Dimanche 19 Juillet 1908 (MtlQB Ça
matin)
5 Centimes
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,
TÉLÉPHONES
"^^^
3.21
io.37
3.09
(Rédaction
Administration
^imprimerie de rE.t
—
49 6a 8 PÀQES-— N°
|^^^
Rédacteur en chef :
,
^^^^
XJ^ÉIOI^J
£ Le Dupuy-4e-Lôme devait prochainement remplacer le Desaix au Maroc. Il a
dû rentrer à l'arsenal pour y être réparé. — Havas.
(suite)
LES lUiEMTS MALSAINS
DANS L'ARMEE
j
18 juillet. — Tandis que,
,après-inidi, à Monastir, le général de
Son Osman-Hijet-Pacna commandant
? IL. des bandes, donnait lecture a la
caserne d'un ordre du jour d'apaisement,
latif au mouvement politique, un othïfir a tiré sur lui plusieurs coups de feu
l'a blessé grièvement.
On dit ~u'à Monastir, les officiers et les
,oldats continuent à déserter.
juillet. — Deis artilleurs
de forteresse ont été
transportés à l'hôpital maritime, à la suite
t]
d'un
commencement
d'empoisonnement
d
alimentaire,
dont les causes exactes ne
a
s
sont pas encore déterminées.
A Toulon
TOULON, 18 juillet. — Des
matelots du
vaisseau-école Cécile (mécanieiens-torpilv
leurls) ont été atteints d'un commencement
d
d'empoisonnement
après avoir mangé de
la morue au repas du soir.
1(
Ils sont alités à bord. Une enquête est
j.ouverte. — Havas.
CHERBOURG, 18
d
du 15° bataillon
En Aifeanie
SALONIQUE,
18 juillet — Le mouvement
albanais augmente.
...
Les mécontents réclament une constitu- J
jis opposent de la résistance au pas- r
n
S™ des trains militaires vers Uskub.
le mouvement révolutionnaire s'étend I
Dans un haspice Ulalien
Janina, et les bataillons venus d'Avprs
Un Journal parisien reçoit de San-Remo
sie refusent de partir pour Monastir.
j dépêche suivante, qu'on ne peut reprola
La situation générale est grave.
d
duire
qu'à titre documentaire :
« A la suite d'une enquête faite à GeLa flotte russe est prête à tout événement
race,
on a découvert qu'en 1907, sur 144
r
SAINT-PÉTERSBOURG, 18
juillet. — Les eenfants confiés à l'hospice, 143 étaient
par suite du manque de nourriture.
journaux du soir rapportent que l'esca- morts
r
« Les sœurs qui dirigeaient l'asile ont
are russe de la mer Noire, qui vient de visiter lés ports turcs, a reçu l'ordre de se <été chassées ». — Havas.
tenir prête à y retourner, en raison des
.
menaçants événements de Macédoine, r- J ALPHONSE
/
XIII DANS LE SUD-OUEST
DE
LA
FRANGE
Havas.
,
Alphonse XIII a commencé hier ses voyages d'été en automobile. Il doit les continuer, cette semaine, par les Pyrénées et pai
le Sud-Ouest de la France.
Le roi d'Espagne s'arrêtera à Saint-Sé-•
bastien, où il passera deux ou trois jours.
Il reviendra ensuite à Pau. et compte re1monter
1
jusqu"à Arcachon. — Havas.
D'une dépêche du général d'Amade, il J
résulte que la situation est calme dans j
LES ORAGES
toute l'étendue de la Chaouia.
TOULON, 18 juillet. — Ce soir, une vio
A Casablanca même, il règne une acti- lente
j
tempête de mistral règne sur le litto-.
vité commerciale que les plus anciens ré- ral.
.
Elle a causé plusieurs accidents en»
sidents étrangers n'ont jamais connue ville.
.
jusqu'ici.
Au port Saint-Louis, des barques ont Bri-.
L'état sanitaire est excellent.
,
sé
leurs amarres et se sont fait de graves3
avaries. Plusieurs même ont coulé.
Des exercices d'attaque de sous-marins;
ont dû être ajournés. — Havas.
Aziz en route vers Marakesch
j
AU MAROC
â Casablanca. -La prospérité ,
commerciale
Les deux sultans
LOCK-OUT PATRONAL A STETTIN
Le général d'Amade télégraphie qu'Abdel-Aziz, en route pour Marakesch, est j
BERLIN, 18 juillet. — La direction des usicampé en ce moment à Sidi-Kaya, à 20 J nes de constructions de machines de Stet-r
kilomètres au sud de Rabat.
tin vien de fermer ses ateliers, l'ententee
Le frère du sultan Moulai-Mohammed 1 ne pouvant se faire entre elîe et les gréîst arrivé à Casahlanca.
vists.
Ce lock-out frappe l'ensemble des ouLa situation de Hafid décroît
vriers des usines, au nombre de 8,000. —'
FEZ, 16 juillet. — Le
mécontentement Havas.
est toujours grand contre Moulaï-Hafid,
qui pressure les habitants.
LA RÉVOLUTION AU HONDURAS
Ses mehallas sont dans une grande mi- J
sère. Celle de Marakesch est réduite à I NEW-YORK, 18 juillet. — On vient de re-j
cevoir le télégramme suivant du général
néant par les désertions.
Les déserteurs, qui avaient d'abord étéi j Miguel El Davilan, président du Honduarrêtés par le caïd Zaiani, ont été remis\ j ras :
« TCGUEIGALPA, 17 juillet. — Le gouverneen liberté lorsqu'ils ont eu déclaré qu'ils, J
ment a mis fin au nouveau mouvement réivaient déserté à cause de leur misère.
Les envoyés de Hafid, chargés de occla-. I volutionnaire.
« Un combat décisif, qui a duré dix
x
aier ces déserteurs, ont été chassés.
j
jours, a eu lieu à Makone. L'ennemi, bat£
Touristes allemands à Fez
tu, s'est enfui sur le territoire de SanSalvator.
»
—
Havas.
FEZ, 16 juillet. — Trois touristes
aile- I
<nands sont arrivés à Fez. Ils logent chez'- j
FIN DE LA DERNIERE HEURE
le pacha Si-Aïssa-Ben-Amour. — Havas.
1J
LE RACHAT DE LUUESÏ
jf
Hier soir, à Paris, à la Bourse du tra-1
vail, un meeting avait été organisé par le I
syndicat des travailleurs des chemins de
1er.
L'objet de la réunion était le rachat dei I
l'Ouest par l'Etat et ses conséquences pouri
le personnel.
L'assemblée a voté un ordre du jour j
affirmant « la nécessité de l'action syndi-. j
cale consciente pour obtenir une augmen-- I
tation générale des salaires. » — Havas.
BANQUET DES EMPLOYÉS DE
COMMERCE
La Fédération nationale des employés de I
commerce a offert hier soir, à Paris, un
grand banquet que présidait M. Cruppi,
ministre du commerce et de l'industrie.
Au dessert, plusieurs discours ont étéé
prononcés, notamemnt par le ministre, qui
a
été très applaudi. — Havas.
LE MARIAGE DE Mïie FALLIÈRES
Les journaux annoncent que c'est le 10i I
°ut qu'aura lieu le mariage de M. Jean
Lanes, secrétaire général de la présidencep I
g la République, avec Mlle Fallièrcs. —
Havas.
j
a
ussassim m BMpft
REIBY
Nouvelle orientation de l'instruction
M Albanel, jugé chargé de l'instruction1
sassinat du
et %
banquier Remy, au furr
n esurc CIue celle ci
c0n, ?
- avance, semble see
^vaincre que ce crime n'a pas eu la pas-"
g Pour mobile, mais la cupidité.
!
d'h/!
' ''assass'n présumé, le maîtree
tmifi •' ,ena'd, savait que son maître avait\
iennï ■Une sommc de 15,000 francs, mais il
francs
Sûi** 3 aj quc cos
avaient étée
Q_
divers paiements.
Ppose
Paro,. i
1»e Renard aura voulu s'em-cetle S0!nme et q,ie M- Remy au"fait L |nis
le
ment
domestique infidèle ou mo-- |
11 che
tort.
rchait à ouvrir le coffre-"
l
I
Comme tous les ans, l'Est rcpubli-N
vain sert à ceux de ses lecteurs, abon-l~
nés ou non, qui lui en font la demande,*>
des abonnements de vacances aux contditions suivantes, par exemplaire et
par jour :
Pour Meurlho-et-Moselle, Meuse et
Vosges..
O fr. Oti
Pour le resle de la France.. O fr. 0*7?
Pour l'élranger
O fr. ÎOli
£
Congres républicain progressisteg
5.
La « Fédération républicaine », groupement central du parti progressiste, vient
tt
d'adresser aux présidents des comités
lg
adhérents, la circulaire suivante :
Paris, le 16 juillet 1908.
Monsieur le président,
|_
Le conseil général de la Fédération ré^
publicaine s'est réuni le 1ER juillet. Le
n
congrès de 1907 lui avait délégué le soin
lS
de fixer, après enquêta auprès de nos
i„
groupements provinciaux, la date du congrès de 1908 et le lieu où il se tiendrait.
Nous avons .rendu compte au conseil
il
général du résultat de notre enquête. A
■
très peu d'exceptions près, l'unanimité des
■f
groupements adhérents à la Fédération a
»
a
exprimé une préférence très nette pour la
convocation du congrès à Paris.
La même opinion a été exprimée par.
les membres présents du conseil général.(•
En conséquence, il a été décidé que le*
congrès se léunirait à Paris, les 7, 8 et 9a
décembre prochain.
.
Le conseil général a été aussi d avis quee
nos comités demeurent libres d organiser
?
des congrès régionaux lorsqu ris le juge-|"
;
ront nécessaire, mais qu'encore il est de"
sirable dans l'intérêt de notre parti, quec
S
ces congrès régionaux soient encouragés
;
et que le conseil général et le. comité dif"
!"
recteur de la Fédération y soient repré-
dr
^uillera4éerC,0nnfon^eur
CCIDENT A UN CROISEUR
1-aÏÏurance
?*Um» 1iju,illet- — Le croiseur Dupuy-:
,es
résôv, ■ . cUwi't <^s tirs en rade avec
"io ie S?5 dG i;: fl°*to, lorsqu'une avamachme se produisit,
d
3e
n
le Scnt,
"I
1
Pourtant, on télégraphie de Salonique :
que :
« A la suite dés événements survenus
dans le vilayet de Monastir, et du mouvement jeune-turc qui semble s'étendre de
jour en jour, le général italien Robilaut
(commandant la gendarmerie internationationale, formée en Macédoine pour protéger les chrétien»), vient d'adresser une circulaire confidentielle aux officiers étranpers commandant la gendarmerie macédonienne.
« Le comité ottoman Union et Progrès,
écrit le général italien, comité dont le siège
se trouve à Paris, est arrivé à créer une
agitation par la distribution de nombreuses
brochures ou de feuilles volantes qu'il a
introduites en Macédoine.
« La grande majorité des officiers, des
sous-officiers et des fonctionnaires sont affiliés à ce comité, et même parmi les soldats et les paysans nombreux sont ceux
qui ont adhéré au mouvement .
<( Comme le but avoué de ce comité semble être humanitaire et favorable aussi
bien aux éléments chrétiens qu'aux musulmans, il n'y a pas à craindre de massacre
des populations chrétiennes.
« Pour le moment, nous ne sommes pas
en état de mesurer la force du mouvement
jeune-turc, mais tout néanmoins nous fait
croire que nous sommes en présence de
forces bien organisées. H est possible que
nous soyons à la veille d'un très grand
mouvement.
« Je crois que les révolutionnaires ont
l'intention de délivrer les prisonniers. Us
sont, en outre, en relations avec le comité
grec et cherchent même à s'entendre avec
le comité bulgare. »
Cette Macédoine est un nouveau Maroc 1
V*
Nos lecteurs se souviennent, aussi, qu'on
assure que le sultan, effrayé de l'agitation
dont son empire est l'objet, veut adhérer à.
la Triple-Alliance et qu'il songe même à
marier son héritier présomptif à une princesse allemande, afin de préparer la modernisation (et la germanisation) de îa
Turquie.
Enfin, il y a les événements de Perse qui
préoccupent toutes les puissances. — Si
nous avons vacances à l'Intérieur, l'Extérieur paraît devoir être mouvementé,
sans, cependant, qu'on ait à prévoir des1
craintes de guerre,
\ Le lopp pFéiMelii
la rd aurait donc tué M Rem
our
évîte , 1
y P r
r J? Plainte qu'il n'aurait pas man-- |
lué A»
C'est 1 P°Ser contrc hlL
:
*r«teî mair
™-c dans ce sens 1ue le ïuge va* "'vous voudrez bien nous signaler, avantt
Vas."
denant son instruction. — Ha-- la fin de septembre, les questions quee
vous souhaiteriez devoir mettre à lorA
On sait que la grosse préoccupation du
moment est la situation en Macédoine, province de l'empire turc, dont la majorité des
habitants étant chrétiens, se plaignent d'être molestés par les musulmans. — Cette
région est, de plus, infestée de bandes pillardes formées d'individus appartenant
à toutes .les races des Balkans.
L'ambassadeur de Turquie proteste contre les bruits, mis en circulation, de sédition dans les troupes ottomanes :
<( L'armée ottomane est — déclare l'am« bassadeur — dévouée à son souverain et
« à son empire et il n'y a dans la province
« en question ni révolution ni désorganisa« tion militaire. »
***
j
Et les travailleurs des ehemins de fer
Au moment où le président Fallières, accompagné de M. Pichon, minisfre des affaires étrangères, entreprend un grand
voyage, d'importance diplomatique, nous
continuons à tenir fcrièvement nos lect
teurs
au courant des événements d'ordre
'étranger :
!
A Gherfeoiurg
ro\sïANTiNOPLE,
T
'rilIERRY
''de™
le président,',
mes sentiments les pluss
Le secrétaire général,I,
J- EXBRAYAT,
Ancien préfet.
GOULETXE
J1
|^^| ^^^^g^/^
Pour la Publicité émanant de Meurthe-et-Moselle.
Meuse, Vosges, l'Alsace-Lorraine et le. Luxembourg
S'adresser à l'ADMINISTRAfION de l'EST REPUBLICAIN
La politique
extérieure
\0A «
/ « mouvement jeune-turc. - Un
officier tire sur un général
^^^P
..■
NANCY, samedi 18 juillet 1008.
Paris, 19 juillet, 4 h. 50 mat.
(BËÎOB te matin) Dimanche 19 Juillet J9G8.
7732
!
—
Le départ de Paris
M. Fallières, président de la Républi',
que, accompagné de M. Pichon, ministre1
des affaires étrangères, est parti ce matin1
à 7 heures 30, de Paris, par la gare du
Nord, allant s'embarquer à Dunkerque[
'
pour Copenhague.
Les honneurs militaires ont été rendus
à la gare, où tous les ministres et les hau-'
tes autorités civiles et militaires étaient
venues saluer le président.
M. Fallières a remis la cravate de commandeur de la Légion d'honneur à M.
Pierron, ingénieur en chef de la Compa-*
gnie du Nord, et 42 médailles d'honneur,
du travail à des employés de chemin de,
ferAu départ du train, M. Fallières a été■>
acclamé. Il n'y a eu aucune note discor-.
dante.
j
A Dunkerque
18 juillet.— Le train prési-dentiel, après un court arrêt à Arras et à1
Hazebrouck, est arrivé à 11 heures 25 àL
Dunkerque.
Le chef de l'Etat a été salué à la gare
par MM. Vincent, préfet du Nord ; Maxime
Lecomte, Potié, Bersez, Trystram, Hayez,>
sénateurs ; docteur Guillain, abbé Lemire,
Henry Cochin, Plichon, Delecroix, députés:
du Nord ; le général Davignon, comman-'
dant du premier corps d'armée ; le vice-amiral Boué de Lo^errière, préfet mari-■
time de Cherbourg
M. Turkheim, maire!
de Dunkerque, et les membres du conseil|
municipal, etc.
DUNKERQUE, 18 juillet. — M. Fallières at
été conduit dans une des salles d'attente
de la gare, aménagée en salon d'honneur,
et où le maire lui a souhaité la bienvenue.
M. Turkheim a rappelé que c'était la.
première fois qu'un président de la Répu-.
blique était reçu, à Dunkerque, par une,
'
municipalité républicaine,
M. Fallières a remercié
en quelquesJ
mots, puis s'est rendu en voiture à l'hôtel'
de ville, escorté par un escadron du 4"'
cuirassiers.
Sur tout le parcours, le président de la.
DUNEERQUE,
République a été chaleureusement acclamé.
Les maisons sont pavoisées et les rues
décorées de drapeaux suédois, norvégiens,
danois, russes et français.
La pluie, qui était tombée toute la matinée, avait cessé à l'arrivée du président à
l'hôtel de ville.
Une délégation de Dunkerquoises,en costume du pays, offre au président une gerbe de fleurs et une goélette en argent massif.
DUNKERQUE, 18 juillet — A l'hôtel de ville,
le maire présente le conseil municipal et
fait l'éloge de la Flandre républicaine. Il
dit ensuite « que les acclamations populaires vont non seulement au chef de l'Etat,
mais aussi à l'homme qui va dignement
représenter la France auprès de quatre souverains et resserrer le réseau
des amitiés et des sympathies, qui permettent à la France d'occuper pacifiquement
dans le monde la haute place qui lui convient ».
Le président répond qu'il est vraiment
ému de l'accueil qui vient de lui être fait.
Il en reporte tout l'honneur à la République, à laquelle, ajoute-t-il, « il consacrera,
jusqu'à son dernier souffle, tout son dévouement.
« Je vais, continue le président, au nom
de la France, resserrer les liens d'amitiâ
et d'alliance d'où dépendent les bonnes relations de l'Europe et le maintien de la
paix du monde. »
Le départ de Dunkerque
'DUSKERQUE, 18 juillet. — .A midi, le président quitte l'hôtel de ville, et se rend au
quai d'embarquement, au milieu des cris
de : « Vive Fallières I Vive la République ! »
Tous les navires présents dans le bassin sont pavoisés.
Le président monte à bord de l'aviso
« Buffle », qui doit le conduire au warf.
On hisse, à .l'arrière du Buffle, le pavillon personnel du président.
M. Fallières se tient debout, entouré dô
M. Pichon et de sa suite. Il quitte Dunker
que à midi 30.
Le remorqueur s'éloigne lentement dans
la direction de la rade.
La mer eist agitée par une assez forte
houle.
Les navires de guerre de l'escorte présidentielle sont mouillés à un mille et demi
à l'est de la jetée.
A une heure, le président monte à bord
du cuirassé Vérité, et, dix minutes plus
tard, la division navale appareille et gagne
la haute-mer. — Havas.
DE NOTRE PRÉCÉDENTE ÉDITION
Paris, 18 juillet, 3 h. soir.
PÊCHEURS DE SARDINES
CONTRE PÊCHEURS DE THtiNS
CONCARNEAU (Finistère), 18 juillet. — Un
grave conflit est survenu ce matin entre
les pêcheurs de sardines de Concarnean et
des pêcheurs de thons des Sables-d'Olonne.
Les pêcheurs bretons ont voulu empêcher les pêcheurs des Sables-d'Olonne de
débarquer le produit de leur pêche.
On vient d'envoyer des renforts de gendarmerie de Quimper et de Rospi-rden.
Les esprits sont très surexcités. — Havas.
UNE GRÈVE MONSTRE
AUX INDES ANGLAISESl
BOMBAY.— 14,000 ouvriers grévistes ont;
fait, hier soir, le siège de diverses usines;
qui continuaient à travailler et ôiit molesté
des non-grévistes.
Les agents de police ont fait feu à diverses reprises pour se dégager.
On ignore le nombre des victimes de lai
fusillade.
Ce matin, la plupart des grévistes ont re-.
pris le travail.— Havas.
EPI TURQUIE
riale du 30 juin 1877 ; 40 ans de services,
1 campagne.
Postes
La médaille d'argent des postes et des
télégraphes est décernée aux sous-agents
dont les noms suivent :
Meurihe-et-Moselle. — Lahaye, ouvrier
commissionnô à Nancy ; 26 ans i de seradministratifs ; 4 ans £ de services
M. de Stucklé, administrateur délégué de vices
l
militaires.—
Norroy.factcur local à Longla Société anonyme des anciennes salines •
; 17 ans de services administratifs ;
de l'Est, est promu officier de la Légion \vy
.
1j an de services militaires. — Parisot,
d'honneur.
facteur de ville à Nancy ; 29 ans i de services admnistratifs; 4 ans de services militaires.
M. Maurice Donnay (l'auteur bien conVosges. — Liégeois, facteur rural à Stnu, membre de l]Académie française) est Ouen-les-Parey
i
; 30 ans de services admipromu officier de la Légion d'honneur.
nistratifs. -— Piègle, facteur suburbain à
Sont promus au grade de chevalier. — ■Saint-Dié ; 27 ans de services administraM. Herrgott.professeur à la Faculté de mé- tifs
'
; 4 ans i de services militaires. —
decine de Nancy ; M. Marchai, professeur Poirot, ouvrier de 3' classe à Epinal : 26
au lycée de Belfort, et M. Georges Bcrr, secrétaire de la Comédie-Française, profes- ans de services administratifs ; 4 ans de
services militaires.
seur au Conservatoire, à Paris. — Havas.
Le docteur Herrgott
(Le docteur Herrgott, promu chevalier
de la Légion d'honneur, est né à Belfort le
22 avril 1849. Il est le fils du professeur
honoraire à la Faculté de médecine de
Nancy, décédé il y a peu de temps à un
La journée de samedi a été moins pluâge très avancé.
vieuse que celle de la veille, quoiqu'elle
Ancien interne des hôpitaux civils de ait encore été marquée, dans la matinée,
Strasbourg, docteur en médecine (1875), le par deux ou trois courtes ondées. En tout
nouveau chevalier de la Légion d'honneur cas, l'après-midi a bénéficié de quelques
est depuis de longues années professeur de éclaircies.
clinique obstétricale et accouchements a
Observations météorologiques
la Faculté de médecine de Nancy.
delà maison Grand, opticien-constracleur
La distinction qui lui est conférée réà Nancy
compense une carrière médicale particu6 h. matin midi 41i.soir
lièrement honorable.)
Légion ef lionneur
A ffair es étrangères
Instruction publique
LE TEMPS QU'IL FMI
Guerre
Sont promus au grade d'officier de la
Légion d'honneur, au titre de réserve ou
de territoriale :
42° régiment territorial.— Brochet, chef
de bataillon ; 44 ans de services, 2 campagnes, 1 blessure. Chevalier du 4 mai
1889. Dans l'armée territoriale du 15 octobre 1899.
44° régiment territorial. — Basse, chef
de bataillon ; 40 ans de services, 3 campagnes, 2 blessures. Chevalier du 24 juin
1886. Dans l'armée territoriale du 13 octobre 1900.
399 régiment d'artillerie. — Duault, chef
d'escadron de réserve ; 40 ans de services, 2 campagnes. Chevalier du 8 octobre 1889. Dans la réserve du 21 juillet
1900.
Etat-major particulier. — Lavigne,chef
d'escadron de réserve à l'état-major de
l'artillerie du 20e corps d'armée ; 42 ans
de services, 1 campagne. Chevalier du 8
juillet 1889. Dans la réserve du 25 décembre 1899.
(Le commandant Lavigme, nommé officier de la Légion d'honneur, habite depuis
longtemps Nancy. Il -a pris sa retraite
avant d'avoir atteint la limite d'âge. On
sait qu'il a été candidat au conseil municipal de Naincy lors des dernières élections,
sur la liste radicaje.)
*•*
Sont nommés chevaliers, au même titice :
Service des chemins de fer et des étapes. — Thiénard, chef de bataillon territoiial dans la 0e région ; 35 ans de services. Dans l'armée territoriale du 6 iuin
1880.
Jabiot.chef de bataillon territorial dansi
la 6° région ; 34 ans de services. Dans l'armée territoriale du 27 octobre 1879.
Moireau, lieutenant territorial dans la
G3 région ; 31 ans de services, 8 campagnes. Dans l'armée territoriale du 4 marsi
1896.
42° régiment territorial. — Lambert des,
Cilleuls, capitaine ; 38 ans de services. 1
campagne. Dans l'armée territoriale du
21 janvier 1876.
46° régiment territorial. — Petit, capitaine ; 3 8ans de services, 1 campagne.
Dans l'armée territoriale du 18 juillet;
1876.
Service des chemins de fer et des étapes. — Genay, capitaine territorial dans,
la 20e région ; 38 ans de services. Dans la
réserve ou l'armée territoriale du 16 marsi
1871.
Les nouveaux mouvements en Macédoine1
SALONIQUE. — Les nouvelles qui parviennent de la région de Resnya et Okhrida
***
montrent les révoltés parfaitement accueilNous avons relevé avec plaisir parmi less
lis par les villageois musulmans.
nominations de la grande chancellerie de.
Les chefs de ce mouvement se procla- la Légion d'honneur.au grade de chevalier,i
ment « membres du pouvoir exécutif du celle de notre concitoyen le docteur Bou-i
comité macédonien de progrès et d'union cher (Henry-Marie), médecin-major de 2*•
de la réorganisation intérieure ». Leur ue- classe, en retraite, 24 ans de services, 5;
vise est ILulli muserum youlcsil ; ce qui campagnes (Algérie, Tonkin),retraité pourr
veut dire : Il faut détruire tout ce qui est infirmités contractées dans le service.
— M. Lambert des Cilleuls, nommé chedéfectueux.
valier de la Légion d'honneur, est né à
Le major Envev bej , dont la disparition
a été signalée il y a une quinzaine de Bourbonne-les-Bains, le 12 janvier 1851.
Il est bien connu à Nancy où il est secréjours, se trouve dans la région de Kultaire de la Faculté de médecine et <ic■
kuch,vilayet de Salonique.il a réussi à réunir 300 mécontents et les dirige vers Res- l'Ecole de pharmacie.
Il est également président de la Companya.
gnie lorraine des médaillés militaires.
A Tickvech, aussi vilayet de Salonique,
— La décoration comme chevalier de la1
le capitaine Mustafa effendi a déserté
Légion d'heameur de M. Ferdinand Geavec 150 soldats ; il se dirige aussi vers
nay, architecte, sera particulièrement ap
Resnya.
prouvée, car M. Getnay a reçu la médaihc
Par ordre supérieur, 16 bataillons de la
'
12" division des rédifs de 1" classe doi- militaire pour faits de puerre en 1870.
Le nouveau décoré est né à Nancy, le 13j
vent quitter Smyrne pour Salonique, afin
novembre 1846.)
de coopérer à la poursuite des révoltés.
D'après des renseignement officieux, les
Albanais des régions de Katchanik, PrichRég. de Toul-Nancy-A. Courtaux, sertina et Prizrend se sont réunis à Venzovitch. Ils ont décidé de se rendre en masse gent de réserve ; 21 ans de services, 9 cam^
à Uskub, pour soumettre au vali (gouver- pagnes. Dans la réserve du 15 octobre
'
neur) leurs griefs contre les nouveaux im- 1902.
Rég. de Neufchâteau. Vaché, adjudant
pôts, l'immixtion des étrangers dans l'administration intérieure de la Turquie. Us de réserve ; 22 ans de services, 8 campa-'
demandent une Constitution et le renvoi gnes. Dans la réserve du- 20 janvier 1903.
41° réç. territorial. Noël, caporal ; 22 ans■
de tous les étrangers employés en Turde services, 8 campagnes. Dans l'armée,
quie.
II existe une grande surexcitation parmi territoriale du 27 septembre 1902.
— Bruch, soldat ; 29 ans de services, 15,
les officiers de la garnison d'Usbuk.
campagnes. Dans l'armée territoriale dui
TéK'Kt'ttmiiU' commercial
23 avril 1902.
(Bourse, du commerce)
43° rég. territorial. Geiglé, sergent ; 22!
Chiffres fournis par la maison Roger follackel Ci?
ans de services, 11 campagnes. Dans l'arParis, 18juillet. !2b. 87 soir.
mée territoriale du 10 août 1901.
COURANT JUIL.-AOUT
44° rég. territorial. Naudin, adjudant; 23I
Avoines (100 kil.)
18 30
17 20
ans de services, 10 campagnes. Dans l'arElss (100 kh.t
22 80
23 15
mée territoriale du 1» juillet 1902.
Farines (100 kil.)
20 60
30 25
45° rég. territorial. Charve, sergent ; 21
Lia
54 25
53 87
Huiles (100 kil.)
81 ..
81 50
ans de services, 9 campagnes.Dans l'armée
Alcool (l'heclol.)
47..
89'62
territoriale du 25 février 1902. 1
Sucres
31 ..
29 12
47° rég. territorial. Chauchefoin, sergent;
23 ans de services, 11 campagnes. Dans
BOURSE: I>K I'AICIS
l'armée territoriale du 29 septembre 1902.
Prpra. conrs Dwn. tours
20° légion. — Génof, gendarme territolia 18 juil. du 18j«H.
riaj ; 23 ans de iservices, 11 campagnes.
liente 3 0(0
06 ..
06 10
Dans l'armée teirritori'ale du 29 décembre
Actions Lyon
ISS* ..
1355 ..
1900.
Métropolitain
483 50
483 ..
Groupe territorial tdu 6' bataillon d'arltio Tmto
1625 ..
1031 ..
tillerie. — Rouche, adjudant ; 24 ans de
Sosnowice
1677 ..
1677 .
Extérieure 4 0|0
9G 35
96 85 services. Dans 1'aamée territoriale du 20
Husse consolidé 4 0(0 ...
8/ 70
87 80 avril 1900.
De Beers
260 50
268 ..
■— Galloy, sergent à ta 1C° compagnie
Kami Mines.
1P4 ..
155 50 l des chasseurs forestiers. Brigadier doma1
Biiansk
28'3 50
2&Z 'o I| rua! à Bar-le-Duc. Dans l'armée territo,
Médaille militaire
Baromètre
Thermomètre
Minima
Maxima
741
+15
H- 14
+22
740
740
-f 22 -f- 20
Dépêche météorologique
756 Nice. 762 Biarrilz. Dépresston Belgique, Provence.
Probable d'entre Nord et Ouest, pluie,
temps frais.
LA JOURNEE A NANCY
Dimanche 19 juillet. — 201' jour
de l'année.
Aujourd'hui : saint Vincent de Paul.
Demain : suinte Marguerite.
-«
Ephémérides lorraines : En 1807, mort
de Mgr de Champorcïn, derniei évêque de
Toul, inhumé dans le cimetière de Gagny,
près de Meaux.
Galeries Poirel : Salon de Nancy.
A dix heures.— Pépinière : Cohférenco
horticole de M. Thirion.
A dix heures. — Hôtel de l'Eurnpe «
Réunion des Engagés volontaires de 1870.
A deux heures. — Première journée des
courses à Jarville.
A deux heures et demie.—- Fête nautique
sur la Meurthe.
A deux heures et demie.— Grande représentation de « Notre-Dame de Lourdes »,
au théâtre de la Passion.
A trois heures. — Musique militaire au
Parc Saint-Marie (26«).
A cinq heures.— Faubourg Saint-Pierre ï
Retour des courses.
De huit heures à neuf heures et demie.-»
Musique militaire à la Pépinière (69«).
A netre Salle
L'accident du ballon ne pouvait nïanquer d'inspiTer nos peintrej humoristes.
Un artiste qui a un fort joli coup do
crayon, mais aussi une modestie extrême
puisqu'il entend ne pas être nommé, a
fort spirituellement dessiné tnn « Amour >f
à qui l'accident a valu des jambes de
bois, et un groupe de curieux qui cherchent vainement ce numéro inédit dans
leur programme.
— Un autre artiste, dont on a pu déjà
a^orécier la valeur, M. Gaillard, nous
adresse une fort piquante pochade inspirée par le voyage de M. Fallières en Russie. La Triplice en fait le« frais et sa cui>bute sur la planche de l'équilibre mondiale
est rendue d'uaie façon très amusante.
Nous venons de placer ces différents
dessins dans notre Sali* des dépêches.
*
**
Nous avons en même temps affiché les
derniers numéros du « Monde illustré »,
de 'a « Vio au grand air », de 1' « Assiette
au beurre », du « Sourire », de la « Mode
illustrée », une belle photographie du bal- '
Ion « Condor », accroché au Granid-Hôt?'
(cliché Dufey), enfin une collection de l"
photographies prises le 14 iuillet à Nanc^
(la revue, la fête des fleuns, le Stade lorrain, clichés de la maison â«s Magasine
Réunis).
Le ncuveau théâtr»
Le maire de la Ville de Nancy a l'honneur d'informer les habitants que, nar déiibération du 16 janvier 1908, le conseil municipal a demandé que le projet de reconstruction du théâtre municipo; ur l'emplacement de l'ancien Evêché et de toutes ses
dépendances, soit déclaré d'utilité publique.
Ce projet sera déposé au secrétariat de
la mairie, pendant quinze jours, du mercredi 22 juillet au mercredi 5 août 1908,
inclus, pour être comuniqué, de huit heures du matin à midi et de une heure et demie à cinq heures du soir, aux personnes
qui en feront la demande.
A l'expiration de ce délai, M. Schertzer,
ancien conseiller municipal, désigné par
M. le préfet pour remplir les fonctions de
commissaire-enquêteur, recevra, dans une
salle de la mairie de Nancy, pendant trois
jours consécutifs, les 6, 7 et 8 août 1908. do
une heure à cinq heures du soir.lesdéclarations qui pourront être laites sur l'utilité
du projet soumis à l'enquête.
Ordre des avocats
L'ordre des avocats a procédé samedi ;'i
l'élection de son bâtonnier et des membre ;
du comité de l'ordre.
M0 Henri Mengin a été élu bâtonnier.
Ont été élus membres du conseil :
Mc" de Nicéville, Moreau, Paquv, Renard, Xardel, Grillon, Blum, Gutton.
Me Grillon etst le seul membre nouveau
du conseil. Il a été élu en remplacement
de Me Larcher père, démissionnaire. L'ordre des avocats a ainsi rendu hommage
à la longue et honorable carrière de W"
G-raîori. Ajoutons que M* Gutton et M0
Mem.£ki, l'ancien et le nouveau bâtonnier,
ont prononcé l'éloge de M" Larcher qui
quitte le baireau dont il était le respecté
doyen.
Le géiîéral Bslfmirtor
Le nouveau général commandant la 21"
brigade, général Balfourier, a été autrefois capitaine d'état-major a Nancy, à la
118 division, que commandait alors, le général de Boisdenemets.
Beaucoup de nos concitoyens se la rapj>eilovont bien certainement.
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loin; ses \êtcmcnts, d. lui \oia 1
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Première
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thèse. — Contribution à l'étude ! Vi
Vinicius, a M. Ilonnoquin, à Pixeréceuri ; , rée
ré- Ounnt ».. In machine, elle eut l'a roue il
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''l'IH, chef, .M.iiff
des produits do condensation des éthers Voltigeur,
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aviti détériorée.
^* T '«??\ qu
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à M. Thiéry, h Vitrey.
av
rmi os! à l'audience, veut ab
31
Le peic,
.^y mfHU, goi, (Us dans une
ox
oxaliques avec les aminés tertiaires et seJuments ]K)ulinifcrcs suitées. — i ' prix, I
l'n gramme du dimanche l'j u . Iv
Arrestation d'un voleur
' ''Het
condaires en présence de chlorure d'alumi- 100
10 fr., Fanny, à M. Peignier, à Houdel- I
solument 9 corrcc;tid»l mais comme do ,;3 ncu'ro3 a 4 heures ' •
co:
Samedi
matin, Jean Zell, âgé de 16 ans, maison
m
k
mi
1. Allegro (Allier) ;Y MSH-M.
minium.
m
*. e m c n t s 'ont fournis sur Ici,
mont
; 2° p., 100 fr., Mascotte, à M. DeC
rue du Haut-de-Chôvre, a éié j,(,
la
iDeuxième thèse. — Proposition donnée latte,
à Ciémery ; 3e p., 90 fr., Dormeuse, demeurant
"el
f Marier) ; 3. SélccUon 6„r >
1
l'acquitte, «t dit qu'il sera i\- (Y
comme l'auteur soupçonné du vol btribunaj
i(,
h
à M. Pérot, à jarville ; V p.. 90 fr., Gri- arrêté
"f1
pa la Faculté.
par
,„w)
;
4.
Deniers
frissons
v
?î'
»
8M'
<.
mandoline, commis vendredi, dans mis
1,,
f
u ses paicmo.
^ suivre.)
pt
Jury : MM. Millier, président. ; Guyot, selle,
se
à M. Qtienette, à Vandières ; 5e p., d'une
d'i
(Mille) ; o. L'Africaine, gr;'
i
'' (ïr,
v)v
t
au préjudice d'un chanteur
I:,
'3
fr., Fanchette, au même • Ge p 80 fr., l'après-midi,
' a
Wnhl,
examinateurs,
80
(Meycrbeer)
;
6.
A
In
Ca
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,!',
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;u :
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ambulant,
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trouvant
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poste
de
P,
0
e
iU1
i wi Ain: nr V cuv^i-a us
V, Pv), « ■
Pélagie, à M. Bastion, à Rémérévill» • 7
Faculté de droit
Ve
*
Do ni que imulcni. Enfin, le transfert do
,i„ f» juillet h!0S „,,..,. ,„
p.,; 70 fr., Bichettc, à M. Blanc ; 8» p., 70 Vcla'ne.
e
T„
2
examen
de
doctorat
(sciences
politi}
Renversée par un cycliste
1' « Ogro«e » ù Ma réville est effeolué. De- ques). — Admis : MM. Mégnin, Adrie.l j,i'r.,
1
Bo.rgèrc, à M. Guillaume, à Lcnonle- mli'.'U'i s, de b heures à 0 |.„ a*M £ .1 1
L
ox,
puis plu MU:': semaines, on l'annonce si 't
court ; 9° p., 60 fr., Poulette, à M. Heiinc:Samedi, à 8 h. 20 du soir, Mme veuve
soir.
'
res d; 1 mi
Voroonstré.
1-(
wien, qu'en no savait plus au Juste s'il Legrar.dj
quin,
à Pixcrécourt ; 10" ]>., 60 fr., Po u- Burtin.
Bt
e examen de doctorat (sci&rtces politiâgée de 50 ans, demeurant rue
?
f
^ Le Sémillant, allegro (najiKi
™ | ,\e
V
'
litait dans le domaine du passé ou dams ques). •— Admis : MM. Florentin Legrand, vi
poule, à M. Mayson, à Vilic-en-Vermois ; je
Jpnnne-d'Arc, descendait la rue Gambetta.
de Trèfle, l'a nt.tM,uig,-.u.n M Dta, I ji.
celui de l'avenir. Mais Ja réalité c?t là, 'll
6
11*
p.,
50
fr.,
Poupoule,
à
M.
Poinsigncn,
A
l'angle
de
la
place
Stanislas,
elle
fut
renri
rie, vaKe (Bida.me) ; Emira l'a'nt ■
I
Cugnin.
V
DIXU'.ME ARTICLE
•et samedi m:iUn, sous un vilain ci'el gris, Roy,
«• Capacité
ve
par M. Joseph Rocoroni; 28 ans, de(
en droit (2° examen), nouveau à,
îfc BuisS'Dn.court ; 12° p., 50 fr., Bergère, à versée
fudié)
: La -Jolie Berrichonne \. i'i"'s'e (l ' i r
'nous avons vu, ('e nos yeux vu, ;ï la gare régime.
J
M.
Blanck
;
13°
p.,
40
fr.,
Javclotts,
à
M.
meurant
mi
rue
Ville-Vieille,
qui
passait
à
bi— Admis : MM. Noirel, Jolïroj, *
Ce que c'est qu'un drapeau (Lam
ftîl <lf
AQUARELLES, PASTELS, DESSINS
Ci
10
vie Nancy, dêbarqueï Jeanne Wéber, ame- Lnfontaine,
Dalatte, à Ciémery ; 14° p., 30 fr., Lucy, à cyclette.
cy
t |
, .
Dronot,
Bouquet,
Lagoss\
L;
Le c-hof 'dn f'"'' 'i le)
née de Saint-Mihiel dans la compagnie
(SUITE)
Dans celte chute, Mme Burtm fut bleslPr examen de baccalauréat, l" partie. M. Chotton, à Ecuelle ; 15* p., 30 fr., 'CaButiov '»rî. I !
sé^ à la hanche droite. Elle fut transporsée
-- Admis : MM. André, Boldour-Epurea- mille, à M. Guillaume, à Lenoncoûrt.
Ld maître J. Geoffroy, dont chacun conté* à la pharmacie Monal, puis à l'hôpital
no, Roliett, Trœsch, Séraflmoff, Masson, _ Flots- de rubans. — Charlotte, à M. tôi
EnEX-CiSKMA, rue Bénit
B*11
naît le talent si finement, si aimablement
Gœtzmann, au Champ-lc-Boeuf : Mignonne, civil.
p
Là on constata qu'elle n'avait au- n;
c
Leroy, Richard.
Y
soir
sc
17
s.mi.di
soi,,
di
^ngj^;
gare. Et bientôt cè tout petit groupe pro- Cachet,
Ci e
observateur,
de peintre d'enfants, est rc1B et
cune fracture.
,
o!
Cn
2 examen de baccalauréat, 1™ par.io.— à M. Gérard, à Ormes ; Normande, à M. eu
voque la euviosde.
Eulriet, à Lupcourt ; Rigolette, à M. RouAprès avoir reçu dos soins empresses, présenté,
j,,
au Salon, par deux gravures Cen
J matinée et en soirée, c,linu;,,one lï 1 H
Admis
:
MM.
Chapuis,
Théophile
Gl.ige,
Le bruit se répand de l'arrivée de 1' » O- »
repn-.-eiitalions ciiiû,i-,i, ,' «W i
à Armaucourt.
M
Mme Burtin pin regagner son domicile.
originales
en couleur : La viche miracu- fgrandes
\
Schwemiingei, Dussaux, Flise, Aubry lien. gieux,
8
0)
'•''iplii. i ■
grosse ».
I Poultcft.es de H ans. — Primes de eonscrProcès-verbal a été dressé contre Roco- leusc (321 bis) et Le Lavabo (322), études ques.
ry,
Leitienne,
Bourguignon,
Dagonei,
RoI
Aussi, loi', qu'à i heures 57 exactement, n
I vation.
1
— 100 fr., Marquise, à M. Gérard, ro
roni, qui s'était enfui mais qui avait été prises sur le vif, c'est-à-dire sur de petits
be-rt
Pol,
Glugc
René,
Àubrun.
Y
le train de Commercy entiv en gare, voici B>
rue Hérô par deux agents attirés V]
à Ormes ; Franceline, à M. Pérot, à Jarvil- arrêté
ai
n ii XIS S AIX < E c î \ |5 v
Licence, lr° partie, nouveau régime. — II f
élèves des écoles primaires, et par un 7'orune centaine de personnes qui s.e piécipipr les cris des personnes poursuivant le éi
liue tlu Ruisseau, 79
•
Admis : MM. Hanus, Sépulchre, Chenal I îc
»c ; Marianne, à M. Marsal, à SornévilTc ; par
trait,
à
l'aquarelle
de
Mlle
....
(321),
si
détout pou'i la voir.
*
de 80 fr., Flore, à M. Gœtzmann ; Sou- fuyard.
fu
111
do Regnauld de Lanney de Bfcsy, I pr.
P.
Samedis
et
Dim
inclics,
à
8
hoi
Un modeste service tfwur- . M orga- Grapto
u
licatement
lavé
qu'on
ne
sait
si
c'est
seuI g
ris, à M. Quenettc,' à Vandières ; Suzanne, ,
Chute mortelle d'une fillette
H
Lorber, Eagneris, Marchand, Galion. 'l*s
nisé.
lement
la couleur qui est transparente ou soirées cinématographiques d«
I à M. Marsal ; pr. de 60 fr., Souriquette, à
La
jeune
Marie
Kaimès.âgée
de
17
mois,
le
orchestre. Sauteries par Uitci-m-e' 1
b
Le brigadier Claude et quatre agents
Faculté des lettres
R!
M. Bottolin, à pulnoy ; Comète, à M. Ber- qui est tombée vendredi soir du 2* éiage si
si ce n'est pas encore l'âme de la jeune grand
font là pour empêcher la foule en minian
nardin, à Xeuittcy ; pr. de 50 fr., Lina-II, de
T la maison où habitent ses parents, rue tille.
On été admis :
'
ti
ture de manifester, le cas échéant, mais
à M. Boltelin ; Sarah, à M. Gérard, à Or- 21
Baccalauréat, 2° partie, philosophie. — a
j Station climalêriûue n 1 ^
M. Abel Truchet, avec un faire moelleux,
Charles-Ill,
17, est morte à l'hôpital, où
elle est calme.
.
M
I
ni9s
;
Comtesse,
à
M.
Esch,
à
devant
;
,
MM. Souriau, Zeller, Bousquet, Collignon, n
.
t lires a louer avec '„ai,iil-1 f,
laisse
glisser une Femme en bateau (456) ; 595
(1
elle avait été transportée.
h
Seules, quelques, femmes ont le v usage p
Caresse,
à
M.
Guillaume,
à
Lenoncoûrt
;
Padieu. Chanzy, Defforgcs, Déguin, Cou- C
crispé et déclarent qu'on aurait bien dû sin, Dupond, Bonetto, Manger, Mage, Le- I Joyeuse,
eau-forte en couleurs d'un impressionnisj
Menus faits
01
à M. Gérard, à Ormes ; Légère, à
J
étrangler net la « tueuse d'enfants ».
°*
me
agréable.
M."
Hogard, ù Lupcourt ; Fleur, à M. Gœ'tzneutre.
Abinal,
Regnaud,
Maillard,
Mat-V
Samedi,
à
10
heures
du
soir,
une
jeune
P
vcrs(:s.Gr;indin;uiCff(lj"S(|t'
d
Celle-ci descend d'un wagon de 3° classe chai, Bautheney, Germain, Minet, Louis II mann.
f(,
Les effets d'opposition, nettement dén
v
vaux de huis. T^nC.'.b
femme
passait
rue
Stanislas,
lorsqu'elle
v
er compagnie d'un brigadier de genda'r>
to
coupés, plaisent dans là Maison alsacienGuy. Meyeur, Huraux, Heuraux, Ij Flots de rubans.— Poulette, à M. Perrin, tomba
sur la chaussée en proie a une crise n
merle et de deux gendarmes. Jeanne Wé- Claude,
y,u
jJ à
éi
Après avoir reçu quelques j?
de Dumast,
| Lancuvclotte ; Polka, à M. Bernardin, à épilcptique.
ne à Colmar (407), eau-forte originale de é
ber a l'aspect absolument quelconque ; Guerrier
I| Xcuilley.
^
soins
à la pharmacie Ruttinger, elle put M.
j, Albrecht Ohl. M. Albert Koerrtgé, de "
s
Faculté des sciences
elle est vêtue de noir et porte autour de la
Orchestre si/mpltoirique DimnnehK, ,7?!"™
! Pouliches de deux ans. — Primes de 100 re
regagner
son domicile en voiture.
y
R
Strasbourg,
et aussi suivant le procédé si
tête un fichu également noir.
Ont été admis :
ffrancs, Mascotte, à M. Chatton, à Ecuelle;
Vl.i
AZAH l> «ÎTI5 ouvert ions Jf'
artistique
de la gravure à l'cau-forte, nous .
On la dirige prestement vers la cour des
Baccalauréat, enseignement secondaire, II ,prime de 80 fr., Blanquette, à M. François, M
loiin
Marché
aux
bestiaux
du
18
juillet
1908
a
colis postaux, en passant sur le côté du 2>
2° partie, 2e série.— MM. Moreau, Laheur- |à Rouves ; primes de 70 fr., Mattchich, à
un Panorama du vieux quartier
22 porcs, de 82 à 92, les 50 kilos, poids envoie
j(371), d'un
te,
A <:niîI>lT. - Le Crédit Lorrain »
t
bâtiment.
t< Menuel, Thirion, Hûymann,Lallomant, lM.
intérêt qui, à Nancy, peut aller
?
Chatton ; Mirette, à M. François ; ni
mort.
0
de Belfort, Nancy, vend par abumV1
On fait monter Jeanne Wéber dans le Laurent,
L
Servét, Laveine, Bohin, Lambert II primes de 60 fi., Suzanne, à M. Bastion,
jusqu'à
l'émotion.
Marchéaux
foiirfîigcs
j
1
même prix qu'au comptant d^"
fiacre n» 159 (précisons). Elle sa place dans ç
Fernand, Lacour, Dombray, Morhange.
JI à
| Réméréville ; Charlotte, à M. Eulriet, à
A Metz, M. Alfred Pellon compose de 1au
Samedi 18 juillet
le fond, entre les deux gendarmes. Le briprincipaux magasins de Nancy la .JCi
Soutenance de thèse
I
I, Lupcourt
;.Rêveuse, à M. Moine, à Martrès curieux dessins coloriés : American
x !i( ; liv0 ( {( l v<) Vt efl ;illCOsn
gadier s'assied en face •et, au trot, l'a voi"'' ' ' - ' '
rdema,iJ !
E
. Foin vieux, 18 voilures, 42 ..à 55..; tbar (112) et Vieux pompier messin (111). gc^ |' ' '
M. Raymond Bataille, fils de l'ancien I themont ; pr. de 50 fr., Grisetto, à M. Moi- foin
nouveau, 4 voilures, 31 .. à 39 ..; b
ç
ture se"dirige vers l'asile de Marêvi.lîo.
r<
ne,
à
Lalœuf
;
Bichotto,
à
M.
Lhuillier,
à
maire
et'
conseiller
d'arrondissement
de
1
\
Jeanne Wéber paraît tout à fait indif- n
pas la formule moderne de l'art
paille,
14 voitures, 30 .. à 3150 ; luzerne, N'est-ce
r
1
AVIS MOItTLAIUlî
|
jManoncouH-en-Vcrinois ; Etoile, à M. I..
îéren'te ; de temps en temps, un sourire H
t a roué, a soutenu récemment, et avec suc- II He'nnequiri,
voitures, .. .; trèfle, . voilure, ...
1
ancien,
ingénu et satirique de l'imagier, si
0
à
Pixcrécourt
•.
Ardennaise,
à
cès
sa
thèse
pour
le
doctorat
en
médecine,
1
J
béat erre sur sa face ronde ; elle a l'air c
populaire
jadis
en
Lorraine
?
Marché «le la Uotomlo
1
devant la Faculté de Nancy.
i M. Eulriet ; Mirza, à M. Lhuillier ; Gri- i
absente, en un mot.
'
s
à M. Eulriet, à Lupcourt.
L'exposition de M. Geisler.tant parmi les B Vous C-los prié 'l'assister aux convoi f I
Samedi 18 juillet
Le jury d'examen était présidé par M. fe, I sette,
Elle jette un regard morne sur le paysaffl I ro, M-iV!-:.- et i-!itcu-fti;cut do
'j t
i
Flots
de
rubans.
—
Guêpe,
à
M.
Pafloz,
aquarelles
que
dans
le
vestibule
de
la
gaprofesseur
Herrgott.
Blé, 21 à 21 50 ; farine, V. S. C., S9 50 à 30; s
ge et bientôt <la porte de fer de l'asile de [
!
Art-sur-Meurthe ; Mamzelle, à M. 011- f.raiine Tomblàlne, 29 .. à .. .. disponible, lerie
Le nouveau docteur avait pris pour su-. I1 à
Sud, est très importante. Us sont
!
Maréville se referme sur 1' « Ogresse ».
.
I
vicr,
à
Moulins
;
Castille,
à
M.
François,
de thèse : Les Manifestations grippa- '
.. .. livrable; seigle, 1.6 50 à ..;orge,.. ..; 1merveilleux les procédés de reproduction
Il ne nous a pas paru utile de donner jet
j!e3 dans
I
à
Rouves
;
Mérelli,
à
M.
Chatton
;
Marà
les suites de couches
avoine vieille, ...nouvelle, 1850 à.. ; fève- cemployés par l'imprimerie artistique des I Née Aure-Louise-Sli-phanic-Oli;.i VEUDIEft
■
le portrait de cette vulgaire criminelle ■
1
à M. Bastien, à Réméréville ; Gau- [-rôles, 17 .. à .colza, .. ..; son, 14.
M. le docteur Bataille et M jeune fa-. I quise,
(Chalciles, près de Raon-l'Etape (559 à 580). |
créture, somme toute peu intéressante.
décéilOc a Custines, le 17 juiliut 1008.
•
J
loise,
à
M.
Pérot,
à
Brichambe.au.
sont allés définitivement s'installer j 1
à l'à»c de G'.t ans,
Ce portrait a d'ailleurs traîné dans tousi mille
\
Kïm-t'hé-t'oiivei't.
Tantôt ce sont des dessins anciens (Soirée y
1
j
fl
manie des sacicmeuti de l'Egliso.
les journaux de Paris au moment de *>:s tà Evian-!es-Bains, en Savoie.
Petite plainte à la Compagnie de S'Est
Mercuriale du 18 juillet
xmusicale à Metz) qui revivent ainsi pour
Le 14 juillet des « fagots »
arrestations.
I
Un de nos lecteurs nous signale l'état
Bœuf, 1 20 à 2 .. ; veau, 1 80 à 2 GO ; <des publications de luxe ; tantôt le monde H De la part de ses enfants cl petils entants
On raconte l'anecdote suivante :
véritablement misérable dans lacmel se• moulon,
r
1 60 à 2 60 ; lard sec, 1 80 à 2 40 ; des
théâtres, pimpant, fugitif, et si popu- ■ Un premier service aura lieu à Cusliue»
(
Les élèves de première année de l'Ecole' I itrouvait un compartiment où il était mon1
• 1 lard
frais, 1 20 à 1 80 ; grillade. 1 80 à 2 40 ; laire,
•
voit son image multipliée par les re- ■ (Moui llic-ct-Mosellc), le dimanche l'j juillet
Dans l'avenue de Boufflers. — Une
<des eaux et forêts de Nancy, vulgo fagots,■ I -té dimanche soir.
t
beurre,
2 60 à 3 40 ; œufs, 1 .. à 1 40 ; poin- ,
■ à 11 heures (tu malin.
sont en tournée, ces jours-ci, dans le Jura1 jI Ce lecteur revenait de Montmédy, où il1 rmes de terre, ... à . ..; nouvelles, 8 à vues à fort tirage ; tantôt, avec de fraî- m Un second service aura lieu i la Galhéréponse municipale
ches
teintes
d'aquarelles,
les
affiches
des
et
les
Faucilles.
drale, à 4 heures lpj de l'après-midi.
1 avait assisté au banquet présidé paV le mi-- 113 les 100 kil.
Nous avons récemment publié une letPour la journée du 14 juillet, le directeur J
Fromages. — Camembert en boîle, de Compagnies de chemins de fer groupent
tre de propriétaires des rues Verlaine,[ de l'Ecole avait prévu un repos qui devait* I| nistre du travail. Il pleuvait à torrents ett
Prière de n'envoyer ni fleurs ni cousites agréables en d'harmonieuses com- H ronnes.
( 70 à 0 80. — Goulommiers, . .., ange- des
«
Gridel, Bobillot et Cronstadt, enviant le; avoir lieu à Auxonne, mais, en cours d'ex-t jI l'eau passait à travers les plafonds dis-- 0
sort da leurs voisins de la rue de Santi-• cursion, est arrivé, de Paris, un ordre su-- II joints des wagons, à tel point que — cei 1lot, 1 20 la pièce. — Brie, de 2 40 à 3 .., ]positions décoratives. C'est l'art de tous les M II m •cru 1>« «
. ' ■ } ë Ile
- sont ses propres termes — « nous dûmesi colmar,
c
et de tous les milieux : l'art de la H «le Taire iiat-t, le pi-cscut
de I 80 à 2 .., munster, de 2 40 à instants
j
fontaine et de l'avenue de Boufflers, qui
«vis en
|
.
périeur
prescrivant
de
faire
le
14
ce
qui
deouvrir
nos
parapluies
».
5
2
60,
roquefort,
de
4
..
à
.
..,
gruyère,
•
vie,
par
excellence.
— disaient-ils — étaient particulièrement j
H li-n;in( lien.
vait
être
fait
le
15.
I
La
Compagnie
tiendra
certainement
à
c
1
de
2
80
à
3
40;
Port-Salut,
2
80;
Pont-l'EDe son côté, à Nancy, notre Pays lorrain
favorisés sous le rapport de l'eau.
La Fête nationale, pour ces jeunes gens,, Ij honneur de réparer ces wagons, ou, s'ils3 vëque,
1
1 20 le kilo.
,(586) expose, en deux grands panneaux,
Or, nous avons reçu la visite de proprié-' comporta
donc
le
programme
suivant
:
I
ne
sont
pas
réparables,
de
les
remplacer
r
Volailles. — Poulets de pays, de 3 50 à
taires de l'avenue de Boufflers, qui nous ' De huit heures du matin à midi, trans- I par d'autres qui permettent aux occupants3 ;5 .., de Bresse, de 5 .. â 8 .., canards, les originaux de ses culs de lampe, lettres
ItEMURClUAlUXTS
ont affirmé qu'il n'en était rien et, à l'ap-\ port
'
en
chemin
de
fer
d'Auxonne
à
AilleI
de
braver
une
averse
autrement
qu'avec
]
- Nantais, de 5 .. à 5 50; Rouonnais, G 50 à ornées, en-tête de chapitres, dus aux
pui de leurs assortions, ils nous ont comcrayons
de
MM.
Gruber,
Hcstaux,
des
Ro1
villers
;
j! un parapluie.
7 .. : pigeons, de 1 .. à 1 50; pintades, de
Madame veuve Paul LANSELLE. «ée
muniqué une réponse adressée par M.j
L'après-midi, excursion de quinze kilo- I
Les misères à soulager
'4 50 à 5 .. la pièce. — Dindes, 1 20, oies, :bert, Bergé, Recouvreur, Camille Gau-■ g ePEP.1EI! : les familles LANSEU.li. PEU1EP,
l'adjoint Michaut, à une pétition avant mètres
en forêt entre Aillevillers et Bains ; I
thier, ainsi que les beaux hors-textes qui1 I ' PlEPiSON remercient smcérementles peipour effet d'obtenir que les concessions
' I
L'Est républicain a eu souvent recours3 2' 40, lapins, 2 .. le kilo.
Conférence sur la sylviculture 1
ont contribué à rendre celte revue régio- H sonnes qui ont bien voulu leur témoigner
d'eau de Moselle alimentant les immeu1 à la charité de ses lecteurs, surtout penm leur sympathie a l'occasion du décès de
Exposition concours du Photo-Club
nale particulièrement attrayante.
bles de l'avenue de Boufflers, soient desI dant la mauvaise saison où les misères
(7, place Saint-Jean)
servies par le réservoir de Beauregard.
j sont particulièrement nombreuses et pôLe portrait au fusain de M. Weiller par
Dans sa réponse, M. Michaut dit qu'il1
A la suite du véritable succès remporté» JI nibles à supporter. Quand le soleil, en efson fils est d'une frappante ressemblance. M
Du 18 juillet
Employé 'te banque
|
n'est pas possible de donner satisfactioni par notre jeune Société de photographie,, I] fet est de retour, il ramène le travail et laJ
Naissances
aux intéressés « car le prix de revient dee nous croyons devoir inviter nos lecteurss I santé, et diminue, en tous cas, le nombre
VI. — SOULPTURE, OBJETS D'ART
François-Julien-René Boulard, rue Bailn l'eau refoulée dans le réservoir de Beau-- à y voir en plus les merveilleux échantil-- I des malheureux.
La sculpture, en un espace aussi réduit,
« regard est trop élevé pour que la villee Ions de plaques en couleur, dus aux sa-- jI Cependant, on nous signale encore plu-r 1Iy. 15. — Robert-Lucien Limousin, rue
I«K ME ni :i E.111<: x i s
ne peut avoir elle-même que des dimen2i.
!
d doive favoriser le développement de la
i vants travaux de MM. Lumière et vulga-. I sieurs infortunes. Nous n'en retiendronss Isabey,
sions modestes : rien du monument pourr B La famille de feue
j que deux, car, renseignements pris à bon« consommation. Or, le moindre précé-•■- risés par la célèbre usine de Lyon.
ii dent pourrait nous entraîner fort loin.
Ce procédé encore inconnu du grand nu-. I ne source, comme nous le faisons chaquee
Eugène-François Bercand, 68 ans, com- place publique, de jolies pièces pour sel« Le conseil municipal a d'ailleurs dé-f blic, ett un nouveau succès de l'art nho- I fois que l'on nous demande de faire appel•l jmissaire aux inhumations, décoré de la lettes, voire pour étagères ou vitrines —
« cidé la création d'un nouveau réser-- tographique. C'est à voir aujourd'hui"di- à ia bourse de nos lecteurs, il semble quee ;médaille militaire, rue du Ruisseau, 51. véritables bibelots.
Née Marguerite WEILLER
î
« voir dont la pression sera supérieuree manche, de 9 heures à midi, et de 1 heureQ I l'on ait une trop grande propension à con->- — Marc-Antoine Lorue, 14 jours, rue de:
C'est jourquoi la Jeanne d'Arc de M. B adresse ses sincères remerciemenls i tontes
■
« de 30 mètres à celle du réservoir Saint-;- à 6 heures ; lundi, de 2 heures à 5 heu-. JI sidérer l'Esî républicain comme une sortee Thionville,
13.
Cari, l'un des envois les plus remarqués de2 M les personnes qui lui ont témoigné leur symj< de succursale du bureau de bienfaisance,
•< Charles, et qui desservira la zone danss rés ; clôture.
Publications de mariages
ce Salon (471), n'est exécutée qu'en demi-I ■ patliic a l'occasion du décès de leur sœar,
I alors que nous ne pouvons intervenir que^
« laquelle se trouvent vos propriétés. »
Marie-Henri-André de Boissonneau de1 grandeur nature. Le sculpteur a fort bien^ ■ bellc-soiur, lauto et parenie.
I dans des cas d'extrême nécessité.
Ainsi s'exprime M. Michaut ; il ajoutee
Brn««erle-Itesi«ui-ant ï^«>f>«
'.
Chcvigny,
lieutenant d'infanterie colonia-• rendu à notre avis le double caractère de
j
Des
deux
cas
que
nous
avons
retenus
auj
u'il lui semble probable que la nouvellee Gbampigneutles. — Salon de famille.s>
I jourd'hui, l'un ne nous païaît pas pouvoirr le, domicilié rue de Rigny, 10, et Annette- l'enfant prédestinée. Sa Jeanne d'Arc est
.' „:bution fonctionnera avant deux
Ecole professionnelle de l'Est
I être classé dans la catégorie qui mérite unti Elise-Marie Husson, sans profession, do-' une petite paysanne lorraine ; on retrouve
j
appel à la charité publique. Il s'agit d'unee mieiliée à Paris, rue Saint-Simon, 3. — en elle les traits caractéristiques de la raLa
distribution
solennelle
des
prix
aux
j
x
Avis municipal
,t I famille D..., qui nous est signalée par unn Justin-Emile Chagrin, ferblantier, domiélèves
de
l'Ecole
professionnede
de
l'Est
Le maire de la ville de Nancy a l'hon-f" aura lieu samedi prochain, 25 juillet, à la I épiciér-buraliste de la rue Sainte-Anne.
cilié à Pont-à-Mouson (Meurthe-et-Mo-. ce, et néanmoins, à la marche en avant de
a
neur d'informer les habitants que, par déselle),
et Marie-Emma Redelsperger, cui-. tout le corps, au regard inspiré — sanss
,
.
Nous
avouons
que
la
famille
en
cause
e
'
■
'
salle
Poiroi,
à
neuf
heures
et
demie
du
max
libération des G mars et 8 mai 1908. laa tin.
mérite toutes les sympathies. Il y a là qua- sinière, domiciliée à Pont-à-Mousson, pré-. exagération emphatique — l'on pressentt Scène scandaleuse à Saint-Nicolas de Port
commission administrative de la Maisonn
I. tre jeunes enfants, avec un père maladee cédemment à Billancourt (Seine), et an-- l'héroïne. L'épée large qu'elle tient en saa
Cette cérémonie sera préside e par M.
M. Henrion, âgé de 5G ans., demeurant
des orphelines a voté :
i. I et. une mère en ce moment blessée elle-mê-t térieurement à Nancy. — Pierre-Augustei main droite serait bien lourde si, d'ins- rue du Haut-du-Mont, à Saint-Nicolas, i I
Nérot, inspecteur principal à la Compa1° L'échange, sans soulte ni retour,'• gnie des chemins de fer de l'Esc.
s
Collin,
journalier,
rue
du
Montet,
123
bis,
! me à la main, mais elle touche déjà divers
1
tinct, l'enfant n'avait trouvé, en rejetant l'habitude, ainsi que les membres de safa< '
d'une, parcelle de terrain, d'une contenansecours, s'élevant à 25 francs par mois et;t et Alice-Blanche Fock, ouvrière en confec-• le bras gauche en arrière, l'équilibre quiiit mille,
5_
N<!bninatîons ccclésîastifjues
une fois leur journée de travail terce de 9 ares 70 centiares, que cet établis|
lions,
mémo
adresse.
—
Louis
Albiser,
reçoit toute l'année le pain des vieillards.
sement possède à Vroncourt, contre unee
Par décision épiscopaie, a été nommé : I Il faut songer d'abord à ceux qui man-I garçon de restaurant, rue du Pont-Mou-; fait de cette statuette quelque chose à laa minée et le repas pris, de prendre le fi'M
sur le pas de la porte d'entrée de la nus
autre parcelle de 23 ares 50 centiares, siiCuré-doyen do Longwy, M. l'abbé Roija, 11. et Marie-Amôlie-Loïsa Deville, mê-\ fois de touchant et d'harmonieux.
'- II quent absolument de tout.
M. Alfred Finot expose un buste de jeu-t. son qu'Us habitent.
tuée à Eorcelles-Saint-Gorgon, et apparr- lin, précédemment curé de Pierrepont.
II
me* adresse.
Et tel est le cas d'une autre famille, la
a
Cela n'a sûrement pas le don de plaire »
tenant à M. Albert Debard ;
ne femme, au modelé énergique et calmee
8t I famille Loubry-Robba, dont le père, arEchos tîe la bataiîîe des fleurs du 14 juillet
La vente à M. Colin, à raison de 50 fr.
(476), type de beauté régulière au charme M.Vauden.âgé de 50 ans.tlemeuraut dans *
.
I
liste-forain,
est
décédé
subitement
à
Poml
On nous informe qu'en outre du prix I
par mètre carré, d'une parcelle de terr
empreint de douceur et de sévérité. Avecc même maison, car, pour que la 'fam*
n II
'e
janvier dernier, laissant uneS
. d'honneur décerné au Cycliste lorrain, en
Henrion ne puisse se mettre assis sur U
rain, d'une contenance de 238 mètres carr
>s I veuve avec 7 enfants, dont l'aînée a 11 ans.
la
physionomie, intelligente et vigoureusee pierre, il arrosa celle-ci avec du pétrole,
j_
tant
que
groupe
d'ensemble,
les
membres
1>K XAA( Y
rés 09 décime!i-es carrés, située rue JeanL'un des enfants est mort quelques semai-£
de
M.
le
docteur
Gross,
M.
Finot
a
su
faire
n
dont
les
noms
suivent
ont,
obtenu
chacun
e
M. Henrion avant reproché son acte »
ne-d'Arc.
_ nés après le père, il en reste, donc 6, qui
s| un prix individuel, savoir : MM. A. Simo0
g
Ivrogne irascible. — Joseph Dognon, 39j une œuvre d'art qui soit en même tempss son irascible voisin, celui-ci prit mal l»
Los dossiers de ces affaires seront dé-,
(,
sont
actuellement
avec
leur
mère
dans
une
chose et les invectives commencèrent a
posés au bureau des actes de la mairie,l ' nin, A. Gouët, Bernard, Caillère, Georges,f misérable roulotto sur les terrains vagues ans, journalier à Brin, entra le 5 juillet, pleine de vie et de vérité,
,f E. Gouét, SteckeJ.
La comédienne de Pompéï de M. Césarr pleuvoir de part et d'autre. Les paroles n*
pondant hitit jours, du 19 au 26 juillet
étant ivre, dans un café de la localité ett
du
boulevard
Charles-V,
dépourvus
de
touMlle Suzanne Adam, une gentille fillette
19Ô8, inclus, pour être communiqués aux
tes ressources. Le cheval de la roulotte a" se mit à tout casser, tables, bouteilles,, Coribelli (474), type plutôt germaniquee suffisant pas, les deux antagonistes en vinà croquer, n'a pas non plus été oubliée.
'. verres, etc., puis sortit.
personnes qui en feront la demande.
qu'italien, point ses marques. (La statuette rent aux mains, et c'est à coups de p"»'?
ta
La décoration des bicyclettes et de la I été vendu, et le véhicule lui-même, dont•
Le garde-champêtre
voulut lui faire; elle-même est polychromée.)
de poing qu'ils essayèrent de vider leur <w
A. l'expiration de ce délai; M. Schcrtzer,
I
l'avant-train
est
cassé,
ne
permet
pas
le
dévoiturette
était
due
en
grande
partie
au
u
férend.
ancien conseiller municipal, désigné par
j ménagement que la police demande, et qui des remontrances, mais Dognon l'insulta>
L'Alsacienne (488) de Mme Lauth-B6sf1 dévouement de filme Reynier et au talent
1
3
M. le préfet pour remplir les fonctions dee de M. Barioyer, horticulteur.
Les épouses et les enfants des deux*
ne s'est pas effectué encore de force, grâce' puis se livra à un tapage nocturne en« sert est un plâtre à l'expressjon rêveuse,"
\ versaires se mident de la partie et ce 1» 5
commissaire-enquêteur, recevra dans une
I à l'aménité du commissaire du canton, M.S règle. — 16 fr. d'amende pour outrages >; finement idéalisée. M. Loiseau-Rousseau"
salle de la mairie, le mercredi 29 juillet
.„ I
I Liénard, qu'on ne saurait trop louer en la' 5 fr. pour ivresse ; 11 fr. pour tapage et" pétrit, en terre ouite patinée, un buste flo-u alors une mêlée générale.
11 fr. pour dommage à la propriété d'au1908, de 1 heure à 5 heures du soir, les
)Les femmes s'arrachèrent le chipt'™ ' .
h)
! circonstance.
'
Le
premier
concours
de
chevaux
de
I
trui.
rentin
(Béatrice,
489)
d'un
stvle
excellent.
déclarations qui pourront être faites ret. vociférant l'une contre l'autre les inp" 1
I Une dame charitable, émue de tant d'inrQ
Un gas solide. — Le 11 juillet, Garland1
lativement aux projets soumis à l'en-' liait, organisé par le Syndicat d'élevage
Un peu rude, le buste d'homme Darîjuu les plus grossières.
,.... I
Le I fortune, a voulu placer les amés des endu cheval de trait de l'arrondissement do
quête.
!" Albert, 31 ans, scieur de long à Nancv. sea — que l'on devine fort ressemblant — de
.e
M. Henrion, qui, cnlre temps, s'éuun^ l
j, II fants, mais la pauvre mère, par un sentiNancy, a eu lieu, comme il avait été anRue du Montet
nient bien naturel, n'a pas pu se résoudree battait rue d'Algérie ,avec un ouvrier.Sur-- M. Gaston Broquet (470). L'intensité de mé d'un cendrier, en frappa M- Vaiiuei 1
noncé, samedi, à huit heures du matin,
1>
vint l'agent Muller, qui les pria de ne nass mouvement, l'expansion joyeuse de la vie
* la tête, lui faisant une blessure clou
'là
s'en séparer.
La Compagnie du gaz fait creuser en ce COIMIS Léopotd.
\
c
continuer.
sang s'échappa en abondance.La laite "
.
I
A
notre
avis,
il
serait
très
utile
do
faire
moment rue du Montet, de la rue Jeannefont
le
prix
de
la
statuette
de
M.
ValineDisons tout d'abord qu'il a été très reI
e
Garland
se
sauva
dans
une
maison
et
»■
fin, mais les grossièretés les plus im»"
.
I
réparer
la
roulotte
et
de
permettre
à
cette
d'Arc à la rue du Sergent-Blandan, des
es marquable, très intéressant et qu'il a larJ
Hekkinp (Joueuse de tennis, 505V Prompr
fl s'adressant à l'agent, lui dit : « Viensbï titude,
V «es continuaient à être débitées a««s * |
fouilles de 1 m. 20 de profondeur pour y gement répondu aux efforts de ses dévoués
;s famille de continrtor ses pérégrinations et
justesse et acuité de la vision se
- donc ici gros fainéant, si tu n'es pas un
ie deux camps, au grand plaisir des |W» j
installer des conduites de 200 millim. en
ui organisateurs.
; de gagner ainsi sa vie.
remarquent dans son buste en plàtvlâche ».
"i
breux spectateurs et surtout des *Vm^
plus do celles de 00 millim. qui se trouvent
.
On
nous
répondra
que
ce
sont
là
des
nt
150 animaux de toute beauté étaient exJ
s
L'agent qui n'avait pas froid aux yeux, {Sauvageon, 506).
ces
attirés par les cris que l'on enterw
actuellement dans cette rue.
forains
et
qu'on
a
assez
d'autres
misères
posés, tant étalons et juments poulinières
s
33
alla trouver Garland, mais celui-ci lui'
Mlle Marie Gallancl expose doux com1. çle très loin, lesquelles excitaient par «
Les conduites de 60 millim. n'étaient
nt suitées qu<e pouliches de trois et de doux
s
1X 1 de Nancy à soulager, mais ces' forains nous
\ sauta au collet. — 20 jours de prison et 55 positions originales : un Vieux chemineau lazzis les adversaires en jupon u rej»
plus assez grosses pour'amener suffisamn- ans.
rendent depuis longtemps visite à la foire
u
~ fr. d'amende.
. ,. t>i
(478) aux traits affaissés et las et une fem- dre les hostilités.
ment de gaz dans cette partie de la rue du
. de mai, et ils ont, pour ainsi dire, conquis
iu
Et sous
grands arbres de la promeLS
c
Respect
au
garde.
—
Charles
Martin,
Ce n'est que très tard dans .la soirée m
1 |
Montet.
le droit de cite.
, me du peuple, d'âge incertain, dont la
nade, le spectacle était pittoresque de
,01î. I
Dans ce quartier, c'est la fièrve de la toute cette belle cavalerie évoluant aux
ix
Aussi, si quelques-uns de nos lecteurs manœuvre à Frouard, répondit au gardee douleur résignée, concentrée et muette» cette scène prit fin.
qui lui faisait des observations, qu'il resUne enquête est ouverte par M- le
construction. On compte près de la rue
veulent bien nous apporter leur obole dans
io ordres du jury.
13
pectait son képi, mais qu'il ne respectaitï méritait mieux que l'inutile et prétentieu1missaire
de police.
r I
Joanne-d'Arc quatre maisons en voie d'aaM. le général Langlois; sénateur, qui,i, ce but, nous y joindrons la nôtre volon- pas l'homme. — 25 fr. d'amende.
se légende : La plèbe inédite sur les exiiCette affaire aura son dénouement, !n0U
chèvement, près de la rue Saint-Charles
è- tiers.
es ainsi qu'on le sait, s'intéresse partiçulièc
genecs
croissantes
de
ceux
qui
parlaient
Injures
à
garde.
—
M.
Pfeigel,
garde)( les uns, qui auront à répondre «e "ir
trois ou quatre aussi et enfin, près de la
la remei.tt à la question du cheval de trait si
'}
Tombée dans un jet d'eau
champêtre de la commune de Chaouilley, d'égalité (477). Ne croyez-vous pas qu'une
,e et blessures, en police correctionnel^
brasserie Wagner, un groupe de six.
importante pour notre armée, a visité
1- rencontra Mme Lentz Eugénie, 45 ans,, des principales beautés du Pensieroso les autres en simple police.
Une femme, très robuste, ma foi, demeuPour mener à bien le travail de la pose
se longuement le concours et s'en est montré.
l0
,r ménagère, et iui fit des reproches lui di-.( provient de ce que nous ignorons, précisérant rue Saint-Nicolas, venait de laver
des conduites, une équipé de trente ouu- fort satisfait.
iDombaslo
,. 0>
te sant que si sa fille passait encore sur soni ment, la chose à quoi il pense ?
du linge. Aussitôt cet ouvrage fini, elle le
vriers travaillent sans relâche du matin au
Nous apprenons avec plaisir qua'Va"c*
,
tovdit,
puis,
comme
elle
a
la
jouissance
,
terrain
avec
ses
vaches,
il
lui
dresserait
soir, et déjà plus de cent mètres de connc
. sion de la fête nationale, la médaille » .
Voici la liste des récompenses pour le
t
D'un ciseau adroit et délicat, Mme Gerr
un procès-verbal.
d'un grand jardin où se trouvent un roduites sont posés et la tranchée est rebou3.
u- concours des chevaux de trait :
maine Gauthier-Massier sculpta 2 menuss taire a été remise à M. Carré, gcnçiai» ^
chée.
.
cher
'et
une
pièce
d'eau,
situés
en
plein
n
Mme
Lentz,
à
qui
le
garde
dans
le
temps
Etalons. — Primes de déplacement.— AiDombaslo, pour blessures en service
k
Midi, elle résolut d'aller l'étendrci à cet
D'ici une semaine au plus tard, tout se1b avait fait la cour, et qu'elle avait re-« chefs-d'œuvre : Distraction, une espiègle
IC"
le mandé.
„
A'l°n, à M. Guillaume, à Lcnoncourt ; Bar-.
petite
écolière
alignant
des
«
cocotes
»
en
"
endroit;
pour
le
faire
récher
plus
vite..
ra fini, et les habitants anciens ou noupoussé,
se
crût
tout
permis,
et
comme
le
ll
e
" num, à M. Abraham, à
Pierreville ;
n
Le
gendarme
Carré
a
reçu
une
;
Montée
sur
le
rocher,
elle
étendit
les
garde lui montrait sa plaque, elle lui ditt papier, et le Portrait de Mlle T G Mt. revolver clans un bras lors de la glC1' de
veaux de ce quartier auront le gaz à vo;s
°" Bayard, à M. Rougieux, à Armaucourt ;
lonté.
is qu'il pouvait se la mettre au bas du dosh («M en marbre rose aux reflets aftenBijou, à M. Départs, à Le Ménil-Mitry ;; brnis pour suspendre • une chemise, mais
. — Mme Lentz, récolte 10 fr. d'amende. tés. — L. M.
■ i- Neuves-Maisons.
Libéralité?
r
Brillant, à M. Michel, à Pierreville ; Bos-• fut prise d'une syncope et 'omba en arEtat civil de Pont-à-MoussO/J y|
rière
dnnrla
pièco
où
heureuscjnent
il
n'y
Entre
cousins.
—
Le
5
juillet,
les
époux
K
—:
„
v
0.
quet, à M. Petitcolas, à Houdreville ; CanNaissances. — Robert-Gaston »"Wr
A l'occasion du mariage de sa fille. M.
n
'
avait
pas
beaucoup
d'eau,
car
elle
aurait
i't
Hammer,
qui
revenaient
de
la
pêche
se
mann. — Madeleine-lIenriettc-Lou^e
es npval, à M. Bastion, à Réméréville ; ChamHenry, professeur à l'Ecole nationale des
'
put se noyor.
mirent à table, devant la porte du débit
n- pagne, à M. Blanck, à Gérardcourt ; Cha~ net. — Georges-André Tribouillois.
„
eaux et forêts, a remis à M. l'adjoint Fran^"
Dans
sa.
chute,
lapauvre
femmo
se
;e
Bagard,
à
Custtnes.
Peu
après
passa
Des, ton, à M. Nicole, à Benney ; Cognac, à M.
çois une somme do cent cinquante francs,
r
Publications de mariages. — ^«t I
T
blessa
assez
grièvement
au
bras
gauche:
nis
Charles,
34
ans,
ouvrier
d'usine,
nui
Bottelin, à Pulfioy ; Faraud, à M. Chatà répartir de. la manière suivante :
3 Alphonse Assier, soldat au 21" colon'y,is.
espère que les b&ess&fes n'auront pas
ts cst le cousin d'Hammer et qui lui deman100 fiança au bureau de bienfaisance,
e, ion, à Ecu'elle ; Favori, à M. François, V
à doOn
- Marie Arnou.ld, ouvrière en laque.— ' jjj, ;
u
suites graves,
da
si
c'était
vrai
que
sa
femme
avait
teEply ; Gamin, à M. Pallez, à Art-sur-Meurr50 francs à la Société des crèches.
Alexis Taillefer, garçon d fcafé, «»
nu des mauvais propos sur son compte
Accident cic bicyeïâtle
the ; Grenadier, à M. Marchai, à Seirie Desprès, ouvrière d'usine. T
Faculté des scicrîeeo
puis il se mit à le gifler,
69= D'INFANTEIUE, S.-chef M. DESSOLE
champs ; Luisant, à M.Michei, à Nein-iller:
E Ol'Hgier, ouvrier d'usine, et Louise*
r;
Samedi, vers trois heures de l'aprèssHammer
voulut
«
revenger
»
sa
femme
Doctoral ^Université
Mont-Dore, à M. Jeanmnirc, à Lenoncourt;
t; midi, un cycliste, âgé d'environ 25 ans,
du dimanche 19 i i l Balat, journalière. — Henri-Georges ..1^
s, et celle-ci, en venant à son secours reçut']
Le jeudi 23 juillet, à dix heures du maa- Mouton, à M. François, à Roiives; Mouton,
ouvrier en laque, et Marie Fnes, m^,
n, descendait fnuboiu'g Saint-Joan, près de
t l'Mb de 8 heures à 9 heures 1 du soiruil ct
te
un
coup
de
piod
dans
le
bas-ventre
—
Detin, clans la salle de mathématiques, M.
1L à M. Frédéric Petitcolas, à Houdreville ; la gare, quand tout k coup, sur' le rail
Décès. — Marie Gnsse, 55 ans *,
1. Marche cosaque (Parés) ; 2 La FP»O
ll
nis
16
fr.
d'amende.
Louis-Gaston Marcotte,, ingénieur chimiss- Mouton, à M. Marchai, à Sornéville ; Revo" Guerquin. — René-Aimé Rœbechi ■J
0- mouillé par le* car arroseur, sa machine
te
Précoce
voleur.
—
Charles-René
Cdlin,
te, licencié ès-sciences, soutiendra, en vue
ie d'Or, à M. Delattc, à Ciémery : Sphynx. à dérapa et il tomba sur la chaussée,
i
i- — Jean-Baptiste Oarnois, 58 a-l13„-',i(i, '
14 ans, corconnicr à Nancv, partit 80 baidu doctorat d'Université, les thèses suivand nalier. — Andrée-Suzanne Rc»»'is \
n- M. Hanriot, à Port-sur-Seille ; Tout-de-Mède b
f'Dalts sa chute, IL eut d'es égratignures
m gnor avec un camarade nommé Geoffroy■ «as&ï
) a-netr;e• mois. — Jeanne-Marie Brocard, 0 PâjM
!1 me, à M. Gœtzmann. au Champ-le-Bœuf : sur le nez et une partie do sa vtstt^déchites •
b 8:>en
i
'Pendant que re dernier était dans l'eau , )f (Waldteuffcl).
'
*
*s. valse — JuQes-Joseph Balland, 45 ans, l°u
lier. — Robert-Léon Bach, 7 mois.
C'était un officier très brillant et tics
distingué. •
11 & fait partie plus laid du cabinet du
ministre, sous le ministère Krantz.
Le général tffflfourier esc d'ailleurs,
croyons rWu.. lo
Li-uu-Irèro de
M.
Krantz.
,*M|I *' I .
Jeaiîi WaSîcr (l'Oyresse) à Riarèvîlle
LE ^ * —
'C
I
1
fS i ,
1
J*
GRANDE BRASSERIE VIGN»
j
j
Madame veuve Jules SâUQlfi
H
g
H
i
ETAT CIVIL DE NANCY
Monsieur Paul LANSELLE
1 Wailame Veuve Emile
: Mcurllic&Mosclle
j
Concours
TRIBUNAL CORRECTIONNELj
chevaux da trait
I
|jj
R « ff
' Broîipemant commercial de Tout
fine affluence nombreuse et choisie de
f
mprcants avait répondu à la convoca**°
«ni avait été adressée en vue de la
L*i0nstitution de l'Association.
[prennent place au bureau : MM. Pignot
Aident ; Ney.. vice-président ; Armand
m nb secrétaire ; Créange, trésorier ; CouaC
l
't|éSorier-adjoint, do 'la rédération
1
j ^ commerçants de Nancy, spécialement
I
L
['"plusieurs allocutions ont été prononcées
I 1 ujj Cordier, de Toul ; Pignot et Ney,
Nancy ; Bernheim, de Toul.
A notre vif regret, la place nous fait dé!
nour reproduire ces allocutions. Dif
t
\ »\ seulement (pie le principe do l'utilité
groupement a été établi a l'unanimité
r nie lés statuts se sont trouvés approu\ ts du fait même de la signature des adhô-
"î
I
K°
f
U a été ensuite procédé au vote au scruSecret pour les 12 membres du conseil
InréJus par les statuts.
fin été élus, MM. Aubry, meunier aux
*rands-Mmilina à Toul ; Arthur Bernheim,
Karehand de. grains à Toul ; Blocq, banr • Bordct Henri, entrepreneur ; Colin,
F
. BCu>,-jardiri!crc; Cordier. commiss-"»
[
vins ; Dellajugoma, bière et chauffage;
lcnn0,s 'camionneur ; Greincr, pharmaI • n •' Îeandel-Briquet, ancien négociant ;
| Morizot, boucher ; Vaudeville, épicier en
l
i
ro
8 ^ rgSultats proclamés, ces messieurs
ipcïirent s';vjourner à huit jours pour l élection de leur bureau.
**
Nous sommes heureux de souhaiter aveir et prospérité au nouveau groupement.
Marché de Toul du 17 juillet
nie 20 50 ; seigle, 15 ; maïs, 10 ; avoine,
If, 50 1 foi". 8 : Pail|e» 4 i son, 14 50 ;
[ Ôain, 0 40 ; farine, 31.
Marché nul.
|
n
LA BRASSERIE 0E CHAMPIGNEULLES
,, fabrication avec du MALT D'ORGE
<> it H0UBL0H et de la LEVURE Mclushcnicnt.
r
l
»
i
[
Artillerie de réserve
M Henri Castara, maire -de Lunêville,
t nommé capitaine et affecté à la direces
tion de T oui»
Brley
La distribution des prix aux'élevés dics
écoles communales aura lieu le 3 août, n
3 heures du soir, sous la présidence de
M. George, prttoureuT de la Répubtique.
Toujours les vols au pays de Brisy
En arrivant à son chantier, service des
laminoirs, le contre-maître Courtecuisse,
s'aperçut que dos voleurs 6'étaient introduits dans son bureau en brisant un carreau de la fenêtre donnant sur l'atelier.
Dans le tiroir, non fermé à dlef, on a volé un palmers, un pied à coulisse et différents objets d'une valeur totale die 100
francs.
Une armoire placée au fond de la .pièce
avait été ouverte avec la pointe d'une lime. Le bureau die M. Courtrecuisse se
trouve dans la cour de l'usine de la Marine, à Homécou'rt.
**
*
. -
Antoine Miani, maçon à Landres, pension Collin, se couche à 9 heures du soir,
en même temps que son camarade Defifcore. Ils ne remarquent rien d'anormal.
Naturellement, ils ne ferment pas leiur
porte à clef.
Au réveil, Miani s'aperçut que ses effets ont été volés pendant la nuit, il les
cherche et les trouve dans un champ, à
50. mètres de là, mais une gomme de 64
francs qui se trouvait dans la poche de
son gilet a disparu.
"■
Pendant queZouzwuJ^tMarclîesi dorment dans une chambre de la pension
Colombo, à Landres, .un voleur entre,
s'empare da la valise de leur camarade
' Jean Picinelli, qui travaille de nuit, et
. soit tranquillement.
A son retour, vers minuit, PicineKli
constate le vol. Avec ses camarades, il
fait des recherches et retrouve sa valise
là 20 mètres, dans un pré.
Le malfaiteur a emporté plusieurs effets valant 100 fr. .
.
Le nouveau commandant d'armée
de Lortgwy
Le commandant Auguste Vehling. qui
vient d'être nommé lieutenant-colonel au
162e régiment d'infanterie et commandant
d'armes à Longwy, est originaire de Wissembourg et le fils de l'ancien médecin
cantonal Vehling, de cette ville.
Le colonctl Vehling nasse à juste tître
pour un des meilleurs écrivains militaires
français. Il écrit sons le pseudonyme P.
de Pardiellian. Ses deux ouvrages, « Récits militaires d'Alsace » et « Récits nationaux d'Alsace », ont été couronnés par
l'Académie française.
Commencement de grève?
Jeudi soir, à 5 hennés, 10 charretiers
employés aux mines de Micheville, à Landres, ayant subi une diminution de salaires, quittèrent aussitôt le travail.
Cinq de leurs collègues, bien que n'étant pas diminués, se joignirent à eux
Par esprit de solidarité.
Vendredi matin, à 6 heures, 15 antres
charretiers refusèrent, 'eux aussi, de travailler.
immédiatement, le* 30 chômeurs furent
\ «glês et remplacés par des manœuvres,
| occupés au four.
Vendredi soir, la situation était très
I calme, les autres ouvriers ne semblaient
P»s disposés à suivre le mouvement.
Feuilleton de VBRT UF.PUBl ICA1N
A?" 57.
p fisûiïijs u Seno
Par
. I seph
OuisG STINE et ROGER-ffliLÈS
! oien
> par exemple !... is'écria Jo-
■I
Vous nnnce ! Vou''. restiez sur votre siège!
nous suivre aussi I
— T n ::t.
•S'?Z in<'i descendre, balbutia GeOTteirei,»'"'n?. v<)ix P!us qu'altérée, car une
-1 oLindicible l'envahissait.
le mcInA p isonne «e bouge ! j'arrête tout
!'■,!,
ajoutn rm iront sur un ton si
. ï eussitvn ■ cxcl«ait toute velléité de disI
immédiate.
'I
r
XLI
,
L'aveu
' r ' Wd?e7lain' vers deux heures de l'ae
',-. .• ' Père Sourire après avoir paslo e
o de la concierge de Paul
"te pour ne pas être remarqué,
ra (
le
Pi tement les premières mar:
rt
' Bri
er <1
' lir,n,,'r'r> lorsqu'il faillit se
^WaitanS' ' oinnre contre Lise, qui
^ssait 'Atnon noins émue qu'il ne paLn
* JP
,* ï
.
I
len
'i
^Piocho 0ïl"e'mort n'eu' pas un mot
., ,' >,as mène une expression de
-ci rie £ v'te de sa fille a^optive ; et
'• ror le ••*)-n f)aV;a>la:»e étonnée de
Courtes nouvelles
Adrien Veticoz, marcaire chez un cultivateur
de Lesménils, ne vit pas en parfaite
J
1
intelligence
avec Michel Klein
berger
communal.
S'étant rencontrés, ils s'adresJ
■sèrent des injures et Klein porta plusieurs
c
coups
de houlette è Veticoz, lequel, assez
8grièvement blessé, a porté plainte.
— La gendarmerie de Frouard a arrêté
J
Joseph Supper, manœuvre, sans domicHe
fixe, qui, dans la nuit de vendredi à safmedi, a été surpris sciant des arbres sur
1
la
route, afin d'alimenter un foyer près
1duquel il se chauffait.
— Procès-verbal a été dressé contre Joseph
Mathis, terrassier, et Joseph Desch*
er, fondeur, qui ont été surpris péchant à
la
' main dans une réserve de la Meurthe
u Saint-Nicolas.
à
, --Mme Bouxirot, propriétaire à Richardménil, a constaté que depuis
quelques
Jjour» plusieurs poules lui avaient été soustraites.
Les soupçons se portent sur une habitante
de la commune.
1
--- M. Charles Dostert, jardinier, en sortant
d'un cabaret, à été frappé de plusieurs
'
coups do poing par François Moigat rai1nuisier à Tomblaine ; Charles Colson, matçon, et la femme Goudon, contre lesquels
procès-verbal
a été dressé.
'
— Mme Alfred Berg, ménagère à Tom|blaine, a porté plainte à la gendarmerie
contre uno voisine qui lui aurait déchiré
une certaine quantité de linge étendu dans
1
le
jardin.
— Un inconnu a dérobé quatre poules
dans l'écurie do M. Adrian, salinier à Ein'ville.
— Procès-verbal a été dressêcontre Jules
(
Neuville
et Jean Strutz, domestiques de
,
culture,
qui ont brisé plusieurs objets mobiliers
estimés 25 fr., chez M. Arnould, déI
bitant
à Champenoux.
I
— Un pièce de monnaie trouvée sur la
1
voie publique a été déposée au commissariat de police, où la personne qui l'a perdue
pourra la réclamer .
<
— En allant aux champs, M. Aubry AnaI
tole,
de Grosrouvres, constatait que l'on
s'était introduit dans une maison lui ap\partenant et située isolément sur la route
i
ont
été enlevés dans ce. local. M. Aubry,
IdSpartementarë. Des outils de menuiserie
dans sa plainte, prétend que des chemTneaux sont, les auteurs de ce vol.
— M. Richardin Paul, ouvrier d'usine,
,à Kong, a porté plainte contre des jeunes gens de cette localité. Il prétend que
vers dix heures du soir, ces habitants ont
lancé dos pierres dans la porte de son lo
gement et l'ont brisée. Le préjudice'cause
est évalué à 00 fr.
J
Schmitt, mineur à Hussigny, rêve, entrée
de son maître de pension, Ferdinand Jaminet, qui lui aillonge quelques gifles.
——————*
r
•' •
'% S*i
V-'-M
0^
Tribunal correctionnel d'Epinal. — Au
auc'ncô du 17 juillet. — Présidence de M.
Lcjeune, président. — Deux mois do pria tous ceux qui sont atteints d'une maladie son avec sursis au nommé Hubert Liondo la peau, dartres, eczémas, boutons, dé- net, dit Md'rceau, 31 ans, pour avoir frapmangeaisons, bronchites chroniques, mala- pé un nommé Cossin, manœuvra à Golbey
dies de la poitrine, de l'estomac et de la ves- et l'avoir menacé d'un reveuver.
sie, de rhumatismes, un moyen infaillible
— La nommé Claude Journoux (14 conde se guérir promptemcnl, ainsi qu'il l'a été damnations), qni mettait en vente des
radicalement lui-même après avoir souffert marchandises telles que pantalon?, 40 pièet essayé en vain tous les remèdes préconi- ces de dentelle, du tissu de Jersey, proveses. Cette offre, dont on appréciera le but nant d'un vol qu'il avait commis à la gare
humanitaire, est la conséquence d'un vœu. do Belfort, a été condamné à huit mois de
Ecrire par lettre ou carte postale à M. VIN- prison.
CENT, 8, place Victor-Hugo, à Grenoble,
Deux mois de prison par défaut au
qui répondra gratis et franco par courrier, nommé Camille Belargent (4 condamnacl enverra les indications demandées.
tions), qui, profita,nt ùà l'absence de l'homme d'équipe René Pradel, s'est introduit
dans sa guérite ot lui a dérobé £>on déjeuner.
— Les nommés Augusite Béai, 27 ans
(8 condamnations), et Jeanne-Marie Miltereau, 23 ans (2 condamnations), fille souTentative de suicide à Etain.— Dans la mi>se, qui avaient été condamnés par dématinée, Pol-Jules Marchai, âgé de 31 ans, faut à un an et un jour de prison eft 00 fr.
domestique, était interrogé à son domicile d'amende, pour avoir brisé à .couas de
par les gendarmes, au sujet de scènes de cailloux un volet de la devanture* de la
violences qu'il aurait faites à sa femme, boulangerie Hcrry, voient leur peine ré
lui portant des coups et menaçant de la duite 4 six mois et 16 fr. d'amende.
tuer avec un revolver chargé de six car— Pour avoir frappé Mme Antoine et la
touches dont il était porteur.
fille de cette dernière, les époux Remy,ouTout à coup, il saisit précipitamment un vrier» d'usine à Darnieulles, récoltent 10
couteau de cuisine dans le tiroir de la ta- francs d'amende chacun.
ble près do laquelle il se trouvait et s'en
— Le nommé Gaston Bianconé, garçon
porta un violent coup au côté gauche , fes de salle à Epinal, qui a porté un coup de
gendarmes, heureusement, purent faire dé- poing sur l'œil à Mllie Louise Brème, dit
vier l'arme et amortir le coup en saisis- Aïda, artiste lyrique, so voit condamner
sant le bras de Marchai, qu'ils désarmè- à 25 fr. d'amende avec susrsi3.
rent aussitôt.
— La nommée Jeanne MAÎlereau, fille
C'est, a-t-il déclaré, parce que sa femme soumise, qui avait été condamnée à six
ne veut pas reprendre la vie commune mois de prison pour avoir dérobé, au préqu'il avait voulu se suicider.
judice d'un client, un coffret renfermant
Le revolver dont il était porteur lui avait des bijoux, et qui fait appel au jugement,
été saisi.
voit sa peine confirmée.
UN M0NSIEUH ffiUgïSSaR-
Henri. Brandin, manœuvre à Longuyon,
a une discussion avec sa femme, le fils de
celle-ci, V.i<<t.or lleinric.h, 24 a.ns, s'en
mêle et pnche un tr.H au mn:ri de sa mère.
— Jean Ebe.1, garde particulier à Boismont, prétend qu'il n'a pas de chance, sa
femme est partie emportant 150 fr., et
son beau-père lui a fermé l'œil gauche
d'un coup de poing.
La femme déclare qu'elle n'a rien emporté, le beau-père nie le coup de poing
et diït qu'au, contraire, son «ondre l'a menacé d'un revolver. Imbroglio complot.
— Ivre, CétestMl Robin. d'Hatrize, veut
jouer, à l'usine de Jœuf, avec un charretier italien, nommé Mora, l'autre lui applique plusieurs coups de manche de
fouet suir la tête. Le sang coule.
— Au bal de Xonvill'3, rixe entre BetaliC'aft Victor, d'Hagnéville. B asti an Jeatn,
Paquin Aimé, et Claude Adrien, de Xonvillc, mêlée générale,
distribution de
coups, suivie de plainte.
— M. Jean-Pierre Bémer, manœuvre à
Audum-le-Boman, ennuie de ses propos,
le jeune Emile Lesire, domestique à Bazonville. Il .reçoit un coup de pni.ng.
— Pas commode, Giovanni Zamma, mineur à JeudievWle, veut pénétrer dant.i la
chambre de son maître de pension, Dossena, celui-ci s'y refuse et est bousculé,
son frère Jean reçoit un coup de poing,
sa femme un coup de bouteille dans lè
ventre. Plainte et enquête.
— Le chien de Mme Thomassin, de
Piemne, sa laisse earess-cr. on vole son
collier, qui vaut 5 fr.
— Dans la cantine Brum'er, :\ Mancieulles, Henri Eveno ot Jean Denier, «e battent, et s'égrolignent la figure
l'.veno
s'en va et Donier menace le patron d'un
couteau à cran d'arrêt.
— Le beau chion que possède Mme Gardella, à Mancieulles t M n'a pas de collier. Sa maître.ss'e a un procès.
— Un inconnu insolite le maire et le
garde champêtre de Ri an ce. puis disparaît.
— Mathias Palm, débitant à Auboué,
gille encore sa femme, nouvelle plainte— Bixe à Anoux entre M Aimé Ha-rmand et un aubergiste ; *ii tué ni blessé.
Plainte d'Harmand.
— Grande bataille à Villerupt entre
Pierre Satvani. 20 ans, et Pierre Tizà, 43
ans, coups dit» poing, de pierre, de planches, etx:. Motif règlement de compte laborieux.
— Les voleurs ne respectent rien. A la
fenêtre de M. Degoutin.sous-brigadier des
douanes, à LonglaviJle, ils enlèvent un
drapeau.
— Au moment où il rentre se coucher
an café Kirpach, Hermann Guy'at, manœuvre, à Gourairîcourt est à moitié assommé par deux individus qui frappent
avec un bâton et un câble métallinue A
la suite de cette attaque, Nicolas Schmift.
26 ans, et Auguste Cl'adé, 25 ans, sont arrêtés et conduits à BrLey.
— En ne faisant pas de déclaration d'étranger, Guillaume Neubert, cordonnier â
Longlaville, a économisé 42 sons, seulement, il passera devant le tribunal.
— Sur son lit, mollement, étendu, Jean
Par les journaux, ils avaient apnris
l'un et l'autre l'arrestation de la veille et
bien que Paul et le docteur Duthiers fussent désignés seulement par les initiales
de leurs noms, il ne pouvait y avoir de
doute dans l'esprit des deux personnages.
Ils échangèrent un rapide regard et se
comprirent. Paul n'était pas „hez lui I
— As-tu interrogé le concierge ? demanda le père Sourire.
— Non 1
—• Alors, je vais le questionner, parce
qu'enfin il faut tout de même s'assurer.
— Mon père ! ne vous montrez pas !
qui sait ? laissez-moi parler seule et allez
m'attendre sur le boulevard.
Le pauvre vieux devina quelle angoisse
était dans l'esprit de la pauvre Lise.
— N'te fais pas d'bile ; je ne crois courir aucun risque, pour le moment du
moins...
Il n'eut pas le temps d'achever sa
phrase ; dans la demi-obscurité à laquelle
leurs yeux s'habituaient, une nouvelle silhouette venait d'apparaître. Un même cri
de joie leur échappa :
Paul 1
— Oui, c'est mol ! Mais, montons, mes
amis et 'rassurez-vous.
En deux mots, dans l'atelier, le peintre
loi mit au courant.
Dèsle matin, à la première
heure
Geomelle et Joseph avaient été relâchés.
Comrnent ? Paul
^V^.
soupçonner dans cet élargissement 1 intervention du policier Vdpelé
Lui, i! avait comparu vers 1Ç"J™ *j
rin mutin car devant un magistrat qui
'ava^t a "-Z longuement interrogé mais
auïïel U s'était èorné à décrirei l'incident
dàla voiture au cheval emporte.
A midi et demi seulement, sans doute, j
^TVJZ
î°
âesiteis mortels
[. «
LE BON FUMEUR
f
PLUS FUHIER \
d'autre Papjer à Cfc>*rettes S
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et
Le
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HE VEUT
NON GO
■ ^^^î| f
BOUT LUSTRÉ
2ioj-Eag
se vend exclusivement
dans les débits de tabac
FUREURS. EKIGEZ-LE PARTOUT !
.
—«f>-
- Cosrpttpi» FrasfùM d'tomrantw ut la
Entreprise privée assujettis au Contrôle de l'État
Augmentation du Revenu
I
i
Le PlfÊNiX offre les Taux tes plus aoan.to.geux.
ASSURANCES
m
CAS DE DÉCÈS ET EN CAS DE VIE
USUFRUITS
—
NUES-PROPRIÉTÉS
Siège Social : 33, Hue La Fayette, à Paria,
AQKnTS
G£.\£iucx
DIKS loua
u$
AUHO.ID!SS&3£.-U8.
j
11. Lardenois, à Nancy.
i
L'ACTUALITÉ
POUR LOGER
les familles nombreuses
Conclusion d'un article du docteur Bertillon :
« Une société de dames bienfaisantes
a fondé la Société anonyme dea logements
à bon marché pour familles nombreuses.
Cette société possède, à Paris, deux vastes
immeubles entièrement habités, et elle
veut en construire d'autres. C'est une très
belle œuvre assurément. Malheureusement
son titre est trompeur ; elle n'est pas exclusivement réservée aux familles nombreuses.
Les opérations du classement des objets
Les actionnaires de cette société ont remobiliers présentant un intérêt artistique, noncé par leurs statuts à toucher pl'i= de
historique ou archéologique, se poursuitrois pour cent de leur capital, ce qui est
vent rapidement et méthodiquement dans
le département des Vosges. Depuis trois très modéré et très généreux, mais ils veuans, près de deux cents objets mobiliers lent les toucher, en quoi ils ont parfaiteou immeubles par destination ont été clas- ment raison, car c'est à cette condition exsés, et sont ainsi sauvés de la destruction, presse que leur œuvre, est valable et susdes atteintes des vandales. Signalons par- ceptible de grandir.
ticulièrement, l'arrondissement de NeufIls ont deux beaux immeubles dans les
château, dans lequel, à l'heure actuelle, quartiers les plus pauvres de Paris : l'un,
presque tous les produits de l'art médiéval rue du Télégraphe, tout en haut des Butdes Vosges sont connus, grâce à l'activité
de M. de Liocourt, inspecteur des forêts et tes-Chaumont ; l'autre, rue Belliard, au
membre de la commission départementale fond de Montmartre
Voici les principales caractéristiques de
des richesses d'art de la France.
Dans l'arrondissement de Remiremont, ces deux immeubles :
M. Bernard Fmton, membre de la même
Télégraphe Belliard
commission, a fait connaître et classer de
nombreux trésors artistiques et archéolo- Prix total de l'immeuble
(.errain compris)
tQO.OOO fr. 500.000 fr.
giques.
Nombro de personnes....
495
C-07
Mais un simple classement n'était vas Dont.'enfants
3i4
420
suffisant pour mettre en valeur et ren- Nombre moyen d'enfants
dre utilisables pour l'histoire de l'art ces
par logoment
4.7
4.4
très anciens monuments de l'art vosgien
Il
résulte
de
ces
chiffres
que
l'on
a dédisséminés sur notre sol. Il faut savoir
gré à MM. Homeyer et Ehret d'avoir pris pensé environ 815 francs de premier étal'initiative de présenter, sous la forme po- blissement pour loger une personne ; c'est
pulaire et maniable de cartes postales très fort peu, car, en matière de logement à
soignées, une première série de monu- bon marché, on admet le chiffre de 1,000
ments inédits. On trouvera plusieurs as- francs. Si on a pu faire plus de bien avec
pects de la belle église romane de Vomé- moins d'argent, c'est justement parce que
court-sur-Madon, moins connue et cepen- l'on n'admet que des familles avec des endant aussi digne d'intérêt que celle de
Champ-le-Duc, également reproduite. La fants. Il est clair que pour loger une favieile église souterraine d'Esté v, avec son millo de six personnes, il faut moins de
autel du douzième siècle ; l'église de Rol- dépense que pour loger deux familles de
lainville (douzième siècle) ; le portail de trois personnes.
Pompierre (douzième siècle) et les belles
Le résultat serait encore plus brillant
croix de carrefour de Rollainvilie, des si on était resté fidèle au titre de la soChênes et du Jeranceau, au Val-d'Ajol
ciété, et si on avait strictement respecté
(quinzième ét dix-septième siècles) ; le séla
règle formulée tout d'abord de n'adpulcre de Charmes (seizième siècle) ; le retablé de Dignonville (quinzième siècle), mettre que les familles de plus de trois
complètent cette première collection, éta- enfants. On ne l'a pas fait ; un tiers des
blie d'après les indications et les clichés locataires de ces deux immeubles n'ont
de M. Tillet, architecte en chef des monu- pas une famille « nombreuse ».
ments historiques,'et de M. Philippe, insL'CEuvre d'assistance par l'habitation
pecteur r 1 la Société française d'archéo- avec jardin, de Nancy, a mieux compris
logie pour le département des Vosges.
sa mission, à mon avis. Cette œuvre possède quatre immeubles d'une valeur totale
de 80,000 francs, et elle en construit un
Forestier et braconnier
cinquième en ce moment même.
Sous
Vers deux heures du matin, alors que l'influence de son président, M. L. LalM. Perrin, brigadier forestier, qui était en lement, elle n'y admet que des familles
tournée dans la forêt du Peuxv (Saint- ayant au moins cinq enfants (quatorze
Nabord), examinait des collets tendus par
familles composées de cent vingt perun braconnier, celui-ci fit soudain irruption et tomba sur M. Perrin, qu'il frappa sonnes). Toutes ces familles, quoique
exactement
sur la tête et blessa de deux coups de cou- très pauvres, paient très
teau, au front et a un bras. T.e brigadier leur loyer, condition essentielle pour que
demeura un moment assommé et quand il l'œuvre grandisse et s'étende.
reprit, ses sens, le braconnier avait disIl existe, soit en France, soit à l'étranparu. Il en a donné le signalement approxi- ger, quelques œuvres du même genre.
matif à la gendarmerie, qui enquête.
Elles sont trop rares.
I
I
*J
après constatation faite de l'exactitude de
son récit, la justice avait ordonné sa mise
en liberté.
— Et le docteur ?
— Je ne sai rien : il m'a été impossible
de lui dire un seul mot en présence des
agents, et dès l'arrivée au Dépôt, nous
avons été séparts.
•— A-t-il été relâché ?
— Je l'ignore ; je sais seulement qu'il a
vu le juge d'instruction avant moi, mais
je suppose qu'il n'a dû être relaxé, car à la
sortie, j'ai surpris ces deux mots échangés entre le garde municipal qui repartait
avec le docteur et un individu m'ayant
tout l'air d'être un agent de la sûreté :
« Transfert immédiat », a dit le municipal.
Ce* deux mots avaient évidemment trait
au docteur et me semblent indiquer que le
magistrat aurait ordonné non pas sa mise
er. liberté, mais son incarcération préventive pour une durée indéterminée.
— C'est affreux, murmura Lise.
— Oui, mais ne vous effrayez pas, reprit l'artiste ; je jurerais que le docteur ne
dira pas un mot de compromettant pour
votre cher père. Quant à sa situatioin nropre, elle s'éclaircira bien tôt ou tard et s'il
n'était point acquitté, dans tous les cas, il
ne saurait encourir une peine considérable.
En supposant qu'Armand Duthier avait
ét>> gardé à la disposition de la justice, le
juen homme ne se s'rompait point.
L'interrogatoire du docteur Duthiers n'avait pas été long.
En présence de M" Galima'rd il avait
tout d'abord pris à part lui une résolution
farouche, extrême : celle de dire touit ce
qui iss rattachait à la disparition d'e J'emfant de Lucienne, ou plutôt de l'enfant de
Matbilde, substitué comme on «ait au fils.
Les drames da la forêt
Âoefesi
martel
à ta-a^x-Sois
M. Félicien Fleurot, cultivateur, demeurant aux Trayes, conduisait une voiture
de sable, lorsqu'en se portant à la tête du
cheval, il fit un faux pas et roula sous le
véhicule, qui lui passa sur le corps. M.
Fleurot a expiré peu de temps après ce
triste accident,qui a douloureusement ému
la population.
Les coursea de ViiteL — Nous apprenons
que le comité des courses a déjà fixé aux
16, 18 et 20 juillet les dates des réunions
pour 1009.
En attendant, nous verrons venir avec
plaisii les belles épreuves du concours hippique de Vittel. qui aura lieu les 15 et 16
août prochain et qui nous ramènera une
fois de plus au milieu du pub-c élégant
de cette jolie station.
Rebeuville. — Un incendie o détruit un
hangar construit on bois, situé près du
passage à niveau et appartenant à
M.
du prince Dokeski. Que ferait-on de lui
ensuite ? peu lui importaitLa mort ? Il 1 aurait appelée comme une
délivrance, même au prix d'un supplice
infamant, comme celui de l'échafaud.
Ce qu'il voulait surtout, c'était échanner
à lui-même, à son libre arbitre, à ses penséos
Ses réponses furent donc nettes, préciSGS.
— Vous êtes bien le docteur Armand Duthiers ? fit le juge en retournant, entre ses
doigts la carte que son prisonnier lui avait
remise personnellement la veille et qu'il
avait jointe au dossier.
— Oui.
.
— Quels sont les gens qui ont été arrêtés en même temps que vous ?
— Je ne les connais pas.
— La femme qui se trouvait avec vous
dans la voiture est la femme de chambre
de la comtesse Hélène ?
— C'est possible.
— Vous étiez dans le coupé appartenant
à la comtesse et conduit par son nouveau
cocher ?
— J'ignorais ce détail.
— Et l'homme qui se trouvait assis sur
le siège à côté de-ce- cocher se nomme
Paul Laurent ; c'est un enfant naturel
abandonné qui a été recueilli et élevé par
un croque-mort, .surnommé .le père Sourire.
--»
... .
Le doc'fiur
• à ce nom mais si
faiblement que le. juge d'instruction crut
à un mouvement d'impatisnee imperceptible plutôt qu'à un émoi réel.
— Vous ne le connaissiez pas ce jeune
homme ?
..
— Non.
,» .....
— C'est vous qui. avez assassiné Luciennî Béjon X.. ..... .
Cette question improbable tombait d'une
ippiMra
————•
Les monymeits nisîorîpss des Vosges
A Saint-Germain
M. Pierre Florentin, âgé de 49 ans, carrier à Saint-Germain, a trouvé la mort
dans les circonstances suivantes : Vers 5
heures du soir, il était occupé à détacher
avec une pince un bloc de pierre ; celui-ci
se détacha inopinément et Florentin, qui
était sur le bord du rocher, perdit l'équflibre et roula au fond de la carrière, d'une
hauteur de 5 m. 50. Sa tête avait touené
une arête et il resta assommé.
'i'ransporté immédiatement à son domicile, Florentin expira vers huit heures du
soir sans avoir repris connaissance.
Cette, mort a causé une forte impressk>n;
car Florentin était un ouvrier sérieux et il
ne laisse que de bons souvenirs parmi ses
camarades.
A Spada
Un terrible accident mortel s'est produit
à Spada, à la blanchisserie militaire de
M. Henrion. M. Dodo, âgé de 42 ans, en
remettant son gilet, s'est laissé prendre
par une courroie de transmission ; il est
allé donner au plafond et est retombé sur
la tête.
Après quatre heures de souffrances, sans
avoir repris connaissance, le malheureux
ouvrier est mort malgré les soins empressés du docteur Barbier.
Dodo a succombé à une fracture du
crâne.
Verdun.— Un détachement du 145" régiment d'infanterie, stationné à Maubeuge,
est arrivé depuis quelques jours à Verdun
pour s'initier aux exercices de la nouvelle
mitrailleuse, mise en service dans là garnison.
Un caporal de ce détachement, -Sourdaux
Camille, âgé de 22 ans, a été trouvé inanimé dans les latrines du quartier Chevert,
où il était caserné.
L.e. docteur appelé n'a pu que constater
le décès, qui est dû à une congestion cérébrale.
Etat civil de Verdun. — Naissances. —
René-Marce'-Victor Jouet. — Geôrgette-Anne-Marie Godfrin.
Publications de mariages. — Joseph-Auguste Aimond, employé dp chemin de fer,
e. Jeanne Marie-Lucre Collignon. — Nicolas-Marcel I.délivre, employé d'octroi, et
Maric-Julin Hanot.— François Savoyant,
manœuvre, et Marie-.losêphrne Coince,
journalière.
Décès. — Henri-Alfred Bellegv. 3 mois.
— Charlotte-Suzanne Ineicher. 2 ans 3
mois
.....
;1f!»«•«•!}i» «!«• Vortln»!
Mevcitriale de la seni.nne
Pr ix moyen, Je quintal. — B!é nouveau,
20 75; seigle, 15 ..; orge, 17 50 ; avoine.
17 50; farines. \" qualité, 529 50; 2e qualité,
v(i 50 ; 3e qualité. 23 50; foin. 8 ..; paille, 5
..; pain blanc fantaisie, le ki'o. non taxé;
pain blanc percé, o 350; pain blanc non
percé. 0 3V5; pain bis. 275
S
Edouard Thirion, chef d'équipe à la Compagnie de l'Est. Les pertes, évaluées à 1,500
francs, sont couvertes par l'assurance.
Incendie à Saint Maurlce sur-Moselle. —
Un incendie a réduit en cendres une maison siso à la Feitfue, commune de SaintMaurice-sur-Moselle, appartenant à M.
Armand Remy, propriétaire à Fresse-surMoselle, et habitée par M. Adrien Bazin,
bûcheron.
***
Toutes les entreprises de logements à
bon marché devraient, pour commencer,
tout au moins, être exclusivement réservées aux familles nombreuses (j'entends
aux familles ayant plus de trois enfants).
Et cela pour les motifs suivants :
1° Parce que, dans l'état actuel des choses, il leur est spécialement impossible
de se loger convenablement ;
2° Parce que la dépense par tête sera
moindre que pour des familles
moins
nombreuses ; on fera donc plus de bien
pour la même somme d'argent ;
3° Enfin et surtout parce qu'elles sont
les plus intéressantes. Il importe qu'en
France on proclame, autrement qu'en
paroles, que les familles de plus de trois
enfants ont droit au respect et à la protection publics.
Dr Jacques BERTILLON, »
!
13 ans
Sanebourg, 17 juillet.
M. Baiilc't, âgé do 68 ans, cultivateur ài'
1-Iease, s'est maa-ié en secondes- noeela
Uvec uno demoiselle âgée de 18 ans.
Par suite de ce mariage, la jeune épousa
•est devenue plusieurs fois grand'mèfce,.
ho.r M. Bail'Iet a des enfantj qui sont mai'iiéfi depuis plusieurs années et ont euxliiêmeis des enfants.
Extrait de l'état civil de Metz
Naissances. — Edouard-Victor-Lucien
Modler. — Sophie-Ettisabeth Sander. —
-ouuK-aMapuoH
—
uajinps
oproM
Frenzel. —- Marie-Rosine Hugli. — IrèneCamille-Mario Guidât. — Henriette-Marguerite Keller. — Marie-Joséphine Braun.
— Raknond Klein. — Marie-Emilie Renauld. — Jeanne-Juliette Génot. — François-Marie-Antoine Cordonnier. — LucienAimé Lallement. — Jeanne-Marie-Louise
Plinert. — Stephan Morandi. — Guillaume Mertz. — Anna-Pauline Tinnes. —
— Marie-Félicité-Paulino Simon. — PaulEiigènt Bonnet. — André-Gustave» Mullor.
Mariages.— Albert Hecker, pharmacien,
cA Clémentine Alexandre,
à
Metz. —
Edouard-Joseph Bourdon, domestique, et
Marie-Catherine Guerquin,
à Metz. —■
Adrien Schmitt, ouvrier, et Louise Etienne, à Metz, r- Pierre Munch, ferblantier,
à Metz, et Madeleine Rupp, à Sarrebruek.
— Georges Ehertiardt, maçon, et Marguerite Hauck, à Metz.
Décès. — Marie-Marguerite Schneider,
née Barthélémy, 37 ans. — André Madeyr
ouvrier, 18 ans. — Madeleine Duda, née
Bailler, 58 ans. — Nicolas Omhover, ouvrier, 64 ans. — Elisabeth Schnizler, née
Hiry, 30 ane. — Marie Goers, née Nicolaï, 34 ans. — Henri Schehl, mécanicien,
18 ans. — Barbe Becht, née Stein, 87 ans.
— Henriette Pleinert, née Schulte, 44 ans.
— Paul Kuhs, peintre, 22 ans. — Jules
Pister, maçon, 38 ans.
f.OÏVTHE ILES MOUSTIQUES
Certes, vous avez tort de craindre les moustiques
Lavez-vous simplement au Savon Mikado:
Ce.i insectes méchants s'enfuiront aussitôt,
Tant ils craignent l'odeur des parfums idylliques.
Fabricant: Félix Eydoux. En vente partout.
1R1BVNA UX
LA DOULOUREUSE. — Tous les sportsmen.
connaissent la Targa Florio, cette grande
épreuve automobile courue chaque année
en Sicile.
Le nom du chevalier Florio, fondateur
de cette coursé, était prononcé hier devant la cinquième chambre du tribunal,
civil.
Et pourquoi ? Parce qu'un grnnvl cou*tuner de la placé Vendôme le poursuivait
en paiement d'une facture de 435,000 fr.
de robes fournies, en trois ans, à îa maîtresse du célèbre sportsman italien.
En trois ans, 435,000 francs de toilettes 1
M" Mille rand a appris au tribunal que
l'élégante amie du chevalier portait des
bas de deux cents francs e't des mitaines
de mille francs 1
Le tribunal a namen'é la note à 348,581
'francs que le chevalier devra payer.
—lof—
N MtaSlSîEi
flftUETE7ritEIONTRES.nl BIJOUX
«<B»
ni ORFÈVRERIE
j&Sr\
sans consulter les Tarifs envoyés .Franco, des WaZ?*M
fABRIOUESI-KISAUOKATJ.duBESANÇONlgi
Prix Ci.nGours Ùbairvatalra da Besançon.
—J(K—
— On sait que Mma
Lemoine, née Naudon, et qui sous le nom
de Mme de Rigny tint, avant son mariage; itn magasin d'antiquités à Paris, vient,
à son bénéfice, d'obtenir le divorce.
Le jugement est ainsi conçu :
« Attendu que la demanderesse a, le 28
décembre 1905, contracté mariage avec M.
Henri-Léon Lemoine, né à Trieste, lie 20
octobre 1878 ;
*
Attendu qu'il résvtfte des documents de
la cause que Lemoine a commis à l'éçrard5
de la demanid'ore&-€ l'injure la plus gl ande, en entretenant, dans le propre domicile de la demanderesse, et pour ainsi diresous sés yeux, des relations adultères avec^
des personnes de son entourage ;
Attendu que, terrorisée par son mari,
la demanderesse, dans la crainte des mres
conjonctures, a dû tout supporter jusqu'au jour de la fuite de celui-ci ;
Que la demande qu'elle a formulée au
lendemain de cette fuite est complètement
justifiée... »
LE DIVORCE LEMOINE.
Restaurant da PBTÏT VÂTEL
Hït, fin» <!«■» S>o*B»ii»i<*3iiaits
Menu du dîner à 3 francs
«Su «liiiimiclit» 4 5) Juillet
Potage Faubonne
Truite saumonée, sauce Chivry
Contrefliet rôti
Choux-fleurs sautés fines herbes
Vol-HU-venl de volaille
Caneton nouveau à la broche
Glace pistache
Fruits — Desserts
La Maison donne dcscaehels pour Déjeuners
et Diners
Restaurant à la carte et à prix fixe
Plats du jour depuis O 60
Salles réservées pour sociétés
GRANDE SALLE POUR NOCES ET BANQUETS
façon si brusque dans l'interroga-toire, elle
— Mais pourquoi ce démembrement de
était si profondément stupute pour Ar- votre victime ?
mand Dutniers qu'il eut un violent haut— Inutile d'insister, je ne parlerai plus.
le-oorps en l'entendant.
— Où avez-vous tué cette fille ; avec
L'accuser, lui, d'avoir tué et dêpécé Lu- quelle arme ?
cienne I... C'était fou 1... oui fou t
Il ne semblait cependant point insensé,
A toutes les questions pressées que lui
ce magistrat qui, les yeux rivés sur lui, adressait le magistrat, Armand opposait
s'efforçait de scruter son âme et ne perdait un si ferme silence que M. Galimard dut
pas un des tressnillements de son visage. renoncer, pour le moment du moins, à la
Comment se défendre d'une pareille sup- faire parler.
position ? Et puis, pourquoi s'en défen— Persistez-vous en tous cas, dans l'adrait-il Feindre d'avouer, n'était-ce pas la veu du meurtre que vous avez reconnu à
prison, l'oubli, la mort qu'il souhaitait en deux reprises comme étant votre ouvrasomme ?
ge ?
— Vous devez le savoir, fit-il sèchement,
Le docteur haussa les épaules.
puisque vous m'avez fait arrêter.
— Mentionnez, monsieur Poirel, que Te
prévenu se reconnaît encore par signa
Ce fut au tour de Galimard de tressaillir.
Par cette sorte d'aveu sur le sens duquel Panier de l'assassinat.
Puis après un court silence, le magisil se méprenait, le juge, encore plus surpris qu'Armand Duthiers ne l'avait été par trat, s'adressant de nouveau au docteur
sa demande, n'essaya même pas de rete- Duthiers :
Vous refusez toute autre explication ?...
nir une exclamation stupéfaite et presque
Voulez-vous signer votre interrogatoire ?
incrédule.
Armand croisa les bras, et regardant
— Ah 1... puis réprenant son rôle, mais
fixement le magistrat : « Vous vouiez risans dissimuler sans doute :
— Vous rendez-vous bien compte de vos re, » fit-il.
M. Galimard sonna pour appeler les garparoles ?... vous reconnaissez implicitement être l'auteur du crime de la rue du des restés dans l'antichambre et dès que
Faubourg-Saint-Honoré
?...
C'est bien le prévenu fut remis entre les mains de
vous qui avez mis à mort la fille Béjon et ces agents : « Soupçonnez-vous, dit-il à
I demi-voix au greffier, soupçonnez-vous,
qui l'avez ensuite coupée en morceaux î
! Poirel, le mobile du crime, et que pensez— Vous Je dites r ceia doit être vrai.
— Dans quel but avez-vous accompli ce vous de l'aveu de cet homme ?
— Crime passionnel ; la jalousie parmeurtre ?
— II me serait difficile de vous donner bleu I murmura ce dernier sans même relever la tête, en réunissant les feuillets
aucune explication à ce sujet.
— Comment avez-vous accompli ce For- épars sur son bureau.
M. Galimard considéra un instant s^n
fait
— Vous en savez plus que moi sur, cette aide avec une" commisération profo:....
boucherie et 1r» n-'ajouterai rien à ma ■dé- puis haussa les épaules en soupirant.
claration..
(A
suivre.)
!
^^J^i&jjj!
BANQUE RENAULît et C", à NANCY (Capital : 10 millions)
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Le service de ectte Rc vue est fait gracieusement à toutes les personnes qui cai atli'csscat la demande ,
BBBBMMmWMi '•M*JW-*-"^f,»"*^ff*frtstw*n^nMi'iMT^
EAUX ET JiOTELg
Restaurants et
Hôtels réunis(U.II.II.li.)
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francs. Déduction faite
ai"".\J*3
I\P divers prélèvements, et ux.*
ment" le bénéfice net ressort au bUadà
MW fr. 31. Mais, en tenant compte des
amortissements, la répartition proposée
sera la suivante :
3
Amortissements
%%"|S? g?
Réserve légale.
...» JgJ» "
Actionnaires o h•> ••••
Parts de fondateurs et tan-
Total
404.918 41
Le dividende sera donc comme précédemment de 40 fr. nets. La répartition çi°dessus portera à 515,937 fr. 06 les amortisa
sernents
et réserves sans tenir compte des
■48 923 fr. 25 de frais de constitution amor•tis des la deuxième année.
f L'actif réalisable
se monte à 817,291
. 60, en face d'un passif exigible de 80,641
fr.
'
fr. 60.
L'ensemble de ces chiffres atteste une situation financière digne de l'excellente al»
lure
industrielle des Imprimeries-Renuies
, Nancy. En effet, le chiffre d'affaires
de
0
continue'
à progresser et malgré la vive
c
concurrence, les bénéfices sont aussi en
sensible augmentation.
Ce n'est évidemment pas sans des efforts
énergiques que ces résultats sont obtenus.
,Il faut à la Société un esprit constamment
en éveil pour suivre les fluctuations du
marché.
.
- ,
r
La carte postale marche toujours malgré la vive concurrence, grâce au bon renom des Etablissements Bergeret, u leur
•exécution parfaite et à leur exactitude dans
j
les
livraisons ; mais la Société développe
parallèlement ses services lithographiques
| typographiques. Elle a acquis dans ce
et
j
but
uii terrain voisin des ateliers de la rue
(de Metz pour y édifier une usine modèle
où
seront groupées les presses et où sera
c
,
ménagée
la place des machines nouvelles
dont
l'acquisition s'imposera à bref délai.
«
Déjà
pour l'exercice en cours, les chiffres
1
d'affaires
dans ces deux branches ont conc
fsidérablement augmenté.
Nous sommes heureux de féliciter les artisans de ces résultats qui continuent les
t
ttraditions de labeur et de modernisme des
fondateurs
de la Société.
f
Après avoir traversé aussi brillamment
la
' période de lutte, elle ne peut manquer,
:aujourd'hui où le marché a retrouvé son
équilibre,
de prendre un nouvel essor.
<
ELECTRICITE ET ECLAIRAGE
Goultenano (en liquidation). — Nous disComme tous les ans, la publication de t K
Brasseries, Restaurants et w-« "
blos en coupons semestriels aux 30 avril et i
1905
1906
1907
posons do quelques actions.
.'" ,
ce Bulletin sera suspendue pendant loi ji 31
3 octobre et remboursables en 25 ans, à
(B.R.H.B.) - X>r.».-\(- a n;, H S'ftéte
(l
Colles
et
gélatines
françaises
(Anciens
mois d'août. Dernier numéro ie 26 juillet ; partir
n
u
tcmiblc
à ce prix, qui nous ni...*"^,'.^du 1er mai 1914.
Allemagne
91 750
8b 850
73 000
dîl un
établissements Roy et Cie à Nanterrc). —
d'achat.
reprise le G septembre.
d
Garanties. — La Société s'interdit de
France
273 460 371 300 443 710
ét
Nous
disposons de quelques titres à 505,
Eaux de Vittcl.— Nous dknn.
concéder aucune hypothèque ou nantisseEspagne
357 860 237 270 144 940
N
soit 255 fr. espèces l'action de 500 fr., n'ément sur ses immeubles,c'est-à-dire qu'elle
p
certain
nombre de titres à l,5uo 0as
Suède
74 820
85 030
69 140
s<
L'émission des obligations Boulon- s'engage
i
tant
libérée
que
de
moitié.
à
laisser
intact
le
patrimoine
qui
8
Les progrès des importations françaises tf
Société Universelle des Explosifs (ancieniierie» «Se Bofﻫ.v llraiix r* *t'~Oi$> constitue
,
ALIMENTATION
le gage des prêteurs. Elle s'in- aux
dépens de celles des autres pays se
a
a rencontré le succès attendu. Il ne nous terdit
nement Bergès, Corbin et C). — Les inégalement
d'émettre
des
emprunts
p
l(
Docks Rémois.
passent de commentaires.
n
D
reste plus qu'un petit nombre de titres nouveaux
sertions légales relatives à l'émission dopouvant concurrencer le prén
Epiciers
Réunis
135
., I
**
E
autorisée par l'assemblée du 18
et les personnes qui ont en vue cet excel- Bl
Q
sent emprunt à moins que ceux-ci ne
Glacières
de l'Kst
iim
En vue de l'exportation à venir du mine- bligntions
b
lent placement feront bien de se hâter.
,soient
iuin
viennent
d'être
faites.
précédés ou accompagnés d'une rai
s
Miellé et Cie (Cbàlons)
j>®
$M
lorrain et particulièrement de celui de ji
r
Il
s'agit
d'un
emprunt
de
500.000
fr.
en
augmentation
de capital social au moins Briey
X
***
o
en Angleterre, les mines de fer de
T
Sermaize
959
t?i
^
double de leur montant.
*
Meurthe-et-Moselle
ont fait à Londres une oobligations de 500 fr. rapportant 4 h %
Vilgrain
et Cie
La déconfiture récente d'une vague ende tous impôts, coupons 15 mars et lo
Prix d'émission le pair plus les intérêts 8exposition collective qui a été organisée nets
n
o'bhg. 41|2 U|0*"
l
tieprise de transports fluviaux qni avait courus.
; remboursables par tirages en
,par M. Nicou, ingénieur des mines. Pour septembre
si
recruté exclusivement ses capitaux chez
ans
à
partir
du
1"
janvier
1914.
Ces
Epiciers-Réunis.
—
Négociée
ù
."iàLa Banque Renauld et Cie est chargée £commenter cette exposition. M. Nicou a 25
2,
de modestes épargnants, appelle de nou- de
. recevoir les souscriptions et les enregisobligations seront purement chirographaiauquel
nous disposons encore do
' W
a
rédigé une notice qui sous forme d'une o
1
veau l'attention .sur les moyens à prendre tre
.
titres.
'l^lquj
mais la Société s'interdit de conférer
par ordre d'inscription jusqu'à con- plaquette parfaitement présentée, met en res,
ti
r
pour empêcher la petite épargne de tom- currence de son disponible.
hypothèque ou privilège sur ses
|
. Glacières de l'Est. - Récemment.
évidence
le développement du bassin de aucune
a
ber sous les filets d'agents d'affaires malbiens ; c'est-à-dire qu'elle s'engage à mainCelui-ci sera épuisé avant peu.
.Briey et son brillant avenir.
à 520, prix auquel nous avons Penc ltlf*
a
h
honnêtes ou de se laisser volatiliser au
neur.
°re
tenir intact le patrimoine qui leur sert de
Champagne. — Négociée à 115, prix aun
Les qualités du minerai de Briey sont : t<
contact d'imaginations trop ardentes.
gage.
Elle s'interdit également de les conquel nous disposons encore de quelques tiSociété nancéienne d'alimentant,
Ia
1°
Sa
dureté
qui
lui
permet
de
résister
g
La lecture hebdomadaire du « Bulletin tres.
offre
à 230.
" "on.-Ojf
currcnccr par de nouveaux emprunts à
,
0
parfaitement
aux manutentions et d'arri- e
annexe » de V « Officiel » permet de conte- 1 Etablissements E.-J. Grun (Lurc).
moins
que
ceux-ci
soient
précédés
d'une
— ver
»
n
Société
Générale
d'Alimentatin»
au fourneau en gros morceaux ;
tater la vanité des mesures légales prises .Nous disposons d'un petit nombre de titres
du capital au moins double
cciens Etablissements Pigal-Benoist - 'Aî'
2° Sa teneur constante en phosphore et augmentation
a
dans ce but. Ce qu'il faut, c'est non pas S
du
montant
du
nouvel
emprunt.
blons-sur-Marnc).— Dernier prjx fji^
à 1.000.
dans
des proportions
convenant à la
d
(
protéger l'épargne, mais l'instruire.
Nous aurons l'occasion de revenir sur
Frondes et Vraïncourt. — Dernier prix fabrication
.
Pour son premier exercice, cette ç' !?;
de
la
fonte
Thomas,
de
sorte
Nous croyons avoir, dans notre sphè're, .
cette
émission,
qui
est
de
nature
à
intéressera
en mesure, nous dit-on, après 1
s
fait : 77 fr. 50.
que sans analyse et sans triage, on ob- c
travaillé à cette instruction en présentant 11 Assemblée le 28 juillet.
ser
le public en raison des garanties de
gges amortissements de donner un d'■I*
tient
la
fonte-type
Thomas.
Ajouter
à
cet
s
t
toujours der, affaires qui opèrent au grand
premier ordre qui y sont attachées.
dde rémunérateur à ses actionnaires
Le bilan au 30 avril qui lui sera présenté favantage celui du sous-produit de l'acier P
jour, sous les yeux de leurs intéressés, fait
,
ressortir un bénéfice de 106.064 fr. 44 Thomas,
^
BRASSERIE ET MALTERIE
les scories de déphosporation,
avec des dirigeants dont chacun peut dis- l(201.100
„
VALEURS DIVERSES
fr.). Nous ignorons quel dividende avantage
qui n'est pas à négliger ;
Champigneulles
1.200
£
c'uter les aptitudes ; en suivant ces affai- v
;
Anc.
Et.
Coanet
4 1|2 0|0"
sera
proposé..
£
645
670
res dans leur existence et en conservant s Deutsche-Luxemburgische. — On dit au- , 3° Sa richesse qui donne un lit de fu- Comète
|Majorclle fr. «t Cie, 4 1]2 0|0".
500
f
sion de 33 à 35 % au lieu de 28 à 30 %
Croix de Bourgogne (malainsi la responsabilité de nos initiatives, jourd'hui
.
j
que le dividende sera maintenu Lpour le meilleur minerai du bassin de la
Tonn.
Ad. Friihinsholz
i'oiA «H
au lieu de les noyer dans P anonymat de )
- oblig. 4 1|2 0|0"
[ w
à
{minette avec une consommation de coke 4A.'rîànus ét *Cio*.
"àÔÔ
800
a 10 %'.
la bourse.
f
Leflaive et C° (La Chaléassiôre). — La réduite
Assurances
rémoises
—
oblig.40[0
500
de
12
%
environ.
1
Tout le monde peut se tromper, mais ce cSociété procède à l'élévation de son capi|
Rhin
et Moselle
mk
"" g
670
sont la', crofens-nous, des conditions qui tal
£ de 2.500.000 fr. à 4.000.000. Les actions , Ces qualités ont fait rechercher le mi- |Maxéville
iVille de Nancy
*J.
de Briey non seulement dans les ré—
oblig. 4 0i0
0
495»
conjurent l'erreur dans la mesure humai- 1nouvelles de 500 fr. sont émises à 650 fr. norai
,
limitrophes, la Belgique, le Luxem- jMeuse....
535
520
525
Ecole
Professionnelle
de
l'Est.
v...
nement possible.
'dont 275 fr. à verser en souscrivant et le gions
\beurg, la Lorraine et la Sarre, mais aussi
— oblig. 4 0|0**
495
500
disposons
d'un petit nombre de titres
c
f
reste
sur appel échelonné jusqu'au 31 jan- (en Westphalie, où il lutte avantageuse- jMontbéliard (Arien et Cie)
528
r
Munitions d'artillerie— Nous disposer
BANQUES
,
vier
1909.
,
ment contre le minerai suédois. Il est en
— obi. 4 D2 0|0.**
LOGO
„„
■
urtfiit
de quelques titres.
* ^
Offre
I » npptl ^ Spécialisés dans la construction du ma- (effet à noter que ce sont précisément les yNoitvellc-Gallia,obl. 50[0
500 Générale électrique
Munitions de chasse et de tir (Ancien1.270
1.26C
tériel pour les mines et la métallurgie, les principaux
.
1
consommateurs dé minerais jJ Prudhon et Cie
550
Gévelot et Goupillât) -nV
—
— oblig. 40[0'*
D.
50C établissements
c
J
qui ont pris des participations
Banque franco-américaine
470 £ateliers de La Chaléassière occupent cer- suédois
—
oblig. U[20i0"
500
à 1,000. Contrepartie à 900. '
I
Cie générale d'électric.... ..... .....
745 offre
c
une place hors pair dans cette ,dans le bassin de Briey ; citons : Hocrde, jSt-Nicolas, ob. 4 i[2 0|0"
Banque d'Alsace anc
740
730
730 tainement
t
500 1 _ *_
Immeubles de Nancy. — Nous disiosor
oblig. 40|0
479'
c
—
— nouv
2.200
2.126 iindustrie. Leur rayon de vente s'est éten- Phoenix, Hoesch, les usines Deutscher- Sochaux
.....
'
.• Electricité
,
petit nombre de titres.
de Strasbourg.. 2.80O
2.868 d'un
c
Comptoir des Arden nés...
610 .....
640 (du à toute la France et les extensions qui Kaiser, etc.
—
obi. 4 0|0"
490" Har«IVilj;raiaeH;ie,cb.41|2()[0"
Villard, Weill et Cie. — L'obligat»
500
500
leur
ont
été
apportées
depuis
quelque
Le
gouvernement
allemand
lui-même
a
1
Foncier d'Alsace-Lorraine.
980
930
920 1
Union (Jarny-Pagny)
480
475 Gaz do Mulhouse, ordin
1.675 44 % négociée au pair plus intérêts, et e»
Général alsacienne... mk
476
476 ttemps augmenteront encore la puissance ,donné l'estampille à ce mouvement en ac—
oïng.41iï#"
500 1
—
jouiss
1.380
tcore obtenable à ce prix.
0
de
la
Société.
,
cordant des tarifs spéciaux d'importation. [Brasserie XXc siècle
112
Internalioni Luxembourg
<
1
Ville de Nancy 3 3/4 %.— Négociée aa
—
oblig.
40(0
.....
493
Lorraine
industrielle.
—
Négociée
à
680,
Pour des raisons qui ont été souvent exLévy, Bettinger et Cie
..... 1015
plus intérêts.
Humes (Brasserie et Malferle). — Nous 1Gaz franco-belge
460 pair
I
auquel nous disposons encore de quel- ,posées ici, l'Angleterre aura, fians un aveMayer et C10 (Metz)... mk
.....
560 prix
1
Ville de Saint-Dic 3,20 % et 3,404.,''
preneur d'obligations.
—
- oblig 50(0
5061
l
ait rapproché, à s'inquiéter de ses appro- avons
Banque de Metz
mk
430 (ques titres.
disposons d'un certain nombre°ii').
Gaz de Villerupt
525 Nous
I
Manufacture ardennaise (Braux). — As- visionnements en minerais de fer. Il n'est
VERRERIE ET GLACERIE
Banque de Mulhouse anc.
840
830
840
de ces deux types.
—
obi. 41[20i0** A l'émission.
500 bligations
1
—
j—
nouv.
2.050 isemblée tenue le 27 juin.
pas douteux qu'elle ne tourne les yeux vers
L'accord avec la firme Pilkington est
Ce
sont
des
résultats
superbes
qui
lui
Constructions
électriques
—
Nancy.
■—
le
bassin
de
Briey,
et
c'est
de
la
prévoyanf
Comptoir de Mulhouse
1.850 1.900
De la Iï«it«s'i« ISonnnhl et Cl«j
fait. Aussitôt lr reprise des affaires, le
présentés. Ils ont permis la distri- ce la plus élémentaire de préparer cette compartiment clos glaceries sera en mesu- Tel est le titre d'une société qui se constiSociété nancéienne
O
605 étaient
<
Nancy, 21,rue Saint-Dizier (Passage
(
bution
d'un
dividende
de
125
fr.
nets
^nr
tue
à
Nancy
pour
la
fabrication
des
appaéchéance. La question du canal du Nord- re
, de profiter des avantages financiers que
Banque de Nancy
500 1
du Casino).
action
avec
affectation
de
258.984
fr.
87
aux
reils électriques.
Est prolongé dans le bassin de Briey dont jlui vaut une entente étroite.
Renauld et Cie anc
..... 1.110
Î
* t
Elle a en vue principalement la cons- '
les promoteurs n'avaient pas prévu un fait
'—"
nouv
..... 1.060
<divers comptes de réserves.
***
Situation excellente comme c'est le cas économique de cette importance, se préCl. Staehling, L. Yalentin et Cie. ..... ..... 130„/"
Val Saint-Lambert (Cristalleries). — C'est .truclion des appareils petits £<t moyens i
pour beaucoup d'affaires ardennaises de sente dès lors sous un aspect nouveau et ,un dividende de 40 fr. qui sera proposé à dont la consommation augmente au fur
MÉTALLURGIE
d
l'industrie de la dénaturation.
et à mesure que se développent les résingulièrement attrayant.
jl'assemblée du 25 juillet.
France. — Période de vacances où aucun
Moteurs Diesel. — Nous disposons de
seaux
de
distribution
d'énergie
électrique
Les obligations émises par les Sociétés
Vallérysthal. — Nous avons preneur à
VIE
changement n'est à prévoir. D'ailleurs, la quelques
,
titres à 2G0, prix récemment pra- minières empruntent une double sécurité (6.400.
et qui peuvent être construits en série
situation n'est pas mauvaise dans son en- jtiqué.
avec un outillage restreint. Il y a là,
à la nature permanente de leur industrie
CERAMIQUE, MATERIAUX
L'assurance mixte
semble et permet d'attendre la reprise.
Société alsacienne de constructions mé- qui n'est pas soumise aux lois de la subscroyons-nous, une place à occuper dont ne
DE CONSTRUCTION •sauraient prendre ombrage les deux puisLa semaine dernière s'est tenue à Char- ,caniques. — Nous disposons de quelques titution et au crédit de leurs signataires
S'il est une forme d'assurance sur ir
leville la réunion des boulonniers. Ils ont \titres, actions et obligations.
...,, 6.200
santes usines de notre, localité, qui ont 1qui donne à la fois satisfaction à nos Ut
qui sont elles-mêmes des Sociétés de tout. 1Ch. Fisson et Cie
pu constater la bonne situation de leur
Assemblée tenue le 16 juillet.
1
'—
oblig.4 0[0" .....
500
500 fait leur fortune dans la construction du rêls
et à nos affections, c'est rassurerai'
premier ordre. Nous né croyons pas nous
compartiment.
Voici un résumé du compte-rendu f
Lorrains... mk
1.170 1.170 matériel électrique et qui sont devenues mixte, par laquelle le souscripteur crée al
méprendre en les assimilant aux valeurs Ciments
]
Allemagne. — L'occupation des usines
O
500 impuissantes à faire face aux besoins capital
Résultats. — Très beaux, ils se chiffrent, de fond des portefeuilles, telles que les obli- Rambervillers
■
payable à lui-même, à une échéenet ,
diminue et les prix deviennent de plus en déduction
,
faite des frais généraux et des gations de chemins de fer, du canal de FèvrcetCie
255 d'une clientèle tous les jours plus nom- fixée, et, en cas dé son décès, payable»,
plus mauvais. Voici la comparaison des frais
1
d'entretien des trois usines à 4 mil- Suez. etc.. Elles ont sur celles-ci la supô- 1Ciments de l'Est (Pagny)
250
250 breuse.
médiatement à ses ayants-droit,
expéditions du Stahlwerband pour juin ù lions
;
1Chaux et ciment de Trou387.500 fr. contre 3.200.000 l'on der- riorité d'un rendement de 4 % nets.
Voici, en attendant les publications lé- i Exemple : Age de - d'assuré, 30 ans:| .
un an d'intervalle :
inier et ont donné lieu à la répartition suiville
;
gales, quelques renseignements sur l'af- échéance fixée, 25 ans ; capital, 10,000 lr:
Aniermont-Dommary iOiO"
A l'émission
500
1907
19013
,
prime annuelle, 370 fr.
vante
:
Société franchise de produites réfractai- faire :
Jarny4
0|0'*
id.
;i00
S'adresser à la Contiingitic A'Am
Amortissements et tantièmes . . 2.676.900
Les. fondateurs sonl MM. Ch. Firfeon, inres
(Sézanne).
i
—
La
deuxième
assemblée
Joudreville 4 0]0"
id.
500
Demi-produits ...... 136.942 L
88.056 t. Actionnaires
;
rHiice» générale» sur la vie, â Pi8 %
1.440.000
dustriel
à
Xeuilley
;
VV.
Brunner,
ingéconstitutive
a
eu
lieu
le
17
juillet.,
La Mourière i 0i0**
,
id.
500
Matériel de chemins
Fonds de secours aux ouvriers.
270.600
nieur électricien à Nancy ; P. Maeder, in- ris, 87, rue de Richelieu, la plus importai!!
Moutiers 4 0i0**
500
de fer
200.124 t. 165.196 t.
Compagnies françaises (fonds dega
génieur électricien à Nancy. La société des
<
Mnrville
4
0|0**
500
Profilés
, 177.597 t. 115.109 t,
4.387.500
Situation sans changement. Il en sera s'est en outre assuré le concours de deux rantie. 840 inilIioMi*, entièremeiit
Valleroy 4 0i0'"
A l'émission
500
Le dividende sera payable le 31 juillet à
évidemment de même pendant toute la du- autres professionnels de l'électricité, pour réalisés), — ou à i'un de ses représenAndcrny-Chevillon. — Cote 240 à 250.
Total
-514.663 t. 378.361 t. raison de 320 fr argent allemand et 315 fr.
/a partie commerciale.
Elle, compor- tants dans les départements.
rée ders vacances.
Mines de Vaiîeroy. — La Société vient
Ces chiffres attestent une dépression effectifs en France.
Envoi gratuit, sur demande, des notiA Mulhouse, on se plaint toujours amè- tera ainsi tous ICB éléments techniques et
considérable.
Situation financière. — Après la répar- de publier son premier bilan d'établisse- rement de la mauvaise situation du mar- commerciaux nécessaires à son succès.
ces et tarifs de la Compagnie.
ment qui indique seulement les dépenses ché dès tissus, dont les prix &ont en desLa production de fonte a été de 950.425 t. tition ci-dessus, elle s'établit :
Le cauital sera de 500,000 fr. en actions
Pour tous renseignements, de même qm
faites depuis l'origine.
contre 1.044.306 t.
Capital actions
18.000.000
sous de ta parité avec la matière pre- de 500 fr.
pour traiter, s'adresser à MM. BRORei
■ Belgique. — Marché de plus en plus démière.
Capital obligations......
3.250.000
Aucun apport d'aucune sorte, ni aucune SADOUL. 27, rue des Carmes, Nancy:
HOUILLÈRES
primé. Les prix vont à la dérive et nos voipart de fondateur.
Le marché do la laine s'améliore:
G. d'AMBERT, a Lunêville ; SAMSON.i
France.
—
Placés
entre
la
faiblesse
du
sins du Nord prompts au découragement se
Total
21.650.000
Le premier conseil d'administration Longwy; de GOLBERY, à Epinal; UA8;
Albert.Kelltrmann et Cie(EFStein)œk
marché
belge
et
la
fermeté
du
marché
allaissent aller sans résistance.
Immobilisations
27.588.223
sera statutaire et compoisé de MM. :
CILLAT, à Salnt-Dié ; de LAGABBB, 1
—
—
priv
La production de fonte pour le premier' Amortissements et réserves
23.521.244 lemand, les consommateurs français sont Blainville oblig. 4 0|0"*
Ch. Fisson, industriel à Xuuiiley ;
Ncufchâleau; Elysée MOUGENOT.aMi»
500
semestre de 1908 a été de 578.380 t. contre Actif réalisable et disponible.. 41.823.204 hésitants.
W. Brunner, ingénieur électricien à court ; DELAUNOY, à Bar-le-Duc ; m
5.700
Belgique. — Les prix deviennent de plus Bœhringer Guth et Cie... 5 300
708.820 t. en 1907.
Nancy
;
Passif exigible
23.479.192
QU1NOT, à Commcrcy ; GERARD, »^1:
Cotonniôre de l'Est (Vinccy)
5.100
Sur.42 fourncaux.il sont éteints.Cockenll
Ces chiffres attestent la puissance de la en plus faibles.
E. Grosdidier, maître de forges, député dun ; PERETMER, à Cbaumont; Jff
Cotonnièrederiiido-Clune
D
305
Les diverses Sociétés d'exploitation de
et la Providence marchent encore à plein ;i vieille Société mulhousienne.
G AIDE, à Salnt-Dizier ; ROCH, àBelW:
—
— bon 0 OpT*
1.000 de la Meuse à Commercy ;
Ougrée a quatre fourneaux allumes sur
Situation commerciale. — Le chiffre des Campine procèdent à leurs sondages de Cotonnière Lorraine
P. Maeder, ingénieur électricien à veuve ALEXANDRE, à Luï°uil;C0U6
2
800
cinq. Ce sont les petites usines, produisant■ affaires continue sa progression régulière, contrôle. L'étude approfondie des morts
♦
ROYE, à Lure; SABOURLN, à ''esoul.
— — oblig. 4 0|0"
500 Nancy ;
la fonte d'affinage qui sont le plus attein- il a été de 57.554.211 fr. contre 47.166.321 terrains donnerait, paraît-il, des surprises Cotonnière de Mireconrt
L. Michel, agriculteur à Tomblaine.
D
4.900
agréables.
Ils
se
composeraient
de
bans
de
tes : Monchcret, le Sud de Chatclineau et; et 41.860.4d7 fr. précédemment.
En se présentant sous un tel patronage,
—
oblig. 4 1|2 0(0
500
sable alternant avec de l'argile et de la
la Louvière, qui ne possèdent qu'un fourla Société est assurée de rencontrer une
Ce total se répartit :
is i8
Doilfiis,
Mieg
et
Cie
2
850
neau,chôment complètement pour la fonte. Machines de filature et tissage 16.CF3.971 craie, et non de sables boulants, comme on Eck, Guili etCie (Malasenpareh) mk
sympathie générale dans le monde des
l'avait cru jusqu'ici.
Angleterre. — Marché des fontes calme. Grosse construction y compris
industriels
et
dans
celui
des
capitalistes.
Sod6t6 anonj-me au Capital il» 50 millions k tru*
7 006
Allemagne. — La situation du marché Giron et Cie (LaVologne)
Etàls-Unis. — La situation continue à
les machines d'impression...
9.938.384
Nous croyons savoir que les fondateurs
SitcE SOCIAL : 29, RUE DE LONDRES, 29 - P-®'
—
oblig. 4 1>2 0[0"
500
500
charbonnier reste, satisfaisante.
s'améliorer. On rallume !
Locomotives et matériel de che—
Oblig. 4 0-0-'
500 se sont assuré un témoin approprié aux
Angleterre.— Les prix se sont maintenus,
Tout permet de croire qu'aussitôt les élecmins de fer
12.339.149
Obligations 4 % de 500 fa
Laval obhg. 4 1|2 0i0"
500 besoins de leur future installation.
jusqu'ici,
mais
ils
paraissent
très
discutés.
.
tions, la reprise se fera avec la vigueur' Electricité et câblerie
14.751.629
Gaz de Metz. — Nous avons preneur.
Man. Cotonnière d'Oissel. .,
113
L« 19.500 ol.Iiealions « •/. de r,00 rr.. |nulssancc l" j",'^.
Charbonnages
réunis
450
propre aux yankecs.
Machines-outils et petit outilSociété Electrique du Toulois. — SociétéI
amortisHAMoa ou I-!
lard le 31 tlécemtiic
' ^..j par
A. Marchai et Cie, oblig. 4 li20|0""
'506
500
mk
..... 1.800
**
lage
2.871.948 La lîouve
Mnaalrli-I. i^val.lcalos l" Janvier et l" juillet- o«
Itovillc obiig. 4 i|2 0|0"
500
500 en formation pour la distribution de l'é1
n n
la
C"
G
'
françane
de
Tramway»,
sonl
ilu
""
*
,J
8.500
Le Syndicat allemand du zinc est conclu;; Divers
1.629.128 Rouchamp
Russo-Française action...
905
890
893 nergie électrique dans la riche contrée du
«•••!« ocluellcmcnt en circulation et aeront. i»r ,u'.
on cherche à s'entendre avec les producToulois
:
Blénod,
Foug,
Buliigny,
CharLes dépenses de constructions et de marieuremenl coloes auu» la mime rolainue r|iu
Ronchamp. — Assemblée ténue le 19
—
part
220
210
2151
mes-la-Côte.
teurs belges.
chines nouvelles ont. été pendnnt le der- juin. Voici les résultats qui lui étaient préLe produit de ces oUiftal.ons est destiné oos " .,airli
—
oblig. 5 0|0"
500
490
4901
tnn
r.oEîi
(f?s!et
comnortent les ICBCUUX de iVa/ic;/. •i Orleant, M
Fondateur,
M.
Teanmaire,
ingénieurnier
exercice
de
1.628.312
fr.
28.
De
nousentés 1
Scliwartz et Cie
mk. 1.600 .... 1 5401
1> plïs
le plis
mis
de Maritale.
'
,
velles dépenses sont engagées car la direcliai
tu
»« tipj.il1
Extraction : 211.127 t. 60, à savoir :
Thaon
n.503 électricien à Nancy, qui apporte à la So1.0 placement de ces oWiiçntions * V. *c
ciétés
l'usine
électrique
de
Biénod-lestion ne £e trouve jamais en retard pour
Puits de Magny: 91.662,90 ; puits de Sehapne de Bâle
fait au prix de 482 fr. 50 c. par les soins.
3.130 3.110 3.1051 Toul.
Aciéries de France
511 - 499
505» perfectionner son outillage.
260
Chanois : 72.426,05 ; puits A. de Buyer : Soie art. (Givet) action
in COMPTOIR NATIONAL D'ESCOMPTE DE PARIS:
A odeur
185
180
180)
'
Capital : 100,000 fr. en actions de 500 fr.,
Villerunt-Laval-Dieu. — Nous avons nre- 4-7.038,65.
da 11 SOCIETE GENERALE p. fawr. le devcl.au Com. et JeU<«
—
part
49
Attins.
1.310 1.270 1.310; neur à 380, plus intérêts à 3 % depuis le
40,000 fr. représentant les apports deI
de la S" G" DE CREDIT INDUSTRIEL ET COMMERU™Ventes : 210.351 t. 15.
Soie Chardonnet
(jyj' dont
M. Jeanmaire.
Anbrives-ViHcrnpt
310' 1r novembre 1907.
InserUcms fuites oonr.irmémpnl o'J*&t'
Bénéfices d'exploitation, 805.690 fr. dont
au Bulletiu-onnexe du Journal O.fftael du »J»^
^
Cotonnière
de
l'Inds-Chine.
—
Nous
Aumelz-Ia-Paix
595
590
592\
Siège social à Nancy, 15, rue Claudot.
Automobiles Peugecî. -- L'action de 500 voici la répartition :
avons
preneur.
Champagne
115» négociée récemment au pair.
Dividende
510.415
TRANSPORTS
Cotonnière de Miresourt. — Nous avonts
Cliâtillon-Commcntry.... 1.284 1.261 1.271
Tantièmes et personne]
62.374
preneur.
Chem. de fer Est, act
954
Chili (Hauts fourneaux)
119)
ÉLECTRO MÉTALLURGIE
Amortissement d'obligations ..
78.000
Dolifus-Mieg et Cie. — La part s'est né—
jouiss
400
Commcntry-Fourch. act.. 1.192 1.186 1.192'
On cherche des applications nouvelles à
Réserve de prévoyance
214.900
451
géciée à 1,350 mk. Nota UVOIMS preneur Alpes Bernoises (B. L. S.) priv
—
—
joniss.
074
670
672- • l'aluminium.
ne reçoit pas
d'action à 2,330 mk.
—
oblig. 4 0(0**
482'
Commcrcy .. coupon dét
1.100'
Puisqu'il s'agit d'un métal français, la
les
dépôls
d'argent
ni les depuis etc '<
865.690
5^5
Filature de Schlestadt. — Emission du Cie gén. Iranç. Tram
Denaui-Aiiziu
1.851 1.843 1.851' France en possédant à peu près seule la
Lo dividende ressort ainsi à 41.6 fr. 6661 solde de la première tranche d'oblications
—
oblig.
4
0(0
.
.
'.
4331
Dcutscli-Lutuinburgmk.. 1.502 1.494 1.497' .matière première — la beauxite — pour- par action, soit 400 fr. nets. Deux acompWassy à Sainl-Dizier
•
,
349
Dutlclange
970
955
969» quoi n'en ferait-on pas de la monnaie di- tes de 250 fr. ayant été payés, le coupon de de 400,000 mk.
Titres de 400 mk : 500 fr., payables ar—
oblig. 3 C[0
*"
3751 ne s'occupe que de la question «
^
Eich(LeOatlaisMêtz«tGie)
6.050■ visionnaire ?
juillet a été de 150 fr.
gent allemand et rapportant 4 i .% nets Lérouville à Sedan
5051 ment de Capitaux » dans laquedc eu
âpérauco (Louvroil) ord. 1.825 1.795 1. 800'
Dans la « Revue de Métallurgie », M. Le
Ces résultats continuent la courbe dé- de tous impôts actuels, coupons 1« mai- Epinal (Tramway)
c0
spécialisée et y a acquis une
"''entle|
—
—
priv
1.9801 Chatelier consacre une étude très comcroissante de l'extraction et des ventes de■ 1er novembre, remboursement en 25 ans à
qui la met à même de guider suiei
Franche-Comté
199
197
197' plète aux alliages d'aluminium, notamAlpes Bernoises (Berne-Loetschberg-Sim- capitalistes dans leurs placements,
houilles de Ronchamp et justifient la pré- partir de 1912, sans conversion possible
Gelsenkirdien
mk. 2.273 2.257 2.26?- ment au bronze d'aluminium qui paraît voyance du conseil qui a su y apporter à
plon). — Etat des travaux au 30 juin ■
On peut encore se procurer a
|
LeilaivectC','(Cliaiï:assiore)
700i un métal d'avenir, mais auquel on renro- temps un élément compensateur par l'éta-• avant cette date.
Longueur de la galerie de base : côté
Ils
seront
abonnés
au.
timbre
français
cli
Gt S
r&ffi I
Longwy
1.174 1.165 1.165' che de ne pas consommer assez d'alûmiNord,
2,544
m.
;
côté
Sud,
2,059
m.,
au
toblissement d'une centrale électrique.
et au timbre allemand et négociables par
1° Obligations 5 % Chemin de fer ai^ j
Lorraine de Diehich. i.j.
550
548
550> nium. '
'
Le bilan qui n'est pas très détaillé n'indi-• conséquent aussi bien en France qu'en Al- tal, 4,603 m., soit plus du tiers de la lon- tin (Buenos-Avres, Midlaud) ;
, la ai
7 j ii~nm i>f»»Wn .x.-,,..
^
jjgj^
gueur
totale
des
travaux.
On
a
rëauisé
que pas quelles sommes ont été dépensées1 sace.
2» Oblig. hypothécaires-5 i % AE
I
* I
'Cours ' Cours
»sn
Lorraine industrielle.....
.
6R0y i as
pendant
le
mois
de
juin
un
avancement
jusqu'ici pour cette station. Toutefois le
r, .
le plus le plus
n murs
La Banque Renauld et Cie inscrit dès à
nadian Métal Cy Ld ;
_ ,ni,.a£C m
Manne-tloméeourt
1.350 1.320 1.334'
de
369
m.,
ce
qui
est
superbe.
1
conseil s'est fait autoriser à émettre une' présent les- demander.
3° Oblig. 5 % Tramways, Ecla»» I
Micle.illc...'..-......;. 1.265 1.250- 1.260
Chemin de fer à voie étroite des Ardennouvelle tranche d'obligations de 2 mildourdaôn et Cie (Filature ett Tissage à
'
Force
de Rio de Janeiro ;
-,muDa'£!I
1.493' lions qui portera à 5 millions la dette de
Wonlafairo
J
7003 Froges anc.....;....;.'.. .....
n
: Aitkirch). — Bénéfices : 190.111 mark nés.— L'action est obtenab'.e à 325 der4° Bons de Délégations com»
|
T-,
nouv.1.310 1.30C 1.300 la Société.
Nord et Est;anc...-.
1.798 1.776 1.781H
(194,562) ; dividende : 12 % (10,%), 6oit 120 nier prix fait.
4 % (Ville de Paris) ;
ja gl
. Pyrénées(Piodiélec. met.)
482n
—
nouv
,; ......
.
de
Compagnia Meusienne. —■ L'obligation1
mark
par
action.
5" Oblig. hypothécaires i \ !°
.
SEL, SOUDE, PRODUITS CHIMIQUES
a
.oMijj. 5 0(0 "... A l'émission
5001
OuRvée-Mariliayo...-1.260 1.848 1.2483
^Meîisey (Bourre de soie). — On offre à 3 % cote 414.
foncière et immobilière suisse et i' jjgftfI
1 ' . Usines de l'Arye.........
h 5501
Pans cl Oulrcau (Aciéries)
■ 744
740
741'
Bonne nouvelle pour les saliniers s'il se
■
Mosslotte 3 %.— Dernier cours 425 ; on1
6» Billets : Loterie des Enfants
,
Panipey
;..
5255
demande à 420.
Froges. — On dit que les services tech-■ Confirmait que l'eau salée va être employée1
Saint-Julien (Teinturerie). — L'action
leux (tirage 24 juillet 1908) et
Prav Hlonce
. .2 0K5 8.020 2.040t- niques •fle**lélj!S'Ociété auraient trouvé un
pour l'arrosage des vignes en vue de la- s'est négociée récemment au patir. L'obliTramways des Vosges (Remiremnnt-Gé-' Croix-Rouge Serbe, etc., etc. • , ,. le gl
Ralyel.Ufe.(Saulues)
4.775 '4.750- 4.775' procédé nouveau pour souder l'alummiurn. destruction du mildew. Nous n'y croyons;
sa
gation 4 £ ,%" se traite également au rardmer).— Assemblée tenue le 20 juin
S'adresser ou écrire à la suc
Ronilias
mk. 1.645 1.630' 1.630i Les cours- des titres ne confirment pas une guère.
Voici les résultats de l'exercice 1907 •■ Nancy,
pair.
6,
rue
de
la
Constitution^
verj
Uii»,elai:-c-S;uiit-!.ii!/h<;rt.. . 1:910 1.865 1.875
Nitrates toujours faibl.es, malgré les'
85
au mentati 1
^ nouvelle de cefte importance.
agence pour Meurthe-et-Moseue, ■
Peignage et Filature de bourre de spic. de
47
' ^
'
S
°n
Saiiibrc-et-Moselle ordin..
225
{$01 '222'
Pyrénées (Produits é.'rct ro-méfallurgi- bruits d'entente.
— L'obligation 4 £ ,%' traitée à 450.
ges, la Meuse et rAlsace-Lorrai"*^
—
—
priv....
650
620 •' 630J ques).
Dépenses : 119,197 fr. 42, en aùsmenita.
.....
D
500)
La Bn'nque Renauld et C°.conti- Bosscrville
Tissus des Vosges (Le ThiJlot). — L'ac- tion
do 21,000 fr.
au0menta
Sari'ebriick.../,
..... .-.'A. ?jmb. :4. '9.000' nue à recevoir jusqu'à concurrence de son ; Crévic
M.
400) tion privilégiée s'est négociée à 525, prix;
Excédent : 11.668 fr. 43.
Schneider et CieiCrcusot),. 1.850'- 1.646"" 1.850»' disponible' fes souscriptions aux Oblfgà- Dombaslo.'.
* .....
D
auquel nous avons encore preneur.
Coefficient d'exploitation • 91 y
ScsieHe-Maubeuge
.....
472^ tions' de 'cette Société qui rapportent 5 % Einville-Maixe
D
PAPETEFSSE - IMPRIMERIE-JOURNAUX
E^édent y compris le report de 1900 :
Société alsacienne .
6.000 15s950 v 6:000^ nets et offrent toutes les garanties que l'onr Laneuveville
600j
Villurupl-Laval-Dicn.. :..
400-387 ,1 3977 peut demander à un placement industriel. Chanibrey
Etival-C<airefontaine.. ,M
7.50Cj 27 088 fr. 71, dont voici la répartition :
mk.
Jcandheurs
,.
220
235: Réserve légale
505 10
Auëitieourï "(Forges d'). — Nous/avons
Maixc.
..... l. 500 1,500; Amortissement de 8 actions de
MIMES DE FER
preneur à' f.SîjO dernier prix fait.
Marchcville, Dagttin et Cie
D.
650] Welbcl et Cie
priorité
,
000 »
2
■ BôiilontîîWes dî Bo.gny-BrH.ux (ArdenVoici, à l'appui de ce que nous pensons
—
— non lib
, M. Vagaé et Cie (Jarville)
bon 4 1$ Û[0"
.' V. . . .
500,1 Dividende de 5 fr. aux actions
nes). '— Fraîssion d'une première tranche?. de l'avenir du bassin minier de Briey au1
—
—oh.4oiû"
500)l
£ ;<
de priorité
,
, ij ri-n „
BON \
* «' îI
de i million sur l'emprunt àuîpVisé de? peint de vue exportation, quelques chif-• { Rosières-Varangéville....
O
Itm:-,;.'.
:
:- de Nancy.— Assém-.- Report à nouveau...13
r.r
2 miiier.*.
fres intéressants. Ce sont, par pays d'orl-■ Saint-Gobain
...... 16.5003 blôe le 30 juillet. Ce sont encore des réTramways de Gérardmer.—- L'oblitratl 1
En voici ].??. condition' :
gine .et depuis trois an-, 1rs inmovla'ion.'i= i Satinés Ai l'Est
3711 .sultats très brillants qui lui seront presen-1- 4 J % obtenable au pair plus intercts- ! de
francs
ïitues-de
fr. rspportanf, 4 1/2'
netss de Minerai de fer dans la province de: i
—
oblig
.
600i! j tés pour le troisième exercice social.
dernier prix fait.
'
?
.- Lièje :
v»
itmer& I SoaiDMrvillf.r
aux Leotonrs c'a se journal*
,,arigï&t.' I
de tous iïçaVM actuetp. sait 22 iit. 59 pava-.
Le bénéfice industriel se chiffre à 605,389.
J:.'. *.....*
1.8500 •I
9.'
Btrt«%utt<i9mnibu8.-~ Cote 5Î5
UPUTATIOH Aansnou£
&1
I
^"l
g
.^i
<I
j
c
c
I
j
C'3
'Assupaiioes isiirt
SUR LA
C S FBANÇâîSE DE THAHWiB
UH
;
La Banque Lilloise
i LA BANQUE LILL1P '
So fV
j
1j
S
^^'^
I
,
■
gSS__»_____w'^"
ÏL:EST_RËPumiaAiisi
_____
.
s
I
DIVERS
FAITS
Dussart ne manifesta alors aucun regret
de cet acte sauvage, se contentant de répondre au maréchal des logis : « Ma femme ma trompé, je l'ai punie. »
, Les habitants du hameau du Pavillon et
de La Neuville-aux-Joutes s'étaient massés
r
nombreux
devant la maison du crime et
.
jpoussaient les cris multiples de : » A mort
le misérable ! Lynchons-le î «
<. Aussi les gendarmes, pour l'emmener 'à
Signy, eurent-ils bien du mal de préserver
l'assassin
de la foule qui voulait lui faire
,
un
mauvais parti.
,
MARCHE AUX VEAUX
If
<_ BUCHERON AtlDEN'SAIS TUE SA FEMME. —
, Trin_ de la route de Signy-lc-Pctit a La
e
l'
„• fe.aux-Joûtes (Ardcnnes), s'étage sur
eU
N V.'MIS coteaux, Te hameau du Pavillon;
0
quinzaine de maisonnettes dissimulées
111
et la verdure le constidans îrq
les bosquets
o_u
'croisement de la route de Signy-leet du chemin d'intérêt 11° 64, se trouve
netito maison isolée en torchis et briun
»e _eux pièces la composent ; là habite
^ famille de bûcherons et charbonniers,
Emilie Dussart. Le père, Dussart Adopour le Traitement de
1
•
lo-ô de 50 ans ; la mère, Alice Patat,
M _ns 'toute une nichée d'entants trottine
' in'maison.
P
Mme Palat, d'un âge relativement jeune,
I
lèiu. eu 17 enfants, 11 sont en vie ;
rainé Henri, âgé de 25 ans. est charbonD'après les heureux résultats obtenus
•
vicnne-le-Châtcauû (Marne), les auSîf sont âgés respectivement de 23, 22, "19, ces temps derniers par un grand nombre
ip 15 12,'10, 4, 1 an ; la dernière, une de personnes, grâce à la « Nouvelle Mé» du spécialiste bien
tite'fi'lé, a cinq mois ; une demoiselle thode Progressive
connu, Mr P. Bouchard, de Paris, nous
P.
enviée ; trois autres enfants sont en
est taai'yy. '
avons cru, dans l'intérêt de nos aimables
Se
ncnuis bien longtemps, la paix ne rô- lecteurs.devoir nous renseigner sur sa proviit pas dans le ménage. Dussart était chaine venue dans notre région.
Nous espérons être agréables aux per'Vmi caractère essentiellement jaloux.
r PS époux Dussart revenaient de Bélgi- sonnes atteintes de hernies, efforts, descentes, etc, en leur indiquant ci-dessous les
p vers les sept heures et demie du soir,
villes dans lesquelles Mr P. Boucharel doit
une nouvelle discussion surgit dans la fase
rendre tout prochainement, pour revoir
mille toujours à propos de jalousie.
Mme Dussart s'était assise au pied du ses fidèles clients, suivant déjà sa nouvelle
méthode, afin de juger par lui-même des
Ht auprès de ,1a cuisinière, sur laquelle
lie faisait chauffer du lait pour ses en-- résultats obtenus.
Nous conseillons vivement aux personnes
fants en bas-âge. Elle avait sur ses genoux;
Si petite fdle Denise, âgée de un an ; dans;5 intéressées cherchant un soulagement imfm coin de la cuisine, la jeune Félicie, médiat et absolu, de profiter de son pas"eée de 12 ans, portait sa sœur Marthe,■ sage dans notre contrée, pour se rendre
■ auprès de lui et pouvoir se rendre compte
•urée de cinq mois.
elles-mêmes de l'efficacité de sa nouL'infortunée mère de famille, véritable- par
velle méthode.
martyre, ne répondit point aux insolences3
Nous tenons à informer les personnes
de son mari.
r
Dussart, furieux, se précipita alors sur qui désireront se rendre auprès de M P.
Boucharel,
que,
comme
toujours,
ses
renun fusil accroché au chevet de son lit, c'était un fusil Gras transformé dans le-• seignements et conseils seront fournis
mièl il glissa une cartouche de sa fabri-' d'une façon absolument gratuite. De plus,
• on cas d'insuccès, par sa nouvelle méthode
cation.
Epaulant son arme, Dussart fit alors feu1 progressive, l'intéressé étant remboursé inà bout portant sur sa malheureuse épouse. tégralement, nous ne saurions trop engaLa décharge, composée de plombs de J33; ger les personnes intéressées à ne pas
millimètres et d'une plus grosse balle en1 manquer de se rendre auprès de ce spécianlomb, atteignit à la tempe gauche l'in- liste, qui traite avec ses clients d'une façon
■■ si loyale, et qui les recevra de 9 heures à
fortunéo Mme Patat.
4 heures, à
La tête fut entièrement déchiquetée, la1
Jarny, Hôtel du Buffet, le jeudi
cervelle fut projetée à la tête du lit contree 23 Conflans
juillet.
lequel elle était appuyée, et la charge alla
i
Longuyon, Hôtel du Buffet, le vendredi
se loger entière dans la cloison.
24 juillet.
La jeune Félicie avait été le témoin épou-tLongwy, Hôtel du Commerce, le samedi
vante de cet horrible drame.
25 juillet.
Mme Dussart, foudroyée, était tombéee
Pagny-sur-Moselle, Hôtel de la Gare, le
de sa chaise, entraînant dans sa chute laa dimanche
26 juillet.
petite Denise.
Toul, Hôtel de là Cloche-d'Or, le lundi 27
Effrayée, Félicie s'enfuit avec sa sœurr juillet.
chez sa grand'-mère et la mit au courantt
Nancy, Hôtel de l'Univers et du Commerde l'horrible chose à laquelle- elle venaitit ce. le mardi 28 juillet
d'assister.
Lunêville, Hôtel diTCheval-de-Bronze, lee
Le meurtrier, lui, sans s'émouvoir, arra-i- mercredi 29 juillet.
cha des bras de sa femme son jeune eniPour tous renseignements, adresser la
fant et,sans façon, partit se promener avecc correspondance à M* P. Boucherel, 15, rue1
lui sur la route.
Chevreul, Paris.
Les gens du hameau, mis en alarme
après la détonation, s'en vinrent sur le pas
de leur porte sans approcher Dussart, qui,
d'une façon narquoise, déambulait sur les
,g
Rus du Cardiml-Lsmoin», 65, P4 RIS
lieux.
BACCALAURÉATS
La gendarmerie de Signy, bientôt préGRIGNOPi-ALFORT
venue, vint peu après procéder à son ar[*L'fnttitt/tlan doit tôt tuccètk Corginiiàtlon de non ontugnemant;
lt dftclpUno ett uno gurjutm pour lot Umlllot.
restation,
TU
AH
o
*
Ht
La Villette, vendredi 17 juillet.
Veaux. — Amenés, 140 ; vendus, 140.
Vente calme et mêmes prix
Les veaux de choix de Seine-et-Marne, de
]
l'Eure, de Seine-ct-Oise, d'Eure-et-Loir, du
'
Loiret
se sont venus de 1 à 1 05 ; les cham
1penois, de 0 90 à 1 ; les manceaux, de 0 83
'• 0 95 ; les gournayeux, de 0 83 à 0 95 ; les
à
1
caennais,
de 0 85 à 0 90 ; les sortes inférieures, de 0 70 à 0 80, le demi-kilo net.
~mm METHODE PHOMSÎÎS "TA "RENDRE
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L'adjudication du droit de chasse sur les bois et les terrains
communaux de Beltainvillcrs,
aura lieu à la mairie de cette
commune, le dimanche 26 juillet
1908, à 2 heures de l'après-midi.
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lois : 52 hect. et 32 bect.
Les terrains seront loués à
part.
Durée des baux : 6 ans.
Les bois et les terrains se trouvent près des gares de ïucquegnieux et do Mancieulles.
Le Maire: ROUSSEL.
CHÂSSIS
Le Dimanche 26 Juillet, à
3 heures du soir, il sera procédé,
en la salle de mairie de Ciémery, à l'adjudication des chasses
des bois et terrains do la dite
commune. Ges chasses comprennent 75 hect. de bois et 50 hect.
do terres.
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trouvent à proximité de la gare
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i« LOT
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Deuxième lot •
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Le vendredi 84 juillet 1908,
a 9 heures du matin, au palais
de justice de Nancy, terrasse de
la Pépinière, il sera procédé à la
vente, aux enchères publiques,
en onze lots, des immeubles suivants :
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^^in u
de
liellevuepar le tramieay de iSaint-Uunsuf. s
«cek
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Le Jeudi 30 Juillet lftOR,
à deux heures du soir, en l'étude
de M« CHATY, notaire à Nancy,
jy demeurant, rue Stanislas, n
46,
commis à cet effet, il sera
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procédé
à la vente aux enchères
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1publiques des immeubles ci-après
désignés
:
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Premier lot :
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14
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à qui il adresse ses plus sincères remerciements.
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demeurant, place de la Carrière, n- lb\
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