Jeudi 7 Mars 1912 23»Année. Edition du matin — N° 8948. L'EST REPUBLICAIN GRAND Téléphone : 3.21 - 10.37 - Imprimerie 3.09 TR0 'i"0ls 'ABONNEMENTS : . Meuse, Vosges AuSdépanewntS * 5° 5» N nfV Monrtiie-K-Moselle, ^.an^T. Ç»* •■ 7 S,X 0IS ^ .2* 10» 4 » UN _H 15 • 20» mm * JOURNAL QUOTIDIEN « --.+ 6 ° 3 ■ Samt-Dizier, 24» 8 On petit s'abonner sans frais dans tons les bureaux de postes _ RÉDACTION ET ADMINISTRATION : R. * I «. S 1 ET B^k C ' «. J NANCY \ DIRECTEUR : ■—— » Annonces (4« page)... Reclames (3e page)... Fa, ls divers... Chronique locale E Montmartre, à Paris, sont seuls chargés de recevoir il publicité extra-locale du journal. Pouf la publicité de Metirtlm-ei-Moselte, Meuse, Vosges, Alsace-Lorraine et Luxembourg, s'adresser aux bureaux de l'Est. HDERNIËRE HEURE! L'aviation et la Guerre * Troupes japonaises en Chine _______ LA GRÈVE ANGLAISE GUERRE ET TRIPLICE i Un grand mouvement national tri faveur de la constitution d'une flotte dd'aéroplanes, due à la souscription de tous les citoyens, aura une portée plus considérable encore que la valeur rnihtaire de l'œuvre entreprise. En monjtranl la Franco unie dans la môme pensée, nous affirmons à l'Europe que l'é——— lan superbe provoqué par Fachoda, TanVIENNE,- 7 mars. — La « Neue-Presse » apprend — de source diplomatique, dit-elle e ger, Casablanca cl Agadir n'a pas été <*1 — que l'Autrlche-Hongiie et l'Allemagne se iun feu de paille. Ce pays est bien réelsont prononcées contre la proposition do jlement uni dans la môme pensée pa*J li l'Angleterre, tendant à obtenir de l'Italie , qu'elle renonce à toute action navale contre triotique, il est prêt à tous les sacri10 les ports turcs d'Europe et d'Asie. 1fices. . Une pareille .démarche à Rome, dit le Tous chez nous ont conscience de la journal autrichien, aurait blessé l'amour- mennec 1e t qui pèse sur l'intégrité natiopropre italien. » . P Raie. Tous sont prêts à s'opposer à touLa (( Wicnner-Algmein Zeitting » prévoit que les pourparlers des puissances sur te * agression, à repousser ta force par la la { Nul ne songe â attaquer ou à se " proposition russe de médiation n'abou- force. tiront pas non plus par suite de l'intran- [ Jj livrer à des bravades, mais il semble •sftgcance des 'points de vue ïtalion et X! . turc. . H Hbien que la coupe est pleine. Le pays ifite supporterait aucune provocation £ Les dirigeables italiens nouvelle ; surtout, il entend que le salancent des bombes <crifice territorial fait au Congo, sans TRIPOLI, 5 mars. — Aujourd'hui, Tripoli <compensation effective, soit le dernier. e; est complètement changée. Une grande aniLa merveilleuse audace, la tranquille n mation règne dans toute la ville. Elle est ]bravoure des aviateurs ont rendu conp provoquée par la première sortie des baii( long dirigeables, qui ont évolué, ce matin, fiance à ceux qui avaient pu être ébrans Chacun se rend compte que les sur la ville, et par un combat que les Asea- lés. ' 1 r ris ont soutenu hier, au sud de Ain-Zara. vieilles qualités françaises n'étaient Les deux dirigeables ont poussé sur qu'assoupies. ! Ce peuple est prêt à faire 1 une pointe jusqu'à Zangour et ont lancé , son devoir tout entier. quelques bombes sur les retranchements ' 9 turcs et arabes. Mais il entend aussi être outillé pour Les deux dirigeables sont du tvne rigi- 'la . résistance et, s'il le faut, pour porter c de Us cubent 4,500 mètres, et marchent à• la ' lutte chez celui qui aurait amené la L une vitesse de 50 kilomètres à l'heure. guerre. Les progrès de l'aviation, la A la Chambre italienne science des aviateurs ont fait comprenROME, 6 mars.— Cet après-midi, la Cham■ (Ire aux plus ignorants la nécessité j. bre a discuté le budget rectifié. Le ministre du trésor a déclaré que la d'une large utilisation de l'arme nom s situation financière était toujours très soli-; velle. Cclle-cî existe, mais elle ■ n'aura c de et rassurante, toute sa valeur qu'à' la condition d'être L'accroissement des recettes pendant iesi largement dotée en machines, en con( cinq mois de la guerre a permis de couvrir ducteurs, en observateurs et d'être sans Jla moitié des dépenses de l'expédition. « La guerre, a ajouté le ministre, n'a pas_ cesse exercée à son rôle en temps de cd'ailleurs interrompu les-réformes. L:Ita-j guerre. Jusqu'ici, on n'a fait qu'esquisflie poura faire ainsi face sans emprunt nii ser cette préparation, aux grandes maimpôt aux charges de la grande entreprise! nœuvres d'automne ; il importe mainI pour laquelle l'accord du" gouvernement et 1 fdu pays s'est affirmé d'une manière adrîii-. tenant ,de faire entrer la reconnaissance 1 rable. » (Applaudissements répétés.) d'aéroplanes dans la vie même des gai- (Éy persiste à recoi^altre Les deux alliées admettraient | Les négociations s'adoreraient ei| Dicudonné u Le désarroi gênera! en Angleterre son s agresseur du 21 décembre une action contre les ports d'Europe LONDRES, 6 mars. — A la Chambre des communes, répondant à un© question, te premier miiiistte, M. As'quith, a déclare mwçBfteni imaginaiae la nouvelle suivant laquelle le gouvernement aurait l'inten'lion, de déposer demain un projet do loi un minimum de salaire. Il a ajouté çue le gouvernement avait le vif désir de donner à la Chambra Tocoasion de discuter cette question, mais qu'il ne voulait pas, dès maintenant, fixer unie date. LONDRES, 6 mars. — Répondant de son i côté à une question à la Chambre des communes le ministre du. travail, M. Winston Chmvhill, a déclaré que si le conflit entre le travail et le capital continu-ai.t, la construction des navires de gu.e,ro-e éprouverait des retards. . LONDRES, 6 mars. — M. Asquath, assiste de plusieurs ministres, a eu cet aprèsmidi une conférence avec 1© directoire des mineurs. Celui-ci s'est mis à sa disposition pour une nouvelle conférence, si on le d'ésire. On croit que le directoire des mineurs est muni de pleins pouvoirs pour négocier avec le gouvernement, et que 1 mtransiséance des mineurs a diminué. Le gouvernement aurait, dit-on, fait de, nouvelles propositions aux deux parties. Un rapide changement dans la situatien est impatiemment attendu. En attendant, la paralysie de l'industrie. augmente. 200 «00 ouvriers chôment dans le pays. de Galles et 4,000 débardeurs de (Londress ont été congédiés. Le service des trains; de la banlieue de Londres est deso.rgamisé. , _ .. _ . LONDRES, 7 mars. — Le « Daily-Telecrapli » écrit qu'une importante Fédération no croit pas à un arrangement possible du conflit - our cette semaine, mais? elle espère une solution pour la semaineî prochaine. Une offre des étudiants d'Oxford LONDRES 7 mars. — Dans un meeting' tenu à l'Université d'Oxford, il a été dé-^ cidé d'organiser un corps de volontairesJ dans le but de combattre le desastre dont' la nation est menacée par la grève De 3 à 400 étudiants se sont déclares3 prêts à descendre dans les mines ou a en-treprendre tout autre travail, Les Compagnies do navigation françaises3 . MARSEILLE, 6 mars. — La Compagnie:' générale transatlantique fait connaître9 qV, par suite de la grève générale des3 mineurs en Angleterre, elle est clans la1 nécessité de diminuer la vitesse de ses pa-" quebots, afin d'économiser le charbon,' pour né pas en manquer. La marche sera réduite a la vitesse postale réglementaire. Les mineurs allemands BERLIN, 7 mars. — Le « Berjîner-Tag-" biatt » annonce que les mineurs des bassins houillers de Turlischau et d ŒJnitz, en Saxe, ont soumis plusieurs revendicaL " tions aux administrations de ces mines, notamment au sujet d'une augmentation aep salaires et d'une diminution des heures de travail. , . l Des réunions sont annoncées pour di" manche prochain dans les centres houillerss de la Saxe. — Havas. e BERLIN, 7 mars. — Les journaux de ce matin envisagent avec un pessimismee 1croissant la situation dans le bassin houiller de Wcstphalie. Le « Berline r T.agblatt » la qualifie doo a critiques et considère comme possible la proclamation de la grève pour dimanchee prochain. Plusieurs Journaux constatent que dee 3, nombreux mineurs se font porter malades, j. ce qui est, disent-Us, un symptôme inquiétant. n Cependant, le « Lokal-Anzeiger » tout en iconcédant nue la situation est tendue, ann nonce nue dans plusieurs mines du bassin idie la Ruhr, les patrons viennent de conle sentir aux mineurs des augmentations de f alaire L'élevant de 5 à 10 %. ~——™—<£ —— c FOUR NOTRE AVÎATION MILITAIRE PARIS, 7 mars. —M. Gilbert, juge d'insti truction, a lait venir de nouveau à son ca, binet mercredi après-midi, avant son dét part pour Pau, le gaicon de recettes Cap by, qui, la veille, a formellement reconnu D j; Dieudonné comme son principal agresseur i< le 21 décembre dernier rue Ordener. Pendant près d'une heure, le magistrat a exhorté Caby à bien réfléchir à la gravité a $ ses déclarations, et à ne pas hériter à. de revenir dessus s'il croyait avoir maintenant r le moindre doute. • i( Et pendant près d'une heure, Caby a continué à affirmer que Dieudonné était c bbien l'homme qui avait tiré sur lui, rue cOrdener, qu'il ne pouvait pas se tromper et que l'ayant, la veille, reconnu immédia€ tement entre les quatre personnes qui l'ent< touraient dans le cabinet du juge, il l'aut rait également reconnu entre cent, sans r pplus d'hésitation. « Je comprend très bien,a-t-il dit en terminant, la gravité de ma déposition. » n ,Dieudonné refuse de répondre sur l'attentat de la place du Havre Dieudonné a été conduit dans le cabinet ide M. Boucard, juge d instruction, qui voulait l'entendre comme témoin dans ratj tentât de la place du Havre, où l'agent «Garnier fut tué. Mais Dieudonné a refusé de répondre hors de la présence de son défenseur, M8 Boucheron. M. Boucard lui a fait remarquer que comme témoin il ne pouvait pas être assisté d'un avocat. Dieudonné a néanmoins persisté dans son mutisme. 1 , Dans ces conditions, M. Boucard a renoncé à l'entendre à, ce sujet. A Nancy, la femme Dieudonné Ne trouve pas ies témoins espérés PARIS, 7 mars. — On lit dans le « Matin » : « Nous avons vu, hier, Mme Dieudonné, femme de celui que le caissier Caby a reconnu pour être son agresseur. « — Je ne puis croire, nous a déclaré: Mme Dieudonné, que M. Caby .ait reconnu formellement mon mari. J'ai la conviction, que mon mari est innocent. « J'attends avec une vive impatience les résultats de l'enquête que les inspecteurs de police sont allés faire à Nancy, pour', vérifier l'alibi de mon mari. Moi-même, je me suis rendue, dimanche, à Nancy, dans l'espoir d'y rencontrer des gens amis qui ont pu. l'y voir en décembre dernier, entre le 18 et le 22. Hélas ! ne connaissant que très vaguement les relations de mon mari, que j'avais quitté depuis de longs mois et avec lequel je venais seulement de re-' prendre la vie commune, je n'ai pu re\ cueillir aucun renseignement, aucun témoignage utile. » — Havas. La dépêche d'Alais PARIS. — On sait que Dieudonné expliqueI par une mauvaise plaisanterie la dépêche\ reçue d'Alais à son domicile, rue Nollet, à[ Paris, et portant ce texte, évidemment con-^ ventionnel : « Ce soir, mère porte bien. » L'expéditeur supposé de la dépêche a étéi arrêté. Il s'agit d'un sieur Sazy, révolution-. naire militant, employé du P.-L.-M. Mais on n'a pu cependant établir de façon formelle sa culpabilité en ce qui concerne l'envoi du télégramme. Sazy- s'en défend énergiquement et prétend ne.«pas connaître Dieudonné. Le bandit Bonnet PARIS. — Une dépêche de Bézîers confir-me que Bonnot a bien été aperçu dans3 l'Hérault les jours passés, L'autre jour, une automobile s'arrêta au passage à niveau d'Agde et la garde-bar-■ rière fut questionnée par le chauffeur : — Sommes-nous bien sur la route de Cet-te ? — Non, vous prenez la route du Bessan. L'auto prit alors une nouvelle direction,' et les trois voyageurs remercièrent la gar-' de-barrière de son renseignement. Lorsquee les journaux donnèrent la pbotograp/iiee des voleurs présumés, le commissaire dee police d'Agde soumit à l'employée de la Compagnie du Midi un journal qui reproduisait la photographie de Bonnot. — Celui-là, dit-elle sans hésitation, c'estt bien l'individu qui m'a questionnée pourr que je lui indique la route de Cette. H venPARIS,? mars.— Le total des quatre.listcs ® dait des cannes-bambous dans les ruesb' de la souscription! ouverte par le comité ™ d'Agde. national d'aviation militaire s'élève à U yre 124,902 fr. 95. GEOGRAPHIE FANTAISISTE — Le total des souscriptions recueillies a B PARIS, 7 mars. — Le « Matin », sôus la B par le « Matin » s'élève à 1,074,778 francs, titre « Urne crise de la géographie », rei— Havas. produit le fac-similé d'une carte postale3 ;t émanant du ministère des colonies et k adressée à un Monsieur « Paul Renard, a UN DRAME A LA GOTE D'IVOIRE , Paris, Meurthe-et?MoseUe ». PARIS, 7 mars. — Le ministre do la la « Est-ce une délicate flatterie d um P guerre a donné au général Grillot, gou5" scribe du ministère des colonies à l'adresverneur de la place de Maubeuge, la pé1' se de M. Lebrun, député de Meurtho-et-\, nible mission d'aviser la famille Raviart, Moselle, ou bien est-ce une ignorance bien a de Maubeuge, de la fin tragique do M. ': excusable de la part d'un employé quij Pené Raviart, capitaine du génie détaché le sait sans doute admirablement où see à la Côte-d'Ivoire. trouvent Abécher et Libreville et la Lou-r Cet officier a été assassiné le 28 février -r konela-aux-Hei'bes, mais ignore où se, e par un garde du Cercle. trouve Paris et n'a jamais entendu parierr de la Seine ? On ne sait. E « Mais le plus amusant est l'inscription UN AÉROPLANE PARTI SANS PILOTE n > de l'employé des postes, inscription énerLONDRES, 7 mars. — Le « Central News » " gique au crayon bleu et ainsi conçue : raconte qu'à Tunbridge-Wels, un aviateur ? « Voir Paris. — Seine. » venait de monter dans son appareil et al' « Ah ça ? Est-ce qu'on peut voir un auilait quitter le sol lorsque, par suite d'une ïe tre Paris ailleurs ? » — Havas. embardée, le pilote fut précipité hors de le _ l'aéroplane et tomba à terre Mais l'aéroplane ne s'arrêta pas. Il s'éé LE COMMANDANT BOSGHET leva rapidement et disparut à l'horizon. CONTRE L' » HUMANITÉ » Depuis, on n'en a trouvé aucune trace. C ' PARIS, 7 (mars. — La cour d'assises do e *- Havas. la Seine a rendu son arrêt dans le procès s en diffamation intenté au commandant it LE SECRÉTAIRE PRÉVARICATEUR Bosohet, du 11° cuirassiers, au -journal J *: BREST, 6 mars. -- L'ouvrier de l'arsenal al 1' « Humanité », à propos d'un article re:0.., secrétaire du syndicat du port, est st montant à la grève de Draveil-Vigne us. i>n fuite depuis plusieurs Semaines. H a Lje géiiactt de 1' « Humanité » a été conse dominé a 500 fr. d'amende et à. dix friseritopàru en emportant 200 fr. de la caisse s cé lions dans dtes journaux laisses a» choix Syndicale. Le préfet maritime a prononcé ... de ia partie civile, qui obtient en outro el'exclusion de l'arsenal de l'ouvrier D... 3. le franc de deirmia^-Antérèts demandé. *our absence illégale. » établissant p J j Les puissances réocceperaient la Crète 6 mars. — Le bruit court avec. persistance que les puissances protectricess ' 'auraient décidé la réoccupation militaires de la Crète. , Un régiment d'infanterie anglaise de1 Malte aurait reçu l'ordre de se tenir prêt ; à ' partir pour la Crète. Les autorités disent ne rien savoir. Le croiseur « Diana » part le 15 mars ' :pour la Crète, mais peut-être simplement pour y relever le « Lancaster ». — HaJ vas. MALTE, LES SOUVERAINS BELGES A PARIS PARIS, 7 mars. — A son retour de lat Côte d'Azur, le roi Albert s'arrêtera à Pa-1ris et aura une entrevue avec le président* t* Fallières. L'objet de cette entrevue se rapportea notamment à diverses questions colonia-; les. — Havas. FIN DE LA DERNIERE HEURE 8 BOURSE OE PARIS Rente S "(O Jetions Lvon Métropolitain l!io 'i'into Sosnowice Extérieure 4 0|0 misse consolidé 4 0(0 ... . De Béer» (ord.) i:aud Mines. ......... lîriansk (ord.) ïurc Manque ottomane Serbe ... Italien fr^i.eeurj Dern. cour» 6 mars. 6 nari. • 9'i (30 94 600 12H ... 13 l .. 6/2 .. 677 ..• 1830 .. 1D70 .. 95 30ô 95 900 498.. 151 506 505 ..■ 92 12 G87 .. 88 122 07 65J 1818 .. 1570 .. 95 25 98 .. 498 .. 155 .. 502 .. 92 27 687 .. 88 02 .... " | Télégramme commercial (Bourse du commerce} Chiffres fournis par la maison lioger Bollacket Giee Paris, 6 mars, 1 li. 37 soir, 4 MAI 21 20 27 20 34 85 COURANT Avoines (100 kil.) Blés (100 KU Farine» (100 kil.). 21 55 87 35 34 05 fiOURANT 85 50 75 25 Lin Huiles (tOO kil.) 4 COURANT 62 75 Alcool (l'heetol.) COURANT 49 50 Sucres ~ 1 ECHOS <»♦ 1 4 MAI'.S 83 .. 74 50 4 MAI 63 50 MARS 49 93 —- 1 D>E PA^TOUA GUILLAUME II EN SUISSE. — Le séjour de S l'empereur Guillaume en Suisse serait fixé comme suit : il arrivera en Suisso le 23 septembre ; pendant deux jours, il assis5. tera aux manœuvres du 3° corps dans la a Suisse orientale ; il se rendra ensuite à à Berne, où un grand banquet sera organi\ sé par le Conseil fédéral, et à Interlaken. ,e L'empereur Guillaume partira' de Suisse le 7 septembre. la A LA COUR DE RUSSIE. — Les dames de 'a tsarine sont dans la plus grande agitation m au sujet d'une prière, c'est-à-dire d'un orr _dre, que vient de leur adresser leur souveraine : ii s'agit de ne plus fumer de cigarettes en sa présence 1 Les dames de la cour viennent de rédiiger une pétition demandant le rappel de '6 ce terrible ukase. Elles invoquent l'exemplo de toutes les femmes de sang royal qui font usage de tabac : l'impératrice ;0 douairière de Russie et sa sœur, l'impéraatrice d'Autriche, la reine d© Roumanie, la a raine d'Eapagne, la femme du prince HenJ -_ ri de Prusse, et presque toutes les prin«e»ses des eenrs d'Europe, n OH fttwnl avec anxiété la décision du tew, : Ta. Bia or not Ta Ba 1 MERCIER PUBLICITÉ; L'Agence Havas, 8. place de la Bourse, à Para ei MM. John F. Jones et C* , 31 bis, faubourtr 30 c. la ligne 60 — 90 150 — CHRONIQUE MILITAIRE CABY ET DIEUDONNÉ RENÉ oisons. Cela:prouvera aux gens trop emballés que si l'aviation doit rendre d'immenses services, il ne faut pas abandonner nos vieilles méthodes de reconnaissances par les éclaireurs à cheval ou à bicyclette. Dès que le temps devient sombre, par la brume ou la pluie, pendant les longues nuits, les machines volantes perdent toutes leurs qualités, elles ne peuvent rendre aucun service. Alors, c'est à l'adversaire le plus entreprenant, le mieux outillé à L'exploration que reviendra le bénéfice des surprises contre un ennemi qui se reposerait uniquement sur les indications attendues des aviateurs. Donc, attribuons des avions à tous nos corps d'armée, ayons une flotte considérable de ces engins, essayons môme de leur donner une valeur destructive par l'emploi de projectiles,mais ne négligeons pas pour cela de dresser notre cavalerie à rester souple, attentive, vigilante. Les journées sombres peuvent se suivre pendant longtemps, il faudra savoir remédier à l'impossibilité d'utiliser les observations aériennes. Cela importera d'autant mieux que les occasions seront plus rares. Quant aux avions, puisque le mot, plus bref, semble devoir remplacer aéroplane, ils devront être exercés à de très longues randonnées. Ce n'est pas sur le front des armées qu'ils auront le plus à agir, mais avant la concentration même. H faut que nos pilotes puissent aller à Cologne, à Bonn, à Coblentz, à Mayence, à Mannheim, etc., partout où les lignes stratégiques allemandes traversent le Rhin et puissent prévenir le commandement de la direction prise par les convois do troupes. Le secret sur. lequel compte l'état-major allemand Pour s'assurer le succès n'existera plus, nous pouvons savoir longtemps à l'avance ce qoe projette l'adversaire. L'avantage est entièrement pour la1 France, car celle-ci ne sera pas l'agresseur, elle ne songerait à aller envahir• l'Allemagne que si celle-ci avait pris; l'initiative de la rupture. La direction' de l'invasion sera donc précieuse à con-' naître. Les aéroplanes nous donnent lai certitude que nous saurons d'où vientt la menace et cela assez longtemps àt l'avance pour que l'on puisse manœuvr er avec certitude. L'adversaire, luimême, se sachant éventé, ne saurait deviner quelles forces vont lui être opposées et sous quelle forme se manifeste-" l'ait leur action. Les avions vont donc bien transformer à notre avantage les conditions dea la guerre future. L'opinion publique ne__ s'y est pas trompée. L'admirable élani actuel le prouve. Il faut maintenant que3 les états-majors, désormais certains dea posséder pleinement une flotte aérienne, | évoluent en stidtégie et en tactique danss le sens des conditions nouvelles de laa guerre. il suffit d'entendre nos officiers pour être certain qu'ils seront à la hauteurr (le leur tâche. AR DO U1N-D UMAZET. Les forces navales allemandes TIEN-TSIN.— 800 soldats japonais sont arrivés à Ticn-Tsin, venant de Port-Arthur su sur des gabarres amenées par quatre croiseurs. 500 soldats japonais ont encore quitté té Moukden pour Tien-Tsin. Quatre délégués du gouvernement de Ni Nankin sont arrivés à Pékin. Ils sont accompagnés de deux délégués de Yuang Schi-Kaï, venus conférer en vue de Tétaf bl blissement ' d'un gouvernement de coalition.— Havas. ti< BERLIN, 6 mars;— Le « Lokal-Anzeiger » a; annonce que le Conseil fédéral possède ai actuellement les projets de loi militaire e? n naval, qui seront prochainement publiés! L Le projet naval porte création d'une troisi sième escadre active, la construction de ti trois vaisseaux de ligne et de deux petits ci croiseurs. Les dépenses s'élèvent en 5 an> d 15 à 43 millions de mark.— Havas. de ♦«>-«» L'EX-SCHAH 6 mars. — L'exschah a signé avec le gouvernement de Téhéran un accord aux termes duquel il q quitte à jamais la Perse moyennant une r rente viagère annuelle de 600,000 francs. — Havas. - LE BEfiOEMÏ DES IMPOTS ; PARIS, C mars — Le rendement des impôts pour février 1912 atteint 257,873,700 g francs, avec une plus-value de 14,9-14,500 fr francs, par rapport aux évaluations budg( gétaires et une moins-value de 14,735,100 i'rancs par rapport au rendement de lé« vrier vl 1911. — Havas. CONDAMNATION DU « PILORI ) _ CHARLEVILLE, 6 mars.— Le tribunal correctionnel a condamné le journal « le Pi» _( lori » à 20 fr. d'amende .et 200 francs de dommages-intérêts à l'égard de la Confédération du travail pour des articles jugés injurieux. — Havas. î LI GREVE DES MEURS A»GLft!S LA REPRÉSENTATION ' LONDRES, 6 mars. — Les délibérations concernant la grève des mineurs sont maintenant dirigées par le conseil de l'inn d dustrie, qui a tenu une série de séances et constitué un comité qui confère avec les ci n ministres. Le comité exécutif des mineurs , s'est réuni hier et aujourd'hui les patrons n mineurs arrivent à Londres. On croit à une nouvelle tentative de conciliation ci par le gouvernement. On annonCl ce qui! n'y aura pas de grève des cheminota et des ouvriers des transports. Le n nombre d3s ouvriers des autres industries ri réduits au chômage varie entre 350,000 et M100,000. Un reporter du « Daily News » signale de ' grives différends entre les mineurs, .e parti ouvrier et les autres syndicats. Ces a deux derniers ne sont aucunement d'acccord a.vec les mineurs au sujet du refus par ces derniers d'adopter les propositions P du gouvernement. EN LES SUFFRAGETTES ANGLAISES 6 mars. — Le British Muséum 1 restera fermé jusqu'à nouvel ordre, la di1rection craignant que les suffragettes ne 5se livrent à des déprédations sur les objets c d'art. ! LONDRES, VOIS PAUSE 2 i Les alibis de Dieudonné à Nancy. | PAGE 3 : !Sangiante 4 PAGE OIE DECLARATION s , 6 mars. — Au nom du gouverb ivarois, M. le.baron de Herbling, présidant du conseil a donné lecture d'une j_ déclaration à la Chambre des députes. 11 a a fait ressortir que le gouvernement n'ét tait pns un gouvernement parlementaire c et qu'il ne devait pas être considéré comme] une .runsition à ce système. Ni lui, ni les autres ministr-es ne sont plus membres i td un parti politiiuo. Parlant des relations centre le gouvernement et les partis politiif jques M. de Hertflng a déclaré que c'était *une situation anormale quand le Parlement et le pouvoir exécutif sont hostiles i l'un à l'autre. Le gouvernement a besoin cd'une majorité au Parlement, et malcrié 1les ressentiments provoqués par la lutte iélectorale il doit être possible de s'unir 1poiir foire Co la besogne positive Le nouveau gouvernement est homogène ( une volonté générale doit aussi se maniet \ fester dans le Parlement. Avant tout il faut 1 respecter l'autorité de l'Etat et la fortifier dans le sens de la Constitution. Le gouver_ ne fera aucun obstacle aux partis inement tant que ceux-ci resteront dans le domaine <constitutionnel. La religion chrétienne doit 'être protégée et elle doit rester la base de 1 toute l'éducation. MUNICH, POUF 11 nement l'Aviation Militaire SOUSCRIPTION de l'Est Républicain AFFAIRES IIRÛC^ES Les négociations de Madrid MADRID; 5 mars. — Le journal « El Mun'do », parlant du travail de la commission 1 technique mixte, écrit : « Il est clair que les délégués espagnols, (qui ont à résoudre une question impor! tante pour les deux pays, ont des attribu1tions limitées. « Mais nous espérons que les délégués ( des deux nations s'inspireront d'un sain ,et profitable patriotisme pour surmonter les difficultés qui se présenteront, aiin d'arriver à un accord digne des gouverne; ments français et espagnol. « Ils doivent également méditer froidement et user de tous les moyens pour éviter d'arriver à une situation diflicile qui serait regrettable à tous égards. de bagarre à Moutiers. Echos de la Mode. 1L'Actualité agricole ; Les seigles de printemps, par IVi. Londinières. DU GOUVERNEMENT BAVAROIS région PROPORTIONNELLE BULGARIE _, SOFIA, 6 mars, — Lr Chambre discuta le projet d'institution de la représentation proportionnelle.— Havas. e o-»-» L'agitation dans la SAINT-PÉTERSBOURG, Mogador 5 mars. — Un radiotélégrammo de Mogador dit que Hadji Assan,'kh i.if-^. du caïd (hrcllouli à, Agadir, est aux prises avec les Kiisima. Deux engagements sérieux ont eu lieu, le 1" et le 2. La situation à Agadir est assez sérieuse. LONDRES, 6 mars. — On mande de Mogador, le 4 mars, que les divers événements déjà signalés se sont produits dans les conditions suivantes : Le caïd Guellouli avait été obligé de fermer certains bureaux de perception de la rente perpétuelle grevant des propriétaires fonciers, fonctionnaires sous sa juridiction dans la province do Haha. Par contre, il avait établi p-ir fece de nouveaux et semblables bureaex dans le pays de Khsima -.t c'est cette mesure qui a occasionné les troubles, ~ ♦tt-fr TANGER, ÎY" LISTE , ■ 'Schott j. A. J. R fLe personnel de l'inspection principale des chemins de 1er de l'Est de Nancy !Delidon, Pharmacie Principale.. H. F., rue du Téméraire Montant des soucriptions reçues dans la commune de Bayonviile (38 liste) Fleury, 24, rue Victor-Hugo ...», Une Patriote lorraine , Docteur Goebel, à Bayon Entreprise F. Bichaton, à Nancy Jean Bichaton Yves Bichaton Une famille de Dieuze Dequesne Imprimeries Réunies de Nancy .. J. Risse, représentant à Maizéville L'International du Sporting-Club Nancéicn « 20 5 » ». 181 20 Z »' » » 87 10 2 5 50 10 10 5 >> » » » » » » » a » 100 » 5 » 1 50 Total de la 17- liste 510 50 Total des listes précédentes .. 11.211 25 Total à ce jour 11.727 75 NANCY LA JOURNÉE Jeudi 7 mars.— 67e jour de Vannée AUJOURD'HUI : DEMAIN : Saint Thomas d'Aquin. | Saint Jean de Dieu. Ephémérides lorraines.— Mort de Catherine de Lorraine, fille de Charles III, célèbre abbesse de Remiremont, qui défendit cette ville contre Turenne et "les Français en 1648. Exposition du bureau moderne, Bourse du commerce, 40, rue Gambetta. De 10 heures du matin à 7 heures du soir. A 2 heures.— Musique militaire au parc Sainte-Marie. A 3 heures.— Hôtel de ville : Séance publique du conseil municipal. A 4 heures un quart. — Cercle militaire : Conférence aux officiers de réserve. A 5 heures et demie.— Conférence à la Bourse de commerce. A 8 heures et demie.— Salle Poirel , Soirée théâtrale : « Paillasse ». Maxima *| Êf 1 g j i" ^ | LA TEMPÉRATURE Dunkerqne 748, Biarritz, 765. Dépîres sion Nord-Ouest Europe, Le 6_AJVANCY Heures Le t Thcrm. Barom. Tempsprûlïtihli: GUERRE AU MONOCLE. — Le monocle va être proscrit en Angleterre. Rassurezvous : il ne tombera pas de l'œil boulevar- | ? (t 11. m. -f- 4 749 Vent des régions dier. Mais les officiers anglais ne le porMm., + 9 750 h teront plus, du moins lorsqu'ils seront en 5= | Jll.S-. +8 719 | Averses. tenue. Ainsi en a décidé lord Haldane, 4 'm Max. . +10 - Tempér.normale. ministre de la guerre, qui trouve que '."■ carreau n'est pas militaire. r Min... + s « C'est lord Kitchener qui entreprit, le preï|P (Obi -naliMS de M. IMIiéui.) ~ mier dans l'armée britannique, de faire disparaître le monocle. Pendant la guerre I du Transvaal, il interdit aux officiers placés sous ses ordres de visser un rond do^ SLewr ffioaeher J^^^^WM^k. cristal sous leur arcade sourcilière. Un 11 6 h. 35 5 h. 49 major iefusa de quitter cet ornement. Le -'f<:C% général le manda et lui dit : — Puisque vous no voyez pas sans cette moitié de lunettes, je ne puis vous garderf Lever Couche, v£> parmi les combattants de première^lign?. 2 Vous allez prendre un emploi sur la ligue C b. 58 ». 7 U.4C m. ^ (1 éi a pes. Dern. Quart, le 10 ~~^3S^' J<S*M Ainsi fut fait, et aucun officier n'eut l'iNonv. Lune le ÎH ^^^_? t%A ^M^^ dée de porter le monocle hors de la présente du chef. U ^f- il J 1 ^ J^^^^ ^^^^ £Ee~ ngg 'v 1 JLL| < «il L'élection Sénatoriale C'est le 21 avril qu'aurait lieu l'élection sénatoriale de Meurthe-et-Moselle, rendue nécessaire par le décès du général Langlois. Les délégués et suppléants seront nommés le 17 mars. — —— Les Fêtes mutualistes Les fêtes de l'Union mutualiste de Lorraine, les 23 et 24 mars, s'annoncent comme devant être un gros succès pour cette '■très utile institution. Dans la journée du dimanche 24, l assemblée générale de la caisse fédérale mutualiste de l'Est ; la constitution dune caisse de mutualité maternelle ; le giand cortège mutualiste qui parcourra les rues de Nancy, et la conférence que fera, a rFldaîado M. Lôopold Mabilleau, ne peuvSt^Suer d'attirer en masse les mutualistes de la ville et de la région. tU Dôs maintenant, les demandes aifluen Tiour le bal du samedi 23, a lbldoiaao, ei raurle banquet qui sera servi par les soins de la maison Walter, le dimanche ^ipïoni^eM. le préfet de Meurthe-et-Moselle, du général commandant le 20° corps, du premier président de la cour, du recteur de l'Académie et du maire de Nancy indiquent en quelle estime es autorités de Nancy tiennent les mutualistes et leurs sociétés. . ,rè„ On annonce même comme une ch^e très ou probable qu'un membre du f ^™f£™ iipndra faire à la Mutualité 1 insigne non neuf de ^présence et que ^ compatriote, M. Lebrun, députe de Bney prea Hpnt du conseil général et ministre ues eoTonies présidera effectivement le bana 6 Vfeît c erïaTn Se l^nmtuaMstes se lèveront tous comme un seul homme pour remercier le ministre de sa présence, pour lui faire cortège et pour lui assurer une réception dont la chaleur et l'enthousiasmie ne s'effaceront jamais de sa mêm r De s'cartes de bal sont à la disposition du public, au prix de 2 fr., cavalier et da~ me. S'adresser à M. Henry Petit, a la Belle Jardinière. — «*-«•«* — La fête des Marchands de vin Le Syndicat des marchands de vins et restaurateurs de Nancy et du département a donné mercredi soir, a 7 heures 4, sa fête annuelle. . Cette fois, ses organisateurs avaient délaissé le centre de la ville et les membres du syndicat s'étalent réunis dans la belle salle de la Renaissance, aux Trois-Maisons. . •. Celle-ci était fort bien décorée et présentait le plus agréable aspect. Selon la coutume, les marchands de vins avaient tenu à associer leurs vaillantes épouses à cette fête qui, des "mieux organisées, fut parfaitement réussie. 200 convives environ. M Grisard, président de la Fédération des débitants de' France, présidait, avant a ses côtés M. Jost, président du syndicat de Nancy, Chairdot, président, Sterne, président honoraire des marchands de vins en gros, Durand représentait le directeur des contributions indirectes, Flury, commissaire central, les présidents des divers syndicats de l'alimentation, MM. Walter, Guerpont, Houlard, Galley, CharlyMM. Knecht, du syndicat des grains : Meunier et Long, des Brasseries de M axéville ; Greff, Trampitch, de la Brasserie de Champigneulles, etc., etc. Parnii ies autres convives, MM. Aubry, Heyde, vice-président, Beisbardt, secrétaire ; Lambert, trésorier des marchands de vins • de nombreux représentants de la région et même de l'extérieur, dont M..Alfred Massé, de Bordeaux. Le banquet, agrémenté par un excellent orchestre, fut naturellement des plus gais, supérieurement servi et arrosé de crus fan eux. tes toasts A l'heure des toasts, M. Jost prend le uremier la parole. H remercie les invités présents et" leur adresse l'expression de sa vive gratitude, puis il excuse diverses personnalités empêchées. Après M. Jost, M. François prononça une allocution de circonstance. M. Walter, président des syndicats de l'alimentation, s'exprima en termes très appréciés. M. Girod, président du syndicat de Barle-Duc rffînercia chaleureusement du cordial accueil oui lui a été réservé. M. Chardbt, président du syndicat des marchands de vins ©n gros de Meurthe-etMoselle est heureux des relations de cordialité et d'estime qui se perpétuent entre les négociants en gros et les négociants en détail. (Applaudissement».) M. Grisard exposa ensuite tout ce que la Fédération des marchands de vin a fait dans l'intérêt de la corporation. L'honorable président fut des plus écoutés et applaudis. Après les discours, une fête de fnmille des plus joyeuses commença. Elle ne fini! naturellement qu'aux premières lueurs de l'aube naissante. Soeiété industrielle de l'Est La Société industrielle de l'Est ouvre un concours entre architectes et hommes de l'art de nationalité française pour la transformation d'un quartier surpeuplé de la ville de Nancy, au moyen de l'édification de maisons établies suivant toutes les règles de l'hygiène moderne, et dans les conditions prévues par les lois sur les habitations à bon marché. Les auteurs qui prendront part à ce concours devront avoir remis leurs projets au siège social de la société, au plus tard le 1er octobre 1912. Les prix attribués par la Société industrielle de l'Est se montent à la somme de 4,000 fr. Le programme du concours est tenu à la disposition des intéressés au secrétariat de la société, 40, rue Gambetta, à Nancy. • Tombola de « La Tutélaire dea P. T. T. » Le comité du groupe lorrain de la « Tutélaire des P. T. T. » fait connaître cru'à l'occasion; de la fête donnée à Paris, le i février dernier, de nombreux objets sont offerts gracieusement aux détenteurs de billets de souscription à cette fête. Pour Mciurthe-et-Moselle, des objets ont été attribués aux numéros ci-après : 7140 7312 7531 7743 7029 7994 19090 •19266 19453 19635 19903 19988 58091 58414 58545 58775 58903 59001 59377 59594 59785 59961 59998 65158 65247 6398 65566 G57i>3 65943 66006 66247 66380 66567 66704 66876 7S032 78169 78348 78524 78083 78980 79162 79337 79513 79639 79743 79845 80157 80289 80401 80620 80814 80997 92005 92253 92502 92596 92813 92947 93094 ftJW 98889 93511 93715 93897 94033 '94271 94415 94524 94621 94785 58289 Pour la remise des objets, s'adresser au siège social, 9, rue Vineuse, à Paris du er 1 avril au lsr mai, dernier délai. Ces objets pourraient être expédiés contre l'envoi préalable des frais de port et d'emballage. Le comité du groupe lorrain remercie bien sincèrement, les nombreux souscrinteurs à cette fêle donnée au profit de la caisse de secours. IJ espère compter mr les mfcmss cœurs généreux l'an prochain. Les alibis de Dieudonné 8! a été m à Nancy IB 21 décemara jour de l'attentat Où était-il le matin? L'enquête de la police sur les alibis fournis par Dieudonné au parquet de la Seine, a déjà porté sur un certain nombre de personnes indiquées par lui comme susceptibles de certifier que, le 21 décembre, date de l'attentat de la rue Ordener, il se trouvait à Nancy et non point à Paris. M. Volfromm, métreur-vérificateur, rue de VHlers, a certifié qu'il lui a parlé, le 21 décembre, vers quatre heures de l'aprèsmidi, et que l'inculpé d'aujourd'hui, qui avait l'air parfaitement calme, lui parla de ses projets d'aller travailler à Longwy de son métier de menuisier. B» habitué de l'atelier de M. Bill, menuisieur rue E-ugene-Ferry, assure qu'il a vu aussi Dieudonné dans l'après-midi du 21 décembre. Enfin, M. Léon Vaster, représentant de commerce, a raconté à un journaliste avoir rencontré Dieudonné le 21 décembre, à 1 heure 20 de l'après-midi, dans les parages de la gare. Cette heure et le lieu de la rencontre doivent être particulièrement retenus. Comme il connaissait Dieudonné de longue date, M. Vaster descendit la rue SaintJean avec lui, et les deux hommes prirent quelques bocks au Grand-Café. C'est Dieudonné qui régla avec un billet de cent francs. Mais comme il se faisait couramment des journées de 15 francs dans sa spécialité de monteur en escaliers, la possession de ce billet n'avait rien de surprenant, d'autant plus que c'était le seul qu'il eût à ce moment dans son portefeuille. Dieudonné paraissait très calme et n'avait pas le moins du monde l'air d'un homme qui viendrait de faire un mauvais coup. M. Vaster a été entendu par M. Renaudin, commissaire divisionnaire. Mais, interrogé par ce magistrat, il s'est montré cette fois moins précis dans ses déclarations et sa rencontre avec Dieudonné aurait eu lieu, paraît-il, plus tôt qu'il ne l'avait précédemment indiqué. Mais quelle confiance accorder à un témoignage qui se produit deux mois et demi après l'attentat V M.Renaudin a entendu aussi un garçon du Grand Café, mais ii n'en a pu obtenir — et pour cause — que des renseignements vagues. M. Renaudin a entendu aussi trois amis de Dieudonné, qui lui ont déclaré aussi l'avoir vu le 21 décembre à Nancy. Il est bon de remarquer toutefois que la présence à Nancy de Dieudonné dans l'après-midi du 21 "décembre ne prouve pas qu'il ne pouvait pas être à Paris le matin, et par conséquent qu'il n'a pas pu participer â l'attentat de la rue Ordener. En effet, l'attentat dont a été victime le malheureux garçon de recettes a été commis vers huit heures du matin. Or, de Paris à Nancy nartent deux trains le rapide de 9 heures arrivant 5i Nancy à 1 heure 13 du soir, et l'express de midi 16 arrivant à 4 heures 39. Il semble donc que si Dieudonné a été vu vers 1 heure 20 dans les parages de la gare, il a pu arriver par le premier, quoique M. Vaster assure qu'il avait plutôt l'air d'aller vers la gare que d'en sortir. Un grand point d'interrogation doit encore être mis à la place des conclusions sur cette affaire, mais la justice est persuadée que la lumière ne saurait tarder à se faire. Quelques réflexions En vertu de commissions rogatoires qui lui sont adressées, la police de Nancy informe donc à perdre haleine sur la valeur des alibis de Dieudonné. H semble bien que, tout compte fait, oft se soit trop pressé d'accueillir certains propos. Dieudonné aimait fort peu les gardiens de la paix ; il refusait de leur tendre la main, même quand ils avaient servi dans son régiment ; il dut proférer contra eux d'irrévérencieuses paroles — et cela lui valut une animadversion dont il supporta les effets. Suspect d'anarchie, Dieudonné ne témoignait pas aux garçons de recettes une tendresse plus vive que sa sympathie à l'égard des policiers ; mais faut-il croire, sur la simple affirmation de Caby, qu'il a été l'auteur principal die l'attentat de la rue Ordener ? On peut s'étonner qu'après un exploit ayant pour conséquence de procurer aux criminels la somme assez rondelette de 150.000 francs, aucune trace de ce magot ne permette de relever aucune accusation précise contre les bandits. Faut-il dès lors admettre qu'au lendemain même de l'agression, Dieudonné — à supposer qu'il ait réellement trempé dans l'affaire — avait déjà' dépensé sa part de butin et qu'il était obligé, pour vivre, de reprendre son métier et die se contenter de son modeste salaire ? Les investigations des agents de la sûreté et de la brigade mobile feront incessamment la lumière sur l'alibi invoqué par le menuisier anarchiste. Nous avons noté, le 31 décembre dernier, qu'à la veille de Noël, trois automobilistes s'arrêtèrent, le soir, dans un café de la rue des Dominicains, et. que leur présence y éveilla les soupçons des consommateurs. Comme une auto stationnait devant la porte de l'établissement, les touristes y prirent place, mais ils éprouvèrent de sérieuses difficultés pour mettre en marche le moteur et, au bout de cent mètres, le véhicule stoppait. Or, un des témoins aurait dit : — C'est des copains à Dieudonné qui veulent faire les malins avec une auto... Ils n'y connaissent rien 1 » Telles sont les légendes qu'après coup on a le loisir d'imaginer, mais qui ne reposent sur aucune base sérieuse et solide; il s'agit de bavardage, de racontars, dont une enquête ne saurait faire état.car Dieudonné, à ce que l'on nous a, d'autre part, affirmé, n'a jamais tenté le moindre apprentissage de chauffeur. Un garçon de café en service dans une brasserie du centre de Nancy, prétend encore que, le jeudi 21 décembre, date de l'attentat de 'a rue Ordener, il a aperçu Dieudonné. Bref, les renseignements les plus fantaisistes, sinon les plus contradictoires, se heurtant dans une confusion où les magistrats chargés d'exécuter leur commission gatoire avancent péniblement. En même temps que La police s'efforce de projeter la lumière sur les gestes de Dieudonné pendant son séjour à Nancy, il importe qu'elle établisse également l'importance des dépenses auxquelles il a pu se livrer : un assassin disposant de vingtcinq ou trente mille francs, ne mène pas, à notre avis, l'existence d'un ouvreir gagnant 150 ou 200 francs par mois ! Quant à la déposition de l'encaisseur Caby, il a « reconnu » avec tant de force, tant de netteté Ca.rouy, Garnier et même le jeune Etienne Gandard — dont nous avons démontré l'innocence — que ses déclarations devraient être accueillies avec prudence et sous bénéfice d'inventaire. La- vérité peut-être, c'est crue la police erre à tâtons dans un pitoyable imbroglio et que, plus elle tâche d'en sortir, ofau elle s'y enfonce lamentablement. JPtercsoinn* ne senf«lt smrprhj d'a,ppmndTe tleimain qt&e Dieudonné est aussi étrangerà l'aifaiire die la rue OrdftWer que M. le presidewt Ffl/Htères. Seulement, on entretient dans 1© public «n goût pour les romane d'aventures, pou* tas dwaiBiee sensatronn**s dont no«s sériions heureux de sailuer la lin. — &. G. — # 9 ♦ Encore unemito grise! Mais, au lieu de faciliter la fuite des malfaiteurs, elle en permet la prompte arrestation U» humoriste, ces jowrs derniers, proposait aux amateurs d'émotions fortes de se lancer dans une carrière que les récents exploits de3 bandits ouvrent devant ceux que tenterait par hasard la gloire de Sheife locfe Holmes : — Aimez-vous les grandes chasses ? disait-il. Lancez-vous donc à la poursuite des Carouy, des Garnier, des Dieudonné. Traquer les assassins, cela vaut mieux que de se poster à l'affût des bêtes féroces. Et pwis, vous rendrez à la société des services «f»'elfe saura reconnaître. Si vous êtes assez riche pour posséder une automobile, utilisez contre les malfaiteurs un moyen de locomotion dont ceux-ci semblent détenir le monopole pour l'exécution de leurs abominables projets... » L'humoriste avait raison. A l'auto grise que signalent en même temps sur divers points de la France une dizaine de rapports policiers, nous en opposerons aujourd'hui une autre — qui a justement prêté aux gendarmes mussipontains une aède sur laquelle personne, certes, ne comptait En quelques mots, voici l'histoire : Hier matin, deux voleurs s'emparaient, à Frouard, d'une voiture chargée de viande de boucherie appartenant à M. Worms. Ils avaient l'intention de passer la frontière et de vendre à Metz leur butin. Mais un employé de M. Worms interpellait au passage le chauffeur d'un camion automobile : — Vite,conduisez-moi à Pont-à-Mousson, lui demandait-il... Les voleurs n'ont pas sur moi une grande avance... Je les rattraperai certainement... » Près de Pont-à-Mousson, deux gendarmes furent rencontrés et sur-le-champ instruits de l'événement. Par une heureuse coïncidence, M. Henri Chèvre, le sympathique agent de Peugeot, passait à ce moment sur l'auto grise — une 16 HP spéciale — qu'il pilote avec une si remarquablé maestria. A son tour, on l'informa de ce qui s'était passé : — Vous désirez battre la région, proposa M. Henri Chèvre aux gendarmes... Montez avec moi... Nous allons visiter l'un après l'autre tous les villages des environs... Si les voleurs parviennent à nous échapper, ils auront de la chance ! » Les gendarmes acceptèrent avec joie la proposition. A une vitesse prodigieuse, ne s'arrêtant ça et là que pour interroger les cantonniers sur la route, les débitants et les ménagères dans les localités, M. Henri Chèvre visita en moins de quarante minutes Atton, Loisy, Pont-à-Mousson, BelleviMe... Enfin, un paysan guida les investigations : — J'ai vu passer la voiture que vous me signalez... Les conducteurs tapaient à tour de bras sur le cheval pour aller plus vite... Mais vous les pincerez sûrement entre Blénod et Pont-à-Mousson ! » Le renseignement était bon. Bientôt l'auto grise surprenait la voiture volée et, en. moins de temps qu'il n'en faut pour conter l'histoire, les gendarmes mettaient les voleurs en état d'arrestation. Le souhait de l'humoriste était réalisé. Si les corsaires de grand chemin avaient à leurs trousses des torpédos aussi rapides que la 16 HP spéciale de Peugeot, la police mobile — automobile serait le mot exact — interromprait souvent l'exercice de leur coupable industrie. Quoique les chauffeurs emploient de préférence les bougies pour leurs moteurs, le boucher de Frouard doit quand même une Mère chandelle à M. Henri Chèvre 1 Pour l'achat d'un deuxième aéroplane La souscription ouverte par la municipalité de Nancy pour l'achat d'un second aéroplane s'élève à ce j,our à 3,187 fr: 90. Disparition Depuis une dizaine de jours, M. Beck Mathieu, âgé de 52 ans, toucheur en bestiaux, demeurant 29, rue du FaubourgSainte-Catherino, a dispaiu de son domicile. Le jour de sa disparition, Beck qui était au service de M. Sohaetzlé, commissionnaire, était allé conduire une vache à Laneuveville-devant-Nancy et un bœuf à StNicolas-du-Port. Les animaux ont bien été livrés aux clients, mais depuis on ne sait où se trouve Beck Mathieu. La gendarmerie a ouvert une enquête. Embarquement Dans !a soirée a eu lieu à la gare SaintGeorges, un exercice d'embarquement en e pleine voie, de la 9" batterie du 8 régiment d'artillerie. L'embarquement s'est fait dans Te minimum de temps nécessaire.. Tombé de son camion Dans l'après-midi de mercredi, M.Mehl âgé de 50 ans, camionneur aux BrasseriesRéunies de Maxéville, est tombé de son véhicule. Dans sa chute, il s'est fracturé le bras gauche. Il s'est rendu à l'hôpital de Nancy, où la fracture a été réduite, puis il a regagné son domicile. Attention à vos chapeaux Voici le printemps... et si les feuilles poussent... les élégants veulent aussi se préserver des rayons du soleil par des coiffures à la mode. Ce n'est pas d'aujourdhui que nos vieilles, honnêtes et soLides maisons de chapellerie nancéiennes ont tenu a faire leurs preuves en suivant le progrès et en devançant les plus grands faiseurs. Le chic, l'élégance, la variété le bon gout, le bon marché et la vraie coquetterie nancéienne... on retrouvera tout cela cette année comme les autres, à la vieille et si estimée CHAPELLERIE KNOLL PÈRE & FILS 28 bis, rue Saint-Jean, à l'angle de la rue de la Visitation La aussi bien que n'importe où et avec une aménité meilleure, tout Nancy et toute la région trouveront les plus belles coiffures de tout genre. Qu'on se le dise sans oublier langle de la rue Saint-Jean et de la rue de la Visitation. Accident d'automnyiio Mercredi, vers 10 heures et demie du matin, un accident d'automobile, tiù à la rupture d'une branche de l'essieu avant et août .a roue gauche était entièrement Lordua a eu lieu rue Lafavette, avant d'arriver à la place des Dames. Aucun accident de personnes. Coimnencc.Mtent d'incendie Mercredi, à sept heures du soir, un commencement d'incendie s'est déclaré rue Sellier, 22, dans la cuisine de M. Hoffmann, charcutier. Le feu est dû à un court circuit, un fil électrique s'étant rompu.' Il a pu. être atteint rapidement avant l'arrivée des pompiers, qui avaient été demandés. Les dé-càto sont insignifiants. La conférence du docteur uharcot tem MORTS DU JOUR M. le Conseiller Serre ...Une courte note biographique a appris aux Nancéiens lia mort, à l'âge de 80 ans, de M. Serre, ancien, premier président de la cour d'appel de Nancy, conseiller honoraire à la cour de cassation. La mémoire de M. Serre mérite infiniment mieux que cette courte note biographique. En effet, l'ancien premier président de notre cour d'appel fut un magistrat éminent et un de nos meilleurs juristes. U était de la lignée des magistrats de vieille souche ; il se rattachait à ces fiers conseillers d'autrefois dont Philippe de Champaigne noue a légué les portraits mélancoliques, les figures hautaines sur lesquelle le jansénisme avait mis son empreinte de doute angoissé. Nous nous rappelons encore très bien de M. Serre : il était de taille moyenne, portait les favoris classiques et la cravate de commandeur de la Légion d'honneur. Il avait succédé, si nos souvenirs sont exacts, à M. Ballot-Beaupré, qui vient de prendre sa retraite comme président de la cour suprême. *** MM. Serre et Schnerb, alors préfet de Meurthe-et-Moselle, furent les héros d'un incident qui fit grand bruit à l'époque. Le général de Miribel, commandant du 69 corps, à Châlons, venait de faire son entrée solennelle dans notre ville. On fondait bien des espoirs sur cet officier général, dans lequel on était unanime à reconnaître un caractère d'organisateur incomparahle. Aussi la réception avait-elle été très chaleureuse, aussi chaleureuse que le permet la nature réservée de notre sage population nancéienne. Bientôt, au palais du Gouvernement, dans la somptueuse demeure de la Galaiziôre commencèrent les réceptions. En ce temps là, d'après te décret de Messidor, le premier président avait le pas sur le préfet. Or, à l'entrée des salons M. le préfet Schnerb passait avant le premier président, lorsque celui-ci le tirant pair son habit le lui fit doucement remarquer. Mais M. Schnerb, impatienté, répondit simplement par un « zut » qui devint aussi célèbre à Nancy que le u Je m'en f... » de M. Mesureur. M. Serre se montra vivement froissé de cette réponse aussi laconique que peu protocolaire. Elle eut pour conséquence la nomination au conseil d'Etat de M. le préfet Schnerb. M. Serre quitta lui aussi Nancy pour la cour de cassation ; M. Sadoul, procureur général, fut nommé premier président. A De pareils incidents ne sont plus à redouter à l'heure actuelle, puisque le décret de Messidor est aboli et que le préfet est devenu la première autorité du département et en cette qualité, porte la plume blanche. *** ...M. Schnerb est mort, M. Sadoul est mort. M. Serre les suit à son tour dans la tombe après une longue existence toute de dignité et de travail.— L. P. Les funérailles de M. Edouard Serre ont eu lieu mercredi 6 mars, à Paris. L'inhumation s'est faite à Garches. Ces cérémonies ont eu lieu avec la plus grande simplicité, conformément à la volonté expresse du défunt. Facultés de droit, des sciences et des lettres Le registre des inscriptions pour le troisième trimestre de l'année scolaire 1911-1912 sera ouvert au secrétariat des Facultés du 6 au 15 mars 1912. Faculté dis lettres Cours publics Jeudi 7 mars, 4 h. |. — Littrature anglaise. M. Reyher : Dickens : L'art du romancier. Samedi 9 mars, a 4 heures 1/4. — Littérature française. — M. Estève : Les débuts du byronismo. — Conclusion du cours. [ . Samedi 9 mars, à 5 heures — Histoire de la Lorraine. — M. R. Parisot : L'époque franque : Les institutions politiques et administratives, les origines du régime féodal. AVIS. — Le couturier Barghon a le plaisir d'annoncer aux Dames qu'il vient de se rendre acquéreur d'une affaire très importante en Dentelles Véritables. Il sera heureiux de faire profiter ses Clientes d'occasions introuvables ailleurs. Il y a dans ces dentelles de véritables merveilles de finesse et entre autres choses, un voile de mariée en vraie dentelle qui a coûté à lui seul une petite fortune. Ce voile sera exposé à l'admiration, jeudi, vendredi, samedi et dimanche, avant d'être expédié â l'heuréuse fiancée qui doit le porter prochainement. Il sera exposé également un choix unique de points de Venise, de Duchesse, d'Angleterre et de points de Milan, cette dernière dentelle constituant la nouveauté pour l'été. Barghon vient également dé doter sa maison d'un rayon complet de lingerie line pour Dames, l'exposition de toutes ces jolies choses aura lieu à partir de jeudi au rez-de-chaussée. Nota : Barghon rappelle aussi aux Dames qu'il est en train de créer tous ses nouveaux modèles et qu'il pourra montrer dans dix ou douze jours la plus jolie collection de robes qu'on puisse rêver. Conférence militaire Vendredi, à 8 heures et demie du soir, salle Déglin : Canrobert, par le général Roget. Souscription pour nos aéroplanes Notre reporter, après deux jours d'enquête a fini par apprendre que c'était rue St-Dizier, 93-95, que cette fameuse maison d'articles confectionnés : « Aux Galeries des Occasions », allait s'ouvrir. Il a voulu interviewer le propriétaire qui n'a pu le recevoir étant débordé par la préparation d'une mise en vente sensationnelle d'ouverture. II nous donnera lui-même des détails samedi prochain. Mort dans la rue Mercredi, vers deux heures de l'aprèsmidi, M. Charles Genlot, âgé de 57 ans, charretier, demeurant rue du Moulin, 6, passait place Saint-Epvre. Arrivé à la hauteur du numéro 25, il fut pris d'une abondante hémorragie et tomba sur le trottoir, où U .expira presque aussitôt. La femme du défunt fut appelée, elle fut prise d'une violente crise de désespoir ; des voisines durent la garder. Le corps a été transporté à son domicile. Ivrogne dangereux Dans la soirée de jeudi, Alexis 'Kromrnacker, âgé de 27 ans, manœuvre, sans domicile, étant ivre, boulevard de la Pépinière, accostait toutes les femmes. Un agent intervint et arrêta cet individu, qui fut trouvé porteur d'un coup de. poing américain. ÎHHÙILiP£S Mercredi soir, une nombreuse et élégante assistance se pressait dans la salle archicomble de l'Eden-Théâtre, pour assister à la conférence de M. le docteur Charcot sur son expédition au pôle Sud de 1908 à 1910 sur le navire « Pourquoi-Pas » Rarement conférence attira une telle affluence et certainement la curiosité qu'avait éveillée le nom de M. le docteur Charcot fut pleinement satisfaite. Illustrée de très nombreuses projections photographiques, cette alerte et spirituelle causerie fut au plus haut point intéressante. « Mon seul dôsir,déclara le docteur Charcot, est de retourner dans ces contrées d'un charme spécial. Je ne désespère pas de trouver l'argent nécessaire pour mener à bien la tâche scientifique que j'ai l'ambition de réaliser. » Ce fut grâce à M. Doumer qu'après une première expédition en 1903-1905 sur le « Français », il put entreprendre un deuxième voyage d'études de 1908 à 1910. Le conférencier présenta en projections ses courageux et désintéressés collaborateurs, officiers et marins, auxquels il rendit un juste hommage que l'assistance souligna de ses applaudissements. Le 8 août, le « Pourquoi-Pas ? » quitta le Havre. Après de chaleureuses réceptions dans la République Argentine, M. Charcot arriva à l'Ile Déception, dont il fit la base de son séjour et alors commença pour l'équipage du « Pourquoi-Pas ? » une vie mouvementée, pleine de périls quotidiens. On risquait tantôt de voir les icebergs briser le navire où de rester perdus dans les neiges au cours des reconnaisances. Semé de mots heureux, ce récit des aventures de l'équipage du « PourquoiPas ? » fut très goûté par le public, qui ne ménagea pas ses applaudissements au distingué conférencier. Des films einématographiques représentant les explorateurs en excursions dans les glaces du pôle Sud terminèrent cette soirée. Les paroles de l'orateur laissèrent dans tous les cœurs une profonde impression, car l'énergie, l'audace, les plus sublimes sentiments de notre race, se sont manifestés là-bas avec un éclat qui honore notre pays et qui lui rend en gloire la confiance et la sympathie placées dans un de ses meilleurs serviteurs. Expériences iradiotélégraphiques Il a été procédé, mardi, de trois à cinq heures de l'après-midi, entre Paris et Montpellier d'une part et Paris ot Nancy d'autre part, à des expériences radiotélégraphiques destinées à déterminer l'intensité des signaux suivant l'appareil qui les émet et aussi suivant la direction dans laqueMe ils se propagent. Ces expériences ont été faites de la façon suivante. Au pos£e de la tour Eifel, où se trouvait le commandant Ferrié, des signaux ont été émis en utilisant divers appareils actionnés par des moteurs d'une puissance de 50 chevaux. Les ondes ont été reçues et leur intensité mesurée à Nancy par M. Rothé, professeur de physique à l'Université, et à Montpellier, au laboratoire de M. Meslin. Ces expériences, qui seront d'ailleurs continuées, constituent des essais préliminaires en vue des observations qui seront faites pendant l'éclipsé totale du 17 avril prochain, pour étudier la façon dont les ondes électriques sont influencées par les radiations solaires. Conférence à l'exposition du « Bureau moderne » Jeudi, à 5 heures et demie du soir, dans le grand hall de la Bourse de commerce, 40, rue Gambetta, conférence par M. Ravisse, administrateur-directeur de « Mon bureau », à Paris, sur « l'organisation commerciale et l'agencement du Bureau Moderne ». [■à^vif/jy) Meubles américains pour buU*J-ïb~T? leaux. Exposilion permanente à la Succursale de Nancy, 46, rue Gambetta. i Une affaira d'essroquerie Une ouvrière brodeuse, Mme Virtel, demeurant rue Notre-Dame, 51, avait dû laisser ses meubles en gage chez une propriétaire. Elle ne savait comment faire pour rentrer dans son bien lorsqu'elle fit la rencontre d'une femme Martin, qui lui dit connaître un homme versé dans les questions litigieuses et qui pourrait lui donner d'utiles conseils. Quelques jours après, la femme Martin présentait à Mme Virtel son amant, Charles Jamiofkowslki, qui, disant s'appeler Jeannot, et être traducteur-juré près le tribunal de Nancy, déclara qu'il se faisait fort de faire restituer les meubles. Le soi-disant Jeannot se fit tout d'abord verser 100 francs pour couvrir les premiers frais, puis une autre fois.200 francs.Voyant qu'il avait la pleine confiance de. Mme Virtel, il continua à lui soutirer de l'argent, lui escroquant ainsi une somme de 480 fr., toutes les économies de la pauvre femme. Cependant, Mme Virtel, ne voyant rien venir, comprit qu'elle était la victime d'un escroc ; elle porta plainte. M. Mas, commissaire de police, ouvrit une enquête, Jamiolskowski fut amené à son cabinet ; il reconnut les faits. En présence de ses aveux, il fut arrêté. Sa maîtresse, la femme Martin, née Angeio Malhomme, âgée de 30 ans, qui habitait avec lui, a été également arrêtée. Jamiolkowski est âgé de 24 ans. D'origine russe, il était venu à Nancy pour étudier la médecine. Il abandonna les études, se trouvant sans ressources, il commit des escroqueries qui le firent arrêter. Cf]Foi)iqtie spoFtive CYCLISME Union Cycliste Nancéienne. — Le comité de l'Union Cycliste Nancéienne est ainsi constitué pour 1912 : Président : M. Marcel Knecht ; vice-président : M. A. Beugnot ; trésorier : M. A. Jordan ; secrétaire : M. Gény ; secrétaireadjoint : M. J. Haumant ; capitaine de route : M. G. Garnier ; membres conseillers : MM. A. Leroux,.P. Dalla et A. Viard. L'Union Cycliste Nancéienne (siège social : 1, place Stanislas) donnera sa grande fête annuelle Je dimanche 2 juin prochain, à la Pépinière. AVIS MORTUAIRE Les Familles MARCHAL, HERTZLER et BILLARD, Ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu'elles viennent d'éprouver en la personne de isnsieur François-Eugène MARCHU ci SOCIETE* COMMUNUOUBia Groupe Drouot. — La Société . ". ciens militaires do l'artillerie ©t du i ^* des équipages tiendra sa prochaine ri? nion mensuelle, le jeudi 7 mars, a S h res J du soir, à son siège social 'fir Lorraine, 1" étage, entrée spéciale ™ei!!s J stDizicr. Cette réunion sera agrémentée projections sur les Sports d'hh,Par ^es vues comiques animées faites *r av6c 8 Louis Bertrand, membre du groupf ^ Les anciens militaires de Vartili < er 61 du train des équipages ne faisant pa*?* core partie de 'a Société, sont spéci^u ment invités à cette réunion. ' Légion étrangère. — Le président l'honneur d'informer les camarades m 18 e le 2 congrès des Sociétés d'anciens "ié. fionnaires aura lieu à Paris, les 23 et g4 mars prochains. Ceux qui désireraient y prendre part, sont priés de le faire connaîtra au trésorier ou au président avant le dimanche 10 mars, dernier délai. Le banquet, au prix de 6 francs aura heu sous la présidence effective de M Al bert Decrais, sénateur, ancien ministre des colonies, ancien ambassadeur dA u** France. Il les informe de plus que les fêtes don nées à Nancy les 23 et 24 mars prochain*" par l'Union mutualiste de Lorraine c'om prendront un bal et un banquet. Les adhé sions sont reçues dès maintenant n-,.. u pdF l trésorier de Ja Société. * Club-Cyclo-Touriste-Nancèien, — La commission des fêtes et tourisme du Club prépare l'excursion de la Pentecôte. Comme l'année dernière, une jolie petite nlaquette éditée spécialement par le Club, donnera les renseignements nécessaires. Cette excursion, comme les précédentes, sera mise au point jusque dans ses moindres détails. Donc avis aux amis du Club. En outre, le premier rallye de la saison, entièrement subventionné par le Club, primitivement fixé au lundi de Pâques, aura lieu Je dimanche 31 mars, afin de laisser le Club entièrement, disponible pour les dieux jours fériés, et ce, dans le cas où le comité organisateur des fêtes annoncées, ferait appel à son concours. Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain. — La Société se réunira le vendredi 8 mars 1912, à quatre heures et demie précises, au Palais ducal. Ordre du jour. — Lectures : Mj. Aleide Marot : Les cahiers du Tiers dans le bailliage de Bourmont en 1789. — M. Georges Goury : Un instrument navi forme, en calcaire du rauracien, trouvé dans la Meuse — M. Gaston Zeler : Le traité de Montmartre (6 février 1662), d'après des documents inédits (suito et fin). — M. le commandant H. Demiau : Le recrutement dans la Moselle (1791-1796) (suite et fin). COFFR ES-FOIt TK FICHAT ncombustihles et blindés d'acier, imperforable 8, rue Saint-Georges, NANCY 11 l ~*1 1 ^fr —~——— «lectacWoierîs THEA TRES THEATRE DE NANCY. Jeudi 7 mars, -— Soirée de famille à prix de comédie : Paillasse, drame lyrique en 2 actes, de Déoncavallo. On terminera par l„e contrôleur des wagons-lits, l'amusant vaudeville en 3 actes d'Alexandre Bisson. Bureaux : 8 heures. Rideau : 8 h. J. ** Samedi : La Favorite. A La fin de la saison nous promet encore, avant les Maîtres Chanteurs, quelques belles soirées. On nous annonce, en effet, pour samedi prochain, une représentation de gala de la Favorite, avec le concours de M. Boulogne, de Mme Jane Lemaire et de M. Breton-Caubet. Un tel ensemble est un gage assuré de succès. SPECTACLES CASINO. — Ce soir, adieux.de « Georgette et sa fée », chants et danses à transformations, des « Dousek's », danseurs et sauteurs sur échasses, et de « Milton », comique étoile de la Scala de Paris. Dernière représentation de « Chambre de bonne », pièce, en un acte. Demain vendredi, débuts et pièce nouvelle. EOEN-THEATRE, Cinématographe Pa— Aujourd'hui, jeudi 7 mars, matinée à 2 h. 1/2. Demi-place pour les enfants et les écoles. thé. ELDORADO. Skating-Rink. — Aujourd'hui, jeudi 7 mars, à 2 h. 1/2, séance de patinage. SALLE DEGLIN. CINEMA-THEATRE. — Jeudi, matinée à 2 heures J. CAFÉ CONTINENTAL. — Orchestre Bergogne. MUSIQUES MILITAIRES - PARC SAINTEKMARIE. Musique du 26e d'infanterie. — Chef : M. Hubert. — . Programme du jeudi 7 mars, de 2 h. à 3 h. 1/4 : 1. Viva el Toréo (De Anduago). — 2. Les Diamants de la Couronne, ouverture (Auber). — 3. Marche Solennelle (Hubert). — 4. Câline, valse (Penauille). — 5. Le Petit Faust (Leroux).— 6. Polfya Espagnole (Gentil). Je ne fume que le NIL <► 9 ♦ ■ ETAT CIVIL Ou 6 Mars Naissances Louise-Léonie-Henriette Gérôme, rue de Tomblainc, 3.— Louis-Georges Morlot, rue Jamerai-Duval, 1. — Raymonde-Albertine Stengel, rue Saint-Nicolas, 98 bis. — Georges-Désiré Maurey, rue de Strasbourg, 41. — Marie-Jeanne Franck, rue Sainte-Aame, 30.— Roger-Louis Barbier, rue des QuatreEglises, 56.— Renée-Emilienne Depoutot, rue de Strasbourg, 28.— Geneviève-Josépha-Emilio Besle, rue de Strasbourg, 23. — Bernard-Gaston Pigeot, rue de Rigny, 21. Décès François-Eugène Marchai, 56 ans, môtreur-vérificateur,rae! de la République, 23. — Marie Jouffroy, 70 ans, religieuse, cours Léopold, 56. — Germaine-Auguetine Carolus, 1 an 8 mois, rue Clodion, 71. — Joseph Cunion, 29 ans, photograveur, impasse du Canal, 3. — Joseph Duvic, 50 ans, buraliste, rue des Quatre Eglises, 23. REMERCIEMENTS MÉTREUR-VÉRIFICATEUR décédé à Nancy, le 6 mars 1912, dans sa 56e année, muni des Sacrements de l'Eglise. Et vous prient d'assister aux convoi funèbre et enterrement, qui auront heu le jeudi 7 courant, à 3 heures de l'après-midi, en l'église Saint-Joseph, sa paroisse, et d© là au cimetière du Sud où se fera l'inhumation. ; Réunion mortuaire : 23, rue de la République. H ne sera pas envoyé de lettres de faire! oart, le présent avis en tiendra lieu. Les familles LALLEMENT, GY et LAPEYRE remercient bien sincèrement les personnes qui leur ont témoigné de la sympathie en assistant aux obsèques de Madame veuve LILLEIEBT Née LAPEYRE Objets trouvés Un porte-monnaie renfermant 2 fr. 80, par M. Bart, garçon de café au Deux-Hémisphères. — Une fourrure, par Mlle Righetli, 59, rue Jeanne-d'Arc. i■.WIIMPIIIiiiiMii||«T-^jwiiHWMWMwpMMW^ * L'EST RÊrUBLICAiM «w»,5îST?f-«5r^»q *53"5 *™*! «aw*E«<WWWHiitfilWMl)'W^^ lia>; O O ' A 'MAI ITÏÏ7 PC irculpations de vol I" tji A. 6ÙMÀNSKY ] commis la nuit avec I b effraction et pour avoir été trouvé passes- I MEURTHE-A-MOSELLEigS eur d'une bicyclette aont il n'a pu indi- j °Urt italien esl lue informe les ; t -v* jsoo rtuer la provenance. ; éSëg&ni .i:® quo Y Uvl i i nouveaux 'Deux autres sont blessés ! T™' donné' à° ltefsai, ' pwSAINT-NIOGLAS cheShristUm ., AHUSUDISSCiUEfiT OC j <™ I modèles : TAILLEURS et FLOU, sera prête à partir ivresse. — Le nommé Chenet Georges, I ravente, â coups de pevoïvep qui venait de s'installer cafetier. r En famille. — Mme Jean Arabiehl,_mé- 19 ans, journalier à Saint-Nicolas, avait I ig A l'expiration des trois, mois, Struchan 1 du ii mura courant. Btdgère à la r^hto-Malg ruai S0* A A1. fié iréquenté les cafés de la localité et s'était se présenta pour se faire régler, mais il ■tainte contre ses deux Vis, ™ir°*,f\w Uni UiiiKv, le iS mars. — Chez nous les crimes 1 enivré. U entra dans un débit où le pa- apprit C'est dans ces salons, 5, ras Gatmbstîa, qu'on saura que Binda était parti, après avoir I a Slonse Hanta, et Armand » f g trc vont par série. Pendant plusieurs semaines, | tron de l'établissement remarqua sm état vendu la pendule avec son mobilier, ce vo v Eappéc, ainsi que son autra fils, Emue d'ébriété ^ I apprécier, comme par le passé, des créations nouvelles, quelquefois même pendant un mois ou § et refusa de 'ui servir à boire. qui lui cause une perle de 35 francs, (, U( c'est le calme absolu. Déjà tes opti- l| en HAUTE COUTURE, de goût parfait, de grâce et Chenet se fâcha et se mit à vouloir tout j II n'eut que la ressource d'aller porter deux, Il -, /, ouvrier en ""^wpjoNEOLLES ch m uiistes disent que la situation est meilleu- g Il aurait commis de sérieux dégâts plainte. p ca- .,„ Doux inconnus sont casser. Voî audacieux^ * re, que les affaires graves diminuent. I de coupe impeccable. si la police n'était intervenue. TUCQUEGNIEUX l€ Puis, un beau jour, dans un coin quel- | un procès-verbal pour ivresse vanus e P ». !L longueur de neuf mètres, for- publique IIl a récolté Le rayon Hou, en toilettes de cérémonie, de soirée, Pêuheurs pris. — A minuit, Achille Man- conque cr de l'arrondissement, le couteau ou 1 et manifeste et dommages a la zin nt »('ùttière°à un hangar de la mine P» frédoUl, 38 ans, manœuvre à Bettainvil- le revolver jouent. Il y a mort d'homme. 1 i ropnô'é mobilière d'autrui. f g de dîner et de bal, considérablement agrandi et toujours sud dl Champigr.euiles, située près de la F" JEAN DELA IN COURT lois, | cherchait des grenouilles, une lanterLe mauvais exemple donné par le meur- I route nationale. Les deux voieurs ont ete trier est vite suivi. ne à la main, au lieu dit « Le Forte », tertr Vol d'une montre. — Pendant que M. r S dirigé par Madame CHARLOTTE? fera encore, indîsvus par plusieurs enfants qui ont donné Ernest Clauser était à son travail à la riioirc de Tucquegnieux. Plusieurs crimes suivent, celui-là. Une I i leur signalement à la gendarmerie. Le " j entablement, pour ses modèles de PREMIER CHIC, série rouge est ouverte. Ljee batraciens mettaient la plus grande nouvelle m tuilerie, un inconnu Lui a dérobé sa monnréiudice causé lr. En ce moment, nous sommes en pleine i1 l'admiration de tous. prtjuuice cause est évalue a 200FROUARD volonté à se laisser prendre. tre, qu'il avait accrochée dans un séchoir, mauvaise i période criminelle. Pour comliJe de déveine, Maniredotti se pi 1Cette montre, en argent, est à remontoir, Trop honnête ! -Entre midi et une heuUn grand assortiment de CORSAGES et JUPONS De tous côtés on tue. Avant-hier, c'était f jeta, oh ! bien involontairement, dans les j re, un jeune marchand de légumes ac- elle eu porte le numéro 458.497. M MancieuJles. des gendarmes qui lui dressèrent pro- aà Tucquegmeux, PONT-A-MOUSSON bras 1 | MODÈLES est également exposé. compagne d'un commis très âgé s'arrêtait Aujourd'hui, c'est à Moutiers que le sang g ces-verbal pour pêche La nuit. i£ La question de la garnison. — Le vœu t devant un magasin d'épicerie où il offirit 11 rentra chez lui de fort mauvaise haï- aa coulé. Un tué, deux blessés, tel est le bi- H adressé par le conseil municipal à 1 auto-.^^EBS m M || f. .... .j.; sa marchandise. ad a de la soirée de lundi dans cette com'lan rité militaire n'a pas tardé à être pris en m i eu r. L'épicier <ui demanda trois cents kilos rit Jusqu'au soir, très tard, M. Gérard ins' 3'éclairait d'une lune splendide. Deux ham mune. En effet, à la suite d'un© de pommes de terre, qui furent mises par considération. co blessés, inculpés et témoins. Il bbitants de la localité causaient non loin Cette scène de meurtre fut" provoquée par terrogea te récente visite de M. le général Gœtschy, à sacs sur une bascule. Trois employés ré Tapageurs. — Au lieu de dormir, les U : bien futile incident, comme on le verra u mit sous mandat de dépôt Zanetti et Apos- ddu chargement. Soudain ils aperçurent un Pont-à-Mousson, la municipalité a été aviétaient dans le magasin. Soudain un de Pc se promenaient à 10 heures du te tolo qui furent conduits à Briey dans la uun individu porteur d'une bûche de bois. tout à l'heure. te 5 ceux-ci s'aperçut que le marchand, pour sée sé officiellement mardi dernier par les gendarmes Quelques minutes plus tard, l'homme Ils rencontrèrent deux individus : soirée. Au fond, il s'agit vraisemblablement de si soins de l'autorité militaire que, non seu- soir. •Prosper augmenter le poids de ses pommes de so Quaglio, 27 ans, forgeron à Mont, la Comme bien on pense, les deux préve- ppassa à nouveau avec une autre bûche. la jalousie éprouvée par un cantinier conle ment te 12' dragons resterait à Pont-à- 1 terre n'avait trouvé rien de mieux que ]«i n ne reconnaissent pas être les auteurs Au quatrième voyage, craignant que la Emile Stesseur, 21 ans, mineur à Mai- tre ti un établissement concurrent et tout ce nùs 1 mais encore qu'il serait renforcé et d'appuyer sur la bascule avec son pied, Mousson,' M des coups de revolver mortels. v \oiture de M. Fairisse y passât, les deux ry, qui chantaient aussi fort que faux. q' 1 qui de près ou de loin touche à cet établisd par une fraction d'infanterie logée à la Immédiatement le travail cessa et le pa- pa D'abord ils affirment que les trois pen- hhommes jugèrent qu'il était temps d'arrêLes deux chanteurs firent l'objet d'uni s< sèment. tron invita le marchand à reprendre ses caserne ca Durée. L'autorité militaire deter d le mouvement ». Près de la mine de Moutiers, presque au si •• • • • (le la cantine n» 1 lancèrent i( légumes. Celui-ci refusa net et déclara mande en conséquence, au conseil muni- 1procès-verbal. m — Dis donc, espèce de feignant (?) estcentre de l'agglomération formée par les ddes pierres dans les fenêtres du n° 2. Le qu'il ne sortirait pas de la maison sans cipal i! de voter une somme de 20.000 francs LONQWY-BA8 °j fi c c que t'auras bientôt fini ? cités do Metz et le village, s'élèvent trois fils Apostolo alla alors chercher son revol- ce pour exécuter Les travaux nécessaires. être payé. , pc v Pour l'aviation. — La direction du. ciné- confortables ci Morel reporta sa bûche sur la voiture et vastes cantines, propriété ver ' parce qu'il craignait que la maisen de De là aux gros mots il n y avait qu un Dès qu'il tut avisé de cette communica- matographe Pathé, installé dans la grande d Sl mère ne fut assaillie. eet disparut pour ne plus revenir. de la Société de Moutiers, louées à des sa tion, M. Greff a fait immédiatement con- salle ] pas. Il fut vitre franchi. ti< M. Fairisse informé, a pjrté. plainte à des Fêtes de la Jeunesse longovicien- commerçants ci : qui se font une concurrence . Bien gentiment il tira en l'air, afin de On fit venir La police qui s'informa et voquer les conseillers municipaux pour ne, vc faire peur seulement à ses adversaires, 1; la gendarmerie, qui a ouvert une enquête. à Longwy-Bas, a eu l'heureuse idée de aacharnée. f< 1 tenta la reprise des affaires. Le marchand w une réunion qui aura lieu samedi pro- donner mais il aurait été désolé de leur faire le une magnifique soirée en faveur de C'est là que, il y a environ deux ans, se n BOUXURULLE3 voulait bien, mais l'épicier refusa net. On cchain, \ à 5 heures de l'après-midi, afin de ;la souscription, u mal. ouverte pour l'aviation. pi produisit une terrible bagarre entre un can- moindre Vandalisme. - Depuis son installation invita à nouveau le marchand à repren- voter les crédits nécessaire®. vc Zanetti lui, affirme n'avoir rien fait du | Cette représentation aura lieu samedi ti tinier et les pensionnaires de la maison t dans la commune, le nouvel instituteur de dre ses pommes de terre et à partir. Il tout. D'ailleurs il n'a pu envoyer des bal- ]_Bouxurulles, M. A. Grappot, fut ameiie à t( prochain 9 mars, à 8 heures et demie du voisine. v» refusa de nouveau et fit des gestes à l'éNous avions reçu les renseignements ci- soir. ll les dans La peau des pensionnaires du c constater, à plusieurs reprises, diverses gard de la police qui laissaient bien devi- dessus j quand nous est parvenue de Toul ' Dans ce but patriotique, la Jeunesse Ion- n Ces trois cantines sont désignées par un n ( £ numéro d'ordre. Il v a les cantines n° 1, n° n° 1, attendu qu'il ne possède pas de re- ^déprédations commises dans son jaulin. nev ses intentions. la note suivante : volver. Il a entendu lancer des pierres ' T Un jour, il trouvait des griffes d'aspenres Sur son refus de donner son identité, il « Par ordre paru mercredi matin de la govicienne a donné gratuitement la salle ; 2'4 et n» 3. r, Ce sont les patrons du n° 2 qui ont mis ccontre la cantinue de Mme Apostolo, il a arrachées, une autre fois c'était le tour fut appréhendé. En route il se décida à 39" yy division d'infanterie, le ministre de la la compagnie électrique son éclairage et la entendu crier dans la rue : u La cantine 'j e direction, les films Les plus intéressants de à mal un pensionnaire du n° 1 et en ont des fleurs, puis après celui des ceps de vifaire des excuses à la police d'abord, à guerre gt vient de décider que : le 5J5 avril au- la n° 1 ne craint pas la cantine n° 2 » ; il , n maison Pathé. b' blessé deux autres. . l'épicier ensuite et consentit à reprendre ra ra lieu le départ de Toul du 4° groupe du sorti avec ses pensionnaires, il a vu gne. ° M. Grappot en était à se demander quel e Nul doute qu'il n'y ait foule samedi soir Cette cantine n° t est tenue par une veu- est sa marchandise et à filer pour une autre 60° d'artillerie pour Neufchâteau. 6tJ une bagarre se produire, il a entendu ti_ u dans la vaste salle du Cinématographe de v ve Apostolo, avec laquelle habitent son destination où il trouvera peut-être des bien être Le vandale qui osait se Le 2t> avril, arrivée à Toul du 5° escadron rer des coups de feu, mais il n'a joué dans pouvait j Longwy-Bas. a amant Jean Zanetti, 45 ans, tâcheron, et F e poires. dt 12 dragons venant de Neufchâteau. du tout cela que le rôle d'un spectateur plus livrer à de telles mutilations, quand un son fils, Jean Apostolo, 17 ans, électricien, VILLîRUPT Si Cette petite comédie avait attiré une fousoir, vers 5 heures h, de la mairie où il Le 2 juillet, un escadron complet du 12" ou moins amusé. 0 les deux inculpés du meurtre d'hier. il entendit distinctement des le nombreuse. di dragons arrivera à Toul de Pont-à-MousHélas ! ces dénégations n'ont pu con- travaillait, î A l'Amicale, — Le comité de l'AssociaPOMPEY son. Parmi les nombreux pensionnaires de la bruits de pis dans la mur. 1 sc vaincre le juge d'instruction sceptique par tion amicale des anciens élèves de l'école v c cantine n» 1 se trouvaient Joseph DaviTrop « licher s cuit. — Un honorable haLe 5 juillet, une compagnie du 153e ira de Villerupt s'est réuni samedi soir et a j et surtout par profession. , Il se dirgea de ce côté et se trouva nez tagoro, 27 Ans ; Chiardo et un nommé Fer- nature, bitant de Pompey était venu à Nancy „j fl à nez avec le jeune Arsôn? F..., âgé de 13 prendre garnison à Pont-à-Mousson. Mercredi, M. le docteur Didry, médecinadopté les résolutions suivantes : r rando, les victimes de la scène qui se dé- , pour faire quelques courses. II rencontra Tout le reste du régiment de dragons suiprocéda à l'autopsie de Ferran- 'ans, de la localité, qui reconnut être l'au1° Voté une somme de 50 francs e» faKlégiste, des omis avec lesquels il fut naturellement vl des méfç.its vra ensuite, aussitôt que les locaux seront veur des avions militaires, cette somme vroula lundi soir. do. Les balles qui ont envoyé cet homme teur ' Il était à peu près huit heures quand, ^dans l'autre obligé de trinquer. De tournée en tournée, ^ La gendarmerie a verbalisé contre ie disponibles, ainsi la 39e division possédera sera versée ultérieurement, soit à Paris ou monde sont de mignons pro. a après le. repas du soir, ces trois hommes ■ il finit par laisser sa raison au fond du S£ sa cavalerie. Mais il manquera, toujours à Briey, à la sous-préfecture. qui ne font dans la peau que de 1jeune vandale. e eurent la bien mauvaise inspiration d'aller jectiles | verre et c'est la tête abominablement son bataillon de chasseurs à pied et le JUVAINCOURT K tout petits trous, à peine plus apparents 2° II"a décidé d'organiser une prochaine i boire un verre à la cantine n° 2. lourde qu'il arriva à la gare vers six heu- -W Vol de bols. — Procès-verbal a été drêsqu'une piqûre de seringue de Pravaz. A escadron du train des équipages. » soirée qui sera offerte aux membres actifs Ils entrèrent dans la vaste salle, occupée '- Chiardo a dans 'e dos une balle qui le Jsé contre Jules Morel, journalier, qui, à res du soir et qu'il se mit à faire du va(Ainsi, comme on le voit, c'est un vérita- et honoraires, rpar une dizaine de consommateurs, et se carme dans le hall de départ. J imbroglio. Alors que les Mussipontains ble 0 gêne beaucoup. Pour découvrir le projec- la suite d'une enquête et Las affirmations D A cette soirée, une quête ou vente de j servir, par Mme Apostolo, un litre de tile, + On l'expulsa jusque sur la place, mars 3f c témoins, a reconnu avoir dérobé miase répouissent d'apprendre que le 12" dra- fleurs sera faite au profit de l'aviation, ce- tirent il faudra sans doute radiographier le de j il était si peu solide sur ses jambes, qu'il gl gons restera dans leur ville, à Toul on an- ci indépendamment de la somme de 50 f*. bière qu'ils burent sur le comptoir. tre bûches de bois sur une voiture en stablessé. Les verres étant vides et le litre aussi, 1; tomba et se fit une forte plaie au-dessus n , nonce son arrivée prochaine I Et maintenant que nous en sommes à tionnement sur la voie publique. déjà votée. ( Chiardo voulut pénétrer dans la cuisine de notre , de l'œil droit. A qui dit-on la vérité I ? troisième meurtre en trois semaiARRONDISSEMENT DE REMIRE MONT 3° Le comité a été heureux d'apprendre l'établissement \ pour dire deux mots à un ,nes, espérons que nous allons entrer dans Comme il ne bougeait plus, un rassemla générosité d'un de ses membres honoREMIREMONT AER0NDIS5E ME M T DE TOUL camarade. e blement se forma et un agent intervînt. Ce de de calme. Conseil municipal. — Le samedi 9 mars Cela devait être le prétexte de la scène dernier héla une voiture pour conduire le TOUL raires pour les œuvres postscoiaires.Ce der1912, le conseil municipal se réunira à 8 Expulsion.— Mercredi matin, une bande nier, M. Mouton, entrepreneur à Villerupt, cde meurtre. blessé à l'hôpital. une somme annuelle de 100 fr. heures du soir. En effet, Zanetti, amant de la cantinière, Un simple pansement suffit et l'homme, <j de( romanichels avait posé son campement offre Le comité remercie M. Mouton. s'opposa s énergiquement à l'entrée du penOrdre du jour. — Egout rue de La Xabien que peu ferme sur ses jambes, prit à & la croix de Metz, près Saint-Mansuy. M. Arrestation. — Samedi soir, vers, neuf sionnaire j du n° 1 dans la cuisine de son vée ; décompte des travaux. — Projet d'éle tramvvav pour regagner ta gare. p Fougère, commissaire spécial, est survenu heures et demie, le commissaire de police j amie. Brutalement.il empoigna l'audacieux gout chemin de la Maix. — Forêts : couCoups. — M. Julien Courthêoux, chef de p , 1 pour vérifier leurs papiers d'identité. e le repoussa dans le débit. pes extraordinaires de 1912. — Souscripservice, se trouvait à son bureau en comCette bande sera reconduite à la fron- ayant été prévenu que des coups de revoi- et ARRONDISSEMENT DE COMMERUr I ver venaient d'être tirés dans une chambre Chiardo n'insista pas, il revint près du tion pour l'aviation militaire. — Subvenpagnie d'un contremaître, lorsque un ou- ti tière. Affaire de fraude. — L'autorité militai- tion , pour le projet de tramway entre Re-' auprès de ses deux camarades. ( Tribunal correctionnel. — Rose Otto, 19 de l'établissement Sibourg, au cours d'une comptoir, vrier, Léon Contai, y entra et, sans adresre est saisie d'une affaire de fraude rele. altercation, se transporta aussitôt sur ies Plombières et le Val-d'Ajo'. — Mais Zanetti paraissait furieux.il croyait ]vée contre un boucher fournisseur de la jpriremont, et Hommel Otto, 21 ans, tous deux ser une parole, porta un violent coup die ans, : a lieux pour procéder â une enquête. ^ vraisemblablement que les trois hommes ' Cours secondaires de jeunes filles. — sujets autrichiens, ont été arrêtés par la (poing à M. Courthêoux. si troupe A peine arrivé dans la maison, il fut pris étaient < Traité du gaz. venus chez la femme Apostolo dans NEUVES-MAISONS gendarmerie g de Vandeléville, en flagrant Le vétérinaire militaire ne lut pas peu i but de débaucher quelques pensionnaiArrestations. — Pour mendicité à dodélit de vagabondage dans cette commu- à partie par un des antagonistes, qui se mit le Etat civil. — Naissances. — Malterre d étonné de constater à la livraison, au quar,micile, a l'injurier en s'écriant : « Tu as beau être ]res de celle-ci et de les entraîner chez leur ! les nommés Merklé Félicien, tisseEugène. — Gn'ns Renée-Henriette. — Wé- ne. n tier, de viande non estampillée et provecommissaire de police, je t'emm.. » Ausij propre logeur. « Mais nous n'avons pas mendié ». rand et Joseph More', sans profession, ont ber Marcel. — Obringer Edmond. — Gasnant de bêtes refusées. Ces vaches étaient tôt appréhendé, il continua à inv tiver le quinze jours de prison ; Rosé magistrat en lui donnant tous LE plus jo- j Il vint donc auprès des pensionnaires du saines, ii est vrai, mais ne remplissaient (été arrêtés et écroués. pard Gahiielle. Munier Lucienne-Au- Hommel. H n° 1 et les menaça en disant : « Je vais un mois de prison. u 8AULXURES gnstine. , „ les conditions et Clauses du cahier des — Koehl Laurent, né en Alsace-Lorraine, lis noms de son répertoire. Dépo: é au vio- \vous arranger, vous autres, vous allez voir pas Irascible consommateur. — Charles Tafttorîigës. — flénard Aimé-Eugène, macharges et c'est pour cette raison que le Ion, il prit le lendemain le chemin de Briey < ça. » En môme temps il brandissait un styde bateaux, est inculpé d'infracnari, ouvrier carrier, s'étant pris de quenœuvre, et Manfioli Léontine, cuisinière, charretier cl i qu'il enfonça, d'un geste rapide, dans vétérinaire avait refusé la viande. à un arrêté d'expulsion pris contre lui pour être présenté à M. le procureur de let rele au débit Thiriet, avec un.de ses com-- Kaîanquin Charles-Joseph, accrocheur, tion ti i^e boucher dut reprendre sa marchandila République. 1la porte séparant la cuisine de la salle de patriotes, Giuseppe Cassani, il s'emporta et Billotte Rose-Eugénie. - Camus Char- il H y a trois ans. se, mais l'autorité militaire a ouvert une Voici ce qui s'était passé : Les nommés <débit. L'affaire est remise. au point de briser de La vaisselle. Ifs-Henri, bobmeur, et Tiré Lôonic-EugéPeu rassurés devant l'attitude du maî- enquête et le ministre a été informé de ce — Perrin Edmond, 22 ans ; Perrin Al- Maujean Henri et Barthélémy Joseph.après Thiriet dut entrer -in lutte pour mettre ; — Perrin Lent-Henri, mineur, et, fait, n e i de céans, les trois amis jugèrent {ru24 ans, demeurant à Vandeléville, avoir consommé ensemble, eurent une dis- tre dehors cet individr et auquel il porta un KcBer Marie-Alice. — Bodet Auguste-Er- bert, » * de battre en retraite. Vivement ils gainculpés d'avoir violemment frappé. cussion au sujet du paiement des consom- dent ARRONDISSEMENT DE MQNTMÉDY violent coup de bouteille sur la tête, car Beat ouvrier d'usine, et Andrée Gorgette- sont * leur père, Perrin Lucien. La scène s est mations. Maujean, qui n'avait pas envie jgnèrent la porte de sortie L'idée était bonBOULIGNY il était sérieusement menacé. Tanari oui Adèle. . , | i car Zaneti, de plus en plus surexcité, d'abord passée au café Mougenot, de Van- de se battre, monta dans sa chambre, où il ne, Accident mortel. — Le mineur Lustic a été assez grièvement blessé, a refusé de Décès. — Colin Suzanne, 3 mois f. — deléville. ■ i sur eux avec son stylet. puis s'est terminée dans son do- s'enferma. Il fut suivi de près par son ad- s'élançait Léon, 31 ans, aux cités de Bouligny, était payer le montant des dégâts qu'il avait Courtois Camille, 22 ans. — Petit Jeanne, a ; versaire qui se mit à cogner dans la porte. Il réussit même à planter son arme flans micile. Le père reçut une blessure assez occupé à charger un wagon de minerai commis, d'où plainte du cafetier. 28 ans, épouse Ceithier. — MSadison Ray- sérieuse ■ Maujean prit son revolver et tira plusieurs le bras du dernier sorti, qui était l>.vià la tête. LE THILLOT dans une galerie de la mine de Bouligny mond, 10 mois. '."■itagaro. Tous deux à l'audience expriment desi coups dans l'huis pour chasser l'intrus. Insoumis. — Georges Gérardot, terrasDOMBASLE Celui-ci, finalement, enfonça la porte. Le fils Apostolo entra alors en scèr<e. lorsqu'un bloc de minerai d'environ 600 sier, n'a pas répondu à un appel uni ii* regrets de leur brutalité le jour du mardii Voleur arrêté. -— Nous relations dans gras. (M. Habert défenseur). — Edmond,, L'intervention d'une troisième personne Lui s'était armé d'un revolver dont il t'ra kilos se détacha de cette galerie et écrasa e notre nmnéro d'hier, un vol de: couteaux s30 fr. d'amende ; Albert. 16 fr. d'amende. empêcha les adversaires de continuer. Bar- ,deux coups, en l'air, prétend-t-il, sur les le mineur Lustic. Ce dartnier laisse une convoquait à une période au 146 d'irifanterie, à Toul. Il a été arrêté ei conduit i veuve et doux orphelins en bas âge. et de fusils do boucher, estimés 50 francs, AVRAINVILLEi thélemy, qui n'avait pu calmer ses nerfs fugitifs, disent ceux-ci. ivresse. —- Les gendarmes en tournée de Besançon. à f abattoir de Saint-Nicolas, dans la nuit Quoi qu'il en soit, personne ne fut atSuicide -- On nous signale qu'un vieil-■ sur Maujean, s'en prit au commissaire de nuit, aperçurent Wéber, domestique de ARRONDISSEMENT DE SAINT DIÉ du £8 au 29 lévrier dernier. teint. lard s'est jeté dans» ie Terrouin, grossii police. t L auteur de ce vol avait fait preuve fpar les pluies et s'est noyé. Ce vieillardI II est vraiment regrettable de voir de paChiardo, Davitagaro et Ferrando prirent culture à Domuiary-Baroncourt, ivre-mort SAINT-OiÉ d'une certaina audace, d'autant plus qu'il était § très connu à Avminville où il habi-- reils faits se renouveler dans notre région. la fuite, essayant de se réfugier dans leur couché dans le milieu de la rue des Cités Allah l'a puni. — Un de ces camakfts. ' de Bouligny. Procès-verbal pour récomavait commis des effractions. Espérons qu'une sévère punition sera in- pension. qui vont de café en café, et de porto m, tait. Les détails nous manquent. t Lundi, dans lu matinée, M. Masson, fligée à cet énergumène, récidiviste de ce Malheureusement pour eux et même pour peri'e. porte, offrir toutes sortes de marchandiARRONDISSEMENT DE LUNÉVILLE — Fulbert, de Dommary-Baroncourt, fut commi«saire de police, avait-réussi à étagenre de délits. les autres, ils ne purent ouvrir la porte de ses, tapis, peaux de bêtes, couvertures, hirencontré par la gendarmerie en complot joux, tons articles de Paris, bien que soiSAVONI bli! qu'un nommé Mathieu Louis-AugusUn aéroplane A Villerupt. — Les Ville- rétablissement. Pour l'aviation. — La Jeunesse locale> ruptiens verront bientôt planer au-dessus te, 24 ans, journalier à Dombasle, rue Craignant d'être rejoints par Zanetti, état d'ivresse aux cités cfe> Bouligny. Pro- disant de provenance algérienne, Djezairi pour le dimanche 17 mars, une» de leur cité un de ces grands oiseaux vers Apostolo et leurs pensionnaires qui les cès-verbal en échange. — P. P. Math»:u-de-Dombasle, avait été. vu à St- organise, < Alwnod, âgé de 15 ans, avait offert ses sera uprofit de l'aviation militaire.■ lesquels tous les yeux se' tournent actuelle- poursuivaient, les trois camarades se remiNicolas, le jour du vol, Mathieu qui, cavalcade vices aux habitants de Robache. Jeune en( avant son incorporation, avait travaillé L© comité reçoit les plus vifs encourage-- ment. rent à courir. Ils essuyèrent encore quelcore, il ignore sans doute -que Mahomet a comme tripier à l'abattoir, avait manifes- ,ments et cette fête promet d'êtro très brilM. Zivaleski Paul, chef monteur à l'usi- ques coups de revolver qui n'atteignirent proscrit l'usage u> l'alcool, et était entré, Nous en donnerons ultérieurementt ne de Micheville, vient, en effet, de faire personne. té lo désir de reprendre son ancien mé- lante. ] pour se réchauffer l'estomac, chez M. ARRONDISSEMENT D'EPINAL l'acquisition d'un monoplan Blériot. L'aplier. Les soupçons de M. Maeson so par- le | programme. Au bout de quelques mètres, constatant Louis, débitant audit lieu. Le petit mare pareil, arrivé à Villerupt, ii a quelques que leurs adversaires semblaient avoir retèrent sur lui. AllTREY qu'il sirota fut sans doute à son goût, car, ARRONDISSEMENT DE BRIE Y jours, a été remisé sous un abri de l'usine noncé à la poursuite, ils s'arrêtèrent juste Il en fit part à l'agent de police Ferry, Voleur arrêté. — La gendarmerie a ar- profitant d'une courte absence de l'auber■ RIEYr de Laval-Dieu, en attendant la construction sous le pont de la voie de raccordement de qui ouvrit aussitôt une enquête et établit ' rêté Maurice Brianlais âgé de 30 ans, giste, il s'einpara de la hou teille, qu'il Menus faits. -— Sans autorisation, Miar- du hangar qui lui est destiné. l'usine et attendirent. uuo Mathieu avait quitté le domicile conpeintre er. bâtiments, en flagrant délit de ciia dans un ballot. Garlier, 23 ans, fait traîner une voitureB Les Villeruptiens ne peuvent que féliciter 'Ils restèrent là cinq minutes, tenant con-' vol d'une somme de 22 francs, au préjuAprès son départ, M. Louis s'aperçut du jugal, le lundi 2ti février, pour ne rentrer■ cel i M. Zivaleski pour les distractions qu'il va seil sur ce qu'il convenait de faire. N'en-' dice d'un habitant de la commune. larcin, et porta plainte à la. police de Mque dans la nuit du 28 au 29. Sa femmei par un bon gros chien. La police lui dresse procès-verbal. tendant plus rien, ils revinrent sur leurs Dié. Et maintenant, Djemiiri, enfermé à la bientôt leur procurer. interrogée, nia cette absence prolongée :: ARRONDISSEMENT DE NEUFCHA TE AU — Pour faire cuire la soupe, sans doute, L'acquéreur a déjà reçu, d'ailleurs, de pas pour regagner la cantine n° 1. prison, promet à Allah que jamais il na elle avait donc un motif pour cela. MONT-LES-LAM ARCHE contreviendra plus aux lois de M a ho tuât Zanetti, qui avait prévu, ce qui arrivait, Des recherches faites dans le logement,, à moins que ce ne soit la choucroute,Ghar-" nombreux encouragements. Blessure graves. — Des frères Gélestin — 1 ♦ » »—: — L'usine de Laval-Dieu a offert gracieuse- les- attendait, avec Apostolo, embusqués| n'aboutirent pas, mais une visite a la ca-- les SchweLsbeiîien, 16 ans, vole des peret Henri Michel, rentraient chez leurs pave tut plus heureuse : Un fusil de bou-- ches se trouvant dans la propriété de M. ment le terrain, avec l'assentiment de la près des cabinets de la cantine n» 2. Quand les trois hommes arrivèrent à lat rents vers 7 heures du soir, après avoir Bière de Champigneulles . Société du foot-ball, qui en est locataire. cher fut trouvé encastré entre une plan-- Margalet, Côte des Haute. La police enquête, découvre l'apprentiI Sur ce terrain, l'usine de Micheville fera porte de leur pension, l'amant de la femme, passé leur après-midi au café. Rien ne che et te mur. Le fusil fut présenté à M. LA REINE DES BIÈRES construire le hangar destiné à remiser Apostolo ouvrit le feu sur eux, â quelquesj pouvait faire prévoir la scène sanglante Launoy, tripier, victime du vol, qui le re-- chapardeur et verbalise. Brasserie la plus importante qui allait se passer. Le garçon brasseur Jean-Louis Stick etlt l'appareil. mètres. connut catégoriquement. Les soupçons dei de l'Ouest du Continent Ils étaient à peine ù table, qu'Henri réle manœuvre Jean Lecterc, ce dernier de-!" Cette fois, les balles portèrent. L'usine d'Aubrives a également offert son M. Masson avaient porté juste. e Vente en 1911 : 230,000 hectolitres Davitagaro fut attemt à l'épaule droite> clama 0 tr. 50 à son frère, .Gélestin refusa. concours. L'agent attendit le retour de Mathieui meuirant à Auboué, promenaient une jolie TURIN - QRAttD PRIX En attendant que M. Zivaleski puisse.:, par un projectile qui fît une blessure enk de verser cette somme, qu'il .prétendait ne pour l'interroger, mais celui-ci se débattaitt cuite dans les rues de Briey. s pas devoir. Henri se jeta sur son frère, a A titre de souvenir de ce jour, les agents lui-même diriger son appareil, celui-ci se- séton. comme un beau diable. Il perdit sa belle Tous deux se portèrent de nombreux Chiardo reçut une balle dans le bas dui ra piloté par M. Barbier, mécanicien à Vilassurance quand le fusil trouvé dans lai léur offrirent un procès pour ivresse. e — Plusieurs débitants ayant négligé de dos et Ferrando, pour sa part, réco'taj, coups. Ge que voyant, leur père sortit pour lerupt, cave lui fut présenté et finit par reconr Société italienne. — On" nous annonce trois projectiles, un dans le bas-ventre,t aller trouver le maire et le garde cham- f naître qu'il était l'auteur du vol. Il ajouta! fermer leurs établissements à l'heure répêtre. Pendant son absence, Célestin parbt la formation d'une nouvelle société à Ville-. deux dans la poitrine. que le produit de ce vol était caché danss glem.»r: taire, le temps passe si vite, ont reçu la visite des agents, qui leur ont dree- rupt. Une association italienne portant le■ Sous les balles qui pleuvaient, Hs par-. vint à mettre Henri à la porte Tout semSTRAStOtfRC une petite armoire à linge. 3 La chasse impériale de Haslach. — A - nom de « Le Beau Pays », est, en effet, en, vinrent à ouvrir la porte de la cantine n»• blait donc fini, quand tout à coup CélesL'agent voulut se faire remettre les ob-i. sé procès-verbal, ainsi qu'à leurs clients. e * 1 où ils se réfugièrent, tin se ravisa, sortit et poursuivit son frèSont dans ce cas un débitant de la ville i occasion de la lecture en commission jlu formation, un certain nombre d'adhérents jets volés Ils avaient de nouveau dispaDe leur côté les agresseurs n'ayant plusg re. Celui-ci tint tête à son adversaire et lui.i budget des forets, le représentant du .gouse sont déjà fait inscrire. Cette association, ru. Après le premier interrogatoire, la fem-[. et une débitante du Cloué. i, porta des coups de bâton, personne sur qui exercer leur adresse, — Lundi matin, vers 6 heures, un jeune vernement a fait savoir aux menibres de * a pour but de procurer un lieu de réuniont me Mathieu s'était empressée de les faire. I homme Furieux, Célestin s'arma d'un revolver la commission quo reurper.<;ur,mis au coude 18 ans, nommé Mathieu, dont n à ses membres, de leur offrir des divertisse-. rentrèrent chez eux. C'est 'e cas de diree disparaître. Elle déclara les avoir jetéss i. et en tira dieux coups sur Henri. Ateint à dans le canal d'alimentation, près des usi-. la mère habite Briey-Haut, s'est amusé,n' ments moraux et instructifs, et de resser-. <( et le combat finit faute de combattants ».s la bouche par un projectile qui ressortit rant de la décision visant la suj.pression Meurtriers et blessés se couchèrent. Les rer les liens de fraternité entre compatriode la chasse de Haslach, avait répondu nes Solvay où des recherches ont été faîtes~ étant ivre, à tirer des coups de revolver en face l'hôtel du. Commerce, cela pour se premiers dormirent très bien, le sommeil1 par Le cou, celui-ci tomba. Son état est qu'il renonçait à cette chasse. » tes. et n'ont pas abouti. Nous souhaitons bonne chance et prospé-. des autres fut moins bon, car les balless grave. Câleolin Michel a été arrêté par la En commentant cette réponse impériale Une surprise était réservée à l'agent dee distraire um peu. Distraction qui pourrait coâter assez qu'ils avaient reçues les faisaient souffrir. gendarmerie et écioué à la prison de qui s'imposait, la « Post » a la naïveté d'é-z rité à cette nouvelle société. police : il avait remarqué dans la cavee cher à son auteur. Ce fut seulement mardi matin que less Neufchâbeiau. Il manifeste le plus grand crire que c'est là un beau geste de l'emune bicyclette. g LONQLAVILLE: gendarmes de Briey furent avisés de cess repentir de son acte et ne cesse de pieu- 'i pereur. AUCCUÉ Il questionna Mathieu sur la provenancee COLMAR j,l Conférence. — L'Olympique Club des faits. Le brigadier* Frougny partit pourr rer. Accident de min». — Un mineur, Paul de cette machin». Mathieu fut alors frap-iARRONDISSEMENT DE E COURT Déserteur. — Un sergent du 171° régi la Longlaville donnera dimanche prochain, àJ Moutiers avec un gendarme et commençaa pé d'amnésie. Il ne se rappelait plus dee Bonnardl, âgé de 39 ans, travaillant dans _ aussitôt une active et habile enquête. ment d'infanterie, en garnison dans notre _ MIRECOURT qui il la tenait ni comment il l'avait ame-s- une galerie, a été pris sous un éboulement.t, 4 heures, au profit de la souscription oupremier soin fut de mettre en lieu% II verte en faveur de l'aviation militaire, une* sûrSon Pour notre aviation.— Le conseil muni- ville, à qui la caserne ne convenait sans Lorsqu'il fut dégagé, on constata qu'il née dans sa cave. Zanetti et Apostolo. cipal de Mirecourt a voté 400 francs pour■ doute plus, résolut d'aller faire un • it avait des contusion^ multiples eur le conférence (salle Schmitt), à Longlaville ;' U se rappelait cependant qu'elle venait Dans la matinée, les blessés furent exa-L~ le développement d>j notre aviation mili geuient de l'autre côté des Vosges. le droit d'entrée, 0 fr. 25. de Lunéville et c'était tout. Ce manque dee corps. Il a été dirigé rers l'hôpital de mmés par M. le docteur Didry, médecinIl réussit à se procurer des vêtements Le bal, qui devait suivre cette petite3 légiste. Ils étaient restés sans soins depuis" taire La souscription municipale est of t- Nancy. mémoire se répercuta sur le vol de Saintcivils et arriva jusqu'à Saules. Mais au ° i'ûmî'eraent ouverte. fôte aura lieu ultérieurement. Nicolas. Mathieu ne put indiquer s'il avait la veille au soir. f. MOUTIERS JUVAINCOURT■ moment où il allait monter dans l'autobus lS Les objets défendus. — N'ayant pas un commis le vol seul ou s'il avait des comLe distingué praticien déclara que les Violences. — La veuve Gillet et Constant it air « irréprochable », le manœuvre Ba' Contre la vie chère. — Par les temps dt; oui devait l'emmener â Saint-Dié, un riren plices ; il ne se rapnelait plus de rien. . blessures de Davitagaro étaient peu gra. Hilptper, mineur, restent dans La même ie ginski Alexandre, 24 ans, se vit invité à :I vie chère que notre traversons, il n'est pas; darme lui mit la main au collet et le fort Cete bicyclette porto la marque « Gladia; celle de Chiardo plus sérieuse. Quant maison. exhiber le contenu de ses poches : l'une, ves de plus petites économies que l'on n'ait ài ça, bien malgré Lui, à J éprendre le chemin a tor » à l'avant ; sur le tube horizontal la a à Ferrando, dit le docteur, il n'en a plus La veuve Gillet a comme pensionnaire ce d'elles renfermait un couteau à cran d'ar-_ que pour une heure ou deux ; il a reçu cœur de réaliser. Mais dans toutes cho-• de Col m an. marque « Farny, rue de Viller, n° 41, à à SA INTE-MA F' SEAU Y.-H 1 «*CS le manœuvre Ernest Pierquet, 36 ans. Vers ses i' ne faut pas d'abus. C'est justementt rs rêt qui valut h son auteur un procès pour deux balles mortelles. ;( Linéville », pédales â scies, dont une est La suppression d? l'octroi. — Le (■■>' ' 4 heures du soir, ce dernier descendait I pour avoir voulu trop économiser que M. 't port d'arme prohibée, Le diagnostic était juste, vers midi le nnirne d'un * iche pied municipal a décidé, par 14 vclx contre B, Morel, de Juvaincourt, sera très prochai conduisant de la demeure de sa sa Réserviste insoumis.— Dans la rue Sain- pauvre diable rendait ie dernier soupir. le représentant de la loi saisit la mnrhi-j l'escalier c la Siippre si' n d» fwtn i. Ta .date d ta .„ nement poursuivi pour vol'dé bois au pré te-Barbe, à Longlaville, les gendarmes mi-* !ogeu<Se au jardin. r"! ; elle est déposée à la mairie où on peul Aussitôt après la visite du médecin, les - .nmeastoo n'est pas >"n • Il prétend qu'au moment où H passait .ii rent en état d'arrestation le réserviste in- gendarmes avisèrent le parquet de Briey. „ judice dé M. Fait isse. îi-er la reconnaître. . faudra pour co\>\.,,- |r. Wicït. so r.tv.t.r.;,,. i' Celui-ci avait laissé devant son habita rsoumis Georges Charles, de la classe 1901, devant te. porte de Hilpiper, celui-ci sor: . Rientôt MM. Lacroix, substitut ; Gérard, Mathieu a été mi"» m état d'arrestationn lit et lui porta sur La tête un coup violent nt du recrutement d'Epinal. 11 a été conduit juge d'instruction ; Garnier, greffier, par-' lion une voiture chargée de bois de çhfeuf- additionnels en plus. Deux con selliers -«wt *}■ d'i'luit pir 1Î> e■• ' ^rmerie devant Mr fage. Il était dix heures du soir et La nuitt donné leur démission à la suite de ce v«U à ChâIons-sur-Marne. 1 taient pour Moutiers. d'un instrument quelconque. * procureur de la République sous les ^ MEUSE ^ , ' VOSGES ORRAINB ET ALSACS l ttj, « >i <rv*s * * gglg.BHi!£*£j^?^^ aw iIJJWIiiigjaisiîigi^mmm^^^mmmm^mm^^mmmmmmm^>f_%i r 1 nEPUBLIOAIHj^«g?ffggg» #'» ''^^ ''^^ 7 _ g . '*'• $ # kk L'ACTUALITE AGRICOLE jftode [ Les S§iil§iJ§ Printemps Paris, le G mars 1912. T):n s'occupe beaucoup en ce moment des tu>ift>s â<e£ premiers communiante et ^ivi^Kki-re^ NOS RÉBUS Faits-Divers QUATRE ARTISTES NOYÉS. On sait que quatre artistes du théâtre d'Angers se sont noyés. Ce sont : MM. Jean Dupuy, 42 ans, trial ; Georges Vallon, 32 ans, violoniste ; Hector Desniet, 21 ans, cor solo, et Joseph D uni ont, 19 ans, choriste, ces deux derniers sujets belges. Tous étaient allés faire une partie de pêche en bateau, bien que la rivière fût houleuse et le vent violent. Leur barque a chaviré au confluent de la Maine, de la Sarthe et de la Mayenne et les quatre artistes se sont noyés. Leurs corps n'ont pas été retrouves. ûflÂP " ^ ^^^^^ |^8^^^^^ — a Après avoir été délaissée trop longtemps, . ■ Si le fond reste le même chaque armée 1 a eulture du seigle reprend faveur depuis .r^O^à Lundi jUnèœ pou* Uttiit centaines modifications « pielques années et on ne peut que s'en 1 U1K, r'OIi.M. W 4 <pii, pour n'être pas très importantes, don- éliciter, car cette céréale méritait mieux nent û l'ensemble une allure nouvelle. • ' jus la situation qui lui était faite dans Pos-sè.ie La terreur dos * des biens bœufs. Est a Ainsi, pour les fillettes, la silhouette est 1 ÏOS pays. Elle est intéressante. dans la Jérusalem, plus svelte que les années précédentes.Les j Si, employée seule, elle donne un pain patrie do façons sont plus étroits du bas et plus , rop lourd et moins nourrissant que le Gallot. sain blanc, on obtient en mélangeant à la ipincés dams le haut pour en supprimer les j 'arinc de froment une certaine quantité Jrrences de la taille. 1 le farine de seigle, un pain de saveur Pour la jupe, les fronces doivent être ; igréaJtle et rafraîchissant dont il se fait, DÉCAPITÉ PAR UN" TRAIN. Au grand émoi 1 nême dans les villes, un débit de plus en des fttaîSH raies que possible sur les hanches, employés de la gare et des voyageurs '!çufâlq.ires fronces au. milieu du dos et des 1 îlus répandu. sur Les quais, un train est entré Dans l'alimentation du bétail le seigle présents «Jeux côtés du devant. m à dix heures et demie à Lille portant acioue aussi un rôle de plus en plus appréLes ' garnitures sont plus sobres et les ; cié et qui grandit avec l'importance crois- crochés au-devant de sa locomotive une oarwagea se font tous à mancherons, d'où , sante que Le bétail prend dans les fermes ; tête humaine et un sac de pommes de s'échappent les manches longues à petits , devrait toujours en avoir une abondan- terre. Une garde-barrière de la banlieue a plis lingerie. te provision qui serait surtout nrécieuse La plus gracieuse' rohe de oe genre m'a ■ dans les années de sécheresse, caT le sei- presque aussitôt téléphoné la clef de ce en annonçant que le train avait semblé celle-ci : gle est une nourriture saine, économique, mystère Nom d'une fe- *" tamponné, au passage à. niveau de Rourafraîchissante, très utile à l'en(rra.isseD D D taelle de lièvre ® La jupe a, au bas, un ourlet double de ges, Barrés, un homme qui portait un sac Attire le fer. „ V\ doua» centimètres de hauteur, puis deux ment et qui convient à tous les animaux. sur la tête. Est sans coinLe seigle est le grain du distillateur par ■ i» groupes de six plis, de un centimètre,, sépaguie. excellence ; sous ce rapport même on en parés par un;e hauteur de mousseline unie abuse un peu trop dans un grand nomde douze centimètres. Le petit corsage bre de fermes. Mais n'insistons pas. Six prix seront tirés au sort parmi les garantit mr foctors M bière eielusiveuieut fabriqués atie des blouse est décolleté en rond sur une guimLes usages de la paille de seigle sont MALT ET H01BL0NS DE 1" CHOIX. Tris siiue ei ii h\t. personnes qui auront envoyé le plus do in pe de tulle plissé. Le bord du. décolleté est ; multiples et sa vente est si rémunératrisolutions justes. Voici ces six prix des •roc d'une broderie de même que celui ce qu'elle suffit le plus souvent à défraver DERNA FUT UN COMBAT ACHARNÉ. Le cor- quatre rébus de la série D. T. 1« prix : Un couteau suisse. des mancherons. C'est d'une simplicité de les dépenses de la culture, laissant le pro- respondant de guerre' du Temps » à Tri£• prix : Un bibelot (fantaisie). X bon goût ; la ceinture est à pans ronds, duit du grain comme bénéfice absolu, 'a poli lui envoie ces intéressants détails sur «r> prix : Un volume. lie bonnet de tulle, orné de roses de mous- paille de seigle est la plus belle de toutes, le combat de Derna, dont nous avons déjà parlé aux dépêches : 4«. 5*, 6e prix ; Ceux cartes artistique» seline de soie, est recouvert d'un voile de longue et fraîche à *& faux. (Chaque gagnant de deux çartea posta« On, mande de Derna qu'une action imAjoutons, pour en finir avec les avanmousseline ayant au bord une petite vatages du seigle, que son grain, qu'on au- portante a eu e lieu dimanche matin. Des le» n'aura qu'à nous adresser les noms lenoiennes incrustée. rait tendance à dédaigner chez nous est, soldats du 35 d'infanterie, qui proté- gu'il désirera voir figurer sur ses caries. Pour les premiers communiants deux avec l'orge de brasserie, celui -ue nous geaient la construction d'un, fort avancé Celles-ci, dues à une main artiste, consticostumes ont l'air de vouloir primer les exportons le plus à l'étranger. au delà de Derna, furent attaqués par un tueront donc autant d''jBuvies originales.) .** autres : On prétend qu'il y a dans les balles de détachement turcoarabe qui se tenait en La première se compose de la veste Etou seigle un principe favorable au système embuscade Après trois quarts d'heure de Ont deviné le dernier rébus : en drap fin noir dépassant un peu le gilet nerveux et les Allemands, qui sont grands combat, les Turco-Arabes furent repousLe You à sa Hyine Un beau blond — btenc, du grand col rabattu et d'une cra- consonunateurs de seigle, mettent dans la sés et l'infanterie italienne se fortifia dans I^a Glu — Barka — Jocond-- — La mère la position conquise. Vers onze heures,, mouture mie petite part de balles. vate à nœud marin en soie blanche. Le — La mise Boski — La Le seigle est l'ami des sols légers et les Turco-Arabes reprirent l'offensive avec Jeantrendanse pantalon long peut se faire gris-clair, pauvres et sa rusticité est remarquable. des forces plus considérables, déployées tête de veau — Le Trouvère — G. Gagné blanc ou du même drap que la veste. Le U pousse où le blé ne vient ou vient mal. en ordre dispersé. Immédiatement accou- — Lilas blanc — Reissilep — Les trois brassard se fait en moire ou en satin Ce n'est pas à dire qu'il soit insensible aux rurent un autre bataillon du 35', un ba- manillours du Grand-Jus — Une petite blanc frangé d'argent. bons soins, loin de là, car si on le traite taillon du 28° et un bataillon d'alpins, avec I maman — Les manilleurs du café de la Le second costume se compose d'un aussi bien que le blé, il arrive promute- batterie do montagne. Le nouveau combat Victoire - G. Maboire — Le fondeur de smoking et de culottes courtes en drap fin ment, avec des variétés bien acclimatées se prolongea jusqu'à trois heures L'en- cloches à gaz — De Saint-Garni - SésosS. Kogriff — S. Kargo - S. Thoncir ou bleu. Les bas de soie sont de la et bien sélectionnées, au rendement de 30 nemi reculait lentemcnt.se défendant avec tris mas — S. Gopette — Content Geux — N. courage, malgré le feu des mitrailleuses Biéme couleur que le costume, ies bottines à 40 hectolitres à" l'hectare. Comme toute céréale, il demande une Mais de nouveaux renforts arabes vinrent Hervé — Le père de Zézette — Levé hier à boutons en chevreau et vernis. terre bien préparée, bien ameublie, mais renforcer les musulmans vfôrs trois heures — Le loup du P. C. — Un nouvel Œdipe Gilet de piqué blanc, cravate Lavallière et la bataille allait recommencer lorsque — Lasse Jemmeq ou Paul — H. T. D. s'accommode mal d'un labour trop frais en, soie souple blanche, brassard frangé La terre doit donc être labourée le plus le général Trombi .fit donner quatre ba- balais — Remy Raymond — Le loustic de d'argent ou d'or. taillons de réserve, qui purent tourner la Titine — Henry Paillant — Le grand Viclongtemps possible à l'avance. Des garçons restent tête nue, le chapeau La jachère constitue une excellette pré- droite de L'ennemi et provoquèrent sa re- tor — Un é'ève die Lucas — Phoniphonse V Le sous-préfet de la Bouzule — Tirez étant confié aux parents pendant la céré- paration à la culture du seigle ; après un traite définitive. « L»:s Italiens occupaient au crépuscule les rideaux — Un amateur de concours -• , monie. fourrago annuel, du trèfle incarnat, par les positions abandonnées par les Turco- Jeanjean'— Le décortiqueur de lentilles Les robes de jeunes filles ont aussi un exemple, il peut être semé sur labour an- Arabes. de Saint-Charles — L'ancien Kyran de la cachet de simplicité très grand. On fait cien. Il se sème également après jne auMarmeuche et de l'Herbuvau — Trousse » Le combat a été très mouvementé tre céréale et peut se succéder à lui-même les jupes froncées légèrement à ha taille sans que la récolte seconde ait à en souf- acharné et sanglant. Les pertes des Turcs Jacquette — Lafnoe — Un patineur de et d'une, largeur raisonnable. sont très nombreuses. Les Italiens ont eu Lux à Glatz — Un Nordiste — Bec de Cafrir. Avec le mélange des tissus, il arrive que nard — Le fils au papa Jules — Le bon U y a, comme pour le blé, l'avoine et environ 150 hommes hors de combat. l'on peut facilement remettre à neuf une l'orge des variétés d'hiver et de printemps. On croit que ce mouvement turco-a'rabe zigue zeurnif — Le petit Théodoricien — robe devenue trop courte d'une année à Parmi les seigles de printemps, on cite, a été dirigé personnellement par Bnvcr Lutocar — Le chauffeur de l'Alcyon du Dédé — Jaime Henner — Ah ! quelle joie l'autre. Pour la jupe, il suffit de l'allonger outre la variété commune ou seigle « tré- bey. de se revoir — Cou, b, d, c Germain « Dimanche, vers une heure et demie avec une haute bande festonnée, les l'es- mois », le « seigle d'été de Saxe » qui est Lair — Not' René des Dômes — Zézette tons se posant en montant sur l'ancienne presque aussi beau de paille et riche en six cents Arabes ont attaqué les tranchées et Zaza. de Gaagarecb ; ils ont été repoussés avec grains que les variétés d'hiver. jupe. A pertes par le 82° d'infanterie et une batteSemé en ce moment (courant de mars), La même chose pour les mancherons ; rie de campagne. » Voici que'le était la solution : le seigle de printemps donne sa moisson on peut aussi ajouter un petit boléro très en juillet. Ile et TASSE où était KELA — héros oouirt sur le corsage, c'est tout à fait nouOn préférera les semences nouvelles aux PLAT, nœud, le gêne — R — halle LANG veau en ce moment. anciennes et l'on aura grand soin de les LES IDÉES DU CHEVAL. .On a peut-être — loi — sel — Eve avec HOTE en deux — Qu,and tes manches d'un costume sont purger des grains ergotés, puis on Les oublié l'existence de ce cheval berlinois, FAT scie lit — T, clé somme — POUR devenues trop courtes et qu'il ne reste plus sulfutera comme on fait des semailles de « Kluge Hans » « Bans le Sage », qui, il luit sous SKR1TII. de tissu semblable pour les rallonger, on blé. (Il est h souhaiter que l'aéroplane « Le y a quelques années, remplit le monde du Les semailles se font à la volée ou au les enlève carrément. L'emmanchure est Général-Langlois » s'élèvo avec autant de bruit de ses prouesses intellectuelles.. Sa semoir. A la volée, on emploie de doux élargie et bordée d'un biais liséré. gloire fut si courte d'ailleurs et ta com- facilité que 'es sommes pour lui souscriAvec un tissu différent et tranchant bien cents à deux cent quarante litres de se- mission .scientifitjuie qui étudia ses per- tes.) de couleur, on. fait des manches nouvelles,' mence par hectare, un peu moins au se- formances conclu», avec tant d'assurance moir. Les semis drus sont fort préférables un col autour, de l'empiècement et un pe- aux semis clair3. Un semis régulier un au truquage qu'il n'y avait guère d'intérêt Résultat du tirage de la dernière sétit plastron. Une bande de ce tissu ornera peu épais incite le seigle à mieux dresser à se souvenir d'un animal dont toute l'in- rie ; Je bas de la jupe, et la ceinture en sera ses tiges et, comme il germe et pousse vi- géniosité consistait apparemment en ce 1" prix. — Une pip© (écume) : Le grand composée. Voilà une robe transformée à te, il étouffe lui-même les plantes para- que son propriétaire était doué d'une pa- Victor. tience et d'une habileté sans égales. 2° prix .— Un bibelot (fantaisie) : Un peu die frais, et l'on pourra attendre quel- sites. La commission avait, en effet, solennel- patineur de Lux à Glatz. On enterre moins le seigle que le blé, ques semaines avant de se décider à adop3* prix. — Un volume : Lilas blanc . soit deux ou trois centimètres de pro- lement déclaré qu'en posant des questions ter une forme nouvelle. à « Kluge Hans », son maître faisait jles 4e, 5". 6" prix. — Deux cartes artistiPour les plus petites filles, les robes fondeur seulement, car O craint l'hu- signes sur lesquels l'animal se basait ques : Un élève do Lucas, Le fondeur de midité et, la pourriture. La recouvrement nestent très éeourlées ; elles arrivent à est opéré, par un hersage léger. Un vieux pour formuler sa réponse, c'est-à-dire pour cloches à gaz — Un Nordiste. peine aux genoux. La taille est hauto.mar- proverbe plein de sagesse dit : frapper avec son pied droit antérieur 'le nombre de coups qui correspondaient par quée par une ceinture de tissu pareil, ou Sème ton seigle en terre poudreuse. SÉRiE D T exemple au résultat de la division ou do de satin selon le degré habillé du cosAttendons donc un beau temps sec, la multiplication proposées. tume. sans roséo et surtout sans brouillard. Mais la commission/ n'avait pas condes petites robes se font presque toutes Lorsque le seigle a poussé sa quatrième vaincu tout le monde. Elle n'avait notamavec guimpe rapportée et décolletées en feuille, on Lui applique, par temps sec toument pas convaincu le maître de l'animal rond. jours, un roulage au rouleur plombeur. M. von Osten, qui se retira sur ses terres Quand ce sont ' de petits costumes, le Dès lors, il né restera plus grand'choso triste et découragé pour y mourir quelques manteau s'orne au bas et autour du grand à faire jusqu'à la récolte. années plus tard. La commission n'avait Le seigle est moins sujet aux maladies pas convaincu davantage — et cela semcol et des revers de franges assorties à la ^Q^^^|k et aussi gros de consétjucnces qu'un rhume négligé. que le blé, cependant il connaît aussi la ble devoir1 être beaucoup plus grave pour couleur du tissu. • VA^^^^fci Et l'on néglige généralement de soigner un rhume â S On garnit aussi beaucoup les robes des rouille et il a, comme ennemi particulier, elle - un M. Karl Krall, .fqui, profondéeauge (îe ,a *.wffiÊË^T\ compiication et de la difficulté du traig fllleites d'entredeux de dentelle ; les com- l'ergot produit par un champignon para- ment intéresse par ce problème, se mit en P\ tement. Rien de plue simple pourtant que do guérir un B binaisons les plus originales sont per- site et qui peut provoquer chez les gens et . relation avec M. von Osten, acquit « Kluchez les bêtes nourris au seigle un mal t-ES PETITS M^ÉKI|R^A rhume lorsqu'on emploie les ge Hans.» après la mort de son maître et mises.. redoutable : l'ergotisme. chercha, par les, procédés les plus ingém BOITESRECTANSUlftlRES Les petits chapeaux cloche, les capotes : Pour la récolte, il ne faut pas attendre nieux à éliminer complètement jusqu'à'la Directoire et les bonnets de paille souple que les épis soient trop mûrs, ils risque- possibilité d'un système, visuel qui aurait LES GROS EN j/i ^ér sobrement garnis sont les coiffures favo- raient fort .do s'égrener. D'après Mathieu permis au cheval de répondre exactement BOTTES tCNGUES ^^SùJ^f^r' rites du. moment. de Dombasle, l'époque, la plus favorable sans foire œuvre d'intelligence. Il réussit Pour les fillettes et les jeunes filles, le est celle où La paille a compètement per- ainsi, a faire donner à l'animal des répon SONT H Un ou deux cachets pris à n'importe quel moment de fa journée guériront «û- 9 chapeau dit « petit breton » et la grande du sa teinte verdâtre et où les grains de la ses exactes à des questions dont La soluB rement votre maladie si ancienne soit-eile. Au moment des quintes et si fl capeline ornée soit d'un nœud de velours majeure partie des épis ne se laissent plus tion était ignorôo de celui qui les avait . AUSSI B vous êtes obligé de sortir, sucez qusiques pastilles LOUVIOT. I ou d'un nœud do taffetas ont tous les suf- écraser en les pressant entre les doigts posées. Il perfectionna d'ailleurs la méEn veute dans toutes les honnes pharmacies t fr. ta boite de 120 nastiliee, ■ mais où L'ongle s'imprime encore dans la thode imaginée, par M. von Osten. Tandis frage». S fr. la boîte de 20 caehetss. I substance du grain comme dans un mor- que « Rlngc Hans » spécifiait les chiffre s Pour les garçonnets, à côté du Jean ceau de cire. Dépôts à Nancy, Pharmacie Centrale, rue de la Visitation ; Pharmacie 8t- 1 CUELEURS SARDINES mêrrifc les plus grands, à l'aide d'un seul Ba>rt très connu, on lance une forme nouffi Jean, en face ies Magasins-Réunis. EnvoiHanco à domicile contre leur valeur ■ Les épis les plus beaux seront réservés pied, Je droit antérieur, M. Krall lui fedivelle dite le « Cadet ». Ce chapeau cano- peur la semence prochaine. qua a enseigner les unités avec le pied g atiresî ie ^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^ tier, à bords souples, se rabaisse sur les Il n'y a do particularité que pour le droit, les dizaines avec le pied gauche le* yeux et se retrousse à l'arrière, garantis- battage. La paille de seigle, à cause" de ses centaines, de nouveau, avec le pied droit, , Mnt'bien du soleil. emplois multiples, ayant à être ménagée Pom- terminer, voilà un ravissant cos- dans sa longueur, on s'attache à la broyer CHIRURGIEN-DENTISTE" Plus tard, M. Krall enjoignit à « Kluge le moins possible et pour cela on la bat Hans » deux concurrents de race arabe • twane tailleur dernier cri en partance pour à 4, fi*e des QuatnB-EglIses la main ou tout au moins on se sert Nice : « Mohamed » et « Zarif ». Et bientôt avec (Terminus des Tramways suburbains) d'une batteuse, à large embouchure. 1 o.ido du, docteur A. Schœller, U appri* à H est en fine serge bleu de nuit ; la jupe Joliss dents artificielles depuis S fr. la dent. LONDINJÈBES llMlim - PHARMACIE-DROGU£RiE ses trois chevaux non seulement à faire boutonnée à gauche sur le devant, et à I* , , 1 MAISON DS CONFIANCE n ECO TA M A NO CE: Bwllft " '*' «M H 11 'S iJL-t^ag Professeur d'agriculture. 2 des calculs compliqués, à distinguer des IJl^ !^, ..!^^^.^^ des îïoa,ù-.!c^a«< jyA ^OJgr«J droite sur le derrière, s'ouvre à mi-jamhe couleurs, à épeler des mots et à lire mois || | ■n un plissé éventail, qui facilite la marmême à exprimer des idées personne s che. simples. Il faut dire cependant q, Ko ie de Physiothérapie et Clinique La jaquette est droite' devant, à large graphe de ces animaux n'est pas parfahe •cl chàle, à manches plates. Deux bouelle est souvent phonétique. Us éciivenï Ui, rue GainheUa, îV'ANGY our se guérir et se préserver des Rhumes,, Paris, 5 mars 1912. par exemple « ferd ,, pour « pferd »> (cîië tons de corozo la ferment assez bas ; cinq Dents artificielles garanties : 5 francs Ton M, BrotieMte», Meft'cîdiseeLe Marché, encore indécis au début de val), ce qui; n'est que justice, caiM boutons ornent la manche. Dentiers complets depuis : S0 francs. mentê, Catarrhes, (Uriptie, Asthme, nonciation du p dans ce mot'est bien peT la séance s'améliore quelque peu par la C«st simple et cossu à la fois, vu la per- suite. (Luxembourg) Tous les jours CONSULTATIONS Influença, Phtisie, Tubereuloèet fection, de la coupe. C1 a 1Wn^ ^ Gemment eu pour se fortifier lm bronches, l'eslomac et la Notre 3 % s'adjuge quelques centimes à 8 h. à midi et de 1 h. ti2 à 6 h. ■ Hydrothérapie, Bains, Maladies internes ; n "Rrois chapeaux l'accompagnent. los 94,62, mais l'Extérieure se tasse à 95,50 ; poitrine, il suffit de prendre à chaque repas Traiicmentparlo »(!0J • : B ™aux do M ■ Douche»; L'wi en tag,a,l blanc, assez petit, à bords bonne tenue du Serbe à 88,27 et du Turc Ki ail Rendant plusieurs jours consérni»« - deux GOUTTES MVOWŒNMB» de ■ Eleclrothérapie, Haute Maladies des femmes ;l petimissés, bordés d'un large ruban de ve- unifié à 92,25. et qui rend compte de. sa visite d ans TROUKÎIE-I'EÏUIET. - 3 fr. le C toutes pU*rm*cle» I fréquence ; Chirurgie ; Hcinics ; fewrs blanc. B est retrousse à gaucho par de ColS ■ Ere Russes, le Consolidé revient de 9G.40 dernier numéro de la <« Gaze t Rayons X,Radiotliéra- etc., etc. dqu s grande aile blanche. Autour de la à 96,15, le 1891 perd 40 centimes à 82,65, lions Miin!rpi !!tf8fi r ? / amples des qS° . pie, Massage ; Cure thermale. •oifle, petite cravate de velours et assez le 1906, 20 centimes à 105,80. é :Z à s LliplOuie d'honneur — Deux médailles d'oi Quehé i la racme carrée " Mohamed fa*go nœud plat sur le bord. yueue est de 1 156» ?: Les Etablissements de crédit sont calJ. CHAILLY, gérant. K'AKOV — 47, rue Gambetta — M A M0Y mes. La réponse, immédiate, fut 34 L'autre, est une grande capeline en taCsnsuUatians de 9 heures à 5 heures Impr. de l'Est, 81, tu Si Sâitcy Banques étrangères soutenues. Nous g»l noir, recouverte de tulle noir froncé croyons savoir que le Crédit foncier du «a retenu par dieux cercles de liseré noir. Royaume de Hongrie va procéder, vers la Ser pardonne" leïéSi est relevé par une magnifique crosse fin du mois, en Belgique et en France, sultat,2L «à 33, Rue Victor-Hugo - UYOH |,J Jjïk^ Puis il propose de multiplier n v •ointe. Prix : 500 fr. C'est donné J... par 13 et donne le résultat 273 par Los soins, notamment dte la Banque S.OOO.bbb de ^Francs '.»p^fc;> ' / Enfin, petit chapeau de curé de campa- Priveo et de la Société centrale des Banm alors, M dicte : « Jfè' sui* taUm-.A DEMANDE» anCULAH» V4fejjS^tffeg-y 1 aligné. » CONTRIBUTIONS DIHECT/ES XS^^W^ »ve recouvert de taffetas noir froncé en ques de province, à l'émission de 50,000 (Bein sch mud). adresse!d'urgme* AvertlsMmiénts: Foncière, Patentes Étais sur les bords. Une autre fois, M. Krali. écrit sur le ta obligations 4 % du même type que celles rflobtlioree,Taxes municipales, Automobiles,etc. é ls âmrxûà garniture autre ; ultra chic. CONTRIBUTIONS INDIRECTES ™ *1,en 1W.T, e* qui figurent à la cote bleau noir : « Baisse-toi ! » puis « Bnt^" officielle. toi davantage », et Uaniroal obéit Ku* DROITS D'ESSEGiSTREKEHT, OE SUCCESSIONS, ACTES DE SOCIÉTÉS Comtesse BEOTY. fois très exactement, enaque FAITES VERIFIER TOUS VOS IMPOTS, TAXES * DROITS Chemins de fer français hésitants : P.m~" Représentant: M. LEYBACH, à Epinat. L -M. 1,240, Orléans 1,310 ; Nord, 1,630. MARCHÉ AUX VEAUX teui, de Pans, a, lui aussi, examiné «S Chemins espagnols soutenus. Industrielles russes irrégulières • la animaux, et il donne son opinion en La Viilette, mardi 5 mars. Wae.ii:.: amenés 75. vendus 70. Sosnowico demeure à 1,571, et la Briànsk termes : « Je suis étonné d0 1 ™actit,fde Jusqu'à fin avril, grande diminution sur av^ec laquelle les chevaux répondent aux fente mauvaise et baisée sur les sortes à 601. tandis que la Bakou se tasse à 1,225 les dents artificielles •wMnaiâm Le Rio Tiiïto débute à 1,805 et s'avance questions pour lesquelles des hommes m, Lm vSauoc 4e choix de Scinc-ei-Marri*', à. 1.82G contre 1,786 hier. n'«î" n?a,Ci 'fauc™P Pte do temps. Il netet pas floutcuK que ces .chevaux KSn Légère reprise des mines d'or. de l'Eaire, do ifctae-et-Oiee, d'Eure-et-Loir, puî" tOUt, G, place de la République, €, TOUL faoârot se aont vendus de 1 26 à 1 30 ; <n n diamantifères, la de Beers passe do sent, oaîcuiîant..: » ete. (Maison Banque Bloeq, au rez-de-chaussée) »V1 a 500,50. Lé professeur Edingcr, de. BranefoTl ebaiïip«n<Qis de 1 10 à 1 25 ; les mari10lt ncttrolo?-.*** illustre <** lui r' . > DENT ARTIFICIELLE : 5 fr. Pris Hltique Hartmann vaut 817, Platine 811. afaux, de 1 05 & 1 90 ; les gs>«#n»yeux de (valeur 10 à 12 fr.) vaincu qiw ces chevaux calèrent, lisent Caeutchojlières résistantes. 9 96 a 1 06 ; Lee oacrMia-is de © 85 à 1 fr. Travail garanti comme solidité eî bon «««•«i,* et que fceur imat.r* évite de fiÏÏre 1 1 PHCLOUZE ET WAODIKGTOK - Le dw> -W\>. fonctionnement p0Wr iî C0ÏMt r 20. rus Le Peîefier. ' * ^ «a tfô. Visible de 9 à ii h. tous les jours ; les • fcffldf'i tt jeudis, ù m> 'if. de 2 heures. jj^^j I — n m EXPOSITION jëûiTeiîeiigfil e lm ( = EXPOSITION = du Bureau Moderne Brasserie de Nancy — M (Chambre de Commerce de 5\[ancy) 4-14 MARS 1912 — l ,E STAND — — — — — est très întérressant et ne renferme que des Spécialités de grandes marques Rébus n° i I i J S ^S jQf [r Rien n'est aussi dangereux" ]I L-^^^P I ^*W&^ I I *JLmei Pastilles et les Cachets Pectoraux LOUVIOT 9 ITTsWl'^S^ra M 1 "°* INSTITUT BULLETIN FINANCIER ÏHM** l^aW^iW^ ïdiïSZ S'T?f- ' l HtI | A. 8ISCUEL» dentiste • P WËILËR, à HondorMes-Bains I 1 ~Léon LE PAYEN t !«rjc H -Si Hiïff ■♦»», ,—-—, (i { IL' ENCAUSTIQUE - PATE A FOURNEAUX CRÈMES CHAUSSURES • Au Cabinet Dentaire t | I F' . f j Sut. I Faubourg Saint-Georges «- NANCY Supérieures aux meilleures : ! 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Aussi délabré à l'intérieur qu'à ' extérieur. Pas un meuble. Pas un siège P°u,r s'asseoir. Du premier coup d'œil,Zizi f,1a certitude que les enfants ne peuvent «re cachés là.. Pourtant, ce hangar sert de repaire à un homme... Il y a là-bas, un lit. HUeJ nt !... un amas de varech que la pluie mmbant du toit a pourri lentement... Sur a varech, une couverture trouée, en gueboi,tS'iDans un a-ng-le, prés de la porte, des teilles d'eau-de-vie, les unes pleined.les Ve!>t passer toutes les rafales. Ple'ls, la terre battue. Là-haut, [ Suez Obligation 3 OiO 1" série"'' Soea Obligation 30 0 2' série.'.'.' ! \ Suez (Bon" de cou m nsl buez Bon de coupons) S Eï aRosièr^x^pIacede la République, composée d un rez déchaussée d un itage.grcnier, cave voûtée, courette avec platM ba ^l .HcUé Rs rU Paris Paris Paris Paris MARCHÉ EN BANQUE ofo .fK:: : : : : :K: : : : : M r:: M i: : : : r* 1875 1876.. 1892 2 1,2 1891-96 2 li2 ... 1898 2 Ow ?§ 58 S^K::::::::::::::::;:::::: île 18 ^œSfe::::::'::: Bordeaux 4 OiO 1881 504.. Est 5 OiO Es 3 0 0 Est 2 1» WS™ I Paris-Lyon 3 0,0 1855. .... Bourbonnais 3 0,0 . Dauphiné 3 OiO. Méditerranée 5 OiO .. . Méditerranée 3 ..Y....... 0 paris-Lyon (fusion ancienne) Paris-Lyon (fusion nouvelle) Pans-Lyon 2 liî 0l0 Midi 3 0,0 ancien.! Midi 3 0[0 nouveau... Midi 2 1 2 0,0 Nord 3 0,0 Nord 3 0,0 nouvelles Nord 2 1 2 0,0 Orléans 3 0,0 , Orléans 3 0,0 1884. Orléans 2 1,2 0,0 1895 Ouest 3 0,0 Ouest 3 0,0 nouvelles Ouest 2 1,2 0,0 1895 Ouest-Algérien 3 0t0 Sud-France 3 0,0 [o Ferrpira oi i.6 5o & DVoV:::::::::::::::::::::::: !?io 645.. 415 50 409.. 374 .. 413 50 410.. 410.. 632 75 411 .. jl 412 75 415 25 375 25 410.. 413.. 372.. 414... 416 75 378.. 415 25: 413 . 374 .. 412 .. | 414 75 371.. 400 50 398 .. ^idt 'been ■ Gta™ke?Fta'f«P GOOTZ et cfe !n „ Consolfdatéd Go'l'd'nèld'sM Haroener . u%" Hartmann . . ■ «17 " fiuanchaca l!]K 75 faneaster West 12 25 aurfum grec! il g MaïteT. ....................'.Y. \ '. 895 . May Consolidated Mézambique 28 75 New Goch . .. . 22 50 New SUyïËstato B 25 Platine." 811. Randfontein 42 75 nand Mines 151.. Robinson Deep 66 50 Robinson 12150 Rose Deep 82 50 Simmer et Jack 30.. Tharsis.. 142 50 Toula 919. Transvaal Cous. Land 37 25 Van Dyk Proprietary Village Main Reef... 6125 Monaco (Cercle de) 5550.. - .j j .„. l^X - chant Nancy, cuisant 85 sacs ^ur ^ V^adt ^ exls .™ „ ^ ^ ^ _^ a n E „ ,^^0^ ^S ad. 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Celui dont Ludovic avait dit certain jour à Tobia Basile : — J'en ferai mon esclave... je le tiendrai par la gourmandise, la luxure et la paresse.... Mais ce qu'elle vit surtout, de sa cachette, avec un émoi terrible, ce fut les mains du gnôme... c'était des mains de géant... qui eussent étouffé un tigre... des mains qui devaient se jouer de toute vigueur humaine... qui eussent brisé les os de toute créature qui en eût affronté l'étreinte... des mains de cauchemar... et Zizi ferma un instant les yeux... Si cet homme — cette bête — la surprenait, c'était fini !... Mais elle pensa que c'était à lui, à cet homme, à cette bête, que sans doute Ludovic avait confié les enfants... Elle vit le Mile et la Tine torturés, broyés, à l'agonie... et une sombre rage gonfla son cœur... Elle ne les connaissait pas, ces deux petits. Georges-Claude lui en avait parlé. Cela suffisait... Elle les aimait... Etait-il encore temps de les sauver ?... Au prix de quels périls ?. . Un tintement d'or lui fit rouvrir les yeux. Joanny venait, de s'asseoir par terre. Il riait silencieusement. Il avait tiré de sa poche des rouleaux, !e3 avait cassés, en avait arraché les pièces rutilantes et les faisait, par poignées, passer d'une main dans l'autre... Cet or, prix du crime commis... Etait-ce '^f" X^AP^i A .^.^uissance a été f Ittil f« FtWr l,iOO tP. 8^08^-00 ^01.0»» W jSl «'S SiSS ^^^^Ti^^^^^^ ri-,p(,flrffl B«MMp ff|«» ffSipp Ld] B ' Dl chbùti x IB CUUiiC d lUUl Wii0 dans beau quartier. Bière 140 10 à 35 ans sachant cuisine e» hect.^Vin 90 hect. — ^ïï&*7?i?p^ WKSÏ^ P"^*"^««^.ans, -ec^n defe an autres entamées. Une tasse en bois. Au fond, du côté de la roche, sur le derrière de la maison, une sorte de niche obscure qui, peut-être, jadis, a servi à une vache ou à une chèvre, ou à un porc vivant côte à côte avec l'habitant de cette ruine, mais qui ne renferme pour l'instant que des planches, des bouteilles vides, ou des plaques de chaume tombées de la toiture. Et dans tout cela, un relent écœurant d'alcool, de malpropretés, de déjections. Le cœur de Zizi se souleva. Il était inutile de s'attarder dans ce taudis... On ne pouvait rien y trouver. Elle revint vers la porte, restée grande ouverte... et elle recula vivement, en retenant un cri d'effroi... Devant elle, lui barrant le chemin, mais ne la voyant pas encore — car il s'avançait les yeux baissés —- un homme s'approchait, qu'elle reconnut tout de suite, à son allure, pour le compagnon de Ludovic... un être hideux et redoutable... Si elle sort, il la verra... Elle n'aura pas le temps de fuir... Elle se jette dans la nicho obscure où, derrière un tas de planches, elle se couche, invisible, mais voyant. Le gnôme, qui pénètre derrière elle, n'a rien remarqué. U ne relève les yeux que lorsqu'il est chez lui, et il repousse la porte d'un coup de pied... La lumière de la lande entre par la fenêtre étroite, où il n'y a plus de vitre3, et où les araignées font 'eurs toiles. L'homme reste debout, les bras ballants, et rêve, en pleine clarté... . Et Zizi, effarée, en détresse, S la merci d'un hasard, le regarde et le détaille... Il a vingt ans et il en parait quarante... Petit, trapu, les épaules si larges qu'il en est presque difforme... les jambes comme des poutres incurvées 9'appuyant sur des pieds de gorille... une tête aux cheveux de Pn'in . BOffi» w BOQ anOSr 8 située dans gros boig ton- " ^ " ^%™f ?'narlaues 23 a 'hùu EpICene-FrUllSriS BôH :::: STm^.:\:::::\:\:::\:::::::::: ï s 3 0 0 nouVelUs 338 .. 1069 .. 1770 .. 2278 .. 1174 .. 1903 .. 628 50 552.. 1101.. 169.. nrii- ^eUfcwjïbiè::;:::::::::: OBLIGATIONS DE CHEMINS DE FER 2435.. 883 .. 1346 .. 375 .. l9r5 .. 1070 .. 1060 .. 1575 .. 1772.. ' ' ''' BrlS" 5 ChiliilTihO 542.. 493.. S37 .. 538 .. 344.. Mexicain 50.0 Obligations Ch. Ott. (Lots turcs) 208 50 Azote (Société norvégienne) .. , fiaHa ifarai,lln *râ 4n 407 rSP ronnèr liétrSXatfWte " 386 ' ChariereT3^50. 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Après quoi, il ramassa son or, pièce par pièce, l'embrassa, louis par louis... pendant qu'un sourd grondement de volupté sortait de sa poitrine... Quiconque eût tenté de lui arrachfjr une parcelle de ce trésor, eût été broyé dan? la même seconde. Quand il eut tout ramassé dans sa main gauche, il se mit à creuser le sol de la cabane, près de son lit, sans autre outil que ses doigts qui s'enfonçaient comme du <er dans la terre durcie... Il y enfouit sa fortune, sauf quelques pièces, repoussa la terre et la piétina de ses pieds mis jusqu'à ce que toute trace disparût... Puis, il alla près de la porte prendre une bouteille d'eau-de-vie, emplit la tarse de bois jusqu'au bord... Es il but lentement, les yeux clos par le plaisir... Il but jusqu'à la dernière goutte, avec des hoquets de joie, des petits cris et des rires. Après quoi, il essaya de chanter une chanson triste et monotone en bas-breton, dont le refrain fréquent entrait comme une vrille dans les oreilles de Zizi : Landeriguette, Landerigoi... 11 m !■ h^ts^rs,, sl'IH»!?4fa PRflPRICTF | nUrglICi S L SISE A NANCY Rue du Port (angle du faubourg St-Georges) J d 'une superficie de 1_M mè1res environ, «-ur laquelle il y a 40.000 francs de construc- ^œ ItltéfTSr-! ou xhnité d« Imw™ »h»ii^ ^, }.l„f "0,"eaue .x abattoirs C Eau d^ MoseHe Lout 'ïï^i irwS («K 'J ' to MÎ,„ i ïï ■' innon fr Fa» IM 1^,.™^ J avilîtes de pa'emenl. 3.5^ . t .r"' tXatL^Z m ^ ^ ^ ^ mmm ™ANDfôDwmMM EMPLOI ^l« 8548 s'a^ser^ M trŒ»^^% taire. C fanls, demande travail cha elle. Prix modérés. 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Elle avait horreur de cette loque sinistre, de cette guenille humaine, .rodouitabljd à son réveil, comme la plus dangereuse et la impitoyable des bêtes... Zizi n'avait jamais tremblé devant ses (bêtes féroces, elle frissonnait devant celles-là. Quand -elle fut bien sûre qu'il dormait, elle se dressa lentement et sortit des ténèbres die sa cachette. Elle s'avança sur la pointe de ses pieds nus. L'autre ne fit pas un mouvement... Elle sie rassura... et pour se rassurer tout à fait, elle alla ouvrir toute grande La porte sur la lande toujours déserte... D'un bond, maintenant, à la moiaidro alerte, elle pourrait s'enfuir. Mais paurquoi ne fuyait-eUe pa* T Elle ramassa un tesson de boutefflle et ae"mit à creuser la terre à l'endroit où l'ivrogo» avait es_oug son or... Tout en so livrant à ce travail, eH* ne quittait pas de» jaewe Joaaiiny endormi... Quand elle a_t fini de creuser, efïe ramassa les pièces d'or, lentement, précieusement, une à une, en évitant de faire au-, cun. bruit... On eût chanté, crié, on se fût battu, on se fût tué auprès du vagabond, sans qu'a fût tiré de sa torpeur... et at deux pièces d'or, en se choquant, avaient fait retentir leur tintement clair, qui sait si ce tintement ne serait point allé frapper l'homme jusqu'au fond de sa léthargie et ne l'eût pas réveiHé en sursaut ?... Se» travail terminé, eM.e ne prit même pas la peine de reboucher le trou en le remplissant de terre. p©u lui importait que Joanny, à son réveil, s'aperçût qu/'ost l'avait volé... Au contraire, qui sait si 1* mendiant no s'imaginerait pas epue Ludo vie était revenu, et qu'il avait repris sem or Si le meurtre était accompli, plusd'espoir. Mais s'il était à commette©, qui sait, encore, si Joanny, dépouillé, s'y ré soudrait et s'il n'attendrait pas une autt • aubaine ?... Zizi agissait au hasard... L'é léutent principal lui manquait, autour duquel elle aurait pu étayer une làgmje d< conduite... Rien ne lui disait que les en famts fussent vivants ou mort» !... Di moins, son voyage avait un bat, et ce bui elle l'avait atteint, en découvrant loan ny... Si les enfants vivaient, par ïoan nv elle arriverait jusqu'à eux... 'Elle sortit de la masure, et, s'avançar j-usqu'au bord extrême de la falaise, ell lança par poignées les pièces rfor dan les flots, à ses pieds... (A SUIVRE.) CHOCOLAT L0RRA1 QUALITE SUPERIEURE _ --_-_>___M«___p____«lJ_ fil flIlirC HI , ? f, , f i II HLIiUULU Voioi votre 1 nonii f^i»^^^ §^^t§ S«-_j«® |j?f îr^-\r:1, ,r rirail,; , t^_j^3_KS''^ • Wmw^!6ifi^mS^» émVF*,/**_ 'iÊSmwmWMlk _»P_S^^#:^ Ahi. J0ÉÉÊI$miW fM3$k''& '-~ ,> 30.000 Ir. -fV ^ U " \ '{jflr'l / f - V." - Êg&gf' W! flMW '/MfàmÊÊpw ^^fm^ '0 ' " * v M S3 »■! •SS'S!» H» -s _ Hl Il y a une foule de malheureusequi souffrent en siler.ee et sans ose. -P»-»;'^ crainte d'une o,„>. tlo n " . toujours dangereuse, souvent | ! nelbcace. M ■ /^^S. 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J'ai en/i7i pris les Poudres de Cock et cinq bûitcs ont suffi pour me quérir complètement. Je VOUS laisse deviner ma joie. de fanutto, avec b-ble, bâti «t cof- tmA •' ■ 18j Q „„,,.,-,„, slonsieur OCC-PJ._3EOSff ******^^7*ff^r ,.„ Pour cause de maladie grave a '._.__. — V m m m s « eiir. rtfl ■ I F% MAI AfllFX II F ■ Wt* lfl«l-l*^8S-a UC ^ il ^^^tdol^, Souffrez-vous souvent de l'estomac, manqu z-vous d'appétit, digérez-V0U9 diffleifement Y Après ies repas, avez-VOUS souvent des renvois des lourdeurs, des aigreurs, des maux de tête, des maux de vf= ire, des gaz, des gonflements, des suffocations, des palpitations ? E S-vous vite fatigué, bois d'haleine, essoufflé ? Avez-vous souvent la bouche desséchée, la langue chargée, la gorge irritée, .'haleine désagréable ? La nuit, êtes-vous souvent fiévreux, agité, oppressé ? NV 'vous pas devenu très irritable, triste et mélancolique V Tout ce'a'c'est uniquement parce que vous avez l'estomac et le ventre injectés. Prenez les Poudres de Cock. Les Poudres de Cock désinfectent l'estomac et l'intestin, elles les guérissent et rendent leur fonctionnement normal et régulier. C'est le meilleur remède pour guérir toutes les maladies de l'estomac, dufoie, du ventre et des intestins, les gastrites, dyspepsies, gastralgies, in ligestions, vomissements, entérites, gastro-entérites, etc. l-'n voici on-oro une nreuve comm» nous en recevons charme tour ^u xo.ci encore une preuve comme nous en recevons enaque joui. Pharmacie d?s Poudres de Cock, Jeumont. Smt'»,H <î h Maf'Mia ^ÎSIÎFR tUj«ilUe_ ld Éta.uhlB ÈiïttJLÎS ni « y hhu 1 u séant au Palais de Justice de Non- «i_ . l g< Wr 3 ms^m » V»T r? bunnl civil de Nancy, seul iot , KlH|ite!m .- ^):u; ^""' " '""i; ^PRocîa_-_ MARS 5 mif>re v dc Niîlîrv> n dale du is 22 (n novembre 1911, en registre, a la requête de . I» Mme Joséphine DLT11U,tri«IrlillS UffllIItlB ç_is, allemand ËEfl I w___H___fer _„ _. ■■ pi'-re, _enienr'int a Nancv senet n-ip antvo hnîniB H»m.nH- H ^jggSRgSHF Celles-ci ont commence par sonffrir WÊa fs„. ^ .r-nr,„,,:._ m ,.,.,,,.„ ..^J^.,, ««moment des r.^e qui étaient in-■ ; Joscoh Nicolas ' PARI El 3 m K om 8 M ferait le voyage, M ' ' °° ' ««diisanies ou trop abondantes. Les H SOT , 2« Mme Maria DUTIIU, 11, i 0 n sle> Ecrire A. 8. au journal. 8451. H T^^^TÎf" f ?i ï nf ; "" î f veuve de M. Léon-François — ; H Cram'pes? Tiçreurs.Tomissem JACQ UARD elle . ans pr ofesdSItiamie nonr mtna*.. ' ^ Wres. kllee ônt ressenU des l^ncemeias continuels *^'J^e.N«.PVr H tranquille de deux personnes H ^«s 1«^s-veMre d com.,;,, u.. p | énorme qui ™dau H maçon, demeurant au Pool' s dans le quartier de Boudoi.ville ■ a marche dilflcde et pembie. 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'" t MOREL, demeurant & EsseyTollle femmo v-iUU KXCts 8 d 8 l te de M I W% ■ JOU , «oucieuso sa santé doit employer la WM les-Nancy. rue du Bas-Château, MAISON ^ièces 10 arcs « - » ™" îf-ubers. si elle veut évi- H '0, pris en s* qualité de tu'.ricJ et 1 8 0, de jardin,'eau et gaz, 1.000 fr. f^Jl^TT^TJc ^' vU^vlT ^H^'e et légale de son fils S'adressor an innmil H -uitts de couches, les Tumeurs, Cancers, Varices. PhleLouis MOREL .encore rmneur: '-«J iom--n, «*ao. H bites, Hémorroïdes, les Accidents du Retour d'A«c, ■ 2» Mrno Caroline-Rodolphinc ... ■■ nhalenrs, Vapen™. Etcdff.-.ments, etc. BB LOHMANN, veuve de M. JeanRBlPOCÎQtiOfl Cmilc HOGARD demeurant & .»»>.• -.wvvtviwtg ■■■ îï fr. 50 le flacon, fr. 1« franco les d flacons franco Nancv, rue du Faubour» SteLe soussigné, FRANÇOIS, M contre mandat-poste iO fr. 50 adressé à la Phar- ■ Catherine, 57 pris en sa nuauaTB Ferdinand .employé a la bru., maeie Magr. nu.liO.'V » 1ER. à Rouen. ■ lité de lutiice naturelle et é scric de F « Etoile », à Briey, ËH (Notice contenant renseignements gratis) H gale de sa fille mineure Jeanrétracte tout ce qu'il a pu dire MB Dépôts à Nancy : Pharmacie Monal frères, rue des HH ne-Fanny-Thérèse HOGARD ; ou écrira sur le compte de M. igj lominicains ; Pharmacie Centrale, rue de la Visitation. - II Défenderesse, ayant M* LAMADAM, maréchal à Mainville. ■ l.uaéville : Pharm Ducret. — Villerupt : Pbarm. Hon H BERT. pour avoué coostilué ; " ~ — |BP uorat. — Bilev : Pharm. eberrierc. — Longwy-IIaut : ■■ E: enecre en présence et à rniffcun fSÊ fbarm. Wanlin. — Iloinécourt-Jœul : Pharm. Pfeitl'é. fM la participation de . UUXXltiUl H - Aiidun-Ie-Rom. n : Pharm. Gauche. — Thiaucourt : Wk 1° M. Georges DIDILLOM. tridemande garçon du suite, «-"'nd. fin Pharm. Figuel. — Pout-a-Mousson : Pharm. Louviot. — WÊ picr, pris tn qualité de subr>DRUtlOV, j.lon moderne. Lé BJ «««nt-Nk-.olas-dn Port: Pharm Diot - Baccarat : HJ cô-tiiteur ad-hoc du minier 1 ouvilîe (Meuse). vi H Pbàrni P. Sa r«01 — Vézellse : Pharm. Schutz. — 1 nul : KM U M .= : ; ■ Pharm. Zellor. - Bavon : i-h.rm. Bolla. -- P.oni-Saiut H mô, mais faisant fonction au ; p „- J _ M Vincent : Pharm. K_..ffei.en. - St-Max-Pont d'Essey : m cas particulier de subrogé-mof Q RTO+FO _\BIUS UB uEIXSS MÈ Pharm.Scbaeffer.-Frouard: Pharm Gauthier. -Har-Ie-H leur dudit mineur à raison de î; s,,E I10mlr B Dnc : Pharm. Pineb — l.ionv-cn-Barrois: Pharm Y va BB l,EL 'opposition d intérêts existant M. Jules MARTIN, à Horaé- Il «off. — Commercy : Pharm. Morelle. — Vaucouleurs : H entrî ce dernier et M. Louisc-'urt, prévient les commer- BB Pharm. Frache. -- Vigneulles : Pharm. Robert. — BB Camille MOREL son subrogéçants d'Homécourt, de Jœuf et jHk Charmes : Pharm. Gaillot.— Rethel : Pharm. Marcotte. MH tuteur, i'un des demandeurs ; 2 des mk ° de M. Ernest-Alexandre llls envirt.ns. qu'il ne r-p: ni/ P des dettes que pourr. ■ ™Li. I-.I,-..,I._..I .i-iiii. .._ ,, , ,,j<f4y PESIIAYE, principal clerc de , tm t r sa tourne, née Ma- ^Boraa1aaaaBBaaaBaBBgaBBHa|^^ notaire, demeura.it h Nan-y, rien NOIRET. 8481 ^^^mmWmmmm*Vmamwm»MWÏÏimmmmim^SB^m^ rue du Pont-Cézar, 14 prison > .PS 15 I E^SH^^SSI M»?^^ : SISE AU PONT-D'ESSE. Commune de Saint-Max R LJk \ M "'• g H, Hj ' —— H I 1>SS' J 3 ,!„ nnntlnnfnmmnn nliftinlnn Un Mnii!*n wSt laimo hnmntQ Pédant fran- ■ Jflf f il§ .001 IBS 160168 3u8IIll68 S6 MSITlB ■ ..M^M u t V « W Jkd---iL__t'S. Drès Nancy 4 n cuis trara^p ?«rdin fS * fo.'ooTfr! I^a M I nrpai.raeSKkoiges. LUCD A NANOY '9 //W///M fWW'/'W " u iîÉESllt^^ MF^^m comprenant : rez-dechoussée __IIILUIIIIH WHIII il'lll' lill"l)HllliWlllilllill -IHa_aar-W_aill--L. buanderie, premier étage, i_BP™""llln™ hangar, lisante, et dém W rcour P'iuhn-csJ -' !-(• 'a lniODriele P touchant Nancy, maison ueu-ve, 6 p.. jardin, verger, conUW tenance : 2 000 m Px • '20 Oui fraîîcs '^ ç ' « 1 .. . a K ^ VENDREDI 3RRO,US , "^g^^ «i^n^ ^h KT l»E CHAISES DECOREES à feildr8 . PrOiinBta V "{"', i ' ; ; A _. a^ P WèlM «_n NfiFR MANGER Location d'Ameublements Kf^^S^rSî J7 COUCHER M A * , _ ___S_SB_T^S"* CVi terrnsse ae la Pépinji re< n 2_«U«eî « «S BUREAUX - LITS FER ET CUIVRE - GLACES Ç0BllHerC6 8gr6a0l6 Cff 1 - A * ATT1? SALLE prix $ « « ' W iBîffifc n ; niécan ^*_P* "» CHAMBRE Bonne Boulangerie ^_flf r I , M VictorPROCHASSON^nHivnicur.mie ™J£ * VIM-V-S * » §Br ,,.,„• J , tOMtC8 par un Prix : ,000 1, ^ m» 40 W comptant. bien MjB^JjW W i / _*. t-ln■ Guérlson <!<• M. l'HOCHASSOM cy. rue SaintJDizier, El. Tél. 1.30 SIEGES fl! L rmrvmin^ îo.uoii ir L J? LITEillE "T I»r «r ars M* Fr»iri-ri<_iSPΣ^ 16.000 f. ~* • Quérison : ■> INSERTION LEGALE M »T..™, pris le Tribunal civil de Non- Notre-Dame, NANCY ™' Café-Tabac . B™ LLER .,___^TS M-pp rU0V - ■ W130 ^î?" ^"^n ^garnis A^res : M*, par m* m* K V" LEVY-WE : 3^ U III HU LU I ■ nnete U JLUlU^ljilU V ENTRE _, dans localité mdust. Affair 30 ,rnTniJlf|fl li i tO H ______ c f àc d r _ I 18 -'«*. -un isoles au repas J« «JJ» ' PONIIINFTTF lûRSâlE ^ 3 50 : ?5 kil., 8.S5 ; 50 kil., 1G fr. ; H» MNe pas confondre avec les poudres à faire ponur-..„»,_„„,„ . . _ , . „ f»# n\im FLUnEMHR 1 1 atk *2. O'"**'*' * * dema»^ _r_jiaal«afra« edWatra «lemajKfâa. (>.oUce m «■-"• ~DEMllEn 11 tî 4 rili I
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