* euai SB Février 1912 «iéphone Ï 3.21 -10.37 Edition «** œatm - imprimerie 3.09 ABONNEMENTS; TRO,S*O,S „ , M^rLV^èlie, Mease, Vosges 4 50 Etranger? D SIXWOIS 9 » 5» 6» S^^rlements.... GRAND 7 « » 10 », 12» 14 « i I _ KïIXACrîW „ , CZ *~ 20 » f* » ■ * Qa peut s'abonner sans frais dans tous les bureaux de postes JOURNAL *\ SI, »J «P QUOTIDIEN ADMINISTRATION : e»iat-D i M — &3° Année. — N° 8941. HANCY " ItDËRNIËRE HEURES ! LES BANDITS DE LA RUE ORDENER j POUR U MAITRISE DE L'AIR PatNùiiqtêe émulation , ' EZ SI ex —— j DIRECTEUR : RENÉ MERCIER PUBLICITE: C> Annonces (*epage)... 30cl»ligne L'Agence Havas, 8, place de la îionrse à Paris W\ Réclames (3c page)... 60 MM. John P. Jones et C« SU,, „„ : W FaUs d.vers... 90 Montmartre, à Paris, sont seuls cluirgés de recevoir ta j %^ Chronique locale 150 — publicité extra-locale du journal. Pour la publicité de Meurthe-et-Moselle, Meuse, Vosges, Alsace-Lorraine et Luxembourg, s'adrrssfr av.r l.umm.r de l'Est. 1 Charbons Deux d'entre mi sont arrêtés après m lutte sauvage avec les agents Pour l'Aviation Militaire SOUSCRIPTION de l'Est Républicain Les délégués parlementent Les mineurs chôment 1 puissances prêchent la paix Les Les armées se battent \ j' LES TAILLEURS ALLEffiASBS \ BUS LE TOMBEAU DE Lâ «LIBERTE» ; 4P Lft REPUBLIQUE CHINOISE La guerre anglais " i m b — — Les crernières nouvelles reçues d'Angle28 février. — Le comité national terne au sujet du. conflit qui met aux pride l'aviation militaire cejmpni.nlque sa sses ouvriers et propriétaires de mines, première liste de souscription, dont le to« sont s contradictoires,» suivant le jour, J » suital est de 41,779 fr. 35. \ MM. de Rotschild ont souscrit pour van» l'heure, suivant les journaux. Gontraduction signifie ici indécision, mais 25,000 fr. ■— La souscription ouverte par la pressa Çquelle que soit ta cause occasionnelle do —— »rv et centralisée au « Matin, », s'élève au- cette c indécision, on peut lui donner, sans jourd'hui â 418,337 fr. 50. «.ifse tromper, une raison profonde : l'imjo PARIS, 19 février. — La police a arrêté . JDieudonné était aussi formidablement arOn -assure que toutes les sociétés m.ili- ' mô, mais il ne put se servir de son reyolhier deux individus, dont un nommé Dieu- me 1 des intérêts' en jeu et la gravité ta taires françaises, de Belgique viennent de portance donné, qui sont considérés çpmme ayant ve: ver. l'initiative d'ouvrir une souscrip- des ( conséquences directes ou indirectes P1 t'ait partie de la bande qui assaillit, rue IDieudonné et de Boé ont été formellement prendre lion dans toute la colonie française en cd'un arrêt du travail dans les houillères reconnus comme faisant partie de la bande V Ordener, le garçon de recettes Gaby. re< vue . Jj> d'offrir un, aéroplane à l'armée fran- de Ces individus étaient porteurs chacun de de la rue Ordener. ( la Grande-Bretagne. i ; Le deux brownings, au moment de leur arI belge serait l'homme qui, de l'inté- Ççaise. Au propre comme au figuré, la prospérieur de l'automobile, avait fait feu sur rcsttitioH ne Los victimes 1rité de l'empire britannique est assise sur la foule. PARIS ' 29 février. — Les journaux donETAMPES, 28 février. — Le capitaine Jost 1les bassins houillers qui fournissent aux Au cours des perquisitions opérées chez nent ce matin des détails sur l'arrestation, v effectuait un vol à l'école d'aviation mi- usines i Dieudonné, de nombreuses armes ont été M hier, de deux complices dans l'assassinat DJ anglaises un aliment de première litaire, lorsque son appareil tomba d'une j saisies. et le'vol de la rue Ordener. sa nécessité, et aux ports anglais un fret de hauteur de 15 mètres., Mi. Guichard a arrêté également deux » Depuis trois semaines, la police avait ac. ! en échange duquel la première maL'aviateur a été relevé avec une double sortie femmes, la femme Dieudonné, née Louise quis la conviction qu'un nommé Eugène fei des jumbes et mie b'.tw'ure-à la Jrine marchande du monde reçoit les mille Dieudonné, 27 ans, menuisier, avait parti- Ki Kaiser, 23 ans, dite la « Vénus Rouge », et fracture S tl iproduits et objtets dont elle approvisionne cipé à l'attentat de la rue Ordener et re- une un dame Boucher, qui avait sur elle un tête. Le capitaine Jost n'avait pas perdu , itinéraire de Pai-is en Suisse et en Italie, cherchait son adresse à Paris. iti sans nelâche le Royaume-Uni. avec l'indication des moyens d'éviter la cconnaissance. Il a été transporté à l'hôOn parvint à la connaître il y a deux av « L'Angleterre est une île, disait Michepital. — Havas. jours, et une surveillance étroite fut exer- do douane. P I let à ses élèves, maintenant vous en sacée autour de sa maison. DRA^E MYSTÉRIEUX Hier, un individu qui lui avait rendu vi- On Qj retrouve l'auto des assassins vez autant que moi. » Sans doute, l'hissite fut arrêté place Clichy. GRENOBLE, 28 février. — On a découvert, ( toire et la fortune de l'Angleterre s'exCette arrestation fut des plus mouvece o's l'agent Garnier » soir, dans un bois, à Murinais, canton de Saint-Ma.rcelin, le cadavre criblé de pliquent, dans un© large mesure, par sa mentées. 1 PARIS, 29 février. — L' « Eclair » dit que b L'individu sortit en effet deux revolvers géographique, mais supprimez, balles, de Mme Darlay, rentière*, et celui situation d son propro neveu, un jeune homme de par la pensée, les gîtes carbonifères, qui browning et les braqua sur M. Guichard, 1© chef de la sûreté a déclaré, après l'ar- de restation de Dieudonné et de de Boé, que 15 11 ans. ienrichissent le sous-sol de l'Angleterre et chef de la sûreté. j™ ces arrestations n'ont aucun rapport avec Mais avant qu'il eût fait feu, deux agents ce Ce dernier tenait encore un revolver dans de l'Ecosse, ce « pays noir », dont la mise de l'agent Garnier, rue du Ha- sa si main crispée. de police le saisirent et une lutte sauvage l'assassinat l£ vr vre. On croit que le jeune homme a tué sa en valeur fut l'un des faits les plus sailse'ngagea. t; Un gardien de la paix accourut et frappa _ La meilleure preuve est que ces deux tante puis s'est suicidé. lants de l'histoire économique du XVIIIe étaient surveillés depuis trois l'individu d'un coup de crosse de revolver individus in On ignore les causes de ce drame. — Ha- et du XIXe siècles, laissez Angles, Gallois vas. jours. v qui l'étourdit. ; 1° et Ecossais dans la condition de peuples On le fouilla. Outre ces deux revolyers, FIN DE LA rtïïRNlËBE HEURS agriculteurs et éleveurs où nous les voyons il avait trois chargeurs de rechange et 23 PARIS. — L'automobile grise qui a ser. 1 mardi soir, à la fuite des meurtriers -*T> * ""Tfr -T •ti T 1i' Ifc ■% •% "% % - encore vers les années 1740-1750, lorsque cartouches. . Yvi, Il n'avait sur lui rien qui pût faire con- de d< l'agent Garnier, place du Havre, a été l'on inaugure chez eux la fabrication de mercredi à Montereau. naître son identité et il refusa de dire son retrouvée re la fonte au coke et, du coup, vous modlIl est établi que cette automobile se trounom et son adresse. fiez l'orientation du progrès économiMais le service anthropométrique le re- v; vait mardi soir, à proximité du domicile connut, grâce à une fiche venant de Mar- de d< Dieudonné, l'un des deux malfaiteurs que, la face du mondé est changée. al arrêtés mercredi comme faisant partie de seille. Depuis que nos voisins ont fait de leur C'est un nommé Paul de Boe, 25 ans, su- la la bande qui fit le coup de la rue Ordepays l'un des plus importants bassins inner. jet belge, typographe. r< dustriels qui soient, sinon le plus imporPendant ce temps, M. Joum, sous-chef de L'attention des passants avait été attila sûreté, arrêtait Dieudonné à son domici- rée ri par le réservoir d'essence, qui fuyajt, tant, d'aïutres nations ont pris rang parle, rue de l'Ecluse. 6t £i que le chauffeur réparait. — Havas. mi les grands Etats producteurs. 11° LISTE Par des bonds rapides, l'industrie houilMM. : 1 Les externes de première C du lère de l.'Alïemagne s'est rapprochée de NIEZ LES MINEURS ANGLAIS LA GUERRE HALO-TURQUE Lycée de Nancy 3t> 50 l'industrie anglaise, sur les statistiques du Médérick, leur professeur U 50 Gaston Zeller, rue Emile-Gallé.. 5 » commerce universel. Celle des Etats-Unis l'a - même devancée. Néanmoins, l'Anglei joyeux du café des Braves, à Les Essey-les-Nancy 5 » terre est toujours, en Europe, le pays qui P. M., rue Désiiles, Nancy 5 » produit le plus de houille. Elle fournit' L'Ecole d'agriculture de Tomblaiplus du quart de la houille produite dans ne (le directeur, 10 fr. ; profesLONDRES, 28 février. — De nombreux mile monde entier. VIENNE, 28 février. — On mande de Berseurs et élèves, 13 fr. 25) 23 25 neurs continuent à cesser le travaiL avant j; lin au « New Preis » que M. Sasonof, mi- JJean et René Longa 5 » PRODUCTION DE LA HOUILLE EN 1910 la date fixée pour la grève générale. n i; i-e des affaires étrangères de Russie, M. 1 et Mme Monpert, rue JeanOn assure que près de 100,000 ouvriers a proposé aux puissances d'entrer en Lamour 2 » (d'après les statistiques du Doardof Trade) chôment déjà, y compris 20,000 mineurs pourparlers p avec l'Italie et la Turquie pour -Maire, tenturier, 97, Grande(en millions de tonnes) d<u Derbyshire, qui se sont mis en grève a amener d'abord un armistice et rendre enRue, Nancy 5 » 1908 1910 ce matin. ., , si suite possible la paix. Demenge-Creinel 20 » Les délégués mineurs écossais présents 5 » Cette proposition aurait été agréée favo- 1KE à T 371,3 447,8 à Londres ont télégraphié à ceux des mi- rablement ri Paul Henry 3 » Etats-Unis par toutes les puissances. 261,5 264,4 neurs écossais qui devaient donner un Un cantinier de Thiry 3 n Angleterre CONSTANTINOPLE, 28 février. — Selon des ' Allemagne 145,3 150,4 jour de préavis, de cesser le travail au- j, informations de la Porte, la proposition 'Les élèves externes de la classe France 36 37,4 jourd'hui. d de première AB du lycée de de M. Sasonof, ministre des affaires étran23,2 23,5 LONDRES, 28 février. — Les propriêtai.v.. 12 » Belgique gères de Russie, tendrait à faire, à Cens- !l Nancy g res mineurs se sont rendus, ce soir, au tantinople Lécuyer, rue Sigisbert-Adam .... 5 » t. et à Rome, une démarche pour Si l'on rapporte la production de ces ■Foreing-06fi.ee, pendant que les délègues cconnaître les conditions des belligérants Bellieni, place Carnot 10 » pays à la consommation de leur populamineurs conféraient à Dowming-Street. Georges Wéber 2 » e en vue de la paix. LONDRES, 29 février. — Les propositions Gille," place des Dames , 10 » tion, il apparaît que l'Angleterre est le Les tolessés de Mergheb - dm gouvernement tendent à établir un Docteur Sencert — 20 » pays où la sonsommation proportionnelle TRIPOLI, 88 février. — Après le combat minimum de salaires pour les ouvriers Les habitués du café Bouxirot .-. 1 25 est le plus élevée : du tréfonds qui siérait calculé au moyen ad'hier, la nuit a été tranquille à Mer- Lava père et lils 20 » de conférences régionales entre les repré- gheb. g Gauthier, boucher, rue de la HaCONSOMMATION PAR TETE Tous les blessés transportables ont été sentants des patrons et ceux des ouvriers. che 5 >f D'HABITANT sur le navire-hôpital « ReginaLes points résinait en litige seraient sou- embarqués e ' En Angleterre 6 tonnes environ ». mis à l'arbitrage des représentants dtu Italia, 1 Total de la 11" liste 236 50 Etats-Unis 5 — — Les travaux d'organisation et de renforgouvernement. Total des listes précédentes .. 8.706 05'1 Aux En Belgique 3 1/8 tonnes Ces propositions furent rejetées par les ccement des positions occupées se poursuiEn Allemagne 2 1/3 ' — patrons et acceptées, paT les propriétaires ïvent avec activité. Total à ee jour 8.942 551 En France 1 tonne environ représenta-n t 60 % de l'extraction du char- ILes Turc auraient eu un minier de morts bon de la Grande-Bretagne. ; Les pays qui produisent le plus de TRIPOLI, 28 février. — Les troupes italienL«s représentants ouvriers veulent que rnes . qui combattirent hier à Homs comprebouillie sont aussi ceux qui en consoiîiBOURSE DE PARIS le salaire minimum soit celui fixé par la naient r 7 bataillons . d'infanterie, plus de T1CRMK ment le plus. Leur intérêt bien compris Fédération des mineurs, et repoussent l'i- l'artillerie. f D«ro. cours Ptera. conrs1 les oblige à transformer sur place la presdée d'arbitrage. Les troupes quittèrent Homs pendant la 27 fevr. 28 f6vr. Les pourparlers continueront demain, jnuit et surprirent les Arabes à l'aube. Ueute 3 offt 94 80 94 75 que totalité du combustible extrait. Elles s'emparèrent dès 7 heures du ma- Actions Lyon 1245 .. 1940 .. CONSOMMATION DE LA HOUILLE MS .. 669 .. tin des hauteurs de Mergheb, où elles se Métropolitain DANS LES PRINCIPAUX liio Tnito 17&8 .. 1788 .. retranchèrent. PAYS PRODUCTEURS Une levée d'aiguilles Sosnowiee 1565 .. 1560 .. ! Les pertes turques et arabes sont d'un Extérieure à OjO 95 92 96 .. BERLIN, 28 février. — Unie réunion de |J imillier de morts. (en millions de tonnes) ItiiBBe consolidé 4 (M.0 . . . , 96 60 96 80 4,000 ouvriers tailleurs de Berlin et des lime attaque turque devant Tobruk 1909 1910 De Beei-R [orcLJ ........ É99 .. 502 ..' environs a décidé de proclamer, aprèsHand Mines 150 .. 152 .. demain, la grève de tous les établisse- ( CONSTANTINOPLE, 28 février. — On annon- ISrianak (ortJ.) 568 .. 508 ..; Etats-Unis 398,242 434,815 ments d'habillement sur mesuae de Beirlin, (ce de source officielle que, dans la nuit l'une . 92 .. 91 90) Angleterre 177,745 179,939 du 11 février, les forces ottomanes embuslianque otlomane 683 .. 683 ..■ Allemagne ■qui n'acceptent pas le contrat de salaire t 129.628 130.226 quées près des fortifications en construcSerbe 88 55 88 55 de la corporation. | > France 54,193 54,861 tion par les Italiens près de Tobruck,réusItalien .. .. .. La fédération des tailleurs allemands ' Belgique 22,413 23,850 va proclamer la grève dans 31 villes où sirent à détruire ces fortifications et attaTélégramme commercial ûa question des salaires n'a pas encore- , quèrent le matin un bataillon et demi qui ( Bourse du commerce) Les avantages dont bénéficient les pays TÎ s'avançait vers des ouvrages. GliiflreB fournis par la maison lloger BollacUet Gies tfeçu satisfaction. riches en combustibles minéraux se meMalgré le feu de l'artillerie italienne, . ^ a », — Paris, 28 février, 1 h.'W soir. les forces ottomanes purent se maintenir surent encore à la valeur même du comCOURANT 4 eiîEMIF.BS , sur leurs positions et repoussèrent les Avoines (100 kil.) 21 45 21 65 bustible qu'ils produisent. En 1910, la va86 80 27 25 Maliens, en leur infligeant des pertes «nji lilés (100 kil.l On trouve encore des victimes leur de la houille extraite s'est élevée, l'arme* (10» kil.) . 33 35 33 85 s'élèvent à une quarantaine de tués ou pour les Etats-Unis, à 3,312 millions de de blessés, COURANT 4 WAlîS TOULON, 28 février. — Pendant les traLin 83 50 77 25 Devant Beyrcut'n francs ; pour l'Angleterre, à 2,736 milvaux de découpages des tourelles de 19j 71 V5 69 50 BEYROUTH, 28 février. — Le croiseur Huiles (100 lui.) lions ; pour l'Allemagne, à 1,900 millions ; ide la « Liberté », on a retrouvé les cadaCOURANT 4 MAI français « Amiral-Charner », venant de vres signalés sous ces tourelles. Alccol (fhectol.) 58 50 60 50 pour la Belgique, à 352 millions. En Ces cadavres des victimes de la catas- Crète, vient d'arriver. — Havas . COURANT 4 PREMIERS s France, la valeur des combustibles minétrophe étaient serrés les uns contre les Sucres 49 50 49 87 raux .extraits atteignit 600 millions dei ,autres, et ieur décomposition était si avan— » m » — cée que les infirmiers maritimes chargés francs, environ, en 1909. IMPRESSIONS SOUS-MARINES. — Un scade les dégager ont eu de grosses difficulï Ainsi donc, à ne considérer la question1 phandrier réputé, M. John Pearee, vient Son premier ministère tés. de publier ses impressions sous-marines9 lue du point de vue anglais, la grève des5 PÉKIN, 28 février. — Un communiqué ofQuatre cadavres ont cependant été retidans une revue américaine. Elles res- mineurs aurait pour résultat de fermer,, rés ce soir, et l'un d'eux a été reconnu, ficieux annonce que Lau-Han-Ghi-Kaï, le-r! semblent, par le fantastique à un récit« pendant un temps plus ou moins long, pour être celui du gabier breveté Joseph président de la nouvelle République, se' d'Edgar Poë. ' rendra à Nankin dans une quinzaine d© Péchevin, matricule 7.782, appartenant aua C'est lui qui fut chargé d'explorer lee l'une des principales sources de la richesjours, après la formation d'un cabinet, * Quartier maritime du Conquet. paquebot ce Cadix », coulé près d'Oues; se publique de la Grande-Bretagne, On a transporté ces dépouilles à l'amLa guerre civile sant : il fait une description saisissante e Cette éventualité ne peut nous laisserc phithéâtre d'e l'hôpital Saint-Mandrier. HANG-KÉOU, 28 février. — A la suite d'unt des centaines de cadavres retenus danss indifférents. On aperçoit encore deux cadavres sous; mécontentement, une partie des troupess l'entrepont et les cabines. les débris- On croit pouvoir les retirer de-- de Out-Ghang se sont révoltées' et un comM. Pearce avoue qu'il n'aime guère àh main. bat a eu lieu cette nuit, descendre dans l'Océan Indien, à cause On s'est accoutumé, avec raison, à conLe préfet maritime a avisé le ministre deï Les pertes ne seraient pas très impor-■ des requins qui y pullulent. Cependant,e ** sidérer comme complémentaires la protantes. — Havas. la marine. — Havas. près de Socotora, il parvint à remonter tout le contenu de F « Aden », où (6e d'action des Iles britanniques et celle de SABOTEUR DE VIGNOBLE CONDAMNÉl trouvait une collection inappréciable d? LES POURPARLERS"*DE MADRID [3 la France. Etant donné que les formes BÉZIERS, 28 février. — Le tribunal cor-MADRID, 28 février. — Le ministre des3 bronzes fsacrés du Japon. de l'activité humaine sont variées à 11aaffaires étrangères et M. Geoffray, ambaë-. reetionel a condamné .à 6 mois de prison1 M. Pearce touche cinq pour cent sur la £ 1 fini, que d'autre part, les ressources misesg oadeur de France, ont eu, cet après-midi, un ouvrier agricole gréviste qui avaitt valeur de ce qu'il arrache à l'Océan ; ausun nouvel entretien qui a duré une demi-' causé des dégâts dans une vigne à Thé-- si sa. fortune est-elle d une dizaine de mil-1. I à notre disposition par la nature se ré-•.. .'iofis heure. — Havas, 1 gan-îesBéziers. — Havas. I partissent dans le monde, d'une manièree PARIS, tri très inégale, tous les pays se complètent plus ou moins les uns les autres, et c'est le t propre du commerce de pourvoir à leurs be besoins respectifs. Précisément, le commerce anglais a pour mission d'écouler sur les divers marUn vif combat près d'Qms chés du globe le tonnage de combustiROME, 28 février. — Le* général Reisoli i< ble extrait en surplus. té J télégraphie d'Oms : En 1910, l'Angleterre a exporté 62 mil« Hier, à sept heures du matin, nos jio ont occupé la hauteur de Merlions de tonnes de houille, 65 millions, troupes tr en repoussant les turoo-arabes après en environ, en 1911, soit presque trois fois gheb ^ ^a un vif combat. LVnnemi a eu de grandes la production totale de la Belgique et# à pertes p e ; plusieurs réguliers turcs ont été qu quelques millions de tonnes près, deux fois tués. tu Un capitaine turc et un chef arabe ja la production totale de la France. Il est so sont restés sur le terrain. Les Italiens ont pe peu de pays au monde où — pour un usa- eu fi 11 morts et 82 blessés. La conduite des „ et de la troupe a été au-dessus gee ou pour un autre — l'on ne brûle pas officiers A, jj_ do tout éloge. Les Italiens campent su? de charoon anglais. En Europe, l'Allema- le le Mergheb. » gne, la France, l'Italie, la Belgique, les Autour de Benghazi p£ pays Scandinaves, la Russie, reçoivent BENGHAZI. — Ce matin, au cours d'un enpj plus des deux tiers du tonnage de char- ga gagement de cavalerie en dehors du rayo?i o D bon exporté par l'Angleterre. L'Amérique de des défenses italiennes, les bédouins ont (j^ etl repoussés avec perte ; les Italiens ont du Sud en importe six à sept millions de été to: un cheval tué. Les proclamations lantonnes. On en débarque même aux Etats- eu c6 cées par les aéroplanes ont produit une jjj Unis (quelques milliers de tonnes). g grande r impression. On possède des indiEn 1911, la France tenait la tête de cet- ces ce de défections continuelles de bédouins te dans le campement turc te clientèle. Cette année-là, l'Angleterre d£ nc nous a fourni plus de dix millions de tonL'expulsion des Italiens nes de combustible. Elle en a livré plus CONSTANTINOPLE. — On apprend de source de neuf millions de tonnes à l'Italie, près authentique, ai au sujet de l'expulsion des, de de Italiens des vilayets d'Alep et de Beyrouth de neuf à l'Allemagne. 5* qu'exception sera faite pour les religieux En 1911, nos importations ont augmenté iti italiens desservant des établissements plad« de 1.600.000 tonnes, tandis que nos houil- cé cés sous le protectorat d'autres puissanlé ce Les religieux des établissements palères n'ont fourni que 500.000 tonnes de ces. pl tronnés par l'Italie ou ceux qui se sont pla* Plus. *r. cés récemment sous le protectorat d'autres Il est donc de toute nécessité que les p, puissances quitteront le pays. — Havas. cl charbonnages anglais continuent de nous a] approvisionner. I, Et cela non seulement pour que nos usim nes ne chôment pas, mais aussi pour que n nos navires à vapeur — ces usines flotts tantes — ne soient pas obligés de rester PARIS. — Un de nos confrères a pu inà à l'ancre dans les ports et que nos échan- terviewer une hauto personnalité ottomane, de passage à Paris, qui a bien voulu gi ges avec les pays d'outre-mer ne soient ^ lui faire connaître, d'une manière précise, p pas compromjis. Ainsi, notre commerce y la ligne de conduite que désire suivre le ir maritime et celui de l'Angleterre ont, en gouvernement g, ottoman. c< cette occasion, des intérêts solidaires. « — Examinons tout d'abord, a dit la Nos départements côtiers se répartis- p personnalité en question, la situation acs< tuelle de la Turqifie, tant au point de vue sent le charbon importé. On a débarqué, j* que vis-à-vis des puissances et es 1911, quatre millions de tonnes environ intérieur en ^ d Dunkerque à Saint-Maio ; 4.300.000 ton- particul'ièreuient de l'Italie. de « L'état do guerre dans lequel nous nous t! n n'a pas obéré nos finances d'une nes, de Brest à Bayonne, 900.000 tonnes à trouvons ^ manière sensible ; nos dépenses sont en Marseille. Une part de ce tonnage est de3- J minimes vis-à-vis des sommes consitj tinées à la marine à vapeur dont la con- | effet ^ dérables que doit dépenser chaque jour , sommation annuelle oscille à l'entour de 1 n s notre adversaire pour l'entretien de sa. u un million de tonnes. A flotte et de son corps expéditionnaire en Nous sommes donc dans un Si cette importation se trouvait arrêtée, Tripolitaine. "* n nous pourrions difficilement compter,pour *état favorable et pouvons lutter indéfiniment sans être obligés de recourir à de<3 c combler le déficit, sur la Belgique et sur ; jl'Allemagne dont les besoins dépassent eexpédients ruineux. « A l'intérieur, l'attaque inopinée et ina aussi la production et qui, d'ailleurs, nous justifiée J' de l'Italie a mis fin à nos disf.font déjà d'importantes livraisons de corn- ® sensions de partis et nous sommes maintenant d'accord pour soutenir la lutte enj-bustible. g gagée malgré nous « et pour refuser d'aTout en faisant courir un gros péril à bbandonner à l'ennemi la moindre parcelle 1 l'industrie britannique, la grève des mi- de d notre territoire. 1 neurs menace donc, aussi, la nôtre dans „ « Jamais nous n'accepterons de reconnnaître comme un fait acquis le transfert s ses couvres vives. g sous la domination italienne de la TrinoSouhaitons que la sagesse l'emporte et litaine, li de cette province essentielement n que nous n'ayons pas à souffrir de la musulmane et arabe ». Depuis des siècles, q c pays nous appartient, et ce n'est pas c communauté d'intérêts sur laquelle e^t ce fondée, plus solidement que jamais, la po- qune loi italienne, vieille de quelques jours, i qui parviendra à nous l'arracher. 1litique franco-anglaise. << D'ailleurs, le gouvernement voudrait-il L. L. cconclure la paix sur une base semblable P. S. — On a parlé de l'importation qqu'il ne le pourrait pas, car il serait ren■ éventuelle de charbons américains. Nous vversé sur l'heure. Il ne faut pas oublier, 1 lisons qu'un chargement de 60,000 tonnes ven effet, que sous la suzeraineté du sultan de nombreuses provinces arabes, re( d)e charbon américains acheté par une- vivent jprésentées effectivement au Parlment de < Compagnie française de chemins de fier Gonstantinople C et qui ne sauraient tolérer « serait « actuellement en route », mais,d'au- un instant l'idée de l'abandon de la TriDOttre part, le Temps publie l'information Htaine. suivante : « Les mineurs américains pro- c « Quoi qu'on dise, et c'est là un point capital, pour qu'une médiation collective 1fitent de la grève imminente des charboncdes puissances européennes puisse être ef1 nages anglais pour réclamer, sous me- ficace, \ il est nécessaire que le Parlement 1 nace de grève, la journée de huit heures, |italien revienne -sur son vote récent et que 1une augmentation de 20 % des salaires et la ^ loi d'annexion de la Tripolitaine, adopd'enthousiasme à Monteeitorio, soit ,plusieurs autres concessions accessoires, tée 1 rapportée. Alors seulement pourront s'enà; partir du 1er avril, date de l'expiration gager t des pourparlers ayant quelque chanc de succès. » ( du régime actuel établi par contrat, entre ce : les' patrons et les syndicats ». L'incertiPuis, la personnalité 'ottomane intervie1tude est partout, seule est certaine la gra- 'wée continue : vité du danger. « — Le bruit a couru que des démar• » < ches avaient, été ou allaient être tentées à Constantinople afin d'amener la. Turquie I à moins d'intransigeance. Je puis vous affirmer que jusqu'à présent, aucune tentaPARIS, 28 février. — Pendant toute la tive I de ce genre n'a été faite. "Ce serait mutinée des témoignages ont été recueil- un 1 acte inamical, qui ne nous paraît pas lis par le service de la sûreté à l'effet de admissible. i \ relever de nouvelles précisions sur les trois « Au contraire, nous approuvons pleineindividus de la place du Havre. Un grand ment i les déclarations que vient de faire \nombre d© particularités ont été décou- ] votre gouvernement et oui sont ■vertes oui semblent correspondre au signa- paraître 1 conçues en termes particulièrement heulement des agresseurs du garçon de reeet- reux. : » >tes Gaby. L'individu rasé, qui tua hier l'agent GarLes puissances protectrices ,nier a notamment les yeux très brillants et la Crète et exorbités. Au service de la sûreté on est persuadé Envoi de renforts qu'il s'agit d'un nouveau crime d'anarchisLONDRES, 28 février. — Les puissances tes. protectrices de la Crète ont décidé, en raiDes recherches sont effectuées dans la son des attentats fréquents commis en banlieue nord de Paris, à Saint-Onen et Crète par les chrétiens contre les musuldans les environs pour savoir dans n-uel mans, et des mesures projetées par l'asgarage l'automobile dérobée à M. Buis- semblée révolutionnaire, de renforcer son a été remisée. : leurs forces navales dans les eaux crétoiD'autre part, on n'est pas éloigné do■ * ses. Le gouvernement britannique, qui a aroire que les bandits seraient les mêmes déjà à la Sude le croiseur « Diana », a qui ont dérobé une automobile à Arnay- fait partir le « Lancaster » et enverra, lé-Duc, appartenant à M. M>albec, indus- probablement un autre croiseur. triel à Béziers. Le gouvernement français 'enverra le On suppose que ces malfaiteurs avaientt « Waldeck-Rousseau » et 1' a Erncst-Redécidé de perpétrer un attentat dans le> nan », qui prendront place aux côtés de Midi de la France. 1' « Edgar-Quinet .», qui remplacera A cet effet, ils menaient l'automobile! 1' « Amiral Chaîner », parti pour Beyviers le Midi, lorsqu'ils eurent une panne> # routh. Le gouvernement russe enverra à Arnay-le-Duc. également des bâtiments de guerre, Ils continuèrent leur voyage en chemini Quant au gouvernement italien, il a de fer et vinrent enlever à Saint-Mandé- reconnu, dès le début des hostilités italola voiture de M. Buisson. Ils repartaientt turques, la neutralité d'e. la Crète et y se sans doute pour le Midi, lorsque leur ex-- contentera de s'associer aux démarches cès de vitesse provoqua le drame que l'oni des représentants des autres puissances. sait. L'état de Mme Ghaudiord,, qui fut jenWBtsés pair l'auto de M. Devance dans la Sur la recette du gala organisé mardi poursuite, est satisfaisant. — Havas. soir à l'Opéra par le Comité républicain 3 du. commerce, de l'industrie et de l'agriWOtïïi PAGE i i cultuie, M. Mascuraud, préside'nt, a prélevé une somme de 500 francs pour la La chronique agricole. veuve de l'agent François Garnier, Urt La chronique de la mode, rue du Havre dans les circonstances draPetites correspondances. matiques crue ion sait. La Turquie n'abandonnera pas la Tripolitaine I J L'ATTENTAT DE LA PLACE DU HAVRE ] 1 .-, ■ « :,ir,->-- -■——„- ■•.•^«Kmfmm^Kt^SM'^ÊBSSB-.^S^~-^ lii^^a^aaM^MM^^ \wm\j HJMIIJIIIII » i iiff'"' • " *—- a 1 ik'EST RipyjBLI iMCAHf fi AI» ^SSa^vS^^^^'!--^ SSÏÏKÏ;.i. j__z^ssrrrr" '■ "* L'EST ftfPUI .. „ u, » »... M BMM da la Sutualitô La M^Carême Ptri» de 6j000 médailles de la mutuiaitté ! 29 — 2 -» > ——ÎHSHÏ «JSSSU 29 - 2 - ■"■»TH»r.^*se?ï=s«L », „„i I ''i' n 12 ÈESaa^ 12 SEES^,. Trois ouvriers tombent t Société ! Centrale d'agriculture fT d'un échafaudage On nous prie d'insérer : Ci. m mi«ta projet» ont été et;œiiês»^ans de rendre à la Mt-Cartoe f éclat « La Société centrale s'est réunie -Jo cy,' ECOLE POLYTECHNIQUE j d < îlsiÛRTHE-ETnMeSELLi:. — M. POïlrBOï^ t Mercredi, ver» 7 heures du matin, StëM. BttcH n faâis eette fête, 24 février dernier, sous la présfden LES PRÊTS DE L'ETAT £ PARIS. — Les candidats à VJScole polyjI«klii>re Comby, âgé de 20 ans ; Henri Trio- de de divers comités de secticmè ' Celui «ui rafii* fusqu-oî pï«?«rt d M. Ch. Viriot, vice-président. " -JK (Q technique sont avisé» que les compositions de |président du pubftc et des commerçants établi» ni, «. âgé de 26 ans, maçons, demeurant à l'orphelinat et de l'enseignement pri- aion La séance a été consacrée à l'examen A ei L' « Officiel » du 2S lévrier promulgue la écrites du concours d'admission em 1912 <maire. " ,et Auguste Scholing, âgé de 34 ans, la le proposition de M. Remy-Parfeot relit' * . , ... _ , ddan» '« cenU^e de la ville, consiste en un Laxou auront lieu du 7 juin inclus au 12 juin i loi que viennent .de voter les Chambres mo- ai dkm des Sociétés cycliste de Nancy, qui JIMEUSE. — M. Drappier, président dftl» manoeuvre, rue Clodion, travaillant chez à la création, à Nancy, d'un marché d JOir© n aient à la gare un groupe cyclo- MM. Fournier et Défaut, entrepreneurs, hebdomadaire diliunt la loi du 10 avril 1908, relative à la inclus. in société de secours mutuels do SUeura^ h où les animaux B Les examens oraux dai premier degré i S6 uen acrobatimie d'Alsace-Lorraine. petite propriété et aux maisons à bon mur- commenceront à Pari» le l*r juillet, ceux étaient occupés à démonter lo monte-char- vendus v à la pièce ou au PCMCU -f ' c e * LTilSCNE, dans te, réunion de son co- g© ^ de l'échafaudage d'une maison récom- marché chô et abrogeant l'article 4 de la loi du 19 °' n pourrait se tenir à côté du m, du deuxième degré à une date qui sera mité mardi soir, a accepté en principe de ment construite avenue de France, à l'an- ordinaire, 0 mars 1910 instituant le crédit agricole indi- ™ o le même jour et un peu indiquée em temps utile. Ils auront lieu £u Bréndre aai cortège, une part effecUve, Le gl© de la rue du Sergent-Bobillot. l'heure 1' d'ouverture de ce dernier. >nt yiduel à long terme. — En voici le texte : successivement à Paris, Bordeaux, Mont1 coneouiB de» clubs indépendeats serait s Ces ouvriers se trouvaient à la hauteur L'avantage certain que procurerait c«u» « Le Sénat et la Chambre des députés pellier, ^ MtarssiMe, Lyon, Nancy. Iassuré également, . , 2° étage lorsqu'un madrier supportant 1© organisation du o d serait la venue à Naney 3z ont adopté, Restent les autorisations nécessaires a plancher v d© l'échafaudage se brisa par le c; clients de notre région, qui .V.,t.j.i.... , .„ LE CAS DU CAPITAINE MAJOREL [Le président de la République promulgue I cette manifestation pour lui donner le *; milieu. Le plancher fit bastulo et ils fu- n rient habituellement à la Viiletle. et nola loi dont la teneur suit : [ <PAR*S. — L» ©apitaine Majorai, du 58»* lient précipités tous trois sur le sol d'uno t; ïcaractère populaire qu'elle doit revêtir en _ tamment des bouchers lies villes voisines Art V. — Le début du premieralinéa <j. d'imîajntenBe à A%4gwon, fut, comme on le *e produisant dans un vaste espace tel que, hauteur do huit mètres environ. e des boucheries) militaires des places h et de l'article 3, le paragraphe 3 de l'article sait, , acquitté à la minorité de faveur par Jeudi 29 février. — 60e jour dv Vannée bis- p par exemple, lu ptace Stanislas. g: Les ouvriers travaillant dans la maison f< 1 fortes d© l'Est. conseil de guerre de Marseille. Il était 3, l'article 4, l'article 5 et le 11e alinéa de le serfile. Nous ne prévoyons aucun incident sus- se précipitèrent au secours de leurs camak Et du jour où les éleveurs des centres de s'être livré envers un inférieur, l'article 8 de la loi du 10 avril 1908, relative accusé &i ceptible de contrarier la réalisation d'un rades ' AUJOURD'HUI : DEMAIN : et les relevèrent, La voiture d'am- dci© production et d'herbages seraient assusimple soldat, à des écarts de langage à lia petite propriété et aux maisons à bon un u projet au succès duquel s'empresseront de " Sainte LUCILE. \ Sainte EUSOXIE. bulance des pompiers demandée, les con- r b res de trouver à vendre, à Nancy, leurs à des violences que le règlement resmarché, sont remplacés par les aisposi- et e) tous les Nancéiens. , 0 duisit à l'hôpital où Ton "constata que a animaux au poids vif ou à la pièce, ils ne Ephémérides lorraines : En 1532, mort à concourir crdt de réprimer. lions suivantes : ci Pendant les réjouissances populaires de J Comby avait une jambe fracturée, plu- manqueraient n pas d'en envoyer un grand Le général Mercier-Milon, commandant Nancy d'Hector d'Ailly, 7° évêque de Toul. « Art. S5. premier alinéa. — Des prêts au r*. côtes enfoncées et d©s contusions nnombre, sur notre marché. Ce serait de la taux de deux pour cent (2 p. 100) peuvent ll£ A deux heures. — Musique militaire au la '! Mi-Carôme (dimanche 17 mars), les ro- sieurs le 15° corps, vient d'infliger au capitaine ses de France seraient vendues au profit du A cuir chevelu. Trioni et Scholing n'a- bonne b décentralisation à tous points de être consentis par l'Etat aux sociétés de cré- y • ■M'ajorel 30 jours d'arrêts pour manque- parc Sainte-Marie. v vue et tout le monde y trouverait son A quatre heures un quart. — Cercle mi- dde notre souscription en faveur de l'avia- valent que des contusions légères, dit immobilier qui ont pour objet... » nicnt grave au devoir professionnel. Par n tion militaire. *"* a avantage : les producteurs, une vente plus « Art. 3, paragraphe J. — 3° Etre muni la j, voie de l'ordre et à titre d'c-xk-m.p'.e.cettc litaire : Conférence aux officiers de réser- * ♦ m» — On ignore p.v suite de quelle circons- fi facile, plus rapide, et sans atermoied'un certificat administratif délivré par le gsanction a été1 portée à la connaissance ve. a pu se rompre à son mi- ments n ; les bouchers, un choix plus consiA huit heures et demie. — Salle Poire! : contrôleur des 'contributions directes et dde tous les corps et services de la 15" réBRONCHITE îjtancecarle ilmadrier lieu était ©n bon état On supposo que dérable d d'animaux ; la Vilte, un trafic constatant qu'il a été satisfait aux condi- gion. „ Les circulaires ministérielles auto- Soirée théâtrale : La Traviata. c'est par un brusque mouvement des ou- plus p important sur son marché et les contiens imposées, soit par l'article premier de „risent l'autorité militaire à infliger une Maxima ET RESPIRATION DIFFICILE TEMPÉRATURE LA vri.ers qu'il a été brisé. Si la présente loi, s'il s'agit de l'acquisition « punition disciplinaire à ceux qui, traduits sommateurs, une sensible diminution du Frictionnez-vous la poitrine et la gorge d'un champ ou jardin, s'oit par l'article devant ,d L'enquête d'usage a été faite par M. Nay, prix p un conseil die guerre, ont été ac- f £' de la viande en raison de la suppres767 Brest, 775 Beîfovt, forte pression avec du Baume Oméga et vous serez rapi- ci 5 de la loi du 12 avril 1906, s'il s'agit de quittés. _ cemmissaira de police. s sion de coûteux transports et des intermé1 * Ouest Europe. ( dément soulagé. Absorbé par les pores, facquisition ou de la construction d'une d diaires de la ville. * L,e 29^. NANCY Le 2» le Baume pénètre jusqu'aux organes resmaison individuelle ; dans ce dernier cas, La Maison VAXELAIRE et PIGNOT, L'assemblée s'est ralliée, h l'unanimté, à' UNE CANONNIÈRE COULÉE l'emprunteur doit produire, avant la concongestionnés et enflammés, cconfection pour hommes et enfants, rue co c projet et a chargé son bureau de transHeures Therm. Barom. Temps probable: piratoires 1 clusion du prêt, le certificat de salubrité Souvent un© ou deux frictions suffisent sSaint-Dizier, à Nancy, a l'honneur d'in- mettre n ce vœu à la municipalité de Nancy 'SARO (Portugal). — En face de la barre prévu à l'article 5 de (la loi de 1906 préci- d'Alvor, 1© remorqueur « Joséphine », du pour amener la guérison. D'ailleurs, aus- 1former sa clientèle que ses magasins res- aainsi que le désir des agriculteurs de voir | | G h. m. + 6 75"> v nt d'entre tée, ou bien un certificat provisoire de sa- «port de Lagos, est entré en collision avec e si grave que soit votre cas,le Baume Orné- ter t ont ouverts les dimanches jusque midi, ramenées r â la matinée les heures d'ouverlubrité délivré par un délégué du comité [la petite canonnière « Saro et l'a coulée. j | Midi .. + 12 755 Sud et Ouest \ga finira toujours par vous soulager, à partir du dimanche 3 mars prochain. t ture du marché aux bestiaux. de patronage. Ce délégué est désigné par JjIl y a six morts dont le commandant et C | 4 h. 8- + 10 : 0.50 c. 754 Quelques ondées. pl. ! *•* lui, dans chaque canton de sa circonscrip- Jle second. On a pu, à grand peine, sauver Avis — Temps doux. tion, autant que possible au mois de dé- le {' îeste de l'équipage. La cannonière est 4 » Max. . + 12 A l'issue de la réunion d© la Société cenMme Million-Moyaux, corsetière, 38 bis, Pour une grande infortune cembre de chaque année, pour l'année sui- *complètement perdue. — Havas. rue Vivienne, Paris, informe sa clientèle \trale a eu lieu l'assemblée génôralo anjmï *<»•■• + 4 ^ Nous avons encore reçu pour la famille qqu'elle sera à "Naney, hôtel des Deux-Hé- 1nuelle du Syndicat d'élevage du cheval de vante, soit parmi ses membres, soit parmi c (Observations de M, Belliéai.) Jeanray : de Mme G..., 3 fr. ; un abonné, „misphères, du 4 au 9 mars prochain, et trait de Nancy. les architectes ou ingénieurs au service du • 10 fr. ; M. G. B., 2 fr. Ce qui porte le to- qu'elle „ département ou des communes. Le bénéfiM. Godfroy a entretenu l'assemblée de recevra tous les jours, de 2 h. à 7 h. tal des sommes qui nous sont parvenues à em I ce des dispositions de la loi du 12 avril l'utilité do la création d'un stud-book du LE Voleur arrêté e Î306 demeure, en ce cas, subordonné à l'ob95 fr. cheval ardennais-belge. Une étude comLever Coucher J^^^^^^^^^^^^^^ Un ouvrier imprimeur, Albert Kramm,.dé- plète i tention ultérieure du certificat de salubride cette question sera faite, des renLONDRES, 28 février. — La Fédération Au Bureau de bienfaisance té spécifié par ladite loi. meurant à Metz, était venu faire une pro- seignements s seront puisés près des studn des mineurs s'est réunie ce matin pour ( 6 h. 47 5 h. 40 #4^ Dans sa dernière réunion, la commis- menade „ « Art. i. — Pour obtenir des prêts de examiner à Nancy. Mardi soir, il rencontra book t déjà établis en France et en Belgiles propositions faites hier ( sion administrative du Bureau de bien- rue l'Etat, les sociétés de crédit immobilier de- (après-midi par le gouvernement en vue de la Hache une femme galante avec çque et un projet sera présenté à la pror faisance d© Nancy a décidé — sur deman- laquelle i vront se constituer sous la forme anonyme *du règlement du conflit. ré .mien. il alla boire dans un établissement chaine c des Amis de Saint-Pierre — que les gde la rue des Ponts. et au capital minimum de cent mille francs De Jeu rcôté, les patrons ont discuté ses Pleine Lune JÊ fi*M de • M. Gcetzmann attire l'attention des élecultuels existant encore dans l'an(100.000 fr.). , Tout en buvant, il lia conversation avec veurs \ propositions dans une réunion tenue au le 7 mars %^"*^»nmc3?^S^ <*£fM | objets < sur l'importance que l'on doit atta« Le dividende annuel à servir aux ac- Foreign-Office. cienne église Saint-Pierre (vitraux, che- tun individu qui vint se placer à ses côtés, cher c à l'origine dans les achats d© reprotionnaires ne devra pas dépasser quatre min de croix, autels, appliques, statues, iLa tête alourdie, Kramm sortit du débit, cducteurs. Les éleveurs belges l'ont bien LONDRES, 28 février. — A midi, les délépour cent (4 p. 100). , etc.), et qui sont sans valeur réelle, ne se- il i constatait bientôt la disparition de sa compris, c gués mineurs sont allés conférer avec M. aussi sont-ils arrivés à de ma« Art. 5. — Les sommes restant dues par *Aequith. raient pas déplacés, mais que l'autorisa- rmontre en argent. ( gnifiques résultats. Il est indispensable une société de crédit immobilier ne pourtion do remettre les cinq tableaux y exisi De suite il alla porter plainte à la police cqu'il soit fait de même chez nous si l'on La conférence des mineurs a décidé à ront dépasser la somme calculée comme il jl'unanimité de continuer les négociations tants au Musée de la ville, à titre de dé- eet fit peser ses soupçons sur la femme qu'il veut \ améliorer rapidement et sûrement pôt, suit : I et p a adopté un o*dre du jour permettant i serait demandée à la municipalité. gavait rencontrée. i notre élevage chevalin. Il est avantageux « 1° La moitié du capital restant à appe- -en ^ Parmi ces tableaux, trois, très considéraLes agents Mourot et Longj arrêt, du scr- c cas de grève de continuer le travail M. Pilla, président des Etudiants de jbles, ont une récllo valeur artistique. Ils \vice des recherches, ouvrirent une enquête; 1également d'acheter, ©n Belgique, les éta1er ; ,en petit nombre pour maintenir la sûreté lons à 18 mois plutôt qu'à trois ans, ils Nancy, et trésorier de l'Union nationale sont , « 2° Le montant des rentes en valeur ga- des mines, — Havas. dus au pinceau do Claude Charles, ils i furent bien vite convaincus de l'inno- sont s plus nombreux à cet âge, le choix en des étudiants de France, nous prie d'iriséranties par l'Etat appartenant à la société premier directeur de l'Académie de pein- ccence de la femme. Us se mirent à la re- cest plus grand et le prix plus abordable. rer : 1 et déposées à la Caisse des dépôts et con- { ture de Nancy, sous le duc Léopold. c cherche de celui qui avait bu avec le volé. L'assemblée a décidé crue le, concours « M" Decroix, avocat à Douai, président signalions ; I Cet individu, René Perrotin, âgé de 17 annuel ; aurait lieu le samedi i?5 mai, à Nande l'Union nationale des associations d'é,<< 3° Les créances sur première hypothèAvis aux Dames £ ans, manœuvre, rue de l'Abbé-Didelot, fut cy, ; sur un emplacement que le bureau a tudiants de France ©t d'Algérie, vient de que jusqu'à concurrence des six dixièmes 1bientôt découvert à la gare, où il travail< été chargé do rechercoer. » Le couturier BARGHON, de retour de prendre l'initiative patriotique d'offrir un (6/10) au plus du prix d'achat ou de revient lait au déchargement d'un wagon de pom———— — Paris, prépara une ravissante collection de îmes de terre. Interrogé sur le vol, il prodes immeubles affectés à leur garantie ; j aéroplane à l'armée. « 4° La réserve mathématique des poliIl fait appel à Ja générosité des étudiants costumes , demi-saison en tailleurs dernier testa t de son innocence, puis bientôt il se ces d'assurance sur la vie pour lesquelles de toutes les Facultés et de tous les partis cri i MAISON DES ■■■ et robes habillées. ttroubla et lit des aveux complets, puis res- a38&SËm la société a fait l'avance des primes. et il compte en particulier sur le dévouetitua la montre qu'il avait cachée dans son Les Dames seront émerveillées de ses jo- * « Toutefois, les créances hypothécaires ment des camarades nancéiens nui tienveston. pourront être comprises dans l'évaluation dront à honneur de se mettre à la tête de lies créations et de leur grande variété. 1 Perrotin a été déféré au parquet. de la somme susvisée pour sept dixièmes la souscription et de la mener à Lier. » Barghon voulant faire toujours mieux et NANCY, 28 février. — La petite promotion Aei eselleimtnt (7/10) du prix de revient des immeubles . Postes et télégraphes plus joli. violette qui suit d'habitude la grande hypothéqués, si la commune ou le départe- i Le jeune maréchal des logis A. KorLe 4 avril 1912, à 3 heures au soir, il feAu 1er mai, agrandissements des ateliers ment garantit le payement des annuités ]promotion de janvier, vient de paraître. mann, du 8" d'artillerie, vient de i asser ra procédé en séance pnbliqae, à Nancy, correspondant à l'avance complémentaire Elle renferme des noms très sympathi- avec succès son brevet de pilote de : ACF, de couture devenus trop petits. hôtbl des Postes, rue Claule-î.'harles. à d'un dixième, quo la société aura ainsi re- (quement connus et aimés dans notre région à Mourmelon. C'est le premier f ous-officier l'adjudication de l'entu-prise de transport çue de l'Etat. i Au camp de Mailly de France qui l'acquiert Nos chaleureuses de dépêches à exécute" en voiture de Pcm- GROUPES et SOCIETES lorraine. « Pendant toute la durée du rembourse- I " Notre concitoyen, M. Marchand, un <Jo, félicitations au jeune pilote qui monta La îi« division se rendra au camp de pey • à Frouard-Gar^ nient des prêts à 2 p. 100 les sociétés ne nos meilleurs artistes graveurs sur verre, pour la première fois ?n a-^rop aie il v a Mailly cette année. ' Les uersoriurs qu' désirent prendre part COMMUNIQUÉ;:-. 1 pourront consentir valablement de cesElle y séjournera du 20 août au 6 sep- ;à cette adjudication, doivent en faire la un mois seulement, et'nos vifs encourageClub alpin français. — PK>Eaen»acte du sions de créances hypothécaires sans l'au- <est nommé officier de l'instruction publi-[ ments pour ses raids fu*ars • tembre et exécutera des manœuvres en re- deminde \ par écrit au îire?teur des postes torisation de la commission d'attribution ique ainsi que M. Charles Sadoul, directeur tournant à ses garnisons. , télégraphes, à Natny, le 25 mars au 3 mars. — Rendez-vous à la gare à 7 h. 30 et matin (carnet et insigne) ; départ à 7 h. Une cavalcade à Lunéville instituée auprès du ministre du travail par idu « Pays lorrain », ph;s tard. Le lundi de Pâques l'article 8. » On sait tout ce quo M Charles Sadoul a Le nettoyage des rails du tramway ' Elles devront joindre à leur demande 52 pour Frouard. A pied par les crêtes à la Flie. Déjeuner. Retour à Nancy par « Art. 8, 11° alinéa. — Deux représen- ,fait de cette publication qui, si elle s'ocOn sait qu'une cavalcade en faveur de On sait qu'à Nancy le nettovage desi 1une pièce établissant leur nationalité (car- le nouveau jalonnement du Club alpin. lanls des sociétés de crédit immobilier. » ,cupe de l'histoire do notre petite patrie, l'aviation est projetée à Nancy pour le lun- rails te d'électeur, livret militaire, etc.) creux du tramway se fait au moyen t Excursion de botanique. — Avis aux Art. 2. — Lors de l'expiration d'une so- ,n'oublie nullement les- grands intérêts dei di de Pâques. Or, les journaux de LunéElles peuvent prendre connaissance du de pelles se terminant en pointe maniées| ciété de crédit immobilier, ou en cas de dis- I l'heure j ville publient la note suivante : 1 cahier des charges à la direction des nos- membres du Club-Alpin : présente. à bras. C'est long et a cet inconvénient solution anticipée,l'assemblée générale ap- J Excursion organisée par M. V. George, « Une indiscrétion nous permet d'an- que les hommes qui manient la pelle jet-'. 1tes et télégraphes à Nancy et aux bureaux Appartenant à une ancienne famille Je pelée à statuer sur la liquidation, ne pourà Blainville, le dimanche 3 mars. 1 , noncer une cavalcade qui doit avoir lieu des posîes et télégraphes à Frouard et à tent dans la rue déjà balayée la poussièra, après payement du passif et rembourse- naon-l'Etape, M. Charles Sadoul s'est livré à Lunéville. Récolte du « Leucoïum Vernum » (percePompey. re ©t la boue qu'ils ramassent. ment du capital versé, attribuer la portion :à d'intéressantes études sur le « folk lore » neige). Nous ne sommes pas encore autorisés à Un inventeur mulhousien vient de consd'actif qui excéderait la moitié de la quo- vosgien et, tout récemment, il a fait à son! en donner officiellement le programme, Rendez vous à la gare à midi 35, départ tité du capital social versé qu'à une ou sujet i de savoureuses conférences, tant à' mais nous croyons déjà, pouvoir assurer truire un système simple et ingénieux de; à mid 56 ; retour par les bois de Roswres, Puissante Compagnie nettoyage des rails. C'est un chariot monplusieurs autres sociétés règles par la pré- I Epinal qu'à Saint-Dié. où l'on trouvera des narcisses (claudinetque le jour choisi par les organisateurs est té sur roues qu'i'i suffit de promener sur sente loi, sous réserve de l'approbation du tesV à Nancy, pour 0 heures. Sont nommés officiers d'Académie : MM. le lundi de Pâques. Etrangère " Vie" ■la voie pour qu'il enlève mécaniquement ministre du travail, après avis du conseil Bernier, employé à l'inspection des cheUn distingué botaniste accompagnera déjà introduite avec succès ©n France, lapoussière et la houe qui sont ramassupérieur des habitations à bon marché. cette promenade. mins de fer de l'Est, à Nancy ; Borel, art cherche pour Nancy comme directeur résées dans une boîte sous le chariot. C'est Pour l'achat d'un aéroplane Les dispositions de l'alinéa précédent ne Société de secours mutuels des tramgional, monsieur 35-45 ans, actif et capasont applicables qu'aux sociétés qui obtien- tiste dramatique à Nancy ; Gudin, vétéri-' I La souscription ouverte par la munici- pratique, simple et beaucoup plus rapide> ble, ways de Nancy. — Le 26 février, à neuf ayant hautes relations dans milieux naire à Nancy ; Herborn, représentant de que le travail à la main. ! dront des prêts postérieureemnt à la propalité de Nancy pour offrir un aéroplane industriels et commerciaux, pouvant heures et demie du soir, dans la salle de commerce à Nancy ; capitaine Lazard, de* au ao^ corps s'élève à'ce jour à 15.148 fr.40. mulgation de la présente loi. fournir cautionnement. Situation 25 à l'Agriculture, a eu lieu la réunion annuelNIL Art. 3. —- L'article 4 de la loi du 19 mars; 1 état-major particulier du génie à Nancy ; 30,000 fr. par an. Adresser les demandes le de la Société. Le compte rendu financier 1910, instituant le crédit agricole individuel Panot, commissaire spécial à Saint-Nicoprésenté par le trésorier est approuvé. Nécrologie à M. Simon, 18, rue Spontini, Paris. à long terme, est abrogé. » las-de-Port ; Petit, de Commercy ; Ramas, Dana la gendarmerie Club Cyclo-Touriste Nancéien. — Le co— ' Nous avons le vif regret d'apprendre la mité rappelle que la première course de inspecteur die Société métallurgique à Nan-' mort, à 2 ans Une décision ministérielle place ,1e mairéde Robert Salrnon, fils de classement aura lieu dimanche prochain 3 cy ; Docteur Worms, médecin aide-majorc M. Daniel Salmon, industriel, rue Saint-'. chai des logis Louis Serre, du 3» d'artilMLLERAK B«E ET mars, sur la route de Seichamps, à deux à pied à la. gendarmerie de Nancy. au 79°, à Nancy ; Roy, homme de lettres à«• Lambert. heures de l'après-midi. Rassemblement des — M. Mangin, maréchal des logis à Nancy ; Simon, publiciste à Nancy. Que la famille si cruellement éprouvée BOURGES, 28 février. —- M. Mitlerand at coureurs à une heure au siège social, 47, M. Ramier ne compte dans la Compagniej nous permette de lui offrir nos condoléaa- Nancy, passé à Frouard, en remplacement1 assisté, hier soir, à des expériences d'artilCYCLISME rue des Dominicains ; départ à une heure de M. Maréchal, admis à la retaite. lerie exécutées en mettant à profit des obuss de l'Est que des amis ; M. Borel est un des3 ces émues. Course cycliste des débutants, — Ainsi et demie. Le départ réel de la course se feéclatants. Il s'agissait de tirs exécutés sur■ plus sympathiques artistes de notre théâque 1' « Est républicain » l'a annoncé, ra devant le café des Colonies. En cas de COFFK ES-FOIS TS FICI1GT un village situé à plusieurs kilomètres en1 tre municipal. mauvais temps, cette course serait remis© Exposition du « Bureau moderne » avant des pièces. Ces expériences ont adnoombustiblts et blindés d'acierjmperforablei c'est dimanche prochain 3 mars, à 2 heu- à une date ultérieure. Quant à M. Arthur Herborn, c'est le déres de l'après-midi, que sera donné le (4-13 mars 1912) mirablement réussi. Ce matin, à sept heu- voué secrétaire général du si vivant syn8, pue Saint-Georges, NANCY Amicale laïque des Trois-Maisons, — Le départ du « Grand prix d'ouverture réserres, le ministre a quitté la préfecture. I Conférences démonstratives, grand hall comité rappelle aux sociétaires que la predicat des voyageurs de commerce de Nanvé aux débutants » montés sur machines Conférences militaires Accompagné du général Joffre, chef de} do la Bourse de commerce, 40, rue GambetVendredi 1er mars, salle Déglin, 6, rue) munies de pneus démontables. Cette mière séance des tirs à l'arme de guerre l'êtat-major et du colonel Mangin, direc-I cy et de ta région de l'Est, F est le rédac-" ta : aura lieu le dimanche 3 mars prochain, de teur de l'artillerie au ministère de la guer-. | teur en chef de leur excellent organe corJeudi 7 mars, à cinq heures et demie du de î'Equdtation, à 8 heures |, conférence3 épreuve — la première grande course sur huit heures à onze heures et demie du mairoute de l'année — aura lieu sur les 50 k. poratif « Notre Journal ». re, il s'est rendu au polygone. soir. — L'organisation commerciale et sur Lassalle par le général Cherfils. du parcours Essey-Colonies Nomeny et re- tin, au stand du Grémillon, à Essey-lesLà, de nouveaux tirs ont eu lieu, d'abordi M. Roy, le poète des « Enluminures »,, l'agencement du « bureau moderne », par Nancy. Faculté des lettres tour. avec des pièces de siège, puis par l'artil-- voit récompenser un talent aussi modestee M. Ravisse, admmistratemvdirecteur de Le comité compte sur la bonne volonté de En réponse à plusieurs demandes, sont lerie de campagne. Cours publics que délicat. « Mon Bureau », à Paris. tous les camarades pour assister le plus . seuls exclus les militaires étrangers à la - A dix heures, M. Millerand s'est rendu1 Jeudi 29 février, à 4 heures §. — LittéVendredi 8 mars, huit heures et demie Enfin nous félicitons sincèrement notre0 avant leur incorporation et les régulièrement possible à ces séances intéen automobile au camp d'Avor, où il a vi- confrère, M. Emile Simon. du soir. — La fiche et le classement des rature anglaise. — M. Reyber": Dickens. Lorraine coureurs qui se sont déjà classés dans des ressantes. sité l'école d'aviation. — Havas. L'art du romancier. Amicale laïque Ory-Saint-Nicolas, ■ Emile Simon est non seulement un re-. papiers d'affaires dans l'organisation de ,. compétitions ouvertes c'est-à-dire dans des Samedi 2 mars, à 4 heures 1/4. — Littét'usine et du "magasin (avec projections), l'assemblée générale annuelle de l'Amicaporter avisé, .exact et justement populai-1 . épreuves autres que les courses de sociépar M. G. Borgeaud, directeur de la Mai- rature française. — M. Estève : bîs ori- tés. i re, mais encore un brave cœur. N'est-ce le s'est tenue sous la présidence de M. 6 gines de la ballade romantique. son Beorgeaud, à Paris, Le Grand prix des débutants est doté de Charles Viriot vice-président, remplaçant ■ pas lui qui fonda les « Amis de l'EnfanSamedi 2 mars, à 5 heures t. — HistoitSamedi 9 mars, huit heures et demie PARIS, 28 février. — M. Jean Dupuy, mifort beaux et nombreux prix : bicyclette M. Guérard président, empêché. nistre des travaux publics, a reçu ce ma-" ce », cette belle œuvre qui chaque annéeo du soir. — La dictée et le copiage du cour- re de la Lorraine. — M. R. Pari sot : Le6. de course, appareil photographique, vaLe secrétaire, M. Scheider Henri, après royaume d'Austrasie. L'empire carolinL l illumine de joie les yeux des petits ? rier par le phonographe et la machine à tin une délégation composée de MM. do la avoir retracé en quelques mots îa situases d'art, palme et médaille d'argent, etc. ' . gien. Lo royaume de Lorraine. copier, par M, Pitet, agent général pour Vaulx, vice-président do l'Aêro-Chib de Pour égaliser les chances, l'usage des tion morale de l'Amicale et rappelé les l'Est de la Maison Roneo. France, Sorcau, commandant Renard, Beboyaux est prohibé, tous les concurrents succès qu'elle a obtenus au concours de à l'eau Mardi 12 mars, huit heures et demie du sançon Surci uf et Gravel. Blâment, adresse, au nom de tous les Voici, d'ailleurs, la promotion complète devant rouler sur pneus démontables. soir. — L'application des machines à calCes messieurs, émus par le nombre dess pour nos trois départements lorrains : Il est sauvé par un militaire membres, les plus sincères remerciements De nombreux jeunes gens de Nancy et accidents produits par la science de l'aSont nommés officiers de l'Instruction culer et à additionner dans le commerce et; Mercredi, vers sept heures du soir, M.t. des environs se sont déjà inscrits. Nul'e à M. le préfet pour la grande bienveillanl'industrie. Démonstration des divers ap-" Hippolyte Gardeux, âgé de 44 ans, journaviation, désireux d'en réduire le nombree publique : i- meilleure occasion, en effet, de mette en ce qu'il a témoignée à l'Amicale en toutes !_ pareils. Epreuves comparatives de vitesse p Mer, demeurant en garni, rue de Strasau moment même ou un mouvement nacirconstances. MM. fiâllèr, ingénieur'de la Société mé3relief leur valeur. J_ par MM. Deleamont et P. Goguel, admi-" bourg, 74, s'est jeté dans le canal à proxitional se dessine pour dote*' la France d'unii tallurgique à Aubrives-Villerupt, — KleiLe trésorier, M. Fontaine Alphonse, iAjoutons que tous les concurrents ac, nistrateurs-directeurs de la Société Conombre considérable d'aéroplanes, ont dé-!- no, notaire honoraire à Cons-la-Grandville, ■ mité de la passerelle de la Pépinière, complissant les 50 le. en moins de deux donne un compte rendu très détaillé de la £ mercia, à Epinal. cidé de former une union de toutes les So-i- délégué cantonal. — Martin, artiste graUn soldat du 69e, Adrien Henry, qui pas3heures et demie, auront droit à un bre- situation financière de l'Amicale, situa_ Mercredi 13 mars, huit heures et demie! ' sait à proximité, se porta à son secours et ciétés aéroiiautiques afin de rechercherr veur sur verre à Nancy. — Morelle, contion financière qui est excellente et tert st vet. en commun les moyens d'atteindre leurr seilller municipal a Commercy. — Sadoul,j du soir. — L'organisation du bureau mo-- fut assez heureux pour le saisir par les ÏS Les engagements, accompagnés du droit; mine en remerciant M. Raoul Bigot pour ^ deme et sa répercussion sur les rapportsj> bras et le ramener sain et sauf sur la berbut. publiciste à Nancy. — Docteur Souffrain, r- habituel d'un franc, et mentionnant . les\ le dévouement si désintéressé qu'il té.moi' entre les commerçants et les industriels et1 ge. On créera des prix importants pour en-L- médecin à Longuyon. nom, prénoms, âge, profession et adresse, gne à l'Amicale. M. Louis Corbin, qui * leurs collaborateurs, par M. Albert Schnéecourager les inventeurs et constructeurs.s. Sont nommés officiers d'Académie : M. Gardeux fut conduit au bureau de poades concurrents, sont reçus jusqu'à di- offert gracieusement trois tapis à la seegans, licencié en droit, à Nancy. La délégation eet venue demander au mi-iMM. Dernier, employé à l'inspection des lg lice de la rue de l'He-de-Corse, où peu u manche matin, onze heures, par le comité. tion de gymnastique ; M. Guérard, le symnistre son appui .M. Jean Dupuy le leur a chemins de fer à Nancy. — Borel, artiste te . . — après la voiture d'ambuiiance venait le organisateur, au Sport, 13, rue de Serre, pathique président, pour le don fe.it à la promis. — Havas. Aux anciens des 26", 228° et 41 • territorialI chercher pour le transporter à son domidramatique à Nancy. —■ Buire, chef de disSociété à l'occasion d'un deuil. g. i- à Nancy. L'on procède ensuite à l'élection des trict à la Compagnie de l'Est. — Chaillv, y, Nous rappelons que le banquet dui cile. —-—» L'ÉPIDÉfrilE DE MONTAUBAN membres sortants du comité, qui est ainsi négociant, à Rouvres-la-Chétive. — Didier, r, « Groupe Blandan-Naney „ et de ses secM. Gardeux est marié et père de quatre 'e 1 MONTAUBAN, 28 février. — Le soldat Fir.Q;,iAnt, '- conseiller municipal de Verdun. — Frani- tions do Meurthe-et-Moselle aura lieu leB enfants, mais depuis plusieurs années n il Elle toussait jour et nuit composé pour Tannée 1912 : min Allias, du 11° régiment d'infanterie,■< çois, lieutenant de douanes à Luvigny. — ' Président, M. Guérard ;.;;f ;P^ ^^'. - samedi 2 mars prochain, à 7 heures troiss vit seul. . MM Ri .vnt et Vir ot : secrétaire, M. »e»oi est mort ce matin des suites de la rou-t- Gand, suppléant de justice de paix à Clera« Depuis cinq semaines je toussais jour r- quarts du soir, dans les salons Walter On ignore les causes exactes de cette tenr sectaires adjoints, MM. WérM.et geole. C'est le cinquième décès qui se pro-i- mont-en-Argonne. — Grémillet, instituteur et nuit, sans cesse, sans cesse ! nous dit de ir sous la présidence de M. le colonel Gros-'. tative désespérée. duit depuis le commencement de l'épidé-!- primaire en retraite à .Deyciinont. —Gudin, Mme Elie Bachelet, 20, rue des Capucins,' Scheicl trésorier, M. Fontaine ; tresornr a, setti, commandant le 20» ; de nombreux mie. — Havas. vétérinaire à Nancy. — Herborn, représen" Les violents à Reims. J'en avais des sueurs froides ets adjoint'M. Degoin ; membres du comité i. offlraers, sous-officiers, caporaux et soldats 3Η ••IVTvi Du pays, C Julien, P. Julien, Enriotfi tant de commerce à Nancy. — Honnorat, Mardi soir, contravention a été relevée ëe des points de côté, t, du 26" y représenteront le régiment EXCENTRICITÉ AMÉRICAINE. — Un habitant 5s Ligniêr, Cron, 'Georges, Fischer, u pharmacien à Villerupt, . contre Victor Bongvaux, âgé de 43 ans, s, J'ai acheté un seul flacon de Sirop Soucieux de répondre au désir exprimé de San-Francisco, qui venait d'être amiLaheurte, vérificateur des poids et mesuchiffonnier, et sa concubine Marie D... . Kalm et je suis complètement guérie, jpar plusieurs anciens du 41» territorial e puté d'une jambe, a célébré, en grandee res à Lunéville. — Lazard, capitaine du 1, après avoir bu à peine les deux tiers du "croupe espérantiste. - AS^blée gto* u « Groupe Blandan » réservera la deuxlè- femme Mongenet, 49 ans, demeurant 11, solennité, l'enterrement du membre déta-t- génie à Nancy. — Docteur Lenoir, médecin raie annuelle des membres du o- flacon. » n me table d'honneur aux anciens du 4P tt" rue du Moulin, pour violences réciproché dans son caveau familial. Il a trou- a Saulx. — Maicqard, directeur d établisseques ; contre Charles Constant, âgé de 27 Le merveilleux Sirop Kalm coûte 3 fr.. des membres de 1 U. E. A. iu*u™ 8 e- a demande à M le lieutenant-colonel il " des paroles émues pour remercier cee ment commercial à LisIe-en-R.igauit. o- et guérit toujours, même nuand on a dess Ssperanto Asocio) vendrediil».mare fi n cemte, commandant le 4P, de vouloir bien1 ans, charretier, demeurant 27, rue Clocompagnon défunt des services qu'il lui heures et demie du soir hôtel de la enatn Panot, commissaire spécial à Saint-Nidion, pour violences'exercées sur In femme i- prendre place au milieu d'eux ie sueurs et des points de côté. avait rendus et pour lui exprimer néancolas. — Petit, conducteur des ponts et bre de commerce. On le trouve : et Tous les anciens des 26», 22G« ©t 4P 1er Auburtin, habitant même rue, n° 23. moins son désir de ne le rejoindro que, chaussées XXIV» Section des Vétérans. - «ima-i à Commercy. — Praloran, entreNancy : Pharmacies Monai, Rosfelder, e-, ritonal ne faisant pas encore partie dn1 le plus tard possible, puis un banquet che S mars, à 4 heures du son-, au care preneur a Chaudenoy. — Ramas, inger riwi CHIRURGIE - MEDECINE IE Pages, P.uttinger. — Lunéville : Denis. — joyeux a terminé la cérémonie. ir * Groupe Blandan » sont invités à soÙ° cri t». Longwy : Statu. — Pont-à-Mousson : Pa-- Fov réunion intime. Communication re. - re à ce banquet amical (prix : 6 fr i et à I IIItlASlA MeUJiei nervouM». Acconriiementg. Cet original prend gaiment son mal et de sociétés métallurgiques à Nancy. — à la médaille commemoratrve ct« , Roy. homme de lettres. — Simon, puWi-1- envoyer, avant le 2 mars, leur demami* mmB9 ■f tord — Neufchâteau : Rose. — Toul -:: lative jambe de bois. II est vrai que la Com' I illlilRilli , WJEWKOJWJH ciste à Nancy. — Worms, médecin aw,. .... 1870-71 et à In modification des statuts " \ 11 511S \J 32, rue SI-Lambert, Nancy cy Greiner. — Commercy : Morelle. — Villep.'icnio des voitures, dont il est le prési-l* jor au Tô\ J- <i adhésion au président de la Prolonge - ce qui concerne les nouveaux adnêTsnx». D ' i0•' 1 I Tél. 1-14. Prix modéré», ch. ceal i rue de Serre. il runt : Honorât, — Homécourt ; Pfeiflé. — dent, SQct ses véhicules à sa disposition. . Yowt être attribuées. Reçoivent la médite 9 "NÂNCY LA JOURNEE 1 J I CONFUTJHGLAIS j Pour l'aviation j Régionale Promotion violette RËUHiS SOLDE DE LÎWHES J Je ne fume que le ffl. B |T 3 A AVOR ; GI)Foi)iqtie çpoFtiïe CONTRE LES ACCIDENTS do L'AVIATION t •** , Un désespéré se jette E R I • îfi 111 S1 En une courte allocution, M. le eous-pré- tune maison de commerce quelconque on i ppayé la tète de l'auditoire ; car il déclara donnait en paiement un billet de ban- si sans rire qtro, se trouvant à l'hôpitai d'Allet teiiqfca, le brave garde Mercier, qui re- lui 1 il remettait ostensiblement la mon- g. coït une récompense bien méritée par ses (fue, <j ger, il essaya de déserter à-.. Fez. C'est, r naie sur le comptoir, puis avec une rapi- o longs et bons services. comnio si un soldat do La garnison de m A I Nous sommes heureux de joindre nos fê- cdité vertigineuse, il subtilisait un ou deux ,1Metz décidait de déserter à Saint-Péterslicitati«08 a celles du représentant du gou- ilouis, quelquefois davantage, puis il s'em- bi bourg'. D'ancien légionnaire aie réfugia ^THEATRES " pressait de sortir rapidement ; il parais- Dfinalement à bord d'un vapeur danois ; vernemeht. i dières ; de M. Baudet, de Montauville, ve toujours pressé. • d JŒUF sait s du moins c'est ce «pi'il a déclaré au conTHÉÂTRE DE NANCY.— Jeudi 29 te- Aj et de Mme veuve Laviolle, de Pont-àA plusieurs reprises, des négociants lui s« seil die guerre. Il a été condamné à dixEn liberté. — François Bellery, cet Mousson, ont été endommagées par le feu. ivrier 1912, avec le concours de M. Bre■ Mo ajusteur qui tira des coups de revolver sur 1firent remarquer ces « erreurs », mais hhuit mois de prison. toi-Caubet : La Tiaviata, opéra en 4 acLus dégâts sont peu importants. nj ARRONDISSEMENT DE NANCY M Mme Boury et tenta ensuite de se suicider, (Germain, qaii a la langue 'bien pendue, le Extrait de létat civil. — Naissances. — tes de Verdi. Au 3» acte : Ballet des MataMAGNIËRES de haut et jurait qu'il n'en était X vient de bénéficier d'une mise en liberté prenait f Marie Rausch. — Anne-Marie Muller — dors, par les dames du corps de ballet. MAXÉVILI.E Coupe. — Le jie-ttne t'rnest Marin, doy provisoire à la demande de son défenseur, rien. r Marie-Barbe Julier. — Albert Katel.' — Bureaux : 8 heures ; rideau, 8 heures et Sur les crassiers. — Mercredi matin, on _mestienje * de culture, rantnaât de Lunéville M" Tant va la cruche, à l'eau qu'à la fin P Philippe-Henri Horn. — François-AlphonM Aubertin. demie. ^ a trouvé sur les crassiers des usines du me a par le train de 6 h. 34. Il se trouvait deye Faquin. — Georges-Charles Biaise. — L'affaire viendra sans doute prochaine- eelle se brise. Elle se brisa en effet, car ttt Pont-Fleury Charles Coitoux, âgé de 20 (P8 le domicile de son patron, M- Messeplusieurs plaintes arrivèrent au bureau E Emilie Jaequin. — Hortense-Ilenriette ment .devant le tribunal correctionnel. ] Samedi 2 mars, création à Nancy, avec ans, sans profession ni domicile fixe, qui, vant M1 y ai lorsqu'il fit la rencontre de Paul FranVolbert. — Catherine Raumgartner. — t M. le procureur de la République qui V le concours de M. Fontaine, ténor deU u- pendant la nuit, avait été écrasé sous un lot., mt manoeuvre, qui, sans provocation, le ^ Préî>aration militaire. — Le jeune sol- de ce, l'arrestation immédiate de ee E Edouard Schwarz. — Marcel Hecker. — dat Sobrier, de Jœtif, vient d'être nommé ordonna ( péra, et de M. Dangès, de l'Opéra, «. Mon- ibloc de laitier. Cet individu, qui n'avait que Ç®. frappa de plusieurs coups de poing et le caporal , qui est en outre inculpé d'avoir ten- G Georges-André Bour. — Berthe-Emma au bout de quatre mois de servi- filou, f na Vanna », drame lyriques en 4 acte de des contusions sans gravité sur tout le «' c Falk- — Georges-Emile Wantz. — Claire. ce. tté de négocier des titres frappés d'oppoai- F Maurice Maeterlinck ; musique de Henry £ Ce corps, a été conduit à l'hôpital de Nan- terrassa. M. France a reconnu tes fiats, alléMarie-Joséphine Huberty. — Jean M'ullor. C'est le premier breveté de notre jeune ttion. D'où venaient ces titres ? C'est ce M F e guant qu'il croyait que c'était Marin qui, v, l'enquête établira. — — Jeanne-Paule Fiedlér. — Matbildie Société de préparation militaire qui reçoit que c ' Bm eaux, 8 heures. Rideau, 8 heures iCy *J * FROUAED ' c quelques heures auparavant, avait, frappé j Depuis environ six mois, Germain, qui H ttammerschmitt. — Louis-Justin Kneib.— 1 ainsi la récompense, de ses efforts. a et demie. Collision sur collision. — Mercredi,vers 'j' sa f.mme, ce qui est inexact. Rodiolphe-Albeit-Chanles- Bayler. —- Jeanété remercié de son poste de oon- R Cet exemple sera un précieux encourage- avait i ** dix heures du matin, une automobile conCHAMPEV ri ne-Babette Barth. — Elisabeth Brauer. — Dimanche 3 mars, en matinée : « Monna di ment peur les instructeurs et les élèves de 1fiance du Crédit lyonnais, n'occupait plus n duite par un négociant des Vosges, acecunemploi. Il n'en vivait pas moins E Vanna » ; en soirée : « Le Jour et la di notre chère société. Espérons que cette an- aucun ; Elisabeth-Jeanine Meyer. — Chaiies-Louia Récompense. — M. Besnard Ernest, pro- n< pagné d'une dame et de son chaufieur, Latous nos jeupes hommes de la classe cd'une façon peu modeste ; ne se refusant R Richard Huppett. Nuit », et « Le Contrôleur des wagons- p; et pêcheur à Champey, vient née i versait Frouard, se rendant à Nancy. Ar- priétuire I ri au régiment avec leur brevet ;aucun plaisir, il étai tallé jusqu'à s'offrir Mariages. — Lucien Tutenuit, installaune médaille de sauvetage en partiront ;<, lit- ». ' V< rivée en face du café du Point-Central et d'obtenir ac militaire run permis de chasse. Cela ne pouvait du- t< teur, et Marie Bertram, à Metz. — pour avoir sauvé un homme en d'aptitude ci SPECTACLES ri café du Commerce, elle butta contre un bronze du DP — Dimanche prochain, 3 mars, réunion rer i . A Alexandre Reinheimer, représentant de danger de se noyer en Moselle. Comme attelé de deux chevaux qui sta, M tDLN THÉÂTRE. — Cinématographe tombereau ! En ce moment, sur la paille humide ci commerce, et Frieda Grumberg, à Metz. (f c'est le huitième sauvetage qu'opère M. -de ck la P, M. au stand, â sept heures et detionnait en face de ce dernier caie. Un au- ce pathe. — Aujourd'hui jeudi 29 février, „ mie du matin. cdes cachots de la prison, il peut réfléchir — Auguste Seibert, serrurier, et Rosalie Besnard, qui est déjà titulaiie de deux m tre tombereau, conduit par un jeune gaiBfl matinée à 2 heures et demie. Demi-place u Lietz, à Metz. En cas de mauvais temps, réunion dans cà son aise sur les dangers de s'approprier L lettres de félicitations de M. le préfet ; çon, aillant en sens inverse voulut se gaier ter pour 'es enfants et les écoles. ç< le Décès. — Cyprien-Henri Jager, menuila cour de l'école des garçons. 1 bien d'autrui. c'est donc une juste récompense que vient aussi sur sa droite mais comme rl arrivait ce sier, 26 ans. — Madeleine Beffa, née d'obtenir ce courageux sauveteur. HOMECOURT ARRONDISSEMENT DE MONTMÉDY ^ ELDORADO. — Skating rink. I ij ni- â £ hauteur de celui attelé de. deux chevaux, a c Wagner, 53 ans. — .Ivan-Pierre Leclaire, Un neuras-hénïtjue. — Un marchand de ARRONDISSEMENT DE TOUL d'hui 29 février, à 2 heures et demie, au lieu de s'arrêter il traverse la route BOULIGNY 0ouvrier, 36 ans. — Guestave-Emile Oellaambulant, M. Paul Fabre, âgé de séance de patinage, j,, pour se garer à gauche. C'est à ce moment TOUL tissus tjj Vol. — Provenzi Piétro, mineur aux ci- r i rius, pipier, 62 ans- — Anme-Miarie-PauJi. que l'auto, sans faire de vitesse, arrivait Tribunal correctionnel. — Schwartz Jo- 45 5 ans, originaire de Marccnat (Cantal), tés de Bouligny, en se réveillant le matin, n ne Nennig, 58 ans. — Louis Schmnck, ouCASINO. — Ce soir, adieux de « Bleck- ^ un accès de neurasthénie aigu, s'est ( sur le théâtre de la collision et pour éviter ,seph, 72 ans, sans domicile fixe, oiiginai- dans s 'j s'est aperçu qu'on lui avait soustrait son vrier, 43 ans. — Veuve Merie-Célestine 8 v ween et de miss Claire », accrobates ey- ■aussi de butter contre le tombereau qui ';J par la fenêtre de sa chambre d'hôtel. porte-monnaie, e re de Colmar (Alsa,ce-Lorraine), a pénétré Ijeté renfermant 10 francs et A Anteniat, née Denis, 60 ans. -— Pierre. clistes, et dernière représentation de l'hi- marchait * Cet homme, qui a eu les deux jambes brii contre, elle se jeta sur celui qui ™ rue Michàtel dans la demeure du lieute- *J divers papiers. Provenzi s'empressa de p Paul Didier, menuisier, 83 ans. — Joseph tarante pièce en un acte « Chez les Puce ». stationnait. â été conduit à l'hôpital de Nancy. s . nant Rollin, du génie, et a dérobé une sôes, = porter plainte à la gendarmerie. jj h, maçon, 40 ans. — Veuve Marie na 1 But Demain, débuts et pièce nouvelle. Pas d'accident de personne. Un châssis canne ™ — et un parapluie d'une certaine vaDépart à la cloche de bois. — Sabatier, Schleicher, née Muller, 88 ans. — Carode l'auto a été ilégèrement faussé. Pas de F* rmineur aux cités de Bouligny, déménagea line a Miarx, née Mayer, 59 ans. — Jeanleur. Le parapluie a été vendu pour 10 SALLE DEGLIN. CÏNEMA THEATRE. d discussion. Pas de gros mots, comme rl sous, ™" sans payer sa pension à Mme Lutz. iy la canne était en sa possession au Marie-François Simon, ehanointe, 68 ans. — Jeudi 29, matinée à deux heures et de- a arrive quelquefois. Le patron du gamin.au- moment de son arrestation — 15 jours de a Il fut rejoint par cette dernière à la can- — - Veuve Marte Bout gou, née Brigué, 69 i . _ A cette séance seront données pour m e teur de tout le mal, s'engagea à payer les prison. fine Bonacôa. Elle lui réclama le prix de ans. a — Marie Nigetiet, rentière, 66 ans. la dernière fois « Le Destin des Mères » et 1 légères 'réparations nécessaires à l'auto, f — Pierre! Jules, 29 ans, né dans la Meusa pension. Sabatier lui répondit qu'il — - Veuve Jeannette Bénédikt, née Haae, <( A la Bataille ». f,Celle-ci a gagné Nancy aussitôt. n'avait pas d'argent à lui donner. Mme 6 se, le 4 novembre 1882, s'est fait servir à i L 64 an®. — Jean-Baptiste Jacquet, revenMUSIQUES MILITAIRES Cette petite affaire avait occasionné un ^ Lutz, prise de colère par cette .réponse, deur, d boire et à manger chez M. Trévisse, de 52 ans. — Juliette Bertrand, née BAU-TE-DUC , 28 février. — Voici véritablefort rassemblement. p-,PARC SAINTE-MARIE. — Musique du n saisit un « sérieux ». et en porta un coup Bertrand, E Fontenoy, puis chez M. Toussaint Alfred, s 39 ans. — Pierre Gilbert, reMANONCOURT-EN-VERMÛ5S ^ ment uns nouvelle à sensation : ia police 79° régiment d'infanterie. — Chef : M. Lâde Liverdun. Pour payer ces commerçants, m derrière la tête de son indélicat débiteur, vendeur, v f 85 ans. de Bar-le-Duc a mis la main sur des dé\ache! — Programme du concert du jeudi Elections municipales. — Trois conseil- j'ai yg les pieds nickelés disait -il. — Pierret d< Violences. — Les mineurs Goï et. Pof<ri, lieeurs de maisonnettes. 29 février 1912, de deux heures à trois heu- g se querellèrent au fond de la mine pour lers étaient à élire dimanche. Il v a bal- na déjà subi plusieurs condamnations. — « Ce bruit s'est répandu ce matin dans une raison futile. Goï s'élança sur son res un quart : |, de prison. ( lottage pour les trois sièges8 mois i toute la ville avec la rapidité d'une traî- compatriote c 1. Vers ta Gloire (Bertain). — 2. Ouveret le frappa à coups de poing — Le tribunal rend son jugement, dans te DOMBASLE f le menaça de son revolver. et ture de Mireille (Gounod). — 3. Yanda, vall'affaire Giraud, épicier à Blénod- née ru de poudre. Arrestation. — L'agent de police Ferry a les-Toul, . Enfin, on les tient, ces malandrins qui, se (Lebert). — 4. Aida, hymne, marche, Boggi porta plainte à la gendarmerie. accusé d'avoir mis en vente de ,' marmelade non comestible. — 20 fr. di depuis un temps' inimémorial, viennent vo- — - P. P. danse (Verdi). — 5. En Badinant (Ro- umis en état d'arrestation la nommée Kibo- la II le 1er dans nos jardins. j--,-'Illet Marie, 37 ans, sans profession ni do- I "* d'amende. mieile, née à Nomeny, qu'il a surprise, u'— R*rny Charles, garde particulier à I Ne nous emballons pas. Ils ne sont que mendiant à Dombasle, en entrant dans les Liverdun, a tiré un coup de fusil de la j[deux Rognons de mouton fermière. — Etuvé> à avoir été « emballés ». Mais ils d< F de céleri en branches- — Crosnes du ETAT CIVIL maisons en simulant une infirmité. " l'ont été proprement, et les propriétaires plateforme d'un wagon de la li"-ne fériée |*< Dévaliseurs de clapiers. — M. Kessler, de P* Thiaucourt à T6^il. « J'ai été un peu I de Japon sautés. — Encre pour marDu 28 Février d jardins dont les maisonnettes, lugotles. demeurant cité Solvay, n° 22, en allant •« quer le linge et encre à tamI b, baraques et gourbis sont dévalisés deouis ARRONDISSEMENT DE MIRECOURT vite ». — 20 fr. d'amende. donner à manger à ses lapins, s'aperçut pon. Lotion contre les si longtemps, vont être tranquilles pour — Une dame S..., débitante à Toul, ori- I si Naissances ù CHARMES que, pendant la nuit, son clapier avait été gin aire de la Marne, a vendu paraît-il, du ]I q gerces du visage. quelque temps, du moins il faut 1 espérer. Une brute. — L'autre soir, vters cinq Madeleine-Yvonne Donneau, place de la Qvisité, le cadenas avait disparu ainsi que Sf Arrivons au fait. heures, M. Félix Nicot, garde particulier Carrière, 23: — Renée-Lucie-Augustine vdeux de ses plus beaux rongeurs. Comme vin mouillé dans une très forte proportion. *i M. Vignal, notre actif commissaire d° à Charmes, se disposait à regagner son + Connaissez-vous les rognons de mouFritsch, rue Saint-Nicolas, 98. — Simone- il se lamentait sur les lapins qu'on ne lui J« M* Habert se présente pour les contribupolice, assisté des agents Carrier, Vatrin domicile, lorsqu'on passant sur le pont ;ton fermière ? Voilà un joli plat de déindirectes et demande une forte p Andrée Besner, rue de Strasbourg, 22 bis. •avait pas posés mais enlevés, M. Philippi, tions » 0 et Passefort, a procédé ce matin au petit de la Moselle il rencontra le manœuvre Jjeuner et combien facile à faire. Vous alamende. M Masson présente la défense ei — Léonie-Emilienne Maurice, rue Jean- son < lez en juger I voisin, demeurant cité Marquet, 14, ai jour, à une perquisition dans la maison Nicolas Chrétien, qui l'apostropha en ces j< not, (J. — Lucien-Gaston Sonrier, rue Co- es'aperçut qu'on lui avait également vole de Partagez en deux, six rognons de moud* la prévenue. — 25 fr. d'amende et 500 portant le n° 12 de la rue du Bourg, et termes : *ton, assaisonnez de set et de poivre et faifr. pour la régie ; 200 fr. pour l'octroi et P riolis, 15. — Roger-Pierre Jeannette, rue sun pigeon. Nul doute celui-ci tenait corn- lr mis en état d'arrestation le nommé Vuil— » Est-ce que tu as été à la gendarme- tes U Durival. 24. — Marie-Louise Kayser. rue pagnie ' sauter à feu très vif avec 50 grammes t aux rongeurs, car des traces de au ai quintuple des droits de 0,72. leminot François, et sa maîtresse, Colson rie porter plainte contre moi ?» 1 Procès-verbaux. — Mercredi matin, ks 1< do Saverne. 4. de beurre. Egouttez-les et tenez-les au c pas indiquaient un passage allant du claMarie, journaliers, soupçonnés depuis — « Ça ne te regarde pas », riposta chaud de la régie postés à la Porte de & Décès pendant que vous verserez dans la c pier au pigeonnier qui sont presqu'atte- employés « longtemps d'être les auteurs dos innom- simplement M. Nicot. Camille-Maria-Julia Huin, 8 ans et 5 1 France faisaient la vérification des nou- h sauteuse où s'est opérée la cuisson Hn E nants l'un a l'autre. 1 brables cambriolages dont nous avons Cette réponse ne satisfit pas le manœu- verre ^ plaques de bicyclettes. b mois, à-Vairdémont (Meurthe-et-Moselle). de vin blanc sec. Faites réduire, Le brigadier de gendarmerie Lépine s est velles " fois parlé. vre qui tomba à bras raccourci sur le ajoutez Bon nombre de personnes civiles et mi- maintes u — Adolphe-Eugène Logerot, 56 ans, tour- livré à une enquête, mais n'a rien dècouun peu de bouillon et une noix de £ 1 La piste était bonne, car plusieurs garde auquel il fit une ample distribution beurre qui n'étaient pas munies des planeur sur métaux, rue Grandville, 15. — vert maniée d'une pincée de farine, f qui puisse amener la capture du ou litairee n v voyages effectués à l'aide de quelques de coups de poing et de pied. M. Nicot i ques 1912 et arguaient de leur bonne foi, Joseph-Paul Mangin, 40 ans, employé aux laissez bouillir quelques instants en plein ( c charrettes à bras (dtint le défilé fut pittodes voleurs. v A RANGÉ VILLE para tant bien que mal les horions de son \ voyaient leurs bécanes retenues jusqu'à tramways suburbains, rue du Placieux, 32. feu et additionnez, hors du feu d'un jus r ont à peine suffi pour enlever et agresseur qui le projetèrent à deux re- de — Marie-Céleste-Léontine Quiot, 48 ans, l'achat de ces plaques. Deux autres per- resque), citron. ( Macabre découverte, — Lundi après-mi- li conduire dans le local du poste de la maiprises sur la chaussée . voulurent jouer au plus malin, C sans profession, veuve Trompf, à Frouard' di, MM. Larue et Dupuy, ouvriers dra- sonnes D'autre part, une heure avant de faire se 1 { rie, les objets qui se trouvaient dans la Enfin, u neetrepreneur de maçonnerie, gagna do vitesse, mais fut rejointe fMeurthe-et-Mos^lte). — Eugène Arthur, gueurs chez M. Hetzel entrepreneur a St- l'une (cuire les rognons, vous avez mis à cuire L et se vit dresser contravention ; la deuxiè- cchambre occupée par les inculpés. Il se- M. Jean Gardavaux, vint à passer et put, six 66 ans, rentier, rue Charles-III, 38. — Ma- INicolas, ont trouvé, buté contre la drague et grosses pommes de terre longues de É rait r trop long de les énumérer, mais on non sans peine, soustraire le garde à la jforme régulière, vous les pelez et vous me aggrava son cas du délit de rébellion. rie-GabrielIe Charles, 58 ans, sans profes- de M. Hetzel, le cadavre d'un homme n 1 peut affirmer sans crainte qu'un fort tomfureur de la brute, qui s'enfuit de Char- 'j Tentative de suicide. — Mardi soir, une ï sion, veuve Petit, à Champigneulles (Meur-', ayant longtemps séjourné dans l'eau et en Tes partagez en deux dans le sens de la attelé d'Un vigoureux cheval, ne mes le jour même, pour aller ae remettre ilongueur- Vous creusez légèrement Le des. dame Rouyer, âgée de 73 ans, et habitant bereau 1 the-et-Mosclle). — Ernest-Robert Salmon, 2' état de décomposition avancée. a pas à les transporter. s entre les mains de la gendarmerie de Mi- sus, . vous les rangez dans un plat chaud, a tenté de se donner la mort en suffirait ans et 5 mois, rue Saint-Lambert, 24. La drague.se trouve à environ 150 me- Pannes, t <) C'est un vrai bazar de marchand du recourt. 'en couronne, voue disposez sur chaque de se trancher la gorge avec un , 1res en amont du pont de Saint-Nicolas-• essayant ei ||M 1 Le délit n'étant pas ; assez grave pour moitié ] ^P^^P^I niliiiiimiif iiiwi— 111 m de pommes de terre une moitié de rasoir. Les motifs qui l'ont poussé à at- jI 'Temple, il y a de tout, depuis des sta1 Vârangéville. . „ tuettes artistiques jusqu'à des moulins à motiver son arrestation, Chrétien a été ,rognon et vous arrosez le tout de la sauà ses jours sont, inconnus. L'agent de police Guyot a fait transpor-• tenter t< AViS MORTUAIRE ce préalablement passée au tamis. Une Il' y a quelques années, sa sœiir s'est IHcafé, et l'on nous dit même qu'un irriga- • laissé en liberté. tef le corps à la morguè de Vârangéville. pincée de persil haché termine ce joli dans l'étang de Nonsard. ttèur figure dans ce capharnaûm. ARRONDISSEMENT DE REJUIIREMONT On aurait supposé que ce cadavre étaiti noyée n Monsieur et Madame Daniel SALMON • JJES propriétaires lésés pourront à parLes blessures de la dame Rouyer sont plat. Madame Ernest SALMON ; Monsieur ett celui d'un mécanicien disparu de la gares REMI REMONT . mais ne mettent pas sa vie en ftir de demain ae présenter au commissasi Madame Jules LEVY et toute leur famille,, de Blainville depuis bientôt trois mois,, sérieuses *** Adjudication de travaux. — Elle aura 1 riat «Je police, pour rentrer en possession i danger. t mais des personnes de Blainville ne d lieu le lundi 18 mars, à 2 h. J du soir, à Ont ta douleur de vous faire part de lati l'avant pas reconnu, le cadavre fut fouillé Il reste encore quelques rares piedis de VII.LEV-SA INT-ET IE N W E <des objets qui leur ont été soustraits. la sous-préileeturè, et comprend : céleri en branche, profitons-en pour en perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en et un certificat délivré par M. Emile Dron, Subvention. — La commission déparfeARRONDISSEMENT DÉ COMMERCY Commune de Gerbamont. — Recons- préparer une étuvée. C'est un légume très la personne de leur fils, petit fils et pa- cultivateur à Dombasle, permit d'établir' mentale vient d'attribuer à la commune de I n truction de la maison école. Montant du sain qui convient aux rhumatisants et SAINT-MIHIEL devis : 31,606 fr. la somme de 2.000 fr. son identité. C'est un nommé Schaeffer■ Villey-Saint-Eti-fnne V qui est bien délicat lorsqu'il est bien acTribunal correctionnel. — Audience du lui permettre de payer le pont sur la Charles, 68 ans, domestique de culture,, pour P Comme de Saint-Etienne. — Elargisse- ! et son chemin d'aCcès. I i27 février l&lfc. — Délit de chasse. — Bo- ment du chemin rural n° 10. Montant du commodé. sans domicile fixe, né à Diffenbach (A.-L.),, Mespille ^ Vous prenez autant de pieds de céleri Gabriel-Marie, 20 ans, et Millot devis : 3,380 fr. décédé le 28 février 1912, à l'âge de 2 ans iî le 4 avril 1844, ARRONDISSEMENT DE LUNÉVILLE \ geuez que vous avez de convives, vous enlevez Léon, 16 ans, cultivateurs à Horville, chaEt vous prient d'assister aux convoi funèSchaeffer était devenu impotent et ne[ La Mi-Carême. — Le samedi 9 mars, les grosses côtes dures, les parties filanLUNÉVILLE cun [ 50 fr. d'amende. bre et enterrement, qui. auront lieu le jeu-- trouvait plus de travail il s'était livré à aura lieu, sous les auspices du .Club spor- dreuses et le haut des feuilles, après avoir Un coup de filet. — La caisse du 8e drala mendicité et avait été arrêté et condnra-i gons a failli être de nouveau cambriolée. | , Coups et blessures. — Briard Jules, 47 tif, une grande bataille de confetti, à huit lavé à plusieurs eaux et s'être assuré que di 29 courant, à 3 heures de l'après-midi. ans, marchand fruitier à Hannonville- heures et demie, sous les Arcades, suivie L'inhumation se fera au cimetière Israé-- né plusieurs fois. C'est sans doute ce qui |Elle n'a décidément pas de chance. le cœur ne renferme pas de petits vers, sous-les-Côtes. — Trois mois de prison. l'a déterminé au suicide. lite de Préville. d'un grand bal paré, masqué et travesti, POMPEYt , C'est grâce à la police que le coup Défaut de déclaration d'étranger. — dans les salons de l'Abbaye ; à minuit, vous rangerez les céleris dans iwne sauQéchoua. Maison mortuaire : | Hafner , Andtré, 31 ans, batelier, sans domi- concours de costumes doJé de nombreux teuse dont le fond est recouvert d'une Coups.— Mme Klein, ménagère, demeubarde de lard. Vous versez de l'eau froiAyant à interv&nir au débit Chardot, 1 cile Rue Saint-Lambert, 24, Nancy. fixe ; Hafner Adolphe, 56 ans, bate- prix. ( . rant à Frouard, a déclaré à la gendarme- rue des Cloutiers, au sujet d'une bagarre,1 jlier de juste pour «pie les céleris baignent, ; Gilgen Adolphe, 28 ans, charretier, Il ne sera pas envoyé de lettres de faire-'" rie que, étant entrée dans un café à Pom- j, LE VAL-D'AJOL vous ajoutez un gros morceau de beurre, " les agents firent une perquisition eC trou-; <et Pemot Marie, 42 ans, cuisinière, sans part, le présent avis en tenant lieu. Tentative d'incendie. — L'autre matin, pey, pour aller chercher son mari, elle vveirent une fille publique et un individu , domicile fixe, chacun par défaut, 5 fr. d'a- à son réveil, M. Mathieu, cultivateur à un oignon piqué d'un clou de girofle, du ' avait été frappée par Louis Rinkès, ou- ssuspect couchés dans une chambre. ael, du poivre. Vous faites partir en ébul1 mende. , AVIS MORTUAIRE La Fourrière-Lyris, constata que dans la lition et laissez cuire jusqu'à ce qu'ils vrier d'usine. Celui-ci, par ses chaussons, fut reconnu1 i Délit de pêche. — Crevier Etienne-Fer- nuit une main criminelle avait tenté d'insoient devenus tendres. Retirez alors les . Une enquête est ouverte. . pour être un militaire et dans ses poches,i ,dinand, 29 ans, manœuvre à Commercy, r Monsieur et Madame Louis PETIT ;! cendier la maison qu'il loue à Mme Clé- pieds de céleri sans les briser, dressez * OUSTINES' on ' trouva des lettres compromettantes. j I fait opposition à un jugement du 23 août mentine Vincent. Une planche d» la porte dans un légumier et faites réduire la cuis■Monsieur et Madame VAIREAUX. née Noirat, c'est son nom, annonçait qu'il' !I 1911 qui l'avait condamné par défaut à 50 e Election municipale. — M- Eugène CiéPETIT ; Monsieur.et Mme SUBTIL, née donnant accès à la remise était carboni- son si cela est nécessaire. 1 allait « travailler » avec son copain Dom-; It fr. j ;, ment vient d'être élu conseiller municipal c d'amende. PETIT ; Monsieur et Mme ANTOINE, sée à une hauteur de 5 Ocehtimètres du Ajoutez hors du feu, 30 grammes de 1mergue, après quoi ils auraient la forte! II [, de Custines. Le tribunal confirme purement et simsol. née CHARLES ; Madame veuve MANGIN, beurre frais, passez et versez sur les céle4 ssomme et fileraient à Naples. | plement son dernier jugement. Crevier, qui PONT -A -MOUSSON Bée CHARLES ; Messieurs Arthur, FèrA signaler qu'en octobre dernier un ris. , Mis tous deux au secret, la fille avoua1 n'est n'est pas content, se retire en mauttand et Georges VAIREAUX ; Mesdemoi!" Fête pour l'aviation. — Un comité s'est. Très simple et partait. que son amant, de concert avec Dommer- gréant. Il va faire appel, déclare-t-il et il hangar servant de chambre à four et attef selles Germaine, Madeleine et Renée PEnant à cette maison a été détruit par un ''' réuni à Pont-à-Mousson pour organiser,• gue, . avaient décidé de cambrioler la cals-1 ! A ■ j se rend au greffe pour cola. TIT. incendie dont on ne s'est jamais expliqué te dimanche de la Mi-Carême, un concours8 j Un petit légume d'hiver qui n'est pas à Ont la douleur de vous faire part de la de chars, bicyclettes fleuries et travestisse- Jse du 8* dragons, auquel ils app.ntionnenf JI Outrages à commissaire. — Pour avoir' les causes, mais quo, d'iiprè» cette oonstaen qualité de prévôts d'escrime. dédaigner non plus, c'est le crosne du ,r (perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver I outragé M- le commissaire de police de ments individuels. Des prix offerts par Ils comptaient faire le coup le 28 la vei,!-" I Saint-Mihiel, Janicor Marcel, 35 ans, est tatiom, on a tout lieu d'attribuer à une Japon. Voici une manière excellente de >n la personne de ■ ma in criminelle. les commerçants de la ville récompense-JT le , du paiement des soldes. |I condamné à 16 fr. d'amende et comme il La gendarmerie fait d'activés reclier- les présenter. Après avoir fait cuire comront les lauréats désignés par un jury. Au Auraient-ils réussi ? Il est permis 'l ui1 I me à l'ordinaire, les crosnes à l'eau sacours de cette fôte, aura lieu une vente de (douter, puisqu'un planton coucha dans le3 était ivre, il aura, en outre, 5 fr. d'a-■ che s. lée, dressez-les en dôme dans un léguI rnende. Née CHARLES cartes postales illustrées et petites fleurs- bureau , ARRONDISSEMENT DE SAINT DIE du trésorier. En tous -as. 1rs deux5 I mier, parsemez-les de deux œufs durs haOutrages à la pudeur. — Martini Jacob, &, tricolores au profit de l'aviation. , leur mère, belle-mère, sœur et grand'mère, _ malfaiteurs ont été arrêtés et mis en cel-" I 33 ans, batelier, sans domicile fixe, sujet SAINT-DIÉ chés et de persil. Faites chauffer unie k w Contrairement à ce qui avait été annon,Iule, en attendant l'instructi n de cette6 I décédée à Champigneulles, le 28 février I allemand, ne se gêne pas ; il outrage lai Arrestation mouvementée. — Un chif- forte cuillerée de beurre dans la poète, 6- cé prématurément avant même qu'un co- affaire. , 1912, dans sa 58e année, munie des sacrepudeur en pleine rue Carnot. Pour lui ap-- fournier, Ghaput Louis-Albert, 39 ans, ebé- ajoutez deux cuillerées de mie de pain, mité ne fût constitué, le cortège ne se tienments de l'Eglise. Une transaction. — On sait qu a 'a =uitee I prendre à être plus réservé et, à respecter• ambulait dans la rue Thiers, lorsqu'un faites blondir et versez brûlant sur les î- dra pas uniquement sur la place Duroc, Et vous prient d'assister aux convoi fu^ d'un empoisonnement de la Ve/ouse, laI les dames qui passent, le tribunal lui oc-- agent de police vint à passer : « A bas crosnes. it mais se déroulera dans les principales rues nèbre, service et enterrement qui auront _ maison Worms fut condamnée. p troie 6 jours de prison et 5 fr. d'amendei les flics ! » se mit-il à crier. er *"* i des trois quartiers de la ville.Des commera-te vendredi 1 mars, à lu heures £ . Cette maison a interjeté appel. I pour ivresse. f L'agent voulut l'arrêter et le conduire s. çants appartenant notamment au quardu matin, en l'église de Champigneulles. Sortons bien ville de la cuisine pour 6 I La Société des -êcheurs à la lifne de i Coups et blessures. — Jognon Joseph, 25i au poste de police. Mais ce fut une autre ;e ù lier Saint-Martin s'étaient émus de cette . .De là, au cimetière de la cemmune où _ Lunéville, qui devait se porter partie ci- [t ans, chargeur de bois à. Sampigny, uni affaire : le chiffonnier se mit en posture donner satisfaction aux nièces et aux x information qu'ils eroyaient exacte, s'ima. ïura lieu l'inhumation. neveux que d'autres soins préoccupent. vile a transigé avec MM. Worms frères,s> f mois de prison. . B de frapper l'agent, qui dut demander du Une maman me réclame la formule de Maison mortuaire : -- ginant qu'on voulait les évincer de la fête. qui ont versé une somme de 680 francs, t lg | — Claisse Adolphe, 37 ans, étameur amrenfort. Deux autres agents vinrent à la Or, à ce moment, le comité ne s'était pas Rue du Faubourg-de-Nancy, 11. l'encre à marquer le lingie et un instituit SOMMERVILLER R [I bulant, a été condamné le 21 novembres rlescousse, et, après avoir reçu eux^mê- teur celle de l'encre à tampon. encore réuni et, par conséquent, n'avait Je Il ne sera pas envoyé de lettrée de Commencement d'asphyxie.— Les époux t x dernier, par défaut, à 10 jours de prison,, mes plusieurs coups de pied et de poing, „ pu prendre aucune décision. L'encre à marquer le linge est à base taire-part, le présent avis- en tiendra lieu. ■e Emile François, de Sommerviller, s'étaient it ponr coups et blessures, le tribunal con-- ils durent Ligoter le récalcitrant et le oon- de nitrate d'argent, on en trouve de toum Le comité a décidé également de ne faire i- couchés comme à l'habitude, ainsi quee l firme son jugement mais décide que cettea duire au poste sur une charrette. Cet inaucune quête à domicile pour l'organisa■itN rte préparée dans le commerce, mais si p. leurs trois enfants quand, vers neuf heution du concours dont les frais seront supi- peine se confondra avec celle qui a été5 dividu peu recommandante est déjà aifli- vous désirez la faire vous-même, voici la i- res du soir, ils furent réveillés par leurn- portés par les orgnisateurs et les particiir infligée par défaut le 3 octobre 1911, à 155 gé d'une trentaine de condamnations. La Famille FREHLY remercie bien sinmanière d'opérer : cadet qui râlait. Mme François se leva Outrages aux mosurs. — La rue des Ora jours de nrison pour outnasres et à laquelle? at pants. eèrement toutes les personnes qui lui ont Faites dissoudre 15 grammes de nitrate à pour se rendre compte de ce qui se paslu Le comité est décidé croyons-nous, à 3rétameur fait opposition, fèvres est trop souvent le théâtre de rixes, témoigné de la sympathie à l'occasion du d'argent fondu dans 62 grammes dïeau §s sait mais, arrivée au milieu de la chamI faire appel à toutes les bonnes volontés « de disputes et de batailles, et ses habiiVélocipédlstes, attention ! — La sr-ndardécès de * chaude, ajoutez 30 grammes de vert de re bre, elle tomba terrassée par l'oxide de pour la création de chars, la plus entière le merie a dressé procès-verbal aux nommés» tante paisibles mériteraient d'être débar- vessie et 20 grammes de gomme arabiÏS carbone. M. François, qui, également, latitude sera laissée aux concurrents dans rassés de certaines petites industries qui, t, Hauvy Gaston, 17 ans, mécanicien ; Thique. Lorsque tout est bien fondu, roeèm -a ressentait déjà le terrible effet de l'oxide, le choix de leurs travestissement. Il suffira s. rion, du 25* bataillon de chasseurs, ett d'ailleurs, ne se pratiquent que dans des tez dans des flacons bouchés à l'émeri. lu se leva également et eut la force d'atteini maisons closes. de- se faire inscrire près d'un membre du r- Malherra, du 12» chasseurs à cheval, nui REMERCIEMENTS Quant à l'encre à tampon, c'est l'anidre la fenêtre, qu'il ouvrit, comité que préside M. Albert Jacquet, conn. D'autre soir, les filles Geller et Paris, déambulaient avec des vélos non éclai-i_ line qui remplace le nitrate d'argent ; oa lé En peu de temps, toute ba, famille put R- seiller municipal. Le comité a demandé Les Familles FLEURY, MÉLIN, GARJt | plus légères de moeurs que de poids,après emploie de l'aniline noire, bleue, rouge . respirer à l'aise, ne ressentant que queln aux journaux locaux de bien vouloir ouNIER et TOUSSAINT remercient bien avoir fêté toute la journée la dive bou- ou violette suivant qu'on veut do l'encre u aques lourdeurs de tête. ARRONDISSEMENT DE VERDUN ar vrir une souscription en faveur de l'aviasincèrement toutes les personnes qui leur teille, se prirent de qtàerelle avec des voi- de l'une ou de l'autre de ces couleura ,eAvant de se coucher, Mme François, qui ■a- tion. Plusieurs banques se chargent égaleont témoigné de la sympathie à l'occa,j sinesr Les expressions ordurières ne sufPour les proportions, tes voici : II 1 VERDUN avait placé du linge dans sa chambre pour I sion du décès de ment de recueillir des fonds, fisant plu®, elles passèrent des paroles Aniline 15 pramnre*. Nomination judiciaire. — M. Fachôt, ane- le faire sécher dans ce but elle avait rem- | i Dès à présent les souscriptions sont îer aux actes, et une doirble Phcebé apparut Eau 70 grammes. a l çues à la Société générale, place Duroc, à pli le fourneau de houille et fermé la cien procureur à Verdun, procureur de la aux yeux indignés des assistants. Elles Glycérine 7 grammes. ^sjejirjfflilB clef. Comme on l'a vu, cette imprudence a a République à Charleville, est nommé avo"™ la Société nancéienne, place Thiers, aux '* sont mises en arrestation pour ivresse, JX Sirop blanc 5 grammes. | cat général à Rennes ,r. failli coûter la vie à cinq personnes, ■ M ENTS bureaux de i' n Indépendant », rue Victortapage nocturne et outrage public à la On mêle ensemble l'eau, la glycérine, „ ] Un ancien garçon de recettes arrêté. — Hugo. Tous les fonds recueillis seront ut RAOM-LES-LÉAU pudeur. et le sirop et on ajoute l'aniline, bien agiA Les Familles SIMONIN, BANA et HAij. A Paris, on arrête les apaches qui s'attaI-»H»-* — " entièrement et uniquement consacrés au ut Election municipale. — MM. Joseph Fiter chaque fois qu'on s'en sert . u" quent aux garçons de recettes des étaMANT remercient bien sincèrement toucomité national de l'aviation à Paris. Le Le nan ce et Jean-Baptiste Tridard viennent lt blissementa de crédit. A Verdun, on vient tes les personnes qui leur ont témoignée comité va solliciter le concours de la musisi- d'être élus conseillers municipaux. II Nous terminerons par une lotion, contre 130 d'arrêter un ex-encaisseur du Crédit lyon- f de la sympathie à l'occasion du décès de que Adt et de la musique municipale. Il tes gerçures légères du visage qui sont ARRONDISSEMENT Di 8 RIE Y nais qui volait les honnêtes gens. arrêtera ensuite prochainement le procausées par le vent et le grand air ©t qui 1, METZ1 S G*1 individu a nom Germain Fernand, MOUTIERS gramme de la fête. u On fumiste. — Devant le conseil dei sont parfois fort pénibles, te il âgé de 30 ans et est originaire du ieRemise de médaille. — Une touchante Cette belle initiative obtiendra c.ertaine• dit Victor PERISSE Mêlez dans un flacon : guerre de la 33* division a comparu uni I village d'Herbeuville, dans la Woëvre. ment le concours de tous les Mussiponn- cérémonie eut lieu dimanche matin, à la la Glycérine 50 gramm^ Bdéserteur du, 14e uhlans, nommé Casimir I Pendant une année, il remplit ses foneès mairie de Moutiers. _ tains qui tiendront à contribuer au succès Eau de rosesfcj... ra= grairinnesl ,1. I] tion* d'encaisseur à la satisfaction de ses » Witt. es En présence du conseil municipal, M. des fêtes de la Mi-Carême, susceptibles «• L'accusé a déclaré aux juges — et lai Teint, de herjoin. 10 gouttes. tu j patrons ; jamais on ne releva d'erreur d'attirer ainsi à Pont-à-Mousson une grann- Montreuil, sous-préfet de Briey, remit au tr « Metzer Zeitung » a la naïveté de croireî Lorsque vous rentrez de promenade k i I dans ses comptes. Mais à force de manier garde Mercier la médaille de bronze qui JAR VILLE .E de affluence. tt t, cela — qu'il avait été incorporé à la lé- vez-vous la figure à l'eau chaude, ut I de Targent et de l'or, il eut soif d'argent, >n MONTAUVILLE .E lui a été décernée par le gouvernement Coups. — A la suite d'une discussion ut giom étrangère par des, raeoieurs qui l'e-— suyez-vous avec un linge doux, pur* k* il eut soif d'or. Et c'est ainsi fju'il devint rSapinière incendiée, — Un incendie Je pour le courage dont il fit preuve dans les fturvenue à propos des enfants, Mme Feres nivrèrent à Longwy. « Le lendemain, lors-— tionnez-vous au moyen d'ouate enduite «M m premiers jours d'avril 1911, lors de l'odieuée s'est déclaré dans une sapinière située au u. I voleur. dinand Walter, ménagère, a été" frappée j Sa faijon dopérer étaM cependant seaa- que je sortis de mon ivresse, ajouta Witt,,, ce mélange, cela préviendra toute gerd- se agression dont les gendarmes Cordier lis lieu dit. Pétant,' appartenant à M. Edde plusieurs coups de poing par Louis er ût je portais déjà l'uniforme de la légion »:. çure. as Collery, et lui-même, furent victimes de la J breuee «t II ne devait pas douter «jue tôt Kaiser, ouvrier d'usine. Mme Walter a mond Parisot, cafetier. Les plantations Tante ROSALIE, etê obligée de s'aliter. îe D'ailleurs, l'ancien uhlan semble s'êtrey\ ii- part de lîtallen Masehini. jj -u tard il a* Jerait jjbicer. Quand dans j voisine», de Mme veuve Lacresse, de Mai- SpenlaGMonceils |C MEURTHE-&-MOSELLE « J s MEOSE ; Ita ^ion de cambrioleurs LES PROPOS DE TANTEJ10SALIE l VOSGES d l m—w un Robert SALMON j Madame Veuve PETIT Madame Veuve SCHMITT J FLEURY-CARMER J? Monsieur Jean LÉGER j *1 t DANS LA BANLIEUE .ORRAINHJT ALSACE Ï I j J M sj»,4'^~~^________? l M! ^ja! ^ > , -?'J J l"i Mtttw^KÊgÊtttÊÊHUMxi^nÊkjtmamM^MK^tia^xtttxinKstàii-ww"-_ii~ VACTUAltTE ASniCOLE les travaux île mars Aux chaînée. — C'est de ce mois de reAouveau que va, en grande partie, dépendre la prospérité de la campagne agricole temps, jusqu'à ce que les semailles soient terminées. Dans leur langage coloré, nos Çères disaient fort justement : Pluie de mard Ne vaut pas pisse de renard Il n'y a pas de temps à perdre pour «flicver la préparation, des champs destinés aux ensemencements de printemps, d'abord les céréales, blé, avoine, seigle et orge, puis les plantes fourragères et ?nfin les prairies naturelles. Il ne faut pas donner mal à propos aux terres fortes les façons culturales dont elles ont besoin, ton risque de gâter les terres en les labourant lorsqu'elles sont trop humides. U y a. longtemps déjà que Mathieu de Dombasle, notre grand agronome, a recommandé de ne jamais toucher un champ, au printemps ou en été, .que lorsqu'il est coin-. Bêtement ressuyé, la différence du pro-; duit pouvant être de moitié entre un Champ ensemencé et labouré mouillé et un *atre, cultivé à sec. On achèvera le transport et l'enfouissement des fumiers et des composts. Pour favoriser le tallage des céréales âes embîavores d'automne on aura recours au hersage et au routage plus spécialement sur le sol calcaire qui, plus que tout autre, se soulève aux gelées. Le hersage a l'avantage de déchausser et d'arracher à moitié les mauvaises herbes, il gratte la couche superficielle du sol ainsi <gue le ferait un binage ; les jeunes tiges êtes céréales en seront bien eouchées, mais «e s'en relèveront ensuite qu'avec plus de vigueur. Dans les places claires, on sème luzerne, minette, trèfle, sainfoin et les mélanges de graminées qui doivent formelles prairies temporaires. C'est aussi le 'moment d'appliquer en couverture les engrais pulvérulents, soit sur les céréales, ai la végétation parait inactive, soit suites prairies naturelles ou artificielles. Le meilleur amendement à donner à cellesci est le plâtre répandu à la main, le soir eu le matin à la rosée, par un temps calme et couvert. Enfin ou nettoie les raies d'écoulement pratiquées sur- les céréales d'hiver afin d'empêcher l'eau d'y séjourner. Au bois.— On termine les abatages d'hivver, on enlève les coupes et on répare les dégradations qu'ont dû subir les chemins -forestiers ; on peut semer les graines d'arbres destinées à repeupler les taillis et tes haies ; semer aussi en pépinière tes laines, tes glands, les châtaignes et les graines d'arbres résineux. ' A la vigne. — Pour la vigne, terminer la taille ; mise en place des échalas ; première façon de la vigne. Dans les jardins. — Achever la taille et le nettoyage des arbres fruitiers, répandre au pied fumier et compost, secouer les pommiers pour les débarrasser des anttronomes ; donner des labours au tridmt dans le verger ; greffer en fente et en couronne ; "semer pépins, noyaux et autres semences stratifiées. Le labour du jardin potager doit se terminer rapidement, car nous sommes à l'époque des grandes semailles. On sème en pleine terre la plupart des légumes, sauf les haricots et les choux qui viendront le mois suivant. Si on ne l'a fait en automne, on plantera l'oseille en bordures, ainsi que les fraisiers ; on plante aussi l'ail et l'échalote; On peut également planter les pommés de terre hâtives, les topinambours et les asperges en terre légère et chaude. Vers la fin du mois, on décou.re et laboure les artichauds ; on recharge les carrés d'asperges de la terre qu'on leur a ôtée en octobre. Avoir bien soin de terreauter les .semis et plantations' de ce; mois. Mêmes 'soins aux couches qu'au mois précédent et ne pas négliger de donner de l'air aux repiquages toutes les fois qeu le temps le permet. On sème encore sur couches tomates, choux-fleurs, laitues, salades, radis, courges, concombres et melons. Au jardin d'agrément, terminer la mise en- place des arbrisseaux et plantes vivaces ; semer les plantes annuelles ; renouveler les Bordures, nettoyer et désherber Ses allées ; continuer les multiplications ^des mois précédents ; mise en végétation des cannas et caladiums ; bouturage des chrysanthèmes pour la culture en pot, semis sur couche des coreopsis, pétunias, reines-marguerites, zinnias et verveines. A ^îa serre augmenter les mouillures et serin gages divers soiis cloches ; rempotage des boutures et semi.-; délicats. Les animaux. — A l'écurie la saillie des juments commence. L'engraissement des boeufs à l'étable se continue comme précédemment. Les vaches laitières seront encore maintenues à l'étable, les variations de température étant mauvaises pour la production du lait. Ce n'est qu'insensiblement qu'il faut mélanger des fourrages verts à la ration des vaches laitières pour ne pas les exposer à des troubles digestifs. C'est vers latin de mars et le commencement, d'avril qu'il est bon de faire sail'ir tes vaches destinées à donner des élèves pour a'année. Pour les moutons, régime du foin et de la paille, à la bergerie, mais, par le beau temps, le troupeau commence a sortir ; il sera même bon de lui faire pâturer les jeunes prés, son piétinement devant contribuer au tallage de l'herbe. La basse-coisr. — La ponte des poules s'accentue de plus en plus, il faut la favoriser par une alimentation abondante •t substantielle et des graines excitantes comme, l'avos-ne ©4 te i*arr*sia. L'incuba- 4 Son cxMJM&erHîe, on y emploie les BOMtes et les meilleures convoitées et des «Indes 1 qui peuvent couver jusqu'à 25 œufs. Lriflcuhaition de cette époque a une gjran<teJ inipoitance, parce que ce sont les poules nées en mars et en avril qui pondront à l'automne et pendant l'hiver. Continuation de la ponte et de l'incubation chez h s canes, commencement de la ponte chez tes oies et che;-. les dindes. Il faudra nettoyer soigneusement les poulaillers pour détruire la vermine avant que ses œufs ne"' se développent aux premières chaleurs. Blanchir à la chaux et, mettre de la poudre de pyrèthne dans les pondoir*. Pour les lapins et lapereaux, soins de propreté, ne pas abuser de la nourriture verte. Le rucher. — La visite générale du rucher ne doit pas se faire avant, le 15 dans nos centrées ; choisissez une belle journée précédée de belles journées. LONDIN'Iî.nES, Professeur d'agriculture. Petite, eorrespondances D. — Ce qu'il faut faire pour conserver bien tendu dans son cadre undiplôme sur parchemin ? s R. — Vous devez sortir de son cadre le diplôme et Je mouiller, puis le recoller. Oe travail étant délicat, nous vous conseillons de le faire faire par un encadreur. + * D. — Etant de la classe 1911, dois-je rcoevioir une convocation pour passer le conseil de î-evision ? R. — Si vous avisez lu les affiches relatives au conseil de révision, vous auriez vu que les maires doivent convoquer paravis individuel tes jeunes gens qui doivent passer la revision. D. — Ai-jle le droit de demander à la mairie de ma commune combien sont imposés tes autres propriétaires ? R. — Non. Mais vous pouvez demander à votre percepteur un extrait du rôle de chaque imposé. De coût de chaque extrait est de 0 fr. 25V « *'* D. — Quelle est la marche à suivie pourune rectification d'état civil ? R. — U faut faire une demande pour obtenir l'assistance judiciaire. *»* D. — Une -enfant orpheline de père et de mère ayant encore de la famille peutelle être placée aux enfants assistés ? R. — Oui. fei son tuteur en a fait la demande. L'assistance publique se substitue entièrement à la famille et à la garde des intérêts de la pupille. *«* D. — Comme mineur, je fais partie de la caisse nationale de sretraites et vieillesse de 1899 à 1909- Etant expulsé de France, ai-je droit à ma retraite ? R. — Oui, vous conservez les droits acquis. A l'âge de votre retraite, vous vous adresserez à un notaire français». D. —- Une femme de ménage blessée au doigt en lavant un plancher, voilà bientôt deux mois, ne peut plus se livrer à aucun travail, le mal empirant, même qu'il est question de lui couper le doigt (pouce), peut-elle avoir recours sur la personne qui l'a employée à ce moment et quelle est la marche à suivre dans ce cas ? R. — La loi sur les accidents d,u travail n'est pas applicable aux domestiques, c'est-à-dire que le patron n'est as responsable de plein droit de l'accident.Mais la femme de ménage pourrait obtenir des dommages-intérêts en démontrant la faute, négligence, imprudence du patron. C'est une question de preuve à faire. Voyez un avocat. D. par M. J. D. R. — Pour te livret de caisse d'épargne, adressez-vous à la caisse d'épargne qui vous donnera les renseignements. Pour le reste, vous pouvez très bien faire une liquidation amiable, puisque tous les enfants sont majeurs. ** D. — Y a-t-il dans la région, un établissement thermal, avec Casino et salle de jeux, ouvert à cette saison ? B. — Non. Les établissements thermaux des Vosges ne sont ouverts qu'à partir du 15 mai. *—* D. — A l'Ecole des Beaux-Arts y a-t-il un cours d'architecture ? R. — Oui. Pour entrer à cette école, adressez-vous au ' bureau des écoles, rue des Dominicains. ** D. — Je n'ai pas encore fait mon service militaire, étant en sursis pour études. Je suis âgé de 22 ans. Puis-je me marier sans le consentement de mes parents ? R. — Non. Vous devez faire par un notaire une notification de votre mariage à vos parents. . ~_— MARCHÉ AUX VEAUX La Villette, mardi 27 février. Veaux amenés, 109 ; vendus, 109. Vente assez facile et pris soutenus. Les veaux de çhoix de Seine-et-Marne, de l'Eure, de Seine-et-Oise, d'Eure-et-Loir, du Loiret se sont vendus de 1 25 à 1 30 ; les champenois de 1 15 à 1 25 ; les ma.nceaux, de 1 10 à 1 20 ; les gournayeux de 1 fr. à 1 10 ; les caennais de 90 c. à 1 10. Le demi-kilo net. DE L'EST REPUBLICAIN chasse, vieux. J'ai besoin que tu restes auprès, de lui... Un moment interdit, Augustin reprenait, N° 111 peu à peu son sang-froid. Les dernières paroles de Rouscouban le T m • .. frappèrent. Il vint se rasseoir, mit la montre dans sa poche. Et délibérément : — Ce n'est pas ce qui me gênait... Le patron croyait l'avoir perdue... Alors,vous avez besoin de moi ?... On s'arrangera peut-être... S'agit d'une histoire d'amour, hein ? (HISTOIRE DE BRiGlSBS) — Peut-être... ' — Qu'est-ce que vous diriez — si je vous Grànd Ronic\n drMTuUque prouvais que je sais d'avance ce que vous par allez me proposer ? Ça vous épargnerait du temps, et à moi aussi... faut que je JULES MAR^ rentre... — Je dirais que tu es un malin... — Bon. Donc, s'agit d'une femme jalouse, qui veut savoir tout ce que fait, et QUATRIÈME PARTIE quasi tout ce que pense le patron... C'esty ça ? LELQNB MÂR7YHE — Ça ou autre chose... Pas mal... Continue 1 — Pour lors,la femme jalouse veut qu'on — Tiens, ma vieille... un cadeau... la renseigne régulièrement... surtout si le Et il lui tendit au bout d'une courte et patron se dispose à entreprendre quelque mince chaîne d'or, une montre très riche, voyage... ornée de diamants — la montre de LudoRouscouban put à peine dissimuler un vic, celle que Lauvoyer avait volée à geste de surprise. Holmcroft. — Qui t'a prévenu ? Comment sais-tu ? — Tu as pris ce bijou à ton maître et Comment peux-tu deviner ?... — Mon flair -d'artilleur, copain ! dit Autu Va porté au Mont-de-Piété... Tu a vendu la reconnaissance).î?J'ai racheté la re- gustin en appuyant le doigt sur son née. connaissance faubourg Montmartre, j'ai Et pas la peine de m'en demander davandégagé la montre... Quant à toi, tu a per- tage... Vous ne sauriez rien !... Et alors, du hier, à Auteuil, les trois mille francs du tous les soirs, comme qui dirait vers.'... dix produit de ton vol... Reprends ! tu la res- heures... faudra vous faire un rapport de 11 ■ titueras à ton maître avant qu'il s'aper- la journée ?... çoive que c'est toi qui la lui a subtilisée. — Juste t... ta leçon est déjà apprise... Il te chasserait, Or. je ne veux pas au'il te — Contre quoi, vous me bâillerez orra ~J Cf121 dueuse DEZIZI n . in.iMMi «■ L'EST BEPUteHCAlN~5-!—!—L Eefjos deja Jflode Paris, 2? féviiér 1912. — Si l'allure généraite des robes de taffetas est sobre ot jolie, si elle donne à la silhouette quelque chose de jeune et "e souple, il y en a aussi de £>eu gracieuses. Parmi ees dernières je classe précisément celles dont on a tant vanté la nouveauté, je parie «es fameuses robes dites a « paniers -w. Ces soi-disant paniers ne sont pour l'a «plupart que te réédition du retroussage dit M laveuse »• La jupe plus ample que celtes que l'on connut depuis deux ans, se trouve rattrapée un peu au-dessous des genoux, et tout autour, comme si Ton avait relevé la jupe au moyen d'un caoutchouc. Les unes ont le devant de la jupe relevé jusqu'à la cheville et cela est non seulement disgracieux, mais fort incommode pour s'asseoir et froisse horriblement te tissu. Comme il est bon de se méfier des nonveautés annoncées à grands cris. On est loin des « paniers » coquets dos soubrettes et des marquises, que ce mo'. seul évoquait immédiatement ; et je dou:.c fort que*les paniers modernisés trouvent beaucoup d'engouement auprès des femmes de goût. Ce qui est fort joli, c'est le manteau de velours, de couleur plus foncée que la robe, arrondi du bas et rappelant beaucoup les polonaises d'autrefois. J'ai vu une jeune femme ainsi vêtue l'autre jour : Elle avait un fourreau de voile de soie gris argent, fermé sur le devant, tout du long, par de gros boutons de passementerie. Là-dessus, un manteau kimono de velours gris foncé, assez ouvert pour permettre de voir tout le fourreau de satin, arrondi dans le bas et orné tout autour d'un effilé ton sur ton. Une ceinture, et un col rond de satin gris, fixé par une cravate frangée au bas, en complétaient la garniture. Sur la tête une fort jolie toque toute en violettes de Parme, avec un large nœud de velours violet. Aux pieds, des souliers de daim gris avec large nœud plat en daim. Cette toilette a été beaucoup remarquée parmi d'autres fort lolies aussi. Une autre jeune femme portait unêsrobe de taffetas changeant bleu et mordoré. Le corsage blouson s'ouvrait en cœur sur une guimpe de tulle poudrerizé. Uv; cache-gorge en tissu cachemire mettait sa note vive entre les revers d'un superbe col de vieux Venise formant col marin dans le dos Les manches du corsage étaient collantes et fort longues avec petits revers de Venise. La jupe fort simple, fermée sur le devant, se boutonnait jusqu'au bas "des mêmes boutons de passementerie qui fermaient le blouson Une ceinture de taffetas à longs pans' ornés d'effilés entourait sa taille. Là-dessus une éto'e d'hermine, et sur 'a tête un grand marquis de crin frangé de plumes blanches. Les cravates en taffetas changeant ornées de ruches et d'effilés, de même que certains petits mantelets d'allure vieillotte, à longs pans terminés par des glands, font fureur dans les réunions mondaines. Ainsi que je vous le disais il y a quelques semaines déjà, la mode des corsages, des plastrons et des encolures Robespierre se généralise, et cela est évidemment plus gracieux que l'encolure basse qui ne sied qu'à la grande jeunesse. Les cols Directoire souples en linon blanc, avec jabot de dentelle crème, ra jeuniront une blouse à encolure ronde le l'an dernier Le plastron Robespierre se fait en satin noir ou blanc, ou en pékin noir et blanc. Les fichus de lingerie, tes cols d'Irlande, de toutes tailles et de toutes formes se porteront c^t été, de même que la grande collerette en tulle d'Alençon, que Ton a portée, il y a une douzaine d'années. Dans te domaine de la lingerie, la dernière nouveauté consiste en une parure complète : chemises de jour et de nuit, culotte et cache-corset en linon pur fil, ornés d'une broderie à la main en couleur, et d'oeillets dans lesquels on passe un ruban de satin de même teinte. D'autres parures ont un simple dépassant de linon de couleur, comme ornement. La chemise de nuit de forme kimono, a en outre une cravate de linon qui se noue en fermeture. C'est coquet et pimpant, et aura un grand succès comme 'ingerie de voyage cet été. Les corsets en tricot élastique ont beaucoup d'adeptes on vient d'en créer .un tout nouveau, il enveloppe le corps jusqu'aux genoux et l'on dit merveille de sa souplesse et de ses vertus amincissante.1. J'ai parlé « corsets » hier avec un médecin, qui m'a dit nue les -meilleurs, étaient ceux que portaient les femmes en Allemagne. .. .. -, Ils n'ont pas de buse et se ferment dans •le dos au moyen de crochets tout spéciaux. Comtesse BERTY. ■——— "•»©-«> — Bière de Champigneulles LA HEINE SES BIÈïïîES Brasserie la plus importante de l'Ouest du Continent Vente en 1911 : 250,000 hectolitres TURIN - GRAND PRIX Léon LE PAYEN Cliirurgien-dsntEsti Diplôme d'honneur — Deux médailles d'or NANCY — 47, rue Gambetta — NANCY Consultations-de 9 heures à 5 heures 1 FEUILLETON _____ i •• •• i fËÈ B »n ijii_Mia_MWWttaaH-Mfftriif'^-^ ttommndez le catalogua ffBfS i Faits-Divers PHARMACIEN EMPOISONNÉ. — M. Dantin, pharmacien à Tarbes, préparait un toxique hier soir-, vers onze heures. Au cours de la manipulation, te liquide jaillit, et le pharmacien en avala involontairement une certaine quantité. Il se fit immédiatement une injection de morphine, mais la mort survint, presque foudroyante. ARRESTATION D'UN BANQUIER.— Sur man. dat de M. Gentil, juge d'instruction, M. Leproust, commissaire de police du quartier de l'Europe, à Paris, a procédé à l'arrestation d'un banquier, M. Emmanuel de Vasquez, âgé d'une trentaine d'années, dont les bureaux sont installés rue d'Amsterdam, 27, et contre lequel une douzaine de plaintes en escroquerie avaient été formulées. ■ Confronté avec tes plaignants, te financier a reconnu avoir reçu d'eux des sommes variant de 500 à 30,000 francs, destinées à l'achat d'obligations foncières de 1912. Mais il avait gardé l'argent pour lui. > ' ' M. de Vasquez a été envoyé au dépôt. Une perquisition a été opérée dans la soirée, à ses bureaux, par M. Bénczech, commissaire aux délégations judiciaires. Le coffre-fort était vide. Les livres de comptabilité du banquier ont été emportés. Us seront soumis à l'analyse de M. Prestat, expert. Célibataire, M. de Vasquez habitait un élégant appartement boulevard Pereire. Là aussi, il exploita ses concierges qui figurent au nombre de ses dupes. Où estime à 200,000 francs le montant de sc-s détournements. fil »v ej^sa f jra.""f••-•>(:•••-'"<;•'»•« » Mt"-J*.s8'" ■■■ « »••:<• SAVOS WmtïWUt%ww in tnmvn a w.m Legrand, 18 ans, domestique à Courceaux (Yonne), avait parié avec ses camarades, qu'il absorberait un litre de vin et quatre verres d'eau-dévie en l'espace d'une heure. La bande s'en fut aussitôt au.cjfé Bénard, où les consommations furent 'servies,Legrand absoTba tout te liquide, mais il perdit complètement la raison. Sous l'influence d'une crise alcoolique, il se jeta dans le puits de son patron, mais il put en être retiré sain et sauf. Frappé ensuite de congés tion, Legrand est resté pendant vingt-quatre heures dans te coma. PARIS STUPIDES.— LE GRAND-DUC MICHEL, FAIT SAUTER LA BANQUE- A LA ROULETTE. — Il y eût un moment d'émotion, hier, à Monte-Carlo, à la roulette, lorsqu'on vit les croupiers entasser 30.000 francs sur un numéro que personne ne réclamait. Mais le chef des jeux veillait. C'était te grand-duc Miche! qui avait, au hasard, déposé quelques billets sur une table et, sans s'en douter, faisait « sauter la banque » d'un seul coup. On apporta au prince la liasse de billets dont il abandonna une partie pour-• tes croupiers et il sortit, satisfait, des salons du Casino. . Tribunaux A PROPOS DE LA SUCCESSION DE M. RANÇON. — La première chambre supplémentaire du tribunal civil de la Seine vient de statuer sur la demande en nullité de testament introduite par tes héritiers de M. Rançon, ancien notaire, contre Mlle Senaillet, l'amie de celui-ci, et instituée par lui légataire universelle de toute la quotité disponible de sa succession. La demande en question était basée sur la captation, sur la caducité pour cause illicite et invoquait encore la révocation pour cause d'indignité. Mlle Senaillet, qui réclamait la délivrance du legs dont elle était la bénéficiaire, vient d'obtenir gain de cause. Le jugement dit, notamment, à cet égard : « Attendu que Rançon a eu jusqu'au jour de son décès la plénitude de ses facultés intellectuelles ; qu'il a agi,en connaissance de cause ; que ce n'est point, pour amener la demoiselle Senaillet à nouer avec lui des relations illicites qu'il a disposé en sa faveur ; que leurs relations remontaient à une époque antérieure et se sont continuées sans que Rançon ait manifesté à un moment quelconque l'intention de les rompre ; que, tout au contraire, son désir était de s'attacher définitivement la demoiselle Senaillet par le mariage... D M. Rançon avait été trouvé asphyxié, le 17 novembre 1910, dans son appartement, et te parquet, saisi de dénonciations permettant de supposer que la mort pouvait être due à des manœuvres criminelles, avait ouvert une information qui provoquait bientôt, malgré ses protestations d'innocence, l'arrestation de Mlle Senaillet. Cependant à la suite d'expertises démontrant que la mort de M. Rançon étan purement accidentelle — asphyxie par le gaz d'éclairage, — ' Mlle Senaillet avait bénéficié d'une ordonnance de non-lieu. Elle devait plus tard soutenir, au civil, te procès qu'elle vient de gagner, et dont nous avions eu l'occasion de parler. 0» MMWMP'r?«fcg-*T»- | ||—H II -9 -— 2 — 12 |_ wwa—^ «wa*^ «0-2 - «. y ■ ■ |Mfig| i A ill lilllii I ilil|i||||i|ini| "^'nfflm-r-iLL^^ Bien nBest aussi dangsriesi jflf\. IfJ^-B-Ba ^MK:' Y Y^rguHftk 1 jinHK Ji_I_H__w_Lî\ et aussi gros de conséquences qu'un rhume /-• Wî ,, Et l'on néglige généralement de soigner un " * fi^* rh cause de la complication et de la difficulté « toment. Rien de «Sus sisunie pourtant que de Ltra'gu rhume lorsqu'on emploie les ' un " I I M •jf\i*t' Pastilles et les Cachets Pectoraux ' LOUVIOT journée Un ou deux cachets pris à n'importe quel moment de la guériront 80rement votre maladie si ancienne soit-elie. Au moment des quintes et si vous êtes obligé de sortir, sucez quelques pastilles LOUVIOT. 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Par bon* heur, j'entendis dire, un jour, que le Sirop de l'Abbaye "Akkcr", guérissait d'une façon mcr= veilleuse l'asthme et les maladies de la poi= tiine et des poumons. Je pris donc la décision d'essayer le Sirop de l'Abbaye "Akker" pour mon fils. Des la première bouteille l'état de l'enfant s'améliora, la respiration se régularisa et les oppressions disparurent peu à peu. J'ai lait continuer à mon fils le traitement du Sirop de l'Jlblaye "Jlkker" et à présent il esi complètement guéri de son asthme, grâce au ; H TAILLEUR g |f§ j Sirop de l'Abbaye PALETOTS en DRAPERIE AKBUtSE I "Akker". ROBES Gt VÊTEMENTS pour DEUIL | Modèles bau'c nouveauté ea beaux tissus à 93 fr„ 79 fr., 60 fr. et 49 fr. CÛSTUpï" TAILLEUR sur mesure, J. m LA depuis . .. fr. 1 Toutes Pharmatiei. Dep. Gen. et vente en sroi : Léon Danj'ou, Phien de ire cl., Lilie (Nord). Brochure d&soérissni franco et gratuit. Flacons 230 gr. 2 fr. 50; 550 sr., Fr. 4.-; 1000 gr., Fr. 7.—. Exiger la tignaTure: L. I. 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Augustin étendit Te bras.;. — Motus ! C'est moi qui fixe les prix... La montre, ça sera comme un pourboire.•• Et les yeux pleins d'une insolence gouailleuse : — Tous les soirs, cent francs, mon bonhomme... que je vous apporte ou non des renseignements et que les renseignements que je vous apporterai vous plaisent ou ne vous plaisent pas... — C'est cher. — C'est à prendre ou à laisser... Prenezvous ou laissez-vous ?. — Je prends. — Ce n'edt pas tout... Faudra que je me débrouille, vous comprenez ? si je veux arriver à surprendre les projets du patron... et les. cent francs par jour, c'est pour le debroutllage... Mais quand j'apporterai la nouvelle que vous attendez... — Celle d'un voyage... — Comme vous dites... — Soit de Blancafort, soit de son ami intime, le gros Lauvoyer '!... — Si vous voulez... Deux ne me coûteront pas plus qu'un seul... Ce jour-là, faudra casquer davantage, mon bonhomme... — Je refuse... -— Alors, bonsoir, vieux... J'aime pas qu'on marchande. • — Dans une heure, ton maître saura que tu l'as volé. —■ Faudra des preuves. Avant une heure, il aura retrouvé sa montre. Et il te mettra à la porté si tu oses accuser Augustin ! le fidèle Augustin... Rouscouban était économe des deniers de Georges-Claude.. Mais il se sentait pris. Marchander KaM inutile. — Rassieds-toi... — A la bonne heure. — Fais ton prix. — Mille francs de rabiot pour la bonne nouvelle. Rouscouban sursauta et poussa un soupir. Augustin le regardait du coin de l'œil. C'était cher ! Mais le sacripan avait l'air d'un maître coquin. — Et je n'ai pas le droit d'être difficile ! pensait l'ancien voleur. Après une seconde de réflexion : — J'accepte tes conditions... Augustin tendit la patte. —Voici tes premiers cinq louis ! L'autre les empocha et oublia de remercier. '— A ce soir, dix heures !... Et il s'en alla en pensant qu'il n'aurait en somme, à se déranger qu'une fois son premier rapport étant pour neuf heures et le second une heure après. De l'un à l'autre, il attendrait paisiblement en sirotajit un café, des pousse-café, et des fines. Et ce fut ce qui arriva... Le même soir, à neuf heures, reparut le gamin à la mine éveillée et aux grands yeux... A dix heures, le gamin parti, Rouscouban reparut. Augustin n'avait rien à leur apprendre... Ça serait peut-être pour le lendemain. Le lendemain et les jours suivants, même réponse. Comme le valet de chambre touchait s£8 deux billets de cent francs tous les soirs, on pouvait craindre qu'il ne fît durer le pteisir. On se fût trompé. Augustin, était honnête dans sa malhonnêteté. Huit jours se passèrent ainsi. Un soir, bien avant Theure fi*ée, Augustin entra chez, le marchand de vins. Et ses : coups d'ceil fréquents vers la pendule sem- blaient indiquer son impatience. A neuf heures, le gavroche entra, rejoignit le valet de chambre dins la petite salle du fond. Et un rapide colloque commençait à voix basse. — Y a du hou-eau, petit... Le gamin tressaillit, pencha sa jolie tête, retint son souffle pour mieux entendre. « • — Parlez I rParlez vite ! — Je fais la valise du patron, ce soir... — 11 part ? * — Demain matin. ; ,o — A q' lle heure V '— Gare d'Orsay, sept heures quarante... train de Nantes.... — Où va-t-il Le savez-vous ? — Exactement, non. Je ne veux pas te tromper. Mais entre lui et son compère •Lauvoyer, j'ai surpris des mots... la Bretagne... la lande déserte... — Mais cela ne mo dit rien... ne me donne pas un point précis... —- Pas ma faute... Us n'ont rien précisé... Pourtant, j'ai encore retenu deux noms... un nom de ville... Vannes... — Bien... et l'autre ? — Attends que je me rappelle... ça doit être un nom de pays... à moins que ce ne soit un nom d'homme...Jébénis...Jelonnis... — Joanny ? fit le gamin vivement. — Tu y es ! | — Et c'est tout ? — Ma parole... Non, encore un détail... Le patron part seul... l'autre ne l'accompagne pas. Voici les mille francs promis. — Et bien gagnés, i'espère '.' Je vois ça à tes yeux qui brillent, gamin... Ah 1 rameur ! l'amour ... N'oublie pas mon conseil.. Grime-toi mieux... T'as trop l'air d'une Mlle i i Augustin resta seul. L'antre ne pouvait tarder. Il était neuf heures et demie. A dix heures juste, Rouscouban faisait soi' entrée et la même scène recommença, à peu près dans les mêmes termes, avec celte variante seule que le valet de chambra n'hésita plus lorsqu'il eut à prononcer le nom de Joanny. A lenipre'ssenient joyeux avec lequel let deux inconnus accueillaient la nouvelle du voyage de Ludovic, Augustin jugea qu'ils attribuaient à ce voyage une importance extrême... , ., Quelle importance ? Dans quel intérêt et pour quel but ? Ce détail lui importait peu. Le même soir, le gavroche, au sortir oe chez le marchand de vin, sauta dans unvoiture et se fit conduire rue Fortunv. M monta dans la chambre de Jiizi et la,'» se dévêtit pour reprendre les vêtenreu de son sexe Eveline l'aidait, Car c'était Zizi, ce gamin, Zizi qui ei ques jours • peut-être même avant longt6 P - MademoiseIle ne me dit pas où elfe _I Tu le aaawts. H se peut que j*aie DoHmï imnutes après, ^«^ffÏÏ Va S0 qu o-'e lui donnait otaient sari- cloute détaillées et très délicates. En la quniant, Sébacé" ™Art ■ ...» GHOGOLAT LORRAIN 1 Q13AL1TI- SUPERIEURE . m f $ Jules (Oui) — Le hou zigue zetrr— Louise et Marguerite — Trousse ; rif Jacqnette —< Zézeitte at Zazo — Ah 'J rt NOS RÉBUS 1 quelle joie <to se revoir — Ressilep — N. Hervé — Un Nordiste — Le fondeur de cloches à gaz — Latnoo — Not'Renô des Dont... — Rcrny Raymond — Henry Pailtant — S. Kogriff — S. Kargo — S. Thomas — S. Copctte —1 Sesostris — Un pairneur de Lux à Glatz — Jairne Henner — Un amateur de concours. Voici quelle était la, solution : Avec C, PAU vise âge — LEUM hardi, gras — L, I — mage DEUL — avis — carne à VAL1N — C, cent. (Avec ses faux visages, le mardi gras est l'image de la vie : carnaval incessant !) a _ ^^^^ ' occupé H officier qui a leur nom PLAT s'est dispiace. M tinguc par des actions extrao rdinaires. Le suivan t contraint tes m ouvi ments. S R LANQ. _ Lo marche s'y tient. S-lS W ., f Chlorure de M J Sodium. o ~ 1 | 1 | 1 1 g f Rébus n° 4 I 1 j Brille d* lumière propre. de Naney garantit lor fattor» sa liera exclosivement fabriquée arec 'Ses MALT ET HOUBLONS DE 1" CI101X. Très saine cl digestif». aa BULLETIN S* 01 eSin, § 1 SÉRIE B S Brasserie PUA. Sur son chevalet est un meuble sur lequel on se eou- jf FINANCIER Parts, 27 février 1912. C'est encore l'indécision qui domine dans les tendances générales du marché. Notre 3 % démettre calme à 94.75. Parmi les Fonds étrangers, l'Extérieure abandonne quelques centaines à 95.90 suivi par S» prix : Un volume, le Portugais à (55.80. Le Turc Unifié s'insa 4'. 5 , 6* prix : Deux cartes artistiques- crit à 91.95 et l'Italien à 97.90. En Rus(Chaque gagnant de deux çartes posta- ses, le Consolidé et le 1891 ne varient pas les n'aura qu'à nous adresser les nonu mais le 1906 abandonne 20 centimes à qu'il désirera voir figurer sur ses cartes. 106.05 te* le 1909, 10 centimes à 101 £r. Celles-ci, dues à une main artiste, consti- Costa-Rïoa 5 % 1911, 457 fr. tueront donc autant d'oeuvres originales.) Dans le compartiment des Etablisse*"* irtents de Crédit, la Banque de Paris se Ont deviné le dernier rébus : tasse légèrement à 1770 de même que Le You à sa Hyine — Un beau blond — l'Union Parisienne à 1.200 ; Crédit LyonKiki Cholard — Les trois manilleurs du nais, 1544 ; Crédit Mobilier, 675. Banques Grand Jus — Le père HuquieT de Fran- étrangères hésitantes. chepré — L'épileur d'Eugène i Boit — La Les chemins de fer français no s'éloiGlu — G. Gagné — Un nouvel Œdipe — gnent pas de leurs cours de la veille. Jeanjean — Le père de Zézette — Gou, b, Chemins espagnols alourdis. d, c — Germaine Lair — Le loustic de De nouvelles réalisations dans le grouTitinc — Un élève de Lucas — Joconde — pe des valeurs de transports ramènent le Levé hier — La Barbe — Une petite ma- Métropolitain à 668, le Nord-Sud à 266. man — Lilas blanc — Barka (Reçu. En LtOmn.ibua se tient calm© à 781, Thomtiendons compte) — La mère Jeantren- son, 822. d'anse — La mère Boski — Tirez les riIndustrielles russes en réaction : la deaux — Bec de canard — Le Trouvère — Sosnowice revient à 1558. G. Maboire — Content cieux — La tête Lo Rio Tinto se raffermit à 1778. de veau — Lanc Iencq ou Paul — LutoEn banque, lea mines d'or, faibles au car — H.T.D. balais — Titi Boy, le futur début so relèvent en clôture aux environs champion poids lourd nancéien — Les de leurs précédents cours. manilleurs du café de la Victoire — de La dfe Beecs est calme à 500 fr. St-Garni — Le sous-préfet de la Bouznle Au groupe russe, la Toula prend 20 — Le petit Théodiricien — Pomphonse V points à 930. — Le geai nain, le beau frisé — Le loup PHILOUZE ET WADDINÛTQN du I'. C. — '"•'Le grand Victor — Le fils 20. rue Le Peletier. Six prix seront tirés au sort parmi les personnes qui auront envoyé le plus de solutions justes. Voici ces six prix des quatre rébus de la série D. S. lor prix : Uns pipe (écume). 2' prix : Un bibelot (fantaisie). ms!ma —^ < INSERTION LEOALI des ' retrait. ^ ^ celles-ci l'assemblée générale au scrutin cas d'empêchement, par le vi8 n,,** A, MTTT^CÎY £nM^?JiîS<^*£ de liste, ils seront réêligibles. ce-président, ou à défaut de E rait 1 ordra duLe3 NNFAIRA i KIUÎI HJPwVÎn s retour-™! .administrateurs et es celui-ci, par l'administrateur à Nancy, place Samt-Jcan, 2. renUour* "se ' e ,l commissaires ne pourront être délégué par le conseil. Deux , , ~ ,, , ..A"i«e < P%f" - — PS pe ac- pris que parmi les employés actionnaires désignés par l'asrftnCSfltlltlfln IIP NntlPtP â ^i^t* ^ } " et ouvriers du sexe masculin semblée remplissent les loncuUUSl.lUUU- UC aUliC.G ces» le montent X en estt cspayaattachés aux usines de MM. les lions de scrutateurs. Le secréen .„?,' ifrnf »*♦ ri , Fils d'Emanuel Lang. Ne pour- taire du conseil remplit les souocmant et le surplus c par ront également être membres mûmes fonctions ; s'il est abI. — STATUTS versements successifs de un du conseil d'administration les sent, le secrétaire est nommé Ir n Aux termes d'un acte reçu ? ° cinquante centimes au sociétaires, parents entre eux par le bureau, par M'LAlStiY, notaire à Nan- mimmum qui devront être ef- ou parents des employés de la Article trente-deuxième. ev, le 18 décembre 1911, MM. recrues tous les quinze jours société coopérative, cela jus- L'assemblée générale, régimeBAUMGART (Charles), contrePanait paiement de la qu'au troisième degré inclus. r.ment convoquée, statue soumaître de tissage ; BOHRBR somme de cinquante francs par Article vingt et unième. — verainement sur toutes les (Aïoïbel, encodeur au tissage ; action. Les paiements pourLe conseil choisit dans son questions portées a son ordre 1 1 BM-'SÏ' (Louis», graisseur au [P ? toujours être lails par an- sein tous les ans, un prési- du jour, lequel est arrêté par tissage ; CHÀRTON (Léon), Hcipat-ion. cas dent, un vice-président et un le conseil d'administration. Il eont-remaîtro de filature ; JAN.J^^L^,-!' ~ secrétaire-trésorier. Dans tout n'j est porté que les proposiVUE (Emile), employé de bu- cicu d'aiigmentahon. du capital so-. scrutin, en cas de partage des lions émanant du conseil d'ad ar reau : LtiUH-VND (Alexandre), P lamnission de nou- voix, celle du président ou ministration, des commissaires contremaître chef de filature veaux associés, ainsi que le du vice-président, s'il le rem- et celles qui auraient été cornr L1HOT (Albert! emplové de bu- P ^ro.it 1 article sixième ci-des- place, est prépondérante. muniquées au conseil lui-même rrati • MMtCH'VL Jeen-Bantissus, l'admission des nouveaux Article vingt-troisième. — cinq jours au moins avant la {»• mnirrrrriître rte tis=acs ■: actionnaires sera prononcée Les délibérations du conseil réunion, avec la signature du MÀTAun (Athppn ti«r-rand par lo conseil d'administration, seront transcrites sur un re- quart des actionanires. BPJIVOT (ti^i 'rinnH^flttEB Le paiement des nouvelles ar- gistre spécial et signées au Article trente-troisième. 7 V llSr Si XÉ lions so fera aux conditions fl- moins par le président ou le L'assemblée générale entend «rwî Pil J P^ntiQt -i phpf V es par le conseil d'adminis- vice-président et le secrétaire, les rapports des administra( -.-„ n H? nin» irp •' ^FIVFRT dation. Les nouveaux action- Les copies ou extraits seront teurs et des commissaires sur rr-?ini«, mntVitnacÎM AP tli en naires de\Tont de plus verser certifiés par le président ,du la situation de la société, sur il viïJïpw frrViriwi souscrivant une somme re- conseil ou, à son défaut, par le bilan et sur Jes comptes, b g l L hV,i;» ,,i Si présentant la part proportion- le vice-président. Elle discute, s'il y a lieu, ap?ni= «' N„„;V ont S île neile, afférente à chaque action Article vingt-quatrième. — prouve les comptes, statue itni ,t= S» T innl ancienne dans le fonds de ré- Le conseil d'administration souverainement sur toutes les fii „V „„i , mu -, ,w° 3 serve (sans préjudice à ce qui représente la société dans ses questions qui ne sont pas du 5 TH ùtKSn SPI pourrait être exigé par une dé- rapports avec les tiers. 11 est ressort du conseil d'adminis«t Av^it irTmii sutt • libération de l'assemblée géne- investi des pouvoirs les plus tralion et lui confère tous pou* ArtiriP nrpriîipr — Il "est for raie). Cette somme sera portée larges et les plus étendus pour voirs supplémentaires qui seau fonds de mé entrei les comDarants el réserve. la gestion et l'administration raient reconnus nécessaires. 4rtic!o î^nc iiiv nin S S™ ' neuvième. — Les ac- des biens et affaires de la soArticle trente-quatrième. — rpmpniindrnis^ ,mp snciété roolions ne peuvent être souscrites ciété. L'assemblée générale peut apÏSSLt?™ H? S ou possédées que par les-cmArticle vingt cinquième. - porter toutes modifications ou A ri.I,.r,, ^pp cnrint» inia w ployés ou ouvriers des usines II pourvoit à l'aménagement additions aux statuts et notnJl S™ . in'n«ni pî <'- * 'M- les Fils d'Emanuel et h l'approvisionnement des tamment : lo dissoudre par BnrTnnrîïï vlrilhip» 5"ip nrvr sa-.fournissant à la coo- magasins sociaux. 11 règle le anticipation la société ou la fes orients statull'etr Tes lois Pératrvo. Peuvent également mode, les conditions et les proroger par périodes décen1? i^ fr être actionnaires les vétérans prix de vente. Il passe tous nales, ainsi qu'il est dit dans ArtSt? 5p, sfer«« r« = ou. retraités traités et marchés, il peut trai- le dernier paragraphe de e anciens ouvriers rt ^nm Z, wipt n riiii nir.nH à " travaillant pas dans d'au- ter et transiger, comp.ometIre, l'article troisième ; 2° augmenciéte prend le nom de bocieta rcs usinas et n'occupant au- consentir tous désistements et ter ou réduire le capital socooperative de consommation t La société est ou- mainlevées, avec ou sans paie- cial ; 3o reviser et modifier la cun cmpioi du personnel ouvrier des ma- verte o, toute personne mnjeu- ment, il représente la société répartition et l'affectation des nufactures « Les Fils d Emae contracter, ou en justice tant en demandant bénéfices faites ci-après sous d nuei Lang a non.ecours-«an- re j et capab!e régulièrement autori- qu'en déîendantgil choisit les l'article trente-huitième c ?Qm V't , , ■ •• „ sée. Les actions sont nomina- employés de la'société, déterDans ces différents cas.l'asT Article troisième. — La so. mine leurs attributions et fixe semblée générale doit être u % x transrnlssl cieto commencera au loin où bles que par'voie de transfert leurs appointements. Il peut composée d'un nombre d'ac1 sa constitution sera definitno .fl p . sî les révoquer. Il place tionnaires représentant au e (ainqi nu dit sous S?/ lif r nrpvT,P« «iï cle seizième est ci-après). Tout arU ces- auS les fonds de réserve a» mieux moins la moitié du capital sotes prcvMS au . ' _ es intérêts do la société. Les cial. 1 r J les n formalités 0 sionnnir e sora EOlim is à raRre d ' i i p= ïnri^ riP S pnnitim' ment du conseil d'administré- pouvoirs ci-dessus sont énonArticle trente cinquième. n, F P o1,rn une d, rfa de tion oui courra le refuser sans ciatifs et non limitatifs.Le con- Les décisions de l'assemblée Pinnnrrnt 2. ? \ donner le motif de son refus, scil peut déléguer tout ou sont prises à la majorité des cinquante années ft compter dixième. — Chaque partie de ses pouvoirs «r l'un voix au scrutin public, a moins Ariicle o^i.^-pC =„„f' ^ ™ ?vÂn actionnaire ne disposera que de ses membres. Il peut même que le scrutin secret ne soit C £ 'M^ pfnrS, d'une voix, quel que soit le conférer des pouvoirs A telles demandé par vingt-cinq acn,i A triïlZriïâ' noml.re de ses actions. Tout personnes que borr%f%mble tionnaires au moins. vus. A la fin de cette période, ..„„.„.,„ , ™ ~ .„.•-. . m at snécial ou pour A. M »«^>to edrism» — 0 nnl r rP Bftr anddéterminé H 0 la société pourra être proro- ^ 2^ H ^ ute^lônun objet r™^JS«« 17 1 gée pour une période de dix ^e" ^Oh Vun aPouvoir ri Articfo vingt sAicmc. ^ Il S h , k trei années (par décision de. l'as.KrtnW to* osimmmVcmmZnè^p^ e ' r née Vivante . an setnbleo générale prise comme g o - d'ère le mandatai- l'assemblée générale ordinaire J "exceptioni le premier P d est dit à l'article 34) e amsii ct nna re d« t%is de sœ co- deux commissaires pris parmi exercice Iwendra le temps ide suite par périodes deçennv aWiés, ce qui limite a qua- les membre» de la société dep^la ronsUtutton les lo toutP sauf les cas de dis. ' % maximum 'des chargés de remplir la mission définitive de la société jusP iTg Q mmbT mt= T „ w ;cfnr, iniuvp À suffro.gcs qu'un actionnaire de surveillance prescrite par gu'au trente juin mh neuf cent IC191 r f 1 lit .°v„ r vri Ptr-p POMra. émettre. Les actionnai- la loi et investis des pouvoirs ft . chaque semestre, il sechaquo pn.rogation i nronnétaires de plus de que leur confèrent les articles ÎT eize ' m inS UD drvra être a a dressé Dar les qo ins du RSSiJÏÏ n a 1, m /f r?n WsS oL t! ap- t'ronte-deuxiôme et trente-troi- c a'adSniMr^? Sn n ,n? .,U i° ul i'„, luHon pelés par le conseil d'adminis sième de la loi du vingt-quatre sommaire de ta situation, q h lq n lat TrtiM i m, ??^i« tration èt recevoir le rembour- juillet mil huit cent soixante- active et passive do la société. A tido quatrième. — La so, «clions qu'ils nos- sept. Les commissaires peuA aue année so1 d En fin cha çjto a pour but : a) l'acquisl- s™ »* aes arairas^us pos » eurs fonclions-.agir SSi ef ur' l^emlSre loto nt dan3(iI en cas e DO ifiin mil neuf cent tion, a la fabrication, la dul vente f ™,|*tnouveaux v ensemble'ou, d'empê- fi trente ngC de to 3 p S et1 ^h r y ,- ? i f. ^WpebH chôment de. l'un d'eux, isolé- %J™% SJilf par tes r^S.'f.fr, -i~ trait ou de cession seront faits ment. ' . soins du conseil d'administral n eM 1 S 22 "j J Âiî™ par voie de tirage au sort, en Article vingt-septième. - Uon un inventaire contenant dh »rS commençant par les plus forts II sera tenu chaque année, rmdication do l'actif et du S K* .,J LïS ra ïf actionnaires. dans l'un des . deiu premiers passif de la société, ainsi que mois ne P S Veur^c ses I Arlicie onzième - Toul ac ' " *«*PÙMB générale f compte de proe bilan et le pour êlre mis à Article dnquième - Le siè- lionnaire l^ïe to-'t dVse râi des actionnaires. Elle se coin- ms et pertes, refdfla SOdété^ a cy, me do Strasbourg, n» 171, piration, au moyen d'une déola- ™ £ -^ftf 4t aordmairenrLn! ™ r 1- mie te ic, dans un immeuble dépendant ration signée de lui ou de son „. cn,u, i q foi? pÀi'fnimi^it ;i „« îr de Si ^iwT ™i g C Sé „r ^tS^ftéK m ZVL^gmn l__«flA. « S T^T^J S ^XFils ^rA ^r^. mais dans la ville de Nancy les d'Emanuel Lang, tnl P requièrent P et à proximité des usines de Bonsecours. Article sixième. - Le capilai socittl est actuellement flxé a la somme de vingt-cinq mille francs et divisé en cinq cents actions do cinquante francs chacun?. Il pourra être augmenté soit par l'admission de nouveaux sociétaires, soit Par des délibérations do l'assemblée générale prises conformément A l'article 34. Il ne Pourra être i luit par suite de reprise d'apport résultant de retraits, décès ou exclusions au-dessous de la moitié du caP'tal actuel. Dans le cas où " se produirait des demandes de retrait susceptibles de rédui™ le capital social au-dessous ^ miafmum ci-dessus fixé serait donné suite aux demandes de retrait qu'au fur et * mesura des nr\i,volloc rlpman! ?,<l acU ^ToftitoS e * l^ présentation 0 dVman- S pour, travailler dans d'antres usines otf maisons, on occuper d'autres cmplois.Dans ces deux cas, 11 sera remboursé A chaque actionnaire par la société, contre remise de son action, le montant de ses droits, tels qu'ils son! indiqués ci-après sons l'article quatorzième. La société pourra, si te conseil d'administration le ugo utile, prendre un délai de deux mois pour effectuer ca remboursement. Article douzième. - L'assembiéc générale, A la majorité des voix nécessaires pour la modifica tion des statuts, a te droit de prononcer l'exclusion d'un associé. Article dlx-seplième. - La société sera administrée par un conseil composé Ho neuf membreaau hcAni ot éo tMHe' -.pmh»= nu r.lusi nri=! narrni i rttaïïrfli dS! r Article ' vingt-huitième. Le conseil d'administration doit également convoquer extraordfnairernent l'assemblée générale, s'il en est requis par Fa moitié plus un des actionnarres spécifiant les questions à mettre A l'ordre du jour. Article vmgt-neuyiôme. — Los assemblées générâtes son tenues dans tes conditions et selon les prescriptions des articles vmct-hmtième et sutvantai de a loi du vmgt quntre : jmllet mil huit cent soixanteser t, Article trentième,Les convocations ont lieu par af IIches apposées à la porte des usines de MM. les Fils d'Emamiel Lan? et énns tes magasins de la coopérative quinze i^urs au moins avant la dote fixée.. Article trente-unième. - Les tavernbloeo- «eaétme. .ootoal; rr-t pt nvlrÀnrrUnaireR sont présidées fa ^rter î? «d |S I ïtfi^oX^S^ administrateurs pour un an : 1. M. BAL'MGABT (Charles), contremaître de tissage ; 2 M BOHRER (Alcuse , encolieur" au tissage ; n 3. M. BAPST (Louis), graisseur au lissage ; , , • 4. M. CHARTON (Léon), contremaltre au tissage ;, 5. M. JANVRE (Emile), employé de bureaujl , M. LEGRAND (Alexandre), contremaître, chef de filature ; 7. M. LIROT (Albert), employé de bureau ; , _ T 8 M. MARCHAL (Iean-Btptiste). contremaître de tissage : 9. M. MATARD (Albert), Usserand ; , ., ÎO.M. REVERT (Henri) contremaltre de préparation d« blalure ; _ _ 11. M. SIMON ^-BaptotaJ, shrf mfcaniciea (_ W?ture ; 11. M. SF 'ERT tCtwriee), c««tremaître de Hssage i U ^^Ch^,] aM «e bureau. > 61 .a ^.Smt 50 000 fr Y* A cmt* , nar PU ' _ Prix • ' " ' . TabaC-PâBBteriB ...^"S, f 0 000 -'W -,lr 15Mm fr ' ^ an par V Pns - : - Tnhflr' PlITfPlfp i.auau-AJUVGl.liB rue passagère. Aff. 50.000 fr. Avec 10.000 fr. comptant. 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VeuVf Pierroo, 26 bis, rue Sg* Thiébaut 8157 I DAME, libre toute la journée, demande a faire des ménages ou des lessives. S'adr. chez Mme veuve Lhrhardt 79. rue de la.Hache. 8 01 DAME demande t garder entant, de 8 a 3 ans. S^dres. chez Mme Lévy, 49, rue NotreDa ™V «5 „„- o^r,, iZ .DAME, 43 ans, sachant tenir ménage, demande place chez Monsieur seul Eçr Mme Marie, 24 bis, rue de la Salle. .,, „ . t mvt n r JARDINIER, connaissant la laille ' demande des journées à tairc Prix modérés. Ilarisr 58ruc dc P ' ' Boudonviile. . p „m,ur „„ ™,f H , JELNE I10MN1E eu emuant in V du commerceé en ne gros^eroande __—_ M. Lucien MOLITOR, manœuvTe, prévient le publie qu'il répond plus des detq ne pourrait contracter sa tes Ue femme, née Marie-Aucusta-Al-I berline MARCHAL. Pour réquisition. «»i ClSaUlDre ei CUISiiSB On ri csm Q Vi fl P employé wll UclllaliUë de ceni merco de 25 ans environ, BIA VK^nan A ^JBiïIJM» chaut bien écrire, sérieux, très Hna Chamhrfi 9 CDUChsr ordonné et très consciencieux. 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A ,3 —. _ Café A Céder près grande ville de la Meuse, laissant 4 A 5.000 lr. de bénéf. nets par an Prix : 8.000 fr. _-.„*.A «„, aa trente-huitième. restant disib!os après déduction des pon charges frais gériéraux el des de la société, d sera prélevé : i. cinq pour cent pour ïâ for: mation du fonds de réserve légal ; 8e la somme nécessaire pour pd,yer aux actionnaires térÔt de quatre pour cent un in > ie de sur Ia vileuT nornina leurs actions, soit sur cinquante francs. Sur les bénéfices restants, dix pour cent net8 ont distribué» aux actionser -mires à titre de dividende, cinq pour cent seront versés à un compte spécial dit « Œuvres de solidarité », qui sera à la disposition du conseil d'administration, pour venir en aide, par des fournitures en nahiros, aux ramilles nécessiteuses des actionnaires 00 des acheteurs V porteurs do ear: notB. ol indi<i_jt. L« fluolre-v ruït-cina DOHT c I formant soWe seront ré lis aux acheteurs sociétairee. los — - n„ u Oïl QeHiailQB g» ^ «Çt Sur ■ actionnaires- ou non au pro-î Demeurant tous à Nancv à rlà de leursT achats, constat l'exception de M SE1VERT q\il tes au moyen de carnets déli- demeure à Jarville. vrés par la société et sur lesLesquels administrateurs ont quels seront inscrites réguliè- accepté leurs fontions. remont les fournitures faites. 3» Nommé commissaires pour Pourront être révisées et mo- faire un rapport a l'assemblée difiées ainsi qu'il a été dit générale sur les comptes du sous l'article trente-quatre n» premier exercice social et sur 3, la répartition et les alfecta- la situation de la Société conlions diverses stipulées au pré- fermement à la loi : sent article. Ces revisions et M. STEMPFEL (Charles),chef modifications pourront être de'bureau aux manufactures faites pour tous motifs laissés « Les Fils d'Emanuel Long », a l'appréciation de l'assemblée demeurant à Nancy, et M. générale, et en faveur de tou- MUCK (Joseph), demeurant tes personnes ou d'œuvres aussi à Nancy. spéciales dont une étude apLesquels commissaires ont profondie fera reconnaître l'u- accepté leurs fonctions. tilité. 4= Approuvé les statuts de Article trente-neuvième. — la Société tels qu'Us sont étaEn cas de perte des trois blis par l'acte notarié du 18 quarts du capital aeoieL. le décembre 1011, et déclaré ladite conseil d'administration devra Société définitivement constfconvoauer l'assemblée généra- tuée toutes les formalités prèsle qui statuera sur la conti- cri tes par la loi ayant été nuation ou ta dissolution de remplies. la société. En cas de dissoluiv. — NOMINATION DU tion, elle réglera le mode de PRÉSIDENT DO CONSEIL liquidation et nommera un D'ADMINISTRATION. ou plusieurs liquidateurs/routes Du procès-verbal dont une les valeurs de la société seront copie a été déposée pour mi réalisées par les liquidateurs nute à M' LAISSY, notaire, qui auront à cet effet les pou- suivant acte reçu par lui le voirs les plus étendus. . 19 février 1912, de la premièArticle quarante-deuxième, re délibération du conseil — Tout ce qui n'est pas pré- d'administration de ladite sovu par les présents statuts, ciété, le 15 février 1912, il apsera en tout point règle par la pert notamment : loi. Que M. LEGRAND (AlexanArticle quarante-lrowieme.— dre), contremaître, chef de fiPour faire partout où besoin lature, demeurant à Nancy , a sera les publications légales été choisi comme président du tous pouvoirs sont donnés au conseil d'administration. porteur d'une expédition ou Et que le conseil d'adminisd'un simple extrait des actes tration lui a transmis les pouet délibérations consiUuhfs. voirs d'administrateur de la II. - DÉCLARATION DE société. SOUSCRIPTION ET DE VERPour extrait : SEMENT : , , f-^ISSY Suivant acte reçu par M* DEPOT DES EXPEDITIONS: LAISSi, notaire à Nancy, le lo Des statuts ; 13 janvier 1012, les fondateurs 2o De l'acte de déclaration de la Société ont dec.iare que de souscription et de verseles 500 actions de J0 francs ment et do 1 état y annexé ; chacune de ladite Société en 3« Du procès-verbal de 1 aaformation, qui étaient à émet- semblée constitutive du G fetre en numéraire, avaient été vner 1912 et d un extrait de la entièrement souscrites par itë délibération du conseil d'adpersonnes et quil a-, au été ministration du lo février ont versé en espèces par enaque été déposées le 24 février 1912 souscrip eur une somme égale aux greffes du tribunal de au montant total c es actions commerce de Nancy et de la par lu, souserne,, .oit 50 jushee de paix du canton Sud francs par action et au dtotal de Nancy. d r ,R ,on : 89,000. francs &;?, iSf °V Areev t les caisses de la Banque LoVy, LAISSY. Bellinger et t.ie. a Non; y. A cet acte est demeure annexô conformément a la loi, _ . ..... ae à 10 ff|p l'état certifié parles fonda- 18^81118 VOIT I IT. leurs, contenant les noms le mètre, rue Vayringe prénoms, quahlv. domiciles des Avec facilités de paiement, souscripteurs et to -^ontant S'adros. M. Tresse, rue Guerdes versements effectues par r de-Dumaat, n« 1. 8154 rie chacun deux. , _ III.- ASSEMBLÉE GÉNË . „« & „, „„ rtAllF innmio t dp nf1é Tec RALE CONSTITUTIVE AÇQflP. francs Du P prûcôs-verbal, dent une WOOUUIL 100.OOO d r pfrancsS copte a été déposée pour rninu- f""'ÎP^i^'J? "? rieuse t i MM e te à MLAISSY, notaire à ^XSIP 8 , nn é7riîe Nancy, suivant acte dressé par ..^i^l ^ " Y M nmig| â lui le 19 février 1912, des déli- H&SSullX 01 fil RIRCHAL H bératlons prises par l'assem.™ "", blée générale des afctionaires (ancien cabinet VASSÉ) de llmî Socilte « SOCIÉTÉ iO, rue Mazagran. Nancy8103 COOPÉRATIVE DE CONSOMMATION DD PERSONNEL OU—— VP.1ER DES MANUFACTURES , , ,, unt. leur, on LES FILS D'EMANUEL LANG, N »û c à Bonsecours, Nancy, . .., 4 la !.. ordre ex géea de date du 6 février 1912, il appert référenC£S ié de préférence. SepréseW P mar Usinons de Xeuille *™ • aux 8159 y L'assemblée générale, après . _______ . vérification, a reconnu a lu«„._ »«-_ „».,,».-— chez I I ^ÏÏLfc ^x ;^?S p v6 2 l {™ ^ ch ^' du^tl Mar r r -fc nl f^ffff ^ ^ tuf demande concierge, veilleur, courses ou I analogue, sait cirer. Mutin, 4. >±™~ï. 2 Qgj OEi&ROE 1 chef maçon """7^™^^^ 11™™^%,*^%^** o? M P g % '^ ™i^ "^ r se l Ba M p o aarNancv 813» o. rue du Job Cœur, Nancy. 813. ________ tm aarcon Uîl U6IXI&I1CL6 dq nTaciin emballeur uour Nancv de 16 4 lSwîsîmuiS debonnwréférences, l8 m &«e' «_? ra JEUNE^'IIMME "" t sortanî^de à faire. Mme Jules, 80. rue di G.YS,. HOMME sérieux rt honnête JHJ.MML I de peine, garçon de courses, veilleur de nuit ou analoj Eté. L. 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