1 - Kiosque Lorrain

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Uro^ue locale
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Muselle,
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Monln.artre, à Paris, sont seuls charges
de^ecevofrl
publia* exu-a-locale du journal.
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Meuse, Vosges, «sace-lorraineetluKenH ourg,s «<îr sr/ ««rf„, T. «r,fcn\t
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fpDÊRNIËRE HEURËll
—
1
-
■
—
LA QUESTION MAROCAINE
Sommes-nous au tournant décisif?
la, flotte anglaise sur ses gardes
LE DUEL
la boue redeviennent des gentlemen
extrêmement distingués, d'une probité
insoupçonnable, d'une honnêteté immaculée.
Autrefois on no comptait guère si
l'on n'avait été bœuf gras. Maintenant,
chez les camelots du roy on est un
bien pauvre homme si l'on n'a pas eu
un duel au moins avec M. Bernstcin.
C'est la mode.
L'un des deux adversaires,
le blessé,
conquiert en plus la sympathie
des âmes tendres. L'autre, — celui qui
n'est pas blessé, — obtient par surcroît
l'admiration des cœurs guerriers.
Citez-moi donc, en cette époque de
civilisation intensive et pratique, une
invention qui ait des effets aussi bienfaisants.
&-
—
l^ulûts fil rlïttiDlloBiaires \
Manifestation à Paris
;
EN FAVEUR
—
—
(!S
)
(
Pau et Michel
On suit, à Nancy, avec une particulier
attention, la nouvelle crise qui se produit
actuellement dans le haut commandement.
jEn effet, tout ce qui concerne l'armée intéresse
plus vivement, dans une région-fron\
tière. En outre, les généraux Pau et Michel sont très connus en Lorraine et par'
ticulièrement
à Nancy où ils ont exercé
1
des commandements. Est-il besoin de rappeler que te général Pau est notre conciitoyen et a commandé à Nancy le 5!u" corps Y
Quant au général Michel il est issu d'une vieille famille messine et a commandé,
dans notre ville la BP brigade d'infanterie.
: Il est évident que, dans le conflit actuel,
la politique a une certaine part. Le général Michel n'a jamais caché des sentiments
d'un loyalisme républicain. En 1902, alors
que le général de division de CornulierLucinière refusait net de s'asseoir au banquet offert à Nancy au général André, ministre de la guerre les généraux Michel et
Goiran y assistaient.
D'autre part, o»i rend volontiers hommage à la parfaite correction de M. le général Pau mais ses préférences politiques
sont connues.
Et nous voyons précisément le commandant Driant, député de Nancy, se proposer d'interpeller le ministre sur le cas dû
général Michel qu'il affirme avoir été déclaré inférieur à sa tâche par les autres
membres du conseil supérieur de la guerre.
Le généra! Michel a eu une carrière aussi
rapide que brillante. Elle n'a pas été, bien
entendu, sans lui valoir des envieux. Le
général Michel a été colonel à 44 ans.
Gomme général de division il a commandé
la 42° division à Verdun, puis un corps d'armée du Nord. Le général Tremeau étant
tombé malade la général Michel dirigea
à sa place de grandes nanceuvres d'armées.
Alors, certains journaux qui maintenant
le vouent aux Gémonies ie couvraient de
fleurs.
1
Naturellement à ce propos revientoutes les idées éculées que traî. flotte anglaise renonce à un voyage
ideur d'Angleterre à Paris, ont discuté la
ne le duel avec lui. On discute s'il vaut
,
PARIS, 25 juillet.
Ce soir, à neuf r
LJ
'
*
en Norvège
<
question
du Maroc.
'
heures,
une centaine de jeunes gens ap- .mieux le maintenir ou s'il est préféraLe jour où le public regardera le
On sait que sir Edward Grey a eu ensui- partenant
1
aux groupements révolution- ble de le supprimer. La discussion est duel sans manifester le moindre inté1
te une audience du roi, mais on déclare que naire de la eJune Garde se sont réunis (
M
ouverte.
Seulement il y a un petit in- rêt, le duel aura vécu.
, < se de l'Océan, attendue en Norvège, sa
; visite au palais n'était aucunement le ré- 1place Vendôme.
,
f été supprimée en raison de la nouvelle jsultat de la conférence qui a eu lieu au Fo- 1 Sur un coup de sifflet, ils se sont mis convénient à là clore, c'est qu'il ne déMais Bernslein a le loisir de se batîha*e do la situation au Maroc, et de 1 at- »reing-Office.
à manifester, conspuant le ministre de la pend
1
de personne de maintenir ou de tre cent fois avec Daudet avant que ces
Cette
audience
avait
été
convenue
antê1
Rade de l'Allemagne.
justice.
<
„ Setan le plan original, l'escadre de rieurement.
La police, qui avait été prévenue de la supprimer le duel. Il se maintiendra temps soient arrivés. Et leurs petits-fils
SAINT-SÉBASTIEN, 5Ki juillet. — Le chargé
,hlilK sous le commandement de 1 amimanifestation, avait organisé un service ou il disparaîtra en dehors de toule dé- aussi.
1
gwi coë, et la 5» escadre de croiseurs, d'affaires anglais a rendu visite au ministre 1d'ordre assez imposant.
cision législative.
René MKRCIER.
' le commandement de l'amiral Bur- des affaires étrangères, ce matin, pour s'inQuatre arrestations ont été opérées,
It aurait dû quitter Orofarty mercredi :lormer de l'état des négociations entre la dont deux ont été maintenues.
. Que pourrait-on faire en effet contre
ZI pour naviguer vers la Norvège.
France et l'Espagne au sujet du modus-viCes deux jeunes gens ont été envoyés lui ? Punir les combattants ? Punir les
; Uamirauté a télégraphié, mardi, pour vendi à El-Kçar.
au Dépôt. Ils étaient porteurs de nerfs de 1
témoins
? Punir les médecins ? Punir
ilîipT des instructions enjoignant à la
LONDRES, '£> juillet. —
L'ambassadeur bœuf et de coups de poing américains.
j
Me de r^ter à Crofarty jusqu'à ven- d'Autriche-Hongrie a été reçu au Foremgde L'EST RÉPUBLICAIN
Les manifestants avaient, dit-on, l'in- le propriétaire du terrain sur lequel on LES
Office cet après-midi.
tention d'assaillir le ministère et de pé- 1a mis les armes à la main ? Cela ferait
^Lorsque cette escadre ira à Portsnétrer jusque dafis le cabinet du garde |
Une lettre ouverte
mnnth où elle doit arriver dimanche, elle
des sceaux pour protester contre « les actes beaucoup de punis pour peu de chose.
«rs renforcée dans ce port par le vaisde
M.
Balfbtir
de violence et la détention à la Santé au
Sau de «merre Loadon et le vaissean-ami- La question intérieure- relègue au seeond régime des condamnés de droit commun, ' Leur infligerait-on une amende ? On
serait donc obligé ou de ne rien exiger
rl corden, lequel vient d'être pourvu de
du camelot du roi Galli, et contre le ,
plan tes querelles intérieures
Mm nouveaux canons de 12 pouces, et
transfert de Gustave Hervé à ClaiWaux ». des combattants sans fortune ou de les
A CINQ FRANCS
LONDRES, 26 jtniilet.
M. Balfour, sous
oui' allant à Borhavcn les essayer, avait
Après avoir été dispersés, les manifesrintention de rejoindre la flotte à Copen- la forme de lettre ouverte à lord Newton, tants ont tenté de se rendre au ministè- enfermer conformément à la règle de
hague Le London restera avec la flotte à conseille aux unionistes de ne pas se que- re de l'intérieur, mais la police les en a la contrainte par corps.
Spithead. Cette dernière flotte se compose reller au sujet de questions de procéd-nre empêchés.
Les mettrait-on en prison ? L'empriintérieure de la Chambre des lords, mais
do 13 cuirassés.
Ils se sont alors rendus à leur siège
„ Le bruit a couru hier soir, a Dcvon- de se préparer pour la grande lutte du de- social, rue de Bretagne, où a eu lieu une sonnement pour une cause de ce genre
port, que les marins de plusieurs vais- hors.
deviendrait honorable et même gloréunion.
« Dans ïe pays où la campagne comseaux de la division locale avait reçu l'orrieuse.
Après
avoir
été
dispersés
aux
environs
dre de se tenir prêts à partir au preanier mence, continue cette lettre, l'harmonie et du ministère de la justice, les jeunes gardes
Le but ne serait pas atteint.
la discip!ine sont essentielles pour romsignal, n
Départ de Nancy par train spécial à 5 h.
se sont rendus sur les grands boulevards,
iporter la victoire définitive.
Note optimiste
D'autres personnes encouragent le 20 matin, Jarviile 5 h. 25, Laneuveville
c< La majorité des lords ferait bien de où ils ont fait une nouvelle manifestation. •
PARIS, 26 juillet. — L'Echo de Paris dit
En même temps, ils distribuaient un mani- duel. Il parait que le combat singulier 5 h. 30, Varangéville 5 h. 38, Dombasle
;re dans les milieux gouvernementaux, suivre le conseil de lord Lansdowne.
5 h. 43, Rosières-aux-Salines 5 h. 48. —
« Mais la mêlée des controverses fait feste où ils protestent contre le traitement prouve que l'on a du courage, et qu'il Arrivée
hier soir, on était enclin à un certain optià Raon-l'Etape à 6 h. 56.
misme au sujet de l'issue des négociations pendire de vue la véritable nature du pé- appliqué en prison à des détenus politiques. faut autant que possible conserver ces
Départ de Raon-l'Etape (centre), par le
ril.
!i:.nco-allemandes, mais on ne s'attendait
preuves publiques. Il en est même qui chemin de fer de la Vallée de Celles à
« Entre le soldat mourant à son poste
pas «pendant" à tabler sur les précisions
7 h. 30.
Arrivée à Raon-sur-Plaine à
et le pair proposant de voter le rétablisavant dimanche prochain.
les conservent avec un cinématogra- 8 h. 30.
'sèment
par
les
lords
du
Parliament-Bill,
Sanglantes
collisions
Note pessimiste
phe. Mais en ^Angleterre on ne se bat
Départ pour le col du Donon (une heure
il n'y a pas de ressemblance. »
LEctio de Paris dit ensuite que les négoLONDRES.
Dix-huit agents de police ont pas en duel. Oserait-on prétendre que de marche). — Repos facultatif.
ciations marocaines ne &e présentent pus
La crise parlementaire anglaise
Ascension du Donan (trois quarts d'heuété blessée, ce soir, dans une émeute des les Anglais ont moins de cœur que
*us un jour favorable.
mineurs de la vallée d'Onada.
re), 1.010 m. d'altitude, point culminant
***
LONDRES, 25 juillet. — A son entrée à la
«Les pourparlers, dit-il, auraient abosti
de toute la vallée, vue panoramique suBeaucoup saignaient abondamment et nous ?
Nous
avons
demandé
à plusieurs des
hier à une «irituble impasse, l'Allemagne Chambre des communes, cet aprèr-midi, des médecins ont été réquisitionnés.
La vérité est toute simple. Cassagnac perbe. — A l'Est : la plaine l'Alsace, au anciens collaborateurs du général Michel
(ûiiatenaiH une l'orme bien nette les de- M. Asquith, premier ministre, a été accueildclaà des forêts, à l'ariière-planje Rtiin et
Tout est calme maintenant dans la réBaarks de compensations qu'elle avait li par de» manifestations en sens divers.
gion en grève du pays de Gales. — Havas. -«Ta exprimée en un paradoxe d'une vé- la Forêt-Noire ; au Nord-Est : Strasbourg à Nancy leur avis sur le rice-président du
avancées la semaine dernière et déclarant
rité profonde. On se bat parce qu'on et sa cathédrale ; au Sud : la chaîne des conseil supérieur de ta guerre ; ils BOU*
Incident à Larache
le discours menaçant de Lloyd George inn'a
pas assez de courage pour refuser Vosges, et par temps clair les Alpes ; à l'ont représenté comme un officier général
capable de n'y rien changer désormais.
Entre un poste espagnol et un Français
l'Ouest : les plaines de Lorraine vers Nan- très instruit, d'une science tactique parfaide
se
battre.
cy.
atteint cîe folie ?
Ce serait donc un navire allemand en
Une actrice parisienne
permanence à Aguadir et peut-être un déDéjeuner champêtre ou à l'hôtel Velléda te. Mais le général Michel tient à ses idées.
Le duel ne prouve rien, c'est entenMADRID.
Le Oiario Universaie rnihlie
se noie dans la Rhin
barquement.
(2 fr. 50 sans vin) pour les touristes de Ce n'est pas la première fois d'ailleurs que
la dépêche suivante, que nous ne donnons
PARIS, 25 juillet.
Mlle Lantelme, l'ac- du. Souvent il n'est pas une conclu- l'Est républicain.
Or, le gouvernement ' anglais est d'avis que aons les plus expresses réserves :
des divergences se produisent au conseil
trice parisienne connue, qui avait, au cours sion, il faut l'admettre. Mais il a, conde voir dans ce débarquement un tel déVers 1 heure et demie, départ du Donon supérieur de la guerre. Le général Ha« Les nouvelles de Larache annoncent de
ces
dernières
années,
joué
avec
succès
veloppement de la situation de l'Allemagne que 'la nuit dernière un indigène, sujet
venons-en, des avantages matériels et pour Raon-sur-Plaine.
gros, le général Michal, ancien commanau Maroc que les intérêts anglais en'se- français, atteint de folie, a attaqué une des rôles importants dans les théâtres du
Départ de Raon-sur-Plaine à 3 heures. dant du 206 corps d'armée à Nancy, l'ont
moraux fort appréciables.
boulevard,
est
morte
noyée
aujourd'hui,
rvait plus directement affectés qu'ils ne sentinelle.
— Arrivée à Raon-l'Etape à 4 heures.
au cours d'un voyage sur le Rhin.
•ont été antérieurement.
C'est l'opinion publique qui accorde
Visite de Raon-l'Etape et La Neuveville. bien quitté parce qu'Us y étaient en mi« L'-ofneiej' de garde survenant a blessé
Le docteur Dauriac, ami intime de M. EdLîmpasse est donc complète. »
le fou.
Départ de Raon-l'Etape (Est) à 5 h. 35, norité.
ces
avantages.
Elle
seule
est
donc
reswards qui, comme on sait, avait épousé
Rosières 6 h. 54, Dombasle 6 h. 58, Varan«
Les
consuls
de
France
et
d'Espagne,
On n'a pas songé à cette époque à metprétentions allemandes et le commandant d'armes de Larache, Mlle Lantelme, a reçu une dépêche datée ponsable du maintien du duel dans les géville 7 h. 03, Laneuveville 7 h. 14, Jartre
en doute leurs capacités, tandis qu'on
de
Marienbaum
et
signée
de
M.
Cuvillier,
1
Partez ies premiers du Maroc », dii-elle dans un entretien qu'ils ont eu pou après, lequel accompagnait M. et Mme Edwards mœurs françaises.
viile 7 n. 20. — Arrivée à Nancy, 7 h. 25
soir.
le fait aujourd'hui pour le général Michel.
ont
reconnu
que
l'incident
n'avait
pas
La foule considère le duelliste, comCOLOGXE, 25 juillet.— La Gazette de Codans leur voyage.
Il y a dans cette campagne quelque cho'«Sne déclare « que si la France ne d'importance.
Pans ce télégramme, le docteur Dauriac me un monsieur qui sort du commun.
Prîx di l'tXGtfndoii : 5
«
lie
fou
a
été
envoyé
à
Tanger.
»
se de particulièrement incoirect et chopursmt d'autre objet que l'application
était instamment prié de partir sans retard Elle l'admire. Pour être admiré d'elle
Le nombre des places étant limité, prière quantntcgrale de l'Acte d'Algésiras, qu'elle repour Emmerich-sur-Rhin, ville de la PrusLa santé du lieutenant Thiriet
de se faire inscrire de suite aux bureaux
we ses troupes du Maroc et qu'elle fourque
ne
ferait
un
homme
qui
louche
à
la
de l'Est républicain.
Telle est l'impression de ceux qui dans
EI.-KÇAR, 24 juillet.
— A la suite des se occidentale voisine de la frontière de
^,?es garanties montrant qu'elle ne coups
notre garnison ont eu l'honneur de servir
. ***
qu'il a reçus, le lieutenant Thiriet Hollande. D'après la dépêche, Mlle .Lantel- vie publique par la politique, par la
c ns.dore pas le Maroc comme une coloNos excursionnistes pourront faire ou sous les ordres du général Michel et nous
est sérieusement indisposé. Il est alité et me serait morte noyée, et M. Edwards se- littérature, l'art, le théâtre ou la mo"* française.
compléter leurs provisions du déjeuner avons cru bien faire en la traduisant. —
souffre d'une forte fièvre. Il est contusion- rait gravement malade.
8
J,,*'"!
' l'Allemagne retirera ses vais- né par les coups de sabre des cavaliers esM. Edwards et Mlle Lantelme étaient par- de ?
champêtre chez tous les négociants de 1.. P.
swux^ d Agadir.
La Neuveville-les-Raon, Raon-l'Etape et
pagnols, et comme il n'y a pas de médecin tis dans les premiers jours de juillet pour
magne ne
Xïi
a
Pas
un
Français
n'est
capable
d'apRaon-sur-Plaine.
aWifi^ 8 a slatu
T* P s accepter de à El-Kçar, le lieutenant Thiriet se soigne la Hollande où ils avaient fait une croisière
â bord de leur yacht ïAimée. lis remon- prouver publiquement celui qui a re,
seul.
' ffin
-'ïî
V
Qui
iraient
W
^Jttdiciables à ses intérêts
taient le Rhin, se rendant à Cologne, quand fusé un duel. Si on lui trouve des exNos lecteurs des localités situées entre
s
l <îuestion dos
La
ligne
allemande
l'événement
dramatique
s'est
produit.
ta-™i\ «i laiM
,
compensations
Blainville et Saint-Dié peuvent aussi pro- LA FOUDRE AU CAMP
— D'après Paris-Journal, M. Edwards et cuses, c'est avec une nuance de mépris fiter de l'excursion au Donon en se ren*£^ E ! l'Allemagne
en raison
DE BOIS-L'ÉVÊQUE
e
de
Malmédy
Mme Lantelme-Edwards remontaient le qu'on les expose. Pour ne pas être mé- dant à leurs frais à Raon-lJEtape. En- LES INCIDENTS
Uce d^T
M
7 P^ance de la
10 N rd de
i
°
''Afrique, il s'a- Déclaration du ministre de la guerre belge Rhin quand l'accident s'est produit.
DE PAGNY-SUR-MOSELLE
prisé de ses contemporains, quel ci- voyer 1 fr. 60 pour prix du voyage jus1
«%s
/"'T, coloniales, mais dei
Parvenus à Emmerich-sur-Rhin, à un
BRUXELLES, !2O juillet. — Au Sénat, dans
qu'à Raon-sur-Plaine, aller et retour.
If AGE 3
9
6
dont ie
^ e" Europe "
^ternent, sa réponse à divers orateurs au sujet du point où le fleuve se sépare en deux bras, toyen ne risquerait une piqûre à
NANCY GRANDE VILLE
dont
l'un
seulement
est
navigable,
M.
et
l'avant-bras ?
système défensif de la Belgique, le ministre
A l'Hôtel de la Gare, à Raon-sur-PlaiRage A
Les pourparlers
de la guerre a déclaré que si aucune objec- Mme Edwards quittèrent leur yacht et prion trouvera des déjeuners au prix de
Le duel est donc devenu un fait que ne,
rent
place
dans
un
petit
canot
à
vapeur
1 fr. 50, vin compris. Il suffira, de préve- LES PRiX DES COMICES D'EINVILLE
tion ne fut faite à la construction de la liET DE BRIEY
pour suivre l'autre bras particulièrement l'on discute sans cesse, mais que l'on nir à l'arrivée à Raon-sur-Plaine
LONDRES
■ ■„ diplomatiquesI gne allemande Malmédy-Stavolote, c'est pittoresque.
m
LE SALON D ÊPINAL
que cette ligne serait exposée au leu des
subit toujours parce qu'on ne peut faince de
Le frêle esquif chavira.
Voici le menu du déjeuner à 2 fr. 50
kituneiontr
>
retour-rte Paris, a forts de Liège sans compter qu'en cas de
PAfS£ 5
re autrement.
C'est ainsi que M(me Lantelme-Edwards
(prix spécial pour les touristes de l'Est I
«stère des3 al'ilau
■' ,V.'eSit? au Foreing-Ofilce (mi- danger d'invasion allemande, on ferait sauL'EXTENSION DES TRAMWAYS
a trouvé la mort.
Raisonnablement on déclare que le républicain), qui sera servi à l'hôtel Vel«idx,
' s étrangères), hier aprês- ter ta ligne sur plusieurs points.
A NANCY
i Au
Mme Lantelme avait été élève du Conser- duel est ridicule ou odieux quand il léda :
Le prochain conseil des ministres
A
U
{ Une reui)i
vatoire
où
elle
n'était
restée
guère
plus
de
Potage,
entrée,
rôti,
salade,
fruits
et
Huith m.„ l
on tenue hier, MM.
PARIS, 25 juillet. — Les ministres se réun'est pas à la fois ridicule et odieux.
Slr
dessert. — Vin : 1 fr. 50 la bouteille, bière
Edward r'er minist>'e > Lloyd George, niront en conseil à Rambouillet, sous la six mois. Elle débuta dans l'Age d'aimer,
etr
1Ty
miniti
Il est ridicule s'il aboutit à une égra- 0 fr. 50.
anSères 0V '
tre des affaires• présidence de M. Fallières, vendredi pro- au Gymnase. EUe fut ensuite engagée au
TOULON.
Les bureaux des délégués des
^^^^ei sir I rancis Bertie, ambassa- '
théâtre Réjane et dans plusieurs théâtres; tignure. Il est odieux s'il a la mort
• chain, à dix heures du matin. — Havas.
de Paris, Vaudeville, Gymnase, Variétés.
A la Restauration du Donon, près de la sections d'ouvriers de l'arsenal et des ouOn n'a pas oublié sa création de Mme Alair pour résultat. Il est ridicule et odieux douane allemande, on trouvera jambon et vriers de l'Etat ont tenu des réunions à la
1
dans le Vieil homme, ni son interprétation s'il met en présence un épéisle de pro- saucisse de pays, bière 0 fr. 40, vin : 1 fr. suite desquelles ils ont reconnu que l'ensemble de leurs adhérents ne désirait pas
originale, à l'Odéon, du rôle de Roxane des fession et un brave homme qui n'a ja- 25 centimes.
assister à un meeting de protestation, à
Trois Sultanes,
Il
n'y
a
pas
lieu
de
prendre
de
mesures
Quelques indications
la suite de l'interdiction faite par M. Deli
Tout récemment, elle créait la Gamine à mais mis les pieds dans une salle d'aru
spéciales
oassé à l'ouvrier Damarque de prendre
ia 5s.
0n sait
PARIS, 25 juillet. — A une réunion de la la Renaissance. Avant de partir en villépart à un congrès à Berlin.
■nilitair^'ls61' "T,em
qu'une promo■ giature, elle avait joué plusieurs rôles plai- '^Cela, c'est le raisonnement. Cela,
1
nte
commission
permanente
du
conseil
d'hys desDT
n "PP s entaire et indépenCependant, les bureaux des délégués
c
■ saute dans Vlan, la revue de M. Rip.
0r
Le colonel Mangln
trimestrielles, va être giène, M. Mirman, directeur de l'hygiène1
ont voté un ordre du jour de protestation
c-'est la logique.
Mlle
Lantelme
était
une
gracieuse
et
jo'■ publique, a déclaré qu'à Marseille aucun1
TANGER, 22 juillet. — Le colonel Mangin,
regrettant la défense faite à Lamarque
a
mm
lie jeune femme, dtiumeur enjouée et d'esMais d'autre part le duel est si com- venant de Paz en congé, est attendu ici de- en raison de la possibilité du caractère
cas nouveau n'a été constaté depuis le1 prit
^^es 2i
^ P°int de départ ies ré-■ 20
vif.
juilet.
rt
eS par Ie
Gnéral Tou
mode que sa disparition
laisserait main. Informé en route des incidents d'El- antimilitariste et antipatriotique du conI te6t ,e Kéner'a|T^n
.
S
"
Mom,er
Le conseil a estimé qu'il n'y avait pas;
Kçar, il a, pour éviter des difficultés qui au- grès auquel il devait assiste.!* et s'engaht,°°«0
«B «ut! ro
Pour les ofriciers^
Chute grave d'un aviateur
a
peut-être
des
regrets.
\ ^ iti \f'f
-marocains et du corpsJ1 lieu de prendre des mesures exceptionraient pu surgir avec des patrouilles espa- geant « à poursuivre sans relâche l'idéal
la re ri
0rui
I
"
du Maroc.
nelles. — Havas.
SENUS, 25 juillet. — L'aviateur anvorsois
D'abord il donne la gloire à bon mar- gnoles qui auraient tenté de désarmer les de tout travailleur conscient, la paix, 'e
Pr
Devos a fait cet après-midi une chute aux
cavaliers indigènes de son escorte, fait un bien-être et la liberté ». — Havas.
Cnt coSf au clloi^ seront naturelenvirons de Senlis. Il serait grièvement ché. Dans un siècle où on n'a pas le long détour de vingt kilomètres et n'a pas
4
O'
(oi^neté ,,n es,par des promotions a
blessé. Devos a été transporté à l'hôpital' temps ni la possibilité de la payer cher touché à El-Kçar.
~~ Havâs
ot'Aciers de la mètroTROYES, <!5 juillet. —
Un cyclone s'est; Lariboisière,
BOURSE
DE PARIS
à
Paris.
—
Havas.
ce n'est pas une considération à dédaiA propos de l'appel des réservistes
abattu sur le vignoble de Bar-sur-Aube.
T 1C H w K
allemands
gner.
Les céréales ont été hâchées par la grêle
Prew. couri Dbrn. coun
On lit dans le Temps :
à
Bayel,
à
Clairvaux,
à
Baronville.
VALESI
VOGUE
VERS
LA
FRANCE
lE
25 juill.
25 juill.
Ensuite il dénoue rapidement et à la
« Des dépêches de Berlin signalaient
Dans cette dernière commune, ies deux
MONTEVIDEO, 25 juillet. — Valesi, accusé
Renie H Ojii
64 OO
H ûî
hier
la
convocation
de
400,000
réservistes,
satisfaction
générale
les
affaires
les
tiers du vignoble sont en outre détruits; seu-[ de l'assassinat de M. Guichet, directeur
Actions Lyon
' lir>9 ..
Ilf3 ..
le a été épargnée la partie déjà ravagée par. de l'asile d'aliénés d'Aix-en-Provence, s'est plus inextricables. Deux hommes s'en et en tiraient des arguments pessimistes. Mélrouoiilain
te^Rïs Ua"'iVée à Brî8t0'
Ui'i ••
6 ri ..
lit*3 . .
1715 ..
l'orage, le 17 juin dernier, en' sorte que la constitué prisonnier. Il a été embarqué à veulent mortellement. Ils se sont réci- Comme le Temps le disait hier en « Der- !!io Tiuto
Voici les
nière nouvelles », l'appel des réservistes -:ostiowice
14H1 ..
1463 ...
,
récolte
est complètement perdue,
■ *ttLl0,»',&Uii!-1 0t ~
résultais
destination de Marseille par les soins du
du
et
de
la
landwehr
se
fait
tous
les
ans,
et
Extérieure 4 0|0 .........
03 45
'•'•! 47
ilto^P'ane rt^i . "
Tout d Angleterrei
La consternation est générale.
proquement accusés de vol, de conconsul de France .
Havas.
celui de cette année a lieu sur une convo- Uiiste eonaoliilé 4 i!(0 ....
'.)/ ..
97 iU
*C'9sages'nh. lmbourg a Bristol, avec,
— De violents orages "ont sévi sur tout le
cussion et d'assassinat. Si l'on allait cation faite le 17 mars dernier.
De Béer* (ord.)
t", !">0
457 CO
département.
T8N S0
ÎM ..
« Le chiffre des réservistes est sensible- liand Mines
plaider devant un tribunal l'offense en
k.), 1A Varl'ste 137 k.j, fvlancnes-'.
La foudre a allumé des incendies dans
Iiriar.sk (ord.)
400 ..
404
ment
le
même
que
celui
de
l'an
dernier.»
les villages de Paylas, d'Origny-le-Sec et de
serait prodigieusement
aggravée, et
Turc
W 20
91 27
V
^te>*, ^ aUU kl|omètres :
Saint-Léger.
Banque ottomane
O'iU ..
673 ..
s'étendrait bientôt à tous les membres
ne
6
L av
Serbe
H9
..
88
93
BORDEAUX, 25 juillet.
De violents ora«• S altur" * ~~ ' 'ateur anglais;
de la famille. On n'a donc pas recours
C>« contT,1 a huit neures et demie, ges ont éclaté sur la région. La grêle a.
Téiégramme commercial
Moscou.
L'aviateur Slusaranko veLa promotion des récompenses 3e la mu[ causé des dégâts au vignoble sur divers•
(Bourse du coatuiercts/
<<
"Ks s>t; r^-'aieurs environ
tualité, qui comporte près de 7.000 noms, aux avocats, ni aux avoués, ni aux ju- nait de quitter Moscou avec un passager,
points et la foudre a allamé des incen-■> paraîtra
ges.
lorsqu'il fit une chute. Le passager a été Cuitircb fournis par ia maison lioger
et Cie
jeudi prochain à l'Officiel.
, dies.
tué. L'aviateur a eu les deux jambes briUne médaille d'or est décernée notam-Paris, % juillet, 1 » ôi -••<•
6
ai Vê à Mancnes
On
désigne'deux
amis.
On
fail
flamLes
insolations
*H
sées. L'appareil a été détruit. — Havas.
0O1HANT
1 DlillNlKH
ment à M. Olivier François, visiteur et seTOURS.
M. Emile Faure, député de la1
ber deux épées. On est blessé ou on
Avoines iltX) kil.)
20 ;»
10 4a
arrtVé à Manctlester a
crétaire
depuis
31
ans,
de
la
Société
de
filés (100 kil.)
2* ôâ
2s Qo
l^ûi
& n. 2° circonscription de Tours, a informé le! Neufchâteau, et Mêzières (Alfred-Jean- blesse,
L'AOCtDENY DE M. AUTRAND
généralement
de
façon
assez
ministre de la guerre qu'à la rentrée des
88
38 ..
VERSAILLES
M. Autrand, préfet de Sei- Farines (loti kil.).
'f- - Vêdrines a atterri Chambres, il liff poserait une question au■ François), sénateur de Meurthe-et-Moselle, légère. Et voilà que soudain par l'ad- ne-et-Oise, a été renversé par une autoe
membre de l'Académie française, président
|
du contrôle a Hj h. . - n . sujet
M 50
!U li
de nombreux cas d'insolation qui sei depuis 25 ans de l'Orphelinat de l'enseignc- mirable vertu d'une fiction les deux mobile à Paris. 11 a été ramené à Ver- Lin
W
a
68 25
69 75
sont produits, samedi, dans la garnison de1 ment primaire à Pari».
sailles. On espère que son rétablissement Huiles (100 kil.)
Havas.
*
1
.-CDfflbftl^nts
.qui
s'étaient
traînés
dans
Alcool
(Ibectol.)
31
12
49
?o
Tours* — JsLaOJBUb
sera l'affaire de quelques jours.— Bavas £uei'ej3
38 ar
ai oo
du transfert de Gustave Hervé ïnent
«
—
m km
Excursion Popuïalrs
—
Dans ia vallée de Celles
et au Démon
LES MEURS GREVISTES OU OILLES
—
—
J
IMESTS ET SmtSTHES
—
—
Les
francs
I
—
,
4:
i
»,
i
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u
nnrm smimximt
LE CHOLÉRA
K 'Sî;f
LES ORAGE ?
ÏOya D'ANGLETERRE
i
*
—
1
RÉGION
^
10
5
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Les récompenses de ia mutualité
TERRIBLE HCCIPEIÏ D'AVIATIOK
—
BOII.-M-.'K
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'"
-
—
—
^^^S^lj
—
—
•
PAS DE CHOLERA A LYON
25 juillet. — On confirme une information donnée hier et d'après laquelle
une femme morte à l'hôpital de la CroixRousse n'aurait pas succohibé au choléra.
L'administration municipale communique
une note rassurante d'après laquelle t'analyso bactériologique faite par le professeur Courniont et lu docteur Lesieur aurait démontré qu'il s'agissait dune entérite cholcri forme due à la mauvaise qualité d'aliments.
D'ailleurs — ajoute la note municipale
— l'état sanitaire à Lyon est excellent et
la mortalité y est môme inférieure à celle
des périodes correspondantes de ces dernières années.
Cependant, en raison de l'extrême chaleur, M. Heoiot, maire de Lyon, a prèscrit les plus rigoureuses mesures hygiôniques. — Havas.
j
' NANCY
La foudre teas à Bois-l'Evêcrue '
LA JOURNÉE
Régionale
LYON,
*
NOS OFICIERS AVIATEURS
VITTEL, 25 juillet. — Le lieutenant de Malherbe, venant de Lunéville en monoplan, a
atterri à six heures et demie sur l'hippodrome de Vittel.
L'officier aviateur compte regagner son
cantonnement après avoir assisté à la réunion de courses de Vittel.
BUC-AVIATION, 25 juillet. — Le lieutenant
de Grailly, pilotant un monoplan, a subi
avec succès la première épreuve du brevet
d'aviation militaire, allant de Bue à Cottainville, près de Chartres, en 1 heure 30
minutes.
L'officier aviateur a effectué ce voyage
à une altitude moyenne de 600 mètres.
L'INCIDENT BERNSTEIN-LACOUrT"
La mise en liberté momentanée de Lucien
Lacour, le camelot du roi qui frappa M.
Briand, ayant été refusée, son premier témoin, M. Maurice Pujo, a demandé, du
consentement de son « client » à lui être
substitué comme adversaire de M. Bernstein.
Cette substitution a été acceptée.
Une rencontre à l'épée aura lieu mercredi matin aux environs de Paris.
Collège de Verdun. — Président : M.
Humbert, sénateur de la Meuse ; Discours :
M. Hérault, professeur de 5*.
Collège de Bruyères. — Président : M.
le docteur Schmitt ; Discours : M. Aubcrt,
professeur de Lettres.
Collège d'Epinal. — Président : M. P.
Cuny, député dos Vosges ; Discours : M.
Augier, professeur de 5".
Collège de Mirecourt. — Président : M.
iMage, sous-préfet de
Mirecourt ;
Discoure
: M. Gaiidey, professeur de Sciences.
c
Collège de Neuîchâteau. — Président :
^
M. Camille Picard, député des Vosges ;
j
Discours : M. Roger, professeur de letttros.
. Collège de Remiremont. — Président :
M. Legrand Girard (général) ; Discours :
j,M. Desiloges, professeur d'histoire.
A
CoMège de Saimt-Dié. — Président : M.
,
le
p sous-préfet de Saint-Dié » Discours : M.
Neyton, professeur d'anglais.
t i
Ul
Tt un caporal, blesse cinqsol riais
Tue
„ TOUL, mardi 25 juillet.— Lundi, vers
6b heures et demie du soir, un violent orage a éclaté sur le camp de Bois-l'Evêque
8?
où
logées sous
J>u se trouvent, en ce moment,
e
a tente les troupes du 2 groupe d'infan*la
terie de forteresse de Toul, composées des
e
4°
*° bataillons des 160°, 155 et 69° et actuellei
lement
occupées aux feux de guerre. La
foudre
est tombée sur une tente du 160°,
*°
13e compagnie du fort de Frouard.
*"
Le caporal Rey Jean, • originaire de Mala
lakoff (Seine), a été tué - sur le coup et
cil
cinq
soldats ont été plus ou moins blessés grièvement par le fluide électrique.
*é
Ce sont : Baudrier Louis, Sembert, BerW
tino Charles, Beaudoin Edmond et Dutu
bois
Alix. Tous les soins indispensables
PJ
furent donnés pai le médecin-major
e
*leur
de
^ service et les infirmiers, qui restèrent
auprès des blessés toute la nuit. Ils se
plaignent
tous de douleurs violentes aux
P*
jambes.
Les deux derniers, Beaudoin et
-j^
Dubois paraissent plus grièvement atteints.
Mardi, à 11 heures du matin, les cinq
t)1
blessés ont été amenés à l'hôpital mixte
de Toul, où M. le major Buy les a exami^
nés.
La foudre brisa aussi un faisceau de
fusils.
"
Une femme brûlée %
Association
des
Omis
!
II
Ijieuï latîl ;:
Mardi, vers sept heure-; et d(>m
tin, un douloureux accident est sur^Hi
1 uv
quartier du 5° hussards.
«nu*
Mme \ irginie Virrion, âgéeç]e,-7
était occupée comme cuisinière n i ans*
tenue par M. Le Gayoust, „ étéVrûfM!
e»K.
L'emplacement
de l'ancien théâtre dans
\
les circonstances suivantes •
l
Mme
Virrion,voulant
allumer
im
MERCREDI 26 JUILLET. — 207° JOUR DE
d
r
On nous prie ]^| ,=
u cen- û
I essmee de pétrole, constatait
L'ANNÉE
Fondée pour delcndrc ies int6rêts
«"o" d .
,
.
avait
plus rien dans le réservoir, pi"" h
tre
de
la
ville,
l'Association
des
amis_oa
AUJOURD'HUI : sainte Aune. — DEMAIN :
plir celui-ci, elle s'emparait d'un
T
Vieux
Nancy, ne pouvait se oewi»
saint Liboire.
\
tenant de l'essence.
"lre c0t
Ephéméridcs lorraines. — En 1281, paix dde l'utilisation de ''emplacement Je 1 amaen
Sans prendre la précaution d'eni
entre le duc Ferri 111 et les habitants de tthéâtre. Une commission à™™*
,
réchaud
se trouvant, sur [e fl
t
Metz.
sée
de
MM.
Paquy,
ancien
Wtowjera»
s
cuisine, qui était allumé, elle se mît T «
11
des avocats, Boidm vice-présiden
A 8 heures J. — Réunion du Photo-Club l'Ordre
j.
ser le dçmgereux liquide.
«v»,;
nancéien.
^honoraire du conseil d* Préfecture Lalan
Aussitôt, une explosion se produha.
A 8 heures J. — Musique militaire place ■ce, commandant en retraite, rapporleur ,
C'était le litre d'essence qui ven»
c
Stanislas.
jMerklen, directeur du Sport ; V;a te i, ie- ter et lé liquide en flammes commît
sident de l'Union des syndicats de 1 alimen- ,' îe-fon aux vêtements de la niaihe 'e,?>j
OBSERVA TI0HS MÉTÉOROLOGIQUES
Ul
\
tation a reconnu la nécessite de cons un
sinicre, qui bientôt ne formait pilK „eCH.
»
4
Bordeaux 760, Nice 764. Dépression Ecos- un
palais d'expositions cl de fêtes digm> torche vivante.
4^
u
se, Gascogne.
gpar ses dimensions, son éclairage son trt
Les personnes présentes dans ia
Probable : Vent, variable, pluies orageu- ractère
£
central de l'art, de l'industrie et de s'empressèrent
aussitôt déteindre
f
. ses, température normale.
j, vitalité lorraines.
la
,
mes
qui dévoraient Mme Virrion n
BLAMONÏ, 24 juillet.— Le comité d'orgaNancy, baromètre : 6 h. matin, 748 ; miLa commission adhérait ainsi a la pçti
cours lui lurent donnés. Pendant cet ^
n
nisation des fêtes du 13 août emploie son
cdi 748, 4 h. soir 749.
.
tion
présentée le 23 mars 1911 par les prési- on demandait la voiture d'ambulant
t<
temps avec une patriotique activité.
Thermomètre : 6 h. matin + 20, midi dents des diverses associations artistiques (
pompiers, qui transportait la maihe,,
Il est juste de rendre hommage aux
+ 81, 4 h. soir + 30.
d
de
Nancy.
,
* ., m
s l'hôpital, où elle expirait peu
à
ddévouements que la présidence de M. le
Minima + 17, maxima + 32.
v es
Un projet intéressant non seulement 1 em- arrivée.
,
%
d
docteur
Hanriot a su grouper autour des
Observations de M. Belliéni.
jplacement de l'ancien théâtre et de ses anM. Nav, commissaire de police a r,,,
n
membres
du comité permanent, MM. G.
nexes, mais celui occupé actuellement nar une
,
enquête.
' %\
î\
Mazerand,
commissaire général ; Rimle magasin de décors a fait l'objet d un
bbach, Dion, René Florentin, Diot, Seliexamen attentif- Il comporte la construction
Vols de bicyclettes
qquer et Colette.
Une plaque en marbre d'une grande va- *d'un café, plus en retrait de la place StaD'ores et déjà, on estime à environ
ileur apposée sur la maison de M. LalonDans ia matinée de mardi, des intfj,.-.
nislas,
(lue
n'est
la
Rotonde,
afin
d
agran11,500 gymnastes, le nombre des jeunes de, rue Saint-Dizier, est tombée sur la
inconnus ont pénétré dans le™,!?"1
dir
le jardin, l'établissement d'un passage- restés
i
c
g
gens
qui apporteront aux fêtes leur vail- cchaussée, où elle s'est- brisée.
de
la
maison
portant le numéro y/ cleia '
plus convenable, le maintien dans ses dis- J
1lance et leur entrain.
Enlln, boulevard Lobau, la foudre a bri- i
Stanislas et ont dérobé une bécane dfïï
positions
actuelles
du
Cercle
des
étudiants.
>
L'Escadron de Lorraine,
présidé par ssè de nombreuses branches aux arbres.
I
' Ce vaste projet ne pouvait être entremis francs au préjudice de Meyer PhilinL 8
et l'Escadron de
RM. Pierre Bachelard
d'une
part avant la fin d'un bail à expira- une autre estimée 200 francs au prëinrt
Nancy, dirigé par M. Lucien Larcher, se
Au cours de l'orage de lundi soir, la fou- f
du 30 juin 1912, de l'autre qu'après le 1de M. Vatrin, limonadier. A onze tien?"S
1
rendront à Blâmont en deux étapes qu'ils dre
d
est tombée sur la maison du restau- tion
déplacement du magasin de décors. Il exi'du matin, M. Verseili, qui avait <C :
couvriront à cheval.
1
rant
Jacob, au plateau de Villers.
son
vélo devant les Magasins-Hèunis ,
•
La musique de Blâmont, la fanfare du
La toiture a été presque complètement fgeait des dépenses pour lesquelles en ne temps
de faire une emplette, ne put'»1
dispose
pas actuellement do ressources.
c
groupe Bara, les Trompettes Républicai- tdétruite.
constater
sa disparition à la sortie.
"
Pour donner immédiatement satisfaction '
nés, les Harmonies des usines Mazerand,
Les tuiles ont été projetées à plus de
à
la
population,
la
commission
du
Vieux'■
.
.
♦
>
#
à Cirey et des usines Marchai, à Saint- cinquante
c
mètres de là. Les dégâts sont i
Nancy estime qu'on peut dès maintenant
t
1Dié, prêteront leur aimable et précieux considérables.
le vaste rectangle de l'ancien théà- •
c
concours.
La foudre.est également tombée sur un utiliser
l
pour des expositions en été, pour des
On annonce enfin qu'à l'exemple de Pa- gros
p
chêne qui a été réduit en morceaux, tre
t
1ris, de Nancy et des grandes villes où
Un des plus curieux méfaits de la loudre 1bals, soirées, banquets, réunions, petites reLes services supplémentaires
1
c
cette
forme bien française de la charité
(est certanement celui que l'on nous signale Iprésentations pendant la saison d'hiver.
Nous
avons
reçu
la
lettre
suivante
reiiB
c
Ce rectangle comporterait :
obtint un succès
considérable, la vente de
1
la rue du Sergent-Ulandan.
(
1
1° Un sous-sol de 3 mètres de hauteur sur 'tive aux services supplémentaires des tral
des
petites fleurs bleues sera faite au
Au cours de l'orage de lundi soir, le tonways de Nancy :
i
nerre
tomba sur une maisonnette que M. 1la surface entière du rectangle.
1profit des blessés militaires.
Nancy, le 24 juillet V)\l I
Mme Florentin, femme de l'honorable Jeannette possède dans un jardin, et où se
12° Un rez-de-chaussée relevé de 2 mètres
Monsieur le rédacteur en chef,
'■
fadjoint au maire de Blâmont,
est prési- trouve
t
par
rapport au sol du péristyle d'entrée,
notamment la niche du chien.
f
Permettez-moi d'avoir recours â vofî.
dente,
on
le
sait,
de
l'Union
des
Femmes
On
entendit
le
chien
hurler
lamentabtei
avec
escalier
près
de
celui-ci
et
communi'
1de France.
Elle a trouvé des collabora- ment
i
et l'on accourut, La pauvre bête n'a- ccation avec la rue Stanislas, au fond une obligeance pour réclamer dans la « Trih
triées
dignes d'elle et
son œuvre
est vait
1
plus que trois pattes. La quatrième petite
j
scène pour théâtre, la lumière obte- ne publique » de l'Est républicain eontt
t
c
couronnée
d'un succès, d'une prospérité ;avait été coupée par la tondre, comme avec nue
i
au moyen de larges fenêtres s'ouvrant ,certains agissements de la Compagnie'jj '
tramways
qui portent préjudice au nn
dont
l'honneur revient aussi à Mme
1 rasoir. On la retrouva à quelques mè- \vers le Nord et par la toiture vitrée.
un
'
,
blic.
'Léon, vice-présidente ; à Mlle Marie Flo- très.
3° Un premier étage comprenant une salrentin, secrétaire, et à Mme Labourel,
Les mêmes elîets coupants du fluide le
I embrassant toute la largeur et mesurant . Hier, en revenant des courses, je sit !
r
opéré également sur plusieurs pieds 112 mètres de profondeur, de plein pied avec monté en tramway à Jarville pour me MI t
itrésorière,femme du si sympathique mai- avaient
1re de la localité.
t vigne grimpante.
de
J Cercle militaire et, en outre, sur le mê- cire rue de Metz. Le car portait comme % J
lé
1
Le haut n'avait aucun mal. Aucune bran- me
i
plan, deux galeries de 4 mètres de lar- bitude de chaque côté une banderole roûfl
avec l'inscription « Jarville, Porte i&mm
che n'avait même été détachée, tandis que geur
:
,
courant latéralement jusqu'à la scène.
Nicolas,
Point-Central, Porte DèsilJ
les pieds étaient tranchés comme au cou- 'L'accès
]
de cette salle ainsi que la commuteau.
inication avec le rez-de-chaussée sont assu- Maxéville ».
Arrivés place Carnot, tous les voyageJ
Le toit de la maisonnette montrait une rés
i
par l'escalier de la rue Stanislas.
furent invités à descendre, ie tramiiB
mince ouverture par où avait pénétré la
4° Une flamande à deux hauteurs diffén'allant pas plus loin. Comme je manitaB
La cérémonie de Vallières ' îfoudre, mais l'on ne remarquait à i'inté- rentes,
;
5 m. 50 au-dessus de la salle ; 4 m.
tais mon étonnement, le receveur me fl
;
1rieur aucun autre dégât.
50
au
-dessus
des
galeries,
ce
dernier
chifMETZ, lundi 24 juillet.— Une grande réuque les inscriptions latérales ne signitiaieflj
fre
adopté
pour
réduire
l'éloignement
de
la
nion du Souvenir français a eu lieu, au.
rien et qu'il ne fallait tenir compte quejl
lumière. Au point de vue de l'ensemble,
jourd'hui a Vallières, réunion organisée
ia petite pancarte tournante qui se trom I
une hauteur unique (5 m. 50) serait préfépar le comité local de Vallières-Vantoux,
à l'avant, au-dessus du wattman, et ij
rable d'autant que définitive.
petites bourgades des environs de Metz, oU
portait : Place Carnot. J'ai dû prendre i
L'exécution nécessite la démolition de
réside M. Jean, le délégué général du SouLe rôle des assises
autre car et mon voyage m'a coûté U ir :
venir français en Alsace-Lorraine.
toutes les annexes de l'ancien théâtre pro+ 0 fr. 10 = 0 fr. <5ô, alors qu'une corn
La cérémonie de lundi dernier emprun- , Mardi 1°' août. — Matin. — Première af- prement dit, y compris le foyer, mais sans
pondance pour la rue du Sergent-BlaMi:
j
au magasin de décors.
tait aux circonstances actuelles un carac- faire. — Coups et blessures. — Accusé : toucher
Adolphe Liégeois, 28 ans, manœuvre, à Vilpar exemple, ne m'aurait coûté que 0 fr.J
tère des plus émouvants.
Disposé ainsi, le bâtiment permet des
En résumé, j'ai déboursé 0 fr. 05 en trop
Une quarantaine de délégués venus des lerupt. —■ Ministère public : M. Rencker.— expositions de beaux-arts.
Je reconnais que le préjudice est mima
deux côtés de la frontière se trouvaient réu- Défenseur : M" Lorentz. ,
La salle du premier étage, en raison de
mais néanmoins je crois être fondé a récit
Soir.
—
Deuxième
affaire.
—
Viol.
—■
Acnis à Vallières autour de M. Lataix, de
l'indépendance que lui donne l'entrée par la
cusé : Hippolyte-Alexandre Cousin, âgé de rue Stanislas, rendrait de grands services mer. 11 s'agit de questions de principe, ta
Briey, qui présidait l'assemblée.
30
ans,
domestique,
à
Rouves.
—
Ministère
Un remarquait aux premiers r ings : MM. '
dans le cas de réunion de moyenne impor- il admissible d'abord que les tramways pui
Léon Herbier, de Nancy; Castiï avoué a public : M. Simonet. — Défenseur : M" Clau- tance, elle pourrait dans certaines circons- tent des indications fallacieuses '! Ënsuinl
Briey ; Daum, de Homécourt ; Louyot, del.
tances être mise à la disposition du Cercle de quel droit la Compagnie fait-elle paya
Mercredi 2 août. — Matin. — Troisième militaire. Une paroi mobile permettrait 0 fr. 15 pour un parcours incomplet îj
d'Ars ; Simon, de Pont-à-Mousson ; Oury,
I< affaire.
— Violences o agenls avec effusion d'en faire une loge lors des bas donnés dans est-elle autorisée par son cahier des cli#
de Bouzonville, etc..
'
sang. — Aecusé : Natale Marcbini, âgé
ges ? La Compagnie a parfaitement isim
Après le service funèbre, célébré dans l'é- >ile
"
le grand hall. Le rez-de-chaussée,déduction
dans des circonstances comme celles d'1*
glise de Vallières, on se rendit — par petits de 28 ans, mineur, à Moutiers. — Ministè-0 faite de l'escalier d'entrée et de la scène,
public : M. Rencker. — Défenseur : M
d'organiser un service spécial, mais elle i
groupes et sans insignes du Souvenir Iran- re
;
offrirait
une
surface
de
32
mètres
sur
16,
çais — au cimetière de la commune, pour y de Nicéville.
soit 5112 mètres carrés, les galeries et la sal- devrait pas en profiter pour majorera
Soir. — Quatrième affaire. — Meurtre. — le du premier pouraient également recevoir prix (Elle aurait pu se contenter de dema
déposer une couronne sur la tombe du cader 0 fr. 10 de Jarville à la place Carnol
pitaine Sanial et saluer toutes les tombes Accusé : Louis Ricci, âgé de 24 ans, terras- des auditeurs et des spectateurs.
sier, à Rehon. — Ministère public : M. SiSes affaires sont suffisamment, prospérai
militaires.
L'usage
d'un
tel
palais
répondant
dans
3
L'assemblée générale eut lieu dans la monet. — Défenseur : Ar Cordier.
la plupart des cas à des besoins ou à des elle ne saurait invoquer, comme pour li
Jeudi a août. — Cinquième affaire. — Vols
grande salie Nicolas, ornée d'une chaire
obligations auxquels une grande, ville ne tramways du soir, la pénurie de voyageai
drapée de noir avec semis de croix ,de Lor- qualifiés. — Accusés ': Giovanni Garsi, âgé peut se soustraire, la commission s'est de- En tout cas, elle est inexcusable de laiss
de 43 ans ; Carlo dit Grando Dellacha, âgé
raine d'argent.
mandée s'il ne convenait pas de faire sup- sur ses voitures des inscriptions trompa
Cette chaire devait être occupée par l'ab- de 35 ans, mineurs ; Guiseppc Corsini, dit porter aux finances municipales les frais de ses, car les banderoles qui indiquent fit
bé Scharf, curé de Knutange, qui devait Cinamaglia, âgé de '29 ans, 'forgeron, tous construction et de laisser à l'administra- néraire sont mobiles.
public : M.
Veuillez agréer, monsieur le rédacteur!
prononcer l'oraison funèbre des soldats trois à Homécourt. — Ministère
tion de ia ville les soins de l'exploitation.
es
français morts sous Vallières, Servigny et Rencker.— Défenseurs : M Pierre Moreau, Mais la difficulté de trouver disponible une chef, l'expression de mes sentiments U
Bomy en 1870, mais au dernier moment, Herqué et de Roche du Teilloy.
somme suffisante ferait ajourner pour long- distingués.
Soir. — Sixième et dernière affaire. —
Un lecteur de la rue de M«i
l'évêque de Metz, Mgr Benzler, le lui intertemps
la construction. D'autre part, entre
Viol et meurtre. — Accusé : Lucien-Félix
dit.
les mains d'une société,
l'exploitation a
Alexandre,
âgé
de
ans,
domestique,
à
La**«
On avait supprimé du catafalque toute
chance d'être portée à son maximum d'effidécoration militaire et tout insigne fran- beuville. — Ministère public : M. Simonet. cacité, son conseil d'administration s'ingéNous avons également reçu cette amusi
—
Défenseur
:
M°
Blum.
çais.
niant à varier les attractions, à aplanir les te missive sur
Faculté de droit
On y toléra la couronne envoyée par les
difficultés, à activer le mouvement.
Le faux-col obligatoire
officiers français du 96° régiment à leur ca
Ont été admis :
^ Le moyen le plus pratique pour mener
er
re
marade le capitaine Sanial.
1 examen de baccalauréat, l partie : l'exécution' en peu de temps, sans obérer
Monsieur,
L'assemblée, présidée par M. Lataix, était: MM. Petit, Pierrot, Ferry, Manil, Dalsa-. les finances, sans nuire au projet plus
Vous voyez devant vous de bien tristes a
rigoureusement privée. On y entendit suc- ce, Joussein.
*
important qui pourra être réalisé dans un ployés. Notre condition tirerait des laffl
cessivement MM. Jean, Lataix et Léon Hercertain nomlhre d'années, résidait donc des pierres. La Compagnie des tramai
Pour les vacances
bier.
Il faut profiter des vestons alpagas, dans la constitution d'une société. On es- condamne en effet les humbles et dévoa31
M. Jean, outre son rapport général, pro- costumes coutil, pantalons bluncs et ka-■ time que le capital de celle-ci devra être, serviteurs que nous sommes à garderie
nonça une touchante allocution.
faux-cols.
kis, gilets fantaisie et tous ies articles; de 300,000 fr.
Un membre du S. F. de Nancy parla en- d'été qui sont soldés à des prix excessi-:,
Cette société demanderait à la ville,
Une tenue décente est de rigueur sur
suite très longuement sur le rôle et les1 vement réduits à la Grande Fabrique, 27, principale intéresse à cette transforma- plates-formes. Un wattman sans cran
œuvres du S. F. en Lorraine, des deux■ rue Saint-Nicolas, Nancy.
' tion, une garantie d'intérêt. Au bout d'un un receveur sans faux-col portent atte»
côtés de la frontière.
certain laps de temps, le palais devien- au bon renom d'élégance et de chic <J"""
Académie de Nancy
Puis on se réunit dans un dîner amical,
drait la propriété de la ville.
régner chez nous. La tenue de soirée"
au cours duquel bien des idées pratiquess
Par arrêté en date du 11 juillet 1911 publiéi
Ces conclusions ont été soumises à l'as-. des gants n'est pas encore présente,-'"
furent échangées, des lettres d'excuses eti au Journal officiel du 12 juillet 1911, une5 semblée générale de l'Association desi on y viendra.
de sympathie furent lues, des toasts por-- dernière session d'examen pour le certi-. Amis du Vieux-Nancy qui. à l'unanimité,
Que, par ces températures camci*'1.
tés.
ficat d'études exigé des aspirants au di-. a adopté le vœu suivant présenté par soni on exige la suppression des faux-colsM. Jean donna ensuite d'amples rensei-. plôme de chirurgien-dentiste s'ouvrira, président, M. Paquy :
les bocks, soit ! Mais que nous soyons "
gnements sur les manifestations prochai-. en 1911, le 11 octobre au chef-lieu de chatés sur un pied d'égalité avec les « sen«»
Vœu
nés et cérémonies patriotiques des 13, 14, que académie.
et les « distingués », cela s'impose ^
« La Société des Amis du Vieux-Nancy
15 et 16 août, sur les funérailles du oapiLes dates des épreuves sont fixées ainCompagnie ne saurait nous infliger u«
taine Petitjean, à Sainte-Marie-aux-Chênesj-' si qu'il suit : Epreuves écrites, mercredij « approuvant le remarquable rapport dé> plice renouvelé de la cangue et du fl
(qui seront une grandiose manifestation),; 11 octobre ; épreuves orales, jeudi 12 oc- « M. le commandant Lalance, décide que> chinois.
.
j(
« oe rapport sera immédiatement transet sur la prochaine exhumation des soldats; tobre.
Et puis, il se mêle à ces considéra'
_
«
mis
à
M.
le
maire
de
Nancy,
et
émet
le
Les registres d'inscription
seront oufrançais à Batilly.
' une raison d'économie qui ne sauranj
On se quitta en se donnant rendez-vous3 verts du samedi 16 au samedi 30 septem-_ « yœu que le conseil municipal soit appeléi ser inaperçue clans nos modestes v>
«
a
délibérer
dans
le
plus
bref
délai
posle 16 août à Mars-la-Tour et le 20 à Batilly, bre inclus, au secrétariat de l'Académie.
f
• « sible sur le projet de constitution d'une" geset en donnant aux délégués de Briey l'asCelluloïd, linge américain, toile.0'1 g
Pour pouvoir boire
« société privée, qui serait dûment auto-Î
surance du plus dévoue concours pour lei
■
cale,
le
faux-col
réclame
un
entretien
r
Mardi matin, la police a pu arrêter
grand monument qu'ils projettent d'éleverr Marie Charondière, qui, pour avoir der « risée, par décision du dit conseil, à se> ou moins onéreux.
.,.«,■
à Saint-Ail-Habonvillo, terre française, eni l'argent afin de satisfaire sa passion poure « charger, sous le contrôle de la municiLe public nancéien porte ordina»' .
souvenir de la fameuse journée" du 18i la boisson, a poussé les jeunes Van Ho-r « pahté, de l'édification et de l'exploitationL ses réclamations sur des sujets plu\?
(i
'- « a un Palais d'Expositions et de Fêtes
août.
ven à dérober un tuyau de plomb. Less « sur l'emplacement <je l'ancien théâtre', vos. Que nous ayons ou non des fa'1.
deux enfants sont du reste des jeunes vo- « d après l'avant-projet avec plans à l'an-. les voyageurs s'en soucient tort peu \
leurs qui doivent être enfermés dans unee « pui exposé dans ïe rapport, à chargé• préféreraient avoir des voitures de ^
{ 1 maison
de correction jusqu'à leur majo-'- « par la ville de Nancy de garantir &î tin et jusqu'à onze heures du soir.
TOUL, mardi 25 juillet,— Le général Mi-j
i rité.
De grâce, obtenez pour nous que1 ^
chel vient d'arriver à Toul pour inspecte^
« nuellement et pour toute la durée de la
Marie Charondière, ancienne fille sou-i- « société projetée (en faisant état des re-i ce soit facultative, et que le faux-ou
les forts de la place. Il a été reçu par leJ
général Gaudin, gouverneur
de Toul .; mise, a également plusieurs condamna-i- « cettes nettes dûment contrôlées et en- dans l'armoire.
par le général de division Defforges et^ tions pour vol à son actif.
Veuillez agréer, etc..
,.,,.„„,
« oas d insuffisance) un intérêt de 5 °"1
Accident
le général de brigade Franchet d'Espée
At
8
" teS'f
T
P"™"
)
du
capital
de
]
M.
Paul
Deberbe,
âgé
de
36
ans,
marey. Il est descendu à l'hôtel de la Co■
—
"
[
.- « 300000 fr. à prévoir dans l'acte constimédie. Il compte rester à Toul pendant[ neouvre, demeurant rue Chaiies-III, a étée « tuti de la dite société, mais étant forrenversé, rue de lTle-de-Gorse, comme il
trois jours. '
poussait une petite charrette, par une au- « vilement entend,., qu'à son expiration
-- « le Palais dont s'agit deviendrait de droitt
Ceux qui ont fait do l'auto à scS, rj
tomobile de M. Durlach. Il a été transla
porté à l'hôpital où après examen on a " âfffi^?* , P^été de la ville»D et possèdent aujourd'hui une 0 W '<Â
a
MM. Paquy, Lalance et Merklen ont en-- MENT-BAYARD peuvent se rendr a
Mlle Génin, directrice de l'école des filles3 conclu que ses blessures n'étaient pas
s tretenu de ce projet M. l'adjoint Michaut
, te de l'incroyable progrès accornP'1^
de Colombey, se trouvait en villégiature3 graves.
qui os a assurés df -l'intérêt que la munichez une de ses amies à Mont-l'Etroit, et vaMaçon blessé
je tourisme 'ou pour la ville la i-»^
cipalité porterait a sa réalisation,
quait aux soins du ménage.
Mardi matin, vers neuf heures, M. Alix.
',500 francs ou la 20 IIP à 0.WU
[j*
—.
.
atteignent une telle perfection i ;v
Ditrich, âgé de 35 ans, ouvrier maçon, qui"
En voulant enlever une bouteille d'essenpeine à se rémémorer la voiture
ce placée sur une étagère au-dessus de lai travaillait à une maison en construction,
^
Rixe sanglante
cheminée où un fagot flambait dans l'aire,,
rue de Phalsbourg, a reçu sur la tête un
son aïeule.
elle laissa tomber cette bouteille, qui se3 madrier qui lui a occasionné une forte plaiee
Mardi, vers dix heures du soir «n*
brisa.
à la tête. Il fut conduit à l'hôpital, d'où,i, rixe a éclaté dans un café, rue flôdinn
L'essence prit feu aussitôt et le feu se3
après avoir été pansé, il put regagner son
n entre une dizaine ct'apàches Le D^W J?'
domicile.
communiqua aux vêtements de Mlle Génin,
l'établissement mit tout le Tnonï A t!
qui, affolée, appela au secours.
Affiches non timbrées
rue. Là, la bagarre recommença et hl'«T
Le tribunal de simple police a conLes flammes furent rapidement étouffées,
i- tôt des coups de revolver élaient r &
mais la malheureuse est atrocement brûléeé damné à un jour de prison Georges R...,
., Soudain, le nommé Charles Aubeit • •
18 ans, rue de Montreville, pour avoir
sur différentes parties du corps.
ir de 28 ans, journalier, demeurant An aRe
Son état, sans être trop alarmant, méritee placardé des affiches antirépublicaines
!S Clodion, tombait sur la chaude û rue
cependant de nombreux soins,
dépourvues du timbre de dimension.
PLACE STANISLAS.- - Con
nait de recevoir une balle dans'1'^^i. .
ile Cercle des officiers, le mercre ^ Grivèlerie
Ict, de 8 heures 30 à 9 heures
.
Le blessé, qui perdait son ann» „
en
Mardi soiT, M. Louis Drouin. âgé de
n par la musique du 69" d'inianu-' ^ y
Lejom-nal «l'Est républicain»
le abondance, fut transporté à
A
0 1
* 49 ans, manœuvre, demeurant 24, rue
ù
1. Les Oadets d'Aulriche
lt»
ie l'interne de service & qu e la
est en vente à Pas-Os,
ntc
des Quatre-Eglises,a été arrêté pour filoui- sure était grave.
Mes- A) El-Ninô (Routier) ; B) ^'"cvmP1;
daiàis Ses pi-îucipaisx kiosques*
terie de boisson, commise au préjudice
Pierné). - 3. Menuet de la
V
;e
M. Lienhardt, commissaire cl*
ainsi «fn'awx gares
pohc e
de M. Choffel, cafetier,. 1, rue du Joli' ;1,ofl
i- du IV0 arrondissement a
-, ouvei
- t
« militaire (Haydn).- i. La vçu'
,se
de eSicmius de fei*.
Cœur
quêt/
une .en-i- valse (Lehar) — o. A) Po\on*
faiiï
Bj L'Arlésienne, farandole iu- .
Le concours régional
de tir et de gymnastique '
Les orages da lundi soir ;
Les crises municipales
\
dans le canton de Pont-à-Mousson B
fj
>»
Les incidents de Pugny
PONT-A-MOUSSON,
mardi 25 juillet. — Les
gracieux hourgs et villages du canton de
gi
Pont-à-Mousson traversent en ce moment
P
une période d'ébullition. Sont-ce les granm
des chaleurs qui donnent aux maires et
aux conseillers municipaux un caractère
irritable et prompt à la querelle. Ou bien
si
suivant l'exemple qui leur est venu de
EDIMBOURG. — Beaumont est parti d'Ep
Pont-à-Mousson, les moindres villages
dimbourg ce matin à 3 heures 10, Védri- veulent-ils
v<
voir aussi leur assemblée cornnés peu après. Valentine est parti à ffi
munale tenir des séances agitées ?
7 heures 40.
On sait toutes les difficultés que renBeaumont, arrivé à Bfcisîey, en est re- contrèrent
c(
les électeurs de
Dieulouard
parti à 9 heures 30. Védrines a quitté p
,
pour trouver une municipalité. Les tours
BaisLey à 9 heures 40.
g,
de scrutin n'en finissaient plus. Puis ce
Valentine, arrivé à Stirling à 8 heures fut
fl
le village de Sainte-Geneviève mis en
20, en est reparti à 9 heures 21.
ri
révolution par la grande querelle du maiCody, parti à 4 heures 15 d'Arrogate, R
re et du berger que nous avons relatée et
a eu son appareil brisé à Langleyinoor et qui
_
donna lieu à de nombreux procès et
a abandonné la course.
_
a
articles
de l'lndépendant,de Pont-à-MousBeaumont est arrivé à Carîisle à 11 heu- son.
g(
Jezainville eut alors sa petite crise
res 15, Védrines à il heures 58. Valentine municipale
n
suivie d'une réapparition des
est descendu à Castl.e-Cary à moitié che- Vl
vers à queue. Dimanche, les électeurs de
min entre Stirling et Glascow. Son hélice Mousson
y
convoqués pour élire un conseila été brisée, un mécanicien est parti pour ler
Ie
municipal, ne se sont pas dérangés !
la réparer. — Havas.
g
Enfin, cette fois, c'est la paisible et coquette cité de Pagny qui lève elle aussi
les
brandons de discorde et s'offre l'atARRESTATION DE VALES!
h
trait de discussions violentes et animées
MONTEVIDEO. — On a arrêté ici Valesi,
au sein du conseil municipal. En effet,
qui l'an dernier tua à coups de revolver
.
d'après une longue lettre que nous receM. Guichet, directeur de l'asile d'Aix-en- vons
y
de Pagny et dont nous extrayons
IpT'O'Y ©Il C Q •
quelques passages à titre documentaire,
La police le cherchait en vain depuis ce S
il résulterait que dans
une séance du
moment ; à Marseille, à Cannes, en Cor- mois de juin, le conseil municipal de Pase, on retrouva des traces de son passage; gny aurait pris une délibération
ainsi
mais, secondé par des amis occultes, Va- g
conçue : « Après avis du maire, l'eau polesi échappa aux recherches.
.
table
sera fermée à l'usine Fabius-HenUn jour, il fut le cicérone du policier rion
».
chargé de' l'arrêter !
rrCette usine comprend 450 ouvriers. C'est
Bref, l'assassin avait pu fuir jusqu'à
alors que le maire, M. Briehon, aurait,
Montevideo ; c'est là que la police vient
paraît-il, chargé le docteur Maillard d'avide se saisir de lui.
{ser 1 usine qu elle ait à surveiller l'emploi
Les pièces produites ayant été jugées in'
de l'eau sinon qu'il se verrait obligé d'en
suffisantes, malgré ses aveux, Valesi a été fermer
f
les conduites. Aussitôt
prévenue
remis en liberté. — Havas.
par le docteur Maillard, la direction de
.
—
r l'usine avertissait par affiche son personnel qu'elle serait dans la nécessité de li•ECHOS D'E PARTOUT
cencier
c
en cas de fermetuie des eaux par
le maire.
Plusieurs ouvriers allèrent
manifester
On annonce la mort, à Champlitte (Haumécontentement à M. Briehon. A la
• te-Saône), du général de division de réser- leur
_
séance suivante du conseil, une altercave Boussenard, à l'âge de 80 ans. Le géné- °
tion très vive se produisit entre M. Briral Boussenard était né le 24 octobre 1830 ;
ehon et M. le docteur Maillard. M. Briil eetra à 18 ans, à l'Ecole de Saint-C.yr, ehon déclara en effet qu'il n'avait charen sortit dans la cavalerie et fit campagne gé M. Maillard d'aucune mission et il deà Sébastopol ; il prit part à de nombreuses *manda au conseil de voter un ordre du
expéditions en Algérie où il fut blessé.
,
jour
de confiance et un blâme au docteur
La guerre de 1870 le vit chef d'escadrons, jMaillard, ajoutant que si l'ordre du jour
aide de camp du maréchal Canrobert ; il rn'était pas voté, il donnerait sa démisse battit à Rezonville et à Saint-Privat, où sion.
c
Le conseil donna satisfaction à M.
un projectile lui brisa le bras droit, dont il jBriehon et l'ordre du jour fut inscrit au
dut subir l'amputation. Il avait été promu .procès-verbal. Mais bientôt un nouvel inlieutenant-colonel le 27 octobre 1870.
ccident se produisit cete fois entre M. le
Il devint général de brigade le 27 décem- maire
et son adjoint, M. Barthélémy, qui
r
bre 1881 et' commanda la subdivision de' (étaient cependant unis par une vieille
Tunisie ; puis promu divisionnaire en 1887, amitié.
.
il commanda les 13e et 5e corps.
Ils se prirent à partie au sujet d'une
Le général Boussenard était grand offl- mission
,
concernant l'abattoir que M. Barcier de la Légion d'honneur.
|thélémy avait remplie alors que M. Briehon prétendait que jamais elle
ne lui:
avait été confiée Finalement M. BartheM. Charles Nélaton, chirurgien des hô-■ lémy
1
envoya" sa démission à M. le préfet.
pitaux à Paris, vient de mourir dans sa
Le 21 juillet, nouvelle réunion du conI
propriété de Seine-et-Oise, au « Déluge »,, «seil. L'ordre du jour comportait plusieurs
A 8 heures du soir, M. le maire
près de Marcoussis, emporté par une embo- affaires.
<
lie. Il n'était âgé que de 60 ans. Il était filss <ouvrait la séance. Les affaires discutées,'
Barthélémy, qui avait pris place au
de A. Nélaton, qui fut membre de l'Insti-- M.
1
,
tut et qui fut chirurgien de Napoléon III.
1banc des conseillers, demanda la parole
expliquer les motifs de sa démisIl publia successivement des études esti-- pour
]
mées des spécialistes : « Le Tubercule dans; :sion d'adjoint. M. le maire la lui accorles affections chirurgicales », le « Rapportt <da ; l'adjoint commençait à s'expliquer,
entendit du bruit dans les es-'
du traumatisme avec les affections cardia-. lorsqu'on
1
de la mairie. Le public arrivait,
ques », les « causes de l'irréductibilité des1 caliers
1
luxations anciennes de la hanche », les3 «20, 30 personnes : directeur d'usine, in-'
vignerons, etc..
« Tumeurs bénignes des os » et en colla-- génieurs,
i
— Voilà les Fabius, s'écria un conseil-.
boration avec son collègue Ombredanne, la1
ler.
<( Rhinoplastie » et les « Autoplasties ».
Pour éviter tout incident, M. le maire>
Il était vice-président de la Société dej
leva la séance en faisant remarquer que\
chirurgie.
la question Barthélémy n'était pas à l'or-i
dre du jour. Tels sont les renseignements5
qui nous parviennent sur les dissentiUn soir de l'année 1831, à Paris, trois: ments qui se sont produits au conseil1
messieurs étaient assis à une table de municipal de Pagny, élu cependant toutt
concert des Champs-Elysées. C'étaient MM.!, ;entier sur la même liste et avec le même
Paul Henrion, Parizot et Bourget, tous* programme. Nous le donnons purement3t
trois auteurs de chansonnettes qu'on chanà titre d'information sans vouloir nous
tait ce soir-là. Ils prirent des consomma- immiscer dans des querelles uniquementt3
tions. Lmisque le garçon vint leur deman- personnelles.
der le paiement, ils lui dirent:
— Envoyez-nous le patron.
Le patron vint.
— Monsieur, lui dirent-ils, vous con- Distributions des prix (lycées et collèges)
I
sommez nos chansonnettees sans payer :•
année 1911
permettez-nous d'en faire autant de votre
Présidents clés distributions de prix dans3
moka.
les tablissements secondaires de l'Aca-Cette conversation fut l'origine de la démie :
Société des auteurs, compositeurs et édi-r
Professeurs qui prononceront le discours3
teurs de musique. Dans son discours à d'usage :
l'assemblée générale, le président se plaiLycée de Nancy. — Président : M. Fur-"
sait à le rappeler récemment devant ses"
auditeurs. Ceux-ci sentaient d'autant mieux by, procureur général à Nancy ; Discours:
M. André, professeur d'allemand.
le sel de cette anecdote que les auteurs,
Lycée de Bar-le-Duc. — Président : M.
qui ne touchaient rien du tout en 1851,''
grâce aux trois consommateurs avisés, ont2 Maginot, député de la Meuse ; Discours :
touché, pour le dernier exercice 3.900.000Q M". Despois, proviseur du lycée.
Collège de Longwy. — Président : M..
francs.
Ils peuvent désormais payer' leur moka !, Pérignon, maire de Longwy ; Discours :
', M. Momet, professeur de grammaire.
Collège de Lunéville. — Président : M..
i- le docteur Job, président de l'A. des an-Frey est remis. — Une dépêche do Ronciglione (Italie), annonce que l'aviateurr tiens élèves du collège ; Discours : M.;.
Frey, dont on se rappelle la terrible chutee Maucolin, professeur de 7°.
tCollège de Pont-à-Mousson. — Président :
dans la course Rome-Turin, a enfin pu quitM. Martin, doyen honoraire de la Facultéé
ter l'hôpital où il était soigné.
;. des Lettres ; Discours : M. Galand, pro-ia déclaré qu'il avait l'intention de refesseur de mathématiques.
faire de l'aviation dès son complet rétablis3.
Collège de Toul. — Président : M. A...
sement.
Denis, député, maire de Toul ; Discours ::
.
M. Lévéchin, professeur de sciences.
On annonce la mort de notre confrère M.
1
Collège de Commercy. — Président : M.
Jean de Mitty, décédé en sa propriété dee Vogt, professeur, directeur de l'Institutt
Rueil, à l'âge" do 47 ans.
électro-technique à la faculté des ScienJean de Mitty avait été longtemps direc3
" ces ; Discours : M. Rech, professeur dee
teur du Cri de Paris, et bien que d'originee philosophie.
roumaine, s'était fait connaître par un goût
it
Collège de Saiut-Mihiel. — Président :
très vif des lettres françaises et la grande
le M. Phasanann, maire de Saint-Mihiel ;!
curiosité de son esprit pour ioutes les cho>- Discours : M. Braun, professeur d'alle1' mand.
ses de la littérature et des arts.
LE TOUR D'ANGLETERRE
Académie de Nancy
11
j
l
Tramways de Nancy
1
Le Souvenir français
«
en Alsace-Lorraine 1
les OHBaPÎETTES STfiMSSLP
Le général Miche) à Toul
_
(
Institutrice brûlés vive
f
ï
Hier et aujourdW'.,
ÎÎÀ m
k l-?^ *
IM^
courbe du nombre des « chances d'acci- i »
dents » en fonction de l'angle des rues.Sans L
i Le départ sera donné à 10 heures du
doute,trouverait-on un angle « optimum ».
soir à La Rochelle et l'itinéraire de cette teurs, ni coureurs pénalisés par l'U.V.F.
Concours de tir. — Dimanche, à 1 heure
« Il ressort donc que les membres des
étape colossale passe par Lu^on La RoOn arriverait ainsi à déterminer les éléde l'après-midi, a eu lieu an stand de ChauFédérations
régionales
et
les
coureurs
che-sur-Yon, Nantes,
Ponchâteâu,
La
ments du carrefour le plus favorable à la
deftey, le eonc#tfrf-championnat de tir du
Musillac, Vannes,
Hen- n'appartenant à aucune Fédération peu- 20° CWpS, subdivision de Toul, sous la pré*
circulation, circulaire (la place de l'Etoile,
CYCLISME Roche-Bernard,
vent
pairticipar
à
ce
Circuit,
pourvu
qu'Us
n
nebont, Lorient,
Quimpcrlé,
Quimpcr,
sidence et en présence de M. Franchet d'Esà Paris), triangulaire (place du Bon-Coin),
Union des Sociétés cyclistes du Nord-Est. ^
Chateaulin,
Droulon,
Landerneau
et ne tombent pas sous le coup de l'exception perey, général de brigade; du commandant
ovale ou elliptique, etc..
—
que
nous
indiquons
ci-dess>us,
»
Brest.
- Vélodrome de Nancy. — Dimanche 13,
Psufat, dm I;j3e ; MM. Antoine et Catherine
Supposons maintenant qu'on ait à lotir 11
+*
lundi 14 et mardi 15 août 1911. — Trois
Ne crevez pas qu'après c»tte étape, il
étaient les commissaires délégués.
8
Parmi les noms des champions lorrains,
un terrain que nous supposons, pour plus grandes réunions. — Programme :
sort loisible sux coureurs de se reposer,
17 sociétés prirent part au concours.
». hâtirles villes : l'expression est
Première journée. — 1. Championnat de ^>
non. U leur faudra, le surlendemain, citons, entre autres, ceux do Kippert, SiUne minute sur silhouette buste. Voici
M i<arl de ou
cl.
Et,
malgré
soi,
mon, Laurençot et Pertuzot.
surprcn
vitesse
de
PU.
S.
C.
N.
E.
(séries).
—
2.
%
s'embarquer pour Brest-Cherbourg, soit
le classement :
»art«ldue;pntiaue. Est-ce que les villes ne
Lets tarigagemeints seront reçus jusqu'au
Grand Prix de la Ville de Nancy (séries). — *
405 kilomètres. En somme, il n'y aura
1 Cible loraine d'Ecrouves : 46 balles tiresto sc<4 » comme elles peuvent, au
26
juililet,
chez
M.
Haumouche,
agent
des
3. Roue d'Or de Nancy (course de demi-fond }.'
pas une étape dans toutes celles que
rées, 28 placées, 48 points.
cycles
Peugeot,
17,
rue
des
Dominicains,
» affleura destinées V - Oui et non.
en trois manches), 17» manche, 20 kilomè- Z,
comporte le Tour de France où les cou- à Nancy.
2. Lorraine de Coussey : 43 balles tirées,
très. — 4. Prix de Vandœuvre (course de reurs pourront se
V rte clarté, il convient d'examiner
reposer
de
l'étape
22 placées, 32 poinis.
p
*
tandems (séries). — 5. Course de primes précédente.
-«
W»rpflinrd le plan d'une ville, ou même
3. Avant-garde de Domgermain : 43 balles
(réservée aux non classés du Grand Prix).
Si on n'a pas dépassé, on a certaine|U d' ?°£ n en raconte l'histoire. Ses
Des estafettes seront nécessaires pour tirées, 60 placées, 29 points.
vl1
Deuxième
journée.
—
I.
Championnat
de
„
ment
atteint
les
limites
extrêmes
auxguider en ville les coureurs. Les jeunes
4 Amicale de Colombey, 50 balles tirées.
Jpn
i^nes sont la trace matérialisée,
vitesse de l'U. S. C. N. E. (demi-finales). — ^
quelles on peut astreindre les concur- gens qui voudront s'acquitter de cette 20 placées, 29 points.
/^peut dire, des courants de circula2. Grand Prix de la Ville de Nancy (repê- rents d'une semblable course. Tous les mission sont invités à se faire inscrire à
5 Espérance de Royaumeix, 51 balles
chage). — 3. Roue d'Or de Nancy (course de J*
19 placées. 26 points.
qualificatifs élogieux que l'on peut adres- la maison Haumouche.
6
■ ,r, exemple des plus simples : Maldemi-fond
en
trois
manches),
2
manche,
30
ser aux concurrents ne sont que trop
6 Patriote de Liffol-le-Grand, 46 bo'les
¥ Voici un exe^ ^
y
Le contrôle sera établi à la brasserie
bQnne heure>
a dû
kilomètres). — 4. Handicap (2.000 mètres).
V
mérités.
Pour s'en rendre compte,
il de la Poste, rue des Dominicains ; il tirées, 18 placées, 28 points.
g
*,.*' (" - ,''ive droite de la Meurthe, de
Troisième journée. — Championnat de vi- faut,
J
comme nous, avoir suivi
l'effort fonctionnera après que les cent premiers
7 Société de tir de Pompière, 48 balles
r s
tesse de l'U. S. C. N. E. (finale). — 2. Grand de bout en bout.
|i* ,
Lay-Saint-Christophe, une
coureurs seront
arrivés aux Quatre*- tirées, 16 placées, 26 tirées.
vt
à
Prix de la Ville de Nancy (demi-finales). —
Vents.
Alphonse STEINEH.
8 Rebeuville, 45 balles tirées, 14 pla#^ ,ua un chemin, courant sur les pre3. Roue d'Or de Nancy (course de demi fond
P
La permanence sera installée à l'ancien cées, 27 points.
Intes du Plateau, à quelque haue
en trois manches), 3 manche, 50 kilomè9 Eclair de Eiommariin, 50 balles tibureau central de police, rue des Dom...
iJfcieres penu. n seulement
i
ti
la rivière No
rées, 14 placées, 21 points.
tres). — 4. Grand Prix de la Ville de Nan***
ur aU
c
#
frioininait ainsi la zone des inon- c
10 Etoile de Pierre-la-Treiche, 44 balles
Bette voie ao
^ ..
.
de simplicité, être un quadrilatère ABCD.
dcy (finale). — 5. Prix de Vandœuvre (tanLa Ville de Nancy offre une médaille tirées,
gne rtes sour
J
12 placées, 18 points.
dems) (finale). — 6. Course de primes (ré- '
Il y a évidemment une infinité de combi- si
mS
d'argent et une somme de 40 francs à
W
' donnent le niveau aquifère des ,
servée aux coureurs n'ayant rien gagné au
ï
U
Blénod,
43 balles tirées, n placées,
naisons
d'aménagement.
Mais
certaines
d
q
chacun des trois premiers Nancéiens qui 17 points.
cours de ces trois journées).
*
" nïuoliasiques. En un point de ce
franchiront
la
ligne
d'arrivée.
conditions
peuvent être imposées.par exemc
Les engagements sont reçus chez M.
12 Uruffe, 38 balles tirées, 11 placées,
^n
apparut un jour et se fixa la prej
15 points.
en
ple
: le nombre des rues à ouvrir, leur Ion- Beaudouin.
"
17, rue des Carmes, jusqu'au 8
1 I
.«lomération de Malzôvilte, autour
La grande randonnée de 4,500 kilomèa
gueur
totale,
leur
largeur,
leur
pente
maaoût inclus.
w
Nous jugeons utile, en outre., d'informer
13 Semilly, 44 balles tirées, 8 placées,
tres
à travers la France a. déjà réuni pluF1'4 Coa d'une chapelle. La route ,
-*> « ->
les coureurs que les dossards sont distri- 10 points.
sieurs cantaines d'engagements.
fe'rTîÂSurd'hulMaruederiSgll- ximum, la superficie des espaces libres à
14 Aroffe, 45 baltes tirées, 8 placées. 9
réserver pour des parcs publics, le quanLa nouvelle disposition qui vient d'être bués et les places .accordées dans le pe- points.
tum de la surface disponible pour la consFEOE CYCLISTE
prise en vue de faciliter à tous les cou- loton du départ, suivant l'ordre d'inscrip■
Ï#ÏD Ilfre part arrivait de Nancy un autre ,truction, etc. Dans une station d'hiver com15 Touloise, 40 halles tirées, 6 placées,
reurs leur participation ne peut qu'en tion.
8
4 S de circulation (on sait qu'un pont me
,
Le rassemblement sous les ordres du 7 points.
augmenter
encore 4e nombre.
Nice, la valeur moyenne de l'insolation
16 Rouvres, 34 balles tirées, 5 places, 9
au 13» siècle sous Mathieu il
,
Nous lisons en effet dans l'Auto que le starter aura lieu le vendredi 4 août pro- points.
pourrait
être également fixée.
chain, à 6 heures du matin, sur la route
Giircuit eist ouvert à tous :
Le problème, encore indéterminé, se préde Champigny.
La Société mixte de tir de Toul ne s'est
« Lo régi entant du Circuit Français,
cise déjà. On comprend qu'il existe un
•L'arrivée de la première étape (Nancy) pas classée par suite d'une indisposition sun
ajoute
notre confrère, est spécial à cette
DE NOTRE EHVOïi SPÉCIAL
est fixée aux Quatre-Vents. A ce propos, bite au meilleur tireur elle n'a pu être
p LA ROCHELLE, le 22 juillet 1911. — De- .ooursie. Les cas qui ne sont pas prévus se- disons que Mine veuve Roth, qui tient en première. Trois tireurs prirent pr :t au
ront
sanctionnés
en
s'appuyant
sur
le
puis que le Tour de France a bouclé le ç
cet endroit, un
débit avantageusement concours : 36. 18, 34.
tournant de Bayonne, il avance à grands Code do courses de l'U.V.F.
Classement individuel :
connu
des
cyclistes,
offre une prime de
« Mais ceci n'implique pas que le Cirpas. Dans huit jours, nous assisterons à
c
1er Detieux, de Coussey, 12 balle;; tirées,
vingt francs au premier Nancéien atteil'étape finale. Qui gagnera ? Il est assez cuit soit exclusivement réservé aux licen- gnant te but.
12 placées, 19 points.
c
facile de pronostiquer Garrigou qui est ciée de cette Fédération : tous les cou
2 Pougny, 11 balles tirées, 9 placées, 13
r
D'autres primes et prix d'étape seront
en tête du classement général et qui, crcu.rs sont autorisés à domandar leur inspoints.
à la condition qu'ils ne soient ni certainement offerts par la générosité des
sauf incident ou accident, doit gagner à cription,
j
3 Poinçot, 11 balles tirées, 9 placées, 13
sportsmen qu'intéresse vivement le Circuit
coup sûr. Il n'en est pas- de même pour .licenciés professionnels, ni licenciés ama- français Peugeot.
points.
la deuxième, la troisième ou la quatriè- * m M
MMM
m J
4 Brenel ; 5 Margaine ; 6 Thirion ; 7
* ^"'^™*
*"""™ " *"'"^
~~——im
i
-III lillilillllllll millllllBMiiiin i iiimwiiiii.11 il
il
me place, où les concurrents ne sont "^"
I
Branlotte, de Domgermain.
espacés que de quelques points les uns J
On nous prie d'adresser les plus vives
des autres. L'étape Bayonne-La Rochelle |
félicitations aux deux commissaires délén'aura pas apporté
d'autres
modifie»».,ftl
gués Antoine et Catherine.
tions que celle d'éloigner Faber davanProcès-verbaux. — La gendarmeria a
tage encore. Il n'y a pas d'autres raisons "
dressé
procès-verbal à Antoni Vautrin,
à son mauvais classement que l'indispo- 1
aubergiste à Rosières-en-Haye, pour dé*,
sition dont il est atteint. Il est bien cer- J
l'honorable phamacien de Saint-Nicolas- faut de registre de voyageurs ;
tain qu'aujourd'hui est entré en' jeu un M E U RT HE-&-M 0SELLE du-Port, survinrent au môme moment ;
Perrin Jules,
de Vriley-Saint-Eli nne,
coefficient de crevaisons qui doit compexcellents nageurs tous les deux, ils se pour
P
abandon de chevaux sur la voie puARRONDISSEMENT DE NANCY
S
ter
et qui certainement a faussé queljetèrent résolument à l'eau et malgré les blique ;
q
CHAMPK_NEttU.ES 22 mètres de profondeur, parvinrent à
ques résultats. Mais, comme tous
les
Lhuillier Louis, cultivateur à Liverdun,
grand nombre de solutions mauvaises ou c
Accident.
—
Mardi
après
midi,
on
a
r<
p
coureurs sans distinction en ont été vie- t
défaut de guides à son attelage ;
retirer Dubois et l'amenèrent sur la ber- pour
médiocres, beaucoup de bonnes, quelques- ttimes, on peut admettre que dans l'en- ]transporté à l'hôpital civil de Nancy M. g
ge, ils firent tout pour rappeler la victi- p Alexandre Jeanne, femme Frelicher, de
unes excellentes. Comment décider ? Il fau- semble,
s
le résultat acquis est exact.
iEmile Laner, âgé de 52 ans, employé à n
me à la vie : tractions de la langue, etc. *
Rigny-la-Salle, pour défaut de lanterne à
e
dra agir en artiste. On sait déjà que la soLes incidents Brocco, Cruppelandt et cla compagnie de l'Est, à Champigneûlles, etc.,
mais malgré leur dévouement, ils sa voiture ;
n
lution trop simpliste du damier (ûg. 2) est Duboc défrayent toujours les conversa- tqui, en giissant sur un rail, s'était frac- n'y
parvinrent pas, Dubois avait
suc- » Masson Aimé, cafetier à Bulligny, pour
ci
1
de tous ceux qui suivent le Tour de turé le pied gauche.
en général à rejeter. Un© solution telle que tions
t
tardive de son établissement.
combé à une congestion. Nous adressons fermeture
France.
NEUVES-MAISONS
B
celle de la figure 3 est, au contraire, bien
Aux bains. — Samedi, les bains des danos éloges à ces deux jeunes gens qui
Musique
municipale.
—
La
municipao
ont fait, certes, tout leur devoir.
mes situés au-dessus des grands moulins,
préférable. Qu'a-t-on fait de Nancy à ce c Pour les uns ,Brocco est un grand j
lité fait recruter en ce moment tous les
point de vue '! C'est ce qu'il faudra exa- ccoupable ; pour les autres, il est inno- ,musiciens disponibles en vue de constit- c Le docteur Philibert Dubois a fait les étaient mis en gaieté, et les rires s'enten:.t_
cent
comme l'enfant qui vient de naître. \
constatations d'usage, puis le corps fut daient de très loin. De frais minois preminer.
i
une fanfare municipale. Nous aurons rramené à l'hospice.
ll!
Il n'est, à la vérité, ni l'un, ni l'autre, tuer
i
naient leurs joyeux ébats. Une jeune dame,
|nii rejoignit obliquement le premier là où
MAURICE THIÉBAUT.
le
plaisir
de
reparler
prochainement
de
u!
Ne nous laissens pas entraîner par les
peureuse, n'osait s'élancer de la planche
' ■Elève maintenant la croix de mission.
cette
initiative.
XIR02OURT
exagérations, nos appréciations doivent
suspendue, où elle semblait clouée, pour
La
foudre.
—
Lundi
dans
la
soirée,
un
,
A cette circulation parallèle à la rivière
être justes et raisonnées. Il est certain . Une pluie de contraventions. — Pour orago
0
a éclaté dans la région de Haroué.
jplonger dans l'onde claire ; les railleries et
îr îl* village ne tarda pas à brancher une cirque Brocco a fait sur la route autre cho- . avoir laissé divaguer leurs chiens,. MM. iLa foudre est tombée sur la maison de M.
les
excitations de ses amies la firent enfin
,
s
aubergiste, Victor Blanchard, i
tiop"fellation croisée dont les perpendiculaires Déjeuners, 3 fr. ; dinars, 3 fr. EÊï, oin compris se
que de courir sa course, il a aidé'.Richard,
■
Evotte-, maçon à Xirocourf ; elle a démoli Jecéder. Gauchement, elle se laissa glisser,
Auguste
Lhuillicr,
Aimé
Simon
de
Mesi,
;
plusieurs de ses camarades qui montent .
nm.siutent contre elle. Telle la rue de l'Orme,
CONCERTS PENDANT LES RE PAS
fa cheminée, traversé la cuisine en bri- *eu
t se retenant d'une main, et tomba de
la même marque de bicyclette que lui et .sein. Prosper Juy, Charles Christmann, j.sant la vaisselle qui se trouvait sur son i Itile
_______
#
■——
à retifcte barre transversale de l'A malzévillois.
façon qu'elle fut un moment la tête
,
ayant
contrevenu
à
l'arrêté
préfectoral,
,p
plus particulièrement Faber.
.
pe. t;fn même temps, l'appel des villages d'Eulpassage
; elle est sortie par la fenêtre en | Slous l'eau Les bonnes amies lui portèrent
se
sont
vu
dresser
procès-verbal.
c
et SOCIÉTÉS
()
Mais est-ce là une action Si répréhen-.
secours
et notre peureuse en fut. quitte,
«ont et.de Dommartemont ouvrait à la cir- OROUPES
cassant un carreau.
,
sible ? Le Tour de France des groupés j Tapage injurieux. — Pour avoir troublé '■ C'est extraordinaire que le feu n'ait pas 1pour une forte absorption de liquide chaud
';n"filiation deux autres transversales : rue
la!
tranquillité
des
habitants
de
la
cité
de
r
n'èst-il doils pas une course par équipe
COMMUNIQUES
ui la fit tousser fortement et longtemps,
pris aux foun-uges oui sout sur le grenier.
^^Alsace-Lorraine, rue d'Amance. Tout naet les hommes d'une môme maison ne FAclé-àe, la dame Auguste Lnuillier a;été
.
our
la plus grande gaieté de toutes les
l
PONT-A-MOUSSON
l'abjet d'un procès-verbal.
•
- •
,pireUa^'enfc un réseau orthogonal s'était
Groupe Drouot. — La Société des an- pedvent-ils
]
donc pas s'entr'aider f ■
es ctl
.présentes. Par galanterie, nous
Coups de. «evoiver — Samedi soir, vers '-ersonnes
%t, \ons le nom
Ciens .militaires de l'artillerie et du train , Nous l'avons toujours, cru et beaucoup .
' •
FO NT-S A s NT-Y î N 3 E NT
de cette jolie dame. C
dix
heures .et demie, la poste de police était
des équipages invite ses: membres, leur: partagent
1
d'h;
H
se
continue
de
nos
jours.
Avec
un
beau
notre
opinion
à
ce-sujet.
Où
j
;
le
feu.
—
Au
cours
de
l'après-midi,l'a*r
Renversée par des chiens — Lundi soir,
C5
'prsévanu
que.dc.ux
individus
se
livraient
à
famille
et
leurs
invités
à
un
déjeuner
<
g
ont
de
police
s'apercevait,
en
passant
sur
{
commence et où finit l'aide qu'un cou- >
:
s elle Kpris des débordements possibles de la
une dame Martin, âgée de 56 ans. raquait â'
i
route de Bainville-sur-Madon, que le teu un pugilat acharné sur la place Thiers et
■ peut apporter à l'autre ? Au jour- ..la
'
orer -ivière; un quartier nouveau dévale vers la champêtre qui aura-lieu à la maison fo- reur
ses occupations, rue Qui-Qu'en-Grogne,
causaient
unvéritable
scandale.
re.stiè.re,
route
de
Pont-Saint-Yiuccnt,
le
'
s'étaittféclaré
dans
les
herbes
sèches
de
la
d'hui, dans l'étape Bayonne-La Rochelquand deux chiens dé forte taille, qui
: ii«|rairie. L'avenue Thiers et la rue du Liondimanche 3 juillet, à. midi.
,
le, nous avons vu un coureur passer un prairie avoisinant les pâtis communaux. H T Aussitôt, les agents Stumer, Polet, Mu- jouaient ensemble, la firent tomber. Mme
Or y représentent la circulation parallèle
nier
et
Paquin
se
rendirent
sur
les
lieux
ac-,
Le déjeuner sera servi par M. Piguet, boyau
I
à un autre,cet acte est licite ou illi- se transporta" en toute hâte sur les lieux et c
Martin s'est fait dans sa chute des contu'P™ la Meurthe, — la rue de la Rivière (pro- restaurateur, brasserie Charles-V, à Nan- 1
cite. Le directeur de la course a déclaré à iraide de militaires qu'il réquisitionna et , (compognés du chien de police Faraud,mais sions assez sérieuses. .
J . aigeant la rue de l'Orme), les rues Hinze- cy.
.
en
cours
de
route,
vers
la
rue
des
Fossés,
que
'
cela n'était pas défendu. Or, dans de civils de bonne volonté,il parvint à étem- j
1
FOU G
in tt du Port, la circulation croisée. Plus
Le départ collectif aura lieu par 'e une
autre occasion, un coureur a passé dre le feu avant qu'il ne gagnât les pâtis jils aperçurent un homme fuyant à toutes
1
jambes ; se doutant avec raison que c'était
Trois ouvriers maçons sous un éboulerompi ^ au lieu dit ÏUmbanis, à côté de co- tramway suburbain (ligne de Pont-Saint- à un autre une clé anglaise et un des qu'il aurait dévastés.
1
iei I 11 éttes maisons de jardiniers ou de petits Vincent), train spécial pour le groupe à commissaires de la course a déclaré que . Le maire de Pont-Saint-Vincent a signalé l'un des batailleurs, ils lancèrent le chien rnent. — Mardi, à 5 heures du soir, un
1
à
ses
trousses,
celui-ci
eut
tôt
fait
de
ratmur d'une maison en construction appar'
la
belle
conduite
des
canonniers
Chapigot,
;
9
heures
30
du
matin,
rue
des
Quatrec'était interdit. Vous voyez comme il est
traités, s'éparpillent, au milieu d'un
le fuyard qu'il happa par le iond tenant à M.. Louis Albert, à Foug, s'est
Eglises.
' Margot, Lemaire, Feuillastre, Dussautoy, trappa
facile de .-'y retrouver.
irur.i «fendre, atrophié de la Meurthe : « le
(de son pantalon.
écroulé entraînant trois ouvriers maçons.
Les adhésions sont reçues jusqu'au venEn vérité", malgré tout le mal que se1 du fort de Pont-Saint-Vincent, au commanints -«eux Cours » de pauvres bicoques, baraFurieux, l'individu tira son revolver qu'il
Un entrepreneur faisait exhausser sur
dredi 28 juillet, chez M. Eugène Taron, ;donne M. Desgranges, le Directeur
de1 dant d'armes.
e3<le Iancn
(
',].■• '
P
és " recouvertes de boîtes de vice-président,
M. Charles Morel Ion, le fils George et M.
,déchargea à quatre reprises, tant sur le une baie large de 4 mètres 50 un mur alrue Saint-Georges,
36. l'Auto, pour élaborer et compléter son
' '
"» campements et roulottes appe- (Bureau de la Séquanaise.)
règlement, il y a encore bien des lacunes1[ Lewang ont eu aussi leur part de félicita- <chien que sur les agents, qui accouraient, lant jusque 7 mètres de hauteur. Malgré
1
lle crayon d'un Ricardo Florès.Tout ce
•
)sans, fort heureusement, atteindre ni l'un les avis de l'architecte, les ouvriers n'aPhoto-Qlub nancéien. — La prochaine dans
le statut du Tour de France. Le tions;
U Iede mais
ni
les autres. Le chien, elïrayê par les vaient pas étançonné les fers trop faibles
au
S
°nnettes
se
répand
à
la
diaréunion
mensuelle
des
membres
du
P.-C.N.
'
DOMBASLE
,
dit
règlement
ne
sera
parfait
que
lors>
de feu, avait lâché prise et l'individu de cette baie.
• «ans la prairie. Les rues, les « sentes » aura lieu le mercredi 26 juillet prochain, à que
Au violon. — Joseph Durupt, 51 ans, coups
|
'
tout le monde pourra l'interpréter
Mardi, ces fers fléchirent très fort et
domestique de ferme, sans domicile fixe, a jreprenait sa course en brandissant son
■tôt, n'ont pas de nom, — et pourtant on 8 he ires ^ du soir, au si^ge social, 9, rue d'une façon uniforme.
Croyez-vous que Brocco a réellement été trouvé en état d'ivresse manifeste, dans revolver, mais il fut arrêté rue Etroite par finalement cédèrent. La construction penwnnaît, là encore, les deux courants de la Constitution.
1
Jean Régnier, qui le maintint jusqu'à cha et le mur vint s abattre sur la chausj
Ordre du jour. — Présentation de mem- mérité sa mise hors course <c ipso fac- la nuit de dimanche à lundi, après minuit, M.
PMsde circulation. Qu'un pont vienne à1
sée, entraînant l'échafaudage où travailpar l'agent de police. Le représentant de la l'arrivée des agents.
P&ger la rue Vayringe, le réseau des1 bres nouveaux ; questions diverses ; nro- to » ? N'aurait-il pas mieux valu lui apUne foule considérable s'était amassée et laient trois ouvriers maçons.
; loi a été obligé de charger le pochard sur
pliquer
une
échelle
de
pénalités
qui,
par
jections
électriques
sur
l'Algérie
et
les
fêtes
: «ase modihera en conséquence.mais ses
les agents eurent toutes les peines du
Toutes les personnes présentes s'empres'< du 14 juillet à Nancy.
exemple, aurait commencé par 100 fr. une charrette et de le manipuler comme un j
■«a généraux ne changeront pas.
monde à protéger leur prisonnier, que la sèrent auprès des malheureux ; l'un d'eux
d'amende, qui aurait continué par 10: cadavre. 11 a été remis en liberté lundi
ff* itjoilà, dans ses grands traits, comme
ifoule voulait lyncher et c'est dans un pi- a le bras droit cassé et se plaint de doupoints de pénalisation, voire même 500 après avoir été qualifié d'un procès-verbal, teux
état, la figure ensanglantée, que cet leurs internes. L'amputation sera peut0Parait l'histoire de Malzéville racontée
'
Les tapageurs. — Les nommés Chenal,
francs
d'amende
e*
qui,
enfin,
se
serait
81n Planindividu fit son entrée au poste. Fouillé, il être jugée nécessaire. L'autre a l'œil gau, -t«C
;
demeurant
cité
D,
34,
et
Muller
Emile-Victerminée pai où a commencé l'arbitre de
i
a été trouvé porteur d'un revolver, ne con- che presque sorti de la tête, un doigt casla cité se fa
Du 25 juillet
la Course, c'est à-dire, par la mise hors5 tor, demeurant cité A, 40, ont été surpris
"cra>i*S?^
it grande, les mêmes
tenant plus qu'une cartouche et d'un cou- sé et souffre beaucoup de cette chute. Lo
rae
par
l'agent
de
police
se
querellant,
place
•
course. Bien conseillé, Brocco n'a fait1
t
' * 'iés se reproduisent par quartiers,
Naissances
teau à cran d'arrêt.
troisième s'en tire avec quelques contuaucun esclandre et s'est sagement incli- du Marché,dans la nuit de dimanche à lunleurs emplacements par rapport aux[
sions sans gravité,
Marie-Luce-Eugénie Ferry, rue SigisbertInterrogé par M. Polet, commissaire de
<tj di, à minuit quarante-cinq, et se sont vu
■Jdes a la rivière,
points des! Adam, 11. — Léon-Marcei Broga-d, avenue né. En sera-t-il toujours de même
police,
cet
individu,
qui
ne
parle
pas
franl
dresser
procès-verb'al
pour
tapage
nocaux
lle jm
h
BSUVEZIN
n'esi-il pas à craindre qu'un autre con'
f^ ^«cs commerciaux.
" turne.
çais, a déclaré par un interprète se nomMilton, 17. — Robert-Gaspard Marx, rue current n'accepta pas
a-issi seulement
La foudre, — Mardi, à 8 lieu res du maS r e que le
la
mer
Secci
Gisellu-Salvator,
âgé
de
25
ans,
de
la
Hache,
66.
—
Paulette-Elisabeth
Rint
Commencement d'incendie. — Un comlar
° î
P ^ d'une ville a
une sanction qui païaîl arbitraire,
tin, la foudre est tombée sur la mairie de
!M
d'origine italienne.
natU ell6S
10 la
Beuvezin, endommageant sérieusement, la
On a épilogtié pour • _• -oir' si, après sa1 mencement d'incendie s'est déclaré à la
'■ ■SHt
!
= >
configuration1 genbach, rue Jacquard, 40. — Lucien-Renéi
Il
a
été
transféré
ce
matin
au
parquet.
Trouer, rue des Prés, 10. — Madeleine Bas-• mise hors course, mais gardons encore boulangerie de la coopérative La Lorraine,
Incendie d'une prairie.— Dans l'après- cabine téléphonique. Quelques membres
,li;
P
tes
remi
" tien, rue Vlartimprey, i22. — Marcel Morel, la faculté de participei à une "étape sup-3 dans la matinée du 24 juillet. Le feu a pris
' - #cuiatlan
•
P
ers courants deï rue Clodion, 58.
midi
de dimanche, un incendie dû à de la municipalité qui se trouvaient réuJ ] l6s points Qe
1,?c f
lémentaire ; on a épilogue, dis-je, sur le naissance dans un tas de bois retiré du l'imprudence d'un fumeur, s'est déclaré. nis n'ont pas été atteints.
•
'* courut' ~~
contiits de
erU,1
a X er¥lroits
fait de savoir si Brèeco -^ait droit ai*1 four. Grâce à la rapidité "des secours, les ]dans la prairie, au lieu dit « Sous-NorDécès
VA.LLEROY
rinêce
f ,
déterminés par
prix
qu'il a gagne d&lkg i étape Luchon- dégâts sont peu importants et évalués à roy », appartenant à M. Samh, boucher
tu |,s
s d la vie urbaine
a
François Gouvenot, 34 ans, manœuvre,
Arrestation. — Samedi matin, la genenviron 130 francs. Ils sont couverts par
i
Bayonne.
giS et des
à
Pont-à-Mousson.
assurances.
darmerie était avisée qu'un nommé Weu*****fflto
'°
monuments pu- rue Clodion, 16.— Marie-Madelaine Méline,
Le règlement ét ml muet sur ce su je'.
C6S COUrants
Par suite de la grande sécheresse, le feu
defeuer Adolphe, 30 ans, manœuvre, avait
A coups de manche à balai. — Mme
°" sur leurs ir- 31 ans, employée de commerce,célibataire, Brocco a droit au precaief prix qu'il a1
* rue Jeanne-d'Àrc, 96. — René-Marcel-Jean1
Louis, ménagère, a porté plainte à la gen- , se propagea rapidement, treize hectares de1 offert en vente, à des prix dérisoires,du lard
gagné.
Ainsi,
voilà
une
.:
d'aire
rég.ée.
Ielsch, 1 an 4 mois, rue Dauphine, 5. — Un1
prairie furent ravagés, un hectare d'avoi- et du jambon. Elle se mit à la recherche du
Dans notre précédent courrier,
ncuss darmerie contre Mme Ralitte, place de la ne devint également la proie des flaminconnu de 45 à 50 ans environ. — Cathe\ manœuvre qu'elle rejoignit et ne tarda pas
Liberté. Mme Louis se plaint que, le 24
ie o«
■
disions
que
l'arbitrt;
de
la
course
était
mes.
rine Lemonnier, 80 ans, sans profession,
à apprendre qu'un vol avait été commis la
t
juillet,
dans
la
matinée,Mme
Ralitte
lui
aui .noyé dans les avalanches
de réjiauii,flieBF
r,entnaturrt
Une baraque en planches qui se trou- nuit dans la cave de l'Economat français,
rait porté des coups de manche à balai en
dont nous ve- veuve Fisson, rue du Haut-Bourgeois, 31-■ tions. Pour en solutionner une partie,
tenu par M. Iules Lardy.
nair|,n, tes«Pernncer "n excmPle> peut s'ajouterr — Auguste-Noël Delbauve, 55 ans, journa-- M. Desgranges va se faire assister pen- l'injuriant et en la poursuivant dans la rue. vait dans la prairie et sous laquelle s'abritaient neuf vaches, fut atteinte par les
Un ou plusieurs individus, entrés dans
La gendarmerie enquête,
plus ?#Près ,m r,!, Te réPartition artificiellee lier, sans domicile fixe. — Renée-Camille: dant la dernière partie de la course parr
Malbos, 2 jours, rue du Général-Drouot,
d extensio
VARANGEVILLE flammes ; elle flamba aussitôt et les pau-\ cette cave en brisant un carreau du soupi, notre confrère Victoi Breyer. Ce dernierrr
li^Wk
Ainsi i
'
n créé de toutes
s 12. — Virginie Virion, 57 ans, cuisinière,
Vol. — M. Auguste Vagner, travaillant vres bêtes frappées d'asphyxie 'restèrentj rail, avaient fait main basse sur dix kilos
u>u
a
lle Neuve
1 i
ranr.î i
de Nancy en-- célibataire, avenue de la Garenne, quar-, est entré en fonctions hier. Ii a assistéé à la soudière de la Meurthe, avait placé un dans le brasier.
de lard et cinq kilos de savon.
b0
taubou,
•
aux
péripéties
de
Bayonne-La
Roche
Te.
°e LnarT
'g Saint-Nicolas. Oni tier Donop. — Marie-Julie-Virginie Aigre,
Les pertes sont assez considérables.
Weudefeuer convaincu d'être l'un des
billet de 50 fr. dans la poche de son veston
Ul res ec
,
Qu'a-t-il
relevé
d'incorrect
ou
de
(ori*Pltou» „
P ta son tracé, cee 46 ans, sans profession, épouse Martin, à
coupables, nia d abord, puis avoua, mais il
Une désespérée. — Décidément c'est.
■ acui'oché dans la chambre où les ouvriers
lcl
QUOI
t
traire
au
règlement
?
Pas
autre
chose
e
:,'n#W et ^K
les rues du Pont-. Dombasle. — Eugène-Michel Jost, 4 mois 6
déposent leurs effets.
une épidémie de noyades ou de tentati- mit la plus grosse part des responsabilités
;
) assurément que le directeur de la cour,i!
Colas ont
Après une courte absence, lorsqu'il s'ha- ves de noyades à Pont-à-Mousson. En ef- sur un ami, Frédéric Ehlenbach, de Thil,
'n, cont
conservé leurr jours, chemin du Crosne, 9. — Marie-Flo-- se lui-même. On peut, en effet, reprocher
Stant aV6C la ri idité des
restine Pierron, 82 ans, sans prfofession,, aux organisateurs de surveiller tous lesr billa il constata que ce billet lui avait été fet, cet après-midi encore, la femme Bin- qui est recherché.
Usines
r acé6s au cor S
s
— Le même Weudefeuer aura également
lVl
rern
dérobé. La gendarmerie a ouvert une en- der, née Gérôme, habitant Pont-à-Mousveuve
Santarelli, rue Follcr, 1.
m» K6nt arr,naM pour
deau sur un
mômes coureurs, alovs qu'une
notablee quête.
son, rue Raugraff, et dont le mari tra- à répondre d'un vol de plastron commis au
■l déjà „nf,
époque, celles-ci:î
partie se livre sur la route à toutes sorvaille aux Forges, sans doute dégoûtéel préjudice de la femme Schutz, rue Gamtes de fantaisies ?
. ! I iiir kg rvw s mide a^oheation de l'art
M A H O N de la vie ou voulant se rafraîchir, par3
betta. Ledit plastron vaut 1 fr. 75.
S'flUi ■>
'"f ',Etudier l'histoire de cet
,
Le fameux Balai qui devait assurer laa
Les insoumis. — La gendarmerie de cette chaleur tropicale, essayait de se
B les
P cs
VILLERUPT
L, surveillance de l'arrière-gaide n'a, enn Neuves-Maisons a arrêté à Maron, Xavier jeter à l'eau, avec ses deux enfants, dans'
^yionp
anciens, depuis l'im-iC
ence
racée au
ir
réalité, jamais fonctionné.
Il suit lee Marchai, né en 1873, à la Petite-Raon
En jouant aux cartes, — An café Remy,
• rvl
mt ° '
cordeau dans8
la Moselle canalisée, près du barrage.s
groupe de tête à une demi-heure près.i. (Vosges),et Louis Hienne, né en 1887, à
e
iuS( ue cne?; les
eu
JARVILLE
M. Saint-Remy, le barragiste, dont nous'• le charretier Nicolas Jeantrel jouait aux
' ire
^rries Z i
î
P ,"
■ Il est toujours rentré à l'étape à 5 heûiMaxey-isur-iMeuse,
tous
deux
étant
insouavons eu dernièrement le plaisir de rap-s cartes avec Krier Nicolas. Jeantrel insnrit.
La foudre. — Au cours de l'orage de> res du soir, alors que les coureurs qu'il
il mis à la loi du recrutement,
peler les nombreux sauvetages,
pré-- vit sur l'ardoise un point auquel il n'avait
i l5,%«S0l|ssa fA^11*6 lci> ^sons seulement
,t lundi soir, la foudre est tombé'1 sur la gen-_ doit surveiller sont encore sur la route à
à
Le premier négligea d'accomplir une voyant l'intention de suicide, fit enten-■ pas droit ; de là, discussion et querelle...
,j darmerie, causant des dégâts assez impor-_ minuit et même jusqu'à 3 heures du ma1_
Krier ayant traité son adversaire de
i- période d© service territorial ; le second dre raison à la désespérée, qui ne mit
<t
t CS
0b
_ tants.
/
tin. Dans une organisation comme le
^te-,
|
^rvat.ions
sur
t « cochon », fut saisi par l'épaule ; il ri.e
ne
fit
jamais
une
heure
de
servie
actif,
pas
son
projet
à
exécution.
ur
H
lUes de
En
tombant
sur
la
cheminéè,
la
foudre
3 Tour de France, chacun
doit prendre
^TnLu
M. Buis, bourg■e
Ces patriotes (?) ont été remis à l'autoLa femme Binder ne semble pas ce- posta en saisissant son agresseur au vie e
>" provoqua une explosion qui enleva une3 ses responsabilités et s'il y a des couen
étudié d'abord en Ali- rité militaire qui s'emploiera à faire rat- pendant abandonner toute idée d'en finir'■ sage et en l'égratignant.
An 8let
»" partie de la toiture. 400 briques environi reurs qui transgressent les règlements,
^ence • "
erre et aux Etats-Unis.
La lutte finit là et plainte fut portée.
s, tnaper, à ces » tire-au-nanc ».
avec la vie, car, cet après-midi, elle ve-r
it ont été brisées.
s'il y a des constructeurs et des manaen France
râce
PHLIN nait confier ses deux enfants à. une de
:e
e
THIL
POMPE Y. gers en chef qui tentent de ne pas se
je
?
Vol. — Pendant la nuit, un inconnu ses parentes avec laquelle elle eut unee
" soumettre à ces règlements, ou bien d'en
:
mst ,;,c
Tentative d'escroquerie. — Au café Pii
discussion
assez
vive,
menaçant
toujours
j_
Bris
d'une
lampe.
—
Procès-verbal
a
Stuhh.en dont
'
- *-i«""S en Als
a éluder les termes, il faut dire que les or- brisa la fenêtre du café tenu par M. Jules
!
geat, le manœuvre Nicolas Wcidig, se di>Uno v '
le « der Stadte- été dressé contre Eugène Roger, 17 ans,!, ganisateurs ne font pas tous leurs de- Colin, déroba'une somme de 14 fr. dans le de vouloir se suicider.
sant voyageur en vins d'une maison de
U
Aune
Son
mari,
prévenu,
l'a
ramenée
à
la
f
ouvrier
d'usine,
qui
a
brisé
à
coups
de
wltwii le^iHo
énorme
érudie
voirs.
tiroir-caisse
et
plusieurs
paquets
de
tabac
a Bordeaux, vint faire ses offres de service
maison.
£ pierre, une lampe électrique servant à
v
n-ii^t>; est l'auteur de « l'Art
i.
et
de
cigarettes,
ainsi
que
des
litres
de
lià
Disons franchement que si la route
rt
Reviendra-t-atle à de meilleurs senti- et prit une commande. Quelques jours
l'éclairage de la voie publique.
•-' ^W%:U{it^ "-.De M. Forestier, nous
avait été efficacement surveillée, les in-_ queur, du pain et du jambon.
«• après, il vint emprunter de l'argent à la
ments ?
18
SAINT-NICOLASS cidents Cruppelandt et Duboc n'auraient
femme du café, soi-disant pour retirer les
rt
ROSIÈRES-AUX-SALINE8i
ARRONDISSEMENT DE TOUL
le
,e pas surgi.
Voleur arrêté. — Dans l'après-midi de
marchandises expédiées. Comme il
n©
Un noyé. — Lundi, vers 3 heures et deTOUL
Demain soir nous allons nous mettre
■ parlait pas de rembourser, mais au c.on- ,
•e mie, le nommé Louis Dubois, pensionI
= M
P^sqi ^PÇ^bte d'étudier d'u- mardi, la gendarmerie de Saint-Nicolass
Distribution
des
prix.
—
Samedi
5
août,
■r a amené au parquet de Nancy Victor Re-._ en route pour la plus longue de toutes
t. traire tentait à nouveau de se faire don;s naire à l'hospice Sainte-Odile, allait se. à 9 heures du matin, la distribution des
3- my, âgé de 44 ans, manœuvre, qui a dé-i. les étapes. La Rochelle-Brest, 470 kilont a
!S ner de l'argent, la débitante, prise do
a_ baigner dans le canal du Moulin, au lieui prix aux écoles communales aura lieu au
*»<*$Ë^'<^*
^^ension d'une
ie robé des harnais dans une écurie.
mètres.Los coureurs auront eu à peine 24
u soupçons, fit prévenir les gendarmes,
>4 dit « Au plein », un de ses camarades3 théâtre municipal, sous la présidence do
sy,?
6 cl
pa venu a
oJ#C
»anoe,
f
calculer le
le
Wefldig' leur' avoua qu'il n'était que maê_ l'accompagnait mais ne prenait pas partt M. Vincent, inspecteur primaire,
!e
TOMBLA1NEE heures de repos. Beaucoup n'auront mête
me pas eu 8 heures de repos. Après ce
nœuvre et non représentant de commerce,
-e à la baignade ; soudain, Dubois coula ài
La sécheresse.— A eause de la sécheresse
Vol. — La gendarmerie de Jarville a
a que les coureurs viennent
de
fournir
se et qu'il avait tenté d'escroquer 65 fr. à 'a.
ir pic sans jeter un cri. Deux jeunes gens,, persistante, l'eau distribuée en ville devient
1
aiIec
■
I ^'es ^ ; ou e calcul pour unee ouvert une enquête au sujet d'un vol dee comme efforts, il sera curieux de constait dame Pigeat.
a- les nommés Louis Sprauel, âgé de 17 anss non pcéq|>,o ; de nombreux cas de cholériu
quarante
kilos
d'oignons
commis
au
préobtus et à tracer la
Î- ter ce que les courageux routiers vont
•iIl a été arrêté séance tenante et conduit
jt fils du sympathique docteur, et le jeune
; ne sont signalés ; toute eau doit être bouila judicc de M. Louis, de Tomblaine.
faire.
•I- à Briey où il fut arrêté, ainsi que nous,
1 Edmond Diot, âgé de 16 aat*. frère lie
de lie avaçt d'être bue.
, l'avons apnQ.n:é,i
GRANDE ÏÏLLE \
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v )Foi)if]ûp sporÉïy e '
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yart de bâtir les villes
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Les grandes épreuves cyclistes
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î DANS LA BANLIEUE
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j. hi.xtmm .ri.Mnwmgs^^
26—7
—.
||
^
— *
LIVEBDUN
Un "commencement d'incendie s'est dédans la maison de <M. Angst Joseph,
w ^1iîc,y. a Liverdun, où la Société Nancéien^ .'alimentation tient un magasin d'éoiF ri>- Un tas de caisses de bouteilles- était
eu et avait communiqué le feu â là
m-ruve de ia véranda faite en planches de
K
^
Ct tîCl t0il0
u
S° dronnée, puis à la toi-
Aussi l ût l'alarme donnée, les voisins et
habitants de la maison attaquèrent vilyUreiisement l'incendie et purent s'en ren« "o maîtres. Les dégâts s'élèvent à 350 fr.
ta. commencement d'incendie paraît dû à
'a malveillance.
Oéîlt rte pêche. — La gendarmerie de
Liverdun, faisant une tournée sur le chemin de halage du canal de la Marne au
Rhin, au lieudit « Trou des Fées », a surCris en flagrant-délit de pêche, avant le le-lu soleil, les nommés Mathiot Ferdinanti, cultivateur ; Grandiol Charles, manœuvre ; Georges Georges,tous trois demeurant à Saizerais. Procès-verbal a été dres-
se.
VILLERS EN-HAYE
Délit de oëche. — Les frères Hecht, de
vTllers-en-Tiaye ; Chrysoiogue Alfred et ETlezel Charles, de Dieulouard, se sont vu dresser proces-verbal pour délit de pêche commis, dans le ruisseau l'Esch,au lieudit « Sous
la Taie ».
FECOCOURT
Violenees. — Un nommé Marc Kayser,
de Fécocourt, est accusé d'avSSr porté des
coupa violents au jeune Gérard Paul, alors
que ce dernier gardait les bêtes en pâture.
Gérard reçut un coup de fouet et deux coupa
de pied. Plainte a été portée.
lujurcs. — M. Picot Joseph, vigneron à
Fécocourt, est l'objet d'une plainte pour
insultes grossières de la part de Mlle Kozet,
de la même localité.
PIERRE-LA-TREIGHE
Accident. — Un brigadier du 8° d'artillerie, 9e batterie, nommé De Vaire,
se
trouvait logé à Pierre-la-Treiche, quand
il tomba sur l'aire de la grange d'une hauteur de 3 mètres. Le malheureux s'est grfèvement blessé à la tête. On craint
une
fracture du crâne.
ROYAUMEIX
Chasses. — Les chasses de Royaumeix
ont été louées à M. Guillaume, avouépowr
la somme de 650 fr.
ROGÉVILLE
Les perdrix. — Le 21 juin dernier, M.
Greff Ghariies, propriétaire
à RogéviBe,
a mis à découvert avec une faucheuse un
nid de perdrix. M. Greff prit les œufs et
les fit couver par une poule. Le 20 juillet,
M lâcha les jeunes perdreaux à remplacement du nid et en présence du garde
Charrois. La Société
des
chasseurs de
.'arrondissement de Toul a fait parvenir
à M. Greff la prime fixée à 0 fr. 75 par
perdreau en lui adressant de vives félicitations.
VANNES
Plainte.— M. Eugène Houillon, verrier
à Vannes, a porté plainte contre une parente, pour une escroquerie de 250 francs
commise à son préjudice. Une
enquête
est ouverte sur les propres déclarations
de Houillon.
Vol.— Ces jours derniers, M. Migot Jules, vigneron à Lucey, constatait la disparition de trois pièces de 20 francs qui
avaient été enfermées dans une armoire.
L'auteur de ce vol est inconnu.
CHOLOY
Plainte.— Bernard Auguste, manœuvre
à Choloy, a porté plainte contre un nom-*
mé Clausse Pierre, de Foug. Alors qu'il
travaillait à la fonderie de Foug, Clausse
s'est jeté sur lui et l'a frappé à coups de
poing sur la tête.
Clausse a reconnu les coups dont il est
'
accusé.
FAVIÈRES1
Incendie.— Voici
des
renseignementsi
complémentaires sur l'incendie qui a détruit un hangar appartenant à M. Larcher Louis, de Favières. Le feu
éclata
;
dans un réduit fermé, situé à l'intérieur
du hangar, où se trouvaient du pétrole et
de l'huile. Ce hangar
servait de scierie,
<
le moteur, les scies avec chariots et tous!
les outils furent brûlés. Seule une scie ài
bande circulaire fut sauvée. D'après M..
Larcher, cet incendie est dû à la malveil-lance ; un individu de mauvaise tournure s'était présenté chez
M. Larcher etl
avait mendié. Ne recevant rien, il pro-.
féra des menaces à son adresse. Les dégâts s'élèvent à 7,000 francs environ.
ARRONDISSEMENT DE LUNÉVILLE
LUNÉVILLE:
Groupe Blandan. — On nous écrit :.« Ahl1
ta joyeuse soirée qu'ont passée samedi,
au théâtre Stanislas, les amateurs du ri-'
re. Malgré la chaleur caniculaire, plusieurs centaines de personnes se
trou"
vaient réunies dans la coquette salle deB
la rue Rivolet, où la Comédie Lorraine3
interprétait « les Surprises du
Divor-ce ». C'est pour nous un véritable plaisirr
que de signaler cette belle
représenta-.
tion qui fut un succès complet. C'est cet-.
te fois sans aucune arrière-pensée
que„
nous pouvons féliciter en bloc tous les
"
artistes de M. Marc Cransac en dépit
ï
de la température accablante,
ils
ontt
« enlevé » la pièce de Bisson avec uni
brio, un entrain
vraiment
remarqua-.bles. ».
BLAIN VILLE SUR-L'EAUj
Acte de probité. — Le jeune Guillerez
z
Gaston a trouvé le jour de la fête patro-i„
nale de Blainville un porte-monnaie contenant une somme de 5 francs 40 centimes dont il a fait la remise à son pro>priétaire.
i;„„c0c • une médaille d'urgent, cchariots qu'il renfermait. Le ,
c
mun, ferme de Charmois ; Vosgien A., depuis à Einville ; 5% Jncquot a Einville ; 6' Rodhain
communiqué par des pétards m,
ît
» bronze, M. Braquer
27 uns chez M. Barbier Victor a Deuxville ; - ah Einville ; 7% Briel à Raville ; 8' Thomas Léon
ne Maurice, âgé de 9 ans, avait 1 le i ■
de
ValW^^
d
,llc
gainant Victor, depuis 27 uns, chez M. Burtin à Einville.
tir dans la soirée,
'ait *
Prix spéciaux pour îea « _ y
, .
Vaches laitières
Allréd
a Drouville : Thinselin Nicolas, depuis
A
dans l'orromlissui oui.
v 1 nx k iU
Les pertes s'élèvent ù quelcnio
t* prix, Gazin à Raville ; ?% Choné à Valhey ; exerçant
|fr. et une médaille d argent, M. FM00B « v
27 ans chez M. Marchai Jules à Einville ; Jen1 es cerf
E
nos
de francs.
>
!
■ iert Joseph, depuis 27 ans chez M. Lhuillier Ju- 3%
3 Mangeot Antoni ; 4% Marchai Georges . 5 ( Circourt
; un prix de 10 fr. u uum
les à Einville ; veuve Liégey Victorine, depuis GGermain à Deuxville ; 6', Lhuillier Jules il Ein- Ç.
11
bronze, M. Petit a Bo-'smont.
,
jjj
Vol. — Pendant que Mme vcf \
Z6 ans chez M. Marchai à Serres •; Malherbe J.- vvillo ; 7', Briel à Raville ; 8', Malgras Emile ù o Subvention accordée par le*
conseil b
y
B.,
depuis 20 ans chez M. François, forme de FRaville ; 9', Briel ; 10', Marchai Georges.
% '
pour
encourager
la
création
de
usscs
a
nui
1travaillait dans nnchamp voisin
»,
Prix d'ensemble. — Médaille d'argent. Geor- P
Manda
; ftSCOUvreux François, depuis 20 ans
S
deniiis le dernier concours de 1UI0. —1habitation, un malfaiteur s'est
_j
Marchai à Einville
•
■ de 500 fr- a partager en primes qui ne pour- chez elle en se servant de lu cv''"'''1
chez
M. Burtin Alfred, à Urouv^!^ « îv.Si.icrwe ges
g
g
Race
ovine
»
1
François, depuis 2ti ans chez M. François, Terrorit
être inférieures a 2a «'•
, . fermePue avait accrochée à un clou, prè, %
Béliers d'un ai). - M. Bastien ù Saint-Libair 1. 70
me de Méhon ; Humbert François, depuis 26
fr. h M. Pierre Bourgeois h la ni« porte
g
d'entrée, et lui volait den •
f'
ans chez M. Marchai Jules a Einville ; Baudot re
r ; 2% Gillct à Hoéville.
, - „
«
Saint-Charles
(Huueourt), fosse ^~(ra5nSl£;^
cde chaussures, deux chemises A H V
1
p
Brebis — l'r prix, François à. Méhon ; 2', OCS- g
Philibert, depuis 25 ans chez M. François, ferme
L,„ ■ 9 w iv ii M Louis Pelremcnt,
u uuuj,
me, une somme de 5 francs du
h d'
dot, a Loi-mont ; 3% Choné a Valhey ; 4% Goudot b
d
de
Méhon ; Pierson Victor, depuis 25 ans chez d
^ Marchai Eugène ù Einville ; Chandre Joseph, ;.
4 kilogr. de fromage. Le préi,,,,;'^ V
M.
i Bonneval.
., „
„ „.
!'
lf:e
Agnelles. — V prix, Choné à Valhey ; 2%Zim- a
évalué à 30 francs. La gendar'
1 le
d
depuis
24 ans chez M. Bajolet Jules à Deuxville ;
2
mer a Maixe ; 3', François à Méhon.
V
Chrétien J.-B., depuis 24 ans chez M. Briel J., n
ouvert une enquête. Le voleur" s
*
v
*
ait
Race porcine
4 Raville ; Parisot Joseph, depuis 24 ans, chez
i I'1
fr à M. Alfred Glabay, a Audtimlc-R .
, ^ journalier qui a été, aperçu îwi1
jf même ; Jacquin Emile depuis 24 ans chez le
Verrat. — l'r prix, Dor à Lunéville ; 2% au
u
le
dé
m
;
7.
30
fr.
à
M.
Sylvain
Boulangej,
ft
tour
de
l'habitation
de
Mme
"
même
; veuve Fuubel Rosine, depuis 23 ans n
Lexv H m. ; 8. 30 fr. a M. Emile bcheiidei , h
"
L
chez M. François, ferme de Méhon ; Marin Va- ^Truies — 1'' prix, M. Dor ; 2% Thiébaull à la
'R
Lexy
12 n . ;
30 fr. ù M. Camille llnry, a
Y
SS
lejitin, depuis 23 uns chez M. Barbier Charles a 1Rochelle : 3% Dor.
.
tBriey, 12 m.
Bris de viire. - Un hoctunibuip > k
10. 30 fr. â M. Féhx J esse, à la
"
r
Deuxville : Laurent Cyprien, berger communal
Porcelets. — l' prix, Dor.
f
sé
deux
carreaux
à
la
fenêtre
)
H T
ferme de la Serpe (Norroy-Ie-Sec), U m. , 11.
£
Jj
f
depuis 22 ans à Drouville ; Goberl Hippolyte. viPrix d'ensemble. — M. Dort
*30 fr à M. Eugène Poeury, à Bazonville fonment
de
M.
Jules
Michel
$ :
I
"
Espèce caprine. — M. Etienne.à Raville.
«
depuis 22 ans chez M. Choné à Valhey ;
cv)
10 m • 12 25 fr. & M. François Payonne
hgneron
avec
une pierre lancée de l'a rôntle ^ tr
£
Produits
agricoles
c
Zerr, manœuvre depuis 22 ans chez M. Brinà Olley 5 m. ; 13. 25 fr. h M. Eugène Badin, ù
enquête.
-( j
~
£
Médaille de vermeil. — M. Bastien fi Saint- a
card
Louis, à Bauzemont ; Pierron Joseph, maViviers,
4 m. » 14. 25 fr. à M. Prosper Boutrou,
: la Saline Saint-Laurent à Einville.
\
nœuvre depuis 21 ans chez M. Barbier Charles Lihaire
l
L D
a
Bruville,
3
m.
£
Médaille d'argent gr. mod. — M. Jules Mar- a
Délit de pêche. — Le
no!n
',A ]
à Deuxville ; Husson A., manœuvre depuis 21
Prix spécialement destines au canton de Briey
„
n é
fl
ans
chez le môme ; Gobert Emile, manœuvre de- chai.
c
,,, .
.„
* 1 — Apiculture. — Un prix de 25 fr. et une Fleurot,
tisserand, a été surpris nîT1 ni
*
Médaille d'argent. - M. Lucas à Alhienville ;
puis 21 ans chez M. Commun .ferme de Charà
la
main
dans
la
Conibeauté
médaille de bronze, M. Humbert à Batilly.
„
Pierson Charles d'Einville.
n 2 _ Récompenses aux instituteurs qui se sont jautres délinquants purent
mois-Bonviller
; Chômant Joseph, manœuvre de- M.
1
prendi'"* n
Médaille de bronze. — MM. Clanss, a Alhienpuis 21 ans chez M. Burtin Alfred à Drouville ;
e i i
fuite
sans être reconnus.
occupés
spécialement de l'enseignement agneo1
§Bailly Hippolyte .manœuvre depuis 21 ans chez ville
: Choné à Valhev ; Mangeot Antony : Ju- 0
\
le1 — Une médaille de vermeil à M. Biaise, ins,
Lhuillier. Gazin ù Raville ; Yung, dé Maixe ;
M.
Boulanger Charles à Deuxville ; Chrétien 10- les
1
Pêche. — La gendarmerie du'r'i,!^ *
,tituteur à Lubey ; une médaille d'argent à M.
seph, manœuvre depuis 21 ans chez M. Briel Jo- tSamuel, d'Einville.
instituteur à Avril.
.
(
Mentions honorables. — MM. Dor, à Lunêvip Usselmann,
t
ouvert
une enquête contre Eugène 1 'à
seph a Raville ; Petitmangin Gabriel, manœuvre
Aux
institutrices
pour
l'enseignement
ménager,
j
,
depuis 21 ans chez M. Marchai Eugène à Ein- le
1 : Colas à Einville ; Rivoiret à Einville : Mlle
rent, tisserand, au Prey, coinmmm
îi
—
Une
médaille
de
bronze
à
Mlle
Piorron,
ins.
ville
v
; Mme Larue Marie, manœuvre depuis 21 IElise Gauchenot, prime de 10 francs ; Brancard Thillot,
qui a empoisonné le ruissea,
tilutrice
à
Briey
;
médaille
de
bronze
ù
Mme
[
nans chez M. Marchai Jules ù Einville ; I edallon eet Gueraut à Einville.
_
!
la Moulière avec du chlore, le dm7 t
°AHred, manœuvre depuis 21 ans chez M. BrinMorette,
à Valler'oy.
•
Animaux basse-cour
'
"
juillet courant.
J
Récompenses aux propriétaires qui ont crée 23
<
card à Bauzemont ; veuve Tisselin, manœuvre
Médaille d'argent. — M. Sehweilzer, à Ein^
La foire. — La foire qui a eu H
depuis 21 ans chez le même ; Saint-Simon Al- ville.
°des reboisements, des drainages et des îrngu"
— Reboisements, une mention à M. La- 1lundi 24 juillet courant a été assez?' 't
Médaille de bronze. — Yung n Maixe : Mme tions.
t
phonse,
manœuvre depuis 21 ans chez le même ;
a Habonville. — Drainage et irrigations, les
]
£Saunier Julien, manœuvre depuis 21 ans chez veuve Bourgeois a Einville ; Weingertsmann à pointe,
cultivateurs ayant fini
de
ir |
r
r
tr Rothain à Einville ; Houot Joseph, manœuvre t
un
prix de 50 fr. et une médaille de bronze a
M.
leurs fourrages dans de bonnes 2 0
Einville : Colas à Einville.
*
*depuis 21 ans chez M. Mércl Louis, a BienvilleM. Lapointe à Habonville.
j
tiens
; les porcs valent toujours Rn 7 p
.
Pour les plus beaux ensembles de bétail. —
; Charpentier Victor, manœuvre depuis
cinpuante kilogrammes, vifs Z\
(
àla-Petile
Présentés au concours et comptant au moins les
;
21
ans
chez
M.
Choné
à
Valhey
;
Moutlon
Fran*
chacun 6 têtes. — 1. — Un prix de 100 fr. et une tail est toujours cher.
çois, manœuvre depuis 21 ans chez M. Matton
S
médaille d'argent offerte par M. le ministre de
à Croismare ; Chrismant Joseph, depuis 20 ans
ARRONDISSEMENT DE SAINT-DIÉ
°chez M. Marchai Eugène d Einville ; Mangeard
l'agriculture au nom du gouvernement de la Ré,Victor, conducteur de bœufs depuis 1 an chez
publique, M. Guérin Auguste ù Briey.
'
L'aviation. — Dimanche devait^? e
Aux domestiques d'agriculture
M. Choné a Valhey ; Mme Gautier Joséphine,
'
De nationalité française, qui servent avec zèle 'lieu à l'aérodrome une séance int&? J
Programme de l'emploi d'une subvention de
manœuvre depuis 25 ans chez M. Mangeot h
{
santé d'aviation ; malheureusement»
Einville.
'875 tranes, d'une médaille de vermeil et ue deux eet probité chez le même maître depuis 6 ans au
1médailles d'argent accordées par M. le ministre
1
moins
sans interruption :
1
des
cylindres du moteur Gnôme dei '1
CONCOURS D'ARRONDISSEMENT
1
1.
25
fr.
et
une
médaille
en
argent,
Mlle
Julie
]
de i agriculture, pour être distribuées au nom du
binet est grippé et force a été de re» 1
Serviteurs et servantes à l'année
Marchai,
dite
Gury,
chez
M.
Alexis
Thomas,
ù
gouvernement
de
la
République
en
primes
d'enP
Médaille d'argent grand module. Prime en nu- i
ttre à plus tard la suite des vols avec» f
avec celtes du département et du fMoineville, 25 ans de service, déjà primée en
méraire de 30 fr. : M. Pichelin Valentin, garçon couragement
<
sans passagers...
}
1893,
1899
et
1900
;
2.
25
fr.
et
une
médaille
en
Cunuee
:
1
de charrue depuis 33 ans chez M. Ligot Joseph à <
L'Aéro-Club a pris la sage préfamj
,
M. Joseph Nô chez M. Alexis Thomas, à
1>" partie. — Concours entre tous les propric- argent,
(
Pairoy.
de placer sur le grand pont un mâtïlï
Moineville
23 ans de services, déjà primé en
I
Médaiie d'argent moyen module.
Prime en ltuircs et cultivateurs de l'arrondissement :
te-pavillon destiné à éviter au puifetf ^
A. — Amélioration de l'espèce chevaline
11893, 1899 et 1905 ; 3. 25 fr. et une médaille de
numéraire de 20 fr. : MM. Jacquot Céleste, gardérangements inutiles ; le fanion j \
1. Etalons il*" section). — Pour ies plus Peaux 1bronze, à M. Etienne François, chez M. Colmé
çon de charrue depuis 21 ans chez M. Gobert
1
Lubey, 19 ans i de services, déjà primé veut dire : « On ne vole pas » ; le fa^ ,
Jules, à Courbesseaux ; Othelin Jules, garçon de 1étalons de 4 à 9 uns inclus). — l'r prix : Uti fr. et Victor,à
rouge : « On vole » ; le fanion rougi, (
charrue
depuis'21 ans chez M. Brincart à Bau- une médaille de vermeil offerte par M. le minis- (en 1899 et 1905 ; 4. 25 fr. et une médaille de
;
zemont • Pierlet, dit Midon, garçon de charrue tre de l'Agriculture, au nom du gouvernement 1bronze ù M. Léopold Beaune, chez M. Alexis Tho- noir : « On volera peut-être ». Bienu
'
1de la République, M. Smits ù Pulventeux ; 2%
1
mas,
de
Moineville,
13
ans
i
de
services,
déjà
depuis
21
ans
chez
M.
Choné
à
Valhey.
1
tendu toute la journée de dimanche f«
70 fr. et une médaille d'argent, M. Hensgen, au primé
]
en 1905 ; 5. 15 fr. et une médaille de jle fanion noir qui a été arboré.
, Médailles de bronze. Primes en numéraire de Bois-le-Chat ; 3% 60 fr. et une médaille de bron- bronze,
1
à M. Emile Lexa, chez M. Barbé Jules
20
fr.
:
MM.
Fouillousc
Léon,
garçon
de
char'
M. Aug. Léonard, a Joudreviile ; 4% 50 fr.
1aux Baroches, 10 ans de services ; 6. 15 fr. et
rue depuis 13 ans chez M. François, de Méhon- ze,
:
LA NEUVEVILLE-1.ES.RO
1
une médaille de bronze, M. Hensgen ; 5% 40 1une médaille de bronze à M. René Rioux, chez
court ; Poirel Ernest, garçon de charrue depuis et
Le feu en forêt. — Un incendie a ra*§
fr. et une médaille de'bronze, M. Felten, à Ville- M.
!
Dubuy Félix à Lantéfontaine, 7 ans de sersix ares environ de la forêt, au lieu |§
;12 ans chez M. Husson Lucien, à Hausson- ■
1
au-Bois ; 6% ex-a;quo, 20 fr. chacun, MM. lien- t vices
; 7. 15 fr. et une médaille de bronze à Mlle
ville.
« Les roches de Faucompierre ». Leirç
nequin
à
Ménaumont
et
Léon
Bertrand
à
Girau1
Emma
Laurent, chez M. Morin Georges, à ImMentions honorables. Primes en numéraire de
,
alimenté par les herbes et la mousse, aï
1
val-Hénaménil ; Chrétien Km., garçon de çhar- mont.
monville.
6 ans de services ; 8. 15 fr. et une mé
truit quelques petits sapins.
2. — Juments poulinières. — Pour les plus bel- daille
1
charrue depuis 8 ans chez M. Goudot à Bonnede bronze à M. Alexandre Picard, chez
.
r
val-Hénamônil ; Chrétien Em., garoçn de char- les juments poulinières de 3 à 12 ans. — l° prix, M.
1
Thomas Antoine, à Jouaville, 6 ans de serGrâce aux mesures prises par l'adinis
rue depuis 8 ans chez Mme veuve Charpentier 7U fr. et une médaille d'argent, M. Barthélémy u vices ; 9. 15 fr. et une médaille de bronze à M.
tration forestière, le feu a pu être chu j
à Raville ; Bannwarth Emile, chei de culture Brabant ; 2% 60 fr. et une médaille de bronze, ■J.-B. Lemoine, chez M. Walrin Félix, à Anoux- crit ; les pertes sont de peu d'important ,
J
depuis 8 ans chez M. Lhuillier Jules à Einville , au même ; 3% 50 fr. et une médaille de bronze, la-Grange, 6 ans de services.
!
Bassot Henri, garçon de charrue depuis 7 ans M. Genay à Gondrecourt ; 4% 40 fr. et une méPâtres. — 25 fr. et une médaille d'argent à M.
LUS! ,
'
chez M. Boulanger à Bléhors-Damelevières ; Jac- daille de bronze, au même ; 5% 30 fr, et une méJean-Pierre Muller, pâtre communal à Batilly,
Violences. — Joseph Heissat est ifl
quelin Joseph, nweaire depuis 7 ans chez M. daille de bronze, M. Barthélémy h Brabant ; 6% 36 ans de services, déjà primé en 1893, 1899 et
pfloyé par l'ingénieur des mines de ifl
(Clément au Leumont-Romain ; Bacus Auguste,
25 fr. sans médaille, M. Jean Weyer, au Mar- 1905.
ne à faire des fouilles en différents™
garçon de charrue depuis 7 ans chez M. Vuille- cel ; 7% 25 fr., M. Sponville à Abbéville.
Concours du syndicat d'élevage du cheval de trait
min Emile, à Croismare : Booze Joseph, garçon
3. — Poulains. — Pour les plus beaux poulains
Etalons. — l'r prix, MM. Weynachtcr, 150 fr. • droits. Mlle Antoinette Havette lui deafl
da : « Que cherchez-vous là ? — Des...j
de charrue depuis 7 ans chez M. Briel Joseph d'au moins un an. — l'r prix, 60 fr. et une mé- 2% Hensgen, 130 fr. ; 3", Schwartz, 130 fr. ; 4%
giginiités ! » répondit le terrassier. ■
à Raville ; Schneider Jean-Baptiste, garçon de daille d'argent, M. Baulet Léon à Villancy ; 2% Purga, 120 fr. ; 5% Weiller, 120 fr. ; 6', Franiatcharrue depuis 7 ans chez M. Genay, à Bellevue- - 50 fr. et une médaille de bronze, M. Léonard A., te, 100 fr. ; 7% Barthélémy, 100 fr. ; 8', le mêdessus Antoinette Havette saisit un m
Chantcheux ; Fontaine Gustave, garçon de char- à Joudreviile ; 3% 40 fr. et une médaille de bron- me, 100 fr. ; 9', Bertrand, 90 fr.; 10% Hennequin, Jou et le lança sur la tête de Heissata
rue depuis 6 ans chez M. Thomassin Joseph il ze, M. Bertrand à Halloy ; 4% 30 fr. et une mé- 90 fr. ; 11% Doucet, 90 fr. ; 12', Genav, 90 fr. ; docteur Humbert constata une plaie «S
Flainval ; Kerber Emile, garçon de charrue de- daille, M. Hennequin, à Menaumont ; 5% 30 fr., 13', Hensgen, 80 fr. ; 14% Schmits, 80 fr. ; 15'. tuse du cuir chevelu avec suppurationB
puis 6 ans chez M. Moutton Léon à Croismare ; M. Weynachter, à Landres.
Schwartz, 80 fr.
Grosjean, ingénieur, a porté plainteB
Huberty Nicolas, garçon de charrue depuis 6 ans
4. — Pouliches. — Pour les plus belles pouliPrimes de déplacement pour étalons. — M.
lieu et place de son ouvrier.
r
chez M. Rouhling à Corbeau-Barbortville ; Vi- ches d'au moins un an. — l' prix, 60 fr. et une Léonard, 25 fr. ; Purga, 25 fr. : Sacré, 25 fr. ;
riet Eugène, garçon de charrue depuis 6 .ans médaille d'argent, M. Schwartz, à Moncel ; 2' Hennequin, 25 fr. Schmits, 25 fr.
ANOU-J
chez M. Husson Lucien, à HaussonvUle ; Cor- 50 fr. et une médaille de bronze, M. Hensgen,
Juments. — l'r prix, M. Barthélemv, 100 fr. •
Rixe. — Alexandre Boës, cultivaient!
beil Auguste, garçon de charrue depuis 6 ans au Bois-le-Blanc ; 3% 50 fr. et une" médaille de 2". Hensgen, 90 fr. ; 3% Mangenot, 90 fr. ; 4'.'
Venehèree,
commune d'Anould, suM
chez M. Jeanjean, à Mouacourt ; Guerber, gar- bronze, M. Adam Albert à Bruville ; 4% 30 fr. et Barthélémy. 90 fr. ; 5% Hennequin, 80 fr. ; 6'
çon de charrue depuis 6 ans chez M. Gena» à une médaille de bronze, M. Hennequin ; 5 . 30 Genav, 80 fr. ; T Genay. 80 fr. ; 8' Guérin, 80
un de ces jours derniers, un bons'l
Bellevue-Chantcheux ; Mangin, garçon de char- fr. et. une médaille de bronze, M. Barthélémy ; 6' fr. : 9'. Weiller, 70 fr. ; 10*. Adam, 70 fr.
deux femmes en train de cueiBir^ttesa
rue depuis 6 ans chez M. Marchai Charles à et 7% 25 fr., MM. Bellissant, au Fort, et Pierre
Pouliches. — Vr prix, M. Barthélémy, 80 fr. : ses dans son verger. Une rixe éelata'S
Beauprô-Moncel.
1 Bourgeois, à Hauoourt ; 8' et 9% 20 fr.. MM. Bel- 2', Schwartz, 70 fr. ; 3', Genav, 70 fr. ; 4% Ge- tre le propriétaire et les maraudeur»
Concours d'abornement et créations
lissont et Barthélémy ; 10% 11' et 12' 25 fr., MM. nay ,60 fr. ; 5% Schwartz, 60 fr.
• connus dans le pays, on sortit" tes m
de chemins d'exploitation, Bertrand à Giraumont ; Beclcer à Mancieulles, et
teaux et on s'en servit.
L'Association syndicale de Flainval, 400 fr.
Schwartz, à Moncel ; 13% 14' et 15'. 10 fr., MM.
I/enquète a établi que les cueilleuriB
Médaille d'argent moyen module : M. Monin,t Michel à Boudrezy ; Hennequin et Bertrand.
cerises étaient Lucien Colnat. niaiKesB
président dé l'Association syndicale de FlainB. -r Amélioration d«;s espèves bovine, ovine
au MazeviMe (Fraize), la Temme
val.
et porcine
dernier et Clémentine Sonrier, ouvrièrfl
Instruments
1. — Taureaux. — Pour les plus beaux tauARRONDISSEMENT DE NEUFCHATEAU
Rappels de médaille d'or, MM. Breton Joly à, reaux de 2 à 4 ans. — V* prix, 60 fr. et une
filature. Colnat a reçu au thorax un m
Einvaux ; Paquolte, à Lunéville.
médaille d'argent offerte par M. le ministre de
de couteau qui lui a occasionné une m
NEUFCHATEAU
Rappels méd. vermeil, M. Corny à Blainville-. l'agriculture au nom du gouvernement de la RéEvadés et repris.— La gendarmerie a profonde ; une hémorragie s'est prodil
sur-l'Eau ; Gérardin à Flin.
publique, M. Aubert à Anoux.
Morale,
16| les jours du blessé sont en danger. I
Médaille vermeil, Cargemel à Blainville-sur2. — Taurillons. — Pour les plus beaux tau- arrêté les jeunes Raymond
l'Eau.
ans, et Louis Stœcklin, 14 ans, qui s'é-!
— <
rillons de 6mois à 2 ans. — l'r prix, 40 fr. et
Rappel médaille d'arg., M. Paquatte à Flin.
une médaille d'argent, M. Becker à Mancieulles; taient évadés de la colonie de Bologne où
Méd. de bronze, M. Martin h Besançon ; Cas- 2", 30 fr. et une médaille de bronze, M. Moïse ils sont détenus.
telli à Einville ; Sefflt et Béret h Einville.
Hesse à Audun-le-Roman : 3% 20 fr. et une méARRONDISSEMENT DE REMIRE MONT
Mention très honorable, Choné à Valhey.
—-—
daille de bronze, M. Colmé auv Baroches ; 4*.
Pouliches de 2 ans
15 fr. et une médaille de bronze, M. Aubert à
LE SYNDICAT-SAINT AMÉ
Extrait
de
l'état-civil de Metz
1"' prix, Bastien à Saint-Libaire ; 2', Chaplcur• Anoux ; 5% 15 fr., M. Petit à Briey.
Vol.— On a volé dans la halle aux marà Einville : 3', Malgras à Valhev ; 4', Bastien ;;
Naissances. — Georges-Alfred Boni
3. — Vaches laitières. — Peur les plus belles chandises de la gare, deux rouleaux d'af5', Brincard à Raville ; 6', Zabel à Ranzey ; 7',, vaches laitières et les plus propres à la reprofiches métalliques du poids de 24 kilos; — Lucie-Marie Schell. — Charles-E*
Bastien : 8', Zabel ; 9', Bertrand à Serres • 10"
duction. — 1» prix. 50 fr. et une médaille d'ar' Rogalla. — Marie-Jeanne Clément. - J»
Grimont à Maixe ; 11% Jacques à Hemonville ; 12%\ gent, M. Guérin à Briey ; 2% 40 fr. et une mé- expédiés par une maison de Paris à un Baptiste Bihr. — Jean-Charles Knit*
nommé Deville.
Ce
destinataire
étant
Goudot à Bonneval.
daille de bronze, au même.
LouiseHMiarguerite Rohrbacher. — Ej*
Poulains de 2 ans
4. — Génisses. — Pour les plus belles génis- inconnu au Syndicat et à Saint-Amé, la; Kraus. — Marie-Louise Vagner. —maison expéditrice fut avisée, mais elle
1*, Refort, à la Basse RiouvUle ; 2% Picard,, ses. — l'r prix, 70 fr. et une médaille d'argent,
' ne-Madeleine Klein. — Geargees B»
à Arracourt.
ne répondit pas.
M. Guslave Petit, à Briey.
— Elisabeth-Annie Bnsch. — Marie-*
Juments suitées
5.
v- Porcs. — Pour la plus belle truie. — Un
Comme
le
colis
était
grevé
de
11
francs
. l'r prix, Victorien à Réchicourt ; 2% Bastien,, prix de 10 fr. et une médaille de bronze, M. Pe-. de frais de magasinage, le chef de gare rèse Lang. — Marguerite-Marie WK
ù Saint-Libaire ; 3", Lhuillier à Einville : 4'
tit, à Briey.
— Georgette-*^
croit que le destinataire est venu s'em- Marie-Louise Jacky.
Coqueron, à Bauzemont ; 5% Midon, à Raville ';•
Un prix de 5 fr. à M. Petit h Briey pour son
Helstroffer. — Ducie-Marie Malnwnti'
parer en douceur du colis pour ne pas"
6% Bastien.
bouc.
Joseph Ru ping. — René-Maurice W
payer ladite somme.
Pouliches de 3 ans
6. — Ovins. — Pour les plus beaux lots de
,
Mariages. — Pierre Bank, condiw
1'», Bastien ; 2'. Goudot à Bonneval • 3% ManRAMCNCHAMP
- 1 moutons présentés au concours et comptant au
geot à Einville ; 4% Goudot ; 5% Bertrand à Ser-- moins 25 têtes, un nrix de 70 fr. et une médailleI
Arrestation.— En vertu d'une contrain- de tramway à Metz, et Barbe TW
res ; 6% Barbier.
' te par corps fixée à huit jours de prison, Maizières. — Charles-Joseph Ferraoi'
. d'argent, M. Gustave Petit, à Briey.
Prix d'ensemble, M. Bastien, de Saint-Libaire.:.
Instruments agricoles. — Perfectionnement des; le nommé Nicolas Maurice, journalier.qui: langer à Metz, et Marie Jacmot, aj
Taureaux
instruments d'agriculture par les constructeurs, avait été condamné pour coupe et enlè- zieux. — Henri Drouchon, ouvrier, e'-r
Taureaux d'un an. — Pas de l'r prix ; 2% Ga-.- de l'arrondissement. — Un prix de 15 fr. et une" rie Reiter, à Metz. — Jacob Grim»-'
: • vement de bois, a été arrêté.
zin à Raville. — Taureaux de 2 ans. — 1'» prix,, médaille d'argent, M. Tétienne, aux Baroches,
niste, et Marguerite Vilmin, à f%
Choné à Valhey : 2% Georges Marchai à Einville;:; pour son exposition de charrues de sa fabricaSAULXURESi
Jules Barbier, voyageur à Saint-Aw'4
3% Gazin à Raville.
Le feu.— Une de ces dernières nuits,, Marie Chilles, à Metz. — Michel
tion ; un prix de 15 fr. et une médaille de bronGénisses de six mois
ze. M. Bérard, h Jarny.
le hangar attenant à
l'habitation
dess voyageur, et Alice Barbier, à
l'r prix, Rodhain à Raville ; 2', Marchai GeorExposants n'habitant par l'arrondissement. —. époux Maurice, cultivateurs à l'Envers- Victor-Mairie Mogenot, ouvrier S A
ges à Einville ; 3% Choné & Valhey ; 4% Mangeot
it Une médaille d'argent. M. Tétiennc, aux Baro-- I de-Bâmont, a été incendié, avec les deux
s gtny, et Juliette-Marie Perrin, a M*
Le Comice d'Einville1!
1
J
■
Les Prix
Primes culturales
Prix d'honneur, objet d'art : M. Gazin Henri, a
Ràville, pour l'ensemble de sa culture et sa bonne terme d'exploitation. Gratification aux servin
leurs de M. Gazin : 25 fr
Méd. d'or : M. Bustien, à Saint-Libnire-Serres.
Méd. de vermeil : M. Marchai Georges, à Einvi
ville ; Marchai Jules à Eiuville.
Méd. d'argent grand module : MM. Barbier
Victor, à Deuxville ; Thomassin, à . Flainval ;
y
c
Colin
Théodule, à Flainval.
Méd. d'argent : MM. Commun fils, à CharmoisB
Bonviller
; Durand Victor, à Maixe.
Création de fosses à purin
MM. Mangeot, « Einville, 50 fr. ; Gazin, à Raville,
50
fr.
; Mourot, à Haute-Foucrey-Valhey, 40
v
fi ; Midon Ernest, à Raville, 40 fr. ; Marchai
fr.
JJ., à Einville, 40 fr. ; Colin Th., à Flainval, 40
fr. ; Marchai G., ù Einville, 40 fr. ; Commun
fi
fi
fils,
à Charmois-Bonviller, 30 fr. ; Othelin Louis,
à
° Bauzemont, 30 fr. ; Coqueron, à Bauzemont,
30
* fr. ; Calais, à Einville, 30 fr. ; Durand, à
Matixe, 30 fr. ; Marchai G., à Sommerviller, 30
*
fr. ; Barbier-Marin, h Crévic, 20 fr:
Sylviculture
Médaille d'argent grand module : M. Marchai
j
Jules,
a Einville.
Médaille d'argent moyen module : Gazin Jules,
à Raville ; Bastien Jules, il Hoéville.
Médailles de bronze : MM. Bastien Charles, à
cSaint-Libaire-Serres ; Henry-Marin, à BauzeJmont ;Maire Eugène, a- Sommerviller.
Prime en numéraire de 20 fr. : M. Chrétien
J
Jean-Baptiste,
chez M. Gazin Jules, à Rav
v "ie.
■
Prime en numéraire de 10 fr. : M. François
Joseph,
chez
M.
Henry-Marin,
à
Bauzemont.
J
Mention honorable : Prime en numéraire de
,
35 fr. : M. Idatte Jules, garde des eaux et for
rêts à Crévic.
.
,
Mention honorable : Prime en numéraire de
g30 fr. : M. Simonin Joseph, garde des eaux et
f
forêts
à Lunéville-Nord.
Récompenses
accordées aux instituteurs
'
et institutrices
Hors concours (volumes) : M. Joly, instituteur
ga Chanteheux, pour son enseignement agricole et
_
ses
travaux personnels.
Médailles d'argent : MM. Mathieu, instituteur
eà Laneuveville-aux-Bois ; Berger, instituteur à
(Crévic ; Mlle Stofflet, institutrice à Serres.
Médailles de bronze : MM. Gérard, instituteur
à Saint-Clément ; Simonin, instituteur a Serres ;
Gond,
instituteur à Moncel-les-Lunéville ; Geor'
ge, instituteur à Valhey ; Plaisance, instituteur
j
à Vitrimont ; Henry, instituteur à Bauzemont ;
iMme Henry, institutrice ù Bauzemont.
Mentions honorables : M. Michel, instituteur
i Maixey ; Mme Berger, institutrice à Crévic ;
à
1
Mlle
Flosse, institutrice à Maixe.
Ouvrages
sur l'agriculture décernés aux élèves
l
classés dans l'ordre du mérite qui suit :
Ecoles de garçons. — t"* prix, MM. Corriger
Raymond,
de Moneel-les-Lunévïlle ; 8', Simonin
J
Denis,
de Crévic ; 3* ex-aequo, Deté Charles, de
!
Moncel ; Henry Benoit, de Bauzemont ; 4" ex'
asquo, Simonin Henri, de Serres ; Saintsirnon
i
Edmond, de Bauzemont ; 5" ex-œquo, Brincard
i
Gustave,
de Bauzemont ; Pierson Léon, de Laneuveviile-aux-Bois ; Vély Henri, de Saint-Clément ; Laurent Henri, de Valhey ; Gond Henri,
de Moncel ; 6% Natte Paul, de Crévic ; 7' ex«juo, Boulanger Henri, de Moncel ; Barbe Auguste, de Serres ; Pierson Adrien, de Serres ;
Simonin Raymond, de Serres ; 8* ex-œquo, Meyer
Brançois, de Crévic ; Bertrand Charles, de SaintClément ; 9' ex-œquo, Toussaint Emile, de Chanteheux ; Michel René, de Maixe ; Geoffroy Marcel, de Crévic ; 10" ex-œquo, Masson Gaston, de
Crévic : Marchai Louis, de Laneuveville-auxBois ; Thouvenin Henri, de Vitrimont ; 11' exaequo, Bousset Louis, de Saint-Clément ; Mirgon
Hubert, de Vitrimont ; Marchai Maurice, de LaneuvevfUe-aux-Bois ; Bachelair Emile de Chanteheux ; 12" ex-œquo, Richard Gaston, de Chanteheux ; Lambert Paul, de Laneuveville-aux-Bois;
Rollin Charles, de Crévic ; Toussaint Paul, de
Saint-Clément ; Henry René, de Vitrimont ; 13'
ex-œquo, Goudot Georges, de Vitrimont ; Pobé
Charles, de Vitrimont.
Ecole de filles. — 1*» prix, Mlles Marchai Marie-Louise, de Bauzemont ; 2", Fiacre Catherine,
de Crévic : 3% Dêplanche Marie-Thérèse, de Bauzemont ;.**, Bricot Marie-Marguerite, de Bauzemont ; 5', Simonin Suzanne, de Serres ; 6', Leelerc Marthe, de Serres ; 7" ex-œquo, Beurton
Suzanne, de Maixe ; Bernard Adeîine, de Crévic ; 8' ex-œquo, Audas Angelina, de Vitrimont ;
Thouvenin Joséphine, de Vitrimont ; 9', Noulfert
Juiia, de Crévic ; 10', Barabinot Marcelle, de Vitrimont ; il*, Lafleur Augustine, de Maixe.
Manœuvres, bergers, pitres communaux, vignerons, houblgnniers à façon et ouvriers forestiers
Médaille d'argent moyen module. Prime en
numéraire de 10 francs : M. Lhommée Charles,
depuis 60 ans chez M. Marchai Georges, à Einville.
Médailles d'argent petit module. Primes en numéraire de 10 francs : MM. Larue Joseph, depuis 55 ans chez M. Lhuillier Jules, à Einville ;
Colin Joseph, depuis 53 ans chez le même ; Lcloup, depuis 50 ans chez Mme veuve Charpentier à Raville.
Médailles de bronze. Primes en numéraire de
10 francs : MM. Potier Charles, depuis 47 ans
chez M. Marchai Georges à Einville ; Hatton
Jean, depuis 44 ans chez M. Barbier Victor à
Deuxville ; Barbe François, depuis 42 ans chez;
M. Marchai Jules à Einville ; Chatton, depuis 41
ans chez M. Briel Joseph ù Raville.
Mentions honorables. Primes en numéraire dei
10 francs : MM. Darnoy Auguste, depuis 40 ans;
chez M. Othelin à Bauzemont ; Monin Charles,,
depuis 40 ans chez M. Boulanger Charles à Deuxville ; Thisselin Emile, depuis 39 ans chez M. Cabocel Joseph, à Serres ; veuve Martin, depuis;
39 ans chez M. Boulanger Charles à Deuxville ;;
Vosgien J.-P., depuis 3(i ans chez M. Ba.jolet Jules à Deuxville ; Humbert, depuis 35 ans chez:
Mme veuve Charpentier à Raville ; Thisselin1
Edouard, depuis 35 ans chez M. Brincard à Bau-zemont ; Lanord Pierre, depuis 33 ans chez M.
Marchai Eugène, à Einville ; Pisrron, depuis 31t
ans chez M. Bajolet Jules à Deuxville ; Deboutt
Joseph, depuis 31 ans chez M. Midon Ernest, at
Raville ; Contai Joseph, depuis 31 ans chez M.
Burtin Alfred, à Drouville ; Houillon Joseph, depuis 30 ans chez M. Commun, ferme de Charmois-Bonviller ; Martin Joseph, depuis 30 ans3
chez Mme veuive Charpentier, à Raville ; Mme3
Lhommée Annette, depuis 30 ans chez M. Mar-chai Georges à Einville ; Mirgon Charles, depuis 28 ans chez M. Barbier Victor à Deuxville ::
Dogat Hippolyte, depuis 27 ans chez M. Com--
^gggS^SÊSSSÊSSÊSSSBBÊÊSSSSSBSSSSSSS
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Le Comice de Briey \
Lés Prix
VOSGES
1
LA
SOCIÉTÉ VOSGIENNE D'ART
Depuis sa récente ouverture, l'Exposition de la Société Vosgienne d'Art voit, chaque jour, de nombreux visiteurs stationner
longuement dans les galeries consacrées à
ia peinture proprement dites — galeries
provisioiras, fort bien aménagées au fond
du jardin de la « Maison romaine » — ainsi que dans les salles de cette originale
villa, parées de la splendeur des objets
d'art décoratif.
C'est que la saison est propice aux voyages. Les excursions dans las Vosges ont,
en ce mioment, la faveur de tous ceux qui
recherchent l'ombre, la fraîcheur, le repos estival dans les belles forêts de sapins
et d'épicéas.
Epinal et la limpide Moselle attirent donc
des étrangers, et l'Exposition actuelle les
retient. Parler de cette manifestation d'art
est, à la fois, conforme au désir de l'estoc-tique et à celui qui. Xious pousse vers
âtexil, momentané ci délicieux, des villégiatures. Aussij ne faut-il pas s'étonner,
si parmi les, œuvres exposées à Epinal on
iEemarnue beaucoup de paysages, et surtout des paysag.es des Vosges. Nous alfetfis en faire passer l'examen au lecteur.
Ï*uissie4-il s'imaginer que le hasard d'une
promenade l'a poussé — ainsi que nous|û>ame, a y a quelques jours — en ees
%mz charmants que baigne la douce rijprière d'Ausone J
I iiiBaliaaBnaaMwwn.wiipiMii.iiiin
I
LA PEINTURE
TROISIÈME EXPOSITION DE
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LORRAINE ET ALSi
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1
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admirer 'es mains détaillées, les faces ridées ; cependant que les effets de couleur,
aont plus particulièrement marqués dans
las choses : les toits de tuiles, les murs, anciens de briquesM. Lucien Biva,,élèvei de ,epn père,a d'intéressantes notations de couleur,ta Table fleurie, notamment et un Plateau de MaUéoïllc
a réjouir plus d'un Nancéien.Familier dés
salons lorrains, M. Btehay expose un portrait et une étude de nu où l'on renia Vue
des qualités dans le dessin, sans grand éclat
de la couleur.
Je goûte beaucoup le rustique Intérieur
de cuisine de Mlle Marie Calvès. Les fruits
et la bassine de cuivre de M. Charbonnier
réjouissent l'œil par leur agréable mode-
Pour gagner l'annexe qui contient les
tableaux on traverse la Maison romaine,
puis on longe la bibliothèque de la ville.
Lntue tes colonnes classiaues du bâtiment
Ion aperçoit la cité studieuse des livres!
comme endormie par la chaleur. Le voisinage est de bon augure, et l'on a la
sensation très nette de pénétrer sous les
auspices de la Société vosgienne d'art, si
prospère déjà malgré son jeune âge, en
un milieu, des plus cultivés, de pensée modema
M. Léon Barillot a envoyé un bel exemple de son faire d'animalier doublé d'un
excellent paysagiste. Son Canal de VOme â
Un puissant relief, dû à une étude très
Oinstreham, sous un ciel bas chargé de poussée de la perspective aérienne appanuages est bordé par un pâturage où le bé- raît dans le Crassier de Jarville pendant le
tail aux flancs luisants et polis complète , circuit de l'Est du peintre nancéien Pierre
1 harmonie du tableau.
Claudin. L'aéroplane occupe un coin du
Mlle Léonie de Bazelaire de Ruppière ciel, mais l'intéressant c'est cette foule
marne le pinceau avec un brio assez rare grouillante, en plein soleil, avec des ombres
sous les doigts féminins, le plus souvent
bleues, sur l'étrange cOne du crassier. Cetassez timides. Les audaces, heureuses, de te petite scène de genre est vivante et d'ob1 impnessionisme pointilliste ne l'effraient
servation très juste. Elle est à notre époque
Pas ; elle les accommode avec goût au
ce que furent, pour les Nancéiens de 1880,
rendu de la vibrante atmosphère méridio- les peintures estimées des frères Voirin.
nale. C'est clair et lumineux. Il semble
Mlle Marguerite Coince traduit la campamême que la vivacité des tons nous régne lorraine avec de bons effets de pleinchauffe.
air, un peu dans la note du paysagiste ReEt pour goûter un peu de fraîcheur naudin.
quoi de mieux que do gagner les sites faBien que le domaine artistique de M.
miliers à Léon Barotte, ses sous-bois de
Paul-Emile Colin soit plutôt la gravure,
sapins, ses bords d'étangs, variations très ses toiles complètent assez bien cette phydélicates de la nuance, fondus charmants sionomie intéressante d'un fervent amoudes gris fins de la Lorraine ou des environs reux de la nature.
de Paris.
Une Tête d'homme, énergique, de Mlle
Voyageons encore. Au pays des FlanFlorence de Conink se trouve notée en bondres, M. Jules Benoît-Lévy appliqua son
ne place dans mes souvenirs ainsi que La
talent, qui frappe par des moyens simples vieille maison de l'arbre rouqe et les Péniet discrets à mettre en valeur des scènes
ches de M. Constant Duval.
pittoresques. L'une des plus remarquables
Nous retrouvons une toile déjà décrite
fut pointe à Bruges Sur le Quai vert. C'est dans les Salons nancéiens : La marraine de
une des toiles les plus attachantes de cette
S-oano (Albruzes), de Mlle Marguerite Deexposition. Le groupement est réussi de lorme. Ce tableau, dont la composition est
GCS trais î-cîmaaes en niantes dont an peut
si pittoresque et dont le rendu est le fan
V
Encore un nom que nous voyons souvent
sites du Doubs sous le pinceau d'Emile
dans les expositions nancéiennes, celui de
d'un pinceau léger et transparent retrouve
ici tout le succès qui TOI vaiut, à Paris, ie . Mlle Alice Gillard, dont les Fleurs de Nice
procèdent par oppositions de taches claires
piix ualimard-Jaubert.
et de touffes sombres.
Dès l'entrée de l'Exposition,- les cartes
M. Gabriel Guérin est un peintre de tapostales mises en vente nous avertissaient
que nous trouverions un tableau sinon cé- lent, originaire de Bourbonne-les-Bains. Il
lèbre, au moins populaire de M. Darien : semble qu'il n'ait point ignoré l'un de nos
La Place du Châtelet, à Paris. Il y a là, au meilleurs paysagistes vosgiens : Louis
Français, de Plombières, ni peut-être Selpoint de vue pictural, une bonne opposition
lier, ni, sans doute aussi Corot, C'est dire
entre la lumière de la Seine et celle différente, de la berge. Les personnages sont nom- qu'il voit la nature dans une certaine coubreux et amusants.
leur qui n'est point de l'école impressionToutefois, plus artiste m'apparaît la vi- niste, mais plutôt celle du grand paysage
sion de M. Jean E-nders qui rend avec beau- de style — arbres tenus dans les notes somcoup de poésie un aspect des inondations bres, prairies d'un vert un pou embué tirant sur ie gris. 11 n'est pas jusqu'à la
de la Seine, au pont des Invalides en 1910.
composition introduisant des nymphes
Il y a là un ciel couvert do nuages avec
rais de lumière sur lequel se détache, en dans le décor qui ne fasse songer au peintre charmeur des bords de la Marne. Les
grisaille, le Trocadéro, d'un très fin et très
joli sentiment.
toiles de M) Gabriel Guérin, en notre époque de tons crus et d'impressionniste lâché
Et l'autre toile de cet aimable artiste :
Un nid dans les vieux murs n'est pas sans surprennent tout d'abord ; ensuite séduirappeler beaucoup les magnifiques et char- sent.
Parmi les toiles envoyées par M. Grandmants décors de l'Oiseau bleu de Maetergérard. celle intitulée Dans le vieux cimelinck, au théâtre Réjano : la même atmostière et qu'a reproduite la Revue lorraine
phère tremblée, le même mystère envelopillustrée est connue. On ne peut qu'en louer
pant les objets s'y rencontre ; et peut-être
le 'e:teur a-t-il deviné déjà que les vieux la calme et belle ordonnance. Une marine
du même jeune maître accuse cne étonmurs sont ceux, voûtés, d'une abbaye, et
nante profondeur dans la perspeeti >ê.
que le nid est un nid humain composé
Au nu très clair et d'une souplesse'presdjune femme et de petits enfants, groupe
que inquiétante de M. Henry-Bardot nous
délicieux sur lequel joue harmonieusement
préférons ses Vaches au gué, dom ie pelag
la lumière.
bigarré — roux et blanc ; noir, grs-bleu et
Gagliardini, un Alsacien de Mulhouse,
blanc — se détache dans une si jolie lumié
s'est voué plus spécialement aux effets de
re, bleu et argent.
couleur chaude des paysages du Midi et
M. Auguste Herbst, élève d'Emile Gallé et
d'Italie.
continuateur du maître pour la comnosi
Jacques Gruber présente — et très artistement dans un cadre à sabres moulures — tion d'ébénisterie, expose une vigoureuse
Forêt de pins, d'un sentiment décoratif 1=
le carton des vitraux si remarquables qu'il grande allure.
a composés pour la grande salle de la SoL'anecdote militaire rencontre en M Vif
ciété industrielle de l'Est à Nancy. Hestaux
a des sous-bois vosgiens dont l'on aime les tor Huen de Colmar, un traducteur ' aux
accents éloquents et patriotiques conmâvT
pierres moussues lavées par une onde écub es, en littérature avec «u! du VomTcter
meuse et les troncs bigarrés des sveltes réd'Esparbès (Le petit tambour de Hix ?in \
sineux. A rmtaxqaex aussi ses effets de
On connaît la douceur harmonieuse
neige délicatsdes
1 Issembart. Des eoms de nature du même
genre ont été mis en valeur non s
*j
leté par M.Jeanmougin.dont la V3
digue gagnerait parfois à plus de re- J|
Puis voici tout un groupe d'exp°sjïïB
miliers à nos Salons lorrains : Mses fleurs aux riches et francs col0't<[ii
Kreyder dont les natures mortes^"
sèment traitées ; M. Armand ^eu"nM
la Bourbonnaise semble une étape n M
de ce peintre des milieux modesi - m
une couleur plus abondante ; 1 jS«
dont fleurs et fruits ne sont ial"':eCt«
vres ; M. Licourt qui surprend, a
m
de finesse, le charme d'une doue J
particulière des pays qu'arrose, en
ne, la Meuse.
-S>
M. Léon-Charles Lallemand p^l
don si utile au peintre, et, niaigi-^
1
peu commun : de bien voir le p \ j
des choses pittoresques.
îjjiii
M. Lurçat nous promène Sous 1- 0,
â Bruyères ou dans la Vallée a
Epinal... On s'y croirait,
it
w
Les évocations du premier emp
e
Malespina plairont à ceux qui, ' Btf
militaire, affectionnent le docuu' ■
cis.
,0
Ce M. Muenier, le Ruisseau et *«» ^
paysages de valeur. M. Mingre* ^,,1
exposants les plus originaux du « #1
pinal. Sa peinture est moins u« M
d'observation directe qu'une< «
décorative. On la verrait tre^
de sujet à des trumeaux, au-des-1-^
tes ou des cheminées, genre ^Y jgS*
ds u
et les peintres de son école ne oe
;t
point,
tout 1
En général, ces toiles sont suu
d
u
rmindublcs par une harmonie u-'a{.qo»
chée, de la composition- J'ai re. rjér«J
ticulièrement le Nu dans
é^.
Croissant de lune, lisière de l0,"„'uiii5"
a
tons roux Rapprochant de la r ''urIiW
des modelés enveloppants qui
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tour du sujot principal auqiueainsi le maximum d'importan-
'«"7,
l!
(A suivre.)
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L'EXTENSION
Laniwa£Nancéien
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CONSTRUCTION
i-Tua l'Immeuble :
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«al Ovliciel du 8 juillet 1911 a
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décret déclarant d'utilité
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de modification et
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NancY, votés, l'an dernier, par
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nécessaires
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pour
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rfn ces travaux doivent être acuU0,
Irf
!,nn un délai de 3 ans à partir
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!Ui'- -n 1911 date du décret précité.
Idu^J?,' ne Nancy est autorisée à pour-
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construction et à l'exploitation
étendu et à le rétrocéder
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B^jffleBlège social est ù Pans,
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réseau expagnie, est
Sfcli»*4 à Qu'ait 31 décembre 19G3.
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de l'intérêt qui s'attache à
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n}» " nous reproduisons, in-extenWtte
texte de l'avenant andu
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flfl ville de Nancy s'engage
f» Art- 1 •
, rEtat, pour la rétrocéder à
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la concession, jusqu'au
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W^L* ligne de la rue de Toul ,à la
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rue du Ru lssoau
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^ 1 lVne circulaire avec le parSfehce
Carnet-rue de Toul dont la
Stoura P'afî..ise entre la place Carnot et
"cesserait d'être exploi-
S
'I' iVune
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ligne de la gare à Maxéville
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(rue ,
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Sud,
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de la gare au cimetière du
^ ro!ongement éventuel sur les
.'.tiiierie :
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S^e à la route du
J^fÙaevoie
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rue
de service dans la rue
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^rt, entre l'avenue de Bouflr
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de Villers.
^1 » t 2 — En compensation des charges
(f'j Lté nature qui résulteront pour la
■ Pr6 «fie tant de l'établissement de ces
f^ûwâ'es que de l'exécution des sti, * ^iTàes articles 3, 4 et 5 ci-après, la
? ^Sfse à demander à l'Etat et à réU Compagnie, la prolongation,
f « -ïSl
6îa
S7u ^ exploité par la Compagnie
2 mii fait l'objet de la convention du 15
Vmbre 1903, modifiée par l'avenant du
/juillet 1907.
uf. "L 3 _ a) Les rétrocessions mention«tas aux articles qui précèdent sont acM« Ses à la Compagnie, conformément à
r^du H juin 1880. à la loi du 15 juin
dfflî joQg et aux conditions stipulées dans la
cirea convention et l'avenant sus-montionnés,
ant ainsi nue dans le présent.
„„
b) La Compagnie s'engage, d autre part,
UB
* i prendre à sa charge les frais de rescm51 :
dément de trottoir et de déplacement d'ap*k 'pareils d'éclairage que nécessitera l'exéntsi
'
&on du réseau visé au présent avenant,
daK
jétart entendu que, dans la rue de Metz,
!^' • f installation do la voie aérienne s'effecxt
ffaera au moyen de rosaces placées contre
U
\ÏN immeublés et portant des fils tendeurs
. jpinis de sourdines et qu'en cas d'impos■bilité, on emploiera des poteaux à socle
. Bot pour dégager les trottoirs et ne pas
înte
] circulation des piétons.
a a
Par contre, la Compagnie n'aura à sup, N(jjjforter aucune charge dans les acquisiIons.d'immeubles nécessaires par l'élar"^psséwiit des voies, publiques . emprun;,;j|^s,,:Bi,;uan3 les travaux d'aménagement
>p
^tiJpi etyjïrant, la conséquence. La ville
.jaa|jiéciéra ces travaux, dans les délais'
Qu'elle jugera convenables. ' , " ,
im
ies if) ûans lé. cas °à au moment, de l'éta" pissement des lignes concédées, des, diffili^pfcltés d'exécution dûment reconnues né-.
^(j'Jpssiteraient la modification dés tracés cie de r désignés : ligne circulaire dans la
vrièKM?ttie comprise entre le boulevard Godeun Jfi>y-(ie-Bouillon et la rue du FaubonrgJ^Trois-Maisons, lignes de la gare au
ime
^-odiBstetière du Sud et de la gare à la route,
. m Montet, dans la partie comprise entre
eJ
gare et le pont du Montet, la ville et la,
tompagnie se réservent do leur substia r s
« tim-J' P é instruction régulière et déclaUillt, d'utilité publique, des tracés diffépits, mais ne comportant pas, pour la,
, if^pagnie, des charges de construction,
K "«ploitation supérieures à celles desi
Bfi
"Ki T Prévus à l'article 5 ci-après.
lc
"?*sL' 11 com
PaS"ie accepte de prolonger
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JE- * casorn«s d'artillerie la ligne "dui
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du Sud dès
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qu'un« voie d'accèsi
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. BaW engagement est valable pour une du-.
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r D. — Ayant 33 ans, je voudrais me marier. Ma mère ne veut pas me donner son
c
oomscinteimenit. Dois-je faire des actes resfpectueux ?
R. — Vous n'avez plus besoin du cons
semtemeint de votre mère.
D. — Quand un ministre, à l'occasion
c
d'une
céi'tmonie patriotique, remet à quelQqu'un un diplôme d'officiei d'Acadrmie et
I
lui passe à la boutonnière le nœud violet,
c quelqu'un doit-il recevoir plus tard la
ce
c
décoration elle-même, c'est-àdire les palr
mes
d'argent - ou bien le nouveau promu
«doit-il acheter à ses frais cette décorattion ?
R. — Le gouvernement ne décerne que
t diplôme. C'est au titulaire à se procule
>
rer
les palmes s'il le désire.
1 D. — Un jeune homme désire s'engager;
muni des pièces nécessaires, i) se présente
«au bureau de recrutement. A-t-il besoin
<
de
faine, adjointe aux autres pièces, une
(demande par écrit î
11. — Non.
A
1 D. — Un monsieui correctement vêtu,
bonne
tenue,
n'étant
pas en état d'ivresse,
f
se présente chez moi, me demande une
I
1consommation ( un bock, où un verre quel1conque), suis-je obligé de le servir, ne ie
connaissant pas et à deux heures de l'a1
près-midi
?
R. — Vous n'êtes pas forcé.
1 D. — Etant domestique dans une ferme,
^ Cet arrangement, vieux déjà d'un an, I en Allemagne, depuis cinq ans, et étant
vient de recevoir, seulement, force de loi, payé
!
comme c'est la coutume, là-bas, tors
à une époque de l'année où « la campa- les ans à Noël, sans aucune signature de
:
gne » est commencée depuis longtemps ma part attestant que je travaille à l'an*déjà. Néanmoins, la Compagnie espère née. Mes patrons viennent de quitter l'AiJmener à bien, au courant même de cet \lemagne pour venir reprendre une ferme
été, plusieurs des travaux à exécuter. A dans un « petit village », près Nancy où
oet effet, ses équipes s'emploient avec ac- ils resteront toujours.
1tivité sur divers points du territoire nan
Ne m'y plaisant plus j'ai donné mes
céien.
<
huit jours le 4 juillet 1911 et suis parti
Ainsi, elle compte que la ligne du cime- le 11 juillet au soir.
1tière du Siud,, commencée depuis plusieurs
Ayant demandé mon argent mes patrons
jours, pourra entrer en exploitation vers n'ont pas voulu me régler prétextant que
:le 15 août, au plus tard. Ce serait un
suis à l'année et veulent me retenir trois
igrand bienfait pour les familles ayant des je
mois.
<
défunts
en cette vaste nécropole, déjà si
1° Que faut-il faire pour rentrer dans
peuplée.
mon argent î
**.
2° Ont-iUs le droit de me retenir trois
Viendra, aussitôt après, le prolonge- mois, ayant fait mes huit jours ?
:ment de la voie Champigneuîles-M.axéR. — En France comme en Allemagne,
ville-plaoe Carnot, jusqu'à la gare de les domestiques de ferme peuvent être enNancy. Quant au doublement de cette li- gagés à l'année et ne doivent pas quitter
gne, le long de la rue de Metz, on s'y met- en cours d'année. Vous pouvez citer en
tra dès le mois d'août. C'est un trapail justice de paix, mais il est possible q-ue le
très important, mais dont l'exécution va juge décide que vous ne pouvez partir en
<soulever inévitablement des récrimina- cours d'engagement, et vous condamne à
tions chez les riverains. Puissent-ils s'ar- des dommages-intérêts.
mer de patience en considération des ser.*+
vices que leur rendra la ligne ainsi améD. — Mon voisin à la campagne a réuliorée et qui les transportera désormais ni en unie propriété close différentes parjusqu'à la gare sans rompre charge.
celles de terrain traversées par un sentier
Autre amélioration :
desservant également les terrains voisins.
En ce moment même, la Compagnie fait
Pouvr clore sa propriété, mon voisin a
« riper » la voie sur Champigneulles ; reporté oe sentier le long de la clôture de
c'est-à-dire qu'elle fait procéder au dépla- sa propriété. Or, je viens d'acquérir la tocement latéral des rails, de façon à lais- talité des terrains traversés par ce sentier,
ser la plus large place possible à la circu- mon voisin peut-il m'interdire le droit de
lation, si intense sur cette route.
passage le long de sa clôture, sous pie*+
texte qu'ayant acquis toutes ces parcelles
lie doublement de la ligne Laxou-Fssey, voisines, je supprime par le fait même le
depuis ia rue Piroux jusqu'à la rue de sentier qui les traversait
Toul est' prochain, également.
En un mot, mon intention étant de clore
aussi ma. propRiiété, pourrai-je passer entre
**
Et la' question de savoir quand on pa- les doux .propriétés isur le terrain apparte- .
rachèvera la « ceinture » dé Nancy-Tram- nant à mon voisiln donnant accès aux parway en reliant Boudonville à. la piace La- celles de terrain que. je viens d'acquérir ?
fayette ? Ici, on est arrêté par Tes exproR. — Si les parcelles que vous avez acprSations à accomplir rue d'Auxorune.C'est quises jouissent d'un droit de passage sur
affaire à la ville dè les traiter.
le terrain de votre voisin, vous avez droit
La ligne venant du boulevard Godefroy- â ce passage.
de-Bouillon descendra, en effet,
par
**
Auxonne et passera sous le pont du cheD. — Un locataire a-t-il le droit de metmin de fer, rue du Ruisseau. Ici encore, tre du bois dans son grenier ; n'y a-t-il
antre difficulté à résoudre, cette fois avec pas un règlement ou article de loi, intérla. compagnie de l'Est. Le pont devrait\ disant de surcharger les immeubles sur un
être élargi et élevé.
seul coin ?
Mais il est permis de croire que ces,
R. — Le locataire a le droit si son bail
questions, depuis longtemps envisagées et ne le lui interdît pas.
étudiées, seront solutionnées à assez bref
***
délai, de façon à ce que le « réseau » du
D. — Les arbres d'une propriété voisine
tramway nancéien soit complet.
Toute- étendant leurs branches sur le toit de ma
fois, on l'a vu par le décret, un délai de, maison, et par ce fait, y formant des amas
'<
trois années est prévu.
de feuilles, que je dois enlever assez sou■
vent, et plus encore, chose essentiel**
■
Enfin, quoique la spécialité de la Com- le, au point de vue sanitaire, ces feuilles
i
pagnie générale française ne soit pas d'on-\ s'engouff rant dans lé chenal conduisant à la
i
treiprendre des travaux suburbains, il est citerne, rendent l'eau infecte et nauséa-■
entendu qu'elle doit prolonger,
jusqu'à bonde. Ayant demandé plusieurs fois aui
Pompey, la ligne de Champigneulles.
propriétaire pour les couper moi-même oui
C'est cinq kilomètres de voie à établir.
les faire couper, il ne m'a jamais fait réOn n'apait pas l'intention, paraît-il, de\ ponse. Par conséquent, veuillez m'indiquer
"
s'y mettre dès cette année, mais la direc- s'il vous plaît comment et à qui je doisj
tion de Nancy se rend compte qu'on at- m'adresser pour faire cesser cet état de
!
tend d'elle de constants efforts ; elle veuti choses, le plus rapidement possible ? 2°
« s'adapter » en quelque sorte au dévelop- Puis-je couper les branches tombant sur'
pemèmt de Nancy et de sa banlieue.Aussi, mon toit, moi-même sans son autorisation ?
?
la construction du trançon Cham,pigneul- 3° Puis-je revendiquer des domagas-intéles-Pompey sera.-4-elle commencée dès le[ rêts pour le préjudice qu'il me porte tous
'
15 octobre et menée rondement, si
le3 les jours, entendu, que mon locataire a1
temps le permet. »
quitté la maison par rapport à cela ?
R. — Vous ne pouvez couper les arbres3
vous-même, mais vous pouvez citer votre3
? voisin en justice et le faire condamner à1
POItT SAINT-filîOROKS (débarquement)
élaguer, avec dommages-intérêts.
j
Arrivages continuels de vins de toutes provenances,
de 8, 9, 10 et 11 degrés, vendus moyennant faibl"
commission, avantages în prenant au débarquement. Vente comptant, on prête les fûts. Dégusta-■■■
tionà3 h. Il2. M. CH A MUA Y, rue des Jardiniers,■"
63, reçoit les commandes et remet les échantillons.
Cidre de Normandie Grand Mousseux
D. — Pourriez-vous me dire où je pourrais me procurer toutes les adressas des3
éditeurs de musique dans les principalesî
villes 'de France ?
R. — Dans le Bottin de Paris et des Départements.
'
-i
| Piéton
' Chaque semaine, des correspondants
nous adressent des réclamations au sujet
c
ide petites correspondances auxquelles il
n'aurait
pas été répondu. Rappelons qu'il
e
est
répondu dans le journal d toutes les pet
rlites correspondances. Mais la P. C. ne pafraît pas d jour fixe. C'est d nos corresponodans d lire chaque jour l'Est républicain et
à y chercher la réponse d leur demande.
: lireM aoi vins des «Ms lalat-Seorp
jMOU a
Î
d,
^%t45inbe°UieLardcl emin
^*asie,
'l^tiS*
Petites correspondances
f;
VANT-GARDE
ta»
i
|
|
<■
WAY
I
Il ne serait pas effectué de pavage sur
le
n boulevard d'Austarsie.
Le point voisin de l'octroi d'où s'effectuoiNiiient les départs matinaux serait le
pont de Tomblaine, rive gâche.
(La ligne serait desservie aux quinze minutes, étant entendu que los départs de la
gare seraient réglés de manière à s'intercaler en Une ceux du service de Laxou à
E
Essey-les-Nancy.
En ce qui concerne le pont de Tomblain
ne,
si son élargissement était imposé par
1'
l'autorité compétente, la ville et la Gomp
paante foraient les diligences utiles pour
o.
obtenir la participation de la commune
d Tomblaine et du département de Miourdo
the-et-Moselle à l'exécution de. ce travail,
L
Le complément de la dépense serait part;
tagé
également entre la ville et la compagnie.
g
En compensation des charges qui résulU
feraient
pour la Compagnie de la const,
truction
et de l'exploitation de la ligne de
1
Tomblaine,
il est stipulé que la date de
l
l'expiration
de la concession, fixée par
1l'article 2 oi-dessus au 31 décembre 18G3
sera reculée de deux ans, dès la rétrocesssion de la ligne dont il s'agit.
f) La Compagnie s'engage, sous réserve
d
de l'approbation du préfet à se charger,
P
pour
le compte et aux frais de la ville, si
ccotte dernière lui en fait la demande, de
«
D'arrosage
des voies publiques empruntées
p
par
les voies de tramways, au moyen de
t
tonneaux d'arrosage à traction électrique,
ddans la mesure où la cnrculation dos
ttramways le permettra. E'exécution de ce
s
service
sera effectuée en oonformité dos
accords spéciaux intervenus entre la ville
eet la compagnie.
Il en sera de même du transport des
!matériaux destinés aux services publics
eexploités ou concédés par la ville, notamrment de ceux nécessaires à la constructtion où à l'entretien des voies publiques
.c
empruntées
par le réseau ».
L'avenant porte les signatures de M.
Beauchet,
pour la ville de Nancy, et de
j
M. Jules Rostand, président du conseil
t
d'administration
de la Compagnie généi
rale
française do tramways.
conviction était faite : l'incendiaire, c'était
lui, mais avec une habileté infernale, il
avait su faire dévier sur des tiers, ou, plutôt sur un tiers, le malheureux Blanchard,
les soupçons de la justice.
Quoi qu'il en fut, tous les efforts du contentieux de la compagnie se concentrait sur
ce but : « Ne pas payer et gagner du temps
jusqu'à la fin du procès criminel engagé.
Peut-être surgirait-il, au cours des débats,
quelque incident qui remettrait les choses
au point et permettrait à la. compagnie de
ne pas régler un sinistre à l'auteur même
de l'accident. »
Le juge d'instruction commis, M. Pascaud, avait reçu communication du dossier
recueilli par les adversaires de M. Robert
sur son compte. U avait été, lui aussi,frappé du peu de consistance des charges relevées contre une existence entière de probité
et d'honneur,que le fait d'une lettre retrouvée sur le lieu du sinistre. Ne pouvait-i! l'avoir perdue ï
Non, puisqu'il affirmait l'avoir déchirée
et jetée dans le bureau de son patron au visage de M. Robert. Cet homme parlait avec
un indéniable accent de vérité. Si cette lettre avait été déchirée, comment se retrouvait-elle entière ? A moins qu'on l'ait refaite ! Après tout, ce n'était pas impossible
et les inspecteurs de la compagnie d'assurances nourraient bien avoir raison.
Contre M. Robert, au contraire, tout était
concluant. Passé d'aigrefin qui dépouillait
sans vergogne tous les inventeurs que leur
mauvaise étoile plaçait sur son chemin.
Gestionnaire indélicat qui volait ses commanditaires par des procédés frisant de
près la police correctionnelle, voire la cour
d'assises. N'avait il pas pu allumer cet incendie de ses propres mains pour liquider
une situation menaçante, car ses associés
commençaient à montrer les dents et les
i
■
»,
«n
.n iiBMuwmw'.nwii
>■!■
Faits» Divers
Soldes et Occasions
SUICIDE D'UN OFFICIER. —
Le capitaine
R
e
Rousseau, du 4 régiment d'artillerie a \ led
qi
qui avait pus part â la Rochelle, te matin,
à
à la cérémonie de la présentation du dra
pj
peau de son régiment ,s'est suicidé à midi
di,
ur. c >up
d à son domicile, -n «e <'<-,i
de revolvre dans la tête. On ignore ies
uauses de son acte.
I
Chez HENRI DEVRED, 42, rue des Dominicains
— Au cours d'un
oi
orage qui a dévasté les communes de N»
vi
dves, les Salettes, Grevières et Vors (Ardèclie), la foudre est tombée à Saiut-Paulh
le-Jeune, sur la maison de M. Edouard
G
Gilles, "uRivateur, a tué m femme de -e
d.
dernier,
âgée de 33 ans, mèrî de trois euti
fants, et renversé sans mal une des filles
d
des cultivateurs.
TUÉE
PAR
LA
FOUDRE.
BlpLtoOUAl»tit«i
|
Marcha aux bestiaux de la ïHIetti
L'OBSESSION, par Jules Claretie, de l'Acadé!
mie
française. — L'est un cas très sing—ter et
1
très dramatique de dédoublement de la jwsonnalité,
',
qu'expose M. Jules
Qarelie dans son
émouvant roman : L'Obsession, dont 1« librair
rie Lafitte et Cie vient de publier une nouvelle
eédition. Porter en soi deux hommes
différents
ca>ant chacun une âme, des goûts, des instincts,
des sentiments distincts et presque toujours op{poses et vivre cette existence alroee d'être tour
ê
â
; tour l'un ou l'autre de ces lionuncs, semant
autour de soi le désespoir et la terreur, tel est
\le sujet de ce livre remarquable qui abonde en
1
épisodes étranges ou terribles. Avec cet art su{périeur qui fait de lui l'un de nos meilleurs romanciers, l'éminent auteur a tiré de ce thème
(
eoriginal les plus puissants et les plus intenses
elfets d'émotion. (l'ieire Lafitte et Cie, 3,50).
0' CAMION auto, cherch. transports bois
ou
M quelc. Prix mod. Ecrire Maitrot, 16, rue
Ménilmontant, Paris.
m .—
a FABRIQUE INCENDIÉE. — Le fe \ s'est déclaré
aux Seilles, près de Saint-Junien (HauteV
Vienne),
dans l'usine de M. Ouraet, fabnc:
cant do feutres, et tout a été détrud
Les pertes sont évaluées à p;us de 200.'J00
francs.
fi
k Par suite de cet incendie, dont on ignore
LA VIE AU GRAND AIR (Garrigou ou Duboc).
les causes, trente ouvriers °.t ouvrières sont -— La lutte engagée dans le Tour de France ens;
sans travail.
Itre ces deux athlètes reste palpitante. Elle est
_____„
<
d PERQUISITIONS DANS UNE BANQUE. — Sur ordonnante de M. Magnien, juge d'instructi
tion, M. Bénézech, commissaire aux délég
gâtions
judiciaires, s'est transporté dans
h
les
d bureaux de la banque Junod frères, rue
àde Richelieu, 92, à Paris ; il y a procédé
à
ti des vérifications au sujet de la vente des
]_titres d'une société anglaise « Montebrass,
Limited ». Toutes les pièces concernant
c
cette
société ent été saisies.
Le magistrat s'est ensuite rendu, avenue
d
de Wagram, 12, à l'ancien siège de la mên
me
société où depuis quelque temps s'est
i
installée une société française, dont la rais
son
sociale est également « Montrebrass,
j_
Limited ». Cette opération judiciaire était
E
motivée par l'émission de certains titres
e
en infraction à la loi de 1867.
^ UN CAS DE « CHOLÉRA NOSTRAS » A LYON. —
Une jeune femme qui présentait, des symp|tômes suspects de choléra avait été transportée
à l'hôpital de la Croix-Rousse où
%
elle est morte.
l'examen bactériologique a établi qu'il
s
\s'agit d'un simple cas de « choléra nostras ».
<j INCENDIE D'UNE BRIQUETERIE- — Un incendie
a détruit les bâtiments de la briquet
terie
Dochteimann et Litrot, à Belfort. Les
c
dégâts dépassent 200.000 francs.
L'INVENTEUR DU VOLAPUK. — On annonce
1
la mort de l'abbé Schleyer, qui fut certaii
ne célébrité comme inventeur du volapuk.
1
Il imagina de créer, avec un certain nom1
bre de radicaux empruntés aux langues
i
romane et germanique, une langue uni^verselle qu'il appela le volapuk. Elle eut
<quelque vogue tant près d'un certain pui
blic
que dans les revues de fin d'année et
<
dans les chroniques fantaisistes. Elle avait
«
des fervents, et même des journaux spé<
ciaux en répandaient l'usage. Puis comime un clou chasse l'antre, une autre lans
gue universelle se substitua aiu volapuk
(
dans la faveur des amateurs. L'abbé
i
Schleyer assista saiccessivement au triom|
phe
momentané et partiel, et à la décaidence de son œuvre chimérique.
Les fiançailles de la princesse de Serbie. — L'agence Havas publie un dépêche
<dje Belgrade d'après laquelle auraient eu
lieu hier, à Racconigi, les fiançailles de
■ princesse Hélène de Ser bie avec le prince
la
1 Jean, fils du grand-duc Constantin Constantinovitch, cousin, du tsar.
Quand nous serons à cent... — La quatrième chambre du tribunal civil de la
Seine vient de prononcer la séparation de
corps de Mme Rigo, ex-princesse de Chimay, et de son mari, M. Ricciardi, employé
au funiculaire du Vésuve.
BULLETIlf ^FINANCIER
cinémalographiée d'une façon parfaite dans les
splendides
!
documents donnés dans le numéro de
La Vie au grand air cette semaine.
On
trouvera
également dans ce numéro de La
'
Vie au grand air des articles sur le circuit de
la Sarthe, les Régates internationales, les Cham1pionnats du monde de tennis, les Courses de la
semaine, etc., etc..
1
I
LA VIE HEUREUSE. — Au moment où plus
que jamais nos pensées doivent se tourner vers
l'Alsace,
la comtesse Edmond de Pourlalés vient
j
,de prêter à ses compatriotes les ombrages de son
célèbre château de la Robertsau, aux portes de
Strasbourg, pour un divertissement français en
Alsacs. Et la Société dramatique de Strasbourg
y a donné les Folies amoureuses avec le « Divertissement de la Folie », dont la Comédie Fran'çaise a perdu la tradition. Ainsi se conserve et
se défend la culture française en Alsace. La Vie
Heureuse du 15 juillet met sous nos yeux le cortège de la Folie où l'on peut retrouver des représentants de la meilleure société alsacienne.
D'autres pages évoquent les grand événéments
de l'actualité. On y voit un impressionnant tatleau du Couronnement ; les triomphes sensationnels de nos aviateurs y sont célébrés par une
symbolique composition ; les concurrentes du
Conservatoire y paraissant sous les regards <i*
leur jury. Enfin les deux grandes fêtes mondaines dont on parle et dont on parlera longtemps:le Bal de Shakespeare à Londres, le bal qu'a
donné à Paris le comte de Jarnac y déroulent
l'éblonissement de leurs costumes. Et la Vie
heureuse n'offre pas moins à l'esprit qu'aux regards : une émouvante nouvelle signée Gabrielle
Mirabcn, des chroniques
littéraire,
théâtrale,
mondaine, les réponses des écrivains et des artistes aux enquêtes les plus actuelles.
1
LA LUTTE SOCIALE D*ANS LE PRETOIRE. —
Plaidoyers : La lutte'religieuse, la lutte révolutionnaire, la lutte syndicaliste (1906-1910) ; Variétés et souvenirs (1893-1911), par Jacques Bonzon, avocat à la cour, directeur de la Liberté
d'opinion. — Paris, à la Liberté d'opinion, 233,
rue Championnet et dans toutes les librairies. —
M" Jacques Bonzon vient de.réunir ses principales plaidoiries, qu'avaient déjà publiées diverses revues. H a groupé celles qui avaient trait
aux luttes sociales de ces dernières années : La
cultuelle de Culey, les bombes russes, les massacres de Narbonne et le procès de la C. G. T., le
Syndicat des P. T. T., le grève de Marseille, la
chasse aux renards, ets.
Quelques variétés telles que le Tableau de la
rélégation et des travaux forcés ou le Sifflet au
concert, donnent une. physionomie multiple à cet
ou.tvrage.
Dans «ne préface Intitulée Souvenirs de combat (1893-1911), M- Jacques Bonzon a illustré ses
plaidoiries de réflexions et d'anecdotes sur les
milieux où il a passé depuis vingt ans : le Barreau, les prêtres s'chisma tiques, les r'évolulforinaircs, etc. Qu'il.racontë sa visite, en 1899, à M.
Alfred Dreyfus, â peine gracié, ou montre les. tares dés « mêneurs », il apporte sur la plupart
des personnnges dirmouvement social une opinion qui n'est pas. toujours indulgente^ mais quiI
est toujours de contact personnel.
REVUE DES DEUX MONDES, 15. rue de l'Université, Paris. — Livraison du sommaire du
15 juillet 1911. — t. Le Couronnement de George V. par M. le comte d'Haussonville, de l'Académie française. — H. La Renommée, première;
pirtie, par M. Gaston Rageot. — III. De l'influence de Théophile Gauiier, par M. Emile Faguet, de l'Académie française. — IV. La Mission
diplomatique du général
Lanr.es en
Portugali
1
(1801-1804), première partie, par M. Maurice Borel. — V. François Coppée. — Lettres à sa mère
et h sa sœur (18G9-1S73). par M. Jean MonvaJ. —
VI. 1^ Souveraineté du pape, Par M. Louis Delzons. — VIII. Dix ans d'autonomie financière. —
l'Algérie depuis 1901, par M. Henri Lorin. —
VIII. Revue dramatique. — Le théâtre brutal,
par M. René Doumic, de l'Académie française.
— IX. Revues étrangères. — L'aventure amoureuse du poète Novalis, par M. T. de Wyzewa.
— X. Chronique de la quinzaine, histoire politique, par M. Francis
Charmés, de l'Académie
française. — XI. Bulletin bibliographique.
Prix de l'abonnement. — Paris, un an. 50 fr. ;
six mois, 26'fr. ; trois mois, 14 fr. — Départements, un an, 5 6fr. : six mois, 29 fr. ; trois
mois, 15 fr. — Etranger, un an, 62 fr. ; six mois,;
32 fr. ; trois mois; 1? fr
Les abonnements partent du V' et du 15 de
chaque mois.
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PRIX DU 1]2 KILO
Viande aette
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0.3a à 0.64
0.35 à 0M
0.3340.46
U.48 à 0.6»
0.45 40.68
0 7040.77
Bœufs. — Vente mauvaise et baisse de
l
50
fr. par tête.
On cote : maraîchins, de 0 78 à 0 87 ;
i
normands, de 0 80 à 0 90 ; bœufs blancs,
(de 0 80 à 0 99 ; manceaux, de 0 80 à 0 88 ;
choletais, de 0 78 à 0 87. Le | kilo net.
, Veaux. — Vente difficile et tendance à la
baisse.
On cote : choix de Brie, de Beauce, du
1
Câlinais, de 1 05 à 1 10 ; champenois, de
I0 95 à 1 05 ; manceaux, de 0 90 à 1 »» ;
i
caennais, de 0 80 à 0 85. Le i kilo net.
; Moutons. — Vente difficile et baisse de 3
à 3 c. par J kilo.
On cote : petits moutons du Centre, de
1 20 à 1 25 ; métis, de 1 10 à 1 20 ; d'Auvergne, de 1 10 à 1 20 ; du MJidi, de 1 10 à
1 15 ; africains, de 0 95 à 1 05. Le J kilo
net.
Porcs. — Vente difficile et baisse de 3 c
par | kilo vif. Les porcs de choix ont oh
tenu 78 c.
On cote : bons porcs de l'Ouest, de 74 à
77 c. et ceux du Centre, de 72 à 75 c. Le
i kilo vif.
I I ! JJ
JJ
Stra Inquiétai
I
I i S M ■ J 1111 ■cVl Pour vus époques,
l'Ill i ./ «JU m_-i Écrivez en confiancaà
81 T0U>
1
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Le dévoué Spécialiste M. Glaser, connu
dans le monde entier, a su donner à l'art
herniaire une nouvelle impulsion. Ses efforts ont été couronnés, jusqu'à ce jour,
d'un succès éclatant ; ce qui lui a valu,
outre la sympathie universelle, les plus
hautes récompenses.
Une fois de plus, notre savant spécialiste a conquis la confiance de tous les
hernieux par son nouvel appareil sans
ressort qui est à la fois le plus léger, la
moins gênant, le plus solide et le seul
dont l'incontestable supériorité a été reconnue par les sommités médicales. Les
hernies les plus tenaces s'effacent et disparaissent devant l'imposante efficacité
de cet appareil ; aussi engageons-nous
vivement tous : hommes, femmes et enfants, atteints de hernies, efforts et descentes à aller l'essayer dans les ville*
suivantes d 9 heures à 4 heures, à :
VERDUN, le 23 juillet, hôtel du Coq.
Hardi...
COMMERCY, le 24, hôtel de la Cloche-d'Or.
BAR-LE-OUC, le 23, hôtel du Commères,
TÔUL, le 26, hôtel de France.
NANCY, le 27, hôtel Américain.
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villes, sites, plages et curiosités.
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— Notice illustrée envoyée gratis.
Paris, le 24 juillet 1911.
. Séance
franchement mauvaise.
Lesi
places étrangères ne sont d'ailleurs pas
»
mieux partagées que nous.
Notre 3 % tombe à 94,52. Tous les
fonds étrangers s'inscrivent également
I
en dépression accentuée. Le Serbe, l'Ex-'
térieure et le Brésil restent parmi les1
plus touchés. Quant aux Russes, leur tenue a été irrégulière, mais dans l'en■
semble c'est la lourdeur qui reste la notei
dominante.
Même nuance dans le groupe des Eta-.
blissements de Crédit où la Banque de,
;
Paris revient à 1.698, le Lyonnais à1
1.481, l'Union Parisienne à 1.154. Sociêtés étrangères plus calmes. Les grands1
chemins français résistent
assez
bien
»
aux mauvaises
dispositions
générales.i
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Par contre, les lignes espagnoles abandonnent de nouvelles fractions.
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acculer aux nécessités d'une liquidation, de
tous points avantageuse pour lui Y Certes,
la chose était possible.elle était vraisemblable, elle devait être vraie. Mais, comment
l'établir ?
Le juge d'instruction décida de confronter les parties dans un débat qu'il dirigerait, mais qui serait en quelque sorte contradictoire.
Cette affaire avait, d'ailleurs, le don je
nos sonner la presse, et il n'y avait pas de
jour que de violentes polémiques ne fussent
engagées pour ou contre le contremaître
Blanchard. Ces polémiques gâtaient les afures de'l'inculpé plus qu'elles ne le servaient, à cause de la médiocrité des arguments invoqués en sa faveur. Les uns le
défendaient parce qu'il était socialiste ;
d'autres, au contraire, parce que sa femme
avait fait baptiser leur fillettte et lui avait
fait faire sa première communion. Par contre, des organes de droite T9i reprochaient
ses opinions avancées et des journaux révolutionnaires lui faisaient un grief de
n'avoir pas su mâter sa femme pour la
contraindre à régler sa conduite privée sur
les opinions politiques de son mari.
Par bonheur, M. Pascaud, le juge d'instruction, un fort brave homme, lisait peu
les journaux et ne se laissait pas émouvoir
outre mesure par ses organes habituels, le
Journal dos Débats, le Temps et le Figaro.
Il apportait dans ses enquêtes une absence
complète de parti-pris.
Le jour fixé par le magistrat pour procéder
à un interrogatoire décisif, trouva, réunis
dans les couloirs du Palais do justice M.
Robert, son fondé de pouvoirs M. Drapier
et le contremaître Blanchard. Ce dernier
était entre deux agents de la sûreté qui le
serraient de près à cause de sa force herculéenne qui leur faisait redouter quelque
tentative d'évasion.
'
POUR LES CHALEURS
i
Léon LE PAYEN
7
ni «ni as^HMTOW-îggg^
Sur l'ordre du juge, Blanchard fut appelé
le premier, les policiers préposés à sa garde entrèrent avec lui et prirent place sur
deux sièges placés devant la porte. Ils se
tenaient prêts à intervenir au premier signal du juge;
L'intcrrjgatoire d'identité avait eu lieu
précédemment ; il n'y avait donc pas motif
d'y revenir, aussi le juge d'instruction entra-t-il immédiatement dans le vif du suJ*t. •
Après les préliminaires habituels, fcg.
Pascaud poursuivit :
— Voyons, Blanchard, vous avez donné
de votre temps un emploi qui a été reconnu exact, aussi bien pour les journées des
vendredi et dimanche que pour celle du
samedi. Seulement, il y a un trou. Dans
la nuit du samedi à dimanche, vous étiez
à Ablon ; vous alliez y chercher du poisson, vous appartenant, pour le lendemain
matin, où vous aviez une fête de famill* ?
— C'est parfaitement exact.
— Vous a-t-on vu, cette nuit-là ? Suivant
votre désir, j'ai convoqué M. Marquet, marchand de vins à Ablon, et le pêcheur Dublin.
— Marquet m'a sûrement vu. Il me connaît depuis cinq ans et je suis entré dans
son débit avant d'aller à mon trou puiser
à ma boîte, pour y boire un verre de vin
et casser une croûte.
— Quelle heure était-M ?
— lïuit heures et demie à neuf heures du
soir.
— Et le pêcheur Dublin ?
— Lui aussi m'a vu, sans que je puisse
faire erreur. Il m'a croisé au détour du
chemin de halage et m'a. dit : « Vous ferez
bonne pêche demain, M. Blanchard, car le
temps est propice. » Dublin me connaît
parfaitement, c'est à lui que je loue des
canots auand 'én ai besoin .Je lui ai ré-
pondu que je venais pêcher à l'épuisette et
il a ri.
— A quelle heure le pêcheur vous a-t-il
rencontré ?
— A neuf heures environ.
— Mais, par cette saison d'automne, il
fait nuit depuis longtemps. Que faisait-il
lui-même sur les bords de la Seine à pareille heure ?
— Je l'ignore, monsieur le juge, peut-être
avait-il livré du poisson un peu loin, cela
lui arrive souvent et, en vrai marinier qu'il
est, il préfère l'eau à tout autre moyen de
communication.
— La chose est, d'ailleurs, sans importance- Ces deux hommes, qui ne sont ni
vos parents, ni vos intimes, n'ont aucune
raison de ne pas répondre exactement aux
questions fort simples que je veux leur poser. Introduisez les témoins.
Marquet et Dublin parurent. Ils confirmèrent de tous points les déclarations de
Blanchard.
— A quelle heure avez-vous fini « de puiser à votre trou », suivant votre expression ?
— A onze heures exactement. Je le sais
parce qu'une horloge a sonné comme je repartais dans la direction de Villeneuve-StGeorges, où j'avais rendez-vous avec deux
camarades pour rentrer ensemble par le
train de onze heures et demie.
— Voilà, un alibi sérieux, Blanchard.
Ces deux camarades sont prêts à venir témoigner que vous étiez à Villeneuve-SaintGeorges à onze heures et demie du soir.
— Non, monsieur le juge, ils étaient en
retard et ne sont arrivés au rendez-vous
qu'à minuit moins un quart ; j'étais déjà
parti.
— Vous êtes rentré chez vous ?
— A une heure pour en repartir à six,
afin d'aller profiter de quelque bonne aui
baine aux Halles, où j'ai fait le marché.
— Nous tournons toujours dans le même
cercle. Votre rentrée à une heure du matin,
heure où l'incendie de la maison Robert
était déjà en pleine activité, est confirmée
par votre concierge. Mais, entre neuf heures du soir et une heure du matin existe
une lacune qu'il vous faudrait remplir par
un témoignage quelconque. Voyons, réfléchissez, vous n'avez rencontré personne d#
connaissance pendant ces quatre heuraalà ?
— Absolument personne, monsieur le jaje. J'ai pris une tasse de café chez Lubin
mais la salle était pleine de monde. Om
allait, on venait, j'y suis, de plus, resté èr
peine un quart d'heure. Je conçois fort bien
que ni le patron, ni ses deux garçons ne
m'aient remarqué.
— En effet, et c'est désastreux pour voua,
le cafetier Lubin et ses deux employés affirment ne vous avoir vu, à aucun moment,
dans la journée ou la soirée de samedi.
— S'ils l'affirment, monsieur le juge, ils
•t. tort". Ils pourraient, et ce serait plus
loyal do leur part, se contenter de dire
qu'ils ne m'ont pas remarqué. J'affirme,
de mon côté, être allé chez Lubin, y avoîr
pris un café et avoir séjourné un quart
d'heure dans la grande salle avant de m«
rendre à la gare.
— Oui, mais vous ne pouvez le prouver»
Ecrivez, groffier I
I^o juge d'instruction dicta un résumé
parfaitement impartial de l'interrogatoire
de.Marquet et de Dublin que ces témoifts aU
ent, puis il les congédia,
Blanchard signa aussi.
JA suivre)-
"
?B=—
"
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1» et 3' étages
AU CENTRE DE LA VILLE
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BANQUE Société
INTERNATIONALE
D'ÉMISSION ET DE. CREDIT
Anonyme, Boulevard du Hainant, «», BRUXELLES
y adresser au bureau du journal, 191.
Bar-Restaurant
MINIÈRES
Achat et vente de Utres cotés ou non.
Reports. Arbitrages, Emission!.
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A LOUER
h ne sera répondu qu'aux
lettres contenant un timbre
pour ia réponse et rappelant le
numéro de l'annonce.
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R A N O PJ E S
CONSTITUTIONS DE SOCIÉTÉS
AVIS
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«EPUBLIOAIH
- L''EST
REPU BL mm H
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I>u G au 14 AOUT 1911
Traversée en bateaux à vapeur des sir
grands lacs et des deux plus grands Tunnels d'Europe, le Saînt-Gothard et le Simplon (et supplémientairement) retour facultatif par la vallée de Chamonix, le MontBlanc et la Mer de Glace.
Départ die Nancy le 6 août à 6 heures,
du soir.
ITNÈRAIRE DE L'EXCURSION
Naracy, Dijon, Pontarlier, Berne, Lac
de Thoune, Interlaken, Lac de Brientz, Le
Brunig (1.000 m. d'altitude) par chemin
de fer à crémaillère, Alpnachstad, Lac
des Quatre-Cantons, Lucerne, Le SaintGothard, Lac de Lugano (San-SalvaJto>r et
Mont Generoso), Pont-Tresa, I>uino, Lac
Majeur, Isola Bella, Iles Boromées, Baveno, Domodosola, Simplon, Brigue, Martigny, Laiisajine, Pontarlier, Dijon, Nancy
ou facultativement et à la demande générale de tous les excursionnistes, prolongation de deux jours d'excursions avec
retour de Matigny à Paris par Le Chatelart, La Tôte Noire, Valorcine, Chamonix,
La Mer de Glace, Le Mont-Blanc, SaintGervais, Genève, travesrée da Lac Léman
jusqu'à Lausanne et ïetour direct à Nancy.
Prix de cette excursion tous''frai s compris panidant huit jours, savoir : Voyage
aller et retour, hôtels confortables, trois
repas par jour, vin compris, visite des Sites, bateaux, tramways, transports des
valises à l'hôtel, pourboire, etc.
3* classe 198 fr. ou aoec aller et retour
ind'oidttel en 2", sur l'Est et le P.-L.-M.,
jusqu'à la frontière suisse, 22S If.
La BBaisan Gugnmus
à Nancy, demande ouvriers
menuisiers, tourneurs, peintre,
apprentis peintre et menuisier.
OrDmi
dimanche 23,
i CilUUj
Broche, forme
étoile, platine, or et pierres. Rapporter au journ. 254. Récompense
ÀVTS
Messieurs les actionnaires de
la Société anonyme, dite Maison
ROUSSE LOT-MICHEL et Cie,
sont convoqués en assemblée générale ordinaire, le jeudi 10 août
1911, à 8 heures du matin, au
siège de la société, rue SaintNicolas, 55.
ORDRE DU JOUR :
Rapport du Conseil d'administration ;
Rapport du Commissaire des
comptes ;
Approbation du bilan et répartition des bénéfices ;
Nomination de 3 administra
teurs, dont les mandats sont expirés et rééligibles ;
Nomination du Commissaire
des comptes ;
Cours à fixer pour les actions.
Et en assemblée extraordinaire,
à 8 h. 1T2 du matin.
ORDRE DU JOUR :
Autorisation à donner au Conseil d'administration pour émettre des obligations.
Etude de M» BRETON, huissier
à Nancy, 9, rue Gambetta.
VENTE MOBILIÈRE
Par autorité de justice
HORAIRE DE L'EXCURSION
Départ de Nancy, le 6 août. Réunion
entrée des salles d'attentes à 5 h. 15 du
soir, Dijon, minuit 4, Pontarlier, le 7 à
4 h. 24 du matin.
Berne, le 7 à 9 h. 15 du matin, un jour
visite du Palais fédéral, la fosse aux Ours,
le KunsaaL la Tour de l'Horloge, la Cathédrale. Départ le 8, à 8 h. 40 du matin,,
Traversée du lac de Thoune.
Imterlaken, le 8, à 11 h. 36 du matin.
Arrêt et séjour, un jour, une nuit, demijournée. Visite de la Ville et du Kursaal.
Promenacte facultative, par breaks, à la
Cascade de Staulbaeh par Lauterbrunenn,
5 fr. par place. Départ le 8, à 2 h. 50 du
soir. Traversée du Bruning, des Lacs de
Brientz et des Quatre-Cantons.
liuceraie le 9, à 7 h. 50 du soir. Arrêt et
séjour, une soirée, un jour, deux nuits. Visite de ta. ville, la Cathédrale, le vieux
Pont et ses Peintures, le Lion de Lucerne,
Souvenir de la défense des Tuileries, pa*
les Suisses, Ascension facultative au Ri*
ghi, 1© plus beau Panorama de la Suisse,
12 fr. par personne. Départ le 11, à 7 h. 41
du matin.
Lugano, le 11, à aatidi 20. Arrêt et séjour, un jour et une ntuit. Visite de la ville,
Vue splendide aur les Lacs, Les Chaînes
du Gotbard, du Tyrol et du Simplon. Ascenston facultative par funiculaire au
Mont San-Salvator, 4 fr. par place. Départ le 12, à 8 h. 35 du matin, Traversée
diu Lac de Lugano.
Ponte-Tnasa à Luino, trajet des plus pittoresques ©n chemin dé fer (voitures tramways owerts).
Luino le 12, à 10 h. 05 du matin. Traversée du Lac Majeur.
Baveno, le 12, à midi 20. Visite des Ha9
Boromées, Isola Bella. Départ pour Lau6anne le 13, à 7 h. du matin.
Lausanne, le 13, à 1 h. 40 du soir. Visite
de la ville. Promenade facultative sur le
lac Léman. (Le dernier repas sera servi
au buffet de Lausanne à 6 h. du sair). Départ pour Nancy pru- expresse de 7 h. ; arrivée à Nancy, le 14 à / h. 15 du matin.
A Lugano, à la demande des voyageurs
l'Excursion ci-dessus sera prolongée de
deux jours afin de faciliter aux touristes
les moyens de visiter au prix de 45 fr. par
personne, la vallée de Chamonix (Mer de
Glace, Mont-Blanc), le Simplon, Martigny,
les Gorges de la Tête Noire, Le Çhatelard,
Valorcine, Chamonix, St-Gervais-les-Bains,
Genève (traversée du Lac Déman jusqu'à
Lausanne) et retour à Nancy le 16, à
7 h. 15 du matin. — Minimum douze voyageurs.
Places limitées à 40 voyageurs
NOTA. — Ces excursions qui sont aujourd'hui de plus en plus appréciées du public, offrent, particulièrement aux Dames
qui voyagent seules à l'Etranger l'avantage
d'une grande économie, ainsi que d'une
sécurité indiscutable.
Les inscriptions à ce départ sont reçues
dès à présent par lettres recommandées
accompagnées d'un premier versement (à
titre d'arrhes) de cinquante francs par
place au journal l'Est Républicain. Le solde du voyage sera exigible en gare, contre
remise de la carte de voyage.
Prière de n'emporter que le strict nécessaire de colis à la main.
P.-S. — M. de Viïlette se réserve la faculté de modifier cet horaire pour la bonne exécution du programme et décline
toute responsabilité en cas de force majeure (accidents, retards des trais, etc.)
Fk TIBff ¥ATT*tr»
Le 29 juillet 1911, à 10 heures du matin, à Nancy, rue Hoche, 43, il sera procédé à la ven-te
aux enchères publiques des objets mobiliers suivants, saisis au
préjudice de M. Oudeville :
Buffet,
tables,
chaises,
fourneau faïence, armoire
glace,' cuisinière, machine
à coudre, vitrine comptoir,
tissus pour bretelles.
ii
Vaisselle
sîtsslne.
et
ustensiles de
Et quantité d'autres objets.
Au eamptant S % *s sus
L'huissier poursuivant,
BRETON.
Petit
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A CÉDER
pour cause de santé, affaires 30
francs par jour. Prix 3.500 fr.
S'adresser à M. PROPIN, rue
Blamian, 65.
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état de neuf. Ecrire R. L. 8, poste
restante. Nancy-gare.
Etudes de M' Georges GRILLOT, avoué à Nancy, rue
des Carmes, 7, et de M* ANDRE, notaire en la même
ville, rue de la Constitution,
n° 5.
Vente par llcitatta)
Le JEUDI 27 JUILLET 1911,
à trois heures de l'après-midi,
il sera, en l'étude et par le ministère-de M* ANDRE, notaire,
procédé à la vente :
D'une Maison
Sise à NANCY
Rue Gambetta, rr 22
comprenant
caves,
rez-dechaussée, trois étages, greniers
au-dessus, petite cour derrière,
dans laquelle se trouve un petit hangar, le tout contenant
environ un are 10 centiares,
portée au cadastre sous le numéro 78 de la section B, sur la
mise à prix fixée par le tribunal de
50.000 fr.
Les frais pour parvenir à la
vente payables par l'acquéreur
mais en déduction de son
prix.
S'adresser, pour les renseignements, à M* ANDRE, no
taire, dépositaire du cahier des
charges, ou a M'» GRILLOT et
BARTHELEMY, avoués.
L'avoué poursuivant j
G. GRILLOT.
nATTlinn donne conseils à spéculateurs comptant et terme. !
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Gambetta,TOUL ]
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PARIS
METZ
Par sa situation, l'établissement, qui a également des sal
I- . au premier, se piété très
bien comme U ESTAI RANT.
Salles de billards et de sociétés S'adresser au cafeiior, M.
BOURGEOIS, Metz (Lorraine).
Deuxième insertion
Aux termes de denx actes reçus
par M? HOUOT, notaire à Nancy,
le premier le 6 juillet 1P11, et lesecond le 10 juillet 1911, M. AugusteJoseph BOUVIER, entrepreneur,
et Mme Berthe Marie JULIEN,
son épouse, demeurant ensemble
à Messein. ont vendu à M. Alfred BRENOT, cafetier, et à Mme
Jeanne-Gélcstine TAL1BART ou
TALIBARD, son épouse, demeurant ensemble à Neuves Maisons,
L'entreprise pour l'extraction
et la venle du sable et du gravier,
exploitée à Messein par M. BOUVIER, comprenant la clientèle et
l'achalandage, y attachés le matériel servant a l'exploitation et
le droit d'extraction du sable et
du gravier.
L'enirée en jouissance a été
fixée au 10 juillet 1911.
Les oppositions devront être
faites à peine de forclusion, dans
les dix jours de la présente insertion, et seront reçues en l'étude de M« HOUOT, notaire à
Nancy, rue Chanzy, 7.
Cette insertion est faite en renouvellement de celle parue dans
l'Est républicain, à la date du
14 juillet 1911.
Pour deuxième insertion :
HOUOT.
Chienne de police, superbe berger allemand, 18 mois, saute, attaque, défend, porte, rapporte
objets trouvés ou cachés, coup
de feu, bon flair.
M. Conto, 113, rue St-Dizier.
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au dehors pour tabliers, etc. S'adresser, 14. rue Molitor.
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33 » Chêne,écorcé . , ' • É
Boulets
33 » BOIS RECL4RE,renddeVd'n» '
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domicile, paiement au comptant sans escompte.
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ou chez J. FOHLEN, 28, rue du Pont-Mouja
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trepreneurs de maçonnerie, me- un logemeut au mois
nuiserie, plâtrer.,etc. Ec auj.G3. a M. Vassé, 2i,
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gueurs. S'adr. au journal, ï 0. tissage dans la nonvent;ïF
de suite Aux Magam,'M
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très sérieux, muni d'excellentes
aul0(l< ll>.tnnfD»
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références.demande emploi stable.
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Ecrire au journal, B. 3.
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tant, Paris.
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par jour, à céder, cause décès, vriers ferblantiers plonite
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Occasion.
S'adresser à M. FUIBOURG,
banquier, 33, rue do la Hache,
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de da me. Le rapporter au bureau du journal. Récompense.
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boulevard Lobau.
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