r^croM 26 J«met 3.21-.0.37-imprimerie 3.09 Aul^d^'' " " ;: Eiranger p °" 3« » 1 18 » » 7» lel e tS I GRAND 4 _ou ABOHHbMW*»' ï SS» i»„„ée. - N« 8726. Edition du mutin, g: 28» 14» Abonner sans frai» dans tous les bureaux de postes ^ JOURNAL QUOTIDIEN JRiBACriOW £T vlDJtt/ffZSrJUriOiV ; É»* ■ l>. fl W — ^* MA MOV " NANCY — : DIRECTEUR : RENÉ MERCIER «s- r» 1/ R %JP W — . , PUBLICITÉ: . . fch =3:53::: 908 -J'^te... Uro^ue locale Fwrla p-hlicitede Meurjiie et 150 Muselle, *%m&^lr£^^ b Monln.artre, à Paris, sont seuls charges de^ecevofrl publia* exu-a-locale du journal. , Meuse, Vosges, «sace-lorraineetluKenH ourg,s «<îr sr/ ««rf„, T. «r,fcn\t J fpDÊRNIËRE HEURËll — 1 - ■ — LA QUESTION MAROCAINE Sommes-nous au tournant décisif? la, flotte anglaise sur ses gardes LE DUEL la boue redeviennent des gentlemen extrêmement distingués, d'une probité insoupçonnable, d'une honnêteté immaculée. Autrefois on no comptait guère si l'on n'avait été bœuf gras. Maintenant, chez les camelots du roy on est un bien pauvre homme si l'on n'a pas eu un duel au moins avec M. Bernstcin. C'est la mode. L'un des deux adversaires, le blessé, conquiert en plus la sympathie des âmes tendres. L'autre, — celui qui n'est pas blessé, — obtient par surcroît l'admiration des cœurs guerriers. Citez-moi donc, en cette époque de civilisation intensive et pratique, une invention qui ait des effets aussi bienfaisants. &- — l^ulûts fil rlïttiDlloBiaires \ Manifestation à Paris ; EN FAVEUR — — (!S ) ( Pau et Michel On suit, à Nancy, avec une particulier attention, la nouvelle crise qui se produit actuellement dans le haut commandement. jEn effet, tout ce qui concerne l'armée intéresse plus vivement, dans une région-fron\ tière. En outre, les généraux Pau et Michel sont très connus en Lorraine et par' ticulièrement à Nancy où ils ont exercé 1 des commandements. Est-il besoin de rappeler que te général Pau est notre conciitoyen et a commandé à Nancy le 5!u" corps Y Quant au général Michel il est issu d'une vieille famille messine et a commandé, dans notre ville la BP brigade d'infanterie. : Il est évident que, dans le conflit actuel, la politique a une certaine part. Le général Michel n'a jamais caché des sentiments d'un loyalisme républicain. En 1902, alors que le général de division de CornulierLucinière refusait net de s'asseoir au banquet offert à Nancy au général André, ministre de la guerre les généraux Michel et Goiran y assistaient. D'autre part, o»i rend volontiers hommage à la parfaite correction de M. le général Pau mais ses préférences politiques sont connues. Et nous voyons précisément le commandant Driant, député de Nancy, se proposer d'interpeller le ministre sur le cas dû général Michel qu'il affirme avoir été déclaré inférieur à sa tâche par les autres membres du conseil supérieur de la guerre. Le généra! Michel a eu une carrière aussi rapide que brillante. Elle n'a pas été, bien entendu, sans lui valoir des envieux. Le général Michel a été colonel à 44 ans. Gomme général de division il a commandé la 42° division à Verdun, puis un corps d'armée du Nord. Le général Tremeau étant tombé malade la général Michel dirigea à sa place de grandes nanceuvres d'armées. Alors, certains journaux qui maintenant le vouent aux Gémonies ie couvraient de fleurs. 1 Naturellement à ce propos revientoutes les idées éculées que traî. flotte anglaise renonce à un voyage ideur d'Angleterre à Paris, ont discuté la ne le duel avec lui. On discute s'il vaut , PARIS, 25 juillet. Ce soir, à neuf r LJ ' * en Norvège < question du Maroc. ' heures, une centaine de jeunes gens ap- .mieux le maintenir ou s'il est préféraLe jour où le public regardera le On sait que sir Edward Grey a eu ensui- partenant 1 aux groupements révolution- ble de le supprimer. La discussion est duel sans manifester le moindre inté1 te une audience du roi, mais on déclare que naire de la eJune Garde se sont réunis ( M ouverte. Seulement il y a un petit in- rêt, le duel aura vécu. , < se de l'Océan, attendue en Norvège, sa ; visite au palais n'était aucunement le ré- 1place Vendôme. , f été supprimée en raison de la nouvelle jsultat de la conférence qui a eu lieu au Fo- 1 Sur un coup de sifflet, ils se sont mis convénient à là clore, c'est qu'il ne déMais Bernslein a le loisir de se batîha*e do la situation au Maroc, et de 1 at- »reing-Office. à manifester, conspuant le ministre de la pend 1 de personne de maintenir ou de tre cent fois avec Daudet avant que ces Cette audience avait été convenue antê1 Rade de l'Allemagne. justice. < „ Setan le plan original, l'escadre de rieurement. La police, qui avait été prévenue de la supprimer le duel. Il se maintiendra temps soient arrivés. Et leurs petits-fils SAINT-SÉBASTIEN, 5Ki juillet. — Le chargé ,hlilK sous le commandement de 1 amimanifestation, avait organisé un service ou il disparaîtra en dehors de toule dé- aussi. 1 gwi coë, et la 5» escadre de croiseurs, d'affaires anglais a rendu visite au ministre 1d'ordre assez imposant. cision législative. René MKRCIER. ' le commandement de l'amiral Bur- des affaires étrangères, ce matin, pour s'inQuatre arrestations ont été opérées, It aurait dû quitter Orofarty mercredi :lormer de l'état des négociations entre la dont deux ont été maintenues. . Que pourrait-on faire en effet contre ZI pour naviguer vers la Norvège. France et l'Espagne au sujet du modus-viCes deux jeunes gens ont été envoyés lui ? Punir les combattants ? Punir les ; Uamirauté a télégraphié, mardi, pour vendi à El-Kçar. au Dépôt. Ils étaient porteurs de nerfs de 1 témoins ? Punir les médecins ? Punir ilîipT des instructions enjoignant à la LONDRES, '£> juillet. — L'ambassadeur bœuf et de coups de poing américains. j Me de r^ter à Crofarty jusqu'à ven- d'Autriche-Hongrie a été reçu au Foremgde L'EST RÉPUBLICAIN Les manifestants avaient, dit-on, l'in- le propriétaire du terrain sur lequel on LES Office cet après-midi. tention d'assaillir le ministère et de pé- 1a mis les armes à la main ? Cela ferait ^Lorsque cette escadre ira à Portsnétrer jusque dafis le cabinet du garde | Une lettre ouverte mnnth où elle doit arriver dimanche, elle des sceaux pour protester contre « les actes beaucoup de punis pour peu de chose. «rs renforcée dans ce port par le vaisde M. Balfbtir de violence et la détention à la Santé au Sau de «merre Loadon et le vaissean-ami- La question intérieure- relègue au seeond régime des condamnés de droit commun, ' Leur infligerait-on une amende ? On serait donc obligé ou de ne rien exiger rl corden, lequel vient d'être pourvu de du camelot du roi Galli, et contre le , plan tes querelles intérieures Mm nouveaux canons de 12 pouces, et transfert de Gustave Hervé à ClaiWaux ». des combattants sans fortune ou de les A CINQ FRANCS LONDRES, 26 jtniilet. M. Balfour, sous oui' allant à Borhavcn les essayer, avait Après avoir été dispersés, les manifesrintention de rejoindre la flotte à Copen- la forme de lettre ouverte à lord Newton, tants ont tenté de se rendre au ministè- enfermer conformément à la règle de hague Le London restera avec la flotte à conseille aux unionistes de ne pas se que- re de l'intérieur, mais la police les en a la contrainte par corps. Spithead. Cette dernière flotte se compose reller au sujet de questions de procéd-nre empêchés. Les mettrait-on en prison ? L'empriintérieure de la Chambre des lords, mais do 13 cuirassés. Ils se sont alors rendus à leur siège „ Le bruit a couru hier soir, a Dcvon- de se préparer pour la grande lutte du de- social, rue de Bretagne, où a eu lieu une sonnement pour une cause de ce genre port, que les marins de plusieurs vais- hors. deviendrait honorable et même gloréunion. « Dans ïe pays où la campagne comseaux de la division locale avait reçu l'orrieuse. Après avoir été dispersés aux environs dre de se tenir prêts à partir au preanier mence, continue cette lettre, l'harmonie et du ministère de la justice, les jeunes gardes Le but ne serait pas atteint. la discip!ine sont essentielles pour romsignal, n Départ de Nancy par train spécial à 5 h. se sont rendus sur les grands boulevards, iporter la victoire définitive. Note optimiste D'autres personnes encouragent le 20 matin, Jarviile 5 h. 25, Laneuveville c< La majorité des lords ferait bien de où ils ont fait une nouvelle manifestation. • PARIS, 26 juillet. — L'Echo de Paris dit En même temps, ils distribuaient un mani- duel. Il parait que le combat singulier 5 h. 30, Varangéville 5 h. 38, Dombasle ;re dans les milieux gouvernementaux, suivre le conseil de lord Lansdowne. 5 h. 43, Rosières-aux-Salines 5 h. 48. — « Mais la mêlée des controverses fait feste où ils protestent contre le traitement prouve que l'on a du courage, et qu'il Arrivée hier soir, on était enclin à un certain optià Raon-l'Etape à 6 h. 56. misme au sujet de l'issue des négociations pendire de vue la véritable nature du pé- appliqué en prison à des détenus politiques. faut autant que possible conserver ces Départ de Raon-l'Etape (centre), par le ril. !i:.nco-allemandes, mais on ne s'attendait preuves publiques. Il en est même qui chemin de fer de la Vallée de Celles à « Entre le soldat mourant à son poste pas «pendant" à tabler sur les précisions 7 h. 30. Arrivée à Raon-sur-Plaine à et le pair proposant de voter le rétablisavant dimanche prochain. les conservent avec un cinématogra- 8 h. 30. 'sèment par les lords du Parliament-Bill, Sanglantes collisions Note pessimiste phe. Mais en ^Angleterre on ne se bat Départ pour le col du Donon (une heure il n'y a pas de ressemblance. » LEctio de Paris dit ensuite que les négoLONDRES. Dix-huit agents de police ont pas en duel. Oserait-on prétendre que de marche). — Repos facultatif. ciations marocaines ne &e présentent pus La crise parlementaire anglaise Ascension du Donan (trois quarts d'heuété blessée, ce soir, dans une émeute des les Anglais ont moins de cœur que *us un jour favorable. mineurs de la vallée d'Onada. re), 1.010 m. d'altitude, point culminant *** LONDRES, 25 juillet. — A son entrée à la «Les pourparlers, dit-il, auraient abosti de toute la vallée, vue panoramique suBeaucoup saignaient abondamment et nous ? Nous avons demandé à plusieurs des hier à une «irituble impasse, l'Allemagne Chambre des communes, cet aprèr-midi, des médecins ont été réquisitionnés. La vérité est toute simple. Cassagnac perbe. — A l'Est : la plaine l'Alsace, au anciens collaborateurs du général Michel (ûiiatenaiH une l'orme bien nette les de- M. Asquith, premier ministre, a été accueildclaà des forêts, à l'ariière-planje Rtiin et Tout est calme maintenant dans la réBaarks de compensations qu'elle avait li par de» manifestations en sens divers. gion en grève du pays de Gales. — Havas. -«Ta exprimée en un paradoxe d'une vé- la Forêt-Noire ; au Nord-Est : Strasbourg à Nancy leur avis sur le rice-président du avancées la semaine dernière et déclarant rité profonde. On se bat parce qu'on et sa cathédrale ; au Sud : la chaîne des conseil supérieur de ta guerre ; ils BOU* Incident à Larache le discours menaçant de Lloyd George inn'a pas assez de courage pour refuser Vosges, et par temps clair les Alpes ; à l'ont représenté comme un officier général capable de n'y rien changer désormais. Entre un poste espagnol et un Français l'Ouest : les plaines de Lorraine vers Nan- très instruit, d'une science tactique parfaide se battre. cy. atteint cîe folie ? Ce serait donc un navire allemand en Une actrice parisienne permanence à Aguadir et peut-être un déDéjeuner champêtre ou à l'hôtel Velléda te. Mais le général Michel tient à ses idées. Le duel ne prouve rien, c'est entenMADRID. Le Oiario Universaie rnihlie se noie dans la Rhin barquement. (2 fr. 50 sans vin) pour les touristes de Ce n'est pas la première fois d'ailleurs que la dépêche suivante, que nous ne donnons PARIS, 25 juillet. Mlle Lantelme, l'ac- du. Souvent il n'est pas une conclu- l'Est républicain. Or, le gouvernement ' anglais est d'avis que aons les plus expresses réserves : des divergences se produisent au conseil trice parisienne connue, qui avait, au cours sion, il faut l'admettre. Mais il a, conde voir dans ce débarquement un tel déVers 1 heure et demie, départ du Donon supérieur de la guerre. Le général Ha« Les nouvelles de Larache annoncent de ces dernières années, joué avec succès veloppement de la situation de l'Allemagne que 'la nuit dernière un indigène, sujet venons-en, des avantages matériels et pour Raon-sur-Plaine. gros, le général Michal, ancien commanau Maroc que les intérêts anglais en'se- français, atteint de folie, a attaqué une des rôles importants dans les théâtres du Départ de Raon-sur-Plaine à 3 heures. dant du 206 corps d'armée à Nancy, l'ont moraux fort appréciables. boulevard, est morte noyée aujourd'hui, rvait plus directement affectés qu'ils ne sentinelle. — Arrivée à Raon-l'Etape à 4 heures. au cours d'un voyage sur le Rhin. •ont été antérieurement. C'est l'opinion publique qui accorde Visite de Raon-l'Etape et La Neuveville. bien quitté parce qu'Us y étaient en mi« L'-ofneiej' de garde survenant a blessé Le docteur Dauriac, ami intime de M. EdLîmpasse est donc complète. » le fou. Départ de Raon-l'Etape (Est) à 5 h. 35, norité. ces avantages. Elle seule est donc reswards qui, comme on sait, avait épousé Rosières 6 h. 54, Dombasle 6 h. 58, Varan« Les consuls de France et d'Espagne, On n'a pas songé à cette époque à metprétentions allemandes et le commandant d'armes de Larache, Mlle Lantelme, a reçu une dépêche datée ponsable du maintien du duel dans les géville 7 h. 03, Laneuveville 7 h. 14, Jartre en doute leurs capacités, tandis qu'on de Marienbaum et signée de M. Cuvillier, 1 Partez ies premiers du Maroc », dii-elle dans un entretien qu'ils ont eu pou après, lequel accompagnait M. et Mme Edwards mœurs françaises. viile 7 n. 20. — Arrivée à Nancy, 7 h. 25 soir. le fait aujourd'hui pour le général Michel. ont reconnu que l'incident n'avait pas La foule considère le duelliste, comCOLOGXE, 25 juillet.— La Gazette de Codans leur voyage. Il y a dans cette campagne quelque cho'«Sne déclare « que si la France ne d'importance. Pans ce télégramme, le docteur Dauriac me un monsieur qui sort du commun. Prîx di l'tXGtfndoii : 5 « lie fou a été envoyé à Tanger. » se de particulièrement incoirect et chopursmt d'autre objet que l'application était instamment prié de partir sans retard Elle l'admire. Pour être admiré d'elle Le nombre des places étant limité, prière quantntcgrale de l'Acte d'Algésiras, qu'elle repour Emmerich-sur-Rhin, ville de la PrusLa santé du lieutenant Thiriet de se faire inscrire de suite aux bureaux we ses troupes du Maroc et qu'elle fourque ne ferait un homme qui louche à la de l'Est républicain. Telle est l'impression de ceux qui dans EI.-KÇAR, 24 juillet. — A la suite des se occidentale voisine de la frontière de ^,?es garanties montrant qu'elle ne coups notre garnison ont eu l'honneur de servir . *** qu'il a reçus, le lieutenant Thiriet Hollande. D'après la dépêche, Mlle .Lantel- vie publique par la politique, par la c ns.dore pas le Maroc comme une coloNos excursionnistes pourront faire ou sous les ordres du général Michel et nous est sérieusement indisposé. Il est alité et me serait morte noyée, et M. Edwards se- littérature, l'art, le théâtre ou la mo"* française. compléter leurs provisions du déjeuner avons cru bien faire en la traduisant. — souffre d'une forte fièvre. Il est contusion- rait gravement malade. 8 J,,*'"! ' l'Allemagne retirera ses vais- né par les coups de sabre des cavaliers esM. Edwards et Mlle Lantelme étaient par- de ? champêtre chez tous les négociants de 1.. P. swux^ d Agadir. La Neuveville-les-Raon, Raon-l'Etape et pagnols, et comme il n'y a pas de médecin tis dans les premiers jours de juillet pour magne ne Xïi a Pas un Français n'est capable d'apRaon-sur-Plaine. aWifi^ 8 a slatu T* P s accepter de à El-Kçar, le lieutenant Thiriet se soigne la Hollande où ils avaient fait une croisière â bord de leur yacht ïAimée. lis remon- prouver publiquement celui qui a re, seul. ' ffin -'ïî V Qui iraient W ^Jttdiciables à ses intérêts taient le Rhin, se rendant à Cologne, quand fusé un duel. Si on lui trouve des exNos lecteurs des localités situées entre s l <îuestion dos La ligne allemande l'événement dramatique s'est produit. ta-™i\ «i laiM , compensations Blainville et Saint-Dié peuvent aussi pro- LA FOUDRE AU CAMP — D'après Paris-Journal, M. Edwards et cuses, c'est avec une nuance de mépris fiter de l'excursion au Donon en se ren*£^ E ! l'Allemagne en raison DE BOIS-L'ÉVÊQUE e de Malmédy Mme Lantelme-Edwards remontaient le qu'on les expose. Pour ne pas être mé- dant à leurs frais à Raon-lJEtape. En- LES INCIDENTS Uce d^T M 7 P^ance de la 10 N rd de i ° ''Afrique, il s'a- Déclaration du ministre de la guerre belge Rhin quand l'accident s'est produit. DE PAGNY-SUR-MOSELLE prisé de ses contemporains, quel ci- voyer 1 fr. 60 pour prix du voyage jus1 «%s /"'T, coloniales, mais dei Parvenus à Emmerich-sur-Rhin, à un BRUXELLES, !2O juillet. — Au Sénat, dans qu'à Raon-sur-Plaine, aller et retour. If AGE 3 9 6 dont ie ^ e" Europe " ^ternent, sa réponse à divers orateurs au sujet du point où le fleuve se sépare en deux bras, toyen ne risquerait une piqûre à NANCY GRANDE VILLE dont l'un seulement est navigable, M. et l'avant-bras ? système défensif de la Belgique, le ministre A l'Hôtel de la Gare, à Raon-sur-PlaiRage A Les pourparlers de la guerre a déclaré que si aucune objec- Mme Edwards quittèrent leur yacht et prion trouvera des déjeuners au prix de Le duel est donc devenu un fait que ne, rent place dans un petit canot à vapeur 1 fr. 50, vin compris. Il suffira, de préve- LES PRiX DES COMICES D'EINVILLE tion ne fut faite à la construction de la liET DE BRIEY pour suivre l'autre bras particulièrement l'on discute sans cesse, mais que l'on nir à l'arrivée à Raon-sur-Plaine LONDRES ■ ■„ diplomatiquesI gne allemande Malmédy-Stavolote, c'est pittoresque. m LE SALON D ÊPINAL que cette ligne serait exposée au leu des subit toujours parce qu'on ne peut faince de Le frêle esquif chavira. Voici le menu du déjeuner à 2 fr. 50 kituneiontr > retour-rte Paris, a forts de Liège sans compter qu'en cas de PAfS£ 5 re autrement. C'est ainsi que M(me Lantelme-Edwards (prix spécial pour les touristes de l'Est I «stère des3 al'ilau ■' ,V.'eSit? au Foreing-Ofilce (mi- danger d'invasion allemande, on ferait sauL'EXTENSION DES TRAMWAYS a trouvé la mort. Raisonnablement on déclare que le républicain), qui sera servi à l'hôtel Vel«idx, ' s étrangères), hier aprês- ter ta ligne sur plusieurs points. A NANCY i Au Mme Lantelme avait été élève du Conser- duel est ridicule ou odieux quand il léda : Le prochain conseil des ministres A U { Une reui)i vatoire où elle n'était restée guère plus de Potage, entrée, rôti, salade, fruits et Huith m.„ l on tenue hier, MM. PARIS, 25 juillet. — Les ministres se réun'est pas à la fois ridicule et odieux. Slr dessert. — Vin : 1 fr. 50 la bouteille, bière Edward r'er minist>'e > Lloyd George, niront en conseil à Rambouillet, sous la six mois. Elle débuta dans l'Age d'aimer, etr 1Ty miniti Il est ridicule s'il aboutit à une égra- 0 fr. 50. anSères 0V ' tre des affaires• présidence de M. Fallières, vendredi pro- au Gymnase. EUe fut ensuite engagée au TOULON. Les bureaux des délégués des ^^^^ei sir I rancis Bertie, ambassa- ' théâtre Réjane et dans plusieurs théâtres; tignure. Il est odieux s'il a la mort • chain, à dix heures du matin. — Havas. de Paris, Vaudeville, Gymnase, Variétés. A la Restauration du Donon, près de la sections d'ouvriers de l'arsenal et des ouOn n'a pas oublié sa création de Mme Alair pour résultat. Il est ridicule et odieux douane allemande, on trouvera jambon et vriers de l'Etat ont tenu des réunions à la 1 dans le Vieil homme, ni son interprétation s'il met en présence un épéisle de pro- saucisse de pays, bière 0 fr. 40, vin : 1 fr. suite desquelles ils ont reconnu que l'ensemble de leurs adhérents ne désirait pas originale, à l'Odéon, du rôle de Roxane des fession et un brave homme qui n'a ja- 25 centimes. assister à un meeting de protestation, à Trois Sultanes, Il n'y a pas lieu de prendre de mesures Quelques indications la suite de l'interdiction faite par M. Deli Tout récemment, elle créait la Gamine à mais mis les pieds dans une salle d'aru spéciales oassé à l'ouvrier Damarque de prendre ia 5s. 0n sait PARIS, 25 juillet. — A une réunion de la la Renaissance. Avant de partir en villépart à un congrès à Berlin. ■nilitair^'ls61' "T,em qu'une promo■ giature, elle avait joué plusieurs rôles plai- '^Cela, c'est le raisonnement. Cela, 1 nte commission permanente du conseil d'hys desDT n "PP s entaire et indépenCependant, les bureaux des délégués c ■ saute dans Vlan, la revue de M. Rip. 0r Le colonel Mangln trimestrielles, va être giène, M. Mirman, directeur de l'hygiène1 ont voté un ordre du jour de protestation c-'est la logique. Mlle Lantelme était une gracieuse et jo'■ publique, a déclaré qu'à Marseille aucun1 TANGER, 22 juillet. — Le colonel Mangin, regrettant la défense faite à Lamarque a mm lie jeune femme, dtiumeur enjouée et d'esMais d'autre part le duel est si com- venant de Paz en congé, est attendu ici de- en raison de la possibilité du caractère cas nouveau n'a été constaté depuis le1 prit ^^es 2i ^ P°int de départ ies ré-■ 20 vif. juilet. rt eS par Ie Gnéral Tou mode que sa disparition laisserait main. Informé en route des incidents d'El- antimilitariste et antipatriotique du conI te6t ,e Kéner'a|T^n . S " Mom,er Le conseil a estimé qu'il n'y avait pas; Kçar, il a, pour éviter des difficultés qui au- grès auquel il devait assiste.!* et s'engaht,°°«0 «B «ut! ro Pour les ofriciers^ Chute grave d'un aviateur a peut-être des regrets. \ ^ iti \f'f -marocains et du corpsJ1 lieu de prendre des mesures exceptionraient pu surgir avec des patrouilles espa- geant « à poursuivre sans relâche l'idéal la re ri 0rui I " du Maroc. nelles. — Havas. SENUS, 25 juillet. — L'aviateur anvorsois D'abord il donne la gloire à bon mar- gnoles qui auraient tenté de désarmer les de tout travailleur conscient, la paix, 'e Pr Devos a fait cet après-midi une chute aux cavaliers indigènes de son escorte, fait un bien-être et la liberté ». — Havas. Cnt coSf au clloi^ seront naturelenvirons de Senlis. Il serait grièvement ché. Dans un siècle où on n'a pas le long détour de vingt kilomètres et n'a pas 4 O' (oi^neté ,,n es,par des promotions a blessé. Devos a été transporté à l'hôpital' temps ni la possibilité de la payer cher touché à El-Kçar. ~~ Havâs ot'Aciers de la mètroTROYES, <!5 juillet. — Un cyclone s'est; Lariboisière, BOURSE DE PARIS à Paris. — Havas. ce n'est pas une considération à dédaiA propos de l'appel des réservistes abattu sur le vignoble de Bar-sur-Aube. T 1C H w K allemands gner. Les céréales ont été hâchées par la grêle Prew. couri Dbrn. coun On lit dans le Temps : à Bayel, à Clairvaux, à Baronville. VALESI VOGUE VERS LA FRANCE lE 25 juill. 25 juill. Ensuite il dénoue rapidement et à la « Des dépêches de Berlin signalaient Dans cette dernière commune, ies deux MONTEVIDEO, 25 juillet. — Valesi, accusé Renie H Ojii 64 OO H ûî hier la convocation de 400,000 réservistes, satisfaction générale les affaires les tiers du vignoble sont en outre détruits; seu-[ de l'assassinat de M. Guichet, directeur Actions Lyon ' lir>9 .. Ilf3 .. le a été épargnée la partie déjà ravagée par. de l'asile d'aliénés d'Aix-en-Provence, s'est plus inextricables. Deux hommes s'en et en tiraient des arguments pessimistes. Mélrouoiilain te^Rïs Ua"'iVée à Brî8t0' Ui'i •• 6 ri .. lit*3 . . 1715 .. l'orage, le 17 juin dernier, en' sorte que la constitué prisonnier. Il a été embarqué à veulent mortellement. Ils se sont réci- Comme le Temps le disait hier en « Der- !!io Tiuto Voici les nière nouvelles », l'appel des réservistes -:ostiowice 14H1 .. 1463 ... , récolte est complètement perdue, ■ *ttLl0,»',&Uii!-1 0t ~ résultais destination de Marseille par les soins du du et de la landwehr se fait tous les ans, et Extérieure 4 0|0 ......... 03 45 '•'•! 47 ilto^P'ane rt^i . " Tout d Angleterrei La consternation est générale. proquement accusés de vol, de conconsul de France . Havas. celui de cette année a lieu sur une convo- Uiiste eonaoliilé 4 i!(0 .... '.)/ .. 97 iU *C'9sages'nh. lmbourg a Bristol, avec, — De violents orages "ont sévi sur tout le cussion et d'assassinat. Si l'on allait cation faite le 17 mars dernier. De Béer* (ord.) t", !">0 457 CO département. T8N S0 ÎM .. « Le chiffre des réservistes est sensible- liand Mines plaider devant un tribunal l'offense en k.), 1A Varl'ste 137 k.j, fvlancnes-'. La foudre a allumé des incendies dans Iiriar.sk (ord.) 400 .. 404 ment le même que celui de l'an dernier.» les villages de Paylas, d'Origny-le-Sec et de serait prodigieusement aggravée, et Turc W 20 91 27 V ^te>*, ^ aUU kl|omètres : Saint-Léger. Banque ottomane O'iU .. 673 .. s'étendrait bientôt à tous les membres ne 6 L av Serbe H9 .. 88 93 BORDEAUX, 25 juillet. De violents ora«• S altur" * ~~ ' 'ateur anglais; de la famille. On n'a donc pas recours C>« contT,1 a huit neures et demie, ges ont éclaté sur la région. La grêle a. Téiégramme commercial Moscou. L'aviateur Slusaranko veLa promotion des récompenses 3e la mu[ causé des dégâts au vignoble sur divers• (Bourse du coatuiercts/ << "Ks s>t; r^-'aieurs environ tualité, qui comporte près de 7.000 noms, aux avocats, ni aux avoués, ni aux ju- nait de quitter Moscou avec un passager, points et la foudre a allamé des incen-■> paraîtra ges. lorsqu'il fit une chute. Le passager a été Cuitircb fournis par ia maison lioger et Cie jeudi prochain à l'Officiel. , dies. tué. L'aviateur a eu les deux jambes briUne médaille d'or est décernée notam-Paris, % juillet, 1 » ôi -••<• 6 ai Vê à Mancnes On désigne'deux amis. On fail flamLes insolations *H sées. L'appareil a été détruit. — Havas. 0O1HANT 1 DlillNlKH ment à M. Olivier François, visiteur et seTOURS. M. Emile Faure, député de la1 ber deux épées. On est blessé ou on Avoines iltX) kil.) 20 ;» 10 4a arrtVé à Manctlester a crétaire depuis 31 ans, de la Société de filés (100 kil.) 2* ôâ 2s Qo l^ûi & n. 2° circonscription de Tours, a informé le! Neufchâteau, et Mêzières (Alfred-Jean- blesse, L'AOCtDENY DE M. AUTRAND généralement de façon assez ministre de la guerre qu'à la rentrée des 88 38 .. VERSAILLES M. Autrand, préfet de Sei- Farines (loti kil.). 'f- - Vêdrines a atterri Chambres, il liff poserait une question au■ François), sénateur de Meurthe-et-Moselle, légère. Et voilà que soudain par l'ad- ne-et-Oise, a été renversé par une autoe membre de l'Académie française, président | du contrôle a Hj h. . - n . sujet M 50 !U li de nombreux cas d'insolation qui sei depuis 25 ans de l'Orphelinat de l'enseignc- mirable vertu d'une fiction les deux mobile à Paris. 11 a été ramené à Ver- Lin W a 68 25 69 75 sont produits, samedi, dans la garnison de1 ment primaire à Pari». sailles. On espère que son rétablissement Huiles (100 kil.) Havas. * 1 .-CDfflbftl^nts .qui s'étaient traînés dans Alcool (Ibectol.) 31 12 49 ?o Tours* — JsLaOJBUb sera l'affaire de quelques jours.— Bavas £uei'ej3 38 ar ai oo du transfert de Gustave Hervé ïnent « — m km Excursion Popuïalrs — Dans ia vallée de Celles et au Démon LES MEURS GREVISTES OU OILLES — — J IMESTS ET SmtSTHES — — Les francs I — , 4: i », i v i u nnrm smimximt LE CHOLÉRA K 'Sî;f LES ORAGE ? ÏOya D'ANGLETERRE i * — 1 RÉGION ^ 10 5 — Les récompenses de ia mutualité TERRIBLE HCCIPEIÏ D'AVIATIOK — BOII.-M-.'K è' ? Sto ^ '" - — — ^^^S^lj — — • PAS DE CHOLERA A LYON 25 juillet. — On confirme une information donnée hier et d'après laquelle une femme morte à l'hôpital de la CroixRousse n'aurait pas succohibé au choléra. L'administration municipale communique une note rassurante d'après laquelle t'analyso bactériologique faite par le professeur Courniont et lu docteur Lesieur aurait démontré qu'il s'agissait dune entérite cholcri forme due à la mauvaise qualité d'aliments. D'ailleurs — ajoute la note municipale — l'état sanitaire à Lyon est excellent et la mortalité y est môme inférieure à celle des périodes correspondantes de ces dernières années. Cependant, en raison de l'extrême chaleur, M. Heoiot, maire de Lyon, a prèscrit les plus rigoureuses mesures hygiôniques. — Havas. j ' NANCY La foudre teas à Bois-l'Evêcrue ' LA JOURNÉE Régionale LYON, * NOS OFICIERS AVIATEURS VITTEL, 25 juillet. — Le lieutenant de Malherbe, venant de Lunéville en monoplan, a atterri à six heures et demie sur l'hippodrome de Vittel. L'officier aviateur compte regagner son cantonnement après avoir assisté à la réunion de courses de Vittel. BUC-AVIATION, 25 juillet. — Le lieutenant de Grailly, pilotant un monoplan, a subi avec succès la première épreuve du brevet d'aviation militaire, allant de Bue à Cottainville, près de Chartres, en 1 heure 30 minutes. L'officier aviateur a effectué ce voyage à une altitude moyenne de 600 mètres. L'INCIDENT BERNSTEIN-LACOUrT" La mise en liberté momentanée de Lucien Lacour, le camelot du roi qui frappa M. Briand, ayant été refusée, son premier témoin, M. Maurice Pujo, a demandé, du consentement de son « client » à lui être substitué comme adversaire de M. Bernstein. Cette substitution a été acceptée. Une rencontre à l'épée aura lieu mercredi matin aux environs de Paris. Collège de Verdun. — Président : M. Humbert, sénateur de la Meuse ; Discours : M. Hérault, professeur de 5*. Collège de Bruyères. — Président : M. le docteur Schmitt ; Discours : M. Aubcrt, professeur de Lettres. Collège d'Epinal. — Président : M. P. Cuny, député dos Vosges ; Discours : M. Augier, professeur de 5". Collège de Mirecourt. — Président : M. iMage, sous-préfet de Mirecourt ; Discoure : M. Gaiidey, professeur de Sciences. c Collège de Neuîchâteau. — Président : ^ M. Camille Picard, député des Vosges ; j Discours : M. Roger, professeur de letttros. . Collège de Remiremont. — Président : M. Legrand Girard (général) ; Discours : j,M. Desiloges, professeur d'histoire. A CoMège de Saimt-Dié. — Président : M. , le p sous-préfet de Saint-Dié » Discours : M. Neyton, professeur d'anglais. t i Ul Tt un caporal, blesse cinqsol riais Tue „ TOUL, mardi 25 juillet.— Lundi, vers 6b heures et demie du soir, un violent orage a éclaté sur le camp de Bois-l'Evêque 8? où logées sous J>u se trouvent, en ce moment, e a tente les troupes du 2 groupe d'infan*la terie de forteresse de Toul, composées des e 4° *° bataillons des 160°, 155 et 69° et actuellei lement occupées aux feux de guerre. La foudre est tombée sur une tente du 160°, *° 13e compagnie du fort de Frouard. *" Le caporal Rey Jean, • originaire de Mala lakoff (Seine), a été tué - sur le coup et cil cinq soldats ont été plus ou moins blessés grièvement par le fluide électrique. *é Ce sont : Baudrier Louis, Sembert, BerW tino Charles, Beaudoin Edmond et Dutu bois Alix. Tous les soins indispensables PJ furent donnés pai le médecin-major e *leur de ^ service et les infirmiers, qui restèrent auprès des blessés toute la nuit. Ils se plaignent tous de douleurs violentes aux P* jambes. Les deux derniers, Beaudoin et -j^ Dubois paraissent plus grièvement atteints. Mardi, à 11 heures du matin, les cinq t)1 blessés ont été amenés à l'hôpital mixte de Toul, où M. le major Buy les a exami^ nés. La foudre brisa aussi un faisceau de fusils. " Une femme brûlée % Association des Omis ! II Ijieuï latîl ;: Mardi, vers sept heure-; et d(>m tin, un douloureux accident est sur^Hi 1 uv quartier du 5° hussards. «nu* Mme \ irginie Virrion, âgéeç]e,-7 était occupée comme cuisinière n i ans* tenue par M. Le Gayoust, „ étéVrûfM! e»K. L'emplacement de l'ancien théâtre dans \ les circonstances suivantes • l Mme Virrion,voulant allumer im MERCREDI 26 JUILLET. — 207° JOUR DE d r On nous prie ]^| ,= u cen- û I essmee de pétrole, constatait L'ANNÉE Fondée pour delcndrc ies int6rêts «"o" d . , . avait plus rien dans le réservoir, pi"" h tre de la ville, l'Association des amis_oa AUJOURD'HUI : sainte Aune. — DEMAIN : plir celui-ci, elle s'emparait d'un T Vieux Nancy, ne pouvait se oewi» saint Liboire. \ tenant de l'essence. "lre c0t Ephéméridcs lorraines. — En 1281, paix dde l'utilisation de ''emplacement Je 1 amaen Sans prendre la précaution d'eni entre le duc Ferri 111 et les habitants de tthéâtre. Une commission à™™* , réchaud se trouvant, sur [e fl t Metz. sée de MM. Paquy, ancien Wtowjera» s cuisine, qui était allumé, elle se mît T « 11 des avocats, Boidm vice-présiden A 8 heures J. — Réunion du Photo-Club l'Ordre j. ser le dçmgereux liquide. «v»,; nancéien. ^honoraire du conseil d* Préfecture Lalan Aussitôt, une explosion se produha. A 8 heures J. — Musique militaire place ■ce, commandant en retraite, rapporleur , C'était le litre d'essence qui ven» c Stanislas. jMerklen, directeur du Sport ; V;a te i, ie- ter et lé liquide en flammes commît sident de l'Union des syndicats de 1 alimen- ,' îe-fon aux vêtements de la niaihe 'e,?>j OBSERVA TI0HS MÉTÉOROLOGIQUES Ul \ tation a reconnu la nécessite de cons un sinicre, qui bientôt ne formait pilK „eCH. » 4 Bordeaux 760, Nice 764. Dépression Ecos- un palais d'expositions cl de fêtes digm> torche vivante. 4^ u se, Gascogne. gpar ses dimensions, son éclairage son trt Les personnes présentes dans ia Probable : Vent, variable, pluies orageu- ractère £ central de l'art, de l'industrie et de s'empressèrent aussitôt déteindre f . ses, température normale. j, vitalité lorraines. la , mes qui dévoraient Mme Virrion n BLAMONÏ, 24 juillet.— Le comité d'orgaNancy, baromètre : 6 h. matin, 748 ; miLa commission adhérait ainsi a la pçti cours lui lurent donnés. Pendant cet ^ n nisation des fêtes du 13 août emploie son cdi 748, 4 h. soir 749. . tion présentée le 23 mars 1911 par les prési- on demandait la voiture d'ambulant t< temps avec une patriotique activité. Thermomètre : 6 h. matin + 20, midi dents des diverses associations artistiques ( pompiers, qui transportait la maihe,, Il est juste de rendre hommage aux + 81, 4 h. soir + 30. d de Nancy. , * ., m s l'hôpital, où elle expirait peu à ddévouements que la présidence de M. le Minima + 17, maxima + 32. v es Un projet intéressant non seulement 1 em- arrivée. , % d docteur Hanriot a su grouper autour des Observations de M. Belliéni. jplacement de l'ancien théâtre et de ses anM. Nav, commissaire de police a r,,, n membres du comité permanent, MM. G. nexes, mais celui occupé actuellement nar une , enquête. ' %\ î\ Mazerand, commissaire général ; Rimle magasin de décors a fait l'objet d un bbach, Dion, René Florentin, Diot, Seliexamen attentif- Il comporte la construction Vols de bicyclettes qquer et Colette. Une plaque en marbre d'une grande va- *d'un café, plus en retrait de la place StaD'ores et déjà, on estime à environ ileur apposée sur la maison de M. LalonDans ia matinée de mardi, des intfj,.-. nislas, (lue n'est la Rotonde, afin d agran11,500 gymnastes, le nombre des jeunes de, rue Saint-Dizier, est tombée sur la inconnus ont pénétré dans le™,!?"1 dir le jardin, l'établissement d'un passage- restés i c g gens qui apporteront aux fêtes leur vail- cchaussée, où elle s'est- brisée. de la maison portant le numéro y/ cleia ' plus convenable, le maintien dans ses dis- J 1lance et leur entrain. Enlln, boulevard Lobau, la foudre a bri- i Stanislas et ont dérobé une bécane dfïï positions actuelles du Cercle des étudiants. > L'Escadron de Lorraine, présidé par ssè de nombreuses branches aux arbres. I ' Ce vaste projet ne pouvait être entremis francs au préjudice de Meyer PhilinL 8 et l'Escadron de RM. Pierre Bachelard d'une part avant la fin d'un bail à expira- une autre estimée 200 francs au prëinrt Nancy, dirigé par M. Lucien Larcher, se Au cours de l'orage de lundi soir, la fou- f du 30 juin 1912, de l'autre qu'après le 1de M. Vatrin, limonadier. A onze tien?"S 1 rendront à Blâmont en deux étapes qu'ils dre d est tombée sur la maison du restau- tion déplacement du magasin de décors. Il exi'du matin, M. Verseili, qui avait <C : couvriront à cheval. 1 rant Jacob, au plateau de Villers. son vélo devant les Magasins-Hèunis , • La musique de Blâmont, la fanfare du La toiture a été presque complètement fgeait des dépenses pour lesquelles en ne temps de faire une emplette, ne put'»1 dispose pas actuellement do ressources. c groupe Bara, les Trompettes Républicai- tdétruite. constater sa disparition à la sortie. " Pour donner immédiatement satisfaction ' nés, les Harmonies des usines Mazerand, Les tuiles ont été projetées à plus de à la population, la commission du Vieux'■ . . ♦ > # à Cirey et des usines Marchai, à Saint- cinquante c mètres de là. Les dégâts sont i Nancy estime qu'on peut dès maintenant t 1Dié, prêteront leur aimable et précieux considérables. le vaste rectangle de l'ancien théà- • c concours. La foudre.est également tombée sur un utiliser l pour des expositions en été, pour des On annonce enfin qu'à l'exemple de Pa- gros p chêne qui a été réduit en morceaux, tre t 1ris, de Nancy et des grandes villes où Un des plus curieux méfaits de la loudre 1bals, soirées, banquets, réunions, petites reLes services supplémentaires 1 c cette forme bien française de la charité (est certanement celui que l'on nous signale Iprésentations pendant la saison d'hiver. Nous avons reçu la lettre suivante reiiB c Ce rectangle comporterait : obtint un succès considérable, la vente de 1 la rue du Sergent-Ulandan. ( 1 1° Un sous-sol de 3 mètres de hauteur sur 'tive aux services supplémentaires des tral des petites fleurs bleues sera faite au Au cours de l'orage de lundi soir, le tonways de Nancy : i nerre tomba sur une maisonnette que M. 1la surface entière du rectangle. 1profit des blessés militaires. Nancy, le 24 juillet V)\l I Mme Florentin, femme de l'honorable Jeannette possède dans un jardin, et où se 12° Un rez-de-chaussée relevé de 2 mètres Monsieur le rédacteur en chef, '■ fadjoint au maire de Blâmont, est prési- trouve t par rapport au sol du péristyle d'entrée, notamment la niche du chien. f Permettez-moi d'avoir recours â vofî. dente, on le sait, de l'Union des Femmes On entendit le chien hurler lamentabtei avec escalier près de celui-ci et communi' 1de France. Elle a trouvé des collabora- ment i et l'on accourut, La pauvre bête n'a- ccation avec la rue Stanislas, au fond une obligeance pour réclamer dans la « Trih triées dignes d'elle et son œuvre est vait 1 plus que trois pattes. La quatrième petite j scène pour théâtre, la lumière obte- ne publique » de l'Est républicain eontt t c couronnée d'un succès, d'une prospérité ;avait été coupée par la tondre, comme avec nue i au moyen de larges fenêtres s'ouvrant ,certains agissements de la Compagnie'jj ' tramways qui portent préjudice au nn dont l'honneur revient aussi à Mme 1 rasoir. On la retrouva à quelques mè- \vers le Nord et par la toiture vitrée. un ' , blic. 'Léon, vice-présidente ; à Mlle Marie Flo- très. 3° Un premier étage comprenant une salrentin, secrétaire, et à Mme Labourel, Les mêmes elîets coupants du fluide le I embrassant toute la largeur et mesurant . Hier, en revenant des courses, je sit ! r opéré également sur plusieurs pieds 112 mètres de profondeur, de plein pied avec monté en tramway à Jarville pour me MI t itrésorière,femme du si sympathique mai- avaient 1re de la localité. t vigne grimpante. de J Cercle militaire et, en outre, sur le mê- cire rue de Metz. Le car portait comme % J lé 1 Le haut n'avait aucun mal. Aucune bran- me i plan, deux galeries de 4 mètres de lar- bitude de chaque côté une banderole roûfl avec l'inscription « Jarville, Porte i&mm che n'avait même été détachée, tandis que geur : , courant latéralement jusqu'à la scène. Nicolas, Point-Central, Porte DèsilJ les pieds étaient tranchés comme au cou- 'L'accès ] de cette salle ainsi que la commuteau. inication avec le rez-de-chaussée sont assu- Maxéville ». Arrivés place Carnot, tous les voyageJ Le toit de la maisonnette montrait une rés i par l'escalier de la rue Stanislas. furent invités à descendre, ie tramiiB mince ouverture par où avait pénétré la 4° Une flamande à deux hauteurs diffén'allant pas plus loin. Comme je manitaB La cérémonie de Vallières ' îfoudre, mais l'on ne remarquait à i'inté- rentes, ; 5 m. 50 au-dessus de la salle ; 4 m. tais mon étonnement, le receveur me fl ; 1rieur aucun autre dégât. 50 au -dessus des galeries, ce dernier chifMETZ, lundi 24 juillet.— Une grande réuque les inscriptions latérales ne signitiaieflj fre adopté pour réduire l'éloignement de la nion du Souvenir français a eu lieu, au. rien et qu'il ne fallait tenir compte quejl lumière. Au point de vue de l'ensemble, jourd'hui a Vallières, réunion organisée ia petite pancarte tournante qui se trom I une hauteur unique (5 m. 50) serait préfépar le comité local de Vallières-Vantoux, à l'avant, au-dessus du wattman, et ij rable d'autant que définitive. petites bourgades des environs de Metz, oU portait : Place Carnot. J'ai dû prendre i L'exécution nécessite la démolition de réside M. Jean, le délégué général du SouLe rôle des assises autre car et mon voyage m'a coûté U ir : venir français en Alsace-Lorraine. toutes les annexes de l'ancien théâtre pro+ 0 fr. 10 = 0 fr. <5ô, alors qu'une corn La cérémonie de lundi dernier emprun- , Mardi 1°' août. — Matin. — Première af- prement dit, y compris le foyer, mais sans pondance pour la rue du Sergent-BlaMi: j au magasin de décors. tait aux circonstances actuelles un carac- faire. — Coups et blessures. — Accusé : toucher Adolphe Liégeois, 28 ans, manœuvre, à Vilpar exemple, ne m'aurait coûté que 0 fr.J tère des plus émouvants. Disposé ainsi, le bâtiment permet des En résumé, j'ai déboursé 0 fr. 05 en trop Une quarantaine de délégués venus des lerupt. —■ Ministère public : M. Rencker.— expositions de beaux-arts. Je reconnais que le préjudice est mima deux côtés de la frontière se trouvaient réu- Défenseur : M" Lorentz. , La salle du premier étage, en raison de mais néanmoins je crois être fondé a récit Soir. — Deuxième affaire. — Viol. —■ Acnis à Vallières autour de M. Lataix, de l'indépendance que lui donne l'entrée par la cusé : Hippolyte-Alexandre Cousin, âgé de rue Stanislas, rendrait de grands services mer. 11 s'agit de questions de principe, ta Briey, qui présidait l'assemblée. 30 ans, domestique, à Rouves. — Ministère Un remarquait aux premiers r ings : MM. ' dans le cas de réunion de moyenne impor- il admissible d'abord que les tramways pui Léon Herbier, de Nancy; Castiï avoué a public : M. Simonet. — Défenseur : M" Clau- tance, elle pourrait dans certaines circons- tent des indications fallacieuses '! Ënsuinl Briey ; Daum, de Homécourt ; Louyot, del. tances être mise à la disposition du Cercle de quel droit la Compagnie fait-elle paya Mercredi 2 août. — Matin. — Troisième militaire. Une paroi mobile permettrait 0 fr. 15 pour un parcours incomplet îj d'Ars ; Simon, de Pont-à-Mousson ; Oury, I< affaire. — Violences o agenls avec effusion d'en faire une loge lors des bas donnés dans est-elle autorisée par son cahier des cli# de Bouzonville, etc.. ' sang. — Aecusé : Natale Marcbini, âgé ges ? La Compagnie a parfaitement isim Après le service funèbre, célébré dans l'é- >ile " le grand hall. Le rez-de-chaussée,déduction dans des circonstances comme celles d'1* glise de Vallières, on se rendit — par petits de 28 ans, mineur, à Moutiers. — Ministè-0 faite de l'escalier d'entrée et de la scène, public : M. Rencker. — Défenseur : M d'organiser un service spécial, mais elle i groupes et sans insignes du Souvenir Iran- re ; offrirait une surface de 32 mètres sur 16, çais — au cimetière de la commune, pour y de Nicéville. soit 5112 mètres carrés, les galeries et la sal- devrait pas en profiter pour majorera Soir. — Quatrième affaire. — Meurtre. — le du premier pouraient également recevoir prix (Elle aurait pu se contenter de dema déposer une couronne sur la tombe du cader 0 fr. 10 de Jarville à la place Carnol pitaine Sanial et saluer toutes les tombes Accusé : Louis Ricci, âgé de 24 ans, terras- des auditeurs et des spectateurs. sier, à Rehon. — Ministère public : M. SiSes affaires sont suffisamment, prospérai militaires. L'usage d'un tel palais répondant dans 3 L'assemblée générale eut lieu dans la monet. — Défenseur : Ar Cordier. la plupart des cas à des besoins ou à des elle ne saurait invoquer, comme pour li Jeudi a août. — Cinquième affaire. — Vols grande salie Nicolas, ornée d'une chaire obligations auxquels une grande, ville ne tramways du soir, la pénurie de voyageai drapée de noir avec semis de croix ,de Lor- qualifiés. — Accusés ': Giovanni Garsi, âgé peut se soustraire, la commission s'est de- En tout cas, elle est inexcusable de laiss de 43 ans ; Carlo dit Grando Dellacha, âgé raine d'argent. mandée s'il ne convenait pas de faire sup- sur ses voitures des inscriptions trompa Cette chaire devait être occupée par l'ab- de 35 ans, mineurs ; Guiseppc Corsini, dit porter aux finances municipales les frais de ses, car les banderoles qui indiquent fit bé Scharf, curé de Knutange, qui devait Cinamaglia, âgé de '29 ans, 'forgeron, tous construction et de laisser à l'administra- néraire sont mobiles. public : M. Veuillez agréer, monsieur le rédacteur! prononcer l'oraison funèbre des soldats trois à Homécourt. — Ministère tion de ia ville les soins de l'exploitation. es français morts sous Vallières, Servigny et Rencker.— Défenseurs : M Pierre Moreau, Mais la difficulté de trouver disponible une chef, l'expression de mes sentiments U Bomy en 1870, mais au dernier moment, Herqué et de Roche du Teilloy. somme suffisante ferait ajourner pour long- distingués. Soir. — Sixième et dernière affaire. — Un lecteur de la rue de M«i l'évêque de Metz, Mgr Benzler, le lui intertemps la construction. D'autre part, entre Viol et meurtre. — Accusé : Lucien-Félix dit. les mains d'une société, l'exploitation a Alexandre, âgé de ans, domestique, à La**« On avait supprimé du catafalque toute chance d'être portée à son maximum d'effidécoration militaire et tout insigne fran- beuville. — Ministère public : M. Simonet. cacité, son conseil d'administration s'ingéNous avons également reçu cette amusi — Défenseur : M° Blum. çais. niant à varier les attractions, à aplanir les te missive sur Faculté de droit On y toléra la couronne envoyée par les difficultés, à activer le mouvement. Le faux-col obligatoire officiers français du 96° régiment à leur ca Ont été admis : ^ Le moyen le plus pratique pour mener er re marade le capitaine Sanial. 1 examen de baccalauréat, l partie : l'exécution' en peu de temps, sans obérer Monsieur, L'assemblée, présidée par M. Lataix, était: MM. Petit, Pierrot, Ferry, Manil, Dalsa-. les finances, sans nuire au projet plus Vous voyez devant vous de bien tristes a rigoureusement privée. On y entendit suc- ce, Joussein. * important qui pourra être réalisé dans un ployés. Notre condition tirerait des laffl cessivement MM. Jean, Lataix et Léon Hercertain nomlhre d'années, résidait donc des pierres. La Compagnie des tramai Pour les vacances bier. Il faut profiter des vestons alpagas, dans la constitution d'une société. On es- condamne en effet les humbles et dévoa31 M. Jean, outre son rapport général, pro- costumes coutil, pantalons bluncs et ka-■ time que le capital de celle-ci devra être, serviteurs que nous sommes à garderie nonça une touchante allocution. faux-cols. kis, gilets fantaisie et tous ies articles; de 300,000 fr. Un membre du S. F. de Nancy parla en- d'été qui sont soldés à des prix excessi-:, Cette société demanderait à la ville, Une tenue décente est de rigueur sur suite très longuement sur le rôle et les1 vement réduits à la Grande Fabrique, 27, principale intéresse à cette transforma- plates-formes. Un wattman sans cran œuvres du S. F. en Lorraine, des deux■ rue Saint-Nicolas, Nancy. ' tion, une garantie d'intérêt. Au bout d'un un receveur sans faux-col portent atte» côtés de la frontière. certain laps de temps, le palais devien- au bon renom d'élégance et de chic <J""" Académie de Nancy Puis on se réunit dans un dîner amical, drait la propriété de la ville. régner chez nous. La tenue de soirée" au cours duquel bien des idées pratiquess Par arrêté en date du 11 juillet 1911 publiéi Ces conclusions ont été soumises à l'as-. des gants n'est pas encore présente,-'" furent échangées, des lettres d'excuses eti au Journal officiel du 12 juillet 1911, une5 semblée générale de l'Association desi on y viendra. de sympathie furent lues, des toasts por-- dernière session d'examen pour le certi-. Amis du Vieux-Nancy qui. à l'unanimité, Que, par ces températures camci*'1. tés. ficat d'études exigé des aspirants au di-. a adopté le vœu suivant présenté par soni on exige la suppression des faux-colsM. Jean donna ensuite d'amples rensei-. plôme de chirurgien-dentiste s'ouvrira, président, M. Paquy : les bocks, soit ! Mais que nous soyons " gnements sur les manifestations prochai-. en 1911, le 11 octobre au chef-lieu de chatés sur un pied d'égalité avec les « sen«» Vœu nés et cérémonies patriotiques des 13, 14, que académie. et les « distingués », cela s'impose ^ « La Société des Amis du Vieux-Nancy 15 et 16 août, sur les funérailles du oapiLes dates des épreuves sont fixées ainCompagnie ne saurait nous infliger u« taine Petitjean, à Sainte-Marie-aux-Chênesj-' si qu'il suit : Epreuves écrites, mercredij « approuvant le remarquable rapport dé> plice renouvelé de la cangue et du fl (qui seront une grandiose manifestation),; 11 octobre ; épreuves orales, jeudi 12 oc- « M. le commandant Lalance, décide que> chinois. . j( « oe rapport sera immédiatement transet sur la prochaine exhumation des soldats; tobre. Et puis, il se mêle à ces considéra' _ « mis à M. le maire de Nancy, et émet le Les registres d'inscription seront oufrançais à Batilly. ' une raison d'économie qui ne sauranj On se quitta en se donnant rendez-vous3 verts du samedi 16 au samedi 30 septem-_ « yœu que le conseil municipal soit appeléi ser inaperçue clans nos modestes v> « a délibérer dans le plus bref délai posle 16 août à Mars-la-Tour et le 20 à Batilly, bre inclus, au secrétariat de l'Académie. f • « sible sur le projet de constitution d'une" geset en donnant aux délégués de Briey l'asCelluloïd, linge américain, toile.0'1 g Pour pouvoir boire « société privée, qui serait dûment auto-Î surance du plus dévoue concours pour lei ■ cale, le faux-col réclame un entretien r Mardi matin, la police a pu arrêter grand monument qu'ils projettent d'éleverr Marie Charondière, qui, pour avoir der « risée, par décision du dit conseil, à se> ou moins onéreux. .,.«,■ à Saint-Ail-Habonvillo, terre française, eni l'argent afin de satisfaire sa passion poure « charger, sous le contrôle de la municiLe public nancéien porte ordina»' . souvenir de la fameuse journée" du 18i la boisson, a poussé les jeunes Van Ho-r « pahté, de l'édification et de l'exploitationL ses réclamations sur des sujets plu\? (i '- « a un Palais d'Expositions et de Fêtes août. ven à dérober un tuyau de plomb. Less « sur l'emplacement <je l'ancien théâtre', vos. Que nous ayons ou non des fa'1. deux enfants sont du reste des jeunes vo- « d après l'avant-projet avec plans à l'an-. les voyageurs s'en soucient tort peu \ leurs qui doivent être enfermés dans unee « pui exposé dans ïe rapport, à chargé• préféreraient avoir des voitures de ^ { 1 maison de correction jusqu'à leur majo-'- « par la ville de Nancy de garantir &î tin et jusqu'à onze heures du soir. TOUL, mardi 25 juillet,— Le général Mi-j i rité. De grâce, obtenez pour nous que1 ^ chel vient d'arriver à Toul pour inspecte^ « nuellement et pour toute la durée de la Marie Charondière, ancienne fille sou-i- « société projetée (en faisant état des re-i ce soit facultative, et que le faux-ou les forts de la place. Il a été reçu par leJ général Gaudin, gouverneur de Toul .; mise, a également plusieurs condamna-i- « cettes nettes dûment contrôlées et en- dans l'armoire. par le général de division Defforges et^ tions pour vol à son actif. Veuillez agréer, etc.. ,.,,.„„, « oas d insuffisance) un intérêt de 5 °"1 Accident le général de brigade Franchet d'Espée At 8 " teS'f T P"™" ) du capital de ] M. Paul Deberbe, âgé de 36 ans, marey. Il est descendu à l'hôtel de la Co■ — " [ .- « 300000 fr. à prévoir dans l'acte constimédie. Il compte rester à Toul pendant[ neouvre, demeurant rue Chaiies-III, a étée « tuti de la dite société, mais étant forrenversé, rue de lTle-de-Gorse, comme il trois jours. ' poussait une petite charrette, par une au- « vilement entend,., qu'à son expiration -- « le Palais dont s'agit deviendrait de droitt Ceux qui ont fait do l'auto à scS, rj tomobile de M. Durlach. Il a été transla porté à l'hôpital où après examen on a " âfffi^?* , P^été de la ville»D et possèdent aujourd'hui une 0 W '< a MM. Paquy, Lalance et Merklen ont en-- MENT-BAYARD peuvent se rendr a Mlle Génin, directrice de l'école des filles3 conclu que ses blessures n'étaient pas s tretenu de ce projet M. l'adjoint Michaut , te de l'incroyable progrès accornP'1^ de Colombey, se trouvait en villégiature3 graves. qui os a assurés df -l'intérêt que la munichez une de ses amies à Mont-l'Etroit, et vaMaçon blessé je tourisme 'ou pour la ville la i-»^ cipalité porterait a sa réalisation, quait aux soins du ménage. Mardi matin, vers neuf heures, M. Alix. ',500 francs ou la 20 IIP à 0.WU [j* —. . atteignent une telle perfection i ;v Ditrich, âgé de 35 ans, ouvrier maçon, qui" En voulant enlever une bouteille d'essenpeine à se rémémorer la voiture ce placée sur une étagère au-dessus de lai travaillait à une maison en construction, ^ Rixe sanglante cheminée où un fagot flambait dans l'aire,, rue de Phalsbourg, a reçu sur la tête un son aïeule. elle laissa tomber cette bouteille, qui se3 madrier qui lui a occasionné une forte plaiee Mardi, vers dix heures du soir «n* brisa. à la tête. Il fut conduit à l'hôpital, d'où,i, rixe a éclaté dans un café, rue flôdinn L'essence prit feu aussitôt et le feu se3 après avoir été pansé, il put regagner son n entre une dizaine ct'apàches Le D^W J?' domicile. communiqua aux vêtements de Mlle Génin, l'établissement mit tout le Tnonï A t! qui, affolée, appela au secours. Affiches non timbrées rue. Là, la bagarre recommença et hl'«T Le tribunal de simple police a conLes flammes furent rapidement étouffées, i- tôt des coups de revolver élaient r & mais la malheureuse est atrocement brûléeé damné à un jour de prison Georges R..., ., Soudain, le nommé Charles Aubeit • • 18 ans, rue de Montreville, pour avoir sur différentes parties du corps. ir de 28 ans, journalier, demeurant An aRe Son état, sans être trop alarmant, méritee placardé des affiches antirépublicaines !S Clodion, tombait sur la chaude û rue cependant de nombreux soins, dépourvues du timbre de dimension. PLACE STANISLAS.- - Con nait de recevoir une balle dans'1'^^i. . ile Cercle des officiers, le mercre ^ Grivèlerie Ict, de 8 heures 30 à 9 heures . Le blessé, qui perdait son ann» „ en Mardi soiT, M. Louis Drouin. âgé de n par la musique du 69" d'inianu-' ^ y Lejom-nal «l'Est républicain» le abondance, fut transporté à A 0 1 * 49 ans, manœuvre, demeurant 24, rue ù 1. Les Oadets d'Aulriche lt» ie l'interne de service & qu e la est en vente à Pas-Os, ntc des Quatre-Eglises,a été arrêté pour filoui- sure était grave. Mes- A) El-Ninô (Routier) ; B) ^'"cvmP1; daiàis Ses pi-îucipaisx kiosques* terie de boisson, commise au préjudice Pierné). - 3. Menuet de la V ;e M. Lienhardt, commissaire cl* ainsi «fn'awx gares pohc e de M. Choffel, cafetier,. 1, rue du Joli' ;1,ofl i- du IV0 arrondissement a -, ouvei - t « militaire (Haydn).- i. La vçu' ,se de eSicmius de fei*. Cœur quêt/ une .en-i- valse (Lehar) — o. A) Po\on* faiiï Bj L'Arlésienne, farandole iu- . Le concours régional de tir et de gymnastique ' Les orages da lundi soir ; Les crises municipales \ dans le canton de Pont-à-Mousson B fj >» Les incidents de Pugny PONT-A-MOUSSON, mardi 25 juillet. — Les gracieux hourgs et villages du canton de gi Pont-à-Mousson traversent en ce moment P une période d'ébullition. Sont-ce les granm des chaleurs qui donnent aux maires et aux conseillers municipaux un caractère irritable et prompt à la querelle. Ou bien si suivant l'exemple qui leur est venu de EDIMBOURG. — Beaumont est parti d'Ep Pont-à-Mousson, les moindres villages dimbourg ce matin à 3 heures 10, Védri- veulent-ils v< voir aussi leur assemblée cornnés peu après. Valentine est parti à ffi munale tenir des séances agitées ? 7 heures 40. On sait toutes les difficultés que renBeaumont, arrivé à Bfcisîey, en est re- contrèrent c( les électeurs de Dieulouard parti à 9 heures 30. Védrines a quitté p , pour trouver une municipalité. Les tours BaisLey à 9 heures 40. g, de scrutin n'en finissaient plus. Puis ce Valentine, arrivé à Stirling à 8 heures fut fl le village de Sainte-Geneviève mis en 20, en est reparti à 9 heures 21. ri révolution par la grande querelle du maiCody, parti à 4 heures 15 d'Arrogate, R re et du berger que nous avons relatée et a eu son appareil brisé à Langleyinoor et qui _ donna lieu à de nombreux procès et a abandonné la course. _ a articles de l'lndépendant,de Pont-à-MousBeaumont est arrivé à Carîisle à 11 heu- son. g( Jezainville eut alors sa petite crise res 15, Védrines à il heures 58. Valentine municipale n suivie d'une réapparition des est descendu à Castl.e-Cary à moitié che- Vl vers à queue. Dimanche, les électeurs de min entre Stirling et Glascow. Son hélice Mousson y convoqués pour élire un conseila été brisée, un mécanicien est parti pour ler Ie municipal, ne se sont pas dérangés ! la réparer. — Havas. g Enfin, cette fois, c'est la paisible et coquette cité de Pagny qui lève elle aussi les brandons de discorde et s'offre l'atARRESTATION DE VALES! h trait de discussions violentes et animées MONTEVIDEO. — On a arrêté ici Valesi, au sein du conseil municipal. En effet, qui l'an dernier tua à coups de revolver . d'après une longue lettre que nous receM. Guichet, directeur de l'asile d'Aix-en- vons y de Pagny et dont nous extrayons IpT'O'Y ©Il C Q • quelques passages à titre documentaire, La police le cherchait en vain depuis ce S il résulterait que dans une séance du moment ; à Marseille, à Cannes, en Cor- mois de juin, le conseil municipal de Pase, on retrouva des traces de son passage; gny aurait pris une délibération ainsi mais, secondé par des amis occultes, Va- g conçue : « Après avis du maire, l'eau polesi échappa aux recherches. . table sera fermée à l'usine Fabius-HenUn jour, il fut le cicérone du policier rion ». chargé de' l'arrêter ! rrCette usine comprend 450 ouvriers. C'est Bref, l'assassin avait pu fuir jusqu'à alors que le maire, M. Briehon, aurait, Montevideo ; c'est là que la police vient paraît-il, chargé le docteur Maillard d'avide se saisir de lui. {ser 1 usine qu elle ait à surveiller l'emploi Les pièces produites ayant été jugées in' de l'eau sinon qu'il se verrait obligé d'en suffisantes, malgré ses aveux, Valesi a été fermer f les conduites. Aussitôt prévenue remis en liberté. — Havas. par le docteur Maillard, la direction de . — r l'usine avertissait par affiche son personnel qu'elle serait dans la nécessité de li•ECHOS D'E PARTOUT cencier c en cas de fermetuie des eaux par le maire. Plusieurs ouvriers allèrent manifester On annonce la mort, à Champlitte (Haumécontentement à M. Briehon. A la • te-Saône), du général de division de réser- leur _ séance suivante du conseil, une altercave Boussenard, à l'âge de 80 ans. Le géné- ° tion très vive se produisit entre M. Briral Boussenard était né le 24 octobre 1830 ; ehon et M. le docteur Maillard. M. Briil eetra à 18 ans, à l'Ecole de Saint-C.yr, ehon déclara en effet qu'il n'avait charen sortit dans la cavalerie et fit campagne gé M. Maillard d'aucune mission et il deà Sébastopol ; il prit part à de nombreuses *manda au conseil de voter un ordre du expéditions en Algérie où il fut blessé. , jour de confiance et un blâme au docteur La guerre de 1870 le vit chef d'escadrons, jMaillard, ajoutant que si l'ordre du jour aide de camp du maréchal Canrobert ; il rn'était pas voté, il donnerait sa démisse battit à Rezonville et à Saint-Privat, où sion. c Le conseil donna satisfaction à M. un projectile lui brisa le bras droit, dont il jBriehon et l'ordre du jour fut inscrit au dut subir l'amputation. Il avait été promu .procès-verbal. Mais bientôt un nouvel inlieutenant-colonel le 27 octobre 1870. ccident se produisit cete fois entre M. le Il devint général de brigade le 27 décem- maire et son adjoint, M. Barthélémy, qui r bre 1881 et' commanda la subdivision de' (étaient cependant unis par une vieille Tunisie ; puis promu divisionnaire en 1887, amitié. . il commanda les 13e et 5e corps. Ils se prirent à partie au sujet d'une Le général Boussenard était grand offl- mission , concernant l'abattoir que M. Barcier de la Légion d'honneur. |thélémy avait remplie alors que M. Briehon prétendait que jamais elle ne lui: avait été confiée Finalement M. BartheM. Charles Nélaton, chirurgien des hô-■ lémy 1 envoya" sa démission à M. le préfet. pitaux à Paris, vient de mourir dans sa Le 21 juillet, nouvelle réunion du conI propriété de Seine-et-Oise, au « Déluge »,, «seil. L'ordre du jour comportait plusieurs A 8 heures du soir, M. le maire près de Marcoussis, emporté par une embo- affaires. < lie. Il n'était âgé que de 60 ans. Il était filss <ouvrait la séance. Les affaires discutées,' Barthélémy, qui avait pris place au de A. Nélaton, qui fut membre de l'Insti-- M. 1 , tut et qui fut chirurgien de Napoléon III. 1banc des conseillers, demanda la parole expliquer les motifs de sa démisIl publia successivement des études esti-- pour ] mées des spécialistes : « Le Tubercule dans; :sion d'adjoint. M. le maire la lui accorles affections chirurgicales », le « Rapportt <da ; l'adjoint commençait à s'expliquer, entendit du bruit dans les es-' du traumatisme avec les affections cardia-. lorsqu'on 1 de la mairie. Le public arrivait, ques », les « causes de l'irréductibilité des1 caliers 1 luxations anciennes de la hanche », les3 «20, 30 personnes : directeur d'usine, in-' vignerons, etc.. « Tumeurs bénignes des os » et en colla-- génieurs, i — Voilà les Fabius, s'écria un conseil-. boration avec son collègue Ombredanne, la1 ler. <( Rhinoplastie » et les « Autoplasties ». Pour éviter tout incident, M. le maire> Il était vice-président de la Société dej leva la séance en faisant remarquer que\ chirurgie. la question Barthélémy n'était pas à l'or-i dre du jour. Tels sont les renseignements5 qui nous parviennent sur les dissentiUn soir de l'année 1831, à Paris, trois: ments qui se sont produits au conseil1 messieurs étaient assis à une table de municipal de Pagny, élu cependant toutt concert des Champs-Elysées. C'étaient MM.!, ;entier sur la même liste et avec le même Paul Henrion, Parizot et Bourget, tous* programme. Nous le donnons purement3t trois auteurs de chansonnettes qu'on chanà titre d'information sans vouloir nous tait ce soir-là. Ils prirent des consomma- immiscer dans des querelles uniquementt3 tions. Lmisque le garçon vint leur deman- personnelles. der le paiement, ils lui dirent: — Envoyez-nous le patron. Le patron vint. — Monsieur, lui dirent-ils, vous con- Distributions des prix (lycées et collèges) I sommez nos chansonnettees sans payer :• année 1911 permettez-nous d'en faire autant de votre Présidents clés distributions de prix dans3 moka. les tablissements secondaires de l'Aca-Cette conversation fut l'origine de la démie : Société des auteurs, compositeurs et édi-r Professeurs qui prononceront le discours3 teurs de musique. Dans son discours à d'usage : l'assemblée générale, le président se plaiLycée de Nancy. — Président : M. Fur-" sait à le rappeler récemment devant ses" auditeurs. Ceux-ci sentaient d'autant mieux by, procureur général à Nancy ; Discours: M. André, professeur d'allemand. le sel de cette anecdote que les auteurs, Lycée de Bar-le-Duc. — Président : M. qui ne touchaient rien du tout en 1851,'' grâce aux trois consommateurs avisés, ont2 Maginot, député de la Meuse ; Discours : touché, pour le dernier exercice 3.900.000Q M". Despois, proviseur du lycée. Collège de Longwy. — Président : M.. francs. Ils peuvent désormais payer' leur moka !, Pérignon, maire de Longwy ; Discours : ', M. Momet, professeur de grammaire. Collège de Lunéville. — Président : M.. i- le docteur Job, président de l'A. des an-Frey est remis. — Une dépêche do Ronciglione (Italie), annonce que l'aviateurr tiens élèves du collège ; Discours : M.;. Frey, dont on se rappelle la terrible chutee Maucolin, professeur de 7°. tCollège de Pont-à-Mousson. — Président : dans la course Rome-Turin, a enfin pu quitM. Martin, doyen honoraire de la Facultéé ter l'hôpital où il était soigné. ;. des Lettres ; Discours : M. Galand, pro-ia déclaré qu'il avait l'intention de refesseur de mathématiques. faire de l'aviation dès son complet rétablis3. Collège de Toul. — Président : M. A... sement. Denis, député, maire de Toul ; Discours :: . M. Lévéchin, professeur de sciences. On annonce la mort de notre confrère M. 1 Collège de Commercy. — Président : M. Jean de Mitty, décédé en sa propriété dee Vogt, professeur, directeur de l'Institutt Rueil, à l'âge" do 47 ans. électro-technique à la faculté des ScienJean de Mitty avait été longtemps direc3 " ces ; Discours : M. Rech, professeur dee teur du Cri de Paris, et bien que d'originee philosophie. roumaine, s'était fait connaître par un goût it Collège de Saiut-Mihiel. — Président : très vif des lettres françaises et la grande le M. Phasanann, maire de Saint-Mihiel ;! curiosité de son esprit pour ioutes les cho>- Discours : M. Braun, professeur d'alle1' mand. ses de la littérature et des arts. LE TOUR D'ANGLETERRE Académie de Nancy 11 j l Tramways de Nancy 1 Le Souvenir français « en Alsace-Lorraine 1 les OHBaPÎETTES STfiMSSLP Le général Miche) à Toul _ ( Institutrice brûlés vive f ï Hier et aujourdW'., ÎÎÀ m k l-?^ * IM^ courbe du nombre des « chances d'acci- i » dents » en fonction de l'angle des rues.Sans L i Le départ sera donné à 10 heures du doute,trouverait-on un angle « optimum ». soir à La Rochelle et l'itinéraire de cette teurs, ni coureurs pénalisés par l'U.V.F. Concours de tir. — Dimanche, à 1 heure « Il ressort donc que les membres des étape colossale passe par Lu^on La RoOn arriverait ainsi à déterminer les éléde l'après-midi, a eu lieu an stand de ChauFédérations régionales et les coureurs che-sur-Yon, Nantes, Ponchâteâu, La ments du carrefour le plus favorable à la deftey, le eonc#tfrf-championnat de tir du Musillac, Vannes, Hen- n'appartenant à aucune Fédération peu- 20° CWpS, subdivision de Toul, sous la pré* circulation, circulaire (la place de l'Etoile, CYCLISME Roche-Bernard, vent pairticipar à ce Circuit, pourvu qu'Us n nebont, Lorient, Quimpcrlé, Quimpcr, sidence et en présence de M. Franchet d'Esà Paris), triangulaire (place du Bon-Coin), Union des Sociétés cyclistes du Nord-Est. ^ Chateaulin, Droulon, Landerneau et ne tombent pas sous le coup de l'exception perey, général de brigade; du commandant ovale ou elliptique, etc.. — que nous indiquons ci-dess>us, » Brest. - Vélodrome de Nancy. — Dimanche 13, Psufat, dm I;j3e ; MM. Antoine et Catherine Supposons maintenant qu'on ait à lotir 11 +* lundi 14 et mardi 15 août 1911. — Trois Ne crevez pas qu'après c»tte étape, il étaient les commissaires délégués. 8 Parmi les noms des champions lorrains, un terrain que nous supposons, pour plus grandes réunions. — Programme : sort loisible sux coureurs de se reposer, 17 sociétés prirent part au concours. ». hâtirles villes : l'expression est Première journée. — 1. Championnat de ^> non. U leur faudra, le surlendemain, citons, entre autres, ceux do Kippert, SiUne minute sur silhouette buste. Voici M i<arl de ou cl. Et, malgré soi, mon, Laurençot et Pertuzot. surprcn vitesse de PU. S. C. N. E. (séries). — 2. % s'embarquer pour Brest-Cherbourg, soit le classement : »art«ldue;pntiaue. Est-ce que les villes ne Lets tarigagemeints seront reçus jusqu'au Grand Prix de la Ville de Nancy (séries). — * 405 kilomètres. En somme, il n'y aura 1 Cible loraine d'Ecrouves : 46 balles tiresto sc<4 » comme elles peuvent, au 26 juililet, chez M. Haumouche, agent des 3. Roue d'Or de Nancy (course de demi-fond }.' pas une étape dans toutes celles que rées, 28 placées, 48 points. cycles Peugeot, 17, rue des Dominicains, » affleura destinées V - Oui et non. en trois manches), 17» manche, 20 kilomè- Z, comporte le Tour de France où les cou- à Nancy. 2. Lorraine de Coussey : 43 balles tirées, très. — 4. Prix de Vandœuvre (course de reurs pourront se V rte clarté, il convient d'examiner reposer de l'étape 22 placées, 32 poinis. p * tandems (séries). — 5. Course de primes précédente. -« W»rpflinrd le plan d'une ville, ou même 3. Avant-garde de Domgermain : 43 balles (réservée aux non classés du Grand Prix). Si on n'a pas dépassé, on a certaine|U d' ?°£ n en raconte l'histoire. Ses Des estafettes seront nécessaires pour tirées, 60 placées, 29 points. vl1 Deuxième journée. — I. Championnat de „ ment atteint les limites extrêmes auxguider en ville les coureurs. Les jeunes 4 Amicale de Colombey, 50 balles tirées. Jpn i^nes sont la trace matérialisée, vitesse de l'U. S. C. N. E. (demi-finales). — ^ quelles on peut astreindre les concur- gens qui voudront s'acquitter de cette 20 placées, 29 points. /^peut dire, des courants de circula2. Grand Prix de la Ville de Nancy (repê- rents d'une semblable course. Tous les mission sont invités à se faire inscrire à 5 Espérance de Royaumeix, 51 balles chage). — 3. Roue d'Or de Nancy (course de J* 19 placées. 26 points. qualificatifs élogieux que l'on peut adres- la maison Haumouche. 6 ■ ,r, exemple des plus simples : Maldemi-fond en trois manches), 2 manche, 30 ser aux concurrents ne sont que trop 6 Patriote de Liffol-le-Grand, 46 bo'les ¥ Voici un exe^ ^ y Le contrôle sera établi à la brasserie bQnne heure> a dû kilomètres). — 4. Handicap (2.000 mètres). V mérités. Pour s'en rendre compte, il de la Poste, rue des Dominicains ; il tirées, 18 placées, 28 points. g *,.*' (" - ,''ive droite de la Meurthe, de Troisième journée. — Championnat de vi- faut, J comme nous, avoir suivi l'effort fonctionnera après que les cent premiers 7 Société de tir de Pompière, 48 balles r s tesse de l'U. S. C. N. E. (finale). — 2. Grand de bout en bout. |i* , Lay-Saint-Christophe, une coureurs seront arrivés aux Quatre*- tirées, 16 placées, 26 tirées. vt à Prix de la Ville de Nancy (demi-finales). — Vents. Alphonse STEINEH. 8 Rebeuville, 45 balles tirées, 14 pla#^ ,ua un chemin, courant sur les pre3. Roue d'Or de Nancy (course de demi fond P La permanence sera installée à l'ancien cées, 27 points. Intes du Plateau, à quelque haue en trois manches), 3 manche, 50 kilomè9 Eclair de Eiommariin, 50 balles tibureau central de police, rue des Dom... iJfcieres penu. n seulement i ti la rivière No rées, 14 placées, 21 points. tres). — 4. Grand Prix de la Ville de Nan*** ur aU c # frioininait ainsi la zone des inon- c 10 Etoile de Pierre-la-Treiche, 44 balles Bette voie ao ^ .. . de simplicité, être un quadrilatère ABCD. dcy (finale). — 5. Prix de Vandœuvre (tanLa Ville de Nancy offre une médaille tirées, gne rtes sour J 12 placées, 18 points. dems) (finale). — 6. Course de primes (ré- ' Il y a évidemment une infinité de combi- si mS d'argent et une somme de 40 francs à W ' donnent le niveau aquifère des , servée aux coureurs n'ayant rien gagné au ï U Blénod, 43 balles tirées, n placées, naisons d'aménagement. Mais certaines d q chacun des trois premiers Nancéiens qui 17 points. cours de ces trois journées). * " nïuoliasiques. En un point de ce franchiront la ligne d'arrivée. conditions peuvent être imposées.par exemc Les engagements sont reçus chez M. 12 Uruffe, 38 balles tirées, 11 placées, ^n apparut un jour et se fixa la prej 15 points. en ple : le nombre des rues à ouvrir, leur Ion- Beaudouin. " 17, rue des Carmes, jusqu'au 8 1 I .«lomération de Malzôvilte, autour La grande randonnée de 4,500 kilomèa gueur totale, leur largeur, leur pente maaoût inclus. w Nous jugeons utile, en outre., d'informer 13 Semilly, 44 balles tirées, 8 placées, tres à travers la France a. déjà réuni pluF1'4 Coa d'une chapelle. La route , -*> « -> les coureurs que les dossards sont distri- 10 points. sieurs cantaines d'engagements. fe'rTîÂSurd'hulMaruederiSgll- ximum, la superficie des espaces libres à 14 Aroffe, 45 baltes tirées, 8 placées. 9 réserver pour des parcs publics, le quanLa nouvelle disposition qui vient d'être bués et les places .accordées dans le pe- points. tum de la surface disponible pour la consFEOE CYCLISTE prise en vue de faciliter à tous les cou- loton du départ, suivant l'ordre d'inscrip■ Ï#ÏD Ilfre part arrivait de Nancy un autre ,truction, etc. Dans une station d'hiver com15 Touloise, 40 halles tirées, 6 placées, reurs leur participation ne peut qu'en tion. 8 4 S de circulation (on sait qu'un pont me , Le rassemblement sous les ordres du 7 points. augmenter encore 4e nombre. Nice, la valeur moyenne de l'insolation 16 Rouvres, 34 balles tirées, 5 places, 9 au 13» siècle sous Mathieu il , Nous lisons en effet dans l'Auto que le starter aura lieu le vendredi 4 août pro- points. pourrait être également fixée. chain, à 6 heures du matin, sur la route Giircuit eist ouvert à tous : Le problème, encore indéterminé, se préde Champigny. La Société mixte de tir de Toul ne s'est « Lo régi entant du Circuit Français, cise déjà. On comprend qu'il existe un •L'arrivée de la première étape (Nancy) pas classée par suite d'une indisposition sun ajoute notre confrère, est spécial à cette DE NOTRE EHVOïi SPÉCIAL est fixée aux Quatre-Vents. A ce propos, bite au meilleur tireur elle n'a pu être p LA ROCHELLE, le 22 juillet 1911. — De- .ooursie. Les cas qui ne sont pas prévus se- disons que Mine veuve Roth, qui tient en première. Trois tireurs prirent pr :t au ront sanctionnés en s'appuyant sur le puis que le Tour de France a bouclé le ç cet endroit, un débit avantageusement concours : 36. 18, 34. tournant de Bayonne, il avance à grands Code do courses de l'U.V.F. Classement individuel : connu des cyclistes, offre une prime de « Mais ceci n'implique pas que le Cirpas. Dans huit jours, nous assisterons à c 1er Detieux, de Coussey, 12 balle;; tirées, vingt francs au premier Nancéien atteil'étape finale. Qui gagnera ? Il est assez cuit soit exclusivement réservé aux licen- gnant te but. 12 placées, 19 points. c facile de pronostiquer Garrigou qui est ciée de cette Fédération : tous les cou 2 Pougny, 11 balles tirées, 9 placées, 13 r D'autres primes et prix d'étape seront en tête du classement général et qui, crcu.rs sont autorisés à domandar leur inspoints. à la condition qu'ils ne soient ni certainement offerts par la générosité des sauf incident ou accident, doit gagner à cription, j 3 Poinçot, 11 balles tirées, 9 placées, 13 sportsmen qu'intéresse vivement le Circuit coup sûr. Il n'en est pas- de même pour .licenciés professionnels, ni licenciés ama- français Peugeot. points. la deuxième, la troisième ou la quatriè- * m M MMM m J 4 Brenel ; 5 Margaine ; 6 Thirion ; 7 * ^"'^™* *"""™ " *"'"^ ~~——im i -III lillilillllllll millllllBMiiiin i iiimwiiiii.11 il il me place, où les concurrents ne sont "^" I Branlotte, de Domgermain. espacés que de quelques points les uns J On nous prie d'adresser les plus vives des autres. L'étape Bayonne-La Rochelle | félicitations aux deux commissaires délén'aura pas apporté d'autres modifie»».,ftl gués Antoine et Catherine. tions que celle d'éloigner Faber davanProcès-verbaux. — La gendarmeria a tage encore. Il n'y a pas d'autres raisons " dressé procès-verbal à Antoni Vautrin, à son mauvais classement que l'indispo- 1 aubergiste à Rosières-en-Haye, pour dé*, sition dont il est atteint. Il est bien cer- J l'honorable phamacien de Saint-Nicolas- faut de registre de voyageurs ; tain qu'aujourd'hui est entré en' jeu un M E U RT HE-&-M 0SELLE du-Port, survinrent au môme moment ; Perrin Jules, de Vriley-Saint-Eli nne, coefficient de crevaisons qui doit compexcellents nageurs tous les deux, ils se pour P abandon de chevaux sur la voie puARRONDISSEMENT DE NANCY S ter et qui certainement a faussé queljetèrent résolument à l'eau et malgré les blique ; q CHAMPK_NEttU.ES 22 mètres de profondeur, parvinrent à ques résultats. Mais, comme tous les Lhuillier Louis, cultivateur à Liverdun, grand nombre de solutions mauvaises ou c Accident. — Mardi après midi, on a r< p coureurs sans distinction en ont été vie- t défaut de guides à son attelage ; retirer Dubois et l'amenèrent sur la ber- pour médiocres, beaucoup de bonnes, quelques- ttimes, on peut admettre que dans l'en- ]transporté à l'hôpital civil de Nancy M. g ge, ils firent tout pour rappeler la victi- p Alexandre Jeanne, femme Frelicher, de unes excellentes. Comment décider ? Il fau- semble, s le résultat acquis est exact. iEmile Laner, âgé de 52 ans, employé à n me à la vie : tractions de la langue, etc. * Rigny-la-Salle, pour défaut de lanterne à e dra agir en artiste. On sait déjà que la soLes incidents Brocco, Cruppelandt et cla compagnie de l'Est, à Champigneûlles, etc., mais malgré leur dévouement, ils sa voiture ; n lution trop simpliste du damier (ûg. 2) est Duboc défrayent toujours les conversa- tqui, en giissant sur un rail, s'était frac- n'y parvinrent pas, Dubois avait suc- » Masson Aimé, cafetier à Bulligny, pour ci 1 de tous ceux qui suivent le Tour de turé le pied gauche. en général à rejeter. Un© solution telle que tions t tardive de son établissement. combé à une congestion. Nous adressons fermeture France. NEUVES-MAISONS B celle de la figure 3 est, au contraire, bien Aux bains. — Samedi, les bains des danos éloges à ces deux jeunes gens qui Musique municipale. — La municipao ont fait, certes, tout leur devoir. mes situés au-dessus des grands moulins, préférable. Qu'a-t-on fait de Nancy à ce c Pour les uns ,Brocco est un grand j lité fait recruter en ce moment tous les point de vue '! C'est ce qu'il faudra exa- ccoupable ; pour les autres, il est inno- ,musiciens disponibles en vue de constit- c Le docteur Philibert Dubois a fait les étaient mis en gaieté, et les rires s'enten:.t_ cent comme l'enfant qui vient de naître. \ constatations d'usage, puis le corps fut daient de très loin. De frais minois preminer. i une fanfare municipale. Nous aurons rramené à l'hospice. ll! Il n'est, à la vérité, ni l'un, ni l'autre, tuer i naient leurs joyeux ébats. Une jeune dame, |nii rejoignit obliquement le premier là où MAURICE THIÉBAUT. le plaisir de reparler prochainement de u! Ne nous laissens pas entraîner par les peureuse, n'osait s'élancer de la planche ' ■Elève maintenant la croix de mission. cette initiative. XIR02OURT exagérations, nos appréciations doivent suspendue, où elle semblait clouée, pour La foudre. — Lundi dans la soirée, un , A cette circulation parallèle à la rivière être justes et raisonnées. Il est certain . Une pluie de contraventions. — Pour orago 0 a éclaté dans la région de Haroué. jplonger dans l'onde claire ; les railleries et îr îl* village ne tarda pas à brancher une cirque Brocco a fait sur la route autre cho- . avoir laissé divaguer leurs chiens,. MM. iLa foudre est tombée sur la maison de M. les excitations de ses amies la firent enfin , s aubergiste, Victor Blanchard, i tiop"fellation croisée dont les perpendiculaires Déjeuners, 3 fr. ; dinars, 3 fr. EÊï, oin compris se que de courir sa course, il a aidé'.Richard, ■ Evotte-, maçon à Xirocourf ; elle a démoli Jecéder. Gauchement, elle se laissa glisser, Auguste Lhuillicr, Aimé Simon de Mesi, ; plusieurs de ses camarades qui montent . nm.siutent contre elle. Telle la rue de l'Orme, CONCERTS PENDANT LES RE PAS fa cheminée, traversé la cuisine en bri- *eu t se retenant d'une main, et tomba de la même marque de bicyclette que lui et .sein. Prosper Juy, Charles Christmann, j.sant la vaisselle qui se trouvait sur son i Itile _______ # ■—— à retifcte barre transversale de l'A malzévillois. façon qu'elle fut un moment la tête , ayant contrevenu à l'arrêté préfectoral, ,p plus particulièrement Faber. . pe. t;fn même temps, l'appel des villages d'Eulpassage ; elle est sortie par la fenêtre en | Slous l'eau Les bonnes amies lui portèrent se sont vu dresser procès-verbal. c et SOCIÉTÉS () Mais est-ce là une action Si répréhen-. secours et notre peureuse en fut. quitte, «ont et.de Dommartemont ouvrait à la cir- OROUPES cassant un carreau. , sible ? Le Tour de France des groupés j Tapage injurieux. — Pour avoir troublé '■ C'est extraordinaire que le feu n'ait pas 1pour une forte absorption de liquide chaud ';n"filiation deux autres transversales : rue la! tranquillité des habitants de la cité de r n'èst-il doils pas une course par équipe COMMUNIQUES ui la fit tousser fortement et longtemps, pris aux foun-uges oui sout sur le grenier. ^^Alsace-Lorraine, rue d'Amance. Tout naet les hommes d'une môme maison ne FAclé-àe, la dame Auguste Lnuillier a;été . our la plus grande gaieté de toutes les l PONT-A-MOUSSON l'abjet d'un procès-verbal. • - • ,pireUa^'enfc un réseau orthogonal s'était Groupe Drouot. — La Société des an- pedvent-ils ] donc pas s'entr'aider f ■ es ctl .présentes. Par galanterie, nous Coups de. «evoiver — Samedi soir, vers '-ersonnes %t, \ons le nom Ciens .militaires de l'artillerie et du train , Nous l'avons toujours, cru et beaucoup . ' • FO NT-S A s NT-Y î N 3 E NT de cette jolie dame. C dix heures .et demie, la poste de police était des équipages invite ses: membres, leur: partagent 1 d'h; H se continue de nos jours. Avec un beau notre opinion à ce-sujet. Où j ; le feu. — Au cours de l'après-midi,l'a*r Renversée par des chiens — Lundi soir, C5 'prsévanu que.dc.ux individus se livraient à famille et leurs invités à un déjeuner < g ont de police s'apercevait, en passant sur { commence et où finit l'aide qu'un cou- > : s elle Kpris des débordements possibles de la une dame Martin, âgée de 56 ans. raquait â' i route de Bainville-sur-Madon, que le teu un pugilat acharné sur la place Thiers et ■ peut apporter à l'autre ? Au jour- ..la ' orer -ivière; un quartier nouveau dévale vers la champêtre qui aura-lieu à la maison fo- reur ses occupations, rue Qui-Qu'en-Grogne, causaient unvéritable scandale. re.stiè.re, route de Pont-Saint-Yiuccnt, le ' s'étaittféclaré dans les herbes sèches de la d'hui, dans l'étape Bayonne-La Rochelquand deux chiens dé forte taille, qui : ii«|rairie. L'avenue Thiers et la rue du Liondimanche 3 juillet, à. midi. , le, nous avons vu un coureur passer un prairie avoisinant les pâtis communaux. H T Aussitôt, les agents Stumer, Polet, Mu- jouaient ensemble, la firent tomber. Mme Or y représentent la circulation parallèle nier et Paquin se rendirent sur les lieux ac-, Le déjeuner sera servi par M. Piguet, boyau I à un autre,cet acte est licite ou illi- se transporta" en toute hâte sur les lieux et c Martin s'est fait dans sa chute des contu'P™ la Meurthe, — la rue de la Rivière (pro- restaurateur, brasserie Charles-V, à Nan- 1 cite. Le directeur de la course a déclaré à iraide de militaires qu'il réquisitionna et , (compognés du chien de police Faraud,mais sions assez sérieuses. . J . aigeant la rue de l'Orme), les rues Hinze- cy. . en cours de route, vers la rue des Fossés, que ' cela n'était pas défendu. Or, dans de civils de bonne volonté,il parvint à étem- j 1 FOU G in tt du Port, la circulation croisée. Plus Le départ collectif aura lieu par 'e une autre occasion, un coureur a passé dre le feu avant qu'il ne gagnât les pâtis jils aperçurent un homme fuyant à toutes 1 jambes ; se doutant avec raison que c'était Trois ouvriers maçons sous un éboulerompi ^ au lieu dit ÏUmbanis, à côté de co- tramway suburbain (ligne de Pont-Saint- à un autre une clé anglaise et un des qu'il aurait dévastés. 1 iei I 11 éttes maisons de jardiniers ou de petits Vincent), train spécial pour le groupe à commissaires de la course a déclaré que . Le maire de Pont-Saint-Vincent a signalé l'un des batailleurs, ils lancèrent le chien rnent. — Mardi, à 5 heures du soir, un 1 à ses trousses, celui-ci eut tôt fait de ratmur d'une maison en construction appar' la belle conduite des canonniers Chapigot, ; 9 heures 30 du matin, rue des Quatrec'était interdit. Vous voyez comme il est traités, s'éparpillent, au milieu d'un le fuyard qu'il happa par le iond tenant à M.. Louis Albert, à Foug, s'est Eglises. ' Margot, Lemaire, Feuillastre, Dussautoy, trappa facile de .-'y retrouver. irur.i «fendre, atrophié de la Meurthe : « le (de son pantalon. écroulé entraînant trois ouvriers maçons. Les adhésions sont reçues jusqu'au venEn vérité", malgré tout le mal que se1 du fort de Pont-Saint-Vincent, au commanints -«eux Cours » de pauvres bicoques, baraFurieux, l'individu tira son revolver qu'il Un entrepreneur faisait exhausser sur dredi 28 juillet, chez M. Eugène Taron, ;donne M. Desgranges, le Directeur de1 dant d'armes. e3<le Iancn ( ',].■• ' P és " recouvertes de boîtes de vice-président, M. Charles Morel Ion, le fils George et M. ,déchargea à quatre reprises, tant sur le une baie large de 4 mètres 50 un mur alrue Saint-Georges, 36. l'Auto, pour élaborer et compléter son ' ' "» campements et roulottes appe- (Bureau de la Séquanaise.) règlement, il y a encore bien des lacunes1[ Lewang ont eu aussi leur part de félicita- <chien que sur les agents, qui accouraient, lant jusque 7 mètres de hauteur. Malgré 1 lle crayon d'un Ricardo Florès.Tout ce • )sans, fort heureusement, atteindre ni l'un les avis de l'architecte, les ouvriers n'aPhoto-Qlub nancéien. — La prochaine dans le statut du Tour de France. Le tions; U Iede mais ni les autres. Le chien, elïrayê par les vaient pas étançonné les fers trop faibles au S °nnettes se répand à la diaréunion mensuelle des membres du P.-C.N. ' DOMBASLE , dit règlement ne sera parfait que lors> de feu, avait lâché prise et l'individu de cette baie. • «ans la prairie. Les rues, les « sentes » aura lieu le mercredi 26 juillet prochain, à que Au violon. — Joseph Durupt, 51 ans, coups | ' tout le monde pourra l'interpréter Mardi, ces fers fléchirent très fort et domestique de ferme, sans domicile fixe, a jreprenait sa course en brandissant son ■tôt, n'ont pas de nom, — et pourtant on 8 he ires ^ du soir, au si^ge social, 9, rue d'une façon uniforme. Croyez-vous que Brocco a réellement été trouvé en état d'ivresse manifeste, dans revolver, mais il fut arrêté rue Etroite par finalement cédèrent. La construction penwnnaît, là encore, les deux courants de la Constitution. 1 Jean Régnier, qui le maintint jusqu'à cha et le mur vint s abattre sur la chausj Ordre du jour. — Présentation de mem- mérité sa mise hors course <c ipso fac- la nuit de dimanche à lundi, après minuit, M. PMsde circulation. Qu'un pont vienne à1 sée, entraînant l'échafaudage où travailpar l'agent de police. Le représentant de la l'arrivée des agents. P&ger la rue Vayringe, le réseau des1 bres nouveaux ; questions diverses ; nro- to » ? N'aurait-il pas mieux valu lui apUne foule considérable s'était amassée et laient trois ouvriers maçons. ; loi a été obligé de charger le pochard sur pliquer une échelle de pénalités qui, par jections électriques sur l'Algérie et les fêtes : «ase modihera en conséquence.mais ses les agents eurent toutes les peines du Toutes les personnes présentes s'empres'< du 14 juillet à Nancy. exemple, aurait commencé par 100 fr. une charrette et de le manipuler comme un j ■«a généraux ne changeront pas. monde à protéger leur prisonnier, que la sèrent auprès des malheureux ; l'un d'eux d'amende, qui aurait continué par 10: cadavre. 11 a été remis en liberté lundi ff* itjoilà, dans ses grands traits, comme ifoule voulait lyncher et c'est dans un pi- a le bras droit cassé et se plaint de doupoints de pénalisation, voire même 500 après avoir été qualifié d'un procès-verbal, teux état, la figure ensanglantée, que cet leurs internes. L'amputation sera peut0Parait l'histoire de Malzéville racontée ' Les tapageurs. — Les nommés Chenal, francs d'amende e* qui, enfin, se serait 81n Planindividu fit son entrée au poste. Fouillé, il être jugée nécessaire. L'autre a l'œil gau, -t«C ; demeurant cité D, 34, et Muller Emile-Victerminée pai où a commencé l'arbitre de i a été trouvé porteur d'un revolver, ne con- che presque sorti de la tête, un doigt casla cité se fa Du 25 juillet la Course, c'est à-dire, par la mise hors5 tor, demeurant cité A, 40, ont été surpris "cra>i*S?^ it grande, les mêmes tenant plus qu'une cartouche et d'un cou- sé et souffre beaucoup de cette chute. Lo rae par l'agent de police se querellant, place • course. Bien conseillé, Brocco n'a fait1 t ' * 'iés se reproduisent par quartiers, Naissances teau à cran d'arrêt. troisième s'en tire avec quelques contuaucun esclandre et s'est sagement incli- du Marché,dans la nuit de dimanche à lunleurs emplacements par rapport aux[ sions sans gravité, Marie-Luce-Eugénie Ferry, rue SigisbertInterrogé par M. Polet, commissaire de <tj di, à minuit quarante-cinq, et se sont vu ■Jdes a la rivière, points des! Adam, 11. — Léon-Marcei Broga-d, avenue né. En sera-t-il toujours de même police, cet individu, qui ne parle pas franl dresser procès-verb'al pour tapage nocaux lle jm h BSUVEZIN n'esi-il pas à craindre qu'un autre con' f^ ^«cs commerciaux. " turne. çais, a déclaré par un interprète se nomMilton, 17. — Robert-Gaspard Marx, rue current n'accepta pas a-issi seulement La foudre, — Mardi, à 8 lieu res du maS r e que le la mer Secci Gisellu-Salvator, âgé de 25 ans, de la Hache, 66. — Paulette-Elisabeth Rint Commencement d'incendie. — Un comlar ° î P ^ d'une ville a une sanction qui païaîl arbitraire, tin, la foudre est tombée sur la mairie de !M d'origine italienne. natU ell6S 10 la Beuvezin, endommageant sérieusement, la On a épilogtié pour • _• -oir' si, après sa1 mencement d'incendie s'est déclaré à la '■ ■SHt ! = > configuration1 genbach, rue Jacquard, 40. — Lucien-Renéi Il a été transféré ce matin au parquet. Trouer, rue des Prés, 10. — Madeleine Bas-• mise hors course, mais gardons encore boulangerie de la coopérative La Lorraine, Incendie d'une prairie.— Dans l'après- cabine téléphonique. Quelques membres ,li; P tes remi " tien, rue Vlartimprey, i22. — Marcel Morel, la faculté de participei à une "étape sup-3 dans la matinée du 24 juillet. Le feu a pris ' - #cuiatlan • P ers courants deï rue Clodion, 58. midi de dimanche, un incendie dû à de la municipalité qui se trouvaient réuJ ] l6s points Qe 1,?c f lémentaire ; on a épilogue, dis-je, sur le naissance dans un tas de bois retiré du l'imprudence d'un fumeur, s'est déclaré. nis n'ont pas été atteints. • '* courut' ~~ contiits de erU,1 a X er¥lroits fait de savoir si Brèeco -^ait droit ai*1 four. Grâce à la rapidité "des secours, les ]dans la prairie, au lieu dit « Sous-NorDécès VA.LLEROY rinêce f , déterminés par prix qu'il a gagne d&lkg i étape Luchon- dégâts sont peu importants et évalués à roy », appartenant à M. Samh, boucher tu |,s s d la vie urbaine a François Gouvenot, 34 ans, manœuvre, Arrestation. — Samedi matin, la genenviron 130 francs. Ils sont couverts par i Bayonne. giS et des à Pont-à-Mousson. assurances. darmerie était avisée qu'un nommé Weu*****fflto '° monuments pu- rue Clodion, 16.— Marie-Madelaine Méline, Le règlement ét ml muet sur ce su je'. C6S COUrants Par suite de la grande sécheresse, le feu defeuer Adolphe, 30 ans, manœuvre, avait A coups de manche à balai. — Mme °" sur leurs ir- 31 ans, employée de commerce,célibataire, Brocco a droit au precaief prix qu'il a1 * rue Jeanne-d'Àrc, 96. — René-Marcel-Jean1 Louis, ménagère, a porté plainte à la gen- , se propagea rapidement, treize hectares de1 offert en vente, à des prix dérisoires,du lard gagné. Ainsi, voilà une .: d'aire rég.ée. Ielsch, 1 an 4 mois, rue Dauphine, 5. — Un1 prairie furent ravagés, un hectare d'avoi- et du jambon. Elle se mit à la recherche du Dans notre précédent courrier, ncuss darmerie contre Mme Ralitte, place de la ne devint également la proie des flaminconnu de 45 à 50 ans environ. — Cathe\ manœuvre qu'elle rejoignit et ne tarda pas Liberté. Mme Louis se plaint que, le 24 ie o« ■ disions que l'arbitrt; de la course était mes. rine Lemonnier, 80 ans, sans profession, à apprendre qu'un vol avait été commis la t juillet, dans la matinée,Mme Ralitte lui aui .noyé dans les avalanches de réjiauii,flieBF r,entnaturrt Une baraque en planches qui se trou- nuit dans la cave de l'Economat français, rait porté des coups de manche à balai en dont nous ve- veuve Fisson, rue du Haut-Bourgeois, 31-■ tions. Pour en solutionner une partie, tenu par M. Iules Lardy. nair|,n, tes«Pernncer "n excmPle> peut s'ajouterr — Auguste-Noël Delbauve, 55 ans, journa-- M. Desgranges va se faire assister pen- l'injuriant et en la poursuivant dans la rue. vait dans la prairie et sous laquelle s'abritaient neuf vaches, fut atteinte par les Un ou plusieurs individus, entrés dans La gendarmerie enquête, plus ?#Près ,m r,!, Te réPartition artificiellee lier, sans domicile fixe. — Renée-Camille: dant la dernière partie de la course parr Malbos, 2 jours, rue du Général-Drouot, d extensio VARANGEVILLE flammes ; elle flamba aussitôt et les pau-\ cette cave en brisant un carreau du soupi, notre confrère Victoi Breyer. Ce dernierrr li^Wk Ainsi i ' n créé de toutes s 12. — Virginie Virion, 57 ans, cuisinière, Vol. — M. Auguste Vagner, travaillant vres bêtes frappées d'asphyxie 'restèrentj rail, avaient fait main basse sur dix kilos u>u a lle Neuve 1 i ranr.î i de Nancy en-- célibataire, avenue de la Garenne, quar-, est entré en fonctions hier. Ii a assistéé à la soudière de la Meurthe, avait placé un dans le brasier. de lard et cinq kilos de savon. b0 taubou, • aux péripéties de Bayonne-La Roche Te. °e LnarT 'g Saint-Nicolas. Oni tier Donop. — Marie-Julie-Virginie Aigre, Les pertes sont assez considérables. Weudefeuer convaincu d'être l'un des billet de 50 fr. dans la poche de son veston Ul res ec , Qu'a-t-il relevé d'incorrect ou de (ori*Pltou» „ P ta son tracé, cee 46 ans, sans profession, épouse Martin, à coupables, nia d abord, puis avoua, mais il Une désespérée. — Décidément c'est. ■ acui'oché dans la chambre où les ouvriers lcl QUOI t traire au règlement ? Pas autre chose e :,'n#W et ^K les rues du Pont-. Dombasle. — Eugène-Michel Jost, 4 mois 6 déposent leurs effets. une épidémie de noyades ou de tentati- mit la plus grosse part des responsabilités ; ) assurément que le directeur de la cour,i! Colas ont Après une courte absence, lorsqu'il s'ha- ves de noyades à Pont-à-Mousson. En ef- sur un ami, Frédéric Ehlenbach, de Thil, 'n, cont conservé leurr jours, chemin du Crosne, 9. — Marie-Flo-- se lui-même. On peut, en effet, reprocher Stant aV6C la ri idité des restine Pierron, 82 ans, sans prfofession,, aux organisateurs de surveiller tous lesr billa il constata que ce billet lui avait été fet, cet après-midi encore, la femme Bin- qui est recherché. Usines r acé6s au cor S s — Le même Weudefeuer aura également lVl rern dérobé. La gendarmerie a ouvert une en- der, née Gérôme, habitant Pont-à-Mousveuve Santarelli, rue Follcr, 1. m» K6nt arr,naM pour deau sur un mômes coureurs, alovs qu'une notablee quête. son, rue Raugraff, et dont le mari tra- à répondre d'un vol de plastron commis au ■l déjà „nf, époque, celles-ci:î partie se livre sur la route à toutes sorvaille aux Forges, sans doute dégoûtéel préjudice de la femme Schutz, rue Gamtes de fantaisies ? . ! I iiir kg rvw s mide a^oheation de l'art M A H O N de la vie ou voulant se rafraîchir, par3 betta. Ledit plastron vaut 1 fr. 75. S'flUi ■> '"f ',Etudier l'histoire de cet , Le fameux Balai qui devait assurer laa Les insoumis. — La gendarmerie de cette chaleur tropicale, essayait de se B les P cs VILLERUPT L, surveillance de l'arrière-gaide n'a, enn Neuves-Maisons a arrêté à Maron, Xavier jeter à l'eau, avec ses deux enfants, dans' ^yionp anciens, depuis l'im-iC ence racée au ir réalité, jamais fonctionné. Il suit lee Marchai, né en 1873, à la Petite-Raon En jouant aux cartes, — An café Remy, • rvl mt ° ' cordeau dans8 la Moselle canalisée, près du barrage.s groupe de tête à une demi-heure près.i. (Vosges),et Louis Hienne, né en 1887, à e iuS( ue cne?; les eu JARVILLE M. Saint-Remy, le barragiste, dont nous'• le charretier Nicolas Jeantrel jouait aux ' ire ^rries Z i î P ," ■ Il est toujours rentré à l'étape à 5 heûiMaxey-isur-iMeuse, tous deux étant insouavons eu dernièrement le plaisir de rap-s cartes avec Krier Nicolas. Jeantrel insnrit. La foudre. — Au cours de l'orage de> res du soir, alors que les coureurs qu'il il mis à la loi du recrutement, peler les nombreux sauvetages, pré-- vit sur l'ardoise un point auquel il n'avait i l5,%«S0l|ssa fA^11*6 lci> ^sons seulement ,t lundi soir, la foudre est tombé'1 sur la gen-_ doit surveiller sont encore sur la route à à Le premier négligea d'accomplir une voyant l'intention de suicide, fit enten-■ pas droit ; de là, discussion et querelle... ,j darmerie, causant des dégâts assez impor-_ minuit et même jusqu'à 3 heures du ma1_ Krier ayant traité son adversaire de i- période d© service territorial ; le second dre raison à la désespérée, qui ne mit <t t CS 0b _ tants. / tin. Dans une organisation comme le ^te-, | ^rvat.ions sur t « cochon », fut saisi par l'épaule ; il ri.e ne fit jamais une heure de servie actif, pas son projet à exécution. ur H lUes de En tombant sur la cheminéè, la foudre 3 Tour de France, chacun doit prendre ^TnLu M. Buis, bourg■e Ces patriotes (?) ont été remis à l'autoLa femme Binder ne semble pas ce- posta en saisissant son agresseur au vie e >" provoqua une explosion qui enleva une3 ses responsabilités et s'il y a des couen étudié d'abord en Ali- rité militaire qui s'emploiera à faire rat- pendant abandonner toute idée d'en finir'■ sage et en l'égratignant. An 8let »" partie de la toiture. 400 briques environi reurs qui transgressent les règlements, ^ence • " erre et aux Etats-Unis. La lutte finit là et plainte fut portée. s, tnaper, à ces » tire-au-nanc ». avec la vie, car, cet après-midi, elle ve-r it ont été brisées. s'il y a des constructeurs et des manaen France râce PHLIN nait confier ses deux enfants à. une de :e e THIL POMPE Y. gers en chef qui tentent de ne pas se je ? Vol. — Pendant la nuit, un inconnu ses parentes avec laquelle elle eut unee " soumettre à ces règlements, ou bien d'en : mst ,;,c Tentative d'escroquerie. — Au café Pii discussion assez vive, menaçant toujours j_ Bris d'une lampe. — Procès-verbal a Stuhh.en dont ' - *-i«""S en Als a éluder les termes, il faut dire que les or- brisa la fenêtre du café tenu par M. Jules ! geat, le manœuvre Nicolas Wcidig, se di>Uno v ' le « der Stadte- été dressé contre Eugène Roger, 17 ans,!, ganisateurs ne font pas tous leurs de- Colin, déroba'une somme de 14 fr. dans le de vouloir se suicider. sant voyageur en vins d'une maison de U Aune Son mari, prévenu, l'a ramenée à la f ouvrier d'usine, qui a brisé à coups de wltwii le^iHo énorme érudie voirs. tiroir-caisse et plusieurs paquets de tabac a Bordeaux, vint faire ses offres de service maison. £ pierre, une lampe électrique servant à v n-ii^t>; est l'auteur de « l'Art i. et de cigarettes, ainsi que des litres de lià Disons franchement que si la route rt Reviendra-t-atle à de meilleurs senti- et prit une commande. Quelques jours l'éclairage de la voie publique. •-' ^W%:U{it^ "-.De M. Forestier, nous avait été efficacement surveillée, les in-_ queur, du pain et du jambon. «• après, il vint emprunter de l'argent à la ments ? 18 SAINT-NICOLASS cidents Cruppelandt et Duboc n'auraient femme du café, soi-disant pour retirer les rt ROSIÈRES-AUX-SALINE8i ARRONDISSEMENT DE TOUL le ,e pas surgi. Voleur arrêté. — Dans l'après-midi de marchandises expédiées. Comme il n© Un noyé. — Lundi, vers 3 heures et deTOUL Demain soir nous allons nous mettre ■ parlait pas de rembourser, mais au c.on- , •e mie, le nommé Louis Dubois, pensionI = M P^sqi ^PÇ^bte d'étudier d'u- mardi, la gendarmerie de Saint-Nicolass Distribution des prix. — Samedi 5 août, ■r a amené au parquet de Nancy Victor Re-._ en route pour la plus longue de toutes t. traire tentait à nouveau de se faire don;s naire à l'hospice Sainte-Odile, allait se. à 9 heures du matin, la distribution des 3- my, âgé de 44 ans, manœuvre, qui a dé-i. les étapes. La Rochelle-Brest, 470 kilont a !S ner de l'argent, la débitante, prise do a_ baigner dans le canal du Moulin, au lieui prix aux écoles communales aura lieu au *»<*$Ë^'<^* ^^ension d'une ie robé des harnais dans une écurie. mètres.Los coureurs auront eu à peine 24 u soupçons, fit prévenir les gendarmes, >4 dit « Au plein », un de ses camarades3 théâtre municipal, sous la présidence do sy,? 6 cl pa venu a oJ#C »anoe, f calculer le le Wefldig' leur' avoua qu'il n'était que maê_ l'accompagnait mais ne prenait pas partt M. Vincent, inspecteur primaire, !e TOMBLA1NEE heures de repos. Beaucoup n'auront mête me pas eu 8 heures de repos. Après ce nœuvre et non représentant de commerce, -e à la baignade ; soudain, Dubois coula ài La sécheresse.— A eause de la sécheresse Vol. — La gendarmerie de Jarville a a que les coureurs viennent de fournir se et qu'il avait tenté d'escroquer 65 fr. à 'a. ir pic sans jeter un cri. Deux jeunes gens,, persistante, l'eau distribuée en ville devient 1 aiIec ■ I ^'es ^ ; ou e calcul pour unee ouvert une enquête au sujet d'un vol dee comme efforts, il sera curieux de constait dame Pigeat. a- les nommés Louis Sprauel, âgé de 17 anss non pcéq|>,o ; de nombreux cas de cholériu quarante kilos d'oignons commis au préobtus et à tracer la Î- ter ce que les courageux routiers vont •iIl a été arrêté séance tenante et conduit jt fils du sympathique docteur, et le jeune ; ne sont signalés ; toute eau doit être bouila judicc de M. Louis, de Tomblaine. faire. •I- à Briey où il fut arrêté, ainsi que nous, 1 Edmond Diot, âgé de 16 aat*. frère lie de lie avaçt d'être bue. , l'avons apnQ.n:é,i GRANDE ÏÏLLE \ kî I v )Foi)if]ûp sporÉïy e ' GI yart de bâtir les villes K t aDpdQQ : W B* 1 CQQÛQQ; ; Les grandes épreuves cyclistes Li «irai, imm Feiipi l P j -'LE TOOIÎ DE Le long de la Êttl u'Argant Disssriaiian sur pskjuss meitents ■fiâ* g < ____ JUU Mnn:- : Chronique Départementale um^ \ l . ï 1 J r 1 Û J i j S 1 j -'■-■t ETAT CIVIL g Sl ^X lw ta f ; - *°) ' îS** ' A '|^e7onr m <>' "MÏ <■ ■-.■■■l! ' r ' „i K <• -Ir X Imî IS °" E K°>' ^-^l ! iP'ir ^>l /C^l^ t I î DANS LA BANLIEUE l i f ^vlllT^ '" j. hi.xtmm .ri.Mnwmgs^^ 26—7 —. || ^ — * LIVEBDUN Un "commencement d'incendie s'est dédans la maison de <M. Angst Joseph, w ^1iîc,y. a Liverdun, où la Société Nancéien^ .'alimentation tient un magasin d'éoiF ri>- Un tas de caisses de bouteilles- était eu et avait communiqué le feu â là m-ruve de ia véranda faite en planches de K ^ Ct tîCl t0il0 u S° dronnée, puis à la toi- Aussi l ût l'alarme donnée, les voisins et habitants de la maison attaquèrent vilyUreiisement l'incendie et purent s'en ren« "o maîtres. Les dégâts s'élèvent à 350 fr. ta. commencement d'incendie paraît dû à 'a malveillance. Oéîlt rte pêche. — La gendarmerie de Liverdun, faisant une tournée sur le chemin de halage du canal de la Marne au Rhin, au lieudit « Trou des Fées », a surCris en flagrant-délit de pêche, avant le le-lu soleil, les nommés Mathiot Ferdinanti, cultivateur ; Grandiol Charles, manœuvre ; Georges Georges,tous trois demeurant à Saizerais. Procès-verbal a été dres- se. VILLERS EN-HAYE Délit de oëche. — Les frères Hecht, de vTllers-en-Tiaye ; Chrysoiogue Alfred et ETlezel Charles, de Dieulouard, se sont vu dresser proces-verbal pour délit de pêche commis, dans le ruisseau l'Esch,au lieudit « Sous la Taie ». FECOCOURT Violenees. — Un nommé Marc Kayser, de Fécocourt, est accusé d'avSSr porté des coupa violents au jeune Gérard Paul, alors que ce dernier gardait les bêtes en pâture. Gérard reçut un coup de fouet et deux coupa de pied. Plainte a été portée. lujurcs. — M. Picot Joseph, vigneron à Fécocourt, est l'objet d'une plainte pour insultes grossières de la part de Mlle Kozet, de la même localité. PIERRE-LA-TREIGHE Accident. — Un brigadier du 8° d'artillerie, 9e batterie, nommé De Vaire, se trouvait logé à Pierre-la-Treiche, quand il tomba sur l'aire de la grange d'une hauteur de 3 mètres. Le malheureux s'est grfèvement blessé à la tête. On craint une fracture du crâne. ROYAUMEIX Chasses. — Les chasses de Royaumeix ont été louées à M. Guillaume, avouépowr la somme de 650 fr. ROGÉVILLE Les perdrix. — Le 21 juin dernier, M. Greff Ghariies, propriétaire à RogéviBe, a mis à découvert avec une faucheuse un nid de perdrix. M. Greff prit les œufs et les fit couver par une poule. Le 20 juillet, M lâcha les jeunes perdreaux à remplacement du nid et en présence du garde Charrois. La Société des chasseurs de .'arrondissement de Toul a fait parvenir à M. Greff la prime fixée à 0 fr. 75 par perdreau en lui adressant de vives félicitations. VANNES Plainte.— M. Eugène Houillon, verrier à Vannes, a porté plainte contre une parente, pour une escroquerie de 250 francs commise à son préjudice. Une enquête est ouverte sur les propres déclarations de Houillon. Vol.— Ces jours derniers, M. Migot Jules, vigneron à Lucey, constatait la disparition de trois pièces de 20 francs qui avaient été enfermées dans une armoire. L'auteur de ce vol est inconnu. CHOLOY Plainte.— Bernard Auguste, manœuvre à Choloy, a porté plainte contre un nom-* mé Clausse Pierre, de Foug. Alors qu'il travaillait à la fonderie de Foug, Clausse s'est jeté sur lui et l'a frappé à coups de poing sur la tête. Clausse a reconnu les coups dont il est ' accusé. FAVIÈRES1 Incendie.— Voici des renseignementsi complémentaires sur l'incendie qui a détruit un hangar appartenant à M. Larcher Louis, de Favières. Le feu éclata ; dans un réduit fermé, situé à l'intérieur du hangar, où se trouvaient du pétrole et de l'huile. Ce hangar servait de scierie, < le moteur, les scies avec chariots et tous! les outils furent brûlés. Seule une scie ài bande circulaire fut sauvée. D'après M.. Larcher, cet incendie est dû à la malveil-lance ; un individu de mauvaise tournure s'était présenté chez M. Larcher etl avait mendié. Ne recevant rien, il pro-. féra des menaces à son adresse. Les dégâts s'élèvent à 7,000 francs environ. ARRONDISSEMENT DE LUNÉVILLE LUNÉVILLE: Groupe Blandan. — On nous écrit :.« Ahl1 ta joyeuse soirée qu'ont passée samedi, au théâtre Stanislas, les amateurs du ri-' re. Malgré la chaleur caniculaire, plusieurs centaines de personnes se trou" vaient réunies dans la coquette salle deB la rue Rivolet, où la Comédie Lorraine3 interprétait « les Surprises du Divor-ce ». C'est pour nous un véritable plaisirr que de signaler cette belle représenta-. tion qui fut un succès complet. C'est cet-. te fois sans aucune arrière-pensée que„ nous pouvons féliciter en bloc tous les " artistes de M. Marc Cransac en dépit ï de la température accablante, ils ontt « enlevé » la pièce de Bisson avec uni brio, un entrain vraiment remarqua-.bles. ». BLAIN VILLE SUR-L'EAUj Acte de probité. — Le jeune Guillerez z Gaston a trouvé le jour de la fête patro-i„ nale de Blainville un porte-monnaie contenant une somme de 5 francs 40 centimes dont il a fait la remise à son pro>priétaire. i;„„c0c • une médaille d'urgent, cchariots qu'il renfermait. Le , c mun, ferme de Charmois ; Vosgien A., depuis à Einville ; 5% Jncquot a Einville ; 6' Rodhain communiqué par des pétards m, ît » bronze, M. Braquer 27 uns chez M. Barbier Victor a Deuxville ; - ah Einville ; 7% Briel à Raville ; 8' Thomas Léon ne Maurice, âgé de 9 ans, avait 1 le i ■ de ValW^^ d ,llc gainant Victor, depuis 27 uns, chez M. Burtin à Einville. tir dans la soirée, 'ait * Prix spéciaux pour îea « _ y , . Vaches laitières Allréd a Drouville : Thinselin Nicolas, depuis A dans l'orromlissui oui. v 1 nx k iU Les pertes s'élèvent ù quelcnio t* prix, Gazin à Raville ; ?% Choné à Valhey ; exerçant |fr. et une médaille d argent, M. FM00B « v 27 ans chez M. Marchai Jules à Einville ; Jen1 es cerf E nos de francs. > ! ■ iert Joseph, depuis 27 ans chez M. Lhuillier Ju- 3% 3 Mangeot Antoni ; 4% Marchai Georges . 5 ( Circourt ; un prix de 10 fr. u uum les à Einville ; veuve Liégey Victorine, depuis GGermain à Deuxville ; 6', Lhuillier Jules il Ein- Ç. 11 bronze, M. Petit a Bo-'smont. , jjj Vol. — Pendant que Mme vcf \ Z6 ans chez M. Marchai à Serres •; Malherbe J.- vvillo ; 7', Briel à Raville ; 8', Malgras Emile ù o Subvention accordée par le* conseil b y B., depuis 20 ans chez M. François, forme de FRaville ; 9', Briel ; 10', Marchai Georges. % ' pour encourager la création de usscs a nui 1travaillait dans nnchamp voisin », Prix d'ensemble. — Médaille d'argent. Geor- P Manda ; ftSCOUvreux François, depuis 20 ans S deniiis le dernier concours de 1UI0. —1habitation, un malfaiteur s'est _j Marchai à Einville • ■ de 500 fr- a partager en primes qui ne pour- chez elle en se servant de lu cv''"'''1 chez M. Burtin Alfred, à Urouv^!^ « îv.Si.icrwe ges g g Race ovine » 1 François, depuis 2ti ans chez M. François, Terrorit être inférieures a 2a «'• , . fermePue avait accrochée à un clou, prè, % Béliers d'un ai). - M. Bastien ù Saint-Libair 1. 70 me de Méhon ; Humbert François, depuis 26 fr. h M. Pierre Bourgeois h la ni« porte g d'entrée, et lui volait den • f' ans chez M. Marchai Jules a Einville ; Baudot re r ; 2% Gillct à Hoéville. , - „ « Saint-Charles (Huueourt), fosse ^~(ra5nSl£;^ cde chaussures, deux chemises A H V 1 p Brebis — l'r prix, François à. Méhon ; 2', OCS- g Philibert, depuis 25 ans chez M. François, ferme L,„ ■ 9 w iv ii M Louis Pelremcnt, u uuuj, me, une somme de 5 francs du h d' dot, a Loi-mont ; 3% Choné a Valhey ; 4% Goudot b d de Méhon ; Pierson Victor, depuis 25 ans chez d ^ Marchai Eugène ù Einville ; Chandre Joseph, ;. 4 kilogr. de fromage. Le préi,,,,;'^ V M. i Bonneval. ., „ „ „. !' lf:e Agnelles. — V prix, Choné à Valhey ; 2%Zim- a évalué à 30 francs. La gendar' 1 le d depuis 24 ans chez M. Bajolet Jules à Deuxville ; 2 mer a Maixe ; 3', François à Méhon. V Chrétien J.-B., depuis 24 ans chez M. Briel J., n ouvert une enquête. Le voleur" s * v * ait Race porcine 4 Raville ; Parisot Joseph, depuis 24 ans, chez i I'1 fr à M. Alfred Glabay, a Audtimlc-R . , ^ journalier qui a été, aperçu îwi1 jf même ; Jacquin Emile depuis 24 ans chez le Verrat. — l'r prix, Dor à Lunéville ; 2% au u le dé m ; 7. 30 fr. à M. Sylvain Boulangej, ft tour de l'habitation de Mme " même ; veuve Fuubel Rosine, depuis 23 ans n Lexv H m. ; 8. 30 fr. a M. Emile bcheiidei , h " L chez M. François, ferme de Méhon ; Marin Va- ^Truies — 1'' prix, M. Dor ; 2% Thiébaull à la 'R Lexy 12 n . ; 30 fr. ù M. Camille llnry, a Y SS lejitin, depuis 23 uns chez M. Barbier Charles a 1Rochelle : 3% Dor. . tBriey, 12 m. Bris de viire. - Un hoctunibuip > k 10. 30 fr. â M. Féhx J esse, à la " r Deuxville : Laurent Cyprien, berger communal Porcelets. — l' prix, Dor. f sé deux carreaux à la fenêtre ) H T ferme de la Serpe (Norroy-Ie-Sec), U m. , 11. £ Jj f depuis 22 ans à Drouville ; Goberl Hippolyte. viPrix d'ensemble. — M. Dort *30 fr à M. Eugène Poeury, à Bazonville fonment de M. Jules Michel $ : I " Espèce caprine. — M. Etienne.à Raville. « depuis 22 ans chez M. Choné à Valhey ; cv) 10 m • 12 25 fr. & M. François Payonne hgneron avec une pierre lancée de l'a rôntle ^ tr £ Produits agricoles c Zerr, manœuvre depuis 22 ans chez M. Brinà Olley 5 m. ; 13. 25 fr. h M. Eugène Badin, ù enquête. -( j ~ £ Médaille de vermeil. — M. Bastien fi Saint- a card Louis, à Bauzemont ; Pierron Joseph, maViviers, 4 m. » 14. 25 fr. à M. Prosper Boutrou, : la Saline Saint-Laurent à Einville. \ nœuvre depuis 21 ans chez M. Barbier Charles Lihaire l L D a Bruville, 3 m. £ Médaille d'argent gr. mod. — M. Jules Mar- a Délit de pêche. — Le no!n ',A ] à Deuxville ; Husson A., manœuvre depuis 21 Prix spécialement destines au canton de Briey „ n é fl ans chez le môme ; Gobert Emile, manœuvre de- chai. c ,,, . .„ * 1 — Apiculture. — Un prix de 25 fr. et une Fleurot, tisserand, a été surpris nîT1 ni * Médaille d'argent. - M. Lucas à Alhienville ; puis 21 ans chez M. Commun .ferme de Charà la main dans la Conibeauté médaille de bronze, M. Humbert à Batilly. „ Pierson Charles d'Einville. n 2 _ Récompenses aux instituteurs qui se sont jautres délinquants purent mois-Bonviller ; Chômant Joseph, manœuvre de- M. 1 prendi'"* n Médaille de bronze. — MM. Clanss, a Alhienpuis 21 ans chez M. Burtin Alfred à Drouville ; e i i fuite sans être reconnus. occupés spécialement de l'enseignement agneo1 §Bailly Hippolyte .manœuvre depuis 21 ans chez ville : Choné à Valhev ; Mangeot Antony : Ju- 0 \ le1 — Une médaille de vermeil à M. Biaise, ins, Lhuillier. Gazin ù Raville ; Yung, dé Maixe ; M. Boulanger Charles à Deuxville ; Chrétien 10- les 1 Pêche. — La gendarmerie du'r'i,!^ * ,tituteur à Lubey ; une médaille d'argent à M. seph, manœuvre depuis 21 ans chez M. Briel Jo- tSamuel, d'Einville. instituteur à Avril. . ( Mentions honorables. — MM. Dor, à Lunêvip Usselmann, t ouvert une enquête contre Eugène 1 'à seph a Raville ; Petitmangin Gabriel, manœuvre Aux institutrices pour l'enseignement ménager, j , depuis 21 ans chez M. Marchai Eugène à Ein- le 1 : Colas à Einville ; Rivoiret à Einville : Mlle rent, tisserand, au Prey, coinmmm îi — Une médaille de bronze à Mlle Piorron, ins. ville v ; Mme Larue Marie, manœuvre depuis 21 IElise Gauchenot, prime de 10 francs ; Brancard Thillot, qui a empoisonné le ruissea, tilutrice à Briey ; médaille de bronze ù Mme [ nans chez M. Marchai Jules ù Einville ; I edallon eet Gueraut à Einville. _ ! la Moulière avec du chlore, le dm7 t °AHred, manœuvre depuis 21 ans chez M. BrinMorette, à Valler'oy. • Animaux basse-cour ' " juillet courant. J Récompenses aux propriétaires qui ont crée 23 < card à Bauzemont ; veuve Tisselin, manœuvre Médaille d'argent. — M. Sehweilzer, à Ein^ La foire. — La foire qui a eu H depuis 21 ans chez le même ; Saint-Simon Al- ville. °des reboisements, des drainages et des îrngu" — Reboisements, une mention à M. La- 1lundi 24 juillet courant a été assez?' 't Médaille de bronze. — Yung n Maixe : Mme tions. t phonse, manœuvre depuis 21 ans chez le même ; a Habonville. — Drainage et irrigations, les ] £Saunier Julien, manœuvre depuis 21 ans chez veuve Bourgeois a Einville ; Weingertsmann à pointe, cultivateurs ayant fini de ir | r r tr Rothain à Einville ; Houot Joseph, manœuvre t un prix de 50 fr. et une médaille de bronze a M. leurs fourrages dans de bonnes 2 0 Einville : Colas à Einville. * *depuis 21 ans chez M. Mércl Louis, a BienvilleM. Lapointe à Habonville. j tiens ; les porcs valent toujours Rn 7 p . Pour les plus beaux ensembles de bétail. — ; Charpentier Victor, manœuvre depuis cinpuante kilogrammes, vifs Z\ ( àla-Petile Présentés au concours et comptant au moins les ; 21 ans chez M. Choné à Valhey ; Moutlon Fran* chacun 6 têtes. — 1. — Un prix de 100 fr. et une tail est toujours cher. çois, manœuvre depuis 21 ans chez M. Matton S médaille d'argent offerte par M. le ministre de à Croismare ; Chrismant Joseph, depuis 20 ans ARRONDISSEMENT DE SAINT-DIÉ °chez M. Marchai Eugène d Einville ; Mangeard l'agriculture au nom du gouvernement de la Ré,Victor, conducteur de bœufs depuis 1 an chez publique, M. Guérin Auguste ù Briey. ' L'aviation. — Dimanche devait^? e Aux domestiques d'agriculture M. Choné a Valhey ; Mme Gautier Joséphine, ' De nationalité française, qui servent avec zèle 'lieu à l'aérodrome une séance int&? J Programme de l'emploi d'une subvention de manœuvre depuis 25 ans chez M. Mangeot h { santé d'aviation ; malheureusement» Einville. '875 tranes, d'une médaille de vermeil et ue deux eet probité chez le même maître depuis 6 ans au 1médailles d'argent accordées par M. le ministre 1 moins sans interruption : 1 des cylindres du moteur Gnôme dei '1 CONCOURS D'ARRONDISSEMENT 1 1. 25 fr. et une médaille en argent, Mlle Julie ] de i agriculture, pour être distribuées au nom du binet est grippé et force a été de re» 1 Serviteurs et servantes à l'année Marchai, dite Gury, chez M. Alexis Thomas, ù gouvernement de la République en primes d'enP Médaille d'argent grand module. Prime en nu- i ttre à plus tard la suite des vols avec» f avec celtes du département et du fMoineville, 25 ans de service, déjà primée en méraire de 30 fr. : M. Pichelin Valentin, garçon couragement < sans passagers... } 1893, 1899 et 1900 ; 2. 25 fr. et une médaille en Cunuee : 1 de charrue depuis 33 ans chez M. Ligot Joseph à < L'Aéro-Club a pris la sage préfamj , M. Joseph Nô chez M. Alexis Thomas, à 1>" partie. — Concours entre tous les propric- argent, ( Pairoy. de placer sur le grand pont un mâtïlï Moineville 23 ans de services, déjà primé en I Médaiie d'argent moyen module. Prime en ltuircs et cultivateurs de l'arrondissement : te-pavillon destiné à éviter au puifetf ^ A. — Amélioration de l'espèce chevaline 11893, 1899 et 1905 ; 3. 25 fr. et une médaille de numéraire de 20 fr. : MM. Jacquot Céleste, gardérangements inutiles ; le fanion j \ 1. Etalons il*" section). — Pour ies plus Peaux 1bronze, à M. Etienne François, chez M. Colmé çon de charrue depuis 21 ans chez M. Gobert 1 Lubey, 19 ans i de services, déjà primé veut dire : « On ne vole pas » ; le fa^ , Jules, à Courbesseaux ; Othelin Jules, garçon de 1étalons de 4 à 9 uns inclus). — l'r prix : Uti fr. et Victor,à rouge : « On vole » ; le fanion rougi, ( charrue depuis'21 ans chez M. Brincart à Bau- une médaille de vermeil offerte par M. le minis- (en 1899 et 1905 ; 4. 25 fr. et une médaille de ; zemont • Pierlet, dit Midon, garçon de charrue tre de l'Agriculture, au nom du gouvernement 1bronze ù M. Léopold Beaune, chez M. Alexis Tho- noir : « On volera peut-être ». Bienu ' 1de la République, M. Smits ù Pulventeux ; 2% 1 mas, de Moineville, 13 ans i de services, déjà depuis 21 ans chez M. Choné à Valhey. 1 tendu toute la journée de dimanche f« 70 fr. et une médaille d'argent, M. Hensgen, au primé ] en 1905 ; 5. 15 fr. et une médaille de jle fanion noir qui a été arboré. , Médailles de bronze. Primes en numéraire de Bois-le-Chat ; 3% 60 fr. et une médaille de bron- bronze, 1 à M. Emile Lexa, chez M. Barbé Jules 20 fr. : MM. Fouillousc Léon, garçon de char' M. Aug. Léonard, a Joudreviile ; 4% 50 fr. 1aux Baroches, 10 ans de services ; 6. 15 fr. et rue depuis 13 ans chez M. François, de Méhon- ze, : LA NEUVEVILLE-1.ES.RO 1 une médaille de bronze, M. Hensgen ; 5% 40 1une médaille de bronze à M. René Rioux, chez court ; Poirel Ernest, garçon de charrue depuis et Le feu en forêt. — Un incendie a ra*§ fr. et une médaille de'bronze, M. Felten, à Ville- M. ! Dubuy Félix à Lantéfontaine, 7 ans de sersix ares environ de la forêt, au lieu |§ ;12 ans chez M. Husson Lucien, à Hausson- ■ 1 au-Bois ; 6% ex-a;quo, 20 fr. chacun, MM. lien- t vices ; 7. 15 fr. et une médaille de bronze à Mlle ville. « Les roches de Faucompierre ». Leirç nequin à Ménaumont et Léon Bertrand à Girau1 Emma Laurent, chez M. Morin Georges, à ImMentions honorables. Primes en numéraire de , alimenté par les herbes et la mousse, aï 1 val-Hénaménil ; Chrétien Km., garçon de çhar- mont. monville. 6 ans de services ; 8. 15 fr. et une mé truit quelques petits sapins. 2. — Juments poulinières. — Pour les plus bel- daille 1 charrue depuis 8 ans chez M. Goudot à Bonnede bronze à M. Alexandre Picard, chez . r val-Hénamônil ; Chrétien Em., garoçn de char- les juments poulinières de 3 à 12 ans. — l° prix, M. 1 Thomas Antoine, à Jouaville, 6 ans de serGrâce aux mesures prises par l'adinis rue depuis 8 ans chez Mme veuve Charpentier 7U fr. et une médaille d'argent, M. Barthélémy u vices ; 9. 15 fr. et une médaille de bronze à M. tration forestière, le feu a pu être chu j à Raville ; Bannwarth Emile, chei de culture Brabant ; 2% 60 fr. et une médaille de bronze, ■J.-B. Lemoine, chez M. Walrin Félix, à Anoux- crit ; les pertes sont de peu d'important , J depuis 8 ans chez M. Lhuillier Jules à Einville , au même ; 3% 50 fr. et une médaille de bronze, la-Grange, 6 ans de services. ! Bassot Henri, garçon de charrue depuis 7 ans M. Genay à Gondrecourt ; 4% 40 fr. et une méPâtres. — 25 fr. et une médaille d'argent à M. LUS! , ' chez M. Boulanger à Bléhors-Damelevières ; Jac- daille de bronze, au même ; 5% 30 fr, et une méJean-Pierre Muller, pâtre communal à Batilly, Violences. — Joseph Heissat est ifl quelin Joseph, nweaire depuis 7 ans chez M. daille de bronze, M. Barthélémy h Brabant ; 6% 36 ans de services, déjà primé en 1893, 1899 et pfloyé par l'ingénieur des mines de ifl (Clément au Leumont-Romain ; Bacus Auguste, 25 fr. sans médaille, M. Jean Weyer, au Mar- 1905. ne à faire des fouilles en différents™ garçon de charrue depuis 7 ans chez M. Vuille- cel ; 7% 25 fr., M. Sponville à Abbéville. Concours du syndicat d'élevage du cheval de trait min Emile, à Croismare : Booze Joseph, garçon 3. — Poulains. — Pour les plus beaux poulains Etalons. — l'r prix, MM. Weynachtcr, 150 fr. • droits. Mlle Antoinette Havette lui deafl da : « Que cherchez-vous là ? — Des...j de charrue depuis 7 ans chez M. Briel Joseph d'au moins un an. — l'r prix, 60 fr. et une mé- 2% Hensgen, 130 fr. ; 3", Schwartz, 130 fr. ; 4% giginiités ! » répondit le terrassier. ■ à Raville ; Schneider Jean-Baptiste, garçon de daille d'argent, M. Baulet Léon à Villancy ; 2% Purga, 120 fr. ; 5% Weiller, 120 fr. ; 6', Franiatcharrue depuis 7 ans chez M. Genay, à Bellevue- - 50 fr. et une médaille de bronze, M. Léonard A., te, 100 fr. ; 7% Barthélémy, 100 fr. ; 8', le mêdessus Antoinette Havette saisit un m Chantcheux ; Fontaine Gustave, garçon de char- à Joudreviile ; 3% 40 fr. et une médaille de bron- me, 100 fr. ; 9', Bertrand, 90 fr.; 10% Hennequin, Jou et le lança sur la tête de Heissata rue depuis 6 ans chez M. Thomassin Joseph il ze, M. Bertrand à Halloy ; 4% 30 fr. et une mé- 90 fr. ; 11% Doucet, 90 fr. ; 12', Genav, 90 fr. ; docteur Humbert constata une plaie «S Flainval ; Kerber Emile, garçon de charrue de- daille, M. Hennequin, à Menaumont ; 5% 30 fr., 13', Hensgen, 80 fr. ; 14% Schmits, 80 fr. ; 15'. tuse du cuir chevelu avec suppurationB puis 6 ans chez M. Moutton Léon à Croismare ; M. Weynachter, à Landres. Schwartz, 80 fr. Grosjean, ingénieur, a porté plainteB Huberty Nicolas, garçon de charrue depuis 6 ans 4. — Pouliches. — Pour les plus belles pouliPrimes de déplacement pour étalons. — M. lieu et place de son ouvrier. r chez M. Rouhling à Corbeau-Barbortville ; Vi- ches d'au moins un an. — l' prix, 60 fr. et une Léonard, 25 fr. ; Purga, 25 fr. : Sacré, 25 fr. ; riet Eugène, garçon de charrue depuis 6 .ans médaille d'argent, M. Schwartz, à Moncel ; 2' Hennequin, 25 fr. Schmits, 25 fr. ANOU-J chez M. Husson Lucien, à HaussonvUle ; Cor- 50 fr. et une médaille de bronze, M. Hensgen, Juments. — l'r prix, M. Barthélemv, 100 fr. • Rixe. — Alexandre Boës, cultivaient! beil Auguste, garçon de charrue depuis 6 ans au Bois-le-Blanc ; 3% 50 fr. et une" médaille de 2". Hensgen, 90 fr. ; 3% Mangenot, 90 fr. ; 4'.' Venehèree, commune d'Anould, suM chez M. Jeanjean, à Mouacourt ; Guerber, gar- bronze, M. Adam Albert à Bruville ; 4% 30 fr. et Barthélémy. 90 fr. ; 5% Hennequin, 80 fr. ; 6' çon de charrue depuis 6 ans chez M. Gena» à une médaille de bronze, M. Hennequin ; 5 . 30 Genav, 80 fr. ; T Genay. 80 fr. ; 8' Guérin, 80 un de ces jours derniers, un bons'l Bellevue-Chantcheux ; Mangin, garçon de char- fr. et. une médaille de bronze, M. Barthélémy ; 6' fr. : 9'. Weiller, 70 fr. ; 10*. Adam, 70 fr. deux femmes en train de cueiBir^ttesa rue depuis 6 ans chez M. Marchai Charles à et 7% 25 fr., MM. Bellissant, au Fort, et Pierre Pouliches. — Vr prix, M. Barthélémy, 80 fr. : ses dans son verger. Une rixe éelata'S Beauprô-Moncel. 1 Bourgeois, à Hauoourt ; 8' et 9% 20 fr.. MM. Bel- 2', Schwartz, 70 fr. ; 3', Genav, 70 fr. ; 4% Ge- tre le propriétaire et les maraudeur» Concours d'abornement et créations lissont et Barthélémy ; 10% 11' et 12' 25 fr., MM. nay ,60 fr. ; 5% Schwartz, 60 fr. • connus dans le pays, on sortit" tes m de chemins d'exploitation, Bertrand à Giraumont ; Beclcer à Mancieulles, et teaux et on s'en servit. L'Association syndicale de Flainval, 400 fr. Schwartz, à Moncel ; 13% 14' et 15'. 10 fr., MM. I/enquète a établi que les cueilleuriB Médaille d'argent moyen module : M. Monin,t Michel à Boudrezy ; Hennequin et Bertrand. cerises étaient Lucien Colnat. niaiKesB président dé l'Association syndicale de FlainB. -r Amélioration d«;s espèves bovine, ovine au MazeviMe (Fraize), la Temme val. et porcine dernier et Clémentine Sonrier, ouvrièrfl Instruments 1. — Taureaux. — Pour les plus beaux tauARRONDISSEMENT DE NEUFCHATEAU Rappels de médaille d'or, MM. Breton Joly à, reaux de 2 à 4 ans. — V* prix, 60 fr. et une filature. Colnat a reçu au thorax un m Einvaux ; Paquolte, à Lunéville. médaille d'argent offerte par M. le ministre de de couteau qui lui a occasionné une m NEUFCHATEAU Rappels méd. vermeil, M. Corny à Blainville-. l'agriculture au nom du gouvernement de la RéEvadés et repris.— La gendarmerie a profonde ; une hémorragie s'est prodil sur-l'Eau ; Gérardin à Flin. publique, M. Aubert à Anoux. Morale, 16| les jours du blessé sont en danger. I Médaille vermeil, Cargemel à Blainville-sur2. — Taurillons. — Pour les plus beaux tau- arrêté les jeunes Raymond l'Eau. ans, et Louis Stœcklin, 14 ans, qui s'é-! — < rillons de 6mois à 2 ans. — l'r prix, 40 fr. et Rappel médaille d'arg., M. Paquatte à Flin. une médaille d'argent, M. Becker à Mancieulles; taient évadés de la colonie de Bologne où Méd. de bronze, M. Martin h Besançon ; Cas- 2", 30 fr. et une médaille de bronze, M. Moïse ils sont détenus. telli à Einville ; Sefflt et Béret h Einville. Hesse à Audun-le-Roman : 3% 20 fr. et une méARRONDISSEMENT DE REMIRE MONT Mention très honorable, Choné à Valhey. —-— daille de bronze, M. Colmé auv Baroches ; 4*. Pouliches de 2 ans 15 fr. et une médaille de bronze, M. Aubert à LE SYNDICAT-SAINT AMÉ Extrait de l'état-civil de Metz 1"' prix, Bastien à Saint-Libaire ; 2', Chaplcur• Anoux ; 5% 15 fr., M. Petit à Briey. Vol.— On a volé dans la halle aux marà Einville : 3', Malgras à Valhev ; 4', Bastien ;; Naissances. — Georges-Alfred Boni 3. — Vaches laitières. — Peur les plus belles chandises de la gare, deux rouleaux d'af5', Brincard à Raville ; 6', Zabel à Ranzey ; 7',, vaches laitières et les plus propres à la reprofiches métalliques du poids de 24 kilos; — Lucie-Marie Schell. — Charles-E* Bastien : 8', Zabel ; 9', Bertrand à Serres • 10" duction. — 1» prix. 50 fr. et une médaille d'ar' Rogalla. — Marie-Jeanne Clément. - J» Grimont à Maixe ; 11% Jacques à Hemonville ; 12%\ gent, M. Guérin à Briey ; 2% 40 fr. et une mé- expédiés par une maison de Paris à un Baptiste Bihr. — Jean-Charles Knit* nommé Deville. Ce destinataire étant Goudot à Bonneval. daille de bronze, au même. LouiseHMiarguerite Rohrbacher. — Ej* Poulains de 2 ans 4. — Génisses. — Pour les plus belles génis- inconnu au Syndicat et à Saint-Amé, la; Kraus. — Marie-Louise Vagner. —maison expéditrice fut avisée, mais elle 1*, Refort, à la Basse RiouvUle ; 2% Picard,, ses. — l'r prix, 70 fr. et une médaille d'argent, ' ne-Madeleine Klein. — Geargees B» à Arracourt. ne répondit pas. M. Guslave Petit, à Briey. — Elisabeth-Annie Bnsch. — Marie-* Juments suitées 5. v- Porcs. — Pour la plus belle truie. — Un Comme le colis était grevé de 11 francs . l'r prix, Victorien à Réchicourt ; 2% Bastien,, prix de 10 fr. et une médaille de bronze, M. Pe-. de frais de magasinage, le chef de gare rèse Lang. — Marguerite-Marie WK ù Saint-Libaire ; 3", Lhuillier à Einville : 4' tit, à Briey. — Georgette-*^ croit que le destinataire est venu s'em- Marie-Louise Jacky. Coqueron, à Bauzemont ; 5% Midon, à Raville ';• Un prix de 5 fr. à M. Petit h Briey pour son Helstroffer. — Ducie-Marie Malnwnti' parer en douceur du colis pour ne pas" 6% Bastien. bouc. Joseph Ru ping. — René-Maurice W payer ladite somme. Pouliches de 3 ans 6. — Ovins. — Pour les plus beaux lots de , Mariages. — Pierre Bank, condiw 1'», Bastien ; 2'. Goudot à Bonneval • 3% ManRAMCNCHAMP - 1 moutons présentés au concours et comptant au geot à Einville ; 4% Goudot ; 5% Bertrand à Ser-- moins 25 têtes, un nrix de 70 fr. et une médailleI Arrestation.— En vertu d'une contrain- de tramway à Metz, et Barbe TW res ; 6% Barbier. ' te par corps fixée à huit jours de prison, Maizières. — Charles-Joseph Ferraoi' . d'argent, M. Gustave Petit, à Briey. Prix d'ensemble, M. Bastien, de Saint-Libaire.:. Instruments agricoles. — Perfectionnement des; le nommé Nicolas Maurice, journalier.qui: langer à Metz, et Marie Jacmot, aj Taureaux instruments d'agriculture par les constructeurs, avait été condamné pour coupe et enlè- zieux. — Henri Drouchon, ouvrier, e'-r Taureaux d'un an. — Pas de l'r prix ; 2% Ga-.- de l'arrondissement. — Un prix de 15 fr. et une" rie Reiter, à Metz. — Jacob Grim»-' : • vement de bois, a été arrêté. zin à Raville. — Taureaux de 2 ans. — 1'» prix,, médaille d'argent, M. Tétienne, aux Baroches, niste, et Marguerite Vilmin, à f% Choné à Valhey : 2% Georges Marchai à Einville;:; pour son exposition de charrues de sa fabricaSAULXURESi Jules Barbier, voyageur à Saint-Aw'4 3% Gazin à Raville. Le feu.— Une de ces dernières nuits,, Marie Chilles, à Metz. — Michel tion ; un prix de 15 fr. et une médaille de bronGénisses de six mois ze. M. Bérard, h Jarny. le hangar attenant à l'habitation dess voyageur, et Alice Barbier, à l'r prix, Rodhain à Raville ; 2', Marchai GeorExposants n'habitant par l'arrondissement. —. époux Maurice, cultivateurs à l'Envers- Victor-Mairie Mogenot, ouvrier S A ges à Einville ; 3% Choné & Valhey ; 4% Mangeot it Une médaille d'argent. M. Tétiennc, aux Baro-- I de-Bâmont, a été incendié, avec les deux s gtny, et Juliette-Marie Perrin, a M* Le Comice d'Einville1! 1 J ■ Les Prix Primes culturales Prix d'honneur, objet d'art : M. Gazin Henri, a Ràville, pour l'ensemble de sa culture et sa bonne terme d'exploitation. Gratification aux servin leurs de M. Gazin : 25 fr Méd. d'or : M. Bustien, à Saint-Libnire-Serres. Méd. de vermeil : M. Marchai Georges, à Einvi ville ; Marchai Jules à Eiuville. Méd. d'argent grand module : MM. Barbier Victor, à Deuxville ; Thomassin, à . Flainval ; y c Colin Théodule, à Flainval. Méd. d'argent : MM. Commun fils, à CharmoisB Bonviller ; Durand Victor, à Maixe. Création de fosses à purin MM. Mangeot, « Einville, 50 fr. ; Gazin, à Raville, 50 fr. ; Mourot, à Haute-Foucrey-Valhey, 40 v fi ; Midon Ernest, à Raville, 40 fr. ; Marchai fr. JJ., à Einville, 40 fr. ; Colin Th., à Flainval, 40 fr. ; Marchai G., ù Einville, 40 fr. ; Commun fi fi fils, à Charmois-Bonviller, 30 fr. ; Othelin Louis, à ° Bauzemont, 30 fr. ; Coqueron, à Bauzemont, 30 * fr. ; Calais, à Einville, 30 fr. ; Durand, à Matixe, 30 fr. ; Marchai G., à Sommerviller, 30 * fr. ; Barbier-Marin, h Crévic, 20 fr: Sylviculture Médaille d'argent grand module : M. Marchai j Jules, a Einville. Médaille d'argent moyen module : Gazin Jules, à Raville ; Bastien Jules, il Hoéville. Médailles de bronze : MM. Bastien Charles, à cSaint-Libaire-Serres ; Henry-Marin, à BauzeJmont ;Maire Eugène, a- Sommerviller. Prime en numéraire de 20 fr. : M. Chrétien J Jean-Baptiste, chez M. Gazin Jules, à Rav v "ie. ■ Prime en numéraire de 10 fr. : M. François Joseph, chez M. Henry-Marin, à Bauzemont. J Mention honorable : Prime en numéraire de , 35 fr. : M. Idatte Jules, garde des eaux et for rêts à Crévic. . , Mention honorable : Prime en numéraire de g30 fr. : M. Simonin Joseph, garde des eaux et f forêts à Lunéville-Nord. Récompenses accordées aux instituteurs ' et institutrices Hors concours (volumes) : M. Joly, instituteur ga Chanteheux, pour son enseignement agricole et _ ses travaux personnels. Médailles d'argent : MM. Mathieu, instituteur eà Laneuveville-aux-Bois ; Berger, instituteur à (Crévic ; Mlle Stofflet, institutrice à Serres. Médailles de bronze : MM. Gérard, instituteur à Saint-Clément ; Simonin, instituteur a Serres ; Gond, instituteur à Moncel-les-Lunéville ; Geor' ge, instituteur à Valhey ; Plaisance, instituteur j à Vitrimont ; Henry, instituteur à Bauzemont ; iMme Henry, institutrice ù Bauzemont. Mentions honorables : M. Michel, instituteur i Maixey ; Mme Berger, institutrice à Crévic ; à 1 Mlle Flosse, institutrice à Maixe. Ouvrages sur l'agriculture décernés aux élèves l classés dans l'ordre du mérite qui suit : Ecoles de garçons. — t"* prix, MM. Corriger Raymond, de Moneel-les-Lunévïlle ; 8', Simonin J Denis, de Crévic ; 3* ex-aequo, Deté Charles, de ! Moncel ; Henry Benoit, de Bauzemont ; 4" ex' asquo, Simonin Henri, de Serres ; Saintsirnon i Edmond, de Bauzemont ; 5" ex-œquo, Brincard i Gustave, de Bauzemont ; Pierson Léon, de Laneuveviile-aux-Bois ; Vély Henri, de Saint-Clément ; Laurent Henri, de Valhey ; Gond Henri, de Moncel ; 6% Natte Paul, de Crévic ; 7' ex«juo, Boulanger Henri, de Moncel ; Barbe Auguste, de Serres ; Pierson Adrien, de Serres ; Simonin Raymond, de Serres ; 8* ex-œquo, Meyer Brançois, de Crévic ; Bertrand Charles, de SaintClément ; 9' ex-œquo, Toussaint Emile, de Chanteheux ; Michel René, de Maixe ; Geoffroy Marcel, de Crévic ; 10" ex-œquo, Masson Gaston, de Crévic : Marchai Louis, de Laneuveville-auxBois ; Thouvenin Henri, de Vitrimont ; 11' exaequo, Bousset Louis, de Saint-Clément ; Mirgon Hubert, de Vitrimont ; Marchai Maurice, de LaneuvevfUe-aux-Bois ; Bachelair Emile de Chanteheux ; 12" ex-œquo, Richard Gaston, de Chanteheux ; Lambert Paul, de Laneuveville-aux-Bois; Rollin Charles, de Crévic ; Toussaint Paul, de Saint-Clément ; Henry René, de Vitrimont ; 13' ex-œquo, Goudot Georges, de Vitrimont ; Pobé Charles, de Vitrimont. Ecole de filles. — 1*» prix, Mlles Marchai Marie-Louise, de Bauzemont ; 2", Fiacre Catherine, de Crévic : 3% Dêplanche Marie-Thérèse, de Bauzemont ;.**, Bricot Marie-Marguerite, de Bauzemont ; 5', Simonin Suzanne, de Serres ; 6', Leelerc Marthe, de Serres ; 7" ex-œquo, Beurton Suzanne, de Maixe ; Bernard Adeîine, de Crévic ; 8' ex-œquo, Audas Angelina, de Vitrimont ; Thouvenin Joséphine, de Vitrimont ; 9', Noulfert Juiia, de Crévic ; 10', Barabinot Marcelle, de Vitrimont ; il*, Lafleur Augustine, de Maixe. Manœuvres, bergers, pitres communaux, vignerons, houblgnniers à façon et ouvriers forestiers Médaille d'argent moyen module. Prime en numéraire de 10 francs : M. Lhommée Charles, depuis 60 ans chez M. Marchai Georges, à Einville. Médailles d'argent petit module. Primes en numéraire de 10 francs : MM. Larue Joseph, depuis 55 ans chez M. Lhuillier Jules, à Einville ; Colin Joseph, depuis 53 ans chez le même ; Lcloup, depuis 50 ans chez Mme veuve Charpentier à Raville. Médailles de bronze. Primes en numéraire de 10 francs : MM. Potier Charles, depuis 47 ans chez M. Marchai Georges à Einville ; Hatton Jean, depuis 44 ans chez M. Barbier Victor à Deuxville ; Barbe François, depuis 42 ans chez; M. Marchai Jules à Einville ; Chatton, depuis 41 ans chez M. Briel Joseph ù Raville. Mentions honorables. Primes en numéraire dei 10 francs : MM. Darnoy Auguste, depuis 40 ans; chez M. Othelin à Bauzemont ; Monin Charles,, depuis 40 ans chez M. Boulanger Charles à Deuxville ; Thisselin Emile, depuis 39 ans chez M. Cabocel Joseph, à Serres ; veuve Martin, depuis; 39 ans chez M. Boulanger Charles à Deuxville ;; Vosgien J.-P., depuis 3(i ans chez M. Ba.jolet Jules à Deuxville ; Humbert, depuis 35 ans chez: Mme veuve Charpentier à Raville ; Thisselin1 Edouard, depuis 35 ans chez M. Brincard à Bau-zemont ; Lanord Pierre, depuis 33 ans chez M. Marchai Eugène, à Einville ; Pisrron, depuis 31t ans chez M. Bajolet Jules à Deuxville ; Deboutt Joseph, depuis 31 ans chez M. Midon Ernest, at Raville ; Contai Joseph, depuis 31 ans chez M. Burtin Alfred, à Drouville ; Houillon Joseph, depuis 30 ans chez M. Commun, ferme de Charmois-Bonviller ; Martin Joseph, depuis 30 ans3 chez Mme veuive Charpentier, à Raville ; Mme3 Lhommée Annette, depuis 30 ans chez M. Mar-chai Georges à Einville ; Mirgon Charles, depuis 28 ans chez M. Barbier Victor à Deuxville :: Dogat Hippolyte, depuis 27 ans chez M. Com-- ^gggS^SÊSSSÊSSÊSSSBBÊÊSSSSSBSSSSSSS û cS' \ « 1 j l Le Comice de Briey \ Lés Prix VOSGES 1 LA SOCIÉTÉ VOSGIENNE D'ART Depuis sa récente ouverture, l'Exposition de la Société Vosgienne d'Art voit, chaque jour, de nombreux visiteurs stationner longuement dans les galeries consacrées à ia peinture proprement dites — galeries provisioiras, fort bien aménagées au fond du jardin de la « Maison romaine » — ainsi que dans les salles de cette originale villa, parées de la splendeur des objets d'art décoratif. C'est que la saison est propice aux voyages. Les excursions dans las Vosges ont, en ce mioment, la faveur de tous ceux qui recherchent l'ombre, la fraîcheur, le repos estival dans les belles forêts de sapins et d'épicéas. Epinal et la limpide Moselle attirent donc des étrangers, et l'Exposition actuelle les retient. Parler de cette manifestation d'art est, à la fois, conforme au désir de l'estoc-tique et à celui qui. Xious pousse vers âtexil, momentané ci délicieux, des villégiatures. Aussij ne faut-il pas s'étonner, si parmi les, œuvres exposées à Epinal on iEemarnue beaucoup de paysages, et surtout des paysag.es des Vosges. Nous alfetfis en faire passer l'examen au lecteur. Ï*uissie4-il s'imaginer que le hasard d'une promenade l'a poussé — ainsi que nous|û>ame, a y a quelques jours — en ees %mz charmants que baigne la douce rijprière d'Ausone J I iiiBaliaaBnaaMwwn.wiipiMii.iiiin I LA PEINTURE TROISIÈME EXPOSITION DE ~ LORRAINE ET ALSi 6T"i»WWIIIWil<HHIIIIIII' lillilllil # 1 J t admirer 'es mains détaillées, les faces ridées ; cependant que les effets de couleur, aont plus particulièrement marqués dans las choses : les toits de tuiles, les murs, anciens de briquesM. Lucien Biva,,élèvei de ,epn père,a d'intéressantes notations de couleur,ta Table fleurie, notamment et un Plateau de MaUéoïllc a réjouir plus d'un Nancéien.Familier dés salons lorrains, M. Btehay expose un portrait et une étude de nu où l'on renia Vue des qualités dans le dessin, sans grand éclat de la couleur. Je goûte beaucoup le rustique Intérieur de cuisine de Mlle Marie Calvès. Les fruits et la bassine de cuivre de M. Charbonnier réjouissent l'œil par leur agréable mode- Pour gagner l'annexe qui contient les tableaux on traverse la Maison romaine, puis on longe la bibliothèque de la ville. Lntue tes colonnes classiaues du bâtiment Ion aperçoit la cité studieuse des livres! comme endormie par la chaleur. Le voisinage est de bon augure, et l'on a la sensation très nette de pénétrer sous les auspices de la Société vosgienne d'art, si prospère déjà malgré son jeune âge, en un milieu, des plus cultivés, de pensée modema M. Léon Barillot a envoyé un bel exemple de son faire d'animalier doublé d'un excellent paysagiste. Son Canal de VOme â Un puissant relief, dû à une étude très Oinstreham, sous un ciel bas chargé de poussée de la perspective aérienne appanuages est bordé par un pâturage où le bé- raît dans le Crassier de Jarville pendant le tail aux flancs luisants et polis complète , circuit de l'Est du peintre nancéien Pierre 1 harmonie du tableau. Claudin. L'aéroplane occupe un coin du Mlle Léonie de Bazelaire de Ruppière ciel, mais l'intéressant c'est cette foule marne le pinceau avec un brio assez rare grouillante, en plein soleil, avec des ombres sous les doigts féminins, le plus souvent bleues, sur l'étrange cOne du crassier. Cetassez timides. Les audaces, heureuses, de te petite scène de genre est vivante et d'ob1 impnessionisme pointilliste ne l'effraient servation très juste. Elle est à notre époque Pas ; elle les accommode avec goût au ce que furent, pour les Nancéiens de 1880, rendu de la vibrante atmosphère méridio- les peintures estimées des frères Voirin. nale. C'est clair et lumineux. Il semble Mlle Marguerite Coince traduit la campamême que la vivacité des tons nous régne lorraine avec de bons effets de pleinchauffe. air, un peu dans la note du paysagiste ReEt pour goûter un peu de fraîcheur naudin. quoi de mieux que do gagner les sites faBien que le domaine artistique de M. miliers à Léon Barotte, ses sous-bois de Paul-Emile Colin soit plutôt la gravure, sapins, ses bords d'étangs, variations très ses toiles complètent assez bien cette phydélicates de la nuance, fondus charmants sionomie intéressante d'un fervent amoudes gris fins de la Lorraine ou des environs reux de la nature. de Paris. Une Tête d'homme, énergique, de Mlle Voyageons encore. Au pays des FlanFlorence de Conink se trouve notée en bondres, M. Jules Benoît-Lévy appliqua son ne place dans mes souvenirs ainsi que La talent, qui frappe par des moyens simples vieille maison de l'arbre rouqe et les Péniet discrets à mettre en valeur des scènes ches de M. Constant Duval. pittoresques. L'une des plus remarquables Nous retrouvons une toile déjà décrite fut pointe à Bruges Sur le Quai vert. C'est dans les Salons nancéiens : La marraine de une des toiles les plus attachantes de cette S-oano (Albruzes), de Mlle Marguerite Deexposition. Le groupement est réussi de lorme. Ce tableau, dont la composition est GCS trais î-cîmaaes en niantes dont an peut si pittoresque et dont le rendu est le fan V Encore un nom que nous voyons souvent sites du Doubs sous le pinceau d'Emile dans les expositions nancéiennes, celui de d'un pinceau léger et transparent retrouve ici tout le succès qui TOI vaiut, à Paris, ie . Mlle Alice Gillard, dont les Fleurs de Nice procèdent par oppositions de taches claires piix ualimard-Jaubert. et de touffes sombres. Dès l'entrée de l'Exposition,- les cartes M. Gabriel Guérin est un peintre de tapostales mises en vente nous avertissaient que nous trouverions un tableau sinon cé- lent, originaire de Bourbonne-les-Bains. Il lèbre, au moins populaire de M. Darien : semble qu'il n'ait point ignoré l'un de nos La Place du Châtelet, à Paris. Il y a là, au meilleurs paysagistes vosgiens : Louis Français, de Plombières, ni peut-être Selpoint de vue pictural, une bonne opposition lier, ni, sans doute aussi Corot, C'est dire entre la lumière de la Seine et celle différente, de la berge. Les personnages sont nom- qu'il voit la nature dans une certaine coubreux et amusants. leur qui n'est point de l'école impressionToutefois, plus artiste m'apparaît la vi- niste, mais plutôt celle du grand paysage sion de M. Jean E-nders qui rend avec beau- de style — arbres tenus dans les notes somcoup de poésie un aspect des inondations bres, prairies d'un vert un pou embué tirant sur ie gris. 11 n'est pas jusqu'à la de la Seine, au pont des Invalides en 1910. composition introduisant des nymphes Il y a là un ciel couvert do nuages avec rais de lumière sur lequel se détache, en dans le décor qui ne fasse songer au peintre charmeur des bords de la Marne. Les grisaille, le Trocadéro, d'un très fin et très joli sentiment. toiles de M) Gabriel Guérin, en notre époque de tons crus et d'impressionniste lâché Et l'autre toile de cet aimable artiste : Un nid dans les vieux murs n'est pas sans surprennent tout d'abord ; ensuite séduirappeler beaucoup les magnifiques et char- sent. Parmi les toiles envoyées par M. Grandmants décors de l'Oiseau bleu de Maetergérard. celle intitulée Dans le vieux cimelinck, au théâtre Réjano : la même atmostière et qu'a reproduite la Revue lorraine phère tremblée, le même mystère envelopillustrée est connue. On ne peut qu'en louer pant les objets s'y rencontre ; et peut-être le 'e:teur a-t-il deviné déjà que les vieux la calme et belle ordonnance. Une marine du même jeune maître accuse cne étonmurs sont ceux, voûtés, d'une abbaye, et nante profondeur dans la perspeeti >ê. que le nid est un nid humain composé Au nu très clair et d'une souplesse'presdjune femme et de petits enfants, groupe que inquiétante de M. Henry-Bardot nous délicieux sur lequel joue harmonieusement préférons ses Vaches au gué, dom ie pelag la lumière. bigarré — roux et blanc ; noir, grs-bleu et Gagliardini, un Alsacien de Mulhouse, blanc — se détache dans une si jolie lumié s'est voué plus spécialement aux effets de re, bleu et argent. couleur chaude des paysages du Midi et M. Auguste Herbst, élève d'Emile Gallé et d'Italie. continuateur du maître pour la comnosi Jacques Gruber présente — et très artistement dans un cadre à sabres moulures — tion d'ébénisterie, expose une vigoureuse Forêt de pins, d'un sentiment décoratif 1= le carton des vitraux si remarquables qu'il grande allure. a composés pour la grande salle de la SoL'anecdote militaire rencontre en M Vif ciété industrielle de l'Est à Nancy. Hestaux a des sous-bois vosgiens dont l'on aime les tor Huen de Colmar, un traducteur ' aux accents éloquents et patriotiques conmâvT pierres moussues lavées par une onde écub es, en littérature avec «u! du VomTcter meuse et les troncs bigarrés des sveltes réd'Esparbès (Le petit tambour de Hix ?in \ sineux. A rmtaxqaex aussi ses effets de On connaît la douceur harmonieuse neige délicatsdes 1 Issembart. Des eoms de nature du même genre ont été mis en valeur non s *j leté par M.Jeanmougin.dont la V3 digue gagnerait parfois à plus de re- J| Puis voici tout un groupe d'exp°sjïïB miliers à nos Salons lorrains : Mses fleurs aux riches et francs col0't<[ii Kreyder dont les natures mortes^" sèment traitées ; M. Armand ^eu"nM la Bourbonnaise semble une étape n M de ce peintre des milieux modesi - m une couleur plus abondante ; 1 jS« dont fleurs et fruits ne sont ial"':eCt« vres ; M. Licourt qui surprend, a m de finesse, le charme d'une doue J particulière des pays qu'arrose, en ne, la Meuse. -S> M. Léon-Charles Lallemand p^l don si utile au peintre, et, niaigi-^ 1 peu commun : de bien voir le p \ j des choses pittoresques. îjjiii M. Lurçat nous promène Sous 1- 0, â Bruyères ou dans la Vallée a Epinal... On s'y croirait, it w Les évocations du premier emp e Malespina plairont à ceux qui, ' Btf militaire, affectionnent le docuu' ■ cis. ,0 Ce M. Muenier, le Ruisseau et *«» ^ paysages de valeur. M. Mingre* ^,,1 exposants les plus originaux du « #1 pinal. Sa peinture est moins u« M d'observation directe qu'une< « décorative. On la verrait tre^ de sujet à des trumeaux, au-des-1-^ tes ou des cheminées, genre ^Y jgS* ds u et les peintres de son école ne oe ;t point, tout 1 En général, ces toiles sont suu d u rmindublcs par une harmonie u-'a{.qo» chée, de la composition- J'ai re. rjér«J ticulièrement le Nu dans é^. Croissant de lune, lisière de l0,"„'uiii5" a tons roux Rapprochant de la r ''urIiW des modelés enveloppants qui ^ tour du sujot principal auqiueainsi le maximum d'importan- '«"7, l! (A suivre.) I L'EXTENSION Laniwa£Nancéien <TJAW lit LA tJE LA CONSTRUCTION i-Tua l'Immeuble : I 1 lil d «al Ovliciel du 8 juillet 1911 a J ° long décret déclarant d'utilité on ■ ,lié «n |; ^ de modification et t vaux 1 ■BUDI'Î ^,,, du réseau du tramway die la NancY, votés, l'an dernier, par 0» I B^p^Xs nécessaires c P pour IV rfn ces travaux doivent être acuU0, Irf !,nn un délai de 3 ans à partir S 10S !Ui'- -n 1911 date du décret précité. Idu^J?,' ne Nancy est autorisée à pour- M » fl construction et à l'exploitation étendu et à le rétrocéder 'T , érale française des da B^jffleBlège social est ù Pans, à f. CJ r-»eau «nnsi %oit ffS ^/ia at MP J'Ladui^ du concession réseau expagnie, est Sfcli»*4 à Qu'ait 31 décembre 19G3. ■fc^-m de l'intérêt qui s'attache à 0 n}» " nous reproduisons, in-extenWtte texte de l'avenant andu KL une P<fl e flfl ville de Nancy s'engage f» Art- 1 • , rEtat, pour la rétrocéder à man * ^nie générale française de tramC la concession, jusqu'au cette com afla»^ |__P >lf flà ^TZS, % jfcïSS)™ ^ m réSH2aU « COm e ^ " W^L* ligne de la rue de Toul ,à la 10 ar rue du Ru lssoau «1 aoe bavette. P ^ , »l ^ 1 lVne circulaire avec le parSfehce Carnet-rue de Toul dont la Stoura P'afî..ise entre la place Carnot et "cesserait d'être exploi- S 'I' iVune ^VaSvaï ligne de la gare à Maxéville 4 'i r (rue , | I^ 7U?lii<mo n 3 Sud, avf a% de la gare au cimetière du ^ ro!ongement éventuel sur les .'.tiiierie : J ÎTfZ lS«' de »i S^e à la route du J^fÙaevoie S Sb rue de service dans la rue -j ^rt, entre l'avenue de Bouflr ii de Villers. ^1 » t 2 — En compensation des charges (f'j Lté nature qui résulteront pour la ■ Pr6 «fie tant de l'établissement de ces f^ûwâ'es que de l'exécution des sti, * ^iTàes articles 3, 4 et 5 ci-après, la ? ^Sfse à demander à l'Etat et à réU Compagnie, la prolongation, f « -ïSl 6îa S7u ^ exploité par la Compagnie 2 mii fait l'objet de la convention du 15 Vmbre 1903, modifiée par l'avenant du /juillet 1907. uf. "L 3 _ a) Les rétrocessions mention«tas aux articles qui précèdent sont acM« Ses à la Compagnie, conformément à r^du H juin 1880. à la loi du 15 juin dfflî joQg et aux conditions stipulées dans la cirea convention et l'avenant sus-montionnés, ant ainsi nue dans le présent. „„ b) La Compagnie s'engage, d autre part, UB * i prendre à sa charge les frais de rescm51 : dément de trottoir et de déplacement d'ap*k 'pareils d'éclairage que nécessitera l'exéntsi ' &on du réseau visé au présent avenant, daK jétart entendu que, dans la rue de Metz, !^' • f installation do la voie aérienne s'effecxt ffaera au moyen de rosaces placées contre U \ÏN immeublés et portant des fils tendeurs . jpinis de sourdines et qu'en cas d'impos■bilité, on emploiera des poteaux à socle . Bot pour dégager les trottoirs et ne pas înte ] circulation des piétons. a a Par contre, la Compagnie n'aura à sup, N(jjjforter aucune charge dans les acquisiIons.d'immeubles nécessaires par l'élar"^psséwiit des voies, publiques . emprun;,;j|^s,,:Bi,;uan3 les travaux d'aménagement >p ^tiJpi etyjïrant, la conséquence. La ville .jaa|jiéciéra ces travaux, dans les délais' Qu'elle jugera convenables. ' , " , im ies if) ûans lé. cas °à au moment, de l'éta" pissement des lignes concédées, des, diffili^pfcltés d'exécution dûment reconnues né-. ^(j'Jpssiteraient la modification dés tracés cie de r désignés : ligne circulaire dans la vrièKM?ttie comprise entre le boulevard Godeun Jfi>y-(ie-Bouillon et la rue du FaubonrgJ^Trois-Maisons, lignes de la gare au ime ^-odiBstetière du Sud et de la gare à la route, . m Montet, dans la partie comprise entre eJ gare et le pont du Montet, la ville et la, tompagnie se réservent do leur substia r s « tim-J' P é instruction régulière et déclaUillt, d'utilité publique, des tracés diffépits, mais ne comportant pas, pour la, , if^pagnie, des charges de construction, K "«ploitation supérieures à celles desi Bfi "Ki T Prévus à l'article 5 ci-après. lc "?*sL' 11 com PaS"ie accepte de prolonger • JE- * casorn«s d'artillerie la ligne "dui Klll du Sud dès ' qu'un« voie d'accèsi _ 8 m 40 de ' ' largeur aura étéj T Ik 2E entre le cimetière et les casernes. . BaW engagement est valable pour une du-. kine tmÀS cInq amiées comptées à partir de> d'achèvement de la ligne « Gare13 ett^WW^etière.- » ■RM» m _P ^ Sfi 'Sf'" ^1* tfi« obfe -, ^iSlSf la»l °? ' /^ IU le cas où la ville vant te 1" d ne V ndTait demanderait; 1920,, la Gare à Envier d n ..^Pagaie s'engage à ent ■"V«fiÏÏ.^'o la t fl 'à Sesi i/eCOB lr°^!°n aux oonditions ' f, y ™«on et aucahier des s rf il U tembre 1903 'ffl '*^i^nJ S > à l'avenant; 1 07 et au *VS( 19 , , Présent. Cette 11-. \\ iW^m%tt t a niveau Saint-Georges, emprunterait, M#%e rio fï 'SBaiK h Essey-les-Nancy suia8 Ilm M*t'2, j« la me de! ?mt6T d'intérêt commun1 section avec la ruej T^ ™^ , l 0 en sections : ! 3 1 de -"«•llautiJ ? Tomblaine, rive gau• w terSg ^ Tomblaine, rive ' de Y EST REPUBLICAIN incendiaire Par H enry GRE NET iS Y Srft Avenue complète, Mme 'a petite Lucie sanglotaient. ri ,| I 'té rjf f e situation e S ti0n du Car d/lw ^ contremaître Ur C°M1 S. U o ,.dlaire Présumé de ia rue om a »» î «s oui ^ P Snie d'assurances <*e mC?* à Payer plusieurs ait •Ctol Pas r lrancs a M. Robert, ne ^ „ ee av«tS dlrccteurs de la puis« la bonn ntrésuuta ' Par leurs mspec4l>te en & P ti°n du sinistré »ite>lité JaÇade. Au fond, c'était une b at ftl en -«obert avait quitté l'ad, *a>3tea,,v?portant des Secrets de 115 3 al Qh'nt 3 °usement consern pas nôsité a SG Pût il Ut 0Uvsuivre racc a de S P ges 1ui déformaient Ve nparait sans rtes vergogne re nJ, «on 1 ':< « nw/ Nnt l^?Cra,,?? V4, H ilïi >C A t^ Zvdu ^ *- ' *™ improbité son man?^ni« d'£ ranccs»e négociant. _^^isérn nf!J universelles e ai dn s son conseil ?1 taiTe. ,? "» 63 rt dfi Uoho rt ui ^ faute , rensci - - d "e s'ékf0 A ' ' Urberi° S"er ses collèuc H £c du personnage. Leur lîC^co^^/^'e que nce comi ' S Slv r D. — Ayant 33 ans, je voudrais me marier. Ma mère ne veut pas me donner son c oomscinteimenit. Dois-je faire des actes resfpectueux ? R. — Vous n'avez plus besoin du cons semtemeint de votre mère. D. — Quand un ministre, à l'occasion c d'une céi'tmonie patriotique, remet à quelQqu'un un diplôme d'officiei d'Acadrmie et I lui passe à la boutonnière le nœud violet, c quelqu'un doit-il recevoir plus tard la ce c décoration elle-même, c'est-àdire les palr mes d'argent - ou bien le nouveau promu «doit-il acheter à ses frais cette décorattion ? R. — Le gouvernement ne décerne que t diplôme. C'est au titulaire à se procule > rer les palmes s'il le désire. 1 D. — Un jeune homme désire s'engager; muni des pièces nécessaires, i) se présente «au bureau de recrutement. A-t-il besoin < de faine, adjointe aux autres pièces, une (demande par écrit î 11. — Non. A 1 D. — Un monsieui correctement vêtu, bonne tenue, n'étant pas en état d'ivresse, f se présente chez moi, me demande une I 1consommation ( un bock, où un verre quel1conque), suis-je obligé de le servir, ne ie connaissant pas et à deux heures de l'a1 près-midi ? R. — Vous n'êtes pas forcé. 1 D. — Etant domestique dans une ferme, ^ Cet arrangement, vieux déjà d'un an, I en Allemagne, depuis cinq ans, et étant vient de recevoir, seulement, force de loi, payé ! comme c'est la coutume, là-bas, tors à une époque de l'année où « la campa- les ans à Noël, sans aucune signature de : gne » est commencée depuis longtemps ma part attestant que je travaille à l'an*déjà. Néanmoins, la Compagnie espère née. Mes patrons viennent de quitter l'AiJmener à bien, au courant même de cet \lemagne pour venir reprendre une ferme été, plusieurs des travaux à exécuter. A dans un « petit village », près Nancy où oet effet, ses équipes s'emploient avec ac- ils resteront toujours. 1tivité sur divers points du territoire nan Ne m'y plaisant plus j'ai donné mes céien. < huit jours le 4 juillet 1911 et suis parti Ainsi, elle compte que la ligne du cime- le 11 juillet au soir. 1tière du Siud,, commencée depuis plusieurs Ayant demandé mon argent mes patrons jours, pourra entrer en exploitation vers n'ont pas voulu me régler prétextant que :le 15 août, au plus tard. Ce serait un suis à l'année et veulent me retenir trois igrand bienfait pour les familles ayant des je mois. < défunts en cette vaste nécropole, déjà si 1° Que faut-il faire pour rentrer dans peuplée. mon argent î **. 2° Ont-iUs le droit de me retenir trois Viendra, aussitôt après, le prolonge- mois, ayant fait mes huit jours ? :ment de la voie Champigneuîles-M.axéR. — En France comme en Allemagne, ville-plaoe Carnot, jusqu'à la gare de les domestiques de ferme peuvent être enNancy. Quant au doublement de cette li- gagés à l'année et ne doivent pas quitter gne, le long de la rue de Metz, on s'y met- en cours d'année. Vous pouvez citer en tra dès le mois d'août. C'est un trapail justice de paix, mais il est possible q-ue le très important, mais dont l'exécution va juge décide que vous ne pouvez partir en <soulever inévitablement des récrimina- cours d'engagement, et vous condamne à tions chez les riverains. Puissent-ils s'ar- des dommages-intérêts. mer de patience en considération des ser.*+ vices que leur rendra la ligne ainsi améD. — Mon voisin à la campagne a réuliorée et qui les transportera désormais ni en unie propriété close différentes parjusqu'à la gare sans rompre charge. celles de terrain traversées par un sentier Autre amélioration : desservant également les terrains voisins. En ce moment même, la Compagnie fait Pouvr clore sa propriété, mon voisin a « riper » la voie sur Champigneulles ; reporté oe sentier le long de la clôture de c'est-à-dire qu'elle fait procéder au dépla- sa propriété. Or, je viens d'acquérir la tocement latéral des rails, de façon à lais- talité des terrains traversés par ce sentier, ser la plus large place possible à la circu- mon voisin peut-il m'interdire le droit de lation, si intense sur cette route. passage le long de sa clôture, sous pie*+ texte qu'ayant acquis toutes ces parcelles lie doublement de la ligne Laxou-Fssey, voisines, je supprime par le fait même le depuis ia rue Piroux jusqu'à la rue de sentier qui les traversait Toul est' prochain, également. En un mot, mon intention étant de clore aussi ma. propRiiété, pourrai-je passer entre ** Et la' question de savoir quand on pa- les doux .propriétés isur le terrain apparte- . rachèvera la « ceinture » dé Nancy-Tram- nant à mon voisiln donnant accès aux parway en reliant Boudonville à. la piace La- celles de terrain que. je viens d'acquérir ? fayette ? Ici, on est arrêté par Tes exproR. — Si les parcelles que vous avez acprSations à accomplir rue d'Auxorune.C'est quises jouissent d'un droit de passage sur affaire à la ville dè les traiter. le terrain de votre voisin, vous avez droit La ligne venant du boulevard Godefroy- â ce passage. de-Bouillon descendra, en effet, par ** Auxonne et passera sous le pont du cheD. — Un locataire a-t-il le droit de metmin de fer, rue du Ruisseau. Ici encore, tre du bois dans son grenier ; n'y a-t-il antre difficulté à résoudre, cette fois avec pas un règlement ou article de loi, intérla. compagnie de l'Est. Le pont devrait\ disant de surcharger les immeubles sur un être élargi et élevé. seul coin ? Mais il est permis de croire que ces, R. — Le locataire a le droit si son bail questions, depuis longtemps envisagées et ne le lui interdît pas. étudiées, seront solutionnées à assez bref *** délai, de façon à ce que le « réseau » du D. — Les arbres d'une propriété voisine tramway nancéien soit complet. Toute- étendant leurs branches sur le toit de ma fois, on l'a vu par le décret, un délai de, maison, et par ce fait, y formant des amas '< trois années est prévu. de feuilles, que je dois enlever assez sou■ vent, et plus encore, chose essentiel** ■ Enfin, quoique la spécialité de la Com- le, au point de vue sanitaire, ces feuilles i pagnie générale française ne soit pas d'on-\ s'engouff rant dans lé chenal conduisant à la i treiprendre des travaux suburbains, il est citerne, rendent l'eau infecte et nauséa-■ entendu qu'elle doit prolonger, jusqu'à bonde. Ayant demandé plusieurs fois aui Pompey, la ligne de Champigneulles. propriétaire pour les couper moi-même oui C'est cinq kilomètres de voie à établir. les faire couper, il ne m'a jamais fait réOn n'apait pas l'intention, paraît-il, de\ ponse. Par conséquent, veuillez m'indiquer " s'y mettre dès cette année, mais la direc- s'il vous plaît comment et à qui je doisj tion de Nancy se rend compte qu'on at- m'adresser pour faire cesser cet état de ! tend d'elle de constants efforts ; elle veuti choses, le plus rapidement possible ? 2° « s'adapter » en quelque sorte au dévelop- Puis-je couper les branches tombant sur' pemèmt de Nancy et de sa banlieue.Aussi, mon toit, moi-même sans son autorisation ? ? la construction du trançon Cham,pigneul- 3° Puis-je revendiquer des domagas-intéles-Pompey sera.-4-elle commencée dès le[ rêts pour le préjudice qu'il me porte tous ' 15 octobre et menée rondement, si le3 les jours, entendu, que mon locataire a1 temps le permet. » quitté la maison par rapport à cela ? R. — Vous ne pouvez couper les arbres3 vous-même, mais vous pouvez citer votre3 ? voisin en justice et le faire condamner à1 POItT SAINT-filîOROKS (débarquement) élaguer, avec dommages-intérêts. j Arrivages continuels de vins de toutes provenances, de 8, 9, 10 et 11 degrés, vendus moyennant faibl" commission, avantages în prenant au débarquement. Vente comptant, on prête les fûts. Dégusta-■■■ tionà3 h. Il2. M. CH A MUA Y, rue des Jardiniers,■" 63, reçoit les commandes et remet les échantillons. Cidre de Normandie Grand Mousseux D. — Pourriez-vous me dire où je pourrais me procurer toutes les adressas des3 éditeurs de musique dans les principalesî villes 'de France ? R. — Dans le Bottin de Paris et des Départements. ' -i | Piéton ' Chaque semaine, des correspondants nous adressent des réclamations au sujet c ide petites correspondances auxquelles il n'aurait pas été répondu. Rappelons qu'il e est répondu dans le journal d toutes les pet rlites correspondances. Mais la P. C. ne pafraît pas d jour fixe. C'est d nos corresponodans d lire chaque jour l'Est républicain et à y chercher la réponse d leur demande. : lireM aoi vins des «Ms lalat-Seorp jMOU a Î d, ^%t45inbe°UieLardcl emin ^*asie, 'l^tiS* Petites correspondances f; VANT-GARDE ta» i | | <■ WAY I Il ne serait pas effectué de pavage sur le n boulevard d'Austarsie. Le point voisin de l'octroi d'où s'effectuoiNiiient les départs matinaux serait le pont de Tomblaine, rive gâche. (La ligne serait desservie aux quinze minutes, étant entendu que los départs de la gare seraient réglés de manière à s'intercaler en Une ceux du service de Laxou à E Essey-les-Nancy. En ce qui concerne le pont de Tomblain ne, si son élargissement était imposé par 1' l'autorité compétente, la ville et la Gomp paante foraient les diligences utiles pour o. obtenir la participation de la commune d Tomblaine et du département de Miourdo the-et-Moselle à l'exécution de. ce travail, L Le complément de la dépense serait part; tagé également entre la ville et la compagnie. g En compensation des charges qui résulU feraient pour la Compagnie de la const, truction et de l'exploitation de la ligne de 1 Tomblaine, il est stipulé que la date de l l'expiration de la concession, fixée par 1l'article 2 oi-dessus au 31 décembre 18G3 sera reculée de deux ans, dès la rétrocesssion de la ligne dont il s'agit. f) La Compagnie s'engage, sous réserve d de l'approbation du préfet à se charger, P pour le compte et aux frais de la ville, si ccotte dernière lui en fait la demande, de « D'arrosage des voies publiques empruntées p par les voies de tramways, au moyen de t tonneaux d'arrosage à traction électrique, ddans la mesure où la cnrculation dos ttramways le permettra. E'exécution de ce s service sera effectuée en oonformité dos accords spéciaux intervenus entre la ville eet la compagnie. Il en sera de même du transport des !matériaux destinés aux services publics eexploités ou concédés par la ville, notamrment de ceux nécessaires à la constructtion où à l'entretien des voies publiques .c empruntées par le réseau ». L'avenant porte les signatures de M. Beauchet, pour la ville de Nancy, et de j M. Jules Rostand, président du conseil t d'administration de la Compagnie généi rale française do tramways. conviction était faite : l'incendiaire, c'était lui, mais avec une habileté infernale, il avait su faire dévier sur des tiers, ou, plutôt sur un tiers, le malheureux Blanchard, les soupçons de la justice. Quoi qu'il en fut, tous les efforts du contentieux de la compagnie se concentrait sur ce but : « Ne pas payer et gagner du temps jusqu'à la fin du procès criminel engagé. Peut-être surgirait-il, au cours des débats, quelque incident qui remettrait les choses au point et permettrait à la. compagnie de ne pas régler un sinistre à l'auteur même de l'accident. » Le juge d'instruction commis, M. Pascaud, avait reçu communication du dossier recueilli par les adversaires de M. Robert sur son compte. U avait été, lui aussi,frappé du peu de consistance des charges relevées contre une existence entière de probité et d'honneur,que le fait d'une lettre retrouvée sur le lieu du sinistre. Ne pouvait-i! l'avoir perdue ï Non, puisqu'il affirmait l'avoir déchirée et jetée dans le bureau de son patron au visage de M. Robert. Cet homme parlait avec un indéniable accent de vérité. Si cette lettre avait été déchirée, comment se retrouvait-elle entière ? A moins qu'on l'ait refaite ! Après tout, ce n'était pas impossible et les inspecteurs de la compagnie d'assurances nourraient bien avoir raison. Contre M. Robert, au contraire, tout était concluant. Passé d'aigrefin qui dépouillait sans vergogne tous les inventeurs que leur mauvaise étoile plaçait sur son chemin. Gestionnaire indélicat qui volait ses commanditaires par des procédés frisant de près la police correctionnelle, voire la cour d'assises. N'avait il pas pu allumer cet incendie de ses propres mains pour liquider une situation menaçante, car ses associés commençaient à montrer les dents et les i ■ », «n .n iiBMuwmw'.nwii >■!■ Faits» Divers Soldes et Occasions SUICIDE D'UN OFFICIER. — Le capitaine R e Rousseau, du 4 régiment d'artillerie a \ led qi qui avait pus part â la Rochelle, te matin, à à la cérémonie de la présentation du dra pj peau de son régiment ,s'est suicidé à midi di, ur. c >up d à son domicile, -n «e <'<-,i de revolvre dans la tête. On ignore ies uauses de son acte. I Chez HENRI DEVRED, 42, rue des Dominicains — Au cours d'un oi orage qui a dévasté les communes de N» vi dves, les Salettes, Grevières et Vors (Ardèclie), la foudre est tombée à Saiut-Paulh le-Jeune, sur la maison de M. Edouard G Gilles, "uRivateur, a tué m femme de -e d. dernier, âgée de 33 ans, mèrî de trois euti fants, et renversé sans mal une des filles d des cultivateurs. TUÉE PAR LA FOUDRE. BlpLtoOUAl»tit«i | Marcha aux bestiaux de la ïHIetti L'OBSESSION, par Jules Claretie, de l'Acadé! mie française. — L'est un cas très sing—ter et 1 très dramatique de dédoublement de la jwsonnalité, ', qu'expose M. Jules Qarelie dans son émouvant roman : L'Obsession, dont 1« librair rie Lafitte et Cie vient de publier une nouvelle eédition. Porter en soi deux hommes différents ca>ant chacun une âme, des goûts, des instincts, des sentiments distincts et presque toujours op{poses et vivre cette existence alroee d'être tour ê â ; tour l'un ou l'autre de ces lionuncs, semant autour de soi le désespoir et la terreur, tel est \le sujet de ce livre remarquable qui abonde en 1 épisodes étranges ou terribles. Avec cet art su{périeur qui fait de lui l'un de nos meilleurs romanciers, l'éminent auteur a tiré de ce thème ( eoriginal les plus puissants et les plus intenses elfets d'émotion. (l'ieire Lafitte et Cie, 3,50). 0' CAMION auto, cherch. transports bois ou M quelc. Prix mod. Ecrire Maitrot, 16, rue Ménilmontant, Paris. m .— a FABRIQUE INCENDIÉE. — Le fe \ s'est déclaré aux Seilles, près de Saint-Junien (HauteV Vienne), dans l'usine de M. Ouraet, fabnc: cant do feutres, et tout a été détrud Les pertes sont évaluées à p;us de 200.'J00 francs. fi k Par suite de cet incendie, dont on ignore LA VIE AU GRAND AIR (Garrigou ou Duboc). les causes, trente ouvriers °.t ouvrières sont -— La lutte engagée dans le Tour de France ens; sans travail. Itre ces deux athlètes reste palpitante. Elle est _____„ < d PERQUISITIONS DANS UNE BANQUE. — Sur ordonnante de M. Magnien, juge d'instructi tion, M. Bénézech, commissaire aux délég gâtions judiciaires, s'est transporté dans h les d bureaux de la banque Junod frères, rue àde Richelieu, 92, à Paris ; il y a procédé à ti des vérifications au sujet de la vente des ]_titres d'une société anglaise « Montebrass, Limited ». Toutes les pièces concernant c cette société ent été saisies. Le magistrat s'est ensuite rendu, avenue d de Wagram, 12, à l'ancien siège de la mên me société où depuis quelque temps s'est i installée une société française, dont la rais son sociale est également « Montrebrass, j_ Limited ». Cette opération judiciaire était E motivée par l'émission de certains titres e en infraction à la loi de 1867. ^ UN CAS DE « CHOLÉRA NOSTRAS » A LYON. — Une jeune femme qui présentait, des symp|tômes suspects de choléra avait été transportée à l'hôpital de la Croix-Rousse où % elle est morte. l'examen bactériologique a établi qu'il s \s'agit d'un simple cas de « choléra nostras ». <j INCENDIE D'UNE BRIQUETERIE- — Un incendie a détruit les bâtiments de la briquet terie Dochteimann et Litrot, à Belfort. Les c dégâts dépassent 200.000 francs. L'INVENTEUR DU VOLAPUK. — On annonce 1 la mort de l'abbé Schleyer, qui fut certaii ne célébrité comme inventeur du volapuk. 1 Il imagina de créer, avec un certain nom1 bre de radicaux empruntés aux langues i romane et germanique, une langue uni^verselle qu'il appela le volapuk. Elle eut <quelque vogue tant près d'un certain pui blic que dans les revues de fin d'année et < dans les chroniques fantaisistes. Elle avait « des fervents, et même des journaux spé< ciaux en répandaient l'usage. Puis comime un clou chasse l'antre, une autre lans gue universelle se substitua aiu volapuk ( dans la faveur des amateurs. L'abbé i Schleyer assista saiccessivement au triom| phe momentané et partiel, et à la décaidence de son œuvre chimérique. Les fiançailles de la princesse de Serbie. — L'agence Havas publie un dépêche <dje Belgrade d'après laquelle auraient eu lieu hier, à Racconigi, les fiançailles de ■ princesse Hélène de Ser bie avec le prince la 1 Jean, fils du grand-duc Constantin Constantinovitch, cousin, du tsar. Quand nous serons à cent... — La quatrième chambre du tribunal civil de la Seine vient de prononcer la séparation de corps de Mme Rigo, ex-princesse de Chimay, et de son mari, M. Ricciardi, employé au funiculaire du Vésuve. BULLETIlf ^FINANCIER cinémalographiée d'une façon parfaite dans les splendides ! documents donnés dans le numéro de La Vie au grand air cette semaine. On trouvera également dans ce numéro de La ' Vie au grand air des articles sur le circuit de la Sarthe, les Régates internationales, les Cham1pionnats du monde de tennis, les Courses de la semaine, etc., etc.. 1 I LA VIE HEUREUSE. — Au moment où plus que jamais nos pensées doivent se tourner vers l'Alsace, la comtesse Edmond de Pourlalés vient j ,de prêter à ses compatriotes les ombrages de son célèbre château de la Robertsau, aux portes de Strasbourg, pour un divertissement français en Alsacs. Et la Société dramatique de Strasbourg y a donné les Folies amoureuses avec le « Divertissement de la Folie », dont la Comédie Fran'çaise a perdu la tradition. Ainsi se conserve et se défend la culture française en Alsace. La Vie Heureuse du 15 juillet met sous nos yeux le cortège de la Folie où l'on peut retrouver des représentants de la meilleure société alsacienne. D'autres pages évoquent les grand événéments de l'actualité. On y voit un impressionnant tatleau du Couronnement ; les triomphes sensationnels de nos aviateurs y sont célébrés par une symbolique composition ; les concurrentes du Conservatoire y paraissant sous les regards <i* leur jury. Enfin les deux grandes fêtes mondaines dont on parle et dont on parlera longtemps:le Bal de Shakespeare à Londres, le bal qu'a donné à Paris le comte de Jarnac y déroulent l'éblonissement de leurs costumes. Et la Vie heureuse n'offre pas moins à l'esprit qu'aux regards : une émouvante nouvelle signée Gabrielle Mirabcn, des chroniques littéraire, théâtrale, mondaine, les réponses des écrivains et des artistes aux enquêtes les plus actuelles. 1 LA LUTTE SOCIALE D*ANS LE PRETOIRE. — Plaidoyers : La lutte'religieuse, la lutte révolutionnaire, la lutte syndicaliste (1906-1910) ; Variétés et souvenirs (1893-1911), par Jacques Bonzon, avocat à la cour, directeur de la Liberté d'opinion. — Paris, à la Liberté d'opinion, 233, rue Championnet et dans toutes les librairies. — M" Jacques Bonzon vient de.réunir ses principales plaidoiries, qu'avaient déjà publiées diverses revues. H a groupé celles qui avaient trait aux luttes sociales de ces dernières années : La cultuelle de Culey, les bombes russes, les massacres de Narbonne et le procès de la C. G. T., le Syndicat des P. T. T., le grève de Marseille, la chasse aux renards, ets. Quelques variétés telles que le Tableau de la rélégation et des travaux forcés ou le Sifflet au concert, donnent une. physionomie multiple à cet ou.tvrage. Dans «ne préface Intitulée Souvenirs de combat (1893-1911), M- Jacques Bonzon a illustré ses plaidoiries de réflexions et d'anecdotes sur les milieux où il a passé depuis vingt ans : le Barreau, les prêtres s'chisma tiques, les r'évolulforinaircs, etc. Qu'il.racontë sa visite, en 1899, à M. Alfred Dreyfus, â peine gracié, ou montre les. tares dés « mêneurs », il apporte sur la plupart des personnnges dirmouvement social une opinion qui n'est pas. toujours indulgente^ mais quiI est toujours de contact personnel. REVUE DES DEUX MONDES, 15. rue de l'Université, Paris. — Livraison du sommaire du 15 juillet 1911. — t. Le Couronnement de George V. par M. le comte d'Haussonville, de l'Académie française. — H. La Renommée, première; pirtie, par M. Gaston Rageot. — III. De l'influence de Théophile Gauiier, par M. Emile Faguet, de l'Académie française. — IV. La Mission diplomatique du général Lanr.es en Portugali 1 (1801-1804), première partie, par M. Maurice Borel. — V. François Coppée. — Lettres à sa mère et h sa sœur (18G9-1S73). par M. Jean MonvaJ. — VI. 1^ Souveraineté du pape, Par M. Louis Delzons. — VIII. Dix ans d'autonomie financière. — l'Algérie depuis 1901, par M. Henri Lorin. — VIII. Revue dramatique. — Le théâtre brutal, par M. René Doumic, de l'Académie française. — IX. Revues étrangères. — L'aventure amoureuse du poète Novalis, par M. T. de Wyzewa. — X. Chronique de la quinzaine, histoire politique, par M. Francis Charmés, de l'Académie française. — XI. Bulletin bibliographique. Prix de l'abonnement. — Paris, un an. 50 fr. ; six mois, 26'fr. ; trois mois, 14 fr. — Départements, un an, 5 6fr. : six mois, 29 fr. ; trois mois, 15 fr. — Etranger, un an, 62 fr. ; six mois,; 32 fr. ; trois mois; 1? fr Les abonnements partent du V' et du 15 de chaque mois. ' 1 Du 21 millet t9H S BESTIAUX ; t£IS § jg ! | 3.200 iBœufs Vaches i.720 Taureaux.... 239 i 3.003 jVeaux Moutons 10.Ot)l | Porcs 3.548 2.604 1.4T 214 1.80» 11.000 ii.543 rr~~—- ' PRIX DU 1]2 KILO Viande aette O. ~,ô a 0.70 à O.tSû à 0.8ô à 0.90 4 1 004 u.90 0.87 0.7. 1.1" 1.3Ù 1.lu Poidj »if 0.3a à 0.64 0.35 à 0M 0.3340.46 U.48 à 0.6» 0.45 40.68 0 7040.77 Bœufs. — Vente mauvaise et baisse de l 50 fr. par tête. On cote : maraîchins, de 0 78 à 0 87 ; i normands, de 0 80 à 0 90 ; bœufs blancs, (de 0 80 à 0 99 ; manceaux, de 0 80 à 0 88 ; choletais, de 0 78 à 0 87. Le | kilo net. , Veaux. — Vente difficile et tendance à la baisse. On cote : choix de Brie, de Beauce, du 1 Câlinais, de 1 05 à 1 10 ; champenois, de I0 95 à 1 05 ; manceaux, de 0 90 à 1 »» ; i caennais, de 0 80 à 0 85. Le i kilo net. ; Moutons. — Vente difficile et baisse de 3 à 3 c. par J kilo. On cote : petits moutons du Centre, de 1 20 à 1 25 ; métis, de 1 10 à 1 20 ; d'Auvergne, de 1 10 à 1 20 ; du MJidi, de 1 10 à 1 15 ; africains, de 0 95 à 1 05. Le J kilo net. Porcs. — Vente difficile et baisse de 3 c par | kilo vif. Les porcs de choix ont oh tenu 78 c. On cote : bons porcs de l'Ouest, de 74 à 77 c. et ceux du Centre, de 72 à 75 c. Le i kilo vif. I I ! JJ JJ Stra Inquiétai I I i S M ■ J 1111 ■cVl Pour vus époques, l'Ill i ./ «JU m_-i Écrivez en confiancaà 81 T0U> 1 G. LACROIX. Pharmacien spécialiste h LILLB, au! enverra tous renseignements demandés (7* An/ieéX EUERISONDES mmm ~ KMBM SB WRt it WORS CONCOURS BANDAGES 8AN9 RESSORTS La Méthode GLASER est la seule qui assure la Guérison des Hernies Le dévoué Spécialiste M. Glaser, connu dans le monde entier, a su donner à l'art herniaire une nouvelle impulsion. Ses efforts ont été couronnés, jusqu'à ce jour, d'un succès éclatant ; ce qui lui a valu, outre la sympathie universelle, les plus hautes récompenses. Une fois de plus, notre savant spécialiste a conquis la confiance de tous les hernieux par son nouvel appareil sans ressort qui est à la fois le plus léger, la moins gênant, le plus solide et le seul dont l'incontestable supériorité a été reconnue par les sommités médicales. Les hernies les plus tenaces s'effacent et disparaissent devant l'imposante efficacité de cet appareil ; aussi engageons-nous vivement tous : hommes, femmes et enfants, atteints de hernies, efforts et descentes à aller l'essayer dans les ville* suivantes d 9 heures à 4 heures, à : VERDUN, le 23 juillet, hôtel du Coq. Hardi... COMMERCY, le 24, hôtel de la Cloche-d'Or. BAR-LE-OUC, le 23, hôtel du Commères, TÔUL, le 26, hôtel de France. NANCY, le 27, hôtel Américain. Pour recevoir la méthode gratuitement écrire à M. Glaser, à Héricourt (HauteSaône). "IflEMs E FEH ÊEMËST D Pour faciliter la recherche des combinaisons de billets les moins coûteuses, M. 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Quant aux Russes, leur tenue a été irrégulière, mais dans l'en■ semble c'est la lourdeur qui reste la notei dominante. Même nuance dans le groupe des Eta-. blissements de Crédit où la Banque de, ; Paris revient à 1.698, le Lyonnais à1 1.481, l'Union Parisienne à 1.154. Sociêtés étrangères plus calmes. Les grands1 chemins français résistent assez bien » aux mauvaises dispositions générales.i P. L. M. 160, Orléans 1.230, Nord 1.582. Par contre, les lignes espagnoles abandonnent de nouvelles fractions. n,Pns> eczémas, 'roneurs Les valeurs de traction finissent assez I £ delà peau, gué largement réalisées. L'Omnibus à 695, l 8 IU rilradicalementparle la Thomson à 745. Industrielles russes re-'. trailement de I>. HOYIîlï, pharmacien h i lativement soutenues. Sotnowice à 1.475, Nancy.Pas de dépôl. S'adresser direclemenl 1 Briansk 467, Bakou 828. 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Le juge d'instruction décida de confronter les parties dans un débat qu'il dirigerait, mais qui serait en quelque sorte contradictoire. Cette affaire avait, d'ailleurs, le don je nos sonner la presse, et il n'y avait pas de jour que de violentes polémiques ne fussent engagées pour ou contre le contremaître Blanchard. Ces polémiques gâtaient les afures de'l'inculpé plus qu'elles ne le servaient, à cause de la médiocrité des arguments invoqués en sa faveur. Les uns le défendaient parce qu'il était socialiste ; d'autres, au contraire, parce que sa femme avait fait baptiser leur fillettte et lui avait fait faire sa première communion. Par contre, des organes de droite T9i reprochaient ses opinions avancées et des journaux révolutionnaires lui faisaient un grief de n'avoir pas su mâter sa femme pour la contraindre à régler sa conduite privée sur les opinions politiques de son mari. Par bonheur, M. Pascaud, le juge d'instruction, un fort brave homme, lisait peu les journaux et ne se laissait pas émouvoir outre mesure par ses organes habituels, le Journal dos Débats, le Temps et le Figaro. Il apportait dans ses enquêtes une absence complète de parti-pris. Le jour fixé par le magistrat pour procéder à un interrogatoire décisif, trouva, réunis dans les couloirs du Palais do justice M. Robert, son fondé de pouvoirs M. Drapier et le contremaître Blanchard. Ce dernier était entre deux agents de la sûreté qui le serraient de près à cause de sa force herculéenne qui leur faisait redouter quelque tentative d'évasion. ' POUR LES CHALEURS i Léon LE PAYEN 7 ni «ni as^HMTOW-îggg^ Sur l'ordre du juge, Blanchard fut appelé le premier, les policiers préposés à sa garde entrèrent avec lui et prirent place sur deux sièges placés devant la porte. Ils se tenaient prêts à intervenir au premier signal du juge; L'intcrrjgatoire d'identité avait eu lieu précédemment ; il n'y avait donc pas motif d'y revenir, aussi le juge d'instruction entra-t-il immédiatement dans le vif du suJ*t. • Après les préliminaires habituels, fcg. Pascaud poursuivit : — Voyons, Blanchard, vous avez donné de votre temps un emploi qui a été reconnu exact, aussi bien pour les journées des vendredi et dimanche que pour celle du samedi. Seulement, il y a un trou. Dans la nuit du samedi à dimanche, vous étiez à Ablon ; vous alliez y chercher du poisson, vous appartenant, pour le lendemain matin, où vous aviez une fête de famill* ? — C'est parfaitement exact. — Vous a-t-on vu, cette nuit-là ? Suivant votre désir, j'ai convoqué M. Marquet, marchand de vins à Ablon, et le pêcheur Dublin. — Marquet m'a sûrement vu. Il me connaît depuis cinq ans et je suis entré dans son débit avant d'aller à mon trou puiser à ma boîte, pour y boire un verre de vin et casser une croûte. — Quelle heure était-M ? — lïuit heures et demie à neuf heures du soir. — Et le pêcheur Dublin ? — Lui aussi m'a vu, sans que je puisse faire erreur. Il m'a croisé au détour du chemin de halage et m'a. dit : « Vous ferez bonne pêche demain, M. Blanchard, car le temps est propice. » Dublin me connaît parfaitement, c'est à lui que je loue des canots auand 'én ai besoin .Je lui ai ré- pondu que je venais pêcher à l'épuisette et il a ri. — A quelle heure le pêcheur vous a-t-il rencontré ? — A neuf heures environ. — Mais, par cette saison d'automne, il fait nuit depuis longtemps. Que faisait-il lui-même sur les bords de la Seine à pareille heure ? — Je l'ignore, monsieur le juge, peut-être avait-il livré du poisson un peu loin, cela lui arrive souvent et, en vrai marinier qu'il est, il préfère l'eau à tout autre moyen de communication. — La chose est, d'ailleurs, sans importance- Ces deux hommes, qui ne sont ni vos parents, ni vos intimes, n'ont aucune raison de ne pas répondre exactement aux questions fort simples que je veux leur poser. Introduisez les témoins. Marquet et Dublin parurent. Ils confirmèrent de tous points les déclarations de Blanchard. — A quelle heure avez-vous fini « de puiser à votre trou », suivant votre expression ? — A onze heures exactement. Je le sais parce qu'une horloge a sonné comme je repartais dans la direction de Villeneuve-StGeorges, où j'avais rendez-vous avec deux camarades pour rentrer ensemble par le train de onze heures et demie. — Voilà, un alibi sérieux, Blanchard. Ces deux camarades sont prêts à venir témoigner que vous étiez à Villeneuve-SaintGeorges à onze heures et demie du soir. — Non, monsieur le juge, ils étaient en retard et ne sont arrivés au rendez-vous qu'à minuit moins un quart ; j'étais déjà parti. — Vous êtes rentré chez vous ? — A une heure pour en repartir à six, afin d'aller profiter de quelque bonne aui baine aux Halles, où j'ai fait le marché. — Nous tournons toujours dans le même cercle. Votre rentrée à une heure du matin, heure où l'incendie de la maison Robert était déjà en pleine activité, est confirmée par votre concierge. Mais, entre neuf heures du soir et une heure du matin existe une lacune qu'il vous faudrait remplir par un témoignage quelconque. Voyons, réfléchissez, vous n'avez rencontré personne d# connaissance pendant ces quatre heuraalà ? — Absolument personne, monsieur le jaje. J'ai pris une tasse de café chez Lubin mais la salle était pleine de monde. Om allait, on venait, j'y suis, de plus, resté èr peine un quart d'heure. Je conçois fort bien que ni le patron, ni ses deux garçons ne m'aient remarqué. — En effet, et c'est désastreux pour voua, le cafetier Lubin et ses deux employés affirment ne vous avoir vu, à aucun moment, dans la journée ou la soirée de samedi. — S'ils l'affirment, monsieur le juge, ils •t. tort". Ils pourraient, et ce serait plus loyal do leur part, se contenter de dire qu'ils ne m'ont pas remarqué. J'affirme, de mon côté, être allé chez Lubin, y avoîr pris un café et avoir séjourné un quart d'heure dans la grande salle avant de m« rendre à la gare. — Oui, mais vous ne pouvez le prouver» Ecrivez, groffier I I^o juge d'instruction dicta un résumé parfaitement impartial de l'interrogatoire de.Marquet et de Dublin que ces témoifts aU ent, puis il les congédia, Blanchard signa aussi. JA suivre)- " ?B=— " -- INDUSTRIELLES Pour toutes les insertions portant cette mention : Ecrire au Journal sous une Initiale et un chiffre, l'ËST REPUBLICAIN se charge uniquement de remettra les lettres •nvoyées à la personne qui a tait paraître lea insertion». Le journal n'a persanmalle ment aucune réponse i faire. Pour les insertions où figure la mention : S'adresser au Journal, n*... : tonte demande rie renseignements doit être accompagnée d'un timbra. GArlTAUX Plusieurs Appartements hella installation, loyer couvert «a partie par les garnis. Occasion pour jeunes gens actifs disposant de 6 à 8.000 fr. comptant. S'adr. à l flCD 21, rue St-Georges. . LUCD A NANCY ■"h 17 AA A EU n C U&mASlIJË VINS & SPIRITUEUX à céder de suite pour cause de 5 CROs" Boulangerie dans le bassin do Briey, cuisson 120 sacs par mois. Pr. 12,000 fr. 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ET S55S R A N O PJ E S CONSTITUTIONS DE SOCIÉTÉS AVIS î WmM, L E T » «EPUBLIOAIH - L''EST REPU BL mm H . 1 I>u G au 14 AOUT 1911 Traversée en bateaux à vapeur des sir grands lacs et des deux plus grands Tunnels d'Europe, le Saînt-Gothard et le Simplon (et supplémientairement) retour facultatif par la vallée de Chamonix, le MontBlanc et la Mer de Glace. Départ die Nancy le 6 août à 6 heures, du soir. ITNÈRAIRE DE L'EXCURSION Naracy, Dijon, Pontarlier, Berne, Lac de Thoune, Interlaken, Lac de Brientz, Le Brunig (1.000 m. d'altitude) par chemin de fer à crémaillère, Alpnachstad, Lac des Quatre-Cantons, Lucerne, Le SaintGothard, Lac de Lugano (San-SalvaJto>r et Mont Generoso), Pont-Tresa, I>uino, Lac Majeur, Isola Bella, Iles Boromées, Baveno, Domodosola, Simplon, Brigue, Martigny, Laiisajine, Pontarlier, Dijon, Nancy ou facultativement et à la demande générale de tous les excursionnistes, prolongation de deux jours d'excursions avec retour de Matigny à Paris par Le Chatelart, La Tôte Noire, Valorcine, Chamonix, La Mer de Glace, Le Mont-Blanc, SaintGervais, Genève, travesrée da Lac Léman jusqu'à Lausanne et ïetour direct à Nancy. Prix de cette excursion tous''frai s compris panidant huit jours, savoir : Voyage aller et retour, hôtels confortables, trois repas par jour, vin compris, visite des Sites, bateaux, tramways, transports des valises à l'hôtel, pourboire, etc. 3* classe 198 fr. ou aoec aller et retour ind'oidttel en 2", sur l'Est et le P.-L.-M., jusqu'à la frontière suisse, 22S If. La BBaisan Gugnmus à Nancy, demande ouvriers menuisiers, tourneurs, peintre, apprentis peintre et menuisier. OrDmi dimanche 23, i CilUUj Broche, forme étoile, platine, or et pierres. Rapporter au journ. 254. Récompense ÀVTS Messieurs les actionnaires de la Société anonyme, dite Maison ROUSSE LOT-MICHEL et Cie, sont convoqués en assemblée générale ordinaire, le jeudi 10 août 1911, à 8 heures du matin, au siège de la société, rue SaintNicolas, 55. ORDRE DU JOUR : Rapport du Conseil d'administration ; Rapport du Commissaire des comptes ; Approbation du bilan et répartition des bénéfices ; Nomination de 3 administra teurs, dont les mandats sont expirés et rééligibles ; Nomination du Commissaire des comptes ; Cours à fixer pour les actions. Et en assemblée extraordinaire, à 8 h. 1T2 du matin. ORDRE DU JOUR : Autorisation à donner au Conseil d'administration pour émettre des obligations. Etude de M» BRETON, huissier à Nancy, 9, rue Gambetta. VENTE MOBILIÈRE Par autorité de justice HORAIRE DE L'EXCURSION Départ de Nancy, le 6 août. Réunion entrée des salles d'attentes à 5 h. 15 du soir, Dijon, minuit 4, Pontarlier, le 7 à 4 h. 24 du matin. Berne, le 7 à 9 h. 15 du matin, un jour visite du Palais fédéral, la fosse aux Ours, le KunsaaL la Tour de l'Horloge, la Cathédrale. Départ le 8, à 8 h. 40 du matin,, Traversée du lac de Thoune. Imterlaken, le 8, à 11 h. 36 du matin. Arrêt et séjour, un jour, une nuit, demijournée. Visite de la Ville et du Kursaal. Promenacte facultative, par breaks, à la Cascade de Staulbaeh par Lauterbrunenn, 5 fr. par place. Départ le 8, à 2 h. 50 du soir. Traversée du Bruning, des Lacs de Brientz et des Quatre-Cantons. liuceraie le 9, à 7 h. 50 du soir. Arrêt et séjour, une soirée, un jour, deux nuits. Visite de ta. ville, la Cathédrale, le vieux Pont et ses Peintures, le Lion de Lucerne, Souvenir de la défense des Tuileries, pa* les Suisses, Ascension facultative au Ri* ghi, 1© plus beau Panorama de la Suisse, 12 fr. par personne. Départ le 11, à 7 h. 41 du matin. Lugano, le 11, à aatidi 20. Arrêt et séjour, un jour et une ntuit. Visite de la ville, Vue splendide aur les Lacs, Les Chaînes du Gotbard, du Tyrol et du Simplon. Ascenston facultative par funiculaire au Mont San-Salvator, 4 fr. par place. Départ le 12, à 8 h. 35 du matin, Traversée diu Lac de Lugano. Ponte-Tnasa à Luino, trajet des plus pittoresques ©n chemin dé fer (voitures tramways owerts). Luino le 12, à 10 h. 05 du matin. Traversée du Lac Majeur. Baveno, le 12, à midi 20. Visite des Ha9 Boromées, Isola Bella. Départ pour Lau6anne le 13, à 7 h. du matin. Lausanne, le 13, à 1 h. 40 du soir. Visite de la ville. Promenade facultative sur le lac Léman. (Le dernier repas sera servi au buffet de Lausanne à 6 h. du sair). Départ pour Nancy pru- expresse de 7 h. ; arrivée à Nancy, le 14 à / h. 15 du matin. A Lugano, à la demande des voyageurs l'Excursion ci-dessus sera prolongée de deux jours afin de faciliter aux touristes les moyens de visiter au prix de 45 fr. par personne, la vallée de Chamonix (Mer de Glace, Mont-Blanc), le Simplon, Martigny, les Gorges de la Tête Noire, Le Çhatelard, Valorcine, Chamonix, St-Gervais-les-Bains, Genève (traversée du Lac Déman jusqu'à Lausanne) et retour à Nancy le 16, à 7 h. 15 du matin. — Minimum douze voyageurs. Places limitées à 40 voyageurs NOTA. — Ces excursions qui sont aujourd'hui de plus en plus appréciées du public, offrent, particulièrement aux Dames qui voyagent seules à l'Etranger l'avantage d'une grande économie, ainsi que d'une sécurité indiscutable. Les inscriptions à ce départ sont reçues dès à présent par lettres recommandées accompagnées d'un premier versement (à titre d'arrhes) de cinquante francs par place au journal l'Est Républicain. Le solde du voyage sera exigible en gare, contre remise de la carte de voyage. Prière de n'emporter que le strict nécessaire de colis à la main. P.-S. — M. de Viïlette se réserve la faculté de modifier cet horaire pour la bonne exécution du programme et décline toute responsabilité en cas de force majeure (accidents, retards des trais, etc.) Fk TIBff ¥ATT*tr» Le 29 juillet 1911, à 10 heures du matin, à Nancy, rue Hoche, 43, il sera procédé à la ven-te aux enchères publiques des objets mobiliers suivants, saisis au préjudice de M. Oudeville : Buffet, tables, chaises, fourneau faïence, armoire glace,' cuisinière, machine à coudre, vitrine comptoir, tissus pour bretelles. ii Vaisselle sîtsslne. et ustensiles de Et quantité d'autres objets. Au eamptant S % *s sus L'huissier poursuivant, BRETON. Petit Café A CÉDER pour cause de santé, affaires 30 francs par jour. Prix 3.500 fr. S'adresser à M. PROPIN, rue Blamian, 65. Mi ÛEiiàflDE liommr/our apprendre l'épicerie, Maison ROGE, 30, faubourg Stanislas, Nancy. Monsieur retraité, \fs3' bonne instruciien, excellent comptable, s'exprimant facilement,muni de sérieuses références cherche emploi à Nancy pour entrer en fonctions courant septembre. S'adresser au journal, n" 253. Superbe Occasion à bas prix, collection Larousse illustre, avec supplém. Larousse mensuel et casier bibliothèque, état de neuf. Ecrire R. L. 8, poste restante. Nancy-gare. Etudes de M' Georges GRILLOT, avoué à Nancy, rue des Carmes, 7, et de M* ANDRE, notaire en la même ville, rue de la Constitution, n° 5. Vente par llcitatta) Le JEUDI 27 JUILLET 1911, à trois heures de l'après-midi, il sera, en l'étude et par le ministère-de M* ANDRE, notaire, procédé à la vente : D'une Maison Sise à NANCY Rue Gambetta, rr 22 comprenant caves, rez-dechaussée, trois étages, greniers au-dessus, petite cour derrière, dans laquelle se trouve un petit hangar, le tout contenant environ un are 10 centiares, portée au cadastre sous le numéro 78 de la section B, sur la mise à prix fixée par le tribunal de 50.000 fr. Les frais pour parvenir à la vente payables par l'acquéreur mais en déduction de son prix. S'adresser, pour les renseignements, à M* ANDRE, no taire, dépositaire du cahier des charges, ou a M'» GRILLOT et BARTHELEMY, avoués. L'avoué poursuivant j G. GRILLOT. nATTlinn donne conseils à spéculateurs comptant et terme. ! REMISIER-BOURSE MINARD, 23. rue Gambetta,TOUL ] pour cause de sanlé Beau C&tè et Restaurant Situé a Metz, pl. St-Louis, bien connu sous le nom de 431b CAFÉ DE PARIS METZ Par sa situation, l'établissement, qui a également des sal I- . au premier, se piété très bien comme U ESTAI RANT. Salles de billards et de sociétés S'adresser au cafeiior, M. BOURGEOIS, Metz (Lorraine). Deuxième insertion Aux termes de denx actes reçus par M? HOUOT, notaire à Nancy, le premier le 6 juillet 1P11, et lesecond le 10 juillet 1911, M. AugusteJoseph BOUVIER, entrepreneur, et Mme Berthe Marie JULIEN, son épouse, demeurant ensemble à Messein. ont vendu à M. Alfred BRENOT, cafetier, et à Mme Jeanne-Gélcstine TAL1BART ou TALIBARD, son épouse, demeurant ensemble à Neuves Maisons, L'entreprise pour l'extraction et la venle du sable et du gravier, exploitée à Messein par M. BOUVIER, comprenant la clientèle et l'achalandage, y attachés le matériel servant a l'exploitation et le droit d'extraction du sable et du gravier. L'enirée en jouissance a été fixée au 10 juillet 1911. Les oppositions devront être faites à peine de forclusion, dans les dix jours de la présente insertion, et seront reçues en l'étude de M« HOUOT, notaire à Nancy, rue Chanzy, 7. Cette insertion est faite en renouvellement de celle parue dans l'Est républicain, à la date du 14 juillet 1911. Pour deuxième insertion : HOUOT. Chienne de police, superbe berger allemand, 18 mois, saute, attaque, défend, porte, rapporte objets trouvés ou cachés, coup de feu, bon flair. M. Conto, 113, rue St-Dizier. m OEMBE ri iirï pour l'atelier et confectionneuses au dehors pour tabliers, etc. S'adresser, 14. rue Molitor. Métiers et Hangars "*a5Sr MAISON ÇâOEÎ^i Houille de toutes provenances uoig '* Les 1.000 kg. 3 Charleroi, tètes de moin. . 46 fr Quartier charme . '* 2 » gailletins . . 44 » » bètre. 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