& Année. - w° 9S80. Vendredi _10 AvrH Télépbone: 3.21.10.37 JS^-"""""" ABONNEMENTS V, iu M»; V«£t ï,,eroent, N***- S^p JOURNAL RÉGIONAL QUOTIDIEN i «0!3 MOIS I T j " " "j s*** ■■ *; :: : : : : :: :| ï > " 1 gltsaE * " " 1 SIX MOIS UN AN ! ^ - ^ io » | U » îo P< » c Oirection et Admlnlstratioti NANCY „i g'sienner sans frais dont tous les bureaux Je posta p M L'autodémocratie I' nouvelle « utopie » ne méritait pas qu'on la mentionnât à d'autre titre que celui de la curiosité, du moins les idées générales qui l'ont inspirée valent d'être retenues en un temps où il va s'agir pour 'chacun de mettre son grain de sel, sous forme de bulletin de vote, dans la marmite commune. Abstraction faite de toutes les compétitions de personnes et d'idées, le parlementarisme actuel, et avec lui l'ensemble du pays, souffrent certainement d'un excès de marchandages électoraux, et d'un défaut croissant de compétences. Entre cette situation fâcheuse, et le remède n autodémocratique » qui supprime toute élection et nous écrase sous des boisseaux de mandarins, il doit y avoir un juste milieu : celui qui libérant les élus de leurs chaînes, rendrait la fonction plus attrayante à des 'candidats expérimentés el indépendants. C'est à quoi les intéressés devraient songer. C'est ce dont nous avons souvent dit qu'une réforme électorale sérieuse doit être la pierre angulaire. titre à l'aspect hybride est celui n récent article de la « Revue », que vec tant de talent M. Jean Pinot, a ■ « un groupe d'hommes de bonne Cl nn!é « propose aux foules une nouV || constitution politique de la Fran- ' ■ i Bureaux de Paria Fwbaw* Smrt-Jean «t Boulevard Mazagnœ j se » Directe— : Rentf MEftŒR Pam^ __________ d«* w. R«* rw^c*, « 5 F'rinc*-. B^CT^ i i »»■< nstig fi j I I — MAXIME LEROY ^ PUBLICITÉ W 8, A jf.Tfft?__*'g? V! ^^!* 'i sk_ a» k«&» LA LORRAINE A PARIS 11 j , ,?_"**ratT"/****I?"» c**» i« A.-»., a i VE* ^wcwTàîwy. Mais par «nielle sotte imayrtaafcîen, il y a vingt ans, dans la rue des Dominicains, l'étudiant me faisait-il penser à Robespierre, quand il passait avec son ami Chénevrier, de Verdun, qui occupe aujourd'hui un poste important à I'Assistanee Publique, et qui pourrait nous donner (qui nous donnera) des renseignements intéressants et une opinion compétente sur les tribunaux d'enfants. | î I ! ] ^ LE JEUDI-SAINT A NANCY Un four au Marché. — A Vahallob Les œufs de Pâques Pourquoi, lorsqu'ils passaient dans les association privée dans la dépendance du rues de Nancy, — il y a vingt ans — les régime constitutionnel ; dans l'esprit de NAÎTCT, 9 avril. — Selon la tradition, I< deux étudiants Maxime Leroy et Albert ses membres, il est collecteur d'impôts, léGUSTAVE VERNON. marché de Nancy présentait ce matin 1* î Chenevier me faisaient-ils songer à Robes- gislateur, juge et administrateur "autonoC grando animation pittoresque de la se» piero et à Saint-Just '? Nous subissons mes. Gérant de l'intérêt collectif ouvrier, mai ne de Pâques. CC parfois des analogies incompréhensibles tuteur de la corporation, le syndicat a la Tout en reconnaissant que « les prinDans les viviers, rafraîchis par un filet que notre raison repousse, mais qui, nées conscience d'être investi d'une véritable ■ es » qui animent le parlementarisme incessant d'eau claire, les poissons mxm d'une sensation inconsciente, s'imposent souveraineté sur toutes les choses relevant rn feront encore pendant longtemps le dorés frétillaient, essayant en vain de r» pourtant à nous. de la profession. Dans la pratique, il a Maxime Leroy, secrétaire général de tous les caractères et toutes les ambitions j dérober à la main rouge qui les empoi* 1 idéal possible pour les peuples l'Union de la Jeunesse lorraine, un des fon- d'une association publique. gnait, pour les conduira au trépas. vijsés et par cela môme attachés à la Vit-on jamais fin de législature plus moudateurs de la section nancéienne de la LtPlus loin, s'étalait toute la « marée » j Syndiqué, l'ouvrier est assujetti à un fh -lé » nos novateurs apprécient que ffue des droits de l'homme, était un labo- grand nombre d'obligations nommément vementée, j'allais dire plus incompréhen- la lotte, la rascasse, principe essentiel d« h représentation actuelle est devenue rieux, de figure austère et un peu énigma- indiquées dans les statuts et sanctionnées sible ? Mais il faut témoigner du respect S bouillabaisse ; ie colin démocratique e{ I tique, épris dune passion sincère pour les par une peine déterminée : amendes, blâ- aux législateurs, alors même que, comme j la ' véritable culte de l'incompétence » la large sole. dans les jeux du cirque, ils vont mourir. u ] grandes idées sociales et démocratiques , me, radiation. La loi a reconnu aux ou- ! Tout n'est-il pas si bien renversé au siècle „ je règne excessif du verbe a Et des doigts experts épluchaient **la« e C \' qu'il servait avec un esprit volontaire et vriers le droit de grève, le droit de réunion de Pégoud, que c'est nous, les César du ' nprimé la possibilité d'utiliser rationi froid. professionnelle ; ces droits ne seraient-ils suffrage universel qui devons le salut à i sabîement des grenouilles* dont les petite* i Chènevier, plus souriant, d'une appa- pas restés vains si leurs bénéficiaires n'ar liemenl les forces sociales et morapattes avaient des soubresauts d'agonie. | rence élégamment nonchalante, ne le quit- vaient pas organisé une discipline pour ceux qui ne nous amusèrent pas toujours. Au-dessus do tous ces poissons pianaij Inclinons-nous donc, par conséquent, de ji tait guère, — et peut-être que cette amitié les. exercer ; un code de devoirs. la bonne humeur des poissonniers tobts» °u's'agit donc de sauver à la fois « le j! bonne grâce, ayant le pouvoir, fort heui fidèle au milieu des luttes politiques de Si l'on ouvre un récent livret de syndites, attentifs à leur affaire, etflpotol"< i irleaientarisme et la destinée des peu- j| 93 (de 1893, naturellement) suffit pour ex- qué, on lit au début son statut particulier, reusement, de ressusciter les morts. Le ferons-nous du moins selon les rites I par l'ardeur du « coup de feu ». pliquer mon étrange suggestion. » en instituant « le gouvernement jJ qui frappe par l'harmonie de son agen- i D origine alsacienne par sa mère, veuve cément, le détail de ses règles, l'ordre vé- jusqu'alors accoutumés et pour la dernière Jacques Cordiar. bar le peuple et pour le peuple », c'est- I Du marché aux poissons nous sommet' de l'écrivain strasbourgeois Seinguerlet, ritable enfin, œuvre de juriste, non sans fois allons-nous pratiquer ce scruiin d'ar-iire en un langage elliptique : l'aulo, Maxime Leroy fit ses études de droit à la imperfection il est vrai, à laquelle on peut I rondissement qui conserva une sorte do passé aux halles. j dfaiocratie. Faculté de Nancv et conquit son doctorat reprocher quelques redites ou quelques ! caractère familial ou ce genre de famille Colverts et sarcelles, grèbes et vanneau* en 1898. Il s'intéressait an môme temps à obscurités. Mais quelle loi est claire et où l'on a trop souvent assez mauvais ca- pendaient, attendant Vacheteur. Et on ■fout le mal est issu du régime élec- ! ractère ? Quelqu'un qui eût en 1919 posé \ l'art ; collaborant à la Lorraine artiste sans conteste ? tif Taine l'avait déjà dit : « Dans un i cette simple question eût risqué de passer ! pensait au calme des étangs, aux longues et à la Phalange. Il se fit inscrire au barLe prolétariat a écrit son nouveau droit : j attentes du gibier dans les cabanes d« ri-ime où les élections sont fréquentes, reau de Paris, devint bibliothécaire du — remarque encore Maxime Leroy — îl a pour le dernier des attardés ou le premier chasse, aux rapides détonations troublanf » la politique devient une carrière pour j comité de législation étrangère au minis- été longtemps verbal, traditionnel. Les sta- des sots. Eh quoi ! guère moins de cinq millions le grand silence. tère de la justice, fut nommé juge de paix tuts des syndicats et coopératives sont diceux qui lui subordonnent leurs intérêts i de suffrages s'étaient assez nettement proUne foule circulait devant les éventaire^ à Colombes et maintenant est juge de paix visés en titres, en chapitres ; les chapitres noncés pour la reforme électorale et pour privés ou y trouvent leur avantage perau milieu des paniers d'où partaient dm du 17° arrondissement, en articles à l'instar du code bourgeois. sonnel. Voilà les vrais citoyens actifs. i II fournit d'abord des chroniques d'or- Le prolétariat a conscience de due lo ce genre do réforme qui a fait la fulgu- protestations d'oies ' pressées, comm-fe Est-ce que vous avez jamais bien regardé | rante fortune des deux lettres R et P, vulgo mées, ne sachant où poser la tête. Eux seuls donnent tout leur temps et i dro littéraire et philosophique â l'Evénedroit.; mille expressions le trahissent imh fond des paroles historiques? Ce que, sur j ment ; il écrivit sur l'Alsace dans la Rereprésentation proportionnelle. Imagineztoute leur attention aux affaires publiDes cuisiniers d'hôtel marchaadaîenf les battes de .l'école, vous avez admiré de j vue Bleue ; il présenta l'Ecole de Nancy, médiatement. En voici quelques exemples : vous qu'une Chambre ou un Parlement j ées. En récompense de ce travail, ils La chambre syndicale des ouvriers type- jj quelconques ' résistassent à là formidable avec lenteur ; de petites bourgeoises dis» confiance, ne Vaves-vous -pas ensuite examiné tors de son exposition au Pavillon de Maront la puissance ». Par conséquent, il de plus pris, et ne l'aves-vous pas trouvé I san, puis il publia des articles de sociolo- graphes do Marseille édicté dans l'art. 22 i pression, à l'irrésistible poussée d'une telle cutaient pour deux sons. Et l'odeur det u» ses statuts : « Chaque mise bas (cessafaut supprimer les Assemblées élues, j creux, vide, et banal ? I gie juridique dans la Temps ; il est chroni- tion de travail) ne sera reconnue masse agissante ? Radis indigestaque mo- \ fromages surmontait l'atmosphère ! les. ; Les prix étaient, en général, assez él®> i queur juridique à la Revue Blanche et à ci les remplacer dans la commune, la L'autre soir j'entendais citer par Léo Clalégale qu'autant qu'elle aura d'abord été Or la République l'a parfaitement digé- vés. Ah ! le problème de la vie chère n'csl la Grande Revue ; — enfin — et suri soumise à la chambre syndicale et ensuite rée ; ce qui prouve que, nonobstant et en pas encore résolu 1 u Région (subsituée an département), et j relie une phrase qui avait Pair, ma foi, très ! tout il montra des qualités d'histoa h Capitale, par des jurys tirés au sort. ] bien tout d'abord, et qui à la réflexion m'a jI rien, de juriste, de psychologue dans autorisée par cette dernière ». « Toute- dépit dos mauvaises prédictions des pessid'autres qu'on prononce tous ! d'importants ouvrages tels que : L'esprit I fois, — promulgue la fédération univer- mistes la nature l'a douée d'un merveilleux ! j Les jurés nationaux se recruteraient! paru pareille L'après-midi ent, lieu la visite des abafti selle des ouvriers gantiers, la décision du estomac. parmi ceux de la Région, ceux de la Ij les jours, et qui ne seront point gravées dans i ce la législation Napoléonienne (1898) ; comité exécutif sera nécessaire pour légalitoirs, boulevard d'Austrasie. M. CharboïN Cependant, nous apprennent aussi les i • épuisé Le Code civil et le Droit nouveau ser une grève qui sera soutenue des fonds Région parmi ceux des communes et ces j le marbre, ni coulées en bronze. statisticiens de l'erpeusine, trois fois la nier, directeur, tint à les présenter « en Louis XIV, après un sermon de Bossu et, : (1904) ; Les transformations de la puissance Chambre des députés a manifesté, à ries j beauté ». Ils sont d'ailleurs magnifiquee, n , derniers entre tous les électeurs âgés de publique, les syndjjats de fonctionnaires dit au père du grand orateur sacré : Dans d'autres cas, la régla sonne commo ! (1807) ; La loi ; (1909) essai sur la théorie un commandement : « Tout patron qui majorités imposantes, que la R. P. était i ces nouveaux abattoirs de Nancy, couvrant « 30 ans, car « un être ne commence à — Monsieur', je vous félicite d'être le père j de l'autorité dans la démocratie ; Syndibien et exactement la sauce à laquelle la ! une surface immense avec leurs halls pouacquérir sa personnalité qu'à partir de d'un tel fils. pour une cause illégitime mettrait un ou- République, et la réaction pareillement, dé- [ vant contenir, par centaines, les bêtes da : cals et services publics (1910). vrier à ïa porte ou le forcerait à quitter I siraient qu'on accommodât tous leurs mets: ; sacrifice. cet âge ». La durée des sessions varie- \ Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais Sa dernière œuvre, la plus considérable, !: l'atelier de son gré, sera passible du chô- Ij rien n!y a fait. Il s'est lencontré un gros .rajt de un mois pour les premiers, à j 0 je trouve que le Roi Soleil, dans cette cirj Tout y e3t de la propreté la rîus minn> i deux volumes in-8 , chacun de 450 pages, i| {pafeS de son atelier ». Ainsi s'expriment i! caillou pour démontrer que seules les aufc % iss trois ou -six mois pour les autres. Toutes |j constance, ne s'est pas mis l'esprit à la tor- |\ dans la collection de la bibliothèque in- [ les membres de la Fraternité ouvrière, so- \ j truches (et encore eu êtos-vous assurés 't) tieusc. Dans les salles d'r.batage, l'ea» les affaires actuellement dévolues aux ture, et qu'il est sorti de ce compliment sans : ternationale d'économie politique (Giard j| ciété des ouvriers corroyeurs-maroqui- ij sont susceptibles de s'accoutumer au régi- | coule à torrents ; les bœufs sont dépouil( | et Brière, éditeurs) est intitulée : La Cou* | niérs de Marseille (1871.) lés avec une merveilleuse prestesse et lea I nie minéral. t conseils municipaux, conseils généraux s'être rien cassé. \ tume ouvrière. C'est à cause d'elle que je ij Au congrès fédérai de Bourges (1904), un \ Le Sénat a été, nou9 le reconnaissons, chairs grattées des porcs apparaissent tou» Tout de même parce qu'il s'agit de Bossuet . et Parlement leur seraient soumises. I rappelle le souvenir de l'étudiant nancéien i| délégué demanda que les syndicats n'ayant ' pour beaucoup, sinon pour tout, dans cette tes roses. ® D'autre part, les ministères et les ad- et qu'il est question de Louis XIV on reste i: et c'est sur elle que je voudrais retenir, ;, satisfait qu'à une des deux obligations j mésaventure. Et d'aucuns le lui reprochent Là-bas, on entend le pouls de la machi» en extase. une minute, l'atteniion de nos lecteurs. j{ f ixées par les statuts (adhésion à une Bour- I avec véhémence sous prétexte qu'émané ministrations existantes se trouvant supSi M. Durand avait dit la même chose à Ce livre étudie i organisation ouvrière, i se du travail et à une Fédération corpora- | lui-même du Suffrage restreint il no lui ne du frigorifique dont les services sont FA fs» primés, on instituerait dans chaque ré| appréciés et méritent de l'être pins enM. Dubois, assurément • cette phrase serait les syndicats, bourses du travail, fédéra- j tive) fussent néanmoins admis. appartient pas de s'occuper des assaison- core. gion, et dans la capitale, des « sections passée inaperçue comme tant d'autres. lions professionnelles, coopératives, enfin j A l'exemple du président de la Chambre \ nements que l'Universel préfère pour sa F« techniques » correspondant aux difféLes voitures de bouchers défilent incesA la vérité il est des paroles historiques qui la confédération générale du travail, non des députés, le président du Congrès écarta cuisine. pas pour en décrire l'histoire, mais pour rente compartiments de l'activité éco- sont assez vigoureusement frappées, et vous Tout cela ne nous regarde pas, pour cet- samment au trot de leurs chevaux très vt* cette_ proposition par l'exception d'inconsy découvrir la naissance d'un véritable nomique, et composées sur la désigna- vous souvenez certainement des plus énergi- 'droit prolétarien résultant de la pratique titutionnalité : le Congrès l'approuva. Ain- te raison que nous ne voulons point ici tes rapportant vers la ville toutes ces vian* envisager du point de vue politique une I des auxquelles 1 art des étuî'ors va a-.'~ii*,Gï' tl0n de s jurys respectifs « des techni- ques. syndicale actuelle qui s'est développée li- si vit-on que le prolétariat se soumettait affaire qu'il est permis de considérer sous aux statuts qu'il avait votés comme à une Mais il n'est pas bon que Von propose à brement, en dehors de la loi. ? tiens ou professionnels reconnus les •tant d'autres faces. Expliquer les statuts des associations ou- loi impérative, nécessaire et respectable et l'émerveillement confiant des hommes les — Plus capables par leurs travaux et leurs La moins curieuse n'est assurément pas les congrès ouvriers doivent être assimilés j L'après-midi, beaucoup de monde dans vrières, article par article, comme autant nota œuvres, ou désignés à l'attention des mots les plus sottement communs, les bana- de lois, confronter les règles d'atelier, les à autant de parlements dont la besogne j celle que nous indiquions au début. nos rues. Les mères de famille amenaient lités les plus douceâtres, et qu'on les établisse Au temps où l'on importunait à tout proîMïs par leurs pairs ». Ces techniciens, règles de grève, les règles de la coopéra- consiste à formuler des règles obligatoires I pos et hors de tout propos la divinité en j leurs fillettes visiter les « paradis » de* comme des monuments de Vesprit français. j églises et on s'arrêtait, longuement, d«v tion entre ouvriers, c'est étudier un sys- pour toute une catégorie "d'intérêts. jjll «"amovibles, auraient pour mission Une autre face, non moins intéressante, ' la mêlant à nos moindres querelles et plus | vant les œufs de Pàquos. tème juridique qui n'est que prolétarien. JEAN DURBAN. M étudier et de mettre au point tous menues histoires, nous n'aurions pas mannon moins originale de cette étude, est Droit en voie de formation, donc droit ns ressuscitent tant de choses dans lei imrii Knut âEmtS ' qué d'écrire : « L'homme propose, et Dieu u ^els (lui leur feront soumis par déjà partiellement formé et appliqué dont celle qui montre la part de la tradition I| dispose )> ou bien encore : « Ce que femme \ mémoires et ils représentent une tradition ur és de l'objet est de régler las relations des mem- dans ces nouveautés. Chaque chapitre de > veut, Dieu ie veut »,— car il n'est pas dou- j si longue ! y, ? , communiquer à ceux-ci Valeur réelle i5! bres de ces sociétés entre eux et ceux qui ce répertoire du droit prolétarien est pré,c j;j 'es initiatives qui leur paraîtront féconLes chrétiens voyaient dans l'euf à eau< Un êmlnont chimiste a calculé qu'un hom- les emploient. Droit méconnu bien qu'é- cède d'une note historique dont l'objet est \ teux que la R. P. appartienne au beau i C en(in me pesant 75 kilos, donnerait environ : de situer dans ie temps les règles et les ; sexe, en vertu de l'arrêt célèbre et sans i se du phénomène de I'écîosian, lo symbok ! d'assurer l'exécution admicrit ; droit inconnu bien qu'appliqué. Du fer, pour un clou de moyenne grosi appel rendu par le dramaturge sous le ti, -iraave des décisions prises par les L'auteur compare ce droit prolétarien au institutions ouvrières. Ce sens" dégagera i tre des « Femmes collantes u.» Nous assis- j même de la résurrection du Christ. ;t ;i saur ; du sel, une salière de table ; du sucre, I| Du lu ] l'impression qu'elles sont toutes anciennes, j Au moyen-âge on allait porter au roi .P s, le jury national recrute- pour un petit sucrier ; de la chaux, pour droit bourgeois avant 1789. La bourgeoi- jj Ces règles syndicales se sont formées len- i tons donc, trois fois hélas ! à une faillite 1 des ceufs dorés et enjolivés. 1 rmi sie, dit-il, longtemps avant les ordonnances j blanchir un poulailler ; du phosphore, pour j du féminisme : tugete pueri veneresque. ra (. .7 eux le « Conseil suprême » tremper douze cents allumettes ; du magné- royales, élabora empiriquement des règles ;! tentent, péniblement, bien longtemps avant On a conservé longtemps à Versailles des Quoi ! C'était en 1910 que cette pauvre I se -i-a-dire le « conseil des ministres ». sisme, pour une bonne limonade Itoger ; des qui, applicables à ses intérêts distincts, J! ta loi de I8K4 ; elles remontent à l'ancien \ ! femme, tournait vers le seigneur et maître ] ceufs ornés de peintures de Lancret et da esl 4 régime. Les premiers codes ouvriers sont albumittoïdes, pour une centaine d'œufs, et —- ia f l'économie du système. Ses étaient opposés à celles de la féodalité. Po- j vp de la graisse, pour garnir un grand pot do j thier fut le grand théoricien de cette cou- ]j nés dans les compagnonnages qui <ont [ dont la virilité s'affirme toujours au ' Watteau qui avaient été offerts par de* 5 CR attendeRt !(; |jj Utob-? "plws grand ;• dix livres... j traversé la Révolution, indifférents aux Luxembourg, de beaux yeux éplorés lui j gentilshommes de la cour à Mme Victoire, a >rts eux Soit une estimation maximum de quaran- tume. La Révolution la reprit, la trans- !] interdictions, dont quelques-unes légales f faisaient cet aveu nullement dépouillé d'aï" j l'une des filles de Louis XV et petite-fin* ttou«v.. * . ' "' ''application de ce j! forma en lois et l'Empire en codes. Les j subsistent encore. l te francs. ; tifices : « Je n'ai rien à me mettre !» Et j de notre Stanislas. ginie £erail -i dev\m l suppression S Eh ! bien, que certains gaillards que je travaux historiques les plus récents ont j j quatre années, quatre années entières ont oraIllt5 La documentation, patiemment amassée S Mme Victoire penSait-elie ouelquefoif lajfç j!? électorale et son coro!- 1\ sais puissent valoir deux louis, ça m'étonne. montré que la Révolution ne fut pas l'apdepuis 1903 pour les assises de çs travail, i passé sous lo pont des soupirs sans que j aux magnifiques œufs de Pâques de Ver» lmora!il plication d'une doctrine abstraite, une mé- J ! l'infortunée ait rien obtenu. En foi de quoi 95«* toute- el" é parlementaire avec j que révèlent des' milliers do notes", est Le bon vieux temps taphvsique en action, mais l'application jjI et l'infortunée s'en va toute nue, bravant ! saiîles lorsqu'avec sa sœur. Mine Adélaïdè considérable. Qu'on en juge : "i Second conséquences : capitulations i C'est entendu.... nous vivons, à une époque d'une organisation de faits préexistante, j ! bien malgré elle toutes les foudres préfec- i elle fuyait devant les armées républicain s i L'auteur a lu tous les comptes rendus des * «es fav ' -'sP^tion du népotisme, { d'affreux mécréants, de terribles persécuteurs Nous assistons, de nos jours à un phéno] nés 1 congrès ouvriers à partir de 1865, ceux ! torales du licencieux M. Deîanney. UrS des iR us!iccs mène analogue : ' lasociéw ! j > etc. Dans et d'infâmes bourreaux. Elle veut être couverte. Elle souffre de . LÉON PIREYRE. de l'internationale, ceux do la Paix de la acl ue!1 Mais pourtant quel est le préfet, quel est le En examinant comment ou entre dans C. G. T. (qui date do 1895), quelques cen- i circuler dans ce simple appareil, il ne 'ui U Nttieh , ° nous sommes des per- général, quel est le fonctionnaire qui un Syndicat, quels sont les organes ot le taines de comptes rendus de congrès de faut qu'un peu de R. P. pour se voiler on éUx[ de déséquilibre oserait faire subir, en l'an de grâce 1914, à administration, fédérations de métiers, enfin les comptes j mieux que la face ot c'est M. Bérangor, le Mgr Turin;-!.?,, le supplice infamant dont fut i] fonctionnement d© eon d C0 103 lois ( !i , Vie >t H l'- régissent la victime à Amance. l'évèque de Metz Conrad ! ses moyens d'action ; quelle procédure rendus des congrès socialistes : il a* ré- | Père la Pudeur,en personne qui lui dit : e e M Nsspnt 1 ° ° désaccord profond que de Boppart, sous le bon, dévôt et artiste duc i précède une grève, quelles conditions sont sumé et méthodiquement classé les statuts « Débarra-sses-nous de cette R. P. qui mo or Utes !e3 ' ' ^l'inin?A antipathies, les hai- de Lorraine, René I d'Anjou. Oyez plutôt : I exigées pour obtenir l'appui syndical, le de cent vingt et un syndicats, de trente- j gêne la vue ; montrez ce sein que je vou« L'Alarme », société antialcoolique, n Le 13 octobre 1439, l'évèque de Metz Conrad secours de chômage ou-de résistance, — ! drais tant voir !» ! ï> ^ hum ance' et Ie sectarisme entre Bayer fait pendant quelques semaines une impode Boppart, l'un des Régents du du- et au-dessus du Syndicat, comment fonc- deux bourses et de vingt sept fédérations : Au bref, on ne sait comment faire ; et le c qnm il a dépouillé attentivement la Voix du : santé campagne do réunions publiques %ne v?' régime rationnel ché de Lorraine pendant l'emprisonnement du tionnent la Bourse du travail, la FédéraPeuple depuis sa fondation (1901), l'Action | dolent suffrage universel, plein d'angoisse, j dans les principales viiles de France, dU clérilocraiie roi René, fut pris et arrêté à Arnance, près %ur , '? Peut seul faire de tion et enfin la Confédération générale du | interroge les prophètes afin de savoir si Directs (1908), la Petite République, VHuNancy, sous prétexte d'avoir molesté les aî L'opinion publique a répondu à cet efséleclion •rÇ' ttomaine« • dans tous les Lorrains. Il fut mené directement au châ- travail, il étudie en cela même la vie juri- j manité, la Bataille Syndicaliste, le Mou- ! 1918 le verra encore incertain de son sort, fort ot déjà dans tous les partis des ciC la loi ( ai dique intérieure et autonome du proléi vement Socialiste, la Vie Ouvrière, quel- ; veuf do toute compagne et privé de R. P. teau-fort de Condé (aujourd'hui Custines) en , monde riI' mettra tout le quel état; grand Dieu ! a tout nu, sans che- tariat. La réponse à ces questions forment j Seigneur ! que ces sénateurs sont entêtés toyens préoccupés de l'avenir du pays comCCOrd si on ia toent 'ev laisse libre- mise, tenant ce qu'on doit cacher dans ses un code constitutionnel, un code de tra- ques centaines de brochures syndicalistes i et qu'ils ont la vie dure. Quo de cavales promis par l'alcoolisme, ont demandé aiv-c et des publications plus importantes telles C0Dc S rCei L erreu candidats aux élections législatives da 1 eptiono '' ' r, les fausses mains, sans culotte et même sans chaussu- vail, un code pénal, un code de procé- que : Les Souvenirs d'un révolutionnaire, j ils tuent sous eux à la bataille ! nl prendre des engagements formels en fnres ». Il y demeura dix semaines dans un dure. Enfin, nous allons voir ce qui en addément éliminées, cul de basse-fosse et ne fut délivré que par du communeux Lefrançais (1902) ; le Mé11 nous donne une explication descrip- moire de la Fédération Jurassienne, de i viendra. Serait-il possiblo que ie suffrage veur des lois répressives de l'alcoolisme. 6 m°nie avr„ , !s er ce (l,ji sera en har- 200 hommes de Metz bien armés. Afin d'étendre cette utile propagande, a Pensée James Guillaume, l'ami et le collaborateur j universel lui-même so lassât d'efforts si C'est égal, ce devait être un spectacle peu tive de la coutume ouvrière. Si non? ihumaine ». « Les juristes ne voudront pas recon- dé Bakounine, enfin l'Histoire des bourses renouvelés. Ce serait, comme dit l'autre, « L'Alarme » désire adresser à la veilla banal en ce 13 octobre 1439, que" celui de ce a S résumé la fin de tout et du reste. Quel fou au XX* du scrutin un dernier appel aux élecno r, ?" ce n'est pas belliqueux et fier évèque de Metz, traver- naître le caractère juridique de ces règles, du travail, de Fernand PclJoutier. teurs. La loi sur l'affichage Obligé à pren«asiïîe Us iia,tagions le môme enthou- sant les rues de Nancy, entouré d'archers et parce qu'elles ne dépendent pas, même En outre, il a vérifié ces textes par des siècle, peut s'étonner de rien ? dre à ce propos quelques dispositions spédans le pur état d'humaine nature. indirectement, de l'autorité publique. Clas- observations personnelles do quelques miQUINCY. Ue Sembîable ciales. «I»»»..,..*,^/ff^f^rn m II ni i * ^ ori in^ manifestation siquement, notre conception du droit est litants, notamment les citoyens Coupât, K ! ns son Cabots Pour avoir le droit d'apposer des n friS!^- NonteVl objet. A ne pas toute formelle. Au lieu de grouper sous Griffuelhes, Merma, Merrheim, P. Moches, il faut do toute nécessité q i'uno perA notre éwoque, ça fait plaisir. son nom toutes les règles de la vie sociale, natte, Niel, Pouget, Tabard. ff'lS 'audrajt | Uc0llP Plus loin que Siéyès, j sonne so dévoue pour faire une déclaration Des jeunes gens qui ne supportent pas qu'on on le réduit aux règles ayant un caractère cent mai Terminons par ces quelques lignes du ^ com'nw ns de Briarée les « encabotme »... de candidature. Ainsi on obtiendra des Temps : judiciaire, c'est-à-dire s'analysant finaleOn trouve dans les contrats rendus publics1 ■5 " ^uu0n: nsur Ees doigts toutes les DE FRANCE j emplacements réservés et les affiches sement en une contrainte de l'autorité pu« Dans l'ensemble, M. Maxime Leroy arde deux malheureux matuvus embauches pour r 0rl Vel,es qni onl ront dispensées do timbre. ! er le Ln °K dû nous répandre en province les immortels chefs- blique. Tout naturellement, appuyés sur rive à cette conclusion que l'effervescence Si 0nheur Il ne pourra y avoir dans une. cire on»* "8 ,. to m? d'œuvre que lancent les cafés.concerts de Pa- une telle idée, comment les juristes au- ouvrière tend à l'ordre, et oui plus est, à S Afin d'assurer l'unité des effoi-ts qu'il cription qu'un seul candidat de « L'Alarraient-ils pu jamais penser à chercher l'ordre en fonne juridique." Selon lui, la ris ; « Tous les artistes qui gagnent 150 francs dans l'activité ouvrière les règles d'une classe prolétarienne n'est pas anarchique, est nécessaire de coordonner dans l'inté- me ». Ce candidat devra prendre l>»gain mbreuses «on ° compor- par mois verseront 3 francs au coiffeur. » organisation, d'une -véritable obligation ? elle est constituante. La coutume ouvrière rêt même de la défense do f aviation natio- j gement do ne faire ni imprimer, ni distri« Le directeur de la salle M... engage Mllei | Les syndicats connaissent cependant une élabore du droit, c'est-à-dire un système nale, il vient d'être décidé que lo Comité buer de3 bulletins de vote à son nom, da ) national pour l'Aviation militaire, présidé l 6 nontrer V... comme chanteuse de genre aux condi- Sratie » Que cette « ar^to- tions de 4 francs payables chaque soir. Mlle■ ! sanction : elle est dans cette contrainte d'obligations sanctionnées, fendant à une par M. le sénateur Heymond, et l'Asso- ne solliciter en aucune manière les suffra1 ges des électeurs, et de no poser dans l'eminexorable, égale à celle d'un tribunal cor- certaine harmonie. C'est là une bien intér Wus Pposée serait en îre It; ll de 'vrannf réalité V... devra disposer d'au moins cinq toilettes1 rectionnel, que quelques-uns appellent la ; ciation générale aéronautique, Drésidée par qile des ressante constatation qui n'avait pas en- M. Balsan, fusionneraient, avec la Ligue ' placement réservé que la seule affiche d« de scène en bon état. » j « L'Alarme ». 2n mandarinats. En tyrannie syndicale. Ainsi un syndicat con- core été faite avec cette fermeté ; elle aniDétail caractéristique : I nationale aérienne, présidée par M. R. Les personnes qui accepteraient de po« L'abus de la morphine ou de l'éther serait■ I traint, par la pression, un patron à ren- me l'ouvrage, lui donne une vie, un opti- j Quinton. ser clans ces conditions leur candidature, irgé8 à la fois ' i voyer un non-syndiqué: n'est-ce pas là une misme profonds. Le spectacle des efforts un cas de résiliation. dsllîil ^^tion ;« , de la 1 Comme conséquence de co nouvel état ' sont priées d'envoyer lo récépissé de lenr Les pauvres filles !... I contrainte, un cas de cette « contrainte Obscurs, troubles, confus des ouvriers pour d Ue de leUr app,ic; Et je lis dans une relation de voyage : ! extérieure » qui différencie pour un juris- arriver à l'ordre par le droit a quelque de choses et lorsqu'il sera définitif, la déclaration et le devis des frais d'affichage 1 fe'n? Pèserait ? " ié3 de ! Ligue nationale aérienne prendra le nom à « L'Alarme ». 2, rue Blanche, à Paris. „ du S ? , malheureux ju- i « Un jour, au théâtre de Fou-Teheou, pen-■ j consulte une règle juridique d'une siraI dant un repos, je fus très étonné de voir les> j pie règle morale ? On peut noter ici l'exis- chosQ d'impressionnant, comme aussi l'as- | de Ligue aéronautique de France. Ce nom Tous les frais, affiches, eiîvoi, pose, sont cension lento do l'âme prolétarienne s'écomédiens recevoir en hommage des specta-■ l tense d'une exécution privée 'en la forme j deviendra ainsi le titre commun aux trois 31 ,rres levant do la solidarité particulariste et s*»" p serait au% Ponsables ? i teur un cochon de lait rôti. J'appris ensuite | groupements précités, qui se trouveront ' La lutto contre l'alcooiisme est une queste Ur S !a corr, ' qu'il était d'un usage courant, là-bas, de mon-' do l'exécution étatique. Les institutions ouI réunis en un seul. tion de vie ou do mort pour le pays, tl est j^! chnicifn~ ^*" Pélence I! trer ainsi qu'on est satisfait des acteurs »... vrières font office, quoique considérées a se ??, * j. «j'^ôrala des membres do Aux applaudissements, vaine fumée de !a, comme des établissements privés et civils, •u *., * i la UÏUO nationale aérienne sera convoj gloire, fimagins que Mlle V... préférerait[ d'institutions publiques jouissant de l | 'l'V'?. '^.formes statutaires, afin de bien dans les grandes villfs «.{be 4*n» 1m * ^leur praii<j de celle !I quelquefois le îumêf substantiel de ce petitt j ïimpérium us I rauqer la projet de fusion adopté par le petites communes. Nul bon oiteyeo ne WWH - vfe-à-viâ 4s la toi, te uyn«Mcgl «st xaas eûiié de N aûcj. " l Ladite directeur I lira se «Jtrober è w «iovoir uapér^eux. 'i Les f Le sort de la R. P. t FCHOS Paroles historiques à j j j j j j is ,13 S 5 E j mm 1 c " Or ^1 Z ? S La Ligue Aéronautique ^t aS, ï « n AU \P iL I I I " U Alarme n ■ - , , —n n iiiiiwrui i- i ■ n r -n --^^^^ iniT SIXIÈME ÊOIltOM " ...„„~„™., \MONDEINTIEB] i ■ IJEII ajl^îllji3 JUili i--^ :« .««««»l£i"«"" ^ «»»«•» •» '" '"* "'" "* r ?«B 0 ,!I , s < «•••»«»■««»'"«' .«»«•«■• *" „^,,™,^,,r. Les témoins " Loups blancs' dans l'affaire Caillaux Lescontinuent leurs massacres Ceux __—. t/n vol de nuit liuc, 10 avril. — Le lieutenant aviateur Quillien, pilotant un monoplan muni d'un projecteur, a exécuté un vol de nuit maigré un vent violent. il est parti Oe l'aérodrome de Bue vers 10 neures aô du soir et a voié au-dessus «e Duc Versailles, cdateaulort, puis il a atterri à 11 h. Zâ, devant son hangar; L'escadrille de Mailiy 10 avril. -- Quatre avions militaires pilotés par les lieutenants Peltier et I>oisy, par ie caporal Blot et le maréchal des logis Clément, avec le capitaine Voisin tomme chef d'escadrille, venant de Mauiv, sont arrivés ici er.tr© huit heures et demie et neuf heures et demie, à 1 aérodrome d Ouges. Le lieutenant de Bernis et le lieutenant de Volmerange, partis de Mailiy en même temps que les aviateurs précédents, ne ÉO^I pas encore signales. L'escadrille restera à Ouges jusqu'au 18 avril, date à laquelle elle partira pour Bel Tort, pour revenir à Dijon le 5 juillet. DiJOS, 10 avril. — Le lieutenant de Volmerange, pilotant le biplan « Lyon », et venant de Mailiy, s'était égaré dans une mer fie nuages. H a atterri à b heures 45, 11 l'aérodrome d'Ougcs. UUON, Par dessus la Manche 10 avril. — L'aviateur français Sabuet, parti de Paris hier matin, avec un passager, est descendu à Croytn, banlieue de Londres. LOMUIES, Massacrés par les marocains PAUIS, 9 avril. — line nouvelle noie du cain du capitaine aviateur Hervé, dont la famille habite la province d'Oran, et du caporal aviateur Rolland, dont la fairlîBe habite Puteaus. Tj&Gsa, 9 avri;. — La vigie marocaine mi chargent M. Caîmette . LA POLITIQUE LES REVOLUTIONS Les mariore ne rair ui les valopirs* N r~„ « de l'Alliance démocratique PARIS, 9 avril. — La commission 10 avril — Les journaux ont dit qu'au moment ue l'installation iiu camiiet qi Et les evocats se balfent I si vous le jugez bon. » j D autre part, ie magistrat a recueilli I hier après-midi la déposition du docteur 1 Suuvineau. j Le docteur Sauvlneau Ce témoin a bien voum faire connaître ensuite les déclarations qu'il venait de faiI re au juge : « J ai entendu dire le jeudi 12 mars à i ma table par mon secrétaire, M. Gaston j! Vidal, jeune journaliste, que la Campagne du t'iyaro adait changer d aspect et que M. Cumiette ttau sur le point de pub.iex j I des lettres intimes de M. Caillaux. ! « Je lui objectai oue cela m eionnerait Ji de la part de M. Caîmette ; toutefois j'atj me dit M. Vidai, «ie souvenant que, lors de j 1 PAU, 9 avril. — M. Louis Bartbou est NKW-YORK, 9 avril. — Le gciieral Villa annonce qu il s'est emparé des quatre ban- arrivé ce matin à Pau. 11 est reparti immédiatement pour sa ques principales de Torréon. il déclare circonscription d'Oioron. avoir agi dans un but de représailles. Le comité radical-socialiste unifie, qui U explique que 'lorsqu'il occupa la ville I pour la première fois, des amis des rebelles avait songé à opposer une candidature à souscrivirent une somme de deux millions l'anclen président du conseil, a définitivement renoncé à ce projet. de pesetas pour raffermir le crédit du gênerai Villa ; mais lorsque celui-ci commenM. Doumsrgue dans U Gart ça sa campagne dans le Nord, les fédéraux PARIS, 9 avril. — M.Doiiinergue quittera semparôrent des banques, qui refusèrent Paris ce soir pour se rendre dans le Gard, de faire honneur aux signatures, des re- où il doit passer quelques jours. — liabelles. — Havas. vas. NEW-YORK, 9 avril. — D'après un télégramme reçu de Tampéro, la canonnière DAN \\era-Cruz, qui bombarde les positions des rebelles a atteint un immense reservoii " Intendance de pétiole. On craint que les llammes ne I | gagnent d'autres réservoirs. M. Odier, sous-intendant de pi • .e '| NEW-YORK, 9 avril. — Les amiraux amé- j ' classe à Troytss, est désigné pour Nancy. i ricains discutent la question au débarque i Etat-major ' ment immédiat des troupes qui se trouvent î| sur les transport». Ix: croiseur anglais b.sLe Hénaff, chel bat. hors cadre», est nomj sex est parti et) hâte pour Tampico. Les '! mo commissaire militaire de la eoiiim:ss;un i canonnières mexicaines ont reçu l'ordre ;j du resbau des chetmns de fer de l Est. S L'ARMÉE BREST, 10 avril. — En réponse t proche du ma noue de corieçtV-i, ^ Mme C'adiou que lui faisait M« ."?.nv*ti. I AU MEXIQUE i M. Pichon disait eu terminant que le gouvernement français approuvait en pring. cipe les dispositions, arrêtées, mais que c le consortium ne pouvait so réaliser qu'ale p près le règlement de ia question au point de vue parlementaire. v La seconde lettre est de l'ambassadeur ^ d'Allemagne, en réponse a M. Pichon. L'ambassadeur prend acte de l'accord qui s'est établi avec l'approbation, en prinq cipe, du gouvernement français, en ce qui c concerne le projet de consortium. e H signale ensuite qu'il a communiqué la , lettre du ministre aux intéressés allemands. L' « Eclair » insiste sur le fait que l'on n'a tenu aucun compte ue ces oeux doeun j n ineuts.-Havas. : LE3 "G ët £TV *i S « M. Vidal me ùiui.orsi « Lisez le Figa- ji d être détruites. Les « ro ces jours-ci, e tvous verrez ! » Et, en j■ ce qu'ils trouvent. effet, le lendemain parut ta letrte « ton Jo ». Le dimanche lu mars, M. Vidal me ! I rt LoN3r.F.s » uvriL - Lo guu verne anglais aurait uelimtivement décidé 1° f F î ration que le souverain a subie hier.* 1 riM i.i. j LA Si'iUÂT.OI'î ELUCTCE^LS ji tdaitS | ] i A Néuictiuteiiu, ei-e est toujours très vive lu avui.— Le nqtrtbre des gré- fi 1 eiiue.vi. t'icaiu, ucp'ute suriaiii, et etiiù vistes du bâtiment au0meii.e, pt«r su.te ue v coiiculielil, .vi. ivlau.ice iViaiou, muife u» ( i'adhèsiou ces Uiuçuiis emploies uux ttup | v 1 Lue leùuiou cuiittudictoire à Chûtcnois uu ttie Uissoiiie pur te Commissaire dû puacu. M. Lamine t-icaid, .- lyre lubsit uclion ue ses auversailes, a pu tepeilduiit tenu la tiiliutie jusqu a la lui. A ttouceux, yios buuig a^i icuie situé aux poi tes ue Neuiciiâteau, M. Matou u u pu parier. Il a eu* égarement tort mal accueilli ue 1 aveu ue Sun piopre journal, a Clitimiaey, tluuevillo cl u Attigneville. Les e.ecleurs sont très uiecoments de ses procèdes ue liiuij renouvelés des pius muuvais juUi's du Louiuiigisiiie el du uatiuiiit" 'ui LES (TCHEQUES u uiio viciiuits «lu tie^olï" L I, j ♦##r-« La Léo ion fftemiwr Psarpa I LE VOTE de la CHAMBH^ D'ALS ACE-LûKK A IN E Ci l'inipérialiswie allemand BERLIN, y avril. — Le vote de la Cbam fers d Alsace-Lot raine au sujet de ia tangue française provoque des critiques acerbes de la part des impérialistes aileumnds. La « Deutsch Tages Zeitung » écrit a ce sujet que ceux qui n'avaient pas encurj absolument la convictios (JUJ 1 AlsaceLorraine n'était pas digne d'une coustituttOi! doivent en être persuadés maintenant. La résolution vôtée par la Chambr.t démontre qu'un régime sévère eist absolument rieccïïiùr*. confirmé par les trois aut.es personnes qui assistaient à ce diner. 1 « Le lendemain, continue M. Vidal, pai raisattit ia fameuse lettre « Ion Jo ». M. Houcatd, juge d Instruction demande alors au témoin «nr^lle était La personne• 1 i ics \ 05^'c s tt ia nie USÉ LONDRES, i Pépoetttea^do tvi. LaJicyrïe 9 avril. — L'aviateur Malard i■j M. Boucutu a ftiiaUûS «u.cauu AL La qui avait quitté Marseille à H heures 33 ce Î beyne, conseiller rélerenaaife a la cour matin, est tombé à la mer, â quatre milles j d-;s comptes, qui éunl ciicl ae caliiuet ue ! dans lequel U a surtout parié de 1 anarchie. de Cassis. 11 a été recueilli oar îe contreM. CaUiaux au uiiii.stere ues liaauces. j torpilleur « Hussard ». — Bavas. I « De tix-s nommeux renseignements, a j du M. Labeyrie, avaient ete cuem au l'audace^twiiuà' abriter *ieurs Vo;ies meur ! (( Zeppelin n à mitrailleuse j ment de la campagne du « Figaro », mais SeAtitr, 10 avril.— Le « Berliner Tag- j M. Caillaux ne consentit pas à les rece- les exaltations d'orateurs ou d écrivains | blatt » annonce l'ouverture, à Leipzig, j voir ; il était décidé à traiter les calom- dont les paroles ou les écrits magnifiaient I d'une exposition de locomotion aérienne. j uicj par ie mépris, et il ne lui convenait lo revolver comme arme émanetpatrice et On y remarque entre autres modèles un j pai u accueillir, quelque précises quelles j qui présentaient la police comme le princinouveau « Zeppelin » muni d'une plate- j fussent, les accusations de toutes soties pal obstacle â cette émancipation. forme pour mitrailleuses, et un nouvel M. Hennion a ensuite parlé de la régleportées contre son adversaire ie plus imaéroplane- dont ia cavalerie doit être pour- pia< abie. » mrntii Ion nécessaire du port des armes. vue. S Le témoin a retrouvé, en quittant te Des agents secrets veillent à ce qu'il ne ] ministère, le 17 mars, quelques-unes des •oit pris ni photographie ni croquis de ces letties adressées à ce sujet à M. Caillaux, j MORT QS L'IMPERATRESE DU «!A?0N modèles. TOKIO, 9 avril. — L'état de santé de 1 imet les a remises au juge d instruction. <• Le faitf a-t-J dit, que M. Caillaux n'<m pératrice douairière est extrêmement criExplosion d'un dirigeable italien a tenu aucun compté montre qu il répu- tique. Tous les membres de la famille dupe, iale se sont tendus au pr iais. gnait d'employer, même p ,ur se aéienure, ROME, 'J avril. — La n Tribuna » publie PARIS, 9 avril. — Une dépêche de Toles procèdes aont on se ser ait contre lui. la dépêche, suivante de Milan : kio annonce que l'impératrice du Japon « Depuis le drame du 16 mais, à nouLe dirigeable « titta die Milano » à ia veau cies témoignages sur l'affaire Drieu est morte aujourd'hui. suite d'un incident a atterri près de Cautu. ont été offerts a M. Caillaux ; il n'a pas De nombreux curieux s'êtnnt approchés MORT D'UN ROMANCIER voulu les recevoir lui-même, mais il a du dirigeable, les carabiniers s'efforcèPAHIS, 9 avril. — Ou annonce la mort du pri son ancien chef de cabinet de les enrent d'éloigner la foule. Le pilote avait romancier populaire Pierre Sales. — Harecommandé de ne pas fumer. A un cer- tendre. vas. « C 'est ainsi que M. Labeyrie a appris de tain moment, sans que l'on connaisse la *o> M Vidal et de ceux-là mêmes, que MM cause, le dirigeable éclata, il a été comMonniot et Mazars, amis et créanciers de plètement détruit. On dit qu'il y aurait de ïïm M. Schneider, avaient, a partir du 11 jannombreux blessés, tous légèrement atvi<* au lendemain des premiers articles teints. M. Quinton, président de la Ligue natioLo « Tilta die Milano » aurait été offert sur l'affaire Pneu, été sollicités de la façoi ia plus pressante par des collabora- nale aérienne, vient d'adresser au minisà l'armée par souscription. — Havas. tère de la guerre une demande en vuet teurs de M. Caîmette, en particulier MM. MILAN, 9 avril. — Lo dirigeable « Titta u obtenir la croix de chevalier de la Lé-■ die Milano » avait été amarré à des ar- j Fianz Reiehel et de Formelle, de déclarer çiun d'honneur pour l'aviateur ....„rc bres Une rafale de vent se produisit sou- par écrit que M. Schneider était en relaPourpe. dain. L'enveloppe fut déchirée et le ballon I tiens avec M. Caillaux. J « Des offres d'argent leur furent faites ; On se souvient que cet excellent p 'ete, éclata. qui s'était déjà signale par des vols nomTrois personnes ont été blessées par le situation de qumzo mille francs par an. urenx dans les colonies français. e. nodirigeable au moment ou il a atterri. tamment en ^ Indo-Chine, effectua, penJ Les euorts ainsi faits par M. Caîmette ne Deux sont mourantes. dant ta période coL'iDiaoe en . ier En outre, une cinquantaine ont reçu cessèrent d ailleurs pas avec ses articles I sur i'adaire Pneu ; les rendez-vous avec des brûlures. j M. Mazars se poursuivirent pendant tout quabie qui le conduisit âu^êeur du Scudan Âéronauîes espions le mois ue février, et quelques jours avant à travers le désert de Nubie. Ayant en eîlet quitté Je Caire pour suile drame, M. Franz Keicnel avait encore SAIST-PETERSBUUUU, t) avril. — Lu..a vre'la vallée du Nil par Louksor, Assouan, deruaitue un uouveuu rendez-vous à M. teur allemand Mischevsky a été condamné Wadi-Haifa, puis la voie ferrée jusquà Mazars. » à trois mois de forteresse, à Varsovie, Abou-Hammed et dj nouveau le Nil il1 M. Labeyrie a ensuite exposé à M. Bouou P )"^ avoir volé au-dessus d'une enceinte caro l'état d'esprit de l'entourage de M. toucha terre à Knrthoum, juste à temps pour prendre part aux fêtes qui s y don-! Caillaux, au cours de la campagne du BERLIN , 10 avril. — On apprend de Saintnaient, en présence de lord Kitchcner àt « Figaro », „ Pétersbourg, par une correspondance pril'occasion de l'anniversaire de la vei av.'dui M. Vieîal vée, que l'instruction du cas de i'aéronauRoi d'Angleterre dans la capitale du Sou-■ Après lui, M. Vidai sera entendu par le! U Berliner est terminée. dan. Reprenant le chemin du retour l'ourjugeLe procès des trois âéronauîes allemands pe refit le parcours en sens inverse, par M. Vidal, publieiste, mis en cause par M. aura Heu aussitôt après les fêtes de Pâpetites étapes, avec une régularité par-Joseph Caillaux et par le docteur Sauvi-. ques russes, devant la cour d'appel do' Ka. 1 ' nenu, qui a été entendu aussi, confirmei taite, pour terminer définitivement sa ran-ïan. . donnée à l'aérodrome d ttéiiopous, son Berliner est accusé d'espionnage et ses d'abord en tous pointsi la déposition du doc-i point de départ: Un tel voyage se mesure par i.500 kilo-■ d'avoir volé au-dessus de terrains intar' dernier, au cours d'un diner chez M. etJ mènes, c'est-à-dire la distance qui sépare i ' Mme riauvineau, il inioiruait ce dcinier que dits. Paris du Pôle-Nord. En le faisant Marcle Figaro ailait publier les trois ietties de, j Pourpe a puissamment contribué, commes M. Caillaux a sa femme. , les auteurs des raids d'Orient, à grandirf « Ce propos, dit M. Vidal, pourra être IIKIIUF, J LE HOME IÎULE MARSEILLE, i. \ n i-: i:\ir.iu-: - rebelles pilient Un aviateur tombe à la mer I Dans les autres arrondissements dei Vosges, la campagne est . «uucuup moins a i u c h ie>> «** Si nous puoauiis â la Meuse, tiuua vujum qu u Liar-ie-Duc M. Magiiiot, députe sut- j tain et sous-serreiaire u ittat a lu guerre, a repris victorieusement toute 1 avance que pouvait avoir ga^na sur lui sou conçue relit, M. barrette. Ce demie/ a mené contre M. Maginot | une incroyable campagne de calomnies, ai.ant jusquà dire qu il était l'organisa-, | teur de i espionnage allemand dans l'Est Naturellement, ftl. Muginot, bonime tevaleur et honnête homme, aura, le 'S avrb, nda uu succès, uiuLi une éclatante vuioire. p *** îr 'réi ; Babuiage «Eune carrière a Fiavigny j -, j Un scandale LE VOYAGE DES S O U Eli L\ S ANC* LA S EN FRANCE République ; EN ÔlîîENT ! que s. La noîe dî3 puîcsitr.ccs 5 de ; i Et à Verdun M. Albert Noël taille cb r* êhe, VeraUrij " " " * ! 'itrme'en ^in^rni iur'l'cxooiuit^ ! des croupières au gênerai Maitrot. Le. g* Déluge, chef bat., chef génie à Roche- j j | uerai Mai trot est pris très souvent en J* fort, aesignô pour Verdun ; Bost, capit. à jI Ln ce qui concilie les obligations russes J g tant dent d'inexactitude et il est perdu j 1 Rouen, désigné pour Verdun ; Petitjean, |I vis-à-vis > de l'Allemagne sur la base des |! lorsqu il aborde des questions écoiieuiii)ties j capit. 4e rég. est désigné pour Nancy. I |traités de commerce en vigueur, M. Rostov-' ou sociales. M. A.beit Noël reprenum cei> 2eff a déclaré qu'aux termes de ceux-ci, le Msrt d'un général U î 1 ll d ! gouvernement russe devait éventuellement■ j l*a p^e tons que le docteur Ihiery, dép* PARIS, 10 avril.— Le « Gaulois » signale ! ' ; prévenir le gouvernement allemand, au té ue Commeicy, n'a pas de concurrect. la mort du général Desoilie, qui, depuis j1 moins j deux ans à l'avance de son intention ht le Joui nul de MuiUmcdy nous appren* trois ans, commandait la li" uivision de .de faire rentrer ia Finiande sous le régime> que dans cet arrondissement « la ci'inM cavalerie, à Paris. '.douanier de l'empire russe. gtie électorale suit tranquillement son p«w Le tir à Mailîy La commission a toutefois considéré que! uonhomme de chemin, sans trop de heurta la loi en question ne vise nullement à uni-- I sans trojj d accrocs ». , — REIMS, 9 avril — le conseil supéricui On voit que la situation électoro.e, a de la guerre, avant â sa tè.e le général II fier le régime douanier en vigueur en Fin1 avec le régime douanier de la Rus-■ \i résumé, est excellente dans ia Meuse » J offre, accompagné des généraux ue Cas- ! lande dans les Vosges pour nus amis repua» tel n au et Lanon de Ladebat, du général ! La commission s'est déclaré onposéo àt j cains. d'Amade, commandant le 6" corps, et du I commandant Herr, ont assisté, au camp i \ce^ que le projet fût soumis au préalable ' de. Mailiy, à des expériences d'artillerie 1à la Diète finlandaise, attendu que la question intéresse les intérêts économiques gëexéi i. vs par le GO" régiment. I neraux de 1 empire russe, îvlantEUvres de forteresse j La Douma a volé 1 urgence de l'examen1 FLAVIGNY, 9 uviil. — Des individus •■fi» 1 10 avril. — Le général Ruïïey, |; idu projet I l'o t pteoume êtrt; de la localité ont Su memure du conseil supérieur de la guerLa budget ruesa te la uiateiiel ue la carrière de saule, re, est désigné pour diriger des manœuSAINT-PÉTERSBOURU, a avril. — A la séance lieu dit Les baoious, exploitée pur M: vre: de forteresse qui auront lieu devant de la commission du budget de la Douma,• Co.e, entrepreneur à Fluvigny. j la place d'Epinal au commencement de le ministre des nuances ne s'est pas opUti wagonnet a eie lame à la dérW septembre et qui comporteront dans un posé à l'allocation des 28 millions de rousur Je pian incliné, une partie des uw j sauteur particulier l'exécution par les difbles pour I'amoitisseiiieiit des emprunts. chCv- des outils brisés. férentes armes, pendant une dizaine de — Havas. Du fait de ce sabotage 1:3 ouvriers vw» jours, les opérations prévues pour le déêtrj léuuits au cilOuiagO pendant o«u» , veloppement méthodique d un siège. L'L;i5piIî}.' lN ITîZ Outre les troup-es spéciales d'artillerie PARIS, 10 avril. — De Beiiin au « JourLes" dégâts matériels s'élèvent à j et de génie, la 13° division d'infanterie, nal , » : centaine de francs. La gendarmerie ^ j deux régiments de la place d'Epinal et de i « M. Paul Fort a manqué de peu d'drri-- qt'êu-. — B. Toul et des unités de réserve prendront !' .ver trop tard pour une conférence donnée part à ces opérations, ainsi que le 4e chas- ici. seurs à cheval. « Le poète, qui venait do terminer, eni Le général Legrand, commandant le 21e compagnie d'une actrice française, une> O.. ,;-,us écrit : . Dai corps, commandera les trottes de siège, tournée j CoLo.Miiiiv.-LEs-iiELLES, 9 avril. ~" .V; de conférences en Russie, fut, eni Les troupes de la défense seront placées jeffet, arrêté à la frontière- par les autori-. sible luculité de Colombey-les-Be««* ■ en ce moment en pleine «tiervcsceia \^ sous le commandement du général Mauger, tés. gouverneur d'Epinal. — Havas. « Fort heureusement, l'intervention de3 l'acte inqualifiable d un ancien «wg "^u» Ce rnous.eur Vient de faire «',<; ' lâ l'ambassadeur de i-rance et de celui de> Russie à Berlin dissipèrent ie malentenduj vaille, pour se fane connaître ue tu „|!<>. ji M. Paul Port arriva a Berlin juste ài l'i ance et même d ailleurs. H a en èiiet arbore uu drapeau? (j temps pour taire sa conférence.,» — HaV A 2 I vas. nibiiu a une des croisées tic sa lllJ. ,;.,rat veut, dit-il, se mettre sous le proie de l'Allemagne. Le plus atioinim'Die VifîLEîlT INCENDIE cette triste affaire c'est qu'on ne peut, | LONDRES, 9 avril. — Lu violent incendiei a dévoré ce' matin dans l'Uister une su-raît-il, lui faire enievet suu dia£*ft !«» Un message perbe résidence connue sous le nom de3 cii< onstance pénible, des soldatsi,s0' hev-, dît Président de La ten-eut passés uujoûrd hui par W« j Horland. 11 y a un million de dégâts. Je vous laisse a penser des exc.arrt ^ LONDRES, 9 avril. — Le « Daily Mail » j et protestations indignées de tout publie ce matin un message qui lui a été envoyé par M. Pomcuré : ""c. „.«„, U, i«u„cs C»„, * M?» « je conserve, dit ie président, un souL'Albanie l'emporta ! venir très vif de la réception qui m a été rat.ou militaire de Coluinbey , , jeUi n iro sP DURAZZO, 9 avril. — On annonce que la » cidé d'abattre cet emblème H \ l^»£ faite en Angleterre l'an dernier. C es: avec , 0 un plaisir réel que j interromprai mes va- I rébellion de Coritza peut être considéréee patriotisme et leur dignité de comme terminée. ■ Le président de ia société, M. b<lU ,'ettrî Le gouvernement est maître de la s'tuatoutes les peines à les empêcher t- .'jc^iii trer à Paris et recevoir à mou tour le roi Oon. — Havas. et la reine d'Angleterre. » Energiques ïntenîion3 dti prineo de Wied Le manifes.e so termine par l'affirma* tion que les souverains angiais trouveront VIENNE, 9 avril. — On télégraphié de à Paris un accueil très chaud et très cordial. La nation française sera heureuse de | manifester à cette occasion son amitié I et empêcha M. Scimeider I cnôt'uno^îeUr'c jugée puVcû"^^'^';^ ,ite. * L'avoué d.o Mme Cadiou a vr v^ \ 5 ] témoins t. à .M Feiiiurd, qui a coiîsîi£(s w *^i les siens. «*i^« I Le» électriciens des travaux publics se tout !| d'infanterie ; d'Aussaguel de également uns eu grève, LésboideM, i sont ç capiL Uii!' à l'état major de i.i 84' brigadeG.ssz les coto.-iniers c'a Lsanna vanta sur la mort des deux aviateurs mi- |' rtOAiwt, y avui. — iiuii tiiatiu-fuciuies de .litairas, le capitaine Hervé et le caporal jj Services de s^ntô cutuniiaue ont lernie leurs portes et ctiu- î mécanicien Rolland, qui étaient partis ! Méd.-maioi ln cl. Biscons hospice Paint- c LONDRLS, 9 avril. — Le « Daily lo.e I geuie leurs uuvl'iers qui ne veale.d pus |! N'iiiiâl pusse à CleMiioiit r'erraiid * Laine ! c grapi, » de ce malin annonce que le voie se soumettre u nue UvdvuiiO UiéUlU •- ne j; vaient aller à Fez pour se mettre à la dis- ij ii qui vont paraître incessamment, et ia 1 | b débnitii du Home Hule a été accueilli à j 40 artillerie, pas.-e hospice Sa.nt-Mihicl. UaVail - Imvus. position du général Gouraud. j « première n'est rien à côté de ces deux- jj Bedast avec un enthousiasme extraordiMéd.-major classe Touroujeun, du 17J' 1 Dans la soirée, on annonça qu'un autre j j uaire, par la population. Des mu mies-O- o -o————— pusae un oJ°. aviateur, lo lieutenant de Morlaix, avait j talith ont purcuurU les rue» d« la ville eu Infantena atterri à Fez, mais qu'on n'avait aucune j et*f*f; vr^cs"**^'" îlf>! IP chantant le « Buie Britaudia ». lis se sont nouvelle du capitaine Hervé et de son pas- | puis plus de soixante ans en relations J rendus aux principaux journaux natioM. de Touzalln.Ctief de bataillon au 107*, ' ■ eager. ! avec la famille Caillaux ; mon beau-père, nal stes en chantant des hymnes en fa passe au 91e ; Jeanjucquot, capitaine au iCQ ict l\U^.â COIlLl O i--&l*01H£tfLItO ! On télégraphia à tous les postes. En j j lâ;,",^ passe au IGi* ; bu l'on de Loriot, ca- j | veui de la liberté de l Ulstcr. S.ttvr l'ÉiLn -îiouiiG, 10 avril. — Hier, la même temps, on apprenait l'agitation qui Douma a commence la discussion d'un piu- j ramait chez les Zaers. | nistre des finances, M. Alfred Caillaux. taine au Pii', passe au lâ,i' ; Dujal des Al' Bientôt parvint la nouvelle que les ca- jI ue lui conceiliant la taxation des cerea« Je dois dira d ailleurs que dés ie t^ j limes, capitaine au lOS", passe un 2» zotia- jet j davres des aviateurs avaient été trouvés à ] mars, M. Vidal m'av,ait dit qu il }ul sem- i allemandes a leur entrés en lGniande. ves ; Pi'omoiiet, capitaine au K'.y» passe l'< tes » 10 kilomètres de Tedders, entièrement dé- j! blait utile d'aviser M. Gûi.llaux. Je n'avais i Le ruppottéûr, M. Bostuvzefl, a fait un e pouiilés de leurs vêtements, mutilés et \ avec cliifîres a l'appui, relatif à res, capitaine pu 171 , passe au 4* zouaves; j exposé, < PAHIS, 9 avril. — Ce matin, à dix heures troués de balles. I 1 itupoi tutloil des céréales et Ces funnes al]e ne croyais pas alors ia publication de fet demie, oui eu lieu aux frais du deparTl a été impossible de retrouver l'aéroi leiu*iiides en r.ulaiide. I tement de la Seine '.'^s ot>sèques de 1 agent plane. e Il a démoiiiié que ce.te importation avait Kougtau, trappe uioneneuiLut eu service a bataillon de chasseurs, passe au 11 inOn suppose que le capitaine a dû avoir j eliel d ecuitur [itu a peu les piouuits fanterie ; Maun m» cap.taine 18' chas- pour | une panne et qu'il a été attaqué avec son I laux, qu'elle connaissait, parce que j'esii- | lusses uu ma rené tinlaiidais. ! seurs, passe au 171*. i mécanicien en atterrissant. mai «jue M. Caiùau.. devait l re au mt.ns \ La cuannission s'était demandée si la supLe capitaine était depuis lo mois de sep- îj aussi bien renseigné que nous. pression ue l'importation en Finlande ue I tait r-epit-sen^er, a.n.Hi rpie le prestceiu ou i fcembie chef du centre d'aviation de Ca- j « Le lendemain se produisit ie drame, • Li faime ailemunde ne serait pas piéjusablanea. !j « Je dois avouer que je me suis alors litaire d artilïai ie. j! diciUbiB t à lu population. ' Bavas. PARIS, 9 avril. — A la Guerre Sociale ' i demande si je u avais pas eu u-rt de ne La commission a acquis la conviction on dément que le capitaine aviateur tué pas avoir avise M. Caillaux ; et quand j'ap- 1 ? L ^f^gyriTMtftt c c^cottr3 j qu il n eu résulterait pas une hausse bien au Maroc soit le frère do il. Gustave Her- pris que la question des lettres venait en éntM considérable sur le pnx de la farinevé, directeur de la Guerre Sociale. ca i~ï~ê <nt ce pij-iCd j discussion, je ie mis au courant de ce que ' Par contre, ta mesure projette aura pour je viens de vous relater, » 1 ..as, i) avril - M. Henn.on B prononj! finit:*.. PARIS, moci'atiqui:, dont M. Carnot est président, PARIS, 10 avril. — Mme Guiilcmard, amie < adresse aux électeurs un appel i,ui insiste M de Mme Caillaux qui a déjà ete entendue 11s se sont empares de plusieurs villages i pai.u uiièreinent sur la nécessite de la oi d( [comme témoin au cours tie i instruction, et les ont pides. I ue 1> ans et qui cuiiuamne_i impo»* sui i-o ie vieni a uures&er a M. ituucard la lettre suilis ont tue oes centaines d'habitants. c i a> vante : Des proclamations du « Loup Diane » Jrevenu. Là manifeste dit que la loi de J ans tr « Monsieur le juge d'instruction, p* ln it'iron an vjCiiufcii a lima bSad e .1 r d Al« j ai lu ces juui.5-ci cia.ns divers jour- I nattx que les termes «es lettres intimes i B i^c uir iiuulie atiiOiini'iiui a i apoui de uotit Maie Caillaux redoutait la divulgation I étaient tels que teur publication était « tout a fait impossibje nu journal ie moins ressoldats vient d arriver et ou l'on attend f .mer l'impôt en une sorte d enquête vexa- f^fée-i (1*111= le cab'ii^t de M Piclion, uiinis» pectueux de s-is iecteuis ». <( Av<mf été à même de connaître dans J 6 ' son Intégralité Je tcue ries deux lettres en le.'iivistcs auraient tôt fait de préparer i l7 décembre 1910. l question; je crois de mon devoir et de l'expropriation et le nivellement. | ! aipel se termine ainsi : Nous voulons m i intérêt do la vérité, de déclarer que les La prise de Torréon msmuutiuns émises au sujet du ton généadministrer, légiférer et gopvirner pour pj : NEW-VOHK, 9 avriL — On télégraphie de ral de ces lettres sont absolument funia> l'exploitation d'une région située au Congo Juaiez que le général Carantza déclare jfera la République plus forte. La paix ci, f | avoir expulse des Espagnols de Torréon, vile est ia condition du progiès social. le j parce que ceux-ci ont contribue au iriuu- utile do joindre | ^Voûs ju^re^ j ma ieure a votre dossier. Je suis d ailleurs r?»fm? Un consortium fut ébauché cen- ftffj !ÏÏ mofi Ë il casiQu lîn Deux lettres 1la sur la cession du Congo Ame! électoral i • Si.vi-For, 9 avril. — 2.000 brigands, ac- * i.—^I1 J ia Ï$M Pr 6 Crica n«ciatfon p StiTu-^ se rendre au je les tenais d une personne amie' intime de M. Caîmette, fun de ses meilleurs amis.' M. Vidal raconte ensuite qu'un soir, sei ] étaient en relations! possède unY iethe trouvant chez son ami, M. Schneider, M. de 0 lfeS o011 a s d uucS FontvieUle vint trouver ce dernier'et luii j manière déguisée. ~ ~ '"'" j dit : ^ En terminant, M. Vida! dit que M. CaS«— J'nl un taxi en bas. Venez îmmédiateI mont au Figaro avec moi. Vous vous ea-■ que M. Caillaux ne «serait plus ministre, il j tendrez avec Caîmette au sujet de l'affaire>T reprendrait l'affaire Prieu, et vu tirerait j Pneu. U y a une fortune pour vous ». " S parti. PARIS, de *Malte UN RRAiVIË A PARIS 9 avril. — Le nommé Paul une dame Rouleaux î T.ouisT — Havaa. "''''* | de réponse des grandes nUissaiciS à U Be- ![ m to ue la Grèce. et oui a j ' LA FAIUILL" irWPCRSALC TiVC.ZZ 1 3I cbesifs sont arrivées? -^ Havas^" 65 j lemagne, mais est une WiSmerFt"rar'calsf P \x\ n n' rt 0"°' ' " o» «ÇÎ à ^i» Espérons qu'on mettra fln » on idalf- sans tarder et qu ,}\,, é t, Ti "* | cïdents pegrettabïes a depion»*' 1 j,e futur statthalter g vril. Dans les couloirs Soient on assure que la nomination G L'assassin do Roulon, Lagarde, | est-il l'assassin de Maxévilîe? — a «upar vlau statthalter, qui doit succéder JjU B^Je de Vvedel, est chose faite depuis ^'^Jfu^t'dont il est question serait Ratibor et Corvey. !*Pr -fine occupe.des fonctions modestes Ce P^noinistration prussienne. — Ha- hagarde dit non. — Les témoins disent oui. Les premiers faits de l'enquête Depuis le 24 mars, jour où M. Deleau, le débitant du « Tonneau », à Maxévilîe, fut trouvé assommé dans son débit, le personnel de la brigade mobile, aidé par- la gendarmerie était en campagne pour décou: LA JOCKNEE vrir le meurtrier qui, on s'en souvient, du lundi de Vannée 10 a«. n7- ~ m' }our \était resté toute la journée débit, buvant X*MWi^ DEMAIN : Mt3 mars, dans la salle du 'UJ,0 • ,ir Mets Saint Léon le Grand i 1avec sa future victime. De nombreux té0! valdree.. «<< I i moins, ouvriers mineurs ou carriers, d'habitude ou de passage du « Ton^ZrtdtT lorraines.-- En 1217, dans clients \ » qui y avaient consommé le même m1 cries Maherus de Lorraine fait as- ; neau j avaient aperçu l'assassin et en avaient }es voSr «on successeur, l'évêque de Tou'l jour, . pu donner aux policiers un signalement sassin ,H de Senlls. i \ M*,*ffCS des boucheries et des maga- des plus précis. Un habitant de la rue Lasalle à Nancy 'Lit TEIHPEBATURE <, £n compagnie de sa. femme était entre qui, sJ5r " dans l'établissement de M. Deleau avait reî 1 c marqué également le singulier client. Mais ' "* Tn'ilon e 765, Ouessant 755. Nonvelle ! un témoin, ouvrier peintre, demeurant à A iinression nord-ouest Europe. ^ k (11 ! ] 1proximité, avait iait des déclarations for- I melles. j> 9 A NANCY l e 10 Una première fois, à neuf heures du mail était allé boire au « Tonneau » et y 1'poires I Tberm j Barom. • i Temps prtibabte. tin, \ avait causé avec lui. Le soir, un peu avant I Y " o Mneuf heures, il était allé chercher des bou-. fc/t. m, + s [ 7'*° ... ,, hteilles de bière pour le souper, il avait vu , ! I 717 Variable 747 | jfltf... + * !• nuageux v le \ même individu et avait même trinqué i j/j, s.. +1.5 | 747 , temps normal. 'javec lui. A ce moment, il l'avait dévisagé et avait remarqué, son air sournois et méchant et, détail significatif, un clignement de l'œil droit II avait conçu quelques craintes et avait quitté le plus tôt qu'il l'avait ||| OtserMtiMS de M. Beiliens.) I; pu, la salle du débit. j Tm m 1 1 ■ I 7r, i Les pistes i 0 \fi\\ &° Coucher V< WL Vfêr&Cl 7g c^S 19 h. \ ^^tt^y/ . ie tu le 1? Le temps qu'il a iait : ' Assez belle journée, jeudi, avec un peu \ de soleil. . . ——— i Distinctions honorifiques Sont nommés : Dans l'ordre dœ Dragon de l'Annam : officier, M. Lucien Lareher,. avocat à la. cour d appel de Nancy, conférencier colonial. Dans l'ordre du. Cambodge : officier, M. le capitaine Escalle, du ?ye ; chevalier : MM. Alfred Finot, statuaire, auteur du monument Daniel Fabre à Pnom-Penh. Le titre d ingénieur Sous avons reçu la lettre suivante que I MUS insérons bien volontiers : Nancy, 1© 9 avril 1914. Monsieur le Directeur, Plusieurs de rues camarades d'école me I tenaient qu'une erreur s'est glissée dans I mire numéro du 30 mars au sujet de la I demande suivante : Est-ce qu'un jeune homme sortant des I écoles d'arts et métiers a le titre d'ingé1 ïieur'/ | I Vous avez répondu : Ces élèves peuvent I prendre ie titre d'ingénieur si cela leur i Bien que n'importe quel technicien puisI se s'intiuiier ingénieur, il en est autrement I Pour les jeunes gens qui passent aux écoI les nationales d'arts et métiers. I En effet, par décret du H août 1909* des . I Brevets d'ingénieur des écoles nationales . I ûaris et métiers sont délivrés aux élèves , I ae troisième année par ie ministre du conii I lerce et de l'industrie quand ces élèves saI Mont d'une manière complète à toutes les s > I épreuves des examens généraux de soi- !| ! | i j I ws qui oijtieanent une moyenne générale i I Îî50a??> éga!e à 13' sans aucune moyenne I Particulière inférieure à 9, sont considérés 1 I f:™* r«mpnssant les conditions exigées t g™ l'Obtention uu Litre d'ingénieur A. i 3 * '*' 5 I m^li^® . 1ui ns ne remplissent pas les ïX° ' ^dessàts, mais qui obtiennent I S -u me m°yenne générale au moins MnL ' stiltô uUcun« nioyenne particu- f SL 5 . des ecolns d aris et j| ' II | I I ' I ! | I! | | !I i I métiers. médaille d'argent, d'à-II ele du ministère, est décernée i qui ont 0 ■ lèïaiï,;, "tcnu, à la suite d»s | enera % I S ux de sortie, une moyenne I a moins u I^HX.ul,ere !i. égale à 15, sans movenc 1 LK inférieure à 11. lise 11011 des médailles est mentionW Intéresses ^ d'in86nieur délivrés lîi u I L? u,llle mocf 1it a Xacte meilt la ,1 ml Inrts t. m ;r . ent des situation des jeunes écoles nationales A l'instruction Il y a quelques jours un incendie détruisait mie maison de ferme, exploitée par M. Colin, à Létricourt. , L'enquête ouverte par la gendarmerie établissait que ce sinistre était dû à la malveillance. Les soupçons se portèrent sur la jeune Marguerite Girardin, âgée- de 16 ans, originaire du pays annexé, qui était au service de M. Colin depuis quelques mois. Cette fille interrogée commença par nier le fait, mais pressée de questions, elle reconnut qu'elle avait mis le feu à de* la paille placée dans la grange pour se venger de sa patronne qui ne faisait que de la disputer. La jeune Marguerite Girardin a été arrêtée jeudi dans l'après-midi, elle était conduite au parquet tie Nancy qui la faisait, écrouer a la maison d'arrêt. X- > Cette "longue confrontation ne fut. terminée qu'à sept heures et demie du soir, moment où Lagarde fut reconduit à la maison d'arrêt. Il est probable que l'assassin du Roulon ne sera transféré à Epinal qu'après que M. Flise'aura éclairci entièrement le crime de Maxévilîe, soit en établissant la culpabilité de Lagarde, soit en établissant son innocence à ce sujet. En attendant, de nouveaux témoins vont être convoqués pour fournir des renseignoments et être confrontés avec le criminel. — CH. LENOBLE. l Société Centrale d'Horticulture de Nancy • Dimanche dernier 5 avril avait lieu, dans la salle de l'Agriculture, rue Chanzy, la réunion mensuelle de la Société centrale d'horticulture de Nancy, sous la présidence de M. Le Monnier, son président, assisté de MM. Barbier et Thirion, vice-présidents ; Emile Lemoine, secrétaire général, et Bel, trésorier. En ouvrant la séance, M. le président adresse à la famille de M, Félix Salmon, un des plus anciens sociétaires, décédé dans le cours du mois, les sincères compliments de condoléances de l'assemblée, puis il procède au dépoudlement de la correspondance du mois ; à signaler la tenue à Biarritz, les 30-31 mai et 1er juin, du 18e Congrès des Amis des roses ; une réduction de 50 % sur les tarifs des chemins de fer de Nancy à Biarritz est accordée aux membres de" la Société qui désireraient y assister. Les assistants purent admirer la jolie , collection de cinéraires hybrides à grandes ! fleurs de M. Gosset, jardinier chez M. Jac- '. quemin, à Malzéville. M. Lallement, jardinier chez M. Gournault, à Malzéville, présentait également ; deux belles variétés de cinéraires ; enfin, M. Brégeon, chef des serres du Jardin bo-. tanique, montrait un spécimen, en fleur, dune charmante plante alpine : la Painguicuila alpina, sur laquelle il fournit d'intéressantes explications. M. le président expose ensuite que M. Dudot, instituteur à Fougt qui prend sa retraite dans cette commune, a acheté di ! ses deniers un terrain dans le but de créei ■ un jardin scolaire qui lui permettra de s continuer son enseignement. Il demande \ que ia Société lui témoigne sa bienveillan ce en lui fournissant les plants d'arbres ' fruitiers nécessaires. Sa demande est ac ■ cueillie par l'assemblée. En terminant, M. Le Monnier rappellf i aux assistants que M. Thirion doit faire , le 19 avril, à 3 heures de l'après-midi, un< > conférence à Pont-à-Mousson sur la « créa tion et l'organisation d'un jardin frai ' ti;er ». M. Laisné, jardinier chef de la villf de Nancy, fera de son côté, à Nancy, h ' 26 avril,"à 10 heures du matin, au Fleu * riste de la ville, rue Bagard, une causerb " sur l'emploi des bégonias dans l'ornemen tation des jardins et leur culture. r Châl0nS AÎX , Exposition canine de Nancy ^fe kïis ' ' • (27-28 juin. 1914) I ^Wiale poigne de main. in( L'Exposition annuelle de la Société caI 'e fetident du Groupe des «mefens nine de l'Est aura lien en 1914 à Nancy, | wves d'écoles d'arts et métiers, les 27 et 28 juin. Elle sera installée au I E. THIOLÊP.E. Parc de la Pépinière. Le règlement paraîfêt8S Û i tra courant avril et sera envoyé gracieuW.'to" PâtSisos à Osteaide sement à toutes les personnes qui en adresI a?f ^elie^cii110stende s'annonce sensa- seront la demande au secrétariat de la 3 va P ' I U pôu'p r. , commencer défi le 11 Société, à Lay-Saint-Christophe (M.-et-M.) **! I ^ere fnio , e6vKuj ,er fin septembre. Pour la Cette Exposition aura une importance p , I Hues mf* saal, qui n'ouvra.-t que considérable. Le grand championnat inla lstl u mo ' I OuvoVÎ ^ ^ ment de Pâques, res- ternational doit en effet s'y disputer en I l^ion 5"P™s les fêtes. Une adminis- môme temps qu'à Paris, Bruxelles et Rot6 ISbn^e.Pour Osterwie et Spa, une terdam ; d'autre part, en l'honneur de son n» I Concert i„StKIue de Premier ordre vont, dixième anniversaire, la Société canine rer unc cre ri I .^«s, o'J,, ilg''oflre nouvelle. Dès de l'Est a décidé de donner à son exposi'• ' '^iohsS familles des aU tion un éclat tout particulier. De nomexce s I Ptionnellea breux prix d'honneur, plus de trois cents, seront attribués aux lauréats. Citons entre L INE L ^ -P AL ACE reprend j autres un vase de Sèvres offert par M. le Président de la République, des prix offerts par M. le ministre de l'agriculture au nom du gouvernement, par la ville de ; j Nancy, les parlementaires de la région, u au 13 AVeîîi. inclus j les grandes Sociétés cynégétiques et cani40 des | nés, etc... 'rt'a' K ^abléA ' " Mwmerçants lï^res ^ générale des présidents de Le dimanche 28 juin aura lieu une minerce a K^t, ;S° tenu le 28 mars ! grande réunion des chasseurs de l'Est, 5ou 11 ça', IS ^, prét,if Présidence de M. David-' j organisée par la Société canine de -l'Est, Ifeoe Httainede- la Chambre de com-.i sous le patronage du Saint-Hubert Club tl i I«1Ie » rt ar,,hlbres 'mportante réunion, 5; ! de France et avec le concours de toutes de 1 tétées commerce étaient■ i les associations cynégétiques de l'Est de la France. p ''' lu c0Urs 'rl ori ^ lCcédéà la ^Ue1 réunion, l'assembléeI ! Enfin, en même temps que l'Exposition, Tombée dans sa chambre P> Pour ut** «nation des membres ' qui est ouverte à toutes les races de chiens Dans la soirée de mercredi, Mme veuvi n uv K ^il siiDPrL ° «a.ux sièges créésj ; de chasse, de garde, de berger et de luxe, auront lieu de nombreux concours spé- Turenne, âgée de 79 ans, demeurant bou ' |C a décidé - r du travaiL ItfT^re ji^^^imité, d* présenter■ | ciaux : chasse sous terre, chiens de poli- j levard d'Alsace-Lorraine, 6, qui était mon lt!ie le sur une chaise dans sa chambre, per * KentC0Rlm«r?«t' F,01^André «roupe 21 (ban-. | ce et de défense, chiens sanitaires, etc.. ij[ tée dit l'équilibre et tomba sur le plancher • L'Exposition canine de Nancy sera cerj K de la ?' T , do Paloméra, : : Sr«au L fédération des groupesj i tainement la plus importante de toutes j Dans sa chute, elle se fractura la jambi SSl^tBt xâfm- -1 ndaustrieis de France ài les Expositions de province avant lieu en |I droite. Elle a dû être conduite à l'hôpital Fédérat \% ^ detïîv '°n des corn mL • ! _xLe CINE-PALACE reprend Jambe fracturée aux Dames Jeudi matin, le jeune François Gau! thier, âgé de 4 ans, demeurant chez ses du 10 au 13 A WRBL indus ,r, - 1 > «t^se an, ,iS mrme les dames I parents, chemin des Sables, étant monté , ,^ t^ d,f^e de ses créations danss I sur une bicyclette, tomba sur la chaussée. r iufl C^i". ^-de-chaussée, afin d'évi-• j Son frère aîné se porta à son secours. En Abattoirs de Nancy ■ S mc ■ I le soulevant pour le relever, l'enfant qui. i' Animaux abattus les 8 et 9 avril 1914 : t | avait la jambe gauche prise dans le cadre IL Bœufs. 86 ; vaches, lî ; taureaux, 9 5 du "i'» 1**** ox^Msiv Fumier élogeÎ rie la machine, eut la. cuisse gauche frac- jJ veaux, 2-15 ; moutons. 317 ; chèvres, 2 t t j turée. I! a dû être conduit à l'hôpital. jj pores, 212 ; chevaux, M ; poulains, 4. I J'- | •■ riMBN0DS00ETAIRBS ;, J < 1 7 t Mis j t LesTROSSMOQSQQETAIEES CYÇUSMf \ SpectaclcsA"* Concerts ' On a pu voir passer, jeudi matin, des cars bondés d'enfants. En effet, la colonie scolaire de Gentilly est à leur disposition pendant les vacances de Pâques, l'out y est encore amélioré, notamment la nourriture, et le public nancéien se | rend maintenant parfaitement compte de j la belle œuvre réalisée grâce au dévoué ; M. Antoine. —x La Presse de l'Est Le comité de l'A. P. E. a tenu sa réu- j nion trimestrielle à Nancy, le lundi 6 avril, i Après l'examen de diverses questions d'ordre professionnel, il a prononcé l'admis- j sion en qualité de membre actif de MM. Gordelier, do l'Union républicaine des Vosges, à Epinal ; Diot, directeur du « SerreFile », à Nancy. On a pris en considération les candide- I tores post>es par MM. Brunetcau, direc- \ teur-gérant du M Démocrate Soissonnais »;j Ilosotte, directeur de la « Franche-Com- ! té », à Besançon ; Lucien Renaudin, di- ; recteur de l'« Union Verduoise » ; ïau- i rent, directeur de « la Moselle », à TouK Enfin, le comité a fixé au dimanche 26 ! juillet, la date de l'assemblée générale annuelle qui se tiendra à Dijon et pourra ! ptre suivie, facultativement d'une visite à l'Exposition de Lyon. Théâtres THEATRE MUNICIPAL DE NANCY. | Samedi 11 avrU, à huit heures et demie, ftroupe de M. Cransac, avec le concours de \ M. ~ G. Paulin, premier rôle de comédie du j grand théâtre de Reims. — Les RomanesS ques, d'Edmond Rostand ; L'Eté de la Saint-Martin. — Dimanche 12 avril, représentation & populaire à prix réduits : Marc ceau ou les Enfants de la République, drame n à grand spectacle en cinq actes et huit t: tableaux. — — i ! Disqualifications. La guillotine sèche des disqualifications frappe aujourd d'hui les coureurs Parmentier, Geischmer, 5 Hoffmann, Barthe, Esbach, René Lacroix, Pardieu, Chestérikoff, Louis Kippert, GilP bert, T. Hue, Caro, Jacquiau, Cassard, b Courrier, coupables d'avoir pris part au G b brevet de 50 kilomètres organisé par les règlements de la Société des Courses. ri « Ils se trouvent disqualifiés de l'UVF, déclare d le communiqué officiel, et ils sont déclarés d incapables d'obtenir par la suite u une licence de cette fédération. » En y mettant le prix, cela finirait tout de même par s'arranger. " \ Une regrettable lacune s'est produite dans l'application de cette justice distributive — qui distribue les amendes plus facilement que les récompenses. Les disqualifications ont épargné les 14 partants ddu brevet militaire de 25 kilomètres, sous hles mêmes règlements. Une faute, vénielle Ppour 25 kilomètres, devient, mortelle pour S 501 kilomètres. Que sera-ce pour les 100 ki1( lomètres ! Les indulgences et les peines S* se mesureraient-elles avec une chaîne d'arpentage ? Que les innocentes victimes de l'UVF S' sèchent leurs larmes et cessent de promener par le monde un visage morose, car la Société des courses, qui leur vaut tant de fatnle disgrâce, saura verser sur leur n mélancolie le baume de la consolation. Avant la grande course de Paris-Nancy, n rnous leur réservons une grande course régionale dont le programme est en cours <jde préparation. Nous nous proposons en outré de clôtur rer la saison si bien commencée par une c course de « consolation » sous forme dd'handicap, où seront seuls admis les disq qualifiés de l'UVF. Gageons au'il y aura ce jour-là plus de p partants qffe pour les épreuves régies par \les statuts du boulevard Poissonnière. — 1 P. Q. R. — i Spectacles t , CINÉ-PALACE I fournis au cours de l'enquête. Puis, après avoir signé leurs déclarations, Lagarde fut mis en leur présence. Ils affirmèrent qu'il était' bien l'individu qu'ils avaient vu buvant avec M. Deleau lu jour où eèlui-ci fut assommé. Un témsdn, jependant, ne put être aussi affirmatif, car il n'avait vu l'homme que de dos, assis sur une chaise, Les dénégations de l'assassin Lagarde fut alors interrogé. Malgré la précision des témoignages, il affirma qu'il n'était pas à Maxévilîe le 23 mars. Appelé à fournir l'emploi de son temps, il répondit de suite qu'il était entré dans un débit du faubourg des Trois-Maisons le matin, à la première heure et qu'il y était resté toute la matinée ; il était allé manger, puis était monté dans sa chambre située dans la maison où se trouve le débit. Comme il pleuvait, il y était resté jusqu'à quatre heures. Il était revenu ensuite dans l'établissement où il avait joué aux cartes jusqu'à vers onze heures du soir. Il était enfin monté se coucher. Un ami i l'accompagna dans sa chambre et partagea son lit. Interpellé par le juge d'instruction, Lagarde maintint énergiquement qu'il n'était i pas allé à Maxévilîe et que les témoins n« ; disaient pas la vérité quand ils affirmaient : le reconnaître. i ! Une preuve matérielle Cependant nous croyons savoir qu'un j des témoins possède un» preuve matérielle : de la visite de Lagarde à Maxévilîe. Ce témoin, en buvant au débit du « Tonneau », : parlait de métier avec le débitant et celui ;i qui buvait avec lui. Il parlait notamment de creuser un puits dans un jardin qu'il possède. L'homme déclara alors qu'il était | ouvrier maçon. i Le témoin dit : « Vous faites bien mon I affaire, car moi, je creuserai bien mon j puits, mais je ne saurai pas le. maçonner. Si vous voulez je vous embaucherai, donnez-moi votre adresse » et aussitôt il tendit son carnet au soi-disant maçon qui inscrivit comme adresse : « Emile Martin, ! 4, faubourg .des Trois-Maisons ». Il fut re- I connu que cette adresse était fausse, mais, I comme on le voit, le prénom d'Emile apparaît encore et ' de plus Martin serait le nom d'un ancien camarade de Lagarde. Comme le carnet de ce témoin a été saisi, il sera facile de -confronter l'écriture de la fausse adresse avec celle de Lagarde et si elles sont semblables, la preuve matérielle sera bien établie. * Jeudi matin, Lagarde était conduit au parquet. Interrogé sur le meurtre de M. Mougel, il nia énergiquement en être l'auteur-, se faisant fort, dit-il, d'établir un alibi. Ses dénégations furent enregistrées, puis il fut reconduit à la prison. I Dans l'après-midi de jeudi, M. Flise, juge d'instruction, chargé de l'information du meurtre commis sur M. Deleau, faisait ! convoquer à son cabinet, plusieurs témoine. Il y faisait amener également Emile Lagarde afin de procéder à une confron- i tation. Une jeune incendiaire arrêtée ■ \ g 20, rue des Dominicains — 17, rue St-Dizier ■ —*— , A l'occasion des FETES DE PAQUES, reprise de l'immense succès de la saison. DU 10 au 13 AVRIL INCLUS #- Les Trois Motasqtueteires i iî * D'ALEXANDRE DUMAS En raison de la longueur du spectacle, heures sont ainsi fixées pour le DimanSamedi, débuts du ballet aérien les che et le Lundi de Pâques : Dimanche, Grand bal après le \ lro représentation à F h. fc 2° — à 4 h. 45' spectacle. . , 3» — à 8 h. 30' La location est ouverte à la caisse de la Outrages à agents jI jrue des Dominicains^ tous les jours, de Jeudi, à une heure de l'après-midi, René 111 h. à midi, et de 2 h. à minuit. Gaspard, âgé de 18 ans, manœuvre, dex meurant cité Richard, a été arrêté pour jI GRANDE TAVEHNE. le programme outrages et rébellion à agents. £actuel obtient un succès mérité, tous les numéros sont hors ligne. Samedi dé#* VOIR LA HUPMQBILE butera le ballet aérienl une des plus jolies '. Cycliste Lorrain. —- Le Cycliste Loren 6° page r attraction. Nous aurons donc, pour les rain organise pour le lundi de Pâques 13 fêtes de Pâques, un programme merveil- avril, î Un mendiant une excursion à Metz, chemin de fer jusqu'à Pont-à-Mousson. Les sociétaiLéon Blanchard, âgé de 47 ans, jour- leux jamais vu à Nancy. r nalier, sans domicile fixe, a été arrêté ] Pendant les représentations du ballet, res désirant prendre part à cette sortie I Jdevront se .faire inscrire avant le 12 coupour mendicité aux passants, cours Léo- les prix seront augmentés de 0 fr. 25. ; rant, au siège social, où ils trouveront pold. i les renseignements nécessaires: CASINO. Ce soir, dix débuts : Pélïs- I tous sier, la grande vedette parisienne, le roi t Dimanche 12 avril, promenade faeultiLES WOLEUES des comiques ; Maud et Gill, barristes- au iI ftive, indications au siège social, 46, rue de l'Alhambra de Paris ; Cous- I! des Dominicains. Jeudi après midi, Edmond Brey, âgé de tremplin j . ** * aiid Albertus, acrobates comiques eu Ij 21 arts, demeurant rue des Ponts ; Au- tan/ > Nouveau-Cirque ; Reinai-Rëinem, duettisi Jeune Cycliste Nancélenne. — La preguste Morlot, âgé de 36 ans, demeurant I j rue Saint-Thiébaut, et Jean-Emile Mar- :I ]tes comiques ; Mlle Pierval diction ; El-c j! 'mière course de classement (25 klm) dê la Villa, de l'Eldorado ; miss Aza ; M !j J.C.N. aura lieu le dimanche de Pâques, tin, âgé de 31 ans, demeurant rue Gilbert, j len ] | «sur la route Colonies-Champenoux. ont été arrêtés sous l'inculpation de vol Du-Ruil. Brevets militaires. — Le brevet miliet complicité de voi d'un porte-monnaie, i Première représentation de 1' « Orient.» (par autorisation spéciale de i: !taire (U.V.F.) se disputera le 17 avril, sui renfermant une somme de 44) fr. et des bi- Express ] l'auteur), drame en un acte et deux taj , j la route de Nancy-Baccarat et retour. joux, commis au préjudice de Mme Ja- ] ' d'engagement : 1 fr. pour les uniocob, fleuriste, place du Marché et demeu- bleaux, de Georges Villard, et première ;I 1Droit représentation de « Chambre à deux lits », nistes et licenciés, et 2 fr. pour les autres rant à Malzéville. , (cyclistes. • w cor édie-vaudeville en un acte. Pour les deux pièces, mise en scène de Les engagements sont reçus chez M. M. Mathieu, commissaire de police du |! 1Bérard, rue du Haut-Bourgeois, et cbô2 Ier arrondisseanent, a ouvert une enquête Montigny. ! M. Bâtis, boulevard Lobau, 10 bis. au sujet du vol d'une bicyclette commis EDEN-THEATRE, Cinéma Patîié, rue i * rue Saint-Georges, au préjudice de M. ** Charles G..., serrurier, demeurant à Saint- Bénit. — Allez tous voir le drame poignant et original, dont l'action se passe tout en- < Le brevet militaire de 1' « Est républiMax. », sous les règlements de fa Société tière à bord d'un puissant transatlan- cain < 4 ** tique : jd**s/Courses, se disputera le dimanche 10 moi, sur la route Nancy-Vincev et retour, Une enquête est ouverte par M. Ma-Dr LA DANSE HEROÏQUE ; at d'inscription : 0 fr. 50. 'Les prix se thieu, commissaire de police du l6r arroncomposent ainsi': 15 fr., 10 fr. et cinq pris dissement, au sujet d'un vol de linge d'une scène ■ de la vie maritime en quatre par- J[ <de o fr. Licenées gratuites. Les engagevaleur d'environ 20 fr. commis par Mar- lies | : 1. La vie â bord d'un paquebot ; 2. j iments sont reçus dans les bureaux du cel D..., âgé de 18 ans, plongeur, au pré- Le feu aux sautes ; 3. Une idylle en mer ; \! jjournal. judice de M. Henri D..., 28 ans, garçon de 4. La danse dans les flammes. café, demeurant rue de la Primatiale. Vendredi 10, soirée ; samedi 11, soirée ; j "... 8CX£ ** dimanche 12, matinée et soirée ; lundi 13, Echos du Clt-arsipionnat de lorraine — Jeudi matin, les inspecteurs de la sû- matinée et soirée. • j I ! U:i défi. — Nous insérions, hier sur la reté ont arrêté les nommés Jeanne Ber| demande du boxeur Pister 'une note "e<%nardi, âgée de 21 ans, et Jean Boullier, ELDORADO. Brasserie-Cinéma Géant, '■ âgé de 19 ans, demeurant tous deux rue 65, I rue Jeanne-d'Arc.— Entrée entièrement ! ] Clodion, .pour vol d'une certaine somme gratuite, deux représentations par jour. < i d'argent commis au préjudice d'un légion- La première, de quatre heures à huit heunaire de passage à Nancy. res et demie, et la deuxième, de 9 heures j fsans réponse, car;nou# avo^eçn à onze heures. 1 t tia, une lettre ainsi conçue : Programme sensationnel avec le « Pe« Monsieur le Rédacteur, tit Marchand de Statuettes », grand .draGROUPESet SOCIETES me en deux parties, et « Eklorado-Actua- < Je vous prierai de vouloir bien ammnlités ». ' < estimable journal que Trikri, jeune nma« La Fraternelle ».— La Fraternelle, soBock, 0 fr .15 ; 'demi, 0 fr. 25. i teui de boxe anglaise, lance' un défiV au ciété de préparation militaire pour la ca1 champion de Lorraine lièster, catégorie valerie, avait organisé, comme les années 1 poids coqs. Combat à disputer où ipvottprécédentes, le dimanche 5 avril, salle CheI dra, comme il voudra et "d'après ses connel, rue des Quatre-Eglises, à neuf heures ditions. du matin, un concours de sonneries régleM Fister est prié de s'adresser chez M. mentaires entre ses membres actifs, sous ! Emile Braun, 20, rue Villebois-Marpuiï' la direction de MM. Fromont, Barth, Rià Nancy. gal, Ristrophe, Calais, tous chefs de fanVeuillez agréer, Monsieur le Rédacteur, fares de Nancy ; la distribution des prix |etc... I dont voici ie résultat, a eu lieu à 2 heures Emile BRAUN. ' de.l'après-midi, avec le gracieux concours Comme un défi constitue toujours un des fanfares de trompettes de ChampiCOURSE CYCLISTE SUR ROUTE I encouragement à la pratique du sport gneulles et de Saint-Max. j nous avons inséré volontiers cette lettre' Palmarès.— Fanfare da ChampigneulDimanelte 12 avril j certains d'avance .que le champion acttier les, diplôme et médaille d'exécution ; fanrecevons les meilleures nouvelles, relèvera le défi. fare de Saint-Max, diplôme et médaille k deNous, l'organisation de cette épreuve. n quand le match ? La parole est à Fi* d'exécution ; M. Ménagé Edouard, direc' ... Les engagements devront être centrali-. tetr. teur de la Fraternelle, prix de direction, sés samedi soir chez $H. Remy, agent de , • ' René ALTMAYER. médaille d'or, diplôme, félicitations du jury cycles, rue de Metz, à Longwy-Bas. pour la préparation militaire ; M. Fran•amm&â aflfr. ft "y , ^ Rappelons que ia liste des prix comçois, chef adjoint, médaille et diplôme of- prend : 1° Quinze francs ; 2° dix francs ; I ferts par le général Foch, commandant le du 3" au 7U prix, 5 francs ; un maillot j 20° corps, et médaille d'argent ; M. Four» au pins jeune des arrivants. nier, trésorier, médaille de vermeil et di- « Alcyon « Est Républicain ajoute à cette listé: i ! plôme ; M. Ristrophe, médaille et diplô- Ij 1° L'une A i'oceasien des fêles de Pâques breloque argent pour le plus vieux ! me ; M. Picard, deux médailles, diplôme | des arrivants ; 2° une autre breloque ar! dont un rappel de l'année précédente ; M. |I gent pour le premier sur pneus démonta- ! ! Witte, M. Rem, M. Marande, M. Mussot, ;î bles, quel que soit son rang dans le clas- : Nouvelles inédites M .Blanchet, M. Loups Léon, M. Loups Ar- j sèment. I Entrée 0 fr. 25. Donnant droit à une -aithur, chacun une médaille et un diplôme ; j Un prix spécial sera très probablement l \ traction au choix : Chemin de fer aérien i MM. Wendling et Clément, diplôme ; M. | offert par les organisateurs de Jceuf. Birte, médaille et diplôme ; MM. Vincent■ ;i Les coureurs pourront prendre posses- ;| Ronde infernale ; Palais de glaces ; GuiFrançois, Michel, diplômes ; M. Alfred Re- sion de leurs efiets à l'endroit même de. ■j gnol Nancéien ; Loterie ;.ba casbah auï > I 100 portes ; Cinématographe ; Hoop-La' my, chef honoraire, un rappel de diplô- l'arrivée de la course Café Bastien, 32, ruej ij Bal orchestre à cordes ; Magasins fo me ; M. Jacob, médaille et diplôme ; M. de Franchepré, devant le Cercle du Ccjm- ;j rains, etc., etc. Mathieu, diplôme ; M. Antoine Cognard, merce. membre du comité, diplôme de services1 Des baquets d'eau seront mis à la disrendus à la société. Le comité a l'honneur de faire connaî- position des coureurs. MM. Dubois-Blaser, quincaillier ; Beaùtre que le tirage de la tombola gratuite aura lieu le dimanche 12 avril, à 2 heures 30' grand, marchand de cycles ; Cordier, né-: JEUX SPORTIFS de l'après-midi, brasserie Lambert, 107, rue!' gociant, et Albert Praloran, ont bien vou-; lu donner leur concours et rempliront les j Tous les jours, de 7 h. à 9 h. Skating. Saint-Nicolas. 3 Amicale laïque des Gordeliers.— La dis- fonctions de chronométreurs, juges à Far-. Ii Ring en plein air. | Tennis ; Piste cavalière ; Jeux divers tribution des prix de tir et de gymnastique rivée et arbitre. A Briey, c'est M. Mettetal, le sympathi-. ; Brasserie ; Consommations de choix. aux lauréats de l'exercice 1913 aura lieu* sous la présidence de M. Simon, adjoint au que et toujours dévoué représentant de lat j; Prochainement ouverture d'une maire de la ville de Nancy, le samedi 11. marque nationale « Alcyon », qui se char- i MAGNIFIQUE SALLE DE FÊTES courant, à huit heures et demie du soir, géra du contrôle volant, rue de Metz, ài I dan.- laquelle sera installé un patin a ' proximité de son magasin. à l'école Braconnot (rue Braconnot). j couvert. ~ L'itinéraire comprend la côte de Lan- t Tombola de i'Qrpraeiïnat national des* téfontaine, A Pâques, grande fête sportive, — UU rue de Metz, rue de la Gare, i chemins de fer. — Les lots de la tombola,, le Nouveau-Cloué. ' mination générale du parc : qui a été tirée le 1er mars, qui ne seront " ' -o ^ -e>1 1—« j pas réclamés pour le 15 avril seront acquis au groupe. Recommandation importante. Ils sont toujours déposés salle Chenel,t Des encombrements existent près de I rue des Quatre-Eglises. la gare à Homécourt, car c'est la fête et DU 20» CORPS France Prévoyante. — Les sociétaires des baraques de forains sont installées en\ ' sont informés que la recette mensuelleï bordure. Il faudra donc de Briey, monter la côte aura lieu le dimanche 12 courant, de dix| e I Désertion— Le 19 février 1912, le soldat i heures à onze heures du matin, salle des du Cloué, prendre la route d'Homécourt,. :: Louis-Auguste Garuier,du 6° régiment d'aïdescendre à Homécourt la rue Thiers (desi pas perdus, à l'hôtel de ville. cente rapide et dangereuse), passer le- tillerie à pied, quittait le fort de Frouaro pont sur l'Orne, la rue Carnot, tourner à> et déposait ses effets militaires dans le ciLe CINE-PALACE reprend gauche ; arrivée à Jœuf, rues de l'Hôtel-de-i !: metiere de Pompey. Il se rendit au , ! Ville, du Commerce, virer à la douane rue6- i| Luxembourg où il travailla dans une mine j I de Franchepré et l'arrivée en montant, ! de fer. Un jour il rentra en France et vint pente douce, à environ deux cents mètres3 [\ à Longlavilie où il fut arrêté par la gen i darmerie. Six mois de prison après plai du 1® au 1B A^Afl. inclus j de la douane devant le café Bastien. 8 —— »O » La rue de l'Hôtel-de-Ville n'est pas en1 ; doirie de M Roland. j, — Charies-Marius Lillier, du 15#, rece très bon état. vait, le 13 octobre 1913, un télégramnw 1 *** I l'informant que sa mère était gravement Les engagements seront reçus jusqu'à malade. Une permission lui fut accordé* samedi soir : 1° à Longwy-Bas, chez M. pour se rendre à Paris, et son capitaim Remy, agent de cycles, rue de Metz ; 2°; j! lui avançait même les frais du voyage à Jœuf, chez M. Lhôte, dépositaire de jour- 11 Quelques jours après, Lillier écrivait à sot naux, 45, rue de Franchepré, moyennantI capitaine, lui demandant une prolong » I tion de permission. Les t renseignement; un droit d'inscription de 0 fr. 50. Longwy-Jœuf est ouvert à tout le monde.1 i1 fournis par la police démontrèrent que U Les règlements de la Société des Courses ii mère de Lillier n'était nullement décédé* n'infligent aucune pénalisation et laissent? i' et que la dépêche fausse émanait de lî les jeunes gens absolument libres de dis- maîtresse de Lillier.— Six mois de prison puter toutes les épreuves, aussi bien celles3 ' y0lg, Voissard Célestln, du 4' bataillor ! qu'elle organise que' celles régies par d'au- j: de chasseurs, à Saint-Nicolas, est accus» rl'avuir volé un morceau de savon et ur j très fédérations. ; porte-monnaie contenant 4 fr. 50 au pré i PIERRE QUI ROULE. judice d'un camarade. Un an de prison. I 1 ; !■ I Us notations allant de 0 à 20, les élè- Pendant plusieurs jours, plusieurs pistes furent suivies. Des carriers furent, présentés aux témoins qui affirmèrent ne par les reconnaître. On chercha dans les fiches anthropométriques, on envoya au service central de la les bouteilles et les verres trouvés <,Sûreté,lasaile dans pour y relever les traces digitales. Les recherches continuaient incessantes et : vaines. Tous les individus suspects tra1vaillant irrégulièrement dans les carrières furent l'objet de minutieuses enquêtes. C'est alors que l'on apprit qu'un homme de grande taille, à la figure maigre, atteint ;d'un clignement de l'œil droit, avait été vu dans la région. Il avaiit habité dans de nombreuses chambres garnies à Nancy, se : faisant partout inscrire sur les registres 1 de logeur sous des noms différents, mais partout avec le prénom d'EmileOn rechercha dans le « Bulletin criminel » où sont inscrits tous les individus contre lesquels des mandats de justice sont décernés. On s'aperçut alors que le signalement de Joseph-Emile: Lagarde, le meurtrier de Mougel, au Roulon, le garçon livreur du Planteur de Caïffa, devait être le même que celui que l'on cherchait pour le crime de Maxévilîe. Une coïncidence fut également relevée contre le prénom d'Emile, les faux-noms donnés par l'individu étaient les noms de parents ou d'amis de Lagarde. Le meurtrier du Roulon et celui de Maxévilîe devait donc être la même personne. C'est alors qu'une vaste souricière fut établie et que, mercredi, la police de Nancy avertie par téléphone procédait à.l'arrestation de l'assassin. Reconnu par les témoins L'assassin arrivait au palais de justice, à trois heures de l'après-midiComme il descendait du « panier à salade », deux ouvriers mineurs de Maxévilîe appelés en témoignage, se trouvaient près de l'entrée. En les apercevant Lagarde eut uh mouvement de gène. 11 baissa la tète et tira sa casquette sur sa ligure pour cacher ses traits- Malgré cela, les deux mineurs reconnurent bien pour l'individu qu'ils avaient vu « Au'Tonneau », le 23 mars* M. Flise entendit tout d'abord les témoins convoqués, c'est-à-dire les deux ouvriers mineurs, l'homme et la femme habitant rue Lasalle, un ouvrier peintre de A Gentilly GRANDE TAVERNE j I\ — — I j * # J ! cïmï- Longwy-Jœoî * [ j fiiâwy-1 HBEnÂL : Ouverture d'attractions : NANCY-THERMAL e] Conseil de Guerre Les TWHS M0USQ0ETAIRES J L j — — | lonel Lecomte une belle majorité répubji- . Chronique Départementale!; - Cavalier au 5* hussards, Georges La- I J> fontaine a soustrait un manteau, une euS iotte, une brosse, dette pantalons de treill Ils, etc..., au magasin de soi. escadron. Lalontainc y travaillait en effet en qualité l'ouvrier d'aillcur. — Un "son. ^ CJ Réunions Lecomte. — On nous écrit : Sur môme jatrte Poursuivant sa campagne avec la plus grande activité dans le canton de Haroué ' dont il a à l'heure présente visité toutes : de sun programme si clair et si précis. •, 'les communes, M. Lecomte accompagné et Cs Noie la présence Uu M.V1J Lesiudinet, | présenté ' par M. Tourtel, conseiller généconseiller municipal ; Auguste Colin, bu- Ij rai ',f ' M Voinot, conseiller d arrondissej. [.COI raiiste ; Ciemeui, înstitu^ur, etç... ' Ij ment et M- Vuifiemin, avocat a visitéimerAVIS MORTUAIRE j yi L aimable accueil lait au candidat ré- j » ELECTIONS LEGISLATIVES ) ! credi onze communes de la 2° circons puriicam est de meilleure augure pour ji cription. _ , « du 26 avril 1914 P« Vous êtes prié d'assister aux convoi fuA Laneuveville-devant-Bayon, à Saintie scrutin du 26 avril. j nèbre et enterrement de Tnezey-Sa.nt-Martm. — Mercredi après 1 Remimont, à Ormes-et-Viile, à Lemain*•>.■x midi, AÏ. René Leblanc donna une conté- ,! *vil e à Happlemont-Gerbecourt, à Attra/» CIRCO SCRIPTION DE «ANC 1 mi rence-progratame dans la commune de ', »court, à Haroué, à Crantenois et à Manre Thëaey-'Samt-Màrtin, où dans la salle de jI ^ gonville, le colonel Lecomte a tait appréCANDIDATURE LEBLANC Tt Née Adetine JOURNAL 1| «! la mairie se trouvaient 40 électeurs. cier la sincérité de ses déclarations, la décédée à Nancy, le 8 avril -1914, dans sa Les réunions de M. Leblanc Le maire si dévoué, M. Moré, prési- ji droiture de son caractère et de son pro61" année, munie des sacrements de ILayant comme assesseurs MM. Ni- I, srramme " Grande manifestation républicaine à dait, de républicain convaincu ; et très da l ! j^'t; • >? ' ilt-^v"'VVV.^>'* *biy i,,.'; 'v.>* * clausse et Guary, retraité. » nombreux partout ont été les électeurs qui " Qui auront lieu le samedi 11 courant, j P( Pompey. — On nous écit : cls r Noté ■ MM. Auteno, conseiller munici! " « Jeudi sfeir, à 8 heures, dans la coquetmalgré les pressants travaux des enamps, à 3 heures du soir. De l'église Suint-Vincent-Saint-Fiacre, i te et immense salle du Casino de Pompey, pal , ; Gigleux ; François ; Morlet, institu- ! ont répondu â son appel. te p ' Partout le programme tlu candidat tut teui, etc.. ■ ï . René Leblanc, avocat, fit un expose de on se rendra au cimetière du Sud où aura , M. te M Apres la présentation du candidat par écouté avec l'attention la plus soutenue, son programme franchement républicain lieu l'inhumation. j so M pernet, le sympathique avocat, René j * I et des marques de profonde sympathie ont et s'inspirant de véritable démocratie. M ¥ i ^* / të Maison mortuaire : et 70, rue de Metz. Le bureau fut ainsi constitué : MM. I^blane développa av'ec précision son pro- «éclaté dans toutes les communes. «rriwme républicain, lequel flt impression Il est difficile, pour ne pas dire impos- i président : Champion et Gillet, gl Il ne sera pas envoyé de Mtres de «lire Zerlauth, 'Zi et. lui valut les approbations des électeurs able dans une journée aussi remplie, ou assesseurs. et part, le présent avis en tiendra lieu, as do cette belle commune frontière, foncièÇ furent faites onze conférences, de relater M. Zerlauth, le dévoué président de la de républicaine et patriote. DR la part de : I section de Pompey de l'Association géné- rement e chacune en particulier. ] Monsieur le capitaine BONHOMME, du ' raie des employés, présente ie candidat et r Diverses questions fuient posées au c Si cependant partout le colonel Lecomte 153° régiment d'Infanterie à Ton!, et de adresse ses' remerciements aux électeurs eai : didat, qui clairement y répondit à la et son programme ont reçu tin accueil j ca | En vente dans tous les Bons Garages || Madame Renée BONHOMME, née M EL- ^ satisfaction de tous. | ®chaleureux, il faut mentionner spéciale- | venus si nombreux, tout en leur faisant :[ sa et au besoin demander adresses au Pneu Continental ;>| c NOTTE, Monsieur Jenn BONHOMME, remarquer que ce dernier n'éta* pas un Puis le suivant ordre du jour fut adop- ! ment ies communes de Vaudeville, et de j Monsieur et Madame llippilytc JOUR- f« té ' "lïoville où l'on s'entassait dans les salles , inconnu pour eux. te à l'unanimité : NAL, Monsieur Albert JOURNAL, Mon- m Avant donné .a parole à M. René LeAprès' avoir entendu le programme du d^ t mairie trop petites ; à Vaudeville oà\ ||. NANCY, 2, rue Claude Chatit, i sieur Auguste MELNOTTE et ses enfants, blanc, celui-ci remercia l'assistance et lui | candidat républicain René Leblanc, les oélecteurs étaient en effet présents, et à | ci Monsieur et .Madame Ah-x-mdre M EL- expliqua »'» de Thézey-Saint-Martin sont Roville e plus de 75 citoyens ont «acclame \ comment il fut désigné pour se 1I électeurs él NOTTE et leurs enfants, Mademoisco es de s'engager à soutenir sa candi- tle candidat républicain Lecomte et son présenter aux élections législatives dans heureux lu Adèle MELNOTTE, ie? f ami'les MEL- la PJ première circonscription de Nancy. dalure, ils promettent de voter et de faire » ■ d< , • „ . . NOTTE. JOURNAL, 'YOINQHEL, LA M- ',la 11 uéve.oppa son programme, voter pour lui, purte-drapeau des idées Pprogramme. Lpimpression générale est excellente et | comme v< ro dans la l circonscription l un» majorité républicaine bien nette sem-.l PERT, DETAMBEt, CHANTIER. LAIR, toujours, de la façon la plus claire et la îép'ublicanies ri MENN, HUSSON, BOI1N, DAR'l fïELB- 10 }j mariner Csiileux, <du ix',**-- , . plus précise et fit remarquer dans quelles de d< l'arrondissement de Nancy. s'affirmer. ! Partout la politique de M. Chapuis, dont au a £ Matiiy. — ioujours sur la brèche et mal- bie M Y, BAUMGARTEN et de ses amis.. P' ' conditions de logique et de probité politi-M. cc 3° CIRCONSCRIPTION NANCY IV Fringant se fait le continuateur, grou- ceeau ». Leur mère, aïeule, sœur, belle-soeur, , gré le temps relativement court, M. René ques il l'adopta. Le voleur a fracturé la port- d'in ■ pe le svrais républicains, ceux qui veulent ! 8continue a visiter toutes les comCANDIDATURE SCHERTZER P tante et cousine. Après avoir parlé de l'actuelle nécessité Leblanc, L u\;y\i le libre jfeu de la démocratie dans la Ré- j rrie à terre où L- ■•<,• I m unes de la première circonscription. A Saint-Nicoi*atS. — On nous écrit : * de la loi de 3 ans, puis de cette impérieu- , n. publique laïque. I Mailiy, uans ia salie de ia mairie où 60 Mardi soir la population de Saint-Niv PQWES FC*£3RES GEBÊRALES, 15/ rua Cam&stta. ,; se £ nécessité qu'est maintenant l'aboutis- J A. Vol. —- M. Meyer AugusU- v;-^. ' étaient rémis, il exposa son colas a fait un inoubliable accueil à M. ! sèment de l'impôt sur le revenu, juste, ■I électeurs é. porté plainte contre un indh-C f?*oSl gMsocitTt UGTRPAINEM^ 1, I piugiainnie aiei-creui soir, à 6 heures. \ Schertzer, candidat réounlicain de la 3" jW ASSURANCES-VU-:. CONTROLE DE L'ÉTAT Wt i: équitable, proportionnant la contribution p fl désigné et qu'il accuse rte bn'H AVIS Miïft"f OAiPE ^f Au oureau : MM. Lamy, maire, prési- circonscription. Oemand- Ag«nt3 Généraux * | l ——x Ij de di chaque citoyen à la dette publique, et, une lessiveuse estirr.ée 10 francs." dent ; Charles François et Granuiuiejr, asSiluattor, e3'av«nlr. Succès cartai^ Quand ie sympathique candidat tait son j alors plus spécialement à son d M. Victor SALOMON, ancien négociant s'adressant s' "fentrée salle du Magasin, les applaudisse- I^SSÎS NANCY. 21, Rue St-Dizter ARRONDISSEMENT QE LUNÉVILlF I a auditoire composé en majeure partie d'où- beaseurs. si en métaux : M. Pernet présenta le candidat désigné 'ments éclatent et les trois cent cinquanil démontra de quelle façon l'Etat „ Lu::rvi!,i M. et Mme Léon MICHEL et leur fille ; vriers V par les groupements républicains de i\an- te électeurs présents lui font une ovation ARRONDISSEMENT DE NANCY devait maintenant s'attacher à l'élabora- p Fermeture tardive. — Un proreX-v \ • Mme ve:;ve Laurent ; • p* i cy el eiioa^ea les électeurs a porter toute enthousiaste. POMPEY , a été dressé contre Mme vjev cV^it ^ j 'tion des lois sociales. | °, ( Mlle Joséphine LAURENT ; ! u I leur aiieuuou a ia oau&erie-coiueience du L*> bureau est ainsi compose : M. CourL03 fêtes de Pâcjwes. — A l'occasion des ,rue Pasteur, pour fermeture-'taWit- £l M. et Mme Auguste LAURENT et leurs ! ; ic Des lois cherchant à améliorer le sort <: L sympatinque canuidat, , tois, conseiller général et maire de Saint'. ffêtes de Pâques et du faubourg de Pom- son des ouvriers ont déjà été votées, non seu- ■ s, débit et à une dizaine de cor^oni \ f eut .nts ; ' AI. Kene Leolatic déclara devoir faire' \Nicolas, président ; MM. H anus, 1" ad- pey, de nombreux forains sont venus s'ins- 1teurs du quartier quj y étaient lement il faut les appliquer toutes, mais ! '""'* 1( Mme veuve SALOMON et ses enfants ; dans la présente campagne électorale tout ' joint, et Ziller, conseiller municipal, as£ taïler rue de Metz et montent leurs baraen reviser beaucoup pour arriver 1 d — Même contravention a ét'-'dr^ Le« f-ruilles CLAl'DE, LAl'RENT, MAR- encore et i sun uevoiiue repuniieaiu. le plus près possible à la perfection démo- j s ; sésseurs. , . . ,„,.... oques entre deux averses et Un rayon de MM. Thomas, débitant, rue "d'\W •' , ' TES'. SALOMON et toute ln fomille, « j n protesta pQiiUé ies auégations nienson- ' M Courtois ouvre la reunion a 8 h. 4o! soleil. ^ cratinue. » (Applaudissements.) Ils espèrent cependant pour diman- ,et à M. Henri Bach, 22 ans, iV cité cl ' Ont' la c'ouieur de vous faire part de la c * géiCa ues leuilies qui coiinju-tteut systéma-' 1et donne la parole à M. Schertzer, après Le sympathique candidat paria ensuite g ! che, lundi et mardi un temps un peu plus ,cile, qui y consommaient. ' ' * perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en tiquement les républicains. avoir rappelé que celui-ci est un vieux et, clément. t. fde l'obligation que do;t avoir la RépubliLes chevaliers de la Cambriole. ris-' la personne de * ! | exposant ensuite la première partie de , loyal répUûlicain et qu'il est son collègue ne de protéger ses travailleurs natio- j Le bal public sera donné dans ta vaste "jj :la nuit de mer credi a jeudi, 0,-5 ,„ • fi* c !, , /\ •et magnifique salle affectée spécialement à 1 :leurs ont pénétré chez M. èacbiersawJ nanx et de taxer les ouvriers étrangers ' sson piugiamme, sur l'organisation ue la\ au conseil général. .3 .-.fîl. Victor » ALO^ON ri 1 uelense uauoiiaie, il dit ies nécessités qui M. Schertzer remercie les électeurs d êde U 'le façon que la lutte économique soit o ce sujet ou l'on trouvera de bonnes con- j 14, Grande-Rue, à Lunéville. II3 'ont t i 'i ont* uicte aux législateurs sortants ia ué-' tre venus en si grand nombre ; il rappelHêo Eupfei asle-Marlo LAURENT îjan moins é^ale. (Bravos répétés.) o \ sommations en même temps un orchestre main-basse, dans la eviisine, sur ti-r,!! ue purter a trois ans la durée! le ses modestes origines et, non sans fierAprès s'être déclaré partisan dé l'aboli- :! teimiriuLon t leur épouse, mère, grand'mère, fi Te sœur, " nombrgux et choisi. douzaines d'œufs, du sucre, du beur-i-a service militaire. 11 espère que la té souligne qu'ancien ouvrier lui-même du vote par procuration à la Cham- |j au c t'nte, n'èçe, cousine et parente, décé tée tion t Pochard. — Hier, vers onze heures et du pain, du saindoux, à côté dans un ci il 1 fc à Maïtcyi le 9 avril 1914, dans sa 53° an- ntire des députés, il termina en faisant un | iFrance connaîtra ues jours meilleurs et if est et restera toujours l'ami des tra- demie, deux ouvriers, qui avaient fait de net noir, sur un paletot un pant^'of da J née. ' ■ ' ' ; vvivront apnel aux sentiments républicains qqa une peuoue ue paix et de concorue s'en- vailleuiù. i longues stations dans les cafés, desceni: parle des luttes que le parti republi-] daient le faubourg de la rue de Metz. Ils chaussures, un appai^l photwàiihiuia 1 Et vous prient d'assister aux obsèques çldes électeurs présents pour bouter hors ssuivra, Ces,individus, dont on a' trcuvr tJJ Abordant la deuxième partie de son cain a eu à soutenir a Nancy, luttes cou-' suivaient le trottoir de gauche, mais arriqui auront lieu à Ronxières-aux-Dames la L première circonscription un député II ces, avaient couché dans la maison c' a'j il stigmatisa comme il con-" ronr-ées enfin il v a deux ans par l'entrée (près C.h.-mn'gpeullpp'l le snme^i 11 couéâctiormnire soi-disant républicain. !! prugramuie, >ç les. m j ustices nscales actuelles et1 de 26 républicains au conseil municipal, vés en face le terminus du tram, l'un d'eux sont re-sssortis au petit jour. rant, vers 3 heures 3/4 de l'après-midi. L'assistance applaudit vigoureusement vient v qui avait oublié l'équilibre à la dernière Obsèques. — On a enterré jeudi mat'n. il souhaita que ie projet d'impôt sur le reve-" de la capitale de la Lorraine, Ln levée du corps se fera à NaYiçy, le et e les cris de « Vive Leblanc ! » retenti- ■ s . station et voulant montrer au public qui les dix heures et demie, Mme veuve BrWiM | nu lut vote par ia unamnie tutuie, impôt t il développe son programme très net : samedi 11 eourant, à 2 heures de '.'après- rent. r _ | r * regardait qu'il n'avait pas besoin d'être née Muet, qui était la/mère du docteur t'ad I midi, h la maison mortuaire, 25, rue des M. Charles Gérard, avocat à la cour et çqui uppoitera, dit-il, « aux classes laoo-" maintien de la loi de trois ans subordon- soutenu, lâcha son camarade .et s'allongea Briquel et la belle-mère de M. le docteùî i rieuses ue la ville et de la campagne, pe" née à l'amélioration des relations extérieuJardiniers. . cconseiller munioeipnl de Nancy, prit en- r " de tout son long entre une palissade^en Lalitte. Une foule considérable de nprso»] 8 .«"'te la parole, et tint à appuyer de son \I ttits cultivateurs et commerçants », une ère res ; impôt sur le revenu sans inquisition '; bordure ^ Il ne sera pas envoyé de !ett-ca de fai et un poteau télégraphique. Il 1j nalités a escorté son cercueil jusqu'à tu e nitoritê la candidature dé son confrère i ca équité et une répartition plus exacte de développement des lois sociales par l'é-î ,parvint avec peine à se mettre à genoux, dernière demeure. part, in nré^ent avis en tenant lieu. ! contribution que enaque citoyen doitt tal'lissement de lois sur le chômage et > T MVnric. il f t en termes chnisis une con- '] la 1 - puis à faire un sermon au poteau, pour le ; Acte de probité. — Mme Bor.rauin. ma» payer, cette loi sera humaine, ajouta-t-il,• l'invalidité ; amélioration de la loi sur les j \ I plus grand amusement des forains et des j* seuse, rue Banaudon, et Mine Richard, vu REMERClt.lEN ÎS î! [férence documentée sur le Programme de {et léponara aux aspirations ue justice so-■ accidents de travail et de celle concernant ce dernier, et adjura les républicains de t passants. Aussitôt relevé, il changeait de ! les retraites ouvrières ; défense de l'écolep trottoir et s'allongeait de nouveau entre j Gèrmaiç-Charrier, 3, cette dernière époua ! la commune de Pompev de voter enfin ciale. c ; du sous-brigaclier de police, ont trouvé' Les familles CHARRIER, LENERT et rpour le candidat républicain. il lit ensuite une énumératiqn des diffé- la.ique et surveillance stricte des écoles liune charrette à bras et le mur. 1 mercredi matin, rue Banaudon, un porte 1 DIETR1CH remercient bien sincèrement ' M. le docteur Sehmitt, conseiller muni-■ irentes lois sociales qui sont indispensa-- bres. II fut escorté jusqu'au pont de la Mo- ; monnaie contenant 45 fr. 75 qu'elles les personnes qui leur prit témoigné de la cipaî c Les déclarations si claires du candidatt de Nancy, se leva à. son tour, et meti ibies « au mieux être constant de tous less i selle par une bande d'écoliers. • déposé au commissariat de police ou loiit sympathie à l'occasion du décès "de républicain sont accueillies par des ap! nn garde les électeurs contre tous les ra- citoyens ( ». t F AULX porte-monnaie fut réclamé par Mm.» Bl» 11 conclut enfin en faisant appel aux | gots que publie ou publiera la presse réacx j piaudissements répétés. IVSadame veuve CHABRIER ' ■ Voleur arrêté. — La gendarmerie a ar- 1er, demeurant à, Valhey. républicains des électeurs. tionnaire contre le candidat républicaini i sentiments i ! Un électeur demande si, ainsi que l'a 4 Née LENERT Violences et bris de clôture.— Un pieté» D unanimes applaudissements accueillit- ! prétendu le commandant Driant, l'ouvrier rêt* Jules Charles, charretier à Monteet déc'are notamment : « qne 1 «jeunesse: t i noy, qui, à l'aide d'effraction a pénétré verbal a été dressé contre le nomjrlé AV ' de M" Leblanc, loin d'être un obstacle ài irent sa péroraison. , j serait frappé par l'impôt =4ir le revenu. M. ' dan: l'écurie de son ancien patron, M. phonse Dedenon, 25 ans, pour violent»; REMERCIEMENTS ;son élection, est au contraire une raisoni . M. René Lenlanc répondit ensuite dee Schertzer, chiffres en mains, démontre que , Narey, cultivateur, où il a dérobé une et bris de clôture. de plus pour les républicains de la pre-- la ] plus, heureuse façon a quelques quess- cette allégation est inexacte et qu'au conlanterne et une tondeuse. Monsieur et Madame S. SPIRA et toute miàre circonscription de voter pour' leÎ :; 1tlons relatives à la laïcité,' alors tous les Cet individti entra dans le hangar di s traire les ouvriers ne paieront rien, la famille remercient bien sincèrement jeune hoipme actif, courageux et intelli-- iélecteurs se déclarèrent satisfaits et see SAINT-NICOLAS son frère Emile, 17, faubourg de Villér, M. Courtois remercie, en termes éloles "personnes qui leur ont témoigné de la ,gent que, vous avez devant vous. PlaceÎ promirent il Rixe. — Dans la soirée Léon Isling, mardi après midi, en fracturant la porti i Îquents, M. Schertzer, du dévouement qu'il de soutenir la candidature Lesympathie à l'occasion du décès de 5- manœuvre, se trouvant dans un débit, qui était fermée à clef et a. pris le mulet É: aux jeunes. Et le 26 avril, tous aux ur--, blanc. | apporté à la défense de l'institution re-' it J chercha querelle à un autre consornrna- la voiture qui y étaient abrités. nés pour René Leblanc et pour la Répua. publicaine ; il le félicite chaleureusement Huucourt. — M. René Leblanc visita, fi 6 heures, en ramenant la bête et lut u teut, â qui il porta un coup de poing à la blique !» ss imercredi, à 8 heures du soir, la commune e et fait acclaméV à l'unanimité l'ordre du Née Clarisse BLUM figure, lui pochant un œil. L'agent, pré- véhicule, il empoigna au cou son frèij D'unanimes applaudissements éclatèrenti 1^e Raucourt, où, dans la salle comble de .e joue suivant : is venu, a arrêté Isling, qui a été conduit qui lui faisait de justes reproches de soi J alors et après avoir répondu à M. Jacquet,, la. i e 350 électeurs de Saint-Nicolas, réunis mairie, il exposa son programme. Le acte. i. jeudi matin au parquet de Nancy, notable commerçant de Pompey, au sujeti bureau ] fut présidé par M. Robin, maire ; à la salle du Magasin, après avoir entenREMERCIEMENTS ia Procès-verbaux. — Procès-verbal a été Les ambulants. — Un procès-verbal a fit ; de diverses précisions concernant la jus-- Marsai, ancien maire ; Colin, receveur x du le candidat républicain aux élections dressé par l'agent de police au nommé En- ! dressé contre un nomme Abraham NettSj tice fiscale et la fréquentation dos écoles, des i douanes. Noté MM. Clauss, Grand1- législatives dans la 3* circonscription, accLes Familles RICHALET, TROUP et !M.^René Leblanc fut acclamé comme can-- ;jean, etc... f. gler Léger, 28 a.ns, mécanicien, demeurant | charcutier ambulant, à Saint-Dié, pei * clament sa candidature et s'engagent à afMICHEL remercient bien sincèrement tou-" didat , i rue du Vieux-Marché, 37, pour ivresse et infraction à la loi du 16 juillet 1912, coa Le sympathique avocat fut l'objet d'une te Armer, sur son nom, le 26 avril prochain, dans la première circonscription dej tes les personnes qui leur ont témoigné de* Nancy. tapage dans un lieu public, cernant les marchands ambulants. attention toute spéciale. C'est avec nettez- leurs sentiments républicains, la sympathie à l'occasion du décès de j. Gauthier Ferdinand, 38 ans, domestique Marché de Lunéville du 8 avril 19"^ M. Aubry, le sympathique conseiller mu-- té qu'il détailla le programme du parti ti La séance est . levée au milieu d'un ense de culture à Ville-en-Vermois, a été déposé, f Blé nouveau (choix), le quintal 25,30 ; Sel nicipal de Nancy, fit un chaleureux appelI républicain dont le but est d'apporter urîe fe thousiasme indescriptible et la soirée se 31 8 3. au violon municipal pour ivresse et tapa- gle, le quintal, 20 ; Avoine, le quintal, 18 r amélioration sensible aux populations laRICHALET ;aux républicains de Pompey et les oeux"i- teimina au-cercle républicain en amicage- Ce vilain personnage ne trouvant pas Pommes de terre, le quintal, 20 ; Farine 0 les causeries. ' cents électeurs présents se séparèrent eni borieuses de la Lorraine. II parla tour à tour de l'organisation n ! Réunion à Malzéville. — On nous écrit :: l'accueil èt sa soupe à son goût, s'est mis le quintal, 37 ; Pain 1™ qualité, le MOI CYCLES BOCIIET 'se promettant ue faire triomphé? sur leÎ de la défense nationale, de l'impôt nécesl à injurier le personnel de l'hospice Saint- 0,40 ; Pain, 2e qualité, le kilog, 0,35. j nom de Leblanc les idées républicaines. sTrès bonne réunion de M. Schertzer.mera r .<S.*,' ' p'u» ancienne marque du monde: t-. B'rançois, qui lui âvuit servi à manger, saire sur le revenu et des lois sociales en Viande. — Bœuf lr° qualité, le kilog U» La République rénaît à Pompey 1 » n credi soir, salle des fêtes, dans l'impor%0ïM entier et la meilleure g Procès-verbal a été dressé. à 2,20 ; Bœuf, 2" qualité, 1,40 à 2 » ; Va* j Mdiéry, — Lunui soir M. René Leblanc; général. U insista particulièrement sur T tante commune suburbaine de Malzéville, 1'. i lre qualité, 1,40 à 2 » ; Vache, 2e qualité s'est rendu dans la commune vignobleB le devoir qu'ont les députés de rester en n qui compte près de 1,000 électeurs. M. BonJflBg5§§& Routière homme ou dams. 4QC f„ e x. Coups réciproques. — La paix ne règne> 1,20 à 1,80 ; Veau lre qualité, 2 » à W "38$. Sotrse, pista ou mute. . 101) 11,• de , t dieu, maire, avait tenu à présider. M. BonM'Uery, où .il fut chaleureusement ac-. contact permanent avec leurs électeurs et îs de ne pas seulement venir, à la veille des »s pas tous les jours chez les époux Camille! Veau 2U qualité, 1,80 à 2 » ; Mouton, l cueilli. dieu ne partage peut-être pas toutes les : Masson, rue Collot, c'est ainsi qu'un de cesi qualité, 1,80 à 3,20 ; Mouton, 2» qualité , * 60 électeurs se pressaient dans la co-. élections, quémander des voix. (Applaîu>• idées de M. Schertzer. C'est un républicain n dissements.) il matins ie mari, mécontent, invectiva sa1 1,70 à 2,40 ; Porc frais, 2 » à 2,80 ; P<» salle de mairie. plus avancé. Mais il est certainement prêt W«rW L et 19, tue an l'oat-Moaj* ,\'A.\t,Y 'quette f Il termina en demandant aux électeurs u femme avec le vocabulaire poissard ; celle-■ ' salé, 1,40 à 3,20. La présidence fut occupée par M. Ca. , j rs à faire son devoir républicain en faveur du DÉTAIL AU PRIX DU GROS 14 définitivement t, ci fit la riposte, mais reçut une conection1 ! mille Canin, le sympathique maire deB présents de -manifester candidat du congrès auquel il a pris part Foin, le quintal, 8 ; Paille, le quintal, » 1 et i leurs idées républicaines le 26 avril. ,i_ peu commune. Miliery ; MM. Alphonse Davrainville, M. Schertzer — qu'accompagnait son colBois à brûler (le stère) : Charme 18 ; .l 1 <fr a ■<». .—:1" Un ordre du jour fut adopté à l'unanié. Dans la journée, Masson revint au logis5 i| lfi ; Chêne 14 ; Charbon'de bois, l'hectf» conseiller municipal ; Charles Aigle, fulègue M. Lucien Larcher, conseiller génémité. et continua ia scène, cette fois sa compa-• tre 3,25 ; Houille, le quintal, 6. ren: assesseurs. ral du canton Est — a été accueilli avec î<3 ,„*] PS gne saisit un bâton et fr'appa avec brutaC'est en ces termes que M. Canin pré-*beaucoup do sympathie par - électeurs Enfant noyé.— Jeudi soir, vers 5 b. » *** iité le mari. senta le candidat républicain : ^ de, Malzéville. Ceux-ci forment d'ailleurs rs on a retiré de la Vezouze, auprès du P°M Réunions. — Le vendr . 'i 10 avril : Clé{, La gendarmerie, informée des faits, a de Chanzy, le corps du petit René Steiu Mes ehers concitoyens, T , . . LAXOUI mery 2 h. ; Manoncourt-sur-Seille 4 h. ;. une imposante majorité républicaine.Vingt fr. dressé procès-verbal. Je vous remercie de la • marque de sym-~ Lixières 6 h. ; Nancy-Bon-Coin, salle ReLes amateurs de rosiors pans la nuitt gl I et un conseillers municipaux sont républi■ 6 ans, qui était tombé* à la rivière, en w ! Ivresse publique. — Le charretier de ba-» du. 7 au 8 avril, des inconnus se sont in- pathie que vous venez de manifester en mee naud, 8 h. A. cains ; M. Lucien Larcher a obtenu la maa. ■* chant à la ligne derrière la maison de88 désignant à la présidence do cette séance. teau Fournier Joseph-Henri, âgé de 47 ans,> parents, au numéro 8 de la rue de Joliyel | troduits dans le jardin de M. Lebègue Samedi 11" avril : Chenicourt 2 h. ; Lé- jorité aux élections cantonales, ^è vous remercie également d'être venuss g. a fêté mercredi après-midi la dive bouteilgarde champêtre à Laxou, et y ont dérobée' éCette majorité se retrouvera certaineDons philanthropiques. — M. Collet, w j tricourt 4 h. ; Arraye-et-Han 6 h. ; Maxénombreux a cette réunion, vous prouvez,!f le au café du Progrès, au point qu'en sor-- ganisateur du bal de bienfaisance, doi j douze rosiers et dix pieds de lys et autress si ment de dimanche en quinze sur le nom m une lois de plus, que vous ne vous désmté-i- ville 8 h. 1 tant il ne put dépasser le trottoir et tomba fleurs. Les malandrins n'en étaient pas ài ressez pas de vos droits politiques et quee . respecté de M. Schertzer. nous avons parlé, a remis à la mairie y Dimanche 12 : Maidières 3 h. ; Montauu inanimé dans le caniveau, laissant échap-• somme de 630 francs, à répartir ainsi rnn leur premier exploit, car la semaine der- vous avez conscience de vos devoirs de cià. M. Schertzer à l'Union républicaine i- ville 11 h. du matin ; Blénod-les-Pont-àt per des odeurs peu odorantes. nière ils ont pénétré Dar escalade dans lee toj-ens. a Union républicaine de l'arrondissement suit : Mousson 8 h. % A „ Cet homme fut laissé, malgré le passage^ jardin de M. Coliin, "et y ont dérobé dixJ'ai l'honneur de vous présenter le sympade Nancy. Groupe des quartiers « LobauCrèches, 300 fr. ; Œuvre de la Goutte CL i" Lundi 13 : Norroy 11 h. ; Atton 3 h. . thique candidat de la première circonscripdes ouvriers, pendant une heure devant 'e a huu rosiers greffés, ainsi que leurs tun . La Salle-Charles-III et Saint-Nicolas ». lait, 30Q fr. ; Bureau de bienfaisance, » '" Mardi 14 : Bey 2 h. ; Lanfroicourt 4 h. : teurs. tion, M» Lebiane, candidat désigné par le ' Nous apprenons que cet important groupe-' café et la gendarmerie, prévenue, fut obli- francs. y Armancourt 5 h. J ; Boudonville 8 h. congres repuoncain et sur lequel tous les :S Ces individus sont des soi-disant entre-1 ment organise une conférence pour le sa-~ gée de transporter à bras au bateau « VicEn aéroplane. — Le sergent Corwjl preneurs de création de jardins qui s'en- groupements comptant pour déieiidre le ara■ " tor » le charretier pochard, après toutè2' CIRC0NSCRIP /ON DE NANCY medi 11 avril, à 8 heures i du soir, à la ■ peau rtpuDticam et soutenir ses intérêts si du centre d'aviation de Toul, est venu j g fois contraventions dressées. gagent a fournir les Heurs et arbustess longtemps méconnus uaus cette région, Brasserie Charles-III (angle de la rue des a LE COLONEL LECOMTE qu ils vont dérober la nuit. Mais ayantt Défaut de 8a.-Uctr.ev — La gendarmerie3 terrir, jeudi matin, sur le terrain de Je vous demande de lui accorder mute vo3 Jardiniers). M. Schertzer, candidat répuu nœuvres, il pilotait un biplan Henri tl été surpris dans leur travail, ils ontt tre attention et u éviter les interruptions. Le colonel Lecomte fait partout la meil- blicain de la 3e circonscription, y exposera" a dressé une contravention a Petin Henri, ' mon. abandonné leurs outils. Je preuas l'engagement de donner la pa' qui circulait sur une bicyclette non éclaiileure impression. C'est un soldat irrépro°" son programme aux membres du groupe. V1LLAC0'JR; i Plainte a été portée à la gendarmerie., i rôle a tout ioyai contradicteur, aussitôt quee chable qui a vaillamment fait compagne, ' rée. eRéunion électorale U IC Le feu. — Un commencement . ' ^«] Procès-veraaux. — Procès-verbal a étéÀ i M" Leblanc aura termine 1 expose de son Roulage. -— Malgré les nombreux avern Le colonel Lecomte, chargé de famille, e> e M. Schertzer, candidat dans la 3 cir1 die s'est déclaré, le 6 avril, après ro-1? dressé par M. Lebègue, garde champêtre, programme. * tissements, les charretiers continuent à n n'avait pas hésité à partir pour le Ton' I conscription, exposera son programme abandonner leurs attelages dans les rues,., ' chez M. Emile Drieu, épicier. C'était 1 j' iwoa clier candidat, je vous cède la parole. a Mmes Darmois et veuve Meurth, demeunt -■ kin ; il y a commandé le cercle important I le samedi 11 courant, à 8 h. 30 du soir, M René Leblanc, dune façon franche rant toutes deux rue du Pressoir, à LaxouI i' aussi Auguste Corrette, garçon livreur àà, ; cheminée de la cuisine qui avait n» A e de Lang-Son. I Brasserie Charles III, rue Charles III, 88, ' ' Champigneulles, s'est vu dresser un nro-,. j feu à la poutre servant d'assise. vj;Lg ] pour scandale et tapage sur la voie pu-[1 et nette, donna un détaillé exposé de son s n II a servi à ia légion étrangère et il estt I et le. même joiv, au café Montémont, rue Je blique. ^ pre gramme, il dit les nécessites du maincès-verbal. 1 taqué, ce sinistre ne causa que des «sfe \ w i- l'estimé et dévoué président du Mirador, > j Mac-Mahon, à 9 h, J du soir. \ pour la somme, de 200 francs. Ces deux dames vivent depuis quelquee lie i de la loi de 3 ans, qui assure à la a société d'anciens coloniaux de Nancy, i CIRCONSCRIPTION DE TOUL temps en mauvaise intelligence. La veuvee France l'intégrité de son territoire et sa a Revenu dans la métropole, il a été chef e( 5_ grandeur morale. Meurth a été gratifiée d'un second procèseCANDIDATURE FRINGANT de bataillon au 699, à Nancy, puis lieute( Délit champêtre, j- M. Albert .Thies,||w . S 1 pour vos réparations, fournitures de8 | 31 ans, cultivateur, a porté plainte 1^ Très documenté, il fait remarquer les verbal pour injures au garde champêtre(( ! ié, ! Conférences de M. Fringant. — On nous !S nant-colonel au 2& à Toul. Il a commandé, U Pneus de toutes marques, accessoires. ayant repondu à celui-ci que cela ne le j avantages de l'impôt sur le reveuu, qui e, j écrit- : li j en cette qualité, un groupe de forteresse, • | deux rempailleurs de chaises, sans4.,, 51 regardait pas et qu'elle se f... de lui Si assure à tous : travadieurs, petits com,e- | Accompagné de M. le sénateur Chapuïs, i- composé de trois bataillons. Le c,olonel Le3 i cile fixe, Jean et Carumbic DéniesJB.^*s, adressei-vous ûû .. ! merçants et cultivateurs, une plus équiProcès-verbal a également été dresn- j qui, ne reculant pas devant ies fatigues i- comte a été fait officier de la Légion d'hont et 30 ans, qui avaient fait pâturer m ."' MAISON DE CONFIANCE i. Itablfc répartition de l'impôt. ùé a Mme Avoot, pour divagation de pou! d'une campagne électorale, porte la parole de neur comme commandant, \ vaux de leurs roulottes, un gris e 1 f|a ' ! les dans les terrains de Mme Gérardin. Attentnement écouté et très applaudi, si- républicaine aux quatre coins de l'arroni, Mais ce n'est pas un candidat exclusim. ARRONDISSEMENT DE TOUt j zan, dans un champ de blé lui £!'r • j après avoir répondu à diverses questions ne] I dissement, M. Fringant s'est rendu dans is vement militaire. L nant. pï T0UL JARVILLE E j qui donnèrent satisfaction aux électeurs, il« les" importantes communes de Favières' et | Retraites et concerts militaires. — Less j s, Tout en étant lieutenant-colonel du 41" Cheval volé. — Un nommé Thoina ^ -é- de Colombey-les-Belles. Comme dans les Vol. — Un inconnu a enlevé une serru- M. Canin proposa l'ordre du jour suivant, t, territorial et président des sociétés de préçs retraites militaires du samedi recommen-- mestre, 24 ans, rempailleur de chais . m [e, localités précédemment visitées, les élecre a la grille d entrée du parc de Montai ' adopté à 1 unanimité : 3C-. ceront le 11 avril courant '(les itinéraires paration militaire de Meurthe-et-Moselle, s bulant, a porté plainte, le > ^As ii. teurs nombreux sont venus assurer leur gu. sur le chemin de Fléville. Cette ser ur j se trouvent à la mairie) et les concerts loe maire de Vitrimont, au sujet dc.?"«ïj et il. s'intéresse vivement à toutes les maniVous venez d'entendre l'exrjosé, clair .et ii- ancien député de leur attachement sincère, rure, d'une valeur de 15 francs, avait étéé précis, du programme républicain. J'espère re, j lendemain 12, jour de Pâques, :e festations de la vie civile. Conseiller munival qui lui avait été volé pendant QJ que vous serez tons d'accord poilr laire triomposée quelques jours auparavant. île le candidat de leur appui absolu, parce i- cipal de Nancy, il prend souvent la parole 'ce , Les concerts militaires auront lieu auxs le licol était resté après la voin" • que continuateur d'une politique fermement — M. Jules Stanim, mécanicien, a décla- plier ces idées éh votant en masse pour M« mt ■ jours, heures et lieux indiqués ci-apràs i,• est lo cheval ? ' 1* à l'assemblée communale et il n'hésite pas as EACCA républicaine. ré à la gendarmerie qu'une boîte aux let-" Leblanc, seul candidat républicain, car je Le dimanche et le jfeudi, sur la place do 1° à développer, avec énergie, les idées sociaa_ jj ue veux pas parier, mal ue M. Mario, c'est Mercredi, M. Fringant a exposé son protres et un morceau de savon lui avaient les qui lui semblent justes. ro- la République, de 15 h. 45 à 17 heures ena Le roulage.— Ayant abandonné £ ^ u un bien gentil garçon, mais il est inconnu u été dérobés. Une voisine a reconnu avoirr pour nous. l'a gramme aux électeurs d'Arnaviile, Bayon>n- avril et mai, et de 20 h. 30 à 21 h. 45 àa. ture attelée d'un cheval sur le cw, ^ Et puis, en face d'un adversaire qui n'a pris le morceau de savon pour faire une e. ville, Jaulny et Thiaucourt. Ce fut parir- partir du l6r juin ; pendant la durée de la e Wue ceux qui ont reçu un service de M. Maa- eu que la peine de naître, le colonel Lea de la route nationale, n° 13, M- *j ogifè farce, mais a nié avoir soustrait la boîtes i^o- tout le même empressement à venir saluer & rm 1 1 t «jue ceux qui l'ont vu venir à Miler foire, ils auront lieu aux mêmes heftress î gin, garçon marchand de vins, au 1- comte représente un robuste élément démo^ iery ! lèveut la main I ! aux lettres. ,r. M. le docteur Chapuis, le même accueil eil au jardi nde l'hôtel de ville. cratique. C'est l'officier, sorti du rang, ari de M. Bouvier, négociant à Baccara*. Puisque personne ne l'a Jamais vu ici, il i*Q réservé au candidat. I LR mardi, sur la place de la République, n rivé à la force du poignet et qui ne sépare VILLERS-L ES-NANCY '■> fait dresser procès^-ej'bab^^^^^^. » est Uonc inutile de voter pour lui car tout ;u_ Ce dernier, pour répondre au reproche he 1 de 20 h. 30 à 21 h. 45, à partir du 2 juin, " jamais l'idée de patrie de l'idée de Répuj. le monde est édifié. Domestique Indélicat. — ' Louis Mande socialiste lancé contre lui, expliqua une . bliqtie. ne j Le mardi et le samedi, devant i'hospice Votez pour le candidat qui s'occupera dee ier, marchand des quatre saisons, avait it fois de plus ce qu'il entendait par lois so50mixte, cours Alsace-Lorraine, de 15 h 30 Les agents électoraux de son adversaire re d vos mterets' car u°us en avons grand 'besoin. } envoyé son domestique Louis Marchand . ciales, se défendit de toute attache avec ce j à 16 h. 30. font trop valoir sa richesse dans nos camm ! „ votez pour Leblanc, vous voterez pour lr vendre des pommes Champigneulles. s- i Canin . 1 'é- parti. ' Le mercredi, à l'hôpital militaire, de | pagnes. Les électeurs de Haroué et de VéAprès avoir vendu la marchandise .Mari .u. A Thiaucourt, MM. Stef, conseiller généié-1 lu h. a 16 h. [' I Phlftl. — Mercredi après midi ' M Réné ! zelise ne sont, pas sensibles à ces arguté chand abandonna la charrette, sans ve-.i s j§ ral, et Stef Louis, maire, président la réu) Leblanc s'est rendu à la mairie de Phlini) I ments.*Fidèles aux directions de leurs élus, u- j SEXEY AUX-FORGES nir rapporter l'argent à son patron. nion. Plus de 150 électeurs se pressaient ;nt P Vol. — Un malfaiteur inconnu a dérobé ; «"^ » eî îes salss de \ 04 il a fait, devant le- électeurs un exposé se il» apporteront le 2(5 avril prochain au coiQ 1 patvjjl dans la salle. é i un cheval estimé 800 francs, appartenant la f MEURTEE-&-MOSJLLL f«tu Faites des écûîicîr« , .FNEDfiE SÉRIE avec les &0V0i% **** I \\ Madame Victor MElNOTTE j A- J£ ! ' wâ Psi ^*«^it\ m j j "%\ ■ if S p I «li^ i'-'l se # / nontanî immédiatemeni 1 ^ j SI m »«r ies j Jj I ! j .V 'WîSSM J SSBÊtt' f j I .;I j I 'flw (51 j . I Madame Veuve Gabriel SPIRA j J .ËHfEJ!^^^! ? , t&Bgg ^ÂiSÛl CHERPITEL I j| LA BANLIEUE 1 #J j j j II é CYCLISTES j j j ^ï B et I î, me îa Pépinière ^J. ' I ^J a j i h * ^TT^r^R ??¥ am ■ » ^ RaugraM i rue s* ÉCOA'Oii É - NAIdÇY , — « SOLIDITÉ! « - ÇQ OR 29 *a. *o, CL et n»i i iMiMiii^MfjMMMMf»-, :'; . f' R.— il faut faire opposition à la saisie en envoyant une invitation au juge de paix. Vous' avez droit il des dommages-intérêts. riez '"',., [oi ativo. p je Ur'10 d une re Faits-Divers LE CRIME DU TRAIN 131. — Alors qu'on pouvait croire que le premier interrogatoire de Baehot l'acculerait à des aveux, l'assassin présumé du marchand de chevaux (milliard a conservé son attitude. Il a protesté contre k|s faits qui lui sont reprochés. « Je suis innocent, a déclaré Bachot ; si je me suis trouvé à Avallon, à Joigny et à Nangis, c'est que jo devais y traiter des affaires avec defe marchands de bestiaux. Quant à l'argent qu'on me reproche d'avoir dépensé, il était bel et bien à moi et non à Guimard ; il devait me servir pour mes acquisitions. » Bachot ayant cité dUifs noms,, indiqué différents lieux, le jugo enquêteur veut, avant tout, contrôler ses dires. Des souscriptions en faveur de la vwuve dei Guimard s'organisent dans la plupart des villes où fréquentait le marchand .de chevaux assassine. C'est ainsi qu'à la foire d'Auxerre une collecte faite sur la place de l'Arqu«buse, où sont les bestiaux, a ! produit hier 107 francs. j mon i Ses Cttstructeurs I ^S^T^I^l''" ne Strasbwif "âu Chêne ïirt" tempi^ mes I I MMHi'lTlI^i i UlUÉH lll Voir les Etalages de la Maison W 0-JCHE D'OCCASIONS 3ULLETIN FINANCiRR Coup de balai précieux II llll —.—— 21, A l'extérieur de l'immeuble où je suis lomaison nouvelle- cataire, existe une plaque scellée au mur portant quatre boutons de sonnettes ; le boîtier de celui correspondant à mon appartement a été volé la nuit Sou remplacement ipcom- | i [jon-Tij- fiu'iî ne me doit pas de mitoyen. be-ti! au locataire ou au propriétaire ? lî.— Quoique la question pourrait être dis- j C'est, celui donné par la Tisane du Frère ^té (ie VJ* il oui ou non la moitié de I cutée en droit, nous sommes d'avis que c'est | Antoine dans le tube disgestif de ceux qui au locataire. 81, en prennent ; mystérieux coup de balai Jtt pf?" „ comprenons pas bien votre Je possède un terrain d'alluvion qui repose chassant les milliers de microbes qui pulR.- N"J*«J» ,.n arcHitecte. En tous cas, si pestion- °-\Tçcrt d'une façon ou d'une au- sur des 'limites incertaines ; les parcelles lulent dans l'intestin, et occasionnent, envoisin ;ftUr"'jj (jmit nàitoyeiineté de la environnantes sont soit à l'état boisé ou à térite, constipation, et tant d'autres mastrP l'état friche ou en prés. Quelqu'un veut faire ««« au'il effp'oie. mettre à l'abonieineut ; en supposant qu'il ladies. Coup de balai si précieux, que ■ -ii îw&, de concert avec mon ff'ri, soit exécuté, les limites réelles se trouvant tons devraient se l'offrir à chaque renou|, Ay"'" ' jrcj5 aaSi une rnfdson où wsus I déplacées à tel point que mon terrain qui vellement de saison. «ftfâii.J'/ , hissons et ce à raison de était boisé se trouve être sur un auUe qui Ksoss a<-°;1 ; payable un trimestre d'à- est en prés, mon voisin par exemple. A qui f s DRAME DE LA JALOUSIE. — Au cours d'une g francs par^ • tft ' t qUittee, il v a neuf appartiennent mes dits arbres, tout de suite discussion, provoquée par la jalousie, un "Tissant trois enfants mineurs et le après l'abonnement î tonnelier de Beaumont-l'ied-de-Bœuf, f'flftv'T anrai-je le droit, a l'expiraR.— Au propriétaire du sol. WÇ ;'e !3~mài î';)14, de reprendre la près du Mans, Amédée Poussle, s'empaNe pcurral3-Je obtenir une Indication prél* ïîwi* et le même commerce, en remise rno-s . ^ ^e jCUne fille, et ce, sans cise au sujet de la date définitive d'un état rant d'un fusil qui se trouvait 4 sa portée, tira sur sa feimme qui, atteinte a ia te^latinn de mari et sans qu'il puis- liquidatif de communauté faisant suite à di- nuque et à la tête, tomba foudroyée. Le |pon»i,u j commerce, vu que devorce, etc.. î on R.— Le tribunal nomme un notaire liqui- meurtrier rechargea ensuite son arme et 1 se logea la charge) sous le menton, se faiI dateur qui doit procéder à la liquidation. | Quand le notaire a terminé son travail, si sant une blessure très grave. PKLi'.vait obtenir le divorce, n'ayant une des parties ne l'accepte pas, l'affaire re«MS èrave, pourrais-je avoir la sôparavient devant le tribunal qui tranche les conn m m i" n 11 iniw—imimiiiiiiii M ii IWIWHIM WII ^ iî earbs et de biens, avec l'assistance tredits. 0f. SLr . variée eu France avec un étranAyant fait faire des réparations a des cheP i no^é'iant pour toute fortune que noRf'JBier dé ménage et de salle de débit, minées sans prévenir; pour cause d'oubli, I un de mes locataires, il eh résulte que du | spécialiste! pottr salles is brasst.ss et mathrte H «nouvoir gérer a mon nom personnel crépit et de la suie sont tombés, faisant des ^JlDOur entretenir ma famille, sans l'imîsnl cherchés par importante Usine du Honi. c; saletés dans les appartements de mon loca,'■"'." L mon mari et cette procédure peut- âge et prétentions an : taire. Voyant cet état de choses, je me suis I MmMT offre détaillés proposé de faire nettoyer ce qu'il y avait à R t* Non? Il faudrait divorcer, fcurean du journal, ssus F. 9 stlis causes de séparation de corps sont mes liais, chose qui avait .été convenue avec sTalies qù* celles de divorce. Mais si vo- I mon locataire ; mais celui-ci, étant sans doute gjari vous a abandonnée, c'est une cause méfiant, a fait faire un constat par un huissier. A qui incombent les frais de constat : au « Un entrîpreneur construit une maison propriétaire ou nu locataire î B.— Si vous pouvez prouver que vous avez jalhablte pendant quelque temps, soit deux offert les réparations, le constat était inutile Chirurgien ■ Dantiste Sotm. - Demis,, en tom HO BSiBBis il me la vend. JDois-je payer quand et vous pouvez refuser de le payer . 38, rue de Strasbourg ijBl'enregisa'ement d'une construction Etant garçon, vers 1S0O, une fille quoique aussi récente ? i'Çapç réserves, la loi le rend-,! pas ayant plusieurs amants, a eu un enfant et a'toujours piétendu qu'il était de moi. PeutAction pendant ud œrteiu eile réclamer ma paternité malgré que je 4, irisée da Pïîëpiv®!, 4 i-¥ oui. sois marié depuis quarante ans ? ? Pendant dix ans. laison rî(!2mra28 pour sa cuisina feeurîjesisa et ess baltes ItiaSItais un logement où j'étais en ir.auJo dsciraraisi acheter une rjetite maison pour chambres. Pris modérés — <3os. RAiPS* ase intelligence avec voisins ; pour crtsnison j'ai dû le quitter, j'ai provenu mon' BjilwaU'R deux mois avant de povtir et i- '"HVl.I.Y. titrant. jft'ceavsto avec lui de mettre un rempla}\ NOUS vôus e.nffajreons vivement a voir S^œîraaï pt. J'ai été trois mois sans l'habiter et penj^ccr^Uj—-i ntip. dti I fcsi tepi'uiiua.n. j I .n.n.. * GARAGE DE VELOS ET 17, RUE DES DOMINICAINS, NANCY. — TEL. 1.64 SEPARATIONS Olv TOUTES MARQUES Ca GRAND CHOIX tr x nled à un Jeune homme , ..écrasé , je luj avais demandi oais. Ge dernier avait apporté des légumes and ^rcn aIltf°nti compris, je lui dis d. '"'p o'ay ji trébuche sur un tas de I eU faire payer encore doux mois de location. En «l'as PrÈSr0U '„„ ini'nasse dessus le pied a-t-ll le droit et avals-je le droit de sousffi m» .?./Vaif pendant un mois louer ? Je n'avais pas de bail et je payais K tort ? „,,„„„; vous répondre. Tom r P R.— V ous aviez le droit de sons-louer, mais Ï'V* 'f ! " ffieon dont les iribunaux e 5 «SKJnl l'accident. r*Ci,.pi dans l'f^^^^nSn Jf(fcl>"j ,ve:i faudi an-.i cinj.iuyt.t . i «o11 ' né pouvez que vous auiesstr a l J'avais acheté une pendule régulateur, en V'o/ime en le poursuivant s i. esi *oi- ['•ayant tant nar mois ; cette pendule ne marchait pas ; 'j'avais nrévenu la maison, qui ^^Ma s vous risquez iort ue ne pas rtu&est venue la reprendre voilà deux mois. Main' e et étant obligé de la tenant celle-ci me met une saisie au buV reau sans me prévenir, vu que je ne lui dois W^vet mu». f;l,'s"^„qhinCrptfKîp smît rien, puisqu'elle a repris la pendule. Que jfiidri' *t paî; fait ue u<*»> «-» ; I dois-jo faire ? A-t-elle le droit de me retenir ijiii. l'atiteri -ation de nia nvopr.eiaire II I mm MOTOS Q |y dant ce laps de temps J'ai envoyé deux locataires a mon ancien propriétaire, qui ne les •i pas acceptés. Pendant ce tenais, j'ai payé ma location comme d'habitude. J'avais soua- «^Ma»u>«nM.n.ui«»(C iniimi les MEILLEURES BICYCLETTES mont les * » 21-, ruoHaugroî3 forme droit- ..u cr«l»*>, coupe *E jets vestons i—™—-i j Ses BLOUSES soie réclame grand chic, Ses COSTUMES TAILLEUR »: Ses MANTEAUX DE VOYAGE Ses JOLIES ROBES D'ÉTÉ «e ^ Ses RAVISSANTS CHAPEAUX ^ Paris, le 8 avril 1914. Notre marché a fait preuve de meilleures dispositions, mais le terrain perdu n'a pu être regagné, loin de là. Le 3 % gagne 0 10 à 86 65. Rentes russes en reprise marquée : 5 % 1906, 103 70 ; 4 i 1909, 96 60 ; Consolidé, 88 45 ; 3 % 1891, 70 95. J ure recule encore de 82 à 81 90 et îe Serbe de 80 95 à 80 90. Extérieure abandonne 0 30 à 88 50. Banques et Etablissements de crédit regagnent quelques points : Banque de Paris, 1.643 ; Crédit lyonnais, 1.648 ; Union Parisienne, 957. Banques russes discutée» : Azofï Don, 1.505 ; Russo Asiatique, 712. Chemins espagnols résistants : Nord Espagne, 440 ; Saxagosse, 442 ; Andalous, 321. Valeurs de traction et d'électricité tonjours faibles : Métropolitain, 531 ; Parisienne de distribution, 550. Cuprifères mieux tenues : Rio, 1.837 ; Chino, 217 50 ; Cape, 91 50 : Tharsis, 183 50. Valeurs industrielles rosses en légère hausse : Briansk, 445 ; Soenowice, 1.391 ; Prowodnik, 552. Mines d'or et diamantifères résistantes : Rand Mines, 152 50 ; East Rand, 47 25 ; De Beers, 467 50. Caoutchoutières animées : Financière, 106 ; Malacca, 134 50. LUNÊVILS.I Caisse d'épargne. — Opérations de la semaine du 29 mars au 4 avril : 1. Versements : Lunéville, 40.718 ; Gerbéviller, 3.700 ; Blâmont, 7.741 ; Saint-Clément, 267 ; Einville, 1.656 ; Badonviller, 2.385 ; Blainville, 1.117 ; Bénaménil, 416 : Bionville, » »». 2. Remboursements : Lunéville, 42.548 ; Gerbéviîler, 2.249 05 ; Blâmont, 6.938 85 ; Saint-Clément, 1.589 05 ; Einville, 184 ; Badonviller, 4.582 55 ; Blainville, 2.045 ; Bénaménil, 350 ; Bionville, » »». % ^ «n ^ ^ !B! Bïî a» .i-- , „,. ,,, „ .,. ,„ |||M 1 SOCIÉTÉ ANONYME des I CIMENTS FRANÇAIS SïiGI SOCUL: BOOLOGNE-extr-aSEn. I CArritx : 10 SiUllloB^ — 1 PORTLAND | Expéditions en 1913 : 496.000 Tonnes I COUVÎ10T (près Vitry-le-François) I USINES | iOULOOHE-SUR-MER * DESVRES (Pas-de-Calais) 4 GUERVSLLE (Soine-et-Oise) LA SOUYS (près Bordeaux) JÊ ' r ^ I m Patêle «e »;àï4 Pa'Ue de seigio W 22 Paille if'avoine , 15 18 fota 35 45 Luzerne 23 42 FMtM jirefdes en balles. — On cou sur wajron par tOO kilos. Ff4« de pr«:met choix 8 £0 à 9 .. Foin de premicre qualité a .. a S 30 Pour le?, marchandises en gare, ies trais de déchargement, d octroi et de omioncaut sont a !;i elKirge oe l'acheteur. Toutes les Œueeupsal^s^ û e la 1jI I donneront DOUBLES TIMBRES' ===== les H I ■ Ê' ^ ^ DiMCm^ GÉNÉRALE : PARIS. 80, Ru^Taitbout. IRÉCLÂME DE PAQUES àê HftSaii» », 52 54 Le tout rendu dans Paris au dumicila «le l'acheteur, fmis de camionnage et droits d'entrée compris par 100 bottes d» b kilos, savoir : 6 fr. pour les foins et fourrages secs, 2 fr. 50 pour paille. Fourrages en garo. — On cote les 529 Uytss m i. ^^rirm Paris-la-Chapeile, 8 avril. Petit marché. Vente active. Prix fermes sur les pailles. Environ 180 voitures. Paille de Dlé 26 à 31 Faille de seigie 18 22 PaJllf d'avoine 20 25 Feto n** 40 43 4ii depuis 8.80 ^ ^ » Kaison vendant réellement Bon Marché, foui en donnant de Belles Qualités l Marché aux fourrages Liuortiâ ....................... Rue Salnt-Dizier. NANCY 9, IO, U sa et AVRIL, ----- Les Articles à Bori3-Primes (Corso et Chemineau) donneront droit es plus, Hj pendant ces quatre jours, à un Petit Timbre Bleu S. N. A. par 0.20 d'achat H « ® » ® » ® Demandez I^PÂ^R 1© 4 ■ .- m mm L*ÏÈt | RECLAIWE flMH «.ira-.-!* r*»* ;a»viexi«sjB^^ j EUILLET0N DE L'EST REPUBLICAIN j TTpr^rtr de la ravine les ilis du comte ï - N16 de la Clésolle, d'autres jeunes gens encodVie comme autour d'une reine, lit de fait, Rolande est bien la reine *T& ÏÏnne éouyère, elle se. tient mer- - - - - -J é^^sir—^ • L'imagination en feu, la colère jalouse, aiguillonnée par le désir de voir encore l'àmo de ses songes, de la voir toujours, ! V laQUC îl n'est point là, le préféré de son cœur, et la constatation qu'elle vient d'en faire a changé lo cours de ses pensées. Plus de fête pour elle, puisqu'il ne peut en partager les plaisirs. En sera-t-il ainsi toujours ? Leurs âmes ne se sont-elles par rencontrées dans les matins d'amour que pour s'en aller ensuite vers des destinées contraires ? Tout ie fait prévoir. Et la raison parle en elle, lui reprochant do dédaigner les jeunes gens do sa caste pour sacrifier son avenir à de chimériques illusions. Ne sent-ils pas dignes d'être aimés, ces fils de famille qui se pressent autour d'elle, désireux de lui plaire ? A tous, un nom, de la fortune, l'estime des leurs ; à tous, des manières polies, de l'esnrit, lesqualités superficielles qui font l'homme du monde, une éducation en rapport avec ia sienne. Mais l'Image de Pierre Dambach surgit devant ces fantoches, les éclipse de sa mâle beauté. U n'est pas, comme eux, l'oisif qui cache son incapacité sous le verni des manières raffinées, une nullité de salon. Des milliers d'hommes travaillent là, qu'il a tâche de diriger, qu'il domine de toute la supériorité de son intelligence ; des chefs-d'œuvre s'édifient dont il est Je créateur, et qui perpétueront son acte a travers les siècles. C'est quelqu'un, une personnalité burinée dans, le fer devant les plâtres fragiles des châtelains. Rolande admire encore en lui l'énergique conduite à laquelle son père et elle doivent peut-être la vie. Oui, un tel homme convient à son caractère indépendant, déjà mûr pour l'évolution sociale qui tend lentement, mais sûrement, au rapprochement des classes. so par les bois de Thenay, où l'on doit at- de ^na benêt | autre à sa beauté fiôre, très jalousée par les" demoiselles présentes, dont aucune n'a l'aisance et la distinction. Contente d'être admirée, heureuse surtout d'être débarrassée pour on. jour de sa gouvernante et de pouvoir courir dans un matant a t.-avers oo»s, en touie liberté, elle se montre aimable avec tous, règne volontiers, mêle une joie pétillante d'esprit à celle du soleil qui rit sur les feuilles d'automne, dissipant les derniè- Dès la sortie du château, les chasseurs avaient tourné à droite et descendu la route par laquelle on se rend au moulin de Chabenet. Passé cet endroit, ils prirent à. gauche PREMIERE PARTIE un chemin qui remonte la cote et va i tomber sur la route d'Argenton à Saint; LES CHEMJjNEALTX Gaultier, pour se prolonger ensuite par Saint-Martin jusqu'aux bois de Thenay. En moins d'un quart d'heure on fut à la jonction de la route et du chemin. é . | La ligne en construction passait tout n M Masseurs franchirent la grille Tant de bonheur fait mal à Pierre Dam- près. Les ouvriers étaient montés sur les .;*eau' suivis de ia meute, puis des I bach. talus de la tranchée qu'il ouvraient. Ils Ëlîè ne souffre donc pas d'être loin de regardaient défiler la chasse, courte diverp S««s de Chabenet étaient acpour v celui qui marie à la sienne sa pensée d'a- sion aux longues heures de travail entre ili »ir le défilé. garnirait ies chevaux, on s'extasiait mour ? Elle n'éprouve donc pas, comme deux murs de roc. lui, cotte angonisse d'aimer, inquiète de Rolande a vu leurs rodes profils dans COSTUMES * ; iaws nu S •* ?L DES ■ - du' *aiua!t au passage la no- l'espoir très pâle à l'horizon, _ et qui fait i îe soleil qui poudroie les crêtes, et ses monter dans toute gaîté l'arrière-goût de regards anxieux vont de l'un à l'autre. Que cherchent-ils, en ce peuple de propi te i 1!fns Piaillaient à la vue des son amertume ? La présence de quelques godelureaux létaires, si loin de son milieu aristocratidésireux de plaire suffit pour dissiper le que ? i. s,«tau«T "uel,es portaient sur leurs Us n'ont pas rencontré celui que cette ,tant de clinquant et de bruit rêve qui s'est envolé d'elle à lui dans le geste rose de sa main. vision inattendue vient de lui rappeler. Des domaines, un château, un nom... n€anx Toutes les brumes dispersées dans l'espamit ^ regardaient éga[u'i ''igéBiJnr ^',cls Pierre Dambach. Ah ! pourquoi tout cela lui man'que-t-il ? pace semblent s'amasser sur son front ; sa 5 Pourquoi n'est-il pas au milieu de ces joie prend vol vers l'azur qui s'égaie atv Èeval oi!» ^ trouvait là par hassrd, i ■. ■ -'liant h Ar^crii-m favoris du destin leur égal, leur maître ? dessus d'octobre fleuri d'or ; et, durant le Des rages lui viennent de courir aux imr< reste de la route, c'est par des paroles dis, i 'ipîsser .„-ï" '' dernere une haie, il c«l!e qu'il cime. portuns, de les bâtonner, de leur arracher traites qu'elle répond aux compliments de j celle qu'ils essaient de lui voler. ses admirateurs. ; f | «r SYLVAIN DÉGLANTINE I 5 Pt )2 j i . .: *;i3EHBaHRBflBB*OHC£''ma*.-• -™-««*.-^..vf«ivi.; |IS IliPfSHTpT : DFMCNDE ^ 'î" y II lll Ri jR „,ï L -LJ! -fcNtTT" 1 UTTP ^ Pf . ! ^ Samt-Dizier. - Ï ar:4 ^'PteF 5 ',,,e K *«1«N chez Kobv mitW IS-Lr otre-Darnei • , teu ^7~~ firnOE ajusteurs « ;ÏJ-BLL ' Vd» ffkhrîtun ON DEMANDE |- ^ ! > 'Orne0 cr ^K ^f^i et petto W.Frousrd. mami IHIIIMB .£?£ ..2 HIIMIIIIIII V .w"^ j UNE DASVÏE ans, avoir 10.000 fr désire bien introduit auprès des'- union avec retraité oubon ou! pharmaciens, est demandé, ; vrier du même âge, sérieux et pour visiter les départements i honnête, bonne conduite. 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Je me suis rencontré, l'autre soir, avec Henri de Brémont, vous savez '? — Oui, oui, il s'est fait terrassier, paraît-il. Une honte. — Et ce n'est pas la seule. Il a craché sur son blason ; c'est l'ennemi juré de la noblesse, qu'il répudie ; son apostasie s'étale au grand jour en exemple funeste ; ses idées incendiaires s'infiltrent dans les consciences, préparent le cataclysme que vous redoutez. — Nous n'en sommes pas encore là, rassura un optimiste, la noblesse est forte, la Révolution ne l'a pas abattue ; un nouvel assaut la trouvera debout, solide, pareille à la falaise contre laquelle vient sa briser la mer. mr 6< ::J 8 ni "ré i '1 w»oii» ^R»^ i n ■ nm mu OH urant i rie UNE <EUME FHLUE sui' noWneur, pour machines Notaire à Vordun-sor.Meuse haarL«"auTiournal 5 r u ournat B1JB "'a 8105 courant du commerc- Sériel I * «> continu. demande un CLERC a,ux actes ' -- " ^ ' ' S'adresser au journal, 7436, courants. 8169. «-» . de s-iite de ' S'adresser au journal, 8118 — ■■ - ' K&^Co« ■ pnFVT r«ïpipp ,n ■ K '» me„« . Elle va à lui de tout son petit cœur franc et bon ; elle se sent fière d'être entrée dans ia vie de cet intellectuel, grand, fort, taillé pour les combats. Et son âme exulte en se remémorant l'instant définitif où leur amour s'est révélé par un geste lointain, irnmensifiô dans les premières pourpres du soir. Leur amour... Qu'il est doux de prononcer ce mot. Combien de rêves et de félicité sur sa musique ailée. Non, ils ne seront pas condamnés à la torture de s'aimer de loin sans s'aborder jamais. Pour l'avoir près d'elle, bien à elle, il n'est pas lourde tâche qu'elle ne puisse entreprendre. En dépit de l'étroite surveillance dont elle est l'objet, elle saura le voir, lui parler, lui donner confiance, effacer la distance qui les sépare, non dans son esprit, mais dans celui du monde. Femme de lutte, elle le sera, comme il est lui-même homme de lutte. Le comte de Prémusat avait été influencé lui aussi, mais d'une autre façon, par la vue des chemineaux. U s'était arrêté dans sa conversation frisant volontiers le bel esprit, pour épancher sa bile contre ses irréconciliables ennemis. — Par mon blason ! ces roturiers de malheur sont partout. Le pays en est infesté. On ne peut faire un pas sans avoir la désagréable surprise de se trouver face à face avec leurs bandes insolentes. Et dire qu'ils sont là pour plusieurs années. D'autres voix firent chorus. — Sa MajestlÉ Louis-Philippe aurait bien dû nous dispenser de cette" calamité ! — Nous n'avons que faire de leur voie ferrée. demande emploi n ta pmM S'adresser au journal, 8187.; emploi Ecrire P P. Cf. poste — , 1 restante. Nancy-gare. 8123. A DDCMnDA IT OUVRIER COIFFEUR, marHtirt.u'niAIT 1^, demande place à Nancy, M un apprenti cuisinier dans un. S'adresser M. Albert Stéb, rue grand hôtel de la réjrion, sans ! Louis-Albricb, 31, Troyes (Aupayer. S'adJ. au Journal, 8146 ■ be). 8056- ' Occasion, à V©ndr* , TARLEAU ANNONCt*. m TEUR r ETAT », a 3 direction â leviers. , „ ,„„_,' S adresser chez M. LBSMfcH, électricien, l», rua bvwaer, Nancy u 1 BBDIW•BWBHW0B•^J■l.J^1tï^W.»^Jw''*■ œmm GRANDE LAGARDE -| S Maison fgijîjag m 1874 » t ™ZA laièvills-lancy 1 1 H la recommandent S crae viande comme fortifiant NEURASTHENIQUES, TUBERCULEUX, PERSONNES ÂGÉES. ' ï ANEMIÉ'g t\ aux ENFANTS aux et ■ I Téléphone ItlamévUlo n' OBTiLUSt S?ÉC!1L PCBR LE 8E7TCTA8E & SEC — J jaiatassasa^^ INSERTION LEGALE H ans qu'une cure d'une semaine de i jL I ÉQUIVAUT A ^SSORPTION DE ' Etudes de W LARMOYER, no- ! toire à Nancy, 30, rue Saint-1 Nicolas, et de M» THfEBA(.T, avoué en ia même ville, rue de la Pépinière, a" 10. I sfj S II m I I ROI DES RECONSTITUANTS Es pf , | T '^* S ^ ^ ^ Vous vous mettrez à l'abri m M m g ^ ie ' ^ ^ H CEDER CAFE-BAR conviendrait à Jeunes gens actifs. 30 ans de bail. Il faut j 8.0G0 francs comptant pour traiter. Pour renseignements s'adresser : 8109. pour rouler SANS DANGER avec îe moindre effort ne montez qu* H fef j **■ Et aux requête, poursuites ct diligences de M.. VictorEugène Httmbert, menuisier, j demeurant à Nancy, run Monter, n» 33, et de M. Henri Hennequin, liquidateur judij ciaire, demeurant en la même ville.( agissant en qualité j de syndic provisoire ue la (faillite dudit, M. Humbert et vis A LA PREMIÈRE MARQUE DU SOCÎÊTE NANOSIEKNE du BETON ARME rus des Chaligny, à Nancy Ivis ik LA GLOIRE DE L'INDUSTRIE FRANÇAISE En vente: 9„ et 11, RUE DE LA PÉPINIÈRE, et chez tous les Agents d'Alcyon de la Région. j UimuiWù Les actionnaires de la Société Nanêéienne du Béton Armé sont priés de vouloir bien assister à l'assemblée générale ordinaire qui se tiendra dans les bureaux de la Société, rue des Chaligny, à Nancy, le mardi 2S avril 1014, â 14 h. 1/8, pour délibérer sur l'ordre du jour suivant : 1° Rapport du Conseil a administration, rapport du Commissaire. Discussion et. s'il y a lieu, approbation des comptes et du bilan présentés par le Conseil, S» Autorisation au Conseil de remettre, aux représentants de M. Léon Simcttre, administrateur décédé, les titres, par lui déposés, en garantie " 'i» AHectation des bénéfices. 4« Nomination de nouveaux administrateurs. 5 Fixation des jetons de présance des administrateurs. 6° Nomination du Commissaire des comptes pour l'exer. cice 1914 et fixation, de sa rémunération. 7" Autorisation à donner aux administrateurs, conformément aux prescriptions de l'art. 40 de la loi du 24 juilCenformément à l'article 25, «tre VI des statuts, les propriétaires d'actions au porteur qui voudront assister aux assemblées générales, devront déposer leurs titres, soit au siège social, soit à la Banque Renauld, société anonyme, place Saint-Jean, à, Nancy, au pftis tard le 22 avril 1914. Les ac'ionnnires qui ne pourraient assister à l'assemblée et qui désireraient y être représentés, sont priés de demander le pouvoir nécessaire au siège social. 8096. INSERTION LEGALE 1" Avis MONDE INSERTION LEGALE M.Gaogloff 2' A¥S8 Par acte sous seings privés en date du 30 mars 1314, M. Joseph CORDONNIER, propriétaire, demeurant à Bréhain-la-Ville (M.-et-ML), A acquis sur la liquidation judiciaire de M. Martin MAZUEL, limonadier, demeurant à Nancy, rue des Quatre-Eglises, n° 23, représentée par M. Henri Hennequin, liquidateur judiciaire, demeurant à Nancy, rue Philippe-de-Gueldres, na 2, en sa qualité de liquida., teur de ladite liquidation judiciaire, et dûment autorisé à cet effet, Un fonds de commerce de limonadier avec chambre garnie, connu sous le nom de « Café de la Lune », exploité à Nancy, rue des QuatreEglises, "n° 23, dépendant le ladite liquidation. Dix jours au plus tard après la présente insertion, opposition pourra être faite au paiement du prix, chez M. HENNEQUIN, liquidateur susnommé, où domicile a été élu. 7760. '•'•••• •' - I CENTS '• • ' ---'-r •■' '• ARTIFICIELLES Lhimrgicn-asntistelie la Faculté de Médecine de Nancy Mécanicien- Dentiste Diplôme de Genève Consultations de 8 h. à 8 (a. 21, rus de l Lquitatlott NANCY 2e Avis B, rua SstSnt"J6mtt, s fin face los Grand» Magasin François VAXELAÏRE). à B ET tous. Solution cert. nti aide à s'établir. Union Ptinancière, 23, r. Joubert, Paris 2* Àvls M. VENTURI, propriétaire du café de la Frontière, à Auboué (Mt-et-M.), à vendu son fonds de café à M. DEMEN1CONÎ, Eugène. 776S I [ | Par acte sous-selng privé en date à Champigneulles, du S0 mars 1914, M. et Mme ViLLAUME ont vendu à M et Mme ALTENBURGER, habitant Champigneulles, Le fonds de commerce de Café-Restaurant qu'ils exploitent 70, rue de Nancy à ChanipigneuEIes. Pour recevoir, s'il a lieu, toute opposition, élection de domicile est faite chez M. L. IWESSAMCY, rua de i'Equiîation, 21, Nancy. 7766 | t ! i notaire à Nancy, et déposé en son étude où lés amateur.; pourront en prendre connaissance. Les frais faits pour parvenir à la vente seront payables par l'adjudicataire en déduction de son prix. S'adi'esser, pour tous renseignements, soit à M0 LARMOYER, notaire, soit à M03 TH1EBAUT et VIAL, avoués ou à M. Hennequin, liquida, teur, rue Philippe-de-Gueldres, â Nancy. Fait et rédigé à Nancy, le 8 avril 1S14, par M» THIEBAUT, avoué soussigné. A. THIEBAUT. Enregistré à Nancv, le avril 1914, f> , case Reçu un franc 88 centimes, décimes compris. ' 8164 Signé : HENRION. B ' - ï 12, ras Saint-Sserges, 12 i | i 8 pmmimimî Aux termes d'un acte sous seings privés en date du 15 j Suivant acte sous seings mars 1914, enregistré à Nanprivés, en date à Nancy du 31 cy, le 25 mars 19:14, folio 48, i mars 1914, enregistré, M. Vic- case 17, par le receveur qui I tor PIERSON, épicier, demeu- a perçu les droits, Mme Marie CHERY, demwi- i rant à Nancy, 25, faubourg dos Trois-Maisons, et Madame rant a Nancy, 7, avenue de de M. Albert 1 Jeanne BEA N PIED, son épou. France, veuve a vendu à M. Ernest I se, de tel assistée et autorisée, ViV^Si gFJgWAR et la dame Céleste BU* vendu a M. Charles LO- BOUDIN, son épouse, demeuCHEBON, umpeur en chaus- rant ensemble a Nancv rua sures, demeurant à Nancy, Jeannot, 3, le fonds de coai ! filé Molîevaut, et à Madame merce de loueur de voitures ' CUriStine-Maria. JOLAS, son qu elle exploitait a Nancy, i tenue, de lui assistée et au- r.ie Jeannoi, 3, comprenant I totlsée, leur fonds de com- lo nom commercial, lS clienvicrce d'épiccrie-fruiteriF, sis tèle et 1 achalandage et ie I ). Nancy, faubourg (ies Trois- droit au bail des lieux ofi iï ' est exploité. MSlSOns, n" 25. L'entrée en jouissance a Les oppositions au paiement lu prix seront valablement été fixée au 15 mars 1914 Les oppositions, s'il y' al \iites dans les dix jours qui tuivront le deuxième avis, en lieu, devront être faites dans ïfjtilde de M» BREfiEOT, huis- les dix jours, an domicile de sier à Nancy, 26, rue des Do. l'acquéreur, 3, rue Jeannot. niuica; '•. on domicile a été Pour insertion: E. MESOUAR. 7600. ] Hu. «5t. • Bœ S i* & ' CTets de !s "c î "Dit tout" MAISONlTcSii coucher, cavp"' ,~:;îr*îï ie 300 racî-f..-';îÏÏlet> i francs. S'adresse* Va-Si "SGBÎJOGr ? indiquer» votre i vects Pars zo&lagiiiosôeisPi connaître à vos «mis. | I Pour recevoir franco, envoyés 2 b. 15 ■ ■ '1 I eu mandat ou timbres-poste à ï A I , ' «> S' géS d 3 ! Lè °s offres ofTr,t seront NS» Les la direciton des PremS Mairie de Nancy, àe US \ 95, Grande-Rue à NANcy m-a-M.). J % vondrr^iiT" kri)ln m J. WILLAUME, . £ ^a."i AVEKDR p | Sw:5 dépôt a lu Salle dee dép-îcSies ' tr. bien placée p. ceme»! 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S CanardssaKïagg3,!i. .;te3.75 «i 4.501 r gniflé, qui a ordonné que cet- ] propriété serait vendue mé-1 | !;?.rr.>3iiaâ saoraget, (a plka. t.25 I ™ te Sardines, Titan, iSsmarl me au-dessous de la mise à : j prix originaire fixée et, à tout j H vous prennent dans e s te ane cure e leurs griffes, es Le Mardi S mal 1914, à 2 heuet demie du soir, en l'étude et | vendra ies Jambotiî ensa par le' ministère de M° LARfumes à partir c!c î fr. 20 1 MOYER, notaire à Nancy, à ce le dcîoi !:i!og:r. commis, il sera procédé à l'adjudication aux enchères publi- 1 Saucisson d'Arles, 1 fr. 80 I ques et à l'extinction des feus le demi kilogr, de : I l'A NÉ MUE ou la NEURASTHÉNIE ^■'""'8^1^^^^^^ ÊxM^ I 28, faubourg Stanislas, 28 i I g Si vous êtes faibles, si vous avez des maux de tête, si vous ressentes des points de côté ou des douleurs dans le dos, si vous avez- le sommeil plus on moins agité, n'attendez pas que '. 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