J - Kiosque Lorrain

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Jeudi 7 Août 1913.
JOURNAL. RÉGIONAL. QUOTIDIEN
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Direction et Administration
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Bureaux de Paris
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Ren* MERCIER
iriTÉ
PUBLICITÉ
La publicité efl reçue à l'Agence Havas, 8, place de la Bourse, à l'Agence Joha F. Jooee,
3,4i4> faubourg Montmartre, aux bureaux de VEsl Ttépublicain. passage de, Prince», à Pari»,
dan» toutes le» Agences, et à VEst Républicain, m Nancy.
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i $'abonner tant frais dans tout les bureaux it ao.'ie
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1 assage des fnnee».
97, Rue Richelieu, et 5 bis, Boulevard dr* Italiens
Faubourg Saint-Jean et Boulevaid Mazagran
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Directeur :
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I -
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stons, les météorologistes ont été d'accord sait sur une maison fermée, il y avait uns
i Bachelier de Ségovie » a été de quatre)our signaler une nappe nuageuse ora- brusque différence de pression, très imfc'ingt dix-neuf francs.
jeuse au-dessous de laquelle virevoltaient portante, entre l'intérieur et l'extérieur,
MAC
vJe suis tranquille sur les futures recettes
t cent ou cent cinquante mètres seulement
dont le résultat était de faire éclater, du
de la pièce nouvelle de M. Paul Ferrier.
—
l'altitude des petits lambeaux de nuages dedans au dehors, portes et fenêtres, et da
a
gri
;ris de la catégorie « fracto-nimbus » soulever et disloquer les toitures, comme
Pour
admettre qu'elles ne dépassent pas
niJMAZET
Emile
Po
ay
iyant une tendance à monter dans l'atmos- l'aurait fait une explosion. De là aussi la
quatre-vingt dix-neuf francs et même davan^D0
G-uton JOLLIVET
qu
doute, il y venait beaucoup de Lorrains, p
Plus les années s'éloignent de 1370, plus j do
snère
en prenant un mouvement hélicoï- présence d'objets informes et de débris emBA
h
tage,
il faudrait oublier que l'auteur a
ft
Loais
ag
d'habitants des alentours et de la d
il semble que les souvenirs de la guerre se • beaucoup
be;
t
dal.
Quant h la trombe elle-même, on l'a- portés en tournoyant et en s'entrechoa
M9! ,„MF
Charl« LENOBLE
écr
écrit plus de cinquante pièces à succès, en- j
J
région messine, ma,is la tradition n'était pe
précisent, se développent et se font plus ré{
perçoit comme un tube vaporeux ; cette quant.
L lïlTS("', , AY
Achille
tre autres son charmant « Chez l'Avocat », < p
T
pas
encore établie comme aujourd'hui, et va
vapeur blanche ne provient pas d'eau
LOUIS
grandioses.
paComment expliquer la formation de*
8
resté
au
répertoire
de
cette
même
Comédiej
pompée par le météore, mais bien de la trombes ? Les théories que l'on a faites
r
tout était modeste, comme étaient modes- po
Il y a trente ans, en 1883, on s'en allait toi
S.i-»e M iY
Albert MANGEOT
"
Française.
v
condensation de toute la vapeur d'eau pour les cyclones, théories thermiques ou
re
répétant
partout que le pèlerinage de tes
tea : l'église de Mars-la-Tour, avec sa tour co:
&»'le CCu
AMTRlOT
René MERCIER
i*r
H
contenue dans le volume d'air intéressé dynamiques, fondées sur les dépressions,
carrée qu'on surélevait, le musée embryon- eo
^ u AUMET
D' E. MÛN1N
j Et je suis canable de retourner à Paris Ma
Mars-la-Tour était à son déclin, qu'il ne ca
Ppar la brusque dépression ; aux environs,
le 15 août pour aller voir la première de I SU]
ne leur semblent pas exactement applicanaire
établi
dans
le
corridor
et
les
chamsurvivrait pas aux témoins et aux acteurs ria
es instruments enregistreurs r»e signalent
les
bles, car la trombe est un accident qui
Paul Ferrier.
,j
L*^£&niFR
Max de
Ps
bres
du presbytère.
du
u grand drame des 16 et 18 août, et erue
br
au
aucune variation notable, ni dans la tem- semble essentiellement local par sa nature,
?rY
Léon
•GASTON JOLLIVET.
'é
Un
jardin
s'étendait
le
long
de
l'église,
le
p
c'était
folie
de
songer
à
la
création
d'un
pérature,
ni dans l'humidité.
c
e
au lieu que le cyclone est grand voyageur
VODIFL
musée patriotique, à la pérennité d'une cé- long
loi
D
de la placette où, depuis, l'Œuvre de
,'iOn est d'accord aussi pour reconnaître parfois dans l'espace. Le caractère princi" nFSMONTS
Po!
rei
rémonie
touchante.
M;
Mars-la-Tour a fait dresser une statue de que
cru la trombe est accompagnée d'un gron- pal qui les réunit dans leurs manifestat^?«nAN
'
dement singulier rappelant le bruit d'un tions est le mouvement tourbillonnaire
Et v«ilà mie trente ans ont passé. Mars- Je
Jeanne d'Arc.
de
01 D
I "
CP ANCOIS
R»O
n
de chemin de fer qui passe, ou de provenant-de la décomposition des forces..
1 F
la-Tour n'a pas cessé d'être comme l'autel'
L'église même était banale et quelcon- *train
S M«IN
Gustave
chariots chargés de ferraille. Quelle Le mouvement ascendant et la chute barosacré du patriotisme : de recevoir des mil- que,
qu
avec ëes inscriptions peintes sur les lourds
^
]*»^____^^
. J
est la cause de ce bruit ? On ne saurait métrique dans la trombe se combinent pour
liers de visiteurs, de solenniser avec teu- m
murailles, des verrières toutes blanches, l'attribuer
y.3
à la présence de la grêle dans produire une détente de l'air- humide et
jours
plus çle fierté et nlus d'éclat, en pré- sans
sa
jot
aucune plaque de marbre, sans rien le
je nuage orageux, car la trombe semble par conséquent un abaissement de tempé, CAUSERIE PARISIENNE
sence
de
foules
toujours
plus
nombreuses,
de
tout
ce
qui
en
fait
aujourd'hui
le
charex
exclusive de la formation de la grêle. Il 1 rature qui provoque la condensation : de
1
la journée du 1G août : la Fête du Souve- me
m si mélancolique et si pénétrant.
co
convient de supposer que la trombe, inso- là le tube vaporeux caractéristique.
nii
nir.
nore au début, devient bruyante par suite
Ajouterai-je que les Allemands dres- ne
On désigne volontiers, et d'une façon qui
Resfirons.
Soyons rassurés.
Ayons un
***
saient
sa
sans cesse des monuments de souve- de l'entrechoquement des débris hétérocli- n'est pas très exacte, sous ce même nom de
poids de moins sur la conscience. La question
jEn ces jours où des milliers de touristes ni
tes cpu'elle entraîne bientôt avec elle : bois, trombes, des tourbillons de chaleur ascennir entre Mars-la-Tour, Saint-Marcel, Re- te
verre, métaux, etc.. Les dégâts dant ; on les obtient en petit sur les routes
de la ménagerie de Jeanne d'Arc est tran- v0
et Wionville, qu'on achevait le Dpierre,
^
vont parcourir les champs de bataille de zonville
zo
sont, en effet, rapides et nombreux ainsi poussiéreuses, où on les voit se former,valchée. Varchitecte du monument a trouvé une ila
A la Comédie-Française,
en ce mois . ch
mausolée
du
prince
de
Reuss
au
cimetière
|
a Woëvre et contempler les innombrables
m
que nous l'avons dit, et encore ne les a-t-on ser et disparaître balayés par le vent ; on
que je qualifierai volontiers d'ad- fgl
communal et quelques cénotaphes au fa- j pas
pf constatés en Europe dans toute leur ri,,,„ût pendant que tous les autres théâtres, solution
so
reliques du musée de Mars-la-Tour, il sera co
les voit aussi, d'après les récits et les cromirable.
pe
peut-être intéressant de faire un retour en m
meux Ravin de la Cuve ?
I gueur.
g\
I peu près, ont donné la volée à leurs j m.
Mais, sur le territoire américain, ils quis des voyageurs, se produire dans les
Auparavant,
le
léo-pard
était
à
gauche
et
ar
arrière et de revoir Mars-la-Tour il y a
Mars-la-Tour s'endormait le long de sa or
Jlsédiens et à leurs comédiennes vers les j
ont été souvent extraordinaires : la trom- déserts dé sable, par exemple en Egypte,
le vautour humain a la queue de dindon tr<
trente ans, au lendemain de l'érection du grande
gt
et large rue. Le cercueil de pierre b<
be qui a ravagé la ville de Saint-Louis le où on leur a attribué jusqu'à trois mètres
S» des plages- et des villes d'eaux on j /«
était à droite.
gr
27 mai 1896 fit périr plus de trois cents de diamètre à la base et plus de cinq cents
grand
monument commémoratif et à la de
d< l'antique seigneur du lieu au xv' siècle, 27
Lille ferme. On répète a tour de bras i et
personnes et causa plus de soixante mil- mètres de hauteur. La cause du phenonr èAujourd'hui, le léopard est à droite et le veille
ve
d'Avillers, servait d'auge devant la P<
des nombreuses transformation de Gérard
G'
1, nièce nouvelle de M. Paul Ferner. Et
111
de francs de dommages.
ne est alors, tout simplement, réchauffevautour hvmain à la quéue de dindon est à l'é
l'église, du mu3ée, des alentours.
m
maison
Zambeau ; l'hôtel Barthélémy re- lions
J' compte bien donner la première reprévc
W
Pour expliquer les effets de destruction ment exceptionnel du sol, sur lequel rompt
gauche.
cevait de rares touristes en la saison d'été,
,
On sait comment l'idée d'un monument ce
sHitatien de ces trois actes vers le 15 août. g<
do la trombe sur les maisons, il suffit de sur un point, l'équilibre des couches d'air
C'est simple. Il fallait le trouver.
co
commémoratif
naquit en 1872 chez les ha- et la*"1Kbrairie Ritter-Roscop se mettait à remarquer
Le ic août ! Dans nia jeunesse c'était
re
qu'une baisse barométrique de superposées et ayant pris une densité difla
vente
des
phototypies
et
des
ouvrages
9
bitants
de
Mars-la-Tour,
à
la
suite
du
sela
Vous
connaissez
l'histoire
du
serpent
qui
ni'
exactement le jour de l'année où c'était le |
9,5 millimètres comme dans le cas d'As- férente. Mais les tourbillons de chaleur
co
hi
historiques.
ni
nières,
correspondait à une pression d'à n'ont aucun rapport, en somme, avec la
œoins chic pour le Tout-Paris d'alors d'être j a six mitres de la tête à la queue et six 1 cond anniversaire de la bataille.
C'est alors que commença réellement le pi
Ce monument grandiose, chef-d'œuvre de
peu près 129 kilogrammes par mètre carré ; trombe proprement dite.
mètres cinquante de la queue à la tête.
à Paris. Car le 15 août c'était la fête de | m
lors donc que le centre de la trombe pasde Mars-la-Tour, que Y « Est le
fut acquis par souscription pu-- pèlerinage
P'
MAX DE NANSOUTY.
dans la vie, est une question de point Bogino,
^(
l'empereur, et même les plus fervents impé- j Tout,
T
blique et fondu à Paris en 1875. Il fut républicain
r<
», depuis 1889, devait si larde vue.
"}
rialistes redoutaient le tohu-bohu des réjouis- d,
1
in
gement
promouvoir et encourager », en lui —
— très simplement — le 2 novem- g
Le vautour humain, à la queue de dindon inauguré
sances populaires, de même qu'aujourd'hui
donnant sa publicité incessante, en enétait inacceptable à droite. Il bre
^T 1875, en présence de MM. do Chambon, d>
nombre de partisans du régime filent aux retroussée,
re
! préfet de Meurthe-et-Moselle, Varrov dé- c<
courageant de toutes ses forces la création '
champs le 14 juillet. Le prochain 15 août] va
vt susciter l'admiration à gauche.
pl
Noël, archiprêtre de Briey, et Faller, d'un
d
musée de 1870, aujourd'hui^connu de
ne sera probablement pas moins déserté que
Et puis, il avait — dit-on — effarouché la puté,
te
et admiré par des milliers de visiteurs
dans ma jeunesse par le public élégant qui pudeur
p.
des promeneurs arrivant de la rue le nouveau curé de Mars-la-Tour. Dans la I tous
a
va d'ordinaire au théâtre. Les courses à j\ $
d'Amenai. On a
évidemment -pensé — crypte de ce monument on recueillit les os- I annuels.
'
se
de nombreux soldats français ex- j
Dès 1883, on pouvait acclamer, au 16
Deauville battent leur plein à cette date et 1 avec
a;
une rare et précieuse psychologie — sements
^
a
S] août,
beaucoup d'officiers français ayant à
je ne connais guère de machine pneumati- que
q, celle des promeneurs débouchant du quar- humés des fosses du champ de bataille.
leur tête le général Chanteclair,gouverneur
que mondaine plus puissante pour vider i ti
tier Saint-Epvre serait moins exigeante.
j{ A l'époque où ce monument de Mars-la- jI b
Tour fut inauguré, la ligne de Conflans j! de
d Verdun. Les sous-préfets de Briev, M.
Paris qu'une quinzaine de courses hors PaLa statistique semestrielle des étrangers 1 en
enfants : Pienne 1337 hommes, 387 femJEAN GAUSSIN.
n'
n'existait pas encore et les inconvénients IS E
Berger d'abord, ensuite le très actif M. Giris. Il faut donc admirer la Comédie-Franen résidence dans l'arrondissement de m
mes, 739 enfants ; Trieux 89i hommes, 249
m
multiples
du
passage
à
niveau
ne
se
fair
j
raucl,
ne
manquèrent
jamais
de
venir
ocg
□ sa
femmes, 540 enfants.
Briey vient d'être établie pour les six pre- fe.
çaise de rester fidèle sinon à son poste —
scsaient
pas sentir.
j ccuper la place d'honneur qui leur était ré- miers
A Tucquegnieux, il y a 1122 étrangers,
n
mois de 1913.
puisque la voici pour cause de réparations,
Quoi qu'il en soit, l'emplacement de ce j sservée comme représentants du gouverneDe ce document il résulte que le nombre 33
332 étrafiveres et 588 petits étrangers. A
transportée à l'Opéra-Comique — au moins
ie groupe de police
m
monument
reste fort critiquable à cause tp
rraent de la République.
d
des
étrangers ne cesse de s'accroître dans Auboué
Ai
1638 hommes, J84 femmes, 727 enà sa loyale habitude de pratiquer étroiteIl s'est fondé à la Chambre un groupe nou- des
d< movens d'accès et du peu de dévalop- \j
notre région industrielle. Vingt nationali- fants
fa
; Homécourt 4275 hommes, 1144 femEn 1884, le général de Geslin fit le tour ! n
ment ses devoirs vis-à-vis de l'Etat qui en I veau
-v
: le « Groupe de police
qui se propose j pement
pi
sônt représentées dans l'arrondisse- mes,
m
U*K> enfants ; Jœui 413 enfants, 551
pour la foule aux jours des gran- j ddu champ de bataillle avec plusieurs offi- I tés
t
la subventionnant lui impose l'obligation j d'étudier
cl
les réformes à apporter aux servi- ^
n
femmes, Al 19 hommes ; Mancieulles, 2242
des manifestations du 16 août.
|j cciers, dans la partie qui va de Tronville à ment de Briey, non compris la nationalité fe
c
ces
d'ordre
et
à
l'organisation
de
la
Sûreté.
non seulement de rester ouverte toute l'anhommes, KK lemmes, 294 enfants.
Il eut été préférable, à tous égards, d'é-*|1 Mars-la-Tour
3
; il expliqua à ses compa- *'française, qui y compte encore un bon h(
Ce groupe, présidé par M. Desplas, inspiré
née, mais encore d'y donner des premières
Valleroy 817 hommes, 197 femmes, 241
! nombre de représentants.
par M. Paté, s'honore d'un bureau de huit ri
riger ce glorieux monument de Souvenir JJ gnons
g
toutes les péripéties de la bataille \ n
représentations en été.
r
enfants ; Jarny 2532 hommes, 242 femmes,
membres
— et on s'aperçoit que les deux an- et
e1 d'Espérance de l'autre côté de Mars-la- ddu 16 août, pendant qu'un capitaine de ca- I + Il n'y qu'un africain, car nous ne comp- er
288 enfants.
| tons pas parmi les étrangers, les arabes 2i
Cette subvention, comme au surplus celle ciens
c
préfets de police qui siègent à la Cham- j
Tour,
à l'entrée même du champ de batail- vvalerie racontait la fameuse charge du II ^d'Algérie, considérés comme sujets franGorcy 2347 hommes, 126 femmes, 147 enn'en font point partie...
,
de l'Odéon, soulève tous les ans dans le bre
*
le du 16 août, face à l'immense étendue du ggénéral Legrand, à laquelle il avait parti- |i ç^a,is.
tants ; Hussigny, 1407 hommes, 226 femta
Parlement des débats curieux. Non pas que f M. Lépine, il faut bien le dire, est un peu
c
plateau do la Woëvre qui vit la lutte de cipé.
510 enfants ; Longlaville, 1744 homfroissé, mais M. Andrieux l'a consolé d'un P
Les allemands sont 6.672, dont 3859 hom- mes,
m
ssn principe soit contesté par la Comédie- rmot :
tf.
mes,
132 femmes, 91 enfants.
tant de géants.
1.207 femmes, 1.006 enfants.
m
Mais l'on peut dire que "c'est de l'année j mes,
r
française du moins, mais les députés et les
— Laissez donc, lui a-t-il dit, ni vous ni
Nombreux sont les Alsaciens-Lorrains,
Longwy 2346 hommes, 719 femmes, 884
que date réellement le grand pèleriLa première inauguration fut suivie, le 1885,
1
1
moi
n'y
connaissons
rien.
^
sénateurs ont une tendance mamuée à exienfants ; Mont-Saint-Martin 3.646 hommes,
national de Mars-la-Tour.
i vvenus chercher chez nous un travail rému- et
I 26 septembre 1877, d'une seconde cérémo- nage
r
p beaucoup en échange. Partant de ce !
2( femmes, 155 enfants ; Thil 1540 hom»*
raérateur et une existence convenant parti- 268
nie
officielle,
pot
la
pose
des
splendides
*
Le boulet du Borda
?
mes, 339 femmes, 363 enfants ; Villerupt
culièrement à leur tempérament. Ils sont m
pnncipe que leurs électeurs allant peu à Pa- j
D
bas-reliefs
de Bogino, représentant la
Trente années ont passé depuis cette fon- ij au
. nombre de 2,328, sur lequel 1.353 hom- 3354
hommes, 161 femmes, 308 enfants.'
3;
jis trouvent un peu dur de contribuer de Ij Le « Duguay-Trou in » va remplacer le ci
charge de cavalerie et le combat d'infante- 1i dation...
c
et le 16 août se continue à Mars- î: rmes, 402 femmes et 513 enfants,
Les Belges sont surtout nombreux dans
to poche à l'éclat d'un théâtre connu de |I «« Borda ». Une des curiosités les plus étran- r
rie avec les généraux français dirigeant la-Tour,
1
toujours plus grandiose, toujours ij
Les américains n'aiment guèrent s'expa- les
le localités industrielles du nord de l'ar1.
woup d'eux uniquement par ouï dire, ils !i \ges de Brest va disparaître en même temps : l'action
du 16 août 1870. La cérémonie fut plus
\
rondissement : Mont-Saint-Martin, Longlapopulaire.
I! ttrier, ce qui est tout naturel, puisque leur r<
i c'est l'énorme boulet qu'en Crimée avait reçu
« jusqu'à s'ingérer quelquefois dans la j ]le « Valmy » et qu'il gardait encastré dans P
présidée par le préfet Delonne, Mgr FouGorcy, etc. De même il y a plus de
vi
Il reste peu de chose à faire pour achever !j 1pays est un grand centre d'immigration. | ville,
Direction technique, à discuter le mérite des sa
s carêne.
1<
Luxembourgeois dans le Nord que dans le
lon, les généraux de Geslin et Hanrion, en- 1l'œuvre patriotique.
I <On n'en compte crae 10, dans tout l'arron- , L
Pwes, au besoin même à morigéner les d> !
Depuis cinquante ans — car il y a cin- t<
Sud.
(
soit : 7 hommes, 1 femme, 2 S
tourés d'une foule de quatre mille personEntretenir le monument commémoratif, !| dissement,
Les Italiens, par contre, sont en plus
Weurs de n'avoir pas engagé telle ou telle jI 'quanf.e ans que le « Valmy » était devenu le ^
nes,
jle débarrasser de ses amoncellements de 'i ienfants.
i « Borda > — ce boulet avait sérieusement
nombre dans la partie sud de l'arLes Anglais ne viennent guère non plus grand
g
««le ou ce -qui est le grief produit le plus !I augmenté
\
Puis le silence se fît de nouveau autour <couronnes qui se rouillent et font du tort ij
de volume. Chaque année, en effet, j
que dans la partie nord.
rendre visite. Ils ne sont que 8, dont rondissement
»
™vent d'avoir trop engagé d'inutilités, i <on passait une couche de peinture sur la ca- jJ de
d ce monument. Le curé Faller poursui- à!
; l'œuvre de Bogino et à son piédestal ; ij nous
^
De tout l'arrondissement, c'est à Homéu
1
j 1 femme et 1 enfant.
du vaisseau. On grattait le vieux vernis Jj vait
.°u 1! suit que les théâtres subventionnés |! rêne
v
heureusement la complète transfor- entretenir
<
les autres mausolées et tertres )
court que l'on trouve le plus d'étranger».
Mieux représentée est FAutriche-Hongrie ©
de mettre le nouveau, mais la tradition i _
«sent volontiers ouf ! le jour où le budget | avant
!
i mation de son église commémorative ; le funéraires
1
français ; exhausser le musée I ,qui compte 727 de ses sujets dans l'arron- Les
Italiens y sont en grande uiajorité.
L
1i voulait qu'on s'abstint de l'enlever sur le
« ministère des Beaux-Arts s'est fait voter ! iboulet, qui était ainsi dévenu imposant.
jJ «" Souvenir Français » se fondait modeste- Itrop étroit d'un étage nécessaire pour les Ii dissement de Briey. U y a sur ce chiffre
La plupart des étrangers portés comme
50
(
! dernier article.
i
Les élèves du vaisseau-école ne pourront !i ment
n
Russes
ou Autrichiens sont des Polonais
avec Xavier Niessen, pendant crue se î\ vitrines
'
f
des costumes, la bibliothèque de j! !578 hommes, 59 femmes, 90 enfants.
c
aux noms bizarres qui commencent à s'haJ*a" ce jour là ils ont quelquefois à |, plus conduire les visiteurs à bâbord et leur créait
Nos voisins et amis les Belges, viennent a
à son tour, d'une part, « l'Œuvre j 1870, etc., terminer la façade de l'église et s
montrer la glorieuse verrue du navire en j *
3 a,veC un PubHc <3ui à l'occasion leur J! ;disant : « ... quand nous étions devant Sébas- j. Nationale de Mars-la-Tour », à Paris, et, I placer des inscriptions commémoratives 1 1en grand nombre travailler cnez nous. On hbituer à venir chercher de la besogne par
compte 12.512, dont 8.878 hommes, 1.G06 ici.
u
Welle le poids de ses bienfaits en tant |\ topol...
■
i
principaux points (français) du champ ! en
'
a
Ii td'autre part, la « Société des anciens com i aux
Les Turcs hommes sont les mieux par; femmes, 2.028 enfants.
batttantâ de Gravelotte », dont le prési-• ! ide bataille du 16 août.
fatm*lba'M<x- Victor Hugo, dans ses!
Tous les Bulgares ne sont pas à la guer- *tagés au point de vue des femmes, puisLa ligne de
c
met Vues citées hier par les excellentes |
dent,
M. Doudeau, vient d'être décoré de la... j
Déjà l'Œuvre de Mars-la-Tour va faire
re. U y en a encore 14 dans l'arrondisse- 9qu'ils en ont chacun une.
«aies politiques et littéraires, raconte à !
Treignac à Bugeat
ILégion d'honneur.
un geste bien touchant, en fixant le 16
Par contre, on ne trouve qu'une Alle*
ment de Briey, tous sont des hommes.
UM amu,ante
■ **
août prochain, la médaille de bronze de
itm Au
histoire. Méry l'au- ) En 1893 — il y a exactement vingt ans, — j
mande pour trois Allemands, une AmériL'Espagne
commence
à
nous
envoyer
ses
'
] j
Ce n'est qu'après 1880 que les cérémoniesti' 1870 aux principaux monuments français ;
et
ou une Anglaise pour sept hommes
Geala
1
^ fut' Paraît-»1, avec Léon1 !| raconte M. le sénateur Dellestable, l'Etat con- ! c
nationaux. 265 compatriotes de Carmen vi- 1 caine
■
plus
sénir,.'
blottissant causeur de sa. jj cédait à l'Orléans une petite ligne de chemini ij du 16 août a Mars-la-Tour, prirent leur ca-■ qui parsèment ce plateau de la Woëvre, vent ici. Sur ce chiffre il y a 212 hommes, i de ces nationalités.
fer reliant Treignac à Bugeat, dans lai I! 1ractère de grande manifestation patrioti-■ ]i qui fut pourtant un champ d'honneur et de
i7*mn> avait pris à Marseille sa patrie, I!l de
dont beaucoup à Auboué, 23 femmes, 30 , Pour une seuls de leurs compatriotes,
Corrèze. Mais, au moment de déterminer le £
les Autrichiens sont 10, les Belges 5. Les
d
reste celle de
| gloire,
enfants.
; ^
SeT' ?
Gozlan, l'habi-' !« tracé, intervinrent des «. influences locales »; i quoBulgares sont les plus mal partagés, pas
En 1883, c'était encore très modeste. Sanss !s
EMILE BADEL.
Les Grecs ne se battent pas tous contre une
lion .7 p?r'er haut P«ndant la représenta-■ |; qui empêchèrent provisoirement la déclara- j
l
seule femme de chez eux ne réside
„
m m<S
I
tioa
d'utilité
publique.
■
les
Bulgares,
puisque
35
hommes
de
cette
Ftam
d'interpeller tout le monde. !
c
dans
l'arrondissement.
Dès
lors,
toute
la
politique
corrézienne
rou|
nationalité sont dans notre région, avec
mr à l
,éra au balcon
as
Pour une senora Esnacrnole il y a 10 ga'«par
'°î
>
«
P=I
I
lasur
cette
ligne
de
chemin
de
fer
:
il
n'y
eut
i
j
CAUSERIE SCIENTIFIQUE
, duites à Assonval, dans le Pas-de-Calais, | 4 femmes et 2 enfants, ce qui fait un total lants
senors. Pour une brune Italienne 8
ritjlem^nfU£ COrs de chasse qui jouaient ter-- ji village si éloigné par lequel on ne promit, a
^vigoureux gaillards.
a
en 1822 ; à Châtenay (Seine-et-Oise), en Lj.de 41 individus.
dit Victn u
u-dessous de lui, il met,, ji chaque élection, dii faire passer la voie ferSa
gracieuse
Majesté
la
Reine
des
Pays1839 ; à Monville et Malaunay (Seine-Infég0 Ra main
Si nous reprenons les chiffres totauJ
vu5 sur
'
droite en garde-. | rée. Tout hameau fut assuré d'une halte et ;
j chaque paysan certain d'être exproprié. Et
rieure), en 1845 ; à Vendôme en 1871 ; à Bas a chez nous 55 nationaux ; 38 nommes, des
(
étrangers et étrangères et si nous tes
diestr. in ='eux' et découvrant le chef d'or-' jj ainsi, en vingt ans, on ne put arriver à tra- j
10
femmes,
7
enfants.
Montcetz en 1874 ; à Paris, en septembre
(comparons, ncus trouvons une femme poui
i \" 'V cne de sa plus belle voix :
Comme
toujours,
les
Italiens
sont
et
de
,
j cer ces dix-huit kilomètres,
•'•
4 1896 ; à Asnières fSeine), en 1897. Ces i beaucoup, les plus nombreux. 46.755 d'en- un peu plus de six hommes.
Cependant, tout autour de Treignac et de !
mi!le fra"5'*111' nous vous donnons huit centt •
deux dernières ayant passé au-dessus des j
Et il est extrêmement regrettable qu)il
ar arl
0lIr
j
Bugeat
rayonnaient
des
tramways.
Si
bien
Aye2 u
Ç
P
avoir des cuivres. !
Le. 8 juillet 1913 un phénomène atmoa- j stations météorologiques munies d'appa-, tj tre eux vivent sur notre sol lorrain et tra- ,en soit ainsi. L'étranger célibataire, ou
' ! qu'enfin les plus acharnés adversaires comté
a causé une profonde terreur j reils enregistreurs,on a pu voir et conserver. j vaillent généralement dessous.
que i',; f°?
de m'extirper ces deux cors3 i'; prirent la nécessité d'un accord. Tes parties phérique
(dont la femme est restée là-bas, au pays, vit
■
Cette armée se divise -comme suit : hom- ,dans des cantines, eue/, des logeurs, dans
mcs pieds
j se réconcilièrent et M. Dellestable fut chargé aux habitants de la petite ville d'Alcoer, i à ce sujet des documents et des diagram-, 1
La
r
c
•
fr
lédl Fr
.
mes
36.094,
femmes
4.499,
enfants
6.162.
,des conditions souver
près
de
Valence,
en
Espagne.
Après
une
mes exacts, et les comparer à ceux recueiljlorables à tous
ancs
- ançaise a trois cent mille.. ij de demander au ministre la construction 3e j
d
Etant donné son peu d'étendue et le pe- ]les points de vue. Petit à petit, il s'adonne
ï j la voie cette année.
! journée très chaude, un orage violent 1 lis dans dos conditions analogues sur une1
e
5U
cntion
*acte »t
' si ma mémoire est |j
'
.
tit
nombre
de
ses
habitants,
le
Grand-Du,
Hélas I au moment même où il allait ac- éclata, des grêlons de la grosseur d'un i trombe observée en octobre 1894 à Littleà la boisson, se laisse aller à la débauelle lés" Q0TDmç. J« -viens de vous le "diree I! complir sa mission, on vota la loi de finan- œuf de poule commencèrent à tomber,puis Rock, dans l'Arkansas, aux Etats-Unis.
ché de Luxembourg nous donne beaucoup jche, et îl est un homme comme les autres,
pren
ag C
en
ne
e
j
ces.
M.
Charles
Dumont
promit
à
M.
Dellesam ih j
'
serait-ce qu'en ne |
la tempéature s'élevant encore, une tromDans ces trois cas, les phénomènes ob- de bras, 3.851 Luxembourgeois vivent dans ,capable de louables actions mais aussi
n
vacances
,
« touche
ou si peu ! L'OdéonQ ;: table d'inscrire au prochain budget la ligne be, provoquée par la dépression qui s'en- i servés ont été si bien les mêmes que l'on. i l'arrondissement de Briey. Les hommes 1 de
nombreuses faiblesses,
•
|
de
Treignac
à
Bugeat.
Mais
d'ici
là...
suivit, se forma. Par une singularité dé- peut conclure que la trombe terrestre obéiff I1 sont 2.272, les femmes 728, les enfants 851. jj
Asiles que Cent mille francs, mais lui i
Souvent il devient paresseux, quelqueSol
Le Portugal n'a que*7 de ses sujets chez fois criminel.
sastreuse; le feu ayant pris dans une meu- à une loi météorologique générale parfai- j
licité n!Sn? Un pcu Parce qu'il est moins i
I '■
Concours
le de paille, la trombe prit l'aspect d'une tement déterminée. Le baromètre baisse• nous. Tous appartiennent à la moins belle 1
Pournuoi ? Parce qu'il était seul dans
déjà vrajPar les auteurs à succès. C'était i
'. moitié du genre humain,
un pays où les tentations abondent pour
Hugo dé.?u temps de la jeunesse de Victorr !|
Un iournt 1 ouvre un '.ournoi | oétique en colonne de leu qui brùia, en tournoyant, brusquement, ce qui ne demande que quel-t
Les Roumains ne sont pas nombreux, 12 l'homme isolé. S'il avait à ses côtés une ,
plusieurs milliers d'arbres fruitiers sur ques secondes. Cette baisse brusque a été
Plaisir d- nommé, et je ne résiste pas auu J vue de glorifier la bonne chère.
1 de 8 millimètres à Little-Rock, de 6 mil-'.
seulement, 11 hommes et une femme.
femme pour lui donner de bons conseils,
Les lauréats recevront d'excellents pâtés de une ditance d'un kilomètre.
US donn
Anales
er, toujours d'après les* Toulouse, de Périgueux ou de Strasbourg f
La Russie est représentée par 455 per- le soutenir aux heures de découragement,
Les trombes sont des cas particuliers I Hmètres à la tour Saint-Xacques, à Paris,. I!
0
6 fois
[
^ante
J '"
textuellement, la pi-- des poulardes truffées de la Flèche ou du du phénomène général des dépresssions at- ' et de 9,5 millimètres à Asnières. Cette dé-.' |I sonnes, 385 hommes, 31 femmes, 39 en- pour lui procurer les joies saine3 de la
P
Mans, des caisses de Champagne ou des ton- mosphériques et des cyclones. On les con- \ pression est sensiblement locale, c'est-à-- fants.
M. SÎS*^ ^ voici :
famille, il serait resté ce qu'il était quand
Cer
Un homme et une femme Serbes ont à il arriva : un. bon ouvrier et un honnête
naît surtout sous leur forme classique de 1 dire qu'elle ne se manifeste pour ainsi dire;
^'en Sf r .
'ti. Santhi ou Sentil est unn I nelets de Bourgogne et de Bordeaux...
Prix inestimables.
dla
r
trombes marines dans lesquelles l'eau as- j pas dans les stations météorologiques voi-- ! eux deux trois enfants. .Total 5 Serbes.
homme.
ble
J
5 de M. Thiers. Ce pauvree
Pour quoi je pense que, si notre confrère j pirée, en quelque sorte en un point, se sou- ; sine» de celles qui se trouvent sur la tra- j
4 vigoureux gaillards repVésentent la
Pour donner aux localités industrielles
Mfe « U r airc une tragédie. Cela s'ap|
'- tient vraiment à. favoriser les nobles arts en lève en prenant une forme conique,et cons:
Suède.
Ils
n'ont
ni
femmes,
ni
enfants.
j jectoiic parcourue par la trombe. En rePlat
mte d E
du bassin de Briey hygiène, moralité et
't j « gueulardise », mieux vaudrait ici de beau-La niec °
' ymont ». C'est fort
Le nombre des Suisses atteint mainte- I' sécurité, les administrations nrennent des
coup récompenser les producteurs eux-mê- titue une colonne torse animée d'un mou- 1 vanche, sur cette trajectoire, c'est une netU cha
JOUe : succes
"t
classique, pass mes que de simples porte-lyre.
vement très rapide dont le sommet se relie I te et véritable dévastation, comparable ài nant 345, soit 256 hommes, 38 femmes, 51 jI mesures, créent des rouages nouveaux,
C 3LSSE
a ,ill{
as
a
1
A
- Le U
' P
u" sou dans la
II est infiniment plus difficile, en effet, de à la couche nuageuse flottant très bas dans ; celle que causerait une batterie, d'artille-- enfants.
installent des services. C'est fort bien,
J
Près
de
,a sc n
i, ; réussir une terrine de foie gras, un vin rare, ces conditions. Les trombes tournent au- ! rie rassemblée et tirant dans une directiona
3 Turcs, non polygames sans doute, puis- mais ces innovations ne donneront ce qu'on
troi.
è e est à l'Odéon.
«fait de
présentations, la tragédie dis- que de trouver quelques méchantes rimes a tour de leur axe et possèdent, par consé- I déterminée : rien n'y résiste, ni arbres, nii qu'ils n'ont que 3 femmes en tout, repré- j en attend que quand les milliers d'étran. ; leur célébration.
quent, le mouvement simultané de rotation I maisons ; tout ce qui fait obstacle est fau-i- sentent la Turquie dans l'arrondissement gers travaillant dans le pays pourront
^?°i3ffl6 11 r1*- L'auteur accourt furieux,
et de translation. Sur mer, on les conside Briey.
I vivre normalement, c'est-à-dire en famil. aborde le directeur M. Lireux.
EOn modernise
dère comme "eu dangereuses ; lorsqu'elles
Si noiis additionnons ces chiffres, nous j le.
A propros de la trombe de Paris, obser-•- II
M
~~ °nsieur v ous
»encontrent un obstacle qui est, au cas vée par l'observatoire de la tour Saint-Jac:- trouvons un total de 74.073 étrangers pour J
Et cela ne dépend pas de nos adminisPar télégramme :
~~~ C'e-t Vr ! \
ne jouez pas ma pièce, j
j
j » Les gondoliers vénitiens se sont réunis particulier, le navire, elles crèvent et se ques, M. Alfred Angot a mis en évidencee l'arrondissement.
~- Pourn,!*-1, Mon*ieur.
Louis DESMONTS.
1 hier en syndicat pour exploiter une entrepri- résolvent en torrents d'eau inoflensifs. Sur | un fait particulièrement curieux au point
.t
Sur ce chiffre respectable, il v a 54.018 i
?aS?-?la. Monsieur.
se de canots à pétrole. »
terre, elles sont plus redoutées, car elles de vue dynamique du phénomène. Au som1- hommes, 8.671 femmes, 11.384 enfants,
I
'
.
'■■ .
lot
iU dIe
v
t [j
Ainsi, désormais, les touristes pourront-ils prennent assez volontiers des allures de met de la tour, à. l'altitude de cinquanteKieur."
ne fait pas d'argent,
îAjoutons que pendant les six premiers
visiter rapidement la cathédrale, la place St- cyclones : on les désigne alors sous les huit mètres, il n'y' eut aucun dommage,
J, mois do 1913 les étrangers ayant quitté
Marc, le palais ducal, les musées ,etc. Dans noms de tornades, ou, tornados.
e
1
je su
1- l'arrondissement ou étant partis pour le
alors que les toits des malsons environis prêt à prouver qu'el1- une heure ou deux, ils en verront la farce,
VOIR PAGE 2
Les trombes terrestres sont rares en Eu- nantes, hautes de vingt à vingt-cinq mè- grand voyage dont nul n'est revenu, ont
francs
le
Or,
aller
vite
quand
on
voyage,
n'est-ce
pas
BnT^elier A ^
de mains que le
rope, mais très fréquentes aux Etats-Unis. tres, volaient littéralement en morceaux ; atteint le chiffre de 10.035. Ils ont été ausjr l'essentiel ?
]Çmr
egovie
- Wié
», de M. Casimir
Et puis, des canots à pétrole, voilà qui va M. Faye, d'après une statistique du Signal- donc, la vitesse du vent est plus grandee sitôt remplacés et au delà.
sî-T~ Ceflt frJ*T y»us en ce moment.
moderniser enfin la ville-pourriture, comme Service, en a relevé six cents en quatre- i dans ce cas au voisinage immédiat du sol
)1
Les localités de rarrondissement compde
n- l'appellent les futuristes,
' f^it
rooins, c'est juste Monvingts années, de 1794 à 1881. E» France, qu'à une certaine hauteur dans l'air.
tant le plus d'étrangers sont : Joudreville
ueu
!
lu
M.
Marinetti
deit
être
bien
content.
*. La plus forte recette éu
5- 1029 ; Landres 341 hommes, 68 femmes, 60 1
on en cite de remarquables cral M sont proDans les trois observations que nous re-
Mars-la-Tour il y a 30 ans !
Collaborateurs!
Nos wu,
;_^_
^-°y
U'
RTV
G«"F SON
HINZELIN
LAFFITTE
LIEGEOIS
MÀLVEZY
„
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NANSOUTY
P1REYRE
QUINCY
SIMON
SIMPOL
°1 VALVERT
VERNON
H»°£2
U^
i
M*
ÉCHOS
i
De droite à gauche
5
A la Comédie-Française L
I
dans l'arrondissement de Briey
I]
I
l
Les Trombes \
^ f
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ï ° fS' ^'
J
;,
DERNIERE HEURE
La loi militaire
au Sénat
|
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__
!
,
_
■
■
PAIUS, C août. — La séance du Sénat, de
ce matin a été ouverte à 9 heures 45, sous
la présidence de M. Antonin DUtMT.
On aborde la discussion de l'article 18
de la loi de trois ans, qui pose le principe
même de l'extension du service militaire.
M. do TREVENEUO demande au Sénat de
faire subir à la loi des retouches indispenLA PAIX DÉCIDÉE A BUCAREST
sables.
Il demande la suppression de l'amendement VINCCXT. qui B'OppâBfl au
renvoi
éventue.'. do la troisième classe : « Ce que
je demande — dit-il — c'est qu'un ne .terme pas la porto à certains allégements
Il s'agirait d'un passif de Trente millions
qu'il sera possible d'accorder saris dommages pour l'armé'.'. »
M. DE LA8->CASES regrette qtrOfl n'ait
PARIS, G août. — Ainsi que nous l'anTANGER, 6 août — De Tctuan, le 4 août.
aux trente millions dont le Cômnthi..,
.pas inscrit dans la loi le principe des avan—- Chaque jour, dc> coups de feu sont ti- noncions hier, M. Armand Deperdussin, le dustrie) et colonial déplore la peîu f *
MfM aux familles nombreuses. L'ensemrés sur le camp mais ils sont l'reuvro célèbre constructeur d'aéroplanes^ chevaPOUf payer certains intérêts élevË
ble de l'article 18 est adopté ; 'es quatre
d'isolés, car la liarka reste en arrière et lier de la Légion d'honneur, membre du pour obtenir diverrt renouvêllêifcftaiA , «•
premiers articles sont également adopconseil
d'administration
et
du
comité
de
n'attaquera
pas
tant
que
les
Espagnols
no
tés.
rc-ux, M. Deperdsusin ne s'est-il oa
prendront pas l'offensive.
l'Aéro-Club, a été arrêté à Paris. Il a été remettre, en employant des procédt, ?
Huv l'article, r., MM. Charles GHASSKT et
Les
pourparlers
ont
échoué,
les
Arabes
interrogé
par
M.
Hirsch,
juge
d'instfue,
lictueux assez analogues à ceux aur
Louis BLANC déposent un amendement fairefusant d'entrer en négociations.
| tion, qui, devant ses aveux, l'a imédiate- il a eu recours vis-àvis du Coirntor
sant compter dans les services des foncment
inculpé
de
faux,
d'usage
de
faux,
Quelques
petits
douars
seuls
ont
offert
dustriel et colonial, par des banqu», la'
tionnaires le temps passé sous les draleur soumission. — Havas.
d'escroquerie et d'abus do confiance et seraient sur le point, d'intervenir dan<nUl
peaux.
TANGER, 6 août.— De Tétuan, le 5 août :
l'a fait écrouer à la Santé. Cette nouvelle poursuites actuelles, dès sômmes très
Les fonctionnaires réformés subiraient
« On annonce que les négociations enga- a produit une émotion Considérable dans t-idérables ?
l^
Bulgares qu'il consentati à cette nouvelle
La conférence de Bucarest
un relari d'ancienneté égal à la moitié du
gées avec les chefs de la harka ont échoué. . le monde du sport et des affaires.
réduction.
temps de service militaire qu'ils n'auraient
C'est
ce
que
M.
Hirsch
va
s'efforcèr
ti.
BUCAREST, 6 août. — Les délégués serLes chefs déclarent que toute la région
C'est qu'en effet M. Armand Deperdus- tabla- au cours de son enquête
Après quelques minutes de discussion,
^
pas accompvi.
bes et bulgare» so sont réunis ce matin a.
est
soulevée
contre
les
Espagnols.
Ils
ajousin
occupait,
particulièrement
dans
le
les
Bulgares
et
les
Grecs
se
mettaient
en■* L'amendement, est renvoyé à la commis- l'hôtel où la mission serbe est descenM. Armand 'Deperdussin est en proie 4
tent
que
les
Marocains
chassent
lès
Espamonde
industriel
et
sportif,
une
place
imfin
d'accord
et
en
avisaient
M.
Majoresko.
sion, l'articlo 5 est adopté.
due.
puis son arrestation, à une surexciter»
Celnl-ci à, son tour réunissait une nou- gnols do Tétuan, qu'ils ont rachetée à portante.
parfois coupée de périodes a'âfealtafcuu
La conversation s'engagea immédiateL'incorporation à vingt ans
en 1860 contre 20 millions do
Né à Liège, il débuta dans la vie à Bru- profond. Il a maniiesté l'intention
'
ment sur les points de la nouvelle frontiè- velle fois les délégués en séance plénière l'Espagne
douros.
xelles comme représentant d'une pharma- suicider ; aussi l'a-t-on placé, k ta
,«s
On discute l'article û (Incorporation à re de MacOtloIne en litige entre les deux I et leur annonçait, à 7 h. 30, l'heureux réSan
•Ils ne veulent pas vivre en paix avec cie et collabora à un journal satirique bru- au régime de la grande surveillance
sultat des travaux de la Conférence.
_yingt an8).
délégations.
les Espagnols qui ne respectent pas les xellois. Il était à ce moment sans aucune
BUCAREST, 6 août. — A la conférence de
M. LABBÉ dit qu'il demande d'appliquer
Il a reçu aujourd'hui la visite de Ùt R,
M. Patchich dit que pour démontrer une
fortune et ne vint â Paris- que pour tenter zos, secrétaire de M" André Hèésê H M?
aux classes à incorporer les méthodes ri- nouvelle fois ses intentions conciliantes, cet aprèsurtidl, les délégués ont décidé traités ni les croyances.
d'en
conquérir
une.
Pour
beaucoup,
M.
Deque
non
seulement
la
ville
'
^troumidza,
———
—
goureuses suivies à l'éftard des engagés. la Serbie consentait encore à céder la ville
me que les seuls faits qui peuvent lut M»
perdussin avait réussi dans sa tentative. reprochés concernent son commerce I9
mais aussi les ports de Lai
et de XanPar suite, il faudra modifier les conseilâ de Stroumitzn.
POSTE
FRANÇAIS
ATTAQUE
Il
menait
très
grand
train,
possédait
plude révision.
soieries, mais que jamais il o/a èmm
line nouvelle réunion aura lieu cet i thi seraient laissés à la Bulgarie.
sieurs automobiles, était propriétaire de une faute comme Constructeur dVjroplS
... M. CLEMENCEAU déclare qu'il est parti- après-midi à 3 heures.
PRES DE MEQUINEZ
trois châteaux au Marais (Aisne), aux Basan du service de trois ans et de .'.'incorBUCAREST, (5 août, 1 heure 45. — A la
Un officier et un sergent sont tués rilliers et à la Chapraie (Indre-et-Loire),
poration à 20 ans. Mai* il ne faut pas im- suite de l'entrevue des délégués ce matin,
M. Deperdussin ajoute qu'il aVatt ftbt
et aux environs.de Lnon d'une chasse im- avec le Comptoir industriel et colonial fol
proviser.
l'accord serbo-bulgare est assuré, sauf imBUCAREST, 6 août. —
La paix a été J
mense
nécessitant
l'emploi
d'un
personnel
PARIS, 7 août — On mande d'Amras, vià
Le projet actuel ayant été improvisé, on prévu.
arrangements et donné des garàMies m
conclue verbalement.
nombreux. Enfin il traitait toutes ses afn'aura pas le temps de prendre les précauElle sera signée demain matin, jeudi, à j Méquinez, au « Journal », à la date du 3 faires industrielles ou sportives sans au- rapport avec les sommes importantes qU'
BUCAREST, C août. — Les délégués bulgalui doit. Il déclare qu'il ne s'explique „J
août :
- !
tions d hygiène nécessaires.
heures.
res et serbes ne cachaient pas leur bon escune considération d'économie.
L'orateur ajoute que c'est
uniquement poir
Stroumidza est attribué â la Bulgarie ; j « Les indigènes avaient réussi à oeen- | .M Armand Deperdussin avait fondé, il le changement d'attitude dont il est vâh
après
leur
entrevue
de
ce
matin.
A
me.
:
per un piton, de 1,700 mètres. De là, abri- '
pour des misons politique» que lé gouver- l'issue de la réunion serbo-bulgare, M. Ve- Cavalla à la Grèce,
tés derrière les rochers, ils tiraient sur i y a six ans environ, et commanditait une
M. Deperdussin affirme en outré h'aVôir '
nement a accepté l'incorporation à vingt nizelos a eu une entrevue prolongée avec
La démobilisation sera signée également \ nos
maison de santé, très en vogue actuelle- pas employé à des dépenses personnelles
troupes.
«IJS.
Patchich et les délégués serbes, et au demain.
' > « Sous la protection du canon qui ba- j ment, qui se trouve rue de Turin, 9, et l'argent qu'on lui a coriii», et il établit aihFaisant allusion aux mutineries récen- M.
dernier moment on annonce que la paix
lnyait la crête, la 15e compagnie de tirail- occupe, sur la rue, un vaste immeuble si son actif :
tes, l'orâteur déclare qu'il ne faut pas est
On décide aussi
conclue.
leurs sénégalais grimpa aussitôt la pentô ; moderne à quatre étages. Cette clinique immeubles ........x
«tonner à la France et hors de France l'imFr. l.gOrj.to)
est dirigée par le docteur Vigniat et occupe Maison de santé
BUCAREST, 6 août. — Les délégués rouun nouvel armistice très escarpée et enleva la position à la vingt-quatre
\MM I
pression que le gouvernement n'est pas en
infirmiers
et
infirmières
;
de
baïonnette.
Usines, aérodromes, etc
6.OO11 flftj
état de faire face à .'.a révolte : Vous avez mains ont dem.ndé aux délégués serbes
BUCAREST, 6 août. — On annonce qu'en
« Nous avons eu quatre morts, dont le nombreux chirurgiens viennent y prati- Publicité, pri\ d'aviation, etc. fOOOOfm 1
.«té faible, c'est fâcheux. Vous avez de- et grecs d'accorder aux Koutr.o-Valaques outre des préliminaires de paix, un nouvel
capitaine Lacoste, commandant la Com- quer des opérations.'
mandé l'incorporation à vingt ans pour se trouvant en territoire serbe, ou grec, les armistice sera signé aussi demain.
Intérêts payes sur avancés .... 12.000 000 »
mêmes droits que ceux qui leur avaient été
Subventions, journaux et théâpagnie de sénégalais, qui fut frappé d'une
pouvoir renvoyer la classe de 1910.
La
plamte
du
Comptoir
industriel
accordés
par
les
Bulgares.
balle au cou, alors qu'il marchait à la !
M. CLEMENCEAU ajoute encore que c'est
tres
80.090
RESTENT LES TURCS... tête
*
et colonial
de ses troupes contre les Marocains
aller à l'aventure que de voter une loi miBUCAREST, G août. — La séance plénière
dissimulés derrière les rochers.
litaire improvisée. l'.xaminant la question de la conférence de la paix, s'est ouverte
Tot.ii ..^
,Fr.
Les Bulgares
C'est lundi après midi que M. He?du renvoi de la Classe, l'orateur dit qu'il y seulement à 5 heures du scir, pour per« A ses côtés, furent frappés mortelle- mann, président du conseil d'administraM.
Deperdussin
n'aurait
donc dépensé *
vont marcher contre eux
â dangfér à Avoir deux classes non instrui- mettre aux Serbes et aux Bulgares d'ament le sergent Samus et deux tirailleurs.» I tion du Comptoir industriel et colonial, personnellement, selon ses déclaration!,
— Havas.
tes. Il'est facile d'y remédier en conservant bord, puis aux Bulgares et aux Grecs enPARIS, 7 août. — De Berlin à 1' « Eclio f
banque dont les bureaux sont situés rue qu'une somme dê 10 millions environ, défit I
la classe 1910. 11 ric-peut — dit-il — se prê- suite, de discuter encore une
fois les de Paris » :
des Italiens, 5 et 7, accompagné de M" il conviendrait de soustraire une orsniic»
CÉRÉMONIE
PATÎ3IÛ7ÎÇUE
ter au renvoi de la classe 1910. La situation points en litig-e.
» On dit que la Bulgarie a décidé de I
Albert Salle, avocat à la cour d'appel, con- de 25.000 francs à la Hudson Buy et tifn I
de l'Europe n'est pas assurée et notre diA CASABLANCA ! seil de cette banque, s'est présente au Ca- garantie en titres de 60.000 francs qui lui
Commencée à trois heures, la réunion déclarer de nouveau la guerre à la Tur- j
plomatie sera plus forte si elle parle au des Serbes et des Bulgares a pris fin à quie, et d'envoyer les troupes disponibles I CASABLANCA, 6 août.— A l'occasion de l'ar- binet de M. ïloty, doyen par intérim des lut récemment demandée par l'Aéro-Cînb
nom d'un pays fortement armé. (Applau- 3 h. 45.
bulgares à marches forcées sur les points j rivée des drapeaux des nouveaux régi- juges d'instruction, et" a déposé une plain- de France à l'appui d'un engagement pris
dissements.)
par lui.
Les délégués ont pu annoncer à M. Ma- stratégiques qui sont de nature à couper la ] ments de tirailleurs remis à Longchnmps, I te contre M. Deperdussin.
Mi CLEMENCEAU demande, en terminant, joresko, président de la conférence, que retraite des Turcs et à les empêcher de ! une prise d'armes a eu lieu et les troupes
Les théâtres dans lesquels M. Depérâîtj.
Lorsque
M.
Deperdussin
n'était
encore
que l'incorporation à vingt ans n'ayant l'accord était conclu entre eux.
continuer leur marche en avant. »
i ont été passées en revue par le général j que courtier en soieries — il y a de cela sin avait des intérêts seraient les CâD'iei. I
pas été bien préptirée, le vote soit différé
PARIS, 7 août. — On mande de Berlin au j Ditte.
Oe 4 à 5 heures, les Bulgares et les
une quinzaine d'années — il fut mis en> nés, la Renaissance, Marigny êt les Bôttp I
de quelques semaines.
La population a acclamé l'armée.
Grecs, ont cherché à trouver un terrain « Figaro » :
rapport avec le Comptoir industriel et co-* fes.
La question de l'aviation
« La paix étant faite, cinq divisions bul- J
-•'
Réponse de M. Barthou
d'entente, mais sans résultat*.
lonial et commença à faire de cette banUne des plus intéressantes questions $n I
Aussi, à l'ouverture de la séance plé- gares ont déjà reçu l'ordre do marcher i
que, sur une petite échelle, des opérations
M. BARTHOU répond que la loi n'est pas
contre les Turcs. »
d'achat au comptant et de vente à terme pose l'arrestation de M. Armand Depef f
Improvisée, étant le résultat de l'examen nière, M. Majoresko a-t-il insisté encore
SOFIA, 6 août. — Des détonations ont été S
peur que les délégués tentassent un noude soieries destinées à Certains grands ma- dussin est incontestablement celle de s»« I
dé la Chambre.
voir si l'œuvre accomplie par cette mar» !
gasins.
vel effort en vue de concilier leurs points entendues, hier, dans la direction d'Andri- j
Quant à la classe 1910, l'orateur rappelle I de
Les
deux
Wiison.
—
Echec
d'une
manople et de Kouchoukavak.
vue.
Grâce aux relations qu'ils possédait dans que dans le domaine de l'aviation est à là- I
que s'il a affinné en mal la volonté du gouLes Turcs ont levé leurs tentes, à l'Est j
nœuvre' — Les combats.
Après un premier contact, où aucun
le monde des importateurs de soieries, il mais compromise. Voici à ce sujet la déc* I
vernement de la maintenir sous les dra^ NEW-YORK, 6 août. — L'aspect diplomapouvait obtenir au comptant des prix très ration qui a été faîte:
peaux pour répondre aux armements alle- progrès n'a été fait, une suspension de I de Mustapha-Pacha.
Ce fait se relie probablement au mou- j tique du problème mexicain a tourné ces avantageux qui représentaient, par la ven— Les scellés n'ont pas été apposés à l*u- I
mands, il n'a jamais déclaré qu'if la con- séance de une heure a été décidée.
Au cours de cetie suspension, les délégués vement qu'ils ont entrepris contre la co- I jours-ci autour d'un duel très subtil entre te à deux, trois ou six mois à de grands sine Deperdussin de la rue des ËBlféptf [
serverait pendant un an.
grecs et (bulgares se sont livrés à un lonne bulgare de Gumultjina.
ie docteur Wilson, président de la Répu- magasins, u'n bénéfice important. Aussi neurs. Aujourd'hui comme d'habitude, toUt [
Le sort de la classe 1910
actif échange de vues, tant avec M. Mablique, et l'ambassadeur Wilson, qui re- le Comptoir industriel et colonial avait-il I le personnel est à son poste et les pilotes I
Visite aux avant ^postes
présentait la Maison Blanche à Mexico. créé un département spécial pour ces af- de la maison ont reçu de la direction l'of» 1
Lo président du conseil déclare que si joresko et les plénipotentiaires roumains
S
OFIA,
6
août.
—
Les
attachés
militaires
j
Le président défendait les méthodes tradi- faires qui sont arrivées à certaines époques die de poursuivre leurs expériences.
l'incorporation à 20 ans est votée, la classe qu'avec les délégués serbes.
« La situation de la maison d'aviation est
A ce moment s'est produit une interven- étrangers sont partis ce matin pour visi- ] tionnelles de Washington, et l'ambassa- à atteindre des chiffres très élevés, de 10
1910 sera conservée pendant six semaines
ter
les
lignes
avancées
faisant
face
aux
j
excellente à tous points de vue. Le go* j
| tion du général roumain Coanda, laquelle armées, grecque et serbe.
deur, dont la partialité en faveur du ré- et même 15 millions par trimestre.
,ou deux mois.
a influé d'une manière heureuse sur la
gime actuel du Mexique, sautait aux yeux,
L'incorporation à vingt ans est d'origine
La marchandise était livrée directement vernement français et les gouverneniehli
a essayé-jusqu'au dernier moment d'obli- à M. Deperdussin et ne lui était payée étrangers recevront les appareils qu'i^
parlementaire. M. BARTHOU en fait l'histo- suite des délibérations.
L'armée autrichienne
rique.
ger ie gouvernement américain à recon- par le Comptoir que sur présentation du nous'ont commandés. Dé même, l'AéroM. Venizelos ayant déclaré qu'il avait
VIENNE, 6 août. — Suivant la « Militaeris- i
Huerta, soutenant, bordereau de réception du magasin auquel Club de France pourra disposer pouf 1»
En ce qui concerne l'incorporation à 20 reçu les instructions très précises d'Athè- I che Rundschau », l'augmentation des re- naître le président
ans en elle-même, ses avantages sociaux nes, et qu'il lui était impossible d'aller au- ! crues que réclame l'administration de la contre toute évidence, que le dictateur il l'avait livrée. Les employés du Comptoir Coupe Gordon-Bennett de l'aérodrome d»
sont incontestables.
delà de l'embouchure du Karasou, ie gé- guerre serait de 36 à 40.000, soit 20.000 était sur le point d'écraser la révolution étaient chargés d'encaisser l'argent de con- la Champagne que M. Deperdussin s'était
engagé à lui livrer pour quelques jours es
Si l'incorporation de la classe 1913 se néral Coanda, qui avait eu déjà l'occa- hommes pour l'armée, 2.000 pour la mari- et affirmant aussi que les hommes dir ré- cert avec M. Deperdussin.
»
faisait au printemps, nuus aurions une sion de voir, ce matin, M. Venizelos et ne et 8.000 pour les deux landwehrs. — lia- gime actuel sont innocents de l'assassinat
Pendant plusieurs années, le système septembre prochain.
■ — ■ .... —.aÇgr&^p*"
«■-.
chute brusqué d'effectifs à un moment cri- d'étudier attentivement le tracé revendi- vas.
du président Madero, de son frère Gustave fonctionna parfaitement, laissant à M. Detique. L'incorporation en automne nous qué par la Grèce, a cru devoir assurer
Ôt du vice-président Pino Suarez.
perdussin de très notables bénéfices. Les
mettra dans Une situation comparable à M. Venizelos qu'une modification pourrait
On ne peut pas dire que le président affaires augmentaient régulièrement tous
Au Parlement anglais
celle de l'Allemagne.
Wilson n'a pas donné à son homonyme, J les . mois. Malheureusement elles étaient
être accordée sur la ligne entre Klatz, oui
PARIS,
7
août.
—
De
Londres
au
«
Fi^[D'autre part, l'article 33 nous permet de signifie « clef » en serbe, point d'intersecl'ambassadeur, tous les moyens possibles g en partie fictives, et voici comment progaro » :
i
faire face à toute éventualité.
On se bat â Canton
tion des trois nouvelles frontières projepour défendre sa cause. Mais les rapports | cédait M. Deperdussin :
«
Sir
Edward
Grey,
ministre
des
affaires
M. BARTHOU conclut en disant que la tées serbo-gréco-bulgare, et l'embouchure
de l'ami de Huerta étaient tellement faux, f Il se présentait au Comptoir avec, disaitOn se bat à Changhàî
étrangères,
va
faire
à
la
Chambre
des
loi proposée au Sénat est une loi de dé- du Karasou.
les témoignages de ses alliés tellement j il, une commande d'un million de francs
HONG-KONG, 6 août. — Seiou des nouv*|communes
des
déclarations
importantes
fense nationale qui nous donnera au princontraires à l'évidence, que tout le monde ! de soieries qu'il s'engageait à régler au îes reçues de Canton, une bataill2 sera»
Se rendant à la compétence du général
temps prochain 150.000 hommes mobilisa- Coanda, M. Venizelos a déclaré à la re- sur la situation balkanique.
a salué la victoire du président Wilson et f bout de six mois, intérêts et bénéfices com- engagée devant la Porte orientale.
« Le 15 août, lo Parlement partira -u la déroute de l'ambassadeur qui a dû quit- ]
bles de plus qu'avec la loi de 1905.
prise de la discussion directe avec les vacances,
Deux divisions y prendraient part.
pris. Mais en même temps il annonçait
» — Havas.
Le président du conseil conclut que le
ter son poste, entraînant'dans sa chute, les \ pour le mois suivant une commande plus
CHANGHAÏ, 6 août. — Un combat achira*
————-————_—_,
—
j
renvoi de la loi à la Chambre serait une
dernières espérances du parti réaction- j importante, de sorte que lorsque l'échéan- a eu lieu hier après midi entre les rebelvéritable défaite morale dont le contrenaire mexicain et de quelques trusts améri- | ce d'un million venait à terme, il pré- les, les Wrts et le régiment des « Braveà <w
coup serait douloureusement ressenti en DEUX NAVïRES ALLEMANDS j LA PROCHAINE SEANCE
cains qui favorisaient la'manœuvre, con- sentait un bon de commande d'un million la mort ».
.
France. L'article G est adopté par 245 voix
ONT ESPIONNE
que la reconnaissance du général et demi. Le Comptoir payait ce bon de
On soupçonna le^çommandant de ce régiDE LA CHAMBRE vaincus
contre 48. La séance est levée à 1 heure 15.
Huerta par les Etats-Unis faciliterait le commande et avec cet argent M. Deper- ment, Lu-Fuh-Miao, d'avoir organisé UD
!es manœuvres anglaises
trimphe d'un régime dont ils comptaient dussin effectait ses remboursements.
complot en vue de s'emparer des forts s
j
éi Séance du mercredi 6 août (après-midi)
PARIS, G août. — La prochaine séance de
la dérobée, pour les vendre ensuite <tf»
tirer
le
plus
grand
parti.
Précisément,
la
Chambre
aura
lieu
vendredi.
L'ordre
du
On
comprend
alors
le
mécanisme
de
l'oLONDRES, 7*août. — Le « Standard » dit
PARIS, 6 août. — La séanco est ouverte
l'assemblée générale des actionnaires du
/
. .j-,
à 3 heures 15, sous la présidence de M. apprendre de source excellente qi;e, pen- jour transmis par dépêche aux députés Trust du Caoutchouc mexicain, tenue à pération ; les sommes employées dans lo gouvernement.
Lorsque les Braves de la mort sortirent
mois servaient à effectuer les payements
Antonin DUBOST.
dant les dernières manœuvres navales, porte : « Communication du gouverne- Madison, Etat de
Wisconsin, vient de du mois précédent. Ainsi, par ce procédé de la caserne, les forts firent feu et les
On reprend la loi de 3 ans.
deux navires de guerre allemands, le croi- ment ». — Havas.
fournir une nouvelle preuve des méthodes de cascade, forcé de demander toujours troupes les prirent en liane.
.
seur « Zioteu » et le contre-torpilleur « DL'article 7 stipulant que la classe sera
employées par les spéculateurs yanque#s plus, parti de 30,000 francs par mois, il en
Ce régiment fut presque anéanti. — H*
incorporée dans la deuxième quinzaine 8 » épiaient activement les opérations sur
pour dévaliser les travaiDeurs du Mexique. était arrivé à présenter dés affaires qui vas..
d". novembre, est adopté sans débat. On la côte Est.
U s'agit d'une concession de l'époque de représentaient 5 millions par mois. Efadopte également l'article 8 relatif aux
Le « D-8 » a été remarqué non loin de
Porfirio Diaz, à Palenque, sur la frontière frayé par ce chiffre énorme, le Comptoir
LES RAIDS TOUR LA COUPE
naturalisés et l'article 9 relatif aux pré- Biytk, voyageant la nuit sans lumières,
des Etats de Tabasco et de Chiuhahua. Les industrie) et colonial décida de vérifier les
cautions à prendre pour les jeunes gens tout près de l'escadre anglaise.
PQMMERY
AGLN, G août. ~ L'audience est ouverte
TA>
dividendes sont fabuleux, mais les salaires
JOHANNISTHAL, 6 août. — L'aviateur JS*
Yàibles de constitution.
Trois contre-torpiileurs anglais furent a 8 heures. Une chaleur accablante règne des ouvriers,Indiens ou Mexicains,varient opérations de M. Deperdussin. C'est alors
noir,
parti
de
Paris
ce
matin,
et
concouM. DE LA BATXT développe une motion détachés et suivirent le n D-8 » jusqu'à dans la salle. L'accusée estamenée à son
qu'il constata que lès commandes et les
de trente à cinquante sous, juste assez bons de réception des grands magasins rant pour la coupe Pommery, a atterri »
additionnelle à l'article 10, qui conserve l'embouchure de la Tyne.
banc, soutenue par les gendarmes. Le vi- pour ne pas mourir de faim.
•Mes fonctions des conseils de révision.
étaient en grande partie "aux et ne ser- II Johannisthal (aérodrome de Berlin)? ce soi*
Le 30 juillet, il y était ancré, le 31 U y sage est paie, mais ses grands yeux noirs
Entre temps, l'on continue à se battre valent
. «
La motion tendant à assurer une sélec- restait encore.
qu'à couvrir des opérations fictives à huit heures.
brillent On entend l'abbé Lafougère, ami sur toute 1 étendue du territoire mexiul a
MADRID, 6 août. — L'aviateur G " »ï
tion pluf! sévère des recrues est disjointe.
Cependant, ie « Zieten » continuait d'é- de l'abbé Chassaing. Il déclare que son cain. Le professeur Càndldo Navarre à la I et des détournements qui s'élèvent aujourparti d'Almeida vers Lisbonne, a du
L'article 10 est adopté, ainsi que l'arti- voluer dans lo voisinage des manœuvres, collègue ne lui fit aucune confidence. Un
tète d'un grand nombre d'étudiants démo- d'hui, après dix ans de fonctionnement tenir à quelques kilomètres de son po»"
tle 11.
jusqu'à ce que celles-ci aient été terminées, ami de la famille Crespv affirme qu'il est •crates, est allé offrir ses services à Zapa-1 normal, à plus de 30 millions.
de départ, à la suite de la rupture de w
c'est-à-dire jusqu'au 2 août ; alors il arri- persuadé de l'innocence de l'accusée.
ta. Le journal conservateur El Pals avoue I
hélice.
Le premier interrogatoire
La question des allocations '
vait, lui aussi, à l'embouchure de la TyL'abbé Lachaud, autre ami de l'abbé j qu'une partie de l'armée zapatiste de l'E- J
L'aviateur est indemne. — Havas.
ne.
»
Saisi
de
la
plainte
du
Comptoir
indusChassaing
dit
que
celui-ci
avait
manifesté
j
L'article 12 est relatif aux allocations
tat de Morelos occupe maintenant lo Nord !
triel
et
colonial
en
vertu
de
l'article
63
sa joie de quitter Agen parce qu'il crai- de l'Etat de Mexico, et. que les laboureurs !
•aux soutiens de famille.
ECHOS ELECTORAUX
.
VOL DE CHAUSSURES KtLïTAÎRES
gnait les violences de Mme Crespy.
M. MILLIÈS-LACROIX, au nom de la comont pris possession d'un grand nombre du Code d'instruction criminelle, le doyen
MORLAIX, G août. — M. Le Febvre ajan»
PERPIGNAN. 6 août. -- L'autorité militaides
juges
d'instruction
reçut
la
société
AGEN, 6 août. — De nombreux ecclésias- j d'haciendias abandonnées
mission des finances, demande la réducpar leurs anété battu dimanche aux élections çaw*J
re a fait mettre en état d'arrestation le tiques défilent à la barre. L'un d'entre ciens
olaignante partie civile, et saisit de l'af- nales, avait donné aussitôt sa derni9-.propriétaires.
4ion du taux et du pourcentage de ces al- j garde-magasin
de
la
3'
compagnie
du
24»
locations dont il reproche au gouverne- colonial, le nommé Vischer. Celui-ci s'em- eux, l'abbé Pradel, affirme que l'abbé ChasEufemio Zapata, frère du leader de la faire M. Hirsch, jugo d'insi'action. Celui- de maire de Morlaix, et ses deux acijow
ment d'avoir étends ie bénéfice aux enga- parait des) chaussures qui lui étaient con- saing lui aurait dit qu'Alice Crespy était révolution agraire, s'est emparé de Chiau- ci délivra un mandat d'arrêt contre M. avaient suivi son exemple.
. joaj
Deperdussin oui comparut à la fin de
capable do faire du scandale.
gés et rengagés.
tla, dans l'Etat de Puebla.
Dans une réunion du conseil r"''1^ i^j
fiées et allait les vendre, à vil prix, à un
l'après-midi
d'hier
devant
le
magistrat.
Quantité
de
petits
commerçants
d'Agen
Dans l'Etat de Sans-Ltii-dc-Potosi, les
M. MILLIÈS-LACROIX dépose un amende- < brocanteur.
qui a eu lieu, aujourd'hui, tous tfOMJÇJ
M. Deperdussin paraissait accablé. , Il maintenu leur démission et l'J censé u.
déclarent que l'abbé Chassaing ne parais- rebelles se sont emparés de plusieurs vilment à l'appui de ses critiques.
M.
Barrère,
commissaire
central,
donna
avait-pris
soin
de
retirer
le
ruban
de
la
ont également démissionné. Le3 conq
, M. BOUVIER ne pense pas qu'on puisse l'ordre aux agents de la Sûreté de pro- sait nullement attristé de quitter la ville, j les, et menacent la capitale de l'Etat, qui
Plusieurs autres personnes parlent dans j est la clef du trafic, entre Tampico et Ta- j Légion d'honneur qui lui a été accordé très ont réservé leur décision.
revenir sur la quotité du taux des alloca- céder à des perquisitions chez divers brole
même
sens.
tions.
maulipas. De nombreux combats ont eu I l'année dernière. M. Deperdussin a tout
BOURGES, 6 août. — Dimanche
canteurs et plus particulièrement chez un
La directrice d'un manège de chevaux i lieu ces jours derniers, clans les Etats de de suite indiqué à M. Hirsch qu'il avait le résultat des élections du canton de ^ilvr
Il insiste sur la nécessité de voter la loi savetier
de
la
rue
d'En-Calce,
nommé
Paul
choisi pour avocat M" André Hesso. Le
de bois dit s'être aperçue que Mme Crespy
intégralement.
n'avait pu être proclamé.
Fraysse, qu'une indiscrétion avait indi- suivait partout l'abbé Chassaing, l'épiant I Sonora, Vera-Cruz, Durango et Michoa-1 député de la. Charente, absent de Paris, tèlet
M.- Charles DUMONT, ministre des4 finan- qué
M. de Maransenge, conseiller corser^
comme
étant
le
receleur
probable.
Cette
j La garnison do Campècho s'est mutinée l
ces, est convaincu qu'il n'y aura pas de perquisition donna le résultat qu'on en jusqu'au confessionnal.
teur sortant, vient d'être déclaré élu.
L audience est suspendue.
aux cris de Tirrra y libert-ad et a ouvert j cabinet du juge par M" Bizos, son seerô- Havas.
•gaspillage. Il estime à 50 millions envi- attendait. Elle amena la découverte, chez.
AGEN, 6 août. — A la repriso de l'audien- ! les portes de la
ron la dépense.
ville aux zapatistes qui I
cordonnier Fraysse, de deux sacs cou-1 ce, l'abbé Lachaud, entendu dans la mati- l'assiégeaient.
Dès que le magistrat eut donné connaisi
M. BARTHOU insiste pour le vote intégral
tenant quantité de brodequins neufs.
sonco à l'inculpe de la plainte que nous
née,
demande
à
compléter
sa
déposition
et
I
de l'article 12.
En
présence
d'une
telle
situation,
rien
Fraysse a été arrêté et écroué. — Ha- déclare qu'il a retrouvé dans les papiers !
d'étonnant que l'intervention immédiate venons d'analyser, M. Deperdussin décla11 dit qu'il faut mettre au-dessus de tout
de l'abbé Chas-Ung le brouillon de son ! des Etats-Unis soit
l'intérêt supérieur du vote de la loi.
demandée par des
Le président à Comniercy rf
- « Tout cela est vrai ! Il y a un mois que
discours d'installation à la cure de Mon- ! personnages aussi Influents que les sénaSi des abus sont commis, le gouverneLE8 VACANCES *M!NiS7É RI ELLES
j tastruc.
je sais que je suis un homme perdu, mais
COMMERCY, 6 août. — La Fête du ti£E
teurs,
J.-W.
Williams,
de
l'Arizona,
A.
ment demandera la révision de certaines
PARIS, 7 août. — .u. Barthou quittera
Le chanoine Combes, archiprêtro à la Falls, du Nouveau Mexique, et Bacon, le j'ai voulu, jusqu'au bout, tout tenter pour devait avoir lieu à Commercy le "'Pf-ji
dispositions.
Paris aussitôt après la. clôture cle la ses- [ Cathédrale,
dit qu'il dut un jour interrom- député démocrate de la Géorgie, un ami me sauver... Je n'y suis point parvenu, che 17 août 1913, a été reportée au
M. BARTHOU demande la disjonction de sion parlementaire, qui sera prononcée
18 août 1913, jour de la visite de
Dre son sermon pour inviter Mme Alice intime du président Wilson et du secréta- l.élas ! »
l'amendement Milliès-Lacroix.
vendredi après midi.
M. Hirsch demanda alors au prévenu président de la République.
Crespy à cesser de faire des mouvements
. ]$
Si l'article 12 revenait à la Chambre, ditQuoique "absent cle Paris, M. Barthou! ; inconvenants de nature à le troubler et ù riat d'Etat, M. Jennings Bryai-L — W.
% quel usage il avait fait des sommes énorA cette occasion, M. !e président ae ^
il, c'est toute la loi qui serait remise en continuera à assumer les charges de la I
—
«>-î»-0
—
mes qu'il avait eues entre les mains.
République refnettra, à l'issue du baOT^J
gêner tous les fidèles. Tous les ecclésiastiquestion.
présidence du conseil.
— j'ai créé de toutes pièces des usines ' les drapeaux challenges aux société»
ques qui sa succèdent à la barre s'accor- 1 NOUVELLE VICTQJRE
■ M. BIENVENU-MARTIN, président de la comL'instruction publique fiera confiée à M. dent à dire que les toilettes de Mme Cres- I
modèles pour la construction de mes aéro-1. torieuses des cinq départements.
_
CU S0X1UB OARPENTIBR
mission sénatoriale des finances, insiste Massé, ministre du commerce.
planes, j'ai fondé des prix d'aviation, j'ai
py
étaient
extravagantes.
•pour le rejet de l'article 12.
M. Klotï, ministre de l'intérieur, quit- ^ Mme Carbone), couturière de l'accusée, ! VICHY, 6 août.— Carpcntior s'est rencon- organisé des aérodromes et des écoles de Tracasseries germaniO»^,
STRASBOURG, 6 août. — La ville de
^
La disjonction de l'amendement de M. ter» Paris lundi prochain, après le second
tré en un match de i>oxe avec l'Anglais
Ashley.
1
Milliès-Lacroix est prononcée par 343 voix tour de scrutin pour le renouvellement des s'avance lentement à la barre. '
M. deperdussin reconnut aussi
qu'il fort avait adressé à plusieurs inairw»
i
Comme
elle
paraît
très
gênée,
on
lui
fait
«entre 45.
conseils généraux.
A la 2° minute du 4» round, Carpeutier a avait acheté plusieurs
châteaux, sans localités de la Haute Alsace des ft^^
i respirer des sel?. Elle affirme que l'aceuL'article 12 est adopté à mains levées.
C'est, M. Pichon, ministre des affaires | s&e lui a dit q'uun beau crime passionnel jeté à terre son adversaire et l'a mis hors j compter d'autres immeubles, qu'il avait annonçant un festival cle musique » |g|
casion de l'inauguration du monomen*
ds combat par un crochet du droit à la t enfin des amitiés très coûteuses.
La séance est levé* à 6 heures 40. Séan- étrangères qui, en son absence, sera char| lui ferait une réclame des plus utiles pour ejacaobre.
les demain matin et soir. -— Havas.
"
•
gé de l'interna du ministère de l'intérieur. : i S* vent* de $m livras.
Mais les escroqueries dont s'est rendu Trois-Slèges.
Cette affiche a été interdit* as Al**0"*
Carpantier % Mi ferts applaudi.— Havas- çounaWe M. Deperdusain se limitent-elles
1 Havas.
SIXIÈME
Après de longs pourparlers particuliers, les
délégués sont tombés d'accord» mer, et ont
décidé de parapher le traité de paix ce matin,
jeudi. — Les Bulgares vont pouvoir s occuper
de nouveau des Turcs
ÉDITION
Lo Gharb entier se soulève
contre les Espagnols
La faillite Deperdussin
La paix est décidée
I
I
i\mm i
La Révolu ion mexicaine
La révolution Chinoiso
Le procès d'Agen
j
j
t a
NANCY
Légende
de Saint-Brice
1La classe
-X——
1913 et le brevet
d'aptitude militaire
Les jeunes gens de la classe 1913 dont
LA JOURNEE
aura lieu le 15 novembre
rl'incorporation
prochain sont informés que l'Ecole do pré-
Le mystérieux " Docteur " Kraus
Aux Assises
AUDIENCE
MERCREDI g
. .nos gens du petit village de Paparation militaire de Nancy (Grémillon) a
JEUDI 7 AOÛT. 218* JOUR DE L'ANNÉE
p
l# *S-Barinc, dans la banlieue do
commencé
dimanche dernier, 3 août, des
C
wOS^f aujourd'hui les plus paisibles
AUJOURD'HUI :
DEMAIN :
cours
spéciaux en vue de la préparation i\
.
C
faut
* honnêtes du monde,
Saint GAETAN
\ Saint CYRIAQUE
,
cusé dans son fauteuil. L'infirmier de U
l'augmentation excessive des assurances ci
l'examen du brevet d'A. M. qui sera passé f
i les P^riurore, ils sont debout quand
prison,
M. Douche, interrogé par le présiDE
Ephémérides lorraines. — En 1609, le I Q
contractées
par
lui.
pi
é
fin septembre.
,nnillement do l'alouette leur dit duc
,
v
dent,
dit que Kraus avait bon appétit ces
Henri II interdit la coupable manie j
di
Il
leur
est
rappelé
que
l'obtention
du
brogai if S dormi et qu'il faut songer *
,
Les témoins
,
A huit heures du matin il y a peu de
derniers
temps et qu'il lui a même demandu duel dans ses Etats.
Je 15
[ vet
d'A. M. leur permet le choix du régi- m
v
monde c"ans la salle d'audience quand la
ÎAMSTS » des vignes.
^
*
dé
plusieurs fois son morceau de fromaC'est
M.
Fandre,
33
ans,
pharmacien
à
di
A
8
heures
un
quart.
—
Musique
milij
ment,
la nomination au grade de caporal C(
n
*U* î 1 * voir alors vignerons et vigneron- taire
.
cour fait son entrée. L'accusé a été amené Nancy,
N
qui est le premier entendu. Il ge,
g<
à la Pépinière et au parc Sainte- |i a
après 4 mois de service et celle de sous- cc
11 'ftUtVPr les marmots dans les hottes, Mari©.
"
comme hier dans un fiacre, qui quitta la connaissait
co
le docteur depuis trois ans car
j! officier
après
9
mois.
Elle
facilite
de
plus
0
«es •"" Arceau de lard traditionnel et "
p]
prison vers 7 heures. Kraus est extrême- il faisait chez lui des achats importants. Il
l'examen pour passer élève officier de ré- m
entre lfj» piquette — se diriger allègreKraus parle
ment abattu. Il a passé une mauvaise nuit se faisait passer pour un riche Américain.
6erve.
{
Hudmi
LM
TEBÊt
*ÊnA
TUHB
je
u cruel™
pentes embaumées de Bari- m
et
L(
e avant l'audience le docteur Pilor. a dû
Le docteur Kraus chargea le témoin de lui
L'école
de
préparation
militaire
de
Nanj
ment vers i j^Michcl, au moment de la
,
7B3 Brest, 758 Chassiron, forte prest
lui
faire une piqûre. Les gendarmes trans- a<
acheter 10 litres de benzine la veille de
Enfin Kraus se décide à parler, lentesion Nord-Ouest Europe, dépression cy
c prépare les jeunes gens pour toutes les p,
portent Kraus dans un fauteuil, sur l'es- se
ne on ûUJ ,a piante chère à Noë !
son départ pour Metz. C'était pour ali- rn
ment, en scangant les phrases en allearmes,
et
elle
compte
déjà
à
l'heure
ac[
Sud
France.
a
trada
des accusés. Pâle, la tête retombant m
8ora»°Y/tout le monde rentre en chan- "g
t
mand, il donne quelques explications sur
menter le réservoir de ses automobiles, rr
i e 6
A NANCY
Le 7
\t\tuelle plus de 50 élèves de la classe 1912 Sl
Le soir' faj| dos flambées magnifiques *
sur la poitrine, il semble sans connaissan- déclare-t-il.
d(
son alibi. Explications que l'interprète trag<
reçus au brevet en 1913.
ce.
t*"1 'i "Vrments descendus du grenier ; \
C(
Kraus, qui était resté jusqu'ici inerte, d
duit au fur et à mesure.
avec 1« wa g0uper etj pCU après, je re- j
Les cours auront lieu tous les dimanches
J3 Ê, Heures Therm. Barom Temps probable: '
— Hermann ! Hermann ! crie son dé- se
Elles n'apprennent rien
de nouveau.
soulève les paupières et prononce quel-'
matins.
Rassemblement
à
7
heures
à
la
f
nifl
n
i
fenseur,
c
M* Allain, c'est en vain, car Her- qi
Kraus affirme que c'est à 10 heures trois
P Jir «racné : — ° s'endort dans la j
ques mots. On ouvre les malles qui con- ( K
caserne
Thiry.
^
0S
744 1
I c
mann reste impassible.
tii
quarts qu'il alla à la poste déposer le tétiennent
un linge élégant, puis on sus- q
P
i. ?..eieneur.
1a» fin. m. + U
On ne saurait trop insister sur la valeur
ci s écoule la belle saison !
«
légramme pour son ami Marx, de Karls— Vous voyez, il n'entend rien, fait re- p<
pend l'audience dans l'espérance qu'un u
Midi . -4-'2
74i Ventdes régions |
de
ces
cours
dont
les
instructeurs
:
officiers
rn
S quand la bise souffle et que la ç
ruhe. Par conséquent il n'a pu prendre lo
marquer son défenseur.
m
moka servi bien chaud déliera la langue r
4 A. *». + 22 744 !
Nuageux
| de
d réserve, sous-officiers et caporaux de
^ Aûvre la terre, c est la veillée au é
i
train de 10 heures 27 et il n'a pu renconM. Simonet avocat général. — Je suis d<
de Kraus.
ti
l'armée active préparent effectivement les C(
trer ce soir là M. Fristcb, commissaire, à
$Wj^Yà,iît avec les vieilles histoires du
convaincu que si on le remettait en liberté,
On ouvre les fenêtres pour qu'il respire j ti
Min...
+13
^Sale
ln oe i ^ ^ les recjts de revenants, pen^
élèves à leur futur métier de soldats,
I il
jj reviendrait à lui.
I
ui
la
gare de Pagnv.
c0 9
un
air
frais.
,
[
l£
Max.. -f 23
m
—
-«»• «»••■>>
—».
te,mp P'
| regarde fixement la bûche
>
M. Je président. — Cependant il l'afflr-t
M* AUaiu. — Eh bien essayez.
A 10 heures et demie, l'audience est recl)a i
d<in
' "ronsume ou les jambons et les sau- |*i§f (0fc»r,aî!9DS il M. Iiellijni.) j
ILa revue d'adieux
M. Simonet. — Ah non alors ! (Rires),
j pj
prise. Kraus tombe dans une nouvelle syn- me.
n
4U1 , tout noirs suspendus dans la vaste
Kraus. — Il a menti.
m
M. Simonet, avocat général, fait passer cope
ce
et le médecin s'empresse autour de
c
Enée De temps en temps, le petit li«SOLEIL
M" Allain. —
Non, M. Fristch s'est
du général Gcetschy aux
w jurés une photographie montrant que h;
lui pendant que déposo le deuxième té"Won a déniché au bon temps dans
trompé.
l'accusé, au cours da ses démêlés avec m
moin, M. Amêdée Migeon, 48 ans, garde- ti
nû
La revue des troupes de la garnison sera is
Lever
St^^rrrrrrr^^/tSL
Kraus explique ensuite qu'il a payé l'enf mov » d'échalas, dégage sa tête de
la justice Belge, avait eu la même attitude, vi
vigile à Laxou.
passée par le général Gcetschy le 17 août, il
il semblait alors aussi malade.
voi
de sa dépêche
avec une pièce de 20
oile 'lisse ses plumes et se demande
•
M*
Allain,
en
présence
de
l'état
de
son
v
i â
aux manœuvres prochaines, à Vittel.
mélancoliquement si le printemps ne va
<Coucher ^^^^^7^*^^^^^k
marck et que l'employé à dû aller deman— Ça ne prendra pas ici comme à cl
client qui n'a pu depuis ce matin répondre a
j > Le 16, il y aura repos.
p,
de la monnaie à un de ses collègues,
Bruxelles,
conclut M. Simonet.
ai
«as
bientôt revenir.
aux
questions qui lui étaient posées, croit der
d
P
Kraus ajoute que pendant la nuit ua
Ah ! l'heureuse existence comparée à
qu'il est de son devoir de déposer de nouNouvelle syncope
^'
se trompa de chambre et entra
LA BiÈRE GKEFF est Cta«Mtfé«
velles
conclusions demandant le renvoi de voyageur
v
r«lle des cités 1...
crolro
11 n eri eta!t
as de
dans la sienne.
——-x——
Finalement
on
décide
de
suspendre
l'auri
l'affaire,
car il ne peut cependant laisser d
Mais il faut
1°
P
M. le président. — A quelle heure êtesmSme en l'an de grâce
i
Aux collectionneurs
d
dience pendant quelques instants, pour juger
ji
Kraus dans de telles conditions.
I vous
descendu de votre chambre ?
A cette époque,
les gens de Pagney
j
permettre à Kraus, de reprendre conM. l'avocat général, parlant de M* Al- v
Nos lecteurs ignorent sans doute qu'il P
Kraus. — A six heures.
«Sent bien plus turbulents qu ils ne le
■
naissance.
ilain,
dit qu'il a un adversaire qui est la
a
I existe à Nancy une revue Carto-Philatéli- n
L'accusé dit ensuite qu'il n'a rien d au«mt aujourd'hui et le motif de leur agitaM. Pilon prodigue alors ses soins à l'ac- loyauté
lo
même. Il persiste à tenir Kraus
; que des mieux" organisées.
à ajouter.
tion provenait de ce qu'ils n'avaient pas
1
c
On lui fait respirer de l'éther, on lui pi
pour un simulateur et il laisse à la Cour tre
t;
PL
le 16
"^i^i^
y
Eu effet, depuis trois années déjà la re- cusé.
'
de saint pour patron.
1
tamponne
le
front,
c'est
en
vain.
Kraus
le
le
soin
d'apprécier.
vue
«
Le
Glaneur
Cosmopolite
»,
qui
pos^
28
^
Précisément, vers la fin des vendanges DQ
*;NI, le
agite ses bras, comme un oiseau qui bat
M. le docteur Piilon persiste à se monle 31
^^««-->»^
ssède un tirage très important, s'est eifor- ' a
Audition des témoins
de cette année, une demi-douzaine des plus
trer sceptique sur les malaises de l'accusé.
cée de grouper tous les collectionneurs du de
d l'aile. Sa dernière heure va-t-elle son- ti
n
enragés « crapoteurs » du village, munis
ner.
Non,
car
le
voici
qui
soulève
les
pauL
Le pouls et le cœur sont bons, dit-il.
monde entier pratiquant des échanges de
On reprend ensuite l'audition des Wde paniers, se trouvaient dans les vignes
Etat des eaux de la Moselle \timbres poste, cartes postales, pboto's, etc.. Ppières. Le regard noyé, vague, il reconM* Allain. — J'ai la responsabilité du
rroins.
M. Gutton, architecte, est le pron
n
touloises situées entre la chapelle de Saint c
naît
son
avocat-conseil
de
Metz,
M.
Reus(
sort
de
l'accusé.
Depuis
que
je
plaide
de!
1Actuellement elle est en excellente voie et
Fiacre et la Vierge-de-Reiuge, en face do Communiqué par le Casting-Club Lorrain : patronne un club qui est en train de pren- ter.
vi
vant les Tribunaux, je n'ai jamais vu une Fpriétaire de la maison de ta rue de Phalst<
bourg.
Il dit que Kraus était un bon locaEn amont et en aval du Madon : limpi- ,dre la première place parmi les groupeaffaire s'engager dans de telles conditions.
J
— Che feux en finir, murmure-t-il, et le a:
Brûley.
,
.
taire et que trois jours avant l'incendrè,
des ; hauteur normale ; prévisions favora- i! iments de ce genre.
Tout allait donc pour le mieux ; malheu- d
v
M. Pillon. — Moi, aussi. J'ai ma respon- j
voilà qui tombe à nouveau en syncope.
il lui avait écrit pour avoir l'autorisation
reuaement pour nos pillards, un person- h
bles.
Le prix de l'abonnement est de 1 fr. 50.
sabilité et je puis bien dire que si M* AlI
faire élever un poulailler.
c
L'audience continue
fl n'a jamais eu semblable client, moi, do
nage qui les observait depuis quelque I
Pour fbus renseignements complémentailain
Mme Jacquard, ménagère à Nancy, sait
$emps, s'empare soudain du plus effronté j
; res écrire à la direction, 45, rue Charlesje
n'ai
jamais
vu
pareil
malade.
Il est huit heures et demie, M. le Prési- j«
d'entre eux (un nommé Pipiche) et l'enA ce moment, l'accusé pousse des gé- I cque de nombreuses femmes venaient ches
L'élection du canton Est I Martel, à Nancy, en joignant un timbre ddent reprend l'audience. M* Allain dépose
1 docteur Kraus en auto.
traîne vers un poirier qui se trouvait au
pour, la réponse.
missements et des rires bruyants éclatent le
aussitôt
des conclusions demandant que le n
a
Lo lieutenant Collignon fait un récit dé«—
p
bord du chemin.
dans
la salle. M* Allain proteste contre
procès
soit
renvoyé
à
une
autre
session,
d
Aux termes de l'article 14 de la loi du 30
suite l'im1taillé de l'incendie. 11 eut de
Sur l'ordre du dit personnage,qui n'était
MALADIES
DES
YEUX
e
l'attitude
du
public.
en
raison
de
l'état
de
l'accusé,
qui
n'a
pas
V
août 1873, nul n'est élu conseiller général
pression qu'il avait été allumé par une
autre que saint Drice, l'arbre étend hori- a
La
Cour
se
retire
pour
délibérer.
Penf
sa
connaissance
et
ne
peut
se
défendre.
Guérison rapide et radicale de toutes s
main criminelle. Les portes étaient ferlontalement ses deux maîtresses branches 8s'il n'a réuni au premier tour de scru- : les maladies des yeux et des paupières
d
dant la suspension d'audience les gen- r
_r
,
:
mées et les bidons d'essence au lieu d'être
r
comme deux bras gigantesques et cetto j tin
ti
; par le traitement spécial sans opération
darmes
qui
tiennent
près
de
l'accusé
l'emDéclarations du médecin
à
1° La majorité des suffrages exprimés. I 1
placés dans leur réduit habituel, se troucroix improvisée sert à attacher le larron i
ploi de garde-malades l'enlèvent de son I
la Clinique des Yeux, 15, rue de la
2» Un nombre de suffrages égal au quart de
'
vaient éparpillés dans les chambres. Sur
M.
le
Président
demande
au
docteur
PiE
comme à un pilori.
fauteuil et l'étendent avec soin sur le banc x
i 'Constitution, Nancy.
,
a
électeurs inscrits.
une question de M" Allain, M. Collignon
Ion,
médecin de la prison, de donner quel- des
<j
11
Inutile d'ajouter que les camarades des
accusés. On place un oreiller sous la 1
Les
indigents
sont
reçus
gratuitement.
Dans le canton de Nancy-Est, le nombre i
précise que le domestique Luig Meyer arques détails à MM. les jurés sur l'état de ^
iraient pris la clef des... vignes et ne s'étête de Kraus. On lui frictionne le front I
des électeurs inscrits au 3 août était de |
riva bien après les pompiers.
'
taient pas attardés à contempler l'exploit d
Jeunes voleurs arrêtés
\l'accusé.
avec
de l'éther. De temps à autre il agite 1
a
9
11 demeurait à 60 mètres de là et en raidont le quart est de 2.386.
— Son pouls est régulier, le cœur fonc- nerveusement
de saint lin- v
,9.544,
ses bras. La Cour fait apMercredi, dans la soirée, les nommés Jun
son du vent qui soufflait, il se peut très
Le calcul de la majorité absolue est le |:
tionne
normalement dit M. Pilon. Kraus a peler
p
Le Pipiche jura de se venger.
le défenseur et l'avocat généraL '
;
les
Bas,
àg
éde
12
ans,
demeurant
26,
rue
jj
« C'est le curé qui a prévenu le saint ! » 3suivant :
A 10 heures 40, l'audience est reprise.
*bien qu'il n'ait rien entendu dès le déSaint-Thiébaut, Alfred Lecomte, âgé de eeu des crises semblables à la prison, qui
Nombre de votants : 5.802, dont il faut
but
lui
durèrent
même
plusieurs
jours,
surtout
L
se disait-il ; — « Û me le paiera !... »
La
Cour
désirant
être
fixée
sur
l'état
de
*
6 ans, même rue, 22, André Gerbet, âgé ¥
M. Lienhardt commissaire de pobee,
Or donc, la niche du saint patron, à ddéduire 69 bulletins blancs ou ne conte- | de 7 ans, 58, rue Clodion, et André Helfert, Jlorsqu'il recevait de mauvaises nouvellos. p
l'accusé charge les docteurs Parisot et
11
pas une désignation suffisante ou j
constata
de 6uite dès le début de son
c
Le
docteur ne s'émotionnait plus guère de Zilgien,
2
droite du maître-autel de l'église, était tou- nant
professeurs
à
la
Faculté
de
médeâgé
de
8
ans,
11,
rue
Clodion,
ont
été
arIà
que l'incendie était volontaire.
dans lesquels les votants se sont fait con- j
ces
c
crises. Il n'y a aucun danger pour la cine,
jours vide ! — Vint la fête dû village :
de procéder avec le docteur Pillon, cquête
.
retés
sous
l'inculpation
de
vol
de
broches,
c
— J'ai trouvé dans les décombres deux
de Kraus de continuer les débats, à
& l'examen de l'accusé et de dire S'il est oui
8
Le Pipiche, qui avait annoncé à toutes Enaître.
commis au préjudice de M. Hallin, place santé
avec leur clef.
Reste pour le chiffre des suffrages expri5
dit
le Docteur, mais je ne puis affirmer ou
les commères du pays l'arrivée de saint
non en état de supporter les débats. A serrures
!
du
Marché.
B
0
Ces serrures étaient ouvertes. Le doraesj, reprise de l'audience, à deux heures de
Brice, se rase complètement la barbe et Emés : 5.733.
_^
qqu'il a en ce moment toute sa lucidité la
tiquo
me déclara que les clefs avaient été
Majorité absolue^: 2.867.
d'esprit, en raison de sa faiblesse.
y
après s'être affublé d'une chasuble voléo
l'aprè#midi, ils feront connaître le résul'
emportées par son patron et qu'il était
M. Larcher, qui a recueilli le plus grand
M. le docteur Pilon ajoute qu'hier soir, g
dans la sacristie et d'une mitre en carton
tat de leur examen.
étonné de voir les serrures ouvertes.
on a fait à Kraus une piqûre à l'huile
doré, se hisse dans la niche et se tient im- rnombre de suffrages, soit 2.901, a donc été
Kraus. — Je n'ai pas emporté les .clefs
Du 6 août
élu conseiller général du canton
camphrée, une nouvelle a été faite ce mac
mobile pendant tout l'office, au grand éba- proclamé
F
(comme Luig Meyer le prétend. Je lea aval*
tin. Pendant la nuit, Kraus a uriné dans
Mssement de ses concitoyens qui avaient de
d Nancy-Est
Naissances
^
Bien avant deux heures, un nombreux <déposées dans un tiroir du vestibule.
*-*
son
lit, ce qui indique une faiblesse dans
enfin ce qu'ils désiraient (la femme de PipiM. Lienhardt.— Le jardinier Luig Meyer
Denise-Marie-Camille Conchon, rue du les
,
public
pénètre dans la salle des assises.
Remerciements de M, Larcher
organes. J
p
che seule trouvait que le saint n était pas
1
Maréchal-Oudinot, 22. — Robert-JosephKraus est assis dans un fauteuil, dans le jj ^était si profondément endormi au moment
beau f).
M* Allain demande à la cour de faire, k
M. Lucien Larcher, conseiller général du I\ Auguste Orpheuille, rue Molîtor, 15". —
box
des accusés. Il est transfiguré depuis le 1 <dt l'incendie qu'il fallut presque enfoncer
b
Mais saint Brice (le vrai 1) veillait et, canton
c
Est de Nancy, adresse en ces ter- i Yvette-Moiiique-Madeleine Verge, rue Isa- droit à ses conclusions.
U cause avec son avocat-conseil de I 1les-portes. Luig Meyer disait même qu'on
M. Pilon. — L'attitude de l'accusé pour- matin.
n
invisible, il assistait à la messe.
imes ses remerciements à ses électeurs
; bey, 5- bis. — Edouard-Marius Desche- ra recommencer à la prochaine occasion. 3*
Metz, M. Reuter. Il n'a pas quitté le palais i tavai tdû mettre du narcotique dans ses
Hélas ! au moment où M. le curé, au
« Mes cher3 concitoyens,
j naux, rue Dauphine, 3. — Gcorgette-Marie
qui lui furent remis par Krau»
'>
M. Simonet, avocat général, dit que l'ac- dde justice et s'il n'a pas mangé a midi, on ! aliments
comble de l'enthousiasme, engageait ses
« 11 y a six ans, je vous disais que je ne :i Bélin, rue Sigisbert-Atiam, 33. — Victoravant son départ.
apprend
du
moins
qu'il
a
fumé
quelques
>
cusé
est
un
simulateur
habile,
qui
a
toute
a
fidèles à se montrer dignes de l'honneur i cesserais
c
pas de travailler à l'émancipa- i; Adrien Wittmer, rue des Sables. — Pier- |
M" Allain. — Le jardinier a lui-même
c
conscience et qui peut très bien suivre ccigarettes. Un infirmier de la prison se
qui leur était fait, notre vigneron se sentit ! tion
t
de la démocratie en luttant contre ses i! rette-Aurélie ûssola, rue de Mon-Désert, Jsa
1
déclaré
devant le juge d'instruction qu'il
tient
â
côté
de
lui
et
remplace
les
gendarles
débats
et
se
défendre.
t
subitement indisposé (les raisins volés à eennemis.
1
avait
mangé ces aliments la veille, pas
107. — Raymond-Marceau Voldoire, rue
mes
dans
leurs
fonctions
de
gardes-malaM" Allain. — Je n'ai qu'un désir, celui n
" l'Arbre-en-Croix » agissaient !) et il se
« J'ai tenu parole, et vous m'en avez su ' des Quatre-Eglises, 56. — Charles-René
conséquent
le narcotique, s'il y en avait,
(
«menait dans sa niche comme un dicble gré,
r
puisque vous m'avez élu par près de L'Huillier, rue Gûi!bert-de-Pixerécourt, 36. d'en finir, mais je voudrais que mon client dde.
Vers deux heures et demie, l'accusé sem- 1en aurait produit son effet plus tôt.
fans un bénitier.
ttrois mille voix.
puisse se défendre.
•
M. Dupuis Eugène, agent de l'assuranctr
Dosés
Statuant sur les conclusions de M* Al- 1 tble se trouver mal à nouveau. Ses traits l'Abeille, vient donner des détails sur lea
A cette vue, les gens de Pagnev, émer- I
« Vous avez aussi nettement indiqué-vo- '
Clémence : Bourg, 48 ans, professeur à %
veillés, criaient : « Mirâ-ele ! Miràcle ! Vol tre
t
préférence pour le candidat qui mar- l'Ecole professionnelle, épouse Boilin, rue | ïain, la cour, après en avoir délibéré, dé- sse contractent et ses paupières retombent. avenants contractés par l'accusé. Il assu:
IUn coup de sonnette retentit et la cour fait •
saint Brice que bouge !... »
<
j che
drapeau déployé,sans essayer de trom- ; Dom-Calmet, 1. — Jeanne-Eméiie Bautz, cide qu'il sera passé outre aux débats.
sson entrée... L'audience est à peine ouverte ra pour" de fortes sommes des tableaux
L'illusion ne fut r>as de longue durée ; |'■ jper les électeurs.
valeur, et quand on alla chez lui après
1
25 ans, couturière, épouse Haye, rue Saint; qu'on
est obligé d'emporter l'accusé hors de
L'incendia
q
w reconnut l'imposteur et on lui adminis- i
« Enfin, vous avez proclamé le désir d'ê- . Nicolas, 78 bis. — Paul-Joseph-Eugène
j l; 'incendie, on ne trouva que des cadre»
de
la
salle
d'audience
pour
lui
permettre
i
ira une ràclée comme jamais il n'en avait ; tre
t
représenté par un républicain,
i Mistler, 2 ans et 1 mois, rue Sainte-Marte,
de la rue de Pkalsbourg
^ satisfaire un besoin intime à l'aide d'u- j; vides. Les toiles avaient été enlevées.
de
reçu de sa vie (sa ménagère — comment j
« Le canton tist de Nancy, qui vient de 10. — Henriette-Elisabeth-Françoise Minine
r
sonde, car il est atteint d'urémie... Dix jI Les fameux vases qui avaient é(é assudonc .' — tapait plus fort que les autres !). | cconstater les bienfaits de l'union pour bat- cus, 3 ans et 8 mois, rue Follcr, 10. — . M. le Président, ne pouvant interroger
pour 7,000 Ir. chaque, valaient tout au
J
r
minutes
se passent Les jurés se deman- !;rés
expose alors l'incendie de la rue de !
te vrai saint Brice a apparut alors et 1tre la réaction, saura s'en souvenir en Hirsch Peltau, 67 ans, colporteur, rue de 'Kraus,
300 fr.
.
c
]j dent,
anxieusement quand on verra la fin plus
1
! Phalsbourg.
««nna sa bénédiction au peûole de Pagney - 1914,
]
au moment des luttes législatives.
A ce moment, Kraus s'esclaffe et touta
Beifort, 2. — Théodule Denis, 60 ans, ma- j '
font il resta le protecteur. *
« Merci donc à tous les amis connus et ; uceuvre, rue de l'Equitation, 44. — Lucien- jj , Dans la soirée du 30 septembre, après j cde ces débats... puis ils prennent le sage I! la salle est en joie de voir le docteur mouQuand au Pipiche, il quitta le pavs et ! iinconnus qui ont assuré la victoire du seul ; Léon Humbert, 2 mois 3 jours, rue Iiléber, j| javoir dîné chez Scheck, il alla dans l'hô- j| ïparti d'en rire. M. l'avocat gênerai les imi- Ji '1rant le matin, rire l'après-midi.
1
\ te.
SL le président quitte son fauteuil pour j
°n ne le revit plus.
<
, candidat
républicain.
21. — Angola Baroni, 14 ans et 3 mois, j Itel où il était descendu, puis il se rendit 1j ialler s'enquérir de l'état de santé de l'ac- j — Avez-vous quelque chose à répondra
« Le canton Est peut compter sur moi.
HEXRÏ MAIRE.
témoin ? demande le président
1
modiste, rue de l'Equitation, 13. — Marie- \ à
' la poste de Metz, pour envoyer une dé- j| cusé
et c'est une hilarité générale quand |: au
*j
« Vive la République laïque et démocra- j: Louise Winckler, 67 ans, sans profession, \pêche à Carlsruhe et ensuite il prétend j c
"
■—■—
—
— Tous les directeurs d'assurances sont
on
c
apprend
que
Krau»
fait
demander
du
!
été consommer de la bière à l'hôtel j
j tique !
voleurs, s'écrie Kraus.
épouse Kempenich,rue du Général-Fabvier, j avoir
\
| bouillon. Pendant qu'on lui prépare un \j des
'
j&BHKHî GRAND CHOIX
'
« LUCIEN LARCHER,
Son avocat précise que l'injure ne s'aj 39. ~~ Edouard Bcssège, 40 ans, sans pro- 'avec le patron,
1
« Avocat à la cour, conseiller général, jj fession, rue des Quatre-Eglises, 56.
M. le Président dit que, d'après la ver- 1j ipotage, les trois médecins experts viennent ': dresse pas à l'honorable témoin, ni à sa
| * CADEAUX Bîor FÊTES à ia||
Chevalier de la Légion d'honneur. »
sion de l'accusé, la dépêche aurait été i cdéposer à la barre.
i compagnie.
1
BIJOUTERIE
j déposée à 10 heures 1/2. A onze heures, il j .M. le docteur Parisot dit que lui et ses j L'accusé parle ainsi — dit-il — parcs
ont examiné l'accusé après l'au- '
c
Ki. Aioert Cierget
M s OB
1 serait monté se coucher et il se serait le- j collègues
Ils l'ont trouvé étendu sur une i; 'qu'il a eu des difficultés avec des assuraoUn de nos anciens confrères nancéiens,
vè à 6 heures. Voilà l'emploi du temps qu'il j| dience.
\
8
anglaises.
j
banquette.
U donnait l'impression d'un ,j ces
'
i M. Albert Clerget, maintenant rédacteur
: a donné do son interrogatoire.
D. — Des difficultés dans le genre da
1
homme
paralysé.
En
lui
tâtant
le
pouls,
on
|
4, Eue Saint-Georg
î: ij ien chef du « Spectateur », de Langres, s'éLa même nuit, vers 1 heure ITZ du ma- *
celle-ci
1 (Rires.)
1
tait présenté dimanche au conseil généraii
tin, rue de Phalsbourg, les voisins furent jI ipouvait constater qu'il ne s'agissait pas de
et
M. Dupuis ajoute qu'après le sinistre,
|
troubles
bien
graves.
! dans le canton de Fayl-Billot Le conseilréveillés par une formidable explosion efc ! '
Le pouls était normal, ainsi que le cœur, l'accusé demanda le montant de son assuler général réactionnaire sortant, le doc-■ !
Association amicale des secrétaires et toute la maison habitée par ie docteur II
M. ie docteur Parisot le fit causer, lui of- rance, soit plus de 100,000 fr.
teur Tribet, a été réélu par 1,428 voix. M. ! employea de mairie oe Meurthe-et-Moselle i Kraus était en flammes,
'Mme Millot, teinturière, dépose que l'acAlbert Clerget a obtenu 1.185 suffrages.
! et «Je la Meuse. — Cette Société, dont lo j]
Les pompiers prévenus aussitôt arri- »I 1frit un café qu'il accepta, ainsi qu'une ci- cusé fit envoyer chez elle du linge qui u'aCet homme, qui était comateux
siège est à Nancy, rue de la République, I vèront et malgré le vent violent, les pom- is garette.
i
minutes avant, accepta encore de vait pas besoin d'être nettoyé.
Souscription pour les hangars militaires1 | 26, vient de se conformer à la loi du l»r pes
j
attaquèrent ie ieu avec succès. On put quelques
f
1
MM. Tavard, 30 ans, et Marc Martin,
■
M. Portier, instituteur à Agincourt, 2 fr.■ j juillet, relative au contrat d'Association i1 'conserver les escaliers de la maison et di- sfumer un cigare.
négociants, sont également entendus pour
M.
Parisot
rappelle
d'ailleurs
qu'il
exa)
i en souscrivant la déclaration prévue par' verses parties.
AJ 16 bataillon de chasseurs
Kraus peu de temps après son arri- !j des dépôts faits chez eux par Kraus.
1
Ohez les sylviculteurs
! l'article 5Le lieutenant Collignon eut de suite l'im- mina
vée
à
la prison, alors qu'ii se plaignait ii M. Geissert Charles, 28 ans, marchand
Pour renseignements juridiques, les so- pression que l'incendie avait été allumé | '
août
0n snit
Nouveaux membres admis dans la floristalllnn*'/
—
que le 16" ba; d'une
paralysie, notamment des organes .j de cigares à Metz, dit que Kraus déposa
chasseu
■
|
ciétaires
pourront
s'adresser
à
M"
René
par
une
main
criminelle.
<
santé
Société
lorraine
des
Amis
des
ar|
bille
rs à pied doit quitter
1
Il avait une inflammation ai- |j chez lui 41 volumes, un rouleau et 6 tai Leblanc, avocat-conseil de l'Association,
M. le commissaire de police trouva sur j\urinaires.
»
à l ah?
, er tenir garnison dans l'Est, .bres :
j
guë
et
urinait
même du sang. Mais l«s me- || bleaux que Mme Kraus vint réclamer cbea
s
!
rue
de
Lorraine,
15,
à
Nancy.
deux
serrures
les
clefs
qui
avaient
été
em>
MM. Najean, chef d'escadron au 6* régichasciBnl' ,
officiers, sous-officiers et
1
j
aecins
surent
bientôt qu'il avait absorbé j lui après l'incendie, mais il ne voulut pas
8 u bf
,
!
Chambre
syndicale
de
l'Eclairage
de
portées par le docteur Kraus, quelques j
leui•
'tîdllon ont, à l'occasion de ment d'artillerie à pied, à Toul ; Japy,
1
j
des
cachets
au
moment de. son entrée en 11 les rendre, car Kraus lui devait de 1 arI0rm
j
Nanoy.
—
Assemblée
générale
le
9
août,
jours avant. Donc celui-ci était revenu à î
«ne fM*!^
é lo projet d'organiser de Beaucourt, à Paris et Saint-Dié ; Vo- j
i
prison
et
que
ces
cachets étaient cause de jj gent, et Mme Kraus lui remit un acompte
ISÎses troubles urinaires.
avec i» d'aéieux en l'honneur des Lillois, nan-Génin, épicier-boulanger à Maizières-. salle Chenel, rue des Quatre-Eglises. —> Nancy.
Il s'en est guéri ra- ij do 50 mark.
l Ordre du jour : Réunion de propagande ;
M. Scheck, do Metz, sait que l'accusé a
chasse,,,.on(iOUrs de la Sociéfé des anciens les-Toul ; Sommeilber Marcel, marchand
pidement,
puisqu'aujourd'hui
on ne trouve
> compte-rendu moral et financier ; compm
La question d'heures
anifeMr n r fiSS0Ciej"
ville à cette de bois et industriel à Dun-sur-Meuse
Plus
d'albumine dans son urine. On trouva j également déposé des livres chez son oncle
te-rendu
de
la
délégation
des
retraites
;
\
(Meuse)
;
Jeanmaire,
négociant
à
Doulecip8j
» „. Patriotique, le conseil muniI et avait offert de lui vendre des étoffes de
Bientôt, M. Fritach, commissaire de po- 1également dans les selles do l'accusé des j soie. Il sait aussi que Kraus sortit de chez
élection partielle du bureau.
vicnt de voter un
l.UOo fr n
crédit de vauï-le-Château (Haute-Marne) ; Pierre
feuilles
de
cigare.
Il
voulait
sans
doute
—
„
<0-9>
<•
■
—
lice,
ayant
lu
dans
les
journaux
l'incendie
qui sera mis à
I son oncle le soir de l'incendie, vers 9 heades oivrt • '
la disposition Roeser, ancien élève de l'Ecole polytechniU1samaateurs de la fête.
de la rue de Phalsbourg, vint déclarer que 1s'empoisonner.
que, négociant en bois à Crécy-en-Brie
t:
jj res un quart
Un
autre
jour,
on
remarqua
dans
les
]e
docteur
Kraus
avait
passé
à
Pagny-sur(Seine-et-Marne) ; Schlumberger, conservaM. Scheimhart, gérant de l'hôtel de la
mains
de Kraus une poudre blanche.Il pré-, j
Moselîe
par
le
train
partant
de
Motz
à
10
'
teur des eaux et forêts à Epinal.
Poste, à Metz, a reçu dans son débit, l'ao*
tendit
que
c'était
dm.
piramidon,
substance
M
Voici ie sommaire du numéro d'août, quii heures ZI. Kraus l'avait même salué, car
cusé, de 9 heures du soir a 10 Uyiaus, ie
1qui prise à granderdose pouvait occasion-,
ils se connaissaient.
.
vient de paraître :
Pourquoi Lusuilua 7
] 30 septembre. Il est ensuite allé se coucher,
:
ner
des
troubles
spéciaux.
M. le président raporte à nouveau les dé- j
15-16-17
Carnet mondain. — Nos contemporains.
i
Parce que Lucullus est une marque quii
j M. Scheimhart dit que si l'accufsé était
- — La Merveilleuse Terre de Lorraine, par• clarations de l'accusé sur son emploi du j • Kraua est un simulateur », conclut le I sorti après 10 heures du soir il n'aurait
constitue
une
garantie
pour
lo
consommadocteur Parisot
Troye?s; 6 aout' ~Le comité des fêtes de ] teur des véritables vermicelle aux œufs, jî Hinzelin. — Malzéville et Libremont, par■ temps à Metz. On a, dit-il, interrogé les
i pu rentrer pour 6 heures du matin sans
î°a actif ■ a déjà de brillants succès à ! nouillettes aux œufs, etc. Cette marque,( Badel. — Le parterre du Parc Sainte-Ma-. i employés de la poste de Metz pour savoir i M. le docteur Parisot remarqua égale- ij être obligé de sonner. Or le gardien n'a
puis ltt
j
à
quelle
heure
Kraus
avait
déposé
la
dépêi
tonnoterip
Première fête de la : qui ne peut être copiée par les imitateurs,, : rie, par Nicolas. — Les Sapeurs-Pompiers; I
| ment que Kraus parlait assez bien le fran- rien remarqué ni entendu. U a seulement
"U 15 lin,-* e" 1909> organise pour le pont■ 1 est parfois caricaturée, dans le but de don-, ;i de Nancy, par Dombray. — Une fête de> | che. Ils ont répondu que ce devait être vers I
çais à certains jours alors que d'autres j vu Kraus descendre l'escalier vers 6 heures
d
Uue fêt0
!
'.
!
dix
heures
du
soir.
L'hôtelier
de
Kraus
in" cinm?' •
du travail à l'occasion ner lieu à confusion. C'est à l'acheteur dea Naumachie à Nancy-Thermal. — Les Courfois il prétendait ne pas connaître notre, un quart.
des
n
s
dique,
lui
aussi,
que
l'accusé
avait
dû
mon?ocS,f n concours de la fédération' ;| faire justice lui-même de ces procédés, eni ses de Nancy. — Courses d'automobiles
latjgUe. En résumé pour M. Parisot, Kraus, \ M. Van Gent, 45 ans, négociant, rue Sta1
ter
dans
sa
chambre
vers
dix
heures
et
non
, Le u,,^. théâtrales d'amateurs.
I refusant carrément tout ce qui ne porteraitt Toul-Nancy. -~ Projet de transformation
1
T une
I est un simulateur. A la prison de Munich ! nislas, a reçu quelques jours avant l'in'UmipL
V >
magnifique retraite il-[ j! pas la marque Lucullus.
i du quartier Clodion-Saint-Thiébaut. —. onze heures, comme le prétendait Kraus.
Dl
De toutes ces déclarations, il résulterait, i il avait déjà simulé une paralysie du bras1 cendie la machine à écrire de l'accusé pour
UsiqUp' a laquelle prendront par douze 1
|
Echos.
—
Feuilleton.
—
Causerie
du
Docnor
que celui-ci aurait eu le temps de prendre: ! et de la jambe gauches, paralysie qui bien. une petite réparation. Le témoin ajoute
>cers iv fanfares et 700 figurants an- i
I teur, etc.
entendu disparut comme par enchantè- que Kraus lui a escroqué 6.500 fr. L'accusé
„ ^ venrt? Jerture des fêtes.
Illustrations : M. Paul Thiry, présidentt le train de 10 heures 27.
3es
aura Iieu
;
j
ment
après "sa libération. A Bruxelles, ill se fâche et en Allemand, il appelle le té-i
t
M«
Allain
lit
la
déposition
des
employés
j
muse,
H
le
couronnement
;
M. Dovergne prie dès aujourd'hui sat de l'A. C. L. — M. Bocquillon, représentant- i de la poste de Metz. Us disent que la dépê-. j simula une paralysie des organes infé- moin « gros cochon »,
M
îr uito de li mUSedifférentes
corporations et\
. de la Maison Grégoire.— Mlle Barghon, pi- j
(
clientèle de bien vouloir accepter ses excuMme Van Gent vinet dire que très souvent
des muses sn1, la
lace
,
rieurs.
che
a
été
déposée
à
10
heures
£
exactement
une Grégoire.— Les généraux Goetsjj r-Hugo
P
j ses, car demain, jeudi 7 août, elle trouve-,._ lotant
Quant à sa paralysie d'aujourd'hui elle: Mme Kraus poussée par la jalousie disait
chy, Poline Kaufmant et Lefèvre. —- M.. ainsi qu'en fait foi la photographie de la |
fo
est exagérée. On constate bien quand on lei ; qu'elle irait en Allemagne et que delà elle
^PoséUsnî ^ ?ctte occasion, un spectacles I ra closes les portes de .!a Brasserie Vien- Louis Thiriot, de Malzéville. — Le pont, ett dépêche qu'il a dans son dossier,
tfacieusi» PHaIemcnt et l'installation, trèsi noise et celà à l'occasion du mariage deâ l'église de Malzéville. — Les parterres dui
M. le président. — On leur a -demandéi 1 pique avec une épingle qu'il ne paraît; \, le dénoncerait. Mme Van Gent est persuabl
«ntent pî,f ineUm de placer conforta-- ii sa fille, avec M. Jeandcrt.
depuis
de préciser et, dans une déclara-. i| rien sentir mois il ne faut pas oublier que: i! dée que tout ce qui est arrivé a été maniParc
Sainte-Marie.
—
Le
commandant
BarLe sa*nM- e dix mi)le spectateurs.
tion
antérieure,
ils ont déclaré que ce pou-. !j Kraus a une grande force de caractère, j gance par Mme Kraus avec le jardinier,
,
hier.
—
Le
personnel
casemé
des
Sapeurs:
S.
Plein air LapSès. midi> représentation\ 1j JAMET, BUFFEREAU
vait
être
à
10
heures
20 que la dépêche1 •j Mais en tout cas on rie constata chez luii | Il lui fallait de belles robes pour faire U
C"
Pompiers
de
Nancy.
—
Le
matériel
autoète
nautimi»e," balomé ». ; le soir, grande !
i
avait
été
déposée.
Mais
pour compenser lei ! aucun des signes secondaires qu'il devraitL jj noce. « C'est une fausse femme, si elle n«
mobilo
de
la
Compagnie.
-Les
Pompiers
Tous travaux cornpîabi&s
eanaL Utple Illuminée sur le bassin dui i
i
retard
qu'il
y
avait
ce
soir-là dans les1 jj forcément avoir si sa paralysie était vraie,. ij se sentait pas coupable elle viendrait dé<■g
à
la
Revue
du
14
juillet.
—
MM.
WeiS3,
Ri!
| 20, Faubourg Si Jean, NAHCï - Tél. 12.55
bg (lim
M. le docteur Parisot conclut nettenfentt ; fendre ici son rnari»,
1
transmissions',
ils
auraient
refardé de quel- !
gai,
Carié,
Schraitt
et
Béher.
—
Le
général
s
1
M. l'avocat général demande sur quelle»
fc TiarnmS *!' concours d'honneur pour
.
j
au
nom de se? trois collègues en disant, que5 '
î
ques
minutes
sur
l'original
l'heure
du
déî
(JoeUcby au pesage. — Nos élégantes aux
- i. bases Mme Van Gent a construit ce roman.
Prarîce et**? nq SOc'étés littéraires de
L'Ecole
Saint-Cyr
à
Nancy
i
Kraus
simule
un
état
comateux
qui
n'exiaCourses. — Saut de haie. — Reproductionr part.
k
étranger inscrites au concours.
1 I
Le tirnoin. — Je lu juge plus que lui COOLes élèves de l'Ecole spéciale militaire,
M, le prési detit rapello q»e> c'est vers uno» te pas. Il peut fttoll da* taibteiueiJ.poisqu'il [
5» de la maquette exposée par la Société In-- ;
qui accomplissent en ce moment un voyai* dustricllo de l'Est. — Mme Ritter, Mnrs-la-- I heure du matin que l'Incendie éclata.Kraus1 refuse sy«térntttiquem>mt touta nourriture,, j pabie.
M. le président fait remarquer que Mm»
ran
ge d'études dane le département, sont arf* , Tour. — Les musiciens.Eugène et Charles5 j aurait eu ie temps do prendre à S heures! mais la" respiration, le coeur et le pouls5
i Kraus 80 trouvait à Munich au montent
rivés mercredi, vers dix heures et demie,
! h minutes le train repartant à Metz et de> sont bons, donc il n'a rien de grave.
Î, I Marteaux, etc.
ï é(
M' Allain, en présence deS déclarations? 1 de l'incendia. Le témoin ajoute qu'au ma3 l à Nancy, venant d'Avricourt. Ils reparr- j
Rappelons que cette riche et très intéros- se montrer à l'hôtel vers'6 heures du mades médecins, dit que ses scrupules se Bontt | ment cle l'incendie il y avait un autre gar) ! taient deux heures après pour Pont-è.-.- j santé revue est en vente dans tous les kiûs1
Les 6
nk'î' » au mor
rL\ ,
José-This, numéro
M. le président explique ensuite longue- évanouis et il ne s'oppose pas à la ccuti-- j dien mystérieux avec Luigraeyer. Pendant
* '; que* et débits de tabac de la vÙla et de la1 i
ÏÏWes ■ ,
!de. Actualités cinématogra-. j Mousson. Pendant leur court séjour, nos
1 cette déposition un sourire de satisîaettap
s futurs officiers ont visité la ville et les
IS
i
région.
Le
numéro,
0
fr.
m.
Abonnement
:
j
ment
aux jurés les déménagements pra-. nuatlon des débats.
genéral
au, *.
Gœtschy faisant ses
A trois heures uu Quart, on ramène l'ac-- iI éclaire la physionomie de Krau»,
5Ï
principaux
moimm
en
ts.
l
un
an,
7.fr,
I
tiques
avant
l'incendie
par
l'accusé
et
vovvtt de Toul.
V# '
ï>'
T
H
IF
I
M
-
-
-
f
J
J
ETAT CIVIL
Audience de l'après-midi
j
j
'j
Deuil immédiat &
! Jules PRÉVÔT!!
GROUPES
magasins Réunis I :
SOCIETES
I
I
riln 1
:
Nancy illustré "
j
Les Fêtes de Troyes
I
août 1913 *
I
I
Excuses
j
I
l\
a
S
^
de Taverne
Dramatique déposition
I
hromque Départementale
i
C'est le général Varin qui présidait à la |
Or» entend ensuite M. Fritsch, commis- | 1
dernière mise au point de cette fête splensaire spécial à la gare de Pagny, le témoin j
' dide. Il a félicité le colonel Dezamey, du
principal de l'accusation.
I 31e dragons, de la façon dont il avait orSpectacles
« J'étais de service à la gare de Pagny, f
i gunisé les choses avec ses dévoués subor- t Les auorités militaires et les
ED EN-THEATRE. — CINEMATOGRAna
donnés à tous les degrés de la hiérarchie. tes. — Le gouvernement vient de
dit-il, dans la soirée du 30 septembro
*
quand j'ai vu le docteur Kraus passer à la PHE PATHË, — Fort intéressante série de - '
On compte sur une multitude considéra- i une nouvelle mesure qui est amii ^ren(b|
blicain, M. Rose, maire de Nomeny, M. j
1
films
une
fois
de
plus
à
l'Lden.
L'habitude
■
douane avec les voyageurs d'un train veBoroin, adjoint et 4 conseillers munici- ble pour l'après-midi de jeudi,
candeur
A l'occasion de chaan^'6 d«
nant de Metz. Il était vêtu d'un pardessus <est une seconde nature. L'histoire, le draVoici le programme de cette fête :
paux ont adressé leur démission à M. le i
cours de gymnastique, les autorit4 Cigris foncé d'automobiliste et d'une casquet- jme, la comédie Varient le mieux du monde
t
Première partie. — 1° Carrousel ; 2° I tent les.casernes à la disposition <£? a^
préfet.
!
f,RRûtftllSSEMEHT DE tfA.ICT
to plus claire. 11 était le dernier de la sé- la
1 représentation, qui est, en outre, un véOn annonce que
MM. les maires de I courses de têtes et de bagues (81* dra- \ msateurs afin d'y caser les nombril orS*
]
rie de voyageurs qui passaient à la doua- ritable spectacle de famille.
Quelques autres cantons' sont disposés à gons) ; 3° Combat au sabre (8" dragons) ; nustes qui ne trouvent pas à se W^6^
SAINT-NICOLAS suivre
!
ne. Us étaient peu- nombreux ce qui faci« Plus fort que la haine » est une fort
4" « Un drame dans le Fnr-West. », fantai- les hôtels. On a fait savoir au com *-(lail«
cet exemple.
Rerms;cléments de M. Houot. — Je relitait ma surveillance.
jolie
J
scène en trois parties, où l'on voit
sie équestre par le 31* dragons ; 5° courdl
jtntiùtèltùtMENT
BE
TOUL
prochain concours de gymnastique
>
: u. — Pourquoi êtes-vous certain de la
•
les électeurs du canten de Saintévoluer
toute une pléiade d'artistes remar- mercie
°
| ses de tête et jeu de la Rose (2* brigade de cette fois, les casernes de ColrnV* ^u«,
TOUL
(
majorité qu'ils
chasseurs)
;
6*
exercice
de
bâton
et
jeux
quables,
qui savent remuer la fibre senti- ' Nicolas de l'imposante
date.
raient fermées.
«-otmar res£
Accidents. — M. Renaudot Georges, de
accordée au scrutin de dimanche Domma.rtin, ouvrier de M. Jules Erb, en pyrrhiques par le 2* bataillon de chasR. — Le jour du 30 septembre était ce- 1mentale et aussi celle du délicieux frisson, j m'ont
"
Ainsi, les gymnastes qui vienrtrr, »
a
dernier.
lui fixé pour la rentrée des élèves de la JLa comédie nous transporte aux féeriques j
basculant, un wagon béton a été heurté leurs.
Suisse, d'Italie et do Belgique sernm *
Faculté de Nancy. Aussi ai-je remarqué pays
1
i
2" partie. — 1* Sauts de haie (chasseurs ] ves du plaisir de passer deux nuits V1*'
indous. Il y a naturellement un ti- j . Ils ont fait justice des calomnies qui ont par
la corne du wagonnet et\ sérieuseque les trains étaient bondés de voyageurs Igre, et, dénouement inattendu autant qu'a- i ^été répandues à profusion sur mon comp- ment blessé à la jambe gauche. Renaudot à cheval) ; 2° reprise des retardataires j les casernes.
«am
1
dans la journée, alors que le soir ils '! musant,
et des injures qui m'ont été adressées.
au manège ; 3* chasse à courre (18° chasdeux fiancés se réconcilient de- I te,
"
a des plaies qui le font souffrir.
1
étaient presque vides. Le même soir j'ai I vant les « Griffes du tigre », fort peu re- !
Ils ont donné à mon adversaire une le0
Conseil municipal. — Le conseil munici- seurs) ; 4*' « Un jour de fèts à Rome » '
On paria allemand. — L^*^ ^
tu M. Chabance, du théâtre de Nancy, qui 'I doutables,
'
d'ailleurs, puisqu'elles ne sont 1 ?çon dont il profitera certainement, s'il a ;pal se réunira samedi 9 août, à l'hôtel do (8° dragons) ; 5" Manœuvres et mise en
er 4
compris qu'une vie de labeur, d'honnête- ville, à 8 heures et demie du soir, en ses- Ij batterie par les « volants » ; 5" carrousel ; rapporte le fait suivant qui s'est n
liait passé à Pagny ; ce qu'il a confirmé . plus
1
aux pattes du roi de la jungle, mais ®
t(
à Phalsbourg non sans y soulever iv^
bailleurs.
té et de désintéressement a plus de poids :sion ordinaire.
6° prix.
j forment un coilicr sauvage et pittoresque
1
yeux de tous qu'une particule et qu'un
Pour cette fête hippique d'aujourd'hui tion générale de la paisible PODUKK ^
J'affirme qu'il n'y a aucune hésitation <dont la perte et la trouvaille sont tour à J jaux
Pour les sinistrés. — Sommes reçues
11
même joints à la fortune.
]
.mi; mon esprit.
| tour la cause de brouille et de réconcilia- ! titre,
par
la sous-préfecture pour les victimes jeudi, la société des courses civiles de Lu- ] L'adjoint, M. Wagner, s'entretenait if>'
néville laissera entrer les autos et voitures i che matin au bureau de poste avec un f°"
M" Allain. — Vous aviez tout d'abord | tion.
'
.
i . De même que depuis 16 ans, je remplis nécessiteuses de l'orage du 3 juin :
nc<
les fonctions de maire de Varangéville
dans l'hippodrome de JoliVet, moyennant j tionnaire do langue française Biér,
dit quatre jours après l'incendie que le
Total au 11 août : 16.592,70.
« Rigadin est malade », il est même bien j *'
tendu,
on
se
servait
de
la
langue
dé
u'
qui m'ont été confiées par mes concitoyens,
docteur Kraus était passé le 30 septem- imalade, ce pauvre Rigadin, puisqu'il est j 1
Conseils municipaux : Vnley-Saint-Etien- un prix d'entrée de 5 francs.
1
avec toute la loyauté et le
dévouement ne 50 fr. ; Homècourt 49,75 ; Trondes 40
Un poivrot. — Un nommé Benoist B..., j lierc. Sur ces entrefaites entre le CTTV.
bre au train de 7 heures 54.
malade
d'amour et que l'objet de sa flam- â
M. Fritsch. — En raison du grand nom- 'me est trop pauvre pour la couronner, et, dont je suis capable,de même je m'efforce- fr. ; Saint-Max 100 fr. ; Einvaux 25 fr. ; demeurant rue du Manège, 15, à Luné- ] ne von der Lippe (3* bat. du 99. ®f
r
de me rendre digne de la confiance Bouillonville 20 fr. ; Maidières 10 fr. ; Hal- ville, s'est fait ramasser pour ivresse et j L'officier interpelle l'adjoint en ces ♦ ''
bre de trains qui se succèdent à Pagny, naturellement,
i
l'apaiser du même coup.
| rai
mes : « M. Wagner, vous êtes ici A?*
que vous venez de m'accorder, en vous loville 6 fr. ; souscriptions publiques : déclarer, « ipso facto », procès-verbal.
il y a pu sur celte question d'heure avoir
Rigadin a des parents riches et sa fian- j 1
de mon mieux au conseil Maidières 30 fr. Villey Saint-Etienne 15 fr.
un flottement dans mon esprit.Mais je suis cée
I
BACCARAT un bureau de poste allemand • c'est r n
n'est qu'une pauvre dactylographe, j représentant
*
d'arrondissement.
Toltal 16.938,15.
sûr du jour, c'est bien le 30 septembre au JHeureusement qu'à l'aide d'une pompe mi- I a
Démission du maire. A la suite d© mand -'il faut parler ici ». A ceci nasT
commentaires ; les faits 'sont assé» af
1
Encore une fois, rnerciVéloce olub Toulois. — La course des l'échec de M. Henry Michaut, son frère, à quents d'eux-mêmes.
nuscule
en forme de poire notre amou- \
e'osoir.
Vive la République démocratique !
100 kilomètres est fixée à dimanche pro- l'élection au conseil-général de dimanche,
Kraus. - ■ Je n'avais pas une casquette Jreux arrive à se donner de telles palpita- '
Et notre confrère d'ajouter • M 1.
chain, 10 août courant. Départ 11 beures M. Adrien Michaut, directeur des cristallesemblable à mon pardessus.
LÉON HOUOT,
tions de cœur que sa maman, épouvantée, ;
pitaine considère qu'il est de "son devS
Maire de Varangéville, du matin.
Fritsch-. — J'ai dit qu'elle était plus >met fin aux palpitations en lui mettant, au !
ries, maire de Baccarat, vient d'adresser de partir en guerre contre tout ce „2
Quantité de prix.
Conseiller d'arrondissement du canton
à M. le préfet la lettre que nous reprodui- est français. C'est ainsi que récent
claire que le pardessus.
pied
1
du lit, la main de la dactylographe
de Saint-Nicolas.
Engagements 2 fr., reçus chez M. Vois- sons ci-après :
M" Allain. — Je suis loin de contester <dans la sienne. La scène est à mourir de
il renvoya à un épicier d'ici une boîte ir,n,S
set, brasserie des Sports, à Toul.
votre bonne foi, mais vous êtes un homme !rire !
Baccarat, 5 août 1913.
lumettes en faisant dire par son 0rH
POMPEY
Tombola du V. C. T. — Tirage irrévocavous pouvez vous tromper.
Monsieur le préfet,
L'histoire nous sert sur l'écran un véri- j
nance qu'il ne voulait rien avoir de hT'
Jeunes gens en goguette. — Ces jefurs-ci ble dimanche 10 août, à 5 heures du soir.
1
Kraus. — Je suis passé à Pagny plu- table morceau royal,» Le Destin d'un roi », u
J'ai l'honneur de vous adresser ma dé- çais à la maison. Il faut dire que m ,
une bande de jeunes gens, après avoir par1
r
Les
derniers
billets
en
vente
chez
:
M.
sieurs fois, quelques jours avant le 30 sep- où l'on peutjjlpprendre pour son usage per- ci
mission de maire et de conseiller munici- ; boîte se trouvaient ces mots : « Allumctt
couru de nombreux cafés où ils burent un Vuillaume, grands magasins de nouveau- pal de Baccarat.
!sonnel que les prédictions des sorcières métembre, vous avez confondu.
p
de
sûreté.
Rettien
Frères,
Metz,
Ban
s?
peu plus que d'habitude, se sont rendus tés, rue Gambetta ; M. Péan, buraliste,
a
Cette résolution m'est dictée par le ré- Martin ».
M. Fritsch. — Je suis sûr de ce que j'a- 1ritent quelquefois d'être prises au sérieux, a
r
au
village
vieux
Pompey
où
ils
ont
fait
1
rue République ; M. Noirclère, buraliste, sultat du scrutin du 3 août.
vance, car le lendemain de l'incendie, en ji Quelques tableaux, celui des conspirateurs, d
On ne sait vraiment si l'on doit rir»
du tapage et où ils se sont battus entre rue Gambetta.
ie
Agréez, Monsieur le préfet, l'assurance J ou si l'on doit pleurer.
lisant les journaux, j'ai dit à des amis : 1par exemple, sont d'un intérêt poignant.
ei
eux.
Lire dans Y « Est Républicain » le comp- | de mes sentiments'Tes plus distingués.
' |
» Le docteur Kraus a dû faire une triste
Comme intermède, voici un brillant nuPlusieurs ont des marques qui se ver- te rendu des numéros gagnants.
0
A. MICHAUT.
figure en arrivant chez lui. »
méro d'acrobatie, « Les quatre sœurs Ri- j>,
Le dimanche libre pour les e^mpiov ^
ront longtemps. L'autorité fait uno enVANNES-LE-CHATEL
PIERREPONT
Le témoin se retire, mais on est obligé 1car's », merveileuses de souplesse et d'agi- quête.
q
Deux enfants noyés. — Dimanehe, à
Dimanche, 10 août, course cycliste, pour magasin. — j\ous avons déjà signalé à nos
de le faire revenir, car M' Allain dit qu'on lité ; enfin, le « plein air » nous transporte
4 h. 1/2 du soir, deux jeunes enfants, Ca- I débutants, sans distinction de marque ; lecteurs le mouvement qui s'est produit
vient de l'informer qu'il y a un médecin au Laos, et l'on ne manque pas de frémir
*
DIEULOUARD mile Fringant, 12 ans 1/2 et Anicet Schnei- | nombreux prix, dont le premier une paire j parmi les employés de magasins qui dés
à Nancy, M. Coulet, qui ressemble au à la vue des barques fragiles que l'impé- i
rent avoir leurs dimanches libres, à Tins
b Agression brutale. — M. Steimetz, Hu- der, 12 ans, en voulant se baigner dans le ( de roues course ; droit d'engagement : un tar d'autres travailleurs. Ils se sont jus-"
docteur Kraus et qui passe souvent à Pa- tueux Mékong fait danser comme un sim- ! bert,
de Dieulouard, se trouvait à la pê- ruisseau de l'Aroffe, au lieu-dit «La Gran- | franc, reçu chez M. Chrétien, Pierrepont, j
gny, parait-il.
pie bouchon sur ses écueils.
| c
qu'ici toujours heurtés à l'opposition des
che, au heu dit « La tenue des
Bar- de Fosse » ont perdu pied et sont tom- j agent régional des cycles Thomann.
Tous les jours, en soirée. Jeudi et diman- b
Mais un étudiant en médecine vient dépatrons qui estiment quo la fermeture des
beaux », lorsqu'il remarqua près de lut bés dans un trou profond de huit mètres. !
| d
clarer que la ressemblance n'est pas frap- che, matinée et soirée.
MONT-SUR-MEURTHE magasins le dimanche entraînerait pour
deux bouts de gaule qu'il mit à son côté.
On croit à une congestion cérébrale pro- !
pante.
Noyée.
—
Lundi,
on a. enterré à Mont- eux des déficits considérables, et leur fePeu
après
vint
M.
Gérôme
L...,
qui
lui
duite
par
la
trop
forte
chaleur,
chez
le
jeuCASINO. — C'est aujourd'hui la derniô- I \
M. Fristch ajoute qu'il n'a pu se trom■
-.ur-Meurthe,
Mme
Joseph
Fursternberg, j rait perdre, entre autres, la clientèle des
demanda
s'il
n'avait
pas
trouvé
des
bouts
ne
Fringant.
Son
ami
ayant
essayé,
mais
j
per car il connaissait très bien le docteur re représentation du triomphai succès, Le ! <j
1
j
née
Marie-Juliette
Pierre,
'âgée
de 39 ans, nombreux acheteurs venus de la campade
gaule,
qu'il
lui
remit
aussitôt
Mais
en vain, de le sauver, est mort avec lui.
Cyrano. Attention ! Retenez vos pla- i „
Kraus qui était l'objet d'une surveillance Petit
;
qui,
en
revenant
de
Lunéville,
prise
d'une gne. Cette bruiante question devait être
quelques
instants
aprçs
M.
Gérômerevint
Aux cris poussés par un camarade, on ;i
ces, car la feuille de location se couvre, et j §
spéciale de la police.
discutée au conseil municipal au cours de
faiblesse
en
suivant
le
bord
de
la
Vezousur
ses
pas
et
porta
à
Hubert,
un
coup
est vite accouru ; un militaire du 146" d'in- I
M" Allain demande si c'était pour espion- vous pourriez bien rester à la porte. Faites ' ^
la dernière réunion .Par suite de l'abseni
ze,
était
tombée
dans
la
rivière.
de
bâton
derrière
la
tête
qui
l'étourdit
sur
fanteric de Toul, de passage sur la route, j
de même également pour demain vendre- j j(
nage.
le coup.
;
Quand on arriva pour la sauver, il était ! ce d'une bonne partie des membres de l'ass'est
empressé de plonger dans l'eau pour
— Non, répond M. l'avocat général, vous di, car les spectacles du populaire et sym- j
semblée (les vacances) la majorité décida
pathique Jean Péheu sont très courus.
i j Plainte a été portée à la gendarmerie porter secours aux deux infortunés. Inuti- j[ trop tard.
devinez bien pourquoi.
d'ajourner la ûrscussuju, et ceci contre les
! de Pont-à-Mousson.
les
efforts,
il
n'a
rien
découvert.
Honneur
\
Voici
le
mot
d'ordre.
Ce
soir
tous
au
CaM. le président. — M. Kraus se rendait
voix des huit socialistes, et de MM. Moffart
Agression.
—
Dimanche,
vers
minuit,
à
ce
brave
soldat,
qui
n'a
pas
hésité
un
i
à la frontière à jours fixes pour soigner sino pour la dernière du Petit Cyrano et x
FAITES EXPEDIER A VOS AMIS
(centre) et Klaiber (progressiste), partiM.
Davrainville,
Jules,
de
Dieulouard,
re:
seul
instant
à
se
dévouer
et
à
faire
preuvo
I
demain vendredi, tous au Casino pour la v
des femmes.
sans convaincus du repos dominical pour,
j le Postal des Délices Lorraines
venait
du
bal,
accompagné
de
plusieurs
d'un
grand
courage.
,
'
j
tous. L'ajournement était défendu par M,
M» Allain. — Il détruisait alors des jeu- première de Le quatre septembre et Amou- v
francs fian: tente la Fransa castre mandat sis 9.7S
Ce n'est qu'apros 2 heures d'un travail
Dreyfus.
reux d'une Etoile, les deux pièces tirebou- j fpersonnes, lorsque près de la brasserie, il
nes Allemands en perspective.
fut
invectivé
et
assailli
par
M.
X...,
du
fatigant que de hardis plongeurs sont arri- j
Louis
DIXNEUF
Faillite sur faillites. — M. A. Schœtj.
On entend encore quelques témoins.dont chonnantes de l'Eldorado et de la Scala. E
les dépositions n'ont pas grande impor- 'Puis en plus du programme,Carmen Agius \ même lieu, lequel le malmena fortement. vés à sortir de l'eau les corps inanimés de ■ 26, Swss Saint - Beargsa, S(S — NANCY laub, agent d'affaires bien connu, est déLes deux fils de M. Davrainville, préve- jces deux pauvres enfants. Et pendant tout
claré en faillite. Après avoir procédé
<«*-«MC!>
'
tance. Puis M. l'avocat général donne lec- dans son numéro des gosses typiques de i ^
administrèrent à leur tour une cor- "ce
! laps de temps leurs père et mère étaient
la liquidation des faillites des autres, il
j
ture des nombreuses déclarations faites Poulbot. En un mot soirée sans précédente, j nus,
rection à l'agresseur de leur père.
là, souffrant le martyre et attendant avec
est arrivé au même point que ses anciens i
par les témoins qui n'ont pu venir, notamCINEMA THEATRE, SALLE DEGLIN, ! . Cette agression avait eu son prélude au la plus vive anxiété le résultat de ces péniclients. M. Schcenlaub est d'ailleurs en
ment par le domestique de l'accusé, Luig |
fuite.
; rue de l'Equitation, — Jeudi 7, grande ma- ! bal en présence de nombreuses personnes. bles recherches. D'au ! quelles angoisses !1
Meyer.
Les i'u7v'ï- ■ ijl. ont eu lieu mardi à VanARRONDISSEMENT DE BAR-LE-OUC
Enfin, à 7 heures du soir, l'audience est j! tinée à 2 heures et demie, vendredi 8, soi- | r Accident. — M. Gœtz, ouvrir d'usine, à
m
4$ #
I
Dieulouard, dans le cours de son travail, nes-le-Chfttel ; ta population tout entière
levée et renvoyée à jeudi matin pour le I: rée à 8 heures et demie.
SÂR-LE-DUO
1
I
aa reçu un morceau de fer sur le pied d'où et
'
les enfants de i école, conduits par M.
réquisitoire de M. Simonet et in plaidoirie j
GRANDE TAVERNE. — Les 6 José-This, «une incapacité de travail d'environ dix Etienne, instituteur, assistaient à ces obsè- I
Viande malsaine. — Le commissaire de ;
de M" Allain.
les merveilleux acrobates, numéro unique bjours.
'ques. L'église était ornée de verdure et de {I police a fait incinérer sous la surveillan- j
*
*.*
Chacun doit craindre le vol. Quiconqu»
au monde. Tous lés jours, matinée à 5 heu- ;
PONT-SAINT-VINCENT fleurs et deux magnifiques couronnes offer- Ii ce d'un agent, la viande d'un mouton at- s'absente, même momentanément, en s»
Après
l'audience, le pseudo
docteur res. Soirée à 9 heures.
I
teint
de
cachexie,
et
reconnue
impropre
à
tes
par
les
enfants
â
leurs
camarades
Les élections. — M. Dallé, maire de
bit la préoccupation.
Kraus poussa jusqu'au bout la simula! la consommation.
Pont-Saint-Vincent, nous prie de rétablir étaient au nied du catafalque. •
tion, car il se déclara trop faible pour
L'Union offre à tous la sécurité moyenBRASSERIE VAGNER. - Cinéma gra *
Chiens
errants.
—
M.
le
commissaire
de
THIAUCCURT
les chiffres du scrutin de dimanche, i
marcher. Il fut alors placé sur un bran- tult tous les jours en matinée. Samedi et j ainsi
nant une prime modique et elle nous gar
|
Arrestation. — La gendarmerie a mis-en i police de Bar-le-Duc se voit obligé de rap- j rantit contre des méfaits toujours croisDe Ludre 208, Antoine 186.
card et nos robustes gendarmes aidés par dimanche, matinée et soirée.
| état d'arrestation Griessemann Lucien, re - *! peler au public les prescriptions de Parti- i sants.
les garçons de salle le transportèrent ainsi
»
PONT-A-MOUSSON 'présentant de commerce, en vertu d'un |i cle 114 du ièglement de police municipale,
hors de la salle et, par le grand escalier,
L'Union-Vol a la, même administration
Bie MICHAUT. — Cinéma avec orches- i
extrait de jugement. Un mois de prison sur ia circulation des chiens ; ces ani- que l'Union-Insendie (1828) et quo l'unio»
arrivèrent jusqu'au taxi-auto qui attendait 1i tre. Goûter aux enfants.
\ j Remerciements de M. Sonnette. — M. pour
violences.
Bonnette,
réélu
conseiller
général
du
canmaux
circulent
à
leur
aise
dans
le
marI
dans la cour. Hissé avec peine dans le
Vie (1829).
1
ton
de Pont-à-Mousson, remercie les élec- |!'
BOUCQ ché couvert ; ils y seront bientôt plus nom- )
Musique Militaire
P enseignement * gratuits et conOdcntiels s'adres^r i MM.
véhicule, Kraus, sans proférer une plainte,
Accident.
—
Ces
jours
derniers
Mme
RoL
teurs
en
ces
termes
:
breux
que
les
acheteur?.
Pauvre
cabots,
!
r .VIVRE D'AKCIKK, 7. me de Serre, à Nancy : RODRIGUE, à
regagna la prison.
PÉPINIÈRE. — Musique du 26" d'infanXivry-Circourt : PAUL SPIRE, a Lunéville ; TRÉVIS, àTool;
binet, institutrice à Boucq, se rendait en attendez-vous à la fourrière !
« Messieurs et Chers Electeurs,
SAMS0N,CHAXUTetP0!I,BLANC,àBar-le-Duc:SCAILI.EI,
terie (chef : M. Taelman). — Programme
« De grand cœur je viens vous remu-cier j bicyclette à Void, quand arrivée au croiseOn annonce de source privée que
M. j
: LECRlOUIî et DOMINÉ, à Dun-s-Mense; ODIK,
S du jeudi 7
août 1913, de 20 heures 15 à | de
d la nouvelle marque de confiance que j ment des routes, au milieu de cette loea- ! Poincaré arrivera cette semaine à Sampi- j ai St-Mihiel
Verdun : THOUVËNIN, à Commercv ; LÉONARD, à Ept| 21 heures 30 :
j vvous venez de me donner, grâce à l'union ji :lité, elle fut surprise par une automobile, • gr.y, avec sa maison civile et militaire, en | nal : GEORGE, à Birecourt : SAUVAGE, â Neufchâtea»;
i
L Marche du Conquérant (Trespaillé).— i des
d
| tamponnée et préjetée à plusieurs mètres. i' vue du séjour qu'il-doit faire dans cette . iOURDAN et FILS.à Kemiremont ; TISSEUAM». aSuiUSt
Républicains.
DU 20° CORPS
2. Ouverture de Poète et Paysan (Suppé). i
Soyez persuadés que je resterai à la j Mme Robinet fut relevée sans connaissan- I| localité après sa visite à Bar-le-Duc, lo 17
.1
^j^Q fri
—^^^^^^
— Patrie, fantaisie : piston solo : tambour- i h
dè mon mandat et ferai tout ce ce avec des contusions multiples. Les per- courant.
Vols. — Dans une chambrée du 153*, à major Kierren ; basse solo : musicien ' hauteur
qqui est en mon pouvoir pour défendre les sonnes piésentes lui prodiguèrent tous I
LIQNY
Toul, un soldat a commis l'imprudence de Grand (Paladhile). — 4. Lakmé, mosaïque: j i:
les soins nécessaires.
Disparition. — M. Thomas Georges, de laisser sur son lit un pantalon dans une bugle solo : musicien Eyer ; piston solo : cintérêts de notre commune et ceux du
La bicyclette est en piteux état.
canton.
I Ligny-en-Barrois, a informé la gendarmedes poches duquel se trouvait som.porte- tambour-major Kierren ; baryton solo :
AURiHBlSSE HEU T BE LUHEHLLE
! rie de la disparition de sa femme, née AuTroisième fête olympique
monnaie. Le malheur des uns fait le bon- musicien Grand (L. Delibes). — 5. Alerte ; b J'espère que ce succès du parti Répui bry, âgée de 34 ans, qui a quitté le domiheur des autres, dit-on, Thiou Eugène, en au camp, divertissement militaire (L. Per- I tiblicain est une avance pour les élections
LUNÉVILLE
i
luxembourgeoise
ultérieures qui pourront se produire.
Concours de jusner.ls poulinières. — Voi- |! cile conjugal il y a quelques jours, emeffet, semble l'avoir bien compris. Il profi- lat). — 6 Espana, valse (Chabrier).
Vive
la
Franc»
1
Vive
la
République
!
|
menant
avec
elle
son
jeune
enfant,
âgé
de
ci le classement de ce concours qui a eu !
et Championnat du Grand-DucW
te de l'absence de tous ses camarades pour
A. BONNETTE.
lieu, samedi matin, à 8 heures, aux Bos- | 7 ans. Cette dame est atteinte de neurass'emparer du porte-monnaie et de son conPARC SAINTE-MARIE. — Musique du
Co7iiei!lcr
général.
»
j
thénie
et
quoique
n'ayant
jamais
manifesDe notre eovora P«i»l
tenu, soit 25 fr.
quets, en présence de nombreux éleveurs
79° régiment d'infanterie (chef : M. La! té d'idées de suicide, M. Thomas craint
de l'arrondissement :
L'accusé prétend avoir agi sous un coup chet). — Concert du jeudi 7 août 1913, de
Mondorf,
le 5 août .
PONT-A-MOUSSON
de folie qu'il regrette amèrement. Il n'a 20 heuresl5 à 21 heures 30 :
L — POULINIERES. — 35 présentées, 3 |i qu'il ne lui soit arrivé malheur. Des reNous croyons devoir appeler l'attention
Aux fonderies. — Le dimanche 3 août,
!
cherches
ont
été
opérées.
pour différentes causes, 18 pri- i
a
d'ailleurs encore subi aucune condamnades lecteurs de 1' « Est républicain », et
1. Marche américaine (Lebcrt). — 2. Ca- a
eu heu, dans la salle des fêtes des fon- refusées
mées.
tion.
**naftÛijaEMtn i DE VERDUN
spécialement l'attention des sportsmeû
valerie légère, ouverture (Suppé).— 3.Dan- deries
d
de Pont-à-Mousson, une distribution
français sur le caractère tout particulier
V Mignonne, à M. Marchai, de Serres,
Le conseil le condamne à un an de prison ses hongroises (Brahms). — 4. Ballet de d
de récompenses aux élèves les plus mériVERDUN des jeux olympiques de Mondorf-les-Bains.
avec sursis.
Faust (Gounod). — 5. Sélection sur Lakmé tants
t:
des cours complémentaires récem- 300 fr. ; 2" Julie, à M. Barbier, de Crévic,
Le départ eu « Fleuruc ». — Le « Fleu- Dans ce pays minuscule où les sympathies
250 fr. ; 3° Galette, ex-Poulette, à M. Le— C'est encore au 37", à Nancy, que, (Léo Delibes). -- 6. Valse poudrée (F. n
ment institués à l'usine.
rus » va nous quitter.
pour la France, au lieu de diminuer, s aldans une chambre, Lacouture Paul-Joseph, Popy).
M. Camille Cavallier, administrateur-di- grand, de FrémonviJle, 250 fr. ; 4" Etoile,
Complètement remis à neuf, ainsi que f iraient de jour en jour avec plus d'éclat,
se permet, se trouvant seul, de faire l'in!
recteur
de la Société, présidait, accompa- à M. Jacquet, de Hudiviller, 150 fr. ; 5" nous l'avons raconté, il est .maintenant
4M»-3»
—|
les Français trouveront un accueil chaleuventaire d'une boîte individuelle et de
gné de M. Marcel Paul, directeur de.l'usi- Rigolette, à M. Stéger, de Moncel-les-Luné- prêt à reprendre sa
place do vedette reux. C'est sous le patronage de l'Etat qu«
soustraire 10 francs qu'un malheureux solne, des principaux chefs de service, ainsi ville ; 150 fr. ; 6" Mignonne, à M. Gaulard, aérienne.
dat avait mis précieusement de côté.
le meeting a été décidé.
,
| que des ingénieurs et employés de l'ensei- de Haussonville, 150 fr. ; 7" Mignonne, à M.
La transformation qui lui fut faite par
Il est opportun d'affirmer le caractère S6j
Un an de prison apprendra à Lacouture i
Gazin, de Raville, 150 fr. ; 8" Sentinelle, à,
i gnement.
[s
les
ouvriers
de
Chalais-Meudon
n'a
pas
rieux
de
cette
manifestation
sportive,
qai
dont les antécédents sont mauvais qu'à la
* Sur un nombre total de 170 jeunes gens M. Chérer, de Chanteheux, 150 fr. ; 9" Etoi- coûté moins de 33.000 francs ; c'est dire
PARS . DES FAMILLES
| j.
offre toutes garanties de sécurité, ; u »»
caserne un vol, fut-il même de quèlqijes i
le, à M. Marquis, de Fréménil, 150 fr. ; 10"
faut donc pas qu« les athlètes s'imaginent
francs, est chose très grave.
Tous les jeudis bal d'enfants avec dis- jj vinscrits, 80 employés et apprentis des di- Guiguitte, à M. Gazin, 100 fr. ; 11" Olga, â si le changement opéré fut sensible.
vers
services
de
l'usine,
choisis
parmi
les
Cette
semaine,
notre
dirigeable
sera
direncontrer des déceptions analogues a cel— A Toul, au 150», tsieuse Alphonse-Jules ' tribution de jouets de S à 4 h. Skating en ! c
M. Briel, de Raville, 100 fr. ; 12" Sara, à
:
plus
assidus
aux
cours
avaient
été
invités
rigé
vers
l'aérodrome
de
Pau
non
par
la
A
les qui ont eu lieu en certains meetings
a lui aussi la manie de toucher à tout, plein air de G h. du matin à 10 hr soir.
M. Gérard, de Sommerviller, 100 fr. ; 13.
voie des airs, comme on pourrait le croirt, d'Allemagne.
.Les professeurs exécutent des danses et à cette cérémonie.
mais de ne pas laisser l'objet en place.
,. .
Fanie, à M. Briel, 50 fr. ; 14" Biche, & U.
Celle-ci
commence
par
la
lecture
d'un
mais
par
chemin
de
fer..
^
Le grand-duché de Luxembourg, état
C'est ainsi qu ayant aperçu une montre et figures* nouvelles.
. Recouvreur de Crévic. 50 ; 15° Souris, -t M.
bref
compte
rendu
au
cours
duquel
on
rapI
1
Dimanche 10 août, 3 h. et demie, théâtre
'-haine, en nickel il est vraie, accrochée
Choné, de Valhey, 5 Ofr. ; 16" Jolie, à M. *\ Il sera accompagné dans son déplace- neutre et souverain, a voulu voir surtouv
■u, derrière le « trapèze réglementai- de la Nature. Comédie Lorraine. 1. La *pelle les principales matières enseignées Gazin, 50 fr. ; 17° Mignonne, à M.. Mar- "ment par cinquante sapeurs aérostiers du une manifestation sportive et populaire,
parc de Belleville.
pendant l'année scolaire 1912-1913 : fransi bien que les spectateurs n'ont auctui
1 se l'approprie, ne songeant milie- paix chez soi ; 2. Le gendarme est sans J,
chai, de Moncel-les-Lunéville, 50 fr. ; 18"
Dès son arrivée à Pau, il sera regonflé droit d'entrée à payer : c'est de la vulga*çais, arithmétique, géométrie, dessin, com- Fanchctte, à M. Gouy, de Barbonville, 50
ux ennuis qu'aurait son propriétai- pitié ; 3. Poil de carotte.
merce, comptabilité, droit usuel, pour les francs.
et participera à d'importantes manœuvres risation de l'athlétisme.
montre le gênant sans doute, il la
M
jeunes employés ; outillage, constructions
exécutées dans la région
pyrénéenne ;
Les habitants des contrées limitrophes w
i. un civil au cantonnement de SapiIL — POULICHES DE 3 ANS. — 15 après quoi, il reviendra reprendre sa plade machines et électricité, pour les appren- présentées, 11 primées.
proposent de venir en masse à Monuon
g. .... jurt, au cours d'une manœuvre. Blouce à la frontière.
tis des ateliers ; métallurgie de la fonte,
les Dams pour assister aux prouesses aw
se se faisait prendre à un piège, par là,
1™ Lina, à M. Thomassin, de SommervilPendant son
absence, 1> <c Adjudantpour les jeunes gens des services de la
car depuis quelques jours une enquête disler, prime de conservation : 400 fr. ; 2" Béau » restera inactif : une dizaine de sa- athlètes. Ce seront surtout les voisins »'
fonderie.
crète était ouverte.
Câline, à M. Gazin, de Raville, prime do 1 peurs seulement restant au parc de Bel- rains,, les habitants des pays*de Metz et ae
M. Cavallier, en quelques mots simples
fhiecHVillé, qui se donneront rendez-vou»
Interrogé, Bleuse déclara avoir trouvé la
Club sportif du Nouveau-Nancy. — Le
conservation : 400 fr. ; 3° Comète, à M. leville.
'
, à la petite cité balnéaire, qui leur app&>;
montre dans la cour du quartier le 21 mai. Club sportif du Nouveau-Nancy informe j !et familiers, bien à la portée de ses jeunes Barbier, de Deuxville, prime de reproducBELLCVH.LC tient en partie. En effet, une partie du »•
Or, le 22 au soir, le propriétaire de la mon- ses membres et les jeunes gens qui désirent |j auditeurs, les engage vivement à profiter tion : 100 fr. ; 4" Flora, à M. Marchai, de
ri
Un sauveteur qui réchappe belle. - gnifique parc de Mondorf-les-Bains s etenu
tre la remontait avant de s'endormir. Im- faire partie de la société que l'ouverture | do l'enseignement qui leu rest donné, en- Serres, prime de reproduction : 80 fr. ; 5"
possible donc de nier.
de la saison de foot-ball aura lieu diman- !!seignement à la fois général et profession- Sentinelle, à M. Husson, de Haussonville, ij Dans l'après-midi de lundi, le jeune Bru- sur le lo.-t .10ire lorrain.
.
Ce..t ghke à cette heureus esituauo»
Bleuse n'aura pas besoin de montre en che prochain sur son terrain de la Pépi- 7.nel qui leur permettra par la suite de de- prime de reproduction : 80 fr. ; 6" Jon- j nelli, âgé de 13 ans, demeurant chez ses
venir des employés et des ouvriers habiles
prison, ce serait un supplice pour lui de nière.
gleuse, à M. Briel, de Raville, 70 fr. ; 7" parents, rue des Prés, à Belleville, se net- gec..ji\.piuque en ce territoire neutre, 00 ue experts dans leur spécialité.
et
tL^
voir tourner les aiguilles
pendant 365
Rêveuse, à M. Choné, de Valhey, 70 fr. ; I toyait sur le bord d'une balastière, lors- oynymtne-j Bour la Fiance ne se V»)
Vient ensuite la lecture du palmarès.
jours.
8" Mignonne, à M. Mercier, de Hausson- j que, par suite d'un éblouissement, il tom- jamû-W démenties et qui se trouve en IttW
On proclame tout d'abord les noms des ville, 50 fr. ; 10» Alsace, à M. Bastien, de ba dans l'eau.
Ump • a la ovitû de trois autres pays.JW
Désertion à l'intérieur. — Favorisé d'une
deux lauréats titulaires de la médaille d'ar- Serres, 50 fr. ; 11" Alsacienne, au même, M>
Au lieu de lui porter secours immédia- MUntforf-ie*Bains se trouve comme preo«\
permission de 24 heures pour s'en aller
gent décernée par le ministère du commer- francs.
tement, des témoins de l'accident allèrent Gnéè a sexvii- de rendez-vous internation;voir à Paris celle qu'il aime, Desfossey Juc
et de l'industrie ; ce sont les jeunes
prévenir la mère qui se trouvait dans son pour ia première manifestation d'une tel»
FROUARD |! ce
lien, du, 153" d'infanterie, à Toul, oublie
Sortie
de
la
«
Vedette
».
—
La
«
Vedette
r
Auguste, aide-comptable, et FiBuveurs et tapageurs. —- La police a été 1Gougelin
, J;
de rentrer, et probablement ne le serait
Limévilloise », l'excellente société cycliste, habitation à environ 150 mètres de là. j envergure dans ces régions.
Les habitants et hôteliers de "'oD?31*t
pas encore s'il n'avait été arrêté un mois appelée pour mettre l'ordre dans le café nance Gaston, apprenti ajusteur. Un cer- organise pour le 15 août, une excursion à Celle-ci accourut affolée et, n'écoutant que !
Husson, place Nationale, où une bande do ,j tain nombre d'autres jeunes géns, classés Bèlfort, à l'occasion de l'inaugration par son amour maternel, se précipita dans '■ les-Bains, soucieux de bien soigner ^u
après.
L'accusé déclare qu'il n'osait plus revè- buveurs se querellaient entre eux et ren- ' Fparmi les meilleurs, reçoivent ensuite des MM. les ministres Rattier et Morel, du l'eau pour essayer- de sauver son enfant. hôtes et de maintenir, voire même augm
versaient tables, chaises, etc.
ilivrets de caisse d'épargne offerts par l'u- monument des Trois-Sièges, élevé à la
Ne sachant pas nager, elle coula à pic. ter le bon renom de leur ville d'eau, - .
nir, par peur de punition.
s
sine.
La police a verbalisé.
Des femmes et des enfants, témoins de pris dès maintenant de cette agitation ni
Celle pourtant de six mois de prison peut
mémoire des défenseurs de la ville (1813Enfin, une tombola, composée de lots 1815-1870-71).
compter.
Voleur de bicyclette. — Il y a quelques
cet acte de dévouement, drièreàt : « Au se- vreusc, précurseur ordinaire des graa^
v
(livres, atlas, dictionnaires, outils,
Abandon de poste. — De garde à la gril- jours, une bicyclette était dérobée a la variés
Mariage. — M. Octave de Langenha- cours ! » Ces appels tarent eptendus par meetingsj Pour tous les renseignements *
e
le du quartier, le soldat Vincent Gustave, porte d'un café, au préjudice d'un jeune ! 11etc., etc..) et à laquelle participent tous gen, fils du distingué sénateur de Meurthe- un groupe d'ouvriers qui étaient occupés le séjour et sur les jeux olympiques, «
de Toul, s'ennuyait. Impossible pour lui homme de Faulx, qui l'y avait déposée. Le I, les jeunes gens présents, termine cette pe- et-Moselle, a épousé samedi dernier à Bon- au renflouement d'une barque dans ûn<! peut s'adresser à M. Art Diderrich,
[
fête.
*
d'aller soit à la cantine, soit à la cham- voleur, sautant sur la machine, s'en alla à tite
ne-Fontaine (Alsace), Mlle de Schlumber- balastière voisine. Ils accoururent et l'un missairc-délégué officiel à Mondon-«^
d'eux, M. Louis Péru, demeurant rue des
brée, son chef de poste lui refusait toute Custines, où il essaya de la vendre à un I
ger.
CHENICOURT
permission. Aussi profitant de son temps jeune homme, M. Lallemand, fils du garL' « Est Républicain », à celte occa- Prés, se jeta courageusement à l'eau et
Récompense.
— Nous apprenons
avec
j
de faction, notre homme laisse dans sa dé champêtre, qui demanda à l'essaver
sion, prie M. de Langenhagen et sa fa- parvint, après de nombreux efforts, à saidie
. L'individu, apprenant à qui il avait con- plaisir que M. Joseph Thiriet, âgé de G6 mille, d'agréer tous ses compliments et les sir Mme Brunei.i au tond d'un trou de six
guérite fusil et équipement et « bonjour ».
i' rans, lieutenant des sapeurs-pompiers, vient
mètres.
LA
DÉESSE
DES Bi£B£S
fié
lâ
bicyclette,
fut
pris
de
peur
et
revint
Vincent s'en va prendre le train à Chaude recevoir la médaille des sapeurs-pom- jeunes époux ses vœux de bonheur.
Le courageux sauveteur la ramenait 'à ;
deney, pour éviter le poste à la gare de a pied à Frouard, où il a, été arrêté par la !1 rpiers.
Comité de remersta. — Le comité du déSavoureuse,
Saine
et Pigestiv»^
la surface, lorsqu'il fut saisi par les jam; *
Toub passe quelques heures à Paris et gendarmerie.
pôt de remonte de Faverney est venu merM.
Thiriet
est
lieutenant
depuis
1878,
ce
bes.
C'était
lo
petit
Brunelli
qui
venait
de
C'est un nommé Charles Petras ttaé de i r
échoue à Rouen, où atteint d'une bronchicredi matin, procéder à l'achat de che- s'agripper à lui, paralysant ainsi ses moului fait trente-cinq ans de grade.
36 ans, ouvrier d'usine.
°
! qui
•
te ,il est admis à l'hôpital mixte.
vaux d'artillerie, à 8 heures du matin, vements.
M.
Joseph
Thiriet
est
en
outre
titulaire
Il a été écroué à la maison d'arrêt ■
' i
L'accusé, de constitution frêle, a eu derue Level, près de la gendarmerie.
0
La situation de M. Louis Péru était cri- ;
- '
ij lde la médaille de 1870-71. Il a fait la camJeux sportifs ouverts de 6 heuret
puis son enfance, de nombreuses malaSur une cinquantaine de chevaux présen- tique.
i pagne au 6" régiment de- dragons. Il fut
du matin à 11 heures du sotrdies et prétend avoir agi dans un accès do
tés, 13 ont été acquis à un prix de 1.000
fait
prisonnier
le
29
octobre
1870
et
emmeHeureusement ses camarades de travail
L'EST REPUBLICAIN
. né
1 en captivité en Allemagne. U fut libéré à 1200 francs.
lièvre. M» Lamorlette admet comme certail
Beaux chevaux de selle, cours d'éju'
se rendirent compte de ce qui se passait et j tion sur la piste cavalière, par M.
ne la thèse de l'impulsion maladive à renLa fête de la division. — La première, purent lui porter secours.
esten vont©
1le 22 juin 1871.
j net ; tirs à la carabine, au pistolet, »
,
contre du rapport du docteur Malafosse A LUXEMBOURG.— A la Kl liothèque da
Nos sincères félicitations pour cette ré- avant la lettre de cette fête, a été donnée
Sans lâcher prise, M. péru put enfui sai(
concluant à l'entière responsabilité de Vinen costume, mercredi matin, de 7 heures sir la berge et' ramener à terre la pauvre halète ; skating ; tennis ; quilles J»
si bien méritée.
la gare et chez M. Kraus, libraire. 5. compense
cent,
x
et demie à 10 heures et demie,dans les prai- mère et son enfant que des soins empres- nés : boules lyonnaises, etc. ; théâtrerue du Génie, près de la poste.
Néanmoins, le conseil applique la peine A STRASBOURG. — Chez M. AHMEL,
NOMENY ries de Jolivet, en présence déjà d'une sés rappelèrent à la vie.
gnol des Champs-Elysées.
. ,
Démissions. — A la suite de l'élection de foule considérable d'officiers, de dames,
Tea-Kooœ, gâteaux, lait-efioeotât
de huit mois de prisonLéopold.
Nos
bien
sincères
félicitations
à
}.L
Louis
tt {dimanche, défavorable au candidat répude citoyens.
sons rafraîchissantes.
,
.
i.
. Péru pour son double sauvetage.
Uif
Grande piscine du parc riainte-M"^
I Speclaclesjâ Concerts j |
fcORRAlHEJBT
MEURTHE-&-MOSELLE
M E USE
i
I
PROTEGEZ VOTRE FORTUNE
, Conseil de Guerre
Mondor£-ies=Bains
Hôtel de la Cure d'air et Funiculaire \
Saint-Antoine
,
LA BANLIEUE S
J
ï
eièr©
Saint-Nicol**
Nancy=Thermal
prérogative devrait le mettre à l'aise; mais , I
la foule a hurlé pendant toute la course ;
sou argent est en jeu ; olle est surexcitée
par la fièvrô du spectacle et par celle du j 0C'est l'acide urlqus : pou d'hommes, de j
femmes, de vieillards, d'enîante ésUappent
iticro ; ce sont de mauvaises conditions J f
à son action destructive
respecter les dogmes. Aussi l'a-t-on
à COLLIER. - UNS HYPOTHÈSE Qour
Jvue déchaîner
de véritables émeutes, et
Les mêlait* de l'acido urique fiont trom.-iffAiRB %, Niclausse a termine son .brûler les baraques du pari mutuel,
en ppeurs, variés, désastreux.
" IP vol du collier et M.
Ri- manière
*
'trompeurs, car n ne peut y avoir pour |
de protestation contre l'infailli5$te sur IC
instruction, donnant bilité,
?
toute
manifestation qu'un état de malaise (
t
ttf\ vft clore son
rjr|0ux, après c
général, une pesanteur, une gène dans le j
Afin d'éviter le retour do oes scènes dé- ] a
d
au
"linen<'
£ a Joconde.
nos voisins Eclges ont imaginé j Ebas du dos, un essoufflement léger, des ,
fm
&tiU-W ao
pouvant solantss,
■
convtcnnent
troubles, foncées.
de
substituer au juge, qui n'est qu'un hom* urines
u
1
ier
C
P«W l n« information souvent tre, Jme avec toutes ses faiblesses, la loyauté j
Variés, car i'aciae urique excite les nerfs
Vc„ n e»1L.,r aa manque. M. Niclausso incorruptible de la photographie, tin fil (i(névralgies, eciatique), Cause de douleurs
fiinâle fl W)
. 200 lettres ; M. Ri- J
est tendu à travers la piste, en face du pô- nmusculaires du cou (torticolis), du dos
0 m
C
tout le monde savait où •teau. Lo premier cheval qui arrive le brise (1(lumbago), de la poitrine (points do côté).
1
ta
h»iid *°1uL' où se cachait le voleur,
Désastreux, car sous un prétexte quelavec son nez. Une lamelle do fer doux, que
C
f.l' I9 0 ,! i été ' faite la substitution retenait
«J
ce fil, est attirée par un aimant ; cconque (fatigue, refroidissement) l'acide
e**1 «nt avait «*»
r
ello déclenche l'obturateur et ouvre lan- uurique causé" : rhumatisme, goutte, colipareil, armé d'avance pour un instantané, qques néphrétinues avec leurs complications
Le gagnant so kodaque lui-même et, du Kmortelles.
DèB l'apparition dp cês symptômes et do ]
même coup, se délivre son brevot.
ces affections, il faut secourir les reins j
S'ai^ef •
h cette personne si elle sait
Cette
méthode
a
donné
en
Belgique
des
c
De
f le collier, si eH» » des tuyaux ; M Lrésultats si merveilleux (restituant par ((vulg. rognons) : leur travail, redevenu résupprime la cause du mal.
ia e nô su,s pa
sl
la place de « winner » à un che- gulier,
S
àlitts q» j
'
' Jexemple
Les Pilules Foster pour les reins dissolval que le juge avait classé quatrième) que
faites entre" . cotta avalanche de ren- la
J Société sportive d'encouragement, « tou- vent
et font chasser régulièrement par ces
»
'pourtant paj»» «
moins LntéreS8antS|
jours amie dos initiatives », a résolu d'en corganes l'acide urique ; elles dissipent les
du dessous des yeux, des chevilles
une hypothèse que nous ci- \faire l'expérience sur sés hippodromes de enflures
f
«lus tro"\oVùfors pour son originalité,
ïMaisons-Laffitte, d'Enghein et de Saint- V(hydropisie) et agissent avec la plus grande
efficacité contre tous les troubles de la
S--- de Pans, qui remet, Ouon.
*
(Incontinence, envies fréquentes, i
,;e5t
c lui donc la parole :
Déjà l'Allemagne nous avait appris que vessie
*
etc.).
ans la boite 70 &ram
les
chevaux
peuvent
lire,
compter,
extraire
*«« d
" 1
La meilleure preuve de leurs propriétés I
2 il Lire, dit le docteur, et lo collier Jdes
racines cubiques. La Flandrê leur env
remarquables
est fournie par la guérison
mes d„
70 trrammes.
Ceci prouve que soigne
m
un métier qui tient à la fois do l'art j *
pcwi; «g™ l
i e à Paris.
:
B
et dê la science II n'est rien désormais que suivante
^sUtution
.
éiè fa f
Nancy, 14, quai de la Bataille, Mme veua
Ja bo t6 étaJt
e
l'homme
ne doive attendre de sa plus nove Villaume ftous dit : « Malgré mon -"and
ble
Conquête.
/
1
âge (74 ans), je no souffre plus de doufertaufe »"«
<était tout simplement pour
leurs de reins depuis que j'ai pris des PiPUDEUR ALLEMANDE. — Un incident s'est |
"ïïïttr1L ù l'eau d'y pénétrer
perme« ]enr avail con-,m.> complice un fproduit â l'établissement de bains publics I 1lules Foster (Nancy, pharm. Monal frères),
" ~? rhareé de transporter les sacs de £de Cologne. La municipalité, soucieuse de 1res.»
nmT
Toutes pharmacies (3 fr. 50 la boîte, six
."lfl= du wagon à bord du bateau à Ift
, morale, avait fait séparer par une cloidépêches
ci
m?
n allrait du> par 3uite
son la partite du rivatre réservée aux fem- | >boîtes pour 19 fr.) dû franco par poste :
Foster, H. Binac, pharmacien,
Calais.
«oultt, -.laisser tomber tel mes
"
de celle où les hommes étaient ad- Spécialités
«
d UD
<r ' *
25,
rue Saint- Ferdi' 4 la mer. On l'aurait retiré OU bout
mis.
r
Bs
nand, Paris.
Demansac
«imips heures mais le sucre eût été
La chaleur très grande avait amené un
de quelque»
-f^X^îL^
dez bien et exigez les
nombre
considérable
de
baigneurs
;
oer|
véritables Pilules Fosî°nd"; «âx Meyer, en ouvrant son char- ttains d'entre eux, mécontents de la décier; reiusez ou
faitês" fnt aurait constaté la disparition du sion
,
de la municipalité, escaladèrent la j j^^Wrr^n^L "*
fXsVsiM^^SfW^ vous rembourser tout
?E'On aurait pesé 1 envoi, et on se cloison
qui
les
séparait
dés
baigneuses.Lés
j
(
C
?it ânerçu que ce poids était inférieur gardiens
,
intervinrent, mais le public, pre!•*• mn'rqr.e df posée' cif "h grammes à celui qù avait été enre- nant
j
fait et cause pouf les mécontents, dé- l
ît'ré par le bureau de poste expéditeur
truisit
la cloison morceau par morceau.
t
Or ces 70 grammes c est le poids du Un
^
gragid nombre de femmes prirent part
traes vil de démolition et le bain reprit
ollter- Pas de doute donc qu'on l'ait au
MARCHÉ AUX VEAUX
{
en coajà4un.
%
La Villette, mardi 5 août.
1
«*>-*g-^»*
°U k docteur termine en disant à M. * —
Veaux amenés, 92 ; vendus, 92. ,
rfSfâtjsse qu'il devrait envoyer tout de
Vente assez facile et prix bien tenus.,
suite un inspecteur à Calais^ afin de sa- |
Les veaux de choix de Seine-et-Marne,
voir «i 1» 16 juillet, un marin n© se serait
LJfl IttINÈ BES BËÈItÉS
de l'Eure, de Seine-et-Oise,
d'Eure-etrss trompé en mouillant un autre sac que
Qualité iiîcs po.'Jbls
a
!
Loi,
du Loiret se sont vendus de 1 10 à
1
celui qui contenait la boite de sucre.
MÛ T CORSE et HOUBLON exclusivement,
1 17 ; les champenois de 1 fr. à 1 12 ;
garantie sur faaare
jles manceaux de 1 fr. à 1 10 ; les gourDE U TOUR EIFFEL AU TCHAD. — La sociéKeriMCHtotliM» «vce levure juire
nayeux de 90 c. à 1 05 ; les caennais do
té de géographie de Paris vient de rece.
o-w» ■»■
——
j90 c. à 1 fr.
voir par fetAremiso de M. Henry Cordier
Le demi-kilo net
des nouvelles du commandant Tilho qui
TIRAGE©
» été chsrgi par l'Académie des inscripïiôiS et belles-lettres de rechercher les
OBLIGATIONS COMMUNALES 5O0 rJT 100 FR.
i
traces cle la communication fluviale in2.G0 % 1873
iiterrompue que l'on suppose avoir relié
depuis 2 fr. la nuit.. Chambres meublées
Le numéro 533.316 gagne 100.000 fr.
autrefois le Tchad au bassin du Nil
au mois depuis S0 h 35 fr. Electricité. S'aLe
numéro
23.343
gagne
Sô.fîOO
fr,
I
Dans sa lettre, datée de Massakory (enLe numéro 21.102 gagne
5.000 fi".
Idre?iser Bie de l'Institut, 5, rue Bràconnot.
tre Fort'Lamy et Mao), l'explorateur rapLe numéro 49.994 gagne
5.000 fr.
atrie notamment que tout son effort a
u
Lo numéro 104.505 gagne
5.000. fr.
porté ces derniers temp- sur les tentatiLe numéro 4C6.786 gagne
5.000 fr.
ves d'audition des signaux horaires de ia
B
Le numéro 6-16.883 gagne
5.000 fr.
Wur Eiffel à l'aide de divers dispositifs
Le numéro 769.*fSi gagne
5.000 fr.
dSfiteanes conformes aux indications du
Les 45 numéros suivants gagnent chacun
ttimnandanl Pcrrier.
Toux spasmodiqiie, asthme, guérison raDepuis le mois de décembre, il consatte 1-000 fr. :
28.183
30.043
82.278
153.319
167.661 dicale et en peu de temps par
que le jour il y a généralement peu de
239.265
263.790
jarasites et la nuit beaucoup — (on sait 188.795 203.467 219.863
le ROSS-OAB, Gelée Végétale
307.435
319.981
f|ïé tas itôsetes de? tropiques se posent 2G6.20Û 270.285 305. OUI
413.800
414.323 inoffensive sans principes toxiques et à
très nombreux sur les appareils et nuisent 347.127 351.445 391.542
518.235
546,720 base exclusive do plantes, dose illimitée,
aux communications) — au point de ne 454.070 455.550 469.738
750.198
755.883 se prend comme une confiture, agréable
pouvoir saisir sûrement des signaux mu- 618.514 620.751 621.785
750.198
755.190 j au goût.
sicaux pourtant
perceptibles dans les G54.511 671.174 710.610
839.373
847.638 I
Prix du pot : 2 fr. 50 ; franco gare par
écouteur*. Il attendra, pour reprendre les 790.749 791.264 822.005
939.139
953.109 Ii 3 pots. (RensèignoœênTS sur demande). Ch.
tesais interrompus par son
voyage à 852.690 893.296 931.734
OBLIGATIONS COMMUNALES 500 FR. 3 % ISSO
Duos, pharmacien a Auboué (M.-et-.M.)
Forf-Lamy, d'être, averti que la tour Eiffel
Le numéro 590.881 gagne 100.000 fr.
&voiô ees signaux en transmission musiLe numéro 800.547 gagne 25.000 fr.
cale. Lft transmission ronflée actuelle ne
Le numéro 25.060 gagne
5.000 fr.
l n ,<5
ucre du
£j1 S' S'
K
crépitement, des
Le numéro 144.306 gagne
5.000 fr.
parasites du centre africain que par sa
Le numéro 194.786 gagne
5.000 fr.
régularité et sa cadence.
Le numéro 213.417 gagne
5.0OO fr.
Le numéro 679.261 gagne
5.000 fr.
SAVO N MSOÎMGO iï&lVëi
Le numéro 932.009 gagne
5.000 fr.
Les 45 numéros suivants gagnent chacun
LE CBÊVAL JUGE ET PARTIE. — Rien de plus
1.000 fr. :
aucat, parait-il, que l'office de juge.
71.031
96.437 120.652
161.970
183.253
lui m parlons point des magistrats de 2,03.698 213.362 216.744 222.228 288.161
«M qm décident de l'état, de l'honneur, 314.170 355.277 376.434
408.658
41,1.515
kl fortnn<J des gens et qui, depuis Ra- 431.149 446.301 463.320
4G6.545
485.146
bais, s en remettent au sort des dés pour 540.630 545.114 591.912
629.652
644.703
«sententicr » sur ces misères. Il s'agit du 696.051 713.791 725.598
733.122
752.645
i«ti« M CoU1'Scs> de l'arbitre embusqué 789.505 804.680 821.032 840.487 845.582
MS une petite cabine, en face du « win855.784 901.005 902.950
912.344
941.9S3
S|'P0!. " et I11'- seul> sans conseil, sans 958.440 975.878 980.003 983.295 985.502
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,^ P excessivement fournis », vingt gnent chacun 1.000 francs :
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Les trente-cinq numéros suivants sont
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prononce tout
46.503
54.867
65.101
117.081
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n re la chose
558.547 608.951
Près li?r„T°
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dans la patrie de Choron.
T'A G NE
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^_ , _ „ _ ^
Six prix seront tirés au sort parmi le&
personnes qui auront envoyé le plus de
solutions justes.Voici ces six prix des quatre rébus de la Série E. M.
V" prix : Uns corbeille à ouvrage.
2« prix : Un bibelot (fantaisie),
3* prix : Un volume.
4*, 5*, 6« prix : Deux cartes artistiques.
(Chaque gagnant de deux cartes postales n'aura qu'à nous adresser les noms
qu'il désire voir figurer sur ses cartes.
Celles-ci, dues à une main artiste, constitueront donc autant d'œuvres originales.)
**
E
1
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les 2 on 3 jours
mi Grain de Vais
«
UU repas du soir rêffnlarlBG les fondions
difjeslives.
I
Rébus n" 3
1
tnis
I
K»^»^
Paris, le 5 août 1913.
Les négociations de Bucarest s'orientont
décidément vers la hausse, la Bourse fait
de nouveaux progrès, tout en observant
une certaine réserve.
Le 3 % s'inscrit à 87,95, après avoir coté
88,05 au plus haut.
Rentes Russes ôn nouveau progrès : 5 %
1906 104,25 ; 4 1/2 % 1909 99,40 ; Consolidé 92,15 ; 3 % 1891 75,20.
Lo Sorbe gagne 0,80 à 81,80 et le Turc
0,90 à 85,00.
L'Extérieure toujours bien disposée à
89,80.
Banques et Etablissements de Crédit fermes ; Banqiie de Paris 17-17 ; Crédit Lyonnais 1668 ; Banque Ottomane 619.
Chemins Français en hausse sensible
par sympathie avec la Rente : Lyon 1307 ;
Nord 1710.
Chemins Espagnols également en progrès : Nord Espagne 431 ; Saragosse 440.
Valeurs de traction et d'électricité activement traitées : Métropolitain 608 ; Parisienne de Distribution 684.
Le Suez gagne encore 45 fr. à 5395.
Cuprifères accentuent leur inouvement
ascensionnel : Rio 1926 ; Boleo 818 ; Tharsls 192,50.
Valeurs industrielles Russes témoignent
de bonnes dispositions : Briansk 477 ; Sosnowice 1479 ; Pfowodnik 540.
Mines.d'or supportent quelques réalisations : Rand Mines 160,50 ; Crown Mines
173,
Diamantifères inactives : De Beers 529 ;
Diamantifères inactives : De Beers 529.
Caoutcboutières iridécisès : Financière
lC9 ; Malacca 128.
Ont deviné le dernier rébus î
Sherlock Holmës. — B. B. âgé de 11 ans.
Eturle rte M* C.RËFF,
i
— V. R. M. — Un amateur de concours. -—
commissaire-priseur à Nancy. |
Le Sauvage. — Nick Carter. *» Haut mais
court. — Flair d'arliWeur. — Machin de
chez Walter. — L'estropié Champaubèrt.
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raques. — Un nez dipe. — As Ka Kis Kof.
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noces Trazi. — Dubdul Var. — La petite
paresseuse. — Un nouvel œdipe. —■ Lo loufoque du Bar. — Madeleine Joconde. —
Gustave M. — Sol fait Rhmo et Rhino c'est
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Le VENDREDI 8- AOUT
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guerite Gentil. — Ta pas fini î — Un lec- suite rte décès rte M. Bonne
teur de Tcul. — L. M. IL A. U. T, •* B. (ordonnance rte M. le présiQuedegaz, — 20.100. — Brasserie Univer- dent du Tribunal civil rte
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I
' C
MBM
L'EST REPUBLICAIN , un mot à sa mère disant qu'il ne pouvait revenir. Mme Duminier s'emporta, menaça d'aller voir où son fils travaillait.
Maurice eut toutes les peines du monde à
j.
France d'ARCY
la calmer. Cependant ia fermière se consola en songoant crue François gagnait dc
l'argent, et, qu'en somme il n'était pas
perdu pour une semaine passée hors de
la ferme. Surtout qu'il logeait chez Maurice !
Tous les jour3, M. Vertin ou Olivier venaient à l'examen. Ils craignaient l'intervention inattendue de Mme Duminier. Ils
se confièrent leur mutuel soulagement en
voyant s'écouler le dernier jour sans qu'un
ROMAN INÉDIT
événement soit venu Loulevorser leurs projets.
François avait été admissible, il fut reçu
DEUXIÈME PARTIE
définitivement avec la note « très bien ».
M. -Vertin et Olivier furent plus contents
Hésitations .
que François, car le succès n'avait pas
s'urpris le jeune homme ; il lo considérait
comme la résultante naturelle do tous ses
in
ent des
^' eéni^'
yeux les deux femmes. efforts.
6
en iu{au- espéra les voir se retourner. Il
Longtemps les examinateurs retinrent
Peu à
Nns hrii
Peu la PIace devint François, le questionnant sur sa préparatr
le
l'or H».
:. L'électricité faisait étince- tion, ses projets. Enfin, ils le laissèrent
les Lo bon ro1
$ dressait rtgr
'
Stanislas partir en lui serrant la main. En sortant
*
1 a ri lns sa sombre et sereine ma- de la Faculté, le jeune homme sentit qu'il
uc e
ïs deuv "„, . hrise caressait le visago venait d'abandonner la terre, de dépouil1118 Plongés dans leurs ré11er son âme de paysan... pour toujours.
Plus tard, il la regretterait cette terre,
116 exi
^'^"ppnn .
stence en ville semblait et sa vie libre. Mais il avait goûté de la
,,'le roi r?ft0lf ! Cor,îme cUt le vieux dic- civilisation, il avait tressailli d'aise en tra11
p as son
vaillant les sciences exactes. Jamais plus
vi suivait u
,
cousin.
ut
*es d* î 0.nd«laUons changeantes et il ne pourrait se détacher de sa nouvelle
a urr,
Seyait erJ j ée de son cigare. 11 vie.
Les deux Vertin père et fils emmenèrent
lwSoi-mêrn« ^ét0l!e. il avait su se créer
François dans les grands cafés du Point1
e
Dieu 11 esé rait tout d0
H .
'
P
Central. Quelle vie magique ! Quelle proso» amour.
&moT1
fusion d'élégance !
1
Maurice était resté près de Mme Dumià 14 Faif,,^' les épreuves commencè""te. Le soir, François envoya nier pour parer à toute éventualité. Il de-
^OILLETOK'
^^^^^
-
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SÉRIE
0^3^^!/ ' BULLETIN FINANCIER
FOU DR
Jadis s'adonna au
baccarà.
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fci.iinnnii
ItÇÔL Couve.ft pu. j
bliquemont do hon.
te, va ça et là.
S*»* nt
J
>ÏV<^
'M
^-^fe^l^
tion du Marché couvert n'ont pas plu ; j
lai3cra-t-on ce projet en plan î
'
vait attendre avec impatience les résultats
de l'examen.
M. Vertin ne so tenait pas de joie. Il ramena triomphalement François dans sa
voiture. Et ie bachelier pensait maintenant
à la bonne surprise qu'il allait causer à sa
mère.
« Enfin, pensait-il, je ne serai plus le
petit ôtre sauvage, insignifiant, méprisé.
Je l'ai, mon bactict, je l'ai, rien ne pourra
me l'enlever à présent. Aucun obstacle entre moi et lui. Quelle joie. Quelle ivresse...
Cher examen, chers amis, cher
cousin,
comme je vous a.ime, vous tous qui m'avez
aidé... J'ai mon baccalauréat. Je l'ai ! Je
suis bachelier, moi lo pauvre petit François, bachelier, bachelier, ba...che...lier 1 n
Il se serait bien roulé sur les banquettes de l'auto ; il avait à dépenser de l'énergie d'une manière enfantine. Il aurait voulut jouer au saute mouton... à la lutte au
besoin. Son désir allait être satisfait.
M. Vertin avait eu tort de revenir dans
la voiture que l'on connaissait. On l'avait
guetté. On^avait reparlé de François Duminier, de sa première intervention. On
voulait une vengeance.
Ce n'étaient plus les mêmes paysans qui
venaient au devant do l'homme réprouvé.
Les premiers se tenaient bien tranquilles
par peur de la justice.
Mais ceux qui
avaient reçu des coups en avaient entraîné d'autres ; ils voulaient faire sauter la
voiture en pleine route car, près de la
maison maudite, le téléphone était à craindre.
Un® formidable détonation apprit soudain aux voygaeurs qu'un nneu avait écla| té. La voiture s'arrêta. ïîors des fossés,
bondirent alors des hommes armés dc forts
gourdins. Ils étaient à peu près six ou
sent. C otait peu, mais c'était encore trop.
François se redressa, il n'avait peur de
— Messieurs Vertin, je suppose ? quesrien.. Songez donc, il était bachelier. Arracbant un coussin sur la banquette Fran- tionna-t-il avec un sourire.
— Et vous, monsieur Milîineau, n'est-ce
çois s'en servit comme d'un bouclier tanpas ? Quelle reconnaissance nous vous dedis qu'il tapait avec une canne.
Olivier et son père avaient pris des outils vons ? Sans vous, nous étions perdus.
— Cher monsieur, je vous ai simplement
et tenaient les assaillants en respect. Mais
cela pouvait durer bien longtemps sans donné une leçon. Quand on se trouve sur
amener une détente. Il fallait un événe- une route isolée et dans votre situation,
ment extérieur pour sauver les automobi- on part toujours avec un revolver. Cela
listes, non de la mort, mais au moins dit, n'en parions plus. Et François ?
— Reçu, très bien.
d'une sérieuse correction à coups de bâ— Alors, c'est de la chance. Mois tu
ton.
Ah î si François avait été seul ! Mais sais, cela no va pas se passer trop bien à
il y avait Olivier, son ami, il y avait son ton retour. Ma tante est d'une humour. Je
bienfaiteur. L'auto ne pouvait être remise n'ai pas pu savoir ce qu'elle avait, mais
en marche sans réparation ; les attaquants bah 1 nous verrons cela en rentrant. Je
avançaient. François s'inquiéta. Personne suis bien heureux, messieurs, d'avoir fait
ne venait. François le victorieux sentit votre connaissance, et je me joins à Franmonter à ses paupières des larmes oe oe- I çois pour vous exprimer nos remerciements.
pit : « Canailles ! », cria-t:il.
— Mais ce n'est pas la peine d'en par— Ah ! c'est toi Duminier, traître, sourler, nous sommes, m* famille et moi, plus
nois, sauvage.... répondit-on.
Et ils commencèrent à jeter des pierres. contents encore que François. C'est notre
« Courage, François ! », cria quelqu'un second fils, nous l'aimons tous bien.
— C'est un grand honneur pour lui et
par derrière.
Et l'on vit apparaître Maurice Milli- notre famille, reprit Maurice. Pour le moneau, un revolver à la main, flegmatique ment, poussons comme nous pourrons la
voiture jusqu'à la raaieon. Nous n'en somcomme un Anglais.
« Le premier qui s'avance vers cette mes pas bien loin.
— Voyez, dit-Olivier, il y avait sur la
veHure est un homme mort », dit-il Parme
levée.
' •"•SSipgi route du verre et des gros clous, nous ne
bon calme fit magie. Ces gens, intimides, I pouvions manquer de sauter.
— En enet. »
laissèrent tomber leur bâton. Maurice les
Le moteur remi3 en marche, l'auto put
tenait en respect plus encore par son attitude que par son arme. ï) continua, s'a- être dirigée lentement vers la remise.
François et son cousin furent reçus avec
dressant aux apaches qui «touraient encore la voiture : « Partes I... et vite... Si on des transports de joie par Mme Vertin et
tarde je tire. Je suis en cas dc légitime ses filles. On ne parla pas de l'attaque
pour éviter de contrarier Denise. Elle était
défense ».
!
'; venir
Les hommes reculaient lentement. Il les si heureuse que Maurice eut dc
à
la
maison
maudite.
Avec
son
douloureux
suivit de son regard hautain jusqu'à ce
qu'ils eussent disparu. Puis iï^ee tourna scepticisme, elle ne croyait pas.eux esprits
libres.
vers l'auto :
François voulut par force remettre pouf
rentrer ses habits pius grossiers. 11 devait
travailler la terre ie lendemain. Il avoua
bas à "Maurice la crainte qu'il avait de
Mme Duminier.
L'attaque sur ia route avait usé son pouvoir de résistance. Le jeune homme venait
à peine d'atteindre ses dix-sept ans, c'était
encore presque un enfant : ■< Mon paûvcjj
petit, lui dit l'ingénieur, tu as encore pius
de courage que de forces. »
VI
L'enquête de (a fermière
v
Jusqu'à ce >>ur, Mme Duminier ignorait
véritablement les rapports de son lus avegj
les Vertin. La fermière n'était, pas bavarde, elle songeait à son ouvrage sans
autre préoccupation. D'autre part, François prenait bien des précautions pour aller chez les Vertin.
On se souvient du temps pendant cette
année de l'exposition, ce n'était qu'orages,
averses coupées d'ensoleillées. Les cultiva^
teurs eurent du mal de faucher et de retir
trer leurs foins. Il fallait profiter do là
moindre accalmie, même travailler
nuit.
Mme Duminier était fort en colère contra
son fils, contre ie temps, les événements
et l'exposition. Lo troisième jour, ce fut
pis, il plut depuis le matin. La fermière
possédait un pré en contre-bas de la routs.
!
On avait fauché l'avant-veille, Je foin était
presque sec, bon à rentrer. Mais l'eau s'amassait dans les creux et bientôt le foia
fut noyé. Vers midi, le ciel se montra très
bleu, un grand soleil faisait miroiter les
flaques. La fermière pensa à son foin, oljs
proposa aux deux gardons d'aller le chercher pour l'étendre sur la hauteur. Maia
les ouvriers no se souciaient pas d'aller se
mouiller les nieds. Mme Duminier ne pul
les obliger. Racfeuse, elle attela le chevej,
dit à Antoinette de ne pas l'attendre posai
dîner et elle partit.
La ComMIre SIHGER
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