J - Kiosque Lorrain

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Oirection et Admlnlstratioti
NANCY
„i g'sienner sans frais dont tous les bureaux Je posta
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L'autodémocratie I'
nouvelle « utopie » ne méritait pas qu'on
la mentionnât à d'autre titre que celui
de la curiosité, du moins les idées générales qui l'ont inspirée valent d'être retenues en un temps où il va s'agir pour
'chacun de mettre son grain de sel, sous
forme de bulletin de vote, dans la marmite commune.
Abstraction faite de toutes les compétitions de personnes et d'idées, le parlementarisme actuel, et avec lui l'ensemble du pays, souffrent certainement
d'un excès de marchandages électoraux, et d'un défaut croissant de compétences. Entre cette situation fâcheuse,
et le remède n autodémocratique » qui
supprime toute élection et nous écrase
sous des boisseaux de mandarins, il
doit y avoir un juste milieu : celui qui
libérant les élus de leurs chaînes, rendrait la fonction plus attrayante à des
'candidats expérimentés el indépendants.
C'est à quoi les intéressés devraient
songer. C'est ce dont nous avons souvent dit qu'une réforme électorale sérieuse doit être la pierre angulaire.
titre à l'aspect hybride est celui
n récent article de la « Revue », que
vec tant de talent M. Jean Pinot,
a
■ « un groupe d'hommes de bonne
Cl
nn!é « propose aux foules une nouV
|| constitution politique de la Fran-
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Bureaux de Paria
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MAXIME LEROY
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LA LORRAINE A PARIS
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Mais par «nielle sotte imayrtaafcîen, il y
a vingt ans, dans la rue des Dominicains,
l'étudiant me faisait-il penser à Robespierre, quand il passait avec son ami Chénevrier, de Verdun, qui occupe aujourd'hui un poste important à I'Assistanee
Publique, et qui pourrait nous donner
(qui nous donnera) des renseignements intéressants et une opinion compétente sur
les tribunaux d'enfants.
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I
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^
LE JEUDI-SAINT
A NANCY
Un four au Marché. — A Vahallob
Les œufs de Pâques
Pourquoi, lorsqu'ils passaient dans les association privée dans la dépendance du
rues de Nancy, — il y a vingt ans — les régime constitutionnel ; dans l'esprit de
NAÎTCT, 9 avril. — Selon la tradition, I<
deux étudiants Maxime Leroy et Albert ses membres, il est collecteur d'impôts, léGUSTAVE VERNON.
marché de Nancy présentait ce matin 1*
î
Chenevier me faisaient-ils songer à Robes- gislateur, juge et administrateur "autonoC
grando animation pittoresque de la se»
piero et à Saint-Just '? Nous subissons mes. Gérant de l'intérêt collectif ouvrier,
mai ne de Pâques.
CC
parfois
des
analogies
incompréhensibles
tuteur de la corporation, le syndicat a la
Tout en reconnaissant que « les prinDans les viviers, rafraîchis par un filet
que notre raison repousse, mais qui, nées conscience d'être investi d'une véritable
■ es » qui animent le parlementarisme
incessant d'eau claire, les poissons mxm
d'une sensation inconsciente, s'imposent souveraineté sur toutes les choses relevant
rn feront encore pendant longtemps le
dorés frétillaient, essayant en vain de r»
pourtant à nous.
de la profession. Dans la pratique, il a
Maxime Leroy, secrétaire général de tous les caractères et toutes les ambitions j
dérober à la main rouge qui les empoi*
1 idéal possible pour les peuples
l'Union de la Jeunesse lorraine, un des fon- d'une association publique.
gnait, pour les conduira au trépas.
vijsés et par cela môme attachés à la
Vit-on
jamais
fin
de
législature
plus
moudateurs de la section nancéienne de la LtPlus loin, s'étalait toute la « marée » j
Syndiqué, l'ouvrier est assujetti à un
fh -lé » nos novateurs apprécient que
ffue des droits de l'homme, était un labo- grand nombre d'obligations nommément vementée, j'allais dire plus incompréhen- la lotte, la rascasse, principe essentiel d«
h représentation actuelle est devenue
rieux, de figure austère et un peu énigma- indiquées dans les statuts et sanctionnées sible ? Mais il faut témoigner du respect S
bouillabaisse ; ie colin démocratique e{
I tique, épris dune passion sincère pour les par une peine déterminée : amendes, blâ- aux législateurs, alors même que, comme j la
' véritable culte de l'incompétence »
la large sole.
dans
les
jeux
du
cirque,
ils
vont
mourir.
u
]
grandes
idées
sociales
et
démocratiques
,
me, radiation. La loi a reconnu aux ou- ! Tout n'est-il pas si bien renversé au siècle
„ je règne excessif du verbe a
Et des doigts experts épluchaient **la«
e
C
\' qu'il servait avec un esprit volontaire et vriers le droit de grève, le droit de réunion de Pégoud, que c'est nous, les César du '
nprimé la possibilité d'utiliser rationi froid.
professionnelle ; ces droits ne seraient-ils suffrage universel qui devons le salut à i sabîement des grenouilles* dont les petite*
i
Chènevier, plus souriant, d'une appa- pas restés vains si leurs bénéficiaires n'ar liemenl les forces sociales et morapattes avaient des soubresauts d'agonie.
| rence élégamment nonchalante, ne le quit- vaient pas organisé une discipline pour ceux qui ne nous amusèrent pas toujours.
Au-dessus do tous ces poissons pianaij
Inclinons-nous
donc,
par
conséquent,
de
ji tait guère, — et peut-être que cette amitié les. exercer ; un code de devoirs.
la bonne humeur des poissonniers tobts»
°u's'agit donc de sauver à la fois « le j!
bonne
grâce,
ayant
le
pouvoir,
fort
heui fidèle au milieu des luttes politiques de
Si l'on ouvre un récent livret de syndites, attentifs à leur affaire, etflpotol"<
i
irleaientarisme et la destinée des peu- j|
93 (de 1893, naturellement) suffit pour ex- qué, on lit au début son statut particulier, reusement, de ressusciter les morts.
Le ferons-nous du moins selon les rites I par l'ardeur du « coup de feu ».
pliquer mon étrange suggestion.
» en instituant « le gouvernement jJ
qui frappe par l'harmonie de son agen- i
D origine alsacienne par sa mère, veuve cément, le détail de ses règles, l'ordre vé- jusqu'alors accoutumés et pour la dernière
Jacques Cordiar.
bar le peuple et pour le peuple », c'est- I
Du marché aux poissons nous sommet'
de l'écrivain strasbourgeois Seinguerlet, ritable enfin, œuvre de juriste, non sans fois allons-nous pratiquer ce scruiin d'ar-iire en un langage elliptique : l'aulo,
Maxime Leroy fit ses études de droit à la imperfection il est vrai, à laquelle on peut I rondissement qui conserva une sorte do passé aux halles.
j
dfaiocratie.
Faculté de Nancv et conquit son doctorat reprocher quelques redites ou quelques ! caractère familial ou ce genre de famille
Colverts et sarcelles, grèbes et vanneau*
en 1898. Il s'intéressait an môme temps à obscurités. Mais quelle loi est claire et où l'on a trop souvent assez mauvais ca- pendaient, attendant Vacheteur. Et on
■fout le mal est issu du régime élec- !
ractère ? Quelqu'un qui eût en 1919 posé \
l'art ; collaborant à la Lorraine artiste sans conteste ?
tif Taine l'avait déjà dit : « Dans un i
cette simple question eût risqué de passer ! pensait au calme des étangs, aux longues
et à la Phalange. Il se fit inscrire au barLe
prolétariat
a
écrit
son
nouveau
droit
:
j
attentes du gibier dans les cabanes d«
ri-ime où les élections sont fréquentes,
reau de Paris, devint bibliothécaire du — remarque encore Maxime Leroy — îl a pour le dernier des attardés ou le premier
chasse, aux rapides détonations troublanf
»
la politique devient une carrière pour j
comité de législation étrangère au minis- été longtemps verbal, traditionnel. Les sta- des sots.
Eh quoi ! guère moins de cinq millions le grand silence.
tère de la justice, fut nommé juge de paix tuts des syndicats et coopératives sont diceux qui lui subordonnent leurs intérêts
i de suffrages s'étaient assez nettement proUne foule circulait devant les éventaire^
à
Colombes
et
maintenant
est
juge
de
paix
visés en titres, en chapitres ; les chapitres noncés pour la reforme électorale et pour
privés ou y trouvent leur avantage perau milieu des paniers d'où partaient dm
du 17° arrondissement,
en
articles
à
l'instar
du
code
bourgeois.
sonnel. Voilà les vrais citoyens actifs.
i
II fournit d'abord des chroniques d'or- Le prolétariat a conscience de due lo ce genre do réforme qui a fait la fulgu- protestations d'oies ' pressées,
comm-fe
Est-ce que vous avez jamais bien regardé |
rante fortune des deux lettres R et P, vulgo mées, ne sachant où poser la tête.
Eux seuls donnent tout leur temps et
i dro littéraire et philosophique â l'Evénedroit.;
mille
expressions
le
trahissent
imh fond des paroles historiques? Ce que, sur j ment ; il écrivit sur l'Alsace dans la Rereprésentation proportionnelle. Imagineztoute leur attention aux affaires publiDes cuisiniers d'hôtel marchaadaîenf
les battes de .l'école, vous avez admiré de j vue Bleue ; il présenta l'Ecole de Nancy, médiatement. En voici quelques exemples : vous qu'une Chambre ou un Parlement j
ées. En récompense de ce travail, ils
La chambre syndicale des ouvriers type- jj quelconques ' résistassent à là formidable avec lenteur ; de petites bourgeoises dis»
confiance, ne Vaves-vous -pas ensuite examiné tors de son exposition au Pavillon de Maront la puissance ». Par conséquent, il de plus pris, et ne l'aves-vous pas trouvé I san, puis il publia des articles de sociolo- graphes do Marseille édicté dans l'art. 22 i pression, à l'irrésistible poussée d'une telle cutaient pour deux sons. Et l'odeur det
u» ses statuts : « Chaque mise bas (cessafaut supprimer les Assemblées élues, j creux, vide, et banal ?
I gie juridique dans la Temps ; il est chroni- tion de travail) ne sera reconnue masse agissante ? Radis indigestaque mo- \ fromages surmontait l'atmosphère !
les.
;
Les prix étaient, en général, assez él®>
i
queur
juridique
à
la
Revue
Blanche
et
à
ci les remplacer dans la commune, la
L'autre soir j'entendais citer par Léo Clalégale qu'autant qu'elle aura d'abord été
Or la République l'a parfaitement digé- vés. Ah ! le problème de la vie chère n'csl
la
Grande
Revue
;
—
enfin
—
et
suri
soumise à la chambre syndicale et ensuite rée ; ce qui prouve que, nonobstant et en pas encore résolu 1
u
Région (subsituée an département), et j relie une phrase qui avait Pair, ma foi, très
! tout il montra des qualités d'histoa
h Capitale, par des jurys tirés au sort. ] bien tout d'abord, et qui à la réflexion m'a jI rien, de juriste, de psychologue dans autorisée par cette dernière ». « Toute- dépit dos mauvaises prédictions des pessid'autres qu'on prononce tous ! d'importants ouvrages tels que : L'esprit I fois, — promulgue la fédération univer- mistes la nature l'a douée d'un merveilleux
! j Les jurés nationaux se
recruteraient! paru pareille
L'après-midi ent, lieu la visite des abafti
selle des ouvriers gantiers, la décision du estomac.
parmi ceux de la Région, ceux de la Ij les jours, et qui ne seront point gravées dans i ce la législation Napoléonienne (1898) ; comité exécutif sera nécessaire pour légalitoirs, boulevard d'Austrasie. M. CharboïN
Cependant,
nous
apprennent
aussi
les
i
• épuisé Le Code civil et le Droit nouveau ser une grève qui sera soutenue des fonds
Région parmi ceux des communes et ces j le marbre, ni coulées en bronze.
statisticiens de l'erpeusine, trois fois la nier, directeur, tint à les présenter « en
Louis XIV, après un sermon de Bossu et, : (1904) ; Les transformations de la puissance
Chambre des députés a manifesté, à ries j beauté ». Ils sont d'ailleurs magnifiquee,
n , derniers entre tous les électeurs âgés de
publique,
les
syndjjats
de
fonctionnaires
dit au père du grand orateur sacré :
Dans d'autres cas, la régla sonne commo
! (1807) ; La loi ; (1909) essai sur la théorie un commandement : « Tout patron qui majorités imposantes, que la R. P. était i ces nouveaux abattoirs de Nancy, couvrant
«
30 ans, car « un être ne commence à
— Monsieur', je vous félicite d'être le père j de l'autorité dans la démocratie ; Syndibien et exactement la sauce à laquelle la ! une surface immense avec leurs halls pouacquérir sa personnalité qu'à partir de d'un tel fils.
pour une cause illégitime mettrait un ou- République, et la réaction pareillement, dé- [ vant contenir, par centaines, les bêtes da
: cals et services publics (1910).
vrier à ïa porte ou le forcerait à quitter I siraient qu'on accommodât tous leurs mets: ; sacrifice.
cet âge ». La durée des sessions varie- \
Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais
Sa dernière œuvre, la plus considérable, !: l'atelier de son gré, sera passible du chô- Ij rien n!y a fait. Il s'est lencontré un gros
.rajt
de
un
mois
pour
les
premiers,
à
j
0
je
trouve
que
le
Roi
Soleil,
dans
cette
cirj
Tout y e3t de la propreté la rîus minn>
i deux volumes in-8 , chacun de 450 pages, i| {pafeS de son atelier ». Ainsi s'expriment i! caillou pour démontrer que seules les aufc %
iss
trois ou -six mois pour les autres. Toutes |j constance, ne s'est pas mis l'esprit à la tor- |\ dans la collection de la bibliothèque in- [ les membres de la Fraternité ouvrière, so- \
j truches (et encore eu êtos-vous assurés 't) tieusc. Dans les salles d'r.batage, l'ea»
les affaires actuellement dévolues aux ture, et qu'il est sorti de ce compliment sans : ternationale d'économie politique (Giard j| ciété des ouvriers corroyeurs-maroqui- ij sont susceptibles de s'accoutumer au régi- | coule à torrents ; les bœufs sont dépouil(
| et Brière, éditeurs) est intitulée : La Cou* | niérs de Marseille (1871.)
lés avec une merveilleuse prestesse et lea
I nie minéral.
t
conseils municipaux, conseils généraux s'être rien cassé.
\ tume ouvrière. C'est à cause d'elle que je ij
Au congrès fédérai de Bourges (1904), un \
Le Sénat a été, nou9 le reconnaissons, chairs grattées des porcs apparaissent tou»
Tout
de
même
parce
qu'il
s'agit
de
Bossuet
. et Parlement leur seraient soumises.
I rappelle le souvenir de l'étudiant nancéien i| délégué demanda que les syndicats n'ayant ' pour beaucoup, sinon pour tout, dans cette tes roses.
®
D'autre part, les ministères et les ad- et qu'il est question de Louis XIV on reste i: et c'est sur elle que je voudrais retenir, ;, satisfait qu'à une des deux obligations j mésaventure. Et d'aucuns le lui reprochent
Là-bas, on entend le pouls de la machi»
en extase.
une minute, l'atteniion de nos lecteurs.
j{ f ixées par les statuts (adhésion à une Bour- I avec véhémence sous prétexte qu'émané
ministrations existantes se trouvant supSi M. Durand avait dit la même chose à
Ce livre étudie i organisation ouvrière, i se du travail et à une Fédération corpora- | lui-même du Suffrage restreint il no lui ne du frigorifique dont les services sont FA
fs»
primés, on instituerait dans chaque ré| appréciés et méritent de l'être pins enM. Dubois, assurément • cette phrase serait les syndicats, bourses du travail, fédéra- j tive) fussent néanmoins admis.
appartient pas de s'occuper des assaison- core.
gion, et dans la capitale, des « sections passée inaperçue comme tant d'autres.
lions professionnelles, coopératives, enfin j
A l'exemple du président de la Chambre \ nements que l'Universel préfère pour sa
F«
techniques » correspondant aux difféLes voitures de bouchers défilent incesA la vérité il est des paroles historiques qui la confédération générale du travail, non des députés, le président du Congrès écarta cuisine.
pas
pour
en
décrire
l'histoire,
mais
pour
rente compartiments de l'activité éco- sont assez vigoureusement frappées, et vous
Tout cela ne nous regarde pas, pour cet- samment au trot de leurs chevaux très vt*
cette_ proposition par l'exception d'inconsy découvrir la naissance d'un véritable
nomique, et composées sur la désigna- vous souvenez certainement des plus énergi- 'droit prolétarien résultant de la pratique titutionnalité : le Congrès l'approuva. Ain- te raison que nous ne voulons point ici tes rapportant vers la ville toutes ces vian*
envisager du point de vue politique une I des auxquelles 1 art des étuî'ors va a-.'~ii*,Gï'
tl0n de
s jurys respectifs « des techni- ques.
syndicale actuelle qui s'est développée li- si vit-on que le prolétariat se soumettait affaire qu'il est permis de considérer sous
aux
statuts
qu'il
avait
votés
comme
à
une
Mais il n'est pas bon que Von propose à brement, en dehors de la loi.
? tiens ou professionnels reconnus les
•tant d'autres faces.
Expliquer les statuts des associations ou- loi impérative, nécessaire et respectable et
l'émerveillement confiant des hommes les
— Plus capables par leurs travaux et leurs
La moins curieuse n'est assurément pas
les
congrès
ouvriers
doivent
être
assimilés
j
L'après-midi, beaucoup de monde dans
vrières, article par article, comme autant
nota œuvres, ou désignés à l'attention des mots les plus sottement communs, les bana- de lois, confronter les règles d'atelier, les à autant de parlements dont la besogne j celle que nous indiquions au début.
nos rues. Les mères de famille amenaient
lités les plus douceâtres, et qu'on les établisse
Au temps où l'on importunait à tout proîMïs par leurs pairs ». Ces techniciens,
règles de grève, les règles de la coopéra- consiste à formuler des règles obligatoires I pos et hors de tout propos la divinité en j leurs fillettes visiter les « paradis » de*
comme des monuments de Vesprit français.
j églises et on s'arrêtait, longuement, d«v
tion entre ouvriers, c'est étudier un sys- pour toute une catégorie "d'intérêts.
jjll «"amovibles, auraient pour mission
Une autre face, non moins intéressante, ' la mêlant à nos moindres querelles et plus | vant les œufs de Pàquos.
tème juridique qui n'est que prolétarien.
JEAN DURBAN.
M étudier et de mettre au point tous
menues histoires, nous n'aurions pas mannon
moins
originale
de
cette
étude,
est
Droit en voie de formation, donc droit
ns ressuscitent tant de choses dans lei
imrii
Knut
âEmtS
' qué d'écrire : « L'homme propose, et Dieu
u ^els (lui leur feront soumis par
déjà partiellement formé et appliqué dont celle qui montre la part de la tradition I| dispose )> ou bien encore : « Ce que femme \ mémoires et ils représentent une tradition
ur és
de
l'objet est de régler las relations des mem- dans ces nouveautés. Chaque chapitre de > veut, Dieu ie veut »,— car il n'est pas dou- j si longue !
y,
? ,
communiquer à ceux-ci
Valeur réelle
i5!
bres de ces sociétés entre eux et ceux qui ce répertoire du droit prolétarien est pré,c j;j 'es initiatives qui leur paraîtront féconLes chrétiens voyaient dans l'euf à eau<
Un êmlnont chimiste a calculé qu'un hom- les emploient. Droit méconnu bien qu'é- cède d'une note historique dont l'objet est \ teux que la R. P. appartienne au beau i
C en(in
me
pesant
75
kilos,
donnerait
environ
:
de situer dans ie temps les règles et les ; sexe, en vertu de l'arrêt célèbre et sans i se du phénomène de I'écîosian, lo symbok
!
d'assurer l'exécution admicrit ; droit inconnu bien qu'appliqué.
Du
fer,
pour
un
clou
de
moyenne
grosi
appel
rendu
par
le
dramaturge
sous
le
ti,
-iraave des décisions prises par les
L'auteur compare ce droit prolétarien au institutions ouvrières. Ce sens" dégagera i tre des « Femmes collantes u.» Nous assis- j même de la résurrection du Christ.
;t ;i
saur ; du sel, une salière de table ; du sucre, I|
Du lu
] l'impression qu'elles sont toutes anciennes,
j
Au moyen-âge on allait porter au roi
.P s, le jury national recrute- pour un petit sucrier ; de la chaux, pour droit bourgeois avant 1789. La bourgeoi- jj
Ces règles syndicales se sont formées len- i tons donc, trois fois hélas ! à une faillite 1 des ceufs dorés et enjolivés.
1
rmi
sie,
dit-il,
longtemps
avant
les
ordonnances
j
blanchir
un
poulailler
;
du
phosphore,
pour
j
du
féminisme
:
tugete
pueri
veneresque.
ra (. .7
eux le « Conseil suprême »
tremper douze cents allumettes ; du magné- royales, élabora empiriquement des règles ;! tentent, péniblement, bien longtemps avant
On a conservé longtemps à Versailles des
Quoi ! C'était en 1910 que cette pauvre I
se
-i-a-dire le « conseil des ministres ». sisme, pour une bonne limonade Itoger ; des qui, applicables à ses intérêts distincts, J! ta loi de I8K4 ; elles remontent à l'ancien \
! femme, tournait vers le seigneur et maître ] ceufs ornés de peintures de Lancret et da
esl
4
régime.
Les
premiers
codes
ouvriers
sont
albumittoïdes,
pour
une
centaine
d'œufs,
et
—- ia f
l'économie du système. Ses
étaient opposés à celles de la féodalité. Po- j
vp
de la graisse, pour garnir un grand pot do j thier fut le grand théoricien de cette cou- ]j nés dans les compagnonnages qui <ont [ dont la virilité s'affirme toujours au ' Watteau qui avaient été offerts par de*
5 CR attendeRt !(;
|jj Utob-?
"plws grand ;• dix livres...
j traversé la Révolution, indifférents aux Luxembourg, de beaux yeux éplorés lui j gentilshommes de la cour à Mme Victoire,
a >rts eux
Soit une estimation maximum de quaran- tume. La Révolution la reprit, la trans- !] interdictions, dont quelques-unes légales f faisaient cet aveu nullement dépouillé d'aï" j l'une des filles de Louis XV et petite-fin*
ttou«v.. *
.
' "' ''application de ce j!
forma en lois et l'Empire en codes. Les j subsistent encore.
l te francs.
; tifices : « Je n'ai rien à me mettre !» Et j de notre Stanislas.
ginie £erail
-i
dev\m
l suppression S
Eh ! bien, que certains gaillards que je travaux historiques les plus récents ont j
j quatre années, quatre années entières ont
oraIllt5
La
documentation,
patiemment
amassée
S
Mme Victoire penSait-elie ouelquefoif
lajfç j!?
électorale et son coro!- 1\ sais puissent valoir deux louis, ça m'étonne. montré que la Révolution ne fut pas l'apdepuis 1903 pour les assises de çs travail, i passé sous lo pont des soupirs sans que j aux magnifiques œufs de Pâques de Ver»
lmora!il
plication d'une doctrine abstraite, une mé- J
!
l'infortunée
ait
rien
obtenu.
En
foi
de
quoi
95«*
toute- el"
é parlementaire avec j
que révèlent des' milliers do notes", est
Le bon vieux temps
taphvsique en action, mais l'application jjI et
l'infortunée s'en va toute nue, bravant ! saiîles lorsqu'avec sa sœur. Mine Adélaïdè
considérable. Qu'on en juge :
"i Second conséquences : capitulations i C'est entendu.... nous vivons, à une époque d'une
organisation
de
faits
préexistante,
j
! bien malgré elle toutes les foudres préfec- i elle fuyait devant les armées républicain
s
i
L'auteur
a
lu
tous
les
comptes
rendus
des
*
«es fav
' -'sP^tion du népotisme, { d'affreux mécréants, de terribles persécuteurs Nous assistons, de nos jours à un phéno] nés 1
congrès ouvriers à partir de 1865, ceux ! torales du licencieux M. Deîanney.
UrS des iR us!iccs
mène analogue :
' lasociéw
!
j
> etc. Dans et d'infâmes bourreaux.
Elle veut être couverte. Elle souffre de
.
LÉON PIREYRE.
de
l'internationale,
ceux
do
la
Paix
de
la
acl ue!1
Mais pourtant quel est le préfet, quel est le
En examinant comment ou entre dans C. G. T. (qui date do 1895), quelques cen- i circuler dans ce simple appareil, il ne 'ui
U
Nttieh
,
° nous sommes des per- général, quel est le fonctionnaire qui
un Syndicat, quels sont les organes ot le taines de comptes rendus de congrès de faut qu'un peu de R. P. pour se voiler
on éUx[ de
déséquilibre oserait faire subir, en l'an de grâce 1914, à
administration, fédérations de métiers, enfin les comptes j mieux que la face ot c'est M. Bérangor, le
Mgr Turin;-!.?,, le supplice infamant dont fut i] fonctionnement d© eon
d C0 103 lois ( !i
, Vie >t H
l'- régissent la victime à Amance. l'évèque de Metz Conrad ! ses moyens d'action ; quelle procédure
rendus des congrès socialistes : il a* ré- | Père la Pudeur,en personne qui lui dit :
e e
M Nsspnt 1 ° ° désaccord profond que de Boppart, sous le bon, dévôt et artiste duc i précède une grève, quelles conditions sont sumé
et méthodiquement classé les statuts « Débarra-sses-nous de cette R. P. qui mo
or
Utes !e3
' ' ^l'inin?A
antipathies, les hai- de Lorraine, René I d'Anjou. Oyez plutôt : I exigées pour obtenir l'appui syndical, le de cent vingt et un syndicats, de trente- j gêne la vue ; montrez ce sein que je vou« L'Alarme », société antialcoolique, n
Le 13 octobre 1439, l'évèque de Metz Conrad secours de chômage ou-de résistance, —
! drais tant voir !»
!
ï> ^ hum ance' et Ie sectarisme entre Bayer
fait pendant quelques semaines une impode Boppart, l'un des Régents du du- et au-dessus du Syndicat, comment fonc- deux bourses et de vingt sept fédérations :
Au bref, on ne sait comment faire ; et le
c
qnm
il
a
dépouillé
attentivement
la
Voix
du
: santé campagne do réunions publiques
%ne v?'
régime rationnel ché de Lorraine pendant l'emprisonnement du tionnent la Bourse du travail, la FédéraPeuple depuis sa fondation (1901), l'Action | dolent suffrage universel, plein d'angoisse, j dans les principales viiles de France,
dU clérilocraiie
roi René, fut pris et arrêté à Arnance, près
%ur , '?
Peut seul faire de
tion
et
enfin
la
Confédération
générale
du
|
interroge
les
prophètes
afin
de
savoir
si
Directs
(1908),
la
Petite
République,
VHuNancy, sous prétexte d'avoir molesté les
aî
L'opinion publique a répondu à cet efséleclion
•rÇ' ttomaine«
•
dans tous les Lorrains. Il fut mené directement au châ- travail, il étudie en cela même la vie juri- j manité, la Bataille Syndicaliste, le Mou- ! 1918 le verra encore incertain de son sort, fort ot déjà dans tous les partis des ciC
la loi ( ai
dique
intérieure
et
autonome
du
proléi vement Socialiste, la Vie Ouvrière, quel- ; veuf do toute compagne et privé de R. P.
teau-fort
de
Condé
(aujourd'hui
Custines)
en
,
monde riI'
mettra tout le
quel état; grand Dieu ! a tout nu, sans che- tariat. La réponse à ces questions forment
j Seigneur ! que ces sénateurs sont entêtés toyens préoccupés de l'avenir du pays comCCOrd si on ia
toent 'ev
laisse libre- mise, tenant ce qu'on doit cacher dans ses un code constitutionnel, un code de tra- ques centaines de brochures syndicalistes i et qu'ils ont la vie dure. Quo de cavales promis par l'alcoolisme, ont demandé aiv-c
et des publications plus importantes telles
C0Dc S
rCei
L erreu
candidats aux élections législatives da
1
eptiono
''
'
r, les fausses mains, sans culotte et même sans chaussu- vail, un code pénal, un code de procé- que : Les Souvenirs d'un révolutionnaire, j ils tuent sous eux à la bataille !
nl
prendre des engagements formels en fnres ». Il y demeura dix semaines dans un dure.
Enfin,
nous
allons
voir
ce
qui
en
addément éliminées, cul de basse-fosse et ne fut délivré que par
du communeux Lefrançais (1902) ; le Mé11 nous donne une explication descrip- moire de la Fédération Jurassienne, de i viendra. Serait-il possiblo que ie suffrage veur des lois répressives de l'alcoolisme.
6 m°nie avr„ , !s er ce (l,ji sera en har- 200 hommes de Metz bien armés.
Afin d'étendre cette utile propagande,
a Pensée
James Guillaume, l'ami et le collaborateur j universel lui-même so lassât d'efforts si
C'est égal, ce devait être un spectacle peu tive de la coutume ouvrière.
Si non? ihumaine ».
« Les juristes ne voudront pas recon- dé Bakounine, enfin l'Histoire des bourses renouvelés. Ce serait, comme dit l'autre, « L'Alarme » désire adresser à la veilla
banal
en
ce
13
octobre
1439,
que"
celui
de
ce
a
S résumé
la fin de tout et du reste. Quel fou au XX* du scrutin un dernier appel aux élecno
r, ?"
ce n'est pas belliqueux et fier évèque de Metz, traver- naître le caractère juridique de ces règles, du travail, de Fernand PclJoutier.
teurs. La loi sur l'affichage Obligé à pren«asiïîe Us iia,tagions le môme enthou- sant les rues de Nancy, entouré d'archers et parce qu'elles ne dépendent pas, même
En outre, il a vérifié ces textes par des siècle, peut s'étonner de rien ?
dre à ce propos quelques dispositions spédans le pur état d'humaine nature.
indirectement, de l'autorité publique. Clas- observations personnelles do quelques miQUINCY.
Ue Sembîable
ciales.
«I»»»..,..*,^/ff^f^rn m II ni
i
* ^ ori in^
manifestation
siquement, notre conception du droit est litants, notamment les citoyens Coupât,
K
! ns son
Cabots
Pour avoir le droit d'apposer des n friS!^- NonteVl
objet. A ne pas
toute formelle. Au lieu de grouper sous Griffuelhes, Merma, Merrheim, P. Moches, il faut do toute nécessité q i'uno perA notre éwoque, ça fait plaisir.
son nom toutes les règles de la vie sociale, natte, Niel, Pouget, Tabard.
ff'lS 'audrajt | Uc0llP Plus loin que Siéyès,
j
sonne so dévoue pour faire une déclaration
Des jeunes gens qui ne supportent pas qu'on on le réduit aux règles ayant un caractère
cent mai
Terminons par ces quelques lignes du
^ com'nw
ns de
Briarée les « encabotme »...
de candidature. Ainsi on obtiendra des
Temps
:
judiciaire,
c'est-à-dire
s'analysant
finaleOn trouve dans les contrats rendus publics1
■5 " ^uu0n: nsur Ees doigts toutes les
DE FRANCE
j emplacements réservés et les affiches sement en une contrainte de l'autorité pu«
Dans
l'ensemble,
M.
Maxime
Leroy
arde
deux
malheureux
matuvus
embauches
pour
r 0rl
Vel,es qni onl
ront dispensées do timbre.
!
er le Ln
°K
dû nous répandre en province les immortels chefs- blique. Tout naturellement, appuyés sur rive à cette conclusion que l'effervescence
Si
0nheur
Il ne pourra y avoir dans une. cire on»*
"8
,. to m?
d'œuvre que lancent les cafés.concerts de Pa- une telle idée, comment les juristes au- ouvrière tend à l'ordre, et oui plus est, à
S
Afin d'assurer l'unité des effoi-ts qu'il cription qu'un seul candidat de « L'Alarraient-ils pu jamais penser à chercher l'ordre en fonne juridique." Selon lui, la
ris ;
« Tous les artistes qui gagnent 150 francs dans l'activité ouvrière les règles d'une classe prolétarienne n'est pas anarchique, est nécessaire de coordonner dans l'inté- me ». Ce candidat devra prendre l>»gain
mbreuses
«on
°
compor- par mois verseront 3 francs au coiffeur. »
organisation, d'une -véritable obligation ? elle est constituante. La coutume ouvrière rêt même de la défense do f aviation natio- j gement do ne faire ni imprimer, ni distri« Le directeur de la salle M... engage Mllei | Les syndicats connaissent cependant une élabore du droit, c'est-à-dire un système nale, il vient d'être décidé que lo Comité buer de3 bulletins de vote à son nom, da
) national pour l'Aviation militaire, présidé
l
6 nontrer
V... comme chanteuse de genre aux condi- Sratie »
Que cette « ar^to- tions de 4 francs payables chaque soir. Mlle■ ! sanction : elle est dans cette contrainte d'obligations sanctionnées, fendant à une par M. le sénateur Heymond, et l'Asso- ne solliciter en aucune manière les suffra1
ges des électeurs, et de no poser dans l'eminexorable, égale à celle d'un tribunal cor- certaine harmonie. C'est là une bien intér
Wus
Pposée serait en
îre It; ll de 'vrannf
réalité V... devra disposer d'au moins cinq toilettes1 rectionnel, que quelques-uns appellent la
; ciation générale aéronautique, Drésidée par
qile des
ressante constatation qui n'avait pas en- M. Balsan, fusionneraient, avec la Ligue ' placement réservé que la seule affiche d«
de scène en bon état. »
j « L'Alarme ».
2n
mandarinats. En
tyrannie syndicale. Ainsi un syndicat con- core été faite avec cette fermeté ; elle aniDétail caractéristique :
I nationale aérienne, présidée par M. R.
Les personnes qui accepteraient de po« L'abus de la morphine ou de l'éther serait■ I traint, par la pression, un patron à ren- me l'ouvrage, lui donne une vie, un opti- j Quinton.
ser clans ces conditions leur candidature,
irgé8 à la fois
' i voyer un non-syndiqué: n'est-ce pas là une misme profonds. Le spectacle des efforts
un cas de résiliation.
dsllîil ^^tion ;« ,
de la 1
Comme conséquence de co nouvel état ' sont priées d'envoyer lo récépissé de lenr
Les pauvres filles !...
I contrainte, un cas de cette « contrainte Obscurs, troubles, confus des ouvriers pour
d
Ue
de leUr app,ic;
Et je lis dans une relation de voyage :
! extérieure » qui différencie pour un juris- arriver à l'ordre par le droit a quelque de choses et lorsqu'il sera définitif, la déclaration et le devis des frais d'affichage
1
fe'n?
Pèserait ?
"
ié3
de
! Ligue nationale aérienne prendra le nom à « L'Alarme ». 2, rue Blanche, à Paris.
„
du S ? ,
malheureux ju- i
« Un jour, au théâtre de Fou-Teheou, pen-■ j consulte une règle juridique d'une siraI dant un repos, je fus très étonné de voir les> j pie règle morale ? On peut noter ici l'exis- chosQ d'impressionnant, comme aussi l'as- | de Ligue aéronautique de France. Ce nom
Tous les frais, affiches, eiîvoi, pose, sont
cension
lento
do
l'âme
prolétarienne
s'écomédiens recevoir en hommage des specta-■ l tense d'une exécution privée 'en la forme
j deviendra ainsi le titre commun aux trois
31 ,rres
levant
do
la
solidarité
particulariste
et
s*»" p serait au%
Ponsables ? i teur un cochon de lait rôti. J'appris ensuite
| groupements précités, qui se trouveront '
La lutto contre l'alcooiisme est une queste
Ur
S !a corr,
' qu'il était d'un usage courant, là-bas, de mon-' do l'exécution étatique. Les institutions ouI réunis en un seul.
tion de vie ou do mort pour le pays, tl est
j^! chnicifn~ ^*"
Pélence I! trer ainsi qu'on est satisfait des acteurs »...
vrières font office, quoique considérées
a se
??, *
j.
«j'^ôrala des membres do
Aux applaudissements, vaine fumée de !a, comme des établissements privés et civils,
•u
*., *
i
la UÏUO nationale aérienne sera convoj gloire, fimagins que Mlle V... préférerait[ d'institutions publiques jouissant de
l
| 'l'V'?.
'^.formes statutaires, afin de bien dans les grandes villfs «.{be 4*n» 1m
* ^leur praii<j
de celle !I quelquefois le îumêf substantiel de ce petitt j ïimpérium
us
I rauqer la projet de fusion adopté par le
petites communes. Nul bon oiteyeo ne WWH
- vfe-à-viâ 4s la toi, te uyn«Mcgl «st xaas eûiié de N aûcj. "
l Ladite directeur
I lira se «Jtrober è w «iovoir uapér^eux.
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Le sort de la R. P.
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FCHOS
Paroles historiques
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La Ligue Aéronautique
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Les témoins
" Loups blancs'
dans l'affaire Caillaux Lescontinuent
leurs massacres
Ceux
__—.
t/n vol de nuit
liuc, 10 avril. — Le lieutenant aviateur
Quillien, pilotant un monoplan muni d'un
projecteur, a exécuté un vol de nuit maigré un vent violent.
il est parti Oe l'aérodrome de Bue vers
10 neures aô du soir et a voié au-dessus «e
Duc Versailles, cdateaulort, puis il a atterri à 11 h. Zâ, devant son hangar;
L'escadrille de Mailiy
10 avril. -- Quatre avions militaires pilotés par les lieutenants Peltier et
I>oisy, par ie caporal Blot et le maréchal
des logis Clément, avec le capitaine Voisin
tomme chef d'escadrille, venant de Mauiv, sont arrivés ici er.tr© huit heures et demie et neuf heures et demie, à 1 aérodrome
d Ouges.
Le lieutenant de Bernis et le lieutenant
de Volmerange, partis de Mailiy en même
temps que les aviateurs précédents, ne
ÉO^I pas encore signales.
L'escadrille restera à Ouges jusqu'au 18
avril, date à laquelle elle partira pour
Bel Tort, pour revenir à Dijon le 5 juillet.
DiJOS, 10 avril. — Le lieutenant de Volmerange, pilotant le biplan « Lyon », et
venant de Mailiy, s'était égaré dans une
mer fie nuages. H a atterri à b heures 45,
11 l'aérodrome d'Ougcs.
UUON,
Par dessus la Manche
10 avril. — L'aviateur français
Sabuet, parti de Paris hier matin, avec un
passager, est descendu à Croytn, banlieue
de Londres.
LOMUIES,
Massacrés par les marocains
PAUIS,
9 avril. — line nouvelle noie du
cain du capitaine aviateur Hervé, dont
la famille habite la province d'Oran, et
du caporal aviateur Rolland, dont la fairlîBe habite Puteaus.
Tj&Gsa, 9 avri;. — La vigie marocaine
mi chargent
M. Caîmette
.
LA POLITIQUE
LES REVOLUTIONS
Les mariore ne rair
ui les valopirs*
N
r~„
«
de l'Alliance démocratique
PARIS,
9 avril.
— La commission
10 avril — Les journaux ont dit
qu'au moment ue l'installation iiu camiiet
qi
Et les evocats se balfent
I si vous le jugez bon. »
j
D autre part, ie magistrat a recueilli
I hier après-midi la déposition du docteur
1 Suuvineau.
j
Le docteur Sauvlneau
Ce témoin a bien voum faire connaître
ensuite les déclarations qu'il venait de faiI re au juge :
« J ai entendu dire le jeudi 12 mars à
i ma table par mon secrétaire, M. Gaston
j! Vidal, jeune journaliste, que la Campagne
du t'iyaro adait changer d aspect et que
M. Cumiette ttau sur le point de pub.iex
j
I des lettres intimes de M. Caillaux.
!
« Je lui objectai oue cela m eionnerait
Ji de la part de M. Caîmette ; toutefois j'atj me dit M. Vidai, «ie souvenant que, lors de
j
1
PAU, 9 avril. — M. Louis Bartbou
est
NKW-YORK, 9 avril. — Le gciieral Villa
annonce qu il s'est emparé des quatre ban- arrivé ce matin à Pau.
11 est reparti immédiatement pour sa
ques principales de Torréon. il déclare
circonscription d'Oioron.
avoir agi dans un but de représailles.
Le comité radical-socialiste unifie, qui
U explique que 'lorsqu'il occupa la ville I
pour la première fois, des amis des rebelles avait songé à opposer une candidature à
souscrivirent une somme de deux millions l'anclen président du conseil, a définitivement renoncé à ce projet.
de pesetas pour raffermir le crédit du gênerai Villa ; mais lorsque celui-ci commenM. Doumsrgue dans U Gart
ça sa campagne dans le Nord, les fédéraux
PARIS, 9 avril. — M.Doiiinergue quittera
semparôrent des banques, qui refusèrent Paris ce soir pour se rendre dans le Gard,
de faire honneur aux signatures, des re- où il doit passer quelques jours. — liabelles. — Havas.
vas.
NEW-YORK, 9 avril. — D'après un télégramme reçu de Tampéro, la canonnière
DAN
\\era-Cruz, qui bombarde les positions des
rebelles a atteint un immense reservoii
"
Intendance
de pétiole. On craint que les llammes ne I
| gagnent d'autres réservoirs.
M. Odier, sous-intendant
de pi •
.e
'|
NEW-YORK, 9 avril. — Les amiraux amé- j
' classe à Troytss, est désigné pour Nancy.
i ricains discutent la question au débarque i
Etat-major
' ment immédiat des troupes qui se trouvent
î| sur les transport». Ix: croiseur anglais b.sLe Hénaff, chel bat. hors cadre», est nomj sex est parti et) hâte pour Tampico. Les '! mo commissaire militaire de la eoiiim:ss;un
i canonnières mexicaines ont reçu l'ordre ;j du resbau des chetmns de fer de l Est.
S L'ARMÉE
BREST, 10 avril. — En réponse
t proche du ma noue de corieçtV-i,
^
Mme C'adiou que lui faisait
M« ."?.nv*ti.
I
AU MEXIQUE
i
M. Pichon disait eu terminant que le
gouvernement français approuvait en pring.
cipe les dispositions, arrêtées, mais que
c
le consortium ne pouvait so réaliser qu'ale
p
près le règlement de ia question au point de
vue
parlementaire.
v
La seconde lettre est de l'ambassadeur
^
d'Allemagne, en réponse a M. Pichon.
L'ambassadeur prend acte
de l'accord
qui
s'est établi avec l'approbation, en prinq
cipe,
du gouvernement français, en ce qui
c
concerne
le projet de consortium.
e
H signale ensuite qu'il a communiqué la
,
lettre du ministre aux
intéressés
allemands.
L' « Eclair » insiste sur le fait que l'on
n'a tenu aucun compte ue ces oeux doeun
j n
ineuts.-Havas.
:
LE3 "G ët £TV *i S
« M. Vidal me ùiui.orsi « Lisez le Figa- ji d être détruites. Les
« ro ces jours-ci, e tvous verrez ! » Et, en j■ ce qu'ils trouvent.
effet, le lendemain parut ta letrte « ton
Jo ». Le dimanche lu mars, M. Vidal me
!
I
rt
LoN3r.F.s » uvriL - Lo guu
verne
anglais aurait uelimtivement décidé
1°
f
F
î
ration
que le souverain a subie hier.*
1
riM i.i.
j
LA Si'iUÂT.OI'î ELUCTCE^LS
ji tdaitS
|
] i
A Néuictiuteiiu, ei-e est toujours très vive
lu avui.— Le nqtrtbre des gré- fi
1
eiiue.vi. t'icaiu, ucp'ute suriaiii, et etiiù
vistes du bâtiment au0meii.e, pt«r su.te ue
v
coiiculielil,
.vi. ivlau.ice iViaiou, muife u»
(
i'adhèsiou ces Uiuçuiis emploies uux ttup
|
v
1
Lue leùuiou cuiittudictoire à Chûtcnois
uu ttie Uissoiiie pur te Commissaire dû
puacu. M. Lamine t-icaid, .- lyre lubsit uclion ue ses auversailes, a pu tepeilduiit
tenu la tiiliutie jusqu a la lui.
A ttouceux, yios buuig a^i icuie situé aux
poi tes ue Neuiciiâteau, M. Matou u u pu
parier. Il a eu* égarement tort mal accueilli
ue 1 aveu ue Sun piopre journal, a Clitimiaey, tluuevillo cl u Attigneville.
Les e.ecleurs sont très uiecoments de ses
procèdes ue liiuij renouvelés des pius muuvais juUi's du Louiuiigisiiie el du uatiuiiit"
'ui
LES (TCHEQUES
u uiio viciiuits «lu tie^olï"
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La Léo ion fftemiwr
Psarpa
I
LE VOTE de la CHAMBH^
D'ALS ACE-LûKK A IN E
Ci l'inipérialiswie allemand
BERLIN,
y avril. — Le vote de la Cbam
fers d Alsace-Lot raine au sujet de ia tangue française provoque des critiques acerbes de la
part des
impérialistes aileumnds.
La « Deutsch Tages Zeitung » écrit a
ce sujet que ceux qui n'avaient pas encurj absolument la convictios (JUJ 1 AlsaceLorraine n'était pas digne d'une coustituttOi! doivent en être persuadés
maintenant. La résolution vôtée par la Chambr.t démontre qu'un
régime sévère eist
absolument rieccïïiùr*.
confirmé par les trois aut.es personnes qui
assistaient à ce diner.
1
« Le lendemain, continue M. Vidal, pai raisattit ia fameuse lettre « Ion Jo ».
M. Houcatd, juge d Instruction demande
alors au témoin «nr^lle était La personne•
1
i
ics \ 05^'c s tt ia nie USÉ
LONDRES,
i
Pépoetttea^do tvi. LaJicyrïe
9 avril. — L'aviateur Malard i■j
M. Boucutu a ftiiaUûS «u.cauu AL La
qui avait quitté Marseille à H heures 33 ce Î beyne, conseiller rélerenaaife a la cour
matin, est tombé à la mer, â quatre milles j d-;s comptes, qui éunl ciicl ae caliiuet ue ! dans lequel U a surtout parié de 1 anarchie.
de Cassis. 11 a été recueilli oar îe contreM. CaUiaux au uiiii.stere ues liaauces.
j
torpilleur « Hussard ». — Bavas.
I « De tix-s nommeux renseignements, a
j du M. Labeyrie, avaient ete cuem au l'audace^twiiuà' abriter *ieurs Vo;ies meur !
(( Zeppelin n à mitrailleuse
j
ment de la campagne du « Figaro », mais
SeAtitr, 10 avril.— Le « Berliner Tag- j M. Caillaux ne consentit pas à les rece- les exaltations d'orateurs ou d écrivains |
blatt »
annonce l'ouverture, à Leipzig, j voir ; il était décidé à traiter les calom- dont les paroles ou les écrits magnifiaient I
d'une exposition de locomotion aérienne. j uicj par ie mépris, et il ne lui convenait lo revolver comme arme émanetpatrice et
On y remarque entre autres modèles un j pai u accueillir, quelque précises quelles j qui présentaient la police comme le princinouveau « Zeppelin » muni d'une plate- j fussent, les accusations de toutes soties pal obstacle â cette émancipation.
forme pour mitrailleuses, et un nouvel
M. Hennion a ensuite parlé de la régleportées contre son adversaire ie plus imaéroplane- dont ia cavalerie doit être pour- pia< abie. »
mrntii Ion nécessaire du port des armes.
vue.
S
Le témoin a retrouvé, en quittant te
Des agents secrets veillent à ce qu'il ne ] ministère, le 17 mars, quelques-unes des
•oit pris ni photographie ni croquis de ces letties adressées à ce sujet à M. Caillaux, j MORT QS L'IMPERATRESE DU «!A?0N
modèles.
TOKIO, 9 avril. — L'état de santé de 1 imet les a remises au juge d instruction.
<• Le faitf a-t-J dit, que M. Caillaux n'<m pératrice douairière est extrêmement criExplosion d'un dirigeable italien a tenu aucun compté montre qu il répu- tique. Tous les membres de la famille dupe, iale se sont tendus au pr iais.
gnait d'employer, même p ,ur se aéienure,
ROME, 'J avril. — La n Tribuna » publie
PARIS, 9 avril. — Une dépêche de Toles procèdes aont on se ser ait contre lui.
la dépêche, suivante de Milan :
kio annonce que l'impératrice du Japon
«
Depuis
le
drame
du
16
mais,
à
nouLe dirigeable « titta die Milano » à ia
veau cies témoignages sur l'affaire Drieu est morte aujourd'hui.
suite d'un incident a atterri près de Cautu.
ont
été offerts a M. Caillaux ; il n'a pas
De nombreux curieux s'êtnnt approchés
MORT D'UN ROMANCIER
voulu les recevoir lui-même, mais il a
du dirigeable, les carabiniers s'efforcèPAHIS, 9 avril. — Ou annonce la mort du
pri
son
ancien
chef
de
cabinet
de
les
enrent d'éloigner la foule. Le pilote avait
romancier populaire Pierre Sales. — Harecommandé de ne pas fumer. A un cer- tendre.
vas.
«
C
'est
ainsi
que
M.
Labeyrie
a
appris
de
tain moment, sans que l'on connaisse la
*o>
M Vidal et de ceux-là mêmes, que MM
cause, le dirigeable éclata, il a été comMonniot
et
Mazars,
amis
et
créanciers
de
plètement détruit. On dit qu'il y aurait de
ïïm
M. Schneider, avaient, a partir du 11 jannombreux
blessés, tous
légèrement atvi<*
au
lendemain
des
premiers
articles
teints.
M. Quinton, président de la Ligue natioLo « Tilta die Milano » aurait été offert sur l'affaire Pneu, été sollicités de la façoi ia plus pressante par des collabora- nale aérienne, vient d'adresser au minisà l'armée par souscription. — Havas.
tère de la guerre une demande en vuet
teurs de M. Caîmette, en particulier MM.
MILAN, 9 avril. — Lo dirigeable « Titta
u obtenir la croix de chevalier de la Lé-■
die Milano » avait été amarré à des ar- j Fianz Reiehel et de Formelle, de déclarer
çiun
d'honneur
pour
l'aviateur
....„rc
bres Une rafale de vent se produisit sou- par écrit que M. Schneider était en relaPourpe.
dain. L'enveloppe fut déchirée et le ballon I tiens avec M. Caillaux.
J « Des offres d'argent leur furent faites ;
On se souvient que cet excellent p 'ete,
éclata.
qui s'était déjà signale par des vols nomTrois personnes ont été blessées par le
situation de qumzo mille francs par an.
urenx dans les colonies français. e. nodirigeable au moment ou il a atterri.
tamment en ^ Indo-Chine, effectua, penJ Les euorts ainsi faits par M. Caîmette ne
Deux sont mourantes.
dant ta période coL'iDiaoe en
.
ier
En outre, une cinquantaine ont reçu cessèrent d ailleurs pas avec ses articles
I sur i'adaire Pneu ; les rendez-vous avec
des brûlures.
j M. Mazars se poursuivirent pendant tout quabie qui le conduisit âu^êeur du Scudan
Âéronauîes espions
le mois ue février, et quelques jours avant à travers le désert de Nubie.
Ayant en eîlet quitté Je Caire pour suile drame, M. Franz Keicnel avait encore
SAIST-PETERSBUUUU, t) avril.
—
Lu..a
vre'la vallée du Nil par Louksor, Assouan,
deruaitue un uouveuu rendez-vous à M.
teur allemand Mischevsky a été condamné
Wadi-Haifa, puis la voie ferrée jusquà
Mazars. »
à trois mois de forteresse, à Varsovie,
Abou-Hammed et dj nouveau le Nil
il1
M. Labeyrie a ensuite exposé à M. Bouou
P )"^ avoir volé au-dessus d'une enceinte caro l'état d'esprit de l'entourage de M.
toucha terre à Knrthoum, juste à temps
pour prendre part aux fêtes qui s y don-!
Caillaux, au cours de la campagne
du
BERLIN , 10 avril. — On apprend de Saintnaient, en présence de lord Kitchcner àt
« Figaro »,
„
Pétersbourg, par une correspondance pril'occasion de l'anniversaire de la vei av.'dui
M. Vieîal
vée, que l'instruction du cas de i'aéronauRoi d'Angleterre dans la capitale du Sou-■
Après lui, M. Vidai sera entendu par le!
U Berliner est terminée.
dan. Reprenant le chemin du retour l'ourjugeLe procès des trois âéronauîes allemands
pe refit le parcours en sens inverse, par
M. Vidal, publieiste, mis en cause par M.
aura Heu aussitôt après les fêtes de Pâpetites étapes, avec une régularité par-Joseph Caillaux et par le docteur Sauvi-.
ques russes, devant la cour d'appel do' Ka.
1 '
nenu, qui a été entendu aussi, confirmei taite, pour terminer définitivement sa ran-ïan.
. donnée à l'aérodrome
d ttéiiopous,
son
Berliner est accusé d'espionnage et ses d'abord en tous pointsi la déposition du doc-i point de départ:
Un tel voyage se mesure par i.500 kilo-■
d'avoir volé au-dessus de terrains intar' dernier, au cours d'un diner chez M. etJ mènes, c'est-à-dire la distance qui sépare
i
' Mme riauvineau, il inioiruait ce dcinier que
dits.
Paris du Pôle-Nord. En le faisant Marcle Figaro ailait publier les trois ietties de,
j Pourpe a puissamment contribué, commes
M. Caillaux a sa femme.
,
les auteurs des raids d'Orient, à grandirf
« Ce propos, dit M. Vidal, pourra être
IIKIIUF,
J
LE HOME IÎULE
MARSEILLE,
i. \ n i-: i:\ir.iu-:
-
rebelles pilient
Un aviateur tombe à la mer
I
Dans les autres
arrondissements dei
Vosges, la campagne est . «uucuup moins
a i u c h ie>>
«**
Si nous puoauiis â la Meuse, tiuua vujum
qu u Liar-ie-Duc M. Magiiiot, députe sut- j
tain et sous-serreiaire u ittat a lu guerre,
a repris victorieusement toute 1 avance que
pouvait avoir ga^na sur lui sou conçue
relit, M. barrette.
Ce demie/ a mené contre M. Maginot |
une incroyable campagne de
calomnies,
ai.ant jusquà dire qu il était l'organisa-, |
teur de i espionnage allemand dans l'Est
Naturellement, ftl. Muginot, bonime tevaleur et honnête homme, aura, le 'S avrb,
nda uu succès, uiuLi une éclatante vuioire.
p
***
îr
'réi
;
Babuiage «Eune carrière
a Fiavigny
j
-, j
Un scandale
LE VOYAGE DES
S O U Eli L\ S ANC* LA S
EN FRANCE
République ;
EN ÔlîîENT
! que s.
La noîe dî3 puîcsitr.ccs 5
de
;
i
Et à Verdun M. Albert Noël taille cb r*
êhe, VeraUrij
"
" "
*
!
'itrme'en ^in^rni
iur'l'cxooiuit^
! des croupières au gênerai Maitrot. Le. g*
Déluge, chef bat., chef génie à Roche- j j
| uerai Mai trot est pris très souvent en J*
fort, aesignô pour Verdun ; Bost, capit. à jI
Ln ce qui concilie les obligations russes J g tant dent d'inexactitude et il est perdu j
1
Rouen, désigné pour Verdun ; Petitjean, |I vis-à-vis
>
de l'Allemagne sur la base des |! lorsqu il aborde des questions écoiieuiii)ties j
capit. 4e rég. est désigné pour Nancy.
I |traités de commerce en vigueur, M. Rostov-' ou sociales. M. A.beit Noël reprenum cei>
2eff a déclaré qu'aux termes de ceux-ci, le
Msrt d'un général
U
î
1
ll
d
! gouvernement russe devait éventuellement■ j
l*a p^e tons que le docteur Ihiery, dép*
PARIS, 10 avril.— Le « Gaulois » signale ! '
; prévenir le gouvernement
allemand, au té ue Commeicy, n'a pas de concurrect.
la mort du général Desoilie, qui, depuis j1 moins
j
deux ans à l'avance de son intention
ht le Joui nul de MuiUmcdy nous appren*
trois ans, commandait la li" uivision de .de faire rentrer ia Finiande sous le régime> que dans cet arrondissement « la ci'inM
cavalerie, à Paris.
'.douanier de l'empire russe.
gtie électorale suit tranquillement son p«w
Le tir à Mailîy
La commission a toutefois considéré que! uonhomme de chemin, sans trop de heurta
la loi en question ne vise nullement à uni-- I sans trojj d accrocs ».
, —
REIMS, 9 avril
— le conseil supéricui
On voit que la situation électoro.e, a
de la guerre, avant â sa tè.e le général II fier le régime douanier en vigueur en Fin1
avec le régime douanier de la Rus-■ \i résumé, est excellente dans ia Meuse »
J offre, accompagné des généraux ue Cas- ! lande
dans les Vosges pour nus amis repua»
tel n au et Lanon de Ladebat, du général !
La commission s'est déclaré onposéo àt j cains.
d'Amade, commandant le 6" corps, et du I
commandant Herr, ont assisté, au camp i \ce^ que le projet fût soumis au préalable '
de. Mailiy, à des expériences d'artillerie 1à la Diète finlandaise, attendu que la question intéresse les intérêts économiques gëexéi i. vs par le GO" régiment.
I neraux de 1 empire russe,
îvlantEUvres de forteresse
j
La Douma a volé 1 urgence de l'examen1
FLAVIGNY, 9 uviil. — Des individus •■fi»
1
10 avril. — Le général Ruïïey, |; idu projet
I l'o t pteoume êtrt; de la localité ont Su
memure du conseil supérieur de la guerLa budget ruesa
te la uiateiiel ue la carrière de saule,
re, est désigné pour diriger des manœuSAINT-PÉTERSBOURU, a avril. — A la séance
lieu dit Les baoious, exploitée pur M:
vre: de forteresse qui auront lieu devant de la commission du budget de la Douma,•
Co.e, entrepreneur à Fluvigny.
j
la place d'Epinal au commencement
de le ministre des nuances ne s'est pas opUti wagonnet a eie lame à la dérW
septembre et qui comporteront dans un
posé à l'allocation des 28 millions de rousur Je pian incliné, une partie des uw
j
sauteur particulier l'exécution par les difbles pour I'amoitisseiiieiit des emprunts.
chCv- des outils brisés.
férentes armes, pendant une dizaine
de — Havas.
Du fait de ce sabotage 1:3 ouvriers vw»
jours, les opérations prévues pour le déêtrj léuuits au cilOuiagO pendant o«u»
,
veloppement méthodique d un siège.
L'L;i5piIî}.' lN ITîZ
Outre les troup-es spéciales d'artillerie
PARIS, 10 avril. — De Beiiin au « JourLes" dégâts matériels s'élèvent à
j
et de génie, la 13° division d'infanterie, nal
,
» :
centaine de francs. La gendarmerie ^ j
deux régiments de la place d'Epinal et de i
« M. Paul Fort a manqué de peu d'drri-- qt'êu-. — B.
Toul et des unités de réserve prendront !' .ver trop tard pour une conférence donnée
part à ces opérations, ainsi que le 4e chas- ici.
seurs à cheval.
« Le poète, qui venait do terminer, eni
Le général Legrand, commandant le 21e compagnie d'une actrice française, une>
O.. ,;-,us écrit :
.
Dai
corps, commandera les trottes de siège, tournée
j
CoLo.Miiiiv.-LEs-iiELLES, 9 avril. ~" .V;
de conférences en Russie, fut, eni
Les troupes de la défense seront placées jeffet, arrêté à la frontière- par les autori-.
sible luculité de Colombey-les-Be««* ■
en ce moment en pleine «tiervcsceia \^
sous le commandement du général Mauger, tés.
gouverneur d'Epinal. — Havas.
« Fort heureusement, l'intervention de3 l'acte inqualifiable d un ancien «wg "^u»
Ce rnous.eur Vient de faire «',<; ' lâ
l'ambassadeur de i-rance et de celui de>
Russie à Berlin dissipèrent ie malentenduj vaille, pour se fane connaître ue tu
„|!<>.
ji M. Paul Port arriva a Berlin juste ài l'i ance et même d ailleurs.
H a en èiiet arbore uu drapeau? (j
temps pour taire sa conférence.,» — HaV
A
2 I vas.
nibiiu a une des croisées tic sa lllJ. ,;.,rat
veut, dit-il, se mettre sous le proie
de l'Allemagne. Le plus atioinim'Die
VifîLEîlT INCENDIE
cette triste affaire c'est qu'on ne peut,
|
LONDRES, 9 avril. — Lu violent incendiei
a dévoré ce' matin dans l'Uister une su-raît-il, lui faire enievet suu dia£*ft !«»
Un message
perbe résidence connue sous le nom de3 cii< onstance pénible, des soldatsi,s0' hev-,
dît Président de La
ten-eut passés uujoûrd hui par W«
j Horland. 11 y a un million de dégâts.
Je vous laisse a penser des exc.arrt ^
LONDRES, 9 avril. — Le « Daily Mail » j
et protestations indignées de tout
publie ce matin un message qui lui a été
envoyé par M. Pomcuré :
""c. „.«„, U, i«u„cs C»„, * M?»
« je conserve, dit ie président, un souL'Albanie l'emporta
! venir très vif de la réception qui m a été
rat.ou militaire de Coluinbey
, , jeUi
n iro sP
DURAZZO, 9 avril. — On annonce que la
» cidé d'abattre cet emblème H \ l^»£
faite en Angleterre l'an dernier. C es: avec
, 0
un plaisir réel que j interromprai mes va- I rébellion de Coritza peut être considéréee patriotisme et leur dignité de
comme terminée. ■
Le président de ia société, M. b<lU ,'ettrî
Le gouvernement est maître de la s'tuatoutes les peines à les empêcher t- .'jc^iii
trer à Paris et recevoir à mou tour le roi
Oon. — Havas.
et la reine d'Angleterre. »
Energiques ïntenîion3 dti prineo de Wied
Le manifes.e so termine par l'affirma*
tion que les souverains angiais trouveront
VIENNE, 9 avril. — On
télégraphié
de
à Paris un accueil très chaud et très cordial. La nation française sera heureuse de |
manifester à cette occasion son
amitié
I
et empêcha M. Scimeider
I
cnôt'uno^îeUr'c jugée puVcû"^^'^';^
,ite.
*
L'avoué d.o Mme Cadiou a vr v^ \
5
] témoins
t.
à .M Feiiiurd, qui a coiîsîi£(s
w
*^i les siens.
«*i^«
I
Le» électriciens des travaux publics se
tout !| d'infanterie ; d'Aussaguel de
également uns eu grève,
LésboideM, i sont
ç
capiL Uii!' à l'état major de i.i 84' brigadeG.ssz les coto.-iniers c'a Lsanna
vanta sur la mort des deux aviateurs mi- |'
rtOAiwt, y avui. — iiuii tiiatiu-fuciuies de
.litairas, le capitaine Hervé et le caporal jj
Services de s^ntô
cutuniiaue ont lernie leurs portes et ctiu- î
mécanicien Rolland, qui étaient
partis !
Méd.-maioi ln cl. Biscons hospice Paint- c
LONDRLS, 9 avril. —
Le « Daily
lo.e
I geuie leurs uuvl'iers qui ne veale.d pus |!
N'iiiiâl
pusse
à
CleMiioiit
r'erraiid
*
Laine
!
c
grapi, » de ce malin annonce que le voie
se soumettre u nue UvdvuiiO UiéUlU •- ne j;
vaient aller à Fez pour se mettre à la dis- ij ii qui vont paraître incessamment, et ia 1
| b
débnitii du Home Hule a été accueilli à j 40 artillerie, pas.-e hospice Sa.nt-Mihicl.
UaVail - Imvus.
position du général Gouraud.
j « première n'est rien à côté de ces deux- jj Bedast avec un enthousiasme extraordiMéd.-major
classe Touroujeun, du 17J' 1
Dans la soirée, on annonça qu'un autre j
j uaire, par la population. Des
mu mies-O- o -o—————
pusae un oJ°.
aviateur, lo lieutenant de Morlaix, avait
j talith ont purcuurU les rue» d« la ville eu
Infantena
atterri à Fez, mais qu'on n'avait aucune j
et*f*f;
vr^cs"**^'" îlf>! IP
chantant le « Buie Britaudia ». lis se sont
nouvelle du capitaine Hervé et de son pas- | puis plus de soixante ans
en relations J rendus aux principaux journaux natioM. de Touzalln.Ctief de bataillon au 107*, '
■
eager.
! avec la famille Caillaux ; mon beau-père, nal stes en chantant des hymnes en fa
passe au 91e ; Jeanjucquot, capitaine au
iCQ ict l\U^.â COIlLl O i--&l*01H£tfLItO !
On télégraphia à tous les postes.
En j
j lâ;,",^ passe au IGi* ; bu l'on de Loriot, ca- j
| veui de la liberté de l Ulstcr.
S.ttvr l'ÉiLn -îiouiiG, 10 avril. — Hier, la
même temps, on apprenait l'agitation qui
Douma
a commence la discussion d'un piu- j
ramait chez les Zaers.
| nistre des finances, M. Alfred Caillaux.
taine au Pii', passe au lâ,i' ; Dujal des Al'
Bientôt parvint la nouvelle que les ca- jI
ue lui conceiliant la taxation des cerea« Je dois dira d ailleurs que dés ie t^ j
limes, capitaine au lOS", passe un 2» zotia- jet
j
davres des aviateurs avaient été trouvés à ] mars, M. Vidal m'av,ait dit qu il }ul sem- i
allemandes a leur entrés en lGniande.
ves ; Pi'omoiiet, capitaine au K'.y» passe l'< tes
»
10 kilomètres de Tedders, entièrement dé- j! blait utile d'aviser M. Gûi.llaux. Je n'avais i
Le ruppottéûr, M. Bostuvzefl, a fait un
e
pouiilés de leurs vêtements, mutilés
et \
avec cliifîres a l'appui, relatif à
res, capitaine pu 171 , passe au 4* zouaves; j exposé,
<
PAHIS, 9 avril. — Ce matin, à dix heures
troués de balles.
I 1 itupoi tutloil des céréales et Ces funnes al]e ne croyais pas alors ia publication de fet demie, oui eu lieu aux frais du deparTl a été impossible de retrouver l'aéroi leiu*iiides en r.ulaiide.
I tement de la Seine '.'^s ot>sèques de 1 agent
plane.
e
Il a démoiiiié que ce.te importation avait
Kougtau, trappe uioneneuiLut eu service a bataillon de chasseurs, passe au 11 inOn suppose que le capitaine a dû avoir j
eliel d ecuitur [itu a peu les piouuits
fanterie ; Maun m» cap.taine 18'
chas- pour
|
une panne et qu'il a été attaqué avec son I laux, qu'elle connaissait, parce que j'esii- |
lusses
uu ma rené tinlaiidais.
! seurs, passe au 171*.
i
mécanicien en atterrissant.
mai «jue M. Caiùau.. devait l re au mt.ns \
La cuannission s'était demandée si la supLe capitaine était depuis lo mois de sep- îj aussi bien renseigné que nous.
pression ue l'importation en Finlande ue
I tait r-epit-sen^er, a.n.Hi rpie le prestceiu ou i
fcembie chef du centre d'aviation de Ca- j
« Le lendemain se produisit ie drame,
• Li faime ailemunde ne serait pas piéjusablanea.
!j
« Je dois avouer que je me suis alors
litaire d artilïai ie.
j! diciUbiB
t
à lu population.
' Bavas.
PARIS, 9 avril. — A la Guerre Sociale '
i demande si je u avais pas eu u-rt de ne
La commission a acquis la
conviction
on dément que le capitaine aviateur tué pas avoir avise M. Caillaux ; et quand j'ap- 1
?
L
^f^gyriTMtftt c c^cottr3
j qu il n eu résulterait pas une hausse bien
au Maroc soit le frère do il. Gustave Her- pris que la question des lettres venait en
éntM
considérable sur le pnx de la farinevé, directeur de la Guerre Sociale.
ca i~ï~ê <nt ce pij-iCd j
discussion, je ie mis au courant de ce que
'
Par contre, ta mesure projette aura pour
je viens de vous relater, »
1 ..as, i) avril - M. Henn.on B prononj!
finit:*..
PARIS,
moci'atiqui:, dont M. Carnot est président,
PARIS, 10 avril. — Mme Guiilcmard, amie
<
adresse aux électeurs un appel i,ui insiste M
de Mme Caillaux qui a déjà ete entendue
11s se sont empares de plusieurs villages i
pai.u uiièreinent sur la nécessite de la oi d(
[comme témoin au cours tie i instruction,
et les ont pides.
I
ue
1> ans et qui cuiiuamne_i impo»* sui i-o ie
vieni a uures&er a M. ituucard la lettre suilis ont tue oes centaines d'habitants.
c
i
a>
vante :
Des proclamations du « Loup Diane » Jrevenu.
Là manifeste dit que la loi de J ans tr
« Monsieur le juge d'instruction,
p* ln it'iron an vjCiiufcii
a lima bSad e .1 r d Al« j ai lu ces juui.5-ci cia.ns divers jour- I
nattx que les termes «es lettres
intimes
i
B i^c uir iiuulie atiiOiini'iiui a i apoui de
uotit Maie Caillaux redoutait la divulgation I
étaient tels que teur publication était « tout
a fait impossibje nu journal ie moins ressoldats vient d arriver et ou l'on attend f
.mer l'impôt en une sorte d enquête vexa- f^fée-i (1*111= le cab'ii^t de M Piclion, uiinis»
pectueux de s-is iecteuis ».
<( Av<mf été à même de connaître dans J
6
'
son Intégralité Je tcue ries deux lettres en
le.'iivistcs
auraient tôt fait de préparer i l7 décembre 1910.
l
question;
je
crois
de
mon
devoir
et
de
l'expropriation
et
le
nivellement.
|
! aipel se termine ainsi : Nous voulons m
i intérêt do la vérité, de déclarer que les
La prise de Torréon
msmuutiuns émises au sujet du ton généadministrer, légiférer et gopvirner pour pj
:
NEW-VOHK, 9 avriL — On télégraphie de
ral de ces lettres sont absolument funia>
l'exploitation d'une région située au Congo
Juaiez que le général Carantza déclare jfera la République plus forte. La paix ci,
f
| avoir expulse des Espagnols de Torréon, vile est ia condition du progiès social.
le
j parce que ceux-ci ont contribue au iriuu-
utile do joindre
| ^Voûs ju^re^
j ma ieure a votre dossier. Je suis d ailleurs
r?»fm?
Un consortium fut ébauché
cen-
ftffj !ÏÏ
mofi Ë il casiQu
lîn
Deux lettres
1la
sur la cession du Congo
Ame!
électoral
i •
Si.vi-For, 9 avril. — 2.000 brigands, ac-
* i.—^I1 J
ia
Ï$M
Pr 6
Crica
n«ciatfon p StiTu-^
se rendre au
je les tenais d une personne amie' intime
de M. Caîmette, fun de ses meilleurs amis.'
M. Vidal raconte ensuite qu'un soir, sei ] étaient en relations! possède unY iethe
trouvant chez son ami, M. Schneider, M. de
0 lfeS
o011
a
s d uucS
FontvieUle vint trouver ce dernier'et luii j manière déguisée.
~ ~ '"'"
j dit :
^ En terminant, M. Vida! dit que M. CaS«— J'nl un taxi en bas. Venez îmmédiateI mont au Figaro avec moi. Vous vous ea-■ que M. Caillaux ne «serait plus ministre, il
j tendrez avec Caîmette au sujet de l'affaire>T reprendrait l'affaire Prieu, et vu tirerait
j Pneu. U y a une fortune pour vous ».
"
S parti.
PARIS,
de *Malte
UN RRAiVIË A PARIS
9 avril. — Le nommé Paul
une dame Rouleaux
î T.ouisT — Havaa.
"''''*
| de réponse des grandes nUissaiciS à U
Be- ![ m to ue la Grèce.
et oui a j
'
LA
FAIUILL"
irWPCRSALC TiVC.ZZ
1
3I cbesifs sont arrivées? -^ Havas^"
65
j
lemagne,
mais est une
WiSmerFt"rar'calsf
P
\x\
n
n' rt
0"°' '
"
o» «ÇÎ
à ^i»
Espérons qu'on mettra fln »
on
idalf- sans tarder et qu
,}\,, é t,
Ti
"* | cïdents pegrettabïes a depion»*'
1
j,e futur statthalter
g vril.
Dans les couloirs
Soient on assure que la nomination
G
L'assassin do Roulon, Lagarde,
|
est-il l'assassin de Maxévilîe?
—
a
«upar
vlau statthalter, qui doit succéder
JjU B^Je de Vvedel, est chose faite depuis
^'^Jfu^t'dont
il est question serait
Ratibor et Corvey.
!*Pr -fine occupe.des fonctions modestes
Ce P^noinistration prussienne. — Ha-
hagarde dit non. — Les témoins disent oui.
Les premiers faits de l'enquête
Depuis le 24 mars, jour où M. Deleau, le
débitant du « Tonneau », à Maxévilîe, fut
trouvé assommé dans son débit, le personnel de la brigade mobile, aidé par- la gendarmerie
était en campagne pour décou:
LA JOCKNEE
vrir le meurtrier qui, on s'en souvient,
du lundi
de Vannée
10 a«. n7- ~ m' }our
\était resté toute la journée
débit, buvant
X*MWi^
DEMAIN :
Mt3 mars, dans la salle du
'UJ,0 • ,ir Mets Saint Léon le Grand i 1avec sa future victime. De nombreux té0! valdree..
«<<
I i
moins, ouvriers mineurs
ou
carriers,
d'habitude ou de passage du « Ton^ZrtdtT
lorraines.-- En 1217, dans clients
\
» qui y avaient consommé le même
m1 cries Maherus de Lorraine fait as- ; neau
j
avaient aperçu l'assassin et en avaient
}es voSr «on successeur, l'évêque de Tou'l jour,
.
pu donner aux policiers un signalement
sassin
,H de Senlls.
i \
M*,*ffCS des boucheries et des maga- des plus précis.
Un habitant de la rue Lasalle à Nancy
'Lit TEIHPEBATURE
<, £n compagnie de sa. femme était entre
qui,
sJ5r
"
dans l'établissement de M. Deleau avait reî 1
c
marqué
également le singulier client. Mais '
"*
Tn'ilon e 765, Ouessant 755. Nonvelle
!
un témoin, ouvrier peintre, demeurant à
A
iinression nord-ouest Europe.
^ k (11 !
] 1proximité, avait iait des déclarations for- I
melles.
j> 9
A NANCY l e 10
Una première fois, à neuf heures du mail était allé boire au « Tonneau » et y
1'poires I Tberm j Barom. • i Temps prtibabte. tin,
\
avait causé avec lui. Le soir, un peu avant I
Y
"
o
Mneuf heures, il était allé chercher des bou-.
fc/t. m, + s [ 7'*°
... ,,
hteilles de bière pour le souper, il avait vu
, ! I 717
Variable
747
| jfltf... + *
!•
nuageux
v le
\ même individu et avait même trinqué
i j/j, s.. +1.5 | 747 , temps normal. 'javec lui. A ce moment, il l'avait dévisagé et
avait remarqué, son air sournois et méchant et, détail significatif, un clignement
de l'œil droit II avait conçu quelques craintes et avait quitté le plus tôt qu'il l'avait
||| OtserMtiMS de M. Beiliens.) I;
pu, la salle du débit.
j
Tm
m
1
1
■
I 7r, i
Les pistes
i
0 \fi\\ &°
Coucher V< WL
Vfêr&Cl
7g c^S
19 h.
\ ^^tt^y/
. ie tu
le 1?
Le temps qu'il a iait
: ' Assez belle journée, jeudi, avec un peu \
de soleil.
. .
———
i
Distinctions honorifiques
Sont nommés :
Dans l'ordre dœ Dragon de l'Annam :
officier, M. Lucien Lareher,. avocat à la.
cour d appel de Nancy, conférencier colonial.
Dans l'ordre du. Cambodge : officier, M.
le capitaine Escalle, du ?ye ; chevalier :
MM. Alfred Finot, statuaire, auteur du monument Daniel Fabre à Pnom-Penh.
Le titre d ingénieur
Sous avons reçu la lettre suivante que
I MUS insérons bien volontiers :
Nancy, 1© 9 avril 1914.
Monsieur le Directeur,
Plusieurs de rues camarades d'école me
I tenaient qu'une erreur s'est glissée dans
I mire numéro du 30 mars au sujet de la
I demande suivante :
Est-ce qu'un jeune homme sortant des
I écoles d'arts et métiers a le titre d'ingé1 ïieur'/
|
I Vous avez répondu : Ces élèves peuvent
I prendre ie titre d'ingénieur si cela leur
i Bien que n'importe quel technicien puisI se s'intiuiier ingénieur, il en est autrement
I Pour les jeunes gens qui passent aux écoI les nationales d'arts et métiers.
I En effet, par décret du H août 1909* des
. I Brevets d'ingénieur des écoles nationales
. I ûaris et métiers sont délivrés aux élèves
, I ae troisième année par ie ministre du conii
I lerce et de l'industrie quand ces élèves saI Mont d'une manière complète à toutes les
s
> I épreuves des examens généraux de soi-
!|
!
|
i
j
I ws qui oijtieanent une moyenne générale
i I Îî50a??> éga!e à 13' sans aucune moyenne
I Particulière inférieure à 9, sont considérés
1 I f:™* r«mpnssant les conditions exigées
t g™ l'Obtention uu Litre d'ingénieur A.
i
3
*
'*'
5
I m^li^®
. 1ui
ns
ne
remplissent pas les
ïX° ' ^dessàts, mais qui obtiennent
I S -u me m°yenne générale au moins
MnL ' stiltô uUcun« nioyenne particu-
f
SL 5 .
des ecolns d aris et
j|
'
II
|
I
I
'
I
!
|
I!
|
|
!I
i
I
métiers.
médaille d'argent, d'à-II
ele du ministère, est décernée i
qui ont 0
■
lèïaiï,;,
"tcnu, à la suite d»s |
enera
% I
S
ux de sortie, une moyenne I
a moins
u I^HX.ul,ere
!i.
égale à 15, sans movenc
1 LK
inférieure à 11.
lise
11011 des médailles est mentionW Intéresses
^ d'in86nieur délivrés
lîi u
I L?
u,llle
mocf
1it
a
Xacte meilt la
,1
ml Inrts t. m ;r
.
ent
des
situation des jeunes
écoles
nationales
A l'instruction
Il y a quelques jours un incendie détruisait mie maison de ferme, exploitée par M.
Colin, à Létricourt.
,
L'enquête ouverte par la gendarmerie
établissait que ce sinistre était dû à la
malveillance.
Les soupçons se portèrent sur la jeune
Marguerite Girardin, âgée- de 16 ans, originaire du pays annexé, qui était au service de M. Colin depuis quelques mois.
Cette fille interrogée commença par nier
le fait, mais pressée de questions, elle reconnut qu'elle avait mis le feu à de* la
paille placée dans la grange pour se venger de sa patronne qui ne faisait que de la
disputer.
La jeune Marguerite Girardin a été arrêtée jeudi dans l'après-midi, elle était
conduite au parquet tie Nancy qui la faisait, écrouer a la maison d'arrêt.
X-
>
Cette "longue confrontation ne fut. terminée qu'à sept heures et demie du soir, moment où Lagarde fut reconduit à la maison d'arrêt.
Il est probable que l'assassin du Roulon
ne sera transféré à Epinal qu'après que
M. Flise'aura éclairci entièrement le crime de Maxévilîe, soit en établissant la
culpabilité de Lagarde, soit en établissant
son innocence à ce sujet.
En attendant, de nouveaux témoins vont
être convoqués pour fournir des renseignoments et être confrontés avec le criminel.
— CH. LENOBLE.
l Société
Centrale
d'Horticulture
de Nancy
• Dimanche dernier 5 avril avait lieu, dans
la salle de l'Agriculture, rue Chanzy, la
réunion mensuelle de la Société centrale
d'horticulture de Nancy, sous la présidence de M. Le Monnier, son président, assisté de MM. Barbier et Thirion, vice-présidents ; Emile Lemoine, secrétaire général,
et Bel, trésorier.
En ouvrant la séance, M. le président
adresse à la famille de M, Félix Salmon,
un des plus anciens sociétaires, décédé
dans le cours du mois, les sincères compliments de condoléances de l'assemblée,
puis il procède au dépoudlement de la
correspondance du mois ; à signaler la
tenue à Biarritz, les 30-31 mai et 1er juin,
du 18e Congrès des Amis des roses ; une
réduction de 50 % sur les tarifs des chemins de fer de Nancy à Biarritz est accordée aux membres de" la Société qui désireraient y assister.
Les assistants purent admirer la jolie ,
collection de cinéraires hybrides à grandes !
fleurs de M. Gosset, jardinier chez M. Jac- '.
quemin, à Malzéville.
M. Lallement, jardinier chez M. Gournault, à Malzéville, présentait également ;
deux belles variétés de cinéraires ; enfin,
M. Brégeon, chef des serres du Jardin bo-.
tanique, montrait un spécimen, en fleur,
dune charmante plante alpine : la Painguicuila alpina, sur laquelle il fournit d'intéressantes explications.
M. le président expose ensuite que M.
Dudot, instituteur à Fougt qui prend sa
retraite dans cette commune, a acheté di !
ses deniers un terrain dans le but de créei ■
un jardin scolaire qui lui permettra de s
continuer son enseignement. Il demande \
que ia Société lui témoigne sa bienveillan
ce en lui fournissant les plants d'arbres '
fruitiers nécessaires. Sa demande est ac ■
cueillie par l'assemblée.
En terminant, M. Le Monnier rappellf i
aux assistants que M. Thirion doit faire ,
le 19 avril, à 3 heures de l'après-midi, un< >
conférence à Pont-à-Mousson sur la « créa
tion et l'organisation d'un jardin frai '
ti;er ». M. Laisné, jardinier chef de la villf
de Nancy, fera de son côté, à Nancy, h '
26 avril,"à 10 heures du matin, au Fleu *
riste de la ville, rue Bagard, une causerb "
sur l'emploi des bégonias dans l'ornemen
tation des jardins et leur culture.
r
Châl0nS AÎX
,
Exposition canine de Nancy
^fe kïis
'
'
•
(27-28 juin. 1914)
I
^Wiale
poigne
de
main.
in(
L'Exposition annuelle de la Société caI
'e fetident du Groupe des «mefens nine
de l'Est aura lien en 1914 à Nancy,
|
wves d'écoles d'arts et métiers,
les 27 et 28 juin. Elle sera installée au
I
E. THIOLÊP.E.
Parc de la Pépinière. Le règlement paraîfêt8S Û
i tra courant avril et sera envoyé gracieuW.'to" PâtSisos à Osteaide
sement à toutes les personnes qui en adresI a?f
^elie^cii110stende
s'annonce sensa- seront la demande au secrétariat de la
3
va
P ' I U pôu'p r. ,
commencer défi le 11 Société, à Lay-Saint-Christophe (M.-et-M.)
**! I ^ere fnio , e6vKuj
,er fin septembre. Pour la
Cette Exposition aura une importance
p
, I Hues mf*
saal, qui n'ouvra.-t que considérable. Le grand championnat inla
lstl
u mo
'
I OuvoVÎ ^ ^
ment de Pâques, res- ternational doit en effet s'y disputer en
I l^ion 5"P™s les fêtes. Une adminis- môme temps qu'à Paris, Bruxelles et Rot6
ISbn^e.Pour Osterwie et Spa, une terdam ; d'autre part, en l'honneur de son
n» I Concert i„StKIue de Premier ordre vont, dixième anniversaire, la Société canine
rer unc cre
ri I .^«s, o'J,, ilg''oflre
nouvelle. Dès de l'Est a décidé de donner à son exposi'• '
'^iohsS
familles des aU tion un éclat tout particulier. De nomexce
s I
Ptionnellea
breux prix d'honneur, plus de trois cents,
seront attribués aux lauréats. Citons entre
L
INE
L ^
-P AL ACE reprend
j autres un vase de Sèvres offert par M. le
Président de la République, des prix offerts par M. le ministre de l'agriculture
au nom du gouvernement, par la ville de
;
j Nancy, les parlementaires de la région,
u au 13 AVeîîi. inclus
j les grandes Sociétés cynégétiques et cani40
des
| nés, etc...
'rt'a' K
^abléA ' "
Mwmerçants
lï^res ^ générale des présidents de
Le dimanche 28 juin aura lieu une
minerce a
K^t,
;S°
tenu le 28 mars ! grande réunion des chasseurs de l'Est,
5ou
11
ça', IS ^, prét,if Présidence de M. David-' j organisée par la Société canine de -l'Est,
Ifeoe Httainede- la Chambre de com-.i sous le patronage du Saint-Hubert Club
tl
i I«1Ie » rt ar,,hlbres
'mportante
réunion, 5; ! de France et avec le concours de toutes
de
1 tétées
commerce
étaient■ i les associations cynégétiques de l'Est de
la France.
p '''
lu c0Urs 'rl
ori
^ lCcédéà la ^Ue1 réunion, l'assembléeI ! Enfin, en même temps que l'Exposition,
Tombée dans sa chambre
P> Pour ut** «nation des membres ' qui est ouverte à toutes les races de chiens
Dans
la
soirée de mercredi, Mme veuvi
n uv
K ^il siiDPrL ° «a.ux sièges créésj ; de chasse, de garde, de berger et de luxe,
auront lieu de nombreux concours spé- Turenne, âgée de 79 ans, demeurant bou
'
|C a décidé - r du travaiL
ItfT^re ji^^^imité,
d* présenter■ | ciaux : chasse sous terre, chiens de poli- j levard d'Alsace-Lorraine, 6, qui était mon
lt!ie
le
sur une chaise dans sa chambre, per
* KentC0Rlm«r?«t' F,01^André
«roupe 21 (ban-. | ce et de défense, chiens sanitaires, etc.. ij[ tée
dit l'équilibre et tomba sur le plancher
•
L'Exposition
canine
de
Nancy
sera
cerj
K
de
la
?'
T
,
do
Paloméra,
:
:
Sr«au L fédération des groupesj i tainement la plus importante de toutes j Dans sa chute, elle se fractura la jambi
SSl^tBt xâfm- -1 ndaustrieis
de France ài les Expositions de province avant lieu en |I droite. Elle a dû être conduite à l'hôpital
Fédérat
\%
^ detïîv
'°n des corn mL
• !
_xLe CINE-PALACE reprend
Jambe fracturée
aux Dames
Jeudi matin, le jeune François Gau!
thier,
âgé de 4 ans, demeurant chez ses
du 10 au 13 A WRBL indus
,r,
- 1
> «t^se an, ,iS
mrme les dames I parents, chemin des Sables, étant monté
, ,^
t^ d,f^e de ses créations danss I sur une bicyclette, tomba sur la chaussée.
r
iufl C^i".
^-de-chaussée, afin d'évi-• j Son frère aîné se porta à son secours. En
Abattoirs de Nancy
■
S mc ■ I le soulevant pour le relever, l'enfant qui. i' Animaux abattus les 8 et 9 avril 1914 :
t | avait la jambe gauche prise dans le cadre IL Bœufs. 86 ; vaches, lî ; taureaux, 9
5 du
"i'»
1**** ox^Msiv
Fumier élogeÎ rie la machine, eut la. cuisse gauche frac- jJ veaux, 2-15 ; moutons. 317 ; chèvres, 2
t
t
j turée. I! a dû être conduit à l'hôpital.
jj pores, 212 ; chevaux, M ; poulains, 4.
I
J'- |
•■ riMBN0DS00ETAIRBS
;, J
< 1
7
t
Mis
j
t
LesTROSSMOQSQQETAIEES
CYÇUSMf
\
SpectaclcsA"*
Concerts
'
On a pu voir passer, jeudi matin, des
cars bondés d'enfants. En effet, la colonie scolaire de Gentilly est à leur disposition pendant les vacances de Pâques,
l'out y est encore amélioré, notamment
la nourriture, et le public nancéien se |
rend maintenant parfaitement compte de j
la belle œuvre réalisée grâce au dévoué ;
M. Antoine.
—x
La Presse de l'Est
Le comité de l'A. P. E. a tenu sa réu- j
nion trimestrielle à Nancy, le lundi 6 avril, i
Après l'examen de diverses questions d'ordre professionnel, il a prononcé l'admis- j
sion en qualité de membre actif de MM.
Gordelier, do l'Union républicaine des Vosges, à Epinal ; Diot, directeur du « SerreFile », à Nancy.
On a pris en considération les candide- I
tores post>es par MM. Brunetcau, direc- \
teur-gérant du M Démocrate Soissonnais »;j
Ilosotte, directeur de la « Franche-Com- !
té », à Besançon ; Lucien Renaudin, di- ;
recteur de l'« Union Verduoise » ; ïau- i
rent, directeur de « la Moselle », à TouK
Enfin, le comité a fixé au dimanche 26 !
juillet, la date de l'assemblée générale annuelle qui se tiendra à Dijon et pourra !
ptre suivie, facultativement d'une visite à
l'Exposition de Lyon.
Théâtres
THEATRE MUNICIPAL DE NANCY. |
Samedi 11 avrU, à huit heures et demie,
ftroupe
de M. Cransac, avec le concours de
\
M.
~ G. Paulin, premier rôle de comédie du j
grand théâtre de Reims. — Les RomanesS
ques, d'Edmond Rostand ; L'Eté de la
Saint-Martin. — Dimanche 12 avril, représentation
&
populaire à prix réduits : Marc
ceau
ou les Enfants de la République, drame
n
à grand spectacle en cinq actes et huit
t:
tableaux.
—
—
i
!
Disqualifications.
La guillotine sèche des disqualifications frappe aujourd
d'hui
les coureurs Parmentier, Geischmer,
5
Hoffmann,
Barthe, Esbach, René Lacroix,
Pardieu,
Chestérikoff, Louis Kippert, GilP
bert, T. Hue, Caro, Jacquiau, Cassard,
b
Courrier, coupables d'avoir pris part au
G
b
brevet
de 50 kilomètres organisé par les
règlements de la Société des Courses.
ri
« Ils se trouvent disqualifiés de l'UVF,
déclare
d
le communiqué officiel, et ils sont
déclarés
d
incapables d'obtenir par la suite
u
une licence de cette fédération. »
En y mettant le prix, cela finirait tout
de même par s'arranger.
"
\ Une regrettable lacune s'est produite
dans l'application de cette justice distributive — qui distribue les amendes plus
facilement que les récompenses. Les disqualifications ont épargné les 14 partants
ddu brevet militaire de 25 kilomètres, sous
hles mêmes règlements. Une faute, vénielle
Ppour 25 kilomètres, devient, mortelle pour
S
501 kilomètres. Que sera-ce pour les 100 ki1(
lomètres ! Les indulgences et les peines
S*
se mesureraient-elles avec une chaîne
d'arpentage ?
Que les innocentes victimes de l'UVF
S'
sèchent leurs larmes et cessent de promener par le monde un visage morose, car
la Société des courses, qui leur vaut tant
de fatnle disgrâce, saura verser sur leur
n
mélancolie le baume de la consolation.
Avant la grande course de Paris-Nancy,
n
rnous leur réservons une grande course
régionale dont le programme est en cours
<jde
préparation.
Nous nous proposons en outré de clôtur
rer
la saison si bien commencée par une
c
course
de « consolation » sous forme
dd'handicap, où seront seuls admis les disq
qualifiés
de l'UVF.
Gageons au'il y aura ce jour-là plus de
p
partants
qffe pour les épreuves régies par
\les statuts du boulevard Poissonnière. —
1
P.
Q. R.
—
i
Spectacles
t
, CINÉ-PALACE
I
fournis au cours de l'enquête. Puis, après
avoir signé leurs déclarations, Lagarde fut
mis en leur présence.
Ils affirmèrent qu'il était' bien l'individu qu'ils avaient vu buvant avec M. Deleau lu jour où eèlui-ci fut assommé. Un
témsdn, jependant, ne put être aussi affirmatif, car il n'avait vu l'homme que de
dos, assis sur une chaise,
Les dénégations de l'assassin
Lagarde fut alors interrogé. Malgré la
précision des témoignages, il affirma qu'il
n'était pas à Maxévilîe le 23 mars. Appelé
à fournir l'emploi de son temps, il répondit
de suite qu'il était entré dans un débit du
faubourg des Trois-Maisons le matin, à la
première heure et qu'il y était resté toute
la matinée ; il était allé manger,
puis était monté dans sa chambre située
dans la maison où se trouve le débit.
Comme il pleuvait, il y était resté jusqu'à
quatre heures. Il était revenu ensuite dans
l'établissement où il avait joué aux cartes
jusqu'à vers onze heures du soir.
Il était enfin monté se coucher. Un ami i
l'accompagna dans sa chambre et partagea
son lit.
Interpellé par le juge d'instruction, Lagarde maintint énergiquement qu'il n'était i
pas allé à Maxévilîe et que les témoins n« ;
disaient pas la vérité quand ils affirmaient :
le reconnaître.
i
!
Une preuve matérielle
Cependant nous croyons savoir qu'un j
des témoins possède un» preuve matérielle :
de la visite de Lagarde à Maxévilîe. Ce témoin, en buvant au débit du « Tonneau », :
parlait de métier avec le débitant et celui ;i
qui buvait avec lui. Il parlait notamment
de creuser un puits dans un jardin qu'il
possède. L'homme déclara alors qu'il était |
ouvrier maçon.
i
Le témoin dit : « Vous faites bien mon I
affaire, car moi, je creuserai bien mon j
puits, mais je ne saurai pas le. maçonner.
Si vous voulez je vous embaucherai, donnez-moi votre adresse » et aussitôt il tendit son carnet au soi-disant maçon qui
inscrivit comme adresse : « Emile Martin, !
4, faubourg .des Trois-Maisons ». Il fut re- I
connu que cette adresse était fausse, mais, I
comme on le voit, le prénom d'Emile apparaît encore et ' de plus Martin serait le
nom d'un ancien camarade de Lagarde.
Comme le carnet de ce témoin a été saisi, il sera facile de -confronter l'écriture
de la fausse adresse avec celle de Lagarde
et si elles sont semblables, la preuve matérielle sera bien établie.
*
Jeudi matin, Lagarde était conduit au
parquet. Interrogé sur le meurtre de M.
Mougel, il nia énergiquement en être l'auteur-, se faisant fort, dit-il, d'établir un alibi. Ses dénégations furent enregistrées,
puis il fut reconduit à la prison.
I
Dans l'après-midi de jeudi, M. Flise,
juge d'instruction, chargé de l'information
du meurtre commis sur M. Deleau, faisait !
convoquer à son cabinet, plusieurs
témoine. Il y faisait amener également Emile
Lagarde afin de procéder à une confron- i
tation.
Une jeune incendiaire
arrêtée
■
\
g
20, rue des Dominicains — 17, rue St-Dizier
■ —*—
,
A l'occasion des FETES DE PAQUES, reprise de l'immense succès de la saison.
DU 10 au 13 AVRIL INCLUS
#- Les Trois
Motasqtueteires
i
iî
* D'ALEXANDRE DUMAS
En raison de la longueur du spectacle,
heures sont ainsi fixées pour le DimanSamedi, débuts du ballet aérien les
che et le Lundi de Pâques :
Dimanche, Grand bal après le \
lro représentation à F h.
fc
2°
—
à 4 h. 45'
spectacle.
. ,
3»
—
à 8 h. 30'
La location est ouverte à la caisse de la
Outrages à agents
jI jrue des Dominicains^ tous les jours, de
Jeudi, à une heure de l'après-midi, René 111 h. à midi, et de 2 h. à minuit.
Gaspard, âgé de 18 ans, manœuvre, dex
meurant cité Richard, a été arrêté pour
jI GRANDE TAVEHNE.
le programme
outrages et rébellion à agents.
£actuel obtient un succès mérité, tous
les
numéros sont hors ligne. Samedi dé#*
VOIR LA HUPMQBILE
butera le ballet aérienl une des plus jolies '. Cycliste Lorrain. —- Le Cycliste Loren 6° page
r
attraction. Nous aurons donc, pour les rain organise pour le lundi de Pâques 13
fêtes de Pâques, un programme merveil- avril,
î
Un mendiant
une excursion à Metz, chemin de
fer jusqu'à Pont-à-Mousson. Les sociétaiLéon Blanchard, âgé de 47 ans, jour- leux jamais vu à Nancy.
r
nalier, sans domicile fixe, a été arrêté ] Pendant les représentations du ballet, res désirant prendre part à cette sortie
I Jdevront se .faire inscrire avant le 12 coupour mendicité aux passants, cours Léo- les prix seront augmentés de 0 fr. 25.
; rant, au siège social, où ils trouveront
pold.
i
les renseignements nécessaires:
CASINO.
Ce soir, dix débuts : Pélïs- I tous
sier, la grande vedette parisienne, le roi t Dimanche 12 avril, promenade faeultiLES WOLEUES
des comiques ; Maud et Gill, barristes- au iI ftive, indications au siège social, 46, rue
de l'Alhambra de Paris ; Cous- I! des Dominicains.
Jeudi après midi, Edmond Brey, âgé de tremplin
j
.
**
*
aiid Albertus, acrobates comiques eu Ij
21 arts, demeurant rue des Ponts ; Au- tan/
>
Nouveau-Cirque
;
Reinai-Rëinem,
duettisi
Jeune
Cycliste
Nancélenne.
— La preguste Morlot, âgé de 36 ans, demeurant I j
rue Saint-Thiébaut, et Jean-Emile Mar- :I ]tes comiques ; Mlle Pierval diction ; El-c j! 'mière course de classement (25 klm) dê la
Villa, de l'Eldorado ; miss Aza ; M !j J.C.N. aura lieu le dimanche de Pâques,
tin, âgé de 31 ans, demeurant rue Gilbert, j len
]
| «sur la route Colonies-Champenoux.
ont été arrêtés sous l'inculpation de vol Du-Ruil.
Brevets militaires. — Le brevet miliet complicité de voi d'un porte-monnaie, i Première représentation de 1' « Orient.» (par autorisation spéciale de i: !taire (U.V.F.) se disputera le 17 avril, sui
renfermant une somme de 44) fr. et des bi- Express
]
l'auteur),
drame
en
un
acte
et
deux
taj
,
j la route de Nancy-Baccarat
et retour.
joux, commis au préjudice de Mme Ja- ]
'
d'engagement : 1 fr. pour les uniocob, fleuriste, place du Marché et demeu- bleaux, de Georges Villard, et première ;I 1Droit
représentation
de « Chambre à deux lits », nistes et licenciés, et 2 fr. pour les autres
rant à Malzéville.
,
(cyclistes.
•
w
cor édie-vaudeville en un acte.
Pour les deux pièces, mise en scène de
Les engagements sont reçus chez M.
M. Mathieu, commissaire de police du
|! 1Bérard, rue du Haut-Bourgeois, et cbô2
Ier arrondisseanent, a ouvert une enquête Montigny.
! M. Bâtis, boulevard Lobau, 10 bis.
au sujet du vol d'une bicyclette commis
EDEN-THEATRE, Cinéma Patîié, rue i
*
rue Saint-Georges, au préjudice de M.
**
Charles G..., serrurier, demeurant à Saint- Bénit. — Allez tous voir le drame poignant
et original, dont l'action se passe tout en- < Le brevet militaire de 1' « Est républiMax.
», sous les règlements de fa Société
tière à bord d'un puissant transatlan- cain
<
4
**
tique :
jd**s/Courses, se disputera le dimanche 10
moi, sur la route Nancy-Vincev et retour,
Une enquête est ouverte par M. Ma-Dr
LA DANSE HEROÏQUE
; at d'inscription : 0 fr. 50. 'Les prix se
thieu, commissaire de police du l6r arroncomposent ainsi': 15 fr., 10 fr. et cinq pris
dissement, au sujet d'un vol de linge d'une scène
■
de la vie maritime en quatre par- J[ <de o fr. Licenées gratuites. Les engagevaleur d'environ 20 fr. commis par Mar- lies
|
: 1. La vie â bord d'un paquebot ; 2. j iments sont reçus dans les bureaux du
cel D..., âgé de 18 ans, plongeur, au pré- Le feu aux sautes ; 3. Une idylle en mer ; \! jjournal.
judice de M. Henri D..., 28 ans, garçon de 4. La danse dans les flammes.
café, demeurant rue de la Primatiale.
Vendredi 10, soirée ; samedi 11, soirée ; j
"... 8CX£
**
dimanche 12, matinée et soirée ; lundi 13,
Echos du Clt-arsipionnat de lorraine —
Jeudi matin, les inspecteurs de la sû- matinée et soirée.
• j I
! U:i défi. — Nous insérions, hier sur la
reté ont arrêté les nommés Jeanne Ber| demande du boxeur Pister 'une note "e<%nardi, âgée de 21 ans, et Jean Boullier,
ELDORADO. Brasserie-Cinéma Géant, '■
âgé de 19 ans, demeurant tous deux rue 65,
I
rue Jeanne-d'Arc.— Entrée entièrement ! ]
Clodion, .pour vol d'une certaine somme gratuite, deux représentations par jour. <
i d'argent commis au préjudice d'un légion- La première, de quatre heures à huit heunaire de passage à Nancy.
res et demie, et la deuxième, de 9 heures j fsans réponse, car;nou# avo^eçn
à onze heures.
1
t
tia,
une lettre ainsi conçue :
Programme sensationnel avec le « Pe« Monsieur le Rédacteur,
tit
Marchand
de
Statuettes
»,
grand
.draGROUPESet SOCIETES me en deux parties, et « Eklorado-Actua- < Je vous prierai de vouloir bien ammnlités ».
'
<
estimable
journal que Trikri, jeune nma« La Fraternelle ».— La Fraternelle, soBock, 0 fr .15 ; 'demi, 0 fr. 25.
i
teui de boxe anglaise, lance' un défiV au
ciété de préparation militaire pour la ca1 champion de Lorraine lièster, catégorie
valerie, avait organisé, comme les années
1 poids coqs. Combat à disputer où ipvottprécédentes, le dimanche 5 avril, salle CheI dra, comme il voudra et "d'après ses connel, rue des Quatre-Eglises, à neuf heures
ditions.
du matin, un concours de sonneries régleM Fister est prié de s'adresser chez M.
mentaires entre ses membres actifs, sous
! Emile Braun, 20, rue Villebois-Marpuiï'
la direction de MM. Fromont, Barth, Rià
Nancy.
gal, Ristrophe, Calais, tous chefs de fanVeuillez agréer, Monsieur le Rédacteur,
fares de Nancy ; la distribution des prix
|etc...
I dont voici ie résultat, a eu lieu à 2 heures
Emile BRAUN.
' de.l'après-midi, avec le gracieux concours
Comme un défi constitue toujours un
des fanfares de trompettes de ChampiCOURSE CYCLISTE SUR ROUTE I encouragement à la pratique du sport
gneulles et de Saint-Max.
j nous avons inséré volontiers cette lettre'
Palmarès.— Fanfare da ChampigneulDimanelte 12 avril
j certains d'avance .que le champion acttier
les, diplôme et médaille d'exécution ; fanrecevons les meilleures nouvelles, relèvera le défi.
fare de Saint-Max, diplôme et médaille k deNous,
l'organisation de cette épreuve.
n quand le match ? La parole est à Fi*
d'exécution ; M. Ménagé Edouard, direc'
...
Les engagements devront être centrali-. tetr.
teur de la Fraternelle, prix de direction,
sés
samedi
soir
chez
$H.
Remy,
agent
de
,
•
'
René
ALTMAYER.
médaille d'or, diplôme, félicitations du jury cycles, rue de Metz, à Longwy-Bas.
pour la préparation militaire ; M. Fran•amm&â
aflfr. ft "y
,
^
Rappelons que ia liste des prix comçois, chef adjoint, médaille et diplôme of- prend
:
1°
Quinze
francs
;
2°
dix
francs
;
I ferts par le général Foch, commandant le du 3" au 7U prix, 5 francs ; un maillot j
20° corps, et médaille d'argent ; M. Four» au pins jeune des arrivants.
nier, trésorier, médaille de vermeil et di- « Alcyon
« Est Républicain ajoute à cette listé: i
! plôme ; M. Ristrophe, médaille et diplô- Ij 1° L'une
A i'oceasien des fêles de Pâques
breloque argent pour le plus vieux !
me ; M. Picard, deux médailles, diplôme | des arrivants
;
2°
une
autre
breloque
ar!
dont un rappel de l'année précédente ; M. |I gent pour le premier sur pneus démonta- !
! Witte, M. Rem, M. Marande, M. Mussot, ;î bles, quel que soit son rang dans le clas- :
Nouvelles inédites
M .Blanchet, M. Loups Léon, M. Loups Ar- j sèment.
I
Entrée
0
fr.
25. Donnant droit à une -aithur, chacun une médaille et un diplôme ; j Un prix spécial sera très probablement
l \ traction au choix : Chemin de fer aérien i
MM. Wendling et Clément, diplôme ; M. | offert par les organisateurs de Jceuf.
Birte, médaille et diplôme ; MM. Vincent■ ;i Les coureurs pourront prendre posses- ;| Ronde infernale ; Palais de glaces ; GuiFrançois, Michel, diplômes ; M. Alfred Re- sion de leurs efiets à l'endroit même de. ■j gnol Nancéien ; Loterie ;.ba casbah auï
> I 100 portes ; Cinématographe ; Hoop-La'
my, chef honoraire, un rappel de diplô- l'arrivée
de la course Café Bastien, 32, ruej ij Bal orchestre à cordes ; Magasins fo
me ; M. Jacob, médaille et diplôme ; M.
de Franchepré, devant le Cercle du Ccjm- ;j rains, etc., etc.
Mathieu, diplôme ; M. Antoine Cognard, merce.
membre du comité, diplôme de services1
Des baquets d'eau seront mis à la disrendus à la société.
Le comité a l'honneur de faire connaî- position des coureurs.
MM. Dubois-Blaser, quincaillier ; Beaùtre que le tirage de la tombola gratuite aura lieu le dimanche 12 avril, à 2 heures 30' grand, marchand de cycles ; Cordier, né-:
JEUX SPORTIFS
de l'après-midi, brasserie Lambert, 107, rue!' gociant, et Albert Praloran, ont bien vou-;
lu donner leur concours et rempliront les j Tous les jours, de 7 h. à 9 h. Skating.
Saint-Nicolas.
3
Amicale laïque des Gordeliers.— La dis- fonctions de chronométreurs, juges à Far-. Ii Ring en plein air.
| Tennis ; Piste cavalière ; Jeux divers
tribution des prix de tir et de gymnastique rivée et arbitre.
A Briey, c'est M. Mettetal, le sympathi-. ; Brasserie ; Consommations de choix.
aux lauréats de l'exercice 1913 aura lieu*
sous la présidence de M. Simon, adjoint au que et toujours dévoué représentant de lat j; Prochainement ouverture d'une
maire de la ville de Nancy, le samedi 11. marque nationale « Alcyon », qui se char- i
MAGNIFIQUE SALLE DE FÊTES
courant, à huit heures et demie du soir, géra du contrôle volant, rue de Metz, ài I dan.- laquelle sera installé un patin a
'
proximité
de
son
magasin.
à l'école Braconnot (rue Braconnot).
j couvert.
~
L'itinéraire comprend la côte de Lan- t
Tombola de i'Qrpraeiïnat national des* téfontaine,
A Pâques, grande fête sportive, — UU
rue de Metz, rue de la Gare,
i chemins de fer. — Les lots de la tombola,, le Nouveau-Cloué.
'
mination générale du parc
: qui a été tirée le 1er mars, qui ne seront
"
' -o ^ -e>1
1—«
j pas réclamés pour le 15 avril seront acquis au groupe.
Recommandation importante.
Ils sont toujours déposés salle Chenel,t
Des encombrements existent près de
I rue des Quatre-Eglises.
la gare à Homécourt, car c'est la fête et
DU 20» CORPS
France Prévoyante. — Les sociétaires des baraques de forains sont installées en\ '
sont informés que la recette mensuelleï bordure.
Il faudra donc de Briey, monter la côte
aura lieu le dimanche 12 courant, de dix|
e I Désertion— Le 19 février 1912, le soldat
i heures à onze heures du matin, salle des du Cloué, prendre la route d'Homécourt,. :: Louis-Auguste Garuier,du 6° régiment d'aïdescendre
à
Homécourt
la
rue
Thiers
(desi pas perdus, à l'hôtel de ville.
cente rapide et dangereuse), passer le- tillerie à pied, quittait le fort de Frouaro
pont sur l'Orne, la rue Carnot, tourner à> et déposait ses effets militaires dans le ciLe CINE-PALACE reprend
gauche ; arrivée à Jœuf, rues de l'Hôtel-de-i !: metiere de Pompey. Il se rendit au
, ! Ville, du Commerce, virer à la douane rue6- i| Luxembourg où il travailla dans une mine
j I de Franchepré et l'arrivée en montant, ! de fer. Un jour il rentra en France et vint
pente douce, à environ deux cents mètres3 [\ à Longlavilie où il fut arrêté par la gen
i darmerie. Six mois de prison après plai
du 1® au 1B A^Afl. inclus
j de la douane devant le café Bastien.
8
——
»O »
La rue de l'Hôtel-de-Ville n'est pas en1 ; doirie de M Roland.
j, — Charies-Marius Lillier, du 15#, rece
très bon état.
vait, le 13 octobre 1913, un télégramnw
1
***
I l'informant que sa mère était gravement
Les engagements seront reçus jusqu'à malade. Une permission lui fut accordé*
samedi soir : 1° à Longwy-Bas, chez M. pour se rendre à Paris, et son capitaim
Remy, agent de cycles, rue de Metz ; 2°; j! lui avançait même les frais du voyage
à Jœuf, chez M. Lhôte, dépositaire de jour- 11 Quelques jours après, Lillier écrivait à sot
naux, 45, rue de Franchepré, moyennantI capitaine, lui demandant une prolong »
I tion de permission.
Les t renseignement;
un droit d'inscription de 0 fr. 50.
Longwy-Jœuf est ouvert à tout le monde.1 i1 fournis par la police démontrèrent que U
Les règlements de la Société des Courses ii mère de Lillier n'était nullement décédé*
n'infligent aucune pénalisation et laissent? i' et que la dépêche fausse émanait de lî
les jeunes gens absolument libres de dis- maîtresse de Lillier.— Six mois de prison
puter toutes les épreuves, aussi bien celles3 ' y0lg, Voissard Célestln, du 4' bataillor
! qu'elle organise que' celles régies par d'au- j: de chasseurs, à Saint-Nicolas, est accus»
rl'avuir volé un morceau de savon et ur
j très fédérations.
; porte-monnaie contenant 4 fr. 50 au pré
i
PIERRE QUI ROULE.
judice d'un camarade.
Un an de prison.
I
1
;
!■ I Us notations allant de 0 à 20, les élè-
Pendant plusieurs jours, plusieurs pistes
furent suivies. Des carriers furent, présentés aux témoins qui affirmèrent ne par les
reconnaître.
On chercha dans les fiches anthropométriques, on envoya au service central de la
les bouteilles et les verres trouvés
<,Sûreté,lasaile
dans
pour y relever les traces digitales.
Les recherches continuaient incessantes
et
: vaines. Tous les individus suspects tra1vaillant irrégulièrement dans les carrières
furent l'objet de minutieuses enquêtes.
C'est alors que l'on apprit qu'un homme
de grande taille, à la figure maigre, atteint
;d'un clignement de l'œil droit, avait été vu
dans la région. Il avaiit habité dans de
nombreuses chambres garnies à Nancy, se
:
faisant partout inscrire sur les registres
1
de logeur sous des noms différents, mais
partout avec le prénom d'EmileOn rechercha dans le « Bulletin criminel » où sont inscrits tous les individus
contre lesquels des mandats de justice sont
décernés. On s'aperçut alors que le signalement de Joseph-Emile: Lagarde, le meurtrier de Mougel, au Roulon, le garçon livreur du Planteur de Caïffa, devait être le
même que celui que l'on cherchait pour le
crime de Maxévilîe.
Une coïncidence fut également relevée
contre le prénom d'Emile, les faux-noms
donnés par l'individu étaient les noms de
parents ou d'amis de Lagarde.
Le meurtrier du Roulon et celui de Maxévilîe devait donc être la même personne.
C'est alors qu'une vaste souricière fut
établie et que, mercredi, la police de Nancy avertie par téléphone procédait à.l'arrestation de l'assassin.
Reconnu par les témoins
L'assassin arrivait au palais de justice,
à trois heures de l'après-midiComme il descendait du « panier à salade », deux ouvriers mineurs de Maxévilîe
appelés en témoignage, se trouvaient près
de l'entrée. En les apercevant Lagarde eut
uh mouvement de gène. 11 baissa la tète et
tira sa casquette sur sa ligure pour cacher
ses traits- Malgré cela, les deux mineurs
reconnurent bien pour l'individu qu'ils
avaient vu « Au'Tonneau », le 23 mars*
M. Flise entendit tout d'abord les témoins convoqués, c'est-à-dire les deux ouvriers mineurs, l'homme et la femme habitant rue Lasalle, un ouvrier peintre de
A Gentilly
GRANDE TAVERNE
j
I\
—
—
I
j
* #
J
!
cïmï-
Longwy-Jœoî * [
j
fiiâwy-1 HBEnÂL
: Ouverture d'attractions
:
NANCY-THERMAL
e] Conseil de Guerre
Les TWHS M0USQ0ETAIRES
J
L
j
—
—
| lonel Lecomte une belle majorité répubji- .
Chronique Départementale!;
- Cavalier au 5* hussards, Georges La- I J>
fontaine a soustrait un manteau, une euS
iotte, une brosse, dette pantalons de treill
Ils, etc..., au magasin de soi. escadron. Lalontainc y travaillait en effet en qualité
l'ouvrier d'aillcur. — Un
"son.
^
CJ
Réunions Lecomte. — On nous écrit :
Sur
môme jatrte
Poursuivant sa campagne avec la plus
grande activité dans le canton de Haroué
' dont il a à l'heure présente visité toutes
:
de sun programme si clair et si précis.
•, 'les communes, M. Lecomte accompagné et
Cs
Noie la présence Uu M.V1J Lesiudinet, | présenté
'
par M. Tourtel, conseiller généconseiller municipal ; Auguste Colin, bu- Ij rai
',f
' M Voinot, conseiller d arrondissej.
[.COI
raiiste ; Ciemeui, înstitu^ur, etç...
'
Ij ment
et M- Vuifiemin, avocat a visitéimerAVIS MORTUAIRE
j
yi L aimable accueil lait au candidat ré- j »
ELECTIONS LEGISLATIVES
)
! credi onze communes de la 2° circons
puriicam est de meilleure augure pour ji cription.
_
, «
du 26 avril 1914
P«
Vous êtes prié d'assister aux convoi fuA Laneuveville-devant-Bayon, à Saintie scrutin du 26 avril.
j
nèbre et enterrement de
Tnezey-Sa.nt-Martm. — Mercredi après 1 Remimont, à Ormes-et-Viile, à Lemain*•>.■x
midi, AÏ. René Leblanc donna une conté- ,! *vil e à Happlemont-Gerbecourt, à Attra/» CIRCO SCRIPTION DE «ANC 1
mi
rence-progratame
dans la commune de ', »court, à Haroué, à Crantenois et à Manre
Thëaey-'Samt-Màrtin,
où dans la salle de jI ^
gonville, le colonel Lecomte a tait appréCANDIDATURE LEBLANC
Tt
Née Adetine JOURNAL
1| «!
la mairie se trouvaient 40 électeurs.
cier la sincérité de ses déclarations, la
décédée à Nancy, le 8 avril -1914, dans sa
Les réunions de M. Leblanc
Le maire si dévoué, M. Moré, prési- ji droiture de son caractère et de son pro61" année, munie des sacrements de ILayant comme assesseurs MM. Ni- I, srramme
"
Grande manifestation
républicaine à dait,
de républicain convaincu ; et très
da
l
!
j^'t; • >? '
ilt-^v"'VVV.^>'* *biy i,,.';
'v.>*
*
clausse et Guary, retraité.
»
nombreux
partout ont été les électeurs qui
" Qui auront lieu le samedi 11 courant, j P(
Pompey. — On nous écit :
cls
r
Noté
■
MM.
Auteno,
conseiller
munici!
"
« Jeudi sfeir, à 8 heures, dans la coquetmalgré les pressants travaux des enamps,
à 3 heures du soir.
De l'église Suint-Vincent-Saint-Fiacre, i te
et immense salle du Casino de Pompey, pal
, ; Gigleux ; François ; Morlet, institu- ! ont répondu â son appel.
te
p
' Partout le programme tlu candidat tut
teui,
etc..
■
ï .
René
Leblanc,
avocat,
fit
un
expose
de
on se rendra au cimetière du Sud où aura , M.
te
M
Apres la présentation du candidat par écouté avec l'attention la plus soutenue,
son programme franchement républicain
lieu l'inhumation.
j so
M
pernet,
le
sympathique
avocat,
René
j
*
I et des marques de profonde sympathie ont
et s'inspirant de véritable démocratie.
M
¥ i
^* /
të
Maison mortuaire :
et
70, rue de Metz.
Le bureau fut ainsi
constitué : MM. I^blane développa av'ec précision son pro- «éclaté dans toutes les communes.
«rriwme
républicain,
lequel
flt
impression
Il est difficile, pour ne pas dire impos- i
président : Champion et Gillet, gl
Il ne sera pas envoyé de Mtres de «lire Zerlauth,
'Zi
et. lui valut les approbations des électeurs able dans une journée aussi remplie, ou
assesseurs.
et
part, le présent avis en tiendra lieu,
as
do
cette
belle
commune
frontière,
foncièÇ
furent faites onze conférences, de relater
M. Zerlauth, le dévoué président de la de
républicaine et patriote.
DR la part de :
I section de Pompey de l'Association géné- rement
e
chacune en particulier.
]
Monsieur le capitaine BONHOMME, du ' raie des employés, présente ie candidat et r Diverses questions fuient posées
au c Si cependant partout le colonel Lecomte
153° régiment d'Infanterie à Ton!, et de adresse ses' remerciements aux électeurs eai
:
didat,
qui
clairement
y
répondit
à
la
et son programme ont reçu tin accueil j
ca
|
En vente dans tous les Bons Garages
||
Madame Renée BONHOMME, née M EL- ^
satisfaction de tous.
| ®chaleureux, il faut mentionner spéciale- |
venus si nombreux, tout en leur faisant :[ sa
et au besoin demander adresses au Pneu Continental
;>|
c
NOTTE,
Monsieur Jenn BONHOMME, remarquer que ce dernier n'éta* pas un
Puis le suivant ordre du jour fut adop- ! ment
ies communes de Vaudeville, et de j
Monsieur et Madame llippilytc
JOUR- f«
té
' "lïoville où l'on s'entassait dans les salles ,
inconnu pour eux.
te à l'unanimité :
NAL, Monsieur Albert JOURNAL, Mon- m Avant donné .a parole à M. René LeAprès' avoir entendu le programme du d^
t mairie trop petites ; à Vaudeville oà\ ||.
NANCY, 2, rue Claude Chatit,
i
sieur Auguste MELNOTTE et ses enfants, blanc, celui-ci remercia l'assistance et lui | candidat
républicain René Leblanc, les oélecteurs étaient en effet présents, et à |
ci
Monsieur et .Madame Ah-x-mdre M EL- expliqua
»'»
de
Thézey-Saint-Martin sont Roville
e
plus de 75 citoyens ont «acclame \
comment il fut désigné pour se 1I électeurs
él
NOTTE et leurs enfants,
Mademoisco es
de s'engager à soutenir sa candi- tle candidat républicain Lecomte et son
présenter aux élections législatives dans heureux
lu
Adèle MELNOTTE,
ie? f ami'les
MEL- la
PJ première circonscription de Nancy.
dalure, ils promettent de voter et de faire »
■
d<
,
• „ .
.
NOTTE. JOURNAL, 'YOINQHEL,
LA M- ',la 11 uéve.oppa son programme,
voter pour lui, purte-drapeau des idées Pprogramme.
Lpimpression générale est excellente et |
comme v<
ro
dans la l
circonscription l un» majorité républicaine bien nette sem-.l PERT, DETAMBEt, CHANTIER. LAIR, toujours, de la façon la plus claire et la îép'ublicanies
ri
MENN, HUSSON, BOI1N, DAR'l fïELB- 10
}j
mariner Csiileux, <du ix',**-- ,
.
plus précise et fit remarquer dans quelles de
d< l'arrondissement de Nancy.
s'affirmer.
!
Partout la politique de M. Chapuis, dont au
a
£
Matiiy. — ioujours sur la brèche et mal- bie
M Y, BAUMGARTEN et de ses amis..
P'
'
conditions
de logique et de probité politi-M.
cc
3° CIRCONSCRIPTION
NANCY
IV Fringant se fait le continuateur, grou- ceeau ».
Leur mère, aïeule,
sœur, belle-soeur, ,
gré le temps relativement court, M. René
ques il l'adopta.
Le voleur a fracturé la port- d'in ■
pe le svrais républicains, ceux qui veulent
! 8continue a visiter toutes les comCANDIDATURE SCHERTZER
P
tante et cousine.
Après avoir parlé de l'actuelle nécessité Leblanc,
L
u\;y\i
le libre jfeu de la démocratie dans la Ré- j rrie à terre où L- ■•<,•
I
m
unes
de
la
première
circonscription.
A
Saint-Nicoi*atS. — On nous écrit :
*
de la loi de 3 ans, puis de cette impérieu- , n.
publique
laïque.
I
Mailiy,
uans
ia
salie
de
ia
mairie
où
60
Mardi
soir
la
population
de
Saint-Niv
PQWES FC*£3RES GEBÊRALES, 15/ rua Cam&stta. ,; se
£ nécessité qu'est maintenant l'aboutis- J A.
Vol. —- M. Meyer AugusU- v;-^.
'
étaient rémis, il exposa son colas a fait un inoubliable accueil à M.
! sèment de l'impôt sur le revenu, juste, ■I électeurs
é.
porté
plainte contre un indh-C
f?*oSl
gMsocitTt
UGTRPAINEM^
1,
I
piugiainnie
aiei-creui
soir,
à
6
heures.
\
Schertzer, candidat réounlicain de la 3" jW ASSURANCES-VU-:. CONTROLE DE L'ÉTAT Wt
i: équitable,
proportionnant la contribution p
fl
désigné
et qu'il accuse rte bn'H
AVIS Miïft"f OAiPE
^f
Au oureau : MM. Lamy, maire, prési- circonscription.
Oemand- Ag«nt3 Généraux
*
|
l
——x
Ij de
di chaque citoyen à la dette publique, et,
une
lessiveuse estirr.ée 10 francs."
dent
;
Charles
François
et
Granuiuiejr,
asSiluattor,
e3'av«nlr.
Succès
cartai^
Quand ie sympathique candidat tait son j
alors plus spécialement à son d
M. Victor SALOMON, ancien négociant s'adressant
s'
"fentrée salle du Magasin, les applaudisse- I^SSÎS NANCY. 21, Rue St-Dizter
ARRONDISSEMENT QE LUNÉVILlF
I a
auditoire composé en majeure partie d'où- beaseurs.
si
en métaux :
M. Pernet présenta le candidat désigné 'ments éclatent et les trois cent cinquanil démontra de quelle façon l'Etat
„
Lu::rvi!,i
M. et Mme Léon MICHEL et leur fille ; vriers
V
par les groupements républicains de i\an- te électeurs présents lui font une ovation
ARRONDISSEMENT DE NANCY
devait maintenant s'attacher à l'élabora- p
Fermeture tardive. — Un proreX-v \ •
Mme ve:;ve Laurent ;
•
p*
i cy el eiioa^ea les électeurs a porter toute enthousiaste.
POMPEY
,
a
été dressé contre Mme vjev cV^it ^ j
'tion
des lois sociales.
| °,
(
Mlle Joséphine LAURENT ;
! u
I leur aiieuuou a ia oau&erie-coiueience du
L*> bureau est ainsi compose : M. CourL03 fêtes de Pâcjwes. — A l'occasion des ,rue Pasteur, pour fermeture-'taWit- £l
M. et Mme Auguste LAURENT et leurs ! ; ic Des lois cherchant à améliorer le sort <: L
sympatinque
canuidat,
,
tois,
conseiller
général
et
maire
de
Saint'. ffêtes de Pâques et du faubourg de Pom- son
des ouvriers ont déjà été votées, non seu- ■ s,
débit et à une dizaine de cor^oni \
f
eut .nts ; '
AI.
Kene Leolatic déclara devoir faire' \Nicolas, président ; MM. H anus, 1" ad- pey,
de nombreux forains sont venus s'ins- 1teurs du quartier quj y étaient
lement il faut les appliquer toutes, mais !
'""'*
1(
Mme veuve SALOMON et ses enfants ;
dans
la
présente
campagne
électorale
tout
'
joint,
et
Ziller,
conseiller
municipal,
as£
taïler rue de Metz et montent leurs baraen reviser beaucoup pour arriver 1 d
— Même contravention a ét'-'dr^
Le« f-ruilles CLAl'DE, LAl'RENT, MAR- encore
et
i
sun
uevoiiue
repuniieaiu.
le plus près possible à la perfection démo- j s
;
sésseurs. ,
.
.
,„,.... oques entre deux averses et Un rayon de MM.
Thomas, débitant, rue "d'\W •' , '
TES'. SALOMON et toute ln fomille,
«
j
n protesta pQiiUé ies auégations nienson- ' M Courtois ouvre la reunion a 8 h. 4o! soleil.
^
cratinue.
» (Applaudissements.)
Ils espèrent cependant pour diman- ,et à M. Henri Bach, 22 ans, iV cité cl '
Ont' la c'ouieur de vous faire part de la c
*
géiCa ues leuilies qui coiinju-tteut systéma-'
1et
donne
la
parole
à
M.
Schertzer,
après
Le sympathique candidat paria ensuite g
! che, lundi et mardi un temps un peu plus ,cile, qui y consommaient.
'
'
*
perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en
tiquement les républicains.
avoir rappelé que celui-ci est un vieux et, clément.
t.
fde l'obligation que do;t avoir la RépubliLes
chevaliers
de
la
Cambriole.
ris-'
la personne de
*
!
|
exposant
ensuite
la
première
partie
de
,
loyal répUûlicain et qu'il est son collègue
ne de protéger ses travailleurs natio- j
Le bal public sera donné dans ta vaste "jj :la nuit de mer credi a jeudi, 0,-5 ,„ • fi*
c
!,
, /\ •et magnifique salle affectée spécialement à 1 :leurs ont pénétré chez M. èacbiersawJ
nanx
et de taxer les ouvriers étrangers ' sson piugiamme, sur l'organisation ue la\ au conseil général.
.3 .-.fîl.
Victor » ALO^ON
ri
1
uelense
uauoiiaie,
il
dit
ies
nécessités
qui
M. Schertzer remercie les électeurs d êde U 'le façon que la lutte économique soit o
ce sujet ou l'on trouvera de bonnes con- j 14, Grande-Rue, à Lunéville. II3 'ont t i 'i
ont*
uicte aux législateurs sortants ia ué-' tre venus en si grand nombre ; il rappelHêo Eupfei asle-Marlo LAURENT
îjan moins é^ale. (Bravos répétés.)
o
\ sommations en même temps un orchestre main-basse, dans la eviisine, sur ti-r,!!
ue purter a trois ans la durée! le ses modestes origines et, non sans fierAprès s'être déclaré partisan dé l'aboli- :! teimiriuLon
t
leur épouse, mère, grand'mère, fi Te sœur,
" nombrgux et choisi.
douzaines d'œufs, du sucre, du beur-i-a
service militaire. 11 espère que la
té souligne qu'ancien ouvrier lui-même
du vote par procuration à la Cham- |j au
c
t'nte, n'èçe, cousine et parente, décé tée tion
t
Pochard. — Hier, vers onze heures et du pain, du saindoux, à côté dans un ci il 1
fc
à Maïtcyi le 9 avril 1914, dans sa 53° an- ntire des députés, il termina en faisant un | iFrance connaîtra ues jours meilleurs et if est et restera toujours l'ami des tra- demie, deux ouvriers, qui avaient fait de net noir, sur un paletot un pant^'of da J
née. '
■ ' '
; vvivront apnel aux sentiments républicains qqa une peuoue ue paix et de concorue s'en- vailleuiù.
i
longues
stations dans les cafés, desceni: parle des luttes que le parti republi-] daient le faubourg de la rue de Metz. Ils chaussures, un appai^l photwàiihiuia 1
Et vous prient d'assister aux obsèques çldes électeurs présents pour bouter hors ssuivra,
Ces,individus, dont on a' trcuvr
tJJ
Abordant la deuxième partie de son cain a eu à soutenir a Nancy, luttes cou-' suivaient le trottoir de gauche, mais arriqui auront lieu à Ronxières-aux-Dames la
L première
circonscription un député II
ces, avaient couché dans la maison c' a'j
il stigmatisa comme il con-" ronr-ées enfin il v a deux ans par l'entrée
(près C.h.-mn'gpeullpp'l le snme^i 11 couéâctiormnire soi-disant républicain.
!! prugramuie,
>ç
les. m j ustices nscales actuelles et1 de 26 républicains au conseil municipal, vés en face le terminus du tram, l'un d'eux sont re-sssortis au petit jour.
rant, vers 3 heures 3/4 de l'après-midi.
L'assistance applaudit vigoureusement vient
v
qui avait oublié l'équilibre à la dernière
Obsèques. — On a enterré jeudi mat'n. il
souhaita
que ie projet d'impôt sur le reve-" de la capitale de la Lorraine,
Ln levée du corps se fera à NaYiçy, le et
e les cris de « Vive Leblanc ! » retenti- ■ s
. station et voulant montrer au public qui les dix heures et demie, Mme veuve BrWiM
|
nu
lut
vote
par
ia
unamnie
tutuie,
impôt
t
il
développe
son
programme
très
net
:
samedi 11 eourant, à 2 heures de '.'après- rent.
r
_
| r
* regardait qu'il n'avait pas besoin d'être née Muet, qui était la/mère du docteur t'ad I
midi, h la maison mortuaire, 25, rue des
M. Charles Gérard, avocat à la cour et çqui uppoitera, dit-il, « aux classes laoo-" maintien de la loi de trois ans subordon- soutenu, lâcha son camarade .et s'allongea Briquel et la belle-mère de M. le docteùî
i
rieuses
ue
la
ville
et
de
la
campagne,
pe"
née
à
l'amélioration
des
relations
extérieuJardiniers.
.
cconseiller munioeipnl de Nancy, prit en- r
" de tout son long entre une palissade^en Lalitte. Une foule considérable de nprso»]
8
.«"'te la parole, et tint à appuyer de son \I ttits cultivateurs et commerçants », une ère res ; impôt sur le revenu sans inquisition '; bordure
^
Il ne sera pas envoyé de !ett-ca de fai
et un poteau télégraphique. Il 1j nalités a escorté son cercueil jusqu'à tu
e
nitoritê la candidature dé son confrère i ca équité et une répartition plus exacte de développement des lois sociales par l'é-î ,parvint avec peine à se mettre à genoux, dernière demeure.
part, in nré^ent avis en tenant lieu.
!
contribution que enaque citoyen doitt tal'lissement de lois sur le chômage et >
T MVnric. il f t en termes chnisis une con- '] la
1
- puis à faire un sermon au poteau, pour le ;
Acte de probité. — Mme Bor.rauin. ma»
payer, cette loi sera humaine, ajouta-t-il,• l'invalidité ; amélioration de la loi sur les j
\ I plus grand amusement des forains et des j* seuse, rue Banaudon, et Mine Richard, vu
REMERClt.lEN ÎS
î! [férence documentée sur le Programme de {et léponara aux aspirations ue justice so-■ accidents de travail et de celle concernant
ce dernier, et adjura les républicains de t
passants. Aussitôt relevé, il changeait de !
les retraites ouvrières ; défense de l'écolep trottoir et s'allongeait de nouveau entre j Gèrmaiç-Charrier, 3, cette dernière époua !
la commune de Pompev de voter enfin ciale.
c
; du sous-brigaclier de police, ont trouvé'
Les familles CHARRIER, LENERT et rpour le candidat républicain.
il lit ensuite une énumératiqn des diffé- la.ique et surveillance stricte des écoles liune charrette à bras et le mur.
1 mercredi matin, rue Banaudon, un porte 1
DIETR1CH remercient bien sincèrement ' M. le docteur Sehmitt, conseiller muni-■ irentes lois sociales qui sont indispensa-- bres.
II fut escorté jusqu'au pont de la Mo- ; monnaie contenant 45 fr. 75 qu'elles
les personnes qui leur prit témoigné de la cipaî
c
Les déclarations si claires du candidatt
de Nancy, se leva à. son tour, et meti ibies « au mieux être constant de tous less
i
selle par une bande d'écoliers.
• déposé au commissariat de police ou loiit
sympathie à l'occasion du décès "de
républicain sont accueillies par des ap! nn
garde les électeurs contre tous les ra- citoyens
(
».
t
F AULX porte-monnaie fut réclamé par Mm.» Bl»
11
conclut
enfin
en
faisant
appel
aux
|
gots
que
publie
ou
publiera
la
presse
réacx
j
piaudissements
répétés.
IVSadame veuve CHABRIER '
■
Voleur arrêté. — La gendarmerie a ar- 1er, demeurant à, Valhey.
républicains des électeurs.
tionnaire contre le candidat républicaini i sentiments
i
!
Un électeur demande si, ainsi que l'a
4
Née LENERT
Violences et bris de clôture.— Un pieté»
D unanimes applaudissements accueillit- ! prétendu le commandant Driant, l'ouvrier rêt* Jules Charles, charretier à Monteet déc'are notamment : « qne 1 «jeunesse:
t i noy, qui, à l'aide d'effraction a pénétré
verbal a été dressé contre le nomjrlé AV
' de M" Leblanc, loin d'être un obstacle ài irent sa péroraison.
, j serait frappé par l'impôt =4ir le revenu. M.
'
dan:
l'écurie
de
son
ancien
patron,
M.
phonse Dedenon, 25 ans, pour violent»;
REMERCIEMENTS
;son élection, est au contraire une raisoni . M. René Lenlanc répondit ensuite dee Schertzer, chiffres en mains, démontre que
,
Narey, cultivateur, où il a dérobé une et bris de clôture.
de plus pour les républicains de la pre-- la
]
plus, heureuse façon a quelques quess- cette allégation est inexacte et qu'au conlanterne et une tondeuse.
Monsieur et Madame S. SPIRA et toute miàre circonscription de voter pour' leÎ :; 1tlons relatives à la laïcité,' alors tous les
Cet individti entra dans le hangar di
s traire les ouvriers ne paieront rien,
la famille remercient bien
sincèrement jeune hoipme actif, courageux et intelli-- iélecteurs se déclarèrent satisfaits et see
SAINT-NICOLAS son frère Emile, 17, faubourg de Villér,
M. Courtois remercie, en
termes éloles "personnes qui leur ont témoigné de la ,gent que, vous avez devant vous. PlaceÎ promirent
il
Rixe. — Dans la soirée
Léon Isling, mardi après midi, en fracturant la porti
i
Îquents, M. Schertzer, du dévouement qu'il
de soutenir la candidature Lesympathie à l'occasion du décès de
5- manœuvre, se trouvant dans un débit, qui était fermée à clef et a. pris le mulet É:
aux jeunes. Et le 26 avril, tous aux ur--, blanc.
|
apporté à la défense de l'institution re-'
it J chercha querelle à un autre consornrna- la voiture qui y étaient abrités.
nés pour René Leblanc et pour la Répua. publicaine ; il le félicite chaleureusement
Huucourt. — M. René Leblanc visita,
fi 6 heures, en ramenant la bête et lut
u teut, â qui il porta un coup de poing à la
blique !»
ss imercredi, à 8 heures du soir, la commune
e et fait acclaméV à l'unanimité l'ordre du
Née Clarisse BLUM
figure, lui pochant un œil. L'agent, pré- véhicule, il empoigna au cou son frèij
D'unanimes applaudissements éclatèrenti 1^e Raucourt, où, dans la salle comble de
.e joue suivant :
is venu, a arrêté Isling, qui a été conduit qui lui faisait de justes reproches de soi J
alors et après avoir répondu à M. Jacquet,, la.
i
e
350 électeurs de Saint-Nicolas, réunis
mairie, il exposa son programme. Le
acte.
i. jeudi matin au parquet de Nancy,
notable commerçant de Pompey, au sujeti bureau
]
fut présidé par M. Robin, maire ; à la salle du Magasin, après avoir entenREMERCIEMENTS
ia
Procès-verbaux. — Procès-verbal a été
Les ambulants. — Un procès-verbal a fit ;
de diverses précisions concernant la jus-- Marsai, ancien maire ; Colin, receveur
x du le candidat républicain aux élections
dressé par l'agent de police au nommé En- ! dressé contre un nomme Abraham NettSj
tice fiscale et la fréquentation dos écoles, des
i
douanes. Noté MM. Clauss, Grand1- législatives dans la 3* circonscription, accLes Familles RICHALET, TROUP et !M.^René Leblanc fut acclamé comme can-- ;jean, etc...
f. gler Léger, 28 a.ns, mécanicien, demeurant | charcutier ambulant, à Saint-Dié, pei
*
clament sa candidature et s'engagent à afMICHEL remercient bien sincèrement tou-" didat
,
i rue du Vieux-Marché, 37, pour ivresse et infraction à la loi du 16 juillet 1912, coa
Le sympathique avocat fut l'objet d'une
te Armer, sur son nom, le 26 avril prochain,
dans la première circonscription dej
tes les personnes qui leur ont témoigné de* Nancy.
tapage dans un lieu public,
cernant les marchands ambulants.
attention toute spéciale. C'est avec nettez- leurs sentiments républicains,
la sympathie à l'occasion du décès de
j.
Gauthier Ferdinand, 38 ans, domestique
Marché de Lunéville du 8 avril 19"^
M. Aubry, le sympathique conseiller mu-- té qu'il détailla le programme du parti
ti
La séance est . levée au milieu d'un ense de culture à Ville-en-Vermois, a été déposé, f Blé nouveau (choix), le quintal 25,30 ; Sel
nicipal de Nancy, fit un chaleureux appelI républicain dont le but est d'apporter urîe
fe thousiasme indescriptible et la soirée se
31 8
3.
au violon municipal pour ivresse et tapa- gle, le quintal, 20 ; Avoine, le quintal, 18
r amélioration sensible aux populations laRICHALET
;aux républicains de Pompey et les oeux"i- teimina au-cercle républicain en amicage- Ce vilain personnage ne trouvant pas Pommes de terre, le quintal, 20 ; Farine 0
les causeries.
' cents électeurs présents se séparèrent eni borieuses de la Lorraine.
II parla tour à tour de l'organisation
n !
Réunion à Malzéville. — On nous écrit :: l'accueil èt sa soupe à son goût, s'est mis le quintal, 37 ; Pain 1™ qualité, le MOI
CYCLES BOCIIET
'se promettant ue faire triomphé? sur leÎ
de la défense nationale, de l'impôt nécesl à injurier le personnel de l'hospice Saint- 0,40 ; Pain, 2e qualité, le kilog, 0,35.
j
nom de Leblanc les idées républicaines.
sTrès bonne réunion de M. Schertzer.mera
r
.<S.*,'
' p'u» ancienne marque du monde:
t-. B'rançois, qui lui âvuit servi à manger,
saire sur le revenu et des lois sociales en
Viande. — Bœuf lr° qualité, le kilog U»
La République rénaît à Pompey 1 »
n credi soir, salle des fêtes, dans l'impor%0ïM
entier et la meilleure
g
Procès-verbal a été dressé.
à 2,20 ; Bœuf, 2" qualité, 1,40 à 2 » ; Va* j
Mdiéry, — Lunui soir M. René Leblanc; général. U insista particulièrement sur
T
tante commune suburbaine de Malzéville,
1'.
i lre qualité, 1,40 à 2 » ; Vache, 2e qualité
s'est rendu dans la commune vignobleB le devoir qu'ont les députés de rester en
n qui compte près de 1,000 électeurs. M. BonJflBg5§§&
Routière homme ou dams. 4QC f„
e
x.
Coups réciproques. — La paix ne règne> 1,20 à 1,80 ; Veau lre qualité, 2 » à W
"38$.
Sotrse, pista ou mute. . 101) 11,• de
,
t dieu, maire, avait tenu à présider. M. BonM'Uery, où .il fut chaleureusement ac-. contact permanent avec leurs électeurs et
îs
de ne pas seulement venir, à la veille des
»s pas tous les jours chez les époux Camille! Veau 2U qualité, 1,80 à 2 » ; Mouton, l
cueilli.
dieu
ne
partage
peut-être
pas
toutes
les
:
Masson, rue Collot, c'est ainsi qu'un de cesi qualité, 1,80 à 3,20 ; Mouton, 2» qualité
, * 60 électeurs se pressaient dans la co-. élections, quémander des voix. (Applaîu>• idées de M. Schertzer. C'est un républicain
n
dissements.)
il matins ie mari, mécontent, invectiva sa1 1,70 à 2,40 ; Porc frais, 2 » à 2,80 ; P<»
salle de mairie.
plus avancé. Mais il est certainement prêt
W«rW
L et 19, tue an l'oat-Moaj* ,\'A.\t,Y
'quette
f
Il termina en demandant aux électeurs
u femme avec le vocabulaire poissard ; celle-■ ' salé, 1,40 à 3,20.
La présidence fut occupée par M. Ca.
, j
rs à faire son devoir républicain en faveur du
DÉTAIL AU PRIX DU GROS
14
définitivement
t, ci fit la riposte, mais reçut une conection1 !
mille Canin, le sympathique
maire deB présents de -manifester
candidat du congrès auquel il a pris part
Foin, le quintal, 8 ; Paille, le quintal, » 1
et
i
leurs
idées
républicaines
le
26
avril.
,i_
peu
commune.
Miliery ;
MM. Alphonse
Davrainville,
M. Schertzer — qu'accompagnait son colBois à brûler (le stère) : Charme 18 ; .l 1
<fr a ■<».
.—:1"
Un ordre du jour fut adopté à l'unanié.
Dans la journée, Masson revint au logis5 i| lfi ; Chêne 14 ; Charbon'de bois, l'hectf»
conseiller municipal ; Charles Aigle, fulègue M. Lucien Larcher, conseiller génémité.
et continua ia scène, cette fois sa compa-• tre 3,25 ; Houille, le quintal, 6.
ren: assesseurs.
ral du canton Est — a été accueilli avec
î<3
,„*]
PS
gne saisit un bâton et fr'appa avec brutaC'est en ces termes que M. Canin pré-*beaucoup do sympathie par
- électeurs
Enfant noyé.— Jeudi soir, vers 5 b. »
***
iité le mari.
senta le candidat républicain :
^ de, Malzéville. Ceux-ci forment d'ailleurs
rs
on a retiré de la Vezouze, auprès du P°M
Réunions. — Le vendr . 'i 10 avril : Clé{,
La gendarmerie, informée des faits, a de Chanzy, le corps du petit René Steiu
Mes ehers concitoyens,
T
,
. .
LAXOUI
mery 2 h. ; Manoncourt-sur-Seille 4 h. ;. une imposante majorité républicaine.Vingt
fr. dressé procès-verbal.
Je vous remercie de la • marque de sym-~ Lixières 6 h. ; Nancy-Bon-Coin, salle ReLes amateurs de rosiors
pans la nuitt
gl I et un conseillers municipaux sont républi■ 6 ans, qui était tombé* à la rivière, en w !
Ivresse publique. — Le charretier de ba-»
du. 7 au 8 avril, des inconnus se sont in- pathie que vous venez de manifester en mee naud, 8 h. A.
cains ; M. Lucien Larcher a obtenu la maa.
■* chant à la ligne derrière la maison de88
désignant à la présidence do cette séance.
teau Fournier Joseph-Henri, âgé de 47 ans,> parents, au numéro 8 de la rue de Joliyel |
troduits dans le jardin de M. Lebègue
Samedi 11" avril : Chenicourt 2 h. ; Lé- jorité aux élections cantonales,
^è vous remercie également d'être venuss
g. a fêté mercredi après-midi la dive bouteilgarde champêtre à Laxou, et y ont dérobée'
éCette
majorité
se
retrouvera
certaineDons philanthropiques. — M. Collet, w j
tricourt
4
h.
;
Arraye-et-Han
6
h.
;
Maxénombreux a cette réunion, vous prouvez,!f
le au café du Progrès, au point qu'en sor-- ganisateur du bal de bienfaisance, doi j
douze rosiers et dix pieds de lys et autress si
ment de dimanche en quinze sur le nom
m
une lois de plus, que vous ne vous désmté-i- ville 8 h.
1
tant
il
ne
put
dépasser
le
trottoir
et
tomba
fleurs. Les malandrins n'en étaient pas ài ressez pas de vos droits politiques et quee
. respecté de M. Schertzer.
nous avons parlé, a remis à la mairie y
Dimanche 12 : Maidières 3 h. ; Montauu
inanimé dans le caniveau, laissant échap-• somme de 630 francs, à répartir ainsi rnn
leur premier exploit, car la semaine der- vous avez conscience de vos devoirs de cià. M. Schertzer à l'Union républicaine
i- ville 11 h. du matin ; Blénod-les-Pont-àt
per
des
odeurs
peu
odorantes.
nière ils ont pénétré Dar escalade dans lee toj-ens.
a
Union républicaine de l'arrondissement
suit :
Mousson 8 h.
%
A
„
Cet homme fut laissé, malgré le passage^
jardin de M. Coliin, "et y ont dérobé dixJ'ai l'honneur de vous présenter le sympade Nancy. Groupe des quartiers « LobauCrèches, 300 fr. ; Œuvre de la Goutte CL
i"
Lundi
13
:
Norroy
11
h.
;
Atton
3
h.
.
thique
candidat
de
la
première
circonscripdes
ouvriers,
pendant
une
heure
devant
'e
a
huu rosiers greffés, ainsi que leurs tun
.
La
Salle-Charles-III
et
Saint-Nicolas
».
lait,
30Q
fr.
;
Bureau
de
bienfaisance,
»
'"
Mardi 14 : Bey 2 h. ; Lanfroicourt 4 h. :
teurs.
tion, M» Lebiane, candidat désigné par le
' Nous apprenons que cet important groupe-' café et la gendarmerie, prévenue, fut obli- francs.
y
Armancourt
5
h.
J
;
Boudonville
8
h.
congres
repuoncain
et
sur
lequel
tous
les
:S
Ces individus sont des soi-disant entre-1
ment organise une conférence pour le sa-~ gée de transporter à bras au bateau « VicEn aéroplane. — Le sergent Corwjl
preneurs de création de jardins qui s'en- groupements comptant pour déieiidre le ara■ " tor » le charretier pochard, après toutè2' CIRC0NSCRIP /ON DE NANCY
medi 11 avril, à 8 heures i du soir, à la
■ peau rtpuDticam et soutenir ses intérêts si
du centre d'aviation de Toul, est venu j
g fois contraventions dressées.
gagent a fournir les Heurs et arbustess longtemps méconnus uaus cette région,
Brasserie Charles-III (angle de la rue des
a
LE COLONEL LECOMTE
qu ils vont dérober la nuit. Mais ayantt
Défaut de 8a.-Uctr.ev — La gendarmerie3 terrir, jeudi matin, sur le terrain de
Je vous demande de lui accorder mute vo3
Jardiniers). M. Schertzer, candidat répuu
nœuvres, il pilotait un biplan Henri tl
été surpris dans leur travail, ils ontt tre attention et u éviter les interruptions.
Le colonel Lecomte fait partout la meil- blicain de la 3e circonscription, y exposera" a dressé une contravention a Petin Henri,
' mon.
abandonné leurs outils.
Je preuas l'engagement de donner la pa'
qui
circulait
sur
une
bicyclette
non
éclaiileure impression. C'est un soldat irrépro°" son programme aux membres du groupe.
V1LLAC0'JR; i
Plainte a été portée à la gendarmerie., i rôle a tout ioyai contradicteur, aussitôt quee chable qui a vaillamment fait compagne,
' rée.
eRéunion électorale
U IC
Le
feu.
— Un commencement . ' ^«]
Procès-veraaux. — Procès-verbal a étéÀ i M" Leblanc aura termine 1 expose de son
Roulage.
-—
Malgré
les
nombreux
avern
Le colonel Lecomte, chargé de famille,
e>
e
M. Schertzer, candidat dans la 3 cir1
die s'est déclaré, le 6 avril, après ro-1?
dressé par M. Lebègue, garde champêtre, programme.
*
tissements,
les
charretiers
continuent
à
n
n'avait
pas
hésité
à
partir
pour
le
Ton' I conscription, exposera son programme abandonner leurs attelages dans les rues,., ' chez M. Emile Drieu, épicier. C'était 1
j'
iwoa clier candidat, je vous cède la parole.
a Mmes Darmois et veuve Meurth, demeunt
-■ kin ; il y a commandé le cercle important
I le samedi 11 courant, à 8 h. 30 du soir,
M René Leblanc, dune façon franche
rant toutes deux rue du Pressoir, à LaxouI
i' aussi Auguste Corrette, garçon livreur àà, ; cheminée de la cuisine qui avait n» A
e de Lang-Son.
I Brasserie Charles III, rue Charles III, 88,
' ' Champigneulles, s'est vu dresser un nro-,. j feu à la poutre servant d'assise. vj;Lg ]
pour scandale et tapage sur la voie pu-[1 et nette, donna un détaillé exposé de son
s
n
II a servi à ia légion étrangère et il estt I et le. même joiv, au café Montémont, rue
Je
blique.
^
pre gramme, il dit les nécessites du maincès-verbal.
1 taqué, ce sinistre ne causa que des «sfe
\
w
i- l'estimé et dévoué président du Mirador,
> j Mac-Mahon, à 9 h, J du soir.
\ pour la somme, de 200 francs.
Ces deux dames vivent depuis quelquee lie i de la loi de 3 ans, qui assure à la
a société d'anciens coloniaux de Nancy,
i
CIRCONSCRIPTION DE TOUL
temps en mauvaise intelligence. La veuvee France l'intégrité de son territoire et sa
a
Revenu dans la métropole, il a été chef
e(
5_
grandeur morale.
Meurth a été gratifiée d'un second procèseCANDIDATURE FRINGANT
de bataillon au 699, à Nancy, puis lieute(
Délit champêtre, j- M. Albert .Thies,||w .
S 1 pour vos réparations,
fournitures de8 | 31 ans, cultivateur, a porté plainte 1^
Très documenté, il fait remarquer les
verbal pour injures au garde champêtre(( !
ié, !
Conférences de M. Fringant. — On nous
!S
nant-colonel au 2& à Toul. Il a commandé,
U
Pneus de toutes marques, accessoires.
ayant repondu à celui-ci que cela ne le j avantages de l'impôt sur le reveuu, qui
e, j écrit- :
li j en cette qualité, un groupe de forteresse,
• | deux rempailleurs de chaises, sans4.,, 51
regardait pas et qu'elle se f... de lui
Si assure à tous : travadieurs, petits com,e- |
Accompagné de M. le sénateur Chapuïs,
i- composé de trois bataillons. Le c,olonel Le3 i cile fixe, Jean et Carumbic DéniesJB.^*s, adressei-vous
ûû
.. ! merçants et cultivateurs, une plus équiProcès-verbal a également été dresn- j qui, ne reculant pas devant ies fatigues
i- comte a été fait officier de la Légion d'hont et 30 ans, qui avaient fait pâturer
m
."'
MAISON DE CONFIANCE
i. Itablfc
répartition de l'impôt.
ùé a Mme Avoot, pour divagation de pou!
d'une campagne électorale, porte la parole
de
neur comme commandant,
\ vaux de leurs roulottes, un gris e 1 f|a '
!
les dans les terrains de Mme Gérardin.
Attentnement écouté et très applaudi,
si- républicaine aux quatre coins de l'arroni,
Mais ce n'est pas un candidat exclusim.
ARRONDISSEMENT DE TOUt
j zan, dans un champ de blé lui £!'r
• j après avoir répondu à diverses questions
ne]
I dissement, M. Fringant s'est rendu dans
is vement militaire.
L
nant.
pï
T0UL
JARVILLE
E j qui donnèrent satisfaction aux électeurs,
il« les" importantes communes de Favières' et |
Retraites et concerts militaires. — Less j
s,
Tout en étant lieutenant-colonel du 41"
Cheval volé. — Un nommé Thoina ^
-é- de Colombey-les-Belles. Comme dans les
Vol. — Un inconnu a enlevé une serru- M. Canin proposa l'ordre du jour suivant,
t, territorial et président des sociétés de préçs retraites militaires du samedi recommen-- mestre, 24 ans, rempailleur de chais . m
[e, localités précédemment visitées, les élecre a la grille d entrée du parc de Montai ' adopté à 1 unanimité :
3C-. ceront le 11 avril courant '(les itinéraires
paration militaire de Meurthe-et-Moselle,
s bulant, a porté plainte, le >
^As
ii. teurs nombreux sont venus assurer leur
gu. sur le chemin de Fléville. Cette ser
ur j se trouvent à la mairie) et les concerts loe maire de Vitrimont, au sujet dc.?"«ïj
et il. s'intéresse vivement à toutes les maniVous venez d'entendre l'exrjosé, clair .et
ii- ancien député de leur attachement sincère,
rure, d'une valeur de 15 francs, avait étéé précis, du programme républicain. J'espère
re, j lendemain 12, jour de Pâques,
:e festations de la vie civile. Conseiller munival qui lui avait été volé pendant
QJ
que vous serez tons d'accord poilr laire triomposée quelques jours auparavant.
île le candidat de leur appui absolu, parce
i- cipal de Nancy, il prend souvent la parole
'ce ,
Les concerts militaires auront lieu auxs le licol était resté après la voin" •
que
continuateur
d'une
politique
fermement
— M. Jules Stanim, mécanicien, a décla- plier ces idées éh votant en masse pour M«
mt ■ jours, heures et lieux indiqués ci-apràs i,• est lo cheval ? '
1* à l'assemblée communale et il n'hésite pas
as
EACCA
républicaine.
ré à la gendarmerie qu'une boîte aux let-" Leblanc, seul candidat républicain, car je
Le dimanche et le jfeudi, sur la place do
1° à développer, avec énergie, les idées sociaa_
jj ue veux pas parier, mal ue M. Mario, c'est
Mercredi,
M.
Fringant
a
exposé
son
protres et un morceau de savon lui avaient
les qui lui semblent justes.
ro- la République, de 15 h. 45 à 17 heures ena
Le roulage.— Ayant abandonné £ ^
u un bien gentil garçon, mais il est inconnu
u
été dérobés. Une voisine a reconnu avoirr pour nous.
l'a gramme aux électeurs d'Arnaviile, Bayon>n- avril et mai, et de 20 h. 30 à 21 h. 45 àa. ture attelée d'un cheval sur le cw, ^
Et puis, en face d'un adversaire qui n'a
pris le morceau de savon pour faire une
e. ville, Jaulny et Thiaucourt. Ce fut parir- partir du l6r juin ; pendant la durée de la
e
Wue ceux qui ont reçu un service de M. Maa- eu que la peine de naître, le colonel Lea de la route nationale, n° 13, M- *j ogifè
farce, mais a nié avoir soustrait la boîtes
i^o- tout le même empressement à venir saluer
& rm 1 1 t «jue ceux qui l'ont vu venir à Miler foire, ils auront lieu aux mêmes heftress î gin, garçon marchand de vins, au
1- comte représente un robuste élément démo^
iery ! lèveut la main I !
aux lettres.
,r. M. le docteur Chapuis, le même accueil
eil au jardi nde l'hôtel de ville.
cratique. C'est l'officier, sorti du rang, ari de M. Bouvier, négociant à Baccara*.
Puisque personne ne l'a Jamais vu ici, il
i*Q réservé au candidat.
I
LR mardi, sur la place de la République,
n rivé à la force du poignet et qui ne sépare
VILLERS-L ES-NANCY
'■> fait dresser procès^-ej'bab^^^^^^.
»
est Uonc inutile de voter pour lui car tout
;u_
Ce dernier, pour répondre au reproche
he 1 de 20 h. 30 à 21 h. 45, à partir du 2 juin,
" jamais l'idée de patrie de l'idée de Répuj. le monde est édifié.
Domestique Indélicat. — ' Louis Mande socialiste lancé contre lui, expliqua une
.
bliqtie.
ne
j
Le
mardi
et
le
samedi,
devant
i'hospice
Votez pour le candidat qui s'occupera dee
ier, marchand des quatre saisons, avait
it
fois de plus ce qu'il entendait par lois so50mixte, cours Alsace-Lorraine, de 15 h 30
Les agents électoraux de son adversaire
re
d vos mterets' car u°us en avons grand 'besoin.
}
envoyé son domestique Louis Marchand
. ciales, se défendit de toute attache avec ce j à 16 h. 30.
font trop valoir sa richesse dans nos camm
!
„
votez
pour
Leblanc,
vous
voterez
pour
lr
vendre des pommes
Champigneulles.
s- i Canin .
1
'é- parti.
'
Le mercredi, à l'hôpital militaire, de
| pagnes. Les électeurs de Haroué et de VéAprès avoir vendu la marchandise .Mari
.u.
A Thiaucourt, MM. Stef, conseiller généié-1 lu h. a 16 h.
['
I
Phlftl. — Mercredi après midi ' M Réné
! zelise ne sont, pas sensibles à ces arguté
chand abandonna la charrette, sans ve-.i
s
j§
ral, et Stef Louis, maire, président la réu) Leblanc s'est rendu à la mairie de Phlini) I ments.*Fidèles aux directions de leurs élus,
u- j
SEXEY AUX-FORGES
nir rapporter l'argent à son patron.
nion. Plus de 150 électeurs se pressaient
;nt P Vol. — Un malfaiteur inconnu a dérobé ; «"^ » eî îes salss de
\ 04 il a fait, devant le- électeurs un exposé
se il» apporteront le 2(5 avril prochain au coiQ 1
patvjjl
dans la salle.
é
i un cheval estimé 800 francs, appartenant
la
f
MEURTEE-&-MOSJLLL
f«tu
Faites des écûîicîr« ,
.FNEDfiE SÉRIE
avec les
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Madame Victor MElNOTTE
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Madame Veuve Gabriel SPIRA j
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R.— il faut faire opposition à la saisie en
envoyant une invitation au juge de paix.
Vous' avez droit il des dommages-intérêts.
riez '"',., [oi ativo.
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Faits-Divers
LE CRIME DU TRAIN 131. — Alors
qu'on
pouvait croire que le premier interrogatoire de Baehot l'acculerait à des aveux,
l'assassin présumé du marchand de chevaux (milliard a conservé son attitude.
Il a protesté contre k|s faits qui lui sont
reprochés.
« Je suis innocent, a déclaré Bachot ;
si je me suis trouvé à Avallon, à Joigny
et à Nangis, c'est que jo devais y traiter
des affaires avec defe marchands de bestiaux. Quant à l'argent qu'on me reproche
d'avoir dépensé, il était bel et bien à moi
et non à Guimard ; il devait me servir
pour mes acquisitions. »
Bachot ayant cité dUifs noms,, indiqué
différents lieux, le jugo enquêteur veut,
avant tout, contrôler ses dires.
Des souscriptions en faveur de la vwuve
dei Guimard s'organisent dans la plupart
des villes où fréquentait le marchand .de
chevaux assassine. C'est ainsi qu'à la foire
d'Auxerre une collecte faite sur la place
de l'Arqu«buse, où sont les bestiaux, a
! produit hier 107 francs.
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mon
i Ses Cttstructeurs
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Voir les Etalages de la Maison
W 0-JCHE
D'OCCASIONS
3ULLETIN FINANCiRR
Coup de balai précieux
II llll
—.——
21,
A l'extérieur de l'immeuble où je suis lomaison nouvelle- cataire, existe une plaque scellée au mur portant quatre boutons de sonnettes ; le boîtier
de celui correspondant à mon appartement a
été volé la nuit Sou remplacement ipcom- |
i [jon-Tij- fiu'iî ne me doit pas de mitoyen. be-ti! au locataire ou au propriétaire ?
lî.— Quoique la question pourrait être dis- j
C'est, celui donné par la Tisane du Frère
^té (ie
VJ* il
oui ou non la moitié de I cutée en droit, nous sommes d'avis que c'est | Antoine dans le tube disgestif de ceux qui
au
locataire.
81,
en prennent ; mystérieux coup de balai
Jtt pf?" „ comprenons pas bien votre
Je possède un terrain d'alluvion qui repose chassant les milliers de microbes qui pulR.- N"J*«J» ,.n arcHitecte. En tous cas, si
pestion- °-\Tçcrt d'une façon ou d'une au- sur des 'limites incertaines ; les parcelles lulent dans l'intestin, et occasionnent, envoisin ;ftUr"'jj (jmit
nàitoyeiineté de la environnantes sont soit à l'état boisé ou à térite, constipation, et tant d'autres mastrP
l'état friche ou en prés. Quelqu'un veut faire
««« au'il effp'oie.
mettre à l'abonieineut ; en supposant qu'il ladies. Coup de balai si précieux, que
■ -ii îw&, de concert avec mon ff'ri, soit exécuté, les limites réelles se trouvant tons devraient se l'offrir à chaque renou|, Ay"'" ' jrcj5 aaSi une rnfdson où wsus I déplacées à tel point que mon terrain qui vellement de saison.
«ftfâii.J'/ , hissons et ce à raison de était boisé se trouve être sur un auUe qui
Ksoss a<-°;1
; payable un trimestre d'à- est en prés, mon voisin par exemple. A qui
f s
DRAME DE LA JALOUSIE. — Au cours d'une
g francs par^
• tft ' t qUittee, il v a neuf appartiennent mes dits arbres, tout de suite
discussion, provoquée par la jalousie, un
"Tissant trois enfants mineurs et le après l'abonnement î
tonnelier
de
Beaumont-l'ied-de-Bœuf,
f'flftv'T anrai-je le droit, a l'expiraR.— Au propriétaire du sol.
WÇ
;'e !3~mài î';)14, de reprendre la
près du Mans, Amédée Poussle, s'empaNe pcurral3-Je obtenir une Indication prél* ïîwi* et le même commerce, en remise rno-s . ^ ^e jCUne fille, et ce, sans cise au sujet de la date définitive d'un état rant d'un fusil qui se trouvait 4 sa portée, tira sur sa feimme qui, atteinte a ia
te^latinn de
mari et sans qu'il puis- liquidatif de communauté faisant suite à di- nuque et à la tête, tomba foudroyée. Le
|pon»i,u j
commerce,
vu
que
devorce,
etc..
î
on
R.— Le tribunal nomme un notaire liqui- meurtrier rechargea ensuite son arme et
1
se logea la charge) sous le menton, se faiI dateur qui doit procéder à la liquidation.
| Quand le notaire a terminé son travail, si sant une blessure très grave.
PKLi'.vait obtenir le divorce, n'ayant une des parties ne l'accepte pas, l'affaire re«MS èrave, pourrais-je avoir la sôparavient devant le tribunal qui tranche les conn m
m
i" n 11 iniw—imimiiiiiiii
M
ii
IWIWHIM WII
^ iî earbs et de biens, avec l'assistance tredits.
0f. SLr . variée eu France avec un étranAyant fait faire des réparations a des cheP i no^é'iant pour toute fortune que noRf'JBier dé ménage et de salle de débit, minées sans prévenir; pour cause d'oubli, I
un
de mes locataires, il eh résulte que du | spécialiste! pottr salles is brasst.ss et mathrte
H «nouvoir gérer a mon nom personnel crépit
et de la suie sont tombés, faisant des
^JlDOur entretenir ma famille, sans l'imîsnl cherchés par importante Usine du Honi.
c;
saletés dans les appartements de mon loca,'■"'." L mon mari et cette procédure peut- âge et prétentions an :
taire. Voyant cet état de choses, je me suis I MmMT offre détaillés
proposé de faire nettoyer ce qu'il y avait à
R t* Non? Il faudrait divorcer,
fcurean du journal, ssus F. 9
stlis causes de séparation de corps sont mes liais, chose qui avait .été convenue avec
sTalies qù* celles de divorce. Mais si vo- I mon locataire ; mais celui-ci, étant sans doute
gjari vous a abandonnée, c'est une cause méfiant, a fait faire un constat par un huissier. A qui incombent les frais de constat : au
« Un entrîpreneur construit une maison propriétaire ou nu locataire î
B.— Si vous pouvez prouver que vous avez
jalhablte pendant quelque temps, soit deux offert
les réparations, le constat était inutile Chirurgien ■ Dantiste Sotm. - Demis,, en tom HO
BSiBBis il me la vend. JDois-je payer quand
et vous pouvez refuser de le payer .
38, rue de Strasbourg
ijBl'enregisa'ement d'une construction
Etant garçon, vers 1S0O, une fille quoique
aussi récente ?
i'Çapç réserves, la loi
le rend-,! pas ayant plusieurs amants, a eu un enfant et
a'toujours piétendu qu'il était de moi. PeutAction pendant ud œrteiu
eile réclamer ma paternité malgré que je
4, irisée da Pïîëpiv®!, 4
i-¥ oui.
sois marié depuis quarante ans ?
? Pendant dix ans.
laison rî(!2mra28 pour sa cuisina feeurîjesisa et ess baltes
ItiaSItais un logement où j'étais en ir.auJo dsciraraisi acheter une rjetite maison pour
chambres. Pris modérés — <3os. RAiPS*
ase intelligence avec
voisins ; pour crtsnison j'ai dû le quitter, j'ai provenu mon'
BjilwaU'R deux mois avant de povtir et
i- '"HVl.I.Y. titrant.
jft'ceavsto avec lui de mettre un rempla}\
NOUS vôus e.nffajreons vivement a voir
S^œîraaï
pt. J'ai été trois mois sans l'habiter et penj^ccr^Uj—-i
ntip. dti I fcsi tepi'uiiua.n.
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.n.n..
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GARAGE DE VELOS ET
17, RUE DES DOMINICAINS, NANCY. — TEL. 1.64
SEPARATIONS Olv TOUTES MARQUES Ca GRAND CHOIX
tr
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nled à un Jeune homme ,
..écrasé
, je luj avais demandi
oais. Ge dernier avait apporté des légumes
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^rcn aIltf°nti compris, je lui dis d.
'"'p
o'ay
ji trébuche sur un tas de I
eU
faire payer encore doux mois de location. En
«l'as PrÈSr0U
'„„ ini'nasse dessus le pied
a-t-ll le droit et avals-je le droit de sousffi m»
.?./Vaif pendant un mois
louer ? Je n'avais pas de bail et je payais
K tort ?
„,,„„„; vous répondre. Tom
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R.— V ous aviez le droit de sons-louer, mais
Ï'V* 'f ! " ffieon dont les iribunaux
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5 «SKJnl l'accident.
r*Ci,.pi dans l'f^^^^nSn
Jf(fcl>"j
,ve:i faudi an-.i cinj.iuyt.t .
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«o11 ' né pouvez que vous auiesstr a l
J'avais acheté une pendule régulateur, en
V'o/ime en le poursuivant s i. esi *oi- ['•ayant tant nar mois ; cette pendule ne marchait pas ; 'j'avais nrévenu la maison, qui
^^Ma s vous risquez iort ue ne pas rtu&est venue la reprendre voilà deux mois. Main'
e et étant obligé de la tenant celle-ci me met une saisie au buV
reau sans me prévenir, vu que je ne lui dois
W^vet mu». f;l,'s"^„qhinCrptfKîp smît rien, puisqu'elle a repris la pendule. Que
jfiidri' *t paî; fait ue u<*»> «-»
; I
dois-jo
faire ? A-t-elle le droit de me retenir
ijiii.
l'atiteri -ation de nia nvopr.eiaire
II I
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MOTOS
Q
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dant ce laps de temps J'ai envoyé deux locataires a mon ancien propriétaire, qui ne les
•i pas acceptés. Pendant ce tenais, j'ai payé
ma location comme d'habitude. J'avais soua-
«^Ma»u>«nM.n.ui«»(C
iniimi
les MEILLEURES BICYCLETTES mont les * »
21-, ruoHaugroî3
forme droit- ..u cr«l»*>, coupe *E
jets vestons
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j
Ses BLOUSES soie réclame grand chic,
Ses COSTUMES TAILLEUR
»:
Ses MANTEAUX DE VOYAGE Ses JOLIES ROBES D'ÉTÉ «e ^
Ses RAVISSANTS CHAPEAUX ^
Paris, le 8 avril 1914.
Notre marché a fait preuve de meilleures dispositions, mais le terrain perdu n'a
pu être regagné, loin de là.
Le 3 % gagne 0 10 à 86 65.
Rentes russes en reprise marquée : 5 %
1906, 103 70 ; 4 i
1909, 96 60 ; Consolidé,
88 45 ; 3 % 1891, 70 95.
J ure recule encore de 82 à 81 90 et îe
Serbe de 80 95 à 80 90.
Extérieure abandonne 0 30 à 88 50.
Banques et Etablissements de crédit regagnent quelques points : Banque de Paris, 1.643 ; Crédit lyonnais, 1.648 ; Union
Parisienne, 957.
Banques russes discutée» : Azofï Don,
1.505 ; Russo Asiatique, 712.
Chemins espagnols résistants : Nord Espagne, 440 ; Saxagosse, 442 ; Andalous,
321.
Valeurs de traction et d'électricité tonjours faibles : Métropolitain, 531 ; Parisienne de distribution, 550.
Cuprifères mieux tenues : Rio, 1.837 ;
Chino, 217 50 ; Cape, 91 50 : Tharsis,
183 50.
Valeurs industrielles rosses en légère
hausse : Briansk, 445 ; Soenowice, 1.391 ;
Prowodnik, 552.
Mines d'or et diamantifères résistantes :
Rand Mines, 152 50 ; East Rand, 47 25 ;
De Beers, 467 50.
Caoutchoutières animées : Financière,
106 ; Malacca, 134 50.
LUNÊVILS.I
Caisse d'épargne. — Opérations de la
semaine du 29 mars au 4 avril :
1. Versements : Lunéville, 40.718 ; Gerbéviller, 3.700 ; Blâmont, 7.741 ; Saint-Clément, 267 ; Einville, 1.656 ; Badonviller,
2.385 ; Blainville, 1.117 ; Bénaménil, 416 :
Bionville, » »».
2. Remboursements : Lunéville, 42.548 ;
Gerbéviîler, 2.249 05 ; Blâmont, 6.938 85 ;
Saint-Clément, 1.589 05 ; Einville, 184 ;
Badonviller, 4.582 55 ; Blainville, 2.045 ;
Bénaménil, 350 ; Bionville, » »».
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SOCIÉTÉ ANONYME des
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CIMENTS FRANÇAIS
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SOCUL:
BOOLOGNE-extr-aSEn.
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CArritx : 10 SiUllloB^
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PORTLAND
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Expéditions en 1913 : 496.000 Tonnes
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COUVÎ10T (près Vitry-le-François)
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USINES
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iOULOOHE-SUR-MER
*
DESVRES (Pas-de-Calais)
4
GUERVSLLE (Soine-et-Oise)
LA SOUYS (près Bordeaux)
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Patêle «e
»;àï4
Pa'Ue de seigio
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Paille if'avoine
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15 18
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35 45
Luzerne
23 42
FMtM jirefdes en balles. — On cou sur
wajron par tOO kilos.
Ff4« de pr«:met choix
8 £0 à 9 ..
Foin de premicre qualité
a .. a S 30
Pour le?, marchandises en gare, ies trais
de déchargement, d octroi et de omioncaut sont a !;i elKirge oe l'acheteur.
Toutes les Œueeupsal^s^ û e la
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donneront DOUBLES TIMBRES'
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^ DiMCm^ GÉNÉRALE : PARIS. 80, Ru^Taitbout.
IRÉCLÂME DE PAQUES
àê
HftSaii»
», 52 54
Le tout rendu dans Paris au dumicila
«le l'acheteur, fmis de camionnage et
droits d'entrée compris par 100 bottes d»
b kilos, savoir : 6 fr. pour les foins et
fourrages secs, 2 fr. 50 pour paille.
Fourrages en garo. — On cote les 529
Uytss
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i.
^^rirm
Paris-la-Chapeile, 8 avril.
Petit marché. Vente active. Prix fermes
sur les pailles. Environ 180 voitures.
Paille de Dlé
26 à 31
Faille de seigie
18 22
PaJllf d'avoine
20 25
Feto
n**
40 43
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TTpr^rtr de la ravine les ilis du comte ï
- N16 de la Clésolle, d'autres jeunes gens encodVie comme autour d'une reine,
lit de fait, Rolande est bien la reine
*T& ÏÏnne éouyère, elle se. tient mer-
- - - - -J
é^^sir—^ •
L'imagination en feu, la colère jalouse,
aiguillonnée par le désir de voir encore
l'àmo de ses songes, de la voir toujours,
!
V laQUC
îl n'est point là, le préféré de son cœur,
et la constatation qu'elle vient d'en faire a
changé lo cours de ses pensées.
Plus de fête pour elle, puisqu'il ne peut
en partager les plaisirs.
En sera-t-il ainsi toujours ? Leurs âmes
ne se sont-elles par rencontrées dans les
matins d'amour que pour s'en aller ensuite
vers des destinées contraires ?
Tout ie fait prévoir. Et la raison parle
en elle, lui reprochant do dédaigner les
jeunes gens do sa caste pour sacrifier son
avenir à de chimériques illusions.
Ne sent-ils pas dignes d'être aimés, ces
fils de famille qui se pressent autour
d'elle, désireux de lui plaire ? A tous, un
nom, de la fortune, l'estime des leurs ; à
tous, des manières polies, de l'esnrit, lesqualités superficielles qui font l'homme du
monde, une éducation en rapport avec ia
sienne.
Mais l'Image de Pierre Dambach surgit
devant ces fantoches, les éclipse de sa
mâle beauté.
U n'est pas, comme eux, l'oisif qui cache son incapacité sous le verni des manières raffinées, une nullité de salon.
Des milliers d'hommes travaillent là,
qu'il a tâche de diriger, qu'il domine de
toute la supériorité de son intelligence ;
des chefs-d'œuvre s'édifient dont il est Je
créateur, et qui perpétueront son acte a
travers les siècles. C'est quelqu'un, une
personnalité burinée dans, le fer devant
les plâtres fragiles des châtelains.
Rolande admire encore en lui l'énergique conduite à laquelle son père et elle
doivent peut-être la vie.
Oui, un tel homme convient à son caractère indépendant, déjà mûr pour l'évolution sociale qui tend lentement, mais sûrement, au rapprochement des classes.
so par les bois de Thenay, où l'on doit at-
de ^na benêt |
autre à sa beauté fiôre, très jalousée par
les" demoiselles présentes, dont aucune n'a
l'aisance et la distinction.
Contente d'être admirée, heureuse surtout d'être débarrassée pour on. jour de
sa gouvernante et de pouvoir courir dans
un matant a t.-avers oo»s, en touie liberté, elle se montre aimable avec tous,
règne volontiers, mêle une joie pétillante
d'esprit à celle du soleil qui rit sur les
feuilles d'automne, dissipant les derniè-
Dès la sortie du château, les chasseurs
avaient tourné à droite et descendu la
route par laquelle on se rend au moulin
de Chabenet.
Passé cet endroit, ils prirent à. gauche
PREMIERE PARTIE
un chemin qui remonte la cote et va
i
tomber sur la route d'Argenton à Saint; LES CHEMJjNEALTX
Gaultier, pour se prolonger ensuite par
Saint-Martin jusqu'aux bois de Thenay.
En moins d'un quart d'heure on fut à la
jonction de la route et du chemin.
é
. |
La ligne en construction passait tout
n
M Masseurs franchirent la grille
Tant de bonheur fait mal à Pierre Dam- près. Les ouvriers étaient montés sur les
.;*eau' suivis de ia meute, puis des I
bach.
talus de la tranchée qu'il ouvraient. Ils
Ëlîè ne souffre donc pas d'être loin de regardaient défiler la chasse, courte diverp
S««s de Chabenet étaient acpour v
celui qui marie à la sienne sa pensée d'a- sion aux longues heures de travail entre
ili
»ir le défilé.
garnirait ies chevaux, on s'extasiait mour ? Elle n'éprouve donc pas, comme deux murs de roc.
lui, cotte angonisse d'aimer, inquiète de
Rolande a vu leurs rodes profils dans
COSTUMES
* ; iaws nu S
•*
?L DES
■ - du'
*aiua!t au passage la no- l'espoir très pâle à l'horizon, _ et qui fait i îe soleil qui poudroie les crêtes, et ses
monter dans toute gaîté l'arrière-goût de regards anxieux vont de l'un à l'autre.
Que cherchent-ils, en ce peuple de propi te i 1!fns Piaillaient à la vue des son amertume ?
La présence de quelques
godelureaux létaires, si loin de son milieu aristocratidésireux de plaire suffit pour dissiper le que ?
i.
s,«tau«T "uel,es portaient sur leurs
Us n'ont pas rencontré celui que cette
,tant de clinquant et de bruit rêve qui s'est envolé d'elle à lui dans le
geste rose de sa main.
vision inattendue vient de lui rappeler.
Des domaines, un château, un nom...
n€anx
Toutes les brumes dispersées dans l'espamit ^
regardaient éga[u'i ''igéBiJnr
^',cls Pierre Dambach. Ah ! pourquoi tout cela lui man'que-t-il ? pace semblent s'amasser sur son front ; sa
5
Pourquoi
n'est-il
pas
au
milieu
de
ces
joie prend vol vers l'azur qui s'égaie atv
Èeval oi!» ^ trouvait là par hassrd,
i ■. ■ -'liant h Ar^crii-m
favoris du destin leur égal, leur maître ? dessus d'octobre fleuri d'or ; et, durant le
Des
rages
lui
viennent
de
courir
aux
imr<
reste de la route, c'est par des paroles dis, i 'ipîsser .„-ï"
'' dernere une haie, il
c«l!e qu'il
cime.
portuns, de les bâtonner, de leur arracher traites qu'elle répond aux compliments de
j celle qu'ils essaient de lui voler.
ses admirateurs.
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«r SYLVAIN DÉGLANTINE
I
5
Pt
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à vendre. Rapport 4.500 fr., 15
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Ecrire au Journal, E. 9. 8166.
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— Elle morcelle nos propriété».
— EHe détruit la belle harmonie da
paysage.
— Nous allons être incommodés par 1*
fumée des locomotives, assourdis par la
bruit.
— N'était-ce que cela ! Mais nous ne serons plus maîtres chez nous ; des milliers
do gens vont passer sans cesse, qui fouilleront du regard nos prooriétés, inspecteront nos fenêtres — les yeux d'Argus dans
notre vie privée.
— Sans compter que cette ligne deviendra pour les masses un puissant agent
d'émancipation, ajouta un fin pobtique.
— Très juste, approuva Hector de la Ravine. Et déjà, le mouvement commence.
Ces chemineaux répandent chez nos paysans l'esprit de révolte dont ils sont animés. Si vou3 connaissiez leurs théories,
vous frémiriez déjà. Je me suis rencontré,
l'autre soir, avec Henri de Brémont, vous
savez '?
— Oui, oui, il s'est fait terrassier, paraît-il. Une honte.
— Et ce n'est pas la seule. Il a craché
sur son blason ; c'est l'ennemi juré de la
noblesse, qu'il répudie ; son apostasie
s'étale au grand jour en exemple funeste ; ses idées incendiaires s'infiltrent dans
les consciences, préparent le cataclysme
que vous redoutez.
— Nous n'en sommes pas encore là, rassura un optimiste, la noblesse est forte,
la Révolution ne l'a pas abattue ; un nouvel assaut la trouvera debout, solide, pareille à la falaise contre laquelle vient sa
briser la mer.
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Elle va à lui de tout son petit cœur
franc et bon ; elle se sent fière d'être entrée dans ia vie de cet intellectuel, grand,
fort, taillé pour les combats.
Et son âme exulte en se remémorant
l'instant définitif où leur amour s'est révélé par un geste lointain, irnmensifiô dans
les premières pourpres du soir.
Leur amour... Qu'il est doux de prononcer ce mot. Combien de rêves et de félicité
sur sa musique ailée.
Non, ils ne seront pas condamnés à la
torture de s'aimer de loin sans s'aborder
jamais.
Pour l'avoir près d'elle, bien à elle, il
n'est pas lourde tâche qu'elle ne puisse
entreprendre.
En dépit de l'étroite surveillance dont
elle est l'objet, elle saura le voir, lui parler, lui donner confiance, effacer la distance qui les sépare, non dans son esprit,
mais dans celui du monde.
Femme de lutte, elle le sera, comme il
est lui-même homme de lutte.
Le comte de Prémusat avait été influencé lui aussi, mais d'une autre façon,
par la vue des chemineaux.
U s'était arrêté dans sa conversation frisant volontiers le bel esprit, pour épancher sa bile contre ses irréconciliables ennemis.
— Par mon blason ! ces roturiers de
malheur sont partout. Le pays en est infesté. On ne peut faire un pas sans avoir la
désagréable surprise de se trouver face à
face avec leurs bandes insolentes. Et dire
qu'ils sont là pour plusieurs années.
D'autres voix firent chorus.
— Sa MajestlÉ Louis-Philippe aurait
bien dû nous dispenser de cette" calamité !
— Nous n'avons que faire de leur voie
ferrée.
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Et aux requête, poursuites
ct diligences de M.. VictorEugène Httmbert, menuisier,
j demeurant à Nancy, run Monter, n» 33, et de M. Henri
Hennequin, liquidateur judij ciaire, demeurant en la même ville.( agissant en qualité
j de syndic provisoire ue la
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et chez tous les Agents d'Alcyon de la Région.
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Les actionnaires de la Société Nanêéienne du Béton Armé
sont priés de vouloir bien assister à l'assemblée générale
ordinaire qui se tiendra dans
les bureaux de la Société, rue
des Chaligny, à Nancy, le
mardi 2S avril 1014, â 14 h. 1/8,
pour délibérer sur l'ordre du
jour suivant :
1° Rapport du Conseil a administration, rapport du Commissaire. Discussion et. s'il
y a lieu, approbation des
comptes et du bilan présentés
par le Conseil,
S» Autorisation au Conseil
de remettre, aux représentants de M. Léon Simcttre, administrateur décédé, les titres,
par lui déposés, en garantie
" 'i» AHectation des bénéfices.
4« Nomination de nouveaux
administrateurs.
5 Fixation des jetons de présance des administrateurs.
6° Nomination du Commissaire des comptes pour l'exer.
cice 1914 et fixation, de sa rémunération.
7" Autorisation
à donner
aux administrateurs, conformément aux prescriptions de
l'art. 40 de la loi du 24 juilCenformément à l'article 25,
«tre VI des statuts, les propriétaires d'actions au porteur
qui voudront assister aux assemblées générales, devront
déposer leurs titres, soit au
siège social, soit à la Banque
Renauld, société anonyme,
place Saint-Jean, à, Nancy, au
pftis tard le 22 avril 1914.
Les ac'ionnnires qui ne
pourraient assister à l'assemblée et qui désireraient y être
représentés, sont priés de demander le pouvoir nécessaire
au siège social.
8096.
INSERTION LEGALE
1" Avis
MONDE
INSERTION
LEGALE
M.Gaogloff
2' A¥S8
Par acte sous seings privés en date du 30 mars 1314,
M. Joseph CORDONNIER, propriétaire, demeurant à Bréhain-la-Ville (M.-et-ML),
A acquis sur la liquidation
judiciaire de M. Martin MAZUEL, limonadier, demeurant
à Nancy, rue des Quatre-Eglises, n° 23, représentée par M.
Henri Hennequin, liquidateur
judiciaire, demeurant à Nancy, rue Philippe-de-Gueldres,
na 2, en sa qualité de liquida.,
teur de ladite liquidation judiciaire, et dûment autorisé à
cet effet,
Un fonds de commerce de
limonadier avec chambre garnie, connu sous le nom de
« Café de la Lune », exploité
à Nancy, rue des QuatreEglises, "n° 23, dépendant le
ladite liquidation.
Dix jours au plus tard après
la présente insertion, opposition pourra être faite au paiement du
prix,
chez M.
HENNEQUIN, liquidateur susnommé, où domicile a été élu.
7760.
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CENTS
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ARTIFICIELLES
Lhimrgicn-asntistelie la Faculté
de Médecine de Nancy
Mécanicien- Dentiste
Diplôme de Genève
Consultations de 8 h. à 8 (a.
21, rus de l Lquitatlott
NANCY
2e Avis
B, rua SstSnt"J6mtt, s
fin face los Grand» Magasin
François VAXELAÏRE).
à
B ET
tous. Solution cert.
nti aide à s'établir. Union
Ptinancière,
23, r. Joubert, Paris
2* Àvls
M. VENTURI, propriétaire
du café de la Frontière, à Auboué (Mt-et-M.), à vendu son
fonds de café à M. DEMEN1CONÎ, Eugène.
776S
I [
|
Par acte sous-selng privé en
date à Champigneulles, du S0
mars 1914, M. et Mme ViLLAUME ont vendu à M et
Mme ALTENBURGER, habitant Champigneulles,
Le fonds de commerce de
Café-Restaurant qu'ils exploitent 70, rue de Nancy à ChanipigneuEIes.
Pour recevoir, s'il a lieu,
toute opposition, élection de
domicile est faite chez M. L.
IWESSAMCY, rua de i'Equiîation, 21, Nancy.
7766
|
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!
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notaire à Nancy, et déposé
en son étude où lés amateur.;
pourront en prendre connaissance.
Les frais faits pour parvenir à la vente seront payables
par l'adjudicataire en déduction de son prix.
S'adi'esser, pour tous renseignements, soit à M0 LARMOYER, notaire, soit à M03
TH1EBAUT et VIAL, avoués
ou à M. Hennequin, liquida,
teur,
rue Philippe-de-Gueldres, â Nancy.
Fait et rédigé à Nancy, le
8 avril 1S14, par M» THIEBAUT, avoué soussigné.
A. THIEBAUT.
Enregistré à Nancv, le
avril 1914, f>
, case
Reçu un franc 88 centimes,
décimes compris.
' 8164
Signé : HENRION.
B ' -
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12, ras Saint-Sserges, 12
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pmmimimî
Aux termes d'un acte sous
seings privés en date du 15 j
Suivant acte sous seings mars 1914, enregistré à Nanprivés, en date à Nancy du 31 cy, le 25 mars 19:14, folio 48, i
mars 1914, enregistré, M. Vic- case 17, par le receveur qui I
tor PIERSON, épicier, demeu- a perçu les droits,
Mme Marie CHERY, demwi- i
rant à Nancy, 25, faubourg dos
Trois-Maisons,
et Madame rant a Nancy, 7, avenue de
de M. Albert 1
Jeanne BEA N PIED, son épou. France, veuve
a vendu à M. Ernest I
se, de tel assistée et autorisée, ViV^Si
gFJgWAR et la dame Céleste
BU* vendu a M. Charles LO- BOUDIN, son épouse, demeuCHEBON, umpeur en chaus- rant ensemble a Nancv rua
sures, demeurant à Nancy, Jeannot, 3, le fonds de coai !
filé Molîevaut, et à Madame merce de loueur de voitures '
CUriStine-Maria. JOLAS, son qu elle exploitait a Nancy, i
tenue, de lui assistée et au- r.ie Jeannoi, 3, comprenant I
totlsée, leur fonds de com- lo nom commercial, lS clienvicrce d'épiccrie-fruiteriF, sis tèle et 1 achalandage et ie I
). Nancy, faubourg (ies Trois- droit au bail des lieux ofi iï '
est exploité.
MSlSOns, n" 25.
L'entrée en jouissance a
Les oppositions au paiement
lu prix seront valablement été fixée au 15 mars 1914
Les oppositions, s'il y' al
\iites dans les dix jours qui
tuivront le deuxième avis, en lieu, devront être faites dans
ïfjtilde de M» BREfiEOT, huis- les dix jours, an domicile de
sier à Nancy, 26, rue des Do. l'acquéreur, 3, rue Jeannot.
niuica; '•. on domicile a été Pour insertion: E. MESOUAR.
7600. ]
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