n c e
de p r é s e n t a t i o n , a r r i v e r o n t s u r l'Aérodrome d e Q u i m p e r - P l u g u f f a n s a m e d i p r o c h a i n
19 o c t o b r e , à 16 h e u r e s .
T o u s ces a p p a r e i l s s e r o n t p r é s e n t é s p a r
des techniciens a t t a c h é s a u circuit, d i m a n che, d e 8 h . 30 à midi.
L ' e n t r é e sera g r a t u i t e e t o n e s p è r e q u e
le public viendra t r è s n o m b r e u x à c e t t e
manifestation d e p r o p a g a n d e u n i q u e e n core d a n s n o t r e r é g i o n .
Pouvant être e m p r u n t é s : à l'aller, le train
en direction d e Pont-l'Abbé p a r t a n t d e
Q u i m p e r à 7 h . 35 et a u r e t o u r les trains
p a r t a n t d e P l u g u f f a n à 10 h e u r e s e t à
14 h e u r e s ; d ' a u t r e p a r t d e s cars, à d e s t i n a tion d e P o n t - l ' A b b é q u i p a s s e n t à p r o x i mité d u t e r r a i n , q u i t t e n t Q u i m p e r à 8 h . 15
et le r e t o u r s'effectue au passage d e Kérur e t ^ e m b r a n c h e m e n t d e la r o u t e d e P o n t l'Abbé-Plonéour) à 9 h . 18 e t 10 h . 58. Il se
peut d'ailleurs q u e d ' a u t r e s c a r s f a s s e n t ce
j o u r le service d u terrain d'aviation.
Un b a n q u e t p a r souscription o r g a n i s é
p a r la C h a m b r e d e C o m m e r c e e t l'AéroClub de Q u i m p e r r é u n i r a à l'hôtel d e la
P a i x , s a m e d i s o i r , à 20 h e u r e s , t o u s
les amis f e r v e n t s d e l'aviation aux côtés d e s
p a r t i c i p a n t s de ce raid q u i t o u s c o m p t e n t
de magnifiques é t a t s d e services.
Les cartes d u b a n q u e t s o n t e n vente à
l'hôtel d e la Paix e t d e la P o s t e .
Union Patronale dn Bâtiment. — U n e
a s s e m b l é e g é n é r a l e d e l'association d e
l'Union p a t r o n a l e d u B â t i m e n t d u S u d F i n i s t è r e a u r a lieu d i m a n c h e p r o c h a i n
20 o c t o b r e , à 9 h . 30, salle municipale d e la
rue Verdelet.
M. Le Guillou, e n t r e p r e n e u r à N a n t e s ,
p r é s i d e n t de la F é d é r a t i o n d e s S y n d i c a t s
p a t r o n a u x d u B â t i m e n t d e l'Ouest, vicep r é s i d e n t d e la F é d é r a t i o n n a t i o n a l e a b i e n
voulu a c c e p t e r la p r é s i d e n c e d e c e t t e
réunion.
Un b a n q u e t p a r souscription sera s e r v i
a p r è s la r é u n i o n , vers midi, à l'hôtel d e la
Paix e t d e la P o s t e . Les d a m e s s o n t c o r d i a l e m e n t invitées.
Le B u r e a u d e l'Union fait u n a p p e l p r e s sant p o u r q u e les e n t r e p r e n e u r s d u S u d Finistère assistent e n n o m b r e à c e t t e
assemblée générale.
l i e Banqnet des « Quarante « a s ». —
Gàs d e la classe 15, vous n'avez plus q u e
quelques jours pour apporter votre a d h é sion a u b a n q u e t d'anniversaire.
En effet, le lundi 21 o c t o b r e , la liste d e s
s o u s c r i p t i o n s sera définitivement close.
Inscrivez-vous donc, ces j o u r s - c l , a u
R e s t a u r a n t d e l'Odet, chez le c a m a r a d e Le
Berre, r u e Ste-Catherine, p r è s la P r é f e c ture.
Oinénea Odet-Palaoe (Direction L. Le
Bourhis). — De ce j o u r a u l u n d i 21 o c t o b r e : actualités p a r l a n t e s e t s o n o r e s , u n o s
d e u x films i n t é r e s s a n t s e t le g r a n d film :
« Crime e t C h â t i m e n t ». Séances d e gala.
•
*
*
Cette œ u v r e g i g a n t e s q u e a é t é réalisée
d a n s l'esprit m ê m e du r o m a n e t l e m e t t e u r eu
scène a su é v o q u e r d e saisissante f a ç o n
l'atmosphère pittoresque de StPétersbourg
vers 1860, c o m m e l'état d ' â m e d e s p e r s o n n a g e s , e x e m p l e s types d e cette t r o u b l e
mentalité slave d o n t Destoïewsky l u i - m ê m e
disait : « C'est d ' a b o r d l'oubli d e t o u t e
m e s u r e en t o u t e s c i r c o n s t a n c e s , le b e s o i n
de f o r t e s s e n s a t i o n s d e vertige au-dessus d e
l'àhime... C'est la j o u i s s a n c e i n f e r n a l e d u
g e s t e e n t r a î n a n t sa p r o p r e p e r t e , l ' e n t h o u siasme e f f r é n é d e v a n t sa t é m é r a i r e b r a vade ».
La sortie d e ce n o u v e a u film à P a r i s a
m a r q u é u n e d a t e d a n s la p r o d u c t i o n
actuelle e n raison d e s n o m b r e u x é l é m e n t s
qui c o n c o u r e n t à s o n i n t é r ê t e t p a r m i l e s quels la splendide i n t e r p r é t a t i o n d e P i e r r e
Blanchar. q u i a c o n n u la f a v e u r d e la Briennale d e Venise q u i l'a désigné c o m m e la
meilleur a c t e u r d e c i n é m a d u m o n d e , d e
H a r r y B a u r e t Madeleine Ozeray n'est p a s
le m o i n d r e a t t r a i t .
I«as Cimetières. — Le Maire de Quimper donne avis aux personnes travaillant
dans les cimetières communaux à la c o n s truction et à la réparation d e s monuments
funèbres qu'ils devront suspendre leurs
travaux et réparations le mercredi 23 o c t o bre courant.
Le matériel et les matériaux devront
être enlevés et les pourtours d e s m o n u ments nettoyés convenablement avant la
fête de la Toussaint. Aucun travail de
construction, de terrassement o u de plan*
tation ne pourra avoir lieu pendant le* six
jours qui précèdent le premier novembre,
sauf le cas d'urgence d'inhumation, d'exhu*
mation ou de réinhumation.
«tat<01*il A* 0 s a 1 4 dotabfa 1S J g . Naissances . Marie-Louise Jugan, 37; r u i
Saint-Mathieu ; Roger Fernande«, allée
de Locmaria ; Christiane Nicolas, 21, avri*
nue de la Gare ; Jeannine Bodénflnt, 4df
rue Saint-Mathieu ; René Le BeC, 1, venellé
de Kergos ; Jeannine Le Bras> côteau dtf
Frugy.
Publications de Mariages : Jean Horellou,
second*maltre timonier, dom. à P l o n é r e t Porzay, e t Marie Le Hénaff, dom. à Quimper ; Pierre Doucin, couvreur, d o m . à
Quimper, e t Jeanno Mérel, dom« à Loor9*
LE
nan ; Corentin Calvez, mécanicien, et S u zanne Le Febvre, dom. ù Quimper.
Décès : Louis Le Doaré, célibataire, 62
ans, retraité, rue de l'Hotpico ; Pierro Le
Floch, époux Férec, 64 ans, cultivateur,
rue de l'Hospice ; Alain Le Poirel, 35 ans,
cultivateur, rue de l ' H o s p i c e ; Marie
Jaouen, veuve Manach, 67 ans, commerçante, 30, rue de Kerl'eunteun ; Jules
Delaye, époux Vanderplasse, 55 ans, négociant, rue Bourg-ies-Hourgs.
(¡hallage Central au Gaz
• • • a l p r o p r a , «naai almplo, a u s a i p r a tiqua, q a a 1* O A S .
B t a d a a i l d a v l a gratuita p a r l a S e d i l i L B B O N * €»«•.
nant une faible partie d'ammoniaque.
Une solution à 2 °/„ d'acide acétique
jourra aviver leur couleur, à condiii>a q io ceile-ei ne soit pas passée
par le soleil.
Renlréè
Football-Association
des classes
A u Stade Korhual
C.oi'i>c de France
S. £). bat P. .1. par 4 ù i
Cette r o n c o n t r e f u t é m o u v a n t e p r e s q u e
j u s q u ' à la fin, la P h a l a n g e ne s ' a v o u a n t
j a m a i s b a t t u e , et so lançant continuellem e n t à l ' a t t a q u e d e s b u t s stadistes. Mais
la différence do classe était t r o p g r a n d e
p o u r qu'elle pu g a g n e r .
• « ' « I d a . — Mme Corentin Jaouen, veuve
Bargain, marchande de bonbons à Balanou,
a été trouvée pondue chez ello.
La malheureuse s'adonnait beaucoup à
la boisson.
Plogastel-St-Germain
T o m b o l a d a a B o o l a a l a ï q u a a . — Voici
la liste d e s numéros gagnants :
Le numéro 612 gagne le gros lot : une
bicyclette.
Le numéro 1320 gagne une pendule Odo.
Les numéros suivants gagnent un lot :
3 10 11 13 16 19 35 48 49
53 67 72 75 97 120 128 133 140
143 144 150 160 182 183 184 190 199
204 206 217 219 236 237 258 264 269
278 281 289 311 330 337 340 342 348
355 370 376 377 381 412 414 417 423
427 434 448 452 467 468 480 500 505
508 517 543 551 555 586 595 596 605
610 611 619 626 649 657 670 675 690
703 704 710 733 750 753 760 763 768
782 786 797 798 799 801 513 816 830
836 842 858 863 878 896 898 899 923
948 957 971 977 978 986 1022 1034 1051
1058 1065 1080 1108 1110 1117 1118 1123 1132
1149 1169 1176 1181 1189 1202 1210 1213 1221
1227 1242 1260 1279 1293 1339 1340 1341 1346
1358 1359 1361 1381 1395 1405 1411 1420 1432
1452 1453 1458 1485 1487 1499 15: »7 1525 1526
1529 1555 1574 1579 1582 1592 1603 1604 1610
1613 1620 1624 1647 1653 1667 1669 1688 1700
1703 1705 1709 1733 1742 1759 1763 1780 1796
1811 1830 1839 1842 1855 1869 1880 1885 1921
1923 1947 1954 1958 1964 1976 1983 1986 1999
Les gagnants peuvent prendre leur lot
à la Mairie de Plogastel. La distributiou
des lots se fera jusqu'au 6 novembre. Passé
ce délai, les lots non réclamés resteront
acquis à l'œuvre.
Questions Agricoles
Un grand concours de pomologie
vient d'avoir lieu àAvranches. Environ
2.000 assiettées de fruits furent présentées ; ces fruits appartenaient à
100 variétés différentes.
Les spécialistes firent un triage de
ces nombreuses variétés pour déterminer celles qui convenaient le mieux
à la fabrication du cidre, comme pommes à deux fins et comme pommes
de table. Les fruits des variétés étaient
choisis pour la région de la Manche.
Perdreaux au cognac.
B l a i - O i v i l da a a p l a m b r a . — Naissances
Videz vos perdreaux la veille du
Monique Yaouank, à Kérosen ; Jean Jourdain, Le TrefTdu Milieu ; Marcel Le Bris, jour où vous devez les faire cuire,
Toulmengleuz ; Sylviane Burel, Kervinou ; mais sans les plumer. Assaisonnez
Julia Bouny, 11, rue Hoche.
l'intérieur d'une main un peu lourde
Mariage : Charles Floch, mécanicien- pour le poivre, et mettez-y un petit
Sertisseurs, à Ty-Modet en Rosporden, et verre de cognac et un morceau de
Lucienne Duvail, s. p., rue Pasteur, en
beurre. Recouvrez la bôte et gardez-la
Lanriec.
ainsi pendant 21 heures.
Décèt : Jean Bolloré, 36 ans, époux de
Au moment voulu, plumez et flamYvonne Le Bihan, commerçant, 6 Kerbez
les bêles, enveloppez dans une
l«olée ; Pierre Raonou, 71 ans, époux de
barde de lard aussi mince que posPauline Lijour, 9, ruo Amiral-Courbet
Marie-Juliette Breton, 43 ans, veuve de sible.
Georges Métégnier, ô Kérandon ; Rose
Faites cuire au four chaud en metBarzic, 56 ans. veuve de Joseph Rigous, tant un peu de beurre. Ne manquez
du bourg de Trégunc.
pas d'arroser. Comptez de 20 à 25 miSi« M a a i e l p a l l l é . — M. Joseph Corré,
de Kerrichard, a été élu deuxième adjointmaire de Lanriec, en remplacement de M.
Jérôme Sancéau, de Keransignour, démissionnaire.
4«
journal l e C i t o y e n
On exécute t o n s 1 n s I m p r i m é s .
CHATEAULIN
Sa« P « l r « Sh-Sa«o.— Demain, vendredi
se tiendra, à Châteaulin, la foire Saint-Luc,
l ' u n e d e s plus importantes de l'année.
O m m i m m i I d ' i n o a a d i e . — Un in
cendie s'est déclaré avant hier après-midi
dans une ferme, au lieu dit << Tachennic
non loin de la gare de Saint-Ségal.
Les pompiers de Châteaulin s'y rendirent
en toute hâte ; arrivés sur les lieux du
sinistre, les pompiers et de nombreux
sauveteurs virent q u e les dégâts étaient
peu Importants.
Plonévez-Porzay
» « • • « • bnrallata. — M. Perrot, rece
Yeur-buraliste ô Saint-Môen, 1" classe de
Catégorie, a été n o m m é à Plonévez-Porzay
Pleyben
A u t d a « « Mariai
Avant hief un d e s
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féOQ, M. Yves Queffélec, 43 ans, a été pris
(Ous un éboulementi •
Lorsque le malheureux ouvrier fut déga
gé, il avait cessé de vivre*
MARINS, n t û A N i o i t u s ,
ternira
«AVON J O S O f f e
J m S m m U L m
,
Fabricant da Maablaa
Les pommes à cidre
Quatre variétés furent proposées, r n
premier lieu, pour la fabrication du
cidre : Doux Lozon, Doux au gobet,
Closette, Crollon. Ces variétés sont
fréquemment cultivées dans les environs d'Avranches et de Mortain, mais
ces pommes sont tendres ; elles ont
le défaut de n'être que de deuxième
saison. Or, en Normandie, les pommes
dures et d'ariv ère-saison se conservent
mieux et s'écoulent ainsi plus facilement
C'est pour cette raison que l'Association française de pomologie a désigné de préférence pour le cidre :
Fréquin tardif et Doux
donnant
Les pommes à deux fins
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Et c e p e n d a n t , dès lo d é b u t d e la partie,
A la veille des plantations
sa ligne d'avants, en train avant la défense
d'automne
stadiste, do f u t p a s loin de m a r q u e r le preL e choix des poiriers
mier b u t .
Que se serait-il passé à ce m o m e n t ? Le
Les fruits à maturité hivernale réusS. Q. aurait-il eu la confiance nécessaire
sissent mal dans notre région.
p o u r rétablir la situation ? Connaissant les
Il faut donc se décider en faveur
j o u e u r s et l'équipe, j e crois q u e oui. Mais
des
arbres à fruits dont la maturité
les
m
e
i
l
l
e
u
r
s
les s u p p o r t e r s auraient-ils eu la confiance
s'échelonne de juillet-août à novembre.
les moins chers
nécessaire p o u r e n c o u r a g e r l e u r s j o u e u r s ?
Amateurs, creusez des trous un ou
facilitent le travail d e
J e pense q u ' à ce m o m e n t lo gain d u match
l'enfant
et
le
r
e
n
d
e
n
t
deux
mois à l'avance et plantez fin
n'eut p a s d é p e n d u s e u l e m e n t d e s j o u e u r s
plus p r o f i t a b l e .
mais aussi d u public.
novembre.
D I C T I O N N A I R E S FRANÇAIS
lit q u e serait-il advenu si le S. Q., p a r
Choix des variétés
Toute lit langue française, tous
suite do ces circonstances, e u t été b a t t u ?
Juillet :
Doyenné de Juillet.
les r e n s e i g n e m e n t s utiles sur
J'avoue que j'ai eu chaud.
l'histoire, la géographie, les
Août :
Beurré Gilfard, Williams.
sciences, e t c .
Ce c a p passé, l'équipe s'est r e s s o u d é e et
Septembre : Beurré d'Amanlis, Beurré
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inter, n'y était p a s déplacé, mais no p o u vait i n s t a n t a n é m e n t d o n n e r son m a x i m u m .
Co f u t d o n c l ' a v a u t - c e n t r e Lo Roux q u i
m a r q u a 3 b u t s , et q u i , avec ses ailiers
Biger et IlascoiH, se mit le plus en v u e .
l£n r é s u m é , l'équipe la plus scientifique
l'a e m p o r t é et c'est justice. Elle n'a d o n c
qu'à c o n t i n u e r dans le sens où Le Houx l'a
dirigée, d'accord avec ses c a m a r a d e s , et
les petites q u e s t i o n s de détail so r é g l e r o n t
facilement p a r la suite, co q u i no fera q u e
lui d o n n e r plus d e cohésion.
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6, place de la Liberté, Audierne. Tous les
leurs adversaires. Ces d e r n i e r s ne vinrent
jours (jeudi
excepté).
pas p o u r d e s motifs q u ' o n i g n o r e .
Ce f u t d o n c p a r forfait q u o les QuimRosporden
pérois f u r e n t déclarés v a i n q u e u r s .
O . B . d a a C o m b a t t a n t e . — M. Burin,
Kervahut.
président de l'U. B. C., est venu le tOocto
bre à Rosporden pour la formation d'une
Républicains / Abonnes-vons an
section d'anciens combattants.
Voici le bureau do cette nouvelle s e c tion :
Président, M. Le Flao, adjoint-maire' —
7, rue Elie-Fréron, QUIMPER
Vice-président, M. Inial, représentant. —
Secrétair?, M. Donnart, retraité.
Trésorier, M. Piriou, percepteur.
rZmprimorlo
fate de cuivre 1 kgr., savon 0 k. 500,
chaux viticole 1 kgr. Pour les variétés fruitières à pépins, précoces, appliquer tiois traitements : 1° avant la
Ü
<sÄ?>
floraison ; 2" à la chute des pétales ;
Mademoiselle L E F L O C H
3° dix jours après la lloraison. PoulO
U
I
M
P
E
R
1
9
,
R u o K o r ó o n 6c S 3 , R a a S a i n t - F r a n ç o i s — Q U I K P B H
ies variétés demi-tardives, un quatrième traitement fin juillet. Les résultats ont été les suivants: témoins:
fruits véreux : 5)0 °/0 ; traités : fruits
véreux : 5 0 / o .
Les essais au quassia amara et à la
(Connaissances technique et professionnelle indispensables
nicotine, rendus mouillants au savon,
pour la parfaite mise au point des modèles)
ont été reconnus sans eifets utiles.
Par contre ce traitement a été très
OURRURES
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efficace contre les pucerons.
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A u pair, le 5 Octobre 1937.
ou à 1.030 frs par Bon de 1.000 frs,
le 5 Octobre 1940.
aa choix da porteur
ou à 1.083 frs par Bon de 1.000 frs,
f
le 5 Octobre 1944.
ieat anticipé possible, par le Trésor, à toute époque à partir da
S Octohre 1937, à un prix Tariant — suivant l'épo<ine — de 100 à 108 •/• de la valeur nominale.
REMBOURSABLES
Exempte de toate» Taxe« spéciales sur les Valeurs Mobilière»
Les coupons semestriels — de frs 22.50 par 1.000 frs de capital nominal — seront payables
le 5 Avril et le 5 Octobre de chaque annee.
PAIX D'ÉMISSION: 9 7 6 FRS PâR BON DE 1.000 FRS
On soœcrit : soit en numéraire, soit par la remise de Bons du Trésor 5 °/o
1924-1934 gai sont repris à raison de frs 76230 par Bon.
»»MMcriptMMr
, BONS, AU PORTEUR on A ORDRE,
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•ortt a n Cal m m n l v u t e * • Uinlstire des Finances (Sarrics des
, P s v O o a ds Vlan) — Recette central« des Finances et RecetteeArcepttœs de
I — Trésoreries Oteérmles — Recettes des Finances — Perception» — R s o l t » des
Postes et Télitrapbes — Banque de France,
Baatoes et Etablissements ds Crédit.
• M H B M B H B
Dubillot - Bernés
Ces pommes sont des fruits de plein
18, rue du Chapeau-Rouge
vent faisant du très bon cidre, mais
et 1, rue de la Providence
Etude de M0 JAOUEN, notaire
convenant aussi à la vente courante,
Q
U
I
M
P
E
R
(Téléphone
:
8-15)
à Quimper.
pour la fabrication des confitures, des
Organe Hebdomadaire
marmelades.
de Défense laïque et d'Action républicaine
paraissant le Jeudi
Suivant acte reçu par M* R10U,
Le jury a dressé une liste complète
B
o
r u u «t Imprimali« i
des variétés pouvant être cultivées en notaire à Pont-Croix, le 21 septembre
7,
Rue
Elie-Fréron
— QUIMPER
(Finistère)
PAR
ADJUDICATION
VOLONTAIRE
cette région comme fruits à deux fins ; 1935, enregistré à Pont-Croix le 2"
Téléphone 86 — R. C. 979
la voici : Rougetle de Bretagne, Cola- du môme mois, folio 27, case 217 ZdO Lundi 331 Octobre 1 9 3 5
Chèque postal n° 142-70, Nantes.
pui, Pomme de fer, Gilet rouge, Pom- Mme veuve Guillaume Peuziat, née
à 14 heures
AbonaMMata i
me poire, Reinette Fardel, Beurricre, Marie-Lorette Gloaguen, commerçante
En l'Etude de M0 ROSPABÉ,
Finistère et départements limià Trébeuzec, en Plouhinec, et autres
Judin,
Chailleux
et
Gros
Locart
;
mais
nutes de cuisson. Un peu avant de
trophes
12 fr.»»
dans cette liste, l'Association française consorts Peuziat, ont attribué, à titre notaire à Plozévet, et en quatre lots
servir, préparez de larges croûtons de
Autres départements
15 »»
de pomologie a désigné comme meil- de partage anticipé, à Mme Annepain que vous ferez frire au beurre
Commune et bourg de P l o z é v e t
leures pommes à deux fins : Chailleux Marie Peuziat, épouse de M. François
Dressez les perdreaux dessus et tenez
Judiciaires o u autres
la ligne, 2 fr.
Route de Pont-l'Abbé
Chavry, domiciliée audit lieu,
et
Gros
Locart.
au chaud taudis que vous déglacer le
Les annonces doivent être adressées aa
U n grand jardin, clos de murs,
Un
tonds
de
commerce
d'épicerie
Les pommes de table
plat de cuisson avec un peu de cognac
plus tard le mardi après-midi.
et débit de boissons avec les éléments propre à la construction et bien situé
de
grande consommation
et un soupçon d'eau bouillante. Servez
pour tout commerce, ayant quarante Pour tous renseignements, joindre un timbre
Laissant de côté les fruits de tout corporels et incorporels, exploité par
le j u s it part.
nnrir li rénonse.
mètres de façade sur la route précitée
les
consorts
Peuziat
audit
lieu
de
premier choix, cultivés en cordon ou
au
midi
sur
le
chemin
de
avec
accès
en espalier, nous donnerons ici les Trébeuzec.
Les oppositions, s'il y a lieu, seront Kermao, d'une contenance de 31 ares
R e n s e i g n e m e n t s utiles
variétés pouvant venir en plein vent,
57 centiares.
mais donnant des pommes excellentes reçues dans les dix jours de la pré
Faculté de modifier les lots.
Entretien des Tapis
comme pommes de table ; à cet effet, sente insertion, en l'Etude de M
Pour tous renseignements s'adresser
Ci-dessous quelques procédés pour l'Association pomologique a désigné, Riou, notaire, où domicile est élu.
à
l'étude de M* Rospabé, notaire à
le nettoyage et l'entretien des tapis pour la maturité en août,
B.
0
.
du
5
octobre
1935.
Astrakan
Plozévet.
Rien entendu, il s'agit ici de tapis non rouge ; un peu plus tardive, arrivant
Pour deuxième insertion :
cloués et facilement maniables, car- à maturité en septembre ou octobre,
Signé : RIOU.
pettes, descentes de lit, etc....
la Transparente de Croncels, qui fournit
V I L L E DE B A N N A L E C
D'abord, avant de procéder à tout un fruit exquis. Parmi les variétés de
Commune de Piozévct
nettoyage, il faut battre très soigneuse deuxième saison, voici les meilleures :
ment votre tapis. Passez-le aussi
Heine des Reinettes, Reinette Norl'aspirateur, si cela vous est possible mande ou Bénédictin, Double bon pomdu Samedi $ Novembre 1935, à 15 h.
Ensuite essayez un de ces deux mier ; ces fruits mûrissent on novemLe 31 octobre courant, à 1 4
à la Mairie de Banualec
moyens pour nettoyer votre tapis. Ou bre et décembre.
h
e
u
r
e
s
,
à
la
Mairie
de
Plozévet,
M.
bien passez-le à la mie de pain ou à
Pour l'arrière-saison, la Reinette
Travaux d'installation de l'Electrila craie de tableau noire pour enlever d'Espagne, qui peut être consommée le Sénatrur-Maire procédera à l'adjudication
de
travaux
à
exécuter
aux
cité aux Ecoles de Bannalec :
la crasse. Battez ensuite et suspendez de janvier à mars.
bâtiments
de
l'ancienne
/cole
de
Bâtiments nouveaux,
Ecole des
dans une pièce sans soleil,
(VInformation
Agricole,)
filles en vue du transfert, dans ces Garçons :
Ou bien lavez-le à grande eau, l'enbâtiments, de la Mairie et de la ReMontant des travaux : 5.300 f r .
vers d'abord, l'endroit ensuite, tout
cette des P. T. T.
Cautionnement : oOO f r .
L a a fruits véreux.
en le frottant énergiquement avec une
Le dossier est déposé au Secrétariat
Délai ; 2 mois.
brosse. N'ayez crainte de verser trop
M, Cadoret, directeur de la station
d'eaU) il en faut beaucoup pour eu- libre de recherches agronomiques de de la Mairie de Plozévet où MM. les
Entrepreneurs sont invités à s'adresEcole des Filles :
lever toutes les saletés,
Saint-Sauveui') a expérimenté l'emploi
ser pour en prendre connaissance.
Montant des travaux : 6.000 f r .
Puis frottez-le avec une décoction des arséniates pour la lutte contre les
(Voir les affiches).
Cautionnement : 300 f r .
de bois de Panatna t rincez à nouveau, vers des fruits. Il a constaté que l'arDélai : 2 mois.
essorez et laissez sécher lentement à séniate de chaux, par sa composition
POUR
VOS
IMPRIMAS
l'ombrei
et son action, est le plus actif et le
wndm
Renseignements à la Mairie de Ban
adrestez-vout à
Pour les tapis cloués, Vouë les moins dangereux pour les parties
nalec,
ou
chez
M.
Mony,
architecte)
entretiendrez très bien en les passant vertes, en utilisant la formule suivante ; l ' i m p r i m e r i e d u c O l t o y a m »
à Douarnenez.
Une fois par mois avec de l'eau conte- Arséniate de chaux, 0 kgr, 800, sul7, H a * l l i o r f é m , Q i l a p i i
LE CITOYEN
V E N T E
ATI S B'J
APJUPICATI0H
Usez el faites lire « le CiHp
L£
Elie-Fréron
lIMIItlllt
EXÉCUTION
—
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« Flonrs Celtiqoes », id., u Pôl»« », id..
do Ciotildo Banguion-Csrioa ; « La Chan'
ton d'Emerando », do Bagôno Horpia ;
(( Le livro coelenr da temps » , do Anno
Marie Herpin, etc...
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Nons vos dons loas los romais paras.
Prièro do doanor le nom de l'édltear.
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Adresser toutes les communications à M . P i e r r e G U É G U E N , Imprimeur-Gérant.
Les manuscrits ne sont pas rendus.
Pour les renseignements joindre un timbre pour la réponse.
DU JOUR
Les Temps difficiles
cains laissent dormir leur aversion
pour les jésuites que les catholiques,
les âmes pacifiques qui suivent les doctrines du Christ, prêchent la haine et
l'écrasement de l'infâme ! ! !
C'était sous le Second Empire. Et
Henri Rochefort raconte cette histoire
vraie : « Quel homme que ce Garibaldi !
me disait dernièrement avec l'accent
de l'enthousiasme le moins freloté,
un négociant en vins fins que j'avais
toujours classé dans les réactionnaires
incurables.
— Ah ! enfin, repliqu'ai-je, vous
êtes donc revenu à des sentiments
humains.
— Est-il possible de résister? s'écriat-il. Depuis son débarquement en
Sicile, le vin de Marsala a haussé
comme par enchantement de trois
francs par bouteille, et j'en avais onze
cents chez moi au moment de la glorieuse expédition des mille.
- »
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ImE
COMBAT
RÉPUBLICAIN
Démagogues de Droite
Nous sommes un peu dans la situa- front antagoniste du front populaire,
Les heures que nous vivons, de- Notre devoir est d'être fidèle à la Les prêtres ont négligé de dire aux
tion d'un navire réduit à s'avancer de tous les bougres à poils ligués
puis quelques mois, sont lourdes de Société des Nations, parce que l'idée femmes que, sous l'ancien régime, les
qui
a
présidé
à
sa
naissance
était
essans gouvernail et sans boussole et contre les factieux, contre les émitout le destin futur de la France.
nobles, les bourgeois, les officiers, des
sentiellement
une
idée
de
la
Paix,
et
auquel
son commandant donnerait grés, contre les revenants de l'Ancien
prêtres
mêmes,
étaient
francs-maçons.
Les questions électorales sont reléque
la
cause
de
la
France
et
la
cause
l'ordre
de
marcher à toute vitesse. régime.
Ce
qui
était
autrefois
un
honneur
est
guées par moi tout à fait au second
Rouges contre blancs !
Où va-t-on ?
plan. le sais qu'on m'a durement de la Paix se confondent intimement ! devenu aujourd'hui une tare et même
reproché d'avoir émis un vote permetLes hommes de droite accusaient les
Est-ce à dire que nous suivrons les un crime. Ecrasez l'infâme, disent les
curés.
tant au Gouvernement de prendre les directives anglaises ?
radicaux de faire de la démagogie en
La droite compte quelques âmes
mesures "nécessaires pour la Défense
réalisant peu à peu un plan de réDorgères
d'un
côté,
de
la
Rocque
Nous connaissons trop les Anglais.
nationale — le temps de service ayant Leur zèle pour la Société des Nations de l'autre, tous les journaux catholiformes de laïcité, de justice fiscale et fières qui ont conservé le dépôt de la
été peu après porté à deux ans.
de fraternité sociale.
tradition des grands aïeux. Ils sont
est singuliêi ornent tardif. Que ne ques ne disent, pas autre chose.
C'est l'honneur du parti radical français jusqu'aux moelles et aiment
Tous ces gens sont de mèche pour
Ce n'est certes pas de gaieté de l'avaient-ils, lorsqu'il y a quelques
* »
d'avoir fait passer ses idées dans les leur pays avec leur âme tout entière.
cœur que j'ai admis que la jeunesse mois, contrairement au traité de Ver- tordre le coup à Marianne et installer
Moralité
:
Il
est
des gens pour les- faits, sans secousses, sans surenchère,
Le député Engerand, qui siège à la
de chez nous soit livrée pour un temps sailles, partie intégrante du covenant à sa place la Dictature ou le Roy.
plus loDg à la vie des casernes.
de la Société des Nations, ils ont au- Dis donc, peuple qu'on trompe, est- quels l'intérêt est le seul mobile ou la en procédant organiquement comme Chambre depuis 33 ans, s'en va. Il ne
l'ai porté l'uniforme comme soldat torisé le réarmement naval de l'Alle- ce t[ue tu laisseras l'aire ces messieurs ? seule raison d'être de leurs opinions la nature elle-même, avec l'ordre de se représente plus.
ses saisons et l'observation du rythme
Il quitte les électeurs qui lui sont
Serais-tu, connue certains vieillards, politiques,
de 2" classe. le ne parle pas de mon magne, ouvrant ainsi le chemin à une
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
imposé
à
la
mAturité
des
récoltes.
demeurés
électoralement fidèles, mais
course
aux
armements
maritimes
qui
tombé
en
enfance
?
temps de sous-officier et d'officier
dont
la
mentalité
ne lui plaît plus.
pendant beaucoup plus de deux ans et risque d'être bien dure pour les conne
saurait
trop
le
souligner
ici.
On
Pierre Lerouge.
RÉPUBLICAINS !
dans des circonstances singulièrement tribuables français
C'est
la
faillite
de
l'éducation natioLa
République,
qui
a
fait
ses
preuves,
N. R. — Combien compte-on, au
Vous ne trouverez pas le Citoyen
plus dures, le sais de quoi je parle.
a
assuré
aux
citoyens
le
pain
et
la
nale
et
libre,
s'exclame-t-il
!
L'impérialisme de la dictature ita- surplus, de Francs-Maçons dans le chez tous les dépositaires de journaux
paix durant 44 ans, de 1870 à 1914.
Plus d'idées ! Plus d'étoiles dans
Je vçux de toutes mes forces la lienne a trouvé dans l'aventure d'Ethio- département du Finistère. Peut-être
Le pain ! A tous les degrés de le ciel vide et sombre.
disparition de cette chose criminelle pie son aboutissement normal. Laval pas deux douzaines. Don-Quichotte du département, mais vous le trouverez
sûrement chez vous en vous abonnant. l'échelle sociale on vivait mieux et les
Partout les intérêts privés ont aboli
qui s'appelle la guerre, et, partant, n'a pas su douner à temps à l'Italie combat les moulins à vent.
de cette chose pénible qui s'appelle les conseils de sagesse qui s'imposaient. BEIIIIIIIIIIIII1111 II IIII1111111 IlIllIIllllKini ( Voir bulletin d'abonnement, en 4"paireV lois d'assistance procuraient aux déshé- le souci de l'intérêt national.
L'arbre cache la vue de la forêt.
Yarmée.
Peut-être même a-t-il finassé, lors des
iiiiiiiiuiiiiiniiiiniiiiiiiiiiiiBiiiiiiiniiiiiii rités et aux plus malheureux, l'aide
et le supplément indispensable pour
La force solidaire de l'équipe est
Mais.j'e veux que mon pays vive. Je accords de Rome, donnant à Mussolini
leur assurer un minimum d'assistance. anéantie par l'égoïsme de jeux indiveux, à l'heure où tant de menaces des assurances verbales qui ont pu
viduels et divergents.
contre notre liberté et notre indépen- faire croire au Dictateur qu'il avait L e droit de suite... enfin !
La paix !
dance naissent à l'horizon, que la les mains libres.
Pas
une
guerre
durant
44
ans,
jusDimanche a eu lieu une élection léFrance ne meure pas.
Que M. Laval abandonne le minisEnfin ! Le Journal Officiel, du 18gislative d a n s l ' a r r o n d i s s e m e n t d e Se- qu'au moment où l'agression alleIl ne faut pas désespérer.
Mon intérêt électoral ne compte pas tère des Aflaircs Etrangères qu'il n'est octobre, a publié un décret permettant gré (Maine-et-Loire), pour pourvoir mande a éclaté soudain comme un
Nous
vivons sur un sol saturé de
coup
de
tonnerre
dans
le
ciel
serein.
lorsque l'intérêt de ma patrie se pose plus qualifié pour tenir. Qu'il quitte le la recherche de la fraude par le droit au remplacement de M. d'Audigné,
grands
exemples
et de noble histoire.
et il importe peu que je perde des gouvernement ! Son successeur aura de suite instauré sur le territoire droite, décédé.
Dans
nos
veines
coule le sang des
voix si j'ai fait mon devoir.
au moins les mains libres. Et la poli- douanier au-dedans de la zône frontière.
Ont obtenu :
Durant la guerre, notre peuple a aïeux qui ont servi la patrie sans jamais
Nous nous éloignons du reste de tique qu'il fera ne devra être ni pro- Tout détenteur d'iode à l'intérieur de
plus en plus de l'époque facile, oii la anglaise, ni pro-italienne, mais fran- la France sera tenu désormais de justi- M. de lourdan, Féd.rép.,4.96Gvoix.— fait preuve d'un courage et d'une avoir, au jour des calamités ou du
M. Rlanchois, leunerép., 4.307 voix.— ténacité qui témoignent en faveur de danger, désespéré d'elle.
tâche essentielle d'un député consis- çaise tout simplement.
fier de l'origine de sa marchandise et M. Ducos, Front paysan, 1.8G7 voix.—
Le réveil se fera. Soignons dans ce
tait à assurer sa réélection.
s'il a payé les droits, qui, tels qu'ils M. Gaucher, communiste, 649 voix. la vertu prodigieuse de notre éducaAlbert LE BAIL
but l'éducation des enfants, des adotion
nationale.
Toutes
les
familles
spi11 s'agissait de servir des intérêts
sont fixés par la loi, constituent une
Député du Finistère.
Il y a ballottage.
rituelles de la France, suivant le mot lescents et des citoyens.
particuliers et des intérêts corporatifs.
protection
efficace contre la concurrence
IlltlIIJII
IKIIIII
II
II
II
II
I
I
II
II
111111111:1111
Imposons silence aux imposteurs,
1111
il
il
il
1:1111:1111111111:1111111»«
il
11111110
de
Rarrès, ont collaboré à la victoire
Il s'agit aujourd'hui, avant tout, de
étrangère. Si nous sommes bien renaux
charlatans, aux démagogues, aux
du Droit et de la Liberté.
servir l'ensemble de la collectivité, et,
PASSEZ VOTRE
seignés, parmi les industriels acheviveurs
eilrontés acharnés à vouloir
pour le dire en un seul mot, la France.
teurs de soude, il en est qui avaient
des
changements
qui favoriseraient
Si les Français ne le comprenaient J o u r n a l l e C i t o y e n des stocks et d'autres qui n'en avaient
leurs
grossiers
appétits
et amèneraient
Mais,
depuis,
quels
déboires
I
pas dans leur ensemble, c'est qu'ils ne
pas.
Carotte. — Légume qu'on récolte
A
V
O
S
A
M
I
S
un
changement
de
régime
destiné à
La
victoire
a,
après
coup,
tourné
à
seraient plus dignes du beau titre de
Ces derniers, aux prix bas où ilsen semant la graine de niais.
procurer
des
places
et
des
prébendes
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
II
IIII
II
I
II
111l
1111II
III
IlitKIllCIl
la
défaite.
« citoyens » ; c'est qu'ils seraient murs
Célibataire. — Rraconnier légal.
ont payé les riverains, ont dû faire
Nous avons su gagner la guerre et à leur incapacité notoire.
pour la trique fasciste, pour la
Coups d'Epingle
Certificat. — Fausse clé donnée au
une bonne affaire, car le décret du
nous
avons perdu la paix.
Il faut que la République continue.
« schlague » qu'Hitler sait bien ma18 octobre va déconcerter et arrêter domestique qu'on renvoie pour qu'il
L'égoïsme ou la jalousie de nos anIl faut que les vrais républicains
nœuvrer sur le dos de ses concitoyens.
les fraudeurs dans leurs coupables s'introduise chez autrui.
ciens alliés a favorisé l'Allemagne qui s'arment de patience et d'énergie pour
•
entreprises.
buffet. — Un endroit où l'on vend a trouvé le moyen, à la faveur de surmonter les difficultés de l'heure
* *
hspérons
qu'une
ère
nouvelle
va
aux
gens qui passent des aliments qui cette tolérance, de ne pas s'acquitter présente qui ne sauraient durer.
Libre à qui le voudra de flatter
s'ouvrir
pour
nos
pauvres
go'imoniers
ne
passent
pas.
envers nous et de préparer sournoiLe temps associé à l'effort des
l'opinion publique, de lui représenter
du littoral qui ne pourraient continuer liniIllIllilIIIIIIlIIIllilKlIlIKIBlIllIIIIllllllIIII sement et en cachette les éléments hommes remettra les choses en place
que les solutions du malaise profond
leur rude métier s'ils étaient condampuissants d'une revanche qu'elle veut. et rétablira l'harmonie des choses
dont nous soutirons sont simples et
nés de nouveau à subir les prix de B ï B ï . ï e $ R À P H ï B
Tandis que les camelots du roy, les
A l'intérieur, un besoin immodéré bouleversée par un souffle de passage.
faciles.
famine de l'an 1935.
de
jouissance résultant d'une prospéC'est la politique d'un Dorgères lors- bandes à Dorgères et les échauffés du
Pan.
« Z j o b Lois sur les IiOtUssmsntsii. —
rité
prodigieuse et purement factice
front
agraire
agissent
en
tumulte,
criqu'il dit « Revalorisez les produits
BiiiiBKiiiiiiiiiiiiiiiiiniiiiiiiiiiiiniiiiiiiiinnniiiii La revue « Mon Jardin » a édité il y a qui ne pouvait durer qu'un temps.
tiquant
tout
sans
indiquer
les
remèdes
agricoles » sans indiquer un seul mo«
quelque temps une petite brochure intituyen à employer pour arriver à ce but. qui guérissent, le clergé observe,
lée « Commentaire Pratique des Lois sur
» *
C'est également la politique de donne les consignes et dénonce la
les Lotissements », par Emile Penot, avoué
La gêne est venue et les adversaires
certains théoriciens qui n'ont pas en- maçonnerie à l'indignation publique.
L'amour est comme l'opéra, on s'y honoraire.
du
régime ont exploité près du bourIl
chauffe
spécialement
les
femmes,
L i s » e t F a i t « » l i r a 1«
Dans
son
numéro
d'octobre
1935,
cette
core subi l'épreuve du pouvoir et qui,
ennuie mais on y retourne.
revue public un article sur les conséquen- geois, du commerçant et du paysan,
comme les prestidigitateurs des « ter- et, se charge de monter la tète aux
G, Flanchet.
ces du décret-loi du 8 août 1935 en matière ces embarras qu'on prétend être le • J m r r w / l e
*
magies », enfournent dans un grand épouses pour conquérir les suffrages
C i t o y e n
« «
de
lotissement de jardins, par le môme résultat de l'incurie des gouvernants,
chapeau une énorme quantité d'objets des hommes.
L'esprit n'est jamais vieux tant que auteur.
de l'incompétence des Assemblées et
La peur du républicain est un argupour montrer, au roulement du tamCeux
de
nos
lecteurs
que
cette
question
de
l'impuissance du régime parlele
cœur
est
jeune.
Paul
Lacroix.
ment qui ne mord plus.
bour, que le chapeau est vide.
intéresserait peuvent envoyer 3 francs en mentaire.
La peur du diable est aussi usée lill!l!lll!l!li:iini!lll!IIII111111111»11IIlIIIIll:IIIIlI timbres-poste à « Mon Jardin ». Revue
C'est aussi
Mais excusez-moi 1
LE BEHODVELLEMEHT
Rien mieux, la République serait
J'allais parler de la politique de la que la queue de ce démon depuis
pratique de jardinago à Thouars (Deuxl'accusée, la coupable, dont on attend
droite cléricale et réactionnaire, ou- qu'on la tire.
Sèvres), et ils recevront le « Commentaire
la
condamnation par le tribunal élecAlors on a inventé l'horreur du
bliant qu'il est inutile de parler du
Pratique des Lois s u r les Lotissements »
toral
de la Nation.
franc-maçon /
Néant.
Un décret vient de paraître, régle- ainsi q u e le numéro d'octobre 1935 de
Dimanche 20 octobre, les délégués
Comme
si les réformes votées par sénatoriaux des départements de l'Orne
«
Mon
Jardin
».
Un franc-maçon, qu'est-ce ?
Il est nécessaire de nous dire que
mentant sévèrement le démarchage
«
• »
tous les partis de l'Assemblée ne té- à l'Yonne ont voté en vue du renouUn monstre qui viole les femmes et sanctionnant par des pénalités séles temps difficiles sont arrivés, que
moignaient
pas de la. volonté com- vellement du tiers des membres de la
rien ne pourra nous rendre du jour et mange les petits enfants, dévaste vères les infractions à la législation Où va i'lriand«? — P a r Etionnette Beumune
d'apporter
un remède et de Haute-Assemblée, c'est-à-dire pour
que.
Un
vol.
in-8°
couronne,
128
pages,
les
moissons
dans
les
champs
et
met
au lendemain une prospérité diparue,
nouvelle.
mettre
fin
aux
maux
du peuple qui 107 sénateurs.
8
f
r
En
vente
chez
tous
les
libraires
et
le
feu
aux
maisons.
que la terrible tâche qui s'impose à
Les cultivateurs, dont certains ont
chez
l'éditeur
Eugène
Figuière,
16(5,
souffre,
aussi
bien
celui
des villes que
nous est d'essayer avant tout d'empêPas tout à fait. C'est moins ou pire. été ruinés à plat par ces vilains oiLes sénateurs à remplacer se ré*
boulevard Montparnasse Paris (XIV').
celui
des
campagnes.
Cher le pays de tomber plus bas,
seaux que sont les démarcheurs, ne
partissaient
de la façon suivante :
• «
•« Où va l'Irlande V ». Mais d'abord d'où
Comme si le mal n'était pas unipourront qu'applaudir à ces disposi- vient-elle V C'est ce que nous explique
Ce sont des choses dures à dire,
Membres
de
la Gauche démoc.. 45
Et les pauvres femmes regardent tions nouvelles.
versel ! Les autres peuples, dominés
qui sont malaisément acceptées par
—
de
l'Union
républicaine 28
Etiennette Beuque dans un exposé concis par la dictature et condamnés au siQuel dommage, toutefois, qu'on ait et lumineux.
des citoyens que l'effort admirable de dans la rue les républicains d'un
—
de
l'Union
radicale,.. 11
lence, souilrent encore plus cruelleété amené à protéger ainsi les paula 3* République a habitués à regarder mauvais œil.
—
Socialistes
s.
f. i. 0 . . . .
6
ment que nous, sans pouvoir se
S'ils ne sont pas trancs-maçons, ils vres épargnants contre eux-mêmes !
en haut, vers un idéal social qui s'im—
Socialistes
de
France.
5
plaindre de la crise du chômage, de
marchent avec eux et sont associés à 11 11 1111111•11111111•11•••I II 11 • I• 111 II • • IJ
posait chaque jour davantage,
—
de
la
Gauche
républ..
4
••l'
.''
>
la mévente et de la misère qui, hélas !
leurs desseins les plus noirs.
—
de la Droite
3
v
«*
Pauvres femmes qu'on trompe 1
englobe le monde entier 1
*
non Inscrits
A
V
I
S
Franc-Maçon I
11 s'agit aujourd'hui de lutter pour
»*
107
L'équivalent du loup d'autrefois qui
uaa Libertés que veulent tuer les ligues
Nona pilon» Us parsonnss susospilUn sourd-muet et une sourde-muette
L'opération
tentée
par
les
ligues,
fascistes en »'appuyant sur le mécon- était alors la terreur des petits enfants. viennent de se marier à Kerbiquet. blaa da publiât dans l i B OXVOVBN
celle de Dorgères et celle du colonel
î
•'"•••
<'.'••*»'•»
••••y^'^'i-y.:.tentement général, né de la misère,
Quel excellent ménage cela va faire. daa InaarHona ou da« oommnnloatíons de la Rocque, menace la paix puAprès les scrutins de dimanche lei
da voulait bien son« laa adraaaer pour
u 11 s'agit aussi de nous serrer au
On
n'y
entendra
jamais
un
mot
plus
sièges
se répartissent comme suit :
blique et le régime. Et le GouverneLes francs-maçons sont tout bonnela mardi apritt-ttiidl an plu» tard.
'fiôtide à coude autour de notre patrie,
haut
que
l'autre,
Droite.
— Avant, 3 ; après, 1 ;
P a s s ò a a d é l a i il n o u a eût i m p o s s i - ment, composé de représentants de
*
La politique intérieure ne doit pas ment une société d'hommes reliés
* •
perte,
2.
b l e d a f a l t a l a pnblioatlon d a n » l a tous les partis, est condamné à ne
tléborder dans le domaine de la poli- entre eux par des idées communos et
— Moi, monsieur, je préfère l'hiver n a t a é r o d a la a a m a i n o .
U. IL D. — Avant, 20 ; après, 16 ;
pouvoir prendre des mesures de salut
Un
même
idéal
et
qui
s'aident
de
leurs
tique extérieure,
à
l'été
!.,.
perte,
4.
public, et n'ose rien faire pour éviter
François 1", le roi très chrétien* deniers et de leur amour fraternel
Question
de
tempérament,
Démocrates
populaires. — Avant, 2 ;
des querelles de ménage.
MARIN«, WÎiOANIOlKNS, «to.^,
faisait jadis alliance avec le grand dans les mauvais jours.
—
f
Non
!
ce
n'est
pas
ça
1...
Je
suis
après,
5
;
gain,
3.
;
famtox
De là, la résolution prise par tous
Ils forment une secte, si l'on veut, au
!uM M
I a s * t l a |SAVON
* M « t H < *JO8OTÖ
HlhM*M'l
Turc, l'ennemi mortel de la chrétienté
marchand
de
charbon.
Républicains
de
gauche.
—
Avantj
les partis vraiment de gauche d'op^MMIIIUMUma» I Ml
parce que leur adversaire commun même titre que les jésuites.
. jftg? -J ¿¿«¿fttft» v^T.W
•' '
poser
aux insurgés de droite le 16 ; après, 18 ; gain, 2,
Y
Etf
c'est
au
momemt-où
les
républitf
#tàlf l'Autriche, il avait raiso», '
;
Election LégisIatiTô
Dictionnaire flDMcaflénilp
Les Jésuites
le longue et ie courte rôle
contre les Fraues-Maçaos
ô.sùArf
Décret-Loi contre les HËmercDeurs
du tiers du Sénat
Usez et lalles lire * Le Citoyen »
Glanes ^ Perles
LB
Radicaux indépendants. — Avant,
7 ; après, 7.
Radicaux-socialistes.
— Avant, 43 ;
après, 39 ; perte, 4.
Républicains socialistes. — Avant,
1 ; après, 1.
Indépendants de gauche. — Avant,
3 ; après, 4 ; gain, Ì.
Socialistes de France. — Avant, 5 ;
après, 4 ; perte, 1.
CITOYEN
mission Départementale donna Fon appro- aliéniste conclut à une légère atténuabation à la liquidation de sa pension fixée tion de sa responsabilité.
Lo Gall n'a jamais été condamné, mais
à 19 353 francs.
Toile f u t la carrière administrative de les plus mauvais renseignements ont été
des C H i i s i t Fer d i p a i M a u i
l'accusé. Sa vie intime fut plus tourmentée recueillis sur son compte.
Pendant son long interrogatoire Le Gall
encore q u e sa vie professionnelle, et il
M. Porrot, député et conseiller général,
allait, pour les mômes raisons de violen- s'est défendu avec véhémence et lorsque
a vigoureusomont défendu la ligne do
ces, d'ivrognerie et de débauche, terminer les nombreux témoins, plus de quarante,
m
» i g â & g s a i g a r e
Douarnenez ù Audierue.
défilent à la barre, il discute avec désinvolpar l'assassinat de sa femme.
COUP
De son argumentation très sorréo,
Lo 18 juin 1914, l'accusé avait épousé en ture avec plusieurs d'entre eux.
Caisses d'Epargne
nous avons pu retenir ou reconstituer les
Au nom de la famille, M" Alizon, avocat
La quatrième session do 1935, des Assises premières noces une demoiselle Marie Le
Avis
très
important. — Pour couper défiS . F. I. 0. — Avant, 6 ; ' a p r è s , 10 ; passagos suivants :
du Finistère, s'est tenue la somaine der- Béon, dont il eut uno fille le 21 avril 1921. do la partie civile, défend avec une grande
nitivement
court aux bruits tendancieux
« Jo no m'associorai, en aucuno façon, ft nière au Palais do Justice, à Quiniper, 11 semble que lo mariage f u t heureux éloquence la mémoire de la victime.
gain, 4 .
que
certains
cherchent à répandre mensonla proposition do notre collègue, M. Mazé, sousla présidence do M. Horvieu, conseiller jusqu'au jour où il fit la connaissance
M. Chauvin, procureur de la Bépublique
Pupistes. — Avant, 1 ; après, 1.
gèrement dans les villes et surtout dans
car si on suivait son raisonnement jusqu'au à la Cour.
d'une demoiselle Abguillerm, dactylogra- en un réquisitoire serré demande justice.
Communistes. — Avant, 0 ; apiès,
les campagnes, on rappelle u n e fois de
bout, il faudrait supprimer tous les choSix affaires ont occupé les audiences de phe à la Préfecture, qui devint sa maltres- Pour se protéger, dit-il, d'un animal veni- plus aux déposants q u e les intérêts des
1 ; gain, 1.
mins de fer de France, puisque les grandes la somaino :
se. A partir de ce moment, il délaissa sa meux, on ne peut q u e l'enfermer à tout
Total : 107.
fonds placés s u r les livrets des caisses
compagnies elles-mêmes sont largoment
I n f a n t i c i d e . — Mario Bilien, femme femme, ef, aux quelques reproches qu'elle jamais ou l'écraser sous son talon.
d'épargne ne sont pas soumis à la taxe de
0
Somme toute il n'y a pas grand déficitaires. 11 est donc assez surprenant, Vigouroux, 23 ans, qui accoucha le 15 juin lui fit, il répondit parfois par des coups.
M Jadé défend l'inculpé en une longue
10 0/0, par les décrets-lois.
changement. Peut-être une légère jo dirai môme assez paradoxal que l'on dernier, à l'insu de ses parents et de son
lin février 1923, un enfant étant né des plaidoirie et recherche quels ont été les
Les intérêts de ces livrets sont toujours
puisse envisagor aujourd'hui la suppres- mari, d'une fille qu'elle tua.
poussée vers la gauche.
relations de Le Gall et de sa maîtresse, Le mobiles qui ont armé le bras de Le Gall ;
payés
intégralement, sans aucune retenne.
sion brutale ot définitive do toutes les
«
Lo jury ayant répondu négativement aux Gall, avec l'intention d'épouser cette d e r - il les retrouve avoc insistance dans l'at. v»
*
•
lignes de chemins do fer d'intérêt local. deux questions d'infanticide et de suppres- nière, introduisit contre sa femme une titude et l'hostilité du Préfet du Finistère
Lea Sénateurs battus
En ce qui me concerne, jo m'élève contre sion d'enfant, la femmo Vigouroux est demande en divorce, à laquelle elle répon- et plaide l'acquittement de son client.
Les foires de la semaine
la
suppression
totale.
J'estime,
en
effet,
A
la
demande
de
M.
le
Président
des
dit
par
une
domande
en
séparation.
Gauche démocratique.
— MM. Buacquittée.
Lundi 28 octobre. — Lesneven, Coray,
que cette mesuro irait, à la fois, à renconPar jugement du 17 juin 1924, le Tribu- Assises à Le Gall, s'il n'avait plus rien à St-Laurent (en Crozon), Huelgoat, Pleyquin (Sarthe), Clémentel (Puy-dc-DôAttentat & la pudeur. — L'accusé Joseph
tre des intérêts particuliers de certaines
me), Dalbiez (Pyrénées-Orientales), régions, comme à l'encontro de l'intérêt Vigouroux, veuf et père do famille, ouvrier nal de Châteaulin prononça la séparation dire, ce dernier demande pardon à ses ber-Christ, Plogastel-St-Germain.
Mardi 29. — Pleyben, Commana.
agricole à Poullan, s'était livré sur son au profit de la femme et condamna Le enfants, à Mme Béon sa première temme
Gaudaire (Yonne), Lugol (Seine-et- général du départomont lui-même.
et à M. Jaffrennou son beau-père.
Jeudi 31. — Plougastel-Daoulas.
Gall
à
lui
verser
une
pension
alimentaire
enfant
à
un
attentat
à
la
pudeur.
Marne),
Martin (Var),
Pcnancier
Samedi 2 novembre. — Carhaix, S t « Jo veux citer en exemple la ligne do
Les Jurés o n t eu à répondre au deux
mensuelle.
Les débats ont eu lieu à huis clos.
(Seine-et-Marne), Rameil (Pyrénées- Douarnenez à Audiorne.
Renan,
Pouldavid-sur-Mer.
questions
suivantes
:
Eu 1925, l'accusé quitta sa maltresse,
Le prévenu est condamné à uu an de
Orientales), Serre ;Vaucluse).
« Cette ligne dessert une région agri- prison avoc sursis et déchu des droits sous prétexte qu'elle le trompait, et celle1° Henri-François Le Gall est-il coupable
S. F. I. 0. — M. Gadot (Pas-de- cole, industrielle, maritime et commer- paternels.
ci obtint également pour son fils une d'avoir, à Plounéour-Ménez, le 21 février
Calais).
ciale de 25 à 30.000 habitants et, desser
1935, volontairement donné la mort à
S a o a a d l a v o l o n t a i r e . — Mazé, Jean- pension alimentaire.
Union démocratique. — MM. Cavil- vant uno région économique do cotte im- François, 26 ans, domestique de ferme à
C'est à cette époque, en juillet 1925, Marie-Joséphine Jaffrennou ?
2° Le dit homicide volontaire a-t-il été
lon (Somme), Duplantier (Vienne), portance, olle donne lieu à un trafic des Plouider, est accusé d'avoir, lo 21 juillet qu'il fit la connaissance, à Châteaulin, de
Raoul Péret (Vienne), Pierrin (Somme), plus considérables. Pendant l'été dernier, dernier, sous l'empire do la boisson et de la demoiselle Marie Jaffrennou, employée commis avec préméditation !
il y avait sur cette ligno douze trains par la colère, mis le feu dans une meule de des postes, dont le père, agent de police
Les réponses ont été oui à la majorité,
Strauss (Seine).
Union républicaine. — MM. Cornu- jour, actuellement il y en a dix et rien que foin appartenant à M. Kermarrec, de en retraite, à Morlaix, ainsi que la mère, mais il y a des circonstances atténuantes
ce nombre do trains vous indique suffi- Plouider.
sont d'une parfaite honorabilité. Le Gall en faveur do l'accusé.
det (Seine-et-Oisc), Ecart (Bas Rhin),
samment touto l'importancodu trafic voya
Le Gall a été condamné à dix ans de traMazé est condamné à deux ans de prison épousa Mlle Jaffrennou le 29 mars 1928. 11
Hayaux (Haute-Saône), Leredu (Scine- gours et du tralic marchandises qui s'acvaux forcés, sans interdiction de séjour et
naquit deux filles : en 1929 et en 1932.
avec
sursis.
et-Oise), Pileger (Haut-Rhin), Renau- complit sur la ligne.
Aux yeux du monde, des parents mêmes, déchu du droit de porter la croix de
Attentat à la pndaar. — Calvez, Jean,
dot (Haute-Saône).
« En ce qui coucerne le trafic voyageurs,
le
ménage paraissait heureux et cependant, guerre.
43 ans, docker à Brest, père do trois enil est do l'ordro de 5 à G.000 personnes par
La partie civile a obtenu un franc de
Lies Députés élus
fants, est poursuivi pour attentat à la dès les premiers mois, Le Gall, révélant
mois. Quant au trafic marchandises, il
dommages-intérêts.
sa
véritable
n
a
t
u
r
e
,
rendit
sa
femme
MM. André Boully, Payera, Brogly, voisino 10.000 tonnes par an, et tout pudeur.
Le Gall a écouté la condamnation, livide,
malheureuse.
Les débats ont lieu à huis clos.
Brom, Henri Haye, Dormann, Maupoil, de suite, vous le voyez, il apparaît claireCelle-ci s'efforça de cacher ses déceptions et sans faire un geste.
Ce mauvais père de famille est condamainsi qu'un ancien député, M. Cachin, ment que supprimer un pareil tralic serait
Le public s'est retiré sans manifester et
et ses souffrances conjugales, surtout à ses
né à dix ans de travaux forcés.
une hérisio économique dont les consécommuniste.
parents, contre le gré desquels elle avait Le Gall a regagné la prison, à pied, entre
quences soraienl des plus redoutables pour Le Fratricide de Commana
épousé sou mari. Cependant, ses collègues les gendarmes, samedi soir, vers 22 h. 30
les régions intéressées.
les meilleurs
Le 17 octobre, l'affaire Jean Madec, qui du bureau des Postes s'aperçurent assez
« On prétend que le bilan do l'exploita- tua son frère d'un coup de couteau, est rapidement de la tristesse de sa vie, mais,
les moins chers
tion est légèrement déficitaire. Cela me venue devant les assises.
M i e t t e s
cachant ses misères à tous, Mme Le Gall
facilitent le travail d e
surprend assez, car, il y a peu de temps
l'enfant et le rendent
L'accusé, âgé de 33 ans, se leva de bonne ne fit de confidences à personne.
plus profitable.
encore, il so traduisait par un solde béné- heure le jour des élections municipales,
remplaoe avantageusement
Malgré sa douceur et sa résignation,
ficiaire des plus substantiels. Pendant les le 12 mai dernier, pour aller voter et pro- qu'attestent tous ceux qui la connaissaient,
DICTIONNAIRES FRANÇAIS
le Charbon ou l'Anthracite
7 dernières années il représente 237.000 tr. fita pour prendre de nombreuses consom- Mme Le Gall, lasse de sa vie de souffrances,
Toute la langue française, tous
et convient à tous les appareils
les renseignements utiles sur
d'excédent de recettes. C'est un chiffre qui mations ; lorsqu'à 16 heures il rentra à se résolut enfin à demander le divorce,
l'histoire, la géographie, les
EMPLOYEZ
— La balance commerciale do la France, mérite d'être considéré et, comme on le la maison, il était fort exalté. Il demanda bien que son mari l'ait menacée de la tuer
sciences, etc.
pour les neuf premiers mois de l'année, voit, la ligne de Douarnenez à Audierne de l'argent à son père, qui refusa. Sa mère si elle le quittait. Le 30 janvier 1935, elle
Éditions de tous prix :
accuso, pour les importations, uno dimi- n'a aucune part dans le déficit des 10 mil- refuse également. Furieux, il devient me- partit avec ses enfants se réfugier chez ses
3 2 fr. - 2 0 fr. - 1 6 fr. - 10 fr.
nution de plus do doux milliards do francs lions qu'il a fallu combler récemment....
naçant, au point que ses frères doivent parents à Morlaix, où elle avait été autoDICTIONNAIRES
Les exportations ont, d'autre part, diminué
« Il faut d'abord faire la coordination et intervenir. Puis ils remontent dans leur risée à se rendre par une ordonnance du
et vous réaliserez de sérieuses économies
DE LANGUES ÉTRANGÈRES
d'un milliard et demi. Pour le seul mois il conviont d'en attendre les résultats chambre. Jean devient si agressif que sa Président du Tribunal de Quimper.
plus complets et plus pratique*
(au moins 30
%)
de septembre, notre balance commerciale avant de prendre une décision définitive. mère appelle de nouveau au secours.
que les ouvrages similaires de
Trois jours après, le 2 février, Le Gall
même prix : Anglais, Allemand,
est en déficit de plus do 327 millions.
Voilà pourquoi j'ai demaudé non pas le François et Auguste descendent de n o u - achète un revolver et des balles chez M.
Adressez vos commandes et renseiEspagnol, Italien. Chacun, 20 fr.
maintien
définitif,
mais
le
maintien
condiveau et mettent leur frère dehors.
Chutot, armurier à Quimper, par qui il se gnez-vous à l'Usine ou aux Bureaux
— Deux avions italiens de la base de
tionnel des 4 lignes le mieux placées, pour
• •
EN VENTE
• •
Livourne sont tombés en mer. Les èqui
Bemontés dans leur chambre, François fait expliquer le fonctionnement do l'arme,
nous permettre de faire l'expérience de la et Auguste s'occupent de leur toilette, et le même soir se met à la recherche d'un de la Société LEBON & 0« à :
à l a Silbrairie l a ï q u e , 7 , r u e E h * - F i * r o i
pages des deux appareils ont disparu.
Quimper (tél. 0-79).
coordination. Je suis persuadé que cette lorsque parait Jean, l'air calme, les mains chauffeur de taxi pour se rendre à Morlaix.
QUIMPER
— Les débats de la colossale affaire
expérience sera concluante en faveur du dans les plis de sa blouse. Il s'approche
Pont-l'Abbé (tél. 0-15).
Lorsque Le Gall arriva à la maison où
Stavisky commenceront le 4 novembre
maintien de ces lignes
Rosporden (tél. 0-61).
d'Auguste qui, le dos tourné, ne l'aperçoit s'était réfugiée sa femme, il trouva les
devant le Jury de la Seine. Ils dureront do
Grand chois de Monuments
pas.
D'un
geste
prompt,
Jean
sort
son
«
Dès
lors,
ce
serait
un
non
sens
absolu
Quimperlé (tél. 1-53).
portes
fermées,
et
s'en
alla.
trois à quatre semaines.
funéraires
que de supprimer une ligne qui rapporte couteau et le plonge dans le dos d'Auguste.
Audierne (tél. 61).
Le crime n'était q u e différé ; c'est le
— Pendant sept jours la terre a tremblé en
des bénéfices pour la remplacer par un Ce dernier s'affaisse dans uno mare de 21 février seulement q u e Le Gall allait
Conearneau (tél. 24).
Tadjikistan, au nord de l'Afghanistan. La
Maison : Madame veuve JQNOOOB
service de transport routier auquel il sang.
m-ittre à exécution les menaces qu'il avait
Douarnenez (tél. 1-71).
topographie do toute une région est comQUIMPER
M, rue St-Marc,
faudra donner une subvention. Le Conseil
Son crime accompli, l'assassin descend proférées.
plètement transformée. On compte 112
général verserait d'un extrême dans l'autre l'escalier et, rencontrant sa mère, lui déses
hommes
lafliiiniiiaiiiiaiiiiiaiiiiainiiiiingviiiaiini
Ce
jour-là,
pour
consulter
morts et plus de 400 blessés.
et ce serait, Messieurs, do notre part une clare cyniquement que son frère ne se d'affaires, Mme Le Gall partit pour Quim— Le Cabinet autrichien a été remanió. La aberration totale
relèverait pas et ne conduirait plus son per et reprit l'auto do 5 heures du soir
composition du nouveau ministère marque
pour rentrer à Morlaix. Ayant eu l'occa« Si les lignes étaient supprimées que camion.
une orientation vers la droite. La fusion a
A l'Aérodrome da Quimpsr-ïPlagui— Agent de poursuites. — Concours ou
En effet, Auguste Madoc succomba dix- sion de se rendre chez M" André, Lo Gall
ferait-on du personnel ? Sans doute on se
vert en novembre 1935. Age : 25 à 30 ans <an. — Samedi après-midi un public n o m été accomplie entre les formations parasept
jours
après.
propoae de lo licencier, mais peut-on vraiapprit que sa femme venait de sortir de
breux se trouvait s u r le terrain d'aviation
militaires du Chancelier Schuschnigg et
Son monstrueux forfait accompli, Jean l'étude. Il se précipita alors vers la place au 1" janvier 1935. Traitement de début
ment le licencier comme cela, brutalement,
de Pluguffan, pour assister à l'arrivée des
du prince Starhemberg. La Heimwehr a du jour au lendemain? Sans faire de senti- Madec se rendit ou bourg do Commana. où stationnait l'autocar, mais celui-ci était 11.500 francs plus indemnités. Aucun di
plôme exigé.
avions du Tour de France.
été dissoute.
Au
moment
où
les
gendarmes
lui
mirent
la
ment, chacun de nous sent en lui-même
déjà parti.
Elève Météorologiste à l'Office Natio
MM. les présidents de la Chambre de
— Les élections générales anglaises sont combien cette mesure serait pénible et main au collet, il jouait aux dominos.
Prenant alors un taxi, il commanda au nal Météorologique. - Date : 4 décembre
A l'audience l'inculpé soutient ne sé chauffeur de le conduire chez lui, monta 1935. Délai d'inscription : 4 novembre 1935 Commerce ; de l'Aéro-Club ; de n o m b r e u fixées au 14 novembre.
regrettable. Dans les circonstances actuelses personnalités régionales attendaient
— Une collision de trains fait 10 morts les ce serait une mesure inhumaine, car il souvenir de rien et se contredit assez dans sa chambre, prit de l'argent, des pa- Avoir satisfait loi recrutement. Age : 21 à
les pilotes.
souvent.
/
et une cinquantaine de blessés au Brésil. s'agit là de personnes déjà ûgées qui ont
piers, mit sou revolver chargé dans sa po- 30 ans au 1 " janvier 1935. Traitement de
Le premier appareil qui atterrit après de
Le fratricide Jean Madec a été condamné che, remonta dans le taxi et se lança à la début 11.500 francs plus indemnités. Bac
passé
le
meilleur
de
leur
vie
au
service
du
— On a inauguré samedi, place Vauban,
merveilleux
exercices acrobatiques est le
à
vingt
ans
do
travaux
forcés.
calauréat
ou
diplôme
équivalent
exigé.
poursuite de l'autocar qu'il rattrapa à la
& Paris, la statue élevée à la mémoire du public et qui aujourd'hui seraient dans
«
Henriot
180
>, piloté par le gagnant de la
—
Rédacteur
et
rédactrice
à
l'Adminis
l'impossibilité de se reclasser au point de
maréchal Fayolle.
L ' A f f a i r e H e n r i L e Gali Feuillée. En cours de route, il avait bu trafion générale de l'Assistance publique Coupe Michelin en 1931 et en 1932, M.
vue
social.
Allez-vous,
jo
vous
domande,
trois apéritifs, sans doute, pour se donner à Paris. — Date : 19 février 1936. Délai Haeglen, as de la guerre. L'appareil atterLe Président de la République a présidé
qui t n a a a l a m i n a
sacrifier un personnel spécialisé et qui a
du courage.
la cérémonie à laquelle assistait également
d'inscription : 8 février. Candidats mascu- rit à 15 h. 30.
d a n a Vautooar d e Q a i m p a r - M o r l a i x
fait ses preuves poui courir après une
Il monta alors rapidement dans l'auto- lins : avoir satisfait loi recrutement. Age
le maréchal Pétain.
Peu après arriva un « CaudronCette triste affaire de meurtre, la d e r économio des plus illusoires, et pour
— La voûte d'une carrière s'est écroulée désorganiser un service qui marche bien ? nière de la session, est venue vendredi et car qu'il avait fait stopper, et alors q u e sa 20 à 30 ans, plus services militaires actifs Rafale », piloté p a r M. Lacombe, second
femme était assise s u r un siège près du Traitement de début : 14.000 francs plus de la Coupe Deutsch 1935. Son atterrissage
sur une équipe d'élèves de l'école d'agri- Jo ne veux pas le penser
samedi devant le jury.
chauffeur, il alla se placer tout à fait à indemnités. Licence ou diplôme équivalent et ses vols au-dessus du terrain f u r e n t
culture de Souillac. Cinq d'entre eux ont
exigé.
Des mesures d'ordre sévères avaient été l'arrière.
«
Ainsi
donc,
de
quelque
côté
que
l'on
se
été tués et deux blessés.
impressionnants.
prises.
— Chefs de Travaux dans les Ecoles
tourne, on s'aperçoit q u e la suppression
Il attendit que l'autocar eut repris sa
Ensuite, ce fut le » Caudron Simoun »,
— M. Andersen, président de la conféLe
Gali
Henri,
fils
de
François
et
de
route, alla s'asseoir à côté de sa femme, et pratiques de Commerce et d'Industrie. définitive de toutes les lignes de chemins
rence du désarmement et l'une des plus
Kerbiriou Marie, né le 30 octobre 1890, à engagea avec elle une discussion, lui de- Date : 23 novembre 1935. Délai d'inscrip multiplace, piloté p a r M. Durandeau.
de fer du réseau départemental serait à la
er
Puis arriva un l'arman bi-place, piloté
grandes figures du mouvement travailliste
Brest-Recouvrarice, est accusé de l'assassi- mandant, prétend-il, de reprendre la vie tion : 1 novembre. Age : 25 à 35 ans plus
fois une mauvaise opération et une maude la Grande Bretagne, est mort ô Lonnat de sa femme commisavec préméditation. commune. Excédée, celle-ci refusa et dé- services antérieurs admissibles pour la par Biirtin. recordman du monde. D'autres
vaise action. Ce serait une erreur, plus
retraite. Limite absolue : 40 ans. Traite- appareils arrivèrent tard dans la soirée.
dres. 11 était âgé de 72 ans.
Le Gali, fils d'un gendarme maritime, fit tourna la tête.
qu'une erreur, ce serait une faute. Le
ment de base : 16 000 francs plus indemniLe soir, à 20 heures, un excellent banquet
ses études chez les Frères à Brest, au
— La guerre so poursuiten Abyssinio. Les
Le Gall se leva alors, sortit de sa poche tés. Conditions exigées : 5 ans de praiique fut servi à l'hôtel de la Paix et de la Poste
Italiens continuent à avancer, mais avoc Conseil Général n'a pas le droit de la Collège de Lesneven et au Lycée do Stson revolver et lira successivement quaire industrielle pour les ouvriers et contre- aux aviateurs et aux autorités parmi lesbeaucoup plus de difficultés. La défense commettre. »
«
Brieuc.
« *
balles dans la tête de la malheureuse fem- maîtres, et 3 ans pour les anciens élèves quelles on remarquait M M. Calhal, représenabyssine s'organise et la lutte s'annonce de
En 1908, il s'engagea dans la marine. En
deH Arts et Métiers.
plus en plus sérieuse. On prête au Négus
D'autres Conseillers généraux sont in- 1913, il entra à Préfeture du Finistère me qui f u t tuée sur le coup.
tant M. le P r é f e t ; P o u c h u s , d é p u t é ; Feundont les. troupes semblent, sur certains
— Administrateur de 1 " classe de l'ins
Elevant alors son revolver à la hauteur
points, avoir remporté quelques succès, tervenus dans lo même sens. Rien n'y a comme Expéditionnaire.
«•riplion maritime. — Date : 15 novembre teun, conseiller général ; Gautier, maire.
l'intention de prendre une offensivo de fait, le Conseil Général était sous lo coup
Au dessert, plusieurs discours très a p Mobilisé le 2 août 1914, il fit la guerre de sa casquette, il se tira une balle sur le 1935 — Délai d'inscription : 30 octobre
g r a n d e envergure dans la région du sud, des 10 raillions qu'il a fallu voter, récem- d'abord dans le régiment des fusiliers-ma- front, mais ne se fit qu'une blessure insi- Age minimum : 35 ans au 31 décembre plaudis furent prononcés.
comme contre-partie à l'offensive prévue ment, pour combler le déficit des chemins
Dans la matinée de dimanche, avant le
1935. Traitement de début : 26.000 francs
rins, puis à bord de différents navires. gnifiante.
des troupes italiennes dans le nord.
Il
s'en
fallut
de
peu
q
u
e
le
crime
de
Le
plus
indemnités.
Concours
ouvert
aux
lieu
de
fer
départementaux
et
leur
suppression
départ
des avions prototypes pour contiBlessé à Dixmude en 1914, commotionné
Entre-temps, les chancelleries française,
anglaise et italienne ne restent pas inacti- a été décidée par 21 voix contre 17 et 1 par l'éclatement d'une mine sous-marine Gall ne déterminât une véritable héca- tenants de vaisseau, commissaires de 1' nuer leur Tour de France, il y eut s u r le
ves e t une légère impression do détente abstention.
tombe. En effet, sous l'émotion que lui classe de la marine marchande, capitaine terrain de Pluguffan u n e démonstration
en 1916, il eut une conduite brillante.
semble se confirmer dans les relations
avaient
causée les coups de revolver, le au long cours et chefs de section de l'ins
Cependant, le Conseil Général a adopté
par des techniciens attachés au Circuit.
Après sa démobilisation, il reprit, à la
anglo-italiennes. La date d'entrée en vicription maritime.
chauffeur
fit
faire
u
n
e
embardée
à
son
uno
proposition
de
M.
Perrot,
aux
termes
Au cours de ces présentations, un Cad-.
Préfecture
de
Quimper,
ses
fonctions
d'exg u e u r des sanctions contre 1 Italie a été
— Rédacteur des Services civils di dron-Aiglon Renault, piloté par l'aviateur
' a j o u r n é e au 31 octobre et d'ici là les choses de laquelle le concessionnaire éventuel péditionnaire et, en novembre 1919, à la autocar. Celui-ci manqua de s'écraser avec
peuvent peut-être se raccommoder uu aurait la faculté d'utiliser les voies ferrées suite d'un concours, il f u t nommé r é - les voyageurs dans le profond ravin qui l'Indo-Chine. — Deux concours : 1 " : li
23 mars 1936. Délai d'inscription : 23 j a n - M. Becheler, s'est brisé au départ, s u r la
peu. Souhaitons-le de tout <ceur, mais, en pour le trunsport des marchandises, sans
bordait la route, mais reprenant son sang- vier 1936. 2 e : 3 novembre 1936. Clôture des route qui longe le champ d'aviation.
dacteur.
attendant, ne nous leurrons pas trop de
subvention du département.
L'appareil a été bien avarié, mais fort
En août 1921, il fut nommé secrétaire en froid, il parvint à redresser sa lourde inscriptions : 3 septembre 1936. Avoir satisce maigre espoir.
Cette proposition est soumise pour étude chef de la Sous-Prétocture de Châteaulin, Voiture et continua sa route sur Morlaix, fait loi recrutement. Age : 20 à 30 ans. heureusement l'aviateur n'a paB été grièà la Commission spéciale.
poste qu'il occupa jusqu'en 1927, date ô où Le Gall et le cadavre de sa femme Traitement de début : 2.657 piastres 20, vement blessé.
plus indemnités. Licence ou diplôme équiVers 15 heures, dimanche, les appareil»
laquelle il revint, en qualité de chef de furent transportés à l'hôpital.
valent
exigé.
L'assassin pour expliquer son crime l'atreprirent leur vol pour Vannes.
bureau, à la Préfecture de Quimper, foncRenseignements fournis p i r 1'« Orientations qu'il exerça jusqu'à sa mise à la tribue à la colère parce que sa femme
ttâblletk»««e
M u n i c i p a l * . - Par arrêté
M a g e
M a l a u Gaz
tion Professionnelle », revue mensuelle,
avait des relations coupables.
retraite,
le 1 " décembre 1934.
Revue *> Jmréling*
de M. le Maire de Quimper, M. Gallo, instiabonnement
:
16
francs
par
an.
De Ce la, l'accusé ne fit confidence à per*
Jusqu'en 1925, les meilleurs renseigneTHOUANS (&»«•••*•">
P e n r 1« t h t i l l t g i a a a t r a l | f l a n a ' a a t
Les personnes qni désirent des rensei- tuteur honoraire, a été nommé conserva*
sonne
et il semble plus vraisemblable que
ments,
au
point
de
vue
professionnel,
sont
lit 1« | i l i i pritlpt
aaaal pi*yri, aaaal i t a f l i , aaaal pragnements sur l'on des emplois on concours teur-bibliothécaire de la ville, en rempla*
fournis sur son compte, mais, bientôt, sa le crime n'a été commis que parce que Le ci-dessus on sur an examen quoloonque, Cernent de M. GuenneC) décédé«
tiqua, q u a l a â A l ,
' | | | tlltHff
Mtwdaa a l d a v i « g r a t u i t s p a r 1« S a - conduite lui vaudra de sévères avertisse* Oall« à la suite du refus« par stt femme, de peuvent s'adresser de notre part à M. Houtué/ O I mtM
l i e ttal Amâ H O M 4 M M « I 4 a tè*mt>
ments de la part de ses chefs.
reprendre la vie commune, se fendit deville, directeur^gérant de «L'Orientation
a i é t é I i B B O M 4t O'«.
fMttHr.Mtlmknt-fHii
Malgré les consoils paternels des Préfets, compte que, réduit & sa seule pension^ Professionnelle », 108, m e Erlanger, Paris Va. — Le bal annuel de l'association daa
Le Gali, de plus en plus, s'adonne à la diminuée de toutes les pensions alimen- (16*), qni leur répondra à titre absolument Bous-ofîîciers de réserve est fixé au samedi
«li 3 f»«oi{i ; : 2 v f r a n ç s
9 novembre prochain.
boisson et a une conduite parfois acanda- taires qu'il devait servir à sa première gracient.
Pour cette soirée dansante, le Comité
femme, à son enfant adultérin et prochaiJoindre un timbre ds 0 fr. 50 et ne pas
louse.
Lorsque M. Larquot fut nommé, en 1932, nement à sa seconde femme et à ses deu* oublier do mentionner : en qualité de lec fl fait appel à un excellent orchestre <|Ui*
....
POUR VOS IMPRIMAS
ear dti « Citoyen ».
rue Ëlie-Frôron, t> inlassablement, entraînera les danseur«
préfet du Finistère, lui non plus, malgré enfants, il ne pourrait vivre sans travaille!*,
adressez-vout à
jusqu'à une heure avancée de la nuit.
Hgllt pour autoi
*a bienveillance, ne put amender son chef ce dont son état d'alcoolique invéléré le
rendait incapable.
de bureau.
l'Imprimerie d u « Citoyen »
VIMDUP II DON « M U
A m O I i «a la OtasM M i l . —
En novembre 1934, par un arrôté, Le Oall
Depuis le crime, Lu Gall n'a jarnùis ma»
MM aiis'fvérM, Qilayir
N'oubliez pas que c'est samedi prochain
tut admis ù la retraite anticipée, et la Com* nifeité de «lacères regrets. Le médecin
U
di 1« quarantaine, che» Le Bvrrt;
res la suppression
d'Assises
LES
DICTIONNAIRES
LAROUSSE
LE
de 1»
COKE
Semaine
Concours m Fonctions Publiques
Mon Jardin"
DLAZUM
Usez et laites lire le « citoyen
QUIMPER
LE CITOYEN
r e s t a u r a n t de l'Odet, près la Préfecture, à
Quimper.
Rendez-vous à 19 h. 30 précises.
A i B a r r a « « . — M* Alizon vient d'être
n o m m é bâtonnier de l'ordre des Avocats
du barreau de Quimper.
Pont-l'Abbé
Etat-Civil.
Naissances : Pierre Jaouen,
à Merville ; François Le Meur, r u e du Château.
Pnblicalion de mariage : L'Helcrouarc'h
Pierre, employé de banque, et Tanncau
Marie-Louise, infirmière, d o m . à Pontl'Abbé.
Décès: Le Pnpe Marie-Louise, veuve Le
Divouzet, 78 ans, route do P l o n é o u r ; Marie
tiloaguen,
veuve Lucas, 51 ans, LandeVallée ; Marie-Catherine Chever, 50 ans,
épouse Biger, Hôtel-Dieu, inhumée à
Loctudy.
r i t o d a 1« U g i o B d ' H o n n a u r . — Le
Comité est heureux d'annoncer q u e la fôte
annuelle d e la Légion d'Honneur, ouverte
à tous, sera donnée le dimanche 10 novembre, à 20 heures 30, au Théâtre Municipal
de Quimper
« La Belle Aventure », de Robert de Fiers
et Caillavet, interprétée p a r la t r o u p e
Plomeur
« Rennes Comœdia », en dit assez pour le
grand succès de cotte soirée très choisie.
G r a v e oolUnion. — Samedi soir, u n e
Comme chaque année, Quimpor et ses grave collision s'est produite dans le vienvirons se f e r o n t h o n n e u r et plaisir de s'y rage près do la ferme de Kerfiand, entre
rendre
une camionnette appartenant à un m a r O o w * g r a t u i t a d a D a s s i n a t d a M o - chand do p r i m e u r s d'Ergué-Armel, près
d a l a g a . — Le maire d e Quimpor prévient Quimpor, et un attelage appartenant à M.
le public q u e l'école communale gratuite Stéphan, 46 ans, cultivateur audit village.
Dans le choc, M. Stéphan a été assez
de dessin et d e modelage s'ouvrira le m e r grièvemont blessé. Le docteur, appelé, l'a
credi 6 novembre 1935, au gymnase.
Ces cours auront lieu le morcredi et le fait conduire à l'hôpital do Pont-l'Abbé.
vendredi de chaque semaine, de 17 h. 30 à
19 heures.
Les élèves devront être âgés do 14 a n s
révolus, les mineurs devront, au moment
de leur inscription, être accompagnés de
leurs parents ou bien être recommandés
par leurs patrons, à moins qu'ils no se
présentent avec les cartes d'admission qui
leur o n t été délivrées l'année dernière.
Les anciens élèves ne sont pas dispensés
de l'inscription ; ils doivent, au contraire,
renouveler leurs cartes d'admission s'ils
désirent suivre les cours de dessin. Les
inscriptions seront reçues au secrétariat
de la Mairie, tous les j o u r s de la semaine,
de 9 heures à midi et de 14 à 17 heures, et
au bureau de l'Etat-civil, les dimanches
27 ootobre et 3 novembre, de 10 heures i\
11 heures.
La liste d'admission sora définitivement
close le 5 novembre, délai do rigueur.
Les j e u n e s ' i i l l e s sont admises à suivre
les cours.
O l a é a t a O d a t - P a i a o a (Direction L. Le
Bourhis). — De co j o u r au lundi 28 octob r e : actualités parlantes et sonores, un ou
deux films intéressants et le grand film :
« Compartiment d e Dames seules ».
A n ThAAtra. - Tournées Baret. — La
deuxième représentation de l'abonnement
Ch. Baret sera donnée samedi prochain
26 octobre, à 20 b. 30.
« Les Vignes du Seigneur », de Robert
de Fiers e t Francis de Croisset, ont été
choisies pour cette g r a n d e soirée.
La pièce sera j o u é e par M. Paul Villé,
l'amusant comique d e s boulevards qui a
repris avec succès le rôle principal après
Victor Boucher, dans lequel il est inénarrable Lo rôle créé p a r Cheirel sera tenu
par Mme Germaine Charley dont la bonne
h u m e u r communicative rappelle celle de
sa devancière. Ce sont deux g r a n d s artistes
et c'est une admirable soirée de goût et
d'esprit.
Btat-Oivil d a 1 S « a S i eotobra 1 9 3 6 .
— Naissances : Alain Cabon, chemin de
l'Hippodrome ; Michel Le Bail, r u e Rouzaut ; Jacques Pitet, 37, r u o d e D o u a r n e n e z .
Publications de mariages : Corentin Grunchec, charcutier, dom. à Quimper, et Anna
Bonizec, dom. à Penhars ; Alain Pennang u e r , voyageur de commerce, doni, à
Quimper, et Corentine Hémery, d o m . à
Kerfeunteun.
Dici»: Angélique Cardaliaguet, 70 ans,
25, r u e Bourg-les-Bourgs ; Jeanne Le Gali,
59 ans, r u e de l'Hospice ; Jean-Louis
Pleuven, époux Le Marc, 51 ans, retraité,
r u e A«guste-Goy ; Pierre Le Guirriec,
époux Quéré, 32 ans, employé de c o m merce, 4, r u e Locronan ; Marie Larzul,
veuve Le Corre, 79 ans, 39, r u e de la P r o vidence.
Les déglUs matériels sont importants.
Audierne
Chirurgien-Dentiste
F". X.a R o h o l l e o ,
6, place de la Liberté, Audierne. Tous les
jours (jeudi excepté).
Douarnenez
N o y é . — Dimanche soir, le m a r i n pôchi'ur Piorre Rolland, 12 ans, domicilié
à Crozon, en regagnant son bateau a m a r r é
au port de Douarnonez, est tombé à l'eau
et s'est noyé.
Détail navrant pour la veuve : le 11 s e p tembre dernior, un de ses fils, ùgé de dix
ans, qui se trouvait en vacances chez son
g r a n d - p è r e , à Plozévet, avait été victime
d'un accident mortel occasionné p a r une
auto de tourisme.
Concarneau
A v i a d e l a M a i r i e . — Le m a r c h é q u i
devait avoir lieu le vendredi 1 " novembre,
se fera le jeudi 31 octobro.
Le séjour des industriels forains à l'occasion de la foire Saint-Martin, du 11 novembre, sera strictement limité du vendredi
1" inclus au mercredi 20 novembre inclus.
CHATEACLIN
Logonna-Quimerch
M é d a i l l e M i l i t a i r e . — La M é d a i l l e m i -
litaire vieut d'être conférée à M. François
Hétet, maire de Logonna-Quimerch, pour
faits de g u e r r e .
Nous lui adressons toutes nos félicitations.
Carhaix
X«a f o i r a d a l a V o a a a a i a t . — Le maire
de Carhaix a l'honneur d'informer les cultivateurs et marchands q u e le 3 novembre
tombant cette année un dimancho, la
grande foire de la Toussaint se tiendra le
samedi 2 (chevaux), et le lundi 4 (bètes à
cornes).
BREST
A l a P r é l a o t n r e M a r i t i m e — Le vice-
amiral Castex, nommé préfet maritime de
la deuxième région, en remplacement du
vice-amiral Laurent, admis à la retraite,
est arrivé à Brest vendredi soir. Il a pris
ses nouvelles fonctions avant-hier, mardi
22 octobre.
A u T h é â t r e M a n i o i p a l . — V e n d r e d i 25,
en soirée, samedi 26, en matinée et soirée,
et dimanche 27 octobre 1935, en matinée et
soirée : « Ray Ventura et ses Collégiens »,
accompagnés d'un spectacle de Music-Hall
de tout premier ordre.
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QUIMPER
(Maison L e G o r g e u - F a v e n n e c )
Penhars
t i l a a t a t l o a D o r g é r i a t a . — Continuant leur mouvement fasciste sous préteste de défense paysanne, des chàtelins et
de gros propriétaires réactionnaires avaient
organisé dimanche à la ferme de Corniguel, en bordure de l'Odet, en Penhars,
une grande manifestation.
Une toule nombreuse, la fine fleur réac*
tionnaire, venue de toute la Cornouaille et
du Nord-Finistère, et des curieux de Quimper et des environs, ont ente du des tirades pessimistes.
Alors que la réunion allait prendrefin,on
annonça l'arrivée du « grand ténor » Dorgères qui, de la façon la plus théâtrale, termina cette manifestation sans incidents.«
Ce qui n'était pourtant pas prévu au
programme.
Plogastel-St-Germain
A M l d a a t . — Jeudi, vers 20 heures, M,
Corentin Le Borgne, de Plogastel, rentrait
I motocyclette de Quimper. Par suite d'une
panne subite d'éclairage, sa moto dérapa
et vint se jeter violemment codtre le mur
d'une maison. Le malheureux jeune h o m me, grièvement blessé à la figure, fut
transporté à son domicile et reçut des soins
empressés, Son état n'inspire pas d'in-
qniétade.
Football-Association
A n S lad» K a r h u e l
Championnat da l'Oneat
S. Q. 1 bat S. Morlaisien 1 par C> à ii
S. Q. 1 B est battu par S. M. 1 B par 4à2
S. Q. Juniors bal Juniors U. S.Pont-VAbbisle
par 6 ù 0
En somme, j o u r n é e réconfortante pour
nos couleurs.
Et pourtant, p o u r la première équipe
surtout, quelle grande inquiétudo par
suite de l'absence de Le Roux qu'on ne
savait comment remplacer.
Heureusement l'on trouva L. Guillou,
qui, après son entraînement en deuxième
équipe, était le mieux au point des r e m plaçants. Et plus heureusement encore il
a tenu sa place avec un brio et une ardeur
qui ont compensé largement ce qui p o u vait lui m a n q u e r . Pourquoi faut-il que l'on
souligne si vivement les défauts de nos
j o u e u r s amateurs, ne l'oublions pas, et
qu'on passe presque sous silence leurs
qualités I
Revenons ù notre rencontre de premières
équipes.
Si le Stade Morlaisien venait avec l'intention bien ferme de vouloir gagner, nos
Stadistes ne voulaient pas perdre, ce qui fit
que la partie f u t indécise j u s q u ' à la fin.
P o u r q u o i les Morlaisiens furent-ils battus?
C'est q u e l'un de leurs arrières ayant m a r qué un b u t contre leur goal, un décourag e m e n t s'empara d'eux, et contre lequel
ils ne réagirent p a s assez vite. *Si l'on'
a j o u t e un pénalty trop sévère accordé p a r
l'arbitre, nous voyons q u e les deux équipes
pouvaient être mises dos à dos, et le match
nul raisonnablement envisagé. Et le Stade
Quimpérois? A-t-il mérité la victoire 1 Si
au point de vue techniquo il f u t légèrement
inférieur ù son adversaire, il l'emporta p a r
sa ténacité et son allant. De plus, ô chaque
rencontro la cohésion s'afîirme de plus en
plus et s'il y a des fautes commises, n ' o u -
blions pas qu'on est toujours à deux pour
disputer la victoire, et q u e le jeu de l'adversaire est un l'acteur dont il faut tenir
compte avant de j u g e r nos joueurs.
En défense, le trio Garrec, Vergos et
Philippe s ' e s t tiré ù son honneur de
situations périlleuses, et si vers la fin il a
faibli, il faut souligner que le dernier était
assez fortement grippé.
En demis, avec Stéphan, on a un pivot de
tout repos, et son service aux avants est
d'une précision telle que ceux-ci ouraient
mauvaise grûco ù no pas s'en servir judicieusement.
Louarn est t o u j o u r s le même s u r qui on
peut t o u j o u r s compter et les éloges ne lui
manquent pas. Quant à Bigon, s'il ne commettait certaines petites sottises, qui lui
font p e r d r e un peu do la sympathie do ses
partisans, on r e m a r q u e r a i t davantage ses
progrès tant techniques q u e physiques.
Et la ligne des avants? A leur donner trop
d'éloges ils ont une tendance à croire q u e
c'est arrivé. Et cependant il y aurait une
méchanceté à souiller s u r cotte joie qu'ils
peuvent éprouver à nous avoir donné 3
nouveaux points.
Bien menés p a r L. Guillou, ils vont
continuellement à l'attaque des buts a d verses et chacun a droit à sa part d'éloges.
Faut-il plus féliciter Hascofit q u e Biger,
Calvez q u ' H é m o n ? J e ne crois pas. Mais j e
tiens à répondre il certaines critiques
au sujet de ce dernier, et où on l'accuse
de paresse, de baisse de forme, etc. Il ne
mérite pas ces reproches, car, dès le d é but de la partie, il reçut un coup sur une
ancienne blessure et, malgré la douleur, il
a t o u j o u r s fait son possible pour suivre le
train. Espérons qu'il sera tout à fait remis
pour la prochaine roncontre.
microbe du vinaigre ayant transformé
tout l'alcool du vin en acide acétique,
s'attaque tout d'abord aux produits
Mademoiselle L E FLOCH
qui donnent au vinaigre sou parfum.
1 9 , H u a K a r é o n át S 3 , R a t S a i n t - F r a n ç o i s
Ceux-ci détruits, le vinaigre semble O U I M P E R
fade, plat, quelle que soit sa teneur
en acide acétique.
Veuillez à ce que l'accès de l'air
soit bien protégé par une gaze ou
une toile métallique. Elle protège,
(Connaissances technique et professionnelle indispensables
avons-nous dit, contre les insectes et
pour la parfaite mise au point des modèles)
surtout contre la mouche dite du vinaigre qui est attirée par l'odeur.
— S o u s - V ê t e m e n t s Indémaillables
C'est la raison pour laquelle il est FOURRURES
recommandé de ne pas faire cette fa
bneation dans une cave à vins, la
mouche pouvant véhiculer les ferments
acétiques et contaminer ainsi les tonneaux de vins.
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Questions Agricoles
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Quand faut-il oueillir poires
et pommes ?
Contraiment aux fruits à noyaux et
aux raisins qui arrivent à l'état consommable sur l'arbre môme, les fruits
à pépins, poires et pommes, ont deux
maturités distinctes et ces deux maturités sont séparées de quinze jours
pour certains, de deux mois pour certains autres, de six mois et plus pour
d'autres encore...
Pour l'arboriculteur débutant, il est
difficile de distinguer l'époque de la
première maturité, de celle que nous
En somme, si nos j o u e u r s s'usent vite,
pouvons
appeler la maturité de récolon est heureux de voir qu'il se trouve toute.
Visible
pour certains fruits, elle ne
j o u r s à point des remplaçants q u i ne d é parent point le lot, et après Laurent Guil- l'est, en effet, guère pour beacoup d'auChoix de tous M E U B L E S incomparables
lou, nous espérons q u e Corvest sera tres. Ce n'est que par des observations
ans Meilleurs Prix
:
Jongue s et minutieuses que les pratibientôt prêt à r e p r e n d r e sa place.
C'est ce qui m'a été dit p a r des j o u e u r s ciens, les professionnels sont arrivés
revenant de Morlaix ou la 1 B. fut battue à déterminer l'époque de cette matupar l ' é q u i p e correspondante du Stade rité pour chaque variété de fruit, ou
Morlaisien.
pour nous exprimer plus simplement
Au cours de cette partie, Corvest f u t le moment où chaque fruit est bon à
très r e m a r q u é .
grâce a u x tarifs réduits d e
cueillir.
Allons, tant mieux. Espérons qu'avec
S'il veut profiter de ces observations
cette rentrée, les j o u e u r s éclopés ou éloi- et éviter de récolter des fruits à une
i e
gnés pourront revenir à temps pour date intempestive, le débutant doit
r e p r e n d r e leur place, c'est ce q u e j e donc, d'abord, bien connaître les vasouhaite.
riétés, que comporte sa plantation.
ESSAIS
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S'il s'est procuré les arbres dans une
pépinière
sérieuse,
ils
lui
ont
été
liN'ayant pas reçu de détails suffisants s u r
la rencontre de la 1 B. et des Juniors, j e ne vrés avec un nom qui est bien le leur :
puis q u e faire conualtre les résultats bruts il importe d'en conserver trace, soit en Faites vos Publiottis dans le
Etude de M0 SALAUN, notaire
sans rien de plus.
faisant un croquis de la plantation,
à Plonéour-Lanvern.
Kervahut.
croquis que l'on garde avec soin dans
ses archives, soit en étiquetant chaque arbre de façon durable, soit en i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i j
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vous vous procurerez chez un com- tonneau, etc. ; les pommes de Jaune,
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7° lot. — Le champ Parc Glaz Vian,
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fût à lui-môme ; à la surface de votre! din. Tout doit ôtre rentré au frutier. ces, compagnies anciennes, toutes
Mise à prix : 2.500 francs.
liquide, se formera un « voile glài-ï
Successivement, ces fruits arrive- branches, recherche collaborateurs dans
8° lot. — La prairie Foennec Stang
reux » qui n'est autre chose que la ront à maturité, depuis le Beurré Har- plusieurs cantons autour de Quimper. Hir, n°" 1455, 1454 p.
« môre du vinaigre ». De temps en dy, qui est bon à consommer dès les Portefeuille existant. Ecrire au journal.
Contenance : 16 ares 40 centiares.
temps par la cannelle, vous goûtez derniers jours de septembre, jusqu'à
Mise à prix : 1.000 francs.
votre produit et, quand il vous paraî- la Bergamote Espéren, qu'on ne dé- C A B I N E T D E N T A I R E
9" lot. — La prairie Roz Camp,
tra assez « fort », vous en tirerez un guste à point qu'en avril-mai.
n° 1424 p.
litre ou deux que vous remplacerez
Contenance : 19 ares 20 centiares.
par la môme quantité de vin.
Culture intensive
18, rue du Chapeau-Rouge
Mise à prix : 1.000 francs.
Pour l'introduction de celui-ci, je et engrais do la basse-cour
et
1,
rue
de
la
Providence
Jouissance
: 6 novembre 1935. .
vous conseillerais d'acquérir chez voLa
vente
se
fera sur les lieux, à
La
situation
actuelle
oblige
l'agriQ U I M P E R (Téléphone : 8-15)
tre pharmacien un tube de verre allant
Lesneut
môme.
culteur
à
ne
rien
négliger
des
moyens
jusqu'au fond du fût et un raccord en
Pour tous renseignements, s'adrescaoutchouc qui vous permettra de lui permettant de réduire les frais de
V I L L E DE B A N N A L E C
ser
à l'étude.
culture,
tout
en
ne
sacrifiant
pas
à
placer un entonnoir à l'extrémité de
l'économie
les
nécessités
imposées
par
votre tube. Le vin versé dans l'enCommune de Plozévet
tonnoir arrive au-dessous du voile et,i les conditions de culture rationnelle.
grâce à cette précaution, celui-ci reste Dans bien des cas, on peut apporter du Samedi 2 Novembre 1935, à 15 h.
Ji
à la surface, condition indispensable1 une particulière attention à l'utilisation
à la Mairie de Bannalec
des
engrais
organiques
recueillis
sur
à son bon fonctionnement.
L'acétifîcation ira d'autant plus rapi- le domaine. Les engrais produits par
Le jeudi 31 octobre courant, à 1 4 1
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heures,
à la Mairie de Plozévet, M.
cité
aux
Ecoles
de
Bannalec
:
une salle plus chaude. Après quelques offrent une ressource de matières ferle Sénateur-Maire procédera à l'adjuBâtiments
nouveaux,
Ecole
des
tilisantes
qu'il
ne
faut
pas
négliger.
jours, huit ou quinze au plus, vous
dication de travaux à exécuter aux
pourrez à nouveau tirer 2 litres de: Ils contiennent, en moyenne, B % d'a- Garçons :
bâtiments
de l'ancienne école de
Montant
des
travaux
:
5.300
fr.
zote,
3
°/
de
potasse,
4
°/
de
chaux
0
0
vinaigre et les remplacer comme cifilles
en
vue
du transfert", dans, ces
Cautionnement : 500 fr.
dessus, Si vous avez un excédent de et 1 à 2 % d'acide phosphorique. Ce
bâtiments,
de
la
Mairie et de la ReDélai : 2 mois.
production sur votre consommation, sont des engrais concentrés, et il concette
des
P.
T.
T.
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Ecole des Filles :
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de
la Mairie de Plozévet où MM. le»
Montant des travaux : 6.000 fr.
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pour
en
prendre
connaissance.
Délai : 2 mois.
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(Voir
les
affiches).
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nalec, ou chez M. Mony, architecte,
tout son arôme et semble insipide de telle sorte que peu profite beauà
Douarnenez.
coup.
»
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RADICAL-SOCIALISTE
L'Unité du Parti et la Lutte à outrance contre le Fascisme
riot, symbole de cette unité que nos attraits de l'inflation, nous voulons
développer une judicieuse politique
adversaires croyaient compromise.
le salue en lui la conscience et le du crédit et lutter contre la sous-conguide de notre parti. Derrière un tel sommation.
Nous sommes enfin partisans de la
chef, les républicains connaîtront de¥
main
des
victoires
aussi
éclatantes
que
stabilité
monétaire, condition de la
» *
celles de 1924 et 1932.
sécurité indispensable à l'initiative
*
La matinée de jeudi a été, selon
* •
A l'issue de ce congrès oit toutes comme à l'esprit d'entreprise, aussi
l'usage, consacrée à l'organisation les opinions se sont largement affron- bien dans notre pays que sur le plan
L'unité, elle est acquise à l'unanides travaux que l'assemblée va être tées, il convient de dégager les ten- international.
mité des membres du parti. Les radiappelée à étudier.
dances dominantes qui se sont maniExprimons le vœu que la politique
caux venus de tous les points de la
Ce n'est donc, en réalité, que l'après- festées et de tracer aux militants, de compression qui a été poussée
France, ceux du Nord, du Midi, de
midi que le Congrès a été officielle- comme aux élus, une ligne de conduite jusqu'à l'extrême limite s'accompagne
l'Est, de l'Ouest ; tous, les paysans,
ment ouvert par un discours de M. qu'ils voudront suivre avec une fer- d'une énergique répression de la fraules ouvriers, les marins, les bourgeois
Perney, président de la Fédération vente discipline.
de et d'une réalisation de plus en plus
qui ont conservé la tripe démocrade la Seine, auquel a répondu M.
Passionnément attachés à la défense étroite de la justice fiscale qui seule
tique, au lieu de se crétiniser dans les
Ilerriot qui a été, dos cette première nationale comme à la paix, vous avez permettra d'apporter un allégement
rangs de la haute ; tous, ceux du Tiersrencontre avec les militants, longue- été heureux d'applaudir, avant-hier, le aux souíí'rancesdes classes laborieuses,
Etat et du peuple, d'un élan unanime,
ment acclamé.
discours émouvant, humain et réaliste si durement éprouvées par la crise
réunis au nombre de plusieurs milLa suite de la séance a été consa- du président Herriot. Certes, nous économique.
liers, salle Wagram, à Paris, ont
crée à l'étude des questions agricoles. demeurons fidèles à nos amitiés, à
L'ouvrier, l'employé, le paysan, le
fait le serment de combattre le fasOn a entendu, entre autres, une très toutes nos amitiés et nous ne voulons fonctionnaire, le retraité, le petit comcisme, dans la presse, dans les réuimportante intervention de M. Albert oublier aucune des nations qui sont merçant ne se dérobent pas à leur
nions, et, si on y est entraîné, dans la
Le Bail, député du Finistère, sur la volontairement venues sur notre sol, devoir. Qu'ils aient du moins la certirue.
Mutualité et le Crédit agricoles.
pour défendre la liberté des peuples. tude que d'autres, plus favorisés par
Il y va du salut du régime. Il y va
On sait en effet que le parti radical
L'amitié italienne nous est chère, la fortune, accomplissent le leur d'une
de l'ordre républicain, de nos libertés
compte un grand nombre de cultiva- elle est une tradition de notre pays façon intégrale.
va
!
Ça
ira
!
Ça
politiques, de nos conquêtes démoteurs, qui suivent avec un grand inté- qui a recueilli sa part de l'héritage de
L a reprise
cratiques et sociales, des vastes espérêt
les questions professionnelles.
Rome. Mais nous ne saurions trop
Jamais il ne m'a été donné d'assisd
e
l
a
v i e économique
rances populaires déployées comme
M. Albert Le Bail a d'abord exa- condamner sévèrement ces récentes
de maîtresses voiles au souffle de la ter à un pareil congrès national du miné la question du Crédit agricole
Mais
les
sacrifices si lourdement
campagnes de presse contre la démoparti radical socialiste.
brise qui passe.
imposés
à
tous
seront inutiles si l'on
Dans une salle pleine à craquer, et a montré qu'il était indispensable, cratie britannique qui ont causé un ne s'oriente résolument vers la reprise
Si la réaction l'emportait, c'en serait
étant donné l'acuité de la crise, de douloureux étonnement dans toutes
de la vie économique. L'équilibre
fait de nous et de tout ce que nous dans l'arène la plus vaste de Paris prendre des mesures en faveur des les parties saines de la nation.
dont la foule des adhérents débordait
budgétaire est certes indispensable : il
avons créé et fondé.
cultivateurs
endettés,
si
l'on
voulait
Nous nous souvenons que l'Angle- ne peut être que la conséquence de
jusque dans les escaliers, on eut en11 faudrait recommencer 1789 et
leur
permettre
de
se
relever.
terre a été la première à se mettre à
tendu voler une mouche, lors des dis1793... même 1793 !
Il a fait adopter par le Congrès un nos côtés, à l'heure du péril et nous la prospérité générale.
cours
dont
chaque
syllabe
paraissait
*
Aucune mesure ne sera efficace, si
« *
un acte et lors des votes acquis à vœu en faveur de l'aménagement des n'oublions pas que sa fidélité aux elle n'est soutenue par la confiance du
L'unité.
l'unanimité de la masse des congres- dettes. Les sommes à verser devront engagements est une des conditions pays. Cette confiance, tâchons de la
être réparties sur un grand nombre essentielles de l'action nationale de la
Au-dessus de la salle Wagram pla- sistes.
mériter par la probité de nos méthodes
nait invisible la volonté populaire qui
Société des Nations.
Le parti radical-socialiste est l'une d'années.
et de nos conceptions financières sans
M. Albert Le Bail a ensuite examiné
dictait ses arrêts à chacun des mili- des armées du front populaire, et puis
Notre adhésion
mêler
à ces questions, d'une si délicate
tants.
viennent les autres obéissant à l'at- les questions relatives à la Mutualité. à l a t â o h e politique d u p a c t e complexité, des préoccupations d'ordre
Ils ont obéi.
Il a obtenu le plus vif succès. C'est
traction de la même loi de vie.
Unanime à condamner l'agression, politique. Le relèvement de la nation
Malgré les nuances et les timides
ainsi
que le journal Le Jour, qui n'a
Etre ou n'être plus, voilà la quesnotre
parti demande que les sanctions est à ce prix.
divergences qui les séparaient, 11erpas de sympathie pour les radicaux,
tion.
financières et économiques soient apriot, Daladier, Chautemps, trois noms
L a crise agricole
Il y va du salut de nos idées, des écrit : « Parmi les meilleurs exposés, pliquées conformément au pacte, mais
qi}i nous sont également chers, ont
de
M.
Albert
Le
Bail
sur
citons
celui
Issu
des profondeurs de la masse
conquêtes de la Révolution et des réque soient en même temps recherété jetés dans les bras les uns des
paysanne, nul parti n'est plus près que
formes qui sont l'honneur et la subs- le crédit agricole ».
autres, et se sont donné l'accolade.
Le succès remporté de M. Le Bail chées les possibilités d'une juste le nôtre de l'âme des populations rutance d'une législation républicaine,
Leurs désaccords sont peu de chose laïque, démocratique et sociale, péni- est une nouvelle preuve de sa con- conciliation des intérêts de tous.
rales. Nous affirmons une fois encore,
Dans les occasions les plus solen- la nécessité de défendre l'agriculture
devant le but commun assigné aux blement édifiée pendant 60 aimées.
naissance des questions agricoles et
nelles, tous les gouvernements de la nationale. La baisse des produits du
efforts du parti.
de l'intérêt qu'il leur porte.
Vos querelles sont misérables leur
Au cours de la journée de vendredi, France ont hautement proclamé notre sol que ne compense pas celle du
adhésion à la tâche politique du pacte. niveau de la vie, pèse sur le monde
répétait la grande voix de la patrie
A ce congrès, nous avons salué le Congrès s'est occupé de la question
La Société des Nations, c'est la justice, paysan et laisse entrevoir le moment
républicaine.
comme une aurore le talent de? jeunes sociale, des questions financières, de
les
peuples assemblées à Genève, où la terre ne nourrira plus ceux qui
Et ils ont subi le charme souverain rapporteurs ou orateurs qui sont l'es- la situation extérieure et de la Défense
c'est
la force. Il ne faut pas séparer la cultivent.
de la déesse populaire, protectrice de poir de la patrie républicaine. Ils tien- nationale.
de la justice et c'est, notre
la
force
la cité et gardienne des lois de fer qui dront solidement la place de leurs
Dégageons-nous certes, de toute préUn grand discours de M. Herriot,
fierté
de
pouvoir affirmer que la poli- occupation démagogique, mais constasont l'essence même
du
régime.
sur
la
nécessaire
fidélité
au
pacte
de
aînés, quand ces derniers n'y seront
*
la Société des Nations, a dominé les tique française est étroitement confor- tons que l'heure est vraiment venue
plus.
•*
me à ce noble idéal.
d'apporter un remède à des mots trop
Et puis nous avons entendu les débats.
graves
pour être plus longtemps néEt puis, il y a la lutte contre les
Jamais peut-être, le Président du
Dissolution d e s L i g u e s
grandes voix familières des Herriot,
gligés
:
défense des libertés paysanligues fascistes.
Parti Radical n'avait encore atteint
antirépublicaines
Daladier, Chautemps.
nes,
nécessité
de la révalorisation des
Nous ne pouvons plus nous contenLe peuple radical, représenté là par pareil sommet dans I V t de l'éloSi l'horizon européen est encore produits (blé, vin, bétail, lait, etc.)
ter de promesses ni de projets de loi.
ses délégués, les a salués d'une même quence. Aussi fut-il l'objet d'une accla- chargé de menaces, la situation inté- tendant à l'établissement d'un miniIl faut abattre le tronc et les ramures
mation délirante qui secoua toute la rieure demeure obscure et équivoque.
acclamation.
mum vital, priorité des produits frande l'arbre que tous les ministères,
Une vague énorme les a portés à la salle et mit toute l'assistance debout Un malaise indéniable pèse à l'heure çais et coloniaux sur le marché natioceux de droite et ceux de gauche,
actuelle sur tous les partis. L'agita- nal, aménagement des dettes, plus
crête de ses eaux rayonnantes, dans frémissante.
tous, également coupables, ont laissé
La politique générale a fait l'objet tion créée par les ligues antirépu- large diffusion du crédit et organisaleur écume, des splendeurs d'un soleil
s'implanter dans le sol avec les puisdes séances de samedi. La discussion blicaines en est une des causes tion de la profession agricole, tels
automnal.
santes attaches de leurs noueuses et
Ilerriot, qui se tient par ordre de fut des plus vives et on applaudit principales et leur désarmement, leur sont quelques-uns des remèdes que
profondes racines.
nous préconisons.
son parti dans les rangs du gouverne- MM. Herriot et Daladier, notamment dissolution s'impose sans délai.
Il faut arracher ce qu'on n'a pas
L'opinion publique demande la réProtégé contre les méfaits de la
ment, s'est libéré dos menottes que lui sur la question des Ligues.
voulu extirper et étouffer aisément,
Finalement tout le monde se mit pression des menées factieuses qui spéculation, l'agriculteur doit sentir
passe aux poignets la solidarité d'un
dans son germe, quand il était temps.
ministère nègre-blanc ou de mêlé- d'accord et ce fut à l'unanimité que ont déjà provoqué des conflits san- qu'il a dans notre parti un conseil et
Les fascistes ont lancé contre les
l'on vota la motion présentée par glants entre Français. Des disposilions un ami qui l'aideront à. reprendre concasse.
pénales ont été pr.ses à cet égard. Il fiance en soi, car, répétons-le « le
sénateurs et députés les plus ardents
Sa pensée a rejoint la nôtre ; son M. Zay, député du Loiret.
du front populaire des menaces de
parti agraire, c'est nous » parti
La journée s'est terminée par la est nécessaire de les compléter.
cœur a battu pendant quelques bonnes
mort.
Mais
nous
demandons
au
Gouvernepopulaire.
réélection
triomphale,
sans
une
absheures à l'unisson des nôtres. Ce fut
Ces misérables, les chefs, ne se
beau. L'unanimité. Cela ne s'était tention, de M. Herriot à la présidence ment de ne pas oublier que les textes
L a fusion d e s c l a s s e s
les plus rigoureux se révèlent ineffidoutent pas que si les choses se gâdu parti.
jamais encore vu dans nos congrès.
dans la justice sociale
taient et en venaient là, ils paieraient
Celte manifestation d'unité républi- caces, sans l'esprit qui les interprète
Quel enthousiasme chez les nôtres !
et la volonté qui les applique.
Le parti radical est aussi social et
sans doute eux-mêmes de leur tête les
Quelle consternation dans les rangs caine, à laquelle le président Daladier
désireux
de réaliser l'égalité éconoatrocités qu'ils auraient commises.
et M. Zay se sont chaleureusement
Lie p r o b l è m e f i n a n c i e r
*
d'en face 7
mique. Il n'est indifférent à aucune des
associés, a précisé heureusement le
Nicolas Lerouge,
* •
Le problème financier qui n'est pas revendications du prolétariat. C'est
sens du vote également unanime sur le moins redoutable est plus complexe
pourquoi il n'abandonne pas les espéEt maintenant, 11 faut que les partis
la politique générale.
que tous les autres. Notre parti, pla- rances qu'il a mises dans la libérade gauche ne fassent qu'un seul bloc.
Le Congrès a pris fin dimanche, par çant au premier plan de ses préoccu- tion des travailleurs.
Dotons les d'une soudure autogène.
le vote de la déclaration du parti, pations la lutte contre la crise s'appuie
Esclavage et servage sont des formes
Qu'ils abandonnent leurs querelles
Le 32° Congrès du Parti Radical dont lecture a été donnée par M. sur les résultats déjà acquis du abolies du labeur humain. Le salapour s'uûir de pensée et de cœur
Campinchi.
redressement financier, en ?ue d'assu- riat ne doit pas être la dernière étape
dans la défense d'un idéal commun, et Radical-Socialiste a tenu ses assises,
rer le sauvetage de l'économie.
salle
Wagram,
à
Paris,
les
24,
25,
26
d'affranchissement. L'heure doit veAbattre le fascisme doit être l'obsesnir.
Faisons tout pour la rendre proPar
une
détente
fiscale
appropriée,
et
27
octobre
courant.
sion constante de leur esprit.
chaine, ou le législateur instituera la
nous
voulons
soulager
la
production
Il
a
réuni
plus
de
2.000
délégués,
Il faut que chacun de nous renonce
d'un excès de taxation, poursuivre la participation obligatoire aux bénéfices
À une partie de lui-même pour en venus de tous les points du pays
L'hommage
réduction des charges qui pèsent sur et à la gestion, assurera la fusion des
affirmer
leur
foi
dans
l'avenir
du
attribuer l'appoint à cet ôtro collectif
a
u
p
r
é
s
i
d
e
n
t
H
e
r
r
i
o
t
le commerce, l'industrie et l'artisanat, classes dans la justice sociale.
en formation, le front populaire, qu'on Parti et témoigner de leur sympathie
Notre parti vient d'affirmer son una- réaliser l'augmentation du pouvoir
doit fortifier par la discipline et polir aux chefs courageux qui ont la charge
L e s droits
de le guider dans la bonne voie.
nimité
; vous trouverez naturel que d'achat des masses et la mise en ciravec amour.
d e s a n o i e n s oombattants
Les débats furent passionnés, par- meB premières paroles soient pour culation des capitaux.
Unis pour nous défendre, nous conLes droits des anciens combattants
Décidés à résister aux fallacieux
tinuerons cette union pour contribuer fois mouvementés môme, mais tou- rendre hommage au président HerLors du Congrès récent de la Fédération du parli radical-socialiste, à
Quimper, nous avions, en tète de
notre ordre du jour, préconisé :
1° L'unité du parti radical.
2° La lutte à outrance contre le
fascisme.
à bâtir la cité de l'avenir par des
méthodes nouvelles, avec des programmes nouveaux, adaptés à la mentalité du jour et. à l'évolution du
peuple vers des destinées supérieures.
Le mot d'ordre est celui-ci :
Défense républicaine
Action républicaine.
La victoire est au bout de nos
efforts, si nous restons unis.
Du moment que le peuple, le vrai
peuple, s'en mêlera, le mouvement
sera irrésistible et emportera, comme
un phénomène de marée, tous les
complots ourdis contre la République
une et indivisible.
6.
Le Congrès
jours disciplinés et fort dignes. Us
constituèrent, dans leur ensemble, la
plus belle manifestation d'union et (le
discipline dont il est permis à un
parti de s'enorgueillir.
doivent être respectés par la création
de la caisse autonome des pensions
qui permettra de leur assurer les
légitimes restitutions qu'ils réclament.
L e s réformes
e n v i s a g é e s par le P a r t i
Comment n'est-on pas préoccupé
enfin de la situation angoissante où se
débat notre jeunesse ? L'école de la
République lui a enseigné la dignité
du travail. Le travail doit devenir
pour elle une réalité et il est temps
de créer des débouchés à son activité
par le rajeunissement des cadres et la
suppression des cumuls.
Quant au chômage qui n'a cessé de
s'accroître depuis deux ans, il faut
pour le combattre assurer d'abord la
répartition du travail disponible et
ranimer l'économie, notamment par
l'extension des travaux départementaux et communaux. Ainsi sera réalisé
ce droit au travail qui est l'une des
plus justes aspirations de la démocratie.
Fidèles enfin aux principes de solidarité humaine, nous affirmons notre
volonté de resserrer dans tous les
domaines l'union fraternelle de la
métropole et de ses colonies et de
poursuivre l'œuvre de la République,
en assurant aux populations coloniales
plus de bien-être et plus de justice.
Voilà quelques-unes des grandes
réformes qui préoccupent notre parti.
Il est résolu à les réaliser, mais son
action risquerait d'être inefficace si
elle demeurait isolée et ainsi se pose
la question de ses relations avec les
autres partis de gauche.
L'union d e s P a r t i s de gauche
Déjà associés dans la grandiose manifestation populaire du 14 juiUet qui
a ranimé l'enthousiasme chez tous
ceux qui veulent défendre le régime
républicain et les libertés publiques,
ces partis seront invincibles, s'ils
savent s'unir sur un programme commun, en vue d'une action gouvernementale positive. Leur union, possible
dès maintenant, est une précieuse garantie de l'ordre républicain.
Si nous le voulons, le fascisme ne
passera pas, la paix sera rétablie par
la justice et la nation se libérera des
féodalités modernes, comme elle a
jadis abattu celles de l'ancien régime.
Ardemment désireux de rapprocher
la réalité de l'idéal, nous adressons un
pressant appel à tous les -hommes de
bonne volonté qui souhaitent comme
nous l'avènement de la démocratie.
Paix du monde, paix civile, libération
du travail. Si nous savons servir cet
idéal, nous aurons rempli notre devoir envers la France.
au
L e s élections
Bureau Exécutif
Elles ont donné ies résultats suivants : Vice-présidents parlementaires i
MM. Liautey, député de la HauteSaône, 516 voix ; Ducos, député de la
Haute-Garonne, 512; Delhil, sénateur
du Tarn-et-Garonne, 498 ; Lorgeré,
député des Côtes-du-Nord, 490.
Vice-présidents non parlementaires!
MM. Couquet (Seine-et-Oise), 298
voix ; Peytral (Var), 280 ; Dupuis
(Nord), 263 ; Bauzin (Seine), 240 ;
Dreyfus (Haut-Rhin), 222.
Secrétaires parlementaires : MM.
Jean Zay, député du Loiret ; Lallemand, député de la Somme ; Mazé,
député du Finistère ; Mendès-France,.
député de l'Eure.
Secrétaires non parlementaires : MM.
Lévy (Nord) ; Laurens (Seine) ; Coste
(Seine - et - Marne) ; Kraemer - Bach
(Seine).
•
Le Banquet
Le fraternel banquet traditionnel a
réuni prés de 1.200 congressistes
dans la salle des fêtes du Palais de la
Mutualité sous la présidence de M.
Herriot.
A la fin du repas, des discour»
vigoureusement applaudis furent prononcés par MM. Perney, Steeg, Daladier et Herriot.
LB
CITOYEN
lès, d'Àudierne ; M. B o u r d o n , de L e u h a n ;
royale montée sont partis sur les
M. Guillou, d e F o u e s n a n t .
lieux pour se livrer à une enquête.
L ' i m p o r t a n t e q u e s t i o n de l'adhésion au
— Une révolution a éclaté ces jours
— A g e n t do poursuites. — Concours ou- « soutien m u t u e l » est soumise à l'assemFront Populaire ?
vert en n o v e m b r e 1935. Ago : 25 à 30 a n s blée. Une adhésion de principe e s t votée à
derniers en Crête. 35.000 républicains
Front Fasciste ?
nu 1 " janvier 1935. T r a i t e m e n t de d é b u t : l'unanimité. C e p e n d a n t l'adhésion n e d e avaient pris les armes.
11.500 Irancs plus indemnités. Aucun di- viendra définitive q u e l o r s q u e les r é s u l t a t s
Ce
soulèvement
républicain
a
été
L'interpellation
Le front populaire est purement
plôme exigé.
d'un r é f é r e n d u m o r g a n i s é bientôt s e r o n t
toutefois vite réprimé et le calme
d e M . Albert X«e B a i l
défensif.
Elève Météorologiste à l'Office Natio- c o n n u s . U n e nouvelle assemblée g é n é r a l e
On so souvient q u e M. Albert Lo Bail, à nal Météorologique. - Date : 4 d é c e m b r e
Il est la réponse du peuple à la semblerait de nouveau régner dans
a u r a lieu a p r è s les r é s u l t a t s du r e f e r e n d u m .
la
séance d u 1 e r m a r s 1935, lo»-s d e s i n t e r - 1935. Délai d'inscription : 4 n o v e m b r e 1935.
l'Ile.
menace des prétoriens du Comte de
Le môme j o u r , à 14 h e u r e s , le Conseil
Une centaine d'officiers ont été pellations s u r In Marine Marchande, avait Avoir satisfait loi r e c r u t e m e n t . A g e : 21 à
la Rocque.
d ' a d m i n i s t r a t i o n se réunissait e t le b u r e a u
30
a
n
s
au
1
"
janvier
1935.
T
r
a
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t
o
m
e
n
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d
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p
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façon
p
a
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i
c
u
l
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è
r
e
m
e
n
t
viLe front populaire est de consli'u- arrêtés et déportés dans une des îles g o u r e u s e c o n t r e l'inelTicncità d e s m e s u r e s d é b u t 11.500 f r a n c s plus indemnités. Bac- d e l à Mutuelle a n t i t u b e r c u l e u s e a été ainsi
constitué : P r é s i d e n t , M. Le Bihan, direction récente, tandis que les Croix de de la mer Egée.
employées p o u r c o m b a t t r e la l'raude de calauréat ou diplôme équivalent exigé.
— A Belin, dans la Gironde, un l'iode.
feu sont déjà intervenus lors de l'a— R é d a c t e u r et r é d a c t r i c e à l'Adminis- teur d'école, Q u i m p e r ; secrétaire, M. Flatration g é n é r a l e de l'Assistance publique très, i n s t i t u t e u r , Q u i m p e r ; t r é s o r i e r , M.
gression contre la manifestation paci- incendie a détruit, en une heure, la
U disait n o t a m m e n t :
,
à Paris. — Date : 19 février 1936. Délai L é o n G o r a g u o r , d i r e c t e u r d'école p u b l i q u e ,
fiste organisée le 27 novembre 1})31 au fonderie d'une usine et le logement de
Je dirai un dernier mol de la contrebande. d'inscription : 8 février. Candidats m a s c u Plogastel.
Trocadéro sous la présidence de M. neuf familles d'ouvriers.
La différence entre les prix français et1 led l i n s : avoir salifiait loi r e c r u t e m e n t . A g e :
Nota : les sociétaires d e v r o n t d o r é n a Les dégâts atteindraient un mil'ion prix mondiaux rend la contrebande très 20 à 30 ans, plus services militaires actifs.
Herriot. Le Populaire publie à ce sujet
vant a d r e s s e r la c o r r e s p o n d a n c e à M. Le
fructueuse. Aussi, îles quantités
considéra- T r a i t e m e n t d e d é b u t : 14.000 f r a n c s plus
un document sensationnel et des de francs.
indemnités. Licence ou diplôme équivalent Bihan, école J u l e s F e r r y , à Q u i m p e r .
preuves.
— M. Piétri, ministre de la Marine, bles d'iode entrent-elles en France....
Les cotisations recueillies p a r les collecexigé.
Les fabricants
français
se plaignant
de la
Qu'on n'essaie pas de tromper l'opi- a p r é s i d é s a m e d i , à T o u l o n , l a c é r é - baisse considérable des achats, ce qui semble
teurs
c a n t o n a u x seront à a d r e s s e r à M.
— B é d a c t e u r d e s S rvices civils de
nion. Le peuple se défend. Il no veut monie du lancement du croiseur confirmer l'existence d'un marché fraudu- l'Indo-Chino. — Deux c o n c o u r s : 1 " : le Léon G o r a g u e r , école p u b l i q u e , à P l o g a s pas se laisser passer une muselière à « Montcalm ».
leux. Contre lui une seule mesure peut être 23 m a r s 1936. Délai d'inscription : 23 j a n - t o l - S a i n t - G e r m a i n .
la gueule.
— Le Président de la République prise : il faut étendre à l'iode l'application vier 1936. 2° : 3 n o v e m b r e 1936. Clôture d e s
La défense est de droit naturel et a solennellement remis, samedi, la des décrets permettant à la douane de suivre inscriptions : 3 s e p t e m b r e 1936. Avoir satisLob foires d e l a s e m a i n e
douanier, fait loi r e c r u t e m e n t . Ago : 20 à 30 a n s .
instinctif pour les êtres vivants indivi- croix de la Légion d'honneur à l'école les importations sur le territoire
4 n o v e m b r e . — Brest, Brasparts,
Lundi
T r a i t e m e n t de d é b u t : 2.657 piastres 20,
et, le cas échéant, de poursuivre les vendeurs
duels ou collectifs... peuples ou partis. d'Agriculture de Grignon.
plus indemnités. Licence ou diplôme équi- Taulé, Briec, Plozévet.
qui ne pourraient justifier de l'origine des valent exigé.
Mardi 5 — Locronan, La Feuillée, SaintVlan.
— La dépouille du maréchal Lyautey produits mis par eux sur le marché.
— Vériiicateur-Bédacteur stagiaire au T h é g o n n e c .
n i n n i i i i B i i i i i i i i i i i i n t i E i ia i 1111111 i l 11 n i est partie pour le Maroc où, selon sa
Celte mesure est urgente si vous voulez Service d u Contentieux d u Crédit Foncier
Mercredi G. — Daoulas, Châteauneuf duvolonté, le grand soldat doit être défi- sauver de la misère une population inté- de F r a n c e . — Date : 5 d é c e m b r e 1935. F a o u , Huelgoat, P l o u n é o u r - M é n e z , T r é nitivement enterré.
Age : 22 à 35 a n s a u 5 d é c e m b r e 1935. g u n c .
ressante. (
Applaudissements).
Arrivant de Nancy, les cendres du
contre les Ligues
M. Albert Le Bail réclamait le droit de litre libéré obligations militaires. T r a i t e J e u d i 7. — La Roche-Maurice, P o n t maréchal ont été embarquées à Mar- suite. 11 no f u t m a l h e u r e u s e m e n t p a s é c o u t é . m e n t d e base d e s v é r i f i c a t e u r s - r é d a c t e u r s Croix, P o n t - l ' A b b é .
titulaires : 18.000 f r a n c s plus indemnités.
Le cardinal Liénart, évôque de seil à bord du croiseur « Dupleix » Dernièrement, c e p e n d a n t , la d é c o u v e r t e C
Samedi 9. — Morlaix.
o n c o u r s o u v e r t aux licenciés en droit,
d'un
bateau
c
h
a
r
g
é
de
quantités
considéLille, parlant aux militants de la qui a levé l'ancre dimanche pour le
avoués, notaires, clercs d e n o t a i r e s et
rables d'iode m o n t r a i t bien qu'il avait eu d'avoués, a g e n t s e t a n c i e n s a g e n t s d e l'enFédération nationale catholique, réu- Maroc.
Xiisoi et F a i t e s lire l e
nis l'autre jour pour leur assemblée
Des navires britanniques ont escorté raison et q u e les m e s u r e s préconisées p a r r e g i s t r e m e n t .
annuelle à Lille, a voulu marquer la le bâtiment français qui a été égale- lui étaient nécessaires.
— O p é r a t e u r radio-électricien stagiaire
A la suite d e la d é c o u v e r t e de ces f r a u - au Service de la Navigation a é r i e n n e . —
situation particulière de l'action catho- ment salué, en cours de route, par
des, M. Albert Le Bail, avec s e s collègues Date : 17 février 1936. Délai d'inscription :
lique à l'égard des ligues. Il a dit
des vaisseaux de guerre italiens et es- MM. P e r r o t , Cadoret e t P o u c h u s , avait 15 j a n v i e r . Age : 21 à 30 a n s plus services
— L'église, fidèle à sa doctrine, ne pagnols.
multiplié les d é m a r c h e s é n e r g i q u e s p o u r a n t é r i e u r s admissibles p o u r la retraite,
voit pas sans inquiétude les inconvéTraitement de base : 11 Ooo f r a n c s plus in
j
— M. Fabry, ministre de la guerre, o b t e n i r satisfaction.
nients que les faits ont montré et dont a inauguré dimanche, à Tarbes, le
M. Albert Le Bail avait, p a r ailleurs, d e m n i t é s . Aucun diplôme exigé. Concours
P o o r let o h a u I U g * ossa trai, r i s o n'a at
vous sentez toute la gravité. L ' a u t o - monument élevé à la mémoire du déposé u n e interpellation q u i devait être o u \ e 't p o u r 51 places.
ansai propre, a n a s ! s i m p l e , a u s s i pra
B
é
d
a
c
t
e
u
r
e
t
Bédactrice
à
la
P
r
é
f
e
c
discutée à la r e n t r é e d u p a r l e m e n t s u r les
rité d e l'Etat appartient a u maréchal Foch.
tiqne, q u e la G A Z .
m e s u r e s q u e le G o u v e r n e m e n t comptait t u r e d e l ' E u i e . — Date : 26 n o v e m b r e 1935.
gouvernement. E n s e substiE t u d e s at d e v i s gratuits par l a S o — L'avance italienne se poursuit en p r e n d r e p o u r sauver d e la misère les goi!- Délai d'inscription : 5 n o v e m b r e . A g e : oiété
L E B O N Se O1*.
tuant à lui s o u s prétexte qu'il
18
ù
30
a
n
s
plus
services
a
n
t
é
r
i
e
u
r
s
.
CanAbyssinie.
moniers
de
n
o
s
côtes.
• s t faible, l e s c i t o y e n s r i s
didats masculins doive t avoir satisfait loi
On parlait beaucoup ces jours derNos d é p u t é s viennent d'avoir satisfaction r e c r u t e m e n t . T r a i t e m e n t de d é b u t : 12.000
quent d e l'affaiblir d a v a n t a g e .
niers de propositions de paix qui et leurs efforts constants o n t é t é c o u r o n - f r a n c s plus indemnités. Baccalauréat ou
A V I S
Un prélat courageux !
auraient été faites par l'Italie, mais il nés de succès.
B. S. ou oiplôme équivalent exigé.
Cette déclaration loyale de ImmiNoua prions l e s personnes susoepti
semblerait se confirmer que ces bruits
— Commis de la T r é s o r e r i e dè l'Indonent prélat, conforme aux préceptes
L o droit d e suite
Chine. — Date d u 30 janvier Î936. Délai b l e s d e publier d a n s L E C I T O Y E N
n'étaient malheureusement pas fondés.
de l'Evangile, lui vaut les attaques
vient d'être a c c o r d é
d e s i n s e r t i o n s ou d e s oommunioati a n s
d'inscription : 30 n o v e m b r e 1935. Avoir sa
Quant à la tension anglo-italienne,
des journalistes de droite qui, pour
MM. Albert Le Bail, P e r r o t , C a d o r e t e t tisfait loi r e c r u t e m e n t . Age : 21 à 30 a n s d e vouloir b i e n n o u s l e s a d r e s s e r po
tout fait supposer qu'elle se trouve en
plus services militaires actifs. T r a i t e m e n t l e mardi a p r à s - m i d i a n p i n s tard.
un peu, le traiteraient de franc-ma<('on.
bonue voie d'apaisement. Les Italiens P o u c h u s viennent de recevoir, de M. M a r - de base : 10.500 f r a n c s plus 7/10- et i n d e m P a s s é e t d é l a i il n o n s aat i m p o s s i ' La religion ne semble plus que
viennent, en effet, de retirer une des cel Bégoier, la lettre suivante :
nités. Baccalauréat o u B. E. o u B. E. P. S b l e d e i a i r e l a publioation d a n s l e
l'arrière boutique du fascisme.
Monsieur le Député,
ex'gé.
trois divisions qu'ils avaient massées
numéro d e l a s e m a i n e .
N'est-ce pas dans le Finistère que à la frontière égyptienne tandis que
Vous avez bien voulu appeler d'une façon
R e n s e i g n e m e n t s f o u r n i s p a r 1'« Orienta
toute
spéciale
mon
attention
sur
la
question
les prêtres réunissaient en 24 heures les Anglais ont décidé le retrait de la
ion Professionnelle », revu« mensuelle
30.000, 40.000 et même 50.000 hom- Méditerranée de deux ou trois unités du droit de suite sur l'iode cl les iodures. . b o u u e m e n t : 15 f r a n c s p a r a n .
J'ai l'honneur de vous informer que patLes p e r s o n n e s q u i d é s i r e n t d e s rensei
mes pour combattre la laïcité et navales.
décret en date du 15 octobre, publié au s'nements s u r l'un dos emplois o u conconr>
Lequel a commencé ?
reni ri
r
m Fi
lers
Le cardinal Liénart
w w l e Citoyen
Chuiage Central au Saz
QÜIMPER
menaçaient
d'aller
jusqu'au
s a n g pour défendre leurs croyances ?
La première ligue, celle des prêtres
du Courrier du Finistère, a devancé
les ligues fascistes actuelles, y compris
celle du colonel de la Rocque.
Elections Législatives
J o u r n a l Olliciel du 7>V, l'iode et les iodures,
qui figurent au tarif des douanes sous les
05',, 05C>, 057, 05H, 0192 et Ex 0194,
sont soumis aux dispositions de l'art. 492pis
des lois de douane codifiées.
Celle mesure répond, et j'en suis
heureux,
aux préoccupations
dont vous avez bien
voulu me faire pari ù plusieurs
reprises.
Veuillez agréer, Monsieur le Député, l'assurance de ma haute
considération.
Au scrutin de ballottage qui a eu
litu
dans l'arrondissement de Segré
cniiruitriiri 111111 m il 111111111111111 ri
(Maine-et-Loire)
M. Blanchouin, républicain indépendant, a été élu par 5.163 voix,
Il f a u t e s p é r e r q u e , g n \ c e a u travail de
Est-il vrai que le ministre Fabry contre 4.470 à M. de lourdan, U.R. D.,
et
2.482
à
M.
Forget,
candidat
agraire.
nos
d é p u t é s , la d é s a s t r e u s e c a m p a g n e goflait, dans une circulaire confidentielle,
monière de cette a n n é e no se r e p r o d u i r a
Il
s'agissait
de
remplacer
M.
D'Auordonné aux généraux de corps d'ar
plus e t q u e les goCmoniers, dont le métier
mée de rayer du tableau d'avancement digné, conservateur, décédé.
est si dur, p o u r r o n t t o u c h e r la j u s t e r é m u les officiers et sous-ofliciers soupçonnération de leurs efforts.
nés de relations avec les part : s
Une élection législative a eu lieu,
d'extrême-gauche ?
dimanche, dans l'arrondissement de
Ce serait l'épuration de l'armée.
Compiègne (Oise), pour pourvoir au
Qu'entend-on par partis d'extrême- remplacement du marquis de l'Aigle,
gauche ?
républicain de gauche, décédé.
Où est la limite ?
Ont obtenu :
. Pourquoi excepter de la mesure M. de Grammont, U. R. D., 8.553 voix
MM. P e r r o t . A. Lo Biil, C a d o r e t . Mazé
les officiers fascistes qui rêvent de M. Mollenne, rad.-social., 5.337 — et P o u c h u s , o n t reçu la lettre suivante de
réaction blanche et du chambarde- M. de Rothschild, r. de g., 3.550 — M. Cathula, Ministre de l'Agriculture :
ment du régime ?
Paris le 19 o c t o b r e 1935.
M. Cahn, socialiste,
1.673 —
Autrefois, on reprochait injustement M. Lamarche, communiste, 1.530 —
Monsieur le Député et c h e r Collègue, u
au général André, sous le ministère
Vous avez bien voulu a p p e l e r mon attenIl y a ballottage.
tion s u r la situation d e s a d h é r e n t s de p l u Combes, le système des fiches.
sieurs syndicats agricoles de votre r é g i o #
Ce serait pire aujourd'hui.
qui n'ont p a s e n c o r e p e r ç u les p r i m e s de
Si le fait est vrai, il faut mettre
d é n a t u r a t i o n q u i leur sont d u e s .
ordre à cela et faire rapporter cet
J'ai l ' h o n n e u r de vous faire connaître
édit de proscription contre les offiqu'il a é t é a c c o r d é d e s a u t o r i s a t i o n s d e
ciers républicains.
N. L.
d é n a t u r a t i o n d e blé aux g r o u p e m e n t s
C'est intolérable
.¡-dessus on s u r a n e x a m e n q u e l c o n q u e
meuvent s ' a d r e s s e r d e n o t r e p a r t à M. Hon
leville, direct.enr-gérant d e « L'Orientatioi
Professionnelle », 108, r u e E r l a n g e r , Parii
16'), q u i leur r é p o n d r a à titre a b s o l u m e n
rracieux.
J o i n d r e n n t i m b r e de 0 f r . 50 e t ne pa;
mblier de mejitionnor : e n a o a l i t é d e lec
•nr d n « Oitovoo », 7. r n e E l i e - F r é r o n .
riiiiiimiiiiiiimiiiimiiiiiiiiiimiii
PASSEZ
Journal le
A
VOTRE
Citoyen
VOS AMIS
lllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll
Le Paieront des Primes
pour la Denaturatimi des Nés
•BMUlIIfllEI IIIBIUI I B I I f l l l l I l l l l I I II IIIIII
Miettes
de la
Semaine
. — L'Ile de Cuba a été encore balayée par un cyclone. On signale un
mort et plusieurs blessés. Les cultures ont subi des dommages importants.
DICTIONNAIRES
LAROUSSE
— Le Conseil des Ministres, dans
les m e i l l e u r s
une récente réunion, a adopté plules moins c h e r s
sieurs décrets dont trois réglementent
facilitant le travail de
le trafic et la détention des armps, et,
l'enfant et le rendent
plus profitable.
renforcent les mesures propres à
maintenir l'ordre et à défendre le
DICTIONNAIRES FRANÇAIS
ïouto lu langue francise, tous
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L'effectif de la garde mobile a été,
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d'autre ' part, porté do 15 à 20.000
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— Le paquebot « Normuidio » a
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reçu le trophée emblématique du
DE LANGUES ÉTRANGÈRES
« ruban bleu » pour son record de
plus complets «t'plus pratiqués
que les ouvrages similaires de
vitesse de la traversée de l'Atlantique.
môme prix : Anglais, Allemand,
Rappelons que le temps record de
Espagnol, Italien, Chacun, 80 fr.
la « Normandie » est de 4 jours 11
sw"Vm*
m
heures 46 minutes, et que ce trophée
à
1«
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e-Fréroi
était précédemment détenu par le
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navire allemand « Rex ».
— On a découvert au Canada, dans
une région du Nouveau-Brunswick,
Vont ne trouverez pat le Citoyen
les débris d'un vieil aéroplane qu'on
croit être celui à bord duquel Nun- chez tout let dépotitairet de journaux
gesser et Coli tentèrent, en 1927, la du. département, mail vout le trouverez
tûrement chez vout en vout abonnant.
traversée de l'Océan Atlantique.
Peux agents canadiens de la police
Voir bulletin d'abonnement en 4'pago).
agricoles d u Finistère p o u r 93.700 q u i n t a u x
c o r r e s p o n d a n t à 3.774 000 f r .
S u r celte s o m m e , il a déjà é t é effectué
par m e s services l ' o r d o n n a n c e m e n t d e
2.670.000 fr. et 1e solde e s t a c t u e l l e m e n t en
cours d e vérification.
Un g r a n d n o m b r e d ' a u t o r i s a t i o n s d o n n e n t , en effet, lieu à un é c h a n g e de c o r r e s p o n d a n c e s avec les Coopératives p o u r
des r é g u l a r i s a t i o n s diverses (indication d u
c o m p t e à créditer — pouvoirs du présid e n t — signatures) et d ' a u t r e p a r t avec
l'Administration d e s C o n t r i b u l i o n s Indirectes (signature d u c o n t r ô l e u r — p r o c è s v e r b a u x partiels, etc.)
Réceptions
M. Albert Le Bail, d é p u t é , recevra :
1« Le j e u d i 7 n o v e m b r e , Café d u Comm e r c e à Pont-l'Abbé, de 9 h e u r e s à 12
heures.
2® Le lundi U n o v e m b r e , à Plozévet, de
8 h . 30 à 9 h . 30.
A n Conseil Général
La session o r d i n a i r e d u Conseil Général,
qui devait c o m m e n c e r le 4 n o v e m b r e ,
serait r e m i s e à u n e date u l t é r i e u r e , p r o b a b l e m e n t le 12 n o v e m b r e .
A
l a M u t u e l l e antituberculeuse de l'Enseignement
primaire.
Une i m p o r t a n t e assemblée g é n é r a l e de
la Mutuelle a n t i t u b e r c u l e u s e d e l'E. P . s'est
t e n u e j e u d i dernior à 11 h e u r e s , à l'école
J u l e s F e r r y , à Q u i m p o r , s o u s la p r é s i d e n c e
du d i r e c t e u r de cette école, M. Le Bihan.
Avant d ' a b o r d e r le c o m p t e r e n d u moral
Il en résulte dans les p a i e m e n t s c e r t a i n s et financier, le p r é s i d e n t , a u n o m de la
délais q u e j e m'attache, dans t o u t e la société, a d r e s s e u n h o m m a g e é m u a u x
m e s u r e possible, à r é d u i r e a u m i n i m u m .
m e m b r e s d i s p a r u s cette a n n é e . La m o r t a
Veuillez a g r é e r , etc...
atteint a u c o u r s du 2 ' t r i m e s t r e u n d e s
m e m b r e s f o n d a t e u r s do la Mutuelle, M. Lotellier, d i r e c t e u r d'école à Plogastel, q u i
exerçait d e p u i s 1921 les a b s o r b a n t e s fonctions de t r é s o r i e r , tâche à laquelle il
Aiitirer-voua un Placement »Or, un placement qui
a p p o r t a i t u n e conscience et u n d é v o u e m e n t
rappoi te, (Jn votre argent, en faisant économiquement
produire à Votre terre, h votre domaine, lo maximum.
;sans limites. Avec la disparition de M.
Suive/. Ici conseils do
Cazeaux e n 1934, la société p e r d d e u x
VIE A CAMPAGNE
m e m b r e s q u i f u r e n t les f o n d a t e u r s d e cette
belle œ u v r e d e solidarité.
I.e revu« pratique avant tout
par le Tojte et paf l'Imajje.
Le président d o n n e lecture d u c o m p t e
r e n d u moral, q u i a t t e s t e la situation p r o s p è r e de la Mutuelle, q u i c o m p r e n d plus de
2.000 m e m b r e s .
seulement
L'assemblée p r o c è d e ensuite à l'élection
E t P t n f M M « 5 e t MO f r a n c «
d ' u n e partie d u Conseil d ' a d m i n l s t r a t i o n i
Voue reeevree ta numéros mensuel«, véritables sources
Sont élus : M. Le Bihan, d i r e c t e u r à Quim-'
de revenu« et de plaisirs, Chacun d'eux comporte,
6tl effet, 41 fi 8* pane» illustrée« de 150 gravures,
per ; Mme Briec, directrice à P e u m e r l t ;
traitant avoc tout le détail pratique utile 100 sujet«
M. Léon G o r a g u e r , d i r e c t e u r ô Plogastel ;
d'actualité : Élevai» do petit et gros bétail, Culture
do rapport, Horticulture, Jardinage, Architecture,
Mme R a n n o u , institutrice ; M. F l a t r è s (
monoifriphle do beaux domaine« et d'exploitation!
rurales do rapport, eto,
instituteur.
Découpe* cette annonce et tdrettaz.lo, avec la somme
La commission d ' a p u r e m e n t des c o m p t e s
correspondante, à M. Albert MAUMRNB, Hbralrf»
HicietW, n , boulevird Salnt-Germaln, Pirii (««),
est ensuite formée. Elle est ainsi c o m p o rte) Mme Rivière, d e Plogaotol ; M. B o u f
1res
Conseil Muaio'pal. — Le Conseil m u nicipal s'est r é u n i hier soir, m e r c r e d i , à
l'effet d e d é l i b é r e r s u r différentes affaires
Nous d o n n e r o n s , d a n s n o t r e p r o c h a i n
n u m é r o , u n r é s u m é d e s principales q u e s tions qu'il a étudiées.
Arrestation. — Louis Mailli V24ans, f r è r e
des n o m a d e s q u i f u r e n t a r r ê t é s à V a n n e s
et s ' é v a d è r e n t d e s mains d e s g e n d a r m e s
vient d'être arrûté à la caserne d u 137e, où
il fait s o n service. Louis Maillié serait
complice d u vol d u c o f f r e - t o r t de D o u a r nenez.
K3VLAZUR
Huila pour autos
VINDUI BIDON PaOU
r.tM
Penhars
Pendu.
Jean-Louis L e L a y , 52 a n s ,
d u Merdy, en P e n h a r s , a é t é t r o u v é p e n d u . la s e m a i n e d e r n i è r e , à la b r a n c h e d ' u n
arbre, à une cinquantaine de mètres de
son domicile.
La g e n d a r m e r i e , p r é v e n u e , a fait les
constatations d'usage.
J e a n - L o u i s Le Lay était le p è r e d e la
m a l h e u r e u s e q u i , le 16 s e p t e m b r e 1934;
a s s o m m a à c o u p s d e bouteille, p o u r la
voler, la veuve A u d r a i n , d é b i t a n t e s u r le
chemin d u h a l a ç e , e t qni, a u x assises d ' a vril 1935, l u t c o n d a m n é e à 8 a n s d e r é c l u sion.
Son p è r e , p r o f o n d é m e n t affecté p a r c e s
tristes é v é n e m e n t s , n'avait p u s u r m o n t e r
son c h a g r i n e t s o n suicide e n e s t l'évidente p r e u v e .
Collision entre Cars. — U n e g r a v e
collision s'est p r o d u i t e , la s e m a i n e d e r nière, a u P o n t i g o u , e n t r e u n c a r Satos
qui r e n t r a i t à Q u i m p e r , et u n e v o i t u r e
a p p a r t e n a n t à M. L'Helgoualch q u i venait
de q u i t t e r Q u i m p e r .
Le choc f u t t r è s violent e t le c a r d e M.
L'Helgoualch f u t p r o j e t é c o n t r e la m a i s o n
de M. Bonizec.
Les d é g â t s s o n t i m p o r t a n t s . De p l u s d e u x
p e r s o n n e s o n t é t é blessées.
Ergué- Armel
Aeoident mortel. — Un terrible accid e n t , q u i causa la m o r t d'un brave o u v r i e r
p è r e d e famille, s'est p r o d u i t s a m e d i , v e r s
9 heures, au dépôt des poteaux électriques
en c i m e n t a r m é d e la c o m p a g n i e L e b o n ,
route de Rosporden, en Ergué-Armel.
U n e é q u i p e d'électriciens d e la c o m p a gnie Lebon é t i i t o c c u p é e à c h a r g e r d e
l o u r d s p o t e a u x s u r u n diable, l o r s q u e p a r
suite d e la r u p t u r e d ' u n e c h a î n e u n p o t e a u
t o m b a b r u s q u e m e n t a t t e i g n a n t le chef d'éq u i p e Le Brun à la tête. T r a n s p o r t é a u s sitôt à l'hôpital d e Q u i m p e r le chef d ' é q u i pe devait y d é c é d e r à 13 h e u r e s .
J a c q u e s Le B r u n était n n excellent
ouvrier ; il était n é à P e u m e r i t e n 1903 e t
habitait Loc-Maria avec sa f e m m e e t s e s
4 e n f a n t s , deux fillettes e t d e u x g a r ç o n s .
N o u s p r é s e n t o n s à sa veuve et à t o u t e s a
famille n o s sincères c o n d o l é a n c e s .
Ergué-Gabéric
X » i n . — Un incendie s'est d é c l a r é ,
d i m a n c h e soir, vers 20 h e u r e s a u m o u l i n
de P o n t - a r - M a r c h a d .
Le f e u , q u i prit naissance d a n s u n e
g r a n g e a t t e n a n t à la maison d ' h a b i t a t i o n ,
put être maîtrisé à t e m p s , gr&ce à la
promptitude des secours.
L'habitation n ' e u t d o n c p a s à s o u f f r i r ,
mais les d é g â t s f u r e n t n é a n m o i n s assez
importants.
Concarneau
Bateau ineendié. — Le b a t e a u s a r dinier c o n c a r n o i s « C o u r s ta c h a n c e •> a
été d é t r u i t p a r u n incendie à P o r t - M « n e c h .
Les p e r t e s s'élèvent à 35.000 f r a n c s . Elles
ne s o n t m a l h e u r e u s e m e n t p a s c o u v e r t e s
par a u c u n e a s s u r a n c e .
Réunion de Retraité«. — L'Association
des Olliciers-Mariniers, Quartiers-maîtres
Marins e n r e t r a i t e e t veuves, se r é u n i r a
d i m a n c h e 3 n o v e m b r e , à 10 h e u r e s , à la
mairie, salle habituelle, a u 1 " é t a g e .
P r é s e n c e indispensable.
Tombé d'un toit. - M. Le Gars, 25 a n s ,
c o u v r e u r , travaillait l u n d i aDrès-midi, s u r
le toit d ' u n i m m e u b l e e n c o n s t r u c t i o n , e n
face do la p o s t e .
P a r suite d ' u n faux p a s , il glissâ. Il
réussit d ' a b o r d à R'accrocher à u n e échelle
Au Théâtre. — Une bonne soirée. — On
dressée c o n t r e la maison, mais d u t l â c h e r
nous a n n o n c e q u e les t o u r n é e s R o g e r
prise p o u r aller t o m b e r s u r le m u r b o r d a n t
Lacoste d o n n e r o n t u n e r e p r é s e n t a t i o n de
le c h a n t i e r .
gala le 13 n o v e m b r e , a u T h é â t r e municipal
On lui p o r t a s e c o u r s i m m é d i a t e m e n t .
avec leur nouveau spectacle : « Le D a n s e u r
Son état ne p a r a i t p a s p r é s e n t e r d e
du Casino », o p é r e t t e de R o g e r Lacoste p o u r
gravité.
ie livret, J. e t R. Dauven p o u r les lyres
et m u s i q u e d u c o m p o s i t e u r R o g e r Dumas,
l ' a u t e u r de t a n t de succès d ' o p é r e t t e s
Chevalier du Mérite maritime. - N o u s
modernes. En tête d ' u n e brillante distribu- avons a p p r i s avec plaisir la n o m i n a t i o n a u
tion, n o u s relevons le n o m d u fantaisiste g r a d e d e Chevalier d u Mérite m a r i t i m e
R o g e r Lacoste, le d a n s e u r bien c o n n u , du de M. Isidore J é g o u , d e S t - G u é n o l é célèbre a r t i s t e d ' o p é r e t t e s J a c q u e s Vitry P e n m a r c h .
l'inoubliable Danilo d e la Veuve J o y e u s e
Le 3 j a n v i e r 1935, il lui avait é t é d é c e r n é
la délicieuse Maud Broquin et l'hilarant la médaille d ' h o n n e u r d e s m a r i n s d u C o m c o m i q u e Noël Lara d u Palais Royal q u i m e r c e .
r e m p o r t a l'an d e r n i e r u n véritable t r i o m M. J é g o u f u t le p r e m i e r p r é s i d e n t d u
phe d a n s la création d u Bijou d e l ' o p é r e t t e
Syndicat d e s Inscrits m a r i t i m e s de St-Guê*
« C'est Mariette ». L ' i n t e r p r é t a t i o n est
n o ' é . P r é s i d e n t d e la Coopérative d e S t c o m p l é t é e p a r Marthe Martylle, Lithobs,
Guéuolé p e n d a n t trois a n s e t m e m b r e d u
Steville, Maguy Valton ; les 8 Beautés
Conseil d ' a d m i n i s t r a t i o n d e la Caisse locale
Parisiennes e t l ' o r c h e s t r e jazz d u casino
du Crédit m a r i t i m e d u Guilvinec, s e s avil
dirigé avec b r i o p a r le j e u n e m a e s t r o
sont t o u j o u r s a p p r é c i é s .
S o u l o d r e , etc... etc...
De plus, il faut s i g n a l e r à l'actif d e M.
J é g o u , q u e n o u s félicitons v i v e m e n t ,
E t a t - C i v i l du BU an 8 0 o c t o b r e
plusieurs actes d e c o u r a g e q u i lui o n t
1 9 3 B . — Naissances : Annick Paul, 6, r u e
valu d e s r é c o m p e n s e s ofllcielles.
F e u n t e u n i c - a r - L e z ; Liliane Harel, 4, r u e
I
du P a r c ; M a r i e - T h é r è s e Le Berre, allées
de Locmaria ; A n d r é Cavellec 24, r u e d e
M é r i t a m a r i t i m e . — M. A m b r o i s e Garo,
la P r o v i d e n c e ; Daniel Duriez, 31, r u e
p a t r o n - p ê c h e u r , vient d ' ê t r e n o m m é OffiAristide-Briand.
cier d u Mérite m a r i t i m e .
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de Mariages : Léon Petipa,
M. A m b r o i s e G a r o r é u n i t plus d e 49 a n s
c a p o r a l musicien, d o m . à Q u i m p e r , e t Marie
de navigation à la p ê c h e e t , m a l g r é s o n
Quintín, d o m . à P e n h a r s ; Marcel Charleys,
âge, il exerce t o u j o u r s le d u r m é t i e r d e
employé de b a n q u e , d o m . à Malo-les-Bains,
pôcheur.
et Yvonne W y b o u w , d o m . à Q u i m p e r ¡
Ayant c o m m e n c é à n a v i g u e r à dix a n s ,
P i e r r e Le Hétet, a g e n t c o m m e r c i a l , d o m .
il devint p a t r o n à 18 ans. E n 1897, il c r é a
à Q u i m p e r , e t Marcelle Delaunay, d o m . à
u n syndicat p r o f e s s i o n n e l d e m a r i n s . La
Brest.
p r é s i d e n c e lui f a t a l o r s confiée e t il e s t
Décès: Guy Glévéau, 5 mois, 21, r u e d e
t o u j o u r s r e s t é lldile à l'idée syndicale.
P o n t - l ' A b b é ; Louis Allier, 46 ans, c h i r u r M. A m b r o i s e Garo est, d e plus, u n d e s
g i e n - d e n t i s t e , 1, r u e Keréon ; Marie-Jeanne
a d m i n i s t r a t e u r s d e la « P r é v o y a n t e » d u
J o n c o u r , é p o u s e Le R e u n , 67 ans, 78, q u a i
Guilvinec, et m e m b r e d u Conseil d'admi«
de l'Odet ; R e n é e P a l u t , 20 a n s , r u e d e
n i s t r a t i o n d e la Caisse r é g i o n a l e du Crédit
l ' A r g o n n e ; Marie Morvan, 76 ans, 50, r u e
maritime.
Keréon ; Anna Aminot, 1 mois, r u e F r o i d e ;
II i u t t o u j o u r s à la téte d u mouvement'
Marie T a b o u r e t , v e u r e H é m e r y , 71 a n s ,
p o u r d é f e n d r e les intérêts d e s p é c h e u r s
15, P l a c e - a u - B e u r r e ; J a c q u e s Le B r u n ,
et l'un d e s p r e m i e r s a d h é r e n t s p o u r là
m o n t e u r électricien, é p o u x B e r n a r d , 31
constitution d e la Coopérative de» patrons*
ans« r u e de l'tíospice ; A n n e Horellou,
p ê c h e u r s de Guilvinec d o n t il e s t le p r é s i v e u r e Le Cornee, 85 ans, 7, r u e Keréon :
d e n t d e p u i s 1925.
E t i e n n e Le Page, veut Coroller, 75 a n s (
Nous lui a d r e s s o n s , p o u r cette décor&tiofl
ancien t a n n e u r , r u e d e l'Hospice ¡ J a c q u e s
Cozien, é p o u x P é r o n , 37 a n s , r u e de bien méritée, nos plus sincères félicitations!
l'Ilospice.
Penmarch
Guilvinec
•
——
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T. l i t I t o h a U « « ,
6, place d e la Liberté, A u d i e r n e . Tout lu
M el faites lire le « citoyen »jours [jeudi excepté),
_r
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nièro, MM. P i e r r e Nédélec et Paul J e a n ,
du village do K e r m e r r i e n , p a r t a i e n t à la
Q n i m p e r l é (tél. 1-53).
A u d l e r n e (tél. 61).
G o a o a r n e a n (tél. 24).
D o u a r n e n e z (tél. 1-71).
Douarnenez
O h a < * n o H a l l * . — M. Guillaume D a r c h e n , 74 ans, était o c c u p é , s a m e d i soir, à
la r é p a r a t i o n d ' u n e d e s p o r t e s de l'établiss e m e n t P a u l P a u l e t , o ù il était e m p l o y é
comme manœuvre.
Monté s u r u n e échelle, il p e r d i t l'équilib r e et t o m b a s u r le d o s d ' u n e faible h a u t e u r , mais r e s t a inanimé s u r le sol. On
s ' e m p r e s s a do lui a p p o r t e r les p r e m i e r s
soins e t d ' a p p e l e r u n d o c t e u r q u i le lit
t r a n s p o r t e r à s o n domicile o ù il ne t a r d a
pas à expirer.
Le p a u v r e vieillard s'était (ait u n e f r a c t u r e à la base d u c r â n e .
Tréboul
•
'M
A « O é M t l l M u a l o i p a l . — Voici u n
r é s u m é succinct d e s d é l i b é r a t i o n s de la
d e r n i è r e r é u n i o n d u Conseil municipal,
q u i s'est t e n u e s o u s la p r é s i d e n c e de M.
Gonidec, m a i r e .
— Le maire fait tout d ' a b o r d r e m a r q u e r
q u e le prix de l'eau a u x c o n s t r u c t e u r s de
m a ç o n n e r i e e s t t r o p élevé. Il d e m a n d e en
c o n s é q u e n c e q n e ce prix soit d i m i n u é de
moitié c ' e s t - à - d i r e r a m e n é à 4 f r a n c s a u
lieu d e 8 f r a n c s p a r m è t r e c u b e d e construction. Adopté à l'unanimité.
— U n e d e m a n d e d'installation de l a m p e
é l e c t r i q u e r u e d u Cimetière est mise à
l'étude.
— Le Conseil vote u n crédit d e 1.300 f r
(frais compris) p o u r l'achat d ' u n petit
t e r r a i n a p p a r t e n a n t à Mme Couic.
— U n e Société ayant d e m a n d é à installer
d e s b a n c s publicitaires g r a t u i t s à T r é b o u l ,
l e Conseil a c c e p t e . Huit b a n c s s e r o n t i n s tallés d a n s les e n d r o i t s les mieux a p p r o priés.
— Le r é s e a u d e l'Etat fait c o n n a î t r e qu'il
serait disposé à p a s s e r la c o u r d e s voyag e u r s d e la gaire à la c o m m u n e de T r é b o u l
s o u s c e r t a i n e s conditions : b i t u m a g e ,
entretien, etc...
La c o m m u n e recevrait é g a l e m e n t de ce
r é s e a u u n certain n o m b r e d e m è t r e s c a r r é s
de t e r r a i n p e r m e t t a n t l ' é l a r g i s s e m e n t d e s
r o u t e s p r è s de la g a r e .
A d o p t é en principe.
— En ce q u i c o n c e r n e l ' a b a t a g e du bétail,
le Conseil r e m a r q u e q u ' a u c u n b o u c h e r ne
paie les taxes p r é v u e s p a r la circulaire d u
1 " j a n v i e r 1927, soit 8 fr. p o u r les b œ u f s ,
4 f r . p o u r les v a c h e s e t 1 f r . 50 p o u r les
veaux, ce q u i cause u n p r é j u d i c e a p p r é
ciable à la c o m m u n e .
Le Conseil p r o j e t t e la création d ' u n
a b a t t o i r municipal. U n e p r o c h a i n e r é u nion décidera d e l ' a p p r o b a t i o n d u devis et
d e l ' e m p l a c e m e n t de ce service.
Plouhinec
chasse.
Le f r è r e d e Nédélec prit le fusil q u i était
c h a r g é , l o r s q u o s o u d a i n e m e n t le c o u p
p a r t i t , a t t e i g n a n t M. P i e r r e Nédélec d a n s
la r é g i o n d u c œ u r .
La m o r t f u t i n s t a n t a n é e .
Saint-Pol-de-Léon
U n a p p a r e i l à g a z o x p l o s e . — M. Le
Bihan, f e r b l a n t i e r , r u e Rozière, était occupé, lundi matin, à r é p a r e r u n appareil à
gaz, lorsquo, s o u d a i n , celui-ci explosa,
lançant d e s l l a m m e s j u s q u ' a u plafond.
11 en résulta u n c o m m e n c e m e n t d'incendie q u i causa do sérieux dégiUs.
M. Le Bihan f u t b r û l é à la figure en voulaut é t e i n d r e le f e u .
Botshorel
S a i o i d a . — François Garion, 59 a n s ,
p e n s i o n n é do g u e r r e , a misfinà ses j o u r s
par pendaison. Garion s'adonnait j o u r n e l lement à la boisbon.
C h u t a g r a v e . — M Pierre Le Gall,
40 ans, cultivateur à Lestrivignon, a fait
u n e chute d e bicyclette, j e u d i , en r e v e n a n t
de la foire de Borven.
Il t o m b a si m a l e n c o n t r e u s e m e n t qu'il se
blessa g r i è v e m e n t à la lôte.
Relevé d a n s le c o m a , on le t r a n s p o r t a
i m m é d i a t e m e n t à son domicile.
Son état s'est u n p e u amélioré.
Plourin-Ploudalmézeau
I n o a n d i e . — Un i n c e n d i e , q u i s'est
déclaré, v e n d r e d i à 12 h . 30, a d é t r u i t p l u sieurs m e u l e s d e f o u r r a g e a u village de
Gouézou.
Lo sinistré, M. T o u m e l l e c , a subi u n
p r é j u d i c e d e 7 à 8.000 f r a n c s partiellement
couvert p a r u n e a s s u r a n c e .
Sibiril
U n jaune conscrit • • ta« à Stannaa.
Un j e u n e soldat, Paul P o r c h e t , 20 a n s ,
cultivateur chez ses p a r e n t s , à Sibiril, q u i
avait été i n c o r p o r é à la c a s e r n e du Coloin
b i e r , à R e u n e s . e n a v a i t e o n ç u un vif chagrin
A p r è s avoir d ' a b o r d t e n t é d e p r e n d r e la
fuite. Paul P o r c h e t s'est j e t é d ' u n e f e n ê t r e
du b â t i m e n t , située au p r e m i e r étng.*, à
u n e h a u t e u r de six m è t r e s . Le m a l h e u r e u x
vint s ' é c r a s e r s u r le sol. Quand ori a c c o u rut, le jiîune h o m m e avait cessé d e vivre.
La m o r t avait é t é i n s t a n t a n é e .
»
Locronan
O r a v * « o o i d a a t . — M. Yves Hénaff,
72 a n s , m e n u i s i e r a u b o u r g , a é t é victime
d ' u n accident, ces j o u r s d e r n i e r s , en r e n t r a n t d e s o n travail.
Au b a s d e la côte d u Vennec, à proximité
de L o c r o n a n , il f u t , e n effet, v i o l e m m e n t
h e u r t é p a r u n cycliste e t t o m b a s u r le d o s
s u r la r o u t e , se blessant 6 la têtu.
Son é t a t q u i n e s e m b l a i t pas tout d ' a b o r d
i n q u i é t a n t s'est p a r t i c u l i è r e m e n t a g g r a v é .
Saint-Coulitz
V a • a l t i v a t a u r a o j r * . — La g e n d a r m e
rie d e Châteaulin, p r é v e n u e q u e M. R e n é
Qulllien, 67 a n s , cultivateur à Kergaliou,
n ' a v a i t p a s r e p a r u à s o n domicile d e p u i s
Je 18 o c t o b r e , j o u r de la foire 8 t - L u c , à
C h â t e a u l i n , fit e n t r e p r e n d r e d e s r e c h e r ches* Celles-ci o n t a b o u t i , s a m e d i , à la
découverte du cadavre du malheureux
Cultivateur, d a n s le canal de Nantes à
Brest, aux e n v i r o n s de P r a t - a r - 2 a l l .
C'est la qu&trième victime q u e fait le
canal d e p u i s cinq mois.
St-Thol*
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Pour tous renseignements, s'adresser à l'Etude.
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telle s o r t e qu'ils no savent plus où d o n n e r
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da la Faoultó da Módaoina d e P a r i s
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Jouissance au 29 septembre 1936. — Durée des baillées : 6 ans.
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é q u i p e a b a t t u , eu c h a m p i o n n a t , à Laval,
lo Slado Lavallois, u é t é u n e cause d ' i n q u i é t u d e p o u r les s u p p o r t e r s d u Stade
Quimpérois.
Un certain n o m b r e de j o u e u r s éclopés
étaient i n d i s p o n i b l e s , d ' a u t r e s r e t e n u s
p o u r affaires de famille, e t enfin q u e l q u e s
u n s en d é p l a c e m e n t p o u r u n e raison o u
p o u r u n o a u t r e , de telle s o r t e q u o la
f o r m a t i o n d e l'équipe no f u t c o n n u e q u ' à . . .
Laval.
La d é f e n s e était certaine, mais la ligne
d'avants ? H é m o n , Corvest, Guillou, Calvez
étaut indisponibles, f o r c e f u t d o n c de
t a p e r d a n s la réserve, avec C. Gourdin,
l ' e x t r ê m e réserve, c ' e s t - à - d i r e les J u n i o r s ,
avec J o n c o u r et Tarldec. Ceux-ci c o n n u rent d o n c les h o n n e u r s d ' u n d é p l a c e m e n t
en p r e m i è r e . , . . . . . . •
A Laval, on c o n n u t l'arrivée de Le
Roux. Alors l'espoir revint au c a m p
Stadiste.
Et p o u r t a n t lo match d é b u t a mal p o u r
n o s c o u l e u r s . Au b o u t de q u e l q u e s minutes Q u l m p e t encaisse 2 b u t s et voit 3 de
ses j o u e u r s s u r la t o u c h e .
Quelle f u t alors l'auxiété d e s d é l é g u é s 1
Et p e n d a n t ce t e m p s la ligne d ' a v a n t s avec
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P i e r r e Daniel, a d j o i n t - m a i r e , a d o n n é
n a i s s a n c e à trois veaux en avril 1934 et à
d e u x a u t r e s veaux, c e s j o u r s d e r n i e r s ,
soit cinq veaux en 18 mois.
le c a m p adverse. 5 b u t s vinrent r é c o m p e n s e r
les efforts d e l'équipe, e t lui d o n n e r u n e
victoire m é r i t é e , n o n s e u l e m e n t p a r sa
techniqu?, mais aussi p a r s o n désir de
vaincre.
Puisqu'il e s t parlé ici d ' u n j u n i o r ayant
joué en p r e m i è r e , et q u e la question d e s
j e u n e s est souvent s u r le tapis, j e voudrais
dire q u e l q u e s mots à ce s u j e t , alin q u ' o n
ne vienne plus m e c o r n e r aux oreilles
des critiques injustifiées.
Lo S. Q. doit-il avoir des j u n i o r s ou ne
pas en avoir ?
La question est plus délicate q u ' o n no
le croit.
Quel b u t p o u r s u i t - o n on ayant d e s j u niors ? A m o n avis, c'est d'avoir en réserve
dos j o u e u r s q u i , a y a n t lo môme ûgo et
jouimt c o n t r e d e s adversaires s o u m i s au
m ê m e r è g l e m e n t o n t la possibilité d ' é t u dier, d a n s les meilleures conditions, la
t e c h n i q u e e t la t a c t i q u e d u foot-bnll I
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E. I«e Quellec
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S o r a a é a p a r n a a u t o c a r . — Mme V e u vc T a r t u , 72 ans, de Brest, où elle d e m e u rait, 14, r u e St-Malo, se r e n d a i t , j e u d i
après-midi, h la Cale d u F r e t , p o u r p r e n d r e
le v a p e u r de service et r e g a g n e r son domicile, lorsqu'elle f u t h e u r t é e e t r e n v e r s é e
par u n c a r d o n t l'une d e s r o u e s lui passa
s u r la poitrine.
La m a l h e u r e u s e victime f u t relevée
rùlante, et r e ç u t d ' u r g e n c e les soins d ' u n
d o c t e u r , mais elle n e t a r d a m a l h e u r e u s e m e n t pus à s u c c o m b e r à s o n affreuse
blessure.
A o o i d a n t d ' a n t o . — Doux m a r i n s - p é
c h e u r s d e Lessunus, en Plozévet, Jean
Marie B o u r d o n .et P i e r r e F o t n e r , se r e n - a m n i m n m n i n x g n n i i B
d a i e n t l ' a u t r e soir à A u d i e r n e r e j o i n d r e
l e u r e m b a r c a t i o n l o r s q u e , ù Menglenot, ils
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t r e s , B o u r d o n se releva s a n s t r o p de mal,
t a n d i s q u e s o n c a m a r a d e F o m e r était a t teint d ' u n e d o u b l e f r a c t u r e à la j a m b e g a u
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Première msertion
servi à barder les perdreaux; vous
ajoutez 20 grammes de beurre à cette
Suivant acte reçu par Mc Guillemot,
purée de gibier et vous la mettez dans
notaire à Concarneau, le 19 octobre 1935,
uno petite casserole avec un demienregistré à Concarneau le 22 ocverre de madère ou de vin blanc, autobre 1935, volume A, fol. 27, n° 250,
tant de bouillon, échalotes hachées,
Mme Cécile Le Roux, veuve en pregirofle, muscade râpée, bouquot garmières noces de M. Charles Ravallec,
ni, sel, poivre. Laissez mijoter 10 miet en deuxièmes noces de M. Jeannutes, passez à travers une passoire
Marie Ottret, demeurant à Beuzec
très fine. Faites, dans une autre casse-<
Conq, rue Adigard, n° 4, a vendu à
rôle, un roux blond, ajoutez-y le jus
M. Jean-Marie-Joseph Le Dé, charobtenu et laissez cuire un quart d'heuron, veuf en premières noces de Mme
re. Dans cette sauce, mettez les morMarie-Josèphe Dacron, et époux en
ceaux de perdreaux, laissez-les chaufdeuxièmes noces de Mme Annette
fer sans bouillir.
laouen, demeurant à Beuzec-CoDq,
Pour servir, dressez en rocher sur
rue Adigard, n° 4, le fonds de comun plat bien chaud, versez la sauce
merce de débit de boissons et liqueurs
par-dessus, entourez de croûtons de
exploité dans une maison sise à Beuzec
pain frits dans le beurre et alternez
Conq, rue Adigard, n° 4, comprenant :
avec des ronds de citron.
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fourneaux ou les poêles.
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H. GUILLEMOT.
si elle noircit assez facilement les
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Août 1938 - Site en travaux, le week

Février 1939

LE CITOYEN DU JEUDI 07 AU JEUDI 28 JANVIER 1926

Novembre 1921 - Site en travaux, le week

Septembre 1928 - Site en travaux, le week

Octobre 1911 - Site en travaux, le week

Janvier 1912 - Site en travaux, le week

Novembre 1928 - Site en travaux, le week

Officiels