tomedi 29 JisiHùî 1911 I — téléphone: 3.21 N1 , : TRO! LMOIS 4 50 ^••••Ô;;^ _ 0 GRAND JOURNAL QUOTIDIEN 10.37-Imprimerie 3.09 ^======1BONNEMENTS Edition du matin . 1 - ' s,x *0,s «*« » lîT» 9 C"C „ _ NANCY V w — 1 —. DIRECTEUR ; RENÉ 82Efc*:::::. t £ Pour a bllci ' P" z [fel^lâaa^*-^ «deMaurthfret-Mo e^^^^ ^^ M Dans fartô allemande iConseil Eclaircie dans le Ciel Marocain Le relus on général Psu l —.— ~- Temps, sous le titre « L'unanimité ET CE QU'EN DIT le ministre de la guerre ■ Les deux raisons du général Pau 29 juillet.— L'Echo de Paris puplie, et nous en reproduisons le sens à simple titre documentaire, une lettre sigpée « un officier », dans fequelle on affirme que le général Pau a refusé le poste de généralissime pour deux raisons : 1° Parce qu'on lui a refusé les garan1ties de stabilité qu'il exigeait, ne voulant 1pas assumer la responsabilité de l'orgainisation des groupes d'armées si cette orI devait être chambardée à 1gamsaffion i liaque changement de ministère. 1 2" Parce qu'on lui a refusé la liberté de choisir son clief dëtat-major général, Le général Pau ne voulait pas se laisser imposer la personnalité du général Dnbail. L'auteur de i'artiele prétend ensuite que le général Joffre, avec ses qualités mcomparables concernant certaines spécialités, notamment l'organisation des points d'appui, la directtipn du génie, l'exédrfti^h des travaux des voies ferrées, est admirablement doué pour la direction d'un service (barrière, mais n'a aucune des qualités ôlu commandement requises pour la dir.eetion des opérations. Interview de M. Messirny Interviewé par VEctio de Paris, sur le choix du général Joffre comme chef d'étatmajor général, M. Messimy, ministre de la guerre, a dit : . « Le général Joffre est un homme remarquable. Il a du sang-froid. 11 est môthodique. Il a le calme de l'Alsacien. « Le général Pau est un entraîneur d'hommes. Le général Joffre est avant tout un stratège. » Contrairement à ce qui a été dit, M.Messimy n'a mis aucune condition excessive à la nomination du général Pau. C'est tout le contraire, ce sont les conditions auxquelles le général Pau subordonnait son acceptation qui parurent inadmissibles au ministre de la guerre. Le général Pau déclina l'offre parce qu'il voulait avoir le choix des collaborateurs militaires dans lesquels il aurait conflance pour travailler à l'œuvre qui lui était impartie. — Havas. PARIS, Du côte de l'Espagne | on va vers l'entente ! LE TOUR iE FRANCE CYCLISTE DANSTARMÉE mm mmm f 1^ I* S i J'ISl SjOTEURslTsYlDICALJSTES ' 1^l 'I ' k'M <tzr «h LE MEURTRIER DE L'ABBE l&RfiffEfl °*I « \ L ^"^K R?, EJtf 1 ;î; ' STRASBOURG,27 juillet.— On signalait récemment que la 60° brigade d'infanterie à Metz avait effectué des marches forcées par une chaleur torrido et que nombre d< soldats avaient été frappés d'insolade tion. Un fait analogue est signalé du grand-duché de Bade par le journal -«" Volksfreund ». On lit : « Le régiment d'infanterie n° 111 de Rastatt est sorti samedi dernier, à 4 heures *j du matin en tenue de campagne. Quand il n rentra à 7 heures du soir, plus de 100 h hommes manquaient dans les rangs et fi furent « rapatriés » par chemin de fer 01 ou voiture. C'est ainsi qu'on nous écrit dde en Muggenstumi : v Le spectacle dans notre village était qvraiment lamentable. Les trains du soir qui quittent notre gare après six heures à destination de Rastatt avaient dû chargà ger nombre de soldats qui n'en pouvaient p plus. D'autre part, on en chargea douze si psur des voitures à ridelles. Toute la population s'est montrée compatissante. Un n malheureux soldat avait été frappé d'insi solation. Abandonné de tous, les paysans k transportèrent à l'auberge de u l'Agle gneau », où on le coucha. n'y avait pas de médecin militaire sur h 11 lieux les ; comme ce soldat fut pris, après , c coup, de crises d'épilepsie, on dut mand hâte le docteur Essig, de Malsch, qder en qui déclara que l'état du malade était g grave. Ce n'est que plus tard que survint uun médecin-major. Il donna l'ordre de 't 'transporter le soldlat à Rn°ia,M. Deux ssous-officiers habillèrent le malade. Il éétait onze heures du soir. Mais l'ordre du nmédecin-major ne devait pas être exécuUté. Quelques hommes du village déclarér rent péremptoirement au jeune médecin n militaire qu'ils s'opposaient au transfert \du malade. Pendant une demi-heure, on ~tdiscuta avec violence. Finalement le médecin-major partit sans le malade, qui F passa ra nuit à Muggensturm. Dans la 11 matinée de dimanche,un villageois transF porta le soldat sur sa voiture à Rastatt.» A Gotha, des cas d'insolation très nombbreux et suivis de mort chez trois sol<j dats ont été enregistrés par les journaux J de là-bas. A Deux-Ponts, une marche forcée exéccutée par le régiment bavarois de cette ggarnison a été marquée par un incident ^ tragique. Un soldat du nom de Buchmann s'empara de son fusil Mauser et le jeta £aux pieds du sergent-major. Les sous-offficiers s'emparèrent du soldat récalci{ trant et le traînèrent devant le capitaine. Le soldat, pris de rage, sortit son sabre-baïonnette et le lança dans la direction de l'officier. U a été interné. Il est bon de signaler ces faits et de les mettre en regard de ce qu'ont écrit les feuilles allemandes alors que la campa{ gne contre la légion étrangère, si malen<contreusement déclanchée au sujet de j l'affaire Weissrock, battait son plein. A cette époque, les journaux allemands s'é1 levèrent avec indignation contre les «< marches homicides sous le soleil d'Afri(que ». Et sous le soleil de juillet en Allemagne, Messieurs les gazetiers d'outre]Rhin ? Ce qu'en dit un officier l faires extérieures, et, après le déjeuner, 1 1 M. Fallières eut une entrevue d'une heu- J , avec re M. de Selves, ministre des affaiBu r res étrangères. Huseancë de la Charnue des commuest toujours sérieuse, L les discours de MM. Asquith et Bal- n « Lale situation disoours de M. Asquith, sur le fe* la déclaration de M. Ramsay Mac- mais Sl duquel le président du conseil et le , MADRID, C8 juillet. — M. Canalejas, préKid sont à méditer. Il s'en dégage une Hsens du conseil, a annoncé que M. Garministre des affaires étrangères savaient sident , EIde leçon d'unanimité nationale. cia Prieto, ministre des affaires étrangèa à quoi s'en tenir, a éclairé la situation , P , M Asquith s'est exprime avec infini- d la conversation entre M. de Kiderkn- .res, a eu ce matin, à Saint-Sébastien, un L irt? mesure, de sang-froid et d'habi- de v entretien avec Mk Geoffroy, ambassadeur Wœchter et M. Cambon. ^ il a fort bien marqué la position do de France en Espagne, afin d'établir défi>'L«terre. L'Angleterre, quoi qu'en di- „ « File continue, et nous espérons cptVa- nitivement } la portée du modus Vivendi. ^^adversaires de parti-pris ne tient %vee le retour de l'empereur, les négociaCette entrevue sera, d'ailleurs, l'objet ; tions prendront une tournure qui, sauveOrnent à se mêler de tout. Elle ne son- , (d'une note officieuse. la dignité des deux grandes puis„,Tà intervenir dans les conversations gardant * Selon M. Canalejas, le but principal de aboutiront à une conclusion accepnaMO-allMnandes, si ces conversations sances, t l'entretien était l'adoption des mesures « tmidwnt pas aux intérêts britanniques, table de part et d'autre. » nécessaires pour éviter que les mehallas L'Echo de Paris ayant demandé : ?I(e borne, dans ce cas, à souhaiter n rèa-'enîtart honorable poui les deux £ « — Nous n'abandonnons pas le Congo, !commandées soit par les instructeurs français, soit par les officiers du maghzen artiel Toute affirmation contraire serait au moins '/ » 11 lai lut répondu : se rencontrent sur le territoire d'El-Kçar malfaisante et dépourvue en fait de tout « — Il n'en est pas question. » avec nos troupes et notre tabor, afin d'emnotaient ». Par contre, si cette hypothèpêcher toutes sortes de froissements ou de 7w se réalisait pas, l'Angleterre interconflits. Journaux anglais iendrait au débat comme signataire de Dans ce but, les mehallas s'éloigneront LONDRES, 28 juillet. — L'impression est 'acte d'AJgésiras et de l'accord franco-anûais de 1904. C'est, a ajouté M. Asquith, 1nettement favorable. — Voici ce qu'écrit à une distance prudente, dont, de notre côté, nous ne dépasserons pas les limites. Il 1le Standard : 6 au'a voulu dire M. Lloyd George. Le fleuve Loukkos sera l'objet d'une ligne tait nécessaire que ce fût dit et que ce « Ge qu'il y a de très significatif dans la conventionnelle, bien déterminée. ùt dit sains retard. Le premier ministre Une autre question à résoudre' est Sek taie pleinement solidarisé avec Te *déclaration de M. Asquith, c'est l'unanime approbation qu'elle a reçue de tous les celle de la circulation des voyageurs enhancelier de l'Echiquier. » partis. Il est à noter en effet que M. Mac- tre Fez et Tanger, en passant par le terEt le Temps conclut en ces termes : « Ce serait affaiblir le sens de cette 'donald lui-même a tenu à déclarer solen- ritoire de El-Kçar. Il a été convenu que les diplomates et ournée parlementaire que de la conimen- Jnellement que « nos difficultés intérieures 6r longuement, La Grande-Bretagne a sont incapables d'affajpftr ltesprit national les militaires pourraient y passer avec m admirable tenue nationale. Dans un et ' l'unité nationale ». D'autre part, elle les armes et «ne petite escorte. Toutes mms d'opinion tel que le nôtre, un peu- tera comprendre à tous ceux qui en Alle- les autres personnes devront être munies le qui sait à certaines heures donner magne ont prétendu que l'Angleterre avait d'un passeport spécial. M. Canalejas a confirmé que les déimpression de sa cohésion est sûr d'être 'envoyé à l'Allemagne cette sorte d'ultimatum assignant certaines limites a*jx com- serteurs shérifiens ne seront plus admis Bsoscté. II trouve en lui-même le gage de a sûreté. II nous plaît de rendive cet ho»m- !pensations territoriales qu'elle pourrait dans les rangs du tabor espagnol et que aag« à nos amis anglais, en souhaitant recevoir q»e c'est au contraire une hypo- les awnes de ces déserteurs seront renÎ dues au maghzen. ne pour la défense d'une politique de thèse absurde. » « Tout danger de nouveau conflit se ■m et de dignité, les deux peuples pesA trouve donc désormais écarté, a ajouté ât unis dans l'avenir comme ils l'ont été M. Canalejas. ara le passé. » Le Daily Telegraph écrit : « Les instructions nécessaires ont été « En dépit du ton agressif de la presse - L' Du tournai des Débats ; données immédiatement aux troupes esailemande, on peut espérer que les négo- pagnoles et le modus' Vivendi a été comL « Voilà donc la situation entièrement ciations aboutiront à une solution juste et daircie sous ce rapport. L'Angleterre se honorable. .Mais cette solution ne doit pas muniqué au maghzen. « Les deux gouvernements converseange délibérément aux côtes de la Fran- être une capitulation. » ront directement dans la suite, s'il est e dans l'affaire marocaine. Toute presnécessaire. » — Havas. +\ ion exercée sur l'une de ces deux puisLe Times publie une lettre de sir Harry aaces réagira sur l'autre. Tous les artifice _ du Pressbureau seront impuissants Johnson, autrefois consul général anglais i présenter les choses sous un autre as- en Tunisie, sur les affaires marocaines. Sir Harry Johnson exprime son admiraKct Nous n'avons jamais douté die 3a îLa libération de la e/asse Etape Cherbourg-Le Havre aroïe, de l'absolue loyauté de la Grande- tion pour l'œuvre accomplie par la France er PARIS, 29 juillet. — Les militaires de la LE HAVRE, 28 juillet. — 1 Buboc, à 4 h. Wagae vis-à-vis de nous. Mais, dans la au Maroc et déclare que véritablement nul e cSasse 1908 et les hommes libérables avec iramstance, il convient de lui pendre un amî du Maroc et des Maures ne se décla- 01 ; 2 Georget, à une demi-longueur ; 3. cette classe seront renvoyés dans leurs «mmage particulier. Ministres et chefs rerait de l'avis de les laisser abandonnés Crupelandt, à 4 h. 16 ; 4. Cruchon, à ï h". foyers aux dates ci-après : e partis ont tenu en cette affaire un lanà leur sort, et que personne de ceux qui 41 ; arrivent successivement Gacrigou, Go1° Le 24 septembre, les militaires qui a tK qui mérite notre profonde reconnaisdésirent la paix et la prospérité dans l'A- ciivier, Lambot, Devsoye et Fratesie. 10' Ernest Faut, à 4 h. Kl ; 11" Heus- ne prennent pas part aux manœuvres et se» et qui est d'un bel exemple pour les frique septentrionale ne chercherait à conghem, à 5 h. 30 ; 12e Cornet, à 5 h. 32 ; 13e ceux qui seront rentrés des manœuvres aworte entne nations. La Triple En- trarier l'œuvre de la France en ces pays. Deman, a 5 h. 33 ; 14° Maitron, à 5 h. le 21 au soir. ■fc est aussi unie que jamais, aussi ré2° Le 26 septembre, les hommes rentrés Journaux allemands M ttte à remplir en Europe le rô'e modé15° Pothier, à 5 h. 59 ; 16e Pardon, à 6 h.; dans leurs garnisons le 22 et le 23 septemmir qu'elle s'est assigné, BERLIN, 29 juillet. — D'une façon génébre. ; 18° Deioffre, 19° Ri"•vous ne constatons pas ce fait pour rale, la pressé berlinoise continue à se ré- 17° Dupont, à 6 h. 28 e 3° A partir du 27 septembre et à des ™*ttager en France les partisans d'une jouir chi discours de M. Asquith. Le senti- caud, à 0 h. 30 ; 20 Pauimier et Léonard, e dates telles qu'il y ait deux jours pleins «stanc» inconsidérée à toute conces- ment général semble être exposé par; la à 7 h. 30 ; 22» Viilette, à 7 h. 40 ; 23 Ména- entre la rentrée à la garnison et la libéger, à 8 h. 4C ; 24° Colsaet, à 8 h. 46 ;! 25° Bien, au contraire, nous sommes perRoquebert, à 8 h. 40 ; 20° Faure, à 9~ h. 2 ; ration, les troupes rentrées des manœu™«s que la séance d'hier à La Chambre Gazette de Voss : e vres le 24 et jours suivants. ^aimunes, en levant toutes les incer« La première crise aiguë du Maroc, 27 Ghislotti, à 9 h. 41. Pour les mesures de détail, on se conOn est sans nouvelles, à 10 heures, de mes, facilitera grandement une soluécrit-elle, est passée. Le discours de M.Asfoiroera aux dispositions des instructions 1 L0 Charpiot et de d'Hulst. Z^ . ;•, ' PiMiao eliemande se con- quith a nettoyé l'atmosphère. » A partir du î&>, les coureurs ont subi du 16 avrW 1910, modifiées le 8 mai 1911.— La plus grande partie de la presse est des retards dûs à des crevaisons. Pottier Havas. unanime à constater le calme le plus et Pardou sont tombés. Leurs chutes onfe, 9 h Petit Parisien*:* été sans gravité. grand de l'opinion française. Affaires étrangères Faure a crevé six fois. e di S S qi a s Dans un leader du BeHiner Tagblatt, fccé à i o°r, ;' de °Iennelkment proJusqu'à Caen, la coerse n'a pas-en grand L'Officiel du 29 juillet publie les promoM. Théodore Woiff exprime sa satisfacKh LChambr ? * communes M. intérêt, cependant signalons les crevaisons tions et nominations dans la Légion d'hon► » VmfeL.amiste du roi Geor-) tion : de Garrigou, à Isigiry, CET jamais le lea- neur d'un certain nombre de ministères. 6 Î0 M Batfou? chef %e 10 J^ appuyé par « L'Angleterre, dit-il, déclare qu'elle der du Tous- de France ne *ejoindra plus Au titre des affaires étrangères on refcmèrit" 1.\ PPOsition, présente K'm "lcioutestable : n déblaie com-■ n'entrera pas dans les négociations de ses concurrents, dont le groupe de tête lève ie nom de M. Klohuschowski, ancien comprend 19 hommes. Il n'y en a plus que gouverneur général de l'Indo-Chine, acPettiint chl,qM raielément ," dlPlomalique en re- convention concernant l'Afrique occiden- quatre à Rouen : Duboc, Georget, Crup- tuellie«ie»t ministre de France à Bruxel" taie, à l'exclusion du Maroc. C'est tout ce exacte; Pressé à sa1 que du point de vue allemand nous de- pelandt et Cruchon. les, promu à la dignité de commandeur. ' mandons et désirons pour le moment. » Ce dernier perd contact au contrôle mêIl y a deux officiers, M. Levesque d'A'les ''Angleterre affirme qu'elle me, Cruppelandt est lâché dans la montée, vril, ministre de France à La Paz ; M. Jaas v'int„v0Clal'0UH franco-allvuiandesi de Canteleu. Duboc et Georget terminent Cochelet, consul de France à Leipzig, et »>ent u ^laissant au gouverne- I 0u ensemble, le second toujours blessé, ne] 10 chevaliers. i trait»; Ue»ul>hqae toute latitude3 La Morgen Posi est moins optimiste : peut pas défendre sa chance à l'embal-' H y a également six Français à l'étran-• « Les déclarations de M. Af;quith cond(i ger qui reçoivent la Légion d'honneur, une> Vfîe VK^lon y0"1011' exercer la moin-- tribuent à créer une détente. Elles ne• lage. les croix d'officier et 5 de chevaliers. " P^tie» en pre, - sont pas faites toutefois pour donner une Colonies => grande confiance dans les négociations qui " PWiale 11 I e «ventuelle de l'entente2 s'engagent, car M. Asquith a insisté lui61 quitn 6 croix d 'officiers, dont trois au titre .nÉ ^ RrM e, montre que son pays* même sur les difficultés de ces négociaLes tentatives" sur te« voies ferrée» Pl Cndre art indigène et 9 croix de chevaliers, dont 3»' srlutln ' P aux débats, si1 tions. » au titre militaire et 6 au tttre indigène. SAINT-ETIENNE. — Un inconnu a calé un ^ Pour i-A?i+ sfaisanle Pour ta FranLa Post ne se décide pas à modifier sai ftwpHXc près de l«. gare du ChamDon- ! ne n étai Instruction publique !alisée Sf.ii« 011l6ma ^ ' t Pas enfin 1 c Fertgerolles, avec des pierres. ^>ait i'.". nécessairement, ne8 position : Un commandeur, M. Edmond Rostand, fe ■« Nous sommes-, après le discours de M. On a pu s'aperce*»oàr du méfait avant; l'auteur dramatique bien connu, deux offi-. K ^aité f. Préjudice à l'Angleterre. * AsquiMi, toujours aussi loin d'une solu- tout accident, e ciers et 22 croix de chevalier, dont M. S0UC) tion. On y parie de compensations dans i Une enquête est ouverte. K"*^ Lit des intérêts anglaiss Maurice Pottecher, et M. Broussan, co-'. pat 1 Pour ifl e , .lmmixtion un triple de-u l'Afrique occidentale, à l'exclusion du MaLa mort du chasseur de renards directeur de l'Opéra. roc. » Cab met de 1 nort a, Londres. PARIS, 28 juillet. — M. Berr, juge d'insCommerce „ <m^n n croire que cette intertruction, a rendu une ordonnance de nonLes milieux officiels allemands îiisli Auiourriud, ?1 as,lieu de se produire. Une croix d'officier et 6 de chevalier, lieu en faveur du maçon Jean Bruneau, BERLIN. — Les milieux officiels sont sa-nette Vî ' situation est redjequi, étant en état de légitime défense, tua,' dont M. Peureux, président de la Cham-[ c0té de A78 vivenrii l'Espagne, lee fcisfaits du discours de M. Asquith. rue de Flandre, Le gréviste Paul Armand, bre de commerce de Laire. P0ur Toutes les difficultés ne sont pas écar- charpentier, qui |e Irappait parce qu il! crî'ï S» ton" , Proviso./e qu'il soit,: Aucune décoration des finances et du, ; 4n nrob! î m; <'macrifP ■ w»e« aigus. Quant{ tées, mais ce discours, disent-ils, fait dis- continuait à travailler. travail n'intéresse nos trois départements5 S a 8 es ' fci; nglai;o V récentes manifesta-[. paraître les craintes d'un différend anglolorrains. . , Un non syndiqué blessé d'un coup de Kl'^e n l8 ont contrainte à réflé-». allemand. eouteau U ;, lus a res le s Les mêmes milieux démentent catégori• m "»fiis5 ml i- - ' P discours , fffre ^ modéré, de M. Asquith, see quement l'intention prêtée à l'Allemagne PARIS, 28 juillet. — Ce soir, une discus1 t? d 1 rs se mêler a s d'envoyer un navire do guerre à Moga-_ sion violente s'est élevée dans un musicï'I^ons aveV ? ^ donne une nouvelle version i^ltu t. la France. », hall des Champs-Elysées entre machinisdor. C PARIS, 28 juillet.— Interrogé cet après-tes syndiqués et non syndiqués. fcT'toro • ** Le retour ds Guillaume II Avant qu'on ait m le temps d'interve- midi, l'instituteur libre Lévesque, meur-rêvoi ' trier de l'abbé Garnier, a adopté une nou-irM, $ mêmi P r une solution pacifiSWINEMUNDE, 28 juillet. — L'empereurr nir, un de ces derniers a été dangereuse- velle version. n'lCJP3ti.a!faire Assez rapide du conflit, iment blessé d'um coup de couteau au venGuillaume est arrivé de son voyage dans •ai llortif'^es rentrée dans les limites Il a déclaré qu'il était poursuivi par s tre et a dû être transporté à l'hôpital. eUe * les pays du Nord. une ancienne maîtresse qu'il avait coniiPjjl» »jj . n'aurait jamais dû Les Cégétistes à BerHn a nue au Havre, il y a huit ans, et dont il Journaux auSrlclileng e timo s 16 BERLIN, 28 juiMet, — Ce soir, à l'occa-s'était séparé deux ans avant son maria^rÇ^de encor , u " T l'Allemagnee sion de la visite des syndicalistes fran-- ge. L'abbé Garnier avait cru qu'il entre-• f aucou trû n é VIENNE, 28 juillet. — Commentant le disUt que PAn P P « chançais, une réunion populaire a été organi-- tenait toujours des relations avec elle et PJt à ,?arlem ' Atllemaf?ne nous offre. cours de M. Asquith, la Neue Frflie Presse e lf au rai sée, à laquelle assistaient environ 2,000) il lui avait signifié son congé, le 10 juil-t considère que, si ce discours ne provoque ' ' ! .> ^ e^ .'. du reste, son " n e ouvriers berlinois. t f let. M ""OBi,,. affaire. » pas un trop grand optimisme, il produit u Dans une résolution, l'assemblée a rede Il revenait le lendemain pour se justipourtant une impression rassurante. ^s, 2 ". ministres français mercié les ouvriers français des preuves 9 — La Rïechpost,exprimant un avis analo- de camaraderie internationale et d'amours fier, mais l'abbé le repoussa vers la porte, Q a let L Ech0 de p r Alors, il sortit un revolver qu'il avait en1 ÏÏ Pt a"3 s'est st gue, juge que ce discours dissipera les inUr8 minis >■ fraternel de la paix qu'ils ont dotmé. c poche, par crainte d'accident. >Ive ^u >-tres dess quiétudes provoquées par le discours de Ucr na ne 11 a e e L'assemblée proteste ensuite contre l'exL'abbé Garnier, apercevant l'arme, cherCrions ^ t 8 : reçuu M. Lloyd George. pulsion d'Yvetot, dont le discours fut uni- cha à s'en emparer, il y eut corps à corpss f lC(M*>s RrLn<;i lv'',,ltos — Pour la Zeït, la déclaration de M. As3- quement #uidé, dit l'ordre du jour, parr et c'est ainsi que deux coups partirent acM quith prouve l'immixtion de l'Angleterre J ■e son intention de servir la çftuse de ïai cidcntellement et que l'abbé Ga/flier fut > ™t consacrée aux af• f- , dans la conversation de Berlin. paix- — Havas .tué. — ilava». " - - » 1 MERCIER S feOJernière Pleure Journaux français N° 8729, PUBLICITÉ: - Le discours Asquith amène la détente Les Allemands deviennent plus aimables . ^ LLJ^L^LN RÉDACTION ET ADMINISTRATION : ■ Année ] " liîiposistirabiiîsii11 Sous ce titre, la Gazette de Cologne 'vient de publier un nouvel article sur la ;situation politique. Après avoir parlé du discours de sir Lloyd George, l'organe officieux fait ressortir que le pubHc allemand a souvent reproché à la Wilhelmstrasse de n'avoir pas suffisamment défen1du les intérêts de l'Allemagne au Maroc. La Gazette ne veut pas rechercher si ce reproche était justifié et elle ajoute : « Mais la dernière attitude du gouvernement, c'est-à-dire l'envoi de bâtiments de guerre à Agadir, a été saluée avee! une satisfaction entière par l'opinion publique allemande, exception faite des élé(ments qui sont remplis de haine aveugle contre l'Etat et la société. Les députés et les journaux de tous, partis ont estimé que cette démarche( était justifiée et qu'elle constituait une. délivrance du cauchemar qui pesait sur'. nous. Du moment que le gouvernement a été même défendu par tous, on ne ressent que plus vivement la façon dont l'Angle-; terre est sortie subitement de son rôle. On, rappelle au fameux « handz off » que Gladstone lança à la face de l'Autriche-. Hongrie en 1878, lors de l'occupation de, ' -la Bosnie et de l'Herzégovine ; on estï d'avis que les temps sont passés, où unI homme d'Etat anglais osait-dire pareil'e^ chose à un autre gouvernement. En tout cas, le peuple allemand n'estt pas disposé à se laisser faire violence! par des puissances étrangères, dont l'his-^ toire nous a d'ailleurs appris qu'une nation ne peut vivre que si elle défend énergiquement ses droits et ses pevendica-\ tions. Le prince de Bismarck a.plus d'une, fois, parle des « impondérables qui, ev, politique, agissent parfois plus _puissamment que les questions d'intérêt matériel1 et direct ». Le prince était d'avis qu'onr ne doit jamais négliger l'iniportance de% ces « imponderabilien ». Donc, qu'à Londres et Paris on se garde de toucher auxl « imponderabilien » qui font agir en ce, moment l'Allemagne ». a——.mi Hf^ |H ♦ -" * 11 ilAWCY Kmûmi morts! Un accident mortel a marqué la reprise du travail, samedi matin, vers cinq heu-l res, au dépôt de la rue Victor. Un ouvrier a été saisi entre deux wagons chargés de sable. H est ensuite tombé sur la voie et a eni la tête broyée. La mort a été alors instantanée. te, victime est M. Mombillard François,h un vieillard de 70 ans, employé de la vil-„ le, habitant 5, rue du Moulin, où le corpss .a été transporté» i des Ministres Un conseil des ministres s'est tenu aujourd'hui à Rambouillet et a duré deux h heures et demie. * Le conseil supérieur de la défense nationale j. M. Messimy a fait signer un décret relatif au conseil supérieur de Ta défense bj •nationale. Ce conseil sera, comme antérieurement, • composé des ministres de la guerre, des affaires étrangères, des finances, de la, marine et des colonies, et présidé par le \président du conseil. 11 sera pourvu d'une section d'études permanente. ] La réorganisation du haut commandement L'état-major générât de l'armée et le eomité technique d'état-major relèveront à l'avenir d'un officier général qui exercera 1 en temps de guerre le commandement du 1principal groupe d'armées. Le conseil supérieur de la guerre est 1 maintenu et se compose de généraux com1 mandant d'armées, mais le poste de vice1 président est supprimé. Le poste de chef d'état-major sera confié au général Jo£1î're. L'état-major de l'armée demeure sous la 1 direction du général Dubail, qui échange ! son titre actuel contre celui de chef de l'é1 tat-major. Chaque commandant .d'armée aura à sa 'disposition, d'une façon constante, le chef 1 de son état-major et le noyau de son état1 major d'armée formé de trois officiers suipérieurs. — Havas. ( J i | De Tétat-major de l'armée et du comité d'état-major Voici le texte même du décret signé par le président ue la République, vendredi : « Article premier. — L'état-major de l'armée est placé sous la direction d'un officier général choisi par les membres du conseil supérieur de la guerre et qui prend le titre de chef detat-major générai. Le chef d'état-major générai est secondé dans ses fonctions par un général de division qui prend le titre de chef d'ètatmajor de l'armée, qui est choisi parmi les généraux de division ayant commandé une division pendant un an au moins. H a le rang et les prérogatives d'un commandant de corps d'armée. Cet officier générai fait partie de droit du conseil supérieur de la guerre. Le chef d'état-major général et le chef d'état-major de l'armée sont nommés par décret. Article 2. —. L'état-major de l'armée se subdivise en trois groupes .* Les deux premiers ont pour objet unique la préparation à la guerre, le troisième étant chargé des affaires courantes. Le premier groupe, placé sous les ordres d'un officier général, premier sous-chef d'état-major de. l'armée, major général désigné du groupe principal des armées en cas de guerre, comprend : 1. Le bureau des opérations militaires et de l'instruction générale de l'armée ; 2. le bureau d'étude de l'organisation et de la tactique des armées étrangères ; 3. le bureau des chemins de fer et des étapes. Le deuxième bureau, placé sous les ordres d'un générai de brigade ou d'un colonel, sous-chef d'état-major de l'armée,comprend : 1. le bureau d'organisation et de la mobilisation de l'armée ; 2. la section d'Afrique ; 3. la section historique. Le troisième groupe, placé sous les ordres d'un général de brigade ou d'un colonel, sous-chef d'état-major de l'armée, comprend : 1. ta section du personnel du service d'êtat-major ; 2. la section chargée des affaires du service courant de l'état-major de Tarmée ; 3. la section administrative. Article 3.— Le chef d'état-major général dirige personnellement, en collaboration avec le chef d'état-major de l'armée, l'étude de toutes les questions relatives à l'organisation générale de l'armée en vue de la guerre, à sa mobilisation et à sa concentration, à l'exclusion de toutes question du personnel et de service courant. Il a la haute direction du centre des hautes études militaires et de Técole supérieure de guerre. Le chef d'êtat-major de l'armée seconde le chef d'état-major général pour toutes les questions de préparation à la guerre, et traite directement avec le. ministre toutes les affaires de service courant (personnel, mouvements de troupes en temps de paix, matériel et approvisionnements, expéditions coloniales, etc.). Article 4. — A l'état-major de l'armée est rattaché le comité d'état-major placé sous la présidence du chef d'état-major général. Le comité comprend : Le chef d'état-major de l'armée, vice-président ; les chefs d'états-major d'armée, du grade de gênéral de brigade ou de colonel ; le général commandant l'école supérieure de guerre; ies officiers généraux ou supérieurs remplissant en temps de guerre les fonctions de chef d'êtat-major auprès des membres du conseil supérieur de la guerre non pourvus de commandement d'armée ; un officier supérieur est secrétaire du comité. Article 5. — Le comité d'état-major a dans ses attributions essentielles : 1. L'étude de toutes les questions concernant le fonctionnement technique du ser* vice d'état-major dont il est saisi par te ministre. 2. L'exnmcn de toutes les modifications reconnues nécessaires par ses membres au cours de leurs inspections annuelles en tant que chefs- d'états-major d'armée. a. La réalisation des mesures ayant pour but l'amélioration du fonctionnement des états-major d'année et des états-major subordonnés. 4. La narMctnoti'Ti n"\ exnmeris d entrée et de sortie de l'école supérieure de guerre. » Le nouveau chef d'etat-major général Le général Joffre, bien qu'il porte les trois étoiles depuis plus de six ans, est, cependant un des plus jeunes divisionnaire? de l'armée ; il est né le janvu» 1852, à Rivesaltes (PyréiMses-Oneflt.ues), et a par suite cinq années a confier a la haute mission que le gouvernement vient, de lui confier. i 555^5?! 2 f" REPUBLICAIN ^WjWMMMWjjjgjW H est entré à seize ans à rEcole polytechnique (septembre 1868) ; le 21 septembre 1870, il était nommé sous-lieutenant et classé dans les batteries d'artillerie en vole do formation ; il assista aux opérations du siège de Paris. Après la guerre, il rentra à l'Ecole polytechnique et fut ensuite nommé lieutenant au 2° régiment de génie, arme dans laquelle il fit sa cartrière. II était capitaine en 1876 ; dans ce grade, en 1885, il fit sa première campagne coloniale à Formose, puis au Tonkin, où il reçut la croix de chevalier de la Légion d'honneur. Il rentra en France en 1888, après avoir occupé !e poste de chef du génie à Hanoï, et fut promu l'année suivante au grade supérieur. En 1802, il est envoyé au Soudan pour diriger les travaux du chemin de fer du Sénégal au Niger, et c'est lui qui fut chargé de se porter au secours de la colonne Botninier, massacrée par les Touareg ; il accomplit sa mission et assura définitivement la prise de possession de Tombouctou. La campagne lui valut le grade de lieutenant-colonel le 6 mars 1894, et la croix d'officier de la Légion d'honneur le 26 décembre de la même année. Il fut promu colonel en 1897, et après avoir été secrétaire de la commission des inventions, il fut détaché à Madagascar ; c'est à lui qu'on doit l'organisation du point d'appui de la flotte à Diego-Suaroz. Il obtint les étoiles 'e 12 octobre 1901, et fut nommé directeur du génie au ministère de la guerre. Promu divisionnaire le 24 mars 1905, il fut nommé gouverneur de Lille, puis commanda une division d'infanterie à Paris, et ensuite le 2" corps d'année à Amiens. Il est membre du conseil supérieur de la guerre, et fut nommé inspecteur permanent des écoles militaires le 22 février 1910. Il est grand-officier de la Légion d'honneur. AU MAROC Chez les Zaer TANGER, 28 juillet. - Un radiotélégramme de Gasahianca annonce que le colonel Bramlière n'a rencontré chez les Zaer aucune apposition jusqu'aux dernières nouvelles datées du 25. La fraction des Oulad-Amran a demandé l'aman. On le lui a accordé à condition qu'elle se joindra aux colonnes chargées de châtier les douars compromis dans l'attentat du 14 janvier. L'état sanitaire des troupes TANGER, 28 juillet. — L'état sanitaire des effectifs métropolitains est défectueux. On signale de nombreux cas de dysenterie et de typhoïde. Par suite de ces diverses maladies, la moyenne des morts qui se produisent dans les ambulances est de deux ou trois par jour . LES VOYAGES de L 'EST RÉPUBLICAIN L'Excursion de dimanche Vallée de Celles et Donon AVANT LE DÉPART Nos adhérents sont priés de noter soi gneusement l'horaire ci-dessous : Départ de Nancy, 5 h. 20 matin. Départ de Raon-l'Etape (gare de la vallée de Celles), à 7 h. 30 matin. Départ de Raon-sur-Plaine, 3 h. soir. Départ de Raon-l'Etape, 5 h. 35 soir Les billets seront distribués à partir de 5 heures du matin, à l'entrée des salles d'attente, sur le vu de la carte d'excursion qui a été remise à tous les souscripteurs. Pour faciliter le contrôle, porter■ cette carte à la boutonnière ou au corsage. Aux gares d'arrêt du train spécial, les1 adhérents du dehors recevront leur billet sur le quai de ces gares. A partir de l'arrivée à Raon-sur-Plaine jusqu'au départ de cette localité, c'est-àdire de huit heures et demie du matin à trois heures de l'après-midi, les touristes> seront absolument libres d'excursionner à leur guise dans les environs, soit au Donon, soit ailleurs. Four tous autres renseignements, s'adresser auv collaborateurs de l'Est républicain accompagnant l'excursion. *** Comme nous l'avons annoncé, la réception faite à nos touristes dans les localités traversées sera des plus sympathiques. Voici le programme des morceaux qui seront exécutés par la Fanfare Raonnaise, à quatre heures et demie, sur la place du Marché de Raon-l'Etape, en l'honneur des1 excursionnistes de l'Est républicain : 1. Allegro, pas redoublé (X.). — 2. Maria, fantaisie (Bauwens). — 3. Oliva, polka1 pour piston (Bosch).-— 4. Andréa, mazurka1 (Bosch). — 5. Matin de Printemps, valse' (Bosch). , ! IL REMPLIT LES CONDITIONS INDISPENSABLES' Gi'âce à ses infaillibles propriétés isolan-tes, antiseptiques et curatives, Cadum, la1 Eouvelle découverte, remplit les conditions3 exigées par la science pour la guérison aussi bien de l'eczéma que de toute autre maladie de la peau. Il protège les régions attein-tes des méfaits de l'air et des poussières ;; iî en détruit les germes nocifs et il permett à la guérison de se manifester aussi rapide-ment que possible. Dans des cas tels que :: eczéma, éruptions, boutons, herpès, acné,, urticaire, dartres, gourme, pustules, pellicules, écorchures, pelade, etc., une boîtee d'essai de Cadum, vendue chez tous less pharm. au prix de 50 c. suffit amplementt pour prouver l'efficacité certaine du produit. L'hymne russe, le Boyé tsara Kranii (Dieu sauve le Tsar), que les Français, il1 y a quelque dix ans, savaient par cœur, soulève en ce moment, parmi les musicographes et les historiens, d'assez vivess polémiques. Le compositeur en fut un amateurr nommé Levoff, qui vivait spus le règnee de Nicolas Ier. Ce Levoff, qui avait beaucoup voyagé en Europe, ne fut, cet hymne mis à part, qu'un très pauvre compositeur. Or, on aurait découvert que la musique de l'hymne russe ne serait que la1 transcription d'un ancien choral hollandais | Toutefois, les Russes, qui tiennent ài leur hymne, assurent que le choral n'estt pas si ancien qu'on le prétend et seraitt au contraire le vrai plagiat. La querelle continue et l'on peut espérer que dans quelques années, peut-être,-, la question sera résolue !... | -«t^*- ^ ■t^fT- i ———- -Il I II. ■ LillllïTEilïillLgS | !1 \ Faubourg Si a tlmtmm prolongé Lotissement d'un grand ParcJ mm gré dès xmmîouma W8ïL3iSB 2i Pnint-Central Régionale NANCY ' |{aiM|||| |,|| B,,!aa ^ * l,MI,ma *™ WM ^ Chronique du travail Bga ^ Ml ^ , l ^ " *^~^~ ""'™'""" ''^^SM Mil IL çMpcnoniL M. Guilmin, 14, rue Pasteur.— Construire une maison -it un canal rue du 4.9 +» —. Placicux. (E. Dancclme jeune, entreprev neur). . „ Samedi 29 juillet. — 210" jour de l'année. i M. Légcav, rue de In Côte, 54 ; M. IcesAujourd'hui : sainte Marthe.— Demain ■ sel rue de'la Côte, 32 ; M. Vilminot, rue Sl saint Loup. (j. la Côte, 36 ; M. Btot, rue de la Côte, de Ephêmèrides lorraines : En 1737, nomi41 ' 46 et 46 bis ; M. Darcis, rue de la Côte, nation du premier rabbin juil en Lorra^ 48 /,', • M. Burtin, rue de la Côte, 38.— Consne. * truire (; un qanàt. (Dancelme jeune, entreA neuf heures et demie. — Salle Poirel : preneur.) p ML.À î , ,, Distribution des prix aux élèves des écoles Mme Hadot, 25, clos Olry, représentée supérieures? par M. Pain, architecte, 12, rue FélixA neuf heures. — Place Stanislas : Re- 1,paure,,__ Construire une maison de raptraite aux flambeaux. p port avec canaux et un garage d'aiitomoet _ . OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES bbile, clos Olrv, 25 bis. Mme Hadot. replantée par M. Pain, du 28 juillet 1911 architecte, 12, rue Pilfx-Faure.— ExhausBaromètre : 6 h. matin 750, midi 751, 4 6 BLAMONT, 27 juillet. — Le comité d'orgaser sa maison sise rue des Quatre-hgus h. soir 750. nisation ne perd pas une minute. Sous • Thermomètre : 0 h. matin + 21, midi * 1l'impulsion de M. le docteur Hanriot et de M Schwartz, 39 bis, boulevard -de la + 28, 4 h. soir + 28. M. Georges Mazerand, les détails du proPépinière.— Exhausser sa maison. (Gé1 Minima + 18, maxima + 29. gramme i définitif seront réglés avec autant nny, entrepreneur.) 'd'habileté que de précision. L'orage "M Thomas, rue Maréchal-Gerard. — On sait que M- Albert Lebrun, ministre Un assez violent orage s'est produit ven- CConstruire un canal. (Pain, architecte.) ;des colonies, doit honorer de sa présence dredi matin, apportant heureuserryent un M. Mathiot, rue de Grafi'igny.— Consles concours de gymnastique et de prépa- peu d'eau aux terres altérées et de frai- ttruire une maison et un canal. (Laroche ration militaire du 13 août prochain. et cheur aux malheureux humains.e Guillot, entrepreneurs.) Le ministre arrivera à midi. La récepM. Débès, 25, allée Eugène-Hugo. — ** tion aura lieu à la gare. Puis le cortège le mur de clôture de sa propriéLa foudre est tombée sur un arbre à la Réparer I officiel se rendra à l'hôtel de ville pour ; té. (Laroche et Guillot, entrepreneurs.) Californie. L'arbre a été complètement bri- t les présentations des fonctionnaires et des sé. On annonce que le tonnerre est égaleM. Briot, rue de Sivry, 15. — Consdélégations. une maison dans sa propriété. ment tombé du côté d'Art-sur-Meurthe, truire t. Un grand banquet par souscription sui- mais on ignore s'il y a des dégâts. M. Bier, 12 bis, chemin de la Foucotte. vra aussitôt. — Construire une maison et un canal De prix du couvert est de quatre francs. Nouvel orage dans la nuit de vendredi ruelle r Ligior-Richier. Pour y participer, prière de s'adresser :à samedi, entre minuit et demi et 1 heuM. Herbin, 1, rue des Loups. — Faire jusqu'au 5 août à M. Watrinet, horloger à ire et demie du matin. Quelques coups de <des raccords d'enduit à la façade de sa Blâment. 1 tonnerre ont été suivis d'une copieuse maison r rue de Guise, 3 (Fournier et DeDive»s concours se succéderont pendant averse. i tfaut, entrepreneurs). la matinée. C'est seulement à partir de M. Galley, rue de la Commanderie. — Le général Michel deux heures après midi que commenceront Le cliché que nous avons donné dans no- ^Démolir et reconstruire un mur de clôles fêtes proprement dites : les sociétés 'ie ; transformer sa maison, angle rue tre dernier numéro du général Michel pro- ture ' gymnastique feront des productions intésSergent-Bobillot et avenue de France venait de M. A. Lévy, l'excellent éditeur ressantes, notamment des pyramides. (Fournier et Défaut, entrepreneurs). saint-mihielois. ( M.Albert Lebrun arrivera sur le terrain M. Potu, place Saint-Epvre, 28. — EtaLégion d'honneur , à trois heures. Le défilé de toutes les soblir un siphon, réparer un canal (Dautciétés, au son des musiques ; la présentaOn apprendra à Nancy avec intérêt la ccourt, entrepreneur). tion des drapeaux, la remise des décora- nomination au grade dé chevalier de la M. Remy, 1, rue Foller. — Réparer le tions marqueront la continuation des fê- Légion d'honneur de M. A. Kauffer, in- regard i d'un siphon et le canal de sa mai,tes. . génieur aux forges et chantiers de la Mé;son (Bernanose et Lommée, entrepreLe ministre quittera Blâmont à cinq diterranée, à 'a Seyne. ] neurs). heures pour prendre à la gare d'Avricourt C'est là une distinction des plus mériM. le docteur Renard, 162, rue de Strasle train de cinq heures et demie. tées et justifiée par toute une carrière de 1bourg. — Construire une maison et un Illuminations, feu d'artifice, grands bals labeur incessant et de travaux accomplis 1 canal boulevard d'Aisace-Lorraine, 86 bis gratuits donneront dans la soirée le signa' dans la construction maritime. (Legrand, entrepreneur). des réjouissances populaires. Un des plus réputés parmi les ingéM. Phiiippo, 4b ter, rue de la Côte. — nieurs des forges et chantiers, M. KaufConstruire un canal (Dancelme jeune, enfer a contribué à mettre cette importante trepreneur). usine au premier rang ; il a eu, en effet, M. Fourcaud, 8, rue Chnnzy, à Toui. — Des trains spéciaux seront mis en mar- à diriger l'exécution des plus puissants Transformer le canal angle rue_ Saintche. C'est ainsi qu'un train partira de cuirassés : « le Jauréguiberry », « la JusGeorges et boulevard d'Austrasie (DancelNancy le 13 août à 4 h. 40 du matm, pour tice », « le Voltaire », et il est en ce moarriver à Blâmont à 7 h. 15, avec arrêts ment chargé de la construction d,u « Pa- me jeune, entrepreneur). M. Guépratte, angle rues J**nne-d'Are dans les principales gares. ris », un "des nouveaux dreanoughts ; ce et Sainte-Marie. — Modifier des baies, Des voitures supplémentaires seront puissant navire aura 165 mètres de long, établir une marquise (Riplinger, architecajoutées aux trains réguliers selon les be- 25 mètres de 'arge et un tonnage supéte). soins du service. rieur à 23,000 tonnes. M. Ruch, 14, rue de la Source. — RecréDe Blâmont partira le soir pour Nancy, M). Kauffer est né à Nancy où il a fait à dix heures, un train qui arrivera à des- toutes ses études et où il n'a laissé que pir la façade de sa maison (Servat et Noël, entrepreneurs). tination avant minuit, de manière à faci- des amis. M. Mangin, 141, avenue de France. — liter l'usage des correspondances sur toute Quartier du Montât Construire une maison et une remise rue cette partie du réseau. de la Côte, 62. La compagnie des chemins de fer de l'Est A l'audience des criées du Palais de M. Arnold, 19, rue Jules-Ferry. — Consaecordtera aux groupes d'au moins dix Justice de Paris, le 20 juillet dernier, la truire un canal. personnes 50 % de réduction sur les prix maison Nathan frères s'est rendue adjuM. Guinet, 17, rue De vil le. — Recrépir le des places dans les trains ordinaires,4Ô % dicataire, pour le compte d'un de ses dans les trains express, avec validité de clients, au prix do six cent cinq mille mur de sa maison, rue Durival et ouvrir des soupiraux. cinq jours et faculté de retour individuel, fa-ânes (605,000 fr.), plus les frais de vente, en modifiant, s'il y a lieu, l'itinéraire. de la nue-propriété d'un superbe lôt de C'est là un double avantage qui séduira terrain de cent soixante-dix mille mètres Préparation militaire du Grémillon les amateurs de villégiature. Le « pont » carrés (170,000 m2), situé à la Chiennerie, du 16 août comprendra certainement $>ouir entre la route du Montet, le boulevard de Le dimanche 30 juillet, à < heures \ du la plupart d'entse eux, un programme où la Chiennerie et la rue de Remicourt. matin, à la caserne du 26e d'infanterie, sera réglé sans lacune remploi des trois Le lotissement va être préparé avec soin rassemblement des élèves brevetés et de jours de vacances. par MM. Nathan, qui ouvriront de larAprès les fêtes patriotiques de Blâmont, ges rues et places, en étudiant sérieuse- ceux devant constituer la section de conune excursion au Donon, dans la vallée de ment toutes les combinaisons que com- cours. Liste des élèves ayant subi avec succès Celles, au milieu de ces pays verdoyants porte ane affaire aussi importante — dont les épreuves du brevet d'aptitude militaiet si pittoresques a de quoi tenter aussi la vente en détail leur est confiée. re qui leur permet de choisir leur régiles gymnastes et leurs familles. Aiu prix avantageux ci-dessus,viendront, ment : Lee faveurs octroyées pa* la compagnie il est vrai, s'ajouter des frais considéraAlber P.,Adrien J., Barthélémy P., Basde l'Est permettront donc de réaliser éco- bles de viabilité, mais ils assureront la tien L., Berr J., Buzon E., Bajolet H., Bonomiquement ce programme de tourisme. 'beauté et le coHÎort de ce quartier sain, hin J., B*aye E., Biaise Ch., Colin G., bien encadré par les bois de Laxou, Van- Cugnot F., Colas A., Dign-y L., Doter M., deeuvre et Villers-les-Nancy qui le domi- Favrel M., Ferber E., Henry P., Jacquinent, et en font H» site charmant. net B., Jeankelowitsch P., Kohner G., M. Georges Mazerand, que nous avons eu Mariage Lantznester A., Maigret H., Maniette E., le plaisir de rencontrer, a bien voulu neus Motta H., Mahuet H., Oudinot E., FiOn vient de célébrer, en l'église Saintcommuniquer une première liste des sogneux P., Pernot C, Portier J., Reisser Léon, à Nancy, le mariage de M. Senn, ciétés dont l'adhésion est déjà parvenue au R., Schilling A., Simon Paul, Simon Fr., professeur à la Faculté de droit de Nancomité d'organisation. Thomas G., Toussard L., Valentin V., cy, fils de M. Senn, associé d'agent de Voici cette liste : Voigraier M., Zanetti F. La Fraternelle Briotine, de Briey ; l'A- change, avec Mlle Marie-Madelelne-Marguerite Blondin, fille de l'ancien directeur vant-Garde de Villerupt ; la Lorraine, de Sous un oamion Longwy ; l'Amicale Laïque des Grands- de la Banque de France à Nancy. Vendredi, vers six heures du soir, M. Les témoins étaient, pour le marié : MMoulins, de Nancy ; le Muscle de Fer, de Léopold B..., âgé de 28 ans, déménageur, Pagny-sur-Moselle ; l'Alerte, de Thil-sur- Binet, doyen de la Facirité de droit le au serviee de ia brasserie Greff, conduiMoselie ; l'Amicale Laïque du Nouveau- Nancy, et M. Martin, professeur à la Fa- sait un camion de fûts de bière, lorsqu'à Nancy ; le Groupe Bara avec sa musique,de culté de droit de Rennes, son beau-frère, l'angle des rues de la Garenne et Deville, Nancy ; l'Amicale Saint-Georges, de Nan- et pour la mariée : M. René Marcot et M. il glissa et tomba si malheureusement cy ; le Sport Malzévillois ; l'Amicale Laï- le docteur Haushalter, professeur à la que les roues de la voiture lui passèrent que de Maxêville ; l'Amicale Laïque des Faculté de médeine de Nsancy, son beau- sur le corps. frère. Trois-Maisons ; la Patriote, de Tomblaine ; Il fut transporté à l'infirmerie du 5° le Sport Mussipontain ; la Lorraine, de LuLes vacances commencent hussards et de là à l'hôpital civil où l'innéville ; l'Abeille Lorraine, de Nancy ; l'ALes excursions en auto, à bicyclette, à terne de garde constata qu'il avait de promicale Laïque Stanislas, de Nancy ; la Toula mer, à la montagne, vont battre leur fondes blessures aux reins et aux genoux. loise ; la Jeune Lorraine Laneuvilloise, de plein. Avant le départ, nous vous conseilLaneuvevifte-devant-Nancy ; te Sport NanRixe lons de voir les vêtements légers en alpacéien ; l'Amicale Laïque de Boudonville ; la ga, en toile, ainsi que îles costumes spéDans la soirée de jeudi, une rixe a éclaFraternelle des Usines Jules Marchai et Cie, ciaux pour la chasse et les sports, de mê- té prairie de Tomblaine entre des apaches. de Samt-Dié ; l'Amicale Laïqtte Didion, de me que les costumes d'enfants es coutil L'un d'eux, le nommé Joseph Geller, âgé Nancy ; les Apprentis éu Bureau de Bienblanc, fantaisie et tennis qui sont vendus de 37 ans, demeurant 49, rue de Tomblaifaisance, de Nancy ; l'Amicale Laïque des à la Grande Fabrique avec des grandes ne, a reçu un coup de couteau dans le Cordciiers, de Nancy ; l'Etoile, de Pierre-ladifférences de prix snr ceux pratiqués dos. Treiche ; la Fraternelle, de Besançon ; 1« Il a été transporté à rhôpita»l, où il a été Ralliement, de Sèvres (Seine-et-Oise) ; la dans les maisons de détail, c'est à deux pas du Point-Central, 27, rue Saint-Nicoadmis. Société d'Instruction Populaire et de Prépalas ; succursale à Lunévilie, 10, rue des ration Militaire, d'Essey-les-Nancy ; l'Ami- Capucins. Vol de pain cale Laïque de Custines ; l'Amicale des Vendredi soir, le nommé Edmond WaFaeulté de droit Anciens Elèves de Chanteheux ; la Mmsipontaine ; la Société de Préparation MilitaiPremier examen de baccalauréat, 2" 1 gner, âgé de 26 ans, manœuvre, sans dore de Nancy ; la Frontière, d'Einville ; la partie.— Sont admis : MM. Jolfra*i, Mal- micile fixe, a été arrêté pour vol d'un pain dans une voiture d'un boulanger de Société de Tir et de Préparation Militaire ter, Petit. la place Saint-Epvre. de Champigneulles ; l'Avant-Garde de LuCommufiicHté néville ; la Patriote Saint-Mihielloise ; l'EsAffaires de mœurs Pour répondre aux nombreuses demancadron de Lorraine et l'Escadron de Nandes verbales ou écrites qui lui sont faites, cy, etc., etc. Samedi, à une heure du matin, le nomrue mé Victor Dori, âgé de 39 ans, demeuLe moniteur général pour le concours la direction de « La Samaritaine », Saint-Jean, et 2, rue des Ponts, Nancy, rant 114, rue du Bois, à Levallois-Perret, de gymnastique est M. Rimbach, réoemnous prie d'informer que sa grande mise a été arrêté pour outrages publics à la ment promu sous-lieutenant de réserve, en vente annuelle des SOLDES d'été com- pudeur, rue Saint-Georges. Pour le concours de préparation mîlitaier re, c'est M. le lieutenant Legret qui rem- mencera mardi prochain 1 août, et complira les fonctions de conseiller technique prendra des occasions multiples en confection pour dames, paletots noirs ou fantaiLe nommé Pierre Veubelot, âgé de 18 auprès du jury. sies, vêtements de voyage, robes, costu- ans, demeurant à Jezalnville, a été arrêNous avons annoncé que les Escadrons de Nancy et de Lorraine se proposent de mes tailleurs et couturières, costumes de té pour outrages publics à la pudeur. Veubelot a été écroué à la prison de, couvrir a cheval l'étape de Nancy à Blâ- toile, blouses, kimonos, jupons, jupes, corsets, peignoirs, robes d'enfants et fillettes, Nancy. mont, soit une distance de 60 kilomètres. Ajoutons que la société l'Avanl-Garde, de etc., etc. En confection pour hommes, des comLunèville, a l'intention de recevoir et de NANCY VILLE D'EAUX fêter à leur passage ses camarades des plets drap ou coutil, vestons et pantalons dépareillés, gilets fantaisie, chemises zé- Enormes sont les frais de villégiature. deux Escadrons. phyr, costumes, culottes et blouses pour Aussi de quitter Nancy point n'ai cure. Gar si jé veux aux Bains Marceau, faire une cure garçonnets, etc., etc. Le tout soldé à des J'y £.â trouve tout : Doucheurs, masseurs, pédicure. ( prix qui amèneront certainement la foule — + » » des acheteurs à La Samaritaine, 3», rue Une légère rectification s'impose. Saint-Jean, et 2, rue des Ponts, Nancy. Ce n'est pas exclusivement au comité des Femmes de France de Blâmont que revient Libéralité L l'honneur d'avoir préparé pour les fêtes du A l'occasion du mariage de sa frHe, 13 août la vente des petites fleurs bleues. On sait que — même pendant les chaleurs , Mme Mazerand, qui a créé les deux comi- Mme Blondin, rue de la Ravinells, Î5, a — tes wattmen de Naney sont astreints à tés des Femmes de France, à Cirey et à fait parvenir à M. le maire une somme de1 garder leurs faux-cols. L'un d'eux s'est fait, Blâmont, a obtenu qu'ils associeraient dans 200 francs pour la Société des jardins ou- dans nos colonnes, l'écho des doléances de vriers. cette circonstance leur généreuse initiative ses collègues à ce sujet. Nous trouvons et leurs patriotiques efforts, tant pour asPar ces grandes chaleurs, la Brasserie1 maintenant dans la boîte da journal cette! surer le service du poste de secours avec amusante fantaisie : ie matériel complet que pour augmenter le Michaut, avec la fraîcheur de sa salle et ses jardins ombrés, est toute indiquée comAu Watt m an, ennemi du taux-col produit des ventes de charité, L'entente ne peut qu'être féconde en heu- me rendez-vous. Samedi et dimanche, ciné- La mode a dea rigueurs à nulle autre pareilles : reux résultats. Le premier comité des Fem- • ma gratuit en matinée et soirée. Elle veut qu'un faux-col soit tangent aux oreilk*. mes de France offrira la petite fleur bleue - Aux appels du watlman, en ce carcan captif, Les dangers de l'essence à tous les voyageurs en gare de Cirey ; Le Directeur est soiwd, le règlement rétif. puis il rejoindra le second comité à BlâVendredi, une ouvrière de la mai- C'est en vain qu'à Nancy, un hardi novateur mont. Ces dispositions et cette touchante son Doerflinger, manufacture de chaussu- Voudrait de cet objet abaisser la hauteur ; union sont un gage du succès. res, rue Saint-Nîcolas.remplissait une lam- Voire le mettre en bière, en faire une hécatombe., ... Tel est, en résumé, le programme des pe d'essence. Soudain, un bidon qui se1 Froissé qu'on ose ainsi 1« vouer à la tombe, concours, des fêtes, des réjouissances aux- trouvait à côté fit explosion et le liquidei Méprisant le murmure élevé sur ses pas quels prendront part environ 1.500 gvmnas- s'enflamma. M. Pierre Auguste, âgé de 4MI Le faux-col se r«biffe, il pli», mais ne rompt pai. tes. ' ans, demeurant 9, rue de Nabécor, jeta le! On tirerait plutôt d«s larmes de la pierre : Nous publierons prochainement les noms bidon par une fenêtre. En jetant Je réci- Mais, lui, reste au wattman attaché comme un lierrej des membres des divers jurys ; nous compient, il fut atrocement brûlé aux mains. Rien ne peut l'attendrir. Devant un sort bien triste, i plèterons la liste des sociétés ; nous suiM. Pierre Auguste a été conduit à l'hô- Où la toile cédait, le cellnlo résiste. vrons avec l'attention et l'intérêt qu'ils mé- pital, où il a été admis. La canicule est courte, ami, garde ton chic, ritent, les travaux du comité d'organisation Les pompiers .avaient été appelés mais; Bfste, dans ton faux-col, adoré du public. et de tous ses collaborateur.-. — L. C. ils n'ont pas eu à intervenir. COLCIIIQOB. LA JOURNÉE Les Fêtes ae Blâmant j DEUX GRANDS CONCOURS Gymnastique préparation militaire Les Trains spéciaux £ a liste des Sociétés petite <FIeup bleue "Les faux-cols des wattmen i jMFOIliqapJpoFtli; 1 8 Plllon Emélie-Caroline, Wf" ^^ Jjanson, volait depuis un certain jampswi petits -nards de Donn^^.^ 1 renient outrage le gaiue. 1 son avec sursis. _ ? — Remy Victor-Jean-Baptiste,4-t ans nna nceuVre asoustra.t deuxeaparaço isct un ) sac de toile au préjudice de M. Pda. Deux s , rmois de prison. — Secci Satvator, 30 ans, manœuvre à Pont-à-Mousson, à la suite d une bâgaire 1 avec les sieurs Baillard et Riçbeton ht sa£ e de son revolver et tua plusieuis coups {K sur un chien cie police lancé à sa poursuite. t — Deux mois do prison. — Servantout Théodore, 38 ans, débardeur à Saint-Dié, a outragé un employé de ( 1la gare qui lui demandait son billet. - six jours de prison. — Leblanc Eugène, 41 ans, manœuvre a Nancy, a volé une paire de chaussures a I Pont-Saint-Vincent. — Un mois de prii 5 son. — Lubrez Désiré-Clément,33 ans, manœuvre, et Marchai Joseph-Charles, 39 ans, ont , volé des pommes de terre à Tomblaine. — \ Chacun vingt jours de prison. Marchai bê( 1néticie du sursis. — Pailliet Paul, 24 ans, manœuvre a ]Nancy, déjà condamné trois fois, fut rencontré par les agents place Carrière en état ( <d'ivresse. Arrêté il prit la fuite, rejoint par jles agents il se jeta à terre et se débattit en < portant des coups de pied. — Deux mois de < prison et 5 fr. pour ivresse. — Ferrand Camille-Gustave, 25 ans, majnœuvre à Nancy, est un individu violent. Il \ franoé à coups de couteau une femme qui a 1 vivait avec lui. 11 a de plus outragé un sergent i d'infanterie requis pour l'arrêter, le (traitant de biscuit et de vendu. — Six mois de prison. ( — Hozé Paul-Alphonse, 17 ans, manœuvre à Nancy, a porté un coup de couteau à 1 M. Lhuillier, son beau-frère, parce qu'il 1exerçait des violences sur sa botie-mère. — (Ouatre mois de prison avec sursis et 25 fr. d'amende. ( —Laplanche Alphonsine, 37 ans, journajlière à Nancy, vient expliquer au tribunal <que c'est à cause de la chaleur qu'elle ten1ta de voler à Laxou un porte-monnaie con1tenant 21 fr. — 25 fr. d'amende et trois mois 1de prison. — Conventz Charles, 21 ans, manœuvre à ,Jarvïlle, est un individu dangereux. Ren(contrant un marinier sur le canal, il le somjma de lui payer un titre. Comme celui-ci refusait, il lui porta un coup de couteau près de l'épaule. — Huit mois de prison avec sursis et 25 fr. d'amende. — Breton Delphine, femme Raymond, 55 ans, déjà condamnée dix-neuf fois, s'est fait ;servir des aliments au débit Démange alors qu'elle n'avait pas un sou en poche.— Trois mois de prison. — Drouin Louis, 49 ans, manœuvre à Vandœuvre, neuf fois condamné, s'est fait servir un litre de bière chez Mme Schopet, rue du Joli-Cœur, sans pouvoir le payer. — Six mois de prison. — Elisa Ducreux, 31 ans, ménagère à Nancy, a qualifié un agent de « c. et de propre à rien ». — Six jours de prison. — Schmitt Jules, 25 ans, garçon boulanger à Nancy, et Waegel Adolphe, 18 ans, journalier, ont, le 14 juin, brutalisé François Kaup et Jean Mich. — Chacun 25 fr. d'amende. — François Georges, 16 ans, employé de commerce à Nancy, à la suite d'une discussion avec son père, lui porta six ou sept coups de couteau qui, heureusement, ne provoquèrent point de graves blessures. — Un an de prison avec sursis. — Vanhoven René, 12 ans, et Vanhoven Camille, 8 ans, sont allés démolir une conduite de gaz dans une maison de la rue Charles-IIl, pour s'emparer du plomb sur les conseils de Mme Charrondière Marie, 53 ans. Le tribunal décide que les deux jeunes Vanhoven seront placés dans une maison de correction jusqu'à leur majorité. — Mme Charrondière fera quinze mois de prison. ■ . SPECTACLES EDEN-THËATRE. — CINÉMA PATHÉ. — Vendredi 28, soirée ; samedi 29, soirée ; dimanche 30, matinée et soirée. Cette semaine, le Pathé-Journal est encore1 plus intéressant, si c'est possible, que les précédents. D'abord l'arrivée du Tour de France à Nice ; à Calais, le Pluviôse a repris sa place dans le port , à Paris, 10,000 personnes suivent l'enterrement dui charpentier Paul Harman ; à Joinville, Mme Jeanniot bat l'équipe des nageuses1 anglaises ; la mort de Maurice Fournier■ dans le grand-prix de France, etc. etc. Romain Kalbris, scène dramatique d'a-• près le roman d'Hector Malot ; Yahti lei Troubadour, scène tirée des cha»sons dui moyen-âge : Pour les beaux yeux de te1 voisine, vue comique ; Rigadin n'aime1 pas le vendredi 13, comédie jouée par Prince ; Sauvée par un Ind1e«,scène dra-■ matique Little Moritz aime Rosalie, vuei comique ; Une expédition en Mélanésie et; La Hongrie pittorestjui, et nombreusesi autres vues aussi comiques qu'intéressantes complètent ce programme si ju-■ dicieusement choisi. ELDORADO.— Skating-Rink, séance de patinage tous les mercredis soir, à huit; heures et demie. SALLE DÊOLIN-CINËMA THEATRE rue de l'Equitation.—Samedi 29 soirée, di-\ manche 30 matinée et soirée. Programme, sensationnel et inédit : L'Auberge san-; glante, L'Otage, Le docteur, Au fil de( ieau, drames émouvants. Lili la jolie fleu-. riste, Maldonne, Double méprise, comédies de bon aloi. Nombreuses vues comiques et intéressantes. Le record des gran-. des actualités, pa.mii lesquelles figurent •. La forêt de Fontainebleau en feu, ArrivéeJ dune escadre japonaise au Havre, Le Circuit automobile de la Sarthe, Mort de, Fournier et de son mécanicien Lmvel Les îeux olympiques à Bruxelles, Les ré-; gates de Botafogo à Rio-de-Janeiro, Water Polo à Berlin, etc., etc. ■ GROUPES — _ et SOCIÉTÉS> COMMUNIQUES Amicale Didion. - Le concours a.mml 1 de natation est fixé au dimanche 30 iuttlet , a dix heures du matin, au lieudit « «3s Cinq-Piquets » (Bains Percy) Rendez-vous sur -place à 9 h 4 1 ! Des leçons gratuites seront données an,; jeunes gens ne sachant pas- nager Le comité-directeur engaep vivëm^t , Ï sociétaires à se rendre nombreux au CON . cours pour lequel des Drix seront H " i en séance solennelle? au m w 0 bre prochain. °* sePtera-. Tl Cercle amical des Méridien*..* mon de tous les membres rit r ~ ,Reu"■ rc,e re! soir, à huit heures et demie „ sn cial,; brasserie de la Poste rul ILlt nicams. ' «es Domi-• Club atTilétique toulois. T_ T~—^—iijj pour le dimanche 1^ août pA" a%> ain ',' grande réunion athlétique or<v Ç. A. T et comprenant une&tf tre de do kilomètres, dite fll SePt* Toul. • «"'ath(Çt Programme. — 101) mètres ,,1 mètres plat. - 1.500 mètres mai ' N , très baies. — Marathon de Tom % en hauteur. - - Sauts en Jo ,' - Sj , Sauts à la perche. — Lancement u — Lancement du disque. Pc» Engagements a M. Raymond 1* : sident du C. A. T., l, rue Nav li„ U 1 i : > u m f;! l > U. V. F. - Le comité org;rn~r~-» 30 juillet 1911 une course réseT ^ .amateurs licenciés de l'U V F p s 1 Nancy-Toul-Nancy nombre^ ; ,sont affectés a cette Do épreuve >! Tous renseignements seront fn-iu.. 8 M. Henry, 14, boulevard de h, I à,: Nancy, qui se tient à la dispos»?11"'11 intéressés ne possédant pas eriVo jlicence et qui reçoit les enga 3. ï n Se atm& compagnés de un franc. *k; S Les cyciîs « SVELTE » POrt4 . leur nom "H 14 juillet. — 3e tour de .lo-,,r _ ... 1 lini, 2« Morini. Q| Thionville (150 klm.V — 1er r. C r Morini. ' " ^, 9 juillet. — Franchrepré-Etain ftiH, [ n — 1" M/orini, 2e Chellini. k 23 juillet. — Moyeuvre-Metz-Thi„„. ni0tv (80 klm.). — 1" Chelini. i! Toujours sur cycles « SVPLTE Bergougnan. ' ' Les membres de l'Union cyclUt* vieux Nancy sont priés de bien vif1 1assister à la réunion générale «ni ' lieu mardi prochain 1« août, à neuf î! 1 res du soir, au siège social, 52, bou ij < de la Pépinière (cafe Gentelle). ui 1nés gens du quartier désirant' faire !' 1tic de cette société, pourront se faire!1 15 1crire à cette réunion. Bon accueil réservé à tous. Grand circuit français Peup] (4 août-3 septembre VM) Les coureurs de l'U.S.C.N.E. et des s d très fédérations sont informés qu'ils « vent courir le Circuit Peugeot. Prière \ s'engager au plus tôt. La clôture des t gagements est fixée au l,r août. Le tour de Franct cycliste | Vers la fin i DE NOTRE EHVDÏE 3PÉC1JL ' CHERBOURG, le 26 juillet 1911. — LorJ| paraîtront ces lignes, les coureursB Tour de France ne seront pas loin d'atK passé le poteau final de la dernière r>M de la grande randonnée. Par sa victoire dans Brest-GherbcuB Garrigou s'assure un avantage décisif ■ à moins d'une catastrophe, il a toutes ■ chances d'être te glorieux gagnant. Ces hommes du Tour de France A extraordinaires. Nous qui les soyons joil nettement, nous sommes étonnés devaB te peu de prise que la fatigue a sur gfl on dirait, ma parole, quaujourdaC après 26 jours de course, ils sont moi fatigués que dans les premières ékj Et cela s'explique an peu. Car im ci épreuve du Tour de France, il ne l pas qué le coureur parte avec trop n traînement. C'est ainsi que Lapize a été victime sa préparation. Je ne vous parle pas de Faber qui, 1 fut obligé d'abandonner pour cause maladie ; mais les autres coureurs, surtout ceux qui restent encore acte ment qualifiés, sont ceux qui, au mon du départ, avaient du poids à perdue. Leur entraînement a été complète^ cours de route, la première étape le»! servi à mettre leur entraînement au poi Et voilà pourquoi nous les voyons t» coup plus frais aujourd'hui," beau« plus dispos que nous les avons vus i!> bientôt un mois. On redoutait les grandes épreu Bayonne-La Rochelle, La Rochelle-Bi et Brest-Cherbourg. Or, ce sont les étapes qui, certainont ont le moins abîmé les coureurs, Je me souviens encore de l'arrira Brest.' On aurait dit des touristes qui naient de faire une ballade au Bo« Boulogne. Pas la moindre trace de fatigue d aucun d'eux. Par contre, je me souviens égw des étapes de montagne comme B*1 Chamonix, Chamonix-Grenoble et W les autres étapes. , D'ailleurs, jusqu'à Bavonne, on f&r par Nice, Marseille et Luehon, je '. viens, dis-je, de ces étapes et j'ai™ hommes absolument défaits. ér*ir«*>' traînant lamentablement. J Je vous le répète : on ne saurait™ que ce sont les mêmes hommes <f» fait des efforts si différents, qui, d'hui, frais et dispos, étaient, il y jours, à moitié morts. J On peut vraiment se demander q , sont les limites des forces hurnaïae* le sport cycliste épuise bien r*«^ l'homme qui le pratique, comme reurs du Tour de France. ^ sJi Aujourd'hui, en voyant l'état o»* remarquable de tous les coscurrw* sommes tentés d'écrire et de bien haut que le cyclisme — et P1*^ ouilièrement le Tour de France ^ écoles d'énergie où l'on puise la pleines mains. ur 18 Jetons un coup d'ceil maintenai»Jj classement général et aussi sur 1* ment d'étape Brest-Cherbourg^ Garrigou conserve la tête en tant son avance. i 4 n Duboc, qui, à un momnt donu«. ^ 0 blait devoir revenir sur le le* " ' grade de nouveau. , MI? Faber a disparu de te liste, Christophe . . ..jnê pl^ Georget a donc pris la tm^Z M il est trop mal en poin4, par accident du Ballon d'Alsace, P»"' dangereux pour Duboc. : . co'^ a i£ e Qrupelandt a fait une main»10 aujourd'hui. drsg0%M Aux environs de Dinan, u" " a J revenait du champ de mance UN^ 6IH cassé la roue arrière de sa biÇ> ne"1» pauvre Crupelandt a perdu <*M pour exécuter les réparations- ^u"» Godivier aussi a fait ow c!«vi| course. Il a fait une chute, 1î»aiH«*1'5| ce qu'rl n'avoue pas, il a te ".^tai^îH Ernest Paul va gagner ^ «| p une place. Malgré des creva^ u'0« ï quôes par des clous de s"D° il^l contre sur le routes de Bretag'ne■ r rivé sixième. . J» v«i fil On serait peut-être étonne a« bonne place Cornet, Dupont « ^rvii H n'y a là rien qui puisée lûUd^'*| dre, cor tons 'es trois soni m coureurs. „ ,,n 0JiM Mais Dupont est pi'^Vite 1 dans la grande courte sui l .^a^'M ; et Ménager sont un ■'■'.. 'ï puis, disons loute not»e Pcn^l]s léfi» 1 ia sent mieux lorsque tes n sont DI.US t* lipses^laHitéjjChronique Départementale l'aurait en outre menacé d'une fourche. I Depuis ouelque temps déjà cet homme M. Muller André nie énergiquement les ét était on pension chez le logeur Borghinl, faits qui lui sont reprochés. j Or, se Borghini vit maritalement avec ARRONDISSEMENT DE LUNÉVILLE M Marie Toeller qui, de son mariage avec 111 nommé Kimmès, qu'elle a abandonné LUNEVILLE un 1 Les courses. — Les courses de Lunéviiie P pour suivre son amant, a une petite fille Médailles d'argent.— MM. Christophe i Une grande fête nautique aura lieu pro-, aauront lieu à l'hippodrome de Jolivct, le * de trois ans, prénommée Marie. (Alexis-Lpuis), administrateur de la sochainement. • ddim i ne lie 6 août 19il, à deux heures préL'enfant vit avec sa mère et l'amant do ciété la Mutuelle des agents de la 3e réLe reboisement. — M. Herrgott, sous- ccises. Au programme, notamment, des w cette dernière. ARRONDISSEMENT DE NANCY ppréfet, gion de l'Est à Nancy ; Cohendet (Juless'est rendu à Thiaucourt d'où, ac- épreuves é de traction et de démarrage pour Borghini, qui est doué d'uno certaine FROUARD C Maurice), président de la société de Goncompagne de M. Humbcrt, conseiller gé- chevaux c 11 ardennais lorrains, issus oes éta- perspicacité, P1 remarquait que depuis queldreville ; Job (Léon), correspondant de (, Méfait de la foudre. — La foudre a néral. et Dessi rt, instituteur, il est al é 1 Ions du syndicat, nés et élevés dans Par- °-' ques jours la petite Marie Kimmès rechersur l'immeuble de M. Meyer, visiter v vel la Société des fonctionnaires de l'ensei- tombé u( à Xammes et à Charey les reboise- rondissem'ent r de Lunéville, et âgés de ;î r chait la compagnie de son pensionnaire hiitT"^ us'laquelle U cassa plu- gnement «S bottier à Frouard, avenue de l'Hôtel-de- monts r secondaire public à Nancy ; y faits par les particuliers et ces deux àà 6 ans. u ■A UI.V ' . je sa rmie arrière, y, Zcrbini. Cela lui sembla étrange que i'enf Ville, à dix heures du matin, en pénéc Sonet (Louis-Joseph), trésorier do la socommunes. Ces reboisements ont fort bien tl Ko,, ray ° drs ravi.ii!* cassés, laissez-moi ciété Conditions du concours. — Chaque che- t£ fant et le mineur s'entendissent si bien. r Union amicale des employés du ma- trant par la cheminée. La conduite de gaz réussi, ci ! c surtout dans la vallée située entre y |Ai' ^ la mésaventure do Lambot, tériel roulant à Nancy. val sera présenté attelé à une voiture peMercredi soir, la petite Marie jouait deainsi que les fils de la sonnerie électri- Xammes > u et Charey, dont les côtes abrup- ssant environ 500 kilos, voiture à 2 ou 4 vant r la porte du logement de ses parents Se que ont été détruits. Un commencement tes t Médailles de bronze. — MM. Adam \ l'ont fait souvent comparer à une « per < ! '-a élément quelques roues. î quand sa mère lui dit d'aller se coucher. s'est déclaré dans la salle à tite t (Henri), trésorier de la société de Van- d'incendie (I Suisse ». Ils comprennent plusieurs ( a roue et il s'eî! fut chez un deeuvre , Pour être admis à subir l'épreuve de « Tout de suite, répondit l'enfant, mais S d ; Belhomtne (Edouard-François- manger du rez-de-chaussée. Il a été ra- 1hectare? t 11 A de bicyclettes à Dol oim de j, traction, chaque cheval devra au préala- il faut avant que j'aille chez Zerbini, qui éteint. M. Meyer, qui se trouJoseph), ancien trésorier de la société de pidement |\ t ■&f5Suter la" réparation. H y avait Tomblaine ; Broche (Anatole-François), vait dans la cour, a reçu une forte com- q A Thiaucourt, le sous-préfet a étudié la ble démarrer 1,200 kilos sur pré. m'a * promis un sou », et elle alla, en effet, CN T question du curage du Rupt-de-Mad dans cl cinu rayons à remplacer et, vi ce locataire. L'épreuve de traction consiste en deux chez 1 vice-président de la société de Pont-à- motion. f ! fi la travrsée de la ville. »at vaiî le réparateur demanda | 11 ilomètres au trot régiementaire de Par, Comme elle tardait à venir, Borghini POMPEY Mousson ; David (Joseph), receveur-trérri d à sa maîtresse d'aller voir un peu ce Vol.— M. Alfred Baumann, marchand c — A propos de reboisement, une indis- ttillerie en terrain varié, et la montée et dit sorier local de la mutualité scolaire des nous permet d'annoncer que M. 1la descente de la grosse côte de Jolivet au f. pKIq f'')I,e-s- , exagéré, et c'est vouloir |, ambulant à Nancy, s'était arrêté avec crétion 1 que faisaient ensemble la gamine et l'homcantons de Lunéville-Nord et Sud, à Lu- a , Herrgott a été vivement félicité par le mi- fpas. n Œ** fltef des malheurs des coureurs néville me mûr. r ; Gillet (Louis), secrétaire de la sa , voiture devant un café, entre Marba- nistère n de l'agriculture pour son ouvrage Les jurys jugeront les chevaux au fwopro11 Pr° <te France. , _ si Marie Toeller obéit Par le treu de la et Pompey, quand un malfaiteur res- g société des ouvriers et ouvrières de la che , sur la mise en valeur des terres incultes f s! B ' ^ « au«si l'abandon de Nempon, maison point de vue du modèle d'artillerie et de la serrure elle jeta un coup d'ceil dans la Ebstein aîné à Nancy ; Jacquot té . inconnu en profita pour s'emparer de e n na et l'essor qu'il a donné au reboisement f ,lSiS ,Sit coureur qui nous vient de (Léon-René), façon dont ils accompliront le parcours. chambre de son pensionnaire Ce qu'elle 14 paires de pantoufles qu'il estime 25 c membre honoraire de la mu- I (J dans l'arrondissement de Toul. v '«n ^is encore un peu jeune pour m- tualité scolaire des cantons de Lunéville- francs. la surprit assez pour que tout d'abord Les chevaux seront divisés en deux caté- vit &sIldl '?7m travail comme le ïour de uNord elle *• ne voulut pas y croire. Elle continua La gendarmerie a ouvert une enquête, c Mort su&ite. — Les soldats de la 12" ïgories : et Sud, à Lunéville ; Labert (Jules), N compagnie du 160" ont été douloureuse■6pre a à V" Chevaux de 3 ans ; 2e chevaux de 4, f regarder et bientôt aucun doute ne lui administrateur de la société d'Essey-lesk nce MA RBACHE ment \ 1 surpris de s'apercevoir que leur ca- 5E et 6 ans. li"' ' „ M lit le onzième du classement ^ fut plus possible. Nancy ; Lang (Louis-Auguste), adminisProcès-verbal. — Procès-verbal a été marade r «N«»P°" ,s les autres ont avancé d un trateur Barbier était mort vers deux heu1,400 fr. de prix seront distribués. , Zerbini'se livrait sur l'enfant à des acde section de la dotation de la d tl dressé par la gendarmerie aux nommés i res du matin. ■i^ra ' „ j< Les chevaux devront être rendus attelés tes " qui pour n'être pas Irréparables n'en jeunesse de France a Nancy ; Liébaux Decorus P Léon, 18 ans, et Hamel Antoine, 1A. abandons déjà signalés de Fa- ((Jean-Hippolyte), , s le champ de courses de JoJivet le di- sont pas moins gravea receveur de l'union et 28 2 ans, ouvriers d'usine, pour coups réci- 1 Le comice. — Le comice agricole de sur 1 v I^ Hoche et aussi Gabory.cela a £fraternité des postes, télégraphe» télé- proques. l'arrondissement de Tout se réunira ven I p manche 6 août, à sept heures et demie du h Indignée.la mère pénétra dans la cham^'W des concurrents à 29 dredi 4 août, à dix heures du matin, à la rmatin. bre non fermée à clef et tomba à bras racphones à Nancy ; Louyot (Charles-Hu^ mt p mairie de Toul. PONT -A-MOUSSON ' P a rien de moins sûr que tous ter- „bert), premier vice-président de l'associasur son pensionnaire. Au bruit, La distribution des prix et le défilé des courci E Plainte. — Mme Weyrich, âgée de 50 Ordre du jour : présentation et admis- cchevaux primés aura lieu entre la 4e et la Borghini accourut. tion générale des employés de Meurthe- a f ans, demeurant au Pontssol, a porté le P^^fdeux étapes qui restent et-Moselle, à Nancy ; Malfait (Joseph- p sion de candidats ; correspondance; dépôt t e course, vers trois heures de l'après- , Zerbini reçut une correction-bien mériMAfjir ?°fr c'est-à-dire Cherbourg-Rouen-Lo cjFrançois), trésorier de section de la so- plainte contre M. Schnitzler Jacques, 50 (des rapports des diverses commissions t5midi. tée, puis il dut attendre l'arrivée des gen*' a Le Îlavre-Dieppe-Paris, feront ans, rentier à la chapelle de Rieupt, fvoyageuses ; questions relatives aux fêtes c darmes qui vinrent s'assurer de sa perq BLAINVILLE " HfMavre ei times. aciété les Médaillés militaires à Nancy ; qu'elle accuse de lui avoir porté un coup et < concours de Colombey. sonna t jg vic Maury (Emile-Charles), membre de la so- d Intéressant exercice. — Jeudi soir, la 1 ■T tont à notre avis, excessivement ciété la Mutuelle laneuvevilloise, à La- de Travaux du fort de Bruley. — Jeudi 27 i poing à la poitrine à la suite d'une Tranquillement, il nia les faits, u Puisbrigade de dragons est allée faire un exerI01eVontrairemcnt à ce que vous pour- rneuveville-devant-Nancy ; Nérot (Albert- discussion. juillet, à deux heures de l'après-midi, il a «cice de bivouac à Blainville. qu'il n'y a pas de témoins on ne peut pas lUt 5 e e ' -.ni?e le parcours n'emprunte pas la Henri-DÏsiré), j DQMBMÎSLE été procédé à la mairie de Toul à l'adprésident de section de la m'arrêter », dit-il aux gendarmes, qui lui Les 8 et 9 dragons défilaient à travers *j 1 1 broute, 'mais bien tous les petits j.Prévoyante des agents du réseau de l'Est Un abonné des tribunaux. — Le rom- judication des travaux de renforcement les rues vers huit heures du soir ; ils for- ?démontrèrent le contraire en l'emmenant a*T ,< m épousent les sinuosités de la èà Nancy ; Pister (Pierre-Félix), délégué me Beauregard Louis, 24 ans, garçon de Jde divers locaux au fort de Bruley. — De- 1matent le bivouac dans la plaine entre à la chambre de sûreté, où il passa la 'S en fait de côtes, je vous prie de de la société le Soutien fraternel des ,culture, né à Laneuveville-devant-Bayon, vis : 127,000 fr. Adjudicataire • M. Plas- Blainville et Damelevières. Lorsque les nuit. n c 1 ft v en a uel( ues unes qU1 S n s sous-agents et ouvriers commissionnés !B'ast présenté, dans la matinée de jeudi, sat, entrepreneur à Saint-Mansuy (Toul). chevaux furent à la corde et tout disposé, Jeudi après midi, Zerbini faisait son en<I î ° ' des postes, télégraphes et téléphones à au café du Tivoli, et a commandé un petit Rabais 25,60 %. alerte fut donnée. Les escadrons repliaient 1trée à la maison d'arrêt de Briey, après ,,,,k Tsi<mv jusqu'à Arromanches la jNancy. a déjeuner qu'il a consommé d'un non appéObsèques. — Vendredi, à huit .heures bagage et se reconstituaient. avoir été présenté à M. le procureur de la 1 >ÏW excessivement difficile et, d'auIls rentraient dans leur quartier respec- *République et à M. le juge d'instruction, Mentions honorables. —MM. Barbé (An- jtit. Puis il a fumé des cigares en atten- du matin, avaient lieu tes obsèques du 1 Wf\f entre Le Havre et Dieppe, elle dré-Eugène), 0 j caporal du 160°, 15* compa- tif à sept heures du matin. qu'il ne parvint pas à convaincre de la administrateur de section de ctant l'heure de midi. Celle-ci approchant, malheureux Plus facile : montées abruptes, Cet exercice imprévu a été l'objet de pureté F de ses intentions. — L. D. la Prévoyante de l'Est, à Nancy ; Bastion il déclara au chef de l'établissement qu'il 1>gnie, Rey Jean, tué par la foudre au |PV< C= brusques, tournants dangereux, nombreux commentaires plus ou moins (Charles), membre de la Mutualité scolaire ;allait maintenant bien dèpeuner et il de- camp de Bois-J'Evêque. THIL t* ' j ssuccèdent sans in, manda ce qui pourrait lui être servi de taais U dans la population, où règne quelLe général Franche* d'Esperey, le colo- puérils, i Rixe.— Au café Noël, vers 8 heures et ^:yir*LVèfil est très nossible que nous Cu canton d'Haroué, à Crantenoy ; Boquil- ]çon à pouvoir composer son menu. nel du 2» groupe étaient présents. que peu d'agitation au sujet des pourpar°demie du soir, plusieurs clients consomrelater des incidents dans ces ion (Nicolas), trésorier de la société la ChéMais le patron, à qui le partisan des lers franco-allemands. P Les parents du militaire ont ramené ie maient quand survint Joséphine Mange, chia, à Nancy ; Breton (Emile), président 1 f amii^ étapes. bons plats n'inspirait pas conïiance, le mit corps à Malakoff. S! BACCARAT 38 ° ans, qui reprocha au patron d'avoir - n n lion'soit permis d'émettre un de lasociété l'Amicale 80, a Nancy ; Brier > en demeure de payer d'abord ce qu'il ded — Les autres militaires blessés dans les , Un enfant sauveteur. — Des enfants se débauché son concubin et l'injuria gros(Eugène), administrateur de la Société des vait, un franc cinquante. - ,W devoir gagner le meilleur. mêmes circonstances sont en ce moment baignaient au lieudit : le « Bain-Militai- ssièrement. re VCBU ■• ' ' Alphonse STEINÊS. faïenceries de Longwy (usines de MM. Ce qui eut le don de faire naître un vére » lorsque l'un d'entre eux sauta à un Noël ayant voulu faire sortir cette femSS d'Huart), à Longwy-Bas ; Bûcher (Philip- ritable dédain pour le patron qui insista hors de danger. | —«*-«-*>—— " n celle-ci saisit une chope vide et lui Jeunes malandrins. — Une bande de endroit profond de" trois mètres et ne sa- me, pe-Georges), secrétaire vice-président de et Beauregard ,dut avouer qu'il n'avait pas jeunes malandrins, Back Louis, 9 ans ; chant pas nager allait se noyer. en porta un coup sur l'épaule gauche. La ' ETAT la société l'Amicale 80, à Nancy ; Colin (Al- d'argent. Alors, un de ses camarades, Gaston Lau- £concubine du débitant intervint et frapDolat René, 11 ans ; Mary Aimé, 11 ans, fred), trésorier générai de la société la GreL'agent de police mit Beauregard en état tous trois habitant Toul, se sont intro- rent, âgé de 15 ans, pensionnaire à la p ^ Du 23 juillet pa Joséphine Mange à coups de poing ; nade des anciens militaires d'artillerie et d'arrestation. Au cours de l'interrogatoire duits par effraction dans le jardin puis Cristallerie, se jeta à Peau tout habillé, et ■cette dernière, en se reculant, tomba sur du génie de l'arrondissement de Lunévil qu'il dut subir, Beauregard répondit : « Je dans la loge do M. Laurent, huissier.dont parvint non sans peine à sauver le jeune le comptoir et brisa deux verres. Naissances le, à Lunéville ; Delépêe (Joseph), trésorier Cécile Jacqué, rue des Quatre-Eglises, de la Mutualité scolaire du canton d'Ha- connais bien les prisons de Nancy et de la propriété est située au Moulin Saintain imprudent. Noël et Joséphine Mange se sont fait Lunéville, et je ne crains pas d'y retour- près Saint-Mlansuy. • Robert-Emile Rocher, rue Jeannot, par un médecin. Le premier a Inutile d'ajouter que Gaston Laurent a visiter „ roué, à Haroué ; Ducret (Albert-Joseph), Ijis— Jules-Roger Calais, rue des Qua- secrétaire de la Société des anciens mili- ner. Je suis un abonné des tribunaux. » une luxation de l'épaule gauche ; il ne Un épervier, une gaule, un arrosoir et été chaleureusement félicité. r Beauregard a été remis à la gendarme- divers ustensiles ont été volés. pourra travailler avant quinze à vingt re-E^lises, 56:— Paulette-Madeleine Ba- taires de l'artillerie et du génie de l'arronARRONDISSEMENT DE BRIEY rie, qui l'a conduit devant M. le procureur J jours. L'autre porte quelques blessurer „, is faubourg Saint-Georges, 27. — Jac TRIEUX La police municipale est parvenue à dissement de Lunéville, la Grenade, à Lug sans gravité. de la République, qui l'a fait écrouer à la ues-Albert William George, boulevard néville ; Mlle Dussaulx (Louise-EuphrasieVol de légumes. — Un propriétaire de étab'ir leur inculpation et les a arrêtés. m pbau, 31.— Emile Lamulle, rue du Vieil- Joséphine), membre honoraire de la Mu- maison d'arrêt, sous tes inculpations Se fi- Voilà des gars qui promettent. l'rieux, M. Gombert, s'étant rendu dans un UIS itre, 30.— Paul-Marie Cœur, rue Duri- tualité scolaire ti^i. canton de Pont-â-Mous- louterie d'aliments et de vagabondage. Au violon.— Louis Lavallée, demeurant jardin qu'il possède près de sa maison, iaï Exposition à l'école ménagère. — l ne àl 30.— Georgette-Julie-Paulette Rigou- son, à Pont-à-Mou>^on ; MM. Francin exposition des travaux des élèves de i'éeo- rue des Tanneurs, trouvé dans une rue en aperçut trois individus fort occupés â ar6 é,i \, rue Villebois-Mareuil, 16. — René- (Paul-Armand), trésorier de la Tutêlaire racher ses pommes de terre. état d'ivresse a été déposé au violon et tâymoncH-Henri Beck, rue Thierry-Alix, des postes et télégraphes à Nancy ; Fran- le ménagère aura lieu dans les locaux mê- gratifié d'un procès-verbal. Courtoisement, M. Gombert invita ces ™i t _ Lucie-.Vlarie-Joséphine Odile, rue çonnet (Jules-Alexandre),secrétaire adjoint mes de ladite école, le dimanche 30 juillet, Les appels des réservistes et la moisson, peu scrupuleux personnages- à l'accompaLAGNEV de trois à sept heures du soir. « e Mulhouse,.28. gner à la mairie, mais au lieu d'obéir â '\— Le 7 juillet 1911, M. Noël, député de de la Société de Mexy ; Gérard (François), A propos d'une récente affaire. — Nous Cette exposition nous promet d'être otes otes t publications de mariages cette invite, ils jouèrent des jambes dans ,Verdun, avait rappelé à M> le ministre ée trésorier de section de la Société des Véapprenons de bonne source que cette afPaul-Jules Marandei, employé de bu- térans des armées de terre et de mer, 1870- plus intéressantes et émerveillera les visi- faire qui a été qualifiée de « scène scan- j la direction d'Avril. la guerre que l'enquête ordonnée par son teurs. * f l'ait à Granges (Vosges), veuf de Marie- 1871, à Longwy ; Giroz (Joseph-FrançoisRésolument, M. Gombert se mit &. la \administration dans la région de la Meudaleuse » a été complètement dénaturée. m Libéralité. — La Saline de Rosieres^ ppoline Morel, et Marie-Léontine Ri- Xavier),contrôleur de la Société la Mutuelà l'effet de fixer pour la convocation poursuite des maraudeurs en criant « au se, ' Il n'y a eu ni coups échangés, ni pugilat, ™a îjrd, cuisinière, rue des Carmes, 14. — le des agents de la 3e région de l'Est, à Varangéville vient d'adresser à M. le mai- ni «nquête ouverte. Nous rétablissons voleur ». des réservistes la date la moins préjudiJf ? oseph-Armand Schlecht, comptable, rue Nancy ; Kohler (Victor-Marie), trésorier re de Dombasle une somme de cent francs très volontiers la vérité. aux travaux des champs, avait Ses cris furent entendus de deux doua- ciable ; ur(U : : Strasbourg, 80, et Odile-Elisa-Margue- adjoint de la Société des anciens militai- destinée à acheter des prix aux élèves des niers, de service sur le bord dû chemin en- 'abouti aux derniers jours d'août ; que, ce* 1 GROSROUVRES ?® lel'hiry, sans profession à Ponipcy. — res de l'artillerie et du génie de l'arrondis- écoles communales. cette année, les réservistes de ta Bris de clôture.— Ces jours derniers.M. ■ tre Avril et Trieux, qui coupèrent la re- 1pendant, 1 ™| Ïcte-Alfied Del.oche, employé de com- sement de Lunéville, dite la Grenade, â première période sont convoqués dans les ARRONDISSEMENT DE T0UL Jenson Edouard, propriétaire à Grosrou- traite aux fuyards. «NT Nancy, "et Jeanne-Olida Halter, Lunéville ; Lacroix (Henri-François-HipArrêtés, ceux-ci déclarèrent'se nommer 'quatrièmes bataillons stationnés à Verdun v'res, apercevait M. Alfred Burton qui, ,asseuse 1 TOUL, pour rentrer sa récolte de foin, traver- Jules Peuchard, 20 ans, manœuvre ; Pler- le 16 août, e» pleine moisson, et M. Noël on à Villers-les-Nancy. — Nico-■ polyte), président de section de la Sociéfé °P a«s Veisse, musicien ambulant, de pas-■ fraternelle des employés des contributions; Adjudication.—Vendredi 28 juillet,à 11l .sait sa propriété avec une voiture. re Hutinet, 21 ans, chauffeur ; Joseph Mo- demandait | au ministre de prendre des meîgc à Nancy, rue de Tomblaine, 38, ori- indirectes, à Dombasle-sur-Meurthe. heures du matin, il a été procède a la ranton, 26 ans, lamineur, tous sans domi- sures ] pour que les sursis nécessaires fusM. Jenson accuse M. Burton de lui inalre à Wittring (Lorraine), et Cathesent accordés dans une région où la M. Lang (Michel), président de ia so- sous-préfecture de Toul à l'adjudicationL avoir démoli sa clôture en fil de fer. Le cile fixe. . , ne Muuck, musicienne ambulante, dei ciété des anciens militaires de laartlïta- des travaux ci-après : Conduits à la gendarmerie, les amateurs main-d'œuvre agricole est rare. délit a été reconnu au cours de l'enquête assa 7,« o8 à Nancy, rue de Tomblaine, 38,, rie et du génie de l'arrondissement de de « patates » devinrent titulaires d'un Maizières-les-Toul. — Construction d'un, faite par la gendarmerie. Le Journal officiel publie cette réponse procès-verbal. tiginaire de Mûlheim (Allemagne). —- Lunéville dite la Grenade, à Lunéville -; groupe scolaire et d'une salle de mairie.— du ministre qui donne une satisfaction MA N DR ES 'S,, Iwie-Albert-Léon Chauvelot, ajusteur,, Leclerc (Adam), administrateur de la so-• Devis : total, 32.857 fr. 14 : ï partielle aux réclamations du représenAbus de confiance.— Le nommé Baudet Fête franco-italienne. — L'Est républi- tant de la Meuse : Maçonnerie-terrassement. — Devis :: Jean-Marie, domestique à Mandresi-auxmrt 6 06 Pnalsbourg, 13, et Caroline Laube-■ ciété des faïenceries de Longwy (usines er ouv ■Arê ; ' rière en confection, rue de l'Ab-- de M. d'Huart), à Longwy ; Lemoiae (Eu-* 21.873 fr. 53. — Adjudicataires : MM.Gayett Quatre-Tours, empruntait la bicyclette de cain a déjà publié, le 14 courant, le pro« La convocation des réservistes des "uu '-Grégoire, 1. — Ernest Pedretti, ma-- gène-Louis), secrétaire de la société de et Fauvet, de Neuves-Maisons. Ranais :: Varin Emile, garçon livreur, demeurant gramme de cette fête organisée par l'Ita- quatrièmes bataillons de Verdun, primi3 œme rue du » Si ' Faubourg-des-Trois-Mai-. Vandœuvre ; Mennegard (Constant),mem- 1 %. dans cette même localité, pour, disait-il, lîano, programme qui n'est point changé. tivement fixée au K août ,a été reportée ,i 23, avant à Laxou (Meurthe-et-Mo-- bre de la mutualité scolaire du canton de' Cependant, sur le désir qui lui a été ex- au 24 août. Menuiserie. — Devis : 4.624 fr. 50. — Ad-- aller reprendre son livret militaire à Boude fait et de droi ns te e i ' et t à Brescia (Ita-- Haroué, à Bouzanville ; Michaux (Théo- judicataire : M. Erb Chartes, de Toul. Ra-- vron. Baudet, depuis, n'a pius reparu. primé, le comité a décidé de la renvoyer II n'a pas été possible de la reporter ài au 6 août prochain, le 30 courant une une date plus éloignée. ,eauc: '' Catherine-Marguerite Musler, pi-. dore), administrateur de la société des; bais : 8 %. Varin a porté plainte contre lui. eu p, J se en chaussures à Vandœuvre. —- faïenceries de Longwy (usines de MM. Plàtrerie-fumisterie. — Devis : 2.ti88 fr. grande kermesse ayant Heu dans la ville En effet, l'une part les manœuvres da THI.eUGOURT de Briey, au profit de l'Œuvre de PAssis- forteresse devant commencer le 28 août, ' «epn Reinbold, journalier, rue de laL d'Huart), à Longwy-Bas ; Morinet (Camil-" 24. — Adjudicataire : M. Regnard Jean, de3 116 20 Vol.— M. Ulrich Jean, chauffeur au èprar K '. , et Jeanne-Marie Voyot, ou-. le-Pierre), membre honoraire de la mu- Viterne. Rahais : 13 %. tance mutuelle, sur l'initiative de M. le, ii ne saurait être question de convoque^ ser .ice de M. Duchêne, de Pont-à-Mous- sous-préfet. Mobilier. — Est réservé. Ïle-Bn v\? ten. chaussures, rue de la Vanne,I tualité scolaire du canton de Pont-à-Mousles réservistes après le 24 août en raison' son, se trouvait à Thiaucourt faire des < te fait et de droit à Frouard. Martincourt. — Construction de caniHâtons-nous de dirï que c'est avec le. du temps qu'exigent les opérations d'hason, à Pont-à-Mousson ; Muller (Jeanlivraisons. En quittant cette ville, i' s'aPierre), visiteur à la société de Pont-à- veaux pavés dans la traverse de Martin- perçut qu'un sac de papier bleu conte- plus grand plaisir que le comité remet la billement et d'encadrement. Mel-Elisa-Louise Ossvald, 1 an 7 mois, Mousson ; Munier (Eugène-Célestin), re-" court. — Devis : 6.000 fr. — Cette adjudi fête, et que cette simple, mais grande ma-; D'autre part, il n'est pas possible de re( nant 17 francs et des outils lui avait été rrivéî I;."" Mo-ntet, 41. — Ernest-Jacques-. eeveur de l'association ïraternejllto des cation aura lieu plus tard. nifestation franco-italienne n'aura aucunj tarder ces manœuvres de forteresse qui se enlevé sur son camion automobile. Plainn e 3 ans 5 mois à Le Sport nautique. — Jeudi, à huit heu-" te a été portée. caractère politique ni religieux. En effet, poursuivent du 28 août au 1er septembre, - q»' > Chalignyr employés et ouvriers des chemins de fer &* Sbne-ft-Moselle).- Alfred-Henri-Wil-. français, à Champigneulles ; Munier res et demie du soir, le Sport nautique le but de cette fête est de réunir et de; car elles sont exécutées non seulement nar EOUVRON Waul Hénoch, 11 ans 11 mois, rue (Paul-Alfred), trésorier de la société la toulois a été définitivement fondé, grâce à1? ; VoL— Un soldat, Cossais Raphaël, de faire fraterniser Français et Italiens, et 'e, ies quatrièmes bataillons, mais encore par :u«;i 'mes' 25'~ JosePh Raphaël,84 ans,( Mutuelle laneuvilloise, à Laneuveville-de- M. Ch. Erb. Le comité est ainsi composé •: la 15e compagnie du 153e, descendu du comité organisateur en profitera pour fai-; les imités d'artillerie et de cavalerie de la c omm r an « Ç t. ™e de Villers, 31. -. vant-Nancy ; Pignot (Léon), président"t présidents d'honneur . MM. Masson ett fort de Lucey, se trouvait dans un café re aux Italiens la propagande du journal^ place de Verdun. H U lette aW» " ' M«yer, 5 mois 4 jours, d'honneur de l'association générale dess Gallois ; président, Ch. Erb ; vice-prési-- de Bouvron, quand il lia connaissance l'Italîano, dirigé par M. VercelH. Or, ces dernières, appelées prendra S 0: ««es Ponts, 100. 1 Les adhésions nous sont toutes parve- part aux manœuvres d'armée dans la employés de Meurthe-et-Moselle, à Nan- dents, Champenois et Lefeves ; secrétaire,>, avec un individu inconnu de lui. A un :,! t 1 ^—•— . -cy ; Poignon (Auguste), administrateurr Henrion ; trésorier, Noisset ; capitainee certain moment, cet hom..i> dntran Ï3 nues. La liste en a été close le 27 au maNord, et devant, par suite, quitter Verdun* de la société des ouvriers et ouvrières dee d'entraînement, Le Goff ; membres du bu-i- d'essayer la bicyclette du militaire et- tin, la salle Cupi-Rigaux où le banquet dès le 4 septembre, disposeront à peine t ' la maison Ebstein aîné, à Jarville .; rcau, Durand, Nouveau, Jeannet. LA du temps nécessaire pour se reposer et se| il fut en bécane, l'individu dispa- sera servi, ne pouvant contenir plus de,' préparer 1 à partir. » Le but est la natation et la pratique dee quand Quentin (Ernest),receveur de l'association{ 250 personnes. rut, i-'* ; —■ fraternelle des employés et ouvriers dess tous les sports nautiques. La cotisation estit Pour le comité : D. PIACEOTINÏ. plainte a été portée. ARRONDISSEMENT DE COMMERCY «*| m, . MALZÊVILLE■ chemins de fer français, à Jarny ; Sour-.. fixée à 6 fr. et 1 fr. de droit d'entrée. Délit -Sa chasse.— Le jeune Henri FranSAINT-MIHIEL) FOUGI , lier (Pierre), secrétaire de la section de& Une assemblée générale est fixée au ciosi, 13 ans, s'amusait à tirer sur des Etat-civil. — Naissances. — Pierre-Fer* Vandalisme.— En se rendant dans sonL moineaux avec un minuscule pistolet Flo-5 ; la Dotation de la jeunesse de France, àà mercredi 2 août, à huit heures et demie,d ', jardin, sis au lieu dit « Pâtis communand Vennat. — Léon-Ernest-Armand: - bert. Nancy ; Ventrillon (Lucien-Amédée), re-!- salle des réunions de la mairie, 0 aant 8é éK Claude. ' rêveur de l'association fraternelle dess Surprix par les gendarmes au moment Les couleurs de ia société sont vert et naux », M. Compas François, agent d'ast surances à Foug, constatait qu'un indiDécès.— Charles-Maa-ie Philippo, 24 ans, T 6 employés et ouvriers des chemins de ferr rouge. - où il venafl de tirer dans une haie, il set i célibataire, garçon boulanger. — Marievidu lui avait arraché des pieds de pomf français, à Nancy. vit dresser procès-verbal pour chasse aux q*> M "x =n ■S<Pt,X de tir- ~ 11 est On nous annonce le concours du Sport •t mes de terre et dévalisé des carreaux dei petits oiseaux en temps prohibé et port£ Philomène-Isabelle Camus, 72 ans, rentiènautique nancéien qui viendra encourar ire que la distribu Lpois et de haricots. Le voleur est actuel-- d'arme prohibée. Son papa a été avisét re. Kdes prf» dTt,r f . ger son confrère toulois. tou ours fixée au 1 lement recherché par la gendarmerie. ^ "toanché G août a trois i i COFFRES-FORTS FICHET qu'il était civilement responsable. _ VERDUN Nous souhaitons longue vie et prospérité les i fe-midi. ' heures de l'a-- incombustibles et blindés,d'acier imperforabh Coups.— M. Burton Eugène, mouleur ài Trois rixes importantes dans la rue Vol — La veuve Vanzella, cantinière, a e à cette jeune société, dont le nombre des s Foug, a porté plainte contre un nommé 8, rue Saint-Georges, NANCY : porté plainte contre la nommée Eugéniel MauberL— Trois jours de suite, la rue membres est déjà très fort. Muller, qui aurait frappé son enfant ett Bourgeois, qui fut, pendant huit mois, sa■ Maubert a été le théâtre de scènes scanîiftJ ■■■■n locataire. daleuses, qui provoquèrent des rassem, Elle accuse cette dernière d'être partiea blements énormes. chesses naturelles et décoratives : la côte Ayant eu durant la journée une disJe voudrais bien dire quelques mots des " en lui emportant deux draps, de la denbasque vers l'embouchure de la Bidassoa. aquarelles mais elles sont légion ! Je re- l'Est, les vitrines d'Epinal donnent l'im-■ telle, deux oreillers et une paire de bas. cussion avec un nommé Buzy, un sieur pression d'une puissante vigoureuse vitaC'est une région qu'affectionne également trouve des noms connus avantageusement L'inculpée proteste de son innoncence.• Edouard Godard résolut de se venger. cet autre Lorrain — depuis longtemps dé- à Nancy : Mlles d'Arbois de Juhainvilié, lité dans les arts du décor. JARNY■ Rencontrant vers neuf heures , du soir la Dès l'entrée, une grande toile décorative raciné — Jean Rémond qui écrase, dirait- Elisabeth Cariage, Hélène Maréchal, Maria Exhibition interdite. — Ayant passé la' femme de son antagoniste, il la frappa on, sur ses toiles avec le couteau à palette Larcher ; MM. L. Thomas d'Aquin, Geor- de Victor Prouvé, le chef actuel de l'i'cote; journée à absorber derrri-setiers, bocks, sè- à coups de couteau, la blessant aux deux les rayons de soleil dont il jalouse l'éclat ges Audiat, E. Bqucher de Crèvecœur, le de Nancy, frappe le regard. Elle s'intituleî rieux et mominettes, Michel Razzoli, 27| bras. Il aWait encore la frapper à l'aide safrané. Un peu de ce mirage ébloui lui lieutenant Bocquoy qui si bien ressuscite Splendeur, et ce titre n'a rien d'usurpé. ans, manœuvre, se trouva possesseur d'u- d'un instrument aratoire, lorsque, parvemiSi Trois teintes principales y dominent : leî reste, même quand il peint des Pâturages ne jolie cuite quand six heures du soir ar-" nant à s'échapper, cette femme se réfules uniformes disparus, Gaston de Goibéry, ^£ EXPOSITION DE bretons. gia chez u-n voisin qui lui accorda aide Herbst,Hestaux, le groupe sympathique des violet, le vert et la chair nacrée de trois5 rivèrent. M. Alfred Renaudin partage ses préféren- Alsaciens épris des beautés de leur pays : femmes — trois grâces — en trois attitudesî Ayant éprouvé un besoin pressant, il1 et protection. LA différentes. Le tout est largement baignéi ces entre les nuances finement dégradées Kaulïmann, Kœrtgê, tirait, auxquels on Plainte fut naturellement déposée. s'installa au beau milieu de la route, à de la Meuse, les gammes de verts de Mont- peut joindre l'excellent graveur déodatien de soleil. Une luxuriante végétation est parLe lendemain, à la même heure, a'ilre !cT£ quelques mètres de la cantine Casagrandi*1 V0SSIENNE D'ART tout répandue et deux paons, l'un à i'om- et complajsamment, soumit à i'apprécia- discussion dans laquelle Godard joue in-i sur-Meurthe et les petites Haques argentées Albert Ohl, Georges Ritleng. ■ ■—,— bre, l'autre faisant ia roue, perdu dans leî tion des passants ce que montra Noë le" core un rôle principal. du Brénon qui servent.de miroir à VêzeModestement, M. André Philippe s'est efe iise. Chacun de ces aspects lorrains a ainsi facé devant les invités du Salon où son ta- poudroiement du soleil, complètent lai jour où il goûta le jus de la vigne. Un sieur Charles Charlier dit « Sidi »; sa note particulière et s'apparente cepen- lent n'est représenté que par deux intêres- somptuosité de ce rêve de peintre. Malheureusement pour Razzoli, deuxs manœuvre, ayant aperçu la concubine de Dirai-je que. ie sens artiste de Prouvéi gendarmes se trouvaient parmi ces pas- son ami Godard, la fille Gridelet, ci ut bleuis a,e Commercy ^nd avec dant à la voisine par le sentiment intime du | santés aquarelles. peintre... On pourrait les contempler des peut-être ici surpris dans les moindres dé-- sants. Ils invitèrent d'abord l'homme à fer- avoir le droit de lui adresser des reproMais une place d'honneur a été réservée heures... U ssier un beau c aux Alsaciens et aux Messins. Hansi perce tails ? C'est ainsi que l'une des couleurs, mer son pantalon, puis ils lui dressèrent1 ches cinglants pour un motif connu' de CCe> cau i °up de M. Henri Rovel a traduit avec assez de à jour d'un crayon aigu comme une pointe pour ainsi dire thématiques de la composialc;n°"a du taWeau, sur des procès-verbal pour outrage public lia1 lui seul. Témoin de cette scène, M. Léon Lambry voulut intervenir pour y mettre sur 68 appeIle favorablement bonheur les tons cuits par le soleil d'un vil- d'épée les ridicules teutoniques. Son sosie tion, le violet se retrouve, et dans une branpudeur et ivresse. fin. Mal lui en prit, car Godard sautant Ceen Vrarnc Pavsage : Soir d'au- lage des Alpes-Maritimes, un de ces villages J.-J. Woitz évoque le « cher pays » en des che de clématite et dans la draperie pourSAULNES 8 N ? sse p ^-Comlè. pre qui vêt la femme couchée, et dans l'inqui ne se détachent du sol environnant qu'à aquarelles d'une richesse de tons splendivivement de sa fenêtre dans la rue, r.cmAffaire d? mœurs. — Les gendarmes de digo du cou des paons. tei deux n ■e rut sur lui une fourche à la mam, prêt «s de M. Al- quelques pas de distance. Saulr.es ont conduit jeudi à Briey un vide. M. F. de la Chaise de son atelier de 1_ la sou Le vert, c'est le feuillage, c'est aussi la Reconnu et salué avec émotion l'une des Metz évoque les Fêtes galantes de Verlai à lui faire un mauvais parti pour ne pas Ki^apPrée Piesse d'un pin1 lain monsieur qui avait commis un atten1_ avoir laissé « asticoter » sa dulcinée qui, fe» s»ioru , en ce genre de peinttare, plus belles œuvres de Mathias Schilï : Au ne au moyen de fusains teintés très origi- queue du paon à l'ombre. tat aux mœurs sur une gamine de 3 ans.5 tté lsi(ms M La note claire de la chair a pour rappelss Bu à ta n, • (' ' - fetit-Gérard Sépulchre de Saint-Mihiel. J'ai noté encore naux... Et je m'arrête, ne pouvant tout ciFrançois Zerbrm, un Italien de 46 ans,- paraît-il, le méritait. L'affaire allait tourmt,m; », ner au tragique, lorsque survint à point S.^uisan militaire, fi semble un frais paysage de M. Georges Verrier : ter en cette Exposition : le mieux, croyez- une branche, très délicate, de roses thé,> exerçant la profession de mineur, travail% ainsi que la queue du paon faisant ia roue. 1- le violent orage que l'on sait, qui doucha teu; „parlois les proportions Le Déversoire de l'Amance ; un Soir sur la moi est de l'aller voir. '• le depuis longtemps dans la région. Au l a,tïi I e Ln L'harmonie est magnifique ; les poses ditu d'importance les belligérants qui se disC vernn Vedette, par exem- Plaine du peintre comtois Trèmolières dont point de vue moeurs, sa réputation n'est U S6rrer L'ART DÉCORATIF | férentes des femmes (une debout, l'autre B posaient à entrer en lice, itV61 a noivl im davantage son je goûte ia descente dramatique d'un chee pas très bonne, on le dit entreprenant auL'atrium de la maison romaine, ainsi couchée en des ombres qui semblent lumiiLe surlendemain soir, à neuf heures, 1h «e =,,„t Pressionner plus forte- min pierreux devant ia bande orangée du " près des femmes et on chuchote qu'en cas LS heure fatale dans ce quartier excentril % ï?xi son? L1,as k's plus grands ta- couchant. Umbricht et sa liile sont fidèles que les différentes pièces sont occupées par neuses, la troisième assise,avec des taches8 de besoin il s^dresserait volontiers à des en 06 genre: à leur manière soignée — jusqu'à l'excès une exposition d'art décoratif, qui fut vou- de soleil sur son dos lisse) ne donnent' frtlettes. « que, nouvelle scène qui, cette fois, nécesr è ê^^m^T^ qu'une impression unique de beauté sculpparfois ; — Vielhorski a des bleus violents lue très complète. site l'intervention de la police et des soi1 to A ce sujet, on rappelle qu'il y a quelque On ne peut qu'en féliciter les organisa- turale. On voit que l'artiste n;a eu qu'una IÎ dats de garde à la porte de Metz ; c'esï eft*,^"^;, ujours «ante, j pa- et des mauves magnifiques en ses vues de aa teurs de ce Salon vosgien. Il n'est plus per- souci : réaliser une vision très riche et très8 dix ans une wvforfnation fut ouverte conÛl 6 A é r- dire qu'elle fut plus grave que les deux « lait }^ tolitjcan » m- Rouen, Pierre Vv'aidmann enferme un très mis, aujourd'hui, surtout en notre Lorrailuxembouramb r- précédentes. personnelle de ia couleur et de la grâcee tre lui par la gendarmerie •C**M^" °yer, sous un: ciel grand talent de coloriste en des toilos très is Tout d'abord, ce fut le sieur Charlier, ftC'Ss>, se^ sKc,ayeuses. Victor Prou- .petites (trop petites !) ; Charles Wittmann ne qui vit naître tant de chefs-d'œuvre d'art des lignes. Il v a pleinement réuni si l'onn geoise. On P-açeusait de s'être livré, dans a des effets de neige précis et détaillés com- appliqué, de séparer cet art do ce qu'on ap- en juge par la faveur dont cette toile im- les bois de la Sauvage à des attentats aux ix «m-numme « Siài », "ni fit irruption dans, St ae mœurs sur deux fillettes qu'il avait préa• <^Si Çou'eur. C'est qu'il fixe me des estampes japonaises, enfin Zwiller pelle ie plus habituellement : les Beaux- portante jouit auprès des Spinaliens et dec i- la demeura de Mme veuve Dommangâ 0ris laidement grisées. Il est d'ailleurs juste ays ou les tous ceux qui visitent ce Salon. reste égal à lui-même et fait se jouer avec ArAs. te Sous prétexte que M. Léon Lambry es! ^«oes et1 w n S nuées, de reconnaître que J'encfuête ouverte" n'éAinsi que l'inoubliable effort dû à l'Ecole é- en pension chez cette dame, il frappa la °ndes rivalisent de ri- bonheur le rouge, ie fauve et une sorte de (A suivre.) L. M. L de Nancy à l'Exposition i?iternatio>i(fte de. tablit pas le bien fondé de cette plainte. £ maîtresse du logis à coups de bâton, lu\ bleu électrique qu'il a hérité de Heimej» , j, efkfue Zer-bini ne fut pas inquiété. - faisant aipsi dg fortes blessures aux deuï MEURTHfr &-MOSELLE 1. ■U , fc;^V''; B "" i W mtè ^rtmtoe line"' i ^ l ,1" Jîf Ï5reV» SL SA CIVIL ii MEUSE 3 iR S ZJ } }'< ant fct t ^Qlia BANLIEUE 5; pwf. Sa ,ï S " ° "' \ *t lîlteafEpisal ,„T\ mlZ y*> « K t »l ' bras, ainsi qu'aux jambes, puis il sortit heureux et fier de son exploit, non sans avoir encore quelque peu bousculé ce qui tomba à portée de sa main dans l'appartement. Pendant ce temps, l'ami Godard s en prenait à l'habitation de M. Lavigne, tueur de porcs, et faisait pleuvoir dans tes fenêtres une volée de coups de baton. Le motif ? Tout simplement parce que le frère de Léon Lambry est en pension chez ce brave homme. A ce moment, M. Lavigne, sa famille et Lambry prenaient leur repas dans une chambre voisine. Naturellement, ils accoururent. Charlier se trouvait près de son ami, qu'il était venu « renforcer ». Lambry, voyant que tout ce fracas s'était produit à son sujet, allait corriger d'importance les deux batailleurs, lorsque, a ce moment précis, la police survint. A la vue des braves agents, Godard et Charlier s'empressèrent do déguerpir au plus vite et de se réfugier, toutes portes vérouillées dans la maison du premier. Il ne resta donc plus aux représentants de l'autorité qu'à constater et les dégâts et les blessures ; puis leur enquête terminée, ils reprirent le chemin du poste, A peine y étaient-ils arrivés que le « chambard » recommençait. Cette fois, ce fut Charlier qui s'en prit à un honnête travailleur du quartier, M. Gustave Toussaint, pendant que la fille Gridelet, concubine de Godard, installée à la fenêtre de la chambre de son amant, lançait des bouteilles dans la rue ; l'une d'elles vint même se briser aux pieds d'une fillette d'une douzaine d'années. M. Toussaint, voyant à qui il avait à faire, ne se fit aucun scrupule d'administrer à son adversaire une correction en règle. Pendant que M. Toussaint « opérait » sur Charlier, un excellent garçon, M. Charles Pierre, ayant constaté que l'action directe était seule capable de mettre fin au scandale qui menaçait de s'éterniser, invita Godard à cesser immédiatement le vacarme et le prévint qu'il allait faire connaissance avec ses poings s'il ne consentait de suite à se calmer. Godard le prit de haut et proféra des injures. M. Ch. Pierre allait certainement se décider à « cogner », quand apparurent par le haut de la rue et au pas gymnastique, les soldats du poste, tandis que par le bas de la rue arrivaient des agents de police que, pour la deuxième fois, on était allé quérir. A la vue de toute cette force armée, Godard et Charlier ne demandèrent pas leur reste et s'empressèrent de se barricader chez eux, où ils continuèrent à faire du « chahut », jusque vers les deux heures du matin. Dès le lendemain matin, la police était sur les dents pour rechercher nos deux tapageurs et les inviter à venir s'expliquer devant notre excellent commissaire M. Proust ; jusqu'à présent, les agents ne purent y réussir. Mais qu'ils le veuillent ou non, nos batailleurs n'auront pas le dernier mot en cette affaire qui pour-' ra leur coûter gros. En attendant des explications de leur part, explications qu'ils ne pourront certainement pas fournir, vu leur état d'ivresse au moment de tous ces incidents, les habitants du quartier ont été interro-' gés et tous se sont fait un devoir de dire, tout ce qu'ils avaient vu et entendu, et je voiis prie de croire que les agents en-. quêteurs eurent fort affaire d'inscrire[ les doléances de tout le monde. l VOSGES ARRONDISSEMENT DE NEUFCHATEAU NEUFCHATEAUI Incendie, — Dans la nuit du 26 au 271 juillet, au quartier Rebeval, un bâtimentt servant à remiser les fourrages d'une bat-terie du 60e régiment d'artilerie, a été totalement détruit par un incendie dont less causes sont restées inconnues. On peut évaluer les dégâts à une dizaine! de mille francs. Au premier cri d'alarme, MM. Thuveny,, sous-préfet ; Naud, commissaire de police,, tous les officiers de la garnison et un grandt nombre de nos concitoyens s'étaient renduss sur le lieu du sinistre. MEDON VILLÉ= Une chienne qui alîaite des porcs. —Une chienne appartenant à Mme veuvee Pierre, à laquelle on avait enlevé fes petits chiens.a adopté deux petits porcs qu'el-le n iurrit avec la plus grande sollicitudee et dont elle défend l'approche aux cu-trieux. Elle montre les dents à tout étranger âi la maison et ne laisse toucher à aucun dee ses nourrisssons. ARRONDISSEMENT DE REMI REMONT REMIREMONT 1 Fondation du capitaine Louis Flayelie. — La commission de la fondation du capitaine Louis Flayelie fait connaître aux x candidats que-les demandes devront parvenir à la mairie pour le 5 août au matin ; celles non remises à cette date seront;1 ajournées à 1912. Les candidats qui auront déjà fourni >' un dossier n'auront qu'une demande à a produire. Comme les années précédentes, les allo'cations seront payées le jour de la SaintLouis, vendredi 25 août, à quatre heuress et demie du soir, chez M. Villemin, rece; veur municipal. BUSSAK'G Q Oominencemont d'incendie. — Un com1 mencement d'incendie s'est déclaré dans s le grenier de M. Noël, boucher. Le feu a a été allumé par le contact de deux fils élec; " triques. Une poutre commençait à flamber r . lorsqu'on s'en est aperçu. M. Munsch est tombé en montant surr Feuilleton de YEST REPUBLICAIN une u poutre pour éteindre le feu.Il ne s'est i i pas p fait beaucoup de mal. ': Les dégâts matériels sont peu importants. U " DOMFslARTIN — * Vo!. — Une bicyclette, valant 170 fr., a été volée par Adolphe Etienne, originaire d'Epinal, au préjudice de M. Jules n Gavoille, domestique à Franould, qui b avait rencontré son voleur quelques heua res auparavant et avec lequel il était en. La foudre, depuis quelque temps, fait r< tré prendre une chope au café Lam- lbeaucoup parier d'elle, et ie sujet de no« tre chronique est sans conteste d'une acbert. * u qui peut revendiquer sa place à Etienne sortit du café sous un prétexte tualité ,. quelconque et enfourcha la bécane que Tordre du jour. q Les faits divers des journaux donnent Gavoille avait laissée au dehors. li une liste véritablement afliigeante des La gendarmerie recherche le voleur. occasionnés par la foudre, et l'on LE VAL-D'AJOL méfaits \ Coups. — Alphonse Thomassey, pas- 1peut se demander ce que font pendant seur de pièces à l'usine Herzog, a porté ce temps-là les paratonnerres dus, coms plainte contre Jules Leclerc, ouvrier sur me on le sait, à Francklin, homme poliP 1 et savant américain. Sommes-nous fer, qui l'a terrassé et frappé violemment tique n et ce à plusieurs reprises pour une raison défendus ? e Se sert-on encore, à notre époque, des que le plaignant ayant à vérifier une pièq ? C'est qu'en effet l'on a ce de tissu' de la femme Leclerc, il signa- paratonnerres I c en Angleterre surtout, leur prola à son patron qu'il en manquait cinq dressé, i ccès à plusieurs reprises. Lodge et Gorez, *toi très. Mme Leclerc dut subir de ce chef une 1deux physiciens de valeur, ne sont pas favorables aux paratonnerres ; ils rappelamende, d'où la fureur du mari. £ RUPT 1lent que, de 1901 à 1904, la foudre a frapUn bribeur.— Deux gendarmes ont sur- 1pé et détérioré 500 édifices, munis de pa1ratonn erres De son côté, le Père Schaffers pris dans la nuit Aimé Humbert, 19 ans, 1 ;a communiqué à la Société scienifique de cultivateur, au moment où il tendait des c Bruxelles les résultats diexpériences de verveux dans la Moselle. Procès-verbal a ] laboratoire qui furent également défavoétc dressé. ( rables au rôle protecteur des pointes. ARRONDISSEMENT DE SAINT-DIÉ Et, comme d'autres, d'ailleurs, il conCGRCIEUX clut que les paratonnerres â pointes sont Un infanticide.— Sur une dénonciation ■ inutiles et, le plus souvent, dangereux. le parquet vient de se rendre à Corcieux En l'espèce, on peut dire qu'évidempour ouvrir une enquête sur une affaire ment tout dépend de la manière d'opérer. ,d'infanticide. i C'est que sur ce terrain, plus qu'ailleurs La fille Eugénie Georges.âgée de 24 an3, , encore, on peut commettre * des injustiiriginaire de La Chaplle, était depuis ces. , Le professeur Galli, de l'observatoire quelques mois au service de M. Beaumétéorologique de Velletri, s'est constidoin, négociant. Le Î3, pendant la nuit, tué, • dans ces derniers temps, le défenelle mit au monde clandestinement un en- seur , énergique des paratonnerres à l'Afant du sexe masculin, qu'elle tenta d'écadémie dei Nuovi Lincei. La statistitouffer sais son oreiller ; ne pouvant y que n'a pas mis en évidence que le paraparvenir de cette façon, elle le serra à la tonnerre soit inutile ou dangereux. Un gorge jusqu'à ce qu'il fûï étrang'ô. fait indéniable démontre que, dans les Après avoir été gardée à vue, Eugénie villes où l'installation de ces instruments Georges a été dirigée sur l'hôpital de a été exécutée et surveillée avec les Saint-Dié en attendant son transfert à la soins nécessaires, les cas de foudre sont maison d'arrêt. devenus très rares. On l'a constaté pour GERARDMER Rome, dans le dernier demi-siècle. Même Loterie du festival.— Le tirage de la lo- constatation encore à Velletri. terie organisée lors du festival de musiAvant 1876, la foudre est tombée si souque de la fédération musicale vosgienno vent que le Père Secchi disait : du 2 courant aura lieu dimanche 30 juil— Pour étudier la foudre, il faut aller let, à 8 heures et demie du soir, au Ca- à Velletri. ' s:no. Or, depuis trente-cinq ans, depuis que L'Union musicale prépare à cette occal'on a établi des paratonnerres sur les sion un concert, avec le cincours des ar- propres indications du Père Secchi, on tistes de l'établissement. n'a relevé que quatre cas insignifiants en des endroits non protégés, et, dans doux e» au moins de ces cas, il s'agissait de la foudre en boule. De même à Roccamassina, les dégâts occasionnés par la foudre étaient fréquents. Sous la direction de M. Galli, en 1905, on y installa un système de quinze paratonnerres reliés à quarante-cinq autres L'Eté du Hernieux pointes indépendantes de cuivre placées La Hernie et la Chaleur sur les angles saillants à la périphérie du Les Nouveaux Appareils G LAVERIE terrain — c'est-à-dire suivant son contour de Paris curviligne. L'ouvrage à peine terminé un orage épouvantable éclata ; aucun On sait que l'été est pour les hernieux la saison pénible par excellence. Sous l'in- point ne fut frappé par la foudre, sauf fluence de la chaleur et de la transpira- quelques paratonnerres. A l'heure actuelle, il y a autant de tion la hernie devient le siège d'inflammations, de plaies ,parfois même de com- partisans que d'adversaires du paratonmettre les pJications dangereuses ; aussi est-il indis- nerre. Peut-être pourrait-on pensable pour le soulagement et la sécu- uns et les autres à peu près d'accord en ne. rité du hernieux d'assuer une contention faisant remarquer simplement qu'il un paratonnerre absolue de la tumeur par un appareil mi- suffit pas d'installer nutieusement adopté à sa conformation pour affirmer son efficacité. Car en l'admettant bien construit, Finstrument ne et à la nature de son cas. peut durer indéfiniment sans soins ni Seuls, lesAppareils sans ressort perfectionnés de A. C LAVERIE, 234, faubourg contrôle. Il est malheureusement bien établi que ia plupart des paraton: Saint-Martin, Paris, permettant d'arriver fonctionnent mal ou exigent des r à ce résultat. tions qulquefois délicates. Un p, Légers, souples, imperméables à l'eau nerre a été installé quelque part, i . a et à la transpiration, ce sont les seuls qui vingt ans, et l'on veut qu'il défende i se moulent sur le corps sans se déplacer, tre la foudre. A-t-il été visité, examiné même dans les mouvements les plus étendepuis ? C'est la plupart du temps — dus, et sans occasionner la moindre gêne. pour ne pas dire toujours — le moindre Ils permettent aux hernieux d'effectuer des soucis des propriétaires. de longues marches et de se livrer à leurs Un paratonnerre est efficace, certaineoccupations en les délivrant de toute dou- ment, mais à la condition d'être convenaleur et de toute appréhension, blement établi. Souvent, il ne répond nulOn sait que M. A. C LAVERIE visite no- lement aux conditions auxquelles il doit tre région depuis de longues années et satisfaire. L'instrument a été posé pour nombreux ceux de nos compatriotes qui éconduire la foudre, c'es't entendu'. Le ont recouvré leur santé et la plénitude de fait-il ? A-t-on effectué un contrôle ? U y leurs forces, grâce à l'excellence de ces a quelques années, la foudre tombe sur appareilsle clocher d'une église de Rouen et fait Aussi ,est-ce avec plaisir que nous avons quelques ravages. appris l'arrivée parmi nous de ce renomElle tombe même sur le paratonnerre, mé spécialiste et nous nous empressons de d'où conclusion : les paratonnerres sont communiquer cette bonne nouvelle à tous dangereux. Eh bien ! pas du tout ; ils ne ceux qui souffrent de Hernies, Descentes, sont dangereux que lorsqu'on néglige de Déviations utérines, etc., assurés qu'ils se rendre compte s'ils sont en état de sont de trouver, grâce à lui, un soulage- fonctionner. Or, celui de Rouen avait son ment immédiat et définit à leurs souf- principal conducteur brisé en plusieurs ; frances. tronçons isolés. M). A. GLAVERIE recevra de 9 h. à 5 à : A ce sujet, rappelons donc, en quelques i GERARDMER, dimanche 30 juillet, Hôtel mots, qu'un paratonnerre, pointu ou Gholé-Terminus. non, doit être en relation constante et inMIRECOURT. lundi 31, Hôtel des Halles. time, par un conducteur large, en cuivre1 REMIREMONT, mardi 1" août, Hôtel de bien continu, avec une couche d'eau du la Poste. sol ou, à défaut, une conduite d'eau, ou, EPINAL, mercredi 2 et dimanche 6, Hôtel à défaut encore, avec un puisard garni du Louvre. de matériaux conducteurs, métaux, braiRAMBERVILLERS, jeudi S, Café Prince. se de boulanger, etc. Il faut une porte '■ CHARMES, vendredi 4. Hôtel de la Poste, de sortie pour l'électricité. Qui peu assu- La vérité sur les Paratonnerres NEUFCHATEAU, samedi 5, Hôtel de la! Providenee. . EPINAL. dimanche 6, Hôte! du Louvre. SENOMES. lundi 7, Hôtel Barthélémy. SAIMT-DIÉ, mardi 8, Hôtel Terminus. LUNEVILLE, mercredi 9, H. des Vosges. BACCARAT, jeudi 10, Hôtel de la Gare. TOUL. vendredi 11, Hôtel de Metz. Bft8lft¥^amerti 12 €t dimanche 13, HôtelI lîKHSiljje punivers et du Commerce. CEINTURES VENTRIÈRES nerfectionnées GLAVERIE pour tous les déplacements des organes chez la, femme (Hernies' ombilicales, Descentes et Déviations de la matrice, Rein mobile, etc.). mangerai en me rendant au Palais. Embrasse-moi Lucie et espérons. Tiens, prends des sous pour ton omnibus. îvEalgré sa douleur et grâce à son robuste bon sens, Mme Blanchard ne perdait pas de vue les menus détails de la vie courante. Les deux femmes s'embrassèrent et partirent chacune dans une direction différente. Ainsi qu'elle l'avait dit, la femme du 'contremaître déjeuna, en marchant, d'un pâté chaud acheté en route et parvint au Palais bien avant rou.verture.de la salle ... .. où se tenaient les audiences de la cour — Sur ce, mes enfants, il faut nous quit- d'assises de la Seine. ter, l'heure de, Visite est passée. Muoi qu'il Il y avait déjà une queue de cudoive arriver, soyez fortes et n pleurez rieux. pas. Le malheur vient assez vite sans qu'on On ouvrit enfin les nortes et, en un l'appelle. instant, la salle des assises fut remplie — Tu vois, Lucien, que nous sommes d'un public moins vulgaire que celui qui courageuses. Au revoir, tout à l'heure, làse presse habituellement dans cette enbas. Je serai là pour te fortifier du regard. ceinte vouée à la douleur. A mon tour de te dire : Ne faiblis pas et IM. cause qui allait venir à l'audience défends-toi bien. était, en effet de celles qu'on est convenu — J'y tâcherai, ma pauvre femme. d'appeler « bien parisiennes ». On allait Après de longues effusions, Mme Blan- juger un simple contremaître de fabrique, chard et Lucie se retirèrent sans avoir c'est vrai, mais le mystère angoissant qui versé une seule larme. Mais, dès qu'elles planait sur cette affaire, la qualité des téeurent franchi les portos de la prison, l'é- moins cités, dont certains, le grand inmotion fut plus forte, elles éclatèrent en dustriel Robert et son fondé de pouvoirs sanglots. Drapier avaient été un instant soupçon— Mon pauvre papa, maman, comme il nés du crime imputé à leur ouvrier, faiest fatigué ! M. Gustave dit que c'est M. saient de ce procès une cause célèbre. Robert qui l'a l'ait mettre en prison. Ces Tout à coup, la porte du fond s'ouXWbert sont de méchantes gens, je les dé^ vrit. teste. — Messieurs, la Cour 1 cria un huis— Tu as raison,' ma chère petite, de sier. (plaindre ton père-, car il est bien malheuTout le monde se leva et les trois mareux. Mais il faut espérer qu'on nous le gistrats, en rohe rouge et l'hermine sur rendra ce soir. Tu vas aller déjeuner chez l'épaule, auxquels la loi confie la terrible les Guiîîon_0ù tu m'attendras. Pour moi, mission de prononcer, sur l'honneur et la je vais acheter un petit pâté de virînde vie des citoyens, firent, leur entrée. a la première charcuterie rencontrée ; je Le président, après les questions d'usa- j v' *1L ri N * 12 - - ■ Incendiaire Par Henry GRE NET <T i Ç LA HERNIE rer qu'en général, cette condition essentielle est remplie ? C'est pourquoi il est; indispensable de faire contrôler l'étatf d'un paratonnerre au moins une fois par; an et il convient, dans ee cas, de ne pas s'adresser simplement à un plombier de[ la localité pour effeetuer les réparations.* Le travail exige certaines connaissances; spéciales et un ouvrier compétent peut^ seul se prononcer sur l'efficacité ou le danger d'un paratonnerre. Convenablement installé, on peut dormir tranquille avec un paratonnerre. M. Henri de Parville, bien connu du monde scientifique, raconte qu'il a couché à 1.780 mètres d'al--i titude pendant que des orages terribles faisaient étinceler de fulgureux éclairs sur io faîte de la toiture d'un long bâtiment avec chapelle, protégé par plusieurs paratonnerres. Le conducteur bien placé P courait sur tout le parcours de la toiture métallique. Un paratonnerre était relie au sol tous les dix mètres. La foudre briarbres à quelque, ssa plusieurs fois les distance, mit le feu au bureau télégrad phique, mais ne fit aucun mal aux visip tours enfermés dans le bâtiment. _ tl Nous pensons, sans qu'il soit nécessaire jd'insister davantage, avoir suffisamment établi 'utilité du paratonnerre, non pas 0 p peut-être du paratonnerre antique : une ppointe et un seul conducteur aboutissant au sol, mais un réseau de conducteurs en a rrelation avec les parties métalliques de la construction et aboutissant, par plusieurs c câbles de grandi section, à un puits plein c Q d'eau. On est encore assez mal fixé sur les caj prices de la foudre et, particulièrement, sur les singularités de la foudre en boule a q qui pénètre malgré tout quelquefois dans ] les appartements. Mais les cas de foudre gglobulaire sont rares et' ne paraissent pas avoir fait de victimes- C'est pourquoi on £ p peut engager tous ceux qui le peuvent à rne pas dédaigner les paratonnerres, surt tout pour les habitations élevées en rase ccampagne, ou dans le voisinage des | grands arbres. Dans tous les faits qui précèdent, il n'a ( été question que d'édifices et de maisons j préservés de la foudre par le paratormeri re. Nous allons maintenant donner les j preuves que les navires en mer peuvent jêtre mis, par le même moyen, à l'abri de ( ce redoutable météore. En 1/80, le physicien Deïor montrait à ]Paris, comme objet de curiosité, une porttion du conducteur du paratonnerre d'un <vaisseau anglais, formé d'une pointe de j fer doré qui communiquait avec une chaîine de tringles de fer descendant jusquo <dans la mer. Dans la réunion de ces trinjgies, il existait, par hasard, une petite in1terruption de quelques centimètres. Ce< vaisseau ayant été surpris, en cours de i route, par un orage considérable, tout l'é< quipage put observer pendant trois heures l'écoulement du feu électrique dans la ;portion interrompue du conducteur. ' En janvier 1814, la foudre tomba dans ; le port de Plymouth. Le vaisseau « Milleford » fut le seul frappé et endommagé. Il était.aussi le seul qui, à ce moment, ne se trouvât pas muni de son paratonnerre. Trois coups de foudre frappèrent, en janvier 1830, dans le canal de Corfou, le iparatonnerre du vaisseau anglais « l'Et na », sans lui causer le moindre demmage. Le « Madagascar » et'le ce Mosqueto », vaisseaux sans paratonnerres, placés non loin de « l'Etna », furent atteints et fort maltraités par ce météore. Ces nouveaux faits, dont on pourrait étendre presque indéfiniment la liste,viennent .confirmer ce que nous avons dit à propos du paratonnerre et justifient l'hommage que la poésie a rendu à cette belle découverte scientifique, lorsqu'elle dit, en parlant de la tige électrique : Et par elle à nos piwls, conduit sans violence, Le tonnerre captif vient mourir en silence. j j s! • \• . A. —Il —— ■ —' GAVAED. ' 1 LORRAINE ET ALSAGB Extrait de l'étal civil de Metz Naissances. — Elisabeth-Madeleine Sohauss. — Georgette-Louise Weber. — Jean Spartz. — Marie-Gertrude Loh. — Léon Dassing. — Anne-Chariotte Rœssler. — Anne-Emma Jehle. — Hugo-Paul Pfeifer. — Emile-Guillaume Morbe. — Léonie-Marie Oswald. — Emile Merson. — Philippine-Joséphine Marchai. — Marthe-Catherine-Barbe Minster. — ClaireSophie Urie. — Eugène Nau. — BertheLouise Tobien. — Marcel-Edouard Burtin. — Georges-Nicolas Dill. — CharlesGeorges Gablusser. — Marie-Louise Marichal. — Henri-Joseph Hasmann. M/ariagea. — Gustave-Richard Funk, ouvrier, et Jeanne-Henriette Boullion, à Metz. —■ Angelo Caimi, terrassier, et Marie-Julie Bury, à Metz. — Charles Weber, électricien, t Louise Bégom, à Metz. — Jean Mellinger, serrurier, et Marie Denis, à Metz. — Guillaume Freitag, maçon, et Rose Hiller, à Metz. — Gustave Krier,( serrurier, et Jeanne Bartholus, à Metz.—. Marcel Pilmès, assistant des postes à Nancy, et Emma Mayer, à Metz. — Alphonse Chéry, employé de banque, et Camille Virion, à Mtetz. Décès. — Adam Hourt, ouvrier, 40 ans. — Veuve Madeleine Brandstaetter, née Stoll, 86 ans. — Veuve Elisabeth Fogelgesang, née Gredler, 73 ans.— Angelo Formara, terrassier, 53 ans. — Veuve Caroline Bayer, née Hoffer, 55 ans. — Christian' Joss, sans profession, 61 ans. — Antoine Thomy, vigneron, 69 ans. — Veuve Anna-* Françoise Belinger, née Barbé, 78 ans. — Veuve Barbe Tailleur, née Veckringer, 69 ans.— Hyacinthe Sarazin, née Mouzon, 61 ans. — Guiseppe Bondi, née Stefani, 29; ans. — Veuve Marie-Hortense Parizo, née' Beauvent, 82 ans. — Veuve Nathalie Ro-* senzvoig, née Picard, 80 ans. — HélènePauline Frentzel, ouvrieôre, 16 ans. —" Suzanne-Albertine Engel, sans profession, 21 ans. — Catherine Mathieu, sans pro-. fession, 14 ans. — : Brasserie de Nasicy sur fabriquée gwantit factura sa bière eiclnsivemont avec desj MALT ET DOUBLONS DE 1" CHOIX. Très saiae et digestivo.. ge, donna la parole au greffier pour la aucun ménagement à garder, se chargea lecture de l'acte d'accusation. Blanchard, de Le crier bien haut. Malgré le procureur la. tête dans les mains, ne bougea pas jus- qui voulait lui imposer silence, malgré le qu'à ce que le greffier eut terminé la lec- ^président qui menaçait de le faire sortir, ture de son redoutable grimoire. il dit aux jurés ce qu'il pensait des téAux derniers mots, l'accusé redressa moins Robert et Drapier et ne craignit pas son buste et jeta autour de lui un regard de les accuser formellement d'être les vrais franc et droit, sans être arrogant. On sen- coupables et de le démontrer moralement. tait déjà que cet homme ne se laisserait Malheureusement ,il y avait au dossier, pas condamner sans se défendre. Il aper- parmi les nièces à conviction, le fameux çut, au premier rang du public, sa femme, copie de lettres. Les jurés eussent accepsa courageuse Louise, et, d'un signe de té, sans lui, la théorie de la lettre écrite tête, lui indiqua qu'il l'avait vue. -en double qu'avait développée Me Jautet Dès l'audition des témoins, la latte s'en- avec une habileté remarquable. Mais le gagea entre le procureur et l'avocat, le .registre de copie de lettres perdit l'accusé premier accusant le second de faire de par l'influence qu'il exerça sur les coml'obstruction. Mais M6 Jautot était rompu merçants qui faisaient partie du jury. à toutes les manœuvres du Palais. H fît Après une admirable joute oratoire ence qu'il voulait et comme il le voulait. tre le ministère public, qui réclamait la Au cafetier Lrrbin, qui affirmait que tête de l'accusé, et la défense, qui, malgré Blanchard n'était pas venu chez lui le les présomptions de culpabilité indiquées soir de l'incendie, il démontra que sa cépar la fameuse lettre — pour lui — sinon cité volontaire et professionnelle lui était un faux, du moins un double — réclamait imposée par l'étrange qualité de sa clienl'acquittement pur et simple, les jurés entèle presque exclusivement composée de trèrent en délibération. fraudeurs d'octrois et de tenanciers clanIls revinrent bientôt avec un verdict destins de paris aux counses.Ll ne pouvait, négatif pour l'assassinat, mais affirmatif il ne devait rien connaître des choses et pour l'incendie volontaire ; de plus, ils des gens qui passaient chez lui, sous peine ne s'opposaient pas à l'admission des cirde voir déserter son houge. constances atténuantes. Pour M. Robert, ce fut bien autre choC'était le bagne pour Blanchard, que se. U lui posa des questions si terribleLa Cour condamna, en effet, à vingt ans ment précises au sujet de ses affaires com- de travaux forcés. merciales ; il démontra de façon si lumiAu prononcé de la peine, le contreneuse les indélicatesses journalières dont maître se leva et dit posément : « Vous il émaillait sa vie : enfin, il le présenta, venez de condamner un innocent, votre au moment de l'incendie, dans une situa- justice est boiteuse ! '» tion telle vis-à-vis de ses commanditaires, Feignant de n'avoir pas entendu, le que vraisemblablement, on se fût cru en président leva la séance. présence du véritable accusé. Tondis que les gardes amenaient, le Ce que n'avait pu dire M" Jautet, qui condamné, des agents emportaient une avait dû se contenter 4e démontrer sans femme qui venait de s'évanouir dans la conclure, le père Blanchard, qui n'avait salle. C'était Mme Blanchard, dont les . S g E 0 EQ"^ ©*' | g g i Sy , g B L èàqïmihô i/e ses roulèsi ^^ éll OOimEURS sont s tes d'arriver Us w«* LE à |a SUC0URSA I g (] u | g B ^^'^^^^É g I | iimtv^axritun " ^1 ^r^^^ll ' ^ , ^^^^ ^^^P ^ ^ TMèptu ï&* —17, fue dus Dominicains, NANCY g g g ia «greffe Bicyclette de COURSE EXPOSÉE, feçflei/e est livrée à un prix eenaauoeneim P g g A l'heure actuelle, en AlleinamT^B les formations de guerre, étant r? de vêtements en drap gris, l'adnY^l tion s'occupe do généraliser c celle couleur, par suite- de quoi SM? ' rénavant de la même nuance torn4 d doublures do vêtements, les rnusett ' ], les de tentes, étuis à avoine M^58'^ fourgons, etc., etc. : f Faits-Divers ? i M. Catherine, du Nouvelliste de Bretagne, a i Lorient avait emmené en vacances dans sa propriété, à Penmane, plusieurs jeunes s , gens, au nombre desquels Henri et Pierre jLe Goïc, âgés de quinze et seize ans tus Mrs Barnard est une délicieuse du capitaine de frégate commandant en j ccaine de Minneapolis qui a, comme i ' ( second le « Garnot », et les frères Virot, ases compatriotes, le goût du monde 1 • s ; luxe. âgés de treize et quinze ans, fils de comIl i merçants brestois. Mr Harry Barnard est enchanté d« Hier après-midi, pendant le bain, les ccès de sa femme et ne demande qu'à deux frères Le Goïc et Georges Virot sar » beaucoup d'argent pour la renrir'v*! ( re , venturèrent dans une embarcation qui prit reusc. t • il'eau. Us durent se jeter à la mer. M. Cependant, ce mari excellent a dp g iAlexandre Catherine fils put sauver Piergences bizarres : il voudrait que sa ,re Le Goïc. Les deux autres enfants disC mante moitié s'occupât un peu rj© ] „ ^B r a jparurent malgré l'intervention des pê- robe de son époux. C'est une preuwl r ( cheurs. . r mour, à n'en pas douter. Le bouton ■ Le cadavre de Georges Virot et de Henri c par une main adorée n'est-il n? t jLe Goïc ont pu être retrouvés. Ils étaient cousu t talisman précieux . pour un en partie rongés par des crabes. ( man ? r Mais la jolie Mrs Barnard n'est nas UN FACTEUR SE SUICIDE A CAUSE D'UNE CHEC cessible à cette forme de tendresse et ;MISE. — Rentrant de sa tournée, M. Louis f )Ravier, trente-trois ans, facteur rural à fois pour toutes, elle déclara à « son PB r )Longeau (Haute-Marne), voyant que sa ,ry » qu'elle ne satisferait point à ce , \ ridicule femme ne lui avait pas préparé une chemise de rechange, entrait dans une vio- t Harry résolut de donner à sa femme s ! leçon éclatante dont profiteraient tousH lente colère. r Désarmé d'un couteau de cuisine dont il maris de Minneapolis. venait de s'emparer, le facteur en ressai- . Chaque jour, vers midi, il s'installa d' la sissait un autre et, avant que sa femme . véranda de son hôtel, et la îouk, stui ait pu songer à réintervenir, s'en frappait faite, vit le richo Barnard, l'aiguille à , main, qui raccommodait sagement ses \ d'un violent coup sous le sein gauche. 11 j tements. j s'affaissait aussitôt, mortellement frappé. Indignée, Mrs Barnard courut chei Lu lame avait perforé le cœur. Déjà l'année dernière, au cours d'une Jjuge. C'était un de ces bons juges d'outi ,criso aLcoolique, Océan qui s'ingénient à formuler le co I le malheureux, après pratique de la vie conjugale. C'était i f avoir tenté de se tuer à l'aide d'un rasoir, 1 outre, un juge galant. Il jugea que Har f s'était jeté dans un puits. , Barnard avait gravement offensé sa fem I LES ARBRES AIMÉS DE LA FOUDRE. — Les <en créant un scandale public, et il le ce I orages, après de telles chaleurs, ne man- <damna à s'excuser publiquement. quent pas de sévir. Le public les redoute Et voilà tous les maris de Minnesotail toujours, surtout les femmes et les en- iduits au désespoir par un juge trop là* fants et même quelques grandes person- niste. i nés particulièrement nerveuses. Cependant, on ne peut placer des paratonnerLe chapeau-réticule. — Nous avions res partout. A ce sujet, il est bon d'indi- 1le chapeau-chinois et le chapeau cloche, quer quels sont les arbres les plus dange- chapeau < printanier et le chapeau autti reux et dont on doit éviter le voisinage, i nal, sur lesquels les modistes entassaieul Un savant anglais, M. Adie, rapporte que ravir i des sonnettes, des fruits, des flein la foudre occasionne chaque année, aux des < épis, des aigrettes. Mais nous igi Etats-Unis, de 500 à 900 incendies, entrai- 1rions jusqu'à présent le chapeau-miroir, nant une perte matérielle qui varie de 10 ichapeau garde-manger, en un mot le tl à 22 millions de francs et une mortalité ]peau-réticule. qui va de 130 à 400 à peu près. Une modiste parisienne vient de créeri ' D'après ce météorologiste, le risque des ichapeau avec .compartiment intérieur po accidents de la foudre est cinq fois plus y mettre de la poudre (mais pas de balles considérable à la campagne que dans les un miroir, at jusqu'à un vaporisateur■ villes. M. Adie a étudié les méfaits et les Nous avions eu, au sacre du roi d'Angle* ravages de la foudre dans toutes les conre, la couronne-sandwich, puisque l'on « trées du monde. Parmi les arbres frappés lady R..., qui avait dissimulé dans lac*' de la foudre, ajoute-t-il, le chêne est cede sa couronne fermée quelqu«çe#' lui cjui est le plus souvent atteint,. et le fours qu'elle dégusta pendant la 'cèri* hêtre, le moins souvent. Si la fréquence nie. des atteintes de la foudre est représentée Nous voici maintenant à la veille det» par 1 pour le hêtre, la fréquence est de 15 pour les arbres résineux et de 54 pour le séder le chapeau-lavatory.Les poches a» chêne. Les arbres le plus souvent frappés disparu du costume féminin, le sac à ma» sont ceux qui se trouvent au milieu des !| étant devenu une sabretache de hussm clairières ou sur la lisière d'un bois, d'une I portée le long du fourreau, il était nain» forêt. Il est à noter que ce ne sont pas les que les modistes trouvassent une combiiiB arbres 'es plus élevés ni ceux paraissant son. Et ce chapeau réticule, c'est déji» chapeau d'hier ! les plus exposés qui sont le plus souvent -^.-Q-'^ji atteints par la foudre. L'éminenit savant qu'est M. Camille Flammarion a donné, il y a quelques années, un tahleau de la fréquence avec laParis. 27 jiitilM quelle la foudre attaque les différentes esLe marché a vu aujourd'hui ses tendB sences forestières. Sur 164 arbres frappés dont l'espèce a été notée, il y a eu 54 chê- ces se modifier à la suite de rumeurs p|M nes, 24 peupliers, 14 ormes, 11 noyers, 10 rassurantes sur la situation politique tm sapins, 7 saules, 6 pins, 6 hêtres, 5 frênes, rieure. Notre rente se maintient à 94,32. Pa* 4 poiriers, 4 cerisiers, 3 catalpas, 3 châ'es fonds étrangers, le Consolidé russe■ taigniers, 2 tilleuls, 2 pommiers, 1 sorbier, I mûrier, 1 faux ébénier, 1 .acacia, 1 robi- en reprise à. 96,25 ; le 1891 à 82,80 ; ■ 1906 à 103,60 et le 1909 à 99,80. ï nier faux acacia, 1 figuier, 1 oranger. 11 De même l'Extérieure s'améliore à ■ est intéressant de remarquer, comme le f constate M. Flammarion, l'immunité dont le Serbe à 88,85. le Turc à 91,52. Reprise des établissements de crédit ■ sembîent jouir le bouleau et l'érable. Grands chemins français un peu Les bizarreries de la langue française. —, dis^ P.-L.-M. à 1,157, Orléans 1,215, N» II n'est plus question partout que de « sa-. 1,577. Aux lignes espagnoles, le Nord-J|i botages » sur les voies terrées. Or, sait-onL jiagne se représente à 394, le Saragos*» que, lorsque l'on doit procéder à la. cons- 398. Valeurs de transport irrégulières. truction de quelqu'une de celles-ci, il fautj Dans le compartiment industriel « saboter » préalablement les traverses ?, Ouvrez la Grande Encyclopédie, à l'article' la Sosnowice remonte à 1,480, BriansK' /' « Chemin de fer », tome 10, et voici ce que; 467. Bakou calme à 823. Le Rio. débutant à 1,694, finit «* 'e% vous lirez à la page 1,033 : .1 Pose de la voie. — Une plate-forme de té à 1,710. En banque, les mines d'or se n^f» terrassement étant préparée pour recevoir\ la voie, on commence, avant de poser cel- en fin de séance, la Goldfields à w le-ci, par saboter les traverses... Il ne reste Randmines à 189,50, l'East-Rnnd » B Légers progrès de la de Beers a plus qu'à fixer les coussinets au moyen de; tirefonds, et la traverse se trouve' sabo-- Métallurgiques russes soutenues. . Au comptant, la Junger Californie "H tée... » Alors ? D'où vient que cette expression technirme3 résistante aux environs de 14 fr. Affiches Gaillard 144,50. Société a" ait été dénaturée au ptfint de signifier auliaire de transport 146. ,,,-tf jourd'hui tout le contraire de ce qu'elle exPHILOUZE ET WADDING' primait jadis ? 20, rue Le Peletier. RONGÉS PAR LES CRABES. — tdirecteur '"I I busïLi I î m BULLETIN FINANCIE M <i M *>'m M nerfs, tendus à se rompre depuis trois semaines, n'avaient pu supporter cette ultime et terrible secousse. Lorsque, plusieurs heures après, Mme Blanchard réintégra son logement de la rue Rodier, elle y trouva sa fille Lucie quon avait amenée et plusieurs de leurs amis. La nouvelle de la condamnation du contremaître s'était rapidement répandue, mais nul, dans leur entourage n avait fléchi. En vain, le procureur dé la République avait-il entasse preuves sur preuves et arguments sur arguments contre 1 inculpé. S'il avait réussi à convaincre partiellement le jury, il n'ébranla nullement la foi des amis de Blanchard Hont plusieurs étaient venus témoigner en sa faveur, dans l'innocence du contremaître. Tous s'étaient refusés à voir un travailleur loyal, probe, courageux se muer, du jour au lendemain, en un vulgaire incendiaire-assassin Les délais d'appel expirés, le malheureux Blanchard n'en fut pas moins dirigé sur Rochefort. Il devait être compris dans le premier convoi qui partirait pour la Nouvelle-Calédonie. Lorsque, quelques jours après, le trans port de l'Etat chargé des bagnards s'ébran la vers la haute mer, Blanchard, relevant ■sa haute taille, cria d'une voix puissante • — Au revoir ! A bientôt ! .La, sentinelle qui se promenait dans IP couloir, baïonnette au canon, avança d'rm pas rapide et dit : avança a un — Silence, vous autres, ou j'appelle « A.» ux Armes ! » et gare les fers. Devant cette menace au sens n»£<«<, . VI LE TRIOMPHE DE LA CANAILLJ t- | La vie parisienne est ainsi iaite<J" M § 1 tualité y prime tout. Quelques jo» " Jl; nseht pour que les événements les P'Liif.f I lants passent au second plan et % bientôt dans l'oubli. Quelque temPs 't^Mhl si on en parle, c'est avec des detoi' .M telles qu'il serait impossible de recow , dans les nouveaux récits la verni" g "nère. #|[ï tt vall Le procès Blanchard, qui a ém tant passionné l'opinion a cause uriu y t tère qui l'entourait, ne put celiapP" ^» règle commune. Dès le lendemain j() ( condamnation du contremaître, t parlait plus, ou, si queiquun « v. par hasard, cette affaire, c était [><■>" monter sur l'ingratitude des j5<-'"» a'., « lait vivre et qui vous montrent te I J tude en essayant de vous brûler ' ,nfid*|[" Exception laite de l'entourage i jtpffl| s du condamné, un revirement , cD' î aV duit dans l'opinion publique en P « r0 M. Robert, qu'on considérait, ."«^J « comme la victime des plus fUli"'e # ,J et lomnies. Et il ne pouvait en IJ ment. coijlg s Fort de la condamnation ue ° „ejlB u maître, M. Robert, qui pos^e^ui i dace peu commune, avait tau ,ivaitf. j rage. Sans perdre un instant, » 'v-tt i voqué ses commanditaires, 'f nar 't posé la situation et avait conclu i aVj ^ pel de fonds. Les conimandit'-U' n^ . étc opposé un refus forme! â cel ,.lStriel;.à h vraiment exorbitante d'un servait un revenu dérisoire garjal t qu'on lui avait prête et qu n « ^s anX| d'obtenir encore de l'argent ae vrn fû C'était précisément le but i l 1 vait M. Robert ^ su' ' i 1 51 u9 - TSBSÊSSSSÊSBSSSSBBSBSSSSS BBBBSBBSÊ^ REVUE DES VALEURS BEfHJBLiCAiN5gfg?g?ggg^^ 1 RÉGIONALES DE LA sements Cocha.ux à Deville (Antennes), bien connus dans leurs diverses fabrications : fonderie de fonte douce pour moteurs et automobiles, tôles et appareils de chauffage à feu continu. ip ignore Part de la séduction parce q*i'«1i» I p possède ami» sûrs qui viennent a «il* oi bons des on camarades. HOUILLERES ET MINES DIVERSES service . de cette 'comme tous les ans, la pubiica■ „H« co Bulletin sera suspendue lion o°uw . dant le mois d'août. oen pernier numéro Se 29 juillet et reprise le 9 septembre. rr ^ëuTl des vacances, dispensons-nous s, Vitions financières pour mieux pred 'lTe repos du lecteur et le nôtre On P?1"' pas dans l'oisiveté sans entraînaiS préalable quand on n'a jamais été f!nu'à travailler. L'art de savoir flâE? sans ennui ne s'acquiert pas du jour "u lendemain ; un noviciat est nécesAujourd'hui, contentons-nous donc de .ni lecteur la réflexion suivante d Al"hnns Karr: « L'homme est trop bète ; dédaigne les riohesses gratuites pour sa vie à la suite des poursuites coû- ■ l f Jseî 'Ifnoûs engagerons ceux qui nous lisent . placer, sinon la totalité de leur vil éLture, au moins une partie et en tous as la partie finale dans un coin retiré S bruit et des hommes, où l'addition de hôtelier n'aura pu rien enlever au Irmé du séjour et où ils demanderont » h Nature, le seul metteur en scène qui •. fasse jamais payer ses spectacles, de «créer le spectateur tout en le récréant, 4e lui rendre à la fois des muscles et des all f y a des lieux que l'on admire, a dit le moraliste, et il y en a d'autres qui touebent. . Visitons les premiers, mais arrêtonsnous aux seconds. Mieux encore que l'admiration, l'intimité nous reposera. *** La question du Maroc est surtout une affaire minière, n'avons-nous cessé de répéter depuis le voyage à Tanger. Il nous semble qu'on le perd trop de vue. Toute l'affaire est menée par la grande industrie sidérurgique de Westphalie,qui espère trouver au Maroc les réserves mimères dont elle déplore actuellement j l'absence. Voici à cet égard la traduction d'un article du « Zentralblatt der Hiitten und | Walz Werke », organe de certains cerdes de Westphalie : « L'Allemagne a besoin de se constituer I des réserves de minerais car, suivant une E évaluation récente un peu pessimiste | peut-être, il est vrai, on estime que les ; gisements de minerais de fer actuellei ment connus en Allemagne seront épuisés ; dans trente ans, tandis que les gisements [ français ont une durée prévue.de sept I cents ans. Certes, l'Allemagne est capaï Me de se procurer du minerai à l'étranm ger, mars des circonstances politiques ï peuvent survenir qui rendraient cette sug& gestion dangereuse. S'assurer un approI nsionnement régulier de minerai de qua} lité définie tel est le point important ■\ pour l'Allemagne. Et voilà pourquoi l'Al1 lemagne aura toujours un mot à dire :, lorsqu'il s'agira de disposer de gisements I miniers importants sur n'importe quel 1 point du globe. Dans ces conditions, conclut l'article, j la politique de l'Allemagne doit être la -j i porte ouverte au Maroc » : libre accès ,j aux riches mines de fer en perspective et ji, si possible emprise politique et économi-' i îpe dans ce pays qui, par ses ports, ses J richesses minérales, son climat, sa féconJ «té, est l'un des plus riches qui soit enM tore à « civiliser », c'est-à-dire à « acs| périr ». Et qu'on ne parle pas de compensations, car l'industrie sidérurgique\ r' |?lemande, qui fait en grande partie la' lcnes s '| . e du pays et sur laquelle repose1I a puissance politique de l'empire.ne peut ; renoncer au minerai de fer marocain, et' ;. «m exiger du gouvernement et du peu-■ I I Revue — est fait gracieusement sur demandé, i pas. Ainsi du crédit. Parce que le crédit q qui, dans leurs recrues nouvelles, ont su iest dépendant de la probité, de l'effort, de j rrétablir les compétences perdues — mes l'intelligence, il est précaire, il ne peut r 0 qu'être prêté, suivant ces qualités, et ja- hremerciements à mes collaborateurs à tous g degrés, et notamment à M. Henri mais donné. Le crédit, par définition, veut les I qu'on le mérite. sHeimburger — et enfin, ma reconnais(J sance à tous les actionnaires, mes asso* » c ciés, qui, avec une compréhension judiBanque fîcnauiil cf Cie cieuse de leurs propres intérêts, veulent bien se faire les avocats de notre Soc ciété. Assemblée ordinaire du 29 juMIet 1911 I Voici les résultats présentés aux actionnaires : , Chiffre d'affaires supérieur à 1 milliard. Bénéfices bruts : 1,704,227 fr. 83. , Déduction faite des frais généraux, du réescompte ; après prélèvement d'une pro\vision de 100,000 fr. pour l'amortissement de l'immeuble, et d'une somme de 41,956 { fr. 95 pour amortissement total des frais d'augmentation du capital, le bénéfice net disponible est de 1,106,071 fr. 73. Répartition proposée : 520.835 » \Actionnaires 195-835 » ,Gérance Instituts de l'Université d3 1.000 » « Nancy (13° versement) Sanatorium de La y-Saint1.000 » , Christophe Réserve statutaire 168.214 35 , Réserve supplémentaire .... 279.187 38 TotaS 1.166.071 73 C'est le dividende habituel de 6 1/4 % (qui sera distribué. Déduction faite des acomptes payés en janvier, le montant du coupon n° 46. qui ; est payable dès après l'assemblée, sera do : 20 fr. nets ,pour les actions numérotées 1 à 10,000 et 17 fr. 50 nets pour les actions numérotées 10.001 à 20.000. Après les attributions ci-dessus, l'ensemble des réserves de la Société se montera à 2,531,106 fr. 08, chiffre respectable, et qui la met à l'abri des surprises. Voir dans notre tirage à part le bilan et un tableau comparatif. Comme commentaire aux chiffres cidessus, voici le rapport de la gérance aux actionnaires: Messieurs, La Gérance a d'abord à s'acquitter d'un pieux devoir : rendre à la mémoire du collaborateur préoieux que fut pour la Banque M. Alfred Marchai, un juste et légitime hommage, l'hommage qui s'adresse à la valeur s'appuyant sur la rigidité des principes. Que la famille de notre ami veuille bien ici agréer la. nouvelle et constante expression de notre douloureuse sympathie et l'assurance du souvenir d'affection et de gratitude que nous gardons à son cher disparu. La Gérance doit également manifester ses regrets de la démission de. M. A. Giron, qui s'est séparé de ses collègues après une collaboration de vingt années, collaboration qui commande la reconnaissance de la Société. M. Giron est resté, en effet, durant ce long espace de temps, notre conseiller dans la bonne comme dans la mauvaise fortune — conseiller toujours judicieux et expert. BRASSERIES ET MALTERIES f France. — Aux dernières réunions des Comptoirs on a pu constater que toutes 1 les usines marchent à pleine production : 1 la poutrelle et la charpente métallique «sont très demandées. Le prix du coke des marchés à échelle I pour le troisième trimestre 1911 est fixé à <21 fr. 84 contre 21 fr. 95 pour le deuxième t trimestre. La situation particulièrement prospère < ardennaise entraîne des J|de l'industrie transformations en Sociétés et des déve1loppements d'usines. 3 Allemagne. — La dernière bourse des métaux de Duaseldorf s'est caractérisée 1par la hausse des spiegel et celle des bar1 res marchandes. Belgique. — En fontes, les prix tondent 1 plutôt à se raffermir ; en demi-produits, l'améliorai ion persiste ; en barres et tôles elle s'accentue. Chacun est surpris par ce mouvement <en pleine saison morte. Etats-Unis. — C'est la peur du détecti' ve qui a rendu les yankees si circonspects, ; si idéalistes, à la récente conférence in1ternationale de Bruxelles. On raconte, en effet, que le }u#e Gary et ses acolytes se sentant surveillés par la police des trusts qui les avait suivis à Bruxelles, n'osèrent pas se rendre à la réunion du syndicat international des rails qui se tenait la veille de la conférence. A la conférence elle-même, M. Gary ne se sentant pas en confiance, jugea prudent de rester dans le vague. La situation industrielle continue à s'améliorer. Russie. — Le gouvernement se met avec énergie à la construction des chemins de fer. Il reste encore beaucoup à faire pour doter l'Empire d'un réseau digne de sa puissance. Une spéculation effrénée continue ses opérations à la Bourse des vn leurs. Le gouvernement songe à prendre des mesures de répression. Depuis quelque temps, la question de la uniforme des filés est posée soit arrivée à vaincre le particularisme anglais qui y est opposé. On ' portera encore devant le prochain conla ,grès international du coton, qui doit se tentr à Boston l'année prochaine. n numérotation s sans que l'on tj * * J Les prix restent ferme malgré la baisse du coton. C'était à prévoir. Retorderie d'Ersîein (anciennement Eug. Degermann). — Les bénéfices de l'exercice se sont élevés à 117,339 mk (27,760 mk), Ppour un capital do 800,000 mk. Soie Chardonnet. — La licenciée ailer mande de cette Société, plus avisée qu'elle11 même, a depuis quelque temps adopté les ï procédés à la viscose et ses actionnaires s s'en trouvent bien. f r s j PAPETERIE, IMPRIMERIE, JOURNAUX Imprimeries Réunies de Nancy. — L'assemblée annuelle est fixée au 21 août. c Nous avons fait connaître les résultats . qui lui seront présentés. Voici la répartition proposée : Réserve légale 15.786 40 Actionnaires 7 % 140.000 » Tantièmes 60.932 45 Parts de fondateurs 19.994 15 Réserve extraordinaire 79.964 90 t Le dividende sera donc de 35 francs, réiduit de 5 francs malgré des résultats qui ne sont pas moins brillants que ceux des £ années précédentes. C'est que la Société fveut se ménager des disponibilités pour effectuer le rachat des parts de fondateurs < dont il sera parlé plus loin. s Nous aoons acheteurs : ACTIONS | Forges de Champagne »-.-.. |Frondes et Vraincourt 70 Boulonneries de Bogny-Braux T *:Lefort et Cie (Mohon) Compagnie Générale Electrique (Nancy) 1.500 'Marcheville, Daguin et Cie îKali Sainte-Thérèse mk 1.500 , Resières-varangéviHe fr. 8.250 8 i1/27 Saint-Gobain .1 Brasseries de Maxéville 600 , Filature de Blainville Papeteries Weibel (Ubel et C°) .. „ .... jEtablissements B. Miellé et C J Epiciers Réunis 200 Etablissements Goulet-Turptn 315 « Docks Rémois If3«0 OBLIGATIONS 1 Forges de Champagne 3 %" Mtefieville 4 % " Pair + int. ]Electro-bhimie lOt imétailuir-* r gie des Pyrénées 5 % — 1 Mines de la Mourière 4 % " d» 1Mines de Joudreville 4 % **.. d° îMines de Valleroy 4 % " û° 1 Imprimerie Berger-Levrault 4 i %" d* 'Moulins Hardy-Lebègue et C» 4 J % " d» T - . j> -<fe» n i ■ mmm j Rarcbâ aux fcssïïaex d« la Yilletls Pu 27 juillet 19li < Voir dans notre tirage à part le tableau s I s PRIX DU lr2 KILO des bilans comparés qui montre l'excellen( BISSTIAUX i § c~r~rr" -... .r te situation financière de la Société. j| j £ Vund» nette Paidi ni 1 Les immobilisations ne figurent plus au bilan que pour 1,500,000 fr., dont 900,000 Bœufs ! 1.427] 1.384 0.68 à 0.82 0.34 i 0.49 l 610 574 0.65 i 0.80 0.33 à 0.48 (francs pour les terrains et immeubles, et •Vaches 115 100 0.65 à 0.75 0.32i0.45 600,000 francs pour le matériel. Pour qui Taureaux.... 1.819 1.75! 0.85 à l.lo 0.48à0.6S connaît l'Importance des établissements Veaux Moutons 13.150 10.00C 0.90à 1.25 0.45 40.62 de la rue Lionnois et de ia rue de Metz, Porcs 4.082 4.08s 0.97 â 1.07 0.68 à 0.75 cette évaluation paraîtra bien modérée. Bœufs. — Vente très mauvaise et noui Après toutes répartitions, le fonds de ■velle baisse de toutes les sortes. roulement sera de 625,653 fr. 99. On cote : maraîchins, de 0 72 à 0 77 ; A titre extraordinaire, les actionnaires normands, de 0 75 à 0 82 ; bœufs blancs, auront à statuer sur la fusion avec la Soi de 0 /5 à 0 82 ; manceaux, de 0 72 à 0 77 ; ciété Marc Irnhaus et Cie. choletais, de 0 70 à 0 75. Le J kilo net. L'élévation du capital à 2,500,000 francs Veaux. —- Vente difficile à tendance faise fera par la création de 1,000 actions !ble. nouvelles de 500 francs, dont 900 attriOn cote : choix de Brie, de Beauce, du buées à la Société Marc Irnhaus et Cie et Gâtinais, de 1 05 à 1 10 ; champenois, de 100 émises en espèces à 650 francs. 0 90 à 1 05 ; manceaux, de 0 90 à 1 .. ; Le prix de rachat des parts de fonda- caennais, de 0 80 à 0 85. Le i kilo net. teurs est fixé à 2,200 francs, prix très moMoutons.— Vente mauvaise et prix plus déré et payable le 1" septembre prochain. faibles. Nul doute que les actionnaires des ImOn cote : petits moutons du Centre, de primons Réunies de Nancy n'accueillent 1 20 à 1 25 ; métis, de 1 05 à 1 10 ; d'Au.avec empressement les propositions de leur vergne, de 1 05 à 1 15 ; du Midi, de 1 .. conseil. à 1 10 ; africains, de 0 90 à 1 .. Le J kilo net. TRANSPORTS Porc3. — Vente difficile et baisse de 2 c. Alpes Bernoises (B.-L.-S.). — La cote de par $ kilo vif. Les porcs de choix ont obl'action privilégiée se relève, la bourse tenu 76 c. étant revenue à une appréciation plus On cote : bons porcs de l'Ouest, de 72 à saine de la valeur de ce titre. 75 c. et ceux du Centre, de 68 à 74 c. Le i kilo vif. * * Aciëfi@3 et Laminoirs de Beautor.— L'insertion -relative à l'émission des obligations a paru au Bulletin Annexe du 24 juillet.Nous reviendrons après les vacances sur cette opération qui est de nature a satisfaire les plus difficiles. Athus. — C'est une page d'histoire industrielle singulièrement intéressante que le rapport présenté aux actionnaires en vue de la fusion avec (Jrivegnêe. Ce rapport montre révolution de l'industrie de la fonte en Belgique. La fabrication de la fonte fut longtemps une spécialité belge et jusqu'à ces dernières années presque tous les chefs de fourneaux du Nord et de l'Est de la France avaient Messieurs, * fait leur apprentissage en Belgique et au Tel est l'exercice 1910-1911, que nous Luxembourg. souhaiterions à tous ses suivants de lui Aujourd'hui, le marché belge des fontes ressembler. Nous avons, en effet, travaillé, boaucoup travaillé, mais avec régula- est devenu la soupape des marchés étranrité et continuité, indemnes d'événements gers en cas de surproduction. Au commenintérieurs ou extérieurs fâcheux, sans les cement de 1910, avec le coke à 19 fr. 50, la à-coups qui font bondir les diagrammes et fonte d'affinage d'Athus valait 70-72 fr., aujourd'hui, avec le coke à 22 fr., elle ne vaut les statistiques, mais en usant les homplus que 58 â b0 fr. mes. Le rapport explique comment le projet de Nous avons, comme chiffre d'affaires, construction d'une aciérie et de laminoirs décroché le milliard, sans que, toutefois, ÉCLAIRAGE ET DISTRIBUTION était prêt lorsque la Société entra en conce chiffre constituât jamais pour nous un versation avec Grivegnêe. D'ÉNERGIE point de mire. Nous faisons, en effet, des L'entente avec cette Société économise à affaires non pour chiffrer, mais pour gaCompagnie Générale d'Electricité. — La Athus la construction de petits laminoirs gner de l'argent, nous trouvant bien d'une et d'un four Martin. Son programme d'ins- filiale de cette Compagnie à Marseille 1 ands la fermeté dans ses ré a formule qui a pour principe la sélection vient de faire la paix avec la Société du I Sons » P ** - des affaires, la relation entre leur rende- tallations nouvelles se réduit donc à : gaz de la Ville. A mesure que viendront à La transformation des anciens ihautsment et le risque, et enfin la concentration S fourneaux, notamment par l'utilisation des expiration les contrats en cours, les résuldes efforts, plutôt qu'un impérialisme re- gaz tats s'amélioreront par conséquent. ; "fi i£opinion fail Preuve dans les circons- latif, impliquant, lui, plus d'aléa et plus •1 taces actuelles d'un rare sang-froid, qui La construction d'un troisième fourneau EAUX ET HOTELS, CAFÉS de dispersion. Avec l'expérience et plus a baSe de diSCUSS1 n P0Uf encore, avec l'âge, les satisfactions fort de 150 tonnes ; Brasseries, Restaurants et Hôtels Réu?otre ?S^. ° La construction d'une aciérie Thomas ; légitimes d'ailleurs de l'amour-propre se d La construction d'un train dégrossis- nis. — Négociés à 112, trouvent concurrencées par des satisfacNancy-Thermal. — L'affaire descend enseur ; tions d'un autre genre, celles de la quiétuLa prévision d'un train à rails et pou- fin des nuages où elle se complaisait dede, autant du moins que le permet la vie puis son éclosion miraculeuse. Elle quitte trelles. préoccupante des affaires. La combinaison « se tient », elle réalise le domaine du mystérieux pour fouler le Nous ne préconisons pas l'excellence terrain des réalités. P m mh]ée iue ^ À^ ^ constitutive s'esti d'une méthode ; nous expliquons seule- un minimum de dam pour l'ensemble de la C'est un commerçant, l'honorable M. e sous la sidérurgie continentale puisque chacune ,i M. CosWVL présidence de'" ment la nôtre, estimant que les formules e p ésident deux sociétés aurait pu construire une Chevillot, qui lui a imprimé cette allure. -, *inisSn ^ " ra du conseil d'ad- sont adaptables aux hommes, aux tempé- des Nous l'en félicitons cordialement. aciérie. C lï » Nancéienne, raments, et ne valent finalement que par Créer à Nancy un établissement therAu point de vue financier, la fusion se «sseurs et M 7 eel Lefebvre comme as-[ leurs résultats. A chacun sa devise. C'est à ce besoin de quiétude que nous traduit par l'échange de deux actions Gri- mal et d'hydrothérapie à l'usage de la poSur „f', Louyot comme secrétaire, d pulation de la ville et susceptible d'attirf feient ^élll « 50.0CK) actions, 23.500; avons obéi en établissant notre bilan, et vegnêe contre une Athus. P ntes et 21 Bogny-Sraux (Boulonneries). — La So- rer les étrangers. en le dotant avant inventaire dos contreAp 895 représentées. r Organiser la vente de l'eau. <il %ales et n^mpllssement d°s formalités réserves qui contribuent au dégagement ciété vient d'acheter à Mme veuve Petré la a mment de la Tel est le programme des nouveaux diSOLP? i reconnaissan- des réserves elles-mêmes et au rassérène- chute de Donchery, qui lui procurera une force hydraulique -intéressante. rigeants, programme pratique auquel chan du capital dont le re ment du cerveau des dirigeants. , ^t'ment X° re de WU " Commercy. — La Société, associant son cun peut souscrire. L'opération de notre immeuble, toute * 11 .a été proce*r ea la souscripteurs,1 Le reste viendra, par surcroît, mais ce Nte ,k , nomination du com- coûteuse qu'elle est, ne nous laisse aucuns ' personnel ouvrier à sa prospérité qui est regrets, au contraire. Elle n'aurait point l'œuvre de ses dirigeants, a décidé de pren-; serait mettre la charrue avant les bœufs &lWr 163 aVantagCS' %^tlZen£ été réalisée qu'il faudrait l'entreprendre, ' dre à sa charge toute la contribution ou- que de commencor par construire un cades de sino et des hôtels. et, sans aucun doute, avec un débours vrière de la loi sur les retraites. ■l>; (l Par^tA^° i' administrateur délégué s l s de La Chiers. — C'est de 3 à 9 millions que La condition préalable à la réalisation ' *i pï C6tt Clairfontaine qui a été^ plus considérable encore, puisque tout ' renchérit. ' sera porté te capital en vue de la création; de ce programme était une réorganisation s La i^l () e mission. e L'heureuse situation d'aujourd'hui de d'une aciérie Thomas et d'un train dêgros- ; financière. Cette réorganisation est acoix kée au 7 ™ , assemblée constitutive est.1 sisseur. complie par la transformation de particiMlïl EUe aura à nommer les notre Banque lui vaut des clients noufi* inistrateur } urs. Lefort et 0° (Clouteries de Mohon). — pation ancienne en Société anonyme. La veaux : clients multiples et qui renforcentci première assemblée constitutive'pour la le nombre des radicules qui la tiennent Négociées à 925. Longwy. — L'assemblée annuelle est. constitution de la Société anonvme est au sol et plus solidement que quelques; or BANQUES grosses racines. ' fixée au 24 août. Dépôt des titres jusqu'au! fixée au l août. La 0t Sti n du crédit au Les parts ayant 'été transformées en acNous continuons à nous développer sur, 14 août. f '»mSrl ° , Petit et moyen1 . La Banque Renauld at Cie figure parmi. tions titre poiir titre le capital de la So; resta A ,!a petite et moyenne indus- le même terrain qui nous a réussi, celui 6n établisseménts désignés pour les rece- ciété est de 900,000 francs. Mais comme riornma lordre du jour.'La commis-■ notamment des affaires régionales, sans,\ les voir. i! une bonne partie de ce capital est déjà iM comT pour l'étudier a tenu séance.■ cependant exclure de notre programme dépensée, la nouvelle Société devra sonles affaires étrangères indispensables à1 5 ieu e rtout ra 6nt J U tî ^S f | > 'S « Pi™ 3 Les bénéfices sont, nous dit-on, supél 01 f f F NouV efficace sera encore l'inté-" l'emploi de l'épargne que génère un pays3 rieurs de 1 million aux précédents, c'est-fi- ger à se constituer des ressources nouvel. les. Les concours ne lui feront pas défaut it, '*Uvre Rsn.fdmettons, bi6n ent©ndu, que"5 comme la France. L'action de notre bùl-■ dire qu'ils dépassent le chiffre de 9 mil-. aujourd'hui que l'on sait où l'on va. ' c en dehors letin hebdomadaire est notre grand véhi'esu l u"e tout favoritis-* cule. ' lions, mais en raison des dépenses impor!..du cr£fire clue r°n ne veuille accortantes effectuées pour augmenter les ins: ALIMENTATION A l'égard de ce développement, la LorZj^tiflen? qu'à C6UX °:ui 'e méritent et.' car même sous ce;t te t raine offre, par la diversité de ses indus-- lallations, le dividende sera maintenu à1 Î ^Uion ij ' double 50 fr. La persistance de ia sécheresse fait mon5 tries, un champ d'activité susceptible de *! : > »oû< S m&comptes abondent. ter tous les produits agricoles. La plupart; ;U1 eux 6 vo Nord-ef-Est. — Aux amateurs des va-- des matières alimentaints sont touchées, satisfaire à toutes les aspirations capita" k, Quati'r '. y°ns pas de distributeurs9 listes. , leurs sidérurgiques « de' tout repos » si;- notamment ie blé et le sucre. r< ^co^ti/,,»8, du crédit que les mem0 68 le com Comme les déceptions ont été rares3 gna-lons encore l'action Nord et Est qui * iù, en n • ité de direction des3 aJ c rc>jet °rinaii; ' "ambres triés, pourr dans l'ordre des placements régionaux, nous paraît revenue à des prix aborda' Lies. 1 61 ance d6s choses €t de Bocks de l'Alimentation (anciens établi* C Pont s hom-i_ très rares aussi sont maintenant les ré; ci bon Paris et Outreau. — Une première bat-. sements Sohoumaeker). — Le bilan au 31 v2°au ants M vouloir, parmi les3 fractaires. Chacun, le temps et surtoutt ls 4 e joufi'ndu!tri « moyens déjà arri- l'expérience aidant, s'est pris à songerr terie de fours à coke vient d'être mise enj mars faisait ressortir un disponible de1 !l une certai 41,519 frarnes, qui a donné lieu à un divii Slî ' C d le uéB "e indépen- qu'avant d'aller au loin chercher des met- marche à Outreau.. Usines de l'Es»érane« (Ijouvroil). — As-. don de de 7 %. Ki 8 «nC ^ 8 auraient droit à un1 teurs en œuvre, il est peut-être bon d'em-" :!l 5 169 4 Maison Rousselot, Michel et Cïs. — L'or-. C'^selt^" Lénéfices réalisés, ployer d'abord ceux que nous avons sous3 semblée extraordinaire le 18 août en vue dee un 161 1 par contr , 'Vi 'actZ ! e responsablea:■ la main et qui ne peuvent échapper à no- ratifier la récente augmentation du capi-. dre du jour de l'assemblée du 10 août comd tte . tal. porte à titra extraordinaire l'émission d'o<? 6ie„? ? une r>"rlo> qu'aurait entraî-' tre critique. Ces nationaux, ces _ régioie bligations. I L^es mauvaise sélection naux ne sont pas nimbés de l'auréole dui'i CONSTRUCTIONS MÉTALLIQUES el Cr mirage. Si c'est une infériorité pour les Il s'agit pour la Société d'augmenter if édit" nr [fl l r MÉCANIQUES, ÉLECTRIQUES son fonds de roulement. Les affairée de .!> ' *tÀ*? le'con^- f<™er, ne se donne8 imaginaiifs, c'est une sauvegarde pour* a; qilRr( Et Ies gros négoce traitées par elle exigent, eo ;:.f F&urs rin meilleurs ap- les capitalistes sérieux, qui veulent avantt ET AUTOMOBILES crrt,1it POn ce effet, des capitaux importants ou. plus, -^4 par ,fi co t '« ^i ont" tout connaître, et par eux-mêmes, le fort 0 S Constructions Eiecîiïaues-Nancy. — Né-. exactement, ses dirigeants, dont on con-'. >C ce! lo nqiiérir eux-mêmes. En et le faible des hommes à qui ils cone princi e gociées à 530. naît les remarquables aptitudes com.meri l' ûi7 ï>tion. P s, on versera dansjj fient leur argent. Société Anonyni: daa Anciens Etablisse.. ciales s'entendent à employer frmetueusembj;i prête Messieurs. mmts Coshaux, — Tel est le nom de las. ment les capitaux mis à leur disposition. 64 1 10111 05 ]c I d'Auh!';, " "' courage, a dit • uu Une fois de plus, ma gratitude a MM. Société constituée'le 19 courant au capitalX -i=ue ; ii ne le Ieur aonnet iJ> taux choisi est 4,20 %. On ne perrtl e I ies membres du Conseil de Surveillance,' l de 700.000 fr. pour transformer les Etablis-.i :-.! nas accuser la Société de coquetterie : die- ï| j * OMNIUM D'ENTREPRISES Groupement pour travaux publics I L ^ ,. ^i ]/ r, - . i € Z t I ! ' C ^ i' K é V . 'm. * «6 I y Peu de personnes peuvent dire que les chaleurs ne ies incommodent pas. On ne souffre pas, mais la plupart des gens se1 plaignent de fatigue, de diminution de l'énergie. L'appétit est variable, capricieux, les digestions sont lentes, l'estomac est dérangé. Prenez une ou deux Pilules Pink à chaque repas pendant les chaleurs et soyez1i raisonnables dans votre alimentation. Les Pilules Pink développent l'appétit, favori-» sent les digestions, tonifient le système nerveux. Elles stimulent le fonctionnement de tous les organes et combattent la fatigue. . Colle qui vont) la P/IQ3MS CHER Service indépendant pour les ORDONNANCES MÉDICALES = BANDAGES, BAS, CEINTURES ■ mm Parfumerie de toutos marques LIVRAISON ^ ' A RAPIDE TÉLÉPHONE DOMICILE 67 ::::sss=^ I I Prochains Concours administratifs I CARRIÈRES CE DAMES Dame sténo-dactylographe dans les bu r reaux des ingénieurs des Ponî» et Chaus8 csée et des mines. — Date officielle : 28 octobre 1911 Délai d'inscription : 25 août j 1911 Age : 18 à 30 ans. Traitement : 1.800 à 3.600 fr. Aucun diplôme n'est c exigé. Dame sténo-dactylographe au ministère t du Travail. — Date probable : fin 1911. iAge : 17 à 30 ans. Traitement : 1.800 à 3.660 fr. Aucun diplôme n'est exigé. | Dame employée aux chemins de fer de tl'Etat. — Date officielle : 19, 20 et 21 septembre 1911. Délai d'inscription : 1" tept tembre 1911. Age : 16 ans au moins et 28 , ans au plus. Traitement : 1200 à 2.200 jfr. Indemnités de résidence (6C0 fr. à Paris). Aucun diplôme n il exn<e. CARRIÈRES DE JEUNES GENS i Inspecteur de police mobile et Inspec'teur de police spéciale. — Date'officielle : 12 août 1911. Délai d'inscription : 31 juillet 1911 Age : 21 à 30 ans. Iraitemeni : 1.800 à 3.600 francs. Aucun dip'ûme n est exigé. Inspecteur de l'exploitation commerciale des chemins de fer. — Date officielle : 6 novembre 1911. Délai d'inscription : 6 septembre 1911. Age : 25 à 30 ans. Traitement : 4.000 à 5.000 fr. Indemnité i 1.500 fr 'Commissaire de poliae et hMpeotduf de la police des chemins. de U>r et dea iports en Algérie. — Date officielle : 24 1 octobre 1911. Délai d'inscription : 4 octobre 1911. Age 23 à 30 ans. Traitement : 1.800 à 4.000 fr pour les commissaires et 1.800 à 2.500 fr. pour les inspecteurs. Frais de bureau pour les commissaires : I 360 à 800 fr. Aucun diplôme n'est exigé. Contrôleur à la statistique générale de France. — Date officielle : 7 novembre 1911. Délai d'inscription : 7 octobre 1911. ;ge : 20 à 30 ans. Traitement : 1.800 S 4.300 fr. Aucun diplôme n'est exigé. Rédacteur à la préfecture de la Seine. Date probable : mai 1912. Age : 22 à 30 ans. Traitement : 2.700 à 6.000 fr. Accès aux emplois supérieurs Licence exigée. Contrôleur adjoint des douanes. — Date officielle : 15 et 16 novembre 1911. Délai d'inscription : 30 septembre. Age : 18 à 25 ans. Traitement : 2.000 à 5.000 fr. Accès aux emplois supérieurs. Baccalauréat exigé.^ Les lecteurs qui ont besoin de renseignements particuliers au sujet d'un des emplois indiqués ci-dessus ou d'une carrière administrative quelconque, peuvent s'adresser de notre part à MM. les directeurs de 1' « Ecole du fonctionnaire », 128, rue de Rivoli, Paris (!•'). Joindre un timbre de 0 fr. 10 et ne pas oublier de mentionner sa qualité de lecteur de l'Est républicain. Les directeurs de « l'Ecole du fonctionnaire », ont bien voulu également s'engager à adresser à tous ceux de nos lecteurs qui en feront la demande accompagnée de 0 fr. 75 en timbres-poste pour tous frais « Le Livre des candidats et candidates aux emplois administratifs e) son supplément, deux volumes comportant 250 pages de texte compact et donnant tous les renseignements utiles sur toutes fonctions publiques : conditions d'admission, concours, traitement, avenir, etc.... ^.©-^ i « N'attends pas que ton cheval ait éti volé pour fermer la porte de ton écurie », dit un vieux proverbe, qui semble être ignoré de bien des gens. Aucune porte ne résiste aux cambrioleurs modernes, aucune cachette n'est introuvable. N hésitez pas à vous assurer contre le Vol à la puissante Compagnie l'UNION. Renseignements gratuits et confidentiels chez Al. 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Les gosiers desséchés les invoquent avec r, ferveur. 0 DEL!DON I J Nous aoons vendeurs : ' E> -i Les prix du pétrole restent très fermes e; en Russie. Société minière et industrielle de Gouhenans. — Les résultats du dernier exercice sont ceux d'une période do 18 mois, l'année sociale ayant été reportée du 30 juin au 31 décembre. Us faisaient ressortir un bénéfice d'exploitation de fr. : 181,585 et, après des amortissements pour 50,795 fr., un disponible de 111.331 francs, Voici la répartition adoptée : Réserve légale 5.567 A Actionnaires 105.000 A A nouveau 764 p Le dividende ressort ainsi à 7,50 bruts par actio.i. CAPITAL : VI3STO-T MILLIONS -<*■ VALEURS -.:=S=S=A PRIX LES PLUS BAS p Vilgrain et Ole (Grands Moulins). — A partir du 1er août, paiement d'un acompte de J 2 % sur le dividende de l'exercice en cours ; soit 20 fr. nets, coupon n° 23 pour le les actions anciennes et coupon n° 7 pour h les actions nouvelles. Allemagne. — Dana la Sarre, les stocks sont toujours importants, mais la direction des mines ne paraît pas disposée à forcer ses ventes en France de peur de faire monter les frôts ; c'est vers la Suisse, IT-' talie et le Sud de l'Allemagne que se dirigent ses efforts. f ^ opticiens, Nancy, 44, rue Saint-'ean KAiSOB BECOKBWBÉE POUR U LOBETÏERIE 05 1»'CH0:J Biénii-s rapide les ordonnances d» MM. las Pudeurs î.islti Se méfier des colporteurs qui sa ion passer pour un des;-frères Maurice. •<*.£•••« AVIS — • ^^^^^^^^ Cafè-Restaurant l Fruiterie loucherie-Charcutsris I de demain 1 Propriété avec Maison à louer, près Na»cy, jaid. pot» gar de 2.000 m. an plein rapport. Gonvient à jardinier. Pr. : 1.000 f. Maisons à vendre s Raz-de ch.,3p., cuisine; àl'étage, « 5' pièces, 2 mansardes, jardinet. Prix : 24.000 fr. S'adresser à £ & i M. " % 5r- L0EB"Ts I concernant les PRET à tous s. signât., arg. en 4 jour». R Remboursement i Yolonté. 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Nomination d'un ou pluaieurs commissaires chargés de faire un rapport sur la valeur des apports en nature faits par cette dernière Société et sur tous autres avantages particuliers ; 3- Proposition de 1 augmentation du capital social, à porter de 3 millions à 2 millions 500,000 fr., augmentation qui sera en majeure partie la conséquence de cet apport. Droit de préférence aux actionnaires pour les 100 actions à émettre en espèces, avec prime de 159 francs ; 4- Proposition de rachat dea 100 parts de fondateurs des L R. N. ; fixation du prix de ce rachat st mode de paiement ; 5' Questions diverses. Le président du Conseil d'administration, A. BERGERET. N. B. — MM. les actionnaires aont instamment priés d'assister à ces deux assemblées, a raison de l'importance des décisions à prendre et du quorum exigé par les itatuts. Les titulaires d'acttors au porteur qui désirent assister ou se faire représentera ces assemblées devront déposer leurs titres quinze jeurs au moins à. l'avance, au siège de la Société, 99, rue de Metz, ou chez leurs banquiers habituels. Il leur sera délivré en échange un récépissé qui leur servira de carte d'entrée. A DEMANDE POUR SES NOUVELLES SUCCURSALES ^^r^w^rfaMeyeMaiaBaBBB^aaaitc I Voyez celle malade, toujours fatiguée, surtout au lever, dormant mal, digérant plus mal en cor*» et-soufflée au moindre eflorl, souvent irri!able,uécourtigée, redoulant à lout moment les crises gastralgiiittes ou nerveuses, les palpitations. Elle péri ses forces et s'anémie. Demain, elle souffrira de l'irrégularité des Menstruations. Une douleur, mis sensation de poids plus lourd qui se déplace dans 1» ventre lui fera craindre la Métrite, le Fihrôme, Tameurs, Ulcération, sans compter tous les Accident! du RETOUR D'AGE. C'est la perspective des Opérations souvent itmtiles, toujours dangereuses; tandis qu'en fwisanti"1 usage eonslattt et régulier de la il y ■ g m S ■ a ■ m ggI g R F L | |i E K E j, I I m 1 I JOUVENCE DE L'ABBÉ SOURY g ' """"" L —"— rvVjafai%! § F : elle évitera sûre m en I toutes k maladies sans rien changer a se» ■ °cctjpaJions habituelles. ! J La «SOyVEBCE de l'âBBE SOUBT ^J' \ JBML*. J est faite expressément pour fc I rir toutes lès Maladies latérae* i. de la Femme Le 1 rai lemeut est si» EIISM es portrait P'e et facile, et la portéede 1 tes les mabdes. ! Le flacon 3 fr. 50 dans toutes les Phai maries, fr gare 4 fr. 10. Les 3 flacons franco gare, 10 fr. 5 [0ue A mandat-poste adressé Pharmacie Ma g. Dumontier, a B° 8 g g ^y$m& à g ^JJ , «J g g (Notice contenant renseignements gratis} g m g g g Dépôts à Nancy : Pharmacie Monal frères, ra« ^ | Oommicains ; Pharmacie Centrale, rue de la Visitationt A Lunéville : Pharra. Ducret. — A Villerupl : p ,^ii Honnorat _ A Briey : Pharm. 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